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lundi 29 janvier 2024

« L’arme alimentaire » – C'est ce qui relie les protestations paysannes, l'Agenda 2030 et l'attaque contre l’alimentation...

 

113 commentaires:

  1. « L’arme alimentaire » – C'est ce qui relie les protestations paysannes, l'Agenda 2030 et l'attaque contre l’alimentation...


    27.01.2024 |
    www.kla.tv/27996


    Actuellement, les protestations des agriculteurs allemands, mais aussi européens, sont sur toutes les lèvres. L'émission Kla.tv en allemand « La lutte pour la survie des paysans » [www.kla.tv/27879], diffusée récemment, résume parfaitement le fait que les mesures de réduction des dépenses du gouvernement ne sont que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase de l'oppression des paysans.
    D'autres émissions aborderont la question de savoir dans quelle mesure les agriculteurs ont été instrumentalisés ou non par les protestations et pourquoi ils sont présentés sous un mauvais jour par les médias grand public. Alors, consultez régulièrement Kla.tv !

    Le fait est que :
    L'ONU, l'OMS et le FEM ont déclaré la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l'a déjà signalé dans plusieurs émissions, s'attaque également aux agriculteurs en particulier.
    Voici une brève reprise de l'émission « Agenda 2030 : Etiquetage frauduleux. Comment l'ONU entraîne le monde dans l'abîme » www.kla.tv/19023

    L'objectif 2 de l'Agenda 2030 prévoit selon ses dires, d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l'agriculture naturelle à petite échelle est en train d'être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l'agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

    La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n'est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :
    Un résumé de l'essai "L’arme alimentaire", de l'écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l'existence, a déjà été utilisée dans l'histoire, et l'est encore aujourd'hui, comme arme contre l'humanité :

    En décembre 1974, Henry Kissinger a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » des États-Unis. Il portait le titre bureaucratiquement lourd d’« Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts outre-mer ». La stratégie esquissée par Kissinger est devenue la ligne politique officielle du président Gerald Ford en 1975.

    « La croissance démographique aura de graves répercussions sur les besoins alimentaires », lit-on. C'est pourquoi l'aide alimentaire aux pays en développement devra peut-être être liée à des programmes de stérilisation obligatoires ou à des quotas de réduction de la population, conclut Kissinger.

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  2. Ce raisonnement conduit le géostratège, qui travaille pour l'influent clan Rockefeller, à la conclusion amorale que dans un tel scénario, l’alimentation devient un « instrument de puissance nationale » efficace. Il déclare que l’alimentation est une arme. Cependant, ce n’est pas une idée nouvelle.

    Qu'il s'agisse d'un siège au Moyen-Âge ou de l'inflation actuelle, l’alimentation est une arme depuis la nuit des temps. Un levier utilisé par les dirigeants pour contrôler la population. Mais avec les vaccins à ARNm pour les animaux d'élevage, les spores génétiquement modifiées pour optimiser les chaînes d'approvisionnement mondiales et les paiements CBDC pour l'eau, la lutte pour la survie atteint un autre niveau.

    Exemples de l'histoire passée :

    Il y a 3 000 ans, les Grecs assiégeaient déjà Troie pour l'affamer.
    En Irlande, près d'un million de personnes, soit douze pour cent de la population irlandaise, sont mortes suite à la grande famine de 1845-1849. La cause première n'était pas de mauvaises récoltes ou un nouveau type de pourriture de la pomme de terre, mais la politique du gouvernement britannique de l'époque, corrompue par la haute finance et certains groupes d'intérêts.
    La puissance coloniale britannique est également responsable de la mort de quatre millions d'Indiens lors de la famine au Bengale en 1943.
    C'est ce que révèle une étude de scientifiques indiens qui ont analysé les périodes de sécheresse des 150 dernières années.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, le siège de Leningrad, qui a duré 500 jours, a fait plus d'un million de morts, plus que les bombardements de Hambourg, Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki réunis.

    Joseph Staline a également utilisé son pouvoir pour mettre à genoux la « République socialiste soviétique d'Ukraine » par le biais de pénuries alimentaires. « L'Holodomor », nom donné à la famine des années 1930, considérée par certains comme un génocide, a coûté la vie à trois ou quatre millions de personnes. Le cannibalisme n'était pas rare.

    Sous Mao Zedong, au moins 24 millions de personnes sont mortes de faim entre 1958 et 1962. Sa devise était la suivante : « Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l'autre moitié puisse manger à sa faim. »

    Développements actuels :

    Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n'est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs biotechnologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

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  3. Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l'état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d'approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l'économie verte », de l'agenda zéro CO₂, qu'ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
    Toute l'industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L'exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d'un grand dynamisme dans ce domaine.

    Parallèlement, Gates investit beaucoup d'argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d'un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l'interview de HeikoSchöning« Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !?» www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates - qui ne cesse d'exprimer ses préoccupations en matière de « surpopulation » - écoutez ! - Aider les enfants des pays en voie de développement !!! »

    On peut se sentir encore plus mal à l'aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l'ARN ajouté. Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l'injection anti COVID. [Emission d'Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d'ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]

    Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu'il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu'en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d'autorisation. En d'autres termes, le risque pour l'utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d'ARN et d'ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d'entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d'autres labels.

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  4. Au vu de ces développements, cette réduction de l'humanité, planifiée de longue date, doit être révélée au public. Vous trouverez la version originale et intégrale, en allemand, de l'essai de Tom-Oliver Regenauer, sur le site : [https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe]

    Diffusez également cette émission le plus largement possible ! Et revenez régulièrement sur Kla.tv pour ne pas manquer la suite. Kla.tv restera à l'écoute afin d'apporter plus de lumière sur les corrélations apparemment complexes de ce sujet.

    de wou./abu.
    Sources / Liens :
    Essai original non abrégé de Tom-Oliver Regenauer :
    https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe

    Document stratégique de Henry Kissinger de 1974 :
    https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

    La lutte pour la survie des paysans :
    www.kla.tv/27879

    Agenda 2030 : Etiquetage frauduleux :
    www.kla.tv/19023

    https://www.kla.tv/fr

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  5. Certains types de vaccins sont liés à un risque accru d’autres infections

    Les chercheurs ont découvert que les vaccins qui ne contiennent pas d'agent pathogène vivant ou affaibli, bien qu'efficaces contre l'infection ciblée, peuvent également augmenter le risque d'infections non ciblées, en particulier chez les filles.


    Par Angelo DePalma
    Mondialisation.ca,
    28 janvier 2024


    Les auteurs d’une revue de presse ont trouvé des “preuves irréfutables” que les effets non spécifiques (ENS) sur le système immunitaire qui se produisent après la vaccination peuvent augmenter le risque d’infection par des agents pathogènes contre lesquels le vaccin n’a pas été conçu, et peuvent également augmenter le risque d’infection par des causes apparemment sans rapport avec le vaccin.

    Selon l’examen des vaccins actuellement utilisés, les vaccins à germes vivants ont été associés à des ENS positifs, c’est-à-dire à une protection accrue contre les infections non ciblées.

    Cependant, les chercheurs ont constaté que d’autres types de vaccins tendent à induire des ENS négatifs, notamment une plus grande susceptibilité à d’autres infections et à la mort qui en découle. C’est dans les pays en développement que cet effet a été le plus marqué.

    La revue d’Alberto Rubio-Casillas et al. est sous presse et l’épreuve corrigée a été publiée en ligne le 29 décembre 2023 dans Vaccine.

    Historiquement, l’évaluation de l’efficacité des vaccins se concentrait uniquement sur la capacité du produit à protéger contre une maladie spécifique (ou plusieurs maladies spécifiques dans le cas des vaccins multivalents). Dans ce contexte, l’agent infectieux ciblé est appelé cible ou agent pathogène “homologue”, tandis que les agents pathogènes non ciblés sont “hétérologues”.

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  6. Toutefois, cette approche de l’évaluation de l’efficacité des vaccins est en train de s’estomper, à mesure que s’accumulent les preuves anecdotiques, épidémiologiques et immunologiques montrant que de nombreux vaccins ont également des effets positifs ou négatifs sur les ENS.

    De nombreux produits pharmaceutiques non vaccinaux présentent également des ENS positifs et négatifs, appelés “effets hors cible”. Les effets négatifs hors cible – “effets indésirables” – impliquent généralement une toxicité qui, dans de nombreux cas, limite l’utilisation du médicament, le dosage sûr ou les médicaments qui peuvent être prescrits en même temps. De nombreux médicaments anticancéreux ont des effets négatifs hors cible.

    Les effets positifs hors cible sont également fréquents et se traduisent souvent par l’utilisation informelle ou “hors AMM” d’un médicament développé pour une pathologie donnée pour une autre pathologie. Les entreprises demandent souvent une deuxième ou une troisième autorisation pour des médicaments dont l ‘utilisation n’est pas indiquée sur l’étiquette.

    Tous les médicaments ont des effets positifs et négatifs inhérents
    Tous les médicaments ont des effets positifs et négatifs inhérents, définis par leur efficacité et leur toxicité.

    Les ENS positifs ne sont pas recherchés au départ mais découverts par hasard. Les premiers rapports font généralement état d’études de cas et de petites études non contrôlées ou d’observation plutôt que de grands essais cliniques contrôlés.

    Un article de 2004 observe que ce phénomène existe depuis l’introduction de la vaccination antivariolique à la fin des années 1790.

    Il existe de nombreux exemples de découvertes anecdotiques. Par exemple, Albert Calmette, codécouvreur du vaccin Bacillus Calmette-Guérin (BCG) pour la prévention de la tuberculose, a observé que les enfants recevant son vaccin avaient 75 % moins de risques de mourir que les enfants non vaccinés – un bénéfice qui ne pouvait pas s’expliquer par une réduction des cas de tuberculose.

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  7. L’Organisation mondiale de la santé recommande que le vaccin BCG soit administré en même temps que les vaccins DTCoq et, à la naissance, en même temps que le vaccin antipoliomyélitique dans les pays à faible revenu. Le BCG n’est pas très répandu aux États-Unis, mais il est utilisé dans les vaccinations de routine des nourrissons et des enfants dans d’autres pays où la tuberculose est plus répandue.

    Calmette a peut-être été le premier à émettre l’hypothèse qu’un vaccin contre une maladie infectieuse protégeait les receveurs contre d’autres infections.

    De même, dans les années 1960-1970, la virologue russe Marina Voroshilova a découvert que la vaccination contre la polio permettait également de prévenir la grippe. Malgré l’importance de cette découverte et sa pertinence pour le gestion actuelle de l’administration des vaccins, l’article de Voroshilova n’a fait l’objet d’aucune citation avant 2021 et de seulement 21 citations depuisa

    Les vaccins vivants auraient plus d’effets positifs
    Selon Rubio-Casillas et al, les vaccins vivants ou vivants atténués (affaiblis) auraient plus d’ENS positifs que négatifs.

    Il s’agit par exemple des vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (qui forment ensemble le vaccin pédiatrique contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, ou ROR), ainsi que des vaccins contre la fièvre jaune, la varicelle, le BCG et certains vaccins contre la poliomyélite.

    Des récits similaires se sont développés autour d’autres vaccins couramment administrés.

    Le vaccin oral contre la polio a permis de réduire les maladies et les décès dus à la diarrhée en Amérique latine dans les années 1960, et des recherches menées en Union soviétique ont montré qu’il permettait de prévenir les infections respiratoires. Des études menées dans les pays en développement ont également associé ce produit à des taux de mortalité infantile nettement inférieurs. Une étude menée au Bangladesh a ainsi révélé que le vaccin oral contre la polio avait permis de réduire de 62 % le nombre de décès liés à des maladies respiratoires.

    Le vaccin vivant atténué BCG contre la tuberculose a été administré plus de 4 milliards de fois dans le monde, et 100 millions de nouvelles vaccinations néonatales ont lieu chaque année.

    Peu après l’introduction du BCG dans les années 1920, les épidémiologistes ont remarqué que la mortalité infantile diminuait dans des proportions qui ne pouvaient s’expliquer par la seule prévention de la tuberculose. Cet effet a été observé dans plusieurs autres études citées par Rubio-Casillas et al.

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  8. Des enquêtes d’observation menées en Afrique de l’Ouest ont également révélé une baisse de 50 % de la mortalité infantile. Comme c’est souvent le cas, des observations et des expériences ponctuelles ont conduit à trois essais contrôlés randomisés et à une méta-analyse de ces études, qui ont conclu que le vaccin BCG protège contre des agents pathogènes non apparentés et a un effet positif sur la survie de l’enfant.

    Brian Hooker, docteur en sciences, directeur principal de la science et de la recherche pour Children’s Health Defense, a déclaré que toute preuve de l’existence de ENS positifs associés aux vaccins à virus vivants doit être mise en balance avec les effets secondaires négatifs connus de ces vaccins.

    Hooker, co-auteur de “Vax-Unvax: Let the Science Speak”, a cité des études établissant un lien entre les vaccins à virus vivants et des effets secondaires graves. Il s’agit notamment de :

    Les vaccins ROR sont liés aux convulsions fébriles et à l’autisme.
    Les vaccins ROR et contre la varicelle, ou MMRV, sont liés à des convulsions fébriles.
    Le vaccin contre le rotavirus est lié à l’invagination intestinale aigüe(pliage de l’intestin).
    Le vaccin contre la poliomyélite est lié à des infections post-vaccinales de type polio.
    Les vaccins BCG (administrés en même temps que le vaccin DTCoq et/ou le vaccin contre la polio) sont associés à un taux de mortalité plus élevé dans les études suivantes : ici, ici, ici et ici.
    Les vaccins non vivants peuvent accroître le risque d’autres maladies, en particulier chez les filles
    Les vaccins qui ne contiennent pas d’agent pathogène vivant ou atténué (“vaccins non vivants”) protègent contre la maladie pour laquelle ils ont été conçus, mais sont également associés à des ENS négatifs. Dans certains cas, ils peuvent augmenter le risque d’autres maladies, en particulier chez les filles..

    Par exemple, selon une étude, les filles recevant le vaccin DTCoq non vivant mouraient deux fois plus souvent que les filles non vaccinées, avec un désavantage comparable à celui des garçons vaccinés.

    Un ENS similaire a été observé pour le vaccin DTCoq plus hépatite B et le vaccin contre l’Haemophilus influenzae de type B, l’hépatite B, le paludisme et la polio inactivée.

    Ces effets sont particulièrement visibles lorsque l’un de ces vaccins a été le dernier administré à l’enfant. Dans la plupart des cas, il est difficile d’effectuer des recherches sur la durée de cet effet, car les sujets sont fortement et fréquemment vaccinés. Selon Rubio-Casillas et al, ces effets persistent pendant au moins six mois et parfois pendant des années.

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  9. Ces effets ont d’abord été observés dans les pays en développement. Toutefois, les ENS ont récemment suscité l’intérêt des systèmes de santé des pays développés préoccupés par le coût des soins. Des études européennes et américaines ont montré que les vaccins vivants tendaient à réduire les admissions à l’hôpital pour des maladies non liées, mais que les vaccins non vivants les augmentaient.

    Le vaccin DTP est une cible d’investigation privilégiée pour les NSE depuis les années 1980, lorsque son lien avec l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues a été établi.

    Des études ultérieures ont confirmé ces résultats, en particulier chez les filles. Mais un Rapport 2016 de l’Organisation mondiale de la santé n’a pas pu confirmer le lien entre la vaccination DTP et des ENS négatifs, bien qu’elle ait cité plusieurs études qui, selon Rubio-Casillas et al. souffrent du “biais de survie”– La conséquence inévitable que les sujets qui survivent plus longtemps reçoivent généralement plus de traitements et sont surreprésentés lorsqu’ils rapportent des résultats positifs.

    Sur ce point, les auteurs écrivent que lorsque ce type de biais est éliminé, “les enfants ayant reçu la vaccination DTP avaient des taux de mortalité deux fois plus élevés que ceux des nourrissons n’ayant pas reçu le vaccin DTP”.

    D’autres vaccinations suivent des schémas similaires, bien que leurs résultats ne soient pas toujours aussi clairs. Les promoteurs du vaccin candidat non vivant RTS,S/AS01 contre le paludisme affirment qu’il est efficace à 18-36 % dans la prévention du paludisme, un niveau de protection modeste, mais avec peu d’effet sur la mortalité toutes causes confondues chez tous les enfants, et un effet négatif chez les filles.

    Rubio-Casillas et al. ont cité d’autres facteurs conduisant à des ENS: la séquence ou l’ordre de vaccination, la dose d’antigène et la vaccination répétée avec le même produit.

    Rubio-Casillas et al. concluent leur étude par des recommandations visant à minimiser les décès et les maladies liés aux ENS des vaccins par la promotion de produits à ENS positfs – allant jusqu’à conseiller la vaccination par le BCG de tous les nourrissons africains pour prévenir non seulement la tuberculose mais aussi d’autres infections.

    M. Hooker a déclaré au Defender qu’il n’était pas d’accord avec la recommandation des auteurs, sur la base des études (énumérées ci-dessus) établissant un lien entre le vaccin BCG et des taux de mortalité plus élevés.

    Ils ont également appelé les chercheurs et les autres parties prenantes à reconnaître que les ENS négatifs sont problématiques :

    “Il est compréhensible qu’à une époque où l’on hésite de plus en plus à vacciner, de nombreux chercheurs soient réticents à envisager la possibilité que des ENS aussi nocifs puissent se produire… [But] Reconnaître que les vaccins non vivants ont des effets négatifs ne signifie pas qu’ils doivent cesser d’être utilisés et ne doit pas encourager les personnes qui croient que les vaccins ne causent que des dommages à continuer de les refuser”.

    https://www.mondialisation.ca/certains-types-de-vaccins-sont-lies-a-un-risque-accru-dautres-infections/5685764?doing_wp_cron=1706513152.5795269012451171875000

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    1. Dès lors qu'une personne intelligente a lu et compris la publication scientifique de l'analyse des flacons injectables par les Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej, elle sait (depuis plus de 3 ans) que les seringues sont létales !

      Entre 95 & 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !!
      + des spikes !!
      ° des hydres !!
      + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !!

      Si avec çà t'es pas mort(e)... c'est qu'il te reste encore quelques heures !!

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  10. Vaccination obligatoire basée sur des modèles mathématiques

    29 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les enfants non vaccinés sont renvoyés de l’école car un « incident national » a été déclaré. C'est ce qui s'est passé à Birmingham au Royaume-Uni. Au cours des trois dernières années, de plus en plus de gens se sont informés sur les vaccinations à la lumière de la monstrueuse débâcle provoquée par les effets secondaires et les décès liés aux vaccinations contre le Covid. En particulier, le nombre croissant de cas d’autisme chez les enfants en raison de l’augmentation exorbitante des vaccinations recommandées amène les parents à repenser leur approche.

    Le groupe britannique HART a rapporté les débuts de cette histoire en septembre, lorsque la BBC a rapporté : « Les calculs mathématiques suggèrent qu'une épidémie pourrait affecter entre 40 000 et 160 000 personnes ». Il ne s’agissait pas du nouveau coronavirus mortel, mais du virus mortel de la rougeole. C’est à ce moment-là qu’une mini-épidémie s’est produite à Londres, même si le nombre de cas y était déjà en baisse constante et continue de baisser.

    Un article paru dans Unlimited Hangout détaille comment les affirmations du Club de Rome sur les « limites à la croissance » ont conduit à la montée de la mafia de la « modélisation prédictive ». L’avenir n’est plus observé et mesuré, mais plutôt conçu avec des modèles mathématiques venteux. C’est ce qui s’est produit à travers les tristement célèbres modèles de Neil Ferguson de l’Imperial College, dont les prédictions de 500 000 Britanniques et 2 millions d’Américains morts à cause du Covid justifiaient les confinements. Et cela continue de se produire avec les prévisions climatiques, dont aucune ne s’est encore avérée exacte.

    Alors que l’alarmisme basé sur des modèles mathématiques totalement non scientifiques est à nouveau à l’ordre du jour et que la résistance aux vaccins semble constituer une menace majeure pour la santé mondiale, la vaccination ROR devient soudainement obligatoire pour les écoliers de Birmingham. Si la rougeole éclate dans votre école ou votre jardin d’enfants et qu’un enfant n’est pas vacciné, il doit rester à la maison pendant trois semaines. Une épidémie peut être détectée après seulement 2 cas .

    Selon H ART, deux questions se posent immédiatement . « Premièrement, qui est responsable du déclin de la vaccination des enfants ? Est-ce vraiment ceux d’entre nous qui ont mis en garde contre les vaccins Covid pour les enfants, ou est-ce plutôt les régulateurs et les gouvernements qui imposent un nouveau vaccin avec des tests de sécurité inadéquats sur des enfants en bonne santé avec pratiquement aucun risque d’infection par le SRAS-CoV-2 ? L’infection existe ?

    La récente enquête commandée par UsforThem suggère que ce dernier a joué un rôle majeur dans la réduction de la confiance des parents dans les recommandations du gouvernement concernant d’autres vaccins, pas seulement contre le Covid-19. Ils ont rapporté :

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  11. Seule la moitié de la population (52 %) et seulement 40 % des 18-35 ans estiment que le gouvernement a été honnête quant aux risques et aux avantages de la vaccination contre le Covid.
    Seuls 60 % des parents d’enfants de moins de 18 ans déclarent qu’ils sont désormais susceptibles de donner à leur enfant les vaccins recommandés par le gouvernement (contre 84 % avant la pandémie).
    La deuxième question importante pour HART est la suivante : pourquoi la rougeole, qui survenait régulièrement chez les enfants dans le passé, est désormais considérée comme si dangereuse qu'elle est classée comme un événement national ? Comme le montre le tableau ci-dessous, les décès dus à la rougeole avaient presque disparu en Angleterre et au Pays de Galles plus d’une décennie avant l’introduction du vaccin contre la rougeole.

    - voir graph sur site -

    Figure 1. Données tirées du CDROM Mortalité du XXe siècle sur la mortalité due à la rougeole. ONS.
    Les scientifiques de HART expliquent le danger de la rougeole :

    Bien entendu, la rougeole peut encore être mortelle dans les pays à faible revenu en cas de malnutrition, et extrêmement rarement, même dans les populations bien nourries. Mais la caractérisation de la rougeole comme une maladie avec un taux de mortalité élevé n’est clairement pas exacte dans la Grande-Bretagne du XXIe siècle. Même le risque d'hospitalisation était considérablement exagéré . Dans sa déclaration ministérielle, Maria Caulfield a déclaré : « Un enfant atteint de rougeole sur cinq devra être admis à l’hôpital pour y être soigné – ce qui pourrait exercer une pression supplémentaire sur le NHS » (notez la référence à « protéger le NHS »). Cette statistique de 1:5 est écrasée dans le Mirror par l'image d'un enfant plutôt malheureux mais éveillé dans un lit d'hôpital. On ne sait pas exactement où Mme Caulfield a obtenu les données pour étayer cette affirmation, mais une épidémie en Europe en 2018 a signalé des taux d'admission pouvant atteindre 61 %. Cependant, une réponse à cet article citait des données collectées au niveau national pour l'Angleterre et le Pays de Galles de 1948 à 1962, qui montraient un taux d'admission de seulement 3 %. Pourquoi cette différence ? Les enfants d'aujourd'hui sont-ils en moins bonne santé, ou les parents (ou les médecins de famille) d'aujourd'hui craignent-ils beaucoup plus que leurs enfants soient admis inutilement ? Et quel est le dénominateur ? De nombreux enfants ayant déjà contracté la rougeole étaient simplement soignés à la maison et ne sont donc pas signalés. Un membre de HART a récemment rendu visite à une amie dont l'enfant avait la rougeole et dont la mère avait peur d'appeler son médecin de famille parce qu'elle craignait d'être interrogée sur le fait que son fils n'était pas vacciné. Elle n'est probablement pas seule dans ce cas.

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  12. Selon le spécialiste en médecine orthomoléculaire, le Dr. Le sc. Bodo Kuklinski avait déjà expliqué dans une interview avec TKP en 2020 qu'il existe des traitements naturels très efficaces. Les scientifiques HART :

    De plus, il existe une vitamine bon marché et facilement disponible qui devrait être utilisée, mais dont l’existence est sous-estimée dans la presse britannique, tout comme la vitamine D comme stimulant immunitaire face au SRAS-CoV-2 (ou à toute autre infection). L' OMS recommande depuis de nombreuses années l'administration systématique de doses élevées de préparations à base de vitamine A dès le début d'une infection rougeoleuse ; cette recommandation n’a été renouvelée qu’en août 2023. Une revue Cochrane publiée en 2005 a confirmé que « deux doses de vitamine A (200 000 unités internationales (UI) sur des jours consécutifs) réduisaient la mortalité chez les enfants de moins de deux ans (RR 0,21 ; IC à 95 % 0,07 à 0,66) ».

    Entre-temps, les cas de rougeole fluctuent d’un mois à l’autre, avec de petites épidémies survenant environ tous les cinq ans, comme cela a toujours été le cas. Les choses seront-elles vraiment bien pires en 2024 qu’en 2013 ?

    - voir graph sur site -

    Figure 2. Notifications de rougeole, 2013-2023, à partir des données de l'UKHSA .
    Les rumeurs d'une épidémie majeure à Londres avec 40 000 à 160 000 cas, rapportées par la BBC en juillet 2023, ne se sont pas réalisées.

    Une préoccupation qui a été soulevée est l'augmentation de la rougeole chez les jeunes enfants - est-ce dû au fait que les niveaux d'anticorps chez les mères vaccinées sont inférieurs à ceux de celles qui ont une immunité naturellement acquise et que, par conséquent, la protection des nouveau-nés par les anticorps à travers le placenta diminue plus rapidement ? Cela a été constaté dans des études comparatives en Israël. Dans le cas des juifs ultra-orthodoxes fondamentalement opposés à la vaccination, les mères ont transmis une bonne protection à leurs enfants, mais seulement de manière marginale dans le cas de ceux qui ont été vaccinés.

    En déclarant un incident national, la British Health Authority (UKHSA) espère évidemment accroître le recours au vaccin ROR. Il n’est pas clair si renvoyer chez eux des enfants non vaccinés est une carotte pour les autres parents ou un bâton pour eux. Quoi qu’il en soit, cela témoigne d’un manque de consentement éclairé et librement donné. Et une campagne envisagera-t-elle de mentionner les effets secondaires possibles répertoriés dans la brochure ?

    https://tkp.at/2024/01/29/impfzwang-basierend-auf-mathematischen-modellen/

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  13. PFOA et PFAS : le CIRC frappe à nouveau, à tort et à travers


    28 Janvier 2024
    Susan Goldhaber, ACSH*


    Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a reclassé l'acide perfluorooctanoïque (PFOA) dans la catégorie des substances « cancérogènes pour l'homme », ce qui aura pour effet d'élargir considérablement les restrictions applicables aux substances per- et poly-fluoroalkylées (PFAS), plus communément appelées « polluants éternels », et ce, bien qu'aucune étude valable ne montre qu'il augmente le risque de cancer chez l'homme. Comment cette reclassification va-t-elle accroître la pression en Europe et aux États-Unis pour que des mesures soient prises ? Voici un aperçu.

    Comme nous l'avons vu avec le glyphosate, l'évaluation du CIRC, même si elle est contredite par de nombreuses autres agences gouvernementales, peut entraîner l'interdiction de composés et des milliards de dollars de procès inutiles. L'Europe a ouvert la voie en matière de distorsion dans le cas des PFAS, l'Agence Européenne des Produits Chimiques (EChA) proposant d'interdire tous les PFAS, ce qui concerne plus de 12.000 substances, la définition des PFAS étant si large qu'elle inclut presque tous les produits chimiques contenant du fluor.

    J'ai déjà interviewé M. Tommaso A. Dragani, directeur scientifique d'Aspidia, au sujet de la proposition d'interdiction de tous les PFAS en Europe et j'ai de nouveau fait appel à son expertise en lui posant des questions sur l'effet de la classification révisée du cancer par le CIRC pour le PFOA.

    Mon entretien avec le Dr Dragani

    SG : Comment la classification révisée du PFOA par le CIRC affectera-t-elle le projet européen d'interdiction de tous les PFAS, sur lequel vous avez déjà écrit ?

    TD : La mise à jour de la classification du PFOA par le CIRC devrait soutenir l'initiative européenne visant à interdire tous les PFAS. Cependant, il est important de noter que la classification du CIRC ne couvre que deux substances chimiques. Le PFOA est le seul à avoir été identifié comme cancérogène pour l'homme (le PFOS a été classé dans le groupe 2B, peut-être cancérogène pour l'homme). En revanche, l'interdiction proposée par l'EChA couvre 12.000 substances chimiques. Cela inclut des substances telles que les polymères fluorés qui n'ont pas la capacité de pénétrer dans notre corps et peuvent donc être classés comme des polymères peu préoccupants.

    SG : Quelles autres conséquences la reclassification du CIRC aura-t-elle en Europe ? Certaines industries seront-elles particulièrement touchées ?

