- ENTREE de SECOURS -



vendredi 22 mars 2019

«Ce pouvoir est en train de mettre le feu à notre pays», selon le patron de Mediapart

11:46 22.03.2019


Invité de l’émission «Grand Angle» sur BFM TV, le patron de Mediapart Edwy Plenel s’est lancé dans une philippique véhémente contre le pouvoir qui est, selon lui, en train de mettre le feu au pays.

Sur le plateau de BFM TV, le chef de Mediapart Edwy Plenel a poussé un coup de gueule contre le pouvoir en place, trouvant la situation dans le pays inadmissible et prônant une réponse démocratique à la crise.

Selon lui, la dérive du pouvoir illustrée par la sortie en boîte de nuit du ministre de l'Intérieur est une honte pour la République.

«Ce pouvoir est en train de mettre le feu à notre pays ! La violence de ce pouvoir attise la violence de ce pays ! Elle excite les amertumes. Elle excite les humiliations», a martelé Edwy Plenel.

De son avis, il n'y a qu'une seule réponse à la crise que traverse le pays et cette réponse doit être démocratique et politique.

«On dissout l'Assemblée, on va devant les urnes, on change de gouvernement, on change de Premier ministre, on fait un référendum, on démissionne», a-t-il suggéré.

«Mais nous sommes devant une situation qui est inadmissible», lance-t-il en résumé.

32 commentaires:

  1. Acte 19: les soldats ouvriront le feu à une seule condition, affirme un général parisien


    13:56 22.03.2019


    La décision de déployer des soldats de la force Sentinelle pour la manifestation des Gilets jaunes a été commentée par le gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Leray, qui a annoncé que les soldats ont les différents moyens d’action et que «cela peut aller jusqu’à l’ouverture de feu».

    La décision de déployer plusieurs milliers de soldats pour la prochaine manifestation des Gilets jaunes, décriée par certains hommes politiques, a été commentée par le gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Leray. Il a déclaré sur France Info que «pour faire face à toute menace» les soldats peuvent ouvrir le feu.

    «Cela peut aller jusqu'à l'ouverture du feu», a reconnu le général Leray.

    Toutefois il a précisé que les soldats «donnent des sommations dans les cas éventuels d'ouverture du feu» et qu'ils ne l'ouvrent que «si leur vie est menacée ou celle des personnes qu'ils défendent».

    «C'est arrivé par le passé. Je vous rappelle qu'au Louvre et à Orly des soldats ont été amenés à ouvrir le feu. Et donc ils sont parfaitement à même d'apprécier la nature de la menace et d'y répondre de manière proportionnée», a ajouté le général.

    La mission antiterroriste militaire Sentinelle sera mobilisée de manière «renforcée» samedi 23 mars, dans le cadre des manifestations des Gilets jaunes. Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a expliqué, mercredi 20 mars, que cette mesure permettrait de protéger des bâtiments officiels et autres «points fixes».

    Annoncée par Emmanuel Macron en Conseil des ministres, cette initiative permettra aux forces de l'ordre de se «concentrer sur les mouvements, sur le maintien et le rétablissement de l'ordre», a justifié le porte-parole.

    https://fr.sputniknews.com/france/201903221040453952-militaires-gilets-jaunes-tirs-general/

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    1. L'HORREUR EST A SON COMBLE !!!

      (...) Toutefois il a précisé que les soldats «donnent des sommations dans les cas éventuels d'ouverture du feu» et qu'ils ne l'ouvrent que «si leur vie est menacée ou celle des personnes qu'ils défendent». (...)

      Pour ce qui est des sommations dites d'usage, le soldat tire en l'air une balle qui va monter à plusieurs kilomètres et.... retomber ! (Cà alors !) Devinez sur qui ?

      Pour ce qui est de 'mettre en danger la vie des militaires casqués, cuirassés derrière des boucliers ou dans des chars d'assaut', là, ils ne seront touchés (comme tous les samedis) que par des insultes mortelles (jusqu'à la 50 ème génération ?) telles que "NOUS VOULONS LA DÉMOCRATIE !" "ET NOUS L'AURONS !"

      Donc: Dictateurs, faites votre testament !

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  2. Un cadet de la République dans le viseur de la justice pour des pillages à Paris


    13:17 22.03.2019


    Soupçonné d’avoir participé à des pillages lors des manifestations des Gilets jaunes début décembre à Paris, un cadet de la République de 19 ans a été placé en garde à vue mardi, selon l’information de LCI.

    En formation dans la police nationale, un cadet de la République âgé de 19 ans a été interpellé pour port d'arme prohibé lors de la mobilisation des Gilets jaunes samedi 16 mars à Paris, informe LCI.

    Mardi 19 mars, il a été convoqué dans un commissariat parisien et placé en garde à vue, annonce le média. Selon une enquête, il est aussi soupçonné de pillage et dégradation dans des commerces lors des manifestations des 1er, 8 et 15 décembre 2018.

    Le média rappelle que les cadets de la République bénéficient d'une formation d'un an avant de se présenter au concours interne de gardien de la paix. Après cette année de formation, et sous réserve de la réussite au concours, ils passent adjoint de sécurité pendant deux ans avant devenir gardien de la paix.

    Les 5.000 forces de l'ordre mobilisées samedi 16 mars, lors de l'acte 18 des Gilets jaunes, n'ont pas pu empêcher les pillages et incendies volontaires sur les Champs-Élysées. Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé l'emploi des militaires de la force Sentinelle pour la prochaine mobilisation des Gilets jaunes.

    https://fr.sputniknews.com/france/201903221040453297-cadet-republique-paris-pillages/

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  3. Militaires pour l'acte 19: «le chef d'état-major des armées n'avait pas été prévenu»


    10:13 22.03.2019


    Le chef d'état-major des armées, François Lecointre, n’avait pas été prévenu de la mobilisation des soldats de la force Sentinelle pour l’acte 19 des Gilets jaunes, affirme la radio RTL en expliquant que «c’est l'un de ses collaborateurs qui lui a rapporté la déclaration de Benjamin Griveaux alors que lui-même l'avait découverte dans les médias».

    Selon les informations de la radio RTL, la décision de déployer les militaires de l'opération Sentinelle pour assurer la sécurité de bâtiments publics lors de l'acte 19 des Gilets jaunes avait été prise en petit comité, même les hauts fonctionnaires de l'armée n'étaient pas au courant de cette mesure qu'ils ont découverte dans la presse.

    «En revanche, le chef d'état-major des armées François Lecointre n'avait été prévenu de rien. C'est l'un de ses collaborateurs qui lui a rapporté la déclaration de Benjamin Griveaux alors que lui-même l'avait découverte dans les médias», annonce la radio.

    En outre, «un conseil restreint de défense a eu lieu mercredi 20 mars avant le conseil des ministres mais l'information n'avait pas été évoquée non plus», poursuit RTL.

    La mission antiterroriste militaire Sentinelle sera mobilisée de manière «renforcée» pour sécuriser des bâtiments officiels et autres «points fixes», lors de l'acte 19 des Gilets jaunes samedi prochain, a annoncé le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux. Cette initiative annoncée par Emmanuel Macron en conseil des ministres permettrait aux forces de l'ordre de se «concentrer sur les mouvements, sur le maintien et le rétablissement de l'ordre».

    https://fr.sputniknews.com/france/201903221040449513-sentinelle-gilets-jaunes-chef-etat-major-armees/

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  4. LE DISPOSITIF QUI FAIT RIGOLER LE MONDE

    Gilets jaunes et militaires se retrouveront-ils face-à-face ? La Défense s’explique


    11:18 22.03.2019


    La ministre de la Défense Florence Parly s’est exprimée pour le Parisien sur le déploiement des militaires de l’opération Sentinelle pour l’acte 19 des Gilets jaunes. Selon elle, la répartition des tâches sera claire entre militaires et policiers: le maintien de l’ordre public restera de la compétence de la police et de la gendarmerie.

    Des soldats de l'opération Sentinelle seront affectés samedi 23 mars à la protection de bâtiments afin de libérer des forces mobiles de la police pour le maintien de l'ordre, a annoncé le gouvernement. La mesure a provoqué une polémique, obligeant la ministre des Armées Florence Parly à l'expliquer.

    Dans un entretien au Parisien, elle justifie le renforcement du dispositif en raison des violences de samedi «pour assurer dans les meilleures conditions possible le maintien de l'ordre public, qui est la compétence de la police et de la gendarmerie». La ministre souligne que la mission des militaires est de lutter contre le terrorisme et de protéger des bâtiments officiels, pas de rétablir l'ordre public.

    «Le dispositif Sentinelle, lui, est différent. Il relève des Armées et il a été créé avec une finalité particulière: la lutte contre le terrorisme. Cela n'a donc rien à voir avec le maintien de l'ordre. Il faut éviter les raccourcis», explique-t-elle, ajoutant que «l'idée est donc de remplacer ponctuellement policiers et gendarmes sur des tâches que l'opération Sentinelle peut accomplir.»

