Des chercheurs de l'université de Stanford ont couplé un logiciel d'intelligence artificielle à un dispositif BCI implanté dans le cerveau d'un homme souffrant d'une paralysie totale du corps. Le logiciel a été capable de décoder les informations du BCI et de convertir les pensées de l'homme sur un écran d'ordinateur.
La start-up Neuralink d'Elon Musk travaille depuis plusieurs années sur des implants cérébraux visant à mettre en réseau le cerveau humain avec des ordinateurs. Elon Musk poursuit notamment l'objectif de construire des implants cérébraux pour les humains, qui permettent d'enregistrer, de restituer et de partager des souvenirs, ainsi que d’appeler par télépathie des appareils et des machines, par exemple des voitures Tesla. De manière synchrone, une start-up new-yorkaise a déjà reçu l'autorisation de la FDA (Food and Drug Administration des États-Unis) de tester le dispositif cérébral implantable appelé « Stentrode » sur des patients humains dans le cadre d'une étude de faisabilité dite précoce. Le stentrode est placé dans une veine dans la partie du cerveau terminal qui génère tous les signaux liés au mouvement. L'appareil doit permettre aux patients de commander des appareils numériques sans fil par la pensée. Le système est destiné aux patients souffrant de paralysie suite à différentes maladies.
Sous le couvert de la guérison de certaines maladies et en tant qu'innovation, ce sont surtout les aspects positifs des implants cérébraux qui sont mis en avant. Mais que se passerait-il si de tels implants étaient utilisés comme des instruments de pouvoir ? En 2016 déjà, le fondateur du FEM Klaus Schwab avait évoqué dans une interview l'idée de puces électroniques implantables, d'abord dans nos vêtements, puis dans notre cerveau ou sous notre peau. Il s'agit ainsi de permettre une communication directe entre notre cerveau et le monde numérique. Un autre objectif est de connecter l'homme à la 6G et à l'Internet des objets.
Selon Pekka Lundmark, directeur général de Nokia, la future génération de télécommunication mobile 6G devrait être prête à être commercialisée d'ici 2030. Lors du Forum économique mondial de Davos de cette année, il a déclaré : « Le smartphone tel que nous le connaissons aujourd'hui ne sera plus l'interface la plus courante. Au lieu de cela, les futurs appareils seront directement intégrés dans notre corps. » Selon Lundmark, les capteurs cérébraux doivent être utilisés pour commander des machines. Les hologrammes gagneront également énormément en importance, et Lundmark prévoit que d'ici 2030, il devrait y avoir un « jumeau numérique » de presque tout.
Ces technologies sont présentées comme de formidables avancées techniques qui devraient nous faciliter la vie. Aussi prometteuses que soient les interfaces cerveau-ordinateur, elles comportent également un potentiel de surveillance totale, allant jusqu'à la lecture des pensées. Si une interface cerveau-ordinateur stockait vos souvenirs dans le Cloud, l'entreprise aurait accès à vos informations les plus intimes et les plus privées ! Est-ce que cette entreprise vendra votre profil numérique, tout comme les sites de médias sociaux peuvent vendre les données de leurs utilisateurs ?
Et si cette technologie était associée à un système de crédit social, comme c'est déjà la réalité en Chine ? En effet, de nombreux États sont favorables au système de crédit social chinois ainsi qu'à une identité numérique unique. Récemment, on a appris qu'un projet pilote « Smart Citizen Wallet » sera lancé à Bologne (Italie) à partir de l'automne. Il s'agit du premier système de crédit social sur le sol européen. Un comportement vertueux rapporte des points et peut être échangé contre des récompenses. En Chine, un mauvais comportement est également sanctionné en conséquence.
Le biotechnologue Markus Schmidt se penche sur les raisons pour lesquelles nous, les humains, fusionnons de plus en plus avec la technologie et sur ce qui attend l'homme lorsqu'il sera connecté à l'Internet des objets. Il travaille avec d'autres scientifiques sur le projet de recherche international « Future Body». Dans une interview accordée au quotidien Berliner Zeitung, le scientifique s'est exprimé à ce sujet comme suit : « La neurotechnologie englobe différentes technologies et processus qui interagissent directement avec notre système nerveux, par exemple par des « Brain-computer-interfaces », c'est-à-dire des interfaces cerveau-ordinateur. Il s'agit par exemple de l’« Internet of Living Things », avec lequel le cerveau doit être relié au réseau, ou d'implants dans le corps qui permettent d’acquérir de nouveaux sens. (...) Pour l'instant, la neurotechnologie concerne encore les personnes malades ou handicapées. Mais l'optimisation se poursuit et bientôt, les personnes en bonne santé pourront également utiliser ces technologies. (...) On n'est bien sûr pas obligé de suivre cette tendance, mais ça devient de plus en plus difficile. Si on pense aujourd'hui à ce que serait la vie sans téléphone, sans ordinateur et sans compte bancaire, on se rend compte à quel point nous en sommes dépendants. Et cela se poursuivra à l'avenir. A partir d'un certain point, il est presque impossible de ne pas y participer. (...) Sans puce cérébrale, on devient un être humain de seconde classe, même si on est en bonne santé. Nous pouvons nous demander si une personne normale aura à l'avenir le statut qu'a aujourd'hui une personne handicapée. D'un autre côté, il pourrait aussi y avoir un avantage sélectif pour ceux qui n'ont pas de puce cérébrale. Peut-être parce que cela ne les rendrait pas vulnérables aux cyber-attaques. »
Des cyber-attaques terroristes contre le corps humain ou même une « répression » ciblée par le gouvernement ? Cela fait écho à ce que le scientifique israélien Harari a annoncé, à savoir que nous, les humains, sommes des animaux piratables – sans libre arbitre.
Mais chaque individu détermine, par son comportement de consommateur, si ces technologies et produits disparaîtront du marché, par manque de demande. Participez, vous aussi, à la diffusion de ces informations ! Ne nous laissons pas aveugler par les arguments des stratèges mondiaux et regardons aussi le revers de la médaille qu'apporte le progrès technologique.
Car notre existence humaine va bien au-delà de notre existence rationnelle. Nous sommes des êtres spirituels dotés d'incroyables capacités intuitives – des créatures uniques qui ont le droit de développer librement leur personnalité et leur individualité ! Ce que nous disons, ressentons, pensons et faisons a un impact immédiat sur notre environnement – aucune intelligence artificielle ne peut remplacer cette réalité.
de vem. Sources / Liens : https://de.wikipedia.org/wiki/Yuval_Noah_Harari
Interview Klaus Schwab: https://www.youtube.com/watch?v=XQWoMy-URPk
Nokia-Chef Pekka Lundmark: https://futurezone.at/produkte/nokia-chef-ende-der-smartphone-aera-6g-internet-der-dinge/402023583
Interview Markus Schmidt mit Berliner Zeitung: https://www.berliner-zeitung.de/gesundheit-oekologie/biotechnologe-ohne-gehirnchip-wird-man-ein-mensch-zweiter-klasse-sein-li.171279?pid=true
Après que 'les hommes de l'ombre' désignent tel ou tel criminel, pédéraste et psychopathe comme chef de l’État ou ministre voici qu'arrive l'ère du 'Suppose histoire' où de nouveaux spécimens sortis tout droit de laboratoires pourront gérer un ou des pays sans changer les piles et suivis par satellites ! HOURRA ! Les 'NOUVEAUX CONS SONT ARRIVÉÉÉÉÉÉÉS !
L'Australie est en train de créer le plus grand registre d'arrêts cardiaques soudains au monde pour résoudre le « mystère » des morts cardiaques subites du vaccin à ARNm contre la COVID-19
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 9 janvier 2024
Chaque année, 25 000 Australiens subissent un arrêt cardiaque.
« 90 % de ces 25 000 ne survivront pas ». (Dre Elizabeth Paratz – Baker Heart & Diabetes Institute »)
"Si vous êtes jeune, il est plus probable qu'AUCUNE RÉPONSE NE SERA TROUVÉE."
Communiqué de presse de l'Australian Heart Foundation du 22 décembre 2023 :
Des scientifiques australiens vont créer le plus grand registre au monde des décès par arrêt cardiaque soudain dans le but de résoudre l'un des mystères les plus insaisissables et les plus effrayants des maladies cardiovasculaires.
En commençant par Victoria, les travaux, soutenus par la Heart Foundation et dirigés par le Dr Elizabeth Paratz du Baker Heart and Diabetes Institute, combineront et examineront les données sur les arrêts cardiaques de deux grandes bases de données existantes.
Le nouveau super-registre, nommé CODEX-SD, qui relie les données des ambulances et des données médico-légales, donnera pour la première fois aux chercheurs un aperçu plus approfondi des causes des arrêts cardiaques soudains et des mesures qui pourraient être prises pour les arrêter.
La base de données fournira un endroit unique pour enregistrer les données nationales sur les arrêts cardiaques afin d'aider également les chercheurs à examiner les maladies rares , à identifier les tendances et à mieux comprendre les expériences cardiaques des populations sous-représentées.
Le Dr Paratz a déclaré que le CODEX-SD aidera les chercheurs à identifier les travaux supplémentaires qui doivent être effectués pour percer les mystères génétiques qui ont fait de l'arrêt cardiaque soudain l'une des principales causes de décès chez les personnes âgées de 50 ans et moins en Australie.
Un arrêt cardiaque se produit lorsque le cœur d'une personne cesse soudainement de pomper efficacement le sang dans tout le corps et peut survenir n'importe où, n'importe quand, et est souvent mortel sans l'intervention immédiate et appropriée de personnes présentes.
Chaque année en Australie, 25 000 personnes subissent un arrêt cardiaque hors de l'hôpital et, dans environ 30 à 40 % des cas, les médecins ne peuvent pas en expliquer la cause.
"Il existe très peu d'autres conditions comme celle-là, dans lesquelles, à la fin d'enquêtes approfondies, nous retournons auprès de la famille et disons qu'il n'y a aucune raison claire pour laquelle cet événement tragique s'est produit ", a déclaré le Dr Paratz.
« Ce manque de clôture rend la tâche incroyablement difficile pour les familles, mais le fait de ne pas savoir qui d'autre pourrait être à risque dans la famille ajoute une autre couche de détresse.
« 90 % des personnes victimes d'un arrêt cardiaque soudain décèdent. Si nous parvenons à améliorer ces statistiques – et nous devons le faire – un avantage, et le plus important, est que nous aurons de meilleures chances de garder les familles unies. ," dit-elle.
Bryan Maris ; Super en forme, super en bonne santé et cycliste de qualité A Le registre bénéficie du plein soutien de Jessica Maris, qui a tragiquement perdu son mari Bryan à 31 ans à la suite d'un arrêt cardiaque soudain.
Bryan était en super forme, en très bonne santé et était un cycliste de qualité A.
Tôt un matin de janvier, Jessica nourrissait leur fille de trois mois, Avie Rose, lorsqu'elle a entendu un bruit dans la chambre.
«Cela ressemblait à une toux de Bryan, j'ai appelé Bryan mais il n'y a pas eu de réponse, alors quand j'ai fini de nourrir Avie, je suis allé dans notre chambre et Bryan était au lit ; avec ses bras levés à côté de sa tête, dans un angle d'étranglement », a déclaré Mme Maris.
« J'ai donné un coup de coude à Bryan, mais il n'a pas répondu. Il ne bougeait pas et ses lèvres étaient légèrement bleues, alors j'ai appelé une ambulance.
Malheureusement, Bryan n'a pas pu être réanimé.
La famille Maris a depuis appris qu'il était probable que Bryan souffrait du syndrome de Brugada ; une condition qui peut provoquer des battements cardiaques rapides et irréguliers pouvant entraîner un évanouissement ou, dans les cas graves, un arrêt cardiaque.
Bryan Maris est décédé dans son sommeil le 4 janvier 2015 .
Mon avis… Il s’agit d’un effort considérable et très bien financé visant à normaliser les lésions cardiaques et les morts cardiaques subites liées au vaccin à ARNm contre la COVID-19.
Une fois leurs excuses prêtes, ils demanderont à la structure médicale dominante (la plus grande base de données au monde, des experts en cardiologie) de vendre leurs mensonges aux familles des victimes.
Qui va remettre en question la plus grande base de données mondiale sur les morts subites d’origine cardiaque et ses experts ?
Notez que dans la vidéo ci-dessus ainsi que dans le communiqué de presse, ils n'utilisent pas un cas récent de mort cardiaque subite.
Au lieu de cela, ils utilisent le cas de Bryan Maris (un cycliste professionnel) de 2015.
Pourquoi évitent-ils d’utiliser un cas récent ? Parce que tout le monde demanderait si cette personne était vaccinée contre le COVID-19.
Étant donné que ce projet fait partie d’une tentative préméditée visant à dissimuler les morts cardiaques subites induites par le vaccin à ARNm COVID-19, ce qui en soi est un crime, toutes les personnes impliquées dans ce projet devraient faire face à des accusations criminelles et à une très longue peine de prison.
Le pathologiste Arne Burkhardt révèle les graves dangers des vaccins à ARNm
Par le Dr Arne Burkhardt et Taylor Hudak Recherche mondiale, 9 janvier 2024
« L’autopsie n’est pas seulement un service rendu aux médecins responsables du patient, mais c’est un service public pour notre système de santé. » – Prof. Dr Arne Burkhardt
De nombreux cas de mort subite et de maladies graves ont été signalés depuis le déploiement des vaccins génétiques contre la COVID-19. Dès le début, plusieurs médecins et scientifiques ont averti que les vaccins contre la COVID entraîneraient plusieurs complications, notamment des maladies auto-immunes, des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux, etc. De plus, les données du Vaccine Adverse Event Reporting System, ou VAERS, ont montré une forte corrélation entre les vaccins et les événements indésirables. Mais comment déterminer dans un cas individuel que le vaccin est la cause du décès ou de l’événement indésirable ? C'est par pathologie.
L’un des premiers pionniers des enquêtes pathologiques sur les effets indésirables des vaccins a été le professeur Arne Burkhardt , un pathologiste allemand chevronné et hautement accompli. Le professeur Burkhardt a quitté sa retraite en 2021 pour examiner le matériel d'autopsie et de biopsie de patients vaccinés. Les travaux du professeur Burkhardt ont non seulement fourni des preuves solides de la causalité du vaccin, mais ils ont également étayé les hypothèses médicales professionnelles des médecins et des scientifiques du monde entier.
Le journaliste Taylor Hudak a interviewé le professeur Burkhardt dans son laboratoire de Reutlingen, en Allemagne, peu avant sa mort en mai 2023. Le professeur Burkhardt explique en détail plusieurs de ses découvertes ainsi que les mécanismes de test qu'il utilise. De plus, il partage son point de vue sur le secteur de la santé publique et sur la science universitaire et médicale, ainsi que sur ce qui le motive à faire ce travail.
Le nombre de doses injectées d’ARNm covid en 2023 en France divisé par 40: la surmortalité recule à la différence des pays qui piquousent toujours
le 10 janvier 2024 par pgibertie
La France a deux fois moins injecté de boosters que l’Angleterre et le Japon ou Singapour, elle n’est pas le bon élève portugais… Mais elle ne connait plus de surmortalité importante à la différence des autres et de l’année 2022. La mortalité covid écartée ainsi que les évolutions démographiques comment expliquer cette évolution de la surmortalité en corrélation complète avec le nombre de doses ARNm injectées
- voir graph sur site -
Pourquoi la France refuse t elle de communiquer les statistiques de mortalité toutes causes en fonction du statut vaccinal covid ?
Existe t il un lien entre injections de thérapies géniques contre la covid et la mortalité ?Nous nous sommes interrogés en 2021 et 2022 sur l’explosion de la surmortalité en période d’injections. Nous savons que l’immense majorité des effets secondaires interviennent dans les six mois
Difficile de dissimuler l’effondrement des injections en France en 2023. La surmortalité doit donc normalement se réduire et si c’est le cas nous aurions une preuve de plus de la responsabilité des injections dans les décès
Se pose la question de l’impact particulier des rappels (boosters) les Français les ont boudés depuis le début. Quatre pays indiquent actuellement une très forte mortalité et sont plus vaccinés que la France. Une simple coincidence ?
1Rappel 2022 les Français sont bourrés de spike vaccinale , étrange surmortalité Il y a un an 31 décembre 2022 les français étaient bourrés de protéine spike vaccinale et pour cause en 2022, 30 millions de doses ont été injectées et elles s’ajoutaient aux 124 millions de l’année précédente
Pour 2022 à population comparable les chiffres britanniques sont identiques à ceux de la France
Précisons qu’en 2022 qu’ entre 86 % et 94% des plus de 65 ans avaient reçu au moins une injection de rappel..
L’année 2022 fut faste pour les marchands d’ARNm…
Coincidence … la surmortalité alors que la covid a disparu
Analyse d’une tragédie : Les injections ne sont pas les seules responsables de la surmortalité mais les autres causes possibles renvoient à des erreurs politiques , trois ans de fautes,150 000 vie perdues trop tôt en France Publié le 1 février 2023 par pgibertie
Trois années après le déclenchement de la crise du Covid-19, le sociologue et directeur de recherche au CNRS Laurent Mucchielli estime que “les leçons n’ont pas été tirées”, le débat ayant été surplombé par d’autres événements comme la guerre en Ukraine et … Lire la suite →
LA FRANCE EST ELLE AUSSI TOUCHÉE PAR LA SURMORTALITÉ VACCINALE DE 10% DEPUIS PLUSIEURS MOIS; mais les journalistes n’en parlent que pour juillet pour accuser la canicule Publié le 5 septembre 2022 par pgibertie
Initialement publié sur LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE : Désolé les rigolos de l’info, les piquouzes, pas la canicule ou si peu Depuis le début des campagnes de vaccination la France connait une vague de surmortalité toutes causes confondues de 10%…
LA FRANCE EST ELLE AUSSI TOUCHÉE PAR LA SURMORTALITÉ VACCINALE DE 10%DEPUIS PLUSIEURS MOIS; mais les journalistes n’en parlent que pour juillet pour accuser la canicule Publié le 4 septembre 2022 par pgibertie
Désolé les rigolos de l’info, les piquouzes, pas la canicule ou si peu Depuis le début des campagnes de vaccination la France connaît une vague de surmortalité toutes causes confondues de 10% si l’on compare à 2019 C ‘EST PIRE … Lire la suite →
2 EN 2023 les Français boudent les injections et coincidence, la mortalité recule En 2023 le nombre de doses injectées est tombé très très bas 500 000 sur les six premiers mois contre 20 millions un an avant! UNE DIVISION PAR QUARANTE.
Les Anglais se font allègrement piquouzer même si ça recule : 5 millions de doses sur la même période dix fois plus que les Français
Les plus de 65 ans
.En 2023 ils ne seraient plus que 30 % à se faire injecter contre 70 % en Angleterre et 90 % l’année précédente
Nous avons les lamentations de Nicolas Berrod:
La part de personnes âgées d’au moins 65 ans ayant reçu un vaccin #Covid cet automne/hiver va certainement plafonner à près de 30%. A titre de comparaison par rapport au « champion » européen en la matière, c’est beaucoup moins qu’en Angleterre (environ 70%)
La question des boosters deux fois plus de doses de boosters injectées en Angleterre qu’en France
Du 1er au 24 décembre 2023, 621 788 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 5 janvier 2024, soit un niveau un peu plus élevé que celui de 2019 (+ 3,5 %, soit + 20 897 décès) et nettement inférieur à celui de 2022 (- 5,6 %, soit – 36 632 décès). Ce nombre est toutefois encore provisoire.
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VACCCXXXXINS: les Japonais indemnisent, les Anglais tombent comme des mouches , en France, le ministre ne sait même pas lire les notices Pfizer Publié le 8 novembre 2023 par pgibertie
En France les journalistes et les politiques bloquent toujours la porte de l’escalier et la Vérité ne peut monter. On a même vu le ministre mentir , incapable, comme les juges de la Cour de Justice de la République de … Lire la suite →
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3°) Une relation quasi proportionnelle entre le nombre de doses injectées et la surmortalité Je vous invite à comparer ces deux documents:
Le premier montre le nombre de doses pour 100 habitants depuis le début 2022
Le deuxième déja publié indique la surmortalité 2023 et le taux de vaccination .
Près de la moitié de tous les cas de COVID aux États-Unis sont cette nouvelle variante
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 10 janvier 2024
La dernière variante du SRAS-CoV-2, JN.1, a été détectée pour la première fois aux États-Unis en septembre 2023. À la mi-décembre, elle représentait environ la moitié de tous les cas de COVID dans le pays1, et les appels pour obtenir les dernières « mises à jour » « Le tir du COVID a repris. Les cas associés à ce variant sont également en augmentation au Royaume-Uni, en Chine et en Inde.2
Selon les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, la propagation rapide du JN.1 suggère qu’il pourrait être plus transmissible et/ou avoir de plus grandes capacités d’évasion immunitaire :3
« JN.1 est similaire à BA.2.86 mais possède une mutation supplémentaire (L455S) dans la protéine Spike. JN.1 continue de provoquer une part croissante des infections et constitue désormais la variante la plus largement diffusée aux États-Unis.
Pour les deux semaines se terminant le 23 décembre 2023, JN.1 devrait représenter 39 à 50 % de toutes les variantes du SRAS-CoV-2. Cela représente une augmentation par rapport à la prévalence projetée il y a deux semaines, de 15 à 29 %.
Nous constatons également une part croissante des infections causées par JN.1 chez les voyageurs, les eaux usées et la plupart des régions du monde. La croissance continue de JN.1 suggère que le variant est soit plus transmissible, soit plus efficace pour échapper à notre système immunitaire que les autres variants en circulation.
JN.1 n’est pas associé à une maladie plus grave
Le CDC souligne cependant que JN.1 ne semble pas causer une maladie plus grave que n’importe laquelle des autres variantes que nous avons observées au cours des deux dernières années, dont la plupart n’ont provoqué que des symptômes du rhume. Le New York Times a même noté :4
« D'après les experts, JN.1 ne semble pas causer de maladie grave chez la plupart des autres personnes, même si même un cas bénin peut quand même vous faire sentir « assez malheureux pendant trois ou quatre jours », a déclaré le Dr [William] Schaffner. [spécialiste des maladies infectieuses au centre médical de l'université Vanderbilt] a déclaré.
Les symptômes d’une infection JN.1 sont similaires à ceux provoqués par les variantes précédentes du COVID, notamment une toux, de la fièvre, des courbatures et de la fatigue… JN.1 restera très probablement la version dominante du coronavirus jusqu’au printemps, a déclaré le Dr Schaffner. »
Selon les données de l’Office britannique des statistiques nationales, les symptômes les plus fréquemment signalés chez les patients atteints de COVID-19 en décembre 2023 étaient les suivants :5,6
- voir cadre sur site -
Parmi ceux-ci, les seuls symptômes qui peuvent être considérés comme « nouveaux » sont les problèmes de sommeil et l’inquiétude/l’anxiété, qui pourraient facilement être la conséquence naturelle d’avoir passé les quatre dernières années bombardées de propagande basée sur la peur à propos du COVID.
La vaccination de masse pendant une pandémie active est un désastre
Malgré trois années de preuves du contraire, le CDC insiste toujours sur le fait que les vaccins existants constituent le meilleur moyen de se protéger contre le JN.1. Dans la vidéo ci-dessus, le vaccinologue Geert Vanden Bossche, Ph.D., discute des défis liés au contrôle de la transmission avec les vaccins, car même avec la technologie de l'ARNm, nous poursuivons toujours le virus.
Son CV comprend des travaux avec GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals et la Fondation Bill & Melinda Gates. Comme certains d’entre vous s’en souviennent peut-être, en 2021, Vanden Bossche7 a publié une lettre ouverte8 à l’Organisation mondiale de la santé dans laquelle il prévenait que la mise en œuvre d’une campagne mondiale de vaccination de masse au plus fort de la pandémie pourrait créer un « monstre incontrôlable » où la pression évolutive forcerait l’émergence de nouvelles mutations potentiellement plus dangereuses.
« Il ne fait aucun doute que la poursuite des campagnes de vaccination de masse permettra à de nouveaux variants viraux plus contagieux de devenir de plus en plus dominants et, à terme, d’entraîner une augmentation spectaculaire des nouveaux cas malgré l’amélioration des taux de couverture vaccinale. Il ne fait aucun doute non plus que cette situation conduira bientôt à une résistance totale des variants en circulation aux vaccins actuels », écrit Vanden Bossche.9
Son avertissement est tombé dans l’oreille d’un sourd, mais les preuves montrent clairement qu’il était sur la bonne voie. De plus en plus, les variantes ont muté pour échapper à l’immunité naturelle et par injection, ceux qui ont reçu les vaccins contre le COVID courent désormais un risque d’infection plus élevé que leurs pairs non vaccinés.
Les vaccins COVID génèrent des mutations potentiellement dangereuses
Comme l’explique Vanden Bossche, les vaccins contre le COVID ont produit dès le début une mauvaise réponse immunitaire, ce qui conduit inévitablement à une évasion immunitaire. En résumé, lorsque vous vaccinez contre une variante, en l’occurrence la souche originale de Wuhan, votre système immunitaire produira des anticorps contre cette souche.
Lorsque votre système immunitaire est ensuite frappé par une deuxième variante – comme c’est le cas lorsque le vaccin est en retard – il sera trop concentré sur la souche d’origine, ce qui permettra à la deuxième souche de passer à travers ses défenses.
L’inquiétude de Vanden Bossche concerne désormais la possibilité de variantes capables de provoquer des symptômes plus graves. Nous ne l’avons pas encore vu, mais comme il le note dans cette interview, les mutations ne se limitent plus aux domaines conservés partagés par de nombreuses variantes, mais se retrouvent également dans d’autres protéines virales, dont certaines peuvent renforcer l’infection.
Il poursuit en expliquant un concept de vaccinologie appelé « recentrage immunitaire », qui permet de créer des virus plus dangereux. Le recentrage immunitaire se produit lorsque vous avez une infection vaccinale, ce qui signifie que le vaccin n’a pas produit suffisamment d’anticorps neutralisants pour bloquer le virus. Ceci est également connu sous le nom de « vaccin qui fuit ».
L’infection révolutionnaire stimule la production d’anticorps précédemment induits, vous donnant des titres très élevés. Et, bien qu’ils aient une très faible capacité neutralisante, leur grand nombre peut néanmoins avoir un certain effet neutralisant, quoique de courte durée, sur le virus.
Pendant que les anticorps ont cet effet neutralisant, ils se lient aux épitopes dominants (un épitope est la partie de l'antigène qui est reconnue par votre système immunitaire), et ce faisant, les épitopes sous-dominants qui sont normalement supplantés par les dominants. peut maintenant être reconnu par votre système immunitaire.
En continuant avec les rappels, nous accélérons la fuite immunitaire. Au fil du temps, les variantes échapperont de mieux en mieux à nos réponses immunitaires, et ceux qui continuent à prendre des rappels seront les plus vulnérables à l’infection de tous.
Le problème est qu’une fois que ces anticorps commencent à perdre leur capacité neutralisante, ils deviennent sous-neutralisants, ce qui permet la propagation de variants plus infectieux. Les injections d’ARNm rendent le recentrage immunitaire d’autant plus probable qu’elles induisent dès le départ des anticorps ayant une faible affinité pour les épitopes immunodominants et donnent automatiquement la priorité aux épitopes sous-dominants. Voilà pourquoi, explique Vanden Bossche :
« … après la deuxième dose de vaccin à ARNm, nous avons vu des anticorps neutralisants croisés contre plusieurs variantes différentes. Bien sûr, les fabricants et l’OMS disaient : « Oh wow, c’est génial… Nous élargissons désormais la réponse immunitaire. »
[Mais] ils n’ont pas pris en compte le fait qu’ils [sont] générant des anticorps de faible affinité et c’est pourquoi ils… évoluent très rapidement vers une sous-neutralisation, des titres sous-optimaux qui… conduisent à une évasion immunitaire.
Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que notre réponse immunitaire ne s’améliorera jamais si nous continuons ainsi. En fait, en continuant à utiliser des rappels, nous ne faisons qu’accélérer la fuite immunitaire, prévient Vanden Bossche. Au fil du temps, les variantes échapperont de mieux en mieux à nos réponses immunitaires, et ceux qui continuent à prendre des rappels seront les plus vulnérables à l’infection de tous.