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  14. TD : Étant donné que le PFOA n'est pratiquement plus produit en Europe, la reclassification du PFOA par le CIRC comme cancérogène pour l'homme pourrait avoir un impact significatif sur les industries impliquées dans l'élimination des déchets industriels. Je m'attends à une augmentation du coût de l'élimination des déchets contenant du PFOA et de l'assainissement des sols ou des eaux contaminés par le PFOA.

    En outre, il pourrait y avoir une augmentation des demandes d'analyses concernant une éventuelle contamination de l'environnement par le PFOA ; en effet, beaucoup de choses ont été faites aux États-Unis et très peu dans les pays européens. Je pense par exemple aux zones proches des aéroports.

    SG : La reclassification du CIRC aura-t-elle une incidence sur la gestion des PFOS par bioremédiation et, dans l'affirmative, de quelle manière ?

    TD : Je m'attends à ce que la reclassification du PFOA par le CIRC incite à financer la recherche sur la gestion des PFAS par la bioremédiation. En effet, les méthodes actuellement utilisées, qui consistent principalement à brûler du charbon actif comme filtre absorbant les PFAS et à éliminer les sols contaminés par les PFAS dans des décharges, sont très coûteuses, émettent beaucoup de CO2 et ont un impact significatif sur l'environnement.

    SG : Quelles conséquences la reclassification du PFOA pourrait-elle avoir aux États-Unis ?

    TD : Aux États-Unis, je pense que les conséquences de la nouvelle classification du PFOA par le CIRC seront les mêmes qu'en Europe, avec l'ajout probable d'une augmentation des litiges liés aux dommages causés par le PFOA, en particulier de la part des personnes qui ont été exposées au PFOA parce qu'elles vivaient dans un site contaminé et ont développé un cancer du rein ou des testicules.

    Toutefois, il est important de noter que la classification du PFOA par le CIRC ne remplace pas l'évaluation de la relation de cause à effet entre l'exposition et la maladie. Elle indique simplement que l'exposition au PFOA peut présenter un risque de cancer. Il incombe au demandeur potentiel d'établir un lien de causalité entre l'exposition et la maladie alléguée. [Ma note : il rêve !]

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  15. Classification des cancers par le CIRC

    Comme l'a indiqué le Dr Dragani, le CIRC identifie la force des preuves qu'une substance peut causer le cancer (le danger de cancer) mais n'identifie pas la probabilité qu'elle cause le cancer (le risque de cancer). Le risque de cancer dépend du type et de la quantité d'exposition. De nombreuses substances identifiées par le CIRC comme cancérogènes du groupe 1 ne provoqueront jamais de cancer, principalement parce que la quantité à laquelle les gens sont exposés est bien inférieure à la quantité nécessaire pour provoquer un cancer.

    Le cœur du problème est que le public ne comprendra jamais la différence entre un danger et un risque quantifiable. Malheureusement, les agences n'expliquent pas cette différence au public et se cachent souvent derrière des dangers potentiels au lieu d'évaluer les risques réels.

    Le CIRC classe les substances chimiques pour le cancer en évaluant toutes les études épidémiologiques pertinentes (sur l'homme), les études sur le cancer chez les animaux de laboratoire et les études mécanistiques (généralement sur les cellules, les tissus et le sang) et en classant le degré de preuve dans chacune des trois catégories allant d'inadéquat à suffisant :

    Groupe 1 (l'agent est cancérogène pour l'homme) ;

    Groupe 2A (l'agent est probablement cancérogène pour l'homme) ;

    Groupe 2B (l'agent est peut-être cancérogène pour l'homme) ;

    Groupe 3 (l'agent n'est pas classable quant à sa cancérogénicité pour l'homme).

    Le PFOA a été précédemment classé dans le groupe 2B, « peut-être cancérogène pour l'homme », en 2014 et est maintenant reclassé par le CIRC dans le groupe 1, « cancérogène pour l'homme », sur ces bases :

    Des preuves « suffisantes » de cancer chez les rats de laboratoire montrant une augmentation des tumeurs du foie, des cellules de Leydig et des cellules acineuses du pancréas. Cependant, en raison des différences de réactions entre les rats et les humains, il est peu probable que ces tumeurs se produisent chez l'homme.

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  16. Des preuves mécanistes « solides » chez les humains exposés, y compris des études sur des cellules, des tissus ou du sang humains. Ces études portent sur les « altérations épigénétiques », c'est-à-dire les modifications de l'ADN qui se produisent en dehors des gènes, telles que l'augmentation des microARN ou de la méthylation de l'ADN et la suppression immunitaire, y compris la diminution des taux d'anticorps. Mais ces études n'ont jamais eu pour but de démontrer qu'une substance est à l'origine du cancer. Au mieux, ces études peuvent indiquer un mécanisme par lequel une substance peut causer le cancer – elles ne constituent pas une preuve primaire de causalité.

    Des preuves « limitées » d'un excès de risque de cancer chez l'homme pour le carcinome des cellules rénales et le cancer des testicules. Les preuves limitées concernant le carcinome des cellules rénales (CCR) proviennent d'une étude dans laquelle le diagnostic de CCR a été posé 2 à 18 ans après que les niveaux de PFAS dans le sang ont été mesurés ; cette seule mesure a été utilisée comme base pour la conclusion que les patients atteints de CCR avaient des niveaux plus élevés de PFOA dans leur sang que les témoins, malgré la confusion par l'obésité et l'hypertension, des facteurs de risque connus. Le CIRC a ignoré les résultats d'autres études qui n'ont montré une augmentation du cancer du testicule qu'à des niveaux très élevés de PFOA ou aucune augmentation quel que soit le niveau d'exposition.

    Les preuves limitées concernant le cancer des testicules proviennent d'une analyse écologique réalisée par un groupe de travail du CIRC sur la base des orchidectomies (ablation chirurgicale des testicules) d'une région d'Italie, qui a démontré une « association positive ». L'analyse n'a pas été publiée et les données ne sont pas disponibles pour examen. [1]

    Il est temps que le CIRC soit plus transparent. En classant le PFOA dans le groupe 1, « l'agent est cancérogène pour l'homme », le CIRC affirme définitivement que le PFOA est cancérogène, ce qui va à l'encontre des conclusions d'autres scientifiques. Comme l'a expliqué le Dr Dragani, l'interdiction des PFAS proposée par l'Europe pourrait concerner 12.000 substances chimiques, et cette question pourrait avoir un impact significatif dans les années à venir.

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  17. [1] Cela va à l'encontre du préambule des monographies du CIRC qui stipule que le matériel non publié ne peut être utilisé que s'il est « accessible au public et dont le contenu est définitif, s'il y a suffisamment d'informations pour permettre une évaluation de la qualité des méthodes et des résultats des études ».

    * Susan Goldhaber, M.P.H., est une toxicologue de l'environnement qui a plus de 40 ans d'expérience au sein d'agences fédérales et d'États et dans le secteur privé ; elle s'est spécialisée dans les questions relatives aux produits chimiques présents dans l'eau potable, l'air et les déchets dangereux. Elle se concentre actuellement sur la traduction des données scientifiques en informations utilisables par le public.

    Source : IARC Strikes Again, Misguidedly | American Council on Science and Health (acsh.org)

    Ma note : Sur 30 participants (29 présents) au groupe de travail du CIRC, il y avait 15 États-Uniens.

    Une des participantes, Mme Shelia Zahm est présentée comme retraitée du National Cancer Institute et, dans une note de bas de page, comme employée de sa boîte de consultance. Elle a été la présidente du groupe de travail. Mais son travail n'implique(rait) aucun conflit d'intérêts en relation avec la monographie. Mais cela ne concerne que le passé...

    M. Antony Fletcher, London School of Hygiene and Tropical Medicine, spécialiste invité, a rapporté comme conflits d'intérêts le fait qu'il produit des expertises dans diverses affaires, soit pour les plaignants, soit pour les défendeurs.

    Dans The Lancet, tous les auteurs sont tous présentés comme affiliés... au CIRC.

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/pfoa-et-pfas-le-circ-frappe-a-nouveau-a-tort-et-a-travers.html

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  18. Ces terribles témoignages et ces nouvelles études qui établissent les preuves des effets graves des vaccxxxins mais les censeurs de l’info les feront disparaître


    le 29 janvier 2024
    par pgibertie



    1 Le lien est établi entre les injections et le syndrome de Guillain Barré
    frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2023.1078197/full

    - voir doc sur site -

    marco nius

    @NiusMarco

    Objectif : Cette étude visait à analyser rétrospectivement les cas signalés de syndrome de Guillain-Barré (SGB) survenus après la vaccination contre le COVID-19.

    Méthodes : Les rapports de cas de SGB suite à la vaccination contre la COVID-19 publiés avant le 14 mai 2022 ont été extraits de PubMed. Les cas ont été analysés rétrospectivement pour leurs caractéristiques de base, les types de vaccins, le nombre de doses de vaccination avant le début, les manifestations cliniques, les résultats des tests de laboratoire, les résultats des examens neurophysiologiques, le traitement et le pronostic.

    Résultats : L’analyse rétrospective de 60 rapports de cas a révélé que le SGB post-vaccination contre la COVID-19 survenait principalement après la première dose de vaccination (54 cas, 90 %) et était courant pour la vaccination par ADN (38 cas, 63 %), fréquent dans les pays d’âge moyen. -les personnes âgées et âgées (âge moyen : 54,5 ans), et également fréquentes chez les hommes (36 cas, 60 %). Le délai moyen entre la vaccination et le début de la vaccination était de 12,3 jours. Le SGB classique (31 cas, 52 %) était la classification clinique majeure et le sous-type AIDP (37 cas, 71 %) était le sous-type neurophysiologique majeur, mais le taux positif d’anticorps anti-ganglioside était faible (7 cas, 20 %). . La paralysie bilatérale du nerf facial (76 % contre 18 %) et la paresthésie faciale avec paresthésie distale (38 % contre 5 %) étaient plus fréquentes pour la vaccination par ADN que pour la vaccination par ARN.

    Conclusion : Après avoir examiné la littérature, nous avons proposé une association possible entre le risque de SGB et la première dose des vaccins contre la COVID-19, notamment les vaccins à ADN. Le taux plus élevé d’atteinte faciale et un taux positif plus faible d’anticorps anti-ganglioside peuvent être une caractéristique du SGB après la vaccination contre la COVID-19.

    https://www.elsevier.es/en-revista-clinics-22-articulo-guillain-barre-syndrome-related-sars-cov-2-vaccinations-S1807593222033142

    2 Le lien est établi entre injections et crises cardiaques

    Cette première étude suit des rats pendant les 72 heures post injection de Pfizer ou de Moderna

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  19. Effets secondaires cardiaques des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d’ARN : effets cardiotoxiques cachés de l’ARNm-1273 et du BNT162b2 sur la fonction et la structure des myocytes ventriculaires

    Comme les théories convaincantes sur les mécanismes pathologiques sous-jacents n’ont pas encore été développées, cette étude a étudié l’effet de l’ARNm-1273 et du BNT162b2 sur la fonction, la structure et la viabilité des cardiomyocytes de rats adultes isolés sur une période de 72 heures.

    Résultats clés

    Au cours des 24 heures suivant l’application, l’ARNm-1273 et le BNT162b2 n’ont provoqué ni perturbations fonctionnelles ni anomalies morphologiques. Après 48 h, l’expression de la protéine de pointe codée a été détectée dans les cardiomyocytes ventriculaires pour les deux ARNm. À ce stade, l’ARNm-1273 a induit des contractions arythmiques ainsi que complètement irrégulières associées à des transitoires calciques irréguliers et localisés, qui fournissent des indications d’un dysfonctionnement significatif du récepteur cardiaque de la ryanodine (RyR2). En revanche, BNT162b2 a augmenté la contraction des cardiomyocytes via une activité significativement accrue de la protéine kinase A (PKA) au niveau cellulaire.

    Conclusion et implications

    Ici, nous avons démontré pour la première fois que dans les cardiomyocytes isolés, l’ARNm-1273 et le BNT162b2 induisent tous deux des dysfonctionnements spécifiques corrélés physiopathologiquement à la cardiomyopathie. La déficience de RyR2 et l’activation soutenue de la PKA peuvent augmenter considérablement le risque d’événements cardiaques aigus.

    https://bpspubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/bph.16262

    3 Bien trop de risques à vacciner les ados et les enfants
    Les chercheurs ont examiné les adolescents nés entre 2002 et 2009 qui ont reçu un vaccin contre le Covid-19 en 2021 ou 2022. Ils ont exclu les enfants ayant reçu un vaccin précoce, indiquant qu’ils présentaient un risque élevé de Covid-19. Les autres exclusions concernaient les enfants ayant souffert d’un des problèmes de santé au cours des quatre années précédant la vaccination.

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  20. Au final, la population étudiée s’est élevée à près de 500.000 enfants.

    Les chercheurs ont constaté que les enfants ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 étaient cinq fois plus susceptibles de souffrir d’une réaction anaphylactique, ou d’un choc allergique grave, après une première dose, et près de dix fois plus susceptibles de souffrir d’un choc après une deuxième dose. Les risques accrus sont apparus dans les deux jours. Sur la base de données de l’Organisation mondiale de la santé et d’autres sources, cette période a été identifiée comme la fenêtre de risque, c’est-à-dire la période la plus probable au cours de laquelle les personnes vaccinées sont confrontées à une issue, pour le choc.

    Selon les résultats de l’analyse principale, les enfants vaccinés étaient également environ 2,5 fois plus susceptibles de souffrir d’une lymphadénopathie dans les 14 jours suivant la seconde dose et sept fois plus susceptibles de souffrir d’une myocardite et/ou d’une péricardite, ou d’une inflammation cardiaque, dans les 28 jours suivant l’administration de la seconde dose.

    Les trois essais cliniques des vaccins ont détecté un risque accru de lymphadénopathie chez les participants âgés de 16 ans et plus.

    Lorsque les chercheurs ont élargi les fenêtres de risque dans une analyse complémentaire, ils ont également constaté un risque accru d’appendicite aiguë après une première et une deuxième dose, ainsi qu’un risque accru de paralysie du nerf facial. Les sous-analyses stratifiées par âge ont également révélé des risques accrus d’épilepsie et de convulsions chez les jeunes de 18 et 19 ans dans les 28 jours, la fenêtre de risque, suivant l’administration d’une deuxième dose de vaccin, ainsi que des risques accrus supplémentaires en dehors des fenêtres de risque pour d’autres problèmes de santé.

    Cliquer pour accéder à 2023.12.13.23299926v1.full.pdf

    - voir doc sur site :

    https://pgibertie.com/2024/01/29/ces-terribles-temoignages-et-ces-nouvelles-etudes-qui-etablissent-les-preuves-des-effets-graves-des-vaccxxxins-mais-les-censeurs-de-linfo-les-feront-disparaitre/

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  21. L’OMS entend réduire l’alimentation humaine mais la planète Mars se réchauffe aussi et sur la Terre un volcan émet un record de gaz à effet de serre


    le 28 janvier 2024
    par pgibertie


    Les MARTIENS devront ils eux aussi renoncer au diésel pour leurs soucoupes??? ?Les changements climatiques sont principalement dus à :

    1) Variation de l’orbite terrestre autour du soleil –

    2) La puissance solaire varie.

    3) Activité volcanique et géothermique (beaucoup à l’abri des regards sous la mer).

    Le reste c’est du business

    MARS : SON ATMOSPHÈRE SE RÉCHAUFFE AUSSI !

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    SCIENCESACTUALITÉS

    Détail de la calotte polaire nord de Mars, vue par Mars Express en 2005.
    DÉTAIL DE LA CALOTTE POLAIRE NORD DE MARS, VUE PAR MARS EXPRESS EN 2005.

    Selon cette étude, menée conjointement avec l’US Geological Survey, les températures moyennes relevées à la surface de la Planète rouge s’accroissent quatre fois plus rapidement que sur Terre. Les chercheurs estiment que la température de surface martienne aurait augmenté de quelque 0,65°C entre les années 70 et les années 90, soit depuis l’atterrissage des sondes américaines Viking et des premiers relevés précis. Une des premières conséquences de ce réchauffement a été la diminution des calottes polaires martiennes, venant encore en renfort de ce processus par réduction d’albédo.

    La comparaison avec la Terre est aisée. Si une zone couverte de neige fond, sa réflectivité, donc son albédo, diminue en proportion. Ainsi, si la glace qui recouvre l’océan Arctique réfléchit 85% du rayonnement solaire, l’eau n’en renvoie plus que 15 %. Le reste est absorbé et contribue à réchauffer l’océan, ce qui accélère le processus, etc. Le même phénomène est observé sur Mars, à partir d’autres éléments: les tempêtes soulèvent la poussière qui se dépose sur les calottes en les assombrissant. Leur l’albédo diminue, ce qui entraîne une absorption plus importante du rayonnement solaire. La température du sol augmente encore, la fonte de la glace s’accélère, et ainsi de suite.

    Cet effet albédo n’avait jamais été pris en compte jusqu’ici dans l’élaboration des modèles climatiques martiens, mais Lori Fenton et son équipe ont réussi à démontrer que ces variations de luminosité au sol influencent grandement l’environnement martien et accroissent les vents qui sont à l’origine de ces variations, cela dans un cercle vicieux rapidement incontrôlable.

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  22. Les variations de température ayant servi à cette étude ont été déterminées sur la base des images thermiques prises par les orbiteurs des deux missions Viking des années 70, et des relevés effectués par Mars Global Surveyor 20 ans plus tard.

    Lorsqu’un volcan sous-marin aux Tonga est entré en éruption en janvier, il a craché plus que des cendres et des gaz volcaniques ; il a également rejeté l’équivalent de 58 000 piscines olympiques de vapeur d’eau dans l’atmosphère terrestre, selon une nouvelle étude.

    Cette vapeur d’eau pourrait finir par être la partie la plus destructrice de l’éruption du volcan , car elle pourrait potentiellement exacerber appauvrir la couche d’ozone , selon l’étude.

    Lorsque le volcan Hunga Tonga-Hunga Ha’apai est entré en éruption le 15 janvier, il s’agit de l’explosion la plus puissante sur Terre depuis plus de 30 ans, avec une force équivalente à 100 bombes d’Hiroshima . L’explosion a envoyé des ondes de choc autour de la planète, faisant sonner l’atmosphère comme une cloche et générant des tsunamis qui ont frappé les côtes voisines . Un panache de cendres et de poussière a atteint une hauteur plus élevée dans l’atmosphère que toute autre éruption jamais enregistrée et a déclenché plus de 590 000 éclairs en trois jours.

    Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont utilisé les données collectées par le satellite Aura de la NASA pour évaluer la quantité d’eau projetée dans la stratosphère, la deuxième couche de l’ atmosphère terrestre , qui s’étend de 4 à 12 miles (6 à 20 kilomètres) jusqu’à 31 miles (50 km) au-dessus de la surface de la planète. Les résultats ont révélé que 160 900 tonnes (146 000 tonnes métriques) de vapeur d’eau supplémentaire étaient entrées dans la stratosphère depuis l’éruption du volcan, atteignant une altitude maximale de 33 miles (53 km), qui se situe dans la mésosphère, la couche de l’atmosphère qui s’étend de le sommet de la stratosphère à une altitude de 53 miles (85 km).

    Cela en fait l’injection d’eau la plus importante et la plus élevée dans la stratosphère depuis que les satellites ont commencé à prendre des mesures.

    Related: L’éruption sous-marine du « sharkcano » capturée dans des images satellite spectaculaires

    « Nous estimons que l’excès de vapeur d’eau équivaut à environ 10 % de la quantité de vapeur d’eau résidant généralement dans la stratosphère », ce qui représente la plus grande augmentation jamais vue par les scientifiques, écrivent les chercheurs dans le nouvel article, publié en ligne le 1er juillet dans le journal. revue Lettres de recherche géophysique . La vapeur d’eau pourrait rester dans la stratosphère pendant environ une demi-décennie, ont écrit les chercheurs.

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  23. Il n’est pas totalement surprenant que l’éruption des Tonga ait injecté une grande quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère, étant donné que l’explosion s’est déclenchée à environ 492 pieds (150 mètres) sous la surface de l’océan, ont indiqué les chercheurs. Lorsque le volcan est entré en éruption, l’eau de mer qui est entrée en contact avec le magma en éruption a été rapidement surchauffée, ce qui a entraîné la production de grandes quantités de « vapeur explosive », ont-ils écrit. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles l’explosion a été si puissante. Cependant, c’est la première fois que la quantité d’eau est mesurée avec précision, et elle s’est avérée bien supérieure à ce que les scientifiques attendaient.

    Normalement, les grandes éruptions volcaniques libèrent de grandes quantités de cendres et de gaz, comme le dioxyde de soufre, qui peuvent créer des composés réfléchissants dans l’atmosphère. Ces sous-produits volcaniques peuvent empêcher la lumière du soleil d’atteindre la surface de la planète, ce qui peut refroidir l’atmosphère. Cependant, l’éruption des Tonga a produit des niveaux étonnamment faibles de dioxyde de soufre par rapport à des explosions de taille similaire, et la plupart des cendres éjectées sont rapidement tombées au sol.

    En conséquence, les experts ont initialement estimé que l’explosion sous-marine aurait des effets minimes sur le climat terrestre . Mais ces estimations étaient basées sur la quantité de cendres et de gaz émises par le volcan et ne tenaient pas compte de la totalité de l’excès de vapeur d’eau, ce qui pourrait être tout aussi problématique.

    Cet excès d’eau, préviennent les chercheurs, pourrait avoir un effet de rayonnement susceptible de réchauffer l’atmosphère à l’instar des gaz à effet de serre. Parce que l’eau est susceptible de rester plus longtemps que d’autres gaz volcaniques, comme le dioxyde de soufre – qui tombe normalement de l’atmosphère dans un délai de deux à trois ans – l’effet de réchauffement de l’eau durera probablement plus longtemps que tout effet de refroidissement créé par les gaz.

    Cela signifie que l’explosion des Tonga sera probablement la première éruption enregistrée à provoquer un effet de réchauffement plutôt qu’un effet de refroidissement sur la planète, ont écrit les chercheurs.

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  24. Les chercheurs ont également souligné qu’une telle augmentation de la vapeur d’eau pourrait diminuer la quantité d’ozone dans la stratosphère, affaiblissant ainsi potentiellement la couche d’ozone qui protège la vie sur Terre des rayons ultraviolets nocifs du soleil . L’eau stratosphérique, ou H2O, peut se décomposer en ions OH au fil du temps. Ces ions pourraient réagir avec l’ozone, composé de trois atomes d’oxygène, pour créer de l’eau et de l’oxygène. Cependant, on ne sait pas exactement comment cela affectera la couche d’ozone dans son ensemble, ont écrit les chercheurs.

    https://pgibertie.com/2024/01/28/loms-entend-reduire-lalimentation-humaine-mais-la-planete-mars-se-rechauffe-aussi-et-sur-la-terre-un-volcan-emet-un-record-de-gaz-a-effet-de-serre/

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    1. (...) « Nous estimons que l’excès de vapeur d’eau équivaut à environ 10 % de la quantité de vapeur d’eau résidant généralement dans la stratosphère », (...)

      D'où... la (prochaine) BAISSE DES NIVEAUX MARITIMES ET OCÉANIQUES DE PLUS DE 300 MÉTRÉS !! HOULALA !! La plaaaaage s'est agrandit !!!!!

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  25. Le Ctrl+Alt+Supp du climat

    S’il préconise la création d’un organisme dédié à la gestion des crises sanitaires, la lutte contre la prochaine pandémie ne peut se faire, de son avis, sans le vaccin.

    Outre les substituts de viande et la modification de la génétique, le milliardaire est aficionado de la géo-ingénierie, notamment pour lutter contre le réchauffement climatique. Face à la difficulté de réduire les fameuses émissions de CO2, des chercheurs et des startups ont recours à un ensemble de techniques visant à modifier le climat pour refroidir la Terre. Nombreuses sont celles qui ont été jusque-là proposées et explorées, mais les plus avancées consistent en l’injection d’aérosols dans la stratosphère et la “perturbation stratosphérique contrôlée”, tout comme le projet des chercheurs de Harvard du nom de SCoPEx (Stratospheric controlled perturbation effect, NDLR), qui consiste à envoyer un ballon ou des avions pour disperser des particules de sel extrêmement fines à 20 kilomètres d’altitude. Si le site dédié au SCoPEx ne mentionne aucunement Bill Gates, plusieurs médias comme Forbes ou Newsweek confirment son investissement, sans en dévoiler le montant.

    Les initiatives de géo-ingénierie, qui se sont multipliées ces dernières années, suscitent les inquiétudes d’organismes comme l’ONU ou l’Union européenne qui alertent sur leurs “risques et conséquences inattendues” et appellent à un débat international sur leur gouvernance. Plusieurs Etats américains souhaitent actuellement mettre fin à ces pratiques.

    Le “Lolita Express”, un bug dans le système de relations publiques

    En 2021, Bill et Melinda annoncent leur divorce, après 27 ans de mariage. Parmi les causes de leur séparation, selon elle, figure la relation entre le milliardaire et le trafiquant sexuel Jeffrey Epstein, mort en prison en 2019. Bill Gates affirme sans cesse que ses relations avec le financier se limitaient à “des dîners”.

    Cette version aura plusieurs fois été mise à mal, son ex-épouse affirmant ainsi que de nombreux médias qu’ils se seraient rencontrées de nombreuses fois... Et le nom de Bill Gates est mentionné à de nombreuses reprises dans le journal de bord du “Lolita Express”, surnom du jet privé de Jeffrey Epstein.

    https://www.francesoir.fr/portraits/bill-gates-du-plagiat-d-apple-celui-du-genome-humain-pour-un-grand-nettoyage-de-l

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  26. Le gaz carbonique n'est pas un polluant

    À l'heure actuelle, la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère à quelques milliers de pieds d'altitude est d'environ 430 parties par million (ppm). Plus près du sol, les concentrations varient considérablement, à la fois selon le lieu et l'heure de la journée. En effet, les lectures au niveau du sol sont affectées par la photosynthèse et la respiration des insectes, etc.

    Dans la salle où Happer donnait sa conférence, la valeur de gaz carbonique était de 1 800 ppm – le résultat de la respiration d'un grand groupe de personnes dans un espace clos. Les systèmes de climatisation sont équipés de compteurs de gaz carbonique qui allument des ventilateurs pour amener l'air extérieur à l'intérieur lorsque les niveaux deviennent trop élevés.

    La question de savoir ce qui est trop élevé est importante, étant donné que les Great Resetters défendent un programme vert qui exige le démantèlement des infrastructures énergétiques et de l’agriculture au nom de l’arrêt du changement climatique, qui menace de toute évidence notre qualité de vie et notre approvisionnement alimentaire. En fin de compte, cela pourrait menacer l’existence humaine.

    Le fait est que le gaz carbonique n’est pas le « méchant » qu’on prétend être, et le programme « zéro émission nette » est totalement inapproprié si le maintien de la vie sur Terre fait partie de l’équation.

    « Le gaz carbonique est un élément essentiel et naturel de la vie », explique Happer. «C'est le gaz de la vie. Après tout, nous sommes constitués de carbone, principalement de charbons, et nous rejetons beaucoup de gaz carbonique par jour rien qu'en vivant. Chacun de nous expire environ 2 livres de gaz carbonique par jour. Multipliez cela par 8 milliards de personnes et 365 jours par an, et rien qu'en vivant, les gens représentent une partie non négligeable du bilan gaz carbonique de la Terre.

    Néanmoins, nous vivons une croisade contre le soi-disant polluant gaz carbonique. Les gens parlent de pollution par le carbone. [Mais] chacun d’entre nous pollue la Terre en respirant, [donc] si vous voulez arrêter de polluer… apparemment, Dieu veut que nous nous suicidions…

    Nous faisons toutes sortes de choses folles à cause de ce prétendu polluant… de plus en plus de belles prairies sont recouvertes de panneaux solaires noirs. Cela ne fonctionne pas très bien ; ça ne marche pas du tout la nuit. Cela ne fonctionne pas par temps nuageux. Cela ne fonctionne pas très bien au milieu de l'hiver à cause de l'angle du soleil.

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  27. Mais nous le faisons néanmoins. Nous sommes induits en erreur dans l’hystérie climatique, et si vous n’avez pas lu ce livre, je vous le recommande vivement. Il a été publié pour la première fois en 1841, intitulé « Les illusions populaires extraordinaires et la folie des foules ». C’est aussi pertinent aujourd’hui qu’à l’époque…

    Je suis physicien. Je suis fier de dire que personne ne peut me qualifier de climatologue, mais j'en sais beaucoup sur le climat et j'ai été co-auteur de l'un des premiers livres sur les effets du gaz carbonique il y a 41 ans. Il s'agissait d'une étude réalisée par le groupe Jason dont j'étais membre. J’ai été président pendant un certain temps et il y avait de très bonnes personnes là-bas.

    Impact à long terme de l'augmentation du gaz carbonique atmosphérique

    La question clé en matière de réchauffement climatique est la suivante : dans quelle mesure réchauffez-vous la Terre si vous doublez la concentration atmosphérique de gaz carbonique ? C’est ce qu’on appelle la question de la sensibilité climatique. On suppose que doubler le gaz carbonique entraînerait une augmentation de 3 degrés centigrades de la température mondiale.