    Selon elle, la répartition des tâches sera très claire entre militaires et policiers et les manifestants ne se retrouveront pas face aux soldats. Mme Parly a réitéré que la mission des militaires était de lutter contre le terrorisme, pas de rétablir l'ordre public: «Ils sont formés et équipés avec des armes pour mener un combat, neutraliser un ennemi sur un théâtre d'opérations. Il n'est donc dans l'idée de personne de mettre les militaires en face des manifestants».

    «On ne dramatise pas, on informe. Le porte-parole du gouvernement a dit une chose très exacte: Sentinelle contribue, indirectement, au maintien de l'ordre public. Mais son unique vocation reste la protection des Français contre le terrorisme», a-t-elle conclu.

    Les 5.000 forces de l'ordre mobilisées samedi 16 mars, lors de l'acte 18 des Gilets jaunes, n'ont pas pu empêcher les pillages et incendies volontaires sur les Champs-Élysées. Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé l'emploi des militaires de la force Sentinelle pour la prochaine mobilisation des Gilets jaunes.

    https://fr.sputniknews.com/france/201903221040450242-florence-parly-gilets-jaunes-militaires-sentinelle/

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  5. Un dîner en ville qui passe mal


    12:08 22.03.2019
    Jacques Sapir


    Emmanuel Macron a convié 65 «intellectuels» pour discuter avec lui à l’Elysée dans le cadre du «Grand débat» le lundi 18 mars. L’acte est assez insolite en France pour mériter l’attention.

    La réunion s'est prolongée fort tard, notre Président ne résistant pas à l'envie de s'épancher en long, en large, et parfois en travers. C'est même l'une de ses caractéristiques, comme il l'a montrée à loisir dans le «grand débat». Au-delà de ces péripéties, l'acte comme la méthode s'avèrent très révélateurs d'une conception et d'une pratique du pouvoir et nous permet de lire la personnalité d'Emmanuel Macron. Le choix des personnes invités, l'organisation de cette rencontre, tout porte la marque d'un homme, ou plus précisément d'un adolescent, en recherche de reconnaissance.

    Un débat très organisé

    Emmanuel Macron avait ainsi convié 65 personnalités du monde de ce que l'on appelle la science et les lettres. La liste peut être consultée ici.

    Emmanuel Macron a convié 65 «intellectuels» pour discuter avec lui à l’Elysée dans le cadre du « Grand débat » le lundi 18 mars

    Remarquons tout d'abord le mélange des genres. Les «écrivains» et membres de centre d'influence (les «Think Tank» en franglais spoken) ne se situent pas au même niveau que d'autres scientifiques, aux qualités indiscutables. Il convient de noter le faible nombre de juristes (3 seulement, et peu représentatifs) par rapport aux économistes (pas moins de 12). Macron avait-il peur que des théoriciens et des praticiens du droit lui reprochent certaines de ses pratiques et de ses commentaires? Ou bien se sent-il au-dessus de ce genre de considérations? On ne le saura jamais.

    Notons au sein des économistes invités l'absence quasi-complète de ceux que l'on qualifie «d'hétérodoxes». Pourtant, la France a donné beaucoup à la pensée économique. L'absence de noms tels ceux de Michel Aglietta, de Robert Boyer, d'André Orléan, de Piketty, de Bruno Amable, voire, et même si je désapprouve ce qu'il écrit, de Jean Tirole, est caractéristique d'une méthode. Celle de choisir des «copains», ou des gens dont on le sait proche comme Aghion, Cette, Pisani-Ferry et qui ont travaillé pour lui.

    Chez les sociologues, on avait sélectionné des noms certes un peu plus pluralistes, mais dont on savait bien qu'aucun ne poserait de véritable problème. Remarquons, enfin, l'absence de toute une partie importante de la communauté scientifique française, les anthropologues, les ethnologues et les démographes. Ainsi Maurice Godelier, Françoise Héritier, Emmanuel Terray, Marc Augé, Alban Bensa mais aussi Emmanuel Todd ou Michelle Tribalat n'ont pas été jugés «dignes» de s'entretenir avec la Président. De même, on ne relève aucun géographe, alors que tout le monde s'accorde pour penser que dans la crise actuelle des «Gilets Jaunes», il y a une profonde dimension géographique.

    Ces absences sont significatives. On discute dans l'entre-soi. Cela montre aussi une méconnaissance profonde des causes de la crise que nous vivons. Mais, l'objet de cette réunion n'était justement pas d'analyser les causes de la crise, mais de faire de la communication

    Du débat au «non-débat»; du «non-débat» aux ébats d'égo

    Certains des participants l'ont dit et écrit. Il n'y a pas eu de «débat». Dominique Méda l'a souligné. Dans une tribune écrite pour le journal Libération, cette dernière écrit: «Comme les maires, nous constituions le mur sur lequel le Président faisait ses balles, jouissant de la puissance de ses muscles et de la précision de ses gestes et donc de la propre expression, cent fois ressentie, de son moi. Nous étions son faire-valoir.»

    On ne saurait mieux dire. Tout avait donc été mis en place pour flatter l'égo du maître des lieux. Le Président a donc resservi sa soupe, ce brouet refroidi qu'il ressert dans les différentes réunions où il apparaît.

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  6. Non qu'il n'y ait eu des questions acérées. Ainsi, Michel Wieviorka a-t-il lancé au Président: «Etes-vous l'héritier d'une longue décomposition du modèle politique?». Question fort juste; Macron n'est pas arrivé au pouvoir par hasard. Question pertinente; être l'héritier d'une décomposition (et non en «avoir hérité») signifie aussi que l'on en fait partie. Le Président aurait pu répondre. Il n'en a rien été. De questions pertinentes, il y en eu d'autres, mais il faut bien l'avouer pas beaucoup. Irène Théry a fait la liste des reniements du Président, chose utile, mais, il faut bien l'avouer, insuffisante. Et cela révèle aussi une autre dimension de ce soi-disant «débat». Car, si le Président avait tout organisé pour se mettre en valeur, avait tout organisé pour que cette réunion soit une promotion de sa personne, bien des participants sont tombés dans le panneau. Flattant son égo, Emmanuel Macron ouvrait aussi la porte aux égaux des autres. Et cela révèle aussi un aspect, plus déplaisant, des pratiques de la communauté scientifique: la déférence envers les puissants, la fascination pour les fastes et les ors du pouvoir.

    Car, quand Dominique Méda écrit: «Nous étions son faire-valoir» disons-le, elle aurait pu s'en douter. Et, le fait est important, aucun de ces chercheurs, des ces intellectuels, se rendant compte du piège dans lequel il était tombé, ne s'est levé et n'a quitté la réunion. Cela signe, aussi, le degré de corruption, même si cette dernière est largement implicite, qui atteint la communauté scientifique.

    Osons un rapprochement…

    On peut, alors, tenter un rapprochement pour montrer ce qu'une telle réunion aurait pu être. Car, si la pratique de ces réunions est pour tout dire peu fréquente en France, il n'en va pas de même dans d'autres pays. Ainsi, au début de l'année 2000, Vladimir Poutine, alors Président de la Russie par intérim (il remplaçait Boris Eltsine, démissionnaire, et ne devait être élu que quelques semaines plus tard) s'était rendu à une réunion du Presidium de l'Académie des Sciences de Russie pour y parler de la guerre en Tchétchénie et de la situation au Caucase du Nord. Ces sujets étaient brûlants, et l'on se souvient de la situation, alors dramatique, qui existait en Russie.

    Vladimir Poutine ne convoqua pas des scientifiques, dûment triée sur le volet, mais il se rendit devant une assemblée de l'Académie des Sciences, sans prétendre pouvoir choisir des contradicteurs. Rappelons ici que l'Académie des Sciences de Russie est un organe purement scientifique, une sorte de méga-CNRS. Poutine était venu avec d'autres responsables, et notamment le Ministre de la défense Igor Sergeyev, le responsable du service fédéral de sécurité (FSB) Nikolai Patrushev et le Ministre des affaires fédérales et des nationalités, Alexander Blokhin. La discussion, dont des aspects ont été révélés de manière tant officielle qu'officieuse put être qualifiée de « franche ». Vladimir Poutine essuya des critiques, tant de formes que de fond. Il ne s'en offusqua pas. Car, son objectif n'était pas de faire de la « communication » mais de rassembler des éléments susceptibles de l'aider dans sa politique.

    Alors, on peut porter le jugement que l'on veut sur cette politique, mais on doit reconnaître que la méthode avait une autre efficacité, et une autre dignité, que le triste spectacle l'on a vu le lundi soir 18 mars à l'Elysée. Verrait-on Emmanuel se présenter avec ses proches collaborateurs devant une réunion des directeurs de recherches du CNRS?

    Poser la question, c'est — hélas — y répondre.

    Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

    https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201903221040452302-macron-intellectuels-grand-debat-elysee/

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  7. «Comme un viol»: le maire du Havre démissionne après avoir envoyé ses photos à des femmes


    10:10 22.03.2019


    Alors que deux femmes ont accusé le maire du Havre Luc Lemonnier, marié et père de quatre enfants, de leur avoir envoyé des photos de lui à caractère pornographique, celui-ci a annoncé sa démission jeudi soir tout en assurant que ces échanges étaient «entre adultes consentants».

