- ENTREE de SECOURS -



samedi 27 janvier 2024

Top 4 des théories du complot sur la 5G qui se réalisent

 

24/01/2024 

 Lance D Johnson


Le prix que nous payons pour l’Internet haut débit est terrifiant. Plus nous passons de temps sur nos smartphones, à proximité des compteurs intelligents et autour des antennes 5G, plus nous sacrifions la santé même de nos cellules, de nos mitochondries, de notre ADN.

Lorsque la 5G a été introduite pour la première fois en 2019, les effets néfastes des rayonnements électromagnétiques ont suscité une vive controverse et des « théories du complot » ont émergé. En 2017, des médecins et des scientifiques ont déposé une pétition contre le déploiement de la 5G dans l’UE en raison de risques potentiels de cancer. Aujourd'hui, des scientifiques plus indépendants documentent la preuve que les champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-EMF) ont des effets biologiques nocifs sur chaque cellule du corps, endommageant les mitochondries (la centrale électrique de la cellule). Cette grave réalité a conduit une ville entière (Vaud en Suisse) et un pays entier (la Belgique) à imposer un moratoire sur les nouvelles installations 5G. De plus en plus de villes dans le monde commencent à considérer les antennes 5G comme une source de pollution environnementale. Voici quatre théories du complot sur la 5G qui se réalisent :

Premièrement : la 5G amplifie les dommages causés par les champs électromagnétiques en formant des radicaux libres

Les CEM endommagent indirectement l’ADN en activant les canaux calciques voltage-dépendants (VGCC) du corps. Les recherches du Dr Martin Pall montrent que les CEM amènent les VGCC à libérer un excès d’ions calcium dans les cellules, conduisant à des formations d’oxyde nitrique et de superoxyde qui réagissent davantage pour former du peroxynitrite et d’autres radicaux libres. Ces radicaux libres, notamment le peroxynitrite, endommagent l’ADN et nuisent à la fertilité, aux fonctions cérébrales et à la santé cardiaque. La 5G est un catalyseur silencieux des dommages oxydatifs des cellules et un précurseur de l’immunodéficience, devenue trop courante dans la population.

Deuxièmement : les compteurs intelligents maximisent les impulsions EMF, causant ainsi davantage de dommages au corps.

Les compteurs intelligents émettent un rayonnement d'ondes pulsées, libérant des rafales de champs électromagnétiques qui se produisent selon des cycles de démarrage et d'arrêt rapides tout au long de la journée. Des sociétés de services publics telles que Pacific Gas et Electric Company of California ont témoigné devant le tribunal que les compteurs intelligents émettent des ondes entre 9 600 et 190 000 fois par jour. Le rayonnement à ondes pulsées est très différent du rayonnement à ondes continues. Il existe désormais 13 études qui indiquent que les CEM à ondes pulsées sont plus actives et plus dangereuses que les CEM à ondes continues. Ces impulsions exercent une pression sur les cellules du corps. Essentiellement, les compteurs intelligents sont conçus pour infliger un maximum de dommages aux CEM au corps.

Troisièmement : la pénétration des champs électromagnétiques des téléphones intelligents provoque des effets négatifs au plus profond du corps.

Selon l'industrie des télécommunications, les champs électromagnétiques des téléphones intelligents n'affectent que 1 cm extérieur du corps. Les utilisateurs sont avertis de ne pas porter les appareils directement sur la peau. Cependant, selon des scientifiques indépendants, les dommages causés au corps sont beaucoup plus profonds et pénètrent dans le cerveau humain, le cœur et le système endocrinien. Les CEM peuvent modifier l’activité enzymatique, entraînant une diminution de la motilité des spermatozoïdes. Le professeur Hässig et ses collègues suisses ont découvert une association entre des niveaux plus élevés de stress oxydatif et le nombre d’émetteurs 5G à une distance de 100 à 199 mètres. Dans l’étude, les veaux ont souffert de cataractes nucléaires à différents degrés, mais les cataractes étaient plus importantes lorsque les veaux étaient plus facilement exposés aux antennes 5G. Il existe une relation entre la localisation des veaux exprimant une cataracte nucléaire au cours du premier trimestre de la gestation et la puissance des antennes 5G à proximité.

Quatrième : Manipuler les humains en utilisant leurs canaux sudoripares comme antennes

Dans l’article 5G et IoT : Total Technological Control Grid Being Rolled Out Fast, le scientifique Dr Ben-Ishai a écrit sur la capacité de la 5G à exploiter les canaux sudoripares du corps. Selon le Dr Ben Ishai, les réseaux 5G diffusent des fréquences qui accèdent aux conduits sudoripares humains, comme s'il s'agissait d'antennes. Il a découvert que les canaux sudoripares fonctionnent comme des antennes hélicoïdales, absorbant l’énergie électromagnétique entre 75 et 100 GHz. "Si vous modifiiez le caractère du canal sudoripare, c'est-à-dire le faisiez fonctionner, vous pourriez réellement modifier cette absorption à un moment donné, et si vous pouviez le faire, vous pourriez retracer la façon dont une personne est soumise au stress", dit-il.

Selon le chercheur Mark Steele, la 5G est équipée d’une lentille diélectrique et peut être utilisée comme système d’armement, au même titre qu’un radar longue portée et une énergie dirigée. « La 5G est un système d’armes, ni plus ni moins. Cela n’a rien à voir avec les télécommunications pour les humains. La 5G est une connexion de machine à machine pour les véhicules autonomes.

La poussée en faveur de la 5G a créé un vaste réseau d’antennes qui exposent continuellement les gens aux rayonnements électromagnétiques. Les appareils intelligents introduisent de plus en plus de nouvelles expositions aux CEM dans la vie quotidienne des gens. Les effets biologiques de la 5G, tels que soulignés par des études indépendantes, sont ignorés. Les répercussions de cette situation se feront sentir pendant de nombreuses années encore. Il est important de limiter son exposition, mais de nombreuses expositions sont inévitables. C’est pourquoi il est important de consommer des aliments et des suppléments comme la NAC qui sont riches en antioxydants.

Sources include:

Expose-News.com

FCC.gov

EMFSafetyNetwork.org [PDF]

AmazonAws.com [PDF]

ScienceDirect.com

Pubmed.gov

Youtube.com

FCC.gov

https://www.naturalnews.com/2024-01-24-4-conspiracy-theories-about-5g-coming-true.html

112 commentaires:

  1. Nucléaire : la production mondiale pourrait battre son record en 2025

    L’Agence internationale de l’énergie (AIE) vient de publier son rapport intitulé, Électricité 2024, le 24 janvier 2024, dans lequel elle prévoit un record mondial de production d’électricité d’origine nucléaire d’ici à 2025.


    Par Axelle Ker
    e 26 janvier 2024 à 11h30


    L'électricité propre (nucléaire et énergies renouvelables) pourraient représenter 46 % de la production mondiale d'électricité d'ici à 2026.

    Le retour en grâce de l'électricité nucléaire au niveau mondial

    La production d'électricité nucléaire, qui a souvent fait débat, s'apprête à atteindre des sommets jamais vus. En effet, même si certains pays tels que l'Allemagne ou encore l'Espagne continuent de faire front contre le nucléaire, il semble bien que l'énergie atomique est de nouveau trouvée grâce auprès de la majorité de la communauté internationale. D'après le rapport de l'Agence internationale de l'énergie, nous pourrions même battre des records de production à l'échelle mondiale d'ici à 2025. Cette hausse est due à plusieurs facteurs : la fin des travaux de réparation des centrales dans plusieurs pays, notamment en France, le redémarrage des centrales au Japon, l'ouverture et la construction de nouvelles centrales dans les pays émergents (Chine, Inde et Corée du Sud), et enfin, le développement de technologie nucléaire civile (70% des réacteurs nucléaires utilisent la technologie développée par la Chine et la Russie).

    L'AIE prévoit ainsi une augmentation de production de l'électricité nucléaire de l'ordre de 3 % par an. Lors de la grande réunion sur le climat, la COP28 à Dubaï, et pour répondre à cette demande croissante, une vingtaine de pays ont décidé de tripler leur production d'énergie nucléaire d'ici à 2050. L'Asie pourrait ainsi produire 26 % de l'électricité nucléaire mondiale dès 2026. Sous l'égide de la France, 14 pays européens, dont parmi eux la Suède, la Pologne, la Bulgarie ou encore les Pays-Bas et la Belgique, se sont engagés à doubler leur capacité nucléaire d'ici à 2050.

    Les énergies renouvelables en pleine ascension

    Les énergies renouvelables, comme le solaire et l'éolien, gagnent aussi du terrain. L'AIE estime qu'elles représenteront 37 % de la production mondiale d'électricité d'ici à 2026, surpassant ainsi le charbon qui représentait 36 % de la production mondiale en 2023. Cette progression est largement permise par le développement du photovoltaïque qui devient de moins en moins coûteux.

    L'avenir de la production d'électricité semble donc se dessiner autour d'un duo gagnant : le nucléaire et les énergies renouvelables. Ensemble, ils devraient répondre aux besoins croissants en électricité tout en aidant à lutter contre le changement climatique. La part de l'électricité propre (nucléaire et énergies renouvelables) dans la production totale devrait ainsi représenter près de la moitié de la production mondiale d'ici à 2025 (46 % contre 39 % en 2023).

    https://www.economiematin.fr/elecricite-nucleaire-production-record-2025

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  2. L’UE cherche à accélérer le développement de petits réacteurs nucléaires


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 JANVIER 2024 - 11H00
    Rédigé par Charles Kennedy via OilPrice.com,


    La Commission européenne devrait dévoiler en février une nouvelle alliance industrielle sur les petits réacteurs modulaires (SMR), visant à déployer les premiers petits projets nucléaires en Europe au début de la prochaine décennie.

    Les SMR sont des réacteurs nucléaires avancés qui ont une capacité de puissance allant jusqu'à 300 MW(e) par unité, soit environ un tiers de la capacité de production des réacteurs nucléaires traditionnels, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Les SMR permettent de réaliser des économies en termes de coûts et de temps de construction, et ils peuvent être déployés progressivement pour répondre à la demande croissante en énergie, indique l'agence.

    L’UE et d’autres économies développées cherchent à stimuler la production d’énergie nucléaire pour atteindre leurs ambitieux objectifs climatiques.

    L'UE cherche à établir une alliance industrielle européenne sur les PRM alors que le bloc constate « un regain d'intérêt pour l'énergie nucléaire et pour son potentiel à relever tous les principaux défis actuels : la décarbonation, la sécurité de l'approvisionnement électrique et l'autonomie stratégique de l'UE », a déclaré le commissaire européen. pour l'énergie, Kadri Simson, a déclaré en novembre lors d'un événement de l'industrie.

    « Un déploiement réussi des PRM doit avoir lieu d’ici la prochaine décennie afin d’apporter une contribution significative à notre chemin vers la neutralité climatique d’ici 2050 », a déclaré Simson.

    La Commission a maintenant rédigé une alliance industrielle européenne, dont l'objectif « est de faciliter et d'accélérer le développement, la démonstration et le déploiement des premiers projets de SMR en Europe au début des années 2030 », selon un projet de déclaration que Bloomberg News a pu consulter.

    Les PRM pourraient constituer une « contribution clé » au nouvel objectif de l’UE de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 90 % d’ici 2040, selon le projet.

    Le retour de l'énergie nucléaire dans de nombreux pays devrait entraîner une production d'électricité nucléaire record en 2025, a déclaré l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans un rapport publié plus tôt cette semaine.

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  3. D’ici l’année prochaine, la production nucléaire mondiale devrait dépasser son précédent record établi en 2021, a indiqué l’AIE dans son rapport Electricity 2024.

    Après la crise énergétique de 2022, de nombreux gouvernements – à l’exception notable de l’Allemagne – ont choisi de stimuler leur production d’énergie nucléaire pour assurer la sécurité énergétique et réduire les émissions liées à la production d’électricité dans le but d’atteindre zéro émission nette d’ici 2050.

    https://www.zerohedge.com/energy/eu-looks-accelerate-development-small-nuclear-reactors

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  4. Visualiser tous les déchets nucléaires du monde


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 JANVIER 2024 - 08H45


    L’énergie nucléaire fait partie des sources d’électricité les plus sûres et les plus propres, ce qui en fait un élément essentiel de la transition vers une énergie propre.

    Cependant, les déchets nucléaires, un sous-produit inévitable, sont souvent mal compris.

    En collaboration avec le National Public Utilities Council, Bruno Venditti de Visual Capitalist a créé le graphique suivant pour montrer le volume de tous les déchets nucléaires existants, classés par niveau de dangerosité et exigences d'élimination, sur la base des données de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). .

    - voir graph sur site -

    Stockage et élimination

    Le nucléaire fournit environ 10 % de la production mondiale d’électricité.

    Les déchets nucléaires ainsi produits peuvent être divisés en quatre types différents :

    Déchets de très faible activité : Déchets adaptés aux décharges proches de la surface, nécessitant un confinement et une isolation moindres.

    Déchets de faible activité : Déchets nécessitant un confinement robuste pendant quelques centaines d’années, adaptés à une élimination dans des installations techniques proches de la surface.

    Déchets de moyenne activité : Déchets qui nécessitent un degré de confinement et d'isolement plus élevé que celui fourni par l'élimination près de la surface.

    Déchets de haute activité : les déchets sont stockés dans des formations géologiques profondes et stables, généralement à plusieurs centaines de mètres sous la surface.

    Malgré les problèmes de sécurité, les déchets hautement radioactifs représentent moins de 0,25 % du total des déchets radioactifs déclarés à l'AIEA.

    - voir liste sur site -

    Déchets radioactifs stockés et éliminés déclarés à l'AIEA en vertu de la Convention commune sur la sûreté de la gestion du combustible usé et sur la sûreté de la gestion des déchets radioactifs. Les données proviennent de la dernière année de référence et varient selon le pays déclarant, 2019-2023.

    La quantité de déchets produits par l’industrie électronucléaire est faible par rapport à d’autres activités industrielles.

    Alors que les liquides inflammables représentent 82 % des matières dangereuses expédiées chaque année aux États-Unis, les déchets radioactifs ne représentent que 0,01 %.

    https://www.zerohedge.com/energy/visualizing-all-nuclear-waste-world

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  5. Fin du bouclier tarifaire : quelle facture d’électricité allez-vous payer ?

    La France se prépare à une augmentation importante des tarifs de l’électricité dès le 1er février, une évolution qui signe la fin progressive du bouclier tarifaire instauré par le gouvernement. Cette décision, dictée par la nécessité d’adapter les mesures de soutien au contexte économique actuel, impacte autant les ménages que les entreprises, avec des répercussions variables selon les contrats souscrits.


    Par Rédaction
    le 27 janvier 2024 à 12h00


    Le bouclier tarifaire, une protection temporaire

    Le bouclier tarifaire, mis en place en octobre 2021 pour protéger le pouvoir d'achat des Français face à l'escalade des prix de l'énergie liée au conflit en Ukraine, a effectivement joué son rôle de modérateur tarifaire. Initialement prévu pour se conclure en décembre 2023, il a été prolongé jusqu'en février 2025. Pendant cette période, l'État a réduit la taxe intérieure de consommation finale sur l'électricité (TICFE) à un euro par mégawatt/heure, une mesure significative qui a soutenu 37% des factures d’électricité. Cette approche a évité une hausse abrupte des prix, en comparaison avec d'autres pays européens.

    Des conséquences inévitables de la fin du bouclier tarifaire

    Cette situation ne pouvait être maintenue indéfiniment. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, souligne la nécessité de cette décision pour renforcer les capacités de production électrique du pays et marquer un retour à une gestion financière normative. Le 1er février 2024 marque ainsi une première étape avec le relèvement de la TICFE à 21 euros. Cette modification entraîne une augmentation de 9,8 % et 8,6 % respectivement pour les tarifs heures pleines/heures creuses et les tarifs de base. Malgré cette hausse, l'État continue de prendre en charge une part des factures, un soutien qui se traduit par une perte de trois milliards d'euros pour le budget de l'État en 2024.

    Impact sur les consommateurs

    La répercussion de cette augmentation sur les consommateurs varie grandement en fonction de leurs modes de chauffage et de leur lieu de résidence. Pour un ménage ne se chauffant pas à l'électricité, l'augmentation s'élève à environ cinq euros par mois. En revanche, pour ceux utilisant l'électricité comme source principale de chauffage, la hausse peut atteindre jusqu'à 18 euros par mois. Cette différence est également notable pour les entreprises : une boulangerie sous le tarif réglementé verra sa facture augmenter de 116 euros par mois, tandis qu'une boulangerie en offre de marché bénéficiera d'une baisse de facture malgré la hausse de la fiscalité.

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  6. Des cas variés, des réalités diverses

    La fin progressive du bouclier tarifaire et l'impact de cette hausse sont illustrés par divers cas types. Une personne vivant seule dans un appartement chauffé au gaz paiera environ 4,5 euros de plus par mois, tandis qu'une famille de quatre personnes en maison chauffée à l'électricité verra une augmentation d'environ 17,8 euros par mois. Les professionnels ne sont pas en reste, avec des augmentations notables pour les restaurants et boulangeries, bien que certains bénéficient d'une baisse de facture grâce à leur choix de marché.

    Cette fin du bouclier du tarifaire est le reflet d'un équilibre délicat entre la nécessité de soutenir le pouvoir d'achat des Français et la volonté de revenir à une gestion économique plus standard, tout en préparant l'avenir énergétique du pays. Les mois à venir seront cruciaux pour évaluer l'impact réel de ces changements sur les différents acteurs économiques et ménages français.

    https://www.economiematin.fr/energie-bouclier-tarifs-augmentation

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    1. La dictature pour les débutants ou, 'La mort pour les nuls'.

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  7. Les prix de l’électricité chutent d’un sommet ridicule, mais ce n’est pas dû aux énergies renouvelables et ce n’est toujours pas bon marché


    Par Jo Nova
    January 26th, 2024 |


    Cette semaine, les médias agitprop étaient pleins de bonnes nouvelles artificielles sur les prix de l’électricité en Australie, associées de manière suggestive, de la manière la plus vague et la plus dénuée de sens, au mot « énergies renouvelables ». Aucun d’entre eux n’a déclaré que les prix à long terme étaient encore plus élevés que lorsque nous avons commencé à essayer d’imposer une énergie éolienne et solaire peu fiable sur le réseau, et aucun d’entre eux n’a déclaré que les prix seraient la moitié de ceux d’aujourd’hui si le pays avait la chance de le faire. écouler le lignite.

    ABC, Guardian, Sydney Morning Herald

    Ces histoires trompeuses étaient des publicités déguisées pour les énergies renouvelables prétendant être des « nouvelles ». Ils étaient exposés dans The Guardian, The ABC et The Sydney Morning Herald, ainsi que dans tous les autres journaux d'Australie. Aucun journaliste n'a apparemment eu l'esprit de demander à l'AEMO comment cela se comparait aux prix à long terme. Mais tous ont docilement répété que les prix de décembre étaient 48 % moins chers qu'en décembre précédent, comme si les Australiens aimaient discuter de ce genre de choses autour du barbecue. Les prix de gros mensuels moyens étaient-ils bons pour vous Jim ?

    Les prix de gros de l’électricité en Australie chutent de près de moitié à mesure que les émissions de carbone diminuent
    The Guardian LogoLes prix de gros de l’électricité sur le principal marché australien de l’électricité ont presque diminué de moitié à la fin de 2023 par rapport à un an plus tôt, suscitant l’espoir que les ménages verront bientôt leurs factures moins élevées.

    Les prix au comptant sur le marché national de l'électricité (Nem) qui dessert les États de l'est et du sud sont tombés à une moyenne de 48 dollars le mégawattheure (MWh) au cours du trimestre de décembre, en baisse de 48 % par rapport à l'année précédente, a indiqué l'opérateur australien du marché de l'énergie (Aemo). ) a déclaré dans un rapport publié jeudi. Les émissions de carbone ont également chuté à des niveaux record.

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  8. Les journaux répétaient commodément les demi-vérités et demi-mensonges de l’Australian Energy Market Operator (AEMO), qui avait publié un communiqué de presse destiné à induire en erreur. Ce qu’aucun d’entre eux n’a signalé, c’est que les prix actuels ne constituent qu’une reprise partielle par rapport aux sommets obscènement élevés de 2022, et que les choses ne sont toujours pas aussi bon marché que la plupart des années où le réseau disposait de plus de charbon.

    Ce graphique ci-dessous du régulateur australien de l'énergie (AER) montre les prix annuels, mais la tendance est claire. Plus nous disposons d’énergies renouvelables, plus l’électricité devient chère. C’est une question de cause à effet. Les énergies renouvelables n’ont pas provoqué le dernier pic à la baisse, mais elles ont bel et bien provoqué la longue hausse. Merci aux énergies renouvelables pour les flambées de prix à 18 heures, les grosses batteries, l'éléphant Snowy 2.0 de 12 milliards de dollars et la liste de souhaits de 20 milliards de dollars pour les interconnecteurs. Les générateurs peu fiables rendent les générateurs fiables plus chers.

    - voir graph sur site -

    Graphique AER, prix de gros de l'électricité
    AER Prix annuels pondérés NEM

    Si l’ensemble de notre réseau électrique était composé à 100 % de lignite, l’électricité coûterait la moitié du prix.
    Les journaux accusent les combustibles fossiles d’être à l’origine des prix anormaux de 2022, mais si l’Australie avait eu davantage de générateurs de lignite en fonctionnement et avait autorisé davantage d’exploration gazière, nous aurions pu éviter une partie ou la plupart des pics de « temps de guerre ». Ce pic était dû aux politiques Net Zero qui tentaient de changer les conditions météorologiques. L’Australie a manqué de gaz et n’a pas pu faire monter en puissance les centrales à lignite qu’elle avait déjà fait exploser. Si nous avions pu revenir au lignite, nous aurions pu économiser une fortune en électricité et gagner une aubaine en vendant davantage de houille noire et de gaz à nos alliés désespérés.

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  9. La surprise cette semaine a été que les prix de décembre sont revenus à « seulement » 48 dollars le mégawattheure. Mais ce produit était loin d'être aussi bon marché que le lignite le fournissait encore et remportait les enchères. Les prix du dernier trimestre disponibles ici montrent qu'à Victoria, les générateurs de lignite fournissaient toujours de l'électricité pour 16 $/MWh, soit un tiers du coût moyen mensuel total. Les prix négatifs de l’énergie éolienne et solaire prouvent que le marché est foutu. Aucune entreprise ne peut fonctionner en payant des clients pour qu’ils utilisent leur produit. Ce ne sont que les subventions provenant des pauvres d’Australie qui permettent aux producteurs peu fiables de profiter de bénéfices qu’ils ne méritent pas.

    L’énergie la moins chère en Australie est le lignite, sans exception, et les « journaux », les universitaires, le ministre et le personnel rémunéré de l’AEMO le cachent aux contribuables et aux abonnés qui paient leurs salaires.

    Les données sont discrètement enfouies à la page 18 d’un rapport de 81 pages.

    Fixation des prix des offres AEMO Charbon, gaz, hydroélectricité. Éolien et solaire.
    Rapport QED AEMO Q4

    Mais le schéma est le même chaque trimestre. Le lignite est toujours le générateur fiable le moins cher :

    Fixateur de prix trimestriel et prix moyen fixé par source de carburant - Victoria

    Pour quoi les payons-nous ? Ni l'AEMO ni l'AER ne publient de communiqué de presse informant les enseignants, les camionneurs et les agriculteurs australiens que le lignite est bien moins cher que toute autre source fiable. C’est comme le consentement éclairé des électeurs : comment peuvent-ils juger combien coûte le fantasme du contrôle climatique si les soi-disant « fonctionnaires » ne disent pas toute la vérité ?

    Un cent et demi le kilowattheure – c’est le prix auquel les fournisseurs de lignite enchérissaient encore et remportaient les enchères en gros en 2023. Gonflez mon pied…

    La nouvelle qui compte pour les Australiens est que moins nous disposons d’énergie au charbon, plus notre électricité devient chère.

    REFERENCES

    AEMO Press Release

    AEMO Quarterly Report Q4 2023

    AER Victorian wholesale quarterly prices

    https://joannenova.com.au/2024/01/electricity-prices-fall-from-stupidly-high-obscene-level-in-australia/

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  10. La TSA volera-t-elle votre tasse ?


    Par James Bovard
    La Fondation Avenir de la Liberté
    24 janvier 2024


    La phrase signature de Dorothy Parker, « Qu'est-ce que c'est que cet enfer ? » est le nouveau mantra des voyageurs dans les aéroports américains. La TSA développe rapidement un programme dans lequel les voyageurs se tiennent devant des kiosques photo et comparent leurs visages avec une base de données fédérale de photos provenant de demandes de passeport, de permis de conduire et d'autres sources pour voir si les gens reçoivent une autorisation officielle de voler.

    Qu'est ce qui pourrait aller mal? A part tout ? Les Américains toléreront-ils qu’une agence incontrôlable s’immisce toujours plus dans leur vie ? Le Washington Post a averti en 2019 que les systèmes de reconnaissance faciale dans les aéroports constituent « la plus grande étape jamais franchie par l’Amérique pour normaliser le traitement de nos visages comme des données qui peuvent être stockées, suivies et, inévitablement, volées ».

    Vivre l’état de surveillance

    En décollant de l'aéroport national de Washington en février, j'ai vu une ligne d'entrée spéciale pour le programme de numérisation faciale CLEAR qui permet aux personnes qui paient 189 $ par an d'éviter les files d'attente TSA. La TSA promet que son nouveau régime aéroportuaire respectera la vie privée des Américains. Grosse chance : la TSA avait précédemment promis qu'aucun voyageur ne serait retardé de plus de 10 minutes aux points de contrôle de la TSA.

    Je me suis levé et j'ai regardé des voyageurs à moitié épuisés entrer sur un terrain entouré d'une corde pour obtenir l'approbation de la TSA pour leur visage.

    Une jeune femme maigre avec un t-shirt CLAIR et un presse-papiers montait la garde à l'entrée du site biométrique. Elle ressemblait à un chérubin avec de longs cheveux roux et raides et un sourire accueillant.

