PAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 JANVIER 2024 - 15H20
Rédigé par Jack Phillips via Epoch Times
Plusieurs types d’alertes météorologiques ont été mis en place dans chaque État américain par le National Weather Service (NWS), avertissant que de « puissantes tempêtes hivernales » devraient frapper une grande partie du pays.
Dans une déclaration publiée sur X, le NWS a averti qu’« il y a un régime météorologique TRÈS actif et que TOUS les États des États-Unis ont une surveillance, un avertissement ou un avis actif du NWS ».
"Une puissante tempête hivernale apportera de fortes chutes de neige, des vents forts et des conditions de blizzard du milieu de la vallée du Missouri, du Midwest jusqu'aux Grands Lacs jusqu'à samedi", indique une autre alerte du NWS. « Derrière ce système, des températures glaciales dangereuses sont probables dans les Rocheuses et les plaines ce week-end. De violents orages sont possibles dans le sud-est aujourd’hui, avec des vents forts, de la grêle et quelques tornades possibles.
L’agence a déclaré que « l’air arctique dangereusement froid » frapperait ensuite le cœur des États-Unis à partir de ce week-end. Les températures devraient rester inférieures à zéro dans la région des plaines du nord à partir de vendredi matin, tandis que des températures de moins -20 à moins -30 degrés F (-28,8°C à -34,4°C) ou plus devraient atteindre les États des plaines samedi matin sans tenir compte du refroidissement éolien.
Avec le refroidissement éolien, les températures pourraient descendre entre -35 et -50 degrés F (-37,2°C à -45,5°C) dans certaines parties des États des Plaines, a indiqué l'agence. Il a noté que de tels refroidissements éoliens pouvaient entraîner des engelures en quelques minutes seulement.
Outre le NWS, plusieurs prévisionnistes privés tels que AccuWeather ont averti que le temps glacial à venir sera « l’air le plus froid pour les États des plaines du sud » depuis fin 2022. « En plus du froid, il existe un risque de pluie verglaçante, de grésil et de pluie verglaçante. même de la neige dans la région », a déclaré le prévisionniste.
"L'air le plus froid de la saison hivernale jusqu'à présent, transporté directement du nord-ouest du Canada, traversera le nord des Rocheuses et le nord des plaines d'ici samedi", a écrit Jon Porter, météorologue d'AccuWeather. "Cet air se dirigera ensuite vers le sud jusqu'au Texas et dans d'autres États du Sud dimanche."
Avant cela, cependant, des avertissements de tempête hivernale sont désormais en vigueur pour les États des Grands Lacs et du Midwest en raison d'une tempête qui traverse actuellement les États-Unis. Selon le bureau du NWS à Des Moines, « les tempêtes de cette ampleur sont assez rares et se reproduisent environ une à deux fois par décennie ».
Vendredi matin, les équipes routières de l'Iowa et du Nebraska avaient du mal à garder une longueur d'avance sur la neige qui tombait rapidement.
La carte de l’état des routes du ministère des Transports de l’Iowa a montré que pratiquement toutes les autoroutes et autoroutes principales étaient partiellement ou entièrement couvertes. L'agence a déclaré que la visibilité des conducteurs était « proche de zéro » à certains endroits et que les dérives provoquées par le vent effaçaient rapidement le travail des conducteurs de charrue (déneigeuses).
La patrouille d'État de l'Iowa a publié des photos d'une épave glacée. « S’il vous plaît, ne mettez pas vous-même ou les autres en danger », a écrit l’agence. « Les conditions routières sont extrêmement dangereuses ! Des avertissements de blizzard ont été émis vendredi dans le sud-ouest du Minnesota.
À Kansas City, dans le Missouri, la glace noire a provoqué des dizaines d'épaves tandis que la pluie verglaçante créait un éclat glacé sur les routes. Des températures au milieu de l'adolescence combinées à un vent de plus de 20 mph ont créé un refroidissement éolien extrêmement froid d'environ 9°F en dessous de zéro.
Vendredi matin, des centaines de grandes compagnies aériennes ont annulé ou retardé leurs vols dans plusieurs aéroports, probablement en raison des mauvaises conditions météorologiques, selon les données de FlightAware. Les aéroports O'Hare et Midway de Chicago ont annulé un grand nombre de vols alors que la région se prépare à la neige. Des vols ont également été annulés ou retardés à Denver, Seattle, Milwaukee, Detroit, Kansas City et bien d'autres.
Plus tôt cette semaine, plusieurs prévisionnistes ont noté que l’air glacial était dû au retour de la masse d’air arctique connue sous le nom de « vortex polaire ».
"Le vortex polaire stratosphérique s'étend désormais à travers l'Amérique du Nord", a écrit Amy Butler, scientifique de la National Oceanic and Atmospheric Administration, mardi après-midi.
La première épidémie importante d'air arctique arrive vendredi dans le nord des Rocheuses et du nord des plaines, avant de progresser dans une grande partie des plaines et du Midwest ce week-end. Voir ci-dessous les messages clés les plus récents. https://t.co/wh4OBF1V8j
– Service météorologique national (@NWS) 12 janvier 2024
Le jet ou l’air arctique « sera poussé plus au sud, et devinez ce que cela fera ? Cela ouvre la porte du congélateur », a déclaré Kendall Smith, météorologue de Fox Weather. "Tout cet air froid et arctique qui a été embouteillé au-dessus du Canada, juste au-dessus de l'Arctique, va se frayer un chemin jusque dans le Lower 48."
L'air glacial devrait également inonder une grande partie du Texas et de l'Oklahoma, à partir de ce week-end et jusqu'à la semaine prochaine.
Cette semaine, l'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT) a envoyé un avertissement du 15 au 17 janvier en raison d'un « temps extrêmement froid » et d'une « demande électrique » élevée qui pourraient réduire les réserves d'énergie dans tout le Texas. ERCOT gère environ 90 pour cent du réseau électrique de l’État et a souffert de pénuries d’énergie ces dernières années.
"ERCOT continue de surveiller de près les conditions hivernales qui arrivent ce week-end et déploiera tous les outils disponibles pour gérer le réseau de manière fiable", a déclaré ERCOT dans un article publié jeudi. "Nous publierons des mises à jour quotidiennes sur nos réseaux sociaux pendant la veille météorologique ERCOT à partir du lundi 15 janvier. À l'heure actuelle, les conditions du réseau devraient être normales et il n'y a actuellement aucune attente d'urgence énergétique."
The Associated Press contributed to this report.
https://www.zerohedge.com/weather/all-50-us-states-under-active-federal-weather-alerts
Autisme chez les rats de laboratoire causé par les vaccins à ARNm – nouvelle étude
RépondreSupprimer13 janvier 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Un certain nombre d'études ont déjà montré des corrélations significatives entre les vaccinations et l'autisme chez les enfants. Jusqu’à présent, il n’y a aucune preuve que les vaccinations contre le Covid pourraient entraîner l’autisme chez les enfants ; le laps de temps était trop court pour arriver à de tels diagnostics. Il existe désormais une étude animale qui montre des troubles de type autistique chez les descendants mâles de rats vaccinés pendant la grossesse.
De telles études auraient dû être réalisées avant l’approbation en tant que vaccin. Nos comités de vaccination ont recommandé la vaccination aux femmes enceintes sans pouvoir faire de déclarations fondées sur sa sécurité. La politique au niveau européen a également encouragé la vaccination pendant la grossesse. Il s’avère désormais qu’il existe même d’énormes problèmes de sécurité.
Une nouvelle étude au titre accrocheur, « L'exposition prénatale au vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 induit des comportements semblables à l'autisme chez les rats néonatals mâles : aperçu des perturbations de la signalisation WNT et BDNF ». Comportements similaires chez les rats néonatals mâles : aperçu du WNT et du BDNF. BDNF Signaling Disorders) vient d'être publié en Turquie.
Ce n’était qu’une question de temps avant que nous obtenions enfin une étude reliant l’autisme aux vaccins à ARNm. L’importance potentielle de tels résultats parle d’elle-même.
Les chercheurs ont examiné les effets de la vaccination contre le COVID sur des rats pendant la grossesse afin de déterminer les conséquences sur la progéniture :
Le but de cette étude était d'étudier l'expression du gène WNT, les niveaux de facteur neurotrophique (BDNF), les cytokines spécifiques, l'expression de m-TOR, la neuropathologie et les résultats neurocomportementaux liés à l'autisme dans un modèle de rat. Des rats gravides ont reçu le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pendant la grossesse. L'examen ultérieur de la progéniture mâle et femelle a porté sur les comportements de type autistique, le nombre de neurones et les performances motrices.
[WNT : une voie de signalisation importante pour de nombreux processus du développement embryonnaire, tels que le développement de l'axe corporel et la formation de systèmes organiques. '
Le BDNF est une protéine qui appartient au groupe des neurotrophines et est très étroitement liée au facteur de croissance nerveuse NGF.]
À leur grande horreur, les scientifiques ont découvert de profonds défauts dans le développement neurologique des ratons nés de mères rats vaccinées pendant la grossesse :
Les résultats en un coup d'œil
L’étude a révélé des différences significatives entre les rats dont les mères ont été vaccinées pendant la grossesse et un groupe témoin de rats dont les mères n’ont pas été vaccinées dans les domaines suivants :
Coordination motrice et équilibre (homme)
Comportement social (masculin)
Nombre de cellules de Purkinje (cellules nerveuses du cortex du cervelet) et d'autres cellules nerveuses (mâles)
Teneur en protéines du facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF) (mâles et femelles)
m-TOR – (une enzyme importante pour la survie, la croissance, la prolifération et la motilité cellulaire) et l'expression du gène WNT (mâle et femelle)
Les résultats en détail
RépondreSupprimerL'objectif et la conception d'une étude déterminent le type de résultats : vous ne trouverez pas ce que vous ne cherchez pas. Cette étude frappe immédiatement par l’énoncé simple et honnête de son objectif, qui était de déterminer si le vaccin Pfizer pouvait affecter le développement neurologique pendant la grossesse chez des rats vaccinés pendant la grossesse :
« Nos résultats montrent que le vaccin à ARNm BNT162b2 modifie de manière significative l’expression du gène WNT et les niveaux de BDNF chez les rats mâles et femelles, ce qui suggère un impact profond sur les voies clés du développement neurologique.
Les rats mâles, en particulier, ont montré des comportements prononcés de type autistique, caractérisés par une réduction significative des interactions sociales et des comportements répétitifs.
De plus, il y avait une diminution significative du nombre de neurones dans les régions critiques du cerveau, suggérant une possible neurodégénérescence ou une altération du développement neurologique.
Les rats mâles ont également montré des performances motrices altérées, se manifestant par une coordination et une mobilité réduites.
Modèles comportementaux et différences cliniques
L'étude a mené quatre tests comportementaux, dont les numéros 1 et 4 ont montré des différences significatives entre les rats mâles vaccinés et non vaccinés :
1) « Test à trois chambres de compatibilité sociale et de nouveauté sociale ».
Ce test mesurait la tendance des rats à socialiser. C'est un peu long à expliquer en détail, mais le principe de base est que chaque rat a été placé entre deux chambres, l'une avec un rat "étrange" et l'autre soit sans rat, soit avec un rat "familier", avec le temps, que le Le rat passé dans chaque chambre a servi de variable de mesure.
2) « Test sur le terrain »
Les rats ont été placés dans une enceinte fermée pendant cinq minutes et observés pour voir à quel point ils erraient ou exploraient.
L'expression du gène
RépondreSupprimerm-TOR est un gène qui code pour la protéine m-TOR, qui « coordonne la croissance et le métabolisme des cellules eucaryotes en fonction des influences environnementales telles que les nutriments et les facteurs de croissance ».
WNT est un gène qui code pour la protéine WNT, qui sont des « glycoprotéines sécrétées modifiées par des lipides qui permettent la communication entre les cellules. Ils régulent la croissance, la fonction, la différenciation et la mort cellulaire des cellules. « Les protéines WNT jouent un rôle central dans le développement, la modélisation et le remodelage des os » .
Chez les rats mâles vaccinés, utilisant l’une des méthodes de quantification de l’expression des gènes, ils ont observé une augmentation significative de l’expression du gène m-TOR et une diminution significative de l’expression du gène WNT par rapport aux rats mâles non vaccinés.
Chez des rats femelles vaccinés, ils ont observé une diminution significative de l’expression du gène WNT en utilisant l’une des méthodes de quantification de l’expression des gènes. De plus, une augmentation non significative de l’expression du gène m-TOR a été observée chez les rats femelles vaccinés.
La signification des résultats
Apparemment, des différences significatives dans le comportement ou l'expression de gènes critiques dans le développement fœtal peuvent indiquer ou se manifester par des conditions cliniques significatives. Il est tout aussi évident que cette étude – et d’autres similaires – constitue un appel clair à des recherches plus approfondies « honnêtes et ouvertes » sur ces sujets, même – ou surtout – pour les personnes qui croient encore au discours dominant sur la pandémie de Covid-19. dans les vaccins.
Les auteurs nous donnent une explication plus détaillée de ce que pourraient signifier leurs résultats, et c'est tout à fait lisible :
Le vaccin à ARNm contre le COVID-19 semble induire des comportements de type autistique chez les rats mâles et affecter les voies de signalisation WNT et BDNF chez les deux sexes [2]. Ce résultat spécifique au sexe soulève des questions sur l’impact du vaccin sur la fonction et la structure cérébrale. Il existe une prévalence significativement plus élevée de TSA [troubles du spectre autistique] chez les hommes que chez les femmes, ce qui suggère que des facteurs biologiques innés influencent différemment la manifestation des troubles du développement neurologique selon le sexe [28].
Dans notre étude, les groupes vaccinés n’ont pas présenté de marqueurs inflammatoires détectables, ce qui laisse place à des spéculations. Une possibilité est le moment de la vaccination pendant la grossesse, ce qui signifie que les effets inflammatoires pourraient avoir disparu au bout de 50 jours [1]. Des recherches antérieures, comme celles de Smith et al. (2018) et Jones et al. (2020), indiquent des réactions inflammatoires transitoires après la vaccination qui reviennent aux valeurs de base en quelques semaines [29, 30]. Ceci est cohérent avec nos observations et suggère que l'inflammation liée à la grossesse après la vaccination pourrait être de courte durée.
En revanche, le vaccin pourrait déclencher l’apoptose neuronale [mort cellulaire par « suicide »] sans provoquer d’inflammation significative. Bien que nous n'ayons pas utilisé la coloration apoptotique, l'apoptose aurait pu se produire et se terminer pendant la grossesse. L'apoptose maintient la normalité du système nerveux central (31). Des travaux antérieurs, tels que Wang et al. (2015) et Zhang et al. (2018), ont montré que certains vaccins peuvent déclencher l'apoptose neuronale dans des modèles animaux [32, 33]. Cela suggère la possibilité que les vaccins à ARNm aient des effets similaires. Cependant, la complexité de l’apoptose nécessite des recherches plus approfondies pour comprendre les nuances de l’apoptose induite par le vaccin.
Des éléments génétiques et hormonaux jouent un rôle dans ces différences sexuelles. Plusieurs études ont démontré des variantes génétiques spécifiques au sexe associées aux TSA, certains gènes sur les chromosomes X et Y pouvant entraîner une prévalence plus élevée chez les hommes (34). Le cerveau présente également des modèles d’expression génétique et des changements épigénétiques spécifiques au sexe, soulignant l’importance des chromosomes sexuels dans le fonctionnement et la croissance du cerveau.
RépondreSupprimerDe plus, les hormones sexuelles comme la testostérone et les œstrogènes ont un impact significatif sur le développement du cerveau. Bien que l'exposition prénatale à la testostérone puisse augmenter le risque de troubles du développement neurologique, les œstrogènes peuvent offrir une protection (35). L’interaction des hormones et de la génétique façonne les différences entre les sexes observées dans les résultats neurodéveloppementaux.
Les facteurs environnementaux, notamment le stress prénatal, l'activation immunitaire maternelle et les expositions chimiques, peuvent interagir avec des éléments génétiques et hormonaux pour entraîner des susceptibilités spécifiques au sexe aux troubles du développement neurologique. Ces influences environnementales peuvent affecter différemment les hommes et les femmes et conduire à des résultats différents en raison de leur interaction avec des déterminants génétiques.