C’est exactement le contraire de l’objectif de la vaccination et cela pourrait entraîner un désastre absolu en matière de santé publique, en particulier si les variantes commençaient également à muter en souches provoquant des symptômes plus graves.
Ce qui inquiète Vanden Bossche à propos de JN.1
Bien que JN.1 ne semble pas plus gênant que les variantes précédentes, Vanden Bossche s'inquiète de ce que cette variante particulière nous apprend sur les pressions immunitaires qui l'ont engendrée en premier lieu.
Les domaines neutralisants de la protéine Spike ont complètement changé par rapport à l’original. Ils sont même complètement différents de BA.2, dont est issu JN.1, comme le montre une étude de novembre 2023 dans la revue Vaccine.10
Le problème, explique Vanden Bossche, est que même si les développeurs de vaccins soulignent des titres élevés d'anticorps neutralisants contre diverses variantes (y compris JN.1) deux semaines après l'injection, ils ignorent (ou cachent) le fait que ce ne sont pas vrais. anticorps neutralisants. Vanden Bossche les qualifie de pseudo-neutralisants, car :
«… ils n'ont aucune spécificité pour l'épitope monovalent. Ils ne peuvent interagir qu’avec la présentation multimérique du Spike sur une particule virale, ou sur des agrégats viraux, et donc leur effet neutralisant est très limité dans le temps, et c’est… ce que nous dit JN.1.
JN.1 est bien en soi, mais il nous dit quelque chose d’extrêmement inquiétant. Cela nous dit, en gros, que les populations hautement vaccinées ont… fait progresser leurs anticorps vers des agrégats stabilisants qui sont désormais principalement absorbés par les cellules présentatrices d’antigènes et contribuent à l’atténuation de l’infection, car même les vaccinés [les vaccinés] qui sont régulièrement exposés n’ont pas d’anticorps. symptômes graves…
La grande majorité des personnes régulièrement exposées présentent encore des symptômes relativement légers, donc l'atténuation de la maladie s'explique désormais par les cellules T cytotoxiques qui vont abroger l'infection, ou tuer les cellules infectées… C'est une autre façon d'atténuer l'infection, qui conduit… des variantes plus contagieuses comme JN.1…
Nous voyons que JN.1 se propage comme une traînée de poudre. Il a rapidement dépassé tous les variants cocirculant dans le monde… Deuxièmement, nous constatons une très nette augmentation des cas d’hospitalisation, de maladies graves et de décès… dans plusieurs pays européens…
Mais le plus intéressant, quand on regarde les changements dans JN.1… il y a quelque chose d’extrêmement spectaculaire. Pour la première fois, les mutations ne se limitent plus aux domaines conservés… ceux qui sont partagés entre plusieurs variantes différentes. Les mutations observées dans JN.1… sont très rares.
Nous constatons également un certain nombre de mutations qui ne sont même plus spécifiques aux pics. Ils sont localisés dans d’autres protéines virales, et ces mutations ont un effet favorisant l’infection… Elles favorisent par exemple l’efficacité de la synthèse des protéines virales, ou elles favorisent l’efficacité de la réplication virale intracellulaire…
Ce que je vois, c'est que JN.1 est le résultat d'une pression immunitaire sur le virus. Une pression immunitaire qui… s’est éloignée très clairement du ciblage des épitopes communs partagés entre plusieurs variantes différentes… et elle s’est éloignée du ciblage des épitopes qui se trouvent dans le pic…
Lorsque vous mettez toutes ces choses ensemble, vous pouvez maintenant clairement confirmer que… nous avons déplacé la focalisation immunitaire de la réponse humorale vers une réponse cellulaire… Ce recentrage immunitaire est piloté par des anticorps d’affinité de plus en plus faible… Cela signifie… aucun des vaccins mis à jour fonctionneront…
N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous avez une infection vaccinale, vous augmentez [les anticorps pseudo-neutralisants], mais… si cet effet stimulant n’a plus lieu, ou diminue… alors vous constaterez une diminution de ces anticorps…
Lorsque la concentration diminue… les anticorps renforçant l’infection sont un désastre, car ces anticorps renforçant l’infection sont également responsables de l’inhibition de la virulence du virus… Alors maintenant, vous allez exercer une pression immunitaire sous-optimale sur la virulence virale, et c’est ce qui se passe. .»
Les personnes piquées courront un risque grave si le SRAS-CoV-2 devient plus virulent
En raison des mutations observées dans JN.1, Vanden Bossche prédit que nous verrons « très bientôt » des variantes plus virulentes, c’est-à-dire plus dommageables et mortelles. Si cela se produit, il est peu probable que les individus en bonne santé et non piqués soient affectés, selon Vanden Bossche, car leur première ligne de défense – leur système immunitaire inné – fonctionne toujours comme il se doit.
À mesure qu’un virus devient plus virulent, il doit généralement payer un coût de remise en forme et devient donc moins contagieux. En d’autres termes, la maladie ne se propage pas aussi facilement, mais lorsqu’elle infecte quelqu’un, elle provoque une maladie plus grave.
Vanden Bossche prédit que puisque le système immunitaire inné des personnes non vaccinées a été continuellement entraîné sur toutes ces différentes variantes, ils sont donc moins susceptibles d'être infectés, et s'ils le font, ils seront largement asymptomatiques.
En revanche, les personnes piquées, dont le système immunitaire inné n’a pas été entraîné et dont le système immunitaire adaptatif est devenu de plus en plus inutile grâce aux processus décrits par Vanden Bossche, courront un risque très élevé de complications graves et de décès.
Le vaccin à ARNm provoque des effets hors cible
Les dernières injections de COVID contiennent un seul ARN modifié qui correspondrait à la variante Omicron XBB.1.5., qui était la variante dominante aux États-Unis pendant la majeure partie de 2023, mais qui a depuis été remplacée par JN.1 et plusieurs autres variantes.
Le virus SARS-CoV-2 mute si rapidement qu'il n'y a tout simplement aucun moyen de suivre le rythme, et encore moins de le devancer, et comme expliqué ci-dessus, ce jeu de rattrapage est en fin de compte ce qui exerce la pression sur le virus pour qu'il mute, et potentiellement en une forme plus virulente.
En plus de cela, nous savons désormais également que les injections produisent des protéines non ciblées chez 25 à 30 % des receveurs et sont contaminées par de l’ADN, deux éléments potentiellement nocifs. Tant qu’ils n’auront pas résolu ces problèmes, les risques sont tout simplement inacceptables, à mon avis.
Mais même si ces problèmes étaient résolus avec succès, nous sommes toujours confrontés à une situation dans laquelle une stimulation continue accélérera les mutations qui pourraient éventuellement rendre le virus à nouveau plus mortel, du moins pour ceux qui ont pris les vaccins.
Il s’agit essentiellement d’une spirale mortelle, et la seule façon d’y mettre fin est d’arrêter de prendre des rappels. Rien n’indique que nos autorités sanitaires protégeront le public en retirant les vaccins contre la COVID-19, il incombe donc à chaque individu de simplement dire non.
Vous avez reçu le vaccin ? Agissez pour protéger votre santé
Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins et que vous avez maintenant des inquiétudes concernant votre santé, que pouvez-vous faire ? Avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID, une autre injection de thérapie génique à ARNm ou un vaccin ordinaire. Vous devez mettre fin à l’assaut contre votre système.
Si vous avez développé des symptômes que vous n’aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l’aide d’un expert. À l’heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble disposer de l’un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-piqûres. Il s’appelle I-RECOVER et peut être téléchargé depuis covid19criticalcare.com.11
Le Dr Pierre Kory, cofondateur du FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif des blessés vaccinaux. Pour plus d’informations, consultez DrPierreKory.com. Le Dr Peter McCullough étudie également les traitements post-injection, que vous pouvez trouver sur PeterMcCulloughMD.com.
Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer la protéine de pointe, dont la plupart des experts s'accordent à dire qu'elle est la principale responsable. J’en ai parlé dans mon article de 2021, « Le Conseil mondial de la santé révèle Spike Protein Detox ».
Sources and References
1, 4 New York Times December 27, 2023 2 BBC December 20, 2023 3 CDC December 22, 2023 5 ONS.gov.uk Winter Coronavirus Infection Study 6 IFL Science December 30, 2023 7 Voices for Science and Solidarity Substack 8, 9 geertvandenbossche.org Letter to the WHO March 6, 2021 (PDF) 10 Vaccine November 13, 2023; 41(47): 6904-6909 11 Covid19criticalcare.com
La France abandonne Renewables Target et revient au nucléaire, risquant ainsi le statut de paria mondial
Par Jo Nova January 10th, 2024 |
Dans un geste radical, le gouvernement français a discrètement abandonné ses objectifs en matière d'énergies renouvelables de son projet de loi sur l'énergie, risquant d'être considéré comme un perdant démodé dans les clubs de ski milliardaires. Le pays qui, il y a quarante ans, a construit 56 réacteurs nucléaires en 15 ans a décidé qu’il lui suffisait de construire 6 à 14 nouvelles centrales nucléaires supplémentaires pour atteindre le « net zéro » d’ici 2050. Cela le met en danger d’être l’un des seuls pays à sur Terre qui pourraient atteindre leur cible.
Ceci, bien sûr, est terrible pour l’industrie des énergies renouvelables, car cela risque de révéler la frivolité gratuite et la nature totalement superflue des parcs éoliens et solaires subventionnés. Si la France peut y parvenir sans l’abattage des oiseaux, le travail des esclaves et les bombes au lithium, presque partout ailleurs, c’est possible.
C’est un grand changement par rapport à 2014, lorsque la France visait à réduire l’énergie nucléaire à seulement 50 % d’ici 2025.
Comme le dit NetZeroWatch, c’est une victoire :
La France abandonne ses objectifs en matière d’énergies renouvelables et donne la priorité au nucléaire dans sa nouvelle facture énergétique Le texte proposé, qui devrait être présenté au cabinet au début du mois prochain puis soumis aux législateurs, réaffirme l’engagement de la France en faveur de l’énergie nucléaire pour garantir la « souveraineté énergétique ».
La France veut donc une « sécurité énergétique » par opposition à un esclavage énergétique où les nations espèrent que leurs ennemis seront gentils avec elles lorsqu’ils auront froid.
Le texte proposé affirme « le choix durable d’utiliser l’énergie nucléaire comme source d’électricité compétitive et sans carbone », et vise la construction d’au moins six mais jusqu’à 14 nouveaux réacteurs pour réussir la transition vers une énergie propre et répondre aux changements climatiques. changer d'objectif.
Les militants pour le climat (également connus sous le nom de vendeurs d’énergies renouvelables) se nouent alors que la France résout le non-problème du net zéro sans leurs technologies socialistes de prédilection.
"C'est un terrible retour en arrière", estime Arnaud Gosse, avocat spécialisé en droit de l'environnement.
« Si l’on se contente de quantifier le nucléaire, on ne connaît pas la part des énergies non renouvelables. En conséquence, le nucléaire devient prioritaire et, en fonction des besoins de couverture restants, les énergies non renouvelables feront l'objet de (futurs) décrets flottants. Ce n’est plus un mélange », a déclaré Gosse.
Seigneur, aide-nous tous, « ce n’est plus un mélange », quel désastre, et quelques avocats de l’environnement pourraient se retrouver au chômage.
En fin de compte, l’énergie renouvelable est gratuite, propre et moins chère que tout ce qu’on nous dit, mais d’une manière ou d’une autre, le gouvernement doit encore forcer les gens à l’utiliser et à fixer des objectifs, sinon personne ne la construira. Les masses non lavées doivent être trop stupides.
Comme le souligne l’Association nucléaire mondiale :
« La France est le premier exportateur net d’électricité au monde en raison de son très faible coût de production, et en tire plus de 3 milliards d’euros par an. »
La France sauve l’Allemagne et d’autres de leurs propres expériences exorbitantes. Qui sauvera l’Australie ?
Climat : 2023 a été l’année la plus chaude depuis 100.000 ans !
L’année 2023 a marqué un tournant dans l’histoire de notre planète… et dans la nécessité d’agir contre le réchauffement de la planète. L’observatoire Copernicus sur le changement climatique (C3S) a annoncé la mauvaise nouvelle le 9 janvier 2024 : il n’a jamais fait aussi chaud qu’en 2023. Du moins, pas depuis…la Préhistoire !
Par Paolo Garoscio le 10 janvier 2024 à 8h34
En 2022, le PIB mondial a chuté de 6,3% à cause du réchauffement climatique.
Les températures ont frôlé la limite de 1,5 degrés en 2023
Avec une température moyenne globale de 14,98°C, 2023 s'est imposée comme la plus chaude jamais enregistrée, surpassant le record de 2016. Cette année exceptionnelle, caractérisée par des températures dépassant de 1,48°C la moyenne de l'ère préindustrielle, nous confronte à une réalité qui n’est pas du tout un bon présage : le seuil de +1,5°C de l'accord de Paris est désormais à notre porte.
Le programme européen Copernicus sur le changement climatique (C3S) a confirmé que 2023 a été une année sans précédent. Samantha Burgess, directrice adjointe du C3S, a souligné « 2023 a été une année exceptionnelle où les records climatiques sont tombés comme des dominos ». Grâce aux archives paléoclimatiques, C3S confirme que les températures de 2023 « dépassent probablement celles de n’importe quelle période au cours des 100 000 dernières années au moins ». En somme : il n’a jamais fait aussi chaud depuis la Préhistoire, qui se termine aux alentours de 3300 avant Jésus Christ. Soit il y a environ 5.000 ans.
En 2023, ce sont des centaines de records de températures qui sont tombés
« Non seulement 2023 est l’année la plus chaude jamais enregistrée, mais c’est aussi la première année où tous les jours dépassent de plus de 1 °C la température de la période préindustrielle », a constaté Samatha Burgess. En 2023, la température moyenne mondiale a atteint 14,98 °C, soit 0,17 °C de plus qu'en 2016.
Cette augmentation est d'autant plus significative qu'elle s'est produite malgré l'absence d'un El Niño majeur pendant une grande partie de l'année. Et pour la suite, rien de bon n’est prévu. « Il est probable que sur la période de douze mois se terminant en janvier ou février 2024, on dépasse de 1,5 °C le niveau préindustriel », estime la directrice adjointe du C3S.
Climat : le pire reste à venir... L'année 2023, en flirtant avec la limite de 1,5°C de l'accord de Paris n’est, selon l'ONU, qu'un aperçu de ce qui pourrait advenir si des actions décisives ne sont pas prises. Or, « près de 50% des jours de l'année 2023 dépassaient de 1,5°C le niveau de 1850-1900 », affirme Copernicus. Et même plus de 2 degrés sur deux jours en novembre 2023. « Nos villes, nos routes, nos monuments, nos fermes n’ont jamais eu à gérer un climat aussi chaud », a souligné de son côté Carlo Buontempo, directeur du C3S.
En plus des températures record, 2023 a vu des phénomènes climatiques extrêmes, comme des sécheresses en Afrique et des incendies dévastateurs en Europe et au Canada. Les températures de surface de l'océan ont joué un rôle crucial dans ces anomalies atmosphériques. Les océans, absorbant 90% de l'excès de chaleur, ont également enregistré des températures record, avec un pic historique de 20,96 °C le 30 juillet 2023. Quant aux concentrations de dioxyde de carbone et de méthane, elles ont atteint des niveaux record en 2023, avec respectivement 419 ppm et 1902 ppb.
Ce qui est bien-sûr ENTIÈREMENT FAUX je vous rassure puisque les relevés de températures doivent s'effectuer sur la planète ENTIÈRE ! Par exemple aux Etats-Unis les températures sont 20 DEGRÉS CENTIGRADES AU DESSOUS DES TEMPÉRATURES SAISONNIÈRES !! Exemple: région où l'hiver il fait -10°C aujourd'hui c'est -30°C ! et là où il faisait -20°C c'est du -40°C !! A ce stade (comme en Russie) tous les animaux meurent, les arbres meurent et le printemps il n'y a pas de feuilles ni d'oiseaux ! C'est ce que les escrocs psychopathes appellent le 'réchauffement climatique' ou 'Global Warming' !!
Les températures çà et là dans le monde se géolocalisent par des montées de chaleurs magmatiques et courants marins ou océaniques qui remontent aux côtes. Ainsi il peut faire chaud ici et froid là-bas. Rappel que notre planète se refroidit chaque année de plus en plus.
Les modèles météorologiques fournissent des résultats incorrects pour les prévisions climatiques
10 janvier 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
L'organisation des Nations Unies GIEC fonde ses affirmations sur le changement climatique principalement sur des modèles. Cependant, ceux-ci ne décrivent pas le passé. Ceci explique le Dr. Willie Soon, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, à propos de l'épisode actuel de Tucker Carlson : Les modèles météorologiques utilisés ne sont pas adaptés aux prévisions climatiques (voir ci-dessous). C'est également ce que montre un article de recherche de Philippe de Larminat, professeur à l'Université de Nantes en France.
Les partisans du changement climatique d’origine humaine utilisent des modèles météorologiques et des estimations non mesurées de l’activité solaire passée pour affirmer que l’homme est à l’origine du réchauffement. La réévaluation d'un scientifique (Larminat, 2023) conclut que le soleil peut influencer le climat, que la sensibilité climatique d'équilibre (ECS, 2xgaz carbonique + rétroactions) est de 1,14°C et que l'influence humaine est surestimée. La recherche, intitulée « Des modèles climatiques comportementaux et des données millénaires à la réévaluation de l'AGW » , a été publiée ici .
Larminat explique le contexte :
Ce que l’on appelle l’AGW (Anthropogenic Global Warming) est basé sur des milliers de simulations climatiques qui suggèrent que les humains sont pratiquement seuls responsables du récent réchauffement climatique. Les modèles climatiques utilisés sont dérivés des modèles météorologiques utilisés pour les prévisions à court terme. Ils sont basés sur les lois physiques fondamentales et empiriques qui contrôlent les innombrables cellules atmosphériques et océaniques intégrées grâce à l’ingénierie des éléments finis. En raison des approximations numériques, de l'empirisme et du chaos inhérent aux circulations de fluides, ces modèles sont discutables pour valider le principe anthropique étant donné la précision requise (meilleure qu'un pour mille) pour déterminer le bilan énergétique de la Terre.
Larminat résume ainsi ses résultats :
« Cependant, la répartition des contributions au réchauffement actuel dépend fortement des reconstructions de température obtenues, en particulier de l'ampleur de la période chaude médiévale et du petit âge glaciaire. Cela dépend également de la hauteur de la série d'activité solaire. De ces observations et reconstructions climatiques, il résulte que le principe anthropique ne s'applique qu'aux profils climatiques dans lesquels ne sont présentes ni anomalie climatique préindustrielle ni fluctuations significatives de l'activité solaire. Sinon, cela se réduit à un principe faible selon lequel le réchauffement climatique n’est pas seulement le résultat de l’activité humaine mais est en grande partie dû à l’activité solaire.
Parce qu'il n'y avait pas de mesures directes de l'activité solaire jusqu'à la fin des années 1970, les partisans du réchauffement climatique anthropique (AGE) s'appuient sur « un degré élevé de subjectivité (informée) », un « niveau de conviction commun aux principaux auteurs du [IPCC] existe », ainsi que des modèles solaires incertains et des hypothèses indirectes, pour conclure que le soleil n’a joué qu’un rôle négligeable dans le changement climatique. On peut ainsi affirmer que les activités humaines, notamment les émissions de gaz carbonique, sont majoritairement, voire exclusivement, responsables du réchauffement actuel.
Voici le dernier épisode de Tucker Carlson avec Willie Soon. Le collègue Sander-Faes a rendu compte ici d'une des études du professeur Soon .
Il commence par expliquer que les hydrocarbures se trouvent sur des planètes comme Titan (dans les lacs de méthane), sur les lunes, les astéroïdes et dans l'immensité de l'espace. Ceux-ci ne sont évidemment pas d’origine « fossile ». Les hydrocarbures peuvent également être trouvés dans les profondeurs de la terre, formés à partir du méthane par la haute pression et la chaleur. Ces transformations ont été démontrées dans le laboratoire de Kutcherov et al . Le mythe sur les hydrocarbures « fossiles » et leurs limites n’est tout simplement pas vrai.
Tucker Carlson se demande si tout ce que nous disent les politiciens est également faux. C’est effectivement le cas, comme l’explique l’astrophysicien Soon. Il souligne également que le gaz carbonique est le gaz de la vie et ne présente aucun danger pour nous. Mais écoutez et voyez par vous-même :
(...) pour affirmer que l’homme est à l’origine du réchauffement. (...)
Beaucoup trop CON pour être honnête. Primo, le gaz carbonique disparaît à 30,9°C, donc il ne peut être expiré par des poumons qui affichent 37°C ! Idem pour les pots d'échappement ou les cheminée d'usines. Secundo, le gaz carbonique est un gaz froid (responsable des gelées), il se maintient au ras du sol ou des eaux où il se recycle grâce au phytoplancton.
Le gaz carbonique n’est pas un polluant : il rend le monde entier PLUS VERT, déclare un physicien théoricien et mathématicien décédé.
01/08/2024 Ethan Huff
Bien qu'il soit décédé en 2020, le physicien théoricien et mathématicien américain d'origine britannique Freeman Dyson (1923-2020) a enseigné au monde des leçons très importantes sur le changement climatique qui persistent dans le temps, notamment le fait que le phénomène toujours redouté parmi les changements climatiques L’élément fou connu sous le nom de gaz carbonique est bon pour la planète plutôt que mauvais.
En 2015, Dyson a participé à une interview avec Conversations that Matter dans laquelle il expliquait que les nombreux modèles climatiques utilisés par les fanatiques du réchauffement climatique pour prédire l'avenir environnemental ne conviennent que pour comprendre ce que fait le climat aujourd'hui, ou ce qu'il a fait dans le passé. passé.
"Comme mesuré depuis l'espace, la Terre entière devient plus verte à cause du gaz carbonique, donc cela augmente les rendements agricoles, cela augmente les forêts et cela augmente la croissance du monde biologique - et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat", a expliqué Dyson.
Dyson, au cas où vous ne le connaîtriez pas, était un expert renommé en matière de climat. Il compte parmi les personnalités les plus célèbres de la physique du XXe siècle, ayant été le pionnier de nombreux travaux sur la théorie quantique des champs, l'astrophysique, les matrices aléatoires, la formulation mathématique de la mécanique quantique, la physique de la matière condensée, la physique nucléaire et l'ingénierie.
(Connexe : Beaucoup d'autres conviennent également que le gaz carbonique n'est pas un « polluant », mais plutôt un élément nécessaire qui maintient la planète en vie et prospère.)
Ne vous inquiétez pas : le climat ne vous fera pas de mal
En 2006, Dyson a publié un ouvrage intitulé « The Scientist as Rebel » dans lequel il remettait ouvertement en question – haletant ! – le rôle de l'activité humaine dans le réchauffement climatique et le changement climatique. Deux ans plus tard, il a participé à une interview avec Physics World dans laquelle il a essentiellement démystifié l’industrie climatique en la qualifiant d’opération d’escroquerie financière.
Selon Dyson, tout l'argent dépensé pour lutter contre le changement climatique serait mieux utilisé pour résoudre « d'autres problèmes plus urgents et plus importants tels que la pauvreté, les maladies infectieuses, l'éducation publique et la santé ». Dyson avait également précisé à l'époque que quoi qu'il arrive avec le climat, cela "ne nous fera aucun mal".
"Il y a un changement climatique provoqué par l'homme", admettrait plus tard Dyson dans son interview de 2015 avec Conversations that Matter. "La question est de savoir combien et si c'est bon ou mauvais."
"Tout d'abord, nous ne comprenons pas les détails. C'est probablement beaucoup moins que ce qu'on prétend généralement et le plus important est que le dioxyde de carbone a d'énormes effets non climatiques qui sont extrêmement favorables [et] qui ne sont pas pris en compte. compte."
Dyson ajouterait que, d’après les mesures satellites, « la Terre entière devient plus verte à cause du dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère ».
Les travaux de Dyson sur les questions climatiques remontent à 1978, lorsqu'il a commencé à étudier les effets du gaz carbonique présent dans l'atmosphère sur la végétation. Il a découvert à l’époque que le gaz carbonique est vital pour l’agriculture, la vie végétale et toutes sortes d’autres formes de croissance dans le monde biologique.
"Et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat", a-t-il déclaré.
Alors que les niveaux de gaz carbonique ont augmenté d'environ 40 % depuis le moment où Dyson a commencé à l'étudier, "environ la moitié de cette somme a été consacrée à la culture de la végétation", a révélé Dyson avant son décès.
"C'est extrêmement bénéfique à la fois pour la production alimentaire mais aussi pour la biodiversité, la préservation des espèces et tout ce qui est bon."
Dyson a cité des recherches remontant encore plus loin au Japon des années 1960, lorsque l'expert climatique japonais Suki Manabe a développé le tout premier modèle climatique au monde évaluant les effets de l'augmentation du gaz carbonique sur la planète. Sur cette base, Dyson a déterminé que le modèle climatique de Manabe, ainsi que tous les autres modèles climatiques qui seraient produits par la suite, pointaient vers une chose et une seule :
"Ces modèles climatiques sont d'excellents outils pour comprendre le climat, mais ce sont de très mauvais outils pour prédire le climat."
Les dernières nouvelles sur l’arnaque manipulatrice connue sous le nom de changement climatique et de réchauffement climatique peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
AP « non partisan » accepte un financement de 300 000 $ d’un groupe de militants pour le climat
01/08/2024 Cassie B.
L’Associated Press (AP) a accepté un financement de centaines de milliers de dollars d’un groupe de militants pour le climat, suscitant des inquiétudes quant à la capacité du plus grand organe de presse au monde à rendre compte des questions climatiques de manière impartiale.
L’organisation en question est la Fondation KR, dont le site Internet indique que sa mission est de s’attaquer à « la crise climatique en poussant à une élimination rapide des combustibles fossiles au niveau mondial ». Conformément à l’accord de Paris sur le climat, signé par les gouvernements et soutenu par l’industrie et la société.
Bien qu’AP affirme s’engager au « plus haut degré de transparence possible » en ce qui concerne ses soutiens financiers, il n’a ajouté le groupe à sa liste de soutiens philanthropiques que ce mois-ci, bien qu’il ait reçu son financement en 2022.
Certaines des causes favorites du groupe danois à but non lucratif attaquent les institutions financières qui aident à financer des projets impliquant des combustibles fossiles, tout en soutenant « la transition vers un paradigme économique durable » et l'influence politique de ceux qui sont liés aux combustibles fossiles. objectif majeur pour faire avancer son programme climatique.
AP aurait reçu 300 000 $ du groupe. Cependant, cela ne représente qu’une petite partie de l’ensemble des fonds qu’ils ont reçus des groupes militants pour le climat. L’année dernière, ils ont admis avoir reçu plus de 8 millions de dollars de la part de militants pour le climat en annonçant la création d’une nouvelle équipe qui se concentrera sur le changement climatique.
Bien qu’AP prétende jouir d’une stricte indépendance éditoriale, un examen des titres récents publiés sur le sujet par Climate Depot révèle un parti pris plutôt manifeste et un alignement commode avec bon nombre des convictions fondamentales de la Fondation KR. Par exemple, ils ont utilisé des titres tels que « La liste des espèces menacées s’allonge de 2 000. » Le changement climatique fait partie du problème » et « Le changement climatique menace les moyens de subsistance des cholitas boliviens » au cours des deux derniers mois.
En outre, ils ont demandé dans un article : « Comment les humains ont-ils pu se rendre au bord d’un effondrement climatique ? », tandis qu’un résumé de la conférence sur le changement climatique COP28 a félicité les négociateurs pour leurs efforts visant à « sauver une planète en péril ».
La Fondation KR soutient plusieurs organisations dans leurs « efforts coordonnés pour éliminer progressivement les combustibles fossiles ». En 2018, elles ont fourni 488 000 $ à la Children's Radio Foundation pour former des journalistes de radio africains à servir « de militants communautaires sur le changement climatique ».
Ils ont également soutenu l’interdiction des publicités des compagnies pétrolières en Australie et financé un groupe basé en Californie, connu sous le nom de Law Students for Climate Accountability, qui fait pression sur les cabinets d’avocats pour qu’ils évitent de représenter les intérêts des combustibles fossiles.