    « Dans combien de temps rendront-ils obligatoires les contrôles biométriques ? Je lui ai demandé.

    « Je n’en sais rien », a-t-elle répondu, comme si je lui avais posé des questions sur la température de surface de la planète Vénus.

    « Est-ce que les gens se plaignent parfois de devoir faire des contrôles biométriques ?

    "Non, c'est volontaire", a-t-elle répondu avec un sourire plus large qu'une grimace de Kamala Harris.

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  11. C’était une bonne Washingtonienne : elle n’aurait jamais pu imaginer qu’une agence fédérale s’en prenne à la Constitution. J'ai envisagé de lui poser une demi-douzaine de questions supplémentaires, mais je voulais garder mon sarcasme frais à propos des agents de la TSA. Mon intuition était que le chérubin roux n’était pas un lecteur régulier du site Web de la Future of Freedom Foundation.

    La TSA est l’une des agences nationales les plus secrètes.

    En juillet, le Washington Post a rapporté que les agents de la TSA à l'aéroport national menaçaient de retarder longuement tout passager refusant d'être photographié, y compris le sénateur américain Jeff Merkley (Démocrate-Oregon). Merkley a noté que la TSA avait faussement affirmé qu'il y avait des panneaux à l'aéroport national informant les gens que les scanners faciaux étaient facultatifs.

    « Faites-nous confiance » est le mantra de la TSA pour le nouveau programme. La TSA est l’une des agences nationales les plus secrètes et est notoirement non conforme à la loi sur la liberté d’information. Le journaliste du Washington Post, Geoffrey Fowler, note que la TSA a refusé de divulguer les données de son nouveau système : « Donc, à ce stade, nous devons vraiment les croire sur parole, affirmant qu'il s'agit d'un système plus précis que celui des gens et qu'il accélère les choses. » Cela inclut l’omission de divulguer « la fréquence à laquelle son système identifie faussement des personnes, par le biais de correspondances positives ou négatives incorrectes ».

    Qu'est ce qui pourrait aller mal ?

    La TSA s'appuiera sur des systèmes de photo-identification avec des taux d'erreur d'identification jusqu'à 100 fois plus élevés pour les Noirs et les Hispaniques. Lorsque l’ACLU a testé les systèmes de reconnaissance faciale en 2018 en diffusant des photos de membres du Congrès à travers des données massives de photos d’identité de la police, 28 législateurs « ont été incorrectement mis en correspondance avec des personnes accusées d’un crime ». En fait, le nombre de membres du Congrès ayant commis des infractions pénales est probablement beaucoup plus élevé, mais les correspondances avec ces photos spécifiques étaient erronées.

    Il n’y a aucune raison non plus de s’attendre à ce que la TSA protège ses données personnelles sur les Américains du pillage. Les archives fédérales des photos de citoyens ont déjà été volées lors d’une « cyberattaque malveillante » en 2019.

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  12. La TSA s'associe déjà à l'agence des douanes et des patrouilles frontalières pour obliger tout Américain entrant ou sortant du pays à se soumettre à une photographie pour sa base de données. Cette initiative de l’administration Trump s’appelle « Entrée/Sortie biométrique » – un euphémisme pour « Personne ne part sans la permission de l’Oncle Sam ». Puisque le programme s’appuiera sur des bases de données informatiques et des scans faciaux plutôt que sur un mur de Berlin, il n’y a rien à craindre. L’« entrée/sortie biométrique » crée un précédent en matière de contrôle fédéral sur les déplacements des Américains à l’intérieur des États-Unis.

    La TSA capitalisera sur le vaste braconnage fédéral des archives nationales et locales, ainsi que des archives en ligne. Comme l’a noté Mike Maharrey du Tenth Amendment Center : « Un rapport de 2019 a révélé que le gouvernement fédéral a transformé les photos des permis de conduire de l’État en une base de données géante de reconnaissance faciale, plaçant pratiquement tous les conducteurs d’Amérique dans une file d’attente électronique perpétuelle de la police. » Techdirt a rapporté : « Les enquêteurs fédéraux ont transformé les bases de données du Département des véhicules automobiles de l’État en la base d’une infrastructure de surveillance sans précédent. » Le FBI exploite régulièrement des bases de données contenant plus de 600 millions de photos de visages.

    Repousser la TSA

    Cinq sénateurs américains cherchent à ralentir la ruée vers les scanners faciaux de la TSA. Dans une lettre adressée à l'administrateur de la TSA David Pekoske en février, les sénateurs Ed Markey (D-Mass.), Jeff Merkley (D-Ore.), Cory Booker (DN.J.), Elizabeth Warren (D-Mass.) et Bernie Sanders (I-Vt.) a demandé à la TSA d'arrêter son programme d'analyse faciale. Les sénateurs ont averti que « les droits civils des Américains sont menacés lorsque le gouvernement déploie cette technologie à grande échelle, sans preuves suffisantes que la technologie est efficace sur les personnes de couleur et ne viole pas le droit des Américains à la vie privée ».

    Les sénateurs ont fait pression sur la TSA pour qu'elle fournisse les données permettant au Congrès et aux citoyens privés de juger le programme :

    Veuillez fournir des données sur l'exactitude et le volume du programme de technologie de reconnaissance faciale de la TSA de 2020 à 2022, ventilées par race, origine ethnique et sexe, notamment :

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  13. le taux de faux positifs et négatifs produits ;
    le nombre total de voyageurs dont le visage a été scanné par la TSA ;
    le nombre total de voyageurs qui se sont désistés ;
    le nombre total de cas où la TSA a stocké ses scans faciaux, au lieu de les supprimer immédiatement.
    Comment les voyageurs sont-ils informés de leur droit de se désinscrire
    la reconnaissance faciale? Quels sont les effets sur un voyageur qui choisit de se désinscrire de la reconnaissance faciale ?

    Dans le cadre du système actuel de la TSA, les voyageurs qui choisissent de se retirer sont-ils confrontés à des conséquences supplémentaires ou à des contrôles, palpations, interrogatoires ou même à une détention supplémentaires, au-delà de ce qu'ils auraient subi dans un aéroport sans reconnaissance faciale ?

    Quelles mesures de formation la TSA impose-t-elle actuellement au personnel concernant les voyageurs qui choisissent de se désinscrire de la technologie de reconnaissance faciale ?

    La TSA a-t-elle déjà partagé des données biométriques avec d'autres agences gouvernementales ? Si oui, quelles agences et à quelles fins ?

    Quelles mesures la TSA prend-elle pour protéger les données biométriques contre les cyberattaques ou toute autre forme de distribution ou de diffusion non autorisée ? Comment la TSA assure-t-elle la sécurité des données des Américains auxquelles des tiers ont accès ? La TSA est-elle au courant de violations des données biométriques des voyageurs collectées dans les aéroports américains ? Si tel est le cas, veuillez détailler toutes ces violations.

    En octobre 2023, la TSA avait fourni peu ou pas d’informations en réponse à la lettre des sénateurs. Ceci est typique du mépris de la TSA à l’égard du contrôle du Congrès – une honte constante pour la Constitution depuis la création de l’agence en 2002.

    Jeramie D. Scott, directeur du projet sur la surveillance de la surveillance de l’Electronic Privacy Information Center, a suivi l’avertissement des sénateurs avec sa propre analyse sur les raisons pour lesquelles « la reconnaissance faciale de la TSA est plus dangereuse que vous ne le pensez ». Scott a souligné que «toutes les affirmations actuelles de la TSA sur la manière dont elle protège la vie privée et le caractère volontaire du programme sonnent creux à la lumière du fait qu'il n'y a aucune restriction significative sur la manière dont la TSA met en œuvre l'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale».

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  14. Scott explique comment le programme TSA pourrait constituer une nouvelle étape vers le servage bureaucratique en raison de la possibilité très réelle que notre visage devienne finalement notre pièce d'identité par défaut et crée de facto une pièce d'identité nationale contrôlée par le gouvernement…. Utiliser nos visages comme identifiant signifie que l’infrastructure de reconnaissance faciale deviendra omniprésente et centralisée et que la tentation d’étendre l’utilisation d’une telle infrastructure sera probablement trop grande pour y résister, ce qui entraînera une dérive de la mission. Une carte d'identité nationale basée sur la vérification faciale sera désastreuse pour notre vie privée, nos libertés civiles et nos droits civiques. Cela détruirait l’anonymat, placerait le contrôle de l’identification entre les mains du gouvernement et exacerberait encore davantage le déséquilibre des pouvoirs entre le gouvernement et le peuple…. Il y a une raison pour laquelle la reconnaissance faciale est devenue omniprésente dans les pays moins démocratiques : la reconnaissance faciale est un outil idéal pour l’oppression d’un gouvernement autoritaire ou potentiel autoritaire.

    Le « déplacement de la mission » suivra probablement le déploiement de la rafle faciale de la TSA. L’ACLU prévient qu’« il y aura une pression énorme pour transformer ces points de contrôle [du visage TSA] en points de contrôle plus larges des forces de l’ordre où les gens sont soumis à des contrôles sur liste de surveillance, criminels et d’immigration ». Il y a des rapports selon lesquels la CIA et le FBI « veulent déjà exploiter les points de contrôle de la TSA à des fins d’application de la loi et de renseignement… la pression va augmenter pour l’étendre davantage et tenter d’identifier tout le monde, des contrevenants aux libérations conditionnelles aux pères mauvais payeurs », selon un livre blanc de l’ACLU.

    La Cour suprême a statué dans une affaire de 2018 : « Une personne ne renonce pas à toute la protection du Quatrième Amendement en s’aventurant dans la sphère publique », mais la prolifération des scanners faciaux fédéraux tourne en dérision l’interdiction du Quatrième Amendement des perquisitions déraisonnables sans mandat. Comme l’a écrit Jay Stanley de l’ACLU : « Les voyageurs, y compris les citoyens américains, ne devraient pas avoir à se soumettre à des analyses biométriques invasives simplement comme condition pour exercer leur droit constitutionnel de voyager. »

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  15. Donner un pouce, prendre un mile

    Le nouveau régime de la TSA se développe au moment même où les forces de l’ordre fédérales s’efforcent d’étendre considérablement la surveillance faciale. Kimberly Del Greco, du FBI, a déclaré au Congrès que la technologie de reconnaissance faciale est essentielle « pour préserver les libertés de notre nation, garantir la protection de nos libertés et préserver notre sécurité ». S’appuyer sur le FBI pour obtenir un témoin de moralité pour préserver la liberté devrait déclencher toutes les alarmes en matière de libertés civiles. Comme l’a prévenu l’Electronic Privacy Information Center, « la capacité d’un individu à contrôler l’accès à son identité, y compris à déterminer quand la révéler, est un aspect essentiel de la sécurité personnelle et de la vie privée que les identifiants biométriques érodent ».

    Le système de numérisation TSA pourrait constituer un grand pas vers un système de « crédit social » à la chinoise qui pourrait restreindre les déplacements des personnes méprisées par le gouvernement. Le nouveau logiciel de reconnaissance faciale sera-t-il programmé pour déclencher une alerte pour toute personne manifestant du mépris pour la TSA ? Un système de notation secret classera-t-il les barbes débraillées parmi les signes avant-coureurs d’un « extrémiste national » ? Les gens qui ont l’air trop méchants pour leur propre bien seront-ils emmenés à huis clos pour une « palpation améliorée » de la TSA qui épuise leur quota annuel de grossièretés ?

    La seule façon de justifier le régime de surveillance faciale de la TSA est de présumer que les agences fédérales secrètes n’abusent jamais des pouvoirs qu’elles captent. En d’autres termes, cela nécessite d’ignorer tout ce qui s’est passé à Washington après les attentats du 11 septembre. La base de données que la TSA aide à constituer sera-t-elle utilisée pour cibler toute personne participant à une manifestation que les politiciens qualifieront ensuite de séditieuse, extrémiste ou antipatriotique ?

    Le Dr Joy Buolamwini, fondatrice de l’Algorithmic Justice League, a prévenu : « Le gouvernement a déjà indiqué très clairement que la voie et la feuille de route sont de rendre obligatoire ce que nous considérons comme un essai ou un projet pilote…. C’est le moment de résister. Mais l’expérience de la décennie depuis qu’Edward Snowden a commencé à dénoncer l’État profond illustre à quel point les intrusions fédérales sont extrêmement difficiles à ralentir ou à inverser.

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  16. Plutôt qu’un nouveau système de scanners de la rétine, nous devrions abolir la TSA. Bien qu’elle ait serré des millions de fesses et de seins, la TSA n’a jamais attrapé de véritable terroriste. En traitant la plupart des Américains comme des kamikazes en attente, la TSA rend les voyages frustrants sans les rendre plus sûrs. Depuis 20 ans, les bureaucrates et les responsables politiques de Washington promettent de réformer la TSA afin qu’elle cesse d’être une farce et une menace. Après avoir tâtonné inutilement des millions d’Américains, la TSA n’a aucune excuse pour tâtonner des millions d’autres.

    This article was originally published in the January 2024 edition of Future of Freedom.

    https://www.lewrockwell.com/2024/01/james-bovard/will-tsa-steal-your-mug/

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  17. L’industrie française a disparu et c’est irréversible !


    le 24 janvier 2024


    La France devrait être une sorte d’eldorado pour les industries très dépendantes de l’énergie électrique comme par exemple la chimie, les aciéries, la production d’aluminium et d’alliages d’aluminium que ce soit pour l’aéronautique ou plus trivialement pour produire des canettes de boissons gazeuses, pour les verreries dont les fours pourraient être reconvertis vers l’électricité comme source d’énergie thermique, et l’énumération est presque sans limite. Je ne parle pas des boulangers, un exemple significatif de ce genre de conversion. Bref, avec son parc nucléaire unique au monde et de haute sureté la France aurait pu être cet eldorado précipitant l’arrivée d’une multitude d’entreprises sur son territoire. Malheureusement la France a choisi l’Europe, de facto dominée par les Allemands, le quatrième Reich – n’ayons pas peur des mots – et elle a accepté de se soumettre au marché européen de l’énergie qui, selon la Commission européenne, exclut tout monopole d’État au sujet de l’énergie en général et de l’énergie électrique en particulier. Le système électrique français repose sur trois piliers : les unités de production électronucléaire, un réseau très diversifié de barrages, des centaines de kilomètres de galeries souterraines intégrées à ce système hydrauliques pour non seulement pallier aux heures de consommation de pointe mais également pour remonter vers les barrages situés en altitude l’eau et chaque jour assurer ce matelas de réserve d’énergie électrique afin de maintenir la stabilité des réseaux de transport et de distribution. En effet l’énergie électrique ne se stocke pas sauf si des stations de pompage permettent de « remonter » l’eau en altitude pour un usage ultérieur. La France est le seul pays au monde ayant réussi cette sorte d’intégration. Je me sens investi du droit d’en parler car j’ai participé durant ma vie active à la réalisation de cette prouesse avec mes impôts et parce que je connais l’énergie nucléaire pour avoir travaillé au sein d’EDF-International afin de promouvoir les technologies nucléaires développées spécifiquement par EDF et ses nombreux centres de recherches et de développement.

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  18. Sous la pression du gouvernement allemand et des lobbys écologistes anti-nucléaires la Commission européenne a adopté une attitude de garde-à-vous devant l’Allemagne et contre la France et ce complot contre la France, et je pèse mes mots en écrivant complot, dirigée par l’Allemagne ne date pas de l’incident de Fukushima-Daichi provoqué par le grand tsunami du 11 mars 2011 mais de l’action subversive des écologistes allemands et anecdotiquement des Suisses pour réussir à obtenir la fermeture du réacteur à neutrons rapide, projet européen faut-il le rappeler, de NERSA situé sur le site de Creys-Malville, mouvement soutenu par l’avocate Corinne Lepage et Greenpeace. La décision de fermeture de cette usine de nouvelle génération fut prise par Jospin, le plus minable, insignifiant et stupide de tous les premiers ministres français depuis 1945 ! Il faut se rendre à l’évidence : les autorités politiques allemandes ont succombé à l’émotion orchestrée par les partis écologistes et à la suite de l’incident de Fukushima-Daïchi au Japon il fut décidé d’abandonner totalement l’énergie électronucléaire. Et comme les Allemands ont vite compris qu’ils s’étaient tiré une balle dans le pied ils ont tout fait pour détruire l’énergie nucléaire de leur voisin et ennemi de toujours qu’est la France car elle risquait de devenir un pays attrayant pour les industries lourdes dépendant étroitement de l’énergie électrique. La suite on la connait avec le sabotage terroriste par les Américains des gazoducs NordStream devant avoir comme conséquence d’une part l’effondrement de l’économie russe, le souhait surréaliste du ministre des finances français (aussi incompétent que l’était Jospin), et d’autre part pour remplir les caisses des compagnies américaines productrices de gaz de schiste par fracturation hydraulique. Les Allemands, gouvernés par des politiciens gangrenés par les écologistes ont cru béatement que les moulins à vent pourraient produire suffisamment d’énergie pour faire fonctionner leur économie. Ils n’ont pas compris que l’électricité ne se stockait pas et qu’il fallait sans cesse adapter le réseau afin d’équilibrer l’offre et la demande. Avec l’entrée massive des énergies renouvelables dites « vertes » ce problème auquel ont toujours été confrontés les électriciens a été rendu très complexe. Le gaz est la seule solution pour maintenir ce réseau équilibré en temps réel puisqu’une turbine à gaz produit de l’électricité en quelques minutes : il suffit d’appuyer sur un bouton !

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  19. Les trois présidents français qui se sont succédé, Sarkozy, Hollande et Macron, tous les trois incompétents, c’est-à-dire incapables de prendre les bonnes décisions, donc de prévoir, ont répondu au chant des sirènes écologistes et décrété que le fameux (et fumeux) « mix énergétique » comporterait une part croissance d’énergies « vertes » et qu’il fallait réduire la part du nucléaire dans ce nouveau paysage énergétique. Les écologistes de tout poil ont eu pour mission de terroriser les populations en utilisant des ONGs comme par exemple la Criirad, financée par les impôts des contribuables pour désinformer et maintenir cette peur du nucléaire. Pendant près de 20 ans EDF n’a construit aucun nouveau réacteur. Le savoir-faire des multiples entreprises sous-traitantes indispensables pour la construction puis le fonctionnement des unités de production électronucléaire a disparu et aujourd’hui la situation est devenue critique. Il n’y a plus de soudeurs expérimentés sur le sol français et pire encore il n’y a plus de chaudronniers ni de forgerons et je vais m’expliquer plus en détail.

    Les « Utilities » américaines toutes privées y compris la Tennessee Valley Autority ont vite compris que le seul composant qui ne pouvait pas être remplacé dans une unité de production nucléaire était la cuve du réacteur, tout le reste peut être changé voire légèrement modifié. La cuve est soumise à un violent flux de neutrons et doit être régulièrement inspectée et éventuellement traitée en surface pour éliminer les micro-fissures pouvant apparaître au cours du temps. Les compagnies d’électricité américaines, près de leurs sous, ont compris par retour d’expérience que ces cuves pouvaient être utilisées peut-être pendant 100 ans et tout le reste changé à moindre coût. Le problème est qu’il faut des industriels capables de fabriquer tout ce qui se trouve autour de la cuve du réacteur dans le bâtiment réacteur et il y a beaucoup de choses, les pompes, les générateurs de vapeur, le pressuriseur, les tuyauteries primaires et secondaires ainsi qu’une multitude d’autres accessoires notamment de sécurité. La France est aujourd’hui confrontée au changement des générateurs de vapeur lorsque le nombre de tubes fuyards devient supérieur à 10 % des quelques 350 tubes en épingle à cheveux que comporte ce gros module de production de vapeur dans le circuit secondaire qui va faire tourner la turbine à l’extérieur du bâtiment réacteur. La question que je me suis posé et qui m’a encouragé à écrire cet article est la suivante : et si la fermeture des deux réacteurs de Fessenheim n’avait pas été une excellente opportunité pour récupérer les générateurs de vapeur, deux par réacteur, afin de les utiliser pour remplacer des générateurs de vapeur défectueux dans d’autres unités de production puisqu’ils étaient flambant neufs. Je me suis donc documenté et j’ai découvert que l’ex-Creusot Loire devenu partie intégrée à Framatome était devenu incapable de fabriquer ces générateurs de vapeur ! EDF s’est donc adressé à Mitsubishi Heavy Industry de même qu’EDF s’est également adressé à cette même entreprise pour obtenir l’une des cuves des deux EPRs construits en Chine.

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  20. Pour conclure et puisque je viens de mentionner les EPRs chinois il est nécessaire de rappeler quelle fut la genèse de ce projet. Il s’agissait au départ d’une collaboration entre Areva et Siemens pour construire un réacteur hyper-sécurisé, copie conforme des derniers réacteurs construits par EDF comme ceux de Saint-Alban. Les Allemands ont manoeuvré pour conduire Areva au désastre, Siemens s’est désolidarisé du projet finlandais et on connait la suite : c’est EDF qui a payé l’ardoise, c’est-à-dire les contribuables français avec leurs impôts et leurs notes d’électricité pour éponger les pertes astronomiques accumulées avec l’EPR finlandais. Ce sont donc les Japonais et les Chinois qui construiront les futurs unités de production électronucléaire planifiées depuis que cette énergie est classée « renouvelable ». Au passage le cœur des vierges écologistes a volatilisé 150 milliards d’euros partis avec le vent pour hérisser de moulins à vent le paysage de la campagne française profonde en pure perte puisque la France n’avait pas besoin de ce type d’énergie intermittente. Voilà l’histoire telle qu’on peut l’interpréter : une guerre franco-allemande d’un nouveau type, le énième conflit entre ces deux pays depuis la Guerre de Trente Ans … et comble d’ironie il n’y a pas de gagnant mais deux perdants !

    Note additionnelle après mise en ligne. J’ai oublié dans cette lutte entre l’Allemagne et la France au sujet de l’énergie nucléaire de mentionner l’ARENH et la mise en place du marché européen de l’énergie électrique. Tout a été organisé par la Commission européenne qui n’a rien fait d’autre que de satisfaire les exigences des Allemands. Ce point particulier a été largement documenté lors des commissions d’enquète de l’Assemblée nationale française et je n’ai pas jugé opportun d’y revenir ici.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/01/24/lindustrie-francaise-a-disparu-et-cest-irreversible/

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  21. Agriculteurs : 92 % ont peur de la concurrence hors-Europe

    Les agriculteurs sont très nombreux à avoir peur de la concurrence des pays hors Union européenne et à trouver compliquée la mise en œuvre de nouvelles normes, apprend-on de la dernière édition de l’étude PRISM.


    Par Anton Kunin
    le 26 janvier 2024 à 8h08


    66 % des agriculteurs souhaitent un assouplissement des contraintes réglementaires.

    La concurrence hors-Europe et les normes, les deux principaux sujets d’inquiétude des agriculteurs français
    Les inquiétudes des agriculteurs sont bien connues depuis longtemps. Mais en ce début de 2024, elles ont pris des proportions énormes. D’après la dernière édition de l’étude PRISM, 92% des agriculteurs estiment que la Politique agricole commune (PAC) ne les protège pas suffisamment vis-à-vis de la concurrence hors-Europe. De plus, 86 % estiment que les nouvelles règles sont complexes à mettre en œuvre sur l’exploitation, une inquiétude partagée par la quasi-totalité des céréaliers (93%).

    Logiquement, 66 % des agriculteurs estiment qu’un assouplissement des contraintes réglementaires serait très pertinent pour aborder sereinement l’avenir, et 25 % prônent le développement de techniques innovantes pour réduire l’usage d’intrants (fertilisants et pesticides). Enfin, 26 % des agriculteurs souhaitent voir des financements spécifiques pour des exploitations qui investissent pour une agriculture durable.

    40 % des agriculteurs sont pessimistes vis-à-vis de l’avenir de leur exploitation

    Interrogés sur l’avenir de leur exploitation, 40 % des agriculteurs se disent pessimistes, un sentiment qui s’est amplifié par rapport à l’enquête précédente, il y a un an (34% à l’époque). Parmi les plus pessimistes on trouve les viticulteurs (49 %, un pourcentage en progression de 11 points). Témoignage supplémentaire des difficultés des agriculteurs, 34 % craignent la perte de la récolte à cause d’aléas météorologiques, et 30% redoutent des difficultés financières dans un avenir proche. S’y ajoutent 34 % qui estiment que la transmission de leur exploitation sera compliquée.

    À l’approche des élections européennes, 89 % des agriculteurs estiment être mal représentés par les députés européens français. En même temps, 1 agriculteur sur 2 estime que ces élections n’auront aucune incidence sur son exploitation.

    https://www.economiematin.fr/agriculteurs-sondage-craintes-inquietudes-situation

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  22. Agriculteurs en colère : entre révolte rurale et manœuvres politiques ?


    G. Liguily, France-Soir
    le 25 janvier 2024 - 18:31


    FRANCE - Quand la FNSEA retourne les panneaux des villages de France, où Arnaud Rousseau, son président, industriel à multiples conflits d’intérêts s’enrichit entre deux passages à l’Élysée, que la police ouvre la route aux agriculteurs pour qu’ils aillent déposer du fumier devant une préfecture, que les médias mainstream ont commencé à retourner leurs logos… devons-nous nous interroger ?

    - photo de panneau "NOTRE FIN SERA VOTRE FAIM" -

    Qui manipule qui, et à qui profitera le crime ? La question peut être posée. Les agriculteurs manifestent et France-Soir ne les oublie pas. Nous sommes attachés à ceux que la République négligent depuis des années, ceux-là mêmes qui nous nourrissent.

    La colère gronde et la situation se tend de jour en jour. De nombreuses manifestations et blocages routiers sont signalés d’une région à l’autre, illustrant le mécontentement général des agriculteurs, de plus en plus soutenus par la population. Près de 8 français sur 10 d’après Odoxa.

    Si le gouvernement reconnaît la gravité de la situation, il estime que la colère exprimée par les agriculteurs est en partie due à un sentiment de relégation, de mépris et de déclassement. Les annonces du gouvernement, alors que sous les ors de la République, on s’octroie quelques menues augmentations, à l’Assemblée, par exemple, qui décide de revaloriser les frais de mandat de 305 euros. Plus qu’une maladresse...

