par Tyler Durden
Lun, 02/11/2019 - 02:00
Écrit par David Studdert via Off-Guardian.org,
(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
Nous vivons dans un monde où la démocratie est une menace et la liberté une punition. Vous ne pouvez pas distinguer un crétin d'un diamants, où la 5G est trompée alors même qu’elle menace de nous tuer, où l’éthique qui prévaut est l’esprit acheteur-méfiant et où quiconque contre le bellicisme et la guerre éternelle est barbouillé et peint comme un monstre.
Qui crois-tu ? Toutes les choses dont vous étiez certains à propos de la démocratie, de la liberté, du droit à la liberté de parole, des informations télévisées, tout cela est non seulement miné, mais en réalité, il vous est jeté à la face. La démocratie dans l'Ukraine contrôlée par les nazis, les rebelles djihadistes modérés, pas de démocratie en Russie ou au Venezuela, malgré les tests d'empreintes digitales sur les électeurs et les caméras de la cabine de vote, et cette voix qui dit que ce sont des élections justes et une douzaine qui dit que la France n'est pas cette démocratie et vingt autres voix disent qu'elles ne le sont pas et que des groupes de droite s'en vont dans la rue, utilisent des produits chimiques dans leur nourriture et oublient d'allumer leur maison wi-fi avant de vous rendre à une autre réunion ou de charger votre téléphone, et, et… eh bien… je me suis perdu juste en l'écrivant.
Vous occuper, c’est ce que fait l’empire néolibéraliste et, entre autres choses, vous êtes censé être un citoyen actif bourré de capital social, capable d’exprimer son opinion sur n'importe quel sujet au pied levé.
La sécurité ontologique, tout le monde en a besoin, mais pour le moment, il y en a peu, surtout dans les grandes métropoles. Pas étonnant que les gens soient confus et effrayés, marchant à reculons dans le futur, coincés dans la boue jusqu'aux genoux, rêvant que, par miracle, tout reviendra à la normale, “S'il te plaît !”.
Alors, au milieu de cette tour de Babble, résolvons une énigme pour vous.
Voici dix raisons pour lesquelles les Gilets Jaunes (à la différence des révolutions de couleur parrainées par les États-Unis) sont la véritable affaire, ce que je veux dire par l'expression directe du peuple français.
1. Ils ne parlent pas dans les abstractions / idéalismes: l’abstraction est le langage du pouvoir, de la hiérarchie et de la représentation. L'abstraction et son utilisation dans un contexte politique sont ce qui unit tous les régimes, qu'ils soient communistes, nazis ou néo-libéraux. [1] Les gilets ne sont pas de cette école. Leurs revendications sont simples et concrètes: Démocratie, réduction des frais de péage, interdiction des bouteilles en plastique, cessation des retraits obligatoires dans des comptes bancaires personnels, cessation de l’obsolescence programmée dans les biens de consommation, pour n'en nommer que quelques-uns. Ce que ces revendications énoncent est une vision du monde enracinée dans la vie immédiate des gens. Les Gilets Jaunes disent des choses comme:
Je suis dans la boue de ma vie, je travaille 2 heures par jour me fait un petit salaire de 240 par mois avec un supplément CAF!
Et Macron dit:
J'ai toujours assumé la dimension de verticalité, de transcendance, mais en même temps, elle doit être ancrée dans la pleine immanence, la matérialité. ”
Macron 18/1/2019
2. Interdiction des médias grand public: il suffit d’aller sur les sites Web de Gilet pour assister à la violence infligée aux gilets jaunes. Cela apparaît-il dans les médias grand public ? Selon des rumeurs, un avis D aurait été émis en Grande-Bretagne interdisant toute mention positive des gilets jaunes. En France, c’est pareil. On signale à peine des foules immenses dans presque toutes les grandes villes et on ne discute jamais de griefs. Les HSH organisent de nombreuses révolutions de couleurs, en particulier pour les publics d’Europe occidentale et du «premier monde», comme l’illustre le cas actuel du Venezuela. Au lieu de ce simulacre de révolution de couleur, les Gilets Jaunes sont confrontés à un black-out. Tirez votre propre conclusion.
3. Les écharpes rouges: en elles-mêmes, elles sont peu importantes, leur nombre a été exagéré et leur manque d'endurance est total. Mais à un niveau plus profond, l’apparence des Red Scarfs représente un jeu très dangereux de Macron. La société française a longtemps été exposée aux mouvements de violence de droite: la crise du 6 février 1934, la guerre sanglante de la résistance anti-nazie avec les milices de Vichy , un conflit que beaucoup de Français considèrent comme une guerre civile et enfin, l'OEA dans le le début des années 1960 sont des exemples de telles manoeuvres. Des traces de ces moments historiques sont actuellement présentes dans les flics voyous, la «Spéciale Castaner», la milice recrutée par Macron pour dispenser leur violence particulière à l’encontre des manifestants. Ces "flics hors-la-loi" sont apparus à chaque manifestation récente. Encore une fois, tirez vos propres conclusions. Leur présence témoigne du désespoir de l’État, de l’authenticité des Gilet et de leur pouvoir social croissant.
4. Le manque de célébrités ou de dirigeants. Même après 12 manifestations et 3 mois d’agitation, il n’existe toujours pas de porte-parole, ni de dirigeant, ni de célébrité «parlant» pour le peuple. Cela en soi vous dit que c’est un véritable mouvement populaire.
5. La manière dont les globaliseurs n'ont pas de réponse mais de la violence. Ce qui se passe actuellement en France, c'est un conflit entre deux visions du monde qui n'ont rien à se dire. Quelque chose est illustré par la marginalisation de Maria La Pen et de l'opposition parlementaire officielle. Contrairement aux révolutions de couleur, il n'y a pas d'alternative clairement approuvée officiellement. À Washington, personne n’a nommé de gilets à la présidence et, s’ils l’avaient fait, personne n’aurait tenu compte de rien. Ainsi, la nature ritualisée de la politique parlementaire contemporaine a été révélée de manière frappante; tous les députés français, quelle que soit leur allégeance, sont entièrement libérés des néolibéraux globalisants.
Il est clair que Macron n'a aucun moyen de parler aux Gilet. Sa récente déclaration selon laquelle, lui aussi, voulait une augmentation de salaire (notez le mot salaire) et que cela en faisait un Gilet également tend à se rapprocher, dans sa relation avec la réalité, des malades mentaux. Le néolibéralisme est la vision du monde de l'élite et des puissants; comme certains l’ont noté, c’est une guerre de classes contre les pauvres. Tout ce qu'ils peuvent offrir aux Gilets Jaunes, c'est le même vieux. L’incompréhension de l’élite et son isolement vis-à-vis du peuple français sont évidentes dans chaque mot prononcé. La Puissance est emprisonnée dans son propre univers symbolique, les rendant incapables de saisir les exigences de l'expérience vécue exprimées par les Gilets Jaunes. En cela, le gouvernement Macron ressemble aux djihadistes syriens dont les revendications étaient incompréhensibles pour la grande majorité du peuple syrien et ne pouvaient, en tant que telles, être appliquées que par la violence.
6. La confusion parmi les intellectuels. La tradition intellectuelle occidentale, en particulier les disciplines sociales, n’a aucune idée de la façon de remédier à la stagnation économique, politique et culturelle qui touche actuellement les pays occidentaux. Le prestige continu de l’académie est davantage dû à l’habitude, au carriérisme et au soutien de l’État qu’à tout engagement vécu. Des intellectuels tels que Henri-Levy ont été cooptés à plusieurs reprises pour offrir un voile de respectabilité aux aventures meurtrières à l'étranger en Syrie, au Venezuela et en Libye.
Simultanément, les opposants universitaires à ces activités sont silencieusement réduits au silence par des purges et des frottis dans des universités en France, en Australie et en Grande-Bretagne. De plus, la concentration d’intellectuels français, en particulier de commentateurs sociaux, à Paris, reflète exactement la centralisation du pouvoir politique. En fait, ils sont si intimement liés qu’il est difficile de les distinguer. C’est pourquoi les intellectuels français, à l’instar des hommes politiques, ont recours à des accusations de dispersion, choisies comme si elles figuraient dans un livre de jeu; racisme, populisme, fascisme, antisémitisme, ingérence russe, etc. En réalité, ils peuvent rassembler tout ce qu'ils veulent à court terme pour un son mordant de deux minutes. Inutile de dire que les Gilets Jaunes n’écoutent pas.
Un vieux dicton de Sioux Lakota dit qu’un oiseau a besoin de deux ailes pour voler. Ainsi, dans la politique mondialisée du XXe siècle, la droite plaide en faveur de l'économie, la gauche parle de moralité et, à la fin, nous avons simultanément un monde empreint de compassion, assoiffé de sang, anti-raciste, anti-sexiste, néo-libéral, moderne et dynamique. dernier opérationnel quoi que. Les articles sur les gilets dans une perspective gauchiste sont invariablement variés dans la prescription et l’analyse et, pareillement, passent à côté de l’essentiel. Quelque chose de probable lorsque les idéologues moribonds et leur haute caste de prêtres sont confrontés à une expérience vécue.
7. La disparition de groupes de droite dans la rue: je soutiens, sans aucune preuve concrète, que UKIP, Tommy Robinson, le FED en Grande-Bretagne, One Nation en Australie et même Macon lui-même, sont toutes des créations d’éléments d’état profond parmi l’élite, et financées par elles. Il existe également des points d'interrogation de ce type sur Antifa. L'ancien Premier ministre australien, Tony Abbott, a reconnu publiquement que, durant son mandat de ministre du gouvernement Howard, il était littéralement le bagagiste qui transportait de l'argent à destination d'une nation. Certains des groupes énumérés ci-dessus sont violents; certaines sont créées dans l'intention de scinder le vote travailliste. En tout état de cause, des groupes de droite jusque-là très médiatisés ont pratiquement disparu des manifestations hebdomadaires, peut-être dépassés par la volonté populaire non capitalisée.
8. La présence de nombreux pauvres baby-boomers et retraités: ce type de personnes n'assiste généralement pas aux manifestations parce qu'elles sont trop occupées, trop âgées, s'en moquent ou sont chassées par la violence policière orchestrée créée expressément pour cela. objectif. Pourtant, ils constituent la majorité des habitants des ronds-points, notamment en dehors de Paris. Leur présence vous dit tout sur la véracité de ce mouvement.
9. Les nouvelles nocturnes des HSH ne passent pas en direct à Washington pour une analyse par des experts. C’est une pratique opérationnelle courante pour les révolutions de couleur dans des pays lointains, principalement parce que les dirigeants de tels coups d'Etat résident souvent à Washington sur des subventions du National Endowment for Democracy.
10. Il n'y a ni gauche ni droite. Ceci est souvent commenté négativement comme s’il s’agissait d’un échec. Rien ne répond mieux à cela que ce post Facebook sur un site Gilets:
Regarde le visage de Jupiter ! Il ne sait pas quoi faire. Il a essayé le racisme, l’immigration, le matraquage, les voyous, les violences policières, la prison, le tabac, la répression, le mensonge et nous sommes toujours là-bas !!!!! Nous ne lâchons donc rien et continuons tous ensemble sans laisser personne de côté. Ce n'est pas facile. Nous sommes tous différents avec des idées différentes, mais nous avons un objectif commun. Nous sommes beaucoup alors dans une grande famille, nous nous battons, mais nous nous rencontrons chaque semaine, samedi, dimanche, soir, lorsque nous pouvons et oublions nos différences. "
La diversité est l’un des mots clés du néolibéralisme, mais il convient également de rappeler l’axiome de Nietzsche selon lequel on ne parle que lorsque les choses disparaissent. Ici, cependant, dans les Gilets, nous avons un exemple de vraie diversité, différent à tous points de l’usage néolibéral standard qui nous bombarde tous les jours.
La raison fondamentale pour laquelle les Gilets Jaunes diffèrent de toute révolution de couleur, voire de toute révolution majeure du XXe siècle, est précisément la manière dont cette diversité alternative fonctionne. Les gilets font leur propre signification dans leur propre espace d’apparence: «où ils sont vus par d’autres comme eux-mêmes» (Arendt 1958). Et ils passent à la discussion.
De plus, ces significations sont sous leur contrôle et sont partagées par les Gilets, quelles que soient leurs différences. Comme l’écrivain le dit: «Nous sommes tous différents avec des idées différentes, mais nous avons un objectif commun. Nous sommes beaucoup alors dans une grande famille, nous nous battons mais nous nous rencontrons chaque semaine». Cette socialité crée des significations en tant que résultat de l’être-commun en commun et ces significations restent sous le contrôle des Gilet qui les ont créées. Les différences, par exemple en ce qui concerne la candidature aux élections au Parlement européen, sont simplement tolérées.
La diversité des réponses et des opinions est considérée comme une force et non une faiblesse. Il n'y a pas de modèle idéologique applicable à chaque contexte. Au lieu de cela, comme un ex-anonyme français d'Intel, l'a déclaré la semaine dernière sur Le Media, un rond-point est rempli de jeunes, un autre de black bloc, un autre de personnes plus âgées et ils se parlent. À travers cette socialité et ces points communs, le sens est produit et ensuite maintenu en commun parce que les participants dans des contextes variés et infinis (espaces d'apparence) et des actions répétées de la socialité agissent ces sens en commun. L'accent est mis sur leur intérêt commun, à savoir l'impossibilité d'exister dans la France d'aujourd'hui. Tout le reste est fluff.
Chaque semaine, les significations de ces participants sont maintenues, développées et maintenues à travers plus d'actions de socialité, plus de discussions et plus d'actions. Les significations communautaires détenues et agies de cette manière produisent un pouvoir social; parce que le sens commun d'action est précisément ce qu'est le pouvoir social!
En outre, cette unité dans la diversité divise totalement les noms diabolisants et pathologistes inventés par les médias et les mondialistes au cours des trente dernières années comme moyen de diviser pour régner. Ces noms imaginés s'appliquaient à des groupes de la société: timides au travail; dole-bludgers; les terroristes; antisémite; Bot russe; raciste; sexistes et n’importe laquelle de la pléthore de noms appliqués par l’État et le MSM à l’égard d’éléments menaçant la façade du néolibéralisme sont tout simplement ignorés. Comme dans beaucoup d'autres cas, les gilets refusent tout simplement de les reconnaître.
Je ne sais pas ce que nous réserve l’avenir, mais je sais que toutes ces raisons, prises ensemble, prouvent que les Gilets Jaunes sont la véritable affaire d’un véritable changement; non seulement en France mais aussi dans la manière dont le reste du monde conçoit et pratique la politique elle-même.
(...) Un vieux dicton de Sioux Lakota dit qu’un oiseau a besoin de deux ailes pour voler. (...)
RépondreSupprimerHAHAHAHA ! La France n'a NULLEMENT BESOIN des merdes de droite ou de gauche, d'extrême-droite ou d'extrême-gauche au du centre ou du milieu entre les deux bords !
La France c'est le Peuple (majoritaire face au nano-groupuscule de la dictature) et, le Peuple NE DÉSIRE QU'UNE CHOSE: La Démocratie !
La Démocratie veut dire QUE C'EST LE PEUPLE qui dirige et non de FAUX représentants 'du Peuple' qui imaginent et votent des lois SANS AVOIR FAIT SEULEMENT UNE HEURE DE DROIT !!!
La France doit être la sœur jumelle de la Suisse (Seule Démocratie au monde !!).