L’évaluation du biais d’AP est passée de neutre à de gauche
L'organisme de surveillance des biais médiatiques AllSides a modifié son évaluation de l'AP de neutre à de gauche en 2022, et une enquête sur les biais aveugles de mai 2023 a confirmé cette note. En tant qu’agence de presse largement considérée comme la « référence » en matière de journalisme objectif, son service de presse lui confère une large portée, ce qui signifie qu’il devrait être capable de résister à un examen particulièrement minutieux.
AllSides note : « Lorsque AP fait preuve de parti pris politique ou ne parvient pas à décrire les événements politiques, la législation et les perspectives de manière équilibrée et impartiale, l’impact est vaste et de grande portée. Un média sur lequel s’appuient les médias de tout le pays mérite un niveau élevé d’examen minutieux en matière de parti pris politique.
Les reportages de l'AP sont lus par 4 milliards de personnes chaque jour et affirme valoriser « des reportages précis, fondés sur des faits et non partisans ».
Un groupe de gauche pour le climat « entraîne » discrètement le système judiciaire américain à être partial et partisan
01/08/2024 Ethan Huff
Le fondement juridique des États-Unis est attaqué par le lobby climatique, qui a discrètement « entraîné », également connu sous le nom de lavage de cerveau, le système judiciaire national au sectarisme climatique.
L'Environmental Law Institute (ELI), basé à Washington, D.C., a créé un programme appelé Climate Judiciary Project (CJP) en 2018 qui a établi une ressource unique en son genre pour des « informations fiables et à jour » sur le changement climatique. litige. On nous dit que le CJP a depuis atteint non seulement les tribunaux étatiques et fédéraux, mais aussi de puissantes cours d’appel.
L'objectif du CJP est d'endoctriner les juges du pays dans des concepts tels que « justice climatique » et « équité » qui vont à l'encontre de la Constitution des États-Unis et des droits et libertés qui y sont reconnus.
ELI est décrit par FOX News comme une « organisation de défense judiciaire peu connue » financée par des « organisations à but non lucratif de gauche ». Il existe pour transformer ce qui était initialement conçu pour être un appareil non partisan en un appareil partisan d’extrême gauche qui respecte les doctrines du changement climatique et du réchauffement climatique, la nouvelle religion de gauche.
"Lorsque vous avez un groupe de personnes qui ne croient pas aux valeurs fondamentales de l'Amérique, voilà ce que vous obtenez : une opération secrète visant à transformer ce qui devrait être un appareil impartial et non partisan en un appareil partial et partisan", écrit Olivia. Murray pour le penseur américain. "Lorsque les tribunaux deviennent un instrument pour faire avancer un programme, cela constitue une grave atteinte au droit d'une personne ou d'une partie à un arbitre impartial et cette évolution est naturellement alarmante."
« Lorsque les esprits judiciaires reçoivent une « formation discrète » en pseudo-science pour garantir que la « justice climatique » et « l'équité » sont prises en compte, la menace de décisions partiales augmente, et les lois inconstitutionnelles, ainsi que les règles et mandats bureaucratiques deviennent « légaux » malgré tout. , raison ou autorité pour soutenir leur mise en œuvre.
(Connexe : Certaines régions du pays se préparent déjà à un avenir marqué par des « catastrophes » climatiques qui nécessiteront des confinements gouvernementaux à grande échelle afin de les gérer de manière durable.)
La « science » du climat est une mythologie radicale enracinée dans la peur et la paranoïa Au cours des cinq années qui ont suivi sa création, le CJP aurait créé 13 « modules de programme » différents et organisé toutes sortes d'événements au cours desquels ils ont été présentés à « plus de 1 700 juges ».
Sur son site Internet, ELI explique que son CJP existe pour aider les juges à mieux considérer les « questions scientifiques et juridiques complexes » liées au changement climatique et au réchauffement climatique. Le programme vise à « répondre au besoin des juges de se familiariser de base avec les méthodes et les concepts de la science climatique », indique le groupe.
Selon ELI, la science du climat « se développe rapidement », d'où la nécessité de toute cette « formation » au sein du système judiciaire. En d’autres termes, la science n’est pas tranchée sur la question comme elle l’est pour d’autres concepts comme la vie commençant dès la conception ou le fait qu’il n’y a que deux genres : masculin et féminin.
"Je me demande comment nous pouvons nous attendre à ce que ces décisions sur les cuisinières à gaz se déroulent ?" demande Murray. "Qu'en est-il lorsque le gouvernement tyrannique impose une limite aux "émissions de carbone" à tous les sujets américains ? Et lorsque la bureaucratie fédérale supprime les éléments de chauffage et de refroidissement de nos maisons ?"
« Que se passera-t-il si les législateurs dictent que les chaînes d'épicerie ne peuvent vendre qu'une quantité limitée de bœuf – ou pas du tout ? Ces actions illégales seront-elles maintenues ? Eh bien, probablement oui, car un pouvoir judiciaire « formé » sera là pour gouverner. 'La bonne façon."
Un commentateur d’un article sur le petit projet climatique d’ELI a écrit que le gauchisme, à son avis, « ne disparaîtra pas tout seul ». Cela signifie que les patriotes de la nation doivent « la détruire en la lançant dans la stratosphère ».
"Toute atteinte à notre liberté par ces pratiques arbitraires de gauche doit être dénoncée et mise à la porte", a encore écrit cette personne. "Révolution s'il le faut; jamais capitulation."
Les dernières nouvelles sur la secte climatique et ses efforts pour contrecarrer le système de justice pénale peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
L’hiver est bien là. Le froid n’épargne pas les batteries de nos smartphones
et voitures électriques.
Voici les bons gestes à adopter pour éviter quelques ennuis !
Par Grégoire Hernandez e 9 janvier 2024 à 11h00
Le froid pourrait complètement stopper vos appareils
Le froid est un simple désagrément pour certains, mais il peut être aussi un immense bonheur pour d'autres. Ce n'est en tout cas pas une très bonne chose pour nos appareils. Les batteries lithium-ion, présentes dans la plupart de nos smartphones, mais aussi dans les voitures électriques, sont particulièrement vulnérables au froid. Lorsque le mercure chute, une réaction chimique moins efficace dans ces batteries entraîne une baisse soudaine de leur performance. Résultat ? Une autonomie réduite et, dans certains cas extrêmes, un arrêt complet de l'appareil. Ce ne serait vraiment pas de chance.
Les smartphones, qui nous accompagnent pour beaucoup dans notre quotidien, souffrent particulièrement du froid. Leur autonomie peut se réduire de moitié quand la température passe sous zéro. Les voitures électriques ne sont pas épargnées : elles peuvent même se retrouver immobilisées. Ces cas sont déjà arrivés lors des périodes de grand froid aux États-Unis et en Russie. Heureusement, ces effets sont réversibles. Une fois revenus à une température normale, entre 0 et 30°C, les appareils retrouvent leur performance habituelle.
Ne pas les exposer permet d'éviter des dépenses coûteuses
Il existe des astuces simples pour minimiser l'impact du froid sur nos appareils. Pour les smartphones, les garder au chaud, comme dans une poche près du corps, peut aider. Des housses isothermes sont également une bonne option. Quant aux voitures électriques, les garer dans un endroit tempéré et éviter de les laisser dehors par grand froid peut préserver leur batterie.
Au-delà de la baisse immédiate de performance, le froid peut aussi affecter la longévité des batteries. Les cycles répétés d'exposition à de basses températures peuvent accélérer le vieillissement des batteries à lithium-ion. Cela signifie que nos appareils pourraient nécessiter des remplacements de batterie plus fréquents s'ils sont beaucoup exposés au froid, augmentant ainsi les coûts à long terme et l'impact environnemental. Il est donc très important de protéger nos appareils non seulement pour préserver leur autonomie quotidienne, mais aussi pour garantir leur durabilité sur le long terme.
(...) Quant aux voitures électriques, les garer dans un endroit tempéré et éviter de les laisser dehors par grand froid peut préserver leur batterie. (...)
L'ONU réclame 150 000 milliards de dollars pour lutter contre le changement climatique
9 janvier 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
L’Organisation des Nations Unies (ONU) exige que les contribuables du monde entier collectent la somme colossale de 150 000 milliards de dollars pour lutter contre le « changement climatique d’origine humaine ». L'ONU a formulé ces exigences dans un nouveau rapport publié par son Département des Affaires économiques et sociales.
L'organisation affirme que les gouvernements du monde doivent s'engager à transférer 5,3 billions de dollars par an à l'ONU, ce qui, comme l'OMS, modifiera complètement sa fonction et sa mission.
Selon le rapport, l’ONU a besoin de 150 000 milliards de dollars pour sauver la planète du « réchauffement climatique » et atteindre les objectifs de l’« Agenda 2050 » du Forum économique mondial (FEM). Dans son rapport sur la situation économique mondiale et ses perspectives pour 2024, l'ONU réitère ses 17 objectifs de développement durable. Les « Objectifs de développement durable » font pour ainsi dire la une des journaux.
Ces objectifs largement critiqués sont souvent utilisés comme source d'inspiration pour la législation de nombreux pays occidentaux sur la diversité, l'égalité et l'inclusion, ainsi que pour les politiques liées au changement climatique.
Les 17 objectifs comprennent « l'égalité des sexes », « des villes et des communautés durables » et « une bonne éducation ». Sont également inclus « Énergie abordable et propre » et « Politique climatique ». Dans ces catégories, les Nations Unies proposent des sommes astronomiques pour atteindre leurs objectifs.
Un bref aperçu des mesures proposées résume les mensonges souvent répétés sur l’évolution du climat :
« L’année 2023 a été marquée par des conditions météorologiques extrêmes, notamment l’été le plus chaud depuis 1880, qui a entraîné des incendies de forêt, des inondations et des sécheresses dévastatrices dans le monde entier. Ces événements ont des impacts économiques immédiats, tels que des dommages aux infrastructures, à l'agriculture et aux moyens de subsistance.
Des études prédisent des pertes importantes pour l’économie mondiale en raison du changement climatique. Certaines estimations suggèrent un déclin possible du PIB mondial d’environ 10 % d’ici 2100, compte tenu d’événements tels que l’effondrement de la banquise du Groenland. D’autres modèles suggèrent que sans atténuation du réchauffement climatique, le revenu mondial moyen pourrait être inférieur de 23 % d’ici 2100. Le GIEC estime que les pertes du PIB mondial d’ici 2100 dues aux seuls impacts de la température pourraient se situer entre 10 et 23 %.
Ce sont essentiellement les mêmes méthodes qui ont été utilisées pour justifier la « pandémie » et la campagne de vaccination au cours des quatre dernières années. Jusqu’à présent, les modèles relatifs au Covid et au climat se sont révélés systématiquement erronés.
Les objectifs climatiques de l'organisation sont appelés « financement climatique mondial », qui, selon l'organisation, aura atteint la somme colossale de 803 milliards de dollars par an en 2020. Il s'agirait d'une augmentation de 12 % par rapport aux années précédentes.
Mais quelques années plus tard, les bureaucrates de New York ont décidé que ce chiffre était loin d’être suffisant. Le rapport indique que cette somme énorme n’est « toujours pas suffisante pour limiter le réchauffement ».
« Les flux financiers liés aux combustibles fossiles dépasseront le financement climatique destiné à l’adaptation et à l’atténuation en 2020 », prévient le rapport. Le rapport complet révèle le véritable chiffre : environ 150 000 milliards de dollars d’ici 2050. « Cela équivaut à 5 300 milliards de dollars par an pour « lutter contre le changement climatique et ses impacts », indique le rapport.
Les fonds seraient nécessaires à la transition énergétique et aux infrastructures. Le rapport déplore également que les termes de l’Accord de Paris sur le climat de 2015 n’aient pas été respectés par les pays participants.
« L’engagement des pays développés à fournir 100 milliards de dollars de financement climatique par an d’ici 2020 n’a jamais été pleinement tenu, laissant un total de seulement 89,6 milliards de dollars disponibles en 2021 », indique le rapport.
Les Nations Unies ont également recommandé d'autres budgets gigantesques pour atteindre les objectifs « Net Zero » du WEF et réaliser l'« Agenda 2030 ». Quelque 35 à 40 000 milliards de dollars ont été proposés pour fournir un accès universel à l’électricité.
Les auteurs n’ont pas eu peur d’utiliser des montants fantaisistes tout au long du rapport 2024. Le mot « billion » en référence au dollar a été mentionné 52 fois dans le document . L’enjeu est évidemment d’installer de plus en plus l’ONU comme un gouvernement mondial unique. Elle est déjà largement contrôlée par les groupes de pression des grandes entreprises et du capital financier.
Situation et perspectives de l’économie mondiale 2024
Aujourd'hui les productions mondiales atteignent le chiffre de 100 fois trop ou 1000 fois trop et pourtant... les habitants ne sont pas 100 fois ou 1000 fois plus riche !!
D'un côté les 'États' fabriquent des milliards d'images de Mickeys et, d'un autre côté est demandé aux terriens de s'appauvrir pour combler des dettes qui n'existent pas.
CE QUE NOUS APPRENNENT LES GLACES DE VOSTOK:quand LE Jean Jouzel faisait de la science et croyait que la terre tournait autour du soleil
le 8 janvier 2024 par pgibertie
Marco Nius et l’Association des climato réalistes font un travail considérable de vulgarisation des donnéees scientifiques les plus récentes
- voir doc sur site -
@NiusMarco @AssoClimatoReal
1 Il y eut le Giec avant Al Gore les politiciens, Bill Gates et les journalistes . Le climatologue Jean Jouzel fut même un scientifique lui et d’autres ont tiré des enseignements de l’examen des carottes de glace de Vostok . L’occasion de revenir sur les variations naturelles et cycliques du climat sans le moindre rôle du Co2 d’origine humaine ou bovine
Les variations des températures sont RAPIDES et entrainent celles du CO2 conséquences et non causes elles sont liées aux modifications de la circulation atmosphérique et à l’ensoleillement.Et même les satellites ne mesurent pas réellement la température — ils mesurent la luminosité atmosphérique qui est intégrée aux modèles informatiques pour estimer les températures.
Elles sont ensuites « réajustées » pour coller à la thèse du CO2 voir gif ci dessous
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Jouzel reconnaissait alors qu’un changement climatique très brutal, probablement lié à des modifications de la circulation atmosphérique, s’est produit à deux reprises il y a environ 15 000 ans dans l’hémisphère Nord avec des hausses de 10 degrés en quelques années.
En ce temps là Jean Jouzel croyait que la terre tournait autour su soleil:
Dès le xixe siècle, le mathématicien français Joseph Adhémar et l’astronome écossais James Croll avaient proposé que la façon dont la Terre tourne autour du Soleil est à l’origine de cette succession de périodes glaciaires et interglaciaires. Ils avaient vu juste, mais aucun des deux n’avait réussi à mettre sur pied une théorie qui résiste à l’usure du temps. C’est, quelques décennies plus tard, ce qu’a réussi le mathématicien serbe Milutin Milankovitch : il devait passer plus de trente ans de sa vie à développer une théorie à laquelle son nom est resté attaché et consacrer près d’une décennie à calculer, pour différentes latitudes, les variations d’ensoleillement au cours du dernier million d’années à partir des valeurs des trois paramètres astronomiques.
En 1920, cet objectif est atteint et les résultats sont publiés. Le climatologue allemand Wladimir Köppen fournit à Milankovitch la clé de sa théorie : le facteur déclenchant d’une période glaciaire serait une succession d’étés froids aux hautes latitudes de l’hémisphère Nord, suffisamment froids pour que la neige de l’hiver précédent ne fonde pas puis, à cause de son fort pouvoir réfléchissant, amplifie le refroidissement jusqu’à provoquer une entrée en glaciation.
Milankovitch entreprend de calculer les ensoleillements d’été à des latitudes de 55° N (environ 4 000 kilomètres au sud du pôle Nord), 60° N et 65° N (environ 2 800 kilomètres au sud du pôle Nord) – et Köppen montre qu’ils ont suffisamment de similarités avec les données de Penck et Bruckner décrivant la succession des périodes glaciaires dans les Alpes pour que cette théorie, que Milankovitch continuera de peaufiner jusqu’à la publication en 1941 de son livre testament, Canon of Insolation and the Ice Age Problem, soit largement adoptée.
Pour séduisante qu’elle soit, la validité de cette théorie n’est à l’époque cependant pas démontrée, une des difficultés étant l’établissement de chronologies suffisamment fiables et l’absence d’enregistrement continu des conditions climatiques ayant prévalu dans le passé. Elle sera validée grâce à l’analyse des foraminifères, des animaux microscopiques enfermés dans des capsules calcaires que l’on retrouve dans les sédiments marins sur des centaines de milliers d’années et qui peuvent être correctement datés. Il y a en effet des milliers d’espèces qui se forment à différentes températures, certaines dans des eaux chaudes, d’autres dans des eaux plus froides.
En 1976, Jim Hayes, John Imbrie et Nick Shackleton apportent cette preuve d’un lien entre ensoleillement et rythme des glaciations : ils démontrent que les périodicités correspondant à la précession (changement de direction de l’axe de rotation de la Terre) et à l’obliquité (inclinaison de cet axe) sont présentes dans ces séries climatiques déduites de l’analyse de la répartition des foraminifères dans des sédiments marins.
Quelques années plus tard, l’étude de forages profonds réalisés dans la calotte antarctique, à la base Vostok et au dôme C, confirme ce rôle des variations d’ensoleillement
voici les températures mondiales réelles au fil du temps… comme vous pouvez le voir clairement, il n’y a jamais eu de changements rapides… y compris le cycle de chaleur actuel, même avec l’augmentation du co2. En fait, la température de ce cycle n’est PAS aussi raide que les 4 précédents… N’EST-CE PAS ??
Les cycles chauds de la planète se produisent selon un schéma régulier et cohérent, culminent près de la température actuelle, puis le cycle froid recommence… a le même schéma remontant à 425 000 ans. Chaque cycle prend 100 000 ans.
Les périodes glaciaires commencent lorsque le #CO2 atteint un maximum et se terminent lorsque le CO2 atteint un minimum. C’est exactement le contraire de ce qui se passerait si le CO2 faisait monter la température.
Actuellement le #réchauffement climatique ralentit, mais le taux de concentration de #CO2 s’accélère. Cette combinaison n’est pas autorisée par les modèles climatiques du GIEC. Je me demande pourquoi
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Intense réchauffement terrestre il y a 15 000 ans En l’espace de quelques années, les températures ont grimpé de 10 °C dans l’hémisphère Nord à la fin de la dernière glaciation.
Un changement climatique très brutal, probablement lié à des modifications de la circulation atmosphérique, s’est produit à deux reprises il y a environ 15 000 ans dans l’hémisphère Nord avec des hausses de dix degrés en quelques années, selon une étude publiée dans la revue Science.
Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de dix degrés Celsius, en seulement trois ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite en soixante ans il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.
Des analyses de carottes de glace du Groenland ont montré que ces renversements climatiques se sont produits «aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton», souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, coauteur de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS. La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, il convient de le souligner, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine. Remonter l’histoire du climat
Au cours de la première phase de réchauffement, appelée le Bölling, qui s’est étalée sur un peu moins de deux mille ans, des peuples de l’âge de pierre ont pu s’installer en Europe du Nord et jusqu’en Scandinavie avant que les températures ne redeviennent glaciales il y a 12 900 ans.
L’étude a été réalisée à partir de l’analyse des poussières (plus leur teneur est abondante et plus le climat est froid) et de certains isotopes de l’oxygène et de l’hydrogène retrouvés dans les carottes de glace du forage NorthGRIP au Groenland. Ce dernier, d’une épaisseur de plus de 3 kilomètres, permet de remonter l’histoire du climat sur 125 000 ans.
Ces mesures «permettent pour la première fois de comprendre l’anatomie des changements climatiques passés», affirme dans un communiqué Jean Jouzel, directeur de l’Institut Pierre-Simon-Laplace. Les variations abruptes de la dernière déglaciation tout comme le brusque recul de la banquise arctique pendant l’été 2007 «sont liés, selon lui, à des modifications radicales de la circulation atmosphérique».
2LE GIEC AUJOURD’HUI FAIT DE LA SCIENCE FICTION POUR LES IMBECILES « ET POURTANT ELLE TOURNE !» GALILÉE, 1633 mais pas pour le Giec
Il semblerait que les variations correspondent parfaitement à l’ensoleillement mais c’est une hérésie pour le GIEC
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Quand les températures relevées (jaune) ne correspondent pas à la théorie ils les modifient(noir) Refroidir le passé
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On peut estimer que 90% des données sont inventées , ils appellent ça extrapolées
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la courbe de Mann était trafiquée, il faut le savoir. Au début, le #GIEC ne s’en servait pas. Ils l’ont pourtant mise au gout du jour dans leur dernier rapport, à défaut d’avoir mieux (ou pire). Scandaleux !
La législation française affaiblit les engagements en matière d’énergie propre et favorise le nucléaire
PAR TYLER DURDEN MARDI 09 JANVIER 2024 - 09h30 Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,
Bravo à la France si la législation en attente est adoptée dans sa rédaction actuelle. Il abandonne effectivement la plupart des engagements les plus durs et se tourne davantage vers l’énergie nucléaire…
Avant-projet de loi relatif à la souveraineté énergétique Veuillez envisager une traduction Google d'un avant-projet de loi relatif à la souveraineté énergétique
Quatre éléments clés
La formulation de cet avant-projet relatif à la souveraineté énergétique n’est bien entendu pas définitive. Il peut encore évoluer d'ici sa présentation au Conseil des ministres puis, lors de sa discussion au Parlement. Cependant, cela démontre déjà un changement significatif dans la conception de l’exécutif de la politique énergétique nationale.
Ce projet de loi affaiblit les objectifs climatiques de la France, à commencer par l’objectif de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre. L’objectif ne serait plus de « réduire » mais de tendre vers une réduction de « nos émissions de gaz à effet de serre.
Cet avant-projet propose de traduire dans la loi le choix de l’exécutif de maintenir une part prépondérante de l’énergie nucléaire dans la production électrique. Un choix qui rompt avec celui de réduire cette part du nucléaire et qui était inscrit dans la loi no. 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte.
Cet avant-projet reflète également une inquiétude, à la veille des élections européennes de juin 2024 ; « abandonner la catégorie juridique des énergies renouvelables » au profit d’une nouvelle catégorie, celle des « énergies décarbonées ».
Déménagements
La suppression des objectifs chiffrés de production et de consommation d’énergies renouvelables en France métropolitaine.
La suppression de l’objectif d’encourager la production d’énergie hydraulique.
La suppression de l’objectif chiffré de développement de l’éolien offshore.
La suppression de l’objectif d’encourager la production d’électricité agrivoltaïque.
La suppression de l’objectif de contribution à l’atteinte des objectifs de réduction de la pollution atmosphérique.
La suppression de l’objectif de performance énergétique du bâtiment.
La suppression de l’objectif de multiplication de la quantité de chaleur et de froid renouvelables et de récupération.
Le nouvel objectif du recours à l’énergie nucléaire dans la programmation énergétique pluriannuelle
Ouah !
À quelle fréquence la France montre-t-elle la voie du bon sens ?
Cette mesure n’est pas encore adoptée, mais cela représenterait un net changement de direction si l’une de ces mesures était adoptée, et cela semble très probable.
Je me demande si le président Emmanuel Macron commence à se pencher sur les sondages français. Là encore, la prochaine élection présidentielle française n’aura lieu qu’en 2027.
Aux États-Unis, Biden redouble d’efforts avec la seule tactique qu’il connaît, en s’appuyant sur la Bidenomics tout en affirmant que Trump sera un dictateur s’il gagne.
Les deux perdent leur tactique.
Pourquoi la cote d’approbation de Biden est misérable Les revenus augmentent et les salaires aussi. Même les revenus réels sont en hausse. Mais les salaires réels sont une autre affaire.
J’explique pourquoi la cote d’approbation de Biden est misérable dans un graphique économique
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Données sur les revenus personnels du BEA, salaires horaires du BLS, gains horaires réels et graphique de Mish.
Notez également que la troisième et la plus importante série de mesures de relance budgétaire a eu lieu en mars 2021. C’est à ce moment-là que la popularité de Biden a culminé à 55,1 %.
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Pour en savoir plus, veuillez consulter L'argent gratuit est épuisé et cela se voit dans les sondages.
Quelle que soit la raison, il semble que Macron soit sur le point de faire quelque chose de bien. Si c’est le cas, bravo à la France.
Météo : sept départements en vigilance orange neige et verglas
L’hiver frappe fort en ce début d’année ! Sept départements français sont placés en alerte pour neige et verglas par Météo France. Un froid glacial, des routes glissantes, il faudra une nouvelle fois être très prudent !
Par Grégoire Hernandez le 10 janvier 2024 à 12h00
Il fera en revanche plus doux en Corse et en Côte d'Azur, entre 4 et 8 °C.
- 8°C dans certaines régions dans la nuit du 9 au 10 janvier 2024 ! Le mercredi 10 janvier 2024, la France grelotte encore ! Météo France a placé sept départements en vigilance orange. L'Essonne, les Yvelines, l'Eure, le Calvados, l'Orne, la Manche et l'Isère. La nuit du 9 au 10 janvier 2024 a vu les températures plonger jusqu'à -8°C dans certaines régions ! Il fera en revanche plus doux en Corse et en Côte d'Azur, entre 4 et 8 °C. Le Nord-Pas-de-Calais, lui, n'attend pas de dégel aujourd'hui.
La neige, tombée en abondance, perturbe fortement la circulation. En Sarthe, par exemple, les routes sont devenues de vraies patinoires. Météo France alerte : la glace au sol rend les déplacements très périlleux. Dans le nord-ouest, la prudence est de mise. En Aquitaine, les pluies matinales pourraient se transformer en neige, sans tenir au sol. Alors petit conseil, ne prenez la voiture qu'en cas d'urgence !
Météo : encore d'importantes chutes de neige
Les Alpes sont également concernées par les chutes de neige. Grenoble, Chambéry, Annecy et Genève s'attendent à des chutes de neige continues. En Haute-Savoie, jusqu'à 20 cm de neige pourraient s'accumuler. Le risque neigeux s'étend jusqu'à l'Aude, le Tarn, l'Aveyron et l'est toulousain en fin de journée.
Face à ces conditions hivernales, la prudence est de rigueur. Il est conseillé de limiter les déplacements. Si vous devez sortir, équipez votre véhicule pour la neige et conduisez prudemment. Restez informés des bulletins météo et suivez les recommandations des autorités locales.
Les pompiers s'inquiètent des dangers associés aux batteries au lithium, qui "ne s'éteignent pas aussi facilement que les autres sources de carburant".
01/08/2024 Laura Harris
Fire and Rescue New South Wales (FRNSW) enquête sur la cause d'un incendie destructeur qui a ravagé une usine de vélos électriques à deux étages dans l'ouest de Croydon, à Sydney, le 5 janvier.
Le surintendant du FRNSW, Joshua Turner, a exprimé son inquiétude quant aux dangers associés aux batteries au lithium et aux unités de stockage d'électricité dans le centre de réparation de vélos électriques. "Les équipes ont découvert qu'il s'agissait d'un centre de réparation de vélos électriques. Le risque lié aux batteries au lithium et aux unités de stockage d'électricité était donc leur principale préoccupation. Les batteries au lithium maintiennent un niveau de chaleur élevé lorsqu'elles sont en feu et ne s'éteignent pas. aussi facilement que d'autres sources de combustible. Les pompiers effectuent un travail considérable dans la recherche sur les batteries au lithium et l'effet qu'elles auront sur la lutte contre les incendies à l'avenir", a-t-il déclaré.
Selon certaines informations, l'incendie aurait pris naissance dans un petit immeuble situé derrière une rangée de magasins sur Elizabeth Street. Plus de 60 pompiers et 15 camions de pompiers de la FRNSW se sont battus pendant plus de deux heures pour maîtriser l'incendie, qui s'est déclaré à 5 heures du matin.
Les pompiers ont combattu les flammes depuis l'extérieur de l'usine de vélos électriques, craignant un éventuel effondrement structurel. Les images et les photos ont capturé la férocité des flammes alors qu’elles engloutissaient et brûlaient les vélos électriques dans l’usine.
La police était également présente sur les lieux pour assurer la sécurité des riverains. Le surintendant Trent Lawrence a laissé entendre qu'il était trop tôt pour déterminer la cause de l'incendie.
