- ENTREE de SECOURS -



dimanche 21 janvier 2024

HIGHWAY HITCHER - Williams Forsythe, James LeGros, Michael McKean, Nancy Allen

 

58 commentaires:

  1. Scuzzball Newsom creuse un trou beaucoup plus profond pour la Californie : des soins de santé gratuits pour les étrangers en situation irrégulière

    Le gouverneur dépasse ses attaques passées contre les citoyens légitimes de son État ; Le nouveau programme de Newsom inclut-il des « soins d’affirmation de genre » pour les clandestins ?


    JON RAPPOPORT
    18 JANVIER 2024
    Actualités ABC :


    La Californie accueillera la nouvelle année en devenant le premier État à proposer une assurance maladie à tous les immigrants sans papiers.

    À partir du 1er janvier, tous les immigrants sans papiers, quel que soit leur âge, seront éligibles à Medi-Cal, la version californienne du programme fédéral Medicaid destiné aux personnes à faibles revenus.

    L'expansion finale, qui entrera en vigueur le 1er janvier, rendra environ 700 000 résidents sans papiers âgés de 26 à 49 ans éligibles à une couverture complète, selon la sénatrice de l'État de Californie, María Elena Durazo.

    La California Health and Human Services Agency a engagé 835,6 millions de dollars en 2023-2024 et 2,6 milliards de dollars par an par la suite pour étendre l'éligibilité médicale complète à tous les adultes éligibles aux revenus, quel que soit leur statut d'immigration.

    Cette aubaine pour les clandestins inclut-elle des traitements hormonaux et des opérations chirurgicales liées au genre ?

    L'appelant quotidien :

    Les soins d’affirmation de genre sont une prestation médicale couverte lorsque cela est médicalement nécessaire… Les demandes de soins d’affirmation de genre doivent provenir de spécialistes expérimentés dans la fourniture de soins culturellement compétents aux personnes transgenres et de genre divers et doivent utiliser les lignes directrices reconnues au niveau national.

    Il semble donc que ces traitements feront partie du nouveau package californien.

    Dans l’ensemble, Newsom est le fer de lance d’importants dons de soins médicaux – en tant qu’INDUCTIONS – pour ATTIRER chaque personne sur Terre qui les souhaite et est prête à se rendre en Californie pour les obtenir.

    C’est à cela que revient ce programme (financé par les contribuables).

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  2. « Écoutez-en un, écoutez tout. Si vous souhaitez des soins médicaux gratuits, venez à notre frontière et trouvez un moyen d'entrer. Quelle que soit votre maladie ou votre affliction, nous vous soignerons. Ne vous inquiétez pas des restrictions sur les conditions préexistantes. Il n'y en a pas. Médicaments, vaccins, chirurgie : nous avons tout. Et écoutez, si vous avez toujours rêvé de changer de sexe, nous vous le proposerons également. Vous voulez que vos couilles soient coupées et qu'un nouveau vagin soit installé, ou une double mastectomie et un pénis, nous avons les pros qui peuvent vous le faire. Nous sommes désormais la Centrale Médicale de la planète entière. Depuis la frontière sud, vous pouvez vous rendre directement dans l'un de nos hôpitaux de premier ordre. Même si vous vous sentez bien, notre liste de maladies et de troubles est la plus complète que l’on puisse trouver dans n’importe quel pays. Ne t'inquiète pas. Nous pouvons vous diagnostiquer quelque chose. Rappelez-vous simplement qui distribue ces cadeaux et à quel parti politique moi, Gavin Newsom, appartenez. Nous gérons les choses ici et nous sommes vos amis.

    Au fur et à mesure que la nouvelle se répandra, nous allons voir une étonnante nouvelle collection de migrants apparaître en Californie. D’un autre côté, le nombre de résidents de longue date de l’État qui organisent leur exode va atteindre des sommets vraiment énormes.

    Tout cela fait partie du plan. Présenté par un gouverneur sociopathe qui serait président.

    CODA : Essayez d’imaginer comment les cartels de la drogue mexicains vont profiter du nouveau programme californien de cadeaux médicaux massifs pour les étrangers illégaux. J'imagine des voyous avec des béquilles qui traversent la frontière en se plaignant de leur handicap auprès des agents de l'ICE. Lorsqu’un agent audacieux dit à l’un de ces infirmes qu’il est un imposteur, cela deviendra une histoire de sanglot nationale dans la presse. Un porte-parole du DHS et un bureaucrate du CDC fustigeront l’agent, et des milliers de libéraux inonderont les réseaux sociaux de leur indignation.

    « Mon Dieu, l’immigré sans papiers ne peut pas marcher. Et il souffre d’une grave dysphorie de genre et a besoin d’une intervention chirurgicale immédiate car il s’identifie comme une femme… »

    Oui absolument. Et cette femme qui s'est identifiée vient d'assassiner six personnes à Tijuana qui tentaient de voler une cargaison de drogue.
    - Jon Rappoport

    Épisode 57 de Rappoport Podcasts – « Aaron Rodgers et la mort de la télévision ! Rodgers, Jimmy Kimmel, Jeffrey Epstein, COVID, Fauci, ESPN, Disney, Taylor Swift, « M. Pfizer’ – c’est une grosse boule de cire ; Faisons-le fondre et voyons à quoi cela ressemble » – est maintenant publié sur ma sous-pile. C'est un blockbuster. Pour écouter, rendez-vous ici. Pour en savoir plus sur cet épisode de Rappoport Podcasts, rendez-vous ici.

    https://jonrappoport.substack.com/p/scuzzball-newsom-free-healthcare-for-illegals?utm_source=post-email-title&publication_id=806546&post_id=140800736&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email

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  3. En France les victimes sont oubliées! Comment les Américains se soignent ils de l’empoisonnement vaccinal ARNm covid ?


    le 20 janvier 2024
    par pgibertie


    En France la censure est totale , mais aux Etats Unis la parole se libère …

    🟦 DOSSIER VACCIN COVID : EFFETS SECONDAIRES

    Juste un mot : BRAVO !

    ➡️🇫🇷 ÉLIANE lors du rassemblement le 16 janvier devant l'AFP :

    ''En tant que personnes libres, on a le droit de dénoncer…''

    Éliane s'adresse aux médias, face à l'AFP, et leur demande s'ils ont un coeur…… pic.twitter.com/V1D230szY8
    — Vérité Diffusée (@VeriteDiffusee) January 19, 2024

    Ceci est 1 APPEL à l'AIDE d'1 victime vaccin covid. Atteinte d'1 covid long, elle s'est fait vacciner pour se soigner comme le recommandait 1 publication scientifique, elle souffre depuis d'1 encéphalomyélite myalgique. Son état nécessite des traitements que les neurologues… pic.twitter.com/TqD0mqbwTi
    — Christine Cotton OFFICIEL (@StatChrisCotton) October 13, 2023

    https://t.co/FDUnfXrX5W

    Témoignage bouleversant d'un père qui a perdu sa fille suite à la vaccination #covid. Elle avait 16 ans.

    👉 https://t.co/5j3L3tngOt#COVID19#EffetsSecondairesvaccins19 #DiedSuddendly pic.twitter.com/sv7pDzv9RZ
    — NTD France (@NTDTVFrance) December 15, 2022

    Fondée par un groupe d’éminents spécialistes des soins intensifs en mars 2020, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) se consacre à aider à prévenir et à traiter le COVID, et à aider les patients à prendre en charge d’autres domaines de leur santé.

    Notre objectif est de sauver des vies et d’améliorer la santé en faisant progresser des protocoles basés sur les dernières connaissances scientifiques, données et observations cliniques.

    Nos médecins fondateurs sont des leaders d’opinion hautement publiés et de renommée mondiale, possédant des connaissances et une expertise approfondies dans une gamme de questions de santé importantes.

    L’organisation a touché des millions de personnes grâce à ses protocoles, son site Web, ses webinaires, ses newsletters, ses réseaux sociaux, ses allocutions et ses apparitions dans les médias. Nos protocoles sont utilisés par des prestataires de soins de santé du monde entier et ont aidé des milliers de personnes.

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  4. Le syndrome post-vaccin est une maladie complexe. Le traitement doit être individualisé en fonction des symptômes et des syndromes pathologiques de chaque patient. Tous les patients ne répondent pas de la même manière à la même intervention. Un traitement précoce est essentiel ; la réponse au traitement sera probablement plus faible lorsque le traitement est retardé.

    Ce document est destiné aux prestataires de soins qui s’occupent de patients présentant des symptômes suite à une injection de COVID. Bien qu’une poignée de thérapies puissent être auto-administrées, nous recommandons fortement aux patients de consulter un professionnel de la santé avant de commencer tout nouveau traitement. (Pour trouver un fournisseur, consultez l’annuaire des fournisseurs de FLCCC . )

    Il existe également certaines mises en garde et contre-indications importantes qui doivent être soigneusement examinées dans le document plus complet et détaillé intitulé « Une approche pour gérer le syndrome post-vaccinal » et qui doivent également être discutées avec un prestataire qualifié.

    Ces informations ne sont pas destinées à remplacer le diagnostic, le traitement ou les conseils d’un professionnel de la santé qualifié et agréé. Les faits présentés sont proposés à titre d’information et non d’avis médical. Tout protocole de traitement doit être discuté avec un professionnel de la santé agréé et de confiance. N’arrêtez ou ne modifiez jamais vos médicaments sans consulter votre professionnel de la santé.

    Approche thérapeutique

    Il est important de souligner que, puisqu’il n’existe aucun rapport publié détaillant la manière de traiter les patients blessés par le vaccin, notre approche thérapeutique est basée sur les mécanismes pathogénétiques postulés, les principes de pharmacologie, les observations cliniques et les commentaires des patients blessés par le vaccin eux-mêmes. Nous mettons constamment à jour notre approche à mesure que de nouvelles données émergent et sur la base de consultations avec des prestataires de soins de santé de confiance.

    Les patients présentant un syndrome post-vaccin ne doivent plus recevoir aucun autre vaccin contre la COVID-19. De même, les patients atteints d’un long COVID devraient éviter toutes les vaccinations contre le COVID.

    Les patients atteints du syndrome post-vaccin doivent faire tout ce qu’ils peuvent pour éviter de contracter le COVID-19. Cela peut inclure un protocole préventif (voir I-PREVENT ) ou un traitement précoce si vous contractez le virus ou soupçonnez une infection (voir I-CARE ). La COVID-19 exacerbera probablement les symptômes des lésions causées par le vaccin.

    Une fois qu’un patient a montré une amélioration, les différentes interventions doivent être réduites ou arrêtées une à la fois. Une approche de maintenance moins intensive est alors suggérée.

    Le problème central du syndrome post-vaccin est une « dérégulation immunitaire » de longue durée. L’objectif le plus important du traitement est d’aider le corps à restaurer un système immunitaire sain, en d’autres termes, de laisser le corps se guérir lui-même. Notre stratégie de traitement recommandée implique deux approches principales :

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  5. Favoriser l’autophagie pour aider à débarrasser les cellules de la protéine Spike
    Utiliser des interventions qui limitent la toxicité/pathogénicité de la protéine de pointe
    Nous recommandons l’utilisation d’agents immunomodulateurs et d’interventions pour amortir et normaliser le système immunitaire plutôt que l’utilisation de médicaments immunosuppresseurs, qui pourraient aggraver la situation.

    Bien que nous ayons répertorié ci-dessous les thérapies suggérées, nous suggérons fortement qu’avant de commencer l’une des thérapies ci-dessous, tous les patients et prestataires examinent attentivement le document plus détaillé et plus complet – « Une approche pour gérer le syndrome post-vaccin » – pour obtenir des informations sur le dosage. mises en garde, contre-indications et autres détails importants.

    Thérapies de première intention
    (Non spécifique à un symptôme ; classé par ordre d’importance)

    Jeûne quotidien intermittent ou jeûnes quotidiens périodiques

    Ivermectine
    Modérer l’activité physique
    Naltrexone à faible dose
    Nattokinase
    Aspirine
    Mélatonine
    Magnésium
    Bleu de méthylène
    Lumière du soleil et photobiomodulation
    Resvératrol
    Probiotiques/Prébiotiques/Thérapies d’appoint/de deuxième intention
    (Classés par ordre d’importance)

    Vitamine D (avec vitamine K2)
    N-acétylcystéine
    Suppléments Cardio Miracle™ et L-arginine/L-citrulline
    les acides gras omega-3
    Sildénafil (avec ou sans L-arginine-L-citrulline)
    Nigelle sativa
    Vitamine C
    Spermidine
    Stimulation cérébrale non invasive
    Vitamine C intraveineuse
    Modification du comportement, thérapie de relaxation, thérapie de pleine conscience et soutien psychologique
    Thérapies de troisième intention
    Oxygénothérapie hyperbare
    Stimulation mécanique de faible ampleur
    « Optimiseur d’énergie mitochondriale »
    Hydroxychloroquine
    Corticostéroïde à faible dose

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  6. Une note sur l’anesthésie et la chirurgie :

    Les patients doivent informer leur équipe d’anesthésie s’ils utilisent les médicaments et/ou nutraceutiques suivants, car ils peuvent augmenter le risque de syndrome sérotoninergique (SS) avec l’administration d’opioïdes : Bleu de méthylène Curcumine Nigella Sativa Inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS)

    À propos de l’ivermectine

    L’ivermectine est un médicament bien connu, approuvé par la FDA, utilisé avec succès dans le monde entier depuis plus de quatre décennies. L’un des médicaments les plus sûrs connus, il figure sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS, a été administré plus de 3,7 milliards de fois et a remporté le prix Nobel pour ses impacts mondiaux et historiques dans l’éradication des infections parasitaires endémiques dans de nombreuses régions du monde.

    Examinez l’ensemble des preuves à l’appui de l’ivermectine dans le traitement du COVID-19.

    Il est probable que l’ivermectine et le jeûne intermittent agissent en synergie pour débarrasser le corps de la protéine de pointe.

    Il semble que les patients blessés par le vaccin peuvent être regroupés en deux catégories : i) les répondeurs à l’ivermectine et ii) les non-répondeurs à l’ivermectine. Cette distinction est importante, car ces dernières sont plus difficiles à traiter et nécessitent un traitement plus agressif.

    Pour les répondeurs à l’ivermectine, un traitement quotidien prolongé et chronique est souvent nécessaire pour favoriser leur rétablissement. Dans de nombreux cas, si l’administration quotidienne d’ivermectine est interrompue, les symptômes d’aggravation réapparaissent souvent en quelques jours.

    Il est préférable de prendre l’ivermectine avec ou juste après un repas, pour une meilleure absorption.CLAUSE DE NON-RESPONSABILITÉ

    Ce protocole est uniquement destiné à des fins éducatives concernant les thérapies potentiellement bénéfiques pour le COVID-19. Ne négligez jamais un avis médical professionnel à cause de quelque chose que vous avez lu sur notre site Web et nos communiqués. Ce protocole n’est pas destiné à remplacer un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement concernant un patient. Le traitement d’un patient individuel doit reposer sur le jugement d’un médecin ou d’un autre prestataire de santé qualifié. Demandez toujours leur avis pour toute question que vous pourriez avoir concernant votre santé ou votre état de santé. Veuillez noter notre clause de non-responsabilité complète sur : www.flccc.net/disclaimer

    https://pgibertie.com/2024/01/20/en-france-les-victimes-sont-oubliees-comment-les-americains-se-soignent-ils-de-lempoisonnement-vaccinal-arnm-covid/

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  7. Décodez votre facture d'hôpital pour détecter les surcharges


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 JANVIER 2024 - 20H00
    Écrit par George Citroner via The Epoch Times


    Des millions d’Américains sont piégés dans un labyrinthe de frais d’hospitalisation gonflés et de codes de facturation opaques. Pourtant, soit ils paient ces factures écrasantes, soit ils voient leur cote de crédit chuter.

