par Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 00:05
Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,
«Il n’y a absolument aucune preuve pour soutenir l’affirmation selon laquelle [l’Amérique est] le plus grand pays du monde. Nous sommes 7ème en alphabétisation, 27ème en mathématiques, 22ème en sciences, 49ème en espérance de vie, 178ème en mortalité infantile, 3ème en revenu du ménage médian, au 4ème rang dans la population active et au 4ème au niveau des exportations. Nous sommes en tête du monde dans trois catégories seulement: le nombre de citoyens incarcérés par habitant, le nombre d'adultes qui croient que les anges sont réels et les dépenses de défense, où nous dépensons plus que les 26 pays combinés suivants, dont 25 alliés…
«[L’Amérique] était certes [le plus grand pays du monde]… Nous avons défendu ce qui était juste. Nous nous sommes battus pour une raison morale. Nous avons adopté des lois, abrogé des lois pour des raisons morales. Nous avons mené des guerres contre la pauvreté et non contre les pauvres. Nous nous sommes sacrifiés, nous nous sommes souciés de nos voisins, nous avons mis notre argent là où nous étions et nous ne nous sommes jamais battus la poitrine. Nous avons construit de très grandes choses, fait des progrès technologiques impies, exploré l’univers, guéri des maladies et cultivé les plus grands artistes et la plus grande économie du monde. Nous avons atteint les étoiles, agi comme des hommes. Nous aspirons à l’intelligence, nous ne l’avons pas minimisée. Cela ne nous a pas fait sentir inférieurs. Nous ne nous sommes pas identifiés par ceux pour qui nous avons voté lors de la dernière élection et nous n’avons pas fait peur aussi facilement. Nous pouvions être toutes ces choses et faire toutes ces choses parce que nous étions informés… par de grands hommes, des hommes qui étaient vénérés. La première étape de la résolution d’un problème consiste à reconnaître qu’il en existe un. L'Amérique n'est plus le plus grand pays du monde. »- Aaron Sorkin, La salle de presse (Épisode 1)
La vie en Amérique est devenue une existence démoralisante, suceuse d'âme, trempée par la misère.
Nous avons réussi à survivre à la répression, aux répressions, aux fermetures, aux abattages, aux fusillades, aux confrontations, aux renversements, aux renversements, aux pannes, aux verrouillages, aux retraits, aux ralentissements, aux effondrements et aux ratés sans fin.
Nous avons été retenus, déshabillés, truqués, photographiés, fouillés, fracturés, piratés, suivis, fissurés, interceptés, accédés, espionnés, zappés, cartographiés, fouillés, frappés au pistolet, torturés, harcelés, trompé, menti, étiqueté, calomnié, feuilleté, mis à l'écart, endetté avec une dette qui ne nous revient pas, vendu un projet de loi sur la sécurité nationale, mis au point par ceux qui nous représentent, jeté de côté et emmené chez le nettoyeur.
Nous avons eu nos libertés inversées, notre structure démocratique renversée et notre château de cartes en ruine.
Nous avons fait brûler nos enfants par des grenades éclair, nous avons abattu nos chiens et nos personnes âgées ont été hospitalisées après des rencontres «accidentelles» avec des équipes SWAT en maraude. On nous a dit qu'en tant que citoyens, nous n'avions aucun droit à moins de cent kilomètres de notre frontière. Nous les avons maintenant classés dans les bases de données du gouvernement, nos données biométriques recoupées avec des banques de données criminelles et nos tendances cataloguées pour les futures ouvertures de marketing.
Nous avons vu la police se transformer de Casques bleus communautaires en gardes ponctuels pour l’État militarisé. De Boston à Ferguson et à tous les endroits entre les deux, la police a poussé, poussé, fouillé, interrogé, scanné, fusillé et intimidé les personnes mêmes - nous les contribuables - dont ils ont été les droits de protéger les droits. Réunis en réseau par le biais de centres de fusion, la police a discrètement espionné nos activités et surveillé nos communications à l'aide d'appareils de haute technologie fournis par le département de la Sécurité intérieure.
Nous avons été jugés suspects d'avoir participé à des activités douteuses, comme parler trop longtemps au téléphone et s'étirer avant de faire du jogging, extrémistes et terroristes pour avoir critiqué le gouvernement et l'avoir laissé entendre comme tyrannique ou oppressant, et soumis à des coloscopies forcées et à l'anal. sondes pour avoir prétendument roulé à travers un panneau d'arrêt.
Nous avons été arrêtés pour toutes sortes de «crimes» qui n’étaient jamais considérés comme des actes criminels, encore moins inhabituels ou illicites: laisser nos enfants marcher seuls dans la cour de récréation, donner de la monnaie à un homme sans abri, nourrir ceux qui ont faim, et vivre hors de la grille.
Nous avons été sodomisés, victimisés, menacés, démoralisés, traumatisés, stigmatisés, vandalisés, diabolisés, polarisés et terrorisés, souvent sans avoir rien fait qui justifie un tel traitement. Blâmez-le sur un état d’esprit du gouvernement qui nous rend coupables avant même que nous ayons été accusés, et encore moins condamnés, de tout acte répréhensible. De cette manière, des individus respectueux de la loi ont fait irruption chez eux par des équipes SWAT qui se sont trompées d'adresse. Un comptable s'est retrouvé au centre d'une impasse policière peu judicieuse après que des dispositifs de surveillance aient confondu sa plaque d'immatriculation avec celle d'un criminel de la drogue.
Nous avons été amenés à croire que nos votes comptent, que nous vivons dans une démocratie, que les élections font la différence, qu’il importe de voter aux républicains ou aux démocrates, et que nos élus veillent sur nos intérêts. À vrai dire, nous vivons dans une oligarchie, les politiciens ne représentent que les motivations de profit du pays, dont les dirigeants savent trop bien qu’il n’ya pas de différence perceptible entre la politique rouge et la politique bleue, car il n’ya qu’une couleur qui compte en politique - vert.
Nous sommes passés de la vie privée dans nos sanctuaires intérieurs à n’avoir nulle part où se cacher, avec des pilules intelligentes qui surveillent l’état de notre corps, des maisons qui nous espionnent (avec des compteurs intelligents qui surveillent notre utilisation de l’électricité, des thermostats et des interrupteurs de lumière contrôlées à distance) et des voitures qui écoutent nos conversations et suivent nos déplacements. Même nos villes sont devenues des camps de concentration électroniques mur à mur, la police pouvant désormais enregistrer des vidéos haute définition de tout ce qui se passe dans les limites de la ville.
Nos écoles ont été verrouillées, nos étudiants menottés, enchaînés et arrêtés pour avoir eu des comportements enfantins tels que combats de nourriture, données biométriques de nos enfants, leurs identifiants d'école, leurs mouvements suivis et leurs données achetées, vendues et échangées à des fins lucratives traités par le gouvernement, ils sont traités comme des criminels et apprennent à marcher de concert avec l’État policier.
Nous avons été rendus combattants ennemis dans notre pays, privés des droits élémentaires d'une procédure régulière, détenus contre notre volonté sans avoir accès à un avocat ou accusés d'un crime, et laissés à la prison pour homme jusqu'à ce que le gouvernement veuille allons-y ou permettons-nous de nous défendre.
Nous avons utilisé les armes militaires que nous avons financées avec nos impôts durement gagnés, des drones non pilotés, basés sur des armes, surveillant nos mouvements sur les routes et les autoroutes du pays, des véhicules blindés, des fusils d'assaut, des canons à canon et des lance-grenades dans les villes avec peu ou pas de crime contre un arsenal d'armes et d'équipements de qualité militaire fournis gratuitement aux écoles et aux universités.
Nous avons été réduits au silence, censurés et obligés de nous conformer, enfermés dans des zones de liberté d'expression, bâillonnés par les lois sur les crimes motivés par la haine, étouffés par le politiquement correct, muselés par des lois abusives contre le harcèlement et poivrés pour avoir participé à des manifestations pacifiques.
La police nous a tiré dessus pour nous avoir demandé un permis de conduire lors d’un contrôle routier, un bébé pendant un trafic de drogue, le port d’une épée de jouet dans une rue publique et le port d’écouteurs qui entravent notre capacité d’entendre.
Nous avons dépensé 30 000 dollars en impôts Starbucks pour les employés du département de la Sécurité intérieure, 630 000 dollars en publicité pour augmenter les «goûts» de Facebook pour le département d'État et près de 25 milliards de dollars pour financer des projets aussi stupides qu'inutiles. tels que les classes de rire pour les étudiants et les programmes qui enseignent aux singes de jouer à des jeux vidéo et de jouer.
Nous avons été traités comme des cobayes, ciblés par le gouvernement et les médias sociaux pour mener des expériences psychologiques sur la manipulation des masses. Nous avons été blessés au pistolet pour avoir répondu à la police, pris pour photos de ses abus et menacés de prison pour avoir invoqué nos droits. Nous avons même été arrêtés par des policiers en civil postés dans les toilettes publiques qui interprètent les mouvements des hommes après avoir uriné comme un acte d'impudeur.
Nous avons vu nos biens saisis et volés par des organismes chargés de l'application de la loi qui cherchaient à tirer profit de programmes de confiscation d'actifs, nos prisons privatisées et utilisées comme source de main-d'œuvre bon marché pour des mégacorporations, nos jardins détruits par la police cherchant des plantes de marijuana suspectes, et nos habitudes d’achat se sont transformées en comportement suspect de la part d’un gouvernement enclin à considérer ses citoyens comme des terroristes.
Nous avons utilisé nos villes pour des exercices d’entraînement militaire, des hélicoptères Black Hawk bourdonnant le ciel, des exercices d’Urban Shield envahissant nos rues et des exercices de tireurs actifs qui ravageaient des passants sans méfiance dans nos écoles, nos centres commerciaux et d’autres lieux de prédilection.
On nous a dit que la sécurité nationale était plus importante que les libertés civiles, que le nez des chiens policiers était un motif suffisant pour effectuer des perquisitions sans mandat, que le meilleur moyen de ne pas se faire violer par la police était de «respecter la loi». Un officier de police a déclaré au tribunal que sa préférence serait accordée aux séquences vidéo montrant qu'une posture droite et l'acné suffisaient pour qu'un flic vous soupçonne d'actes répréhensibles, que la police puisse arrêter et fouiller un conducteur sur la seule base d'un renseignement anonyme, et que Les policiers ont parfaitement le droit de tirer en premier et de poser des questions plus tard s’ils se sentent menacés.
Êtes-vous déjà déprimé ? Tu devrais être.
Plus que déprimé, cependant, vous devriez être scandalisé par ce qui a été fait à notre pays.
Je suis scandalisé par ce qui a été fait pour nos libertés.
Nous ne sommes pas moins prisonniers que ceux qui sont incarcérés derrière des murs de prison.
Comme Aldous Huxley l'a reconnu dans sa préface à Un nouveau monde courageux revisité:
«Il est parfaitement possible pour un homme de sortir de prison sans être libre - de ne pas subir de contrainte physique et d’être un prisonnier psychologique contraint de penser, de se sentir et d’agir en tant que représentant de l’État national ou de certaines personnes privées. l'intérêt au sein de la nation veut qu'il pense, ressent et agisse ...
Pour lui, les murs de sa prison sont invisibles et il se croit libre.
La prison que nous habitons n’est peut-être pas aussi sombre que les goulags destructeurs d’âme décrits par Aleksandr Soljenitsyne dans son chef-d’œuvre Le Archipel du Goulag, mais c’est une question d’esthétique.
Il est temps de cesser d’attendre patiemment que le changement se produise, d’attendre que quelqu'un vous sauve et d’organiser une évasion.
Devenez furieux, indignez-vous, sortez de chez vous et sortez de votre maison, descendez dans la rue, plongez dans le visage des gens, adressez-vous à votre conseil municipal, allez voir votre conseil scolaire local, écrivez vos pensées sur papier, mettez vos objections sur des pancartes de protestation, demandez à vos voisins, amis et famille de faire entendre leur voix, demandez à vos représentants d’être attentifs à vos griefs, faites connaître vos droits à vos enfants, demandez à votre police locale de marcher de pair avec le Constitution, faites en sorte que vos médias agissent comme des chiens de garde pour les gens et non comme des chiens de poche pour les entreprises, rassemblez-vous et mettez de l'ordre dans vos affaires.
À l’apparence contraire, ce pays n’appartient pas exclusivement aux sociétés, aux groupes d’intérêts, aux oligarques ou aux profiteurs de guerre, ni à aucun groupe démographique religieux, racial ou économique particulier.
Ce pays nous appartient à tous: chacun d'entre nous - «nous, le peuple» - mais surtout, ce pays appartient à ceux d'entre nous qui aiment la liberté suffisamment pour la défendre et la défendre.
Comme je le souligne dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, nous approchons rapidement du point où nous n’aurons plus rien à perdre.
N’attendez pas que les choses se gâtent pour trouver votre voix et votre conscience.
Le personnage de Soljenitsyne reflète bien l’archipel du Goulag:
«Comment nous avons brûlé dans les camps plus tard, en pensant: que se serait-il passé si… lors d'arrestations massives, comme à Leningrad, par exemple, lorsqu'elles ont arrêté un quart de la ville entière, les gens ne s'étaient pas simplement assis dans leurs repaires , pâlissant de terreur à chaque coup de la porte du rez-de-chaussée et à chaque marche de l'escalier, mais avait compris qu'ils n'avaient plus rien à perdre et avait hardiment mis en place dans le hall du rez-de-chaussée une embuscade d'une demi-douzaine de personnes avec haches, marteaux, pokers , ou quoi que ce soit d'autre qui était à portée de main? ... La machine maudite se serait arrêtée! Si ... si ... Nous n'aimions pas assez la liberté. Et plus encore - nous n’avions aucune conscience de la situation réelle… Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui s’est passé par la suite. ”
Prenez position maintenant, en utilisant tous les moyens non violents à votre disposition, pendant que vous le pouvez encore.
N’attendez pas de réfléchir aux occasions manquées de repousser la tyrannie.
N’attendez pas que vous soyez le dernier à rester debout.
Le temps presse.
"Intervention humanitaire" et le nouvel ordre mondial, première partie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/02/2019 - 22:05
Écrit par Vladislav Sotirovic via Oriental Review,
Le terme «intervention humanitaire» désigne le néologisme politique américain (nouveau mot) destiné à couvrir moralement un nouveau format de l'impérialisme mondial de Washington à l'époque du «Nouvel ordre mondial» de l'après-guerre froide, dans lequel les États-Unis se sentent très à l'aise rôle d'un policier mondial. Théoriquement, selon la conception occidentale de «l'intervention humanitaire», un ou plusieurs États (les États-Unis et l'OTAN) ont l'obligation morale (ou quasi) morale et / ou le droit d'intervenir dans les affaires intérieures d'un autre État, si cet État à l’autoévaluation de Washington) ne respecte pas les principes du droit humanitaire généralement acceptés, mais en particulier si la tâche d’une telle intervention militaire est de sauver la vie d’un groupe particulier de personnes (minorité) contre lequel les autorités de l’État doivent intervenir , menace ou est incapable de protéger. Ici, le fait qu’un tel groupe soit d’origine nationale ou étrangère n’a pas d’importance.
Néanmoins, les tensions entre les droits de l’État et les droits de l’homme sont devenues très aiguës depuis 1990 en raison de la multiplication des interventions dites «humanitaires». Les grandes puissances ont assumé le droit d'intervenir militairement dans les affaires intérieures d'autres États (souverains) afin de protéger leurs citoyens des abus et éventuellement de la mort, souvent aux mains de leur propre gouvernement. Cependant, d'un autre côté, la question se pose de savoir pourquoi «l'intervention humanitaire» a-t-elle été critiquée?
Le terme «intervention humanitaire» est composé de deux mots / termes: «humanitaire» et «intervention». Le premier mot signifie être concerné par les intérêts de l’humanité, en particulier par le désir de promouvoir le bien-être humain ou de réduire les souffrances humaines. Le deuxième mot signifie une action forcée prise par un État (souverain) contre un autre État (souverain) mais sans le consentement de ce dernier. Dans une combinaison de ces deux mots, "intervention humanitaire" est, par définition érudite, "une intervention militaire qui est menée dans la poursuite d'objectifs humanitaires plutôt que stratégiques". Cependant, le terme est devenu très contesté et profondément controversé, du moins à l’idée même que l’intervention militaire ne peut revêtir aucune forme humanitaire, c’est-à-dire qu’elle est légitime et défendable, tout comme elle est qualifiée d ’« humanitaire ».
- voir photo sur site -
Les soldats de la paix de l'ONU conduisent leur char alors qu'ils patrouillaient le 7 août 2013 dans le village désert de Kibati, près de Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo. Une force de l'ONU composée de 17 000 hommes, connue sous le nom de MONUSCO, et les troupes congolaises ont eu du mal à endiguer un conflit impliquant des dizaines de groupes armés et compliqué par des rivalités nationales et ethniques.
Il est vrai que le concept d ’« intervention humanitaire »tire son origine du principe d’intervention connu dans l’histoire de la pensée politique, même de la période classique où le droit public international pouvait être (mal) utilisé par un État de s'immiscer unilatéralement dans les affaires intérieures d'un autre État sous prétexte de préserver ou de modifier la situation politique dans l'État attaqué. Cependant, dans de nombreux cas, des interventions militaires (illégales) ont été (historiquement) utilisées et elles le sont toujours dans le seul but de justifier une agression sans fondement sous le prétexte formel de protéger le principe moral de l'humanité - la protection des êtres humains ( aujourd'hui minoritaires et autres droits de l'homme dans un État particulier. Et tout ça avec les bras. Il est bien évident que, dans de nombreux cas, de telles interventions ne sont que la légitimation d'objectifs politiques sans véritable moralité.
RépondreSupprimerC’est un fait historique que le concept de «droit à une intervention humanitaire» et un principe de «droit à protéger» (le R2P) fondé sur ce concept aient été maltraités à de nombreuses reprises dans le monde entier. Traditionnellement, selon le droit international, il était assez facile de justifier la R2P car la guerre n'était pas interdite en tant qu '«instrument diplomatique par un autre moyen» pour résoudre certains différends et problèmes entre les États ou d'autres acteurs politiques. Cependant, après la Seconde Guerre mondiale, lorsque le droit international contemporain est fondé sur la Charte des Nations Unies, la R2P en tant qu’intervention militaire unilatérale sans la stricte autorisation du Conseil de sécurité est un acte d’agression et ne peut donc être ni autorisée ni justifiée, en tant que réel. les principes d'humanité et de protection des droits de l'homme ne font qu'abuser de cette manière.
Il ne faut pas oublier ici que même une simple menace d'utilisation de la force constitue en soi une violation du système de droit international contemporain, car l'article 2 (4) de la Charte des Nations Unies interdit à des États d'utiliser la menace de la force, mais le sens de l'interdiction n'est pas clair mais, en réalité, les menaces de force sont assez courantes en politique internationale. L’un de ces cas récents de menaces ouvertes visant à obtenir des concessions politiques concerne des "négociations" à Rambouillet (France) au début de 1999 entre les représentants politiques d’Albanais du Kosovo et le gouvernement de la République fédérale de Yougoslavie (Serbie). et Monténégro) lorsque Belgrade a été directement soumise à un chantage par l'intervention militaire de l'OTAN afin de s'accorder sur ce que l'administration américaine a mis sur la table. Dans ce cas particulier, Washington n'a même pas caché sa politique de banditisme diplomatique puisque les États-Unis, se référant au consensus entre alliés, avaient déclaré publiquement que la stratégie de résolution de la crise au Kosovo reposait sur une combinaison de la diplomatie et d'une menace de force crédible. Une telle politique de diplomatie de banditisme était couverte par un parti pris majoritairement utilisé à la fois par les États-Unis et l'OTAN afin de justifier leurs politiques dans la région.
De l'histoire d'abuser de la R2P
Historiquement, la R2P ou «intervention humanitaire» constituait l’un des fondements de la politique coloniale des grandes puissances dans les relations internationales. Les colonialistes occidentaux l’appliquèrent essentiellement pour dissimuler l’intention réelle des aspirations coloniales qui était une exploitation économique directe et nue.
Dans les paragraphes ci-dessous, seuls deux cas remarquables de l'histoire moderne antérieure à la Seconde Guerre mondiale concernant l'utilisation (abusive) de la R2P et son utilisation abusive seront présentés:
RépondreSupprimerDans l'histoire moderne, les «démocraties libérales» occidentales ont utilisé une idée d '«intervention humanitaire» pendant la guerre civile russe de 1917 - 1921. Après la révolution d'Octobre 1917, les puissances occidentales ont organisé une intervention militaire contre le gouvernement bolchevique. (commandé par l'Allemagne) en vertu de la justification cruciale qu'un nouveau régime ne reconnaissait pas les droits fondamentaux conformément aux normes internationales et qui créait la portée des principes généraux des nations "civilisées". Cependant, à cette époque, il n'existait aucun instrument régional ou interne traitant de la question des droits de l'homme. En principe, ces questions étaient considérées comme relevant strictement des affaires intérieures d'un État, conformément aux principes de base de la souveraineté convenus à Westfalia en 1648. Même si cette déclaration de l'Ouest était essentiellement vraie, elle ne servait que d'excuse politique dans le jeu politique du conflit. Ouest pour l'acquisition d'intérêts stratégiques en Eurasie après la Première Guerre mondiale.
L’Allemagne hitlérienne a justifié ses agressions contre d’autres États par la nécessité de protéger les minorités allemandes «menacées» (la Volksdeutsche). Moralement, cette raison était de nature purement «humanitaire». Par exemple, Adolf Hitler lui-même l'a clairement souligné dans sa lettre du 23 septembre 1938 au Premier ministre britannique, Neville Chamberlain, dans laquelle il affirmait que la minorité allemande de la Tchécoslovaquie avait été "torturée" et que, par conséquent, quelque 120 000 ils ont été forcés d'émigrer (nettoyage ethnique). Pour Hitler, c'était maintenant le problème international de la sécurité de plus de 3 millions d'Allemands de souche vivant dans la Tchécoslovaquie voisine et qui étaient en danger de mort. Par conséquent, prenant en compte le droit de la nation à l'autodétermination qui doit être autorisé et respecté, Hitler réussit à créer des bases formelles pour l'intervention militaire de l'Allemagne, le démembrement et l'occupation de la Tchécoslovaquie en tant qu'État souverain, mais en violant clairement la question des droits de l'homme. et la R2P.
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Armée américaine à Vladivostok (Russie) en 1918
Ces deux exemples bien connus ne servent cependant qu'à montrer que, conformément au droit international et à l'ordre juridique, l'intervention de la R2P était à l'époque moralement admissible et qu'elle n'était pas interdite dans la pratique par les grandes puissances. Néanmoins, dans la majorité des cas, les interventions R2P n’ont été utilisées que pour dissimuler les véritables raisons de ces interventions sous le nom d ’« action humanitaire »et, par conséquent, au 19ème siècle, certains théoriciens ont proposé que le principe de non-intervention dans les affaires intérieures d’autres États souverains devraient être acceptées en tant que partie intégrante du droit international. Enfin, ces suggestions ont été conclues de manière normative par l’adoption de la Charte des Nations Unies par l’interdiction de la guerre (agression) en tant que moyen violent de résolution des différends et, par la suite, depuis 1945, cette interdiction est devenue partie intégrante du droit international.
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Droit à l'autodétermination et à la doctrine de Monroe de 1823
Ce droit a été utilisé ou respecté sous certaines conditions par les grandes puissances depuis la proclamation des États-Unis en tant qu'État indépendant en 1776, lorsque le processus de décolonisation a commencé dans une perspective globale. Ce processus a atteint son apogée après la Seconde Guerre mondiale et la décolonisation est presque terminée. Il est tout à fait vrai que la Révolution française a proclamé le droit du peuple à l'autodétermination, mais parallèlement, conformément à la Constitution française de 1793, la France ne s'immiscerait pas dans les affaires intérieures d'autres États et ne tolérerait aucune ingérence de la part d'autres États. affaires intérieures (article 119). Ainsi, le principe de base des relations internationales est confirmé: le principe de la souveraineté.
