MERCREDI 10 JANVIER 2024 - 22H40
Le Centre de prévision climatique du Service météorologique national prévoit un temps extrêmement froid "dans tout le cœur du pays ce week-end et devrait se poursuivre la semaine prochaine". Nous avons présenté un aperçu de cette explosion froide dans une note intitulée « Gobsmackingly Bananas » : les modèles météorologiques prédisent l’invasion du vortex polaire aux États-Unis.
L'air glacial de l'Arctique commencera à se propager vers le sud à travers le cœur du pays ce week-end et devrait se poursuivre la semaine prochaine. Des températures bien inférieures à la normale et des rafales de vent entraîneront un refroidissement éolien bien en dessous de zéro dans de nombreux endroits. pic.twitter.com/doT2gkDqoi
– Centre de prévision météorologique du NWS (@NWSWPC) 9 janvier 2024
Chaque fois que de l'air froid s'échappe du Canada vers le Heartland, l'attention se tourne généralement vers le Texas.
Le NWS prévoit que la basse température [dans 7 jours] pour le Texas (moyenne à l’échelle de l’État) est de 14,8°F (-9°C) pour mardi.
La dernière fois aussi froide en janvier ?
9 janvier 2010 : 13,8 °F (-10°C)
21 janvier 1985 : 14,1 °F (-9°C)
19 janvier 1984 : 14,4 °F (-9°C)
Dans l'ensemble:
23-24 décembre 2022 Veille de Noël vague de froid 12,2° | 13,0°F
15-17 février 2021… pic.twitter.com/MSRtVEj56q
– Ryan Maue (@RyanMaue) 10 janvier 2024
Ensuite, les prévisions de demande d'électricité de l'Electric Reliability Council of Texas, l'opérateur du réseau électrique du Texas, sont analysées pour voir si les prévisions de demande dépassent l'offre. Les prévisions actuelles montrent qu'ERCOT sera confronté au premier test majeur de stabilité du réseau pour la nouvelle année.
Les dernières perspectives ERCOT sur 7 jours sont un peu inquiétantes avec le froid des prochaines semaines... #natgas #ongt pic.twitter.com/B98RcJkwtg
– Recherche sur les critères (@PipelineFlows) 9 janvier 2024
Et ça:
#ERCOT affiche désormais un pic de 80 gigawatts lundi matin. Le record de janvier de tous les temps est <66 GW. Pour l’instant, ERCOT prévoit de nombreuses capacités inutilisées. Je ne prévois pas de problèmes pour le moment, mais je me sentirais beaucoup mieux si nous avions augmenté l'efficacité énergétique ces dernières années. #txlege #txenergy pic.twitter.com/kbpMcX39JV
– Doug Lewin (@douglewinenergy) 10 janvier 2024
ERCOT a averti ses 26 millions de clients texans de la prochaine vague de froid ce week-end et la semaine prochaine. Le gestionnaire du réseau assure à ses clients : « Les conditions du réseau devraient être normales et ERCOT s'attend à disposer d'une offre suffisante pour répondre à la demande. »
ERCOT surveille de près les conditions météorologiques qui traversent le Texas cette semaine. Les conditions du réseau devraient être normales et ERCOT s’attend à disposer d’une offre suffisante pour répondre à la demande. Toute panne est de nature locale. Veuillez contacter votre fournisseur d’électricité local pour plus d’informations si…
– ERCOT (@ERCOT_ISO) 8 janvier 2024
La société de recherche axée sur l'énergie Criterion Research a déclaré mercredi à ses clients dans une note qu'ERCOT survivrait probablement au grand coup de froid :
ERCOT a publié un avis de condition opérationnelle (OCN) pour les prochains événements météorologiques froids prévus du 15 au 17 janvier 2024. L'OCN est le premier des quatre niveaux de communication fournis par l'agence avant une éventuelle condition d'urgence - les trois niveaux suivants serait les niveaux d’urgence énergétique 1 à 3.
Les prévisions actuelles d'ERCOT montrent des conditions de demande extrêmes à partir du mardi 16 janvier 2024. Cela inclut une charge de pointe projetée de 85 587 MW à 7 heures du matin ce matin-là. Cependant, la production renouvelable à partir de l'éolien et du solaire devrait aider alors que la demande atteint un record saisonnier, avec une contribution éolienne et solaire tôt le matin de 14 137 MW.
ERCOT publie chaque mois une Perspective mensuelle d'adéquation des ressources (MORA) pour donner un aperçu des attentes en matière de charge de pointe et de production disponible. Le MORA de janvier 2024 nous donne un aperçu du pouvoir dont l’agence prévoit disposer lors d’événements graves. Selon ERCOT, le réseau devrait disposer d'environ 71 GW de production distribuable ce mois-ci. Ce total n'inclut pas la production projetée d'énergies renouvelables, car ils la classent comme une charge « non distribuable », car elle ne peut pas être sollicitée à volonté. La plage indicative pour la charge non distribuable va de 18 à 24 GW pour une journée typique de janvier.
Au cours de la prochaine vague de froid, avec la « demande de pointe » prévue par ERCOT de 85 587 MW et les énergies renouvelables attendues de 14 137 MW, ils auront besoin de 71 450 MW de production distribuable pour combler la différence. Heureusement, cette demande correspond à leur capacité disponible pour janvier. Si l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité se resserre, ERCOT dispose également de plus de 5 280 GW de ressources d’urgence.
Une différence cruciale entre le prochain coup de froid et la tempête hivernale Uri en 2021 est la croissance massive de la capacité solaire d’ERCOT. En 2021, l'énergie solaire du Texas ne représentait que 2 à 3 GW de production de pointe pendant la journée, alors que l'agence montre que l'énergie solaire atteint >15 GW pendant le froid de la semaine prochaine.
Mais tout le monde ne fait pas confiance au gestionnaire du réseau après la panne dévastatrice d’il y a trois ans :
"Il est certain que beaucoup de gens souffrent du SSPT à cause des pannes de courant que nous avons eues en février 2021. Ensuite, nous avons eu une tempête dont peu de gens se souviennent, la tempête hivernale Elliott, en décembre 2022. Cette tempête qui s'annonce lundi et mardi prochain semble aussi grave. comme cette tempête de 2022", a déclaré Daniel Cohan, professeur d'ingénierie environnementale à l'Université Rice, à la chaîne locale Fox 26.
Cohan a noté qu'ERCOT a apporté quelques améliorations à l'hivernage :
"Il y a eu des améliorations. Ils ont inspecté toutes les centrales électriques de l'État. Ils se sont assurés que le réseau de gaz fonctionne mieux, afin que les compresseurs ne s'éteignent pas en cas de panne de courant."
La question majeure est de savoir si le gestionnaire du réseau dispose d’une production d’électricité excédentaire suffisante si des conditions de vent extrêmement faibles sont observées pendant la vague de froid. Aussi, si les efforts d’hivernage du réseau étaient correctement menés à bien après la vague de froid d’il y a trois ans, qui a causé des milliards de dollars de dégâts.
Pendant ce temps, le rapport d'évaluation de la fiabilité hivernale 2023-24 de la North American Electric Reliability Corp. a averti à la fin de l'année dernière qu'un « approvisionnement énergétique insuffisant » pourrait survenir lors de vents extrêmement froids.
Voici les réseaux électriques les plus à risque aux États-Unis qui pourraient subir des pannes de courant en cas de vent froid.
Il est peut-être temps de se doter d'un générateur à essence fiable et complet, car le gouvernement fédéral a créé davantage d'instabilités dans le réseau national en faisant appel à l'énergie éolienne et solaire peu fiable pour décarboner les réseaux.
Mais-mais-mais qu’en est-il du réchauffement climatique ?
https://www.zerohedge.com/commodities/texas-power-grid-braces-arctic-blast
La bataille contre la désinformation : un nouveau rapport met en lumière le paysage de la vérification des faits en Asie
RépondreSupprimer10 Janvier 2024
Paul Roberts, Alliance pour la Science*
La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) a lancé un rapport complet soulignant la nécessité d'améliorer les efforts de vérification des faits en Asie, alors que les pays sont aux prises avec la montée en flèche de la désinformation en ligne.
Intitulé « Managing the Misinformation Effect - The State of Fact-Checking in Asia » (gérer l'effet de la désinformation - l'état de la vérification des faits en Asie), le rapport examine en profondeur les défis posés par la désinformation et propose des recommandations pour renforcer la vérification des faits. Le rapport se concentre sur la vérification des faits dans cinq pays asiatiques : l'Indonésie, l'Inde, le Népal, le Bangladesh et le Sri Lanka, chacun étant confronté à ses propres défis dans la lutte contre la désinformation.
Bangladesh : La désinformation a eu des conséquences catastrophiques au Bangladesh, entraînant des violences communautaires et des pertes humaines. Le rapport souligne le rôle essentiel de la vérification des faits pour dénoncer les campagnes de désinformation dans un pays où la liberté de la presse fait l'objet de restrictions croissantes.
Ces dernières années, le Bangladesh a été le théâtre d'événements alarmants de violences communautaires déclenchées par des informations erronées, lesquelles ont entraîné des décès et le déplacement de communautés. Un incident particulièrement grave a vu une foule musulmane en colère vandaliser et incendier des temples et des maisons bouddhistes pour protester contre une fausse photo diffusée sur Facebook, représentant à tort un Coran partiellement brûlé.
Les canulars sur les réseaux sociaux se sont également révélés mortels, huit personnes ayant perdu la vie en 2019 lors de lynchages déclenchés par des rumeurs sur Facebook affirmant à tort que des enfants étaient enlevés et sacrifiés pour la construction d'un méga-pont.
En outre, la désinformation anti-réfugiés a trouvé sa place dans les médias grand public et les plate-formes de réseaux sociaux du Bangladesh, comme en témoignent les médias internationaux. Dans un pays où la liberté de la presse a été progressivement réduite par des lois répressives et où la confiance dans les médias est en déclin, la vérification des faits est apparue comme une nouvelle fenêtre permettant aux gens de remettre en question les récits grâce à des faits et de dénoncer la désinformation.
RépondreSupprimerUn projet de recherche sur le rôle des organisations de vérification des faits au Bangladesh, en Inde et au Népal, publié en 2018, a conclu que, malgré leurs limites, ces initiatives faisaient preuve de persistance dans le démontage des fausses affirmations, les utilisateurs commençant à s'engager avec elles.
