le 17 février 2019
Le rapport de l’Agence Internationale de l'Énergie (IEA) datant de 1998 prévoyait un « pic pétrolier » pour l’année 2010. On est en 2019 et durant l’année écoulée pas moins de 6 gisements extrêmement prometteurs ont été découverts en 2018 : Guyana, Brésil, Mexique, Texas, Chypre et Mer de Barents (Norvège). Il faut ajouter à ces découvertes celles « promises » par les analyses de logging au Ghana, en Mauritanie, en Namibie et en Afrique du Sud mais aussi sur le plateau continental dans la zone économique exclusive de Madagascar et enfin au large de la Guyane française.
En ce qui concerne l’Afrique du Sud, un nouveau venu dans le club des producteurs de pétrole, les réserves probables semblent être considérables. La première découverte faite par Total dans des couches du Crétacé inférieur à 170 kilomètres des côtes est particulièrement prometteuse puisque le premier forage jusqu’à 3600 mètres de profondeur a permis d’estimer les réserves sur le bloc concerné appellé Brulpadda à plus de 1 milliard de barils équivalents pétrole de condensats mais surtout de gaz. Les fonds marins varient entre 200 et 1800 mètres de profondeur mais Total a acquis une solide expérience en Mer du Nord dans le domaine de l’exploitation en eaux profondes et en forage off-shore profond en particulier autour des Iles Shetland.
L’Afrique du Sud pourrait à relativement court terme devenir auto-suffisante en gaz alors qu’elle est dépendante de ses importations aujourd’hui. Alors le fameux « pic pétrolier » agité comme un spectre maléfique va-t-il être encore repoussé à une date ultérieure ? Ce concept, plutôt qu’une réalité, est utilisé à des fins de propagande car les incertitudes sur les réserves de pétrole sont considérables. Les États ne communiquent pas de données précises et les « majors » du pétrole peuvent sous-estimer comme sur-estimer leurs prévisions. Enfin nul ne connait précisément les réserves en hydrocarbures liquides ou gazeux de la Russie, même pas les Russes, car une grande partie du territoire nationale est encore inexploré. On reparlera donc du pic pétrolier plus tard et tout ce qui est écrit à ce sujet doit être considéré avec précaution …
Sources : Reuters et Total, illustration Total
Le pic du renouvelable éternellement est pour quand ? Hahahaha ! Le pétrole abiotique est renouvelable comme TOUS les gaz dans l'atmosphère et comme l'eau propre des sources qui coule gratuitement depuis des millions d'années !
RépondreSupprimerDepuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
LE PRIX DES CIGARETTES VA AUGMENTER EN ANDORRE
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
18/02/2019
Les recettes tirées de la vente de tabac représentent 110 millions d'euros chaque année pour Andorre.
Les fumeurs qui cherchent à économiser sur le prix des cigarettes connaissent bien Andorre, petit territoire enclavé entre la France et l’Espagne, où le tabac est vendu à des prix défiant toute concurrence. Cela devrait toutefois changer.
Le gouvernement andorran a en effet voté pour la mise en place d’une nouvelle réglementation touchant le prix du tabac. Les cigarettes et autres produits du tabac ne pourront être vendus à un prix inférieur à plus de 35% de leurs équivalents commercialisés en France ou en Espagne. C’est ainsi qu’un paquet de cigarettes qui coûte 8 euros dans l’Hexagone ne pourra être vendu moins de 5,20 euros en Andorre. C’est déjà un bon prix par rapport aux tarifs français; mais c’est plus élevé que ce que l’on trouve actuellement.
Quantité maximale
Les amateurs de bonnes affaires étaient déjà limités par la quantité maximale qu’ils pouvaient acheter : pas plus de 300 cigarettes par voyage. Mais dans les faits, ce quota est souvent dépassé, les consommateurs parvenant à sortir d’Andorre des quantités bien plus importantes qui alimentent le trafic. Le détour par Andorre pour faire le plein de tabac, et en profiter pour réaliser une plus-value, sera moins intéressant une fois que cette mesure aura été mise en place. Le texte doit encore être promulguée.
Lutte contre le trafic
Selon le ministère de l’Économie d’Andorre, la nouvelle législation doit aider à la réduction de la contrebande, tout en préservant la compétitivité du pays. Le territoire, qui récupère chaque année 110 millions d’euros sur la vente de cigarettes, avait pris un engagement auprès de l’Union européenne, celui de réduire la différence sur le prix du tabac. La lutte contre le trafic de cigarettes est soutenue par la France : les deux pays ont mis en place des unités mixtes de douaniers pour multiplier les contrôles.
http://www.economiematin.fr/news-prix-cigarettes-augmenter-andorre
Supprimer(...) les consommateurs parvenant à sortir d’Andorre des quantités bien plus importantes qui alimentent le trafic. (...)
Le 'trafic' !! QUEL 'trafic' ? QUEL ? Voir le prix du pétrole sorti du derrick (gratos) qui mit en cuves se décante gratos mais qui demande tout de même des manipulation de pompages et transport. Soit. Mais à voir au prix qui arrive aux pompes à essence !!! Là, oui y a trafic ! Et ce n'est pas de la cigarette ou du petit mégot çà !
Pour le gaz c'est pire ! Il sort tout seul (en même temps que le pétrole chaud) et n'a PAS BESOIN D'ÊTRE DÉCANTÉ !! Il est mis en cuves et hop, emporté !
A quel prix arrive t-il aux consommateurs ?
Mais comme la sécurité est exigeante, les mesures nécessaires lors de la mise en cuve et les taxes exigées 'pour la sécurité' font que, les exploitants de puits de pétrole préfèrent le torcher 24/24 h plutôt que de perdre leur temps à répondre 'aux normes exigées' !
EDOUARD PHILIPPE S'INTERROGE SUR LES CONTREPARTIES AUX AIDES SOCIALES
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
16/02/2019
Les allocations et les prestations sociales représentaient 714 milliards d'euros en 2016.
Les bénéficiaires de la solidarité nationale doivent-ils s’engager à des contreparties ? C’est la question « explosive » posée par Edouard Philippe dans le cadre du « grand débat ».
Edouard Philippe s’est publiquement interrogé sur la question des contreparties aux aides sociales. Un débat « totalement explosif », a convenu le Premier ministre, qui revient régulièrement sur la table. « Qu'est-ce qu'on demande à ceux qui bénéficient de la solidarité, est-ce qu'on demande quelque chose, et si oui, quoi ? », a-t-il demandé durant une réunion entre élus locaux et dirigeants de PME, organisée dans le cadre du « grand débat ». Une idée qui fait visiblement son chemin : 73% des Français l’approuvent, selon une question posée sur le site de la consultation nationale.
Un « pognon de dingue »
Les aides sociales représentent un « pognon de dingue », selon le mot fameux d’Emmanuel Macron, en juin dernier. En France, elles pèsent 32% du produit intérieur brut, soit 714 milliards d’euros. De l’argent qui a permis de réduire le taux de pauvreté de 8,4%, selon le ministère de la Santé. La conviction de l’hôte de Matignon, c’est qu’il faut s’interroger sur ces contreparties « compte tenu de l'importance de nos mécanismes de solidarité, compte tenu de nos finances publiques, compte tenu de la situation d'un pays qui est en croissance mais qui reste avec un niveau de chômage élevé ».
Quelles contreparties ?
Pour Edouard Philippe, il faut regarder « avec nos concitoyens » les contreparties au versement obligatoire. Il n’est pas question de revenir sur la solidarité nationale, car dans un pays comme la France, « la solidarité ça compte ». Mais il convient de s’interroger : « est-ce que cette solidarité, elle peut s'accompagner de contreparties, d'activités, d'activités d'intérêt général ? ».
http://www.economiematin.fr/news-edouard-philippe-contreparties-aides-sociales
(...) En France, elles pèsent 32% du produit intérieur brut, soit 714 milliards d’euros. De l’argent qui a permis de réduire le taux de pauvreté de 8,4%, selon le ministère de la Santé. (...)
SupprimerEn France 'Ce pognon de dingues' donné aux personnes intelligentes ne sert pas à remplir les livrets d'épargne mais... à consommer (et à payer les branleurs qui dirigent)! (Çà alors !). Et, qui dit consommation dit dépenses et créations d'emploi dès qu'il y a de l'argent qui circule. Sans argent, il n'y a RIEN QUI CIRCULE !
(...) Les allocations et les prestations sociales représentaient 714 milliards d'euros en 2016.(...)
714 milliards revenus DANS les 'caisses de l'État' ! + cotisations aux nouvelles créations d'emploi, tva, etc, etc !!
Un CRS frappe virulemment un photographe Gilet jaune à Dijon lors de l'acte 14 (vidéo)
RépondreSupprimer15:08 18.02.2019
Après qu’un journaliste de BFM TV a dénoncé une attaque contre l’un de ses journalistes à Paris, une autre agression contre la presse aurait eu lieu à Dijon lors de l’acte 14. Un CRS a attrapé et percuté vigoureusement contre le mur un homme qui portait un gilet jaune mais ayant affirmé face aux policiers être un photographe.
Samedi passé, plusieurs incidents ont émaillé l'acte 14 des Gilets jaunes en France. À Paris, un journaliste de BFM TV a reçu plusieurs coups de matraque par un policier, a annoncé sur Twitter son collègue. À Dijon, une agression contre un autre représentant de la presse aurait bel et bien pu avoir lieu.
Une vidéo coupée du live de la chaîne Info Dijon montre un groupe de CRS attraper un homme qui portait un gilet jaune et avait une caméra dans les mains, avant de le bousculer contre le mur puis de le relâcher. De son côté, l'homme leur a déclaré qu'il était photographe.
Cela fait trois mois que les Gilets jaunes se rassemblent tous les samedis, initialement pour dire non à la hausse des prix du carburant. Ce 16 février, les Gilets jaunes se sont retrouvés pour leur acte 14 dans de nombreuses villes françaises.
Le ministère de l'Intérieur a évalué que le nombre de manifestants était en baisse pour cet acte 14 avec un chiffre de 41.500 manifestants, ce qui a été contesté par le syndicat France Police-Policiers en colère qui a évoqué le chiffre de 230.000 manifestants dès 15h30.
https://fr.sputniknews.com/france/201902181040069350-crs-dijon-photographe/
Bill Gates: La meilleure option pour faire tremper les riches serait d'augmenter l'impôt sur les gains en capital
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 18/02/2019 - 06:30
Alors que la croissance de la dette nationale (qui, comme nous l'avons souligné à plusieurs reprises, a éclipsé 22 trillions de dollars la semaine dernière) s'accélère, et les socialistes démocrates ascendants de l'Amérique, comme Alexandria Ocasio-Cortez, préconisent des plans d'imposition draconiens, tels qu'un taux marginal de 70 % pour les plus riches. Les Américains, les plus riches titans de l'industrie, sont restés en grande partie absents du débat sur la fiscalité (bien que, pour être juste, Jeff Bezos ait été naturellement préoccupé ces derniers temps).
Mais juste au cas où les Américains - du moins ceux qui n'ont pas assisté à Davos 2019 - se demandaient ce que leurs plus riches seigneurs de la technologie pensaient aux meilleures pratiques pour stabiliser le déficit budgétaire avec de nouvelles recettes fiscales, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, est apparu sur le GPS de Fareed Zakaria de CNN. La nuit dernière, nous avons partagé ses réflexions sur la proposition de taux marginal de 70 % et d’autres propositions relatives à «l’impôt sur la fortune» émanant du champ démocrate de plus en plus à gauche, qu’il a qualifié d’extrême dans d’autres entretiens.
"Nous ne collectons que 20 % du PIB et nous dépensons environ 24% du PIB. Vous ne pouvez donc pas laisser ce déficit croître plus rapidement que l'économie", a déclaré M. Gates.
Mais un taux marginal de 70 % sur les Américains les plus riches - tout comme nous l'avions dans les années 1970 avant les réductions d'impôts de Reagan - n'est pas la meilleure façon de combler cet écart, en raison de toutes les lacunes et de tous les reports.
"Même lorsque ce taux était élevé, la collecte effective en raison de la façon dont les gens pouvaient différer n'était pas supérieure à 40%, en fait", a déclaré le co-fondateur de Microsoft Corp.
Si AOC et sa joyeuse bande d'adeptes du "Parti socialiste démocrate" veulent vraiment s'en prendre aux plus grosses fortunes, la meilleure façon de le faire serait d'augmenter les impôts sur les plus-values - une proposition qui a été retenue lors du débat sur la réforme fiscale de Trump, mais n'a finalement pas fait dans le paquet final. Imposer les gains en capital au même taux que le revenu ordinaire éliminerait beaucoup de complexité, a déclaré Gates.
"Si vous allez faire cette collecte supplémentaire, vous voulez bien sûr être progressif, vous voulez que la part qui provient du top 1% ou du top 20% soit beaucoup plus élevée", a-t-il déclaré. "Les grandes fortunes, si votre objectif est de vous attaquer à celles-ci, vous devez prendre l'impôt sur les plus-values, qui est bien inférieur à 20%, et l'augmenter."
M. Gates a ajouté que son épouse, Melinda, et lui-même figuraient parmi les plus grands partisans de la levée de "l'impôt de mort", une proposition selon laquelle Bernie Sanders serait sur le point de se faire mal.
Il a déclaré qu’il avait été «le plus grand partisan de la perception de l’argent sur les successions. C’était 55%, c’est maintenant une baisse, avec une déduction beaucoup plus importante. "
Mais heureusement pour le groupe de hedge funds, avant qu’AOC puisse faire pression pour augmenter le taux de gains en capital, elle aurait d’abord besoin de comprendre de quoi il s’agissait.
Regardez la vidéo complète ci-dessous:
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-18/bill-gates-best-option-soaking-rich-would-be-hiking-capital-gains-tax
SupprimerFigurez-vous que les 'dirigeants' politique dans le monde ont moins de cervelle que les chefs d'entreprises qui font l'effort de survivre. Cà, vous vous en êtes aperçu il y a longtemps, mais, ce qui change est la couleur de leurs pantalons ! Marrons derrière et marrons devant ! Hahahaha ! Car, ces multi-milliardaires du business-enterprise seraient d'en soutenir le Peuple qui se soulève contre la dictature !
Beaucoup plus»: BFM TV conteste les chiffres officiels sur les Gilets jaunes (vidéo)
RépondreSupprimer10:27 18.02.2019
Souvent critiquée mais aussi prise à partie par les manifestants lors des mobilisations, la chaîne BFM TV a de nouveau fait l’objet des discussions… car son spécialiste des questions de police a émis des doutes sur les chiffres de la mobilisation émis par le ministère de l’Intérieur. Une première.
La chaîne d'informations BFM TV a mis en doute les chiffres des mobilisations donnés par le ministère de l'Intérieur à l'issue de chaque rassemblement. C'est son spécialiste des questions de police Dominique Rizet, visage régulier de la chaîne d'informations, qui a exprimé son scepticisme.
«On a toujours eu des doutes, on s'est toujours posé des questions. Effectivement, quand on commentait tous les samedis précédents et qu'on relayait les chiffres qui nous étaient donnés par le ministère de l'Intérieur, on a toujours bien compris qu'il y avait beaucoup plus de monde que cela», a ainsi déclaré le spécialiste.
Cette remise en cause a immédiatement attiré l'attention des pages Facebook du mouvement, là où les Gilets jaunes contestent régulièrement les chiffres de la place Beauvau.
«BFM reconnait avoir mené tout le monde en bateau concernant le nombre des manifestants. N'hésitez pas à partager la vidéo (surtout auprès des personnes qui ont une confiance aveugle dans les medias mainstream)», écrit un internaute dans le groupe des Gilets jaunes.
«Les rats quittent le navire !», a commenté un autre.
Le ministère de l'Intérieur a évalué que le nombre de manifestants était en baisse pour cet acte 14 avec un chiffre de 41.500 manifestants, ce qui a été contesté par le syndicat France Police-Policiers en colère qui a évoqué le chiffre de 230.000 manifestants dès 15h30.
Des journalistes de BFM TV avaient déjà été pris pour cible lors des dernières manifestations. Cependant, ils avaient alors dénoncé des agressions verbales et physiques à leur encontre de la part de Gilets jaunes et non pas de représentants de la loi.
https://fr.sputniknews.com/france/201902181040065018-bfm-tv-chiffres-gilets-jaunes/
Eric Ciotti appelle à ce que les manifestations du samedi soient interdites
RépondreSupprimer13:08 18.02.2019
«Quatorze samedis de violence, c’est trop», martèle Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, qui appelle à arrêter cette vague «insupportable, inacceptable» et interdire les prochaines manifestations des Gilets jaunes.
Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes Eric Ciotti, qui avait longtemps défendu les Gilets jaunes, semble avoir totalement changé d'avis. Il a en effet demandé «qu'on interdise les manifestations samedi prochain» intervenant dimanche au micro de France Inter.
«Aujourd'hui, je dis que ce mouvement doit arrêter ces blocages, ces manifestations. (…) Quatorze samedis de violence, c'est beaucoup, c'est trop. Il y a eu de la violence. Cette violence, elle est insupportable, inacceptable et il faut aujourd'hui qu'elle s'arrête. On ne peut plus tolérer ça. Il y a cette violence physique, cette violence verbale tout aussi condamnable qui s'exprime par l'antisémitisme», a déclaré l'élu. Le mouvement des Gilets jaunes, qu'il avait d'abord soutenu, a été «dévoyé par la violence», selon lui.
Les chiffres sont «terrifiants: 1.400 représentants des forces de l'ordre blessés, plus de 2.000 manifestants blessés. Ça veut dire 3.500 blessés. Onze morts.» Il faut donc interdire les prochaines manifestations prévues, estime le député.
Cela fait trois mois que les Gilets jaunes se rassemblent tous les samedis, initialement pour dire non à la hausse des prix du carburant. Le 16 février, les Gilets jaunes se sont retrouvés pour l'acte 14 dans de nombreuses villes françaises.
https://fr.sputniknews.com/france/201902181040068233-france-gilets-jaunes-eric-ciotti/
(...) Les chiffres sont «terrifiants: 1.400 représentants des forces de l'ordre blessés, plus de 2.000 manifestants blessés. Ça veut dire 3.500 blessés. Onze morts.» (...)
Supprimer1400 émotivement bouleversés par les ordres, plus de 2000 blessés et 11 morts du côté des français, cela fait bien plus de 2011 françaises et français !
(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html
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Quand le tueur devient la cible
samedi 31 mars 2018
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/03/quand-le-tueur-devient-la-cible.html
RépondreSupprimerUn gilet jaune gigantesque fait son apparition à La Ciotat, fêté par les bateaux (images)
13:00 18.02.2019
Le chantier naval de La Ciotat a fêté les trois mois de mobilisation des Gilets jaunes à sa manière. Au lendemain de l’acte 14, un énorme gilet jaune est apparu sur une grue, ce qui a été honoré par les sirènes et klaxons des bateaux.
Avec une grande parade pacifique qui a rassemblé de 1.500 à 2.000 manifestants, les Gilets jaunes de La Ciotat ont célébré hier avec éclat les trois mois de lutte de leur mouvement.
Le symbole du mouvement d'une taille impressionnante est apparu sur une grue dans le chantier naval de la commune. Il a été salué par les sirènes et klaxons des bateaux.
- photo d'un très grand gilet jaune suspendu sous une grue -
Les Gilets jaunes sont descendus de nouveau dans la rue, ce dimanche 17 février, après avoir défilé la veille dans plusieurs villes de France. Cette date marque l'anniversaire exact du début de la mobilisation.
https://fr.sputniknews.com/france/201902181040068113-gilet-jaune-la-ciotat/
SupprimerA savoir que la MAJORITÉ des personnes qui manifestent n'ont PAS de 'gilet jaune', car, soit elles n'ont pas de véhicule, soit il y n'y a qu'UN SEUL gilet fluorescent dans la voiture pour la femme et son mari !