    L'Europe paysanne semble s'ébrouer

    De plus, le mouvement de protestation s’est trouvé endeuillé par un incident tragique en Ariège, où une agricultrice et sa fille de 12 ans ont été tuées après avoir été percutées par une voiture sur un barrage routier.

    Cette colère rurale arrive en France après l’Allemagne, la Pologne, les Pays-Bas… L’Europe paysanne semble s'ébrouer. Si, en Pologne, les agriculteurs ont récemment levé un blocage après avoir signé un accord avec le gouvernement, en Allemagne et aux Pays-Bas, la protestation s’intensifie et le bras de fer outre-Rhin pourrait bien faire chanceler le pouvoir.

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  23. Ces événements reflètent les défis et les frustrations auxquels sont confrontés les agriculteurs dans le contexte actuel, marqué par de fortes pressions économiques, environnementales et politiques.

    Si la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) a joué un rôle central dans le mouvement actuel de protestation en France, elle semble de plus en plus déconnectée de la base, de ceux qui souffrent vraiment et ne se reconnaissent pas dans un syndicat de gros propriétaires proche du pouvoir.

    https://www.francesoir.fr/politique-france/agriculteurs-en-colere-entre-revolte-rurale-et-manoeuvres-politiques

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    1. Loin derrière l'escroquerie des avions en alu contre tours à N-Y, est arrivé l'escroquerie 'cocovide19' avec ses masques QUI NE SERVENT A RIEN car 1°) la poussière (appelée 'virus') N'EST PAS dans l'air (donc: non respirable), 2°) Les masques (comme les écouvillons de faux tests RT-PCR, les gels hydroalcooliques et les flacons injectables) contiennent TOUS des nano-particules d'oxyde de graphène ! Ils servent d'antennes entre vous et votre putain de téléphone portable ! "Clic ! T'es mort !"
      Puis, aujourd'hui, arrive le dernier volet du Plan Dépopulation21 avec la bouffe. L'ABSENCE DE BOUFFE ! Voire la très cherté de la bouffe. "Bouffez de l'herbe et des insectes !" VOUS N'AUREZ RIEN ET VOUS SEREZ HEUREUX !

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  24. Réflexions. La survie du secteur agricole : un problème pas seulement européen


    le 26 janvier 2024


    Le 24 avril 2022 j’avais laissé sur mon site un article qui préconisait les mesures à mettre en place d’urgence pour sauver l’agriculture française et j’insère ici le lien permettant de le relire en détail : https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/04/24/si-jetais-candidat-a-la-presidence-de-la-republique-francaise/ . Il est opportun de rappeler que la révolution française débuta car les Parisiens n’avaient plus de pain. Aujourd’hui de nombreux boulangers ont baissé le rideau non pas parce qu’il n’y a plus de farine mais parce que les fours à pain utilisent de l’électricité et non plus du comme autrefois. Les ménagères un peu « regardantes » se moquent des déclarations des ministres car elles constatent que le prix de leur « panier » a augmenté de plus de 20 % en moins de deux ans. Des agriculteurs se suicident parce qu’ils ne peuvent plus faire face à leurs charges sociales (MSA) et à leurs hypothèques qu’ils ne pourront jamais apurer de leur vivant. L’ouverture du marché européen et les accords de libre échange conclus par l’Europe, l’accumulation de normes souvent rocambolesques, d’interdictions variées sous la pression constante des défenseurs de l’environnement rendent une exploitation agricole dès sa naissance ou sa reprise par un amoureux de la campagne vouée à la faillite.

    Selon les informations que me communiquait mon frère résidant dans la maison natale de la famille dans la France « profonde » à 25 kilomètres de la ville de Lyon il y a trois organismes qui règnent sur le monde agricole français : la SAFER, la FNSEA et la MSA. Le premier organisme a été chargé de rationaliser l’exploitation des terres arables dans le but d’industrialiser cette exploitation. Le syndicat mentionné ci-dessus défend plus les intérêts de l’Etat que ceux des agriculteurs et enfin la mutuelle sociale collecte des cotisations monstrueuses pour un service rendu décevant en particulier en ce qui concerne les retraites. La MSA est perçue par les agriculteurs en général comme des anciens fermiers généraux de la royauté, des collecteurs d’impôts sans état d’âme. À ce tableau peu reluisant il faut ajouter la banque des agriculteurs, le Crédit agricole, assis sur le magot des dépôts à vue de ces derniers mais dont le volume de ce magot a tendance à diminuer en raison de l’état délabré des finances de presque tous les agriculteurs petits exploitants. Le « dessus du panier » du monde agricole français est constitué de vrais industriels, éleveurs, grands céréaliers, grands viticulteurs et grands producteurs de fruits et de légumes qui ont acheté à bas prix ou louent également à bas prix des friches laissées à l’abandon par les « petits » qui ont disparu.

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  25. Comme exemple l’évolution du petit monde agricole que représentait les deux hameaux dont la maison familiale faisait partie bien qu’isolée de ces derniers, dans mon enfance il y avait une vingtaine de petits exploitants disons pluridisciplinaires qui vendaient le surplus de leur production pour acheter quelques biens et s’équiper de matériel pour travailler les champs et enfin acheter des engrais et des pesticides mais cela n’existait pas quand j’étais enfant car c’était encore le cheval ou les bœufs et les engrais étaient le fumier, le purin et les fosses d’aisance des fermes. L’usage de ces déchets agricoles et ménagers est maintenant réglementé voire interdit au niveau européen. L’appel de l’industrie fut dans les années 1950 l’élément initiateur du transfert de la main-d’oeuvre agricole vers la ville puis fut mise en place la politique agricole commune, les plans de remembrement pour rationaliser la production agricole précipitant une approche supposée innovante de l’utilisation des terres arables en rejetant l’expérience séculaire de la diversité de la moindre parcelle exploitée selon une tradition accumulée par les générations précédentes.

    Au sein de ce petit terroir où j’ai vécu mon enfance chaque paysan savait ce qu’il pouvait tirer d’un petit lopin de terre, un blé de bonne qualité par exemple, et que la parcelle adjacente ne pouvait que produire des topinambours pour les porcs ou de mauvaises pommes de terre. Avec les apports chimiques de synthèse tout devint uniformisé, la mécanisation accéléra le regroupement des parcelles et si ce que l’on préconise aujourd’hui comme le principe « de la ferme à l’assiette » en d’autres termes les circuits courts est une réaction à la mise en place de la grande distribution dans et autour des villes, augmentation de la population, urbanisation et industrialisation accélérant ce mouvement.

    Ce ne sont plus les « paysans » qui réalisent quelques marges ce sont les industriels de l’agro-alimentaire et la grande distribution qui réalisent des bénéfices monstrueux sur le dos des exploitants agricoles, en quelque sorte un retour du servage qui fut la condition rurale pendant des siècles. Cette nouvelle structure du marché alimentaire est de surcroît financiarisée à l’échelle mondiale. Si un petit producteur de lait français en Charente par exemple travaille tous les jours de l’année pour à peine survivre, un petit producteur de café en Colombie n’est pas mieux loti parce que le lait et le café sont des produits financiers et les paysans français comme colombiens sont les nouveaux esclaves du monde moderne où règnent la finance et les normes maintenus en l’état par les décideurs politiques eux-mêmes soumis à la puissance de la finance.

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  26. Quelle va être l’évolution de la rébellion des agriculteurs européens qui pourrait aboutir à une dislocation de l’Union européenne ? Il n’y a que deux possibilités. La première pourrait être extrême : un coup d’arrêt dans le sang et la violence comme ce fut le cas au Nicaragua et au Guatemala par les Américains qui protégeaient les intérêts des grandes compagnies bananières américaines, Dole et Del Monte pour n’en citer que deux, ou une refonte complète de l’ensemble du secteur agroalimentaire depuis l’exploitant jusqu’au distributeur, une politique stricte des prix, un démantèlement des grands groupes industriels de l’agro-alimentaire ainsi que de la grande distribution et enfin une rémunération juste des exploitants agricoles de petite et moyenne taille. Il est urgent que le peuple, quel que soit son niveau socio-culturel que deux biens essentiels sont trop peu coûteux : les denrées alimentaires de base et l’énergie pétrolière et gazière. Je précise mon argument : pourquoi un avocat arrivant du Mexique se vend à peine trois euros le fruit dans un supermarché dans la périphérie d’une ville moyenne en Allemagne ? Parce qu’il y a de véritables esclaves qui produisent ce fruit sur les pentes des collines mexicaines dans l’Etat d’Hidalgo et pourquoi un litre de pétrole brut coûte à peu près le prix d’une bouteille d’eau minérale ? Parce qu’il suffit de faire un trou au bon endroit et à la bonne profondeur pour en trouver.

    J’en arrive donc à la conclusion de ce pamphlet. Qu’arrivera-t-il lorsqu’il n’y aura plus d’exploitants agricoles ? On mourra de faim ! Et l’évolution actuelle de la production mondiale de pétrole diminue de 3 à 5 % par an, ce n’est pas une invention de ma part : le patron de Total, Patrick Pouyanné, l’a affirmé à Davos il y a quelques jours ! Depuis plusieurs décennies les vieux gisements saoudiens sont ravivés par injection d’eau de mer, c’est un fait avéré. Autant pour l’alimentation que pour l’énergie les jours sont comptés pour adopter un nouveau paradigme. Schématiquement les « serfs » des temps modernes (les agriculteurs) ne seront plus seuls car nous deviendrons notre propre esclave pour juste survivre … et avec le refroidissement du climat vers 2035 comme cela est prévu par un grand nombre de scientifiques non soumis à l’idéologie plutôt qu’à la science du diverticule onusien supposé spécialiste de l’évolution du climat, tout se passera très bien comme on peut l’imaginer… en particulier dans les pays occidentaux.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/01/26/reflexions-la-survie-du-secteur-agricole-un-probleme-pas-seulement-europeen/

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  27. L’effondrement sous la complexité. La preuve par les agriculteurs

    Hier soir, j’assistais à l’AG des agriculteurs en colère (et pas en grève) devant la sous-Préfecture de ma petite ville de Normandie. Il y avait là les responsables locaux des principaux syndicats d’agriculteurs de notre secteur et ils ont décidé la veille, des actions à mener le lendemain.


    Par Charles Sannat
    le 26 janvier 2024 à 10h30


    Un agriculteur gagne en moyenne 1.475 euros brut par mois

    Pour le moment les syndicats restent relativement écoutés dans leurs appels au calme, et même si la colère est forte, les agriculteurs ne font pas n’importe quoi et signalent aussi leurs manifestations aux gendarmes pour éviter les drames.

    Ce que je voulais partager avec vous c’est la cause de leur colère.

    Une colère normative.

    Une colère administrative.

    Cette colère, c’est celle de tous ceux, qui, dans leur vie, veulent faire quelque chose.

    Quoi que vous vouliez faire, ce pays est devenu un enfer sur terre.

    Il faut des permis, des autorisations, des dossiers, des validations, des formulaires, des accords, des refus, des dispenses, des dérogations aux obligations intenables et des temps interminables à remplir des documents pour satisfaire l’appétit insatiable d’une administration devenue totalement folle et hors de contrôle.

    Des normes devenues un supplice quotidien pour tous
    Nos technocrates, de Paris à Bruxelles, de Berlin à Madrid, ont créé un monde imaginaire parfait mais qui ne fonctionne plus. Nous allons y revenir pour comprendre ce qu’il se passe et qui n’est pas que financier, et mes amis agriculteurs normands expliquent parfaitement bien en image et en dessin.

    Hier, ils ont apporté de la terre devant la Sous-Préfecture, appelée désormais « Maison de l’Etat » pour y planter une haie symbolique.

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  28. Comme vous pouvez le voir, en plus d’être surveillée par les satellites de la Commission Européenne tous les trois jours en attendant les survols de drones de l’administration fiscale ou de la police de l’environnement, chaque tâche autrefois simple est devenue compliquée comme le fait de tailler une haie, de couper une haie ou de déplacer une haie.

    Plus rien n’est possible dans une complexité étouffante.

    Le résultat c’est évidemment l’effondrement de la productivité dans les pays européens et occidentaux qui sont tous partis dans le même délire de contrôle normatif. Cette volonté de contrôle est très facilement « datable ». Tout a commencé à partir du 11 septembre au nom de la lutte contre le terrorisme, puis après au nom de la lutte contre le financement du terrorisme, puis après au nom de la lutte contre le blanchiment d’argent sale, puis après au nom de la lutte contre la fraude fiscale.

    Bref, chaque années nous empilons de nouvelles normes.

    Puis après sont apparus de nouveaux besoins comme la mise en accessibilité, comme la rénovation énergétique, comme encore, la protection des données.

    Nous avons de la RGPD, ou des DPO, des types occupés à nous couper les cheveux d’abord en 4.

    Puis en 8.

    Puis en 16.

    Maintenant ils nous cassent tous les pieds puissance infinie.

    Que l’on soit dans le BTP avec la gestion des DIB, que l’on soit pêcheur avec une sardine trop longue, éleveurs de porcs ou de cochons ce qui est la même chose, que l’on soit dans une boulangerie ou dans une poissonnerie il faut du contrôle, de la traçabilité tout doit être enregistré, consigné, surveillé, contrôlé.

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  29. Dans son délire toujours plus total, il faudra bientôt envoyer toutes les factures de toutes les entreprises directement à Bercy via une plateforme dématérialisée. Votre facture adressée à Bercy sera alors validée par l’administration fiscale puis envoyée à votre client qui pourra payer…. ainsi le système génial pensé par nos psychopathes de la technocratie européenne pourront tout surveiller en temps réel, tout taxer et rien ne leur échappera plus.

    Ces abrutis pensent qu’ils vont payer les dettes comme ça.
    Hahahahahahahahahahahaha.

    Mais quelle bande d’imbéciles en costards slim et aux chaussures pointues de consultants de chez McKinsey.

    Vous savez ce qu’il va se passer ?

    L’effondrement des ressources fiscales.

    Vous savez pourquoi ?

    Parce que tout est tellement compliqué qu’il arrive un moment où mieux vaut rester coucher.

    C’est ainsi que l’URSS s’est effondrée et c’est ce que j’ai tenté d’expliquer hier.

    Quand on passe plus de temps à faire des plans quinquennaux et à contrôler avec le KGB et les commissaires politiques, la productivité tend vers 0.

    Nous en sommes exactement là.

    C’est cela que disent les agriculteurs, et toutes les professions sont concernées.

    Vous êtes tous confrontés à cette complexité étouffante.

    Castratrice.

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  30. Ce n’est même plus une question d’argent
    Vous l’avez compris, il n’est pas ici uniquement question d’argent et de « cours » des produits agricoles. Il est aussi et surtout question de liberté de travailler, de liberté d’entreprendre, de liberté de vivre, de liberté de faire.

    Personne ne demande la liberté de pouvoir tout faire, de voler ou de piller, bien que cette liberté soit un peu trop laissée aux très grandes multinationales, il s’agit d’un retour au bon sens, oserait-on dire au bon sens paysan.

    Un autre monde est évidemment possible.

    Un autre monde est évidemment souhaitable.

    Si vous comprenez ce message, vous êtes la résistance. Partagez !

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    https://www.economiematin.fr/effondrement-complexite-normes-agriculteurs-sannat

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    1. (...) Un agriculteur gagne en moyenne 1.475 euros brut par mois (...)

      Un agriculteur gagne en moyenne 1.475 euros brut par mois. UN ! UN SEUL ! Car les autres c'est 300 ou 400 euros§mois !

      Je me rappelle d'un sketch (de je-ne-sais-plus-qui) d'un homme qui parlait à un fonctionnaire.

      - Vous me dites que pour vous déranger jusqu'à chez moi et constater je vous doit de payer la somme x. Or, moi, j'ai fait x km pour venir, perdu 2 h à trouver un endroit pour me garer et patienter longtemps en salle d'attente. Donc, dès aujourd'hui c'est vous qui me téléphonerez ! Vous faites mon n° et ajoutez le 1 si je suis dans le salon, ou le 2 si je suis dans la cuisine, le 3 si je suis dans la chambre, le 4 si je suis sous la douche, le 5 si je suis dans mon garage, le 6 si je suis aux chiottes, le 7 si je suis au jardin et ke 8 si je suis das ma bagnole ! Compris ?

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  31. Vive l’Australia Day – Une attaque d’entreprises et une grande manifestation d’agriculteurs


    Par Jo Nova
    January 27th, 2024


    Un agriculteur australien a fait plus en deux heures pour célébrer le plus grand pays du monde que l’ensemble de la société Woolworths, évaluée à 44 milliards de dollars. C’est un peu un moment « Bud-light » en bas. Le PDG de « Woolies », notre plus grand empire d’épicerie, célèbre fièrement toutes les cultures sur Terre, à l’exception de la nôtre. Il s'est vanté qu'ils ne stockeraient pas d'Australiana pour la fête de l'Australie (le 26 janvier), même s'ils étaient heureux d'encourager les fêtes d'Halloween et d'installer des banderoles pour le Nouvel An chinois et Diwali. Sans surprise, le personnel était cinglant : « « Ils apportent du matériel pour le Nouvel An lunaire de l’année du dragon 2024, en grande quantité, mais pas de trucs australiens, dégoûtants, allez comprendre, allez vous réveiller, faites faillite », a écrit l’un d’eux.

    Pourquoi l’ABC n’a-t-elle pas mis l’art inspirant d’Harrison Schuster aux informations ?

    Voyez comment il a créé cela dans la vidéo ci-dessous (c'est un excellent outil de protestation, agriculteurs !). Ce qui manque aux agriculteurs dans la présence en centre-ville, ils peuvent le compenser par des manifestations visibles depuis l'espace.

    Ce message est tardif, mais c'est encore (juste) la fête de l'Australie.

    Nous ne l’avons pas demandé, mais l’Australia Day est désormais un test. Aimons-nous le pays, sommes-nous fiers d’être australiens ? Le même test se produit partout en Occident. Nos frontières, notre culture, notre mode de vie valent-ils la peine d’être défendus, ou allons-nous laisser quelqu’un d’autre choisir ce qui compte ? Les jeunes hommes donneront-ils leur vie pour protéger un pays qui ne célèbre même pas sa propre existence ?

    Les bonnes personnes doivent dire quelque chose pour défendre la prime, afin que nous n’oubliions pas.

    PS : J'ai trouvé une boucherie-entrepôt dans une zone industrielle légère pour acheter en gros de belles coupes, meilleures et moins chères que Woolworths. Ma protestation personnelle continue…

    https://joannenova.com.au/2024/01/long-live-australia-day/

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  32. L'IRRI développe le premier protocole de sélection rapide pour le riz


    27 Janvier 2024


    VARANASI, INDE, 18 décembre 2023 – Des scientifiques de l'Institut International de Recherche sur le Riz (IRRI) ont mis au point un protocole robuste et inédit de sélection rapide du riz qui permettra d'obtenir 4 à 5 récoltes de riz en un an, soit près du double de ce qui a été possible dans les programmes de sélection jusqu'à présent. Ce protocole sera important pour accélérer la sélection de nouvelles variétés améliorées de riz afin de faire face au 'changement climatique' et aux besoins d'une population mondiale croissante.

    SpeedFlower, ce protocole vise à optimiser le spectre, la quantité et l'intensité de la lumière, ainsi que la température, l'humidité et d'autres variables qui accélèrent la croissance, la floraison et la maturité du riz. Le protocole convient à la grande majorité des riz cultivés dans le monde, y compris les riz indica et japonica.

    « Nous pouvons désormais développer de nouvelles variétés de riz à haut rendement, résistantes au climat et supérieures sur le plan nutritionnel dans un délai beaucoup plus court. Il s'agit d'une étape scientifique majeure qui permettra d'augmenter de manière significative le gain génétique du riz, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire mondiale », ont déclaré les docteurs Vikas Kumar Singh, Uma Maheshwar Singh et Pallavi Sinha, qui dirigent le programme.

    Le succès de la sélection rapide dans d'autres cultures a conduit à la mise en place d'une installation SpeedBreed de pointe à l'ISARC de Varanasi, en Inde. Pour parvenir à une sélection rapide du riz, l'installation a été personnalisée avec des paramètres de croissance contrôlés en utilisant des chambres de croissance entièrement fermées.

    « SpeedFlower démontre l'impact remarquable de la sélection rapide sur la recherche sur les cultures. Grâce à ce protocole, nous pouvons accélérer les activités de croisement et de consanguinité, en les réalisant en 1,5 à 2 ans au lieu des 6 à 7 ans habituellement nécessaires sur le terrain », a déclaré le directeur de l'ISARC, le Dr Sudhanshu Singh.

    Description de SpeedFlower

    Le protocole se concentre sur l'optimisation du spectre lumineux, de l'intensité lumineuse, de la photopériode, de la température, de l'humidité, des niveaux de nutriments et de la régulation hormonale afin d'accélérer la croissance, la floraison et la maturation du riz. Il a permis d'obtenir une floraison en 60 jours seulement pour les variétés de riz testées et de réduire de 50 % le temps de maturation des grains, indépendamment de leur durée jusqu'à la floraison naturelle.

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  33. Un sous-ensemble de 198 génotypes, représentant 12 sous-groupes divers d'Oryza sativa L. issus du projet 3.000 génomes de riz (3K RGP), a été sélectionné pour valider le SpeedFlower optimisé dans l'installation de sélection rapide de l'ISARC. Le sous-ensemble a été choisi en fonction de sa diversité moléculaire, de ses différentes durées jusqu'à la floraison et de la localisation géographique. En conditions de terrain, la durée jusqu'à la floraison de ces génotypes variait de 58 à 127 jours. Cependant, lorsqu'ils sont cultivés sous le protocole optimisé SpeedFlower, les 198 génotypes ont fleuri avec succès dans un délai plus court de 58 jours. La réduction significative de la durée jusqu'à la floraison pour les génotypes photosensibles et tardifs, ainsi que la synchronisation remarquable entre les générations en ségrégation, permettent de remédier à un goulet d'étranglement majeur dans les programmes de sélection.

    L'installation SpeedBreed et le protocole innovant SpeedFlower marquent une avancée significative dans la sélection du riz, en s'attaquant aux contraintes liées au temps de génération et à la saison. Le protocole optimisé fonctionne pour toutes les durées de végétation (précoce, moyenne et tardive) du riz indica et japonica et permet une floraison synchrone.

    Partenariats pour SpeedBreed et SpeedFlower

    Considéré comme une installation modèle pour la sélection rapide du riz, l'IRRI prévoit d'établir un consortium pour offrir des services de soutien aux systèmes nationaux de recherche et de vulgarisation agricoles (NARES – National Agricultural Research and Extension Systems) et aux entreprises privées pour l'établissement et l'exploitation d'installations de sélection rapide.

    Le protocole sera encore affiné pour améliorer les résultats et des tests complets seront effectués sur une plus large gamme de génotypes de riz. Les promoteurs du programme entendent poursuivre leur collaboration avec les NARES, y compris avec d'autres centres du GCRAI/CGIAR, afin de tirer parti des connaissances et de l'expertise partagées en vue d'optimiser le protocole pour d'autres cultures.

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  34. « Nous continuons à repousser les limites de la recherche pour développer des innovations qui sont nécessaires de toute urgence à la lumière des crises alimentaires et climatiques croissantes. Cette percée établit une nouvelle norme pour accélérer les gains génétiques en faveur de la sécurité alimentaire mondiale », a déclaré le Dr Ajay Kohli, directeur général par intérim de l'IRRI.

    L'étude à l'origine du protocole a été menée par les docteurs Vikas Kumar Singh, Uma Maheshwar Singh et Pallavi Sinha et a été développée avec le soutien financier du Département de Biotechnologie (DBT) du gouvernement indien. La recherche a été menée dans le cadre d'un projet de recherche en collaboration avec le Conseil Indien de la Recherche Agricole (ICAR).

    Pour en savoir plus sur le protocole SpeedFlower, cliquez ici.
    ______________

    * Source : IRRI develops first speed breeding protocol for rice | International Rice Research Institute

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/l-irri-developpe-le-premier-protocole-de-selection-rapide-pour-le-riz.html

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    1. (...) Grâce à ce protocole, nous pouvons accélérer les activités de croisement et de consanguinité, en les réalisant en 1,5 à 2 ans au lieu des 6 à 7 ans habituellement nécessaires sur le terrain »(...)

      (...) Il a permis d'obtenir une floraison en 60 jours seulement pour les variétés de riz testées et de réduire de 50 % le temps de maturation des grains, indépendamment de leur durée jusqu'à la floraison naturelle. (...)

      Reste à voir si 'cet accouchement avant-terme' sera bénéfique ou non.

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  35. Deutsche Demos c. manifs françaises


    27 Janvier 2024


    À l'heure où j'écris, le point final aux manifestations n'a pas été posé des deux côtés du Rhin. Mais une comparaison s'impose, en espérant qu'elle puisse contribuer à la cause de la profession agricole française.

    En Allemagne, le mouvement est parti d'un point de friction clairement identifié : la tentative du gouvernement de la coalition Ampel (feux tricolores) de ponctionner l'agriculture d'un milliard d'euros, une contribution à l'équilibre de son budget, en introduisant une taxe sur les véhicules agricoles et forestiers et supprimant une détaxe sur le gazole agricole.

    L'association allemande des agriculteurs (DBV), l'organisation majoritaire, a rapidement pris la tête du mouvement et l'a organisé et canalisé. Les manifestations se sont déroulées dans l'ordre, avec peu de débordements, en coopération avec la police pour assurer la sécurité de tous.

    Les organisateurs se sont aussi assurés que leur mouvement ne serait pas récupéré politiquement.

    Des cortèges de tracteurs ont investi des villes. Les agriculteurs ont été applaudis et ont reçu le soutien de commerçants des métiers de bouche comme les boulangers et les bouchers, leurs clients, sous forme de ravitaillement.

    Lors de la manifestation (en principe) de clôture, le lundi 15 janvier à Berlin, toutes les familles agricoles étaient sur le podium. Message : unité ! Des représentants d'autres secteurs, comme les transporteurs (également touchés) et l'hôtellerie-restauration, ont rejoint les orateurs de la profession agricole.