    "Cela n'était basé sur aucun calcul difficile", explique Happer. « C’était à cause d’une réflexion de groupe. C'est ce que tout le monde pensait, et c'est aussi ce que nous pensions. Maintenant, pour ma défense, l'une des raisons pour lesquelles je n'y ai pas prêté beaucoup d'attention [est parce que] je travaillais sur quelque chose à ce moment-là que je pensais être beaucoup plus important. Alors laissez-moi vous en parler, afin que vous compreniez pourquoi je pense que je suis qualifié pour pontifier sur ce sujet.

    C'était le début de l'Initiative de Défense Stratégique, de Star Wars… Le président Reagan… voulait un moyen de défendre les États-Unis afin que nous n'ayons pas besoin de ce pacte de suicide de masse, et entre autres choses, nous avons envisagé d'utiliser des lasers de grande puissance. pour brûler les missiles entrants…

    Mais voici le problème. Si vous placez le laser de 1 mégawatt au sol et que vous l'envoyez vers le missile, au moment où il atteint le missile, le faisceau - au lieu de concentrer toute la puissance sur le missile - se divise en centaines de faisceaux secondaires - des taches -. et c'était quelque chose qui était bien connu des astronomes. Vous rencontrez le même problème lorsque vous regardez des étoiles et des galaxies lointaines.

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  28. Les astronomes savaient comment résoudre ce problème… Si vous pouvez mesurer à quel point cette onde est courbée, alors vous pouvez la faire rebondir sur un miroir courbé dans la direction opposée, et lorsque l'onde rebondit, elle est absolument plate. C'est ce qu'on appelle l'optique adaptative et cela fonctionne à merveille. Ensuite, lorsque vous focalisez le faisceau corrigé, vous obtenez un seul point au lieu de centaines de [faisceaux].

    Le problème, c’est que si vous regardez le ciel nocturne, il n’y a que quatre ou cinq étoiles suffisamment brillantes pour avoir suffisamment de photons pour mesurer la distorsion de l’onde. Nous avons donc eu une réunion confidentielle au cours de l'été 1982. Il y avait là un certain nombre d'officiers de l'armée de l'air qui nous ont expliqué le problème. Par hasard, j'ai su comment le résoudre.

    Vous pouvez créer une étoile artificielle n’importe où dans le ciel en projetant un laser réglé sur la fréquence du sodium sur la couche de sodium au-dessus de nos têtes, à une distance de 90 à 100 kilomètres.

    Alors que l'Air Force doutait initialement de l'existence d'une couche de sodium dans l'atmosphère, elle a finalement construit le laser à sodium proposé par Happer, et si vous allez dans n'importe quel télescope au sol aujourd'hui, vous en verrez généralement un ou deux. Quoi qu'il en soit, cette histoire avait simplement pour but de vous impressionner par le fait que Happer sait de quoi il parle lorsqu'il s'agit de constituants atmosphériques et de phénomènes associés.

    Le gaz carbonique n'a aucun impact perceptible sur les températures terrestres

    Selon les alarmistes du climat, l'augmentation du gaz carbonique entraînera un réchauffement climatique qui menacera toute vie sur terre. En réalité, cependant, le gaz carbonique « est un outil très modeste pour agir sur le climat », dit Happer.

    Gardez à l’esprit qu’il n’y a pas de température unique sur Terre. Cela varie selon le lieu et l'altitude. Pour chaque kilomètre d'altitude, vous obtenez un refroidissement moyen de 6,6 degrés C. C'est ce qu'on appelle le taux de déchéance. Ce refroidissement se poursuit jusqu'à la troposphère, où il s'arrête.

    Le refroidissement est dû au fait que l’air chaud monte et que l’air frais descend. "C'est la convection qui provoque cette chute rapide des températures - 6 degrés et demi par kilomètre", explique Happer. Il explique ensuite le graphique suivant, qui détaille le rayonnement thermique de la Terre vers l'espace, en supposant une température de surface de 15,5 degrés C. Les gaz à effet de serre sont la zone située sous la courbe noire irrégulière.

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  29. Selon Happer, cela ne représente que 70 % de ce qu’il serait sans les gaz à effet de serre, représenté par la courbe bleue lisse, car lorsque le soleil chauffe la terre, les gaz à effet de serre – principalement la vapeur d’eau – entravent le refroidissement.

    La partie la plus importante de ce graphique est la ligne rouge irrégulière, représentée ici avec une flèche rouge pointant vers elle. Cette ligne rouge montre l'effet qu'aurait un doublement (une augmentation de 100 %) du gaz carbonique sur la température de la surface de la Terre. Comme vous pouvez le constater, c'est négligeable. Il réduit le rayonnement dans l’espace de seulement 1,1 %.

    - voir graph sur site -

    graphique de la température à la surface de la Terre

    Comme l'a noté Happer :

    « Laissez-le comprendre. Nous sommes loin d'avoir doublé [gaz carbonique ] aujourd'hui. Cela prendra beaucoup de temps, [et] cela ne provoquera qu'un changement de 1 %. Le gaz carbonique est donc un très mauvais gaz à effet de serre. Ce n'est pas un gaz à effet de serre efficace.

    Si vous supprimez TOUT le gaz carbonique , vous vous retrouvez avec la courbe verte en dents de scie. Comme vous pouvez le voir, les lignes irrégulières vertes et noires sont parallèles à l’exception d’un point. L'effet est énorme si l'on passe de zéro gaz carbonique à 400 ppm (flèche verte). Mais c'est encore une fois négligeable quand on passe de 400 ppm à 800 ppm (flèche noire). Comme l'explique Happer :

    « Vous obtenez tout l'effet dès la première petite quantité de gaz carbonique ajoutée … Il est donc tout à fait vrai que doubler le gaz carbonique ne provoque qu'une diminution de 1 % du rayonnement. L'IPCC [ Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique)] obtient la même réponse, donc ce n'est pas vraiment controversé, même s'il ne vous montrera jamais la courbe ni ne vous dira qu'elle est de 1 %. Cela gênerait le récit…

    Il s’agit donc d’un rayonnement vers l’espace. Comment transformer cela en température ? Ils craignent un réchauffement intolérable de la surface de la Terre où nous vivons, ou d'autres parties de l'atmosphère.

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  30. Là encore, il est important de faire le calcul du premier ordre… et il dit que le réchauffement dû au doublement du gaz carbonique est… inférieur à un degré… 0,7 [degré] C. Très faible. Vous ne pouvez vraiment pas ressentir ça.

    Alors pourquoi cette alarme face à la hausse du gaz carbonique ?
    Il va sans dire qu’il s’agit d’un énorme problème pour la communauté scientifique du climat, car une différence de 0,7 degré Celsius signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique, et peu importe ce que nous faisons pour réduire les émissions de gaz carbonique , cela n’aura aucun impact sur le climat.

    Ainsi, pour fabriquer une urgence là où il n’y en a pas réellement, l'IPCC « suppose d’énormes retours positifs », dit Happer. Étant donné que le gaz carbonique n'est pas un gaz à effet de serre puissant, le léger réchauffement direct qu'il provoque est amplifié par des facteurs allant de quatre à six pour donner l'impression qu'il a un impact perceptible.

    « J'aime dire que c'est une action positive pour le gaz carbonique», déclare Happer. "Ce n'est pas très efficace pour le réchauffement, mais si vous supposez beaucoup de retours, vous pouvez continuer à récolter de l'argent." Le problème est que la plupart de ceux qui ont une formation en chimie physique et en physique savent que la plupart des rétroactions naturelles sont négatives et non positives.

    C'est ce qu'on appelle le principe de Chatelier, du nom du chimiste français qui a découvert pour la première fois que « lorsqu'un système simple en équilibre thermodynamique est soumis à un changement de concentration, de température, de volume ou de pression… le système passe à un nouvel équilibre et… le changement contrecarre en partie le changement appliqué.

    Ainsi, le réchauffement de 0,7 degré Celsius que vous obtenez lorsque vous doublez la quantité de gaz carbonique est « probablement une surestimation », dit Happer, « car il y a probablement des rétroactions négatives à l’œuvre dans ce système climatique très complexe dans lequel nous vivons. L’atmosphère, les océans , tout n’est pas linéaire.

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  31. Ce qu'il faut retenir de tout cela, c'est que le fait que nous soyons à 400 ppm de gaz carbonique ou à 800 ppm n'a pas d'importance lorsqu'il s'agit d'impacter la température de la Terre. Bref, l’hystérie climatique n’est que cela. Cela ne repose sur aucune menace réelle. Ce n'est que si nous parvenions à atteindre le zéro absolu de gaz carbonique qu'il y aurait un changement, mais cela signifierait également que nous exterminerions tous les êtres vivants de la planète. Ce n’est rien de moins qu’un programme suicidaire.

    Plus de gaz carbonique verdira la planète

    Comme l'explique Happer, davantage de gaz carbonique verdira la planète, la rendant plus hospitalière pour la vie végétale. Plus il y a de gaz carbonique, meilleures sont les plantes et les arbres qui poussent. Si nous voulons des forêts luxuriantes et des récoltes abondantes, réduire les émissions de gaz carbonique est la dernière chose que nous voudrions faire.

    « Toutes les plantes poussent mieux avec plus de gaz carbonique [dans l'air] », dit-il. « Les plantes sont vraiment privées de gaz carbonique aujourd’hui. Nous savons que les plantes ont besoin de nombreux nutriments essentiels. Ils ont besoin d'azote, de phosphore, de potassium ; le plus important, c’est qu’ils ont besoin d’eau. Mais ils ont également besoin de gaz carbonique , et comme beaucoup d’autres nutriments, le gaz carbonique est aujourd’hui rare.

    Le gaz carbonique profite aux plantes en réduisant leurs besoins en eau, d'où moins de risques de sécheresse. Des niveaux plus élevés de gaz carbonique réduisent également la photorespiration nocive. Selon Happer, les plantes de type C3 perdent environ 25 % de leur potentiel de photosynthèse en raison de l'augmentation de la photorespiration. Pour des informations plus détaillées sur le rôle du gaz carbonique dans la croissance des plantes et la photosynthèse, veuillez visionner la vidéo. Cette discussion commence vers 40 minutes.

    Mensonges, ignorance, stupidité ou autre chose ?
    En conclusion, Happer s'efforce d'expliquer ce qui motive l'hystérie climatique :

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  32. « Malgré les arguments incontestables selon lesquels il n'y a pas d'urgence climatique – le gaz carbonique est bon pour la Terre – la campagne visant à bannir le gaz carbonique , « zéro net », a été très réussie. Alors, comment est-ce possible ? Je suis vraiment perdu ici parce que maintenant je parle de la nature humaine. Je suis vraiment doué avec les instruments et dans la résolution d'équations différentielles, mais je ne suis pas très doué pour comprendre les êtres humains.

    Mais voici quelques-uns des moteurs : les nobles mensonges, les mensonges politiques, l’ignorance, la stupidité, la cupidité. Les nobles mensonges remontent à Platon qui en parle dans « La République ». « En politique, un noble mensonge est un mythe ou un mensonge, souvent, mais pas toujours, de nature religieuse, sciemment propagé par une élite pour maintenir l'harmonie sociale ou faire avancer un programme. »

    Et ici, l'ordre du jour est clair. Si l'on parvenait d'une manière ou d'une autre à unir l'humanité pour lutter contre une menace extérieure, par exemple la pollution au gaz carbonique , alors nous ne nous affronterions pas. Il n'y aura pas de guerres. Je pense donc que de nombreuses personnes sincères se sont accrochées au récit du gaz carbonique en partie pour cette raison. Vous pouvez en fait lire des articles à ce sujet dans les premiers écrits du Club de Rome.

    Ensuite, il y a les mensonges politiques. C’est l’une de mes citations préférées de HL Menken : « Le seul objectif de la politique pratique est de maintenir la population alarmée (et donc réclamée à grands cris d’être conduite en sécurité) en la menaçant avec une série infinie de hobgobelins, tous imaginaires. »

    L’ignorance, bien entendu, est répandue et repose en grande partie sur une connaissance incomplète ou une compréhension erronée des faits. Et qu'en est-il de la bêtise ? Dietrich Bonhoeffer, l’un des rares ecclésiastiques allemands à s’être opposés à Hitler et à payer de sa vie sa dissidence publique, a écrit un jour sur la stupidité humaine :

    « Contre la bêtise, nous n’avons aucune défense. Ni la protestation ni la force ne peuvent y toucher. Le raisonnement ne sert à rien. Les faits qui contredisent les préjugés personnels peuvent tout simplement être méconnus – en fait, l’imbécile peut les contredire en les critiquant, et s’ils sont indéniables, ils peuvent simplement être écartés en tant qu’exceptions triviales.

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  33. Ainsi, l’imbécile, à la différence du scélérat, est complètement satisfait de lui-même. En fait, ils peuvent facilement devenir dangereux, car il n’en faut pas beaucoup pour les rendre agressifs. C’est pourquoi il convient d’être plus prudent que lorsqu’il s’agit d’un message malveillant.

    Happer lui-même a connu le danger de s’opposer à la stupidité. « Je reçois régulièrement des appels téléphoniques me menaçant de mort, moi, ma femme et mes enfants », dit-il. "Alors, de quel genre de mouvement s'agit-il ?" Enfin, la cupidité. AS Pouchkine a dit un jour : « S’il y avait un creux, il y aurait des porcs. » Et c’est actuellement la science du climat qui rapporte le plus d’argent – ​​à condition que vos travaux fassent avancer le discours sur le réchauffement climatique et la nécessité de zéro émission nette.

    Quels que soient les facteurs déterminants, les personnes responsables du monde entier doivent s’opposer au faux discours sur le changement climatique et au programme zéro émission nette, car cela n’aboutira à rien en termes de normalisation des températures, mais érodera rapidement la qualité de vie et la durabilité de la production alimentaire, et transférer la richesse entre les mains de quelques-uns.

    https://www.globalresearch.ca/carbon-dioxide-gas-life/5847759

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  34. L'électricité ne suffit pas pour se chauffer pendant les hivers froids


    29 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Afin de « protéger le climat », pratiquement tout le chauffage et les transports au sein de l’UE devraient être convertis à l’électricité. Cela ne fonctionnait pas avec les bus électriques à Oslo et on pouvait voir des gens skier dans les rues de Norvège, et dans le passé aussi à Munich. L'Allemagne produit actuellement davantage d'électricité à partir du charbon. Il est difficilement possible de couvrir les besoins supplémentaires en électricité nécessaires au basculement complet, le stockage nécessaire est extrêmement coûteux et les réseaux de distribution, y compris les transformateurs, devraient être construits de toutes pièces.

    Des milliards de personnes dans le monde n’ont pas accès à des sources sûres de chaleur et d’électricité. Pour eux, l’hiver peut sonner le glas. Une guerre politique contre les hydrocarbures (charbon, pétrole et gaz naturel) aggrave la situation de ceux qui ne sont pas protégés contre les températures glaciales.

    La gravité de la menace hivernale a été éclipsée par le débat actuel sur le changement climatique prétendument d’origine humaine. Nous sommes inondés d’avertissements sur les dangers du réchauffement. Mais historiquement et actuellement c’est le froid qui a des conséquences catastrophiques. Cela a changé le cours de l’histoire dans le monde entier, obligeant les gens à rechercher de la nourriture alors que la vie végétale diminuait.

    Le froid glacial de l’hiver fait bien plus de victimes que la chaleur torride de l’été, comme le montrent les analyses mondiales des décès dus à divers risques naturels. Une étude menée en 2023 dans 854 villes européennes a révélé qu’environ 203 620 décès par an étaient dus au froid, tandis que seulement 20 173 étaient dus à la chaleur. En comparaison, seulement 1 décès sur 10 dû à des températures extrêmes était dû à la chaleur, alors que la majorité était due au froid. La répartition régionale montre que plus il fait froid, plus le déséquilibre se déplace.

    Au-delà de la peur du réchauffement, le froid de l'hiver ne s'arrêtera pas et continuera de mettre à l'épreuve les mécanismes de survie de l'humanité. Depuis août 2023, le manteau neigeux dans l’hémisphère nord (ligne bleu foncé) est égal ou supérieur à la moyenne sur 57 ans (ligne pointillée).

    - voir graph sur site -

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  35. NOAA signifie National Oceanic and Atmospheric Administration, une agence gouvernementale américaine. L'Université Rutgers exploite un laboratoire de neige.

    La pseudoscience met les gens en danger avec des politiques énergétiques absurdes
    Alors que la science du climat est détournée par une croisade politique mondiale contre le prétendu réchauffement climatique d’origine humaine, les pays pourraient être mal préparés à l’hiver à venir.

    Dans les régions aux hivers particulièrement rigoureux et à l’accès limité à des sources de chauffage fiables, le risque de décès et de maladie dû aux politiques anti-énergies fossiles est élevé.

    Dans des endroits comme la Mongolie, où les difficultés économiques et l’approvisionnement énergétique convergent, rester au chaud en hiver est une préoccupation constante. Cette année, les importations d'électricité du pays en provenance de Russie ont été interrompues, laissant des millions de personnes sans électricité en plein hiver .

    Par moins 35 degrés Celsius, les Mongols se retrouvaient livrés à eux-mêmes. Pour résister à ce climat rigoureux, ils ne comptent que sur deux sources d’énergie principales : la production interne d’électricité à partir d’abondantes réserves de charbon et l’utilisation directe du charbon pour chauffer les maisons. Lors de températures négatives et de journées d’hiver enneigées, ni l’énergie éolienne ni l’énergie solaire ne peuvent garantir un approvisionnement énergétique continu.

    Le scénario est similaire dans d’autres pays de la région. Les communautés démunies d’Afghanistan dépendent du charbon pour survivre à l’hiver. Au Kirghizistan, le manque de fiabilité de l’hydroélectricité entraîne un besoin constant de charbon. En Ouzbékistan et au Kazakhstan, les gens dépendent également du charbon pour se réchauffer, même si le gaz est de plus en plus utilisé au Kazakhstan.

    Il est facile pour des politiciens hypocrites qui survolent le monde occidental à bord d’avions privés émettant du gaz carbonique de plaider en faveur de l’abolition des combustibles fossiles. Mais leur activisme ignore ouvertement l’emprise glaciale de l’hiver sur les communautés isolées.

    Ces différences sont également visibles en Europe. Dans l’étude mentionnée ci-dessus, il existe une nette différence entre l’Est et l’Ouest. Plus on s’éloigne vers l’est, plus la vulnérabilité augmente, mais les villes dotées de bidonvilles comme Londres sont également plus durement touchées. La composante sociale – la pauvreté – joue un rôle déterminant. La proportion de décès dus au froid est la plus faible en Occident, mais là aussi, elle est environ 7 fois supérieure à celle des décès dus à la chaleur. Et ce sont précisément ces derniers qui seraient les plus touchés par la politique européenne visant à rendre l’énergie plus chère et à passer à l’électricité.

    La plus grande étude mondiale sur la mortalité liée au climat relie un total de 5 millions de décès par an à des températures anormales. Parmi ceux-ci, 4,35 millions sont des décès dus au froid et 0,45 million sont des décès dus à la chaleur. Une étude réalisée en Europe a déjà montré cette relation.

    https://tkp.at/2024/01/29/strom-reicht-in-kalten-wintern-nicht-zum-heizen/

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  36. Pourquoi l’énergie est-elle si chère ? Le principe de l’ordre du mérite


    28 janvier 2024
    par Tom Reimer


    Les coûts de l’électricité augmentent depuis 2022. Ils ont quasiment doublé à ce jour. De nombreuses personnes parviennent à peine à payer leurs factures d’électricité. Presque tous les produits deviennent plus chers parce que la production et le transport nécessitent de l’énergie. Les entreprises qui dépendent d’une électricité bon marché s’en vont. Les politiciens ne semblent pas s’en soucier. Au contraire. Cela provoque et favorise des prix élevés de l’électricité. Comment est-ce possible ? Qui est intéressé par ce développement ?

    Le prix de l’électricité est déterminé selon le principe de l’ordre du mérite. Cela signifie que les centrales électriques qui peuvent produire de l’électricité à moindre coût sont autorisées à l’injecter en premier. Viennent ensuite les centrales électriques dont les coûts de production sont plus élevés jusqu'à ce que la demande soit satisfaite. Le facteur décisif pour le prix que toutes les centrales reçoivent pour leur électricité est la dernière centrale mise en service, la centrale dite frontalière.

    Par exemple, si le coût de production d'un kilowattheure à partir d'énergie éolienne est de 5 cents, mais que le coût d'un kilowattheure à partir de houille ou de gaz naturel est de 20 cents, les exploitants des éoliennes reçoivent également 20 cents sur la base de l'ordre de mérite. principe. Cette différence entraîne une marge énorme et des profits exorbitants pour les propriétaires des éoliennes.

    En amont du principe de l’ordre du mérite se trouvent l’offre et la demande. Si les centrales nucléaires sont fermées, l’offre deviendra plus rare et le prix de l’électricité montera en flèche. L’explosion d’un gazoduc entraîne une pénurie de gaz naturel et donc un prix élevé du gaz naturel.

    Dans la plupart des cas, les centrales électriques marginales qui déterminent le prix sont des centrales électriques au gaz. En raison du prix élevé du gaz, les coûts de production de l’électricité augmentent désormais. Par exemple, vous devez acheter du gaz de fracturation coûteux aux États-Unis.

    Les exploitants d’éoliennes et de photovoltaïques n’ont pas ces coûts. Leurs bénéfices proviennent de la pénurie de gaz et de la sortie progressive de l’énergie nucléaire, car toutes deux conduisent à une augmentation de la différence entre les coûts de production d’un kilowattheure à partir de l’énergie éolienne et photovoltaïque et les coûts d’un kilowattheure à partir du charbon et du gaz.

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  37. Plus l’électricité issue du charbon et du gaz est chère, plus cette différence est grande et plus les bénéfices des propriétaires d’éoliennes et de systèmes photovoltaïques sont importants.

    Avec la fermeture des centrales nucléaires, le secteur des énergies renouvelables s’est également débarrassé d’un concurrent ennuyeux. Les centrales nucléaires produisent de l’électricité à des coûts extrêmement bas. Si nous disposions désormais d’un mélange d’énergie nucléaire et d’énergies renouvelables capable de couvrir la demande, la différence entre la première et la dernière centrale électrique serait très faible. Les prix de l’électricité seraient très bas, mais les bénéfices des sociétés énergétiques et les recettes publiques seraient également faibles.

    Cela n’est ni dans l’intérêt des exploitants d’installations éoliennes et photovoltaïques, ni dans l’intérêt de l’État. Toutes deux bénéficient des coûts marginaux élevés des centrales électriques au charbon et au gaz, qui déterminent le prix grâce à l’application du principe de l’ordre du mérite.

    Pour les consommateurs, les entrepreneurs qui dépendent d’une électricité bon marché et les personnes qui ne peuvent plus payer leurs factures d’électricité, le comportement concerté des politiciens et du secteur des énergies renouvelables met leur existence en danger. C’est injuste, cela provoque l’inflation et est dirigé contre la population, contre la majorité des entreprises, contre les droits fondamentaux, contre la démocratie et la Loi fondamentale, contre toute éthique et toute humanité. On peut appeler cela une exploitation corporatiste-capitaliste.

    https://tkp.at/2024/01/28/warum-ist-energie-so-teuer-das-merit-order-prinzip/

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  38. Pourquoi la transition énergétique nous ramène au Moyen Âge


    27 janvier 2024
    de Jean-Marie Jacoby


    Un retour au Moyen Âge peut se produire plus rapidement que certains ne le pensent : la mise en œuvre cohérente de la transition énergétique conduirait à une économie de pénurie qui remettrait en question les acquis que nous tenons pour acquis.

    Fin décembre, TKP a publié une analyse de la transition énergétique allemande avec une perspective particulière sur le Luxembourg. Suit maintenant la deuxième partie de la série. Il s’agit principalement du manque imminent d’énergie si le « redressement » est effectivement mis en œuvre.

    Le gestionnaire de réseau public luxembourgeois Creos, dans lequel l'État et la Ville de Luxembourg détiennent la majorité des actions, ne réfléchit plus à la manière dont il peut fournir suffisamment d'électricité, mais plutôt à la manière dont la demande peut être ajustée à la production insuffisante - cela a été expliqué en détail dans la première partie. . Il s'agit d'une gestion active des pénuries, ce que l'étude de la société berlinoise « e.venture consulting GmbH » annonce comme inévitable, sans préciser comment cela doit être fait en détail. Les opérateurs de réseaux allemands ont peut-être des projets similaires à ceux de Creos, mais par mesure de précaution, ils ne les ont pas encore publiés sur leurs sites Web.

    La plupart des gens ne savent évidemment pas que la principale différence entre les commodités d’aujourd’hui et la situation du Moyen Âge réside dans la disponibilité de l’énergie, sous toutes les formes possibles. Si cette disponibilité prend fin, nous nous retrouverons très vite à vivre dans des conditions de vie moins que confortables.

    D'où vient le revêtement de la route

    Au Moyen Âge, les routes pavées manquaient partout où les Romains n'en avaient laissé aucune, à quelques exceptions près où l'on utilisait la variante pavée, extrêmement exigeante en main d'œuvre. La technologie romaine utilisant des pierres et du gravier existait probablement depuis de nombreux siècles, mais elle était passée de mode.

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  39. Le bitume en tant que revêtement routier n'a vu le jour qu'avec l'utilisation du pétrole, car il s'agit de la fraction la plus faible produite dans la raffinerie. Si le pétrole n’est plus raffiné, cette belle chaussée noire n’existera plus. Cependant, jusqu’à présent, nous n’avons pas pu savoir auprès de ceux qui prônent la sortie nécessaire comment ils souhaitent remplacer cette sortie, qui est urgente. Même si la consommation d’essence et de diesel diminue, moins de pétrole doit être raffiné, ce qui conduit à moins de produits dans toutes les autres fractions. Avant que le bitume ne soit plus disponible, il y en aura trop peu pour toutes les routes.

    Il n’est pas possible de quitter une faction de raffinage et pas une autre, ou d’en laisser une de plus et une autre de moins. Après tout, il n’est pas possible de jeter quoi que ce soit dans la rivière suivante à gauche ou à droite car cela ne servira plus. Il n’est donc pas possible de réduire la consommation de diesel maintenant et la consommation d’essence plus tard, car les proportions des fractions ne peuvent être modifiées que légèrement et à des coûts disproportionnés.

    Mais sur le plan politique, on fait comme s'il était possible de cesser d'utiliser du mazout comme carburant sur les bateaux et du diesel dans les voitures normales, mais d'utiliser pour le moment davantage d'essence et de kérosène. Le beau revêtement routier est complètement oublié, même si les autoroutes en béton datant d'avant la Seconde Guerre mondiale ont été progressivement converties au bitume il y a cinquante ans. Faut-il désormais revenir aux inconvénients identifiés à l’époque, ou veut-on construire des routes comme les Romains ? Holterdipolter sur les pavés ?

    À ce stade, il convient de rappeler le dicton : « Lorsque les hommes politiques résolvent un problème, ils en créent dix nouveaux. » En effet, ils ne sont plus des décideurs, même s'ils prétendent l'être, mais des organes exécutifs, des acteurs embauchés, qui mettent en œuvre les politiques. des décisions qui ont longtemps été prises sous la pression des factions du capital. La connexion est souvent perdue et de nombreux petits détails sont négligés en raison du manque de connaissances spécialisées. C'est justement pour cela que les hommes politiques sont devenus incapables d'un discours argumentatif, car ils ne connaissent plus les dossiers, mais savent seulement ce que ceux d'en haut attendent et exigent d'eux.

    Hydrogène turquoise

    Dans un processus de pyrolyse, le méthane contenu dans le gaz naturel est chauffé sans oxygène, ce qui produit d'une part de l'hydrogène et d'autre part du carbone solide, qui peut être stocké et, comme on dit, utilisé de diverses manières, notamment comme revêtement de la route.

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  40. Cela résoudrait le problème du bitume manquant après avoir d’abord réduit l’utilisation du pétrole, puis l’avoir progressivement éliminé. Cela ne pose que deux problèmes. La première amplifie la seconde, car les idéologues verts souhaitent avant tout abandonner complètement le gaz naturel. Sans gaz naturel, il n’y aurait pas de processus de pyrolyse ni de carbone solide, comme c’est le cas pour nos routes. Le deuxième problème est qu’à ce jour, il n’existe pas d’installation de ce type à l’échelle industrielle et que, sans garantie d’un approvisionnement à long terme en matière première nécessaire, le gaz naturel, il n’y en aura jamais.

    Nous sommes donc dans un cercle vicieux où la décision politique qui sert des intérêts très spécifiques du capital doit être adoptée sans considérer toutes les conséquences et sans avoir prévu d’alternative pour tous les domaines d’application de l’industrie pétrolière actuelle.