Des anarchistes font irruption dans l'ambassade suisse à Athènes
RépondreSupprimer13:10 18.02.2019
Une quinzaine de membres d'un groupe d'extrême-gauche ont fait irruption lundi dans les locaux de l'ambassade suisse à Athènes, rapportent les médias grecs.
Des militants du groupe anarchiste Rouvikonas ont pénétré lundi dans l'ambassade de la Suisse dans la capitale grecque, relate l'agence AMNA.
Selon les médias, une dizaine de personnes ont été interpellées suite à l'irruption. Les employés de la mission diplomatique n'ont pas l'intention d'entamer une action en justice à l'encontre des intéressés, a fait savoir la police.
Précédemment, des membres de Rouvikonas avaient perpétré des attaques similaires contre les ambassades espagnole, française, allemande, iranienne et israélienne à Athènes. En octobre dernier, les militants ont vandalisé les portes vitrées de l'ambassade du Canada.
La communauté internationale a à plusieurs reprises demandé aux autorités grecques de mettre fin aux attaques des anarchistes visant les missions diplomatiques étrangères.
https://fr.sputniknews.com/international/201902181040067448-athenes-ambassade-suisse-irruption/
Des marrons-marrons qui puent la merde !
Supprimer(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html
INTERNET - FACEBOOK BLOQUE DES PAGES DE RT, QUI PROTESTE
RépondreSupprimerPlusieurs pages comptant jusqu'à des millions d'abonnés ont été fermées par le réseau social américain. RT, la chaîne financée par l'Etat Russe, dénonce une manœuvre politique.
18.02.2019, 13h18
La chaîne russe de télévision RT a protesté lundi après le blocage par Facebook de plusieurs de ses pages, dont l'une comptant plusieurs millions d'abonnés. Le Kremlin assimile le réseau social à un «outil de pression» de Washington.
Plusieurs pages de cette chaîne financée par l'Etat russe, dont la populaire In the Now spécialisée dans les vidéos virales, étaient inaccessibles sur Facebook lundi.
«Nous avions un projet secondaire en anglais, In the Now. Le projet avait du succès: 2,5 milliards de vues et 4 millions d'abonnés rien que sur Facebook !», a souligné sur Twitter la rédactrice en chef de RT, Margarita Simonian.
Selon Mme Simonian, le blocage par Facebook fait suite à un sujet diffusé par CNN dans lequel la chaîne américaine explique que le projet de RT est financé par l'Etat russe.
Aucune accusation
«Facebook nous a immédiatement bloqué ! Sans fournir aucune accusation», a-t-elle ajouté, affirmant que le chaîne n'avait «enfreint aucune règle». Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a pour sa part estimé que RT devait «recevoir une explication de la part de Facebook concernant la raison exacte» du blocage.
«De nombreuses grosses sociétés qui fournissent des services liés aux réseaux sociaux ou d'autres formats internet sont utilisés par les gouvernements de pays inamicaux en tant qu'outil de pression sur les médias russes», a affirmé M. Peskov.
«Cela mène à une perte de confiance et endommage sérieusement la réputation de ces sociétés internationales», a-t-il estimé.
Facebook a annoncé le mois dernier avoir supprimé 500 pages liées à la Russie, la plupart affiliées à l'agence de presse publique Sputnik, qui se trouve également sous la responsabilité de Mme Simonian.
RT et Sputnik sont aussi dans le viseur des députés français, qui ont voté en novembre dernier deux lois controversées destinées à lutter contre «la manipulation de l'information» en période électorale. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/facebook-bloque-pages-rt-proteste/story/11388073
ROYAUME-UNI - FACEBOOK QUALIFIÉ DE «GANGSTER NUMÉRIQUE»
RépondreSupprimerLes parlementaires britanniques veulent adapter l'arsenal juridique en vue de lutter contre les infox sur les réseaux sociaux.
Facebook était dans le viseur des parlementaires dans le cadre d'une enquête sur le phénomène des «fake news» et son impact sur les récents scrutins au Royaume-Uni.
18.02.2019, 10h05
Les réseaux sociaux, en particulier Facebook, doivent être davantage régulés afin de les empêcher d'agir comme des «gangsters numériques» et de publier des infox, ont conclu des parlementaires britanniques dans un rapport très critique publié lundi.
«Les entreprises comme Facebook ne devraient pas être autorisées à se comporter comme des gangsters numériques dans le monde en ligne, en se considérant au-dessus des lois», souligne le rapport de la Commission sur le numérique, la culture, les médias et le sport de la Chambre des communes (DCMS).
Durant plus d'un an, cette commission a enquêté sur le phénomène des «fake news» et son impact sur les récents scrutins au Royaume-Uni, dont le référendum sur le Brexit en juin 2016, s'attardant principalement sur les pratiques de Facebook.
Le géant américain est empêtré dans plusieurs affaires, comme les accusations d'ingérence russe sur sa plateforme dans l'élection présidentielle américaine de 2016, mais aussi le scandale de l'exploitation par la firme Cambridge Analytica de données d'utilisateurs à leur insu à des fins politiques, de même qu'une faille de sécurité ayant conduit au piratage de millions de comptes.
- «Code de déontologie contraignant» -
Pour lutter contre les «contenus préjudiciables» ou «illégaux», et protéger les données personnelles des utilisateurs, le rapport d'une centaine de pages recommande l'instauration d'un «code de déontologie contraignant» dont le respect serait assuré par un régulateur indépendant, habilité à déclencher des poursuites judiciaires et à infliger de lourdes amendes.
Dénonçant la désinformation véhiculée par les réseaux sociaux et provenant «d'agences travaillant avec des pays étrangers, dont la Russie», le président de la commission Damian Collins a appelé à «une modification radicale du rapport de forces entre ces plateformes et le public. L'âge d'une autorégulation inadéquate doit toucher à sa fin», a souligné le député conservateur.
Se disant «ouvert à une réglementation significative», Facebook a assuré ne pas avoir attendu la publication du rapport pour agir. «Nous avons déjà opéré des changements substantiels pour que toute annonce politique sur Facebook soit autorisée, mentionne son financement et soit ensuite classée dans des archives consultables durant sept ans», a détaillé Karim Palant, responsable de la politique publique de Facebook au Royaume-Uni, dans un communiqué transmis à l'AFP.
Il a affirmé que l'entreprise avait «triplé la taille de l'équipe oeuvrant à détecter et protéger les utilisateurs de mauvais contenus à 30.000 personnes, et investi massivement dans l'apprentissage automatique, l'intelligence artificielle et la technologie de vision par ordinateur pour aider à empêcher ce type d'abus».
- «Enquête indépendante» -
RépondreSupprimerLe rapport appelle également le gouvernement britannique à mener une «enquête indépendante» sur l'«influence étrangère», russe notamment, et la désinformation lors du référendum sur le Brexit, mais aussi les élections législatives anticipées de 2017 et le référendum sur l'indépendance de l'Ecosse en 2014.
Le ministre de la Culture, Jeremy Wright, s'entretiendra cette semaine aux Etats-Unis avec des représentants des géants Google, Facebook, Twitter et Apple, a indiqué un porte-parole du gouvernement.
L'exécutif devrait aussi publier un «livre blanc» dans le courant de cette année, énonçant des propositions pour sécuriser davantage les réseaux sociaux. Le patron du géant américain, Mark Zuckerberg, est également mis sur la sellette par les députés pour s'être dérobé à leurs convocations et avoir envoyé à sa place l'un de ses adjoints. Damian Collins l'a accusé d'avoir «manqué de leadership».
Avant le Royaume-Uni, Facebook était déjà dans le viseur de la France et de l'Allemagne.
Début février, le gendarme allemand de la concurrence a restreint l'exploitation par le groupe des données de ses utilisateurs, en lui interdisant de piocher d'autorité dans les informations collectées par des sites tiers ou des filiales comme Instagram et Whatsapp. En novembre, le Parlement français avait adopté deux propositions de loi pour lutter contre «la manipulation de l'information» en période électorale. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/high-tech/facebook-qualifie-gangster-numerique/story/30831960
Comment nourrir le monde d'ici 2050 ? Une percée récente stimule la croissance des plantes de 40 %
RépondreSupprimer17 février 2019
Donc, si l’édition de gènes permet de capturer une partie des 30% de perte de calories due à la photorespiration, et si le gaz carbonique double d’ici 2050, cela semble être une solution gagnante pour ceux qui se préoccupent de l’insécurité alimentaire. Et je voudrais être ici pour voir à quel point la planète deviendrait plus verte.
De EurekAlertb !
16-févr-2019
Institut Carl R. Woese pour la biologie génomique, Université de l'Illinois à Urbana-Champaign
L’un des défis les plus importants du XXIe siècle est de savoir comment nourrir durablement une population mondiale croissante et plus riche, avec moins d’eau et d’engrais, sur des superficies en diminution, malgré des rendements stagnants, des menaces de parasites et de maladies et un climat en mutation. Les avancées récentes en matière de lutte contre la faim par les découvertes agricoles seront soulignées lors de la réunion annuelle de l’Association américaine pour le progrès de la science (AAAS), le 16 février 2019 à 8 heures, au Marriott Wardman Park.
"La réunion de cette année a pour thème" Science Transcending Boundaries ". L'idée de la session est de mettre en évidence les recherches qui transcendent les frontières scientifiques et du savoir, avec pour objectif ultime de transcender les frontières géographiques et d'atteindre les petits exploitants agricoles en Afrique", a déclaré Lisa Ainsworth, scientifique au service de la recherche agricole du département de l'Agriculture des États-Unis (USDA-ARS) et professeur auxiliaire de biologie végétale à l'Université de l'Illinois. Ainsworth a récemment reçu le prix 2019 de l'Académie nationale des sciences pour les sciences de l'alimentation et de l'agriculture.
Donald Ort, conférencier invité à la chaire Robert Emerson de biologie végétale et phytotechnique à l'Institut Carl R. Woese de biologie génomique de l'Illinois, discutera du défi mondial en matière de sécurité alimentaire et de la percée scientifique récente (voir le communiqué de presse original) qui a stimulé la croissance des cultures 40% en créant un raccourci pour un pépin qui affecte la plupart des cultures vivrières.
«Les plantes doivent faire trois choses essentielles pour produire les aliments que nous mangeons: capturer la lumière du soleil, utiliser cette énergie pour produire de la biomasse végétale, et utiliser le plus de biomasse possible pour obtenir des rendements tels que les grains de maïs ou les pommes de terre féculentes», a déclaré Ort. «Au siècle dernier, les phytogénéticiens ont maximisé les premier et troisième objectifs, ce qui nous a laissé le défi d'améliorer le processus de fixation de la lumière du soleil et du dioxyde de carbone, appelé photosynthèse, afin de stimuler la croissance des cultures afin de répondre aux exigences du 21ème siècle.»
Cet ouvrage phare fait partie du projet RIPE (Réaliser une efficacité photosynthétique accrue), un projet de recherche international qui permet de concevoir des cultures pour une photosynthèse plus efficace et augmenter durablement la productivité alimentaire mondiale, avec le soutien de la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation pour la recherche sur l'alimentation et l'agriculture (FFAR) et le Département du développement international du gouvernement britannique (DFID).
«Les plantes terrestres ont évolué avec un problème biochimique dans lequel une enzyme photosynthétique capture fréquemment l'oxygène au lieu du gaz carbonique, nécessitant un processus complexe et coûteux en énergie appelé photoréspiration pour atténuer ce problème», a déclaré Ort, également directeur adjoint du projet RIPE. «Des cultures telles que le soja et le blé gaspillent plus de 30% de l’énergie générée par la photosynthèse, mais la modélisation suggère que des raccourcis photorespiratoires pourraient être conçus pour aider la plante à conserver son énergie et à la réinvestir dans sa croissance.
RépondreSupprimerEmpruntant des gènes d’algues et de citrouilles, l’équipe a créé trois voies alternatives pour remplacer la voie de photoréspiration indigène du tabac, une plante modèle utilisée pour prouver le concept avant que les scientifiques déplacent des technologies vers des cultures vivrières beaucoup plus difficiles et longues à élaborer. et test. Maintenant, l'équipe traduit ce travail pour augmenter les rendements d'autres cultures, notamment le soja, le niébé, le riz, la pomme de terre, la tomate et l'aubergine.
"Il est incroyable d'imaginer les calories perdues par la photorespiration chaque année dans le monde", a déclaré Ort. «Récupérer même une partie de ces calories serait un énorme succès dans notre course à l'alimentation de 9,7 milliards de personnes d'ici 2050».
Bien sûr, prévient M. Ort, il faudra 15 ans, voire plus, pour que ces technologies soient converties en cultures vivrières et pour obtenir l’approbation réglementaire en vue de leur distribution aux agriculteurs. Ce jour-là, RIPE et ses sponsors s'engagent à faire en sorte que les petits exploitants, en particulier en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est, aient un accès libre de droits à cette technologie.
Les autres discussions de cette session comprendront «Les découvertes pour améliorer la fixation de l'azote dans les céréales» par Jean-Michel Ane ', professeur d'agronomie à l'Université de Wisconsin-Madison, et «Le génome, un outil de sélection pour l'amélioration durable des cultures» du manioc, une culture de base par Rebecca Bart, membre assistante du Donald Danforth Plant Science Center, dont le travail est également soutenu par la Gates Foundation. La session se terminera par une table ronde sur la manière dont la science agricole transcende les disciplines traditionnelles.
En outre, deux scientifiques scientifiques spécialistes des plantes de l'IGB seront nommés Fellows de l'AAAS: Andrew Leakey est professeur de biologie végétale et de phytotechnie à l'Illinois. Il étudie les réactions des plantes au changement climatique ainsi que le développement de cultures plus sèches. tolérant. Ray Ming est professeur de biologie végétale et expert en génomique végétale et en évolution des chromosomes sexuels, ce qui pourrait contribuer à améliorer la production de papaye.
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Réaliser une efficacité photosynthétique accrue (RIPE) consiste à concevoir des cultures vivrières de base afin de transformer plus efficacement l'énergie du soleil en rendement afin d'accroître durablement la productivité alimentaire mondiale, avec le soutien de la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation pour la recherche sur l'alimentation et l'agriculture (FFAR) et Département du développement international du gouvernement britannique (DFID).
RIPE est dirigé par l'Université de l'Illinois en partenariat avec l'Université nationale australienne; Académie chinoise des sciences; Organisation de recherche scientifique et industrielle du Commonwealth; Université de Lancaster; Université d'État de Louisiane; Université de Californie, Berkeley; Université d'Essex; et le Département de l'agriculture des États-Unis, Service de recherche agricole.
https://wattsupwiththat.com/2019/02/17/how-to-feed-the-world-by-2050-recent-breakthrough-boosts-plant-growth-by-40-percent/
(...) L’un des défis les plus importants du XXIe siècle est de savoir comment nourrir durablement une population mondiale croissante et plus riche, avec moins d’eau et d’engrais, sur des superficies en diminution, malgré des rendements stagnants, des menaces de parasites et de maladies et un climat en mutation. (...)
SupprimerAPPRENEZ AU MOINS QUELQUE CHOSE :
Un grain ou un œuf qui peut tout faire
dimanche 5 janvier 2014
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/01/un-grain-ou-un-oeuf-qui-peut-tout-faire.html
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7 hectares 8.476 m²/hab.
lundi 2 juillet 2012
https://huemaurice5.blogspot.com/2012/07/7-hectares-8476-mhab.html
L'attaque des changements climatiques chez les enfants se propage aux États-Unis
RépondreSupprimerComment une frappe de 7e niveleuse contre le changement climatique a éclaté en un mouvement
Par Sarah Kaplan
16 février à 10h00
NEW YORK - Le 9e vendredi de sa grève, Alexandria Villasenor, âgée de 13 ans, reçoit une douzaine de courriels, de nombreuses notifications Twitter et de bonnes nouvelles de l'autre côté de la planète: des étudiants en Chine veulent rejoindre son mouvement.
Chaque semaine depuis décembre, la septième année s'est rendue au siège des Nations Unies pour se rendre en pèlerinage afin de prendre des mesures pour lutter contre le changement climatique. Elle fait partie d'un groupe de militantes jeunes, féroces et principalement féminines derrière le mouvement des «attaques dans les écoles pour le climat». Le 15 mars, avec le soutien de certains des groupes environnementaux les plus importants au monde, des dizaines de milliers d’enfants dans au moins deux douzaines de pays et près de 30 États américains envisagent de sauter des cours pour protester.
Leurs demandes sont sans compromis: les pays doivent s’engager à réduire de moitié les émissions de combustibles fossiles au cours des 10 prochaines années afin d’éviter un réchauffement climatique catastrophique.
…
«Ma génération est vraiment bouleversée.» L’accord conclu à la COP24, la réunion américaine sur le climat, tenue en décembre, était insuffisant, a-t-elle déclaré. «Nous ne les laisserons pas faire. . . donnez-nous une planète brisée. "
“Huh. Oui, dit le journaliste. "De grandes ambitions."
Alexandria lève les sourcils.
"Oui", répond-elle, confiante.
Elle revêt ensuite son uniforme: un pantalon de ski imperméable et une veste en duvet, tout en blanc, à l'image des femmes du Congrès de l'État de l'Union et des suffragistes de tous les temps. Elle fait son sac - planificateur, thermos, gants - et attrape ses pancartes en carton recouvert de plastique portant les inscriptions «SCHOOL STRIKE 4 CLIMATE» et «COP 24 FAILD.
…
En savoir plus (paywalled): https://www.washingtonpost.com/national/how-a-7th-graders-strike-against-climate-change-exploded-into-a-movement/2019/02/15/e20868e2- 2fb4-11e9-86ab-5d02109aeb01_story.html
Quel est le problème avec cette image ?
Pour moi, la chose la plus frappante sur la photo est la quantité de plastique exposée - des panneaux recouverts de plastique et des vêtements en plastique pour temps froid qu’Alexandria porte. La plupart du plastique est produit par le traitement de produits chimiques extraits de combustibles fossiles.
Si les enfants veulent lutter contre le réchauffement climatique et contre l'extraction de combustibles fossiles, la première chose à faire est de se séparer des produits de l'extraction de combustibles fossiles, produits qu'ils refuseraient aux générations futures.
Alexandria n’est pas la seule à ne pas voir le lien qui existe entre ses propres choix de vie et les produits à base de combustibles fossiles - la plupart des photos de grévistes que j’ai vu se déroulent dans de nombreuses pièces en plastique par temps froid.
Qu'en est-il de l'impact sur l'éducation d'Alexandrie ? Beaucoup de commentateurs (y compris moi-même) ont suggéré que les attaquants des écoles fassent du mal à leurs perspectives d'avenir, mais, à la réflexion, il est plus probable qu'au moins certaines des universités libérales actuelles accordent un crédit aux grévistes des étudiants vérifiés, pour compenser le manque d'études alors qu'ils étaient en marche contre le changement climatique.
https://wattsupwiththat.com/2019/02/17/childrens-climate-change-strike-spreads-to-the-usa/
SupprimerLes enfants débiles et les enfants des champs ! Comment faire comprendre à des cons qu'ils doivent les rester et lécher le cul des merdias ? Ils ne connaissent RIEN de la nature et veulent en régler les degrés des volcans ! HAHAHAHAHA !
LA RECHERCHE DE FRACK'S
RépondreSupprimer16 février 2019
Theresa May a été invitée à soutenir la fracturation alors que la société affirme avoir découvert 30 ans de gaz dans l'Est des Midlands
Le géant de la chimie Ineos affirme que le champ gazier du Nottinghamshire est le plus riche de l'histoire britannique
Par Steve Hawkes,
Rédacteur politique adjoint
15 février 2019, 01h43
Aujourd'hui, THERESA MAY est invité à soutenir la révolution de la fracturation, alors que de nouveaux tests indiquent que les East Midlands disposent de «30 années de gaz».