Plusieurs études mettent en lumière la façon dont les infections virales et les vaccins affectent le système nerveux central. Bohmwald et coll. (2022) soulignent l’importance des neurotrophines pour la fonction du SNC, les infections virales affectant leur signalisation [36]. Azoulay et al. (2020) mettent en évidence le rôle du BDNF dans la guérison d’une infection par le SRAS-CoV-2 [37], tandis que Demir et al. (2022) étudient les effets cognitifs continus du COVID-19 et l’implication possible du BDNF [38]. Cette recherche fournit un cadre pour l’impact plus large des infections virales et des vaccins sur les facteurs neurotrophiques et les résultats cognitifs.
La littérature existante souligne également l’importance de la signalisation WNT dans les troubles neurodéveloppementaux. Bocchi et coll. (2017) montrent comment une perturbation de la signalisation WNT entraîne diverses déficiences neuronales [39]. Cho et coll. (2018) associent la voie de signalisation PI3K-Akt-Wnt à des améliorations de la mémoire à court terme après l'exercice (40). Mulligan et Cheyette (2012) donnent un aperçu de l'importance de la signalisation WNT dans les processus neuronaux chez les vertébrés (41). Yi et coll. (2012) illustrent enfin la relation étroite entre l'expression du BDNF et la voie de signalisation WNT [42].
La recherche sur les troubles du spectre autistique (TSA) donne un aperçu des mécanismes sous-jacents possibles. Ma et coll. (2023) ont examiné les effets d’une signalisation réduite du BDNF sur les comportements de type autistique chez la souris (28). Krumm et coll. (2014) ont mis en évidence les aspects génétiques complexes des TSA [43], et Dong et al. (2016) ont discuté de l'importance de la voie de signalisation WNT, en particulier CTNNB1, dans les comportements liés à l'autisme (44).
Ces études mettent en valeur l’importance de la voie WNT et de la signalisation BDNF dans les troubles neurodéveloppementaux, en particulier à la lumière des comportements de type autistique observés chez les rats mâles après la vaccination par ARNm du COVID-19. La réduction rapportée du nombre de neurones chez ces rats mâles suggère de possibles changements structurels cérébraux provoqués par la vaccination (36, 41, 45, 46).
RépondreSupprimerCependant, les conclusions issues des modèles animaux ont leurs limites et des études humaines sont essentielles pour confirmer ces résultats. Des études à long terme sur les effets de la vaccination contre le COVID-19 sur le développement neurologique, en tenant compte notamment des éventuelles différences entre les sexes, sont nécessaires (36).
…..
La recherche sur les TSA donne un aperçu des mécanismes à l’origine des effets observés. Ma et coll. (2023) soulignent le rôle du BDNF dans les TSA à travers son influence sur les comportements de type autistique [28]. Krumm et coll. (2014) décrivent les facteurs génétiques complexes des TSA [43, 47], tandis que Dong et al. (2016) ont démontré CTNNB1, un composant de la voie de signalisation WNT, dans les comportements liés à l'autisme, confirmant le lien entre WNT et TSA (44). Ces études améliorent notre compréhension des subtilités moléculaires des troubles neurodéveloppementaux, notamment en ce qui concerne les effets observés chez les rats mâles vaccinés.
conclusion
En conclusion, notre étude fournit la preuve que le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 affecte la voie de signalisation WNT et les niveaux de BDNF chez les rats, les effets étant particulièrement prononcés chez les animaux mâles. Ces résultats spécifiques aux hommes, notamment des comportements de type autistique, une réduction du nombre de neurones et des performances motrices altérées, mettent en évidence l'impact potentiel du vaccin sur le développement neurologique et sont cohérents avec la littérature existante sur le rôle de la voie WNT et de la signalisation BDNF dans les troubles du développement neurologique.
https://tkp.at/2024/01/13/autismus-bei-laborratten-durch-mrna-impfstoffe-neue-studie/
Les vaccins COVID provoquent l’autisme chez les rats de laboratoire, selon une étude
RépondreSupprimerIls auraient dû faire cette expérience avant de vacciner les humains
IGOR TCHOUDOV
12 JANVIER 2024
Un ami de ce blog, Ashmedai, a souligné une étude animale fascinante, qui a révélé que l’administration du vaccin Pfizer COVID à des rats gravides induisait des traits « semblables à ceux de l’autisme » chez les chiots mâles nés après une telle vaccination.
Résister aux illettrés intellectuels
Nouvelle étude : « L'exposition prénatale au vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 induit des comportements de type autistique chez les rats néonatals mâles »
L'étude contrôlée par placebo a été publiée dans Neurochemical Research.
- voir doc sur site -
https://link.springer.com/article/10.1007/s11064-023-04089-2
Les chercheurs ont entrepris d’évaluer les effets de la vaccination contre le COVID sur les rats pendant la grossesse pour voir l’effet sur la progéniture :
Cette étude visait à étudier l'expression génique du WNT, les niveaux de facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF), les cytokines spécifiques, l'expression de m-TOR, la neuropathologie et les résultats neurocomportementaux liés à l'autisme dans un modèle de rat. Des rats gravides ont reçu le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pendant la gestation. Les évaluations ultérieures sur la progéniture masculine et féminine ont porté sur les comportements de type autistique, le nombre de neurones et les performances motrices.
À leur grande consternation, les scientifiques ont en effet constaté de profonds troubles du développement neurologique des ratons nés de mères rats vaccinées pendant la gestation :
- voir doc sur site -
Par rapport au groupe témoin de rats à qui on a injecté une solution saline inoffensive, les chiots nés de mères vaccinées contre le COVID ont présenté une diminution du nombre de neurones, une réduction marquée des interactions sociales et des comportements anormaux et répétitifs. Les auteurs de l’étude appellent à juste titre cela des comportements de type autistique.
Les chercheurs ont utilisé des tests bien acceptés sur le développement des rats pour évaluer leur sociabilité et leur tolérance à la nouveauté.
- voir doc sur site -
Il s’avère que les chiots mâles affectés par le vaccin Covid pendant la gestation avaient anormalement peur de socialiser et évitaient activement les nouvelles situations. Les auteurs soulignent que de telles inadaptations sont « semblables à l’autisme ». Ils montrent la comparaison avec le groupe témoin :
- voir doc sur site -
Diminution du nombre de neurones et déficits cognitifs des chiots mâles
RépondreSupprimerMalheureusement, les chiots mâles vaccinés contre le COVID présentaient un nombre de neurones considérablement réduit :
- voir doc sur site -
Les vaccins contre la COVID ont réduit le nombre de neurones d’un tiers !
- voir doc sur site -
Les neurones CA3 mentionnés ci-dessus sont responsables de l’intelligence spatiale et de la cognition générale. Ils sont donc très importants pour la réussite de la vie de tous les mammifères, y compris les humains.
En raison de déficiences cognitives dues à un manque de neurones, les chiots mâles vaccinés n'ont pas réussi à apprendre aussi bien que leurs homologues témoins non vaccinés, ce qui suggère un trouble d'apprentissage :
- voir doc sur site -
Une animation du test du rat Rotarod est ici :
- voir doc sur site -
En effet, les rats mâles nés de mères vaccinées ont démontré des capacités altérées :
Plus précisément, au sein du groupe ayant reçu le vaccin BNT162b2 pendant la gestation, il y avait une différence significative entre les hommes et les femmes (F = 14,315 ; p < 0,001), les hommes présentant des effets plus prononcés que les femmes. À l’inverse, aucune différence entre les sexes n’était évidente dans le groupe témoin salin (F = 0,014 ; p = 0,907). De plus, lors de la comparaison des groupes BNT162b2 et salin au sein de chaque sexe, des différences significatives ont été constatées chez les hommes (F = 12,488 ; p = 0,001) mais pas chez les femmes (F = 0,059 ; p = 0,810).
- voir doc sur site -
Un résultat très triste
Veuillez apprécier le sort des ratons mâles vaccinés et infirmes. Ils sont nés avec une diminution du nombre de neurones, ont peur de socialiser et résistent aux situations nouvelles. C'est une mauvaise combinaison !
Les vaccins contre la COVID ont rendu peu probable qu’ils deviennent des adultes fonctionnels, capables de trouver un partenaire et de fonder une famille de rongeurs heureuse :
- voir doc sur site -
Bien que je sois désolé pour les animaux concernés, je remercie les auteurs qui ont mené de telles expériences pour souligner les dangers de la vaccination des rats avec des vaccins contre la COVID pendant la grossesse.
RépondreSupprimerEst-il possible que l’étude sur le rat ait trouvé un moment parfait dans le développement fœtal, un moment où l’administration d’un vaccin contre la COVID perturberait la formation du cerveau fœtal de manière subtile ?
Et les humains ?
On nous a répété à plusieurs reprises que « les vaccins ne causent pas l’autisme ».
Le contexte de ces discussions est généralement de savoir si les vaccinations après la naissance peuvent rendre les enfants autistes. Je n'ai pas d'opinion à ce sujet. Je ne suis pas obligé d’avoir une opinion sur tout et de trouver de telles discussions manquant de substance et de définitions.
Il est possible que le terme « autisme », qui fait généralement référence à un modèle de développement tout au long de la vie commençant dès la naissance, ne soit pas le bon terme pour s’appliquer aux problèmes soudains survenant peu de temps après les vaccinations des enfants.
De nombreux auteurs confiants présentent des « preuves définitives » de la manière dont les vaccins provoquent l’autisme, mais je ne suis pas encore convaincu de la qualité de ces « preuves ». J'ai également lu plusieurs études officielles démontrant que les vaccins ne provoquent pas l'autisme, et elles s'appuient toujours sur des données inaccessibles au public.
Dans l’expérience animale contrôlée par placebo que nous étudions, les vaccins (administrés pendant la grossesse) provoquent des symptômes semblables à ceux de l’autisme chez les rats de laboratoire. Cela ne prouve pas que la même chose se produit lors des grossesses humaines – mais cette découverte tire la sonnette d’alarme.
Qu'en penses-tu ?
https://www.igor-chudov.com/p/covid-vaccines-cause-autism-in-lab?utm_source=post-email-title&publication_id=441185&post_id=140607549&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email
« Tsunami de l'autisme » aux États-Unis avec des coûts de suivi élevés : étude de pointe
RépondreSupprimer13 janvier 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Une étude évaluée par des pairs met en garde contre une crise aux États-Unis que les scientifiques qualifient de « tsunami de l'autisme ». L’étude a été publiée pour la première fois en 2021, puis retirée et republiée sous révision en décembre 2023. Les conséquences possibles de la campagne de vaccination contre le corona à ARNm des trois dernières années n’ont pas encore été prises en compte. Une nouvelle étude publiée en janvier 2023 a montré que dans des modèles animaux, la vaccination pendant la grossesse provoque l'autisme chez la progéniture masculine et des dommages neurologiques globaux.
- voir graph sur site -
Les chercheurs ont tiré la sonnette d’alarme : le nombre de cas d’autisme va continuer à augmenter. Ils prédisent que le coût de la gestion de l’aggravation de la crise s’élèvera à des milliards de dollars par an, dont la majeure partie reviendra à l’industrie pharmaceutique. Cependant, les taux de prévalence croissants et le manque de services gouvernementaux montrent que la crise annoncée s’est déjà produite. Le manque de soins pour les enfants autistes est également présent ici, et pas seulement aux États-Unis.
Le coût sociétal des troubles du spectre autistique (TSA) aux États-Unis devrait atteindre 589 milliards de dollars par an d'ici 2030, 1,36 billion de dollars par an d'ici 2040 et 5,54 billions de dollars d'ici 2060, selon l'étude publiée le mois dernier. prises pour prévenir le trouble.
L' étude de Mark Blaxill et al, intitulée « Autism Tsunami : The Impact of Rising Prevalence on the Societal Cost of Autism in the United States », a été publiée pour la première fois en 2021 dans le Journal of Autism and Developmental Disorders (JADD) .
Près de deux ans plus tard, l'étude a été rétractée par l'éditeur, invoquant des « inquiétudes » concernant la méthodologie et les « intérêts non financiers » des auteurs. L’étude aurait été retirée en raison de la pression exercée par « les industries de l’autisme et de la vaccination ».
Le mois dernier, l'étude a été évaluée par des pairs et republiée par la revue Science, Public Health Policy and the Law .
L'étude est la première à projeter les coûts actuels et futurs des TSA et à relier ces coûts croissants à la prévalence croissante de ce trouble.
Des études antérieures supposaient que les taux de prévalence chez les adultes étaient équivalents à ceux des enfants et sous-estimaient les coûts futurs associés à une population autiste croissante et à l'évolution des besoins en matière de soins .
RépondreSupprimerLes chercheurs Mark Blaxill, Cynthia Nevison, Ph.D. et Toby Rogers, Ph.D., ont prédit les futurs coûts des TSA dans trois scénarios :
Un scénario de base qui suppose la poursuite des tendances existantes
Un scénario bas avec une estimation prudente des coûts futurs
un scénario de prévention qui examine la possibilité d’une atténuation future des causes environnementales.
Ces trois scénarios sont supposés suivre une équation de croissance logistique. Les carrés noirs montrent un instantané de la prévalence des TSA dans le California DDS 2020, utilisé comme base pour les scénarios de référence (ligne rouge) et de prévention (ligne jaune). Les cercles gris montrent l'instantané du DDS californien de 2014, qui sert de base au scénario bas (ligne bleue).
Cependant, deux prémisses du document ont rendu controversé un simple document de modélisation. Ces prémisses – selon lesquelles la prévalence augmente et que des causes environnementales sont possibles – sont à l’origine des « inquiétudes » qui ont conduit au retrait de l’étude. Ces prémisses contredisent les hypothèses profondément ancrées dans l’industrie de la recherche et du traitement de l’autisme.
L’industrie continue d’esquiver la question de la prévalence croissante, affirmant que l’autisme est avant tout une maladie génétique plutôt qu’environnementale.
Pour créer leur modèle, les chercheurs ont estimé quatre paramètres clés :
La prévalence historique et future des TSA
La taille future de la population avec TSA
Le coût par personne tout au long de la vie
Prévisions d'inflation
Les projections de prévalence étaient basées sur le nombre de cas du Département des services de développement de Californie de 1931 à 2016.
Les chercheurs ont utilisé les projections démographiques du Bureau de recensement des États-Unis pour traduire la prévalence en nombre réel de personnes autistes. Ils les ont multipliés par différentes catégories de coûts, ventilées par groupe d’âge et gravité des TSA, et ont appliqué un indice d’inflation à leurs prévisions.
Nevison explique que cette approche de calcul des coûts futurs s'appuie sur des modèles précédents qui identifiaient de la même manière les catégories de coûts et les multipliaient par la population autiste de chaque groupe d'âge.
RépondreSupprimer"Cependant, nous avons utilisé un modèle de prévalence plus sophistiqué, ce qui représente une avancée par rapport aux travaux antérieurs ", a-t-elle déclaré.
Leur modèle de prévalence des TSA a montré que, sur la base des tendances actuelles, les taux de TSA aux États-Unis pourraient dépasser 6 % parmi les enfants nés en 2024. Ce chiffre s’élève à 7 % en 2032 et continuera probablement d’augmenter à un rythme plus lent par la suite. Cela diffère des modèles précédents qui prédisaient une croissance exponentielle continue.
Cependant, tout cela suppose que les vaccinations contre le Covid n’entraîneront pas de cas supplémentaires d’autisme chez les enfants nés à partir de 2022 de mères vaccinées pendant la grossesse.
Les coûts associés aux TSA comprenaient les « services non médicaux » tels que les soins communautaires et les programmes de jour, les pertes de productivité des individus et des parents, les coûts estimés de l’éducation spécialisée, les interventions précoces et comportementales et les coûts médicaux.
L’étude montre que ce n’est pas seulement l’augmentation de la prévalence elle-même qui fait augmenter les coûts, mais aussi le fait que la composition des coûts évolue au fil du temps à mesure que la population autiste vieillit et a des besoins de soins différents.
Alors que la première génération de parents d'enfants autistes, qui supportaient une grande partie du coût des soins, commencerait à mourir vers 2040, les coûts des soins qu'ils assumaient seront transférés aux États et au gouvernement fédéral, selon l'étude.
Dr. Blaxill , l'un des auteurs de l' étude , prévient que l'augmentation des coûts " est radicale, elle coûtera 5 000 milliards de dollars par an " .
