- ENTREE de SECOURS -



lundi 25 février 2019

Une journaliste dénonce le mépris des médias envers les gilets jaunes


Le Média
dim., 17 fév. 2019 20:04 UTC 


On sent le jugement
« Sur toutes les chaînes qui ont invité des gilets jaunes, le journaliste ou l' « expert » soit-disant qui est là, rien qu'à la façon dont il le regarde, on sent le jugement. »

10 commentaires:

  1. Paroles de Gilets jaunes : « On nous dénigre, on nous fait passer pour ce qu'on n'est pas »


    RT
    dim., 24 fév. 2019 20:07 UTC


    Comme chaque samedi, les reporters de RT France sont allés à la rencontre des Gilets jaunes. Ce 23 février, pour l'acte 15, les manifestants présents semblent toujours aussi déterminés à poursuivre leur mobilisation jusqu'au bout.

    Pour l'acte 15 de la mobilisation, après plus de trois mois, les personnes rencontrées se disent toujours aussi déterminées à continuer leur combat jusqu'au bout. Toujours au cœur des revendications, la participation populaire à la vie démocratique et le référendum d'initiative citoyenne (RIC) figurent en tête des priorités des Gilets jaunes.

    Myriam, auxiliaire parentale à Paris, est mobilisée depuis le début du mouvement. Si elle n'a pas l'impression que les Gilets jaunes sont entendus par le gouvernement et estime qu'ils sont traités avec mépris, elle constate néanmoins que le pouvoir ne peut faire semblant de ne pas les voir. Ce qui l'encourage à continuer, en plus des revendications d'ordre fiscal et social, c'est « l'injustice » liée au traitement des Gilets jaunes. « On nous dénigre, on nous fait passer pour ce qu'on n'est pas. C'est vraiment énervant» , déplore Myriam.

    Camille, étudiant en physique, brandissait une pancarte sur laquelle il avait écrit : « 1789, révolution bourgeoise, 2019, révolution populaire». Il a expliqué au micro de RT France que les parallèles établis régulièrement entre la révolution française et le mouvement des Gilets jaunes n'était pas pertinent selon lui car la révolution du 1789 était « une révolution bourgeoise qui a mis en place le système dans lequel nous vivons aujourd'hui ». Pour Camille, avec les Gilets jaunes, « on peut avoir une révolution qui donne vraiment le pouvoir au peuple ».

    Alex a passé les 15 derniers samedis sans ses enfants. Elle vient chaque semaine à Paris, depuis la Normandie où elle réside. « C'est un investissement, on espère que ça aboutira », explique-t-elle au micro de RT France. « Et c'est pas parce qu'on est déterminés qu'on est radicalisés », précise-t-elle.

    Interrogé par une journaliste de RT France sur les accusations d'antisémitisme qui planent sur le mouvement des Gilets jaunes depuis l'altercation qu'a eue avec quelques-uns d'entre eux le philosophe Alain Finkielkraut le 16 février, Pascal dit être « très tranquille » avec ça. « Mardi soir, on est allés place de la République [au rassemblement contre l'antisémitisme, le 19 février]. On était en gilet jaune, on ne faisait pas de provocation et on venait faire voir que les Gilets jaunes n'étaient pas des antisémites, ni des xénophobes, ni des racistes ». Il pointe également la responsabilité des médias dans la surmédiatisation qui tend selon lui à exagérer des événements isolés et mineurs.

    Notre journaliste a également retrouvé Franck, rencontré précédemment, lors de l'acte 13 des Gilets jaunes alors qu'il venait d'être blessé par un coup de matraque des forces de l'ordre. Il explique aller mieux et se dit reconnaissant pour tous les messages de soutien qu'il a reçus.