RépondreSupprimerDans la perspective actuelle, le créateur essentiel d'une anomalie du principe (mal) du droit des peuples (groupes ethnonational) à l'autodétermination est les États-Unis - un pays qui a fondé sa propre indépendance politique sur tel droit et le pays qui jusqu’à la guerre froide a préconisé le même droit pour les autres. Par exemple, le président des États-Unis, James Monroe, a prononcé devant le Congrès des États-Unis, le 2 janvier 1823, quatre principes de base de sa propre doctrine, Monroe, sous le slogan: "America to Americans !"
L'interdiction de la poursuite de la colonisation de l'Amérique par les pays européens.
L'interdiction d'ingérence des États européens dans les affaires intérieures des États américains.
Les États-Unis n'interviendront pas dans les affaires intérieures des États européens, y compris dans les affaires de leurs colonies partout dans le monde.
Toute intervention des États européens destinés à soumettre des États proclamés indépendants sera considérée comme hostile aux États-Unis.
Cependant, indépendamment de l'évolution historique des droits de souveraineté de tout État indépendant reconnu dans le monde, le pouvoir le plus puissant de l'après-guerre froide (les États-Unis) est évidemment guidé après 1989 dans les affaires étrangères principalement par ses intérêts nationaux et ses objectifs géopolitiques, qui violent les principes de la doctrine de 1823 de Monroe. Le système très développé de protection des droits de l'homme après 1945 prévu par le droit international s'est malheureusement révélé, après la guerre froide, un terrain très fertile pour les administrations de Washington et l'OTAN gouvernée par les États-Unis qui se présentent comme les défenseurs supérieurs de la protection de ces droits. les droits, y compris le droit des peuples à l'autodétermination. Toutefois, juridiquement, le seul protecteur légitime de ces droits n’est que l’ONU - la seule institution légale et légitime à autoriser «l’intervention humanitaire» après la suggestion du Comité des Nations Unies pour les droits de l’homme et les discussions au sein du Conseil de sécurité des Nations Unies. En ce qui concerne le niveau régional, par exemple en Europe, ces organisations autorisées sont la Cour européenne pour la protection des droits de l'homme et l'OSCE, qui doivent travailler sur la base de la Convention européenne pour la protection des droits de l'homme
Turquie et ex-Yougoslavie
RépondreSupprimerIl y a eu et il y a des cas bien connus de grandes crises humanitaires et même de catastrophes dans l'histoire récente, comme par exemple en Colombie, en Turquie, au Myanmar, etc., où les gouvernements locaux liquidaient des milliers de leurs propres citoyens chaque année, lorsque les mêmes grandes puissances y compris d’abord, les États-Unis ont joué le rôle principal et n’ont manifesté aucune inquiétude. La même chose s’est produite lors de l’exode de plusieurs centaines de milliers de personnes, par exemple l’expulsion de quelque 250 000 Serbes de Croatie ou de 330 000 Serbes, Monténégrins et d’autres nationalités non albanaises du Kosovo sous administration de l’OTAN après 1998? 1999 Guerre. A l'inverse, ces grandes puissances ont renforcé les administrations qui ont provoqué ces crises humanitaires et ont donc directement participé aux politiques de violation des droits de l'homme. Au cours de la guerre civile yougoslave dans les années 1990, alors que seuls les Serbes étaient accusés par les gouvernements occidentaux et les médias de masse pour tous les crimes sur le terrain, le cas de la Turquie (État membre de l'OTAN depuis 1952) et la répression de son gouvernement contre le Les Kurdes, par exemple, sont restés silencieux en Occident uniquement pour des raisons liées aux intérêts géopolitiques de la région des États-Unis et de son organisation fantoche, l'OTAN. Cependant, différemment, la Turquie a été critiquée à plusieurs reprises par le Conseil de l'Europe à Strasbourg pour sa politique de terreur et de violation des droits de l'homme des Kurdes locaux.
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Restes du quartier général de l'armée yougoslave bombardé par l'OTAN lors de la campagne aérienne de 1999
À la différence du cas turc, toutefois, lorsque la crise dans la province du Kosovo-Metochia, dans le sud de la Serbie, s'est aggravée en raison de la politique de terreur menée par l'Armée de libération du Kosovo albanaise (KLA), dont les membres ont enlevé et tué des civils serbes et ont attaqué des forces de sécurité régulières. forces, l’OTAN a décidé, sans aucune justification dans la Charte des Nations Unies et sans aucune autorisation du CSNU, de bombarder un État souverain et indépendant sous son nom officiel afin de prévenir une catastrophe humanitaire dans la région (des Albanais de souche). Il est vrai que la police serbe a eu recours à une force excessive pour combattre le mouvement séparatiste albanais représenté par une ALK terroriste. Néanmoins, l'OTAN n'avait légalement aucun droit de bombarder le pays sans une décision appropriée du CSNU. Fondamentalement, une agression contre un État souverain était de jure présentée comme une «intervention humanitaire». La crise, qui existait à l’origine dans le domaine de la guerre contre le terrorisme, s’est finalement aggravée de façon dramatique jusqu’à l’ampleur de la véritable catastrophe humanitaire. C’est une véritable raison pour laquelle une catastrophe humanitaire pour tous les citoyens de Serbie-et-Monténégro, mais surtout pour le Kosovo-Metochia, est devenue une réalité. Au cours de la guerre, principalement en raison des bombardements barbares de l’OTAN et de la vengeance des forces de sécurité serbes, un grand nombre de personnes de toutes nationalités se sont retrouvées réfugiées dans les pays voisins ou déplacées. Par la suite, l’intervention humanitaire de l’OTAN a eu des effets tout à fait opposés. Après la guerre, les Albanais sous l'égide de l'OTAN ont commis de terribles actes de nettoyage ethnique de la région, mais sans aucune "intervention humanitaire" de la part de la communauté internationale pour les arrêter ou les punir.
À suivre...
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-13/humanitarian-intervention-and-new-world-order-part-1
L'anatomie d'une panique morale
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/02/2019 - 19:25
Écrit par Stephen Davies via l'Institut américain de recherche économique,
Parmi les libéraux de tous genres, classiques et révisionnistes, c'est la discipline de l'économie qui occupe une place de choix aujourd'hui. Les connaissances de cette discipline sont au cœur des commentaires et des analyses.
Cependant, il existe d'autres branches de l'arbre de l'érudition qui peuvent également apporter des éclaircissements et nous aider à comprendre les menaces qui pèsent sur la liberté individuelle et la manière de leur résister. La sociologie en fournit plusieurs. La notion de panique morale est l’une des plus puissantes et dont on a grand besoin à l’époque.
Peur généralisée
Le concept de panique morale a été explicitement formulé pour la première fois et baptisé ainsi dans un livre du sociologue britannique Stanley Cohen, publié en 1972 sous le titre Folk Devils and Moral Panics: la création des mods et des rockers. Le livre utilisait une panique particulière (sur les deux cultures de jeunesse supposées du titre) pour illustrer une thèse plus générale. C’est ainsi que les sociétés souffrent périodiquement d’épisodes de panique et d’anxiété d’un type particulier.
Dans ces épisodes, la crainte et l’anxiété générées par une menace perçue pour la société et l’ordre sont généralisées. La peur et l’anxiété sont excessives et déraisonnables (d’où la «panique»). En effet, soit la menace ou le problème est complètement imaginaire, soit son ampleur et sa gravité sont sérieusement exagérées, même en cas de phénomène réel. La menace est souvent associée à un groupe ou une identité déviant spécifique. Ce sont les "diables folkloriques" du titre de Cohen.
Encore une fois, le groupe peut être un groupe réel, réellement existant, diabolisé et caricaturé, ou encore complètement imaginaire, sans existence réelle. Confusément cependant, dans certains cas, un groupe ou une sous-culture initialement imaginaire devient réel, au fur et à mesure que les gens commencent à adopter le comportement et l'apparence du groupe inventé et imaginaire déviant. Le dernier élément crucial est que la menace ou le problème supposé et le groupe soi-disant responsable sont discutés et décrits en utilisant le langage de la moralité; le groupe est perçu comme pervers ou malveillant ou reflétant un échec moral (donc «moral»).
Il existe donc un phénomène social récurrent dans lequel de nombreuses personnes sont saisies par la peur que l'ordre social soit menacé par un comportement ou une pratique à la fois néfaste et immoral ou motivé par une volonté mauvaise. Cet état de panique existe même s’il n’ya pas de véritable fondement.
Comment cette panique survient-elle?
Les paniques morales ont presque toutes les mêmes caractéristiques et trajectoires. Ils commencent par un épisode ou un événement particulier, souvent réel mais parfois complètement imaginaire (l'événement supposé est soit inventé, soit implique une interprétation erronée de quelque chose de tout à fait différent). L'événement initial reçoit une très large couverture et est largement discuté.
À ce stade, l'étape cruciale prise crée une panique. Des personnes spécifiques (entrepreneurs moraux, comme on les appelle) affirment que l'événement rapporté n'est en réalité qu'un exemple de quelque chose de beaucoup plus répandu, et qu'il existe en réalité une «épidémie» ou une «plaie» de ce genre de choses (langage médical et métaphores sont souvent utilisés à ce stade), de sorte que sa fréquence augmente jusqu’à un niveau de crise. Cela commence à causer de l'anxiété et de l'inquiétude, puis une série de rapports, de rumeurs et d'accusations. Celles-ci sont à présent signalées et l'impression donne l'impression qu'il existe effectivement un problème ou une crise grave et non reconnu. À ce stade, la panique à part entière commence.
RépondreSupprimerCela conduit inévitablement à des demandes d’action, selon lesquelles «il faut faire quelque chose». Les institutions et les organismes puissants subissent maintenant une pression intense pour réagir, souvent sur la base de «Il faut faire quelque chose, c’est quelque chose et nous devons donc le faire. De plus, les membres de ces agences soutiennent souvent la panique ou s’y accordent pour des raisons d’intérêt personnel, notamment parce que cela entraîne une augmentation de leur pouvoir, de leur statut ou de leur budget.
Cela signifie que les paniques morales ont à la fois une source idéologique (les entrepreneurs moraux qui ont généralement des convictions sincères ou un agenda idéologique) et pragmatique (elles sont soutenues et renforcées par des personnes qui ont des intérêts pragmatiques ou leur). Un des aspects de beaucoup de paniques est l’affirmation selon laquelle le préjudice résulte d’une conspiration: elle est utilisée pour rejeter le rejet de la panique au motif que quiconque ne soutenant pas les appels à l’action est un agent réel ou involontaire de la conspiration.
Cela peut sembler être quelque chose d'intéressant uniquement les psychologues sociaux ou les sociologues qui s'intéressent aux manies et à la panique. Cependant, les paniques morales peuvent avoir des résultats dramatiques qui inquiètent quiconque s'intéresse à la règle de droit, à la liberté personnelle et au bon gouvernement. Cela est dû à l'impact qu'ils peuvent avoir sur les politiques publiques et en particulier sur le fonctionnement du système de justice pénale.
Les politiciens et les régulateurs réagissent souvent à la panique morale en présentant des lois et des réglementations qui sont au mieux inutiles et inutiles, au pire, gravement préjudiciables. Parfois, lorsque le sujet de la panique est réel mais exagéré, le problème est que le marteau-pilon est utilisé pour casser une noix, une réponse excessive et dominante. Lorsque la panique concerne quelque chose qui n'existe pas, vous pouvez avoir des lois qui restreignent sévèrement la liberté des personnes ou leur imposent des coûts importants sans aucune raison valable.
Cependant, les résultats vraiment négatifs se produisent souvent lorsque des problèmes de panique d'ordre moral affectent le système de justice pénale. Cette combinaison conduit souvent à des chasses aux sorcières entraînant de graves erreurs judiciaires. Si la panique fausse non seulement l’application de la loi (assez grave) mais aussi la législation, elle peut alors faire en sorte que de mauvaises pratiques s’enracinent dans la loi et portent atteinte à l’ensemble de la pratique et du principe de la primauté du droit.
Un exemple mineur de cela s'est produit au Royaume-Uni en 1991 avec le Dangerous Dogs Act. Il y avait une panique avec les caractéristiques habituelles des attaques de chiens par des enfants: le nombre de tels incidents était exagéré, la fréquence augmenterait alors que ce n'était pas le cas, et la propriété de «chiens dangereux» était associée à un travail supposé déviant. sous-culture de classe. Dans l'acte, la propriété de quatre races spécifiques a été interdite (mais sans que ces races soient clairement définies), plusieurs nouvelles infractions pénales ont été créées et une série de poursuites ont été engagées, le tout sans réduire le nombre d'attaques par des chiens.
RépondreSupprimerCependant, il existe de nombreux exemples beaucoup plus sérieux et à grande échelle. L'une d'elles était la panique suscitée par les «abus rituels sataniques» qui ont balayé le monde anglo-saxon dans les années 1980. Ici, l'idée était qu'il y avait une conspiration souterraine d'adorateurs du diable qui se livraient régulièrement à des abus sexuels et physiques sur des enfants dans le cadre de rites sataniques. Cela a commencé avec une accusation au préscolaire McMartin à Los Angeles faite par un parent dont il a été révélé par la suite qu'il était un schizophrène paranoïaque. Cela a conduit à un procès qui est toujours le plus long et le plus coûteux de toute l'histoire américaine et à des paniques et accusations similaires à travers les États-Unis et le monde anglophone.
Des dizaines de personnes ont vu leur vie ruinée par de fausses accusations, se sont vu retirer leurs enfants par la force et, dans plusieurs cas, ont été condamnées à de très longues peines de prison pour des actes qu'elles n'avaient pas accomplis, des preuves inexistantes et des infractions majeures au droit pénal. procédure. Dans cette affaire, les procureurs et les responsables de l'application de la loi ont acquis un statut et un pouvoir, tandis que les entrepreneurs moraux étaient une alliance impie des fondamentalistes religieux (convaincus d'un diable physique actif) et des féministes radicales (qui croyaient aux abus sexuels généralisés commis sur de jeunes enfants par Hommes).
Les chasses aux sorcières de l'époque du début de l'ère moderne, à une échelle beaucoup plus grande, ont conduit à la torture et à l'exécution de milliers de personnes - Salem n'en est qu'un exemple récent. La guerre contre la drogue avec tous ses coûts a été partiellement provoquée par une série de paniques dans les années 1880, 1930, 1940 et 1970. Le thème récurrent était qu'une minorité raciale poussait des drogues sur des filles blanches respectables pour les transformer en dégénérés qui souhaitaient avoir des relations sexuelles avec la minorité en question (chinois, mexicains ou afro-américains). Des paniques de ce type sont parfois déclenchées délibérément par des acteurs politiques pour des raisons hautement pragmatiques et cyniques.
Il y a beaucoup d'exemples de paniques morales aujourd'hui. Ceux-ci proviennent des deux côtés du spectre politique ou ni l'un ni l'autre. Le premier est l’idée qu’il existe des communautés en ligne qui poussent délibérément les jeunes à se suicider (le Défi de la Baleine Bleue). La panique est grande en Russie depuis 2016. Il existe des paniques récurrentes concernant l'alimentation et le régime alimentaire, et répétées concernant le comportement sexuel et les abus sexuels.
La pornographie et l'impact des jeux vidéo et divers types de matériel en ligne en sont d'autres exemples. Une autre idée est qu’il existe une énorme conspiration du campus contre la liberté d’expression. C'est un exemple de problème réel sérieusement exagéré.
Une des conséquences néfastes des paniques comme celle-ci est que les cas où il y a un problème réel ou même une crise sont ignorés au fur et à mesure que les gens deviennent cyniques et considèrent toutes les revendications de problèmes comme de simples alarmistes. Lorsque la panique morale concerne un problème réel exagéré, la conséquence à long terme peut être que le problème soit négligé ou ne soit pas traité efficacement.
RépondreSupprimerPar exemple, il existe des preuves solides d'un déclin soudain et spectaculaire de la santé mentale des adolescents et des jeunes adultes au cours des 10 à 12 dernières années; le danger est que cela sera rejeté comme une nouvelle panique. Le problème des attitudes vis-à-vis de la parole et de la discussion sur les campus est réel - en particulier sur les campus d’élite - mais exagérer par son ampleur et sa sévérité empêchera les gens de réfléchir à ce qui se passe réellement et de trouver des moyens efficaces de le gérer.
Alors, comment reconnaissez-vous une panique morale et comment pouvez-vous savoir s'il existe réellement un problème, voire une crise? Heureusement, les sociologues ont également reçu des conseils à ce sujet. Plusieurs éléments de reportage ou de discussion devraient vous amener à penser que vous faites face à une panique morale.
Ceux-ci incluent, mais ne se limitent pas à ce qui suit: signaler une rumeur, une anecdote, des ouï-dire et des accusations comme s’ils étaient des faits; faire des déclarations quantitatives sans chiffres précis à l'appui, ou avec des chiffres qui s'avèrent être faux ou trompeurs; les médias rapportent que ce que disent d'autres médias est toute l'histoire; un type particulier de rhétorique et d'utilisation de certains tropes (tels que des métaphores médicales ou des images et langage apocalyptiques); faire recycler le même incident ou la même histoire; affirmation de l'existence d'un complot sans que des personnes réelles soient nommées; langage moraliste destiné à un groupe minoritaire impopulaire ou identifiable. Inversement, si vous trouvez des arguments calmes et sérieux, ainsi que des chiffres pouvant être corroborés, vous devez les prendre au sérieux, même s’ils se révèlent erronés.
La notion de panique morale est une notion puissante qui explique en grande partie ce qui se passe dans les médias populaires, dans les débats publics et, trop souvent, dans les politiques actuelles. C’est un outil intellectuel précieux à utiliser pour vous protéger de l’anxiété injustifiée et dangereuse, ainsi que du fait que des imbéciles trompés ou sans scrupules s’en servent.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-13/anatomy-moral-panic
(...) Peur généralisée (...)
SupprimerPeur généralisée par qui ? Par les merdias qui mentent, escroquent et tuent.
La dépopulationnophilie
RépondreSupprimermercredi 25 novembre 2015
Nous en avons tous fait l'expérience de l'information la plus horrible qu'il soit été d'entendre: "Nous serions trop nombreux. La dépopulation est nécessaire !" ! Cette directive part du principe qu'à la constatation évidente qu'il y a aujourd'hui sur Terre 4 % de surdoués, cela représente bien 280 millions de personnes sur 7 milliards ! et donc que les 'chefs' n'ont pas les neurones pour lutter contre tout ce monde ! Donc, primo: Éliminer celles & ceux qui en savent trop (si c'est 'plus que les chefs', il ne restera donc QUE les chefs !). Empêcher tout scientifique d'être invité sur un plateau de télé, antenne de radio ou à écrire en colonnes de journaux. Interdire le référencement qui démontrerait que ce sont des personnes exemplaires auxquelles nous devrions nous fier.
Ainsi sont nées les observations conclusives et désinformationnelles comme quoi: il n'y aura bientôt plus à manger pour tout le monde !!! ou, 'accrochez-vous bien !): il n'y aura bientôt... plus d'eau !!! HAHAHAHAHAHA ! Crachez en l'air et vous aurez la réponse !
Donc, voyant que chacun avait de quoi répondre aux imbécillités gouvernementales, ils inventèrent à la fois des guerres en créant des monstres jumeaux à leur caractère qui s'appelleraient des 'terroristes', puis, comme les chefs d'Etats se doivent de protéger les troupeaux (comme ils les appellent), créer des taxes. Des taxes partout et sur tout ! Même des taxes sur les taxes ! (voir factures edf), bref, appauvrir toutes les personnes susceptibles d'être intelligente un jour en (par exemple) les obligeant dès leur premier âge à partager leur classe avec des élèves immigrés/retardés mentaux/violents et surtout: intouchables !
Secundo: Encourager les vols, viols et meurtres en n'appliquant qu'une peine modérées aux délinquants venus d'ailleurs voire en se contentant d'une remarque dite 'sévère' !
Tertio: Surveiller les sites internet visités et - s'il ne sont pas favorables au gouvernement - punir les 'abonnés' qui y reviendraient chaque jour, voire qui y laisseraient des commentaires ou même créeraient eux-mêmes leur site tendancieux, irrévérencieux ou passablement libéré pour se permettre d'aller jusqu'à dire la vérité !
Bref, la suppression de leur nationalité ne les empêchant pas de revenir là où ils sont nés en tant que 'touristes', il serait alors nécessaire de les pucer afin de les suivre à la trace et surtout: de les faire vacciner afin qu'ils - soit, crèvent tout-de-suite, soit dans 'pas longtemps' suite à des 'complications'.
Mais, retenez bien que cela n'est 'pas très méchant' car, vu le nombre et à laquelle ils se reproduisent... Donc, inventons quelque chose d'autre qui les touche TOUS !
C'est ainsi que la fameuse 'maladie d'Alzheimer' a vue le jour suite aux épandages par avions (via 'chemtrails') de nano-particules d'aluminium.
Aux Etats-Unis, la maladie touche maintenant les quarantenaires et, au royaume-uni un enfant sur trois qui nait aujourd'hui mourra de la maladie d'Alzheimer.
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/09/un-tiers-du-peuple-britannique-ne-en.html
(Seule 'l'élite' aura droit aux chélateurs ainsi qu'à un nourriture importée de pays très lointains garantie sans nano-particules d'aluminium vue que les chemtrails là-bas y sont interdits).
RépondreSupprimerMais, comme 'le manque d'habitants commence à se voir' (ravage dépopulationniste), faire rentrer de force (en les payant pour qu'ils viennent) d'une part: des gens d'ailleurs et, d'autre part: qu'ils soient issus de familles victimes de la guerre chez eux et ne cherchant qu'à se venger contre les assassins !
Quarto: Sortir le champagne et les petits fours, les cons d'édentés ne se sont aperçu de rien ! Hahahahaha !
PS: C'est aussi pourquoi ils cherchent à faire développer au plus vite des robots tueurs (qui éviteront de tuer leur directeur) et, de développer 'l'intelligence artificielle' où des 'Super-ordinateurs' calculeraient/réfléchiraient encore plus vite que les autres et seraient les 'gardes du corps des dictateurs.
https://huemaurice5.blogspot.com/2015/11/la-depopulationnophilie.html
Producteur de la BBC: le tournage à l'hôpital de Douma après l'attaque, une mise en scène
RépondreSupprimer07:14 14.02.2019
Sur son compte Twitter, un employé de la BBC a affirmé que les scènes tournées à l'hôpital juste après l'attaque chimique à Douma, qui doit encore être confirmée par les experts de l'OIAC, étaient montées de toute pièce pour renforcer l'effet.
Le producteur de la BBC chargé de la Syrie Riam Dalati a déclaré que les images tournées dans un hôpital après l'attaque chimique à Douma étaient une mise en scène.
«Après presque six mois d’enquêtes, je peux prouver sans aucun doute que la scène de l'hôpital de Douma a été mise en scène. Aucun décès n'est survenu à l'hôpital. Tous les Casques blancs, activistes et personnes avec qui j'ai parlé sont dans les zones d’Idlib ou de l'est de l'Euphrate. Une seule personne était à Damas.»
«L'attaque a eu lieu, le sarin n'a pas été utilisé, mais nous devons attendre les conclusions de l'OIAC pour confirmer si du chlore a été utilisé. Mais tout le reste qui est lié à l'attaque a été fabriqué pour renforcer l'effet», indique-t-il.
Plus tôt, des pays occidentaux avaient accusé Damas d’une attaque chimique contre la ville syrienne de Douma, dans la Ghouta orientale et l’avaient menacé de frappes. Pour prouver l’attaque, l’organisation connue comme les Casques blancs avait utilisé des images montrant des habitants de cette agglomération, dont des enfants, à l’hôpital et les médecins tentant de les sauver.
La diplomatie russe a alors déclaré que le but des intoxs au sujet de recours aux substances chimiques en Syrie était de justifier les frappes étrangères sur ce pays proche-oriental. Dès le 13 mars, l’état-major des Forces armées de Russie avait prévenu d’une provocation avec la mise en scène d’une attaque chimique préparée par des extrémistes dans la Ghouta orientale.
https://fr.sputniknews.com/international/201902131040016613-attaque-chimique-douma-mise-scene/
Sondage dans les couloirs de l'Elysées/Sputniknews:
RépondreSupprimerGilets jaunes: la majorité des Français veut que la mobilisation cesse
07:51 14.02.2019
Un récent sondage d’Elabe pour BFM TV révèle une tendance inversée en ce qui concerne le soutien des Français à la prolongation de la mobilisation des Gilets jaunes. La majorité des personnes interrogées veut que les manifestations cessent.