"Il peut y avoir des coupures de courant pour certains de ces résidents locaux. Il y a quelques maisons à l'arrière ; il peut y avoir des zones d'exclusion pour les résidents, mais seulement pour les mineurs à ce stade ; et nous avons la police sur place pour aider à la fermeture des routes, " il a dit.
Les incendies liés aux véhicules électriques en hausse
Amith Shetty, qui habite à environ six maisons du magasin, a déclaré que l'incendie s'était rapidement intensifié.
"Nous avons tous entendu quelques pops, puis tout l'endroit s'est effondré, et en quelques minutes tout l'endroit a pris feu. C'était assez surréaliste ; c'était de la fumée noire, et puis l'instant d'après, tout était en flammes. Au départ, on pouvait sentir la chaleur au coin de la rue, et nous avons emballé notre chat et avons pensé que nous allions probablement évacuer, mais heureusement, ils l'ont maîtrisé en une demi-heure environ", a déclaré Shetty.
En réponse, le surintendant de la FRNSW, Andrew Shurety, a averti les gens lors d'une conférence de presse tenue le 29 décembre de l'augmentation des incendies liés aux vélos électriques et aux batteries lithium-ion. "C'est quelque chose dont nous sommes conscients – nous essayons de diffuser des messages communautaires", a-t-il déclaré.
FRNSW a précédemment révélé avoir répondu à 149 incidents liés aux batteries au cours des 10 premiers mois de 2023. Environ 22 % de ces incidents impliquaient des appareils de micromobilité tels que des vélos et des scooters électriques.
Visitez RoboCars.news pour en savoir plus sur les dangers des véhicules électriques.
Regardez cette vidéo montrant comment les batteries lithium-ion des véhicules électriques prennent feu.
Cette vidéo provient de la chaîne The Old Folk Show sur Brighteon.com.
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Le fondateur d’une entreprise de camions « zéro émission » condamné à 4 ans de prison pour avoir menti sur la technologie et les réalisations de l’entreprise
01/08/2024 Kevin Hughes
Un juge de district américain a envoyé en prison le fondateur et ancien PDG d’une entreprise de camions électriques pour avoir trompé les investisseurs.
Trevor Milton, un ancien vendeur de porte-à-porte et décrocheur universitaire, a fondé et est devenu PDG du fabricant de véhicules électriques lourds et de véhicules à pile à combustible Nikola Corporation en 2015. Lors de son procès en 2022, des témoins ont déclaré qu'il avait menti à investisseurs ordinaires sur presque tous les aspects de Nikola, en particulier sur le prototype de camion prétendument zéro émission de l'entreprise. (Connexe : Une étude révèle que les véhicules à essence sont plus économiques que les véhicules électriques.)
Selon Milton, le prototype était déjà pilotable même s'il ne l'était pas. Il a ajouté que Nikola était déjà équipé pour produire l'hydrogène nécessaire pour alimenter le camion alors qu'il ne l'était pas. Il s'est en outre vanté du fait que l'entreprise disposait déjà d'une longue liste de commandes, dont beaucoup pour des sociétés qui n'existaient pas.
Nikola était évalué à plus de 13 milliards de dollars avant que les mensonges de Milton ne soient révélés Pour les crimes de Milton, un jury fédéral l'a reconnu coupable d'un chef d'accusation de fraude en valeurs mobilières et de trois chefs d'accusation de fraude électronique en octobre 2022.
Lors d'une récente audience à Manhattan le 18 décembre, le juge de district américain Edgardo Ramos a condamné Milton à quatre ans de prison, lui a ordonné de payer une amende d'un million de dollars et de restituer certaines de ses propriétés dans l'Utah. Milton est actuellement en liberté sous caution en attendant un appel.
Grâce aux activités frauduleuses de Milton, il a pu introduire Nikola en bourse dans le cadre d'un accord de société d'acquisition à vocation spéciale (SPAC) avec General Motors (GM) en 2020, grâce à un accord qui a vu GM acquérir 11 % de la société et sécuriser l'ancien vice-président de GM, Stephen. Girsky un siège au conseil d'administration de Nikola.
En échange, Nikola a pu récolter plus de 3 milliards de dollars. Le sentiment positif des investisseurs à l'égard de Nikola a fait débuter les actions de la société à 65,90 dollars par action et, à un moment donné, la valorisation de la société a grimpé à 13 milliards de dollars, ce qui la rend temporairement plus précieuse que celle de Ford Motor Company.
Aujourd'hui, les actions de Nikola valent moins d'un dollar. Milton n'est plus le PDG de l'entreprise et son successeur trié sur le volet, Michael Lohscheller, a été remplacé par Girsky.
Au cours de son procès, Milton a tenté de faire valoir que les fabuleuses déclarations qu'il avait faites précédemment à propos de l'entreprise faisaient référence au modèle commercial de Nikola. "Je n'avais l'intention de faire de mal à personne et je n'ai pas commis ces crimes", a-t-il déclaré lors d'une déclaration décousue de 30 minutes devant le tribunal.
"La loi n'accorde pas de laisser-passer pour les bonnes intentions", a déclaré Ramos après avoir condamné Milton à quatre ans de prison, soulignant à quel point de vraies personnes ont été blessées par ses mensonges. "Il est décidément du devoir des dirigeants d'entreprises qui cherchent à amener le public à acheter leurs actions de dire la vérité."
Les procureurs estiment que les mensonges de Milton ont entraîné des pertes de plus de 660 millions de dollars pour les investisseurs réguliers. Selon les lignes directrices fédérales en matière de détermination des peines, cela aurait dû valoir à Milton jusqu'à 60 ans de prison. Ils ont admis que c'était trop long, mais les quatre années accordées par Ramos à Milton représentent toujours moins de la moitié des 11 ans souhaités par les procureurs, ce qui aurait été semblable à ce que la fondatrice de Theranos, Elizabeth Holmes, a reçu il y a un an pour des déclarations tout aussi frauduleuses qu'elle a faites aux investisseurs. sur la technologie de test sanguin de son entreprise.
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Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi les voitures électriques sont une arnaque.
Cette vidéo provient de la chaîne White Knight sur Brighteon.com.
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La semaine d'action des agriculteurs a commencé. Dans certaines colonnes de commentaires, vous pouvez même lire quelque chose sur la « révolution ». Sommes-nous en train de vivre les derniers jours de la République fédérale d’Allemagne ?
Lundi, le TKP a rendu compte du projet allemand de feux tricolores : Malgré d'importantes protestations, la politique de désindustrialisation s'y tient. Mais Scholz et Cie sont confrontés à un vaste mouvement de protestation. Menés par les agriculteurs du pays, la classe moyenne et les travailleurs manifestent également contre ces conditions. Il n'est pas rare que le gouvernement démissionne.
Une colère légitime Certains commentaires et rapports sur le soulèvement paysan ont été rassemblés ici.
Le Berliner Zeitung commente de manière assez dramatique : « Manifestations paysannes ou révolution ? Pourquoi je dois penser aux derniers jours de la RDA » :
Le pays est à l’envers. Et l’année vient de commencer, la semaine aussi. À quoi cela ressemblera-t-il vendredi ? Quelle sera l’ampleur de la colère ? Celles des agriculteurs, des conducteurs de train et des artisans, mais aussi de ceux qui ne peuvent pas se rendre au travail, à l'école ou à l'hôpital parce que le train ne circule pas ou que les routes sont fermées. Comment les politiques réagiront-ils ? Quand prendront-ils au sérieux les préoccupations des gens au lieu de les qualifier de droite ?
J'ai regardé sur Internet. Une situation révolutionnaire est appelée - selon Lénine et Marx - le déclencheur d'une révolution dans laquelle éclate l'indignation ouverte des masses exploitées. Les caractéristiques incluent l'impossibilité pour les classes dirigeantes de maintenir leur domination sous une forme inchangée et une activité accrue des masses. Et construire un parti prolétarien prêt à prendre les devants.
Le média conservateur Apollo News écrit dans son analyse de la « guerre verte contre les agriculteurs » :
Qu'en pensaient ces messieurs, que se passerait-il si un secteur entier de l'économie était accablé d'une réglementation après l'autre, année après année, de sorte que la marge de manœuvre des agriculteurs devenait toujours plus petite ? Les agriculteurs qui manifestent dans les rues cette semaine ne se plaignent pas car ils veulent « juste » que les subventions au diesel agricole et la taxe sur les véhicules soient supprimées, comme le montrent la plupart des médias.
Pourtant, la guerre verte contre l’agriculture allemande remonte bien plus loin, comme en témoignent les nombreuses déclarations d’agriculteurs qui circulent depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. «Je me tiens ici devant certaines des meilleures terres agricoles de la planète», déclare l'un des agriculteurs dans la vidéo. « Et comment les politiciens réagissent-ils à cela ? Je dois en fermer quatre pour cent, le reste doit être sous-fertilisé, même si nous n’avons pas de problèmes de nitrates dans les eaux souterraines ici.
Le quotidien Junge Welt , proche du DKP , rapportait mardi en première page sous le titre « Le pouvoir aux agriculteurs » :
En parlant de la capitale fédérale. C’est là que les Paysans Libres d’Allemagne se sont mobilisés. Des centaines de tracteurs, camions et bus bordaient la rue du 17 juillet à la Colonne de la Victoire. Et des milliers de manifestants à la porte de Brandebourg. "Nous représentons des agriculteurs normaux", a déclaré Reinhard Jung, leur responsable des médias, à JW. Ceux qui géraient leur ferme de leurs propres mains, indépendamment de la politique et de l’industrie.
Et ensuite ? Tout se dirige vers la finale de la semaine d'action lundi prochain à Berlin. La décision du cabinet est susceptible de renforcer la position du peuple en colère – et d’attiser davantage les étincelles de protestation. De haut en bas du pays.
La rédaction de Julian Reichelts Nius commente :
Chers agriculteurs, continuez ainsi...
La grande majorité de leurs concitoyens se montrent solidaires avec la protestation des agriculteurs contre la politique actuelle, comme le montre une enquête de l'INSA pour Bild : 69 pour cent des personnes interrogées soutiennent les protestations des agriculteurs contre les coupes budgétaires prévues par le gouvernement des feux tricolores !
La majorité de tous les groupes d'électeurs éprouvent une totale sympathie pour les actions de protestation des agriculteurs.
Le patron de RTL West, Jörg Zajonc, a encore une fois attiré l'attention. Il a dit:
L’agriculteur est en colère, et avec raison. De nombreux agriculteurs en ont complètement marre. De plus en plus d’exigences, de plus en plus de bureaucratie, fonctionnent toujours. […] Pas étonnant qu’à un moment donné, cela suffise. Même si le gouvernement fait marche arrière, les protestations légitimes menacent soudain la démocratie. Les protestations des agriculteurs touchent au cœur de ce que beaucoup ressentent : les politiques ne se soucient pas assez de la vie des gens normaux.»
Le soulèvement fait également la une des journaux internationaux. Par exemple par l'intermédiaire de la présentatrice politique Eva Vlaardingerbroek, qui a fait un reportage depuis la rue. Elle a interviewé lundi un agriculteur en colère qui a déclaré :
« Nous en avons marre des mensonges. Nous sommes ici depuis des générations, nous travaillons 24 heures sur 24, nous sommes ceux qui mettent la nourriture dans votre assiette ! Nous sommes tous unis pour nous débarrasser des politiciens qui tentent de se débarrasser de nous !
- voir clip sur site -
Quelques jours avant la journée d'action de lundi, Ernst Wolff avait analysé le contexte de la protestation dans une vidéo intitulée « Manifestations paysannes et grande réinitialisation ». La vidéo a désormais été vue environ 150 000 fois.
La proportions des dépenses liées à l'achat de carburant par les villageois n'est d'aucune mesure avec celle des paysans où les tracteurs consomment 10 à 20 fois plus.
Malgré les protestations : la désindustrialisation des feux tricolores a lieu, le diesel agricole est aboli
8 janvier 2024 de Thomas Oysmüller
Le soulèvement des tracteurs ne gêne pas le régime Scholz : le projet de loi de budget 2024 a été lancé lundi. En 2026, le diesel agricole appartiendra au passé.
Les protestations sont ignorées. Ce qui se passe depuis des années dans tout l’Occident s’applique également aux agriculteurs allemands. C’est comme se moquer du peuple que l’abolition définitive du diesel agricole à partir de 2026 soit rendue publique juste le jour même de la protestation. Les feux tricolores poursuivent leur course, a-t-on annoncé lundi au public via un message de la DPA.
Historique du diesel agricole 2026
Malgré les protestations massives des agriculteurs allemands, le gouvernement fédéral maintient son cap. Lundi, elle a décidé de « formuler une aide pour un projet de loi » qui va maintenant être adopté au Bundestag. La loi est présentée comme un « plan d’économies » – afin de pouvoir maintenir le cap de désindustrialisation de l’Allemagne.
Comme chacun le sait, il manque au gouvernement 30 milliards d’euros dans son budget de base. À cette fin, l’allégement fiscal sur le diesel agricole – raison pour laquelle les agriculteurs protestent actuellement largement – sera également supprimé. «Cela représente notamment une contribution à la réduction des subventions nuisibles au climat», indique le projet sur lequel la dpa rend compte.
Apparemment, le gouvernement ne veut pas mettre fin immédiatement aux subventions au diesel. En 2024, le taux d’allégement sera réduit de 40 %, et de 30 % supplémentaires en 2025 et 2026. Il ne devrait plus y avoir de subventions pour les quantités consommées en 2026.
Prendre l’avion deviendra plus cher en raison de l’augmentation des taxes sur les billets. L'argent des citoyens est resserré. Quiconque refuse catégoriquement de travailler peut se voir retirer totalement ses allocations sociales pour une durée maximale de deux mois. Il faudrait également abolir ce que l'on appelle la prime en argent du citoyen.
Contrairement aux protestations généralisées – les chemins de fer sont également en grève cette semaine – le gouvernement maintient son cap. Le soutien de la population au feu est au plus bas : de nombreuses personnes se sont montrées solidaires de l'agriculteur ou l'ont rejoint. Ils ne protestent plus seulement pour le maintien des subventions, mais aussi pour le retrait des feux tricolores eux-mêmes.
Le budget fédéral 2023 devrait être décidé fin janvier. D’ici là, les plans doivent passer par le processus parlementaire.
ENQUÊTE : 69 % des Allemands soutiennent la protestation des agriculteurs
Sans se laisser décourager par la popularité des manifestants, la presse poursuit ses campagnes de diffamation, tandis que le "chercheur en extrémisme" Matthias Quent exige que les agriculteurs peignent des arcs-en-ciel sur leurs pancartes pour repousser les nazis.
EUGYPPIUS 9 JANVIER 2024
Près de 70 % des Allemands soutiennent la grande protestation paysanne, et seulement 22 % s’y opposent, selon une nouvelle enquête de l’INSA. Le soutien est présent dans tout l’éventail politique, mais le plus fort est à droite, avec 88 % des électeurs de l’AfD se rangeant du côté des agriculteurs. En comparaison, Letzte Generation ne bénéficie du soutien que de 11 % des Allemands.
On pourrait penser que cela encouragerait la presse à modérer sa campagne de diffamation en cours, mais ce serait une erreur. Der Spiegel, un pionnier constant de la malhonnêteté journalistique, propose aujourd'hui cet article douteux qui fait une sinistre analogie historique avec le Landvolkbewegung, ou Mouvement populaire rural, de la République de Weimar :
Certains agriculteurs d’aujourd’hui se considèrent dans la tradition du Landvolkbewegung, qui s’est radicalisé lors de la crise agricole de 1928. Lorsque les manifestations de masse et les grèves fiscales n’ont pas fonctionné, certains se sont tournés vers la terreur. En fin de compte, les nazis en ont profité.
La fabrique quotidienne de papier toilette monocouche connue sous le nom de Süddeutsche Zeitung, pour sa part, a publié un long article très anecdotique alléguant que divers extrémistes de droite et d'autres ayant des « fantasmes révolutionnaires » auraient pris le contrôle des manifestations – une contribution tardive à un genre désormais assez pléthorique et fatigué. Après avoir lu des dizaines de ces articles, je me suis rendu compte que leur malhonnêteté fonctionne à deux niveaux. Le plus évident est leur effort fallacieux visant à présenter la classe moyenne paysanne, majoritairement centriste, sous un jour extrémiste. Un peu plus subtile est l’obscurcissement qu’ils apportent au sens des manifestations. Ce ne sont pas seulement les agriculteurs qui manifestent, mais aussi un grand nombre de camionneurs, d'artisans et de simples citoyens. Plutôt que d’admettre que les manifestations sont devenues une déclaration plus générale de mécontentement à l’égard de l’orientation politique allemande et de la folle coalition des feux de circulation, nos sommités journalistiques écrivent plutôt qu’elles ont été détournées et instrumentalisées.
Cette tactique permet des attaques complémentaires fondées sur le postulat que les paysans ne sont que des enfants gâtés, qui continuent avec ingrat leurs manifestations malgré les concessions qu’ils ont déjà obtenues du gouvernement Scholz. Alors que la presse de gauche préfère le cliché des détournements par des extrémistes, les journaux de centre-droit optent généralement pour cet angle. Ainsi, nous avons cet article dans Welt sur le « mythe du pauvre agriculteur » et un éditorial très similaire (bien que sans effort) dans le Frankfurter Allgemeine sur le fait que « les agriculteurs ont déjà gagné » et devraient donc rentrer chez eux. Ceux parmi les agriculteurs qui ont pris soin de se distancier de la « droite » feraient bien d’envisager ce message coordonné. Les journaux dont ils auraient pu s’attendre à ce qu’ils les soutiennent rejettent en ce moment même leurs revendications étroites comme étant illégitimes, tandis que leurs ennemis de gauche dénoncent avec empressement toute plainte plus large comme étant la preuve d’éléments d’extrême droite.
Ensuite, il y a les entretiens. Pour une raison quelconque – et je ne peux pas imaginer ce que cela pourrait être – les journalistes ne sont pas intéressés à parler avec les véritables personnes présentes lors des manifestations. Lorsqu’ils interviewent des « agriculteurs », ils s’avèrent être des personnalités soigneusement sélectionnées. Ainsi, Der Spiegel interviewe une femme de 22 ans nommée Inka Baumgart. Il n'est pas clair si Baumgart est agricultrice, mais elle appartient à la division jeunesse d'une association agricole et elle a mis en ligne une vidéo amateur sur Instagram condamnant les manifestants qui disent que « les feux de circulation doivent s'éteindre », c'est donc suffisant pour lancer une plateforme. cette femme idiote, qui ne représente à peu près personne lors des manifestations en ce moment.
Der Spiegel mérite au moins quelques points pour ses efforts. La plupart des médias n’ont même pas pris la peine de dénicher des « agriculteurs » écologistes peu plausibles et se sont plutôt tournés vers ce vieux et vétuste journaliste de la presse, les « experts ». Ainsi, le Leipziger Volkszeitung interviewe un expert de la « biodiversité » sur la manière dont les « subventions » (en fait, ce sont des allégements fiscaux) pour le diesel agricole doivent être abolies. Ailleurs, nous trouvons le « chercheur sur les conflits » Felix Anderl (que nous avons rencontré hier) expliquant pour la chaîne de télévision publique ZDF sur quoi portent réellement les manifestations, car sur ce point, il est une meilleure source que les manifestants eux-mêmes. La chaîne de télévision publique Tagesschau s'est plutôt tournée vers la « chercheuse en protestation » Saldivia Gonzatti pour expliquer que les agriculteurs souffrent à la fois de « l'instrumentalisation » de la droite (je commence à en avoir marre d'écrire cela) et de leur propre « peur de l'avenir ». Mais c’est Deutschlandfunk qui apporte la pièce de résistance, dans une interview avec le « chercheur en extrémisme » Matthias Quent. Il exige que les manifestants se distancient plus clairement de la droite, peut-être en portant des pancartes disant « Nazis, sortez » ou en peignant des arcs-en-ciel LGBTQ sur leurs pancartes. Il pense que cela chassera les gens de droite, je suppose, de la même manière que l'ail repousse les vampires.
Embouteillages : les Parisiens ont perdu 5 jours à attendre en 2023
TomTom vient de publier son étude Traffic Index 2023 ce mercredi 10 janvier 2024. Cette dernière révèle que les automobilistes perdent de plus en plus de temps dans les embouteillages.
Par Axelle Ker le 10 janvier 2024 à 11h00
Les embouteillages coûteraient en moyenne 288 euros sur le budget carburant des automobilistes
Les automobilistes passent toujours plus de temps dans les embouteillages
Selon l'édition 2023 du Traffic Index de TomTom, publiée ce mercredi 10 janvier 2024, Paris reste en tête du classement des villes françaises les plus embouteillées. Rien de très étonnant, mais la mauvaise nouvelle, c'est que les automobilistes perdent de plus en plus de temps dans les embouteillages au fil des années. Pour Paris, l'approche des Jeux Olympiques de 2024 et les travaux au sein de la ville n'ont rien arrangé. D'après l'étude de TomTom, les automobilistes parisiens ont perdu en moyenne 120 heures de leur temps dans les embouteillages, soit l'équivalent de 5 journées complètes. Par rapport à 2022, c'est 11 heures de plus de perdues. Il faut dire que la politique de la maire de Paris n'arrange rien. Dès 2020, Anne Hidalgo avait clairement affiché son intention de tout faire pour réduire considérablement le nombre d'automobilistes : suppression de 70.000 places de stationnement en surface (la moitié des places) et limitation de la vitesse maximale à 30 km/h en 2021 dans les rues parisiennes...
Paris n'est pas la seule ville française à mener la bataille contre les automobilistes. La situation n'est en effet guère plus reluisante dans d'autres grandes villes françaises. Toutes les grandes villes françaises affichent une augmentation du temps passé dans les embouteillages. À Bordeaux, les automobilistes ont perdu 3 heures de plus qu'en 2022 (111 heures en moyenne en 2023). À Lyon, les conducteurs, la moyenne annuelle s'élève à 89 heures, soit 6,5 heures de plus passées dans les embouteillages par rapport à 2022.
La double peine des embouteillages
Même si les politiques de la ville argumentent que leurs mesures sont faites pour réduire les émissions de carbone des voitures, l'étude semble indiquer que pour une partie d'entre elle pourraient être contre-productives et impacteraient directement le portefeuille des automobilistes. L'étude Tomtom révèle en effet que le coût en carburant des trajets quotidiens à Paris sur l'année s'élève en moyenne à 934 euros, et accrochez-vous, 288 euros seraient directement attribuables aux bouchons ! À Marseille, les bouchons pèsent environ 200 euros sur le budget carburant des automobilistes pour une facture annuelle moyenne de 761 euros, à Lyon, 165 euros pour 751 euros.
La question écologique est prégnante. À Paris, les embouteillages engendrent en moyenne 344 kg d'émissions de gaz carbonique par automobiliste et par an. Pour donner un ordre de grandeur plus large, les embouteillages représentent 30 % du bilan carbone total pour les trajets domicile-travail. Et n'en déplaise à la maire de Paris Anne Hidalgo, l'étude de Cerema a démontré que son initiative d'abaisser de 20 km/h la vitesse (50 au lieu de 70 km/h) sur le périphérique parisien d'ici à 2024 ne réduirait pas les émissions de gaz carbonique. Au contraire, selon cette dernière, reprise l'association 40 millions d'automobilistes, « les émissions de gaz carbonique et de NOx sont minimales pour des vitesses proches de 70 km/h ». Le ministre des Transports, Clément Beaune, ainsi que la présidente de la région Île-de-France, ont exprimé leur opposition à l'initiative de la maire de Paris et ont demandé des études supplémentaires pour valider sa justification. Les politiques mises en place dans certaines villes semblent souvent ne pas tenir compte de la réalité du quotidien des automobilistes.
Dès lors que la vitesse de traversée d'une ville est limitée à 20 ou 25 km/h il y a... embouteillages !! Cà alors !! Si la vitesse passait à 50 km/h: Pchitt ! En 5 mn sans pollution !
Des chercheurs de l'université de Stanford ont couplé un logiciel d'intelligence artificielle à un dispositif BCI implanté dans le cerveau d'un homme souffrant d'une paralysie totale du corps. Le logiciel a été capable de décoder les informations du BCI et de convertir les pensées de l'homme sur un écran d'ordinateur.
RépondreSupprimerLa start-up Neuralink d'Elon Musk travaille depuis plusieurs années sur des implants cérébraux visant à mettre en réseau le cerveau humain avec des ordinateurs. Elon Musk poursuit notamment l'objectif de construire des implants cérébraux pour les humains, qui permettent d'enregistrer, de restituer et de partager des souvenirs, ainsi que d’appeler par télépathie des appareils et des machines, par exemple des voitures Tesla. De manière synchrone, une start-up new-yorkaise a déjà reçu l'autorisation de la FDA (Food and Drug Administration des États-Unis) de tester le dispositif cérébral implantable appelé « Stentrode » sur des patients humains dans le cadre d'une étude de faisabilité dite précoce. Le stentrode est placé dans une veine dans la partie du cerveau terminal qui génère tous les signaux liés au mouvement. L'appareil doit permettre aux patients de commander des appareils numériques sans fil par la pensée. Le système est destiné aux patients souffrant de paralysie suite à différentes maladies.
Sous le couvert de la guérison de certaines maladies et en tant qu'innovation, ce sont surtout les aspects positifs des implants cérébraux qui sont mis en avant. Mais que se passerait-il si de tels implants étaient utilisés comme des instruments de pouvoir ? En 2016 déjà, le fondateur du FEM Klaus Schwab avait évoqué dans une interview l'idée de puces électroniques implantables, d'abord dans nos vêtements, puis dans notre cerveau ou sous notre peau. Il s'agit ainsi de permettre une communication directe entre notre cerveau et le monde numérique. Un autre objectif est de connecter l'homme à la 6G et à l'Internet des objets.
Selon Pekka Lundmark, directeur général de Nokia, la future génération de télécommunication mobile 6G devrait être prête à être commercialisée d'ici 2030.
Lors du Forum économique mondial de Davos de cette année, il a déclaré : « Le smartphone tel que nous le connaissons aujourd'hui ne sera plus l'interface la plus courante. Au lieu de cela, les futurs appareils seront directement intégrés dans notre corps. »
Selon Lundmark, les capteurs cérébraux doivent être utilisés pour commander des machines. Les hologrammes gagneront également énormément en importance, et Lundmark prévoit que d'ici 2030, il devrait y avoir un « jumeau numérique » de presque tout.
Ces technologies sont présentées comme de formidables avancées techniques qui devraient nous faciliter la vie. Aussi prometteuses que soient les interfaces cerveau-ordinateur, elles comportent également un potentiel de surveillance totale, allant jusqu'à la lecture des pensées. Si une interface cerveau-ordinateur stockait vos souvenirs dans le Cloud, l'entreprise aurait accès à vos informations les plus intimes et les plus privées ! Est-ce que cette entreprise vendra votre profil numérique, tout comme les sites de médias sociaux peuvent vendre les données de leurs utilisateurs ?
Et si cette technologie était associée à un système de crédit social, comme c'est déjà la réalité en Chine ? En effet, de nombreux États sont favorables au système de crédit social chinois ainsi qu'à une identité numérique unique. Récemment, on a appris qu'un projet pilote « Smart Citizen Wallet » sera lancé à Bologne (Italie) à partir de l'automne. Il s'agit du premier système de crédit social sur le sol européen. Un comportement vertueux rapporte des points et peut être échangé contre des récompenses. En Chine, un mauvais comportement est également sanctionné en conséquence.
