- ENTREE de SECOURS -



vendredi 19 janvier 2024

Symposium Covid–Des délits sans fin

 

109 commentaires:

  1. Dr. Marco Schmitz, médecin en médecine intégrative

    Et que ces tests ne sont pas du tout autorisés, c'est écrit sur chaque kit de test PCR. J'ai aussi travaillé avec le PCR dans des laboratoires d'immunologie pendant mes études. Ces tests ne peuvent tout simplement pas le faire. Ils ne peuvent être qu'un soutien. Prétendre que le PCR est le nouvel étalon-or témoigne soit d'un manque absolu d'information, soit simplement d'une tromperie ciblée de la population.

    3. Contrainte de porter un masque

    Dr. Ronald Weikl, spécialiste en gynécologie et obstétrique
    Des enfants ont été contraints de porter un masque pendant des heures à l'école. Selon moi, cela constitue clairement un délit de contrainte et de blessure corporelle.
    C'est clairement prouvé par de nombreuses grandes publications dans des revues spécialisées renommées, dont certaines méta-analyses, qui rassemblent les résultats de plusieurs études et concluent toutes que le port du masque dans ce contexte n’est pas seulement inutile, mais comporte des risques considérables pour la santé.

    Pourquoi le port du masque est-il si dangereux pour la santé ? La résistance des voies respiratoires fait plus que doubler. Le port du masque empêche l'apport d'oxygène. En très peu de temps, les masques sont contaminés par de nombreuses bactéries, virus et champignons qui peuvent à leur tour provoquer des infections. Mais le plus grand danger provient de la réabsorption du dioxyde de carbone expiré lors du port du masque, avec le risque d'une intoxication au CO2, appelée hypercapnie, et l'acidose respiratoire qui en résulte, c'est-à-dire l'hyperacidité du sang, avec les nombreux autres troubles métaboliques qui en découlent, pouvant entraîner, entre autres, des maux de tête, des nausées, des vomissements, des troubles de la concentration, des vertiges et des troubles circulatoires jusqu'au collapsus et à la mort. Tous ces troubles nous ont bien sûr été indiqués par les porteurs de masques et ils laissent bien souvent des séquelles neurologiques et psychologiques durables.

    4. Préjudice intentionnel par des mesures de confinement

    Dr Walter Weber, spécialiste en médecine interne

    Mesdames et Messieurs, pour moi, la ligne rouge a été franchie lorsqu'un confinement est intervenu à un moment où les fameux chiffres d'incidence étaient déjà en baisse. Nous avons bien vu les chiffres et puis, il a été question d'une obligation de porter un masque. Je me suis dit, quoi, comment ? Et j'ai regardé le site de l'OMS où j'ai trouvé dix études randomisées qui montraient que les masques ne servaient à rien contre les maladies infectieuses. J'étais rassuré, mais, à ma grande stupéfaction, j'ai dû constater le 29 avril, que le port du masque était déclaré obligatoire en Allemagne. Ma première pensée à ce sujet a été qu'il s'agissait d'un geste de soumission humiliant.

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  2. 6) Défaut de justice (défaillance de l'État de droit)

    Prof. Stefan Homburg, expert financier

    Comment la politique a-t-elle réagi à cette situation clinique normale ? Elle a fermé les crèches, les écoles, les magasins, les églises et les entreprises pendant des mois, elle a isolé les personnes âgées et les a laissé mourir seules, elle a détruit des existences. La police a interdit de lire un livre sur le banc d’un parc, a fait la chasse aux jeunes en plein air et aux enfants dans la neige, a tabassé des manifestants pacifiques. La politique a mis au ban toute personne qui s'interrogeait sur le sens des mesures.

    D'habitude, le pouvoir du gouvernement est limité par les tribunaux, les médias et la science. Cette fois-ci, ils ont tous échoué. Les tribunaux n'ont pas vérifié la proportionnalité et n'ont cru que deux témoins à ce jour, à savoir le RKI et le PEI. De cette manière, le gouvernement a pu s'auto-certifier de la nécessité des confinements et des obligations vaccinales, car le RKI et le PEI sont des autorités soumises à des directives des autorités.

    Björn-Lars Oberndorf, criminologue, président des policiers pour l'information
    Ces trois dernières années et demie, nous avons assisté à une criminalisation très, très massive de citoyens et citoyennes issus de notre société, qui n'ont aucun antécédent judiciaire, qui n'ont aucune inscription dans les systèmes d'interrogation de la police. Il est intéressant de noter qu'un très, très grand nombre d'entre eux sont des médecins.
    Depuis mars 2020, nous assistons à une augmentation massive de l'exécution de mandats de perquisition, comme « par hasard » au préjudice de l'opposition extraparlementaire ou de certains partis politiques.
    Quand j'étais encore fonctionnaire actif dans la police, je n'aurais jamais obtenu un mandat de perquisition pour de telles raisons, c’est une décision réservée au juge.
    Pour toutes ces exécutions et mesures de perquisition nous avons un soupçon initial, [...] c’est-à-dire qu'il ne s'agit pas de trouver des preuves pour une procédure pénale, mais de l'intimidation ciblée de l'opposition, de certains partis représentés au Bundestag et dans tous les parlements régionaux, de la démoralisation de la population et de l'intimidation de ces personnes.
    Prof. Stefan Homburg, expert financier
    Selon le manuel, au début d'une pandémie vraiment dangereuse, le gouvernement doit rassurer la population afin d'éviter des dommages consécutifs. Pourquoi la classe politique a-t-elle, au contraire, fait rédiger un document choc qui faisait par exemple craindre aux enfants de tuer leurs grands-parents par étouffement ?

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  3. Dr. Gunter Frank, médecin généraliste

    Les protagonistes nous annoncent des pandémies avec des virus qu'ils ont eux-mêmes créés de manière quasi artificielle, afin de vendre de nouveaux vaccins, qui existent probablement déjà depuis longtemps, contre ces virus. Voilà ce que j'entends par « crime organisé ».
    Jörg Schneider, député, membre de la commission de la santé publique
    ... le nombre de doses de vaccin vendues. Et là, il faut quand même se poser des questions. Toutes ces entreprises pharmaceutiques vivent en fait dans l'économie du marché. Elles vivent de la concurrence. Ils doivent bien savoir que s'ils développent un produit génial, qu'ils sont peut-être les seuls à le faire, parce que c'est très difficile, et que tout le monde en a besoin, il se vendra tout seul. Pourquoi donc fallait-il garantir des quantités d'achat aussi élevées dans ces contrats ? Je vois ici beaucoup de possibilités de manipulation en ce qui concerne les prix et, partant, les bénéfices des entreprises pharmaceutiques qui en découlent.

    Dr Gunter Frank, médecin généraliste

    Ici s’ajoute une deuxième dimension qui n'est possible que si de grands monopoles, de grands réseaux ont beaucoup de pouvoir, et qui rend possible d’inventer des maladies pour ensuite gagner beaucoup d'argent avec des médicaments au mieux inutiles, mais aussi très dangereux comme dans le cas du vaccin Covid. Et là, il s’agit d’un crime organisé.
    Le directeur de l'Institut Paul Ehrlich, le professeur Cichutek et d'autres devraient être traduits en justice pour homicide par négligence.

    M. Cichutek est-il un homme mauvais ? Non, pas du tout.
    C'est juste que [...] la violation des règles dans la science médicale est devenue la norme.
    Et pourquoi le professeur Cichutek doit-il maintenant être jugé ? Non pas parce qu'il est un homme mauvais. Pas par vengeance. Pas par dogmatisme. Mais car nous devons comprendre que cette violation persistante des règles peut tuer des gens.
    Monsieur Cichutek s'est habitué à cette violation des règles.

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  4. Dr. Hingerl, avocat

    Et maintenant, j'en viens à notre Monsieur Harbarth qui, à 48 ans, est devenu président de la Cour constitutionnelle fédérale.
    Quatre mois après le début des premières mesures en mars 2020, il se présente en public et donne quelques informations qui ne sont en aucun cas de son ressort en tant que président de la Cour constitutionnelle fédérale. Savez-vous ce qu'il a dit, Mesdames et Messieurs, le 22 juin 2020 : « En cette période de Covid, l'exercice des droits fondamentaux s’applique, [...] mais parfois différemment qu’avant la pandémie. »
    Et il en rajoute une couche. « Les droits fondamentaux sont valables, mais ils s'appliquent différemment qu'avant la pandémie. »
    Mesdames et Messieurs, il a ainsi ouvert la boîte de Pandore. Tous les maux inhérents à ces mesures, dont nous savons aujourd'hui qu'elles sont anticonstitutionnelles, tous ces maux ont rampé hors de cette boîte après qu'il l'a ainsi ouverte. Et il ne serait pas étonnant que M. Scholz, en tant qu'homme politique, dise ensuite - en guise d'introduction -, puisque tout est maintenant différent, il n'y a plus de lignes rouges après la pandémie. Les lignes rouges, Mesdames et Messieurs, sont les droits fondamentaux. Voyez-vous ce que M. Harbarth a déclenché ici ? Une violation du principe de séparation des pouvoirs.

    Conclusion

    Dr. Gerd Reuther, spécialiste en radiologie, historien de la médecine
    La quintessence de l'histoire des épidémies est que les pandémies n'arrivent pas tout simplement d'Asie, de Wuhan ou d'ailleurs. Elles arrivent au moment où elles sont utiles.
    Mais je peux aussi vous donner un message positif à la suite de tout cela. De telles pandémies disparaissent aussi, à savoir lorsqu'on n'y croit plus [...] Car une pandémie n'est rien d'autre qu'une guerre de l'Etat et de l’élite contre la population, mais avec d'autres moyens. Et en matière de guerre, ils savent ce qu'il faut faire. Il vaut mieux ne pas y aller. Et, en cas de pandémie, on devrait si possible ne pas y aller non plus. Je vous remercie de votre attention !

    de ah. wh. pi.uk.
    Sources / Liens :
    Symposium Covid 1erjour
    https://www.youtube.com/watch?v=lxXRDsLUc_M&t=9757s

    Symposium Covid 2ejour
    https://www.youtube.com/watch?v=XnvtYibTQmk&t=10783s

    https://www.kla.tv/fr

    https://www.kla.tv/fr

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  5. Le panel de l'OMS qui rédigera les politiques de santé des enfants comprend 11 membres sans formation médicale et 7 militants transgenres


    16/01/2024
    Belle Carter


    Onze des 21 membres du comité des politiques de santé de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ne sont pas des experts médicaux qualifiés et sept sont transgenres. Selon un rapport du Daily Mail, seuls 10 membres du panel sont des médecins.

    L’un des membres est une militante trans canadienne controversée nommée Florence Ashley, professeur de droit au Canada, qui a une forte influence sur l’application chinoise TikTok. Ashley a précédemment déclaré que les bloqueurs de puberté devraient être prescrits à tous les enfants, quelle que soit leur identité de genre, afin qu'ils puissent « choisir » leur sexe plutôt que de se voir attribuer un sexe par la société. Un autre panéliste a précédemment déclaré que la transition ne cause aucun problème de santé et a affirmé que les seuls « effets secondaires réels » d’un changement de genre sont une « qualité de vie considérablement améliorée et une joie trans ». Les autres membres du panel sont des militants, des défenseurs de la justice sociale, des avocats des droits de l'homme, des chercheurs sur les maladies sexuellement transmissibles (MST) et des conseillers politiques.

    Ashley, qui arbore un tatouage « Soyez gay, faites des crimes », est une femme trans et le membre le plus controversé du comité. "Les évaluations de genre sont une forme inutile de contrôle à laquelle les communautés trans s'opposent depuis un certain temps", a récemment déclaré Ashley sur TikTok. Ashley est également l'auteur d'une étude qui affirme que les bloqueurs de puberté et les thérapies hormonales « devraient être traités comme l'option par défaut » pour les enfants souffrant de dysphorie de genre.

    Par ailleurs, le porte-parole de l'OMS, Tarik Jasarevic, a insisté sur le fait que les lignes directrices sur les questions transgenres se concentreraient sur « les adultes uniquement » et non sur l'utilisation d'hormones, de suppresseurs et de chirurgies sur les enfants. "Les lignes directrices de l'OMS sont toujours basées sur un équilibre entre les preuves disponibles, les principes des droits de l'homme, la prise en compte des préjudices et des avantages et les contributions des utilisateurs finaux et des bénéficiaires", a déclaré Jasarevic. Cependant, certains membres du comité expriment clairement leur soutien à l’idée de laisser les enfants subir des procédures de mutilation.

    Pour cette raison, plusieurs organisations de défense des droits des femmes et LGBTQ+ craignent que l’agence ait été capturée par un « préjugé trans ». La Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la violence contre les femmes, Reem Alsalem, a déclaré que le nouveau panel était trop « unilatéral » et qu'elle pensait que le comité contenait « d'importants conflits d'intérêts non gérés ».

    "Les parties prenantes dont les opinions diffèrent de celles des organisations militantes transgenres ne semblent pas avoir été invitées", a déclaré Alsalem. "Ces parties prenantes comprennent des experts des autorités européennes de santé publique qui ont pris l'initiative de développer une approche fondée sur des données probantes et par conséquent prudente concernant les transitions de genre chez les jeunes."

    Le panel de l'OMS est censé déterminer les lignes directrices en matière de soins pour les personnes trans, mais il n'y a personne pour représenter l'équilibre critique au sein du panel, selon la psychothérapeute et directrice exécutive de Genspect, Stella O'Malley. "L'approche affirmative en matière de genre est considérée par l'OMS comme la seule voie à suivre et rejette ainsi la psychothérapie conventionnelle." (Connexe : NOUVELLE ÉTUDE : Les taux de chirurgie transgenre (mutilation) ont triplé dans tous les groupes d'âge de 2016 à 2019.)

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  6. Plus de 8 000 entités remettent en question le panel de l'OMS
    Juste après que les membres du comité aient été finalisés, une pétition en ligne a été organisée par Jamie Reed, un ancien assistant social à l'hôpital pour enfants de St. Louis qui avait précédemment révélé que les hormones sexuelles croisées accéléraient les problèmes de santé mentale des enfants. Elle a été signée par plus de 8 000 entités depuis décembre, parmi lesquelles des particuliers, des psychologues, des infirmières et des parents de détransitionnés, ainsi que des organisations comme Genspect, qui critique les transitions médicales. La pétition demande à l'organisation d'arrêter la réunion du groupe en février.

    Reed, aujourd'hui directeur exécutif du groupe de campagne LGBT Courage Coalition, a qualifié les panélistes de l'OMS de groupe de « militants motivés par un programme avec peu ou pas d'expertise scientifique ».

    "Certains sont des militants radicaux bien connus qui promeuvent les interventions médicales expérimentales et stigmatisent la thérapie exploratoire", a déclaré Reed, soulignant que le comité devrait inclure "des experts avec une diversité de perspectives".

    En plus de faire pression sur l'OMS pour qu'elle rééquilibre son panel « biaisé », Reed et son équipe ont affirmé que l'organisation n'avait pas donné au public suffisamment de temps pour exprimer ses inquiétudes sur la composition du groupe influent. La période de commentaires publics s'est terminée le 8 janvier.

    La pétition disait : "C'est une vitesse fulgurante pour toute organisation, mais particulièrement pour l'OMS, qui doit consulter diverses parties prenantes, commander des examens de preuves à des tiers et potentiellement engager des experts indépendants pour aider à superviser le processus d'élaboration des lignes directrices." que rien de tout cela ne peut être réalisé de manière réaliste dans le délai artificiellement contraint de l'OMS.

    Consultez MedicalViolence.com pour plus d’histoires liées aux interventions chirurgicales violentes de mutilation de genre pratiquées sur des enfants.

    Regardez la vidéo ci-dessous dans laquelle la championne pro-humanité Laura Aboli explique que le transhumanisme est l'objectif final des mondialistes.

    Cette vidéo provient de la chaîne DaKey2Eternity sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    La Californie va SÉPARER les enfants des parents qui ne soutiennent pas les mutilations génitales LGBT.

    Les hôpitaux refusent désormais de pratiquer des mutilations transgenres LGBT pour se protéger de toute responsabilité pénale.

    Rand Paul : « La chirurgie d’affirmation de genre » « est une mutilation ».

    Sources include:

    Breitbart.com
    FlorenceAshley.com
    DailyMail.co.uk
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-16-who-panel-children-healthcare-includes-trans-activists.html

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  7. Ce qui est le plus remarquable dans le rapport, c'est qu'il ne mentionne RIEN sur la nécessité d'investir dans le renforcement de la sécurité des biolaboratoires. Il met expressément en garde contre la menace d’un agent pathogène respiratoire mortel « libéré accidentellement ou délibérément », mais son seul appel à l’action est d’investir une fortune pour répondre à un tel agent pathogène au lieu d’empêcher sa libération en premier lieu.

    19 OCTOBRE 2019 : Le Centre Johns Hopkins pour la sécurité publique, en collaboration avec la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, a mené un exercice de simulation de pandémie. Comme Johns Hopkins a décrit l’événement :

    La dernière simulation de pandémie du centre, Événement 201, a laissé tomber les participants en plein milieu d’une épidémie incontrôlée de coronavirus qui se propageait comme une traînée de poudre hors d’Amérique du Sud pour faire des ravages dans le monde entier. Comme l’ont raconté les présentateurs fictifs de « GNN », le virus immunorésistant (surnommé CAPS) paralysait le commerce et les voyages, plongeant l’économie mondiale dans la chute libre. Les réseaux sociaux regorgeaient de rumeurs et de désinformations, les gouvernements s’effondraient et les citoyens se révoltaient.

    Notez que dans cette simulation, « l’épidémie incontrôlée de coronavirus » provient d’Amérique du Sud et non de Chine, même si ce dernier pays a longtemps été considéré comme le lieu probable de la prochaine épidémie de coronavirus. Cela me semble être une erreur plutôt grossière.

    Il semble très improbable que les événements ci-dessus survenus en septembre et octobre 2019 – quelques mois seulement avant la détection et l’annonce officielles du SRAS-CoV-2 – ne soient qu’une coïncidence. Certes, la plupart des participants ignoraient probablement qu’un nouveau coronavirus se propageait déjà à Wuhan au moment où ils menaient ces études et séminaires. Les connaissances complètes étaient probablement limitées à quelques responsables du renseignement et de la santé publique en Chine et aux États-Unis.

    29 OCTOBRE 2019 : Drs. Anthony Fauci et Rick Bright, directeur de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), assistent à une conférence au Milken Institute pour discuter de la nécessité d'un vaccin universel contre la grippe. Le modérateur, Michael Specter, rédacteur du New Yorker, a déploré à plusieurs reprises qu’il n’y avait pas suffisamment de motivation pour investir les ressources nécessaires pour faire le saut « perturbateur » de la technologie vaccinale traditionnelle à la nouvelle technologie vaccinale. Le Dr Bright déclare que la nouvelle technologie la plus prometteuse pour lutter contre la grippe ou d’autres pandémies virales est « les séquences basées sur l’acide nucléique et l’ARN messager qui peuvent être rapidement partagées dans le monde entier ».

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  8. 12 DÉCEMBRE 2019 : UN ACCORD DE TRANSFERT DE MATÉRIEL (voir pages 105-107) de NIAID/Moderna (« Fournisseur ») à Ralph Baric (« Destinataire de la recherche ») est signé par le professeur Ralph Baric à l'UNC Chapel Hill. L’accord précise le transfert des « candidats vaccins à ARNm contre le coronavirus développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna » au Dr Baric « pour réaliser des études de provocation avec le vaccin à ARNm ».

    - voir doc sur site -

    L'accord est signé par Ralph Baric le 12 décembre 2019, soit 19 jours AVANT que la Commission municipale de la santé de Wuhan n'informe le bureau national de l'OMS en Chine des « cas de pneumonie d'étiologie inconnue détectés dans la ville de Wuhan, province du Hubei en Chine, le 31 décembre 2019 ». et 24 jours AVANT la publication du génome du SARS-CoV-2 le 5 janvier 2020.

    Il est important de souligner ici l’histoire remarquable du Dr Ralph Baric. À partir de 2013, Baric a travaillé avec des scientifiques de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) pour effectuer des travaux de gain de fonction sur les coronavirus Bat SL-CoV-WIV1 et SHCO15. Sa collaboration avec Ge Xing-Ye et Shi Zhengli a commencé peu de temps après qu'ils (avec Peter Daszak) aient découvert ces deux virus chez des chauves-souris fer à cheval dans le sud de la Chine. Xing-Ye, Zhengli et Daszak ont publié leur découverte dans le magazine Nature dans un article de 2013 intitulé Isolation et caractérisation d'un coronavirus de type SRAS de chauve-souris qui utilise le récepteur ACE2. Ils étaient très enthousiasmés, car pour la première fois dans l’histoire, ils ont découvert un coronavirus de chauve-souris sauvage qui se lierait à un récepteur ACE2 humain, une protéine (enzyme) présente à la surface de nombreux types de cellules.

    Fort de cette découverte importante, Baric a commencé à travailler avec ses collègues chinois pour transformer ces deux virus en deux nouveaux virus chimériques susceptibles d'infecter les voies respiratoires humaines. Ils ont rapporté leurs résultats dans des articles publiés en 2015 et 2016.

    1). Un groupe de coronavirus de chauve-souris en circulation, semblable au SRAS, montre un potentiel d'émergence humaine (publié dans Nature Medicine)

    2). Le WIV1-CoV de type SRAS est prêt pour l’émergence humaine (publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences, ou PNAS).

    Notez que le Dr Baric signe l’accord de transfert de matériel « pour réaliser des études de provocation avec le vaccin à ARNm du NIAID/Moderna » quatre ans plus tard.

    En parlant de MODERNA : le 4 février 2016, la société a déposé un brevet pour une séquence génétique exclusive (SEQ ID11652, nt 2751-2733) brevetée par Bancel S. et al. à Cambridge, Massachusetts.

    Comme indiqué dans le numéro du 21 février 2022 de Frontiers in Virology (homologie MSH3 et lien potentiel de recombinaison avec le site de clivage de la furine du SRAS-CoV-2) :

    Protéine de pointe du SRAS-CoV-2 et MSH3

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  9. Une caractéristique particulière de la séquence nucléotidique codant pour le site de clivage de la furine PRRA dans la protéine SARS-CoV-2 S réside dans ses deux codons CGG consécutifs. Ce codon arginine est rare dans les coronavirus : l'utilisation relative des codons synonymes (RSCU) de CGG dans le CoV du pangolin est de 0, dans le CoV de chauve-souris de 0,08, dans le SRAS-CoV de 0,19, dans le MERS-CoV de 0,25 et dans le SRAS-CoV-2 de 0,299 (8 ).

    Une recherche BLAST de l'insertion de 12 nucléotides nous a conduit à une correspondance inverse à 100 % dans une séquence exclusive (SEQ ID11652, nt 2751-2733) trouvée dans le brevet américain 9 587 003 déposé le 4 février 2016 [par Bancel S. et al. . à Cambridge, Massachusetts].

    À la question de savoir si cette correspondance parfaite pourrait être une simple coïncidence, les auteurs ont noté :

    L'analyse biostatistique conventionnelle indique que la probabilité que cette séquence soit présente de manière aléatoire dans un génome viral de 30 000 nucléotides est de 3,21 × 10 ^ -11 [environ 1 sur 3 billions].

    Notez également qu'avant de devenir PDG de Moderna en 2011, Stéphane Bancel était PDG de bioMérieux, une société française de diagnostic qui a conçu et construit un nouveau laboratoire BSL-4 à l'Institut de virologie de Wuhan entre 2004 et 2014.

    Aucun adulte raisonnable ne conclurait que tout ce qui précède n’est qu’une coïncidence. La chronologie et les preuves documentaires indiquent clairement que le SRAS-CoV-2 a fui ou a été délibérément libéré d'un laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan au cours de l'année 2019.

    La preuve documentaire révèle en outre que certains acteurs clés savaient qu’un coronavirus du SRAS, hautement contagieux pour les humains, avait été détecté en train de se propager à Wuhan à l’automne 2019.

    Nous mettons en garde le WEF, l’OMS et les biolaboratoires mondiaux BSL-3 et BSL-4.

    Des millions de citoyens prudents dans le monde entier comprennent désormais que le SRAS-CoV-2 a été créé dans un laboratoire de Wuhan en utilisant la biotechnologie française et américaine pour rendre un coronavirus de chauve-souris chinois hautement contagieux pour les humains.

    Nous savons que les laboratoires biologiques en Chine, en Ukraine, au Royaume-Uni et aux États-Unis continuent d’effectuer de dangereuses procédures de gain de fonction et de passage en série sur des virus afin de les rendre infectieux pour les humains.

    Nous savons que la raison de ce travail dangereux est de prendre des « contre-mesures », c’est-à-dire des vaccins qui peuvent être vendus pour des centaines de milliards à des gouvernements capturés.

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  10. Nous savons que la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) du WEF a été un acteur clé dans le racket du vaccin contre la COVID-19 et se positionne désormais pour être un acteur clé dans le racket du vaccin contre la maladie X lorsque ce « pathogène hypothétique et inconnu » devient un pathogène connu et commence à se propager.

    Des dizaines de millions de personnes ont pris conscience de ce racket. Nous ne nous tromperons pas une seconde fois.

    Depuis plus d’une décennie, des experts en biosécurité prudents et éthiques appellent à la fermeture des laboratoires dangereux. Voir par exemple ce rapport de Reuters du 14 juillet 2014 Comment réparer les fuites de biosécurité aux États-Unis ? Fermez certains laboratoires.

    En 2018, les éminents virologues Edward C. Holmes, Andrew Rambaut et Kristian G. Andersen ont publié un article dans Nature intitulé Pandemics : dépensez en surveillance, pas en prédiction. Dans cet article, ces scientifiques soutiennent qu’il est impossible de prédire quels agents pathogènes naturels vont évoluer pour infecter les humains. C’est l’une des grandes ironies de l’histoire scientifique que Holmes, Rambaut et surtout Andersen aient joué un rôle clé dans la dissimulation de la véritable origine en laboratoire du SRAS-CoV-2.

    Le fait que l’ensemble des efforts de prévision repose sur un faux prétexte n’a en rien entravé la croissance d’une énorme industrie de prévision des maladies infectieuses, à laquelle sont consacrées des centaines de millions de subventions.

    La prédiction est le prétexte pour effectuer un dangereux travail de gain de fonction sur les virus animaux qui sont considérés comme les plus susceptibles de passer de l’hôte animal à l’homme au cours de l’évolution.

    Le Dr Peter McCullough et moi-même exhortons tous les adultes prudents du monde à s’unir pour exiger la fermeture des laboratoires biologiques dangereux. Nous ne pouvons pas attendre que le « pathogène hypothétique et inconnu », désormais appelé maladie X, s’échappe ou soit délibérément libéré de l’un de ces laboratoires. Si cela se reproduisait, les conséquences seraient graves pour les responsables.

    https://petermcculloughmd.substack.com/p/are-we-being-conditioned-for-another?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=140752021&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=1fkpmf&utm_medium=email

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    1. Je me demande encore si les gens réfléchissent en lisant ! Depuis plus de 3 ans on a insisté sur le fait que le dit virus est UNE POUSSIÈRE ! COMPRIS ? Une poussière N'EST PAS un microbe ! N'a rien de vivant. Une poussière est INOFFENSIVE ! (sauf les poussières radioactives, ce qui n'est ici pas le cas).

      Et, ils 'devraient être effrayés' par l'arrivée d'une nouvelle escroquerie ?

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  11. Après des effets secondaires sans précédent documentés dans des milliers d’études


    18 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Professeur émérite Masanori Fukushima de l'Université de Kyoto : Une revue systématique de la littérature a révélé des faits surprenants. Des milliers d’articles font état d’effets secondaires après la vaccination, affectant tous les organes sans exception. Le spectre s'étend de l'ophtalmologie à la médecine générale et à la psychiatrie.

    Le 11 janvier 2024, le groupe d'étude sur les questions liées aux vaccins au Japon a tenu une conférence de presse pour annoncer les résultats critiques et préoccupants de sa première enquête de six mois sur les effets secondaires des vaccins. Les résultats, présentés par un panel d'experts médicaux respectés, sont tout simplement alarmants et attirent l'attention sur un large éventail de problèmes médicaux, du cancer aux troubles neurologiques.