    Et si les patients pouvaient décoder les frais d’hospitalisation et prendre le dessus ? Forts de ces connaissances, ils peuvent révéler des erreurs, négocier les coûts, accéder à des programmes d’aide et se protéger d’une dette médicale paralysante.

    Les patients paient le prix alors que les hôpitaux ne respectent pas les normes de facturation
    Une recherche récemment publiée dans le Journal of the American Medical Association a analysé les données d’une enquête réalisée en 2022 par The Leapfrog Group. Cette organisation à but non lucratif publie une revue annuelle évaluant la qualité des soins et les normes de responsabilité en matière de facturation dans les hôpitaux américains.

    L'analyse s'est concentrée sur les réponses de 2 270 hôpitaux. L'étude a révélé que 754 établissements (33,2 pour cent) avaient engagé des poursuites judiciaires contre des patients qui ne pouvaient pas payer leurs factures en totalité ou à temps. De plus, plus de 1 000 hôpitaux n’ont pas fourni de factures détaillées dans un délai de 30 jours, violant peut-être les exigences légales en matière de facturation.

    La facture que la plupart des patients reçoivent par courrier est généralement un résumé consolidé, « ce qui rend impossible d'évaluer si vous avez été facturé correctement ou non », Patrick Haig, PDG et co-fondateur de Goodbill, une startup dédiée à rendre les factures d'hôpitaux transparentes et abordable pour les patients, a déclaré à Epoch Times.

    En outre, 125 hôpitaux (5,5 %) manquaient de représentants de facturation capables d'enquêter sur les erreurs, de proposer des ajustements de prix ou de discuter des options de plan de paiement. Au total, 1 415, soit plus de 60 %, des établissements interrogés ne satisfaisaient pas aux trois normes essentielles de qualité de facturation.

    Plus de 50 pour cent des factures d'hôpitaux examinées par Goodbill contiennent des inexactitudes, selon M. Haig. Celles-ci vont des erreurs de codage aux frais pour des procédures médicales inutiles.

    « C'est un peu fou quand on y pense », a déclaré M. Haig, « parce que tant de gens ont l'impression qu'ils n'ont pas d'autre choix que de simplement payer leurs factures, ou qu'ils s'endettent parce qu'ils n'ont pas les moyens de payer leurs factures. .»

    Des factures d’hôpital vagues se cachent derrière de fausses « détails »
    Si vous avez des inquiétudes concernant les frais d'hospitalisation, demandez une facture détaillée dans les 30 jours. Cette facture par poste détaille tous les services et fournitures impliqués dans vos soins.

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  8. Une facture détaillée et précise comprend des codes standardisés de diagnostic, de procédure et de facturation qui déterminent les coûts, a déclaré M. Haig, en particulier les codes de terminologie procédurale actuelle (CPT), les codes du système de codage de procédure commune de soins de santé (HCPCS), et d'autres. Ces codes indiquent clairement comment les compagnies d’assurance remboursent les hôpitaux, permettant ainsi des comparaisons de frais « pommes avec des pommes » avec d’autres prestataires, a-t-il ajouté.

    "Par exemple, les frais pour une visite aux urgences aiguës peuvent porter des noms différents, selon l'hôpital, comme ‘Level 5 ED visit,’ ou ‘ER visit Lvl 5,’ , mais n'ont universellement qu'un seul code CPT : 99285. » il a dit.

    Si la facture détaillée ne contient pas suffisamment de détails de codage, demandez le formulaire de réclamation UB-04 soumis aux assureurs pour paiement. Il contient le codage de procédure le plus clair disponible, selon M. Haig. Le simple fait de demander la « facture détaillée » exclusive de l’hôpital pourrait donner lieu à des classifications internes inutiles plutôt qu’à des descripteurs standardisés.

    « Nous avons constaté que les hôpitaux ont parfois leur propre version d’une « facture détaillée » avec des codes internes qui ne sont d’aucune utilité », a-t-il déclaré. "Demander votre formulaire de réclamation UB-04 est une demande beaucoup plus spécifique et difficile à mal interpréter."

    Les soins d’urgence poussent les gens à s’endetter

    Selon un sondage national réalisé par KFF, anciennement connue sous le nom de Kaiser Family Foundation, une organisation à but non lucratif spécialisée dans la recherche et l'analyse des soins de santé et des politiques de santé, la crise de la dette médicale s'étend bien au-delà des seules factures d'hôpital. Des facteurs tels que les cartes de crédit, les prêts personnels et les emprunts auprès d’amis utilisés pour payer les frais de santé impayés ont également été pris en compte.

    Les principales conclusions révèlent qu'environ 25 pour cent des adultes ayant des dettes médicales doivent plus de 5 000 $. Environ 20 pour cent ont déclaré qu’ils pensaient qu’ils ne rembourseraient jamais. Pour beaucoup, la dette initiale provient de soins d’urgence ponctuels ou à court terme.

    De plus, près de 50 % des adultes ne pourraient pas se permettre une facture médicale inattendue de 500 $ sans s’endetter. Plus d’un tiers doivent actuellement moins de 1 000 $, un montant qui entraîne de graves conséquences financières.

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  9. Jusqu’à 40 pour cent d’entre eux sont admissibles à l’aide hospitalière, mais celle-ci reste inutilisée
    Cependant, jusqu'à 40 pour cent de la dette médicale constatée par Goodbill est admissible à l'aide financière de l'hôpital, a déclaré M. Haig.

    « Les hôpitaux à but non lucratif, qui constituent la majorité des hôpitaux aux États-Unis, sont tenus par la loi d'offrir une aide financière aux patients qui tombent en dessous de certains seuils de revenus des ménages », a-t-il ajouté. « Dans certains hôpitaux, ce seuil peut dépasser largement les 100 000 $. »

    Cependant, les qualifications ne sont généralement pas annoncées et de nombreux patients ne savent pas les poser. « Les patients peuvent économiser jusqu'à 100 pour cent sur leur part de la facture », a déclaré M. Haig. « C’est l’un des avantages les plus sous-utilisés en matière de soins de santé. »

    D’autres moyens de vous protéger contre les factures médicales gonflées sont les suivants :

    Recherche d'approbations préalables pour les soins couverts.
    Frais de négociation même s’ils sont correctement facturés.
    Comprendre les nouveaux garde-fous en matière de facturation surprise.

    La loi No Surprises protège les patients assurés de nombreuses factures médicales inattendues. Cela inclut les factures envoyées par des prestataires hors réseau qui échappaient au contrôle du patient.

    Les nouvelles règles permettent aux patients non assurés et payant en espèces d'accéder à des estimations de coûts de bonne foi avant de recevoir des soins.

    Enfin, si vous rencontrez un problème de recouvrement de créances en raison d'une facturation médicale surprise, vous pouvez déposer une plainte en ligne auprès du Consumer Finance Protection Bureau (CFPB) ou appeler le (855) 411-CFPB (2372).

    https://www.zerohedge.com/medical/decode-your-hospital-bill-catch-overcharges

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  10. Un proche de Bill Gates met en garde contre une chute massive de la population dans les « pays fortement vaccinés »


    le 19 janvier 2024


    Un proche de Bill Gates, qui a été le spécialiste des vaccins du cofondateur de Microsoft, a tiré la sonnette d’alarme et a averti le public qu’un déclin massif de la population allait bientôt dévaster l’humanité.

    Geert Vanden Bossche, ancien scientifique de la Fondation Bill et Melinda Gates et expert en vaccins, a prévenu que la population mondiale chuterait « jusqu’à 30-40 % dans les pays fortement vaccinés ».

    Le Dr Vanden Bossche a tiré la sonnette d’alarme lors d’un entretien avec l’expert en vaccins et chercheur Steve Kirsch. Il note également qu’il est impossible de s’attaquer au Covid avec des injections d’ARNm, car il continuera toujours à muter. « Les mutations ne sont plus limitées à la protéine de pointe, ce qui indique une activité accrue des CTL (cellules T cytotoxiques) pour diminuer l’infectiosité virale », a expliqué Bossche à Kirsch.

    « Cette activité des CTL est responsable du déclin des cellules T qui renforcent les anticorps neutralisants qui empêchent la virulence. » Pour cette même raison, Bossche a déjà prévenu que c’était une erreur de mettre en place un vaccin à usage public au milieu d’une pandémie. Il fait remarquer que la vaccination d’une grande partie de la population ne fera que renforcer les virus au lieu de les vaincre. Bossche a expliqué que les vagues de maladies graves se multiplient dans les pays développés, fortement vaccinés.

    « En fin de compte, cette évolution conduirait inévitablement à l’émergence d’une variante très virulente qui provoquerait des vagues d’hospitalisations et de maladies graves dans les pays fortement vaccinés – bien sûr, toujours la même chose, seulement dans les pays fortement vaccinés », a souligné Bossche. L’expert a ensuite averti que ces pays fortement vaccinés connaîtraient bientôt un nombre de décès « sans précédent ».

    « À mon humble avis, nous allons assister à quelque chose de totalement, totalement inédit en termes d’ampleur de la vague de morbidité et malheureusement de mortalité que nous allons observer », a-t-il déclaré.

    Kirsch a demandé à Bossche de préciser ce qu’impliquerait ce phénomène futur « sans précédent ».

    Il a répondu en prédisant que plus d’un tiers des personnes mourront des suites directes de l’injection d’ARNm anti covid. « Dans certaines populations fortement vaccinées, je ne serais pas surpris que nous ayons affaire à une grave décimation de la population, dans certaines populations, peut-être jusqu’à 30 ou 40 %« , a commenté Bossche.

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  11. Bossche n’est cependant pas le seul à prédire une chute importante de la population. Martin Armstrong, de Armstrong Economics, affirme que son propre modèle informatique prévoit une « forte baisse de la population » à partir de 2032.

    Il est possible que les prévisions de Bossche soient en fait fondées sur le programme de Gates.

    Nombreux sont ceux qui pensent que Gates souhaite réduire massivement la population mondiale, conformément aux plans de dépopulation de son défunt père, Bill Gates Sr.

    Ce dernier était membre du conseil d’administration de Planned Parenthood, une organisation fondée dans le but précis de réduire la population.

    « Son père a fait avancer le programme de dépopulation en créant le Planning familial, en convainquant les femmes qu’elles avaient le droit de tuer leurs bébés et en les plaçant dans des quartiers minoritaires, ce que certains considéraient comme un programme raciste », écrit Armstrong.

    « Même le juge Ginsberg a déclaré que l’arrêt Roe v. Wade visait à réduire la population, et non à défendre les droits des femmes. »

    Comme Slay News l’a déjà rapporté, Kirsch et son organisation, la Vaccine Safety Research Foundation (VSRF), ont tiré la sonnette d’alarme quant à l’impact de la campagne de vaccination de masse sur la santé publique.

    Pour le démontrer, Kirsch a mené une étude sur les communautés amish américaines non vaccinées.

    L’étude a révélé que les taux de mortalité chez les Amish étaient 90 fois inférieurs à ceux du reste de l’Amérique.

    La principale différence, selon l’étude, est que les communautés amish ont complètement ignoré les directives des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

    Les familles amish ne se sont pas fait vacciner, n’ont pas porté de masque et n’ont pas non plus adopté de mesures de confinement, de distanciation sociale ou d’autres types de restrictions.

    Les communautés séparées n’ont cependant pas évité d’attraper le virus, car environ 90 % des Amish ont été infectés par le covid.

    Kirsch a présenté ses conclusions au Sénat de l’État de Pennsylvanie l’année dernière.

    Selon lui, les calculs révèlent que les Amish sont morts à un taux « quatre-vingt-dix fois inférieur au taux de mortalité lié à l’infection aux États-Unis d’Amérique ».

    « Les Amish sont morts quatre-vingt-dix fois moins souvent de Covid que le reste de l’Amérique », a-t-il répété.

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  12. Il poursuit en suggérant que la raison en est que les familles amish ne vaccinent pas leurs enfants.

    « Et parce que les Amish n’ont pas suivi une seule des directives des CDC, ils ne se sont pas enfermés, ils n’ont pas masqué, ils n’ont pas pris de distance sociale, ils n’ont pas vacciné et il n’y avait pas de mandat dans la communauté Amish pour se faire vacciner », a noté Kirsch. « Ils ont ignoré toutes les directives que les CDC nous ont données ».

    Bossche n’est cependant pas le seul à prédire une chute importante de la population.

    Martin Armstrong, de Armstrong Economics, affirme que son propre modèle informatique prévoit une « forte baisse de la population » à partir de 2032.

    Il est possible que les prévisions de Bossche soient en fait fondées sur le programme de Gates.

    Nombreux sont ceux qui pensent que Gates souhaite réduire massivement la population mondiale, conformément aux plans de dépopulation de son défunt père, Bill Gates Sr.

    Ce dernier était membre du conseil d’administration de Planned Parenthood, une organisation fondée dans le but précis de réduire la population.

    « Son père a fait avancer le programme de dépopulation en créant le Planning familial, en convainquant les femmes qu’elles avaient le droit de tuer leurs bébés et en les plaçant dans des quartiers minoritaires, ce que certains considéraient comme un programme raciste », écrit Armstrong.

    « Même le juge Ginsberg a déclaré que l’arrêt Roe v. Wade visait à réduire la population, et non à défendre les droits des femmes. »

    Comme Slay News l’a déjà rapporté, Kirsch et son organisation, la Vaccine Safety Research Foundation (VSRF), ont tiré la sonnette d’alarme quant à l’impact de la campagne de vaccination de masse sur la santé publique.

    Pour le démontrer, Kirsch a mené une étude sur les communautés amish américaines non vaccinées.

    L’étude a révélé que les taux de mortalité chez les Amish étaient 90 fois inférieurs à ceux du reste de l’Amérique.

    La principale différence, selon l’étude, est que les communautés amish ont complètement ignoré les directives des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

    Les familles amish ne se sont pas fait vacciner, n’ont pas porté de masque et n’ont pas non plus adopté de mesures de confinement, de distanciation sociale ou d’autres types de restrictions.

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  13. Les communautés séparées n’ont cependant pas évité d’attraper le virus, car environ 90 % des Amish ont été infectés par le covid.

    Kirsch a présenté ses conclusions au Sénat de l’État de Pennsylvanie l’année dernière.

    Selon lui, les calculs révèlent que les Amish sont morts à un taux « quatre-vingt-dix fois inférieur au taux de mortalité lié à l’infection aux États-Unis d’Amérique ».

    « Les Amish sont morts quatre-vingt-dix fois moins souvent de Covid que le reste de l’Amérique », a-t-il répété.

    Il poursuit en suggérant que la raison en est que les familles amish ne vaccinent pas leurs enfants.

    « Et parce que les Amish n’ont pas suivi une seule des directives des CDC, ils ne se sont pas enfermés, ils n’ont pas masqué, ils n’ont pas pris de distance sociale, ils n’ont pas vacciné et il n’y avait pas de mandat dans la communauté Amish pour se faire vacciner », a noté Kirsch.