Plus de la moitié des Français (56%) souhaitent que la mobilisation des Gilets jaunes cesse. Tel est le résultat d'un sondage mené par Elabe pour BFM TV et diffusé le 13 février.
Dans le même temps, les électeurs de Marine Le Pen (à 64%) et ceux de Jean-Luc Mélenchon (à 57%) veulent que le mouvement perdure.
Enfin, deux personnes interrogées sur trois (64%) estiment que les manifestations du samedi sont désormais «éloignées des revendications initiales du mouvement».
Selon BFM TV, l'approbation globale des Français aux manifestants est en baisse. Depuis début janvier, le soutien à la mobilisation a baissé de neuf points.
C'est le premier sondage réalisé depuis le début du mouvement qui montre un tel résultat. Auparavant, la plupart des Français déclaraient vouloir que la mobilisation continue. Un sondage YouGov pour Le HuffPost et CNews réalisé à l'aube de l'acte 13 de la mobilisation a montré que plus de la moitié des Français (52%) estimaient que le mouvement devait se poursuivre pendant les deux mois du grand débat national.
https://fr.sputniknews.com/france/201902141040017742-gilets-jaunes-sondage-francais-mobilisation-cesse/
Édouard Philippe écarte la possibilité de l’amnistie des Gilets jaunes condamnés
RépondreSupprimer07:18 14.02.2019
Le Premier ministre français a répondu mercredi à la question d’Ingrid Lavasseur, qui l’avait interrogé sur la possibilité d’accorder une amnistie aux Gilets jaunes condamnés depuis le début du mouvement. Il a déclaré n’en avoir ni «le droit» ni l’«envie».
Interrogé par Ingrid Lavasseur, l'une des figures des Gilets jaunes, sur la possibilité d'accorder une amnistie aux manifestants condamnés depuis le début du mouvement, Édouard Philippe s'est dit «opposé» à une telle perspective.
«D'abord, parce que je n'en ai pas le droit, d'interrompre des procédures judiciaires […] Ça n'existe pas, l'amnistie du Premier ministre, il peut y avoir une loi d'amnistie, mais ça n'est pas à la mode, et j'y serais opposé», a-t-il précisé lors d'une émission de LCI et RTL.
L'ex-boxeur Christophe Dettinger condamné à 30 mois de prison dont 18 avec sursis (vidéos)
D'ailleurs, il a qualifié de «grave» ce qu'avaient commis certains manifestants.
«Quand vous voyez des gens qui saccagent l'Arc de Triomphe, je n'ai aucune envie de leur dire: "allez, c'est pas grave". Quand vous voyez des gens qui attaquent des policiers et des gendarmes, quand vous voyez l'homme qui a brûlé le camion des forces Sentinelle devant la tour Eiffel, […], vous voudriez qu'on dise à ce monsieur: "Bon allez, c'est pas grave" ? Mais si, c'est grave», a-t-il argumenté.
En ce qui concerne les accusations de violences policières, M.Philippe a déclaré que les choses «sanctionnables […] seront sanctionnées».
Le 13 février, le tribunal correctionnel de Paris a condamné l'ex-boxeur Christophe Dettinger à un an de prison ferme, aménageable en semi-liberté, et 18 mois de sursis avec mise à l'épreuve pour avoir frappé deux gendarmes lors de l'acte 8 des Gilets jaunes.
Comme l'a expliqué son épouse, l'ancien boxeur avait attaqué deux policiers après avoir vu qu'une femme était matraquée au sol.
Selon BFM TV, depuis le début du mouvement, la justice a prononcé près de 1.800 condamnations. Près de 1.500 dossiers sont encore en attente de jugement, plus de 1.300 comparutions immédiates ont été organisées et 316 personnes ont été placées sous mandat de dépôt.
https://fr.sputniknews.com/france/201902141040017572-edouard-philippe-amnestie-gilets-jaunes/
SupprimerRéponse du Peuple: Pas d'amnistie pour la dictature ! On continue jusqu'au bout !
Rats, défécation publique et consommation de drogue à ciel ouvert: nos grandes villes occidentales deviennent des trous inhabitables
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/02/2019 - 16:45
Créé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Presque toutes les personnes qui se rendent dans l'une de nos grandes villes de la côte ouest ont une réaction similaire.
Ceux qui doivent vivre dans la dégradation croissante y sont souvent engourdis, mais la plupart de ceux qui viennent en ville pour une visite sont complètement choqués par toutes les ordures, la défécation humaine, le crime et la consommation publique de drogue qu’ils rencontrent. Il était une fois, nos belles villes occidentales faisaient l'envie du reste du monde, mais elles servent maintenant de brillants exemples du déclin croissant de l'Amérique. Les pires régions de nos grandes villes occidentales ressemblent littéralement à des friches post-apocalyptiques, et les hordes de sans-abri zombifiés qui vivent dans ces régions sont trop droguées pour en prendre soin. L'ironie est que ces villes ne sont pas pauvres. En fait, San Francisco et Seattle font partie des villes les plus riches du pays. Donc, si les choses se détériorent de façon aussi dramatique maintenant, à quel point les choses vont-elles se détériorer lorsque la situation économique commencera à se détériorer?
Commençons notre discussion en regardant l’épidémie de rats à Los Angeles. Grâce à une hygiène publique extrêmement médiocre, les rats se reproduisent comme des fous et ont même vaincu le Los Angeles City Hall…
Les responsables de l’hôtel de ville de Los Angeles envisagent de déchirer tous les tapis de l’immeuble, les rats et les puces se disputant en émeute dans ses halls.
Le président du Conseil, Herb Wesson, a déposé mercredi une requête visant à mettre en place la métamorphose si nécessaire face à une épidémie de typhus au centre-ville.
Wesson a déclaré qu'un employé de la ville avait contracté la maladie bactérienne mortelle au travail et qu'il exhortait maintenant les responsables à enquêter sur "l'ampleur" du problème de ravageurs qui sévissait depuis longtemps dans les locaux du conseil.
Des gens du monde entier sont attirés par Los Angeles à cause de ce qu’ils ont vu à la télévision, mais c’est vraiment un endroit immonde. Le nombre de sans-abri augmente d'environ 20% par an, la consommation publique de drogue est apparemment partout et il y a des montagnes d'ordures partout. Inutile de dire que les rats prospèrent dans un tel environnement, et la bataille épique qu’un journaliste de L.A. a avec des rats a récemment été mise en vedette dans le L.A. Times…
Côté est, côté ouest, nord et sud, ils sont partout. Si vous êtes un rat, la crise du logement en Californie ne vous a pas encore touché et elle ne le sera jamais.
Chez nous, on aurait dit que les rats avaient des courses de relais au plafond et qu’ils ne portaient pas de baskets. Vos yeux clignotent et vos jambes tressaillent pendant que vous vous endormez, sachant que si la peste revient, vous vivez à un point zéro.
Dans notre jardin, ils dévoraient des têtes de laitue entières. Ils ont détruit ma courge juste avant qu'elle soit mûre et prête à être mangée. Ils ont volé mes tomates, ma coriandre et mes piments d'Anaheim. Est-ce qu'ils embouteillaient leur propre salsa ?
Mais ne soyons pas trop durs à Los Angeles, car les mêmes choses se passent dans les grandes villes de l’ouest du pays.
RépondreSupprimerPar exemple, une infestation massive de rats a récemment forcé les autorités à fermer un campement de sans-abris terriblement crasseux sous un pont à Salem, dans l'Oregon…
Au milieu des ordures, du désespoir humain et de l’angoisse, une femme en pleurs s’apprêtait à quitter son dernier lieu de vie comme à la maison sans avoir vraiment la moindre idée de sa prochaine destination.
Terry Balow, un agent de liaison de l'Armée du Salut, a vécu les moments les plus sombres de la vie sous un pont: colère, maladie mentale, consommation de drogue et frustration humaine débordant de temps à autre.
Pourtant, c’est une infestation de rats et une préoccupation pour la santé humaine qui ont poussé la ville de Salem à déplacer les campeurs.
"Il a juste grandi et a grandi et a empiré", a déclaré Balow. "C’est pire que ce que les gens peuvent imaginer."
Oui, il y a toujours eu des camps de sans-abri dans ce pays, mais à l’époque moderne, nous n’avons jamais fait face à une situation aussi importante que celle que nous connaissons actuellement.
Plus d'un demi-million d'Américains sont actuellement sans abri et ce nombre ne cesse de croître. Et au fur et à mesure de sa croissance, les communautés seront de plus en plus contraintes de prendre des décisions difficiles.
Je suis assez impatient de parler de San Francisco, mais avant d’arriver à City by the Bay, prenons note de ce qui vient de se passer à Denver.
Si vous êtes dans la défécation publique, vous serez très heureux d'apprendre que Denver vient de le rendre légal…
Premièrement, l’évidence: le conseil municipal de Denver a voté à l’unanimité en faveur de la dépénalisation d’un certain nombre d’infractions, notamment la défécation en public. Aussi, en urinant en public. Camping sur des terres publiques ou privées sans autorisation. Panhandling. Et se trouvant à travers des emprises publiques, telles que des trottoirs.
Le maire démocrate Michael Hancock et les responsables de la ville ont expliqué que les nouvelles ordonnances sont conçues pour protéger les immigrés - légaux et autres - des "imprévus".
Le maire démocrate Michael Hancock et les responsables de la ville ont expliqué que les nouvelles ordonnances sont conçues pour protéger les immigrés - légaux et autres - de "conséquences inattendues". Ces conséquences sont des amendes et des peines d'emprisonnement plus longues, comme il était d'usage dans la plupart des endroits d'enfreindre les normes comportementales. de la société américaine civilisée.
Si seulement les fondateurs de l’Amérique pouvaient nous voir maintenant.
Ils seraient si fiers.
En parlant de défécation publique, San Francisco est devenue mondialement célèbre pour ses piles de crottes humaines qui jonchaient constamment leurs rues. Au cours d'une période de sept jours l'été dernier, 16 000 plaintes officielles au total concernant des excréments humains ont été soumises à la ville.
Bénéficiant d'un si bel environnement naturel et de tant de richesses, San Francisco devrait être un endroit formidable à visiter, mais ce n'est certainement pas le cas.
RépondreSupprimerQuand le journaliste John Stossel s'est rendu récemment à San Francisco, il a été stupéfait par ce qu'il a découvert…
San Francisco est un très bon endroit pour «passer du temps avec une pancarte». Les personnes arrêtées sont rarement arrêtées pour vagabondage, vol à main armée agressive ou pour aller aux toilettes devant leur domicile. En 2015, 60 491 plaintes ont été déposées auprès de la police, mais seules 125 personnes ont été arrêtées.
La consommation publique de drogue est généralement ignorée. Une femme nous a dit: «C’est méchant de voir des gens se dresser, juste devant vous. La police ne fait rien à ce sujet! Ils vont avoir quelqu'un pour boire une bière mais marcher devant des gens avec des aiguilles. "
À San Francisco, ils distribuent des seringues gratuites aux toxicomanes et, selon certaines sources, 5,8 millions de seringues distribuées au total auraient été distribuées en 2018.
C'est beaucoup de seringues.
Ils essaient également de récupérer les seringues afin de prévenir la propagation de la maladie, mais cela n’a pas été un succès.
Selon le San Francisco Chronicle, le département a distribué environ 2 millions de seringues de plus qu'il n'en a récupéré, bien qu'il s'agisse de 1,8 million de dollars supplémentaires l'année dernière pour récupérer des seringues. lave maintenant dans les rues de l’une des villes les plus riches d’Amérique (avec les excréments de leurs utilisateurs).
Et avec une consommation de drogue si répandue dans le public, il ne faut pas s'étonner que le crime soit complètement et totalement hors de contrôle. Voici plus de John Stossel…
Chaque jour à San Francisco, 85 voitures en moyenne sont cambriolées.
«Inside Edition» a effectué un test pour voir combien de temps l'équipement stéréo durerait dans une voiture garée. Leur voiture d'essai a été rapidement cambriolée. Ensuite, l’équipe de tournage a découvert que leur propre voiture avait également été brisée.
On a dit que «comme la Californie, le pays aussi». Et si c’est la direction que prend le reste de la nation, nous avons de graves problèmes.
Lorsque Bill Blain s'est récemment rendu à San Francisco, il a été tellement horrifié par ce qu'il a rencontré qu'il s'est senti obligé d'écrire à ce sujet…
J'espère que mes hôtes américains me pardonneront d'avoir soulevé cette question, mais la misère que nous avons vue dans The City était effrayante. San Francisco a toujours été l'une des villes préférées des États-Unis, mais le degré d'itinérance, de maladie mentale et de toxicomanie constaté lors de ce voyage était vraiment choquant. En parcourant SF le dimanche matin, nous avons pu admirer des scènes inimaginables. Selon Wiki, il s’agit de l’une des villes les plus riches du monde, qui abrite 4 des 10 personnes les plus riches de la planète. J'ai interrogé des amis à ce sujet et ils l'ont écarté. «La ville a toujours attiré les sans-abri à cause du temps clément», «c'est un problème de drogue»… «c'est trop difficile»… «on s'y habitue .. "
Eh bien, je ne l’ai pas fait.
RépondreSupprimerJ'ai trouvé assez choquant le nombre de personnes qui dorment sur les trottoirs, l'odeur d'herbe et de drogue impédimentée partout, la crasse, la maladie mentale et la dégradation à quelques mètres du centre financier qui conduit la Silicon Valley. C’est une ville où les démunis semblent être devenus invisibles pour les élites grêles Uber. Nous nous sommes retrouvés à sauter dans l'un des magnifiques trolleybus de la route F pour trouver presque chaque siège occupé par une personne qui traînait autour de ses biens matériels dans un sac en plastique. C'était désespérément triste.
San Francisco a un nouveau maire, et ils vont dépenser des millions en millions de dollars pour nettoyer les rues.
Mais il ne sera pas facile de renverser la situation, car de plus en plus de consommateurs de drogue et de sans-abri se déplacent chaque jour dans la ville…
Et San Francisco est généreux. Il propose aux enfants de la rue des coupons alimentaires, un abri gratuit, des billets de train et 70 dollars par mois en espèces.
«Ils offrent toujours des ressources», nous dit un homme habillé en père Noël. "San Francisco est juste un bon endroit pour sortir."
Ainsi, chaque semaine, de nouvelles personnes arrivent.
Nous aimons penser que nous donnons un exemple positif au reste du monde, mais la vérité est qu’ils se moquent de nous.
L'Amérique est dans un état de décomposition avancée et sa situation empire d'année en année.
Si nous continuons à faire les mêmes choses, nous continuerons à obtenir les mêmes résultats, et pour le moment, rien ne laisse présager que la direction générale de ce pays changera de si tôt.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-13/rats-public-defecation-open-drug-use-our-major-western-cities-are-becoming
Transition énergétique : quand l’irrationalité l’emporte
RépondreSupprimerIl est beaucoup plus sexy politiquement de financer des investissements en éoliennes plutôt que de faire ce que la raison suggère.
Par le minarchiste, depuis le Canada.
14 FÉVRIER 2019
Leurs requêtes se sont diversifiées et demeurent incohérentes, mais il n’en demeure pas moins que c’est l’augmentation de la taxe carbone, laquelle fait grimper entre autres les prix de l’essence, qui a déclenché la révolte des Gilets jaunes.
Presque personne n’est contre la vertu et l’amélioration du bilan environnemental de la société, mais il faut réaliser qu’à un certain moment quelqu’un doit payer. La lutte contre les changements climatiques a un coût et ce coût ne se mesure pas qu’en termes de PIB ; il se mesure aussi en qualité de vie.
Et dans une société comme la France, qui est déjà l’une des plus taxées et redistributives au monde (en pourcentage du PIB), ce ne seront pas que les riches qui vont en souffrir, les moins nantis aussi paient ces taxes en plus de subir des tarifs d’électricité plus élevés qu’ils ne devraient l’être.
Au Québec, les taxes vertes sur l’essence ont aussi augmenté, mais ici nous avons le plein emploi et même des pénuries de main d’œuvre, donc pas le temps d’aller manifester, d’autant plus que nous avons très peu de carrefours giratoires et un seul pont à péage dans toute la province !
A-T-ON VRAIMENT BESOIN DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE ?
Ces taxes vont dans le Fonds Vert du Québec, qui sert à financer la transition énergétique entre autres, mais comme 100 % de notre électricité est soit hydroélectrique ou éolienne, on se demande bien si nous avons vraiment besoin d’une transition…
Or, nous apprenions en décembre dernier qu’un rapport du Conseil de Gestion du Fonds Vert mentionnait que plus de la moitié des 185 actions devant favoriser la transition devraient être abandonnées et qu’un virage majeur s’impose ! Autrement dit, ce Fonds ne fait que gaspiller de l’argent durement gagné par les contribuables.
Plusieurs ministères pigent dans le Fonds Vert en utilisant des subterfuges pour arrondir leur budget. Il n’y a aucune reddition de compte ni imputabilité, c’est un bar ouvert fiscal. Donc, ces taxes ne permettent qu’au gouvernement de grossir, sans faire grand-chose pour l’environnement.
Au Québec, on finance aussi l’achat de véhicules électriques, dont la fabrication pollue jusqu’à deux fois plus que celle des voitures à essence et avec lesquelles il faut rouler au moins 50 000 km avant de faire mieux que la voiture à essence en ce qui concerne les émissions de GES et 90 000 km avant de présenter un meilleur bilan pour la santé humaine (ces chiffres sont pour le Québec, où 100 % de la production d’électricité est hydroélectrique et éolienne). La production de lithium pollue beaucoup et ces batteries ne sont pas recyclables.
En ce début 2019, l’entreprise montréalaise de taxis électriques Téo Taxi a déclaré faillite, elle qui a pourtant reçu un total de 60 millions de dollars en aides gouvernementales diverses. Même en utilisant les chiffres optimistes du PDG, le coût pour le gouvernement par tonne de GES évitée était beaucoup trop élevé pour en valoir la peine.
RAS-LE-BOL DES HAUSSES DE TARIFS
RépondreSupprimerLe fondateur et dirigeant de l’entreprise, Alexandre Taillefer, mentionnait étrangement que les diverses réglementations gouvernementales impactant l’industrie du taxi lui ont énormément nui, notamment au niveau de l’augmentation de ses tarifs, du nombre de véhicules et du choix de modèle.
En Ontario, où la population en a ras-le-bol des hausses de tarifs électriques, le nouveau Premier ministre Rob Ford s’est fait élire en promettant une réduction de 12 % des tarifs électriques dans la province. Ce politicien que l’on surnomme parfois le « Trump du Canada » est le frère de l’ancien maire de Toronto décédé il y a quelques années et rendu célèbre grâce à une vidéo où on le voyait fumer du crack.
En juillet dernier, Ford a fait annuler pour 758 MW de contrats concernant des projets d’énergie renouvelable. L’un de ces projets était déjà en construction, ce qui signifie que la province devra rembourser l’entreprise pour plus de 100 millions de dollars.
Les prix de l’électricité en Ontario ont été très élevés au cours de la dernière décennie en raison du FIT program, qui garantissait des prix très élevés pour les énergies solaires (192 dollars à 311 dollars par MWh) et éoliennes (125 dollars par MWh), alors que les prix au marché se situaient entre 20 dollars et 35 dollars le MWh.
Au Royaume-Uni, une étude récente publiée par la Global Warming Policy Foundation a analysé la transition énergétique. En 2017, le réseau électrique de ce pays avait une capacité de 100GW, incluant 33GW de renouvelables, lesquels ont nécessité d’importants investissements en transmission et le maintien en fonction de centrales aux énergies fossiles pour assurer la stabilité du réseau.
L’auteur a calculé que si les investissements avaient été faits dans des usines au gaz naturel plutôt qu’en renouvelables, le Royaume-Uni aurait pu accomplir la même réduction des GES, mais avec des prix d’électricité de 30 % inférieurs ! Cela aurait permis des économies de plus de 90 milliards de livres sterling entre 2003 et 2017. La construction de centrales au gaz est moins chère par MW produit, ce qui permet de retirer davantage de centrales au charbon.
Notez que les résultats de ces calculs dans plusieurs autres pays incluent la France, l’Allemagne et les États-Unis.
Cependant, il est beaucoup plus sexy politiquement de financer des investissements en éoliennes plutôt que de faire ce que la raison suggère.
CONCLUSION
Il y a quelques années, j’avais publié un article intitulé « Le Réchauffement Climatique en Questions ». Peu importe ce que vous répondez aux 6 premières questions, le moment de vérité arrive à la dernière d’entre elles : quel est le meilleur moyen de réduire les GES au meilleur coût possible ?
Malheureusement, la manière avec laquelle les politiciens ont abordé cette question est complètement irrationnelle. On se précipite sur ce qui paie le plus politiquement plutôt que sur ce qui est plus approprié. On boude les centrales au gaz naturel, alors qu’il s’agit d’une excellente technologie de transition. On se sauve de l’énergie nucléaire alors que c’est une solution élégante pour se débarrasser du charbon tout en fournissant une électricité stable et prévisible.
Pourquoi de telles décisions ? Cui Bono…
https://www.contrepoints.org/2019/02/14/337140-transition-energetique-quand-lirrationalite-lemporte
POUR EN FINIR AVEC LES INEPTIES DU PERMIS AUTO À LA FRANÇAISE
RépondreSupprimerpar RÉDACTION
13/02/2019
Passer son permis pour 750 euros, c'est aujourd'hui possible, grâce aux auto-écoles en ligne.
Une fois n'est pas coutume, la France demeure le mauvaise élève de la classe en ce qui concerne le permis auto. Il est plus long à passer, et plus cher, qu'un peu partout ailleurs en Europe.
4 mois : c'est le délai qu'il faut attendre dans certains départements français, entre, une première et une deuxième présentation à l'examen du permis de conduire. Un délai innacceptable et inexcusable, alors que dans certains pays européens, il est possible de passer son permis de conduire en quinze jours, entre la première inscription, les cours, et l'examen final ! Des pays qui ne "produisent" pas pour autant de plus mauvais conducteurs que chez nous, bien au contraire.
750 euros pour un permis de conduire, tout compris
Plus embêtant encore : le permis auto à la française est plutôt cher, comparé, là encore, à ce qui se pratique chez nos voisins. En moyenne, un jeune français dépense un peu moins de 1100 euros pour pouvoir passer son permis. Et encore s'agit-il d'une moyenne : certains impétrants, ayant échoué une ou deux fois, doivent rajouter des heures de conduite exigées par leur auto-école pour les représenter, quand bien même ce n'est pas obligatoire (nous n'oserons pas écrire "nécessaire"). A la fin, le cap des 1500 euros est largement atteint, si ce n'est plus.
Heureusement, le secteur de la préparation au permis de conduire est aussi en voie lente mais certaine d'ubérisation. Plusieurs start-up se sont engoufrées dans la brèche, et proposent des heures de conduite parfaitement homologuées, notamment en faisant appel à des moniteurs indépendants. En cherchant bien, on peut trouver des forfaits permis de conduire à moins de 750 euros, avec les 20 heures de conduite obligatoires !
Mieux encore, de nouvelles régles encadrant l'examen du permis de conduire permettent de dépenser encore moins pour passer son permis : il suffit pour cela d'accepter de passer un permis "boîte automatique", qui n'exige qu'une douzaine d'heures de conduite ! Sachant qu'il est beaucoup plus facile de passer son permis sur une voiture boite auto : beaucoup de candidats échouent, parce qu'ils paniquent dans le passage des rapports lors de l'insertion sur une voie rapide, ou font caler le véhicule lors d'un créneau, ou encore en arrivant à un feu ou un stop.
Bon à savoir : nouveauté de la réglementation, le permis boîte auto peut être remplacé très simplement par un permis B classique au bout de six mois seulement, en passant quelques heures de formation complémentaire en auto-école toujours. C'est l'attestation du suivi de ces heures de formation complémentaires qui validera le permis B "full options". Et ceux qui sont parfaitement satisfaits en boîte auto n'ont rien à faire de plus... Tous les loueurs proposent aujourd'hui des boîtes auto dans leur flotte, et les voitures électriques sont par conception même toutes automatiques.