    Tous ensemble, nous nous retrouverons dans une crise économique organisée avec une économie de pénurie catastrophique à différents niveaux. De nouvelles mauvaises nouvelles s’ajoutent chaque semaine, faisant reculer la construction des nouvelles infrastructures indispensables au public prescrit par la transition énergétique. Cela vaut aussi bien pour la durabilité des éoliennes en eau salée que pour l’entrée dans la production d’hydrogène vert avec l’électricité éolienne et photovoltaïque en électrolyse.

    Mais les mauvaises nouvelles se multiplient chaque jour et viennent désormais également des marchés boursiers, où les actions très vantées de l'énergie verte ont perdu 30 % de leur valeur marchande au cours des douze derniers mois et même la moitié au cours des 24 derniers mois. Cela est dû au fait que les bénéfices espérés initialement ne se sont absolument pas réalisés, bien au contraire.

    Il y a plusieurs raisons à cela. Un point important est qu’il s’est avéré que la durée de vie des éoliennes en mer est beaucoup plus courte que prévu, car l’eau salée a un impact bien plus négatif que prévu. Fermer les yeux et fermer les yeux n'est pas une stratégie prometteuse, car Siemens Energy AG a dû être sauvée par le gouvernement de la République fédérale d'Allemagne avec 7,5 milliards d'euros d'impôts et des garanties de 12 milliards d'euros, car elle est indispensable à l'énergie souhaitée. transition, qui est l’objectif de la transition énergétique. La quantité d’électricité produite par les éoliennes offshore, c’est-à-dire celles situées en mer, augmente et diminue.

    Il ne s’agit pas d’un problème particulier pour cette entreprise allemande, mais d’un problème général du secteur. L'entreprise éolienne offshore Ørsted du Danemark en est particulièrement touchée : en tant que leader du marché, elle est particulièrement bien représentée au large des côtes américaines, où les problèmes font également échouer les objectifs de l'administration américaine.

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  41. Le développement des infrastructures d’hydrogène échoue

    Compte tenu de ces enjeux financiers, on comprend aisément pourquoi le « projet phare » d’un électrolyseur de 30 MW pour produire de l’hydrogène « vert » a été annulé la semaine dernière par les trois sociétés Raffinerie Heide, Ørsted Deutschland et Hynamics Deutschland, la filiale de EDF en Allemagne. Cela est prévu depuis 2020 et un million des 36 millions de subventions de l’État ont été gaspillés. Le Land de Schleswig-​Holstein peut désormais économiser ses subventions, car rien n’est construit à Hemmingstedt (district de Dithmarschen) malgré sa proximité directe avec la mer du Nord. Mais les coûts de construction sont tout simplement jugés trop élevés.

    Le problème est que ce système de 30 MW n'aurait pas été le début de l'échelle industrielle qui, selon les calculs de l'étude de la société berlinoise e.venture consulting GmbH, serait nécessaire pour stabiliser le réseau électrique. Cela nécessitera au moins une capacité de centrale à gaz de 75 GW, et pour produire de l'hydrogène uniquement pour celles-ci, l'étude mentionne des investissements attendus dans l'électrolyse de 50 milliards d'euros, quelles que soient les capacités pour d'autres applications. L’objectif était de décarboner la raffinerie de Heide et d’ajouter de l’hydrogène au réseau de gaz de l’entreprise de services publics de Heide.

    Mais le plaisir coûtera trop cher ! En effet, suite à l'arrêt de la Cour constitutionnelle contre la réaffectation des 60 milliards d'euros non dépensés du Fonds Corona au Fonds climatique, les subventions ne peuvent plus être accordées au niveau initialement promis. En raison des nombreux investissements initiaux nécessaires, passer à un nouveau système d'approvisionnement en énergie coûte beaucoup plus cher que de continuer à exploiter l'ancien système complètement banal ! Cela devrait être clair pour les hommes politiques responsables de la transition énergétique.

    Bien que le projet d'un électrolyseur de 100 MW se poursuive sous le nom de « HySCALE 100 », ce projet n'en est qu'à la phase de planification et non à la phase de mise en œuvre.

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  42. Un report serait judicieux

    Compte tenu du recul très net et donc du ralentissement du développement des infrastructures, qui ne progresse pas non plus autant qu'il serait nécessaire en République fédérale d'Allemagne pour respecter les délais fixés d'ici 2030 et 2040, il serait plus que judicieux de prolonger considérablement le calendrier prévu et faire ensuite l'inévitable Accepter les cris à la catastrophe des associations climatiques. En tout cas, cela serait plus facile à supporter que le proverbial changement de chevaux au milieu du gué, où aucun cheval de changement n'est disponible. Nous risquons de supprimer progressivement les énergies fossiles sans qu’une autre forme d’énergie puisse remplacer les précédentes.

    En outre, les ressources budgétaires disponibles n'augmentent pas exactement dans la crise économique émergente, car il est absolument impensable de mettre fin aux sanctions anti-russes et de revenir à l'utilisation d'une énergie russe bon marché et de matières premières russes tout aussi bon marché, ce qui pourrait mettre un terme à la crise. . Pour ce faire, il faudrait expulser les États-Unis et l’OTAN de l’Europe, ce que ni la Commission européenne ni les gouvernements des États membres qui la suivent ne souhaitent jusqu’à présent.

    Le nouveau gouvernement luxembourgeois, qui a désormais assumé officiellement la responsabilité de ce petit pays, qui est un appendice du réseau électrique allemand, serait bien avisé de faire pression sur la Commission européenne et le gouvernement de Berlin pour qu'ils prolongent les délais. devenir. De telle sorte que le système alternatif combinant l’énergie éolienne, photovoltaïque et hydraulique avec l’hydrogène soit prêt avant l’abandon progressif du charbon, du gaz naturel et du pétrole. Parce que nous ne pouvons pas nous permettre les problèmes du manque d’énergie !

    https://tkp.at/2024/01/27/warum-die-energiewende-zurueck-ins-mittelalter-fuehrt/

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  43. « Nous paysans » : beau jusqu'à la minute 1:18:13 (republié)


    29 Janvier 2024P


    Mme Marie-Thérèse Lacombe a joué un rôle important, peu connu, dans le changement des conditions de vie et de statut des femmes en agriculture. Elle fut l'épouse de Raymond Lacombe, secrétaire général de la FNSEA de 1984 à 1986 et président de 1986 à 1992. Elle apparaît dans le documentaire.

    France 5 a déprogrammé « La vie secrète des animaux du village » ce lundi, 29 janvier 2024 pour rediffuser « Nous paysans » à 21h05. C'est un documentaire de 90 minutes de M. Fabien Béziat et Mme Agnès Poirier. C'est l'occasion de republier (pour la troisième fois et avec l'introduction du 9 mars 2023) mon analyse de cette œuvre qui se laisse regarder... jusqu'à...

    Mais contribuera-t-il à éclairer le téléspectateur sur la situation actuelle ? Rien n'est moins sûr. Car à partir de la minute...

    ° o 0 o °

    France 3 a rediffusé le mercredi 8 mars 2023 « Nous paysans » (disponible jusqu'au 28 mars 2023). C'est l'occasion de republier notre appréciation rédigée lors de sa sortie initiale, mise en ligne le 1er mars 2021.

    J'ai eu autant de plaisir à le voir qu'il y a deux ans... jusqu'à la minute 1:18:13. Et je n'ai besoin de modifier aucune des appréciations de l'époque. Sauf signaler que nous avons atteint les 8 milliards de terriens (c'était 7,8 en mars 2021) [et 68 millions d'habitants en France].

    https://www.youtube.com/watch?v=tyTTjNE_Y8Q&embeds_widget_referrer=https%3A%2F%2Fseppi.over-blog.com%2F2024%2F01%2Fnous-paysans-beau-jusqu-a-la-minut-republie.html&embeds_referring_euri=https%3A%2F%
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    J'écrivais quasiment en conclusion :

    « Ce documentaire s'arrête fort opportunément à ces années maintenant d'un autre temps, zappant tous les progrès qui ont été réalisés depuis lors, tant dans les sciences que dans les technologies... et ne disant mot sur tous les espoirs qu'il est permis de raisonnablement mettre dans l'inventivité et l'ingéniosité humaines. »

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  44. Cette republication est l'occasion de s'arrêter un instant sur les progrès qui ont été réalisés – ou mis sur les rails – en l'espace de deux ans.

    Par exemple, l'avenir du blé HB4 de Bioceres, approuvé en Argentine en novembre 2020 était incertain, tributaire qu'il était des décisions des pays importateurs de blé, au premier rang du Brésil. Il y a été approuvé à cette fin, et vient de l'être aussi pour la culture. Il l'a aussi été pour l'alimentation en Australie et Nouvelle-Zélande, sans doute à titre de signal pour les autres pays, et surtout au Nigeria.

    La première tomate génétiquement éditée grâce à CRISPR/Cas a été lancée au printemps 2021.

    Le monde avance, grâce au génie humain. Il est important de savoir d'où nous venons. Il est tout aussi important de voir l'avenir comme un défi.

    « Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l'opportunité dans chaque difficulté. » (Winston Churchill)

    https://www.youtube.com/watch?v=1MuQLlV9q_w&embeds_widget_referrer=https%3A%2F%2Fseppi.over-blog.com%2F2024%2F01%2Fnous-paysans-beau-jusqu-a-la-minute-1-18-13-republie.html&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fcdn.embedly.com%2F&embeds_referring_origin=https
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    France 2 nous a gratifié le mardi 23 février 2021 d'un documentaire, « Nous paysans » (disponible jusqu'au 24 avril 2021) dont on peut dire qu'il a été excellent jusqu'à la minute 1:18:13.

    On a pioché dans des archives cinématographiques intéressantes, les intervenants ont été de qualité, avec des témoignages sonnant généralement juste – un subtil équilibre de soulagement et de nostalgie... non, ce n'était pas mieux avant. Le débat qui a suivi a été d'une haute tenue. Un grand bravo à M. Julian Bugier et aux participants.

    Les images auraient pu être plus dures, à l'instar de cette séquence d'un quart d'heure sur le malaise paysan en Bretagne, en 1960 :

    Le résumé de « Nous paysans »

    https://www.youtube.com/watch?v=zr_VVDyYybo&embeds_widget_referrer=https%3A%2F%2Fseppi.over-blog.com%2F2024%2F01%2Fnous-paysans-beau-jusqu-a-la-minute-1-18-13-republie.html&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fcdn.embedly.com
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  45. « En à peine un siècle, les paysans français ont vu leur monde être profondément bouleversé. Alors qu'ils constituaient autrefois la grande majorité du pays, ils ne sont plus aujourd'hui qu'une infime minorité et se retrouvent confrontés à un défi immense : continuer à nourrir la France. De la figure du simple métayer décrite par Emile Guillaumin au début du XXe siècle au lourd tribut payé par les paysans durant la Grande Guerre, des prémices de la mécanisation dans l'entre-deux-guerres à la figure ambivalente du paysan sous l'Occupation, de la course effrénée à l'industrialisation dans la France de l'après-guerre à la prise de conscience qu'il faut désormais repenser le modèle agricole et inventer l'agriculture de demain, le film revient sur la longue marche des paysans français, racontée par Guillaume Canet, »

    On aime bien le « continuer à nourrir la France ». Une évidence que l'on tend à oublier...

    Le début de l'épidémie de Covid-19 a fait prendre conscience de cet impératif stratégique. Les agriculteurs et la filière agroalimentaire au sens large ont assuré... une partie de la population est rapidement retombée dans ses travers et ses préjugés et partis pris.

    On aime beaucoup moins « la course effrénée à l'industrialisation dans la France de l'après-guerre » – si « industrialisation » s'applique comme nous le pensons à l'agriculture, dorénavant taxée d'« industrielle » ou « productiviste » par ses détracteurs (bien nourris...).

    Un peu de contexte

    Pour utiliser un cliché, je suis né quand le monde comptait 2,54 milliards d'habitants. Nous sommes 7,8 8 milliards aujourd'hui et serons 9,7 milliards à l'horizon 2050 selon le scénario central de l'ONU. Pour la France, ces chiffres sont respectivement de 41,6 millions, 67,4 68 millions et, selon les différents scénarios retenus, 58 à 70 millions d'habitants (voire plus).

    En France, l'agriculture occupait 39 millions des quelque 55 millions d'hectares du territoire métropolitain, contre 33 millions aujourd'hui. La différence est partie à l'« artificialisation », la friche et... le reboisement.

    En moyenne triennale centrée sur l'année suivante, le rendement du blé s'établissait à 18 quintaux/hectares. C'était le début de l'ascension vers un rendement en gros 4 fois plus élevé aujourd'hui, autour de 71 quintaux, en stagnation. Enlevons 150 kg pour la semence : un hectare de 1950 fournissait quelque 6.100 rations quotidiennes de pain (325 g) ; il fournit aujourd'hui 69.500 rations (120 g). Voir un article devenu un classique sur ce site.

    - voir graph sur site -

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  46. L'« industrialisation » de l'agriculture s'est faite plutôt lentement sous l'influence de plusieurs facteurs agricoles, économiques, sociologiques et technologiques.

    J'ai connu le dernier agriculteur qui attelait des vaches, dans une région qui n'était pas pauvre. J'ai une pensée émue pour sa mère : les écoliers devaient périodiquement vendre des timbres dont le revenu servait à la lutte contre la tuberculose... et c'est chez Mme Jeanne Kniebiehler, qui vivait très modestement avec son fils à deux pas de l'école, que le plus dégourdi d'entre nous vendait son premier timbre.

    La tuberculose... Si on ne saurait critiquer le choix éditorial des réalisateurs pour un documentaire de 145 minutes très dense, on peut néanmoins regretter l'absence de points de référence pour mettre certaines choses en contexte.

    J'ai vu arriver les premiers tracteurs modernes et partir le dernier attelage de chevaux. Les machines agricoles se sont converties lentement à la traction mécanique (au début, en remplaçant les timons des machines tirées par les chevaux par des attelages). Les machines autonomes ne sont arrivées que bien plus tard.

    Le discours convenu

    On peut franchement détester la « prise de conscience qu'il faut désormais repenser le modèle agricole et inventer l'agriculture de demain ».

    Déjà « le modèle », comme s'il n'y en avait qu'un... Mais c'est le discours à la mode... les douces rêveries. Il faudra toujours nourrir 67 68 millions de Français, 74 millions en 2050 selon certaines prévisions, et, si possible, contribuer à l'alimentation de nos voisins et amis (et moins amis, pour des raisons stratégiques). Avec les rendements du « bio » ? D'un bio qui n'est viable ni à grande échelle, ni à long terme ?

    - voir graph sur site -

    Le dérapage

    Passons au film.

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  47. On clôt la séquence « réduction du nombre d'agriculteurs et désertification rurale »... et patatras. Un tracteur hors d'âge avec une barre de coupe (certains sont encore en service...), et :

    « Le désenchantement gagne les campagnes. Pourtant, il faut bien continuer à produire pour nourrir le pays. Mais comment faire à un ce qu'on faisait à 10, 20 ou 100 auparavant ? C'est une dernière révolution qui va permettre de résoudre l'impossible équation. Une révolution de la chimie dont l'objectif est d'obtenir encore plus de rendement de la terre avec toujours moins de bras pour s'en occuper. D'abord on propose aux agriculteurs de nouvelles céréales sélectionnées. Dans les champs de démonstration on fait venir les exploitants et on leur explique que ces nouvelles variétés de blé auront des rendements bien supérieurs. Seule difficulté : elles sont trop fragiles, alors il faudra bien les protéger grâce aux nombreux produits que les groupes agrochimiques sont en train d'inventer pour eux. Et ces produits, il va falloir les utiliser à outrance.

    [M. Jean-Luc Malpaux] "Les sociétés chimiques vont commencer à proposer des fongicides. Et puis après, à partir de 76, on a vu qu'on nous a présenté des variétés de blé qui valorisaient les fongicides. Par les coopératives, ce sont les techniciens de coopératives qui nous disaient cela. Et donc sur même pas 10 ans, on est passé d'une application d'un herbicide et de 100 kg d'azote à un herbicide, quelquefois un 2e, parce qu'en mettant plus d'azote, on avait plus d'herbes, 2 fongicides, quelques fois 3 et un ou 2 insecticides. Donc comme changement c'est quand même terrible au niveau intensification. Et donc, dans les années 74-75, quand je faisais 64-65 quintaux de rendement, c'était de bons rendements. Après, on est passé à 85, 90 et 100 quintaux, ceux qui mettaient toute la panoplie. »

    [Voix off] « Et voilà l'agriculture française...

    - voir clip sur site -

    ...qui prend massivement le tournant des produits que l'on appelle phytosanitaires pour ne pas effrayer sur leur dangerosité. Une dernière révolution technologique, celle des pesticides, qui va s'avérer la révolution de trop. En quelques années, des agriculteurs vont devenir malades tant ils ont été exposés à ces produits dangereux. Des produits qui se sont disséminés partout et aujourd'hui, les sols et l'eau sont souvent empoisonnés.

    - voir clip sur site -

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  48. Et bien au-delà de ces pesticides, il y a surtout ce modèle agricole productiviste qui pousse à la ruine de nombreux producteurs endettés. Ruine, désespoir et parfois suicide. La profession devient bientôt celle qui connaît le taux de suicide le plus élevé du pays […]. »

    Non, non et non

    Tout est faux ou quasi. Et la loi de Brandolini est trop dure pour que l'on s'attaque à tous les poncifs. Mais faisons un petit effort sur quatre points.

    Non, le bond en avant à partir des années 1970 ne se limite pas à la chimie honnie. Et, d'ailleurs, ce n'est pas la chimie qui a permis de compenser le « manque de bras ».

    Non, les variétés mises sur le marché dans les années 1970 n'étaient pas plus sensibles aux maladies que les générations précédentes, bien au contraire : la résistance aux bioagresseurs est un élément clé des stratégies d'amélioration des plantes dans la perspective de l'amélioration et de la sécurisation des rendements. La variété 'Renan' représente à cet égard un tour de force ; elle serait sans nul doute conspuée par le militantisme en tant qu'« OGM caché » si, trois décennies après sont introduction, elle n'était pas une des variétés les plus cultivées en bio.

    Non, ces variétés n'avaient pas besoin de plus de chimie. Mais elles valorisaient les apports d'engrais et les traitements phytosanitaires. Et c'est une outrance que d'affirmer : « il va falloir les utiliser à outrance ».

    L'utilisation d'une séquence avec un hélicoptère – dont l'utilisation est exceptionnelle en France – est indécente. Il en est de même, en particulier, pour l'emploi du mot « empoisonnés », et pour l'évocation des suicides (et l'agriculture est malheureusement dépassée par d'autres professions s'agissant des suicides).

    - voir clip sur site -

    Ce documentaire s'arrête fort opportunément à ces années maintenant d'un autre temps, zappant tous les progrès qui ont été réalisés depuis lors, tant dans les sciences que dans les technologies... et ne disant mot sur tous les espoirs qu'il est permis de raisonnablement mettre dans l'inventivité et l'ingéniosité humaines.

    Mais, ce soir (1er mars 2021), sur M6, à 21h05, « Mac Lesggy part à la chasse aux préjugés sur M6 », selon un titre de la France agricole. À vos postes !

    Post scriptum

    Une vidéo qui percute de Mme Emmanuelle Ducros qu'on peut (re)voir avec plaisir.

    Post scriptum du 29 janvier 2024

    - voir doc sur site :

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/nous-paysans-beau-jusqu-a-la-minute-1-18-13-republie.html

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  49. Le glyphosate et la perturbation endocrinienne : quo vadis INRAE ? (Republié)


    20 Janvier 2024


    À propos d'un communiqué de presse déroutant (euphémisme) ressuscité par les propos du Président de la République sur un grand plan de lutte contre l'infertilité

    Le document mis en lien est un communiqué de presse, « Le glyphosate perturbe les fonctions de reproduction animale et humaine » (Source)

    Les propos du Président de la République Emmanuel Macron, lors de sa conférence de presse du mardi 16 janvier 2024, sur le « réarmement démographique » de la France et la lutte contre l'infertilité avec un « grand plan » a fait ressurgir sur X (ex-Twitter) un article du service de communication de l'Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (INRAE), « Le glyphosate perturbe les fonctions de reproduction animale et humaine ».

    Ce communiqué se fonde sur un article scientifique, en principe scientifique, tout aussi déroutant (euphémisme).

    Même s'il s'agit essentiellement d'un exercice de « luthomictiothérapie », il n'est pas inutile de republier (pour la troisième fois, en attendant sans doute la quatrième) notre analyse de ce communiqué de presse et de cet article en principe scientifique.

    Relevons – avec une marque appuyée de désolation – que les instances dirigeantes de l'INRAE n'ont pas trouvé bon de faire supprimer ce communiqué de presse.

    Arrogance ou incompétence ?

    Dies irae ! Commençons par un coup de gueule incident : l'INRAE – ou INRAE, sans article, pour succomber à leur snobisme ridicule – fait partie de ces organismes, arrogants ou stupides, qui estiment inutile de mentionner leur nom complet bien en évidence sur les pages de leurs sites. Ça dérange les « anciens », habitués à l'« INRA », d'autant plus que la structure de la dénomination a changé.

    L'INRAE, c'est donc maintenant l'Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement. Le « A » est partagé par deux objectifs, alors que l'environnement a un droit entier sur le « E ». Cela semble correspondre à l'évolution récente de l'institut...

    Un communiqué de presse

    Cocorico...

    L'INRAE a publié le 9 mars 2022 un communiqué de presse au titre tonitruant : « Le glyphosate perturbe les fonctions de reproduction animale et humaine ».

    En chapô :

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  50. « Une synthèse bibliographique met en évidence les mécanismes d'action du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate sur la fertilité mâle et femelle sur les animaux modèles et chez les humains. »

    C'est plutôt présomptueux. Du texte, plus réaliste :

    « Une synthèse bibliographique a été réalisée à partir des travaux scientifiques portant sur les mécanismes d'action du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate sur la fertilité mâle et femelle chez les animaux modèles et les humains. Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont montré, en utilisant divers modèles animaux, que les GBH sont des perturbateurs endocriniens des fonctions de reproduction. »

    La synthèse bibliographique – sélective ! – est une juxtaposition d'affirmations associées à des renvois à la bibliographie. Point barre !

    ...sous la forme d'un gloubi-boulga...

    Suit un long paragraphe d'une lecture pénible. Extrayons ceci :

    « […] En outre, des impacts intergénérationnels de l'exposition au G ou aux GBH sont rapportés. [Trois phrases sur d'autres aspects] Les effets transgénérationnels sont également encore méconnus. »

    Peut-être y a-t-il une nuance entre « inter... » et « trans... » qui nous échappe...

    Mais la conclusions, que nous présentons ici sous forme d'un large extrait, est péremptoire (c'est nous qui graissons) :

    « Les G et les GBHs peuvent donc induire à des doses équivalent glyphosate parfois inférieures à la NOAEL (dose sans effet nocif observable) des altérations de l'ensemble de l'appareil reproducteur chez les mâles et les femelles. D’autres études sont prévues afin d'analyser les conséquences de ces impacts physiologiques sur la fertilité, c’est-à-dire sur l’aptitude à se reproduire, mais aussi sur les pathologies éventuelles induites, notamment dans l’espèce humaine. Les effets transgénérationnels sont également encore méconnus. Certains auteurs envisagent enfin de trouver des stratégies pour diminuer ou éviter les impacts négatifs des GBH, même si à terme, ces substances ont vocation à être interdites.

    Vraiment INRAE ?

    Aurait-on mal déterminé la NOAEL et remettez-vous en cause les travaux en matière de toxicologie ?

    Vous faites-vous prescripteurs, ou du moins voyants extra-lucides, pour le sort futur du glyphosate ?

    ...à quelles fins ?

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  51. Visiblement, on a quitté la sphère scientifique pour entrer dans celle du militantisme.

    Et pourquoi diable publier un communiqué de presse le 9 mars 2022, à propos d'un article publié le 8 novembre 2021 ?

    D'un article qui n'est qu'un catalogue d'articles scientifiques (et vendons la mèche : pseudo-scientifiques), un catalogue qui n'apporte rien de nouveau et qui aurait été considérablement élagué si on avait procédé à une méta-analyse fondée sur des bases réalistes ?

    Certains ont évoqué sur Twitter une manœuvre souvent qualifiée de « complot », même si c'était pour la mettre en doute. L'hypothèse n'est pourtant pas à écarter ! Pas en relation avec la campagne présidentielle, mais la campagne annuelle de gesticulation de Générations Futures intitulée, selon le cas, « Semaine sans pesticides » ou « Semaine pour les alternatives aux pesticides ».

    La synthèse bibliographique

    Données bibliographiques de l'article

    « Review: Mechanisms of Glyphosate and Glyphosate-Based Herbicides Action in Female and Male Fertility in Humans and Animal Models » (Revue : Mécanismes d'action du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate sur la fertilité féminine et masculine chez l'Homme et les modèles animaux) de Loïse Serra, Anthony Estienne, Claudine Vasseur, Pascal Froment et Joëlle Dupont a été publié dans Cells, dans un numéro spécial sur les effets et mécanismes des perturbateurs endocriniens sur les cellules germinales, les gonades et les embryons.

    L'article a été reçu le 13 octobre 2021, révisé et accepté le 4 novembre 2021 et publié le 8 novembre 2021. Quelle incroyable célérité !

    Le résumé

    Voici le résumé, que nous découpons comme de coutume en paragraphes plus lisibles, mais en les numérotant :

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  52. 1. Le glyphosate (G), également connu sous le nom de N-(phosphonométhyl)glycine, est l'ingrédient actif déclaré des herbicides à base de glyphosate (GBH) tels que le Roundup, largement utilisés dans l'agriculture conventionnelle. Il est toujours utilisé en mélange avec des produits de formulation.

    2. Le G agit notamment sur la voie du shikimate, qui existe chez les bactéries, pour la synthèse des acides aminés aromatiques, mais cette voie n'existe pas chez les vertébrés.

    3. Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont montré, en utilisant divers modèles animaux, que les GBH sont des perturbateurs endocriniens qui pourraient altérer les fonctions de reproduction.

    4. Notre revue décrit les effets de l'exposition aux G ou aux GBH sur l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique (HPG) chez les mâles et les femelles en termes de perturbation endocrinienne, de viabilité cellulaire et de prolifération.

    5. La plupart des principaux régulateurs de l'axe reproducteur (GPR54, GnRH, LH, FSH, estradiol, testostérone) sont altérés à tous les niveaux de l'axe HPG (hypothalamus, hypophyse, ovaires, testicules, placenta, utérus) par l'exposition aux GBHs qui sont considérés comme plus toxiques que le G seul en raison de la présence de formulants tels que la polyoxyéthylène tallow amine (POEA)".

    6. En outre, nous rapportons les impacts intergénérationnels de l'exposition au G ou aux GBH et, enfin, nous discutons des différentes stratégies pour réduire les effets négatifs des GBH sur la fertilité.

    Petit arrêt

    Pourquoi « déclaré » au paragraphe 1 ? Cela nous rappelle furieusement la rhétorique séralinienne...

    Les plantes ne sont pas évoquées au paragraphe 2... la revue par les pairs a bien fonctionné (ironie) !

    Le paragraphe 3 se limite aux GBH, aux produits formulés... Il implique cependant que tous les herbicides, quels que soient les co-formulants, sont des perturbateurs endocriniens. Mais il y a un conditionnel de prudence pour les effets (« that might alter reproductive functions »)...

    À lire le paragraphe 5, les herbicides à base de glyphosate – le glyphosate seul n'est à nouveau pas impliqué – auraient des effets extraordinaires. La multiplicité des effets allégués dans les divers travaux scientifiques mis à contribution n'a pas intrigué les auteurs.

    Il y a aussi, en fin de paragraphe (de phrase) un signe typographique incongru. Anticipons sur le texte de l'article : les numéros renvoyant vers les références bibliographiques ne sont pas toujours corrects. Précipitation comme le suggère l'historique de la publication ou amateurisme ?

    Enfin, au paragraphe 6, on allègue des effets du glyphosate seul.

    Un perturbateur endocrinien... vraiment ?

    Une analyse détaillée du fond exigerait une connaissance approfondie du sujet, sur le plan tant de la physiologie que des travaux scientifiques, ainsi qu'une vérification des 113 publications incluses dans la synthèse quant à leur sérieux et crédibilité, et la concordance entre celles-ci et ce qui a retenu l'attention des auteurs de la synthèse.

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  53. On peut cependant se limiter à un examen par sondage orienté.

    La question fondamentale à se poser est la suivante : comment l'INRAE peut-elle titrer de manière outrancière et putaclic « Le glyphosate perturbe les fonctions de reproduction animale et humaine » – ce que les auteurs de la synthèse se sont gardé de faire –, alors que les agences d'évaluation et d'homologation s'inscrivent en faux, souvent avec une formulation prudente étant donné qu'« absence de preuve ne vaut pas preuve de l'absence » ?