    Le maire du Havre Luc Lemonnier a annoncé jeudi soir sa démission en raison d'une polémique sur ses photos pornographiques rendues publiques.

    «J'ai décidé de présenter ma démission de mes fonctions et mandats à la ville du Havre et à la communauté urbaine. Cette décision, mûrement réfléchie, s'est imposée à moi en raison de la nécessité de protéger ma famille et mes proches», a annoncé le maire marié et père de quatre enfants jeudi dans un communiqué.

    Luc Lemonnier a succédé à Édouard Philippe à la mairie du Havre en mai 2017.

    Selon France Bleu, «le Premier ministre s'est rendu à la mairie tôt ce jeudi matin pour le rencontrer quelques heures avant sa démission».

    En juin 2018, M.Lemonnier a déposé plainte pour diffamation et diffusion de photos de lui nu à des conseillers municipaux ainsi qu'à Édouard Philippe. Cependant cette requête a été classée sans suite, a déploré son avocat Me Christian Saint-Palais.

    «Des conseillers municipaux ont été destinataires d'une photo du maire nu accompagnée d'un texte qui prêtait au maire des comportements qu'il dément», a poursuivi l'avocat.
    La femme mariée à l'origine de la diffusion des photos a témoigné mardi sur France Bleu Normandie. «Il s'agit d'un couple, dont le maire connaît bien la femme puisqu'elle était sur la liste électorale menée par Édouard Philippe lorsqu'il s'est présenté aux élections municipales en 2014», a précisé Paris Normandie.

    «Ça a été compliqué, j'ai fait une tentative de suicide. Je suis mariée depuis plus de 20 ans, j'ai des enfants, je suis épanouie dans ma vie de couple, je n'étais pas du tout dans un jeu de séduction», partage-t-elle en poursuivant que c'était «compliqué» de porter plainte contre l'homme politique.

    Quant à l'intéressé, il «a été choqué et blessé par cette interview. La présentation qui en est faite ne correspond pas à la réalité des faits. Les mots utilisés l'ont blessé et choqué», a commenté Me Saint-Palais.

    Dans son communiqué Luc Lemonnier a démenti «catégoriquement les comportements qui lui sont prêtés» en soulignant que «les échanges de messages auxquels il a pu participer sont intervenus dans le cadre de communications virtuelles exclusives de toute contrainte et entre adultes consentants».

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  8. Une autre femme s'est ensuite confiée à 76Actu en affirmant être elle aussi victime de l'envoi de photos à caractère pornographique par cet homme politique de 50 ans.

    «Pour moi, il n'y avait pas de consentement quand il m'a envoyé ces photos. Tout cela était déplacé et je comprends que cette femme dise qu'elle a ressenti cela comme un viol», a-t-elle déclaré.

    Elle a ainsi évoqué des messages envoyés via Messenger dans lesquels le maire «m'explique qu'il aime le libertinage et comment il allait me faire l'amour».

    La femme a «appelé la police pour déposer plainte, mais on m'a dit que ce n'était pas recevable, qu'on ne pouvait rien faire pour moi».

    https://fr.sputniknews.com/france/201903221040449421-maire-havre-lemonnier-demissionne-photos-nues/

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  9. Adieu à Internet: l'ingérence des gouvernements est déjà là


    par Tyler Durden
    Vendredi, 03/22/2019 - 00:01
    Écrit par Philip Giraldi via la Fondation pour la culture stratégique,


    Selon un dicton attribué au banquier français Nathan Rothschild, "Donnez-moi le contrôle de l'argent d'une nation et je me fiche de qui fait ses lois." Aux États-Unis, l'opinion conservatrice soupçonnait depuis longtemps que Rothschild avait raison et de nombreux appels à auditer la Banque de réserve fédérale ont été présumés ne pas avoir toujours défendu les intérêts du peuple américain. On peut présumer qu'une telle évaluation est presque certainement correcte sur la base du krach économique de 2008 dans lequel le gouvernement a renfloué les banques, qui avaient provoqué le désastre par la malfaisance et laissaient les Américains qui avaient tout perdu pour en subir les conséquences.

    Quoi qu'il en soit, s'il existait une version moderne du commentaire Rothschild, elle pourrait ressembler à ceci: «Donnez-moi le contrôle d'Internet et personne ne saura jamais plus ce qui est vrai.» Internet, qui avait été conçu à l'origine en tant que plate-forme pour le libre échange d'informations et d'opinions, devient inexorablement un support géré, de plus en plus contrôlé par les intérêts des entreprises et des gouvernements. Ces intérêts ne répondent en aucune manière à la grande majorité des consommateurs qui utilisent les sites de manière raisonnable et non menaçante pour communiquer et partager différents points de vue.

    Le Congrès des États-Unis a lancé le processus de réglementation en convoquant les dirigeants des principaux sites de médias sociaux à la suite des élections de 2016. Il cherchait des explications sur les raisons pour lesquelles les Russes auraient pu s'immiscer dans les élections en utilisant des comptes frauduleux afin de diffuser des informations susceptibles d'avoir influencé certains électeurs. En dépit du bruit et de la fureur, cependant, tout le Congrès réussit à démontrer que l’affaire contre Moscou était au mieux fragile, tout en invoquant un rôle accru dans la censure d’Internet, sous la menace d’une réglementation gouvernementale.

    Dans ce contexte, les fusillades récentes dans une synagogue de Pittsburgh et dans des mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande ont inévitablement suscité de vives demandes que l’on fasse quelque chose à propos d’Internet. des individus qui ont immédiatement été étiquetés comme «suprémacistes blancs».

    Un critique le dit ainsi: «Soyons clairs: les médias sociaux sont la pierre angulaire de l’extrême droite. Le fait qu'un attentat terroriste ait été diffusé en direct devrait nous dire qu'il s'agit d'une forme unique de violence créée à l'ère numérique. L’infrastructure des géants des médias sociaux n’est pas simplement accessoire aux opérations des terroristes; elle en est l’élément central [et] les géants des médias sociaux assument une énorme responsabilité en matière de prévention et d’arrêt du discours de haine qui prolifère sur Internet. Il est clair que les géants de l’Internet ne peuvent y arriver seuls; nous avons un besoin urgent d'un dialogue renouvelé sur la régulation de l'internet… Il est temps que les spécialistes de la lutte contre le terrorisme passent dans les bureaux des géants des médias sociaux. ”

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  10. C'est une mauvaise chose à faire, en partie parce que les services de renseignement et de police passent déjà beaucoup de temps à surveiller le clavardage sur Internet. Et l'hypothèse selon laquelle la plupart des terroristes qui utilisent les médias sociaux peuvent être qualifiés d'ennemis du jour, les «suprémacistes blancs», est également manifestement fausse. Utiliser l'argument de la sécurité nationale pour placer des «spécialistes de la lutte antiterroriste» dans les bureaux du secteur privé serait la dernière chose que quiconque voudrait raisonnablement faire. Si l’on transformait Internet en un service réglementé par le gouvernement, cela signifierait que ce qui en ressort serait un peu comme une propagande destinée à faire réfléchir le public d’une manière qui ne remette pas en cause l’autorité des bureaucrates et des politiciens. Aux États-Unis, cela pourrait n'être rien de moins qu'une exposition à des commentaires approuvés par Mike Pompeo et John Bolton si l'on souhaite savoir ce qui se passe dans le monde.

    À l’heure actuelle, de nombreux autres utilisateurs d’Internet et moi-même apprécions les médias alternatifs et leur faisons confiance pour fournir des points de vue qui sont soit réprimés par les intérêts du gouvernement ou des entreprises, voire contraires aux comptes d’actualités frauduleux en vigueur. Et le fait est qu'Internet est déjà soumis à une censure sévère de la part des fournisseurs de services, qu'un ami a décrits comme "de l'ère soviétique" dans son intensité, qui mettent eux-mêmes en œuvre leurs actions de plus en plus perturbatrices pour trouver des faux personnages et les interdire comme " discours de haine »tout ce à quoi des circonscriptions influentes s’opposent.

    Le blocage des informations est également déjà mis en œuvre par divers pays dans le cadre d'un accord de coopération selon lequel les gouvernements peuvent demander aux moteurs de recherche de supprimer des documents. En fait, Google documente cette pratique dans un rapport de transparence annuel qui révèle que les demandes du gouvernement visant à supprimer des informations sont passées de moins de 1 000 par an en 2010 à près de 30 000 par an actuellement. Sans surprise, Israël et les États-Unis sont en tête du classement des demandes de suppression. Depuis 2009, les États-Unis ont demandé 7 964 suppressions, soit un total de 109 936 articles, tandis qu'Israël a sollicité 1 436 suppressions, pour un total de 10 648 éléments. Environ les deux tiers des demandes israéliennes et américaines ont été acceptées.

    Et il se passe encore plus dans les coulisses. Depuis 2016, les représentants de Facebook rencontrent régulièrement le gouvernement israélien pour supprimer les comptes Facebook de Palestiniens que les Israéliens considèrent comme une «incitation». Israël avait menacé Facebook que le non-respect des ordonnances de suppression israéliennes «conduirait à la promulgation de lois Facebook a choisi la conformité et, depuis lors, les responsables israéliens se «vantent publiquement de l'obéissance de Facebook à l'égard des ordonnances de censure israéliennes». Il convient de noter que les publications sur Facebook appelant au meurtre de Palestiniens n’ont pas été censurées.