Nevison a expliqué qu'elle a basé son scénario de « prévention » sur un exemple existant avec de bonnes données dans lequel les taux de TSA avaient diminué. Elle et un collègue ont publié cette recherche dans la revue JADD en 2020 .
La recherche montre que les taux de TSA, qui ont augmenté pour tous les enfants américains au cours des années de naissance 1993-2000, sont restés stagnants ou ont diminué parmi les familles blanches vivant dans des comtés riches.
Les résultats suggèrent que ces familles ont apporté des changements qui ont réduit le risque de TSA chez leurs enfants.
" Le scénario de prévention suppose que ces stratégies et opportunités parentales, déjà utilisées par les parents riches pour réduire le risque de TSA chez leurs enfants, peuvent être identifiées et rapidement mises à la disposition des enfants à faible revenu et des minorités ethniques. " Connaître l'augmentation la plus rapide de la prévalence des TSA , » écrivent les auteurs de « Autism Tsunami ».
RépondreSupprimerLe document ne précise pas quels auraient pu être ces changements.
Cependant, Blaxill a déclaré qu'ils émettaient l'hypothèse que les changements se produisaient dans les familles qui suivaient des calendriers de vaccination alternatifs et d'autres changements de mode de vie. En Autriche, le nombre de vaccinations recommandées pour les enfants jusqu'à 15 ans s'élève désormais à 52 ; le plan de vaccination allemand comprend déjà 43 vaccinations pour les 24 premiers mois . Le coût des soins va également exploser.
Même dans le scénario de prévention, l’étude révèle que le coût des TSA grimpera en flèche pour atteindre 3,7 ± 0,8 billions de dollars par an d’ici 2060.
Les auteurs ont conclu que la hausse des taux d’autisme doit être prise au sérieux en tant que problème de santé publique et de politique économique.
"Paradoxalement, les coûts futurs de l'autisme sont si élevés que les décideurs politiques ont généralement été peu familiers avec les implications économiques, plutôt que d'y répondre avec un sentiment d'urgence comme on pourrait s'y attendre", écrivent les auteurs.
« Nous espérons que cet article servira de sonnette d’alarme face à l’urgence de santé publique que les coûts sociétaux de l’autisme posent pour l’avenir économique des États-Unis. »
Et bien que le nombre de cas d’autisme ait augmenté à travers le pays, tous les Américains ne sont pas touchés par la maladie. Comme l'a rapporté TKP, les communautés Amish américaines n'ont pas connu d'augmentation des cas d'autisme. Une étude approfondie menée l’année dernière a révélé qu’aucun des enfants Amish non vaccinés n’avait reçu de diagnostic de maladies chroniques qui affligent le reste des États-Unis.
Il reste à voir si et comment les vaccinations à base d'ARNm-C19, autorisées pour les enfants à partir de 6 mois et recommandées pour les femmes enceintes, affecteront la fréquence de l'autisme en Allemagne, en Autriche, en Suisse et dans l'ensemble de l'UE. Nous savons maintenant que dans les modèles animaux, la vaccination pendant la grossesse provoque l'autisme chez la progéniture mâle et que des dommages neurologiques globaux se produisent.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2024/01/13/autismus-tsunami-in-usa-mit-hohen-folgekosten-top-studie/
Big Pharma espère le jackpot avec l’explosion des cas de #MCJ maladie de la vache folle post injection covid ,le lien est bien établi. Luc Montagnier avait raison
RépondreSupprimerle 12 janvier 2024
par pgibertie
L’affaire devient sérieuse, Les signalements de cas suspects de maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale se multiplient depuis le mois d’octobre 2021en France et dans le monde. .Pendant longtemps Big Pharma et ses soutiens répondaient que la maladie de Creutzfeldt-Jakob était à évolution lente. C’est bien la caractéristique de la variante Pfizer Moderna elle tue dans 4 cas sur cinq dans les six mois qui suivent l’injection arnm covid
Depuis l’avènement d’Omicron et de ses variants la région à prion a disparu du virus qui ne peut être accusé de cette MCJ
Hélas la dite région se trouve toujours présente dans les vaccins injectés actuellement
Les cas et les études se multiplient mais Big Pharma se réjouit de l’explosion du marché médicamenteux…
le début de l’affaire et les dénégations
Le 15 octobre 2021, la France entière découvrait sur l’histoire de Mauricette Doyer, cette femme de 72 ans ayant déclaré une forme atypique de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) 15 jours après sa deuxième injection du vaccin Pfizer-BioNTech. Depuis la diffusion de son témoignage, son mari ne cesse d’alerter les autorités sanitaires et de recevoir des messages de proches de personnes vaccinées relatant strictement le même récit, caractérisé par les mêmes symptômes et la même chronologie.
Ce lien entre les vaccins à ARN messager et la survenue d’une maladie à prions est-il suffisamment plausible pour être pris en compte par les autorités sanitaires ? Le ministère de la Santé a-t-il, à défaut de respecter le principe de précaution qui prévaudrait ici, agi conformément à ce qu’exigerait l’éthique ou plus prosaïquement la loi au regard de la spécificité de cette maladie à déclaration obligatoire ?
Nous avons recensé une dizaine d’études au début 2022 documentant un possible lien avec le vaccin, mais celui-ci est formellement réfuté par l’ANSM.
La précipitation de l’État à écarter cette hypothèse l’expose-t-elle demain à un nouveau scandale sanitaire ?
- voir doc sur site -
le Pr Luc Montagnier, biologiste virologue, prix Nobel de médecine en 2008, alertait depuis des mois sur un possible lien entre les injections d’ARN messager (ARNm) et le déclenchement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob :
RépondreSupprimer« Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million. Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer. C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent. On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins, mais il faut quand même regarder cette hypothèse. Parce que le seul facteur commun entre ces personnes, c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin. »
Le Pr Luc Montagnier faisait état en décembre 2021 de 21 décès survenus sur le territoire national post injection [1]. Peu avant son décès, il évoquait 40 cas suspects. Sans accuser formellement les vaccins, il questionne, car il n’est pas possible de fermer les yeux aujourd’hui. La responsabilité du vaccin dans la survenue de ces cas peut-elle être pour autant établie à ce stade ? Le cas échéant, s’agit-il d’un effet secondaire connu des vaccins ?
Il rédigeait surtout un article avec son ami J C PEREZ
Emergence d’une nouvelle maladie de Creutzfeldt-Jakob : 26 cas de la version humaine de la maladie de la vache folle, quelques jours après une injection de COVID-19
janvier 2023
DOI :
10.5281/zenodo.7540331
Maladie de Creutzfeldt-Jakob, maladie à prions autrefois rare mais universellement mortelle , progresse normalement au coursplusieurs décennies avant de conduire à la mort. En annexe de cet article, nous soulignons la présencee d’une région à prions dansla protéine de pointe de l’originel SARS-CoV-2, et dans toutes les variantes du « vaccin » construites à partir duvirus de Wuhan . La région a une densité de mutations huit fois supérieures à celle du reste dela pointe,et pourtant, étrangement, toute la région du prion disparaît entièrement dans la variante Omicron.
Dans le corps principal de notre texte,nous présentons 26 cas deCreuzfeldt-Maladie de Jacob, toutes diagnostiquées en 2021 avec les premiers symptômes apparaissant
– nous pensons qu’il est correct de déduire que les injections ont causé la maladie dans ces 26 cas. Sidonc, ils ontprobablement aussi causé de nombreux autres cas qui n’ont pas été diagnostiqués à cause deleur progression rapide vers la mort. fin 2021, 20 étaient décédés dans les 4,76 mois suivant l’injection incriminée. De ceux-là, 8 sont morts subitementdans les 2,5 mois confirmant la progression rapide , cela s’est accéléré. D’ici juin 2022, 5 patients supplémentaires étaient décédés, et au moment de l’écriture actuelle, il n’en reste qu’un seul encore en vie.
RépondreSupprimerZENODOPEEREVIEWIJVTPR07122022PerezMoret-ChalminMontagnier16012023Télécharger
Toujours au début 2022,au Canada, les autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick ont en effet annoncé l’ouverture d’une enquête sur une maladie d’atrophie cérébrale présentant des similarités avec la MCJ et ayant touché 42 personnes, dont 5 sont décédées. Faut-il voir là encore un possible lien avec le vaccin ?
2 les rebondissements actuels
En France la famille Doyer mène son combat contre Pfizer, le dossier évolue et l’empoisonneur ne peut plus écarter le lien avec la maladie qui a tué Mme Doyer . Aux Etats Un is les cas se multiplient et enfin Big Pharma avoue l’explosion du marché des traitements paliatifs contre la maladie mortelle. De nouvelles études confirment celle du PR Montagnier
Un marché juteux pour Big Pharma sans révolution du traitement….qui puisse le justifier sinon ce sera encore plus juteux;;;
https://www-databridgemarketresearch-com.translate.goog/reports/global-prion-disease-treatment-market?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
Marché mondial du traitement de la maladie à prions, par types (maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), prionopathie variablement sensible à la protéase, maladie de Gerstmann-Sträussler-Scheinker et autres), médicament ( antidépresseur , agents antipsychotiques et autres) ), Voie d’administration (orale et injectable), utilisateurs finaux (hôpitaux, soins à domicile, cliniques spécialisées, autres) – Tendances et prévisions de l’industrie jusqu’en 2030.
Des cas de plus en plus nombreux
- voir doc sur site -
Le lien entre injection et MCJ établi
Sporadic Creutzfeldt-Jakob Disease After Receiving the Second DosTélécharger
- voir doc sur site -
https://www.hivnursing.net/index.php/hiv/article/view/1161
RépondreSupprimerMALADIE DE CREUTZFELDT-JAKOB APRÈS LA DEUXIÈME DOSE DU NOUVEAU VACCIN CONTRE LA COVID-19 À BASE D’ACIDE RIBONUCLÉIQUE MESSAGER (ARNM) DE PFIZER-BIONTECH : UN RAPPORT DE CAS
Maladie neurologique rare, à progression rapide et éventuellement mortelle, appelée maladie à prions humaine. Bien que la plupart des occurrences soient sporadiques, beaucoup peuvent être acquises ou héritées. Dans la présente étude, nous nous concentrons sur le cas d’un homme de 63 ans qui avait initialement des problèmes de vision, qui présente ensuite des difficultés à utiliser son côté droit pour ses activités quotidiennes et qui commence à subir des chutes fréquentes avec instabilité de la démarche environ une semaine après avoir reçu le deuxième. dosage du nouveau vaccin contre la COVID-19 à base d’acide ribonucléique messager (ARNm) de Pfizer-BioNTech. Des résultats confidentiels ont confirmé les diagnostics mortels de maladie de Creutzfeldt-Jakob sporadique à la suite d’une étude approfondie.
https://pgibertie.com/2024/01/12/big-pharma-espere-le-jackpot-avec-lexplosion-des-cas-de-mcj-maladie-de-la-vache-folle-post-injection-covid-le-lien-est-bien-etabli-luc-montagnier-avait-raison/
France Soir donne la parole à #DidierRaoult sur les terribles certitudes de l’ADNm: vaccxxxins contaminés, protéines inconnues , vache folle. DOSSIER COMPLET
RépondreSupprimerle 13 janvier 2024
par pgibertie
Le laborieux que je suis apprécie qu’un scientifique fasse le point sur les certitudes scientifiques dee l’année 2023 que j’ai tenté de présenter sur ce blog.
Vous trouverez donc en complément LES ETUDES évoquées par Didier Raoult
Didier Raoult a aujourd’hui totalement libéré sa parole et France soir lui donne le temps d’expliquer .
Oui les produits Pfizer et Moderna sont contaminés; pire , ils font fabriquer par l’organisme des protéines inconues et peuvent générer des cancers et des MCJ (vache folle)
Le Pr.@raoult_didier s’exprime sur les vaccins à ARN messager et sur le silence de l’ANSM et de l’IGAS : « Ce produit n’était pas pur […] Certaines des molécules des vaccins, ce qu’elles sont capables de faire, personne ne le sait à l’heure actuelle
Avec l’avancement des recherches partout dans le monde, l’impossible lien entre l’injection et la maladie de la vache folle devient possible.
- clip sur site -
DOSSIER/ DES PRODUITS CONTAMINÉS DANGEREUX NON PURIFIÉS
Le scandale du #Pfizer covid , contaminé par le virus #S40 simien qui avait empoisonné les vaccins antipolio de 1955 à 1963. Pourquoi la surveillance n’a t elle pas fonctionné?
Publié le 13 avril 2023 par pgibertie
La séquence du vaccin Pfizer Monovalent est désormais publique.Les études se multiplient et toutes indiquent de très fortes contaminations par l’ADN des bactéries et virus utilisés pour la fabrication . Les conséquences seraient au moins aussi graves que les effets … Lire la suite →
ACCUSATION : Les lots de vaccins Pfizer ont été mis sur le marché en Europe sans contrôle de la contamination par l’ADN
Publié le 11 novembre 2023 par pgibertie
Plusieurs biologistes allemands accusent l’Institut Paul Ehrlich de ne pas avoir joué correctement son rôle dans le contrôle de la fabrication et de la mise sur le marché des lots de Pfizer . De plus ils découvrent de nouveaux lots … Lire la suite →
DOSSIER /DES PROTÉINES ALÉATOIRES GÉNÉRÉES SANS CONTRÔLE
Ils vous ont injecté un mortier de feu d’artifice ! et dans votre organisme c’est le 14 juillet tous les jours…
Publié le 13 décembre 2023 par pgibertie
Les média ont beau se vouloir rassurants, il leur faut reconnaitre que la technologie ARNm déconne un peu et pas seulement pour la covid. L’invention nobelisée de la Pseudouridine conduit à la production par l’organisme de bizarreries moléculaires, un vrai feu d’artifice … Lire la suite →
RépondreSupprimerDOSSIER/ CANCERS ? MALADIES A PRION
La multiplication des anticorps IgG4 favorise la croissance des cancers et…. les injections covid ARNm de Big Pharma favorisent une multiplication des IgG4, alors, pas de problème en France?
Publié le 8 octobre 2023 par pgibertie
Plus il y a de doses plus les IgG4 se multiplient dans l’organisme L’IgG4 est un anticorps unique qui présente la concentration la plus faible parmi les sous-types d’IgG chez les individus en bonne santé, et sa fonction n’a pas … Lire la suite →
PFIZER parie sur l’explosion des turbos cancers; Bourla « 30% des personnes auront un Cancer ».Il sait pourquoi…ou alors l’achat de SEAGEN déficitaire pour 20 fois son CA serait suicidaire
Publié le 30 décembre 2023 par pgibertie
Pfizer débourse 43 milliards de dollars pour acquérir la société déficitaire Seagen, ce qui en fait l’une des plus grandes acquisitions pharmaceutiques au monde. C’est 20 fois le chiffre d’affaire Le géant pharmaceutique américain prévoit de payer 229 dollars en … Lire la suite →
Big Pharma espère le jackpot avec l’explosion des cas de #MCJ maladie de la vache folle post injection covid ,le lien est bien établi. Luc Montagnier avait raison
Publié le 12 janvier 2024 par pgibertie
L’affaire devient sérieuse, Les signalements de cas suspects de maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale se multiplient depuis le mois d’octobre 2021en France et dans le monde. .Pendant longtemps Big Pharma et ses soutiens répondaient que la maladie de Creutzfeldt-Jakob était à évolution … Lire la suite →
https://pgibertie.com/2024/01/13/france-soir-donne-la-parole-a-didierraoult-sur-les-terribles-certitudes-de-ladnm-vaccxxxins-contamines-proteines-inconnues-vache-folle-dossier-complet/
(...) Le laborieux que je suis apprécie qu’un scientifique fasse le point sur les certitudes scientifiques dee l’année 2023 que j’ai tenté de présenter sur ce blog. (...)
SupprimerPrimo, le Pr Raoult n'est PAS un scientifique, sans quoi il aurait (depuis 3 ans) rendu compte des analyses faites par la scientifique Dr Astrid Stuckelberger !
- Des scientifiques Dr Astrid Stuckelberger & Carrie Madej ont analysé (il y a 3 ans) le contenu des flacons injectables:
Ils contenaient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! (soit 40 000 milliards par injection !)