    « Ils ont ignoré toutes les directives que les CDC nous ont données ».

    Bossche n’est cependant pas le seul à prédire une chute importante de la population. Martin Armstrong, de Armstrong Economics, affirme que son propre modèle informatique prévoit une « forte baisse de la population » à partir de 2032.

    Il est possible que les prévisions de Bossche soient en fait fondées sur le programme de Gates. Nombreux sont ceux qui pensent que Gates souhaite réduire massivement la population mondiale, conformément aux plans de dépopulation de son défunt père, Bill Gates Sr. Ce dernier était membre du conseil d’administration de Planned Parenthood, une organisation fondée dans le but précis de réduire la population. « Son père a fait avancer le programme de dépopulation en créant le Planning familial, en convainquant les femmes qu’elles avaient le droit de tuer leurs bébés et en les plaçant dans des quartiers minoritaires, ce que certains considéraient comme un programme raciste », écrit Armstrong. « Même le juge Ginsberg a déclaré que l’arrêt Roe v. Wade visait à réduire la population, et non à défendre les droits des femmes. »

    Comme Slay News l’a déjà rapporté, Kirsch et son organisation, la Vaccine Safety Research Foundation (VSRF), ont tiré la sonnette d’alarme quant à l’impact de la campagne de vaccination de masse sur la santé publique.

    Pour le démontrer, Kirsch a mené une étude sur les communautés amish américaines non vaccinées. L’étude a révélé que les taux de mortalité chez les Amish étaient 90 fois inférieurs à ceux du reste de l’Amérique. La principale différence, selon l’étude, est que les communautés amish ont complètement ignoré les directives des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Les familles amish ne se sont pas fait vacciner, n’ont pas porté de masque et n’ont pas non plus adopté de mesures de confinement, de distanciation sociale ou d’autres types de restrictions.

    Les communautés séparées n’ont cependant pas évité d’attraper le virus, car environ 90 % des Amish ont été infectés par le covid.

    Kirsch a présenté ses conclusions au Sénat de l’État de Pennsylvanie l’année dernière. Selon lui, les calculs révèlent que les Amish sont morts à un taux « quatre-vingt-dix fois inférieur au taux de mortalité lié à l’infection aux États-Unis d’Amérique ». « Les Amish sont morts quatre-vingt-dix fois moins souvent de Covid que le reste de l’Amérique », a-t-il répété. Il poursuit en suggérant que la raison en est que les familles amish ne vaccinent pas leurs enfants. « Et parce que les Amish n’ont pas suivi une seule des directives des CDC, ils ne se sont pas enfermés, ils n’ont pas masqué, ils n’ont pas pris de distance sociale, ils n’ont pas vacciné et il n’y avait pas de mandat dans la communauté Amish pour se faire vacciner », a noté Kirsch. « Ils ont ignoré toutes les directives que les CDC nous ont données ».

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  14. Source: https://archive.is/wJBim traduction : aube digitale

    Commentaire de votre serviteur. L’alarmisme général est répété à la nausée par les médias pro-américains allant de cette chute de la natalité généralisée jusqu’au militarisme polonais n’a qu’une finalité à peine déguisée : le maintien de la domination des anglo-saxons sur le reste du monde et en particulier la main-mise sur la Russie et ses richesses naturelles. La situation économique et financière de l’Europe s’enfonce dans un marasme sans limite. Tous les facteurs se conjuguent pour une chute de l’euro par rapport au dollar accompagnée d’une crise boursière et obligataire profonde. L’Europe en grande partie désarmée à la suite de son soutien à l’Ukraine serait vitrifiée. Le récent bombardement d’un important dépôt d’hydrocarbure à l’intérieur du territoire russe va encore provoquer une réponse très ferme de la Russie. Pour information la Russie ne se dissimule même plus en déclarant être en possession d’armes supersoniques munies d’ogives nucléaires offensives. Si l’Occident via l’Ukraine réitère ses provocations la destruction de l’Europe sera totale et ne durera que quelques heures et les autorités russes ne mentent jamais : elles effectuent toujours ce qu’elles ont annoncé. Le soutien inconditionnel des Européens aux Etats-Unis, on le constate à propos de l’Ukraine mais aussi en ce qui concerne les évènements de Ghaza, ne peut qu’accélérer la destruction de l’Europe et si ce ne sont ni la crise monétaire ni la crise boursière qui mettent à genoux l’Europe ce seront des dizaines de bombes de 50 mégatonnes qui vitrifieront l’Europe et presque simultanément les USA. Regardez jusqu’à la fin cette entrevue réalisée par le site Nexus, vous comprendrez : https://www.youtube.com/watch?v=fzbJYapfoWw&ab_channel=MagazineNexus Jean-Pierre Petit, à 84 ans, se moque de l’apocalypse comme votre serviteur de quelques années seulement son cadet …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/01/19/un-proche-de-bill-gates-met-en-garde-contre-une-chute-massive-de-la-population-dans-les-pays-fortement-vaccines/

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    1. (...) Le Dr Vanden Bossche a tiré la sonnette d’alarme lors d’un entretien avec l’expert en vaccins et chercheur Steve Kirsch. Il note également qu’il est impossible de s’attaquer au Covid avec des injections d’ARNm, car il continuera toujours à muter. « (...)

      HAHAHAHA ! ' il continuera toujours à muter' !!! HAHAHAHA ! Une POUSSIÈRE qui mute !!! HAHAHAHA ! En voila un 'docteur' !!! HAHAHAHA !

      VOIR - il y a 3 ANS ! - les analyses des flacons injectables !!

      Les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej ont oser voir ce que renfermaient les seringues !!!
      WHÔAW !!
      Entre 95 et 99 % de nano-particules d(oxyde de graphène !!
      + des spikes !!
      + + des hydres !
      + diverses maladies animales et (sources naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!

      A savoir: Nous (AVEC ou SANS masque) nous respirons toutes & tous 200 000 nano-poussières (appelées 'virus' !) ET microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! ET NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORT(E)S !! Çà alors !

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  15. Réunion annuelle du WEF : OMS-Tedros appelle au transfert de pouvoirs pour lutter contre la « maladie X »


    21 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé les dirigeants du monde à céder les pouvoirs « pandémiques » de leurs pays aux Nations Unies (ONU) afin que l'organisme bureaucratique non élu puisse lutter contre la « maladie X ». Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, l'a appelé dans son discours cette semaine lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse.

    Dans son discours devant les dirigeants mondiaux, les élites du monde des affaires et les acteurs du pouvoir mondialistes, Tedros a appelé les gouvernements des pays souverains à signer le « Traité mondial sur la pandémie » de l’OMS. Cependant, comme le TKP l’a signalé à plusieurs reprises, le contrat a des implications considérables sur la liberté d’expression et de la presse, la surveillance ainsi que les passeports et pièces d’identité numériques de vaccination.

    Le traité proposé par l'OMS sur la pandémie et les modifications apportées au Règlement sanitaire international (RSI) confèrent à l'organisation mondialiste de nouveaux pouvoirs étendus qui outrepassent les lois des nations souveraines. L’UE, l’Allemagne, l’Autriche et d’autres pays de l’UE soutiennent activement cette tâche de souveraineté nationale.

    Bien que le « Traité sur la pandémie » donne l’impression qu’il vise à lutter contre les épidémies virales, les changements ont continué à élargir sa portée.

    Selon l’OMS, la définition de « pandémie » inclut désormais également le « changement climatique ». Si l’OMS déclare une « urgence » face au « réchauffement climatique », l’agence de « santé » des Nations Unies pourrait outrepasser les lois des nations souveraines pour imposer des « confinements climatiques ».

    Dans un discours prononcé lors du sommet du WEF à Davos, le chef de l'OMS, Tedros, a souligné l'importance de la coopération internationale sous une seule autorité mondiale. Il a souligné les obstacles potentiels découlant d’une « importance excessive » accordée aux intérêts nationaux. Tedros a participé à un panel lors du forum sur « Maladie

    Tedros a soutenu l’adoption du traité de l’OMS sur la pandémie, le considérant comme un outil nécessaire pour améliorer notre compréhension de ces maladies.

    S'adressant au public de Davos, Tedros a expliqué : « Bonjour, il s'agit d'un ennemi commun. Sans réponse commune, nous serons confrontés au même problème que celui du Covid.

    Il a décrit la « Maladie X » comme un terme générique qui pourrait être utilisé pour désigner des maladies encore inconnues et a réitéré l’importance de poursuivre la recherche et le développement de traitements.

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  16. Les contrats soutenus par l’UE prévoient également l’introduction d’un certificat mondial de vaccination numérique. Avec une date limite fixée à mai 2024, l'OMS, avec le soutien de l'UE, travaille à la conclusion d'un accord contraignant entre les États membres des Nations Unies pour faciliter la participation mondiale.

    Tedros a souligné : « L’importance d’un instrument juridiquement contraignant ne peut être surestimée : ce sera notre héritage collectif pour les générations futures. »

    La pression de Tedros intervient à un moment où l’on s’inquiète de plus en plus du fait que l’agence mère de l’OMS, les Nations Unies, tente de se positionner comme un gouvernement mondial unique et non élu. L’ONU se prépare à étendre massivement ses pouvoirs et prévoit de tenir des réunions lors de la prochaine conférence « Sommet du futur ». en 2024.

    Les plans de mise en œuvre de « l’Agenda 2030 » du FEM seront présentés lors du sommet. Les propositions incluent des mesures qui donneraient à l’organisation une « plateforme d’urgence » en cas de « crises mondiales ».

    De telles « crises » seraient déterminées par l’ONU elle-même et les « urgences » seraient déclarées par l’organisation. Si une « urgence » mondiale était déclarée par les Nations Unies, cela permettrait à l’organisation d’utiliser des « pouvoirs d’urgence » pour atteindre les objectifs de « changement climatique » ou d’appliquer des restrictions pendant ou même avant les pandémies.

    Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a élaboré une proposition pour que la conférence lutte contre ce qu’il appelle le « futur risque de pandémie » plutôt que d’attendre une véritable pandémie.

    Le plan stipule que l'ONU peut exercer ses larges pouvoirs si elle prétend vouloir empêcher quelque chose. Pour empêcher un « événement climatique majeur », l’ONU pourrait empêcher le public d’acheter de la viande et des produits laitiers avec ses dollars numériques afin de stopper le « réchauffement climatique ».

    Ailleurs dans la proposition de l’ONU, elle appelle à l’introduction d’« identifications numériques » mondialisées obligatoires liées aux comptes bancaires des citoyens, censées contribuer à atteindre les « objectifs de durabilité » net zéro.

    https://tkp.at/2024/01/21/wef-jahrstagung-who-tedros-fordert-uebertragung-von-befugnissen-zur-bekaempfung-von-krankheit-x/

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  17. La vitamine D freine la sur-activation du système rénine-angiotensine provoquée par la spike et donc les risques cancérigènes des « vaccccxxxxinx « ARNm


    le 21 janvier 2024
    par pgibertie


    Didier Raoult vient de faire connaitre au grand public les risques cancérigènes des thérapies géniques baptisées vaccins . La presse étouffe l’affaire (article de 20 minutes).

    Les marchés eux ne mentent pas:

    Johnson & Johnson va acquérir le développeur de médicaments « Ambrx Biopharma » pour 2 milliards de dollars pour traiter les cancers Turbo avec la même technologie que l’acquisition de Seagen par Pfizer pour 43 milliards de dollars. Tous deux ont jeté leur dévolu sur le cancer 2025. Les vaccins à ARNm TSUNAMI Pfizer et Moderna contre la COVID-19 provoquent des cancers turbo, ce qui est désormais bien reconnu par les médecins respectés du monde entier.

    De nombreuses sociétés pharmaceutiques s’empressent de se positionner pour tirer profit du traitement d’un tsunami de cancers qu’elles s’attendent toutes à frapper à partir de 2025. 14 décembre 2023 – Pfizer a finalisé une acquisition de 43 milliards de dollars pour traiter plusieurs turbo cancers et compte « combler un vide » pour la période 2025-2030. 14 décembre 2023 – Moderna vise un nouveau vaccin contre le cancer à ARNm pour traiter le mélanome qui sera disponible d’ici 2025. 8 janvier 2024 – Johnson & Johnson va acquérir une société de médicaments anticancéreux de 2 milliards de dollars qui utilise la même technologie que Pfizer, pour « combler un écart de revenus à partir de en 2025 » 10 janvier 2024 – BioNTech s’attend à renouer avec la croissance de ses revenus en 2025, lorsque son activité de vaccins contre la COVID atteindra son point bas, et elle investira pour « développer son activité d’oncologie par la suite ». De nombreuses entreprises qui ont de nouveaux tests sanguins ou de lumière les tests permettant de détecter rapidement le cancer visent tous 2025 pour leur lancement. Je donne des exemples. Des dizaines de centres de lutte contre le cancer géants sont en construction partout aux États-Unis, au Canada, en Australie et au Royaume-Uni – ils ouvriront tous en 2025. Ils sont prêts pour le TSUNAMI du cancer de 2025. s-tu?

    Le professeur Sabatier revient sur le mécanisme cancérigène lié à la suractivation du SRA, mécanisme connu depuis 20 ans

    Contrairement à ce qui est dit dans cet article, il existe un lien entre turbocancers et vaccins anti-Covid-19 : la suractivation du récepteur AT1R du SRA. AT1R suractivé (pro-tumoral et pro-angiogénique) est responsable des cancers.

    Au contraire,Le blocage de la signalisation du récepteur de l’angiotensine AT1 réduit la croissance tumorale, l’angiogenèse et les métastases

    pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12051731/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18310294/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25682288/ Il y a de nombreux autres articles sur le sujet et concernant les divers types de cancers.

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  18. L'intelligence artificielle devrait affecter près de 40 % de tous les emplois, selon une nouvelle analyse du Fonds monétaire international (FMI)


    16/01/2024
    Rédacteurs en chef


    Kristalina Georgieva, directrice générale du FMI, déclare que « dans la plupart des scénarios, l’IA aggravera probablement les inégalités globales ».
    (Article de Blessing Nweke republié depuis YourNews.com)

    Mme Georgieva ajoute que les décideurs politiques devraient s'attaquer à cette « tendance inquiétante » pour « empêcher la technologie d'attiser davantage les tensions sociales ».

    La prolifération de l’IA a mis ses avantages et ses risques sous le feu des projecteurs.

    Le FMI a déclaré que l’IA affecterait probablement une plus grande proportion d’emplois – estimée à environ 60 % – dans les économies avancées. Dans la moitié de ces cas, les travailleurs peuvent s’attendre à bénéficier de l’intégration de l’IA, ce qui améliorera leur productivité.

    Dans d’autres cas, l’IA aura la capacité d’effectuer des tâches clés actuellement exécutées par des humains. Cela pourrait réduire la demande de main-d’œuvre, affecter les salaires et même supprimer des emplois.

    Pendant ce temps, le FMI prévoit que cette technologie n’affectera que 26 % des emplois dans les pays à faible revenu.

    Mme Georgieva a déclaré : « Beaucoup de ces pays ne disposent pas de l’infrastructure ou de la main-d’œuvre qualifiée pour exploiter les avantages de l’IA, ce qui augmente le risque qu’avec le temps, la technologie puisse aggraver les inégalités entre les nations ».