Le directeur d’Ineos, Tom Pickering, affirme que sa société a enregistré les résultats de forage les plus significatifs de la courte histoire de l’industrie britannique des schistes.
Les essais ont révélé un niveau moyen de 60,7 pieds cubes standard par tonne de gaz - comparé à une moyenne de 39 pieds cubes par an dans un vaste champ de gaz méthane (pets) au Texas.
Le chef de l’exploitation d’Ineos Shale, Tom Pickering, a déclaré que c’était le résultat de forage le plus important de la courte histoire de l’industrie britannique du schiste.
Il a déclaré au Sun: «C’est évidemment le début, mais ce sont les lectures les plus élevées que nous ayons jamais vues au Royaume-Uni.»
Les géologues estiment qu'il pourrait y avoir 436 billions de pieds cubes de gaz dans cette partie du bassin de Bowland. Ce test est cohérent avec cela.
«Avec un taux de récupération de 20%, cela équivaut à 30 ans de gaz pour le pays. Nous croyons que c’est vraiment quelque chose à dire. ”
Le temps est venu pour un leadership fort de tirer parti d'une opportunité unique de génération en génération.
Tom Pickering, directeur d'Ineos
Lire l'histoire complète ici.
https://wattsupwiththat.com/2019/02/16/fracks-lacking-backing/
SupprimerAprès les 'alertes au méthane' qui pourrait être libéré sous les pôles par les volcans qui en fondent la glace, et toutes les constatations mondiales que les fracturations pour son extractions causent des tremblements de terre jusqu'à des milliers de kilomètres, voici que l'avantage d'en mourir refait surface en en vantant ses performances extraordinaires vis-à-vis de la dépopulation en marche !
Hydrogène (fusion thermonucléaire) + gaz carbonique = méthane
L'hydrogène est l'élément le plus abondant de l'Univers
« Sésame, le bio s'ouvre à vous ! »... et les fonds publics pour eux : 10.000 euros de subventions/hectare ?
RépondreSupprimer18 Février 2019
par Seppi
Le Parisien nous a proposé le 2 janvier 2019 un « Sésame, la grande ferme biologique de l’ex-base 217 de Brétigny » fort instructif :
« 61 hectares seront cultivées dès cet automne par 13 agriculteurs associés. Vingt et une autres exploitations devraient également être mises en place sur les vingt et une communes du territoire Coeur d’Essonne. »
Il paraît que c'est un « grand projet innovant et porteur d’avenir ».
Belles paroles...
On sort son mouchoir quand on lit que les porteurs de projet « ont choisi le nom d’une graine "peu consommatrice d’eau, respectueuse des sols et nourrissante" ». Ben oui, il y a des graines qui respectent les sols, et d'autres pas... C'est nouveau ! Et le sésame, c'est vraiment nourrissant ! Mangez un pain normal, puis le même au sésame... et constatez la différence...
Mais on peut les laisser à leur marketing. C'est toutefois une autre affaire s'agissant des responsables politiques, cités par le Parisien :
« "Il faut y lire notre ambition de tourner le territoire vers l’écoresponsabilité, indique Eric Braive, président (DVG) de Cœur d’Essonne agglomération. C’est-à-dire de le développer en étant attentif au devenir des générations futures, sans y créer de logements, mais en y générant des emplois." »
« Éco(lo)responsabilité » rime-t-il avec « éco(no)responsabilité » ?
Le Parisien écrit encore :
« Coût total du projet : 6,5 M€. Présélectionné par l’Etat et la Caisse des dépôts dans le cadre de l’appel à projets "Territoire d’innovation et de grande ambition", en janvier dernier, le projet Sésame pourrait par ailleurs remporter un soutien financier équivalent à plusieurs dizaines de millions d’euros sur les dix ans à venir. De quoi faciliter la mise en place de ses autres volets, et notamment de 21 fermes plus petites. Soit une par commune membre de l’agglomération. »
C'est un peu dur à décrypter. Mais admettons que les 6,5 M€ représentent bien le coût total du projet, pour 61 hectares mis en culture à l'automne et 75 hectares à terme. Sachant par ailleurs que :
« Les treize agriculteurs associés élèveront 249 poules et 20 vaches, et consacreront 13 ha à la culture maraîchère, et 20 à celle des céréales. Il y aura également une parcelle d’agroforesterie de 5 ha. »
L'économiste (que je ne suis pas) trouve que ce projet est subventionné à hauteur de quelque 100.000 euros/hectare ou 500.000 euros/« agriculteur ». Nous mettons des guillemets parce qu'à 13 sur 61 hectares, cela fait 4,7 hectares en moyenne. Ce n'est pas de l'agriculture en France.
L'achat des terrains à l'État, réalisé en décembre 2015, n'est pas inclus dans ce chiffre, mais cela ne change pas la donne : 300 des 750 hectares du site ont été cédés par l'État aux collectivités locales pour un euro symbolique.
Quelle taille, le projet ?
Faut-il au contraire penser que cette somme correspond à l'ensemble du projet, décrit comme suit dans l'annonce des lauréats de l’appel à manifestations d’intérêt pour les « Territoires d’Innovation de Grande Ambition » ?
« "Cœur d'Essonne, territoire pionnier de la transition agricole et alimentaire en région Ile-de-France", Cœur d’Essonne Agglomération
RépondreSupprimerEn 10 ans, Cœur d’Essonne a pour objectif de nourrir 10% des habitants et d’approvisionner 50 % de la restauration collective en produits issus de l’agriculture biologique locale, d’assurer le renouvellement des agriculteurs et de créer 2 000 emplois directs et indirects tout en inversant la tendance de dégradation des sols et en rétablissant la biodiversité. Le projet prévoit également de démontrer la capacité de l’agro-écologie à changer d’échelle, avec la mise en place d’une exploitation de 75 Ha destinée à être la tête de réseau de 100 autres fermes pilotes, et d’implanter 12 unités de transformation sur le territoire.
Cent autres « fermes pilotes » ? Ou, une fois le projet accepté pour un financement sur nos très chers impôts, plus que « 21 fermes plus petites » comme vient de l'écrire le Parisien ?
L'agglomération dispose-t-elle des superficies nécessaires ? Si la centaine initialement annoncée sont de 75 hectares chacune, il faudrait 7.500 hectares, soit en gros la moitié de la superficie de l'agglomération...
Et si c'était 100 fermes de 5 hectares chacune en moyenne (en extrapolant le projet actuel de 13 « agriculteurs » sur, à terme, 75 hectares) ? Est-ce crédible de « nourrir 10% des habitants et d’approvisionner 50% de la restauration collective » ? C'est certes suivi de : « en produits issus de l’agriculture biologique locale ». Nourrir quelque 20.000 personnes ?...
L'argent public est dilapidé...
Tout aussi ahurissant est le chiffre de 2.000 emplois directs ou indirects.
On a certes fait miroiter l'établissement de « douze unités de transformation, une centrale solaire et une ressourcerie agricole [qui] seront aussi créées. » Si le « bio » doit être local, il faut bien le transformer sur place. Mais là encore, quelle rentabilité de l'investissement, quelle productivité du travail, quel subventionnement du fonctionnement ?
En résumé, il se pose beaucoup de questions sur la gestion des finances publiques.
Dans un article plus ancien « Brétigny-sur-Orge : le projet de fermes bios sur l’ex base aérienne séduit l’Etat », le Parisien articule un autre chiffre – ahurissant – de subvention :
« Ce projet de "transition agricole et alimentaire unique en France", comme l’a souligné ce lundi Eric Braive, le président (DVG) lors de ses vœux à la population, doit voir le jour sur les 75 ha de l’ex base aérienne 217 de Brétigny-sur-Orge. En franchissant cette première étape, l’agglomération va bénéficier d’une aide de 387 000 € pour réaliser des études complémentaires. Une somme qui doit leur permettre de préparer la réponse à un nouvel appel à projets lancé mi-2018, où seule une douzaine de dossiers sera choisie. A la clé : un budget de 450 M€ sur 10 ans à répartir entre les lauréats. »
Des « études complémentaires » pour 387.000 euros ? Pour quelles subventions, au final, alimentant le fonctionnement du projet ?
Généralisons : combien de dépenses en frais d'études des 117 porteurs de projet dont on a retenu 24 pour une dotation de 450 millions d'euros sur 10 ans ?
On peut s'en remettre au jugement de la Chambre d'Agriculture de l'Île-de France
RépondreSupprimerBeaucoup de questions se posent aussi sur les ambitions politiques. L'article précité nous apprend également que la Chambre d'Agriculture de l'Île-de-France s'est retirée du projet : elle refuse « l’imposition d’un projet alternatif n’ayant aucune viabilité économique en termes de financement et d’emplois ».
Mais on semble penser – sur ce projet et d'autres – que l'avenir de la société française se trouve dans des micro-fermes ou des ensembles de micro-fermes pratiquant une agriculture biologique ou, mieux encore, la « permaculture » et quelque autre activité (20 vaches et 249 poules... quelle productivité du travail et rentabilité de l'investissement ?).
Pendant ce temps, d'autres pays, en Europe et ailleurs, investissent dans l'agriculture productive... et investissent notre marché au dépens de notre agriculture nationale.
http://seppi.over-blog.com/2019/02/sesame-le-bio-s-ouvre-a-vous.et-les-fonds-publics-pour-eux-10.000-euros-de-subventions/hectare.html
SupprimerPrimo, aux siècles derniers, TOUTES la végétation était 100 % bio ! Zéro engrais chimique ! Zéro traitement contre les maladies et bestioles ! et... TOUT LE MONDE CREVAIT A 40 ANS !
Pourquoi ? Parce que d'abord un cheval ou un bœuf ne fait pas 'des tonnes de fumier' mais plutôt une crotte par an pour 10 m² !
Secundo, les fumiers ne conviennent PAS à toutes les plantes. Il y a des fumiers trop acides ou trop dépourvus de valeur pour les plantes.
Tertio, sans remèdes contre les maladies: c'est la mort ! sans protection contre les insectes ravageurs: c'est la mort !
Cette politique désastreuse du 'bio' est faite pour les simples d'esprit attentionnées aux discours hégémoniques des merdias !
Agriculture biologique : des croyances au lieu de la science
RépondreSupprimer16 Février 2019
par Seppi
Ludger Weß*
L'agriculture biologique aime se référer à son recours à de méthodes scientifiques. Cela peut être le cas dans certains domaines, mais ses principes de base sont fondés sur des conceptions mystiques.
Quel est le problème avec l'agriculture biologique ? Ce ne sont pas les objectifs : l'agriculture doit protéger autant que possible et utiliser le moins possible le sol, l'air, l'eau et d'autres ressources. La population mondiale augmente et la superficie agricole n'est pas infinie.
Mais il y a un mais : l’agriculture biologique empêche ses adeptes d'utiliser les meilleures pratiques pour une agriculture économe en ressources. Elle bannit de l'arsenal de ses méthodes presque toutes les technologies développées depuis les années 1920 – y compris la génétique moléculaire, le génie cellulaire et génétique et les pesticides modernes. Ils sont universellement considérés comme « non naturels » ou « contre nature », et les lobbyistes de l'agriculture biologique font tout leur possible pour interdire ces technologies à d'autres agriculteurs.
On oublie, ce faisant, que l’agriculture en elle-même n’est pas naturelle : qui cultive des plantes alimentaires ne peut pas le faire « en harmonie avec la nature », mais doit intervenir dans la nature : défricher, labourer, semer, désherber, lutter contre les bioagresseurs, fertiliser, irriguer, récolter, protéger, améliorer les plantes. Chacune de ces étapes a des conséquences sur l’équilibre écologique tant prisé. Tout le monde modifie les sols, les habitats, la biodiversité, les gènes, le climat.
Cependant, ces conséquences sont moins graves – est-il allégué – lorsque la culture est pratiquée selon des « méthodes naturelles ». Le « naturel » est régi par une maxime simple en agriculture biologique : n'est autorisé que ce que l'on trouve dans la nature. Les engrais produits artificiellement sont interdits, de même que les plantes ou les produits phytopharmaceutiques issus des laboratoires et des usines.
Une conception absurde de la nature
Les représentants de l'agriculture biologique tirent tout cela d'un concept de « naturel » qui remonte au 18e siècle et qui est réfuté depuis le 19e siècle. Ses défenseurs construisent une dichotomie entre les substances « naturelles » et les substances synthétisées chimiquement et interdisent l'utilisation de ces dernières. Cela conduit à des contorsions lorsque l'agriculture biologique veut garder une substance qui ne se trouve pas dans la nature, comme nous l'avons décrit ailleurs (divulgâcheur : c'est bien sûr « naturel » lorsque la NASA en trouve des traces dans une météorite).
Cette dichotomie ne peut pas être justifiée scientifiquement. Dès le début du XIXe siècle, des scientifiques ont établi que le métabolisme des êtres vivants est basé sur les mêmes substances chimiques que celles qui peuvent être produites en laboratoire. Les êtres vivants ne se caractérisent pas par une Vis vitalis spéciale, une force vitale mystérieuse. Aucun organisme vivant ne peut distinguer une molécule de sucre dans son alimentation selon qu'elle provient d'une plante, d'une raffinerie ou du laboratoire d'un chimiste.
Les êtres vivants ne peuvent pas non plus savoir si une substance chimique qu'ils trouvent dans la nourriture ou dans l'environnement se trouve ailleurs dans la nature – comment cela pourrait-il être possible ? Les molécules ne portent pas d'étiquettes et les êtres vivants n'ont pas de registre qui mentionne toutes les substances d'origine naturelle et leur permet de faire le tri.
C'est tout simplement parce que la nature produit chaque jour de nouveaux mélanges explosifs de substances, en fonction de la saison et de l'environnement (le cocktail chimique d'une fraise, par exemple, est décrit ici), que les enzymes de notre foie, l'organe de détoxification le plus important, sont très peu spécifiques : elles cassent les grosses molécules grâce à des réactions standard. Dans de très rares cas, cela conduit à des substances intermédiaires toxiques (on étudie cela de manière approfondie pour les produits phytopharmaceutiques et les médicaments avant de les approuver). Les substances dérivées de bactéries, de plantes ou d'animaux ne se distinguent pas, dans leur comportement de dégradation, de celles qui sont apparues lors de réactions chimiques en laboratoire. Du reste, les micro-organismes et les plantes produisent aussi des substances qui endommagent les nerfs, provoquent des cancers et des mutations, ont des effets hormonaux, détruisent le foie, le cœur, les reins et d’autres organes, provoquent des allergies et induisent des maladies chroniques.
RépondreSupprimerBon nombre des poisons « naturels » utilisés par les agriculteurs biologiques sont ainsi préoccupants du point de vue toxicologique : la roténone obtenue à partir de racines de Paraderris elliptica provoque la maladie de Parkinson (elle est désormais interdite dans l'UE). Les toxines contenues dans l'extrait de chrysanthème (pyrèthre) sont cancérogènes et nuisent également aux nerfs humains. Les sels de cuivre, un métal lourd, peuvent causer le cancer du foie chez les utilisateurs. Néanmoins, l'agriculture biologique les utilise car ils sont d'origine naturelle. Selon cette logique, les dioxines et l'amiante seraient également autorisés en tant que pesticides (si, par exemple, ils tuaient des insectes nuisibles)... après tout, la dioxine et l'amiante sont des substances naturelles.
Naturel et persistant
L'amiante et la dioxine sont aussi de beaux exemples de produits naturels persistants. Ce n'est pas du tout le cas que la nature ne produise que des substances qui se décomposent rapidement. « Amiante » est un nom collectif pour des minéraux naturels. Des dioxines sont régulièrement émises en quantités importantes lors des feux de forêt et de brousse, des éruptions volcaniques, etc. L'amiante n'est pas biodégradable ; la dioxine ne peut être décomposée dans la nature que dans des conditions très spéciales par quelques micro-organismes. Le cuivre utilisé en agriculture biologique est un autre exemple : une fois appliqué, il ne peut plus être retiré du sol ; il s'accumule et disparaît dans le meilleur cas par lessivage – pour s'accumuler dans les eaux.
Mais de nombreuses substances produites par des organismes s’accumulent aussi dans l’environnement, se répandent dans la chaîne alimentaire et se dégradent au bout de plusieurs décennies, voire siècles. Celles-ci comprennent les plus de 5.000 composés organiques connus du chlore, du brome ou de l'iode que produisent des micro-organismes, des plantes et des animaux. En 2006, des chimistes de l’Université de Hohenheim ont découvert dans les aliments un composé organobromé d’origine naturelle jusqu’alors inconnu qui s’accumule dans la chaîne alimentaire. Il est produit par des micro-organismes sur les fonds marins et peut être trouvé dans des échantillons du monde entier, y compris dans le lait maternel et dans l'air. Les échantillons de contrôle alimentaire de routine ont montré qu'il y a des poissons contenant cette substance naturelle en plus forte concentration que la somme de tous les polluants anthropiques (somme des congénères de PCB, du DDT et de ses métabolites, des autres pesticides chlorés et des substances chimiques présentes dans l'environnement). Cette substance est également concernée par ce que les environnementalistes attribuent de manière forfaitaire, sans nuance, aux hydrocarbures aromatiques halogénés : des effets potentiellement néfastes sur la santé.
Quiconque rétorquerait maintenant que le « cocktail chimique » auquel la société industrielle nous confronte, paraît-il, au quotidien comporte des risques dus à des interactions inconnues ou imprévisibles, ferait bien de ne pas manger de salades de fruits exotiques ou de macédoine de légumes (même sans pesticides de synthèse, ce sont de purs cocktails chimiques) et d'exiger que l'on retire les livres de cuisine du marché. Après tout, il n'a pas encore été démontré que les combinaisons d'aliments proposées dans les livres de cuisine ont été testées pour leurs interactions, d'autant plus que la cuisson non naturelle des aliments (les animaux ne les font pas cuire ou rôtir) produit des substances insuffisamment caractérisées.
RépondreSupprimerMysticisme subtil ou escroquerie ?
Le dogme de l'agriculture biologique, qui prétend n'utiliser que des substances présentes dans la nature, n'est pas scientifique. Il serait scientifique d'examiner chaque substance pour déterminer sa toxicité et son comportement de dégradation, puis de décider laquelle peut être utilisée dans quelles circonstances. Après tout, même les substances chimiques produites par des êtres vivants ou par des processus naturels peuvent être aussi toxiques pour l'homme et les animaux que celles produites artificiellement. Elles peuvent s'accumuler et avoir des effets durables sur l'environnement. Les substances les plus cancérogènes de notre alimentation sont d'origine naturelle : les toxines des moisissures et l'alcool. C’est pur mysticisme que d’attribuer à des substances naturelles des propriétés précieuses, « holistiques", de les considérer comme saines, douces, « fines » ou« pleines d'énergie ». La promesse publicitaire qu'un aliment ou un produit cosmétique est « sans chimie » n’est pas simplement un non-sens, c’est une supercherie : rien n’est automatiquement plus sain ni plus bénéfique parce que c’est tout à fait naturel.
Sélection végétale « naturelle » ?
L'agriculture biologique traite la production de nouvelles variétés avec le même obscurantisme. L'amélioration des plantes est une intervention artificielle dans la nature que l’homme pratique depuis environ dix mille ans pour rendre les plantes plus nutritives, plus goûteuses, plus productives et plus résistantes. L'agriculture biologique ne rejette certes pas l'amélioration des plantes en tant que telle, mais tous les processus utilisant des méthodes techniques modernes comme étant non naturels. Celles-ci comprennent non seulement le génie génétique classique et l'édition du génome, mais également la sélection d'hybrides interspécifiques, y compris la technologie CMS [cytoplasme mâle-stérile], à laquelle s'est ajoutée récemment la mutagenèse (les mutations induites), qui utilise des produits chimiques ou un rayonnement de haute énergie.