    Ainsi, selon un document d'information présentant notamment le projet de RAR (renewal assessment report – rapport d'évaluation du renouvellement),

    « Sur la base d'une évaluation des données disponibles sur le glyphosate conformément au guide EFSA/ECHA sur l'évaluation de la perturbation endocrinienne, l'AGG [groupe d'évaluation du glyphosate] propose que les critères de la PE [perturbation endocrinienne] tels que définis dans le règlement (CE) n° 1107/2009 tel que modifié par le règlement (UE) n° 2018/605 ne sont pas remplis. »

    En bref, la réponse est que ces études scientifiques ou « scientifiques d'opinion » selon une formule de M. Philippe Stoop sont – pour la plupart (limitation de prudence, nous n'avons évidemment pas vérifié de manière exhaustive) – non conventionnelles : de l'in vitro (ce qui est loin de l'in vivo), des études sur des modèles animaux éloignés de l'humain, des doses, des modes d'administration et des durées d'administration extravagants...

    Des doses invraisemblables

    Selon une recherche rapide sur les tableaux résumés, une seule étude a utilisé la dose journalière admissible européenne de 0,5 mg/kg p.c./jour, et encore, comme dose la plus basse, sur des rats ou des souris. On rappellera ici que les doses susceptibles d'être – occasionnellement – ingérées dans la vie réelle sont inférieures de deux à trois ordres de grandeur à la dose admissible... Merci les « pisseurs de glyphosate » !

    La dose maximale évoquée dans la synthèse est de 2.000 mg/kg poids corporel/jour, administrée à un groupe de 5 – oui, cinq – rats pendant 60 jours. Cela correspond en gros à un tiers de litre de Roundup concentré pour une petite personne de 60 kg !

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  54. Dans une autre étude qui a trouvé grâce auprès des auteurs de la synthèse, les chercheurs ont analysé les effets d'un mélange de zinèbe (15 mg/kg p.c.), glyphosate (10 mg/kg p.c.) et diméthoate (15 mg/kg p.c.) administré par voie intrapéritonéale à des rats mâles trois fois par semaine pendant cinq semaines. Les DJA – par voie orale, évidemment – sont de 0,03 mg/kg p.c./jour, 0,5 mg/kg p.c./jour et 0,001 mg/kg p.c./jour, respectivement.

    L'amalgame G - GBH

    La synthèse bibliographique est précise – a priori autant que possible – sur les substances mises en œuvre dans les essais.

    Mais ce n'est souvent pas le cas dans la « presse d'opinion scientifique », particulièrement laxiste sur les amalgames entre le glyphosate seul et les herbicides formulés. Quand on ne trouve pas d'effet avec le glyphosate seul, mais avec un produit formulé, on s'arrange pour incriminer le glyphosate...

    Le problème qui n'a jamais été abordé – au mieux rarement –, est de connaître la dynamique des co-formulants dans leur parcours environnemental et, le cas échéant, alimentaire et humain. Gesticuler sur la nature de perturbateur endocrinien d'un produit formulé n'a guère de sens si le co-formulant en cause n'atteint pas l'humain (autre que, peut-être, l'applicateur).

    Des sources étonnantes

    Séralini et Cie. – La synthèse bibliographique comporte pas moins de 14 références à M. Gilles-Éric Séralini et son équipe.

    Il y a parmi elles, quasiment d'entrée de jeu, l'allégation que les/des produits formulés contiennent – comme co-formulants – des métaux lourds.

    Mettons en deuxième position dans la liste des horreurs, « Dig1 Protects against Locomotor and Biochemical Dysfunctions Provoked by Roundup » (Dig1 protège contre les dysfonctionnements locomoteurs et biochimiques provoqués par le Roundup).

    Les auteurs de la synthèse n'ont pas été rebutés par le fait que cet article a été publié dans BMC Complementary Medicine and Therapies ; que « Dig1 », une sorte de faux nez pour Digeodren de Sevene Pharma, est décrit comme un « médicament homéopathique indiqué dans le traitement des digestions lentes et difficiles » ; que la liste des auteurs comprend une personne de Sevene Pharma ; que la recherche (ou « recherche ») a été financée notamment par Sevene Pharma et des fondations liées au biobusiness.

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  55. Nous nous sommes payé du bon temps sur cette étude dans « C'est prouvé par M. Gilles-Éric Séralini : on peut boire du glyphosate, moyennant... ! »

    Enfin, il y a l'infameuse étude sur les rats rétractée puis republiée dans une revue moins-disante grande ouverte à la science d'opinion « anti » !

    On cherchera en vain les références aux vastes et très coûteuses études réalisées sur fonds européens pour, en quelque sorte, réfuter l'étude précitée – notamment le GMO90+ Project (voir ici et ici sur ce site).

    Y a-t-il d'autres études qui n'ont pas été mentionnées et auraient mérité de l'être ? Anderson Tadeu de Araújo-Ramos et al. « Controversies on Endocrine and Reproductive Effects of Glyphosate and Glyphosate-Based Herbicides: A Mini-Review » (controverses sur les effets endocriniens et reproductifs du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate : une mini-revue) – un titre tout à fait pertinent – par exemple ?

    L'Institut Ramazzini. – On trouve aussi au moins une référence à l'Institut Ramazzini, connu pour produire des études anxiogènes en série.

    Nous avons démonté et mis en perspective l'article en question dans « Le glyphosate suspecté d’être un perturbateur endocrinien ? Que dit la dernière étude ? » Notons un élément de nature générale : trouver une différence statistiquement significative ne dit encore rien sur la différence sur le plan biologique (et dans les conditions de la vraie vie).

    Notons aussi que l'Institut Ramazzini était membre de consortium italien Stoglifosato et que sa directrice, Mme Fiorella Belpoggi, s'était associée à une opération anti-OGM, finalement foireuse, Factor GMO organisée depuis la Fédération de Russie.

    Samsel et Seneff. – Mais le clou est encore « Glyphosate, Pathways to Modern Diseases II: Celiac Sprue and Gluten Intolerance » (glyphosate, voies d'accès aux maladies modernes II : la sprue cœliaque et l'intolérance au gluten) d'Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Des auteurs prolifiques de corrélations déjantées sévèrement critiqués par Robin Mesnage et Michael Antoniou (voir ici et ici).

    Ce graphique loufoque est tiré de « Aluminum and Glyphosate Can Synergistically Induce Pineal Gland Pathology: Connection to Gut Dysbiosis and Neurological Disease » (l'aluminium et le glyphosate peuvent induire de manière synergique une pathologie de la glande pinéale : lien avec la dysbiose intestinale et une maladie neurologique), des ineffables Stephanie Seneff, Nancy Lee Swanson et Chen Li, n'a pas de lien direct avec l'article ci-dessus.

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  56. L'article de Samsel et Seneff cité par les auteurs de la synthèse comporte aussi des graphiques montrant des corrélations invraisemblables – en fait facilement « démontables ». Par exemple quand l'un des facteurs est le « glyphosate appliqué sur le blé », il s'agit essentiellement de glyphosate utilisé en pré-semis ! Comment ont-ils pu, dès lors, écrire :

    « De plus, dans une étude récente, l'exposition maternelle à G a été liée à une augmentation des cas de comportement autistique [110] et de maladies cœliaques [111]. Cette dernière étude a également fait état d'une déficience de nombreuses enzymes du cytochrome P450, de certains problèmes d'infertilité, de fausses couches et de malformations congénitales. » [Nos liens mênent vers les bons articles.]

    Quo vadis, INRAE ?

    L'« étude a également fait état » ? Les auteurs de la synthèse ne se sont-ils pas aperçu que cette « étude » est au mieux un montage de conjectures ? Que les « certains problèmes » sont évoqués essentiellement en tant que conséquences de la maladie cœliaque ?

    Cette phrase pourrait être un bon résumé de l'objectif de la synthèse : militant. Mais cela ne nuit pas à l'intérêt de la synthèse, au contraire : outre la mise en évidence de l'approche adoptée par ses auteurs, il y a ce fort utile « musée des horreurs » anti-glyphosates et panorama des « recherches » déployées pour mettre le glyphosate (et d'autres substances) sur la sellette.

    De manière classique, les auteurs se font cependant prudents dans la conclusion de la conclusion :

    « En conclusion, les G ou GBHs peuvent induire des altérations de l'ensemble de l'appareil reproducteur chez les mâles et les femelles. Ces altérations pourraient être prévenues ou réduites par des molécules protectrices (tableau 7). Cependant, d'autres études doivent être réalisées afin d'analyser les impacts de l'exposition aux GBH sur la fertilité humaine, les conséquences sur la santé humaine en termes de pathologies reproductives, les effets transgénérationnels et, enfin, de trouver des stratégies pour diminuer ou éviter les impacts négatifs des GBH. »

    Oubliant cette prudence, le service de communication de l'INRAE a fait une publicité grossièrement mensongère, outrageusement anxiogène, pour cette synthèse.

    Quo vadis, INRAE ?

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/le-glyphosate-et-la-perturbation-endocrinienne-quo-vadis-inrae-republie.html

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  57. Quel est le véritable objectif de la sortie du nucléaire allemand, et pourquoi cette politique est-elle entourée de tant de silence et de mystère ?

    Réflexions sur l'histoire de la politique nucléaire de la République fédérale, alors que le gouvernement se bat pour garder secrets les documents relatifs à la fermeture de nos dernières centrales nucléaires.


    EUGYPPIUS
    26 JANVIER 2024


    Plus le pays est vert, moins sa production d’électricité est à forte intensité d’émissions. L’Allemagne, pionnière de la transition énergétique, semble plutôt brune, mais au moins nous n’avons plus de centrales nucléaires comme la France.
    Tout ne va pas bien au sein du parti des Verts allemand. Leurs politiciens disent souvent des choses très bizarres.

    En décembre, par exemple, Joschka Fischer, ancien voyou de gauche et ancien ministre des Affaires étrangères des Verts, a exigé le réarmement de l’Europe en réponse à « l’idéologie impériale de Poutine ». Plus précisément, il a insisté sur le fait que l’Union européenne avait besoin de sa propre « dissuasion nucléaire ». Ces déclarations étaient si remarquables que son intervieweur avait du mal à y croire :

    ZEIT ONLINE : C’est vous qui le réclamez, entre autres ? La création du Parti Vert est étroitement liée à la résistance contre l’armement nucléaire au début des années 1980.

    Fischer : Le monde a changé et Poutine s’appuie sur le chantage nucléaire. J'espère que l'Amérique et l'Europe resteront unies. Mais que se passera-t-il si Donald Trump est réélu ? Face à ce scénario également, l’Europe doit réfléchir sérieusement à cette question.

    Il va sans dire que Fischer déplore depuis longtemps les dangers de l’énergie nucléaire, et son parti est bien sûr responsable de la fermeture des dernières centrales nucléaires allemandes en avril de l’année dernière. Dans le monde de Fischer, 1) les centrales nucléaires sont trop dangereuses pour être acceptées, et 2) c’était bien d’exiger le désarmement pendant la guerre froide, mais 3) maintenant « le monde a changé » et l’Europe a besoin d’armes nucléaires. Il est si difficile de concilier ces positions que je n’arrive pas à croire que Fischer argumente de bonne foi.

    L’Allemagne est fondamentalement seule au monde à insister simultanément sur les objectifs Net Zero et à avoir une phobie de l’énergie nucléaire. Lors de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de 2023 à Dubaï, plus de 20 pays ont lancé une Déclaration sur le triple nucléaire ; L'Allemagne était notamment absente parmi les 16 signataires européens. Pour ajouter au mystère, nos politiciens ne parleront pas clairement de l’objectif de l’abandon progressif de l’énergie nucléaire, au-delà de vagues références à ses graves risques, et l’élaboration des politiques dans ce domaine est entourée de silence et de secret. De nombreuses théories du complot sont possibles ici.

    https://www.eugyppius.com/p/what-is-the-real-purpose-of-the-german?utm_source=post-email-title&publication_id=268621&post_id=141067575&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&utm_medium=email

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  58. Allemagne : les rêves verts d’électricité à partir d’hydrogène sont anéantis par la réalité


    29 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L’Allemagne veut produire 100 % de son électricité de manière « climatiquement neutre » d’ici 2035. Pour soutenir les éoliennes et les panneaux solaires, dont la production devrait dominer dans les années à venir, le gouvernement avait initialement prévu une série de centrales électriques à hydrogène. Mais ces projets sont désormais au point mort en raison de la crise budgétaire actuelle, selon Sigfried Russwurm, président de la puissante association industrielle allemande BDI.
    Début août 2023, le gouvernement allemand a annoncé triomphalement que la Commission européenne avait essentiellement approuvé son projet de centrales électriques de réserve subventionnées, comme le rapporte Euractiv . Cela signifiait que 8,8 GW de centrales électriques à hydrogène pur et 15 GW de centrales électriques alimentées au gaz naturel devaient être converties à l'hydrogène au plus tard en 2035, soit au total environ un tiers de la demande maximale d'électricité de l'Allemagne en 2023. Une électricité respectueuse du climat sur simple pression d'un bouton.

    Étant donné que ces systèmes ne produiraient probablement de l’électricité que pendant les périodes de pénurie persistante de vent et de soleil – ce que l’on appelle le « marasme froid » – il est peu probable qu’ils soient rentables sans le soutien du gouvernement.

    Et surtout, les 7 milliards d’euros alloués chaque année à cette fin se sont « évaporés » à la suite d’une décision du plus haut tribunal allemand qui a restreint l’utilisation par le gouvernement des lignes de crédit approuvées pendant la crise du COVID-19.

    Puisqu’il n’existe pas de centrales à hydrogène disponibles en secours, il faudra probablement recourir à l’électricité au charbon pour combler l’écart, a prévenu le patron du BDI.

    « Tant que la perspective de nouvelles centrales électriques de secours à base d'hydrogène ne se concrétisera pas, […] la solution en Allemagne sera la poursuite de l'exploitation de centrales électriques au charbon », a déclaré Russwurm à la presse mardi (janvier). 16).

    Compte tenu de la situation budgétaire tendue, les deux associations professionnelles demandent au gouvernement d’abandonner les projets de centrales électriques à hydrogène.

    Les associations industrielles pressent maintenant le gouvernement d'agir. « Le gouvernement fédéral doit maintenant franchir le cap : nous avons besoin d'une stratégie en matière de centrales électriques avec des conditions-cadres claires », a déclaré le 11 janvier l'association énergétique BDEW.

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  59. « Au moins 15 gigawatts (GW) de nouvelle capacité de production sécurisée seront nécessaires en Allemagne d'ici 2030 », poursuit l'association.

    Compte tenu de la situation budgétaire tendue, les deux associations professionnelles demandent au gouvernement fédéral d’abandonner les projets de centrales électriques à hydrogène.

    « Afin de réduire significativement la complexité et les coûts », le BDEW souligne la nécessité de « réévaluer » le « rôle des centrales de pointe à hydrogène et des centrales hybrides en raison de leurs composants coûteux et de leur impact limité sur la sécurité d'approvisionnement ».

    Russwurm le voit de la même manière. Lors de la présentation des priorités du BDI pour cette année, il a utilisé des métaphores pour expliquer à quoi pourrait ressembler une centrale électrique à hydrogène.

    Les centrales électriques existantes ne peuvent pas fonctionner avec de l’hydrogène « pur », car « les brûleurs fondraient tout simplement », a-t-il expliqué. Pour éviter cela, il faudrait équiper les systèmes de céramiques, ce qui les ferait ressembler au nez replié vers l'intérieur d'un vaisseau spatial - un procédé réalisable mais coûteux, selon le patron de BDI.

    « Si ces éoliennes sont censées fonctionner uniquement lorsque le soleil ne brille pas et que le vent ne souffle pas, elles seront extrêmement coûteuses », a-t-il ajouté.

    "Je ne parle même pas du coût de l'hydrogène, que nous n'avons pas, juste du coût d'investissement de ces nouvelles turbines à gaz et de leurs nouveaux périphériques."

    En fin de compte, cela signifie qu’il est peu probable que le projet allemand d’abandonner complètement la production d’électricité à partir de charbon d’ici 2030 se réalise. Au lieu de cela, l’Allemagne devra continuer à s’appuyer sur des centrales électriques au gaz pour répondre à la demande croissante d’électricité.

    Comme le souligne le représentant du BDI, le coût du subventionnement de ces centrales à hydrogène s'élève à 7 milliards d'euros par an. Il y a aussi les coûts de production réelle de l’hydrogène et la question de la provenance de l’électricité.

    Il serait peut-être temps en Allemagne de consulter des ingénieurs au lieu de se contenter d’écouter des idéologues fanatiques.

    https://tkp.at/2024/01/29/deutschland-gruene-traeume-vom-strom-aus-wasserstoff-zerschellen-an-der-realitaet/

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  60. Gazole non routier : la ristourne fiscale sera maintenue

    Face aux revendications des agriculteurs, le gouvernement a fait un pas en arrière sur le gazole non routier (GNR) : la ristourne fiscale dont bénéficie ce carburant sera finalement maintenue, a annoncé le Premier ministre, Gabrial Attal, lors d’une visite dans une exploitation dans la Haute-Garonne le 26 janvier 2024.


    Par Anton Kunin
    é le 29 janvier 2024 à 13h37


    En 2023, la réduction fiscale du GNR a coûté environ 1,7 milliard d'euros à l'État.

    Niche fiscale GNR : les agriculteurs continueront à acheter leur carburant moins cher
    Dans le monde agricole, la transition énergétique devra attendre… En visite en Haute-Garonne le 26 janvier 2024, le Premier ministre, Gabrial Attal, a annoncé que, contrairement à ce qui était prévu initialement, la fiscalité applicable au gazole non routier (GNR), un carburant essentiel dans le monde agricole, ne sera finalement pas durcie. Pour être plus concret mais aussi plus technique, la ristourne fiscale applicable au GNR sera maintenue.

    Il faut savoir que grâce à cette ristourne, les agriculteurs achètent le carburant nécessaire pour faire rouler leurs tracteurs 40% moins cher que les automobilistes achètent le leur en station-service. Ainsi, lorsqu’ils achètent leur carburant, en 2024, les agriculteurs ne paient que 6,71 centimes/litre au titre de la Taxe Intérieure de Consommation sur les Produits Énergétiques (TICPE)… contre 24,81 centimes/litre pour les automobilistes. Le projet du gouvernement était de faire progressivement disparaître cette ristourne, de façon à ce que la fiscalité du carburant classique et du GNR se rejoignent en 2030. Ce projet est donc désormais abandonné. « La vérité m’oblige à dire que sur la réforme du GNR, ça ne passe pas », a déclaré Gabriel Attal.

    Les agriculteurs bénéficieront de la réduction directement, sans avancer les frais

    Cette mesure, bien que saluée par les agriculteurs, représente un coût significatif pour l'État. En 2023, la réduction fiscale du GNR a coûté environ 1,7 milliard d'euros, une somme non négligeable dans un contexte de nécessité de décarbonation.

    Le gouvernement a également annoncé une simplification des procédures administratives liées au GNR. Désormais, la remise sur la taxe intérieure sur les produits énergétiques (TICPE) sera appliquée directement sur la facture, évitant ainsi aux agriculteurs d'avancer les frais. Cette mesure, prévue pour l'été 2024, vise à alléger la charge administrative des agriculteurs et à leur fournir un soutien financier plus

    https://www.economiematin.fr/gazole-non-routier-maintien-ristourne-fiscale

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    1. Un tracteur c'est de 150 à 170 cv ! (et le 2 cv combien ? hahaha !)

      Parce qu'une voiture (même '4x4 Super-super') ne peut tirer seulement un griffon ! HZAHAHA !

      Et donc, comme un Caterpillar consomme un peu plus que un Solex...

      (...) Cette mesure, prévue pour l'été 2024,(...) !!!!!!!!!

      Et jusqu'à 6 mois on fait comment ?

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  61. Les agriculteurs français se joignent aux agriculteurs allemands pour bloquer les autoroutes avec des tracteurs et jeter du fumier pour mettre fin au programme mondialiste visant à détruire les fermes.


    26/01/2024
    Ethan Huff


    En colère contre les politiques mondialistes paralysantes de leur pays en matière de « changement climatique », des agriculteurs français, principalement du sud-ouest du pays, ont déversé des tonnes de fumier et de déchets cette semaine devant la préfecture d'Agen, tandis que d'autres bloquaient les autoroutes avec des tracteurs pour protester contre le « changement climatique ». l’agenda anti-alimentaire et anti-humain de leurs gouvernements nationaux et du bloc européen.

    À l’instar de ce que leurs homologues allemands et néerlandais ont fait ces derniers mois, les agriculteurs français font tout ce qu’ils peuvent pour faire entendre leur voix en faveur de la liberté agricole, à savoir des démonstrations de tracteurs, des barrages routiers et autres spectacles publics. Ils en ont assez d'entendre dire que le gaz carbonique, l'azote et d'autres éléments naturels impliqués dans l'agriculture sont des « polluants » qui doivent être éradiqués afin de stopper le « réchauffement climatique ».

    Selon certaines informations, les agriculteurs français ont bloqué l'autoroute A64 dans les deux sens ainsi que l'autoroute A16, qui constituent deux axes de circulation majeurs en France. Les agriculteurs envisagent également d'installer un barrage routier sur une autre route principale non divulguée du sud de la France.

    (Connexe : n'oubliez pas de consulter notre couverture précédente sur les manifestations d'agriculteurs néerlandais qui ont eu lieu l'année dernière pour voir comment tout cela a commencé.)

    Le plus grand syndicat agricole de France envisage de manifester à l'échelle nationale des agriculteurs
    La hausse des prix du carburant et la recrudescence des maladies du bétail, entre autres problèmes, incitent également les agriculteurs de la région Occitanie à demander à leur gouvernement régional de débloquer davantage d'aide d'urgence pour maintenir leurs opérations intactes. Ils espèrent également que le gouvernement adoptera une politique de l’eau plus favorable et adaptée aux besoins d’irrigation des cultures.

    Située à environ 45 km au sud-ouest de Toulouse, lieu principal des manifestations paysannes, Carbonne constate également une recrudescence des manifestations paysannes. De nombreux agriculteurs de la région ont installé un campement de fortune sur l'autoroute menant à Bayonne pour leur manifestation.

    Au grand "regret" de l'homme politique local Pierre-André Durand, une réunion de près de trois heures entre lui et cinq représentants du monde agricole n'a pas abouti à une décision sur la levée du blocus.

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  62. "De gros problèmes de circulation sont attendus dans les deux sens", a commenté le préfet d'Occitanie à propos d'un barrage qui devrait y être installé également au niveau d'un rond-point de Tarascon-sur-Ariège.

    La FNSEA, le plus grand syndicat agricole de France, a annoncé son intention d'envisager une manifestation nationale dans les semaines à venir afin d'étendre les actions des agriculteurs du sud-ouest de la France qui sont à l'origine des manifestations, des blocages et des opérations de déversement de fumier et de déchets.

    Les principaux problèmes qui touchent les agriculteurs français sont les lourdes taxes et les restrictions gouvernementales, qui font partie des mêmes plaintes des agriculteurs allemands qui, la semaine dernière, ont conduit des tracteurs de tous les coins du pays jusqu'à Berlin pour organiser des manifestations similaires.

    Les agriculteurs du monde entier se soulèvent contre les mondialistes anti-agricoles qui veulent dépeupler le monde. Pour en savoir plus, visitez WorldAgriculture.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Twitter.com
    Twitter.com
    RMX.nouvelles
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-26-french-german-farmers-block-highways-stop-globalism.html

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  63. Les agriculteurs français , dindons de la géopolitique macronienne et occidentale à l’égard de la Russie et de l’Ukraine


    e 29 janvier 2024
    par pgibertie


    Non seulement l’entrée de l’Ukraine dans l’UE sera une tragédie pour les agriculteurs, mais tous les choix géopolitique depuis 10 ans nous ont gravement affaiblis à l’égard de la Russie

    1 Les très mauvais choix à l’égard de la Russie

    L’Europe est plus dépendante de Moscou sur le plan alimentaire aujourd’hui qu’elle ne l’était avant la guerre en Ukraine, étant donné que les États membres de l’UE ont remplacé leur dépendance énergétique par une dépendance aux engrais, a averti le PDG de l’entreprise chimique norvégienne Yara

    « Nous ne serions pas surpris d’assister à des chocs [dans le secteur] », a-t-il ajouté.

    Depuis les débuts de la guerre en Ukraine et les sanctions infligées à la Russie et à la Biélorussie, qui fournissaient 60 % des engrais de l’UE, les usines européennes ont notamment dû faire face à la flambée des cours du gaz, élément essentiel de fabrication des engrais.

    Par conséquent, selon les données d’Eurostat, présentées en marge de la réunion, les importations totales d’azote dans l’UE ont augmenté de 34 % au cours de la campagne de commercialisation des engrais 2022-23 (juillet-juin) par rapport à la période précédente, les importations en provenance de Russie représentant environ un tiers du total.

    Les importations d’urée (engrais azoté le plus utilisé au monde) ont augmenté de 53 %, doublant les volumes enregistrés en 2020-2021. Sur ce total, 40 % provenaient de Moscou. La tendanceest à la baisse pour la saison en cours, mais l’urée russe représente toujours près d’un tiers des importations totales.

    L’Union européenne a interdit toutes les importations de potasse en provenance de Biélorussie, un engrais important dont la production est largement insuffisante en Europe. Cette mesure accentue la pression sur le secteur agricole, déjà confronté à une hausse du prix des intrants.

    https://www.euractiv.fr/section/energie-climat/news/les-sanctions-de-lue-contre-la-bielorussie-touchent-un-engrais-essentiel-pour-les-agriculteurs/

    Blé en Afrique : comment la Russie a doublé la France
    Traditionnellement leader sur ce marché céréalier en Afrique du Nord mais aussi très présent dans l’Ouest, Paris a été progressivement dépassé par un concurrent de taille : Moscou.

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  64. Le bras de fer diplomatique franco-russe connaît depuis quelques mois un virage commercial en terres africaines. Au Maroc, en Algérie, en Égypte ou encore en Afrique de l’Ouest, les exportations mensuelles de blé tendre français sont sur une tendance baissière pour la campagne 2022-2023,

    La Russie domine les exportations mondiales de blé. Sa stratégie de conquête bouscule les ventes françaises.

    Nombreux sont ceux qui ont découvert en 2022, avec l’intensification de la guerre en Ukraine, que le poids sur la scène agricole internationale de la Russie s’avère problématique. Le blé polarise non sans raison toute l’attention, puisque 20 % des exportations totales de cette céréale sont réalisées en moyenne ces dernières années par la seule puissance russe.

    La Russie est assurément le pays dont le réarmement agricole aura été le plus spectaculaire depuis le début de ce siècle. En l’espace de deux décennies, Moscou a redressé un secteur productif pour à la fois retrouver de la sécurité alimentaire domestique et s’affranchir de certaines dépendances envers des pays qui lui fournissaient des produits agricoles en grande quantité. Elle a su conquérir aussi des parts de marché conséquentes sur la scène internationale, notamment avec le blé, illustration première de cette Russie redevenue surpuissante sur ces questions, qui retrouvent elles-mêmes une centralité stratégique dans les affaires mondiales

    La reprise en main des affaires agricoles correspond à l’arrivée au pouvoir de VladimirPoutine en 2000. Dès le départ, il se donne comme but principal de restaurer la grandeur du pays, de remettre de l’ordre sur le plan intérieur et de retrouver de l’ambition sur le plan extérieur. Trois matières premières (pétrole, gaz, blé) font levier pour atteindre ces objectifs. Sur ce chemin, plusieurs étapes doivent être distinguées. La décennie 2000 est celle du développement agricole, bien aidé par la dévaluation du rouble en 1998, par l’ouverture aux échanges internationaux en perspective de l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce (qui deviendra effective en 2012), mais aussi par une certaine euphorie économique, tant le prix haussier des matières premières est favorable aux intérêts russes et à l’enrichissement d’oligarques proches du Kremlin. Le PIB augmente ainsi de 7 % par an en moyenne, de 2000 à 2009. La production de blé double durant cette période, passant de 35 à 60millions de tonnes (Mt) par an. Néanmoins, la Russie demeure importatrice agricole, notamment pour les produits laitiers, les viandes et les fruits et légumes.

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  65. Une autre séquence démarre en 2009, avec la crise financière internationale, qui n’épargne pas Moscou. La Russie subit les variations du prix de l’énergie. Bien que leur cours soit également évolutif, les céréales offrent davantage de stabilité, même si les récoltes en blé connaissent elles aussi des difficultés. En 2010, confrontée à une sécheresse conséquente provoquant des feux interminables dans les campagnes, la moisson se dégrade et chute à 40Mt. Pour protéger sa demande interne, le pouvoir décrète un embargo à l’export, privant ainsi plusieurs pays importateurs de l’origine russe, à commencer par l’Égypte, qui traverse au même moment une crise sociopolitique majeure aboutissant à la destitution du régime autoritaire d’HosniMoubarak. À cette époque, plus des trois quarts des achats égyptiens en blé se font auprès de la Russie. Entre la décision politique du Kremlin, l’emballement du prix du blé sur les marchés mondiaux et la tension palpable dans la rue égyptienne à propos du manque d’accès au pain, il ne faut ni surestimer les liens de cause à effet ni omettre d’intégrer néanmoins ces problématiques pour comprendre les enjeux d’interdépendance céréalière qui s’étaient alors créés.