    Plus généralement, les travailleurs plus jeunes et aux revenus plus élevés pourraient voir leur salaire augmenter de manière disproportionnée après avoir adopté l’IA.

    Les travailleurs à faible revenu et les travailleurs âgés pourraient prendre du retard, estime le FMI.

    « Les pays doivent mettre en place des filets de sécurité sociale complets et proposer des programmes de reconversion pour les travailleurs vulnérables », a déclaré Mme Georgieva. « Ce faisant, nous pouvons rendre la transition vers l’IA plus inclusive, en protégeant les moyens de subsistance et en réduisant les inégalités. »

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  19. L’analyse du FMI intervient alors que les dirigeants économiques et politiques du monde entier se réunissent au Forum économique mondial de Davos, en Suisse.

    L’IA est un sujet de discussion, suite à la montée en popularité d’applications comme ChatGPT.

    La technologie est confrontée à une réglementation croissante dans le monde entier. Le mois dernier, les responsables de l’Union européenne sont parvenus à un accord provisoire sur les premières lois globales au monde visant à réglementer l’utilisation de l’IA.

    Le Parlement européen votera sur les propositions de loi sur l’IA au début de cette année, mais toute législation n’entrera en vigueur qu’en 2025 au moins.

    Les États-Unis, le Royaume-Uni et la Chine n’ont pas encore publié leurs propres lignes directrices en matière d’IA.

    Pour en savoir plus : YourNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-16-ai-to-affect-40percent-of-all-jobs.html

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  20. Pour un tiers des Français, l’IA dominera le monde

    L’intelligence artificielle (IA) est devenue quasiment incontournable en moins d’un an, notamment depuis qu’OpenAI, qui a développé ChatGPT, a permis au grand public d’y accéder. Mais cette transformation technologique inquiète les Français. Selon une étude Ifop, les Français en ont tout simplement peur.


    Par Paolo Garoscio
    le 18 janvier 2024 à 6h33


    22 % des salariés français ont utilisé des outils d'IA

    L’intelligence artificielle pourra-t-elle un jour devenir un danger comme Skynet dans Terminator ? Les Français pensent que oui… et s’en inquiètent.

    Les progrès de l’intelligence artificielle font peur aux Français

    Selon le sondage Ifop réalisé pour Learnthings.fr et publié le 18 janvier 2024, l’Intelligence artificielle fait craindre le pire à un tiers des Français. Si la majorité des Français (64%) croit désormais que l'IA sera capable d'imiter le comportement humain, soit deux fois plus qu’en 1972, souligne l’Ifop, cette perspective ne séduit guère : 87% des sondés rejettent cette idée. Plus surprenant encore, un tiers des Français (35 %) envisage un futur où les machines pourraient contrôler l'humanité. L'ombre de Skynet semble de plus en plus oppressante.

    L'enthousiasme pour des technologies comme ChatGPT est limité : seulement 14 % des interrogés se disent enthousiastes, tandis que plus de la moitié (51 %) expriment leur inquiétude. 35 % y seraient indifférents, selon le sondage. Cette réticence est plus marquée chez les seniors, avec 59 % des plus de 60 ans préoccupés par l'Intelligence artificielle, contre 31% chez les jeunes adultes.

    L’Intelligence artificielle s’immisce dans le travail

    Dans le monde professionnel, l'IA reste un outil minoritaire mais en progression. Environ 22 % des salariés ont utilisé des outils d'IA tels que ChatGPT. Mais leurs supérieurs ne sont pas au courant : 55 % des interrogés ayant utilisé l’IA dans leur travail l’auraient fait « sans en informer leur hiérarchie ». Cependant, la formation à l'IA n'est pas encore une priorité pour les entreprises françaises, avec seulement 10 % des salariés formés et 27 % souhaitant l'être.

    L'impact de l'Intelligence artificielle sur l'emploi est une source majeure de préoccupation pour les Français, dévoile le sondage Ifop pour Learnthings. Près de 7 salariés sur 10 (68%) expriment « des craintes vis-à-vis de l'IA ». Pour plus d’un Français sur deux (56 %), l’IA serait même un « danger » pour l’emploi. La raison ? 40 % des salariés estiment que l'IA pourrait à terme réaliser la majorité de leur travail. Pour plus d’un Français sur 4 (27 %) ce sera probablement le cas d’ici à 2033.

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  21. Le regard des Français sur l'Intelligence Artificielle

    Étude réalisée par l’IFOP pour Learnthings du 21 décembre 2023 au 3 janvier 2024 par questionnaire
    autoadministré auprès d’un échantillon de 1 911 personnes (dont 952 salariés), représentatif de la
    population française.

    https://www.economiematin.fr/intelligence-artificielle-crainte-france-ia

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    1. (...) Si la majorité des Français (64%) croit désormais que l'IA sera capable d'imiter le comportement humain, soit deux fois plus qu’en 1972, souligne l’Ifop, cette perspective ne séduit guère : 87% des sondés rejettent cette idée. Plus surprenant encore, un tiers des Français (35 %) envisage un futur où les machines pourraient contrôler l'humanité. (...)

      Remarquez que seulement 35 % regardent la télé !
      Bon, prenons un exemple: Un bar, Une très jolie jeune fille accueille les poivrots (heu... les CLIENTS !) sur un écran posé au comptoir. Les commandes sont vocales (donc: ON NE TOUCHE PAS !). La machine va vous servir votre verre et vous l'encaisser sans contact.
      La jeune speakerine répondra à toutes vos questions sur n'importe quel sujet, mais... la rencontre n'ira PAS PLUS LOIN ! COMPRIS ?

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  22. Emploi : le travail au noir coûte très cher à l’Etat français

    Le gouvernement souhaite mettre les bouchées doubles contre le travail au noir. D’après les chiffres du Haut Conseil d’orientation pour l’emploi, cette fraude représenterait une dizaine de milliards d’euros de pertes pour l’État.


    Par Axelle Ker
    19 janvier 2024 à 12h17


    Le travail au noir représentait un manque à gagner de 10 milliards d'euros pour les finances publiques en 2022.

    Travail au noir : des milliards de manque à gagner pour l'État

    En France, le travail non déclaré représente une évasion fiscale massive, avec des implications profondes pour les finances publiques et la société en général. Selon le Haut Conseil du financement de la protection sociale (HCFIPS), cette économie parallèle représentait un manque à gagner de près de 10 milliards d'euros pour l'État en 2022. Le problème est que le travail illégal prive l'État de ressources essentielles pour financer les retraites, les soins de santé ainsi que l'assurance-chômage. D'après une étude du Conseil d'orientation pour l'emploi de 2019, 2,5 millions de Français pratiqueraient le travail au noir.

    La fraude se décline en deux catégories principales : le travail dissimulé, avec un manque à gagner estimé entre 6,2 et 7,8 milliards d'euros, et les erreurs ou omissions sur l'assiette comptable, représentant 1,8 à 2,3 milliards d'euros. Le secteur de la construction et celui de l'hôtellerie-restauration concentre à eux seuls la moitié des redressements. Autre grands champions ? Les microentrepreneurs, en particulier les chauffeurs de VTC et ceux qui font des services de livraisons et pour lesquels 62 à 70 % des cotisations ne sont pas payées. Certaines régions de France se démarquent également. L'Île-de-France, le Sud (Languedoc-Roussillon, Paca) ou encore la Corse font partie des grands adeptes du travail au noir.

    Vers un renforcement des contrôles

    Ce qui pousse les Français à faire du travail au noir ? Contourner les cotisations sociales, bien sûr, et compléter leurs revenus. Un salarié dans le secteur de la restauration, souvent payé au Smic, peut ainsi espérer gagner 400, voire 600 euros de plus par mois grâce à ses pourboires. Le travail au noir aide de nombreux Français à garder la tête hors de l'eau. Le risque pour eux ? D'être mis à l'écart du système social français : chômage, retraite, etc.

    Le gouvernement, en quête d'économies, et les organismes de contrôle, mettent les bouchées doubles pour lutter contre cette économie parallèle. L'Urssaf va ainsi multiplier les contrôles aléatoires, et voir ses équipes renforcées par 240 nouveaux inspecteurs. Son objectif ? Doubler le nombre de redressements d'ici à 2027. Le HCFIPS a également recommandé l'adoption d'un système de « précompte » pour les plateformes collaboratives, qui sera obligatoire en 2027. Autrement dit, cette mesure vise à prélever les cotisations sociales directement sur les revenus générés par les entreprises via ces plateformes.

    https://www.economiematin.fr/emploi-fraude-travail-au-noir-finance-publique

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    Réponses
    1. Il est FAUX de dire que ''l'argent au noir' coûte cher !
      l n'existe point d''évasion' puisque les sommes récoltées sont réinvesties.
      Apprenez la COMPTABILITÉ avant de faire un article !

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  23. Comprendre les premiers reculs du télétravail…

    Nul n’est en mesure de porter aujourd’hui un jugement définitif crédible sur l’impact du télétravail dans l’activité quotidienne. L’influence de l’Intelligence artificielle (IA) peut compliquer la donne. D’autant qu’ignorer son impact sur le travail à terme n’a pas de sens. La bascule, tous azimuts sur les marchés de ses nouveaux logiciels, n’a pas encore commencé.


    Par Jacques Martineau
    le 20 janvier 2024 à 9h30


    Doit-on parler de retour en arrière ?

    Le retour en entreprise vient de l’Ouest. Il est prôné avec vigueur en particulier dans le numérique aux Etats-Unis : GAFAM, GOOGLE, AMAZON, etc., que c’était eux qui avaient encouragé et usé de ces pratiques à distance. Le questionnement à propos du télétravail concerne des entreprises de toutes tailles, mais principalement les grands groupes, les entreprises de taille intermédiaires et les moyennes entreprises. Si la plupart des « grands » ont compris l’intérêt de l’IA générative, comment apprécier un recul en nuances du télétravail et les conséquences pour les autres ?

    Un premier souci, commun à la plupart des « on dit » évoque l’absence prolongé sur le lieu de travail. Une gêne évidente, connue par avance. L’équilibre à trouver n’est plus simple avec la force des habitudes. Les comportements se sont accommodés du travail à la « maison ». La présence « in situ » peut apparaître pour certains comme une contrainte avec les conditions d’horaires et le trajet domicile-lieu de travail.

    Raisons et conditions d’un recul déclaré
    L’absence longue durée voire permanente du lieu de travail est un réel handicap pour l’entreprise. Les rencontres, les confrontations, la mobilisation comme la communication sont la vie de l’entreprise. Le numérique et le vocal à distance ne sont pas comparables. C’est l’essentiel du lien social, source de motivation qui a été altéré.

    Face à ses souhaits, l’IA impacte le fonctionnement et la productivité des entités dans tous les domaines qu’il s’agisse entre autres de la finance, la publicité et le marketing, la recherche et la production, etc. L’IA favorise également les études de plans stratégiques. La cybersécurité demeurera un problème majeur qui réclame une vigilance permanente, toujours difficile à, à appréhender et à maîtriser « sur place ».

    Deux façons d’agir s’affrontent une réaction soudaine ou une approche progressive. Le choix de la décision appartient aux patrons et dirigeants. Qui sera concerné ? Doit-on parler encore d’un télétravail partiel ? De présence obligatoire ? De refus des « passe-droit » ? Comment reloger le personnel, réaménagement et adaptations des locaux, moyens matériels et numériques, positionnement géographiques, coûts, etc. ?

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  24. Le télétravail fait partie intégrale de l’entreprise
    Le télétravail est désormais une réalité économique, financière et malgré tout sociale dans une certaine mesure. Parmi les atouts, au-delà du reproche du « cocooning », lié à un certain confort, l’élimination du transport quotidien et une certaine indépendance. Un retour précipité peut avoir des conséquences sur la productivité. Le nouvel équilibre à retrouver entre l’activité individuelle et l’activité en groupe se situe au niveau du besoin d’une réintégration importante et obligatoire « in situ ». Quelques cas seulement peuvent encore être acceptables pour des périodes d’absence plus importantes.

    Qu’adviendra-t-il à l’avenir ? Comment, dirigeants et salariés trouveront-ils ensemble la meilleure façon d’optimiser travail et confort, lien social et bien-être au bénéfice de tous ? Le plus grand souci demeurera l’adaptabilité et la fonctionnalité de moyens de toute nature comme l’intégration de l’IA dans la vie quotidienne professionnelle. peut compliquer la donne. Attention le télétravail ne peut être un droit. Il est un accommodement opérationnel choisi au service de l’entreprise et de ses salariés.

    Pourquoi les patrons font marche arrière sur le télétravail
    Interview 20 minutes du 06/12/23

    Le télétravail s’est réellement démocratisé depuis 2020. Les avantages sont multiples. Or, après trois années d’expérimentation et d’adoption, les directions s’interrogent. Dan Guez, Cofondateur du groupe opensourcing.com témoigne

    Alors que le télétravail, quand il est bien organisé, n'impacte pas négativement la productivité des salariés selon différentes études, les patrons sont tentés de rappeler leurs effectifs à la maison, enfin sur site quoi. 

    Après la marche forcée, demi-tour toute. Le télétravail s’est développé à grande vitesse avec la crise du Covid et les confinements à répétition. Grâce à ce nouvel équilibre des temps, les salariés ont expérimenté un nouvel équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, en supprimant, par exemple, les trajets domicile-bureau et en gagnant en autonomie dans l’aménagement de leurs heures de travail.

    Depuis quelques mois, un changement de « ton » commence à se faire entendre. Une tendance particulièrement notoire outre-Atlantique. Les Gafam semblent avoir opéré une marche arrière sur le « full remote » qu’ils appelaient pourtant de leurs vœux auparavant. Meta, Google, Amazon ou encore le géant de la visioconférence, Zoom auraient rappelé leurs troupes sur sites. « Il est tout simplement impossible d’avoir une bonne conversation lors des réunions à distance. » Une étonnante ironie de l’histoire.

    Dan Guez, cofondateur du groupe opensourcing.com, observe également ce retournement de situation en France.

    Les entreprises en sont-elles revenues de cette pratique ?
    Pour les entreprises, il y a de nombreux désavantages à la généralisation du télétravail. Plusieurs inconvénients me sont très souvent cités par les chefs d’entreprise ou les managers que je rencontre. A commencer par l’isolement et la perte de socialisation. Au-delà de l’enthousiasme initial, la solitude générée par le travail à distance s’est révélée être l’un des premiers effets secondaires du télétravail. Les interactions spontanées, les discussions informelles autour de la machine à café, les déjeuners en équipe, tous ces petits riens qui tissent le lien social en entreprise ont disparu pour bon nombre de télétravailleurs. Cet isolement peut conduire à une perte de sentiment d’appartenance et de la dynamique de groupe.

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  25. La confiance en soi, voire, la santé psychologique peuvent-elles être affectées ?
    La distance physique entre les salariés et les managers peut éroder la confiance mutuelle. Le stress et l’anxiété peuvent monter, non seulement liés à l’isolement, mais également au fait de se sentir déconnecté des décisions et de la vie de l’entreprise. Le manque de frontières claires entre vie professionnelle et vie personnelle peut également engendrer une surcharge de travail et un épuisement professionnel. Et n’oublions pas les problèmes de santé physique. Les douleurs musculaires et les maux de dos liés à un poste de travail mal adapté à la maison sont des problèmes récurrents. L’investissement dans des équipements ergonomiques n’est pas toujours une priorité pour les employés en télétravail, ce qui peut conduire à des problèmes de santé à long terme.