    La conférence de presse a été retranscrite et sous-titrée en anglais par Aussie17 . Le professeur émérite Masanori Fukushima de l'Université de Kyoto a fortement souligné le large éventail d'effets secondaires révélés par l'étude. « Une revue systématique de la littérature a révélé des informations choquantes », explique-t-il d'emblée, d'un ton sérieux. Les effets indésirables consécutifs à la vaccination ont été rapportés dans des milliers de publications, affectant tous les aspects possibles de la pathologie humaine, de l'ophtalmologie à la psychiatrie . » Il a souligné le large éventail de ces résultats et a souligné : « Ce type de reportage sur les effets secondaires des médicaments ou quelque chose de similaire est sans précédent. "

    Concrètement, le professeur Fukushima a évoqué une augmentation significative de certaines maladies suite aux campagnes de vaccination : « Par exemple, le taux de mortalité ajusté selon l'âge pour la leucémie a augmenté. Il existe également des résultats significatifs concernant le cancer du sein, le cancer de l’ovaire, etc. , « suggérant des effets graves de la vaccination sur des maladies graves, dont des cas similaires n’ont jamais été documentés auparavant.

    La suppression de ces informations n’a pas non plus été dissimulée lors de la conférence de presse. « Les médecins japonais font de gros efforts, mais ils rencontrent divers obstacles », a noté le professeur Fukushima, soulignant les courants sous-jacents de censure médicale qui ont bloqué le discours professionnel sur les questions de vaccination.

    Quant aux effets secondaires liés au cerveau, les résultats ont été tout aussi inquiétants : « Les troubles mentaux, les symptômes psychiatriques, la dépression, la manie, l'anxiété ont été notés en abondance, mais la liste est interminable », a déclaré le professeur Fukushima. Il a souligné que le volume et la variété des problèmes neurologiques survenus en réponse aux vaccins n'auraient pas pu être prédits : « Ce n'est donc qu'une partie du problème. "

    Le professeur Yasufumi Murakami, de l'Université des sciences de Tokyo, n'a pas mâché ses mots lorsqu'il s'est agi d'arrêter l'utilisation des vaccins en raison de leurs effets indésirables et a commenté les implications de ces découvertes. « Ce qui se passe lorsqu'on transmet un gène toxique à une personne est très clair. Il y a des cas qui apparaissent une semaine ou deux après l’injection, mais il y a aussi de nombreux cas qui n’apparaissent qu’après un an ou deux », a-t-il précisé, soulignant les risques à long terme associés aux maladies induites par le vaccin.

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  12. La nouveauté de la réponse immunitaire au vaccin a également été un point clé de discussion, le professeur Murakami soulignant que « avec les vaccins de type messager actuels, une quantité importante d'IgG4 est induite », ce qui contredit les attentes d'une réponse vaccinale normale et pourrait affecter fonctions immunitaires.

    Le professeur Masayasu Inoue, professeur émérite à la faculté de médecine de l'université de la ville d'Osaka, a réitéré la gravité et l'imprévisibilité de ces problèmes. « C'est une première dans l'histoire de l'humanité qu'autant de littérature soit publiée sur un seul vaccin », a-t-il déclaré. Une telle déclaration souligne le niveau d’inquiétude et d’attention sans précédent que les vaccins ont suscité.

    Le professeur Masanori Fukushima a conclu le discours par une critique sévère de la distribution aveugle de vaccins à ARNm dans tout le corps. « Ils ne savent pas où aller. S’il pénètre dans la circulation sanguine, il pénètre dans le cerveau, le foie et les reins », a-t-il expliqué, dressant un tableau d’une vulnérabilité systémique potentielle négligée tant par le public que par les professionnels.

    Fukushima a ensuite abordé les connaissances superficielles qui animent le débat actuel sur les vaccins. « Avec de tels fragments de connaissances, ils exagèrent et pensent qu’ils peuvent s’en tirer », a-t-il noté, faisant allusion à la confiance déplacée des autorités qui vantent les vaccins comme étant sûrs et efficaces sur la base d’une compréhension incomplète des faits.

    Il a appelé à une refonte majeure de la compréhension biologique, déclarant : « Franchement, ils doivent tout refaire, depuis la biologie au collège jusqu'aux examens d'entrée au lycée et à l'université . Ce terrible conseil suggère que ceux qui sont à l’avant-garde de la prise de décision ne disposent pas des connaissances biologiques nécessaires pour comprendre l’ensemble des impacts des vaccins.

    Il résume succinctement la situation en soulignant l’état naissant de la médecine moderne : « Comme je l’ai déjà mentionné, la médecine est encore immature. » Cette remarque finale a servi de rappel que la médecine doit adopter une approche plus réfléchie et fondée sur les connaissances lorsqu'elle traite des technologies médicales nouvelles et émergentes telles que l'ARNm.

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  13. « DES EFFETS SECONDAIRES SANS PRÉCÉDENT »

    Conférence de presse du « Vaccine Issues Study Group » japonais, 11 janvier 2024.

    Professeur émérite Masanori Fukushima de l'Université de Kyoto : Une revue systématique de la littérature a révélé des faits surprenants. Des milliers d’articles font état d’effets secondaires après la vaccination, affectant tous les organes sans exception. Le spectre s'étend de l'ophtalmologie à la médecine générale et à la psychiatrie.

    Ces documents ont été préalablement examinés par un groupe de médecins volontaires. Ils ont examiné combien de cas avaient été signalés par les sociétés universitaires japonaises. Ce type de reportage sur les effets secondaires des médicaments ou similaires est sans précédent.

    Par exemple, le taux de mortalité ajusté selon l’âge pour la leucémie a augmenté. Il y a également des résultats significatifs dans le cancer du sein, le cancer des ovaires, etc. Nous partagerons les informations pertinentes avec tout le monde tout en conseillant et en exhortant le gouvernement sur la manière de procéder.

    Quant à la censure médicale sur les vaccins, les médecins japonais s’y efforcent, mais ils se heurtent à divers obstacles. Il y a cette attitude négative : « Pourquoi signaleriez-vous quelque chose comme un dommage causé par un vaccin ? Il y a des interférences.

    De telles mesures entravent la liberté académique et la censure existe dans certains départements universitaires. Par exemple, lors de présentations à des conférences et lors de la publication d’articles. C’est le cas partout dans le monde. Certaines revues pratiquent effectivement la censure.

    Parmi les effets secondaires liés au cerveau : troubles mentaux, symptômes psychiatriques, dépression, manie, anxiété, etc. Quant à la séquence de la protéine Spike dans les gènes, il (Luc Montagnier) a prévenu qu'une séquence de type prion , très dangereuse, pourrait être . De nombreux scientifiques ont prévenu. J'ai aussi dit que cela pourrait être dangereux en raison de la possibilité de prions. J'en ai parlé à des experts en prions.

    Professeur Yasufumi Murakami de l'Université des Sciences de Tokyo : Concernant les effets indésirables des vaccins : Tout d'abord, je voudrais dire que la manière dont se produisent les effets indésirables, qui font encore aujourd'hui de nombreuses victimes, est claire. Je pense que cela devrait cesser immédiatement. Le mécanisme par lequel les effets indésirables se produisent est bien compris ; la pointe est toxique. Ce qui se passe lorsqu'on transmet un gène toxique à une personne est très clair. Un autre point est que les nanoparticules lipidiques provoquent également des réactions très fortes, elles sont donc également toxiques.

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  14. Le principal problème est que nous injectons aux gens deux substances toxiques, dont l’une produit les protéines Spike dans les cellules humaines. Puisque le système immunitaire les attaque, des réactions génétiques très violentes se produisent. Certains cas surviennent une semaine ou deux après l’injection, mais de nombreux cas surviennent également après un an ou deux.

    Au sujet des anticorps IgG4 : Si un anticorps IgG4 est produit dans les vaccins, cela est généralement considéré comme un échec. Cependant, avec les vaccins de type messager actuels, une quantité importante d’IgG4 est induite. Lorsque cela se produit, cela joue des tours à diverses fonctions immunitaires. Nous voulons donc examiner en profondeur quelle proportion de Japonais est à l’origine de cela, et nous voulons examiner attentivement quelle proportion d’IgG4 réagissant avec la protéine de pointe se trouve chez chaque individu.

    Concernant les vaccins qui ont échoué : les vaccins qui ont échoué sont toujours administrés, et le ministère de la Santé, du Travail et de la Protection sociale reconnaît ces vaccins qui ont échoué. Je veux donc qu’ils s’arrêtent immédiatement et même si je m’exprime à divers endroits, ils ne s’arrêtent pas, nous présenterons donc des preuves claires et publierons un article à la fois.

    Professeur Masayasu Inoue, professeur émérite à l'École de médecine de l'Université de la ville d'Osaka : Nous travaillons donc avec le Dr. Fukushima pour créer cette base de données, et jusqu'à présent, 201 types de maladies et 3 071 articles sur les effets indésirables ont été signalés. C’est une première dans l’histoire de l’humanité qu’autant de littérature soit publiée sur un seul vaccin.

    Ce faisant, nous voulons fournir à la nation et au gouvernement japonais une base scientifique solide sur laquelle personne ne peut douter. ...Vous constaterez que des maladies du cœur, des reins, de la thyroïde, du diabète, du foie, de la peau, des yeux, du sang, des nerfs, des maladies systémiques, du cerveau, des poumons, des maladies de tous les domaines médicaux ont été signalées, et comme l'a dit le professeur Fukushima : la particularité des effets secondaires de ce vaccin est qu’ils ne peuvent pas s’influencer eux-mêmes.

    https://tkp.at/2024/01/18/nach-nie-dagewesene-nebenwirkungen-dokumentiert-in-tausenden-studien/

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  15. Shot Dead the Movie : histoires déchirantes d'enfants décédés après avoir reçu des injections de COVID-19

    Il a été arrêté au Royaume-Uni et au Danemark, mais la FDA continue de promouvoir ce poison, même s'il ne fait plus aucun doute qu'il s'agit du médicament le plus inflammatoire et le plus mortel jamais créé.


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    17 janvier 2024


    « Shot Dead The Movie » raconte les histoires déchirantes d’enfants décédés après avoir reçu des injections contre le COVID-19. Leurs parents sont laissés sur place pour ramasser les morceaux, se demandant comment et pourquoi un tir dont on leur avait assuré qu'il était sans danger a coûté la vie à leurs enfants, âgés de la naissance à 18 ans.

    Alors que le Royaume-Uni et le Danemark ont ​​arrêté leurs programmes de vaccination des enfants, les autorités sanitaires américaines continuent de déclarer que les effets indésirables sont « rares » et que les avantages des injections contre le COVID-19 dépassent les risques du COVID-19 pour les enfants. 1 Alors même que des enfants meurent, aucun avertissement n’a été émis pour informer les parents de ce risque très réel.

    Pendant ce temps, les parents d'enfants décédés affirment qu'ils sont chassés par différentes agences et délibérément tenus dans l'ignorance. 2 Le Dr Peter McCullough, interniste et cardiologue certifié, explique dans le film : 3

    « Le tsunami de misère, d’infections respiratoires aiguës, d’hospitalisations, de syndromes de séquelles post-aiguës, malheureusement, de décès dus à la maladie, et maintenant la vague de blessures, d’invalidités et de décès dus aux vaccins ont été écrasants en termes de désespoir humain. La misère a été accablante et elle a changé le cours de la vie des gens. N’oubliez pas que même les effets secondaires les plus rares sont significatifs lorsqu’une thérapie ou un vaccin est appliqué à une population géante.

    La vie d'enfants est perdue à cause de vaccins « sûrs » contre le COVID-19

    Trista était une jeune fille de 18 ans en bonne santé qui se préparait pour l'université lorsqu'elle a reçu une injection de COVID-19. Sa santé a commencé à se détériorer peu de temps après et elle est décédée trois mois plus tard.

    "Elle s'est réveillée ce matin-là et se plaignait de ne pas pouvoir respirer et d'avoir mal dans tout le corps, partout", raconte sa mère. «Mais c'était une fille dure, alors elle a dit qu'elle allait se rallonger et voir si elle pouvait se sentir mieux. Et puis sa sœur est allée la voir environ 10 minutes plus tard, et elle n'a pas réussi à la réveiller. 4

    Le bureau du médecin légiste de l'Oklahoma a soumis un rapport à la famille énumérant les embolies pulmonaires, l'acidose, l'insuffisance respiratoire, l'insuffisance rénale, l'insuffisance cardiaque ventriculaire droite, l'infarctus du myocarde précoce, l'hémorragie gastro-intestinale et de multiples autres maladies présentes au moment du décès de Trista, concluant qu'elle la cause officielle du décès était « indéterminée ». 5

    Dans un autre cas, Ernesto Ramirez Jr., 16 ans, est décédé cinq jours après avoir reçu le vaccin Pfizer contre le COVID-19. Il était allé jouer au basket avec un ami et s'est effondré en traversant un parking en courant. Selon McCullough : 6

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  16. Le film raconte l'histoire de la petite Naomi, décédée 11 heures après sa naissance. Sa mère, Tory, a reçu une injection de COVID-19 au cours de son premier trimestre de grossesse afin de conserver son emploi dans une maison de retraite. Naomi a reçu un diagnostic de deux maladies graves : une hernie diaphragmatique congénitale et un cordon ombilical court, qui ont contribué à sa mort. Thorp dit : 15

    « Y a-t-il un rapport avec le vaccin ? … absolument oui. Tout vaccin provoquant une inflammation a certainement le potentiel de provoquer une malformation car il est crucial pour le développement.

    Roberto Romero est probablement le plus grand expert au monde en matière de médecine fœto-maternelle. C'est un chercheur très brillant. Et il fait des recherches sur l'inflammation et la grossesse depuis cinq décennies… même avec le soutien du gouvernement et du NIH… toute substance qui provoque une inflammation pendant la grossesse sonne le glas de chaque système organique.

    D'après mon expérience, c'est la substance la plus inflammatoire qui soit jamais apparue dans l'histoire de l'être humain. Et lorsque cette protéine de pointe s'attache au récepteur ACE, c'est un site de clivage de la furine, elle provoque une inflammation sévère, une inflammation sévère dans tout le corps. C'est dévastateur.

    L’augmentation du nombre de bébés mourant incite l’infirmière à s’exprimer

    Des problèmes ont commencé à apparaître peu de temps après le déploiement des vaccins contre le COVID-19, tels qu'un courrier électronique divulgué par un grand hôpital californien a été envoyé pour avertir 200 infirmières. L’e-mail, datant de septembre 2022, contenait la ligne d’objet « Demise Handling », faisant référence à une augmentation des mortinaissances et des morts fœtales. Un rapport TCW de la journaliste Sally Beck a partagé le contenu de l'e-mail, qui se lisait comme suit : 16

    « Il semble que l’augmentation du nombre de patients décédés [bébés] que nous constatons va se poursuivre. Il y a eu 22 décès [mortinaissances et morts fœtales] en août [2022], ce qui égale [égal] le nombre record de décès en juillet 2021, et jusqu'à présent en septembre [2022] il y en a eu 7 et ce n'est que le 8ème jour du mois."

    Une infirmière qui travaille dans le service néonatal, Michelle Gershman, s'est vu refuser sa prime parce qu'elle avait dénoncé l'augmentation des morts fœtales. Elle dit : 17

    « Avant mars 2021, nous aurions peut-être une ou deux décès fœtaux tous les deux mois. Et puis après mars 2021, nous avons pratiquement commencé à en avoir un ou deux par semaine… ils duraient essentiellement à terme et il semblait qu’une tendance se produisait.

    Ces mères se rendraient chez leur médecin et, à terme, elles recevraient un vaccin contre la COVID. Et puis, en une semaine environ, ils accouchent d'un bébé mort. Je n'arrêtais pas de voir ces décès fœtaux. Je voyais sans cesse ces mères avec des problèmes de santé.

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  17. Je n'arrêtais pas de voir des mères souffrant de problèmes d'hypertension, des saignements des yeux, des caillots de sang sortant d'elles, comme toutes ces choses horribles que l'on ne voit que dans un film d'horreur.

    Et c'est comme à chaque fois que je viens au travail, et puis je vois ces bébés qui ont des cas graves de jaunisse, et ils ont des problèmes respiratoires, toutes ces choses qui n'arrivaient pas avant… Et il y a deux mois, une des infirmières m'a dit qu'il y en avait huit en une journée. Et puis trois ou quatre semaines avant, il y en avait cinq en une journée. Donc le nombre a augmenté. »

    Les propres données de Pfizer étaient également alarmantes, montrant que les injections entraînaient un taux de fausses couches de 81 %, un taux de mortinaissance multiplié par cinq, un taux de mortalité néonatale multiplié par 7,9 et un risque de 13,7 % de complications indésirables chez les nouveau-nés allaités par des mères qui « J'ai reçu une injection de COVID-19. 18

    Les injections de COVID sont-elles la drogue la plus mortelle de tous les temps ?
    Thorp décrit le vaccin contre le COVID-19 comme le médicament le plus mortel jamais conçu, citant des données que la société pharmaceutique, Pfizer, le CDC et la FDA ont tenté d'enterrer pendant 75 ans : 19

    « Spectateurs, vous pouvez aller le voir vous-mêmes. Vous ne le trouverez pas sur le moteur de recherche Google, car il est masqué. Ils ne veulent pas que vous voyiez cela, mais vous le trouverez sur n'importe quel autre moteur de recherche. Accédez simplement à Pfizer 5.3.6, puis à la page sept. Vous verrez qu’au cours des 10 premières semaines de déploiement, c’était la drogue la plus mortelle jamais connue par l’homme.

    Je mets au défi quiconque regarde cela, comme je l'ai fait au cours des deux dernières années, de me montrer un autre déploiement de médicaments qui a fait plus de 1 223 morts après le vaccin. Cela n’existe pas.

    Les parents du film font partie des quelques courageux qui s’expriment pour sensibiliser aux risques liés aux tirs liés au COVID-19. Beaucoup d’autres souffrent en silence, contraints de garder le silence sur la véritable cause du décès de leur enfant. McCullough a expliqué qu'en raison du seul manque d'efficacité, les injections devraient être retirées du marché. Et l’argument devient encore plus solide si l’on prend en compte le nombre important d’invalidités et de décès associés : 20

    « De multiples sources de biais ont créé l’illusion que les vaccins ont fonctionné alors qu’ils ont échoué dans le monde réel… les affirmations selon lesquelles les vaccins contre la COVID-19 ont permis de réduire la propagation de l’infection, les hospitalisations et les décès doivent être rejetées.

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  18. La charge de la preuve n’a pas été satisfaite et les menaces pesant sur la validité n’ont pas été surmontées. Tous les vaccins contre la COVID-19 devraient être retirés du marché et nous devrions entamer la phase d’enquête sur la manière dont ce programme massif n’a pas réussi à arrêter la COVID-19.

    https://www.globalresearch.ca/shot-dead-movie-heartbreaking-stories-children-died-after-receiving-covid-19-shots/5846254

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  19. Johnson & Johnson va acquérir le développeur de médicaments « Ambrx Biopharma » pour 2 milliards de dollars pour traiter les cancers turbo avec la même technologie que l'acquisition de Seagen par Pfizer pour 43 milliards de dollars

    Tous deux visent le TSUNAMI contre le cancer en 2025


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    17 janvier 2024


    8 janvier 2024 (CNBC) – J&J va acquérir le développeur de médicaments anticancéreux Ambrx Biopharma pour 2 milliards de dollars

    Johnson & Johnson a annoncé qu'il allait acquérir Ambrx Biopharma pour 2 milliards de dollars, reprenant ainsi un fabricant de médicaments spécialisé dans l'un des domaines les plus en vogue du traitement du cancer.
    Cet accord fait de J&J le dernier fabricant de médicaments à parier sur les conjugués anticorps-médicament, ou ADC (même technologie que la dernière acquisition de Seagen par Pfizer, pour 43 milliards de dollars).
    L'acquisition intervient également alors que J&J s'efforce de combler un manque de revenus qui approche en 2025 (!)
    Johnson & Johnson a annoncé lundi qu'il paierait 2 milliards de dollars en espèces pour acquérir Ambrx Biopharma.
    « Le pipeline d'Ambrx et la plateforme ADC présentent des opportunités futures passionnantes pour fournir des produits biologiques améliorés et de précision alors que nous cherchons à transformer le traitement du cancer et à améliorer la vie des patients. »
    Selon les termes de l'accord, J&J paiera 28 $ par action pour Ambrx, soit environ le DOUBLE du cours de clôture de la société vendredi, soit 13,63 $. J&J prévoit de conclure l'accord au premier semestre 2024.
    9 janvier 2024 (Santé et pharmacie) – Acquisition stratégique d'Ambrx Biopharma par J&J pour 2 milliards de dollars : leader en oncologie ADC

    Johnson & Johnson a annoncé l'acquisition d'Ambrx Biopharma pour 2 milliards de dollars, dans le but de renforcer son portefeuille de produits en oncologie grâce aux conjugués anticorps-médicaments innovants d'Ambrx.
    Cette démarche stratégique se concentre sur des thérapies ciblées comme ARX517 pour le cancer de la prostate
    Les ADC, une classe de produits thérapeutiques qui combinent la spécificité des anticorps monoclonaux avec la puissance des médicaments cytotoxiques, visant à cibler et à détruire plus efficacement les cellules cancéreuses.
    Le joyau de la couronne d'Ambrx est l'ARX517, leur ADC exclusif ciblant l'antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA) pour le traitement du cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (mCRPC).
    Outre l'ARX517, le portefeuille d'Ambrx comprend d'autres ADC prometteurs comme l'ARX788, ciblant le cancer du sein métastatique HER2+.
    ARX305, son ADC exclusif ciblant le CD-70 pour le carcinome rénal.
    8 janvier 2024 (Businesswire) – Johnson & Johnson va acquérir Ambrx, faisant progresser les conjugués anticorps-médicaments de nouvelle génération pour transformer le traitement du cancer

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  20. Johnson & Johnson (NYSE : JNJ) a annoncé aujourd'hui avoir conclu un accord définitif pour acquérir Ambrx Biopharma, Inc., ou Ambrx, une société biopharmaceutique au stade clinique dotée d'une plateforme technologique exclusive de biologie synthétique pour concevoir et développer des anticorps de nouvelle génération. conjugués (ADC), dans le cadre d'une opération de fusion entièrement en espèces pour une valeur totale des capitaux propres de 2,0 milliards de dollars
    les résultats observés à ce jour avec ARX517 dans le mCRPC (cancer de la prostate) sont prometteurs et représentent une thérapie ciblée potentielle de première et de meilleure qualité pour le traitement de cette maladie agressive.
    La technologie ADC exclusive d'Ambrx intègre les avantages d'un ciblage hautement spécifique d'anticorps monoclonaux liés de manière sécurisée à une puissante charge utile chimiothérapeutique pour obtenir une élimination ciblée et efficace des cellules cancéreuses sans les effets secondaires courants généralement associés à la chimiothérapie.
    Une fois la transaction finalisée, les actions ordinaires d'Ambrx ne seront plus cotées à la négociation sur le NASDAQ Global Select Market.
    Cancers turbo
    Il s’agit de ma prédiction originale concernant les turbo-cancers induits par le vaccin à ARNm COVID-19, qui peut changer légèrement au fil du temps à mesure que davantage de données arrivent.

    Top 5 des cancers turbo selon le nombre de personnes qui seront touchées à long terme :

    Lymphome (différents types)
    Cancers du cerveau (principalement glioblastome)
    Cancer du sein (principalement triple négatif)
    Cancer du colon
    Cancer du poumon
    Top 10 des Turbo Cancers par nombre de personnes touchées (pas d'ordre particulier) :

    leucémies
    mélanomes
    sarcomes
    testiculaire/ovarien
    rein
    14 décembre 2023 – Acquisition de Seagen par Pfizer pour 43 milliards de dollars

    Pfizer s'est positionné pour être en mesure de traiter 7 des 10 principaux cancers Turbo que j'ai identifiés à ce stade précoce.
    Seagen a ajouté des médicaments anticancéreux ADC (ou médicaments en cours de développement) à Pfizer pour traiter : le lymphome, le sein, colorectal, le poumon, ainsi que les cancers qui ne figurent pas dans mon top 10 : le col de l'utérus, la vessie urothéliale et le myélome multiple.
    Johnson & Johnson ajoute :

    Cette acquisition de 2 milliards de dollars donne à J&J la possibilité d'utiliser la même technologie ADC que Seagen de Pfizer, d'une valeur de 43 milliards de dollars, pour traiter 2 des 10 principaux cancers turbo : le cancer du sein et le cancer du rein.
    Je n’ai pas encore constaté d’augmentation majeure du cancer de la prostate, mais ils savent peut-être quelque chose que j’ignore.
    Mon avis…
    De nombreuses sociétés pharmaceutiques s’empressent de se positionner pour tirer profit du traitement d’un tsunami de cancers qu’elles s’attendent toutes à frapper à partir de 2025.

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  21. 14 décembre 2023 – Pfizer a finalisé une acquisition de 43 milliards de dollars pour traiter plusieurs cancers turbo le 14 décembre 2023 et espère « combler une lacune » pour la période 2025-2030.
    14 décembre 2023 – Moderna cible un nouveau vaccin contre le cancer à ARNm pour traiter le mélanome qui sera disponible d’ici 2025
    8 janvier 2024 – Johnson & Johnson va acquérir pour 2 milliards de dollars une société de médicaments anticancéreux qui utilise la même technologie que Pfizer, pour « combler un déficit de revenus en 2025 ».
    10 janvier 2024 – BioNTech espère renouer avec la croissance de ses revenus en 2025, lorsque son activité de vaccins contre la COVID atteindra son point le plus bas, et investira pour « développer par la suite son activité en oncologie ».
    12 octobre 2023 – Dxcover vise le lancement en 2025 d’un test sanguin utilisant la lumière pour détecter le cancer du cerveau
    Septembre 2023 – Harbinger Health lève 140 millions de dollars pour étudier un test de dépistage du cancer à base de sang – avant un lancement prévu en 2025.
    1er juin 2023 – Un test sanguin multicancer s’avère très prometteur dans une étude du NHS – Le NHS en Angleterre prévoit d’étendre le déploiement à un million de personnes supplémentaires en 2024 et 2025
    Les centres de cancérologie ouvriront d’ici 2025
    Août 2023 – Ouverture du centre de cancérologie du Cap-Breton (NS, Canada) en 2025
    Juillet 2023 – Centre de cancérologie de 120 millions de dollars (Tennessee Oncology) prévu pour 2025
    Juin 2023 – Un centre de cancérologie de 200 millions de dollars devrait ouvrir dans le New Jersey en 2025
    Mars 2023 – Le seul hôpital spécialisé en oncologie du comté d'Orange ouvrira ses portes en 2025
    Mai 2023 – Kearney, Nebraska, accueillera un nouveau centre de cancérologie en 2025
    Janvier 2023 – OU Health ouvrira un centre de cancérologie en 2025
    Décembre 2022 – Un centre de cancérologie de l’Alberta et du Canada de 2 milliards de dollars ouvrira ses portes en 2024
    Août 2022 – Baltimore, MD – L’hôpital Sinai construira un centre de cancérologie d’ici 2025
    Juillet 2022 – Pays de Galles – Le centre de cancérologie New Velindre ouvrira ses portes en 2025
    Décembre 2023 – 123 centres de cancérologie ouverts, agrandis et affiliés en 2023
    Il semble que la population soit la dernière informée, mais tout le monde, des plus grandes sociétés pharmaceutiques aux politiciens et aux prestataires de soins de santé, parie sur un tsunami de cancers à partir de 2025.

    Johnson & Johnson n'est que la dernière entreprise à obtenir une part du gâteau, maintenant qu'elle a payé un règlement de 700 millions de dollars pour le scandale de la poudre pour bébé Talc.

    Et ils ont surpayé la dernière acquisition de plus de 100 % du cours actuel de l’action.

    https://www.globalresearch.ca/johnson-johnson-acquire-2-billion-drug-developer-ambrx-biopharma-treat-turbo-cancers-same-tech-pfizer-43-billion-seagen-acquisition/5846611

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  22. Le Dr Peter McCullough et moi-même exhortons tous les adultes prudents du monde à s’unir pour exiger la fermeture des laboratoires biologiques dangereux. Nous ne pouvons pas attendre que le « pathogène hypothétique et inconnu », désormais appelé maladie X, s’échappe ou soit délibérément libéré de l’un de ces laboratoires. Si cela se reproduisait, les conséquences seraient graves pour les responsables.

    Si les dirigeants mondiaux ne ferment pas les dangereux laboratoires biologiques, comment pouvons-nous rester en sécurité ?

