Violences policières et Gilets jaunes: Sputnik France prolonge le débat en plein Acte 12
15:42 02.02.2019 Fabien Buzzanca
Sputnik a organisé une rencontre sur les violences policières à Paris avec pour cadre l’Acte 12 des Gilets jaunes. Nous avons donné la parole à Jacob, étudiant et compagnon de Fiorina, manifestante éborgnée le 8 décembre. Pour lui donner la réplique, Eric Roman, membre du syndicat France Police - Policiers en colère. Place au débat.
353 signalements, 1 décès, 159 blessures à la tête, 18 éborgnés et 4 mains arrachées. Voici le triste bilan des manifestations des Gilets jaunes donné par le journaliste indépendant David Dufresne, le 28 janvier. Depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes le 17 novembre, de nombreux rassemblements ont été émaillés de violences. Des groupes de casseurs infiltrent les cortèges et s'en donnent parfois à cœur joie. En face, certains policiers usent de la plus grande fermeté dans le maintien de l'ordre et n'hésitent pas à jouer de la gâchette avec leurs lanceurs de balles de défense et autres grenades. Quitte à ce que des manifestants pacifiques soient pris entre deux feux… Ou pris pour cible, comme l'affirment certains ?
Alors que le Conseil d'État a refusé le 1er février de suspendre l'usage du LBD et que de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer les violences policières, les Gilets jaunes ont décidé de faire de l'Acte 12 celui des mutilés. Les «gueules cassées» des manifs prendront la tête du cortège parisien. C'est dans ce contexte que Sputnik France a décidé d'organiser, sur le terrain, un débat. D'un côté Jacob, étudiant en sciences politiques âgé de 20 ans et compagnon de Fiorina, cette manifestante éborgnée par un projectile le 8 décembre à Paris. Pour lui répondre, Eric Roman, membre du syndicat France Police — Policiers en colère. Que le débat commence.
FRANCE «GILETS JAUNES»: L'ACTE XII MARQUÉ PAR DES HEURTS
La mobilisation de samedi avait pour objectif de dénoncer la violence policière en France. Des échauffourées n'ont pas manqué.
02.02.2019
Quelque 17'400 personnes étaient mobilisées samedi à 14h00 dans toute la France dans le cadre de l'acte 12 des «gilets jaunes» dédié aux manifestants blessés par la police, selon le ministère de l'Intérieur. Des heurts ont éclaté à Paris.
Samedi dernier, les autorités avaient recensé 22'000 personnes mobilisées à la même heure sur l'ensemble du territoire. Des chiffres régulièrement contestés par les «gilets jaunes» qui accusent le gouvernement de minorer la mobilisation.
A Paris, des heurts opposaient manifestants et forces de l'ordre place de la République, lieu d'arrivée du cortège parisien, a constaté une journaliste de l'AFP.
La marche a réuni 13'800 personnes selon un comptage indépendant réalisé pour plusieurs médias dont l'AFP, et 10'500 selon la préfecture de police (PP). A Valence, une manifestation notamment a rassemblé 5400 personnes, selon la préfecture de la Drôme.
Manifestants masqués
A l'issue du défilé parisien qui s'était tenu dans le calme depuis la place Félix-Eboué (XIIe arrondissement), des échauffourées ont éclaté peu après l'arrivée de la tête du cortège place de la République.
Une centaine de manifestants masqués ou cagoulés ont jeté des projectiles sur les forces de l'ordre stationnées à proximité. Celles-ci ont riposté avec des gaz lacrymogènes, des charges et en utilisant un camion lanceur d'eau. Une dizaine de personnes ont été interpellées depuis le début de journée, selon un bilan de la PP à 15h15.
Polémique sur les LBD
Ce douzième samedi de mobilisation se tient en pleine polémique sur l'usage des lanceurs de balles de défense (LBD) par les forces de l'ordre, accusées d'avoir blessé, parfois grièvement, des manifestants depuis le début du mouvement mi-novembre.
Selon le collectif militant «Désarmons-les», 20 personnes ont été gravement blessées à l'oeil - la plupart éborgnées - depuis le 17 novembre. La police des polices (IGPN) a été saisie de 116 enquêtes selon une source policière, portant pour dix d'entre elles sur de graves blessures aux yeux.
Samedi dernier, les autorités avaient recensé 4000 manifestants à Paris et 69'000 sur l'ensemble de la France. (ats/nxp)
Heureusement ce mouvement décisionnel ne cessera JAMAIS ! Même s'il subit quelques contraintes climatiques dangereuses, au printemps et cet été ce sera tous les jours ! TOUS LES JOURS JUSQU'A L'OBTENTION DE LA DÉMOCRATIE EN FRANCE !
Greenpeace : une communication anxiogène pour exister ?
Le militantisme, y compris celui de Greenpeace, est un poumon de la démocratie, mais il ne peut s’affranchir des règles.
Par Arnaud Daguin. 3 FÉVRIER 2019
Ce vendredi 25 janvier, Greenpeace a réalisé un nouveau coup d’éclat médiatique en introduisant deux drones au-dessus de l’usine Orano de La Hague. Une opération de communication qui vise une nouvelle fois à « dénoncer le risque de saturation et la vulnérabilité » d’un site de retraitement du combustible nucléaire qui s’est rendu indispensable pour de nombreux pays.
L’ONG n’en est pas à son coup d’essai contre des sites nucléaires français, mais au-delà d’une communication spectaculaire et anxiogène, le message de Greenpeace peine à convaincre.
Le toit d’une piscine d’entreposage de combustibles usés duquel s’échappe un fumigène rouge : telle est l’image pensée et réalisée par Greenpeace pour s’en prendre au nucléaire en France. Un drone équipé d’un fumigène se pose sur un toit tandis qu’un autre filme la scène et tous les membres de l’ONG crient comme un seul homme aux graves carences de sécurité qui entourent le site de La Hague. Ce cri d’alarme n’est guère concluant, mais il se répète régulièrement avec l’espoir que la quantité fasse oublier la qualité de la démonstration.
DES HAPPENINGS ANTI-NUCLÉAIRES
Une chose est sûre avec Greenpeace, c’est que l’ONG a de la suite dans les idées. Les actions médiatiques s’enchaînent avec toujours le même procédé, le même objectif et les mêmes conclusions tirées d’avance. Le 3 juillet dernier, un drone grimé en Superman était lancé contre un mur de la centrale nucléaire de Bugey. Le 28 novembre 2017, des militants de Greenpeace entraient par effraction sur le site de Cruas-Meysse répétant ainsi une action déjà menée à la centrale de Cattenom un mois plus tôt.
Des intrusions humaines et mécaniques sans aucune conséquence, repérées dès leur commencement et maîtrisées avec célérité par des services professionnels de sécurité qui savent anticiper et faire le distinguo entre une tentative d’acte terroriste et un happening militant.
Mais c’est justement sur la peur terroriste que souhaite jouer Greenpeace en brouillant les cartes et en développant un message apocalyptique. Si des militants peuvent s’introduire sur le site d’une centrale, si des drones peuvent atterrir ou se crasher sur un bâtiment renfermant des éléments irradiés, comment affirmer que la sécurité peut empêcher une attaque terroriste ?
La question est légitime et les autorités comme les centrales ont dû relever leur dispositif de sécurité qui a toutefois toujours pris en compte le risque terroriste. Les acteurs du nucléaire comme EDF et Orano sont soumis à des règles de sûreté et de sécurité très strictes qui font l’objet de contrôles de la part de plusieurs organismes qui ont démontré leur indépendance vis-à-vis de ces groupes.
L’Agence de sûreté nucléaire (ASN), L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), la Communauté européenne d’énergie atomique (EURATOM) et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ont toutes leur mot à dire quant à la sûreté mise en place sur les différents sites nucléaires français. Les matières radioactives sont soumises à de lourdes contraintes et protégées par un arsenal sécuritaire en perpétuel évolution et à la hauteur des enjeux.
Ainsi, l’usine Orano de La Hague est sécurisée et sous surveillance continuelle. 140 agents formés et armés veillent en permanence sur le site. Un site qui dispose par ailleurs d’un vaste réseau de caméras de surveillance, de 7 kilomètres de clôtures extérieurs et 3,5 kilomètres de clôtures intérieures. Les dispositifs anti-incendie correspondent à ceux d’une ville de 35 000 habitants et les survols sont interdits à moins de 2 000 mètres d’altitude dans un rayon de 3 kilomètres.
Les différents dispositifs montrent que la sécurité est une priorité absolue sous contrôle de l’État et en partie classifiée pour des raisons qui semblent évidentes. Pourtant, Greenpeace continue d’affirmer que les « installations vieillissantes » françaises ne sont pas sécurisées comme il se doit.
La preuve, un drone a réussi à se poser sur le toit d’une piscine d’entreposage sur le site de La Hague. Une intrusion bien réelle de Greenpeace destinée à alimenter la machine à fantasmes. Un avion gros porteur n’a aucun risque de s’écraser sur un site nucléaire car même sa descente en piqué laisserait le temps à des avions de chasse de l’intercepter. Et quand bien même un tel avion parviendrait à échapper à ce dispositif, la configuration des bâtiments forme comme une barrière de protection autour des piscines de la Hague.
Nicolas Hulot déclarait lui-même lors de son audition à l’Assemblée nationale du 12 avril 2018 :
« Je ne dispose pas à ce stade d’une estimation du prix d’une « bunkérisation » des piscines de refroidissement des combustibles nucléaires. Mes services estiment qu’une telle étude n’est pas utile, car nous sommes convaincus que la bunkérisation des piscines n’est pas une solution aux problématiques de sécurité (…). »
GREENPEACE SÈME-T-IL LA PEUR POUR RÉCOLTER LA FIN DU NUCLÉAIRE ?
Un tel argument est parfaitement connu de Greenpeace qui décide donc de mettre l’accent sur la menace que font peser des drones comme ceux utilisés le vendredi 25 janvier 2019. Dans son communiqué de presse aux accents apocalyptiques, l’organisation internationale s’étonne que le toit de la piscine soit « en simple tôle métallique » et donc « bien trop fragile pour empêcher un acte malveillant par les airs ».
L’argument pourrait tenir si justement ce toit métallique n’avait pas été pensé pour parer le choc de la chute d’un petit engin de type drone. D’ailleurs, l’important en termes de sûreté n’est pas le toit des piscines mais bien la base afin de pouvoir maintenir les combustibles sous eau.
Ce discours anxiogène est devenu au fil des ans la marque de fabrique des antinucléaires. Les premières attaques se sont concentrées sur la sûreté des installations, mais face à des dispositifs de plus en plus performants et qui ont démontré leur efficacité (doublement du système de refroidissement des piscines auquel s’ajoute une sauvegarde diesel si ces deux premières sûretés ne fonctionnent pas), le discours s’intensifie sur la partie sécurité. Le contexte international et national s’y prête, les dispositifs de sécurité sur le terrain beaucoup moins.
Pourtant certains documentaires télévisés, ou livres suivent cette tendance anxiogène. Ainsi, des titres évocateurs comme « Nucléaire : doit-on en avoir peur ? », « Sécurité nucléaire : le grand mensonge », « Nucléaire : une catastrophe française » fleurissent et viennent nourrir une réalité fantasmée par les ONG antinucléaires.
Ces dernières lancent régulièrement des pétitions, comme la dernière en date « L’Affaire du siècle », dans lesquelles le pire est promis sur un modèle expérimenté à Tchernobyl et Fukushima. Or, l’État français n’est pas en déliquescence comme l’Union soviétique en 1986, et les centrales françaises courent un très faible risque de tremblement de terre suivi d’un tsunami (un scénario auquel elles sont néanmoins prêtes).
Les approximations et contre-vérités permettent de nourrir les discours les plus alarmistes même si jusqu’à maintenant, les militants n’ont récolté que des condamnations en justice. En effet, s’introduire sur un site nucléaire est un délit qui a été sanctionné à plusieurs reprises par de la prison. Le militantisme est un poumon de la démocratie, mais il ne peut s’affranchir des règles.
L'organisation terroriste d'État enfreint les règles de sécurité et nargue les forces de l'ordre qui n'ont rien fait pour les empêcher ! (les ordres sont les ordres !).
A savoir que même si un avion s'écrasait sur un réacteur nucléaire il ne pourrait le démolir !
Un avion est en ALUMINIUM et ne peut traverser un simple mur de béton armé, les murs d'une centrale constituent une place-forte inendommageable !
PLANÈTE LES SUISSES MANIFESTENT PAR MILLIERS POUR LE CLIMAT
Les habitants de plusieurs cantons ont exigé, dans les rues samedi, une meilleure réponse au réchauffement climatique. Les manifestants veulent que le réchauffement climatique soit reconnu comme une crise et que le gouvernement agisse en conséquence.
02.02.2019
Le mouvement pour le climat prend de l'ampleur. Des adultes de tout âge se sont joints samedi aux jeunes pour manifester en masse en faveur du climat. Ils ont été des dizaines de milliers à se mobiliser dans une dizaine de villes à travers tout le pays.
Initiative de la jeunesse, la manifestation a attiré plus de 18'000 personnes en Suisse romande, dont 10'000 rien que dans la capitale vaudoise. Le cortège est parti peu après 15h00 de la gare de Lausanne pour rallier la place de la Riponne.
Les manifestants réclamaient notamment des mesures urgentes pour contrer le réchauffement climatique. "On est plus chauds, plus chauds que le climat", "Et un et deux et trois degrés, c'est un crime contre l'humanité", ou encore "Les petits pas ça suffit pas", ont notamment scandé les manifestants. Quant à la banderole de tête, elle arborait le slogan "Reconquérons notre futur".
Engagé en faveur du climat, le prix Nobel de chimie 2017 Jacques Dubochet a tenu un discours très applaudi sur la place de la Riponne. "C'est un événement historique pour l'humanité", a souligné le Vaudois âgé de 76 ans."L'avenir de notre civilisation est en jeu", a-t-il affirmé. "Nos autorités n'ont pas encore compris que tout est à changer."
Ruth Dreifuss incognito
Dans la ville de Calvin, ce sont 4000 personnes jeunes et moins jeunes qui se sont réunies. Les banderoles et les slogans évoquaient souvent une certaine angoisse du futur. "J'ai 4 ans, pensez à mon avenir sur la Terre" était écrit sur une chasuble blanche que portait un petit garçon. Sa mère, qui le tenait par la main, avertissait: "Nous n'avons pas de planète B, pensez-y !".
Des personnalités politiques étaient également présentes. L'ancienne présidente de la Confédération Ruth Dreifuss s'était ainsi glissée en toute discrétion dans le cortège genevois.
A Fribourg, ils étaient entre 1500 et 2000. L'un des objectifs consistait à montrer aux politiques que la grève du 18 janvier n'était pas un évènement unique ou "un prétexte pour sécher les cours", a expliqué Léo Tinguely, étudiant à l'Université de Fribourg et un des organisateurs des mobilisations. "Nous sommes toujours là."
La vieille ville de Bienne a elle accueilli un rassemblement plus modeste, constitué de 1000 à 1100 manifestants. Les Jurassiens sont aussi descendus dans la rue pour faire entendre leurs revendications. Ils étaient environ 500 à Delémont.
Même au Tessin
Outre Sarine, le mouvement a été tout aussi suivi. Des milliers de personnes se sont réunies à Zurich. Ecoliers, jeunes, mais aussi parents accompagnés de leurs enfants ou encore retraités ont aussi répondu présents à Bâle, où ils étaient 4000 à s'être rassemblés.
Les trams ont dû être interrompus dans le centre-ville vers 15h00 pendant une heure à cause du cortège. La circulation a également été perturbée dans plusieurs autres villes, comme à Genève où les automobilistes n'ont pas hésité à faire part de leur mécontentement en klaxonnant.
Dans les autres villes alémaniques, les mobilisations ont été de moindre importance. A Berne et Lucerne, environ 2000 personnes se sont réunies. Quelque 800 manifestants ont arpenté les rues de St-Gall et 500 celles de Soleure. Même le Tessin a été touché par cette nouvelle mobilisation pour la protection du climat. Un millier de personnes se sont rassemblées à Bellinzone.
Au gouvernement d'agir
Les manifestants veulent que le réchauffement climatique soit reconnu comme une crise et que le gouvernement agisse en conséquence. Ils demandent notamment que la Suisse n'émette plus de gaz à effet de serre d'ici 2030, et cela sans introduire de mesures de compensation.
Les étudiants, écoliers et apprentis n'avaient cette fois-ci plus besoin de sécher leurs cours, l'action se déroulant le samedi. La précédente manifestation avait mobilisé le vendredi 18 janvier 22'000 personnes dans toute la Suisse. (ats/nxp)
Attroupement néo-nazional socialiste (réfugiés climatique ! Hahahaha !) pour clamer qu'il fait chaud quand la planète subi des records de froids ! -65°C au Canada et Russie ! Ces débiles incapables d'apprendre quoi que ce soit de scientifique beuglent même que le gaz carbonique (le plus lourd de tous les gaz et qui se trouve au ras du sol) est 'un gaz a effet de serre' ! Faut dire qu'avec un pourcentage de 0,04 % de l'atmosphère (1 particule tout les 50 mètres !) cela en fait un gaz rare dont notre planète est en manque !
Le gaz carbonique est transformé en oxygène par la végétation tandis que la plus grande partie l'est en nano-particules de carbone (charbon) par le phytoplancton présent sur les eaux (mers, océans, lacs, rivières, pluies, brouillards).
Paul Craig Roberts expose "le gouvernement sans loi"
par Tyler Durden Samedi 02/02/2019 - 22:00 Écrit par Paul Craig Roberts,
Je me souviens du moment où un suspect était considéré comme innocent jusqu'à ce que sa culpabilité ait été établie dans le cadre d'un procès équitable. Aujourd'hui, les procureurs condamnent leurs victimes dans les médias afin de rendre impossible la composition d'un jury impartial et de contraindre ainsi une négociation de plaidoyer qui évite au procureur de prouver sa cause. Aux États-Unis, la loi n'est plus un bouclier du peuple. Le droit est une arme entre les mains des procureurs. (Voir Roberts & Stratton, La tyrannie des bonnes intentions.)
Autrefois, si un procureur organisait une arrestation à des fins publicitaires, comme Mueller le fit en mettant en place un mandataire de CNN et en envoyant une vingtaine d’hommes lourdement armés lors d’un raid avant l’aube, un consultant politique réputé aurait menti à Congrès "lorsque la procédure appropriée consiste pour Mueller à informer l'avocat de Stone de la présentation de son client aux fins de mise en accusation, le juge rejette l'affaire au motif que l'action contraire à l'éthique du procureur avait faussé le groupe des jurés et rendait impossible un procès équitable. Le juge aurait également pu classer l'affaire pour des motifs de poursuite sélective. Alors qu'il était directeur du renseignement national, James Clapper a menti au Congrès sous serment et n'a subi aucune conséquence. Hillary Clinton a clairement enfreint la loi et menti à ce sujet.
Aujourd’hui, les juges autorisent les procureurs à adopter un comportement contraire à l’éthique qui prive les accusés d’un procès équitable, car ils ne veulent pas plus que les procureurs la peine des procès. En conséquence, selon les statistiques officielles, 97 % des affaires pénales fédérales sont réglées par un accusé qui plaide coupable à une accusation négociée par son avocat et un procureur. Comme il s'agit d'une accusation négociée ou inventée, la plupart des détenus sont accusés d'avoir avoué des crimes qui ne se sont jamais produits.
Les procureurs, maintenant qu’ils ne sont plus liés par des contraintes d’intégrité juridique, fabriquent souvent un procès contre une personne afin de l’obliger à faire un faux témoignage à l’encontre de sa cible réelle. C’est l’affaire Mueller contre Cohen, Manafort et Roger Stone. Trump est la cible, pas Cohen, Manafort et Stone. En outre, les procureurs diligent l'enquête si longtemps qu'ils obligent la cible à utiliser son solde net pour combattre un acte d'accusation. Ensuite, lorsque l'acte d'accusation arrive, il ne reste plus d'argent pour les avocats, ce qui ajoute à la pression pour «coopérer». Si Trump était un combattant, il pardonnerait à Cohen, Manafort et Stone et les rembourserait à la justice (sic). Budget du ministère pour leurs frais juridiques, et faire arrêter Mueller pour sédition et complot en vue de renverser le président des États-Unis, dûment élu. Ce serait hypocrite puisque Trump lui-même envisage de renverser le président du Venezuela dûment élu.
Mueller n'est pas un agent de droit. Il est l'agent du complexe militaire / de sécurité et du Parti démocrate qui ont l'intention de supprimer Trump, car celui-ci s'est positionné entre eux et leurs agendas.
Le chef d'accusation absurde contre Trump est que, en liaison avec le président russe Vladimir Poutine, le piratage informatique et les accords détournés ont volé l'élection présidentielle à Hillary Clinton. C'est la fabrication connue sous le nom de «Russiagate». La création de cette fabrication implique beaucoup plus de crimes que ceux dont sont accusés Trump, Cohen, Manafort et Stone. "Russiagate" repose sur un faux "dossier" payé par les démocrates et peut-être le FBI qui avait été utilisé pour induire en erreur le tribunal de la FISA afin d'obtenir la permission d'espionner l'équipe de Trump. C'est un crime pour lequel les responsables ne sont pas accusés. L'espionnage n'a révélé aucune preuve réelle, pas plus que l '"enquête" de Muller. Les accusations contre Cohen, Manafort et Stone sont sans rapport avec l'élection et sont vraisemblablement fausses et utilisées comme menaces dans le but de susciter de faux témoignages contre Trump dans échange pour laisser tomber les charges.
La tactique de Mueller dans ses efforts pour incarner le président des États-Unis est plus odieuse que la tactique à laquelle la Gestapo s’est penchée. Pire encore, ce sont les tactiques couramment utilisées de nos jours par les avocats américains, et ce fléau s'est répandu dans les poursuites étatiques et locales. Le fait que les procureurs se comportent régulièrement de manière à pouvoir être révoqué montre l’effondrement du droit et de l’intégrité des procureurs aux États-Unis.
Les médias américains et britanniques sont aussi accommodants que les médias allemands avec le gouvernement nazi. Le Guardian, autrefois une voix honnête pour la classe ouvrière britannique, est maintenant une feuille de propagande pour le renseignement britannique, tout comme le New York Times, le Washington Post, CNN, MSNBC et NPR sont pour la CIA et le FBI. Les médias américains n'ont jamais été très bons, mais il y avait plus d'une explication jusqu'à ce que le régime de Clinton, au cours duquel 90% des médias étaient concentrés entre six mains de sociétés.
Depuis que Donald Trump a remporté la nomination à la présidence du parti républicain, les médias se sont alliés au complexe militaro-sécuritaire et au parti démocrate dans le but de créer une trentaine profonde. Comme je m'y attendais, Trump n'avait aucune idée de la manière de doter le gouvernement d'un gouvernement qui l'aurait soutenu contre l'Establishment. Il a été empêché sur tous les fronts de normaliser ses relations avec la Russie, d'établir un contrôle sur les frontières américaines et de se retirer de la Syrie. La dernière ligne en date du complexe militaire / de sécurité et des mandataires est que les États-Unis ne peuvent pas retirer leurs troupes occupant illégalement une partie de la Syrie, car l'Etat islamique ressuscite en Syrie et en Irak et reprendra la guerre si les troupes américaines sont retirées.
Ça n'a pas de sens. Comme le général Flynn, l'ancien directeur de la Defense Intelligence Agency, a déclaré à la télévision que le régime Obama avait délibérément décidé d'envoyer l'Etat islamique pour renverser Assad une fois que la Russie et le Parlement britannique auraient bloqué l'invasion américaine. C’est la Russie et la Syrie qui ont combattu et battu l’armée par procuration de Washington, connue sous le nom d’Isis. Washington bloque l'ordre de Trump de retirer les troupes américaines, car Israël souhaite que les États-Unis renouvellent l'attaque contre la Syrie et la portent en Iran. Israël et ses vassaux américains doivent penser que la Russie va se retirer et laisser la déstabilisation du monde islamique se poursuivre dans la Fédération de Russie.
Il était une fois les médias et la communauté de la politique étrangère auraient examiné publiquement ces questions. Maintenant, les médias lisent le script qui leur a été remis.
Pour ce qui est de Roger Stone, les médias ont pour instruction de le convaincre dans l’esprit du public en tant que facilitateur du vol de l’élection présidentielle par Trump / Poutine. Les faits réels n’ont pas d’importance et ils ne ressortiront jamais des médias ni de «l’enquête» de Mueller.
« Et chaque sentinelle est responsable de tout l’empire » (Antoine de Saint-Exupéry, Un sens à la vie)
« Now I shall go far and far into the North playing the Great Game. » (Rudyard Kipling, Kim)
Le documentaire d’Arte « Le monde selon Xi Jinping » (mis à disposition gratuitement sur Youtube) est de très bonne facture et mérite un visionnage attentif. La méthode est sérieuse et le propos passionnant.
Néanmoins la problématique principale posée est discutable : la Chine va-t-elle dominer le monde ? Comment va-t-elle le dominer ? En admettant qu’un tel scénario se produise et en admettant que cela soit atteint en 2049 pour fêter le centenaire de l’arrivée de Mao Zedong au pouvoir, cela serait moins une nouveauté qu’un retour.
La Chine a dominé le monde en étant le pays le plus puissant au moins jusqu’au XVIIIe siècle avec cependant une très grosse différence par rapport à la domination européenne. La Chine était un monde en soi, bien balisé, parfois volontairement hermétisé par rapport à son environnement. Ce monde souvent clos, qui pratique l’ouverture seulement quand ses intérêts immédiats le postulent, est doté de quelques valeurs bien spécifiques à commencer par la centralité de la Chine1.
Et c’est l’un des points le plus intéressant du documentaire, le narrateur affirme « l’idéal pour Xi Jinping est un chef d’état, mais suffisamment pragmatique pour assurer le développement ». Or à ce moment de la narration, la caméra montrait Robert Mugabe (ex-président Zimbabwéen) et Jacob Zuma (ex-président Sud-Africain) tous deux évincés de leurs postes (par des manœuvres d’appareils et avec l’assentiment de leurs populations respectives, à défaut d’une participation active) pour ne pas avoir satisfait à ces deux critères.
LE RAPPORT AU COMMUNISME
Le documentaire commence par un très intéressant condensé de la vie du président Xi qui montre à quel point le président est pénétré de l’importance des symboles mythiques de la révolution (voir la scène du « salut camarades » lancé aux soldats), exprimant une forte conscience politique, commissaire de la Police armée populaire du comté de Zhengding dans le Hebei dès l’âge de 30 ans, ayant toujours cultivé ses liens avec l’armée. Voilà pour les symboles. Mais qu’en est-il du fond ?2
Si l’on met en perspective la Chine par rapport aux autres pays de l’ex-bloc communiste, cela permet également de comprendre le déroulement concret de la restauration du capitalisme : il s’agit effectivement d’une décision politique. En Russie la bourgeoisie russe d’aujourd’hui se recrute pour l’essentiel dans les rangs de l’ancienne nomenklatura (même si il existe une authentique classe d’entrepreneurs) ou des enfants de celle-ci.
D’autres décisions politiques auraient également pu être prises. Si le retour au capitalisme a été l’option retenue dans la grosse majorité des pays du l’ex-bloc socialiste (exception faite de Cuba et la Corée du Nord), la Chine a opté pour des réformes visant à renforcer le rôle du marché sans pour autant adopter purement et simplement un capitalisme à l’occidental, et certainement pas les structures politiques des pays de l’Ouest.