    Reprenant la formule du président Emmanuel Macron, Franck assure que les Gilets jaunes non plus ne vont rien lâcher jusqu'à l'obtention du RIC.

    https://fr.sott.net/article/33538-Paroles-de-Gilets-jaunes-On-nous-denigre-on-nous-fait-passer-pour-ce-qu-on-n-est-pas

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    1. L'ordurologie présente chez les journalistes choisis par la dictature pour interroger les français, ne reproduira jamais la volonté du Peuple à vouloir expulser la république aux chiottes. Le Peuple français veut mettre en place LA Démocratie ! LA Suisse n°2 !
      Le Pouvoir au Peuple ! Comme en Suisse !

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  2. Des CRS cassent la vitre d'une entrée d'immeuble à coup de pieds durant l’acte 15 (vidéo)


    13:32 25.02.2019


    Pour faire sortir des manifestants d’un immeuble, des agents des forces de l’ordre ont cassé la vitre de la porte d’entrée. La scène s’est déroulée lors de la mobilisation des Gilets jaune, samedi 23 février, à Toulouse. Une vidéo a été postée sur des réseaux sociaux.

    Des policiers ont été filmés en train de casser la porte vitrée d'accès à un immeuble, à Toulouse, lors de l'acte 15 de la mobilisation des Gilets jaunes, constate-t-on dans une vidéo largement relayée sur les réseaux sociaux.

    Ainsi, la vidéo en question, qui dure une vingtaine de secondes, montre un groupe de policiers en train d'essayer d'entrer dans un immeuble, vraisemblablement pour en déloger des manifestants.

    On y voit également une femme, sans gilet jaune, debout dans le hall de l’immeuble, à côté de la vitre, qui hésite à les faire entrer pendant une poignée de secondes alors que les autres personnes présentent crient: «On a rien fait».
    C'est alors qu'un CRS s'approche de la porte et donne un coup de pied dans la vitre, qui se fissure.

    La femme debout a côté de la porte l'a immédiatement ouverte pour laisser entrer les policiers.

    Samedi dernier, les manifestants étaient près de 46.600 dans toute la France, contre 41.000 samedi dernier, selon un décompte du ministère de l'Intérieur contesté par le syndicat France police-Policiers en colère, lequel évoque le chiffre de 200.000 Gilets jaunes.

    https://fr.sputniknews.com/france/201902251040152907-policiers-cassent-porte-vitree-immeuble-gilets-jaunes/

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  3. Un «problème de mail» de la justice française offre un tête-à-tête à Benalla et Crase


    13:00 25.02.2019


    Un gros loupé au sein du palais de justice de Paris a permis une conversation entre Alexandre Benalla et Vincent Crase, pourtant tous deux interdits d’entrer en contact, rapporte RTL. En cause: un mail transmettant les consignes des magistrats qui n’a pas été envoyé. Ils étaient justement jugés pour s’être vu lors de leur contrôle judicaire.

    Alors que leur contrôle judiciaire leur interdisait d'entrer en contact, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu discuter durant une heure dans le même box au palais de justice de Paris mardi dernier avant leur placement en détention, d'après des informations recueillies par RTL.

    Arrêtés pour avoir violé leur contrôle judiciaire qui leur interdisait d'entrer en contact, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont été placés dans un box commun, sans interdiction de communiquer, le jour de leur placement en détention.
    Un problème de mail est en cause. Une lettre transmettant les consignes des magistrats n'a pas été envoyée et les policiers n'ont pas reçu d'instruction, laissant les deux hommes dans le même box pendant plus d'une heure au palais de justice le 19 février dernier.

    Quand les magistrats ont réalisé la situation, les deux hommes ont finalement été menottés et séparés, rapporte RTL.

    Placé en détention provisoire mardi dernier pour non-respect de son contrôle judiciaire, Alexandre Benalla, ancien collaborateur d'Emmanuel Macron, devra encore passer quelques jours à la prison de la Santé. La décision concerne également Vincent Crase, qui a quant à lui été écroué à la prison de Bois-d'Arcy dans les Yvelines.

    https://fr.sputniknews.com/france/201902251040152753-benalla-crase-justice-mail-detention/

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  4. Un syndicat dénonce le jet de cocktails «cacatov» contre la police à Paris


    11:39 25.02.2019


    «Cette technique, c’est une nouveauté»: le syndicat de police UNSA a dénoncé des jets de «bombes d’excréments» contre les forces de l’ordre lors de l’acte 15 des Gilets jaunes à Paris. Selon Le Parisien, un agent a été visé par un «bocal, de la taille d’une bouteille d’un ou deux litres, qui contenait de la crotte de chien mélangée à de l’eau».