Un policier gaze des passants lors de l’acte 13: «Recule ou je te lynche ta mère !» (vidéo)
RépondreSupprimer13:14 11.02.2019
À la veille de la séance plénière à Strasbourg sur l'usage de la force par la police contre les manifestants dans les pays membres de l'UE, un nouveau cas de violences policières a été enregistré lors de l’acte 13 des Gilets jaunes à Paris, où un membre des forces de l'ordre a eu recours à une bombe de gaz lacrymogène pour attaquer des passants.
Une vidéo tourne sur les réseaux sociaux montrant des passants dont plusieurs sont des personnes âgées, faisant leurs courses à Paris. Ils filment et regardent un contrôle de police lorsqu'un membre des forces de l'ordre, à moins d'un mètre d'eux, les asperge de gaz lacrymogène en criant: «Recule ou je te lynche ta mère!».
Bien que sur les réseaux sociaux la vidéo ci-dessous soit accompagnée d'une phrase «Recule ou j'te GAZ ta mère…!», Sputnik a écouté au ralenti l'enregistrement et s'est assuré que le policier avait employé le mot «lyncher» à l'encontre des passants.
Comme il est impossible d'entendre sur la vidéo disponible ce que les passants lui disent, il est difficile donc d'imaginer la raison d'une telle attaque de la part du policier. Factuellement, le policier demande à une personne âgée en train de filmer de reculer. La personne s'exécute et est aussitôt gazée.
Les violences policières durant les manifestations des Gilets jaunes en France seront évoquées au cours de discussions au sein du Parlement européen lors de sa séance du 11 février, a déclaré une source parlementaire à Sputnik. Le 14 février, le Parlement européen devrait également adopter une résolution sur le droit aux protestations et au recours proportionné à la force, toujours selon cette source.
Face à la taxe sur les prix du carburant, de nombreux Français sont descendus dans les rues depuis le 17 novembre 2018. Les mobilisations des Gilets jaunes ont régulièrement dégénéré en affrontements entre manifestants et forces de l'ordre. Les chiffres de la mobilisation annoncés par le gouvernement font l'objet de polémiques. Pour l'acte 13 de leur mobilisation, les estimations du nombre de personnes ayant participé aux manifestations dans toute la France varient de 51.400, selon le ministère de l'Intérieur, à 240.000, selon le syndicat France Police-Policiers en colère.
https://fr.sputniknews.com/france/201902111039988065-paris-acte-13-policier-gaze-passants/
Les Zurichois refusent la privatisation partielle de l'eau potable
RépondreSupprimerLes citoyens zurichois ont refusé dimanche un projet de privatisation partielle de la distribution de l'eau potable dans le canton. La gauche s'opposait à la révision de la loi. Les partis bourgeois et le gouvernement y étaient favorables.
La révision de la loi sur l'eau a été refusée par 54,6 % des votants. La participation a atteint 40,7 %.
La révision de la loi sur l'eau, approuvée par 84 voix contre 77 par le Parlement zurichois, prévoyait une privatisation partielle de la distribution de l'eau potable. Le PLR, l'UDC, le PDC et le gouvernement soutenaient le projet.
Une tradition millénaire d'après la gauche
Pour la gauche, cette révision aurait mis fin à une tradition millénaire qui stipule que l'eau est un bien appartenant à tous et elle a lancé avec succès un référendum. Pour les Verts, l'eau est un bien public et cela aurait dû figurer dans la loi.
La loi refusée en votation dimanche prévoyait la possibilité pour des privés de prendre des participations dans les sociétés de distribution d'eau potable des communes. Elle stipulait que les privés ne pourraient toutefois pas posséder plus de la moitié du capital et qu'ils ne disposeraient pas de plus d'un tiers des droits de vote.
Les partis bourgeois estimaient que ces conditions donnaient la garantie que ce seraient toujours les communes qui dicteraient les choses. Ils étaient aussi d'avis que des groupes comme Nestlé ou Coca-Cola n'investiraient pas dans ce secteur, car les sociétés communales n'ont pas le droit de faire des bénéfices avec la distribution d'eau potable.
Plusieurs cantons ont déjà refusé la privatisation
Des cantons ont déjà écarté toute idée de privatisation de l'eau potable. C'est notamment le cas de Fribourg et du Jura. En 2011, le parlement fribourgeois a adopté une nouvelle loi sur l'eau qui stipule que sa maîtrise et sa distribution restent en mains publiques. Le Jura dispose depuis 2016 d'une loi qui spécifie que l'eau est un bien commun et que son approvisionnement est en mains publiques.
En 2001, deux promoteurs privés ont projeté d'exploiter l'eau issue du captage de Treytel, sur la commune de Bevaix (NE), en y associant une filiale de Nestlé. Face aux oppositions, ils ont finalement renoncé.
https://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/10207484-les-zurichois-refusent-la-privatisation-partielle-de-l-eau-potable.html
Nestlé en Californie n'a pas payé un centime pour l'eau prélevée à la source depuis presque 1 siècle !!!
SupprimerL'eau sort gratuite et pure aux sources et doit être gratuite à la consommation.
Les dictatures y ajoutent du fluor ou de la javel !
BHL estime que les Gilets jaunes sont un «fascisme nouveau», le Net lui rappelle la Libye
RépondreSupprimerSouhaitant mettre les «points sur les i» sur le mouvement des Gilets jaunes, Bernard-Henri Lévy a estimé qu’ils avaient opté pour le «vecteur d’un fascisme nouveau». Ces propos du «philosophe» ont poussé des utilisateurs de Twitter à lui rappeler la guerre en Libye et la mort de civils innocents qui est, pour eux, le véritable fascisme.
La récente déclaration du «philosophe et écrivain» Bernard-Henri Lévy portant sur les Gilets jaunes crée de nouveau une polémique sur Twitter. Après que BHL a estimé que le mouvement avait fait son choix et avait préféré le «vecteur d'un fascisme nouveau», des utilisateurs des réseaux sociaux ont inondé Twitter de réactions.
De nombreux internautes ont retourné les propos de BHL contre lui, évoquant la guerre en Libye et expliquant que c'était lui qui avait choisi le camp «des fascistes» et «des tyrans sanguinaires».
Certains internautes lui ont proposé de répondre de ses propres choix plutôt que de juger celui des autres et l'ont accusé d'être responsable de la mort d'innocents en Libye:
Bernard, parlons de la Libye.
Ignorant la sensibilité du sujet, des internautes ont ajouté du sarcasme à leurs réactions:
Bien que BHL semble peu apprécié de nombreux utilisateurs de Twitter, certains d'entre eux ont appelé à s'intéresser au contenu de ses propos plutôt qu'à sa personne. D'après eux, sa déclaration n'est pas dénuée de tout bon sens:
Ce n'est pas la première fois que Bernard-Henri Lévy s'exprime quant au mouvement des Gilets jaunes. Invité fin janvier de l'émission On n'est pas couché, il a exprimé sa vive désapprobation envers le mouvement et l'a qualifié de «mortifère».
https://fr.sputniknews.com/france/201902111039989626-bhl-gilets-jaunes-fascisme-nouveau-net-reaction-libye/
C'est un trou de cul qui ne fait donc que des merdes.
SupprimerAmendes doublées pour excès de vitesse: les Français «heureux», ironise un sénateur LR
RépondreSupprimer15:52 11.02.2019
En attendant la promulgation de la «loi mobilités», les Français seront très heureux d'apprendre que le gouvernement envisage de doubler les amendes pour excès de vitesse, critique le sénateur républicain Hervé Maurey sur LCP. C'est d'autant plus grave que près de 60 % des radars ont été dégradés depuis le début du mouvement des Gilets jaunes.
D'après Hervé Maurey, le président de la commission sénatoriale sur l'Aménagement du territoire et du Développement durable, la loi d'orientation sur les mobilités (LOM), qui sera discutée dans l'hémicycle à partir de la mi-mars, «n'est pas financée». Il est seulement «prévu peu ou prou pour financer d'augmenter les produits des radars», c'est-à-dire «encore plus d'amendes pour excès de vitesse», avec un «doublement des recettes» issues de ces amendes, ce que «les Français seront très heureux d'apprendre».
Désenclaver les territoires est «la volonté affichée de ce texte mais il y a un certain nombre de défauts majeurs au premier rang desquels le fait qu'il n'y a aucun financement», a déploré l'élu de l'Eure sur LCP. «Les intercommunalités seront chargées de mettre en place des services de mobilité, mais comment le feront-elles alors qu'il n'y a aucune ressource de prévue», a-t-il insisté.
La ministre des Transports Élisabeth Borne «reconnaît elle-même que les 500 millions d'euros dont on a besoin chaque année pour réaliser ce plan n'y sont pas puisqu'elle a dû renoncer à mettre une taxe sur les poids lourds, qu'elle a renoncé à envisager des péages urbains», selon M.Maurey.
Il a ainsi jugé «incroyable qu'on arrive avec une réforme en reconnaissant qu'elle n'est pas financée et en disant qu'on verra plus tard comment elle [le, ndlr] sera».
Initialement annoncée pour le printemps 2018, la Loi d'orientation des mobilités (LOM) a été plusieurs fois retardée, notamment à cause de la réforme ferroviaire. Elle sera finalement présentée fin novembre. Cette loi rassemble une palette d'outils dans laquelle élus et opérateurs de transports pourront piocher pour améliorer les déplacements. Selon Mme Borne, elle offrira notamment des moyens de transport permettant de se déplacer dans tout le pays sans voiture individuelle.
Depuis le début de la fronde en Gilets jaunes qui frappe l'Hexagone, de nombreux individus s'attaquent aux péages et aux radars des routes de France. Dans certains départements, la situation est telle qu'il ne reste plus que quelques radars actifs. Certains sont allés jusqu'à détruire des péages. D'après Christophe Castaner, près de 60% des radars ont été «neutralisés, attaqués, détruits par celles et ceux qui se revendiquent du mouvement des Gilets jaunes».
https://fr.sputniknews.com/france/201902111039989740-amendes-doublees-exces-vitesse/
SupprimerLes manifestants anti-merde des samedi sont les héros de la France car ils sont les seuls à la défendre!
Une aide humanitaire qui «n’est que le cheval de Troie» avant les «balles» et les «bombes»
RépondreSupprimer17:46 11.02.2019
L’émotion est grande dans l'État vénézuélien de Táchira, limitrophe de la Colombie, après l’arrivée à la frontière d’un lot d’aide humanitaire qui pourrait servir de prétexte à une intervention militaire étrangère, a confié dans un entretien accordé à Sputnik Luis Mora, président du Conseil législatif de cet État de la République bolivarienne.
Le gouvernement vénézuélien a toujours cru en la force du dialogue et de la politique sans croire en celle de la guerre et sans opter pour cette dernière, a déclaré à Sputnik Luis Mora, président du Conseil législatif de l'État de Táchira, dans le nord-ouest du Venezuela, précisant que l'émotion est vive depuis l'arrivée d'un convoi d'aide humanitaire de crainte que cela ne serve de prétexte pour une intervention militaire étrangère.
«Nous optons pour le dialogue et croyons dans les perspectives» qui peuvent s'ouvrir lors de la réunion du Groupe de contact international sur le Venezuela, rassemblé à Montevideo, a indiqué l'interlocuteur de l'agence.
Et d'ajouter que les Vénézuéliens y plaçaient de grands espoirs.
«Nous avons de grands espoirs et nous nous attendons à ce que le monde se tourne enfin vers le Venezuela. Le monde entier observe les difficultés de la vie quotidienne au Venezuela, mais en oublie […] les causes», a poursuivi M. Mora, membre du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV, pro-gouvernemental).
Il a admis que le pays manquait effectivement de beaucoup de choses.
«Il y a là une pénurie de nourriture, c'est vrai. Il n'y a pas de médicaments, c'est vrai. Mais pourquoi ? Parce qu'on ne nous a pas permis d'en importer. Nous sommes bloqués, on ferme la voie à nos navires, on ne laisse pas les banques verser au Venezuela l'argent qui lui est dû, alors qu'il s'agit de milliards de dollars», a expliqué ce dirigeant bolivarien.
Et de rappeler qu'il existait des pays tels que «la Colombie, dont le gouvernement ne veut pas voir plus loin de ce que peut signifier la guerre».
Le président du Conseil législatif de l'État de Táchira a démenti les rumeurs selon lesquelles une aide humanitaire en provenance de ce pays aurait déjà commencé à entrer au Venezuela. Il a assuré que la société vénézuélienne se rendait parfaitement bien compte de la situation actuelle et des causes à son origine.
Selon M.Mora, par leurs discours enflammés, des orateurs à l'étranger s'appliquent à faire en sorte que les Vénézuéliens se ruent sur les ponts afin de gagner les «caisses d'aide humanitaire», pour que le monde le voie, mais il n'y en aura rien.
«Le peuple comprend et sait ce qui est arrivé notamment en Syrie et en Irak. Il sait qu'on parlait alors d'une aide humanitaire… mais ce n'est que le cheval de Troie qui sera suivi de balles et de bombes», a-t-il relevé.
Le Vénézuélien estime qu'il est très facile d'aider son pays.
«Qu'on lève les sanctions économiques et financières, qu'on nous rende notre argent bloqué dans les banques internationales pour que nous puissions acheter des médicaments et de la nourriture pour notre peuple. Nous optons toujours pour un règlement politique négocié, pour le consensus. Dès le départ, le peuple du Venezuela possède l'héritage des combattants pour la liberté que nous avons toujours. Nous avons cet héritage dans notre sang. Nous n'attendons pas et ne voulons pas que cela arrive, mais si cela arrive, comme cela est déjà arrivé, la Patrie se défendra», a résumé l'interlocuteur de Sputnik.
La République bolivarienne connaît une crise économique sans précédent assortie de violentes tensions politiques. L'opposant Juan Guaido s'est autoproclamé Président en exercice du pays et a prêté serment le 23 février pendant une manifestation à Caracas.
RépondreSupprimerDonald Trump l'a reconnu comme Président par intérim. Par la suite, dans une interview accordée à la chaîne CBS, le chef d'État a indiqué ne pas exclure l'envoi de soldats américains au Venezuela.
La Russie estime pour sa part qu'une éventuelle intervention militaire au Venezuela serait lourde de conséquences qui iraient bien au-delà de ses frontières.
https://fr.sputniknews.com/international/201902111039991412-venezuela-aide-humanitaire-cheval-troie-intervention-sanctions-penuries/
Táchira est limitrophe à Mérida à l'Est et Zulia au Nord (Maracaïbo) !
SupprimerLa Chine aurait testé l’arme la plus puissante de sa Marine
RépondreSupprimer16:03 11.02.2019
Des ingénieurs chinois ont testé le canon électrique installé pour la première fois sur un navire de guerre. Selon le portail CNBC, le fruit de leurs efforts deviendra l’arme la plus puissante de la Marine dans les années 2020.
La Chine aurait testé l'arme la plus puissante pouvant entrer en service dans la Marine chinoise d'ici les années 2020. Selon CNBC, il s'agit du canon électrique, que les concepteurs chinois ont installé pour la première fois sur un navire de guerre.
Comme l'indique le média, la nouvelle arme, qui utilise l'énergie électromagnétique au lieu de la poudre à canon, a donné de bons résultats: un obus tiré à partir du canon électrique chinois et volant à une vitesse de 2,5 km/s peut toucher une cible située à 200 kilomètres. À titre d'exemple graphique, il est indiqué qu'un projectile d'un tel canon électrique situé à Washington peut atteindre Philadelphie en moins de 90 secondes.