    Et la censure opère également à d'autres niveaux inédits, y compris la suppression de millions d'anciennes publications et de vidéos pour modifier l'historique et réécrire le passé. Pour modifier le discours actuel, Microsoft, Google, YouTube, Twitter et Facebook ont tous été contraints de coopérer avec des groupes privés pro-israéliens aux États-Unis, pour inclure la puissante ligue anti-diffamation (ADL). L’ADL travaille avec les médias sociaux «pour concevoir de nouvelles solutions pour mettre un terme au cyber-crime» en bloquant le «langage de haine», qui inclut toute critique d’Israël qui pourrait être interprétée comme un antisémitisme par la nouvelle définition élargie largement promue par les États-Unis. Congrès et l'administration Trump.

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  11. La censure de l'information opère également de plus en plus dans le monde de l'édition. Avec la disparition de véritables librairies, la plupart des lecteurs achètent leurs livres au géant des médias en ligne Amazon, qui avait pour politique d'offrir chaque livre imprimé. Le 19 février 2019, il a été révélé qu'Amazon ne vendrait plus des livres jugés trop controversés.

    La réglementation gouvernementale combinée à l'autocensure des médias sociaux des entreprises signifie que l'utilisateur du service ne saura pas ce qu'il manque, car il n'y en aura pas. Et une fois que la liberté de partager des informations sans contrainte aura disparu, elle ne reviendra jamais. Dans l’ensemble, la liberté d’expression est intrinsèquement beaucoup plus importante que toute satisfaction résultant d’une intrusion du gouvernement dans le but de faire d’Internet un catalyseur de la violence. Si l’histoire nous enseigne quelque chose, c’est que la diminution d’un droit fondamental entraînera rapidement la perte d’autres et il n’y a pas de liberté plus fondamentale que la capacité de dire ou d’écrire ce que l’on choisit, où et quand on cherche à le faire.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-03-21/goodbye-internet-interference-governments-already-here

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    1. Remarquez bien que les fusillades en lieux de cultes ajoutés aux militaires armés jusqu'aux chars d'assaut contre les promeneurs pacifistes du samedi, ont quelque chose d'un peu plus que louche !!

      Ils cherchent la merde ! Ils cherchent à pousser les gens à la guerre, ils tuent, ils créent même de faux drapeaux avec des voitures ou magasins brûlés !

      Ils prennent les gens pour des cons !

      Ils parlent qu'ils ne savent même pas pourquoi les gens défilent dans les rues alors que TOUS LES SAMEDIS les françaises et les français réclament LA Démocratie !

      Dans le monde, depuis l'arrivée de l'Internet, le quotient intellectuel a fait un bond ! (Plus de 4% de surdoués dans le monde en 2010, soit plus de 280 millions de têtes bien pleines !). Malgré tous les freins qu'ont pu mettre les dictature à retarder cette exponentialité, c'est l'explosion !

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  12. ENFIN ILS L'AVOUENT !

    AUSTRALIE - UNE PÉNINSULE RESPIRE «L'AIR LE PLUS PROPRE DU MONDE»

    L'isolement et la situation géographique du cap Grim, sur l'île australienne de Tasmanie, en fait l'un des lieux les moins pollués au monde.


    22.03.2019


    L'Asie-Pacifique étouffe, tousse et se mouche en cette saison généralement propice à la pollution de l'air. Mais un coin venteux et isolé de la région, sur l'île australienne de Tasmanie, est l'exception qui confirme la règle et sert de référence internationale pour l'air propre.

    La péninsule du cap Grim offre des vues spectaculaires, avec ses vastes étendues herbeuses et les eaux cristallines de l'océan Austral. L'endroit est magnifique. C'est aussi une norme pour les scientifiques.

    Depuis 1976, ce bout de terre sauvage et balayé par les vents accueille la Station de mesure de la pollution du cap Grim, une infrastructure publique australienne chargée de la tâche à première vue improbable de mettre de l'air en bouteille. «Notre travail, c'est de trouver l'air le plus propre du monde et de mesurer son taux de pollution», explique à l'AFP Sam Cleland, l'officier responsable de la station perchée sur une falaise.

    Vers l'ouest, la masse terrestre la plus proche est l'Argentine. En direction du sud, il n'y a rien à part l'Antarctique. L'isolement de la station en fait le lieu parfait pour collecter ce que beaucoup considèrent comme l'air le plus pur sur Terre, préservé des gaz d'échappement ou de la fumée des plantations de caoutchouc... Quand les Quarantièmes rugissants soufflent du sud-ouest, ils ne sont passés sur rien d'autre que la mer pendant des jours, voire des semaines.

    L'économie de l'air

    C'est à ce moment-là que Sam Cleland et son équipe prélèvent le cocktail d'azote, d'oxygène et d'autres composants de l'air ambiant. Ils se servent pour cela d'un système de tubes polis au laser qui semble tout droit sorti de la série d'animation Wallace et Gromit, les deux célèbres inventeurs en pâte à modeler, et d'instruments de mesure ultrasensibles.

    Leur matériel est si délicat que les trajets des véhicules de livraison qui arrivent de la ville la plus proche, à une heure de route, sont soigneusement consignés afin de prévenir toute fausse mesure éventuelle. Histoire de ne pas fausser les mesures. Alors que les villes les plus polluées du monde ont du mal à attirer les talents ou à juguler les maladies chroniques, les habitants de la péninsule du cap Grim font de leur environnement relativement intact un argument de vente.

    Pour vendre le boeuf local, on met en avant les études scientifiques sur la qualité de l'air. Le nombre croissant de fermes éoliennes et de touristes venus bien respirer montrent que la réputation du lieu se fait petit à petit.

    Métier: «cultivateur de pluie»

    Mike Buckby, «cultivateur de pluie» à la Cape Grim Water Company, recueille et commercialise des eaux qui tombent «des ciels les plus purs de la Terre». «Dans le monde, la plupart des eaux sont des eaux de source», explique-t-il, devant son système de réservoirs, de bâches et d'écluses installé sur une surface correspondant peu ou prou à la moitié d'un terrain de foot, un peu à l'écart de la côte.

    «On dépend de cette pluie qui vient du grand océan Austral», poursuit-il. D'après lui, son eau au goût remarquablement sucré ne contient guère plus que de la vapeur d'eau (deux atomes d'hydrogène et un atome d'oxygène) et des traces de sel de mer. «On va avoir un peu de sodium mais c'est très neutre, très doux», dit Mike Buckby. «Dans les eaux de source, on trouve normalement des taux élevés de magnésium, des nitrates, phosphores, potassium naturels.»

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  13. La Station de surveillance du cap Grim et l'air propre qu'elle mesure donnent aux entrepreneurs locaux un avantage concurrentiel dans un marché compétitif, fait-il valoir. «Ça ne marcherait probablement pas sans la Station». Alors «oui, on vend du romantisme, mais on a des données sur 43 ans qui montrent que c'est le mélange d'air le plus propre du monde».

    Changements rapides

    Malgré tout, le cap n'échappe pas entièrement aux niveaux croissants de pollution. Quand le vent vient du nord, à savoir Melbourne ou Sydney, il est possible de détecter la signature chimique des différentes usines en activité ce jour-là, souligne M. Cleland. La station a pu mesurer une augmentation des gaz qui appauvrissent la couche d'ozone en provenance d'endroits aussi lointains que la Chine. Même l'air pur venu du sud-ouest change rapidement.

    «On constate que durant les 2.000 dernières années, les niveaux de gaz carbonique en particulier sont restés à des niveaux plutôt stables», dit Sam Cleland. Les carottes prélevées dans la glace polaire par les chercheurs montrent que les taux de gaz carbonique dans l'atmosphère ont tourné autour de 275 parties par million (ppm) durant le plus clair du dernier million d'années. «Quand on a commencé à faire les mesures du gaz carbonique ici en 1976, on en était déjà à 330 et aujourd'hui, on en est à 405», constate l'officier.

    Ce seuil de 400 ppm a été franchi au début des années 2010, signe de l'insuffisance des politiques de protection de l'environnement menées de par le monde. Et les niveaux de gaz carbonique trouvés au cap Grim sont désormais similaires à ceux de certaines villes au début de la révolution industrielle, relève M. Cleland. «Ce qu'on voit aujourd'hui dans l'atmosphère est probablement sans précédent, au moins au cours du dernier million d'années». (afp/Le Matin)

    https://www.lematin.ch/monde/asie-oceanie/peninsule-respire-air-propre-monde/story/15028771

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    1. (...) ENFIN ILS L'AVOUENT ! (...)

      TOUS les gaz du monde (oxygène, gaz carbonique et autres) font le tour du monde (grâce aux vents) et donc, cette presqu'île australienne a le MÊME AIR qu'ailleurs.

      (...) Pour vendre le bœuf local, on met en avant les études scientifiques sur la qualité de l'air. (...)