    Le mouvement de protestation s'est employé à faire comprendre que « la fin de l'agriculteur, c'est la faim du consommateur », à s'allier les citoyens/consommateurs. Les revendications ont ainsi été mises dans la perspective plus large de la souveraineté alimentaire.

    En France, le mouvement a pris naissance dans le Sud-Ouest sur la base d'un ensemble de problèmes qui peut paraître diffus pour les observateurs peu avertis. Il a été précédé par une action, bon enfant, le retournement de panneaux indicateurs à l'entrée des agglomérations pour signifier qu'on marchait sur la tête. Le signal n'a pas été pris à sa juste mesure, ni par le gouvernement, ni par les organisations syndicales.

    Les centrales syndicales ont tardé à réagir. Pour l'heure, le mouvement ne semble pas maîtrisé partout. Sur X (ex-Twitter), au moins sur ma timeline, les appels au calme et à la raison proviennent d'agriculteurs « de base », beaucoup des FranceAgritwittos.

    Dès lors, ce qu'on voit dans les médias et sur les réseaux sociaux, ce sont surtout les odieuses images d'exactions : un acte de vandalisme dans un MacDo, l'abattage d'un arbre pour couper la circulation sur une autoroute ou l'incendie d'une MSA, etc., ainsi que les « traditionnels » déchargements de fumier et projections de lisier.

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  36. Si le mouvement bénéficie d'un large soutien de la population, sans doute ravie par l'expression d'un mécontentement qu'elle ne peut pas exprimer elle-même, il n'est pas sûr que ce soutien soit durable.

    Pour l'heure, les forces de l'ordre sont en retrait par décision ministérielle ; les dirigeants syndicaux du sommet sont étonnamment discrets. L'argument de l'« agroterrorisme » prend forme, ainsi que celui du « deux poids, deux mesures ». Hélas !

    Il y a pourtant une réponse simple : s'organiser pour éviter les débordements.

    Dans les deux cas, le monde politique a été largement absent. Le chancelier Olaf Scholz s'est tu. Le président Emmanuel Macron a « demandé au gouvernement d’être pleinement mobilisé pour apporter des solutions concrètes aux difficultés que vous rencontrez »...

    Le gouvernement allemand a renoncé à la taxe sur les véhicules agricoles et supprimera(it) progressivement la détaxe sur le gazole, avec un sursis pour 2024. Il n'a pas l'air de comprendre que le problème est plus profond. Les manifestations continuent.

    Le fraichement nommé premier ministre français Gabriel Attal a pris un peu de temps. Il a présenté des mesures quatre jours après avoir rencontré la FNSEA et les JA, puis les autres organisations.

    L'annonce des premières mesures a été faite dans le calme, au milieu d'agriculteurs à Montastruc-de-Salies en Haute-Garonne. Chapeau à tous les participants !

    Elles donnent à penser que l'on a pris la mesure des problèmes. Seront-elles mises en œuvre efficacement et suivies d'autres mesures, compte tenu des réticences et obstructions politiciennes et administratives qui ne manqueront pas de se manifester ? Nous verrons.

    L'unité de revendication ne s'est pas faite et des exigences impossibles à satisfaire ont été formulées... La FNSEA et les JA ont appelé à la poursuite du mouvement.

    La convergence ne s'est pas faite non plus au niveau européen, alors qu'une partie importante des problèmes auxquels sont ou seront confrontés les agriculteurs trouve son origine à Bruxelles (et Strasbourg) dans les décisions et projets de la Commission, du Conseil (les États membres) et le Parlement Européen.

    Je formule un vœu pressant, comme bien d'autres sur les réseaux sociaux : manifestez, et exprimez-vous, dans l'honneur et la dignité.

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/deutsche-demos-c.manifs-francaises.html

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  37. Un e-mail révèle pourquoi le CDC n’a pas émis d’alerte sur les vaccins COVID et la myocardite


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 27 JANVIER 2024 - 03H00
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times


    La plus haute agence de santé publique du pays n’a pas envoyé d’alerte sur les vaccins contre le COVID-19 et l’inflammation cardiaque parce que les responsables craignaient qu’ils ne provoquent la panique, selon un e-mail obtenu par Epoch Times.

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont rédigé en 2021 une alerte concernant l’inflammation cardiaque, ou myocardite, et les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna COVID-19. Les responsables se sont préparés à le rendre public, en prenant des mesures, notamment en demandant au directeur de l’agence de revoir le langage, selon des documents internes.

    L’alerte aurait été envoyée via le réseau Health Alert System (HAN) du CDC, qui s’adresse aux responsables étatiques et locaux, ainsi qu’aux médecins, à travers le pays.

    L'alerte n'a jamais été envoyée.

    Dans l’e-mail du 25 mai 2021, obtenu exclusivement par Epoch Times, un responsable du CDC a révélé pourquoi certains responsables étaient contre l’envoi de l’alerte.

    "Les avantages et les inconvénients d'un HAN officiel constituent le principal sujet de discussion en ce moment", a écrit le Dr Sara Oliver, la responsable, dans la missive. "Je pense qu'il s'agit probablement d'un HAN puisque c'est la principale méthode de communication du CDC avec les cliniciens et les services de santé publique, mais les gens ne veulent pas non plus paraître alarmistes."

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  38. Le Dr Oliver correspondait avec un employé de Pfizer ou de Moderna. Le nom et l’adresse e-mail de l’employé ont été expurgés dans la copie obtenue par Epoch Times.

    Le Dr Oliver n'a pas répondu à une demande de commentaires. Interrogé sur l'e-mail, le CDC n'a pas répondu à la déclaration du Dr Oliver.

    "La décision apparente du CDC de ne pas émettre immédiatement une alerte formelle aux cliniciens les avertissant du risque accru de myocardite et de péricardite chez les personnes vaccinées est non seulement inexcusable, c'est une faute professionnelle", a déclaré le sénateur Ron Johnson (R-Wis.), le plus haut républicain. membre de la sous-commission permanente des enquêtes de la commission sénatoriale de la sécurité intérieure et des affaires gouvernementales, a déclaré à Epoch Times dans un courrier électronique.

    « Le CDC ne devrait jamais donner la priorité à sa propre perception du public plutôt qu’à la santé du public, et ceux qui ont pris la décision de le faire doivent être tenus pleinement responsables », a-t-il ajouté.

    On ne sait toujours pas quel(s) responsable(s) ont décidé de ne pas envoyer l'alerte à un moment où des médecins de tout le pays voyaient des patients atteints de myocardite se présenter aux urgences avec des douleurs thoraciques et d'autres symptômes.

    Kim Witczak, un défenseur de la sécurité des médicaments qui a contribué à convaincre les régulateurs d'ajouter un avertissement de suicide aux antidépresseurs, a déclaré que la décision du CDC de minimiser l'inflammation cardiaque s'inscrit dans un modèle de longue date de problèmes de transparence avec les agences et les sociétés pharmaceutiques.

    « Je n’arrive même pas à croire qu’il s’agissait d’une discussion au cours de laquelle ils disaient : « Nous ne voulons pas les alarmer ». Nous devons alarmer les gens. Nous avons besoin que les gens soient conscients qu’il s’agit d’un [problème] potentiel réel qui pourrait survenir », a déclaré Mme Witzcak à Epoch Times.

    Ce genre de choix a contribué à éroder la confiance des consommateurs dans la santé publique, a-t-elle ajouté.

    Le Dr Tom Frieden, ancien directeur du CDC et aujourd'hui président-directeur général du projet de santé mondial Resolve to Save Lives, a également examiné les messages.

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  39. « Il est important de soigneusement peser le risque de la COVID-19 par rapport aux risques et aux avantages de tout traitement, y compris le vaccin. Les systèmes de sécurité des vaccins ont fonctionné : ils ont détecté un signal très rare mais réel de myocardite peu après la distribution des vaccins administrés aux adolescents », a déclaré le Dr Frieden par courrier électronique à Epoch Times. « Lorsque les responsables de la santé publique détectent un signal de sécurité, ils doivent déterminer s'il est « vrai » ou « aléatoire ». Il est important d'examiner plusieurs angles de données et de recueillir des preuves auprès des partenaires sur le terrain, y compris des cliniciens. Cela doit être fait rapidement mais soigneusement et minutieusement.

    Un e-mail interne du CDC. (La Grande Époque)

    - voir sur site -

    Moderna et Pfizer sont prévenus

    Les autorités américaines ont identifié la myocardite et une affection connexe, la péricardite, avant que les vaccins ne soient autorisés, comme des événements pouvant être provoqués par les vaccins. Les personnes ayant reçu les vaccins Moderna et Pfizer ont commencé à signaler une myocardite et une péricardite aux autorités sanitaires et aux fabricants de vaccins peu de temps après le déploiement des vaccins en décembre 2020.

    Un signal du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), que le CDC aide à gérer, s’est déclenché en février 2021, le même mois où Israël a averti le CDC et les régulateurs américains des médicaments d’un « grand nombre » de cas, principalement chez les jeunes hommes.

    Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC à l'époque, a abordé la question pour la première fois publiquement en avril 2021. Elle a faussement déclaré que l'agence n'avait vu aucun rapport et qu'aucun signal ne s'était déclenché, tout en révélant que le CDC était en contact avec des responsables militaires américains sur des cas. parmi les militaires.

    En réalité, des centaines de cas ont été signalés au CDC, dont certains ont entraîné la mort ; le CDC a manqué ou ignoré le signal du VAERS ; et le CDC a aidé à cacher un signal provenant d’un système du ministère des Anciens Combattants, de documents internes et d’autres données examinées par l’émission Epoch Times.

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  40. Le CDC a communiqué avec certains responsables de l’État au sujet de problèmes de myocardite à partir d’avril 2021 et a déclaré à certains médecins dans un e-mail du 14 mai 2021 que l’agence surveillait les rapports d’inflammation suite à la vaccination par Pfizer et Moderna.

    Peu de temps après l’envoi de cette missive, le CDC a commencé à réfléchir aux prochaines étapes, selon les documents nouvellement obtenus.

    Le 21 mai 2021, le Dr Oliver a envoyé un e-mail aux représentants de Moderna et Pfizer pour les avertir que le CDC prévoyait de rendre publiques des informations sur les cas de myocardite.

    « Je voulais m'assurer que vous étiez au courant avant que quoi que ce soit ne soit rendu public », a écrit le Dr Oliver dans l'un des messages, obtenus par Epoch Times et rapportés dans cet article pour la première fois. « Vous le savez peut-être, mais des inquiétudes ont été exprimées concernant la myocardite observée chez les adolescents et les jeunes adultes après avoir reçu les vaccins à ARNm. Heureusement, les cas semblent relativement bénins, mais nous craignons que nous devions sensibiliser les prestataires à ce problème. Le CDC discute des options de communication et nous aurons peut-être plus d’informations demain.

    Les cardiologues affirment qu’il n’existe pas de cas bénin d’inflammation cardiaque et la recherche a depuis montré qu’un certain nombre de cas ne se résolvent pas avant des mois, voire pas du tout.

    Les vaccins Moderna et Pfizer utilisent tous deux la technologie de l’ARN messager modifié (ARNm).

    Moderna et Pfizer n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.

    Un représentant de Pfizer a envoyé des informations au Dr Oliver et à ses collègues avant une réunion prévue, selon les courriels. L'information a été expurgée.

    Les responsables de Moderna ont rencontré le CDC le 22 mai 2021. La discussion a porté sur la façon dont le CDC envisageait de dire qu'il y avait une « relation causale possible » ou que les vaccins pourraient être à l'origine de l'inflammation, selon les e-mails.

    Moderna a demandé comment les responsables gouvernementaux pensaient que la myocardite était causée, ou quel était le mécanisme d'action.

    "Ma compréhension actuelle est qu'il ne s'agit pas nécessairement d'un mécanisme défini, mais que nous avons observé des résultats très similaires/cohérents dans lesquels des vaccins à ARNm ont été utilisés, tous survenant dans les jours suivant la réception d'un vaccin à ARNm (bien qu'il se puisse qu'une inflammation systémique joue un rôle) », a écrit le Dr Oliver.

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  41. Un représentant de l'une des entreprises s'est ensuite enregistré le 25 mai 2021 et a demandé si le CDC avait décidé comment communiquer au public sur la myocardite.

    « Désolé qu’il n’y ait pas eu de communication plus solide à ce sujet. Malheureusement, je n’ai toujours pas de mise à jour ferme à partager. Les choses ont changé rapidement ici », a écrit le Dr Oliver. Dans le courriel suivant, elle a écrit que certains responsables ne voulaient pas semer la panique.

    "Je n'essaie pas d'être vague volontairement, je ne sais vraiment pas", a-t-elle déclaré. « Si je devais deviner, je penserais qu’il s’agit probablement d’un HAN, mais je ne peux pas encore le dire avec certitude. Je prévois qu'il y aura des décisions fermes dans les prochaines 24 heures, alors je vous le ferai savoir.

    Réponse réduite

    Un brouillon de deux pages de l’alerte obtenu par Epoch Times a été entièrement expurgé. Epoch Times travaille à l’acquisition d’une copie non expurgée.

    Le projet a été diffusé en interne, notamment auprès du Dr Walensky, selon des courriels. Les messages indiquaient que le CDC avait choisi de ne pas envoyer l'alerte après avoir consulté la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

    Le CDC a déclaré sur son site Web le 20 mai 2021 qu’un examen de la myocardite post-vaccination a révélé « relativement peu de rapports » et que les taux de myocardite « n’ont pas différé des taux de base attendus ».

    Au lieu de l'alerte, le CDC a décidé de publier une autre page Web intitulée Considérations cliniques. La page, publiée le 27 mai 2021, indique qu’« une augmentation des cas de myocardite et de péricardite ont été signalés aux États-Unis après la vaccination à ARNm contre le COVID-19 (Pfizer-BioNTech et Moderna) » depuis avril 2021.

    La page indique également que le CDC et les partenaires de l’agence enquêtaient sur la question avant de recommander la vaccination contre le COVID-19 à toute personne âgée de 12 ans et plus.

    Une ébauche de la page a été partagée avec Moderna et Pfizer au moins plusieurs heures avant la publication, selon les e-mails.

    Une porte-parole du CDC a déclaré que les données de sécurité ont incité le CDC à publier en ligne des informations sur la myocardite « pour sensibiliser le public et fournir des conseils aux cliniciens ». Elle a déclaré que les considérations cliniques ont atteint les mêmes 300 000 prestataires bénéficiaires d’une alerte HAN.

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  42. "Une considération clinique est utile lorsque les informations doivent être mises à jour à mesure que les circonstances évoluent et que davantage de données sont collectées et évaluées", a déclaré la porte-parole.

    Dans un autre e-mail, elle a déclaré que « l’attention et les préoccupations du CDC concernant la myocardite après la vaccination contre le COVID-19 sont bien connues et documentées ».

    Un porte-parole de la FDA a refusé de détailler son influence sur l'alerte mise en suspens.

    « La FDA continue de travailler en collaboration avec le CDC pour surveiller les risques de sécurité connus liés aux vaccins et déterminer la meilleure façon de garantir que toute information pertinente en matière de sécurité soit transmise au public, aux prestataires de soins de santé et aux cliniciens », a déclaré le porte-parole à Epoch Times dans un communiqué. e-mail. "Après une évaluation approfondie et lorsque le risque potentiel était clair, la FDA a mis à jour les fiches d'information sur les vaccins COVID-19 et a communiqué avec le public d'une manière qui a été jugée appropriée au risque évalué."

    Les règles fédérales exigent que la FDA ajoute un avertissement concernant « un danger cliniquement significatif dès qu'il existe des preuves raisonnables d'une association causale avec un médicament ; il n’est pas nécessaire qu’une relation causale ait été définitivement établie.

    Le 25 juin 2021, la FDA a ajouté des avertissements concernant la myocardite sur les étiquettes des vaccins Pfizer et Moderna.

    https://www.zerohedge.com/political/email-reveals-why-cdc-didnt-issue-alert-covid-vaccines-and-myocarditis

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  43. L'édition de gènes améliore l'époque de floraison et la tolérance au sel du maïs


    26 Janvier 2024
    ISAAA*


    Une étude publiée dans le Plant Biotechnology Journal montre que l'inactivation de ZmPRR37-CR a entraîné une floraison précoce du maïs. L'étude a également montré que le gène ZmPRR37 peut potentiellement améliorer la tolérance au stress salin chez le maïs.

    La floraison est une étape cruciale du développement reproductif des plantes. Cependant, elle peut être affectée par divers facteurs environnementaux, qui peuvent soit retarder, soit accélérer la floraison des plantes. Le maïs étant une plante à jours courts, sa floraison dans des environnements à jours longs constitue un défi. Les chercheurs ont donc analysé et modifié les gènes du maïs afin d'induire la floraison et d'améliorer la tolérance au sel.

    L'étude a révélé que le gène ZmPRR37 retarde la floraison du maïs dans des conditions de jours longs. Les résultats de l'étude permettent de mieux comprendre le rôle crucial du gène ZmPRR37 dans la régulation de la floraison et de la réponse au stress salin chez le maïs.

    Pour plus d'informations, lisez l'article du Plant Biotechnology Journal.
    ______________

    * Source : Gene Editing Improves Flowering Time and Salt Tolerance of Maize- Crop Biotech Update (December 20, 2023) | Crop Biotech Update - ISAAA.org

    Ma note : L' article, c'est « ZmELF6-ZmPRR37 module regulates maize flowering and salt response » (le module ZmELF6-ZmPRR37 régule la floraison du maïs et la réponse au sel) de Huihui Su et al. En voici le résumé (découpé) :

    « Le contrôle de la période de floraison chez le maïs est crucial pour le succès de la reproduction et le rendement, et il peut être influencé par des stress environnementaux.

    En utilisant les techniques de séquençage des transposons Ac/Ds et des amplicons d'éléments transposables, nous avons identifié un mutant d'insertion Ds dans le gène ZmPRR37

    L'insertion Ds a montré une corrélation significative avec le nombre de jours avant l'anthèse.

    D'autres recherches ont montré que les mutants knock-out ZmPRR37-CR présentaient une floraison précoce, tandis que les lignées surexprimant ZmPRR37 présentaient une floraison retardée par rapport au WT [type sauvage] dans des conditions de jours longs (JL).

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  44. Nous avons démontré que ZmPRR37 réprime l'expression de ZmNF-YC2 et ZmNF-YA3 pour retarder la floraison. L'analyse d'association a révélé une corrélation significative entre l'époque de floraison et un SNP2071-C/T situé en amont de ZmPRR37. Le SNP2071-C/T a eu un impact sur la capacité de liaison de ZmELF6 au promoteur de ZmPRR37. ZmELF6 a également agi comme un suppresseur de floraison chez le maïs dans des conditions de JL.

    Notre étude a notamment révélé que ZmPRR37 peut améliorer la tolérance au stress salin chez le maïs en régulant directement l'expression du gène ZmDhn1 qui réagit à l'ABA [acide abscissique]. ZmDhn1 régule négativement la résistance du maïs au stress salin.

    En résumé, nos résultats proposent une nouvelle voie de régulation de la floraison photopériodique et de réponse au stress salin basée sur ZmPRR37 chez le maïs, ce qui donne un nouvel aperçu de l'intégration des signaux de stress abiotique dans les voies florales. »

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/l-edition-de-genes-ameliore-l-epoque-de-floraison-et-la-tolerance-au-sel-du-mais.html

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  45. #LyonBordeauxGate  : les Professeurs Lega et Molimard font-ils du blanchiment de fausses informations  ?


    Enquête France-Soir et Xavier Azalbert
    le 26 janvier 2024 - 18:17


    Le Professeur Molimard a assuré la promotion de cette étude en ayant tribune ouverte dans les médias avec pour seul objectif visible de décrédibiliser l’hydroxychloroquine.

    SANTE - Le 4 janvier 2024, une étude très contestable, et contestée, était publiée par la revue à comité de lecture Biomedecine et Pharmacotherapy. Immédiatement, les médias, à l’unisson, relayaient sa conclusion : 17 000 décès à l’hôpital auraient été occasionnés par l’hydroxychloroquine.

    Aucune vérification n’était faite par les médias qui se contentaient, comme à l’accoutumée de reprendre la conclusion de la publication et d’interviewer le Professeur Mathieu Molimard de l’Université de Bordeaux ou le Professeur Lega de l’université de Lyon sans aucun contradicteur. Aucun média, hormis France-Soir, ne relevait les erreurs significatives dans les données et la fabrication des résultats de cette étude, entraînant ainsi une manipulation de l’opinion dans les médias.

    Outre les nombreux échanges sur les réseaux sociaux ainsi que des commentaires sur Pubpeer, une plateforme internationale dédiée aux relations et interactions entre scientifiques, de nombreux chercheurs ont dénoncé cette étude comme frauduleuse.

    Le 18 janvier 2024, lors d’une émission en live du Conseil scientifique indépendant, les maitres de conférences Emmanuelle Darles et Vincent Pavan ainsi que Xavier Azalbert, ont démontré méthodiquement que cette étude comportait de tels biais que l’hypothèse d’une simple erreur de ses auteurs (Alexiane Pradelle, Sabine Mainbourg, Emmanuel Massy, Jean-Christophe Lega de l’université de Lyon et Hospices civils de Lyon (HCL)) était improbable.

    En Belgique, le Dr. Jean-Michel Dogné, doyen de la faculté de médecine de Namur, a publié une critique acerbe de cette étude sur le site de prépublication Medrxiv dans laquelle il écrit : ”Ces résultats (...) n'ont pas pris en compte de manière adéquate les analyses de sous-groupe de dose et de sensibilité, ce qui exclut toute conclusion globale ferme sur la mortalité hospitalière attribuable à l'HCQ […] En conclusion, l’application d’un excès de mortalité dans la population traitée avec des doses où aucune augmentation de la mortalité n’est constatée crée une surestimation trompeuse des décès associés à l’utilisation de l’HCQ chez les patients hospitalisés atteints de Covid".

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  46. En effet, les auteurs ont utilisé dans leurs calculs (car ce ne sont que des estimations sur la base de calculs fallacieux et non pas des décès constatés), un taux de mortalité potentiel de l’hydroxychloroquine obtenue dans une autre étude (méta-analyse Axford et al.) utilisant pour près de 90 % des données de patients hospitalisés traités avec des doses quatre fois supérieures à ce que fut l’utilisation réelle de la molécule dans les pays qui ont utilisé le produit (posologie normale inférieure à 600 milligrammes par jour).

    Le Professeur Molimard a assuré la promotion de cette étude en ayant tribune ouverte dans les médias avec pour seul objectif visible de décrédibiliser l’hydroxychloroquine et de porter atteinte une nouvelle fois au protocole mis en place par le professeur Raoult et l’IHU-Méditerranée. De leur côté, l’IHU et le Pr. Raoult rapportent dans leur étude sur les 30000 patients soignés à l’IHU, un bénéfice très significatif de la molécule lorsqu’elle est administrée en phase précoce de la maladie (comme c’est le cas pour tous les antiviraux).

    De nombreuses questions se posent sur les auteurs de cette étude frauduleuse. Qui sont-ils ? Quels sont leurs intérêts et motivations dans cette affaire ? Pourquoi s’en prennent-ils à une molécule comme l’hydroxychloroquine alors que la pharmacovigilance rapporte 114 cas de décès en 50 ans dont 8 en France et encore, dont la causalité n’est pas avérée ? Quels sont les rôles des Pr. Lega et du Pr. Molimard dans cette histoire ? Et quel est le rôle de la SFPT (Société française de pharmacologie et de thérapeutique) dont le professeur Molimard est un des fers de lance ? Et qu’en est-il de la SPILF (Société de pathologie infectieuse de langue française) ?

    France-Soir a enquêté sur ce qui restera probablement comme un “LancetGate” à la française et fait la lumière sur des pratiques avec une éthique et une déontologie questionnables voire douteuses des auteurs ainsi que des sociétés savantes auxquelles ils sont affiliés.

    Dans la réalité, de nombreuses personnes, y compris parmi les auteurs de l’étude frauduleuse Pradelle, Lega, connaissent les mérites de la bithérapie préconisée par l’IHU-Méditerranée dont la dernière étude sur les 30 000 patients traités par l’IHU-Méditerranée démontre un effet plus que favorable de l’hydroxychloroquine avec ou sans azithromycine. Une diminution du risque de mortalité de 45 % en faveur du groupe traité avec la bithérapie hydroxychloroquine et azithromycine.

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  47. Sur fond de querelles de chapelle, des professeurs de médecine (Lega et Molimard), peut-être pour des raisons d’ego, de visibilité, et d’entre soi, ont apporté de l’eau au moulin à la tribune ”Panorama d’une escroquerie”, parue en 2021, en cours de mise à jour. Leur étude plonge l’université de Lyon et de Bordeaux au centre d’une polémique sur la qualité des études puisqu’elles sont mises sur le devant de la scène de par l’appartenance de ces chercheurs au corps enseignant de Lyon et Bordeaux.

    Xavier Azalbert, ainsi que d’autres personnes ont échangé sur le réseau social X (anciennement Twitter) avec le Professeur Molimard, sans que celui-ci ne réponde jamais à leurs questions. France-Soir a recueilli de nombreux témoignages sur ce qui se passe réellement à Lyon et à Bordeaux. L’anonymat de ces sources a été respecté étant donné les pressions répétées subies, la censure qui existe sur les traitements précoces et les effets secondaires des thérapies vaccinales Covid. Ce qui est loin d’être triste !

    Petit résumé sur l’étude en question

    L’étude Pradelle repose sur une modélisation mathématique complétement fausse. Cela a été démontré lors de la réunion du 18 octobre 2024 du Conseil scientifique indépendant par les chercheurs et maîtres de conférences Vincent Pavan et Emmanuelle Darles, et par Xavier Azalbert, l’un des auteurs d’une “lettre de préoccupation” (letter of concern) envoyée le 8 janvier 2024 à l’éditeur en chef de la revue ayant publié cette étude.

    Conformément aux principes de l’éthique des publications scientifiques (COPE), Pavan, Darles et Azalbert, ainsi que d’autres, se sont évertués à mettre en avant la manipulation des données conduisant à la fabrication des résultats.