    Alors, si les dirigeants du monde n’agissent pas pour fermer ces laboratoires biologiques dangereux, que peut faire l’individu moyen pour rester en sécurité ? La solution est à préparer. C’est là qu’intervient The Wellness Company.

    La Wellness Company et ses grands médecins – comme le Dr Peter McCullough, le Dr Drew, le Dr Harvey Risch et le Dr Jim Thorp – sont régulièrement dans les médias pour lutter contre l’establishment médical brisé.

    Le Dr Thorp, l’un des principaux critiques nationaux des grandes sociétés pharmaceutiques corrompues, estime que maintenant – plus que jamais – les gens devraient se préparer à la prochaine pandémie :

    « J’ai fortement recommandé de « stocker » les médicaments essentiels, notamment les antibiotiques, depuis le début du siècle. Il s’agit d’un investissement incroyable dont de nombreux amis, membres de la famille et patients en ont bénéficié. Aujourd’hui, à l’hiver 2023, cette recommandation est encore plus cruciale.»

    La Wellness Company et ses médecins sont des professionnels de la santé en qui vous pouvez avoir confiance et leurs nouvelles trousses médicales d'urgence sont la référence en matière de sécurité et de santé.

    La garantie ultime pour votre santé.

    Soyez prêt pour la prochaine crise. Cette trousse médicale d’urgence contient un assortiment de médicaments vitaux, notamment l’ivermectine, l’amoxicilline et le Z-pak. La trousse médicale d’urgence comprend un guide pour faciliter l’utilisation sécuritaire de ces médicaments qui sauvent des vies.

    Ce kit est délivré uniquement sur ordonnance – vous ne pouvez le trouver dans aucun magasin ou pharmacie. Remplissez simplement un court questionnaire après l'achat et un médecin de confiance de Wellness Company confirmera votre aptitude et vous délivrera votre kit d'urgence médicale sur ordonnance.

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  23. La trousse médicale d’urgence de Wellness Company comprend :

    · Amoxicillin-Clavulanate (Augmentin générique) 875/125 mg - 28 comprimés

    · Azithromycine (générique Z-Pak) 250 mg - 12 comprimés

    · Hyclate de Doxycycline 100 mg - 60 gélules

    · Métronidazole (Flagyl générique) 500 mg - 30 comprimés

    · Triméthoprime-Sulfaméthoxazole (générique Bactrim) 800/160 mg - 28 comprimés

    · Ivermectine 18 mg - 7 gélules composées

    · Fluconazole (Diflucan générique) 150 mg - 2 comprimés

    · Ondansetron (zofran générique) 4mg - 6 comprimés

    1 Guide des médicaments d'urgence rédigé par le Conseil médical en chef pour une utilisation en toute sécurité.
    Ce que les gens disent de la trousse médicale d’urgence :

    Excellente trousse ! Cette trousse médicale d’urgence est géniale. L’avoir « juste au cas où » me procure une tranquillité d’esprit. Recommande fortement. Merci! – Mélinda C.

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    Tranquillité d'esprit. C'est une incroyable tranquillité d'esprit d'avoir ce kit en cas d'urgence et de pénurie. La Wellness Company a fait un excellent travail en me faisant parvenir cela en temps opportun et je suis reconnaissant de l'avoir. -Phyllis T.

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  24. Les contaminants de l'ADN dans les vaccins contre le COVID sont « au-delà de la pâleur » : le chirurgien général de Floride


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 18 JANVIER 2024 - 01:25
    Rédigé par Marina Zhang et Jan Jekielek via The Epoch Times


    Le 3 janvier, le bureau du chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, a publié une déclaration appelant à l'arrêt de l'utilisation des vaccins à ARNm contre la COVID-19, citant la récente découverte de contaminants d'ADN dans les flacons de vaccin.

    Dans l'épisode du 12 janvier de l'émission « American Thought Leaders » d'EpochTV, le Dr Ladapo a expliqué pourquoi il a appelé à un arrêt, affirmant que même s'il existe également des problèmes de sécurité avec les vaccins à ARNm contre la COVID, les liant à une multitude d'événements indésirables, la découverte récente est « au-delà des limites ».

    « L’ADN est un contaminant courant dans de nombreux produits biologiques », a-t-il déclaré à l’animateur de l’émission, Jan Jekielek. "Nous pouvons utiliser l'ADN pour produire différents médicaments comme l'insuline, d'autres produits biologiques, et c'est une merveilleuse innovation, et normalement, cet ADN ne pose pas de problème."

    Les cellules humaines sont résistantes à l’entrée de l’ADN, ce qui évite de nuire à l’intégrité de l’ADN de la cellule.

    Cependant, étant donné que les vaccins à ARNm utilisent des nanoparticules lipidiques, qui délivrent directement l’ARNm dans les cellules, les contaminants de l’ADN pourraient également pénétrer dans les cellules. Certains scientifiques, comme le Dr Ladapo, craignent que l’ADN du vaccin puisse s’intégrer au génome humain.

    D’éminents responsables de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ne sont pas d’accord.

    Le 6 décembre, le Dr Ladapo a envoyé une lettre au commissaire de la FDA, le Dr Robert Califf, et au directeur des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, le Dr Mandy Cohen.

    Dans sa lettre, il a demandé s’il y avait eu des évaluations des risques liés à l’intégration de l’ADN du vaccin dans l’ADN humain, en particulier en ce qui concerne la région controversée du promoteur/amplificateur SV40 trouvée dans le vaccin de Pfizer.

    D’autres questions concernaient notamment la question de savoir si des évaluations des risques avaient été effectuées concernant l’intégration de l’ADN dans les cellules reproductrices et si les niveaux actuels de résidus d’ADN étaient acceptables selon les normes de la FDA.

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  25. Le Dr Peter Marks, directeur du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA, a répondu au Dr Ladapo le 14 décembre.

    "Nous avons reçu... de longues réponses qui ne répondent pas à la question", a déclaré le Dr Ladapo.

    Dans sa réponse, le Dr Marks a écrit que l’intégration de l’ADN « est tout à fait invraisemblable », ajoutant que les études sur les animaux ne montrent « aucune preuve indiquant une génotoxicité ».

    Aucun test n’a été mentionné pour évaluer si l’intégration de l’ADN se produit.

    Le Dr Ladapo estime qu'il serait imprudent de ne pas tester l'intégration de l'ADN, un risque potentiel une fois que l'ADN pénètre dans la cellule.

    « Leur position est : oh, non, ça va. Tout va bien; sûr et efficace. Non seulement ce n’est pas suffisant, mais c’est complètement inacceptable », a déclaré le Dr Ladapo. "Et c'est pourquoi j'ai pris cette décision, et c'est absolument la bonne décision."

    Contamination de l'ADN : la controverse sur le promoteur SV40
    Les vaccins à ARNm Moderna et Pfizer contiennent tous deux des contaminants d’ADN, mais seuls les vaccins Pfizer contiennent également de l’ADN promoteur/amplificateur SV40, ce qui est depuis devenu un sujet de débat.

    SV40, ou virus vacuolant simien 40, est un virus à ADN qui provoque parfois le cancer chez les animaux.

    Cependant, le promoteur/amplificateur SV40 présent dans les vaccins ne représente qu’une infime partie de l’ADN ; ce n’est pas équivalent à l’ensemble du virus SV40 ou à sa protéine.

    Les promoteurs-amplificateurs sont des sections d’ADN qui peuvent contrôler l’activité d’autres ADN.

    "Avec l'ADN, différentes régions indiquent à d'autres parties de l'ADN si elles doivent être actives ou non", a déclaré le Dr Ladapo. "Ce type de processus de contrôle est très important... L'absence de contrôle peut, par exemple, conduire au cancer... [et] à d'autres anomalies métaboliques."

    Dans sa lettre à la FDA, le Dr Ladapo a posé des questions sur le risque supplémentaire lié à l’intégration de l’ADN de la région promoteur/amplificateur SV40.

    Le Dr Marks a répondu qu'il n'y avait aucun gène pour les protéines SV40 ni les protéines SV40 elles-mêmes présentes dans le vaccin.

    Mais le Dr Ladapo pense que le Dr Marks ne répond pas intentionnellement à la question.

    « Personne ne parle de la protéine SV40… nous avons parlé de la région promotrice/amplificatrice. Ils doivent le faire intentionnellement », a déclaré le Dr Ladapo.

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  26. Les risques de l’intégration de l’ADN
    On ne sait pas actuellement si l’ADN introduit dans l’organisme est intégré au génome humain de la cellule ; et s’il est intégré, quel impact aura-t-il.

    Seulement environ 1 pour cent de l’ADN humain produit des protéines ; le travail des 99 pour cent restants de l’ADN est en grande partie inconnu.

    "Il y a... beaucoup d'incertitude sur notre génome : ce qu'il fait, comment il soutient la vie et crée la vie, et crée le miracle de chaque être humain", a déclaré le Dr Ladapo. « Ce que nous comprenons, c'est que certains des risques potentiels de l'intégration de l'ADN incluent le développement de cancers, en raison… de la régulation de différents aspects de l'ADN et de la croissance cellulaire.

    "D'autres possibilités incluent la perturbation de l'expression normale de certaines protéines, ce qui pourrait ensuite conduire à une perturbation des fonctions humaines normales."

    Depuis que des études de biodistribution chez le rat ont montré que

    Étant donné que les études de biodistribution chez le rat ont montré que les vaccins à ARNm peuvent s’accumuler dans les organes reproducteurs, la lettre du Dr Ladapo exprime ses inquiétudes quant à la possibilité d’une intégration de l’ADN des cellules reproductrices.

    « Nous sommes les êtres les plus complexes – les machines les plus complexes, si vous voulez – les machines vivantes qui existent sur cette Terre. Je crois donc que notre génome fait partie de notre lien avec Dieu. C'est-à-dire qu'il y a beaucoup de risques à ne pas prendre les précautions appropriées et raisonnables, à maintenir l'intégrité du mieux que nous pouvons - la vie n'est pas parfaite, mais du mieux que nous pouvons avec nos humains. génome. »

    Remarque : Lapado est également apparu avec Tucker Carlson cette semaine

    L’ADN étranger pourrait-il pénétrer dans vos cellules via le vaccin à ARNm COVID et changer votre ADN – et l’humanité elle-même – pour toujours ? Ça a l’air dingue. Ce n'est pas. "Cela pourrait absolument arriver", déclare le Dr Joseph Ladapo, chirurgien général de Floride. Une conversation choquante. pic.twitter.com/Yvt38eStPf
    – Tucker Carlson (@TuckerCarlson) 15 janvier 2024

    https://www.zerohedge.com/medical/dna-contaminants-covid-vaccines-are-beyond-pale-florida-surgeon-general

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  27. Comment Moderna a mis au point un vaccin contre la dissidence vaccinale : Lee Fang


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 17 JANVIER 2024 - 23H25
    Rédigé par Lee Fang via RealClear Wire,


    Les finances du fabricant de vaccins Moderna ont commencé à chuter presque aussi rapidement qu’elles avaient augmenté, la plupart des Américains ayant résisté à une nouvelle injection de rappel contre le COVID. La société pharmaceutique, dont le vaccin pionnier à ARNm l'a transformée d'une petite start-up à un géant de la biotechnologie valant plus de 100 milliards de dollars en quelques années seulement, a signalé une perte de 3,6 milliards de dollars au troisième trimestre de l'année dernière, la plupart des Américains refusant de recevoir un autre vaccin de rappel contre le COVID. .

    Lors d’un appel téléphonique en septembre visant à soutenir les investisseurs, Arpa Garay, alors directeur commercial de Moderna, a attribué une partie de l’hésitation qui pèse sur les chiffres de Moderna à des sceptiques mal informés en matière de vaccins. « Malgré certaines informations erronées », a déclaré Garay, le COVID-19 continue d'entraîner d'importantes hospitalisations. "C'est vraiment un vaccin qui convient à toutes les tranches d'âge", a-t-elle insisté.

    Pour dépasser la « désinformation » et convaincre le public de prendre des rappels continus, Garay a brièvement noté que Moderna « étudiait » les moyens de s’associer « à travers l’écosystème pour s’assurer que les consommateurs soient informés de la nécessité du vaccin ».

    Ce à quoi Garay a fait allusion lors de l’appel, mais n’a pas révélé, c’est que Moderna avait déjà mis en place une vaste opération médiatique visant à identifier et à répondre aux critiques de la politique vaccinale et de l’industrie pharmaceutique. Une série de rapports et de communications internes de l'entreprise examinés par RealClearInvestigations montrent que Moderna a travaillé avec d'anciens responsables de l'application des lois et de la santé publique ainsi qu'une organisation non gouvernementale financée par l'industrie pharmaceutique appelée The Public Good Projects (PGP) pour s'attaquer à la « cause profonde de la vaccination ». hésitation » en identifiant rapidement et en « mettant fin à la désinformation ».

    Une partie de cet effort consiste à fournir des points de discussion à quelque 45 000 professionnels de la santé « sur la manière de réagir lorsque la désinformation sur les vaccins se généralise ». PGP et Moderna ont créé un nouveau partenariat, appelé « Programme de formation infodémique », pour préparer les agents de santé à répondre aux allégations de désinformation liées aux vaccins.

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  28. La société a également utilisé l’intelligence artificielle pour surveiller des millions de conversations en ligne dans le monde afin de façonner les contours des discussions liées aux vaccins. Les dossiers internes – ici résumés sous le nom de Moderna Reports – montrent que les critiques les plus médiatisés du vaccin ont été étroitement surveillés, en particulier les sceptiques des médias indépendants, notamment Michael Shellenberger, Russell Brand et Alex Berenson. PGP, qui a été financé par un don de 1 275 000 $ de la Biotechnology and Innovation Organization, un groupe de pression représentant Pfizer et Moderna, a identifié des informations présumées erronées sur les vaccins et a contribué à faciliter la suppression de contenus de Twitter, entre autres plateformes de médias sociaux, tout au long de 2021 et 2022.

    Les e-mails de cette période montrent que PGP envoyait régulièrement des listes Excel de comptes à amplifier sur Twitter et d'autres pour supprimer la plateforme, y compris des voix populistes telles que ZeroHedge.

    Les messages suggéraient également des récits émergents à supprimer de la plateforme. "Les personnes opposées aux vaccins capitalisent sur l'article du New York Times selon lequel le CDC dissimule des informations sur les vaccins. Les articles eux-mêmes ne contiennent pas d'informations erronées mais utilisent l'actualité pour prouver davantage que le CDC n'est pas digne de confiance", a écrit Savannah Knell, directrice générale de PGP. directrice des partenariats, dans un e-mail adressé à un lobbyiste de Twitter en septembre 2022. Dans un autre e-mail le mois suivant, Kaitlyn Krizanic, responsable principale du programme de PGP, a déclaré à Twitter d'être à l'affût des « informations selon lesquelles la Suède ne recommande plus le vaccin aux enfants. ". Dans certains cas, des comptes conservateurs exprimant leur indignation face aux politiques restrictives en matière de pandémie, telles que les passeports vaccinaux, ont été considérés par PGP comme de la « désinformation » justifiant leur suppression.

    Les rapports Moderna montrent systématiquement que l’entreprise soulève des signaux d’alarme concernant ceux qui signalent des effets secondaires documentés du vaccin que la société de biotechnologie vendait. De telles préoccupations, qui peuvent être typiques des efforts de relations publiques des entreprises qui souhaitent que leurs produits soient présentés sous le meilleur jour, prennent une tournure plus sombre lorsqu’il s’agit de médicaments injectés dans le corps des gens.

    À l’instar des fichiers Twitter, les rapports Moderna soulignent les efforts déployés par des entités puissantes – en particulier le gouvernement, les grandes technologies et les grandes entreprises pharmaceutiques – pour identifier et qualifier les opinions dissidentes sur les récits de l’establishment comme des formes de discours risquées. Le réseau croissant sur lequel s’appuient ces efforts montre la croissance de ce que l’on appelle le complexe industriel de la censure. Les finances chancelantes de Moderna suggèrent également, du moins pour le moment, les limites de ce projet.

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  29. Public Good Projects et Moderna n’ont pas répondu aux demandes répétées de commentaires.

    En relation: Moderna vous espionne par Lee Fang et Jack Poulson

    Dans un e-mail interne envoyé en juillet dernier, Moderna a informé son équipe de ses derniers efforts pour façonner le débat sur les vaccins. "Nous nous sommes associés à PGP (The Public Good Projects) et aux équipes Global Intelligence, Corporate Security, Medical Affairs, Corporate Communications, Clinical Safety et Pharmacovigilance de Moderna pour assurer une surveillance médiatique de la désinformation à grande échelle", Marcy Rudowitz, responsable du programme client de l'entreprise, a écrit. "Si et quand une réponse est nécessaire, notre équipe informera les parties prenantes appropriées avec des recommandations", a-t-elle ajouté.

    La mesure dans laquelle l’entreprise peut intervenir pour façonner les décisions en matière de contenu n’est pas claire. PGP continue d'entretenir des relations étroites avec les institutions établies, notamment les principales associations médicales.

    La montée de la censure est inextricablement liée à la pandémie, qui est apparue aux États-Unis début 2020. Alors que les gouvernements fédéral, étatiques et locaux imposaient des réglementations sans précédent aux Américains au nom de la santé publique, des efforts ont été déployés pour discréditer les contre-discours qui pourraient être se propage facilement sur les réseaux sociaux. Au début de la pandémie, les critiques à l’égard de politiques telles que le confinement et l’obligation de vaccination provenaient presque exclusivement des médias indépendants, qui étaient confrontés à des interdictions fantômes et à une censure pure et simple sur diverses plateformes.

    Lorsqu’ils ont introduit leurs vaccins en 2021, des fabricants tels que Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson avaient également un intérêt financier important à renforcer une telle censure.

    Moderna, peut-être plus que d’autres sociétés pharmaceutiques, dépend dans une large mesure du succès continu de son vaccin. La société a annoncé ce mois-ci une hausse des prix pouvant atteindre 130 dollars par dose, bien plus que les 15 à 26 dollars des contrats fédéraux américains, selon le Wall Street Journal. "Nous nous attendons à une réduction de la demande de 90%", a déclaré le PDG de Modène, Stéphane Bancel, lorsqu'on lui a demandé de défendre cette décision. « Comme vous pouvez le constater, nous perdons des économies d’échelle. »

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  30. "Ils peuvent m'appeler comme ils veulent", a-t-il noté, "mais ils ne peuvent pas empêcher mes reportages."

    Marque Russell
    Russell Brand, le commentateur et comédien britannique, est également un nom répété dans les fichiers de désinformation de Moderna. Le populiste de gauche met régulièrement au pilori l’industrie pharmaceutique pour avoir exploité la pandémie pour générer des profits sans précédent.

    Moderna a suivi de près les critiques de Brand à l’égard de l’industrie pharmaceutique.

    Dans divers rapports « à faible risque » produits en août 2023, Moderna a signalé à deux reprises les vidéos produites par Brand. Dans l’un d’entre eux, Moderna a noté que Brand avait diffusé un monologue sur Jonathan Van-Tam, un ancien haut responsable de la santé qui a aidé à formuler les politiques relatives au COVID-19 en Grande-Bretagne. Van-Tam venait de prendre position auprès de Moderna, une décision qui a fait sourciller de nombreux journalistes. Dans la vidéo, Brand a noté que l’entreprise venait de « faire fortune pendant la pandémie en vendant des vaccins au gouvernement » et que « l’employé du gouvernement qui a acheté tous ces vaccins » passait désormais par la porte tournante.

    Dans un autre rapport, Moderna a allégué que Brand « avait affirmé que les mandats de vaccination contre le COVID-19 étaient basés sur un mensonge dans un récent épisode de podcast ». La vidéo était globalement exacte. Le monologue met en lumière les documents du CDC qui ont été révélés et qui montrent que les responsables étaient conscients que le virus « percerait » et continuerait d’infecter les patients vaccinés. Ironiquement, Brand a terminé le segment en discutant des efforts visant à censurer le débat autour du vaccin.

    Moderna a indiqué qu’elle n’avait pas encore pris de mesures concernant cette diffusion, mais « nous surveillons avec notre partenaire, Public Good Projects ».

    Le mois suivant, plusieurs médias ont rapporté que plusieurs femmes qui ont insisté sur l'anonymat affirmaient que Brand les avait abusées il y a près de vingt ans. La tempête médiatique qui a suivi, qui a conduit YouTube à démonétiser son compte, est devenue le sujet d’autres rapports de désinformation de Moderna. La société a averti que l’annulation de Brand déclenchait une réaction négative parmi les utilisateurs des médias sociaux, qui pensaient qu’il pourrait être ciblé par les censeurs du gouvernement et des entreprises en raison de son opposition ouverte aux récits sur la pandémie.

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  31. Dans un rapport à haut risque de Moderna, la société a noté que les spéculations circulaient selon lesquelles "les allégations font partie d'un complot visant à faire taire le comédien, qui a été un opposant virulent aux vaccins contre le COVID-19". Le rapport faisait référence à une vidéo X de Brand critiquant vivement Moderna et Pfizer pour avoir généré « 1 000 $ de profit chaque seconde » en 2021. L’allégation spécifique de profit était une affirmation dominante, une statistique produite par Oxfam.

    Nulle part dans ses rapports sur Brand, Moderna n’a mis en évidence des informations incorrectes. Mais les rapports indiquent qu'ils surveillaient Brand parce qu'il "possède une grande plate-forme avec plus de 6,6 millions d'abonnés YouTube et plus de 21 millions de followers sur plusieurs plateformes de médias sociaux". De plus, ses « vidéos sont largement diffusées dans les espaces anti-vaccins où il est considéré comme un diseur de vérité et une menace pour l'autorité », et Brand a bénéficié du soutien de Tucker Carlson et d'Elon Musk.

    Michael Shellenberger
    Le système de signalement de désinformation Moderna révèle que la société pharmaceutique a maintenu un intérêt pour les questions liées à la pandémie qui vont au-delà de la politique vaccinale, se chevauchant avec les questions générales entourant les questions inexpliquées qui tournent encore autour de la source de la pandémie.

    La société, par exemple, a signalé des discussions autour de l’actualité de l’année dernière au sujet d’un lanceur d’alerte du Congrès qui avait avancé des allégations selon lesquelles la CIA avait supprimé une évaluation des analystes selon laquelle le COVID-19 provenait de l’Institut de virologie de Wuhan. L’histoire a fait l’objet d’une large couverture médiatique dans NBC, Science et ABC News, entre autres.

    Mais les alertes de désinformation de Moderna ont signalé le sénateur Rand Paul, R-Ky., et le journaliste Michael Shellenberger pour avoir diffusé des informations sur les allégations de la CIA. Shellenberger – avec qui ce journaliste a travaillé sur les fichiers Twitter – avait rapporté en exclusivité plus tôt l’année dernière que des sources du gouvernement américain pensaient que les « patients zéros » du COVID-19 étaient un groupe de scientifiques chinois du laboratoire de Wuhan – une révélation majeure confirmée plus tard. par le Wall Street Journal.

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  32. Malgré son travail sur la question, Moderna rejette Shellenberger dans ses rapports comme l’un de ses « auteurs de désinformation » connus.

    "Moderna a passé des années à diffuser de la désinformation sur ses vaccins et il est donc logique qu'ils diffament les scientifiques et les journalistes qui les dénoncent comme des théoriciens du complot et des sources de désinformation", a déclaré Shellenberger à RCI.

    « La question est de savoir pourquoi Moderna diffuse-t-il de la désinformation sur la forte probabilité que Covid s’échappe du laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan ? il ajouta. "Une entreprise qui gagne de l'argent en vendant un vaccin contre le coronavirus ne devrait pas se soucier de l'origine du Covid."

    Autres
    Moderna a surveillé de près les autres voix indépendantes. La société a signalé le comédien de gauche Jimmy Dore pour avoir simplement tweeté lors d’un appel du New York Times à la triple vaccination avec la réponse en deux mots « Passe difficile », comme exemple de désinformation. La société a également mis en garde contre l'apparition de Robert F. Kennedy Jr. sur le podcast Joe Rogan ainsi que de Lex Fridman, un podcasteur indépendant populaire.

    D’autres rapports signalent des sceptiques quant à l’efficacité du vaccin et à ses effets secondaires potentiels. En septembre, le système Moderna a cité Megyn Kelly, la podcasteuse et ancienne animatrice de Fox News, pour un clip viral dans lequel elle a déclaré qu'elle regrettait le rappel du COVID-19 après avoir développé une maladie auto-immune qui, selon elle, avait été causée par le vaccin.

    Moderna a averti que de tels commentaires pourraient « décourager les personnes qui hésitent à se faire vacciner ». Dans son alerte concernant Kelly, la société a noté que ses commentaires ajoutaient à une inquiétude croissante concernant les maladies auto-immunes et les vaccinations contre le COVID-19. L’e-mail de désinformation de Moderna a ensuite fourni des données qui semblaient réaffirmer, plutôt que démystifier, les affirmations de Kelly. L’alerte se terminait par un message concernant un rapport du NIH mettant en évidence un lien entre la vaccination contre le SRAS-CoV-2 et les maladies cutanées inflammatoires et auto-immunes. Moderna n'a pas contesté les conclusions de l'étude du NIH, mais a noté qu'elle "est en rotation dans les espaces anti-vaccins en ligne".

    La fusion de la santé publique et du trafic d’influence des entreprises a préoccupé de nombreux universitaires. Jay Bhattacharya, professeur de politique de santé à l'Université de Stanford, qui affirme que le gouvernement a violé son droit à la liberté d'expression en essayant de faire taire ses remises en question des politiques fédérales concernant le COVID, a déclaré à RCI : « Nous avons un problème que les sociétés de médias sociaux et le gouvernement ont allié. avec l'industrie pharmaceutique pour traiter les flux d'informations autour du vaccin COVID comme un problème de propagande, plutôt que comme un problème médical qui est mieux résolu par les patients qui discutent avec leur médecin de ce qui est le mieux pour eux.

    Bhattacharya était l’un des universitaires les plus éminents qui a été banni sous les précédents propriétaires de Twitter en raison de ses critiques à l’égard des mesures de confinement et de masquage. Il est désormais l’un des plaignants qui contestent le rôle du gouvernement américain dans l’élaboration des décisions relatives au contenu des plateformes de médias sociaux dans l’affaire Missouri contre Biden, qui est maintenant devant la Cour suprême.

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  33. Le plaidoyer franc de Bhattacharya a également attiré l’attention de Moderna. En octobre 2023, peu de temps après que je lui ai parlé pour une interview, Moderna a signalé l'un des tweets du professeur de Stanford qui partageait un lien vers une nouvelle étude préimprimée de la Food and Drug Administration qui documentait « un risque élevé de convulsions chez les tout-petits et de myocardite chez les adolescents associés à vaccination à ARNm covid. Moderna n’a pas directement contesté les résultats de l’étude, se contentant de noter que ses auteurs ont écrit qu’ils « devraient être interprétés avec prudence ».

    Dans le rapport ci-joint, Moderna a ajouté qu’elle avait mis en évidence le tweet et d’autres similaires parce que « les inquiétudes concernant la sécurité et les effets secondaires sont parmi les principales raisons pour lesquelles les parents hésitent ou s’opposent aux vaccins COVID-19 pour leurs enfants ».

    En d’autres termes, tout ce qui pourrait décourager les enfants de se faire vacciner, malgré les risques ou l’absence de bénéfices, constitue une information dangereuse. Cela suggère une motivation loin d’être d’apporter la vérité au débat sur les vaccins, mais bien davantage de le dominer pour un gain financier.

    Vers la fin de l’appel de Moderna en septembre dernier, alors que la société de biotechnologie s’efforçait de mettre en avant ses efforts de sensibilisation accrus auprès des consommateurs, James Mock, le directeur financier, a pris la parole brièvement pour assurer les investisseurs de la capacité de l’entreprise à continuer à gagner de l’argent.

    "Le COVID est un secteur d'activité de produits très précieux et continuera de l'être", a déclaré Mock, "et nous le rendrons plus rentable."

    https://www.zerohedge.com/political/how-moderna-came-vaccine-against-vaccine-dissent-lee-fang

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  34. Le CDC a rédigé une alerte concernant les vaccins contre la myocardite et le COVID-19, mais ne l'a jamais envoyée


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 17 JANVIER 2024 - 18H25
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times,


    Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis se sont préparés à alerter les autorités nationales et locales d’un lien émergent entre l’inflammation cardiaque et les vaccins contre le COVID-19, mais n’ont finalement pas envoyé l’alerte, selon un nouveau document obtenu par Epoch Times.