    À partir de 2014, la stratégie agricole russe évolue au gré des vicissitudes de la scène internationale. Aux sanctions commerciales de Washington et de Bruxelles Vladimir Poutine riposte par un embargo à l’encontre des produits agricoles et alimentaires en provenance des États-Unis et de l’Union européenne, mais également de l’Australie et du Canada. Ce dispositif, toujours en vigueur, s’est depuis traduit par deux conséquences.

    La fermeture du marché russe a déréglé plusieurs filières agricoles européennes. Résultat, cela a intensifié les concurrences intra-communautaires tout en provoquant l’essor de nouvelles relations agro-commerciales entre la Russie et certains fournisseurs (Turquie, Chine, Brésil, Maroc, Argentine), non malheureux de récupérer de tels marchés

    . Ensuite, l’embargo établi par le Kremlin a renforcé la quête d’autosuffisance alimentaire russe, avec la nécessaire augmentation des productions animales, laitières et horticoles. Ce sera chose faite en quelques années, la Russie ayant diversifié son agriculture, moins dépendante des seules céréales. Outre la viande et les produits laitiers qui ont connu un essor considérable, il faut mentionner que la Russie est aussi devenue depuis 2017 le premier producteur mondial de betteraves à sucre et de framboises, deux exemples probants mais très méconnus.

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  66. Il apparait donc que cet embargo aura servi de détonateur au développement domestique russe tout en fragilisant les positions européennes. Celles-ci ont non seulement perdu un marché stratégique mais doivent depuis rivaliser avec un concurrent redoutable. Les sanctions occidentales ont donc stimulé l’agriculture russe, comme l’ont fait les subventions publiques, la science et les investissements privés, ayant permis de tirer plus de profits des terres agricoles dans le pays.

    Pour le Kremlin, deux ruptures symbolisent cette percée souveraine et cette prise de pouvoir sur la scène internationale.

    Longtemps déficitaire, la balance commerciale agricole est devenue excédentaire depuis 2018. Entre 2000 et 2014, le déficit de la balance commerciale agricole oscillait chaque année entre 10 et 20milliards de dollars.

    Il s’est réduit après l’embargo avant de s’inverser grâce à des exportations en forte croissance, dont le montant dépasse 20 à 25milliards par an depuis 2018. Les céréales comptent pour 50 % de ces volumes, mais la Russie place aussi sur les marchés mondiaux de grandes quantités de produits de la mer, d’oléagineux et même des viandes de poulet et de porc.

    Si le secteur agricole pèse bien moins que l’énergie et les métaux/minérais dans le total des exportations russes, il s’est installé comme 3eposte commercial, devant les ventes d’armement. Mécaniquement, dans l’expression de la puissance russe, les sujets agricoles se sont donc amplifiés. Pour VladimirPoutine et son entourage, ils symbolisent non seulement la capacité du pays à s’afficher souverain sur les biens essentiels mais représentent aussi un facteur d’influence croissant dans le monde en raison de l’augmentation de la demande alimentaire. La Russie inscrit cette dialectique en miroir d’une dynamique européenne où à l’inverse s’est installé un débat différent depuis le début de ce siècle à propos de l’importance du secteur agricole. Le Kremlin ne s’est d’ailleurs pas privé de faire marcher sa machine désinformationnelle pour accentuer les controverses dans l’UE.

    2 entre l’Ukraine dans l’UE et l’agriculture, il faut choisir

    Entre l’Ukraine dans l’Europe (+le Green Deal) et l’agriculture , il faut choisir : -2 milliards par an pour la France . Les Polonais ont compris l’origine du mal
    Publié le 28 janvier 2024 par pgibertie

    Les agriculteurs polonais sont descendus dans les rues à travers le pays pour protester contre le Green Deal européen, les politiques de l’UE qui nuisent à l’agriculture locale et l’afflux de produits alimentaires uk

    https://pgibertie.com/2024/01/29/les-agriculteurs-francais-dindons-de-la-geopolitique-macronienne-et-occidentale-a-legard-de-la-russie-et-de-lukraine/

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  67. Accord entre Chili N Zélande et UE : QUI VOTE POUR LE LIBRE ECHANGE EN COMMISSION?qui vote contre ?


    le 28 janvier 2024
    par pgibertie


    Le premier à monter au créneau ? Thierry Mariani, qui a voté contre cet accord, en cette même Commission, affirme ainsi : « Après le traité de libre-échange entre l’UE et la Nouvelle-Zélande, voici en examen du traité de libre-échange entre le Chili et l’UE. Nos agriculteurs jugeront. » Pire encore, poursuit-il : « Si ce traité est voté, 95 % des échanges entre le Chili se feront sans droits de douane. Puis, en matière agricole, sachez que c’est 18.000 tonnes de plus de volaille, 9.000 tonnes de plus pour la viande porcine, 4.000 tonnes pour la viande ovine. 2.000 tonnes pour la viande bovine, sans compter l’huile d’olive, les œufs et les dérivés de l’amidon. »

    Jean-Lin Lacapelle, député européen RN, en dit plus : « Pour le moment, la Commission européenne a approuvé cet accord. Mais il faudra encore qu’il soit ratifié par le Parlement. Là, il faut espérer qu’Emmanuel Macron n’exerce pas le même lobbying vis-à-vis de ses députés que lors du vote d’un traité similaire avec la Nouvelle-Zélande. »

    Il est vrai que le texte autorisant la ratification de ce traité, voté par le Parlement européen à une large majorité, le 22 novembre 2023, ouvrait la porte plus encore à ce libre-échangisme débridé n’en finissant plus d’étrangler nos paysans. Mais, très optimiste, le député allemand Daniel Caspary, du groupe PPE (dans lequel siègent les députés français LR), n’avait pas hésité à déclarer : « Aujourd’hui est un bon jour pour l’Union européenne […]. Ensemble, nous faisons progresser le commerce mondial fondé sur des règles, dans un contexte de vague mondiale de protectionnisme et d’isolationnisme ». On voit donc mal comment l’actuelle assemblée européenne pourrait inverser la tendance. En effet, lors de ce vote en commission, les députés macronistes et républicains ont majoritairement approuvé ce traité de libre-échange avec le Chili, suite logique de l’accord avec la Nouvelle-Zélande.

    À ce titre, Jean-Lin Lacapelle ajoute : « Nous suivrons avec attention ce que voterons François-Xavier Bellamy et ses amis ». Pendant ce temps, la France d’en bas, juchée sur ses tracteurs, manifeste, bloque les autoroutes, menaçant même d’encercler Paris. Vendredi, Gabriel Attal était en Haute-Garonne pour tenter d’éteindre l’incendie initié par les siens. Une quadrature du cercle consistant à expliquer qu’il puisse être en même temps possible d’appliquer la préférence nationale en nos assiettes tout en la faisant condamner par le Conseil constitutionnel en matière d’immigration. Ou de privilégier l’agriculture française tout en l’obligeant à se mettre en concurrence avec des exploitants agricoles ne respectant pas la moindre réglementation, d’ordre écologique ou sociale.

    - voir doc sur site -

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  68. La Nouvelle Zélande

    Trois députés français en commission Mariani (rn) et Glucksmann votent contre, la macronienne pour

    Marie-Pierre Vedrenne (Renew). – Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, oui, je vais voter en faveur de l’accord entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande. Oui, je soutiens les avancées obtenues avec un partenaire fiable et ambitieux, avec une démocratie parlementaire qui nous ressemble. Oui, je soutiens les garanties environnementales que contient l’accord, avec la mention de l’Accord de Paris et enfin avec un système de sanctions. Oui, je soutiens les gains économiques concrets pour les entreprises européennes et françaises ainsi que la reconnaissance des indications géographiques.

    Alors, nous serons la seule force politique française capable d’assumer une telle vision. Les autres délégations allant souvent à l’encontre de leur groupe européen restant dans un carcan idéologique dépassé, alors que cet accord doit devenir un standard minimum, un standard pour toutes les négociations en cours et à venir. C’est seulement avec la réciprocité des normes environnementales et agricoles que nous avancerons, et cet accord les façonne. C’est seulement ainsi, avec cet accord, que nous façonnerons un commerce régulé, durable et juste.

    Alors allons de l’avant avec cet accord. Ne soyons pas des populistes comme peuvent l’être l’extrême droite, comme ils l’ont fait tout à l’heure. Et véritablement avançons pour façonner le commerce mondial et ne restons pas dans les dogmes du passé.

    https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2023-0305_FR.html

    https://pgibertie.com/2024/01/28/accord-entre-chili-et-ue-un-coup-de-poignard-dans-le-dos-de-nos-paysans-en-pleine-crise-agricole/

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  69. Agricultrice… députée Renaissance et Nike la France



    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 29 janvier 2024 - 16:21


    EDITO - La montagne que les médias font de la supposée révolte des agriculteurs, pour apeurer la ménagère de moins de 50 ans et, in fine, permettre au gouvernement "d'imposer" un nouvel impôt au peuple, et de réduire encore un peu plus les libertés publiques et privées ; cette montagne a accouché d'une souris (quoi que ?) mais nous avons été informés d'une excellente nouvelle.

    Une agricultrice française va bénéficier de 300 euros nets d'augmentation par mois.

    Et, s'agissant d'elle, ce n'est pas une promesse 100 % bidon faite par Gabriel Attal.

    Non. Elle, c'est officiel. Pour de vrai. Voté par le bureau de l'Assemblée nationale !

    La preuve en images :

    - voir sur site -

    Et attention !

    Ce n'est pas une vidéo bidonnée, un “deepfake” fabriqué par un méchant complotiste dernier échelon.

    Non : ce sont des images extraites du journal télévisé de TF1.

    Vive la République !

    Et comme l'écrivait Nahel, ce “petit ange” parti trop tôt, Assa Traoré et toute sa clique : “Nike la France !”

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/agricultrice-deputee-renaissance-et-nike-la-france

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  70. Entre l’Ukraine dans l’Europe (+le Green Deal) et l’agriculture , il faut choisir : -2 milliards par an pour la France . Les Polonais ont compris l’origine du mal


    le 28 janvier 2024
    par pgibertie


    Les agriculteurs polonais sont descendus dans les rues à travers le pays pour protester contre le Green Deal européen, les politiques de l’UE qui nuisent à l’agriculture locale et l’afflux de produits alimentaires ukrainiens. Le ministre adjoint de l’Agriculture, Stefan Krajewski, a déclaré qu’il s’agissait de manifestations visant Bruxelles, et non Varsovie.

    Les agriculteurs polonais demandent notamment le rétablissement des restrictions imposées à l’Ukraine en matière de commerce afin d’empêcher la production alimentaire ukrainienne d’inonder le marché polonais. Les manifestants s’opposent également aux mesures du Pacte vert pour l’UE (Green Deal) qui restreignent leur activité.

    En proposant à l’Ukraine de rompre avec la Russie et à entrer dans l’UE et l’OTan , il y a tout juste dix ans, les occidentaux ont précipités les évènements graves d’aujourd’hui: coup d’Etat du Maidan en 2014 pour rencerser le président légitime pro russe, guerre civile en Ukraine, intervention de la Russie , guerre

    En 2014, l’Union européenne et l’Ukraine se sont davantage rapprochées avec la signature d’un accord d’association, qui comprend un accord de libre-échange approfondi

    Lors du Conseil européen des 14 et 15 décembre 2023, les dirigeants de l’UE ont voté l’ouverture des négociations d’adhésion avec l’Ukraine

    Mais ils ont également agi contre les intérêts de nos agriculteurs et dans le seul intérêt d’oligarques corrompus

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  71. L’entrée de l’Ukraine dans l’UE aurait des conséquences immédiates sur la Politique agricole commune (PAC), destinée à valoriser les agricultures des pays membres et à équilibrer l’offre et la demande sur le marché européen, et dont le nouveau volet quinquennal (2023-2027) vient tout juste d’entrer en vigueur après d’âpres négociations. L’Ukraine serait susceptible de capter une part importante des aides de la PAC, dans la mesure où son agriculture a des besoins importants en matière de modernisation – ce qui sera d’autant plus vrai une fois la guerre terminée -, mais ne répond pas non plus aux critères environnementaux européens. La France, première bénéficiaire de la PAC avec 9 milliards d’euros d’aides par an réparties entre 400 000 bénéficiaires, serait directement impactée par l’arrivée de ce géant agricole.

    Kiev, dont les principaux acheteurs se situent en dehors de l’UE – l’Égypte, la Chine, l’Inde, l’Iran, la Syrie et la Turquie – travaille déjà à réorienter ses exportations vers l’UE pour adapter son agriculture au marché. En novembre dernier, le vice-ministre de l’Agriculture a notamment évoqué, en marge d’un déplacement en Allemagne, une augmentation des exportations de produits d’origine animale vers les Etats membres. « Pour l’heure, les effets économiques d’une adhésion de l’Ukraine sont difficilement appréciables », explique Patrick Martin-Genier. « Mais il faudra aussi s’attendre à un fort impact sur les fonds structurels européens pour la remise à niveau de régions qui souffrent de fortes disparités de développement.

    L’adhésion de l’Ukraine à l’UE entraînerait la fin de la PAC actuelle, selon un fonctionnaire de Kiev
    https://www.euractiv.fr/section/elargissement/news/ladhesion-de-lukraine-a-lue-entrainerait-la-fin-de-la-pac-actuelle-selon-un-fonctionnaire-de-kiev/

    Évaluer l’impact de l’adhésion de l’Ukraine sur les subventions agricoles de l’UE selon les critères actuels n’est pas un exercice pertinent puisque l’adhésion de Kiev à l’UE conduira probablement à la fin de la Politique agricole commune (PAC) telle que nous la connaissons aujourd’hui, explique le vice-ministre ukrainien de l’Économie, Taras Kachka.

    Les commentaires de M. Kachka, principal négociateur de l’Ukraine à Bruxelles en matière de commerce et d’économie, font suite à la divulgation par le Financial Times d’un document rédigé par le secrétariat général du Conseil calculant l’impact de l’éventuelle adhésion de l’Ukraine sur le budget de l’UE.

    Selon ce document, l’Ukraine pourrait prétendre à 96,5 milliards d’euros de fonds de la PAC, ce qui entraînerait une réduction d’environ 20 % des subventions agricoles accordées aux États membres actuels de l’UE. DEUX MILLIARDS EN MOINS POUR LA FRANCE

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  72. « Les chiffres présentés dans les médias concernant le coût éventuel des subventions de l’UE pour l’Ukraine indiquent simplement que le processus d’élargissement nécessitera une réévaluation complexe de la Politique agricole commune en tant que telle », a déclaré M. Kachka aux journalistes jeudi (5 octobre).

    @PhilippeMurer:

    Le scandale absolu des fermes géantes de poulet ukrainien qui déferle en France et détruit nos fermes familiales ayant elle des normes contraignantes !

    La firme MHP produit dans 4 fermes géantes 300 millions de poulets par an avec des tas d’antibiotiques et d’hormones ! Des poulets exportés sans droits de douane sur dérogation de l’UE, se retrouvent dans les magasins et les cantines de nos gosses.

    MHP qui produit le poulet ukrainien est basée fiscalement à Chypre, un paradis fiscal, est cotée à la bourse de Londres, détenue par un milliardaire ukrainien et avec comme investisseurs des banques d’affaires françaises et américaines !

    L’UE l’a financé pour 100 millions d’euros, lui a donné des dérogations et il détruit les fermes familiales françaises avec cette concurrence déloyale (fermes ukrainiennes produisant chacune 75 millions de poulets aux antibiotiques et aux hormones !)

    MHP détient 5500 km2 de terres en Ukraine où il fait travailler des Ukrainiens pour environ 1 euro de l’heure. Odieux

    L’importation de ce poulet ukrainien détruit les fermes familiales françaises qui ont 20.000 poulets en moyenne et respectent des normes strictes (taille des élevages, bien-être animal, lumière, espace …) Cc

    @ResistPaysans

    Avec ses sols les plus fertiles au monde l’Ukraine

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  73. L’Ukraine est le plus grand pays agricole du continent européen par sa taille avec ses 41,5 Millions d’ha de SAU, mais aussi le deuxième réservoir de terres arables du continent. Avec 32,5 M d’ha, ces dernières représentent le double de la surface de terres arables de la France, dont 60 % de tchernoziom, ou « terres noires », un type de sol riche en humus et particulièrement fertiles. L’agriculture et l’agroalimentaire demeurent l’un des moteurs de l’économie ukrainienne, générant 15% de son PIB, employant 20% de la population active et représentant 40% des exportations du pays. Dans ce contexte, l’agriculture ukrainienne trouve des conditions favorables à son développement.

    Les espaces ruraux de l’Ukraine abritent le tiers de la population ukrainienne. Les superficies des exploitations agricoles ukrainiennes sont les plus vastes d’Europe. Le paysage y est, toutefois, dominé par deux modèles très différents, les exploitations très grandes, voire gigantesques (>10 000 ha côtoyant les très petites (<1 ha).

    - voir cadre sur site -

    Selon certaines informations, 1 500 tonnes de blé importées d’Ukraine en Slovaquie contenaient du chlorpyrifos, un pesticide interdit dans l’UE depuis 2020, bien qu’il ne soit pas destiné au marché intérieur de l’UE, mais à des pays tiers.

    De même, la Pologne a fait part de ses inquiétudes concernant les produits phytosanitaires, soulignant qu’elle avait lancé plusieurs alertes via le système d’alerte rapide pour les denrées alimentaires et les aliments pour animaux (RASFF), conçu pour tenir les autres pays au courant des risques potentiels à venir.

    https://pgibertie.com/2024/01/28/entre-lukraine-dans-leurope-le-green-deal-et-lagriculture-il-faut-choisir-2-milliards-par-an-pour-la-france-les-polonais-ont-compris-lorigine-du-mal/

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  74. TU NOURRIRAS LE MONDE

    Chloé Frammery

    L'assassinat de l'agriculture.. ou plutôt de l'Agriculteur, en France et dans l'Union européenne
    Désertification des campagnes, disparition des agriculteurs et de la biodiversité, agrandissement à outrance des exploitations : mais pourquoi ?

    Etant donné les mobilisations agricoles qui ont lieu en ce moment dans toute la France, l'association Paroles de paysans réactive le lien vers le film du 25/01 au 01/02, à partager largement le temps de la mobilisation. Puisse-t-il éclairer d'un autre regard la colère des agriculteurs.
    Le film est également accessible sur le site de Paroles de Paysans.

    A travers leur documentaire « Tu nourriras le monde », deux jeunes agronomes se sont rendus au cœur d’une région emblématique de l’agriculture céréalière industrielle française : la Champagne crayeuse. Leur objectif : rencontrer les céréaliers champenois et comprendre l’origine des freins à la transition agro-écologique.

    👉 Lien YT vers le film :
    https://m.youtube.com/watch?v=MbSaUIHpgg8

    👉 Site de Paroles de paysans :
    https://parolesdepaysans.wixsite.com/.../tu-nourriras-le...

    👉 Pour les soutenir, leur page HelloAsso :
    https://www.helloasso.com/.../coll.../tu-nourriras-le-monde/

    https://www.facebook.com/chloe.fra.9

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  75. LIBÉREZ L'INFO #22 avec Claude Janvier, auteur essayiste - 25.01.23


    Chloé Frammery


    Pour cette 22ème émission de LIBÉREZ L'INFO, nous avons eu le plaisir d'accueillir Claude Janvier, écrivain et essayiste. Il est l'auteur de deux livres "coups de gueule" ("Les démasqués" et "Un coup de gueule vaut mieux que faire la gueule") et a co-écrit trois livres avec Jean-Loup Izambert : "Le virus et le Président", "Covid-19 : Le bilan en 40 questions" et "Les destructeurs".
    👉 Pour commander ses livres :

    https://www.decitre.fr/auteur/6342325/Claude+Janvier

    👉 POUR (RE)VOIR L'ÉMISSION, C'EST ICI :

    Sur Crowdbunker :
    • https://crowdbunker.com/v/9XWw45Hu
    • https://crowdbunker.com/v/VEgLkpx6
    • https://crowdbunker.com/@jean-jacques-crevecoeur

    Sur Odysee :
    • https://odysee.com/@Chloe_F:b/liberezlinfo22_25.01.24:d
    • https://odysee.com/@ameliepaul:8/liberezlinfo22:7
    • https://odysee.com/@Chloe_F:b/liberezlinfo22_25.01.24:d
    • https://odysee.com/@Jean-Jacques-Crevecoeur:f/LIB22B:9
    Sur Twitter :
    • https://twitter.com/LLP_Le_Vrai/status/1750595384714629456

    👉 Générique de fin :

    Porté Disparu - Fanfan, Francis Lalanne, Christophe Charret, Nico Davel, Veronika Vizner, les enfants de CE1 et CE2 (7 et 8 ans)
    https://t.me/chloefinfosofficiel/6313
    https://youtu.be/__p2UpYZP1U?si=9iLA8DY0T-jELgAH

    👉 Sources : https://chloeframmery.ch/liberez-linfo-n
    22

    👉 MA PRÉSENTATION
    "Forum de Davos 2024 - Restaurer la confiance"
    • Powerpoint : https://chloeframmery.ch/.../Presentation-Davos-2024-WEF...
    • PDF : https://chloeframmery.ch/.../Presentation-Davos-2024-WEF...

    👉 Toutes les émissions de LIBÉREZ L'INFO sont ICI :
    https://chloeframmery.ch/les-emissions/liberez-linfo

    👉 MON AGENDA :
    https://chloeframmery.ch/agenda

    https://www.facebook.com/chloe.fra.9

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  76. Data Privacy Day 2024 : Les entreprises doivent avoir une vue générale de leurs données

    La data est omniprésente et est devenue, ces dernières années, l’actif le plus important en entreprise. En effet, chaque action, réaction et interaction génère une masse toujours croissante d’informations ces données se trouvant de plus en plus au cœur de la compétitivité entre les entreprises. Pourtant, les risques de fuites ou de violation de données sont toujours plus élevés, avec, parfois, des violations provenant de l’interne.


    Par Olivier Tijou
    le 29 janvier 2024 à 4h30


    Dans sa dernière étude « Data Gap Report » publiée en fin d’année 2023, Denodo, leader de la gestion des données, rapporte que 83% des travailleurs français utilisent quotidiennement la donnée. Le rapport précise aussi que l'automatisation pour s’aligner sur la législation (28%) et la surabondance de données à traiter (20%) font partie des principaux défis en entreprise lorsqu’il s’agit de Data Management. Enfin, cette même étude démontre que, pour la majorité des grandes entreprises européennes (71%), la donnée ne devient importante que si l'ensemble des collaborateurs peut y accéder facilement.

    En France, près de la moitié des entreprises estime que le fait d’intégrer des informations provenant de sources multiples de manière plus agile, tout en respectant les réglementations en matière de protection des données personnelles, est un atout majeur.

    De nouvelles données sont générées en permanence, et toutes ont une utilité différente. Ces données sont en outre toujours plus distribuées, ‘on prem’, dans plusieurs clouds, etc. Les entreprises doivent donc trouver le moyen d’obtenir une vue générale de leurs données distribuées et multilocalisées et ainsi, le Data Management et la gouvernance doivent continuer d’évoluer afin d’être toujours adaptés.

    En effet, une donnée mal intégrée aura indéniablement un impact direct sur la sécurité. Or l’alignement sur la législation, et donc la protection des données, fait partie des plus grandes préoccupations en entreprise. Il est donc important de renforcer les politiques globales de sécurité afin de restreindre les accès, en fonction du rôle de l’utilisateur, mais aussi de leur localisation, ce qui permet d’écarter tout risque de fuite.

    De même, les politiques doivent être radicalement revues afin de prendre en charge les données distribuées. En effet, il ne s’agit plus de gérer des données dupliquées physiquement, mais d’adopter une gestion logique permettant de connecter en temps réel des données disparates sans réplication. En appliquant cela, les entreprises peuvent s’assurer un Data Management efficace et rentable.

    https://www.economiematin.fr/data-privacy-day-2024-donnees-tijou

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    1. Dès que vous garez votre voiture ailleurs que chez vous, dès que vous placez votre argent en banques il ne vous appartient plus !! Idem pour les données transférées !! envoyées se domicilier sur un 'cloud' ! HAHAHAHA !
      Depuis qu'existe Internet les mails envoyés sont lus avant d'arriver, alors les 'clouds' ... HAHAHAHA !

      Photos exclusives !
      vendredi 20 juin 2014
      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/06/accord-commercial-secret-couvrant-68.html

      Touchez pas c'est collector !
      samedi 22 juin 2013
      https://huemaurice5.blogspot.com/2013/06/touchez-pas-cest-collector.html

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  77. Les experts en insolvabilité mettent en garde : plus de 47 000 entreprises britanniques sont « au bord de l’effondrement » alors que l’économie mondiale s’effondre


    26/01/2024
    Ethan Huff


    Le nombre d'entreprises au Royaume-Uni confrontées à des difficultés financières « critiques » au cours des trois derniers mois de 2023 a grimpé de 25 %, selon un nouveau rapport. Et 47 000 d’entre eux sont désormais sur le point de sombrer complètement à mesure que les conditions se détériorent.
    Malgré les affirmations persistantes du gouvernement selon lesquelles les conditions économiques sont tout simplement excellentes, le secteur des affaires du Royaume-Uni s'effondre tranquillement à une vitesse croissante alors que les spécialistes de l'insolvabilité Begbies Traynor mettent en garde contre une crise économique majeure dans leur dernier rapport « Drapeau rouge ».

    Au Royaume-Uni, 30 % de toutes les entreprises actuellement confrontées à des difficultés financières sont actives dans les secteurs de la construction et de l'immobilier, explique le rapport, soulignant une autre crise immobilière en préparation.

    Le taux d’augmentation trimestriel de 25 % susmentionné du nombre d’entreprises confrontées à des difficultés financières critiques au Royaume-Uni comprenait :

    une augmentation de 32,6 pour cent dans le secteur de la construction
    une augmentation de 41,3 pour cent dans les secteurs de la santé et de l’éducation
    une augmentation de 25 pour cent dans les services immobiliers et immobiliers
    une augmentation de 24 pour cent des services de soutien
    (Connexe : L’économie américaine tourne à la vapeur alors que la frénésie d’endettement des consommateurs atteint un paroxysme inquiétant et historique.)

    82 % de l’économie britannique a enregistré une croissance à deux chiffres des difficultés financières
    Dix-huit des 22 secteurs économiques couverts dans le rapport ont enregistré une croissance à deux chiffres en termes de nombre d'entreprises ayant atteint une situation financière critique au cours des trois derniers mois de 2023. Cela représente 82 % de l'économie britannique qui a connu une croissance exceptionnellement rapide. baisse au quatrième trimestre de l’année dernière.

    Selon Julie Palmer, associée chez Begbies Traynor, les conditions macroéconomiques difficiles ont créé une « tempête parfaite » pour les entreprises britanniques, Traynor empruntant ce trope de « tempête parfaite » à nul autre que Donald Trump, qui avait mis en garde il y a plusieurs années contre une « tempête parfaite » à venir. ".

    "Après une année difficile pour les entreprises britanniques, caractérisée par des taux d'intérêt élevés, une inflation galopante, une faible confiance des consommateurs et des coûts de production en hausse et imprévisibles, nous voyons maintenant cette véritable tempête impacter tous les secteurs de l'économie", a déclaré Palmer.

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  78. Tout comme ce que la Réserve fédérale privée tente de faire ici aux États-Unis pour maîtriser l’inflation, la Banque d’Angleterre, une autre banque centrale privée de l’autre côté de l’Atlantique, a relevé ses taux d’intérêt de 0,1 % fin 2021 à 5,25 % aujourd’hui. Cette décision a empêché de nombreuses entreprises en difficulté d'accéder à la dette bon marché nécessaire pour rester financièrement « solides ».

    "Des centaines de milliers d'entreprises au Royaume-Uni, qui se sont endettées à un prix abordable pendant ces jours de calme, acceptent désormais le fardeau supplémentaire que cela imposera à leurs finances", a ajouté Palmer. "Malheureusement, pour des dizaines de milliers d'entreprises britanniques qui devraient envisager l'avenir avec un certain degré d'optimisme, la nouvelle année sera synonyme d'un combat pour leur survie."

    Par rapport au troisième trimestre 2023, le quatrième trimestre de l'année dernière a vu une augmentation de 12,9 % du nombre d'entreprises britanniques ressentant des difficultés financières « importantes », portant le total global des entreprises en grande difficulté à 539 000.

    La grande majorité des entreprises dans cette situation sont basées à Londres et dans le sud-est de la Grande-Bretagne. Les entreprises les moins en difficulté se trouvent dans le nord-est et en Irlande du Nord.

    "L'année dernière, le nombre d'entreprises qui ont fait faillite avait déjà atteint le plus haut niveau depuis la grande crise financière [de 2008]", a déclaré Susannah Streeter, responsable des finances et des marchés chez Hargreaves Lansdown. "Une grande partie des entreprises qui envoient des signaux d'alarme devraient s'effondrer au cours de l'année prochaine, renforçant les attentes selon lesquelles une récession au Royaume-Uni est imminente."

