- ENTREE de SECOURS -



mardi 26 février 2019

En 20 ans de monnaie unique, chaque Français a perdu en moyenne 55.996 euros

20:21 26.02.2019


Les grands perdants des 20 années de monnaie européenne sont les Français et les Italiens, selon une étude réalisée par deux économistes du Centre de politique européenne de Fribourg (CEP). Ces derniers ont calculé que chaque Français avait vu régresser sa richesse de 55.996 euros en moyenne.

Selon une étude, les 20 années de l'existence de la monnaie unique européenne n'ont pas profité à tout le monde. Ainsi, Français et Italiens apparaissent comme les grands perdants, tandis que les gagnants sont les Allemands et les Néerlandais. Les calculs ont été réalisés par le Centre de politique européenne de Fribourg (CEP), à l'approche de la campagne des élections européennes et sont cités par la presse.

Ainsi, deux économistes du Centre estiment que, depuis l'introduction de la monnaie unique européenne, les Français ont vu leur richesse régresser en moyenne de 55.996 euros. Il y a pire: les Italiens cumulent 73.605 euros de pertes de revenus. Mais Paris et Rome sont «les deux derniers» de la classe, alors que le leader inconditionnel est Berlin. Ainsi, chaque Allemand a vu sa «prospérité» augmenter, en moyenne, de 23.116 euros.

«L'euro s'effondrera»: 27 ans après le Traité de Maastricht, quel avenir pour l’UE ?

Toutefois, les auteurs de l'étude pensent que regagner de l'effet «prospérité» demeure possible. Pour ce qui est de la France, ils estiment qu'elle «doit absolument tenir le chemin de la réforme que le Président Macron est en train de poursuivre».

Dans une interview à Sputnik, le commentateur politique et universitaire Rodney Atkinson, auteur de deux ouvrages sur la création et la gouvernance de l'UE, avait qualifié l'euro de «politique la plus destructrice sur le plan économique et démocratique de l'UE». Il avait en outre donné des prévisions peu optimistes pour la monnaie unique.

«L'euro s'effondrera comme les autres unions monétaires, mais il est difficile de savoir quand la souffrance et l'inégalité atteindront un niveau tel que des politiques révolutionnaires forceront les gouvernements nationaux à partir», avait-il indiqué.

29 commentaires:


  1. «L'euro s'effondrera»: 27 ans après le Traité de Maastricht, quel avenir pour l’UE ?

    Où les français ont dit NON et, la dictature de merde créa 'Le Traité de Barcelone' !

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  2. Comment la mafia arabe «étend ses tentacules» en Allemagne


    18:54 26.02.2019
    Nezavissimaïa gazeta


    Au moins six policiers de Berlin auraient collaboré avec des clans criminels arabes en leur fournissant régulièrement des informations de différente nature. Les experts soulignent que les mafieux du Moyen-Orient rémunèrent sans doute bien mieux les services des forces de l'ordre que l'État allemand.

    Thomas Wüppesahl, retraité de la police berlinoise, a déclaré à la radio Rundfunk Berlin-Brandenburg que pour les policiers ayant collaboré avec des criminels arabes, les relations avec ces clans s'étaient avérées plus importantes que le service pour l'État de droit, cite le quotidien Nezavissimaïa gazeta. Selon lui, cela découle des exigences insuffisantes lors du recrutement dans les forces de l'ordre et de la mauvaise qualité de l'enseignement à l'académie allemande de police. D'après Thomas Wüppesahl, parmi les policiers qui font actuellement leurs classes, beaucoup n'auraient pas été recrutés il y a 20 ou 30 ans.

    Toutefois, un avocat berlinois a révélé à Nezavissimaïa gazeta que les clans criminels payaient certainement mieux leurs complices que l'État, ce qui pourrait probablement expliquer ce qui s'est produit.

    L'hebdomadaire Der Spiegel a publié un article sur l'activité des clans criminels arabes en Allemagne, qui font la loi dans les rues des villes depuis des années. Ils gagnent de l'argent avec des méthodes mafieuses traditionnelles: trafic de drogues, prostitution, jeu, vol, assassinats commandités, extorsion sous prétexte de protéger les petites entreprises, ou encore blanchiment d'argent.

    Parmi les crimes les plus retentissants: le vol de la plus grande pièce d'or au monde, d'une valeur de 3,75 millions d'euros (et ce n'est que la valeur de l'or en soi) au musée national de Berlin Bode-Museum. On suppose que les criminels ont réussi à la faire fondre.

    Les grands clans criminels arabes ont fait leur apparition en Allemagne dans les années 1980. Il s'agissait alors de ressortissants libanais ayant fui les horreurs de la guerre civile. Selon les criminalistes, il est particulièrement difficile de démanteler ces groupes car ils ne sont composés que de ressortissants du monde arabe, ayant souvent des liens familiaux. C'est pourquoi l'infiltration d'informateurs policiers est pratiquement vouée à l'échec.

    Les membres des clans étudient le mode de vie des policiers berlinois, notamment de ceux qui travaillent dans les unités responsables de la lutte contre le crime organisé. Sans un indicateur de l'intérieur, il serait probablement impossible d'obtenir de telles informations. De plus, indique l'hebdomadaire, les criminels suivent les policiers en filature, c'est pourquoi après leur travail ces derniers doivent changer de moyen de transport afin de ne pas conduire les criminels jusqu'à leur adresse.

    Le Spiegel se demande comment cela est devenu possible. D'après les experts de l'hebdomadaire, l'absence de législation efficace, le manque d'équipements informations et le nombre réduit d'effectifs a fait obstacle à la lutte contre la criminalité organisée arabe. A Berlin, où les clans sont particulièrement actifs, les autorités économisaient encore récemment sur les spécialistes. De plus, le thème de la criminalité arabe, étroitement lié à la migration, a longtemps été impopulaire chez les hommes politiques. C'est ce que Sebastian Fiedler, responsable du syndicat de la police criminelle, a directement déclaré à l'hebdomadaire.

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  3. Toutefois, les mœurs ont changé. L'Office fédéral de la police criminelle a créé en novembre 2018 un groupe spécial appelé «Criminalité de clan». Andreas Geisel, ministre régional de l'Intérieur du Land de Berlin, a l'intention de se rendre à Beyrouth pour déterminer le statut des membres des clans libanais sévissant en Allemagne et entreprendre les démarches nécessaires pour les expulser d'Allemagne.

    Cependant, estime l'hebdomadaire, le succès de la lutte contre la criminalité de clan dépendra principalement de la capacité des autorités allemandes à offrir aux jeunes membres des clans une perspective de sortie de la communauté criminelle afin de commencer une nouvelle vie. Car travailler pour 400 euros par mois en tant qu'étudiant dans une entreprise berlinoise est une chose, mais recevoir ces mêmes 400 euros pour un service rendu au clan en est une autre.

    https://fr.sputniknews.com/presse/201902261040173025-allemagne-mafia-arabe-policiers/

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  4. Juan Guaido encourrait jusqu’à 30 ans de prison pour avoir violé l’interdiction de voyager


    23:12 26.02.2019



    L’opposant Juan Guaido, qui s’est autoproclamé Président du Venezuela en janvier, pourrait encourir jusqu’à 30 ans d’emprisonnement pour avoir violé l’interdiction de voyager, a affirmé à Sputnik le Tribunal suprême de justice vénézuélien.

    Juan Guaido pourrait être condamné à 30 ans d'emprisonnement pour avoir violé l'interdiction de voyager à l'étranger dont il était frappé, a déclaré mardi à Sputnik le juge suppléant du Tribunal suprême de justice vénézuélien, Juan Carlos Valdez.

    «C'est une personne qui se cache de la justice. Qu'en est-il des évadés qui rentrent au pays et sont retrouvés par les autorités? Ils doivent être arrêtés et envoyés dans une prison… Il pourrait être condamné à 30 ans de prison», a-t-il déclaré.

    Il a ajouté que le parquet examinait actuellement les violations possiblement commises par Guaido.

    En même temps, l'opposant, qui se trouve à présent en Colombie, a annoncé à la chaîne de télévision NTN24 qu'il allait rentrer au Venezuela malgré le risque d'interpellation.

    L'opposant Juan Guaido, renvoyé du poste de président de l'Assemblée nationale vénézuélienne sur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé le 23 janvier «Président en exercice» du pays et a prêté serment au cours d'une manifestation. Donald Trump l'a reconnu comme «Président par intérim». Une quarantaine de pays, dont une vingtaine de pays européens, en ont fait de même. La Russie, la Chine et plusieurs autres pays ont, quant à eux, soutenu Nicolas Maduro en tant que Président légitime du Venezuela.