Inde : La prolifération des fausses informations en Inde a fait des ravages sur la santé publique, les moyens de subsistance et l'harmonie sociale. Le rapport souligne que la croissance rapide des technologies numériques et l'augmentation de la pénétration de l'internet ont exacerbé le problème, rendant essentielles de solides initiatives de vérification des faits.
Au début de la pandémie de Covid-19 en 2019, l'Inde a connu une augmentation stupéfiante de 214 % des cas liés aux « fake news » et aux rumeurs, selon les données du National Crime Records Bureau. Ces fausses informations ont eu des conséquences concrètes, comme les pertes subies par l'industrie avicole indienne en raison de spéculations infondées sur les réseaux sociaux selon lesquelles les poulets pouvaient propager le virus de la Covid-19. De fausses allégations selon lesquelles les musulmans propageraient délibérément le virus ont également conduit à des appels au boycott économique des commerçants musulmans.
Si la désinformation n'est pas un phénomène nouveau, la prolifération rapide des technologies numériques et l'augmentation de la pénétration de l'internet ont amplifié sa portée et son impact. Selon le ministère de l'Électronique et des Technologies de l'Information, l'Inde comptait plus de 700 millions d'abonnés à l'internet et plus d'un milliard de téléphones portables en 2022. Toutefois, cet accès généralisé ne s'est pas traduit par une augmentation correspondante de la culture numérique, c'est-à-dire de la capacité à utiliser l'internet de manière utile et critique. Une étude réalisée par Oxford University Press a révélé que 54 % des Indiens interrogés utilisent les réseaux sociaux pour accéder à des informations factuelles, et que 87 % d'entre eux partagent des informations provenant des réseaux sociaux en exprimant leur confiance dans leur exactitude.
Dans ce contexte, la vérification des faits apparaît comme un outil important pour lutter contre la désinformation. En janvier 2023, l'Inde comptait le plus grand nombre de signataires vérifiés et actifs du code de principes de l'International Fact-Checking Network, avec 14 organisations indiennes de fact-checking répertoriées.
RépondreSupprimerIndonésie : le rapport révèle le rôle historique de l'État dans la propagation de la désinformation. Historiquement, l'Indonésie a été un terrain fertile pour la désinformation, avec des exemples flagrants remontant au début des années 1960, lors de la transition entre l'ancien et le nouvel ordre. Une campagne nationale parrainée par l'État a imputé au mouvement du 30 septembre 1965 la mort de sept généraux de l'armée, ce qui a entraîné des massacres et des violences contre des individus et des groupes affiliés au parti communiste indonésien, faussement accusés d'avoir orchestré le coup d'État. Cette campagne s'est fortement appuyée sur la désinformation diffusée par les journaux et la radio.
Aujourd'hui, le paysage de la désinformation en Indonésie est plus complexe, influencé par une série d'acteurs, dont l'État, des acteurs étrangers et des intérêts économiques. Le gouvernement a été accusé de participer à des campagnes de désordre de l'information, les accusations de trolling et de désinformation parrainés par l'État se répandant sur les plate-formes de réseaux sociaux.
En outre, des acteurs étrangers ont également contribué à la diffusion de fausses informations en Indonésie. Par exemple, en 2019, un réseau mondial de désinformation lié à la Chine a été découvert, opérant sur Facebook et Twitter. Le réseau a diffusé des récits pro-chinois et a ciblé des militants pro-démocratie à Hong Kong et à Taïwan, mais il a également étendu ses activités à l'Indonésie. Les intérêts économiques jouent également un rôle important. La désinformation et les canulars liés à la santé et à la sécurité ont frappé l'industrie de l'huile de palme, avec de fausses allégations sur les risques de cancer associés à la consommation d'huile de palme, qui ont entraîné des pertes économiques. En tant que grand producteur d'huile de palme, l'économie indonésienne a été fortement touchée par la campagne de désinformation.
Dans cet environnement complexe, les organisations de vérification des faits en Indonésie s'efforcent de lutter contre la désinformation et de maintenir la confiance du public dans des informations exactes. Des initiatives telles que Mafindo (Masyarakat Anti Fitnah Indonesia) se sont employées à démystifier les canulars et à promouvoir l'éducation aux médias. Cependant, elles sont confrontées à des défis considérables, notamment des menaces pour leur sécurité et la difficulté d'atteindre une population diverse et parfois isolée.
Népal : Le Népal représente à bien des égards un cas unique dans le paysage asiatique de la désinformation. C'est un pays caractérisé par l'instabilité politique, des changements fréquents de gouvernement et un manque de maîtrise des médias et de l'information au sein de sa population. Malgré ces difficultés, le Népal n'a pas été épargné par la diffusion de fausses informations, même si l'ampleur et l'impact sont comparativement plus faibles que chez certains de ses voisins régionaux.
RépondreSupprimerL'un des problèmes récurrents au Népal est la circulation de rumeurs et de fausses informations liées à l'évolution de la situation politique et aux incidents de sécurité. Le paysage politique complexe du pays, qui a été le théâtre de fréquentes luttes de pouvoir et de changements de dirigeants, constitue un terrain fertile pour la diffusion de fausses informations. Par exemple, au cours de la transition politique au Népal, il est arrivé que de fausses informations circulent au sujet de personnalités politiques clés, de leurs affiliations et de leurs intentions. Ces fausses informations peuvent alimenter les tensions et contribuer à l'instabilité sociale et politique, ce qui fait de la vérification des faits un outil important pour maintenir la confiance du public et prévenir l'escalade des conflits.
Malgré ces défis, les initiatives de vérification des faits se sont régulièrement développées au Népal, avec des organisations telles que South Asia Check qui jouent un rôle crucial en démystifiant les fausses affirmations et en fournissant des informations exactes au public. Ces initiatives se heurtent à des obstacles, tels que des ressources limitées. Elles n'en demeurent pas moins dédiées à la promotion de l'éducation aux médias et à la lutte contre la désinformation dans un pays où la diffusion de fausses informations peut avoir des conséquences considérables.
Sri Lanka : Le rapport met en lumière le double problème de la polarisation et de la désinformation dans le paysage médiatique et politique du Sri Lanka. Les médias du pays sont souvent divisés selon des lignes ethnolinguistiques et idéologiques, ce qui accentue les divisions sociales. Les initiatives de vérification des faits au Sri Lanka jouent un rôle essentiel dans la perturbation de ces schémas et la promotion d'un débat démocratique éclairé.
La propagation de faux récits liés aux tensions ethniques et religieuses est un problème majeur dans le paysage sri-lankais de la désinformation. La désinformation et les discours de haine ont été utilisés comme des armes, ce qui a conduit à des violences communautaires. Par exemple, les émeutes antimusulmanes meurtrières de 2018 ont été en partie alimentées par des campagnes de désinformation qui ont diffusé de fausses affirmations sur les entreprises musulmanes. Un autre défi est la polarisation des médias selon des lignes politiques, de nombreux médias s'alignant sur des partis politiques ou des idéologies spécifiques. Il en résulte des reportages biaisés et l'amplification de récits partisans.
Des organisations comme FactCheck.lk et Verité Research ont joué un rôle crucial dans le démontage des fausses affirmations et la promotion d'un débat démocratique éclairé. Elles ont dû faire face à des défis, notamment des menaces pour leur crédibilité et leur sécurité, mais elles continuent à fournir un service vital dans un pays où la désinformation a des conséquences concrètes.
RépondreSupprimerLe rapport de la FIJ souligne non seulement le rôle essentiel de la vérification des faits dans le paysage médiatique asiatique, mais présente également des conclusions clés et une série de recommandations pour lutter contre l'épidémie de désinformation :
Un défenseur vital de la démocratie : Le fact-checking apparaît comme un défenseur vital de la démocratie, servant à combattre la désinformation, à promouvoir l'éducation aux médias et à restaurer la confiance du public dans les médias indépendants.
Soutien des médias : Les médias et les journalistes sont invités à soutenir les institutions indépendantes de vérification des faits et le réseau croissant de vérificateurs de faits au niveau régional et mondial. Il est essentiel d'organiser des ateliers et des formations sur la vérification des faits à l'intention de tous les journalistes et travailleurs des médias afin de limiter la diffusion involontaire de fausses informations dans les reportages.
Sécurité des vérificateurs de faits : Les organisations de vérification des faits devraient prendre des mesures pour protéger les vérificateurs de faits contre les menaces à leur bien-être physique et mental, y compris la diffamation, le harcèlement, les abus et les traumatismes indirects.
Visibilité sur les réseaux sociaux : Les plate-formes de réseaux sociaux devraient veiller à ce que les vérifications de faits bénéficient du même niveau de visibilité que les fausses informations qu'elles visent à corriger, ce qui permettrait d'uniformiser les règles du jeu en matière d'information.
Rôle des syndicats de journalistes : Les syndicats de journalistes sont encouragés à explorer et à développer les efforts pour soutenir et représenter le « droit de publier » des vérificateurs de faits et à exprimer leur solidarité en reconnaissant leur participation en tant que travailleurs des médias.
Soutien des bailleurs de fonds et des donateurs : Les bailleurs de fonds et les donateurs devraient continuer à soutenir les initiatives de vérification des faits, en couvrant la formation, les initiatives de démarrage et les programmes de viabilité à long terme.
Durabilité à long terme : Les initiatives de vérification des faits devraient explorer des modèles de financement durables au-delà des options à court terme, afin de garantir leur viabilité à long terme.
RépondreSupprimerEngagement de la communauté : Les initiatives de vérification des faits devraient étendre leur portée pour améliorer l'éducation aux médias et rechercher activement le soutien des médias, de la société civile et des défenseurs des Droits de l'Homme pour diffuser leurs résultats.
Éducation aux médias : Les universités et les écoles devraient intégrer des compétences de lecture critique dans leurs programmes, en se concentrant sur l'analyse des informations officielles, des médias de masse et des réseaux sociaux afin d'encourager l'éducation aux médias.
Le rapport de la FIJ souligne que les groupes de vérification des faits ont besoin de stabilité et de longévité, fondées sur un financement fiable et des bases organisationnelles solides. Ils doivent également veiller à protéger leurs vérificateurs de faits contre tout préjudice, en reconnaissant les menaces pour la sécurité physique et la santé mentale associées à ce type de travail. À une époque où l'information est un pouvoir, la lutte contre la désinformation est plus cruciale que jamais, et les vérificateurs de faits sont en première ligne dans ce combat pour la vérité et la responsabilité.