RépondreSupprimerLe biotechnologue Markus Schmidt se penche sur les raisons pour lesquelles nous, les humains, fusionnons de plus en plus avec la technologie et sur ce qui attend l'homme lorsqu'il sera connecté à l'Internet des objets. Il travaille avec d'autres scientifiques sur le projet de recherche international « Future Body». Dans une interview accordée au quotidien Berliner Zeitung, le scientifique s'est exprimé à ce sujet comme suit : « La neurotechnologie englobe différentes technologies et processus qui interagissent directement avec notre système nerveux, par exemple par des « Brain-computer-interfaces », c'est-à-dire des interfaces cerveau-ordinateur. Il s'agit par exemple de l’« Internet of Living Things », avec lequel le cerveau doit être relié au réseau, ou d'implants dans le corps qui permettent d’acquérir de nouveaux sens. (...) Pour l'instant, la neurotechnologie concerne encore les personnes malades ou handicapées. Mais l'optimisation se poursuit et bientôt, les personnes en bonne santé pourront également utiliser ces technologies. (...) On n'est bien sûr pas obligé de suivre cette tendance, mais ça devient de plus en plus difficile. Si on pense aujourd'hui à ce que serait la vie sans téléphone, sans ordinateur et sans compte bancaire, on se rend compte à quel point nous en sommes dépendants. Et cela se poursuivra à l'avenir. A partir d'un certain point, il est presque impossible de ne pas y participer. (...) Sans puce cérébrale, on devient un être humain de seconde classe, même si on est en bonne santé. Nous pouvons nous demander si une personne normale aura à l'avenir le statut qu'a aujourd'hui une personne handicapée. D'un autre côté, il pourrait aussi y avoir un avantage sélectif pour ceux qui n'ont pas de puce cérébrale. Peut-être parce que cela ne les rendrait pas vulnérables aux cyber-attaques. »
Des cyber-attaques terroristes contre le corps humain ou même une « répression » ciblée par le gouvernement ? Cela fait écho à ce que le scientifique israélien Harari a annoncé, à savoir que nous, les humains, sommes des animaux piratables – sans libre arbitre.
Mais chaque individu détermine, par son comportement de consommateur, si ces technologies et produits disparaîtront du marché, par manque de demande. Participez, vous aussi, à la diffusion de ces informations ! Ne nous laissons pas aveugler par les arguments des stratèges mondiaux et regardons aussi le revers de la médaille qu'apporte le progrès technologique.
Car notre existence humaine va bien au-delà de notre existence rationnelle. Nous sommes des êtres spirituels dotés d'incroyables capacités intuitives – des créatures uniques qui ont le droit de développer librement leur personnalité et leur individualité ! Ce que nous disons, ressentons, pensons et faisons a un impact immédiat sur notre environnement – aucune intelligence artificielle ne peut remplacer cette réalité.
RépondreSupprimerde vem.
Sources / Liens :
https://de.wikipedia.org/wiki/Yuval_Noah_Harari
https://telegra.ph/Ein-weiteres-perverses-Ziel-des-WEF-Der-Mensch-ist-nur-ein-hackbares-Tier-02-23
Zitat 1: https://www.weforum.org/agenda/2020/01/yuval-hararis-warning-davos-speech-future-predications/
Zitat 2 + 3 – ab Min 30:00 – Diskussion beim Athens Democracy Forum 2020: https://www.youtube.com/watch?v=JfyIW9wRvB4
Zitat 4 – ab Min 24:40 – Interview in Yuval Noah Harari’s Büro in Tel Aviv:
https://www.youtube.com/watch?v=ltJTRnNLYqY
In Italien: Erstes europäisches Sozialkreditsystem kommt:
https://tkp.at/2022/04/19/in-italien-erstes-europaeisches-sozialkreditsystem-kommt/
Walletmor: https://www.bbc.com/news/business-61008730.amp
https://www.youtube.com/watch?v=aymBka2nhUo&t=17s
Biosensoren:
https://www.faz.net/aktuell/rhein-main/region-und-hessen/gold-unter-der-haut-als-sensor-mainzer-forschung-17278612.html
https://futurezone.at/science/biosensor-unter-der-haut-soll-pandemien-kuenftig-verhindern/400775348
https://www.youtube.com/watch?v=0kxvWtD3Ono
https://www.weforum.org/agenda/2019/10/light-up-tattoos-electronically-printed-skin/
https://www.cochlear.com/de/de/home/diagnosis-and-treatment/how-cochlear-solutions-work/cochlear-implants/how-cochlear-implants-work
Neuralink:
https://de.wikipedia.org/wiki/Neuralink
https://www.augsburger-allgemeine.de/wirtschaft/was-ist-neuralink-rolle-von-musk-funktion-der-gehirnchips-id63432716.html
Brain-Computer-Interface:
https://siliconangle.com/2020/01/06/nextmind-shows-off-brain-computer-interface-ces/
https://scitechdaily.com/mindwriting-software-is-able-to-turn-thoughts-about-handwriting-into-words-and-sentences/
https://uncutnews.ch/konkurrent-von-elon-musks-neuralink-erhaelt-von-der-fda-die-zulassung-zum-test-eines-gehirnchips-am-menschen/
https://uncutnews.ch/cyberpunk-20-forscher-warnen-vor-einer-duesteren-zukunft-in-der-unternehmen-private-gedanken-besitzen-und-die-welt-zwischen-cyborg-und-mensch-geteilt-ist/
https://techacute.com/brain-computer-interface-technology/
https://www.darpa.mil/program/next-generation-nonsurgical-neurotechnology
https://www.diabetes-news.de/nachrichten/eversense-glukosemessung-unter-der-haut
https://techacute.com/brain-computer-interface-technology/
https://www.heise.de/news/Cyberpunk-Revisited-Warnung-vor-unkontrollierten-Hirn-Computer-Schnittstellen-6315132.html
Interview Klaus Schwab: https://www.youtube.com/watch?v=XQWoMy-URPk
Nokia-Chef Pekka Lundmark:
https://futurezone.at/produkte/nokia-chef-ende-der-smartphone-aera-6g-internet-der-dinge/402023583
Interview Markus Schmidt mit Berliner Zeitung:
https://www.berliner-zeitung.de/gesundheit-oekologie/biotechnologe-ohne-gehirnchip-wird-man-ein-mensch-zweiter-klasse-sein-li.171279?pid=true
https://gloria.tv/post/WWLySbyTqk4M6xY3MgtawYPNC
https://schildverlag.de/2021/08/11/ohne-impfung-und-gehirnchip-ein-mensch-zweiter-klasse-videos/
Forschungsprojekt Future body: https://www.biofaction.com/futurebody/
https://www.kla.tv/fr
Après que 'les hommes de l'ombre' désignent tel ou tel criminel, pédéraste et psychopathe comme chef de l’État ou ministre voici qu'arrive l'ère du 'Suppose histoire' où de nouveaux spécimens sortis tout droit de laboratoires pourront gérer un ou des pays sans changer les piles et suivis par satellites ! HOURRA ! Les 'NOUVEAUX CONS SONT ARRIVÉÉÉÉÉÉÉS !
SupprimerL'Australie est en train de créer le plus grand registre d'arrêts cardiaques soudains au monde pour résoudre le « mystère » des morts cardiaques subites du vaccin à ARNm contre la COVID-19
RépondreSupprimerPar le Dr William Makis
Recherche mondiale,
9 janvier 2024
Chaque année, 25 000 Australiens subissent un arrêt cardiaque.
« 90 % de ces 25 000 ne survivront pas ». (Dre Elizabeth Paratz – Baker Heart & Diabetes Institute »)
"Si vous êtes jeune, il est plus probable qu'AUCUNE RÉPONSE NE SERA TROUVÉE."
Communiqué de presse de l'Australian Heart Foundation du 22 décembre 2023 :
Des scientifiques australiens vont créer le plus grand registre au monde des décès par arrêt cardiaque soudain dans le but de résoudre l'un des mystères les plus insaisissables et les plus effrayants des maladies cardiovasculaires.
En commençant par Victoria, les travaux, soutenus par la Heart Foundation et dirigés par le Dr Elizabeth Paratz du Baker Heart and Diabetes Institute, combineront et examineront les données sur les arrêts cardiaques de deux grandes bases de données existantes.
Le nouveau super-registre, nommé CODEX-SD, qui relie les données des ambulances et des données médico-légales, donnera pour la première fois aux chercheurs un aperçu plus approfondi des causes des arrêts cardiaques soudains et des mesures qui pourraient être prises pour les arrêter.
La base de données fournira un endroit unique pour enregistrer les données nationales sur les arrêts cardiaques afin d'aider également les chercheurs à examiner les maladies rares , à identifier les tendances et à mieux comprendre les expériences cardiaques des populations sous-représentées.
Le Dr Paratz a déclaré que le CODEX-SD aidera les chercheurs à identifier les travaux supplémentaires qui doivent être effectués pour percer les mystères génétiques qui ont fait de l'arrêt cardiaque soudain l'une des principales causes de décès chez les personnes âgées de 50 ans et moins en Australie.
Un arrêt cardiaque se produit lorsque le cœur d'une personne cesse soudainement de pomper efficacement le sang dans tout le corps et peut survenir n'importe où, n'importe quand, et est souvent mortel sans l'intervention immédiate et appropriée de personnes présentes.
Chaque année en Australie, 25 000 personnes subissent un arrêt cardiaque hors de l'hôpital et, dans environ 30 à 40 % des cas, les médecins ne peuvent pas en expliquer la cause.
"Il existe très peu d'autres conditions comme celle-là, dans lesquelles, à la fin d'enquêtes approfondies, nous retournons auprès de la famille et disons qu'il n'y a aucune raison claire pour laquelle cet événement tragique s'est produit ", a déclaré le Dr Paratz.
« Ce manque de clôture rend la tâche incroyablement difficile pour les familles, mais le fait de ne pas savoir qui d'autre pourrait être à risque dans la famille ajoute une autre couche de détresse.
RépondreSupprimer« 90 % des personnes victimes d'un arrêt cardiaque soudain décèdent. Si nous parvenons à améliorer ces statistiques – et nous devons le faire – un avantage, et le plus important, est que nous aurons de meilleures chances de garder les familles unies. ," dit-elle.
Bryan Maris ; Super en forme, super en bonne santé et cycliste de qualité A
Le registre bénéficie du plein soutien de Jessica Maris, qui a tragiquement perdu son mari Bryan à 31 ans à la suite d'un arrêt cardiaque soudain.
Bryan était en super forme, en très bonne santé et était un cycliste de qualité A.
Tôt un matin de janvier, Jessica nourrissait leur fille de trois mois, Avie Rose, lorsqu'elle a entendu un bruit dans la chambre.
«Cela ressemblait à une toux de Bryan, j'ai appelé Bryan mais il n'y a pas eu de réponse, alors quand j'ai fini de nourrir Avie, je suis allé dans notre chambre et Bryan était au lit ; avec ses bras levés à côté de sa tête, dans un angle d'étranglement », a déclaré Mme Maris.
« J'ai donné un coup de coude à Bryan, mais il n'a pas répondu. Il ne bougeait pas et ses lèvres étaient légèrement bleues, alors j'ai appelé une ambulance.
Malheureusement, Bryan n'a pas pu être réanimé.
La famille Maris a depuis appris qu'il était probable que Bryan souffrait du syndrome de Brugada ; une condition qui peut provoquer des battements cardiaques rapides et irréguliers pouvant entraîner un évanouissement ou, dans les cas graves, un arrêt cardiaque.
Bryan Maris est décédé dans son sommeil le 4 janvier 2015 .
Mon avis…
Il s’agit d’un effort considérable et très bien financé visant à normaliser les lésions cardiaques et les morts cardiaques subites liées au vaccin à ARNm contre la COVID-19.
Une fois leurs excuses prêtes, ils demanderont à la structure médicale dominante (la plus grande base de données au monde, des experts en cardiologie) de vendre leurs mensonges aux familles des victimes.
Qui va remettre en question la plus grande base de données mondiale sur les morts subites d’origine cardiaque et ses experts ?
Notez que dans la vidéo ci-dessus ainsi que dans le communiqué de presse, ils n'utilisent pas un cas récent de mort cardiaque subite.
RépondreSupprimerAu lieu de cela, ils utilisent le cas de Bryan Maris (un cycliste professionnel) de 2015.
Pourquoi évitent-ils d’utiliser un cas récent ? Parce que tout le monde demanderait si cette personne était vaccinée contre le COVID-19.
Étant donné que ce projet fait partie d’une tentative préméditée visant à dissimuler les morts cardiaques subites induites par le vaccin à ARNm COVID-19, ce qui en soi est un crime, toutes les personnes impliquées dans ce projet devraient faire face à des accusations criminelles et à une très longue peine de prison.
https://www.globalresearch.ca/australia-building-world-largest-sudden-cardiac-arrest-registry-solve-mystery-covid-19-mrna-vaccine-sudden-cardiac-deaths/5845476
Le pathologiste Arne Burkhardt révèle les graves dangers des vaccins à ARNm
RépondreSupprimerPar le Dr Arne Burkhardt et Taylor Hudak
Recherche mondiale,
9 janvier 2024
« L’autopsie n’est pas seulement un service rendu aux médecins responsables du patient, mais c’est un service public pour notre système de santé. » – Prof. Dr Arne Burkhardt
De nombreux cas de mort subite et de maladies graves ont été signalés depuis le déploiement des vaccins génétiques contre la COVID-19. Dès le début, plusieurs médecins et scientifiques ont averti que les vaccins contre la COVID entraîneraient plusieurs complications, notamment des maladies auto-immunes, des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux, etc. De plus, les données du Vaccine Adverse Event Reporting System, ou VAERS, ont montré une forte corrélation entre les vaccins et les événements indésirables. Mais comment déterminer dans un cas individuel que le vaccin est la cause du décès ou de l’événement indésirable ? C'est par pathologie.
L’un des premiers pionniers des enquêtes pathologiques sur les effets indésirables des vaccins a été le professeur Arne Burkhardt , un pathologiste allemand chevronné et hautement accompli. Le professeur Burkhardt a quitté sa retraite en 2021 pour examiner le matériel d'autopsie et de biopsie de patients vaccinés. Les travaux du professeur Burkhardt ont non seulement fourni des preuves solides de la causalité du vaccin, mais ils ont également étayé les hypothèses médicales professionnelles des médecins et des scientifiques du monde entier.
Le journaliste Taylor Hudak a interviewé le professeur Burkhardt dans son laboratoire de Reutlingen, en Allemagne, peu avant sa mort en mai 2023. Le professeur Burkhardt explique en détail plusieurs de ses découvertes ainsi que les mécanismes de test qu'il utilise. De plus, il partage son point de vue sur le secteur de la santé publique et sur la science universitaire et médicale, ainsi que sur ce qui le motive à faire ce travail.
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https://www.globalresearch.ca/pathologist-arne-burkhardt-revealing-grave-dangers-mrna-vaccines/5845573
Le nombre de doses injectées d’ARNm covid en 2023 en France divisé par 40: la surmortalité recule à la différence des pays qui piquousent toujours
RépondreSupprimerle 10 janvier 2024
par pgibertie
La France a deux fois moins injecté de boosters que l’Angleterre et le Japon ou Singapour, elle n’est pas le bon élève portugais… Mais elle ne connait plus de surmortalité importante à la différence des autres et de l’année 2022. La mortalité covid écartée ainsi que les évolutions démographiques comment expliquer cette évolution de la surmortalité en corrélation complète avec le nombre de doses ARNm injectées
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Pourquoi la France refuse t elle de communiquer les statistiques de mortalité toutes causes en fonction du statut vaccinal covid ?
Existe t il un lien entre injections de thérapies géniques contre la covid et la mortalité ?Nous nous sommes interrogés en 2021 et 2022 sur l’explosion de la surmortalité en période d’injections. Nous savons que l’immense majorité des effets secondaires interviennent dans les six mois
Difficile de dissimuler l’effondrement des injections en France en 2023. La surmortalité doit donc normalement se réduire et si c’est le cas nous aurions une preuve de plus de la responsabilité des injections dans les décès
Se pose la question de l’impact particulier des rappels (boosters) les Français les ont boudés depuis le début. Quatre pays indiquent actuellement une très forte mortalité et sont plus vaccinés que la France. Une simple coincidence ?
1Rappel 2022 les Français sont bourrés de spike vaccinale , étrange surmortalité
Il y a un an 31 décembre 2022 les français étaient bourrés de protéine spike vaccinale et pour cause en 2022, 30 millions de doses ont été injectées et elles s’ajoutaient aux 124 millions de l’année précédente
Pour 2022 à population comparable les chiffres britanniques sont identiques à ceux de la France
Précisons qu’en 2022 qu’ entre 86 % et 94% des plus de 65 ans avaient reçu au moins une injection de rappel..
L’année 2022 fut faste pour les marchands d’ARNm…
Coincidence … la surmortalité alors que la covid a disparu
Analyse d’une tragédie : Les injections ne sont pas les seules responsables de la surmortalité mais les autres causes possibles renvoient à des erreurs politiques , trois ans de fautes,150 000 vie perdues trop tôt en France
Publié le 1 février 2023 par pgibertie
Trois années après le déclenchement de la crise du Covid-19, le sociologue et directeur de recherche au CNRS Laurent Mucchielli estime que “les leçons n’ont pas été tirées”, le débat ayant été surplombé par d’autres événements comme la guerre en Ukraine et … Lire la suite →
RépondreSupprimerLA FRANCE EST ELLE AUSSI TOUCHÉE PAR LA SURMORTALITÉ VACCINALE DE 10% DEPUIS PLUSIEURS MOIS; mais les journalistes n’en parlent que pour juillet pour accuser la canicule
Publié le 5 septembre 2022 par pgibertie
Initialement publié sur LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE :
Désolé les rigolos de l’info, les piquouzes, pas la canicule ou si peu Depuis le début des campagnes de vaccination la France connait une vague de surmortalité toutes causes confondues de 10%…
LA FRANCE EST ELLE AUSSI TOUCHÉE PAR LA SURMORTALITÉ VACCINALE DE 10%DEPUIS PLUSIEURS MOIS; mais les journalistes n’en parlent que pour juillet pour accuser la canicule
Publié le 4 septembre 2022 par pgibertie
Désolé les rigolos de l’info, les piquouzes, pas la canicule ou si peu Depuis le début des campagnes de vaccination la France connaît une vague de surmortalité toutes causes confondues de 10% si l’on compare à 2019 C ‘EST PIRE … Lire la suite →
2 EN 2023 les Français boudent les injections et coincidence, la mortalité recule
En 2023 le nombre de doses injectées est tombé très très bas 500 000 sur les six premiers mois contre 20 millions un an avant! UNE DIVISION PAR QUARANTE.
Les Anglais se font allègrement piquouzer même si ça recule : 5 millions de doses sur la même période dix fois plus que les Français
Les plus de 65 ans
.En 2023 ils ne seraient plus que 30 % à se faire injecter contre 70 % en Angleterre et 90 % l’année précédente
Nous avons les lamentations de Nicolas Berrod:
La part de personnes âgées d’au moins 65 ans ayant reçu un vaccin #Covid cet automne/hiver va certainement plafonner à près de 30%. A titre de comparaison par rapport au « champion » européen en la matière, c’est beaucoup moins qu’en Angleterre (environ 70%)
La question des boosters deux fois plus de doses de boosters injectées en Angleterre qu’en France
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Mais que se passe t il alors pour la mortalité ?
RépondreSupprimerDu 1er au 24 décembre 2023, 621 788 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 5 janvier 2024, soit un niveau un peu plus élevé que celui de 2019 (+ 3,5 %, soit + 20 897 décès) et nettement inférieur à celui de 2022 (- 5,6 %, soit – 36 632 décès). Ce nombre est toutefois encore provisoire.
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VACCCXXXXINS: les Japonais indemnisent, les Anglais tombent comme des mouches , en France, le ministre ne sait même pas lire les notices Pfizer
Publié le 8 novembre 2023 par pgibertie
En France les journalistes et les politiques bloquent toujours la porte de l’escalier et la Vérité ne peut monter. On a même vu le ministre mentir , incapable, comme les juges de la Cour de Justice de la République de … Lire la suite →
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3°) Une relation quasi proportionnelle entre le nombre de doses injectées et la surmortalité
Je vous invite à comparer ces deux documents:
Le premier montre le nombre de doses pour 100 habitants depuis le début 2022
Le deuxième déja publié indique la surmortalité 2023 et le taux de vaccination .
https://stats.oecd.org/index.aspx?quereyid=104676#
Les deux se complètent
La surmortalité non covid 2023est à plus de 10% au Canada
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https://pgibertie.com/2024/01/10/le-nombre-de-doses-injectees-darnm-covid-en-2023-en-france-divise-par-40-la-surmortalite-recule-a-la-difference-des-pays-qui-piquousent-toujours/
Près de la moitié de tous les cas de COVID aux États-Unis sont cette nouvelle variante
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
10 janvier 2024
La dernière variante du SRAS-CoV-2, JN.1, a été détectée pour la première fois aux États-Unis en septembre 2023. À la mi-décembre, elle représentait environ la moitié de tous les cas de COVID dans le pays1, et les appels pour obtenir les dernières « mises à jour » « Le tir du COVID a repris. Les cas associés à ce variant sont également en augmentation au Royaume-Uni, en Chine et en Inde.2
Selon les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, la propagation rapide du JN.1 suggère qu’il pourrait être plus transmissible et/ou avoir de plus grandes capacités d’évasion immunitaire :3
« JN.1 est similaire à BA.2.86 mais possède une mutation supplémentaire (L455S) dans la protéine Spike. JN.1 continue de provoquer une part croissante des infections et constitue désormais la variante la plus largement diffusée aux États-Unis.
Pour les deux semaines se terminant le 23 décembre 2023, JN.1 devrait représenter 39 à 50 % de toutes les variantes du SRAS-CoV-2. Cela représente une augmentation par rapport à la prévalence projetée il y a deux semaines, de 15 à 29 %.
Nous constatons également une part croissante des infections causées par JN.1 chez les voyageurs, les eaux usées et la plupart des régions du monde. La croissance continue de JN.1 suggère que le variant est soit plus transmissible, soit plus efficace pour échapper à notre système immunitaire que les autres variants en circulation.
JN.1 n’est pas associé à une maladie plus grave
Le CDC souligne cependant que JN.1 ne semble pas causer une maladie plus grave que n’importe laquelle des autres variantes que nous avons observées au cours des deux dernières années, dont la plupart n’ont provoqué que des symptômes du rhume. Le New York Times a même noté :4
« D'après les experts, JN.1 ne semble pas causer de maladie grave chez la plupart des autres personnes, même si même un cas bénin peut quand même vous faire sentir « assez malheureux pendant trois ou quatre jours », a déclaré le Dr [William] Schaffner. [spécialiste des maladies infectieuses au centre médical de l'université Vanderbilt] a déclaré.
Les symptômes d’une infection JN.1 sont similaires à ceux provoqués par les variantes précédentes du COVID, notamment une toux, de la fièvre, des courbatures et de la fatigue… JN.1 restera très probablement la version dominante du coronavirus jusqu’au printemps, a déclaré le Dr Schaffner. »
RépondreSupprimerSelon les données de l’Office britannique des statistiques nationales, les symptômes les plus fréquemment signalés chez les patients atteints de COVID-19 en décembre 2023 étaient les suivants :5,6
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Parmi ceux-ci, les seuls symptômes qui peuvent être considérés comme « nouveaux » sont les problèmes de sommeil et l’inquiétude/l’anxiété, qui pourraient facilement être la conséquence naturelle d’avoir passé les quatre dernières années bombardées de propagande basée sur la peur à propos du COVID.
La vaccination de masse pendant une pandémie active est un désastre
Malgré trois années de preuves du contraire, le CDC insiste toujours sur le fait que les vaccins existants constituent le meilleur moyen de se protéger contre le JN.1. Dans la vidéo ci-dessus, le vaccinologue Geert Vanden Bossche, Ph.D., discute des défis liés au contrôle de la transmission avec les vaccins, car même avec la technologie de l'ARNm, nous poursuivons toujours le virus.
Son CV comprend des travaux avec GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals et la Fondation Bill & Melinda Gates. Comme certains d’entre vous s’en souviennent peut-être, en 2021, Vanden Bossche7 a publié une lettre ouverte8 à l’Organisation mondiale de la santé dans laquelle il prévenait que la mise en œuvre d’une campagne mondiale de vaccination de masse au plus fort de la pandémie pourrait créer un « monstre incontrôlable » où la pression évolutive forcerait l’émergence de nouvelles mutations potentiellement plus dangereuses.
« Il ne fait aucun doute que la poursuite des campagnes de vaccination de masse permettra à de nouveaux variants viraux plus contagieux de devenir de plus en plus dominants et, à terme, d’entraîner une augmentation spectaculaire des nouveaux cas malgré l’amélioration des taux de couverture vaccinale. Il ne fait aucun doute non plus que cette situation conduira bientôt à une résistance totale des variants en circulation aux vaccins actuels », écrit Vanden Bossche.9
Son avertissement est tombé dans l’oreille d’un sourd, mais les preuves montrent clairement qu’il était sur la bonne voie. De plus en plus, les variantes ont muté pour échapper à l’immunité naturelle et par injection, ceux qui ont reçu les vaccins contre le COVID courent désormais un risque d’infection plus élevé que leurs pairs non vaccinés.
Les vaccins COVID génèrent des mutations potentiellement dangereuses
RépondreSupprimerComme l’explique Vanden Bossche, les vaccins contre le COVID ont produit dès le début une mauvaise réponse immunitaire, ce qui conduit inévitablement à une évasion immunitaire. En résumé, lorsque vous vaccinez contre une variante, en l’occurrence la souche originale de Wuhan, votre système immunitaire produira des anticorps contre cette souche.
Lorsque votre système immunitaire est ensuite frappé par une deuxième variante – comme c’est le cas lorsque le vaccin est en retard – il sera trop concentré sur la souche d’origine, ce qui permettra à la deuxième souche de passer à travers ses défenses.
L’inquiétude de Vanden Bossche concerne désormais la possibilité de variantes capables de provoquer des symptômes plus graves. Nous ne l’avons pas encore vu, mais comme il le note dans cette interview, les mutations ne se limitent plus aux domaines conservés partagés par de nombreuses variantes, mais se retrouvent également dans d’autres protéines virales, dont certaines peuvent renforcer l’infection.
Il poursuit en expliquant un concept de vaccinologie appelé « recentrage immunitaire », qui permet de créer des virus plus dangereux. Le recentrage immunitaire se produit lorsque vous avez une infection vaccinale, ce qui signifie que le vaccin n’a pas produit suffisamment d’anticorps neutralisants pour bloquer le virus. Ceci est également connu sous le nom de « vaccin qui fuit ».
L’infection révolutionnaire stimule la production d’anticorps précédemment induits, vous donnant des titres très élevés. Et, bien qu’ils aient une très faible capacité neutralisante, leur grand nombre peut néanmoins avoir un certain effet neutralisant, quoique de courte durée, sur le virus.
Pendant que les anticorps ont cet effet neutralisant, ils se lient aux épitopes dominants (un épitope est la partie de l'antigène qui est reconnue par votre système immunitaire), et ce faisant, les épitopes sous-dominants qui sont normalement supplantés par les dominants. peut maintenant être reconnu par votre système immunitaire.
En continuant avec les rappels, nous accélérons la fuite immunitaire. Au fil du temps, les variantes échapperont de mieux en mieux à nos réponses immunitaires, et ceux qui continuent à prendre des rappels seront les plus vulnérables à l’infection de tous.
Le problème est qu’une fois que ces anticorps commencent à perdre leur capacité neutralisante, ils deviennent sous-neutralisants, ce qui permet la propagation de variants plus infectieux. Les injections d’ARNm rendent le recentrage immunitaire d’autant plus probable qu’elles induisent dès le départ des anticorps ayant une faible affinité pour les épitopes immunodominants et donnent automatiquement la priorité aux épitopes sous-dominants. Voilà pourquoi, explique Vanden Bossche :
RépondreSupprimer« … après la deuxième dose de vaccin à ARNm, nous avons vu des anticorps neutralisants croisés contre plusieurs variantes différentes. Bien sûr, les fabricants et l’OMS disaient : « Oh wow, c’est génial… Nous élargissons désormais la réponse immunitaire. »
[Mais] ils n’ont pas pris en compte le fait qu’ils [sont] générant des anticorps de faible affinité et c’est pourquoi ils… évoluent très rapidement vers une sous-neutralisation, des titres sous-optimaux qui… conduisent à une évasion immunitaire.
Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que notre réponse immunitaire ne s’améliorera jamais si nous continuons ainsi. En fait, en continuant à utiliser des rappels, nous ne faisons qu’accélérer la fuite immunitaire, prévient Vanden Bossche. Au fil du temps, les variantes échapperont de mieux en mieux à nos réponses immunitaires, et ceux qui continuent à prendre des rappels seront les plus vulnérables à l’infection de tous.
C’est exactement le contraire de l’objectif de la vaccination et cela pourrait entraîner un désastre absolu en matière de santé publique, en particulier si les variantes commençaient également à muter en souches provoquant des symptômes plus graves.