    Les quatre vaccins COVID-19 qui sont ou ont été disponibles aux États-Unis peuvent provoquer une inflammation cardiaque, ou myocardite, selon des études, des experts et des agences comme le CDC. Les premiers cas ont été signalés peu de temps après que les vaccins soient devenus disponibles fin 2020.

    Le CDC envoie des alertes aux responsables de la santé publique et aux médecins fédéraux, étatiques et locaux à travers le pays via un système appelé Health Alert Network (HAN). La messagerie via le système transmet des « informations vitales sur la santé », selon le CDC.

    En mai 2021, les responsables du CDC ont rédigé une alerte sur la myocardite et les deux vaccins contre le COVID-19 les plus largement utilisés, selon le document récemment obtenu, rendu public pour la première fois par Epoch Times.

    « Il s’agit de la version la plus récente d’une alerte telle que discutée. Heureux d’en discuter », a déclaré le Dr Demeter Daskalakis, haut responsable du CDC pour l’équité dans les données et l’engagement sur le COVID-19, à deux autres collègues de haut rang du CDC dans l’e-mail.

    Le CDC a rédigé une alerte sur les vaccins COVID-19 mais ne l’a jamais envoyée, comme le montre cet e-mail. (CDC via Epoch Times)

    Il était intitulé « Projet d’alerte sur les vaccins contre la myocardite et l’ARNm ».

    Les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna sont fabriqués avec la technologie de l’ARN messager modifié (ARNm).

    Le projet d'alerte était joint à l'e-mail. Epoch Times s’efforce d’acquérir le projet d’alerte.

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  35. « Cette censure d'une alerte proposée en mai 2021 n'est qu'un exemple supplémentaire du comportement répété de nos agences de réglementation pour censurer toute information servant à contrer le discours selon lequel les vaccinations contre le COVID-19 sont « sûres et efficaces » », a déclaré le Dr. » Joel Wallskog, coprésident du groupe de défense des personnes blessées par le vaccin React19, a déclaré à Epoch Times par courrier électronique.

    Le CDC a commencé à recevoir des rapports de myocardite post-vaccination en janvier 2021 et n’a pas réussi à détecter ou a ignoré un signal de sécurité pour la myocardite et les injections d’ARNm le mois suivant, selon un précédent rapport d’Epoch Times. L'agence a également caché un avertissement à Israël, le pays qui a été le premier à vacciner les jeunes, qui sont confrontés au risque le plus élevé de myocardite.

    - vor clip sur site -

    Le CDC et d’autres agences n’ont pas non plus divulgué à plusieurs reprises d’autres informations qui compromettent leur promotion des vaccins, notamment le nombre de cas de COVID-19 parmi les vaccinés.

    L'e-mail récemment divulgué est daté du 21 mai 2021. C'est trois jours avant qu'un groupe de travail du CDC ne reconnaisse pour la première fois que le nombre de cas de myocardite signalés après la vaccination contre le COVID-19 était plus élevé que prévu, et une semaine avant que le CDC ne déclare qu'il était toujours recommandant que pratiquement tous les Américains de 12 ans et plus reçoivent un vaccin.

    Le Dr Daskalakis et ses deux collègues, les Drs. Henry Walke et John Brooks ont répondu aux demandes de commentaires par l'intermédiaire d'un porte-parole.

    « Le CDC utilise diverses manières pour informer le public des problèmes potentiels liés à la sécurité des vaccins. Un HAN est une méthode », a déclaré le porte-parole.

    L’agence a finalement choisi de publier en mai 2021 un document intitulé « Considérations cliniques », qui indiquait qu’il y avait une augmentation du nombre de cas de myocardite signalés après la vaccination par ARNm, mais soulignait que le CDC recommandait toujours la vaccination pour pratiquement toutes les personnes de plus de 11 ans.

    Le bureau des médias du CDC a refusé de préciser comment le CDC s’est assuré que les mêmes personnes qui auraient reçu un HAN ont vu le document.

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  36. "L'examen clinique a atteint le public des prestataires comme l'aurait fait le HAN", a affirmé un porte-parole.

    « Une considération clinique est utile lorsque les informations doivent être mises à jour à mesure que les circonstances évoluent et que davantage de données sont collectées et évaluées. »

    Double standard ?
    Le Health Alert Network envoie des messages depuis au moins 2001, selon une archive des alertes. Le CDC affirme que le réseau est « la principale méthode de l’agence pour partager des informations claires sur les incidents urgents de santé publique avec les responsables de l’information publique ; les praticiens de la santé publique fédérale, étatique, territoriale et locale ; cliniciens; et les laboratoires de santé publique.

    Le CDC a émis une alerte le 8 janvier 2020 concernant ce qui est devenu connu sous le nom de COVID-19, fournissant plusieurs mises à jour au cours des mois suivants sur la maladie. L’agence a également partagé des alertes sur les tests de dépistage du COVID-19, les voyages sur les navires de croisière et une maladie rare appelée MIS-C liée au COVID-19.

    La première alerte relative aux vaccins contre la COVID-19 a été émise le 13 avril 2021. Elle concernait une combinaison de coagulation sanguine et de faibles taux de plaquettes.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/cdc-drafted-alert-myocarditis-and-covid-19-vaccines-never-sent-it

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  37. Les vaccins COVID sont MORTELS : voici un résumé des preuves jusqu’à présent


    17/01/2024
    Ethan Huff


    Nous entrons officiellement dans la quatrième année de la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19) et dans la troisième année de l’opération Warp Speed. Des dizaines de millions de personnes sont désormais malades ou sont mortes parce qu’elles ont été « vaccinées », et vous trouverez ci-dessous un bref résumé des preuves qui ont été recueillies jusqu’à présent dénonçant l’imposture connue sous le nom de « vaccination » contre le COVID :

    1) Les médecins ne s’appuient pas sur la science pour prescrire des vaccins contre le COVID ; on leur dit de simplement faire confiance à la FDA et au CDC

    Étant donné que toutes les traces des données de sécurité post-commercialisation des vaccins contre le COVID sont conservées sous clé, les médecins américains ne peuvent même pas y accéder pour déterminer si les vaccins sont sans danger ou non pour leurs patients. En tant que tels, les médecins n’ont d’autre choix que de « faire confiance à la science » et de faire ce qu’on leur dit.

    "On leur dit essentiellement : 'faites ce que nous vous disons de faire, ne remettez pas en question l'autorité ou nous vous retirerons votre permis'", écrit l'enquêteur Steve Kirsch à ce sujet.

    2) Le CDC ne peut pas procéder à une évaluation de la sécurité après commercialisation car les données sont masquées

    Non seulement les médecins, mais aussi les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis doivent faire des suppositions folles dans le noir sur la sécurité du vaccin contre le COVID, car eux non plus n'ont accès à aucune des données parce que la Food and Drug Administration des États-Unis (FDA) ne le fournira pas du fabricant.

    "Le CDC pourrait demander aux États des dossiers de vaccination liés aux dossiers de décès, mais ils ne veulent même pas le demander car s'ils effectuaient une analyse de sécurité, cela pourrait être découvert dans une demande FOIA", explique Kirsch. "Le CDC n'a fondamentalement aucun intérêt à vérifier quelles sont les données réelles de sécurité. Lorsque j'ai proposé de leur montrer les données néo-zélandaises avant de les publier (afin qu'ils aient enfin des données record), ils ont refusé de les examiner."

    3) Les autorités sanitaires refusent catégoriquement de divulguer les données anonymisées des patients pour que des chercheurs indépendants les analysent.

    Même les autorités locales de santé publique se voient refuser l’accès aux données pertinentes sur les injections de COVID qui leur permettraient d’en procéder à une évaluation appropriée conformément à la loi.

    4) La communauté médicale ne montre aucun intérêt pour la transparence des données

    L’establishment continue de cacher la vérité sur les vaccins contre le COVID parce que la communauté médicale ne fait absolument rien pour lui forcer la main en appelant à une transparence totale des données.

    "Les analyses de cohortes chronologiques peuvent être facilement produites par les autorités sanitaires et publiées à la vue de tous", écrit Kirsch. "Ceux-ci montreraient des signaux de sécurité et ne mettraient pas en danger la vie privée des patients. Ceux-ci sont toujours cachés."

    (Connexe : En décembre, un scientifique en génomique a perdu 200 000 $ de recherches après que le gouvernement néo-zélandais a obtenu une injonction pour bloquer le partage de données de santé sur l'injection de COVID divulguées.)

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  38. 5) Les demandes raisonnables adressées aux autorités sanitaires restent sans réponse

    Chaque fois que quelqu’un essaie de demander des données pertinentes sur les vaccins contre le COVID, les autorités de santé publique ignorent ou refusent presque uniformément ces demandes.

    6) Les données de Medicare aux États-Unis montrent clairement une mortalité accrue due aux vaccins contre le COVID

    Une chose que nous savons, c’est que la surmortalité a sensiblement augmenté partout dans le monde après le lancement de l’opération Warp Speed. Les données de Medicare aux États-Unis le montrent clairement, et pourtant les autorités de santé publique continuent de le nier.

    7) Des études indépendantes montrent jusqu'à un décès pour 800 tirs

    Malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles les injections de COVID sont « sûres et efficaces », des recherches indépendantes telles que celles compilées par le chercheur Denis Rancourt ont révélé qu'en moyenne, une personne meurt pour 800 injections administrées.

    8) Des centaines de milliers d’Américains sont morts à cause des vaccins contre le COVID

    Malgré tous leurs efforts pour cacher la vérité, les données d'enquête montrent clairement que plus de centaines de milliers d'Américains sont morts à cause des injections de COVID, ce qui est comparable au nombre de personnes qui seraient mortes du « virus ».

    Les dernières nouvelles sur les retombées de l’opération Warp Speed peuvent être trouvées sur Genocide.news.

    Les sources de cet article incluent :

    KirschSubstack.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-17-covid-vaccines-deadly-summary-evidence.html

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  39. Anthony Fauci dénonce Gregg Gonsalves de Yale comme un activiste universitaire qui falsifie des allégations de données


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 18 JANVIER 2024 - 17H55
    Rédigé par Paul D. Thacker via The Disinformation Chronicle,


    Mise à jour : Gonsalves (alias « 4G ») a été scalpé et a supprimé son compte depuis la publication initiale de cet article.

    L’ancien conseiller médical de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, a admis dans une déposition au Congrès la semaine dernière que les directives du gouvernement fédéral en matière de distanciation sociale de six pieds en matière de COVID n’étaient pas basées sur des preuves scientifiques, déclarant sous serment « cela vient en quelque sorte d’apparaître ». Le témoignage de Fauci a eu lieu au cours du deuxième jour de sa déposition à huis clos devant le sous-comité spécial de la Chambre sur la pandémie de coronavirus, et a fait écho à un commentaire similaire fait par l'ancien commissaire de la FDA, le Dr Scott Gottlieb.

    « La règle des six pieds était arbitraire en soi », a déclaré le Dr Gottlieb lors d'une apparition en septembre 2021 sur « Face the Nation » alors qu'il discutait des directives relatives au COVID. "Personne ne sait d'où cela vient. Les six pieds sont un parfait exemple du manque de rigueur dans la manière dont le CDC fait ses recommandations."

    Curieux de savoir qui avait promu cette règle arbitraire qui « venait en quelque sorte d’apparaître », j’ai commencé à rechercher des articles de presse et sur les réseaux sociaux et je suis tombé sur une déclaration d’expert sur le site Web de Yale, déposée par Gregg Gonsalves auprès de l’École de santé publique et de la Faculté de droit de Yale. Gonsalves écrit également régulièrement pour plusieurs médias, dont The Nation où il est leur correspondant de santé publique. "Les données provenant de Chine indiquent qu'une personne infectée moyenne transmet le virus à 2 à 3 autres personnes à des distances de 3 à 6 pieds", a affirmé Gonsalves dans un dossier juridique.

    Chaque crise médicale est le SIDA
    Au cas où vous ne connaîtriez pas Gregg Gonsalves, c'est un militant contre le sida des années 1980 qui, plus tard dans sa vie, a fréquenté l'université puis, pour une raison quelconque, a été embauché par Yale. Mais après avoir affiné ses talents de militant, il conserve l’indifférence d’un activiste de rue à l’égard des études et un talent pugnace pour diagnostiquer chaque crise médicale comme étant le sida des années 80.

    - voir clip sur site -

    Flash-back des années 1980 :

    Ebola ? C’est le sida, a déclaré Gonsalves à NPR.

    Épidémie d'opiacés ? Encore une fois le SIDA, a-t-il déclaré au New York Times.

    Et la variole du singe ? Avez-vous besoin de lire cet essai de Gregg Gonsalves, ou les preuves ne sont-elles pas claires ? Bonjour, c'est le SIDA !

    Et lorsque l’épidémie de COVID a commencé, les médecins se sont empressés d’étudier un virus jamais vu auparavant, ont eu du mal à comprendre comment il se propageait et se sont disputés sur la meilleure façon de l’arrêter.

    Pendant ce temps, Gonsalves a proposé une autre performance flashback des années 1980. Entendez-vous Madonna pomper en arrière-plan ? Papa Don’t Preach : c’est à nouveau le sida.

    S’adressant à Vox, Gonsalves a expliqué que « la gestion de la crise par Trump ressemble à un étrange rappel aux années 1980, lorsque le président Ronald Reagan de l’époque avait choisi d’ignorer les premières alertes sur la menace du VIH/SIDA ».

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  40. Alors que Trump se faisait désormais passer pour Reagan avec un mauvais bronzage et des cheveux orange, Gonsalves a ensuite enfilé une blouse blanche et prescrit un article du New York Times comme traitement pour gérer un virus respiratoire qui n'avait rien à voir avec le VIH. "À moins que nous ne trouvions comment aller vers ce que le New York Times a appelé l'autre jour – une sorte de verrouillage national", a déclaré Gonsalves à Vox, "Nous allons simplement voir les cas augmenter et les salles d'urgence et les unités de soins intensifs à travers le monde." pays soit rempli à pleine capacité.

    Sur les réseaux sociaux, Gonsalves a continué à plaider en faveur du confinement, avant de se plaindre d’être présenté à tort comme étant favorable au confinement. Et puis parcourir à nouveau cette bascule.

    C’est la cohérence logique d’un hobgobelin à l’esprit étroit.

    - voir post sur site -

    Ce qui me ramène à Fauci et à la science « c’est juste apparu » pour une distance sociale de six pieds.

    Les manifestants n’ont pas besoin de données
    Dans une déclaration d'expert de mars 2020 sous peine de parjure, Gonsalves a affirmé : « Les données provenant de Chine indiquent que la personne infectée moyenne transmet le virus à 2 à 3 autres personnes à des distances de 3 à 6 pieds. » La déclaration a apparemment soutenu les allégations juridiques selon lesquelles les prisonniers risquaient d’être blessés par le COVID et devraient être libérés du hoosegow.

    Mais si vous examinez attentivement les écrits de Gonsalves (apparemment, il ne l’a pas fait), vous verrez qu’il cite un soutien médical pour sa réclamation de 3 à 6 pieds avec la note de bas de page n°7.

    - voir post sur site -

    Mais lorsque vous regardez la note de bas de page n°7, vous constatez que Gonsalves ne cite pas de véritables preuves médicales ; Tout comme lorsqu’il plaidait en faveur du confinement dans Vox, les preuves médicales de Gonsalves font l’actualité du New York Times.

    - voir post sur site -

    Peut-être n’êtes-vous pas familier avec la science et la façon dont les experts classent la recherche, mais nulle part dans la littérature médicale vous ne trouvez un « article de journal » cité comme preuve crédible. Veuillez consulter cette explication à la Mt. Sinai Medical School, en cas de doute.

    Mais cela devient encore plus étrange.

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  41. Lorsque vous lisez l’article du New York Times, vous constatez qu’il n’existe pas de « données en provenance de Chine » comme le prétend Gonsalves. La seule preuve que l’article de journal fournit d’une « distanciation sociale de six pieds » est, comprenez ceci, un dessin d’artiste.

    - voir post sur site -

    En bref, Gregg Gonsalves de Yale a déposé une déclaration légale faisant une réclamation médicale basée sur un article de journal – et cet article de journal ne contient aucune preuve comme le prétend Gonsalves.

    Un sacré expert, non ?

    Pour comprendre en quoi cela répond aux normes académiques de Yale, j'ai envoyé un e-mail à Gonsalves, lui demandant de s'expliquer.

    Lisez le reste ici

    * * *

    Aaaand, he's gone:

    https://www.zerohedge.com/political/anthony-fauci-exposes-yales-gregg-gonsalves-academic-activist-who-fakes-data-claims

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  42. L’industrie pharmaceutique influence également les diagnostics et les traitements des troubles psychiatriques


    18 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les sociétés pharmaceutiques disposent d’importants budgets publicitaires pour les magazines spécialisés et les médias populaires. Des sommes énormes sont également consacrées au parrainage d'organisations médicales, de médecins et d'événements, notamment de formations pour médecins. Rien qu'en Autriche, selon le rapport de transparence de Pfizer, un total d'environ 23 millions d'euros ont été versés aux médecins, associations, associations médicales autrichiennes, etc. en 2021. Aux États-Unis, il a été révélé que Pfizer avait reçu la somme énorme de 10 millions du présentateur de CNN Anderson. "Le salaire de 12 millions de dollars de Cooper rapportait des dollars" .

    Ces mauvaises habitudes sont parfois évoquées dans le British Medical Journal (The BMJ). Une étude de Lauren C. Davis et al publiée dans le BMJ le 10 janvier 2024, intitulée « Conflits d'intérêt financiers non divulgués dans le DSM-5-TR : analyse transversale. » ), a révélé que 55 des 92 médecins américains qui déterminer quels diagnostics et traitements sont inclus dans la dernière édition du Manuel diagnostique et statistique (DSM) de l'American Psychiatric Association (APA) n'ont collectivement pas payé plus de 14 millions de dollars reçus de fonds industriels divulgués.

    Le manuel de l'APA est souvent qualifié de « Bible » des troubles psychiatriques en raison de son énorme influence sur la pratique clinique, touchant des domaines aussi divers que la jurisprudence et les réclamations d'assurance. L'APA crée et diffuse également des lignes directrices de pratique clinique directement liées aux diagnostics DSM. La cinquième édition du DSM, le DSM-V, a été publiée en mai 2013 ; une révision du texte a été publiée en mars 2022 sous le nom de DSM-5-TR.

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  43. Les participants à l'étude comprenaient des médecins basés aux États-Unis qui ont été membres d'un panel ou d'un groupe de travail DSM-5-TR et dont les données ont été collectées dans la base de données des Centers for Medicare et Medicaid Service Open Payments entre 2016 et 2019. Cette période comprend l'année au cours de laquelle le développement du DSM-5-TR a commencé et les trois années précédentes, une période cohérente avec les recherches antérieures sur les conflits d'intérêts et avec les exigences de divulgation de l'APA. Open Payments est une base de données accessible au public sur les paiements que les fabricants de médicaments et de dispositifs médicaux effectuent aux médecins.

    Les membres du panel DSM qui ont reçu le plus de rémunération des fabricants de médicaments ont travaillé dans des domaines de diagnostic où les traitements médicamenteux constituent souvent la norme de soins, tels que : B. dans les troubles dépressifs, les troubles neurocognitifs et les troubles du mouvement d'origine médicamenteuse.

    La plupart des paiements pour le financement de la recherche

    Les paiements les plus courants versés aux évaluateurs du DSM concernaient la nourriture et les boissons, suivis des déplacements et des conseils. Plus d'un tiers ont reçu une rémunération pour des services autres que le conseil, notamment en tant que conférencier ou conférencier dans un lieu autre que la formation. Cette catégorie comprend ce que l’industrie pharmaceutique appelle les « principaux leaders d’opinion », c’est-à-dire les médecins qui influencent les pratiques médicales de leurs collègues, y compris, mais sans s’y limiter, le comportement en matière de prescription. Rejoindre un bureau de conférenciers ou servir de leader d'opinion est largement reconnu comme un conflit d'intérêt financier flagrant, car le rôle de leader d'opinion est essentiellement un rôle de marketing ; Les conférences données sont généralement présentées lors d'événements de formation continue parrainés par l'industrie.

    Les paiements de l'industrie variaient entre 13,80 et 2,7 millions de dollars par personne, dont plus de 70 pour cent étaient destinés au financement de la recherche ou aux paiements de recherche toutes les années. Le financement de la recherche était exempté de la politique de divulgation de l'APA pour le DSM-5, et rien ne prouve que le simple fait que l'argent soit payé sous la forme de financement de la recherche ne crée pas une obligation de réciprocité ou ne crée pas de biais implicite. Des recherches empiriques montrent que même de petits cadeaux peuvent avoir un impact significatif sur le comportement.

    La transparence n'est pas la solution

    Après la publication du DSM-4 en 1994, l'APA a mis en œuvre une politique obligeant les experts-conseils à divulguer leurs liens avec l'industrie pharmaceutique. Cependant, cette évolution vers la transparence n’a guère contribué à réduire les conflits d’intérêts : près de 70 % des membres du groupe de travail du DSM-5 ont signalé des relations financières avec des sociétés pharmaceutiques , contre 57 % dans le DSM-4.

    "Des organisations comme l'APA ont été trop promptes à considérer la transparence comme la solution", a déclaré Lisa Cosgrove, PhD, psychologue clinicienne et professeur de psychologie clinique à l'Université du Massachusetts-Boston et auteur principal de l'étude. « Nos données montrent que la transparence n’a pas changé la dynamique. "

    En tant que critique de longue date des conflits d'intérêts et de l'influence de l'industrie sur le DSM , le Dr. Cosgrove :

    La transparence à elle seule n’empêchera pas les universitaires ou les chercheurs d’entretenir des relations financières avec l’industrie, et des mesures plus robustes sont nécessaires pour protéger l’intégrité du processus de révision du DSM.

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  44. Une étape importante dans la création de lignes directrices cliniques fiables consiste à s’assurer qu’elles sont élaborées par des experts libres de tout lien avec l’industrie, comme le recommandaient des organisations telles que l’Institute of Medicine il y a plus de dix ans. Dans le cas du DSM, cette recommandation est également importante car les membres du panel ont la capacité de supprimer des troubles - pas seulement d'en ajouter de nouveaux - et pourraient donc jouer un rôle crucial dans la lutte contre le surdiagnostic et le surtraitement.

    Des critères de diagnostic élargis peuvent conduire à un surdiagnostic et à un surtraitement
    Le problème du surdiagnostic ne se limite pas à l’inclusion de nouveaux troubles dans le DSM. Même des modifications apparemment minimes apportées au manuel (comme l'ajout de symptômes à des troubles déjà inclus) peuvent avoir un impact significatif sur l'augmentation du nombre de personnes recevant un diagnostic et du nombre de personnes à qui des médicaments sont prescrits.

    Par exemple, de nombreux chercheurs et cliniciens, dont l'ancien président du DSM-4, ont souligné que les changements apparemment minimes apportés aux critères du trouble de déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH) dans l'édition 2013 du DSM-5 étaient susceptibles d'entraîner devenir important entraînerait une augmentation des diagnostics de TDAH et une augmentation des prescriptions de stimulants.

    Des critères de diagnostic étendus au profit de l’industrie pharmaceutique
    L’industrie pharmaceutique a un intérêt financier important dans les résultats des troubles et des traitements du DSM. Les membres du panel liés à l'industrie pharmaceutique ont introduit de nouveaux diagnostics ou suggéré des changements de traitement qui ont été critiqués par les experts, invoquant le manque de preuves scientifiques. Un exemple en est la révision notable du DSM-4 au DSM-5 d'une disposition connue sous le nom d'« exclusion du deuil » – la période de deuil de deux mois suivant le décès d'un être cher pendant laquelle il était auparavant conseillé aux cliniciens de Il faut s’attendre à un diagnostic de « dépression majeure » chez les individus. L'exclusion révisée du deuil dans le DSM-5 conseille aux cliniciens de traiter les membres de la famille qui ont perdu un être cher dès deux semaines après le décès .

    Un autre exemple est le diagnostic de « trouble du deuil prolongé » ajouté au DSM-5-TR pour les personnes dont le deuil intense dure plus d'un an. Dans une correspondance publiée dans The Lancet en juillet 2022 , les auteurs Joanne Cacciatore et Allen Frances notent : « La pathologisation [sic] du deuil est une insulte à la dignité des relations amoureuses – elle déclare les personnes en deuil comme des malades mentaux et conduit trop souvent à prescription négligente d'antidépresseurs ou d'autres médicaments pour traiter des symptômes persistants sans tenir compte du contexte. Le mauvais usage de médicaments psychiatriques pour traiter le deuil est particulièrement problématique dans les établissements de soins primaires, où la plupart des antidépresseurs sont prescrits. Cette pathologisation reflète l’influence indue qu’un petit groupe de chercheurs peut exercer sur le système de diagnostic. Les experts aiment leurs diagnostics et voient donc les bénéfices tout en ignorant les risques. Les critiques ont exprimé leur inquiétude quant aux conflits d'intérêts préjudiciables une fois qu'une proposition devient un diagnostic. "

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  45. Marché en croissance pour les drogues psychoactives

    Le marché des médicaments psychotropes – médicaments utilisés pour traiter les troubles bipolaires, la dépression, l'anxiété, la psychose et les troubles de l'attention – s'élevait à 20,2 milliards de dollars en 2022 et devrait atteindre 37,2 milliards de dollars d'ici 2032.13 En 2019, 15,8 % des Américains (environ un sur six) âgés de plus de 18 ans prenaient des médicaments pour un trouble psychiatrique.

    https://tkp.at/2024/01/18/pharma-beeinflusst-diagnosen-und-behandlungen-auch-bei-psychiatrischen-stoerungen/

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  46. Une synthèse de 255 études sur les liens entre les vacccxxxinations covid et les cancers


    le 18 janvier 2024
    par pgibertie


    Le type même de publication que VAN DER LA HYENE et Macron veulent censurer

    https://cureus.com/articles/209584-sars-cov-2-vaccination-and-the-multi-hit-hypothesis-of-oncogenesis#!/…

    revue par les pairs

    Le cancer est une maladie complexe et dynamique. Cette complexité stupéfiante appelle à la prudence lorsqu’on conseille à toutes les personnes atteintes de cancer (ou ayant des antécédents de cancer) de recevoir la série de vaccins primaires contre la COVID-19 ainsi que des doses de rappel supplémentaires. De plus, comme ces patients n’ont pas été inclus dans les essais cliniques pivots, une incertitude considérable demeure quant à l’efficacité, à la sécurité et au risque d’interactions avec les thérapies anticancéreuses du vaccin, ce qui pourrait réduire la valeur et l’innocuité de l’un ou l’autre traitement médical.

    Après avoir examiné la littérature disponible, nous sommes particulièrement préoccupés par le fait que certains vaccins contre la COVID-19 puissent générer un milieu pro-tumorigène (c’est-à-dire un environnement spécifique qui pourrait conduire à une transformation néoplasique) qui prédispose certains patients et survivants oncologiques (stables) à la progression du cancer. récidive et/ou métastase. Cette hypothèse est basée sur la plausibilité biologique et la réalisation de l’hypothèse de l’oncogenèse à succès multiples (c’est-à-dire induction de lymphopénie et d’inflammation, régulation négative de l’expression de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), activation de cascades oncogènes, séquestration de protéines suppressives de tumeur, dérégulation. du système de liaison quadruplex-protéine ARN-G, altération des réponses à l’interféron de type I, désactivation des éléments rétrotransposables, etc.) ainsi que des preuves croissantes et des rapports de sécurité déposés auprès du Vaccine Adverse Effects Report System (VAERS) suggérant que certains patients atteints de cancer ont souffert de la maladie. exacerbation ou récidive après la vaccination contre la COVID-19. À la lumière de ce qui précède et parce que certaines de ces préoccupations (c’est-à-dire l’altération des voies oncogènes, la promotion de cascades inflammatoires et la dérégulation du système rénine-angiotensine) s’appliquent également aux patients cancéreux infectés par le SRAS-CoV-2, nous encourageons les scientifiques et la communauté médicale à évaluer de toute urgence l’impact du COVID-19 et de la vaccination contre le COVID-19 sur la biologie du cancer et les registres des tumeurs, en ajustant les recommandations de santé publique en conséquence.