Que ces procédés soient considérés comme non naturels ne peut être expliqué rationnellement. L'échange de gènes entre espèces (« transfert horizontal de gènes »), tel qu'il est pratiqué dans le génie génétique classique pour produire, par exemple, des bactéries produisant de l'insuline humaine, est présent dans la nature chez d'innombrables plantes et animaux. Dans la nature, même les plantes et les animaux échangent des gènes. E. coli, notre bactérie intestinale, a conservé pratiquement toutes ses capacités, non pas par l’évolution classique, mais par le transfert horizontal de gènes. Nous aussi, les humains, possédons des dizaines de gènes qui proviennent d’autres organismes et qui sont entrés dans notre génome par le biais de virus et de parasites. On en trouvera un aperçu ici. Les barrières entre espèces, souvent citées, dont le franchissement est présenté comme non naturel ou même contre-nature, sont une fiction qui n’a rien à voir avec la réalité biologique. Elle est fondée sur l’idée fausse selon laquelle les organismes ne peuvent échanger des gènes entre eux que lorsqu’ils se reproduisent entre eux.
Barrière entre espèces et rythme de l'évolution
RépondreSupprimerDe plus, l'édition du génome est pratiquée dans la nature depuis des millions d'années, car ce n'est qu'ainsi que les bactéries peuvent se défendre contre les virus. Les hybrides interspécifiques ne sont pas non plus une invention humaine : ils jouent un rôle de premier plan dans l'évolution. Les mutations par rayonnement sont la norme dans la nature. Le rejet de la sélection par mutation est tout particulièrement étrange : augmenter le taux de mutation par irradiation artificielle n’est pas correct selon les principes des fondamentalistes de l’agriculture biologique, car cela accroît le « rythme de l’évolution » – mais que se passerait-il si le sélectionneur de plantes se déplaçait vers des régions où la radioactivité de fond naturelle est plus élevée ? Embarquer du matériel végétal dans des avions ou des navettes spatiales serait-il non naturel, mais le transporter vers les hauts plateaux du Tibet ne le serait pas, bien que l'objectif soit dans les deux cas de soumettre le matériel génétique à une exposition accrue au rayonnement cosmique ?
De plus, 20 milliards de mutations par an sont produites sur un seul hectare de blé. Malgré cela, nous continuons à transformer et à manger les grains de blé et à laisser croître les plantes adjacentes, qui sont également mutées par les rayons du soleil, sans craindre que les mutations se propagent dans la nature, se répandent par « contamination » et perturbent la biodiversité.
Si l'agriculture biologique était cohérente en termes d'amélioration des plantes, elle devrait arrêter la culture de raisins et de melons sans pépins, s'abstenir de greffer (c'est de la multiplication par clonage, dans laquelle des gènes peuvent aussi être transférés entre le greffon et le porte-greffe) et donc à la plupart des variétés de fruits à pépins et à noyau, refuser le triticale et le blé (des chimères de différentes espèces), ainsi que bannir presque toutes les variétés modernes à haut rendement, car elles ont été produites par des interventions chimiques ou physiques et sont donc considérées comme des OGM au sens de la directive de l'UE sur les OGM.
Conclusion
Le concept de naturalité de l'agriculture biologique ne peut être ni scientifiquement justifié, ni appliqué de manière cohérente. Il se fonde sur des règles arbitraires. Il n’a rien à voir avec la raison, mais avec la foi et les sentiments, deux mauvais conseillers en matière d'alimentation de l’humanité.
Parallèlement, de plus en plus d'études mettent en garde contre le recours à l'agriculture biologique pour nourrir la planète et protéger le climat. L'agriculture biologique nécessite plus de terres pour les mêmes niveaux de productions que l'agriculture conventionnelle, et cette utilisation des terres entraîne une déforestation supplémentaire, augmentant les émissions de CO2 plutôt que de les réduire.
Pour rappel : les objectifs de l'agriculture biologique ne sont pas faux et toutes ses méthodes ne le sont pas non plus. Cultures associées, rotation des cultures, utilisation d’organismes utiles, etc., l'agriculture biologique les a mises à l'ordre du jour – des méthodes qui sont maintenant aussi utilisées par les agriculteurs qui ne veulent pas abandonner complètement les pesticides de synthèse, les engrais minéraux et les variétés à haut rendement.
Le dogmatisme de l'agriculture biologique fait fausse route et il serait désastreux que, comme le réclament sans cesse ses partisans, elle soit pratiquée à l'échelle mondiale. Le monde ne peut pas être nourri avec des aliments biologiques, à moins que tout le monde devienne végétarien, que les prairies humides et les prairies alpines et les steppes de ce monde soient utilisées pour produire des céréales, que plus aucune nourriture ne soit gaspillée et jetée (pour mémoire : en agriculture biologique, chaque année, des tonnes de nourriture sont perdues dans les champs parce que les agriculteurs biologiques n’utilisent pas de pesticides efficaces), que l'on se passe de cultures pour l'énergie et de stimulants (après tout, le thé, le café, le vin et le houblon ne sont pas nécessaires à la survie) et que personne n'ingère plus que les calories nécessaires selon les recommandations nutritionnelles de l'OMS.
RépondreSupprimerEn un mot : il n'y a pas que les habitants de Berlin-Mitte et de Downtown Manhattan qui devraient passer au « lait » d'avoine, aux galettes de légumes et aux steaks de tofu, mais également tous les Chinois, tous les Africains, tous les Russes et quelques milliards de personnes supplémentaires. On peut souhaiter cela, mais cela rappelle la solution proposée par l'Église catholique pour lutter contre le sida : si tout le monde renonçait aux rapports sexuels avant le mariage et extraconjugaux, nous n'aurions pas besoin de médicaments de haute technologie contre le VIH, car l'épidémie prendrait fin naturellement.
http://seppi.over-blog.com/2019/02/agriculture-biologique-des-croyances-au-lieu-de-la-science.html
Glyphosate : bravo Baptiste, Pascal et la Nouvelle République
RépondreSupprimer18 Février 2019
par Seppi
Glané sur la toile 305
Le titre est accrocheur : « Baptiste, 30 ans, “pro” glyphosate » dans la Nouvelle République. Et le texte très pédagogique :
« Suite à la récente diffusion d’un reportage d’"Envoyé Spécial" sur France 2, qui mettait à mal les défenseurs du glyphosate, ce jeune paysan originaire de Chemillé-sur-Dême, qui a racheté une ferme de 113 ha, veut faire entendre la voix "des agriculteurs qui utilisent ce produit en quantité raisonnée, une fois par an, pour nettoyer les champs avant les semis tout en évitant au maximum les labours, dans une démarche de conservation des sols vivants. Des abus ont été commis par le passé quand on traitait à outrance, admet Baptiste. Mais, aujourd’hui, nous avons des outils de décision d’aide au traitement, notamment avec les GPS qui nous disent quand traiter et à quelle dose." »
Et aussi :
« […] Sans glyphosate, il faut travailler en permanence les sols ; ça favorise l’érosion, on diminue la qualité des sols, on brûle beaucoup plus de fuel et on emploie d’autres produits derrière… »
Il en faudrait davantage, des articles comme ça... et des agriculteurs et journalistes lucides et courageux.
http://seppi.over-blog.com/2019/02/glyphosate-bravo-baptiste-pascal-et-la-nouvelle-republique.html
Une étude suggère que l'éducation scientifique améliore les attitudes vis-à-vis des aliments génétiquement modifiés
RépondreSupprimer17 Février 2019
par Seppi
Joan Conrow*
Une nouvelle recherche non [encore] publiée a révélé qu'enseigner aux gens la science derrière le génie génétique conduit à des attitudes plus positives à l'égard des aliments génétiquement modifiés – invalidant la conviction que les faits ne changent pas les mentalités dans le débat sur les OGM.
L'élément important semble être la nature des faits qui sont partagés et la manière de le faire.
« Nos résultats montrent que fournir au public des modules hebdomadaires de connaissances factuelles et sans connotation de valeur conduit à une acceptation accrue des aliments génétiquement modifiés », ont écrit les chercheurs.
« Ces résultats fournissent également un canevas relativement simple pour les interventions futures visant à surmonter le scepticisme au sujet des OGM, suggérant que les chercheurs et les scientifiques souhaiteraient peut-être se concentrer sur la communication de la science fondamentale à la base de la technologie GM et sur l'amélioration de la culture scientifique », selon le résumé pré-publié.
Des études précédentes avaient pour objectif de faire comprendre que les aliments génétiquement modifiés présentaient un risque faible ou étaient bénéfiques, une approche « qui a finalement abouti à des attitudes plus polarisées à l’égard des aliments génétiquement modifiés, peut-être parce que les communications ont déclenché des réactions de rejet en confrontant les sujets à des informations qui impliquent des jugements de valeur, sans aborder les causes du scepticisme », ont écrit les chercheurs.
La nouvelle recherche suggère, selon l'article, que « si des efforts doivent être déployés pour changer les mentalités en communiquant des informations scientifiques, ces informations doivent être présentées de manière neutre, de façon à éviter de confronter les individus à de nouvelles opinions désagréables ou à des faits qui menacent des croyances et des convictions préexistantes ».
L'opposition du public aux aliments génétiquement modifiés a été rude – et les attitudes à l'égard ces aliments éloigne le public des scientifiques plus que tout autre sujet, y compris ceux qui divisent beaucoup, comme le changement climatique ou la vaccination, indique l'article. Cependant, très peu de recherches ont été effectuées pour comprendre pourquoi.
« Les recherches existantes ont été axées sur l'identification du rôle des croyances immuables, telles que la moralité et la politique, difficiles à changer. Par conséquent, la recherche pourrait tirer profit de l'identification de prédicteurs modifiables du rejet de la science – des prédicteurs qui peuvent être modifiés au moyen d'interventions – afin que des efforts puissent être faits pour augmenter le soutien du public aux avancées scientifiques », indique l'article.
Les chercheurs ont mené quatre études pour déterminer si l’analphabétisme lié aux technologies du génie génétique était un facteur prédictif puissant et unique du scepticisme envers les aliments génétiquement modifiés. Les résultats des deux premières études ont montré que c'était le cas, tandis que la troisième étude a montré qu'il y avait une cohérence pour ce prédicteur entre les États-Unis, le Royaume-Uni et les Pays-Bas.
Les trois premières études étaient corrélationnelles – conçues comme un fondement pour comprendre comment changer les attitudes. Les chercheurs ont ensuite mené une étude finale pour dégager une compréhension causale de la relation entre les connaissances spécifiques aux OGM et les attitudes vis-à-vis des OGM. Ils ont cherché à surmonter le manque de connaissances en enseignant aux gens les bases scientifiques de la technologie, en utilisant un plan expérimental longitudinal de cinq semaines.
RépondreSupprimerLes participants ont découvert la science derrière la génétique, l'ADN et les procédures de modification grâce à des vidéos et des infographies disponibles gratuitement. Les informations présentées étaient neutres en termes de jugements de valeur et évitaient les affirmations « idéologiques » selon lesquelles les aliments génétiquement modifiés étaient sains ou bons. Au lieu de cela, les participants ont été encouragés à réfléchir aux informations présentées et à prendre leurs propres décisions concernant les aliments génétiquement modifiés.
Pendant ce temps, les participants d'un groupe de contrôle ont acquis les bases scientifiques de la nutrition, du métabolisme et de la façon dont le corps traite les calories, les lipides, les vitamines et d'autres aspects d'une alimentation saine.
À la cinquième semaine, ceux à qui la science du génie génétique avait été enseignée ont montré une attitude plus positive à l'égard des aliments génétiquement modifiés, une plus grande volonté de consommer des produits génétiquement modifiés et une atténuation de la perception des aliments génétiquement modifiés comme étant risqués.
« Les chercheurs et les scientifiques souhaiteront peut-être reconsidérer les tentatives de communication de la science derrière leurs progrès », ont conclu les auteurs. « Plutôt que de combattre les affirmations des scientifiques sceptiques et d'inonder le public de déclarations sur la sécurité ou les avantages de leurs produits, il est peut-être préférable de consacrer du temps et de l'argent à une éducation de base, mais ciblée, pour lutter contre les idées fausses sous-jacentes sur la science. »
Les auteurs ont ensuite décrit deux applications de leur recherche : des campagnes d’information et des efforts de sensibilisation axés sur la communication de connaissances propres à un domaine donné au lieu de lutter contre les affirmations non factuelles de manière défensive ; et une application pour smartphone qui invite les utilisateurs à lire des informations sur un sujet ou une technologie donnés, présentées sous forme de modules gérables.
La recherche a été menée par Jonathan Mc Phetres et Jennifer Brisson de l'Université de Rochester, Bastiaan Rutiens de l'Université d'Amsterdam et Netta Weinstein de l'Université de Cardiff au pays de Galles.
______________
* Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2019/01/study-suggests-science-education-improves-attitudes-gmo-food/
http://seppi.over-blog.com/2019/02/une-etude-suggere-que-l-education-scientifique-ameliore-les-attitudes-vis-a-vis-des-aliments-genetiquement-modifies.html
SupprimerA l'heure où les merdias interdisent les plateaux de télé, micros des radios et colonnes des journaux aux scientifiques que l'ont fait les 'COP' où n'étaient autorisés à entrer que des FAUX scientifiques ou d'opposants aux sciences, ce ne sont pas les 'scolaires' qui vont apprendre quelque chose d'eux qui interdisent la vérité d'être dite et publiée !
L'AFP et le glyphosate dans le pipi : ça suffit !
RépondreSupprimer17 Février 2019
par Seppi
Et aurions-nous le remplaçant du glyphosate ?
Nous le prendrons du Monde, mais cela provient de l'AFP : « Glyphosate : nouvelles plaintes "pour mise en danger de la vie d’autrui" », avec en chapô :
« Quarante-cinq personnes ont décidé de porter plainte dans le cadre de la campagne toulousaine "J’ai du glyphosate dans les urines et toi ?". »
Quelle grande nouvelle, qui méritait sans nul doute une dépêche de l'AFP ! Largement reprise par des médias d'une médiocrité crasse...
Aurons-nous droit à une dépêche de l'AFP – une invitation à peine déguisée à participer à une vaste opération d'instrumentalisation de la justice – à chaque fois qu'un avocat organise un monôme devant un Palais de Justice ?
Le ridicule des plaintes « pour mise en danger de la vie d’autrui » – et aussi « tromperie aggravée » et « atteinte à l’environnement » échappe manifestement à la gente journaleuse.
Dans « Ils ont du glyphosate dans leurs urines : à Toulouse, 45 justiciables portent plainte », le pisse-copie de France 3 Région Occitanie écrit :
« Un laboratoire indépendant allemand a depuis procédé à l’analyse de ces échantillons. Avec un résultat sans appel : 100% des personnes présentent des taux très significatifs de glyphosate dans leurs urines, de 0,43 à 3,1 microgramme/litre de glyphosate, soit en moyenne, 1,113 microgramme/litre de glyphosate ont ainsi été retrouvés dans les urines des volontaires alors que la réglementation fixe le seuil maximal à 0,1 microgramme. »
Quelle réglementation ? Le seuil dans quoi ? Très au courant et très minutieux et respectueux du lectorat, le journaliste !
Bon, nous savons depuis longtemps – car il s'agit de la énième itération d'une gesticulation activiste – que c'est la norme (ou plutôt l'objectif) de qualité pour l'eau potable, une norme applicable de manière uniforme à quasiment tous les résidus de pesticides dans l'eau.
La norme pour la potabilité – de l'eau, pas du pipi – est la Vmax. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s'est dispensé de fixer une valeur guide, si ténu est le problème sanitaire de la présence de résidus de glyphosate dans l'eau potable. En France, on a finalement opté pour une Vmax de 900 microgrammes par litre (rappel pour journalistes incultes : 900 microgrammes, c'est 9.000 fois la valeur de la norme de qualité).
Par ailleurs, la dose journalière admissible (DJA) – la dose que l'on peut ingérer journellement sans qu'on s'inquiète d'un risque pour la santé (un risque affecté d'un facteur de sécurité de 100) – a été fixée à 0,5 milligramme/jour/kg de poids corporel (rappel pour journalistes incultes : 0,5 milligramme = 500 microgrammes – pour une petite personne de 60 kg, cela représente au total 30 milligrammes ou 30.000 microgrammes).
Sachant que le glyphosate ne s'accumule pas dans le corps, les quantités excrétées dans l'urine – l'excrétion étant en soi une bonne nouvelle – témoignent du fait que les quantités ingérées sont extrêmement faibles... Et avec ça des activistes gesticulent devant la justice – faute de pouvoir convaincre la science – affirmant qu'il y a « mise en danger de la vie d'autrui »...
Et l'AFP pisse une dépêche pour annoncer la grande nouvelle... Elle rapporte aussi :
« "Plus il y a de plaintes, plus le dossier sera important et sérieux", a déclaré l’avocate toulousaine Claire Dujardin, venue représenter quelques plaignants. »
RépondreSupprimerLes bavard(e)s ont évidemment pour mission de défendre les intérêts de leurs clients... mais faut-il le faire au prix du ridicule accompli ? En quoi le nombre de plaintes contribue-t-il au sérieux du dossier ?
« Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison » (Coluche).
Mais l'AFP a répercuté. En ajoutant encore de quoi meubler la dépêche et distiller un message bien anxiogène. Ainsi :
« Pierre, 71 ans, un ingénieur agronome à la retraite, qui affiche un taux de 1,39, s’indigne d’une "contamination scandaleuse". »
Pierre, vous faite honte à notre profession et notre diplôme.
Et aussi :
« Mi-janvier, le ministre de l’agriculture, Didier Guillaume, avait qualifié "d’inquiétante" la présence de glyphosate dans les urines des Français, rappelant que la France s’est engagée à sortir du glyphosate d’ici à 2021. »
Nous serons indulgent : il est ministre...
Il a aussi été interviewé façon interrogatoire musclé. Et il aussi déclaré :
« Je veux être le garant de la sécurité sanitaire des aliments, de la traçabilité de l'alimentation. C'est vraiment quelque chose d'important. Et en même temps [neuf occurrences de cette expression dans l'interview...], il ne faut pas effrayer nos concitoyens. »
° o O o °
Les commentaires sous les articles du Monde livrent parfois des informations intéressantes. Ainsi, dans ce cas précis, il y a eu une référence à « Un herbicide à base de sucre pour remplacer le glyphosate ? » publié par Futura-Sciences, un titre prudent avec son point d'interrogation mais un texte qui l'est beaucoup moins. La faribole du « c'est naturel, donc c'est sans danger » a sévi...
Un texte qui nous renvoie à un article dans Nature Communications de Klaus Brilisauer et al. ; « Cyanobacterial antimetabolite 7-deoxy-sedoheptulose blocks the shikimate pathway to inhibit the growth of prototrophic organisms » (l'antimétabolite cyanobactérien 7-déoxy-sédoheptulose bloque la voie métabolique du shikimate pour inhiber la croissance d'organismes phototrophiques).
Mais, braves activistes anti-glyphosate, cachez votre joie (si tant est que le désherbage avec un pulvérisateur entre dans les choses que vous trouvez acceptables ou, à la rigueur, tolérables) : si « ça marche » dans le monde réel, il faudra des années pour mettre un produit sur le marché.
http://seppi.over-blog.com/2019/02/l-afp-et-le-glyphosate-dans-le-pipi-ca-suffit.html
La NASA cache la page en affirmant que le soleil était le principal facteur de changement climatique, et que les nuages et les particules sont plus importants que les gaz à effet de serre
RépondreSupprimerFebruary 18th, 2019
ZeroHedge demande: Qu'est-ce que la NASA cache ?