    L'opposition vénézuélienne a essayé le 23 février de faire parvenir une aide humanitaire dans le pays, que le Président légitime Maduro refuse d'accueillir. Le gouvernement de M.Maduro indique qu'il n'y a pas de crise humanitaire au Venezuela et que les tentatives d'acheminer une aide sont une provocation qui sert à cacher une agression contre le pays. Nicolas Maduro a déjà rompu les relations diplomatiques avec les États-Unis et la Colombie.

    https://fr.sputniknews.com/international/201902261040176198-venezuela-guaido-prison-interdiction-voyager/

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    1. Guaido condamné à 30 ans de prison pour avoir levé l'interdiction de voyager au Venezuela


      par Tyler Durden
      Mar., 26/02/2019 - 18:00


      Le "président par intérim" auto-proclamé vénézuélien, Juan Guaido, risque une peine de 30 ans d'emprisonnement pour avoir enfreint une interdiction de voyager imposée par le gouvernement de Maduro. L'interdiction, imposée précédemment par la Cour suprême vénézuélienne, a été levée vendredi dernier alors que Guaido traversait en secret la frontière vénézuélienne pour se rendre en Colombie. Il a depuis organisé des tentatives pour que des envois d'aide humanitaire américains traversent des ponts menant à Venzuela, après avoir rencontré le vice-président américain. Mike Pence et les dirigeants régionaux dans ce qui était essentiellement une session de stratégie de changement de régime.

      "Il peut partir et revenir et devra voir le visage de la justice parce que la justice lui a interdit de quitter le pays ... Il doit respecter les lois", a déclaré Maduro à ABC News dans une nouvelle interview publiée mardi. Dans une question complémentaire sur la question de savoir si Maduro ferait ou non arrêter les dirigeants de l'opposition, le président a déclaré que seul un tribunal peut prendre cette décision.

      En dépit de l'interdiction de voyager imposée par le tribunal, l'AP avait précédemment rapporté que Guaido avait peut-être franchi la frontière vendredi soir avec un hélicoptère de l'armée de l'air colombienne afin d'assister au spectacle inspiré de Live Aid à Cucuta, en Colombie, parrainé par le milliardaire britannique Richard Branson. Selon un rapport préalable de l'AP:

      On ignore comment Guaido s’est introduit en Colombie - dans une vidéo circulant sur les médias sociaux, il semble traverser un pont près de la ville colombienne de Puerto Santander, tandis que dans une autre, il montait à bord d’un hélicoptère appartenant à l’armée de l’air colombienne.

      Lundi, Guaido a rencontré Pence et des dirigeants régionaux dans le cadre du sommet du groupe de Lima à Bogota, en Colombie, où il a appelé ses alliés régionaux et la communauté internationale à prendre "toutes les mesures" pour "libérer" la population souffrante du Venezuela.

      Mais à présent, il pourrait faire face à de lourdes peines de prison au moment de son retour au Venezuela, d'autant plus qu'il avait non seulement défié l'interdiction de voyager, mais avait rencontré des ennemis étrangers de Caracus pour comploter ouvertement sur la manière de saper Maduro.

      Le juge suppléant du Tribunal suprême de justice du Venezuela, Juan Carlos Valdez, a déclaré mardi à M. Spoutnik que le chef de l'opposition "pourrait être condamné à 30 ans de prison" pour avoir enfreint l'interdiction de voyager.

      Le juge suppléant a déclaré, selon le rapport de cassation:

      C'est une personne qui se cache de la justice. Que se passe-t-il avec les fugueurs qui rentrent dans le pays et sont retrouvés par les autorités? Ils doivent être arrêtés et envoyés en prison […]. Il pourrait être condamné à 30 ans de prison. "

      Le juge de la Cour suprême a ajouté que "l'accusation analysait actuellement les crimes possibles commis par Guaido", selon Spoutnik. Guaido a récemment indiqué aux médias régionaux qu'il prévoyait de rentrer au Venezuela car il était sur le point de se faire arrêter.

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    2. Entre-temps, l’administration américaine a mis en garde par le passé contre les autorités de Caracas qui poursuivraient le chef de l’opposition et le président de l’Assemblée nationale, ce qui risquerait de provoquer une action militaire accrue de Washington.

      Le mois dernier, quelques jours à peine après l'assermentation de Nicolás Maduro pour un second mandat de six ans et peu de temps avant les troubles dans les rues des dernières semaines, la police secrète avait saisi puis libéré rapidement Guaido. L'incident du 13 janvier comprenait un raid policier agressif sur le véhicule de Guaido, dissimulé par des forces de sécurité masquées sur une autoroute bondée, alors qu'il se rendait à un rassemblement politique avec sa famille.

      Toute la scène avait été filmée et c'est peut-être un indice de ce à quoi Guaido devrait faire face dès qu'il reviendra sur le sol vénézuélien

      https://www.zerohedge.com/news/2019-02-26/guaido-faces-30-year-jail-term-breaking-travel-ban-venezuelas-supreme-court-says

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    3. 30 ans de taule nourri logé blanchi aux frais du Peuple ? NON ! Une balle à 15 cents ? Non Trop cher pour lui ! Juste aux chiottes ! Plouf ! Terminé.

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  5. John Pilger: La guerre contre le Venezuela repose sur des mensonges


    par Tyler Durden
    Mer. 27/02/2019 - 00:05
    Écrit par John Pilger via ConsortiumNews.com,


    Le journaliste en tant que clown - pour qui la vérité est trop difficile à raconter - pourrait bien être la dernière étape d’une grande partie de la dégénérescence du journalisme traditionnel ...

    En voyageant avec Hugo Chavez, j'ai vite compris la menace du Venezuela. Dans une coopérative agricole de l'État de Lara, les gens attendaient patiemment et avec bonne humeur dans la chaleur. Des carafes d'eau et de jus de melon ont été distribuées. Une guitare était jouée; Katarina, une femme, s'est levée et a chanté avec un contralto husky.

    "Qu'est-ce que ses mots ont dit ?" Demandai-je.

    «Nous sommes fiers», a été la réponse.

    Les applaudissements pour elle se confondent avec l'arrivée de Chavez. Sous un bras, il portait une sacoche remplie de livres. Il portait sa grande chemise rouge et saluait les gens par son nom, s'arrêtant pour écouter.

    Ce qui m'a frappé, c'est sa capacité d'écoute.

    Mais maintenant il lisait. Pendant près de deux heures, il lut dans le micro de la pile de livres à côté de lui: Orwell, Dickens, Tolstoï, Zola, Hemingway, Chomsky, Neruda: une page ici, une ligne ou deux là-bas. Les gens applaudissaient et sifflaient lorsqu'il passait d'un auteur à l'autre. Ensuite, les agriculteurs ont pris le micro et lui ont dit ce qu'ils savaient et ce dont ils avaient besoin. une figure ancienne, sculptée, semble-t-il, d'un banian voisin, prononce un long discours critique sur le sujet de l'irrigation; Chavez a pris des notes.

    Le vin est cultivé ici, un cépage noir de type Syrah. "John, John, viens ici", a déclaré El Presidente, m'ayant vu m'endormir dans la chaleur et les profondeurs d'Oliver Twist.

    «Il aime le vin rouge», a déclaré Chavez au public, en sifflant et en me présentant une bouteille de «vino de la gente». Mes quelques mots en mauvais espagnol ont apporté des sifflements et des éclats de rire.

    Regarder Chavez avec le peuple, la gente, donnait un sens à un homme qui, en arrivant au pouvoir, avait promis que chacun de ses gestes serait soumis à la volonté du peuple. En huit ans, Chavez a remporté huit élections et référendums: un record mondial. Il était le chef d’État le plus populaire de l’hémisphère occidental, probablement du monde.

    Chaque réforme majeure chaviste a été votée, notamment une nouvelle constitution approuvée par 71% de la population, qui a approuvé chacun des 396 articles qui consacraient des libertés inouïes, tel que l’Article 123, qui reconnaissait pour la première fois les droits fondamentaux des peuples métis. les Noirs, dont Chavez était un.

    Leurs premiers champions

    L'un de ses tutoriels sur la route cite un écrivain féministe: «L'amour et la solidarité sont les mêmes». Son public l'a bien compris et s'est exprimé avec dignité, rarement avec déférence. Les gens ordinaires considéraient Chavez et son gouvernement comme leurs premiers champions: comme les leurs.