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  47. Mécanismes et voies moléculaires favorisant le cancer potentiellement médiés par le SRAS-CoV-2 et/ou certains vaccins contre la COVID-19
    Figure 1 : Mécanismes et voies moléculaires favorisant le cancer potentiellement médiés par le SRAS-CoV-2 et/ou certains vaccins contre la COVID-19
    SARS-CoV-2 : coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère, COVID-19 : coronavirus 2019, BRCA1/2 : cancer du sein 1/2, ACE2 : enzyme de conversion de l’angiotensine 2, LNP : nanoparticules lipidiques, ARN : acide ribonucléique, IFN : interféron

    De plus, des niveaux élevés de Spike soluble et/ou de ses sous-unités et fragments peptidiques ont été trouvés dans la circulation des vaccinés, où ils persistent pendant des semaines, voire des mois. Il est donc plausible que la distribution soutenue et systémique du pic dans le corps humain (le pic viral n’aura pas, dans la plupart des cas, d’impact sur les tissus et organes autres que les voies respiratoires) puisse favoriser une série d’interactions imprévues avec l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 ( ACE2), le récepteur d’entrée du SRAS-CoV-2, soit sous sa forme soluble circulante, soit exprimé dans des cellules de divers tissus et organes.

    Pour les raisons qui précèdent, il est impératif de comprendre les effets du COVID-19 et de la vaccination contre le COVID-19 sur les cellules cancéreuses et leur microenvironnement.

    La lymphopénie est une caractéristique de la vaccination contre la COVID-19 sévère et de la vaccination contre la COVID-19
    La lymphopénie, une affection définie par un nombre anormalement faible de lymphocytes, est une caractéristique du COVID-19 grave par rapport à une maladie non grave [34-36] . Les causes sous-jacentes possibles de la lymphopénie observée, en particulier la diminution du nombre de lymphocytes T, comprennent la redistribution des lymphocytes T dans les organes infectés, l’épuisement induit par l’activation, l’apoptose et la pyropoptose [37] . Bien que l’épuisement des lymphocytes T soit observé dans d’autres infections virales [38] , il semble être plus rapide, plus profond et plus durable dans le contexte du COVID-19. Une étude récente suggère que la lymphopénie chez les patients atteints d’une forme grave de COVID-19 est susceptible de résulter d’une infection des lymphocytes T par le SRAS-CoV-2 d’une manière indépendante du Spike-ACE2 [39] . De plus, il a été rapporté que l’expression de Spike seule est suffisante pour induire une fusion membranaire rapide pour produire du syncytium, un type de grandes cellules avec plusieurs noyaux négatifs pour les molécules de jonction intercellulaire telles que la E-cadhérine. Les syncytia ont tendance à internaliser les lymphocytes, contribuant ainsi à la perte de lymphocytes chez les patients atteints de COVID-19 [40] .

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  48. La lymphopénie a également été associée à la vaccination contre le COVID-19. Les essais cliniques de phase I/II avec les vaccins BNT162b1 (Pfizer/BioNTech) [41] et ChAdOx1 (Oxford/AstraZeneca) [42] ont décrit une diminution dose-dépendante des lymphocytes plasmatiques 6 à 8 jours après la vaccination chez 45 à 46 % des patients. de participants. De manière cohérente, deux prépublications basées sur les programmes de vaccination en Israël (vaccin BNT162b1) [43] et en Angleterre (vaccins BNT162b1 et ChAdOx1) [44] ont signalé une augmentation initiale du risque d’infection jusqu’à neuf jours après la vaccination. Néanmoins, il a été démontré que les lymphocytes T spécifiques aux antigènes viraux du SRAS-CoV-2 augmentent après l’immunisation avec à la fois des vaccins génétiques (c’est-à-dire des lymphocytes T spécifiques de pointe) et des plates-formes traditionnelles telles que le virus de la vaccine modifié multiantigène Ankara (MVA) – basé sur le vaccin COVID-19 COH04S1 (c.-à-d. Cellules T spécifiques de la membrane, des nucléoprotéines et des pointes) [45,46] .

    Même si les mécanismes moléculaires qui sont à l’origine de la lymphopénie lors de l’infection au COVID-19 et de la vaccination ne sont pas entièrement compris, la lymphopénie est depuis longtemps associée à une incidence accrue de cancer et à un risque de malignité [47] . Les altérations lymphocytaires sont fréquentes chez les patients atteints de cancer et ont un impact important sur le pronostic et la survie [47,48] . La lymphopénie sévère à cellules T CD4+ est l’une des caractéristiques de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Les personnes atteintes du VIH/SIDA courent un risque plus élevé de développer certains types de tumeurs (c.-à-d. le sarcome de Kaposi) que les personnes non atteintes de la maladie [49-51] . Les lymphocytes T CD8+ jouent un rôle crucial dans la dormance à médiation immunitaire, et leur épuisement libère les freins des DCC, conduisant à une croissance métastatique [52,53] . L’immunosuppression induite par l’anesthésie peut favoriser les rechutes du cancer en fonction de la dose, de la durée et du moment de l’utilisation [54] . L’exposition à des médicaments immunosuppresseurs qui préviennent le rejet d’organe chez les receveurs de greffe d’organe altère la surveillance du cancer et facilite l’action des virus oncogènes, augmentant ainsi le risque de complications néoplasiques après la transplantation [55] . De la même manière, les receveurs de greffe d’organe acceptant un organe provenant d’un donneur survivant du cancer pourraient développer une tumeur maligne parce que l’exposition aux médicaments immunosuppresseurs permet à des métastases latentes cachées (transplantées avec l’organe) de prendre vie [56] . Il convient de noter que 25 % des cancers développés chez des patients ayant subi une transplantation d’organe connaissent une rémission clinique lorsque la dose administrée du médicament immunosuppresseur est considérablement réduite [57] . Il est remarquable que certains types de traitement du cancer, tels que la chimiothérapie, la radiothérapie et la combinaison de chimiothérapie et d’immunothérapie, peuvent également provoquer une lymphopénie sévère, corrélée à une survie réduite [47,58,59] .

    Étant donné que la lymphopénie, associée aux facteurs liés à l’inflammation (décrits ci-dessous), contribue à la création d’un microenvironnement favorable à la progression du cancer et/ou au réveil des DCC, une extrême prudence est de mise lorsqu’on recommande la vaccination contre la COVID-19 (jusqu’à cinq doses) [ 8] aux patients oncologiques, notamment ceux sous traitement anticancéreux. Des études approfondies concernant les mécanismes moléculaires qui conduisent à une réduction globale des lymphocytes chez les patients atteints de COVID-19 et chez les vaccinés devraient aider à identifier des stratégies de vaccination améliorées et/ou des interventions alternatives qui préviennent cette anomalie immunologique majeure et ses conséquences.

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  49. La glycoprotéine de pointe du SRAS-CoV-2 et sa sous-unité S1 provoquent une signalisation cellulaire in vitro qui pourrait favoriser la tumorigenèse in vivo
    Le SRAS-CoV-2 contient une protéine Spike composée de deux sous-unités : S1 et S2. S1 aide le virus à infecter les cellules humaines en se liant à ACE2, une protéine multifonctionnelle principalement exprimée à la surface de nombreuses cellules [60,61] . S2 intervient dans le processus de fusion membranaire [62] . En plus de faciliter l’entrée du SRAS-CoV-2 dans les cellules hôtes, l’interaction entre Spike et AEC2 déclenche une signalisation cellulaire dans les cellules exprimant ACE2 [63] . Les données montrent que, dans les cellules vasculaires pulmonaires et les cellules impliquées dans le développement de l’hypertension artérielle pulmonaire, la sous-unité S1 de Spike seule a activé la MEK, le modulateur de la kinase régulée par le signal extracellulaire (ERK) [ 63] , qui est un mécanisme de transduction du signal pour croissance cellulaire [64] . De plus, Patra et al. [65] ont indiqué que le pic complet, par la régulation négative de l’expression d’ACE2, favorisait une cascade de signalisation médiée par le récepteur de l’angiotensine II de type I (AT1R), induisait les molécules régulatrices de la transcription, le facteur nucléaire-κB (NF-κB) et la protéine activatrice. 1 (AP-1)/c-Fos via l’activation de la protéine kinase activée par un mitogène (MAPK) et une augmentation des taux d’interleukine 6 (IL-6) dans les cellules épithéliales (Figure 2 ) [65] .

    La régulation négative de l'ACE2 et la signalisation cellulaire médiées par les pointes pourraient favoriser la progression du cancer chez les patients et les vaccinés liés au COVID-19
    Figure 2 : La régulation négative de l’ACE2 et la signalisation cellulaire induites par les pics pourraient favoriser la progression du cancer chez les patients et les vaccinés atteints du COVID-19
    La régulation négative d’ACE2 et sa réponse ultérieure médiée par AT1R ont le potentiel d’encourager la progression du cancer et les métastases grâce à ses activités favorisant la croissance et proangiogéniques.

    SARS-CoV-2 : coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère, COVID-19 : coronavirus 2019, ACE2 R : enzyme de conversion de l’angiotensine 2 agissant comme récepteur d’entrée du SARS-CoV-2, ACE2 : enzyme de conversion de l’angiotensine 2, AT II : angiotensine II, AT1R : récepteur de l’angiotensine II type 1, PI3K : phosphatidylinositol 3-kinase, MAPK : protéine kinase activée par un mitogène, ERK : kinase régulée par le signal extracellulaire, NF-κB : facteur nucléaire-κB, IL-6 : interleukine 6 , AP-1 : protéine activatrice 1

    L’activation de NF-κB dans les cellules cancéreuses favorise la prolifération, la chimiorésistance et l’invasion, tandis que dans le microenvironnement tumoral, elle stimule l’angiogenèse et la suppression immunitaire, soutenant collectivement le processus métastatique [66] . La cascade de signalisation Ras/Raf/MEK/ERK (MAPK) est fréquemment impliquée dans la malignité [67] . En effet, plus de 30 % de tous les cancers humains sont provoqués par les gènes Ras [68-75] . Des niveaux élevés d’IL-6 sont corrélés à des taux accrus de rechute tumorale dans le cancer du sein et le cancer de la tête et du cou [76,77] . En revanche, l’inhibition de la signalisation IL-6/transducteur de signal et activateur de transcription 3 (STAT3) a réduit la récidive du cancer dans les modèles précliniques de carcinome du sein, de la tête et du cou et du carcinome hépatocellulaire [78-80] . La cascade de signalisation médiée par AT1R active également la phosphatidylinositol 3-kinase (PI3K), un composant de l’une des voies intracellulaires les plus importantes (PI3K/AKT/mTOR) et un régulateur principal du cancer [67,81] . La suractivation de cette voie est présente dans de nombreuses tumeurs malignes humaines et a été impliquée dans la progression du cancer. De manière cohérente, l’utilisation d’inhibiteurs de PIK3 est une approche courante dans le traitement des tumeurs [82] .

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  50. Considérant que les cellules humaines répondent de manière sensible au pic et/ou à sa sous-unité S1 pour déclencher la signalisation cellulaire ACE2 et que l’ACE2 exerce de multiples effets antitumoraux et anti-invasifs, y compris l’inhibition de l’angiogenèse et des métastases du cancer, le pic prolongé (voire transitoire) La régulation négative (ou la perte) médiée par l’ACE2 pourrait en soi favoriser la progression tumorale [83-86] . Il est remarquable que des pointes flottantes, des sous-unités S et des fragments de peptide S pénètrent dans la circulation et persistent dans le corps pendant des semaines [87,88] et même des mois [89] après la vaccination contre le COVID-19 à des concentrations comparables à celles trouvées. chez les patients atteints de COVID-19 sévère (Tableau 1 ) [89,90] .

    Antigène Vaccination Concentration (pg/mL) Temps passé dans le corps (jours)
    S * BNT162b ARNm-1273 Jours 1-2 après la première dose – taux médians de S : 47 pg/mL (plasma) Présenter au moins 1 à 2 jours (plasma) et 60 jours (centres germinaux et ganglions lymphatiques) après la deuxième dose
    Jour 7 après la première dose – taux médians de S : 1,7 pg/mL (plasma)
    Jours 1-2 après la deuxième dose – niveaux médians de S : 1,2 pg/mL (plasma)
    S, S1 ** ARNm-1273 Niveaux de pic moyens de S : 62 ± 13 pg/mL (plasma) S présent jusqu’à 15 jours après la première dose, indétectable après la deuxième dose (plasma)
    Niveaux maximaux moyens de S1 : 68 ± 21 pg/mL (plasma) S1 présent jusqu’à 14 jours après la première dose, indétectable après la deuxième dose, niveaux maximaux à 5 jours (plasma)
    Fragments S *** BNT162b ARNm-1273 – 69 à 187 jours après la vaccination (plasma)
    Tableau 1 : Concentration et persistance dans l’organisme des antigènes Spike après vaccination médiée par l’ARNm
    * : [87] , ** : [88] , *** : [89]

    BNT162b : vaccin Pfizer/BioNTech, ARNm-1273 : vaccin Moderna

    Il est donc impératif de surveiller les conséquences à moyen et long terme des vaccins contre la COVID-19 qui introduisent des pics dans le corps humain. Plus important encore, des modèles animaux expérimentaux appropriés doivent être développés pour comprendre la contribution et les implications fonctionnelles de ces cascades de signalisation en relation avec la progression du cancer, la récidive et/ou la sensibilité aux thérapies anticancéreuses.

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  51. Les vaccins à ARNm sont conçus pour désactiver l’immunité innée de l’hôte via les récepteurs de type Toll (TLR), compromettant ainsi les réponses à l’IFN de type I.
    L’ADN et l’ARN stimulent le système immunitaire inné des mammifères grâce à l’activation des TLR, une classe de protéines principalement exprimées dans les cellules sentinelles (c’est-à-dire les cellules dendritiques et les macrophages) qui constituent la première ligne de défense contre les agents pathogènes envahisseurs et les molécules endogènes libérées par les cellules mourantes ou endommagées. cellules [91] . Les TLR déclenchent plusieurs voies de signalisation impliquant NF-κB, des facteurs de régulation de l’IFN (IRF) et des MAPK pour la production de diverses cytokines qui jouent un rôle important dans de nombreuses maladies, notamment le cancer. L’ARN signale en particulier via les TLR3, TLR7 et TLR8 endosomaux humains ; cependant, l’incorporation de nucléosides modifiés dans la molécule d’ARN supprime l’activité du TLR [92,93] . Les vaccins à ARNm contre le COVID-19 ont toutes les uridines de la séquence d’ARNm de pointe du SRAS-CoV-2 remplacées synthétiquement par la N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) [94,95] . Un tel remplacement augmente la stabilité biologique, favorise la traduction de l’ARNm et inhibe considérablement la détection immunitaire innée, car une activation immunitaire incontrôlée pourrait conduire à des réactions allergiques indésirables et à un choc anaphylactique [94,96] .

    Malgré la contribution essentielle des pseudouridines aux vaccins à ARNm contre la COVID-19, on sait peu de choses sur les conséquences biologiques de la délivrance d’ARNm hautement stabilisé modifié par m1Ψ dans le cytoplasme des cellules humaines. Par exemple, des études montrent que la vaccination avec BNT162b2 (le premier candidat de Pfizer/BioNTech à recevoir l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA) a significativement diminué la production d’IFN-α (IFN de type I) et d’IFN-γ (IFN de type II) après stimulation avec l’agoniste TLR7/8. R848 et l’agoniste TL3 poly I:C [97] . Selon Föhse et al. [97] , la diminution de la sensibilité des TLR endosomaux qui interagissent avec l’ARNm modifié transfecté pourrait par la suite supprimer l’activité des TLR3/7/8 et diminuer la production de cytokines. Il est important de noter qu’une réponse immunitaire efficace implique l’induction d’une cascade de signalisation robuste de l’IFN de type I médiée par le TLR dans le cadre du système immunitaire inné. Si cette réponse est supprimée, une immunopathologie au cours d’infections virales lytiques et latentes peut en résulter [98,99] . Des défauts dans l’expression du TLR ont été rapportés chez des personnes atteintes d’infections à herpèsvirus [100,101] . Des mutations dans TLR3 et ses molécules de signalisation en aval ont été associées à des cas d’encéphalite à virus herpès simplex [102,103] , de méningo-encéphalite à virus varicelle-zona [102] et d’ophtalmique récurrente à herpès zoster [103] . Il convient de noter qu’un nombre de plus en plus élevé de cas de zona a été signalé après une vaccination contre la COVID-19 à ARNm (BNT162b2 et ARNm-1273), mais pas à la suite d’une vaccination contre la COVID-19 vectorisée par un adénovirus ou inactivée [104-109] . Une telle observation est cohérente avec une réponse altérée de l’IFN de type I médiée par le TLR, déclenchée par l’ARNm modifié par m1Ψ.

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  52. Le profilage multimodal unicellulaire du sang périphérique de patients atteints de COVID-19 aigu et de volontaires sains avant et après avoir reçu l’injection de BNT162b2 a également révélé des différences spectaculaires dans la réponse aux deux défis immunitaires. Chez les patients atteints de COVID-19, les réponses immunitaires étaient caractérisées par une réponse IFN de type I fortement augmentée, qui était largement absente chez les vaccinés. L’augmentation de la signalisation IFN a probablement contribué à la régulation positive drastique des gènes cytotoxiques dans les cellules T périphériques et les lymphocytes de type inné observés chez les patients atteints de COVID-19. L’analyse des répertoires de lymphocytes B et T a révélé que si la majorité des lymphocytes clonaux chez les patients atteints de COVID-19 étaient des cellules effectrices, chez les vaccinés, l’expansion clonale était principalement limitée aux cellules mémoire circulantes [110] . Malgré cela, il n’existe pas de large consensus quant à savoir si l’activité de l’IFN de type I est robuste [23,110,111] ou compromise [112,113] lors d’une infection par le SRAS-CoV-2. Par exemple, des preuves contraires montrent que la sous-unité S1 du SRAS-CoV-2 a directement supprimé l’expression des IFN ACE2 et de type I dans les cellules primaires du lavage broncho-alvéolaire pulmonaire des macaques [113] , contribuant ainsi à la maladie pulmonaire associée au SRAS-CoV-2. De plus, le diagnostic de COVID-19 chez les personnes de ≥ 50 ans a été associé à un risque accru de développer un zona [114,115] . Cette apparente controverse pourrait s’expliquer en partie par l’ajustement fin entre les réponses immunitaires antivirales aiguës qui permettent d’éliminer rapidement l’infection grâce à une sécrétion élevée d’IFN et celles qui conduisent à des schémas inflammatoires plus longs et plus robustes (c’est-à-dire des formes graves de COVID-19) avec épuisement fonctionnel. des réponses IFN [116] . Néanmoins, la lymphopénie périphérique (décrite à la fois chez les patients atteints d’une forme grave de la COVID-19 et chez les personnes vaccinées contre la COVID-19) pourrait alternativement (ou en plus) justifier la réactivation des infections latentes du zona chez les patients atteints de la COVID-19 et chez les personnes ayant reçu les vaccins à ARNm contre la COVID-19.

    Remarquablement, les TLR sont exprimés non seulement dans les cellules immunitaires mais également dans les cellules tumorales, où ils peuvent à la fois inhiber et favoriser la malignité [117] . De nombreuses études chez l’homme et la souris soulignent l’importance de l’IFN endogène de type I, produit à la fois par les cellules immunitaires et tumorales, dans le contrôle de la croissance tumorale et dans la réponse aux thérapies antitumorales [118-120] . Seneff et al. [23] discutent en détail de la complexité et du rôle des IFN de type I, en particulier de l’IFN-α, dans la surveillance et la suppression du cancer. Les auteurs soulignent la gamme éblouissante d’effets anticancéreux initiés par l’IFN-α, à la fois directs (c’est-à-dire, arrêt du cycle cellulaire, apoptose et activation des cellules tueuses naturelles et des lymphocytes T CD8+) et indirects (c’est-à-dire, activation de la transcription génique de la Janus kinase/ mécanismes de transducteur de signal et activateur de transcription (voie JAK/STAT) [23] . La voie JAK/STAT est dérégulée dans plusieurs hémopathies malignes, ce qui augmente le potentiel métastatique dans les modèles animaux de mélanome, de cancer colorectal et de lymphome [121] . Des défauts dans la signalisation lymphocytaire de l’IFN surviennent chez les patientes atteintes d’un cancer du sein, d’un mélanome et d’un cancer gastro-intestinal, et ces défauts peuvent représenter un mécanisme courant de dysfonctionnement immunitaire associé au cancer [120] . De manière cohérente, l’administration exogène d’IFN de type I et/ou l’utilisation d’inducteurs d’IFN de type I renforcent les réponses immunitaires innées et adaptatives contre les tumeurs solides [122,123] .

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  53. Une altération des réponses à l’IFN de type I est également observée dans d’autres maladies, notamment les infections chroniques (c’est-à-dire le VIH/SIDA) et les maladies auto-immunes (c’est-à-dire la sclérose en plaques (SEP)). En interférant avec les réponses IFN de type I, le VIH-1 peut contourner la signalisation antivirale de l’hôte et établir des réservoirs viraux persistants. Les défauts médiés par le VIH-1 dans la voie de l’IFN comprennent l’altération des récepteurs protéiques impliqués dans la détection des agents pathogènes, les cascades de signalisation en aval nécessaires à la régulation positive de l’IFN de type I et l’expression ou la fonction de protéines antivirales clés inductibles par l’IFN de type I [124,125] . Il est remarquable que les personnes infectées par le VIH présentent un risque considérablement plus élevé de développer certains types de cancer par rapport à la population générale, notamment le sarcome de Kaposi, le lymphome non hodgkinien, le cancer du col de l’utérus [50] et, dans une moindre mesure, les cancers de l’anus, du foie. , de la cavité buccale/pharynx et du poumon et lymphome hodgkinien [51] . De même, les patients atteints de SEP dont la signalisation IFN de type I est supprimée et qui répondent bien au traitement par IFN [126,127] courent également un plus grand risque de développer un cancer que la population générale [128] . Ce risque accru est particulièrement apparent pour les cancers de la prostate, du sein, colorectal et anal, ainsi que pour les cancers de la trachée, des bronches et du poumon.

    Dans l’ensemble, les rôles extrêmement compliqués et pléiotropes des réponses TLR et IFN de type I dans la biologie des tumeurs incitent à la prudence lors de l’introduction d’ARNm synthétiques (m1Ψs) pour des applications thérapeutiques in vivo. Plus important encore, les réponses perturbées de l’IFN de type I médiées par le TLR après une infection par le SRAS-CoV-2 et une vaccination par ARNm peuvent ne pas être comparables pour les raisons suivantes. Premièrement, l’ARNm synthétique modifié par m1Ψ, contrairement à l’ARN viral, a la capacité d’éliminer l’activité du TLR. Deuxièmement, des études récentes suggèrent que la production endogène de pointes synthétiques persiste pendant une longue période (> 6 mois) dans le corps humain [87-89] . Troisièmement, alors que la majeure partie de la protéine de pointe virale reste probablement dans les voies respiratoires, la production de pointe induite par le vaccin a lieu dans les organes et tissus internes, étant ainsi en mesure d’exercer des effets plus systémiques [129] . En effet, des études de biodistribution du vaccin BNT162b2 sur des modèles animaux ont révélé que le vaccin ne reste pas au site d’injection mais s’accumule plutôt dans différents organes (foie, rate, poumons, ovaires, etc.) 48 heures après l’inoculation [ 130 -133] . Dans ce contexte, Bansal et al. (134) ont démontré le rôle important des exosomes circulants exprimant la glycoprotéine de pointe à la surface pour une immunisation efficace après une vaccination à base d’ARNm. Ces exosomes étaient détectables 14 jours après la première injection, augmentaient après la dose de rappel et diminuaient considérablement après quatre mois. Il est donc plausible que les exosomes contribuent à la dispersion du pic (et de sa séquence d’ARNm) dans tout le corps, via le système lymphatique, le système vasculaire et même le long des fibres nerveuses. Enfin, le respect des calendriers de vaccination à doses multiples à des intervalles relativement courts [8] peut vraisemblablement augmenter le risque d’effets indésirables chez les vaccinés. D’autres études devraient faire la lumière sur les voies pro- et anti-tumorigènes pertinentes dépendantes du TLR qui peuvent être dérégulées à la suite d’une vaccination par ARNm et/ou d’une infection par le SRAS-CoV-2.

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  54. L’optimisation des codons des vaccins contre la COVID-19 pourrait entraîner une dérégulation du système de liaison aux protéines ARN-G quadruplex (G4), altérant ainsi la régulation translationnelle des microARN cellulaires
    La conception des vaccins contre la COVID-19 implique différents types d’optimisations, notamment l’optimisation des codons [135] . L’optimisation des codons est une approche d’ingénierie génétique qui utilise des modifications synonymes de codons pour augmenter la production de protéines chez des hôtes qui n’expriment pas naturellement le gène. Ce processus augmente généralement le contenu en GC, ce qui est en corrélation avec un niveau accru de transcription, probablement en raison d’une diminution des pauses transcriptionnelles [136] . Certains auteurs estiment que l’optimisation des codons compromet la sécurité et l’efficacité des thérapies biotechnologiques [137] . McKernan et coll. [138] , Seneff et coll. [23] et d’autres décrivent que l’enrichissement significatif du contenu en GC dans les vaccins à ARNm COVID-19 (par rapport à l’ARNm natif du pic SARS-CoV-2) pourrait conduire à une augmentation des structures secondaires telles que les motifs G4 pendant la traduction. Plus précisément, McKernan et al. [138] présentent une série d’approches in silico telles que RNAfold et QGRSMapper qui montrent des changements dans la structure secondaire des ARN dérivés du vaccin par rapport au virus natif. Il convient de noter l’augmentation du nombre de formations G4 dans les vaccins à ARNm optimisés en codons (c’est-à-dire 19 et neuf motifs G4 dans les ARNm de Moderna et Pfizer/BioNTech, respectivement, contre quatre motifs G4 dans la région codante de pointe du SRAS-CoV- 2 virus). L’abondance des structures G4 dans l’ARNm vaccinal amplifie probablement l’attachement des protéines de liaison à l’ARN et des microARN qui ciblent normalement les G4 exprimés par l’homme pour une régulation normale de l’expression des gènes humains. De plus, l’utilisation de m1Ψ dans les ARNm vaccinaux obscurcit davantage les prédictions de repliement, car l’appariement de bases promiscuité de m1Ψ facilite les erreurs de traduction [135, 139-141] et stabilise les G4 [142, 143] , exacerbant ainsi l’impact de la formation de G4 avec l’optimisation des codons [138] .

    Une dérégulation du système de liaison de l’ARN à la protéine G4 pourrait diminuer considérablement l’expression des microARN cellulaires, qui est impliquée dans de nombreuses pathologies telles que les maladies cardiovasculaires, l’apparition de la neurodégénérescence et la progression du cancer [23] . Un exemple, vital pour le fonctionnement normal des cellules, est celui de l’homologue de la souris double minute 2 (MDM2), qui est une protéine régulatrice physique négative de p53 (p53 est une protéine suppresseur de tumeur bien connue décrite ci-dessous). La dérégulation des microARN qui contrôlent l’interaction complexe entre MDM2 et p53 entraîne, de manière prévisible, un risque accru de divers cancers [23, 138, 144-146] . Un autre exemple est l’amplification des répétitions d’ARN G4 dans la sclérose latérale amyotrophique/démence frontotemporale (SLA/FTD) ( gène C90RF72 ) et le syndrome du X fragile ( gène FMR1 ) [147] . Dans ces maladies, des changements dans les niveaux d’expression ou des mutations des protéines liant l’ARN G4 sont également rapportés, ce qui suggère que ces protéines ne peuvent pas exercer leur fonction critique pour la physiologie neuronale normale lorsqu’elles sont mutées ou dans des cellules présentant des expansions d’ARN G4 [147] .

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  55. Dans une large mesure, ces observations mettent en évidence la complexité évoluée de l’utilisation des codons et remettent en question les bases scientifiques de l’optimisation des codons en thérapeutique humaine.

    Les LNP utilisés dans les vaccins à ARNm sont hautement inflammatoires chez la souris
    Les LNP sont un composant essentiel des vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm, jouant un rôle clé dans l’amélioration de la stabilité in vivo de l’ARNm et dans l’amélioration de l’administration au cytosol des cellules présentatrices d’antigènes [148] . Les LNP sont constitués de quatre composants principaux : un phospholipide neutre, du cholestérol, un lipide polyéthylène-glycol et un lipide cationique ionisable [149] .