De fait, l’économie chinoise est d’un type particulier, et on se méprendrait en l’assimilant purement et simplement à un régime capitaliste où le parti communiste n’exercerait plus que des fonctions de dictature politique.
La propriété publique continue à y occuper une place centrale, et l’économie nationale y est encore pensée comme un tout, c’est-à-dire soumise à des plans quinquennaux s’inscrivant dans une stratégie continue de développement. La société chinoise développe ainsi ses propres rapports de classes, qui empruntent autant au capitalisme qu’aux pays de l’ex-bloc communiste, et permettent au pays de faire preuve, pour l’instant, d’un dynamique économique spectaculaire.
Il ne s’agit naturellement pas ici de faire l’éloge du régime chinois. Il s’agit simplement de souligner que la voie russe hors du socialisme n’était pas la seule possible.
Le président Xi est-il maoïste ? Si par maoïste, on entend au sens strict l’idéologie qui fut celle de Mao, probablement non. En revanche si on entend une croyance que « Un parti qui dirige un grand mouvement révolutionnaire, sans théorie révolutionnaire, sans connaissances de l’histoire, sans une compréhension profonde du mouvement dans sa réalité, ne saurait remporter la victoire » comme le disait lui-même Mao, alors probablement oui.
Pourtant ce genre de réflexion n’est pas spécifiquement marxiste. Chateaubriand dans son récit des révolutions de 1789 ou de 1830 écrivait que « toute révolution est faite avant d’éclater » et en concluait que toute structure politique est soumise à la condition de la foi. Un parti unique dont la seule source de légitimité serait le taux de croissance est à terme condamné. Le projet de Xi Jinping est une restauration, les éléments de cette restauration empruntent aussi bien certains aspects à Mao (plus sur la forme que le fond) qu’à la longue histoire chinoise. Le marché libre a sa place, qui n’est pas la première.
Que la Chine ne soit plus une société communiste est un fait acquis, il n’en reste pas moins que sa classe dominante la donne pour telle (y compris sous Deng Xiaoping) comme cela était montré dans « Le Monde selon Xi Jinping » mais aussi un autre documentaire publié sur Arte. Cela n’a pas besoin d’être vrai pour avoir des conséquences réelles, notamment au plan de la motivation. Une foi révolutionnaire réelle animait et anime toujours les travailleurs, foi à laquelle le système ajoutait de nombreux autres stimulants, comme l’explique Janos Kornai dans « Le système socialiste » : l’identification au travail, la recherche de prestige, la peur des sanctions, et, il faut le rappeler, des récompenses matérielles réelles et accrues depuis la transition à l’économie de marché.
Le livre d’Huntington, Le choc des civilisations, qui eut l’immense mérite de replacer les facteurs culturels et historiques au cœur de l’analyse stratégique, et déjà en 1993 anticipait le concept de modernisation sans occidentalisation peut apporter des clefs de compréhension.
Force est de constater que nombre de crises et de conflits contemporains ont lieu ou ont eu lieu sur les lignes de contact tracées dès 1993 par le politologue américain : ex-Yougoslavie, Caucase, Soudan, Inde-Pakistan, Chine-Japon, Japon-Corée… Les concepts du politiste commencent à percer après un quart de siècle, notamment celui de « la modernisation sans occidentalisation » dans la presse mainstream tel que le dernier article de The Economist sur les progrès scientifiques chinois.
Il permet de comprendre la logique des sommets « 16+1 » (un passé communiste commun entre Chine et pays d’Europe centrale et orientale) ou bien des sommets Chine-Afrique (réminiscence du sommet de Bandung en 1955, mouvements des non-alignés).
Deux axes de cette politique de puissance sont identifiés dans le documentaire :
Neutralisation des institutions internationales financières perçues comme l’extension financière des modes d’organisations sociétaux des pays occidentaux. Appuyée par les puissants moyens des nouvelles institutions financières globales (Banque de Shanghai, également dite des BRICS et Banque des Investissements d’Infrastructures).
Neutralisation des bases américaines se trouvant dans la plupart des pays voisinant la Chine (Japon, Corée du Sud, Taiwan, Philippines). La manœuvre, baptisée « nouvelles routes de la soie », évoque les réminiscences commerciales et culturelles des anciennes relations entre la Chine, l’Asie Centrale, le Moyen Orient et l’Europe. Son but est de contourner les influences américaines et européennes en Asie.
« LE GRAND JEU »
Hanté par la phobie de l’encerclement et le puissant souvenir des traités inégaux, l’objectif de Deng Xiaoping était de revenir à la situation optimale de la Chine à la fin du XVIIIe siècle. Que les attitudes des différents dirigeants diffèrent après Mao (la modestie de Deng, l’affirmation de Xi) n’est pas tant une différence d’orientation mais plutôt d’attitude dictée par les circonstances du moment. La Chine de Deng devait gérer une transition énorme et avait besoin du soutien des pays asiatiques développés. Une fois l’autonomie acquise, la Chine passe de « Dissimuler ses intentions et ses forces » (Deng Xiaoping) à « La Chine ne cherche pas les ennuis, mais elle ne les craint pas » (Xi Jinping).
Face à cela, les pays d’Europe de l’Ouest (cela reste moins vrai des États-Unis grâce à la guerre froide) ne sont plus capables de formuler une conception affirmative du bien humain3. Cela n’exclut pas les vulnérabilités du système (pollution écologique, explosion du niveau de vie, personnalisation du pouvoir qui peut faire dérailler l’intelligence collective du PCC). Xi a compris que la prospérité économique n’est pas un facteur suffisant pour justifier une légitimité et le documentaire montre que le rôle de reconstruction de la pensée du parti échoit à Wang Huning.
Il est impossible à juger dans l’absolu si ce projet est « bon » ou « mauvais ». Il y aurait un paradoxe à s’affirmer libéral tout en maintenant que le bien humain est unique, à fixer statiquement une structure politique et sociale donnée alors que les sociétés se complexifient et que l’économie devient de plus en plus dynamique. Hayek affirmait que c’est la confrontation des modèles qui a permis de définir un socle commun de règles justes4. Le communisme s’est effondré et les populismes de gauche qui triomphaient en Amérique Latine sont tombés les uns après les autres (guerre civile et exode au Venezuela, trucage des chiffres en Argentine, corruption au Brésil, prison pour l’ancien président Ollanta Humala au Pérou). À la fin l’histoire juge toujours.
Donc malgré ses faiblesses passagères, comme celle qui l’a marquée profondément pendant le siècle de la honte, la Chine a tous les réflexes mentaux et la structure de puissance pour retomber sur ses pattes.
1 - Karen ARMSTRONG, The Great Transformation – The World in the Time of Buddha, Socrates, Confucius and Jeremiah, Atlantic Books, London, 2006. ? 2 - Xi Jinping au cœur du XIXe Congrès : une ambition nationaliste « aux caractéristiques chinoises », François Danjou, Dans Monde chinois 2017/2 (N° 50). ? 3 - Pierre Manent, Retrouver la raison, Commentaire 2018/4 (Numéro 164). ? 4 - Les Libertariens face au pluralisme des valeurs, Sébastien Caré. ?
La Chine c'est d'abord 1 milliard 400 millions d'habitants (guère plus que l'Inde) et, face aux 300 millions d'Européens ou d'Américains...
Certains pays attardés (dictatures) ont refusé les robots, machine-outils, bref: le progrès ! sans se poser la question du pourquoi un robot travaille AU MÊME PRIX en Europe/USA qu'en Chine !! Hahahaha !
59 avocats disent leurs quatre vérités sur le traitement judiciaire des Gilets jaunes
11:12 03.02.2019
59 avocats ont confié dans une tribune publiée sur franceinfo les difficultés auxquelles ils devaient faire face en exerçant correctement les droits de la défense dans les dossiers de nombreux Gilets jaunes.
Dans une tribune publiée le 2 février, sur franceinfo, 59 avocats mettent en garde contre «les dérives» qu'ils ont pu constater dans le traitement des dossiers des Gilets jaunes depuis le début du mouvement et pointent du doigt des «atteintes aux droits individuels et aux libertés publiques dans notre pays».
«Par la présente tribune, nous, avocats signataires, entendons alerter quant au danger que constituent ces procédures faites souvent dans l'urgence et visant principalement à gonfler, souvent de manière artificielle, des chiffres qui seront annoncés par le ministère de l'Intérieur», indiquent-ils en guise de préambule.
Ainsi, les avocats ont pu constater «la violation délibérée des droits de manifestants par des expulsions et délogements totalement illicites et en ayant recours à la force publique». «Pire encore, tant dans le cadre des auditions libres que durant les gardes à vue, nombre de Gilets jaunes indiquent que des enquêteurs les ont dissuadés du recours à l'assistance d'un avocat en arguant que si l'avocat intervenait, ils seraient remis en liberté beaucoup plus tardivement», fustigent-ils.
Compte tenu de la rapidité du traitement de tels dossiers, les avocats y voient entre autres «le désir des pouvoirs exécutifs de donner une réponse forte».
D'autre part, poursuivent-ils, «les procédures relatives à de présumées violences policières ne font pas l'objet de la même célérité d'enquête ou de poursuites».
«Enfin, à l'instar de plusieurs parlementaires, nous sommes particulièrement inquiets quant au projet de loi actuellement en discussion dit "anti-casseur" qui nous semble contraire à nombre de principes fondamentaux», concluent-ils.
Afin de rendre hommage aux manifestants blessés, des Gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi 2 février pour leur acte 12 partout en France. À l'approche du douzième weekend de mobilisation, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner avait promis un dispositif de sécurité «puissant» avec près de 80.000 unités mobiles déployées sur l'ensemble du territoire.
Un référendum pour répondre aux Gilets jaunes ? Les enveloppes seraient déjà préréservées
11:07 03.02.2019
Un référendum pourrait se tenir en France le même jour que les élections européennes, le 26 mai, selon le Journal du dimanche. Bien que les sujets de ce référendum restent à établir, il pourrait s’agir d’une consultation suivant le grand débat national. Le Président français envisagerait d'organiser un référendum le même jour que les élections européennes, le dimanche 26 mai, affirme le Journal du dimanche en se référant à des sources haut placées.
L'hebdomadaire prend pour preuve le fait que le bureau des élections au ministère de l'Intérieur s'est déjà adressé à des imprimeurs et papetiers afin de commander du «matériel électoral», c'est-à-dire des enveloppes et des bulletins.
Citant des proches du chef de l'État, le JDD indique que la décision sur l'organisation doit être prise «très vite, sous une semaine».
Auparavant, Emmanuel Macron avait évoqué la possibilité d'un référendum qui pourrait avoir lieu le jour des élections européennes. Il n'a toutefois pas précisé les questions sur lesquelles les Français seraient invités à se prononcer.
«Est-ce que les sujets du grand débat national sont des sujets de référendum ?», s'est-il demandé le 31 janvier sans donner de réponse.
Le chef de l'État a proposé un grand débat national consacré à quatre sujets — la fiscalité, l'organisation de l'État, la transition écologique et la citoyenneté — en réponse au mouvement des Gilets jaunes, qui agite la France depuis novembre 2018. Le grand débat a débuté le 15 janvier et doit se dérouler jusqu'au 15 mars.
La déco de la salle des fêtes de l'Élysée après des travaux de 500.000 euros (photos)
08:48 03.02.2019
Après six semaines de travaux engagés par la Première dame française et ayant coûté environ 500.000 euros, la salle des fêtes de l'Élysée a été dévoilée au public. De nombreux internautes ont déjà commenté cette nouvelle déco en la qualifiant de «fade».
La salle des fêtes de l'Élysée rénovée a été finalement dévoilée au public vendredi 1er février à l'occasion d'un grand débat avec des élus d'Outre-mer. D'après les photos qui montrent la nouvelle décoration, cette salle où se déroulent de nombreux évènements, dont l'investiture de chaque Président de la République, est devenue moins pompière.
Elle a notamment délaissé sa moquette rouge, ses rideaux à pompons et ses tapisseries des Gobelins.
Comme l'explique l'architecte Isabelle Stanislas, le chantier avait pour but de remettre de la lumière dans cet espace ainsi que de remplacer les textiles usés.
Les travaux engagés par Brigitte Macron ont duré six semaines et ont été achevés le 17 janvier. Le coût de cette rénovation s'élève à 500.000 euros. D'après le site de la présidence française, la restauration a été financée par le budget d'investissement de la Présidence, dont les bénéfices de la boutique de l'Élysée lancée en septembre dernier.
De nombreux internautes ne semblent toutefois pas apprécier la nouvelle déco qu'ils qualifient de «fade».
Certains plaisantent en estimant que le chantier ne serait toujours pas achevé.
Des portables impossibles à pirater mis en vente en Russie
09:58 03.02.2019
Est-il possible de protéger la confidentialité de vos communications au téléphone ? Désormais oui. Des téléphones impossibles à pirater et à mettre sur écoute sont déjà en vente en Russie. Leur prix s’élève à près de 1.130 euros.
Il est désormais possible d'acheter en Russie des portables équipés de cryptoprotection: cela signifie qu'ils ne peuvent pas être ni mis sur écoute, ni être piratés, comme l'a déclaré à Sputnik le service de presse de la corporation d'État Rostec qui a élaboré ce modèle.
«Nous ne pouvons pas parler des détails techniques, car les informations sont confidentielles. Grâce aux solutions techniques appliquées et au savoir-faire des développeurs du groupe Avtomatika, l'appareil ne peut être ni piraté ni mis sur écoute», a déclaré le service de presse de Rostec.
Le prix pour de ce mobile intitulé Croise-K s'élève à environ 1.130 euros.
Toutefois, pour l'instant, tous les désireux n'ont pas encore la possibilité de l'acheter.
«Il peut être commandé par une personne morale, puis réalisé. En détail, s'il s'agit d'une vente à un particulier, il est impossible de l'acheter», a ajouté le service de presse de Rostec.
Les représentants de la société ont également expliqué que l'appareil est équipé d'un système d'exploitation de conception propre — très fortement limité pour des raisons de sécurité.
par Tyler Durden Dimanche, 02/03/2019 - 07:00 Écrit par Guy Millière via le Gatestone Institute,
Le troisième groupe est extrêmement important: c'est le reste de la population. Les classes supérieures les traitent comme un poids mort regrettable et n'attendent d'eux que le silence et la soumission. Ses membres ont souvent du mal à joindre les deux bouts. Ils paient des impôts mais constatent qu’une part croissante est utilisée pour subventionner ceux-là mêmes qui les ont chassés de leurs maisons en banlieue.
Pour le moment, Macron ne semble pas vouloir reconnaître que ces personnes existent même.
Lorsque Macron a abaissé les taxes des plus riches, mais augmenté celles de ces "périphériques" au moyen d'une taxe sur les carburants, cela a été perçu comme la dernière goutte - en plus de sa condescendance arrogante.
"Aujourd'hui, la plupart de ceux qui protestent n'attaquent pas la police. Mais au lieu d'agir pour mettre fin à la violence, la police reçoit des ordres les poussant à être très violents. Je ne blâme pas la police. Je blâme ceux qui leur donnent des ordres". - Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, une ville de la banlieue est de Paris où les émeutes de 2005 ont été extrêmement destructrices,
Samedi 26 janvier 2019. Des manifestations "Gilets jaunes" étaient organisées dans les principales villes de France. La mobilisation ne faiblissait pas. Le soutien de la population avait légèrement diminué mais restait considérable (60% à 70%, selon les sondages). Le slogan principal est resté le même depuis le 17 novembre 2018: "Macron doit démissionner". En décembre, un autre slogan a été ajouté: "Référendum sur l'initiative citoyenne".
Le gouvernement et le président français Emmanuel Macron ont tout mis en œuvre pour écraser le mouvement. Ils ont tenté des insultes et de la diffamation et ont affirmé que les manifestants étaient à la fois des "personnes séditieuses" qui souhaitaient renverser les institutions et des "chemises brunes" fascistes. Le 31 décembre, Macron les qualifiait de "foules haineuses". La présence de certains antisémites a conduit un porte-parole du gouvernement (à tort) à décrire le mouvement dans son ensemble comme "antisémite".
Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a ordonné à la police de recourir à un degré de violence jamais observé depuis l'époque de la guerre d'Algérie (1954-1962). En France, au cours des deux dernières décennies, d'autres émeutes ont eu lieu à plusieurs reprises. En 2005, par exemple, lorsque tout le pays a été condamné à des incendies criminels et à des émeutes pendant plusieurs semaines, le nombre d'émeutiers blessés est resté faible. Mais la violence a des conséquences. Au cours des dernières semaines, 1 700 manifestants ont été blessés, parfois gravement. Dix-neuf ont perdu un œil; quatre ont perdu une main. Bien que les policiers français n'utilisent pas d'armes meurtrières, ils utilisent des lance-balles en caoutchouc et tirent souvent sur le visage des manifestants - une cible interdite par les règles d'engagement en vigueur. Les Français sont également la seule force de police en Europe à utiliser des grenades Sting-Ball.
Macron n'a jamais traité les manifestants comme des personnes ayant des revendications légitimes, il n'a donc jamais prêté attention à leurs revendications. Il n'a accepté que de suspendre la taxe supplémentaire sur les carburants, qui devait commencer en janvier, et d'accorder une légère augmentation du salaire minimum, ce qu'il n'a fait qu'après des semaines de manifestations.
Les journalistes disent que Macron pensait que le mouvement disparaîtrait après la fin de l'année, que la violence et le désespoir de la police inciteraient les manifestants à se résigner à leur sort et que le soutien de la population en général s'effondrerait. Rien de tel n'a eu lieu.
Il est clair que Macron ne veut pas répondre aux principales demandes des manifestants et qu'il ne démissionnera pas et qu'il refusera d'accepter un référendum d'initiative citoyenne. Il a apparemment décidé que s’il dissolvait l’Assemblée nationale et appelait à des élections législatives pour mettre fin à la crise - comme l’avait fait le président Charles de Gaulle pour mettre fin au soulèvement de mai 1968, comme le permettait la Constitution française - subir une défaite cinglante. Il peut constater qu'une majorité écrasante de Français le rejette. Il est donc apparemment déterminé à chercher une issue:
Macron a appelé à un "grand débat national" pour résoudre les problèmes auxquels le pays est confronté. Cependant, il est vite apparu que le "grand débat" serait pour le moins non conventionnel.
Macron a écrit à tous les citoyens français pour les inviter à "participer", mais en expliquant explicitement que le "débat" ne changerait rien, que le gouvernement continuerait dans la même direction ("Je n'ai pas oublié que j'étais élu projet, sur les grandes orientations auxquelles je reste fidèle. "), et que tout ce que le gouvernement a fait depuis juin 2017 resterait inchangé ("Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises ").
Il a ensuite confié l'organisation du "débat" et la rédaction de ses conclusions à deux membres du gouvernement, et demandé que des "registres de griefs" soient mis à la disposition du public dans toutes les mairies.
Macron a ensuite lancé le "débat" en rencontrant les maires de nombreuses villes, mais pas en public. Il semble s'être inquiété du fait que s'il organisait des réunions ouvertes au public, il serait immédiatement chassé par la foule.
Les deux premières réunions ont eu lieu dans de petites villes (2000 à 3000 habitants) et avec des maires que les organisateurs - choisis par Macron - ont autorisé à venir. Les organisateurs ont également sélectionné les questions à poser, puis les ont envoyées à Macron pour obtenir une réponse à la réunion.
La veille de chaque réunion, la ville sélectionnée était placée sous l'administration de légions de policiers. Toutes les voies d'accès à la ville étaient fermées et quiconque portait un gilet jaune ou un dans sa voiture était passible d'une amende. Toutes les manifestations dans la ville étaient catégoriquement interdites. La police a veillé à ce que la route empruntée par le convoi de Macron pour atteindre la ville soit vide de toute présence humaine pendant plusieurs heures avant l'arrivée du convoi.
Les chaînes d'informations télévisées ont été invitées à retransmettre l'intégralité des réunions, qui ont duré six à sept heures. Seuls quelques journalistes, également sélectionnés par Macron, ont eu la permission d'y assister.
Plusieurs commentateurs ont souligné que prétendre "débattre" était un non-sens, et que confier l'organisation du "débat" et la rédaction de ses conclusions aux membres du gouvernement, ainsi que l'organisation des réunions, montraient clairement que ces performances étaient un simulacre.
Certains commentateurs ont souligné que le terme "registre des griefs" n'était plus utilisé depuis l'époque de la monarchie absolue, que les maires étaient traités comme de la cire et que placer les villes visitées par Macron était indigne d'une démocratie.
Un économiste français, Nicolas Lecaussin, qui a grandi en Roumanie, a écrit que ces réunions lui rappelaient celles de la Roumanie pendant le communisme.
L'auteur Éric Zemmour a déclaré que Macron essayait désespérément de sauver sa présidence mais que cette tentative serait vaine:
"Macron a perdu toute légitimité. Sa présidence est morte ... Pendant trois mois, le pays s'est arrêté économiquement; et Emmanuel Macron, pour tenter de sauver sa présidence, inflige au pays deux mois de stagnation économique supplémentaire et deux autres mois de manifestations Quand la population comprend qu'elle a été trompée, la colère peut augmenter ... La France est déjà un pays très mal en point. "
L’économie française est en fait sclérosée. L'Indice de liberté économique créé par la Heritage Foundation et le Wall Street Journal le classe au 71ème rang mondial (35ème sur les 44 pays de la région Europe) et note que "les dépenses publiques représentent plus de la moitié de la production nationale totale". L’indice révèle également que "le budget est chroniquement déficitaire"; que "la corruption reste un problème et que "le marché du travail est chargé de réglementations strictes", ce qui entraîne un taux de chômage élevé.
La France a perdu presque toutes ses usines (les emplois industriels ne représentent que 9,6% de l'emploi total). Son agriculture est en ruine malgré les énormes subventions européennes: 30% des agriculteurs français gagnent moins de 350 euros par mois et des dizaines se suicident chaque année. Dans le secteur de la haute technologie, la France est essentiellement absente.
Une fuite des cerveaux a commencé et ne montre aucun signe d’arrêt.
En parallèle, chaque année, 200 000 immigrants d'Afrique ou du monde arabe, souvent sans qualification, arrivent. La plupart sont musulmans et ont contribué à l'islamisation de la France.
Quand un animateur de talk-show a récemment demandé à Zemmour pourquoi Macron ne plaçait pas l'intérêt du pays plus haut en tenant compte de la réalité sur le terrain, l'auteur a répondu:
"Macron est un technocrate. Il pense avoir toujours raison. Il a été programmé pour faire ce qu'il fait. Pour lui, la France et les Français ne comptent pas. Il est au service de la technocratie. Il fera exactement ce que souhaite la technocratie et une classe supérieure, [qui] sont totalement déconnectés de la masse de la population du pays ... Ceux qui veulent comprendre doivent lire Christophe Guilluy. "
Guilluy, géographe, a publié deux ouvrages: La France périphérique en 2014 et, quelques semaines avant le début du soulèvement, No society. La fin de la classe moyenne occidentale ("Aucune société. La fin de la classe moyenne occidentale"). Il y explique que la population française est aujourd'hui divisée en trois groupes.
Le premier groupe est une classe dirigeante, totalement intégrée à la mondialisation, composée de technocrates, de politiciens, de hauts fonctionnaires, de dirigeants travaillant pour des sociétés multinationales et de journalistes travaillant pour les grands médias. Les membres de cette classe vivent à Paris et dans les principales villes de France.
Le deuxième groupe vit dans les banlieues des grandes villes et dans des zones interdites ("Zones Urbaines Sensibles"). Il est composé principalement d’immigrants. La classe supérieure française, qui gouverne, recrute des personnes pour la servir directement ou indirectement. Ils sont mal payés, mais fortement subventionnés par le gouvernement et vivent de plus en plus conformément à leurs propres cultures et normes.
Le troisième groupe est extrêmement important: c'est le reste de la population. C'est ce groupe qu'on appelle "la France périphérique". Ses membres sont composés de fonctionnaires subalternes, de cols bleus et d'anciens cols bleus, d'employés en général, d'artisans, de petits entrepreneurs, de commerçants, d'agriculteurs et de chômeurs.
Pour la classe dirigeante, ils sont inutiles. La classe dirigeante au pouvoir les traite comme un poids mort regrettable et n'attend d'eux que le silence et la soumission.
Des membres de la "France périphérique" ont été chassés de la banlieue par l’afflux d’immigrés et l’émergence de zones interdites. La plupart de ces "périphériques" habitent à 30 kilomètres ou plus des grandes villes. Ils peuvent voir que la classe supérieure les rejette. Ils ont souvent du mal à joindre les deux bouts. Ils paient des impôts mais constatent qu’une part croissante est utilisée pour subventionner ceux-là mêmes qui les ont chassés de leurs maisons en banlieue. Lorsque Macron a abaissé les taxes des plus riches, mais augmenté celles des "périphériques" avec une taxe sur les carburants, cela a été perçu comme la dernière goutte - en plus de sa condescendance arrogante.
Dans une récente interview dans le magazine britannique Spiked, Guilluy a déclaré que le mouvement des "gilets jaunes" est un réveil désespéré de la "France périphérique". Il a prédit que, malgré les efforts de Macron pour déplacer le problème, le réveil durerait et que ce soit Macron "reconnaîtra l'existence de ces personnes ou il devra opter pour un totalitarisme neutre".
Pour le moment, Macron ne semble pas vouloir reconnaître que ces personnes existent même.
Selon François Martin, journaliste pour le mensuel Causeur, Macron s'est placé dans une impasse:
"Il doit prendre des décisions et il ne peut plus prendre de décision sans aggraver la situation ... Macron devrait accepter de démissionner mais ne le fera pas. Il préférerait aller jusqu'au bout et se heurter à un mur ... Les trois prochaines années seront un enfer pour les gilets jaunes et pour les Français ".
À la fin des manifestations à Paris le 26 janvier, des milliers de "gilets jaunes" avaient prévu de se rassembler pacifiquement sur l'une des places principales de la ville, la place de la République, pour un "débat" et apporter des réponses au débat. "débat" organisé par Macron. La police a reçu l'ordre de les disperser brutalement; Ils ont encore une fois utilisé des lance-balles en caoutchouc et des grenades Sting-Ball.
Jérôme Rodrigues, l'un des leaders du mouvement des "gilets jaunes", a été touché au visage alors qu'il filmait des policiers sur une place voisine, la place de la Bastille. Il a perdu un œil et a été hospitalisé pendant plusieurs jours. D'autres manifestants ont été blessés.
Au printemps 2016, les gauchistes avaient organisé des débats aux mêmes endroits et avaient été autorisés à y rester pendant trois mois sans intervention de la police.
Dans un article décrivant les événements du 26 janvier, le chroniqueur Ivan Rioufol écrivait dans Le Figaro: "La répression semble être le seul argument de la caste au pouvoir, confrontée à une manifestation de grande envergure qui ne faiblira pas".
Pourquoi les événements d’aujourd’hui sont-ils particulièrement laids, selon Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, une ville de la banlieue est de Paris où les émeutes de 2005 ont été particulièrement destructrices, est la suivante:
"En 2005, la police était clairement la cible des émeutiers et elle a fait preuve de retenue dans l'utilisation de la force pour faire baisser la violence. Aujourd'hui, la plupart de ceux qui protestent n'attaquent pas la police. Mais au lieu d'agir pour faire baisser la violence , la police reçoit des ordres les poussant à être très violents. Je ne blâme pas la police, je blâme ceux qui leur donnent des ordres ".