Son permis de conduire en une semaine, c'est possible, mais c'est cher
RépondreSupprimerDernière nouveauté de l'ubérisation du secteur : les forfaits "express". A l"inverse de la tendance low-cost, certains acteurs se proposent de faire passer le permis de conduire en une semaine ! Code, heures de cours, et examen final compris. Bien sûr, il y a un truc : il s'agit en fait d'acteurs qui "bloquent" à l'avance des places pour les examens du permis, et les affectent en priorité à ces clients pressés. Ils existent : c'est l'étudiant qui a impérativement besoin du permis avant de démarrer un stage important loin de son domicile. C'est le candidat à une offre d'emploi qui doit avoir le permis pour postuler, ou encore, pouvoir signer son contrat après avoir été préselectionné. Revers de la médaille : le prix. Comptez minimum 1300, mais plutôt 1600 euros pour pouvoir espérer passer votre permis dans de si brefs délais...
http://www.economiematin.fr/news-permis-auto-internet
En Afrique comme au Venezuela tu viens avec TA voiture et une heure après t'as le permis (prix 40 euros).
SupprimerLe président et la liberté d'expression paralysante
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 14 février 2019
Bien que le débat public ait été consommé sur la prise de conscience que les médecins de l'avortement laissaient réellement mourir les bébés viables survivant à un avortement tardif - ainsi que sur le fait que le président Donald Trump ou la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, commenceraient par cligner sur la question de l'autorisation du Congrès pour la construction d'un mur à la frontière sud du pays, sans parler du gâchis infondé de race et de sexe au sommet du gouvernement de Virginie, un problème de liberté d'expression profonde est en train de bouillonner.
Un ancien conseiller en communication et ancien conseiller de campagne Trump de la Maison-Blanche, qui a écrit un livre édifiant sur la Maison-Blanche, se demande maintenant s'il peut ou non publier librement son livre - ce qu'il a déjà fait - et en profiter librement .
L'ancien ami et collègue de Trump s'appelle Cliff Sims, et son livre s'appelle "Team of Vipers". Cela donne l'impression que le livre de Chris Christie sur ses expériences amères avec son entourage a été écrit par Mère Teresa par comparaison. Le président et ses collaborateurs, qui connaissaient l'existence du livre avant sa publication, semblaient hérissés des histoires racontées, des allégations contenues et des opinions exprimées.
C'est une histoire malheureuse, non pas en ce qui concerne l'exactitude ou l'équité dans les rapports, mais en ce qui concerne la doctrine du commentaire juste et le droit naturel et constitutionnel à la liberté de parole. Voici l'histoire en arrière.
Lorsque Sims a commencé sa carrière en tant que responsable de la campagne Trump, il a signé un accord de confidentialité. Les NDA interdisent généralement la divulgation des informations recueillies au cours de l'emploi. Ils étaient presque universels dans la campagne Trump.
La NDA de Sims prévoyait également que s'il existait un différend entre lui et la campagne sur le sens de la NDA ou si lui-même ou la campagne l'avait violée, ce différend serait résolu par un arbitrage secret, et non dans une salle d'audience publique devant un juge et jury. La NDA prévoyait en outre des dommages-intérêts liquidés - une somme d’argent préalablement convenue que Sims devait à la campagne si les arbitres jugeaient qu’il avait violé la NDA.
Qu'en est-il de la liberté d'expression et du droit à un procès équitable? La théorie d'une NDA est que le signataire a sciemment renoncé à ces droits en contrepartie de l'emploi envisagé par la NDA. C'est une contrepartie. Vous êtes embauché à un travail que vous voulez; vous obtenez le salaire et les avantages recherchés; vous acceptez de garder le silence sur les secrets que vous apprenez. Et s'il y a un différend sur ce que vous pouvez dire et à qui vous pouvez le dire, le différend lui-même sera résolu en secret, car vous en avez convenu dans la NDA. Si les arbitres constatent que vous avez violé la NDA, vous devez une certaine somme à l'autre partie - en l'occurrence, 10 millions de dollars à la campagne Trump - que vous ayez ou non causé des dommages.
C'est du moins la théorie de la façon dont ces NDA sont censés fonctionner. Les tribunaux ne favorisent pas ces accords, car ils entravent souvent la liberté d'expression - et il s'agit souvent d'un discours dans lequel l'intérêt public est important et sérieux. Pourtant, comme ils sont entre des parties privées, les NDA sont exécutoires.
Dans ce cas, le discours porte sur Trump - pas en tant que candidat mais en tant que président. Ainsi, après la publication du livre de Sims et des personnes de l’aile ouest où il a travaillé pendant un an, lisez ce qu’il a écrit sur la campagne Trump - il ya toujours un personnel réduit et des avocats sur la liste de paie - a déposé une plainte auprès du responsable désigné. entité d’arbitrage, exigeant des dommages-intérêts liquidés de 10 millions de dollars.
RépondreSupprimerEnsuite, les avocats de Sims ont déposé une plainte devant un tribunal fédéral, demandant à un juge d’interdire la procédure d’arbitrage parce que ce qu’il a écrit a été appris par Sims alors qu’il travaillait pour le gouvernement et non pour la campagne. La campagne indiquera sans doute une NDA qui, selon lui, aurait été signée lors de son entrée en fonction dans l'aile ouest, affirmant qu'elle s'appliquait de manière aussi efficace que la NDA qu'il avait signée pour la campagne. Sims ne rappelle aucune NDA à la Maison Blanche.
Voici le problème pour Trump. La campagne n'est pas soumise au Premier Amendement, mais la Maison Blanche l'est clairement. Même si les Sims ont signé une NDA à la Maison Blanche, le Premier amendement interdit au gouvernement de la faire respecter, et plusieurs lois fédérales protègent les dénonciateurs, peu importe ce qu'ils ont convenu de ne pas dire au début de leur travail, à moins qu'il s'agisse de documents classifiés protégé. Dans l'aile ouest, les Sims travaillaient pour le gouvernement fédéral, pas pour Donald Trump personnellement ni pour la campagne.
Le gouvernement peut-il punir le discours de quelqu'un qui a accepté de garder le silence? En un mot: Non, cela ne peut pas dissuader de parler et il ne peut pas refroidir la parole. Il y a refroidissement lorsque le comportement du gouvernement est tellement oppressif que le locuteur potentiel a peur de parler de ce qu'il sait.
Et si le discours est un commentaire sur des personnes publiques ou une politique publique, il est protégé par la doctrine du commentaire juste. C'est une rubrique de la Cour suprême qui souligne le truisme selon lequel l'objectif premier du Premier amendement est de protéger et d'encourager un discours ouvert, large et puissant sur le gouvernement - un discours qui éclaire les sombres façades du gouvernement, discours qui ne craint pas et ne craint pas le la moindre bouffée de réparation du gouvernement, discours qui peut être dur et ton déconcertant dans la livraison.
C'est ce type de liberté d'expression publique que les rédacteurs ont voulu protéger par le Premier amendement. Comme l'a dit l'un des prédécesseurs sans faille du président Trump: "Si vous ne supportez pas la chaleur, sortez de la cuisine".
Si les présidents peuvent utiliser des artifices juridiques pour punir les discours qu'ils détestent et qu'ils craignent, ils ne sont plus présidents d'une société libre. Ce sont des princes dans un empire.
http://www.judgenap.com/post/the-president-and-chilling-free-speech
Tasered 11 fois plus de clignotant
RépondreSupprimerPar Eric Peters
Eric Peters Autos
14 février 2019
Voici une histoire et une vidéo particulièrement horribles de Glendale, en Arizona - avec des implications nationales.
Des employés du gouvernement armés ont suivi une voiture dans un parking - suite à une violation présumée des signaux de virage - et ont presque immédiatement fait passer le contrôle de la circulation à un violent «takedown» qui se terminait par le passager du siège avant soumis à 11 coups de taser.
Il «n’a pas d’identité», dit l’AGW. "Tais-toi. Tais-toi. Tu vas bien."
Le passager - qui ne conduisait pas - n’a pas fait faire demi-tour au prétendu illégal et s’est donc opposé à la demande de sa carte d'identité présentée par AGW. Il est compréhensible que de nombreuses personnes ne se rendent pas compte, de manière compréhensible, que lorsqu'un véhicule est arrêté par un véhicule automoteur parce que le conducteur aurait commis une infraction au code de la route, la loi de certains États autorise celui-ci à demander également une pièce d'identité aux passagers.
C’est une autre de ces lois conçues pour contourner nos ex-protections - énoncées en clair par les quatrième et cinquième amendements, analysées dans le sens opposé de celles des avocats du gouvernement, qui représentent ses intérêts plutôt que les nôtres - c’est-à-dire: La Court Suprême.
Les droits des passagers du véhicule sont niés à cause de quelque chose que le conducteur aurait fait. Cela semble désagréable parce que c'est - et beaucoup de gens sont incrédules face aux demandes de leur identité alors qu'ils ne violaient aucune loi en matière de trafic ou autre - et n'ont donc donné à AGW aucune raison probable pour les fouiller ou les interroger.
Eh bien, l’homme a exprimé son incrédulité et a remis en question les demandes de l’AGW.
Cela a heurté l'autorité des AGW, qui est «l'infraction» la plus dangereuse que l'on puisse commettre aux États-Unis ces jours-ci.
Ils ont commencé à montrer à l'homme comment respecter leur autorité:
- voir clip sur site -
https://www.lewrockwell.com/2019/02/eric-peters/tasered-11-times-over-turn-signal/
«L’UE n’aime pas les Gilets jaunes» et Philippot affirme en détenir la preuve
RépondreSupprimer13:23 14.02.2019
Florian Philippot, leader des Patriotes, affirme avoir une preuve que «l’UE n’aime pas les Gilets jaunes». Il a signalé sur Twitter qu’il lui a été demandé de retirer un gilet jaune accroché à la fenêtre de son bureau au Parlement européen.
Le chef de file des Patriotes et eurodéputé Florian Philippot a déclaré sur Twitter qu'un agent de sécurité du Parlement européen lui avait demandé de retirer le gilet jaune accroché à sa fenêtre en le qualifiant de «symbole trop politique».
Selon l'homme politique français, il s'agit d'une «confirmation» que «l'UE n'aime pas les Gilets jaunes».
Depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, Florian Philippot se veut proche des manifestants.
Le 11 février, l'eurodéputé a prononcé un discours devant le Parlement européen alors que «le droit à manifester pacifiquement et l'usage proportionné de la force» y était à l'ordre du jour. Vêtu d'un gilet jaune, il s'est aussi caché un œil, à la manière du geste que les Gilets jaunes utilisent en hommage aux victimes des violences policières.
Fin novembre dernier, Florian Philippot a déposé à l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi) la marque «Les Gilets jaunes». Plus tard, il a fait part de sa volonté de conduire une «liste hybride» avec les Gilets jaunes aux élections européennes de mai 2019.
https://fr.sputniknews.com/france/201902141040020694-ue-gilets-jaunes-philippot/
(...) Florian Philippot, leader des Patriotes, affirme (...)
SupprimerWhÔôôâAâh ! 'leader des Patriotes' !!! S'est couronné empereur de mes deux ?
10.000 euros pour organiser un débat citoyen ? La fille de Brigitte Macron s’exprime
RépondreSupprimer10:41 14.02.2019
La rumeur grossit sur les réseaux sociaux: Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron, serait rémunérée 10.000 euros afin d'organiser un débat citoyen le 22 février prochain. La belle-fille du Président assure pour sa part à Franceinfo que son engagement n’est que bénévole.
Un message posté sur un compte Facebook coutumier des publications anti-Macron indique que Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron, va être payée pour organiser l'une des réunions du grand débat national dans le Pas-de-Calais, le 22 février.
«La fille de Brigitte Macron […] animera le 22 [février] un grand débat, 10.000 euros de rémunération avec notre argent. […] Les gilets jaunes apprécieront !!!», dénonce l'auteur du commentaire.
Le post, partagé plus de 10.000 fois, a pourtant été démenti par Madame Auzière. Contactée par Franceinfo, celle-ci a confirmé l'organisation de ce débat en niant pourtant être rémunérée pour le faire.
«Je suis avocate, j'ai mon propre cabinet et je vis très bien de mon travail […] Tout ce que je fais depuis le début de la campagne présidentielle est bénévole. Il n'y a jamais eu de rémunération».
Ce n'est pas la première fois que la belle-fille d'Emmanuel Macron anime une réunion politique. Elle s'était déjà engagée lors de la présidentielle de 2017, avant de se présenter aux législatives comme suppléante du candidat de La République en marche, Thibaut Guilluy, sans toutefois être élue. Elle est aujourd'hui référente locale d'En marche!.
https://fr.sputniknews.com/france/201902141040019116-brigitte-macron-fille-debat-remuneration/
SupprimerLa passe à 10 000 € !!!
(...) «Je suis avocate, j'ai mon propre cabinet (...) !!!
RépondreSupprimerIl menace de mort Macron sur internet et écope d’une amende salée au tribunal
13:19 14.02.2019
Un internaute français, qui avait à plusieurs reprises proféré des menaces à l’encontre d’Emmanuel Macron sur un forum, a écopé d’une amende de 1.000 euros. Le prévenu a reconnu les faits, mais s’est toutefois défendu en plaidant le troll et la provocation.
Un Breton de 37 ans a écopé d'une amende de 1.000 euros pour avoir proféré des menaces, caché derrière un pseudo et à travers une publication sur un forum internet, à l'encontre du Président de la République française, rapporte Le Télégramme.
«Je m'apprête à éliminer le collabo traître qui nous sert de Président ce soir. Souhaitez-moi bonne chance!», avait-il notamment publié sur un forum internet le 29 juin dernier.
Le jeune homme, qui habite en Bretagne, a comparu mercredi 13 février devant le tribunal de grande instance de Lorient (Morbihan).
Selon les enquêteurs, ils ont réussi à remonter jusqu'à l'individu à l'issue d'une longue investigation qui les a menés à une adresse IP située dans un lieu public de Lanester, puis in fine à l'auteur du message.
Bien que l'internaute ait reconnu les faits à la barre, il a cependant plaidé le troll et la provocation, ce qui n'a pas convaincu le tribunal qui précise que le prévenu avait déjà proféré des menaces à l'encontre d'Emmanuel Macron sur des forums.
https://fr.sputniknews.com/france/201902141040020653-mort-macron-amende-trubunal/
Un légendaire porte-avions américain découvert au fond de l’océan Pacifique (images)
RépondreSupprimer09:18 14.02.2019
L’épave du porte-avions USS Hornet, qui a sombré pendant la Seconde Guerre mondiale, gît à la profondeur de 5 km au large des îles Salomon, avec de nombreux avions éparpillés à ses côtés.
Plus de 76 ans après sa disparition, le légendaire porte-avions américain USS Hornet a été retrouvé au fond de l'océan Pacifique, relate USA Today. L'épave du navire gît à la profondeur de 5 km, non loin des îles Salomon, alors que plusieurs avions qui se trouvaient à son bord au moment du naufrage reposent à ses côtés.
Le navire, qui a participé à plusieurs batailles entre les États-Unis et le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale, avait été sérieusement endommagé lors des bombardements et des attaques menées par des kamikazes japonais. L'équipage avait alors dû quitter le porte-avions avant qu'il ne soit coulé par quatre torpilles japonaises.
Les recherches ont été financées par la société Vulcan, créée par Paul Allen, co-fondateur de Microsoft. L'expédition avait déjà localisé de nombreux autres navires envoyés par le fond pendant la Seconde guerre mondiale, dont le porte-avions USS Lexington, le cuirassé Indianapolis, le cuirassé japonais Musashi et le destroyer italien Artillerie.
L'USS Hornet figure parmi les bâtiments de guerre les plus connus pour avoir pris part au second conflit mondial. C'est de son pont qu'ont décollé les bombardiers qui ont mené le premier raid américain sur le territoire du Japon.
https://fr.sputniknews.com/societe/201902141040018460-epave-porte-avions-hornet-decouverte/
Il boit trois litres de boisson énergisante par jour et voilà le résultat (photo)
RépondreSupprimer09:50 14.02.2019
Pour rester en forme et réussir à l’université, un étudiant britannique a commencé à ingurgiter des boissons énergisantes très régulièrement, soit environ 45 canettes par semaine. Au bout de sept mois de ce régime, il s’est cassé quatre dents en mordant dans une pomme et a découvert que les autres étaient gravement endommagées.
Au Royaume-Uni, un étudiant s'est cassé quatre dents et a gravement endommagé les autres par sa consommation excessive de boissons énergisantes, relate The Daily Mail.
Selon la publication, ce jeune homme de 21 ans buvait environ 45 boissons énergisantes par semaine, soit près de trois litres par jour. Il l'a expliqué par la nécessité de rester en forme pour réussir à la fac.
Selon les médias, au bout de sept mois de cette consommation abusive, l'étudiant s'est soudainement cassé les dents, alors qu'il tentait de mordre dans une pomme.
Lors du rendez-vous chez le dentiste, il s'est avéré que toutes ses dents étaient endommagées et que, pour les soigner, le jeune homme devrait faire poser 24 obturations et couronnes.
Le quotidien britannique note que l'odontoclasie (la résorption progressive du tissu dentaire) est provoquée par la proportion excessive de sucre contenue dans les boissons énergisantes. En effet, un demi-litre d'une telle boisson contient en moyenne 54 grammes de sucre, alors que l'apport quotidien recommandé pour une personne est d'environ 30 grammes.
https://fr.sputniknews.com/insolite/201902141040018619-sucre-boisson-energisante-abus-dents-sucre/
Nous savons désormais quand notre galaxie percutera sa voisine, disparaissant à jamais
RépondreSupprimer11:43 14.02.2019
Des chercheurs du Space telescope science institute, aux États-Unis, ont révisé la date d’une collision éventuelle entre la Voie lactée et la galaxie d’Andromède. Selon eux, cette catastrophe spatiale aura lieu dans 4,5 milliards d’années, et non 3,9 milliards, comme précédemment supposé.
Une collision éventuelle entre notre galaxie et celle d'Andromède aura finalement lieu dans 4,5 milliards d'années, et non 3,9 milliards, affirment des scientifiques du Space telescope science institute. Les résultats de leurs recherches ont été publiés dans la revue The Astrophysical Journal.
Ainsi, selon les chercheurs, la collision de ces deux galaxies se fera 600 millions d'années après la date initialement supposée. Cette collision aboutira à une fusion des deux, ajoutent-ils.
Cependant, font remarquer les scientifiques, la collision ne sera pas frontalement, mais «devrait plutôt ressembler à un "coup oblique"», ce qui aboutirait, en fin de compte, à la création d'une nouvelle galaxie encore plus vaste et déjà affublé du nom de «Lactomède».
Leurs recherches ont été réalisées grâce à l'utilisation du satellite Gaia, développé par l'European space agency (ESA), qui leur a permis d'accumuler d Une collision éventuelle entre notre galaxie et celle d'Andromède aura finalement lieu dans 4,5 milliards d'années, et non 3,9 milliards es données sur 1,7 milliard d'étoiles en vue de mieux anticiper les mouvements des galaxies.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201902141040019724-galaxie-collision-fusion-voie-lactee/
Supprimer(...) Une collision éventuelle entre notre galaxie et celle d'Andromède aura finalement lieu dans 4,5 milliards d'années, et non 3,9 milliards (...)
Ouf ! On la échappé belle !!
FRANCE - DES GILETS JAUNES ASPERGENT UNE SECRÉTAIRE DE COLLE
RépondreSupprimerMécontents d'un article sur la crise, des manifestants se sont réunis jeudi matin devant l'agence du «Dauphiné libéré» de Thonon-les-Bains. L'opération a dégénéré.
14.02.2019, 12h48
Par qu'ils voulaient exprimer leur mécontentement sur la couverture de la crise des gilets jaunes dans un article paru ce jeudi, une vingtaine de manifestant se se sont présentés devant l’agence du «Dauphiné Libéré» de Thonon-les-Bains (Haute-Savoie), en déployant une banderole avec les visages des Gilets jaunes blessés dans les manifestations nationales, indique le quotidien sur son site.
Après avoir recouvert la vitrine extérieure d'affichettes, les choses se sont quelque peu envenimées lorsqu'ils ont décidé de tapisser l'intérieur de la vitrine. Un journaliste venu leur demander de quitter les lieux a été bousculé. Une boule puante a été jetée dans l'agence et une secrétaire a été aspergée de colle à tapisserie, poursuit le dauphine.com.
Lors de l'intervention de la police, deux personnes ont été interpellées. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/faits-divers/gilets-jaunes-aspergent-secretaire-colle/story/14115848
Colle à tapisserie: Farine + eau.
SupprimerLa protestation de français contre les publications odieuses de merdias méo-nazional socialistes se poursuit !
SupprimerROYAUME-UNI - LE PRINCE PHILIP NE SERA PAS POURSUIVI
RépondreSupprimerL'époux de la reine Elizabeth II avait été impliqué dans un accident de la route ayant fait une blessée en janvier près du domaine royal de Sandringham.
Le prince Philip, 97 ans, a bénéficié de la mansuétude de la justice britannique.
14.02.2019, 13h17
Le prince Philip, 97 ans, époux de la reine Elizabeth II, ne sera pas poursuivi pour son implication dans un accident de la route ayant fait une blessée en janvier, a annoncé jeudi le parquet britannique.
L'accident s'était produit le 17 janvier près du domaine royal de Sandringham (est de l'Angleterre), où Elizabeth et Philip passent une grande partie de l'hiver.
En sortant d'une allée du domaine pour s'engager sur une route, la puissante Land Rover Freelander que conduisait le prince était entrée en collision avec une Kia et s'était renversée.
«Pas dans l'intérêt du public»
Le palais avait annoncé, le 9 février, que l'époux de la reine avait finalement décidé de renoncer à son permis de conduire, alors qu'il avait pris le volant sans attacher sa ceinture de sécurité deux jours après l'accident.
«Nous avons pris en considération toutes les circonstances de cette affaire, dont le niveau de culpabilité, l'âge du conducteur et la remise du permis de conduire», a déclaré Chris Long, le chef du Crown Prosecution Service (CPS), service chargé de l'accusation au Royaume-Uni, pour l'est de l'Angleterre.
«Nous avons décidé qu'il ne serait pas dans l'intérêt du public d'engager des poursuites», a-t-il ajouté dans un communiqué qui ne nomme pas le prince Philip. Celui-ci est sorti indemne de l'accident. La passagère de la Kia, elle, a eu un poignet cassé, et le bébé qui se trouvait à l'arrière n'a pas été blessé.
Dix jours après l'accident, le prince, très critiqué par les médias pour ne pas s'être excusé immédiatement, avait finalement écrit une lettre à la femme blessée, dans laquelle il s'était dit «profondément désolé». (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/prince-philip-pas-poursuivi/story/12553269
SupprimerRassurez-vous la passagère dégénérée et sa progéniture ont été abattu avant l'arrivée des forces de police de la voirie londonienne ! Ouf ! Il s'en est bien tiré !
Des grenades lacrymogènes à l'acide cyanhydrique... de mieux en mieux
RépondreSupprimer13 Février 2019
par Seppi
Mme Raquel Garrido a le droit d'être ridicule... mais...
Mme Raquel Garrido est-elle mal-comprenante ou est-ce le médecin qui a de sérieux problèmes d'incompétence professionnelle ?
L'information de base en deux gazouillis :
Deux réponses :
Tenez, encore une :
Cela a donné lieu à une réponse dans le même fil :
Mme Raquel Garrido insiste :
...et insiste encore :
Elle a certes le droit de faire l'étalage de son ridicule et de son inculture... mais est-il tolérable d'une femme politique de propager une telle infox ?
Et cette histoire de médecin m'intrigue…
http://seppi.over-blog.com/2019/02/des-grenades-lacrymogenes-a-l-acide-cyanhydrique.de-mieux-en-mieux.html
Le Parlement européen condamne l’usage des LBD par les forces de l’ordre
RépondreSupprimer16:13 14.02.2019
Suite à un débat animé au sein du Parlement européen, les députés européens ont adopté jeudi une résolution qui condamne l’usage «disproportionné» des lanceurs de balles de défense (LBD) par les forces de l’ordre de certains pays membres de l’Union.
Sans désigner directement la France où plusieurs personnes ont été victimes des LBD lors de manifestations des Gilets jaunes, les députés européens ont largement condamné l’utilisation de cette arme par les forces de l’ordre des pays membres de l’Union européenne.
Votée par 438 voix pour, 78 contre et 87 abstentions, la résolution du Parlement européen «condamne le recours à certains types d’armes à létalité réduite par les forces de police contre des manifestants pacifiques, comme les projectiles à impact cinétique et les grenades lacrymogènes instantanées».