En outre, le canon électrique permet de combiner sa puissance avec une portée précédemment disponible uniquement pour les munitions de haute précision.
La publication indique également que les concepteurs du canon électrique américain sont loin derrière leurs homologues chinois.
https://fr.sputniknews.com/defense/201902111039989956-chine-canon-electrique-marine/
SupprimerCette EMP ('Bombe propre') est une Impulsion ElectroMagnétique transportable et ciblant des villes ou des régions privées tout-à-coup de tous systèmes électrique !
Plus de 1000 "scientifiques" signent "Déclaration contre le darwinisme"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 02/11/2019 - 12h15
Écrit par Brittany Slaughter via TheCollegeFix.com,
Plus tôt ce mois-ci, une liste de doctorat tenue depuis longtemps Les scientifiques qui se sont opposés au darwinisme ont franchi une étape décisive: ils ont franchi la barre des 1 000 signataires.
«Il y a 1 043 scientifiques sur la liste« Une dissidence scientifique contre le darwinisme ». Il a franchi la barre des 1 000 ce mois-ci », a déclaré Sarah Chaffee, chargée de programme pour le Discovery Institute, qui conserve la liste.
«Une dissidence scientifique issue du darwinisme» est une déclaration simple de 32 mots qui se lit comme suit:
«Nous sommes sceptiques quant à la capacité de la mutation aléatoire et de la sélection naturelle à rendre compte de la complexité de la vie. L'examen minutieux des preuves de la théorie darwinienne devrait être encouragé. "
Lancée en 2001, la liste continue de recueillir l’appui de scientifiques d’universités américaines et internationales. Les signataires ont obtenu leur doctorat dans des établissements tels que Harvard, Yale, Columbia, Cornell, Princeton, Brown, Dartmouth et l’Université de Pennsylvanie. D'autres sur la liste ont obtenu leur doctorat à Clemson, UT Austin, dans l'État d'Ohio, à UCLA, à Duke, à Stanford, à Emory, à l'UNC Chapel Hill et dans de nombreuses autres universités. Encore d'autres signataires sont actuellement employés comme professeurs à travers le pays.
Ceux qui le signent "doivent soit être titulaires d'un doctorat dans un domaine scientifique tel que la biologie, la chimie, les mathématiques, l'ingénierie, l'informatique ou l'une des autres sciences naturelles; ou ils doivent être titulaires d'un M.D. et servir en tant que professeur de médecine », selon l'institut.
Le groupe souligne que la signature de la déclaration ne signifie pas que ces spécialistes souscrivent à «des théories alternatives telles que l'auto-organisation, le structuralisme ou le dessein intelligent», mais plutôt simplement à un «scepticisme à l'égard des théories darwiniennes modernes. la force motrice derrière la complexité de la vie. "
Selon David Klinghoffer, membre principal du Discovery Institute, les signataires "ont tous risqué leur carrière ou leur réputation en matière de signature."
«Tel est le pouvoir de penser en groupe», a-t-il écrit. «Le grand public scientifique vous punira s’il le peut, et les médias s’associent pour dire que« les scientifiques »sont tous d’accord et que seuls les« poètes », les« avocats »et d’autres« daft frotte »doutent de la théorie darwinienne. En fait, je cherche actuellement à placer un manuscrit impressionnant rédigé par un scientifique d’une université de la Ivy League et qui a le courage de donner les raisons pour lesquelles il a rejeté le darwinisme. Le problème est que, pour le moment, personne n'a le courage de le publier. ”
Dans des entretiens avec The College Fix, certains des signataires de la liste ont expliqué pourquoi ils étaient disposés à rendre public leur scepticisme.
«[La théorie de Darwin] a prétendu expliquer toutes les principales caractéristiques de la vie et je pense que c’est très improbable. Néanmoins, je pense que le darwinisme est devenu une sorte d'orthodoxie, c'est-à-dire qu'il est accepté dans la communauté scientifique sans y penser et qu'il est enseigné aux enfants sans y penser », a déclaré Michael Behe, professeur de sciences biologiques à l'Université de Lehigh.
"Obtenir une liste de scientifiques qui soulignent qu'ils ne croient pas que l'orthodoxie peut en quelque sorte ouvrir certains esprits, espérons-le", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimer«La biologie a clairement tendance à penser que Darwin a manqué beaucoup de biologie et ne peut expliquer une bonne partie de son évolution», a ajouté Behe.
En ce qui concerne la façon dont ses collègues voient la liste, Behe a déclaré: «La plupart de mes pairs ne l’ignorent pas, mais ceux qui le savent ne l’apprécient pas du tout. Ils pensent que toute personne qui signerait une telle liste doit avoir un motif déshonorant pour le faire. "
Prendre position comporte un risque. Scott Minnich, professeur agrégé de microbiologie à l'Université de l'Idaho, a déclaré avoir été plusieurs fois accusé d'être «anti-science».
«J’ai signé cette liste lors de sa première publication en raison de mon profond scepticisme intellectuel, selon lequel les forces non intelligentes de la nature peuvent produire des systèmes dépassant nos capacités intellectuelles», a-t-il déclaré à The Fix.
Minnich a poursuivi en citant l'écrivain C.S. Lewis: «Les hommes sont devenus scientifiques parce qu'ils s'attendaient à voir la loi dans la nature et ils s'attendaient à la loi dans la nature parce qu'ils croyaient en un donneur de loi».
David Dewitt, directeur du département de biologie et de chimie de la Liberty University, a déclaré à The College Fix lors d’un entretien par courrier électronique qu’il avait signé la liste parce que «je ne crois pas que le darwinisme soit l’un des êtres vivants. La sélection naturelle ne produit pas de nouvelles informations et ne le peut pas. "
Dewitt a dit qu'il n'était pas seul.
«Je pense que de plus en plus de scientifiques réalisent les limites du darwinisme, en particulier en ce qui concerne l'origine de la vie et la complexité de la cellule. Une grande partie du fonctionnement réel des cellules révèle à quel point il est impossible que la vie découle de la mutation et de la sélection naturelle. Alors que nous en apprenons de plus en plus sur la biologie moléculaire et cellulaire, de plus en plus de scientifiques doutent du darwinisme bien qu'ils ne l'admettent peut-être pas par peur des répercussions », a déclaré Dewitt au journal The Fix dans un entretien par courrier électronique.
Shun Cheung, professeur associé en informatique à l'Université Emory, a référé The College Fix à son site Web pour exposer ses préoccupations.
"Lorsque Darwin a formulé sa" théorie de l'évolution ", [il] n'avait pas de bons microscopes et la cellule était une goutte pour lui sans aucune structure. Darwin pensait qu'une cellule était simple et sans structure. Nous savons maintenant qu'une cellule est comme une usine complexe composée de nombreux composants différents, chacun ayant une fonction distincte. Chaque pièce / composant est nécessaire dans l’ensemble du fonctionnement de la cellule », écrit Cheung.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-11/over-1000-scientists-sign-dissent-darwinism-statement
SupprimerToute l'intelligence comme la vie vient de l'électricité. Tout ce qui vit sur Terre est électrique. Quant à ceux qui citent une 'personne' invisible que personne n'a entendu et qui n'a ni donné d'interview et qui est le pire des criminels à faire souffrir et mourir des milliards d'êtres humains (et même 'son fils' qui l'a laissé crevé cloué sur des planches !)...
Au fait... qui a créé ce monstre ?
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RépondreSupprimerDécouvrez les miracles de la vie dans cet incroyable court métrage en timelapse.
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https://www.lematin.ch/loisirs/animaux/assistez-transformation-cellule-salamandre/story/14151720
RépondreSupprimer42 millions de raisons pour lesquelles Trump pense que la nouvelle demande des "frontières ouvertes" des démocrates est "folle !"
par Tyler Durden
Mon, 02/11/2019 - 08:55
Les attentes concernant un autre arrêt du gouvernement devraient monter en flèche car, après l'annonce de l'échec des pourparlers au cours du week-end, le président Trump a tweeté ce pour quoi les démocrates négocient "Les démocrates ne veulent pas que nous arrêtions ou renvoyions des étrangers criminels ! toute nouvelle demande. Fou ! "
Comme l’avait prévenu l’ancien directeur de l’ICE, Tom Hanan, cela ferait de l’ensemble du pays un sanctuaire et constituerait un grave problème de sécurité inacceptable.
"La proposition Dems aura pour résultat que des dizaines de milliers d'étrangers criminels et d'autres étrangers en situation irrégulière qui sont actuellement détenus en attendant une audience devant un tribunal ou un renvoi soient libérés dans nos communautés", a déclaré Homan.
Il a noté que les propositions "font de ce pays tout entier un sanctuaire".
Cela entraînera "une précipitation à la frontière car les étrangers qui arrivent sauront que leurs actes n'auront aucune conséquence", a ajouté Homan.
"Comme je l'ai dit toute l'année, les Dems ne peuvent pas abolir ICE, mais ils vont les paralyser et les rendre inefficaces en portant gravement atteinte à leur budget opérationnel."
Alors, quel pourrait être le problème ?
Dans son blog, Jim Clifton, président-directeur général de Gallup, demande (et répond): voici une bonne question sur les caravanes: combien d’autres sont à venir ?
Gallup a demandé à l'ensemble de la population de l'Amérique latine. Il y a 33 pays d'Amérique latine et des Caraïbes. Environ 450 millions d'adultes vivent dans la région. Gallup leur a demandé: "Voulez-vous déménager dans un autre pays de façon permanente si vous le pouviez ?"
Un pourcentage impressionnant de 27% ont répondu "oui".
Cela signifie donc qu'environ 120 millions de personnes souhaiteraient migrer quelque part.
La question suivante posée par Gallup était: "Où aimeriez-vous déménager ?"
Parmi ceux qui souhaitent quitter définitivement leur pays d'Amérique latine, 35% ont déclaré vouloir se rendre aux États-Unis.
Selon les estimations de Gallup, 42 millions de personnes souhaitent se rendre aux États-Unis.
Quarante-deux millions de demandeurs de citoyenneté ou d’asile veillent à déterminer avec exactitude quand et quel est le meilleur moment pour le faire. Cela suggère que des frontières ouvertes pourraient potentiellement attirer 42 millions d’Amérique latine. Cinq millions de personnes qui envisagent de déménager au cours des 12 prochains mois déclarent s'installer aux États-Unis.
Plutôt que de trouver une solution pour les nombreux milliers de migrants potentiels actuellement à la frontière, commençons par répondre à la question plus vaste et plus difficile: qu'en est-il des 42 millions qui voudraient venir ? Quel est le message adressé aux millions de personnes qui chercheront à entrer légalement ou illégalement ? Que devrions-nous leur dire ?
La plupart des citoyens américains comme moi veulent simplement connaître le plan. Quel est le plan décennal ? Combien, exactement, qui et quelles compétences vont-ils apporter ? Que voulons-nous ? Répondez à ces questions et la discussion en cours peut être résolue.
Gardez à l'esprit que ce ne sont pas seulement 330 millions d'Américains qui se demandent - il en va de même pour 42 millions de personnes en provenance d'Amérique latine.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-11/42-million-reasons-why-trump-thinks-democrats-new-open-borders-demand-crazy
La Russie déclare l'état d'urgence après l'invasion des îles du ... par les ours polaires
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 02/11/2019 - 23:25
L'état d'urgence a été déclaré dans une colonie russe isolée sur l'archipel polaire de Novaya Zemla, après que plus de 50 ours polaires se soient récemment rendus en ville à la recherche de nourriture et aient commencé à faire des ravages parmi la population locale.
Les gens ont peur de sortir car les ours agressifs sont plus que capables de tuer un humain à mort.
Cela a rendu la vie quotidienne dans le village arctique encore plus difficile.
Les habitants de ce village isolé ont "peur de sortir" et "la vie quotidienne est en pleine tourmente", a déclaré Aleksandr Minayev, chef adjoint de l'administration locale.
"Les parents craignent de laisser les enfants aller dans les écoles et les jardins d'enfants", a-t-il précisé.
Cependant, les habitants ne peuvent pas tirer sur les ours car ils sont une espèce en voie de disparition. L’agence russe chargée de la protection des ressources naturelles a rejeté la demande des autorités locales de tirer sur les ours.
Zigansha Musin, le chef de l'administration locale, a déclaré: "Je suis à Novaya Zemlya depuis 1983, et pourtant je n'ai jamais assisté à une invasion aussi massive d'ours polaires."
Il a ajouté que les ours polaires "poursuivent littéralement les gens et même pénètrent dans les entrées d'immeubles résidentiels", comme le montre l'une des vidéos postées sur YouTube.
Dans le village, 52 ours polaires ont été aperçus entrant dans des colonies occupées par des personnes. De nombreux animaux sauvages ont été attaqués, pénétrant dans des résidences et des immeubles de bureaux et fouillant dans des ordures.
Un responsable a déclaré que six à dix ours peuvent régulièrement être aperçus dans le village même. Les écoles et les crèches ont déclaré avoir des inquiétudes pour leur sécurité.
Un habitant a déclaré que les ours n'avaient plus peur des gens et étaient devenus "insolents".
"Il n'y a plus d'ennemis. C'est-à-dire qu'ils sont devenus insolents. C'est effrayant. Lorsqu'ils marchent sous la fenêtre la nuit, c'est effrayant."
La ville, qui compte environ 2 000 habitants, est principalement occupée par des militaires russes. Jusqu'à présent, le gouvernement à Moscou a promis d'envoyer une équipe de spécialistes pour s'occuper des ours.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-11/russia-declares-state-emergency-after-northern-islands-invadedby-polar-bears
Çà va faire un sacré paquet de manteaux pas chers ! La peau d'ours est très chaude.
SupprimerFaire grandir le mondialisme encore une fois - Trump s'est-il plié dans l'état profond ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 02/11/2019 - 21:45
Rédigé par CJ Hopkins via The Unz Review,
Peut-être que Donald Trump n’est pas aussi stupide que je le pensais. Je n’aimerais pas devoir admettre cela publiquement, mais on dirait qu’il en a mis un dans les médias libéraux pour les entreprises cette fois-ci. En parcourant l'actualité récente de Trump, je n'ai pu m'empêcher de remarquer une baisse significative du nombre de références à Weimar, en Allemagne, d'Adolf Hitler et du «bord du fascisme» que l'Amérique aurait soi-disant chancelé depuis la perte de Hillary Clinton. élection. Je pense que je me suis bien débrouillé, mais je n’ai trouvé aucun avertissement éditorial indiquant que Trump est sur le point d’annuler sommairement la Constitution américaine, de dissoudre le Congrès et de se proclamer Führer. Je n’ai pas non plus vu d’Auschwitz, ni aucun autre ouvrage nazi… ce qui est étrange, étant donné que l’hystérie hitlérienne est un trait classique du récit officiel auquel nous sommes soumis depuis deux ans.
Alors, comment Trump a-t-il finalement réussi à convaincre les grands médias libéraux de l'appeler fasciste ? Il l’a fait en agissant comme un fasciste (c’est-à-dire comme un président «normal»). C’est-à-dire qu’il a fait le pari des sbires de l’État profond et des mandarins d’entreprise qui gèrent l’empire capitaliste mondial… la version souriante, heureuse, démocratisante et post-fasciste du fascisme dans lequel nous vivons.