    Dans un tweet, le syndicat policier UNSA Police SDSS a dénoncé des jets d'excréments contre les forces de l'ordre à Paris en marge de l'acte 15 de la mobilisation des Gilets jaunes à Paris. Selon lui, un agent de police a été la cible d'un jet d'excréments sous forme liquide à proximité de la place du Trocadéro.

    Contacté par Le Parisien, un porte-parole du syndicat a précisé que son «collègue a été visé par un bocal, de la taille d'une bouteille d'un ou deux litres, qui contenait de la crotte de chien mélangée à de l'eau» lors de l'interpellation de deux personnes, ces dernières n'étant pas les auteurs du jet de matières fécales.

    «Cette technique, c'est une nouveauté. On avait déjà eu des cocktails Molotov à partir de l'acte 13, mais pas ça. Mais on avait bien vu qu'ils en parlaient sur les réseaux sociaux», a-t-il ajouté. «Ça peut paraître idiot, ils croient que ça ne tache que les vêtements, mais non, c'est dangereux, c'est plein de bactéries, c'est dangereux si ça nous arrive dans les yeux ou si on l'absorbe…. C'est une idée idiote. C'est grave.»

    Le quotidien français note que cette technique a notamment été employée il y a deux ans par des manifestants au Venezuela, qui avaient même baptisé ces nouvelles armes les «cacatov» («puputov» en espagnol), en référence aux cocktails Molotov. Des projectiles similaires ont aussi été utilisés par des occupants de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes lors de son évacuation en 2018.

    Une attaque pareille peut constituer des violences aux yeux de la justice et être puni jusqu'à trois ans d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende, souligne le média.

    https://fr.sputniknews.com/france/201902251040150797-cocktails-cacatov-excrements-bombes-acte-15-gilets-jaunes/

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  5. La France héberge à ses frais un ex-terroriste interdit de son territoire depuis 2006 !


    11:20 25.02.2019


    L’Algérien Kamel Daoudi, condamné pour terrorisme et déchu de sa nationalité française, ne peut pas être extradé vers son pays d’origine depuis plus de dix ans car la CEDH n’y a pas autorisé Paris. Il est pourtant interdit de territoire français depuis 2006. L’État français paye son hôtel et ses repas depuis.

    Condamné pour terrorisme et déchu de sa nationalité française en 2002, Kamel Daoudi est interdit de territoire depuis 2006 mais se trouve toujours en France au lieu d'être extradé vers l'Algérie dont il est originaire. Cet imbroglio juridique s'explique par la position de la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) qui interdit à Paris d'expulser l'ex-terroriste !

    Plus tôt en janvier, l'intéressé, qui est le plus ancien assigné à résidence en France, a été transféré de sa petite chambre d'hôtel de Saint-Jean d'Angély à Aurillac, dans le Cantal. Le maire de la ville Pierre Mathonier a par la suite demandé des explications au ministère de l'Intérieur, déplorant le fait qu'il n'avait pas été consulté et constatant «une anxiété compréhensible» de la population locale.

    Soupçonné d'avoir préparé un attentat contre l'ambassade états-unienne à Paris, Kamel Daoudi a été condamné en 2005 à six ans de prison ferme pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste». Déchu de sa nationalité française, il ne peut toutefois être expulsé vers l'Algérie, la CEDH l'ayant interdit en 2008 pour les risques de torture encourus dans ce pays qu'il a quitté à l'âge de cinq ans.