Le site de la NASA avait auparavant une page intitulée "Quels sont les principaux forçages du système Terre ?". En 2010, cette page disait que le Soleil était le principal moteur du climat de la Terre, qu’il contrôlait tous les aspects majeurs et que nous étions peut-être au seuil d’une ère glaciaire. En outre, la NASA Science a déclaré que le comportement des nuages, de l’albédo et des aérosols pouvait avoir des effets de refroidissement plus puissants que l’effet de réchauffement du gaz carbonique.
Aujourd'hui, cette page dit: Partagez la science et restez en contact, et «Accès refusé».
NASA, Accès refusé à la page montrant le soleil est le principal moteur du changement climatique.
https://science.nasa.gov/earth-science/big-questions/what-are-the-primaries-primaries- of-the-earth-system-variability/
Quoi que vous fassiez, ne dites pas au monde que la NASA dit que le soleil est plus important que le gaz carbonique.
La Wayback Machine a capturé le même lien «Forçage climatique» de la NASA en 2010.
NASA, Forçage climatique, Soleil, image de la page d'origine.
- voir sur site -
Voici le texte de la page d'origine.
NASA 2010: Quels sont les principaux forçages du système terrestre ?
Le Soleil est la principale force du système climatique de la Terre. La lumière du soleil réchauffe notre monde. La lumière du soleil détermine les modes de circulation atmosphérique et océanique. La lumière du soleil alimente le processus de photosynthèse nécessaire à la croissance des plantes. La lumière du soleil provoque une convection qui transporte la chaleur et la vapeur d'eau dans le ciel, où les nuages se forment et apportent la pluie. En bref, le Soleil pilote presque tous les aspects du système climatique de notre monde et rend possible la vie telle que nous la connaissons.
L’orbite terrestre et l’orientation vers le Soleil changent sur des milliers d’années. À leur tour, ces changements de «mécanique orbitale» forcent le climat à changer, car ils changent où et quelle quantité de lumière solaire atteint la Terre. (Pour plus de détails, veuillez consulter.) Ainsi, la modification de l’exposition de la Terre au soleil force le changement climatique. Selon les modèles scientifiques des scientifiques sur l’orbite terrestre et l’orientation vers le Soleil, notre monde devrait commencer tout juste à entrer dans une nouvelle période de refroidissement, peut-être le prochain âge glaciaire.
Cependant, une nouvelle force de changement est apparue: les humains. Après la révolution industrielle, les humains ont introduit de plus en plus de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et ont modifié la surface du paysage dans une mesure suffisamment importante pour influer sur le climat à l'échelle locale et globale. En augmentant les niveaux de gaz carbonique dans l'atmosphère (d'environ 30 %), les humains ont accru leur capacité à capter la chaleur près de la surface.
Parmi les autres facteurs importants influant sur le système climatique de la Terre figurent des «variables» telles que les nuages, les particules en suspension dans l’air et la luminosité de la surface. Chacune de ces caractéristiques variées de l’environnement terrestre a la capacité de dépasser l’influence des gaz à effet de serre sur le réchauffement et de refroidir notre monde. Par exemple, une nébulosité accrue donnerait plus d'ombre à la surface tout en réfléchissant davantage de lumière solaire dans l'espace. L'augmentation des particules en suspension dans l'air (ou «aérosols») disperserait et réfléchirait davantage de lumière solaire dans l'espace, refroidissant ainsi la surface. Les éruptions volcaniques majeures (comme celle du mont Pinatubo en 1992) peuvent injecter dans l'atmosphère une quantité d'aérosol telle que, lorsqu'elle se propage dans le monde entier, elle réduit la lumière solaire et provoque le refroidissement de la Terre. De même, l'augmentation de la surface des types de surface hautement réfléchissants, tels que les inlandsis, renvoie davantage de lumière solaire dans l'espace et fait refroidir la Terre.
RépondreSupprimerLes scientifiques utilisent les satellites de la NASA pour surveiller tous les forçages susmentionnés du système climatique de la Terre afin de mieux comprendre leur évolution dans le temps et leur incidence sur le climat.
Selon la Wayback Machine, le texte aurait disparu début 2011 sous le règne d’Obama. Certaines personnes disent que Trump cache la science du climat, mais Trump supprime la propagande, tandis qu'Obama nie le soleil.
Le soleil conduit le climat sur Terre
Il existe de nombreux mécanismes par lesquels le soleil peut modifier la température de la Terre (et pas seulement par le rayonnement solaire). Comme nous en avons déjà discuté à maintes reprises, non seulement existe-t-il la théorie de Henrik Svensmarks sur l'effet magnétique solaire sur les nuages par le biais des rayonnements cosmiques, mais il existe également des effets potentiels (étayés par des observations) que les flux magnétiques, le flux de particules solaires (le vent solaire) et les changements dans le spectre des UV et de l'infrarouge peuvent affecter tous les types de marqueurs climatiques de la Terre. Cela inclut la pression atmosphérique, les courants de jets (vagues de Rossby), les nuages, les inondations en Europe, les pluies en Asie, la recharge des nappes souterraines en Chine, les éclairs au Japon et les vents et la pluie au Chili. L'effet envahissant du Soleil est même surréaliste en corrélation avec la fertilité humaine, la durée de vie et les invasions de méduses.
Frank W et Tyler Durden chez ZeroHedge. Quelqu'un l'a relevé dans un tweet, mais personne ne semble savoir qui. Merci à eux aussi.
Je suis d'accord avec la NASA 2010. Alors appelle-moi un denier.
http://joannenova.com.au/2019/02/nasa-hides-page-saying-the-sun-was-the-primary-climate-driver-and-clouds-
and-particles-are-more-important-than-greenhouse-gases/
Hahahahaha ! Même Louis 14 se prenait pour 'le roi soleil' !
Supprimer(et ses courtisans des bronzés !).
Surprise, Le volcan Ouest fait fondre la glace de l'Antarctique
RépondreSupprimermercredi 11 juin 2014
- voir photos sur site -
Qui aurait pensé ? Les volcans de l'Antarctique sont chauds après tout. Avoir un volcan sous un inlandsis fait une différence, et une partie de l'élévation du niveau de la mer blâmé sur le gaz carbonique est plus susceptible d'être parce que à 1000 ° C la lave n'est pas loin de la glace sous zéro. À l'heure actuelle, selon le scientifique Dustin Schroeder et co, c'est comme si le Thwaites glacier dans l'Antarctique occidental était assis sur un " brûleur de cuisinière".
La semaine dernière, je me suis demandé si l'Antarctique occidental volcans avaient quelque chose à voir avec le réchauffement de l'Antarctique et a souligné cette étrange coïncidence ci-dessous où presque tout le réchauffement semble se produire sur la zone volcanique qui fait partie de la chaude "jante de feu du Pacifique". Je me demandais aussi pourquoi certaines parties des médias ne semblent pas parler des volcans. Attendre et voir si cette histoire est ramassé. Jusqu'à présent, Fox , et Business Insider ont.
«Utilisation de données radar des satellites en orbite, les chercheurs ont pu déterminer où ces flux sous-glaciaires étaient trop plein pour être expliqué par le flux de l'amont. Les cours d'eau gonflés ont révélé des points de fusion inhabituellement élevé, Schroeder dit. Ensuite, les chercheurs ont vérifié la géologie sous-glaciaire dans la région et ont constaté que les taches rapide fusion ont été disproportionnée regroupés près des volcans confirmés Ouest de l'Antarctique, les volcans présumés ou d'autres points chauds présumés.
"Il y a un motif de points chauds", a déclaré M. Schroeder. ". L'un d'eux est à côté de Mont Takahe, qui est un volcan qui colle réellement sur la feuille de glace" ... "C'est assez chaud par des normes continentales," a t-il dit. "- à Fox
L'Antarctique de l'Ouest est en train de fondre. L'Antarctique de l'Est n'est pas vraiment. Pourrait-il être le gazcarbonique, ou est-il des volcans ?
Importance
Thwaites glacier est l'un des contributeurs les plus importants, à évolution rapide, et potentiellement instables de l'Ouest Antarctique à l'élévation du niveau de la mer. Incertitude quant au montant et la répartition spatiale des flux géothermique et fusion sous ce glacier est une limitation majeure dans la prédiction de son comportement futur et la contribution du niveau des mers. Dans ce papier, une combinaison de sondage radar et le routage de l'eau sous-glaciaire est utilisé pour montrer que de vastes zones à la base du glacier Thwaites fondent activement en réponse à la géothermie flux compatible avec la migration et le volcanisme magma fracture associée. Cela confirme l'hypothèse que le flux géothermique hétérogène et les processus magmatiques locaux pourraient être des facteurs critiques dans la détermination du comportement futur de l'inlandsis de l'Antarctique de l'Ouest.
La réelle Watts de chaleur ne sont pas grandes: 0,1 W/m², mais appliqué à la base du glacier, peut créer une couche de lubrifiant de l'eau de fonte.
Du communiqué de presse :
Major de l'Antarctique Ouest fonte des glaciers à partir de sources géothermiques
Thwaites Glacier, la grande évolution rapide sortie de la calotte glaciaire de l'Antarctique Ouest, n'est pas seulement d'être érodé par l'océan, il est en cours de fusion par le bas par la chaleur géothermique, des chercheurs de l'Institut de Géophysique de l'Université du Texas à Austin (UTIG) rapport à l'édition actuelle des Actes de l'Académie nationale des sciences.
Les résultats changent de façon importante la compréhension des conditions sous la calotte glaciaire de l'Ouest Antarctique où des informations exactes a déjà été inaccessible.
RépondreSupprimer...
communiqué de presse ... suite
Le Thwaites Glacier a fait l'objet d'une attention considérable au cours des dernières semaines que d'autres groupes de chercheurs ont trouvé le glacier est en voie de s'effondrer, mais davantage de données et la modélisation informatique sont nécessaires pour déterminer si l'effondrement va commencer pour de bon et à quel rythme le niveau de la mer augmentera à mesure qu'il avance. Les nouvelles observations par UTIG informeront grandement ces efforts de modélisation de la calotte glaciaire.
En utilisant des techniques de radar pour cartographier comment l'eau coule sous les calottes glaciaires, les chercheurs ont pu UTIG pour estimer les taux de fusion de la glace et ainsi identifier des sources importantes de chaleur géothermique sous le glacier Thwaites. Ils ont trouvé ces sources sont réparties sur une zone plus large et sont beaucoup plus chaud que prévu.
La chaleur géothermique contribué de manière significative à la fusion de la partie inférieure du glacier, et il pourrait être un facteur clé pour permettre à la couche de glace de glisser, ce qui affecte la stabilité de la calotte glaciaire et de sa contribution à l'élévation du niveau de la mer.
La cause de la distribution variable de la chaleur sous le glacier est pensé pour être le mouvement de magma et de l'activité volcanique associée résultant de la distension de la croûte terrestre sous la calotte glaciaire de l'Antarctique Ouest.
La connaissance de la distribution de la chaleur sous Thwaites Glacier est une information cruciale qui permet modélisateurs de la calotte glaciaire de prédire avec plus de précision la réponse du glacier à la présence d'un océan de réchauffement.
Jusqu'à présent, les scientifiques n'ont pas pu mesurer la force ou l'emplacement du flux de chaleur sous le glacier. Modèles de feuille de glace actuelles ont supposé que le flux de chaleur sous le glacier est uniforme comme une plaque de crêpe avec distribution de la chaleur à travers le fond de la glace.
Les conclusions de l'auteur principal de Dusty Schroeder et ses collègues montrent que le glacier se trouve sur quelque chose de plus comme une cuisinière multi-brûleur avec brûleurs éteindre la chaleur à différents niveaux à différents endroits.
Les conclusions de l'auteur principal de Dusty Schroeder et ses collègues montrent que le glacier se trouve sur quelque chose de plus comme une cuisinière multi-brûleur avec brûleurs éteindre la chaleur à différents niveaux à différents endroits.
"C'est l'environnement thermique plus complexe que vous ne pourriez l'imaginer", a déclaré le co-auteur Don Blankenship, un chercheur scientifique principal au doctorat de UTIG et Schroeder conseiller. "Et puis, vous plop feuille la plus critique de la glace dynamiquement instable sur la planète Terre au milieu de cette chose, et puis vous essayez de le modéliser. Il est pratiquement impossible. "
C'est pourquoi, dit-il, obtenir une poignée sur la répartition des flux de chaleur géothermique sous la couche de glace a été considérée comme essentielle pour comprendre.
Collecte de connaissances sur Thwaites Glacier est essentielle pour comprendre ce qui pourrait arriver à la calotte glaciaire de l'Antarctique Ouest. Une sortie glacier de la taille de la Floride dans la mer d'Amundsen rentrant, il est jusqu'à 4.000 mètres d'épaisseur et est considéré comme un point d'interrogation touche à effectuer des projections de l'élévation du niveau de la mer.
RépondreSupprimerLe glacier recule face à l'océan se réchauffe et est pensé pour être instable parce que son intérieur est plus de deux kilomètres sous tout niveau de la mer, sur la côte, le fond du glacier est assez peu profonde.
Parce que son intérieur se connecte à la grande partie de la calotte glaciaire de l'Antarctique Ouest qui se trouve profondément en dessous du niveau de la mer, le glacier est une porte ouverte sur la majorité du potentiel contribution du niveau des mers de l'Antarctique Ouest.
L'effondrement du glacier Thwaites entraînerait une augmentation du niveau global de la mer comprise entre 1 et 2 mètres, avec un potentiel de plus de deux fois celui de l'ensemble de l'Antarctique Ouest Inlandsis.
Les chercheurs de UTIG avaient déjà utilisé la glace pénétrant radar aéroporté données de sondage à l'image de deux grande interaction des systèmes d'eau sous-glaciaires sous Thwaites Glacier. Les résultats de ces travaux antérieurs sur les systèmes d'eau (également publié dans les Actes de l'Académie nationale des sciences ) ont formé la base pour le nouveau travail, qui permet la distribution de l'eau sous le glacier de déterminer les niveaux et les lieux des flux de chaleur.
Dans chaque cas, Schroeder, qui a obtenu son doctorat en mai dernier, les techniques utilisées, il avait mis au point pour extraire des informations à partir de données recueillies par le radar développé à UTIG.
Selon ses conclusions, le flux de chaleur minimale moyenne géothermique sous le glacier Thwaites est d'environ 100 milliwatts par mètre carré, avec plus de 200 hotspots milliwatts par mètre carré. A titre de comparaison, le flux de chaleur moyenne des continents de la Terre est de moins de 65 milliwatts par mètre carré.
La présence d'eau et de chaleur chercheurs présents avec des défis importants.
«La combinaison de la variable sous-glaciaire flux de chaleur géothermique et le système d'eau sous-glaciaire interaction pourrait menacer la stabilité de Thwaites Glacier de manière que nous n'avons jamais imaginé avant", a déclaré M. Schroeder.
http://joannenova.com.au/2014/06/surprise-west-antarctic-volcano-melts-ice/#more-35889
(...) Le Thwaites Glacier a fait l'objet d'une attention considérable au cours des dernières semaines que d'autres groupes de chercheurs ont trouvé le glacier est en voie de s'effondrer, mais davantage de données et la modélisation informatique sont nécessaires pour déterminer si l'effondrement va commencer pour de bon et à quel rythme le niveau de la mer augmentera à mesure qu'il avance. (...)
SupprimerUn peu con ce 'Dustin Schroeder', non ?
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
Notre planète tient principalement sa chaleur (sa vie) grâce à la masse ferrique au centre de notre planète qui demeure en feu. Il y a donc des éruptions. Éruptions terrestres, maritimes, océaniques comme polaires.
La NASA est incapable de compter le nombres de sources chaudes sous les mers et les océans a cause de la faible distance entre volcans. Ces derniers apparaissent comme étant de vastes tâches rouge sans pouvoir en préciser le nombre qui la ou les composent.
Il peut donc y avoir des millions comme des milliards de sorties magmatique sous les eaux qui en réchauffent les courants qui vont en acclimater certaines côtes.
Gilets jaunes canadiens: «le gouvernement n'est pas tenu d'écouter la population»
RépondreSupprimer15:43 18.02.2019
Jérôme Blanchet-Gravel
Après les caravanes de migrants, les caravanes de Gilets jaunes ? Au Canada, 160 camions partis de l'Ouest se dirigent actuellement vers la capitale d'Ottawa pour manifester. Quelles sont exactement leurs revendications ? Pour en savoir plus, Sputnik s'est entretenu avec Rhonda Cwynar, l'un des porte-parole du mouvement.
Les Gilets jaunes du Canada font parler d'eux. Surtout basés dans l'ouest du pays, ils sont de plus en plus nombreux à contester certaines politiques du Premier ministre Justin Trudeau. Comme leurs homologues français, les Gilets jaunes canadiens forment un mouvement citoyen globalement opposé à la mondialisation.
Selon l'un des porte-parole des Yellow Vests canadiens, Rhonda Cwynar, le Canada souffre d'un grave déficit démocratique. Un phénomène qu'elle associe à la perte de souveraineté du pays. Selon elle, le gouvernement du Canada travaille davantage dans les intérêts d'un «agenda global», que dans celui du peuple canadien.
«Le Canada ne sera pas une vraie démocratie tant et aussi longtemps que son gouvernement ne sera pas tenu d'écouter réellement la population. Au Canada, les politiciens ne sont même pas tenus de le faire en regard de la constitution de 1982», a souligné d'entrée de jeu Mme Cwynar lors de son entretien.
Le 15 février dernier, une caravane de 160 camions est partie de la petite ville de Red Deer, en Alberta, dans l'intention de se rendre jusqu'à la capitale. Les Gilets jaunes auront 35 h de route à faire, en plein hiver, avant d'arriver à Ottawa. 3.500 kilomètres séparent Red Deer de la capitale. Des dizaines d'autres véhicules seront censés se joindre au convoi. L'objectif des Gilets jaunes: redonner la parole aux citoyens dans un Canada qui serait gouverné par une petite élite.
35 heures de route pour s'opposer à Trudeau
Ce porte-parole du mouvement critique sévèrement le modèle canadien, qu'il compare à une «corporation». Le Canada serait un simple marché commun doté d'une «constitution d'entreprise» et non d'une «Constitution de pays». Ce modèle n'accorderait aucune valeur au peuple en tant que source de la démocratie. Des politologues renommés comme Marc Chevrier critiquent également —pour d'autres raisons- le caractère «antidémocratique» de la fédération canadienne. Son système politique serait trop élitiste.
«Nous voulons que la Constitution soit amendée, car légalement, le Premier ministre n'a pas à écouter la population. De la manière que la constitution a été écrite, notre gouvernement n'a pas à prendre en compte la volonté du peuple», a tranché ce porte-parole des Yellow Vests.
Les Gilets jaunes du Canada manifestent aussi contre la taxe carbone imposée par le gouvernement Trudeau. En imposant des quotas à l'industrie pétrolière, cette taxe à vocation écologique nuit à l'économie des provinces de l'Ouest, basée en grande partie sur l'exploitation des sables bitumineux. Le Premier ministre est accusé de nuire à la qualité de vie des familles de la classe moyenne. De l'autre côté, la méthode d'extraction de cette énergie est considérée comme extrêmement polluante.
Rhonda Cwynar voit dans la taxe carbone le signe d'une perte de souveraineté du Canada au profit des grandes organisations internationales. La taxe aurait été conçue pour satisfaire une idéologie mondialiste, détachée de la réalité du terrain.