Je parle bien sûr du Venezuela, qui fait partie des rares pays peu coopératifs qui ne jouent pas avec le capitalisme mondial et qui n’ont pas encore «changé de régime». Trump a allumé en vert la tentative de coup d'État prétendument organisée par «l'opposition» vénézuélienne, mais il s'agit évidemment d'une opération américaine, ou plutôt d'une opération capitaliste mondiale. Dès qu'il l'a fait, les médias ont immédiatement cessé de l'appeler fasciste et de le comparer à Adolf Hitler, etc., et ont commencé à répandre une propagande flagrante soutenant ses efforts pour renverser le gouvernement élu d'un pays souverain.
Renverser les gouvernements des pays souverains, détruire leurs économies, voler leur or et les placer autrement dans le giron de la "communauté internationale" capitaliste mondiale n'est pas exactement ce que la plupart des gens pensaient que Trump entendait par "Make America Great Again". De nombreux Américains ont jamais allé au Venezuela, ni en Syrie, ni nulle part ailleurs, l'empire capitaliste mondial s'est impitoyablement restructuré depuis peu de temps après la fin de la guerre froide. Ils ne se sont pas réveillés la nuit, inquiets pour la démocratie vénézuélienne, la démocratie syrienne ou la démocratie ukrainienne.
Ce n'est pas parce que les Américains sont un peuple sans coeur, un peuple ignorant ou égoïste. C’est parce que, bien, c’est parce qu’ils sont américains (ou plutôt parce qu’ils se croient américains) et qu’ils sont donc plus intéressés par les problèmes des Américains que par ceux des habitants de pays lointains qui n’ont rien à faire. avec l'Amérique. En dépit de ce que les médias d'entreprise vous diront, les Américains ont élu Donald Trump, un idiot absurde et auto-grandissant, non pas parce qu'ils étaient des nazis latents, ni parce qu'ils avaient subi un lavage de cerveau de la part de pirates informatiques russes, mais surtout parce qu'ils voulaient le croire sincèrement soucieux de l'Amérique, et allait essayer de "le rendre grand à nouveau" (quoi que ce soit censé vouloir dire, exactement).
Malheureusement, il n'y a pas d'Amérique. Il n'y a rien à faire grand encore. "America" est une fiction, un fantasme, une nostalgie que des marchands comme Donald Trump (et d'autres marchands légèrement plus modestes) utilisent pour vendre tout ce qu'ils vendent ... eux-mêmes, guerres, voitures, peu importe. En réalité, au lieu de l'Amérique, il existe un empire capitaliste mondial supranational, un réseau décentralisé et interdépendant de sociétés mondiales, d'institutions financières, de gouvernements nationaux, d'agences de renseignement, d'entités gouvernementales supranationales, de forces armées, de médias, etc. Si cela vous semble extravagant ou conspirateur, regardez ce qui se passe au Venezuela.
RépondreSupprimerL'ensemble de l'empire capitaliste mondial travaille de concert pour forcer le président élu du pays à démissionner. Les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la France, l'Allemagne, l'Espagne, l'Autriche, le Danemark, la Pologne, les Pays-Bas, Israël, le Brésil, le Pérou, le Chili et l'Argentine ont officiellement reconnu Juan Guaido comme président légitime du Venezuela, en dépit du fait que personne ne l'a élu !
Seuls les ennemis pervers de l’empire (à savoir la Russie, la Chine, l’Iran, la Syrie, Cuba et d’autres pays qui ne coopèrent pas) s’opposent à ce coup «démocratique». Le système financier mondial (les banques) a gelé (c’est-à-dire volé) les avoirs du Venezuela et tente de les transférer à Guaido afin qu’il puisse acheter l’armée vénézuélienne. Les médias d'entreprise élaborent le récit officiel comme un piano de Goebbelsian afin de convaincre le grand public que tout cela a un rapport avec la démocratie. Vous devez être un imbécile total ou un lavage de cerveau sans espoir pour ne pas reconnaître ce qui se passe.
Ce qui se passe n’a rien à voir avec l’Amérique… «l’Amérique» dans laquelle les Américains croient vivre et que beaucoup d’entre eux veulent «redevenir formidable». Ce qui se passe est exactement ce qui se passe dans le monde depuis la fin de l’année. La guerre froide, bien que de manière particulièrement dramatique au Moyen-Orient. L'empire capitaliste mondial de facto restructure la planète en toute impunité. Il élimine méthodiquement tous les obstacles à l'hégémonie du capitalisme mondial, à la privatisation et à la marchandisation de tout.
Le Venezuela est l’un de ces obstacles. Renverser son gouvernement n'a rien à voir avec l'Amérique, ni avec la vie de vrais Américains. "L'Amérique" n'est pas aller conquérir le Venezuela et planter un drapeau américain sur son sol. «L’Amérique» ne va pas voler son pétrole, l’envoyer «à la maison», et la distribuer aux «Américains» dans leurs camionnettes sur le parking de Walmart.
Qu'en est-il de ces sociétés pétrolières américaines ? Ils veulent que le pétrole vénézuélien, non ? Eh bien, bien sûr, mais c’est la chose… il n’existe pas de sociétés pétrolières «américaines». Les sociétés, en particulier les sociétés transnationales de plusieurs milliards de dollars (par exemple, Chevron, ExxonMobil, et autres) n’ont pas de nationalités ni d’allégeances réelles autres que leurs principaux actionnaires. Chevron, par exemple, dont les principaux actionnaires sont des sociétés de gestion d'actifs et de fonds communs de placement telles que Black Rock, le groupe Vanguard, SSgA Funds Management, Geode Capital Management, Wellington Management et d'autres sociétés transnationales de plusieurs billions de dollars. Croyez-vous vraiment que le fait d'avoir un siège social à Boston ou à New York rend ces sociétés «américaines», ou que Deutsche Bank est une banque «allemande» ou que BP est une société «britannique» ?
RépondreSupprimerEt le Venezuela n'est que l'exemple le plus récent et le plus flagrant de l'empire en action. Demandez-vous, honnêtement, qu'est-ce que les opérations de changement de régime «américain» menées dans le grand moyen-orient ont fait pour tous les Américains, à part le meurtre de beaucoup d'entre eux ? Oh, et qu'en est-il de ces renflouements pour toutes ces banques d'investissement «américaines» transnationales ? Ou les milliards que «l'Amérique» fournit à Israël ? Quelqu'un pourrait expliquer en quoi l'enrichissement des actionnaires de sociétés transnationales telles que Raytheon, Boeing et Lockheed Martin en vendant des milliards d'armes à des islamistes saoudiens profite au «peuple américain». Combien de cet argent saoudien voyez-vous ? Et attends, j’en ai un autre pour toi. Appelez votre sympathique responsable 401K, demandez comment se porte votre action Pfizer, puis comparez cela à ce que vous payez à une compagnie d’assurance «américaine» pour ne pas vraiment vous couvrir.
Au cours des deux cents dernières années environ, nous avons été conditionnés à nous considérer comme les citoyens d’un ensemble d’États-nations souverains, en tant qu ’« Américains »,« Allemands »,« Grecs », etc. Il n'y a plus d'États-nations souverains. Le capitalisme mondial les a éliminés. C'est pourquoi nous vivons une réaction «néo-nationaliste». Trump, Brexit, le soi-disant «nouveau populisme»… Ce sont les agonismes de la souveraineté nationale, comme la raclée d'un poisson suffocant avant de le frapper et de le laisser tomber dans la glacière. La bataille est finie, mais le poisson ne le sait pas. Il ne s’est même pas rendu compte qu’il y avait eu une bataille jusqu’à ce qu’elle soit sortie de l’eau.
En tout état de cause, nous en sommes à l’avènement de l’empire capitaliste mondial. Nous ne revenons pas au 19ème siècle, ni même au début du 20ème siècle. Ni Donald Trump, ni personne d’autre ne voudra «faire de l’Amérique une nouvelle fois». Le capitalisme mondial continuera à transformer le monde en un marché gigantesque où nous nous débrouillerons dans des emplois loufoques pour acheter des choses inutiles et accumuler des dettes. nous ne pourrons jamais rembourser, intérêt qui enrichira davantage les classes dirigeantes capitalistes mondiales, qui, comme vous l'avez peut-être remarqué, se préparent pour l'avenir en achetant des bunkers souterrains de luxe et des complexes post-apocalyptiques en Nouvelle-Zélande.
Que, et militariser la police, dont ils auront besoin pour maintenir "l'ordre public" ... vous savez, comme ils le font actuellement en France, en frappant, en aveuglant et en mutilant hideusement les manifestants de Gilets Jaunes les médias d'entreprise font de leur mieux pour diaboliser et / ou rendre invisible.
Ou, qui sait, les Américains (et les autres consommateurs occidentaux) pourraient prendre une page de ces vestes jaunes, mettre de côté leurs divergences politiques (ou au moins ignorer leur haine les uns des autres assez longtemps pour réellement essayer de réaliser quelque chose) et concentrer leur colère aux politiciens et aux entreprises qui dirigent réellement l'empire, par opposition aux immigrants clandestins et aux légions imaginaires de nazis et de Russes. Dans les mots immortels du général Buck Turgidson, «Je ne dis pas que nos cheveux ne seraient pas ébouriffés», mais bon, ça vaudrait peut-être la peine d'essayer, d'autant plus que, comme les choses se passent, nous allons probablement finir là-bas de toute façon.
https://www.zerohedge.com/news/2019-02-11/making-globalism-great-again-did-trump-fold-deep-state
Les familles ancestrales qui dirigent le monde depuis toujours n'ont pas toujours été d'accord entr'elles et les rebellions se sont succédé jusqu'à ce qu'arrivent (par accident ?) des opposants farouches, d'une trempe honnête, bref, des hommes du Peuple comme Kadhafi, Gbagbo, Hussein ou Chavez/Maduro qui emmerdent la dictature mondiale ! ou de nouvelles naissances grâce aux françaises et français qui descendent dans la rue, marchent ensemble comme une seule et grande famille face à des criminels qui tuent, estropient à vie des centaines de manifestants pacifique qui osent tous les samedi demander la Démocratie remplaçant la dictature !
SupprimerC'est le monde qui change et veut copier la Suisse.
Venezuela : attention aux sources d'information !
RépondreSupprimerMeriem Laribi
RT
lun., 11 fév. 2019 20:11 UTC
Les informations qui nous parviennent du Venezuela sont issues de sources dont les orientations politiques n'ont rien de neutre. Les agences de presse occidentales relayent fréquemment la voix d'organisations liées de manière étroite à l'opposition.
La forte médiatisation de la crise que traverse actuellement le Venezuela donne lieu à une profusion d'informations que l'on serait tenté de croire neutres ; or, bien souvent, leurs sources revêtent un caractère partisan pro-Maduro ou pro-Guaido qu'il n'est pas toujours aisé de déceler.
Andrés Antillano, professeur à l'université centrale du Venezuela, explique que « les médias sont très polarisés et se placent de manière très nette pour le gouvernement ou pour l'opposition ». Il considère en outre que la presse au Venezuela est « un acteur politique qui a contribué à jeter de l'huile sur le feu ».
Outre les reportages réalisés sur place, les principales sources d'information des médias français sont les agences de presse, en tête desquelles l'AFP. Dans l'une de ses dépêches, classée urgente, tombée dans la nuit du 23 au 24 janvier, quelques heures après l'auto-proclamation de Juan Guaido comme président du pays ad interim, on lisait par exemple : « Treize personnes ont été tuées en deux jours dans le cadre des manifestations antigouvernementales qui ont secoué le Venezuela, a indiqué à l'AFP une organisation non gouvernementale de défense des droits humains. » Quelques heures plus tard, une autre dépêche AFP, également signalée comme urgente, faisait état de 26 morts.
Derrière le terme d'« organisation non gouvernementale de défense des droits humains », l'AFP fait en réalité référence à l'Observatoire vénézuélien des conflits sociaux (OVCS), une institution que l'agence de presse présente tantôt comme une ONG... tantôt comme une « organisation d'opposition au gouvernement de Nicolas Maduro. » Au total, entre le 23 et le 29 janvier, l'AFP publiera pas moins de 9 dépêches s'appuyant sur des informations de l'OVCS - dépêches abondamment reprises par tous les grands médias français, sans davantage de précisions quant au biais dont peut légitimement être soupçonné cette source.
Le flou entourant les morts lors des manifestations
D'où l'OVCS tire-t-il les chiffres qu'il communique ? Difficile de le savoir. Nous avons donc tenté de la contacter par le biais des réseaux sociaux afin d'obtenir plus de détails, sans succès. La portée d'une telle information est pourtant loin d'être anodine : en affirmant, par une formule elle aussi empreinte d'ambiguïté, que 13 personnes ont été tuées en deux jours « dans le cadre des manifestations antigouvernementales », l'organisation laisse en effet entendre que ces victimes seraient des opposants à Nicolas Maduro.
La liste des décès recensés par l'OVCS entre le 23 et 24 janvier vient rappeler la nécessité, bien connue et pourtant trop souvent éludée, du recoupement des sources. En témoigne par exemple le cas d'Efren Sandalio Castillo, un homme de 43 dont de nombreux témoignages sur les réseaux sociaux affirment qu'il était en effet un opposant politique et qu'il aurait été abattu, ses proches accusant la garde nationale d'avoir tiré à balles réelles lors des manifestations. « La garde nationale utilise des pistolets à grenailles de plomb », assure cependant Romain Migus, spécialiste du Venezuela. « C'est impressionnant comme une blessure de flashball (ou LBD40) mais ce n'est pas létal », ajoute-t-il.
L'armée vénézuélienne tire-t-elle à balles réelles sur les manifestants ? En l'absence de preuves permettant de trancher cette question, toute réponse définitive semble moins dictée par la recherche de la vérité que par des intérêts politiques.
RépondreSupprimerDeux autres noms figurant sur sa liste posent en revanche des questions quant à la rigueur voire l'honnêteté du travail de l'OVCS : ceux d'Antonio Cardenas Blanquez et de Luis Alberto Martinez. Ces deux jeunes hommes de 22 et 32 ans ont été tués par balles, le 23 janvier, en banlieue de Caracas, en marge d'une manifestation, mais plusieurs sites d'informations locaux évoquent dans leur cas un fait-divers n'entretenant « aucun rapport avec la manifestation » : les deux jeunes hommes auraient tenté de cambrioler une boulangerie et auraient été abattus par le commerçant, comme l'explique notamment Noticiascol.
Signe supplémentaire de la prudence avec laquelle ces informations, souvent relayées sans vérification ni contextualisation, doivent être envisagées : les circonstances de certains décès listés par l'OVCS sont parfois très floues, et la version des faits ne fait pas toujours consensus. C'est le cas du décès de German Cohen, un jeune homme de 33 ans visé dans la ville de Merida par un coup de feu avant d'être brûlé vivant. Si son meurtre a bien eu lieu en marge d'une manifestation anti-Maduro le 23 janvier, des témoignages affirment que c'est la foule des manifestants qui s'en serait pris à lui, empêchant même l'intervention de la garde civile. Des médias affirment que le jeune homme souffrait de troubles psychiatriques et qu'il a provoqué les manifestants de l'opposition en assurant être un soutien de Nicolas Maduro.