Ce qui inquiète Vanden Bossche à propos de JN.1
Bien que JN.1 ne semble pas plus gênant que les variantes précédentes, Vanden Bossche s'inquiète de ce que cette variante particulière nous apprend sur les pressions immunitaires qui l'ont engendrée en premier lieu.
Les domaines neutralisants de la protéine Spike ont complètement changé par rapport à l’original. Ils sont même complètement différents de BA.2, dont est issu JN.1, comme le montre une étude de novembre 2023 dans la revue Vaccine.10
Le problème, explique Vanden Bossche, est que même si les développeurs de vaccins soulignent des titres élevés d'anticorps neutralisants contre diverses variantes (y compris JN.1) deux semaines après l'injection, ils ignorent (ou cachent) le fait que ce ne sont pas vrais. anticorps neutralisants. Vanden Bossche les qualifie de pseudo-neutralisants, car :
«… ils n'ont aucune spécificité pour l'épitope monovalent. Ils ne peuvent interagir qu’avec la présentation multimérique du Spike sur une particule virale, ou sur des agrégats viraux, et donc leur effet neutralisant est très limité dans le temps, et c’est… ce que nous dit JN.1.
RépondreSupprimerJN.1 est bien en soi, mais il nous dit quelque chose d’extrêmement inquiétant. Cela nous dit, en gros, que les populations hautement vaccinées ont… fait progresser leurs anticorps vers des agrégats stabilisants qui sont désormais principalement absorbés par les cellules présentatrices d’antigènes et contribuent à l’atténuation de l’infection, car même les vaccinés [les vaccinés] qui sont régulièrement exposés n’ont pas d’anticorps. symptômes graves…
La grande majorité des personnes régulièrement exposées présentent encore des symptômes relativement légers, donc l'atténuation de la maladie s'explique désormais par les cellules T cytotoxiques qui vont abroger l'infection, ou tuer les cellules infectées… C'est une autre façon d'atténuer l'infection, qui conduit… des variantes plus contagieuses comme JN.1…
Nous voyons que JN.1 se propage comme une traînée de poudre. Il a rapidement dépassé tous les variants cocirculant dans le monde… Deuxièmement, nous constatons une très nette augmentation des cas d’hospitalisation, de maladies graves et de décès… dans plusieurs pays européens…
Mais le plus intéressant, quand on regarde les changements dans JN.1… il y a quelque chose d’extrêmement spectaculaire. Pour la première fois, les mutations ne se limitent plus aux domaines conservés… ceux qui sont partagés entre plusieurs variantes différentes. Les mutations observées dans JN.1… sont très rares.
Nous constatons également un certain nombre de mutations qui ne sont même plus spécifiques aux pics. Ils sont localisés dans d’autres protéines virales, et ces mutations ont un effet favorisant l’infection… Elles favorisent par exemple l’efficacité de la synthèse des protéines virales, ou elles favorisent l’efficacité de la réplication virale intracellulaire…
Ce que je vois, c'est que JN.1 est le résultat d'une pression immunitaire sur le virus. Une pression immunitaire qui… s’est éloignée très clairement du ciblage des épitopes communs partagés entre plusieurs variantes différentes… et elle s’est éloignée du ciblage des épitopes qui se trouvent dans le pic…
Lorsque vous mettez toutes ces choses ensemble, vous pouvez maintenant clairement confirmer que… nous avons déplacé la focalisation immunitaire de la réponse humorale vers une réponse cellulaire… Ce recentrage immunitaire est piloté par des anticorps d’affinité de plus en plus faible… Cela signifie… aucun des vaccins mis à jour fonctionneront…
N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous avez une infection vaccinale, vous augmentez [les anticorps pseudo-neutralisants], mais… si cet effet stimulant n’a plus lieu, ou diminue… alors vous constaterez une diminution de ces anticorps…
Lorsque la concentration diminue… les anticorps renforçant l’infection sont un désastre, car ces anticorps renforçant l’infection sont également responsables de l’inhibition de la virulence du virus… Alors maintenant, vous allez exercer une pression immunitaire sous-optimale sur la virulence virale, et c’est ce qui se passe. .»
RépondreSupprimerLes personnes piquées courront un risque grave si le SRAS-CoV-2 devient plus virulent
En raison des mutations observées dans JN.1, Vanden Bossche prédit que nous verrons « très bientôt » des variantes plus virulentes, c’est-à-dire plus dommageables et mortelles. Si cela se produit, il est peu probable que les individus en bonne santé et non piqués soient affectés, selon Vanden Bossche, car leur première ligne de défense – leur système immunitaire inné – fonctionne toujours comme il se doit.
À mesure qu’un virus devient plus virulent, il doit généralement payer un coût de remise en forme et devient donc moins contagieux. En d’autres termes, la maladie ne se propage pas aussi facilement, mais lorsqu’elle infecte quelqu’un, elle provoque une maladie plus grave.
Vanden Bossche prédit que puisque le système immunitaire inné des personnes non vaccinées a été continuellement entraîné sur toutes ces différentes variantes, ils sont donc moins susceptibles d'être infectés, et s'ils le font, ils seront largement asymptomatiques.
En revanche, les personnes piquées, dont le système immunitaire inné n’a pas été entraîné et dont le système immunitaire adaptatif est devenu de plus en plus inutile grâce aux processus décrits par Vanden Bossche, courront un risque très élevé de complications graves et de décès.
Le vaccin à ARNm provoque des effets hors cible
Les dernières injections de COVID contiennent un seul ARN modifié qui correspondrait à la variante Omicron XBB.1.5., qui était la variante dominante aux États-Unis pendant la majeure partie de 2023, mais qui a depuis été remplacée par JN.1 et plusieurs autres variantes.
Le virus SARS-CoV-2 mute si rapidement qu'il n'y a tout simplement aucun moyen de suivre le rythme, et encore moins de le devancer, et comme expliqué ci-dessus, ce jeu de rattrapage est en fin de compte ce qui exerce la pression sur le virus pour qu'il mute, et potentiellement en une forme plus virulente.
En plus de cela, nous savons désormais également que les injections produisent des protéines non ciblées chez 25 à 30 % des receveurs et sont contaminées par de l’ADN, deux éléments potentiellement nocifs. Tant qu’ils n’auront pas résolu ces problèmes, les risques sont tout simplement inacceptables, à mon avis.
RépondreSupprimerMais même si ces problèmes étaient résolus avec succès, nous sommes toujours confrontés à une situation dans laquelle une stimulation continue accélérera les mutations qui pourraient éventuellement rendre le virus à nouveau plus mortel, du moins pour ceux qui ont pris les vaccins.
Il s’agit essentiellement d’une spirale mortelle, et la seule façon d’y mettre fin est d’arrêter de prendre des rappels. Rien n’indique que nos autorités sanitaires protégeront le public en retirant les vaccins contre la COVID-19, il incombe donc à chaque individu de simplement dire non.
Vous avez reçu le vaccin ? Agissez pour protéger votre santé
Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins et que vous avez maintenant des inquiétudes concernant votre santé, que pouvez-vous faire ? Avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID, une autre injection de thérapie génique à ARNm ou un vaccin ordinaire. Vous devez mettre fin à l’assaut contre votre système.
Si vous avez développé des symptômes que vous n’aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l’aide d’un expert. À l’heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble disposer de l’un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-piqûres. Il s’appelle I-RECOVER et peut être téléchargé depuis covid19criticalcare.com.11
Le Dr Pierre Kory, cofondateur du FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif des blessés vaccinaux. Pour plus d’informations, consultez DrPierreKory.com. Le Dr Peter McCullough étudie également les traitements post-injection, que vous pouvez trouver sur PeterMcCulloughMD.com.
Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer la protéine de pointe, dont la plupart des experts s'accordent à dire qu'elle est la principale responsable. J’en ai parlé dans mon article de 2021, « Le Conseil mondial de la santé révèle Spike Protein Detox ».
Sources and References
1, 4 New York Times December 27, 2023
2 BBC December 20, 2023
3 CDC December 22, 2023
5 ONS.gov.uk Winter Coronavirus Infection Study
6 IFL Science December 30, 2023
7 Voices for Science and Solidarity Substack
8, 9 geertvandenbossche.org Letter to the WHO March 6, 2021 (PDF)
10 Vaccine November 13, 2023; 41(47): 6904-6909
11 Covid19criticalcare.com
https://www.lewrockwell.com/2024/01/joseph-mercola/nearly-half-of-all-u-s-covid-cases-are-this-new-variant/
La France abandonne Renewables Target et revient au nucléaire, risquant ainsi le statut de paria mondial
RépondreSupprimerPar Jo Nova
January 10th, 2024 |
Dans un geste radical, le gouvernement français a discrètement abandonné ses objectifs en matière d'énergies renouvelables de son projet de loi sur l'énergie, risquant d'être considéré comme un perdant démodé dans les clubs de ski milliardaires. Le pays qui, il y a quarante ans, a construit 56 réacteurs nucléaires en 15 ans a décidé qu’il lui suffisait de construire 6 à 14 nouvelles centrales nucléaires supplémentaires pour atteindre le « net zéro » d’ici 2050. Cela le met en danger d’être l’un des seuls pays à sur Terre qui pourraient atteindre leur cible.
Ceci, bien sûr, est terrible pour l’industrie des énergies renouvelables, car cela risque de révéler la frivolité gratuite et la nature totalement superflue des parcs éoliens et solaires subventionnés. Si la France peut y parvenir sans l’abattage des oiseaux, le travail des esclaves et les bombes au lithium, presque partout ailleurs, c’est possible.
C’est un grand changement par rapport à 2014, lorsque la France visait à réduire l’énergie nucléaire à seulement 50 % d’ici 2025.
Comme le dit NetZeroWatch, c’est une victoire :
La France abandonne ses objectifs en matière d’énergies renouvelables et donne la priorité au nucléaire dans sa nouvelle facture énergétique
Le texte proposé, qui devrait être présenté au cabinet au début du mois prochain puis soumis aux législateurs, réaffirme l’engagement de la France en faveur de l’énergie nucléaire pour garantir la « souveraineté énergétique ».
La France veut donc une « sécurité énergétique » par opposition à un esclavage énergétique où les nations espèrent que leurs ennemis seront gentils avec elles lorsqu’ils auront froid.
Le texte proposé affirme « le choix durable d’utiliser l’énergie nucléaire comme source d’électricité compétitive et sans carbone », et vise la construction d’au moins six mais jusqu’à 14 nouveaux réacteurs pour réussir la transition vers une énergie propre et répondre aux changements climatiques. changer d'objectif.
Les militants pour le climat (également connus sous le nom de vendeurs d’énergies renouvelables) se nouent alors que la France résout le non-problème du net zéro sans leurs technologies socialistes de prédilection.
"C'est un terrible retour en arrière", estime Arnaud Gosse, avocat spécialisé en droit de l'environnement.
« Si l’on se contente de quantifier le nucléaire, on ne connaît pas la part des énergies non renouvelables. En conséquence, le nucléaire devient prioritaire et, en fonction des besoins de couverture restants, les énergies non renouvelables feront l'objet de (futurs) décrets flottants. Ce n’est plus un mélange », a déclaré Gosse.
RépondreSupprimerSeigneur, aide-nous tous, « ce n’est plus un mélange », quel désastre, et quelques avocats de l’environnement pourraient se retrouver au chômage.
En fin de compte, l’énergie renouvelable est gratuite, propre et moins chère que tout ce qu’on nous dit, mais d’une manière ou d’une autre, le gouvernement doit encore forcer les gens à l’utiliser et à fixer des objectifs, sinon personne ne la construira. Les masses non lavées doivent être trop stupides.
Comme le souligne l’Association nucléaire mondiale :
« La France est le premier exportateur net d’électricité au monde en raison de son très faible coût de production, et en tire plus de 3 milliards d’euros par an. »
La France sauve l’Allemagne et d’autres de leurs propres expériences exorbitantes. Qui sauvera l’Australie ?
https://joannenova.com.au/2024/01/france-dumps-renewables-target-goes-back-to-nuclear-instead-risking-global-pariah-status/
L'ESCROQUERIE CONTINU !
RépondreSupprimerClimat : 2023 a été l’année la plus chaude depuis 100.000 ans !
L’année 2023 a marqué un tournant dans l’histoire de notre planète… et dans la nécessité d’agir contre le réchauffement de la planète. L’observatoire Copernicus sur le changement climatique (C3S) a annoncé la mauvaise nouvelle le 9 janvier 2024 : il n’a jamais fait aussi chaud qu’en 2023. Du moins, pas depuis…la Préhistoire !
Par Paolo Garoscio
le 10 janvier 2024 à 8h34
En 2022, le PIB mondial a chuté de 6,3% à cause du réchauffement climatique.
Les températures ont frôlé la limite de 1,5 degrés en 2023
Avec une température moyenne globale de 14,98°C, 2023 s'est imposée comme la plus chaude jamais enregistrée, surpassant le record de 2016. Cette année exceptionnelle, caractérisée par des températures dépassant de 1,48°C la moyenne de l'ère préindustrielle, nous confronte à une réalité qui n’est pas du tout un bon présage : le seuil de +1,5°C de l'accord de Paris est désormais à notre porte.
Le programme européen Copernicus sur le changement climatique (C3S) a confirmé que 2023 a été une année sans précédent. Samantha Burgess, directrice adjointe du C3S, a souligné « 2023 a été une année exceptionnelle où les records climatiques sont tombés comme des dominos ». Grâce aux archives paléoclimatiques, C3S confirme que les températures de 2023 « dépassent probablement celles de n’importe quelle période au cours des 100 000 dernières années au moins ». En somme : il n’a jamais fait aussi chaud depuis la Préhistoire, qui se termine aux alentours de 3300 avant Jésus Christ. Soit il y a environ 5.000 ans.
En 2023, ce sont des centaines de records de températures qui sont tombés
« Non seulement 2023 est l’année la plus chaude jamais enregistrée, mais c’est aussi la première année où tous les jours dépassent de plus de 1 °C la température de la période préindustrielle », a constaté Samatha Burgess. En 2023, la température moyenne mondiale a atteint 14,98 °C, soit 0,17 °C de plus qu'en 2016.
Cette augmentation est d'autant plus significative qu'elle s'est produite malgré l'absence d'un El Niño majeur pendant une grande partie de l'année. Et pour la suite, rien de bon n’est prévu. « Il est probable que sur la période de douze mois se terminant en janvier ou février 2024, on dépasse de 1,5 °C le niveau préindustriel », estime la directrice adjointe du C3S.
Climat : le pire reste à venir...
RépondreSupprimerL'année 2023, en flirtant avec la limite de 1,5°C de l'accord de Paris n’est, selon l'ONU, qu'un aperçu de ce qui pourrait advenir si des actions décisives ne sont pas prises. Or, « près de 50% des jours de l'année 2023 dépassaient de 1,5°C le niveau de 1850-1900 », affirme Copernicus. Et même plus de 2 degrés sur deux jours en novembre 2023. « Nos villes, nos routes, nos monuments, nos fermes n’ont jamais eu à gérer un climat aussi chaud », a souligné de son côté Carlo Buontempo, directeur du C3S.
En plus des températures record, 2023 a vu des phénomènes climatiques extrêmes, comme des sécheresses en Afrique et des incendies dévastateurs en Europe et au Canada. Les températures de surface de l'océan ont joué un rôle crucial dans ces anomalies atmosphériques. Les océans, absorbant 90% de l'excès de chaleur, ont également enregistré des températures record, avec un pic historique de 20,96 °C le 30 juillet 2023. Quant aux concentrations de dioxyde de carbone et de méthane, elles ont atteint des niveaux record en 2023, avec respectivement 419 ppm et 1902 ppb.
https://www.economiematin.fr/temperature-record-2023-climat-rechauffement
Ce qui est bien-sûr ENTIÈREMENT FAUX je vous rassure puisque les relevés de températures doivent s'effectuer sur la planète ENTIÈRE !
SupprimerPar exemple aux Etats-Unis les températures sont 20 DEGRÉS CENTIGRADES AU DESSOUS DES TEMPÉRATURES SAISONNIÈRES !!
Exemple: région où l'hiver il fait -10°C aujourd'hui c'est -30°C ! et là où il faisait -20°C c'est du -40°C !!
A ce stade (comme en Russie) tous les animaux meurent, les arbres meurent et le printemps il n'y a pas de feuilles ni d'oiseaux !
C'est ce que les escrocs psychopathes appellent le 'réchauffement climatique' ou 'Global Warming' !!
Les températures çà et là dans le monde se géolocalisent par des montées de chaleurs magmatiques et courants marins ou océaniques qui remontent aux côtes. Ainsi il peut faire chaud ici et froid là-bas.
Rappel que notre planète se refroidit chaque année de plus en plus.
Les modèles météorologiques fournissent des résultats incorrects pour les prévisions climatiques
RépondreSupprimer10 janvier 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
L'organisation des Nations Unies GIEC fonde ses affirmations sur le changement climatique principalement sur des modèles. Cependant, ceux-ci ne décrivent pas le passé. Ceci explique le Dr. Willie Soon, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, à propos de l'épisode actuel de Tucker Carlson : Les modèles météorologiques utilisés ne sont pas adaptés aux prévisions climatiques (voir ci-dessous). C'est également ce que montre un article de recherche de Philippe de Larminat, professeur à l'Université de Nantes en France.
Les partisans du changement climatique d’origine humaine utilisent des modèles météorologiques et des estimations non mesurées de l’activité solaire passée pour affirmer que l’homme est à l’origine du réchauffement. La réévaluation d'un scientifique (Larminat, 2023) conclut que le soleil peut influencer le climat, que la sensibilité climatique d'équilibre (ECS, 2xgaz carbonique + rétroactions) est de 1,14°C et que l'influence humaine est surestimée. La recherche, intitulée « Des modèles climatiques comportementaux et des données millénaires à la réévaluation de l'AGW » , a été publiée ici .
Larminat explique le contexte :
Ce que l’on appelle l’AGW (Anthropogenic Global Warming) est basé sur des milliers de simulations climatiques qui suggèrent que les humains sont pratiquement seuls responsables du récent réchauffement climatique. Les modèles climatiques utilisés sont dérivés des modèles météorologiques utilisés pour les prévisions à court terme. Ils sont basés sur les lois physiques fondamentales et empiriques qui contrôlent les innombrables cellules atmosphériques et océaniques intégrées grâce à l’ingénierie des éléments finis. En raison des approximations numériques, de l'empirisme et du chaos inhérent aux circulations de fluides, ces modèles sont discutables pour valider le principe anthropique étant donné la précision requise (meilleure qu'un pour mille) pour déterminer le bilan énergétique de la Terre.
Larminat résume ainsi ses résultats :
« Cependant, la répartition des contributions au réchauffement actuel dépend fortement des reconstructions de température obtenues, en particulier de l'ampleur de la période chaude médiévale et du petit âge glaciaire. Cela dépend également de la hauteur de la série d'activité solaire. De ces observations et reconstructions climatiques, il résulte que le principe anthropique ne s'applique qu'aux profils climatiques dans lesquels ne sont présentes ni anomalie climatique préindustrielle ni fluctuations significatives de l'activité solaire. Sinon, cela se réduit à un principe faible selon lequel le réchauffement climatique n’est pas seulement le résultat de l’activité humaine mais est en grande partie dû à l’activité solaire.
Parce qu'il n'y avait pas de mesures directes de l'activité solaire jusqu'à la fin des années 1970, les partisans du réchauffement climatique anthropique (AGE) s'appuient sur « un degré élevé de subjectivité (informée) », un « niveau de conviction commun aux principaux auteurs du [IPCC] existe », ainsi que des modèles solaires incertains et des hypothèses indirectes, pour conclure que le soleil n’a joué qu’un rôle négligeable dans le changement climatique. On peut ainsi affirmer que les activités humaines, notamment les émissions de gaz carbonique, sont majoritairement, voire exclusivement, responsables du réchauffement actuel.
RépondreSupprimerVoici le dernier épisode de Tucker Carlson avec Willie Soon. Le collègue Sander-Faes a rendu compte ici d'une des études du professeur Soon .
Il commence par expliquer que les hydrocarbures se trouvent sur des planètes comme Titan (dans les lacs de méthane), sur les lunes, les astéroïdes et dans l'immensité de l'espace. Ceux-ci ne sont évidemment pas d’origine « fossile ». Les hydrocarbures peuvent également être trouvés dans les profondeurs de la terre, formés à partir du méthane par la haute pression et la chaleur. Ces transformations ont été démontrées dans le laboratoire de Kutcherov et al . Le mythe sur les hydrocarbures « fossiles » et leurs limites n’est tout simplement pas vrai.
Tucker Carlson se demande si tout ce que nous disent les politiciens est également faux. C’est effectivement le cas, comme l’explique l’astrophysicien Soon. Il souligne également que le gaz carbonique est le gaz de la vie et ne présente aucun danger pour nous. Mais écoutez et voyez par vous-même :
https://tkp.at/2024/01/10/wettermodelle-liefern-falsche-ergebnisse-fuer-klimaprognosen/
(...) pour affirmer que l’homme est à l’origine du réchauffement. (...)
SupprimerBeaucoup trop CON pour être honnête. Primo, le gaz carbonique disparaît à 30,9°C, donc il ne peut être expiré par des poumons qui affichent 37°C !
Idem pour les pots d'échappement ou les cheminée d'usines.
Secundo, le gaz carbonique est un gaz froid (responsable des gelées), il se maintient au ras du sol ou des eaux où il se recycle grâce au phytoplancton.
Le gaz carbonique n’est pas un polluant : il rend le monde entier PLUS VERT, déclare un physicien théoricien et mathématicien décédé.
RépondreSupprimer01/08/2024
Ethan Huff
Bien qu'il soit décédé en 2020, le physicien théoricien et mathématicien américain d'origine britannique Freeman Dyson (1923-2020) a enseigné au monde des leçons très importantes sur le changement climatique qui persistent dans le temps, notamment le fait que le phénomène toujours redouté parmi les changements climatiques L’élément fou connu sous le nom de gaz carbonique est bon pour la planète plutôt que mauvais.
En 2015, Dyson a participé à une interview avec Conversations that Matter dans laquelle il expliquait que les nombreux modèles climatiques utilisés par les fanatiques du réchauffement climatique pour prédire l'avenir environnemental ne conviennent que pour comprendre ce que fait le climat aujourd'hui, ou ce qu'il a fait dans le passé. passé.
"Comme mesuré depuis l'espace, la Terre entière devient plus verte à cause du gaz carbonique, donc cela augmente les rendements agricoles, cela augmente les forêts et cela augmente la croissance du monde biologique - et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat", a expliqué Dyson.
Dyson, au cas où vous ne le connaîtriez pas, était un expert renommé en matière de climat. Il compte parmi les personnalités les plus célèbres de la physique du XXe siècle, ayant été le pionnier de nombreux travaux sur la théorie quantique des champs, l'astrophysique, les matrices aléatoires, la formulation mathématique de la mécanique quantique, la physique de la matière condensée, la physique nucléaire et l'ingénierie.
(Connexe : Beaucoup d'autres conviennent également que le gaz carbonique n'est pas un « polluant », mais plutôt un élément nécessaire qui maintient la planète en vie et prospère.)
Ne vous inquiétez pas : le climat ne vous fera pas de mal
En 2006, Dyson a publié un ouvrage intitulé « The Scientist as Rebel » dans lequel il remettait ouvertement en question – haletant ! – le rôle de l'activité humaine dans le réchauffement climatique et le changement climatique. Deux ans plus tard, il a participé à une interview avec Physics World dans laquelle il a essentiellement démystifié l’industrie climatique en la qualifiant d’opération d’escroquerie financière.
Selon Dyson, tout l'argent dépensé pour lutter contre le changement climatique serait mieux utilisé pour résoudre « d'autres problèmes plus urgents et plus importants tels que la pauvreté, les maladies infectieuses, l'éducation publique et la santé ». Dyson avait également précisé à l'époque que quoi qu'il arrive avec le climat, cela "ne nous fera aucun mal".
RépondreSupprimer"Il y a un changement climatique provoqué par l'homme", admettrait plus tard Dyson dans son interview de 2015 avec Conversations that Matter. "La question est de savoir combien et si c'est bon ou mauvais."
"Tout d'abord, nous ne comprenons pas les détails. C'est probablement beaucoup moins que ce qu'on prétend généralement et le plus important est que le dioxyde de carbone a d'énormes effets non climatiques qui sont extrêmement favorables [et] qui ne sont pas pris en compte. compte."
Dyson ajouterait que, d’après les mesures satellites, « la Terre entière devient plus verte à cause du dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère ».
Les travaux de Dyson sur les questions climatiques remontent à 1978, lorsqu'il a commencé à étudier les effets du gaz carbonique présent dans l'atmosphère sur la végétation. Il a découvert à l’époque que le gaz carbonique est vital pour l’agriculture, la vie végétale et toutes sortes d’autres formes de croissance dans le monde biologique.
"Et c'est plus important et plus certain que les effets sur le climat", a-t-il déclaré.
Alors que les niveaux de gaz carbonique ont augmenté d'environ 40 % depuis le moment où Dyson a commencé à l'étudier, "environ la moitié de cette somme a été consacrée à la culture de la végétation", a révélé Dyson avant son décès.
"C'est extrêmement bénéfique à la fois pour la production alimentaire mais aussi pour la biodiversité, la préservation des espèces et tout ce qui est bon."
Dyson a cité des recherches remontant encore plus loin au Japon des années 1960, lorsque l'expert climatique japonais Suki Manabe a développé le tout premier modèle climatique au monde évaluant les effets de l'augmentation du gaz carbonique sur la planète. Sur cette base, Dyson a déterminé que le modèle climatique de Manabe, ainsi que tous les autres modèles climatiques qui seraient produits par la suite, pointaient vers une chose et une seule :
"Ces modèles climatiques sont d'excellents outils pour comprendre le climat, mais ce sont de très mauvais outils pour prédire le climat."
Les dernières nouvelles sur l’arnaque manipulatrice connue sous le nom de changement climatique et de réchauffement climatique peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-01-08-co2-not-pollutant-world-greener-freeman-dyson.html
AP « non partisan » accepte un financement de 300 000 $ d’un groupe de militants pour le climat
RépondreSupprimer01/08/2024
Cassie B.
L’Associated Press (AP) a accepté un financement de centaines de milliers de dollars d’un groupe de militants pour le climat, suscitant des inquiétudes quant à la capacité du plus grand organe de presse au monde à rendre compte des questions climatiques de manière impartiale.
L’organisation en question est la Fondation KR, dont le site Internet indique que sa mission est de s’attaquer à « la crise climatique en poussant à une élimination rapide des combustibles fossiles au niveau mondial ». Conformément à l’accord de Paris sur le climat, signé par les gouvernements et soutenu par l’industrie et la société.
Bien qu’AP affirme s’engager au « plus haut degré de transparence possible » en ce qui concerne ses soutiens financiers, il n’a ajouté le groupe à sa liste de soutiens philanthropiques que ce mois-ci, bien qu’il ait reçu son financement en 2022.
Certaines des causes favorites du groupe danois à but non lucratif attaquent les institutions financières qui aident à financer des projets impliquant des combustibles fossiles, tout en soutenant « la transition vers un paradigme économique durable » et l'influence politique de ceux qui sont liés aux combustibles fossiles. objectif majeur pour faire avancer son programme climatique.
AP aurait reçu 300 000 $ du groupe. Cependant, cela ne représente qu’une petite partie de l’ensemble des fonds qu’ils ont reçus des groupes militants pour le climat. L’année dernière, ils ont admis avoir reçu plus de 8 millions de dollars de la part de militants pour le climat en annonçant la création d’une nouvelle équipe qui se concentrera sur le changement climatique.
Bien qu’AP prétende jouir d’une stricte indépendance éditoriale, un examen des titres récents publiés sur le sujet par Climate Depot révèle un parti pris plutôt manifeste et un alignement commode avec bon nombre des convictions fondamentales de la Fondation KR. Par exemple, ils ont utilisé des titres tels que « La liste des espèces menacées s’allonge de 2 000. » Le changement climatique fait partie du problème » et « Le changement climatique menace les moyens de subsistance des cholitas boliviens » au cours des deux derniers mois.
En outre, ils ont demandé dans un article : « Comment les humains ont-ils pu se rendre au bord d’un effondrement climatique ? », tandis qu’un résumé de la conférence sur le changement climatique COP28 a félicité les négociateurs pour leurs efforts visant à « sauver une planète en péril ».