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* Paul est un expert britannique en communication, spécialisé dans la stratégie, le cadrage, les messages et la communication de crise. Il dispose d'une grande expérience aux Maldives et en Asie en matière de politique étrangère, de diplomatie climatique, de politique d'énergie renouvelable, de démocratie et de gouvernance. Paul a été conseiller en communication du président Mohamed Nasheed, l'aidant à se forger un profil international exceptionnel. Il est le fondateur d'Atoll Communications, une société maldivienne de relations publiques et de communication. Il est également directeur de l'Institut du Corail des Maldives.
Source : The battle against misinformation: New report sheds light on Asia's fact-checking landscape - Alliance for Science
https://seppi.over-blog.com/2024/01/la-bataille-contre-la-desinformation-un-nouveau-rapport-met-en-lumiere-le-paysage-de-la-verification-des-faits-en-asie.html
Le lent effondrement des médias grand public montre que la majorité des Américains prennent conscience de la réalité selon laquelle les médias nationaux biaisés sont effectivement les ennemis du peuple américain.
RépondreSupprimer01/08/2024
News Editors
À la fin des années 1970, les médias nationaux américains bénéficiaient de la confiance de la majorité du peuple, mais à mesure qu’ils se tournaient vers la gauche de l’allée politique au fil des années, cette confiance s’est lentement amenuisée, et à la fin de 2023, seuls 7 % des adultes avaient une « grande » confiance dans les médias d'information, avec 38 % déclarant n'en avoir « aucune ».
(Article de Susan Duclos republié depuis AllNewsPipeline.com)
En 2015, après que Donald Trump a annoncé sa candidature à la présidence, les médias sont devenus « l’ennemi du peuple ». Non pas parce que Trump les a appelés ainsi, mais parce que pour empêcher Trump d’être élu à la place d’Hillary Clinton, ils ont commencé à diffuser des « fausses nouvelles ».
Ce n'est pas une opinion, elle a été documentée avec des liens et des captures d'écran par Sharyl Attkisson, où elle a aimablement qualifié les fausses nouvelles présentées par les médias médiatiques d'"erreurs". 151 éléments d’août 2016 au 16 janvier 2021, avec six ajouts après que Trump ne soit plus à la Maison Blanche.
Veuillez noter que cela n'inclut pas les mensonges, les fausses déclarations et la désinformation publiées à partir de 2015, lorsque Trump a annoncé jusqu'en août 2016. Un exemple de cela serait le titre mensonger après l'annonce de Trump affirmant qu'il a appelé tous les violeurs mexicains, alors que ses paroles réelles apparaissent à l'intérieur. les publications montrent qu'il a mentionné que certains de ceux qui franchissent illégalement la frontière sont des violeurs.
Les informations diffusées depuis lors ont donné raison à Trump.
J'aimerais détailler cela davantage, mais j'aimerais revenir à aujourd'hui, alors que l'un des plus grands médias américains, le Washington Post, perd désormais 100 millions de dollars par an. De plus, leur engagement en ligne a été réduit de moitié au cours des quatre dernières années.
Il y a quatre ans, la Poste comptait 139 millions de visiteurs mensuels. À la fin de l’année dernière, il y en avait moins de 60 millions. »
Parmi ce public, moins d’un sur cinq lit plus d’un article par mois.
Pour mémoire, seulement un million pourrait maintenir l'ANP jusqu'à ce que Stefan et moi mourions, et il en resterait encore assez pour en laisser à nos enfants.
Pour couronner le tout, début décembre 2023, la Washington Post Guild a lancé une mini-grève, au cours de laquelle 750 membres ont débrayé pendant une journée, ce que presque aucun lecteur n'a remarqué. Leurs exigences, compte tenu de la fréquence à laquelle Wapo et d’autres médias libéraux mentent au peuple américain qu’ils sont censés informer, sont scandaleuses.
RépondreSupprimerLa Guilde veut un salaire minimum de 100 100 $ pour les journalistes, et la direction n'offre que 73 000 $. Les parties sont également séparées par les demandes annuelles liées au coût de la vie.
Wapo n’est pas le seul média à souffrir de blessures auto-infligées.
EFFONDREMENT DES SMS....
2023 a été une année horrible pour les médias libéraux nationaux, et 2024 va probablement poursuivre cette tendance.
Certains des points clés d'un article de TheWrap publié sur MSN :
• Les médias audiovisuels, imprimés et numériques ont connu collectivement 2 681 suppressions d'emplois dans le journalisme en 2023, soit une hausse de 48 % par rapport aux 1 808 de 2022 et de 77 % par rapport aux 1 511 de 2021.
• En nov.-déc. seul "Condé Nast, G/O Media, Vice Media et Vox Media ont tous réduit leurs effectifs, dont la plupart ont déjà été licenciés plus tôt cette année. (Vice a déposé son bilan en juin.)"
• Une étude réalisée en 2022 par la Medill School de l'Université Northwestern a révélé que quelque 2 500 quotidiens et hebdomadaires ont fermé leurs portes depuis 2005. L'étude prédit qu'un tiers des journaux américains qui existaient il y a environ deux décennies cesseront leurs activités d'ici 2025.
Bien sûr, les déceptions de certains comme Ashanti Blaize-Hopkins, président national de la Société des journalistes professionnels, sont tout simplement sourdes.
"La santé de l'industrie du journalisme est étroitement liée à la santé de notre démocratie", a ajouté Blaize-Hopkins. "Lorsque des licenciements surviennent, le public devient moins informé, ce qui met notre démocratie même en danger."
Ok, disons-le tous, l’Amérique est une république, pas une démocratie.
À mon avis, après avoir passé des années à documenter de nombreux mensonges, désinformations, vidéos montées sélectivement et rétractations après les fausses nouvelles déjà filtrées à travers l’Amérique, la République se porte mieux avec moins de médias honnêtes qu’avec plus de médias malhonnêtes.
RépondreSupprimerLes défenseurs des médias prétendront que « des erreurs peuvent arriver », mais lorsque chaque erreur va dans une seule direction, contre un parti politique, cela devient moins une erreur et un parti pris évident des médias, un mensonge pour obtenir le résultat politique qu'ils souhaitent.
Pour en savoir plus : AllNewsPipeline.com
https://www.naturalnews.com/2024-01-08-slow-collapse-of-msm-americans-waking-up.html
X : Elon Musk vire 80% des employés dédiés à la modération
RépondreSupprimerLe tout-puissant patron de X, Elon Musk, a licencié la grande majorité des ingénieurs en charge de la modération. Conséquence, les comptes tenus offensants pullulent désormais sur le réseau social.
Par Cédric Bonnefoy
Modifié le 11 janvier 2024 à 14h41
Depuis son arrivée à la tête de X, Elon Musk a licencié 80% des personnels dédiés à la modération.
La modération de plus en plus absente sur X
Depuis l'acquisition de Twitter, rebaptisé X, par le magnat Elon Musk, la plateforme sociale connaît une transformation radicale. Une des décisions les plus controversées a été la réduction massive de l'équipe de modération, avec plus de 1 200 employés licenciés à travers le monde. Cette vague de licenciements englobe une grande partie du personnel dédié à la lutte contre les contenus nuisibles. De fait, cela réduit considérablement la capacité de la plateforme à modérer efficacement ses contenus.
Après avoir bataillé pour obtenir les chiffres, le régulateur australien vient de dévoiler l’ampleur de la coupe des effectifs. En tout, ils sont passés de 4 062 à 2 849 entre octobre 2022 et mai 2023. Soit une baisse de 30%. Et le pire, depuis son achat de X, le puissant patron de Tesla a viré 80 % des ingénieurs en charge du dossier.
De fortes répercussions
Les effets de cette décision ne sont pas négligeables. En diminuant son équipe de modération, X affaiblit ses défenses contre les contenus abusifs. Mais ouvre également la porte à un retour massif de comptes auparavant suspendus. Cette situation crée une dynamique qui inquiète de plus en plus. Ainsi, la plateforme peut potentiellement devenir un terreau fertile pour la propagation de discours haineux et de désinformation.
Cette situation met en lumière le rôle crucial des modérateurs dans la gestion des plateformes sociales. L'Australie, en tant que pionnière dans la régulation des réseaux sociaux, a déjà pris des mesures envers Twitter X, notamment en imposant une amende significative pour son incapacité à lutter contre la propagation de contenus préjudiciables.
https://www.economiematin.fr/x-baisse-effectifs-musk-moderation?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Que va-t-il arriver à notre société alors que l’IA et les robots prennent la plupart de nos emplois ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 10 JANVIER 2024 - 20H45
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Si vous n’avez pas encore perdu votre emploi, vous devriez être très reconnaissant.
L’intelligence artificielle et les robots prennent chaque jour davantage de place dans nos emplois, et cette invasion de la haute technologie n’aura pas de fin. À terme, nous pourrions arriver à un point où l’IA et les robots peuvent pratiquement tout faire de manière bien plus efficace et à moindre coût que les humains.
Alors, qu’arrivera-t-il à la grande majorité de la population humaine lorsque leur travail ne sera plus nécessaire ? Trouvera-t-on le moyen de s’occuper discrètement des « mangeurs inutiles » qui sont considérés comme « ne faisant que prendre de la place » ?
Pendant des années, on nous a prévenus que l’IA et les robots allaient révolutionner le monde du travail, et ce jour est désormais officiellement arrivé.
Par exemple, Amazon utilise depuis des années différents types de robots simples pour effectuer certaines tâches, et désormais des robots humanoïdes très sophistiqués sont déployés aux côtés des travailleurs humains normaux…
Amazon a récemment commencé à tester un nouveau robot dans ses opérations d'entrepôt : découvrez Digit, un robot bipède humanoïde avec un torse turquoise et des yeux souriants.
Conçu par Agility Robotics, dans lequel Amazon a investi dans le cadre de son Fonds d'innovation industrielle, Digit n'est que le dernier d'une série de robots d'entrepôt que la société a introduits au cours des dernières années. Cependant, la plupart des autres robots d'entrepôt étaient des bras robotiques ou en forme de chariot, et non des humanoïdes comme Digit.
Digit coûte actuellement environ 10 à 12 dollars de l'heure pour fonctionner, en fonction de son prix et de sa durée de vie, mais la société prévoit que ce coût chutera à 2 à 3 dollars de l'heure plus les frais généraux des logiciels à mesure que la production s'accélère, a déclaré Damion Shelton, PDG d'Agility Robotics, à Bloomberg. .