    Cela était particulièrement vrai pour les autochtones, les métis et les afro-vénézuéliens, qui avaient été méprisés par les prédécesseurs immédiats de Chavez et par ceux qui vivent aujourd'hui loin des barrios, dans les manoirs et les penthouses d'East Caracas, qui se rendent à Miami. leurs banques sont et qui se considèrent comme «blanches». Elles constituent le noyau puissant de ce que les médias appellent «l’opposition».

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  6. Quand j'ai rencontré cette classe, dans des banlieues appelées Country Club, dans des foyers dotés de lustres bas et de mauvais portraits, je les ai reconnus. Ils pourraient être des Sud-Africains blancs, la petite bourgeoisie de Constantia et Sandton, des piliers des cruautés de l'apartheid.

    Les caricaturistes de la presse vénézuélienne, dont la plupart appartiennent à une oligarchie et s'opposent au gouvernement, ont présenté Chavez comme un singe. Un animateur de radio a parlé du «singe». Dans les universités privées, la devise des enfants des mieux nantis est souvent l'abus raciste de ceux dont les baraques ne sont visibles que par la pollution.

    Bien que la politique identitaire fasse fureur dans les pages des journaux libéraux occidentaux, la race et la classe sociale sont deux mots qui ne sont presque jamais prononcés dans la «couverture» mensongère de la dernière tentative, la plus dénudée, de Washington visant à saisir la plus grande source de pétrole au monde et à la récupérer. "arrière-cour."

    Malgré tous les défauts des chavistas - permettre à l’économie vénézuélienne de devenir l’otage du pétrole et de ne jamais défier sérieusement le capital et la corruption - ils apportèrent justice et fierté à des millions de personnes et le firent avec une démocratie sans précédent.

    Processus d'élection stellaire

    "Sur les 92 élections que nous avons surveillées", a déclaré l'ancien président Jimmy Carter, dont le Centre Carter est un observateur respecté des élections dans le monde entier, "je dirais que le processus électoral au Venezuela est le meilleur au monde". Pour M. Carter, le système électoral américain, qui met l'accent sur l'argent de la campagne électorale, est "l'un des pires".

    En étendant le droit de vote à un État de pouvoir communal parallèle, basé dans les quartiers les plus pauvres, Chavez a décrit la démocratie vénézuélienne comme «notre version de l’idée de Rousseau sur la souveraineté populaire».

    Beatrice Balzo, à Barrio La Linea, assise dans sa petite cuisine, m'a raconté que ses enfants étaient la première génération de pauvres à fréquenter une école d'une journée complète et à recevoir un repas chaud et à apprendre la musique, l'art et la danse. «J'ai vu leur confiance s'épanouir comme des fleurs», a-t-elle déclaré.

    Dans le quartier de La Vega, j'ai écouté Mariella Machado, une infirmière noire de 45 ans au rire malsain, s'adresser à un conseil foncier urbain sur des sujets allant du sans-abrisme à la guerre illégale. Ce jour-là, ils lançaient Mision Madres de Barrio, un programme visant à lutter contre la pauvreté chez les mères célibataires. En vertu de la constitution, les femmes ont le droit d’être rémunérées en tant que dispensatrices de soins et peuvent emprunter auprès d’une banque spéciale pour femmes. Maintenant, les femmes au foyer les plus pauvres touchent l'équivalent de 200 dollars par mois.

    Dans une pièce éclairée par un seul tube fluorescent, j'ai rencontré Ana Lucia Fernandez, âgée de 86 ans, et Mavis Mendez, âgée de 95 ans. Sonia Alvarez, âgée de 33 ans, était venue avec ses deux enfants. Une fois, aucun d'entre eux ne savait lire et écrire; maintenant ils étudiaient les mathématiques. Pour la première fois de son histoire, le Venezuela a presque 100% d'alphabétisme.

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  7. C’est le travail de Mision Robinson, qui a été conçu pour les adultes et les adolescents à qui on avait précédemment refusé une éducation en raison de la pauvreté. Mission Ribas donne à chacun l'opportunité d'un enseignement secondaire, appelé bachillerato. (Les noms Robinson et Ribas font référence aux leaders de l'indépendance vénézuélienne du 19ème siècle).

    En 95 ans, Mavis Mendez a assisté à un défilé de gouvernements, principalement des vassaux de Washington, qui président au vol de milliards de dollars en restes de pétrole, dont une grande partie a été volée à Miami. "Nous n'avions aucune importance humaine", m'a-t-elle dit. «Nous avons vécu et sommes morts sans véritable éducation, sans eau courante ni nourriture que nous ne pouvions pas nous permettre. Quand nous sommes tombés malades, les plus faibles sont morts. Maintenant, je peux lire et écrire mon nom et bien plus encore; et quoi que disent les riches et les médias, nous avons planté les graines de la vraie démocratie et j'ai la joie de voir cela se produire. "

    En 2002, lors d’un coup d’État soutenu par Washington, les fils et filles de Mavis, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants se sont joints à des centaines de milliers de personnes qui ont envahi les barrios sur les collines et ont exigé que l’armée reste fidèle à Chavez.

    «Les gens m'ont sauvé», m'a dit Chavez. «Ils l'ont fait avec les médias contre moi, empêchant même les faits de base de ce qui s'est passé. Pour la démocratie populaire en action héroïque, je vous suggère de ne pas chercher plus loin. "

    Saddam Hussein incarné

    Depuis la mort de Chavez en 2013, son successeur, Nicolás Maduro, a abandonné son étiquette dérisoire dans la presse occidentale en tant qu '"ancien chauffeur de bus" et est devenu l'incarnation de Saddam Hussein. Son abus médiatique est ridicule. Sous sa surveillance, la chute du prix du pétrole a provoqué une hyperinflation et a bouleversé les prix dans une société qui importe presque toute sa nourriture. Pourtant, comme l'a rapporté le journaliste et réalisateur Pablo Navarrete cette semaine, le Venezuela n'est pas la catastrophe sur laquelle il a été peint.

    «Il y a de la nourriture partout», a-t-il écrit. "J'ai filmé beaucoup de vidéos de nourriture dans les marchés [à Caracas] ... c'est vendredi soir et les restaurants sont pleins."

    En 2018, Maduro a été réélu président. Une partie de l'opposition a boycotté l'élection, une tactique tentée contre Chavez. Le boycott a échoué: 9 389 056 personnes ont voté; 16 partis ont participé et six candidats se sont présentés à la présidence. Maduro a remporté 6 248 864 voix, soit 68%.

    Le jour du scrutin, j'ai parlé à l'un des 150 observateurs d'élections étrangers. «C'était tout à fait juste», a-t-il déclaré. «Il n'y avait pas de fraude; Aucune des revendications lurides des médias ne s'est levée. Zéro. Incroyable vraiment.

    Comme une page du tea party d'Alice, l'administration Trump a présenté Juan Guaidó, une création récente du National Endowment for Democracy de la CIA, le qualifiant de «président légitime du Venezuela». Inconnu de 81% du peuple vénézuélien, Selon The Nation, Guaidó n'a été élu par personne.

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  8. Maduro est "illégitime", déclare Donald Trump (qui a remporté la présidence américaine avec 3 millions de voix de moins que son adversaire), un "dictateur", déclare le vice-président Mike Pence, indéniablement indigné, et un trophée pétrolier en attente, déclarant "la sécurité nationale ”John Bolton (qui, quand je l’ai interviewé en 2003, a dit:“ Hé, êtes-vous communiste, peut-être même du travail? ")

    En tant qu'envoyé spécial au Venezuela (coup d'Etat), Trump a nommé un criminel reconnu, Elliot Abrams, dont les intrigues au service des présidents Reagan et George W. Bush ont contribué à produire le scandale Iran-Contra dans les années 1980 et à plonger l'Amérique centrale. dans des années de misère sanglante.

    Mis à part Lewis Carroll, ces "fous" appartiennent à l'actualité des années 1930. Et pourtant, leurs mensonges sur le Venezuela ont été repris avec enthousiasme par ceux qui sont payés pour garder les faits.

    Sur la chaîne 4 News, Jon Snow a crié au député travailliste Chris Williamson: «Regardez, vous et M. Corbyn êtes dans un très mauvais coin [sur le Venezuela]!» Lorsque Williamson a tenté d'expliquer pourquoi la menace d'un pays souverain avait été mal, Snow cut lui off. "Vous avez fait du bon travail!"