La résolution condamne également le recours par les forces de l’ordre «aux gaz lacrymogènes, aux canons à eau, aux pistolets à impulsions électriques et aux autres dispositifs» compte tenu que leur usage peut être «à l’origine de blessures graves dont les répercussions se feront sentir toute la vie durant».
Détails à suivre
https://fr.sputniknews.com/international/201902141040024212-parlement-europeen-usage-lbd-forced-de-ordres/
«Taxe sur le grattage de c*l»: une proposition «crue» faite à Edouard Philippe (vidéo)
RépondreSupprimer15:08 14.02.2019
Quand lors du débat face au Premier ministre un restaurateur a exprimé sa colère en ce qui concerne la pression fiscale avec une proposition rude et inaccoutumée d’une nouvelle «taxe sur le grattage de c*l», si Édouard Philippe est resté calme, elle a toutefois enflammé le Net.
Une proposition sarcastique mais aussi «crue» d'un restaurateur français à propos d'une nouvelle «taxe sur le grattage de c*l» en France, lancée en cette période de grand débat quand Édouard Philippe a pour la première fois accepté de faire face à 10 Français afin d'essayer de leur donner des réponses aux préoccupations et problèmes qui inquiètent les citoyens, n'a toutefois pas perturbé le chef du gouvernement mais a engendré une vive réaction des internautes.
Le restaurateur a exprimé sa colère par cette proposition quand lors du débat il n'a apparemment pas reçu une réponse claire en ce qui concerne les taxes qui sont d'après lui très élevées. Édouard Philippe n'a fait que manifester son accord sur le fait que les Français payaient trop d'impôts.
«Le niveau d'impôts et de taxes est trop élevé. Non seulement on paye plus d'impôts qu'ailleurs, et en plus on ne réduit pas la dette. La situation n'est pas satisfaisante, je suis bien d'accord avec vous.»
Le restaurateur à Rueil-Malmaison Alexandre Callet, qui a critiqué la pression fiscale pendant ces débats, a alors lancé qu'il faudrait introduire une nouvelle taxe, «la TSGC» ou «taxe sur le grattage de c*l».
Cette proposition a engendré diverses réactions sur les réseaux sociaux, allant du soutien au rejet par tant de vulgarité.
https://fr.sputniknews.com/france/201902141040022246-nouvelle-taxe-francais-edouard-philippe-debats/
«Les masques sont tombés»: Moscou répond au journaliste de la BBC sur «l’attaque» à Douma
RépondreSupprimer15:16 14.02.2019
Après les affirmations d’un employé de la BBC sur le caractère monté des scènes tournées à Douma suite à la présumée attaque chimique, la diplomatie russe et la rédactrice en chef de Sputnik ont tenu à rappeler que la Russie avait été de loin la première à en parler, mais que ses propos n’avaient pas trouvé d’écho en occident.
Moscou voudrait connaître la position officielle de la BBC suite aux propos d'un de ses producteurs, selon lequel les images tournées dans un hôpital juste après l'attaque chimique à Douma étaient une mise en scène.
«Même ceux qui propageaient l'idée du caractère justifié et modéré des actions menées par la coalition occidentale ne sont plus en mesure de jouer ce rôle, les masques sont tombés», a indiqué Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe.
Elle a rappelé que la BBC couvrait les événements survenus à Douma le 7 avril 2018 sous un angle favorisant les actes de la coalition.
Les propos du journaliste britannique ont également fait réagir la rédactrice en chef de Sputnik et RT, laquelle a tenu à rappeler que ces médias, sous sa direction, avaient été les premiers à relayer les informations relatives au caractère monté des images.
«Il a fallu six (!!!) mois à un producteur de la BBC en charge de la Syrie pour faire une découverte sensationnelle: les images qui montrent les conséquences d'une "attaque chimique" à Douma ont été une mise en scène des Casques blancs», a-t-elle écrit sur Telegram.
«Je rappelle qu'il nous a fallu beaucoup moins de temps pour arriver à cette conclusion. Mais nous sommes estampillés "média russe", il est interdit de nous croire, à l'inverse d'un producteur de la BBC», a ajouté la journaliste.
De son côté, le Kremlin a indiqué que la position du producteur britannique coïncidait avec les conclusions des experts russes, qui l'affirmaient «dès le début».
Ce producteur, Riam Dalati, a écrit le 13 février sur son compte Twitter être en mesure de prouver que les images tournées dans un hôpital après l'attaque chimique à Douma étaient une mise en scène. Selon lui, aucun décès n'est survenu dans le centre de soins. Tous les Casques blancs, autres personnes et activistes avec qui il s'est entretenu «étaient dans les zones d'Idlib ou de l'est de l'Euphrate. Une seule personne était à Damas».
«L'attaque a eu lieu, le sarin n'a pas été utilisé, mais nous devons attendre les conclusions de l'OIAC pour confirmer si du chlore a été employé. Mais tout le reste qui est lié à l'attaque a été fabriqué pour renforcer l'effet», écrivait-il.
Plus tôt, des pays occidentaux avaient accusé Damas d'une attaque chimique contre la ville syrienne de Douma, dans la Ghouta orientale et l'avaient menacé de frappes. Pour prouver l'attaque, l'organisation connue sous le nom de Casques blancs avait utilisé des images dévoilant des habitants de cette agglomération, dont des enfants, à l'hôpital et des médecins tentant de les sauver.
La diplomatie russe a alors déclaré que le but de ces intoxs concernant un recours aux substances chimiques était de justifier les frappes étrangères sur la Syrie. Dès le 13 mars, l'état-major des Forces armées de Russie avait mis en garde contre une mise en scène d'une attaque chimique préparée par des extrémistes dans la Ghouta orientale.
https://fr.sputniknews.com/international/201902141040021335-russie-douma-attaque-chimique-producteur-bbc/
Martin Armstrong dénonce la fraude délibérée d'Al Gore au réchauffement planétaire pour accroître le pouvoir gouvernemental
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 10:20
Écrit par Martin Armstrong via ArmstrongEconomics.com,
Il y a une question sérieuse que personne ne veut aborder. Comment Al Gore a-t-il créé la peur du réchauffement planétaire et gagné des centaines de millions de dollars ?
Avant Al Gore, la science était profondément préoccupée par ce que nous vivons aujourd'hui - le refroidissement global.
Le 28 avril 1975, le magazine Newsweek publiait un article dans lequel il sonnait l'alarme et proposait des solutions pour fondre délibérément les calottes glaciaires:
«Les climatologues sont pessimistes sur le fait que les dirigeants politiques prendront des mesures positives pour compenser le changement climatique, voire pour en atténuer les effets. Ils admettent que certaines des solutions les plus spectaculaires proposées, telles que la fonte de la calotte glaciaire arctique en la recouvrant de suie noire ou le détournement de rivières arctiques, pourraient créer des problèmes bien plus importants que ceux qu’ils résolvent. Mais les scientifiques ne voient que peu de signes indiquant que les dirigeants gouvernementaux sont même prêts à prendre les mesures simples consistant à stocker les denrées alimentaires ou à introduire des variables d'incertitude climatique dans les projections économiques des disponibilités alimentaires futures. "
Cela ressemble beaucoup à la solution proposée aujourd’hui consistant à mettre des particules dans l’atmosphère afin de dévier la lumière du soleil afin de réduire le réchauffement climatique.
En effet, la couverture du magazine TIME du 31 janvier 1977 comprenait l’article «The Big Freeze». Ils rapportaient que les scientifiques prédisaient que la température moyenne de la Terre pourrait chuter de 20 degrés Fahrenheit (-28°C). Leur cause citée était bien sûr le fait que les humains ont créé un refroidissement global. Puis, tout à coup, les cycles climatiques ont changé et le climat s'est réchauffé.
Il y avait ce noyau de personnes qui semblaient bénéficier de toute l'attention qu'elles recueillaient en prévoyant la fin de la civilisation causée par l'homme. Alors que les températures commençaient à se réchauffer, ils ont dû soudainement passer des prévisions désastreuses du refroidissement global causé par l'homme au réchauffement climatique causé par l'homme.
Al Gore est venu à la rescousse. Le refroidissement global signifiait que le gouvernement devait stocker de la nourriture pour tout le monde, mais cela coûterait de l'argent. Le passage au réchauffement planétaire créerait un programme différent qu'ils connaissaient bien. Comme fumer, ils pourraient le taxer pour aider les gens. Bien sûr, quand ils ont cessé et que les recettes fiscales ont commencé à baisser, ils ont introduit des taxes sur les cigarettes électroniques et n’ont pas essayé de dissuader les gens de fumer.
Avec le réchauffement climatique, ils pourraient taxer tout le monde pour ce qu'ils ont fait chaque jour, qu'il s'agisse de conduire une voiture, de chauffer ou de climatiser leur maison. Soudain, le réchauffement climatique était beaucoup plus rentable pour le gouvernement que le refroidissement global. La sonnette d'alarme a cessé de sonner, signalant la poursuite du refroidissement global observé entre 1945 et 1968 et créant un nouvel âge glaciaire.
Al Gore a assumé les fonctions de vice-président du président Bill Clinton. À ce titre, alors que Bill Clinton poursuivait les femmes, Hillary devenait le président de facto et Al Gore avait toute liberté. Aucun autre vice-président ne jouissait de ce pouvoir jusqu'à ce que Dick Cheney sous George Bush, Jr.
RépondreSupprimerGore a décidé d’adopter des politiques qui modifieraient le gouvernement et notre avenir en mettant l’humanité en danger. Gore a utilisé tous les fonds pour que le programme de lutte contre le changement climatique devienne une priorité absolue pour le gouvernement des États-Unis. Gore a créé le Conseil du président sur le développement durable. La Charte a été révisée le 25 avril 1997 et la «portée des activités» a été radicalement modifiée. Gore a indiqué que le programme devait être EXCLUSIVEMENT un programme relatif au réchauffement planétaire visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il a affirmé qu'il n'y aurait AUCUN DÉBAT concernant la science derrière le nouvel ordre du jour. Gore a délibérément fait taire toute opposition.
Le Conseil du développement durable du président devait se concentrer EXCLUSIVEMENT sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre en intégrant l’économie américaine à son ordre du jour. Le Conseil est passé du développement économique au développement environnemental même si cela réduirait le développement économique. Gore a renversé l'objectif du Conseil en faveur d'un réchauffement climatique et s'est ensuite fixé pour objectif de créer une crise pour renforcer le contrôle et le pouvoir du gouvernement. Cela ne peut se produire qu'en cas de crise, que Gore a ensuite fabriquée.
Pour concrétiser le nouvel agenda, la stratégie de Gore consistait à purger le gouvernement de tous ceux qui désapprouvaient ou s’opposaient de toute façon à son agenda. Il a inculqué, non pas la peur de Dieu, mais la peur de Gore à tous les hauts responsables gouvernementaux des agences, parmi lesquelles le ministère de l'Énergie, l'Agence de protection de l'environnement, l'Agence nationale de la science.
Pour concrétiser le nouvel agenda, la stratégie de Gore consistait à purger le gouvernement de tous ceux qui désapprouvaient ou s’opposaient de toute façon à son agenda. Il a inculqué, non pas la peur de Dieu, mais la peur de Gore à tous les hauts responsables gouvernementaux des agences telles que le ministère de l'Énergie, l'Agence de protection de l'environnement, la Fondation nationale des sciences, le ministère de l'Éducation, la National Oceanic and Atmospheric Administration et Administration Nationale de l'Espace et de l'Aéronautique. Leur financement serait réduit s'ils n'adoptaient pas le programme de Gore.
Lorsque le physicien William Happer, qui était directeur de la recherche énergétique au département de l'énergie, témoigna devant le Congrès en 1993 en désaccord avec Al Gore, il fut immédiatement renvoyé. Harper a ensuite commenté: «J'ai eu le privilège d'être viré par Al Gore car j'ai refusé de suivre son alarmisme. Je n'avais pas tellement besoin du travail.
La machine de propagande d’Al Gore a été incroyable. En tant que vice-président, il a changé le monde entier alors que Bill était préoccupé par la file de filles qui attendaient leur tour à la Maison-Blanche. Sa valeur nette est passée de 2 millions de dollars à environ 300 millions de dollars. Son film, Une vérité qui dérange, lui a même rapporté 24 millions de dollars avec ses prévisions apocalyptiques qui sont embarrassantes aujourd'hui. Il a ensuite remporté le prix Nobel de la paix en 2007, prix qui n'est pas attribué à la paix, mais à l'ordre du jour qu'ils souhaitent promouvoir à tout moment. Ce prix lui a été décerné conjointement avec le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) «pour leurs efforts visant à développer et à diffuser davantage de connaissances sur le changement climatique provoqué par l'homme et à jeter les bases des mesures nécessaires pour contrecarrer ce changement. ”
RépondreSupprimerCe qui est vraiment étonnant, c'est qu'Al Gore n'est ni un scientifique ni un climatologue. Pourtant, Gore est considéré comme le principal expert malgré le fait que son programme en matière de changement climatique n’était qu’une fraude et qu’on l’imposait délibérément pour accroître le pouvoir du gouvernement.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/martin-armstrong-slams-al-gores-deliberate-global-warming-fraud-increase
Supprimer(...) La Charte a été révisée le 25 avril 1997 et la «portée des activités» a été radicalement modifiée. Gore a indiqué que le programme devait être EXCLUSIVEMENT un programme relatif au réchauffement planétaire visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il a affirmé qu'il n'y aurait AUCUN DÉBAT concernant la science derrière le nouvel ordre du jour. Gore a délibérément fait taire toute opposition. (...)
Appelée le 'Traité de Kyoto' où l'escroc avait invité une centaine de scientifiques qui avait envoyé leur réponse quant à 'Quel sera le climat de la Terre dans les prochains temps ?'
Après une photo sur l'estrade, l'escroc leur a demandé de redescendre s'asseoir dans la salle et de l'écouter. Or, son discours parlait du contraire de TOUS les rapports !!!
"C'est toi qui a dit çà ?" "Moi ? Jamais de la vie ! La Terre va se refroidir !" "Mais alors, pourquoi parle t-il du 'Global Warming' ??!"
Et, comme l'escroc était milliardaire, il a investit dans la presse et publié de FAUX rapport émanant de scientifiques. A cette époque, peu de gens avait Internet aux États-Unis. Mais, les scientifiques ont pu se téléphoner, se faxer, correspondre pour lancer une pétition contre l'escroc:
http://www.petitionproject.org
Puis, d'autres escrocs (de la nazional socialiste) arrivèrent jusqu'à faire payer l'air respiré (taxe 'carbone') !
CHIMIE - LONZA VA PRODUIRE DES DÉRIVÉS DE CANNABIDIOL
RépondreSupprimerUn dérivé synthétique d'une substance présente dans le cannabis va servir au traitement de la sclérose en plaques.
Le groupe chimique va produire des capsules remplies d'un dérivé de cannabidiol.
13.02.2019, 16h17
Le chimiste et sous-traitant de l'industrie pharmaceutique Lonza va produire un dérivé synthétique du cannabidiol, un cannabinoïde présent dans le cannabis, pour le traitement de la sclérose en plaques et la sclérodermie systémique, a annoncé mercredi le groupe bâlois.
Selon les termes du contrat conclu avec l'américain Emerald Health Pharmaceuticals, la filiale Lonza Pharma & Biotech va synthétiser l'ingrédient pharmaceutique actif et développer le produit sous forme de capsules remplies de liquide, a précisé la société dans un communiqué. Les détails financiers de l'accord n'ont pas été révélés.
Emerald Health Pharmaceuticals, dont le siège est à San Diego en Californie, est spécialisé dans le développement de médicaments à base de cannabinoïde, destinés au traitement de maladies graves comme les diverses formes de scléroses, ainsi que les maladies de Huntington et de Parkinson. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/economie/lonza-produire-derives-cannabidiol/story/30140221
Qu’appelle-t-on le THC ?
SupprimerLe THC (9 - tétrahydrocannabinol) est la principale substance responsable des effets pharmacologiques du cannabis chez l’homme. C'est le principe actif contenu dans le cannabis et ses différents composés.
Il existe deux variétés de chanvre, se différenciant l'une de l'autre par le taux de THC qu'elles contiennent: Le chanvre textile (cannabis sativa), cultivé sous nos latitudes depuis des siècles, ne contient que des taux insignifiants de THC. Le chanvre indien (cannabis indica) qui poussait à l'orgine sur les versants de l'Himalaya sécrète lui beaucoup plus de résine pour se protéger de la sécheresse, résine recelant le THC. C'est cette variété qui a été sélectionnée et manipulée génétiquement pour obtenir des produit avec des taux élevés de substance psychotrope.
Les effets du THC proviennent de la liaison de cette substance avec des récepteurs cannabinoïdes présents dans l’organisme (Reynaud, 2004). Il est intéressant de noter que dans « l’histoire des drogues », sa découverte est extrêmement récente, puisque le THC n’est isolé qu’en 1964 (Mechoulam et Gaoni). A titre de comparaison la découverte du principe actif de la cocaïne et de l’héroïne remonte à la fin du XIXème sciècle.
Variation des taux de THC
La concentration en THC du cannabis est variable. Les taux retrouvés à l’état naturel oscillent entre 0.5 et 5%.
Au cours des 20 dernières années, des techniques sophistiquées de culture (hydroponique) ont permis d’augmenter considérablement ces taux. Le rapport de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM, 2001) précise que des échantillons plus concentrés ont été collectés (jusqu’à 31% pour la résine et 22% pour l’herbe). Dans les années 1960-70, un « joint moyen » contenait 10 mg de THC, actuellement il peut en contenir jusqu'à 150 (Ashton, 2001). Une étude suisse indique que le taux moyen serait de 15% (Killias et al., 2004).
Nous rappelons que plus la concentration en THC est élevée plus les effets psychoactifs sont importants.
Action du THC sur l'organisme
Les effets pharmacologiques du THC se produisent en activant un système cannabinoïde endogène composé de substances neurochimiques et de récepteurs spécifiques. Deux types de récepteurs ont été caractérisés : CB1 et CB2 (INSERM, 2001).
Les récepteurs CB1 sont distribués de façon hétérogène dans l’organisme avec une plus forte concentration dans les structures cérébrales impliquées, notamment, dans la mémoire, la coordination motrice, mais aussi dans le traitement des informations relatives à la douleur. Des récepteurs CB1 sont aussi présents dans les structures qui participent au contrôle des émotions ou qui composent le circuit de la récompense. Le CB2 est présent dans l’ensemble du système immunitaire (Reynaud, 2004 [arrow_up]).
Progressivement, la recherche a permis la découverte d’un système cannabinoïde endogène dont la compréhension des mécanismes continue d’être approfondie. Une étape supplémentaire a été atteinte en 1992, lorsque Devane et son équipe identifient un neurotransmetteur (également appelé ligand) qui agit sur les récepteurs CB1 et CB2.
Supprimer«Ce neurotransmetteur a été nommé plus tard « anandamide », du sanskrit ananda, qui signifie bonheur (Reynaud, 2004 [arrow_up]) ».
Références
Ashton CH., 2001. Pharmacology and effects of cannabis: a brief review. Br J Psychiatry. Feb;178:101-6.
Inserm, 2001. Synthèse du rapport « Cannabis Quels effets sur le comportement et la santé ? ».Paris.
Killias M, Isenring G-L (2004). Etude sur le marché du cannabis : rapport sur l’étude des achats fictifs auprès de magasins spécialisés dans les produits à base de chanvre. Lausanne : Université de Lausanne, Institut de criminologie et de droit pénal.
Pertwee RG. 1997. Pharmacology of cannabinoid CB1 and CB2 receptors. Pharmacol Ther.;74(2):129-80. [arrow_up]
Reynaud, M. et al., 2004. Cannabis et santé, vulnérabilité, dépistage, évaluation et prise en charge. Médecine-Sciences, Flammarion : Paris. [arrow_up]
NB: illustration tirée de www.evolutionquebec.com/.../cannabi/thc.gif
https://www.stop-cannabis.ch/le-cannabis-en-question/qu-est-ce-que-le-thc
Devinez où les travailleurs européens se battent le plus souvent
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 15/02/2019 - 01:00
Cette semaine, le système de santé irlandais a sombré dans le chaos, les infirmières ayant tenu trois jours consécutifs de grève.
- voir photos sur site -
L’Organisation irlandaise des infirmières et des sages-femmes a déjà organisé trois grèves de 24 heures consécutives sur la rémunération, le recrutement et le maintien en poste du personnel. Des milliers de patients ont déjà vu leurs rendez-vous médicaux perturbés et de nombreuses opérations ont été annulées.
Toutefois, comme le note Niall McCarthy de Statista, les données de l'Institut syndical européen montrent que si bouleversantes soient les perturbations, les Irlandais ne sont pas le pire pays en Europe en matière d'action revendicative ...
- voir graphique sur site -
Infographie: Les travailleurs européens frappent le plus souvent la grève | Statista
Entre 2010 et 2017, 17 jours en moyenne n'ont pas été travaillés en raison d'une action collective par 1 000 employés. Chypre a enregistré le nombre moyen de jours perdus le plus élevé en raison de grèves au cours de cette période - 316.
La France est bien connue pour ses actions syndicales et elle est arrivée en deuxième position avec 125 jours non travaillés.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/guess-where-european-workers-go-strike-most-frequently
L'action des français envers la dictature au pouvoir se fait sans grève du travail et se tient le samedi dans toutes les villes de France.
SupprimerIls protestent contre ceux qui tuent volontairement et handicapent à vie des centaines de françaises et de français ! La contestation veut que la république soit abolie et que la Démocratie existe en France comme elle l'est en Suisse (seul pays au monde en Démocratie !).
Des experts de l’Onu dénoncent les restrictions des droits des manifestants en France
RépondreSupprimer08:14 15.02.2019
Dans la foulée de la condamnation par les députés européens, jeudi 14 février, de l’usage disproportionné de la force par la police pendant les manifestations, sans cependant cibler un État membre, les restrictions «disproportionnées» des droits des manifestants lors des mobilisations des Gilets jaunes ont été dénoncées par des experts de l’Onu.
Le droit de manifester en France a été restreint de manière disproportionnée lors des mobilisations des Gilets jaunes, et Paris devrait revenir sur ses politiques de maintien de l'ordre pour garantir l'exercice des libertés, a indiqué un groupe d'experts des droits de l'homme de l'Onu, dans un communiqué de presse diffusé jeudi 14 février.
Le communiqué déplore des cas graves d'usage excessif de la force depuis le début du mouvement de contestation en novembre 2018.
Selon ses auteurs, «les restrictions imposées aux droits ont également entraîné un nombre élevé d'interpellations et de gardes à vue, des fouilles et confiscations de matériel de manifestants, ainsi que des blessures graves causées par un usage disproportionné d'armes dites "non-létales" telles que les grenades et les lanceurs de balles de défense ou flashballs».
Les experts affirment que garantir l'ordre public et la sécurité dans le cadre de mesures de gestion de foule ou d'encadrement des manifestations implique la nécessité de respecter et de protéger les manifestants qui se rendent pacifiquement à une manifestation pour s'exprimer.
«Il est très inquiétant de constater qu'après des semaines de manifestations, les restrictions et tactiques de gestion des rassemblements et du recours à la force ne se soient pas améliorées», ont-ils ajouté.
«La proposition d'interdiction administrative de manifester, l'établissement de mesures de contrôle supplémentaire et l'imposition de lourdes sanctions constituent de sévères restrictions à la liberté de manifester. Ces dispositions pourraient être appliquées de manière arbitraire et conduire à des dérives extrêmement graves», ont souligné les experts à propos de la loi «anti-casseurs» estimant qu'elle ne serait pas conforme avec le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, dont la France est signataire.
Ils trouvent que la France devrait «repenser ses politiques en matière de maintien de l'ordre».
«Nous encourageons les autorités françaises à ouvrir des voies de dialogue afin d'atténuer le niveau de tension et de reconnaître le rôle important et légitime que les mouvements sociaux jouent dans la gouvernance», ont conclu les experts de l'Onu.
Le même jour, les députés européens ont adopté une résolution condamnanrt l'usage «disproportionné» de la force par la police dans les manifestations, sans cependant cibler un État membre.