RépondreSupprimerLa Fondation KR soutient plusieurs organisations dans leurs « efforts coordonnés pour éliminer progressivement les combustibles fossiles ». En 2018, elles ont fourni 488 000 $ à la Children's Radio Foundation pour former des journalistes de radio africains à servir « de militants communautaires sur le changement climatique ».
Ils ont également soutenu l’interdiction des publicités des compagnies pétrolières en Australie et financé un groupe basé en Californie, connu sous le nom de Law Students for Climate Accountability, qui fait pression sur les cabinets d’avocats pour qu’ils évitent de représenter les intérêts des combustibles fossiles.
L’évaluation du biais d’AP est passée de neutre à de gauche
L'organisme de surveillance des biais médiatiques AllSides a modifié son évaluation de l'AP de neutre à de gauche en 2022, et une enquête sur les biais aveugles de mai 2023 a confirmé cette note. En tant qu’agence de presse largement considérée comme la « référence » en matière de journalisme objectif, son service de presse lui confère une large portée, ce qui signifie qu’il devrait être capable de résister à un examen particulièrement minutieux.
AllSides note : « Lorsque AP fait preuve de parti pris politique ou ne parvient pas à décrire les événements politiques, la législation et les perspectives de manière équilibrée et impartiale, l’impact est vaste et de grande portée. Un média sur lequel s’appuient les médias de tout le pays mérite un niveau élevé d’examen minutieux en matière de parti pris politique.
Les reportages de l'AP sont lus par 4 milliards de personnes chaque jour et affirme valoriser « des reportages précis, fondés sur des faits et non partisans ».
Les sources de cet article incluent :
ClimatDepot.com
AllSides.com
FreeBeacon.com
AP.org
https://www.naturalnews.com/2024-01-08-ap-accepts-funding-climate-activist-group.html
Un groupe de gauche pour le climat « entraîne » discrètement le système judiciaire américain à être partial et partisan
RépondreSupprimer01/08/2024
Ethan Huff
Le fondement juridique des États-Unis est attaqué par le lobby climatique, qui a discrètement « entraîné », également connu sous le nom de lavage de cerveau, le système judiciaire national au sectarisme climatique.
L'Environmental Law Institute (ELI), basé à Washington, D.C., a créé un programme appelé Climate Judiciary Project (CJP) en 2018 qui a établi une ressource unique en son genre pour des « informations fiables et à jour » sur le changement climatique. litige. On nous dit que le CJP a depuis atteint non seulement les tribunaux étatiques et fédéraux, mais aussi de puissantes cours d’appel.
L'objectif du CJP est d'endoctriner les juges du pays dans des concepts tels que « justice climatique » et « équité » qui vont à l'encontre de la Constitution des États-Unis et des droits et libertés qui y sont reconnus.
ELI est décrit par FOX News comme une « organisation de défense judiciaire peu connue » financée par des « organisations à but non lucratif de gauche ». Il existe pour transformer ce qui était initialement conçu pour être un appareil non partisan en un appareil partisan d’extrême gauche qui respecte les doctrines du changement climatique et du réchauffement climatique, la nouvelle religion de gauche.
"Lorsque vous avez un groupe de personnes qui ne croient pas aux valeurs fondamentales de l'Amérique, voilà ce que vous obtenez : une opération secrète visant à transformer ce qui devrait être un appareil impartial et non partisan en un appareil partial et partisan", écrit Olivia. Murray pour le penseur américain. "Lorsque les tribunaux deviennent un instrument pour faire avancer un programme, cela constitue une grave atteinte au droit d'une personne ou d'une partie à un arbitre impartial et cette évolution est naturellement alarmante."
« Lorsque les esprits judiciaires reçoivent une « formation discrète » en pseudo-science pour garantir que la « justice climatique » et « l'équité » sont prises en compte, la menace de décisions partiales augmente, et les lois inconstitutionnelles, ainsi que les règles et mandats bureaucratiques deviennent « légaux » malgré tout. , raison ou autorité pour soutenir leur mise en œuvre.
(Connexe : Certaines régions du pays se préparent déjà à un avenir marqué par des « catastrophes » climatiques qui nécessiteront des confinements gouvernementaux à grande échelle afin de les gérer de manière durable.)
La « science » du climat est une mythologie radicale enracinée dans la peur et la paranoïa
Au cours des cinq années qui ont suivi sa création, le CJP aurait créé 13 « modules de programme » différents et organisé toutes sortes d'événements au cours desquels ils ont été présentés à « plus de 1 700 juges ».
Sur son site Internet, ELI explique que son CJP existe pour aider les juges à mieux considérer les « questions scientifiques et juridiques complexes » liées au changement climatique et au réchauffement climatique. Le programme vise à « répondre au besoin des juges de se familiariser de base avec les méthodes et les concepts de la science climatique », indique le groupe.
RépondreSupprimerSelon ELI, la science du climat « se développe rapidement », d'où la nécessité de toute cette « formation » au sein du système judiciaire. En d’autres termes, la science n’est pas tranchée sur la question comme elle l’est pour d’autres concepts comme la vie commençant dès la conception ou le fait qu’il n’y a que deux genres : masculin et féminin.
"Je me demande comment nous pouvons nous attendre à ce que ces décisions sur les cuisinières à gaz se déroulent ?" demande Murray. "Qu'en est-il lorsque le gouvernement tyrannique impose une limite aux "émissions de carbone" à tous les sujets américains ? Et lorsque la bureaucratie fédérale supprime les éléments de chauffage et de refroidissement de nos maisons ?"
« Que se passera-t-il si les législateurs dictent que les chaînes d'épicerie ne peuvent vendre qu'une quantité limitée de bœuf – ou pas du tout ? Ces actions illégales seront-elles maintenues ? Eh bien, probablement oui, car un pouvoir judiciaire « formé » sera là pour gouverner. 'La bonne façon."
Un commentateur d’un article sur le petit projet climatique d’ELI a écrit que le gauchisme, à son avis, « ne disparaîtra pas tout seul ». Cela signifie que les patriotes de la nation doivent « la détruire en la lançant dans la stratosphère ».
"Toute atteinte à notre liberté par ces pratiques arbitraires de gauche doit être dénoncée et mise à la porte", a encore écrit cette personne. "Révolution s'il le faut; jamais capitulation."
Les dernières nouvelles sur la secte climatique et ses efforts pour contrecarrer le système de justice pénale peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
AmericanThinker.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-01-08-leftist-climate-group-training-judiciary-biased-partisan.html
Froid : faites attention à vos smartphones !
RépondreSupprimerL’hiver est bien là. Le froid n’épargne pas les batteries de nos smartphones
et voitures électriques.
Voici les bons gestes à adopter pour éviter quelques ennuis !
Par Grégoire Hernandez
e 9 janvier 2024 à 11h00
Le froid pourrait complètement stopper vos appareils
Le froid est un simple désagrément pour certains, mais il peut être aussi un immense bonheur pour d'autres. Ce n'est en tout cas pas une très bonne chose pour nos appareils. Les batteries lithium-ion, présentes dans la plupart de nos smartphones, mais aussi dans les voitures électriques, sont particulièrement vulnérables au froid. Lorsque le mercure chute, une réaction chimique moins efficace dans ces batteries entraîne une baisse soudaine de leur performance. Résultat ? Une autonomie réduite et, dans certains cas extrêmes, un arrêt complet de l'appareil. Ce ne serait vraiment pas de chance.
Les smartphones, qui nous accompagnent pour beaucoup dans notre quotidien, souffrent particulièrement du froid. Leur autonomie peut se réduire de moitié quand la température passe sous zéro. Les voitures électriques ne sont pas épargnées : elles peuvent même se retrouver immobilisées. Ces cas sont déjà arrivés lors des périodes de grand froid aux États-Unis et en Russie. Heureusement, ces effets sont réversibles. Une fois revenus à une température normale, entre 0 et 30°C, les appareils retrouvent leur performance habituelle.
Ne pas les exposer permet d'éviter des dépenses coûteuses
Il existe des astuces simples pour minimiser l'impact du froid sur nos appareils. Pour les smartphones, les garder au chaud, comme dans une poche près du corps, peut aider. Des housses isothermes sont également une bonne option. Quant aux voitures électriques, les garer dans un endroit tempéré et éviter de les laisser dehors par grand froid peut préserver leur batterie.
Au-delà de la baisse immédiate de performance, le froid peut aussi affecter la longévité des batteries. Les cycles répétés d'exposition à de basses températures peuvent accélérer le vieillissement des batteries à lithium-ion. Cela signifie que nos appareils pourraient nécessiter des remplacements de batterie plus fréquents s'ils sont beaucoup exposés au froid, augmentant ainsi les coûts à long terme et l'impact environnemental. Il est donc très important de protéger nos appareils non seulement pour préserver leur autonomie quotidienne, mais aussi pour garantir leur durabilité sur le long terme.
https://www.economiematin.fr/froid-smartphone-voiture-electrique
(...) Quant aux voitures électriques, les garer dans un endroit tempéré et éviter de les laisser dehors par grand froid peut préserver leur batterie. (...)
SupprimerHAHAHA !
RépondreSupprimerL'ONU réclame 150 000 milliards de dollars pour lutter contre le changement climatique
9 janvier 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
L’Organisation des Nations Unies (ONU) exige que les contribuables du monde entier collectent la somme colossale de 150 000 milliards de dollars pour lutter contre le « changement climatique d’origine humaine ». L'ONU a formulé ces exigences dans un nouveau rapport publié par son Département des Affaires économiques et sociales.
L'organisation affirme que les gouvernements du monde doivent s'engager à transférer 5,3 billions de dollars par an à l'ONU, ce qui, comme l'OMS, modifiera complètement sa fonction et sa mission.
Selon le rapport, l’ONU a besoin de 150 000 milliards de dollars pour sauver la planète du « réchauffement climatique » et atteindre les objectifs de l’« Agenda 2050 » du Forum économique mondial (FEM). Dans son rapport sur la situation économique mondiale et ses perspectives pour 2024, l'ONU réitère ses 17 objectifs de développement durable. Les « Objectifs de développement durable » font pour ainsi dire la une des journaux.
Ces objectifs largement critiqués sont souvent utilisés comme source d'inspiration pour la législation de nombreux pays occidentaux sur la diversité, l'égalité et l'inclusion, ainsi que pour les politiques liées au changement climatique.
Les 17 objectifs comprennent « l'égalité des sexes », « des villes et des communautés durables » et « une bonne éducation ». Sont également inclus « Énergie abordable et propre » et « Politique climatique ». Dans ces catégories, les Nations Unies proposent des sommes astronomiques pour atteindre leurs objectifs.
Un bref aperçu des mesures proposées résume les mensonges souvent répétés sur l’évolution du climat :
« L’année 2023 a été marquée par des conditions météorologiques extrêmes, notamment l’été le plus chaud depuis 1880, qui a entraîné des incendies de forêt, des inondations et des sécheresses dévastatrices dans le monde entier. Ces événements ont des impacts économiques immédiats, tels que des dommages aux infrastructures, à l'agriculture et aux moyens de subsistance.
Des études prédisent des pertes importantes pour l’économie mondiale en raison du changement climatique. Certaines estimations suggèrent un déclin possible du PIB mondial d’environ 10 % d’ici 2100, compte tenu d’événements tels que l’effondrement de la banquise du Groenland. D’autres modèles suggèrent que sans atténuation du réchauffement climatique, le revenu mondial moyen pourrait être inférieur de 23 % d’ici 2100. Le GIEC estime que les pertes du PIB mondial d’ici 2100 dues aux seuls impacts de la température pourraient se situer entre 10 et 23 %.
RépondreSupprimerCe sont essentiellement les mêmes méthodes qui ont été utilisées pour justifier la « pandémie » et la campagne de vaccination au cours des quatre dernières années. Jusqu’à présent, les modèles relatifs au Covid et au climat se sont révélés systématiquement erronés.
Les objectifs climatiques de l'organisation sont appelés « financement climatique mondial », qui, selon l'organisation, aura atteint la somme colossale de 803 milliards de dollars par an en 2020. Il s'agirait d'une augmentation de 12 % par rapport aux années précédentes.
Mais quelques années plus tard, les bureaucrates de New York ont décidé que ce chiffre était loin d’être suffisant. Le rapport indique que cette somme énorme n’est « toujours pas suffisante pour limiter le réchauffement ».
« Les flux financiers liés aux combustibles fossiles dépasseront le financement climatique destiné à l’adaptation et à l’atténuation en 2020 », prévient le rapport. Le rapport complet révèle le véritable chiffre : environ 150 000 milliards de dollars d’ici 2050. « Cela équivaut à 5 300 milliards de dollars par an pour « lutter contre le changement climatique et ses impacts », indique le rapport.
Les fonds seraient nécessaires à la transition énergétique et aux infrastructures. Le rapport déplore également que les termes de l’Accord de Paris sur le climat de 2015 n’aient pas été respectés par les pays participants.
« L’engagement des pays développés à fournir 100 milliards de dollars de financement climatique par an d’ici 2020 n’a jamais été pleinement tenu, laissant un total de seulement 89,6 milliards de dollars disponibles en 2021 », indique le rapport.
RépondreSupprimerLes Nations Unies ont également recommandé d'autres budgets gigantesques pour atteindre les objectifs « Net Zero » du WEF et réaliser l'« Agenda 2030 ». Quelque 35 à 40 000 milliards de dollars ont été proposés pour fournir un accès universel à l’électricité.
Les auteurs n’ont pas eu peur d’utiliser des montants fantaisistes tout au long du rapport 2024. Le mot « billion » en référence au dollar a été mentionné 52 fois dans le document . L’enjeu est évidemment d’installer de plus en plus l’ONU comme un gouvernement mondial unique. Elle est déjà largement contrôlée par les groupes de pression des grandes entreprises et du capital financier.
Situation et perspectives de l’économie mondiale 2024
https://tkp.at/2024/01/09/uno-fordert-150-billionen-dollar-zur-bekaempfung-des-klimawandels/
Aujourd'hui les productions mondiales atteignent le chiffre de 100 fois trop ou 1000 fois trop et pourtant... les habitants ne sont pas 100 fois ou 1000 fois plus riche !!
SupprimerD'un côté les 'États' fabriquent des milliards d'images de Mickeys et, d'un autre côté est demandé aux terriens de s'appauvrir pour combler des dettes qui n'existent pas.
CE QUE NOUS APPRENNENT LES GLACES DE VOSTOK:quand LE Jean Jouzel faisait de la science et croyait que la terre tournait autour du soleil
RépondreSupprimerle 8 janvier
2024 par pgibertie
Marco Nius et l’Association des climato réalistes font un travail considérable de vulgarisation des donnéees scientifiques les plus récentes
- voir doc sur site -
@NiusMarco @AssoClimatoReal
1 Il y eut le Giec avant Al Gore les politiciens, Bill Gates et les journalistes . Le climatologue Jean Jouzel fut même un scientifique lui et d’autres ont tiré des enseignements de l’examen des carottes de glace de Vostok .
L’occasion de revenir sur les variations naturelles et cycliques du climat sans le moindre rôle du Co2 d’origine humaine ou bovine
Les variations des températures sont RAPIDES et entrainent celles du CO2 conséquences et non causes elles sont liées aux modifications de la circulation atmosphérique et à l’ensoleillement.Et même les satellites ne mesurent pas réellement la température — ils mesurent la luminosité atmosphérique qui est intégrée aux modèles informatiques pour estimer les températures.
Elles sont ensuites « réajustées » pour coller à la thèse du CO2 voir gif ci dessous
- voir doc sur site -
Jouzel reconnaissait alors qu’un changement climatique très brutal, probablement lié à des modifications de la circulation atmosphérique, s’est produit à deux reprises il y a environ 15 000 ans dans l’hémisphère Nord avec des hausses de 10 degrés en quelques années.
En ce temps là Jean Jouzel croyait que la terre tournait autour su soleil:
Dès le xixe siècle, le mathématicien français Joseph Adhémar et l’astronome écossais James Croll avaient proposé que la façon dont la Terre tourne autour du Soleil est à l’origine de cette succession de périodes glaciaires et interglaciaires. Ils avaient vu juste, mais aucun des deux n’avait réussi à mettre sur pied une théorie qui résiste à l’usure du temps. C’est, quelques décennies plus tard, ce qu’a réussi le mathématicien serbe Milutin Milankovitch : il devait passer plus de trente ans de sa vie à développer une théorie à laquelle son nom est resté attaché et consacrer près d’une décennie à calculer, pour différentes latitudes, les variations d’ensoleillement au cours du dernier million d’années à partir des valeurs des trois paramètres astronomiques.
En 1920, cet objectif est atteint et les résultats sont publiés. Le climatologue allemand Wladimir Köppen fournit à Milankovitch la clé de sa théorie : le facteur déclenchant d’une période glaciaire serait une succession d’étés froids aux hautes latitudes de l’hémisphère Nord, suffisamment froids pour que la neige de l’hiver précédent ne fonde pas puis, à cause de son fort pouvoir réfléchissant, amplifie le refroidissement jusqu’à provoquer une entrée en glaciation.
RépondreSupprimerMilankovitch entreprend de calculer les ensoleillements d’été à des latitudes de 55° N (environ 4 000 kilomètres au sud du pôle Nord), 60° N et 65° N (environ 2 800 kilomètres au sud du pôle Nord) – et Köppen montre qu’ils ont suffisamment de similarités avec les données de Penck et Bruckner décrivant la succession des périodes glaciaires dans les Alpes pour que cette théorie, que Milankovitch continuera de peaufiner jusqu’à la publication en 1941 de son livre testament, Canon of Insolation and the Ice Age Problem, soit largement adoptée.
Pour séduisante qu’elle soit, la validité de cette théorie n’est à l’époque cependant pas démontrée, une des difficultés étant l’établissement de chronologies suffisamment fiables et l’absence d’enregistrement continu des conditions climatiques ayant prévalu dans le passé. Elle sera validée grâce à l’analyse des foraminifères, des animaux microscopiques enfermés dans des capsules calcaires que l’on retrouve dans les sédiments marins sur des centaines de milliers d’années et qui peuvent être correctement datés. Il y a en effet des milliers d’espèces qui se forment à différentes températures, certaines dans des eaux chaudes, d’autres dans des eaux plus froides.
En 1976, Jim Hayes, John Imbrie et Nick Shackleton apportent cette preuve d’un lien entre ensoleillement et rythme des glaciations : ils démontrent que les périodicités correspondant à la précession (changement de direction de l’axe de rotation de la Terre) et à l’obliquité (inclinaison de cet axe) sont présentes dans ces séries climatiques déduites de l’analyse de la répartition des foraminifères dans des sédiments marins.
Quelques années plus tard, l’étude de forages profonds réalisés dans la calotte antarctique, à la base Vostok et au dôme C, confirme ce rôle des variations d’ensoleillement
https://lelephant-larevue.fr/thematiques/histoire/le-climat-de-la-terre-une-histoire-mouvementee/
voici les températures mondiales réelles au fil du temps… comme vous pouvez le voir clairement, il n’y a jamais eu de changements rapides… y compris le cycle de chaleur actuel, même avec l’augmentation du co2. En fait, la température de ce cycle n’est PAS aussi raide que les 4 précédents… N’EST-CE PAS ??
Les cycles chauds de la planète se produisent selon un schéma régulier et cohérent, culminent près de la température actuelle, puis le cycle froid recommence… a le même schéma remontant à 425 000 ans. Chaque cycle prend 100 000 ans.
RépondreSupprimerLes périodes glaciaires commencent lorsque le #CO2 atteint un maximum et se terminent lorsque le CO2 atteint un minimum. C’est exactement le contraire de ce qui se passerait si le CO2 faisait monter la température.
Actuellement le #réchauffement climatique ralentit, mais le taux de concentration de #CO2 s’accélère. Cette combinaison n’est pas autorisée par les modèles climatiques du GIEC. Je me demande pourquoi
- voir doc sur site -
Intense réchauffement terrestre il y a 15 000 ans
En l’espace de quelques années, les températures ont grimpé de 10 °C dans l’hémisphère Nord à la fin de la dernière glaciation.
Un changement climatique très brutal, probablement lié à des modifications de la circulation atmosphérique, s’est produit à deux reprises il y a environ 15 000 ans dans l’hémisphère Nord avec des hausses de dix degrés en quelques années, selon une étude publiée dans la revue Science.
Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de dix degrés Celsius, en seulement trois ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite en soixante ans il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.
Des analyses de carottes de glace du Groenland ont montré que ces renversements climatiques se sont produits «aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton», souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, coauteur de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS.
La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, il convient de le souligner, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine.
Remonter l’histoire du climat
Au cours de la première phase de réchauffement, appelée le Bölling, qui s’est étalée sur un peu moins de deux mille ans, des peuples de l’âge de pierre ont pu s’installer en Europe du Nord et jusqu’en Scandinavie avant que les températures ne redeviennent glaciales il y a 12 900 ans.
RépondreSupprimerL’étude a été réalisée à partir de l’analyse des poussières (plus leur teneur est abondante et plus le climat est froid) et de certains isotopes de l’oxygène et de l’hydrogène retrouvés dans les carottes de glace du forage NorthGRIP au Groenland. Ce dernier, d’une épaisseur de plus de 3 kilomètres, permet de remonter l’histoire du climat sur 125 000 ans.
Ces mesures «permettent pour la première fois de comprendre l’anatomie des changements climatiques passés», affirme dans un communiqué Jean Jouzel, directeur de l’Institut Pierre-Simon-Laplace. Les variations abruptes de la dernière déglaciation tout comme le brusque recul de la banquise arctique pendant l’été 2007 «sont liés, selon lui, à des modifications radicales de la circulation atmosphérique».
2LE GIEC AUJOURD’HUI FAIT DE LA SCIENCE FICTION POUR LES IMBECILES
« ET POURTANT ELLE TOURNE !» GALILÉE, 1633 mais pas pour le Giec
Il semblerait que les variations correspondent parfaitement à l’ensoleillement mais c’est une hérésie pour le GIEC
- voir doc sur site -
Quand les températures relevées (jaune) ne correspondent pas à la théorie ils les modifient(noir) Refroidir le passé
- voir doc sur site -
On peut estimer que 90% des données sont inventées , ils appellent ça extrapolées
- voir doc sur site -
la courbe de Mann était trafiquée, il faut le savoir. Au début, le #GIEC ne s’en servait pas. Ils l’ont pourtant mise au gout du jour dans leur dernier rapport, à défaut d’avoir mieux (ou pire). Scandaleux !
- voir doc sur site -
https://pgibertie.com/2024/01/08/ce-que-nous-apprennent-les-glaces-de-vostokquand-le-jean-jouzel-faisait-de-la-science-et-croyait-que-la-terre-tournait-autour-du-soleil/
La législation française affaiblit les engagements en matière d’énergie propre et favorise le nucléaire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 09 JANVIER 2024 - 09h30
Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,
Bravo à la France si la législation en attente est adoptée dans sa rédaction actuelle. Il abandonne effectivement la plupart des engagements les plus durs et se tourne davantage vers l’énergie nucléaire…
Avant-projet de loi relatif à la souveraineté énergétique
Veuillez envisager une traduction Google d'un avant-projet de loi relatif à la souveraineté énergétique
Quatre éléments clés
La formulation de cet avant-projet relatif à la souveraineté énergétique n’est bien entendu pas définitive. Il peut encore évoluer d'ici sa présentation au Conseil des ministres puis, lors de sa discussion au Parlement. Cependant, cela démontre déjà un changement significatif dans la conception de l’exécutif de la politique énergétique nationale.
Ce projet de loi affaiblit les objectifs climatiques de la France, à commencer par l’objectif de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre. L’objectif ne serait plus de « réduire » mais de tendre vers une réduction de « nos émissions de gaz à effet de serre.
Cet avant-projet propose de traduire dans la loi le choix de l’exécutif de maintenir une part prépondérante de l’énergie nucléaire dans la production électrique. Un choix qui rompt avec celui de réduire cette part du nucléaire et qui était inscrit dans la loi no. 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte.
Cet avant-projet reflète également une inquiétude, à la veille des élections européennes de juin 2024 ; « abandonner la catégorie juridique des énergies renouvelables » au profit d’une nouvelle catégorie, celle des « énergies décarbonées ».
Déménagements
La suppression des objectifs chiffrés de production et de consommation d’énergies renouvelables en France métropolitaine.
La suppression de l’objectif d’encourager la production d’énergie hydraulique.
La suppression de l’objectif chiffré de développement de l’éolien offshore.
La suppression de l’objectif d’encourager la production d’électricité agrivoltaïque.
La suppression de l’objectif de contribution à l’atteinte des objectifs de réduction de la pollution atmosphérique.
La suppression de l’objectif de performance énergétique du bâtiment.
La suppression de l’objectif de multiplication de la quantité de chaleur et de froid renouvelables et de récupération.
Suppression de la condition d'arrêt de l'exploitation d'un réacteur nucléaire
RépondreSupprimerNouveaux objectifs
L’affirmation du « choix durable d’utiliser l’énergie nucléaire »
Le nouvel objectif du recours à l’énergie nucléaire dans la programmation énergétique pluriannuelle
Ouah !
À quelle fréquence la France montre-t-elle la voie du bon sens ?
Cette mesure n’est pas encore adoptée, mais cela représenterait un net changement de direction si l’une de ces mesures était adoptée, et cela semble très probable.
Je me demande si le président Emmanuel Macron commence à se pencher sur les sondages français. Là encore, la prochaine élection présidentielle française n’aura lieu qu’en 2027.
Aux États-Unis, Biden redouble d’efforts avec la seule tactique qu’il connaît, en s’appuyant sur la Bidenomics tout en affirmant que Trump sera un dictateur s’il gagne.
Les deux perdent leur tactique.
Pourquoi la cote d’approbation de Biden est misérable
Les revenus augmentent et les salaires aussi. Même les revenus réels sont en hausse. Mais les salaires réels sont une autre affaire.
J’explique pourquoi la cote d’approbation de Biden est misérable dans un graphique économique
- voir graph sur site -
Données sur les revenus personnels du BEA, salaires horaires du BLS, gains horaires réels et graphique de Mish.
Notez également que la troisième et la plus importante série de mesures de relance budgétaire a eu lieu en mars 2021. C’est à ce moment-là que la popularité de Biden a culminé à 55,1 %.
- voir graph sur site -
Pour en savoir plus, veuillez consulter L'argent gratuit est épuisé et cela se voit dans les sondages.
Quelle que soit la raison, il semble que Macron soit sur le point de faire quelque chose de bien. Si c’est le cas, bravo à la France.
https://www.zerohedge.com/energy/french-legislation-weakens-clean-energy-commitments-and-favors-nuclear
Météo : sept départements en vigilance orange neige et verglas
RépondreSupprimerL’hiver frappe fort en ce début d’année ! Sept départements français sont placés en alerte pour neige et verglas par Météo France. Un froid glacial, des routes glissantes, il faudra une nouvelle fois être très prudent !
Par Grégoire Hernandez
le 10 janvier 2024 à 12h00
Il fera en revanche plus doux en Corse et en Côte d'Azur, entre 4 et 8 °C.
- 8°C dans certaines régions dans la nuit du 9 au 10 janvier 2024 !
Le mercredi 10 janvier 2024, la France grelotte encore ! Météo France a placé sept départements en vigilance orange. L'Essonne, les Yvelines, l'Eure, le Calvados, l'Orne, la Manche et l'Isère. La nuit du 9 au 10 janvier 2024 a vu les températures plonger jusqu'à -8°C dans certaines régions ! Il fera en revanche plus doux en Corse et en Côte d'Azur, entre 4 et 8 °C. Le Nord-Pas-de-Calais, lui, n'attend pas de dégel aujourd'hui.
La neige, tombée en abondance, perturbe fortement la circulation. En Sarthe, par exemple, les routes sont devenues de vraies patinoires. Météo France alerte : la glace au sol rend les déplacements très périlleux. Dans le nord-ouest, la prudence est de mise. En Aquitaine, les pluies matinales pourraient se transformer en neige, sans tenir au sol. Alors petit conseil, ne prenez la voiture qu'en cas d'urgence !