+ des hydres !
+ des spikes !
+ diverses maladies animales et (sources naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
A savoir: Nous (AVEC ou SANS masque) respirons toutes & tous 200 000 nano-poussières (appelées 'virus' !) ET microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! ET NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORT(E)S !! Çà alors !
Secundo, ce qui est appelé un 'virus' est UNE POUSSIÈRE qui n'est PAS dans l'air (des milliers de laboratoires analysent la 'qualité de l'air' chaque jour dans le monde et n'ont JAMAIS trouvé de 'cocovide18' ou autres pseudonymes !). Une poussière (à ne pas confondre avec un microbe) est parfaitement inoffensive (sauf les poussières radioactives, ce qui n'est ici pas le cas).
Mais alors... OÙ EST-CE QU'ELLE EST T-ELLE ??
Devinez !
Le mot 'virus' est un mot 'bateau' qui sert à diverses propositions telles que "Le virus de la chasse, de la pêche, du cinéma, de la bonne bouffe" etc, sans oublier celui de l'ordinateur !
Donc (sauf pour les radioactives) les poussières (appelées 'virus' !) n'importent peu. Nous respirons toutes & tous 200 000 poussières ET microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et, DES montagnes de milliards depuis notre naissance !! ET... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Le plan du gouvernement pour criminaliser vos pensées
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
13 janvier 2024
Même si le poids de la propagande semble s’être un peu atténué ces derniers mois, les faits montrent que bien d’autres choses restent à venir.
Les documents reçus par les journalistes d'investigation Michael Shellenberger, Alex Gutentag et Matt Taibbi d'un lanceur d'alerte anonyme mais « hautement crédible » révèlent de nouveaux détails sur la façon dont le complexe industriel de censure américain – un réseau de plus de 100 agences gouvernementales, entreprises privées, universités et organisations à but non lucratif – contrôle et criminalise la « pensée erronée ».1
- voir clip sur site -
Révélations explosives
La nouvelle cache de documents, appelée « fichiers CTIL », qui fait référence à la Cyber Threat Intelligence League, a été publiée par les trois journalistes fin novembre 2023.
"Un lanceur d'alerte a présenté une nouvelle mine explosive de documents, rivalisant ou dépassant les fichiers Twitter et Facebook en termes d'ampleur et d'importance", a écrit le trio sur leur sous-pile, "Public".2
« Ils décrivent les activités d'un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League, ou CTIL, qui a officiellement débuté comme un projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques au fil du temps semblent avoir été absorbées par de multiples projets officiels, y compris ceux du Department of Homeland Security (DHS).
Les documents de la Ligue CTI offrent les réponses au chaînon manquant aux questions clés non abordées dans les fichiers Twitter et Facebook. Ensemble, ils offrent une image complète de la naissance du secteur « anti-désinformation », ou de ce que nous avons appelé le complexe industriel de la censure.
Les documents décrivent comment les programmes modernes de censure numérique ont été créés et les différents rôles de l’armée, des agences de renseignement américaines, des organisations de la société civile et des médias commerciaux.
Ils décrivent également les méthodes et techniques utilisées, telles que la création et l’utilisation de comptes fantoches pour espionner et diriger les discussions en ligne et propager les récits souhaités, le discrédit des dissidents et la militarisation intentionnelle du secteur financier contre ceux-ci.
Selon le lanceur d’alerte, CTIL a également participé à la création d’un projet de contre-désinformation visant à « empêcher une répétition de 2016 », une référence au Brexit et à la victoire électorale surprise de Donald Trump – deux situations dans lesquelles les processus démocratiques ont effectivement gagné.
Comme le souligne Jimmy Dore dans la vidéo ci-dessus, il ne s’agissait pas d’empêcher la circulation de fausses informations. Il s’agissait de garantir qu’aucun étranger politique ne puisse plus jamais accéder au Bureau Ovale. L’instruction visant à empêcher une répétition de ce qui s’est passé en 2016 était un appel direct à saper, voire à éliminer, le processus d’élections libres et équitables.
RépondreSupprimerIl est important de noter que les documents admettent que les efforts de censure contre les Américains doivent être menés par des partenaires du secteur privé, car le gouvernement n’a pas « l’autorité légale » pour le faire.
Le CTIL
La nouvelle collection de documents et de vidéos révèle que 2019 a été une année charnière pour le complexe industriel de la censure. Selon Public3, c’est à ce moment-là que « les États-Unis et des sous-traitants de l’armée et du renseignement britanniques dirigés par une ancienne chercheuse britannique en matière de défense, Sara-Jayne « SJ » Terp, ont développé un vaste cadre de censure.
Ces sous-traitants sont devenus co-dirigeants du CTIL, dont les fondateurs initiaux comprenaient un ancien responsable du renseignement israélien, Ohad Zaidenberg, le responsable de la sécurité de Microsoft, Nate Warfield, Chris Mills, un autre responsable de la sécurité de Microsoft, et Marc Rogers, le chef des opérations de sécurité du CTIL. convention des hackers, DEF CON.
Selon des articles publiés dans les médias4, ces professionnels hautement qualifiés et recherchés ont pris la décision altruiste de proposer leurs services pour aider des hôpitaux valant des milliards de dollars dans leur cybersécurité, gratuitement et sans aucune condition. Ce n’était pas une couverture crédible à l’époque, et elle n’a certainement pas mieux vieilli.
Moins d’un mois après la création du CTIL en mars 2020, ce groupe prétendument composé uniquement de bénévoles comptait 1 400 membres « sur invitation uniquement » dans 76 pays et s’est officiellement associé à l’Agence de cybersécurité et de sécurité de l’information (CISA) du Département américain de la sécurité intérieure. Tel que rapporté par Public :5
« Le cadre CTIL et le modèle public-privé sont les germes de ce que les États-Unis et le Royaume-Uni mettront en place en 2020 et 2021, notamment le masquage de la censure au sein des institutions de cybersécurité et les programmes de contre-désinformation ; une forte concentration sur l’arrêt des récits défavorisés, et pas seulement des faits erronés ; et faire pression sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles suppriment les informations ou prennent d’autres mesures pour empêcher le contenu de devenir viral.
Programmes de censure parallèles
Au printemps 2020, la CISA a également créé l'Election Integrity Partnership (EIP) — un consortium composé du Stanford Internet Observatory (SIO), du Center for an Informed Public de l'Université de Washington, du Digital Forensic Research Lab de l'Atlantic Council et de Graphika. (une société d’analyse des médias sociaux) – et lui a externalisé ce qui serait autrement une censure illégale et inconstitutionnelle.
Au cours du cycle électoral de 2020, l’EIP et la CISA ont travaillé avec le Centre d’engagement mondial (GEC) du Département d’État et le Centre de partage et d’analyse d’informations sur l’infrastructure électorale (EI-ISAC), soutenu par le DHS, pour influencer et contrôler les discussions politiques en ligne. L’EIP a coordonné la suppression des contenus indésirables à l’aide d’une application de chat en temps réel que partagent le DHS, l’EIP et les sociétés de médias sociaux.6
RépondreSupprimerDans le même temps, le CTIL suivait et rapportait les opinions anti-confinement sur les réseaux sociaux. Une chaîne « d’application de la loi » a été créée spécifiquement pour espionner et suivre les utilisateurs des réseaux sociaux qui ont publié des hashtags anti-confinement. CTIL a même conservé une feuille de calcul avec les détails de leur biographie Twitter.
Selon Public, le CTIL « s’est également engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, discutant des moyens de promouvoir des « contre-messages », de coopter des hashtags, de diluer les messages défavorisés, de créer des comptes fantoches et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement. En février 2021, l’EIP a été rebaptisé Virality Project, date à laquelle sa censure s’est déplacée des élections vers les questions liées au COVID.
Infiltration et prise de contrôle du gouvernement
Alors qu’une membre du CTIL, Bonnie Smalley, a répondu à une question de Public affirmant que le CTIL « n’avait rien à voir avec le gouvernement », les preuves montrent le contraire. Au moins une douzaine d’employés du gouvernement ayant travaillé avec le DHS, le FBI et la CISA étaient également des membres actifs du CTIL.
Selon le lanceur d’alerte, l’objectif du CTIL « était de faire partie du gouvernement fédéral ». Le plan de Terp était de créer des « communautés MisinfoSec » qui incluraient le secteur fédéral, et les documents montrent que cet objectif a été atteint. En avril 2020, Chris Krebs, alors directeur de CISA, a également annoncé publiquement le partenariat de l'agence avec CTIL.
Les documents montrent que la militarisation du secteur financier a pour origine le CTIL, qui cherchait expressément à amener les banques à « couper les services financiers aux individus qui organisent des rassemblements ou des événements ».
Public continue : 7
« Les documents montrent également que Terp et ses collègues, par l'intermédiaire d'un groupe appelé MisinfoSec Working Group, qui comprenait Renee DiResta, directrice de recherche de l'Observatoire Internet de Stanford, ont créé une stratégie de censure, d'influence et de lutte contre la désinformation appelée Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques. (AMITT).
Ils ont écrit AMITT en adaptant un cadre de cybersécurité développé par MITRE… Terp a ensuite utilisé AMITT pour développer le cadre DISARM, que l’Organisation mondiale de la santé a ensuite utilisé pour « contrer les campagnes anti-vaccination à travers l’Europe ».
RépondreSupprimerUn élément clé du travail de Terp à travers CTIL, MisinfoSec et AMITT était d’insérer le concept de « sécurité cognitive » dans les domaines de la cybersécurité et de la sécurité de l’information…
Les ambitions des pionniers du complexe industriel de la censure en 2020 allaient bien au-delà de la simple exhortation de Twitter à apposer une étiquette d’avertissement sur les tweets ou à inscrire des individus sur des listes noires.
Le cadre de l’AMITT appelle au discrédit des individus comme condition préalable nécessaire pour exiger la censure à leur encontre. Il appelle à former les influenceurs pour diffuser des messages. Et il faut essayer d’amener les banques à interrompre les services financiers aux individus qui organisent des rassemblements ou des événements.»
La militarisation du secteur financier est née du CTIL
Nous savons désormais d’où vient la militarisation du secteur financier. Elle trouve son origine dans le CTIL, qui cherchait expressément à amener les banques à « couper les services financiers aux individus qui organisent des rassemblements ou des événements ».
De toute évidence, comme en témoigne mon propre cas et bien d’autres, les banques et les processeurs de paiement en ligne ont également été incités à supprimer les services destinés aux personnes qui exprimaient simplement des opinions opposées. Ce ne sont pas seulement les organisateurs de rassemblements qui sont visés.
Sous couvert d’altruisme
Alors que les responsables du CTIL ont souligné à plusieurs reprises que l'organisation était fondée sur des principes purement altruistes, l'objectif clair de ses dirigeants était de « renforcer le soutien à la censure parmi les institutions de sécurité nationale et de cybersécurité », écrit Public, et ils ont construit ce soutien en promouvant l'idée de Terp de « sécurité cognitive ».
Le choix du terme « sécurité cognitive » prend une saveur plutôt sinistre à la lumière des découvertes du Dr Michael Nehls selon lesquelles il y a eu ce qui semble être un effort intentionnel visant à détruire la fonction de mémoire autobiographique dans le cerveau du public au cours des quatre dernières années. années, facilitant ainsi l’endoctrinement de masse et inhibant la volonté personnelle et la pensée critique.
Il présente sa thèse dans le livre « The Indoctrinate Brain : How to Successfully Fend Off the Global Attack on Your Mental Freedom »,8 publié mi-décembre 2023.
RépondreSupprimerLes documents du lanceur d’alerte révèlent clairement que des tactiques militaires sophistiquées ont été utilisées contre le public américain, de puissants outils psychologiques – les mêmes outils, selon Nehls, qui peuvent littéralement altérer les fonctions biologiques du cerveau.
Public cite un rapport de MisinfoSec dans lequel « les auteurs appellent à placer les efforts de censure dans le cadre de la « cybersécurité », tout en reconnaissant que la « sécurité de la désinformation » est totalement différente de la cybersécurité. Ils ont écrit que le troisième pilier de « l’environnement informationnel » après la sécurité physique et la cybersécurité devrait être « la dimension cognitive ».
En effet, votre esprit – votre cognition, votre capacité même à penser de manière indépendante – est le champ de bataille de la guerre d’aujourd’hui, comme le propose Nehls dans son livre. Ce qui est effrayant, c’est que les outils utilisés ont en réalité le pouvoir de reprogrammer qui vous êtes.
Nous sommes en effet des « animaux piratables », comme le propose Yuval Noah Harari, et le complexe industriel de la censure pirate la structure même du cerveau de milliards de personnes depuis déjà quatre ans. Gutentag en parle même dans un article du 3 décembre 2023 :9
« Ce qui était autrefois considéré comme une « théorie du complot » selon laquelle les forces militaires et de renseignement manipulaient l’opinion publique par le biais d’interventions inorganiques, a maintenant été confirmée.
Notre étude du complexe industriel de la censure a révélé un plan de grande envergure visant à renverser le processus démocratique et à s’engager dans des activités qui reposent sur des techniques militaires et qui s’apparentent à des tentatives de contrôle de la pensée ou de l’esprit.
« C’est légal si nous pouvons nous en sortir »
Les dossiers du CTIL montrent également qu'il y avait une intention claire de contourner le premier amendement en sous-traitant la censure au secteur privé et non gouvernemental. Selon le lanceur d’alerte10 :
« La philosophie était que si nous nous en sortions, c’était légal, et il n’y avait aucune préoccupation liée au Premier Amendement parce que nous avons un « partenariat public-privé » – c’est le mot qu’ils ont utilisé pour dissimuler ces préoccupations. « Les particuliers peuvent faire des choses que les fonctionnaires ne peuvent pas faire, et les fonctionnaires peuvent assurer le leadership et la coordination. »
Bonne nouvelle, mauvaise nouvelle
RépondreSupprimerLa bonne nouvelle est que de plus en plus d’informations circulent sur l’externalisation illégale de la censure par le gouvernement américain, et avec elle, des contestations judiciaires qui bloquent ce contournement de la Constitution.
Nous avons également remporté d’autres victoires. En août 2022, le DHS a été contraint de dissoudre le Conseil de gouvernance de la désinformation en raison de la réaction du public. La CISA a également supprimé de son site Web des informations sur les travaux de censure nationale et a démantelé son sous-comité sur la désinformation, la désinformation et la malinformation (MDM).
La sous-commission spéciale sur la militarisation du gouvernement fédéral poursuit également sa recherche de la vérité et utilisera (espérons-le) tous les pouvoirs à sa disposition pour freiner les abus. Son rapport le plus récent, « The Weaponization of ‘Disinformation’ Pseudo-Experts and Bureaucrats: How the Federal Government Partnered with Universities to Censor Americans’ Political Speech »11, a été publié le 6 novembre 2023.
Malheureusement, nous menons également un effort mondial en cours non seulement pour normaliser, mais aussi pour légaliser ce type de censure par des tiers. Dans une vidéo du 1er août 2023 (ci-dessous), Mike Benz12 a expliqué cette stratégie.
Lien vidéo
En bref, ils tentent de restructurer le secteur de la censure « d’un modèle imposé par le gouvernement » vers un « modèle de middleware compétitif » dans lequel la « curation de contenu » (censure de lecture) est simplement sous-traitée à des organisations tierces.
De cette façon, un marché « légal » de conformité à la désinformation est créé tandis que le gouvernement peut prétendre qu’il n’a rien à voir avec le contrôle de l’information. Fondamentalement, ce que nous observons, c’est l’émergence d’une censure organisée par les entreprises.
Il n’y a pas de solution claire à cette menace, si ce n’est de continuer à s’opposer à tous les efforts visant à légaliser, standardiser et normaliser la censure. S'opposer vocalement, refuser d'utiliser un middleware comme NewsGuard et boycotter toute entreprise ou organisation qui utilise un middleware ou se livre à une censure de quelque nature que ce soit.