Celle-ci, votée par 438 voix pour, 78 contre et 87 abstentions, dénonce «le recours à des interventions violentes et disproportionnées de la part des autorités publiques lors de protestations et de manifestations pacifiques».
https://fr.sputniknews.com/international/201902151040029128-experts-denonciation-restrictions-droits-manifestants-france/
Pétrole, agriculture et impérialisme: éviter la voie rapide vers Armageddon ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 22:40
Écrit par Colin Todhunter via Off-Guardian.org,
Le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, John Bolton, a plus ou moins admis que la déstabilisation actuelle du Venezuela revenait à s'emparer de son pétrole. Il a récemment déclaré:
Nous examinons les actifs pétroliers… Nous discutons avec de grandes entreprises américaines maintenant… Cela ferait une grande différence pour les États-Unis sur le plan économique si les sociétés pétrolières américaines pouvaient vraiment investir et produire les capacités pétrolières au Venezuela. ”
Juan Guaido, le prétendu leader imminent des États-Unis, a pour objectif de faciliter le processus et d'inaugurer un programme de "privatisation de masse" et d '"hyper-capitalisme" à la demande de ses maîtres instigateurs d'un coup d'Etat à Washington, détruisant ainsi la révolution socialiste menée par le regretté Hugo Chavez et son retour à un système économique capitaliste contrôlé par des oligarques.
On peut se demander qui est Bolton, ou qui que ce soit aux États-Unis, pour dicter et concevoir ce que devrait être l'avenir d'un autre État souverain. Mais c’est ce que les États-Unis font dans le monde entier depuis des décennies. Son impérialisme sanglant, ses déstabilisations, ses coups d'État, ses assassinats, ses invasions et ses interventions militaires ont été abondamment documentés par William Blum.
Bien sûr, bien que le pétrole soit la clé de l'analyse actuelle des événements au Venezuela, il existe également le sous-texte géopolitique de la dette, des prêts ainsi que de l'investissement et du levier russes dans le pays. Dans le même temps, il faut comprendre que le capitalisme dirigé par les États-Unis traverse une crise de surproduction: lorsque cela se produit, le capital doit s’étendre sur de nouveaux marchés ou créer de nouveaux marchés, ce qui oblige des pays comme le Venezuela à se plier à l’hégémonie américaine et à ouvrir ses portes. économie.
Pour le capitalisme américain, le pétrole est certainement roi. Le pétrole maintient sa prospérité, le dollar servant de monnaie de réserve mondiale. La demande pour le billet vert est garantie car la plupart des échanges internationaux (en particulier et de manière significative le pétrole) sont effectués en dollars. Et ceux qui s'en éloignent sont généralement la cible des États-Unis (le Venezuela en est un exemple).
L’hégémonie mondiale américaine dépend du maintien du rôle de premier plan du dollar par Washington. S'engageant dans le recyclage des pétrodollars et le «super-impérialisme» lié aux obligations du Trésor sont réunis à la hanche et ont permis aux États-Unis de créer un énorme déficit de leur balance des paiements (un tour gratuit offert par le reste du monde) en utilisant le dollar de papier comme garantie en soi.
Plus généralement, grâce à son contrôle et à sa manipulation de la Banque mondiale, du FMI et de l’OMC, les États-Unis ont été en mesure de tirer parti des systèmes commercial et financier internationaux par divers moyens (voir par exemple cette analyse de l’argent pétrolier de l’Arabie saoudite par Dette africaine). Le capitalisme américain ne permettra pas que sa domination mondiale et le rôle du dollar soient remis en question.
Malheureusement pour l'humanité et pour toute la vie sur la planète, les États-Unis jugent nécessaire d'essayer de prolonger son hégémonie (en déclin) et l'âge du pétrole.
RépondreSupprimerHUILE, EMPIRE ET AGRICULTURE
Dans l’article «Et vous pensiez que la Grèce avait un problème», Norman Pagett note que l’ascendance des hommes modernes et industrialisés, grâce au pétrole, a été un bref éclair qui nous a brièvement sortis du bourbier du Moyen-Âge. Ce que nous appelons la civilisation moderne à l'ère du pétrole est fragile et il devient de plus en plus difficile et coûteux d'extraire les réserves de pétrole restantes. L'ère du pétrole est un facteur de changement climatique, c'est clair. Ce qui est également troublant, c’est que le régime alimentaire mondial moderne dépend du pétrole, notamment en ce qui concerne le transport inutile de produits de base et de produits à travers la planète et la dépendance croissante vis-à-vis de semences exclusives conçues pour être utilisées avec des produits agrochimiques dérivés du pétrole. compter sur les combustibles fossiles lors de leur fabrication.
Pratiquement tous les processus du système alimentaire moderne dépendent maintenant de cette ressource limitée:
De grandes quantités de pétrole et de gaz sont utilisées comme matières premières et comme énergie dans la fabrication d’engrais et de pesticides, et comme énergie bon marché et facilement disponible à tous les stades de la production alimentaire: depuis la plantation, l’irrigation, l’alimentation et la récolte, jusqu’à la transformation, la distribution et la transformation. emballage. En outre, les combustibles fossiles sont essentiels à la construction et à la réparation des équipements et infrastructures nécessaires pour faciliter cette industrie, notamment les machines agricoles, les installations de traitement, les entrepôts, les navires, les camions et les routes. Le système d'approvisionnement alimentaire industriel est l'un des plus gros consommateurs de combustibles fossiles et l'un des plus grands producteurs de gaz à effet de serre. ”
Norman J Church (2005)
Pagett note que les pièges de la civilisation n’ont pas modifié la seule règle de l’existence: si vous ne produisez pas de nourriture à partir de la terre à titre personnel, votre vie dépendra de la conversion de la lumière du soleil en nourriture pour vous. Considérez que les villes brillantes de l’Arabie dans le désert sont bâties sur son pétrole. Il vend de l'huile contre de la nourriture. Il y a ensuite le Royaume-Uni, qui doit importer 40% de sa nourriture, et une grande partie du reste dépend du pétrole pour la produire, qui doit également être importée. Pagett note que, si certains parlent de la fin de l'ère du pétrole, peu de gens la lient ou la décrivent comme la fin de l'âge alimentaire.
Sans pétrole, nous pourrions survivre - mais pas en poursuivant le modèle de "croissance" que la Chine ou l’Inde appliquent, ou que l’Occident a appliqué. Sans une agriculture durable et saine, cependant, nous ne survivrons pas. Détruire l'agriculture, ou plus précisément les ressources pour produire de la nourriture de manière durable (climat, accès à l'eau douce et aux semences locales, savoir-faire traditionnel, savoir-faire et pratiques transmis de génération en génération, fertilité des sols, etc.), c'est ce que nous sommes faire, et nous serons en difficulté.
Le régime alimentaire mondial en vigueur basé sur le pétrole va de pair avec le modèle de "développement" basé sur le pétrole et mal orienté que nous observons dans des pays comme l’Inde. Un tel développement repose sur un paradigme démodé de «croissance»:
Nos politiciens nous disent que nous devons maintenir la croissance de l’économie mondiale à plus de 3% par an - le minimum nécessaire pour que les grandes entreprises puissent réaliser des bénéfices globaux. Cela signifie que tous les 20 ans, nous devons doubler la taille de l'économie mondiale: doubler le nombre de voitures, doubler la pêche, doubler l'exploitation minière, doubler le nombre de McFlurries et doubler le nombre d'iPad. Et puis les doubler à nouveau au cours des 20 prochaines années par rapport à leur état déjà doublé. "
RépondreSupprimerJason Hickel (2016)
Comment pouvons-nous essayer d'éviter les conséquences catastrophiques potentielles d'une telle approche, y compris ce qui semble être un conflit nucléaire de plus en plus probable entre des puissances impériales concurrentes?
Nous devons sortir du militarisme et des conflits générateurs de ressources en réorganisant les économies afin que les pays vivent dans les limites de leurs moyens environnementaux. Nous devons maximiser le bien-être humain tout en réduisant activement les niveaux de consommation et notre empreinte écologique.
Certains pourraient à ce stade être surpris par l'accent mis sur l'agriculture. Mais ce que beaucoup oublient, c’est que l’essentiel de cet argument réside dans la reconnaissance non seulement du rôle essentiel que l’agriculture a joué dans la réalisation des objectifs géopolitiques des États-Unis, mais également de son potentiel de transformation de nos valeurs et de notre mode de vie. Nous avons besoin d'un changement majeur du modèle actuel d'agriculture industrialisée et de production alimentaire. En plus d’être un important émetteur de gaz à effet de serre, il a conduit à une mauvaise alimentation, à une mauvaise santé et à une dégradation de l’environnement. Il est soutenu depuis des décennies par un programme de politique étrangère des États-Unis qui engendre un déficit Banque mondiale, FMI et stratégies "d'aide". Par exemple, voir Semer les graines de la famine en Éthiopie de Michel Chossudovsky et Détruire l’agriculture africaine de Walden Bello.
Le contrôle de l’agriculture mondiale est un tentacule de la stratégie géopolitique du capitalisme américain. La Révolution verte a été exportée par des intérêts riches en pétrole et les pays plus pauvres ont adopté le modèle d’agriculture dépendant des produits chimiques de l’agriculture, qui nécessitait des prêts pour les intrants et le développement des infrastructures connexes. Cela impliquait de piéger les nations dans un système mondialisé de servitude pour dettes, de truquer des relations commerciales et de vider de son empreinte les économies nationales et locales. En effet, nous avons assisté à la commercialisation transnationale par les entreprises et au déplacement de systèmes de production localisés.
Les marchés agricoles occidentaux sont ouverts ou étayés par le militarisme (Ukraine et Irak), l’ajustement structurel, les emprunts conditionnels (Afrique) et les accords commerciaux biaisés (Inde). Agricapital met en place un programme mondialisé qui répond à ses intérêts et élimine les obstacles à la rentabilité. Et peu importe le degré de dévastation qui en résulte ou la non-durabilité de son régime alimentaire, la «gestion de crise» et «l’innovation» alimentent le tapis roulant qu’il cherche à imposer.
Mais comme le dit Norman J Church, la mondialisation et le contrôle exercé par les entreprises qui menacent gravement la société et la stabilité de notre environnement ne sont possibles que parce que de l’énergie bon marché est utilisée pour remplacer le travail et permet d’allonger la distance entre le producteur et le consommateur.
Nous devons mettre davantage l’accent sur une production alimentaire enracinée dans les principes de localisation, d’autosuffisance, d’agriculture régénératrice (séquestration du carbone) et d’agroécologie (politique) et reconnaître la nécessité de tenir compte des ressources communes (sol, eau, semences, terres, forêts), autres ressources naturelles, etc.) en tant que véritable richesse commune contrôlée démocratiquement. Cette approche offrirait des solutions concrètes, concrètes (atténuation du changement climatique, création d’emplois en Occident et ailleurs, régénération de l’agriculture et des économies dans les pays du Sud, etc.) à de nombreux problèmes mondiaux qui vont au-delà de l’agriculture.
RépondreSupprimerCela poserait un défi majeur au régime alimentaire mondial existant et à la doctrine doctrinaire moribonde en vigueur qui sert les intérêts des sociétés pétrolières et des institutions financières occidentales, de l’agroalimentaire mondial et des principales entreprises d’armement. Ces intérêts solidaires et égoïstes ont réussi à mettre en place un système mondial de guerre, de pauvreté et d’insécurité alimentaire.
La déréglementation des flux de capitaux internationaux (libéralisation financière) a transformé le monde en un pays libre pour le capital mondial. La montée en puissance du militarisme américain se situe au bout d'un programme néolibéral de déréglementation / pro-privatisation qui a saccagé les budgets publics, réduit les salaires, augmenté le crédit aux consommateurs et aux gouvernements (pour soutenir les dépenses et la consommation) et à la spéculation financière débridée. Ce militarisme implacable est maintenant devenu un moteur majeur de l'économie américaine.
Des millions de personnes sont mortes en Irak, en Syrie, en Libye et en Afghanistan, alors que les États-Unis et leurs alliés perpétuent ce qu’ils considèrent comme un «grand jeu» moderne. Et maintenant, dans ce qu’ils considèrent avec arrogance comme leur propre arrière-cour, les États-Unis sont en train d’encourager un autre coup et une possible attaque militaire.
Certains politiciens occidentaux et les médias répètent des affirmations sans fondement sur le président Maduro, comme ils l’ont fait avec Assad, Saddam Hussein, Kadhafi et comme ils le font à propos de «l’agression russe». Tout pour quoi ? Ressources, pipelines, pétrole et gaz. Et ces guerres et conflits et les mensonges qui les justifient ne feront que s'aggraver à mesure que la demande de ressources dans le monde grandira dans un contexte d'épuisement.
Nous avons besoin d'un système économique différent, sobre en énergie et en carbone, fondé sur un ensemble de valeurs différent. Alors que les États-Unis accroissent les tensions au Venezuela, nous assistons encore à la persistance du même état d'esprit impérialiste qui a conduit à deux guerres mondiales dévastatrices.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/oil-agriculture-imperialism-averting-fast-track-armageddon
Supprimer(...) Pratiquement tous les processus du système alimentaire moderne dépendent maintenant de cette ressource limitée: (...)
LE PÉTROLE EST ABIOTIQUE ! C'est-à-dire ILLIMITÉ !
Des débris radioactifs de Fukushima ramassés pour la première fois par un robot télécommandé
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 22:20
Un robot télécommandé envoyé dans les entrailles d'un réacteur nucléaire en fusion à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a pour la première fois ramassé des morceaux de débris radioactifs de la taille d'un galet, selon l'AFP.
- voir sur site -
Mercredi, l'opérateur Tokyo Electric Power (TEPCO) a envoyé une sonde télécommandée au fond du réacteur n ° 2 de l'usine et a soulevé deux petits débris radioactifs de deux pouces.
"Nous avons pu confirmer que les débris de carburant pouvaient être déplacés", a déclaré la porte-parole, Yuka Matsubara, avant d'ajouter que "nous avons atteint l'objectif de ce test".
Matsubara dit que TEPCO prévoit de déplacer plus de débris d’ici mars prochain.
Des robots ont déjà scruté l'intérieur du réacteur pour permettre à des experts d'évaluer le combustible fondu de manière visuelle, mais le test de mercredi était la première tentative d'évaluation de la fragilité de la matière hautement radioactive.
L'élimination du combustible fondu est considérée comme la partie la plus difficile de l'opération de nettoyage massive à la suite de la pire catastrophe nucléaire depuis Tchernobyl.
Elle ne devrait pas commencer avant 2021 et TEPCO doit résoudre d'autres problèmes, notamment comment éliminer de grandes quantités d'eau contaminée stockée dans des conteneurs sur le site de l'usine. -AFP
Le séisme (tremblement de terre magn.9) et le tsunami (ras-de-marée) de 2011 à Tohoku ont balayé le Japon continental et tué plus de 15 000 personnes, détruisant les générateurs d'urgence du site de Fukushima. En l'absence d'électricité, les opérateurs de la centrale ont été incapables de refroidir - entraînant la fusion des unités 1, 2 et 3, ainsi que des explosions d'hydrogène et l'air et le rejet de matières radioactives dans l'air et dans l'océan Pacifique.
Selon Gizmodo, la partie la plus difficile du nettoyage du site consistera à faire face au rayonnement intense provenant du combustible fondu. En février 2017, un robot télécommandé est devenu insensible après deux heures d'exposition à l'intérieur du réacteur n ° 2. Des radiations atteignant 650 tamis par heure seraient suffisantes pour tuer un être humain en quelques secondes.
- voir sur site -
Illustration montrant comment les débris radioactifs provenant de la cuve sous pression du réacteur s'accumulent au fond de la cuve de confinement primaire.
Image: Tepco via Gizmodo
L'année dernière, une sonde télécommandée avec une caméra a été renvoyée dans le réacteur n ° 2, confirmant que les débris de combustible avaient en fait fondu dans une zone de confinement appelée cuve sous pression du réacteur (RPV), également appelée cœur de réacteur, et en ont fait son jusqu’au récipient de confinement primaire (PCV).
Les images de la chambre montraient des dépôts de cailloux et d’argile recouvrant tout le fond du socle en PCV. Ces déchets accumulés, ainsi que les piles similaires des réacteurs nos 1 et 3, doivent être nettoyés, et Tepco tente actuellement de déterminer le meilleur moyen de le faire.
À cette fin, la société d'État a mis au point une opération pour voir à quoi ressemble ce matériau et déterminer s'il peut être déplacé. Le mercredi 13 février, Tepco a envoyé une sonde équipée d'une main robotisée télécommandée dans la chambre basse n ° 2, rapporte le Japan Times. À l'aide de ses doigts en forme de pince, la sonde a ramassé cinq morceaux de combustible fondu radioactif. L'AFP a rapporté que les pièces avaient été déplacées à une hauteur maximale de 5 cm au-dessus du fond de la chambre. En plus de prendre des images avec une caméra, la sonde a mesuré le rayonnement et la température au cours de l'enquête, selon un communiqué de Tepco.
-Gizmodo
RépondreSupprimerSelon le Japan Times, TEPCO envisage de procéder à un autre test en avril pour éliminer certains débris de la chambre et espère pouvoir commencer à retirer les matières radioactives de la chambre d’ici 2021.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/radioactive-fukushima-debris-picked-remote-controlled-robot-first-time
(...) En l'absence d'électricité, les opérateurs de la centrale ont été incapables de refroidir - entraînant la fusion des unités 1, 2 et 3, ainsi que des explosions d'hydrogène et l'air et le rejet de matières radioactives dans l'air et dans l'océan Pacifique. (...)
SupprimerEn l'absence d'électricité parce que les lignes électrique étaient extérieures et ne permettaient pas d'approvisionner les pompes (noyées bâties en sous-sol !!) !
L'absence donc d'eau dans les réacteurs à donc fait passer la température intérieure de 300 à 3000 °C et fait fondre les tubes (crayons) verticaux de 4 m qui contiennent chacun env. 400 pastilles d'Uranium (1 t. équivalent pétrole par pastille de 7 gr). L'Uranium fondu et les tubes en zirconium ont formé le corium. Cette confiture brûlante dans le cuvier est descendu sous terre.
Dans le même temps, la fonte des tubes a libéré du gaz hydrogène dans les réacteurs, d'où l'explosion par déchapeautage de chaque réacteur.
Les Américains continuent de fuir vers des États à faibles taux d'imposition
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 18:40
Écrit par Ryan McMaken via le Mises Institute,
Selon les dernières données du Census Bureau sur les flux migratoires d'un État à l'autre, 523 000 personnes ont émigré en Californie en provenance d'autres États. Mais dans le même temps, plus de 661 000 Californiens ont été transférés dans d'autres États.
- voir graphique des états migrants et immigrants sur site -
Autrement dit, près de 138 000 personnes de plus ont quitté la Californie que d’autres États-Unis.
Pourtant, la Californie n'est pas le pire à cet égard.
L’Illinois et New York ont ??perdu encore plus de résidents au profit d’autres États, avec des pertes nettes totales de 144 000 et 167 000 respectivement.
Ces chiffres renforcent ce qui est devenu une tendance bien enracinée parmi les résidents américains qui passent d’États à taux d'imposition élevé à des États à taux d'imposition faible.
En fait, parmi les dix premiers États ayant fui le plus grand nombre d'Américains, sept sont des États qui se classent parmi les 15 premiers États pour ce qui est du fardeau fiscal le plus lourd - selon le dernier rapport de la Tax Foundation sur les impôts locaux et locaux . New York est classé au pire rang dans le pays, tandis que la Californie est classée au quatrième rang.
- voir graphique des états migrants et immigrants sur site -
À l'autre extrémité du spectre se trouvent des États dont le fardeau fiscal est beaucoup plus modeste. La Floride, qui figure en tête de liste avec un total net de 118 000 nouveaux résidents d'autres États, est classée par la Tax Foundation parmi les 31e plus lourd fardeau fiscal. L'Arizona, au deuxième rang, avec 98 000 nouveaux résidents d'autres États, se classe au 34e rang encore mieux. Le Texas est presque mort au dernier rang (au bon sens) au 47e rang. Même l'État de Washington, qui a recruté près de 62 000 nouveaux résidents États, est classé au milieu au numéro 27. (L’Oregon est une exception, car il est classé au 16ème rang des plus lourdes charges fiscales du pays.)
Les États à faible taux d'imposition tendent également à être plus favorables au secteur privé, ainsi qu'à l'ouverture et à la gestion d'une entreprise. En effet, la "liberté économique", en termes généraux, peut également influer sur les déplacements des employés et des employeurs potentiels. Comme on pouvait s'y attendre, dans le dernier rapport de l'Institut Fraser sur la «liberté économique de l'Amérique du Nord», la Californie se classe au 47e rang des États «les plus libres», tandis que le Texas se classe au troisième rang.
Certains des États perdants l'ont certainement remarqué. En novembre dernier, l'abeille de Sacramento a déclaré "En 2017, plus de personnes ont quitté la Californie que ne sont venues s'installer ici." La nouvelle est toutefois nuancée. The Bee a également remarqué que les personnes qui s'installaient en Californie avaient tendance à être plus instruites et à avoir un revenu plus élevé que les personnes qui partaient. Cela peut être bon pour les recettes fiscales, bien que cela augmente également l'inégalité des revenus (que les politiciens californiens prétendent haïr), tout en faisant potentiellement augmenter davantage les prix du logement dans les zones les plus en demande.
Plus récemment, des responsables de l'État de New York ont ??imputé le déficit budgétaire à un exode de contribuables et ont "cité des informations anecdotiques selon lesquelles des New-Yorkais auraient quitté l'État ou changé de résidence principale". En gros, trop de New-Yorkais s’installent en Floride.
Jusqu'à présent, nous n'avons cependant étudié que les flux migratoires d'un État à l'autre. Si nous incluons l'immigration entrante de pays étrangers et la croissance naturelle liée aux naissances, la perte de population comparée de la Californie disparaîtra, même si l'Illinois et New York restent toujours en territoire négatif.
RépondreSupprimerMardi, par exemple, Jonathan Williams de The Hill a déclaré que "les Américains continuent leur marche vers les États à faible taux d'imposition".
En utilisant les changements de population globaux de (toutes sources) de 2017 à 2018, il note
Encore une fois, le Texas et la Floride ont été les grands gagnants des gains globaux de population: le Lone Star State a gagné plus de 379 000 résidents de 2017 à 18 ans et le Sunshine State, un gain de plus de 322 000.
New York, qui a perdu 48 510 résidents, et l’Illinois, qui en a perdu 45 116, ont été les grands perdants de ce rapport.
Williams ne fournit aucun détail ou visuel au-delà d'une poignée d'états. Je l'ai donc fait pour vous, en utilisant les mêmes données que Williams:
- voir graphique des états migrants et immigrants sur site -
La Californie s'en tire mieux avec ces mesures, mais la Floride et le Texas également, qui reçoivent également un grand nombre de migrants de l'étranger.
Ainsi, même si l’on ajoute la migration étrangère, les États à imposition modérée ou modérée tendent toujours à figurer en tête de liste.
Il ne fait aucun doute que les migrations en provenance d'autres pays contribuent à maintenir la croissance démographique dans un certain nombre d'États à taux d'imposition élevé.
Si nous excluons la croissance naturelle des naissances et si nous ne regardons que les personnes qui sont venues d’ailleurs (y compris à l’étranger), nous constatons que les États fortement taxés que sont la Californie, le Massachusetts, le Minnesota et le New Jersey passent tous d’un territoire négatif à un territoire positif:
- voir graphique des états migrants et immigrants sur site -
Certes, la fiscalité n'est pas le seul facteur pris en compte lors du déménagement. Le climat et la proximité de la famille sont des considérations communes, et ce n'est probablement pas une coïncidence si la plupart des États figurant dans le top 10 sont des États dotés de grandes villes et de nombreux emplois pour des travailleurs qualifiés. Le coût de la vie est également un facteur important, ce qui a été particulièrement problématique pour la Californie, qui abrite nombre des villes les plus notoirement inabordables d'Amérique. Cela explique en partie pourquoi les résidents à faible revenu fuient la Californie et les résidents les plus aisés. Vivre en Californie est devenu un luxe offert principalement aux ouvriers des technologies de pointe et aux employés du gouvernement qui bénéficient d'abondantes prestations et pensions financées par les contribuables.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/americans-continue-flee-low-tax-states
La réalité socialisée des soins de santé exposée: 30 000 morts en raison de la longueur record des temps d'attente dans les hôpitaux
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 18:00
Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Les dirigeants du NHS (Services de santé nationaux), responsables des services de santé socialisés au Royaume-Uni, ont déclaré que les temps d’attente des hôpitaux avaient atteint des longueurs record. Les temps d'attente dans les départements A & E en Angleterre le mois dernier ont été les plus bas depuis le début des records, malgré les pressions exercées par la grippe et le mauvais temps jusqu'à présent cet hiver, nettement inférieures à celles de 2018.