Comment sommes-nous censés rivaliser avec cela ?
Aucun travailleur humain ne travaillera pour « 2 à 3 dollars de l’heure ».
De plus, les robots n’ont pas besoin de pauses, ils ne tombent pas malades, ils ne se plaignent pas et ils ne volent pas l’entreprise.
Cette tendance ne fera donc que s’accélérer au cours des années à venir.
RépondreSupprimerIl existe encore aujourd’hui un restaurant McDonald’s qui est presque entièrement géré par des robots…
- voir clip sur site -
Vous pensez peut-être que les robots ne prendront pas votre emploi de sitôt parce que vous avez un travail de col blanc qui nécessite un haut niveau d’intelligence.
Eh bien, si vous êtes un col blanc, il y a de fortes chances que votre emploi actuel soit un jour rendu « obsolète » par l’intelligence artificielle.
En fait, Goldman Sachs prévoit que l’IA pourrait supprimer jusqu’à 300 millions d’emplois à temps plein au cours des années à venir, et la plupart d’entre eux seront des emplois de cols blancs…
Selon les économistes de Goldman Sachs, jusqu'à 300 millions d'emplois à temps plein dans le monde pourraient être automatisés d'une manière ou d'une autre grâce à la dernière vague d'intelligence artificielle qui a donné naissance à des plateformes comme ChatGPT.
Ils ont prédit dans un rapport publié dimanche que 18 % du travail dans le monde pourrait être informatisé, avec des effets plus profonds dans les économies avancées que dans les marchés émergents.
Cela s’explique en partie par le fait que les cols blancs sont considérés comme plus à risque que les travailleurs manuels. Les employés administratifs et les avocats devraient être les plus touchés, selon les économistes, comparativement au « peu d'effet » observé sur les professions physiquement exigeantes ou en plein air, comme les travaux de construction et de réparation.
Alors, comment allez-vous gagner votre vie alors que l’IA et les robots font presque tout mieux et à moindre coût que vous ?
Un grand nombre d’emplois seront perdus au cours des années à venir.
Malheureusement, la vérité est que l’économie américaine saigne déjà des emplois.
RépondreSupprimerVendredi, le BLS nous a dit que l'enquête sur les établissements indiquait que l'économie américaine avait créé 216 000 emplois le mois dernier, mais qu'historiquement, l'enquête auprès des ménages a été beaucoup plus précise et a montré que l'économie américaine a en réalité perdu 683 000 emplois le mois dernier...
Mais ce n’est qu’un début. Nous nous tournons ensuite vers les chiffres derrière les principaux chiffres de l'emploi qui étaient plutôt terribles : les masses salariales mensuelles non agricoles (issues de l'enquête auprès des établissements) étaient peut-être faibles à 216 000, mais l'enquête auprès des ménages, bien plus précise, a montré que le nombre de travailleurs employés s'est en fait effondré d'un 683K sans précédent, la plus forte baisse depuis la fermeture de l'économie américaine à cause du covid !
Et comme je l’ai partagé avec mes abonnés payants il y a quelques jours, le rapport du BLS a également montré que le nombre d’emplois à temps plein aux États-Unis a chuté de 1,531 million au cours du mois de décembre…
Ici, un coup d'œil à l'ajustement de ce mois-ci est littéralement choquant : vous n'entendrez personne de l'administration Biden, des médias grand public ou des pom-pom girls économistes associés en parler, mais le BLS a rapporté qu'en décembre, le nombre d'emplois à temps plein a plongé. de 1,531 million à 133,2 millions, la plus forte baisse mensuelle depuis le crash record de 14,7 millions d'emplois !
Si ce chiffre est ne serait-ce que proche de l’exactitude, nous aurons de très gros problèmes.
Depuis un certain temps, j’écris sur le tsunami de licenciements qui se produit dans les entreprises américaines, et à ce stade, les choses sont devenues si mauvaises que même BlackRock se prépare à licencier des travailleurs…
BlackRock, la plus grande société de gestion financière au monde, prévoit d'annoncer le licenciement dans les prochains jours d'environ 3 % de ses effectifs mondiaux, a appris Fox Business.
Les suppressions d'emplois d'environ 600 employés, qui n'ont pas encore été signalées, sont qualifiées en interne de routine, selon une source proche.
Pendant ce temps, les faillites se multiplient dans tout le pays.
En fait, le nombre de dépôts de bilan aux États-Unis en 2023 était 18 % plus élevé qu’en 2022…
Les dépôts de bilan aux États-Unis ont bondi de 18 % en 2023 en raison de taux d'intérêt plus élevés, de normes de prêt plus strictes et de la fin continue des filets de sécurité en période de pandémie, selon les données publiées mercredi, bien que le volume des dossiers d'insolvabilité reste bien inférieur au niveau observé avant l'épidémie de COVID. -19.
RépondreSupprimerLe nombre total de dépôts de bilan – englobant les insolvabilités commerciales et personnelles – est passé à 445 186 l’année dernière, contre 378 390 en 2022, selon les données du fournisseur de données sur les faillites Epiq AACER.
Joe Biden le niera aussi longtemps qu’il le pourra, mais la vérité est que nous sommes actuellement confrontés à une crise économique.
Mais ce que nous vivons en ce moment ne vaut même pas la peine d’être comparé à ce qui s’en vient.
Alors profitez des dernières fumées de la prospérité tant que vous le pouvez encore, car à partir d’ici, cette balade ne fera que descendre.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/what-going-happen-our-society-ai-and-robots-take-most-our-jobs
Externaliser : oui ou non ?
RépondreSupprimerL'étude de l'ISC2 sur les effectifs spécialisés dans la cybersécurité montre que le nombre de personnes actives dans ce domaine a augmenté d'environ 13 %, en revanche le nombre de postes vacants a progressé beaucoup plus rapidement, avec plus d'un poste sur deux non pourvu. Les entreprises vont donc devoir mieux utiliser leurs ressources pour en optimiser le potentiel, ce qui signifie qu'elles devront consolider davantage leurs capacités en matière de cybersécurité, et à mon avis, bon nombre d'entre elles vont remettre en question ce qu'elles gèrent par rapport à ce qu'elles consomment sous forme de services basés sur les résultats. A une époque, la sécurité était gérée directement au sein même de l’entreprise, mais le filtrage des e-mails a bouleversé les mentalités. Aujourd'hui, de nombreuses entreprises externalisent des parties du SoC et des capacités IR. La question qui se pose maintenant est la suivante : dans quelle mesure peut-on et doit-on externaliser ?
La barrière d'entrée de la cybersécurité baisse et remonte en même temps
D'un côté, l'AI générative permet à un grand nombre de personnes peu qualifiées de gérer certaines opérations, car elle simplifie des tâches complexes en les exprimant dans un langage accessible. On peut par exemple s’attendre à ce qu'elle permette aux analystes des SoC de niveau 1 de se simplifier considérablement la tâche car ils n'auront plus besoin de traduire les logs de plusieurs fournisseurs, l'AI se chargera de les convertir. En parallèle, des outils comme WormGPT permettent aux attaquants de créer des malwares plus facilement, puisqu'ils peuvent eux aussi bénéficier de cette traduction en langage plus simple. Par contre, les entreprises qui souhaitent développer ou personnaliser leur usage des outils d'IA générative auront besoin d'ingénieurs en ML, en AI et en sciences de l’IA, qui sont devenus des ressources bien plus rares aujourd'hui que les experts en cybersécurité classiques.
https://www.economiematin.fr/ia-generative-cybersecurite-danger-2024-leseigneur
RépondreSupprimerC'est ainsi que l'IA et les robots nous suppriment nos emplois
10 janvier 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
L’intelligence artificielle et les robots nous suppriment chaque jour davantage d’emplois, et cette invasion de la haute technologie n’aura pas de fin. C’est aussi ce que le WEF prône depuis longtemps comme la 4ème révolution industrielle. À un moment donné, nous pourrions même arriver à un point où l’IA et les robots pourront pratiquement tout faire de manière beaucoup plus efficace et rentable que les humains.
Qu’arrivera-t-il à la grande majorité de la population humaine lorsque leur travail ne sera plus nécessaire ? Trouverons-nous un moyen de traiter sereinement les « mangeurs inutiles » considérés comme des « mangeurs d’espace » ? Pendant des années, on nous a prévenus que l’IA et les robots allaient révolutionner le monde du travail, et ce jour est désormais officiellement arrivé.
Le WEF a récemment publié une brève description de ce qui nous attend dans son « Focus » :
« La quatrième révolution industrielle représente un changement fondamental dans la façon dont nous vivons, travaillons et interagissons les uns avec les autres. Il s’agit d’un nouveau chapitre du développement humain rendu possible par des progrès technologiques extraordinaires équivalents à ceux des première, deuxième et troisième révolutions industrielles. Ces avancées fusionnent les mondes physique, numérique et biologique d’une manière qui présente à la fois de grandes opportunités et un danger potentiel. La vitesse, l’ampleur et la profondeur de cette révolution nous obligent à repenser la manière dont les pays se développent, la manière dont les entreprises créent de la valeur et même ce que signifie être humain.
Amazon, par exemple, utilise depuis des années différents types de robots simples pour accomplir certaines tâches, et désormais des robots humanoïdes sophistiqués sont déployés aux côtés des travailleurs humains ordinaires.
La société de vente par correspondance a récemment commencé à tester un nouveau robot dans ses entrepôts : il s'agit de Digit, un robot humanoïde bipède au torse turquoise et aux yeux souriants.
Développé par Agility Robotics , dans lequel Amazon a investi dans le cadre de son Fonds d'innovation industrielle, Digit n'est que le dernier d'une série de robots d'entrepôt que la société a introduits ces dernières années. Cependant, la plupart des autres robots d'entrepôt sont des chariots ou des bras robotiques, et non des humanoïdes comme Digit.
Digit coûte actuellement entre 10 et 12 dollars de l'heure pour fonctionner, en fonction de son prix et de sa durée de vie. Mais l'entreprise s'attend à ce que ces coûts tombent à 2 ou 3 dollars de l'heure, plus les frais généraux liés aux logiciels, à mesure que la production augmente, a déclaré Damion Shelton, PDG d'Agility Robotics, à Bloomberg .
RépondreSupprimerComment sommes-nous censés suivre le rythme ? Aucun travailleur humain ne travaillera pour « 2 à 3 dollars de l’heure ».