Le lendemain, dimanche 27 janvier, une manifestation était organisée par les partisans de Macron, qui s'appelaient eux-mêmes "les foulards rouges". La manifestation devait montrer qu'un nombre impressionnant de personnes était toujours du côté de Macron. Les organisateurs ont dit que dix mille personnes sont venues. Des vidéos montrent toutefois que le nombre semble avoir été beaucoup plus bas.
Les français sont en guerre contre la dictature et demandent la Démocratie (Référendum d'initiative citoyenne), mais l'opposition qui gouverne ne veut surtout pas du modèle Suisse (seule Démocratie au monde !) !
Un salarié d'Amazon licencié pour avoir soutenu les Gilets jaunes, le troisième en France
12:56 03.02.2019
Un autre salarié d’Amazon, au moins le troisième à l’échelle de la France, a été licencié pour faute grave après avoir soutenu une action de blocage de son lieu de travail par des Gilets jaunes.
Un salarié d'Amazon dans la Drôme a été licencié pour des propos «d'une singulière gravité» tenus le 22 novembre sur Facebook, relate France Bleu. Cet employé de la plate-forme logistique d'Amazon à Montélimar y remerciait les personnes ayant participé au blocage du site, dont il se disait «content».
«Franchement vous gérez, les gens, ne lâchez rien, un seul mot d'ordre, vendredi va être un "Black Out Friday", ne lâchez rien je me joins à vous quand je ne travaille pas… Bloquez tout», a publié le salarié sur internet.
«Votre comportement est en opposition totale aux valeurs de l'entreprise et vos propos (…) constituent un manquement grave à votre obligation de loyauté», lui reproche son employeur en s'appuyant sur l'article L1222-1 du Code du Travail, relatif à la «bonne foi» du salarié.
Lors de l'entretien préalable à la sanction, le salarié a fait valoir qu'il voulait «remercier le mouvement des Gilets jaunes sans demander explicitement de bloquer (son) entreprise» et que ses propos sur le «Black Out Friday» ne visaient pas Amazon en particulier mais «toutes les entreprises de Montélimar».
Le groupe y a vu au contraire une «envie manifeste de le dénigrer et de lui porter préjudice». Le salarié va contester cette décision devant les prud'hommes, selon la CGT, qui a appelé à la grève le 5 février.
Le groupe a de son côté assuré que «comme dans n'importe quelle entreprise, les collaborateurs d'Amazon sont libres de participer ou d'exprimer leur soutien à un mouvement, quel qu'il soit, dans le respect des obligations qui lient tout salarié à son employeur», ajoutant qu'Amazon «encourage la diversité des points de vue».
Dans le Nord, deux salariés du groupe ont déjà été licenciés en janvier en marge du mouvement des Gilets jaunes.
Un homme paralysé par un Taser prend subitement feu (vidéo choc)
13:43 03.02.2019
Dans le sud de Philadelphie, un homme a pris feu après avoir été «blessé» à la jambe par un pistolet paralysant. Une vidéo tournée lors de l’incident n’a pas tardé à trouver son public sur les réseaux sociaux.
Un homme a pris feu après avoir été «paralysé» à l'aide d'un pistolet à électrochoc près d'un restaurant de Philadelphie, relate la chaîne ABC.
Pat Tackney, témoin oculaire de l'incident, a précisé que les faits s'étaient déroulés à l'extérieur du restaurant Jim's Steaks, entre les 4th street et South street.
Dans cette vidéo mise en ligne, on peut voir deux agents de sécurité du restaurant utiliser un pistolet paralysant contre l'homme avant que sa jambe ne prenne feu.
Toujours est-il que la police de Philadelphie a assuré n'avoir reçu aucun appel ni de la part de témoins oculaires, ni de la part du restaurant.
Comme les États-Unis gèlent, les Européens ne peuvent pas se permettre de chauffer leur maison
par Tyler Durden Dim, 02/03/2019 - 07:35
Alors que le Midwest américain souffre de températures inférieures à l'Arctique, l'hiver resserre son emprise glacée sur l'Europe, où un nombre considérable de personnes luttent pour garder leurs maisons au chaud.
Niall McCarthy, de Statista, indique que, selon les nouvelles données publiées par Eurostat, 8% de la population de l'UE ne pourrait pas se permettre de chauffer adéquatement son logement en 2017. Cela représente toujours une amélioration par rapport aux dernières années, en particulier en 2012, avec un pic de 11%.
- voir tableau sur site -
Infographie: Les Européens n'ont pas les moyens de chauffer leur maison | Statista
Parmi les États membres, le plus grand nombre de personnes n'ayant pas les moyens de chauffer correctement leur maison était enregistré en Bulgarie (36,5%). Viennent ensuite la Lituanie (28,9%) et la Grèce (25,7%). Les chiffres les plus bas ont été enregistrés au Luxembourg (1,9%), en Finlande (2,0%) et en Suède (2,1%).
Avec le Superbowl qui aura lieu ce dimanche [3 février 2019], j'ai pensé que cela vaudrait la peine de vérifier rapidement si cet événement annuel avait beaucoup d’effet sur le marché pour un aliment auquel il est désormais associé : les ailes de poulet.
Je me suis tourné vers les données de l'USDA compilées par le Centre d'Information sur la Commercialisation du Bétail, qui rapporte les prix hebdomadaires des ailes entières depuis 1992. Voici la tendance des prix en termes nominaux. Il y a eu une forte tendance à la hausse des prix des ailes de poulet au cours de cette période, dont une partie est bien sûr due à l'inflation. Cependant, même après ajustement pour tenir compte de l'inflation, les ailes valaient environ 0,90 USD/livre au début des années 90 (0,50 USD/livre en valeur nominale) et les prix se situaient en moyenne autour de 1,50 USD/livre en 2018 ; au cours de la dernière partie de 2018, les prix étaient supérieurs à 2,00 USD/livre.
- voir graphique sur site -
Sur le graphique ci-dessus, il est difficile de savoir quand le Superbowl a eu lieu. En examinant l'historique de l'événement au cours de cette période, on observe que le Superbowl a eu lieu à la fin du mois de janvier ou au début du mois de février chaque année depuis 1992. Fort de cette connaissance, j'ai ajouté des lignes orange au graphique pour indiquer les périodes entourant le Superbowl.
- voir graphique sur site -
Il semble bien qu’il y ait une flambée des prix chaque année au moment du Superbowl, puis une baisse des prix tout de suite après. En fait, si je regarde la dernière décennie, les prix ont augmenté d’environ 7 % entre le début janvier et la période du Superbowl (fin janvier à début février), puis ont chuté d’environ 5 % entre le milieu et la fin février.
Les pics de prix indiquent une augmentation de la demande au cours de cette période. Cela concorde également avec les données que nous avons collectées dans l’enquête mensuelle sur la demande alimentaire, où nous avons souvent constaté un pic de la volonté des consommateurs de payer pendant la manifestation.
Dommage que je n’ai pas de données sur les serviettes et les tablettes contre les aigreurs d'estomac…
P.S. On peut se demander pourquoi ce phénomène de prix est différent de celui des dindes. Comme je l'ai dit en novembre, les prix de la dinde ont tendance à baisser autour de Thanksgiving lorsque la demande atteint un sommet, peut-être en raison du comportement stratégique des distributeurs ou des producteurs en matière de tarification, en prévision de l'augmentation à venir de l'offre. Une différence essentielle entre les dindes et les ailes est que l’un est un tout, et l’autre, une partie. S'il n'y a pas d'augmentation globale de la demande de poulet autour du Superbowl, les ailes seront relativement rares. Un éleveur de dindes a peut-être intérêt à produire des oiseaux entiers en prévision des fêtes, mais il n’est pas possible pour un éleveur de produire uniquement des ailes en prévision du Superbowl.
* Jayson Lusk est un économiste de l'agriculture et de l'alimentation. Il est actuellement professeur distingué et chef du Département de l'Économie Agricole de l'Université de Purdue.
Hier, beaucoup de gens sont morts et ont provoqué le changement climatique. Aujourd'hui, le changement climatique cause davantage de sida et tue des personnes.
Tout cela montre que le changement climatique est l'expression la plus inutile de la langue anglaise.
Il peut être utilisé de manière ambiguë et contradictoire pour signifier tout et par conséquent rien.
C’est inutile pour quiconque veut transmettre des informations, mais plutôt pratique pour ceux qui veulent plutôt véhiculer du brouillard. Quelqu'un veut-il s'en prendre au bon mais confus ?
Comment le changement climatique mine la guerre contre le VIH en Afrique La pauvreté généralisée et l'aggravation des sécheresses, inondations et autres risques climatiques rendent l'Afrique particulièrement vulnérable aux effets du changement climatique Le changement climatique est toujours 50 nuances de mal:
Yaoundé - Les adolescentes qui grandissent au Lesotho dans des régions frappées par une grave sécheresse et d'autres chocs climatiques risquent davantage d'abandonner leurs études, de commencer à avoir des relations sexuelles plus tôt et de contracter le VIH, selon des chercheurs.
Même le GIEC ne prétend pas vraiment dans son cœur scientifique que nous pouvons prédire ou attribuer les causes de la sécheresse et des inondations, mais ici, il est lié au «changement climatique», comme si tout le monde savait que les sécheresses s'aggravent ) et sont causés par des centrales au charbon.
Dans une étude sur le lien entre le changement climatique et l'infection à VIH depuis la généralisation du traitement antirétroviral (ARV) en Afrique subsaharienne, les chercheurs ont découvert qu'une grave sécheresse menait de nouvelles infections à VIH.
Et tout le monde pensait que les sécheresses préviendraient le sida.
Dans les zones urbaines du Lesotho, les chercheurs ont observé que la sécheresse était liée à une multiplication par cinq du nombre de filles vendant du sexe et à une multiplication par trois du nombre de celles qui étaient forcées d'avoir des relations sexuelles.
Au Lesotho, plus de la moitié de la population vit avec moins de 1,90 dollar par jour, selon la Banque mondiale, et 55% cultivent leur propre nourriture, ce qui les rend particulièrement vulnérables à la sécheresse.
Ainsi, les pauvres souffriront davantage du mauvais temps que les riches. Nous avions besoin d'une étude pour cela ?
Dilemme de l'ONU: Devons-nous essayer de réduire le sida en changeant la météo ou en aidant les pauvres à s'enrichir.
Les mains en l'air qui veut arrêter le sida avec des panneaux solaires ?
États-Unis : la vague de froid extrême a fait au moins 21 morts
CNEWS sam., 02 fév. 2019 14:31 UTC
Les températures ressenties sont descendues jusqu'à -53°C. La vague de froid extrême qui a frappé le nord des Etats-Unis cette semaine a fait au moins 21 morts.
La masse d'air froid venue de l'Arctique a provoqué des records de basses températures dans toute la région du Midwest et des Grands lacs. En températures ressenties, il a ainsi fait -53°C dans le Minnesota, -51 dans le Wisconsin ou encore -48 dans l'Illinois.
Des conditions climatiques extrêmes aux lourdes conséquences. Les hôpitaux ont dû traiter de nombreux patients pour des engelures, dont certains risquent l'amputation. Il s'agissait en grande majorité de SDF.
D'autres habitants de la région ont succombé à ces températures extrêmes. Selon les informations de la presse locale, plusieurs victimes ont été retrouvées mortes de froid, après des chutes dont elles n'ont pas pu se relever. Les accidents de la circulation ont également provoqué de nombreux décès.
Le bilan, établi à 21 morts, est encore provisoire.
Alerte aux inondations
Et alors que les températures ont commencé à remonter ce vendredi 1er février, les autorités ont émis une alerte aux inondations en raison de la fonte rapide de la neige et de la glace.
Totalitarisme: L'achat d'un marteau fait de vous un terroriste au Royaume-Uni
par Tyler Durden Dimanche, 02/03/2019 - 10:30 Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Si vous avez besoin d’un marteau pour quelque raison que ce soit, l’unité de police du Royaume-Uni chargée de la lutte contre le terrorisme vous considérera comme un terroriste potentiel. Ils demandent également à quiconque voit quelque chose de suspect, comme acheter un marteau, de le signaler aux autorités de contrôle.
L'achat d'un marteau est suspect et constitue potentiellement un indicateur d'activité criminelle, selon le Tweet ci-dessous publié par le bureau de la police antiterroriste britannique.
C’est difficile à voir sur la photo Twitter, mais le gars qui regarde le marteau a aussi quelques couteaux dans son panier. C’est apparemment supposé être un indice du contexte qu’il est peut-être une très mauvaise personne, voire un terroriste. Le Royaume-Uni mène une campagne à la limite du comique pour tenter de convaincre les jeunes de ne pas porter de couteaux. Selon Reason, il existe en fait une explication très logique et probable à la nécessité de disposer de couteaux et d’un marteau. L’homme est peut-être un chef qui travaille dans son restaurant, mais le but de cette campagne publicitaire est qu’ils ne souhaitent pas que vous pensiez aux explications les plus probables. Ils veulent que vous soyez suspicieux et que vous viviez votre vie dans la peur des activités quotidiennes des autres. Complet avec la devise effrayante "La vie n'a pas de bouton de rembobinage". Reason a ensuite souligné que la publicité vidéo entière est en réalité beaucoup plus sinistre; pas du tout inquiétant, mais c’est un peu horrifiant ce que la police britannique de lutte contre le terrorisme exige d’un comportement «suspect», comme de sortir les poubelles.
Des tweets similaires et l'annonce vidéo ci-dessus ont suscité de bonnes et décentes moqueries (et à juste titre) sur Twitter:
Ils [la police antiterroriste] essaient de dissiper l’idée que les gens vont finir par dénoncer une activité innocente en déclarant: «Signaler une activité suspecte ne gâchera pas des vies, mais cela les sauvera peut-être». conséquences d'une enquête en tant que terroriste potentiel ? L’application de la loi au Royaume-Uni poursuit et poursuit les personnes pour le contenu de leurs tweets, dans l’intérêt du ciel. Ces enquêtes pourraient très probablement mettre la vie de leurs sujets en danger. Cette annonce n’est pas seulement moqueuse, c’est horrible. Pour l'amour de Dieu, ne passez pas par la vie en se méfiant des événements quotidiens courants. Et soyez très prudent avec un organisme chargé de l'application de la loi qui vous dit de traiter les personnes qui enregistrent le comportement de l'application de la loi comme des menaces potentielles. -Raison
Le pire est que certaines personnes ont constamment peur de ce que les autres font. Ils accordent beaucoup plus d'attention aux activités quotidiennes des autres qu'à eux-mêmes. Si quelqu'un en signale réellement un autre, cela ne représente guère plus qu'un esclave harcelant son compagnon au «punisseur». La bonne nouvelle est que si la classe dirigeante et leurs responsables embauchés sont aussi terrifiés par la vie quotidienne du public, il ne faudra vraiment pas grand-chose à tout l’empire pour s’effondrer sous son propre poids.
L’apparition de la vie sur Terre : l’autre hypothèse
le 3 février 2019
L’hypothèse évoquée dans un précédent billet appelée « panspermie » par les spécialistes exclut cependant qu’une forme de vie ait pu provenir d’une étoile éloignée du système solaire compte tenu des distances considérables séparant les étoiles les unes des autres dans cette région de la Galaxie où se trouve le Soleil. L’étoile Proxima Centauri se trouve à près de 42000 milliards de kilomètres du Soleil. La recherche très active de planètes dites « habitables » dans notre « région galactique » n’existe donc que pour satisfaire la curiosité des scientifiques et il est hautement improbable que l’humanité puisse établir, un jour, un contact avec d’autres créatures intelligentes extra-terrestres, ce qui ne signifie pas que la vie n’existe que sur la Terre.
L’autre hypothèse relative à l’apparition de la vie sur la Terre fait état d’un phénomène cataclysmique ayant eu lieu sur la Terre il y a 4,47 milliards d’années soit à peine plus de 60 millions d’années après que l’accrétion de divers débris ait eu pour résultat une boule de taille déjà confortable qui serait entrée en collision avec un objet de la taille de la Lune riche en fer et ayant créé par son impact la rotation de la Terre sur elle-même. Au sein de cette hypothèse il fallait qu’il existe déjà de l’eau sur la Terre car elle repose sur le fait que l’espèce de pluie de particules solides riches en fer qui dura peut-être des milliers d’années dissocia une partie de l’eau présente sur Terre pour former des dépôts bruns riches en oxydes de fer présents sur la presque totalité de la croute terrestre encore aujourd’hui. L’atmosphère devint alors réductrice au sens chimique du terme en raison de la présence d’hydrogène générée par la dissociation de l’eau par la pluie de particules de fer à haute température.
Selon ce scénario les conditions favorables à l’apparition de la vie auraient été réunies. De simples molécules organiques auraient conduit progressivement à des molécules plus complexes :
- voir graphique sur site -
L’idée que l’ARN fut la première structure chimique ayant favorisé la complexification de la chimie prébiotique provient de la découverte récente de propriétés catalytiques de certains petits ARNs. Dans la cellule vivante « moderne » l’ADN, les ARNs et les protéines jouent un rôle vital. L’ADN est le support de l’information, les ARNs transmettent cette information à la cellule et les protéines constituent la force de travail cellulaire. La production de chacun de ces trois éléments nécessite la participation des deux autres. Il paraît peu probable que ces trois éléments essentiels à la vie aient pu apparaître simultanément et il semble plausible que les candidats les plus anciens dans ce processus d’apparition de la vie soient les ARNs car ils peuvent à la fois stocker des informations et catalyser des réactions chimiques comme cela a d’ailleurs été découvert récemment dans les cellules modernes. À l’aide d’oxydes métalliques tels que le bore le formaldéhyde et le glycolaldéhyde se condensent pour former du ribose et les bases puriques et pyrimidiques se forment dans des conditions favorables comme les bords des sources d’eau chaude en présence de sels de nickel à partir de « prébiotiques » simples. On ne connaîtra jamais en détail la séquence d’apparition de ces diverses molécules organiques complexes : les protéines d’abord et les ARNs ensuite ou l’inverse.
Des observations récentes indiquent que les zones favorables à la formation de « soupe primordiale » étaient soumises à des cycles de pluies et de sécheresse et que l’activité volcanique probablement beaucoup plus intense qu’aujourd’hui répandait des quantités considérables d’oxydes de soufre qui combiné au formaldéhyde qui se forme spontanément à partir d’eau et de méthane sous rayonnement UV aurait conduit à des accumulations d’hydroxymethanesulfonate et dans des conditions hygrométriques favorables ce composé aurait alors permis l’apparition de glycolaldéhyde et aussi de glycéraldéhyde. Et pour les groupements phosphate ils étaient probablement aussi présents dans une Terre suffisamment refroidie pour que de l’eau liquide soit présente. Ce dernier point a été confirmé en analysant des inclusions de zircon dans les roches les plus anciennes de la planète situées dans les Jackson’s Hills en Australie (illustration).
- voir photo sur site -
Tous les éléments étant réunis pour que des petits ARNs apparaissent, bien entendu dans des conditions favorables, le processus s’est alors accéléré. Le comportement des micro brins d’ARN a été étudié ces dernières années et presque magiquement ces brins de quelques bases arrivent à fusionner spontanément pour former des brins plus longs. L’un des spécialistes de ce genre d’étude, le Docteur Niles Lehman de la Portland State University, a déclaré : « si vous me donnez un brin d’ARN de 8 bases je vous donnerai la vie ! » En effet la présence d’amino-acides formés spontanément en présence de décharges électriques, par exemple au cours d’un orage, peut alors conduire grâce aux propriétés catalytiques de ces brins d’ARNs à des enchainements d’amino-acides et donc la formation de peptides.
- voir photo sur site -
La confirmation des propriétés catalytiques des ARNs a été indirectement confirmée en étudiant la présence d’un ARN particulier au sein de la structure extrêmement complexe des ribosomes, ces énormes machines à synthétiser des protéines. Cet ARN est remarquablement conservé depuis l’apparition des archéobactéries comme celles retrouvées dans les stromatolites (première illustration), les premières formes de vie terrestre. L’hypothèse de l’impact sur la Terre par un objet céleste de la taille de la Lune a aussi été confirmée par les géologues qui se sont toujours demandé pourquoi la présence de platine était anormalement élevée dans la croute terrestre alors que ce métal aurait normalement plongé dans les profondeurs du magma liquide de la Terre au tout début de sa formation en raison de sa densité. Cette anomalie peut parfaitement s’expliquer en prenant en considération un tel impact. La « finalisation » de la Terre est donc intimement liée à l’apparition de la vie : il y a 4,53 milliards d’année, date de naissance de la Terre, il y a 4,51 milliards d’années, date de naissance de la Lune et il y a 4,47 milliards d’années, date de l’impact qui provoqua ensuite l’apparition de la vie en favorisant un environnement atmosphérique réducteur (au sens chimique du terme) et enfin apparition des premières formes de vie à peine plus de 500 millions d’années plus tard.
Source et illustrations, doi : 10.1126/science.aaw6068
Il n'y a pas que des soleils dans l'espace ! Il y a aussi du froid glacial ! Et, qui dit froid dit eau (que rencontra l'étoile Terre avant d'être refroidie).
Rappelons que la vie sur Terre ne vient nullement des dirigeants ou des crs !
«Arrêtez vos mensonges un peu»: le Net réagit aux propos de BHL sur les Gilets jaunes
17:26 03.02.2019
L'acte 12 des Gilets jaunes a été qualifié d'«indécence» par Bernard-Henri Lévy, qui considère que les manifestants n'avaient pas le droit de se présenter comme victimes des violences policières après avoir «profané la tombe du soldat inconnu en décembre». L'argument a été trouvé malséant par des internautes qui ont violemment critiqué l'écrivain.
Le dernier acte en date des Gilets jaunes, qui s'est déroulé ce samedi en hommage aux victimes des violences policières, a été critiqué par Bernard-Henri Lévy qui a accusé les manifestants d' «indécence» et de«nihilisme». Il estime que les Gilets jaunes ne sont pas à plaindre après ce qu'ils ont fait, selon lui, sur la tombe du soldat inconnu le 1er décembre 2018.
Les propos de BHL ont été qualifiés par de nombreux internautes de «désinformation» et de «mensonges». Ils lui ont rappelé, qu'en dépit de ce qu'il affirme, des Gilets jaunes avaient protégé le monument le jour en question. Comme preuve, des utilisateurs ont donné des liens vers des pages des sites de BFM TV et de CNEWS sur lesquelles on voit clairement des Gilets jaunes entourer la Flamme du Souvenir pour la protéger des casseurs.
D'autres utilisateurs des réseaux sociaux n'ont trouvé rien d'étonnant dans les propos de BHL, jugeant que c'était dans son habitude de mentir.
Un mois de prison avec sursis pour avoir foncé sur des Gilets jaunes à Beaucaire
15:47 03.02.2019
Après avoir foncé sur des Gilets jaunes à Beaucaire, un conducteur initialement jugé pour violence avec usage ou menace d’une arme, a obtenu une requalification des faits en blessures involontaires. Résultat: un mois de prison avec sursis assorti de deux ans de mise à l’épreuve.
L'homme qui avait foncé dans la foule lors du premier jour du mouvement des Gilets jaunes, à Beaucaire, dans le Gard, a été condamné à un mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Nîmes, assorti de deux ans de mise à l'épreuve, annonce Midi Libre.
Bien que le prévenu soit initialement jugé pour violence avec usage ou menace d'une arme (sa voiture) suivie d'incapacité n'excédant pas huit jours lors de manifestation sur la voie publique, à l'audience, le conducteur a expliqué que son geste était involontaire, son «pied [ayant] glissé sur la pédale d'embrayage» alors qu'il avait les semelles mouillées.
Le procureur adjoint a obtenu une requalification des faits en blessures involontaires, rappelant «le délit d'entrave à la circulation» formé par les Gilets jaunes.
Les faits se sont produits le 17 novembre, au premier jour du mouvement social, sur le pont qui enjambe le Rhône pour relier Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône. Deux personnes avaient été blessées: une femme de 37 ans et un homme de 44 ans.
Auparavant, le tribunal correctionnel de Marseille avait prononcé des peines de deux à quatre mois de prison ferme pour trois Gilets jaunes interpellés lors de l'acte 11 de la mobilisation. L'un d'entre eux a été emprisonné pour avoir, en guise de projectile, jeté un pot de rillettes sur les forces de l'ordre alors que deux autres portaient des pierres.
Qu’est-ce qui explique le nouveau scandale sanitaire dans un abattoir d’un pays de l’UE ?
16:42 03.02.2019
Tourné par une chaîne polonaise, un film montrant des vaches malades et incapables même de tenir debout a déclenché un scandale en Europe où a été exportée la viande de ces bêtes qui avaient été traînées par terre avant d’être abattues sans contrôle vétérinaire à Kalinowo, en Pologne. Un spécialiste polonais a commenté la situation pour Sputnik.
Selon Pawel Niemczuk, chef de l'Inspection vétérinaire polonaise, la viande provenant de l'abattage illégal de vaches malades ou même mortes a été écoulée dans 13 pays et distribuée dans une vingtaine de points de vente en Pologne, qui est un grand exportateur de viande en Europe.
Les autorités polonaises ont réussi à identifier 9,5 tonnes de bœuf provenant de l'abattoir de Kalinowo qui est fermé depuis la diffusion d'un reportage montrant des vaches malades qui y avaient été abattues sans contrôle vétérinaire. 2,5 tonnes de ce lot de viande ont été exportées vers l'Allemagne, l'Espagne, l'Estonie, la Finlande, la France, la Hongrie, la Lituanie, le Portugal, la Roumanie, la Slovaquie et la Suède.
La Commission européenne annonce la saisie et la destruction de cette viande avariée et envoie des inspecteurs en Pologne pour enquêter sur la question.
Il est difficile de découvrir des points faibles dans le système de contrôle vétérinaire en Pologne, a reconnu dans un entretien accordé à Sputnik Wiktor Choinski, président du conseil d'administration de l'association «Viande polonaise».
«Quoi qu'il en soit, il va sans dire que dans ce cas précis, il s'agit d'une violation notoire de la loi», a estimé l'interlocuteur de l'agence.
Et de souligner que la situation résultait d'un abattage illégal.
«Selon les dernières informations fournies par le médecin vétérinaire en chef polonais Pawel Niemczuk, le bœuf provenant de l'abattoir de Kalinowo a été retiré du marché et minutieusement étudié. Ce médecin affirme que ce ne serait pas de la viande de vaches malades, mais plutôt de bovins traumatisés qui ne présenterait pas de risque pour la santé des consommateurs», a poursuivi M.Choinski.
Ce dernier souligne toutefois que la procédure de contrôle sur la technologie n'a pas été respectée. On aurait en effet dû tuer les bêtes sur place au lieu de les transporter à l'abattoir.
«Tout indique que l'explication en est le désir d'augmenter la rentabilité de l'abattoir. Malheureusement, cela arrive parfois à de petites entreprises. Dans de grandes entreprises, de tels incidents sont impossibles, cela ne leur rapportant rien. Et maintenant, tout le secteur de la viande et son image qui s'est forgée pendant de longues années en pâtissent. Malheureusement, il peut se trouver une brebis galeuse dans n'importe quelle branche», a résumé avec regret l'interlocuteur de Sputnik.
Bodycam s'empare du militant Antifa tué dans la tête par des flics après avoir sorti un pistolet
par Tyler Durden Dim, 02/03/2019 - 12:05
Un officier de police qui a tiré sur le chef d'un groupe militant Antifa était "légalement justifié" lors d'une fusillade perpétrée le 11 janvier dans une école intermédiaire d'Eugene, en Oregon.