    En 2006, Channel 4 News a effectivement accusé Chavez de comploter pour fabriquer des armes nucléaires avec l’Iran: un fantasme. Le correspondant de Washington, Jonathan Rugman, a permis à un criminel de guerre, Donald Rumsfeld, de comparer Chavez à Hitler, sans contestation.

    Biais écrasant

    Des chercheurs de l’Université de l’ouest de l’Angleterre ont étudié le reportage de la BBC sur le Venezuela sur une période de 10 ans. Ils ont examiné 304 rapports et ont constaté que seuls trois d'entre eux se référaient à l'une des politiques positives du gouvernement. Pour la BBC, le bilan démocratique du Venezuela, la législation sur les droits de l’homme, les programmes alimentaires, les initiatives en matière de santé et la réduction de la pauvreté n’ont pas eu lieu. Le plus grand programme d’alphabétisation de l’histoire humaine n’a pas eu lieu, tout comme les millions de personnes qui marchent pour soutenir Maduro et à la mémoire de Chavez n’existent pas.

    Lorsqu'on lui a demandé pourquoi elle n'avait filmé que la marche de l'opposition, la journaliste de la BBC Orla Guerin a tweeté qu'il était «trop difficile» de participer à deux marches en une journée.

    Une guerre a été déclarée contre le Venezuela, dont la vérité est «trop difficile» à être relatée.

    Il est trop difficile de dire que l'effondrement des prix du pétrole depuis 2014 est principalement le résultat de machinations criminelles de la part de Wall Street. Il est trop difficile d’annoncer le sabotage du blocage de l’accès du Venezuela au système financier international dominé par les États-Unis. Il est trop difficile de faire état des «sanctions» de Washington contre le Venezuela, qui ont entraîné la perte d'au moins 6 milliards de dollars des recettes du Venezuela depuis 2017, y compris 2 milliards de dollars de médicaments importés, considérés comme illégaux, ou le refus de la Banque d'Angleterre de restituer l'or du Venezuela. réserves comme un acte de piratage.

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  9. L'ancien rapporteur des Nations Unies, Alfred de Zayas, a comparé cela à un «siège médiéval» conçu «pour mettre les pays à genoux». C'est une agression criminelle, a-t-il déclaré. Cela ressemble à celui auquel Salvador Allende a été confronté en 1970 lorsque le président Richard Nixon et son équivalent de John Bolton, Henry Kissinger, ont décidé de «faire hurler l’économie [du Chili]». La longue nuit noire de Pinochet a suivi.

    Le correspondant du Guardian, Tom Phillips, a tweeté l’image d’une casquette sur laquelle les mots en espagnol signifient en argot local: "Redonne le Venezuela putain, cool." Le reporter, en tant que clown, pourrait bien être l’ultime étape de la dégénérescence du journalisme traditionnel.

    Si Guaidó, le larbin de la CIA, et ses suprémacistes blancs s'emparent du pouvoir, ce sera le 68ème renversement d'un gouvernement souverain par les États-Unis, pour la plupart des démocraties. Une vente de feu des services publics et des richesses minérales du Venezuela suivra sûrement, ainsi que le vol du pétrole du pays, comme l'a souligné John Bolton.

    Sous le dernier gouvernement à Caracas*, contrôlé par Washington, la pauvreté a atteint des proportions historiques. Il n'y avait pas de soins de santé pour ceux qui ne pouvaient pas payer. Il n'y avait pas d'éducation universelle; Mavis Mendez et des millions de personnes comme elle ne savaient ni lire ni écrire. C'est pas cool, Tom ?

    https://www.zerohedge.com/news/2019-02-26/john-pilger-war-venezuela-built-lies

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  10. Si chaque débat sur l'interventionnisme américain concernait plutôt Godzilla


    par Tyler Durden
    Mar., 26/02/2019 - 21:20
    Écrit par Cailtin Johnstone via Medium.com,


    Personne A: Wow, les choses vont vraiment mal au Venezuela en ce moment.

    Personne B: Ouais.

    Personne A: Toute cette pauvreté et ces troubles !

    Personne B: Je sais, c’est terrible.

    Personne A: Vous savez ce que nous devrions faire ?

    Personne B: S'il vous plaît ne dites pas envoyer à Godzilla.

    Personne A: Quoi? Pourquoi pas ??

    Personne B: Parce qu'il aggrave toujours les choses! Tu le sais! Chaque fois que nous envoyons Godzilla pour tenter de résoudre des problèmes dans le monde, il finit par piétiner la ville, anéantissant des bâtiments et tuant des milliers de personnes avec son faisceau de chaleur atomique.

    Personne A: Peut-être que cette fois serait différent!

    Personne B: Pourquoi, au nom de Dieu, cette fois serait-il différent ?? Vous avez dit que ce serait différent en Irak, en Libye, en Syrie. Qu'est-il arrivé là-bas?

    Personne A: Il a piétiné les villes, détruit les bâtiments et tué des gens avec son faisceau de chaleur atomique.

    Personne B: Exactement! Alors, qu'est-ce qui vous fait penser que l'envoi de Godzilla serait différent cette fois-ci?

    Personne A: Eh bien, nous ne pouvons rien faire!

    Personne B: Mec, ne rien faire serait infiniment mieux que d’envoyer Godzilla faire ce qu’il fait littéralement.

    Personne A: Hé, l'inaction a aussi des conséquences, vous savez! Vous ne parlez probablement même pas aux Vénézuéliens. Le dentiste de mon frère, un collègue, est vénézuélien. Il déclare qu’un démantèlement de Godzilla est tout ce dont il a besoin. Vous devriez écouter les Vénézuéliens.

    Personne B: Peu importe le nombre de Vénézuéliens à qui je parle, ce sera toujours un fait indiscutable que les déchaînements de Godzilla sont toujours désastreux et aggravent toujours les choses.

    Personne A: Pourquoi es-tu un tel apologiste Maduro?

    Personne B: Quoi ?!? Je ne suis pas un apologiste de Maduro! Cela n'a rien à voir avec Maduro. Je viens de me rappeler ce que Godzilla est et ce qu’il fait toujours lorsque nous le convoquons du fond des mers pour tenter de résoudre les problèmes.

    Personne A: Écoutez, j’ai bien compris que Godzilla a tout gâché dans le passé, cela ne veut pas dire que vous devez supporter Maduro.

    Personne B: Je ne supporte pas Maduro! Pourquoi fais-tu toujours ça ?? Avec l’Iraq, vous m’avez qualifié d’apologiste de Saddam, avec la Libye, vous m’appelez un partisan de Kadhafi, avec la Syrie, j’étais un assadiste, et tout ce que je dis, c’est que Godzilla est un monstre nucléaire géant qui détruit tout sur son passage!

    Personne A: Je suppose donc que vous ne vous souciez pas du peuple vénézuélien.

    Personne B: Bien sûr, je me soucie du peuple du Venezuela! C’est pourquoi je ne veux pas qu’ils soient piétinés à mort sous les pieds d’un monstre nucléaire destructeur!

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  11. Personne A: Oui, mais le Venezuela est dans une situation désespérée en ce moment. Ce n’est pas comme si envoyer Godzilla pouvait aggraver les choses.

    Personne B: L'envoi à Godzilla peut certainement aggraver les choses! Vous plaisantez j'espère?? Avez-vous vu la Libye ces derniers temps?

    Personne A: Oh, d'accord, tout était si parfait en Libye avant que nous envoyions Godzilla pour tuer Kadhafi, j'ai oublié. C'était un paradis utopique parfait!

    Personne B: Personne n’a dit que la Libye était parfaite sous Kadhafi, mais c’était bien mieux avant que Godzilla s’enroule chaotique, piétinant et brûlant tout ce qui est en vue. C’est maintenant un désastre humanitaire sans loi!

    Personne A: Vous êtes juste un socialiste qui aime Maduro et qui déteste Godzilla.

    Personne B: Ce n’est pas du socialisme. C’est un fait établi que l’envoi de Godzilla aggrave toujours les choses et n’améliore jamais les choses. La seule raison pour laquelle vous continuez de basculer entre les arguments de l'homme de paille et les attaques ad hominem est parce que vous savez que vous n'avez aucun cas. Tout ce que vous pouvez faire, c’est de continuer à m’appeler comme un partisan de Maduro, en disant que je me moque du peuple vénézuélien et que c’est parce que j’aime le socialisme, quand vous savez très bien que je le dis comme il est. Honnêtement, que se passe-t-il quand nous envoyons Godzilla à nouveau? Pensez-vous qu'il va tout d'un coup devenir un mec gentil et câlin et qu'il commence à résoudre des problèmes de précision chirurgicale?