De plus, les robots n'ont pas besoin de pauses, ils ne tombent pas malades, ils ne se plaignent pas et ils ne volent pas l'entreprise.
Cette tendance ne fera donc que s’accentuer dans les années à venir.
Mais les emplois de cols blancs seront également remplacés de la même manière. Pour les salariés, il y a de fortes chances que leur emploi actuel soit un jour rendu « obsolète » par l’intelligence artificielle.
Goldman Sachs estime que jusqu'à 300 millions d'emplois à temps plein pourraient être remplacés par l'intelligence artificielle dans les années à venir, et la plupart d'entre eux seront des emplois de cols blancs...
Selon les économistes de Goldman Sachs, jusqu'à 300 millions d'emplois à temps plein dans le monde pourraient être automatisés d'une manière ou d'une autre grâce à la dernière vague d'intelligence artificielle qui a donné naissance à des plateformes comme ChatGPT.
Dans un rapport publié dimanche, ils prédisent que 18 % du travail dans le monde pourrait être informatisé, avec un impact plus fort dans les économies avancées que dans les marchés émergents.
Cela s’explique en partie par le fait que les cols blancs sont considérés comme plus à risque que les cols bleus. Les employés administratifs et les avocats devraient être les plus durement touchés, estiment les économistes, tandis que l'impact sur les emplois physiquement exigeants ou en extérieur, comme les travaux de construction et de réparation, est "faible".
Alors, comment les gens pourront-ils gagner leur vie alors que l’IA et les robots font presque tout mieux et moins cher qu’eux ? Quoi qu’il en soit, un grand nombre d’emplois seront perdus dans les années à venir.
Pendant ce temps, des emplois disparaissent déjà, notamment dans l’Occident politique. Mais cela n’est pas seulement dû à la 4e révolution industrielle, mais aussi au Covid et, de manière encore plus importante et surtout croissante, à la politique climatique.
Ce qui est quelque peu bizarre, c'est que même BlackRock se prépare à licencier des employés, comme le rapporte FoxBusiness :
BlackRock, la plus grande société de gestion d'actifs au monde, prévoit de licencier environ 3 % de ses effectifs mondiaux dans les prochains jours, a appris Fox Business.
RépondreSupprimerLes suppressions d'emplois d'environ 600 salariés, qui n'ont pas encore été annoncées, sont qualifiées en interne de routine, selon une source proche du dossier.
Le nombre de faillites augmente partout
Il existe un risque d'augmentation significative du nombre de faillites en Allemagne au cours de la nouvelle année. Selon une étude du Handelsblatt, les experts s'attendent à une augmentation pouvant atteindre plus de 30 pour cent. Le nombre de faillites d'entreprises n'a augmenté de manière significative qu'en 2023, comme le montre une analyse exclusive du cabinet de conseil en restructuration Falkensteg pour le Handelsblatt.
En conséquence, près de 15 000 entreprises ont déposé le bilan l'année dernière, soit 26 pour cent de plus que l'année précédente. Les grandes entreprises dont le chiffre d'affaires dépasse dix millions d'euros sont également de plus en plus touchées.
Au total, des procédures d'insolvabilité ont été ouvertes pour environ 3 400 entreprises en Autriche en 2023. Cela représente une augmentation de 16 pour cent par rapport à 2022. Selon l'AKV, les faillites représentent le chiffre le plus élevé de la dernière décennie en 2023. Le nombre de faillites d'entreprises ouvertes a augmenté de manière disproportionnée, surtout vers la fin de l'année, a annoncé l'association de protection des créanciers. 2 200 demandes d'insolvabilité ont été rejetées en raison d'un manque d'actifs, ce qui signifie que dans ces cas, aucun actif ne pouvait être divisé entre les créanciers.
https://tkp.at/2024/01/10/so-nehmen-uns-ki-und-roboter-den-job-weg/
(...) Trouverons-nous un moyen de traiter sereinement les « mangeurs inutiles » (...)
SupprimerQu'est-ce que çà peut foutre qu'une personne ici ou à 10 000 km mange et chie ?
Un robot (voir voitures, machines à café, à laver, etc) sont là pour nous faire gagner du temps. Elles ne sont pas intelligentes et ne le seront jamais. Ne pas confondre avec LIA qui est un PROGRAMME malfaisant car il est biaisé. Il ne fera pas un choix sur internet en toute indépendance mais d'après SON PROGRAMME !
Il n'existe pas et n'existera JAMAIS de 'surhumain'. Il existe déjà des personnes surdouées qui sont humaines. Elles ont leur PROPRE CONSCIENCE et sont donc toutes différentes. Mais, divers programmes nazis sont mis en place pour dépeupler la planète, mais seuls les cons partent les pieds devant. Et, comme la '5ème colonne' n'est pas plus instruite qu'un enfant de 5 ans, quel que soit le ministère visité c'est LA merde ! Ils se trompent ! Ils ne savent pas (mais ne demandent pas au Peuple !) ! Ils ne sont que des bons à rien surpayés. C'est tout.
Que va-t-il arriver à notre société alors que l’IA et les robots prennent la plupart de nos emplois ?
RépondreSupprimer01/08/2024
Rédacteurs de l'actualité
Si vous n’avez pas encore perdu votre emploi, vous devriez être très reconnaissant. L’intelligence artificielle et les robots prennent chaque jour davantage de place dans nos emplois, et cette invasion de la haute technologie n’aura pas de fin. À terme, nous pourrions arriver à un point où l’IA et les robots peuvent pratiquement tout faire de manière bien plus efficace et à moindre coût que les humains. Alors, qu’arrivera-t-il à la grande majorité de la population humaine lorsque leur travail ne sera plus nécessaire ? Trouvera-t-on le moyen de s’occuper discrètement des « mangeurs inutiles » qui sont considérés comme « ne faisant que prendre de la place » ? Pendant des années, on nous a prévenus que l’IA et les robots allaient révolutionner le monde du travail, et ce jour est désormais officiellement arrivé.
(Article de Michael republié sur TheEconomicCollapseBlog.com)
Par exemple, Amazon utilise depuis des années différents types de robots simples pour effectuer certaines tâches, et désormais des robots humanoïdes très sophistiqués sont déployés aux côtés des travailleurs humains normaux…
Amazon a récemment commencé à tester un nouveau robot dans ses opérations d'entrepôt : découvrez Digit, un robot bipède humanoïde avec un torse turquoise et des yeux souriants.
Conçu par Agility Robotics, dans lequel Amazon a investi dans le cadre de son Fonds d'innovation industrielle, Digit n'est que le dernier d'une série de robots d'entrepôt que la société a introduits au cours des dernières années. Cependant, la plupart des autres robots d'entrepôt étaient des bras robotiques ou en forme de chariot, et non des humanoïdes comme Digit.
Digit coûte actuellement environ 10 à 12 dollars de l'heure pour fonctionner, en fonction de son prix et de sa durée de vie, mais la société prévoit que ce coût chutera à 2 à 3 dollars de l'heure plus les frais généraux des logiciels à mesure que la production s'accélère, a déclaré Damion Shelton, PDG d'Agility Robotics, à Bloomberg. .
Comment sommes-nous censés rivaliser avec cela ?
Aucun travailleur humain ne travaillera pour « 2 à 3 dollars de l’heure ».
De plus, les robots n’ont pas besoin de pauses, ils ne tombent pas malades, ils ne se plaignent pas et ils ne volent pas l’entreprise.
Cette tendance ne fera donc que s’accélérer au cours des années à venir.
Il existe encore aujourd’hui un restaurant McDonald’s qui est presque entièrement géré par des robots…
Vous pensez peut-être que les robots ne prendront pas votre emploi de sitôt parce que vous avez un travail de col blanc qui nécessite un haut niveau d’intelligence.
Eh bien, si vous êtes un col blanc, il y a de fortes chances que votre emploi actuel soit un jour rendu « obsolète » par l’intelligence artificielle.
En fait, Goldman Sachs prévoit que l’IA pourrait supprimer jusqu’à 300 millions d’emplois à temps plein au cours des années à venir, et la plupart d’entre eux seront des emplois de cols blancs…
Selon les économistes de Goldman Sachs, jusqu'à 300 millions d'emplois à temps plein dans le monde pourraient être automatisés d'une manière ou d'une autre grâce à la dernière vague d'intelligence artificielle qui a donné naissance à des plateformes comme ChatGPT.
RépondreSupprimerIls ont prédit dans un rapport publié dimanche que 18 % du travail dans le monde pourrait être informatisé, avec des effets plus profonds dans les économies avancées que dans les marchés émergents.
Cela s’explique en partie par le fait que les cols blancs sont considérés comme plus à risque que les travailleurs manuels. Les employés administratifs et les avocats devraient être les plus touchés, selon les économistes, comparativement au « peu d'effet » observé sur les professions physiquement exigeantes ou en plein air, comme les travaux de construction et de réparation.
Alors, comment allez-vous gagner votre vie alors que l’IA et les robots font presque tout mieux et à moindre coût que vous ?
Un grand nombre d’emplois seront perdus au cours des années à venir.
Pour en savoir plus : TheEconomicCollapseBlog.com
https://www.naturalnews.com/2024-01-08-ai-robots-take-most-of-our-jobs.html
Dès lors que le produit fabriqué et livré coûte moins cher le client sera content.
SupprimerUne salade pousse toute seule, un pommier donne des pommes tout seul, sans présence humaine (sauf pour l'arrosage, l'engrais et les produits de traitement).
Regardez les charrettes remplacées par des voitures ou des vélos remplacés par des motos, ces moyens de locomotion permettent de gagner du temps, d'être indépendant et d'aller là où l'on veut.
Langue et avenir : comment l’IA vous copie-t-elle ?
RépondreSupprimerEt pourquoi je continue d’écrire sur la langue ; Et les mythes de la création, la naissance d'une nouvelle science et l'attaque contre les poètes
JON RAPPOPORT
10 JANVIER 2024
PREMIÈRE PARTIE : Comment l'IA vous copie-t-elle ?
Si vous êtes écrivain, l'IA copie votre contenu et votre style.
Mais allons un peu plus loin. Supposons que vous ayez appris le journalisme en lisant le New York Times. Vous avez absorbé leur façon d’enchaîner des phrases, des clauses et des phrases.
D’une manière générale, vous êtes devenu une IA qui copiait le Times. Alors maintenant, l'IA copiera votre copie.
Et vous sombrerez et disparaîtrez dans une vaste mer de ce style d’écriture – une mer rendue considérablement plus étendue par l’IA machine.