RépondreSupprimer«La taxe carbone s'inscrit aussi dans la logique supranationale que nous dénonçons. Elle a été imposée pour que le Canada se conforme à l'Agenda 2030 des Nations unies pour le développement durable. Cette loi s'inscrit dans la logique d'un gouvernement mondial», a affirmé Mme Cwynar.
De même, le mouvement manifeste contre l'augmentation des seuils d'immigration prévue par Justin Trudeau. Le Premier ministre libéral est critiqué pour sa gestion, jugée catastrophique, des dernières crises migratoires (Syriens et Haïtiens) et sa vision à l'eau de rose de l'intégration. Il en ferait beaucoup pour les Canadiens d'origine étrangère, mais peu pour les Canadiens ordinaires.
Un gouvernement contre le peuple ?
Rhonda Cwynar évoque la signature du Pacte Marrakech par le Canada, un traité qui s'inscrit lui aussi dans une logique «mondialiste». Elle explique que les Gilets jaunes canadiens ne sont pas «racistes», mais seulement «soucieux de l'avenir de leurs enfants» et répond à ceux qui la qualifient d'anti-immigrationniste:
«Les Gilets jaunes canadiens ne critiquent pas l'immigration, mais l'immigration illégale. Ils critiquent le fait que le Canada se fasse dicter qui il doit accueillir et comment. Ce n'est plus le Canada qui décide, mais une sorte de gouvernement global», a affirmé Mme Cwnyar à Sputnik France.
Depuis son entrée en fonction en 2015, Trudeau fait effectivement la promotion d'un multiculturalisme que d'autres politiques considèrent comme radical. Le chef du Parti populaire du Canada, Maxime Bernier, entend d'ailleurs rompre complètement avec cette vision s'il est élu à l'élection fédérale de l'automne 2019. Mme Cwynar pense toutefois qu'aucun gouvernement ne pourra changer les choses tant et aussi longtemps que le système canadien ne sera pas plus démocratique.
https://fr.sputniknews.com/international/201902181040070656-gilets-jaunes-canada-gouvernement-accusations/
SupprimerAlberta est au Nord du Montana et à l'Est de la Colombie britannique qui borde l'océan Pacifique.
(...) Selon l'un des porte-parole des Yellow Vests canadiens, Rhonda Cwynar, le Canada souffre d'un grave déficit démocratique. (...)
Comme TOUTES les personnes sur Terre, les canadiennes et les canadiens veulent être elles et eux aussi la 'Suisse n°2' C'est-à-dire pouvoir comme les Suisses, proposer LEURS lois et voter LEURS lois ! (Càd aussi: emmerder la reine !)
(...) «Le Canada ne sera pas une vraie démocratie tant et aussi longtemps que son gouvernement ne sera pas tenu d'écouter réellement la population. Au Canada, les politiciens ne sont même pas tenus de le faire en regard de la constitution de 1982», a souligné d'entrée de jeu Mme Cwynar lors de son entretien. (...)
!!! Comme dans TOUTES les dictatures, ce sont les Députés et Sénateurs qui imaginent et votent les lois contre le Peuple sans demander l'avis du Peuple !
Des pilotes se livrent sur ce que les compagnies aériennes cachent aux yeux des passagers
RépondreSupprimer16:23 18.02.2019
Diana Saifullina
Sputnik s’est entretenu avec des pilotes de l’aviation civile qui lui ont donné des détails sur leur métier ignorés par la plupart des passagers. Interdictions, règles intérieures, habitudes, superstitions… Découvrez les réponses aux questions que Sputnik leur a posées.
Des pilotes d'avion français et canadiens ont évoqué au micro de Sputnik des faits sur leur métier que beaucoup de leurs passagers ignorent.
Par exemple, les pilotes doivent respecter des règles strictes. Bien que certaines interdictions soient compréhensibles, comme par exemple celle de ne pas boire d'alcool durant les 12 heures qui précèdent un décollage ou être en pleine forme, d'autres sont moins évidentes.
«Avant un vol, il ne faut pas faire de plongée en bouteille pour éviter les accidents de décompression», a indiqué le pilote professionnel Geoffrey Blanc.
«L'avènement de la porte blindée a été un chamboulement en matière de sûreté également», a reconnu Pierre Zamora, pilote de ligne à Air France.
«Aussi, le commandant ne peut manger la même nourriture que son co-pilote pour éviter les intoxications alimentaires», a poursuivi Patrick Bélanger, pilote canadien travaillant pour une société privée.
«Depuis le crash de la Germanwings, si un pilote sort du cockpit, une hôtesse ou un stewart doit venir dans le poste pour ne pas laisser l'autre tout seul », a dit Geoffrey Blanc en évoquant le drame survenu en 2015 lorsqu'un co-pilote s'est enfermé dans le cockpit et a fait s'écraser l'avion sur le flanc d'une montagne.
En outre, «les compagnies refusent généralement les personnes avec des piercings et des tatouages apparents (idem pour les pilotes)», a-t-il ajouté.
Il existe également des normes pour les hôtesses de l'air qui ne peuvent «en aucun temps prendre la place ou le siège d'un pilote», «parler sur la radio» ou «prendre d'urgence des initiatives sans le consentement du commandant de bord» sans oublier qu'elles doivent «prendre place sur leur siège et non dans la cabine avec les clients», a expliqué Patrick Bélanger.
Comme dans chaque métier, les pilotes ont leurs petits rituels et leurs habitudes professionnelles.
Ainsi, ils «disent le mot "check" pour presque tout» parce qu'ils ont l'habitude de «vérifier et re-vérifier presque tout afin d'éviter les erreurs», a expliqué Patrick Bélanger.
«Quand les pilotes se "croisent" dans le ciel sur la même fréquence radio on se contacte sur la fréquence 123.450 pour se parler 5 min sans déranger les autres.
Les pilotes essayent aussi généralement de dire bonjour dans la langue du pays survolé avec plus ou moins de succès», a raconté Geoffrey Blanc.
La plupart des pilotes ne sont pas superstitieux, certainement du fait qu'ils ont suivi un cursus scientifique, a souligné Pierre Zamora en précisant que «la seule marque de superstition que l'on peut trouver dans les avions est l'absence de rang 13 dans les cabines passagers» ce qui aide certains d'entre eux à garder leur calme pendant les vols.
RépondreSupprimer«Mais ce qui fait bien rire les pilotes, ce sont les théories du complot sur la terre plate ou les chemtrails», a conclu Geoffrey Blanc en évoquant la théorie selon laquelle les traces blanches laissées par les avions seraient des nuages de produits chimiques utilisés par les gouvernements pour contrôler les populations.
https://fr.sputniknews.com/france/201902181040070942-pilotes-avions-secrets-bord-hotesse-air/
(...) «Mais ce qui fait bien rire les pilotes, ce sont les théories du complot sur la terre plate ou les chemtrails», a conclu Geoffrey Blanc en évoquant la théorie selon laquelle les traces blanches laissées par les avions seraient des nuages de produits chimiques utilisés par les gouvernements pour contrôler les populations. (...)
SupprimerPrimo, ils ne peuvent rire que sur l'idiotie de la terre plate mais pas sur les chemtrails car ces derniers, sont diffusés par des avions blancs... sans pilote à bord et qui font parfois des 'L' dans le ciel quant ce ne sont pas carrément des 'U' comme s'ils avaient oublié quelque chose !
A savoir qu'il y a plus de 15 000 avions qui survolent la France tous les jours (Paris/Marseille, Berlin/Madrid, Zurich/N-Y, etc) et... IL N'Y A PAS 15 000 TRAITS BLANCS !!! Çà alors ! Pourquoi n'y a t-il qu'1, 2 ou 3 traits blancs de 300 ou 400 kilomètres de long alors que les autres qui passent à la même altitude n'en font pas ?
Les analyses ont bien révélé la présence de nano-particules d'aluminium dans les chemtrails (voir clips et articles sur internet), éléments retrouvés en surdoses dangereuses voire mortelles dans le miel des abeilles !
D'après les seules études faites en laboratoires, les abeilles subissent elles aussi la maladie d'Alzheimer.
Blain: "Mon récent voyage aux États-Unis a été une révélation: la pauvreté n'a jamais été aussi visible dans la rue"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 18/02/2019 - 19:22
Le porridge du matin de Blain, présenté par Bill Blain
Jour du président américain
Un autre week-end fascinant… C’est des vacances aux États-Unis et une grande partie du Royaume-Uni est à mi-parcours. J’essaie encore de comprendre l’importance des nouvelles de la semaine dernière concernant le retrait d'Amazon de son accord avec le siège social à New York, à la lumière des protestations des gauchers libéraux. Je pense que c’est un moment très intéressant et que le jeu change plutôt.
Dans quelle mesure les événements actuels, comme Amazon, modifient-ils le jeu des décisions de stratégie macro ? Auparavant, le rôle de stratège consistait à examiner, analyser et conceptualiser avec soin les décisions d’intérêt de la Banque centrale, à intégrer les données économiques disponibles dans nos calculs, à les assortir d’attentes concernant les perspectives du commerce mondial et à formuler des hypothèses optimistes sur la croissance et la consommation afin de déterminer (c.-à-d. devinez) si les prix des actions et des obligations vont augmenter ou baisser, et donc quoi acheter.
Nous avons supposé que nous vivions dans un univers politique et d'emploi à l'état solide, dans lequel la consommation augmenterait parallèlement à l'emploi et que tout emploi serait un atout.
Les événements récents démontrent qu'une équation simple peut nécessiter une révision en profondeur. Ces dernières années, nous avons été forcés de prendre en compte les politiques irrationnelles et imprévisibles du populisme et leurs effets sur les marchés. Nos attentes concernant l'emploi et la consommation sont maintenant sous pression.
Mon intérêt pour le sujet est peut-être dû au fait que je suis un Écossais (le socialisme fait partie de notre ADN) et que j'avais un oncle qui s'est enfui de Glasgow en Amérique alors qu'il était un enfant et qui a connu un succès remarquable, tout en restant un Wobbly - un membre de l'IWW; Travailleurs industriels du monde - toute sa vie. (Je l'ai tellement admiré que j'ai nommé mon premier-né, Jack, d'après lui !)
Personne ne sort bien de l'affaire Amazon. Jeff Bezos et Amazon sont arrogants et déconnectés - comme le disait un copain américain, les politiciens de New York sont des idiots: «Après avoir quitté sa ville natale sans payer un centime en pension alimentaire, donnons à une entreprise qui ne paie pas quelques milliards d'impôts à payer pour atteindre le dernier segment abordable de New York et faire payer le prix total à tous les électeurs de l'AOC… de quoi ne pas aimer?
Les dirigeants politiques de New York ont l’air stupide, confus, décousu et perdu. La jeune membre du Congrès AOC (Alexandria Ocasio-Cortez) a peut-être le sourire d'aujourd'hui, mais elle me semble être une enfant qui s'attend à être félicitée pour avoir jeté ses nouveaux jouets dans le landau. Comment expliquera-t-elle la chasse aux 25 000 emplois bien rémunérés au cœur de sa stratégie présidentielle et de son New Deal vert ?
Quels que soient les droits et les torts, la faction du parti démocrate qui se vante de sa victoire sur le visage inacceptable du capitalisme a établi une nouvelle barre dans le débat naissant et furieux sur les impôts, la richesse et les emplois. Oubliez Trump et les murs - cela n’est pas pertinent. (Déclarer une urgence est plus un problème - qu'est-ce que la boîte de Pandore a ouvert ?)
Là où la députée Alexandria Ocasio-Cortez a clairement marqué, elle peint Jeff Bezos comme le méchant - arrogant, menaçant et éviteur d'impôt en série. Cela résonne avec une grande partie de l'électorat américain - et crée de dangereux précédents en termes de populisme - Vous souvenez-vous de la proximité de Bernie Sanders ?
RépondreSupprimerLes États-Unis devraient être l'endroit le plus heureux du monde ces jours-ci. L’emploi des minorités n’a jamais été aussi élevé. Le nombre total de femmes dans l’effectif total est plus élevé que jamais, ce qui représente désormais plus de 63 % du taux de participation. Les années de croissance économique et, plus récemment, l’augmentation de la fiscalité de Trump l’année dernière, justifient les investissements. Les entreprises vont bien.
Pourtant, après 10 ans de taux d’intérêt extrêmement bas, d’avantages fiscaux et d’augmentation massive de la richesse des 0,01 % les plus riches de la population américaine (qui possèdent maintenant 10 % de la richesse !), Des salaires pour le reste commencent seulement maintenant à montrer des signes de pression à la hausse.
Tandis que Bezos et ses compagnons de milliardaire se demandent quelle part du gâteau il faut ensuite, les faits sont que les travailleurs les plus pauvres des États-Unis sont dans la pauvreté. Plus de 60 % des revenus les plus bas servent à couvrir leurs coûts de logement et de transport, les 25 % restants étant consacrés à l’alimentation. La tranche de revenu de 50 % - en gros la «classe moyenne» - consacre 44 % au logement et aux voyages. Plus de la moitié de la population n’économise pas en vue de sa retraite, mais cherche à mettre de la nourriture sur la table aujourd’hui.
Mon récent voyage aux États-Unis a été une révélation: la pauvreté n'a jamais été aussi visible dans la rue et le débat sur l'inégalité des revenus éclate. Il n’est donc pas surprenant que les populistes demandent aux riches d’être taxés jusqu’à ce que leur apparence soit éclatante. Mais les États-Unis doivent faire deux choses: créer un système fiscal et d’égalité équitable et réparer ce qui ne fonctionne pas dans leur société et leur économie.
Les modèles classiques des États modernes supposent que son rôle est de fournir ces services indivisibles tels que l'ordre public, la défense et le soin. Tous les citoyens partagent les avantages de l’adhésion, la base voulant que les forts protègent les faibles. Nous avons vu la fonction de prise en charge se transformer en l’émergence de l’éducation, des retraites, des soins de santé et des services sociaux - qui sont maintenant les principaux coûts supportés par les États. Il y a la réticence inhérente de ceux qui n’ont pas besoin de tels services pour les payer. Pourquoi un homme riche devrait-il payer pour mettre les pauvres à l'aise ? Parce que si tu ne le fais pas… ils finiront par te manger. Simple comme bonjour, c’est le coût de l’adhésion.
La répartition des revenus au sein de la société est essentielle. L’argument concernant l’imposition des riches se résume généralement comme suit: «Si vous nous imposez plus, nous prendrons moins de risques, nous créerons moins d’emplois et personne ne deviendra plus riche.» Le truc est de persuader les entrepreneurs de continuer à gagner de l’argent, mais cet argent est distribué et lubrifie tout le monde sans démotiver ces conducteurs. (J'essaie de comprendre pourquoi nous devrions accepter la richesse héritée comme méritant les mêmes protections ...)
Historiquement, les Américains ont toujours fait ce qu'il fallait après avoir épuisé toutes les autres possibilités. Le New Deal emblématique de Roosevelt a suivi la non-intervention désastreuse du gouvernement à la suite du krach financier précédent. Les Américains peuvent le faire à nouveau. Il est possible de modifier le Green New Deal du AOC, qui équilibre la croissance, la consommation, la richesse, la santé et l’esprit d’entreprise. Un programme qui aborde une nouvelle société en termes de pertinence éducative, d'industries environnementales vertes et de reconstruction massive d'infrastructures, tout en équilibrant les soins pour ceux qui en ont besoin au cœur d'une nouvelle approche.
RépondreSupprimerC’est un véritable défi, mais j’espérais que les Américains le découvriraient… finalement. Si cela n’arrive pas, attendez-vous à plus d’instabilité et à des décisions insensées, telles que la suppression de nouveaux emplois bien rémunérés et l’aggravation des tensions économiques. Dans quel cas ... où d'autre investir ?
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-18/blain-my-recent-us-trip-was-eye-opener-poverty-has-never-been-so-visible-street
Quel chemin à parcourir ? Un expert en sécurité met en garde les pirates informatiques en transformant des robots sexuels en machines tueuses
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 18/02/2019 - 21:00
Écrit par John Vibes via The Mind Unleashed,
Selon Nicholas Patterson, conférencier en cybersécurité à la Deakin University de Melbourne, en Australie, les robots sexuels humanoïdes récemment arrivés sur le marché pourraient potentiellement être piratés et transformés en machines à tuer.
Patterson a donné cet avertissement dans une série d'entretiens avec diverses publications britanniques:
«Les pirates peuvent pirater un robot ou un dispositif robotique et avoir le contrôle total des connexions, des bras, des jambes et des autres outils qui s’y rattachent, comme dans certains cas des couteaux ou des appareils de soudage. Souvent, ces robots peuvent peser plus de 200 kilos et être très forts. Une fois qu'un robot est piraté, le pirate informatique en a le contrôle et peut lui donner des instructions. La dernière chose que vous voulez, c'est qu'un pirate informatique puisse contrôler l'un de ces robots. Une fois piratés, ils pourraient absolument être utilisés pour effectuer des actions physiques dans le cadre d’un scénario avantageux ou pour causer des dommages. ”
Des avertissements similaires ont été annoncés l'année dernière en réponse à la popularité croissante des jouets sexuels activés par Bluetooth. Il a été révélé que les pirates pouvaient contrôler les appareils depuis des endroits distants, et même les utiliser pour espionner des demandeurs de plaisir sans méfiance.
De manière réaliste, tout appareil connecté à Internet peut être programmé pour vous faire du mal, ou à tout le moins vous espionner. En fait, la plupart des appareils intelligents sont spécialement conçus pour espionner les utilisateurs à des fins d'exploration de données.
La principale raison pour laquelle les robots sexuels suscitent une peur particulière en ce qui concerne le potentiel de piratage informatique est qu’ils ont été créés à la ressemblance de l’homme. Ces dispositifs font partie des tout premiers robots humanoïdes avec lesquels les consommateurs quotidiens ont la possibilité d’interagir, ce qui suscite naturellement beaucoup d’anxiété chez certains. Il a été prédit que les robots humanoïdes feront bientôt partie de notre quotidien, mais ils sont en réalité beaucoup moins dangereux que leurs homologues sans forme.
Nous avons été formés pour croire que la menace de l'intelligence artificielle (IA) se présentera sous la forme d'un robot semblable à Terminator qui ne ressemble à aucun être humain, alors que des algorithmes d'IA invisibles occupent silencieusement nos vies depuis une décennie, juste sous nos nez. La véritable menace liée à l'IA est désincarnée et se présente sous la forme d'algorithmes qui envoient les mauvaises personnes en prison, contrôlent les informations que vous voyez en ligne et écrivent même des informations.
L'idée d'un robot malicieux capable de marcher et de parler est certes effrayante, mais le fait de contrôler tous les services et produits par des algorithmes invisibles est bien pire. Bien que cette technologie puisse être utilisée pour apporter des changements positifs dans le monde, il est malheureusement vrai, comme l'ont souligné de nombreux experts, que l'éthique de ces dispositifs ne vaut que par les humains qui les programment.
Un article publié l'année dernière dans Nature explore le cadre éthique de la technologie, à l'instar des voitures autonomes. L'article note que l'éthique des voitures autonomes est basée sur le problème du tramway, un scénario d'embarcation de sauvetage éthique qui serait extrêmement improbable dans le monde réel.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Selon la déontologie des voitures autonomes, fondée sur le problème du tramway, la vie des personnes âgées est moins utile que celle des générations plus jeunes, et la vie d'un sportif est également plus intéressante qu'une femme ou un «grand» sans-abri.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-18/what-way-go-hackers-can-turn-sex-robots-killing-machines-security-expert-warns
Le comté le plus riche et le plus pauvre de tous les États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 18/02/2019 - 21:30
Soumis par Visual Capitalist
- voir carte sur site -
L’état américain moyen est composé de 62 comtés.