    Parmi les témoignages que vous avez entendus : les troubles du sommeil et les horaires atypiques sont souvent cités. Pourquoi ?
    Le télétravail a parfois conduit à des horaires de travail prolongés ou atypiques, qui peuvent perturber les rythmes circadiens et conduire à des troubles du sommeil. Cela affecte directement la productivité et le bien-être des salariés. Un certain ennui peut s’installer chez les télétravailleurs, qui peuvent se sentir stagnants dans leur développement professionnel. L’absence de changement d’environnement et la routine du travail à domicile peuvent contribuer à ce sentiment.

    Une baisse de la productivité a-t-elle été observée ?

    Oui et c’est ce que j’appelle l’effet « cocooning ». On ne va pas se mentir, le confort de la maison peut mener à un effet cocooning, réduisant la combativité et l’implication des salariés dans la vie de l’entreprise. Ce qui a aussi pour effet de diminuer le nombre de rendez-vous physiques chez les clients pendant les jours de télétravail. Soyons honnêtes, le domicile, contrairement à l’environnement contrôlé du bureau, est rempli de tentations et d’interruptions potentielles. Des tâches ménagères aux interruptions par des membres de la famille, en passant par la facilité d’accès à des loisirs personnels, les distractions sont nombreuses et variées. Même le simple fait d’avoir accès à une nourriture constante ou à un téléviseur peut s’avérer être une tentation difficile à ignorer. Sans la supervision directe, la productivité et l’efficacité peuvent souffrir de la présence de distractions à domicile.

    Pourtant, le télétravail est pratiquement comme un acquis social aujourd’hui…
    C’en est un pour les salariés qui peuvent désormais exiger cette flexibilité comme condition d’emploi. Cela représente un défi pour les entreprises qui préféreraient revenir à des modèles plus traditionnels. Mais aujourd’hui on rencontre de plus en plus de salariés qui veulent absolument avoir des jours de télétravail, qu’ils viennent au travail à pied ou qu’ils vivent plus loin. Le télétravail présente un intérêt certain pour ceux qui passent de longues heures dans les transports. Il répond à un besoin de rationaliser le temps et de réduire l’empreinte carbone des déplacements professionnels. Ce ne doit pas être une fin en soi mais un avantage qui va permettre aux salariés d’être moins stressés et aux entreprises d’augmenter leur productivité.

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  26. Les salariés attendent une valeur ajoutée pour revenir au bureau. Que peut-on imaginer ?
    Vous avez raison, l’enjeu actuel est de parvenir à un équilibre entre les avantages du télétravail et l’importance d’un espace de travail collaboratif et dynamique. Dans cet esprit, les patrons expérimentent diverses méthodes pour enrichir l’expérience de bureau. Pour le coup ce sont des expériences nouvellement testées par des connaissances, je n’ai cependant pas assez de recul pour mesurer l’efficacité de ces initiatives.

    Certains bureaux se transforment pour offrir des services qui ajoutent une valeur considérable à la journée de travail des employés. Ces services peuvent inclure des installations de crèche pour les parents, des espaces de détente et de méditation, des salles de sport, des services de restauration saine et gourmande, voire des conciergeries qui s’occupent des tâches quotidiennes des employés. Des cours de bien-être tels que le yoga, la méditation ou le Pilates sont proposés pour encourager une pause mentale et physique durant la journée de travail. Ces activités aident non seulement à combattre le stress, mais aussi à renforcer le sentiment de communauté et le bien-être général.

    Les espaces de bureau sont réaménagés pour être plus accueillants et inspirants. Des zones de collaboration, des espaces verts, des zones de repos, et des bureaux modulables sont conçus pour stimuler la créativité et la productivité, tout en offrant une expérience que le travail à domicile ne peut répliquer. Des cours de musique et autres initiatives culturelles sont parfois mis en place pour enrichir l’expérience des employés. Ces activités créatives permettent non seulement de développer de nouvelles compétences, mais aussi de renforcer les liens entre collègues à travers des passions partagées.

    https://www.economiematin.fr/recul-teletravail-entreprise-management-martineau

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    1. Pourquoi le 'télé-travail' a t-il des problèmes ?
      La communication est faite entre l'employé(e) et le Directeur. Il n'y a donc pas de dialogues entre les personnes employées ! C'est LÀ le problème !! L'absence de Démocratie !
      Et, arrive 'LIA' !! (HOULALA !). Là, arrive le problème. LIA est UN PROBLÈME.. LIA EST in PROGRAMME ! Un programme à-la-con fondé sur des principes, des directives qu ne sont que des ordres d'ANTI-performances et qui établissent des logistiques de graphiques d'inadéquations performés par des savantitudes d'objectifs abstraits
      LA merde, quoi !

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  27. Retour au bureau : une fausse bonne idée ?

    De plus en plus d’entreprises de toute taille demandent à leurs salariés de revenir au bureau. L’avenir du télétravail semble un peu plus compromis chaque jour.


    Par Alice Guichet
    le 20 janvier 2024 à 8h30


    46 % des Français ressentent le retour au bureau comme une pression

    En demandant aux salariés de reprendre un rythme plus traditionnel, les entreprises vont à l’encontre de leurs attentes : 93 % des salariés souhaitent être en télétravail au moins un jour par semaine. L’argument principal pour un retour au bureau est un manque de communication entre les équipes. Le retour au bureau intégral est pourtant une réponse démesurée. Et si la solution était de faciliter la communication interne en télétravail ?

    La communication interne, pilier de la productivité.

    En télétravail, la communication interne perd 2 de ses 3 canaux principaux : le canal verbal et le canal papier. En effet, plus de discussions à la machine à café, plus de rencontres dans l’ascenseur ou d’échanges dans les couloirs. Plus non plus d’affiches sur les murs pour rappeler les valeurs, les évènements à venir…

    Comment continuer de créer du lien entre les salariés, en dehors des échanges formels et des réunions de travail ?

    D’abord, le matériel. Les salariés ont-ils des ordinateurs qui fonctionnent, des téléphones performants ? Un PC qui rame ralentit considérablement les communications entre équipe. Au-delà du matériel physique, quelle plateforme de communication est utilisée par tout le personnel ? En plus des courriels, les équipes utilisent-elles Slack, Teams ou toute autre application ? Si les plateformes de communication sont multiples, comment espérer que la communication soit fluide ?

    En uniformisant le matériel, hardware et software, les équipes profitent d’un canal de communication plus flexible que les emails ou les réunions en visio pour communiquer plus facilement : poser des questions rapides, et échanger de manière informelle.

    Ensuite, les habitudes. Combien de fois le manager appelle ses équipes ? Combien de réunions d’équipes par semaine ? Pour garder le lien, on peut imaginer un rituel quotidien avec un échange informel entre équipe, ou en tête à tête. En télétravail, il faut provoquer ces échanges. La pandémie avait démocratisé les apéros-visio, pourquoi pas un déjeuner en visio ?

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  28. Sans échanges quotidiens, le sentiment d’appartenance à une équipe s’affaiblit, et le manque de créativité aussi. Mettre en place une routine de communication c’est faciliter les échanges, favoriser la cohésion d’équipe et booster l’imagination.

    Le retour au bureau, une solution miracle ?

    Beaucoup d’entreprises pensent qu’en revenant au bureau, ces problématiques seront réglées.

    Pourtant, le manque d’interactivité existe aussi en présentiel. Les habitudes citées plus haut doivent être pérennisées, peu importe le lieu de travail. Aujourd’hui, 46 % des Français ressentent le retour au bureau comme une pression, selon une étude Opinion Way. Si 93 % d’entre eux souhaitent revenir en présentiel au moins 1 jour par semaine, ils s’attendent à un effort de la part de leur employeur : prise en charge intégrale des titres de transports ou du repas, temps de trajet relativement court, espaces détente… Les salariés cherchent un changement positif, qui vienne pallier les inconvénients du présentiel.

    Travailler sur la communication n’est pas une problématique réservée au télétravail. Si les journées au bureau sont synonymes d’échanges inexistants, le sentiment d’appartenance à une équipe ne se renforcera pas. En télétravail comme en présentiel, les entreprises doivent privilégier les moments d’échanges, formels et informels, pour créer un lien entre leurs salariés.

    https://www.economiematin.fr/teletravail-bureau-emploi-changement-guichet

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    1. (...) L’argument principal pour un retour au bureau est un manque de communication entre les équipes. (...)

      Êh oui ! L'écran n'est PAS un téléphone vers des réunions de travail !

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  29. Kill Switches numériques : comment les gouvernements tyranniques étouffent la dissidence politique


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 JANVIER 2024 - 05H00
    Rédigé par John et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,


    "Aucun président, quel que soit le parti, ne devrait avoir le pouvoir exclusif de fermer ou de prendre le contrôle d'Internet ou de tout autre canal de communication en cas d'urgence."
    - Le sénateur Rand Paul

    Qu’est-ce qui empêchera le gouvernement américain d’actionner le coupe-circuit et de couper les communications téléphoniques et Internet en période de soi-disant crise ?

    Après tout, cela se produit partout dans le monde.

    Les coupe-circuits de communication sont devenus des outils tyranniques de domination et d’oppression pour étouffer la dissidence politique, mettre fin à la résistance, prévenir les pertes électorales, renforcer les coups d’État militaires et maintenir la population isolée, déconnectée et dans le noir, au propre comme au figuré.

    Comme le rapporte le Guardian : « De l’Ukraine au Myanmar, les pannes d’Internet provoquées par le gouvernement s’accélèrent partout dans le monde. En 2021, il y a eu 182 fermetures dans 34 pays... Des pays d'Afrique et d'Asie ont eu recours à des fermetures dans le but de contrôler les comportements, tandis que l'Inde, en grande partie située dans la région du Jammu-et-Cachemire en proie à un conflit, a plongé à plusieurs reprises dans l'obscurité numérique. plus que toute autre année dernière… Les troubles civils en Éthiopie et au Kazakhstan ont déclenché des coupures d’Internet alors que les gouvernements tentent d’empêcher la mobilisation politique et d’empêcher l’émergence d’informations sur la répression militaire.

    À l’ère de la connexion Internet, tuer Internet équivaut à tout arrêter – les communications, le commerce, les voyages, le réseau électrique.

    Les tyrans et les tyrans potentiels comptent sur ce « manteau de ténèbres » pour faire avancer leurs programmes.

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  30. Au Myanmar, par exemple, la coupure d’Internet est survenue le jour où un gouvernement nouvellement élu devait prêter serment. C’est à ce moment-là que l’armée a organisé un coup d’État numérique et pris le pouvoir. Sous le couvert d’une panne de communication qui a coupé la population du monde extérieur et des autres, la junte « a mené des raids nocturnes, défonçant les portes pour en faire sortir des politiciens, des militants et des célébrités de haut niveau ».

    Ces coupures de communications imposées par le gouvernement servent non seulement à isoler, terroriser et contrôler la population, mais également à souligner le manque de liberté des citoyens face au pouvoir illimité du gouvernement.

    Pourtant, comme l’explique David Kaye, professeur de droit à l’Université de Californie à Irvine, ces coupe-circuit ne sont plus réservés aux régimes despotiques. Ils ont « migré vers une boîte à outils destinée aux gouvernements qui appliquent réellement l’État de droit ».

    Voilà à quoi ressemble l’autoritarisme numérique à l’ère technologique.

    L'autoritarisme numérique, comme le prévient le Centre d'études stratégiques et internationales, implique l'utilisation des technologies de l'information pour surveiller, réprimer et manipuler la population, mettant en danger les droits de l'homme et les libertés civiles, et cooptant et corrompant les principes fondamentaux des sociétés démocratiques et ouvertes. , « y compris la liberté de mouvement, le droit de s’exprimer librement et d’exprimer sa dissidence politique, ainsi que le droit à la vie privée, en ligne et hors ligne ».

    Pour ceux qui insistent sur le fait que cela ne peut pas se produire ici, c’est possible et cela s’est produit.

    En 2005, le service cellulaire a été désactivé dans quatre grands tunnels de New York, apparemment pour éviter d'éventuelles explosions de bombes via un téléphone portable.

    En 2009, les signaux cellulaires des personnes assistant à l’investiture du président Obama ont été bloqués – encore une fois, pour la même raison.

    Et en 2011, les signaux de leurs téléphones portables ont été coupés pour les navetteurs de San Francisco, cette fois-ci, pour contrecarrer d'éventuelles manifestations suite à une fusillade par la police contre un sans-abri.

    Alors que les arrêts deviennent de plus en plus difficiles à détecter, qui peut dire que cela ne se produit toujours pas ?

    Bien qu'un kill switch Internet soit généralement compris comme un arrêt complet d'Internet, il peut également inclure un large éventail de restrictions telles que le blocage de contenu, la limitation, le filtrage, les arrêts complets et la coupure de câbles.

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  31. Comme l’explique Global Risk Intel :

    « Le blocage de contenu est une méthode relativement modérée qui bloque l'accès à une liste de sites Web ou d'applications sélectionnés. Lorsque les utilisateurs accèdent à ces sites et applications, ils reçoivent des notifications indiquant que le serveur est introuvable ou que l'accès a été refusé par l'administrateur réseau. Une méthode plus subtile est la limitation. Les autorités diminuent la bande passante pour ralentir la vitesse à laquelle certains sites Web sont accessibles. Une connexion Internet lente décourage les utilisateurs de se connecter à certains sites Web et n’éveille pas de suspicion immédiate. Les utilisateurs peuvent supposer que le service de connexion est lent mais ne peuvent pas conclure que cette circonstance a été autorisée par le gouvernement. Le filtrage est un autre outil permettant de censurer des contenus ciblés et d’effacer des messages et des termes spécifiques que le gouvernement n’approuve pas.

    À quelle fréquence la plupart des gens, confrontés à des erreurs de serveur et à des vitesses Internet lentes, attribuent-ils cela à un service médiocre ? Qui soupçonnerait le gouvernement d’être à l’origine d’erreurs de serveur et de lenteurs Internet ?

    Là encore, c’est le même gouvernement qui nous a soumis à toutes sortes d’empiétements sur nos libertés (confinements, mandats, restrictions, programmes de recherche des contacts, surveillance accrue, censure, surcriminalisation, shadow bannissement, etc.) afin de lutter contre le COVID. -19, préserver l’intégrité des élections et lutter contre la désinformation.

    Ces tactiques sont devenues des outils de domination et d’oppression à une époque dépendante d’Internet.

    Peu importe les justifications de tels confinements. Quelle que soit la justification, le résultat final est le même : une expansion du pouvoir gouvernemental directement proportionnelle à l’oppression des citoyens par le gouvernement.

    Selon Global Risk Intel, de nombreuses raisons se cachent derrière de telles restrictions :

    « Par exemple, le kill switch sert à censurer le contenu et à limiter la diffusion des informations. Cela concerne particulièrement les reportages qui couvrent les brutalités policières, les violations des droits de l’homme ou les informations éducatives. Les gouvernements peuvent également utiliser le kill switch pour empêcher les manifestants critiques du gouvernement de communiquer via des applications de messagerie telles que WhatsApp, Facebook ou Twitter et d’organiser des manifestations de masse. Par conséquent, les restrictions sur Internet peuvent constituer un moyen de réguler le flux d’informations et d’empêcher la dissidence. Les gouvernements estiment que les limitations d’Internet contribuent à stopper la propagation des fausses nouvelles et à renforcer la sécurité nationale et la sûreté publique en période de troubles.