Alors… développer votre propre style unique n’est plus seulement un choix maintenant ; c'est une nécessité.
Et même dans ce cas, l’IA essaiera de créer des copies de vous. Mais…
Si vous êtes unique à plusieurs égards, l’IA échouera. Il continuera d’essayer et s’en rapprochera à certains égards, mais…
Quiconque est réellement alphabétisé et souhaite réellement lire l’écriture sera capable de faire la différence.
Rien ne dépend de cela… sauf la question de savoir si la société et la civilisation deviendront une machine totale.
Si vous ne parvenez pas à faire la différence entre une machine qui vous parle et un humain créatif qui vous parle…
Et personne d’autre ne le peut non plus…
Nous vivrons à Machine Land. Terre du cerveau machine.
Et les gens diront : « Pourquoi étions-nous si préoccupés par ce qui arrivait aux écrivains ? Nous « obtenons désormais nos informations » de l’IA et cela ne fait vraiment aucune différence.
Et ce rejet facile et même cette diabolisation de l’écrivain humain seront des procédures opérationnelles standard. Partout.
Finalement, les savants les plus importants diront : « Rien n’a été perdu. Admettons-le. AI a déjà produit un millier de nouvelles pièces de Shakespeare. Nous sommes en fait dans un nouvel âge d’or.
Je vous montre l'avenir. Cela va nous tomber dessus et nous écraser, à moins que suffisamment d’écrivains ne démontrent qu’ils sont très différents. En écrivant de manière à ce que les machines ne parviennent pas à se répliquer.
Eh bien, il s’avère que pour l’écrivain, atteindre cet objectif ne se limite pas à devenir un artiste de cirque bizarre avec un numéro fou.
RépondreSupprimerAtteindre cet objectif d’unicité correspond à une impulsion profonde chez l’écrivain. L'impulsion est vaguement décrite par des mots comme CRÉATIVE et IMAGINATION.
L’impulsion consiste à bousculer les esprits, à bousculer le flux normal des idées, à bousculer les lecteurs, à bousculer les fondements de la pensée automatique.
Une fois que la pensée automatique (faire semblant d’être humain) devient une norme acceptable, la trappe se ferme. Le monde est à l'intérieur. La Machine et ses concepteurs en sont entièrement aux commandes.
Ce serait un niveau de contrôle mental jamais vu auparavant.
En klaxonnant pendant une minute… lorsque j'ai écrit AIDS INC., j'ai exposé les dessous de quelques dizaines de piliers scientifiques/médicaux automatiques. J'ai fait sauter ces piliers. Il s'agissait de CONTENU. Il m’a fallu plusieurs années pour réaliser que je voulais égaler cette explosion en termes de STYLE. Style d'écriture.
Et c’est ce que j’ai fait. J'ai inventé de nouvelles façons d'exprimer les explosions.
Ce faisant, j’ai réalisé que je guérissais d’une maladie dont je souffrais. Les principaux symptômes étaient l’épuisement et l’ennui extrême. L’ennui lié à la répétition incessante d’un style standard de prose journalistique.
C’est une maladie étrange. Le traitement n’est pas une solution permanente. L’écrivain doit chaque jour s’éloigner de la norme. TOUS LES JOURS.
Et j’espère que le lecteur comprendra également le message. Il reconnaît qu’il rencontre une ou plusieurs formes d’expression uniques. Il se rend compte qu’il en a aussi besoin.
C'est pourquoi, lorsque vous lisez mon Substack, vous obtenez du journalisme, de la satire, de l'attaque pure, de la science-fiction et des métaphores sauvages que je sauve comme des pommes des arbres avant que des essaims d'oiseaux ne puissent les dévorer.
C’est pourquoi j’y vais à fond. Chaque fois que je m'assois au clavier, j'essaie de placer tous mes jetons au centre de la table et de miser la ferme.
Parce que je veux. Et parce que, à cette époque, tout écrivain devrait le faire.
*
DEUXIÈME PARTIE : Je continue d’écrire sur le langage parce que…
RépondreSupprimerIl est attaqué de plusieurs manières, notamment par l’IA. Et parce que c’est l’une des réalités les plus fascinantes auxquelles les humains sont confrontés.
Par exemple – je l’ai déjà mentionné – prenez le mot « rejeter ».
Les racines viennent du latin. « Re », qui signifie « retour » ou « encore », et « ject », qui vient du mot lance. POUR RENVOYER UNE LANCE À L'ENDROIT D'où ELLE VENUE.
Quelle personne a inventé le terme « rejeter » pour la première fois ? Qui a fait ce saut d’un acte physique à un acte social d’opposition ? Qui a créé cette brillante métaphore ?
https://jonrappoport.substack.com/p/language-and-the-future-how-does-ai-copy-you?utm_source=post-email-title&publication_id=806546&post_id=140545471&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email
Il ne s'agit pas de 'copier' des milliards de documents sur l'Internet mais de sélectionner ! La sélection de LIA est une vaste fumisterie ! La vérité y est exclue !
SupprimerLIA n'est donc pas 'un plus' mais UN MOINS !
Votre véhicule vous espionne et ils vont maintenant commencer à installer ChatGPT sur les nouveaux modèles VW
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 11 JANVIER 2024 - 12H30
Rédigé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Faites attention à ce que vous dites lorsque vous conduisez votre véhicule, car vous êtes surveillé.
Aujourd’hui, nous vivons dans une prison de surveillance géante dans laquelle pratiquement tout ce que nous faisons est surveillé, suivi, enregistré et analysé. De nos jours, vous devriez simplement supposer que rien de ce que vous faites n’est jamais privé. Quand j'étais beaucoup plus jeune, si je voulais vraiment avoir une conversation privée avec quelqu'un, je pensais que faire un long trajet en voiture avec cette personne était un excellent moyen d'y parvenir. Mais cette époque est révolue depuis longtemps.
À moins que vous ne possédiez un véhicule fabriqué il y a longtemps, il vous espionne. En fait, un rapport publié par la Fondation Mozilla indique en fait que les véhicules sont « la pire catégorie officielle de produits en matière de confidentialité » que Mozilla ait jamais examinée…
Si vous vous demandez quels gadgets ont les pires pratiques en matière de confidentialité des utilisateurs, il s’avère que la réponse se trouve peut-être à l’extérieur. Selon un rapport publié mercredi par la Fondation Mozilla, les voitures sont « la pire catégorie officielle de produits en matière de confidentialité » jamais examinée. L'organisation mondiale à but non lucratif a constaté que 92 % des constructeurs automobiles examinés offrent aux conducteurs peu (voire aucun) contrôle sur leurs données personnelles, et 84 % d'entre eux partagent les données des utilisateurs avec des tiers.
J'ai été abasourdi quand j'ai lu cela.
Est-ce que cela pourrait être vrai ?
Selon Mozilla, les constructeurs automobiles collectent toutes sortes de données sur nous tous…
Les constructeurs automobiles disposent d'une longue liste d'informations personnelles qu'ils prétendent pouvoir suivre, notamment leurs antécédents professionnels et d'achats, leurs études, leur historique de navigation sur Internet, leurs données de localisation, leurs habitudes d'écoute de musique et de podcasts, leur statut d'immigration, leurs croyances religieuses et philosophiques et leurs informations sur la santé.
Je suis désolé, mais je ne veux en aucun cas qu’une société géante suive mes croyances religieuses ou mes informations de santé.
RépondreSupprimerEt je suis sûr que vous ressentez la même chose.
Mais si vous envisagez d’acheter un nouveau véhicule, vous n’avez littéralement pas le choix.
Mozilla a examiné 25 marques de véhicules différentes, et chacune d’elles « n’a pas respecté les normes minimales de confidentialité de l’organisation à but non lucratif »…
Les 25 marques de voitures étudiées pour le rapport – dont Ford, Toyota, Volkswagen, BMW et Tesla – n’ont pas respecté les normes minimales de confidentialité de l’organisation à but non lucratif et ont collecté plus de données personnelles que nécessaire auprès des clients. Le type d'informations collectées varie des informations personnelles telles que les données médicales à la manière dont les conducteurs utilisent le véhicule lui-même, comme la vitesse à laquelle ils conduisent, l'endroit où ils conduisent et même la musique qu'ils écoutent. Nissan et Kia permettent toutes deux la collecte d’informations sur la vie sexuelle d’un utilisateur. En revanche, Mozilla affirme que 37 % des applications de santé mentale (qui ont également une mauvaise réputation en matière de confidentialité des données) avaient de meilleures pratiques en matière de collecte et d'utilisation des données personnelles.
Selon le rapport, quatre-vingt-quatre pour cent des marques automobiles examinées partagent les données personnelles des utilisateurs avec des fournisseurs de services, des courtiers en données et des entreprises potentiellement peu fiables, et 76 pour cent revendiquent le droit de vendre ces données personnelles. Cinquante-six pour cent sont prêts à partager les informations des utilisateurs avec le gouvernement et/ou les forces de l'ordre si cela leur est demandé.
Saviez-vous que vous acceptez tout cela lorsque vous achetez un véhicule neuf ?
La plupart des acheteurs de véhicules neufs se contentent de signer rapidement les formulaires qui leur sont présentés parce qu'ils sont impatients d'en finir avec le processus.
Malheureusement, on ne peut tout simplement pas faire confiance à ces grandes entreprises.
Ils profitent de nous et cela doit cesser.
Bien sûr, je ne compterais pas que cela se produise de sitôt.
Au lieu de cela, je m’attends à ce que diverses formes de technologies hautement intrusives soient encore plus intégrées dans nos véhicules.
Par exemple, Volkswagen vient d’annoncer qu’elle installerait ChatGPT dans les nouveaux véhicules plus tard cette année…
RépondreSupprimerVolkswagen saute dans le train de l’IA générative en annonçant son intention d’installer ChatGPT d’OpenAI dans ses véhicules à partir du deuxième trimestre 2024.
Le chatbot sera disponible dans toute la gamme VW, notamment dans les Tiguan, Passat et Golf, ainsi que dans la famille de véhicules électriques ID du constructeur automobile.
Non, merci.
Je ne veux certainement pas qu’une technologie d’IA super intelligente interagisse avec moi et collecte des informations sur moi pendant que je conduis.
Pour moi, ce qu’ils ont prévu semble incroyablement effrayant…
Volkswagen a dévoilé lundi ses premiers véhicules équipés d'un assistant vocal utilisant la technologie d'intelligence artificielle (IA) derrière ChatGPT au salon de l'électronique CES à Las Vegas.