    Depuis sa sortie de prison en 2008, Daoudi se trouve donc assigné à résidence. Il pointe trois fois par jour à la gendarmerie locale et doit respecter un couvre-feu. En revanche, c'est l'État français qui paie depuis plus d'une décennie ses nuitées d'hôtel, dîners et petits-déjeuners. Or, en octobre dernier, l'Algérien a saisi la CEDH pour faire condamner la France qu'il accuse de l'avoir assigné à résidence «à perpétuité».

    https://fr.sputniknews.com/france/201902251040151939-france-terroriste-assigne-residence/

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  6. ANGOISSE ENTRE DICTATURES !

    «L'Algérie, le cauchemar de Macron»: ce qui se passerait en France si Bouteflika mourrait


    13:36 25.02.2019


    Les autorités françaises «sont terrifiées par la perspective d'une grave déstabilisation de notre ancienne colonie après la mort de Bouteflika», a déclaré un haut responsable à un journaliste de l'Obs, qui a listé les raisons de l’inquiétude de Paris.

    À l'approche de l'élection présidentielle en Algérie, le journaliste Vincent Jauvert a écrit pour le magazine le Nouvel Observateur un article expliquant que l'Élysée et les services français de sécurité sont angoissés par l'idée d'une «déstabilisation de l'Algérie à la suite de la mort du Président Bouteflika ou d'une révolte».

    Ainsi, un haut responsable français a confié au média «ce qui inquiétait le plus Emmanuel Macron». L'entretien a eu lieu en février, plusieurs jours avant les manifestations contre un cinquième mandat du Président Abdelaziz Bouteflika.

    «Le cauchemar du président de la République, c'est l'Algérie. C'était aussi celui de ses prédécesseurs. Les plus hautes autorités de l'État sont terrifiées par la perspective d'une grave déstabilisation de notre ancienne colonie après la mort de Bouteflika», a-t-il affirmé.

    Le journaliste souligne notamment qu'«une grave crise politique dans ce pays si proche — à la suite d'une révolte de la jeunesse et/ou d'une disparition de son président — risque, en effet, de poser des problèmes considérables à la France».

    Dans son article, le journaliste énumère quatre raisons qui expliquent pourquoi une éventuelle mort de M.Bouteflika serait défavorable à la France.

    Premièrement, le journaliste évoque une éventuelle crise énergétique: 10% du gaz importé par la France proviennent d'Algérie, le pays étant un de ses principaux fournisseurs d'énergie.

    Par ailleurs, une déstabilisation en Algérie pourrait pousser «des centaines de milliers de jeunes» Algériens à émigrer en France «ce qui, à l'évidence, poserait un défi politique majeur au gouvernement français», poursuit M.Jauvert.

    Il faut également tenir compte «que l'immigration algérienne en France, et sa descendance, est nombreuse et attentive à ce qui se passe de l'autre côté de la Méditerranée».

    Enfin, il ne faut pas oublier la menace terroriste car «la précédente crise politique algérienne à la fin des années 1980 a ouvert la voie aux djihadistes qui ont semé la terreur dans le pays pendant une décennie et menacé la France à plusieurs reprises».

    Abdelaziz Bouteflika, 81 ans et victime d'un AVC en 2013, au pouvoir sans interruption depuis 1999, a annoncé le 10 février qu'il briguera un cinquième mandat en Algérie. L'élection présidentielle algérienne se déroulera mi-avril.

    Des opposants à la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à la présidentielle ont manifesté vendredi 22 février dans plusieurs villes d'Algérie. Dimanche, de nombreux manifestants ont également défilé à Paris et à Alger.

    https://fr.sputniknews.com/france/201902251040152168-algerie-france-presidentielle-macron-bouteflika/

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  7. Un sénateur US publie une photo du meurtre de Kadhafi: un message à Maduro !?


    09:45 25.02.2019


    En pleine crise au Venezuela, alors que le secrétaire d’État Mike Pompeo promet de «passer aux actes» dans ce pays, le sénateur américain Marco Rubio a publié sur Twitter une photo du meurtre du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi adressant un message on ne peut plus clair au Président vénézuélien Nicolas Maduro.