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  32. À l’ère des crises fabriquées, des pouvoirs d’urgence et du technofascisme, le gouvernement possède déjà le savoir-faire, la technologie et l’autorité.

    Il ne lui manque plus que la « bonne » crise pour activer le coupe-circuit.

    Ce coupe-circuit particulier remonte à la loi sur les communications de 1934. Signée par le président Franklin D. Roosevelt, la loi autorise le président à suspendre les services de radio et de téléphone sans fil « s'il le juge nécessaire dans l'intérêt de la sécurité nationale ou de la sécurité nationale ». défense » en période de « guerre ou de menace de guerre, ou d’un état de péril public, de catastrophe ou de toute autre urgence nationale, ou afin de préserver la neutralité des États-Unis ».

    En cas de crise nationale, le président dispose d’un véritable arsenal de pouvoirs d’urgence qui outrepassent la Constitution et peuvent être activés à tout moment. Celles-ci vont de l'imposition de la loi martiale et de la suspension de l'habeas corpus à la fermeture de toutes les formes de communication, à la restriction des déplacements et à la mise en place d'un coupe-circuit des communications.

    Cette urgence nationale peut prendre n’importe quelle forme, peut être manipulée à n’importe quelle fin et peut être utilisée pour justifier n’importe quel objectif final – tout cela selon la volonté du président.

    Les graines de cette folie permanente ont été semées il y a plusieurs décennies lorsque George W. Bush a publié furtivement deux directives présidentielles qui accordaient au président le pouvoir de déclarer unilatéralement une urgence nationale, qui est vaguement définie comme « tout incident, quel que soit le lieu, qui entraîne une catastrophe ». des niveaux extraordinaires de pertes massives, de dégâts ou de perturbations affectant gravement la population, les infrastructures, l’environnement, l’économie ou les fonctions gouvernementales des États-Unis.

    Comprenant le plan de continuité du gouvernement (COG) du pays, ces directives (Directive présidentielle sur la sécurité nationale 51 et Directive présidentielle sur la sécurité intérieure 20), qui n'ont pas besoin de l'approbation du Congrès, fournissent un aperçu des mesures que le président prendra en cas de « urgence nationale ».

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  33. Le type d’actions que le président entreprendra une fois qu’il aura déclaré l’état d’urgence nationale peut à peine être discerné à partir des directives sommaires. Cependant, une chose est claire : en cas d’urgence nationale perçue, les directives du COG confèrent au président un pouvoir exécutif, législatif et judiciaire illimité.

    Le pays serait alors soumis par défaut à la loi martiale, et la Constitution et la Déclaration des droits seraient suspendues.

    Le kill switch d’Internet n’est qu’un élément du projet du gouvernement visant à verrouiller le pays et à instaurer la loi martiale.

    Il existe peut-être bien d’autres pouvoirs secrets que les présidents peuvent instituer en période de soi-disant crise sans surveillance du Congrès, des tribunaux ou du public. Ces pouvoirs n’expirent pas à la fin du mandat d’un président. Ils restent dans les livres, attendant juste d’être utilisés ou abusés par le prochain démagogue politique.

    Étant donné la tendance du gouvernement à utiliser les crises nationales comme des armes les unes après les autres afin d'étendre ses pouvoirs et de justifier toutes sortes de tyrannies gouvernementales au soi-disant nom de la sécurité nationale, ce n'est qu'une question de temps avant que ce pouvoir d'urgence particulier ne coupe Internet. est activé.

    Là encore, une panne totale des communications n’est qu’une version plus extrême de la technocensure que nous avons déjà subie de la part du gouvernement et de ses alliés du monde des affaires.

    Présentée comme un effort visant à contrôler la diffusion d’informations spéculatives ou fausses au nom de la sécurité nationale, la restriction de l’accès aux médias sociaux est devenue un moyen populaire de censure sur Internet.

    En fait, ces tactiques sont au cœur de plusieurs affaires critiques portées devant la Cour suprême des États-Unis sur qui peut contrôler, réglementer ou supprimer le contenu partagé sur Internet : l’individu, les censeurs d’entreprise ou l’État policier.

    Rien de bon ne peut sortir de la techno-censure.

    Comme l'écrit Glenn Greenwald pour The Intercept :

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  34. « L'erreur flagrante qui est toujours au cœur des sentiments pro-censure est la croyance crédule et illusoire que les pouvoirs de censure seront déployés uniquement pour supprimer les opinions que l'on n'aime pas, mais jamais les siennes… Facebook n'est pas un parent bienveillant, gentil et compatissant. ou un acteur subversif et radical qui va contrôler notre discours afin de protéger les faibles et les marginalisés ou servir de noble frein aux méfaits des puissants. Ils feront presque toujours exactement le contraire : protéger les puissants de ceux qui cherchent à saper les institutions des élites et à rejeter leurs orthodoxies. Les géants de la technologie, comme toutes les entreprises, sont tenus par la loi d’avoir un objectif primordial : maximiser la valeur actionnariale. Ils vont toujours utiliser leur pouvoir pour apaiser ceux qu’ils perçoivent comme détenant le plus grand pouvoir politique et économique. pouvoir."

    Comme je l’explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son équivalent fictif The Erik Blair Diaries, ces censeurs préparent le terrain pour anticiper toute idée « dangereuse » qui pourrait remettre en question l’emprise de l’élite au pouvoir sur nos vies.

    Quels que soient les pouvoirs que vous permettez au gouvernement et à ses agents du secteur privé de revendiquer maintenant, quelle qu'en soit la raison, ils seront à un moment donné dans le futur abusés et utilisés contre vous par des tyrans que vous avez créés.

    Au moment où l’on ajoute à cela les technologies de l’IA, les systèmes de crédit social et la surveillance mur à mur, il n’est même pas nécessaire de critiquer le gouvernement pour se laisser prendre au piège de la censure numérique.

    À terme, comme George Orwell l’avait prédit, dire la vérité deviendra un acte révolutionnaire.

    https://www.zerohedge.com/political/digital-kill-switches-how-tyrannical-governments-stifle-political-dissent

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  35. Référendum : le chemin ardu vers une participation directe à la politique


    20 janvier 2024
    par Andrea Drescher


    Les référendums sont une manière en Autriche de vivre la démocratie directe. C’est un chemin cahoteux qui ne mène que rarement au but. Néanmoins, les gens utilisent ce canal pour soulever des questions importantes auprès du public et de la politique. La neutralité de l'Autriche est une question très importante.

    Le référendum « La paix par la neutralité » est approuvé par le ministère autrichien de l'Intérieur depuis le 4 janvier 2024, car il a reçu le nombre nécessaire de déclarations de soutien et a rempli toutes les formalités. Le 16 janvier 2024, la participation aux frais de procédure requise, d'un montant de 2 799,50 € - en plus des 622 € de frais d'inscription - a été versée au BMI. Si les 100 000 signatures nécessaires (y compris les déclarations de soutien) sont atteintes au cours de la semaine d'inscription du 11 au 18 mars 2024, les initiateurs recevront un remboursement de près de 17 000 €.

    À première vue, il semble que l’on puisse gagner beaucoup d’argent avec les référendums. Cela est rapporté dans les médias et est de plus en plus discuté de manière désobligeante dans la scène critique du système, de sorte qu'il est prévisible qu'il y ait un changement juridique dans le remboursement des frais.

    Quelqu'un qui a déjà initié de nombreux référendums est le député Robert Marschall, que j'ai rencontré lors du rassemblement de l'alliance « La neutralité crée la paix ». Cette rencontre a été l'occasion d'un entretien car il est l'initiateur du référendum évoqué au début.

    Le magistrat Robert Marschall (57 ans) est un militant politique et président du Parti du retrait de l'UE. Il est le représentant de 7 référendums réussis. Les sujets abordés comprenaient « la sortie de l’Autriche d’EURATOM », « la VRAIE démocratie », « NON à la vaccination obligatoire » et le « référendum sur le remboursement des pénalités liées au COVID ». Il a actuellement postulé avec succès pour la semaine d'inscription au référendum « La paix par la neutralité » avec 67 000 partisans.

    Notre conversation m'a donné un aperçu intéressant du processus et du contexte des référendums en Autriche. Et depuis cet entretien, c'est clair pour moi : vous ne deviendrez pas riche avec cela, bien au contraire. Il faut faire preuve d’un entêtement particulier pour supporter gratuitement la bureaucratie de telles procédures.

    Question directe : les référendums sont-ils un modèle économique ?

    Non ! Les référendums font partie de la démocratie directe. Si vous créez plus de 100 000 déclarations de soutien, la question sera portée au Parlement et y sera discutée.

    Quiconque pense devenir riche en faisant cela devrait simplement le faire. Celui qui lance plusieurs référendums disposera, dans le meilleur des cas, d’une chaîne d’autofinancement une fois les coûts initiaux couverts. S’il nous reste quelque chose, cela servira à préfinancer le prochain référendum.

    Même le ministère de l'Intérieur a écrit dans la dernière confirmation de remboursement du 11 janvier 2024 un remboursement des frais, c'est-à-dire le remboursement des frais conformément à l'article 17 VoBeG. La différence entre les frais payés et le montant remboursé sert à couvrir les coûts supplémentaires associés à un référendum. Un « remboursement des frais » n’est pas un « bénéfice (net) », même si les médias affiliés au gouvernement ont tenté de présenter cela comme tel au cours des six derniers mois. Dans les deux à deux ans et demi qu’il faut attendre pour un référendum, beaucoup d’efforts seront nécessaires.

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  36. Certains référendums coûtent énormément plus cher que ce qui a été remboursé. Cela entraîne parfois de lourdes pertes. Le coût du référendum des femmes 2.0 de 2018, qui a fait l'objet d'une publicité intensive, s'est élevé à au moins 175 000 euros, financés par le financement participatif et des dons. Cela signifie que le remboursement de 17 000 € ne représentait qu'une petite couverture des pertes (moins de 10 %) des frais.

    Pourriez-vous s'il vous plaît détailler brièvement les coûts impliqués ?
    Ce n'est pas du court terme, il y a quelques éléments de coûts.

    Viennent d’abord les frais de publicité. Il faut entrer en contact direct avec la population : les médias ignorent presque totalement les questions critiques à l'égard du gouvernement, ce qui est d'ailleurs le but des référendums. Bannières publicitaires, stands d'information, dépliants - du graphiste à l'imprimeur en passant par l'accrochage des affiches et la distribution des dépliants - tout cela coûte de l'argent. Au cours de la dernière semaine d'inscription du mois de novembre - lorsqu'il s'agissait du remboursement des amendes Covid et de l'abolition de la loi sur la vaccination obligatoire - nous avons fait imprimer et distribuer 50 000 dépliants. Les deux référendums ont été couronnés de succès avec un peu plus de 101 000 voix et doivent être examinés par le Parlement. Un poste de coût important mais variable consiste à placer des annonces dans les journaux. Une publicité coûte généralement plusieurs milliers d'euros, donc un remboursement de 14 000 euros ne vous mènera pas très loin et vous ne pouvez faire de la publicité que dans de très petits magazines.

    Deuxièmement, il y a les coûts de présence sur Internet et de support Internet. Un site Web est plus ou moins complexe et nous avons parfois besoin de l'aide d'experts en informatique, notamment en matière de sécurité et de stockage des données.

    Troisièmement, il y a des coûts pour l’ensemble de l’organisation. Il faut une équipe de personnes, c'est-à-dire le mandataire, quatre adjoints et des militants. Malheureusement, les membres de notre équipe vivent très dispersés - Vienne, Basse-Autriche, Styrie, ce qui nécessite de nombreux déplacements pour se rendre aux réunions, car tout ne peut pas être organisé en ligne ou par téléphone.

    Ensuite, il y a les frais de déplacement : assister à des rassemblements, des marches ou des manifestations est nécessaire pour faire passer le message. Je vais toujours à Vienne, Steyr, Linz, Salzbourg et ailleurs. Les frais de voyage s'additionnent et pendant la période Corona, il y a aussi eu des sanctions arbitrairement imposées par les autorités.

    A ne pas oublier : les quelque 3 400 euros qui doivent être payés d'avance par les initiateurs. En tant qu'organisateur d'un référendum, vous devez payer cette somme pour pouvoir organiser un référendum même pendant la semaine d'inscription. Mais vous ne serez remboursé que si vous atteignez 100 000 signatures. D'ailleurs, la plupart des référendums échouent et n'arrivent même pas jusqu'à la semaine d'inscription, comme les deux référendums de l'OMS de l'année dernière, qui étaient déjà en bonne voie.

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  37. À cela s’ajoutent les frais juridiques, parfois élevés, parfois gratuits car aucun conseil juridique n’est requis. Récemment, c'est-à-dire lors des quatre derniers référendums, nous avons déposé des demandes pour une semaine d'introduction sous la forme d'une attestation notariée. L'acte notarié assure et surtout documente incontestablement ce qui a été introduit.

    Pourquoi un notaire ?

    Certains référendums d'autres opérateurs ont déjà échoué parce que les formalités ne sont pas respectées, que des documents manquent et que les livraisons ultérieures ne sont pas possibles.

    Le représentant autorisé doit fournir de nombreux documents. Cela commence par les déclarations de soutien des députés, la confirmation bancaire du pouvoir de signature commun des cinq participants, la confirmation du paiement pour l'inscription conformément à la loi sur le référendum (VoBeG), bien sûr la justification du référendum et divers compléments. feuilles conformément à la VoBeG. De plus, il existe une preuve de l'état actuel des déclarations de soutien. Dans la première phase, plus d'un résident autrichien sur mille doit être d'accord, ce qui signifie qu'environ 8 900 déclarations de soutien doivent être soumises.

    Si l'un de ces documents manque, le référendum sera rejeté. Parce qu’il n’y a pas de candidature complète. Et comme les référendums ne sont pas soumis à l'AVG, il n'y a aucune possibilité de fournir quoi que ce soit par la suite.

    Si vous soumettez un référendum sous la forme d'une version notariée, les pièces jointes ne peuvent pas être perdues au ministère de l'Intérieur - bien sûr involontairement. Ma suggestion visant à ce que le ministère de l'Intérieur tamponne tous les documents au moment de leur présentation a été rejetée à plusieurs reprises - pour des raisons que je considère comme fragiles. Mais s’il manque un seul morceau de papier, plus de deux années de travail seront gaspillées. Nous ne voulons pas que cela se produise.

    Comment expliquez-vous le cadrage négatif des médias et du gouvernement ? Les référendums sont-ils sûrement un élément important d’une démocratie dynamique ?
    C'est évident : les référendums critiquent le gouvernement fédéral. Cette année est une grande année électorale et le gouvernement fédéral n'apprécie pas particulièrement que la population le critique. Je suppose donc que le cartel gouvernemental veut repousser les référendums.

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  38. Dans quelle mesure repousser ? Que font-ils alors ?