Avec autant de comtés répartis dans chaque État de la nation, il n’est pas surprenant que nous puissions trouver des comtés qui illustrent à peu près n’importe quelle partie de l’expérience américaine.
Dans ce cas, nous comparons les données au niveau des comtés pour examiner les différences d'opportunités économiques au sein de chaque État. Plus précisément, nous examinons la fourchette de revenu médian des ménages, qui est un indicateur indirect de la différence de statut économique entre les comtés.
- voir carte sur site -
Disparité Par Etat
L’infographie d’aujourd’hui nous parvient de TitleMax, qui présente les comtés les plus riches et les plus pauvres de chaque État américain en se basant sur la mesure du revenu médian des ménages.
Voici les cinq états avec la plus grande disparité entre les comtés riches et pauvres:
1. Virginie: 102 800 $
Loudoun est à environ une heure de route de la Californie, et il s’agit également du comté le plus riche des États-Unis en termes de revenu médian. Plus à l'ouest de l'État, à la frontière du Kentucky et de la Virginie occidentale, se trouve le comté de Buchanan, dont le revenu médian des ménages ne dépasse pas 31 800 dollars.
- voir carte sur site -
2. Nouveau-Mexique: 86 500 dollars
À Los Alamos, connue comme le berceau de la bombe atomique, le revenu médian des ménages a explosé pour s'établir à 114 700 dollars. Entre-temps, le long de la frontière mexicaine se trouve Luna, le comté le plus pauvre de l'État.
- voir carte sur site -
3. Colorado: 85 200 $
Tout comme le Colorado a une différence d'altitude, il présente également une grande différence de revenu médian. Les habitants du comté de Douglas, situé entre Denver et Colorado Springs, touchent un revenu moyen de 112 400 dollars, tandis que ceux de Costilla gagnent environ 27 200 dollars par an.
- voir carte sur site -
4. Maryland: 80 900 dollars
Le comté de Howard, situé entre Baltimore et Washington D.C., a le revenu médian des ménages le plus élevé de l'État. Dans le même temps, c’est le comté de Somerset, au sud de la péninsule de Delmarva, qui en possède le plus bas.
- voir carte sur site -
5. Tennessee: 79 700 $
Juste au sud de la ville de la musique, se trouve le comté de Williamson - une partie riche de l'État avec un revenu médian de 107 900 $. Le comté de Hancock est le plus pauvre, situé dans le coin nord-est de l’État.
- voir carte sur site -
Une note sur le coût de la vie
Si le revenu médian des ménages peut contribuer à mettre en évidence les disparités entre les comtés, il ne s'agit que d'un indicateur.
Il convient de noter que le coût de la vie peut souvent être meilleur marché dans les pays à revenu médian plus faible, ce qui peut, dans certains cas, compenser partiellement la différence. Par exemple, alors que le comté de Trinity est le comté le plus pauvre de Californie en termes de revenu médian, il est également éloigné de San Francisco, de Los Angeles ou de Sacramento, et son coût de la vie est bien moins élevé et son mode de vie différent.
RépondreSupprimerÀ certains égards, il compare des pommes à des oranges. Le comté de Trinity est complètement rural, ne compte aucune ville constituée en société et ne compte que 3 600 personnes dans sa plus grande communauté (Weaverville), loin de l’étalement urbain de L.A. ou de la région en plein essor de la baie.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-12/wealthiest-and-poorest-county-every-us-state
Des milliers de personnes signent une pétition pour vendre un Montana "inutile" au Canada
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 18/02/2019 - 18:40
Plus de 6 000 personnes ont signé une pétition sur Change.org pour vendre au royaume «inutile» du Montana 1 000 milliards de dollars, contribuant ainsi à réduire la dette publique, qui a dépassé les 22 000 milliards de dollars plus tôt cette semaine.
"Nous avons trop de dettes et le Montana ne sert à rien. Dites-leur simplement qu'il a des castors ou quelque chose du genre", lit-on dans la pétition Change.org. Parmi les raisons supplémentaires fournies par les partisans de la pétition, qui ont pesé dans la section des commentaires de la pétition, figuraient la "population insignifiante" de l’État et leur "esthétique" qui, selon certains, ne correspondaient pas à l’ensemble des États-Unis.
Étonnamment, malgré l'accusation d'être «inutile», certains soi-disant résidents du Montana ont déclaré dans les commentaires qu'ils étaient en faveur de la vente et qu'ils aimeraient bien se joindre au Canada sans les frais associés à leur déménagement.
"Honnêtement, la plupart des Montanas sont tout à fait d'accord avec ça, faisons-le. Je suis bien d'être sorti de cet enfer", a écrit un pétitionnaire. "Le Montana aura droit à de l'herbe légale, à des soins de santé et à un hockey décent ... c'est gagnant-gagnant."
Certains Canadiens ont également soutenu l'idée.
"Le Montana et ses habitants seraient un atout précieux pour notre beau pays. Bienvenue ! ... Cher Montana, nous vous aimons mais nous ne pouvons pas nous le permettre. Abandonnez les États-Unis et rejoignez-nous gratuitement. Vous n'avez pas besoin de tant que ça. dette."
Apparemment, la vente des États américains pourrait constituer une alternative viable aux restrictions budgétaires ou ordonner à la Réserve fédérale d’imprimer une "pièce" d’un billion de dollars et de la déposer au Trésor.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-17/thousands-sign-petition-sell-useless-montana-canada
HAHAHAHA ! Un par un ils y passeraient tous !
Supprimer- Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
jeudi 23 octobre 2014
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
"L'avenir n'est plus ce qu'il était"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 18/02/2019 - 15h10
Écrit par MN Gordon via EconomicPrism.com,
Quelque chose de plutôt pénible en ce qui concerne l’économie politique ...
La population, à travers une longue séquence de dépravations économiques et sociales auto-infligées, a un bazillion et un feu fourmis dans ses pantalons. De plus, ils n’aiment pas le mélange inégal de douleur et de panique que cela provoque. Mais ils ne savent pas trop comment y mettre fin.
Selon eux, le principal problème, à première vue, est que les revenus généraux ne couvrent pas les frais généraux ni les dettes. Il existe même des données à l’appui de cela. Par exemple, rien que cette semaine, il a été signalé qu'un nombre record de sept millions d'Américains accusent un retard de 90 jours sur leurs paiements de prêt automobile.
En effet, les revenus ne le réduisent pas. Mais pourquoi ne sont-ils pas ? Qu'est-ce qui a réduit la valeur globale du travail jusqu'à présent en dessous du prix global des biens et services ? Quelle est la véritable source du grave malaise économique du travailleur acharné ?
Une égratignure sous la surface révèle quelque chose d'assez fantastique. Même si à peine une âme se soucie de regarder. Parmi ceux qui dérangent, seul un sous-groupe, petit et particulier, se salit les mains et cherche une réponse.
Pour l’ensemble de la population, la préoccupation principale peut être résumée comme suit: L’année dernière, Jamie Dimon, PDG de JPMorgan Chase, a gagné environ 31 millions de dollars, tandis que le salarié moyen s’accroupissait approximativement. Le sentiment universel est que Dimon doit être un escroc. Ainsi, aucune autre explication n’est justifiée.
Pourtant, le mépris avant l’enquête aboutit à des conclusions sans faits. Dimon est-il vraiment un escroc ? Ou est-il simplement bénéficiaire d’un système financier qui a été manipulé à son avantage ?
Contrôles de prix
Ne nous y trompons pas, l’écart de richesse - le grand gouffre d’aujourd’hui entre riches et pauvres - est le produit des planificateurs centraux. Ce n’est pas le planificateur central à la soviétique qui dictait les prix avec des plans ridicules sur cinq ans. Mais, au contraire, un planificateur central plus discret qui réduit la valeur du travail d’une manière qui ne soit pas facilement discernable.
S'agissant de la tarification des biens, des produits de base et des services, la décision d'une autorité centrale de faire approuver les prix est un échec total. Cela a été prouvé de manière efficace par les expériences des économies à planification centrale des pays de l'ancien bloc communiste de l'est communistes au cours de la seconde moitié du 20e siècle.
Malheureusement, le contrôle des prix ne se limite pas aux biens, aux produits de base et aux services. Les États-Unis, l'Europe et le Japon ont fait tout leur possible au début du XXIe siècle pour montrer que le chi de l'ancien bloc de l'Est influençait également les marchés du crédit.
N'oubliez pas que le crédit, comme une marchandise ou un produit, est assorti d'un prix. Le prix du crédit est le taux d'intérêt qu'un prêteur facture à un emprunteur. De même que la fixation du prix d'un produit ou d'un bien par une autorité centrale de planification, la fixation du prix d'un crédit par une banque centrale - telle que la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne ou la Banque du Japon - se révèle actuellement être également un échec total.
Quelqu'un ayant même une faible perception du monde qui l'entoure peut regarder de travers et voir que quelque chose d'étrange et de grotesque s'est produit. Les actifs financiers, y compris les actions, les obligations et les biens immobiliers, ont explosé bien au-delà des revenus. De plus, ceux qui ont des actifs financiers, comme Jamie Dimon, en sont devenus riches.
RépondreSupprimerCet état de fait déséquilibré n’aurait jamais existé ni atteint une telle ampleur sans le contrôle des prix du marché du crédit par la Fed. Et devine quoi? Nous payons tous pour cela…
“L’avenir n’est plus ce qu’il était”
Plus tôt cette semaine, la dette nationale officielle a dépassé 22 000 milliards de dollars. Vous avez peut-être vu un titre ou deux. Mais ni le président ni le Congrès n’ont appelé sérieusement à faire face à la prochaine calamité. L'ancien président de la Fed, Alan Greenspan - le grand-père de la création de crédit à planification centralisée moderne - a publié le bilan suivant:
«C'est une situation extrêmement déséquilibrée. Politiquement, les déficits budgétaires n’ont vraiment aucune importance. Ce qui compte, ce sont les conséquences.
«Ce n'est que lorsque, finalement, les déficits budgétaires, comme ils le font toujours, génèrent de l'inflation, que le système politique réagit. Nous voyons actuellement les prémices de la stagflation, mais nous n'en sommes pas encore là. "
De notre point de vue, l’évaluation de Greenspan est fallacieuse. L'inflation, rappelez-vous, est l'inflation de la masse monétaire. Après la cessation unilatérale par le Tricky Dick, en 1971, de la convertibilité en or du dollar américain, conformément au système de Bretton Woods, la masse monétaire a été lancée au-delà de l’exosphère. Les niveaux d'endettement ont généralement suivi cette trajectoire. Et la Fed, de concert avec le Trésor, a rendu tout cela possible.
Que faire de ça ?
«À long terme, nous sommes tous morts», a déclaré John Maynard Keynes, économiste du 20ème siècle et statisticien général. En bref, c’est là la raison de Keynes pour laquelle les gouvernements devraient emprunter à l’avenir pour financer la croissance économique actuelle. Cette logique a également permis au Congrès de promettre des roses sans épines, des arcs-en-ciel sans pluie et un salut sans repentance.
Hélas, tenter de dépenser une nation pour la prospérité en utilisant de l'argent emprunté à des taux bas quotidiens avec la courtoisie de la Fed n'est pas sans conséquences. À court terme, une illusion de richesse peut être érigée. À long terme, cette illusion se dégrade et se détériore.
Contrairement à Keynes, l’accumulation massive de dettes publiques n’a pas produit le nirvana de l’élévation du niveau de vie à long terme. Cela a plutôt engendré la disparité entre PIB stagnant et dette publique en augmentation rapide, ainsi qu’un écart de richesse extrême.
Comme le souligne Yogi Berra, nul doute que «l’avenir n’est plus ce qu’il était».
À long terme, nous ne sommes pas tous morts. Certains d’entre nous sont toujours là, vivant avec les conséquences des politiques économiques à courte vue des économistes morts.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-18/future-aint-what-it-used-be
Un policier et sa femme trouvés morts dans leur pavillon en Mayenne
RépondreSupprimer06:40 19.02.2019
À Louverné (Mayenne), un policier aurait tué le 18 février son épouse avant de mettre fin à ses jours. Les circonstances du drame restent à déterminer.
La police de Louverné a découvert deux corps dans un pavillon, rue Claude-Monnet, identifiés comme ceux d'un policier et de sa conjointe, relate Le Courrier de la Mayenne.
L'homme aurait tué sa femme avant de se suicider, selon les résultats de l'enquête préliminaire, dont France Bleu a pu prendre connaissance.
Avant de pénétrer dans le pavillon, qui appartenait au couple, les gendarmes ont réalisé de nombreuses vérifications durant plusieurs heures en vue de s'assurer qu'aucun individu dangereux ou armé ne s'y trouvait.
Les circonstances précises de ce double meurtre restent toujours à déterminer. Le parquet s'abstient pour le moment de tout commentaire à ce sujet. Le couple vivait dans ce pavillon depuis un an, d'après des voisins.
https://fr.sputniknews.com/france/201902191040077333-policier-epouse-suicide-mayenne/
Nicolas Dupont-Aignan appelle à «ne pas laisser repartir vivants les députés» LREM
RépondreSupprimer07:20 19.02.2019
Le chef de file du parti Debout la France s’est permis samedi une «blague» qui a indigné de nombreux députés LREM. En se prononçant sur la loi Pacte, il a appelé à «ne pas laisser repartir vivants les députés En Marche» qui voteront en faveur de celle-ci.
En s'exprimant samedi devant des riverains de l'aéroport d'Orly, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, a appelé à «ne pas laisser repartir vivants les députés En Marche» qui voteraient en faveur du projet de loi Pacte (Plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises) qui prévoit la privatisation d'Aéroports de Paris.
Cette déclaration a suscité l'indignation de nombreux députés LREM. Deux élus du Val-de-Marne, Maud Petit et Laurent Saint-Martin, eux aussi présents, ont condamné «avec la plus grande fermeté ces propos abjects et irresponsables de la part d'un élu de la Nation dans un climat délétère de violences récurrentes envers les parlementaires». Lundi, Mme Petit a annoncé avoir déposé plainte pour «menaces de mort».
Certains politiques représentants d'autres partis et qui ont aussi participé à ce rassemblement n'ont pas non plus laissé passer ces propos.
«Le rôle d'un élu n'était pas d'appeler au lynchage d'autres élus», a rappelé le président Les Républicains (LR) du Conseil départemental de l'Essonne François Durovray.
Interrogé par Le Parisien, Damien Allouch, conseiller départemental PS, a dénoncé des «propos scandaleux».
«Nous aurions dû tous quitter le rassemblement ou en tous les cas réagir fermement. Il a fallu qu'on me répète ses propos pour que je sois sûr de ce que j'avais entendu», a-t-il précisé.
Face à cette vague d'indignation, Nicolas Dupont-Aignan s'est expliqué dans une interview accordée au Parisien.
«J'ai tout de suite précisé qu'il s'agissait d'une blague, d'ailleurs tout le monde a compris […] J'ai même dit "ils ne vont pas sortir vivants politiquement", pour qu'on ne puisse rien me reprocher. C'est une expression populaire, il n'y avait aucune intention malveillante», a-t-il déclaré.
Il a aussi qualifié d'«instrumentalisation» la réaction de deux députés LREM.
Le 12 février, les sénateurs français ont adopté en première lecture le projet de loi Pacte. Il doit être désormais examiné le 20 février par une commission mixte de députés et de sénateurs. La prochaine lecture en séance à l'Assemblée nationale devrait avoir lieu en mars.
https://fr.sputniknews.com/france/201902191040077435-nicolas-dupont-aignan-deputes-lrem/
FRANCE - BRIGITTE BARDOT AUX GILETS JAUNES: «NE LÂCHEZ RIEN !»
RépondreSupprimerL'ancienne actrice a réaffirmer son soutien aux manifestants lors d'une visite surprise dans une réunion à Saint-Aygulf (F).
Brigitte Bardot a fait une apparition surprise lors du rassemblement.
19.02.2019, 06h54
Dimanche dernier, un rassemblement de gilets jaunes s'est déroulé dans un hôtel de Saint-Aygulf, dans le Var (F).
Lors de l'événement, une invitée de marque a fait son apparition, à la grande surprise des participants: Brigitte Bardot, en gilet jaune, était venue les soutenir. «Ne lâchez rien! Ne lâchez rien! Je vous soutiens, à fond, à fond», a lancé au micro l'icône du cinéma à l'intention des manifestants.
Si l'ancienne actrice n'est restée que quelques minutes, elle a tout de même pris le temps de répondre à quelques questions devant les caméras de «France 3 Provence-Alpes Côte d'Azur»: «Ils ont besoin qu'on les soutienne. Ils ont besoin de savoir que beaucoup de Français les admirent parce qu'ils ont beaucoup de courage», a-t-elle indiqué pour expliquer sa présence sur l'événement.
Pour rappel, ce n'est pas la première fois que Brigitte Bardot témoigne son soutien au mouvement des gilets jaunes. En novembre dernier, elle avait déjà posté sur Twitter une photo d'elle vêtue du fameux gilet. «Avec vous!», avait-elle écrit en description.
(Le Matin)
https://www.lematin.ch/people/brigitte-bardot-gilets-jaunes-lchez/story/22253265
TV «ALLONS TOUT DE SUITE SUCER 60 BITES DANS UN BOX DE CHEVAL !»
RépondreSupprimerHystérique, la militante anti-prostitution Solveig Halloin n'a pas supporté la contradiction portée par la journaliste Monia Kashmire, dans «Les Terriens du dimanche», sur C8.
18.02.2019, 17h50
Déjà connue pour être une vigoureuse antispéciste, Solveig Halloin milite également contre la prostitution. Elle était l'invitée de Thierry Ardisson ce week-end, dans «Les Terriens du dimanche» sur C8.
Mais dès sa première prise de parole, la jeune femme s'est mise à vociférer, coupant la parole à ses interlocuteurs sans même les écouter. C'est alors qu'une des chroniqueuses de l'émission, Monia Kashmire, est intervenue: «Je suis restée trois semaines dans une maison close en Suisse. J'ai sympathisé avec de nombreuses prostituées, a déclaré la journaliste. J'y suis allée parce que je suis féministe avec un a priori, en me disant : 'Elles sont là-bas parce qu'elles n'ont pas le choix'. Et finalement, j'ai rencontré des filles françaises qui sont allées en Suisse pour travailler parce qu'elles voulaient faire ce métier».
Intenable
Hurlant, Solveig Halloin a alors lâché: «Allons au bout! Allons au bout! Allons tous de suite sucer 60 bites dans un box de cheval! On va voir si c'est un métier! C'est impossible!» Monia Kashmire a tenté de la raisonner: «Il n'y a aucun lien. Vous pouvez me laisser terminer mon propos?» Mais rien n'y a fait, Halloin enchaînant, toujours en criant: «Une passe est une violence inouïe! Arrêtez!»
«Quand on aura terminé la dramaturgie, est-ce qu'on pourra parler ? Vous aurez un Molière, Mademoiselle!», a observé Monia Kashmire, consternée. Solveig Halloin a alors accusé Thierry Ardisson d'édulcorer «la réalité de la situation des prostituées». L'interview s'est terminée à peu près sur le même ton, quelques minutes plus tard.
(Le Matin)
https://www.lematin.ch/loisirs/suite-sucer-60-bites-box-cheval/story/21146810
ÉTATS-UNIS - COUPLE DE VÉGANS ARRÊTÉ: LEUR BÉBÉ ÉTAIT «PROCHE DE LA MORT»
RépondreSupprimerL'enfant de cinq mois a failli mourir de dénutrition et de déshydratation. Arrêtés, ses parents sont accusés de négligence aggravée.
Robert Buksey, 31 ans, et Julia French, 20 ans, ont été arrêtés et placés en détention.