Charles Landeros, 30 ans, a été tué à la tête par l'officier Steve Timm à la Cascade Middle School, où la fille de Landeros est étudiante. On peut voir Landeros en train de prendre une arme lors d'une dispute avec Timm et un autre officier, Aaron Johns, à la suite d'une dispute liée à la garde.
Landeros s’est rendu à l’école ce jour-là à la suite d’un conflit avec la mère de sa fille. Il avait inscrit la fille à l’école plus tôt cette semaine-là sans le dire à son ancienne épouse, mais les responsables de l’école ont appris plus tard que sa mère était seule habilitée à décider de l’école fréquentée.
À un moment donné, on a demandé à Landeros de quitter l’école parce qu’il avait cessé de répondre aux questions des officiers. Il a été prévenu qu'il serait arrêté s'il ne partait pas, a déclaré l'avocat général.
Les images de la caméra du corps de la police montrent que Landeros a refusé de quitter l'école car il pensait que seul le principal avait le pouvoir de le faire sortir du campus. Il voit ensuite sa fille entrer dans le couloir et lui crie à plusieurs reprises de «partir». -Oregon Live
Selon l’avocate Patty Perlow, Timm et Johns auraient tenté d’arrêter Landeros, soupçonné de conduite désordonnée et d’intrusion, le poussant devant l’entrée. Landeros recula et tira une arme de poing alors que Johns et lui commençaient à se débattre. On peut voir Landeros braquer son arme sur Timm et tirer deux fois sans que l'officier ne le voie. Timm a riposté une fois et a frappé Landeros à la tête, juste devant sa fille.
"On ne sait pas pourquoi Charles Landeros a choisi de recourir à la force meurtrière dans cette situation, mais il n'avait clairement aucun égard pour la vie des policiers, des étudiants ou du personnel présents, y compris son enfant", a déclaré Perlow dans un communiqué.
"L'officier Timm a sauvé la vie de l'officier Johns, de lui-même et peut-être de nombreux autres, compte tenu du nombre de cartouches chargées par Charles Landeros dans son arme. Rien ne permet de penser que le recours à la force meurtrière soit justifié."
Selon Ammoland, Landeros a fondé le groupe Antifa "de la communauté pour l'autodéfense armée" et portait une chemise "briser le patriarcat et refroidir" lors de l'incident.
Regardez:
- voir clip sur site -
Le pistolet de 9 mm que Landeros a tiré a été acheté légalement en décembre par sa belle-soeur, selon Perlow, et il était titulaire d'une licence d'arme de poing dissimulée. Il avait une balle dans la chambre, 18 balles dans le chargeur et un autre chargeur chargé à la ceinture. Dans sa voiture, la police a trouvé un autre chargeur. Landeros portait également un sac à dos muni de balles pour une arme à feu de calibre différent.
La famille de Landeros a demandé une enquête indépendante sur son meurtre, soulignant qu'il était un ancien combattant honorablement démis de ses fonctions et le père de ses filles de 10 et 12 ans.
À la mi-janvier, une manifestation animée a éclaté à la suite de l'incident au cours duquel des manifestants opposant la police ont affronté des opposants soutenant la police.
Un parent de la Cascade Middle School à la manifestation a défendu les officiers.
"Ils disent que les policiers désarment, ils disent que c'est un meurtre. Ce n'est pas un meurtre. [Landeros] a apporté une arme à feu à l'école de mon enfant", a déclaré Karen Neurotch. "Ils n'ont pas reçu d'appels parce que leurs enfants ne vont pas ici. J'ai reçu un appel disant que mon enfant était terrifié parce qu'ils avaient entendu des coups de feu."
La page Facebook de Community Armed Self Defence a déclaré qu’elle ne pouvait pas compter sur la police pour protéger les personnes marginalisées et que les armes à feu aidaient les groupes marginalisés à se protéger, a rapporté le Daily Emerald.
«La police n'est pas là pour nous protéger. Ils sont plus susceptibles de nous nuire que de nous «servir ou nous protéger» », écrit le groupe sur la description de leur page Facebook.
Le Centre de défense des libertés civiles, un autre groupe d'activistes auquel appartenait Landeros, a publié un article à propos de la fusillade sur sa page Facebook. Selon le poste, Landeros a laissé deux filles âgées de 12 et 10 ans, une partenaire et de nombreux membres de la famille et amis. Le groupe a également annoncé qu'il collecterait des fonds pour enquêter sur le meurtre par leurs propres moyens. -KGW
Les agents Timm et Johns travaillent au service de police d’Eugene depuis 14 et 17 ans respectivement.
L'hiver fait des ravages sur les véhicules électriques
par Tyler Durden Dimanche, 02/03/2019 - 21:00
Si les propriétaires de véhicules électriques apprennent quelque chose, c’est que les températures extrêmement froides risquent d’être frustrantes s’ils ne prennent pas particulièrement soin de leurs véhicules alimentés par batterie. Considérez cela comme un avantage supplémentaire pour "sauver le monde".
Alors que nous essayons de surmonter le froid que les constructeurs automobiles utilisent comme excuse pour leurs mauvaises ventes cet hiver, les clients de certaines entreprises - notamment Tesla - commencent à comprendre que les choses sont un peu différentes avec les véhicules électriques en hiver. Les propriétaires mécontents de modèles 3 ont été largement diffusés sur les médias sociaux et les forums en ligne, évoquant de nombreux problèmes qu’ils rencontraient avec le froid dans leurs véhicules. Des personnes se sont plaintes de l'épuisement de l'autonomie de la batterie et du gel des poignées de porte du modèle 3.
Un nouveau rapport publié par Fortune met en évidence plusieurs propriétaires de Tesla soulignant leurs problèmes: "Ma plus grande préoccupation est le froid qui a épuisé ma batterie de 20 à 25 milles en une nuit et cinq à dix milles supplémentaires pour me rendre au travail. J'ai payé 60 000 $ pour ne pas épuiser mes ressources. la batterie si rapidement ", a déclaré Ronak Patel, propriétaire du modèle 3 du New Jersey.
Le groupe pro-EV chez InsideEVs a déclaré franchement en décembre: "Le temps froid exige une batterie longue portée" avant d'encourager les gens à dépenser plus d'argent: "... si vous résidez dans une région plus froide et pouvez vous permettre de vous ressourcer le modèle 3 à longue portée, puis en hiver, vous serez ravi d'avoir fait ce choix. "
Salim Morsy, analyste chez Bloomberg, a déclaré: "C'est Panasonic qui fabrique les batteries Tesla. Ce n'est pas quelque chose de spécifique à Tesla. Cela arrive à Chevy avec le Bolt et à Nissan avec la Leaf."
En outre, la conception de la porte utilisée par Tesla pour le modèle 3 dans le cadre de son appel à être "différent" continue de revenir et de mordre les propriétaires en hiver. Comme nous l'avions déjà noté lors d'une vague de froid au Québec à la fin de l'année dernière, les propriétaires avaient de la difficulté à sortir leurs poignées de leurs encastrés pour pouvoir ouvrir les portes de leur voiture. Cela a laissé certains propriétaires se plaindre et d'autres écrire à Tesla (ou même Elon Musk sur Twitter) à la recherche d'une solution.
Le blogueur de Pro-Tesla, Frédéric Lambert, était lui-même incapable de monter dans son véhicule en novembre quand il a documenté ses propres problèmes dans cette vidéo hilarante dans laquelle il ne pouvait pas monter dans sa propre voiture:
- voir sur site -
"Jésus Christ!" Lambert s’exclama environ 53 secondes après le début de la vidéo, les mains tremblantes du froid, après avoir enfin fait ressortir la poignée de sa porte.
"Ce qui est spécifique à Tesla", a poursuivi Morsy, "est la qualité de fabrication."
Andrea Falcone de Boston, qui avait acheté une Model 3 il y a environ deux mois, a déclaré sur Twitter: "Je ne peux pas attendre toute la journée pour cette voiture idiote."
Comme pour tout, Elon Musk a tweeté qu'il y aurait une mise à jour logicielle en direct qui traiterait de la résistance des voitures par temps froid. Étant donné que la société ne peut pas réajuster physiquement les poignées de porte en l'air, nous nous attendons à ce que le correctif finisse par mettre la pression sur une batterie déjà épuisée. Et rappelez-vous, en novembre, nous avions déjà signalé que Tesla allait "régler" ces problèmes avec une mise à jour logicielle vague.
En ce qui concerne ce "correctif", il semble que la seule chose qui a été abordée était la fenêtre ne descendant pas toujours après la porte ouverte. Comme il n'y a pas de cadre de porte sur les portes du modèle 3, la fenêtre qui se déroule est quasi nécessaire pour aider à ouvrir la porte lorsque la poignée est sortie.
Dans les notes de publication de son nouveau logiciel d'amélioration à la fin de 2018, Tesla a très peu dit:
«Les comportements de verrouillage de la position de la fenêtre et du connecteur de charge ont été optimisés par temps froid.»
Comme nous l'avons déclaré en novembre, nous attendons toujours la mise à jour logicielle d'Elon Musk, qui arrêtera complètement le froid.
La dictature en Californie oblige les habitants à acheter de l'électrique ! La totalité des centrales bientôt remplacées par des éoliennes et panneaux solaires ! Il faut s'attendre à des millions de morts (de froid) ou, obliger les États-Unis (république) à être en Démocratie.
Pourquoi y a-t-il une guerre contre les majorettes ?
par Tyler Durden Dimanche, 02/03/2019 - 12:30 Écrit par Dennis Prager via DailyWire.com,
Si je vous disais qu'un groupe croissant de killjoys veulent interdire les pom-pom girls de la NFL, diriez-vous qu'il est de la gauche ou de la droite politiques ?
Doit être le droit, non ? Ils sont les religieux avec tous les hang-ups sexuelles.
Faux.
Ils sont à gauche.
Et quel est leur problème avec cheerleading ?
Je les laisserai parler pour eux-mêmes.
Dans le Boston Globe, Margery Eagan, éditorialiste et coanimatrice de "Boston Public Radio" de NPR, a écrit un article intitulé "Il est temps de dire au revoir aux pom-pom girls de la NFL".
Elle a décrit les pom-pom girls de la NFL comme "effrayantes et humiliantes".
La chroniqueuse sportive de USA Today, Nancy Armor, est parvenue à la même conclusion: "Le principe de base des pom-pom girls de la NFL est dégradant. Les pom-pom girls de la NFL doivent disparaître."
La journaliste sportive du Chicago Tribune, Shannon Ryan, a déclaré: "La ligue a seulement montré qu'elle considérait les pom-pom girls comme des morceaux de bonbons pour les yeux."
Pour se faire comprendre, elle demanda: "Pourquoi n'y a-t-il pas de pom-pom girls et de danseurs masculins vêtus de façon maigre ?"
Seules les personnes bien éduquées peuvent poser une question aussi stupide - parce que seules les personnes très instruites nient que, à quelques exceptions près, les seules personnes qui aimeraient voir des pom-pom girls mâles vêtues de façon maigre sont des hommes gais.
Dans USA Today, Tom Krattenmaker, directeur des communications de la Yale Divinity School, a ajouté une voix théologique au choeur anti-pom-pom girl. "Il est temps," entonna-t-il, "d'appeler cela pour ce qu'il est: humiliant envers les femmes et un anachronisme qui devrait être sous les fans masculins à qui ce parfum irrésistible est servi." Cette phrase, et toute sa pièce, est ce qui va faire l’objet d’une profonde réflexion à gauche de nos jours. Il n'explique pas en quoi le fait d'être une pom-pom girl de la NFL est "humiliant". Il le déclare simplement ainsi. At-il pris la peine d'interviewer des pom-pom girls? Je l’ai fait, et le consensus parmi les pom-pom girls est que c’est l’une de leurs plus belles expériences de vie.
Jacie Scott, une femme noire qui a pris sa retraite en tant que pom-pom girl des Cowboys de Dallas en 2016, a écrit en réponse à Nancy Armor:
"J'ai passé quatre ans en tant que pom-pom girl dans la NFL, et les expériences que chaque année m'a apportées ont contribué à faire de moi la femme que je suis aujourd'hui. ... J'ai vu des pays que je n'aurais jamais imaginé voir. J'ai eu un impact positif sur ma vie, jeune et vieux, et j'ai tout fait avec 30 femmes quelque chose d'incroyable. Je ne voudrais pas échanger mon temps comme une pom-pom girl pour rien. "
Ce qui est humiliant pour les pom-pom girls, ce n’est pas les pom-pom girls, mais des gens comme Tom Krattenmaker, Shannon Ryan, Margery Eagan et Nancy Armour qui ont la vanité - et la méchanceté - d’appeler ces femmes rabaissées.
J'ai interviewé une ancienne pom-pom girl des Falcons d'Atlanta, Nina Ahlin (maintenant Noa Hami), lors de mon émission de radio. Quand elle est entrée dans mon atelier, elle a été frappée par son attrait 20 ans après sa retraite de pom-pom girl et par sa robe modeste. En ce qui concerne sa robe, elle a expliqué que peu de temps après avoir pris sa retraite en tant que pom-pom girl, elle a rencontré un homme juif orthodoxe, est tombée amoureuse, s'est convertie au judaïsme orthodoxe et s'est mariée.
Apparemment, son mari religieux, un homme d’affaires prospère, n’a pas trouvé le profil pervers de cette femme «humiliant». Au contraire, comme la grande majorité des hommes - religieux ou laïcs - il était ravi de sortir et de se marier avec une pom-pom girl de la NFL. Heureusement qu'il n'est pas allé à la Yale Divinity School.
Il était clair que même maintenant, en tant que juive orthodoxe qui porte des jupes longues et des manches longues, elle ne trouve pas les pom-pom girls humiliantes: elle m'a envoyé une photo d'elle depuis sa période pom-pom girl.
Comme elle m'a écrit:
"Je ne peux pas imaginer ma vie sans l'expérience que j'ai eue en tant que pom-pom girl de la NFL. Cela a littéralement changé ma vie. Les amitiés que j'ai nouées, les endroits où nous avons pu aller et les gens que nous avons pu rencontrer ne peuvent pas être dupliqué. (…) L’idée que cela soit enlevé aux jeunes filles qui rêvent de devenir un jour une pom-pom girl professionnelle me fait peur! "
Pourquoi les gauchistes méprisent-ils les pom-pom girls et les pom-pom girls (qui, après tout, choisissent d'être pom-pom girls - et pour un salaire quasiment nul)?
Un article sur les pom-pom girls de Vanity Fair a donné le jeu:
"La ligue profite de la vente d'une notion rétrograde de la masculinité - des hommes grands et forts, qui n'ont pas peur de prendre un coup, qui sont entourés de femmes enthousiastes et légèrement vêtues."
Selon un ancien joueur de basket-ball professionnel, Mariah Burton Nelson, un article de la Société Radio-Canada intitulé "Pro Cheerleading" devrait être aboli, "Cheerleading sous-entend que le rôle des femmes est de soutenir les hommes, de sourire aux hommes et de réaliser les fantasmes sexuels des hommes. . "
La gauche a un mépris pour la masculinité et la nature sexuelle masculine qui en fait partie. Le nouvel homme émasculé ne regardera pas les femmes sexy. Et la nouvelle femme déféminisée ne voudra pas "soutenir les hommes", encore moins avoir l'air sexy pour eux.
La gauche prétend être pro-choix. Mais cela exige l'abolition des cheerleading de la NFL (et de la NBA) sans donner aux femmes le choix d'être pom-pom girl - tout comme cela n'a jamais donné le choix aux participantes de Miss America d'abolir le concours de maillot de bain Miss America. Les gauchistes croient qu'ils sont moralement supérieurs et ont donc le droit de priver n'importe qui - homme ou femme - de choisir ce que la gauche dédaigne. La seule chose dont la gauche se soucie est le choix d'éteindre la vie humaine naissante.
Même si le football ou les pom-pom girls ne vous intéressent pas, cela devrait être votre problème. Nous devons dire à la gauche ici, comme dans pratiquement tous les domaines de la vie, et dans les termes les plus énergiques possibles: laissez-nous simplement. Laissez-nous vivre nos vies avec nos petites joies. Et grandissez - les hommes aiment regarder les femmes et les femmes aiment être regardées.
Un monde avec des pom-pom girls de la NFL est de loin préférable au monde que la gauche veut créer: une dystopie dans laquelle les hommes et les femmes sont interchangeables.
Acte 12 des Gilets jaunes: un policier se voit refuser l’accès à une boulangerie
07:09 04.02.2019
Lors de l’acte 12 des Gilets jaunes à Paris, un policier en civil s’est vu refuser l’entrée dans une boulangerie, dont la direction «s’efforçait de préserver une atmosphère calme au sein de ses établissements», compte tenu du fait que le fonctionnaire «était armé».
Un policier en civil portant toutefois son brassard professionnel s'est vu refuser l'accès à la boulangerie Maison Landemaine, située au 180 rue du Temple, près de la place de la République à Paris (3e) durant la manifestation des Gilets jaunes ce samedi, 2 février.
Cherchant à se justifier, un employé de l'établissement a alors insisté sur le fait que l'accès à la boulangerie n'était pas possible pour les personnes armées.
Dans cette vidéo mise en ligne, on peut voir l'altercation entre l'employé et le policier, qui tient à souligner qu'il n'a pas d'arme sur lui, avant de s'en aller visiblement agacé.
Suite à l'incident, la boulangerie a publié un communiqué sur Facebook. «La direction de Maison Landemaine tient à rappeler que nous sommes une enseigne de commerçants apolitique. (…) Pendant les manifestations, nos équipes ne transigent pas avec ces valeurs d'accueil et s'efforcent de préserver une atmosphère calme au sein de nos établissements en demandant aux policiers et aux manifestants de ranger leurs armes et d'ôter leurs cagoules.»
Le port d'une arme de service est toutefois prévu par la loi pour gendarmes et douaniers.
Une personne blessée par le tir d’un policier à Nantes
07:10 04.02.2019
Un incident impliquant un policier et quatre individus s’est produit dans la nuit de samedi à dimanche à Nantes, rapporte le procureur de la République. Lors d’une «altercation», le fonctionnaire a fait usage de son arme de service et a blessé une personne.
Un policier hors service a ouvert le feu dans la nuit de samedi à dimanche à Nantes lors d'une «altercation» avec quatre personnes, informe le procureur de la République, Pierre Sennès, cité par Actu 17. L'un des individus impliqués a été blessé par le tir. Il a été opéré mais ses jours ne sont pas en danger.
Le fonctionnaire a été également blessé et présente des traces de coups au niveau de la tête. «Le policier a fait usage de son arme de service dans des circonstances qui restent encore à déterminer» a précisé le magistrat.
Le policier ainsi que les quatre individus ont été placés en garde à vue pour, respectivement, «violences par personne dépositaire de l'autorité publique» et «violences sur personne dépositaire de l'autorité publique».
Une enquête a été confiée au service régional de la police judiciaire et une autre a été ouverte par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) afin de déterminer les circonstances exactes du tir du policier.
L'individu blessé par le policier a été condamné en juillet dernier avec son père, son oncle et son cousin, à quatre ans de prison pour une vingtaine de cambriolages.
Qui contrôle nos vies ? Des Gilets jaunes le découvrent
Nos vies sont largement contrôlées par de puissantes forces. La bonne nouvelle est que des Gilets jaunes nous ont montré la voie pour nous en libérer.
Par Charles Boyer. 4 FÉVRIER 2019
Où vont les Gilets jaunes ? La réponse n’est pas évidente et bien des signes ne sont guère encourageants. Un aspect du mouvement peut néanmoins prêter à l’optimisme.
Beaucoup de Gilets jaunes ont découvert, en particulier sur les ronds-points, que grâce aux nouvelles technologies comme les réseaux sociaux, les applications de messagerie, les vidéos tournées avec des smartphones, il est désormais beaucoup plus facile de s’organiser pour s’entraider, sans passer par l’État ni par d’autres institutions établies, syndicats ou partis politiques.
C’est là une découverte fondamentale.
Elle contraste par ailleurs largement avec l’organisation de nos vies aujourd’hui ; maternité, crèche, maternelle, école, collège, lycée, université, sécurité, protection contre le crime, transports en commun, Sécurité sociale, chômage, santé, vieillesse, nous avons presque entièrement livré nos existences, pour ainsi dire pieds et poings liés, au pouvoir, aux autorités, aux politiciens, aux grandes administrations incontrôlables ; en un mot, à l’État.
Bien des Gilets jaunes ont le sentiment diffus que des puissances occultes contrôlent leurs vies. De fait, elles le sont, par des forces puissantes et moins bienveillantes que nous aimerions le penser, mais pas si mystérieuses que cela. Non content de contrôler l’éducation que nous recevons, l’État en fait largement de même dans le domaine de l’information : chaînes publiques, médias aux mains de milliardaires vivant grassement de marchés publics (BTP, armement), aides à la presse. Tous ces canaux d’information insistent fort peu sur l’ingérence de l’État dans nos vies.
Les lobbies sont très influents, par exemple celui de la finance ou de l’industrie pharmaceutique. Beaucoup de gens sont convaincus qu’ils contrôlent l’État, raison pour laquelle le système est défaillant. La réalité est plus subtile : la seule force de ces lobbies est précisément que l’État s’immisce partout. Ils s’adressent à lui pour parvenir à leurs fins via des méthodes plus ou moins recommandables.
Cela s’applique d’ailleurs tout autant à des lobbies qui ne disent pas leur nom, telles les ONG écologistes, faisant campagne en faveur des politiques d’État consistant, par exemple, à saupoudrer tous nos paysages d’éoliennes, renchérissant par là même le prix de l’électricité.
Le problème majeur est bien que l’État nous contrôle trop, et permet aux lobbies d’obtenir des faveurs, au détriment des individus. Vous souhaitez vous libérer des lobbies ? Alors vous devez trouver le moyen de vous libérer du contrôle de l’État.
Pour en revenir aux Gilets jaunes et aux ronds-points, et à les observer, on s’aperçoit qu’ils ont entr’ouvert une porte menant à une issue pour sortir de cette regrettable situation.
UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE
Il est désormais plus facile que jamais de s’organiser sans passer par ceux qui aujourd’hui contrôlent nos vies, et l’organisation spontanée, initiale, des Gilets jaunes, l’a fort bien montré.
Ce constat peut s’étendre à d’autres domaines. Voici quelques exemples illustrant comment ce mode d’auto-organisation spontanée pourrait se mettre en place.
Éducation : nous gagnerions beaucoup à ce que nos enfants puissent être instruits sans recevoir en même temps une vision du monde dictée par l’État. Des initiatives en ce sens existent déjà : créer son école, SOS éducation, la Fondation pour l’école, l’école à la maison, et tant d’autres. Ce que les Gilets jaunes ont fait pour leurs manifestations peut être réalisé pour trouver spontanément la bonne organisation pour dispenser à nos enfants la meilleure éducation, loin de la carte scolaire et des établissements négligés.
Santé : les possibilités sont ici gigantesques. Exemple : la société Virta Health propose aux diabétiques une application et un soutien en ligne, incluant des médecins. Après une année, cette start-up a déjà obtenu 60 % d’inversions de diabète de type 2, c’est-à-dire qu’elle a permis à des malades de recouvrer la santé, et cesser leur traitement, ou de le réduire pour la plupart des 40 % de patients restants. Dans ce domaine comme dans tant d’autres, les nouvelles technologies nous offrent des possibilités énormes de mieux nous porter, sans passer par la voie traditionnelle.
Sécurité et protection contre le crime : nos voisins britanniques ont mis en place des organisations de type neighbourhood watch (surveillance du voisinage), en coordination, bien entendu, avec la police. Nous gagnerions à envisager d’en faire de même. L’organiser spontanément devient de moins en moins difficile. Il ne s’agit pas d’intervenir en personne, mais de prévenir les menaces dans son quartier et de faire le lien avec les autorités. Le préalable sera d’ailleurs de rétablir le lien de confiance avec les forces de l’ordre.
L’information : le journal Contrepoints, qui a pris sa place dans le paysage de l’information, a été créé à l’initiative d’une association, et refuse, et refusera toujours, toute aide de l’État. Il répond clairement à une demande du public et, au bout de quelques années, est devenu une organisation professionnelle, toujours associative, avec des journalistes ayant leur carte de presse. Cela démontre encore qu’on peut bien faire, sans subvention de l’État. Il est même préférable de s’en dispenser.
Le billet ici présent n’a pas pour vocation de donner des liens vers toutes les possibilités d’améliorer grandement sa vie sans rester sous le contrôle de l’État. Dans chacun des domaines de nos vies c’est envisageable, et de plus en plus chaque jour.
Les Gilets jaunes ont démontré que l’entraide, les rencontres, l’organisation sont possibles, sans passer nécessairement par l’étape de la manifestation. Pour y parvenir, il est d’ailleurs plus efficace de ne pas gaspiller de l’énergie en vain, s’adonner à la violence et au chaos. Bien au contraire. Mieux vaut préserver cette énergie et la consacrer à améliorer ses conditions de vie.
Grâce au mode initial de déclenchement du mouvement des Gilets jaunes, un petit pas est franchi qui apporte un nouvel éclairage sur le contrôle de nos vies par l’État et, bien plus important, sur les possibilités qui s’offrent à nous pour y échapper. Libre à chacun de nous, désormais, d’y réfléchir et d’imaginer des solutions qui rendront notre vie meilleure dans un environnement d’entraide.
Violences policières et Gilets jaunes: Sputnik France prolonge le débat en plein Acte 12
RépondreSupprimer15:42 02.02.2019
Fabien Buzzanca
Sputnik a organisé une rencontre sur les violences policières à Paris avec pour cadre l’Acte 12 des Gilets jaunes. Nous avons donné la parole à Jacob, étudiant et compagnon de Fiorina, manifestante éborgnée le 8 décembre. Pour lui donner la réplique, Eric Roman, membre du syndicat France Police - Policiers en colère. Place au débat.
353 signalements, 1 décès, 159 blessures à la tête, 18 éborgnés et 4 mains arrachées. Voici le triste bilan des manifestations des Gilets jaunes donné par le journaliste indépendant David Dufresne, le 28 janvier. Depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes le 17 novembre, de nombreux rassemblements ont été émaillés de violences. Des groupes de casseurs infiltrent les cortèges et s'en donnent parfois à cœur joie. En face, certains policiers usent de la plus grande fermeté dans le maintien de l'ordre et n'hésitent pas à jouer de la gâchette avec leurs lanceurs de balles de défense et autres grenades. Quitte à ce que des manifestants pacifiques soient pris entre deux feux… Ou pris pour cible, comme l'affirment certains ?
Alors que le Conseil d'État a refusé le 1er février de suspendre l'usage du LBD et que de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer les violences policières, les Gilets jaunes ont décidé de faire de l'Acte 12 celui des mutilés. Les «gueules cassées» des manifs prendront la tête du cortège parisien. C'est dans ce contexte que Sputnik France a décidé d'organiser, sur le terrain, un débat. D'un côté Jacob, étudiant en sciences politiques âgé de 20 ans et compagnon de Fiorina, cette manifestante éborgnée par un projectile le 8 décembre à Paris. Pour lui répondre, Eric Roman, membre du syndicat France Police — Policiers en colère. Que le débat commence.
https://fr.sputniknews.com/france/201902021039868163-debat-violences-policieres-gilets-jaunes-acte12/
FRANCE «GILETS JAUNES»: L'ACTE XII MARQUÉ PAR DES HEURTS
RépondreSupprimerLa mobilisation de samedi avait pour objectif de dénoncer la violence policière en France. Des échauffourées n'ont pas manqué.