Sources and References
RépondreSupprimer1, 10 The Defender November 29, 2023
2, 3, 5, 7 Public Substack November 28, 2023
4 CSO April 23, 2020
6 Twitter Lee Fang October 31, 2022
8 Amazon The Indoctrinated Brain: How to Successfully Fend Off the Global Attack on Your Mental Freedom by Michael Nehls
9 Public Substack December 4, 2023
11 The Weaponization of ”Disinformation” Pseudo-Experts and Bureaucrats, Interim Staff Report, November 6, 2023
12 Twitter Mike Benz August 1, 2023
https://www.lewrockwell.com/2024/01/joseph-mercola/the-governments-plan-to-criminalize-your-thoughts/
« Scénario apocalyptique de désinformation » : la propagande alimentée par l'IA est la dernière menace pour l'humanité (qui doit être censurée)
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 JANVIER 2024 - 01h20
Le canular Trump-Russie a été l’une des opérations de désinformation les plus notables de l’histoire moderne. Un élément majeur du canular était l’idée selon laquelle la Russie aurait influencé les élections américaines de 2016 par la désinformation et aurait trompé le public américain pour qu’il élise Donald Trump.
Au fil du temps, bien sûr, il a été révélé que la campagne Clinton, l’administration Obama et leurs alliés des grands médias avaient eux-mêmes colporté des informations fabriquées. Pourtant, la menace de « désinformation » s’est transformée en tout un écosystème de collaboration entre les gouvernements et les groupes de réflexion privés, qui a été utilisé pour censurer la liberté d’expression dans le monde entier.
À cette fin, le Forum économique mondial a déclaré que la « désinformation » était la plus grande menace mondiale, selon son « Rapport sur les risques mondiaux » de 2024, ce qui nécessitera évidemment un plus grand contrôle de la liberté d'expression.
Comme l'écrit Jonathan Turley dans une note de vendredi :
Le rapport montre à quel point ce mouvement anti-liberté d’expression est devenu ancré parmi l’élite mondiale, des médias aux entreprises en passant par la politique.
Cette conclusion absurde est cohérente avec l’avertissement d’autres personnalités et groupes internationaux. Nous avons déjà évoqué la manière dont le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a soutenu la censure pour lutter contre ce qu’il appelle « l’infodémie ».
Ainsi, « 1 490 experts issus du monde universitaire, du monde des affaires, du gouvernement, de la communauté internationale et de la société civile » ont examiné toutes les menaces militaires, économiques et environnementales mondiales et ont conclu que la plus grande menace pour l’humanité est une trop grande liberté d’expression. Un « risque mondial » est défini comme « la possibilité qu’un événement ou une situation se produise qui, s’il se produisait, aurait un impact négatif sur une proportion significative du PIB mondial, de la population ou des ressources naturelles ».
Turley souligne comment les « experts » ont soutenu la censure et la mise sur liste noire (hum) pendant la crise de Covid, et cite plusieurs exemples.
Pourtant, nous avons désormais dépassé la simple « désinformation ». Le monde est désormais menacé par la désinformation « alimentée par l’IA » !
Selon le Financial Times, la désinformation créée via l’intelligence artificielle se profile à l’horizon. Le média souligne un incident survenu lors des élections de septembre en Slovaquie, au cours duquel un mystérieux enregistrement du candidat de l'opposition libérale, Michal Šimečka, complotait avec un journaliste pour acheter des voix et truquer le résultat. Pourtant, l’enregistrement était faux. La police slovaque a averti les électeurs de se méfier en ligne des acteurs néfastes ayant des « intérêts particuliers ».
Šimečka a perdu les élections face à un « rival populiste pro-russe », ce que le FT utilise bien sûr pour laisser entendre que la Russie était derrière l'enregistrement, et la menace pour la démocratie est plus grande que jamais !
RépondreSupprimerLa désinformation en ligne est un facteur électoral depuis de nombreuses années. Mais les progrès récents et rapides de la technologie de l’IA signifient qu’il est moins cher et plus facile que jamais de manipuler les médias, grâce à un nouveau marché dynamique d’outils puissants tels que ChatGPT d’OpenAI, la start-up d’art IA Midjourney ou d’autres générateurs de texte, audio et vidéo. Dans le même temps, les médias manipulés ou synthétiques deviennent de plus en plus difficiles à repérer.
Les deepfakes réalistes sont déjà devenus un nouveau front dans le paysage de la désinformation autour des conflits Israël-Hamas et Russie-Ukraine. Aujourd’hui, ils sont sur le point de brouiller les cartes dans des processus électoraux déjà ternis par la diminution de la confiance du public dans les gouvernements, les institutions et la démocratie, ainsi que par un antilibéralisme généralisé et une polarisation politique.
"Les technologies ont atteint ce trio parfait de réalisme, d'efficacité et d'accessibilité", a déclaré Henry Ajder, expert en IA et deepfakes et conseiller auprès d'Adobe, Meta et EY. "Jusqu'à cette année, les inquiétudes concernant l'impact électoral étaient exagérées. Et puis les choses se sont produites à une vitesse que personne, je pense, n'avait prévue."
Les autorités mettent en garde
En novembre, des responsables britanniques ont évoqué la possibilité de « robots hyperréalistes créés par l’IA » et de campagnes de deepfake de plus en plus avancées qui pourraient influencer les élections du pays. Pendant ce temps, un groupe bipartisan de sénateurs américains a récemment proposé une législation qui interdirait les publicités politiques « matériellement trompeuses générées par l'IA ».
Cela a mis la pression sur les plateformes de médias sociaux, notamment Meta, YouTube de Google, TikTok et X, pour qu'elles censurent les deepfakes et intensifient la « modération » (censure) lorsqu'il s'agit de médias ambigus.
Le rapport prévient ensuite que les géants des médias sociaux sont « moins équipés pour le faire que lors des grandes élections précédentes ».
Certains, dont Meta, ont réduit leurs investissements dans des équipes dédiées au maintien d'élections sûres après le ralentissement des valeurs technologiques début 2023. Dans le cas du X d'Elon Musk, les ressources de modération de contenu ont été considérablement réduites alors qu'il s'engage à restaurer ce qu'il appelle la liberté d'expression. absolutisme.
Les efforts des groupes technologiques basés aux États-Unis pour investir dans la vérification des faits et lutter contre la désinformation sont également devenus politisés, alors que des politiciens américains de droite les accusent de collusion avec le gouvernement et les universitaires pour censurer les opinions conservatrices. -FT
RépondreSupprimerDonc, pour récapituler, les grandes technologies ont désormais peur de censurer parce que les conservateurs les accusent de censure, et « plusieurs experts en désinformation et universitaires de gauche préviennent que cette dynamique oblige les plateformes, les universités et les agences gouvernementales à se retirer des initiatives d'intégrité électorale et collaborations à l'échelle mondiale par crainte de représailles.
Aujourd’hui, face à la « menace croissante des deepfakes de l’IA », le Financial Times met en garde contre un « scénario apocalyptique de désinformation » (ce ne sont pas des blagues), dans lequel « un deepfake viral indétectable aura un impact catastrophique sur le processus démocratique – ce n’est pas possible ». n'est plus simplement théorique."
"Je pense que la combinaison du chaos que permettront les outils d'IA générative et de l'inconvénient des programmes que les plateformes avaient mis en place pour garantir l'intégrité des élections est ce désastre qui se déroule sous nos yeux", déclare anonymement un responsable d'une agence numérique. recherche à but non lucratif. "Je crains énormément que la victime ne soit la démocratie elle-même."
FT poursuit ensuite en milliers de mots, décrivant des exemples et des scénarios du fléau numérique et ce que nous devrions faire pour y mettre fin.
En fin de compte, la censure n’est pas prête de disparaître.
https://www.zerohedge.com/markets/disinformation-doomsday-scenario-ai-powered-propaganda-latest-threat-humanity-must-be
L'UE veut espionner l'utilisation d'Internet par les Européens
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 JANVIER 2024 - 13H00
Rédigé par Robert Blumen via le Brownstone Institute,
La Commission européenne est un organe législatif de l’UE doté d’un pouvoir de régulation en matière de technologie numérique. L’article 45 de l’eIDAS de la CE, une proposition de règlement, affaiblirait délibérément les domaines de la sécurité Internet que l’industrie a soigneusement développés et renforcés pendant plus de 25 ans. Cet article accorderait effectivement aux 27 gouvernements de l’UE des pouvoirs de surveillance considérablement étendus sur l’utilisation d’Internet.
La règle exigerait que tous les navigateurs Internet fassent confiance à un certificat racine supplémentaire provenant d'une agence (ou d'une entité réglementée) de chacun des gouvernements nationaux de chacun des États membres de l'UE. Pour les lecteurs non experts, j'expliquerai ce qu'est un certificat racine, comment la confiance sur Internet a évolué et ce que l'article 45 y fait. Ensuite, je soulignerai certains commentaires de la communauté technologique à ce sujet.
La section suivante de cet article expliquera comment fonctionne l'infrastructure de confiance d'Internet. Ce contexte est nécessaire pour comprendre à quel point l’article proposé est radical. L’explication est destinée à être accessible à un lecteur non technique.
Le règlement en question concerne la sécurité Internet. Ici, « Internet » désigne, en grande partie, les navigateurs visitant des sites Web. La sécurité Internet comprend de nombreux aspects distincts. L'article 45 vise à modifier l'infrastructure à clé publique (PKI), partie intégrante de la sécurité Internet depuis le milieu des années 90. La PKI a été dans un premier temps adoptée, puis améliorée sur une période de 25 ans, pour offrir aux utilisateurs et aux éditeurs les assurances suivantes :
Confidentialité de la conversation entre le navigateur et le site Web : les navigateurs et les sites Web communiquent sur Internet, un réseau de réseaux exploité par des fournisseurs de services Internet et des opérateurs de niveau 1 ; ou les opérateurs de téléphonie mobile si l'appareil est mobile. Le réseau lui-même n’est pas intrinsèquement sûr ni digne de confiance. Votre FAI curieux, un voyageur dans le salon de l'aéroport où vous attendez votre vol ou un fournisseur de données cherchant à vendre des prospects à des annonceurs pourraient vouloir vous espionner. Sans aucune protection, un acteur malveillant pourrait consulter des données confidentielles telles qu'un mot de passe, le solde d'une carte de crédit ou des informations de santé.
Garantissez que vous consultez la page exactement de la manière dont le site Web vous l'a envoyée : lorsque vous consultez une page Web, celle-ci a-t-elle pu être falsifiée entre l'éditeur et votre navigateur ? Un censeur voudra peut-être supprimer le contenu qu’il ne souhaite pas que vous voyiez. Le contenu qualifié de « désinformation » a été largement supprimé pendant l’hystérie covid. Un pirate informatique qui a volé votre carte de crédit souhaitera peut-être supprimer les preuves de ses débits frauduleux.
Garantissez que le site Web que vous voyez est bien celui qui se trouve dans la barre d'adresse du navigateur : lorsque vous vous connectez à une banque, comment savez-vous que vous voyez le site Web de cette banque, et non une fausse version qui semble identique ? Vous vérifiez la barre d'adresse dans votre navigateur. Votre navigateur pourrait-il être amené à vous montrer un faux site Web qui semble identique au vrai ? Comment votre navigateur sait-il – avec certitude – qu’il est connecté au bon site ?
RépondreSupprimerAux débuts d’Internet, aucune de ces assurances n’existait. En 2010, un plugin de navigateur disponible dans la boutique de modules complémentaires a permis à l'utilisateur de participer à la discussion de groupe Facebook de quelqu'un d'autre dans un hotspot de café. Désormais, grâce à PKI, vous pouvez être quasiment sûr de ces choses.
Ces éléments de sécurité sont protégés par un système basé sur des certificats numériques. Les certificats numériques sont une forme d’identité – la version Internet d’un permis de conduire. Lorsqu'un navigateur se connecte à un site, le site présente un certificat au navigateur. Le certificat contient une clé cryptographique. Le navigateur et le site Web fonctionnent ensemble avec une série de calculs cryptographiques pour établir une communication sécurisée.
Ensemble, le navigateur et le site Internet offrent les trois garanties de sécurité :
confidentialité : en cryptant la conversation.
signatures numériques cryptographiques : pour garantir que le contenu n'est pas modifié en vol.
vérification de l'éditeur : via la chaîne de confiance fournie par PKI, que j'expliquerai plus en détail ci-dessous.
Une bonne identité devrait être difficile à contrefaire. Dans le monde antique, un sceau moulé en cire servait à cet effet. Les identités humaines reposent sur la biométrie. Votre visage est l'une des formes les plus anciennes. Dans le monde non numérique, lorsque vous devez accéder à un paramètre de limite d'âge, comme commander une boisson alcoolisée, il vous sera demandé une pièce d'identité avec photo.
Une autre mesure biométrique d'avant l'ère numérique consistait à faire correspondre votre nouvelle signature au stylo et à l'encre avec votre signature originale au dos de votre pièce d'identité. À mesure que ces anciens types de données biométriques deviennent plus faciles à contrefaire, la vérification de l’identité humaine s’est adaptée. Désormais, il est courant qu'une banque vous envoie un code de validation sur votre mobile. L'application vous demande de passer un contrôle d'identité biométrique sur votre téléphone mobile pour afficher le code tel que la reconnaissance faciale ou votre empreinte digitale.
Outre la biométrie, le deuxième facteur qui rend une pièce d’identité fiable est l’émetteur. Les pièces d'identité largement acceptées dépendent de la capacité de l'émetteur à vérifier que la personne qui demande une pièce d'identité est bien celle qu'elle prétend être. La plupart des pièces d'identité les plus largement acceptées sont délivrées par des agences gouvernementales, telles que le Département des véhicules automobiles. Si l'agence émettrice dispose de moyens fiables pour suivre qui et où se trouvent ses sujets, tels que le paiement des impôts, les relevés d'emploi ou l'utilisation des services publics des eaux, alors il y a de fortes chances que l'agence puisse vérifier que la personne nommée sur la pièce d'identité est cette personne.
RépondreSupprimerDans le monde en ligne, les gouvernements ne se sont pour la plupart pas impliqués dans la vérification de l’identité. Les certificats sont délivrés par des entreprises du secteur privé appelées autorités de certification (CA). Alors que les certificats étaient autrefois assez chers, les frais ont considérablement baissé, au point que certains sont gratuits. Les autorités de certification les plus connues sont Verisign, DigiCert et GoDaddy. Ryan Hurst montre que les sept principales autorités de certification (ISRG, DigiCert, Sectigo, Google, GoDaddy, Microsoft et IdenTrust) délivrent 99 % de tous les certificats.
Le navigateur acceptera un certificat comme preuve d'identité uniquement si le champ de nom du certificat correspond au nom de domaine affiché par le navigateur dans la barre d'adresse. Même si les noms correspondent, cela signifie-t-il qu'un certificat indiquant « apple.com » appartient à l'entreprise d'électronique grand public connue sous le nom d'Apple, Inc. ? Les systèmes d’identité ne sont pas à l’épreuve des balles. Les buveurs mineurs peuvent obtenir de fausses pièces d’identité. Tout comme les identifiants humains, les certificats numériques peuvent également être faux ou invalides pour d’autres raisons. Un ingénieur logiciel utilisant des outils open source gratuits peut créer un certificat numérique nommé « apple.com » avec quelques commandes Linux.
Le système PKI s'appuie sur les autorités de certification pour délivrer un certificat uniquement au propriétaire du site Web. Le workflow pour acquérir un certificat se déroule comme suit :
L'éditeur d'un site Web s'adresse à son autorité de certification préférée pour obtenir un certificat, pour un domaine.
L'AC vérifie que la demande de certificat provient du véritable propriétaire de ce site. Comment l’AC établit-elle cela ? L'AC exige que l'entité qui fait la demande publie un contenu spécifique sur une URL spécifique. La capacité de le faire prouve que l'entité a le contrôle sur le site Web.
Une fois que le site Web a prouvé qu'il est propriétaire du domaine, l'autorité de certification ajoute une signature numérique cryptographique au certificat en utilisant sa propre clé cryptographique privée. La signature identifie l'AC en tant qu'émetteur.
Le certificat signé est transmis à la personne ou à l'entité qui en fait la demande.
RépondreSupprimerL'éditeur installe son certificat sur son site Internet, afin qu'il puisse être présenté aux navigateurs.