- voir graphique sur site -
Les chiffres devraient constituer un avertissement pour le gouvernement et les socialistes aux États-Unis. La médecine socialisée est conçue pour échouer. Aucun montant de gouvernement supplémentaire ne le réglera non plus. Le Royaume-Uni insiste sur le sous-financement chronique des soins sociaux et la crise croissante des effectifs qui crée des pressions dangereuses dans les hôpitaux. Cependant, les dépenses consacrées aux soins de santé au Royaume-Uni ont plus que doublé au cours des 18 dernières années, après ajustement pour tenir compte de l'inflation. Tout cela pose problème à cause de l'intervention du gouvernement, et la mauvaise nouvelle ne fera que s'aggraver, selon la source britannique d'informations, The Independent.
- voir graphique sur site -
Infographie: De plus en plus de gens sont obligés d'attendre par le NHS | Statista
Les histoires d’horreur du Royaume-Uni devraient dissuader les Américains d’accepter toute forme de payeur unique. Le service national de santé, qui a célébré son 70e anniversaire le 5 juillet, est en train d'imploser rapidement, selon Forbes.
Le NHS a du mal à doter ses hôpitaux et ses cliniques de tout son personnel depuis sa création en 1948. Mais aujourd'hui, la pénurie s'aggrave. 9% des postes de médecins sont vacants, ce qui représente un manque catastrophique et meurtrier de près de 11 500 médecins. Le NHS manque également de 42 000 infirmières. Au deuxième trimestre seulement, les postes vacants d’infirmières ont augmenté de 17%. Aux États-Unis, presque tous les États auront un surplus d’infirmières d’ici 2030. Les médecins et les infirmières ne veulent tout simplement pas travailler pour l’État, ce qui leur rend la vie bien trop difficile et leur travail bien trop pénible pour l’argent.
Et il n’est pas surprenant que des gens ne veulent pas travailler comme infirmières en Grande-Bretagne; c’est un travail stressant, avec de longues heures de travail et des conditions de travail épouvantables, le tout mis en œuvre par le contrôle autoritaire du gouvernement. Certaines infirmières du NHS occupent des postes dans les supermarchés, car la superposition d'étagères entraîne de meilleures heures, de meilleurs avantages et une meilleure rémunération, selon un rapport paru dans le London Economic. Imagine ça; un travail privé est bien supérieur à un travail gouvernemental.
- voir graphique sur site -
Infographie: les temps d'attente du NHS se sont éloignés | Statista
La pénurie de fournisseurs est la cause des longs délais d’attente. En mai 2018, 4,3 millions de personnes au Royaume-Uni étaient sur des listes d'attente pour une chirurgie, leur plus haut niveau en 10 ans. Et ces temps d'attente tuent des gens.
Une analyse couvrant seulement la moitié des hôpitaux anglais a révélé que près de 30 000 patients sont décédés au cours de la dernière année en attendant un traitement. Et selon Forbes, la situation ne fera qu’empirer.
RépondreSupprimerDans certains cas, le NHS a refusé de fournir un traitement. En juin 2018, le NHS England a annoncé qu'il cesserait de couvrir 17 interventions, y compris des amygdalectomies et des arthroscopies du genou pour des patients souffrant d'arthrose.
Si cela n’est pas assez grave, une fois qu’une personne reçoit effectivement un traitement, elle est incroyablement pauvre, même au regard des normes socialistes. Les patients des hôpitaux britanniques ont quatre fois plus de risques de mourir que ceux des États-Unis, selon une analyse des résultats de 2 000 interventions similaires réalisée par des chercheurs de l'University College London et de la Columbia University à New York.
«Les partisans de Medicare for All disent que le payeur unique fournit des soins gratuits et de haute qualité à tous. Les Britanniques qui restent sur les listes d'attente sans pouvoir obtenir les soins dont ils ont besoin risquent de différer. »- Sally Pipes, contributeur de Forbes
Parmi les patients les plus gravement atteints, la disparité était pire; les Britanniques les plus malades avaient sept fois plus de risques de mourir.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/socialized-healthcare-reality-exposed-30000-dead-due-record-long-hospital-waiting
Un mois d'attente aux urgence ! pour les autres c'est 1 an !
SupprimerL'arnaque 100% ObamasquéÔhéÔhé !
"Pas de repas gratuit" - Dernier restaurant socialiste "Payez ce que vous voulez" de Panera Shutters
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 17:40
Qui aurait pu voir cela venir ?
Neuf ans après avoir dévoilé sa vision socialiste de l'utopie des restaurants, Panera a fermé ses derniers restaurants "Panera Cares" pay-as-you-you-can. Le restaurant du Massachusetts sera fermé le 15 février, selon Eater Boston.
«À bien des égards, toute cette expérience est en fin de compte un test d'humanité», a déclaré le fondateur de la société, Ron Shaich, lors d'une conférence TEDx plus tard dans l'année.
«Les gens paieraient-ils pour cela ? Est-ce que les gens entreraient et valoriseraient ça ?
Il semble que la réponse soit un non catégorique, car les pigistes ont dominé le lieu de restauration qui signale la vertu.
Comme le rapporte Eater.com, les pertes ont été attribuées aux étudiants qui ont «harcelé» le restaurant et mangé sans payer, ainsi qu'aux clients sans-abri qui visitaient le restaurant à chaque repas de la semaine.
Certains endroits ont fini par limiter les sans-abri à quelques repas par semaine, en imposant des mesures pour tenter de maintenir l'ordre ...
«Nous devions les aider à comprendre que c’était un café de responsabilité partagée et non un document», a déclaré Shaich dans une interview accordée en 2011 au site de Portland.
«Cela ne peut pas servir de refuge et nous ne pouvons pas avoir d’organisations communautaires renvoyer tout le monde.»
Ce qui a suscité l'indignation parmi les Portlandiens libéraux qui se sont tournés vers les sites de critiques en ligne pour dénoncer le restaurant pour son manque de convivialité, se plaignant de publicité mensongère.
Eater rapporte que des clients ont signalé que des gardes de sécurité se promenaient dans l'entrée et étaient "furieux pour les clients".
Les personnes travaillant avec des résidents à risque ont décrit des incidents au cours desquels des responsables leur ont reproché de façon impolie de «violer le système».
D'autres ont décrit des situations dans lesquelles les visiteurs essayant de participer au système de paiement à l'acte se sentaient honteux de ne pas pouvoir se permettre le montant du don suggéré.
«Malgré notre engagement envers cette mission, il est devenu évident que le fonctionnement continu du Boston Panera Cares n’est plus viable», a écrit JAB Holdings dans un communiqué envoyé à Bloomberg, prouvant une fois de plus que, quelle que soit la vision socialiste utopique, l'harmonie entre le commun des mortels (preneurs) et les élites du pouvoir (donneurs / planificateurs) se transforme en hostilité, comme le confirment les émotions humaines, encore une fois, le déjeuner gratuit n'existe pas (parce qu'à un moment donné, vous êtes à court d'argent ).
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-06/no-free-lunch-panera-shutters-socialist-pay-what-you-want-restaurant
Une société américaine qui a introduit en contrebande des armes au Venezuela est liée aux "sites noirs" de la CIA
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 17:20
Écrit par Whitney Webb via MintPressNews.com,
Deux responsables de la compagnie qui a affrété l’avion américain qui a été pris en flagrant délit de contrebande d’armes au Venezuela la semaine dernière ont été liés à une entreprise de fret aérien qui a aidé la CIA à transférer des terroristes présumés à des centres d’interrogatoire sur des «sites noirs». Cette révélation troublante intervient alors que le président vénézuélien Nicolás Maduro a rejeté un convoi américain d ’« aide humanitaire »craignant d’être armé d’armes destinées à armer l’opposition soutenue par le pays.
Mardi dernier, les autorités vénézuéliennes ont annoncé que 19 fusils, 118 chargeurs, 90 radios et six iPhones avaient été introduits clandestinement dans le pays par un avion américain originaire de Miami. Les autorités ont accusé le gouvernement des États-Unis de cette cargaison illicite, l'accusant de chercher à armer les groupes d'opposition financés par les États-Unis dans le pays afin de renverser le gouvernement actuel dirigé par Maduro.
McClatchyDC a très peu attiré l'attention des médias, alors qu'il révélait clairement que l'avion responsable de la cargaison avait effectué un nombre inhabituellement élevé de voyages au Venezuela et dans la Colombie voisine. les dernières semaines.
Steffan Watkins, un analyste basé à Ottawa, a déclaré à McClatchy dans un entretien téléphonique que l'avion, exploité par la compagnie américaine de fret aérien 21 Air, volait entre Philadelphie et Miami et partout ailleurs, mais à tous les États-Unis continentaux toute l'année dernière. Cependant, Watkins a fait remarquer que «tout à coup, en janvier, les choses ont changé» lorsque l'avion a commencé à effectuer des voyages quotidiens en Colombie et au Venezuela, parfois plusieurs fois par jour.
Selon l'analyse de Watkins, ce seul avion avait effectué 40 vols aller-retour entre l'aéroport international de Miami et Caracas et Valence - où les armes de contrebande avaient été découvertes - au Venezuela, ainsi qu'à Bogota et Medellin en Colombie le mois dernier.
Les informations radar disponibles publiquement montrent que l'avion, bien qu'il ne soit pas rentré au Venezuela depuis la découverte de sa cargaison illicite, a continué de se rendre à Medellin, en Colombie, pas plus tard que lundi dernier.
Liens multiples avec la CIA
En plus du changement radical et brutal dans les schémas de vol survenu quelques semaines à peine avant que le vice-président américain Mike Pence incite le membre de l'opposition vénézuélienne Juan Guaidó à se déclarer «président par intérim», une enquête de suivi de McClatchy a également révélé le fait que deux hauts dirigeants à la société propriétaire de l'avion en question avait déjà travaillé avec une société liée à des «sites noirs» controversés de la CIA.
En effet, le président et propriétaire majoritaire de 21 Air, Adolfo Moreno, et le directeur du contrôle de la qualité de 21 Air, Michael Steinke, ont tous deux «des liens directs ou indirects» avec Gemini Air Cargo, une société précédemment désignée par Amnesty International services d'affrètement aérien participant à un programme de restitution de la CIA. Dans le cadre de ce programme de la CIA, des individus soupçonnés de terrorisme ont été enlevés par les services de renseignement, puis emmenés à l'étranger dans des "sites noirs" secrets de pays tiers, où la torture, officiellement qualifiée d '"interrogatoire renforcé", était régulièrement pratiquée.
Steinke a travaillé pour Gemini Air Cargo de 1996 à 1997, selon un document du ministère des Transports de 2016 cité par McClatchy. Moreno, bien qu'il ne travaille pas pour Gemini, a enregistré deux activités distinctes à une adresse de Miami, qui a ensuite été enregistrée auprès de Gemini Air Cargo pendant que le programme de restitution de la CIA était actif. McClatchy a indiqué que la première entreprise enregistrée par Moreno sur le site avait été constituée en 1987, tandis que la seconde avait été créée en 2001. Gemini Cargo Logistics, une filiale de Gemini Air Cargo, avait ensuite été enregistrée sur ce même site en 2005.
RépondreSupprimer21 Air a nié toute responsabilité pour le chargement d’armes découvert à bord de l’avion qu’elle exploite, accusant au contraire un sous-traitant, GPS-Air, de la cargaison illicite. Cesar Meneses, un responsable de GPS-Air, a déclaré à McClatchy que le chargement d'armes avait été «fabriqué» par le gouvernement dirigé par Maduro pour dépeindre son gouvernement en tant que victime. Meneses a également déclaré que «la cargaison n’appartient pas à 21 Air et qu’elle n’appartient pas à GPS-Air» et qu’elle avait été fournie par des tiers, dont l’identité que Meneses a refusé de révéler.
Contras redux ?
Les révélations selon lesquelles la société qui exploite l'avion qui a pris des armes en contrebande au Venezuela ont des liens avec des programmes controversés antérieurs de la CIA ne devraient pas surprendre de nombreux observateurs, étant donné que la CIA achemine des armes depuis des décennies aux opposants soutenus par les États-Unis en Amérique latine et en Asie du Sud-Est. et d'autres zones de conflit à travers le monde.
L'un des exemples les plus connus de l'utilisation par la CIA d'avions de ligne pour la contrebande d'armes à destination d'un groupe paramilitaire soutenu par les États-Unis est survenu dans les années 1980 dans le cadre de ce que l'on a appelé le scandale Iran-Contra, dans lequel l'administration Reagan avait livré des armes aux rebelles de Contra renverser le mouvement sandiniste de gauche. Un grand nombre de ces armes avaient été dissimulées dans des avions prétendant transporter une «aide humanitaire» au Nicaragua.
Les parallèles entre les aspects du scandale Contra et la situation actuelle au Venezuela sont frappants, en particulier du fait du récent "outrage" exprimé par les principaux médias et des personnalités politiques américaines sur le refus de Maduro de permettre une "aide humanitaire" américaine dans le pays. Maduro avait expliqué que son rejet de l'aide découlait en partie de son inquiétude de pouvoir contenir des armes ou d'autres fournitures destinées à créer une force d'opposition armée, à l'instar de la force «rebelle» armée par la CIA en Syrie en 2011.
Bien que les médias aient rejeté les préoccupations de Maduro comme non fondées, cela n’est guère le cas du fait que l’envoyé spécial du gouvernement Trump, récemment nommé envoyé spécial, chargé de la politique vénézuélienne, Elliott Abrams, avait joué un rôle déterminant dans la livraison d’armes au Nicaragua. , y compris cacher ces armes dans des envois «d’aide humanitaire». Lors de témoignages ultérieurs après le scandale des années 1980, Abrams lui-même a admis avoir canalisé des armes vers les Contras de la même manière.
Depuis le chargement récemment découvert d’armes illicites des États-Unis vers le Venezuela, lié à des sociétés qui travaillaient auparavant avec la CIA dans des opérations secrètes, la réponse de Maduro à la controverse sur «l’aide humanitaire» est encore plus justifiée. Malheureusement pour lui, le "président par intérim" soutenu par les Etats-Unis, Juan Guaidó, a annoncé lundi que son gouvernement parallèle avait reçu la première source "externe" d'aide humanitaire dans le pays, mais ne divulguerait pas sa source, son contenu spécifique, ni comment il était entré dans le pays.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/us-company-smuggled-weapons-venezuela-linked-cia-black-site-renditions
Près de 50 pays membres de l’Onu forment un groupe opposé à l’ingérence au Venezuela
RépondreSupprimer21:30 14.02.2019
Lors d’un point de presse au siège de l'Onu ce jeudi, Jorge Arreaza, le chef de la diplomatie vénézuélienne, a déclaré qu’au moins 50 pays faisaient partie d’un nouveau groupe qui vise à contester toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures de son pays.
Selon le chef de la diplomatie vénézuélienne, 50 pays ont formé un groupe qui aura pour but de contester une ingérence dans les affaires intérieures du Venezuela.
«Nous annonçons aujourd'hui la formation d'un groupe important de pays membres de l'Onu préoccupés par le respect des principes de la communauté internationale. Nous partageons les mêmes intérêts et défendons les mêmes principes. Nous pensons que ces principes sont violés, mettant en péril le droit à la paix et à la souveraineté de nos peuples, le droit au développement et le plein exercice des droits de l'Homme, le droit à la vie», a fait savoir Jorge Arreaza lors d'un point de presse tenue ce jeudi 14 février au siège de l'Onu.
Dans ces déclarations, le chef de la diplomatie vénézuélienne a été rejoint par Riyad Mansour, le représentant permanent de la Palestine auprès de l'Onu, qui a déclaré que ce groupe était composé de 50 pays membres de l'Onu.
«Les pays qui soutiennent le Venezuela sont au moins 50», a-t-il ajouté.
Riyad Mansour a souligné que pas tous ces pays ont pu participer à la réunion de ce jeudi.
16 pays ont participé au point de presse, dont la Russie et le Venezuela.
Pour rappel, l'opposant Juan Guaido, renvoyé le 22 janvier du poste de président de l'Assemblée nationale vénézuélienne sur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé le lendemain «Président en exercice» du pays et a prêté serment pendant une manifestation à Caracas. Donald Trump l'a reconnu comme «Président par intérim».
Nicolas Maduro a estimé que les États-Unis avaient essayé d'organiser un coup d'État au Venezuela et a rompu les relations diplomatiques avec le pays, le 23 janvier. M.Maduro a qualifié M.Guaido de Président non-constitutionnel.
Le 27 janvier, la France, l'Espagne, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique ont annoncé qu'ils seraient prêts à reconnaître Juan Guaido comme Président du Venezuela si aucune élection n'était annoncée dans un délai de huit jours.
Le 2 février, Nicolas Maduro a proposé d'organiser des élections législatives anticipées.
https://fr.sputniknews.com/international/201902141040027717-pays-onu-groupe-contre-ingerence-venezuela/
Une nouvelle étude révèle une augmentation de 41 % du risque de cancer associé au glyphosate de Roundup
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 14:31
Une analyse complète du glyphosate - le produit chimique désherbant le plus largement utilisé dans le monde - révèle que les personnes les plus exposées au célèbre herbicide présentent un risque accru de 41% de développer un cancer du lymphome non hodgkinien (LNH).
La méta-analyse de six études regroupant près de 65 000 participants a également examiné les liens entre les herbicides à base de glyphosate et l'immunosuppression, les perturbations endocriniennes et les altérations génétiques.
Les auteurs de l'étude ont déclaré que leur nouvelle méta-analyse évaluait toutes les études humaines publiées, y compris une étude actualisée de 2018 financée par le gouvernement, connue sous le nom d'Etude sur la santé dans l'agriculture (Agricultural Health Study - AHS). Monsanto a déclaré que l'étude AHS mise à jour prouvait qu'il n'y avait pas de lien entre le glyphosate et le LNH. Lors de la nouvelle méta-analyse, les chercheurs ont indiqué qu'ils se concentraient sur le groupe le plus exposé dans chaque étude, car ils seraient plus susceptibles de présenter un risque élevé si les herbicides à base de glyphosate étaient à l'origine de LNH. -Le gardien
"Ensemble, toutes les méta-analyses effectuées jusqu'à présent, y compris la nôtre, font systématiquement état de la même constatation: l'exposition aux GBH est associée à un risque accru de LNH", conclut le rapport.
L'étude, qui porte à la fois sur des humains et des animaux, suggère également que le glyphosate "modifie le microbiome intestinal", ce qui pourrait "avoir un impact sur le système immunitaire, favoriser l'inflammation chronique et contribuer à la susceptibilité d'agents pathogènes envahissants".
En outre, le glyphosate "peut agir comme un agent chimique perturbant le système endocrinien, car on a récemment découvert qu'il modifiait la production d'hormones sexuelles" chez les rats mâles et femelles.
Enfin, l'étude examine les altérations génétiques causées par les glyphosates, notant que plusieurs études montrent que les glyphosates induisent des "cassures de l'ADN simple et double brins", une "oxydation" et d'autres facteurs de "génotoxicité" - bien que les chercheurs soulignent que cela reste un sujet controversé.
Les conclusions de cinq scientifiques américains contredisent les assurances de sécurité de l’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis et sont présentées en tant que régulateurs de plusieurs pays qui envisagent de limiter l’utilisation de produits à base de glyphosate en agriculture.
Monsanto et son propriétaire allemand Bayer AG font face à plus de 9 000 poursuites aux États-Unis intentées par des personnes atteintes de la LNH qui attribuent leurs maladies aux herbicides à base de glyphosate de Monsanto. Le premier plaignant à être jugé a obtenu le verdict unanime du jury contre Monsanto en août, un verdict que la société fait appel. Le prochain procès, impliquant un demandeur distinct, devrait s'ouvrir le 25 février, et plusieurs autres procès sont prévus pour cette année et jusqu'en 2020. -Le Guardian
Monsanto affirme qu'aucune recherche scientifique légitime ne permet de lier de manière concluante le glyphosate à un LNH ou à tout autre type de cancer, soulignant que des centaines d'études ont confirmé la conclusion de l'EPA selon laquelle l'herbicide est "peu susceptible" de causer le cancer. Des scientifiques du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) ont affirmé avoir classifié le glyphosate comme "cancérogène probable pour l'homme" en 2015, suggérant que les chercheurs avaient eu un comportement inapproprié qui n'avait pas suffisamment pris en compte plusieurs études importantes.
RépondreSupprimerComme le note le Guardian, "la nouvelle analyse pourrait potentiellement compliquer la défense par Monsanto de son meilleur herbicide", car trois des auteurs de l'étude ont été sollicités par l'EPA en tant que membres du conseil pour siéger à un groupe consultatif scientifique sur le glyphosate en 2016.
"Cet article montre plus clairement que les méta-analyses précédentes qu'il existait des preuves d'un risque accru de LNH dû à l'exposition au glyphosate", a déclaré la co-auteure, Lianne Sheppard, professeure au département des sciences de la santé environnementale et au travail de l'Université de Washington. . "Du point de vue de la santé de la population, il existe de réelles préoccupations."
SHeppard était un conseiller de l'EPA sur le glyphosate et l'un des trois conseillers qui ont informé l'agence qu'elle n'avait pas suivi les protocoles scientifiques appropriés pour conclure que le glyphosate était peu susceptible de provoquer un cancer.
"C'était faux", a déclaré Sheppard. "Il était évident qu'ils ne suivaient pas leurs propres règles, a-t-elle déclaré." Y a-t-il des preuves qu'il est cancérogène? La réponse est oui."
L'EPA dit qu'il est "en train de réviser l'étude".
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/new-study-finds-41-increase-cancer-risk-roundups-glyphosate
(...) Une analyse complète du glyphosate - le produit chimique désherbant le plus largement utilisé dans le monde - révèle que les personnes les plus exposées au célèbre herbicide présentent un risque accru de 41% de développer un cancer du lymphome non hodgkinien (LNH). (...)
SupprimerFAUX ! lisez en dessous:
(...) les chercheurs ont indiqué qu'ils se concentraient sur le groupe le plus exposé dans chaque étude, car ils seraient plus susceptibles de présenter un risque élevé si les herbicides à base de glyphosate étaient à l'origine de LNH. -Le gardien (...)
Au conditionnel SANS PREUVE DE NOCIVITÉ !
(...) ce qui pourrait "avoir un impact sur le système immunitaire, (...)
(...) des centaines d'études ont confirmé la conclusion de l'EPA selon laquelle l'herbicide est "peu susceptible" de causer le cancer. (...)
C'est 100 % lobbying destiné à supprimer des champs l'emploi de désherbants ! Ce qui voudrait dire que demain il y aura zéro pain, zéro farine de blé car, s'il y a d'autres graminées récoltées avec les moissonneuses-batteuses...
L'intention est de RUINER le monde, et le faire crever de faim ! LA GUERRE EST DÉCLARÉE !
Préparez-vous à payer davantage pour le papier toilette, la litière et les sacs à ordures
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 13:05
Après avoir découvert qu'ils pourraient en grande partie s'en tirer avec la hausse des prix l'an dernier, les fabricants d'articles de première nécessité envisagent une nouvelle série de hausses de prix inflationnistes afin de compenser la hausse des prix des produits de base et d'augmenter les bénéfices, selon le Wall Street Journal.
Sans surprise, les augmentations de prix ont fonctionné à merveille pour les fabricants de biens de consommation, en particulier pour les entreprises dont les concurrents ont réagi par leurs propres hausses de prix, selon Bonnie Herzog, analyste de Wells Fargo Securities.
Selon une analyse des données de Nielsen par Sanford C. Bernstein, les volumes de ventes de produits personnels et ménagers aux États-Unis ont diminué de 1,4% en janvier, alors que les ventes en dollars de ces produits ont augmenté de 0,7% au cours de la même période, ce qui laisse supposer que les hausses de prix ont plus que compensé le déclin. Dans le même temps, un marché de l'emploi robuste, qui offre aux Américains les augmentations de salaire annuelles les plus importantes depuis la fin de la récession, a entraîné une augmentation de 2,9% sur un an des gains horaires moyens des travailleurs du secteur privé. le plus depuis janvier 2009.