02.02.2019
Quelque 17'400 personnes étaient mobilisées samedi à 14h00 dans toute la France dans le cadre de l'acte 12 des «gilets jaunes» dédié aux manifestants blessés par la police, selon le ministère de l'Intérieur. Des heurts ont éclaté à Paris.
Samedi dernier, les autorités avaient recensé 22'000 personnes mobilisées à la même heure sur l'ensemble du territoire. Des chiffres régulièrement contestés par les «gilets jaunes» qui accusent le gouvernement de minorer la mobilisation.
A Paris, des heurts opposaient manifestants et forces de l'ordre place de la République, lieu d'arrivée du cortège parisien, a constaté une journaliste de l'AFP.
La marche a réuni 13'800 personnes selon un comptage indépendant réalisé pour plusieurs médias dont l'AFP, et 10'500 selon la préfecture de police (PP). A Valence, une manifestation notamment a rassemblé 5400 personnes, selon la préfecture de la Drôme.
Manifestants masqués
A l'issue du défilé parisien qui s'était tenu dans le calme depuis la place Félix-Eboué (XIIe arrondissement), des échauffourées ont éclaté peu après l'arrivée de la tête du cortège place de la République.
Une centaine de manifestants masqués ou cagoulés ont jeté des projectiles sur les forces de l'ordre stationnées à proximité. Celles-ci ont riposté avec des gaz lacrymogènes, des charges et en utilisant un camion lanceur d'eau. Une dizaine de personnes ont été interpellées depuis le début de journée, selon un bilan de la PP à 15h15.
Polémique sur les LBD
Ce douzième samedi de mobilisation se tient en pleine polémique sur l'usage des lanceurs de balles de défense (LBD) par les forces de l'ordre, accusées d'avoir blessé, parfois grièvement, des manifestants depuis le début du mouvement mi-novembre.
Selon le collectif militant «Désarmons-les», 20 personnes ont été gravement blessées à l'oeil - la plupart éborgnées - depuis le 17 novembre. La police des polices (IGPN) a été saisie de 116 enquêtes selon une source policière, portant pour dix d'entre elles sur de graves blessures aux yeux.
Samedi dernier, les autorités avaient recensé 4000 manifestants à Paris et 69'000 sur l'ensemble de la France. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/gilets-jaunes-acte-xii-marque-heurts/story/26168181
SupprimerHeureusement ce mouvement décisionnel ne cessera JAMAIS ! Même s'il subit quelques contraintes climatiques dangereuses, au printemps et cet été ce sera tous les jours !
TOUS LES JOURS JUSQU'A L'OBTENTION DE LA DÉMOCRATIE EN FRANCE !
Greenpeace : une communication anxiogène pour exister ?
RépondreSupprimerLe militantisme, y compris celui de Greenpeace, est un poumon de la démocratie, mais il ne peut s’affranchir des règles.
Par Arnaud Daguin.
3 FÉVRIER 2019
Ce vendredi 25 janvier, Greenpeace a réalisé un nouveau coup d’éclat médiatique en introduisant deux drones au-dessus de l’usine Orano de La Hague. Une opération de communication qui vise une nouvelle fois à « dénoncer le risque de saturation et la vulnérabilité » d’un site de retraitement du combustible nucléaire qui s’est rendu indispensable pour de nombreux pays.
L’ONG n’en est pas à son coup d’essai contre des sites nucléaires français, mais au-delà d’une communication spectaculaire et anxiogène, le message de Greenpeace peine à convaincre.
Le toit d’une piscine d’entreposage de combustibles usés duquel s’échappe un fumigène rouge : telle est l’image pensée et réalisée par Greenpeace pour s’en prendre au nucléaire en France. Un drone équipé d’un fumigène se pose sur un toit tandis qu’un autre filme la scène et tous les membres de l’ONG crient comme un seul homme aux graves carences de sécurité qui entourent le site de La Hague. Ce cri d’alarme n’est guère concluant, mais il se répète régulièrement avec l’espoir que la quantité fasse oublier la qualité de la démonstration.
DES HAPPENINGS ANTI-NUCLÉAIRES
Une chose est sûre avec Greenpeace, c’est que l’ONG a de la suite dans les idées. Les actions médiatiques s’enchaînent avec toujours le même procédé, le même objectif et les mêmes conclusions tirées d’avance. Le 3 juillet dernier, un drone grimé en Superman était lancé contre un mur de la centrale nucléaire de Bugey. Le 28 novembre 2017, des militants de Greenpeace entraient par effraction sur le site de Cruas-Meysse répétant ainsi une action déjà menée à la centrale de Cattenom un mois plus tôt.
Des intrusions humaines et mécaniques sans aucune conséquence, repérées dès leur commencement et maîtrisées avec célérité par des services professionnels de sécurité qui savent anticiper et faire le distinguo entre une tentative d’acte terroriste et un happening militant.
Mais c’est justement sur la peur terroriste que souhaite jouer Greenpeace en brouillant les cartes et en développant un message apocalyptique. Si des militants peuvent s’introduire sur le site d’une centrale, si des drones peuvent atterrir ou se crasher sur un bâtiment renfermant des éléments irradiés, comment affirmer que la sécurité peut empêcher une attaque terroriste ?
La question est légitime et les autorités comme les centrales ont dû relever leur dispositif de sécurité qui a toutefois toujours pris en compte le risque terroriste. Les acteurs du nucléaire comme EDF et Orano sont soumis à des règles de sûreté et de sécurité très strictes qui font l’objet de contrôles de la part de plusieurs organismes qui ont démontré leur indépendance vis-à-vis de ces groupes.
L’Agence de sûreté nucléaire (ASN), L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), la Communauté européenne d’énergie atomique (EURATOM) et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ont toutes leur mot à dire quant à la sûreté mise en place sur les différents sites nucléaires français. Les matières radioactives sont soumises à de lourdes contraintes et protégées par un arsenal sécuritaire en perpétuel évolution et à la hauteur des enjeux.
Ainsi, l’usine Orano de La Hague est sécurisée et sous surveillance continuelle. 140 agents formés et armés veillent en permanence sur le site. Un site qui dispose par ailleurs d’un vaste réseau de caméras de surveillance, de 7 kilomètres de clôtures extérieurs et 3,5 kilomètres de clôtures intérieures. Les dispositifs anti-incendie correspondent à ceux d’une ville de 35 000 habitants et les survols sont interdits à moins de 2 000 mètres d’altitude dans un rayon de 3 kilomètres.
Les différents dispositifs montrent que la sécurité est une priorité absolue sous contrôle de l’État et en partie classifiée pour des raisons qui semblent évidentes. Pourtant, Greenpeace continue d’affirmer que les « installations vieillissantes » françaises ne sont pas sécurisées comme il se doit.
RépondreSupprimerLa preuve, un drone a réussi à se poser sur le toit d’une piscine d’entreposage sur le site de La Hague. Une intrusion bien réelle de Greenpeace destinée à alimenter la machine à fantasmes. Un avion gros porteur n’a aucun risque de s’écraser sur un site nucléaire car même sa descente en piqué laisserait le temps à des avions de chasse de l’intercepter. Et quand bien même un tel avion parviendrait à échapper à ce dispositif, la configuration des bâtiments forme comme une barrière de protection autour des piscines de la Hague.
Nicolas Hulot déclarait lui-même lors de son audition à l’Assemblée nationale du 12 avril 2018 :
« Je ne dispose pas à ce stade d’une estimation du prix d’une « bunkérisation » des piscines de refroidissement des combustibles nucléaires. Mes services estiment qu’une telle étude n’est pas utile, car nous sommes convaincus que la bunkérisation des piscines n’est pas une solution aux problématiques de sécurité (…). »
GREENPEACE SÈME-T-IL LA PEUR POUR RÉCOLTER LA FIN DU NUCLÉAIRE ?
Un tel argument est parfaitement connu de Greenpeace qui décide donc de mettre l’accent sur la menace que font peser des drones comme ceux utilisés le vendredi 25 janvier 2019. Dans son communiqué de presse aux accents apocalyptiques, l’organisation internationale s’étonne que le toit de la piscine soit « en simple tôle métallique » et donc « bien trop fragile pour empêcher un acte malveillant par les airs ».
L’argument pourrait tenir si justement ce toit métallique n’avait pas été pensé pour parer le choc de la chute d’un petit engin de type drone. D’ailleurs, l’important en termes de sûreté n’est pas le toit des piscines mais bien la base afin de pouvoir maintenir les combustibles sous eau.
Ce discours anxiogène est devenu au fil des ans la marque de fabrique des antinucléaires. Les premières attaques se sont concentrées sur la sûreté des installations, mais face à des dispositifs de plus en plus performants et qui ont démontré leur efficacité (doublement du système de refroidissement des piscines auquel s’ajoute une sauvegarde diesel si ces deux premières sûretés ne fonctionnent pas), le discours s’intensifie sur la partie sécurité. Le contexte international et national s’y prête, les dispositifs de sécurité sur le terrain beaucoup moins.
Pourtant certains documentaires télévisés, ou livres suivent cette tendance anxiogène. Ainsi, des titres évocateurs comme « Nucléaire : doit-on en avoir peur ? », « Sécurité nucléaire : le grand mensonge », « Nucléaire : une catastrophe française » fleurissent et viennent nourrir une réalité fantasmée par les ONG antinucléaires.
Ces dernières lancent régulièrement des pétitions, comme la dernière en date « L’Affaire du siècle », dans lesquelles le pire est promis sur un modèle expérimenté à Tchernobyl et Fukushima. Or, l’État français n’est pas en déliquescence comme l’Union soviétique en 1986, et les centrales françaises courent un très faible risque de tremblement de terre suivi d’un tsunami (un scénario auquel elles sont néanmoins prêtes).
Les approximations et contre-vérités permettent de nourrir les discours les plus alarmistes même si jusqu’à maintenant, les militants n’ont récolté que des condamnations en justice. En effet, s’introduire sur un site nucléaire est un délit qui a été sanctionné à plusieurs reprises par de la prison. Le militantisme est un poumon de la démocratie, mais il ne peut s’affranchir des règles.
RépondreSupprimerhttps://www.contrepoints.org/2019/02/03/336279-greenpeace-une-communication-anxiogene-pour-exister
SupprimerL'organisation terroriste d'État enfreint les règles de sécurité et nargue les forces de l'ordre qui n'ont rien fait pour les empêcher ! (les ordres sont les ordres !).
A savoir que même si un avion s'écrasait sur un réacteur nucléaire il ne pourrait le démolir !
Un avion est en ALUMINIUM et ne peut traverser un simple mur de béton armé, les murs d'une centrale constituent une place-forte inendommageable !
L'UNION DES ATTARDES MENTAUX DEFILE EN SUISSE !
RépondreSupprimerPLANÈTE LES SUISSES MANIFESTENT PAR MILLIERS POUR LE CLIMAT
Les habitants de plusieurs cantons ont exigé, dans les rues samedi, une meilleure réponse au réchauffement climatique.
Les manifestants veulent que le réchauffement climatique soit reconnu comme une crise et que le gouvernement agisse en conséquence.
02.02.2019
Le mouvement pour le climat prend de l'ampleur. Des adultes de tout âge se sont joints samedi aux jeunes pour manifester en masse en faveur du climat. Ils ont été des dizaines de milliers à se mobiliser dans une dizaine de villes à travers tout le pays.
Initiative de la jeunesse, la manifestation a attiré plus de 18'000 personnes en Suisse romande, dont 10'000 rien que dans la capitale vaudoise. Le cortège est parti peu après 15h00 de la gare de Lausanne pour rallier la place de la Riponne.
Les manifestants réclamaient notamment des mesures urgentes pour contrer le réchauffement climatique. "On est plus chauds, plus chauds que le climat", "Et un et deux et trois degrés, c'est un crime contre l'humanité", ou encore "Les petits pas ça suffit pas", ont notamment scandé les manifestants. Quant à la banderole de tête, elle arborait le slogan "Reconquérons notre futur".
Engagé en faveur du climat, le prix Nobel de chimie 2017 Jacques Dubochet a tenu un discours très applaudi sur la place de la Riponne. "C'est un événement historique pour l'humanité", a souligné le Vaudois âgé de 76 ans."L'avenir de notre civilisation est en jeu", a-t-il affirmé. "Nos autorités n'ont pas encore compris que tout est à changer."
Ruth Dreifuss incognito
Dans la ville de Calvin, ce sont 4000 personnes jeunes et moins jeunes qui se sont réunies. Les banderoles et les slogans évoquaient souvent une certaine angoisse du futur. "J'ai 4 ans, pensez à mon avenir sur la Terre" était écrit sur une chasuble blanche que portait un petit garçon. Sa mère, qui le tenait par la main, avertissait: "Nous n'avons pas de planète B, pensez-y !".
Des personnalités politiques étaient également présentes. L'ancienne présidente de la Confédération Ruth Dreifuss s'était ainsi glissée en toute discrétion dans le cortège genevois.
A Fribourg, ils étaient entre 1500 et 2000. L'un des objectifs consistait à montrer aux politiques que la grève du 18 janvier n'était pas un évènement unique ou "un prétexte pour sécher les cours", a expliqué Léo Tinguely, étudiant à l'Université de Fribourg et un des organisateurs des mobilisations. "Nous sommes toujours là."
La vieille ville de Bienne a elle accueilli un rassemblement plus modeste, constitué de 1000 à 1100 manifestants. Les Jurassiens sont aussi descendus dans la rue pour faire entendre leurs revendications. Ils étaient environ 500 à Delémont.
Même au Tessin
Outre Sarine, le mouvement a été tout aussi suivi. Des milliers de personnes se sont réunies à Zurich. Ecoliers, jeunes, mais aussi parents accompagnés de leurs enfants ou encore retraités ont aussi répondu présents à Bâle, où ils étaient 4000 à s'être rassemblés.
Les trams ont dû être interrompus dans le centre-ville vers 15h00 pendant une heure à cause du cortège. La circulation a également été perturbée dans plusieurs autres villes, comme à Genève où les automobilistes n'ont pas hésité à faire part de leur mécontentement en klaxonnant.
Dans les autres villes alémaniques, les mobilisations ont été de moindre importance. A Berne et Lucerne, environ 2000 personnes se sont réunies. Quelque 800 manifestants ont arpenté les rues de St-Gall et 500 celles de Soleure. Même le Tessin a été touché par cette nouvelle mobilisation pour la protection du climat. Un millier de personnes se sont rassemblées à Bellinzone.
RépondreSupprimerAu gouvernement d'agir
Les manifestants veulent que le réchauffement climatique soit reconnu comme une crise et que le gouvernement agisse en conséquence. Ils demandent notamment que la Suisse n'émette plus de gaz à effet de serre d'ici 2030, et cela sans introduire de mesures de compensation.
Les étudiants, écoliers et apprentis n'avaient cette fois-ci plus besoin de sécher leurs cours, l'action se déroulant le samedi. La précédente manifestation avait mobilisé le vendredi 18 janvier 22'000 personnes dans toute la Suisse. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/suisses-manifestent-milliers-climat/story/14860199
SupprimerAttroupement néo-nazional socialiste (réfugiés climatique ! Hahahaha !) pour clamer qu'il fait chaud quand la planète subi des records de froids ! -65°C au Canada et Russie ! Ces débiles incapables d'apprendre quoi que ce soit de scientifique beuglent même que le gaz carbonique (le plus lourd de tous les gaz et qui se trouve au ras du sol) est 'un gaz a effet de serre' ! Faut dire qu'avec un pourcentage de 0,04 % de l'atmosphère (1 particule tout les 50 mètres !) cela en fait un gaz rare dont notre planète est en manque !
Le gaz carbonique est transformé en oxygène par la végétation tandis que la plus grande partie l'est en nano-particules de carbone (charbon) par le phytoplancton présent sur les eaux (mers, océans, lacs, rivières, pluies, brouillards).
Paul Craig Roberts expose "le gouvernement sans loi"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi 02/02/2019 - 22:00
Écrit par Paul Craig Roberts,
Je me souviens du moment où un suspect était considéré comme innocent jusqu'à ce que sa culpabilité ait été établie dans le cadre d'un procès équitable. Aujourd'hui, les procureurs condamnent leurs victimes dans les médias afin de rendre impossible la composition d'un jury impartial et de contraindre ainsi une négociation de plaidoyer qui évite au procureur de prouver sa cause. Aux États-Unis, la loi n'est plus un bouclier du peuple. Le droit est une arme entre les mains des procureurs. (Voir Roberts & Stratton, La tyrannie des bonnes intentions.)
Autrefois, si un procureur organisait une arrestation à des fins publicitaires, comme Mueller le fit en mettant en place un mandataire de CNN et en envoyant une vingtaine d’hommes lourdement armés lors d’un raid avant l’aube, un consultant politique réputé aurait menti à Congrès "lorsque la procédure appropriée consiste pour Mueller à informer l'avocat de Stone de la présentation de son client aux fins de mise en accusation, le juge rejette l'affaire au motif que l'action contraire à l'éthique du procureur avait faussé le groupe des jurés et rendait impossible un procès équitable. Le juge aurait également pu classer l'affaire pour des motifs de poursuite sélective. Alors qu'il était directeur du renseignement national, James Clapper a menti au Congrès sous serment et n'a subi aucune conséquence. Hillary Clinton a clairement enfreint la loi et menti à ce sujet.
Aujourd’hui, les juges autorisent les procureurs à adopter un comportement contraire à l’éthique qui prive les accusés d’un procès équitable, car ils ne veulent pas plus que les procureurs la peine des procès. En conséquence, selon les statistiques officielles, 97 % des affaires pénales fédérales sont réglées par un accusé qui plaide coupable à une accusation négociée par son avocat et un procureur. Comme il s'agit d'une accusation négociée ou inventée, la plupart des détenus sont accusés d'avoir avoué des crimes qui ne se sont jamais produits.
Les procureurs, maintenant qu’ils ne sont plus liés par des contraintes d’intégrité juridique, fabriquent souvent un procès contre une personne afin de l’obliger à faire un faux témoignage à l’encontre de sa cible réelle. C’est l’affaire Mueller contre Cohen, Manafort et Roger Stone. Trump est la cible, pas Cohen, Manafort et Stone. En outre, les procureurs diligent l'enquête si longtemps qu'ils obligent la cible à utiliser son solde net pour combattre un acte d'accusation. Ensuite, lorsque l'acte d'accusation arrive, il ne reste plus d'argent pour les avocats, ce qui ajoute à la pression pour «coopérer». Si Trump était un combattant, il pardonnerait à Cohen, Manafort et Stone et les rembourserait à la justice (sic). Budget du ministère pour leurs frais juridiques, et faire arrêter Mueller pour sédition et complot en vue de renverser le président des États-Unis, dûment élu. Ce serait hypocrite puisque Trump lui-même envisage de renverser le président du Venezuela dûment élu.
Mueller n'est pas un agent de droit. Il est l'agent du complexe militaire / de sécurité et du Parti démocrate qui ont l'intention de supprimer Trump, car celui-ci s'est positionné entre eux et leurs agendas.
Le chef d'accusation absurde contre Trump est que, en liaison avec le président russe Vladimir Poutine, le piratage informatique et les accords détournés ont volé l'élection présidentielle à Hillary Clinton. C'est la fabrication connue sous le nom de «Russiagate». La création de cette fabrication implique beaucoup plus de crimes que ceux dont sont accusés Trump, Cohen, Manafort et Stone. "Russiagate" repose sur un faux "dossier" payé par les démocrates et peut-être le FBI qui avait été utilisé pour induire en erreur le tribunal de la FISA afin d'obtenir la permission d'espionner l'équipe de Trump. C'est un crime pour lequel les responsables ne sont pas accusés. L'espionnage n'a révélé aucune preuve réelle, pas plus que l '"enquête" de Muller. Les accusations contre Cohen, Manafort et Stone sont sans rapport avec l'élection et sont vraisemblablement fausses et utilisées comme menaces dans le but de susciter de faux témoignages contre Trump dans échange pour laisser tomber les charges.
RépondreSupprimerLa tactique de Mueller dans ses efforts pour incarner le président des États-Unis est plus odieuse que la tactique à laquelle la Gestapo s’est penchée. Pire encore, ce sont les tactiques couramment utilisées de nos jours par les avocats américains, et ce fléau s'est répandu dans les poursuites étatiques et locales. Le fait que les procureurs se comportent régulièrement de manière à pouvoir être révoqué montre l’effondrement du droit et de l’intégrité des procureurs aux États-Unis.
Les médias américains et britanniques sont aussi accommodants que les médias allemands avec le gouvernement nazi. Le Guardian, autrefois une voix honnête pour la classe ouvrière britannique, est maintenant une feuille de propagande pour le renseignement britannique, tout comme le New York Times, le Washington Post, CNN, MSNBC et NPR sont pour la CIA et le FBI. Les médias américains n'ont jamais été très bons, mais il y avait plus d'une explication jusqu'à ce que le régime de Clinton, au cours duquel 90% des médias étaient concentrés entre six mains de sociétés.
Depuis que Donald Trump a remporté la nomination à la présidence du parti républicain, les médias se sont alliés au complexe militaro-sécuritaire et au parti démocrate dans le but de créer une trentaine profonde. Comme je m'y attendais, Trump n'avait aucune idée de la manière de doter le gouvernement d'un gouvernement qui l'aurait soutenu contre l'Establishment. Il a été empêché sur tous les fronts de normaliser ses relations avec la Russie, d'établir un contrôle sur les frontières américaines et de se retirer de la Syrie. La dernière ligne en date du complexe militaire / de sécurité et des mandataires est que les États-Unis ne peuvent pas retirer leurs troupes occupant illégalement une partie de la Syrie, car l'Etat islamique ressuscite en Syrie et en Irak et reprendra la guerre si les troupes américaines sont retirées.
Ça n'a pas de sens. Comme le général Flynn, l'ancien directeur de la Defense Intelligence Agency, a déclaré à la télévision que le régime Obama avait délibérément décidé d'envoyer l'Etat islamique pour renverser Assad une fois que la Russie et le Parlement britannique auraient bloqué l'invasion américaine. C’est la Russie et la Syrie qui ont combattu et battu l’armée par procuration de Washington, connue sous le nom d’Isis. Washington bloque l'ordre de Trump de retirer les troupes américaines, car Israël souhaite que les États-Unis renouvellent l'attaque contre la Syrie et la portent en Iran. Israël et ses vassaux américains doivent penser que la Russie va se retirer et laisser la déstabilisation du monde islamique se poursuivre dans la Fédération de Russie.
Il était une fois les médias et la communauté de la politique étrangère auraient examiné publiquement ces questions. Maintenant, les médias lisent le script qui leur a été remis.
RépondreSupprimerPour ce qui est de Roger Stone, les médias ont pour instruction de le convaincre dans l’esprit du public en tant que facilitateur du vol de l’élection présidentielle par Trump / Poutine. Les faits réels n’ont pas d’importance et ils ne ressortiront jamais des médias ni de «l’enquête» de Mueller.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-02/paul-craig-roberts-exposes-lawless-government
La Chine va-t-elle dominer le monde ?
RépondreSupprimerLe monde selon Xi Jinping.
Par Charles Castet.
3 FÉVRIER 2019
« Et chaque sentinelle est responsable de tout l’empire » (Antoine de Saint-Exupéry, Un sens à la vie)
« Now I shall go far and far into the North playing the Great Game. » (Rudyard Kipling, Kim)
Le documentaire d’Arte « Le monde selon Xi Jinping » (mis à disposition gratuitement sur Youtube) est de très bonne facture et mérite un visionnage attentif. La méthode est sérieuse et le propos passionnant.
Néanmoins la problématique principale posée est discutable : la Chine va-t-elle dominer le monde ? Comment va-t-elle le dominer ? En admettant qu’un tel scénario se produise et en admettant que cela soit atteint en 2049 pour fêter le centenaire de l’arrivée de Mao Zedong au pouvoir, cela serait moins une nouveauté qu’un retour.
La Chine a dominé le monde en étant le pays le plus puissant au moins jusqu’au XVIIIe siècle avec cependant une très grosse différence par rapport à la domination européenne. La Chine était un monde en soi, bien balisé, parfois volontairement hermétisé par rapport à son environnement. Ce monde souvent clos, qui pratique l’ouverture seulement quand ses intérêts immédiats le postulent, est doté de quelques valeurs bien spécifiques à commencer par la centralité de la Chine1.
Et c’est l’un des points le plus intéressant du documentaire, le narrateur affirme « l’idéal pour Xi Jinping est un chef d’état, mais suffisamment pragmatique pour assurer le développement ». Or à ce moment de la narration, la caméra montrait Robert Mugabe (ex-président Zimbabwéen) et Jacob Zuma (ex-président Sud-Africain) tous deux évincés de leurs postes (par des manœuvres d’appareils et avec l’assentiment de leurs populations respectives, à défaut d’une participation active) pour ne pas avoir satisfait à ces deux critères.
LE RAPPORT AU COMMUNISME
Le documentaire commence par un très intéressant condensé de la vie du président Xi qui montre à quel point le président est pénétré de l’importance des symboles mythiques de la révolution (voir la scène du « salut camarades » lancé aux soldats), exprimant une forte conscience politique, commissaire de la Police armée populaire du comté de Zhengding dans le Hebei dès l’âge de 30 ans, ayant toujours cultivé ses liens avec l’armée. Voilà pour les symboles. Mais qu’en est-il du fond ?2
Si l’on met en perspective la Chine par rapport aux autres pays de l’ex-bloc communiste, cela permet également de comprendre le déroulement concret de la restauration du capitalisme : il s’agit effectivement d’une décision politique. En Russie la bourgeoisie russe d’aujourd’hui se recrute pour l’essentiel dans les rangs de l’ancienne nomenklatura (même si il existe une authentique classe d’entrepreneurs) ou des enfants de celle-ci.
D’autres décisions politiques auraient également pu être prises. Si le retour au capitalisme a été l’option retenue dans la grosse majorité des pays du l’ex-bloc socialiste (exception faite de Cuba et la Corée du Nord), la Chine a opté pour des réformes visant à renforcer le rôle du marché sans pour autant adopter purement et simplement un capitalisme à l’occidental, et certainement pas les structures politiques des pays de l’Ouest.
De fait, l’économie chinoise est d’un type particulier, et on se méprendrait en l’assimilant purement et simplement à un régime capitaliste où le parti communiste n’exercerait plus que des fonctions de dictature politique.
RépondreSupprimerLa propriété publique continue à y occuper une place centrale, et l’économie nationale y est encore pensée comme un tout, c’est-à-dire soumise à des plans quinquennaux s’inscrivant dans une stratégie continue de développement. La société chinoise développe ainsi ses propres rapports de classes, qui empruntent autant au capitalisme qu’aux pays de l’ex-bloc communiste, et permettent au pays de faire preuve, pour l’instant, d’un dynamique économique spectaculaire.
Il ne s’agit naturellement pas ici de faire l’éloge du régime chinois. Il s’agit simplement de souligner que la voie russe hors du socialisme n’était pas la seule possible.
Le président Xi est-il maoïste ? Si par maoïste, on entend au sens strict l’idéologie qui fut celle de Mao, probablement non. En revanche si on entend une croyance que « Un parti qui dirige un grand mouvement révolutionnaire, sans théorie révolutionnaire, sans connaissances de l’histoire, sans une compréhension profonde du mouvement dans sa réalité, ne saurait remporter la victoire » comme le disait lui-même Mao, alors probablement oui.