Les signatures numériques cryptographiques sont « un système mathématique permettant de vérifier l’authenticité de messages ou de documents numériques ». Ce n’est pas la même chose que la signature de documents en ligne fournie par DocuSign et des fournisseurs similaires. Si la signature pouvait être falsifiée, les certificats ne seraient alors pas fiables. Au fil du temps, la taille des clés cryptographiques a augmenté dans le but de rendre la falsification plus difficile. Les chercheurs en cryptographie estiment que les signatures actuelles sont, en pratique, impossibles à falsifier. Une autre vulnérabilité survient lorsque l'autorité de certification se fait voler ses clés secrètes. Le voleur pourrait alors produire des signatures valides de cette autorité de certification.
Une fois le certificat installé, il est ensuite utilisé lors de la configuration d'une conversation Web. Le Registre explique comment cela se passe :
Si le certificat a été émis par une bonne autorité de certification connue et que tous les détails sont corrects, alors le site est fiable et le navigateur tentera d'établir une connexion sécurisée et cryptée avec le site Web afin que votre activité sur le site ne soit pas visible. à une écoute indiscrète sur le réseau. Si le certificat a été émis par une autorité de certification non approuvée, ou si le certificat ne correspond pas à l'adresse du site Web, ou si certains détails sont erronés, le navigateur rejettera le site Web, craignant qu'il ne se connecte pas au site Web réel souhaité par l'utilisateur. , et peut-être parler à un imitateur.
Nous pouvons faire confiance au navigateur parce que le navigateur fait confiance au site Web. Le navigateur fait confiance au site Web car le certificat a été émis par une autorité de certification « connue ». Mais qu’est-ce qu’une « bonne autorité de certification connue » ? La plupart des navigateurs s'appuient sur les autorités de certification fournies par le système d'exploitation. La liste des autorités de certification dignes de confiance est déterminée par les fournisseurs d'appareils et de logiciels. Les principaux fournisseurs d'ordinateurs et d'appareils – Microsoft, Apple, les fabricants de téléphones Android et les distributeurs Linux open source – préchargent le système d'exploitation sur leurs appareils avec un ensemble de certificats racine.
Ces certificats identifient les autorités de certification qu'ils ont vérifiées et qu'ils considèrent comme fiables. Cette collection de certificats racine est appelée « magasin de confiance ». Pour prendre un exemple proche de moi, le PC Windows que j'utilise pour écrire cet article possède 70 certificats racine dans son magasin de certificats racines de confiance. Le site d'assistance d'Apple répertorie toutes les racines approuvées par la version Sierra de MacOS.
Comment les fournisseurs d’ordinateurs et de téléphones décident-ils quelles autorités de certification sont dignes de confiance ? Ils disposent de programmes d’audit et de conformité pour évaluer la qualité des AC. Seuls ceux qui réussissent sont inclus. Voir par exemple le navigateur Chrome (qui fournit son propre magasin de confiance plutôt que d'utiliser celui de l'appareil). L’EFF (qui se décrit comme « la principale organisation à but non lucratif défendant les libertés civiles dans le monde numérique ») explique :
Les navigateurs exploitent des « programmes racine » pour surveiller la sécurité et la fiabilité des autorités de certification auxquelles ils font confiance. Ces programmes racine imposent un certain nombre d'exigences allant de « comment les clés doivent être sécurisées » à « comment la validation du contrôle du nom de domaine doit-elle être effectuée » en passant par « quels algorithmes doivent être utilisés pour la signature des certificats ».
RépondreSupprimerUne fois qu'une autorité de certification a été acceptée par un fournisseur, celui-ci continue de la surveiller. Les fournisseurs supprimeront les autorités de certification du magasin de confiance si l'autorité de certification ne parvient pas à respecter les normes de sécurité nécessaires. Les autorités de certification peuvent devenir malveillantes, ou échouer pour d'autres raisons, et c'est effectivement le cas. Le Registre rapporte :
Les certificats et les autorités de certification qui les délivrent ne sont pas toujours fiables et les fabricants de navigateurs ont, au fil des années, supprimé les certificats racine des autorités de certification basées en Turquie, en France, en Chine, au Kazakhstan et ailleurs lorsqu'il s'avérait que l'entité émettrice ou une partie associée interceptait le trafic Web.
En 2022, le chercheur Ian Carroll a signalé des problèmes de sécurité auprès de l'autorité de certification e-Tugra. Carroll « a découvert un certain nombre de problèmes alarmants qui m'inquiètent quant aux pratiques de sécurité au sein de leur entreprise », tels que des informations d'identification faibles. Les rapports de Carroll ont été vérifiés par les principaux éditeurs de logiciels. En conséquence, e-Tugra a été supprimé de leurs magasins de certificats de confiance.
La chronologie des échecs des autorités de certification fait état d’autres incidents de ce type.
Il existe encore quelques failles connues dans la PKI telle qu’elle existe actuellement. Parce qu’une question particulière est importante pour la compréhension de l’article 45 de l’eIDAS, je l’expliquerai ensuite. La confiance d’une AC ne s’étend pas aux sites Web qui exercent leurs activités avec cette AC. Un navigateur acceptera un certificat de n’importe quelle autorité de certification de confiance pour n’importe quel site Web. Rien n’empêche l’AC de délivrer un site Internet à un mauvais acteur sans que cela ait été demandé par le propriétaire du site. Un tel certificat serait frauduleux au sens juridique du terme en raison de la personne à qui il a été délivré. Mais le contenu du certificat serait techniquement valable du point de vue du navigateur.
S'il existait un moyen d'associer chaque site Web à son autorité de certification préférée, alors tout certificat pour ce site provenant d'une autre autorité de certification serait immédiatement reconnu comme frauduleux. L’épinglage des certificats est une autre norme qui va dans cette direction. Mais comment cette association serait-elle publiée et quelle confiance accorderait-on à cet éditeur ?
À chaque étape de ce processus, la solution technique s'appuie sur une source de confiance externe. Mais comment cette confiance s’établit-elle ? En s’appuyant sur une source encore plus fiable sur le plan supérieur suivant ? Cette question illustre la nature « tortues, jusqu’au bout » du problème. PKI a une tortue au fond : la réputation, la visibilité et la transparence du secteur de la sécurité et de ses clients. La confiance se construit à ce niveau grâce à une surveillance constante, des normes ouvertes, des développeurs de logiciels et des autorités de certification.
RépondreSupprimerDes certificats frauduleux ont été délivrés. En 2013, ArsTechnica a signalé qu'une agence française avait été surprise en train de créer des certificats SSL usurpant l'identité de Google :
En 2011… des chercheurs en sécurité ont repéré un faux certificat pour Google.com qui donnait aux attaquants la possibilité d'usurper l'identité du service de messagerie du site Web et d'autres offres. Le certificat contrefait a été créé après que des attaquants ont percé la sécurité de DigiNotar, basée aux Pays-Bas, et pris le contrôle de ses systèmes d'émission de certificats.
Les informations d'identification SSL (Secure Sockets Layer) étaient signées numériquement par une autorité de certification valide… En fait, les certificats étaient des doublons non autorisés émis en violation des règles établies par les fabricants de navigateurs et les services des autorités de certification.
Une délivrance frauduleuse de certificat peut se produire. Une autorité de certification malveillante peut en émettre une, mais elle n’ira pas loin. Le mauvais certificat sera détecté. La mauvaise autorité de certification échouera aux programmes de conformité et sera supprimée des magasins de confiance. Sans acceptation, l’AC fera faillite. Certificate Transparency, une norme plus récente, permet une détection plus rapide des certificats frauduleux.
Pourquoi une autorité de certification deviendrait-elle malveillante ? Quel avantage le méchant peut-il tirer d’un certificat non autorisé ? Avec le certificat seul, pas grand-chose, même signé par une autorité de certification de confiance. Mais si le méchant peut s’associer à un FAI ou accéder au réseau utilisé par le navigateur, le certificat donne au méchant la possibilité de briser toutes les garanties de sécurité de la PKI.
Le pirate informatique pourrait lancer une attaque de l'homme du milieu (MITM) sur la conversation. L'attaquant pourrait s'insérer entre le navigateur et le site Web réel. Dans ce scénario, l’utilisateur parlerait directement à l’attaquant, et celui-ci relayerait le contenu avec le site Web réel. L'attaquant présenterait le certificat frauduleux au navigateur. Comme il a été signé par une autorité de certification de confiance, le navigateur l'acceptera. L’attaquant pouvait voir et même modifier ce que l’une ou l’autre partie envoyait avant que l’autre partie ne le reçoive.
Dans l’état actuel des choses, les autorités de certification doivent conserver la confiance de la communauté des navigateurs. Les navigateurs avertissent actuellement l'utilisateur si un site présente un certificat expiré ou non fiable. En vertu de l'article 45, les avertissements ou l'expulsion des abuseurs de confiance seraient interdits. Non seulement les navigateurs sont tenus de faire confiance aux QWAC, mais l'article 45 interdit aux navigateurs d'afficher un avertissement indiquant qu'un certificat est signé par un QWAC.
RépondreSupprimerLast Chance for eIDAS (un site Internet affichant le logo Mozilla) milite contre l'article 45 :
Tout État membre de l'UE a la possibilité de désigner des clés cryptographiques à distribuer dans les navigateurs Web et il est interdit aux navigateurs de révoquer la confiance dans ces clés sans l'autorisation du gouvernement.
… Il n’existe aucun contrôle ou contrepoids indépendant sur les décisions prises par les États membres concernant les clés qu’ils autorisent et l’utilisation qu’ils en font. Cela est particulièrement troublant étant donné que le respect de l’État de droit n’a pas été uniforme dans tous les États membres, avec des cas documentés de coercition exercée par la police secrète à des fins politiques.
Dans une lettre ouverte signée par plusieurs centaines de chercheurs en sécurité et informaticiens :
L'article 45 interdit également les contrôles de sécurité sur les certificats Web de l'UE, sauf si cela est expressément autorisé par la réglementation lors de l'établissement de connexions de trafic Web cryptées. Au lieu de spécifier un ensemble de mesures de sécurité minimales qui doivent être appliquées comme base de référence, il spécifie en réalité une limite supérieure pour les mesures de sécurité qui ne peuvent être améliorées sans l'autorisation de l'ETSI. Cela va à l’encontre des normes mondiales bien établies selon lesquelles de nouvelles technologies de cybersécurité sont développées et déployées en réponse à l’évolution rapide de la technologie.
La plupart d'entre nous comptent sur nos fournisseurs pour établir la liste des autorités de certification de confiance. Cependant, en tant qu'utilisateur, vous pouvez ajouter ou supprimer des certificats à votre guise sur vos propres appareils. Microsoft Windows dispose d'un outil pour ce faire. Sous Linux, les certificats racine sont des fichiers situés dans un seul répertoire. Une autorité de certification peut ne plus être fiable simplement en supprimant le fichier. Est-ce que cela sera également interdit ? Steve Gibson, expert reconnu en matière de sécurité, chroniqueur et animateur du podcast de longue date Security Now, demande :
Mais l'UE déclare que les navigateurs seront tenus d'honorer ces nouvelles autorités de certification non éprouvées et non testées, et donc tous les certificats qu'ils délivrent, sans exception et sans recours. Cela signifie-t-il que mon instance de Firefox sera légalement tenue de refuser ma tentative de suppression de ces certificats ?
Gibson note que certaines entreprises mettent en œuvre une surveillance similaire de leurs employés au sein de leur propre réseau privé. Quelle que soit votre opinion sur ces conditions de travail, certaines industries ont des raisons légitimes d’audit et de conformité pour suivre et enregistrer ce que leurs employés font avec les ressources de l’entreprise. Mais, comme le poursuit Gibson,
L’histoire terne des véhicules électriques nous a appris que le marché ne se soucie pas tellement de la vérification de l’identité de l’entreprise. Cependant, si les internautes le souhaitaient, il ne serait pas nécessaire de briser la PKI existante pour la leur fournir. Quelques petites modifications des flux de travail existants suffiraient. Certains commentateurs ont proposé de modifier la négociation TLS ; le site Web présenterait un certificat supplémentaire. Le certificat principal fonctionnerait comme il le fait actuellement. Le certificat secondaire, signé par un QWAC, mettrait en œuvre les normes d'identité supplémentaires que la CE déclare vouloir.
RépondreSupprimerLes prétendues raisons avancées par la CE en faveur de l’eIDAS ne sont tout simplement pas crédibles. Non seulement les raisons invoquées sont peu plausibles, mais la CE ne s'embarrasse même pas de ses habituelles lamentations moralisatrices sur la façon dont nous devons sacrifier des libertés importantes au nom de la sécurité, car nous sommes confrontés à la grave menace de [choisissez-en une] traite des êtres humains, de la sécurité des enfants, du blanchiment d'argent. , l’évasion fiscale ou (mon préféré) le changement climatique. Il est indéniable que l’UE nous met en lumière.
Si la CE n’est pas honnête quant à ses véritables motivations, alors que recherchent-elles ?
Gibson y voit une intention néfaste :
Et il n’y a qu’une seule raison possible pour laquelle ils souhaitent [obliger les navigateurs à faire confiance aux QWAC], c’est de permettre l’interception du trafic Web Internet à la volée, exactement comme cela se produit au sein des entreprises. Et c’est reconnu.
(Ce que Gibson entend par « interception du trafic Web » est l’attaque MITM décrite ci-dessus.) D’autres commentaires ont souligné les sinistres implications pour la liberté d’expression et la protestation politique. Hurst, dans un long essai, avance un argument sur une pente glissante :
Lorsqu’une démocratie libérale établit ce type de contrôle sur la technologie sur le Web, malgré ses conséquences, elle prépare le terrain pour que des gouvernements plus autoritaires emboîtent le pas en toute impunité.
Mozilla cité dans techdirt (sans lien vers l'original) dit plus ou moins la même chose :
[F]orcer les navigateurs à faire automatiquement confiance aux autorités de certification soutenues par le gouvernement est une tactique clé utilisée par les régimes autoritaires, et ces acteurs seraient enhardis par l’effet légitimateur des actions de l’UE…
Gibson fait une observation similaire :
Et puis il y a le spectre très réel des autres portes que cela ouvre : si l’UE montre au reste du monde qu’elle peut réussir à dicter les conditions de confiance pour les navigateurs Web indépendants utilisés par ses citoyens, quelles autres pays suivront avec des lois similaires ? ? Désormais, chacun peut simplement exiger que les certificats de son propre pays soient ajoutés. Cela nous mène exactement dans la mauvaise direction.
Plutôt que d’affronter un ennemi bien défendu, les gouvernements déplacent leurs attaques vers d’autres couches de l’infrastructure Internet. Ces services, tels que l'enregistrement de domaine, le DNS, les certificats, les processeurs de paiement, l'hébergement et les magasins d'applications, consistent en grande partie en transactions sur des marchés privés. Ces services sont beaucoup moins bien protégés que la parole car, pour la plupart, personne n'a le droit d'acheter un service spécifique auprès d'une entreprise particulière. Et les services plus techniques comme DNS et PKI sont moins bien compris du public que la publication web.
RépondreSupprimerLe système PKI est particulièrement vulnérable aux attaques car il fonctionne par réputation et consensus. Il n’existe pas d’autorité unique qui gouverne l’ensemble du système. Les acteurs doivent se forger une réputation grâce à la transparence, à la conformité et à la déclaration honnête des échecs. Et cela le rend vulnérable à ce type d’attaque perturbatrice. Si l’EU PKI tombe aux mains des régulateurs, je m’attends à ce que d’autres pays suivent. L’infrastructure PKI n’est pas la seule à être menacée. Une fois prouvé que d’autres couches de la pile peuvent être attaquées par les régulateurs, elles seront également ciblées.
https://www.zerohedge.com/technology/eu-wants-spy-europeans-internet-use
Ce sont les pires conducteurs d'Amérique (par marque de voiture)
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 JANVIER 2024 - 05:20
Les coûts de l’assurance automobile ont augmenté de 30 % depuis la pandémie, mais certains conducteurs doivent payer des primes encore plus élevées en raison d’une conduite mauvaise ou imprudente.
Mais qui sont les pires conducteurs américains ? Et que conduisent-ils ?
LendingTree a analysé « des dizaines de millions » de devis d’assurance entre le 14 novembre 2022 et 2023 dans le but de répondre à ces questions polarisantes.
Comme le montre Marcus Lu de Visual Capitalist ci-dessous, les chercheurs ont calculé le nombre d'incidents de conduite (accidents, excès de vitesse, conduite en état d'ébriété, citations) pour 1 000 conducteurs triés par marque de véhicule dans chaque État.