La nouvelle fonctionnalité permettra aux conducteurs de se faire lire du contenu recherché pendant qu'ils conduisent des modèles Volkswagen équipés de l'assistant vocal « IDA », qui, selon le constructeur automobile, peut répondre à des questions de culture générale tout en ayant également la possibilité de contrôler l'infodivertissement de la voiture. , systèmes de navigation et de climatisation.
L'entreprise affirme qu'à l'avenir, l'IA fournira des informations supplémentaires en réponse à des questions qui vont au-delà de ces fonctions, à mesure que ses capacités continuent de se développer. Cela pourrait inclure la réception d’informations spécifiques au véhicule ainsi que l’interaction dans un langage intuitif, la clarification des questions et l’enrichissement des conversations.
De nombreux consommateurs adopteront avec impatience cette « nouvelle fonctionnalité intéressante », mais où tout cela nous mènera-t-il finalement ?
Dans un avenir pas trop lointain, l’intelligence artificielle pourrait littéralement être présente partout autour de nous, à chaque instant de la journée.
RépondreSupprimerComment aurons-nous une certaine intimité une fois que ce jour arrivera ?
J’ai prévenu à plusieurs reprises mes lecteurs de la prochaine « invasion de l’IA », mais la vérité est qu’elle est déjà là.
Avec suffisamment de temps, l’intelligence artificielle bouleverserait complètement notre société, et à l’heure actuelle, seule une très petite partie de la population s’inquiète de cette menace imminente.
https://www.zerohedge.com/technology/your-vehicle-spying-you-and-now-theyre-going-start-installing-chatgpt-new-vw-models
Fabrice Le Saché, VP du Medef : « l’accord sur l’IA ne répond pas aux ambitions de départ »
RépondreSupprimerEntretien avec Fabrice Le Saché sur les répercussions économiques des nouvelles réglementations européennes (IA, taxe carbone…)
le 8 janvier 2024
Contrepoints
Fabrice Le Saché est le vice-président du Medef en charge de l’Europe. Au cours de cet entretien, nous abordons les répercussions des nouvelles réglementations européennes (IA, minerais stratégiques, taxe carbone…) sur l’industrie française et européenne. Il est aussi question des réponses à apporter à la crise du logement et de l’impact des actions de sabotage des écologistes radicaux sur la croissance et l’emploi en France.
Intelligence artificielle
Loup Viallet, rédacteur en chef de Contrepoints – Le 08 décembre dernier, le commissaire européen Thierry Breton a qualifié d’« historique » l’accord de l’UE sur la réglementation de l’intelligence artificielle (IA ACT). Estimez-vous, avec M. Breton, que « L’Europe va devenir le meilleur endroit au monde pour faire de l’intelligence artificielle » ?
Fabrice Le Saché, vice-président du Medef chargé de l’Europe – Je souhaite tout d’abord rappeler un chiffre : 25 % des entreprises européennes utilisent l’intelligence artificielle (IA). Si la démocratie de l’IA est récente, l’IA n’est pas pour autant une technologie inconnue.
Le Medef a salué les ambitions initiales de Thierry Breton d’encadrer l’IA pour construire un écosystème favorable au tissu économique et à l’ensemble des citoyens. Une certaine idée de la régulation qui ne freine pas l’innovation et n’obère pas la compétitivité de nos entreprises. Nous avons toujours rappelé l’importance de maintenir une neutralité technologique et d’avoir une approche globale par les risques. Seul l’usage que l’on fait de l’IA doit définir son niveau de risque, et non les caractéristiques techniques de chaque modèle. Or, l’accord provisoire obtenu début décembre ne répond pas intégralement aux ambitions de départ. L’approche par les risques et le principe de neutralité technologique ont été fragilisés en intégrant des obligations propres aux IA génératives, ce qui ajoute de la complexité juridique. De plus, le texte nécessite de nombreuses lignes directrices et actes délégués de la Commission européenne pour être applicable, entraînant ainsi les entreprises dans une période d’incertitude et de flou juridique.
Dans la course mondiale à l’intelligence artificielle l’Europe est encore à la traîne, loin derrière les géants chinois et américains, mais nous pouvons encore combler notre retard. À condition de s’en donner les moyens, de mettre le pied sur le frein de la surrèglementation, et d’investir dans une politique d’innovation courageuse permettant de faciliter l’accès des entreprises aux financements, aux compétences et aux marchés.
RépondreSupprimerIl est évident qu’aujourd’hui, le développement économique et l’innovation dépendent largement de l’évolution des compétences numériques, notamment dans le domaine de l’intelligence artificielle. Si notre pays veut jouer un rôle dans la révolution industrielle 5.0, nous devons constamment anticiper et nous adapter aux évolutions technologiques. Le défi pour les entreprises est double : recruter du personnel qualifié tout en veillant à la mise à jour des compétences des salariés. C’est pourquoi la formation doit être au cœur des stratégies d’entreprise.
Souveraineté minérale
Début décembre 2023, le Parlement européen a approuvé un texte sur les matières premières critiques, fixant des objectifs pour la production, le raffinage et le recyclage des minéraux indispensables à la transition écologique et numérique. L’Europe est-elle en train de réduire sa dépendance à l’égard de la Chine ? Cette législation va-t-elle faciliter la production de voitures électriques, de panneaux solaires, d’éoliennes et smartphones en Europe ? Quels effets produit-elle déjà sur le marché du travail ?
Les récentes crises ont démontré à quel point la France était dépendante des chaînes d’approvisionnements mondiales. Nous avons désormais pris collectivement conscience de la nécessité de retrouver un appareil de production performant et une culture industrielle forte. Cette indispensable souveraineté passe par la réduction de nos dépendances extérieures de l’Union européenne vis-à-vis des matières premières critiques. Le monde change, celui dominé par les énergies fossiles laissera bientôt sa place à un monde dominé par les matières premières minérales. Il sera sans carbone, mais riche en métaux : le marché du cuivre va doubler, celui du nickel va tripler, et celui du lithium va quadrupler au cours des dix prochaines années.
C’est pour cela que nous avons – dès mars 2023 – soutenu le règlement sur les matières premières critiques qui permettra d’identifier des projets stratégiques et sécuriser des chaînes d’approvisionnement. Pour garantir notre autonomie stratégique et contribuer au redressement de notre commerce extérieur, il faudra aller encore plus loin.
Tout d’abord, il est impératif de valoriser l’exploitation de minerais stratégiques tant en Europe qu’en France par des dérogations ponctuelles aux Codes minier et environnemental. La France dispose en la matière d’un savoir-faire historique qui lui a longtemps permis de compter parmi les principaux producteurs mondiaux de métaux stratégiques comme l’antimoine, le tungstène et le germanium. Dans ce sens, je salue l’initiative de l’entreprise Imerys qui s’apprête à exploiter la plus grande mine de lithium d’Europe dans l’Allier, capable de fournir assez de matière première pour produire 750 000 batteries par an. Ce projet répond à la fois aux enjeux d’indépendance énergétique, de réindustrialisation – et avec elle de création de richesse partout dans les territoires – et de décarbonation de notre mobilité.
RépondreSupprimerAussi, l’Europe doit aussi repenser ses relations avec les pays fournisseurs au travers d’une diplomatie des matières premières qui déboucherait sur des accords commerciaux larges et ambitieux, permettant le renforcement des coopérations, la négociation de quotas, ou encore l’élimination de tarifs douaniers. L’Union européenne devrait également chercher à réduire les écarts de compétitivité, en particulier dans les hautes technologies et l’économie numérique, et plus globalement garantir des conditions de concurrence équitables entre les entreprises de l’Union européenne et les concurrents chinois.
Bien évidemment, l’Union européenne et la Chine doivent renforcer leurs liens commerciaux et d’investissement, mais sans naïveté, en recourant aux instruments de défense commerciale pour dissuader la Chine de prendre des mesures unilatérales dommageables.
Enfin, notre stratégie ne pourra faire l’impasse du recyclage, qui doit être considéré comme un pilier essentiel de l’offre en matières premières critiques. Il convient d’une part d’accompagner les entreprises dans les démarches d’éco-conception des produits afin qu’elles réduisent leurs besoins en matières critiques (ou qu’elles les substituent) et d’autre part, d’allonger la durée de vie des produits afin que les matières critiques soient utiles plus longtemps.
Taxe carbone aux frontières de l’UE
À partir du 1er janvier 2026, les importateurs européens devront s’acquitter d’une taxe carbone aux frontières de l’Union européenne. Celle-ci va-t-elle renchérir les coûts de production pour les entreprises ? Pensez-vous que cette taxe est de nature à inciter les industriels européens à relocaliser leurs approvisionnements en matières premières à haute intensité de carbone ou, à l’inverse, qu’elle les encouragera à délocaliser leurs productions dans des zones où les normes environnementales sont plus légères, voire inexistantes (Maroc, Turquie..) ?
Le Carbon Border Adjustment Mechanism (MACF) ou la « taxe carbone aux frontières » s’inscrit dans un contexte de crise énergétique et d’un accroissement du différentiel de compétitivité entre l’Union européenne et le reste du monde. Le Medef soutient le principe d’une taxe carbone ambitieuse aux frontières, mais avec une surveillance forte pour éviter son contournement par nos partenaires commerciaux. Le texte de l’Union européenne ne répond toutefois pas entièrement aux inquiétudes des industriels, notamment sur les risques de contournement, et fera peser de nouvelles lourdeurs administratives sur les importateurs.
RépondreSupprimerLa mise en œuvre du MACF s’accompagnera d’une élimination progressive des « quotas gratuits » qui pèsera sur la compétitivité des exportations européennes face à une concurrence étrangère qui n’aura pas essuyé le même coût du carbone en amont. Rexecode entrevoit une dégradation des comptes d’exploitation des entreprises de l’ordre de 45 milliards d’euros par an au niveau européen, et 4 milliards en France. Le MACF représente une perte de marges estimée à 2,1 milliards pour l’industrie française (soit une baisse de 2,7 % du résultat courant avant impôts). La mise en route du MACF menacerait plus de 37 500 emplois industriels, soit 1,5 % du total des emplois industriels en France.
Les risques de délocalisation dépendront des mesures adoptées pour lutter contre le contournement. Le MACF ne couvre que quelques grands intrants industriels, et non l’ensemble des chaînes de valeur. Si l’aluminium étranger produit hors de l’Union européenne sera bien taxé à la frontière, un produit fini ou semi-fini à base d’aluminium et transformé hors de l’Union européenne échappera au MACF.