    Vincent Pavan a aussi conclu que le modèle mathématique utilisé est “non seulement faux”, mais que son usage “démontre le peu de compétences des auteurs en mathématiques”. Ceci est arrivé malgré le principe de la revue par les pairs, qui est une des bases de la confiance pour les publications scientifiques.

    Cette étude avait fait l’objet d’une première tentative de publication en 2022 avec Pradelle, Lega et Cucherat comme auteurs. Le Professeur Cucherat, ponte de la thérapeutique lyonnais disparaîtra de la liste des auteurs, ce que l’un des universitaires lyonnais nous décrit comme “un exemple de l’hypocrisie du système. Cucherat n’est pas fou, il connaît bien ce dont est capable Lega, et était, dans le premier article, une caution tacite si, sur un malentendu, ça pouvait marcher”.

    Il laissera sa place à Emmanuel Massy et Sabine Mainbourg. Un des collègues d’Emmanuel Massy explique “qu’il n’a probablement fait aucune diligence, ni n’a eu aucune implication dans cette étude autre que de mettre son nom sur l’article”. Sabine Mainbourg est de son côté décrite comme étant “une caution méthodologique pour Lega” qui “a pris ses distances une fois qu’elle a eu le poste convoité”. Un renvoi d’ascenseur qui est apparemment

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  48. plus que fréquent dans l’entre-soi lyonnais.

    Tout ce petit monde se côtoie, qui à la SFPT (Société française de pharmacologie et de thérapeutique), qui à la Société savante de médecine interne, qui à la SPILF (Société de pathologie infectieuse de langue française) ou à l’ANSM ou à la HAS. La SFPT est une des sociétés savantes les moins connus puisque la pharmacologie n’intéresserait pas les meilleurs. “Molimard était un inconnu avant la crise Covid, il a touché un public en faisant des communiqués sur le site de la SFPT mais aucune étude n’a réellement été publiées par celle-ci", “des arguments d’autorité en pagaille avec beaucoup d’informations erronées et non mises à jour sur ce site”, déclare un médecin hospitalier de Lyon.

    Cependant, au-delà de la promotion sans réserve ni limite faite par le Professeur Molimard, la personnalité du Professeur Lega peut interpeller. Celui-ci n’a pas répondu à nos sollicitations pour fournir les données ou répondre aux questions.

    Les langues se délient, car cette étude est comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Tour à tour sont évoqués la personnalité du Pr. Lega qui serait un “éternel incompris n’ayant jamais tort, qui n’hésite pas à faire pression pour atteindre ses buts”, mais aussi d’autres sujets ayant trait à la crise sanitaire. Un médecin de Lyon, qui connaît bien les auteurs, évoque la censure sur l’efficacité de la bithérapie prescrite à l’IHU-Méditerranée, “on ne peut pas parler de l’hydroxychloroquine et de son efficacité alors que beaucoup d’entre nous en ont pris ou prescrit”. “De plus, on ne peut pas parler des effets secondaires sans se faire regarder de travers”, ajoute-t-il.

    Un autre soignant décrit les “diverses prises de positions et jeux du Professeur Lega, à Lyon, plus ou moins cautionnés par les grands pontes”. S’exprimant aussi à propos de l’étude et le fait que certains n’ont rien dit, “après tout sur un malentendu cette étude pourrait passer”, “mais les gens s’en tiennent à distance considérant le comportement sulfureux du Dr. Lega.”

    Mais qui est donc le Docteur Lega ?

    Interne aux Hospices civils de Lyon, il aurait été rapidement identifié comme “problématique” par les patrons en particulier des internes ou des cardiologues. Cependant, "il séduit par son phrasé et, il faut l’admettre, un intellect”, déclare un de ses pairs.

    Il sera alors retenu pour un clinicat (CCA - chef de clinique des universités - assistant des hôpitaux) malgré les "réticences et inquiétudes exprimées par des praticiens hospitaliers du service où il est passé en temps qu’interne, et qui l’ont côtoyé au quotidien", explique ce pair.

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  49. C’est en 2008 qu’il prend son poste de CCA où, dès le départ, il fera preuve de ses qualités intellectuelles, mais aussi de certains défauts, comme l’évoque un autre collègue médecin : “Ego démesuré, imbu de sa personne, expliquant à qui veut l’entendre que le costume est trop étroit pour lui et que lorsqu’il sera nommé PU (Professeur des universités), les choses changeront. Sur le terrain, il n’est pas fiable au quotidien, trop occupé à créer son carnet d’adresses et délaissant les activités cliniques aux ‘petites mains’, s‘occupant, lui, “de la science” et des “méta analyses”.

    Sa carrière devait se poursuivre à Saint-Etienne comme praticien hospitalier (PH) en médecine vasculaire, de par ses premiers travaux de recherche sur les nouveaux anticoagulants (les AOD). Cependant, celui qui devait être nommé (il y a toujours dans les écuries plusieurs poulains en concurrence !), abandonne et part en Suisse. Lega revient donc dans la course puisqu’il n’y a personne d’autre à mettre en remplacement. "Laisser le poste vide aboutirait à un parachutage extérieur, ce qui dans le milieu lyonnais est mal vécu, surtout s’il s’agit d’un parisien !“

    Lega suivra alors le parcours classique avec l’habilitation à diriger des recherches (HDR) et sa nomination en 2017 à un poste de thérapeutique puisque l’interniste partant à la retraite au Centre hospitalier Lyon Sud (CHLS) à cette date était nommé dans cette discipline.

    “A partir de là, c’est open bar et Lega s’éparpille”, déclare un praticien hospitalier. Il devient le référent de la post-urgence du CHLS des Hospices civils de Lyon, un poste capital quand on connaît le problème et le poids des urgences dans les hôpitaux, avec à la clé “un échec. Toujours les mêmes raisons : je commence tout et je ne finis rien”. On le décrit comme étant “un penseur qui sait tout mais pas un gros bosseur sur le terrain”.

    Ce comportement le coupe des acteurs de terrain qui ne veulent plus travailler avec lui. “Agacé, il ne se remet pas en question mais considère que ce sont les autres qui dysfonctionnent et lui mettent des bâtons dans les roues.”

    De fil en aiguille, Lega, isolé dans son service et au sein de l’institution HC, finit par être débarqué et exfiltré du service de médecine interne pour être recueilli par le service de rhumatologie.

    Et là, c’est la dégringolade. Il perd tour à tour ses postes de référent en médecine interne et est blacklisté aux HCL, n’est plus le représentant des Lyonnais à Paris pour la médecine interne et n’apparaitra pas dans une nouvelle édition de l’ouvrage de référence nationale de médecine interne. Bref, à Lyon, “il n’est plus rien”, poursuit ce praticien hospitalier.

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  50. Cependant, il a beaucoup travaillé avec l’hydroxychloroquine qu’il prescrivait et prescrit encore, car il garde une activité clinique. Cela lui servirait d'étendard pour étaler sa connaissance et son savoir. A Lyon, il est connu comme “la grande gueule de la méta analyse, ce qui impressionne les plus jeunes“. Il entraine dans son sillage des personnes décrites comme “gentilles mais hors sol” (Emmanuel Massy, rhumatologie) ou “opportunistes” (Sabine Mainbourg en médecine interne) qui seraient subjuguées par la personnalité de Lega. “Ce sont des représentants de la médecine actuelle, sans âme, sans réelle volonté de soigner tout en s’en réclamant, qui ne jurent que par les chiffres, les mathématiques, les méta analyses et les petits p” (p : mesure qui caractérise la puissance des tests statistiques utilisés, NDLR).

    De manière générale, Lega est décrit comme “ayant un carnet d’adresse qui s’est réduit, mais il est encore membre de la HAS avec des motivations profondes entretenues par l’entre-soi .”

    Aux Hospices civils de Lyon, Lega a fait l’objet de plusieurs enquêtes internes suite à des problèmes de fonctionnement des services.

    A Bordeaux, une girouette

    Du côté de Bordeaux, un interne décrit le Professeur Molimard comme "potache" et "plutôt jovial et pas très exigeant” malgré "un besoin de reconnaissance important."

    Inconnu avant la crise sanitaire de 2020, il a commencé par s’illustrer dans les médias comme Libé, soufflant le chaud ou le froid au gré des sujets, comme celui de l’hydroxychloroquine. Dans un article d’avril 2020, il déclare que “l’hydroxychloroquine ne peut pas marcher, sans observation clinique de terrain. La raison est simple. Les doses qu’il faudrait utiliser pour atteindre l’efficacité supposée de l’hydroxychloroquine sont tellement énormes, qu’elle tuerait les patients à coup sûr.Il faudrait donc un dosage énorme.”

    Interrogé à plusieurs reprises sur le modèle pharmacocinétique lui permettant de conclure cela, le Professeur Molimard n’a toujours pas répondu. Rappelons que les posologies habituelles de l’hydroxychloroquine sont de 400 à 600 mg par jour pour le Lupus et que l’ANSM considère la dose toxique à 1875 mg jour pour une personne de 75 kilos.

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  51. En juin 2020, à propos de l’étude Recovery qui prescrivait des doses très importantes, ce dernier déclarait : "La dose administrée dans Recovery est le maximum de ce qui pouvait être donné, dans des conditions de surveillance strictes, sans trop augmenter les risques. Ils se sont donné les chances de voir quelque chose. Mais, à vrai dire, les dernières données disponibles (et notamment une étude réalisée par la Food and Drug Administration) montrent qu'il faudrait des doses encore plus élevées – et donc beaucoup plus dangereuses – pour avoir un effet.”

    Il n’avait vraisemblablement pas pris en considération, l’étude de Yao et al, qui démontrait le dosage optimal de l’hydroxychloroquine dans le plasma et dans les poumons en montrant que la concentration en hydroxychloroquine dans les poumons était 400 fois supérieure. Il omet aussi de regarder le travail effectué par Glaxo en 2020 qui permet de déterminer que la combinaison d’azithromycine avec l’hydroxychloroquine permet d’en diminuer la quantité prescrite par 20 pour avoir la même efficacité.

    On pourrait aussi rappeler ses prises de positions en faveur de l’étude du “Lancetgate” sans aucune réserve ainsi que ses positions sur l’efficacité vaccinale qui changent.

    On ne peut que se poser la question : comment un professeur peut considérer en 2020, que Recovery ne donne pas de dose toxique et, avec l’étude Pradelle et al., avancer qu’il y aurait eu des décès à l’hôpital liés à l’usage de l’hydroxychloroquine. Cela ne tient pas debout et démontre une communication à géométrie pour le moins variable.

    Molimard serait donc un expert en pharmacocinétique qui ne connaît pas les études références...

    Sur l’étude Gautret, quelques anecdotes sont avancées

    Rappelons que l’étude Gautret, sur 40 patients, a formé la base de la bithérapie proposée par l’IHU-Méditerranée en mars 2020. Elle démontrait la diminution de la charge virale par suite de la prise d’hydroxychloroquine et d’azithromycine. Décriée par certains en France, elle a fait l’objet de l’émission Complément d’enquête qui tentera à tort de démontrer que certains tests PCR auraient été modifiés. Une plainte de la part de l’IHU est en cours à ce sujet qui semble potentiellement être une manipulation journalistique.

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  52. Sabine Mainbourg, qui fut mise au courant de l’étude Gautret en 2020, ne crut d’abord pas au résultat. Elle refit les calculs pour s’apercevoir que cela marchait. Et donc, “ce qui marche en 2020 pour elle ne semble pas la déranger pour publier une étude concluant que 17000 patients seraient décédés de la prise d’hydroxychloroquine”, déclare l’interne lyonnais.

    HCL aussi le centre de choix pour Discovery, l’essai français raté

    Les Hospices civils de Lyon avaient aussi été choisis pour l’essai Discovery, la grande étude française qui avait notamment testé l’hydroxychloroquine avec une dose thérapeutique normale. Rappelons que l’hydroxychloroquine n’était pas prévue comme traitement initialement et que ce serait à la demande du président Macron qu’elle fut incluse ! En revanche, “Discovery était bien prévue pour inclure le remdesivir de Gilead aux nombreux effets secondaires connus”. Discovery fut arrêtée avec le LancetGate avant que le signal positif visible de la molécule puisse être statistiquement significatif – un autre scandale.

    Cette étude consacrera “la mise en avant de Florence Ader qui était inconnue au bataillon pour servir le remdesivir, aucun grand ponte lyonnais ne s’y est laissé prendre”. “Ader travaillera avec un interne parisien parachuté pour l’occasion, Nathan Peiffer-Smadja, un proche du Pr. Yazdanpanah”, nous déclare l’interne Lyonnais avant d’ajouter : “Peiffer Smadja n’avait aucune expérience et était imposé par Paris.” (Yazdanpanah était au Conseil scientifique et ayant eu de nombreux liens d’intérêts notamment avec Gilead).

    En conclusion à Lyon, pour le médecin interne, "Lega, Mainbourg, Pradelle sont persuadés qu’ils ont raison, et ne comprendraient pas pourquoi il y a un tel battage médiatique autour de leur article. Pourtant, quand on ne voit pas de malades [ce qui semble être le cas de Lega et Mainbourg], alors les morts n’existent pas. En revanche, les morts de la vaccination par ARNm, j’en ai vu”. Et il ajoute : “J’ai de réelles raisons de croire que ce papier n’a pas été revu”. 

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  53. Et la suite

    En termes de scénarios pour cette étude, deux options sont possibles nous explique le médecin Lyonnais : “La première option serait la rétractation de l’étude et une nouvelle exfiltration de Lega avec cette nouvelle casserole à son actif. La seconde option serait que tout le monde se mette à protéger le soldat Lega.”

    Depuis 18 mois, le Pr. Lega "voulait ce papier qui lui donnait de nouveaux points SIGAPS" et de son côté le Pr. Molimard lui, "voulait la communication médiatique".

    N’étant pas un auteur identifié, le Pr. Molimard est finalement celui qui risque le moins : “Il retournera d’où il vient après avoir essayé de défendre le soldat Lega.”

    Cependant, ce qui risque de rester comme la fraude française, jette un véritable discrédit sur l’université de tutelle de ces médecins de Bordeaux et Lyon et laisse donc une très mauvaise image de la science française et de ses travaux. Un réel challenge pour les présidents des universités qui se seraient probablement passés d’avoir à gérer une telle affaire.

    Xavier Azalbert a, par déontologie, contacté les présidents des universités de Bordeaux et de Lyon afin de comprendre les processus en place quand un tel problème d’intégrité scientifique apparait. Aucune réponse ne lui a été donnée. Il a en outre contacté le Professeur Lega, ainsi qu’Emmanuel Massy et Sabine Mainbourg. Aucune réponse non plus. C’est de l’omerta.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/lyonbordeauxgate-les-professeurs-lega-et-molimard-font-ils-du-blanchiment-de-fausses

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    Réponses
    1. 1°) L'hydroxychloroquine n'a JAMAIS été un anti-poison mais sert uniquement à 'calmer les nerfs'.

      Donc, 2°) au lieu de s'en prendre aux remèdes il vaudrait mieux que les spécialistes scientologistes savantiniaques et professeurs-de-mes-deux regardent de plus près le quoi qu'il y a dans ces putains de flacons injectables qui tuent !
      S'ils savent lire un rapport, voir celui des scientifiques Astrid Stuckelberger et Carrie Madej qui ont analysé les contenants mortels proposés à la population

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  54. “Il s’agit notamment de faciliter l’accès aux données de formation, souvent sans que la vie privée des patients en pâtisse, d’offrir un meilleur accès aux ensembles de données de validation ou d’étalonnage, de combler les lacunes dans les données qui existeraient autrement, et d’augmenter la taille des échantillons”.

    Ce concept semble s’appuyer sur la pratique existante de l’utilisation de “surrogate endpoints”(critères de substitution) dans les essais cliniques: au lieu de mesurer si les participants à l’essai se sentent mieux ou vivent plus longtemps, ou d’examiner les résultats, par exemple si les participants ont eu un accident vasculaire cérébral, les chercheurs utilisent des mesures par procuration dont les chercheurs s’attendent simplement qu’ils soient prédictifs.

    Selon Bertalan Meskó, docteur en médecine, directeur du Medical Futurist Institute, les “patients artificiels” peuvent être définis comme “un ensemble de données représentant les caractéristiques humaines souhaitées … basées sur de grandes quantités de données de patients réels, sans réellement inclure de données de patients réels pouvant être retracées”.

    “Les patients artificiels peuvent être la réponse à plus d’un problème de la médecine moderne, y compris la protection de la vie privée des patients”, a écrit M. Meskó. “Un jour, les patients virtuels pourraient devenir les outils de référence pour “estimer l’efficacité et les effets secondaires potentiels de molécules médicamenteuses prometteuses ou optimiser l’utilisation de celles qui existent déjà”, modéliser le taux de réussite de nouveaux dispositifs médicaux ou remplacer le groupe de contrôle placebo dans les essais cliniques.

    “L’utilisation de données du monde réel comme groupe de patients dans un essai, souvent connu sous le nom de bras de contrôle synthétique, peut rendre les essais de recherche plus efficaces – les entreprises n’ont pas besoin de recruter autant de personnes dans les essais cliniques et peuvent garantir que les candidats recevront effectivement le traitement”, écrit-il, ajoutant que “les groupes de contrôle synthétiques peuvent également améliorer l’équité dans la recherche clinique”.

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  55. “Comme beaucoup l’espèrent, les patients artificiels pourront un jour remplacer complètement les humains et les animaux dans les essais cliniques, les animaux étant très probablement les premiers”, écrit M. Meskó.

    L’aperçu du projet financé par le gouvernement britannique indique que l’affectation de patients d’essais cliniques humains à des groupes de contrôle “peut s’avérer difficile dans certains états de santé, car l’affectation aléatoire à un groupe de contrôle pourrait priver les patients de l’accès à des traitements qui pourraient prolonger leur vie ou améliorer leurs symptômes”.

    L’aperçu du projet ajoute que “de nombreux essais cliniques éprouvent également des difficultés à recruter suffisamment de patients, en particulier ceux qui portent sur des maladies rares”.

    Cependant, “les récentes améliorations de la puissance informatique ont permis aux chercheurs de créer des patients artificiels, avec des informations de santé similaires à celles des patients réels dans les essais cliniques”, indique la vue d’ensemble du projet. Ces “données artificielles” pourraient alors contribuer à “stimuler les essais cliniques de moindre envergure, en réduisant le nombre de patients nécessaires à leur réussite”.

    Les informations générées artificiellement pourraient également être utilisées pour “mieux refléter les groupes de la société qui sont moins bien représentés dans les essais cliniques, y compris les différents groupes d’âge et les ethnies”, selon l’aperçu du projet, qui précise également :

    “À l’avenir, ces approches pourraient être combinées à des informations réelles sur les patients, voire les remplacer. La réussite de ce projet pourrait contribuer à modifier la façon dont les essais cliniques sont réalisés pour les maladies courantes et rares, en réduisant leur coût et en améliorant la façon dont les nouveaux traitements sont testés.”

    Les deux études en cours, à l’université de Birmingham et à l’université Brunel de Londres, se poursuivront jusqu’au début de 2025. Ils ont également produit au moins un article évalué par des pairs, qui sera bientôt publié dans Heliyon.

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  56. Mme Nass a déclaré que, pour les entreprises pharmaceutiques, il est “encore moins cher … de ne pas utiliser les gens du tout. Il suffit de les modéliser”.

    “Pourquoi pas, puisque la FDA semble maintenant penser que son travail consiste à mettre en place une charade convaincante d’agence de régulation”, a-t-elle demandé.

    D’autres experts ont également lié les efforts visant à développer des participants et des données “synthétiques” pour les essais cliniques à des points plus généraux de l’ordre du jour du WEF, notamment les efforts visant à se préparer et à contrer une hypothétique “maladie X” qui, selon l’Organisation mondiale de la santé et d’autres, pourrait être à l’origine de la prochaine pandémie.

    “Les partisans de la vaccination contre la maladie X dans un délai de 100 jours utiliseraient très probablement ce substitut peu convaincant aux données réelles sur les patients pour atteindre leur objectif invraisemblable”, a déclaré M. Hooker.

    La “maladie X” est l’un des points à l’ordre du jour de la réunion du WEF de cette semaine à Davos, tandis qu’en 2021, le Gouvernement britannique et la Coalition for Epidemic Preparedness and Innovations (CEPI) ont annoncé leur “Mission 100 jours”, qui consiste à développer la capacité de mettre au point un vaccin contre une future “maladie X” dans un délai de 100 jours.

    Nous devons insister sur les essais cliniques sur des sujets humains, même si le WEF et ses “partenaires publics-privés” essaient de nous éblouir et de nous embrouiller avec la technologie”, a déclaré M. Rectenwald.

    CHD.TV couvrira les réunions de Davos toute la semaine.

    https://www.mondialisation.ca/le-forum-economique-mondial-etudie-lutilisation-de-patients-et-de-donnees-generes-par-lia-dans-les-essais-cliniques/5685701?doing_wp_cron=1706354829.5711700916290283203125

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    Réponses
    1. ' Moutons mécaniques'

      De temps à autres les centrales d'achats (qui approvisionnent tous les 'supermarchés' du monde) font naître un 'Nouveau Discounter' qui va brader des invendus mais qui, les mois passant, reviendra vite aux prix affichés chez les 'concurrents' !

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  57. L’auteur de l’étude utilisée pour dénigrer les personnes non vaccinées avait des liens avec Pfizer – Une nouvelle recherche évaluée par des pairs montre pourquoi l’étude était erronée.

    Une nouvelle étude, évaluée par des pairs, réalisée par les chercheurs Joseph Hickey et Denis Rancourt, a réexaminé les modèles mathématiques utilisés pour justifier les politiques interdisant l'accès aux lieux publics aux personnes non vaccinées. Ils ont constaté que les modèles étaient basés sur l'application de modèles mathématiques de risque erronés.


    Par Brenda Baletti
    Mondialisation.ca,
    26 janvier 2024


    Pendant la pandémie de Covid-19, des politiciens, des scientifiques et des médias ont vilipendé les personnes non vaccinées, les accusant d’avoir prolongé la pandémie et ont préconisé des politiques qui interdisaient aux “non-vaccinés” l’accès aux lieux publics, aux entreprises et à leur propre lieu de travail.

    Mais une étude révisée par des pairs et publiée la semaine dernière dans Cureus montre qu’une étude clé réalisée en avril 2022 par Fisman et al, utilisée pour justifier des politiques draconiennes de ségrégation des personnes non vaccinées, était basée sur l’application de modèles mathématiques de risque erronés qui n’offrent aucun soutien scientifique à de telles politiques.

    Le Dr David Fisman, épidémiologiste à l’université de Toronto, est l’auteur principal de l’étude d’avril 2022, publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ), qui, selon les auteurs, montre que les personnes non vaccinées présentent un risque disproportionné par rapport aux personnes vaccinées.

    M. Fisman a travaillé comme conseiller pour les fabricants de vaccins Pfizer, Seqirus, AstraZeneca et Sanofi-Pasteur. Il a également conseillé le gouvernement canadien sur ses politiques en matière de Covid-19 et a récemment été désigné pour diriger le nouvel Institut des pandémies de l’Université de Toronto.

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  58. M. Fisman a déclaré aux journalistes que le message clé de l’étude était que le choix de se faire vacciner n’est pas simplement personnel, car si vous choisissez de ne pas être vacciné, vous “créez un risque pour ceux qui vous entourent”.

    La presse s’en est emparée.

    Des titres comme “Merely hanging out with unvaccinated puts the vaccinated at higher risk : study” de Salon, “Study Shows Unvaccinated People Are At Increased Risk Of Infecting The Vaccinated” de Forbes ou “My Choice ? Unvaccinated Pose Outsize Risk to Vaccinated” ont proliféré dans plus de 100 médias.

    Le Parlement canadien a utilisé ce document pour promouvoir des restrictions à l’encontre des personnes non vaccinées.

    Cependant, dans la nouvelle étude publiée la semaine dernière, Joseph Hickey, docteur en médecine, et Denis Rancourt, docteur en physique, montrent que le modèle “sensible-infectieux-récupéré (SIR)” de Fisman, utilisé pour tirer ses conclusions, présentait une faille flagrante dans l’un de ses paramètres clés : la fréquence des contacts.

    Lorsqu’ils ont ajusté ce paramètre pour tenir compte des données réelles, le modèle a produit toute une série de résultats contradictoires, dont l’un montre que la ségrégation des personnes non vaccinées peut accroître la gravité de l’épidémie chez les personnes vaccinées, ce qui est exactement le contraire de ce que Fisman et al. prétendaient montrer.

    Hickey et Rancourt, chercheurs au sein de l’organisation canadienne Correlation : Research in the Public Interest, ont conclu qu’en l’absence de données empiriques fiables sur lesquelles s’appuyer, les modèles SIR sont “intrinsèquement limités” et ne devraient pas servir de base à l’élaboration d’une politique.

    Les chercheurs canadiens ont tenté de publier leur article dans le CMAJ, où Fisman avait publié son étude originale, mais le rédacteur en chef – un collaborateur de Fisman – a refusé même de l’examiner.

    La version en libre accès du CMAJ a également refusé de publier l’article, même s’il a fait l’objet d’une évaluation favorable par les pairs.

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  59. Dans une lettre envoyée, documents à l’appui, au CMAJ et à l’Association médicale canadienne, Hickey et Rancourt ont raconté la “fastidieuse saga” au cours de laquelle les rédacteurs de la revue ont “concocté une multitude d’objections accessoires et inutiles, apparemment destinées à constituer des obstacles insurmontables” à la publication de leur étude.

    Ils ont ensuite publié leur étude dans la revue à comité de lecture Cureus.

    M. Rancourt a tweeté un lien vers les résultats de l’étude, accompagné d’un montage de clips médiatiques datant de l’époque de la pandémie et désignant les personnes non vaccinées comme boucs émissaires.

    Une politique qui ne repose sur rien

    Les modèles SIR ont été couramment utilisés comme base des politiques de lutte contre les pandémies, souvent avec des lacunes fatales que la recherche a révélées depuis.