- voir liste sur site -
Les meilleures marques de voitures avec les pires conducteurs américains
La logique de LendingTree est simple : plus le nombre d’incidents par marque est élevé, plus il y a de mauvais conducteurs au volant de ladite marque.
En tête de liste, les conducteurs de Rams (anciennement Dodge Ram, spin-off depuis 2009) ont eu 33 incidents de conduite pour 1 000 conducteurs, ce qui en fait les pires conducteurs d'Amérique.
Une recherche rapide sur Google révèle qu'Internet ressent la même chose, et l'analyse des catégories de LendingTree révèle que les conducteurs de Ram ont eu le plus de contraventions pour excès de vitesse et le deuxième plus grand nombre d'accidents et de DUI des 30 marques de l'ensemble de données.
Voici la liste complète des marques de voitures américaines analysées, classées du pire au meilleur conducteur.
Classement des incidents de conduite de marque de voiture/
1 000 chauffeurs
1 Ram 33
2 Tesla 31
3 Subaru 30
4 Volkswagen 28
5 Mazda 28
6 BMW 27
7 Lexus 27
8 Infiniti 27
9 Hyundai 25
10 Toyota 25
11 Jeep 25
12 Kia 25
13 Honda 25
14 Audi 24
15 Nissan 24
16 Mercedes-Benz 24
17 Chevrolet 23
18 Ford 22
19 Mitsubishi 22
20 Volvo 22
21 GMC 22
22 Dodge 21
23 Acura 20
24 Chrysler 19
25 Lincoln 19
26 Buick 19
27 Cadillac 18
28 Saturn 17
29 Pontiac 16
30 Mercury 16
Mais qu’est-ce qui rend les pilotes Ram si mauvais ? Il y a ici un mélange de facteurs, qui ne sont pas nécessairement les moteurs eux-mêmes. Les béliers (Ram) sont l'entrée la moins chère pour les amateurs de camionnettes, et les camionnettes modernes sont l'un des véhicules les plus dangereux à conduire en raison de leur conception. Ils sont plus hauts que la plupart des autres véhicules sur la route, créant des angles morts pour le conducteur, plus lourds, ce qui les rend plus susceptibles de blesser et de tuer, et généralement plus gros, ce qui les rend plus difficiles à manipuler.
Il est toutefois intéressant de noter que les conducteurs d'autres marques célèbres de camionnettes, Chevrolet, Ford et GMC, qui, avec les Rams, représentent le véhicule le plus vendu dans presque tous les États américains, se classent quelque part au bas du top 20, de loin. ci-dessous les pilotes Ram.
RépondreSupprimerTesla et Subaru ont également certains des pires conducteurs d'Amérique
Seules deux autres marques de voitures, Tesla et Subaru, ont rejoint Ram en ayant 30 incidents ou plus pour 1 000 conducteurs au cours de l'année.
Par ailleurs, les conducteurs de Tesla ont également enregistré le taux d'accidents le plus élevé (23,5/1 000) au cours de la période analysée. Le mois dernier, la société a annoncé un rappel massif aux États-Unis à la suite d'un rapport de la National Highway Traffic Safety Administration selon lequel l'utilisation d'Autosteer, un logiciel d'aide à la conduite, peut entraîner un « risque accru de collision ».
Pendant ce temps, les conducteurs BMW (6ème parmi les pires conducteurs au classement général) avaient le plus grand nombre de DUI (3,13/1 000) parmi le lot.
D'un autre côté, les conducteurs de Pontiac et de Mercury étaient parmi les meilleurs sur la route, enregistrant seulement 16 incidents pour 1 000 conducteurs, soit environ la moitié de leurs homologues de Ram.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/these-are-americas-worst-drivers-car-brand
Où la cocaïne est produite (et où elle est consommée)
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 JANVIER 2024 - 04h00
Bien que la cocaïne soit consommée partout dans le monde, sa base, la plante de coca, est principalement cultivée dans trois pays d'Amérique latine : le Pérou, la Bolivie et la Colombie.
Cette dernière a fait la une des journaux à l'automne 2023 grâce à un rapport publié par l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) affirmant que la superficie utilisée pour la culture de la coca en 2022 était passée à 230 000 hectares, soit une augmentation de 13 pour cent par rapport à 2021, selon aux reportages de Reuters.
Comme le montre Flrian Zandt de Statista dans le graphique ci-dessous, cela renforce encore la place de la Colombie en tant que premier producteur mondial de coca.
- voir carte sur site -
Infographie : Où la cocaïne est produite et où elle est consommée | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon les chiffres de l'ONUDC et du gouvernement péruvien, la Colombie représentait près des deux tiers de la superficie totale cultivée en coca en 2022. Le Pérou arrive en deuxième position avec 95 000 hectares, tandis que la Bolivie arrive en troisième position avec 30 000 hectares. Pour lutter contre l'augmentation des terres consacrées aux plantations de coca, le président colombien Gustavo Petro a plaidé pour que la drogue soit reconnue comme un « problème de santé pour la société » au lieu d'être considérée comme un « problème militaire » lors de la Conférence latino-américaine et caribéenne sur les drogues. septembre dernier.
À la suite de la conférence, Petro a présenté un nouveau plan national antidrogue en octobre 2023. Reuters a résumé les politiques sous-jacentes du plan décennal comme visant à « réduire la taille des cultures de coca, réduire la production potentielle de cocaïne et prévenir la déforestation liée au trafic de drogue, tout en aidant les petits agriculteurs à faire la transition vers l'économie légale.
Si l’on examine le marché de la cocaïne du point de vue des consommateurs, les Amériques, à l’exclusion des États-Unis, ont également la part estimée la plus élevée de personnes affirmant avoir consommé de la cocaïne en 2021, avec 6,6 millions, soit 30 % du total des consommateurs mondiaux de cette drogue.
Les États-Unis, dont le gouvernement continue de faire pression sur les dirigeants des pays mentionnés ci-dessus depuis des décennies pour qu'ils intensifient leurs efforts dans la lutte contre la culture de la coca, ont vu 4,8 millions de personnes consommer cette drogue au cours de l'année correspondante, selon les données regroupées dans le rapport mondial de l'ONUDC. Rapport sur les drogues.
Dans l’ensemble, les Amériques représentaient environ la moitié des consommateurs estimés de cocaïne dans le monde.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/where-cocaine-produced-and-where-its-consumed
Visualiser les principaux risques mondiaux en 2024
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 JANVIER 2024 - 04h40
Quel est le paysage mondial des risques en 2024 ?
Les températures mondiales record ont des conséquences de plus en plus néfastes, une crise du coût de la vie rend la vie quotidienne plus difficile pour les populations du monde entier et l'escalade des tensions au Moyen-Orient pourrait s'étendre et déboucher sur un conflit régional plus vaste.
Parallèlement, 2024 devrait être la plus grande année électorale jamais vue dans le monde, avec 4 milliards de personnes votant dans 60 pays. Les menaces telles que la désinformation et la polarisation prendront-elles de l’ampleur alors que les gens se rendront aux urnes ?
Dorthy Neufeld de Visual Capitalist a créé la visualisation ci-dessous pour montrer les risques les plus importants pour 2024, sur la base de l'enquête annuelle du Forum économique mondial auprès des dirigeants du monde entier.
- voir cadre sur site -
Profil de risque mondial en 2024
Voici les 20 principaux risques pour l’économie mondiale, basés sur une enquête menée auprès de 1 490 dirigeants.
Il a été demandé aux dirigeants de choisir jusqu'à cinq risques susceptibles de provoquer une crise matérielle à l'échelle mondiale en 2024 :\
- voir liste sur site -
Les conditions météorologiques extrêmes constituent le risque le plus important selon les dirigeants interrogés. Il se classe également au deuxième rang en termes de gravité au cours des deux prochaines années.
Les économies mondiales sont largement mal préparées aux conséquences des phénomènes météorologiques extrêmes, qu’il s’agisse de chocs sur les systèmes alimentaires ou de dommages aux infrastructures à grande échelle. En fait, certaines recherches montrent que des changements potentiellement irréversibles pourraient survenir sur la planète d’ici les années 2030 si les températures continuent d’augmenter.
La désinformation et la désinformation constituent le deuxième risque en importance, qui pourrait affaiblir la confiance et creuser les divisions politiques. Cela pourrait également compromettre les élections mondiales prévues aux États-Unis, en Russie, en Inde, au Mexique et dans des dizaines d’autres pays.
La menace de désinformation est particulièrement évidente compte tenu des progrès réalisés dans le contenu généré par l’IA. Il se classe au premier rang global en termes de gravité des risques dans la liste.
La désinformation est liée au risque de polarisation sociétale. Dans la période post-pandémique, les divisions politiques se sont aggravées, exacerbées par les difficultés économiques et le manque d’opportunités économiques.
En outre, le conflit au Moyen-Orient a de graves conséquences sur les moyens de subsistance de millions de personnes, et la récente attaque au Liban soulève des questions quant au déclenchement d’une guerre plus large. L’escalade des conflits armés interétatiques se classe au huitième rang des risques les plus élevés pour l’économie mondiale en 2024, et au cinquième rang des risques les plus graves.
RépondreSupprimerRisques mondiaux futurs
Comment les risques mondiaux évolueront-ils au cours de la prochaine décennie ?
D’ici 2034, les dirigeants interrogés estiment que les risques environnementaux seront les plus préoccupants, représentant cinq des dix principaux risques, par gravité :
- voir liste sur site -
Nous pouvons constater que les risques technologiques de désinformation et les conséquences néfastes des technologies d’IA restent également assez dominants.
L’IA a le potentiel d’être très déstabilisatrice pour la société, présentant certains risques existentiels en raison de son rôle de « multiplicateur de force », ce qui signifie qu’elle peut accroître l’effet des systèmes militaires, de l’analyse des données et d’autres capacités d’un pays.
D’un point de vue plus large, des forces structurelles clés influencent les risques mondiaux à venir. Ils incluent l’accélération technologique, le changement climatique, les changements de pouvoir géopolitique et l’élargissement de la fracture démographique.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-top-global-risks-2024
Protestations des agriculteurs : les groupes parlementaires de la coalition des feux tricolores veulent négocier avec les agriculteurs
RépondreSupprimer12 Janvier 2024
Norbert Lehmann, AGRARHEUTE*
Lundi [15 janvier 2024], Berlin ne doit pas seulement accueillir la grande manifestation de clôture de la semaine d'action des agriculteurs. Les chefs des groupes parlementaires de la coalition des feux tricolores veulent également négocier avec les agriculteurs. Pendant ce temps, le ministre de l'agriculture du Mecklembourg-Poméranie Occidentale, Till Backhaus, a élaboré un document de compromis.
Les choses bougent dans le conflit sur le gazole agricole : les chefs du groupe parlementaire de la coalition des feux tricolores veulent négocier lundi [15 janvier 2024] avec les représentants des associations d'agriculteurs. Le ministre du Mecklembourg-Poméranie Occidentale, Till Backhaus, présente une proposition de compromis intéressante.
Les chefs des groupes parlementaires de la coalition des feux tricolores, Rolf Mützenich (SPD), Britt Haßelmann (Verts) et Christian Dürr (FDP), invitent les associations d'agriculteurs au dialogue.
Les présidents des groupes parlementaires de la coalition des feux tricolores – du SPD, du FDP et des Verts – invitent les représentants des fédérations agricoles à un entretien à Berlin lundi prochain (15 janvier). La lettre, dont AGRARHEUTE a eu connaissance, s'adresse aux comités directeurs d'AbL, BDM, BÖLW, DBV, DLG, Landfrauen, Landjugend et LsV.
Le jour de la grande manifestation à Berlin, les chefs de groupe Rolf Mützenich (SPD), Christian Dürr (FDP) et Britta Haßelmann (Verts) ne veulent pas seulement discuter avec les représentants des agriculteurs des plans d'économie sur le gazole agricole. Une proposition de compromis venant de Schwerin [Mecklembourg-Poméranie Occidentale] pourrait être importante.
Il ne s'agit pas seulement du gazole agricole
Les manifestations actuelles montrent clairement que les agriculteurs ne sont pas seulement préoccupés par les charges financières, mais aussi par le manque de sécurité de planification et de perspectives économiques, peut-on lire dans la lettre d'invitation.
Les chefs de groupe souhaitent ainsi manifestement élargir le champ des thèmes abordés. Car même si la suppression du gazole agricole et l'introduction, entre-temps annulée, d'une taxe sur les véhicules agricoles et forestiers ont directement déclenché les protestations, il est devenu clair que les récentes décisions d'économie n'étaient que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase pour les agriculteurs.
RépondreSupprimerLes groupes parlementaires discutent du paquet d'économies du gouvernement fédéral
L'offre de dialogue laisse penser que les groupes parlementaires de la coalition des feux tricolores pourraient encore voir une marge de négociation dans les plans budgétaires. Les discussions parlementaires sur les plans d'austérité commenceront lundi avec l'audition publique de la Commission des Finances sur la loi de financement du budget 2024.
Le 18 janvier au plus tard, lors de la réunion de mise au point de la Commission Budgétaire, on saura si les groupes de la coalition soutiennent le projet du gouvernement et son projet d'augmentation des taxes sur l'énergie pour l'agriculture.
Le ministre du Mecklembourg-Poméranie Occidentale Backhaus élabore une proposition de compromis
Face à la demande unanime des ministères de l'agriculture des Länder dirigés par la CDU, mais aussi, entre-temps, de trois ministres-présidents du SPD, le gouvernement dirigé par le chancelier Olaf Scholz est soumis à une pression considérable pour corriger à nouveau sa trajectoire. L'offre de négociation des chefs de groupe de la coalition des feux tricolores aux représentants de l'agriculture pourrait être une tentative de trouver une issue à la situation qui sauve la face du chancelier Scholz.
Dans ce contexte, un document de compromis négocié hier par le ministre de l'Agriculture du Mecklembourg-Poméranie Occidentale, Till Backhaus, avec les représentants des associations d'agriculteurs et de pêcheurs pourrait s'avérer intéressant.
Faire fondre la ristourne pour le diesel agricole à partir de 2027
Le document de compromis de Schwerin prévoit les points clés suivants :
La ristourne sur le gazole agricole sera réduite de 10 pour cent à partir de 2027. Cela correspond à environ 40 millions d'euros par an au niveau fédéral.
Parallèlement, un programme d'incitation et d'innovation pour la transformation sera lancé.
La production de carburants alternatifs sur les surfaces nationales (biogaz, biodiesel, bioéthanol) doit être rendue possible.
Les 1 milliard d'euros prévus pour la transformation de l'élevage porcin doivent être supprimés, car ils ne suffiront de toute façon pas à créer réellement des incitations et une sécurité de planification pour les éleveurs.
Le privilège fiscal accordé aux véhicules hybrides qui ne sont pas utilisés principalement à l'électricité est également mis sur la sellette, tout comme la loi sur les opportunités de croissance. Selon M. Backhaus, il existe un potentiel d'économie d'environ 1,2 milliard d'euros pour les véhicules hybrides, tandis que la loi sur les opportunités de croissance prévoit un allègement de 7 milliards d'euros par an jusqu'en 2028.
RépondreSupprimerUne augmentation de 1 pour cent de la taxe sur l'énergie devrait rapporter près d'un milliard d'euros afin de combler le déficit et d'accélérer le passage aux biocarburants.
En outre, le Mecklembourg-Poméranie Occidentale propose de réaffecter au développement durable et viable de l'agriculture, de la sylviculture et de la pêche environ 1,2 milliard d'euros non utilisés provenant d'un fonds pour les cas de rigueur destiné aux ménages privés qui se chauffent avec des combustibles non liés à des mesures d'efficacité,
https://seppi.over-blog.com/2024/01/protestations-des-agriculteurs-les-groupes-parlementaires-de-la-coalition-des-feux-tricolores-veulent-negocier-avec-les-agriculteurs.html
Les paysans sont ceux qui s'occupent le plus des autres ! 24§24 h ! Ils se lèvent la nuit pour l'accouchement d'une vache, pour mettre le chauffage aux serres quand il gèle dehors. Ils ne connaissent ni dimanches, ni jours de fêtes, ni de vacances ! Vous imaginez-vous sans nourriture au mois d'Août ? Sans nourriture le dimanche ?