L'OVCS, une source influente qui pose question
Les informations disponibles pour le grand public au sujet de l'OVCS, peu nombreuses, laissent présager d'une certaine partialité. Sa fiche Wikipedia indique par exemple qu'il est affilié « à diverses ONG et institutions telles que l'Organisation des Etats américains », sous influence des Etats-Unis, à « l'Université centrale du Venezuela » et au « Conseil latino-américain des sciences sociales », une institution non-gouvernementale créée en 1967 à l'initiative de l'Unesco.
Dès le 10 janvier, jour de l'investiture de Nicolas Maduro pour son second mandat, l'OVCS publiait un communiqué dans lequel il qualifiait sa réélection d'« usurpation de fonction », expression abondamment employée par l'opposition et que l'on retrouve de manière récurrente dans les discours de Juan Guaido. Si elle peut certes jouer le rôle de source d'information, force est de constater que l'OVCS n'est donc pas une source d'information neutre.
Quelle est la profondeur des liens unissant l'OVCS à l'opposition vénézuélienne ? Son site internet, très peu actualisé, ne fournit aucune information quant à ses financements et ses réseaux.
L'AFP, que nous avons également sollicitée afin d'essayer d'obtenir des précisions quant à cette source sur laquelle elle s'appuie abondamment, ne s'est pas montrée plus claire. Un responsable de la rubrique internationale contacté par téléphone a estimé qu'il ne s'agissait pas d'« un sujet de déba t» et que « l'AFP ne souhait[ait] pas communiquer sur ce sujet ». « Faites le même travail d'investigation que vous faites pour l'OSDH », a ajouté le responsable, faisant référence à l'Observatoire syrien des droits de l'homme, source omniprésente de nombreux médias occidentaux dans leur couverture du conflit syrien et dont RT a régulièrement remis en question la fiabilité.
Dans la confusion du business des ONG
RépondreSupprimerPour Romain Migus, la situation des ONG dans ce pays d'Amérique latine n'est néanmoins pas comparable à la situation de quasi monopole qu'avait l'OSDH en Syrie. « Au Venezuela, il y a plusieurs ONG d'opposition parce que c'est un business », assure ce fin connaisseur du pays. « La pluie de dollars aidant, chacun veut monter sa petite ONG pour en profiter. De plus, chaque clan politique a son ONG », assure-t-il.
Selon les informations de Romain Migus, l'OVCS serait financé par la National Endowment for Democracy (NED), organisation dont le financement est voté par le Congrès américain et qui fait partie du budget du ministère des Affaires étrangères consacré à l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID). Un financement présumé que signale également le site vénézuélien Mision Verdad, favorable au chavisme.
« Le scénario est souvent le même, telle ONG, maniée par une personne de l'opposition, reçoit des financements étrangers d'un pays qui lui-même est juge et partie dans le conflit, va faire un rapport qui va être repris par une ONG plus importante comme Human Rights Watch (HRW) ou Reporters sans frontières (RSF) et ensuite, cela se retrouve dans les médias occidentaux », assure Romain Migus.
Face à une situation complexe où très peu de sources semblent pouvoir être qualifiées d'impartiales, l'éthique journalistique autant que le souci d'informer devrait conduire les médias occidentaux à faire preuve de transparence quant aux orientations politiques des organismes auprès desquels ils obtiennent leurs informations. L'honnêteté commanderait même de ne pas se restreindre aux seules sources favorables à l'opposition et à daigner considérer les médias pro-Maduro, presque systématiquement écartés pour des raisons idéologiques.
Parmi ces sources, on peut citer Telesur ou Venezuela de television (VTV), des médias, qui, s'ils sont certainement critiquables par certains aspects, n'en font pas moins un travail sérieux et qui pourrait servir à équilibrer la couverture des événements au Venezuela, tout en permettant de donner aux lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs un aperçu plus complet de la situation dans ce pays. Tel ne semble pas être le parti pris éditorial de l'écrasante majorité des journalistes ou des agences de presse : la chaîne Telesur a été citée une seule fois par l'AFP depuis le début de la crise vénézuélienne.
https://fr.sott.net/article/33466-Venezuela-attention-aux-sources-d-information
Le Venezuela est un pays très particulier, un Peuple libre, l'essence gratuite, soins médicaux gratuits et frais scolaires gratuits attirent beaucoup les dictatures à changer la donne.
SupprimerAu Venezuela, la presse étrangère y est distribuée et... imprimée-même sur place comme les stations de radios ou de télé étrangères qui émettent depuis Caracas !!!
Imaginez cela dans n'importe quel pays dans le monde où des étrangers auraient des chaînes de télé quotidiennes !
Çà, c'est Le Venezuela ! LA Liberté de la presse. Mais, comme les merdias dans le monde appartiennent à des dictateurs qui inventent des journaux de gauche ou de droite, ils disent ce qu'ils veulent et bien-sûr ne retransmettrons JAMAIS d'émissions en direct depuis le Venezuela vers les pays extérieurs ! car, ce serait d'avouer la vraie vie dans ce beau pays où les gens se foutent d'un guaido attardés mental qui se dit 'président' !
A savoir aussi qu'au Venezuela il y a autant de porteurs d'armes (cachées) qu'aux États-Unis.
RépondreSupprimerUn syndicat de police accuse Castaner d'avoir couvert des agressions sexuelles
Sputnik
ven., 08 fév. 2019 11:16 UTC
Le docteur Frey, médecin inspecteur régional, a été placé en garde à vue puis sous contrôle judiciaire pour des agressions sexuelles. Le syndicat de police Vigi accuse le ministre de l'Intérieur d'avoir été informé de ces agressions, de les avoir couvertes et d'avoir soutenu des sanctions contre un employé ayant dénoncé ce médecin.
Le syndicat des personnel du Ministère de l'Intérieur, Vigi, a dans un communiqué demandé la démission de Christophe Castaner. Il accuse le Ministre de l'Intérieur d'avoir été informé dès le 24 octobre 2018 des agissements du docteur Frey, dernièrement placé en garde à vue puis sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer pour agression sexuelles sur de jeunes collègues. Le communiqué assure que le ministre avait en outre défendu ce médecin inspecteur régional contre des accusations l'année dernière.
Selon ce dernier, M.Castaner a fait le choix de laisser Éric Morvan, Directeur Général de la Police Nationale, qui lui aussi a couvert les agressions sexuelles de ce « médecin », envoyer le secrétaire général du syndicat, Alexandre Langlois, en conseil de discipline, entre autres pour avoir dénoncé de telles pratiques.
Plus encore, il a laissé le docteur Frey traîner ce même Alexandre Langlois au Tribunal de Grande Instance de Metz, pour diffamation.
Déplorant l'augmentation du nombre de suicides parmi ses collègues (déjà 11 en 2019) avec un tel management qui couvre tous les agissements délictueux de la hiérarchie policière, le syndicat demande une nouvelle fois la démission immédiate de MM.Castaner et Morvan.
Le syndicat compte sur le soutien de Mme Marlène Schiappa, secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, et espère qu'elle ne fera pas passer des intérêts partisans avant la souffrance de ses collègues.
France Bleu Lorraine a annoncé ce vendredi que le médecin inspecteur régional de la police dans le Grand Est avait été suspendu de ses fonctions.
Le média signale en se référant à une source policière que le médecin inspecteur régional, âgé d'une cinquantaine d'années, aurait agressé sexuellement de jeunes adjointes de sécurité lors de visites médicales. Il aurait pratiqué, lors de la visite d'aptitude physique obligatoire pour intégrer l'école de police, des caresses et palpations mammaires « assez longues alors que le médecin n'est pas gynécologue ».
Plusieurs adjointes de sécurité ont déposé plainte. Le parquet de Reims a saisi l'IGPN.
Ce médecin exerçait depuis plus de 20 ans. Il était chargé d'examiner les policiers accidentés de dix départements, les blessés en service et faisait passer les visites médicales à Metz.
https://fr.sott.net/article/33457-Un-syndicat-de-police-accuse-Castaner-d-avoir-couvert-des-agressions-sexuelles
TUNISIE - IL PORTE PLAINTE POUR VIOL... ET EST EMPRISONNÉ
RépondreSupprimerEn Tunisie, après avoir été violé, un homme est allé porter plainte mais s'est retrouvé condamné pour homosexualité.
12.02.2019
Un homme qui avait porté plainte pour viol, s'est retrouvé condamné à 6 mois de prison pour homosexualité, ont indiqué lundi à l'AFP le parquet et une association militant pour les droits des homosexuels.
L'homme âgé de 26 ans, s'était rendu à un rendez-vous de nature sexuelle avec un autre homme rencontré sur Facebook, selon l'association Shams. L'homosexualité est illégale en Tunisie. Les lieux de rencontre sont rares, et les réseaux sociaux forment une alternative, parfois risquée.
Arrivée au rendez-vous, la victime s'est retrouvée face à deux hommes qui l'ont violé et puis lui ont volé ses effets, selon la version de la victime relayée par l'association Shams. Il s'est rendu au commissariat pour dénoncer ses agresseurs, mais le procureur a ordonné un test anal, pratique contestée mais fréquente en Tunisie, pour établir s'il avait déjà eu des relations homosexuelles par le passé.
Faits requalifiés
Il a été condamné à six mois de prison pour sodomie, et deux mois pour dénonciations calomnieuses. La cour a estimé qu'il ne s'agissait pas d'un viol mais d'une dispute à la suite de la relation sexuelle, a indiqué le parquet de Sfax. Les deux autres hommes ont quand à eux été condamnés chacun à six mois de prison pour sodomie, 15 jours pour violences, et un mois et demi pour vol, selon la même source.
Dans un communiqué, l'Association tunisienne Damj défendant les droits des homosexuels, a dénoncé ce «genre de procès qui représente une violation flagrante aux droits de l'Homme et à la dignité morale». Elle a appelé à «l'arrêt immédiat» de toutes les poursuites judiciaires se basant sur l'article 230 qui pénalise les rapports homosexuels et de la fin des examens anaux «humiliants».
«De plus en plus stricts»
Cette association a réclamé «la révision de tous les textes juridiques discriminatoires qui vont contre la liberté et qui ne correspondent plus avec les libertés individuelles stipulées dans la nouvelle Constitution».
Les condamnations pour homosexualité se sont multipliées ces dernières années. En 2018, 127 personnes ont été condamnées à des peines de prison pour homosexualité, contre 79 en 2017, et 56 en 2016 selon Shams.
«Les juges deviennent de plus en plus stricts sur les affaires de moeurs», a souligné l'avocat Mounir Baatour, qui dirige l'association Shams. Ce dernier met cela sur le compte de «l'influence grandissante» du parti d'inspiration islamiste Ennahdha dans les tribunaux. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/faits-divers/porte-plainte-viol-emprisonne/story/27583467
SupprimerHAHAHAHA ! Faut dire qu'en ces pays en retard les femmes sont cachées sous des bâches à grillage !
Seattle reçoit sa plus grande quantité de neige en 70 ans
RépondreSupprimerSott.net
dim., 10 fév. 2019 20:53 UTC
À Seattle, les autorités ont exhorté les gens à ne pas circuler sur les routes, car la circulation a ralenti jusqu'à s'arrêter à certains endroits à cause de la neige.
Certaines régions autour de Seattle ont reçu plus de 25 cm de neige samedi, soit la plus grande quantité en 70 ans, selon le National Weather Service, et d'autres sont en voie d'être touchées par deux autres tempêtes qui s'y sont installées. Le Service météorologique national a indiqué que le premier système de tempête devrait arriver dans la région dimanche soir avec une accumulation de lumière, et que le deuxième système passera le lundi et se poursuivra jusqu'à mardi.
Pendant ce temps, des températures froides sont attendues dans la région pendant la nuit de samedi à samedi, avec des températures tombant à moins 6° / moins 9° C et un refroidissement éolien à un chiffre près.
Selon le Service météorologique national, certaines régions ont reçu jusqu'à 27 cm de neige, ce qui en fait déjà le mois de février le plus enneigé depuis 1949, et le deuxième plus enneigé jamais enregistré.
Près de 8 pouces de neige sont tombés à l'aéroport de Seattle-Tacoma, où des centaines de vols ont été annulés, rapporte Carter Evans de CBS News. La tempête a obscurci la fameuse Space Needle et a laissé une couche de neige sur certains endroits très emblématiques, comme le marché Pike Place. La neige abondante a causé des dommages dans le parc national Yosemite, où elle a atteint deux pieds à certains endroits.
A Tacoma, des centaines de personnes ont participé à une bataille de boules de neige dans un parc après que quelqu'un qui habite à proximité l'ait suggéré sur Facebook. Ils se sont abrités derrière des tables de pique-nique et ont utilisé des traîneaux comme boucliers.
"C'est un matin parfait pour s'habiller et jouer dans la neige, mais restez en dehors des routes si possible", a écrit le gouverneur Jay Inslee sur Twitter.
Dans le centre de Washington, la poudrerie et les amoncellements de poudreuse de 1 m ont forcé la fermeture de la route U.S. 2 et de l'Interstate 90. Le bureau du shérif du comté de Grant a averti que des congères bloquaient de nombreuses routes. Les aéroports de l'est de l'État de Washington ont fermé leurs portes et de nombreux accidents de voiture ont été signalés.
"Les conditions de neige s'aggravent de minute en minute, alors ne vous attendez pas à ce que les conditions de voyage s'améliorent", a écrit le bureau du shérif.
Le Service météorologique national a indiqué que de la neige supplémentaire pourrait tomber samedi et qu'une autre tempête était attendue au début de la semaine prochaine.
https://fr.sott.net/article/33467-Seattle-recoit-sa-plus-grande-quantite-de-neige-en-70-ans
Australiens: détruire leur réseau plus rapidement que n'importe quel pays de la planète
RépondreSupprimerLes Australiens sont les mannequins des crash tests renouvelables
February 12th, 2019
Comme je l’ai dit gratuitement et deux mois avant l’ANU, avec une croissance annuelle de 50% des énergies renouvelables, l’Australie monte en puissance de manière peu fiable, plus rapidement que partout ailleurs.
Vient maintenant un document: Australie: la superstar des énergies renouvelables qui montre que, par habitant, l’Australie installe des générateurs peu fiables à un rythme éclair, plus de deux fois plus vite que l’Allemagne et quatre à cinq fois plus rapide par habitant que l’UE, les États-Unis, Japon et Chine. Aucun autre mannequin n'est encore dans la course. Le plus grand exportateur de charbon au monde s'efforce plus que quiconque de détruire sa plus grosse source de recettes d'exportation - ce qui serait noble si seulement il s'agissait d'un sort magique pour conjurer les tempêtes.
C'est un document légendaire et très utile. Enregistrez le lien, copiez la référence, envoyez-la à votre député, à vos amis, à votre journal ! Pourquoi ne pas aller au lancement à l'ANU à 14h30 le 14 février ?
Personne ne pourra plus jamais se permettre une flagellation nationale pour «ne pas en faire assez». M. et M. Green cesseront de nous appeler désormais une blague nationale, un paria et une honte. (Bien que, en réalité, toutes ces choses soient vraies, pour la raison opposée. La Chine se moque de nous et nous sommes une honte pour nos enfants d'avoir fait sauter des avoirs nationaux, d'avoir dilapidé des ressources et de leur avoir enseigné la sorcellerie.)
- voir graphique sur site -
Par habitant, l'Australie (toutes les nuances de rouge) installe des énergies renouvelables
L’Australie installe les énergies renouvelables tellement vite qu’elle est encore plus rapide que le deuxième pays qui est aussi l’Australie.