    Personne A: Euh… peut-être?

    Personne B: Il ne va pas! Il ne le fera jamais! Vous continuez à espérer que ce sera différent et ce ne sera jamais! Comment continuez-vous à faire cette même erreur stupide encore et encore ??

    Personne A: La télévision m’a dit cette fois que c’était différent.

    Personne B: Ils vous le disent à chaque fois! C’est un récit avancé par les profiteurs de Godzilla déchaînés!

    Personne A: Hé, peut-être que ça n'arrivera même pas à ça. Peut-être que Mothra pourrait taper doucement sur Maduro?

    Personne B: Mothra fait aussi mal aux civils!

    Personne A: Nuh-euh. Ses rafales de vent sont ciblées au laser pour n'affecter que les oligarques de Maduro et du Venezuela.

    Personne B: Ce n’est même pas vrai! Quoi qu'il en soit, que se passe-t-il lorsque Mothra commence à tuer des civils?

    Personne A: Rien qu’un peu de Godzilla ne puisse réparer.

    Personne B: bien sûr. Impressionnant. Excusez-moi, je dois aller me cogner la tête contre la portière de la voiture.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-02-26/if-every-debate-about-us-interventionism-was-about-godzilla-instead

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  12. La Chine se joint à la Russie pour s'opposer à une intervention militaire au Venezuela


    par Tyler Durden
    Mar., 26/02/2019 - 20:20


    Voici quelque chose qui pourrait compliquer la quête du président Trump d'un accord commercial global avec la Chine.

    Après un violent week-end qui a coûté la vie à plusieurs Vénézuéliens et fait des dizaines de blessés alors que des milices pro-Maduro ont uni leurs forces pour tenter de repousser les convois humanitaires (au milieu du chaos, des responsables vénézuéliens ont accusé les États-Unis d'avoir organisé une attaque sous faux drapeau sur un véhicule de transport), La Chine s’est finalement opposée à une intervention militaire étrangère au Venezuela et a pris la mesure la plus concrète de soutenir le régime de Maduro, alors que de hauts responsables préviennent qu’une intervention militaire pourrait être envisagée.

    L'organisation médiatique chinoise Xinhua a rapporté mardi qu'un représentant du gouvernement à Beijing avait exprimé son opposition au conflit militaire au Venezuela (après que Guaido aurait tenté de convaincre Pékin d'abandonner Maduro et de soutenir sa prétention en tant que dirigeant légitime du Venezuela).

    L'envoyé a déclaré que l'opposition de la Chine à l'ingérence étrangère dans la république socialiste de prédilection de l'Amérique latine - que la Chine considère non seulement comme un allié international, mais qui a également investi des milliards de dollars dans des accords "argent contre pétrole" - lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies convoquée par les Etats Unis.

    Voici plus de Xinhua:

    "La Chine soutient que tous les pays doivent respecter les principes fondamentaux du droit international et des relations internationales, s'opposer à toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures du Venezuela et à une intervention militaire au Venezuela", a déclaré Ma Zhaoxu, représentant permanent de la Chine auprès de l'ONU à Réunion du Conseil de sécurité sur la situation au Venezuela.

    L'envoyé a également déclaré que la Chine s'opposait aux tentatives des États-Unis d'offrir une "assistance humanitaire" au peuple vénézuélien, faisant écho à une ligne utilisée par le régime de Maduro selon laquelle cette aide était simplement un stratagème visant à semer l'instabilité dans le pays.

    "La Chine s'oppose à l'utilisation de la prétendue assistance humanitaire à des fins politiques pour créer un handicap ou même des turbulences au Venezuela et dans la région voisine", a-t-il ajouté.

    "Cela ne sert l'intérêt d'aucun parti", a noté l'ambassadeur.

    La Chine et la Russie sont désormais les deux plus grandes puissances soutenant le régime de Maduro, qui a perdu le soutien d'une grande partie de l'Amérique latine et de l'Europe. Moscou serait même allé jusqu'à commander des centaines de mercenaires russes à Caracas pour protéger Maduro. Le géant énergétique russe Gazprom a investi des milliards de dollars dans la compagnie pétrolière nationale en difficulté du Venezuela, PDVSA.

    La dernière déclaration de soutien de Beijing intervient alors que le vice-président Mike Pence a exhorté les partenaires internationaux des États-Unis, lors d'un discours en Colombie, à geler tous les avoirs vénézuéliens, à refuser d'acheter son pétrole et à garantir que "chaque dernier dollar" détenu ou gagné par le gouvernement à l'étranger soit restitué à Guaido.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-02-26/china-joins-russia-opposing-military-intervention-venezuela

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    1. Les States rasés en 5 minutes ? Non ! En 5 secondes !

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  13. Poutine: « Il faut 6 minutes aux missiles nucléaires russes pour atteindre les Etats-Unis »


    Dominique Dewitte
    25 février 2019


    Le président russe Poutine s’est adressé au Parlement la semaine dernière comme à son habitude chaque année. L’équivalent du «State of the Union» américain, en quelque sorte. Le dirigeant russe a réitéré ses menaces contre l’Occident concernant les armes nucléaires.

    Fidèle à la tradition, Poutine a ciblé 2 groupes différents lors de cet événement. D’un côté, les Russes. Ils recevront des cadeaux sous la forme d’allocations familiales supplémentaires. Plus il y aura d’enfants dans une famille, moins elle paiera d’impôts.

    De l’autre côté, il y a l’Occident. Comme en octobre et en décembre, il a menacé ce dernier avec de nouvelles armes nucléaires. Son message principal était le suivant : « Si les Américains placent leurs armes nucléaires en Europe, la Russie concentrera ses armes nucléaires sur des cibles américaines ».

    Frapper les États-Unis plus vite que l’Amérique ne peut frapper Moscou
    Le président russe a expliqué que son objectif est de frapper les États-Unis plus vite que les États-Unis ne peuvent frapper Moscou :

    « Nous parlons de capacités similaires … surtout en termes de temps. Et peut-être, si nous disposons plus de temps, une attaque préventive sera superflue. »

    “6 minutes contre 10 à 12 minutes”

    Poutine a également déclaré que les missiles russes sont plus rapides. Ceux-ci peuvent être lancés aussi bien à partir de navires de guerre que de sous-marins. Son explication visait à montrer que les missiles de croisière hypersoniques russes Tsirkon peuvent atteindre les Etats-Unis en 6 minutes, alors qu’il faudrait entre 10 et 12 minutes aux armes américaines pour frapper la Russie.

    « Comparez ce vol de 12 minutes à destination de Moscou avec le temps dont nous avons besoin pour atteindre les centres qui nous menacent et où les décisions sont prises… Ni la Géorgie ni l’Ukraine ne leur donneront un avantage à cet égard ».

    Les paroles de Poutine sonnent comme un refrain russe classique. Le président russe a également expliqué pourquoi il parle si souvent d’armes nucléaires. (L’année dernière, il a fourni pendant près d’une heure des détails sur l’arsenal nucléaire russe. Il a ensuite montré une vidéo montrant comment une fusée russe pouvait frapper la Floride).

    Selon Poutine, il est nécessaire d’expliquer aux citoyens que beaucoup d’argent a été investi dans la défense. « Nous devons maintenant calmer la population, car nous réduisons progressivement les investissements dans la Défense. »

    « Les armes nucléaires sont plus importantes que l’économie »
    Néanmoins, l’appareil militaire russe reste crucial. Lorsqu’on lui a demandé si l’argent était plus important que les missiles, le dirigeant russe a répondu « que les missiles sont de plus en plus importants ».

    « Le succès économique est la clé pour résoudre tous les problèmes. Cela signifie accroître la productivité et attirer les investissements. Mais malgré cela, nous ne devons jamais oublier et n’oublierons jamais que si nous voulons être autosuffisants, nous devons être capables de garantir notre sécurité. »

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  14. Une pincée de sel

    Les observateurs internationaux soulignent que toutes ces histoires d’armes nucléaires sont alarmantes. Pourtant, les paroles de Poutine doivent être prises avec une pincée de sel. Le journal d’Etat Rossiiskaya Gazeta a écrit en 2017 que la vitesse des roquettes Tsirkon était passée de Mach 5 à Mach 8. La semaine dernière, Poutine a réitéré cette affirmation. Mais maintenant, il parle de Mach 9.

    https://fr.express.live/poutine-armes-nucleaires-frapper-etats-unis/

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  15. L'âge de la surveillance tyrannique: nous sommes marqués, achetés et vendus pour nos données


    par Tyler Durden
    Mar., 26/02/2019 - 23:20
    Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,


    «Nous savons où vous êtes. Nous savons où vous avez été. Nous pouvons plus ou moins savoir à quoi vous pensez ... Votre identité numérique vivra éternellement ... car il n’y a pas de bouton de suppression. "
    - Eric Schmidt, ancien PDG de Google
    Oncle Sam vous veut.
    Correction: Big Brother vous veut.