    Le sénateur états-unien Marco Rubio a publié dimanche sur Twitter deux photos de l'ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui n'ont été accompagnées d'aucune légende. Une image montre Kadhafi souriant alors qu'il était toujours au pouvoir. Sur la suivante, il est ensanglanté à quelques instants de son meurtre brutal.

    - voir photos site des meurtres commis par la dictature US -

    Le destinataire de ce message du sénateur américain semble évident étant donné ses appels ouverts à une insurrection armée au Venezuela pour renverser le Président Nicolas Maduro.

    D'autant plus que, plus tôt dans la journée, le sénateur américain, qui se décrit sur Twitter comme d'abord «fidèle du Christ», a publié un post affirmant que l'isolement international du gouvernement de Maduro se renforcerait, que les moyens d'échapper aux sanctions se réduiraient et que la volonté de nombreux pays d'appuyer les actions multilatérales plus énergiques pour le déloger a sensiblement augmenté.

    La publication par Marco Rubio de ces images de Mouammar Kadhafi a attiré de nombreuses critiques.

    Un internaute a publié ses propres images de Mouammar Kadhafi, de Saddam Hussein et… de Nicolas Maduro.

    Le lanceur d'alerte WikiLeaks a écrit: «Parce que rien n'en dit autant sur "les droits de l'Homme" que de jubiler sur un être humain se faisant sodomiser à mort par une baïonnette.»

    Un autre a rappelé ce à quoi ressemblaient certains pays avant l'ingérence des États-Unis et ce qu'ils sont devenus par la suite.

    «Marco Rubio vient de publier une menace de mort visuelle et violente. Si l'un d'entre nous publiait ce message, il serait suspendu», a déclaré le journaliste Bill Palmer.

    Un internaute rappelle que l'Otan «a travaillé avec des extrémistes proches d'Al-Qaïda* pour renverser la Libye, un pays autrefois prospère et riche en pétrole, et la transformer en un État en faillite avec des marchés d'esclaves à ciel ouvert», estimant que le sadique impérialiste Rubio promet au Venezuela la même mort et la même destruction.

    La crise politique au Venezuela a éclaté quand l'opposant Juan Guaido, renvoyé le 22 janvier du poste de président de l'Assemblée nationale vénézuélienne sur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé le lendemain «Président en exercice du pays» et a prêté serment au cours d'une manifestation. Donald Trump l'a reconnu comme «Président par intérim».

    Une quarantaine de pays, dont le Royaume-Uni et l'Allemagne, en ont fait de même. La France l'a également reconnu comme «Président en charge». Le Président Nicolas Maduro a qualifié Juan Guaido de pantin des États-Unis.

    *Organisation terroriste interdite en Russie

    https://fr.sputniknews.com/international/201902251040151205-senateur-us-photo-kadhafi-menace-maduro/

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  8. DICTATURE MONARCHIQUE ISLAMISTE :

    AUSTRALIE - UN SUISSE PREND SON VIN AU RESTO: 5700 FRANCS D’AMENDE

    Un marchand de vin suisse aurait de bonne foi amené huit bouteilles de vin dans un restaurant de Melbourne. Il le paye très cher.
    La soirée a peut-être été festive. Mais la douloureuse a fait très très mal.


    25.02.2019, 12h45


    La rumeur d’une amende délirante circulait manifestement à Melbourne, en Australie. La station de radio locale 3AW affirme qu’elle est confirmée et qu’il s’agit bien de la réalité: un Suisse a écopé d’une amende de 8000 dollars australiens pour avoir apporté huit bouteilles de vin dans un restaurant de la place!

    Que s’est-il passé ? L’histoire est pour le moins étrange. En Australie, les établissements «BYO» – Bring Your Own – sont courants. Dans ces restaurants, le client peut apporter son propre vin plutôt que de le commander sur place. Un Suisse non identifié mais décrit comme marchand de vin voulait faire goûter des produits à d’éventuels clients. Il a donc organisé un repas avec dégustation dans un restaurant décrit comme «huppé» de Melbourne.