Apparemment, le coût net de l'ajout d'énergies renouvelables est nul selon les experts de l'ANU. Dans un monde cohérent, ce document unique mettrait également immédiatement fin à toutes les subventions. Plus de RET, SRES, LRET, prêts à faible taux d'intérêt, allégements fiscaux, règles de marché forcées ou interconnexions dorées.
Excepté, bien sûr, ils se trompent totalement sur le prix. Les Australiens ont l'électricité la plus chère du monde pour une raison. D'une manière ou d'une autre, des pirates chinois ou une équipe de marketing des énergies renouvelables doivent s'être infiltrés dans l'ANU pour rédiger l'essentiel du rapport. Sur les six conclusions sommaires, les deux premières sont évidentes et les quatre dernières sont fantastiques. Ils ne sont «simples» ou «durables» que si vous avez 10 000 milliards de dollars à dépenser et que vous ne pouvez penser à rien de mieux à faire avec.
L’histoire des relations publiques:
RépondreSupprimerAustralie: la superstar des énergies renouvelables
Résumé:
L'Australie installe des énergies renouvelables (énergie solaire photovoltaïque et éolienne) beaucoup plus rapidement par habitant que les autres pays.
Le taux de déploiement en Australie est de 4 à 5 fois plus rapide par habitant que dans l’UE, les États-Unis, le Japon et la Chine.
Stabiliser le réseau électrique avec une énergie renouvelable comprise entre 50% et 100% est simple, grâce à des techniques standard déjà largement utilisées en Australie.
Le secteur de l’électricité est en voie de réaliser les objectifs de réduction des émissions de Paris pour l’Australie dans son intégralité, cinq ans plus tôt, en 2025. C’est l’un des taux de réduction des émissions durables le plus rapide au monde.
Fait remarquable, le coût net est égal à zéro car les énergies fossiles coûteuses sont remplacées par des énergies renouvelables moins chères.
L'Australie est sur la voie d'une réduction profonde et rapide des émissions de gaz à effet de serre grâce à l'électrification en profondeur des énergies renouvelables. Une grande partie du monde peut facilement suivre le chemin australien. Les énergies renouvelables offrent un réel espoir pour une future planète habitable.
Le coût net est nul ?
Le coût net n’est nul que si vous ignorez les superbes subventions, les lignes de transmission supplémentaires, la facture FCAS, les coupures de courant, la gestion de la demande d’urgence, les dommages causés par les surtensions, les dépenses inutiles, les escouades de diesels volants, les condenseurs synchrones, et le fardeau que l’énergie peu fiable jette sur tout le réseau. Aux États-Unis, l'énergie éolienne augmente la consommation de gaz de 30 $ / MWh. Blakers et al. Pourraient penser que cela fait partie de la facture de gaz, mais c’est évidemment un coût caché des énergies renouvelables. Nous pouvons discuter le jeu avec une analyse des jeux d'enchères au prix de gros avec des règles bien arrêtées, mais le résultat final est un prix de détail et l'histoire est dévastatrice. Le charbon nous a donné 30 ans de baisse des prix et les énergies renouvelables ont anéanti tous ces gains.
L'énergie renouvelable économise du carburant, mais gaspille des infrastructures, des terres, du travail et des ressources. Comment cela peut-il être bon marché ?
Comme une infection, une alimentation non fiable nuit à l'efficacité et à la rentabilité de tous les autres générateurs. Et même si l’énergie solaire est semi-fiable, elle fait toujours des ravages sur le réseau: voir la courbe de canard, le générateur de 1 000 MW qui passe en mode AWOL et les avertissements. Pendant la majeure partie de l’année, l’énergie solaire est l’énergie supplémentaire qui arrive lorsque nous savons que nous n’en avons pas besoin.
De plus, la montée des invraisemblables subventionnées élimine le secteur non subventionné, laissant le marché mûr à des pressions qui coûtent près d'un milliard de dollars par jour.
L’un des taux de réduction des émissions durables le plus rapide au monde ?
Qu'est-ce qui est durable ? Pas le prix, nos industries ou notre offre 50Hz. Pas notre style de vie.
Nous pouvons avoir des taux durables de réduction du carbone mais nous ne pouvons pas avoir une civilisation durable en même temps.
Le monde peut facilement suivre la voie australienne ?
Bien sûr, s’il s’agit d’un pays du monde, avec un vaste espace vide situé à 15 degrés de l’équateur, dans les années 40 et avec 100 milliards de dollars à perdre. Sûr.
h/t Marc Morano, ClimateDepot
http://joannenova.com.au/2019/02/australians-destroying-their-grid-faster-than-any-country-on-earth/
SupprimerLa Chine a construit dans le désert de Gobi des centrales électrique à charbon (car là-bas il est sur place à quelques mètres sous terre et 30 m d'épaisseur et sans soufre !) qui produisent en envoient à plus de 3000 km plus de 1 million de volts sur les câbles !
Signes et symptômes d'un "Grand minimum solaire" et non pas d'un réchauffement planétaire causé par l'activité humaine
RépondreSupprimersamedi 9 février 2019
Pendant un minimum solaire, et en particulier, dans un "Grand minimum solaire", davantage de rayons cosmiques pénètrent dans l'atmosphère terrestre. Ces particules à grande vitesse (principalement des protons) entrent en collision avec des atomes atmosphériques et se dissocient en cascade en particules subatomiques plus petites. Ces particules agissent comme des noyaux de nuage par ionisation et propagent la formation de nuages à basse altitude. Certaines particules atteignent la surface de la Terre. De cette manière, davantage de rayons cosmiques accélèrent la formation de tempêtes, de précipitations irrégulières, de tempêtes de neige, de grêle, d'inondations locales et, à long terme, un refroidissement global.
Nous ajoutons à cela des tremblements de terre, des volcans, des éclairs et d’autres événements électriques ainsi qu’un risque accru d'éruption solaire susceptible de perturber notre réseau électrique.
- voir clip sur site -
Valentina Zharkova astrophysicienne et mathématicienne estime que nous entrons (2020) dans un "Grand minimum solaire" devant durer, selon ses estimations, de très nombreuses années.
Dans un "Grand minimum solaire", les rayons cosmiques déclenchent de plus grandes crues éclair, des tempêtes de grêle et, en raison de la perturbation du jet-stream et du mélange des couches atmosphériques, des précipitations locales de longue durée (par exemple des rivières atmosphériques).
Parallèlement à la multiplication des inondations locales, l'augmentation de la couverture nuageuse et la diminution du chauffage de l'eau de surface de la mer signifie moins d'évaporation d'eau de mer, une réduction de l'humidité spécifique (moins de formation de rosée pour nourrir les plantes graminée) et moins de précipitations globales et ce, en dépit des précipitations et des inondations régionales. En général, l'eau a tendance à rester dans la couverture nuageuse pendant des durées plus longues. Lorsque les nuages arrivent à pleuvoir, cela se produit plus violemment, alors que le transport régulier dans les continents diminue. En conséquence, dans de nombreuses régions, les sécheresses sont historiquement plus fréquentes au cours d'un "Grand minimum solaire".
On nous dit que tous ces phénomènes sont le résultat du "réchauffement de la planète", causé par l'activité humaine, alors qu’il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis 2000. En raison des courants-jets changeants et des changements de pattern des vents, des vagues de chaleur et davantage de feux sauvages sont à prévoir.
Ainsi, dans un "Grand minimum solaire", les sécheresses locales et les mauvaises récoltes peuvent être causées non seulement par moins de pluie et plus de vents, mais simplement par une humidité spécifique plus basse. Cela peut même ne pas apparaître sur les registres climatiques (température et précipitations). Ces sécheresses seront probablement interprétées à tort comme une sécheresse due au réchauffement et à l'évaporation.
Les dommages aux cultures, la chaleur locale de surface, les incendies de forêt et les dommages biologiques peuvent aussi être accélérés par une augmentation du rayonnement UV et ce, par les mécanismes suivants:
- Il existe une corrélation directe entre les rayons cosmiques et l'appauvrissement de la couche d'ozone. L’appauvrissement en ozone - comme dans le minimum solaire - signifie que les UV-B et C plus nocifs [potentiellement plus de cancers] atteignent la surface de la Terre.
RépondreSupprimer- La réduction en cours de l'intensité du champ géomagnétique laisse entrer plus de rayons cosmiques de l'espace et plus de rayons UV du soleil. La thermosphère terrestre, dans la haute atmosphère, est principalement chauffée par les ondes EUV (Extreme Ultraviolet) émises par le Soleil.
Comme complication supplémentaire dans un "Grand minimum solaire", les rayons cosmiques qui parviennent à la Terre et pénètrent à la surface peuvent déclencher des tremblements de terre, des volcans et d’autres anomalies tectoniques. Les particules pénétrantes (muons des rayons cosmiques) en provenance de l'espace diminuent la viscosité du magma riche en silice.
En conséquence de ces éruptions, des quantités accrues d'aérosols et de gaz volcaniques peuvent générer une atténuation globale et une nouvelle nucléation des nuages, entraînant davantage de refroidissement et de mauvaises récoltes, un autre mécanisme de rétroaction.
L'augmentation de l'activité volcanique affecte également les volcans sous-marins. Les 2/3 de tous les volcans sont sous l'eau et la plupart du temps, ils passent inaperçus. C’est très probablement la raison pour laquelle la glace de mer flottante de l’Arctique s’est rétrécie (officiellement) jusqu’à ces dernières années, alors que la glace antarctique enclavée se développait. En 2015, nous avons appris que la chaleur dégagée par la faille océanique profonde perce un trou dans la calotte glaciaire arctique. À présent, les glaces antarctiques sont également affectées par la chaleur du dessous. En 2017, les scientifiques ont découvert 91 volcans sous la calotte glaciaire antarctique. Le phénomène est également observé au Groenland: la chaleur dégagée par les profondeurs de la terre fait fondre les glaciers du Groenland.
Les pôles magnétiques de la Terre se rapprochent l'un de l'autre, au même moment que le champ magnétique terrestre s'affaiblit, les deux phénomènes se déroulant à un rythme accéléré. Depuis le milieu des années 1800 jusqu'en 2000, soit environ 150 ans plus tard, le champ magnétique terrestre s'est affaibli de 10%. Ensuite, de 2000 à 2010, il s’est encore affaibli de 5%, une baisse exponentielle. En 2015, la mission SWARM de l'ESA, qui mesurait le champ magnétique, a conclu que les deux tendances d'accélération se poursuivaient, mais elles supposent que cela ne posera pas de problème dans un proche avenir. Il est important de noter ici que pendant le "Minimum de Maunder" (1645-1715), le champ géomagnétique était beaucoup plus puissant qu’aujourd’hui, ce qui a pu atténuer certains des effets nocifs de la faible activité solaire et de l’accroissement des rayons cosmiques.
Vers 1900, le pôle Nord ne se déplaçait que de quelques kilomètres par an. Aujourd'hui, le pôle Nord se déplace de 80 km par an et se dirige vers la Sibérie.
Bien qu'il y ait en moyenne moins d'explosions solaires lors d'un "Grand minimum solaire", les éruptions qui en résultent peuvent causer davantage de dommages à notre réseau électrique. Notre ère électronique moderne n'a pas été testée par une forte éruption solaire ou une tempête solaire de type Carrington.
Un "Grand minimum solaire" ne devrait être officiellement déclaré qu'après son début, c'est-à-dire après plusieurs cycles très bas. Étant donné que nous sommes confrontés à plusieurs nouveaux paramètres climatologiques, personne ne peut savoir avec certitude si nous sommes déjà dans le prochain "Grand minimum solaire".
RépondreSupprimerAu cours des deux prochaines années, nous aurons un solide avant-goût du prochain cycle solaire (cycle 25 devant débuter entre 2019 et 2020). Au début de 2018, l'activité des taches solaires était déjà au niveau du minimum qui était prévu pour dans deux ans. Nous atteindrons le creux du cycle solaire 25 en 2029/2030.
Pendant un "Grand minimum solaire", nous nous attendons à des conditions météorologiques plus violentes, à la formation irrégulière de nuages, à des vents plus forts, des orages, de la grêle, à des récoltes perdues, mais aussi à des sécheresses, des tremblements de terre et à des volcans. Et, à un refroidissement global. Nous y ajoutons des éclairs, des décharges électriques, des météores pouvant pénétrer plus loin dans l’atmosphère et le risque d’explosions solaires pouvant perturber notre réseau électriques même si les tempêtes solaires sont moins fréquentes.
Presque étrangement, les partisans du faux dogme du changement climatique d'origine anthropique ou du «réchauffement de la planète» prédisent les mêmes extrêmes climatiques que ceux attendus dans un "Grand minimum solaire", sauf le refroidissement à long terme. Mais ils les attribuent aux mauvaises causes. Et c’est peut-être la raison pourquoi le GIEC et les Nations Unies réfléchissent encore à la théorie du réchauffement climatique anthropique, alors même qu’il n’y a pas eu de réchauffement depuis 17 ans. Si les tendances en matière de flux de rayons cosmiques se poursuivent, bon nombre de leurs prédictions vont se réaliser (à l'exception du réchauffement à long terme) et les gens qui s'interrogent sur le caractère véritable ou non des changements climatiques découvriront rapidement qu'ils sont réels, mais en fait ils n'auront strictement rien à voir avec les gaz à effet de serre.
Le graphique ci-dessous montre les températures enregistrées et prévues, telles qu'illustrées par Ole Humlum et associés, graphique que l'on retrouve dans leur article de 2011: "Identifier les contributions naturelles au changement climatique de l'Holocène tardif"
- voir graphique sur site -
Mon point de vue: je crois que les hauts dirigeants de la planète savent pertinemment que des désastres climatiques localisés, voire planétaires, vont se produire au cours des prochaines années et qu'ils n'ont rien à voir avec l'activité humaine, mais avec la très faible activité solaire en cours. Ils (Nations Unies et Cie.) ont saisi "l'opportunité" de cette conjoncture climatique pour créer une urgence planétaire, devenue une législation mondiale qui exhorte tous les pays à des mesures restrictives, coercitives, encouragées par les citoyens eux-mêmes qui, paniqués, ont été programmés par les médias à croire les mensonges du lobby du réchauffement climatique d'origine anthropique. Ils nous font croire que si l'Homme restreint ses activités de façon significative et s'il verse suffisamment d'argent dans la cagnotte "Sauvons la planète", il sera possible de renverser le "processus apocalyptique". Mais vous remarquerez qu'ils se démentissent sans arrêt disant qu'il est impossible d'atteindre les cibles de réduction d'émissions de gaz carbonique d'ici 2030, pour ainsi stopper la hausse de la température mondiale, la fonte des glaces et la montée catastrophique des océans, et malgré cela, ils continuent de nous marteler le cerveau de publications les plus catastrophiques les unes que les autres en nous annonçant l'ajout de taxes environnementales.
La propagande alarmiste est rendue à un point tel que des enfants de 9 ans nous font la morale sur les comportements éco-responsables que nous devons adopter sans quoi nous sommes perçus comme des adultes qui encouragent le massacre planétaire. Mes propres élèves, de niveau primaire, me font la morale quand je ne jette pas mes déchets dans le bon bac, certaines écoles abaissent le thermostat de l'école pour sensibiliser les enfants au réchauffement climatique, des étudiants manquent des journées de cours pour manifester, les yeux gelés, contre le réchauffement planétaire !