Pourtant ce genre de réflexion n’est pas spécifiquement marxiste. Chateaubriand dans son récit des révolutions de 1789 ou de 1830 écrivait que « toute révolution est faite avant d’éclater » et en concluait que toute structure politique est soumise à la condition de la foi. Un parti unique dont la seule source de légitimité serait le taux de croissance est à terme condamné. Le projet de Xi Jinping est une restauration, les éléments de cette restauration empruntent aussi bien certains aspects à Mao (plus sur la forme que le fond) qu’à la longue histoire chinoise. Le marché libre a sa place, qui n’est pas la première.
Que la Chine ne soit plus une société communiste est un fait acquis, il n’en reste pas moins que sa classe dominante la donne pour telle (y compris sous Deng Xiaoping) comme cela était montré dans « Le Monde selon Xi Jinping » mais aussi un autre documentaire publié sur Arte. Cela n’a pas besoin d’être vrai pour avoir des conséquences réelles, notamment au plan de la motivation. Une foi révolutionnaire réelle animait et anime toujours les travailleurs, foi à laquelle le système ajoutait de nombreux autres stimulants, comme l’explique Janos Kornai dans « Le système socialiste » : l’identification au travail, la recherche de prestige, la peur des sanctions, et, il faut le rappeler, des récompenses matérielles réelles et accrues depuis la transition à l’économie de marché.
Le livre d’Huntington, Le choc des civilisations, qui eut l’immense mérite de replacer les facteurs culturels et historiques au cœur de l’analyse stratégique, et déjà en 1993 anticipait le concept de modernisation sans occidentalisation peut apporter des clefs de compréhension.
Force est de constater que nombre de crises et de conflits contemporains ont lieu ou ont eu lieu sur les lignes de contact tracées dès 1993 par le politologue américain : ex-Yougoslavie, Caucase, Soudan, Inde-Pakistan, Chine-Japon, Japon-Corée… Les concepts du politiste commencent à percer après un quart de siècle, notamment celui de « la modernisation sans occidentalisation » dans la presse mainstream tel que le dernier article de The Economist sur les progrès scientifiques chinois.
Il permet de comprendre la logique des sommets « 16+1 » (un passé communiste commun entre Chine et pays d’Europe centrale et orientale) ou bien des sommets Chine-Afrique (réminiscence du sommet de Bandung en 1955, mouvements des non-alignés).
RépondreSupprimerDeux axes de cette politique de puissance sont identifiés dans le documentaire :
Neutralisation des institutions internationales financières perçues comme l’extension financière des modes d’organisations sociétaux des pays occidentaux. Appuyée par les puissants moyens des nouvelles institutions financières globales (Banque de Shanghai, également dite des BRICS et Banque des Investissements d’Infrastructures).
Neutralisation des bases américaines se trouvant dans la plupart des pays voisinant la Chine (Japon, Corée du Sud, Taiwan, Philippines). La manœuvre, baptisée « nouvelles routes de la soie », évoque les réminiscences commerciales et culturelles des anciennes relations entre la Chine, l’Asie Centrale, le Moyen Orient et l’Europe. Son but est de contourner les influences américaines et européennes en Asie.
« LE GRAND JEU »
Hanté par la phobie de l’encerclement et le puissant souvenir des traités inégaux, l’objectif de Deng Xiaoping était de revenir à la situation optimale de la Chine à la fin du XVIIIe siècle. Que les attitudes des différents dirigeants diffèrent après Mao (la modestie de Deng, l’affirmation de Xi) n’est pas tant une différence d’orientation mais plutôt d’attitude dictée par les circonstances du moment. La Chine de Deng devait gérer une transition énorme et avait besoin du soutien des pays asiatiques développés. Une fois l’autonomie acquise, la Chine passe de « Dissimuler ses intentions et ses forces » (Deng Xiaoping) à « La Chine ne cherche pas les ennuis, mais elle ne les craint pas » (Xi Jinping).
Face à cela, les pays d’Europe de l’Ouest (cela reste moins vrai des États-Unis grâce à la guerre froide) ne sont plus capables de formuler une conception affirmative du bien humain3. Cela n’exclut pas les vulnérabilités du système (pollution écologique, explosion du niveau de vie, personnalisation du pouvoir qui peut faire dérailler l’intelligence collective du PCC). Xi a compris que la prospérité économique n’est pas un facteur suffisant pour justifier une légitimité et le documentaire montre que le rôle de reconstruction de la pensée du parti échoit à Wang Huning.
Il est impossible à juger dans l’absolu si ce projet est « bon » ou « mauvais ». Il y aurait un paradoxe à s’affirmer libéral tout en maintenant que le bien humain est unique, à fixer statiquement une structure politique et sociale donnée alors que les sociétés se complexifient et que l’économie devient de plus en plus dynamique. Hayek affirmait que c’est la confrontation des modèles qui a permis de définir un socle commun de règles justes4. Le communisme s’est effondré et les populismes de gauche qui triomphaient en Amérique Latine sont tombés les uns après les autres (guerre civile et exode au Venezuela, trucage des chiffres en Argentine, corruption au Brésil, prison pour l’ancien président Ollanta Humala au Pérou). À la fin l’histoire juge toujours.
Donc malgré ses faiblesses passagères, comme celle qui l’a marquée profondément pendant le siècle de la honte, la Chine a tous les réflexes mentaux et la structure de puissance pour retomber sur ses pattes.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimer1 - Karen ARMSTRONG, The Great Transformation – The World in the Time of Buddha, Socrates, Confucius and Jeremiah, Atlantic Books, London, 2006. ?
2 - Xi Jinping au cœur du XIXe Congrès : une ambition nationaliste « aux caractéristiques chinoises », François Danjou, Dans Monde chinois 2017/2 (N° 50). ?
3 - Pierre Manent, Retrouver la raison, Commentaire 2018/4 (Numéro 164). ?
4 - Les Libertariens face au pluralisme des valeurs, Sébastien Caré. ?
https://www.contrepoints.org/2019/02/03/336145-la-chine-va-t-elle-dominer-le-monde
SupprimerLa Chine c'est d'abord 1 milliard 400 millions d'habitants (guère plus que l'Inde) et, face aux 300 millions d'Européens ou d'Américains...
Certains pays attardés (dictatures) ont refusé les robots, machine-outils, bref: le progrès ! sans se poser la question du pourquoi un robot travaille AU MÊME PRIX en Europe/USA qu'en Chine !! Hahahaha !
59 avocats disent leurs quatre vérités sur le traitement judiciaire des Gilets jaunes
RépondreSupprimer11:12 03.02.2019
59 avocats ont confié dans une tribune publiée sur franceinfo les difficultés auxquelles ils devaient faire face en exerçant correctement les droits de la défense dans les dossiers de nombreux Gilets jaunes.
Dans une tribune publiée le 2 février, sur franceinfo, 59 avocats mettent en garde contre «les dérives» qu'ils ont pu constater dans le traitement des dossiers des Gilets jaunes depuis le début du mouvement et pointent du doigt des «atteintes aux droits individuels et aux libertés publiques dans notre pays».
«Par la présente tribune, nous, avocats signataires, entendons alerter quant au danger que constituent ces procédures faites souvent dans l'urgence et visant principalement à gonfler, souvent de manière artificielle, des chiffres qui seront annoncés par le ministère de l'Intérieur», indiquent-ils en guise de préambule.
Ainsi, les avocats ont pu constater «la violation délibérée des droits de manifestants par des expulsions et délogements totalement illicites et en ayant recours à la force publique».
«Pire encore, tant dans le cadre des auditions libres que durant les gardes à vue, nombre de Gilets jaunes indiquent que des enquêteurs les ont dissuadés du recours à l'assistance d'un avocat en arguant que si l'avocat intervenait, ils seraient remis en liberté beaucoup plus tardivement», fustigent-ils.
Compte tenu de la rapidité du traitement de tels dossiers, les avocats y voient entre autres «le désir des pouvoirs exécutifs de donner une réponse forte».
D'autre part, poursuivent-ils, «les procédures relatives à de présumées violences policières ne font pas l'objet de la même célérité d'enquête ou de poursuites».
«Enfin, à l'instar de plusieurs parlementaires, nous sommes particulièrement inquiets quant au projet de loi actuellement en discussion dit "anti-casseur" qui nous semble contraire à nombre de principes fondamentaux», concluent-ils.
Afin de rendre hommage aux manifestants blessés, des Gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi 2 février pour leur acte 12 partout en France. À l'approche du douzième weekend de mobilisation, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner avait promis un dispositif de sécurité «puissant» avec près de 80.000 unités mobiles déployées sur l'ensemble du territoire.
https://fr.sputniknews.com/france/201902031039889042-avocats-plaident-gilets-jaunes-tribune-derives/
Un référendum pour répondre aux Gilets jaunes ? Les enveloppes seraient déjà préréservées
RépondreSupprimer11:07 03.02.2019
Un référendum pourrait se tenir en France le même jour que les élections européennes, le 26 mai, selon le Journal du dimanche. Bien que les sujets de ce référendum restent à établir, il pourrait s’agir d’une consultation suivant le grand débat national.
Le Président français envisagerait d'organiser un référendum le même jour que les élections européennes, le dimanche 26 mai, affirme le Journal du dimanche en se référant à des sources haut placées.
L'hebdomadaire prend pour preuve le fait que le bureau des élections au ministère de l'Intérieur s'est déjà adressé à des imprimeurs et papetiers afin de commander du «matériel électoral», c'est-à-dire des enveloppes et des bulletins.
Citant des proches du chef de l'État, le JDD indique que la décision sur l'organisation doit être prise «très vite, sous une semaine».
Auparavant, Emmanuel Macron avait évoqué la possibilité d'un référendum qui pourrait avoir lieu le jour des élections européennes. Il n'a toutefois pas précisé les questions sur lesquelles les Français seraient invités à se prononcer.
«Est-ce que les sujets du grand débat national sont des sujets de référendum ?», s'est-il demandé le 31 janvier sans donner de réponse.
Le chef de l'État a proposé un grand débat national consacré à quatre sujets — la fiscalité, l'organisation de l'État, la transition écologique et la citoyenneté — en réponse au mouvement des Gilets jaunes, qui agite la France depuis novembre 2018. Le grand débat a débuté le 15 janvier et doit se dérouler jusqu'au 15 mars.
https://fr.sputniknews.com/france/201902031039888885-referendum-gilets-jaunes-enveloppe-prereservees/
La déco de la salle des fêtes de l'Élysée après des travaux de 500.000 euros (photos)
RépondreSupprimer08:48 03.02.2019
Après six semaines de travaux engagés par la Première dame française et ayant coûté environ 500.000 euros, la salle des fêtes de l'Élysée a été dévoilée au public. De nombreux internautes ont déjà commenté cette nouvelle déco en la qualifiant de «fade».
La salle des fêtes de l'Élysée rénovée a été finalement dévoilée au public vendredi 1er février à l'occasion d'un grand débat avec des élus d'Outre-mer. D'après les photos qui montrent la nouvelle décoration, cette salle où se déroulent de nombreux évènements, dont l'investiture de chaque Président de la République, est devenue moins pompière.
Elle a notamment délaissé sa moquette rouge, ses rideaux à pompons et ses tapisseries des Gobelins.
Comme l'explique l'architecte Isabelle Stanislas, le chantier avait pour but de remettre de la lumière dans cet espace ainsi que de remplacer les textiles usés.
Les travaux engagés par Brigitte Macron ont duré six semaines et ont été achevés le 17 janvier. Le coût de cette rénovation s'élève à 500.000 euros. D'après le site de la présidence française, la restauration a été financée par le budget d'investissement de la Présidence, dont les bénéfices de la boutique de l'Élysée lancée en septembre dernier.
De nombreux internautes ne semblent toutefois pas apprécier la nouvelle déco qu'ils qualifient de «fade».
Certains plaisantent en estimant que le chantier ne serait toujours pas achevé.
https://fr.sputniknews.com/france/201902031039887842-deco-salle-des-fetes-elysee-renovation-photo/
Des portables impossibles à pirater mis en vente en Russie
RépondreSupprimer09:58 03.02.2019
Est-il possible de protéger la confidentialité de vos communications au téléphone ? Désormais oui. Des téléphones impossibles à pirater et à mettre sur écoute sont déjà en vente en Russie. Leur prix s’élève à près de 1.130 euros.
Il est désormais possible d'acheter en Russie des portables équipés de cryptoprotection: cela signifie qu'ils ne peuvent pas être ni mis sur écoute, ni être piratés, comme l'a déclaré à Sputnik le service de presse de la corporation d'État Rostec qui a élaboré ce modèle.
«Nous ne pouvons pas parler des détails techniques, car les informations sont confidentielles. Grâce aux solutions techniques appliquées et au savoir-faire des développeurs du groupe Avtomatika, l'appareil ne peut être ni piraté ni mis sur écoute», a déclaré le service de presse de Rostec.
Le prix pour de ce mobile intitulé Croise-K s'élève à environ 1.130 euros.
Toutefois, pour l'instant, tous les désireux n'ont pas encore la possibilité de l'acheter.
«Il peut être commandé par une personne morale, puis réalisé. En détail, s'il s'agit d'une vente à un particulier, il est impossible de l'acheter», a ajouté le service de presse de Rostec.
Les représentants de la société ont également expliqué que l'appareil est équipé d'un système d'exploitation de conception propre — très fortement limité pour des raisons de sécurité.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201902031039888492-portable-piratage-vente-rostec-cryptoprotection/
Troubles en France: pas de fin en vue
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dimanche, 02/03/2019 - 07:00
Écrit par Guy Millière via le Gatestone Institute,
Le troisième groupe est extrêmement important: c'est le reste de la population. Les classes supérieures les traitent comme un poids mort regrettable et n'attendent d'eux que le silence et la soumission. Ses membres ont souvent du mal à joindre les deux bouts. Ils paient des impôts mais constatent qu’une part croissante est utilisée pour subventionner ceux-là mêmes qui les ont chassés de leurs maisons en banlieue.
Pour le moment, Macron ne semble pas vouloir reconnaître que ces personnes existent même.
Lorsque Macron a abaissé les taxes des plus riches, mais augmenté celles de ces "périphériques" au moyen d'une taxe sur les carburants, cela a été perçu comme la dernière goutte - en plus de sa condescendance arrogante.
"Aujourd'hui, la plupart de ceux qui protestent n'attaquent pas la police. Mais au lieu d'agir pour mettre fin à la violence, la police reçoit des ordres les poussant à être très violents. Je ne blâme pas la police. Je blâme ceux qui leur donnent des ordres". - Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, une ville de la banlieue est de Paris où les émeutes de 2005 ont été extrêmement destructrices,
Samedi 26 janvier 2019. Des manifestations "Gilets jaunes" étaient organisées dans les principales villes de France. La mobilisation ne faiblissait pas. Le soutien de la population avait légèrement diminué mais restait considérable (60% à 70%, selon les sondages). Le slogan principal est resté le même depuis le 17 novembre 2018: "Macron doit démissionner". En décembre, un autre slogan a été ajouté: "Référendum sur l'initiative citoyenne".
Le gouvernement et le président français Emmanuel Macron ont tout mis en œuvre pour écraser le mouvement. Ils ont tenté des insultes et de la diffamation et ont affirmé que les manifestants étaient à la fois des "personnes séditieuses" qui souhaitaient renverser les institutions et des "chemises brunes" fascistes. Le 31 décembre, Macron les qualifiait de "foules haineuses". La présence de certains antisémites a conduit un porte-parole du gouvernement (à tort) à décrire le mouvement dans son ensemble comme "antisémite".
Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a ordonné à la police de recourir à un degré de violence jamais observé depuis l'époque de la guerre d'Algérie (1954-1962). En France, au cours des deux dernières décennies, d'autres émeutes ont eu lieu à plusieurs reprises. En 2005, par exemple, lorsque tout le pays a été condamné à des incendies criminels et à des émeutes pendant plusieurs semaines, le nombre d'émeutiers blessés est resté faible. Mais la violence a des conséquences. Au cours des dernières semaines, 1 700 manifestants ont été blessés, parfois gravement. Dix-neuf ont perdu un œil; quatre ont perdu une main. Bien que les policiers français n'utilisent pas d'armes meurtrières, ils utilisent des lance-balles en caoutchouc et tirent souvent sur le visage des manifestants - une cible interdite par les règles d'engagement en vigueur. Les Français sont également la seule force de police en Europe à utiliser des grenades Sting-Ball.
Macron n'a jamais traité les manifestants comme des personnes ayant des revendications légitimes, il n'a donc jamais prêté attention à leurs revendications. Il n'a accepté que de suspendre la taxe supplémentaire sur les carburants, qui devait commencer en janvier, et d'accorder une légère augmentation du salaire minimum, ce qu'il n'a fait qu'après des semaines de manifestations.
Les journalistes disent que Macron pensait que le mouvement disparaîtrait après la fin de l'année, que la violence et le désespoir de la police inciteraient les manifestants à se résigner à leur sort et que le soutien de la population en général s'effondrerait. Rien de tel n'a eu lieu.
RépondreSupprimerIl est clair que Macron ne veut pas répondre aux principales demandes des manifestants et qu'il ne démissionnera pas et qu'il refusera d'accepter un référendum d'initiative citoyenne. Il a apparemment décidé que s’il dissolvait l’Assemblée nationale et appelait à des élections législatives pour mettre fin à la crise - comme l’avait fait le président Charles de Gaulle pour mettre fin au soulèvement de mai 1968, comme le permettait la Constitution française - subir une défaite cinglante. Il peut constater qu'une majorité écrasante de Français le rejette. Il est donc apparemment déterminé à chercher une issue:
Macron a appelé à un "grand débat national" pour résoudre les problèmes auxquels le pays est confronté. Cependant, il est vite apparu que le "grand débat" serait pour le moins non conventionnel.
Macron a écrit à tous les citoyens français pour les inviter à "participer", mais en expliquant explicitement que le "débat" ne changerait rien, que le gouvernement continuerait dans la même direction ("Je n'ai pas oublié que j'étais élu projet, sur les grandes orientations auxquelles je reste fidèle. "), et que tout ce que le gouvernement a fait depuis juin 2017 resterait inchangé ("Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises ").
Il a ensuite confié l'organisation du "débat" et la rédaction de ses conclusions à deux membres du gouvernement, et demandé que des "registres de griefs" soient mis à la disposition du public dans toutes les mairies.
Macron a ensuite lancé le "débat" en rencontrant les maires de nombreuses villes, mais pas en public. Il semble s'être inquiété du fait que s'il organisait des réunions ouvertes au public, il serait immédiatement chassé par la foule.
Les deux premières réunions ont eu lieu dans de petites villes (2000 à 3000 habitants) et avec des maires que les organisateurs - choisis par Macron - ont autorisé à venir. Les organisateurs ont également sélectionné les questions à poser, puis les ont envoyées à Macron pour obtenir une réponse à la réunion.
La veille de chaque réunion, la ville sélectionnée était placée sous l'administration de légions de policiers. Toutes les voies d'accès à la ville étaient fermées et quiconque portait un gilet jaune ou un dans sa voiture était passible d'une amende. Toutes les manifestations dans la ville étaient catégoriquement interdites. La police a veillé à ce que la route empruntée par le convoi de Macron pour atteindre la ville soit vide de toute présence humaine pendant plusieurs heures avant l'arrivée du convoi.
Les chaînes d'informations télévisées ont été invitées à retransmettre l'intégralité des réunions, qui ont duré six à sept heures. Seuls quelques journalistes, également sélectionnés par Macron, ont eu la permission d'y assister.
Plusieurs commentateurs ont souligné que prétendre "débattre" était un non-sens, et que confier l'organisation du "débat" et la rédaction de ses conclusions aux membres du gouvernement, ainsi que l'organisation des réunions, montraient clairement que ces performances étaient un simulacre.
Certains commentateurs ont souligné que le terme "registre des griefs" n'était plus utilisé depuis l'époque de la monarchie absolue, que les maires étaient traités comme de la cire et que placer les villes visitées par Macron était indigne d'une démocratie.
RépondreSupprimerUn économiste français, Nicolas Lecaussin, qui a grandi en Roumanie, a écrit que ces réunions lui rappelaient celles de la Roumanie pendant le communisme.
L'auteur Éric Zemmour a déclaré que Macron essayait désespérément de sauver sa présidence mais que cette tentative serait vaine:
"Macron a perdu toute légitimité. Sa présidence est morte ... Pendant trois mois, le pays s'est arrêté économiquement; et Emmanuel Macron, pour tenter de sauver sa présidence, inflige au pays deux mois de stagnation économique supplémentaire et deux autres mois de manifestations Quand la population comprend qu'elle a été trompée, la colère peut augmenter ... La France est déjà un pays très mal en point. "
L’économie française est en fait sclérosée. L'Indice de liberté économique créé par la Heritage Foundation et le Wall Street Journal le classe au 71ème rang mondial (35ème sur les 44 pays de la région Europe) et note que "les dépenses publiques représentent plus de la moitié de la production nationale totale". L’indice révèle également que "le budget est chroniquement déficitaire"; que "la corruption reste un problème et que "le marché du travail est chargé de réglementations strictes", ce qui entraîne un taux de chômage élevé.
La France a perdu presque toutes ses usines (les emplois industriels ne représentent que 9,6% de l'emploi total). Son agriculture est en ruine malgré les énormes subventions européennes: 30% des agriculteurs français gagnent moins de 350 euros par mois et des dizaines se suicident chaque année. Dans le secteur de la haute technologie, la France est essentiellement absente.
Une fuite des cerveaux a commencé et ne montre aucun signe d’arrêt.
En parallèle, chaque année, 200 000 immigrants d'Afrique ou du monde arabe, souvent sans qualification, arrivent. La plupart sont musulmans et ont contribué à l'islamisation de la France.
Quand un animateur de talk-show a récemment demandé à Zemmour pourquoi Macron ne plaçait pas l'intérêt du pays plus haut en tenant compte de la réalité sur le terrain, l'auteur a répondu:
"Macron est un technocrate. Il pense avoir toujours raison. Il a été programmé pour faire ce qu'il fait. Pour lui, la France et les Français ne comptent pas. Il est au service de la technocratie. Il fera exactement ce que souhaite la technocratie et une classe supérieure, [qui] sont totalement déconnectés de la masse de la population du pays ... Ceux qui veulent comprendre doivent lire Christophe Guilluy. "
Guilluy, géographe, a publié deux ouvrages: La France périphérique en 2014 et, quelques semaines avant le début du soulèvement, No society. La fin de la classe moyenne occidentale ("Aucune société. La fin de la classe moyenne occidentale"). Il y explique que la population française est aujourd'hui divisée en trois groupes.
Le premier groupe est une classe dirigeante, totalement intégrée à la mondialisation, composée de technocrates, de politiciens, de hauts fonctionnaires, de dirigeants travaillant pour des sociétés multinationales et de journalistes travaillant pour les grands médias. Les membres de cette classe vivent à Paris et dans les principales villes de France.
RépondreSupprimerLe deuxième groupe vit dans les banlieues des grandes villes et dans des zones interdites ("Zones Urbaines Sensibles"). Il est composé principalement d’immigrants. La classe supérieure française, qui gouverne, recrute des personnes pour la servir directement ou indirectement. Ils sont mal payés, mais fortement subventionnés par le gouvernement et vivent de plus en plus conformément à leurs propres cultures et normes.
Le troisième groupe est extrêmement important: c'est le reste de la population. C'est ce groupe qu'on appelle "la France périphérique". Ses membres sont composés de fonctionnaires subalternes, de cols bleus et d'anciens cols bleus, d'employés en général, d'artisans, de petits entrepreneurs, de commerçants, d'agriculteurs et de chômeurs.
Pour la classe dirigeante, ils sont inutiles. La classe dirigeante au pouvoir les traite comme un poids mort regrettable et n'attend d'eux que le silence et la soumission.
Des membres de la "France périphérique" ont été chassés de la banlieue par l’afflux d’immigrés et l’émergence de zones interdites. La plupart de ces "périphériques" habitent à 30 kilomètres ou plus des grandes villes. Ils peuvent voir que la classe supérieure les rejette. Ils ont souvent du mal à joindre les deux bouts. Ils paient des impôts mais constatent qu’une part croissante est utilisée pour subventionner ceux-là mêmes qui les ont chassés de leurs maisons en banlieue. Lorsque Macron a abaissé les taxes des plus riches, mais augmenté celles des "périphériques" avec une taxe sur les carburants, cela a été perçu comme la dernière goutte - en plus de sa condescendance arrogante.
Dans une récente interview dans le magazine britannique Spiked, Guilluy a déclaré que le mouvement des "gilets jaunes" est un réveil désespéré de la "France périphérique". Il a prédit que, malgré les efforts de Macron pour déplacer le problème, le réveil durerait et que ce soit Macron "reconnaîtra l'existence de ces personnes ou il devra opter pour un totalitarisme neutre".
Pour le moment, Macron ne semble pas vouloir reconnaître que ces personnes existent même.
Selon François Martin, journaliste pour le mensuel Causeur, Macron s'est placé dans une impasse:
"Il doit prendre des décisions et il ne peut plus prendre de décision sans aggraver la situation ... Macron devrait accepter de démissionner mais ne le fera pas. Il préférerait aller jusqu'au bout et se heurter à un mur ... Les trois prochaines années seront un enfer pour les gilets jaunes et pour les Français ".
À la fin des manifestations à Paris le 26 janvier, des milliers de "gilets jaunes" avaient prévu de se rassembler pacifiquement sur l'une des places principales de la ville, la place de la République, pour un "débat" et apporter des réponses au débat. "débat" organisé par Macron. La police a reçu l'ordre de les disperser brutalement; Ils ont encore une fois utilisé des lance-balles en caoutchouc et des grenades Sting-Ball.
Jérôme Rodrigues, l'un des leaders du mouvement des "gilets jaunes", a été touché au visage alors qu'il filmait des policiers sur une place voisine, la place de la Bastille. Il a perdu un œil et a été hospitalisé pendant plusieurs jours. D'autres manifestants ont été blessés.
Au printemps 2016, les gauchistes avaient organisé des débats aux mêmes endroits et avaient été autorisés à y rester pendant trois mois sans intervention de la police.
RépondreSupprimerDans un article décrivant les événements du 26 janvier, le chroniqueur Ivan Rioufol écrivait dans Le Figaro: "La répression semble être le seul argument de la caste au pouvoir, confrontée à une manifestation de grande envergure qui ne faiblira pas".
Pourquoi les événements d’aujourd’hui sont-ils particulièrement laids, selon Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, une ville de la banlieue est de Paris où les émeutes de 2005 ont été particulièrement destructrices, est la suivante:
"En 2005, la police était clairement la cible des émeutiers et elle a fait preuve de retenue dans l'utilisation de la force pour faire baisser la violence. Aujourd'hui, la plupart de ceux qui protestent n'attaquent pas la police. Mais au lieu d'agir pour faire baisser la violence , la police reçoit des ordres les poussant à être très violents. Je ne blâme pas la police, je blâme ceux qui leur donnent des ordres ".
Le lendemain, dimanche 27 janvier, une manifestation était organisée par les partisans de Macron, qui s'appelaient eux-mêmes "les foulards rouges". La manifestation devait montrer qu'un nombre impressionnant de personnes était toujours du côté de Macron. Les organisateurs ont dit que dix mille personnes sont venues. Des vidéos montrent toutefois que le nombre semble avoir été beaucoup plus bas.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-02/unrest-france-no-end-sight
SupprimerLes français sont en guerre contre la dictature et demandent la Démocratie (Référendum d'initiative citoyenne), mais l'opposition qui gouverne ne veut surtout pas du modèle Suisse (seule Démocratie au monde !) !