Produits de fabricant d'Arm & Hammer Church & Dwight a récemment augmenté ses prix sur 30 % de ses produits - y compris le bicarbonate de soude, la litière pour chats et les produits de nettoyage OxiClean, tandis que Clorox a augmenté les prix sur environ la moitié de son portefeuille de produits - y compris leurs sacs poubelle Glad et des emballages en plastique. Clorox a attribué les hausses de prix à une augmentation des marges bénéficiaires dans son dernier rapport trimestriel. Cependant, les concurrents de Glad n'ayant pas emboîté le pas avec des prix plus élevés, la société a enregistré une baisse globale de ses ventes au cours de la période. La société la plus connue pour son eau de Javel prévoit d'augmenter ses dépenses en promotions à court terme pour compenser la baisse des ventes, ont annoncé lundi des dirigeants.
La semaine dernière, le PDG Benno Dorer a exprimé sa confiance dans la stratégie de prix de Clorox à long terme, et la société prévoit d’investir dans de nouveaux produits. Les prix plus élevés du charbon Kingsford et des produits Burt’s Bees sont entrés en vigueur en décembre et février, respectivement. -WSJ
Cela dit, bien que Clorox fasse état de ventes supérieures dans d'autres catégories telles que la litière pour chats et l'eau de Javel, il existe des limites à ce que les gens vont payer.
Tyler Aftab, un enseignant âgé de 35 ans de Green Brook, dans le New Jersey, a déclaré avoir remarqué à la Costco de son quartier, la semaine dernière, que Charmin et Bounty, qui coûtaient normalement moins de 18 dollars l’an dernier, étaient tous deux vendus environ 23 dollars. Les sacs poubelle Glad, normalement inférieurs à 15 dollars, coûtaient environ 19 dollars.
M. Aftab a acheté les sacs de cuisine Glad à un prix inférieur à 16 dollars. Il a opté pour la marque d'essuie-tout Kirkland Signature de Costco au lieu de Bounty. Il décida de ne pas acheter de papier toilette.
"Je suis un consommateur assez fidèle de Charmin, mais je ne paierai pas 23 dollars pour le paquet", a déclaré M. Aftab. «Je vais attendre que les prix baissent.» -WSJ
Parallèlement, Procter & Gamble expérimente régulièrement des augmentations de prix - de 4% à 10% environ sur des produits tels que les marques Puffs, Papers, Bounty et Charmin - que les consommateurs peuvent s'attendre à voir dès ce mois.
La hausse des prix a entraîné une augmentation des ventes de produits biologiques, selon un rapport publié en janvier par la société - "un indicateur étroitement surveillé qui exclut les mouvements de devises, les acquisitions et les désinvestissements", indique le Journal.
RépondreSupprimerMatthew Farrell, PDG de Church & Dwight, a déclaré la semaine dernière que la société avait engagé des discussions avec les détaillants pour augmenter les prix d'autres produits, notamment des articles de soins personnels. Selon l'Associated Press, les hausses de prix viseront à réduire la marge brute de la société, qui a été attribuée à "la croissance de l'activité des ménages plus rapide que prévu et aux tarifs américains, dont l'impact a été corrigé par l'annonce de hausses de prix en 2019. "
"La bonne nouvelle est que les concurrents augmentent les prix dans ces catégories au moment où nous parlons", a déclaré Farrell lors d'une conférence téléphonique la semaine dernière.
Kimberly-Clark, dont le portefeuille de produits comprend notamment les couches pour adultes Viva, Huggies, Cottonelle, Kleenex et Depend, a déclaré le mois dernier qu'elle s'attendait à ce que les volumes pâtissent - en particulier pour les produits en papier absorbant, après des hausses de prix moyennes à élevées de 1% gamme devraient mettre un frein aux ventes. Cela dit, la société s'attend à une augmentation de 2% de ses ventes de produits biologiques cette année.
Selon Ali Dibadj, analyste chez Bernstein, les entreprises qui ne possèdent pas un mélange de produits à bas prix et à bas prix ne trouveront pas aussi facile d’augmenter leurs prix car les clients sensibles aux prix pourraient abandonner complètement leurs marques.
"La grande crainte est que votre prix soit trop élevé et que les consommateurs ne reviennent tout simplement pas à votre marque."
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-10/get-ready-pay-more-toilet-paper-cat-litter-and-garbage-bags
SupprimerLobbying sur les produits de première nécessité !
Le lait de coco rend-il les seins plus gros ? Les annonces en chinois disent «oui»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 14/02/2019 - 23:40
Un fabricant chinois de lait de coco a déclaré que sa boisson ferait grossir les seins d'une femme. La société Coconut Palm a consacré plusieurs années à la promotion de cette revendication dans une série d’annonces «sourdes-muettes» qui n’offrent aucune preuve à l’appui de leurs revendications, ce qui a incité beaucoup de personnes à exprimer leurs doutes.
Alors que leur terrain 2019 met en vedette des femmes aux gros seins sur l'emballage noir distinctif de la boisson, une annonce de 2017 mettant en vedette des femmes légèrement vêtues et chantant dans l'océan recommande aux femmes de "boire un verre par jour, [vos] courbes exciteront les gens, plus blanches et plus charnues" et "boire plus de lait de coco chaque jour peut rendre [vos] seins plus charnus", rapporte le South China Morning Post.
Une femme se vante: "du vrai jus de coco de noix de coco Palm, j'ai bu de petit à grand."
"Quand j'ai vu l'annonce pour la première fois, je pensais que des internautes venaient de la racheter. C'est seulement maintenant que je réalise que c'est vrai et que personne ne rigole," lit un commentaire sur l'équivalent chinois de Twitter, Weibo.
D'autres ont exprimé leur mécontentement. "L'ancienne marque existe depuis tant d'années et doit encore le faire!" a écrit une autre personne de la société basée à Hainan qui fabrique cette boisson depuis 1988.
Ava Kwong, professeur à la faculté de médecine de l'Université de Hong Kong, a déclaré au South China Morning Post que, d'après la littérature scientifique examinée par des pairs, elle n'avait pas trouvé d'études qui étayaient les allégations des produits. -SCMP
Nos recherches approfondies pour cet article totalement légitime n’ont également révélé aucune preuve scientifique de la qualité des seins qui renforcent la poitrine et liés au lait de coco.
La société a également été critiquée pour sa publicité pour le jus de papaye en 2017, qui mettait également en vedette des femmes à grosse poitrine en bikini qui affirmaient: "quand je suis pleine de papaye, je me suis bien torse."
- voir photos sur site -
Selon le SCMP, un représentant de l’usine de cocotiers à Hainan a confié au Beijing Times qu’il mènerait une enquête approfondie sur cette affaire, tandis que le Bureau du commerce et des industries du district de Longhua à Haikou enquêtait également "et a levé certains des points controversés. publicités ", selon SCMP, citant l'agence de presse d'Etat Xinhua.
"Les services de réglementation des marchés procéderont à des inspections strictes et conformes à la loi, ainsi qu'à des enquêtes sur toute publicité illégale ... afin de protéger les intérêts légitimes des consommateurs", indique le rapport.
Regardez toute la publicité ici, pour la science:
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-14/big-breasted-chinese-wet-t-shirt-girls-frolick-controversial-coconut-milk-ads
SupprimerLe lobbyiong marche très bien !
Hey ! T'as essayé le jus de carottes ? Hahahaha !
France et biocarburants : panne sèche annoncée
RépondreSupprimerLes interdictions et les barrières tarifaires s’opposent aux fondements mêmes de la doctrine libre-échangiste qui a servi de socle à la construction des sociétés occidentales.
15 FÉVRIER 2019
Par Aaron Akinocho1.
Dans un contexte où l’information est de plus en plus fragmentée, diffusée à une très grande échelle et où le public dispose de moins en moins de recul pour analyser dans le calme les flux qui lui parviennent, il est de moins en moins facile de mener un débat serein et constructif sur certains sujets.
L’huile de palme a le malheur de faire partie de ces sujets. Cette matière première a été jetée en pâture au public, ces dernières années, par les médias et les politiques qui sont en mal de batailles faciles à gagner. On garde à l’esprit la sortie de l’ancienne candidate à la présidentielle française, Ségolène Royal, qui invitait à arrêter de manger du Nutella car « C’est de l’huile de palme. C’est l’huile de palme qui a remplacé les arbres, et donc c’est des dégâts considérables ». Elle s’est d’ailleurs excusée plus tard via son compte Twitter, reconnaissant l’inexactitude de ses commentaires.
Ainsi, dès que le sujet atterrit dans les conversations, les arguments qui ressortent le plus contre le palmier à huile sont souvent la déforestation (dont elle serait devenue la principale responsable), et la destruction de la faune. L’huile de palme a aujourd’hui bon dos et sert de caution éco-citoyenne à beaucoup de gens qui ne se sont jamais donné la peine de questionner le modèle de la société dans laquelle ils vivaient, mais veulent se débarrasser de la culpabilité liée au capitalisme, ce péché originel de notre siècle.
L’HUILE DE PALME COMME BOUC-ÉMISSAIRE
Mais si on se livrait à un exercice d’analyse froide des chiffres, quels seraient les résultats ? L’industrie de l’huile de palme n’est que la troisième plus grande culture oléagineuse en matière de superficie de plantation derrière le soja et le colza. En raison de ses rendements élevés, le palmier à huile produit environ 35 % de la totalité de l’huile végétale sur moins de 10 % des terres. Étant donné qu’un autre oléagineux nécessiterait 9 fois plus de superficie pour produire autant d’huile que le palmier, un remplacement de cette culture conduirait à une hausse significative de la superficie mondiale consacrée afin de répondre à la demande globale.
Mais comme nous le soulignions plus haut, le débat sur ce sujet est particulièrement difficile et souvent biaisé. Or sans débat, on se retrouve face à des décisions comme celle du législateur français d’un amendement destiné à exclure l’huile de palme de la liste des biocarburants ouvrant droit à l’exonération de la taxe générale sur les activités polluantes. Cette mesure, qui se veut certainement un geste de responsabilité face aux grands enjeux de la sauvegarde de la planète, ne règle pas le problème et crée peut-être des difficultés plus grandes.
En effet, en Asie ou en Afrique, ils sont des millions de petits producteurs dont la principale culture est l’huile de palme. 40 % de la production mondiale est de leur fait. Dans certains pays, les petits producteurs détiennent jusqu’à 94 % des exploitations consacrées à la culture de l’huile de palme. Or, ce sont eux qui sont les premiers affectés par une décision sur laquelle ils n’ont pu donner d’avis. Ces agriculteurs ont des noms et des histoires. Untel se sert de l’argent tiré de sa production pour scolariser son enfant, tandis que tel autre construira sa maison à partir des recettes de sa récolte. Ces gens font partie de ceux qui, poussés loin de chez eux par la prévarication de leurs conditions d’existence, courent après un rêve occidental, au péril de leur vie en traversant le Sahara puis la Méditerranée.
Réunis au sein de différents collectifs, ces producteurs du tiers-monde dénoncent depuis des années des mesures cosmétiques qui les condamnent. En effet, sur la question de la production de l’huile de palme, les enjeux sont trop grands pour limiter la conversation à un niveau superficiel et ainsi contenter quelques bienpensants et la foule des y’a qu’à. En effet, au-delà de la matière première, il y a un autre débat qui s’inscrit en filigrane. Ce débat est celui de l’adoption de décisions unilatérales sans prendre en compte le préjudice dont pourraient souffrir les autres parties prenantes de l’échange, particulièrement les petits exploitants agricoles.
RépondreSupprimerAinsi, à notre avis, l’option des interdictions et autres barrières commerciales ne fait pas partie des solutions éventuelles aux problèmes que pourrait poser l’huile de palme (problèmes qui, si les détracteurs de l’oléagineux allaient avec honnêteté au bout de leur exercice, se retrouveraient dans des cultures comme le soja ou le cacao). Les interdictions et les barrières tarifaires s’opposent aux fondements mêmes de la doctrine libre-échangiste qui a servi de socle à la construction des sociétés occidentales.
À moins de vouloir imiter un Donald Trump, désormais jugé peu crédible par ses partenaires économiques et renier son ADN, l’Europe doit faire marche arrière et construire des solutions avec ses partenaires. Autrement, elle devra faire face à des représailles de la part des pays producteurs d’huile de palme.
L’Indonésie, la Colombie et la Malaisie ont rendu public leur intention d’appliquer à leur tour des barrières tarifaires similaires. Mahatmatir Mohamad le Premier ministre malaisiena a écrit au président de la République française afin de l’informer des conséquences subséquentes qui s’appliqueraient à la France, parmi lesquelles la perte de milliers d’emplois ainsi qu’un risque de perte de plusieurs milliards d’exports.
Selon l’agence Reuters le Premier ministre malaisien affirme que « La Malaisie pourrait mettre en place des lois limitant les imports de produits français si la France ne revient pas sur les plans défavorables à l’usage de l’huile de palme comme biocarburant. »
En d’autres termes, le vote de l’Assemblée nationale conduirait à de mauvais résultats sur l’environnement, une perte de contrats pour les exportateurs français, et une détérioration des relations entre la France et d’importants pays asiatiques.
Il ne faut pas oublier que la crise actuelle que traverse la France avec les Gilets jaunes est partie de l’intention de l’exécutif français de taxer le citoyen. La preuve, encore une fois, qu’on ne construit rien de durable sans l’adhésion pleine et entière des différentes parties affectées par les conséquences des changements proposés.
Aaron Akinocho est journaliste spécialiste des questions agricoles et agro-industrielles africaines. ?
https://www.contrepoints.org/2019/02/15/337204-france-et-biocarburants-panne-seche-annoncee
Rappel que la 'taxe carbone' est là pour soutenir la déforestation ! Car, moins de gaz carbonique (= moins d'oxygène pour nous !) = moins d'arbres !
SupprimerLes serristes le savent et multiplient les serres à gaz carbonique afin de faire pousser les plantes.
A savoir aussi que s'il y a 'déforestation au Brésil' ce n'est PAS pour en faire des zones désertiques et du sable à perte de vue ! mais pour y planter de quoi manger ! Car, les arbres des forêts ne se mangent pas ! Il est donc préférable de planter des tomates ou des melons qui, eux aussi, absorbent le gaz carbonique et nous fournissent de l'oxygène !
On ne peut redistribuer que ce qu’on a, ou la loi oubliée par les Gilets jaunes
RépondreSupprimerLes Français sont-ils en train de sacrifier la poule aux œufs d’or ?
15 FÉVRIER 2019
Par Yves Buchsenschutz.
Un article d’Entrepreneurs pour la France
En 1688, Jean de La Fontaine écrivait déjà « La poule aux œufs d’or » et il est probable que si la forme si parfaite est bien de lui, le fond est probablement une histoire bien antérieure. Fables et contes ont fait l’objet, au moins depuis Ésope, de multiples reprises.
L’avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux, pour le témoigner,
Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,
Pondait tous les jours un œuf d’or.
Il crut que dans son corps elle avait un trésor.
Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable
À celles dont les œufs ne lui rapportaient rien,
S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle leçon pour les gens chiches :
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?
Jean de La Fontaine, Fables de La Fontaine, La Poule aux œufs d’or
Ce qui m’intéresse aujourd’hui est un peu différent. Il semblerait bien qu’en matière d’inégalités la France soit quasiment dans la position de ce malheureux propriétaire d’une poule aux œufs d’or. Claude Sicard dans plusieurs articles a eu l’occasion de décortiquer le problème des Gilets jaunes et des inégalités. Il s’en dégage en définitive une loi assez simple, pleine de bon sens.
ON NE PEUT REDISTRIBUER QUE CE QUE L’ON A
En quelque sorte la redistribution est toujours une fonction de la richesse. Non seulement plus un pays est riche, plus il peut redistribuer, mais encore cette redistribution pèsera-t-elle d’autant moins sur le reste de la population, en particulier sur celle qui crée la richesse. Si la richesse moyenne suisse est de 80 000 euros par tête et que l’on prélève pour redistribution 22 000 euros, cela représente un poids de 28 %. Il reste quelque part 72 %, c’est-à-dire 68 000 euros pour investir, financer la croissance, et pour chacun, jouir librement de son revenu. Si la richesse moyenne d’un Français est de 39 000 euros et que l’on veut redistribuer, moins, 17 000 euros, le poids deviendra 44 %.
Il ne restera dès lors plus que 22 000 euros pour financer l’investissement, la croissance et la libre dépense ce qui peut se révéler très vite insuffisant. Contrairement à beaucoup d’idées reçues, la France n’est plus un pays riche. Elle a en revanche décidé de redistribuer larga manu. La conséquence directe est que les sommes disponibles pour assurer la croissance de richesse sont devenues insuffisantes, dans tous les cas par rapport aux pays concurrents.
Quelque part, au lieu de cueillir les fruits un par un que notre coq national nous concocte, nous sommes en train de le tuer. Dans les courbes que Claude Sicard a travaillées, on voit clairement apparaître que les seuls pays capables de friser, tant le montant que le taux de redistribution que la France a décidé d’appliquer – mauvaise décision après mauvaise décision –, sont des pays nettement plus riches que nous. En conséquence de cette décision, le poids sur le fonctionnement de leur économie est infiniment plus faible et ne provoque pas l’asphyxie à laquelle nous assistons peu à peu.
ICEBERG DROIT DEVANT : EN AVANT TOUTE !
RépondreSupprimerD’aucuns s’élèvent contre la transformation de l’ISF : le gouvernement a redonné 3,7 milliards d’oxygène à la création de richesse mais il vient de dépenser 11 milliards, voire plus, à augmenter la redistribution : cherchez l’erreur ! Ce qui ne fait d’ailleurs que s’ajouter aux décisions quotidiennes de dérapage des dépenses. Prenons un exemple : le Pass culture de Mme Françoise Nyssen.
Pour être honnête, on doit rappeler qu’il faisait partie du programme du président élu. Foin des mauvais résultats du pays ou de l’ardoise des Gilets jaunes, le test démarre dans quatre départements et devrait être lancé officiellement en septembre puis généralisé. Le montant du pass, attribué à tous les jeunes atteignant l’âge de 18 ans sera de 500 euros (cinq cents euros !) ! Vous avez bien lu, à la louche un quart de salaire minimum, 40 à 50 heures de travail de femme de ménage. On se demande à quoi ressemblent les comptes individuels de personnes qui ont fixé ce montant ?
Deux hypothèses : soit ils font partie de la catégorie des très riches en train de s’expatrier, soit ce n’est pas eux qui payent ! Le total du budget, en année pleine est évalué à 500 millions ! Lesquels se renouvelleront chaque année, car tout le monde a, au moins une fois dans sa vie, 18 ans.
En attendant une demande déjà prévisible de les percevoir chaque année entre 18 et 25 ans, voire à partir de 15 ans. Utilisation : quasi illimitée dès la mise en place (il faut que le jeune puisse choisir librement). Financement : réparti entre l’État et les « offreurs de culture » (cinéma, théâtre, musée…). Quelle que soit la présentation, ceci se fera en définitive par une attribution gratuite aux dépens de la collectivité, et continuera un peu plus à enfoncer le navire.
POUR UNE GORGÉE DE BIÈRE
On trouvera ci-dessous, la petite histoire des 10 buveurs de bière, déjà souvent diffusée il est vrai, mais particulièrement d’actualité dans le contexte qui nous intéresse :
Prenons le cas de 10 amis qui se retrouvent chaque soir pour boire une bière et imaginons que l’addition totale se monte à 100 euros.
Normalement, cela ferait 10 euros par personne.
Mais nos dix amis préfèrent payer cette facture collective selon une répartition plus sociale, qui s’inspire du calcul de l’impôt sur le revenu, ce qui donne ceci :
Les 4 premiers, les plus « pauvres », ne paient rien
Le cinquième paye 1 euro
Le sixième paye 3 euros
Le septième paye 7 euros
Le huitième paye 12 euros
Le neuvième paye 18 euros
Le dernier, le plus « riche », paye 59 euros
Les dix hommes semblent assez contents de leur arrangement et ils continuent à se retrouver chaque soir pour boire leur bière, collectivement.
Jusqu’au jour où le tenancier décide de leur faire une remise de fidélité !
« Comme vous êtes de bons clients, et qu’il faut stimuler la consommation pour encourager l’économie du pays, j’ai décidé de vous faire une remise de 20 euros sur la facture totale. Vous ne payerez donc plus désormais vos 10 bières que 80 euros »
Le groupe décide de continuer à payer la nouvelle somme selon le même principe de répartition, inspiré de l’impôt.
Les quatre premiers continuent à boire gratuitement, et les six autres, les clients payants, s’interrogent sur la manière de diviser les 20 euros de remise de façon équitable. Ils calculent que 20 euros divisés par 6 font 3,33 euros. S’ils soustrayaient cette somme de leur partage alors les 5ème et 6ème hommes devraient être payés pour boire leur bière.
Le tenancier du bar, quoi qu’il ne soit pas ancien élève de l’ENA, suggère qu’il serait plus équitable de réduire l’addition de chacun d’un pourcentage inversement proportionnel à celui de leurs contributions individuelles, pour respecter les principes d’équité. Il fait donc les calculs pour ses clients.
RépondreSupprimerCe qui donne ceci :
Le 5ème homme, comme les 4 premiers ne payent plus rien. (un « pauvre » de plus !)
Le 6ème paye 2 euros au lieu de 3 (33% réduction)
Le 7ème paye 5 euros au lieu de 7 (28% de réduction)
Le 8ème paye 9 euros au lieu de 12 (25% de réduction)
Le 9ème paye 14 euros au lieu de 18 (22% de réduction)
Le 10ème paye 50 euros au lieu de 59 euros (16% de réduction)
Chacun des six « payants » paye moins qu’avant, voire zéro pour le 5ème, et les 4 premiers continuent à boire gratuitement.
Mais une fois hors du bar, chacun compare son économie :
« J’ai seulement eu 1 euro sur les 20 euros de remise », dit le 6ème, désignant le 10ème « lui, il a eu 9 euros ».
« Ouais ! dit le 5ème, moi aussi j’ai seulement eu 1 euro d’économie. C’est pas juste ! »
« C’est vrai ! » s’exclame le 7ème, « pourquoi aurait-il 9 euros alors que je n’en ai eu que 2 ? Le plus riche a eu le plus gros de la réduction. Cela n’est pas équitable. »
« Attendez une minute » crient les 4 premiers hommes, « nous quatre n’avons rien eu du tout. Le système exploite les pauvres. Faut pas se laisser faire ! ».
Les 9 hommes cernent le 10ème et l’accablent d’insultes.
La nuit suivante le 10ème homme, le plus riche, ne vient pas. Les neuf autres s’assoient et boivent leur bière sans lui. Mais quand arrive le moment de payer leur note, ils découvrent qu’ils n’ont pas assez d’argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l’addition !!!
Et cela, chers Gilets jaunes, est le strict reflet de notre système d’imposition. Les gens qui payent le plus de taxes tirent plus de bénéfice d’une réduction de taxe. Taxez les plus fort, accusez-les d’être riches, et ils risquent de ne plus se montrer. En fait ils iront boire à l’étranger.
Pour ceux qui ont compris, aucune explication n’est nécessaire.
Pour ceux qui n’ont pas compris, aucune explication n’est possible.
La France chasse consciencieusement ses riches et s’appauvrit à due proportion
https://www.contrepoints.org/2019/02/15/337210-on-ne-peut-redistribuer-que-ce-quon-a-ou-la-loi-oubliee-par-les-gilets-jaunes
(...) ON NE PEUT REDISTRIBUER QUE CE QUE L’ON A (...)
SupprimerOn veut la Démocratie ! Çà, c'est gratuit et peut être redistribuée !
On veut la Liberté ! Çà c'est gratuit et peut être redistribuée.
A savoir qu'en Suisse ce sont les Suisses qui proposent eux-mêmes LEURS propres lois et votent eux-mêmes LEURS propres lois !
(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html
NON ! LES FRANÇAISES ET LES FRANÇAIS NE SONT PAS PLUS CONS QUE LES SUISSES !
Dans une dictature (république) ce sont de FAUX représentants du Peuple qui imaginent et votent leurs propres lois SANS DEMANDER L'AVIS DU PEUPLE !
De plus, ces 'Députés/Sénateurs' n'ont JAMAIS suivi une heure de Droit !