Météo : encore d'importantes chutes de neige
Les Alpes sont également concernées par les chutes de neige. Grenoble, Chambéry, Annecy et Genève s'attendent à des chutes de neige continues. En Haute-Savoie, jusqu'à 20 cm de neige pourraient s'accumuler. Le risque neigeux s'étend jusqu'à l'Aude, le Tarn, l'Aveyron et l'est toulousain en fin de journée.
Face à ces conditions hivernales, la prudence est de rigueur. Il est conseillé de limiter les déplacements. Si vous devez sortir, équipez votre véhicule pour la neige et conduisez prudemment. Restez informés des bulletins météo et suivez les recommandations des autorités locales.
https://www.economiematin.fr/meteo-france-departement-neige-verglas
Les pompiers s'inquiètent des dangers associés aux batteries au lithium, qui "ne s'éteignent pas aussi facilement que les autres sources de carburant".
RépondreSupprimer01/08/2024
Laura Harris
Fire and Rescue New South Wales (FRNSW) enquête sur la cause d'un incendie destructeur qui a ravagé une usine de vélos électriques à deux étages dans l'ouest de Croydon, à Sydney, le 5 janvier.
Le surintendant du FRNSW, Joshua Turner, a exprimé son inquiétude quant aux dangers associés aux batteries au lithium et aux unités de stockage d'électricité dans le centre de réparation de vélos électriques. "Les équipes ont découvert qu'il s'agissait d'un centre de réparation de vélos électriques. Le risque lié aux batteries au lithium et aux unités de stockage d'électricité était donc leur principale préoccupation. Les batteries au lithium maintiennent un niveau de chaleur élevé lorsqu'elles sont en feu et ne s'éteignent pas. aussi facilement que d'autres sources de combustible. Les pompiers effectuent un travail considérable dans la recherche sur les batteries au lithium et l'effet qu'elles auront sur la lutte contre les incendies à l'avenir", a-t-il déclaré.
Selon certaines informations, l'incendie aurait pris naissance dans un petit immeuble situé derrière une rangée de magasins sur Elizabeth Street. Plus de 60 pompiers et 15 camions de pompiers de la FRNSW se sont battus pendant plus de deux heures pour maîtriser l'incendie, qui s'est déclaré à 5 heures du matin.
Les pompiers ont combattu les flammes depuis l'extérieur de l'usine de vélos électriques, craignant un éventuel effondrement structurel. Les images et les photos ont capturé la férocité des flammes alors qu’elles engloutissaient et brûlaient les vélos électriques dans l’usine.
La police était également présente sur les lieux pour assurer la sécurité des riverains. Le surintendant Trent Lawrence a laissé entendre qu'il était trop tôt pour déterminer la cause de l'incendie.
"Il peut y avoir des coupures de courant pour certains de ces résidents locaux. Il y a quelques maisons à l'arrière ; il peut y avoir des zones d'exclusion pour les résidents, mais seulement pour les mineurs à ce stade ; et nous avons la police sur place pour aider à la fermeture des routes, " il a dit.
Les incendies liés aux véhicules électriques en hausse
Amith Shetty, qui habite à environ six maisons du magasin, a déclaré que l'incendie s'était rapidement intensifié.
"Nous avons tous entendu quelques pops, puis tout l'endroit s'est effondré, et en quelques minutes tout l'endroit a pris feu. C'était assez surréaliste ; c'était de la fumée noire, et puis l'instant d'après, tout était en flammes. Au départ, on pouvait sentir la chaleur au coin de la rue, et nous avons emballé notre chat et avons pensé que nous allions probablement évacuer, mais heureusement, ils l'ont maîtrisé en une demi-heure environ", a déclaré Shetty.
En réponse, le surintendant de la FRNSW, Andrew Shurety, a averti les gens lors d'une conférence de presse tenue le 29 décembre de l'augmentation des incendies liés aux vélos électriques et aux batteries lithium-ion. "C'est quelque chose dont nous sommes conscients – nous essayons de diffuser des messages communautaires", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerFRNSW a précédemment révélé avoir répondu à 149 incidents liés aux batteries au cours des 10 premiers mois de 2023. Environ 22 % de ces incidents impliquaient des appareils de micromobilité tels que des vélos et des scooters électriques.
Visitez RoboCars.news pour en savoir plus sur les dangers des véhicules électriques.
Regardez cette vidéo montrant comment les batteries lithium-ion des véhicules électriques prennent feu.
Cette vidéo provient de la chaîne The Old Folk Show sur Brighteon.com.
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La recharge des véhicules électriques provoque des incendies de maisons qui entraînent des pertes importantes.
Les sources incluent :
TheEpochTimes.com
ABCNews.net.au 1
MSN.com
ABCNews.net.au 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-01-08-fire-official-hazards-associated-with-lithium-batteries.html
Le fondateur d’une entreprise de camions « zéro émission » condamné à 4 ans de prison pour avoir menti sur la technologie et les réalisations de l’entreprise
RépondreSupprimer01/08/2024
Kevin Hughes
Un juge de district américain a envoyé en prison le fondateur et ancien PDG d’une entreprise de camions électriques pour avoir trompé les investisseurs.
Trevor Milton, un ancien vendeur de porte-à-porte et décrocheur universitaire, a fondé et est devenu PDG du fabricant de véhicules électriques lourds et de véhicules à pile à combustible Nikola Corporation en 2015. Lors de son procès en 2022, des témoins ont déclaré qu'il avait menti à investisseurs ordinaires sur presque tous les aspects de Nikola, en particulier sur le prototype de camion prétendument zéro émission de l'entreprise. (Connexe : Une étude révèle que les véhicules à essence sont plus économiques que les véhicules électriques.)
Selon Milton, le prototype était déjà pilotable même s'il ne l'était pas. Il a ajouté que Nikola était déjà équipé pour produire l'hydrogène nécessaire pour alimenter le camion alors qu'il ne l'était pas. Il s'est en outre vanté du fait que l'entreprise disposait déjà d'une longue liste de commandes, dont beaucoup pour des sociétés qui n'existaient pas.
Nikola était évalué à plus de 13 milliards de dollars avant que les mensonges de Milton ne soient révélés
Pour les crimes de Milton, un jury fédéral l'a reconnu coupable d'un chef d'accusation de fraude en valeurs mobilières et de trois chefs d'accusation de fraude électronique en octobre 2022.
Lors d'une récente audience à Manhattan le 18 décembre, le juge de district américain Edgardo Ramos a condamné Milton à quatre ans de prison, lui a ordonné de payer une amende d'un million de dollars et de restituer certaines de ses propriétés dans l'Utah. Milton est actuellement en liberté sous caution en attendant un appel.
Grâce aux activités frauduleuses de Milton, il a pu introduire Nikola en bourse dans le cadre d'un accord de société d'acquisition à vocation spéciale (SPAC) avec General Motors (GM) en 2020, grâce à un accord qui a vu GM acquérir 11 % de la société et sécuriser l'ancien vice-président de GM, Stephen. Girsky un siège au conseil d'administration de Nikola.
En échange, Nikola a pu récolter plus de 3 milliards de dollars. Le sentiment positif des investisseurs à l'égard de Nikola a fait débuter les actions de la société à 65,90 dollars par action et, à un moment donné, la valorisation de la société a grimpé à 13 milliards de dollars, ce qui la rend temporairement plus précieuse que celle de Ford Motor Company.
RépondreSupprimerAujourd'hui, les actions de Nikola valent moins d'un dollar. Milton n'est plus le PDG de l'entreprise et son successeur trié sur le volet, Michael Lohscheller, a été remplacé par Girsky.
Au cours de son procès, Milton a tenté de faire valoir que les fabuleuses déclarations qu'il avait faites précédemment à propos de l'entreprise faisaient référence au modèle commercial de Nikola. "Je n'avais l'intention de faire de mal à personne et je n'ai pas commis ces crimes", a-t-il déclaré lors d'une déclaration décousue de 30 minutes devant le tribunal.
"La loi n'accorde pas de laisser-passer pour les bonnes intentions", a déclaré Ramos après avoir condamné Milton à quatre ans de prison, soulignant à quel point de vraies personnes ont été blessées par ses mensonges. "Il est décidément du devoir des dirigeants d'entreprises qui cherchent à amener le public à acheter leurs actions de dire la vérité."
Les procureurs estiment que les mensonges de Milton ont entraîné des pertes de plus de 660 millions de dollars pour les investisseurs réguliers. Selon les lignes directrices fédérales en matière de détermination des peines, cela aurait dû valoir à Milton jusqu'à 60 ans de prison. Ils ont admis que c'était trop long, mais les quatre années accordées par Ramos à Milton représentent toujours moins de la moitié des 11 ans souhaités par les procureurs, ce qui aurait été semblable à ce que la fondatrice de Theranos, Elizabeth Holmes, a reçu il y a un an pour des déclarations tout aussi frauduleuses qu'elle a faites aux investisseurs. sur la technologie de test sanguin de son entreprise.
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Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi les voitures électriques sont une arnaque.
Cette vidéo provient de la chaîne White Knight sur Brighteon.com.
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Les véhicules électriques ne sont PAS à émissions nulles : il faut 500 000 livres de terre pour construire une seule batterie de 1 000 livres.
Les véhicules électriques ont obtenu de pires résultats dans les estimations de l'EPA que les voitures à essence : la poussée des véhicules électriques est une arnaque truquée.
Les véhicules électriques présentent plus de problèmes de qualité que les voitures à moteur à combustion, selon une nouvelle étude.
BRÛLER DE L'ARGENT, PAS DE L'ESSENCE : Les subventions fédérales et étatiques pour les véhicules électriques coûtent 50 000 $ par voiture sur une période de 10 ans.
Une étude révèle que les véhicules électriques sont plus lourds et causent plus de dégâts aux routes que les voitures à essence et diesel.
Les sources incluent :
WattsUpWithThat.com
WSJ.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-01-08-zero-emission-truck-company-founder-prison-lies.html
De la voiture électrique à la patinette électrique elles sont réputées pour prendre feux facilement. Imaginez un camion citerne électrique de 10 000 m3 d'essence...
SupprimerRevue de presse sur le soulèvement paysan
RépondreSupprimer9 janvier 2024
de Thomas Oysmüller
La semaine d'action des agriculteurs a commencé. Dans certaines colonnes de commentaires, vous pouvez même lire quelque chose sur la « révolution ». Sommes-nous en train de vivre les derniers jours de la République fédérale d’Allemagne ?
Lundi, le TKP a rendu compte du projet allemand de feux tricolores : Malgré d'importantes protestations, la politique de désindustrialisation s'y tient. Mais Scholz et Cie sont confrontés à un vaste mouvement de protestation. Menés par les agriculteurs du pays, la classe moyenne et les travailleurs manifestent également contre ces conditions. Il n'est pas rare que le gouvernement démissionne.
Une colère légitime
Certains commentaires et rapports sur le soulèvement paysan ont été rassemblés ici.
Le Berliner Zeitung commente de manière assez dramatique : « Manifestations paysannes ou révolution ? Pourquoi je dois penser aux derniers jours de la RDA » :
Le pays est à l’envers. Et l’année vient de commencer, la semaine aussi. À quoi cela ressemblera-t-il vendredi ? Quelle sera l’ampleur de la colère ? Celles des agriculteurs, des conducteurs de train et des artisans, mais aussi de ceux qui ne peuvent pas se rendre au travail, à l'école ou à l'hôpital parce que le train ne circule pas ou que les routes sont fermées. Comment les politiques réagiront-ils ? Quand prendront-ils au sérieux les préoccupations des gens au lieu de les qualifier de droite ?
J'ai regardé sur Internet. Une situation révolutionnaire est appelée - selon Lénine et Marx - le déclencheur d'une révolution dans laquelle éclate l'indignation ouverte des masses exploitées. Les caractéristiques incluent l'impossibilité pour les classes dirigeantes de maintenir leur domination sous une forme inchangée et une activité accrue des masses. Et construire un parti prolétarien prêt à prendre les devants.
Le média conservateur Apollo News écrit dans son analyse de la « guerre verte contre les agriculteurs » :
Qu'en pensaient ces messieurs, que se passerait-il si un secteur entier de l'économie était accablé d'une réglementation après l'autre, année après année, de sorte que la marge de manœuvre des agriculteurs devenait toujours plus petite ? Les agriculteurs qui manifestent dans les rues cette semaine ne se plaignent pas car ils veulent « juste » que les subventions au diesel agricole et la taxe sur les véhicules soient supprimées, comme le montrent la plupart des médias.
Pourtant, la guerre verte contre l’agriculture allemande remonte bien plus loin, comme en témoignent les nombreuses déclarations d’agriculteurs qui circulent depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. «Je me tiens ici devant certaines des meilleures terres agricoles de la planète», déclare l'un des agriculteurs dans la vidéo. « Et comment les politiciens réagissent-ils à cela ? Je dois en fermer quatre pour cent, le reste doit être sous-fertilisé, même si nous n’avons pas de problèmes de nitrates dans les eaux souterraines ici.
RépondreSupprimerLe quotidien Junge Welt , proche du DKP , rapportait mardi en première page sous le titre « Le pouvoir aux agriculteurs » :
En parlant de la capitale fédérale. C’est là que les Paysans Libres d’Allemagne se sont mobilisés. Des centaines de tracteurs, camions et bus bordaient la rue du 17 juillet à la Colonne de la Victoire. Et des milliers de manifestants à la porte de Brandebourg. "Nous représentons des agriculteurs normaux", a déclaré Reinhard Jung, leur responsable des médias, à JW. Ceux qui géraient leur ferme de leurs propres mains, indépendamment de la politique et de l’industrie.
Et ensuite ? Tout se dirige vers la finale de la semaine d'action lundi prochain à Berlin. La décision du cabinet est susceptible de renforcer la position du peuple en colère – et d’attiser davantage les étincelles de protestation. De haut en bas du pays.
La rédaction de Julian Reichelts Nius commente :
Chers agriculteurs, continuez ainsi...
La grande majorité de leurs concitoyens se montrent solidaires avec la protestation des agriculteurs contre la politique actuelle, comme le montre une enquête de l'INSA pour Bild : 69 pour cent des personnes interrogées soutiennent les protestations des agriculteurs contre les coupes budgétaires prévues par le gouvernement des feux tricolores !
La majorité de tous les groupes d'électeurs éprouvent une totale sympathie pour les actions de protestation des agriculteurs.
Le patron de RTL West, Jörg Zajonc, a encore une fois attiré l'attention. Il a dit:
L’agriculteur est en colère, et avec raison. De nombreux agriculteurs en ont complètement marre. De plus en plus d’exigences, de plus en plus de bureaucratie, fonctionnent toujours. […] Pas étonnant qu’à un moment donné, cela suffise. Même si le gouvernement fait marche arrière, les protestations légitimes menacent soudain la démocratie. Les protestations des agriculteurs touchent au cœur de ce que beaucoup ressentent : les politiques ne se soucient pas assez de la vie des gens normaux.»
Le soulèvement fait également la une des journaux internationaux. Par exemple par l'intermédiaire de la présentatrice politique Eva Vlaardingerbroek, qui a fait un reportage depuis la rue. Elle a interviewé lundi un agriculteur en colère qui a déclaré :
RépondreSupprimer« Nous en avons marre des mensonges. Nous sommes ici depuis des générations, nous travaillons 24 heures sur 24, nous sommes ceux qui mettent la nourriture dans votre assiette ! Nous sommes tous unis pour nous débarrasser des politiciens qui tentent de se débarrasser de nous !
- voir clip sur site -
Quelques jours avant la journée d'action de lundi, Ernst Wolff avait analysé le contexte de la protestation dans une vidéo intitulée « Manifestations paysannes et grande réinitialisation ». La vidéo a désormais été vue environ 150 000 fois.
https://tkp.at/2024/01/09/pressespiegel-zum-bauernaufstand/
La proportions des dépenses liées à l'achat de carburant par les villageois n'est d'aucune mesure avec celle des paysans où les tracteurs consomment 10 à 20 fois plus.
SupprimerMalgré les protestations : la désindustrialisation des feux tricolores a lieu, le diesel agricole est aboli
RépondreSupprimer8 janvier 2024
de Thomas Oysmüller
Le soulèvement des tracteurs ne gêne pas le régime Scholz : le projet de loi de budget 2024 a été lancé lundi. En 2026, le diesel agricole appartiendra au passé.
Les protestations sont ignorées. Ce qui se passe depuis des années dans tout l’Occident s’applique également aux agriculteurs allemands. C’est comme se moquer du peuple que l’abolition définitive du diesel agricole à partir de 2026 soit rendue publique juste le jour même de la protestation. Les feux tricolores poursuivent leur course, a-t-on annoncé lundi au public via un message de la DPA.
Historique du diesel agricole 2026
Malgré les protestations massives des agriculteurs allemands, le gouvernement fédéral maintient son cap. Lundi, elle a décidé de « formuler une aide pour un projet de loi » qui va maintenant être adopté au Bundestag. La loi est présentée comme un « plan d’économies » – afin de pouvoir maintenir le cap de désindustrialisation de l’Allemagne.
Comme chacun le sait, il manque au gouvernement 30 milliards d’euros dans son budget de base. À cette fin, l’allégement fiscal sur le diesel agricole – raison pour laquelle les agriculteurs protestent actuellement largement – sera également supprimé. «Cela représente notamment une contribution à la réduction des subventions nuisibles au climat», indique le projet sur lequel la dpa rend compte.
Apparemment, le gouvernement ne veut pas mettre fin immédiatement aux subventions au diesel. En 2024, le taux d’allégement sera réduit de 40 %, et de 30 % supplémentaires en 2025 et 2026. Il ne devrait plus y avoir de subventions pour les quantités consommées en 2026.
Prendre l’avion deviendra plus cher en raison de l’augmentation des taxes sur les billets. L'argent des citoyens est resserré. Quiconque refuse catégoriquement de travailler peut se voir retirer totalement ses allocations sociales pour une durée maximale de deux mois. Il faudrait également abolir ce que l'on appelle la prime en argent du citoyen.
Contrairement aux protestations généralisées – les chemins de fer sont également en grève cette semaine – le gouvernement maintient son cap. Le soutien de la population au feu est au plus bas : de nombreuses personnes se sont montrées solidaires de l'agriculteur ou l'ont rejoint. Ils ne protestent plus seulement pour le maintien des subventions, mais aussi pour le retrait des feux tricolores eux-mêmes.
Le budget fédéral 2023 devrait être décidé fin janvier. D’ici là, les plans doivent passer par le processus parlementaire.
https://tkp.at/2024/01/08/trotz-proteste-ampel-zieht-deindustrialierung-durch-agrardiesel-wird-abgeschafft/
ENQUÊTE : 69 % des Allemands soutiennent la protestation des agriculteurs
RépondreSupprimerSans se laisser décourager par la popularité des manifestants, la presse poursuit ses campagnes de diffamation, tandis que le "chercheur en extrémisme" Matthias Quent exige que les agriculteurs peignent des arcs-en-ciel sur leurs pancartes pour repousser les nazis.
EUGYPPIUS
9 JANVIER 2024
Près de 70 % des Allemands soutiennent la grande protestation paysanne, et seulement 22 % s’y opposent, selon une nouvelle enquête de l’INSA. Le soutien est présent dans tout l’éventail politique, mais le plus fort est à droite, avec 88 % des électeurs de l’AfD se rangeant du côté des agriculteurs. En comparaison, Letzte Generation ne bénéficie du soutien que de 11 % des Allemands.
On pourrait penser que cela encouragerait la presse à modérer sa campagne de diffamation en cours, mais ce serait une erreur. Der Spiegel, un pionnier constant de la malhonnêteté journalistique, propose aujourd'hui cet article douteux qui fait une sinistre analogie historique avec le Landvolkbewegung, ou Mouvement populaire rural, de la République de Weimar :
Certains agriculteurs d’aujourd’hui se considèrent dans la tradition du Landvolkbewegung, qui s’est radicalisé lors de la crise agricole de 1928. Lorsque les manifestations de masse et les grèves fiscales n’ont pas fonctionné, certains se sont tournés vers la terreur. En fin de compte, les nazis en ont profité.
La fabrique quotidienne de papier toilette monocouche connue sous le nom de Süddeutsche Zeitung, pour sa part, a publié un long article très anecdotique alléguant que divers extrémistes de droite et d'autres ayant des « fantasmes révolutionnaires » auraient pris le contrôle des manifestations – une contribution tardive à un genre désormais assez pléthorique et fatigué. Après avoir lu des dizaines de ces articles, je me suis rendu compte que leur malhonnêteté fonctionne à deux niveaux. Le plus évident est leur effort fallacieux visant à présenter la classe moyenne paysanne, majoritairement centriste, sous un jour extrémiste. Un peu plus subtile est l’obscurcissement qu’ils apportent au sens des manifestations. Ce ne sont pas seulement les agriculteurs qui manifestent, mais aussi un grand nombre de camionneurs, d'artisans et de simples citoyens. Plutôt que d’admettre que les manifestations sont devenues une déclaration plus générale de mécontentement à l’égard de l’orientation politique allemande et de la folle coalition des feux de circulation, nos sommités journalistiques écrivent plutôt qu’elles ont été détournées et instrumentalisées.
Cette tactique permet des attaques complémentaires fondées sur le postulat que les paysans ne sont que des enfants gâtés, qui continuent avec ingrat leurs manifestations malgré les concessions qu’ils ont déjà obtenues du gouvernement Scholz. Alors que la presse de gauche préfère le cliché des détournements par des extrémistes, les journaux de centre-droit optent généralement pour cet angle. Ainsi, nous avons cet article dans Welt sur le « mythe du pauvre agriculteur » et un éditorial très similaire (bien que sans effort) dans le Frankfurter Allgemeine sur le fait que « les agriculteurs ont déjà gagné » et devraient donc rentrer chez eux. Ceux parmi les agriculteurs qui ont pris soin de se distancier de la « droite » feraient bien d’envisager ce message coordonné. Les journaux dont ils auraient pu s’attendre à ce qu’ils les soutiennent rejettent en ce moment même leurs revendications étroites comme étant illégitimes, tandis que leurs ennemis de gauche dénoncent avec empressement toute plainte plus large comme étant la preuve d’éléments d’extrême droite.
RépondreSupprimerEnsuite, il y a les entretiens. Pour une raison quelconque – et je ne peux pas imaginer ce que cela pourrait être – les journalistes ne sont pas intéressés à parler avec les véritables personnes présentes lors des manifestations. Lorsqu’ils interviewent des « agriculteurs », ils s’avèrent être des personnalités soigneusement sélectionnées. Ainsi, Der Spiegel interviewe une femme de 22 ans nommée Inka Baumgart. Il n'est pas clair si Baumgart est agricultrice, mais elle appartient à la division jeunesse d'une association agricole et elle a mis en ligne une vidéo amateur sur Instagram condamnant les manifestants qui disent que « les feux de circulation doivent s'éteindre », c'est donc suffisant pour lancer une plateforme. cette femme idiote, qui ne représente à peu près personne lors des manifestations en ce moment.
Der Spiegel mérite au moins quelques points pour ses efforts. La plupart des médias n’ont même pas pris la peine de dénicher des « agriculteurs » écologistes peu plausibles et se sont plutôt tournés vers ce vieux et vétuste journaliste de la presse, les « experts ». Ainsi, le Leipziger Volkszeitung interviewe un expert de la « biodiversité » sur la manière dont les « subventions » (en fait, ce sont des allégements fiscaux) pour le diesel agricole doivent être abolies. Ailleurs, nous trouvons le « chercheur sur les conflits » Felix Anderl (que nous avons rencontré hier) expliquant pour la chaîne de télévision publique ZDF sur quoi portent réellement les manifestations, car sur ce point, il est une meilleure source que les manifestants eux-mêmes. La chaîne de télévision publique Tagesschau s'est plutôt tournée vers la « chercheuse en protestation » Saldivia Gonzatti pour expliquer que les agriculteurs souffrent à la fois de « l'instrumentalisation » de la droite (je commence à en avoir marre d'écrire cela) et de leur propre « peur de l'avenir ». Mais c’est Deutschlandfunk qui apporte la pièce de résistance, dans une interview avec le « chercheur en extrémisme » Matthias Quent. Il exige que les manifestants se distancient plus clairement de la droite, peut-être en portant des pancartes disant « Nazis, sortez » ou en peignant des arcs-en-ciel LGBTQ sur leurs pancartes. Il pense que cela chassera les gens de droite, je suppose, de la même manière que l'ail repousse les vampires.
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Embouteillages : les Parisiens ont perdu 5 jours à attendre en 2023
RépondreSupprimerTomTom vient de publier son étude Traffic Index 2023 ce mercredi 10 janvier 2024. Cette dernière révèle que les automobilistes perdent de plus en plus de temps dans les embouteillages.
Par Axelle Ker
le 10 janvier 2024 à 11h00
Les embouteillages coûteraient en moyenne 288 euros sur le budget carburant des automobilistes
Les automobilistes passent toujours plus de temps dans les embouteillages
Selon l'édition 2023 du Traffic Index de TomTom, publiée ce mercredi 10 janvier 2024, Paris reste en tête du classement des villes françaises les plus embouteillées. Rien de très étonnant, mais la mauvaise nouvelle, c'est que les automobilistes perdent de plus en plus de temps dans les embouteillages au fil des années. Pour Paris, l'approche des Jeux Olympiques de 2024 et les travaux au sein de la ville n'ont rien arrangé. D'après l'étude de TomTom, les automobilistes parisiens ont perdu en moyenne 120 heures de leur temps dans les embouteillages, soit l'équivalent de 5 journées complètes. Par rapport à 2022, c'est 11 heures de plus de perdues. Il faut dire que la politique de la maire de Paris n'arrange rien. Dès 2020, Anne Hidalgo avait clairement affiché son intention de tout faire pour réduire considérablement le nombre d'automobilistes : suppression de 70.000 places de stationnement en surface (la moitié des places) et limitation de la vitesse maximale à 30 km/h en 2021 dans les rues parisiennes...
Paris n'est pas la seule ville française à mener la bataille contre les automobilistes. La situation n'est en effet guère plus reluisante dans d'autres grandes villes françaises. Toutes les grandes villes françaises affichent une augmentation du temps passé dans les embouteillages. À Bordeaux, les automobilistes ont perdu 3 heures de plus qu'en 2022 (111 heures en moyenne en 2023). À Lyon, les conducteurs, la moyenne annuelle s'élève à 89 heures, soit 6,5 heures de plus passées dans les embouteillages par rapport à 2022.
La double peine des embouteillages
Même si les politiques de la ville argumentent que leurs mesures sont faites pour réduire les émissions de carbone des voitures, l'étude semble indiquer que pour une partie d'entre elle pourraient être contre-productives et impacteraient directement le portefeuille des automobilistes. L'étude Tomtom révèle en effet que le coût en carburant des trajets quotidiens à Paris sur l'année s'élève en moyenne à 934 euros, et accrochez-vous, 288 euros seraient directement attribuables aux bouchons ! À Marseille, les bouchons pèsent environ 200 euros sur le budget carburant des automobilistes pour une facture annuelle moyenne de 761 euros, à Lyon, 165 euros pour 751 euros.
La question écologique est prégnante. À Paris, les embouteillages engendrent en moyenne 344 kg d'émissions de gaz carbonique par automobiliste et par an. Pour donner un ordre de grandeur plus large, les embouteillages représentent 30 % du bilan carbone total pour les trajets domicile-travail. Et n'en déplaise à la maire de Paris Anne Hidalgo, l'étude de Cerema a démontré que son initiative d'abaisser de 20 km/h la vitesse (50 au lieu de 70 km/h) sur le périphérique parisien d'ici à 2024 ne réduirait pas les émissions de gaz carbonique. Au contraire, selon cette dernière, reprise l'association 40 millions d'automobilistes, « les émissions de gaz carbonique et de NOx sont minimales pour des vitesses proches de 70 km/h ». Le ministre des Transports, Clément Beaune, ainsi que la présidente de la région Île-de-France, ont exprimé leur opposition à l'initiative de la maire de Paris et ont demandé des études supplémentaires pour valider sa justification. Les politiques mises en place dans certaines villes semblent souvent ne pas tenir compte de la réalité du quotidien des automobilistes.
https://www.economiematin.fr/automobiliste-embouteillage-tomtom-2023-paris
Dès lors que la vitesse de traversée d'une ville est limitée à 20 ou 25 km/h il y a... embouteillages !! Cà alors !!
SupprimerSi la vitesse passait à 50 km/h: Pchitt ! En 5 mn sans pollution !