Un salarié d'Amazon licencié pour avoir soutenu les Gilets jaunes, le troisième en France
RépondreSupprimer12:56 03.02.2019
Un autre salarié d’Amazon, au moins le troisième à l’échelle de la France, a été licencié pour faute grave après avoir soutenu une action de blocage de son lieu de travail par des Gilets jaunes.
Un salarié d'Amazon dans la Drôme a été licencié pour des propos «d'une singulière gravité» tenus le 22 novembre sur Facebook, relate France Bleu. Cet employé de la plate-forme logistique d'Amazon à Montélimar y remerciait les personnes ayant participé au blocage du site, dont il se disait «content».
«Franchement vous gérez, les gens, ne lâchez rien, un seul mot d'ordre, vendredi va être un "Black Out Friday", ne lâchez rien je me joins à vous quand je ne travaille pas… Bloquez tout», a publié le salarié sur internet.
«Votre comportement est en opposition totale aux valeurs de l'entreprise et vos propos (…) constituent un manquement grave à votre obligation de loyauté», lui reproche son employeur en s'appuyant sur l'article L1222-1 du Code du Travail, relatif à la «bonne foi» du salarié.
Lors de l'entretien préalable à la sanction, le salarié a fait valoir qu'il voulait «remercier le mouvement des Gilets jaunes sans demander explicitement de bloquer (son) entreprise» et que ses propos sur le «Black Out Friday» ne visaient pas Amazon en particulier mais «toutes les entreprises de Montélimar».
Le groupe y a vu au contraire une «envie manifeste de le dénigrer et de lui porter préjudice». Le salarié va contester cette décision devant les prud'hommes, selon la CGT, qui a appelé à la grève le 5 février.
Le groupe a de son côté assuré que «comme dans n'importe quelle entreprise, les collaborateurs d'Amazon sont libres de participer ou d'exprimer leur soutien à un mouvement, quel qu'il soit, dans le respect des obligations qui lient tout salarié à son employeur», ajoutant qu'Amazon «encourage la diversité des points de vue».
Dans le Nord, deux salariés du groupe ont déjà été licenciés en janvier en marge du mouvement des Gilets jaunes.
https://fr.sputniknews.com/france/201902031039889738-salarie-amazon-licencie-gilets-jaunes/
Avignon Centre - Acte XII Gilets Jaunes - Présence Massives des CRS & Gendarmes
RépondreSupprimerAudiovisuel Créativ'Arts
sam., 02 fév. 2019 10:42 UTC
- voir clip sur site -
gilets jaunes, acte 12, Avignon
- voir clip sur site -
Gilets jaunes, acte 12, Avignon
https://fr.sott.net/article/33419-Avignon-Centre-Acte-XII-Gilets-Jaunes-Presence-Massives-des-CRS-Gendarmes
Un homme paralysé par un Taser prend subitement feu (vidéo choc)
RépondreSupprimer13:43 03.02.2019
Dans le sud de Philadelphie, un homme a pris feu après avoir été «blessé» à la jambe par un pistolet paralysant. Une vidéo tournée lors de l’incident n’a pas tardé à trouver son public sur les réseaux sociaux.
Un homme a pris feu après avoir été «paralysé» à l'aide d'un pistolet à électrochoc près d'un restaurant de Philadelphie, relate la chaîne ABC.
Pat Tackney, témoin oculaire de l'incident, a précisé que les faits s'étaient déroulés à l'extérieur du restaurant Jim's Steaks, entre les 4th street et South street.
Dans cette vidéo mise en ligne, on peut voir deux agents de sécurité du restaurant utiliser un pistolet paralysant contre l'homme avant que sa jambe ne prenne feu.
Toujours est-il que la police de Philadelphie a assuré n'avoir reçu aucun appel ni de la part de témoins oculaires, ni de la part du restaurant.
https://fr.sputniknews.com/insolite/201902031039890234-taser-homme-feu-usa/
Comme les États-Unis gèlent, les Européens ne peuvent pas se permettre de chauffer leur maison
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 02/03/2019 - 07:35
Alors que le Midwest américain souffre de températures inférieures à l'Arctique, l'hiver resserre son emprise glacée sur l'Europe, où un nombre considérable de personnes luttent pour garder leurs maisons au chaud.
Niall McCarthy, de Statista, indique que, selon les nouvelles données publiées par Eurostat, 8% de la population de l'UE ne pourrait pas se permettre de chauffer adéquatement son logement en 2017. Cela représente toujours une amélioration par rapport aux dernières années, en particulier en 2012, avec un pic de 11%.
- voir tableau sur site -
Infographie: Les Européens n'ont pas les moyens de chauffer leur maison | Statista
Parmi les États membres, le plus grand nombre de personnes n'ayant pas les moyens de chauffer correctement leur maison était enregistré en Bulgarie (36,5%). Viennent ensuite la Lituanie (28,9%) et la Grèce (25,7%). Les chiffres les plus bas ont été enregistrés au Luxembourg (1,9%), en Finlande (2,0%) et en Suède (2,1%).
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-02/us-freezes-where-europeans-cant-afford-heat-their-homes
Le Superbowl et la demande d'ailes de poulet
RépondreSupprimer2 Février 2019
par Seppi
Jason Lusk*
Avec le Superbowl qui aura lieu ce dimanche [3 février 2019], j'ai pensé que cela vaudrait la peine de vérifier rapidement si cet événement annuel avait beaucoup d’effet sur le marché pour un aliment auquel il est désormais associé : les ailes de poulet.
Je me suis tourné vers les données de l'USDA compilées par le Centre d'Information sur la Commercialisation du Bétail, qui rapporte les prix hebdomadaires des ailes entières depuis 1992. Voici la tendance des prix en termes nominaux. Il y a eu une forte tendance à la hausse des prix des ailes de poulet au cours de cette période, dont une partie est bien sûr due à l'inflation. Cependant, même après ajustement pour tenir compte de l'inflation, les ailes valaient environ 0,90 USD/livre au début des années 90 (0,50 USD/livre en valeur nominale) et les prix se situaient en moyenne autour de 1,50 USD/livre en 2018 ; au cours de la dernière partie de 2018, les prix étaient supérieurs à 2,00 USD/livre.
- voir graphique sur site -
Sur le graphique ci-dessus, il est difficile de savoir quand le Superbowl a eu lieu. En examinant l'historique de l'événement au cours de cette période, on observe que le Superbowl a eu lieu à la fin du mois de janvier ou au début du mois de février chaque année depuis 1992. Fort de cette connaissance, j'ai ajouté des lignes orange au graphique pour indiquer les périodes entourant le Superbowl.
- voir graphique sur site -
Il semble bien qu’il y ait une flambée des prix chaque année au moment du Superbowl, puis une baisse des prix tout de suite après. En fait, si je regarde la dernière décennie, les prix ont augmenté d’environ 7 % entre le début janvier et la période du Superbowl (fin janvier à début février), puis ont chuté d’environ 5 % entre le milieu et la fin février.
Les pics de prix indiquent une augmentation de la demande au cours de cette période. Cela concorde également avec les données que nous avons collectées dans l’enquête mensuelle sur la demande alimentaire, où nous avons souvent constaté un pic de la volonté des consommateurs de payer pendant la manifestation.
Dommage que je n’ai pas de données sur les serviettes et les tablettes contre les aigreurs d'estomac…
P.S. On peut se demander pourquoi ce phénomène de prix est différent de celui des dindes. Comme je l'ai dit en novembre, les prix de la dinde ont tendance à baisser autour de Thanksgiving lorsque la demande atteint un sommet, peut-être en raison du comportement stratégique des distributeurs ou des producteurs en matière de tarification, en prévision de l'augmentation à venir de l'offre. Une différence essentielle entre les dindes et les ailes est que l’un est un tout, et l’autre, une partie. S'il n'y a pas d'augmentation globale de la demande de poulet autour du Superbowl, les ailes seront relativement rares. Un éleveur de dindes a peut-être intérêt à produire des oiseaux entiers en prévision des fêtes, mais il n’est pas possible pour un éleveur de produire uniquement des ailes en prévision du Superbowl.
* Jayson Lusk est un économiste de l'agriculture et de l'alimentation. Il est actuellement professeur distingué et chef du Département de l'Économie Agricole de l'Université de Purdue.
RépondreSupprimerSource : http://jaysonlusk.com/blog/2019/1/29/the-superbowl-and-chicken-wing-demand
http://seppi.over-blog.com/2019/02/le-superbowl-et-la-demande-d-ailes-de-poulet.html
Le changement climatique propage le sida !
RépondreSupprimerFebruary 3rd, 2019
Hier, beaucoup de gens sont morts et ont provoqué le changement climatique. Aujourd'hui, le changement climatique cause davantage de sida et tue des personnes.
Tout cela montre que le changement climatique est l'expression la plus inutile de la langue anglaise.
Il peut être utilisé de manière ambiguë et contradictoire pour signifier tout et par conséquent rien.
C’est inutile pour quiconque veut transmettre des informations, mais plutôt pratique pour ceux qui veulent plutôt véhiculer du brouillard. Quelqu'un veut-il s'en prendre au bon mais confus ?
Comment le changement climatique mine la guerre contre le VIH en Afrique
La pauvreté généralisée et l'aggravation des sécheresses, inondations et autres risques climatiques rendent l'Afrique particulièrement vulnérable aux effets du changement climatique
Le changement climatique est toujours 50 nuances de mal:
Yaoundé - Les adolescentes qui grandissent au Lesotho dans des régions frappées par une grave sécheresse et d'autres chocs climatiques risquent davantage d'abandonner leurs études, de commencer à avoir des relations sexuelles plus tôt et de contracter le VIH, selon des chercheurs.
Même le GIEC ne prétend pas vraiment dans son cœur scientifique que nous pouvons prédire ou attribuer les causes de la sécheresse et des inondations, mais ici, il est lié au «changement climatique», comme si tout le monde savait que les sécheresses s'aggravent ) et sont causés par des centrales au charbon.
Dans une étude sur le lien entre le changement climatique et l'infection à VIH depuis la généralisation du traitement antirétroviral (ARV) en Afrique subsaharienne, les chercheurs ont découvert qu'une grave sécheresse menait de nouvelles infections à VIH.
Et tout le monde pensait que les sécheresses préviendraient le sida.
Dans les zones urbaines du Lesotho, les chercheurs ont observé que la sécheresse était liée à une multiplication par cinq du nombre de filles vendant du sexe et à une multiplication par trois du nombre de celles qui étaient forcées d'avoir des relations sexuelles.
Au Lesotho, plus de la moitié de la population vit avec moins de 1,90 dollar par jour, selon la Banque mondiale, et 55% cultivent leur propre nourriture, ce qui les rend particulièrement vulnérables à la sécheresse.
Ainsi, les pauvres souffriront davantage du mauvais temps que les riches. Nous avions besoin d'une étude pour cela ?
Dilemme de l'ONU: Devons-nous essayer de réduire le sida en changeant la météo ou en aidant les pauvres à s'enrichir.
Les mains en l'air qui veut arrêter le sida avec des panneaux solaires ?
http://joannenova.com.au/2019/02/climate-change-spreads-aids/
États-Unis : la vague de froid extrême a fait au moins 21 morts
RépondreSupprimerCNEWS
sam., 02 fév. 2019 14:31 UTC
Les températures ressenties sont descendues jusqu'à -53°C.
La vague de froid extrême qui a frappé le nord des Etats-Unis cette semaine a fait au moins 21 morts.
La masse d'air froid venue de l'Arctique a provoqué des records de basses températures dans toute la région du Midwest et des Grands lacs. En températures ressenties, il a ainsi fait -53°C dans le Minnesota, -51 dans le Wisconsin ou encore -48 dans l'Illinois.
Des conditions climatiques extrêmes aux lourdes conséquences. Les hôpitaux ont dû traiter de nombreux patients pour des engelures, dont certains risquent l'amputation. Il s'agissait en grande majorité de SDF.
D'autres habitants de la région ont succombé à ces températures extrêmes. Selon les informations de la presse locale, plusieurs victimes ont été retrouvées mortes de froid, après des chutes dont elles n'ont pas pu se relever. Les accidents de la circulation ont également provoqué de nombreux décès.
Le bilan, établi à 21 morts, est encore provisoire.
Alerte aux inondations
Et alors que les températures ont commencé à remonter ce vendredi 1er février, les autorités ont émis une alerte aux inondations en raison de la fonte rapide de la neige et de la glace.
https://fr.sott.net/article/33414-Etats-Unis-la-vague-de-froid-extreme-a-fait-au-moins-21-morts
Totalitarisme: L'achat d'un marteau fait de vous un terroriste au Royaume-Uni
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dimanche, 02/03/2019 - 10:30
Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Si vous avez besoin d’un marteau pour quelque raison que ce soit, l’unité de police du Royaume-Uni chargée de la lutte contre le terrorisme vous considérera comme un terroriste potentiel. Ils demandent également à quiconque voit quelque chose de suspect, comme acheter un marteau, de le signaler aux autorités de contrôle.
L'achat d'un marteau est suspect et constitue potentiellement un indicateur d'activité criminelle, selon le Tweet ci-dessous publié par le bureau de la police antiterroriste britannique.
C’est difficile à voir sur la photo Twitter, mais le gars qui regarde le marteau a aussi quelques couteaux dans son panier. C’est apparemment supposé être un indice du contexte qu’il est peut-être une très mauvaise personne, voire un terroriste. Le Royaume-Uni mène une campagne à la limite du comique pour tenter de convaincre les jeunes de ne pas porter de couteaux. Selon Reason, il existe en fait une explication très logique et probable à la nécessité de disposer de couteaux et d’un marteau. L’homme est peut-être un chef qui travaille dans son restaurant, mais le but de cette campagne publicitaire est qu’ils ne souhaitent pas que vous pensiez aux explications les plus probables. Ils veulent que vous soyez suspicieux et que vous viviez votre vie dans la peur des activités quotidiennes des autres. Complet avec la devise effrayante "La vie n'a pas de bouton de rembobinage". Reason a ensuite souligné que la publicité vidéo entière est en réalité beaucoup plus sinistre; pas du tout inquiétant, mais c’est un peu horrifiant ce que la police britannique de lutte contre le terrorisme exige d’un comportement «suspect», comme de sortir les poubelles.
Des tweets similaires et l'annonce vidéo ci-dessus ont suscité de bonnes et décentes moqueries (et à juste titre) sur Twitter:
Ils [la police antiterroriste] essaient de dissiper l’idée que les gens vont finir par dénoncer une activité innocente en déclarant: «Signaler une activité suspecte ne gâchera pas des vies, mais cela les sauvera peut-être». conséquences d'une enquête en tant que terroriste potentiel ? L’application de la loi au Royaume-Uni poursuit et poursuit les personnes pour le contenu de leurs tweets, dans l’intérêt du ciel. Ces enquêtes pourraient très probablement mettre la vie de leurs sujets en danger. Cette annonce n’est pas seulement moqueuse, c’est horrible. Pour l'amour de Dieu, ne passez pas par la vie en se méfiant des événements quotidiens courants. Et soyez très prudent avec un organisme chargé de l'application de la loi qui vous dit de traiter les personnes qui enregistrent le comportement de l'application de la loi comme des menaces potentielles. -Raison
Le pire est que certaines personnes ont constamment peur de ce que les autres font. Ils accordent beaucoup plus d'attention aux activités quotidiennes des autres qu'à eux-mêmes. Si quelqu'un en signale réellement un autre, cela ne représente guère plus qu'un esclave harcelant son compagnon au «punisseur». La bonne nouvelle est que si la classe dirigeante et leurs responsables embauchés sont aussi terrifiés par la vie quotidienne du public, il ne faudra vraiment pas grand-chose à tout l’empire pour s’effondrer sous son propre poids.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-01/totalitarianism-buying-hammer-now-makes-you-terrorist-uk
L’apparition de la vie sur Terre : l’autre hypothèse
RépondreSupprimerle 3 février 2019
L’hypothèse évoquée dans un précédent billet appelée « panspermie » par les spécialistes exclut cependant qu’une forme de vie ait pu provenir d’une étoile éloignée du système solaire compte tenu des distances considérables séparant les étoiles les unes des autres dans cette région de la Galaxie où se trouve le Soleil. L’étoile Proxima Centauri se trouve à près de 42000 milliards de kilomètres du Soleil. La recherche très active de planètes dites « habitables » dans notre « région galactique » n’existe donc que pour satisfaire la curiosité des scientifiques et il est hautement improbable que l’humanité puisse établir, un jour, un contact avec d’autres créatures intelligentes extra-terrestres, ce qui ne signifie pas que la vie n’existe que sur la Terre.
L’autre hypothèse relative à l’apparition de la vie sur la Terre fait état d’un phénomène cataclysmique ayant eu lieu sur la Terre il y a 4,47 milliards d’années soit à peine plus de 60 millions d’années après que l’accrétion de divers débris ait eu pour résultat une boule de taille déjà confortable qui serait entrée en collision avec un objet de la taille de la Lune riche en fer et ayant créé par son impact la rotation de la Terre sur elle-même. Au sein de cette hypothèse il fallait qu’il existe déjà de l’eau sur la Terre car elle repose sur le fait que l’espèce de pluie de particules solides riches en fer qui dura peut-être des milliers d’années dissocia une partie de l’eau présente sur Terre pour former des dépôts bruns riches en oxydes de fer présents sur la presque totalité de la croute terrestre encore aujourd’hui. L’atmosphère devint alors réductrice au sens chimique du terme en raison de la présence d’hydrogène générée par la dissociation de l’eau par la pluie de particules de fer à haute température.
Selon ce scénario les conditions favorables à l’apparition de la vie auraient été réunies. De simples molécules organiques auraient conduit progressivement à des molécules plus complexes :
- voir graphique sur site -
L’idée que l’ARN fut la première structure chimique ayant favorisé la complexification de la chimie prébiotique provient de la découverte récente de propriétés catalytiques de certains petits ARNs. Dans la cellule vivante « moderne » l’ADN, les ARNs et les protéines jouent un rôle vital. L’ADN est le support de l’information, les ARNs transmettent cette information à la cellule et les protéines constituent la force de travail cellulaire. La production de chacun de ces trois éléments nécessite la participation des deux autres. Il paraît peu probable que ces trois éléments essentiels à la vie aient pu apparaître simultanément et il semble plausible que les candidats les plus anciens dans ce processus d’apparition de la vie soient les ARNs car ils peuvent à la fois stocker des informations et catalyser des réactions chimiques comme cela a d’ailleurs été découvert récemment dans les cellules modernes. À l’aide d’oxydes métalliques tels que le bore le formaldéhyde et le glycolaldéhyde se condensent pour former du ribose et les bases puriques et pyrimidiques se forment dans des conditions favorables comme les bords des sources d’eau chaude en présence de sels de nickel à partir de « prébiotiques » simples. On ne connaîtra jamais en détail la séquence d’apparition de ces diverses molécules organiques complexes : les protéines d’abord et les ARNs ensuite ou l’inverse.
Des observations récentes indiquent que les zones favorables à la formation de « soupe primordiale » étaient soumises à des cycles de pluies et de sécheresse et que l’activité volcanique probablement beaucoup plus intense qu’aujourd’hui répandait des quantités considérables d’oxydes de soufre qui combiné au formaldéhyde qui se forme spontanément à partir d’eau et de méthane sous rayonnement UV aurait conduit à des accumulations d’hydroxymethanesulfonate et dans des conditions hygrométriques favorables ce composé aurait alors permis l’apparition de glycolaldéhyde et aussi de glycéraldéhyde. Et pour les groupements phosphate ils étaient probablement aussi présents dans une Terre suffisamment refroidie pour que de l’eau liquide soit présente. Ce dernier point a été confirmé en analysant des inclusions de zircon dans les roches les plus anciennes de la planète situées dans les Jackson’s Hills en Australie (illustration).
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Tous les éléments étant réunis pour que des petits ARNs apparaissent, bien entendu dans des conditions favorables, le processus s’est alors accéléré. Le comportement des micro brins d’ARN a été étudié ces dernières années et presque magiquement ces brins de quelques bases arrivent à fusionner spontanément pour former des brins plus longs. L’un des spécialistes de ce genre d’étude, le Docteur Niles Lehman de la Portland State University, a déclaré : « si vous me donnez un brin d’ARN de 8 bases je vous donnerai la vie ! » En effet la présence d’amino-acides formés spontanément en présence de décharges électriques, par exemple au cours d’un orage, peut alors conduire grâce aux propriétés catalytiques de ces brins d’ARNs à des enchainements d’amino-acides et donc la formation de peptides.
- voir photo sur site -
La confirmation des propriétés catalytiques des ARNs a été indirectement confirmée en étudiant la présence d’un ARN particulier au sein de la structure extrêmement complexe des ribosomes, ces énormes machines à synthétiser des protéines. Cet ARN est remarquablement conservé depuis l’apparition des archéobactéries comme celles retrouvées dans les stromatolites (première illustration), les premières formes de vie terrestre. L’hypothèse de l’impact sur la Terre par un objet céleste de la taille de la Lune a aussi été confirmée par les géologues qui se sont toujours demandé pourquoi la présence de platine était anormalement élevée dans la croute terrestre alors que ce métal aurait normalement plongé dans les profondeurs du magma liquide de la Terre au tout début de sa formation en raison de sa densité. Cette anomalie peut parfaitement s’expliquer en prenant en considération un tel impact. La « finalisation » de la Terre est donc intimement liée à l’apparition de la vie : il y a 4,53 milliards d’année, date de naissance de la Terre, il y a 4,51 milliards d’années, date de naissance de la Lune et il y a 4,47 milliards d’années, date de l’impact qui provoqua ensuite l’apparition de la vie en favorisant un environnement atmosphérique réducteur (au sens chimique du terme) et enfin apparition des premières formes de vie à peine plus de 500 millions d’années plus tard.
Source et illustrations, doi : 10.1126/science.aaw6068
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/02/03/lapparition-de-la-vie-sur-terre-lautre-hypothese/#comments
SupprimerIl n'y a pas que des soleils dans l'espace ! Il y a aussi du froid glacial ! Et, qui dit froid dit eau (que rencontra l'étoile Terre avant d'être refroidie).
Rappelons que la vie sur Terre ne vient nullement des dirigeants ou des crs !
«Arrêtez vos mensonges un peu»: le Net réagit aux propos de BHL sur les Gilets jaunes
RépondreSupprimer17:26 03.02.2019
L'acte 12 des Gilets jaunes a été qualifié d'«indécence» par Bernard-Henri Lévy, qui considère que les manifestants n'avaient pas le droit de se présenter comme victimes des violences policières après avoir «profané la tombe du soldat inconnu en décembre». L'argument a été trouvé malséant par des internautes qui ont violemment critiqué l'écrivain.
Le dernier acte en date des Gilets jaunes, qui s'est déroulé ce samedi en hommage aux victimes des violences policières, a été critiqué par Bernard-Henri Lévy qui a accusé les manifestants d' «indécence» et de«nihilisme». Il estime que les Gilets jaunes ne sont pas à plaindre après ce qu'ils ont fait, selon lui, sur la tombe du soldat inconnu le 1er décembre 2018.
Les propos de BHL ont été qualifiés par de nombreux internautes de «désinformation» et de «mensonges». Ils lui ont rappelé, qu'en dépit de ce qu'il affirme, des Gilets jaunes avaient protégé le monument le jour en question. Comme preuve, des utilisateurs ont donné des liens vers des pages des sites de BFM TV et de CNEWS sur lesquelles on voit clairement des Gilets jaunes entourer la Flamme du Souvenir pour la protéger des casseurs.
D'autres utilisateurs des réseaux sociaux n'ont trouvé rien d'étonnant dans les propos de BHL, jugeant que c'était dans son habitude de mentir.
https://fr.sputniknews.com/france/201902031039892345-net-beranrd-henri-levy/
C'est un excisé. C'est tout dire.
SupprimerUn mois de prison avec sursis pour avoir foncé sur des Gilets jaunes à Beaucaire
RépondreSupprimer15:47 03.02.2019
Après avoir foncé sur des Gilets jaunes à Beaucaire, un conducteur initialement jugé pour violence avec usage ou menace d’une arme, a obtenu une requalification des faits en blessures involontaires. Résultat: un mois de prison avec sursis assorti de deux ans de mise à l’épreuve.
L'homme qui avait foncé dans la foule lors du premier jour du mouvement des Gilets jaunes, à Beaucaire, dans le Gard, a été condamné à un mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Nîmes, assorti de deux ans de mise à l'épreuve, annonce Midi Libre.
Bien que le prévenu soit initialement jugé pour violence avec usage ou menace d'une arme (sa voiture) suivie d'incapacité n'excédant pas huit jours lors de manifestation sur la voie publique, à l'audience, le conducteur a expliqué que son geste était involontaire, son «pied [ayant] glissé sur la pédale d'embrayage» alors qu'il avait les semelles mouillées.
Le procureur adjoint a obtenu une requalification des faits en blessures involontaires, rappelant «le délit d'entrave à la circulation» formé par les Gilets jaunes.
Les faits se sont produits le 17 novembre, au premier jour du mouvement social, sur le pont qui enjambe le Rhône pour relier Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône. Deux personnes avaient été blessées: une femme de 37 ans et un homme de 44 ans.
Auparavant, le tribunal correctionnel de Marseille avait prononcé des peines de deux à quatre mois de prison ferme pour trois Gilets jaunes interpellés lors de l'acte 11 de la mobilisation. L'un d'entre eux a été emprisonné pour avoir, en guise de projectile, jeté un pot de rillettes sur les forces de l'ordre alors que deux autres portaient des pierres.
https://fr.sputniknews.com/france/201902031039891642-beaucaire-gilets-jaunes-conducteur-prison-sursis/
RépondreSupprimerQu’est-ce qui explique le nouveau scandale sanitaire dans un abattoir d’un pays de l’UE ?
16:42 03.02.2019
Tourné par une chaîne polonaise, un film montrant des vaches malades et incapables même de tenir debout a déclenché un scandale en Europe où a été exportée la viande de ces bêtes qui avaient été traînées par terre avant d’être abattues sans contrôle vétérinaire à Kalinowo, en Pologne. Un spécialiste polonais a commenté la situation pour Sputnik.
Selon Pawel Niemczuk, chef de l'Inspection vétérinaire polonaise, la viande provenant de l'abattage illégal de vaches malades ou même mortes a été écoulée dans 13 pays et distribuée dans une vingtaine de points de vente en Pologne, qui est un grand exportateur de viande en Europe.
Les autorités polonaises ont réussi à identifier 9,5 tonnes de bœuf provenant de l'abattoir de Kalinowo qui est fermé depuis la diffusion d'un reportage montrant des vaches malades qui y avaient été abattues sans contrôle vétérinaire. 2,5 tonnes de ce lot de viande ont été exportées vers l'Allemagne, l'Espagne, l'Estonie, la Finlande, la France, la Hongrie, la Lituanie, le Portugal, la Roumanie, la Slovaquie et la Suède.
La Commission européenne annonce la saisie et la destruction de cette viande avariée et envoie des inspecteurs en Pologne pour enquêter sur la question.
Il est difficile de découvrir des points faibles dans le système de contrôle vétérinaire en Pologne, a reconnu dans un entretien accordé à Sputnik Wiktor Choinski, président du conseil d'administration de l'association «Viande polonaise».
«Quoi qu'il en soit, il va sans dire que dans ce cas précis, il s'agit d'une violation notoire de la loi», a estimé l'interlocuteur de l'agence.
Et de souligner que la situation résultait d'un abattage illégal.