    Fisman et al. ont conçu leur étude pour mesurer l’impact de la ségrégation de deux groupes – les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées – en appliquant un modèle SIR pour prédire si les personnes non vaccinées représentent un risque excessif pour les personnes vaccinées lors d’une épidémie de virus respiratoire aigu sévère, sur la base de degrés variables de mélange entre les groupes.

    Cependant, le modèle, écrivent Hickey et Rancourt, n’a pas pris en compte l’impact de cette ségrégation sur les “fréquences de contact“, un paramètre clé pour prédire les résultats de l’épidémie.

    Au lieu de cela, elle a supposé que les fréquences de contact entre le groupe majoritaire (vacciné) et le groupe socialement exclu (non vacciné) seraient égales et constantes, ce qui “n’est pas réaliste”, a déclaré M. Hickey au Défenseur.

    En d’autres termes, le modèle supposait que les deux groupes seraient séparés, tout en menant la même existence parallèle – en socialisant, en travaillant, en faisant des achats et en entrant en contact avec d’autres personnes exactement de la même manière.

    Mais dans le monde réel, la ségrégation signifiait que les personnes non vaccinées n’avaient pas accès à de nombreux lieux publics, de sorte que la fréquence de leurs contacts était fortement réduite.

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  60. Hickey et Rancourt ont à nouveau mis en œuvre le modèle SIR, en testant un degré de ségrégation allant de zéro à une ségrégation totale et en permettant aux fréquences de contact entre les individus des deux groupes de varier en fonction du degré de ségrégation.

    Lorsqu’ils ont exécuté le modèle en utilisant l’estimation plus réaliste de la manière dont les différentes politiques de ségrégation pourraient générer des fréquences de contact différentes entre les deux groupes, “nous avons constaté que les résultats étaient très disparates”, a déclaré M. Hickey.

    En séparant les personnes non vaccinées de la majorité des personnes vaccinées, a-t-il déclaré, “on peut obtenir une augmentation du taux d’attaque chez les personnes vaccinées ou une diminution”.

    “Des conséquences épidémiologiques négatives peuvent survenir pour l’un ou l’autre des groupes ségrégués, indépendamment des effets délétères sur la santé des politiques elles-mêmes”, écrivent-ils.

    M. Hickey a déclaré que les résultats variables étaient très sensibles aux valeurs des paramètres du modèle, à savoir la fréquence des contacts infectieux.

    Mais il a ajouté que, dans le monde réel, il n’existe pas de mesures fiables de la fréquence des contacts et que, sans mesures fiables des données d’entrée du modèle, ce dernier est essentiellement dénué de sens.

    Ils ont conclu que le degré d’incertitude est si élevé dans ces modèles SIR qu’ils ne peuvent pas informer raisonnablement les décisions politiques.

    “C’est une politique qui ne repose sur rien”, a déclaré M. Hickey.

    “Dans l’état actuel des connaissances, nous ne pouvons pas recommander l’utilisation de la modélisation du SIR pour motiver ou justifier des politiques de ségrégation concernant les maladies respiratoires virales”, conclut l’étude.

    La fraude de Fisman
    La modélisation a eu un impact majeur sur la réponse à la pandémie au Canada et dans le monde, a déclaré au Defender la statisticienne Regina Watteel, qui a décrit l’impact de l’article de Fisman dans son livre “Fisman’s Fraud: the Rise of Canadian Hate Science” (La fraude de Fisman: la montée de la haine scientifique au Canada).

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  61. En tant que figure clé de la modélisation de la pandémie au Canada, M. Fisman “a été impliqué dans la réponse à la pandémie du Canada à tous les niveaux”, a-t-elle déclaré.

    Il a également exercé une grande influence en tant que personnalité publique, faisant très tôt de nombreux commentaires désobligeants sur les “anti-vaxxers” et préconisant des politiques telles que les passeports vaccinaux et les fermetures d’écoles, bien avant de recevoir une importante subvention des Instituts de recherche en santé du Canada pour son étude de modélisation du SIR.

    Lors d’interviews, M. Fisman a ouvertement indiqué que l’objectif de l’étude 2022 était de “saper l’idée que le choix du vaccin était laissé à l’individu”, a déclaré Mme Watteel.

    L’article sur la modélisation 2022 ne se contente pas de présenter des résultats mathématiques, les auteurs font également des déclarations politiques.

    Le document indique que

    “Le choix de certains individus de refuser la vaccination est susceptible d’affecter la santé et la sécurité des personnes vaccinées d’une manière disproportionnée par rapport à la fraction de personnes non vaccinées dans la population.

    “Les risques encourus par les personnes non vaccinées ne peuvent être considérés comme relevant de l’autodiscipline, et les considérations relatives à l’équité et à la justice pour les personnes qui choisissent d’être vaccinées, ainsi que pour celles qui choisissent de ne pas l’être, doivent être prises en compte dans l’élaboration de la politique de vaccination”.

    Malgré les graves préoccupations soulevées par de nombreux chercheurs dans la section des réponses de l’article du CMAJ, la presse internationale grand public a largement fait la promotion de l’article comme preuve que les personnes non vaccinées représentaient un danger pour les personnes vaccinées.

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  62. https://www.abolition-article-4.com/signature

    La désinformation et les fausses nouvelles, c’est la Secte créée par Pétain ! L’inversion accusatoire ne fonctionne plus. Des centaines d’études dans le monde entier contredisent ce que la Secte tente d’imposer comme une doxa mortifère.

    Le pire, vous chercherez les décisions de la Secte à l’encontre de médecins ayant proscrit des molécules à l’origine de scandales……

    Et les fais divers…Joël Le Scouarnec, l’ex-chirurgien de 68 ans soupçonné d’être l’auteur de nombreux actes pédophiles, avait bel et bien été signalé à l’Ordre des médecins ainsi qu’à la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (Ddass) du Finistère, contrairement à ce que Pascal Revolat, le président de l’Ordre des médecins de Charente-Maritime, expliquait dans nos colonnes vendredi. Et ce, après sa condamnation en 2005 à Vannes (Morbihan) à quatre mois de prison avec sursis pour détention d’images pédo-pornographiques.

    https://www.charentelibre.fr/societe/justice/chirurgien-pedophile-l-ordre-des-medecins-avait-connaissance-de-son-passe-judiciaire-6061089.php

    https://pgibertie.com/2024/01/27/la-secte-denommee-ordre-national-des-medecins-soutient-le-projet-de-loi-darmanin-contre-les-lanceurs-dalerte-la-menace-se-precise/

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  63. FL Surgeon General : Arrêtez les vaccins à ARNm en raison d’une contamination par l’ADN


    Par Ben Armstrong
    Le nouvel américain
    27 janvier 2024


    Nouvelles majeures sur les vaccins concernant les conservateurs luttant contre les crimes liés aux vaccins qui ont été commis.

    - voir clip sur site -

    AVIS DE NON-RESPONSABILITÉ : les points de vue et opinions exprimés sur The Ben Armstrong Show sont uniquement ceux de l'hôte et ne représentent pas nécessairement ceux de The New American. TNA n'est pas responsable et ne vérifie pas l'exactitude des informations présentées.

    Sources vidéo :
    1. AmericasVoice.news – LA SALLE DE GUERRE AVEC STEPHEN K BANNON 3290 PARTIE 1

    2. AmericasVoice.news – Les militaires s’engagent à tenir les dirigeants responsables des mandats anticonstitutionnels en matière de vaccins et à les punir. LA NRA N’EST PLUS CE QU’ELLE ÉTAIT

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    This originally appeared on The New American.

    https://www.lewrockwell.com/2024/01/no_author/fl-surgeon-general-halt-mrna-vaccines-because-of-dna-contamination/

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  64. Il est intéressant de noter que cette même enquête documentant le mépris des « élites » pour la liberté personnelle (au-delà des privilèges durables de leur propre clique, bien sûr) révèle également qu'environ les deux tiers des non-« élites » pensent que le contrôle gouvernemental centralisé est devenu une menace sérieuse. à la liberté humaine. Ainsi, l'aristocratie féodale insiste sur le fait que les paysans ont trop de liberté, alors que les paysans sont déjà occupés à transformer leurs socs de charrue en épées et leurs serpes en lances. Qu'est ce qui pourrait aller mal?

    Depuis longtemps, il est évident que le conflit crucial pour l’avenir de l’humanité ne sera pas mené entre de simples États-nations, mais plutôt entre des êtres humains aspirant à la liberté et des institutions internationales en quête d’un contrôle totalitaire. Lorsque Klaus Schwab affirme que les élections démocratiques seront bientôt remplacées par l'intelligence artificielle, les défenseurs prudents de la liberté se préparent. Alors que les membres du WEF sont si désespérés de promouvoir le communisme du « changement climatique » qu’ils exigent que la pêche et l’agriculture soient traitées comme des « crimes graves » équivalents à un « génocide », les gens rationnels savent qu’une nouvelle ère de tyrannie est là.

    Aux États-Unis, où la « liberté » est un cri de guerre chéri pour les guerriers prêts à sacrifier leur vie pour les principes fondateurs de l’Amérique, les signes de quelque chose d’infâme et de contraire à ces principes sont devenus plus visibles. L’imposant complexe du Pentagone, une armée permanente sur le sol américain et un budget de défense qui éclipse celui du reste du monde se profilent tous dans l’ombre d’une Constitution américaine prévoyant un gouvernement civil limité et auto-équilibré.

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  65. La formation du FBI, de la CIA et de la NSA (et de dizaines d’autres agences, organisations, sous-traitants extérieurs et sous-groupes invisibles dont l’expertise comprend l’espionnage des citoyens américains) a créé de toutes pièces une branche entièrement nouvelle du gouvernement, libre de toute responsabilité législative. , contrainte judiciaire ou contrôle public. La Réserve fédérale – une banque privée dotée du pouvoir impressionnant d’imprimer et de prêter des dollars – a transformé la monnaie commune américaine en un instrument de dépréciation permettant de manipuler et de surveiller les transactions privées et de transférer l’épargne de la classe moyenne vers les comptes des plus riches de la planète. Le ministère de la Justice (de nom seulement) protège les amis permanents de l'État profond tout en ciblant ses ennemis (c'est pourquoi les clients pédophiles de Jeffrey Epstein restent aussi libres que les terroristes nationaux d'Antifa qui incendient de petites entreprises et attaquent des civils, tandis que Mary McCord et d’autres mercenaires bureaucratiques d’Obama-Biden persécutent les conservateurs, emprisonnent les otages politiques du J6 et tourmentent le président Trump). Alors que la loi fédérale et une immense majorité de citoyens américains exigent depuis des décennies que les autorités mettent fin à l’immigration clandestine de masse, ces mêmes autorités conspirent avec les entreprises et les « élites » de la classe supérieure dépendantes d’une main-d’œuvre bon marché pour ignorer la loi et faciliter les pires types d’immigration clandestine. un mal lié aux frontières – crime organisé, terrorisme transnational, meurtres de masse liés aux stupéfiants et trafic d’esclaves sexuelles. Et tandis que toutes ces menaces contre les libertés naturelles et les droits constitutionnels des Américains se sont métastasées comme un cancer virulent qui ronge la société, les politiciens ont exacerbé la douleur et la souffrance des Américains en concluant des accords de « libre-échange » qui ont enrichi les conglomérats internationaux et les sociétés d'investissement tout en détruisant l’autosuffisance industrielle et manufacturière autrefois enviable de l’Amérique et appauvrissant la classe moyenne du pays. Tout observateur honnête examinant attentivement cette « longue suite d’abus » contre le peuple américain n’aurait aucun mal à conclure qu’une confrontation atteint rapidement son paroxysme.

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  66. Le président fantoche Biden (dont l’irritabilité, le comportement erratique et l’incapacité à formuler des phrases complètes continuent de suggérer qu’il souffre d’une certaine forme de démence débilitante qui le rend inapte à exercer ses fonctions) a récemment menacé une fois de plus les propriétaires d’armes américains en soulignant que leurs AR-15 sont pas à la hauteur des avions de combat militaires F-16. Si l’on met de côté l’hostilité du président américain à l’égard du deuxième amendement et son zèle psychotique à recourir à la force militaire contre le peuple américain, son argument selon lequel la possession d’armes par des civils est insuffisant pour contrecarrer la tyrannie du gouvernement crée un trou plutôt accablant dans ses proclamations simultanées selon lesquelles le J6 non armé les manifestants au Capitole faisaient partie d’une « insurrection » qui a presque « renversé » le gouvernement américain. Comment des patriotes pour la plupart pacifiques et sans armes pourraient-ils constituer une telle menace pour un gouvernement si sûr de sa domination militaire qu’il se moque régulièrement de l’autodéfense civile ? La réponse est simple : les manifestations du J6 n’étaient pas une « insurrection », mais la « classe dirigeante » cherche désespérément à désarmer les Américains avant que le rempart du deuxième amendement contre la tyrannie ne fournisse un « moment propice à l’apprentissage » pour ceux qui n’ont pas reçu d’éducation civique de base.

    Lorsqu’il ne tente pas de priver les Américains de leur droit à l’autodéfense, le régime allergique à la Déclaration des droits de Biden reste également déterminé à diminuer les droits des Américains aux premier et quatrième amendements. Le FBI et le DOJ ciblent de manière inconstitutionnelle les Américains en raison de leurs convictions politiques, effectuent des recherches sans mandat dans leurs communications et transactions financières et les placent sur les listes des « ennemis intérieurs » pour leur patriotisme, leur soutien aux politiques de MAGA, leur vote pour Trump ou simplement leur lecture d’une Bible chrétienne. Le gouvernement fédéral a même réorienté les fonds destinés à lutter contre le terrorisme vers un effort de propagande visant le président Trump et ses électeurs. Après avoir créé un tribunal secret de surveillance d’Internet avec Eric Holder comme membre et créé plusieurs itérations d’un conseil de censure national pour contrôler ce que les Américains peuvent dire et entendre, Biden et ses gangsters allégués au WEF sont les nazis qu’ils accusent de manière absurde les partisans de la Déclaration des droits. d'être.

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  67. Question : Face à la réaction croissante de l'opinion publique aux États-Unis et dans tout l'Occident, n'est-il pas dans l'intérêt de la « classe dirigeante » de tempérer son obsession de construire par la force un « nouvel ordre mondial » dans les mêmes vieux moules destructeurs d'Hitler ? Lénine et Mao ? Nous ne le saurons peut-être jamais avec certitude, car la collection de Marie-Antoinettes du Forum économique mondial semble déterminée à faire taire ses opposants tout en imposant leur dernière version de la tyrannie technocratique. Ce que nous savons avec certitude – parce que l’histoire est extrêmement claire – c’est qu’un grand nombre de tyrans accèdent au pouvoir pour ensuite perdre la tête.

    https://www.americanthinker.com/articles/2024/01/the_world_economic_forums_marie_antoinettes.html

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  68. The Guardian : entre grâce et cupidité


    26 Janvier 2024
    La fine fleur de l'activisme médiatique
    The Firebreak*


    Ma note : The Guardian est un grand diffuseur d'articles militants, sinon ouvertement propagandistes ; ainsi, Mme Carey Gillam, qui fut longtemps la plume de l'U.S. Right to Know – porte-voix et porte-flingue du biobusines et des avocats prédateurs voulant faire les poches de Bayer/Monsanto, etc. – et sévit maintenant sur The New Lede, y a son rond de serviette. The Guardian est aussi une source pour certains médias français militants et/ou paresseux. En faire connaître les dessous est quasiment un impératif de salubrité publique.

    The Firebreak a récemment publié un mémorial pour les médias traditionnels, montrant comment le modèle économique avait changé, affectant la viabilité ou l'objectivité de la plupart des grandes organisations de presse. L'une des solutions de survie a été de transformer les groupes de presse en une sorte d'association à but non lucratif, recherchant des dons pour financer le journalisme indépendant.

    En 2017, The Guardian a créé theguardian.org, une aile caritative destinée à financer des articles dans The Guardian, sur le modèle des campagnes de financement des ONG. Les sceptiques diraient qu'ils reçoivent des dons en échange d'encre, ce qui est devenu évident après un tollé public lorsqu'ils ont demandé et reçu un don important d'une fondation axée sur les droits des animaux, Open Philanthropy, en échange de multiples articles contre l'élevage. Mais ce n'est que la partie émergée de l'iceberg.

    The Guardian est devenu expert dans la vente de son âme et de son intégrité journalistique à qui veut bien lui faire un chèque. Un simple coup d'œil sur son site web montre que 52 dons totalisant au moins 20.249.000 dollars ont été collectés au cours des cinq dernières années. Le don moyen est d'environ 400.000 dollars. La plupart de ces dons ont été affectés à des articles sur les thèmes suivants :

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  69. La justice environnementale et la sécurité alimentaire : 1.750.000 dollars ;

    L'Âge de l'Extinction : 1.500.000 dollars ;

    La perte de biodiversité : 1.400.000 dollars ;

    L'élevage industriel : 2.236.000 dollars ;

    Le climat : 1.500.000 dollars ;

    Océans et climat : 1.600.000 dollars ;

    La violence armée : 1.000.000 de dollars.

    Note de l'éditeur : depuis la publication de cet article, The Guardian a supprimé la page web contenant son financement. Nous avons donc remplacée le lien par celui de la Wayback Machine. Bien qu'il s'agisse d'un comportement épouvantable de la part d'un organe de presse qui devrait s'engager à la transparence, étant donné la nature de la politique du Guardian, ce n'est pas une surprise.

    Certaines des fondations sont perçues comme militantes et considèrent toute subvention au Guardian comme un moyen de faire avancer leurs campagnes (comme la California Wellness Foundation). Quelques subventions sont à durée indéterminée ou imprécises. Un cas curieux est celui du Leona and Harry Helmsley Charitable Trust (souvenez-vous de la reine de la méchanceté, abusive et évadée fiscale, qui a légué 12 millions de dollars à son chien). Ce groupe a donné au Guardian 1.500.000 dollars pour des articles sur les maladies non transmissibles, ce qui signifie, je suppose, le tabac, l'alcool et les aliments transformés.

    Mais ce n'est que la moitié de l'histoire, semble-t-il. J'ai trouvé sur les pages du Guardian des articles sur Big Oil financés par la Rockefeller Brothers Foundation, qui n'était pas mentionnée sur leur page de financement, ni les contributions de la Ford Foundation et d'autres groupes, ni l'ensemble de leur programme de financement australien...

    Il convient de noter qu'il ne s'agit pas d'une aumône gentiment offerte à un groupe de médias en difficulté qui s'efforce d'être un bon acteur social. Chaque don fait suite à un processus de demande approfondi au cours duquel The Guardian doit prouver qu'il apporte une valeur ajoutée conforme aux objectifs de la fondation. L'obtention d'une subvention implique généralement de nombreuses félicitations de la part des membres des conseils d'administration des fondations.

    Comment cela fonctionne-t-il ? La fondation semble suggérer que les rédacteurs du Guardian font une demande de financement auprès de theguardian.org pour publier des articles ou effectuer des recherches :

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  70. L'organisation collecte des fonds auprès de particuliers et de fondations et les oriente vers des projets qui font progresser le discours public et la participation des citoyens sur des questions telles que le changement climatique, les Droits de l'Homme, le développement mondial et les inégalités. The Guardian peut demander des subventions à theguardian.org pour des projets éditoriaux qui correspondent aux priorités définies par le conseil d'administration de theguardian.org et qui sont conformes à sa mission caritative. C'est pourquoi un certain nombre de partenariats philanthropiques du Guardian se font par le biais de subventions à cette organisation.

    Mais cela signifie-t-il que The Guardian ne peut couvrir que des sujets pour lesquels des fonds sont disponibles ? The Guardian reçoit beaucoup d'argent de fondations liées à la perte de biodiversité et au changement climatique, ce qui explique peut-être pourquoi ces sujets dominent l'actualité. Il n'a pas reçu d'argent pour faire couler de l'encre sur les industries minières ou chimiques, de sorte que ces questions semblent avoir bénéficié d'un passe-droit.

    Des problèmes de transparence se posent également. The Guardian a affirmé dans un grand graphique que la Society for Environmental Journalists avait versé 680.000 dollars depuis 2017. Cela m'a fait lever un sourcil, car la dernière fois que j'ai assisté à un événement de la SEJ, tout le monde a payé son propre café. Ailleurs, caché dans un texte flou, ils ont reconnu que cette contribution provenait du Fund for Environmental Journalism et que ces coûts étaient en fait pris en charge par la Gordon and Betty Moore Foundation.

    J'ai la tête qui tourne.

    Le mieux que je puisse conclure est que la Gordon and Betty Moore Foundation a donné plus de 110.000 dollars par an à des journalistes environnementaux pour qu'ils écrivent des articles que The Guardian pourrait ensuite publier en leur nom. En supposant que 5.000 dollars constituent une contribution généreuse pour un pigiste, cela signifierait qu'au moins 22 articles par an sont envoyés au Guardian sans aucun coût ni contribution de la part du groupe de presse (à moins que tout l'argent ne soit investi dans un film de George Monbiot).

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  71. Il y a tant de choses que nous ignorons ici. Un journaliste indépendant serait-il en mesure de vendre une idée à une fondation, d'obtenir un financement, puis de l'apporter au Guardian pour en faire un article ? Une fondation ou une fiducie pourrait-elle réserver elle-même un article qui servirait ses intérêts ? J'ai remarqué que le mouvement Extinction Rebellion a rapidement pris de l'importance grâce au soutien actif et à la couverture en première page du Guardian, dont le journaliste, George Monbiot, a assumé un rôle de quasi-chef de file dans cette « révolution » sans leader. Ces activités ont-elles été financées par des fondations ou l'activisme du journaliste visait-il en partie à s'assurer d'autres possibilités de financement ?

    Comment ces mercenaires des médias peuvent-ils être considérés comme des journalistes ? Comment The Guardian peut-il continuer à être considéré comme une entité journalistique alors qu'il ne travaille sur des sujets que lorsque des groupes d'intérêts activistes l'engagent (le paient) ? Et comment cela affecte-t-il leur objectivité ?

    The Guardian affirme qu'il accepte l'argent afin de « pouvoir continuer à produire un journalisme indépendant et de qualité dans l'intérêt du public ». Je ne vois pas très bien comment ils peuvent tenir ce discours alors que 20 millions de dollars rapportent des intérêts.

    Il ne s'agit pas d'un journalisme indépendant et de qualité, et tout lecteur qui ouvre The Guardian se fait des illusions s'il croit cela.
    _______________

    * Source : The Guardian: Between Grace and Greed - THE FIREBREAK

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/the-guardian-entre-grace-et-cupidite.html

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  72. C'est un bain de sang pour les médias grand public


    Par Michael Snyder
    L'effondrement économique
    27 janvier 2024


    Faut-il s’étonner que l’industrie de l’information soit frappée par une vague massive de licenciements ? Enquête après enquête, il a été démontré que le peuple américain a perdu confiance dans les médias grand public et que des millions d’entre nous ont décidé de se tourner vers d’autres sources d’information. Les médias grand public saignent leurs téléspectateurs et leurs lecteurs depuis des années, et maintenant bon nombre des plus grands noms de l’industrie de l’information perdent des sommes d’argent faramineuses. Ce n'était qu'une question de temps avant que nous assistions à des licenciements à grande échelle, et maintenant ils sont là.

    Bien entendu, les grands médias ne sont pas les seuls à licencier. Selon Challenger, Gray & Christmas, le nombre de licenciements aux États-Unis en 2023 était 98 % plus élevé qu'en 2022…

    Le rythme des suppressions d’emplois par les employeurs américains s’est accéléré en 2023, le nombre de licenciements ayant augmenté de 98 % par rapport à l’année précédente.

    C'est ce que révèle un nouveau rapport publié par Challenger, Gray & Christmas, qui révèle que les entreprises prévoyaient 721 677 suppressions d'emplois l'année dernière, soit une augmentation substantielle par rapport aux 363 832 licenciements signalés en 2022.

    Le problème pourrait s’aggraver en 2024, alors que le marché du travail continue de se ralentir face à des taux d’intérêt élevés et à une inflation tenace.

    Mais il est vrai que le secteur de l’information est particulièrement touché. Par exemple, Time Magazine vient d’annoncer qu’il licencierait du personnel « dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME »…

    Time Magazine a licencié mardi un nombre incertain d'employés dans tous les départements, une décision que la PDG Jessica Sibley a qualifiée de « mesure nécessaire que nous devons prendre pour faire avancer notre entreprise et améliorer notre situation financière ».

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  73. Dans une note interne adressée au personnel, obtenue par Max Tani de Semafor, Sibley a annoncé les réductions.

    "Nous avons pris la décision difficile d'éliminer aujourd'hui des postes dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et TIME Studios", a écrit Sibley au personnel. «Nous sommes extrêmement reconnaissants pour les contributions de ces membres talentueux de l'équipe au cours de leur mandat chez TIME.»

    Quand j'étais enfant, Time Magazine était très respecté et mes parents en avaient souvent un exemplaire sur la table basse.

    Mais aujourd’hui, il est en train de mourir, tout comme le reste des médias grand public.

    Il suffit de regarder ce qui arrive au plus grand journal de Californie. Le Los Angeles Times a décidé de supprimer « un peu plus de 20 % de la rédaction »…

    Le Los Angeles Times, confronté à ce que la haute direction a décrit cette semaine comme une « crise financière », a entamé mardi une série de licenciements douloureux dans la salle de rédaction, une réduction d'effectifs qui devrait être l'une des plus sévères des 142 années d'existence du journal. histoire.

    Les réductions affecteront au moins 115 journalistes, a déclaré à CNN une personne proche du dossier, soit un peu plus de 20 % de la rédaction. Quelque 94 de ces suppressions concerneront les employés syndiqués, a déclaré le chef du syndicat Matt Pearce, ce qui signifie qu'un quart des effectifs du syndicat seront licenciés.

    Devons-nous être tristes que le Los Angeles Times implose ?

    Je ne pense pas.

    Ailleurs, Paramount envisage de donner le couperet à des centaines de travailleurs…

    Au milieu des spéculations sur son avenir, Paramount Global procède à une nouvelle vague de réductions d'effectifs en février, indiquent des sources à Deadline. J'ai entendu dire que les réductions affecteraient des centaines d'employés dans l'ensemble de l'entreprise.