      Çà sent juste... la vache ! HAHAHAHA !

      Les mers & océans émettent des millions (milliards ?) de fois plus de gaz carbonique que toute l'humanité + animaux.

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  14. Le co-fondateur de Greenpeace dénonce la supercherie du réchauffement climatique causé par l’homme


    mardi 19 mars 2019


    Au Canada, Patrick Moore, co-fondateur de Greenpeace, organisme qui a tellement changé que M. Moore ne s’y reconnait plus, a déclaré que le «changement climatique anthropique» est une supercherie qui profite à nombre de gens dont des politiciens qui y trouvent un moyen de gagner des votes, les entreprises vertes, les «scientifiques» en quête de subventions.

    Les conservateurs soutiennent depuis longtemps que le « réchauffement » climatique anthropique est un détournement politique de la science climatique. Mais cet argument a reçu un soutien inattendu : le cofondateur de la plus importante organisation environnementale, Greenpeace. Patrick Moore, qui est également ancien président de Greenpeace Canada, a participé à l’émission Breitbart News Tonight de Sirius XM la semaine dernière lors d’une entrevue avec Rebecca Mansour et Joel Pollak.

    «La peur a été utilisée tout au long de l’affaire pour prendre le contrôle des esprits et du portefeuille des gens et tout le reste, et la catastrophe climatique est strictement une campagne de peur», dit-il, ajoutant que les adeptes de A Greener World (AGW) l’idéologie selon laquelle l’activité humaine serait principalement responsable des changements climatiques de la Terre sont également alimentés par la «culpabilité», car «vous tuez vos enfants en les conduisant dans votre automobile et émettez du gaz carbonique dans l’atmosphère.»

    Moore a expliqué que le sommet du «mouvement écologiste crée des histoires qui suscitent la peur dans le public» et qui sont ensuite abondamment relayés médiatiquement. Selon lui, cette supercherie est soutenue par «des politiciens verts qui achètent des scientifiques avec l’argent du gouvernement pour qu’ils effraient le public par des travaux qui seront présentés comme scientifiques. Il dénonce aussi «le monde des affaires vertes, les chercheurs de subventions, les capitalistes de connivence qui bénéficient de subventions énormes, de réductions fiscales importantes et des mandats gouvernementaux exigeant que leurs technologies fassent fortune sur cette base.[…]Et puis, bien sûr, il y a les scientifiques qui sont de leur plein gré là-dedans, puisqu’ils sont pratiquement accrochés aux subventions gouvernementales ».

    «La plupart des “scientifiques” qui poussent cette théorie catastrophique sont payés avec les deniers publics », ajoute-t-il.

    Les partisans de la thèse du réchauffement climatique causé par l’homme ont subi un coup dur en 2010 lorsqu’il a été découvert que leurs principaux chercheurs, comme l’East Anglia University’s Climate Research Unit et l’Intergovernmental Panel on Climate Change [et le GIEC lui-même], s’étaient livrés à une manipulation généralisée des données, livrant des modèles climatiques erronés, falsifiant les sources et supprimant des découvertes dissidentes.

    Source:
    https://www.medias-presse.info/le-co-fondateur-de-greenpeace-denonce-la-supercherie-du-rechauffement-climatique-cause-par-lhomme/106260/?fbclid=IwAR0tq6VaHFNy8xp_jdeXyB1_jwugfx4dee8uR91OvSn2_KEg4rnGYWEwzvw

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2019/03/le-co-fondateur-de-greenpeace-denonce.html

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    1. En plus des escrocs qui font payer un 'droit de marcher sur Terre ! il y a des escrocs qui font payer l'eau toute propre qui sort gratuitement aux sources et qui n'a donc besoin de 'stations d'épuration' puisque la mer s'en charge gratuitement depuis des millions d'années, il y a aussi des escrocs qui veulent payer l'air ! Or, depuis toujours, TOUS les gaz se recyclent et, les phénomènes d'abondances ou de restrictions dépendent UNIQUEMENT des comportements du magma de notre planète. C'est continuellement que les planchers océaniques & maritimes émettent des gaz jusqu'aux plus toxiques. Ce sont ces volcans sous les eaux qui réchauffent les courants marins et apportent quelques douceurs aux continents

      Les gouvernements totalitaires incitent jusque dans les écoles à porter des slogans haineux envers les contribuables et de collaborer plus étroitement avec la dictature en place pour traquer ce qui après çà osent encore respirer !

      C'est honteux, épouvantable et dangereux que de consolider ces politiques de psychopathes qui veulent asservir l'humanité, la ruiner et l'éliminer par TOUS les moyens. Rappelons que dernièrement en France des gens ont été assassinés alors qu'ils défilaient pacifiquement sur la voie publique contre la paupérisation des contribuables privés de Démocratie.

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  15. 18 statistiques qui prouvent que l'Amérique est devenue une "idiocratie"


    21 mars 2019
    par Michael Snyder



    Qu'est-ce qui nous est arrivé dans le monde ? Il était une fois, l'Amérique disposait du plus grand système d'éducation de la planète et notre peuple était fort, capable et extrêmement bien informé. Malheureusement, aucune de ces choses n'est plus vraie. En 2006, Mike Judge a réalisé un film intitulé «Idiocratie» dans lequel un individu d'une intelligence inférieure à la moyenne se réveille après 500 ans de sommeil grâce à une expérience d'hibernation militaire. Quand il se réveille, il se rend vite compte qu'il est maintenant l'homme le plus intelligent d'Amérique, et ce n'est pas une bonne chose. Le film est devenu un classique instantané, mais quand je l’ai vu à l’origine, j’ai pensé qu’une telle chose ne pourrait jamais se produire dans ce pays. Malheureusement, j'avais tort. Depuis 2006, notre pays a été «assommé» à un rythme absolument ahurissant et il est difficile de prévoir un avenir positif pour l’Amérique si cette tendance se poursuit.

    Voici 18 statistiques qui prouvent que l’Amérique est devenue une «idiocratie»…

    N ° 1 Un sondage récent a révélé que 74 % des Américains ne savent même pas combien d’amendements figurent dans la Charte des droits.

    # 2 Une enquête précédente avait révélé que 37 % des Américains ne pouvaient nommer un seul droit protégé par le Premier amendement.

    # 3 Chose choquante, seuls 26 % des Américains peuvent nommer les trois branches du gouvernement.

    N ° 4 Lors des élections de 2016, plus de 40 % des Américains ne savaient pas qui se présentait comme candidat à la vice-présidence de l'un ou l'autre des principaux partis.

    # 5 La Caroline du Nord envisage d'adopter une loi qui «signifierait que seuls les scores inférieurs à 39 % seraient admissibles à une note F» dans les écoles publiques de Caroline du Nord.

    # 6 Il y a 30 ans, les États-Unis ont décerné plus de diplômes de lycée que quiconque dans le monde. Aujourd'hui, nous sommes tombés à la 36ème place.

    N ° 7 Selon le Pentagone, 71 % de nos jeunes adultes ne sont pas éligibles pour servir dans l’armée américaine parce qu’ils sont soit trop bêtes, soit trop gros ou ont un passé criminel.

    # 8 Pour la toute première fois, les Américains sont plus susceptibles de mourir d'une overdose d'opioïdes que d'un accident de voiture.

    N ° 9 Une étude a révélé qu’un tiers des adolescents américains n’avaient lu aucun livre au cours de la dernière année.

    N ° 10 Un sondage récent a révélé que 45 % des adolescents américains sont en ligne «presque constamment».

    # 11 Aujourd'hui, l'Américain moyen consacre 86 heures par mois à utiliser un smartphone.

    N ° 12 Dans l’ensemble, l’adulte américain moyen «enregistre 6 heures et 43 minutes de temps d’écran total par jour».

    N ° 13 Dans plus de la moitié des États-Unis, l’employé public le mieux payé de l’État est un entraîneur de football.

    # 14 Au cours d'une période de sept jours l'été dernier, un total de 16 000 plaintes officielles concernant des matières fécales humaines ont été soumises à la ville de San Francisco. Et apparemment, le problème est très réel, une enquête ayant révélé 300 piles d'excréments humains dans les rues du centre-ville de San Francisco.

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  16. # 15 Toutes les 24 heures, plus du tiers des Américains mangent du fast food.

    # 16 Moins de la moitié des Américains savent quel pays a utilisé des bombes atomiques à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    # 17 Même si nous avons mené une guerre en Irak pendant huit longues années, 6 jeunes adultes sur 10 ne trouvent pas l'Irak sur une carte du moyen-orient. Et cette même enquête a révélé que 75% de nos jeunes adultes ne peuvent pas localiser Israël.

    # 18 Aujourd'hui, l'étudiant de première année moyen aux États-Unis se lit à un niveau de 7e année.

    Parfois, il est utile d’aller dans le passé pour avoir une perspective bien nécessaire du présent.

    Il y a quelques années, un examen de huitième année de 1912 a été donné au musée d'histoire du comté de Bullitt. Pour moi, c'est absolument incroyable ce que les enfants des zones rurales du Kentucky devaient savoir il y a un peu plus de 100 ans.