«Selon les dernières informations fournies par le médecin vétérinaire en chef polonais Pawel Niemczuk, le bœuf provenant de l'abattoir de Kalinowo a été retiré du marché et minutieusement étudié. Ce médecin affirme que ce ne serait pas de la viande de vaches malades, mais plutôt de bovins traumatisés qui ne présenterait pas de risque pour la santé des consommateurs», a poursuivi M.Choinski.
Ce dernier souligne toutefois que la procédure de contrôle sur la technologie n'a pas été respectée. On aurait en effet dû tuer les bêtes sur place au lieu de les transporter à l'abattoir.
«Tout indique que l'explication en est le désir d'augmenter la rentabilité de l'abattoir. Malheureusement, cela arrive parfois à de petites entreprises. Dans de grandes entreprises, de tels incidents sont impossibles, cela ne leur rapportant rien. Et maintenant, tout le secteur de la viande et son image qui s'est forgée pendant de longues années en pâtissent. Malheureusement, il peut se trouver une brebis galeuse dans n'importe quelle branche», a résumé avec regret l'interlocuteur de Sputnik.
https://fr.sputniknews.com/international/201902031039892282-ue-scandale-abattoir-pologne-viande-veterinaire-controle/
Bodycam s'empare du militant Antifa tué dans la tête par des flics après avoir sorti un pistolet
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 02/03/2019 - 12:05
Un officier de police qui a tiré sur le chef d'un groupe militant Antifa était "légalement justifié" lors d'une fusillade perpétrée le 11 janvier dans une école intermédiaire d'Eugene, en Oregon.
Charles Landeros, 30 ans, a été tué à la tête par l'officier Steve Timm à la Cascade Middle School, où la fille de Landeros est étudiante. On peut voir Landeros en train de prendre une arme lors d'une dispute avec Timm et un autre officier, Aaron Johns, à la suite d'une dispute liée à la garde.
Landeros s’est rendu à l’école ce jour-là à la suite d’un conflit avec la mère de sa fille. Il avait inscrit la fille à l’école plus tôt cette semaine-là sans le dire à son ancienne épouse, mais les responsables de l’école ont appris plus tard que sa mère était seule habilitée à décider de l’école fréquentée.
À un moment donné, on a demandé à Landeros de quitter l’école parce qu’il avait cessé de répondre aux questions des officiers. Il a été prévenu qu'il serait arrêté s'il ne partait pas, a déclaré l'avocat général.
Les images de la caméra du corps de la police montrent que Landeros a refusé de quitter l'école car il pensait que seul le principal avait le pouvoir de le faire sortir du campus. Il voit ensuite sa fille entrer dans le couloir et lui crie à plusieurs reprises de «partir». -Oregon Live
Selon l’avocate Patty Perlow, Timm et Johns auraient tenté d’arrêter Landeros, soupçonné de conduite désordonnée et d’intrusion, le poussant devant l’entrée. Landeros recula et tira une arme de poing alors que Johns et lui commençaient à se débattre. On peut voir Landeros braquer son arme sur Timm et tirer deux fois sans que l'officier ne le voie. Timm a riposté une fois et a frappé Landeros à la tête, juste devant sa fille.
"On ne sait pas pourquoi Charles Landeros a choisi de recourir à la force meurtrière dans cette situation, mais il n'avait clairement aucun égard pour la vie des policiers, des étudiants ou du personnel présents, y compris son enfant", a déclaré Perlow dans un communiqué.
"L'officier Timm a sauvé la vie de l'officier Johns, de lui-même et peut-être de nombreux autres, compte tenu du nombre de cartouches chargées par Charles Landeros dans son arme. Rien ne permet de penser que le recours à la force meurtrière soit justifié."
Selon Ammoland, Landeros a fondé le groupe Antifa "de la communauté pour l'autodéfense armée" et portait une chemise "briser le patriarcat et refroidir" lors de l'incident.
Regardez:
- voir clip sur site -
Le pistolet de 9 mm que Landeros a tiré a été acheté légalement en décembre par sa belle-soeur, selon Perlow, et il était titulaire d'une licence d'arme de poing dissimulée. Il avait une balle dans la chambre, 18 balles dans le chargeur et un autre chargeur chargé à la ceinture. Dans sa voiture, la police a trouvé un autre chargeur. Landeros portait également un sac à dos muni de balles pour une arme à feu de calibre différent.
La famille de Landeros a demandé une enquête indépendante sur son meurtre, soulignant qu'il était un ancien combattant honorablement démis de ses fonctions et le père de ses filles de 10 et 12 ans.
RépondreSupprimerÀ la mi-janvier, une manifestation animée a éclaté à la suite de l'incident au cours duquel des manifestants opposant la police ont affronté des opposants soutenant la police.
Un parent de la Cascade Middle School à la manifestation a défendu les officiers.
"Ils disent que les policiers désarment, ils disent que c'est un meurtre. Ce n'est pas un meurtre. [Landeros] a apporté une arme à feu à l'école de mon enfant", a déclaré Karen Neurotch. "Ils n'ont pas reçu d'appels parce que leurs enfants ne vont pas ici. J'ai reçu un appel disant que mon enfant était terrifié parce qu'ils avaient entendu des coups de feu."
La page Facebook de Community Armed Self Defence a déclaré qu’elle ne pouvait pas compter sur la police pour protéger les personnes marginalisées et que les armes à feu aidaient les groupes marginalisés à se protéger, a rapporté le Daily Emerald.
«La police n'est pas là pour nous protéger. Ils sont plus susceptibles de nous nuire que de nous «servir ou nous protéger» », écrit le groupe sur la description de leur page Facebook.
Le Centre de défense des libertés civiles, un autre groupe d'activistes auquel appartenait Landeros, a publié un article à propos de la fusillade sur sa page Facebook. Selon le poste, Landeros a laissé deux filles âgées de 12 et 10 ans, une partenaire et de nombreux membres de la famille et amis. Le groupe a également annoncé qu'il collecterait des fonds pour enquêter sur le meurtre par leurs propres moyens. -KGW
Les agents Timm et Johns travaillent au service de police d’Eugene depuis 14 et 17 ans respectivement.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-03/watch-militant-antifa-shot-head-police-after-pulling-gun
L'hiver fait des ravages sur les véhicules électriques
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dimanche, 02/03/2019 - 21:00
Si les propriétaires de véhicules électriques apprennent quelque chose, c’est que les températures extrêmement froides risquent d’être frustrantes s’ils ne prennent pas particulièrement soin de leurs véhicules alimentés par batterie. Considérez cela comme un avantage supplémentaire pour "sauver le monde".
Alors que nous essayons de surmonter le froid que les constructeurs automobiles utilisent comme excuse pour leurs mauvaises ventes cet hiver, les clients de certaines entreprises - notamment Tesla - commencent à comprendre que les choses sont un peu différentes avec les véhicules électriques en hiver. Les propriétaires mécontents de modèles 3 ont été largement diffusés sur les médias sociaux et les forums en ligne, évoquant de nombreux problèmes qu’ils rencontraient avec le froid dans leurs véhicules. Des personnes se sont plaintes de l'épuisement de l'autonomie de la batterie et du gel des poignées de porte du modèle 3.
Un nouveau rapport publié par Fortune met en évidence plusieurs propriétaires de Tesla soulignant leurs problèmes: "Ma plus grande préoccupation est le froid qui a épuisé ma batterie de 20 à 25 milles en une nuit et cinq à dix milles supplémentaires pour me rendre au travail. J'ai payé 60 000 $ pour ne pas épuiser mes ressources. la batterie si rapidement ", a déclaré Ronak Patel, propriétaire du modèle 3 du New Jersey.
Le groupe pro-EV chez InsideEVs a déclaré franchement en décembre: "Le temps froid exige une batterie longue portée" avant d'encourager les gens à dépenser plus d'argent: "... si vous résidez dans une région plus froide et pouvez vous permettre de vous ressourcer le modèle 3 à longue portée, puis en hiver, vous serez ravi d'avoir fait ce choix. "
Salim Morsy, analyste chez Bloomberg, a déclaré: "C'est Panasonic qui fabrique les batteries Tesla. Ce n'est pas quelque chose de spécifique à Tesla. Cela arrive à Chevy avec le Bolt et à Nissan avec la Leaf."
En outre, la conception de la porte utilisée par Tesla pour le modèle 3 dans le cadre de son appel à être "différent" continue de revenir et de mordre les propriétaires en hiver. Comme nous l'avions déjà noté lors d'une vague de froid au Québec à la fin de l'année dernière, les propriétaires avaient de la difficulté à sortir leurs poignées de leurs encastrés pour pouvoir ouvrir les portes de leur voiture. Cela a laissé certains propriétaires se plaindre et d'autres écrire à Tesla (ou même Elon Musk sur Twitter) à la recherche d'une solution.
Le blogueur de Pro-Tesla, Frédéric Lambert, était lui-même incapable de monter dans son véhicule en novembre quand il a documenté ses propres problèmes dans cette vidéo hilarante dans laquelle il ne pouvait pas monter dans sa propre voiture:
- voir sur site -
"Jésus Christ!" Lambert s’exclama environ 53 secondes après le début de la vidéo, les mains tremblantes du froid, après avoir enfin fait ressortir la poignée de sa porte.
"Ce qui est spécifique à Tesla", a poursuivi Morsy, "est la qualité de fabrication."
Andrea Falcone de Boston, qui avait acheté une Model 3 il y a environ deux mois, a déclaré sur Twitter: "Je ne peux pas attendre toute la journée pour cette voiture idiote."
RépondreSupprimerComme pour tout, Elon Musk a tweeté qu'il y aurait une mise à jour logicielle en direct qui traiterait de la résistance des voitures par temps froid. Étant donné que la société ne peut pas réajuster physiquement les poignées de porte en l'air, nous nous attendons à ce que le correctif finisse par mettre la pression sur une batterie déjà épuisée. Et rappelez-vous, en novembre, nous avions déjà signalé que Tesla allait "régler" ces problèmes avec une mise à jour logicielle vague.
En ce qui concerne ce "correctif", il semble que la seule chose qui a été abordée était la fenêtre ne descendant pas toujours après la porte ouverte. Comme il n'y a pas de cadre de porte sur les portes du modèle 3, la fenêtre qui se déroule est quasi nécessaire pour aider à ouvrir la porte lorsque la poignée est sortie.
Dans les notes de publication de son nouveau logiciel d'amélioration à la fin de 2018, Tesla a très peu dit:
«Les comportements de verrouillage de la position de la fenêtre et du connecteur de charge ont été optimisés par temps froid.»
Comme nous l'avons déclaré en novembre, nous attendons toujours la mise à jour logicielle d'Elon Musk, qui arrêtera complètement le froid.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-03/winter-wreaking-havoc-electric-vehicles
La dictature en Californie oblige les habitants à acheter de l'électrique ! La totalité des centrales bientôt remplacées par des éoliennes et panneaux solaires ! Il faut s'attendre à des millions de morts (de froid) ou, obliger les États-Unis (république) à être en Démocratie.
SupprimerPourquoi y a-t-il une guerre contre les majorettes ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dimanche, 02/03/2019 - 12:30
Écrit par Dennis Prager via DailyWire.com,
Si je vous disais qu'un groupe croissant de killjoys veulent interdire les pom-pom girls de la NFL, diriez-vous qu'il est de la gauche ou de la droite politiques ?
Doit être le droit, non ? Ils sont les religieux avec tous les hang-ups sexuelles.
Faux.
Ils sont à gauche.
Et quel est leur problème avec cheerleading ?
Je les laisserai parler pour eux-mêmes.
Dans le Boston Globe, Margery Eagan, éditorialiste et coanimatrice de "Boston Public Radio" de NPR, a écrit un article intitulé "Il est temps de dire au revoir aux pom-pom girls de la NFL".
Elle a décrit les pom-pom girls de la NFL comme "effrayantes et humiliantes".
La chroniqueuse sportive de USA Today, Nancy Armor, est parvenue à la même conclusion: "Le principe de base des pom-pom girls de la NFL est dégradant. Les pom-pom girls de la NFL doivent disparaître."
La journaliste sportive du Chicago Tribune, Shannon Ryan, a déclaré: "La ligue a seulement montré qu'elle considérait les pom-pom girls comme des morceaux de bonbons pour les yeux."
Pour se faire comprendre, elle demanda: "Pourquoi n'y a-t-il pas de pom-pom girls et de danseurs masculins vêtus de façon maigre ?"
Seules les personnes bien éduquées peuvent poser une question aussi stupide - parce que seules les personnes très instruites nient que, à quelques exceptions près, les seules personnes qui aimeraient voir des pom-pom girls mâles vêtues de façon maigre sont des hommes gais.
Dans USA Today, Tom Krattenmaker, directeur des communications de la Yale Divinity School, a ajouté une voix théologique au choeur anti-pom-pom girl. "Il est temps," entonna-t-il, "d'appeler cela pour ce qu'il est: humiliant envers les femmes et un anachronisme qui devrait être sous les fans masculins à qui ce parfum irrésistible est servi." Cette phrase, et toute sa pièce, est ce qui va faire l’objet d’une profonde réflexion à gauche de nos jours. Il n'explique pas en quoi le fait d'être une pom-pom girl de la NFL est "humiliant". Il le déclare simplement ainsi. At-il pris la peine d'interviewer des pom-pom girls? Je l’ai fait, et le consensus parmi les pom-pom girls est que c’est l’une de leurs plus belles expériences de vie.
Jacie Scott, une femme noire qui a pris sa retraite en tant que pom-pom girl des Cowboys de Dallas en 2016, a écrit en réponse à Nancy Armor:
"J'ai passé quatre ans en tant que pom-pom girl dans la NFL, et les expériences que chaque année m'a apportées ont contribué à faire de moi la femme que je suis aujourd'hui. ... J'ai vu des pays que je n'aurais jamais imaginé voir. J'ai eu un impact positif sur ma vie, jeune et vieux, et j'ai tout fait avec 30 femmes quelque chose d'incroyable. Je ne voudrais pas échanger mon temps comme une pom-pom girl pour rien. "
Ce qui est humiliant pour les pom-pom girls, ce n’est pas les pom-pom girls, mais des gens comme Tom Krattenmaker, Shannon Ryan, Margery Eagan et Nancy Armour qui ont la vanité - et la méchanceté - d’appeler ces femmes rabaissées.
J'ai interviewé une ancienne pom-pom girl des Falcons d'Atlanta, Nina Ahlin (maintenant Noa Hami), lors de mon émission de radio. Quand elle est entrée dans mon atelier, elle a été frappée par son attrait 20 ans après sa retraite de pom-pom girl et par sa robe modeste. En ce qui concerne sa robe, elle a expliqué que peu de temps après avoir pris sa retraite en tant que pom-pom girl, elle a rencontré un homme juif orthodoxe, est tombée amoureuse, s'est convertie au judaïsme orthodoxe et s'est mariée.
Apparemment, son mari religieux, un homme d’affaires prospère, n’a pas trouvé le profil pervers de cette femme «humiliant». Au contraire, comme la grande majorité des hommes - religieux ou laïcs - il était ravi de sortir et de se marier avec une pom-pom girl de la NFL. Heureusement qu'il n'est pas allé à la Yale Divinity School.
RépondreSupprimerIl était clair que même maintenant, en tant que juive orthodoxe qui porte des jupes longues et des manches longues, elle ne trouve pas les pom-pom girls humiliantes: elle m'a envoyé une photo d'elle depuis sa période pom-pom girl.
Comme elle m'a écrit:
"Je ne peux pas imaginer ma vie sans l'expérience que j'ai eue en tant que pom-pom girl de la NFL. Cela a littéralement changé ma vie. Les amitiés que j'ai nouées, les endroits où nous avons pu aller et les gens que nous avons pu rencontrer ne peuvent pas être dupliqué. (…) L’idée que cela soit enlevé aux jeunes filles qui rêvent de devenir un jour une pom-pom girl professionnelle me fait peur! "
Pourquoi les gauchistes méprisent-ils les pom-pom girls et les pom-pom girls (qui, après tout, choisissent d'être pom-pom girls - et pour un salaire quasiment nul)?
Un article sur les pom-pom girls de Vanity Fair a donné le jeu:
"La ligue profite de la vente d'une notion rétrograde de la masculinité - des hommes grands et forts, qui n'ont pas peur de prendre un coup, qui sont entourés de femmes enthousiastes et légèrement vêtues."
Selon un ancien joueur de basket-ball professionnel, Mariah Burton Nelson, un article de la Société Radio-Canada intitulé "Pro Cheerleading" devrait être aboli, "Cheerleading sous-entend que le rôle des femmes est de soutenir les hommes, de sourire aux hommes et de réaliser les fantasmes sexuels des hommes. . "
La gauche a un mépris pour la masculinité et la nature sexuelle masculine qui en fait partie. Le nouvel homme émasculé ne regardera pas les femmes sexy. Et la nouvelle femme déféminisée ne voudra pas "soutenir les hommes", encore moins avoir l'air sexy pour eux.
La gauche prétend être pro-choix. Mais cela exige l'abolition des cheerleading de la NFL (et de la NBA) sans donner aux femmes le choix d'être pom-pom girl - tout comme cela n'a jamais donné le choix aux participantes de Miss America d'abolir le concours de maillot de bain Miss America. Les gauchistes croient qu'ils sont moralement supérieurs et ont donc le droit de priver n'importe qui - homme ou femme - de choisir ce que la gauche dédaigne. La seule chose dont la gauche se soucie est le choix d'éteindre la vie humaine naissante.
Même si le football ou les pom-pom girls ne vous intéressent pas, cela devrait être votre problème. Nous devons dire à la gauche ici, comme dans pratiquement tous les domaines de la vie, et dans les termes les plus énergiques possibles: laissez-nous simplement. Laissez-nous vivre nos vies avec nos petites joies. Et grandissez - les hommes aiment regarder les femmes et les femmes aiment être regardées.
Un monde avec des pom-pom girls de la NFL est de loin préférable au monde que la gauche veut créer: une dystopie dans laquelle les hommes et les femmes sont interchangeables.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-03/why-there-war-cheerleaders
Acte 12 des Gilets jaunes: un policier se voit refuser l’accès à une boulangerie
RépondreSupprimer07:09 04.02.2019
Lors de l’acte 12 des Gilets jaunes à Paris, un policier en civil s’est vu refuser l’entrée dans une boulangerie, dont la direction «s’efforçait de préserver une atmosphère calme au sein de ses établissements», compte tenu du fait que le fonctionnaire «était armé».
Un policier en civil portant toutefois son brassard professionnel s'est vu refuser l'accès à la boulangerie Maison Landemaine, située au 180 rue du Temple, près de la place de la République à Paris (3e) durant la manifestation des Gilets jaunes ce samedi, 2 février.
Cherchant à se justifier, un employé de l'établissement a alors insisté sur le fait que l'accès à la boulangerie n'était pas possible pour les personnes armées.
Dans cette vidéo mise en ligne, on peut voir l'altercation entre l'employé et le policier, qui tient à souligner qu'il n'a pas d'arme sur lui, avant de s'en aller visiblement agacé.
Suite à l'incident, la boulangerie a publié un communiqué sur Facebook. «La direction de Maison Landemaine tient à rappeler que nous sommes une enseigne de commerçants apolitique. (…) Pendant les manifestations, nos équipes ne transigent pas avec ces valeurs d'accueil et s'efforcent de préserver une atmosphère calme au sein de nos établissements en demandant aux policiers et aux manifestants de ranger leurs armes et d'ôter leurs cagoules.»
Le port d'une arme de service est toutefois prévu par la loi pour gendarmes et douaniers.
https://fr.sputniknews.com/france/201902041039894749-gilets-jaunes-boulangerie-acces-armes/
Une personne blessée par le tir d’un policier à Nantes
RépondreSupprimer07:10 04.02.2019
Un incident impliquant un policier et quatre individus s’est produit dans la nuit de samedi à dimanche à Nantes, rapporte le procureur de la République. Lors d’une «altercation», le fonctionnaire a fait usage de son arme de service et a blessé une personne.
Un policier hors service a ouvert le feu dans la nuit de samedi à dimanche à Nantes lors d'une «altercation» avec quatre personnes, informe le procureur de la République, Pierre Sennès, cité par Actu 17. L'un des individus impliqués a été blessé par le tir. Il a été opéré mais ses jours ne sont pas en danger.
Le fonctionnaire a été également blessé et présente des traces de coups au niveau de la tête.
«Le policier a fait usage de son arme de service dans des circonstances qui restent encore à déterminer» a précisé le magistrat.
Le policier ainsi que les quatre individus ont été placés en garde à vue pour, respectivement, «violences par personne dépositaire de l'autorité publique» et «violences sur personne dépositaire de l'autorité publique».
Une enquête a été confiée au service régional de la police judiciaire et une autre a été ouverte par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) afin de déterminer les circonstances exactes du tir du policier.
L'individu blessé par le policier a été condamné en juillet dernier avec son père, son oncle et son cousin, à quatre ans de prison pour une vingtaine de cambriolages.
https://fr.sputniknews.com/france/201902041039894773-personne-blessee-tir-policier-nantes/
Qui contrôle nos vies ? Des Gilets jaunes le découvrent
RépondreSupprimerNos vies sont largement contrôlées par de puissantes forces. La bonne nouvelle est que des Gilets jaunes nous ont montré la voie pour nous en libérer.
Par Charles Boyer.
4 FÉVRIER 2019
Où vont les Gilets jaunes ? La réponse n’est pas évidente et bien des signes ne sont guère encourageants. Un aspect du mouvement peut néanmoins prêter à l’optimisme.
Beaucoup de Gilets jaunes ont découvert, en particulier sur les ronds-points, que grâce aux nouvelles technologies comme les réseaux sociaux, les applications de messagerie, les vidéos tournées avec des smartphones, il est désormais beaucoup plus facile de s’organiser pour s’entraider, sans passer par l’État ni par d’autres institutions établies, syndicats ou partis politiques.
C’est là une découverte fondamentale.
Elle contraste par ailleurs largement avec l’organisation de nos vies aujourd’hui ; maternité, crèche, maternelle, école, collège, lycée, université, sécurité, protection contre le crime, transports en commun, Sécurité sociale, chômage, santé, vieillesse, nous avons presque entièrement livré nos existences, pour ainsi dire pieds et poings liés, au pouvoir, aux autorités, aux politiciens, aux grandes administrations incontrôlables ; en un mot, à l’État.
Bien des Gilets jaunes ont le sentiment diffus que des puissances occultes contrôlent leurs vies. De fait, elles le sont, par des forces puissantes et moins bienveillantes que nous aimerions le penser, mais pas si mystérieuses que cela. Non content de contrôler l’éducation que nous recevons, l’État en fait largement de même dans le domaine de l’information : chaînes publiques, médias aux mains de milliardaires vivant grassement de marchés publics (BTP, armement), aides à la presse. Tous ces canaux d’information insistent fort peu sur l’ingérence de l’État dans nos vies.
Les lobbies sont très influents, par exemple celui de la finance ou de l’industrie pharmaceutique. Beaucoup de gens sont convaincus qu’ils contrôlent l’État, raison pour laquelle le système est défaillant. La réalité est plus subtile : la seule force de ces lobbies est précisément que l’État s’immisce partout. Ils s’adressent à lui pour parvenir à leurs fins via des méthodes plus ou moins recommandables.
Cela s’applique d’ailleurs tout autant à des lobbies qui ne disent pas leur nom, telles les ONG écologistes, faisant campagne en faveur des politiques d’État consistant, par exemple, à saupoudrer tous nos paysages d’éoliennes, renchérissant par là même le prix de l’électricité.
Le problème majeur est bien que l’État nous contrôle trop, et permet aux lobbies d’obtenir des faveurs, au détriment des individus. Vous souhaitez vous libérer des lobbies ? Alors vous devez trouver le moyen de vous libérer du contrôle de l’État.
Pour en revenir aux Gilets jaunes et aux ronds-points, et à les observer, on s’aperçoit qu’ils ont entr’ouvert une porte menant à une issue pour sortir de cette regrettable situation.
UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE
Il est désormais plus facile que jamais de s’organiser sans passer par ceux qui aujourd’hui contrôlent nos vies, et l’organisation spontanée, initiale, des Gilets jaunes, l’a fort bien montré.
Ce constat peut s’étendre à d’autres domaines. Voici quelques exemples illustrant comment ce mode d’auto-organisation spontanée pourrait se mettre en place.
RépondreSupprimerÉducation : nous gagnerions beaucoup à ce que nos enfants puissent être instruits sans recevoir en même temps une vision du monde dictée par l’État. Des initiatives en ce sens existent déjà : créer son école, SOS éducation, la Fondation pour l’école, l’école à la maison, et tant d’autres. Ce que les Gilets jaunes ont fait pour leurs manifestations peut être réalisé pour trouver spontanément la bonne organisation pour dispenser à nos enfants la meilleure éducation, loin de la carte scolaire et des établissements négligés.
Santé : les possibilités sont ici gigantesques. Exemple : la société Virta Health propose aux diabétiques une application et un soutien en ligne, incluant des médecins. Après une année, cette start-up a déjà obtenu 60 % d’inversions de diabète de type 2, c’est-à-dire qu’elle a permis à des malades de recouvrer la santé, et cesser leur traitement, ou de le réduire pour la plupart des 40 % de patients restants. Dans ce domaine comme dans tant d’autres, les nouvelles technologies nous offrent des possibilités énormes de mieux nous porter, sans passer par la voie traditionnelle.
Sécurité et protection contre le crime : nos voisins britanniques ont mis en place des organisations de type neighbourhood watch (surveillance du voisinage), en coordination, bien entendu, avec la police. Nous gagnerions à envisager d’en faire de même. L’organiser spontanément devient de moins en moins difficile. Il ne s’agit pas d’intervenir en personne, mais de prévenir les menaces dans son quartier et de faire le lien avec les autorités. Le préalable sera d’ailleurs de rétablir le lien de confiance avec les forces de l’ordre.
L’information : le journal Contrepoints, qui a pris sa place dans le paysage de l’information, a été créé à l’initiative d’une association, et refuse, et refusera toujours, toute aide de l’État. Il répond clairement à une demande du public et, au bout de quelques années, est devenu une organisation professionnelle, toujours associative, avec des journalistes ayant leur carte de presse. Cela démontre encore qu’on peut bien faire, sans subvention de l’État. Il est même préférable de s’en dispenser.
Le billet ici présent n’a pas pour vocation de donner des liens vers toutes les possibilités d’améliorer grandement sa vie sans rester sous le contrôle de l’État. Dans chacun des domaines de nos vies c’est envisageable, et de plus en plus chaque jour.
Les Gilets jaunes ont démontré que l’entraide, les rencontres, l’organisation sont possibles, sans passer nécessairement par l’étape de la manifestation. Pour y parvenir, il est d’ailleurs plus efficace de ne pas gaspiller de l’énergie en vain, s’adonner à la violence et au chaos. Bien au contraire. Mieux vaut préserver cette énergie et la consacrer à améliorer ses conditions de vie.
Grâce au mode initial de déclenchement du mouvement des Gilets jaunes, un petit pas est franchi qui apporte un nouvel éclairage sur le contrôle de nos vies par l’État et, bien plus important, sur les possibilités qui s’offrent à nous pour y échapper. Libre à chacun de nous, désormais, d’y réfléchir et d’imaginer des solutions qui rendront notre vie meilleure dans un environnement d’entraide.
https://www.contrepoints.org/2019/02/04/336290-qui-controle-nos-vies-des-gilets-jaunes-le-decouvrent