    Le cadrage négatif véhiculé par les médias était probablement une première étape. Les partis au pouvoir, l'ÖVP et les Verts, ont récemment annoncé qu'ils souhaitaient modifier la loi référendaire. Ils souhaitent uniquement rembourser les frais engagés et supprimer l'ancien remboursement forfaitaire des frais. Cela sera extrêmement compliqué. Vous devrez conserver chaque facture de carburant, établir des notes de frais de déplacement, faire émettre des reçus pour tout, etc. Vous êtes encore plus avancé en matière de calcul de l'indemnité kilométrique.

    De plus, à mon avis, ils exercent une influence sur les médias afin qu'ils ne couvrent pas les semaines d'inscription dans la mesure nécessaire. Ce manque d'information s'étend aux communautés. Là-bas, la population n'est parfois pas du tout informée de la semaine d'inscription, même si celle-ci est légalement obligatoire (§10 VoBeG).

    C'est-à-dire que les communautés ne respectent même plus les lois ?

    Cela fait l'impression. Au cours de la dernière semaine d'inscription, j'ai remarqué que dans ma ville natale de Gablitz et dans la ville voisine de Purkersdorf, les possibilités d'inscription n'étaient pas mentionnées dans le journal officiel. J'ai conservé tous les documents et la correspondance, je peux donc le prouver.

    Selon §10 VoBeG, la procédure d'enregistrement doit être annoncée de la manière locale habituelle.

    Pour l'élection du Conseil National, il s'agit du site Internet de la commune, du journal officiel et des journaux de la commune. Lorsque j'ai demandé par courrier électronique aux maires pourquoi les nominations officielles n'étaient pas publiées au Journal officiel, la réponse a été que c'était sur le tableau d'affichage du bureau municipal. Ils n'ont pas voulu le publier sur le site Internet de la municipalité de Gablitz car le secrétaire était en vacances depuis trois semaines. En impliquant le service électoral du ministère de l'Intérieur, il a été possible de garantir que la semaine d'inscription soit finalement publiée sur le site Internet de la municipalité. À mon avis, cela peut devenir un motif de contestation, car les référendums ne sont pas « mes » référendums, mais ceux de la République d’Autriche. Voyons comment cela se passe.

    Qu’est-ce qui vous pousse à continuer à créer des référendums ?

    Ce sont les gaffes et les erreurs incroyables du gouvernement fédéral qui me font penser : se plaindre ne suffit pas. La question est : que puis-je apporter de manière constructive pour que quelque chose change ? Je vois quatre manières par lesquelles les citoyens peuvent influencer le système existant.

    par le biais d'élections – mais cela n'arrive que tous les 5 à 6 ans
    par référendum – vous pouvez les soumettre à tout moment
    à travers des rassemblements et des manifestations
    par des mesures de protestation individuelles

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  39. Les citoyens n'ont pas d'autres chances, mais à mon avis, tout cela signifie que la loi sur la vaccination obligatoire a été abolie au bout de six mois. Il existe des possibilités de faire la différence, même si ce n'est pas facile. Je veux saisir toutes les opportunités que notre démocratie m’offre. Si nous n’y parvenons pas démocratiquement, les choses pourraient bientôt mal tourner. Je voudrais éviter cela autant que possible et montrer des solutions.

    Pour moi, les référendums sont désormais devenus extrêmement importants, même si nombre d’entre eux sont étouffés au Parlement par les partis. Mais c’est la faute des partis et non des initiateurs du référendum.

    Vous dites que les référendums échouent au Parlement. Pourquoi tu fais ça d'ailleurs ?

    Vous transmettez des informations que les gens ne recevraient pas autrement parce que les médias ne font pas leur travail. Même si vous ne parvenez pas à obtenir 100 000 signatures, vous avez touché de nombreuses personnes qui, autrement, n'auraient pas été au courant.

    Nous soulignons les sujets importants. Chaque année, entre 15 et 20 d'entre eux entrent au Parlement – ​​la plupart sont expulsés. La responsabilité en incombe donc clairement aux hommes politiques. Il est quand même important de continuer à montrer que cela ne fonctionne pas ainsi.

    Il y a eu au total cinq référendums différents pour abolir la loi sur la vaccination obligatoire. Ils sont venus les uns après les autres. Si vous n’abandonnez pas, vous finirez par réussir. Pour notre référendum NON à la vaccination obligatoire, nous avons déjà eu 134 820 déclarations de soutien lors de la phase d’enregistrement. Au cours de la semaine d'inscription, environ 112 000 signatures ont été ajoutées. Cela a probablement fini par convaincre les partis au pouvoir qu'il fallait abolir la loi et c'est ce qui s'est produit.

    Il faut juste de la patience dans une démocratie – ils ne peuvent pas rester silencieux sur toutes les questions à long terme. À un moment donné, la pression sur le Parlement sera si forte qu’il ne pourra plus résister. Et les initiatives réussies montrent que vous pouvez également faire la différence depuis le bas.

    Il y a déjà eu plusieurs référendums sur la neutralité, nous faisons maintenant une nouvelle tentative et disposons de très bons arguments.

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  40. Comment justifiez-vous le référendum sur la neutralité ?
    Ceci est documenté de manière très complète sur le site Web volksbegehren-oesterreich.at . Nos principales raisons pour le référendum « La paix par la neutralité » sont :

    Les guerres doivent être évitées, surtout en Europe
    La neutralité (et non les armes) est la meilleure base pour une politique de paix
    En 1955, l’Autriche s’engage à une neutralité « perpétuelle »
    Le chancelier Nehammer met en danger la neutralité de l'Autriche
    Les déploiements de l’armée fédérale à l’étranger doivent cesser immédiatement
    L’UE se transforme en alliance militaire
    Sur le site Internet, vous trouverez également des suggestions concernant l'impact sur notre législation et les options dont disposent désormais M. et Mme Autrichiens.

    Quel est le statut du référendum sur la neutralité ?

    À l'heure actuelle, nous disposons d'environ 67 500 déclarations de soutien. Il reste donc encore du chemin à parcourir pour atteindre les 100 000 signatures requises. La semaine d'inscription a lieu du 11 au 18 mars 2024.

    Que pouvez-vous faire en attendant ?

    Il est important de faire savoir au plus grand nombre qu'il y aura une semaine d'inscription pour qu'ils puissent signer, même si les communes bloquent à nouveau l'information. Toute personne disposant d'un site Web peut créer un lien vers le site Web du référendum http://www.volksbegehren-oesterreich.at/frieden-durch-neutralitaet.html . Chacun devrait vérifier dans sa propre communauté si le référendum a été annoncé, sinon s'assurer qu'il ait lieu ou nous contacter.

    Si nous portons la question au Parlement, les cinq partis devront prendre position là-dessus et j'attends des positions claires à ce sujet. Il ne faut pas l'oublier : 90 % des Autrichiens considèrent la neutralité comme importante, voire très importante. Malheureusement, la plupart des partis parlementaires ne veulent pas de neutralité.

    Ensuite, je croise les doigts pour que nous atteignions les 100 000 voix. Le 3 mars 2024, un rassemblement « La neutralité crée la paix » aura lieu à Steyr. Vous pouvez également y être entendu en tant que conférencier. À bientôt!

    https://tkp.at/2024/01/20/volksbegehren-der-muehsame-weg-zur-direkten-beteiligung-in-der-politik/

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    1. (...) Mais vous ne serez remboursé que si vous atteignez 100 000 signatures. (...)

      100 000 signatures !!!! C'est 20 000 fois moins en Suisse.

      Au fait... combien de Députés pour voter une loi ? 100 000 ? HAHAHAHA !

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  41. Le WEF veut empêcher les travailleurs de se mettre en colère, non pas en résolvant le problème mais en les gardant dans l’ignorance :

    La désinformation et la désinformation pourraient radicalement perturber les processus électoraux dans plusieurs économies au cours des deux prochaines années.
    – Une méfiance croissante à l’égard de l’information, ainsi que des médias et des gouvernements en tant que sources, approfondira les opinions polarisées – un cercle vicieux qui pourrait déclencher des troubles civils et éventuellement une confrontation.
    – Il existe un risque de répression et d’érosion des droits alors que les autorités cherchent à réprimer la prolifération de fausses informations – ainsi que des risques découlant de l’inaction.

    Partout dans le monde, des marionnettes politiques disent les mêmes choses sur les « dangers de la désinformation ».

    Mais Javier Milei, le nouveau président de l’Argentine, ne l’était pas. Il a averti que le monde occidental était en danger et que les socialistes ont changé leur programme et, au lieu de nous diviser en classes, ils ont créé d’autres divisions sociales – comme les femmes contre les hommes (et probablement la race contre la race). Le collectivisme et le socialisme, a-t-il dit, sont la voie vers la pauvreté. Et l’Argentine, avec toutes ses richesses et ses compétences, a perdu le libre marché et s’est retrouvée pauvre.

    Son discours était un appel aux armes des hommes d’affaires pour qu’ils tiennent tête à la classe politique :

    Ne vous laissez pas intimider, ni par la caste politique, ni par les parasites qui vivent aux dépens de l’État. Ne cédez pas à une classe politique qui veut seulement rester au pouvoir et conserver ses privilèges. Ne cédez pas aux avancées de l’État. L'État n'est pas la solution. L’État est le problème lui-même. Vous êtes les véritables protagonistes de cette histoire et soyez assurés qu’à partir d’aujourd’hui, l’Argentine est votre alliée fidèle et inconditionnelle.

    Il met en garde contre la tyrannie :

    Aujourd'hui, les États n'ont plus besoin de contrôler directement les moyens de production pour contrôler tous les aspects de la vie des individus, avec des outils tels que l'impression de monnaie, la dette, les subventions, le contrôle des taux d'intérêt, le contrôle des prix et des réglementations pour corriger ce que l'on appelle. défaillances du marché. Ils peuvent contrôler la vie et le destin de millions d’individus….

    MISE À JOUR : À partir d'une meilleure traduction

    Le socialisme réduit le gâteau :

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  42. 11 : « On dit que le capitalisme est mauvais parce qu’il est individualiste et que le collectivisme est bon parce qu’il est altruiste, bien sûr avec l’argent des autres. »

    12 : « Ceux qui promeuvent la justice sociale prônent l'idée que l'économie dans son ensemble est un gâteau qui peut être mieux partagé, mais ce gâteau n'est pas une donnée fixe, ce sont des richesses qui sont générées dans ce qu'Israel Kirzner, par exemple, appelle un « gâteau ». Processus de découverte du marché.

    13 : « Si l’État punit les capitalistes lorsqu’ils réussissent et fait obstacle au processus de découverte (du marché), ils détruiront leurs incitations et la conséquence est qu’ils produiront moins, et le gâteau sera plus petit, et cela nuira à la société dans son ensemble.

    14 : « Le collectivisme, en inhibant le processus de découverte (du marché) et en empêchant l’appropriation des découvertes, finit par lier les mains des entrepreneurs et les empêcher de fournir de meilleurs biens et services à un meilleur prix. »

    L'intégralité du discours est chez Chiefios, mais également publié chez RealClearPolitics, Washington Examiner.

    H/t un autre Ian et Kim. Merci également à Ross et John Connor II

    *Pour les lecteurs étrangers, un délit est « un stratagème ou une astuce frauduleuse ».

    https://joannenova.com.au/2024/01/wef-say-worlds-greatest-threat-is-misinformation-the-biggest-threat-to-experts-and-billionaires-is-free-speech/#more-95321

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    1. Ce sont des attardés-mentaux, des trisomiques, des bons-à-rien, des inutiles qui sortent d'écoles de pédés et qui se chargent de... de la gestion d'un pays !!! 3000 milliards de dettes ! Incapable de rembourser les intérêts car çà dépasse le PIB de 100 % !!

      Au fait... les escrocs, ils touchent combien par mois ? 20 000 ? 100 000 / 200 000 ?

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  43. G20, BRICS, WEF et la « Construction d’un monde juste et d’une planète durable »


    Par Jacob Nordangard
    Recherche mondiale,
    20 janvier 2024


    Cette année sera décisive pour l’agenda futur, avec le prochain Sommet des Nations Unies sur le futur en septembre. Cela jettera les bases d’une gouvernance économique mondiale renforcée, le G20 occupant une position élevée au sein de l’ONU et du système financier international.

    La note d'orientation de l'ONU Réformes de l' architecture financière internationale , qui s'appuie sur les propositions de Notre programme commun des Nations Unies , a suggéré la création d'un « organe suprême » pour la coordination économique qui servirait d'élément clé pour atteindre l'Agenda 2030 et les ODD. Cet organisme devrait inclure le G20, l'ONU et les institutions financières mondiales et se réunira lors d'un sommet biennal.

    Le slogan du G20 (Groupe des Vingt), présidé par le Brésil et le président Lula da Silva , est « construire un monde juste et une planète durable ». Les domaines d'intervention sont : « Les trois dimensions du développement durable », « Lutte contre la faim, la pauvreté et les inégalités » et « Réforme de la gouvernance mondiale ».[ 1]

    Le G20 a été créé après la crise financière asiatique de 1999 et est devenu le premier forum mondial pour discuter et gérer les défis mondiaux pendant la crise financière mondiale à peine dix ans plus tard.

    Ce type d'arrangement avait déjà été discuté lors d'un rassemblement informel des dirigeants économiques mondiaux (IGWEL) lors du sommet annuel du Forum économique mondial en 1998.[ 2]

    Cela a abouti à une proposition des ministres des Finances du G7 « d’élargir le dialogue sur les questions clés de politique économique et financière entre les économies d’importance systémique ». Ils ont ensuite invité ces « économies significatives » à une réunion à Berlin en décembre 1999.[ 3]

    Les idées de cet arrangement de gouvernance mondiale avaient cependant été suggérées dès les années 1970 par des membres de la Commission trilatérale. Pour réussir, il a été jugé important d’inclure les plus grandes économies émergentes. Cela se reflète dans leur rapport de 1976 La réforme des institutions internationales par C. Fred Bergsten, Georges Berthoin et Kinhide Mushakoji.

    Au début, seuls les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales assistaient aux réunions, mais depuis le sommet du G20 sur les marchés financiers et l'économie mondiale de 2008, les chefs d'État ou de gouvernement ont été invités (parmi les premiers participants figurait Lula da Silva).

    Cette mise à niveau a été réalisée grâce au plaidoyer du WEF. Comme indiqué dans leur livre du 50e anniversaire WEF : A Partner in Shaping History 1971-2020 :

    Klaus Schwab, entre autres, a proposé dans plusieurs discours d'élever la réunion du G20 au rang de véritable sommet mondial.

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  44. Depuis lors, le G20 s’est progressivement vu attribuer davantage de domaines d’intervention et constitue en fait un embryon de gouvernement mondial. Les États membres du G20 représentent environ 80 % de la population mondiale et l'organisation fonctionne comme un conseil exécutif pour la mise en œuvre des objectifs de développement durable des Nations Unies ainsi que du programme de santé de l'OMS.

    L'ancien dirigeant de l'Union soviétique, Mikhaël Gorbatchev , l'a un jour qualifié de « Politburo mondial ». Le groupe est composé de 19 États membres, plus l'Union européenne (UE) et l'Union africaine (UA) récemment acceptée comme membre.

    - voir cadre sur site -

    Le Secrétaire général des Nations Unies est un invité permanent, aux côtés de représentants de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), de l'ASEAN, de l'OMC, de l'OIT, du FMI, de la Banque mondiale et du Conseil de stabilité financière.

    Une grande partie de leur travail s'effectue à travers le « parcours finance » et le « parcours sherpa ».