19.02.2019, 06h41
«Je n'ai jamais vu un enfant dans cet état, aussi proche de la mort», a déclaré une enquêtrice en charge de l'affaire.
Mercredi dernier, l'enfant de cinq mois a été hospitalisé après avoir été retrouvé dans un grave état de dénutrition et de déshydratation. Selon «WFTV9», le petit avait les côtes apparentes, les yeux enfoncés et avait pris moins de 500 grammes depuis sa naissance. Il était léthargique et avait des difficultés à maintenir la température de son corps.
Julia French (20 ans) et Robert Buksey (31 ans), les parents du petit, ont tous deux été arrêtés à Titusville, en Floride, avant d'être placés en détention. Le couple, qui se décrit comme végan, fait face à des accusations pour négligence aggravée.
Selon les enquêteurs, l'enfant était principalement nourri avec une purée à base de pomme de terre. Le médecin de la famille avait d'ailleurs donné des instructions quant à l'alimentation du bébé, proposant même aux parents un régime bio en accord avec leurs convictions.
Mais alors que l'enfant était en bonne santé et prenait du poids, le couple aurait volontairement arrêté ce régime. Ils n'ont pas été en mesure d'en expliquer la raison.
Le petit a été pris en charge par les services de protection de l'enfance. Nourri par sonde à l'hôpital, il avait déjà repris 200 grammes jeudi dernier. Il pourrait cependant garder des séquelles de ces mois de malnutrition.
(Le Matin)
https://www.lematin.ch/faits-divers/couple-vegans-arrete-bebe-mort/story/29597681
Mode lancée (comme le 'bio') par des dictatures afin d'en faire crever le plus possible ! Les végans excluent les produits laitiers, œufs, miel, viande, etc !
SupprimerDes centaines de bateaux de pêche échoués dans la glace d'un port du nord-est de la Chine
RépondreSupprimerSott.net
mer., 13 fév. 2019 21:13 UTC
Des bateaux sont échoués dans la mer gelée d'un port de la ville de Dalian, dans la province du Liaoning, au nord-est de la Chine, au milieu d'un front froid. Un pêcheur a dû briser la glace pour transporter du matériel jusqu'à une zone d'aquaculture marine.
Des centaines de bateaux de pêche se sont échoués dans un port gelé de la ville côtière de Dalian, dans la province du Liaoning, au nord-est de la Chine.
En raison des fortes vagues de froid, la glace de mer a continué d'augmenter dans la baie Liaodong qui gèle chaque année en décembre.
Mercredi, plus de 40 % de la baie était recouverte de glace, selon le ministère des Richesses naturelles.
Vidéo :
"Nous voyons de la glace chaque année. Cela est dû aux conditions météorologiques. La mer est sûre d'être recouverte de glace chaque année avant le début du printemps" dit un pêcheur Wang Changyu.
La pêche et la pisciculture le long de la côte de la baie de Liaodong ont été suspendues. Les services compétents aideront les pêcheurs à vérifier leurs bateaux échoués pour s'assurer qu'ils ne sont pas endommagés.
- voir photos sur site -
Bateaux échoués.
Source : CCTV - Traduction Sott.net
https://fr.sott.net/article/33514-Des-centaines-de-bateaux-de-peche-echoues-dans-la-glace-d-un-port-du-nord-est-de-la-Chine
Le seul moyen de repérer la propagande vaccinale
RépondreSupprimerPar Bretigne Shaffer
19 février 2019
C'est cette saison encore: une autre épidémie bénigne d'enfance que la grande majorité de la population américaine s'est contractée et a guéri il y a quelques générations à peine, s'est produite de manière fortuite, précisément au moment où les législateurs du pays présentent des projets de loi pour dépouiller les parents le droit de choisir de vacciner ou non leurs propres enfants.
Dans ce climat d'hystérie induite par les intérêts, il est important de pouvoir faire la distinction entre des informations fiables sur la question et des informations erronées. Voici un moyen rapide de faire la différence:
Jetez un coup d'œil à ces trois articles récents sur la «crise» des parents qui choisissent de ne pas vacciner leurs enfants. Avez-vous remarqué quelque chose qu'ils ont tous en commun ?
«Les médecins sont prévenus que l'épidémie de rougeole pourrait se propager en Californie depuis d'autres États»
"Une épidémie de rougeole alimentée par le mouvement anti-vaccination, selon un expert en maladies infectieuses"
"Un mythe dangereux contre la vaccination" se reproduit "sur les réseaux sociaux, prévient un rapport"
Laissant de côté les gros titres frénétiques, ce que les trois partagent est quelque chose de commun à la grande majorité des articles grand public sur la controverse sur les vaccins. Vous seriez pardonné de penser que c’est la récitation obligatoire d’une version du «catéchisme de Wakefield». En voici une, de la KTVQ:
«La croyance erronée en un lien de parenté remonte à 1998, lorsqu'un médecin du Royaume-Uni a publié une étude maintenant discréditée selon laquelle le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) était lié à l'autisme. Il a été découvert que ses recherches étaient basées sur des données frauduleuses. L’étude a été rétractée et le médecin a perdu sa licence médicale. »
Presque tout dans cette déclaration est faux.
L’étude du Dr Wakefield (il était en fait l’un des 13 médecins sur le papier) n’affirmait pas que le vaccin RRO était lié à l’autisme, mais indiquait: «Nous n’avons pas démontré de lien entre le vaccin antirougeoleux, antiourlien et antirubéoleux et le syndrome décrit. Des études virologiques en cours pourraient aider à résoudre ce problème. "
Le document n'était pas non plus basé sur une recherche frauduleuse. Le Dr Wakefield, ainsi que le Dr John Walker-Smith, co-auteur principal du document, ont en effet été «discrédités» et dépossédés de leur licence médicale. Cependant, ni la "fraude", ni la "manipulation de données", ni quoi que ce soit concernant la validité de la recherche ne figurent parmi les chefs d’accusation retenus contre l’un ou l’autre (vous pouvez vous chercher vous-même. C’est un document interrogeable).
De plus, en 2012, M. Walker-Smith a eu gain de cause devant le tribunal de la Cour suprême de justice, division du Queen’s Bench. (M. Wakefield n'a pas fait appel des décisions prises à son encontre, car son assurance ne couvrirait pas les frais juridiques.) Dans sa décision, le juge John Mitting a écrit:
“… La conclusion générale du comité selon laquelle le professeur Walker-Smith était coupable de faute professionnelle grave était erronée… [le raisonnement était] insuffisant et superficiel et, dans un certain nombre de cas, une conclusion erronée… La décision du comité ne peut être maintenue. Je l’annule donc.
RépondreSupprimerAucun de ces faits ne fera jamais de cet article un article sur les vaccins. Le fait que les problèmes liés à l’autisme soient liés aux vaccins n’a pas non plus commencé ni n’a pris fin avec le papier Lancet de 1998. Des études menées avant et après cette étude (y compris une étude du CDC dans laquelle l'un des scientifiques a accusé le CDC d'avoir falsifié des données afin de dissimuler un lien possible) ont montré un lien possible entre les vaccins (y compris le vaccin ROR) et autisme.
En fait, un des témoins experts du gouvernement américain, le Dr Andrew Zimmerman, a admis que «… chez un sous-groupe d’enfants, la fièvre induite par la vaccination et la stimulation immunitaire ont provoqué une maladie cérébrale régressive, associée à des caractéristiques du trouble du spectre de l’autisme».
Alors, oui, il serait compréhensible de penser que la récitation presque unanime de ces mensonges sur l’absence de lien vaccin-autisme, et sur l’étude de Wakefield en particulier, était la caractéristique principale de ces articles - faire. Mais il y a autre chose.
J'ai été journaliste professionnel pendant de nombreuses années. Et je suis à peu près sûr que si j'avais déjà écrit une histoire sur un sujet controversé, mais que je n'avais interviewé que des personnes de l'un des côtés de cette controverse, j'aurais perdu mon emploi. Si cela s'était produit plus d'une fois, j'aurais absolument perdu mon emploi - comme tout autre «journaliste» qui se comporte de la même manière.
Et pourtant, maintes et maintes fois, dans la couverture médiatique des vaccins, c’est précisément ce que nous constatons. Articles qui répètent les mêmes assertions (rarement avec des preuves à l'appui) que «les vaccins sont sans danger» et «les vaccins ne causent pas l'autisme», et s'adressant à des porte-parole qualifiés uniquement du côté pro-vaccin de la question. Ce porte-parole sera généralement le docteur Paul Offit, responsable des maladies infectieuses à l'hôpital des enfants de Philadelphie, et l'article ne mentionnera généralement pas ses conflits d'intérêts financiers - une autre violation des normes journalistiques de base (sans parler de la politique explicite de nombreuses publications) que tout journaliste devrait être licencié sans ménagement.
De temps en temps, comme avec l'article de KTVQ ci-dessus, un journaliste s'entretiendra avec un parent «anti-vaxxer». Cependant, jamais personne ne fait référence à la littérature scientifique sur le sujet, et absolument jamais à des scientifiques ou à des médecins qui s'inquiètent de la sécurité des vaccins.
Ce n’est pas parce qu’ils n’existent pas. Voici le Dr Toni Bark, par exemple, qui a témoigné lors d'audiences tenues récemment dans l'État de Washington au sujet d'un mandat de vaccin proposé dans ce pays. Le Dr Brian Hooker a également témoigné, de même que l'avocat Robert Kennedy Jr. En effet, de nombreux chercheurs et professionnels de la santé critiquent les vaccins et n'acceptent pas les mantras traditionnels qui insistent sur le fait qu'ils sont sans danger.
Mais vous n'entendrez jamais parler de ces scientifiques ni de ces médecins par les médias traditionnels. Pourquoi pas ? Parce que ces médias ne sont pas des journalistes. C'est autre chose.
La conversation autour des vaccins a été manipulée pendant longtemps, principalement par ceux qui ont un intérêt dans la fabrication et la vente de vaccins. Les sociétés pharmaceutiques dépensent des milliards de dollars chaque année en publicité et exercent par conséquent une grande influence sur les éditeurs et les diffuseurs. Comme les journalistes authentiques, tels que Sharyl Attkisson et Jeremy R. Hammond, ont soigneusement documenté, ce que les médias nous disent, dit la science, sur les vaccins et ce que dit la science, sont deux choses très différentes - et souvent contradictoires.
RépondreSupprimerQuel que soit votre point de vue sur les vaccins, le fait (ne vous fiez pas à la parole, allez chercher vous-même) qu’un seul aspect de la controverse est rapporté dans les médias grand public devrait vous faire réfléchir. Si ce que les partisans des vaccins disent à leur sujet est vrai, s’ils sont vraiment «sûrs et efficaces», si les réactions indésirables sont si rares et si la science est vraiment établie, alors pourquoi les journalistes ne peuvent-ils pas en parler honnêtement ? Si ceux qui s'inquiètent de la sécurité des vaccins ne sont vraiment que des fous et des fraudeurs, alors pourquoi les personnes qui couvrent le sujet ont-elles peur de leur parler ?
https://www.lewrockwell.com/2019/02/bretigne-shaffer/the-one-way-to-spot-vaccine-propaganda/
Pourquoi les autocrates remplacent les démocrates
RépondreSupprimerPar Patrick J. Buchanan
19 février 2019
"Si vous regardez Trump en Amérique et Bolsonaro au Brésil, vous voyez que les gens veulent des hommes politiques qui font ce qu'ils promettent", a déclaré l'homme d'affaires espagnol Juan Carlos Perez Carreno.
L’Espagnol expliquait au New York Times ce qui était à l’origine de la montée de Vox, que le Times qualifie de «premier parti d’extrême droite en Espagne depuis la fin de la dictature franquiste en 1975».
En effet, l'impatience croissante des peuples face aux dirigeants élus et aux législateurs qui ne peuvent ou ne veulent pas agir de manière décisive explique les deux réalités de notre temps: l'éclipse du Congrès et la montée de l'autocratie dans le monde.
En condamnant la décision du président Donald Trump de déclarer une urgence nationale et d’utiliser les fonds du Pentagone pour construire son mur, les élites de Beltway ont accusé le président d’une multitude de péchés contre la Constitution.
Il a usurpé le «pouvoir de la bourse» que les pères fondateurs ont investi dans le Congrès. Il a ignoré les «freins et contrepoids» de la démocratie madisonienne. Il agit comme un président impérial.
Pourtant, le déclin du Congrès n'est pas un phénomène récent. Et le principal collaborateur dans sa chute de grâce, de «première branche du gouvernement» aux moins estimés, a été le Congrès lui-même, sa propre timidité et sa lâcheté.
Contrastez, si vous voulez, la torpeur et l’inaction désormais invétérées du Congrès avec la façon dont les présidents, que les historiens ont déclarés grands ou presque grands, ont agi.
Thomas Jefferson a saisi l’offre soudaine de Napoléon de vendre le vaste territoire de la Louisiane pour 15 millions de dollars, ce qui constitue un acte constitutionnel douteux de la part de Jefferson. L'histoire a validé sa décision.
Andrew Jackson - «John Marshall a pris sa décision. maintenant, laissez-le faire respecter ! »- a rejeté une décision de la Cour suprême qui lui refusait le droit de transférer les Indiens de Floride au centre du pays.
Abraham Lincoln arrêta les législateurs du Maryland pour empêcher une assemblée sécessionniste d’esprit, viola les droits d’habeas corpus de milliers de personnes, ordonna l’arrestation du juge en chef Roger Taney, ferma des journaux et, en janvier 1863, déclara libre tous les esclaves de tous les États rébellion contre l'Union.
«J'ai pris le Panama!», A déclaré Theodore Roosevelt, dont les agents ont aidé les rebelles à quitter la Colombie de la province pour construire son canal.
Le FDR a ordonné à quelque 110 000 Japonais, dont 75 000 citoyens américains, de se rendre dans des camps de détention en 1942 pour la durée de la guerre.
Sans autorisation du Congrès, Harry Truman a ordonné aux troupes américaines d'entrer en Corée du Sud en 1950 de résister à l'invasion de la Corée du Nord, appelant cela une action de la police.
Bien qu'une chambre républicaine ait voté contre l'attaque de la Serbie en 1998, Bill Clinton a poursuivi sa campagne de bombardement de 78 jours jusqu'à ce que Belgrade cède sa province du Kosovo, son berceau.
Pourtant, alors que les présidents ont agi de manière décisive, sans l’autorisation du Congrès et parfois de manière inconstitutionnelle, le Congrès n’a pas réussi à défendre, ni même à céder, ses pouvoirs constitutionnels légitimes.
RépondreSupprimerL’autorité du Congrès «de réglementer le commerce avec les pays étrangers» a été largement cédée au pouvoir exécutif, le Congrès ayant accepté de se limiter à un vote «oui» ou «non» sur tout traité commercial que la Maison Blanche négocie et envoie à la Colline.
Le pouvoir du Congrès de «monnayer» et «d’en réguler la valeur» a depuis longtemps été transféré à la Réserve fédérale.
Le pouvoir du Congrès de déclarer la guerre a été ignoré par les présidents depuis Truman. Les autorisations d'utilisation de la force militaire ont remplacé les déclarations de guerre, les présidents décidant de la portée de leur interprétation
En déclarant l’état d’urgence national vendredi, Trump a plaidé sa cause devant le pouvoir du président par le Congrès dans le National Emergencies Act de 1976.
La Cour suprême a usurpé les pouvoirs du Congrès en toute impunité.
Bien que les lois sur les droits civils des années 1960 aient été promulguées par le Congrès, la déségrégation des écoles publiques américaines n’a été ordonnée que par le Warren Court en 1954.
Dans les années soixante et soixante-dix, le Congrès était indolent, car des juges fédéraux avaient imposé d'innombrables districts scolaires à la défense de l'équilibre racial.
Alors que la Cour suprême exploitait depuis des décennies la clause d'établissement du Premier amendement pour déchristianiser toutes les écoles et tous les lieux publics, le Congrès n'a rien fait. Un tribunal triomphant a ensuite déclaré les droits constitutionnels à l'avortement et au mariage homosexuel.
Pourtant, le Congrès disposait, à l’article III, section 2, du pouvoir latent de restreindre la compétence de la Cour suprême et de tous les autres tribunaux fédéraux. Mais le gros bâton que les fondateurs ont laissé au Congrès pour corriger une Cour suprême en fuite n'a jamais été repris, jamais utilisé.
Parmi les principales raisons pour lesquelles Trump a été élu était que, malgré tous ses défauts et ses faiblesses, il était perçu comme un homme d'action, un homme qui «fait avancer les choses».
Et l'une des principales raisons pour lesquelles les autocrates sont en hausse est que les partis centristes qui sont mis de côté sont perçus comme ayant échoué les revendications les plus élémentaires du peuple - moins de migrants, des frontières plus sûres, la préservation de l'identité nationale, la mise de leurs propres pays propre en premier.
Quoi que l'on puisse dire des autocrates, que ce soit Trump, Poutine ou Xi Jinping, ils ne sont pas des bavards, mais des faiseurs. Ils agissent.
Et ils peuvent très bien posséder l'avenir.
https://www.lewrockwell.com/2019/02/patrick-j-buchanan/why-autocrats-are-replacing-democrats/
LES IMPÔTS DIRECTS ONT AUGMENTÉ DE 25 % EN DIX ANS !
RépondreSupprimerpar MARIE-EVE WILSON-JAMIN
18/02/2019
Entre 2010 et 2017, les impôts directs ont augmenté de 63 milliards d'euros pour franchir la barre des 250 milliards d'euros.
Selon la fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (IFRAP), les impôts directs ont progressé de 25%, soit plus de 63 milliards d'euros, entre 2010 et 2017, pour atteindre 250 milliards d'euros.
Les impôts directs ont augmenté de 25% en moins de dix ans
Depuis 2010, les impôts directs qui pèsent sur les revenus et le patrimoine des ménages ont augmenté de plus de 25%, selon une étude du think tank libéral spécialisé dans les politiques publiques Ifrap, commandée dans le cadre du Grand débat. La France peut se targuer d'être le premier pays au monde en terme de pression fiscale.
Pour rappel, en 2017 les prélèvements obligatoires en France, et, ce, pour la première fois, ont passé la barre des 1 000 milliards d'euros, en raison d'une augmentation de 43,3 milliards par rapport à l'année précédente. Malgré les baisses d'impôts décidées par le gouvernement, la somme totale prélevée devrait continuer à augmenter pour atteindre 1 057 milliards d'euros en 2018, puis 1 070 milliards en 2019.
Les 10% de foyers les plus aisés paient 52% de l'ensemble des impôts directs
Les impôts directs sont constitués de la CSG-CRDS, des prélèvements sociaux, de l'impôt sur le revenu et sur les capitaux mobiliers, des taxes foncières et d'habitation, de l'impôt de solidarité sur la fortune le cas échéant, et des droits de mutation à titre gratuit (droits de successions). Alors que les impôts indirects englobent, eux, la TVA et les différentes taxes sur les produits dont le carburant.
Dans le détail, ce sont les 30% des ménages français les moins riches qui alimentent 2% du total de ces impôts directs. Selon la fondation, les 10% de foyers les plus aisés paient 52% de l'ensemble des impôts directs, soit 130 milliards d'euros sur les 250 milliards collectés en 2017.
http://www.economiematin.fr/news-impots-directs-augmente-25-dix-ans
Vidéo: Bill Gates claque contre l'énergie éolienne et solaire non fiable
RépondreSupprimer18 février 2019
Lorsque l’entrepreneur le plus riche au monde déclare que l’énergie éolienne et solaire ne fonctionnera jamais, il est probablement temps d’écouter.
- voir clip (anglais) sur site :
https://wattsupwiththat.com/2019/02/18/video-bill-gates-slams-unreliable-wind-solar-energy/