SupprimerLe tollé Net Zero en Allemagne – les manifestations massives des agriculteurs se sont étendues à d’autres travailleurs et à d’autres pays…
RépondreSupprimerPar Jo Nova
January 13th, 2024 |
Depuis des semaines, un énorme soulèvement se prépare en Allemagne contre NetZero, les formalités administratives et les taxes rampantes. Le gouvernement allemand a fait une concession partielle la semaine dernière, mais les protestations n’ont fait que se renforcer. Non seulement les autoroutes et les rues sont saturées de milliers de tracteurs et de camions, mais les trains de marchandises et de voyageurs se sont également arrêtés suite à une grève de trois jours. Les cargos bloquent les voies navigables intérieures et les canaux. Une grève des médecins est également imminente, et le groupe de mécontentement a été qualifié de « Mistgabelmop » – la foule des fourches. Les convois mesurent jusqu'à 20 kilomètres de long et sont très répandus. Les protestations semblent s'étendre. Des rumeurs font état de manifestations de soutien en France. Roumanie, Pologne et Royaume-Uni
Pierre Gosselin, de NoTricksZone en Allemagne, écrit : « Jamais dans l'histoire d'après-guerre un gouvernement au pouvoir n'a été aussi impopulaire ».
Les choses que la BBC/ABC/CBC/NPR/etc ne vous ont pas dites aux informations de ce soir peuvent être trouvées en cinq minutes sur Twitter. Vive la liberté d’expression. Merci Elon. Ceux qui contrôlent la plupart des médias occidentaux ne veulent pas que les masses non lavées soient au courant de ces manifestations, car ils craignent qu’elles ne se propagent comme une traînée de poudre.
« Ils ont l’impression d’être dirigés par des gens qui les détestent »
— Eva Vlaardingerbroek
Le Wall Street Journal commente que « les écologistes radicaux ont été les premiers à utiliser des techniques de protestation agressives, mais ils n’avaient pas de tracteurs ». Malgré les inconvénients, près de 70 % de la population allemande soutient les agriculteurs.
Une ironie, que le parti britannique Just Stop Oil ou les gauchistes allemands de Fridays for Future seront trop obscurs pour noter, est que si tous ceux qui sont affectés négativement par les coûts du net zéro commencent à descendre dans la rue, le fantasme du net zéro se terminera par un éclair. —Joseph C Sternberg, WSJ
La situation est si désastreuse que le gouvernement allemand de la « coalition des feux tricolores » envisage d’utiliser davantage de charbon. Des informations ont fuité selon lesquelles le ministre allemand de l'Économie a abandonné l'ancien « projet de centrale électrique » qui dépendait du gaz, et envisage secrètement d'augmenter la puissance de « réserve » des anciennes centrales au charbon. Ce n’est qu’en octobre qu’il était prévu d’éliminer progressivement le charbon pour l’hiver prochain, mais il est déjà clair que cela ne fonctionnera pas. –– Berliner Zeitung.
- voir post sur site -
Les protestations sont généralisées (cliquez pour agrandir)
RépondreSupprimer- voir post sur site -
Cartes des manifestations généralisées en Allemagne Source
- voir post sur site -
h/t Tegenwind, un autre Ian. Krishna Gans, David E, Jim Simpson, NetZeroWatch et Connor.
https://joannenova.com.au/2024/01/net-zero-uproar-in-germany-mass-farmer-protests-spread-to-other-workers-and-other-countries/
Allemagne : les agriculteurs sur les routes, le gouvernement en déroute ?
RépondreSupprimer13 Janvier 2024
André Heitz*
Sur le panneau contre la clôture : « Cela nous concerne tous ! » (Source : Bauerwilli)
Pour équilibrer son projet de budget, le gouvernement a notamment proposé deux mesures affectant les agriculteurs pour un montant total de près d'un milliard d'euros. Cela a fait déborder le vase dans les milieux agricoles déjà en mal-être.
Équilibrer le budget 2024
En Allemagne, on ne badine pas avec l'orthodoxie budgétaire.
Saisi par des députés CDU-CSU, le Tribunal Constitutionnel Fédéral, qui siège à Karlsruhe, a rappelé le gouvernement de la coalition des « feux tricolores » – rouge pour le SPD, jaune pour le FDP et vert évidemment pour les Verts – à l'ordre le 15 novembre 2023 : la modification du budget supplémentaire 2021 – le ré-échelonnement des crédits pour la lutte contre la Covid non-utilisés et leur affectation à un fonds pour le climat – était anticonstitutionnelle.
Cela a créé un trou de quelque 60 milliards par rapport aux ambitions. Il a fallu revoir les projets, couper dans les dépenses et trouver de nouvelles recettes. Début décembre 2023, on s'est retrouvé avec un trou d'encore 17 milliards d'euros à combler.
Ponctionner l'agriculture
Et il a été proposé de supprimer une ristourne sur les taxes perçues sur le gazole agricole ainsi que l'exonération de la taxe sur les véhicules en vigueur pour les véhicules agricoles et sylvicoles.
Coût pour l'agriculture : près d'un milliard d'euros – 900 millions selon cet article d'Agrarheute. Pour une exploitation moyenne à temps plein, le remboursement de 21,48 centimes d'euro par litre de gazole au cours de la campagne 2020/21 valait au total 2.883 euros. La perte estimée pour une exploitation mixte est de 3.000 euros, et près de 3.900 euros pour une exploitation en grandes cultures. Ce ne sont que des moyennes. Des chiffres bien plus importants ont été articulés ici.
Des craintes ont également été exprimées – par les Verts du Landtag de Bade-Wurtemberg – pour la viabilité des exploitations des doube-actifs avec, par exemple, des effets induits sur la protection des paysages et de la biodiversité.
Il est bien sûr illusoire que les agriculteurs puissent compenser la perte par une augmentation des prix. Et la ponction se traduit par une perte de compétitivité par rapport aux autres États membres de l'Union Européenne.
Un premier coup de semonce à la mi-décembre 2023
RépondreSupprimerL'ampleur de l'effort mis à la charge de quelque 256.000 entreprises, et sa disproportion par rapport aux mesures affectant d'autres catégories d'acteurs de la vie économique a mis le feu aux poudres chez des agriculteurs déjà en proie à des difficultés de tous ordres : matérielles avec notamment une année météorologique peu favorable sinon désastreuse qui, du reste, n'augure rien de bon pour les récoltes des cultures d'hiver en 2024 ; économiques avec l'inflation des coûts et des prix bas pour les céréales et un manque de prévisibilité ; administratives avec le harcèlement réglementaire et les délires bureaucratiques ; et peut-être même sociales avec le sentiment – erroné, on va le voir – de ne pas être reconnus pour leur contribution à la société.
Des manifestations massives ont eu lieu le lundi 18 décembre 2023, partout en Allemagne. C'étaient par exemple 8.000 à 10.000 personnes et plus de 3.000 tracteurs à Berlin selon l'Union des Agriculteurs Allemands (DBV – Deutscher Bauernverband), 6.600 personnes et 1.700 tracteurs selon la police.
Solidarité et cohésion gouvernementales ?
C'était du reste l'occasion de mesurer la solidarité et la cohésion gouvernementales : le ministre fédéral de l'Agriculture Cem Özdemir a pris la parole pour exprimer sa solidarité avec... les agriculteurs !
Il se serait opposé aux mesures envisagées. « Je sais que la suppression [des exonérations] vous touche plus durement que d'autres secteurs […] Je m'engagerai de toutes mes forces pour que cela ne puisse pas se passer ainsi ! » Dans le même temps – air connu en France – il affirmait que le monde agricole devait prendre sa part.
Par ailleurs, des dirigeants politiques de plusieurs Länder – Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Bavière, Basse-Saxe – se sont clairement exprimés contre la proposition de la coalition gouvernementale.
Ils seront rejoints ultérieurement par les ministres-présidents de la Sarre, du Brandebourg, de la Basse-Saxe et du Schleswig-Holstein, ainsi que du Mecklembourg-Poméranie-Occidentale.
Les oppositions sont donc venues de tous les bords politiques de gouvernement. Même les Verts du Landtag de Bade-Wurtemberg !
Un petit pas... trop petit
Le président du DBV, Joachim Rukwied, avait prévenu : les manifestations du 18 décembre 2023 seraient un tour de chauffe si les agriculteurs n'obtenaient pas satisfaction.
Le 4 janvier 2024, la coalition annonça une nouvelle proposition, selon un accord conclu entre le chancelier fédéral Olaf Scholz (SPD), le vice-chancelier Robert Habeck (Verts) et le ministre fédéral des Finances Christian Lindner (FDP) : l'exonération de la taxe sur les véhicules serait maintenue et la ristourne sur la taxe sur le gazole payable en 2024 sur la consommation de 2023 serait maintenue mais réduite les années suivantes en trois fractions de 40, 30 et 30 points de pourcentage, respectivement. Les quantités consommées en 2026 ne seraient donc plus subventionnées.
RépondreSupprimerC'est un accord au sommet. Le ministre fédéral de l'Agriculture Cem Özdemir a semblé vouloir sauver la face dans un communiqué de presse : « ...La charge disproportionnée imposée à l'agriculture et à la sylviculture dans le cadre de la nécessaire consolidation budgétaire n'est donc plus d'actualité. »
Manifestations monstres le 8 janvier 2024
La profession agricole n'est évidemment – et à juste titre – pas de cet avis. Insuffisant ! « Au final, cela signifie la mort à petit feu », a aussi déclaré M. Joachim Rukwied.
Et elle a entamé sa semaine d'action le lundi 8 janvier 2024.
Un seul chiffre : il y aurait eu 100.000 tracteurs sur les routes selon Agrarheute. Et les manifestations se sont déroulées dans le calme. Les mots d'ordre des dirigeants et de quelques personnalités influentes ont été entendues.
Mais auparavant, il y avait aussi eu des actions que nous n'aimerions pas voir, ni en Allemagne, ni en France. Ainsi, des agriculteurs ont tenté d'empêcher un ferry dans lequel se trouvait le vice-chancelier Robert Habeck d'accoster à Schlüttsiel, en Schleswig-Holstein, le 4 janvier 2024.
Parmi les commentaires de M. Cem Özdemir (oui, il y a eu du « en même temps »...) : « La majorité des agriculteurs et agricultrices allemands défendent leurs intérêts par des moyens démocratiques. C'est leur droit. »
« Ensemble pour un avenir ». (Source : Bauerwilli)
Marques de soutien, manifestations communes avec les transporteurs
Comme le rapporte Agrarheute, les manifestations ont été bien accueillies, avec de nombreuses expressions et actions de soutien.
Willi l'agriculteur note sur son blog que les gens applaudissaient les manifestants à Cologne et distribuaient du café, et qu'à de nombreux endroits les commerçants locaux approvisionnaient les manifestants.
Selon un sondage de N-TV, toutefois non représentatif, 91 % des répondants approuvaient les revendications des agriculteurs. Mais il ne faut pas se leurrer : sitôt les manifestations terminées, les médias et l'opinion publique passent à autre chose.
RépondreSupprimerIl y a aussi eu des actions en signe de solidarité. Ainsi, près de Minden en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, dix péniches ont bloqué le Mittellandkanal.
À Munich, si M. Karl Bär, président des Verts à la commission agricole du Bundestag, a été hué, M. Heinrich Traubinger, de l'artisanat bavarois de la boulangerie, parlant aussi au nom d'autres entités, a été applaudi : « Si on peut compter sur quelqu'un, c'est bien sur les agriculteurs », a-t-il dit. « Sans les agriculteurs, il n'y aurait pas de boulangerie ! ».
Agriculteurs français, prenez en de la graine !
Ce n'est pas vraiment anecdotique, mais symptomatique d'un désenchantement, et aussi d'une solidarité de filière : M. Cem Özdemir devait visiter une brasserie le 10 janvier 2024, événement prévu de longue date. Il a été « désinvité » par le patron de la brasserie : « Par solidarité envers l'agriculture locale, nous avons donc décidé, après mûre réflexion, de retirer notre invitation à la visite de notre brasserie familiale d'Aalen. […] Ici, dans l'Ostalb en particulier, nous vivons de et avec l'agriculture paysanne : c'est d'elle que nous tirons une grande partie des matières premières de notre brasserie, comme l'orge de brasserie ou le blé de brasserie cultivés dans la région. »
Une voix dissonante : Greenpeace
Greenpeace s'est manifesté trois fois, les 18 décembre 2023 et les 4 et 8 janvier 2024 (ici, ici et ici), avec des arguments foireux
On est dans le burlesque avec : « Les inondations dues au changement climatique inondent actuellement les champs et les pâturages dans toute l'Allemagne et l'Union Allemande des Agriculteurs veut continuer à protester contre la protection du climat – c'est incompréhensible. »
« Compte tenu des milliards de subventions accordées à l'agriculture, la suppression prévue des subventions pour le gazole est tout à fait supportable », écrit-elle aussi. Et la solution serait déjà là : « La technique existe, les premiers tracteurs électriques sont déjà en service. » Yaka... Ça peut marcher pour une agriculture post-moderne aux 35 heures programmées selon les temps de recharge des batteries ou, de manière plus réaliste, pour le tracteur valet de ferme.
Il y a d'autres voix dissonantes, peu nombreuses semble-t-il, tel ce commentaire à l'emporte-pièce, « Agriculteurs choyés » dans la FAZ.
RépondreSupprimerUn gouvernement en difficulté ?
D'une manière générale, cette coalition est un mariage peu harmonieux, souvent réduit à des compromis boiteux.
Ainsi, dans le domaine agricole, les Verts étaient contre le renouvellement de l'autorisation du glyphosate, le FDP pour... et le gouvernement s'est abstenu à Bruxelles. La question des nouvelles techniques génomiques divise également... la stratégie « Bio 2030 » d'un Cem Özdemir qui ne voulait pas les évoquer dans le document ne passe pas la rampe en réunion inter-ministérielle.
Selon un sondage de début décembre 2023, 68 % des répondants trouvaient que le gouvernement faisait mal son travail, mais ils n'étaient que 35 % à estimer qu'un gouvernement mené par la CDU-CSU ferait mieux. Et ils sont 57 % à estimer que le gouvernement ira jusqu'au bout, 2025.
D'aucuns se font des idées sur des convergences de lutte. Des actions communes sont ainsi prévues par les agriculteurs et les transporteurs et chauffeurs routiers. Les conducteurs de train viennent de se mettre en grève. Les extrêmes se mettent à rêver...
Mais ne rêvez pas... les institutions allemandes ont veillé à la stabilité gouvernementale. On peut en savoir plus, chez Willi l'agriculteur, qui expose un panorama très rationnel. Un chambardement n'est pas à l'ordre du jour.
Les prévisions sont certes difficiles, surtout si elles concernent l'avenir. Mais l'Allemagne est (encore ?) résiliente. Et 66 % des sondés ont trouvé que 2023 avait été une bonne année pour eux, 28 % pensant que 2024 sera meilleur, 58 % pareille et seulement 13 % moins bonne.
Les agriculteurs, en ce moment sur le devant de la scène, ont fait leur maximum, avec succès, pour que leurs manifestations ne soient pas dévoyées. L'épouvantail de l'extrême-droite et de la descente aux enfers a été vigoureusement agité, en partie dans une tentative de jeter le discrédit sur les manifestations (ce qui a été vigoureusement dénoncé par le président du syndicat fédéral de la police). Au gouvernement, un Robert Habeck plaide avec éloquence pour le respect des principes démocratiques.
La question qui fâche est maintenant devant le Bundestag, appelé à adopter le budget pour 2024, sans doute avec d'autres. Il mettra fin – c'est mon avis – à la grogne agricole. L'opération est du reste lancée.
Mais cela ne résoudra pas la lancinante question de l'avenir de l'agriculture – de l'alimentation, de l'environnement, de la biodiversité, etc. – en Allemagne.
RépondreSupprimerC'est aussi une question pour l'échéance électorale du renouvellement du Parlement Européen.
P.S. Les manifestations de grande ampleur continuent à l'heure où je mets un point final à cet article.
(Source : Bauerwilli)
https://seppi.over-blog.com/2024/01/allemagne-les-agriculteurs-sur-les-routes-le-gouvernement-en-deroute.html
ENCORE A ARTICLE CENSURÉ PAR LES LÂCHES,LES ORDURES !
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