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  74. Au cours des derniers jours, des rumeurs ont circulé selon lesquelles le licenciement d'environ 800 personnes chez Paramount serait imminent. Cela faisait suite à un rapport du WSJ de décembre selon lequel l'entreprise envisageait la suppression potentielle de plus de 1 000 emplois début 2024 pour maîtriser les coûts.

    Paramount est la société mère de CBS et il est donc probable que la division information de CBS soit sur le point de devenir encore plus petite.

    Bien sûr, la division information de NBC diminue également…

    NBC News a licencié plusieurs dizaines d'employés, la dernière d'une douzaine d'entreprises à commencer la nouvelle année avec de mauvaises nouvelles pour ses employés, a confirmé vendredi USA TODAY.

    Une source proche du projet a déclaré que les employés avaient reçu un préavis de 60 jours et bénéficieraient d'indemnités de départ et d'un reclassement.

    Le journalisme sportif a également connu des moments difficiles.

    À ce stade, il semble que l’avenir de Sports Illustrated soit très incertain et que de nombreux employés du magazine seront désormais à la recherche d’un nouvel emploi…

    L'avenir du magazine emblématique Sports Illustrated semblait sombre vendredi après que l'éditeur a annoncé des licenciements massifs.

    Le groupe Arena – qui avait été perturbé par des informations selon lesquelles le légendaire magazine publiait du contenu généré par l'IA – a admis ne pas avoir versé un paiement de licence trimestriel de 3,75 millions de dollars à Authentic Brands Group, dû cette semaine.

    En conséquence, l’Arena, cotée en bourse, a annoncé jeudi qu’elle procéderait à une « réduction significative » de ses effectifs de plus de 100 journalistes.

    Toutes les histoires que je viens de partager avec vous se sont produites au cours des sept derniers jours.

    C’est fou à quelle vitesse les choses évoluent maintenant.

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  75. Bien entendu, de nombreuses autres industries licencient également des travailleurs. Plus tôt dans la journée, nous avons appris que SolarEdge allait licencier environ 16 % de ses effectifs…

    SolarEdge, une entreprise qui fabrique des onduleurs pour panneaux solaires, va supprimer environ 16 % de ses effectifs.

    L'entreprise a annoncé dimanche qu'environ 900 personnes perdraient leur emploi dans le cadre d'un plan de restructuration "conçu pour réduire les dépenses d'exploitation et aligner sa structure de coûts sur la dynamique actuelle du marché". Il a qualifié les conditions du secteur de « difficiles » dans un dossier déposé auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC).

    Et Vroom Automotive licenciera « la plupart de ses employés » en fermant définitivement ses opérations de véhicules d’occasion…

    Dans un dossier déposé auprès de la SEC et une annonce sur son site Web lundi soir, Vroom Automotive a déclaré avoir fermé ses portes en tant que concessionnaire de véhicules d'occasion après qu'Ally ait suspendu sa ligne de crédit. Vroom ne vendra plus aucun de ses véhicules au détail. Elle vendra ses stocks sur le marché de gros. Elle va licencier la plupart de ses employés. Elle ne conservera que sa plateforme de prêt automobile à risque United Auto Credit (UACC) et sa plateforme de référencement de véhicules d'occasion CarStory, dont les deux clients sont d'autres concessionnaires de véhicules d'occasion.

    Pour de nombreuses autres annonces de licenciements, veuillez consulter mon article précédent intitulé « Alerte ! Voici une liste de 20 grandes entreprises qui viennent de décider de procéder à des licenciements massifs ».

    Il semble que l’économie américaine ait atteint un point de basculement critique. Les perspectives économiques pour 2024 ne sont pas du tout bonnes, et les employeurs se précipitent pour réduire les effectifs en prévision de ce qui s’en vient.

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  76. Si vous occupez actuellement un bon travail que vous appréciez, conservez-le aussi étroitement que possible.

    Parce que de nombreux licenciements sont à venir et que vous ne voulez pas vous retrouver sans chaise lorsque la musique s’arrête.

    Reprinted with permission from The Economic Collapse.

    https://www.lewrockwell.com/2024/01/michael-snyder/it-is-a-bloodbath-for-the-mainstream-media/

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  77. Nouvelles de votre blog


    le 26 janvier 2024


    Depuis ma prise de position au sujet des évènements d’Ukraine la fréquentation de mon blog a chuté de 90 %. Suis-je censuré par wordpress ? J’en doute, peut-être censuré par google puisqu’il faut passer par gmail pour laisser un commentaire, j’ai également des doutes à ce sujet. Ce qui est significatif d’un changement profond du tableau des commentateurs de mon blog, qui est le votre aussi, chers lecteurs, est la qualité des commentaires qui s’est considérablement dégradée au fil des semaines et des mois et pas seulement au niveau de la syntaxe de la langue française. Ces commentaires sont parfois insultants et souvent totalement hors sujet.

    Depuis que mon blog existe j’ai écrit à ce jour 4634 articles, celui-ci est donc le 4635ème abordant toutes sortes de sujets dont beaucoup hétérodoxes ou contraires aux idées reçues bouche bée sans faire le moindre effort pour comprendre qu’il s’agit de propagande mensongère. Le cas du climat est significatif. L’article de mon blog qui a atteint le plus de visiteur est celui relatif à l’utilité des poils pubiens !

    Maintenir ce blog me coûte près de 200 dollars par an et confronté à sa désaffection considérable j’ai décidé d’y mettre un terme le 15 février prochain. Me battre contre des moulins à vent, c’est-à-dire me confronter à une faiblesse intellectuelle rampante favorisée par l’usage intensif du téléphone portable et des réseaux sociaux, en d’autres termes de la diarrhée permanente d’une information continue et sans intérêt intellectuel quelle qu’elle soit me semble être un signe de la dégradation des capacités de jugement qui me semblaient être ce qui différencie l’homme des autres primates. L’évolution récente de la communication rend au contraire l’homme totalement dépourvu de sens critique. L’homme me paraît être devenu un animal sans tête ou plutôt muni d’un cerveau qui ne fonctionne plus correctement, embrumé par le flux informationnel et visuel d’informations sans aucun intérêt. À mon âge je ne me battrai pas contre ce retour de l’homme à l’état d’animal asservi et acceptant les yeux fermés de l’être et de ne plus lire un document dont la longueur est supérieure de quelques mots seulement à un « tweet », un cri d’oiseau, littéralement. George Orwell avait tout prévu dans « La Ferme des Animaux ».

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  78. Profitez chers lecteurs existant encore des 20 prochains articles au grand maximum que je mettrai en ligne sur ce blog et soyez-en assuré je ne modérerai pas la « bien-pensance » des sujets que j’aborderai ces prochains jours … une sorte de testament désabusé. Si dans une dizaine d’années ce blog sera toujours présent dans les sites d’archives web les curieux pourront constater qu’à de nombreuses occasions au cours desquelles j’exprimais une opinion non conforme au « politiquement correct » j’avais raison et que ce que je prédisais au cours des mois et des semaines passées s’est réalisé comme par exemple, et j’y reviens en conclusion, la dérive totalitaire de l’Occident global emmené par les USA vers une ruine certaine, prédiction personnelle confirmé il y a quelques jours seulement par Emmanuel Todd qui mentionne le nihilisme occidental … Profitez pleinement de ces derniers articles car ils seront denses et dérangeants.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/01/26/nouvelles-de-votre-blog/

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  79. Les voitures thermiques polluent toujours autant qu’il y a 12 ans

    Malgré les avancées technologiques et une certaine prise de conscience, les voitures thermiques polluent autant qu’il y a une décennie, selon la Cour des Comptes. Un constat alarmant qui remet en question l’efficacité des mesures actuelles.


    Par Grégoire Hernandez
    le 26 janvier 2024 à 11h00


    En 2021, 23 % des émissions de gaz à effet de serre en Europe provenaient des transports.

    Voitures thermiques : aucune baisse des émissions depuis 2010

    La Cour des Comptes ne mâche pas ses mots : les véhicules thermiques, malgré les promesses et les progrès, émettent autant de gaz carbonique qu'il y a douze ans. Cette révélation met en lumière l'écart entre les objectifs environnementaux et la réalité sur le terrain. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : aucune baisse significative des émissions n'a été enregistrée depuis le début des années 2010.

    Mais pourquoi ce surplace bien qu’il y ait une prise de conscience ? La Cour des Comptes pointe du doigt plusieurs facteurs. D'abord, l'augmentation de la taille et du poids des véhicules. Ensuite, une adoption jusque-là timide des voitures électriques, freinée par des infrastructures de recharge insuffisantes et des prix souvent très élevés, malgré la mise en place de plusieurs aides, comme le bonus écologique ou le leasing social. Enfin, des normes d'émissions sont même parfois contournées par les constructeurs. Pourtant, l'Europe a mis en place en 2010 des quotas d'émissions de gaz carbonique que les constructeurs automobiles ont l'obligation de respecter, sous peine d'amendes.

    Les constructeurs fabriquent des voitures de plus en plus imposantes

    Ce statu quo a un coût, et pas seulement écologique. Les consommateurs, encouragés à opter pour des véhicules plus propres, se retrouvent face à un marché complexe et des incitations insuffisantes. L'environnement, quant à lui, continue de subir les assauts de la pollution, compromettant les efforts de lutte contre le changement climatique et mettant en péril la biodiversité et la santé publique. Si les émissions des voitures à essence sont en baisse (-4,6 %), cela est compensé par la construction de voitures thermiques toujours plus imposantes les unes des autres, la masse des voitures a augmenté de 10 % et la puissance des moteurs de 25 %.

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  80. Face à cette situation, l'action s'impose. La Cour des Comptes appelle à une révision des politiques, à un renforcement des contrôles et à une véritable incitation à la transition écologique. « Le principal défi à relever pour atteindre les objectifs de réduction des émissions pour 2030 et au-delà sera de faire en sorte que le particulier se tourne suffisamment vers les véhicules à émission nulle. Il importera tout particulièrement de rendre les véhicules électriques abordables, de mettre en place assez d’infrastructures de recharge et de garantir l’approvisionnement en matières premières nécessaires à la production des batteries », souligne la Cour des comptes. En 2021, 23 % des émissions de gaz à effet de serre en Europe provenaient des transports, avec plus de la moitié émise par les voitures. Et ce chiffre ne cesse d'augmenter.

    https://www.economiematin.fr/voitures-thermiques-pollution-cour-des-comptes

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    1. Dès lors que l'on sait que le gaz carbonique n'EXISTE PLUS au-dessus de la température de 30,9°C, comment cela se fait-il qu'il y ait encore des mesures contraignantes visant à supprimer le gaz carbonique qui sort de notre bouche (corps & poumons a 37°C) et des tuyaux d'échappement ou des cheminées d'usines à des températures largement supérieures ?!

      La science n'existe pas dans les dictatures.

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  81. Remplacement culturel : pourquoi la crise de l'immigration est délibérément organisée


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 JANVIER 2024 - 05H00
    Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,


    Il n’y a absolument aucun doute : des éléments de notre propre gouvernement encouragent délibérément l’accélération de l’immigration illégale à travers la frontière sud et sabotent activement toute tentative visant à mettre un terme à cette folie.

    Il y a deux questions que nous devons nous poser :

    Pourquoi font-ils ça ?

    Et que peut-on faire pour les arrêter ?

    Dans une démarche qui, je pense, démystifie toute affirmation selon laquelle l’administration Biden souhaite une frontière sûre, le gouvernement fédéral a récemment contesté les efforts du Texas visant à installer des clôtures frontalières et des barbelés pour empêcher l’afflux massif d’étrangers qui attaquent les États-Unis. Cela fait suite à plusieurs incidents au cours desquels des criminels et des terroristes reconnus coupables ont été identifiés parmi les groupes de migrants. Les mesures fonctionnaient, donc évidemment, Biden a ressenti le besoin d’intervenir.

    Une majorité de la Cour suprême a également pris le parti de Biden, obligeant le gouverneur du Texas, Greg Abbott, à déclarer la situation comme une invasion qui menace la sécurité de son État et de l’Amérique dans son ensemble. Le conflit conduit à une confrontation entre les agences fédérales et le Texas. Je dirais que c’est une confrontation qui DOIT avoir lieu, le plus tôt sera le mieux.

    L’expulsion de groupes de personnes indésirables ou destructeurs est une mesure d’urgence utilisée par les civilisations depuis des milliers d’années.

    Les cultures qui ne protègent pas leurs propres portes finissent par être effacées ou absorbées par une population complètement différente qui ne partage peut-être pas les mêmes valeurs et principes.

    La majorité des pays de la planète ont aujourd’hui des règles strictes en matière d’immigration, mais l’Amérique et l’UE sont les seules régions attaquées parce qu’elles veulent limiter le flux de clandestins.

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  82. Pourquoi donc?

    La propagande d’ouverture des frontières, commune aux grands médias et aux films hollywoodiens, fait partie d’un programme plus large de l’establishment qui est actif depuis de nombreuses années aux États-Unis, mais qui s’accélère depuis 2021. L’administration Biden en particulier a supervisé la plus grande augmentation des trafics illégaux. migration dans l’histoire des États-Unis, avec plus de 300 000 violations des frontières rien qu’en décembre (à notre connaissance). Pour mettre cela en perspective, cela équivaut à une ville de la taille de Pittsburgh traversant la frontière américaine et exigeant des aides sociales, des subventions, des logements, des emplois, de la nourriture gratuite, etc., chaque mois.

    C’est insoutenable et l’establishment le sait. En fait, Biden tente activement de cacher la crise au peuple américain depuis des années, niant toute menace et affirmant que la frontière est aujourd’hui plus rigide que jamais. Quiconque remet en question la validité de cette affirmation est immédiatement accusé de racisme, de suprématie blanche et de théorie du complot.

    Les États frontaliers sont devenus tellement irrités par les dénégations de la gauche qu’ils ont commencé à transporter des milliers de migrants par bus vers des « villes sanctuaires » bleues comme New York, Washington DC et Chicago. Le résultat a été une calamité pour leurs programmes sociaux et pour l’économie locale. Même les électeurs progressistes de ces régions sont furieux du flot de migrants dans leurs quartiers.

    Les écoles de New York sont vidées et fermées pour faire place aux logements des migrants. Les refuges pour sans-abri à Washington ont été inondés de migrants mendiant de l'aide et les citoyens sans-abri ont eu beaucoup moins de nourriture pendant les vacances parce que les clandestins ont tout mangé. L’aéroport O’Hare de Chicago est transformé en refuge pour migrants et la ville tente d’empêcher les médias de documenter la situation.

    Les maires démocrates qualifient finalement l’événement d’urgence nationale ; c'est drôle comme ils ont refusé d'admettre le problème jusqu'à ce qu'ils en soient directement affectés. Bien sûr, ils blâment les gouverneurs conservateurs plutôt que leurs propres politiques de villes sanctuaires. En d’autres termes, les démocrates sont indignés parce que les États rouges les obligent à subir les conséquences de leurs idéaux déformés. Les gauchistes ont une règle : ne jamais admettre qu’ils ont tort, même si cela signifie leur autodestruction.

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  83. Et même si les politiciens progressistes de bas niveau ont l’air stupides dans leur défense continue du statut de sanctuaire, il reste le problème plus grave de la crise artificielle. Pourquoi les élites de l’establishment et l’administration Biden ont-elles menti malgré le danger évident et actuel ? Et pourquoi est-il considéré comme particulièrement erroné pour les pays occidentaux de défendre leurs frontières ?

    Peut-être parce que certains groupes de personnes au sein des centres de pouvoir bénéficient grandement de l’invasion continue des migrants.

    Nous avons tous déjà entendu parler de la stratégie Cloward-Piven, et elle n’est pas si difficile à comprendre : créer une déstabilisation sociale en utilisant les migrants comme une arme. Mais il se passe bien plus de choses ici qu’il n’y paraît. Cloward-Piven est une explication presque trop simpliste ; cela ne définit pas vraiment la situation dans son ensemble. Cette stratégie pourrait ouvrir la porte à l’autoritarisme aux États-Unis de plusieurs manières. Examinons ces scénarios pour mieux comprendre pourquoi…

    Opération Parcelle De Jardin Et Loi Martiale

    En 1968, le ministère américain de la Défense, à la demande du gouvernement, a rédigé un plan de troubles civils appelé « Opération Garden Plot » qui décrivait ce qui était essentiellement une réponse de la loi martiale à un effondrement social à grande échelle. L’un des principaux facteurs cités dans le plan comme déclencheur de la loi martiale était la migration massive et incontrôlée des minorités vers les États-Unis, ainsi que les émeutes organisées par les minorités à la lumière de l’incertitude économique.

    Garden Plot contient des dispositions destinées à installer une présence militaire nationale de longue durée aux États-Unis si cela est jugé nécessaire, et était même lié à des programmes comme REX 84 qui prévoyait l'installation de « camps FEMA » ou de centres de détention destinés à détenir un grand nombre de réfugiés pendant une période de confinement. crise migratoire de masse. Ces programmes ont été accidentellement dévoilés lors des audiences Iran/Contra de 1987 et ont été tenus secrets pour la majorité des représentants au Congrès.

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  84. En d’autres termes, les élites politiques ont conçu une série d’opérations pour imposer rapidement la loi martiale en cas de catastrophe migratoire. Mais ces mesures étaient-elles destinées à résoudre la crise ? Ou étaient-ils censés utiliser la crise comme excuse pour déployer des troupes sur le terrain aux États-Unis et mettre fin définitivement aux protections constitutionnelles qui nous restent ? Autrement dit, le plan de l’establishment pourrait très bien être de maintenir les frontières ouvertes jusqu’à ce que les clandestins submergent le système et que le public soit prêt à accepter la loi martiale.

    Amnistie et création d'une armée d'immigrants illégaux

    Les démocrates ont présenté plusieurs projets de loi, notamment une législation en 2022 pour donner aux immigrants illégaux la possibilité de servir dans l'armée américaine et d'obtenir la citoyenneté en guise de récompense. Les représentants mentionnent le déficit croissant dans le recrutement militaire comme justification de cette politique (un déficit qu’ils ont créé après avoir autorisé le sectarisme éveillé dans les programmes des forces armées).

    Je l’ai mentionné dans des articles précédents et je continue de croire que l’un des principaux objectifs de l’ordre établi pour laisser les frontières ouvertes et inciter les clandestins à entrer est de créer une armée de migrants ; une situation dans laquelle des millions de clandestins se verront offrir une citoyenneté facile en échange de services. Je crois également que cette armée de migrants sera utilisée contre le public américain (les vrais citoyens) pour imposer des mesures de loi martiale à la suite d’un désastre national.

    Regardez les choses de cette façon : avec l’armée actuelle à environ 70 % conservatrice et indépendante, il est beaucoup moins probable que les forces armées suivent les ordres visant à soumettre la population, en particulier au nom d’un président de gauche/mondialiste de plus en plus impopulaire comme Joe Biden. Il est beaucoup plus facile pour les élites d’utiliser des étrangers sans aucun respect inhérent pour la culture américaine ou le peuple américain comme force répressive.

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  85. Théorie du remplacement culturel

    La « théorie du remplacement » est souvent dénigrée par les médias comme une conspiration raciste menée par des Blancs qui ont « peur de perdre le pouvoir ». Cela n’a aucun sens pour un certain nombre de raisons, notamment le fait que si les « Blancs » étaient un monolithe et que nous avions tout le pouvoir, alors nous étoufferions simplement toute menace pesant sur ce pouvoir et verrouillerions nos frontières. Personne ne pourrait rien faire pour nous arrêter.

    La vérité est qu’il n’existe pas de monolithe blanc, il n’y a pas de patriarcat et le racisme systémique n’existe pas. Certains militants de gauche réclament-ils une migration massive pour remplacer les Blancs aux États-Unis et en Europe ? Absolument. Ils appellent cela la « décolonisation ». Est-ce là le véritable objectif de la migration de masse ? Probablement pas.

    Le remplacement en cours ne vise pas tant à remplacer les Blancs qu’à remplacer la culture occidentale. L’objectif, je crois, est d’ouvrir les vannes aux éléments étrangers, car la plupart d’entre eux viennent de systèmes plus socialistes qui n’ont aucune compréhension de la liberté individuelle. De cette manière, l’establishment peut diluer la culture américaine d’indépendance et utiliser la tyrannie de la majorité (la démocratie) pour effacer à jamais nos valeurs et nos principes.

    C’est pourquoi vous entendrez Biden et ses semblables pontifier constamment sur la « démocratie », la « défense de la démocratie » et la « menace conservatrice contre la démocratie ». C’est une terminologie très délibérée. Quand ils parlent de « démocratie », ils parlent du règne de la foule ; la tyrannie de la majorité. Ils parlent de collectivisme, de socialisme et finalement d’autoritarisme pour « le bien commun ».

    Les migrants sont utilisés pour éliminer progressivement les piliers de la civilisation occidentale. C’est pourquoi les frontières doivent être sécurisées dès maintenant et les clandestins doivent être expulsés du pays en toute hâte. Pas de loi martiale, pas de centres de détention de la FEMA, pas d’amnistie, pas d’asile, pas d’aide sociale et pas de subventions. Il suffit qu'ils soient expulsés et renvoyés d'où ils viennent et s'ils reviennent illégalement, ils doivent être sévèrement punis.

    Pour que cela se produise, il semblerait que les États du Sud devront assurer leur propre sécurité aux frontières. Mais comment y parvenir sans ingérence fédérale ? Le public américain devra intervenir et intensifier ses efforts pour aider des États comme le Texas. Il faudra que le mouvement soit si écrasant que le gouvernement fédéral ait peur d’intervenir.

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  86. La forme de cette action à la frontière sécurisée nécessitera des essais et des erreurs, mais tant que le Texas est prêt à continuer d'arrêter les clandestins et de les expulser du pays, tout ce qui est nécessaire est un contingent d'Américains suppléants pour aider à surveiller la frontière et attraper les gens. essayant de traverser. Il se peut également qu’il soit nécessaire que les gens défendent les murs et les clôtures frontalières contre le sabotage fédéral.

    Certains diront que cela constitue une violation, un défi aux autorités fédérales, et je dirais que oui, c’est le cas, et c’est une bonne chose. L’administration Biden manque à son devoir de protéger le pays contre toute invasion étrangère. Ne rien faire et laisser les frontières sans défense contre l’immigration massive n’est pas différent de refuser de défendre la frontière contre une armée étrangère.

    Si la tendance actuelle se poursuit, le décor sera planté pour une multitude de situations d’urgence qui seront exploitées pour donner aux élites un prétexte pour effacer les protections constitutionnelles qui nous restent. Cela ne peut être toléré. Il est temps d’y mettre fin.

    https://www.zerohedge.com/markets/cultural-replacement-why-immigration-crisis-being-deliberately-engineered

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  87. « Le pays a été envahi » : lettre « qui donne à réfléchir » d'un ancien stylo en laiton du FBI sur un « danger nouveau et imminent » provenant de la frontière ouverte de Biden


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 JANVIER 2024 - 16H40


    Dix responsables du FBI à la retraite et experts en contre-espionnage ont envoyé une lettre aux dirigeants du Congrès pour avertir que les politiques de l’administration Biden ont facilité une « invasion douce » d’hommes en âge de servir aux États-Unis en provenance de régions du monde liées au terrorisme.

    La lettre, écrite le 17 janvier, avant que le gouverneur du Texas, Greg Abbott, n'invoque la clause d'invasion de la Constitution américaine, suggère qu'une attaque terroriste est probablement imminente.

    "La menace que nous signalons aujourd'hui est nouvelle et peu familière. Dans son histoire moderne, les États-Unis n'ont jamais subi d'invasion de leur patrie, et pourtant, une telle invasion est en train de se produire", peut-on lire dans la lettre.

    "Des hommes en âge de porter les armes du monde entier, pour la plupart originaires de pays ou de régions non amis des États-Unis, atterrissent par vagues sur notre sol par milliers - non pas en s'échouant à terre depuis un navire ou en parachutant depuis un avion, mais plutôt à pied à travers un frontière qui a été annoncée avec précision dans le monde entier comme étant largement non protégée et avec un accès facile accordé. "

    "Il serait difficile d'exagérer le danger représenté par la présence à l'intérieur de nos frontières de ce qui est comparativement une armée multi-divisions de jeunes hommes adultes célibataires provenant de nations et de régions hostiles dont l'origine, l'intention ou l'allégeance sont complètement inconnues. Ils comprennent des individus rencontrés par aux frontières, puis éventuellement relâchés dans le pays, avec le nombre scandaleusement élevé d'«évadés», c'est-à-dire ceux qui sont entrés et ont échappé à l'arrestation", poursuit la lettre.

    Le sénateur Ron Johnson (R-WI) a qualifié la lettre de « qui donne à réfléchir ».

    Cette lettre qui donne à réfléchir d’anciens responsables du FBI, de la Sécurité intérieure et d’autres responsables de l’application des lois décrit la réalité effrayante des raisons pour lesquelles la frontière ouverte de @POTUS constitue un danger clair et présent pour l’Amérique. pic.twitter.com/JrlM6vKjVq
    – Sénateur Ron Johnson (@SenRonJohnson) 25 janvier 2024

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  88. Plus tôt cette semaine, Abbott a invoqué le droit de légitime défense du Texas, considérant la crise des migrants comme une « invasion ». En réponse, une coalition de 25 gouverneurs républicains a signé une lettre de soutien à la résistance texane.

    Voici la lettre conjointe de 25 gouverneurs soutenant la Texas Border Resistance contre notre gouvernement fédéral voyou.

    Lien de l'Association des gouverneurs républicains : https://t.co/CPfSLrzGEA pic.twitter.com/w2PDWYjpZd
    – Mettre fin à l’éveil (@EndWokeness) 25 janvier 2024

    Pendant ce temps, le procureur général du Texas, Ken Paxton, a publié un mème sur X qui dit "VENEZ ET PRENEZ-LE".

    https://t.co/0oGPYMjEKB pic.twitter.com/lbFh3NvD1o
    – Procureur général Ken Paxton (@KenPaxtonTX) 26 janvier 2024

    Sur les plus de 10 millions de personnes qui ont traversé illégalement la frontière et qui sont entrées aux États-Unis depuis que Biden a pris ses fonctions, plus de 1,7 millions sont des « évadés » – ceux qui sont entrés illégalement et ont échappé à la capture depuis que Biden est au pouvoir. La majorité d'entre eux seraient des hommes en âge de servir dans l'armée.