    Vous pouvez trouver une copie de l'examen ici même, et en y jetant un coup d'œil, j'ai vite compris que la plupart des étudiants auraient beaucoup de mal à réussir cet examen aujourd'hui.

    En fait, je pense que j'aurais beaucoup de mal à obtenir une note de passage. Voici quelques-unes des questions de l'examen…

    - Dans quelles eaux un navire passerait-il d'Angleterre en passant par le canal de Suez à Manille ?

    - Comment la taille du foie est-elle comparable à celle des autres glandes du corps humain ?

    - Combien de temps faut-il pour que la corde atteigne le sommet d'un bâtiment de 40 pieds de haut au sol, à 30 pieds de la base d'un bâtiment ?

    - Comparez les artères et les veines pour fonctionner. Où le sang est-il porté pour être purifié ?

    - Durant quelles guerres se sont déroulées les batailles suivantes: Brandywine, Great Meadows, Lundy’s Lane, Antietam, Buena Vista ?

    Si vous souhaitez connaître les réponses à toutes les questions de l'examen, vous pouvez les trouver ici:

    https://www.bullittcountyhistory.com/bchistory/schoolexam1912ans.html

    En revanche, notre système d’éducation aujourd’hui est une blague totale. La plupart de nos étudiants n’ont jamais appris à communiquer efficacement, ils reçoivent un flot incessant de «tests» qui consistent en des questions à choix multiples, des questions vrai / faux et à compléter en blanc, et quand ils quittent l’école, ils ne savent absolument pas comment réussir dans le monde réel.

    Cela peut peut-être aider à expliquer pourquoi nos enfants se situent dans la moitié inférieure de tous les pays industrialisés en ce qui concerne la culture mathématique et scientifique.

    Si nous n'éduquons pas bien nos enfants, nous continuerons de prendre le retard sur le reste du monde et ce ne sera qu'une question de temps avant que nous perdions notre statut de puissance mondiale.

    Bien entendu, cela suppose qu'il nous reste assez de temps pour redresser la situation. À ce rythme que nous sommes en train de dégénérer, nous pourrions ne pas le faire.

    http://endoftheamericandream.com/archives/18-statistics-that-prove-that-america-has-become-an-idiocracy

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    1. Suffit de voir la hauteur intellectuelle des jeux télévisés ! Les questions posées attendent seulement une réponse par 'oui' ou 'non' ou 'vrai' ou 'faux' ! Par contre si la réponse est noyée dans 5 propositions, là, le niveau de bonne réponse est inférieur à 5 %. Pire encore si aucune proposition n'est formulée, la personne candidate au jeu ne saura jamais répondre ! Hahahaha !

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  17. Les scientifiques proposent une nouvelle compétence de référence pour la prévision décennale du stockage de l'eau terrestre


    22 mars 2019,
    Académie chinoise des sciences


    Le stockage de l'eau terrestre comprend toutes les phases de l'eau sur la terre (par exemple, les eaux de surface et souterraines, la neige, etc.) et constitue une ressource importante en eau douce. Il s'agit d'un élément essentiel du cycle de l'eau terrestre. Une prévision décennale fiable des SSC serait donc bénéfique pour une gestion durable des ressources en eau, en particulier dans un climat en mutation.

    "La prévisibilité hydrologique provient principalement de deux sources: la mémoire dans les conditions hydrologiques initiales et la prévisibilité des forçages météorologiques aux limites." explique le professeur Xing Yuan de l'Institut de physique de l'atmosphère de l'Académie chinoise des sciences. "Les scientifiques s'interrogent sur la nécessité de consacrer plus d'efforts à l'amélioration de la précision des conditions hydrologiques initiales ou aux prévisions climatiques décennales. Et nous ne connaissons toujours pas la compétence de prévision de base de TWS qui prend en compte la compétence de prévision dynamique de l'état actuel des connaissances modèles de climat

    Yuan et son doctorat Enda Zhu, une étudiante, offre une nouvelle perspective pour traiter ces problèmes, publiée dans Nature Communications. Ils constatent que l'intégration de la prévision climatique décennale actuelle améliorerait considérablement les compétences de base de la prévision TWS pour plus de 25% des bassins fluviaux mondiaux en un à quatre ans, et jusqu'à 47% pour les bassins fluviaux de sept à dix ans.

    Ils ont effectué des simulations d'ensemble hydrologiques de surface terrestre mondiales sur 2 200 ans et ont utilisé un cadre d'élasticité des compétences pour analyser les impacts de deux sources de prédictibilité présentant divers degrés d'incertitude par rapport à la prévisibilité décennale de TWS sur 32 grands bassins hydrographiques mondiaux. En outre, ils ont obtenu une nouvelle compétence de référence TWS en prenant en compte la compétence de prévision climatique décennale avec le cadre d'élasticité, qui constitue "une nouvelle norme permettant d'évaluer si différentes stratégies de mise à niveau future de l'approche climat-hydrologie sont bénéfiques pour la prévision hydrologique décennale", selon le rapport. un des critiques.

    Le résultat suggère que l'amélioration de l'observation afin de réduire l'incertitude des conditions hydrologiques initiales est un moyen efficace d'améliorer la prévision des SSC sur les régions arides et semi-arides au bout d'un à quatre ans. Cependant, avec l'augmentation des délais, l'amélioration de la précision des conditions aux limites joue progressivement un rôle clé dans l'amélioration de la prédiction décennale des SSC. Comparée aux compétences de la prévision hydrologique traditionnelle basée sur la mémoire initiale, la nouvelle compétence de référence est nettement supérieure: 25% des bassins ont une avance de quatre ans et jusqu’à 47% des bassins après sept à dix ans.

    "La compétence de référence estimée dans notre étude peut être considérée comme une nouvelle référence pour vérifier l'utilité des prévisions hydrologiques décennales, indépendamment de l'utilisation d'approches compliquées de réduction d'échelle dynamique ou statistique. Ce document analyse la prévisibilité décennale et les compétences de référence de TWS, mais il peut être appliqué à autres variables hydrologiques (débit du cours d’eau, humidité du sol, par exemple) des échelles de temps sous-saisonnières à décennales. " dit Yuan.

    https://phys.org/news/2019-03-scientists-benchmark-skill-decadal-terrestrial.html#jCp

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    1. (...) Les scientifiques proposent une nouvelle compétence de référence pour la prévision décennale du stockage de l'eau terrestre (...)

      Est-ce un rapport de trisomiques appelé à décrire le cycle de l'eau qu'ils n'ont toujours pas compris ?

      Suite en dessous:

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  18. Mettre en évidence les normes d'identité sociale et de groupe de pairs peut augmenter la conservation de l'eau


    22 mars 2019,
    Université d'East Anglia


    Des chercheurs de l’Université d’East Anglia (UEA) ont constaté qu’au lieu de donner aux gens des informations générales sur l’importance de l’économie d’eau, la mise en exergue des actions de conservation de l’eau des autres personnes du même groupe social (étudiants et résidents locaux, par exemple) incitait à des comportements similaires et réduit la demande en eau.

    La pénurie d’eau est un problème mondial croissant et, au Royaume-Uni, les pénuries d’eau sont considérées comme l’une des plus grandes menaces liées au changement climatique. Cette semaine, l'agence britannique de l'environnement a prévenu que l'Angleterre ne disposerait pas de suffisamment d'eau pour faire face à la demande d'ici 25 ans.

    La nouvelle étude a exploré l'utilisation de normes sociales dans les campagnes visant à motiver les gens à économiser de l'eau. Des recherches antérieures ont montré que ces approches basées sur le comportement, ou "coups de pouce", peuvent avoir un impact sur d'autres comportements pro-environnementaux, par exemple en matière d'économie d'énergie et d'encouragement du recyclage.

    Les résultats, publiés dans le Journal of Environmental Psychology, démontrent que les interventions existantes peuvent être améliorées en se concentrant sur une identité sociale spécifique et psychologiquement significative - une technique connue sous le nom de '' appel de normes internes '.
    Les identités sociales décrivent notre sentiment d'attachement à un lieu ou à un groupe de personnes (nos "ingroups"). Ces identités influencent nos attitudes, nos émotions et nos comportements, parfois même lorsque nous ne sommes pas conscients de leurs effets. Par conséquent, si nous fournissons des informations sur le comportement d’autres personnes qui partagent avec nous une identité sociale importante, nos attitudes et comportements changeront en conséquence.

    La chercheuse principale Ellin Lede a effectué les travaux dans le cadre de son doctorat. avec la School of Environmental Sciences.

    "Assurer un approvisionnement en eau durable nécessite une approche multiforme, ce qui deviendra de plus en plus important à mesure que la demande en eau continue d'augmenter et que le changement climatique modifie la disponibilité de l'eau", a déclaré le Dr Lede.

    "Nos résultats ont des implications pour la conception des campagnes environnementales. Traditionnellement, les campagnes de communication sur la conservation de l'eau fournissent des informations générales sur les économies d'eau. Cependant, les campagnes fondées sur la science du comportement peuvent accroître leur efficacité et devraient faire partie intégrante des stratégies de réduction de la demande.