RépondreSupprimerSoyons lucides, prudents et joyeux de vivre à une époque aussi palpitante!
Le gouvernement des États-Unis se prépare à « un événement météorologique spatial» alors que la NASA avertit que «le minimum solaire commence»
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2017/07/le-gouvernement-des-etats-unis-se.html
Traduction partielle de l'article trouvé ici:
https://abruptearthchanges.com/2018/01/14/climate-change-grand-solar-minimum-and-cosmic-rays/
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2019/02/signes-et-symptomes-dun-grand-minimum.html
AOC et le grand bond en avant vert
RépondreSupprimerPar William L. Anderson
Mises.org
12 février 2019
Dans ce que ses partisans ont qualifié de "visionnaire", la chérie des médias du Congrès, Alexandria Occasio-Cortez (AOC) a publié son Green New Deal tant attendu, et elle a appelé à rien de moins que la destruction de la vie telle que nous la connaissions:
La représentante Alexandria Ocasio-Cortez a déclaré qu'elle n'hésitait pas à reconnaître qu'un "New Deal vert" signifierait une intrusion gouvernementale sans précédent dans le secteur privé. Lors de son passage à NPR, on lui a demandé si elle était prête à dire aux Américains que ses projets impliquaient une "intervention massive du gouvernement".
A un niveau, AOC, c'est être honnête; Un tel plan serait sans précédent, du moins aux États-Unis, mais il ne s'agirait certainement pas de la première intrusion massive dirigée par le gouvernement dans l'économie d'un pays. Une telle intervention a eu lieu au 20 e siècle, depuis la Première Guerre mondiale jusqu'à l’époque des gouvernements communistes. Le siècle a été riche en interventions et la terre était pleine de cadavres pour le prouver. Ce que l’AOC et ses alliés politiques, y compris la plupart des démocrates qui se sont déclarés candidats à la présidence des États-Unis, exigent, c’est la version américaine du Grand bond en avant tout à fait désastreux de Mao.
Pour tous les soi-disant détails, le Green New Deal (GND) se lit comme un site web socialiste qui regorge de rhétoriques, de promesses et de déclarations qui supposent qu'un groupe de planificateurs assis autour de tables peut reproduire une économie complexe qui nourrit, transporte et abrite des centaines de millions de personnes. Le New York Times déclare que le plan visant à «donner corps à une idée qui constituait un vague appel à la mobilisation pour un plan de relance axé sur le changement climatique, mais ses perspectives sont incertaines».
En réalité, rien dans la présente proposition ne peut être qualifié de «substance» si nous entendons par «substance» une compréhension réaliste de l'impossibilité de réorienter la planification centralisée de presque tous les facteurs de production de l'économie américaine utilise à un autre, puisque c’est ce que la loi proposée exige en réalité. Par exemple, voici ce que AOC et d’autres appellent le «champ d’application» du projet de loi:
(A) Le plan pour un Green New Deal (et le projet de législation) doit être élaboré dans le but d'atteindre les résultats suivants dans les délais impartis de 10 ans à compter du début de l'exécution du plan:
Élargir considérablement les sources d'énergie renouvelables existantes et déployer de nouvelles capacités de production dans le but de répondre à 100 % de la demande nationale en énergie au moyen de sources renouvelables;
Construire un réseau national «intelligent» économe en énergie;
Amélioration de chaque bâtiment résidentiel et industriel pour une efficacité énergétique, un confort et une sécurité à la pointe de la technologie;
Éliminer les émissions de gaz à effet de serre des industries manufacturières, agricoles et autres, notamment en investissant dans l'agriculture à l'échelle locale dans les collectivités du pays;
Éliminer les émissions de gaz à effet de serre, réparer et améliorer les infrastructures de transport et autres, et moderniser les infrastructures hydrauliques pour assurer un accès universel à une eau salubre;
Financer des investissements massifs dans la réduction des gaz à effet de serre;
Faire de la technologie, de l’industrie, du savoir-faire, des produits et services «verts» un important produit d’exportation des États-Unis, dans le but de devenir le leader international incontesté en aidant d’autres pays à faire la transition vers des économies totalement neutres en émissions de gaz à effet de serre et en instaurant un Green New Deal mondial.
Il est difficile de savoir par où commencer pour analyser un plan aussi ambitieux, surtout quand on comprend les conséquences de ce que contient ce projet de loi. Nul doute que beaucoup le croiront audacieux et attendu depuis longtemps. Le site Web de CNN déclare à bout de souffle:
RépondreSupprimerLes investissements publics devraient donner la priorité à ce que la résolution appelle «les communautés de première ligne et vulnérables», qui incluent les habitants des zones rurales et désindustrialisées ainsi que ceux qui dépendent d’industries à forte intensité de carbone telles que l’extraction de pétrole et de gaz.
Et dans un mouvement qui peut attirer l’appui d’un large éventail de groupes de revendication, la résolution englobe toute la gamme des priorités politiques progressives: fournir des soins de santé universels et des logements abordables, garantir à tous les emplois une protection syndicale et des salaires durables, et environnement des entreprises libre de concurrence monopolistique.
Cependant, CNN ajoute que les détails - payer pour le tout - ne sont pas inclus, du moins pas encore. En outre, l’agence de presse ajoute ce qui suit pour ceux qui s’inquiètent du coût prohibitif de l’opération dans son ensemble:
… Les New Dealers soutiennent qu'une transition énergétique financée par le gouvernement fédéral stimulerait la croissance en créant des emplois, en améliorant la santé publique et en réduisant les déchets. En outre, ils font valoir que le gouvernement pourrait obtenir plus de retour sur investissement en conservant des participations dans les projets qu’il construit.
En d’autres termes, toute cette opération générerait tellement de nouvelles richesses qu’elle se payerait elle-même, sortirait des millions de personnes de la pauvreté et transformerait l’ensemble de l’économie américaine. Le plan est tellement généreux qu’il promet même un revenu aux gens, selon le communiqué de presse du démocrate, qui refusent de travailler mais recevront un «salaire de subsistance».
Le plan est également célèbre non seulement pour ce qu'il prétend créer (utopie parfaite) mais aussi pour ce qu'il appelle également à être interdit: les vaches et les compagnies aériennes.
Le plan prévoit la suppression progressive des transports aériens d'ici dix ans et son remplacement par un réseau de lignes ferroviaires à grande vitesse, comme si cela était même réalisable.
Les vaches, comme le reconnaît le document publié, ont des flatulences et doivent donc être totalement éliminées de la terre et de la viande du régime américain.
Cependant, rien ne permet de remédier à la perturbation massive de la vie telle que nous la connaissons afin de mettre en œuvre un tel plan.
Il n’est pas surprenant que l’Atlantique soit presque essoufflée de louanges pour cette monstruosité, mais même cette publication admet que l’ampleur de la «vision» d’AOC dépasse tout ce que nous avons jamais vu auparavant:
Pourtant, même dans un langage général, la résolution décrit clairement une transformation qui ne laisserait pratiquement aucun secteur de l’économie intact. Un Green New Deal inciterait de nouvelles fermes solaires à fleurir dans le désert, de nouvelles lignes ferroviaires à grande vitesse pour sillonner les plaines et des escadrons de travailleurs de la construction pour isoler et résister aux bâtiments de la Floride à l’Alaska. Cela garantirait à chaque Américain un travail rémunéré comme un «salaire de subsistance familiale», codifiant les congés familiaux payés et renforçant le droit syndical dans tout le pays.
Pour être honnête, le terme "intact" n'est pas le terme approprié ici, car "brisé" ou "détruit" est beaucoup plus précis et descriptif. Nous ne parlons pas d’une intervention gouvernementale ordinaire qui caractérise la majeure partie de l’économie américaine, mais nous permettons à un système de prix de continuer à exister. Au lieu de cela, quelque chose de cette ampleur nécessiterait une prise de contrôle complète du gouvernement avec une planification centrale d'une ampleur telle qu'il lui faudrait dépasser les plus grands rêves du vieux Gosplan soviétique.
RépondreSupprimerBien sûr, l’une des questions les plus fréquemment posées est la suivante: «Comment payons-nous cela ?» Il est peut-être naturel de poser de telles questions, mais nous ne parlons pas d’un projet particulier pour lequel nous devons acheter du matériel et le payer qui le crée. Au lieu de cela, ce plan redirigerait simplement presque toutes les ressources, la main-d'œuvre et tous les autres facteurs de production des utilisations actuelles vers un objectif déterminé par les planificateurs et les seigneurs du gouvernement. Il n'y a pas d'autre moyen précis de décrire ce que nous voyons.
La résolution suppose naïvement que tout ce qui reste à faire est que le gouvernement «finance» ces projets en augmentant considérablement les impôts, en empruntant et (bien sûr) en imprimant de l'argent, et que de telles injections de fonds permettront au gouvernement de «payer» pour tous ces nouveaux projets comme si on construisait un nouveau gratte-ciel à Manhattan:
Beaucoup diront: «Investissement gouvernemental massif ! Comment dans le monde pouvons-nous payer cela ? »La réponse est la même chose que nous avons payé pour le sauvetage des banques en 2008 et l'extension des programmes d'assouplissement quantitatif, de la même manière que nous avons payé pour la Seconde Guerre mondiale et de nombreuses autres guerres. La Réserve fédérale peut octroyer des crédits pour alimenter ces projets et investissements, créer de nouvelles banques publiques (comme dans la Seconde Guerre mondiale) et utiliser divers outils fiscaux (notamment les taxes sur le carbone et autres émissions et les impôts progressifs sur la fortune).
En plus des outils traditionnels d’endettement, le gouvernement dispose d’un espace pour jouer un rôle d’équité dans les projets, comme le font déjà plusieurs institutions gouvernementales et affiliées à l’État.
De telles déclarations démontrent une profonde ignorance des concepts économiques, même de base. Les auteurs et les partisans de ce document estiment qu'il suffira au gouvernement d'affecter des sommes considérables à ces nouveaux projets, et tout le reste ira dans le même sens. Mais cela n’est même pas proche de la réalité, car le seul moyen de rediriger de telles sommes d’argent serait de recourir à la force, et à la force meurtrière.
Tout d’abord, et le plus important, la majeure partie de la capitale actuelle des États-Unis est axée sur le type d’économie que les AOC et les démocrates demandent à rendre illégale. Il faudrait donc abandonner une grande partie du stock de capital, qui pourrait en faire très peu. redirigé ailleurs. On ne peut surestimer le type de dommage financier que cela causerait et cela appauvrirait presque tout le pays presque du jour au lendemain.
Deuxièmement, l’ensemble de l’économie devrait pivoter vers un développement des capitaux qu’il serait impossible de créer, compte tenu des technologies actuelles et des coûts d’opportunité, notamment dans le délai de 10 ans exigé par les démocrates. Détourner de nouveaux flux de financement vers de tels projets serait inutile et même contre-productif, car le système serait tout simplement dépassé. La pénurie elle-même ne devrait pas tarder à signifier que des projets entiers seraient soit bloqués (comme ce que nous voyons avec le fameux «Bullet Train» en Californie) ou même abandonnés. Le coût humain serait à lui seul stupéfiant.
Comme indiqué au début de cet article, il ne s'agit en aucun cas d'une tentative visant à ré-implémenter le Grand Bond en avant de Mao, bien qu'avec le train à grande vitesse. au lieu des aciéries de basse-cour. On ne peut surestimer le désastre qui s'ensuivrait si cela était imposé à l'économie américaine.
RépondreSupprimerLes soi-disant visionnaires politiques sont rarement disposés à dire la vérité sur les destructions qui ont suivi leurs projets. Lorsque les baby-boomers étaient à l'université, il y a un demi-siècle, beaucoup considéraient Mao comme leur héros politique, un homme doté d'une grande vision et doté de la volonté politique de faire le nécessaire pour que son peuple, lui aussi, profite de la fortune qui lui était réservée. Qu'il s'agisse d'un tyran meurtrier présidant à une mort massive dépassant même les tueries de la Seconde Guerre mondiale était sans importance ou même ignoré.
Aujourd'hui, la presse qui l'adore nous dit qu'Alexandria Occasio-Cortez est la nouvelle visionnaire, une personne qui voit loin et qui sait ce que nous devons faire pour survivre aux conséquences à venir du changement climatique. Que sa grande vision ne soit guère plus qu'un projet de dépopulation de masse soit ignoré, et nous l'ignorons à nos risques et périls.
Remarque: les opinions exprimées sur Mises.org ne sont pas nécessairement celles du Mises Institute.
https://www.lewrockwell.com/2019/02/william-l-anderson/aoc-and-the-green-great-leap-forward/
Pour sauver le climat, le soleil et tout les petits nuages suffit d'envoyer l'argent en l'air ! HAHAHAHAHA !
Supprimer(...) Le plan prévoit la suppression progressive des transports aériens d'ici dix ans et son remplacement par un réseau de lignes ferroviaires à grande vitesse, comme si cela était même réalisable. (...)
Bientôt un ligne directe TGV entre New-York et Paris !
(...) Les vaches, comme le reconnaît le document publié, ont des flatulences et doivent donc être totalement éliminées de la terre et de la viande du régime américain. (...)
Mort aux vaches ? Sont-elles les seules à péter ?
Les émissions de méthane (pets) sont aussi appelées gaz de shiste. Elles sont inflammables mais n'ont jamais causées d'explosions dans les fermes et les étables !
Le Brexit est considéré comme une calamité par les économistes de l’Université de Cambridge
RépondreSupprimerle 11 février 2019
- voir photo sur site -
Dans la prestigieuse université britannique de Cambridge la fronde à propos du Brexit s’installe et l’experte en économie Victoria Bateman n’y est pas allée par 4 chemins pour dévoiler la réalité toute nue du Brexit comme étant un évènement créer un désastre économique, politique et social. Pour Madame Bateman il ne faut pas dissimuler cette catastrophe comme on dissimule son corps avec des vêtements.
Elle donc exposé ses thèses dans une salle comble en ayant choisi d’être entièrement nue. J’apprécie particulièrement le courage de cette personne qui, sans jeu de mot, ne veut pas être dépouillée de la prospérité qu’a apporté l’Europe à la Grande-Bretagne par le Brexit « dur » qui se profile.
Madame Bateman n’avait pas hésité à manifester le buste dénudé en défaveur de la loi contre l’avortement en inscrivant sur son ventre : « mon corps n’appartient qu’à moi ». À l’issue de sa conférence Madame Bateman a accepté que quelques personnes signent sur son corps une « pétition vivante » !
- voir photo sur site -
Il fait encore trop froid pour que les « Gilets jaunes » manifestent complètement dénudés pour bien montrer que le gouvernement les dépouillent de tous leurs biens en instituant, c’est nouveau, une super-taxe sur la vente de résidence principale qui fut acquise au prix d’immenses efforts et de privations pendant durant, pour la plupart, des décennies. Les Anglais sont aussi sur la voie de la rébellion vis-à-vis de dirigeants que ne savent même plus que le peuple existe encore.
Source et illustration : ZeroHedge
https://twitter.com/vnbateman/status/1093182514691276800
https://twitter.com/elephantsshoes/status/1093528960716165120
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/02/11/le-brexit-est-considere-comme-une-calamite-par-les-economistes-de-luniversite-de-cambridge/
Supprimer'Réchauffement climatique' ? Une chatte sur un toit brûlant !