    Pour être techniquement précis, Big Brother - aidé et encouragé par ses partenaires dans le crime - veut vos données.

    C’est ce à quoi nous avons été réduits aux yeux du gouvernement et des entreprises américaines: des bits de données et des unités économiques doivent être achetés, échangés et vendus au plus offrant.

    La classe politique américaine et les politiciens aspirant à être élus ou réélus figurent au premier rang des enchères. Comme le rapporte le Los Angeles Times, «Si vous avez assisté à un rallye politique, à un hôtel de ville ou si vous souhaitez simplement une campagne démographique, il est probable que vos mouvements soient suivis avec une précision troublante par les vendeurs de données figurant sur la liste de paie des campagnes. "

    Vos téléphones, téléviseurs et appareils numériques vous vendent aux politiciens qui veulent votre vote.

    Avez-vous magasiné chez Whole Foods ? Testé sur la cible d'entraînement à portée de canon ? Vous avez siroté un café chez Starbucks tout en surfant sur le Web? Visité une clinique d'avortement ? Regardé FOX News ou MSNBC ? Vous avez joué à Candy Crush sur votre téléphone ? Traversé un centre commercial ? Passé devant un bâtiment du gouvernement ?

    C’est tout ce dont vous avez besoin pour que vos données soient aspirées, vendues et utilisées pour vous cibler.

    C'est l'âge du capitalisme de surveillance.

    Incroyablement, une fois que vous avez été identifié et suivi, les courtiers en données peuvent remonter dans le temps, numériquement, pour découvrir où vous avez été, avec qui vous avez été, ce que vous avez fait et ce que vous avez fait. lire, regarder, acheter, etc.

    Une fois que vous avez été identifié de cette manière, vous pouvez être suivi indéfiniment.

    «Bienvenue dans la nouvelle frontière de la technologie de campagne: un monde relativement réglementé dans lequel le simple téléchargement d'une application météo ou d'un jeu, la connexion au Wi-Fi dans un café ou l'activation d'un routeur domestique peuvent permettre à un courtier en données de surveiller facilement vos mouvements. , puis compilez les informations de localisation et vendez-les à un candidat politique qui peut les utiliser pour vous entourer de messages », écrit le journaliste Evan Halper.

    Personne n'est épargné.

    À cet égard, nous sommes tous égaux: nous subissons également l’indignité de la destruction de la vie privée et les détails les plus intimes de la vie sont transformés en un aliment pour les spécialistes du marketing et les profiteurs de données.

    Cette nouvelle ère effrayante d’espionnage gouvernement / entreprises - dans laquelle nous sommes écoutés, regardés, suivis, suivis, cartographiés, achetés, vendus et ciblés - fait en sorte que la surveillance de la NSA semble presque désuète en comparaison.

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  16. Pire, ce système de capitalisme de surveillance à but lucratif est rendu possible grâce à notre coopération.

    Tous les avertissements que vous faites défiler sans les lire, ceux écrits en minuscules, ne vous permettent que de cliquer rapidement sur le bouton «Accepter» à la fin pour pouvoir passer à l'étape suivante: téléchargement de logiciel, ouverture d'un compte sur un réseau social, ajout de une nouvelle application sur votre téléphone ou votre ordinateur - cela signifie votre consentement écrit à ce que vos activités soient surveillées, enregistrées et partagées.

    Penses-y.

    Chaque mouvement que vous effectuez est surveillé, exploité à la recherche de données, analysé et mis en tableau afin de vous brosser un tableau de qui vous êtes, de ce qui vous motive et de la meilleure façon de vous influencer et / ou de vous contrôler.

    Chaque jour, l'Américain moyen qui vaquer à ses occupations quotidiennes sera surveillé, surveillé, espionné et surveillé de plus de 20 manières différentes, à la fois par le gouvernement et par les entreprises. Un sous-produit de cette nouvelle ère dans laquelle nous vivons, que ce soit dans un magasin, en conduisant votre voiture, en consultant votre courrier électronique ou en parlant à des amis et à la famille au téléphone, vous pouvez être sûr que certains organismes gouvernementaux écoutent et suivent votre comportement.

    Avec chaque smartphone que nous achetons, chaque appareil GPS que nous installons, chaque compte Twitter, Facebook et Google que nous ouvrons, chaque carte d'acheteur fréquent que nous utilisons pour faire des achats (que ce soit chez l'épicier, dans le magasin de yaourt, dans les compagnies aériennes ou dans les grands magasins). cartes de crédit et de débit que nous utilisons pour payer nos transactions, nous aidons Corporate America à constituer un dossier pour ses homologues gouvernementaux sur qui nous savons, ce que nous pensons, comment nous dépensons notre argent et comment nous passons notre temps.

    La technologie a tellement évolué que les spécialistes du marketing (les campagnes politiques comptent parmi les pires contrevenants) peuvent réellement créer des «barrières numériques» autour de votre domicile, votre lieu de travail, la maison de vos amis et votre famille et d’autres lieux que vous visitez afin de vous bombarder de messages spécialement conçus. atteindre un résultat particulier.

    Si quelqu'un d'autre nous suivait de cette manière - nous surveillant partout où nous allions, répondait à nos appels, lisait notre correspondance, révélait nos secrets, nous profilait et nous ciblait en fonction de nos intérêts et de nos activités - nous appellerions les flics.

    Malheureusement, les flics (équipés d'appareils Stingray et d'autres technologies Peeping Tom) sont également impliqués dans cette arnaque.

    Ce n’est pas seulement la surveillance, l’achat et la vente de vos données qui est inquiétant.

    Les ramifications d’un gouvernement - n’importe quel gouvernement - ayant ce pouvoir non réglementé et non comptable de cibler, de suivre, de rassembler et de détenir ses citoyens ne sont pas inquiétantes.

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  17. Imaginez ce qu'un régime totalitaire tel que l'Allemagne nazie aurait pu faire avec ce genre de pouvoir non corrompu.

    Imaginez ce que le prochain État policier à suivre sur les traces de l’Allemagne fera avec ce genre de pouvoir. La société évolue rapidement dans cette direction.

    Nous avons rendu si facile pour le gouvernement de nous surveiller.

    Les yeux du gouvernement voient chacun de vos mouvements: ce que vous lisez, combien vous dépensez, où vous allez, avec qui vous échangez, quand vous vous réveillez le matin, ce que vous regardez à la télévision et lisez sur Internet.

    Chaque mouvement que vous effectuez est surveillé, exploité à la recherche de données, analysé et mis en tableau afin de vous brosser un tableau de qui vous êtes, de ce qui vous motive et de la meilleure façon de vous contrôler quand et si il devient nécessaire de vous aligner.

    Si vous êtes un activiste et que vous aimez simplement ou partagez cet article sur Facebook ou le retweet sur Twitter, vous vous signalez probablement comme un renégat potentiel, un extrémiste révolutionnaire ou anti-gouvernemental - a.k.a. terroriste.

    Cependant, que vous aimiez ou partagiez cet article en particulier, le simple fait de le lire ou de tout autre article relatif aux actes répréhensibles, à la surveillance, aux actes de police ou aux libertés civiles du gouvernement suffit pour vous classer comme un type particulier de personnes ayant des intérêts particuliers qui: reflètent un type particulier de mentalité qui pourrait vous amener à vous engager dans un type particulier d’activités. La société doit surveiller et garder un œil sur vous si elle veut vous maintenir en ligne.

    Comme le Washington Post l'a signalé, il est fort probable que vous ayez déjà reçu un score d'évaluation de la menace codé par couleur - vert, jaune ou rouge -, alors la police est prévenue de votre tendance potentielle à être un fauteur de troubles, selon que vous ayez eu une carrière ou non. dans l'armée, a posté un commentaire perçu comme une menace sur Facebook, souffre d'un problème de santé particulier ou connaît quelqu'un qui connaît quelqu'un qui pourrait avoir commis un crime.