    "L'activation d'un sens de l'identité régionale, telle qu'une ville, un quartier ou une communauté locale, et la communication d'informations crédibles sur le comportement et les pratiques d'autres membres du groupe devraient renforcer les normes perçues en matière de conservation de l'eau, ce qui entraînerait une augmentation des efforts d'économie d'eau des membres de la communauté. "

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  19. La recherche portait sur quatre études menées à Norfolk, dans l'est de l'Angleterre, une région sujette aux pénuries d'eau. Les deux premiers, associant des étudiants de l'UEA et des résidents de Norwich, ont fourni la première preuve que l'utilisation d'un message d'appel aux normes de groupe permet d'augmenter l'intention des individus d'adopter des comportements de conservation de l'eau.

    La troisième étude a été réalisée dans des résidences de l'UEA. Des autocollants portant des messages de conservation de l'eau ont été placés dans les salles de douche, dans le but d'inciter les étudiants à réduire leur temps de douche de une à deux minutes, soit une économie de 7 à 14 litres d'eau par douche.

    Le message des normes sociales visait à encourager ce comportement en suggérant qu’il s’agissait d’une stratégie courante d’économie d’eau utilisée par d’autres personnes. Dans le message des normes internes, l’économie d’eau était présentée comme une chose normale chez les autres étudiants de l’université. Une illustration d'une mascotte d'université a également accompagné le texte pour renforcer l'identité sociale. Aucun autocollant n'a été placé dans les salles assignées à un groupe témoin.

    Après un essai de deux semaines, le message relatif aux normes internes au groupe a été jugé plus efficace que celui relatif aux normes sociales, les étudiants réduisant leur temps sous la douche de plus d’une minute.

    La quatrième étude a été réalisée avec Anglian Water par l’intermédiaire du Anglian Centre for Water Studies de l’UEA, une collaboration entre l’université et la société des eaux. Il visait à augmenter le nombre d'abonnés à un service gratuit de réaménagement de logements, dans lequel un plombier s'adapte aux dispositifs d'économie d'eau au domicile des clients.

    Un message d'appel aux normes internes a été ajouté au début d'une lettre adressée à 1148 ménages, indiquant que les habitants de Norfolk se soucient de l'environnement et de la préservation de l'eau et que d'autres résidents s'étaient déjà inscrits au programme. Il incluait également l'image d'un moulin à vent, une caractéristique historique de la région. Au bout de six semaines, les taux d'inscription étaient nettement plus élevés chez les ménages ayant reçu la lettre modifiée, par rapport aux 1158 personnes ayant reçu une lettre standard sans le message supplémentaire.

    Vittoria Danino, responsable du Centre d'études sur l'eau chez UEA chez Anglian Water, a déclaré: "L'augmentation significative du nombre de clients qui souhaitent recevoir nos dispositifs d'économie d'eau témoigne du succès de l'étude réalisée par l'UEA. Nous encourageons constamment nos clients à devenir plus productifs efficace et sont toujours à la recherche de diverses façons de communiquer cela.

    "Nos clients de l'est de l'Angleterre comptent déjà parmi les plus économes en eau du pays. Chacun de nous utilise en moyenne 133 litres chacun par jour, contre une moyenne nationale d'environ 140-145 litres. Cela équivaut à une différence d'environ 4 millions de toilettes chaque jour. Il y a toujours plus à faire pour utiliser l'eau de façon judicieuse toute l'année. "

    La Docteure Rose Meleady, de l’Université de psychologie de l’UEA, co-auteure, a déclaré: "Quatre études menées dans une région où les ressources en eau sont rares en Angleterre ont montré comment l’approche de l’identité sociale peut maximiser le pouvoir des interventions fondées sur le comportement et encourager une changement dans les intentions et les comportements pour promouvoir la conservation de l'eau des ménages.

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  20. "Comme le montre l’étude réalisée avec Anglian Water, le simple fait d’intégrer le texte de l’appel aux normes de groupe dans la lettre a augmenté le taux de souscription à une initiative de conservation de l’eau. Une chose aussi simple que de changer la forme de messagerie, et de manière à ne pas t plus coûteux, peut rendre la messagerie plus efficace et conduire à un changement de comportement. "

    "Optimiser l'influence des normes sociales: appliquer les principes de l'identité sociale pour motiver la conservation de l'eau dans les résidences", Ellin Lede, Rose Meleady et Charles Seger sont publiés dans le Journal of Environmental Psychology.

    https://phys.org/news/2019-03-highlighting-social-identity-peer-group.html#jCp

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    1. (...) La pénurie d’eau est un problème mondial croissant et, au Royaume-Uni, les pénuries d’eau sont considérées comme l’une des plus grandes menaces liées au changement climatique. (...)

      Et oui ! Le Royaume-Uni ne sera bientôt plus une île et accessible à pieds depuis New-York ! Car, le 'changement climatique' (Thermostat 40) va faire évaporer les océans qui vont créer d'énooooormes nuages dans le ciel qui feront une menace extrême de tomber !

      HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !

      Et là en dessous, c'est la Chercheuse Principale qui parle !:
      (...) La chercheuse principale Ellin Lede a effectué les travaux dans le cadre de son doctorat. avec la School of Environmental Sciences.
      "Assurer un approvisionnement en eau durable nécessite une approche multiforme, ce qui deviendra de plus en plus important à mesure que la demande en eau continue d'augmenter et que le changement climatique modifie la disponibilité de l'eau", a déclaré le Dr Lede. (...)

      Bon, là je dirai que peut-être que elle veut boire de l'eau de l'océan mais ne sait pas encore comment s'y prendre (20 ème année de Médecine)

      Explicatiométrie: Toi y en a prendre boite de conserve et remplir d'eau sale. Toi poser boite dans une poêle sur le feu. Puis toi y en a prendre grosse boite vide et mettre par-dessus en capuchon. Toi y en a voir que l'eau qui bout dégouline dans grande boite et remplit la poêle. Toi y en a pouvoir boire eau sans bactérie, sans odeur, sans couleur !

      Pareillement qu'il serait intelligent pour les autorités de déconseiller la construction de maisons sur des volcans ou en pleine mer, il ne serait pas plus bête d'observer le quotient intellectuel des autorités susdites quant à accueillir des millions de personnes autour d'un seul robinet !

      Toutes les nappes phréatique du monde se remplissent par infiltrations océanique ou maritime depuis le magma qui en fait bouillir l'eau sale des bassins navigables. Il est donc préférable d'en localiser le volume de la nappe avant d'inviter qui que ce soit à passer à table !

      Petit rappel pour débutants:

      Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.

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  21. Déstabilisation du Venezuela, une «opération de piraterie internationale»


    16:27 22.03.2019
    Jean-Baptiste Mendès


    Pénuries, émigration massive, ingérences étrangères, désinformation… Voilà à quoi est confronté Caracas depuis la mort d’Hugo Chavez. Difficile de discerner le vrai du faux dans cette guerre civile larvée. Entretien avec un spécialiste engagé du pays, Maurice Lemoine, auteur de «Venezuela, Chronique d’une déstabilisation».

    Le Venezuela, nouvelle gaffe de la diplomatie française après la Syrie? Comment expliquer la position française en première ligne dans la dénonciation du gouvernement vénézuélien? Rappelons les faits. En 2017, le Président Macron qualifiait le pays de «dictature». Lorsque Juan Guaido s'est autoproclamé Président de la République par intérim le 23 janvier 2019, une dizaine d'États européens —dont la France- emboîtent le pas aux États-Unis et le reconnaissent comme dirigeant légitime du pays. Sauf qu'une majeure partie du pays serait toujours acquise à la cause de Maduro. On en parle avec Maurice Lemoine, auteur du livre Venezuela, Chronique d'une déstabilisation, publié le 4 avril aux Éditions Le Temps des Cerises.

    - Retrouvez cet entretien en vidéo sur site -

    Bien qu'il soit reconnu par une quarantaine de pays, dont les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, le Président autoproclamé Juan Guaido n'a pas encore vu sa stratégie couronnée de succès: Nicolas Maduro tient toujours le pays. Pourtant ses partisans ont investi les locaux du consulat vénézuélien à New York le 19 mars dernier, tandis que le personnel diplomatique a été rapatrié à Caracas. Maurice Lemoine réagit ainsi à cette action:

    «C'est une claire violation de la Convention de Vienne qui régit les relations diplomatiques et on est dans une opération de piraterie internationale […] On est dans une stratégie consistant à essayer de nous faire croire que la communauté internationale, qui se réduirait aux États-Unis et à l'Union européenne, reconnaît Juan Guaido alors qu'en réalité, pour le moment et jusqu'à preuve du contraire, il y a un Président légitime au Venezuela, c'est Nicolas Maduro. Cela étant, cela fonctionne effectivement dans l'opinion publique à travers un certain nombre de médias qui sont quasiment acquis à la cause de l'opposition vénézuélienne.»