L’affaire Spanghero, un « calvaire » pour la filière viande
RépondreSupprimerScandale alimentaire - L’affaire Spanghero, un « calvaire » pour la filière viande
Des milliers de barquettes rappelées et, surtout, une perte de confiance des consommateurs : principales victimes dans l’affaire de la viande de cheval vendue comme du bœuf, les fabricants ou distributeurs de plats cuisinés Tavola, Findus ou Picard ont demandé ce 11 février 2019, à la justice, de reconnaître leur immense préjudice.
« Nous espérons mettre un point final à ce qui a été un véritable calvaire », résume l’avocat du groupe de surgelés Findus, dont le nom reste associé dans les esprits à ce retentissant scandale alimentaire, mais pas sanitaire, des « lasagnes au cheval ». Le tribunal correctionnel de Paris juge depuis trois semaines le volet le plus connu de cette affaire qui a éclaté en Europe début 2013, le dossier Spanghero, du nom de l’entreprise de transformation implantée en Occitanie.
500 tonnes de viande de cheval
Deux ex-dirigeants de Spanghero et deux négociants néerlandais sont soupçonnés d’avoir participé à une entente pour tromper Tavola, fabricant de plats cuisinés (lasagnes, hachis parmentiers…) en lui vendant entre 2012 et début 2013 plus 500 tonnes de viande de cheval comme étant du bœuf. Ils réfutent ces accusations.
Sur les bancs des parties civiles sont représentés Tavola, son groupe Comigel, leurs célèbres clients Findus et Picard, les supermarchés Carrefour, des associations de consommateurs, des représentants de la filière viande et le liquidateur de Spanghero. Tous dénoncent une fraude en bande organisée et réclament aux prévenus 40 millions d’euros. Sans toutefois se faire d’illusion sur la solvabilité des quatre hommes s’ils devaient être condamnés.
Un préjudice économique
Les professionnels décrivent un préjudice économique colossal : selon la répression des fraudes, l’affaire a causé, « la première année », « une baisse de 40 à 45 % en volume pour le secteur des plats cuisinés ». « Nous avons dû retirer toute la marchandise qui comportait du bœuf de chez Tavola de nos 882 magasins », sans compter la « baisse de fréquentation », résume l’avocat des surgelés Picard, Michel Ayache. Il réclame « 10,7 millions d’euros », l’équivalent selon lui des pertes du groupe à cause de cette affaire.
Comigel et sa filiale luxembourgeoise Tavola, qui ont perdu « 103 millions d’euros » entre 2013 et 2018, sont désormais en liquidation, souligne leur avocate, Emmanuelle Bordenave-Marzocchi, en demandant six millions d’euros. « Ils se sont battus mais le mal était fait : tout le marché des plats cuisinés s’est effondré ». Au-delà des chiffres, tous soulignent la crise de confiance dévastatrice qu’a engendrée le scandale.
Une crise de confiance
« Nous avons bâti notre réputation et notre notoriété sur un grand nombre d’exigences de qualité et d’éthique. Tout cela a été piétiné par ces gens-là », regrette l’avocat de Picard. Le groupe a dû mener une campagne de publicité à deux millions d’euros « pour essayer de redresser l’image », insiste-t-il. Même constat chez son concurrent Findus. « Pour beaucoup de gens, cette affaire, c’est l’affaire Findus », regrette le conseil du groupe, Thomas Bidnic.
L’avocat en veut pour preuve les dizaines de montages, souvent drôles, qui fleurissent sur internet. Il en brandit un : « Findus : quand vous avez l’estomac dans l’étalon ! » Un paradoxe alors que dans cette affaire, « c’est Findus qui a pris l’initiative » de réaliser les premiers tests ADN établissant la présence de cheval dans des plats « pur bœuf ». L’entreprise, qui n’a pas été en mesure de chiffrer précisément son préjudice, réclame un euro symbolique.
RépondreSupprimerDes circuits opaques
L’affaire avait révélé la complexité et l’opacité des circuits d’approvisionnement et de transformation, de l’abattage de l’animal à la commercialisation de millions de barquettes.
L’interprofession du bétail et de la viande (Interbev) et la Fédération nationale bovine ont décrit, par la voix de leurs avocats, « la plus grave crise de ces dernières années » sur le plan de la confiance, dont « la filière se remet à peine ». « Nous voulons donner le signal que ces gens-là ne peuvent pas exister dans notre filière », a souligné le conseil d’Interbev. Le réquisitoire du parquet est attendu mardi, les plaidoiries de la défense mercredi.
http://www.lafranceagricole.fr/actualites/elevage/scandale-alimentaire-laffaire-spanghero-un-calvaire-pour-la-filiere-viande-1,6,1257221771.html
Encore une affaire de lobbying ! Du cheval dans le bœuf ! ET ALORS ? TOUTES les boucheries coupent de la viande de bœuf, de porcs, de mouton, de poulet avec... le même couteau sur le même étal ! ET PERSONNE N'EN EST MORT ! Cà alors !
SupprimerIdem pour les 'Findus', combien y a t-il de poissons différents dans un rectangle de pâté-poisson-pané ? (ou de 'cheval-de-mer' autre nom de l'hippocampe).
MARTINIQUE
RépondreSupprimerUne farine bio contaminée envoie une trentaine de patients à l’hôpital
Martinique - Une farine bio contaminée envoie une trentaine de patients à l’hôpital
Trente-cinq personnes ont été admises au CHU de Martinique depuis dimanche, après avoir été intoxiquées au datura, une plante toxique retrouvée dans un lot de farine de sarrasin bio, a-t-on appris auprès des autorités sanitaires.
Toutes présentaient des troubles digestifs, des hallucinations et des signes cardiovasculaires, a indiqué jeudi la Cire Antilles (Cellule d’Intervention en Région de Santé publique France). Vingt-cinq cas ont été confirmés par l’unité de toxicologie du CHU de Martinique, 10 sont encore en cours d’évaluation.
Parmi les patients, une famille de sept personnes, dont un enfant de 4 ans et une femme avec de lourds antécédents médicaux, a été intoxiquée dans la nuit de samedi à dimanche. Ils ont porté plainte pour mise en danger de la vie d’autrui. Ces personnes ont consommé notamment de la farine bio pour la chandeleur.
« Pour la plupart des patients, les symptômes (sécheresse buccale, pupilles dilatées, troubles de la vue, tachycardie, agitation, hallucinations, ndlr) n’ont duré que quelques heures. Néanmoins, une patiente a nécessité une hospitalisation de deux jours. Donc pour l’instant nous n’avons que très peu de cas sévères », a expliqué Jacques Rosine, responsable de la Cire.
Une erreur qui aurait pu être évitée
Le datura, plante sauvage toxique, s’est trouvé présent dans un lot de farine de sarrasin bio complète de deux marques : Naturaline et Moulin des Moines. Des lots qui auraient dû être retirés de la vente depuis le 22 novembre dernier, date à laquelle une première alerte avait été émise par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).
Mais en Martinique, jusqu’au 4 février, date de publication d’une nouvelle alerte, plusieurs personnes pouvaient encore acheter les lots contaminés dans les grandes surfaces.
« Le 26 décembre, on a eu une alerte sur la commercialisation de quatre lots contaminés en Martinique. On est intervenus immédiatement chez le grossiste qui la commercialisait et on a initié le retrait rappel. Et suite à notre passage, il a reçu un autre conteneur qu’il a mis sur le marché. C’est ce conteneur-là qui pose problème », a expliqué Véronique Fernandez, chef de service qualité et sécurité à la Direction des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Dieccte), sur l’antenne de RCI Martinique.
Depuis, la Dieccte s’est rendue chez chaque client du grossiste.
http://www.lafranceagricole.fr/actualites/cultures/martinique-une-farine-bio-contaminee-envoie-une-trentaine-de-patients-alhopital-1,6,1224492765.html
(...) Le datura, plante sauvage toxique, s’est trouvé présent dans un lot de farine de sarrasin bio complète de deux marques : Naturaline et Moulin des Moines. (...)
SupprimerEncore un 'vert' qui n'a pas désherbé son champs au Round'up de Monsanto et donc a moissonné toutes les herbes folles présentes chez lui !
C'est d'ailleurs ce qui se retrouve dans TOUS les champs (en Martinique ou sur le continent) non désherbés préalablement au Round'up !
GRÈCE
RépondreSupprimer600 tracteurs bloquent les routes contre le prix de l’essence
Quelque 600 tracteurs ont bloqué samedi après-midi plusieurs routes de Grèce, en particulier dans le nord du pays, pour protester contre le prix de l’essence, avec l’intention d’« augmenter la pression sur le gouvernement », selon l’agence de presse grecque Ana.
« Les agriculteurs ont lancé un message au gouvernement », a déclaré un porte-parole des manifestants Kostas Tzelas, membre de la commission grecque des blocus. « Nous demandons à voir le vice-Premier ministre Giannis Dragassakis », a-t-il ajouté, cité par l’Ana.
« Nous allons augmenter la pression sur le gouvernement », a prévenu également Vaggelis Boutas, président de l’Union des collectifs agricoles de Karditsa (nord de la Grèce), interrogé par la chaîne de télévision ERT.
Quelque 600 tracteurs ont bloqué plusieurs routes en protestation contre le prix de l’essence et contre la hausse des cotisations sociales en Grèce. Un des grands axes du pays, la route nationale entre Athènes et Thessalonique, a été notamment bloqué pendant deux heures.
« Le dialogue est toujours ouvert, aucune porte n’est fermée », a déclaré pour sa part le ministre de l’Agriculture Stavros Arachovis, interrogé par la radio de l’Ana. Il a rappelé avoir rencontré les représentants syndicaux le 14 décembre pour avancer sur leurs préoccupations.
En 2017, d’importantes manifestations d’agriculteurs avaient dégénéré en incidents à Athènes, devant le ministère de l’Agriculture notamment. Les manifestants protestaient alors contre l’augmentation de leurs cotisations sociales et de leurs impôts, en pleine crise de la dette.
http://www.lafranceagricole.fr/actualites/grece-600-tracteurs-bloquent-les-routes-contre-le-prix-de-lessence-1,6,1217033647.html
Faut dire aussi qu'un tracteur ne consomme pas comme une 2cv ! Pour tirer un charrue faudrait plus d'une centaine de Ferrari !
SupprimerLe Monde et les frites : à hurler de rire...
RépondreSupprimer11 Février 2019
par Seppi
à propos de : « Au Royaume-Uni, le réchauffement climatique fait raccourcir les frites »
L'été 2018 a été sec, également au Royaume-Uni où, paraît-il, il n'a pas plu dans certaines régions pendant 58 jours.
Les pommes de terre ont donc souffert et sont petites... et les frites ne sauraient pas être plus longues que les pommes de terre. Parole d'expert, comme l'apprend le Monde à ceux qui pourraient en douter :
« Or, "des pommes de terre plus petites signifient des frites plus petites", explicite [sic] donc Cedric Porter, rédacteur en chef de la World Potato Markets Review, qui publie chaque jeudi une newsletter d’analyse du marché de la pomme de terre en Europe et dans le monde. »
Mais comme l'indique le titre du Monde (et le sous-titre de ce billet), le raccourcissement des frites est attribué au... changement climatique !
En chapô de « Au Royaume-Uni, le réchauffement climatique fait raccourcir les frites » :
« Selon un rapport de The Climate Coalition, qui regroupe cent trente organisations, les "chips" britanniques ont été en moyenne trois centimètres plus courtes en 2018. »
C'est aller vite en besogne. Mais si The Climate Coalition voit midi à sa porte – c'est de bonne guerre – son rapport (que nous avons trouvé ici) est manifestement plus nuancé et plus complexe.
Dans ce billet de la rubrique big browser, les journalistes du Monde répercutent ce qu'ils ont – sélectivement – lu dans la presse britannique, essentiellement, sinon exclusivement, dans le Guardian, « UK chips an inch shorter after summer heatwave – report » ( les frites britanniques plus courtes d'un pouce après la vague de chaleur estivale), avec en chapô : « L'augmentation des épisodes météorologiques extrêmes due au changement climatique limite la production de fruits et de légumes »). Notez qu'un pouce équivaut à 2,54 et non 3 centimètres...
Le Monde se complaît dans les outrances – au conditionnel, cela va de soi :
« Le réchauffement climatique pourrait rendre trois quarts des terres agricoles britanniques impropres à la culture d’ici à 2050 ».
Mais, selon l'Independent, c'est : « impropre à la culture de la pomme de terre »... c'est probablement déjà le cas aujourd'hui compte tenu des exigences de cette culture. Ecowatch est plus précis : c'est les trois-quarts des terres sur lesquelles on produit actuellement des pommes de terre.
Sont aussi rapportées les outrances – toujours au conditionnel – du Philippulus de service, « Gareth Redmond-King, de l’ONG écologiste WWF (World Wildlife Fund, Fonds mondial pour la nature) » – nous ne savions pas que le WWF était « écologiste » (ironie) :
« C’est inimaginable pour nous de penser que la pomme de terre pourrait devenir un produit de luxe, mais cela pourrait bien devenir une réalité si des actions contre le réchauffement climatique ne sont pas immédiatement prises ».
Quelles actions ?
RépondreSupprimerL'Eastern Daily Press, un journal régional, a interrogé un agriculteur dans « Chips are an inch shorter after summer heatwave, says climate change report » (les frites sont plus courtes d'un pouce après la vague de chaleur estivale selon un rapport sur le changement climatique). L'agriculteur sait évidemment de quoi il parle... notamment de retenues d'eau et de mesures permettant de les exploiter.
Le Monde préfère citer de sa source principale, sinon exclusive, du Guardian :
« Interrogé par le Guardian, le cuisinier britannique Hugh Fearnley-Whittingstall prodigue ainsi ses conseils pour espérer continuer à manger des frites aussi plantureuses qu’au XIXe siècle :
"Mangez local et de saison, et vous ferez déjà un peu. Des produits issus de l’agriculture biologique autant que possible, et limitez les produits carnés, et vous ferez encore plus." »
Ben voyons...
Rappelons incidemment à l'auteur de cet article du Monde qui étale sa culture littéraire et se prévaut de Charles Dickens – vous avez bien lu : Charles Dickens – que le XIXe siècle a connu l'« Irish Potato Famine », la grande famine due (en partie) aux ravages du mildiou de la pomme de terre.
Un commentaire sarcastique dans le Monde :
« Donc si l’an prochain il pleut davantage et si les patates ont la frite (ou inversement), le réchauffement climatique aura fait allonger les frites ? »
Non, « si... », il n'y aura pas d'article collapsologique dans le Monde.
http://seppi.over-blog.com/2019/02/le-monde-et-les-frites-a-hurler-de-rire.html
Même les purées n'ont que 800 gr au kilo ! HAHAHAHAHA !
SupprimerLe Monde Riant a produit « Zététique et journalisme - #2-22 - Glyphosate et surenchère »
RépondreSupprimer11 Février 2019
Seppi
Glané sur la toile 302
C'est une vidéo de 21:35 minutes que vous trouverez ci-dessous. De salutaires remontrances. Quoique... Mais si ça n'aura aucun effet sur les désinformateurs avec une carte de presse, ça fait du bien aux gens qui sont offusqués par leurs procédés minables
- voir clip sur site:
http://seppi.over-blog.com/2019/02/le-monde-riant-a-produit-zetetique-et-journalisme-2-22-glyphosate-et-surenchere.html