    En d'autres termes, vous êtes peut-être déjà identifié comme potentiellement anti-gouvernemental dans une base de données gouvernementale située à un endroit quelconque, le noyau principal par exemple, qui identifie et suit les individus (afin qu'ils puissent être arrêtés et détenus en temps de détresse) qui ne sont pas enclins à agir. marcher au même rythme que le dictat de l'état policier.

    Le gouvernement a le savoir-faire.

    Comme le rapporte The Intercept, le FBI, la CIA, la NSA et d’autres agences gouvernementales investissent de plus en plus dans des technologies de surveillance qui peuvent exploiter des discours protégés par la Constitution sur des plateformes de médias sociaux telles que Facebook, Twitter et Instagram afin d’identifier des extrémistes potentiels et de qui pourraient se livrer à de futurs actes de comportement anti-gouvernemental.

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  18. Cela se passe déjà en Chine.

    Des millions d'individus et d'entreprises chinois, classés sur la liste noire comme «indignes» sur la base des scores de crédit des médias sociaux qui les classent en fonction de leur qualité de «bons» citoyens, sont désormais interdits d'accéder aux marchés financiers, d'acheter des biens immobiliers ou de voyager en avion ou en train. Parmi les activités pouvant vous qualifier d'indigne, vous pouvez prendre des places réservées dans les trains ou causer des ennuis dans les hôpitaux.

    Préparez-vous, car tout indique que la Chine servira de modèle pour notre avenir dystopique.

    Quand le gouvernement voit tout et sait tout et qu'il a une abondance de lois pour faire de même le citoyen le plus éminent un criminel et un violeur de loi, alors le vieil adage selon lequel vous n'avez rien à craindre si vous n'avez plus rien à cacher s'applique.

    Outre les dangers manifestes posés par un gouvernement qui se sent justifié et autorisé à espionner son peuple et à utiliser son arsenal d'armes et de technologies sans cesse grandissant pour le surveiller et le contrôler, il existe également les dangers cachés associés à un gouvernement habilité à les utiliser technologies permettant d’influencer les comportements en masse et de contrôler la population.

    En fait, c'est le président Obama qui a émis un décret demandant aux agences fédérales d'utiliser des méthodes de «science comportementale» pour réduire la bureaucratie et influencer la manière dont les gens réagissent aux programmes gouvernementaux.

    Il s’agit d’un programme comportemental qui tente d’influencer la façon dont les gens réagissent à la paperasserie d’un programme gouvernemental qui tente de façonner les opinions du public sur d’autres questions plus importantes.

    Ajoutez des programmes antérieurs à la criminalité avec des agences gouvernementales et des entreprises travaillant en tandem pour déterminer qui est un danger potentiel et créez un réseau complexe d’évaluations de la menace, d’avertissements de détection du comportement, de «mots marqués» et de rapports d’activité «suspects» à l’aide de: des yeux et des oreilles automatisés, des médias sociaux, un logiciel de détection du comportement et des citoyens-espions, et vous êtes en train de préparer un cauchemar dystopique parfait.

    C’est le genre de paquet oppressif de pré-crime et de pré-pensée prévu par George Orwell, Aldous Huxley et Phillip K. Dick.

    Rappelez-vous que même la loi ou le programme gouvernemental le mieux intentionné peut être - et a été - perverti, corrompu et utilisé pour promouvoir des objectifs illégitimes une fois que le profit et le pouvoir sont ajoutés à l'équation.

    Lutte contre le terrorisme, lutte contre la drogue, lutte contre l'immigration clandestine, systèmes de confiscation d'avoirs, systèmes de sécurité routière, systèmes de sécurité scolaire, domaine éminent: tous ces programmes ont été lancés en tant que réponses légitimes à des préoccupations pressantes et sont depuis devenus des instruments de conformité et le contrôle dans les mains de l'état policier.

    Entre de bonnes (ou de mauvaises) mains, les plans bienveillants peuvent facilement être mis à des fins malveillantes.

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  19. La surveillance, le harcèlement numérique et l'exploration de données du peuple américain - des armes de conformité et de contrôle entre les mains du gouvernement, en particulier lorsque le gouvernement peut écouter vos appels téléphoniques, surveiller vos habitudes de conduite, suivre vos mouvements, contrôler vos achats et effectuer une recherche approfondie les murs de votre maison - ajoutez à cela une société dans laquelle il y a peu de place pour des indiscrétions, des imperfections ou des actes d'indépendance.

    C’est le génie terrifiant, calculateur et pourtant diabolique de l’État policier américain: la technologie même que nous considérions comme révolutionnaire et libératrice est devenue notre prison, notre geôlier, notre agent de probation, Big Brother et Father Knows Best.

    Il s'avère que nous sommes Soylent Green.

    Le film du même nom de 1973, mettant en vedette Charlton Heston et Edward G. Robinson, est tourné en 2022 dans une ville surpeuplée, polluée et affamée de New York, dont les habitants dépendent des aliments synthétiques fabriqués par la société Soylent pour leur survie.

    Heston joue le rôle d'un policier enquêtant sur un meurtre, qui découvre la terrible vérité concernant l'ingrédient principal du wafer, le soylent green, qui constitue la principale source de nourriture pour une population affamée. «Ce sont les gens. Soylent Green est fabriqué à partir de personnes », déclare le personnage de Heston. «Ils fabriquent notre nourriture avec des gens. La prochaine chose qu'ils vont nous élever comme du bétail pour la nourriture. "

    Oh, comme il avait raison.

    Soylent Green, ce sont en effet des personnes ou, dans notre cas, Soylent Green sont nos propres données personnelles, saisies à nouveau, reconditionnées et utilisées par les entreprises et le gouvernement pour nous piéger.

    Nous aussi, nous sommes élevés comme du bétail mais pas pour la nourriture.

    Comme je le dis clairement dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, nous sommes élevés, marqués, achetés et vendus pour nos données.

    Alors que le partenariat insidieux entre le gouvernement américain et Corporate America devient chaque jour plus envahissant et plus subtil, il n’ya pratiquement aucun moyen de se soustraire à ces atteintes à la confidentialité de vos données numériques, à moins d’être un Luddite des temps modernes, complètement déconnecté de toute technologie. .

    En effet, la description du monde de 1984 faite par George Orwell est aussi pertinente que je l’ai jamais vue: «Vous deviez vivre - vous viviez, par habitude devenue instinctive - en supposant que chaque son que vous émettiez était entendu. et, sauf dans l'obscurité, chaque mouvement scruté. "

    Ce dont nous avons désespérément besoin et dont nous avons un besoin urgent, c’est d’une Déclaration électronique des droits qui protège «nous, le peuple» contre les pratiques commerciales de surveillance prédatrice et d’extraction de données.

    Sans les protections constitutionnelles en place pour nous protéger des atteintes à nos droits dans le domaine de l'électronique, il ne faudra pas longtemps pour que nous nous retrouvions, tout comme le personnage d'Edward G. Robinson dans Soylent Green, qui se penche sur le passé avec l'âge où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions sans que ces pensées, paroles et activités ne soient suivies, traitées et stockées par des géants tels que Google, vendues à des agences gouvernementales telles que la NSA et la CIA, et utilisé contre nous par la police militarisée avec son armée de technologies futuristes.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-02-26/age-tyrannical-surveillance-were-being-branded-bought-sold-our-data

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    1. La puce RFID n'est pas dans la seringue, elle est dans l'aiguille. Première injection, poof ! Elle y est !

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  20. La confiance dans les médias frappe le fond: 60 % des Américains pensent que les journalistes paient leurs sources


    par Tyler Durden
    Mar., 26/02/2019 - 22:20


    Les lecteurs de notre modeste site Web ne sont peut-être pas étonnés, mais un sondage mené par le Columbia Journalism Review a récemment confirmé que la confiance dans les médias américains atteignait un nouveau creux.

    Selon l’enquête réalisée par Reuters / Ipsos auprès de 4 214 adultes américains, les médias se sont classés au dernier rang dans la liste des institutions les plus dignes de confiance de Washington, derrière le Congrès, l’armée et le pouvoir exécutif.

    - voir Graphique sur site -

    Bien entendu, l’idée que les Américains n’ont pas confiance en la presse est bien établie depuis longtemps. Le sondage prétendait montrer ce qu’il en était du processus journalistique - de l’utilisation de sources anonymes au rôle que joue l’argent dans la relation entre source et journaliste - que les Américains trouvent si profondément troublant.

    Par exemple, 60 % des répondants ont déclaré croire que les journalistes payaient leurs sources.

    - voir Graphique sur site -

    L'enquête a également confirmé la disparition de la presse écrite en montrant que la plupart des Américains tirent leurs nouvelles de la télévision, d'Internet et des médias sociaux.