    Une vision baisée des médias occidentaux qu'il dénonce ainsi que les positions de la diplomatie française. Parlant du Venezuela, le Président Macron évoque une dictature, a reconnu Guaido et a adressé à Maduro un ultimatum. Seule l'Italie a bloqué l'adoption en février d'une position commune de l'Union européenne reconnaissant la légitimité de Juan Guaido. Le journaliste ne s'explique pas sur les raisons de telles orientations de la part du gouvernement français:

    «Il n'y a aucune rationalité là-dedans, le Président Macron, le gouvernement français, rencontre sans manifestement avoir de problèmes, le Président égyptien Al-Sissi, où il y a des milliers de prisonniers politiques.»

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  22. Mais alors pourquoi Nicolas Maduro, et par extension Hugo Chavez, dérange-t-il autant? Pour Maurice Lemoine, la droite européenne est évidemment en désaccord profond avec ses politiques socialistes alors que les sociaux-démocrates cultiveraient une hostilité ancienne à l'égard du chavisme. Il faut remonter en effet à 1.992 et à une tentative de putsch:

    «Il se trouve qu'Hugo Chavez, le 4 février 1992, lorsqu'il a tenté un coup d'État contre un Président qui s'appelait Carlos Andres Perez, ce Président était vice-président de l'internationale socialiste. De sorte que depuis le départ, Chavez s'est mis à dos toute la social-démocratie européenne […] Y compris une extrême-gauche qui considère que ce n'est pas une vraie révolution et qui donc est très critique. Ce qui fait qu'en réalité, il y a un large spectre de l'appareil politique qui déteste le Venezuela.»

    Le premier procès régulièrement intenté à Caracas est l'accusation de dictature, d'autoritarisme, de répression des manifestations de l'opposition. Maurice Lemoine dresse un parallèle intéressant entre la crise des Gilets jaunes en France —accusés d'être des «factieux» et des «émeutiers», contre lesquels l'armée est utilisée- et les manifestations qui ont lieu au Venezuela:

    «On a la crise des Gilets jaunes où on voit le gouvernement dénoncer en permanence l'extrême violence. Je rappelle que les Gilets jaunes ne tirent pas à balles réelles sur la police française, alors qu'au Venezuela, quand vous avez des manifestations, celles qui ont eu lieu en 2014 et 2017, des manifestations insurrectionnelles, on a eu à chaque fois en 2014, neuf policiers tués par balle et en 2017 sept policiers tués par balle et des dizaines d'autres blessés par balle. Mais c'est présenté chez nous comme de la répression du gouvernement. Donc évidemment pour le Français commun, après des années de ce traitement-là, par définition, de bonne fois, les gens pensent que le Venezuela est une dictature.»

    Le pays souffre d'une grave crise économique et politique et le constat de Maurice Lemoine sur le pays est double: il souffre d'une grave crise économique et politique. D'une part, Lemoine pointe du doigt les graves choix économiques des gouvernements successifs de Chavez puis de Maduro, qui n'ont pas permis de diversifier la production nationale. D'autre part, il souligne la radicalisation de l'opposition, avec le soutien de la Colombie et les États-Unis. L'auteur rappelle notamment la saisie de Citgo, la filiale américaine de la compagnie pétrolière nationale PDVSA, principale source de devises pour le pays. C'est ainsi qu'il emploie le terme de déstabilisation:

    «C'est une déstabilisation de l'extérieur et de l'intérieur, c'est-à-dire deux forces qui se joignent, l'opposition vénézuélienne radicale; tous les opposants vénézuéliens ne sont pas des fous furieux, mais il y a une opposition radicale qui a pris le dessus, et puis évidemment qui est aidée par les États-Unis.

    Sur le plan purement politique, l'opposition vénézuélienne a perdu la partie à l'intérieur du pays, toutes ses initiatives se sont finalement retournées contre elle, elle est très divisée, il y a une guerre des chefs, et donc la bataille contre le Président Nicolas Maduro se livre maintenant depuis les États-Unis, depuis Bruxelles et l'Union européenne. C'est là que la déstabilisation est mise en œuvre. L'exemple le plus frappant, c'est évidemment les sanctions des États-Unis. On a vu récemment un grand show de tentative de rentrée de l'aide humanitaire qui venait des États-Unis. Or il se trouve que les États-Unis sont en train d'imposer des sanctions au Venezuela.»

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  23. Dès 2015, c'est Barack Obama qui signe un décret faisant du Venezuela une menace extraordinaire pour la sécurité nationale américaine, une initiative qui ouvre la porte aux sanctions. Selon Maurice Lemoine, «l'opposition radicale» et ses soutiens ne cherchent pas à battre Maduro aux élections, ce qui est un comble. Le 20 mai 2018, rappelons que le Président sortant a obtenu 68% des voix, avec un faible taux de participation, car l'opposition avait appelé au boycott en vue de délégitimer le scrutin. Le journaliste estime qu'ils souhaitent faire tomber Maduro et ainsi le symbole Hugo Chavez:

    «Il faut que le socialisme du XXIe siècle, que le chavisme, soit défait dans des conditions extrêmement violentes pour servir d'exemple à l'ensemble de l'Amérique latine.»

    La première étape serait ainsi la mise en place de sanctions économiques et financières asphyxiant le pays. Deuxièmement, l'option de l'intervention militaire n'est pas écartée par la Maison-Blanche, ce qui pourrait s'avérer gravissime pour les équilibres régionaux:

    «L'option est sur la table, tous les responsables américains depuis Donald Trump, en passant par Mike Pence, le vice-Président, Mike Pompeo, le chef de la diplomatie, et John Bolton, le fou furieux qui est à la Sécurité nationale, ont tous dit que toutes les options étaient sur la table, laissant entendre que l'option militaire est sur la table.

    C'est compliqué parce que ce que j'appelle les supplétifs des États-Unis, 14 pays d'Amérique latine que l'on appelle le groupe de Lima, qui sont extrêmement hostiles à Caracas, ont eu d'un seul coup la prise de conscience que si jamais le Venezuela était envahi, il y aurait une guerre civile et c'est toute la région qui allait être touchée […] Si demain a lieu une invasion du Venezuela par les Marines, la Colombie immédiatement s'embrase.»

    Le risque de guerre civile est très probable, d'autant plus que l'opposition menée par Juan Guaido appelle régulièrement les forces armées du pays à se retourner contre Caracas, ce qui pour le moment a échoué. Et si les militaires rejoignaient ce camp-là, Maurice Lemoine évoque l'existence méconnue en France des milicias, une forme d'armée de réserve du chavisme:

    «Il y a au Venezuela ce qu'on appelle les milicias, […] Il y a 1,6 million de Vénézuéliens qui vont s'entraîner régulièrement, volontairement, pour défendre la patrie. C'est-à-dire que même dans l'hypothèse où l'armée lâcherait, où des militaires se rebelleraient contre Maduro, il y a 1,6 million de personnes qui sont prêtes à prendre les armes pour défendre le Venezuela.»

    Son ouvrage Venezuela, Chronique d'une déstabilisation est extrêmement bien documenté, mais l'auteur ne cache pas ses sympathies pour le gouvernement de Caracas:

    «J'avais un lien plus proche avec Chavez, car le 11 avril 2002 quand il y a eu le coup d'État contre Chavez, j'ai été en tant que journaliste à un endroit-clé, où j'ai fait des photos qui expliquaient la manipulation. J'ai été connu pour avoir fait ça, j'ai été le premier en Europe à révéler ce qui s'est passé, donc Chavez me connaissait, on avait des relations, on se serrait la main, etc. Ce n'est pas ça le problème, j'ai 45 années d'Amérique latine dans les baskets, donc quand on me parle de dictature au Venezuela, ça me fait rigoler.»

    https://fr.sputniknews.com/international/201903221040459832-destabilisation-venezuela-operation-de-piraterie-internationale/

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  24. La préfecture de Paris rend son verdict définitif pour les manifestations sur les Champs


    15:11 22.03.2019


    Après que les manifestations des Gilets jaunes ont été interdites dans plusieurs villes françaises, dont Nice et Marseille, la préfecture de police a pris la décision d'interdire de tels rassemblements ce samedi 23 mars sur les Champs-Élysées et leurs abords.

    La préfecture de police a déclaré vendredi que les mobilisations sur les Champs-Élysées et leurs abords, organisées dans le cadre de l'acte 19 des Gilets jaunes, seraient interdites samedi prochain.

    À l'approche de l'acte 19, ces actions ont été déjà interdites par arrêté préfectoral dans plusieurs villes, notamment à Nice, Marseille, Metz et Toulouse sur la place du Capitole entre 12h et 21h.

    Les 5.000 forces de l'ordre mobilisées samedi 16 mars, lors de l'acte 18 des Gilets jaunes, n'ont pas pu empêcher les pillages et incendies volontaires sur les Champs-Élysées. Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé l'emploi des militaires de la force Sentinelle pour la prochaine mobilisation des Gilets jaunes. Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a expliqué, mercredi 20 mars, que cette mesure permettrait de protéger des bâtiments officiels et autres «points fixes».

    Au-delà de Sentinelle, des brigades anticasseurs dédiées seront déployées sur le terrain, des drones et des «produits avec des marquages indélébiles» permettant de «tracer» les casseurs vont aussi être mobilisés.

    https://fr.sputniknews.com/france/201903221040454648-paris-champs-manifestations-gilets-jaunes-decision/

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