    Les propriétés hautement inflammatoires des LNP cationiques sont connues depuis 2010 [150] . Un rapport récent [150] a spécifiquement montré que les LNP utilisées dans les études précliniques sur le vaccin à ARNm modifié par des nucléosides contre la COVID-19 sont hautement inflammatoires chez la souris. L’injection intradermique de ces LNP a conduit à une infiltration massive de neutrophiles, à une activation rapide et robuste de diverses voies inflammatoires et à la production de diverses cytokines et chimiokines inflammatoires. L’administration intranasale a entraîné des réponses inflammatoires similaires dans les poumons [151] . Bien que l’activité adjuvante intrinsèque des LNP puisse contribuer à susciter une immunité protectrice, l’activation incontrôlée de diverses voies inflammatoires distinctes et convergentes et la sécrétion de cytokines et de chimiokines inflammatoires pourraient conduire à une inflammation et une cytotoxicité graves. Des études approfondies sont donc nécessaires pour cartographier les interactions entre les LNP cationiques et les récepteurs de reconnaissance de formes intracellulaires afin de découvrir les mécanismes intégrés et multiformes par lesquels ces lipides induisent l’activation de l’inflammasome [152] . De plus, s’il est probable que l’injection intramusculaire des complexes LNP-ARNm du vaccin COVID-19 déclenche des réponses similaires chez l’homme [151] , la nature exacte de ces réponses et leur chevauchement avec les signatures inflammatoires documentées chez la souris restent inconnues. De manière pertinente, les injections vectorisées d’adénovirus, contrairement aux vaccins à ARNm, n’induisent pas de réponses immunitaires innées graves (c’est-à-dire une tempête de cytokines), d’hyperinflammation ou de dommages majeurs dans les cellules ciblées [153] . À l’inverse, un COVID-19 sévère (qui touche environ 5 % de la population infectée par le SRAS-CoV-2) [154] déclenche une tempête de cytokines dans les tissus pulmonaires qui peut s’accompagner d’immunopathologie, de virémie et d’effondrement systémique de plusieurs organes [155-157]. ] .

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  56. Dans le contexte du cancer, l’inflammation prédispose au développement de la maladie et favorise toutes les étapes de la tumorigenèse [158] . L’inflammation extrinsèque de la tumeur est causée par de nombreux facteurs, notamment les infections bactériennes et virales, les maladies auto-immunes, l’obésité, le tabagisme, l’exposition à l’amiante et la consommation excessive d’alcool [158] . Environ 15 à 20 % de tous les cas de cancer sont précédés d’une infection, d’une inflammation chronique ou d’une auto-immunité au niveau du même tissu ou organe [158-164] . Dans de tels cas, une inflammation favorisant le cancer est induite et existe bien avant la formation de la tumeur. En revanche, l’inflammation intrinsèque au cancer ou provoquée par le cancer peut être déclenchée par des mutations initiatrices du cancer, contribuant ainsi à la progression maligne par le recrutement et l’activation de cellules inflammatoires [158] . L’inflammation tant extrinsèque qu’intrinsèque peut entraîner une immunosuppression, fournissant ainsi un contexte privilégié pour le développement d’une tumeur. Il convient de noter que les neutrophiles sont activement impliqués dans un réseau de réactions inflammatoires qui favorisent toutes les étapes de l’initiation, de la progression, de l’angiogenèse et des métastases de la tumeur [165-170] . Les neutrophiles forment des pièges extracellulaires à neutrophiles (TNE) qui, lorsqu’ils sont dérégulés, conduisent à l’exacerbation de l’inflammation [171,172] , à une progression incontrôlée du cancer, au réveil des DCC et à une dissémination métastatique, à la fois chez les modèles animaux et chez les patients atteints de cancer [173] . De plus, le microenvironnement tumoral, largement orchestré par les cellules inflammatoires, favorise la prolifération, la survie et la migration des cellules néoplasiques. De manière marquée, les réponses inflammatoires sont aggravées sur fond de conditions inflammatoires préexistantes, comme cela a été récemment démontré dans un modèle murin après l’administration d’ARNm-LNP [174] . Cet effet s’est avéré spécifique aux LNP, agissant indépendamment de la cargaison d’ARNm. Étant donné que les LNP s’accumulent souvent dans les tumeurs, en raison d’un effet de perméabilité et de rétention (EPR) accru [175-178] , la protection des cellules cancéreuses contre les stimuli de stress liés à la transformation, notamment l’inflammation et l’action pro-tumorigène des TNE, est d’une importance capitale. Comprendre les interactions entre les LNP et les neutrophiles [179] devrait donc être essentiel pour le développement de nanomatériaux sûrs et efficaces.

    La transcription inverse potentielle et l’intégration génomique d’ARN étranger sont une source d’instabilité génomique
    Une nouvelle étude d’Acevedo-Whitehouse et Bruno [180] discute de la possibilité que des parties du génome du SRAS-CoV-2 puissent subir une transcription inverse et une intégration génomique au sein des cellules infectées, conduisant à une transcription persistante des séquences intégrées. Cette hypothèse est basée sur une étude in vitro qui a détecté la présence de copies de transcription inverse des séquences du SRAS-CoV-2 dans des cellules humaines transfectées et a trouvé une transcription active des segments sous-génomiques intégrés [181] . Acevedo-Whitehouse et Bruno pensent que le même phénomène pourrait se produire dans les cellules humaines ayant reçu des vaccins à ARNm contre le COVID-19. En effet, une étude récente d’Aldén et al. [182] ont rapporté qu’un rétrotransposon endogène, à savoir l’élément nucléaire 1 longuement intercalé (LINE-1), n’était pas inhibé après l’entrée de l’ARNm de BNT162b2 dans la cellule. Cela a conduit à la transcription inverse des séquences complètes d’ARNm du vaccin et à l’entrée nucléaire ultérieure.

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  57. Si ces résultats sont confirmés in vivo, l’activité soutenue de LINE-1 non inhibée, qui est normalement réprimée dans les cellules somatiques, pourrait augmenter le risque de mutagenèse insertionnelle des molécules à transcription inverse, ce qui, à son tour, pourrait perturber les régions codantes, améliorer le risque de mutations dans les gènes suppresseurs de tumeurs et entraîne des dommages durables à l’ADN dans les cellules et les tissus ciblés par le vaccin [180] . La rétrotransposition LINE-1 est en effet une caractéristique majeure du cancer [183] ​​et est en corrélation avec les mutations de p53, les altérations du nombre de copies et les points de contrôle de la phase S du cycle cellulaire [184] . Il est important de noter que l’activation de LINE-1 augmente le risque de transition épithéliale-mésenchymateuse et de métastases dans le cancer épithélial, qui représente 80 à 90 % de tous les cancers humains connus [185] . Il existe donc un besoin urgent de clarté sur l’activation potentielle de LINE-1 induite par le COVID-19 et le vaccin COVID-19 et ses répercussions sur les cellules cancéreuses et/ou précancéreuses présentant des niveaux intrinsèquement élevés d’expression de LINE-1.

    De plus, si les séquences du vaccin à ARNm de pointe du SRAS-CoV-2 sont transcrites de manière inverse, intégrées dans le génome des cellules ciblées et exprimées sous forme de transcrits chimériques combinant des séquences virales et cellulaires, une dérégulation du système de liaison à la protéine ARN G4 pourrait favoriser davantage la malignité. . En effet, des études expérimentales et des prédictions bioinformatiques soutiennent l’idée selon laquelle les G4 sont impliqués dans différentes fonctions cellulaires associées à la fois aux processus de l’ADN (c’est-à-dire l’élongation des télomères, la recombinaison et la transcription) et aux mécanismes post-transcriptionnels de l’ARN (c’est-à-dire le traitement pré-ARNm, le renouvellement de l’ARNm, le ciblage). , et traduction) [186] . Comme indiqué précédemment, un nombre croissant de maladies différentes (c’est-à-dire transformation néoplasique et neurodégénérescence) ont été associées à une régulation inappropriée des ARN G4, illustrant l’importance potentielle de ces structures pour la santé humaine. Notamment, la formation de la structure G4, si elle n’est pas régulée efficacement, peut stimuler l’instabilité du génome, induisant des mutations, des délétions et des réarrangements chromosomiques macroscopiques complexes [187] . Une étude informatique comparant l’emplacement des sites potentiels de formation de G4 avec les points d’arrêt associés au cancer a révélé un chevauchement significatif, en particulier dans les cancers qui hébergent des mutations dans TP53 (le gène qui code pour p53). Ceci est souligné par des études informatiques sur des cellules de mélanome qui ont lié les régions G4 à des points chauds de mutation [188] . De plus, Hänsel-Hertsch et al. [189] ont identifié une corrélation directe entre les G4 et les changements mutationnels dans différentes entités du cancer du sein. Cela conforte l’idée selon laquelle la formation de G4 stimule et influence les taux de mutation dans différents cancers.

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  58. La sous-unité S2 de la glycoprotéine de pointe du SRAS-CoV-2 interagit avec les protéines suppresseurs de tumeurs p53 et le cancer du sein 1/2 (BRCA1/2) in silico
    À l’aide d’analyses bioinformatiques (in silico), Singh et Bharara [190] ont prouvé que la sous-unité S2 du SARS-CoV-2 interagit fortement avec les protéines suppresseurs de tumeurs bien connues p53 et BRCA1/2, qui sont fréquemment mutées dans les cancers humains. Ces protéines constituent une barrière majeure à la transformation néoplasique et à la progression tumorale grâce à leur capacité unique à agir comme des collecteurs extrêmement sensibles des entrées de stress et à coordonner un cadre complexe de diverses voies et processus effecteurs qui protègent l’homéostasie cellulaire et l’intégrité du génome. p53 et BRCA1/2 agissent principalement dans le noyau cellulaire en régulant la progression du cycle cellulaire, la réparation et la recombinaison des dommages à l’ADN et la transcription des gènes [191-193] . Cependant, ces protéines jouent également un rôle essentiel dans le cytoplasme, déclenchant l’apoptose et inhibant l’autophagie, contribuant ainsi à leur mission de suppresseurs de tumeurs [194,195] . Il a été rapporté que p53 de type sauvage était anormalement séquestré dans le cytoplasme d’un sous-ensemble de tumeurs humaines primaires [196] . Une myriade de mutations associées au cancer qui perturbent le ciblage nucléaire de BRCA1 limitent la protéine au cytosol et diminuent sa fonction nucléaire dans la réparation par recombinaison homologue des cassures de l’ADN [197] . Notamment, l’accumulation cytosolique de BRCA1 favorise les métastases du cancer du sein [198] et prédit indépendamment la survie, le grade de la tumeur et la récidive dans les cancers du sein sporadiques de type basal de bas grade [199] .

    Si, comme in silico, la sous-unité S2 de Spike interagit avec des protéines suppresseurs de tumeurs in vivo, une telle démonstration aurait des implications non seulement sur la santé à long terme des personnes touchées par le COVID-19, mais également sur celles qui ont reçu la vaccination contre le COVID-19. et des doses de rappel répétées. En effet, les vaccins à ARNm et à adénovirus vectorisés contiennent le matériel génétique qui ordonne aux cellules hôtes d’exprimer Spike. Comme décrit ci-dessus, les études de biodistribution du vaccin BNT162b2 ont révélé son accumulation dans différents organes 48 heures après l’inoculation [130-134] . Plus important encore, les LNP, qui sont un composant essentiel des vaccins à ARNm, s’accumulent préférentiellement dans les tissus tumoraux plutôt que dans les tissus sains en raison de l’effet EPR [175-178] . Sur la base de ces résultats, il est essentiel de déchiffrer la portée, le rôle détaillé et les conséquences biologiques des interactions potentielles entre S2 et les protéines suppresseurs de tumeurs (c.-à-d. p53 et BRCA1/2) chez les patients atteints de COVID-19 et les vaccinés, en particulier si ces interactions confèrent un avantage sélectif (c’est-à-dire promotion de la survie des cellules cancéreuses, de l’invasion, des métastases et de la chimiorésistance) aux cellules cancéreuses et/ou précancéreuses.

    Les cancers associés aux mutations TP53 comprennent le cancer du sein, les sarcomes des os et des tissus mous, les tumeurs cérébrales et les carcinomes corticosurrénaliens. D’autres cancers moins fréquents comprennent la leucémie, le cancer de l’estomac et le cancer colorectal [200] . Les cancers associés à une activité altérée de BRCA1 comprennent le cancer du sein, de l’utérus et des ovaires chez les femmes, le cancer de la prostate et du sein chez les hommes, ainsi qu’une légère augmentation du cancer du pancréas chez les hommes et les femmes [201,202] . Les cancers les plus fréquemment rapportés avec des mutations BRCA2 comprennent le pancréas, la prostate chez les hommes et le mélanome [203] .

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  59. Une dérégulation et/ou des modifications aberrantes des niveaux/activité de p53 [204,205] ainsi que la séquestration cytoplasmique de BRCA1 [206] ont également été liées à un dysfonctionnement neuronal. Par conséquent, l’interaction potentielle in vivo entre S2 et les protéines suppresseurs de tumeurs pourrait avoir des conséquences non seulement sur les cellules cancéreuses à cycle rapide, mais également sur les cellules non cycliques (notamment les neurones) et donc sur les maladies neurodégénératives à longue latence [207, 208] .

    La protéine transmembranaire du groupe de différenciation 147 (CD147), une nouvelle voie d’entrée de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans les cellules hôtes, est corrélée à divers cancers
    Récemment, une nouvelle voie d’entrée du SRAS-CoV-2 a été proposée, à savoir l’utilisation de la glycoprotéine transmembranaire CD147 [209] . Malgré une moindre affinité pour la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, par rapport à l’ACE2, le CD147 pourrait être un récepteur complémentaire dans la médiation de l’infection virale [210] . Bien qu’il manque actuellement des preuves sans équivoque soutenant une interaction directe entre Spike et CD147 [211] , la confirmation du CD147 en tant que nouvelle cible virale du SRAS-CoV-2 pourrait avoir de sérieuses implications pour les patients en oncologie. Le CD147 a été corrélé à divers cancers [212,213] et il a été démontré qu’il participe à la régulation positive du microenvironnement tumoral et à la progression du cancer par plusieurs mécanismes, à savoir le contrôle de la glycolyse et sa capacité bien connue à induire des protéinases conduisant à une dégradation de la matrice, invasion de cellules tumorales, métastases et angiogenèse [214] . Comme décrit précédemment pour ACE2, l’interaction possible de la glycoprotéine de pointe du SRAS-CoV-2 avec les récepteurs CD147 pourrait, grâce à l’activation des voies tumorigènes, ouvrir la voie à la progression et/ou à la récidive du cancer.

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  60. Envisagement de la vaccination contre la COVID-19 chez les personnes atteintes d’un cancer ou ayant des antécédents de cancer
    La vaccination contre le COVID-19 est la plus grande campagne de vaccination d’urgence jamais tentée dans l’histoire de l’humanité [215] . Bien que la pandémie ait largement disparu du discours public, environ 2 000 à 3 000 Américains meurent encore du COVID-19 chaque semaine [216] , et la même tendance est observée au Royaume-Uni [217] , peut-être parce que certains collectifs (c’est-à-dire les personnes âgées) , les personnes présentant des comorbidités et les personnes immunodéprimées) sont toujours confrontées à un risque élevé de maladie grave, en particulier maintenant que presque tous les pans de la société sont revenus à la normale. Par conséquent, la protection de millions de personnes reste un défi et une responsabilité considérables. Bien que les vaccins puissent avoir eu un impact significatif sur la prévention des décès, les conséquences graves des vaccins sur la santé peuvent passer inaperçues dans les essais cliniques et/ou les systèmes de surveillance passive tels que le VAERS, en particulier s’ils ont une latence moyenne ou longue et ne nécessitent pas une hospitalisation immédiate. Dans ce contexte, nous avons montré que les vaccins à base de glycoprotéines de pointe du SRAS-CoV-2 ont le potentiel d’interagir avec les protéines suppresseurs de tumeurs, de favoriser l’inflammation, d’activer les voies oncogènes et de perturber le réglage fin de la réponse immunitaire. Ces mécanismes dérégulés et ces voies de signalisation sont à l’origine de la plupart des types de cancer. De plus, le potentiel génotoxique du Spike a été récemment étudié chez des adultes de guppy ( Poecilia reticulata , également connu sous le nom de millionfish ou poisson arc-en-ciel) exposés à des fragments de Spike du SRAS-CoV-2 dispersés dans l’eau douce [218] . L’exposition à ces peptides a induit une instabilité génomique et des dommages à l’ADN dans les érythrocytes circulants de P. reticulata , qui étaient en corrélation avec un déséquilibre rédox marqué par une augmentation des taux de malondialdéhyde (MDA) dans le foie et le cerveau, ainsi qu’en supprimant l’activité antioxydante du foie. superoxyde dismutase (SOD) et catalase (CAT).

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  61. Malheureusement, la plupart des statistiques actuelles sur le cancer dans le monde (c’est-à-dire au Japon, en Australie, au Canada et en Europe) ne s’étendent pas au-delà de 2020 [234-239] , à moins qu’il ne s’agisse d’estimations ou de projections. Il est donc impératif de créer des bases de données mondiales de pharmacovigilance qui aident à prendre des décisions fondées sur les meilleures preuves disponibles à chaque instant. Aux États-Unis, du 7 janvier 2018 au 2 juillet 2022, les rapports hebdomadaires du CDC sur la mortalité et la morbidité (MMWR) ont répertorié environ 13 000 décès par cancer par semaine (fourchette : 12 221 à 14 845), avec des pics survenus en janvier 2021 (14 284 décès). ) et janvier 2022 (14 845 décès) [240] . Bien que l’agence de santé publique ait précisé que le nombre de décès par cancer (le cancer étant la cause sous-jacente) a légèrement augmenté entre 2018 et 2022, elle a principalement attribué la surmortalité par cancer à des causes sous-jacentes non cancéreuses, telles que le COVID-19. Il ne fait aucun doute que les pics de mortalité par cancer observés en 2021 et 2022 correspondent bien aux poussées hivernales de la COVID-19. Cependant, ils font également suite à deux grandes campagnes de vaccination et de rappel contre le COVID-19. Comme indiqué précédemment, les vaccins à base de protéines de pointe contre le SRAS-CoV-2 et le SRAS-CoV-2 favorisent la production de pointes dans les cellules humaines, ce qui, à la lumière de ce qui précède, pourrait faciliter la transformation maligne. Les enregistrements chaotiques de décès au cours des vagues pandémiques pourraient également avoir créé une distorsion des faits, trompant les efforts visant à prévenir les principales causes de décès par cancer (et autres). Il convient de noter que des recherches ont montré que, même dans des circonstances normales, les erreurs critiques dans les certificats de décès sont assez courantes aux États-Unis, la fréquence des erreurs allant de 18 % à 85 % ou plus dans les études menées en milieu hospitalier [241] .

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  62. En bref, malgré le fait que de nombreuses institutions [242,243] et auteurs [244,245] soutiennent que les vaccins contre la COVID-19 sont sûrs et (partiellement) efficaces chez les patients atteints de cancer, ces affirmations ne sont pas étayées et les recommandations sont largement déduites de la sécurité et de l’efficacité des vaccins. dans la population générale, les performances des autres vaccins chez les patients atteints de cancer et les altérations immunitaires inhérentes aux traitements anticancéreux actuels [246] . Compte tenu des preuves convergentes d’association temporelle et de plausibilité biologique, la contribution des vaccins génétiques contre le COVID-19 à la progression et à la récidive du cancer ne peut être exclue à l’heure actuelle. Pourtant, on pourrait affirmer que le potentiel oncogène du pic devrait également s’exercer lors de l’infection par le SRAS-CoV-2. Bien que cela soit en partie vrai, nous avons déjà évoqué le fait que les vaccins génétiques contre le COVID-19 et, en particulier, les injections d’ARNm sont radicalement différents de l’infection virale par le SRAS-CoV-2. Par conséquent, le rôle de la vaccination contre la COVID-19 et de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans les voies susceptibles de favoriser la malignité n’est peut-être pas comparable et mérite une enquête plus approfondie. En outre, si les dommages peuvent être attribués de manière concluante au véhicule LNP lui-même et/ou à l’ARNm synthétique modifié (indépendamment de la toxicité, ou de l’absence de toxicité, du Spike), cela pourrait avoir des implications pour le développement de nouveaux produits d’ARNm basés sur le même technologie de base [247] .

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  63. Au vu de l’état actuel de la technique, nous suggérons que les personnes atteintes d’un cancer ou ayant des antécédents de cancer ne devraient recevoir les vaccins génétiques contre la COVID-19 que si les bénéfices l’emportent clairement sur les risques et après une évaluation minutieuse au cas par cas. Plus important encore, il existe la possibilité que le risque de cancer dépende de la dose. Selon le « modèle de carcinogenèse à coups multiples » proposé par Sutherland et Bailer [248] , il faut plusieurs coups ou insultes différentes envers les cellules et leur machinerie génétique pour qu’une cellule normale devienne cancéreuse. Étant donné que les vaccins contre la COVID-19 ne constituent pas une série primaire de protection mais plutôt des injections périodiques (tous les six mois) sans aucun point d’arrêt, il est possible que seules les personnes ayant reçu plusieurs vaccinations (et/ou présentant un risque élevé de cancer ou de rechute de cancer) soient vaccinées. à un risque plus élevé de malignité. Des recherches cliniques et fondamentales multidisciplinaires comparant les bases cellulaires et moléculaires des effets oncogènes induits par le vaccin contre la COVID-19 et contre la COVID-19 pourraient aider à rééquilibrer le profil risque/bénéfice de ces produits. Les approches directes, telles que l’utilisation de modèles animaux, devraient tirer parti du développement récent de souris exprimant les récepteurs ACE2 humains [249,250] et de la disponibilité de modèles de souris cancéreuses [250] . Les études portant sur l’efficacité et la sécurité de la vaccination contre la COVID-19 chez les patients atteints de cancer, tant de manière prospective que rétrospective, sont fortement encouragées. Les facteurs associés au patient et au traitement méritent une attention particulière. La nécessité de bases de données plus fiables incluant des paramètres immunitaires largement mesurés ainsi que des données sur les niveaux de protéines de pointe dans le sang a été soulignée par d’autres [251] . Prises ensemble, ces études devraient fournir des données solides pour guider la mise en œuvre clinique, y compris le développement d’alternatives thérapeutiques (c’est-à-dire des LNP avec une chimie différente, une forme fermée de pointe non sujette à la liaison de l’ACE2 [252] , des vaccins ne ciblant pas les pointes [253] , des plateformes telles que COH04S1 [254] à haute tolérance et immunogénicité chez les personnes immunodéprimées, des interventions non pharmacologiques [255] , etc.), pour ceux qui ne bénéficient pas d’une vaccination active contre le COVID-19 (et ceux qui sont allergiques à certains des les composants du vaccin).

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  64. Conclusions

    Cette revue complète de la littérature vise à mettre en évidence le potentiel des vaccins génétiques contre la COVID-19, en particulier les vaccins à ARNm, pour répondre à l’hypothèse de l’oncogenèse à succès multiples proposée initialement par Sutherland et Bailor en 1984, dans la mesure où ils suscitent un milieu pro-tumorigène favorable. à la progression du cancer et/ou à la récidive (métastatique). Prouver que cette potentialité est fausse est une étape nécessaire pour satisfaire au premier principe de la médecine : « primum non nocere » (« d’abord, ne pas nuire »). En effet, toutes les crises mondiales posent d’énormes défis en matière de santé et de bien-être ; Pourtant, de telles exceptions ne devraient pas justifier un abaissement des normes scientifiques. Cela est particulièrement pertinent pour les médicaments prophylactiques destinés à protéger les populations vulnérables à haut risque à travers le monde. Précisément, le succès des nouveaux vaccins à base d’ARNm contre le COVID-19 a suscité un intérêt généralisé pour la technologie de l’ARNm comme solution à certaines des maladies infectieuses les plus mortelles (c’est-à-dire le paludisme, la tuberculose et le VIH/SIDA) pour lesquelles un traitement efficace et efficace. un vaccin facilement déployable est nécessaire de toute urgence. Cependant, étant donné que certains des mécanismes pro-oncogènes décrits sont indépendants de l’antigène, les problèmes de sécurité actuels doivent être rapidement résolus avant que les nanomédicaments à base d’ARNm ne transforment davantage la manière dont les maladies sont gérées et prévenues à l’avenir.

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  65. Les références

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  80. Hassan AO, Case JB, Winkler ES, et al. : Un modèle d’infection par le SRAS-CoV-2 chez la souris démontre une protection par des anticorps neutralisants . Cellule. 2020, 182 : 744-753.e4. 10.1016/j.cell.2020.06.011
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    Rathnasinghe R, Strohmeier S, Amanat F et al. : Comparaison des modèles de souris transgéniques et adénovirus hACE2 pour l’infection par le SRAS-CoV-2 . bioRxiv. 2020, 10.1101/2020.07.06.190066
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    Trivanović D, Peršurić Ž, Agaj A, Jakopović M, Samaržija M, Bitar L, Pavelić K : L’interaction du cancer du poumon, du COVID-19 et des vaccins . Int J Mol Sci. 2022, 23 : 10.3390/ijms232315067
    Carnell GW, Ciazynska KA, Wells DA, et al. : La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 stabilisée à l’état fermé induit de puissantes réponses neutralisantes . J Virol. 2021, 95 : e0020321. 10.1128/JVI.00203-21
    Les fabricants de vaccins contre le Covid-19 regardent au-delà de la protéine Spike . (2021). Consulté : 26 avril 2023 : https://www.theatlantic.com/science/archive/2021/05/spike-protein-vaccines-covid/618954/ .
    Vaccin contre le SRAS-CoV-2 (GEO-CM04S1) versus vaccin à ARNm contre le SRAS-COV-2 chez les patients atteints d’un cancer du sang . (2023). Consulté : 26 avril 2023 : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04977024 .
    Liu Y, Yu Q, Wen H, et al. : Ce qui compte : les interventions non pharmaceutiques pour le COVID-19 en Europe . Contrôle des infections par résistance aux antimicrobiens. 2022, 11:3. 10.1186/s13756-021-01039-x

    https://pgibertie.com/2024/01/18/une-synthese-de-255-etudes-sur-les-liens-entre-les-vacccxxxinations-covid-et-les-cancers/

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  81. Histoires de blessures causées par le vaccin à ARNm COVID : septicémie et amputation

    Lucinda Mullins, 41 ans, a eu un petit calcul rénal, a développé une septicémie et a perdu tous ses membres ; Anita Navas, une joueuse de softball de 13 ans, a eu une éruption cutanée et a perdu ses jambes


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    18 janvier 2024


    31 décembre 2023 – KY – Lucinda Cindy Mullins, 41 ans, a été hospitalisée avec un petit calcul rénal et une infection, et s'est réveillée avec les jambes amputées. Histoire ci-dessus.

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    Pourquoi cela arrive-t-il aux vaccinés à ARNm contre le COVID-19 ?

    Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 provoquent de graves dommages au système immunitaire
    Les infections mineures ne sont pas traitées correctement – ​​avec un système immunitaire endommagé, elles deviennent un problème plus grave, se propagent et peuvent se retrouver dans le sang = SEPSIS.
    La plupart des gens peuvent faire face au SEPSIS, mais ceux qui présentent des dommages immunitaires peuvent subir un CHOC SEPTIQUE = défaillance multiviscérale, caillots sanguins, arrêt cardiaque, etc.
    Le choc septique entraîne une insuffisance de sang circulant vers les extrémités, ce qui entraîne une ischémie, une nécrose et la nécessité d'AMPUTER LES MEMBRES.
    Exemples de ce qui arrive à d'autres personnes :

    26 décembre 2023 – Chattanooga, Tennessee – Anita Navas, 13 ans, a développé un mal d'oreille mais aussi une rougeur et un gonflement du pied et des bras. Elle a été hospitalisée avec un streptocoque du groupe A et une grippe de type B. Elle a subi un choc septique et a dû être amputée des jambes (son statut vaccinal contre le COVID-19 est inconnu, mais elle joue au softball et de nombreux enfants sportifs ont été forcés de se faire vacciner contre le COVID-19).