    Le volet finance, composé de sept groupes techniques et d'un groupe de travail, traite de la macroéconomie et de la construction d'une nouvelle architecture financière internationale. Les participants sont des représentants des institutions financières internationales (Banque mondiale, FMI, BRI), des banques régionales de développement, des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales (FMCBG).

    Leur groupe de travail conjoint sur les finances et la santé est un forum qui améliore la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPR) en « alignement avec l’approche « Une seule santé » et les priorités et objectifs de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le secrétariat est situé au siège de l'OMS à Genève et bénéficie du soutien de la Banque mondiale.[ 4]

    La piste sherpa compte quinze groupes de travail (dans des domaines comme la santé, l’agriculture, l’éducation et la transition énergétique), deux groupes de travail et une « Bioeconomy Initiative ». Les travaux sont dirigés par les émissaires personnels des dirigeants du G20. Les autres participants sont des ministres des pays membres du G20 et des organisations internationales comme l'OCDE et les Nations Unies.

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  45. Le G20 constitue également 13 groupes d’engagement issus de différentes parties de la société. Il s’agit notamment de Women20, Youth20, Cities20 (maires), Science20, Business20 et Think20 (groupes de réflexion). Ces deux derniers sont les plus puissants de ces groupements. Le B20 entretient également des liens étroits avec le WEF, Klaus Schwab étant membre du conseil consultatif.

    - voir clip sur site -

    Le dernier ajout est Oceans20 , qui promeut la durabilité marine avec le soutien du Forum économique mondial.

    Ces groupements prétendent représenter les voix de la « société civile ». Un sommet social est organisé en novembre pour réfléchir à leurs propositions avant le sommet des dirigeants.

    Le G20 est cette année gouverné par les trois pays BRICS, le Brésil (président), l'Afrique du Sud (président entrant) et l'Inde (président précédent). Cet arrangement constitue une garantie pour la poursuite de l'ordre du jour.

    Le lien entre climat et santé fait comme toujours partie du programme. Cela peut être considéré à la lumière de l’Assemblée mondiale de la santé de cette année, qui devrait conférer une autorité étendue à l’OMS et donner naissance au « régime de santé unique ». Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom, a récemment salué les priorités du Brésil.[ 5]

    L'une des propositions est « Des systèmes de santé résilients », qui « visent à défendre les systèmes de santé universels pour faire face aux défis majeurs de la gouvernance mondiale de la santé, tels que ceux provoqués par la crise climatique ». Un mécanisme sera discuté qui « permet aux gouvernements créanciers d'échanger leurs dettes contre des résultats en matière de santé ».[ 6]

    Ceci s’inscrit dans le cadre de la réalisation de l’ODD 3 des Nations Unies – Santé et bien-être.

    Cela entraînera-t-il une vaccination forcée des populations des pays pauvres pour les sauver de la faillite ?

    On se demande quel genre de surprises se cachent dans leurs manches ?

    Devons-nous nous inquiéter du fait que l'un des panels (comprenant Tedros Adhanom et la ministre brésilienne de la Santé, Nisia Trindade Lima ) de la réunion annuelle du WEF de la semaine prochaine soit intitulé « Se préparer à la maladie X » ?

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  46. Avec les nouveaux avertissements de l’Organisation mondiale de la santé selon lesquels une « maladie X » inconnue pourrait entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus, quels nouveaux efforts sont nécessaires pour préparer les systèmes de santé aux multiples défis à venir ?[ 7]

    Le Brésil lancera également le Groupe de travail pour la mobilisation mondiale contre le changement climatique « pour renforcer l'alignement macroéconomique et financier mondial afin de mettre en œuvre les objectifs de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et de l'Accord de Paris ».[ 8]

    Le Brésil est le septième producteur mondial de pétrole et il est peu probable qu'il tue la poule aux œufs d'or. Cela a davantage à voir avec la création d’un nouveau système économique technocratique construit autour de l’utilisation de l’énergie et d’une monnaie carbone.

    Le groupe de réflexion universitaire Sustainable Finance Lab a récemment proposé une pièce carbone mondiale. Une monnaie basée sur « un stock naturel quelconque, ou le budget carbone restant ».

    De cette façon, une nouvelle monnaie de réserve mondiale peut émerger. Cela présente non seulement des avantages environnementaux, mais répond également à un appel croissant en faveur d’un plus grand équilibre dans le système monétaire mondial désormais unipolaire – un appel venant clairement des grandes économies émergentes des BRICS.[ 9]

    BRICS – La voix du Sud global
    Parlons donc des BRICS. Sont-ils une alternative ? Beaucoup de gens semblent le penser.

    Le groupe a été fondé par le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine à Ekaterinbourg, en Russie, en 2009 sous le nom de BRIC, et est considéré comme un contrepoids au G7 dominé par l’Occident. La voix du Sud. Un an plus tard, avec l’arrivée de l’Afrique du Sud, ils sont devenus les BRICS.

    Le sommet des BRICS de 2024 devait initialement se tenir au Brésil, mais a été transféré à la Russie et à Vladimir Poutine en raison des engagements du Brésil en tant qu'hôte du G20 cette année.

    Le Sommet des dirigeants aura lieu à Kazan, au Tatarstan, en octobre avec pour mission d'établir un ordre mondial « juste ».[ 10] Cela s'oppose, selon Poutine, à l'ordre « fondé sur des règles » promu par l'Occident. et G7. La devise est « Renforcer le multilatéralisme pour un développement et une sécurité mondiaux équitables ».[ 11] Cette fois avec la participation de cinq nouveaux États membres.

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  47. L’un des nouveaux pays est l’Émirat arabe uni, qui accueille également le Sommet mondial des gouvernements affilié au WEF et le dernier sommet international sur le climat – la COP28. Les Émirats arabes unis sont un pays modèle pour le programme futuriste que le WEF promeut à travers la quatrième révolution industrielle. Ils sont un partenaire clé du WEF ainsi que la principale plaque tournante des Nations Unies au Moyen-Orient.

    Une nouvelle édition plus surprenante est celle de la république islamique théocratique d’Iran. Un ennemi juré des États-Unis et d’Israël qui a forgé des alliances avec la Chine et la Russie et vend du pétrole à l’Inde.

    Avec l'Arabie Saoudite, cela signifie également que six des dix principaux producteurs mondiaux de pétrole sont membres des BRICS.

    Les plus grands producteurs de pétrole du monde

    - voir cadre sur site -

    Cela donne du muscle aux BRICS. Mais il s’agit d’un groupe avec des lignes de démarcation claires entre les États membres. Ils sont dispersés sur trois continents, présentent des différences culturelles et religieuses et sont quelque peu paralysés par la lutte de leadership entre l’Inde et la Chine.

    Les nouveaux membres, l’Iran et l’Arabie Saoudite, se disputent également l’influence au Moyen-Orient et ont été impliqués dans des guerres par procuration les uns contre les autres. L’Iran est la première puissance musulmane chiite tandis que l’Arabie saoudite est la première puissance musulmane sunnite. Les relations diplomatiques sont toutefois rétablies avec l'aide de la Chine depuis mars 2023.

    Le G7 est beaucoup plus homogène avec un leader clairement défini (mais avec un pouvoir décroissant).

    Les BRICS ne sont pas, comme le prétendent souvent les médias alternatifs, un véritable concurrent sur la scène mondiale. Ils ne remettent pas en question l’Agenda 2030 des Nations Unies ou la quatrième révolution industrielle du WEF. Les BRICS agissent dans les limites du système international. Tous les pays des BRICS ont imposé des confinements et des masques obligatoires pendant la pandémie de COVID-19. Ils participent tous à la série interminable de sommets sur le climat (le Brésil organisera la COP 30 en 2025).

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  48. Six des membres des BRICS sont membres du G20 (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud et Arabie Saoudite). Ce sont des pays qui veulent tous assurer leur siège et avoir leur mot à dire dans le système de gestion mondial émergent. L’ancienne hégémonie est en train de mourir lentement et les sociopathes du monde ont besoin d’un nouvel hôte. C’est ce que devrait être leur nouvel « organisme suprême » pour l’économie mondiale.

    L’un des critères pour postuler à l’adhésion aux BRICS est en outre « d’être engagé en faveur de la réalisation des objectifs de développement durable ».[ 12]

    Lors du dernier sommet des BRICS en Afrique du Sud, les BRICS ont souligné leur engagement à « mobiliser les moyens nécessaires à la mise en œuvre de l'Agenda 2030 » et ont souligné les « opportunités significatives » que constitue le Sommet du futur dans la Déclaration des dirigeants de Johannesburg II . Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a également participé au sommet .

    - voir clip sur site -

    WEF – Le bâtisseur de ponts

    Les véritables maîtres, les propriétaires du monde des affaires et du secteur bancaire, se cachent derrière les BRICS ainsi que derrière le G7. Cela est particulièrement vrai pour la manifestation la plus visible de leur influence : le Forum économique mondial .

    Le WEF opère partout dans le monde. Comme le disait Klaus Schwab en 2020 :

    Le Forum a noué d'excellentes relations avec la Fédération de Russie. Tant auprès du monde des affaires qu’auprès du gouvernement.

    Le PDG russe de la Sberbank et proche allié de Vladimir Poutine, Hermann Gref , a été membre du conseil d'administration du WEF pendant onze ans (2011-2022), tandis que Poutine connaît Schwab depuis une réunion à Saint-Pétersbourg en 1992.[ 13] Ces « excellentes relations » sont toutefois devenues un peu glaciales après le déclenchement de la guerre en Ukraine.[ 14] Du moins officiellement.

    L'attaque russe n'aurait guère pu être une surprise pour le WEF étant donné qu'un conflit persiste entre la Russie et l'Ukraine depuis 2014. Malgré les sanctions des États-Unis et de l'Union européenne, le WEF a continué à collaborer avec la Russie lors de l' exercice Cyber ​​Polygon organisé chaque année. par la Sberbank 2019-2021, ainsi que de forger des liens plus profonds grâce à un partenariat étroit entre le WEF et le Forum économique de Saint-Pétersbourg .

    Il n’est pas exagéré de supposer que la relation sera rétablie une fois le conflit réglé.

    La Chine a également développé des liens étroits avec le WEF. Depuis 2007, la réunion annuelle des nouveaux champions « Davos d'été » est organisée dans les villes chinoises de Tiunjan et de Dalian.[ 15]

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  49. Le WEF a ouvert des Centres pour la Quatrième Révolution Industrielle (C4IR) au Brésil, en Chine, en Afrique du Sud, en Inde, aux Émirats Arabes Unis et en Arabie Saoudite, tandis que le centre en Russie (qui a ouvert ses portes jusqu'en 2021) a été suspendu en raison du conflit en Arabie Saoudite. Ukraine.[ 16]

    La communauté Global Shapers du WEF (pour les jeunes entre 20 et 29 ans) dispose de centres dans 152 pays avec pour mission « d'inspirer, d'autonomiser et de connecter les jeunes leaders pour renforcer leurs communautés et changer le monde » sous la direction de Klaus Schwab et du Council on Foreign. Relations-président David Rubenstein . Tous les pays BRICS, à l’exception de l’Iran, ont ou ont eu des hubs.[ 17]

    Le WEF a également « pénétré » les BRICS avec leurs programmes Young Global Leader (et leurs prédécesseurs Global Leaders of Tomorrow). Il y a désormais plus de 800 dirigeants formés par le WEF dans les pays BRICS. Plusieurs d’entre eux occupent des postes gouvernementaux, mais la plupart travaillent dans le monde des affaires.

    La liste suivante des jeunes leaders mondiaux dans les pays BRICS est produite à partir des données de la liste Pharos WEF YGL .

    Brésil : 73
    Russie : 69
    Inde : 204
    Chine : 206
    Afrique du Sud : 120
    Égypte : 23
    Éthiopie : 10
    Iran : 9
    Arabie Saoudite : 44
    Émirats arabes unis : 47

    Le WEF a également, pour des raisons évidentes, une influence sur l’Occident. Le sommet du G7 sera organisé cette année par l'Italie et la Première ministre Giorgia Meloni , et mettra l'accent sur le changement climatique, l'intelligence artificielle et la sécurité alimentaire. Un autre objectif clé est la « défense du système international fondé sur des règles » que la Russie, selon le G7, a « miné » en raison de sa « guerre d’agression contre l’Ukraine ».[ 18]

    Ce sont pratiquement les mêmes sujets que ceux qui seront abordés lors du sommet annuel du WEF la semaine prochaine. Parmi les invités invités à Davos cette année figure le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy , qui discutera des « principes et de la mise en œuvre » de son plan de paix .[ 19] Cependant, aucun dirigeant russe n'a été invité cette fois-ci.

    Nous pouvons nous attendre à ce que les résultats de Davos affectent l’agenda de tous les lieux de coopération mondiale. Que ce soit le G7, les BRICS ou le G20.

    Le mois prochain, le Sommet mondial des gouvernements se tiendra à Dubaï, aux Émirats arabes unis, avec pour mission de « façonner les futurs gouvernements » grâce à une « technologie intelligente ».

    Le véritable combat consiste à savoir qui contrôlera le futur ordre mondial une fois l’architecture en place. Peut-être une IA « digne de confiance » ?

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  50. Remarques

    1 www.g20.org/en/about-the-g20/e-book-brasil-na-presidencia-do-g20

    2 www3.weforum.org/docs/WEF_A_Partner_in_Shaping_History.pdf

    3 www.g20.utoronto.ca/docs/g20history.pdf

    4 www.mef.gov.it/inevidenza/2021/article_00067/G20-Joint-Finance-and-Health-Ministers-Communique-29-October-2021.pdf

    5 www.g20.org/en/news/world-health-organization-defends-global-equity-in-health-and-finance

    6 www.g20.org/en/news/sus-is-a-reference-for-brasils-health-proposal-at-the-g20

    7 www.weforum.org/events/world-économique-forum-annual-meeting-2024/sessions/preparing-for-a-disease-x

    8 www.g20.org/en/tracks/sherpa-track/climate-change

    9 globalchallenges.org//app/uploads/2023/12/The-climate-trillions-we-need-4.pdf

    10 www.ft.com/content/dec93c8a-35f0-48cf-9630-17b6c58a9631

    11 fr.kremlin.ru/events/president/news/73202

    12 brics2023.gov.za/wp-content/uploads/2023/11/BRICS-Membership-expansion-guiding-principles-criteria-and-standards-2023.pdf

    13 www3.weforum.org/docs/WEF_A_Partner_in_Shaping_History.pdf

    14 www.weforum.org/agenda/2022/02/ukraine-our-full-solidarity/

    15 www.china.org.cn/business/summerdavos2009/node_7076769.htm

    16 c4ir.ru/en/

    17 weforum.ent.box.com/s/s1pu3rhxv4757degjrtom1mzow6x7i8b

    18 www.g7italy.it/en/

    19 www.weforum.org/events/world-économique-forum-annual-meeting-2024/sessions/press-conference-national-security-advisers-on-ukraine

    20 www.aftonbladet.se/nyheter/kolumnister/a/8J2zXW/saab-tjanar-miljarder-pa-hot-om-krig

    21 www.g20.org/en/news/world-nomic-forum-report-states-that-disinformation-and-extreme-weather-are-the-main-menaces-to-the-world-today

    https://www.globalresearch.ca/g20-brics-wef-building-just-world-sustainable-planet/5846148

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