    Jamais eu de réponse

    Mais celui-ci était-il BYO ? La radio a recueilli le témoignage de Scott, présenté comme un associé du Suisse. Celui-ci jure que, par trois fois, son collègue a tenté d’obtenir la réponse de l’établissement. En vain.

    Il a donc finalement décidé de venir avec ses produits. Huit bouteilles. Mais à la fin de soirée la douloureuse n’aurait donc jamais été aussi justement nommée, les tenanciers infligeant 1000 dollars australiens de frais par bouteille. Soit 715 francs. Et donc plus de 5700 francs (5030,09 €) en tout…

    Une dispute en allemand

    Scott explique encore sur 3AW que son ami Suisse et la direction du restaurant se sont «disputés en allemand». Mais les tenanciers n’ont manifestement rien cédé. Et il a dû payer. «Ça lui a laissé un goût amer en bouche et nous n’irons plus jamais là-bas», conclut l’associé du Suisse.

    Les protagonistes étant anonymes et le nom de l’établissement non spécifié, l’histoire est invérifiable en l’état. Mais si elle est bien vraie on peut comprendre que ce Suisse ne mette plus jamais un pied dans ce resto. (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/monde/suisse-prend-vin-resto-5700-francs-amende/story/19710852

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  9. Les députés LREM seraient «maraboutés» par Emmanuel Macron



    16:16 25.02.2019



    Cinq élus, qui ont quitté le groupe La République en marche (LREM) à l'Assemblée, ont évoqué pour Mediapart les raisons de leur départ, ainsi que leurs désillusions. L'un d'eux allant jusqu'à affirmer que les députés de la majorité sont «maraboutés» par le Président et perdent leur «esprit critique».

    Le député LREM Matthieu Orphelin a annoncé début février qu'il quittait son groupe parlementaire. Il est le septième à le faire depuis le début de la législature, emboîtant le pas à son collègue Joachim Son-Forget. Cinq des élus qui ont quitté le groupe récemment se sont confiés à Mediapart.

    «La majorité de mes collègues ont une relation à Emmanuel Macron comme à un gourou. Ils sont maraboutés, a déclaré à Mediapart le député Jean-Michel Clément. Celui-là même qui s'est retiré il y a bientôt un an du groupe après avoir voté contre le projet de loi asile-immigration, adopté en première lecture à l'Assemblée nationale.

    Un autre député, François-Michel Lambert, qui a quitté le groupe présidentiel à l'automne 2018, a rappelé pour sa part que le dossier sur lequel il avait beaucoup travaillé, l'économie circulaire, ne lui avait pas été confié.

    «Je n'ai été mobilisé sur rien, je n'ai été consulté sur rien», a-t-il souligné.

    Un autre député LREM, Paul Molac, a démissionné en octobre pour rejoindre le nouveau groupe Libertés et territoires.

    «Au sein de LREM, c'était difficile de décrypter et critiquer une loi, elle était forcément bonne puisqu'elle venait du gouvernement […] On observe une absence de prise en compte des députés et du pouvoir législatif, et donc un non-respect de nos institutions», a-t-il expliqué à Mediapart.

    Sébastien Nadot, qui, lui, a été exclu du groupe le 20 décembre après qu'il a voté contre le budget lors de son adoption définitive, rappelle pour sa part les méthodes autoritaires de gestion.

    «C'étaient toujours les têtes du groupe qui nous disaient quoi voter.»

    Le groupe LREM à l'Assemblée nationale compte actuellement 306 députés sur un total de 577, soit la majorité absolue des sièges.

    Cette «passion» pour Emmanuel Macron avait déjà été évoquée au sujet de certaines personnes dans l'entourage du Président. Dans le livre «Madame la présidente», deux journalistes du Parisien racontent que des proches de Macron rêvent que Brigitte Macron «meure». «Pour eux, ce veuf éploré serait formidable», ont-elles indiqué dans le livre.

    https://fr.sputniknews.com/france/201902251040157105-france-deputes-lrem-depart/

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