    - voir photo sur site -

    1er février 2023 – Willington, Royaume-Uni – Le footballeur de 20 ans Levi Dewey s'est rendu à l'hôpital avec des symptômes de grippe, puis a souffert d'une grave septicémie et a dû être amputé des deux jambes après avoir souffert d'une défaillance multiviscérale ( cliquez ici ).

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  82. 1er janvier 2023 – Julianna Bransden, professeur de piano au Royaume-Uni, a eu une pneumonie, qui a évolué vers une septicémie, un choc septique nécessitant l'amputation de ses membres ( cliquez ici ).

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    Julianna était entièrement vaccinée contre le COVID-19 . Le 23 décembre 2022, elle a développé des symptômes pseudo-grippaux et le 1er janvier 2023, elle a eu deux arrêts cardiaques, un choc septique, une défaillance systémique de plusieurs organes, nécessitant un réanimation complète .

    On lui a diagnostiqué une septicémie résultant d’une forme agressive de pneumonie. Après des semaines de combats, elle a dû subir une intervention chirurgicale pour amputer ses deux jambes sous le genou et perdra la plupart de ses doigts.

    24 octobre 2022 – Krystina Pacheco, 29 ans, a souffert du syndrome de choc toxique après avoir donné naissance à sa fille le 24 octobre 2022, entraînant l'amputation de ses mains et de ses pieds quelques jours plus tard.

    - voir photo sur site -

    Mon avis…
    Les médecins ne disent pas à leurs patients que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont endommagé leur système immunitaire et qu’ils risquent désormais de développer des infections mineures qui pourraient devenir des problèmes potentiellement mortels tels que la septicémie, le choc septique, l’arrêt cardiaque, la défaillance d’un organe et l’amputation.

    Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 endommagent le système immunitaire et chaque dose de rappel provoque des dommages immunitaires supplémentaires.

    Cela a été prouvé par Shrestha et al. étude publiée le 19 avril 2023 ( source ), qui a montré que parmi 51 017 employés de la santé de la Cleveland Clinic, ceux qui prenaient plus de vaccins contre la COVID-19 présentaient un risque plus élevé d'infection par la COVID-19 :

    - voir doc sur site -

    Incidence cumulative de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) pour les participants à l'étude stratifiée selon le nombre de doses de vaccin COVID-19 précédemment reçues. Le jour 0 était le 12 septembre 2022, date à laquelle le vaccin bivalent a été proposé pour la première fois aux salariés. Les estimations ponctuelles et les intervalles de confiance à 95 % sont instables le long de l'axe des X pour améliorer la visibilité.

    - voir doc sur site -

    Description de la Cleveland Clinic du choc septique :

    - voir doc sur site -

    https://www.globalresearch.ca/covid-mrna-vaccine-injury-stories-sepsis-amputation/5846724

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  83. La guerre des vitamines

    Qui paie pour vos médias ?


    DR NAOMI LOUP
    18 JANVIER 2024


    Qui paie pour vos médias ?

    Cet essai vise à vous informer sur l’importance de construire une économie médiatique parallèle et indépendante et à vous expliquer comment y parvenir.

    Je ressens le besoin d'aider les gens à comprendre les aspects économiques d'une presse libre, à ce moment critique de l'histoire, en raison de deux récentes attaques mal informées contre moi et contre mon site d'information et de démocratie DailyClout, par des personnes qui ne sont pas formées. en tant que journalistes.

    Le Dr Robert Malone, biologiste moléculaire, ancien entrepreneur du gouvernement et, selon sa biographie, inventeur de la technologie de l'ARNm – et le Dr Simon Goddek, ancien universitaire spécialisé en aquaponie, devenu entrepreneur en vitamine D – m'ont attaqué publiquement ; Le Dr Malone a également attaqué DailyClout.

    J'essaie toujours d'être civil, voire amical, envers tous mes collègues. Je vois souvent le Dr Malone lors d'événements, où nous sommes cordiaux (j'adore sa talentueuse épouse et partenaire commerciale, Jill Glasspool Malone). J'ai été parmi les premiers animateurs connus (sinon le premier) à interviewer le Dr Goddek, lorsque j'ai compris à quel point l'alarme qu'il essayait alors de tirer était importante, à savoir que les tests PCR avaient été soumis à un examen par les pairs en un rien de temps.

    Le Dr Goddek m'a ensuite interviewé, toujours sur son propre site : « Cette semaine, j'ai eu une conversation fantastique avec Naomi Wolf. » En effet, j'ai continué à parler au Dr Goddek alors même que notre ours de basse-cour se promenait dehors.

    Mais malheureusement, dans les deux cas, notre collégialité a brusquement changé. Le Dr Goddek a récemment écrit, faisant référence au fondateur de l'un des sponsors de DailyClout, The Wellness Company, qui compte également le Dr Peter McCullough et d'autres héros de la liberté en matière de santé dans son équipe de direction :

    « De gauche à droite : Foster Coulson, propriétaire de The Wellness Company, et Blackface Justin. Jamais auparavant une opposition contrôlée n’a été aussi évidente que dans ce cas. Le fait qu’ils « achètent » toutes les voix critiques de Naomi Wolf, en passant par « Vigilant » Fox, jusqu’à Rumble en dit long. [C'est moi qui souligne].

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  84. Le Dr Malone a également publiquement attaqué moi-même et mon entreprise, pour des raisons obscures similaires :

    « Vigilant Fox News est entièrement financé par The Wellness Company (TWC). Cette pièce à succès récente est en fait une propagande clairement financée par les entreprises. TWC dépense des sommes colossales pour acheter les services d'influenceurs, de sites de médias alternatifs et de médecins afin de soutenir ses campagnes marketing. [C'est moi qui souligne]. Gateway Pundit a également accepté le financement de TWC. [C'est moi qui souligne] Et il y en a bien d'autres. La société à but non lucratif Epoch Times ne l’a pas fait. […] Parmi les autres salariés du TWC figurent Children's Health Defense et Daily Clout. [C'est moi qui souligne] »

    Pourquoi est-ce que je prends la peine de répondre aux coups du Dr Goddek et du Dr Malone ? Faire face à des critiques infondées n’est pas ma méthode habituelle. J'essaie d'ignorer les attaques. J’essaie, oui, « d’être une dame », ce terme démodé qui tenait à juste titre à ma grand-mère.

    Mon choix habituel d’ignorer les attaques est également stratégique. J'étudie l'histoire des mouvements démocratiques. Les dirigeants tyranniques encouragent toujours les luttes intestines et les tirs mutuels entre collègues dissidents, afin d’affaiblir l’opposition. Les monstres mondiaux veulent que nous, membres du mouvement pour la liberté, nous retournions les uns contre les autres, plutôt que de conserver notre artillerie (c’est une métaphore, ne m’arrêtez pas) pour les monstres mondiaux eux-mêmes.

    Lorsque les dirigeants dissidents succombent à ces luttes intestines, le chaos et la méchanceté dégradent toujours les mouvements de liberté, et les tirs isolés internes préparent toujours le terrain à leur effondrement.

    Mais dans ce cas-ci, les attaques causent des dommages matériels à moi et à mon personnel, et sont tout simplement erronées. Pire encore, ils désinforment les gens sur les aspects économiques d’une presse libre. Ils exigent donc que je réponde.

    Les attaques des deux hommes révèlent – désolé, je dois le dire franchement – une ignorance des fondements de l’éthique du journalisme traditionnel.

    On ne peut pas reprocher au Dr Malone et au Dr Goddek leur manque de connaissances sur le fonctionnement des entreprises de presse indépendantes. Ils ne sont pas issus du monde du journalisme.

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  85. Une grande bénédiction de ce moment est que des non-journalistes se sont lancés dans le journalisme – à une époque où les journalistes des médias traditionnels ont lamentablement manqué à leurs obligations professionnelles d’être non achetés, impartiaux et non corrompus. Le meilleur journalisme sur Substack, par exemple, est désormais réalisé par des personnes qui n'ont pas de formation de journaliste professionnel ou qui n'ont pas passé leur carrière dans le secteur de l'information : le Dr Goddek et le Dr Malone eux-mêmes ; Steve Kirsch, fondateur et président de plusieurs startups technologiques ; Dr McCullough, un éminent cardiologue ; Alexandra (Sasha) Latypova, dont la carrière antérieure était dans la recherche pharmaceutique. Amy Kelly, chef de projet Six Sigma Black Belt avec une formation en télécommunications, et ma COO, ont raconté certaines des histoires les plus importantes de notre époque. Je pourrais continuer, et je m'excuse de ne pas avoir l'espace pour nommer toutes les sommités non formées en tant que journalistes, qui sont intervenues pour perpétuer le noble héritage du véritable reportage d'investigation, à une époque où des organes d'information tels que le New York Times et CNN sont complètement achetés par ceux – en particulier par les intérêts pharmaceutiques – qui devraient faire l’objet des reportages les plus critiques.

    Mais cette bénédiction – de la montée des « nouveaux journalistes » qui ne sont pas journalistes – contient aussi plus qu’une malédiction. Le fait qu’il s’agisse désormais du Far West journalistique – dans le bon sens – inclut également les aspects négatifs du Far West.

    Permettez-moi d'expliquer aux lecteurs – et j'espère également au Dr Malone et au Dr Goddek – les faits essentiels concernant « Media 101 ».

    Tout d’abord, le journalisme éthique est précis. Ce n’est pas parce que vous pouvez faire une fausse déclaration, ici dans le Far West de Substack et Rumble et sur d’autres réseaux sociaux, que vous devriez le faire.

    Il est parfois regrettable, par exemple, que toutes les merveilleuses voix indépendantes non-journalistes ne bénéficient plus du bénéfice des rédacteurs en chef, des éditeurs, des avocats d’entreprise – ou des codes d’éthique des journaux.

    La raison pour laquelle ce n’est pas génial est que le rôle traditionnel, dans une organisation de presse éthique, d’un rédacteur en chef ou d’un avocat du journal est d’avertir un écrivain lorsque quelque chose est faux, calomnieux, diffamatoire ou dont les sources sont trop inadéquates pour être publié.

    En raison de l'effondrement de ce système et des nombreuses nouvelles voix qui s'expriment en dehors des institutions de presse traditionnelles, les « nouveaux journalistes » tels que le Dr Goddek et le Dr Malone manquent souvent de contrôles sanitaires sur les déclarations préjudiciables et/ou fausses qui « « L’ancien » journalisme éthique traditionnel fournissait institutionnellement aux écrivains.

    Le rôle d'un éditeur est de forcer l'éditeur et l'écrivain à apporter des corrections publiques si quelque chose est faux, diffamatoire ou dont les sources sont trop inadéquates pour être imprimées.

    Et le rôle de l’avocat de l’entreprise de presse est de lire à l’avance les articles potentiellement diffamatoires et de souligner s’ils risquent d’exposer l’auteur ou la publication d’information à des litiges, ou de formuler des allégations illégales (c’est-à-dire diffamatoires ou diffamatoires). De tels articles ou déclarations constituent également en eux-mêmes du mauvais journalisme, un procès ou pas de procès.

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  86. En l’absence de ces contrôles éthiques traditionnels du journalisme, et sans formation professionnelle ni expérience professionnelle dans les paramètres du journalisme éthique traditionnel, quelques membres du mouvement pour la liberté se sont lancés dans une série de propos diffamatoires, inexacts, trompeurs et/ou mal sourcés. attaques les uns contre les autres (« État profond ! » « Opposition contrôlée ! » « Acheté les services »).

    (Dans le cas du cofondateur/activiste des Freedom Flyers américains Josh Yoder et de l'animateur de podcast Pete Santilli, par exemple, les affirmations que j'ai dû réfuter récemment étaient tout simplement inventées de toutes pièces et diffamatoires. Elles n'auraient jamais été autorisées à sortir du public. une rédaction gérée de manière éthique).

    Il est en effet très mauvais pour notre discours de ne pas avoir d’éthique journalistique traditionnelle – qui exige exactitude, preuves et légalité – modérant ce que nous disons les uns sur les autres en public. Cela signifie que le seul obstacle à une diffamation pure et simple réside dans les lettres des avocats. Malheureusement, sans rédacteurs ni éditeurs autour de nous, seuls les avocats sont chargés de restreindre les attaques fausses ou non sourcées qui nuisent à la réputation, dans la mêlée générale des médias sociaux.

    Ce système binaire, factuellement inexact, ou encore litigieux, n’est pas bon pour la liberté d’expression ni pour un débat vigoureux et fondé sur des principes. En fin de compte, cela fait froid dans le dos pour la liberté d’expression. C’est aussi coûteux et destructeur. Il est globalement mauvais pour le mouvement pour la liberté de n’avoir aucun contrôle éthique sur les fausses déclarations, aucune obligation interne de fournir des sources ou des preuves appropriées, rien pour empêcher la pure calomnie, à l’exception de la peur des lettres juridiques.

    Il existe d’autres principes fondamentaux du journalisme traditionnel éthique que mes critiques ci-dessus semblent ne pas comprendre.

    Le deuxième principe fondamental est l’éthique de la divulgation.

    Je gère un site d'information selon les normes éthiques journalistiques traditionnelles. Il ne reste presque plus personne dans ma profession pour faire cela – (je ne compte qu’une poignée de journalistes formés sur la scène nationale qui perpétuent cette tradition).

    DailyClout - et moi personnellement - nous engageons donc toujours à divulguer tout conflit d'intérêts. Voici le code de déontologie de la Société des journalistes professionnels :

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  87. « Les journalistes devraient :

    Assumer la responsabilité de l’exactitude de leur travail. Vérifiez les informations avant de les publier. Utilisez des sources originales autant que possible.

    N'oubliez pas que ni la vitesse ni le format n'excusent l'inexactitude.

    Fournissez le contexte. Faites particulièrement attention à ne pas déformer ou simplifier à l’excès la promotion, la prévisualisation ou le résumé d’une histoire.

    Recueillir, mettre à jour et corriger les informations tout au long de la durée d'un reportage. […]

    Évitez les conflits d’intérêts, réels ou perçus. Divulguez les conflits inévitables.

    Refusez les cadeaux, faveurs, honoraires, voyages gratuits et traitements spéciaux, et évitez les activités politiques et autres activités extérieures susceptibles de compromettre l'intégrité ou l'impartialité, ou de nuire à la crédibilité.

    Méfiez-vous des sources offrant des informations contre des faveurs ou de l’argent ; ne payez pas pour accéder aux informations. Identifiez le contenu fourni par des sources externes, qu’il soit payant ou non.

    Refusez tout traitement de faveur accordé aux annonceurs, aux donateurs ou à tout autre intérêt particulier, et résistez aux pressions internes et externes visant à influencer la couverture médiatique.

    Distinguez l’actualité de la publicité et évitez les hybrides qui brouillent les frontières entre les deux. Étiquetez bien en évidence le contenu sponsorisé. […] »

    Les journalistes traditionnels et éthiques doivent révéler les conflits.

    C'est ce que nous faisons chez DailyClout et moi-même, toute la journée.

    Le problème du Far West du journalisme par des non-journalistes, aussi passionnant que cela puisse être, est que ces écrivains ne sont souvent pas familiers avec l'éthique journalistique traditionnelle en matière de divulgation, ou ne se sentent pas liés par celle-ci.

    Par exemple, le Dr Goddek a lancé une entreprise qui est un concurrent direct de The Wellness Company sur le marché. Sunfluencer est une gamme de suppléments de vitamine D et d'oméga 3. Dans le journalisme et les processus éditoriaux traditionnels, ce conflit d’intérêts classique serait un signal d’alarme pour quiconque rendrait compte de l’antagonisme du Dr Goddek à l’égard de son concurrent dans « la guerre des vitamines », The Wellness Company. Mais le Dr Goddek, qui n’est pas journaliste, ne révèle pas ce conflit d’intérêts lorsqu’il attaque The Wellness Company ou les sites d’information qui acceptent la publicité de TWC.

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  88. En revanche, moi et DailyClout en tant que site d’information divulguons toujours immédiatement tout conflit d’intérêts. C'est pourquoi, dans les interviews, je dis toujours : « Dr Harvey Risch de The Wellness Company – divulgation, nos sponsors ». Ou : « Brian O'Shea de « Unrestricted Invasion » – divulgation, mon mari.

    Cette divulgation est éthiquement normative dans le véritable journalisme traditionnel. Cela permet au public de savoir qu'il existe un possible conflit d'intérêts, afin qu'il puisse prendre ses propres décisions concernant les informations fournies.

    En ne révélant pas son conflit d’intérêts, le Dr Goddek se comporte de manière contraire à l’éthique, conformément au journalisme traditionnel. Et comme nous ne pouvons pas savoir quels conflits le Dr Malone peut avoir, nous ne pouvons pas évaluer ses attaques soudaines contre moi et contre mon entreprise. Cela est vrai pour tous les commentateurs indépendants qui n’ont pas de formation de journaliste, dans ce nouveau Far West des blogs ; s’ils ne s’autocontrôlent pas en révélant leurs propres conflits, comme je le fais, encore une fois, il n’y a pas d’ombudsman ou d’éditeur pour obliger cette divulgation au lecteur.

    Le dernier principe du journalisme traditionnel éthique que le Dr Goddek et le Dr Malone ne semblent pas comprendre est la manière dont les sites d’information éthiques gèrent les revenus publicitaires et les annonceurs.

    Nous sommes censés distinguer clairement la publicité du contenu éditorial.

    Comme le montre le code d'éthique ci-dessus, il est tout à fait approprié pour un site d'information traditionnel éthique d'accepter des sponsors ou des annonceurs si le contenu sponsorisé est clairement identifié afin qu'aucun lecteur ne puisse le confondre avec un éditorial. C'est pourquoi DailyClout met toujours les mots « Sponsorisé » ou « Contenu sponsorisé » sur chaque TWC ou autre publication sponsorisée par un annonceur. Cette distinction claire entre les publicités ou le contenu sponsorisé par les annonceurs et le contenu éditorial constitue une base, un principe fondamental du journalisme éthique traditionnel indépendant. Cette division claire et inattaquable entre le contenu publicitaire et le contenu éditorial était autrefois appelée, dans le secteur de l’information, la « muraille de Chine ».

    Ce principe de base du secteur de l’information, que tout journaliste éthique traditionnel comprend pleinement et clairement, est, à mon avis, ce que le Dr Goddek et le Dr Malone brouillent ou obscurcissent pour les lecteurs imprudents, lorsqu’ils emploient des termes aussi inexacts et trompeurs tels que « acheter les services de influenceurs, sites de médias alternatifs », « rachetant » toutes les voix critiques », « ayant accepté le financement de TWC » et « sur la masse salariale de TWC ».

    Toutes ces invectives démontrent malheureusement un manque de connaissances de base du métier de journalisme éthique et traditionnel. Je ne peux parler que pour moi et pour mon site d'information, mais nous suivons les directives éthiques du journalisme concernant les publicités par rapport aux éditoriaux à chaque minute de chaque jour.

    Comme tout vrai journaliste, rédacteur en chef ou éditeur le sait, accepter des publicités et des parrainages est très différent de ce qui est malicieusement sous-entendu aux lecteurs par des expressions telles que « sur la liste de paie ». Les publicités ne doivent en aucun cas affecter le contenu éditorial, lorsque vous respectez les normes d’éthique journalistique, et elles doivent toujours être clairement indiquées, comme nous le faisons.

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  89. DailyClout fait très attention à nos annonceurs et sponsors, et nous n'accepterons jamais un annonceur qui nous censure, ou qui nous demande de brouiller cette ligne claire que nous établissons entre les publicités et l'éditorial.

    Mais assez de ma résistance aux attaques absurdes et mal informées. Le problème soulève une question bien plus vaste et incroyablement importante.

    Qui paie pour vos médias ?

    Pour tout site d’information, il existe une économie. Quelqu’un paie ou récolte de la valeur. Même si un site d’actualités semble gratuit, vous le payez probablement d’une manière qui ne vous semble pas évidente.

    Nous vivons à une époque où nous devons vraiment comprendre les aspects économiques du journalisme, afin de pouvoir développer et protéger les informations indépendantes et les voix dissidentes.

    C'est un truisme dans le secteur de l'information qu'il n'existe que trois modèles économiques : les « globes oculaires » – ou l'attention, également mesurée en termes de « portée » et d'« engagement », tous ces éléments étant des mesures vendues aux annonceurs ; les abonnements (ce chiffre incluant généralement les ventes en kiosque) ; et, plus récemment, les données : de nombreux sites Web profitent de leur contenu fascinant « gratuit », mais récoltent ensuite, sans généralement que vous les compreniez pleinement, vos données personnelles, vos centres d'intérêt, votre localisation, voire même des données sur votre âge, votre taille. et les problèmes médicaux. Ensuite, ils conditionnent et vendent ces informations aux spécialistes du marketing et à d’autres personnes ayant des objectifs encore moins manifestes.

    De tous ces modèles commerciaux, le modèle publicitaire simple, avec les abonnements payants, est le plus propre, le plus susceptible de soutenir des reportages d’enquête indépendants et impartiaux et le plus protecteur de la vie privée des lecteurs.

    La période d’après-guerre jusqu’aux années 2000 a été l’âge d’or des journaux américains, dans le sens où il existait de nombreux journaux robustes ; il existait une norme d'éthique journalistique, souvent sinon toujours suivie par des médias tels que le New York Times et le Washington Post ; et il y avait d'innombrables excellents journaux régionaux et locaux.

    Comment le Times, le Washington Post et les centaines de journaux locaux et régionaux robustes ont-ils pu donner à leurs journalistes d’investigation le temps et les ressources nécessaires pour fouiller dans les histoires et rapporter leurs conclusions sans crainte ni faveur ?

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  90. La réponse modeste est : via les sections de petites annonces de ces journaux.

    Les annonces pour des voitures ou des réfrigérateurs, ou les annonces « Aide recherchée », dans les sections de petites annonces, payaient la plupart des coûts de gestion d'un journal. Les publicités en première page des journaux, sur les côtés, en haut (bannières publicitaires) ou en bas, ont également payé la facture des reportages indépendants. Dans le New York Times, par exemple, l’espace publicitaire le plus coûteux se trouve dans le coin inférieur droit de la page Op Ed.

    L'autre source de revenus des journaux était, traditionnellement, les abonnements payants : remplis par le livreur de papier ou la fille de papier à vélo, jetant des journaux sur la pelouse des personnes qui envoyaient leur argent chaque mois pour ce service. Ou bien il y avait des revenus fiables provenant des gens qui prenaient le journal avec leur café et leurs bagels, le matin, alors qu'ils s'apprêtaient à prendre le métro pour se rendre au travail.

    Le fait qu’un éditeur de journal puisse compter chaque mois sur une source de revenus de base provenant de ces deux sources – les petites annonces et les abonnements (y compris les ventes en kiosque) – signifiait qu’il pouvait généralement se détendre face au défi du paiement des factures ; et ces revenus réguliers et prévisibles ont permis aux journalistes d’investigation de faire de leur mieux – c’est-à-dire de leur mieux – dans l’intérêt public.

    Eh bien, tout cet écosystème qui permettait de produire des rapports indépendants et solides s’est effondré avec l’essor d’Internet.

    Vers 2010 environ, les publicités en ligne avaient détruit les sections classées de nombreux journaux (et tué également de nombreux journaux physiques).

    La montée en puissance de Cars.com et des plateformes de publicité numérique similaires pour la vente de voitures a démoli les annonces de vente de voitures dans les journaux. La montée en puissance de plateformes telles que Ziprecruiter.com a éliminé le besoin de sections « Aide recherchée » dans les journaux.

    En 2011, Arianna Huffington a vendu le Huffington Post, avec son armée de 18 000 blogueurs non rémunérés, au PDG d'AOL, pour 315 millions de dollars. À ce stade, la rentabilité échappait encore au site Web, selon la Hussman School of Journalism and Media de l’UNC, mais elle a laissé sa marque sur l’environnement de l’information – et a terrifié les autres éditeurs – en habituant les consommateurs d’informations à un contenu « gratuit ».

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  91. Si vous étiez journaliste, rédacteur ou éditeur de 2015 à 2020, la plupart de nos conversations revenaient à la reconnaissance angoissée du fait qu'Internet mettait fin au modèle économique existant sur lequel nous avions tous compté tout au long de notre carrière, pour financer des projets indépendants, un journalisme rigoureux. Personne ne savait vraiment quoi faire pour sauver le journalisme ou les journaux, même si les éditeurs ont tenté de nombreuses expériences désespérées au cours de ces années-là.

    Comme si toutes ces menaces contre l'ancien modèle économique central de l'industrie de l'information n'étaient pas assez graves, les grands financiers ont lancé une campagne systématique pour racheter les journaux régionaux et les regrouper dans des sites numériques qui ont adouci les reportages d'investigation et les ont supprimés. avec une couverture locale très dure, notamment sur la corruption politique.

    Une fois achevée cette étape de mise en sourdine de l’information locale, des entités encore plus riches ou partisanes, et non plus locales, se sont à leur tour emparées de ces plateformes. La société d'investissement Alden Capital a racheté The Baltimore Sun en 2021 (il vient d'être revendu à la chaîne de diffusion Sinclair). Le vénérable Maine Bangor Daily News et son empire familial connexe ont été rachetés en 2023 et vendus à une « organisation à but non lucratif » nationale. Des achats similaires, souvent effectués par des entités opaques ou de grands conglomérats sans rapport avec l’information locale, ont rongé les médias locaux à travers le pays. Les intérêts technologiques ont également vidé ce qui était autrefois des médias indépendants : Jeff Bezos d’Amazon a racheté le Washington Post. La femme d’affaires milliardaire Laurene Powell Jobs, veuve de Steve Jobs, via son groupe The Emerson Collective, a pris une participation majoritaire dans The Atlantic.

    À ces attaques via l'achat de journaux locaux et l'acquisition de sites d'information indépendants, s'ajoute le rôle de Facebook : en 2018, Facebook est devenu essentiellement le plus grand distributeur de contenu d'information, transformant la plateforme de médias sociaux en un concurrent des sites d'information, ce qui a provoqué difficulté pour les éditeurs qui tentent de rentabiliser les paywalls. Puis, en 2019, Facebook a ajouté l’insulte à l’injure en rétrogradant le contenu des actualités dans l’algorithme de l’entreprise.

    Tous ces efforts, d’ici 2020, comme si c’était intentionnel, ont laissé les médias traditionnels sans leurs sources de revenus fiables passées, ni même un modèle économique décent ; et complètement dans les cordes.

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  92. Ainsi, en 2021, lorsque la Fondation Bill et Melinda Gates et la loi CARES ont offert des millions de dollars aux médias et aux influenceurs pour « surmonter leur hésitation à l’égard de la vaccination », les anciens sites d’information n’étaient pas en position de force pour refuser cette pomme empoisonnée.

    Presque tous les médias traditionnels ont brûlé leurs propres ponts éthiques et ont pris l’argent.

    Les lecteurs, cependant, ont rapidement compris la corruption, via l'argent, de leurs sources d'information. En 2022, la confiance dans les médias traditionnels était à un niveau presque record.

    Ce qui est arrivé ensuite? La montée des médias indépendants ou dissidents.

    WarRoom de Bannon, Substack, X, DailyClout, Brownstone Institute, The Defender de CHD, The Highwire de Del Bigtree et de nombreux autres sites, qui présentaient du contenu non censuré ou des écrivains non achetés, ont gagné en influence et en portée. Les éditeurs indépendants sans censure, tels que Skyhorse et Chelsea Green et All Seasons Press (divulgation : mes éditeurs), se sont développés, alors même que le New York Times publiait des articles désagréables sur Skyhorse et l'industrie de l'édition qualifiant Chelsea Green de « controversée » et de « Into ». Un site Web culturel a accusé All Seasons Press de vouloir publier « les écrivains les plus grossiers d'Amérique ».

    Sur quoi s’appuyaient tous ces médias indépendants et révélateurs de la vérité ?

    Ventes de livres, abonnements, revenus publicitaires et dons.

    Alors, qui et quelles sources de revenus soutiendront le nouvel écosystème médiatique ?

    Alors que nous cherchons à construire une économie parallèle solide de médias d'information, je plaiderai en faveur de ce que chaque éditeur et rédacteur en chef savait à l'âge d'or du journalisme américain : que la meilleure façon de garantir des reportages propres et des informations impartiales dans un écosystème de nouveaux médias, il ne s’agit pas de s’attaquer à une publicité claire et éthiquement identifiée pour les nouveaux médias, mais plutôt de développer et de soutenir les revenus publicitaires des médias alternatifs et des voix dissidentes ; et encourager les lecteurs à être prêts à payer à nouveau des abonnements et à acheter les livres d’écrivains et d’éditeurs dissidents.