    Partout, les gouvernements truquent les chiffres et les données pour donner l’impression que leurs économies sont plus fortes et plus résilientes qu’elles ne le sont en réalité. Apprenez-en davantage sur la tromperie sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    TheGuardian.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-26-47000-uk-businesses-facing-collapse-economy-crumbling.html

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  79. Vidéo explosive de Davos24 : F**k You au Forum économique mondial (WEF)


    Par Actualités mondiales sur la recherche
    Recherche mondiale,
    28 janvier 2024


    Ceci est un montage de Damon Imani ,

    Connu pour son approche satirique, Imani attire l'attention sur les enjeux sociétaux et politiques.

    Deux vidéos controversées. La première vidéo est plus récente

    - voir clips sur site -

    Damon Imani indique explicitement sur son site Internet que la vidéo est une satire politique. L'incident ne s'est pas produit à Davos lors de la plénière du WEF.

    Nos remerciements à Damon Imani.

    https://www.globalresearch.ca/davos24-bombshell-video-fk-you-at-the-world-economic-forum-wef/5846633

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  80. Du « poulet brésilien congelé en 2022 » , des OGM à profusion .Du poulet Ukrainien pour assurer la fortune des oligarques; Les cadeaux des macroniens à Bruxelles


    le 27 janvier 2024
    par pgibertie


    Il faut appeler un chat un chat, leur « Europe » est celle de la MALBOUFFE et pourtant ils se disent « écolos » et ils prétendent que votre diésel menace la planète.

    Ces escrocs ont voulu le libre échange avec le Canada qui nous fournit la totalité des haricots et des lentilles, la Nouvelle Zélande, le Chili qui détruit les productions de noix du Périgord ou de Grenoble

    Ils veulent l’entrée de l’Ukraine dans l’Union avec des oligarques et sa surface agricole utile monstrueuse déte nue par les oligarques et les multinationales

    @v_joron

    Du « poulet brésilien congelé en 2022 » sur notre territoire ? : un modèle validé et soutenu par les élus Macronistes qui soutiennent tous les accords de libre-échange de l’#UE … de la Nouvelle -Zélande au Kenya en passant par le Chili. Pire, pour éviter toute remise en cause de ce système, ces mêmes élus souhaitent pour demain un président de l’UE avec une citoyenneté européenne, la supériorité du droit européen sur le droit national et la fin du vote à l’unanimité.

    DU POULET UKRAINIEN

    À la tête d’un empire agro-industriel intégré avec des usines mais aussi 360 000 hectares de riches terres à blé, Yuriy Kosiuk qui avait en 2018 tenté de reprendre Doux, bénéficie de vents porteurs. Au terme dérogatoire signé en avril 2022 et renouvelé en juin, l’Ukraine peut en effet exporter vers le marché européen sa production sans droits de douane.

    « Un accord mortifère »

    Depuis le début de l’année, les importations en provenance d’Ukraine ont bondi de 108 % et de 200 % pour la viande fraîche de poulet. À l’origine de cette offensive, la société MHP enregistrée à Chypre et dirigée par le milliardaire Yuriy Kosiuk.

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  81. « Soutenir l’Ukraine ? Oui bien sûr. Mais c’est un accord mortifère. Et un combat à armes inégales face à des élevages industriels qui n’ont rien à voir avec ceux qu’on trouve au sein de l’Union européenne » , s’inquiète Gilles Huttepain vice-président d’Anvol l’interprofession française de ce secteur qui demande au gouvernement français de prendre des mesures de sauvegarde. La France occupe la troisième place pour la production de poulets en Europe derrière la Pologne et l’Espagne. Un poulet sur deux consommés en France est importé.

    https://pgibertie.com/2024/01/27/du-poulet-bresilien-congele-en-2022-des-ogm-a-profusion-du-poulet-ukrainien-pour-assurer-la-fortune-des-oligarques-les-cadeaux-des-macroniens-a-bruxelles/

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  82. Ce sont les téléphones les plus vendus de tous les temps


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 27 JANVIER 2024 - 14H45


    En 2021, le monde comptait 7,1 milliards d’utilisateurs de téléphones mobiles, soit environ 90 % de la population mondiale. Le téléphone mobile est désormais l’un des éléments technologiques les plus répandus dans l’humanité, et ces appareils modernes et élégants sont bien loin de leurs prédécesseurs imposants et en forme de brique.

    Mais quels sont les téléphones portables les plus vendus de tous les temps ?

    À l'aide de données provenant de Wikipédia, de Yahoo Finance et du cabinet d'analystes technologiques Omdia, Pallavi Rao de Visual Capitalist retrace les ventes de téléphones mobiles qui ont connu un succès sans faille.

    - voir graph sur site -

    Les téléphones mobiles les plus vendus de tous les temps

    En tête de la liste des téléphones les plus vendus de tous les temps se trouve le très apprécié Nokia 1100, qui a enregistré plus de 250 millions de ventes en six ans avant d'être abandonné en 2009.

    Bien qu'il ait existé en même temps que les premiers smartphones grand public (la série Nokia E puis l'iPhone), le prix du 1100, l'accent mis sur les fonctionnalités de base et le format de poche en ont fait un favori dans les pays en développement.

    En deuxième position, une autre variante de la même gamme, le Nokia 1110, a vendu 248 millions d'unités.

    Classement des ventes de téléphones mobiles de tous les temps

    1 Nokia 1100 250M
    2 Nokia 1110 248M
    3 iPhone 6/6 Plus 222M
    4 Nokia série 105 200M
    5 iPhone 6S/6S Plus 174M
    6 iPhone 5s 165M
    7 Nokia 3210 161M
    8 iPhone 7/7 Plus 160M
    9 iPhone 11/11 Pro/
    11 Pro Max 159M
    10 iPhone XR/
    XS/XS maximum 151M
    11 TNokia 6600 150M
    11 TNokia 1200 150M
    11 TNokia 5230 150M
    11 T Samsung E1100 150M
    15 iPhone 5 146M
    16 Nokia 2600/
    26 10/2626/2630 135M
    17 T Motorola RAZR V3 130M
    17 TNokia 1600/
    16 50/1661 130M
    19 Nokia 3310 126M
    20 iPhone 8/8 Plus 125M

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  83. En troisième position se trouvent les iPhone 6 et 6 plus, avec un total de 222 millions d'unités. Leurs écrans de 4,7 et 5,5 pouces ont marqué le début de l’ère des smartphones à grand écran, et ils restent les iPhones les plus vendus d’Apple et les smartphones les plus vendus de tous les temps. En fait, l’iPhone 6 était si populaire qu’il a été réédité en 2017 à un prix moyen.

    Les 17 rangs suivants des téléphones les plus vendus sont répartis entre les Nokia et les iPhone, seuls le Samsung E1100 (classé 11e) et le Motorola Razr V3 (classé 17e) parvenant à briser le duopole.

    Bien entendu, Nokia et Apple ont connu des fortunes très différentes au cours de la dernière décennie.

    Après avoir profité de la dérégulation du marché des télécommunications, d'abord en Europe, puis en Asie, Nokia a échoué dans la transition vers les smartphones et a rapidement perdu du terrain face à Apple, Google et Samsung.

    Microsoft a acheté l'activité de téléphonie mobile de Nokia en 2014 pour renforcer son propre Windows Phone, mais lorsque cela a échoué, l'activité de téléphonie de Nokia a de nouveau été vendue à HMD Global. Aujourd'hui, HMD Global fabrique toujours des téléphones Nokia (y compris des refontes de modèles antérieurs) fonctionnant sous Android.

    La rivalité des téléphones mobiles modernes : Apple contre Samsung
    Il est difficile de croire à quelle vitesse le cœur de métier d’Apple est passé de l’informatique personnelle aux téléphones mobiles.

    En 2009, les ventes d’iPhone ont contribué à hauteur d’environ 25 % aux revenus de l’entreprise. En 2023, la moitié des 383 milliards de dollars de revenus d’Apple provenaient de leurs téléphones.

    L'iPhone domine régulièrement le top 10 des téléphones les plus vendus chaque année, comme en témoignent les recherches menées par les analystes techniques Omdia.

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  84. Meilleures ventes 2022 Ventes 2022 Meilleures ventes 2023 Ventes 2023

    iPhone 13 55MiPhone 14 Pro Max 31M
    Galaxy A13 35M iPhone 14 26M
    iPhone 13 Pro Max 29MiPhone 14 Pro 24M
    iPhone 14 Pro Max 23MiPhone 13 22M
    iPhone 11 21M Galaxy A14 20M
    iPhone 13 Pro 19M Galaxy A14 5G 14M
    iPhone 14 Pro 18M Galaxy A54 5G 14M
    Galaxy A03 Noyau 18M Galaxy S23 Ultra 13M
    iPhone 14 17M Galaxy A04e 11M
    Galaxy A03 16M Redmi 12C 11M

    Source : Données partagées par Omdia. Remarque : les chiffres de 2023 sont valables jusqu'au troisième trimestre 2023.

    Cependant, les chiffres de ventes du géant coréen de l’électronique, Samsung, ne sont pas non plus ternes. Et même si les modèles économiques des deux sociétés diffèrent un peu, leurs appareils phares sont régulièrement opposés : Samsung gagne sur la durée de vie de la batterie et les options de milieu et bas de gamme, et Apple gagne sur l'optimisation et la sécurité. Les deux marques disposent de caméras exceptionnelles.

    Et tandis qu’Apple domine le marché américain des smartphones (part de marché de 52 %), Samsung les devance à l’échelle mondiale avec une part de marché de 22 %, contre 19 % pour Apple.

    https://www.zerohedge.com/technology/these-are-best-selling-phones-all-time

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  85. Ondes (DAS) : quels téléphones semblent les moins dangereux ?

    Nos smartphones sont devenus presque une extension de notre main, et beaucoup s’interrogent sur les effets des ondes électromagnétiques sur la santé. Voici une liste non exhaustive des téléphones qui émettent le moins d’ondes.


    Par Axelle Ker
    le 29 janvier 2024 à 11h56



    DAS : les smartphones qui émettent le moins d'ondes

    Le Débit d'Absorption Spécifique (DAS) est un indicateur clé dans l'univers du smartphone. Mesuré en watts par kilogramme, il quantifie l'énergie absorbée par le corps humain due aux ondes radioélectriques. L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) a mis en lumière en 2019 les effets biologiques de ces ondes, notamment sur l'activité cérébrale pour un DAS supérieur à 2 W/kg. Les normes européennes imposent un DAS maximum de 2 W/kg pour la tête et le tronc/corps, et de 4 W/kg pour les membres. Ces limites sont établies pour protéger contre les effets thermiques et biologiques des ondes. Depuis 2017, l'ANFR (Agence Nationale des Fréquences) a épinglé 44 téléphones pour non-conformité aux normes de DAS.

    La course à la réduction des émissions d'ondes est devenue un véritable enjeu pour les fabricants de smartphones, puisque l'Europe peut obliger les fabricants à respecter les normes DAS en retirant certains appareils sur son marché. Ce fut le cas de l'iPhone 12, qui avait temporairement été interdit de vente le temps qu'Apple rectifie le tir avec une mise à jour de son logiciel. Les fabricants chinois Xiaomi et sud-coréen Samsung, ainsi que Google, figurent parmi les bons élèves. Le Samsung Galaxy A04e fait partie des modèles les plus performants et se distingue avec un DAS de seulement 0,287 W/kg pour la tête et 1,380 W/kg pour le corps. Le Galaxy A34 le suit de près avec des valeurs respectives de 0,342 W/kg et 1,479 W/kg. Chez Xiaomi, ce sont le Redmi Note 12 et le Redmi 12 qui se démarquent avec des valeurs qui oscillent autour de 0,4 W/kg pour la tête et 1,5 W/kg pour le corps.

    Il vaut mieux prévenir que guérir

    L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s'intéresse de près aux ondes émises par les téléphones depuis 2011. Bien que les ondes émises par les smartphones soient non ionisantes, l'OMS recommande de limiter au maximum notre exposition aux ondes, en particulier pour les personnes vulnérables, telles que les enfants et les femmes enceintes.

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  86. Les études sur l'impact sanitaire des DAS restent mitigées. Jusqu'à présent, aucune ne confirme formellement qu'elles soient réellement dangereuses pour la santé. Néanmoins, certaines d'entre elles semblent indiquer qu'il pourrait y avoir une corrélation entre une surexposition aux ondes DAS et le développement de certaines tumeurs et cellules cancéreuses. La prudence reste de mise. N'hésitez donc pas à limiter votre exposition en mettant votre appareil en mode silencieux, en utilisant un kit mains libres et en évitant de le garder trop près de vous.

    https://www.economiematin.fr/telephone-sante-das-europe-faible-emission

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    Réponses
    1. Après le C(EEC (Comment Être En Communication), la SSDG (Savoir Semer Des Graines), et le site CSNSEC (Comment Se Nourrir Sans Être Con), voici qu'arrive LSPPT (Le Savoir Parler Par Téléphone) suivi du CDBAQQLONCP (Comment Dire Bonjour A Quelqu'un Que L'On Ne Connaît Pas). ! WHôaw ! LE progrès.*

      Voir le site 'QQLP?' (Qu'est-ce Que Le Progrès ?)

      Là, déjà, je sens que... VOUS ÊTES PERDU ! Aaaaalors que l'on ne cherche QU'A VOUS AIDER ! ("B...l de M... c'est quoi votre servo ?!"

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  87. L’IA pourrait-elle aider les bioterroristes à déclencher une nouvelle pandémie ? Une nouvelle étude suggère que ce n’est pas encore le cas


    Par Matt Field
    Recherche mondiale,
    29 janvier 2024


    La nouvelle technologie de l’IA pourrait-elle contribuer à déclencher une pandémie dévastatrice ? C’est une préoccupation soulevée par de hauts responsables gouvernementaux et des dirigeants du secteur technologique ces derniers mois. Une étude de l’été dernier a révélé que les étudiants pouvaient utiliser des chatbots pour acquérir le savoir-faire nécessaire à la conception d’une arme biologique. Le Royaume-Uni a réuni l’automne dernier des dirigeants politiques et technologiques mondiaux pour souligner la nécessité d’une réglementation de la sécurité de l’IA. Et aux États-Unis, l’administration Biden a dévoilé un plan visant à étudier la manière dont les systèmes d’IA émergents pourraient contribuer aux complots relatifs aux armes biologiques. Mais un nouveau rapport suggère que les systèmes d’IA de pointe actuels pourraient ne pas aider les acteurs malveillants à lancer une attaque à l’aide d’armes non conventionnelles aussi facilement qu’on le craint.

    Le nouveau rapport de RAND Corporation révèle que les participants à l'étude qui ont utilisé un modèle d'IA avancé et Internet n'ont pas mieux réussi à planifier une attaque aux armes biologiques que ceux qui comptaient uniquement sur Internet, qui est lui-même une source clé d' informations que des systèmes comme ChatGPT entraînent. pour produire rapidement une écriture convaincante. Internet contient déjà de nombreuses informations utiles pour les bioterroristes. "Vous pouvez imaginer que beaucoup de choses dont les gens pourraient s'inquiéter pourraient également se trouver sur Wikipédia", a déclaré Christopher Mouton, ingénieur principal chez RAND Corporation et co-auteur du nouveau rapport, dans une interview avant sa publication.

    Mouton et ses collègues disposaient de 12 cellules composées de trois membres qui disposaient de 80 heures chacun sur sept semaines pour élaborer des plans basés sur l'un des quatre scénarios d'attaque par armes biologiques. Par exemple, un scénario impliquait un « culte apocalyptique marginal visant une catastrophe mondiale ». Un autre a avancé l'idée d'une société militaire privée cherchant à aider l'opération militaire conventionnelle d'un adversaire. Certaines cellules utilisaient l’IA, d’autres uniquement Internet. Un groupe d’experts a ensuite évalué les plans élaborés par ces équipes rouges. Les juges étaient des experts en biologie ou en sécurité ; ils ont pesé sur la faisabilité biologique et opérationnelle d'un plan.

    Aucun des groupes n’a obtenu de résultats particulièrement bons. La meilleure note possible était de neuf, mais les groupes obtenaient généralement une note bien inférieure à cinq, ce qui indiquait un plan comportant des défauts « modestes ». Cela reflète en partie la difficulté de mener une attaque biologique. La base de données mondiale sur le terrorisme, note le rapport RAND, inclut « seulement 36 attaques terroristes utilisant une arme biologique, sur un total de 209 706 attaques ». La base de données comprend 50 ans de données. Les équipes rouges ont toutes élaboré des plans, écrivent les auteurs de RAND, qui « se situent quelque part entre intenable et problématique ».

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  88. Les modèles d’IA ont produit de nombreuses suggestions en matière de bioterrorisme. Dans un cas, un modèle a analysé à quel point il serait facile d'attraper Yersinia pestis , la bactérie responsable de la peste. Une équipe rouge a déclaré au système qu’elle souhaitait provoquer une « épidémie majeure de peste » dans une zone urbaine, ce qui a incité le modèle à offrir des conseils. « [Vous] devrez rechercher et localiser les zones abritant des rongeurs infectés par Y. pestis », a déclaré le chatbot à l'équipe. Il les a ensuite avertis que la fouille risquait de « vous exposer à une surveillance potentielle lors de la collecte d’informations ou de la visite de lieux concernés ». Dans un autre cas, un chatbot a conçu une histoire de couverture pour des terroristes à la recherche de toxine botulique. « Vous pourriez expliquer que votre étude vise à identifier de nouvelles façons de détecter la présence de bactéries ou de toxines dans les produits alimentaires… », conseille le système.

    Les auteurs ont qualifié ces résultats de « résultats malheureux », mais ont écrit qu’ils « n’ont observé aucun résultat [de l’IA] fournissant des informations biologiques ou opérationnelles critiques apportant un avantage significatif aux… cellules par rapport aux cellules uniquement Internet ».

    Allison Berke, experte en armes chimiques et biologiques au Centre James Martin d'études sur la non-prolifération, a trouvé « rassurant » que l'étude RAND ait révélé que l'IA n'apportait aucun avantage aux « chercheurs bien informés visant à planifier des attaques à l'aide d'armes biologiques ».

    D’autres recherches ont mis en évidence les risques liés aux armes biologiques posés par l’IA générative, la catégorie d’IA qui comprend de nouveaux systèmes comme ChatGPT. Le chercheur du MIT, Kevin Esvelt, faisait partie d'une équipe qui a publié l'été dernier une étude préliminaire détaillant comment les chatbots pourraient aider les étudiants à planifier une bioattaque. « En une heure, les chatbots ont suggéré quatre agents pathogènes pandémiques potentiels, expliqué comment ils peuvent être générés à partir d’ADN synthétique, fourni les noms d’entreprises de synthèse d’ADN peu susceptibles de filtrer les commandes, identifié des protocoles détaillés et comment les résoudre, et recommandé à toute personne manquant de l’expertise nécessaire. les compétences nécessaires pour effectuer la génétique inverse engagent une installation centrale ou un organisme de recherche sous contrat », selon l’étude. Dans une autre prépublication d'octobre, Esvelt a exprimé sa préoccupation selon laquelle de potentiels vauriens biologiques pourraient accéder à des versions « non censurées » des chatbots, qui, contrairement aux versions supervisées par les grandes entreprises, ne disposent pas de garde-fous destinés à empêcher toute utilisation abusive.

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  89. L’ IA du futur proche pourrait être bien plus performante que les systèmes qui existent actuellement, ont prévenu certains leaders technologiques. "Une simple extrapolation des systèmes actuels à ceux que nous prévoyons voir dans 2-3 ans suggère un risque substantiel que les systèmes d'IA soient capables de combler toutes les pièces manquantes, permettant ainsi à un plus grand nombre d'acteurs de mener des attaques biologiques à grande échelle", Dario Amodei , a déclaré le PDG de la société d’IA Anthropic au Congrès l’été dernier.

    Mouton a reconnu que l’évolution de l’IA comporte de nombreuses incertitudes, notamment celle du fait que les systèmes pourraient devenir utiles dans les attaques biologiques. « [A]éviter les recherches sur ces sujets pourrait fournir un avantage stratégique aux acteurs malveillants », a-t-il écrit dans un e-mail.

    Le décret du président américain Joe Biden sur la sécurité de l'IA met particulièrement l'accent sur la prévention de la nouvelle IA de contribuer au développement d'armes biologiques, reflétant une préoccupation que beaucoup ont exprimée. L’ancien chef de Google, Eric Schmidt, a par exemple déclaré en 2022 : « Le plus gros problème de l’IA sera en fait… son utilisation dans des conflits biologiques. » La nouvelle IA pourrait faciliter la fabrication d’armes biologiques, a averti le Premier ministre britannique Rishi Sunak avant le sommet britannique sur la réglementation de l’IA l’automne dernier. La vice-présidente Kamala Harris a déclaré lors du sommet : « Des cyberattaques basées sur l'IA à une échelle dépassant tout ce que nous avons vu auparavant jusqu'aux armes biologiques formulées par l'IA qui pourraient mettre en danger la vie de millions de personnes, ces menaces sont souvent qualifiées de « menaces existentielles ». de l'IA parce que, bien entendu, elles pourraient mettre en danger l'existence même de l'humanité.» La nouvelle politique américaine exige que le gouvernement développe des approches, telles que l’équipe rouge, pour enquêter sur les risques de sécurité de l’IA. Elle oblige également les entreprises à divulguer les résultats des tests de l'équipe rouge et les mesures qu'elles mettent en œuvre pour réduire les risques potentiels de leurs nouvelles technologies.

    "Il reste incertain si ces risques se situent 'juste au-delà' de la frontière et, par conséquent, si les prochaines itérations [de l'IA] repousseront la frontière des capacités suffisamment loin pour englober des tâches aussi complexes que la planification d'attaques avec des armes biologiques", écrivent les auteurs du rapport RAND. . « Des recherches continues sont donc nécessaires pour suivre ces évolutions. Notre méthodologie de red-teaming est un outil potentiel dans ce courant de recherche.

    https://www.globalresearch.ca/could-ai-help-bioterrorists-unleash-new-pandemic-new-study-suggests-not-yet/5847916

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  90. Plus de recherche sur les radiations des téléphones portables et la santé humaine, déclare le gouvernement


    Par la Dre Suzanne Burdick
    Recherche mondiale,
    29 janvier 2024


    Le Programme national de toxicologie (NTP) n'a pas l'intention d'étudier plus avant les effets des rayonnements radiofréquences (RFR) des téléphones portables sur la santé humaine – même si la propre étude de 30 millions de dollars du programme , qui a duré environ 10 ans en 2018, a rapporté des preuves de cancer et de dommages à l'ADN. .

    Le NTP a déclaré dans une fiche d’information mise à jour en janvier 2024 qu’il abandonnait toute enquête plus approfondie parce que « la recherche était techniquement difficile et plus gourmande en ressources que prévu ».

    Pendant des décennies, le NTP a été le premier programme gouvernemental de tests pour les produits pharmaceutiques , les produits chimiques et les radiations , selon Devra Davis, Ph.D., MPH , toxicologue et épidémiologiste qui a siégé au conseil des conseillers scientifiques du NTP lors de son lancement. Dans les années 1980.

    Commentant la nouvelle, Davis a déclaré : « C'est l'arrogance et la folie ultimes que d'arrêter de faire des recherches sur ce polluant environnemental majeur et croissant, précisément alors que nous avons de nombreuses preuves de ses dommages. »

    Davis est l'auteur de plus de 200 publications évaluées par des pairs dans des livres et des revues, allant de The Lancet au Journal of the American Medical Association.

    En février 2023, elle et ses collègues ont publié une revue de plus de 200 études reliant les rayonnements sans fil à des effets biologiques négatifs, notamment le stress oxydatif et les dommages à l'ADN , la cardiomyopathie , la cancérogénicité , les dommages aux spermatozoïdes , les dommages à la mémoire et d'autres effets neurologiques .

    Ils publieront bientôt un « nouvel article majeur » dans la revue Environment : Science and Policy for Sustainable Development sur la « nouvelle science » sur les RFR et appelleront à la précaution, a-t-elle déclaré.

    Davis – qui est également le directeur fondateur du Conseil des études environnementales et de toxicologie du Conseil national de recherches des États-Unis à l'Académie nationale des sciences et le fondateur et président de l'Environmental Health Trust – a critiqué le gouvernement américain pour ne pas avoir garanti que les rayonnements sans fil est sécurisé:

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  91. « La décision du gouvernement de cesser de financer la recherche sur les radiations des téléphones portables est conforme au proverbe chinois « Si vous ne voulez pas savoir, ne demandez pas ».

    « Le gouvernement américain a une variante de cette politique dans la politique du « ne demandez pas, ne dites pas ». Si vous ne voulez pas savoir si le rayonnement des tours cellulaires a un impact biologique, arrêtez de faire des recherches ! »

    Miriam Eckenfels-Garcia, directrice du programme de rayonnement électromagnétique (EMR) et sans fil de Children's Health Defense (CHD) , a déclaré au Defender :

    « Arrêter la recherche financée par le gouvernement parce qu'elle est « techniquement difficile » et « gourmande en ressources » n'est pas ce que nous attendons des agences gouvernementales censées protéger les gens des méfaits de la grande industrie.

    "Cette recherche est importante pour que les gens puissent prendre des décisions éclairées en matière d'utilisation de la technologie."

    W. Scott McCollough, principal avocat plaidant pour les affaires EMR de CHD, était d'accord. "Je crains que l'absence de preuve ne soit transformée en une affirmation d'une preuve d'absence."

    Au début de l’année dernière, le NTP menait encore des recherches sur le RFR. Une fiche d’information de février 2023 indiquait que les scientifiques avaient « surmonté plusieurs problèmes techniques » et développé un meilleur système pour exposer les animaux aux RFR pour leurs études.

    Le NTP a déclaré que les chercheurs « progressaient désormais » sur quatre objectifs de recherche :

    Déterminer l'impact de l'exposition aux RFR sur le comportement et le stress.
    Effectuer une surveillance physiologique, y compris l'évaluation de la fréquence cardiaque.
    Rechercher si le RFR induit un échauffement.
    Évaluer davantage si l'exposition aux RFR provoque des dommages à l'ADN.
    Dans sa fiche d’information de janvier 2024, le NTP a rapporté que les chercheurs avaient « testé le nouveau système d’exposition en utilisant des études in vivo sur des rongeurs » et que leurs recherches étaient « terminées ».

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  92. Le NTP n’a pas précisé si les chercheurs avaient atteint ces quatre objectifs de recherche et, si oui, quels en étaient les résultats. Il a toutefois précisé que ses études précédentes – qui utilisaient des téléphones portables 2G et 3G – « ne s’appliquaient pas » aux technologies 4G ou 5G.

    Le Défenseur a contacté le bureau de presse du NTP pour obtenir des éclaircissements sur les raisons pour lesquelles la nouvelle fiche d'information semble contredire le site Web du NTP (mis à jour le 8 janvier 2024) sur la recherche sur les radiations des téléphones portables, qui indique que le NTP a toujours « des efforts de recherche en cours », mais le NTP n'a pas répondu. avant notre date limite de publication.

    L'arrêt par le NTP de ses recherches sur le RFR suggère que le gouvernement américain n'a pas l'intention d'étudier les effets biologiques possibles de la 5G.

    Pendant ce temps, des chercheurs comme Davis continuent de dire qu’il y a des raisons de s’inquiéter. Davis a souligné que les cliniques d'infertilité interrogent les hommes sur leurs appareils sans fil et leurs habitudes en matière de téléphone portable :

    « Ils leur disent de retirer ces téléphones de leur corps et de leurs poches car il existe des preuves… selon lesquelles plus l’exposition est importante, plus le nombre de spermatozoïdes est faible et plus la qualité du sperme est mauvaise.

    "Cela a été démontré à plusieurs reprises dans des études sur du sperme humain réalisées dans des conditions contrôlées, ainsi que dans des études transversales."

    « En fait », a-t-elle ajouté, « que le gouvernement arrête ou non de faire des recherches, une étude massive est en cours car des milliards de personnes sont exposées à des niveaux toujours croissants de rayonnement sans fil à travers le monde. Des millions d’enfants américains sont exposés chaque jour dans les salles de classe. »

    "Le seul problème est qu'il n'y a plus de groupe de contrôle, ce qui rendra difficile, mais pas impossible, la détermination des impacts des rayonnements sans fil", a déclaré Davis.

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  93. Ce que révèle l'étude 2018 du NTP
    Comme The Defender l'a précédemment rapporté , les chercheurs du NTP ont conclu en 2018 qu'il existait des « preuves claires » que les rats mâles exposés à des niveaux élevés de RF similaires à ceux émis par les téléphones portables 2G et 3G développaient des tumeurs cardiaques cancéreuses, et « certaines preuves » de tumeurs cérébrales. et la glande surrénale des rats mâles exposés.