    Graphique

    Et peut-être plus frappant encore, parmi tous les groupes démographiques décomposés dans l’enquête, seuls les démocrates ont déclaré qu’ils avaient «une grande confiance» dans la presse.

    - voir Graphique sur site -

    Le rapport - en particulier les conclusions sur les journalistes payant leurs sources - a été choqué et incrédule par des membres des médias à Washington, qui ne pouvaient tout simplement pas croire qu'un Américain serait assez mal informé pour soupçonner un journaliste qui se respecte offrirait jamais de payer leurs sources (pouvez-vous même imaginer ?).


    Bien que, au lieu de remettre en question l’intelligence des lecteurs qui ont été rebutés par leur couverture hyper partisane - réalisée comme toujours, sous les auspices du "reportage objectif" - ils seraient peut-être mieux servis en examinant ce qu’ils pourraient faire pour changer ces rapports. perceptions.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-02-26/trust-media-hits-rock-bottom-60-americans-think-journalists-pay-their-sources

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  21. Les corsaires de tomates pourries "entrée non-constructive" après le film de super-héros Girl-Power promené par "Trolls"


    par Tyler Durden
    Mar., 26/02/2019 - 20:00


    Le site Web de critiques de films Rotten Tomatoes a décidé d’aider les affolés du box-office hollywoodien en interdisant les commentaires des utilisateurs avant la sortie en avant-première des films. Le site a également modifié le système de sondage utilisé pour évaluer l'intérêt des versions à venir. Cette décision intervient en réponse à la critique par les utilisateurs du dernier film de super-héros à la puissance féminine, Captain Marvel, qui a été largement critiquée avant sa sortie le 8 mars.

    La star de Captain Marvel, Brie Larson, a été critiquée après avoir annoncé à Marie Claire qu'elle aimerait voir moins de critiques masculins blancs revoir ses films. Suite aux commentaires de Larson, les projections de Box Marvel pour Captain Marvel ont chuté d'environ 28%, tandis que la section des commentaires de Rotten Tomatoes a explosé, ce qui a entraîné de nouveaux changements à l'échelle du site.

    Ceux qui pensent qu'un film va péter, ou qui ont un problème avec quelque chose de controversé dit par une star, ont maintenant été étiquetés "trolls" et se lancent dans des campagnes de "bombardement à la critique" - et doivent donc être réduits au silence, selon Rotten Tomatoes.

    La lutte contre les "attentats à la bombe" fait partie des efforts de la société pour rendre les réactions de l'auditoire plus "utiles", a déclaré Paul Yanover, président de Fandango, le service de billetterie propriétaire de Rotten Tomatoes. (Fandango est une unité de NBCUniversal, la société mère de NBC News.)

    "Nous avons décidé que la chose la plus facile à faire, et la plus intelligente à faire, consistait simplement à supprimer les commentaires, car vous ne pouvez pas commenter le film si vous ne l'avez pas vu", a déclaré Yanover. -NBC Nouvelles

    Prouvant accidentellement que les "trolls" ont raison, NBC News note:

    Au cours des dernières années, de nombreux utilisateurs ont tenté de réduire les scores d'audience de "Black Panther", "Star Wars: The Last Jedi" de Marvel et du "Ghostbusters" dirigé par des femmes qui redémarrent, inondant le site de commentaires parfois racistes ou sexistes.

    Tous ont reçu des critiques dithyrambiques sur les métacritiques - en particulier le dernier Jedi et le redémarrage de Ghostbusters entièrement féminin.

    Le film était si affreux que la co-vedette Leslie Jones s'est adressée à Twitter pour critiquer les messages racistes et sexistes présumés qu'elle avait reçus, ce qui a valu au militant d'extrême droite Milo Yiannopoulos une interdiction permanente de Twitter après avoir déclaré que Jones jouait contre la victime. Jones, quant à lui, est resté impuni après une série de tweets racistes avant l'incident avec Yiannopoulos. Elle a volontairement quitté twitter peu de temps après le combat avec Milo.

    En bref - si un grand nombre de personnes pense qu'un film sera probablement nul pour un certain nombre de raisons, y compris une réaction brutale contre des acteurs activistes, Rotten Tomatoes ne vous le fera plus savoir. Vous devrez simplement risquer de perdre 15 $ et deux heures de votre vie, ou d'attendre que suffisamment de critiques arrivent pour prendre une décision.

    Il y a beaucoup d'argent en jeu, après tout.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-02-26/rotten-tomatoes-censors-non-constructive-input-after-girl-power-superhero-movie

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    1. Ce ne sont PAS les spectateurs américains qui décernent les oscars ! C'est un nano-groupuscule de pédales ! Hahahaha !
      Idem pour les 'Miss' Machin ! choisies par qui ? Hahahahaha !

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  22. « Chaque Belge a investi 6 370 euros dans l’introduction de la monnaie unique »


    Audrey Duperron
    26 février 2019


    L’Allemagne et les Pays-Bas ont le plus bénéficié de l’introduction de l’euro, il y a maintenant 20 ans. Telle est la conclusion d’une étude réalisée par Alessandro Gasparotti et Matthias Kullas du think tank « Centre for European Policy » de Fribourg. L’Italie et la France peuvent être considérées comme les plus grands perdants.

    L’Allemagne a gagné plus de 1 893 milliard d’euros entre 1999 et 2017 grâce à l’introduction de la monnaie unique européenne. Cela représente un avantage de 23 000 euros par habitant. Les Pays-Bas ont également fait du bon travail et ont été autorisés à enregistrer un bénéfice de 21 000 euros par habitant.

    Le Centre for European Policy fait partie de la Stiftung Ordnungspolitik et est spécialisé dans la recherche et l’évaluation des politiques de l’UE. Dans leur étude « 20 ans de l’euro : les gagnants et les perdants », Gasparotti et Kullas ont examiné quels pays ont bénéficié de l’euro et lesquels n’en ont pas bénéficié. Ils parviennent à quelques conclusions remarquables. Par exemple, la Grèce semblait devenir l’un des grands gagnants de l’euro jusqu’à ce que des pertes énormes soient constatées à partir de 2011. En fin de compte, l’euro n’a rapporté aux Grecs que 2 milliards d’euros, soit à peine 190 euros par habitant sur une période de 20 ans, c’est à dire un montant négligeable de 9 euros par an.

    L’Allemagne et les Pays-Bas ont profité de l’introduction de l’euro

    Seuls l’Allemagne et les Pays-Bas ont largement bénéficié de l’introduction de l’euro. Tous les autres pays ont perdu de l’argent. La Belgique, par exemple, a perdu 69 milliards d’euros, ce qui équivaut à 6 370 euros par habitant. Entre 2009 et 2012, nous avons gagné de l’argent grâce à l’euro, mais nous avons dû y contribuer.

    Les plus grands perdants ont été l’Italie (74 000 euros par habitant), la France (56 000 euros par habitant) et le Portugal (40 600 euros par habitant).

    L’impossibilité de dévaluer est un coupable majeur

    Les deux chercheurs ont indiqué que la perte de compétitivité était le principal coupable. Avant l’introduction de l’euro, les Italiens avaient pour sport de dévaluer leur monnaie pour rendre leurs exportations moins chères. De cette manière, ils pourraient rester compétitifs sur le marché mondial. Mais depuis 1999, cela n’est plus possible pour les pays de la zone euro. Un problème pour lequel, selon les deux chercheurs, aucune solution n’a encore été trouvée. La Grèce et l’Italie en particulier continuent de souffrir de ce problème, écrivent les auteurs.

    L’étude a tenté de séparer les effets de l’euro sur des facteurs tels que la politique et les réformes. Ils ont placé chacun des 8 pays étudiés dans un groupe témoin avec 8 autres pays. Il s’agit de pays qui affichent des tendances économiques similaires : inflation, production industrielle, importations, exportations, etc. C’est ainsi que l’Allemagne s’est retrouvée dans un groupe avec Bahreïn, le Japon et le Royaume-Uni. L’Italie faisait partie d’un groupe intégrant Israël. La Belgique s’est retrouvée associée au Danemark, à la Suède et à Singapour. À partir de cette analyse, les données obtenues ont été extrapolées pour être appliquées sur un scénario selon lequel chaque pays concerné n’aurait pas rejoint la zone euro. Cela suggère que notre pays se serait légèrement mieux tiré d’affaire sans l’euro (ligne orange).

    - voir tableau sur site :

    https://fr.express.live/pertes-profits-pays-introduction-euro/

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