    Quels types de financement et de sources de revenus permettent de faire entendre des voix réellement indépendantes ?

    Un contrat gouvernemental, comme le Dr Malone le sait sûrement, ne permet pas nécessairement aux gens de s'exprimer librement. Les cours universitaires, comme le Dr Goddek doit le savoir, ne garantissent plus la liberté d’expression. Les organisations à but non lucratif sont confrontées à leurs propres défis, car les donateurs exercent trop souvent des pressions sur la forme du contenu que leur financement contribue à produire.

    Dans une économie des nouveaux médias, le modèle économique éprouvé des publicités identifiées de manière éthique, des abonnements des lecteurs et des ventes de livres garantira un écosystème sain de nouvelles publications fortes, pouvant être planifiées de mois en mois sans crises financières ni risques d’effondrement.

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  93. Et voilà : vous obtenez les médias d’information et les maisons d’édition pour lesquels vous payez.

    Plutôt que d'attaquer par ignorance ceux d'entre nous qui présentons un journalisme et un militantisme courageux aux lecteurs, tout en demandant à nos lecteurs de soutenir nos annonceurs, de s'abonner ou d'acheter nos livres, le Dr Malone et le Dr Goddek devraient reconnaître que la seule manière d'avoir une Un écosystème fort et résilient de voix indépendantes, qui peut réellement résister au fascisme et à la propagande à chaque instant, consiste à ce que des millions de personnes soutiennent les éditeurs et achètent les produits des annonceurs des dissidents, et s'abonnent, personnellement, aux plateformes ou aux plateformes des dissidents. également des podcasts.

    Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons réellement construire une économie complètement parallèle, avec le flux vital de la liberté d’expression véritablement protégé, dans une Amérique et un monde libres.

    En prenant du recul, la dernière chose à laquelle je souhaite faire appel, après l'expérience décevante d'avoir été agressé si malencontreusement par ces deux hommes, c'est la communauté et la courtoisie. Comme l’a observé Bret Weinstein, le mouvement pour la liberté en matière de santé traverse une période de guerre intestine. Jamais auparavant je n'avais fait partie d'un groupe de professionnels adultes qui se comportaient dans certains milieux avec autant d'irresponsabilité et d'immaturité, en termes d'injures, de territorialité et de petites querelles.

    Une partie de cette triste situation est due, je pense, au fait que nous n’avons pas ou peu de lieux de rassemblement physiques ; nous sommes souvent seuls devant nos claviers. Si nous étions obligés de nous affronter au salon des professeurs ou, comme à Oxford, dans la « salle commune des seniors », ou même à la poste, au centre commercial ou lors de repas-partage ou de dîners entre amis, les invectives seraient il faut se tempérer. Les gens auraient la possibilité de débattre face à face et peut-être même de trouver un terrain d’entente, contrairement à la situation actuelle des militants du mouvement pour la liberté tirant en toute sécurité derrière leurs écrans d’ordinateur, récoltant des « j’aime ».

    Les gens du mouvement savent que j’aime faire la fête et j’invite tous ceux qui me viennent à l’esprit. (Si je ne vous ai pas encore invité, désolé ; envoyez-moi votre email et je vous ajouterai à la liste).

    J'invite le Dr McCullough. J'invite le Dr Alexander. J'invite les Breggins. J'invite les Malone.

    J'invite toutes sortes de personnes, qu'elles se parlent ou non.

    Pourquoi est-ce que je fais cela, obstinément, encore et encore ?

    Ce n'est pas parce que je suis un papillon social. J'aime les bonnes fêtes.

    Mais j’ai ces rassemblements et je continue d’envoyer ces invitations parce que j’ai étudié l’histoire fragile des mouvements dissidents.

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  94. Si nous ne sommes jamais ensemble dans une pièce, en train de prendre un verre de vin, de débattre de nos différences ; ou obligés de nous lever, en présence de notre hôtesse, avant que nous soyons tous sur le point de nous asseoir pour un délicieux dîner, face à face avec la personne même que nous avons appelée, derrière les barrières de nos claviers, des noms horribles - le mouvement simplement ne peut pas survivre.

    S'il n'existe jamais de contexte physique réel dans lequel créer des liens de compassion et de courtoisie, et peut-être même d'amitié là où nous nous y attendons le moins, un contexte humain dans lequel nous sommes obligés de devenir plus que des chiffres numériques ou des signatures abstraites pour un seul. un autre; de simples pixels qui peuvent être blessés, maculés ou ciblés à volonté – le mouvement ne peut tout simplement pas survivre.

    Il se brisera en mille petits morceaux. Et seuls les monstres mondiaux seront en fête.

    Et ce que nous faisons tous ensemble, dans le mouvement pour la liberté, en cherchant à sauver les corps, la civilisation, la vie, la médecine, la science, le journalisme, la parole elle-même et la liberté par-dessus tout, est trop important –

    Alors que je cherche à vous persuader tous, y compris même mes détracteurs...

    Pour que nous puissions laisser cela se produire.

    https://naomiwolf.substack.com/p/the-vitamin-wars?utm_source=post-email-title&publication_id=676930&post_id=140734227&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&utm_medium=email

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  95. Baby crash : demain, un monde sans bébés ?

    La baisse de la natalité en lien avec les injections anticovid mise en évidence dès 2022


    Par Dre Nicole Delépine
    Mondialisation.ca,
    18 janvier 2024


    Même si d’autres causes étaient décelables avant 2020, le poison injecté a aggravé largement la dépopulation (selon un plan avoué et prévu par les adeptes de Davos

    ALORS POURQUOI JOUER LES CANDIDES ET NE PARLER QUE DE PLACES DE CRÈCHES OU DE MÈRES CÉLIBATAIRES ?

    IL EST GRAND TEMPS D’INTERDIRE L’INJECTION DE CE POISON A RISQUE MORTEL COMME LE SOULIGNE LE PR RAOULT

    Nicole Delépine

    Alors que 30 % des Françaises en âge de procréer ne souhaitent pas avoir d’enfants pour « sauver la planète bleue », l’avenir de l’humanité ne serait-il pas déjà compromis par la baisse de la fertilité qui s’observe depuis plusieurs décennies ? Ajoutez à cela les effets des injections géniques anti-Covid 19, et vous pouvez sérieusement douter des statistiques annonçant 10 milliards d’êtres humains en 2050 !

    La baisse de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain est connue depuis de nombreuses années et la synthèse récente de la revue de référence Human Reproduction Update montreune chute encore plus vertigineuse depuis une quarantaine d’années1. Surtout, elle souligne le déclin rapide de la fertilité masculine. Cette publication, de grande ampleur, est fondée sur des centaines d’études publiées sur le sujet et rassemble les données couvrant la période 1973-2018 disponibles dans plus d’une cinquantaine de pays.

    Ainsi, en 45 ans, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml, soit moitié moins ! En outre, comme le rappelle l’urologue française Valentine Frydman, « 20 % de l’infertilité est d’origine masculine stricte ». Pas étonnant, rien qu’avec ce premier constat, que la fécondité chute partout dans le monde.

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  96. En France, près de 3,3 millions de personnes, soit environ 1 couple sur 6, sont directement touchées par un problème d’infertilité. Un phénomène qui ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’années selon les professionnels du secteur, comme le Pr Jean-Marc Ayoubi2.

    Le canari dans la mine

    Ce déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Le pire, c’est que, loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération.

    « En incluant toutes les données postérieures à 1973, le taux moyen de la chute est de 1,16 % par an au niveau mondial. Ce rythme a plus que doublé depuis le début du XXIe siècle, passant à un déclin de 2,64 % par an sur la période 2000 -2018. » Une accélération qualifiée d’« alarmante » par les auteurs de cette étude. « Nos résultats sont comme le canari dans la mine, déclare M. Levine. Nous avons entre les mains un problème grave qui, s’il n’est pas maîtrisé, pourrait menacer la survie de l’humanité. » Ces tendances concernent également les pays d’Afrique et d’Amérique du Sud3, pays qui n’avaient jamais connu un tel phénomène jusqu’alors.

    Avant 2020, d’autres causes

    Face à des changements inédits, comme la féminisation du sexe des poissons, de nombreuses études ont occupé des unités de recherche dans le monde.

    Les experts évoquent, pêle-mêle, de possibles facteurs : d’abord les causes individuelles liées au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, surconsommation médicamenteuse, etc.), mais aussi les causes globales, notamment environnementales (pesticides et produits de synthèse, pollution, etc.).

    Tous les perturbateurs endocriniens4, 5 contenus dans le moindre de nos cosmétiques ou aliments industriels sont des molécules qui agissent directement sur notre système hormonal et qui peuvent engendrer, du fait de leur accumulation (le fameux « effet cocktail »), divers dysfonctionnements : insuffisance ovarienne, spermatogenèse défectueuse, fausses couches, grossesses pathologiques…

    La donne change avec le Covid

    L’arrivée du Covid a rebattu un peu les cartes. Si les premières mesures coercitives ont conduit certains à évoquer un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, sous l’effet de la consolation de la couette, manifestement, il n’en fut rien.

    La dépression collective induite par la succession de peurs inoculées, répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée, n’y est sûrement pas étrangère. La terreur d’une guerre nucléaire potentielle, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries bien organisées (pas d’huile ni de moutarde en France et les rayons pleins en Italie), l’explosion du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité : bref le pouvoir passe son temps à nous menacer du pire… Ajoutez à cela la dépendance aux écrans, qui remplacent de plus en plus les relations humaines. Et vous comprenez assez aisément pourquoi le baby-boom tant annoncé n’a pas eu lieu.

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  97. La vaccination a-t-elle accéléré le déclin ?
    En France, l’Insee confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudo-vaccination.

    - voir graph sur site -

    « En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance, qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte de taux de vaccination de 85 % dans la population, s’est aggravée depuis le mois d’août, c’est-à-dire après la troisième dose. Pour l’instant, l’Insee ne donne aucune explication à cette baisse inquiétante pour l’avenir démographique du pays6. »

    Les naissances repartaient en effet à la baisse dès mars 2022, avec un peu moins de naissances entre mars et juillet 2022 qu’entre mars et juillet 2020. En août 2022, il y a eu en revanche un peu plus de naissances qu’en août 2020. Mais en septembre 2022, les naissances repartent à la baisse, avec 4 % de bébés en moins qu’en septembre 2020, quand l’évolution des naissances n’était pas encore affectée par la pandémie de Covid-19.

    La baisse s’intensifie en octobre, avec 6 % de bébés en moins qu’en octobre 2020. Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2 100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de Covid. Ils n’ont été que 2 000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Le phénomène est très inquiétant…

    Ailleurs dans le monde, même refrain ?

    L’Australie a elle aussi enregistré une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés78. D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. Le mois suivant, de novembre à décembre, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

    « Décembre tombait environ neuf mois après le lancement des vaccins Covid », note D. James de Life-SiteNews à propos de cette période charnière qu’est la grossesse.

    Le Dr L. McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patientes après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed9, le taux de fausses couches chez les patientes de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes vaccinées, il a atteint 74 %.

    Taïwan a également connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.

    Aux États-Unis, ces 3 phénomènes inédits
    Selon Brighteon.TV, les chercheurs N. Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, au-delà même du simple échec de la reproduction.

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  98. Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme et la fonction prostatique, et de fertilité féminine. La Food and Drug Administration a même été informée à ce sujet dès le 1er avril 2021, sans aucune réaction. Des échographies ont révélé une inflammation et des calcifications anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection, de même que des anomalies du pénis reconnues par Pfizer dans ses documents internes. Un taux actuel de 87,5 % de fausses couches a été révélé sur le VAERS10. La FOIA (agence américaine pour la liberté d’information11) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché (ou en tout cas largement minoré) les dangers réels de l’injection contre le Covid pendant la grossesse, alors qu’ils avaient conscience que cela augmentait le risque de malformations congénitales et d’infertilité.

    Cette fraude et cette tromperie auraient causé au moins 4 113 décès fœtaux dus à la vaccination contre le Covid-19 rien qu’aux États-Unis contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections contre le Covid-19…12 Rappelons que le VAERS ne représente que 1, 2 ou 3 % des cas réels — en raison des non ou sous-déclarations. Si l’on multiplie le chiffre officiel par 40, qui est le facteur de sous-déclaration le plus souvent utilisé, il s’agirait probablement de 140 000 morts fœtales13.

    Quant à l’allaitement des bébés par des mères vaccinées, il pourrait également aggraver le risque de mortalité périnatale. « De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel14. » Or, depuis au moins 2015, la FDA sait que les produits géniques sont excrétés15.

    Pfizer et les agences savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

    Cette information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information américaine (FOI) adressée au Government Department of Health par la Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

    Alors corrélation, causalité ou simple coïncidence ?

    Bien sûr, les premières interprétations furent traitées de « complotistes » — comme si on pouvait légitimement faire confiance aveuglément à ces castes corrompues. Une analyse plus fine des données semble malheureusement conforter l’idée du rôle causal des injections géniques dans la baisse de la natalité des pays injectés et singulièrement en Suisse.

    « Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. » Ensuite, en comparant entre les régions, « on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %)16. »

    Un avocat suisse demande d’ailleurs la suspension définitive de cette injection génique au regard des dégâts notoires chez les enfants17.

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  99. Et maintenant ?

    Le rôle de la pseudo-vaccination anti-Covid dans la baisse de la natalité et la mortalité néonatale semble statistiquement démontré à travers cette analyse qui ne saurait être exhaustive pour les besoins d’un court article. Toutefois, une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse significative (pouvant atteindre 19 %) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations Covid, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

    - voir doc sur site -

    En tant que pédiatre, permettez-moi d’être particulièrement inquiète. Il faut stopper toutes ces injections au plus vite, non seulement celles contre le Covid, mais aussi celles contre la rougeole, la grippe ou le cancer qui seraient basées sur la technologie ARNm.

    Nicole Delépine

    BabyCrashTélécharger

    *

    Cet article a été publié initialement sur le site sante-sans-filtre.com et nouveau-monde.ca, le 27 avril 2023

    Notes

    1 « Temporal trends in sperm count: a systematic review and meta-regression analysis of samples collected globally in the 20th and 21st centuries » | Human Reproduc-tion Update | Oxford Academic (oup.com).

    2 Chef de service de gynécologie et médecine de la reproduction à l’hôpital Foch, Suresnes.

    3 L’Échelle de Jacob : Le Monde : « Le déclin de la fertilité est mondial et s’accélère » (echelledejacob.blogspot.com).

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  100. 4 Molécules chimiques ayant une parenté de structure avec les hormones et modifiant l’activité hormonale en particulier celle des stéroïdes (estrogènes, androgènes). En particulier pesticides : engrais et désherbants à fort pouvoir cumulatif, insecticides, dioxines, plastiques dont bisphénol A et phtalates, PCB, parabens, phénoxyéthanol, éther de glycol dans la cosmétique ; métaux lourds comme le cadmium et le mercure dans les poissons ; vapeurs de vernis, peintures, hydrocarbures, sprays d’intérieur, bougies, etc.

    5 Le programme REACH et le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) sont chargés de répertorier et de classer les 150 000 molécules chimiques selon leur dangerosité en CMR : cancérigène, mutagène et reprotoxique ; étiquetage obligatoire, impératif de lire les étiquettes.
    Perturbateur endocrinien et fertilité — Quel danger pour la grossesse (guide-de-l-infertilite.fr).

    6 https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/02/urgent-linsee-confirme-leffondrement-de-la-natalite-depuis-le-debut-de-la-vaccination/

    7 L’Australie enregistre une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés — quelle sera l’excuse du gouvernement ? — PAGE GAULLISTE DE RÉINFORMATION. LES MÉDIAS NOUS MANIPULENT ET NOUS MENTENT, SACHONS TRIER LE BON GRAIN DE L’IVRAIE (anna-bellas.com) 18 novembre 2022 par bellinaanne

    8 https://www.naturalnews.com/2022-11-17-australia-63-percent-drop-births-covid-vaccines.html

    9 L’opération Warp Speed est le nom d’un vaste programme mis en place par l’administration Trump pour acheminer et administrer le vaccin contre le Covid-19 à travers les États-Unis. Par extension, cette opération fut appliquée dans beaucoup de pays occidentaux.

    10 Graphiques disponibles sur https://docteur.nicoledelepine.fr

    11 https://www.foia.gov/about.html

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  101. 12 Selon la base de données sur les événements indésirables des vaccins (VAERS) des Centers for Disease Control (CDC), au 22 avril 2022 :
    https://expose-news.com/2022/07/19/foia-pfizer-hid-dangers-covid-vaccination-pregnancy/

    13 https://t.me/brigadesantigraphene
    https://dailyclout.io/miscarriages-in-covid-19-vaccinated-mothers-as-reported-in-vaers/
    https://vk.com/xochipelli
    DailyClout (https://dailyclout.io/miscarriages-in-covid-19-vaccinated-mothers-as-reported-in-vaers/)

    14 STOPPONS LES INJECTIONS A ARNm : ils s’excrètent, même dans le lait maternel — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr).

    15 « Design and analysis of Shedding Studies for Virus or Bacteria-based Gene Therapy and Oncolytic Products Guidance for Industry », US Food and Drug Administration, août 2015.

    16 Voir les graphiques dans le doc de référence : document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 2022.2.

    17 « UK Government quietly confirms COVID Vaccinated Children are up to 137x more likely to die than Unvaccinated Children proving COVID Vaccination is causing significant numbers of deaths » The Expose (expose-news.com).

    https://www.mondialisation.ca/baby-crash-demain-un-monde-sans-bebes/5685296?doing_wp_cron=1705667871.3213400840759277343750

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  102. Le Parlement européen contre la publication des contrats Pfizer


    19 janvier 2024
    de Thomas Oysmüller


    Pas de libération des contrats avec Pfizer, Moderna and Co : une demande correspondante au Parlement européen a été rejetée mercredi. Cela signifie que les contrats de vaccination restent officiellement secrets.

    Le Parlement européen continue d’ériger un mur contre Pfizer et la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen. Les députés bruxellois ont voté contre la publication des contrats avec Pfizer et d’autres fabricants de vaccins anti-Covid. Cela signifie que des informations ayant un impact de plusieurs milliards sont cachées au public - des États membres de l'UE (Pologne et Hongrie) ont même été poursuivis en justice par Big Pharma sur la base de ces contrats.

    L'Alliance de Davos

    On pourrait penser que le Parlement s'est mis au service des entreprises et non du peuple. La mesure de transparence a été rejetée par 349 voix contre 254. Même si cette fois le groupe des Verts a largement voté en faveur, la motion a été rejetée : une alliance des sociaux-démocrates, du PPE conservateur et des libéraux a suffi (encore une fois).

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  103. Voilà à quoi ressemblait globalement le vote. Les six sociaux-démocrates dissidents sont venus deux fois de Slovénie, deux fois de Roumanie, une fois du Portugal, une fois de Slovaquie (même si le député SMER aurait dû en fait être exclu).

    En Autriche, tous les députés sociaux-démocrates ont voté contre la publication. Voici un aperçu :

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    Et voici un aperçu des députés allemands :

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    Ce vote pourrait certainement servir d’aide électorale pour les élections européennes de l’été 2024. Car le « PfizerGate » ou le « complot Leyen-Pfizer » reste une boîte mystérieuse pour les citoyens de l’UE. Et c'est cette coalition des sociaux-démocrates et du Parti populaire qui « représente dans l'ensemble les intérêts de la classe de Davos et ne laisse aucune place à un débat sérieux sur les grandes questions qui touchent l'Europe », résume le journaliste américain Jordan Kasten. Il faut ajouter : lorsque les choses deviennent vraiment tendues, les Verts aussi se précipitent pour aider, voire faire avancer la coalition sur la question climatique par exemple.

    Le contrat a déjà été divulgué. En fait, le contrat met les citoyens à la merci des produits pharmaceutiques. Pour résumer à nouveau la boîte :

    Pays après pays, Pfizer a obtenu une compensation légale complète sans le consentement populaire. Maintenant que les allégations de « remède miracle » ont été révélées comme une fraude massive contre l’humanité, les législateurs en Europe et dans le monde veulent balayer sous le tapis leurs relations avec Pfizer.

    https://tkp.at/2024/01/19/eu-parlament-gegen-veroeffentlichung-der-pfizer-vertraege/

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  104. Propagande entourant la variante JN.1 Covid. L’alarmisme s’intensifie

    Mandats de masques, hôpitaux débordés


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    18 janvier 2024


    5 janvier 2024 USA TODAY : Les États-Unis entament 2024 dans leur deuxième plus grande vague de COVID jamais enregistrée, selon les experts.

    LA PROPAGANDE autour de la variante JN.1 du COVID-19 s’intensifie au cours des dernières semaines.

    Je passerai en revue les différents points de discussion du dernier PROPAGANDA SURGE et donnerai mes réflexions à la fin :
    Point de discussion n°1 : JN.1 est actuellement la deuxième plus grande vague de toute la pandémie (selon les données sur les eaux usées du COVID).

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    Point de discussion n°2 : JN.1 est fortement muté et jusqu'à 4 fois plus efficace pour échapper au système immunitaire que la variante précédente BA.2.86.

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    Point de discussion n°3 : JN.1 a atteint une « domination mondiale », et la plupart, sinon la totalité, des variantes dans un avenir prévisible en proviendront. Cela « change la donne ».

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    Point de discussion n°4 : JN.1 est si différent qu'il devrait avoir sa propre lettre grecque, selon Eric Topol MD.

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    Point de discussion n°5 : JN.1 La période d’incubation est de 3 jours ou moins.

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    Point de discussion n°6 : BA.2.86 et JN.1 peuvent fusionner plus efficacement avec les cellules humaines et infecter les cellules qui tapissent le poumon inférieur (tout comme les souches pré-Omicron). Cela peut provoquer une maladie plus grave.

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    Point de discussion n°7 : selon l'OMS, les rassemblements de vacances ont propagé le JN.1 et causé 10 000 décès dus au COVID-19 en décembre 2023.

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    Point de discussion n° 8 : Les nouveaux boosters COVID fonctionnent contre la « maladie grave » JN.1, même s’il présente plus de 30 mutations par rapport à la variante XBB.1.5 pour laquelle les boosters COVID ont été conçus.
    Johns Hopkins : « Les tests détectent JN.1, les nouveaux vaccins protègent contre les maladies graves et les antiviraux sont toujours capables de traiter l'infection due à JN.1 »

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  105. Point de discussion n°9 : Les nouveaux boosters COVID génèrent des anticorps contre JN.1 « bien que moins nombreux… comme toujours, les vaccins ne bloqueront pas totalement les infections par JN.1 mais devraient réduire les décès » (Time Magazine).
    L’OMS a recommandé de s’en tenir aux vaccins XBB.1.5 actuels, car ils semblent offrir « au moins une certaine protection croisée ».

    Point de discussion n° 10 : Les nouveaux boosters COVID vous protégeront contre les hospitalisations JN.1, le long COVID, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux (Peter Hotez l'a vraiment dit).

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    Point de discussion n° 11 : La propagation de JN.1 est la raison pour laquelle les politiques de masquage obligatoires reviennent (Johns Hopkins ramène les mandats de masque) :

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    Point de discussion n°12 : Les hôpitaux « se préparent à être à nouveau submergés de patients atteints du COVID ».

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    Point de discussion n°13 : Plus de 100 maisons de retraite à Victoria, en Australie, luttent contre des épidémies de COVID dues à JN.1.

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    Point de discussion n°14 : Les hôpitaux du Canada et de la Colombie-Britannique ont établi un record d'« hospitalisations » le 10 janvier 2024.

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    Point de discussion n°15 : JN.1 ne tue pas autant de personnes mais ajoutera des millions au « LONG COVID » (Dr Eric Topol). Vous devez vous faire vacciner contre le COVID pour réduire le risque de COVID long de 40 à 50 %.
    Les vaccinations sont protectrices – 40 à 50 % de réduction du Long COVID.

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    Point de discussion n°16 : Le long COVID est comme le VIH : il détruit le système immunitaire.

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    Point de discussion n°17 : L’Australie connaît deux variantes du COVID-19 qui se propagent et la seconde est « HV.1 »
    Cela ressemble beaucoup à « VIH-1 », ce qui, à mon avis, n'est pas un accident.

    Point de discussion n°18 : La variante JN.1 pourrait muter dans un réservoir animal comme le cerf ou se recombiner avec un autre « coronavirus plus mortel comme le SRAS ou le MERS ».

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    Mon avis…

    J'ai lu de nombreux articles et messages et j'ai digéré la propagande pour que vous n'ayez pas à le faire.

    Il y a un désespoir à propos de la variante « JN.1 », de la part du cartel du COVID – cela semble être un dernier effort pour effrayer un nombre important de personnes et les inciter à prendre leurs injections de rappel du COVID, avant une probable « escalade ».

    La première partie de cet effort, appelons-la « Phase 1 », était la campagne de marketing incitant les gens à recevoir leur vaccin contre le COVID-19 en même temps que leur vaccin contre la grippe – cette campagne a été fortement poussée par les politiciens et les célébrités. À quel point c'était grave ? Ce mauvais :

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  106. La campagne de vaccination contre le COVID et la grippe n’a incité qu’environ 10 à 15 % des personnes à prendre les nouvelles injections contre la COVID-19, bien loin des 50 % ciblés par les grandes sociétés pharmaceutiques (le taux de vaccination contre la grippe est de 50 % et le « double injection » était destiné à être une nouvelle norme pour les « shots annuels »).

    La phase 1 a échoué. Une autre dose de poison pour 50 % de la population n’a pas fonctionné.

    La phase 2 est la variante JN.1. Fortement muté (plus de 30 mutations dans la région du pic), à propagation rapide (prédictions allant jusqu'à 2 millions d'infections par jour aux États-Unis au pic), mais pas particulièrement dangereux (encore).

    Les « hôpitaux débordent » et la propagande sur les épidémies dans les maisons de retraite vient principalement d’Australie et du Canada, pas autant des États-Unis. En fait, depuis 2 jours, je vois beaucoup de « urgences débordantes » avec des « délais d'attente inacceptables » dans diverses provinces canadiennes. Les Canadiens sont pétrifiés. Il y a une raison à ce chaos contrôlé.

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    Qui est aux prises avec JN.1 ? Les récemment vaccinés contre le COVID et les 4x, 5x, 6x, 7x vaccinés. Les piqûres 2x et 3x se sont peut-être remises d'un dysfonctionnement immunitaire.

    Puisque les gouvernements refusent de fournir des données sur le statut vaccinal des personnes hospitalisées, supposons que près de 100 % des personnes hospitalisées sont vaccinées et que leur système immunitaire est gravement endommagé.

    Pourtant, les décès dus à JN.1 sont rares. Au lieu de cela, la campagne de peur se concentre sur le « Long COVID » et soudain, le « Long COVID » est le nouveau VIH.

    Selon Eric Topol, directeur général des grandes sociétés pharmaceutiques, les vaccins COVID réduisent les longs COVID de 40 à 50 %. Donc, si vous ne recevez pas le nouveau vaccin, vous vous retrouverez avec un Long COVID qui est comme le VIH.

    En réalité, si vous prenez le vaccin, vous vous retrouverez avec un système immunitaire détruit comme le VIH.

    Ajoutez le message subliminal de la variante « HV-1 » en Australie qui ressemble beaucoup au « VIH-1 ».

    Je crois que nous approchons de la fin de la phase 2 et qu’ils continueront d’essayer d’imposer des mandats de masques partout aux États-Unis et au Canada.

    Un déploiement plus uniforme des mandats de masques préparerait le terrain pour la phase 3 et d’éventuels confinements dus à un « événement cygne noir ».

    Les signes avant-coureurs (que je couvrirai dans la prochaine sous-pile) :

    17 janvier 2024 – Session de conférence du WEF Davos sur la « Maladie X »
    Février 2024 – Google met en garde contre un « événement sensible » (urgences civiles, catastrophes naturelles, urgences de santé publique, terrorisme, actes de violence de masse, etc.)
    Mai 2024 – Traité de l’OMS sur la pandémie
    La phase 3 concerne les événements liés à la maladie X et au cygne noir et sera abordée en profondeur dans le prochain article.

    https://www.globalresearch.ca/jn-1-variant-wave-propaganda-amps-up/5846210

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  107. ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS PAR LES MERDES ! (120 - 2 = 118)

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  108. ENCORE 11 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 11= 109)

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