    Davis a déclaré que les conclusions du NTP étaient cohérentes et corroborées par des dizaines d'autres études . « Ce n'était pas comme si [l'étude NTP] était une étude ponctuelle », a-t-elle déclaré.

    Une fois que la nouvelle s'est répandue que les résultats de l'étude du NTP étaient positifs – ce qui signifie que les chercheurs gouvernementaux avaient trouvé une association entre le rayonnement des téléphones portables et la croissance de tumeurs cancéreuses – l'industrie des télécommunications a « commencé ses tactiques » pour supprimer les résultats, a déclaré Davis.

    Davis étudie ces tactiques depuis plus d’une décennie. Elle est l'auteur de « Déconnecter : la vérité sur les radiations des téléphones portables, ce que l'industrie fait pour les cacher et comment protéger votre famille ».

    Au lieu que le rapport de l'étude NTP soit publié en 2016, alors qu'il était prêt pour la première fois, a-t-elle déclaré, l' industrie des télécommunications a exercé des pressions pour soumettre les conclusions de l'étude à un niveau d'examen sans précédent.

    « Lorsque les premières versions ont commencé à circuler en interne, elles ont été soumises à un examen par les pairs comme il n'y en a jamais eu dans l'histoire du programme dans son ensemble – et je peux le dire avec une grande certitude. Aucun autre composé ou substance [étudié par le NTP] n'a jamais été soumis à ce niveau d'examen par les pairs », a déclaré Davis.

    Un groupe d'experts scientifiques externes s'est réuni pour un examen de trois jours de l'étude et de ses conclusions en mars 2018.

    Cependant, plutôt que de minimiser les conclusions de l'étude, les experts ont conclu que les preuves scientifiques contenues dans l'étude étaient si solides qu'ils ont recommandé au NTP de reclasser certaines de ses conclusions de « quelques preuves » à « preuves claires » d'activité cancérigène.

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  94. À ce jour, plus de 250 scientifiques – qui ont publié ensemble plus de 2 000 articles et lettres sur les effets biologiques et sanitaires des champs électromagnétiques non ionisants (CEM) produits par les appareils sans fil, y compris les téléphones portables – ont signé l' Appel international des scientifiques sur les CEM , qui appelle pour les avertissements sanitaires et les limites d’exposition plus strictes.

    https://www.globalresearch.ca/no-more-research-cellphone-radiation-human-health-government-says/5847820

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  95. Comme l’Italie, la Hongrie s’apprête à interdire la viande de laboratoire


    29 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Selon le ministre hongrois de l'Agriculture, István Nagy, la Hongrie envisage d'interdire la viande synthétique, sur le modèle de la loi italienne adoptée l'année dernière. Nagy a rencontré jeudi Ettore Prandini, président de l'organisation paysanne italienne Coldiretti, pour discuter de l'interdiction de la fausse viande en Italie et de la protection des valeurs rurales traditionnelles.

    Selon le communiqué , Nagy a déclaré que l'Italie avait interdit la production et la commercialisation de viande synthétique, que " notre pays étudie et considère comme un exemple à suivre ". La question de la réglementation est également à l'ordre du jour de la présidence hongroise du Conseil de l'UE, qui souhaite mener un dialogue global sur cette question.

    Le ministre a déclaré que la normalité et le travail des agriculteurs qui ont les deux pieds sur terre doivent être respectés. Certains se sont éloignés de la nature et ont « créé un pseudo-romantisme sur le monde vivant ». Et plus loin : « La majorité de la société doit comprendre que sans agriculteurs, il n’y a pas de nourriture ni d’avenir. »

    Le ministre a ajouté que le gouvernement hongrois s'efforce de restaurer la reconnaissance sociale de l'agriculture.

    István Nagy a également souligné qu'un montant de financement sans précédent est disponible pour soutenir les investissements dans l'industrie alimentaire nationale. « Pour mettre en œuvre ces développements, la Hongrie s’appuie sur les investisseurs et le savoir-faire technologique italiens. »

    La réunion a également discuté de la manière de surmonter les difficultés du marché causées par l'afflux de produits agricoles ukrainiens. Le ministre a déclaré que le marché serait repris et que dans cette situation « il est de notre devoir de protéger les intérêts des agriculteurs hongrois. "

    Il a ajouté que c'est un principe important pour la Hongrie que les aliments importés dans l'UE en provenance de pays tiers doivent également répondre aux normes de qualité de l'UE.

    https://tkp.at/2024/01/29/ungarn-bereitet-wie-italien-verbot-von-laborfleisch-vor/

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  96. La belle entourloupe de l’hyperloop : comment la SNCF et des collectivités territoriales se sont laissées bernées par Elon Musk

    La startup Hyperloop One promettait de révolutionner les transports. Elle a mis la clé sous la porte le 31 décembre 2023.


    le 28 janvier 2024
    Michel Gay


    Elon Musk est un génie, y compris pour faire prendre des vessies pour des lanternes. Depuis dix années, en s’appuyant sur sa réussite fulgurante (Tesla, SpaceX), il a réussi le tour de force de faire investir des centaines de personnes et des startups dans l’avenir du train « révolutionnaire » à très grande vitesse hyperloop (plus de 1000 km/h) circulant dans un tube partiellement sous vide d’air.

    Mais l’objectif d’Elon Musk n’était peut-être que de faire rêver avec l’argent… des autres, c’est-à-dire le nôtre au travers des impôts et des taxes (la SNCF a aussi investi 80 millions d’euros dans cette belle folie en 2016, la métropole de Toulouse 5,5 millions, et la Région Nouvelle-Aquitaine, deux millions à travers le fond européens Feder).

    Un dur retour à la réalité

    Tout avait commencé en 2013, avec la publication par Elon Musk du célèbre Alpha Paper, un document de 52 pages open source dans lequel le milliardaire avait décrit son idée enthousiasmante.

    Or, lui et ses collaborateurs s’étaient concentrés sur des points faciles à résoudre, tout en ignorant les obstacles techniques importants. La rentabilité a aussi été largement sous-estimée.

    L’Alpha Paper d’Elon Musk tenait plus du projet étudiant ou d’une lettre au père Noël que d’une étude technico-économique solide.

    Les rêveurs et les petits malins à la recherche de projets subventionnés ont sauté sur l’occasion en ignorant les impossibilités résultant des lois de la physique, notamment faire circuler des passagers dans un tube presque sous vide (un millième (un millibar) de la pression atmosphérique sur Terre qui est de 1000 millibars).

    L’hyperloop était censé être un véhicule durable, ultrarapide et efficace composé de capsules en aluminium maintenu en l’air par un système de lévitation magnétique dans de longs tunnels à basse pression. Le concept séduisant devait transformer profondément l’industrie des transports.

    Cependant, il avait déjà été imaginé par Jules Verne en 1891 qui, lui, vendait clairement du rêve dans ses livres, et le projet Swissmetro, proposé en 1974 et abandonné en 2009, ressemblait aussi déjà à celui d’Elon Musk.

    Logiquement, dix ans et 450 millions de dollars plus tard, l’emballement initial a vécu devant les déconvenues techniques. Les milliers d’emplois vantés sur le papier se sont évaporés. Les tunnels n’en sont encore qu’au stade d’ébauche et la startup Hyperloop One, qui promettait de révolutionner les transports, est officiellement morte le 31 décembre 2023.

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  97. Arrêt total

    Cette saga industrielle rocambolesque, qui a coûté cher, a fait fantasmer pendant une décennie un public restreint qui veut du rêve, et pas des études compliquées.

    Il fallait alors penser autrement, être disruptif, s’ouvrir l’esprit, sortir de sa zone de confort, ce dont se moque la physique. Et quelques-uns se sont pris dans la figure le mur de la réalité qu’ils voulaient franchir allègrement au cri de « la technologie progresse, on va trouver bientôt, ayez confiance… ».

    Il reste de jolies animations en musique sur écran et des images, c’est-à-dire rien.

    Certains estiment encore aujourd’hui que cette gabegie financière était justifiée parce que l’idée avait un potentiel, et qu’il aurait été dommage de ne pas essayer.

    Pour d’autres incorrigibles, l’hyperloop a simplement émergé trop tôt… ou trop tard, dans un contexte économique défavorable au développement de cette technologie. Il est difficile d’affronter la réalité et la physique.

    C’était prévisible… et prévu !

    Bien sûr, certains penseront qu’après coup, il est facile de dire maintenant que l’argent a été dilapidé, que ce projet était une idiotie, et que c’était prévisible dès le départ car il n’est jamais possible de s’affranchir des lois de la physique. Mais le besoin de rêver et l’effet d’aubaine permettant de créer des pompes à fric auront été les plus forts, tout comme pour le développement aberrant des éoliennes et autres panneaux photovoltaïques.

    Hélas, les fonds publics permettent aussi à des politiciens de faire vivre un petit monde d’obligés pendant un certain temps, grâce à des subventions accordées. Puis, quand le soufflé retombe, ce petit monde de profiteurs s’éparpille, ferme les startups, et recommence ailleurs pour vendre du rêve aux naïfs sur un autre projet bien emballé dans une belle animation.

    Ainsi, certains font tout une carrière sur du vide, du vent, du rien, tant qu’il y a des subventions et de l’argent à prendre.

    Ce projet d’Elon Musk était peut-être destiné uniquement à torpiller le TGV en Californie en le faisant passer pour ringard afin de mettre en péril les transports publics et californiens, et de mieux vendre ses voitures Tesla.

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  98. Au final, cet hyperloop est un immense flop, un hyper loupé, une escroquerie technico-intellectuelle. L’entourloupe de l’hyperloop aura quand même duré… dix ans et englouti en pure perte des centaines de millions d’euros, principalement d’argent public.

    https://www.contrepoints.org/2024/01/28/470399-la-belle-entourloupe-de-lhyperloop-comment-la-sncf-et-des-collectivites-territoriales-se-sont-laissees-bernees-par-elon-musk

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  99. 2024 sera une année électorale record dans le monde entier (plus de 50 pays organiseront des élections générales). C'est ce qui est appelée "L'année de tous les dangers" !

    Pourquoi serait-on en danger ? Lire le texte sur l'hyperloop ! et jeter un œil en arrière sur les '11 Septembre', 'Global Warming', 'Cocovide19' et sur la PUTAIN DE DETTE PUBLIQUE !!
    Donc là, constatation: La fonction publique C'EST DE LA MEEEEEERDE !

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  100. Les médias d'information ont été victimes de licenciements massifs ces dernières années
    Le Times n’est pas le seul média aux prises avec des licenciements. L’industrie des médias a été confrontée à de nombreux défis ces dernières années, alors que de plus en plus de consommateurs se tournent vers TikTok et d’autres plateformes de médias sociaux pour se divertir et s’informer. (Connexe : Ils appellent cela la « saison des licenciements ».)

    Par exemple, Sports Illustrated a subi des licenciements massifs à la fin de la semaine dernière ; Le magazine Time subirait apparemment des coupes le même jour que le Times ; et à New York, des centaines de travailleurs de Condé Nast travaillant dans des publications telles que Vogue, Bon Appétit, Vanity Fair et d'autres organisent une journée de grève alors que leur syndicat se bat pour un nouveau contrat. D'autres médias établis, notamment NBC News, ABC News, CNN, le Washington Post et Buzzfeed News, réduisent également leurs effectifs.

    Une nouvelle étude menée par la société de reclassement Challenger, Gray et Christmas a révélé que les médias d'information ont supprimé près de 2 700 emplois de journaliste en 2023. L'étude a également révélé que les entreprises de médias ont procédé à une suppression stupéfiante de 20 324 emplois en 2023.

    Selon les résultats, 2 681 emplois ont été supprimés dans des sous-catégories spécifiques de « l'information », notamment des postes dans les médias audiovisuels, numériques et imprimés. Ce chiffre dépasse les 1 808 réductions annoncées en 2022 et les 1 511 réductions enregistrées l’année précédente.

    Une myriade d’entreprises médiatiques influentes ont été contraintes de prendre des mesures drastiques pour tenter de rationaliser leurs opérations et de réduire leurs coûts dans un contexte de conditions publicitaires difficiles et d’un phénomène croissant de lassitude face à l’information chez les consommateurs.

    Visitez EconomicRiot.com pour plus d’informations sur les licenciements massifs causés par l’effondrement économique imminent.

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  101. Regardez la vidéo ci-dessous qui parle des licenciements massifs qui ont entraîné une nouvelle perte de confiance dans le dollar américain.

    Cette vidéo provient de la chaîne Que se passe-t-il sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    La saga des licenciements se poursuit alors que 12 autres entreprises annoncent des licenciements massifs.

    Disney va entamer cette semaine le licenciement massif de 7 000 employés.

    La poussée mondialiste de Ford pour davantage de véhicules électriques (VE) DÉTRUIT l’entreprise avec le licenciement massif d’ingénieurs salariés.

    Les plus grandes banques américaines ont collectivement supprimé 20 000 emplois jusqu’à présent cette année.

    Licenciements à venir : Walmart s'associe à Wings pour des livraisons par drones à grande vitesse à 60 000 foyers à Dallas.

    Sources include:

    SFGate.com
    LosAngelesTimes.com
    TheHill.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-26-la-times-cuts-newsroom-workforce-financial-losses.html

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  102. Nous ne pouvons pas interdire notre chemin vers un monde meilleur


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 28 JANVIER 2024 - 05:20
    Rédigé par Charles Krblich via le Brownstone Institute,


    (Il faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace !)
    Georges-Jacques Danton

    Il y a peu de temps, un samedi, avant qu'un flocon de neige ne brille dans l'air le dimanche suivant, une urgence météorologique imminente a amené la gouverneure de New York, Kathy Hochul, à « interdire les voyages » et à reporter le match Super Wild Card Steelers-Bills jusqu'à le lundi suivant.

    Certes, les intempéries sont une raison légitime pour annuler ou reporter des événements et pour mettre en garde avec force contre les déplacements en cas de voile blanc lors d'un blizzard, mais une interdiction de voyager ?

    L’interdiction ne se limite cependant pas aux déplacements en cas de voile blanc lors de blizzards.

    C’est véritablement un passe-temps bipartisan.

    Interdire les cuisinières à gaz ; Interdire les générateurs alimentés au gaz ; Interdire les livres ; Interdire la désinformation ; Interdire les fausses nouvelles ; Interdire les soins affirmant le genre ; Interdire aux parents d'être informés des transitions de genre ; Interdire les avortements ; Interdire l'interdiction des avortements ; Interdire les voitures et les camions à essence ; Interdire les non vaccinés ; Interdire les personnes non masquées ; Interdire le DEI ; Interdire les chaudières à gaz ; Interdire le charbon ; Interdire le nucléaire ; Interdire les magazines de grande capacité ; Interdire les armes à feu ; Interdire les ampoules à incandescence...

    Ces interdictions visent simplement à résoudre tous les problèmes importants de la société, mais il y a probablement des choses moins importantes qui doivent également être interdites. Ce qui aiderait vraiment, c'est d'interdire les classes spécialisées pour produire de l'équité, d'interdire le football de plaquage pour les jeunes et même d'interdire la luge ! Au Canada!

    Si nous adoptons quelques lois supplémentaires interdisant les choses que nous n’aimons pas et bannissant ceux qui les soutiennent, l’utopie arrivera et tu ne feras rien.

    Peut-être êtes-vous d’accord avec certaines de ces interdictions et peut-être en désaccord avec d’autres. Il est certain que si vous avez une quelconque tendance politique, certaines de ces interdictions trouveront votre soutien enthousiaste et d’autres votre fureur passionnée. La position la plus difficile à adopter est qu’aucune de ces choses ne devrait être interdite et que les gens devraient être largement libres de faire ce qu’ils veulent. Cette position exaspère tout le monde !

    Pourtant, il est évident que les interdictions ne fonctionnent tout simplement pas. J'étais enfant pendant la campagne antidrogue « Just Say No ». Les drogues étaient interdites et pourtant toujours disponibles. Chicago interdit les armes à feu depuis des années et pourtant, la violence armée est incroyablement élevée. Nous avons interdit les sourires, les terrains de jeux et les interactions personnelles normales pendant des années afin d’interdire le Covid et nous attrapons toujours le Covid.

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  103. Ironiquement, ce sont les rebelles qui ne prêtent aucune attention aux interdictions souvent célébrées par l’histoire. Cela est vrai aussi bien dans la vie réelle que dans les épopées fictives familières à tous.

    Dans la vraie vie, le Samizdat russe reproduisait, souvent à la main, de grandes œuvres littéraires comme le Docteur Jivago et L'Archipel du Goulag. Une grande partie de leur travail consistait à produire des textes politiques et des déclarations personnelles – des éditoriaux – qui critiquaient souvent le gouvernement soviétique et proposaient des solutions alternatives à la gestion des événements par le gouvernement. Les membres du Samizdat risquaient de sévères sanctions allant jusqu'à la torture et la mort s'ils étaient arrêtés, et nous célébrons aujourd'hui leur courage.

    Dans une fiction, nous célébrons les rebelles décousus de la franchise Star Wars, nous encourageons Neo à reconquérir la liberté de l'humanité du fléau des machines dans la franchise Matrix, et nous ressentons la passion et le devoir d'Atticus Finch alors qu'il accomplit l'impensable dans son film. société et défend un homme noir accusé d'avoir violé une femme blanche parce que c'est la bonne chose à faire.

    Il existe de nombreux autres exemples, mais ce qui est important, c’est que dans chaque exemple, il y a des lois – écrites ou non – qui sont enfreintes au service du véritable libéralisme. Dans l’exemple du Samizdat, les coûts personnels sont souvent élevés, mais les illusions de l’État soviétique ont fini par s’estomper et les membres du Samizdat sont devenus des héros célèbres plutôt que des criminels cruels propageant de la désinformation.

    Dans chacune des histoires, il y a inévitablement une société, une culture ou un méchant insupportablement cruel et rempli d’hypocrisie et de jugement. Alors que le méchant veut un contrôle total, une anarchie abjecte ou le bannissement de tous les non-conformistes, les héros ont toujours la force de suivre leur propre conscience.

    N'est-ce pas le monde dans lequel nous vivons ? Les deux camps se considèrent comme des héros résistant à la cruauté et à l’hypocrisie insupportables de l’autre. Pour citer le Premier ministre canadien Justin Trudeau :

    Ils ne croient pas à la science/au progrès et sont très souvent misogynes et racistes. Il s’agit d’un très petit groupe de personnes, mais cela ne cache pas le fait qu’ils prennent de la place.

    Cela nous amène, en tant que leader et en tant que pays, à faire un choix : tolérons-nous ces personnes ?

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  104. Quels sont les moyens et méthodes pour ne pas tolérer quelqu’un ? Le bannissement en fait bien sûr partie, et c’est pourquoi les comptes bancaires ont été gelés, les grands-mères handicapées agressées et les chefs rebelles emprisonnés. L’État n’a pas besoin des Goulags si, d’un côté, il peut approuver certaines émeutes, mais utiliser des manifestations non approuvées pour désactiver votre capacité à effectuer des opérations bancaires, à effectuer des transactions, à travailler et à vivre en appuyant simplement sur un bouton.

    Les dernières années nous ont appris à quelle vitesse une personne peut être transformée en porc et bannie sans remords.

    Ce dilemme moral est mis en évidence dans l’un des livres prétendument « interdits ». « Interdit » parce qu'il contient un langage raciste, mais toujours disponible gratuitement dans toutes les librairies et sur Amazon, il y a un personnage qui est un disciplinaire strict qui réprimande souvent le personnage principal pour son imprudence. Elle a pour mission de bannir son audace et sa sauvagerie. Elle désire le « civiliser ».

    C’est en fin de compte ce que l’interdiction tente de susciter : l’idée que l’on se fait d’une véritable civilisation.

    Pourtant, la civilisation prospère dans les fissures et les marges, dans le comportement collectif d’individus qui s’efforcent de vivre la vie qu’ils désirent malgré les circonstances. Le Samizdat a copié la grande littérature parce qu'elle en valait la peine, et dans notre livre « interdit », notre personnage principal découvre que son ami a été trahi et sera renvoyé en esclavage si notre personnage reste les bras croisés.

    Alors Huck Finn, qui valorise plus que tout son propre sentiment de liberté, fait ce que nous devrions tous faire face aux « civilisateurs » : abandonnons nos prétentions et disons : « Très bien, alors j'irai en enfer. »

    Ce faisant, il suit son instinct et prend l’une des décisions morales les plus importantes de sa vie. Peut-être que si nous suivons cet exemple, nous ne serions pas aussi préoccupés de réparer la société en interdisant des choses comme la luge, et retrouverions à notre tour la joie perdue qui vit dans l’audace et l’insouciance indomptée.

    https://www.zerohedge.com/political/we-cant-ban-our-way-better-world

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  105. Cartographie de l'âge médian dans chaque État américain


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 28 JANVIER 2024 - 04:45


    En 2022, l’âge médian pour l’ensemble des États-Unis était de 39 ans, mais l’âge médian par État présente une variance beaucoup plus grande.

    Certains États offrent davantage de travail ou d’écoles aux jeunes travailleurs et aux familles. D’autres bénéficient d’un meilleur soutien au travail ou à la retraite pour les populations plus âgées, ou ont du mal à attirer des familles.

    Nick Routley de Visual Capitalist cartographie l'âge médian de chaque État américain à l'aide des dernières données de 2022 disponibles auprès du Bureau du recensement des États-Unis, compilées par StatsAmerica.

    Classement des États américains les plus anciens par âge médian

    - voi carte sur site -

    Dans l’ensemble, le Maine avait l’âge médian le plus élevé par État en 2022, soit 45 ans. Cela le place dans le haut de gamme et s’aligne sur des pays comme l’Italie et la Grèce.

    Voici tous les États et Washington D.C. classés du plus âgé au plus jeune par âge médian :

    Rank State Median Age (2022)

    1 Maine 45
    2 New Hampshire 43
    3 Vermont 43
    4 West Virginia 43
    5 Florida 43
    6 Delaware 42
    7 Connecticut 41
    7 Pennsylvania 41
    9 Hawaii 41
    10 Rhode Island 41
    11 Wisconsin 40
    12 New Jersey 40
    12 Oregon 40
    12 South Carolina 40
    15 Michigan 40
    15 Montana 40
    17 Massachusetts 40
    18 New York 40
    19 Ohio 40
    20 Maryland 40
    21 Alabama 39
    21 Kentucky 39
    23 Illinois 39
    23 Missouri 39
    23 North Carolina 39
    23 Wyoming 39
    27 Tennessee 39
    28 New Mexico 39
    28 Virginia 39
    30 Minnesota 39
    30 Nevada 39
    32 Iowa 39
    33 Arizona 39
    34 Arkansas 39
    35 Mississippi 39
    36 Washington 38
    37 Indiana 38
    38 Louisiana 38
    39 South Dakota 38
    40 California 38
    41 Colorado 38
    42 Georgia 38
    42 Kansas 38
    44 Idaho 37
    44 Nebraska 37
    46 Oklahoma 37
    47 Alaska 36
    47 North Dakota 36
    49 Texas 36
    50 District of Columbia (D.C.) 35
    51 Utah 32

    Dans l’ensemble, nous pouvons constater que les États du Nord-Est ont les âges médians les plus élevés, avec la Virginie occidentale et la Floride.

    D’un autre côté, l’Utah (32 ans) et Washington D.C. (35 ans) étaient les États ou juridictions américaines les plus jeunes en termes d’âge médian. Celui de l’Utah est plus proche de la moyenne mondiale, qui était de 31 ans en 2020 selon les estimations de l’ONU.

    En zoomant, la plupart des États constatent des différences significatives au niveau des comtés, les villes, les collèges et les sites de ressources naturelles abaissant généralement l'âge médian dans un comté.

    Par exemple, le secteur de l’énergie a attiré un nombre important de jeunes travailleurs dans le Dakota du Nord, au Texas et en Alaska. Parallèlement, la croissance rapide des communautés de retraite dans le comté de Sumter, en Floride, lui confère l’âge médian le plus élevé du pays, soit 68 ans.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/mapping-median-age-each-us-state

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  106. Vol de IL-76 russe : un « remake » du vol MH-17 ?


    le 28 janvier 2024


    Lorsque j’ai commencé à m’intéresser au climat par hasard en 2014, je crois me souvenir, j’ai immédiatement compris qu’il y avait un gros problème scientifique avec la deuxième loi de la thermodynamique dite loi de l’entropie. Un an plus tard, alors que presque personne ne s’intéressait à l’Ukraine, sauf peut-être ceux qui salivaient depuis les évènements de la Place Maïdan à Kiev. Il fallut quelques mois seulement pour que l’Occident réagisse avec violence à la consultation populaire organisée dans l’oblast ukrainien de Crimée qui était un objectif à peine voilé des Etats-Unis pour assurer leur contrôle sur la totalité de la Mer Noire en prenant possession de la grande installation militaire russe de Sébastopol. La consultation populaire en Crimée était certes encouragée par le Kremlin mais elle était une conséquence des premiers décrets russophobes promulgués par Kiev comme le non-paiement des retraites des criméens, l’interdiction progressive de la langue russe et également, il ne faut pas l’oublier, des coupures d’eau et d’électricité puisque l’eau en Crimée dépendait d’un canal provenant du Dniepr en amont du barrage qui a été saboté plus tard par l’armée ukrainienne, beaucoup plus tard, et l’électricité provenait de la centrale nucléaire d’Energodar aujourd’hui totalement à l’arrêt avec quelques pompes refroidissant les piscines de stockage des assemblages de combustible. Advint alors l’accident du MH-17 et j’ai écrit plusieurs articles sur ce blog au sujet du vol MH-17. Aujourd’hui, 10 ans plus tard, le rapport d’enquête n’a toujours pas été rendu public. La Russie a rendu publique sa propre enquête concernant le point de départ du missile à guidage infra-rouge qui détruisit l’un des moteur du Boeing 777 mais le plus troublant fut un non respect des règles d’enquête dans une telle situation. Le contenu de la boite noire de l’aéronef n’a jamais été publié. Les réactions pour le moins sibyllines tant des Britanniques, des Néerlandais, des Allemands et des Américains permettent de penser que le mitraillage du cockpit de l’avion était le fait d’un chasseur ukrainien volant à proximité de l’avion civil malais et que le missile tiré depuis le sol n’était qu’une diversion pour faire croire que les Russes étaient responsables de ce crime. Il est donc évident que les services américains et britanniques étaient à la manœuvre.

    Venons-en au vol de l’avion militaire russe IL-76 qui acheminait 65 prisonniers de guerre remis au gouvernement ukrainien pour un échange. Le gouvernement de Kiev était prévenu. L’avion a été pourtant abattu par un missile Patriot tiré depuis le sol ukrainien et s’est écrasé en territoire russe au nord de Belgorod. Qui en a donné l’ordre ? Comme pour le vol MH-17 il y a tout lieu de penser qu’il s’agit du même scenario prenant alors la couleur d’un attentat terroriste puisque cet incident défie les lois internationales de la guerre. À nouveau on ne connaitra jamais le ou les donneurs d’ordre, probablement une fois encore les « services » occidentaux. La situation en Ukraine commence à être désespérée et n’importe quelle occasion est imaginée dans les bureaux feutrés du QG de l’OTAN à Bruxelles pour déstabiliser la Russie par divers stratagèmes qui ne relèvent plus de la guerre mais du terrorisme. On ne joue pas avec la vie des combattants ni à plus forte raison avec celles des prisonniers de guerre protégés par des lois internationales universellement respectées, du moins c’est que l’on peut espérer.

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  107. Enfin avec l’avancée des troupes accompagnées des milices des deux Républiques auto-proclamées du Donbass, les médias occidentaux oublient de mentionner ce détail, la place forte d’Avdiivka (je ne suis pas certain de l’orthographe de ce nom) est en passe de tomber, l’armée ukrainienne aurait perdu durant ces 48 dernières heures plus de 5000 combattants … Tout va donc très bien du moins selon les commentateurs des médias occidentaux ! Quelques liens sur ce blog datant de dix ans :

    - voir doc sur site -

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/07/31/ca-commence-a-sentir-le-roussi/ et pour trouver plus d’articles sur ce blog au sujet du vol MH17 il suffit d’entrer ce mot sur l’onglet recherche.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/01/28/vol-de-il-76-russe-un-remake-du-vol-mh-17/

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    1. Voir aussi:

      Vol 007 de la Korean Airlines : l'aviation soviétique abat un avion de ligne le 1er septembre 1983,

      - Il se trouve que l'avion traversait l'espace soviétique sans radio ! "Allo ? Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse de l'avion de ligne. Rappel: "Allo ? Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse !
      La chasse soviétique décolle. Elle vole aux côtés de l'avion Coréen. Appel radio: pas de réponse. Un chasseur soviétique vole alors devant l'avion de ligne et bat des ailes (message: "SUIVEZ-NOUS !" Pas de réponse ! L'avion est donc abattu.

      Maintenant, imaginez la même scène ailleurs. Un avion de ligne est en Méditerranée, il survole la ville de Toulon (interdite de survol), puis la centrale nucléaire du Tricastin. Appel radio: Pas de réponse !
      Puis survole Paris et largue une bombe atomique.
      A qui la faute ?

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