    "À la lumière d'une pénétration aussi intimidante et sans précédent d'acteurs étrangers non invités, il est raisonnable d'affirmer que la sécurité nationale du pays est actuellement considérablement diminuée. L'armée, les lois et autres barrières de protection naturelles qui ont assuré la sécurité traditionnelle dans le passé ont été complètement contournés au cours des trois dernières années", ont écrit les anciens responsables du FBI.

    La lettre appelle le Congrès à sécuriser la frontière « contre ces jeunes hommes et ceux qui sont déjà là illégalement doivent être identifiés et expulsés sans délai ».

    Selon la Gazette, les auteurs comprennent :

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  89. Kevin Brock, ancien directeur adjoint du renseignement et ancien directeur adjoint principal du Centre national de lutte contre le terrorisme ; Chris Swecker, ancien directeur adjoint de la Division des enquêtes criminelles du FBI ; Timothy Healy, ancien directeur du Terrorist Screening Center ; Ruben Garcia, Jr., ancien directeur adjoint exécutif de la Direction de la criminalité, de la cybersécurité et des services ; Mark Morgan, ancien directeur adjoint pour la formation au FBI, ancien commissaire par intérim des douanes et de la protection des frontières des États-Unis et ancien chef de la patrouille frontalière américaine ; David Szady, ancien directeur adjoint du contre-espionnage ; Jody Weiss, ancien agent spécial en charge à Philadelphie ; David Mitchell, ancien agent spécial en charge à Milwaukee ; William Gavin, ancien directeur adjoint de la division d'inspection du FBI et Timothy McNally, ancien directeur adjoint de la division de Los Angeles du FBI.

    https://www.zerohedge.com/political/country-has-been-invaded-ex-fbi-brass-pen-sobering-letter-over-new-and-imminent-danger

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  90. CHIMERICA: La campagne anti-chinoise bat son plein chez les Duceppe


    Par Robin Philpot
    Mondialisation.ca,
    25 janvier 2024


    Décidément, la campagne antichinoise, lancée par Biden et appuyée par Trudeau, bat son plein chez les Duceppe.

    D’abord, Chimérique à l’affiche chez Duceppe. Une pièce de Lucy Kirkwood, présentée d’abord à Londres en 2013. Ensuite à New York (2015) et à Toronto (2016). Des critiques ont été très mauvaises au point où on se demande pourquoi Duceppe l’a reprise ?

    La pièce porte sur le soi-disant « massacre de la Place Tienanmen » en juin 1989. Aussi, on entend les comédiens, producteurs, directeurs, journalistes raconter des bobards qui sont inventés par des journalises occidentales affamés d’histoires sordides.

    Seul problème, c’est qu’il n’y a pas eu de massacre à la place Tiananmen.

    Pour citer Wilileaks :

    « Sur la place elle-, un diplomate même chilien était présent pour témoigner à ses homologues américains des dernières heures du mouvement pro-démocratie. » Il a regardé les militaires entrer sur la place et n’a observé aucun tir massif d’armes sur la foule, bien que des coups de feu sporadiques aient toujours été entendus. Il a déclaré que la plupart des troupes qui sont entrées sur la place n’étaient en fait armées que de matériel anti-émeute – matraques et des matraques en bois ; ils étaient appuyés par des soldats armés. » »

    James Myles (de la BBC) reconnaît en 2009 avoir « donné une fausse impression » et qu’« il n’y avait pas eu de massacre sur la place Tiananmen. Des manifestants qui étaient encore sur la place lorsque l’armée et est arrivée ont été autorisés à partir après des négociations avec les troupes de la loi martiale […] Il n’y a pas eu de massacre de la place Tiananmen »

    Idem pour CBS.

    Mais ça n'empêche pas les comédiens et autres portes-paroles de dire des énormités sur « postes de police » chinois au Canada alors qu'il n'y a aucune preuve à ce sujet et les organismes en question perdurent la GRC pour atteinte à leur réputation; qu’il y aurait eu jusqu’à « 10 000 personnes tuées ».

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  91. Gilles Duceppe est président du CA chez Duceppe. Amélie Duceppe est Directrice générale. Et Alexis Brunelle Duceppe est le député le plus antichinois au parlement canadien : parrain de la résolution adoptée à l'unanimité sur le présumé génocide des Ouïghours. (On remarque son silence sur le génocide en cours contre les Palestiniens).

    Qu’est-ce qui a pu piquer la famille Duceppe ? On tente d’y répondre dans cette chronique.

    - voir clip sur site -

    Le pied à Papineau, CKVL FM 100,1, Montréal : le 23 janvier 2024.

    https://www.mondialisation.ca/chimerica-la-campagne-antichinoise-bat-son-plein-chez-les-duceppe/5685638?doing_wp_cron=1706358238.8826770782470703125000

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  92. Le Québec et autres victimes de l’Empire britannique: JE ME SOUVIENS, OU PAS ? – René Boulanger


    Par René Boulanger et Robin Philpot
    Mondialisation.ca,
    24 janvier 2024


    Alors que le JE ME SOUVIENS devrait être une interpellation, la bataille de la mémoire au Québec est loin d’être gagné. Pour René Boulanger, écrivain et militant indépendantiste, c’est sur le plan culturel qu’il faut agir, comme le faisait si bien Pierre Falardeau.

    Dans cette entrevue, on passe en revue les liens surprenants liant le peuple québécois et des peuples ailleurs dans le monde victimes de l’Empire britannique. Ces liens historiques, si on les connaît, sont une source inépuisable de solidarité.

    On présente deux dramatisations de textes de René Boulanger tirées de son livre Théâtre de la résistance, réalisées par Carlo Bellomo avec le concours de Maude Campeau.

    La noce de Marie Qué (1759 à Odanak)

    Lettre à Amélie (1837 à Saint-Eustache et Saint-Benoït)

    Fait intéressant: les troupes de Colborne en 1837 à Saint-Eustache sont arrivées directement de l’Inde où elles s’affairaient à mater des rébellions en Inde.

    https://www.mondialisation.ca/le-quebec-et-autres-victimes-de-lempire-britannique-je-me-souviens-ou-pas-rene-boulanger/5685615?doing_wp_cron=1706358494.6371209621429443359375

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    1. Voir: 'Les ordres'

      https://www.youtube.com/watch?v=4dlGOb366EY&feature=share

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  93. #Biden peut-il apaiser l'Amérique?
    Mon humble avis exprimé hier sur Infrarouge:


    Myret Zaki


    - Dans un pays où les inégalités sont revenues au niveau d'avant 1914, où les 400 plus riches familles paient un taux d'impôt plus bas que les 50% des ménages les plus pauvres, et où les 1% les plus riches ont capté 91% de l'augmentation du revenu des ménages depuis la crise de 2008, un seul mandat sera largement insuffisant pour corriger les déséquilibres.

    - La volonté de façade de Biden de relever le salaire minimum de 7,25 à 15$ et de relever les impôts sur les plus riches, fait penser à la fausse tentative de François Hollande qui avait fait chou blanc après quelques mois de fonction. On n'y croit pas car c'est un système où il faudrait offrir d'importantes contreparties qui n'existent pas. Déjà, les principaux milliardaires (Elon Musk, Bezos et Gates) se sont installés dans des Etats à 0% d'impôt sur le revenu (Texas, Washington, Floride). Avec pareilles niches fiscales étatiques, relever l'impôt fédéral n'affectera que peu les grandes fortunes.
    - Certains invités sur Infrarouge ont voulu clairement séparer la question raciale de la question sociale. Pour eux, il existe un creuset raciste dans l'ADN des Etats-Unis. Certes, il y a des extrêmes dans toutes les sociétés; mais la variable qui fait qu'elles restent en marge ou qu'elles montent en puissance, est la variable socio-économique selon moi, et tous les indicateurs de déclassement le prouvent.

    - D'autres observateurs m'ont fait remarquer à plusieurs reprises que les insurgés du Capitole n'étaient pas "pauvres". Or si on regarde les statistiques, il n'y a aucun doute que c'est bien la classe populaire blanche non diplômée qui représente l'essentiel de l'électorat Trump. Et si ces derniers ne votent pas pour la gauche, c'est parce qu'ils ne veulent pas qu'on redistribue à plus pauvre qu'eux. Là aussi, un grand classique, maintes fois étudié: les classes populaires non diplômées votent à droite car elles ont peur des plus pauvres, avant d'avoir peur des plus riches.

    - Enfin, pour tous ceux qui pensent que la radicalisation idéologique des pro-Trump n'a rien à voir avec leur situation sociale, qu'ils étudient les 30 Glorieuses (45-75) pour voir si des gens comme Trump auraient pu être élus à cette époque où les inégalités de revenus étaient très faibles, les Etats-Unis étaient peu insérés dans la mondialisation, affichaient une faible immigration et une forte syndicalisation.

    - Conclusion: il serait temps de mettre en place des politiques permettant de reconstituer une classe moyenne forte, qui consomme (pas à crédit), qui investit, qui épargne et qui portera l'économie aujourd'hui moribonde, surendettée, désertée par les consommateurs de classe moyenne et sous perfusion depuis 13 ans.

    Ecouter l'entier de l'émission ici:
    https://www.facebook.com/RTSinfrarouge/videos/777904802804366/

    https://www.facebook.com/myret.zaki

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  94. Les calculs trompeurs d’OXFAM

    Comparer les fluctuations boursières des grandes fortunes avec la richesse cumulée des 5 milliards d’êtres humains les plus pauvres est malhonnête.


    le 27 janvier 2024
    Gabriel Robin


    La sortie du rapport annuel d’OXFAM était attendue. Au mois de janvier, l’ONG créée en Grande-Bretagne remet traditionnellement ses conclusions sur les écarts de richesse dans le monde. Cette année, OXFAM a constaté que la richesse cumulée des cinq personnes les plus fortunées s’élevait en 2023 à 869 milliards contre 405 milliards en 2023. Dans le même temps, les 5 milliards de personnes les moins riches auraient perdu 20 milliards de dollars. Pour remédier à la pauvreté, OXFAM n’envisage qu’une seule solution : la redistribution des fortunes des plus riches par l’instauration de nouvelles taxes. Porte-étendard de l’idéologie de la décroissance, OXFAM nous trompe et se trompe.

    Le premier reproche que l’on peut formuler à l’égard du rapport « Multinationales et inégalités multiples » est le suivant : son analyse sur l’accroissement des richesses sur la seule période allant de l’année 2020 à l’année 2023. Le biais est évident, 2020 étant le point de départ de la pandémie de coronavirus qui a perturbé les principaux marchés boursiers mondiaux et faussé la valeur de nombreuses actions cotées. En toute logique, la valeur du patrimoine capitalistique des cinq plus grandes fortunes mondiales a considérablement augmenté sur la période parce que la bourse a corrigé les baisses artificielles provoquées par la pandémie. Ajoutons aussi que la notion de fortune est par nature fluctuante, dépendante de la confiance que placent les marchés dans les actions TESLA ou LVMH, mais aussi du contexte macroéconomique mondialisé. Ce sont donc des fortunes théoriques, et non des fortunes dont les grands capitaines d’industrie peuvent disposer comme bon leur semble.

    L’autre aspect étonnant du rapport est qu’il a pour la première fois utilisé comme critère de comparaison les « cinq milliards de personnes les plus pauvres », alors qu’il traitait naguère des personnes en état d’extrême pauvreté. Et pour cause, l’extrême pauvreté a reculé sur la période. En février dernier, l’Institut économique Molinari dévoilait d’ailleurs des erreurs majeures dans la méthodologie d’OXFAM, accusée de mal définir la notion de richesse comme celle de pauvreté tout en proposant des solutions inefficaces voire dangereuses :

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  95. « Pour mesurer l’évolution des inégalités, Oxfam reprend les chiffres du « Global Wealth Databook » publiés chaque année par le Crédit suisse. Dans ce rapport, la richesse nette d’un adulte se définit comme la somme de ses actifs financiers (actions, comptes bancaires etc.) et non financiers (principalement ses biens immobiliers), déduction faite de ses dettes. Avec un tel raisonnement, les chiffres d’Oxfam deviennent tout simplement ubuesques : à les croire, 22 % des adultes vivant aux États-Unis (55 millions) et 14 % de ceux vivant en France (7 millions) appartiendraient au groupe des 10 % les plus pauvres de la planète. Il y aurait même plus de pauvres aux États-Unis, en France, ou en Suisse qu’en Afghanistan, en Syrie ou en Érythrée ».

    Comparer les fluctuations boursières des grandes fortunes avec la richesse cumulée des 5 milliards d’êtres humains « les plus pauvres » est intellectuellement malhonnête. Ce qui l’est plus encore, c’est de conclure des données de la période 2020-2023 qu’« il faudra plus de deux siècles pour mettre fin à la pauvreté » en sous-entendant que les plus riches empêchent les moins aisés d’accéder à la prospérité. La réalité est autre, comme le montre l’étude de l’évolution des fortunes depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    La pauvreté dans le monde n’a cessé de reculer depuis 1945. Au sortir de la guerre, les pays asiatiques étaient les plus pauvres du monde. Coréens ou Singapouriens vivaient plus que chichement, ils étaient misérables. Un peu plus tard, dans les pays qui ont été livrées à la doxa communiste, à l’image de la Chine qui a dû attendre les années 1980 pour entamer sa transition économique. En 40 ans, les Chinois sont sortis de l’extrême pauvreté. Alors qu’ils étaient près de 90 % au début des années 1980 à souffrir de cette situation, ils ne sont plus que 1 % de nos jours. Il n’y a plus de famines en Chine. Pourtant, il y a désormais 562 milliardaires au pays des Mandarins. Ont-ils empêché leurs concitoyens de sortir de la pauvreté ? À l’évidence, non.

    Le seul vecteur de la création de richesses est la croissance économique. Elle obéit à des lois mathématiques et non à des chimères éthiques. Du reste, les pays qui n’ont pas de fortunes privées, à l’image des pays communistes, appartiennent toujours au bataillon des plus pauvres. Ils ne sont guère plus égalitaires que les « pays du nord », les possédants s’y trouvant parmi les élites politiques locales qui préemptent à leur seul profit les rares ressources locales.

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  96. Au rayon des solutions, OXFAM s’entête dans l’erreur. Le discours mêle décroissance et taxation. Un curieux paradoxe. Comment un État pourrait-il taxer des entreprises qui ne génèrent plus de revenus ? On croirait entendre le député Antoine Léaument qui a proposé à l’Assemblée nationale de « tout prendre au-dessus de 12 millions d’euros dans les successions ». Une mesure totalitaire et confiscatoire qui aurait pour seul effet d’appauvrir grandement la France en provoquant une fuite massive de capitaux. Cela enrichirait plus le Portugal et la Suisse que nos compatriotes. Que certaines fortunes nous donnent le vertige est parfaitement normal, mais la réalité est que l’enrichissement des plus gros coïncide avec celui des plus petits.

    https://www.contrepoints.org/2024/01/27/470814-les-calculs-trompeurs-doxfam

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    1. La TVA (entr'autres taxes) a été créée afin de paupériser tous les consommateurs qui auraient pu distribuer leur argent et faire tourner les commerces. Cette saisie par la dictature sert à payer plus que grassement las fonctionnaires inutiles et incapables de tenir un livre de compte et montrent donc la somme de leurs erreurs dans le déficit public appelé la dette. La dette au 21 ème siècle alors qu'il y a de nos jours des millions de machines et d'ordinateurs qui travaillent sans être payés et quui devraient rendre chaque habitant de ce monde plus que millionnaire !!

      Or, il existe une constance que les riches ne mangent pas des pièces d'or ni ne s'habillent de billets de mille ! Et pourtant... la plupart des fonctionnaires du monde font tout pour empêcher les riches d'investir dans des entreprises et de donner du travail et salaires aux employés ! La barrière (haute de plusieurs kilomètres !) est les impôts ! Les impôts et les taxes qui empêchent tout entrepreneur d'accéder à son objectif !

      I y a un maître-mot: il faut que l'argent tourne !

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  97. Santé : tabac, alcool et drogue rebutent les jeunes ?

    Un tournant inattendu dans les habitudes des adolescents français : l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives révèle une baisse significative de la consommation d’alcool, de tabac et de cannabis chez les collégiens et lycéens.


    Par Rédaction
    le 27 janvier 2024 à 12h30


    Un changement de comportement chez les jeunes

    La récente enquête de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives, publiée le 25 janvier, offre une perspective éclairante sur les comportements des jeunes en France vis-à-vis de l'alcool, du tabac et du cannabis. Ce sondage, mené entre mars et juin 2022 auprès de 9566 collégiens et lycéens, démontre une baisse notable de l'expérimentation de ces substances. En 2022, 43,4 % des collégiens ont testé l'alcool, un chiffre en recul par rapport aux 60 % de 2018. Le tabac suit une tendance similaire, avec 11,4 % des collégiens ayant expérimenté la cigarette, contre 21,2 % en 2018. Concernant le cannabis, 5,3 % des collégiens de 4ᵉ et 3ᵉ ont déclaré l'avoir expérimenté, une diminution par rapport aux 6,7 % de 2018.

    L'E-cigarette : une popularité croissante

    Par contre, l'utilisation de l'e-cigarette est en hausse, particulièrement au collège où 1,4 % des élèves l'utilisent quotidiennement, égalant la prévalence du tabagisme quotidien. Chez les lycéens, cette pratique augmente de 2,8 % en 2018 à 3,8 % en 2022, surpassant pour la première fois la consommation régulière de cigarettes.

    La perception d'accessibilité aux drogues

    L'étude révèle également un changement dans la perception de l'accessibilité aux substances addictives. Alors que 50 % des élèves de terminale estiment pouvoir se procurer facilement de l'alcool et des cigarettes, seuls 3,8 % des élèves de 4e et 6,8 % des élèves de 3e pensent la même chose pour le cannabis. Cependant, au lycée, la perception d'accès facile au cannabis augmente, 12,3 % des élèves de seconde estimant qu'il leur serait très facile d'en obtenir.

    Un contexte éducatif et social évolutif

    Cette enquête, menée en collaboration avec l'Éducation nationale, souligne l'importance d'un contexte éducatif et social en constante évolution. Elle met en lumière non seulement les changements dans les habitudes de consommation des jeunes, mais aussi la manière dont les perceptions et l'accès à ces substances évoluent avec l'âge. Les données suggèrent un déplacement des comportements addictifs vers de nouvelles formes de consommation, comme l'e-cigarette, reflétant les tendances actuelles et les défis futurs pour la prévention de la santé chez les jeunes.

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  98. Vers une nouvelle ère de la prévention ?

    Ces résultats invitent à repenser les stratégies de prévention et d'éducation en matière de substances addictives. La baisse de la consommation traditionnelle d'alcool, de tabac et de cannabis chez les jeunes est une évolution positive, mais la montée de l'e-cigarette requiert une attention particulière. Cette étude offre une base solide pour élaborer des politiques de santé publique adaptées aux réalités actuelles des adolescents, avec un accent sur la prévention et l'éducation aux risques liés aux nouvelles formes de dépendance.

    Bien que l'enquête de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives révèle une tendance encourageante vers une diminution de la consommation de substances traditionnellement addictives chez les jeunes, elle met également en évidence la nécessité

    https://www.economiematin.fr/jeunes-alcool-drogues-tabac

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    Réponses
    1. Une étude révèle que les immigrés consommeraient moins que les autochtones !! L'économie est basée sur des miettes.

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  99. Séparation des couples : vers plus d’égalité en 2024 ?

    En France, une proposition de loi veut réformer les conséquences patrimoniales des séparations de couples, en mettant fin à des injustices longtemps tolérées. Adoptée en première lecture, cette législation propose des mesures concrètes pour assurer une répartition plus équitable des dettes fiscales et éliminer les avantages matrimoniaux en cas de crimes conjugaux. Un changement significatif pour des milliers de personnes, particulièrement les femmes, souvent victimes de ces injustices.


    Par Rédaction
    é le 27 janvier 2024 à 10h30


    Une loi pour mettre fin à l'injustice patrimoniale

    « Nous mettons fin à une injustice », déclare Bruno Le Maire sur X, illustrant le cœur de cette proposition de loi adoptée le 18 janvier 2024. Destinée à réformer la solidarité fiscale dans les séparations de couple, cette loi s'attaque à une problématique longtemps ignorée. En cas de fraude ou de violences conjugales, il sera désormais possible de demander une décharge de la dette fiscale commune, un changement majeur qui soulage principalement les femmes, souvent lésées dans ces situations. Cette mesure vise à protéger les victimes et à assurer une distribution plus juste des responsabilités financières après une séparation.

    Les femmes, principales victimes des disparités financières

    La séparation de couple entraîne souvent des perturbations majeures, notamment financières. « Ce sont souvent les femmes qui sont lésées », une réalité amère soulignée par les défenseurs de cette loi. Les femmes, en particulier, subissent une double peine : une baisse de revenus post-séparation et la responsabilité de dettes fiscales pour des revenus souvent non partagés. Cette proposition de loi vise à rectifier ces inégalités, permettant une séparation plus juste et équitable.

    Lutte contre les avantages matrimoniaux en cas de crimes conjugaux

    La proposition de loi apporte également une réponse ferme aux cas où un conjoint est coupable de meurtre ou de tentative de meurtre. Le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, souligne l'iniquité de la situation actuelle, où un époux peut bénéficier du contrat de mariage même après avoir commis un crime contre son conjoint. En réponse, la loi prévoit d'exclure ces criminels des avantages matrimoniaux, en affirmant que « le crime ne peut pas payer ».

    Un impact profond sur les séparations futures de couples

    Cette proposition de loi, actuellement en chemin vers le Sénat, promet de transformer radicalement les conséquences des séparations de couple en France. En individualisant le taux d'imposition dès 2025 et en éliminant les avantages matrimoniaux injustes, elle vise à créer un environnement plus équitable pour les individus confrontés à ces situations difficiles. C'est un pas vers la justice et l'équité, notamment pour les femmes, souvent les grandes perdantes dans les séparations actuelles.

    Cette proposition de loi marque un tournant important dans la manière dont la France gère les conséquences patrimoniales des séparations de couple. Elle s'attaque aux inégalités systémiques et offre une protection accrue aux individus, particulièrement les femmes, souvent affectées de manière disproportionnée. C'est une avancée significative vers plus de justice et d'équité dans les moments les plus difficiles de la vie conjugale.

    https://www.economiematin.fr/couple-justice-egalite-pension

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  100. Il est encore 90 secondes avant minuit


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 JANVIER 2024 - 03:20


    Depuis 1947, le Bulletin of the Atomic Scientists suit les événements mondiaux et évalue à quel point nous sommes sur le point de « détruire notre monde avec des technologies dangereuses de notre propre fabrication ».

    A l'origine axé sur la menace posée par les armes nucléaires, le champ d'application a depuis été élargi pour inclure les effets du changement climatique (étudiés pour la première fois en 2007).

    Comme le note Martin Armstroing de Statista, la métaphore de l'horloge de la fin du monde est utilisée pour « avertir le public » de la proximité avec laquelle nous pensons être le pire des cas.

    En 1947, l'horloge a démarré à minuit moins sept minutes, minuit étant le moment où il est trop tard et où le monde est détruit.

    Cette évaluation était principalement motivée par « la perspective que les États-Unis et l’Union soviétique se dirigent vers une course aux armements nucléaires ». En 1953, cela avait été réduit à seulement deux minutes, la publication proclamant de manière quelque peu dramatique :

    "Les aiguilles de l'horloge funeste ont encore bougé. Encore quelques coups de pendule et, de Moscou à Chicago, les explosions atomiques sonneront minuit pour la civilisation occidentale."

    Mais sept ans plus tard, l'horloge était revenue à 7 minutes et les aiguilles ne fonctionnaient plus aussi loin qu'en 1953 jusqu'en 2018.

    Ensuite, le Bulletin of the Atomic Scientists a écrit :

    "Les principaux acteurs nucléaires sont à l'aube d'une nouvelle course aux armements, qui sera très coûteuse et augmentera la probabilité d'accidents et de perceptions erronées. Partout dans le monde, les armes nucléaires sont sur le point de devenir plus que moins utilisables en raison des investissements des nations. dans leurs arsenaux nucléaires. »

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  101. Mais depuis lors, la situation mondiale est apparemment devenue encore plus désastreuse.

    L’évaluation pour 2022 a maintenu l’horloge dans la même position menaçante qu’elle se trouvait depuis 2020 – à minuit moins 100 secondes.

    Mais maintenant, en 2024, le chronomètre a avancé encore plus, jusqu'à seulement 90 secondes – la même position dans laquelle elle se trouvait au début de l'année dernière.

    - voir cadre sur site -

    Infographie : 90 secondes avant la fin du monde | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Le raisonnement principal est le suivant :

    "Des tendances inquiétantes continuent de diriger le monde vers une catastrophe mondiale. La guerre en Ukraine et le recours généralisé et croissant aux armes nucléaires augmentent le risque d'escalade nucléaire. La Chine, la Russie et les États-Unis dépensent tous des sommes énormes pour étendre ou moderniser leur arsenaux nucléaires, ajoutant au danger toujours présent d’une guerre nucléaire par erreur ou mauvais calcul. »

    Bien sûr, ils n’ont pas pu s’empêcher d’affirmer que le climat a également joué un rôle dans l’évaluation :

    "En 2023, le monde est entré en territoire inexploré car il a connu l'année la plus chaude jamais enregistrée et les émissions mondiales de gaz à effet de serre ont continué d'augmenter. Les températures de la surface de la mer mondiale et de l'Atlantique Nord ont battu des records, et la glace de mer de l'Antarctique a atteint sa plus faible étendue quotidienne depuis l'avènement de l'Atlantique Nord. données satellitaires."

    Ce qui nous amène à nous demander... que se passera-t-il si l'horloge de la fin du monde atteint minuit - parce que « le climat est quelque chose » - et que le monde ne se termine pas ?

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/its-still-90-seconds-midnight

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  102. ENCORE 7 (SEPT !) ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 7 = 113)

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