L’importateur européen n’aura donc pas à en acquitter le coût du carbone, ce qui peut l’inciter à opter pour cette solution plutôt que de se tourner vers la filière de fabrication française qui aura payé un coût du carbone dans tous les cas de figure. Dans les prochains mois, il sera donc essentiel de faire un suivi précis et de mener des évaluations régulières pour corriger toute conséquence négative sur notre tissu industriel et les emplois, ainsi que sur notre compétitivité à l’export.
Ce texte est ainsi loin de résoudre toutes nos difficultés. C’est pourquoi il faut mobiliser l’ensemble des leviers pour réindustrialiser notre continent, tels que l’assouplissement des règles sur les aides d’État, le financement de l’innovation bas carbone et l’adaptation des formations pour répondre aux besoins des entreprises.
Crise du logement
RépondreSupprimerEn 2023, la crise du logement s’est installée en France. Les taux d’emprunt ont continué à monter, les ventes de logements neufs ont chuté de 30 %, les délivrances de permis de construire ont baissé de 23 %, les prix des loyers ont augmenté dans la majorité des grandes villes. Dans le secteur du bâtiment, 180 000 emplois sont menacés dès cette année, 500 000 d’ici à 2025. Les pouvoirs publics ont-ils pris conscience de la situation ? À quel point cette crise affecte-t-elle le fonctionnement du marché européen ? Que préconisez-vous pour sortir de la crise actuelle ?
Le logement, c’est le socle de la cohésion, une condition essentielle du dynamisme économique et du bien-être de nos concitoyens. Sans possibilité de loger à hauteur des besoins nos salariés, nous ne pourrons pas continuer à assumer la volonté de retour au plein-emploi qui est la nôtre.
Dans un contexte économique marqué par le renchérissement du coût des matières premières et la hausse des taux d’intérêts, la situation du logement en France est aujourd’hui critique. La situation ne fait que de s’aggraver, notamment sous le coup de décisions prises sans concertation avec les acteurs économiques : le zéro artificialisation nette (ZAN), la révision tous azimuts des documents de planification urbaine, et la chute de la délivrance des permis de construire.
En un an, la production de logements a chuté de 20 %. Ce sont 100 000 logements manquants qui sont venus s’ajouter aux 600 000 logements abordables non construits. Pour nous, chefs d’entreprise, il nous faut répondre aux besoins en logement des salariés, là où sont les emplois, c’est-à-dire largement dans les métropoles, et ne pas imaginer que les emplois vont miraculeusement se déplacer dans les zones détendues, hors marché, plus difficiles d’accès.
La crise du secteur de la construction se propage dans toute l’Europe, alors que le secteur est un pilier de l’économie, il pèse 6 % du PIB de l’Union européenne et emploie 14 millions de personnes. Le ralentissement est particulièrement marqué en Allemagne où l’indice de production – prenant en compte les logements, mais aussi les magasins, usines et autres bâtiments à usage professionnel – est en chute de plus de 6 points depuis la guerre en Ukraine.
Il est encore temps d’agir pour sortir de la crise et les réponses à apporter devront être en grande partie nationales. C’est pour cette raison que le Medef propose d’organiser avec les pouvoirs publics une conférence annuelle sur le logement avec pour but de passer en revue, territoire par territoire, les objectifs de production, les réglementations contreproductives et les réalisations effectives. Le logement est la pièce maîtresse de nos équilibres économiques, personnels et collectifs. La relance d’une politique de logement est plus que jamais d’actualité.
Éco-sabotage
RépondreSupprimerL’année 2023 a été particulièrement marquée par les actions de blocage ou de sabotage d’activités économiques intentées par des collectifs radicaux comme Soulèvements de la Terre ou Extinction Rébellion. Occupations de cimenteries, destructions de mégabassines, mobilisations contre l’autoroute A69, leurs initiatives montent en puissance. Avez-vous estimé le bilan économique et social de leurs destructions ? Représentent-ils un danger réel pour la croissance et l’emploi en France ? En Europe ?
Je tiens à condamner fermement les actions de blocage ou de sabotage d’activités économiques intentées par des collectifs radicaux. Ces actes sont inadmissibles, inquiétants et préjudiciables à tous. Manifester est un droit, saccager est un délit. Il existe des voies de recours légales pour tous les projets d’infrastructures. C’est valable pour l’A69, pour le Lyon-Turin et pour tous les autres projets. Il est très difficile d’estimer précisément le bilan économique des destructions, mais cette flambée de violence a bien évidemment de graves conséquences économiques et sociales. Cela se traduit non seulement par d’irréparables pertes d’exploitation pour les entreprises touchées, pouvant conduire à du chômage partiel, voire à des destructions d’emplois. Cette situation se traduit aussi par une dégradation de l’image de la France qu’il faudra redresser.
Au Medef, cela ne vous étonnera pas, nous ne croyons pas à la thèse de la décroissance. Nous pensons même qu’elle est fondamentalement destructrice pour la cohésion sociale. Pourtant, nos objectifs sont communs : assurer l’avenir de la planète. Mais nos solutions divergent. Nous sommes convaincus que seule une croissance responsable permettra de relever le défi climatique en finançant les investissements et en assurant l’acceptabilité sociale de cette nécessaire transition. La croissance responsable, c’est non seulement la condition absolue pour financer la décarbonation de l’économie mais aussi pour continuer à créer des emplois, soutenir le pouvoir d’achat et maintenir l’équilibre de nos régimes sociaux.
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(...) Dans la course mondiale à l’intelligence artificielle l’Europe est encore à la traîne, loin derrière les géants chinois et américains, mais nous pouvons encore combler notre retard. (...)
SupprimerLIA est un PROGRAMME malfaisant puisqu'il est biaisé. Posez lui questions sur le 'Global Warming', le '11 Septembre' ou sur le 'virus cocorona19' ! HAHAHAHA ! Elle voue répondra qu'un rond est carré ! et que si elle le dit c'est QU'ELLE A RAISON ! Compris ?
(...) L’importateur européen n’aura donc pas à en acquitter le coût du carbone, ...(...)
Dès lors que l'on sait que le gaz carbonique est un gaz FROID et LOURD (1,8 gr./l.) et qu'il DISPARAÎT à la température supérieure de 30,9°C, il lui est donc impossible de ressortir de poumons à 37°C ou de pots d'échappement ou de cheminées d'usines !
"15 cargos (porte-containers) polluent plus que toutes les voitures du monde" (et il y en a plus de 800 qui circulent !). Soit 53,33 fois plus que toutes les voitures du monde... et... ON EST PAS MOOOOORTS ! Çà alors !
Tarifs bancaires : entre 66 et 210 euros en 2024 ?
RépondreSupprimerEn 2024, les tarifs bancaires connaissent une nouvelle augmentation qui va toucher divers profils de consommateurs en France. Selon l’association CLCV (Consommation, Logement, Cadre de Vie) qui publie chaque année une étude sur le sujet, cette augmentation reste inférieure à l’inflation annuelle en France qui, on le rappelle, a atteint un peu moins de 4% en décembre 2023.
Par Paolo Garoscio
le 9 janvier 2024 à 7h30*
4,4 % des ménages Français ont été victimes d'arnaques bancaires en 2020.
La CLCV, dans son analyse annuelle, distingue trois types de consommateurs. En fonction de l’usage qui est fait des services bancaires, mais aussi en fonction de la richesse des clients, les tarifs bancaires diffèrent en effet.
La hausse des prix des tarifs bancaires en fonction des profils
Pour les « petits consommateurs », qui utilisent des services de base comme les frais de tenue de compte et la carte à débit immédiat, la hausse est la plus marquée. Les tarifs bancaires vont augmenter de 2,97%, portant leurs frais annuels à 66,23 euros. Sans surprise, ce sont les ménages les plus défavorisés qui voient les tarifs bancaires augmenter le plus vite.
Les consommateurs dits « moyens », avec des services plus étoffés incluant des services comme l'assurance perte et vol et un chèque de banque tous les dix ans, voient également leurs tarifs grimper. Avec une hausse de 3%, leurs frais annuels atteignent 147,80 euros. Les clients « moyens », comme les « petits », subissent les plus fortes augmentations de frais.
Car, pour les « gros consommateurs », disposant par exemple d’une carte bancaire de type « Gold » et des services comme un nombre important de retraits, la hausse est moins élevée : 2,52 %, selon l’étude de la CLCV publiée le 9 janvier 2024. Leurs frais annuels s’élèveront ainsi à 207,65 euros en moyenne en 2024.
Tarifs bancaires : des augmentations plus élevées qu’en 2022 et 2023 ?
L’augmentation des tarifs bancaires semble s’accélérer en France. En comparaison avec les années précédentes, l'augmentation des tarifs en 2024 (environ 3%) est supérieure à celle observée en 2022 (2,5%) et 2023 (pas d’augmentation notable). Les hausses de 2024, selon la CLCV, seraient liées à « l'évolution des frais de tenue de compte (+3%), du coût des cartes bancaires (...) et à l'augmentation des tarifs des packages ».
Mais attention : les augmentations annoncées par la CLCV pour les tarifs bancaires en 2024 ne sont qu’une estimation et, qui plus est, partielle. L’association ne tient en effet pas compte des frais liés à des incidents, comme les découverts, qui touchent particulièrement les clients fragiles. Or, ces incidents peuvent coûter plusieurs centaines d’euros par an, qui viennent s’ajouter aux frais. Et c’est une problématique qui ne concerne pas ou très peu les clients riches qui disposent de droits supérieurs, par exemple en termes de découvert autorisé, de gestion des paiement ou encore de montants qu’ils est possible de retirer.
RépondreSupprimerRécapitulatif du coût moyen d'un compte bancaire en France
https://www.economiematin.fr/tarifs-bancaires-augmentation-2024-prix-clcv
(...) 4,4 % des ménages Français ont été victimes d'arnaques bancaires en 2020. (...)
SupprimerQuand on voit les tarifs pratiqués par les banques envers celles et ceux qui osent retirer leur argent, là je diras que ce sont 100 % !
Lorsque l"argent placé ne reçoit aucun intérêt et qu'il est escroqué une somme sur les dépôts il y a BAISSE DES SALAIRES REÇUS !
La BCE lance un appel d'offres pour le développement de l'euro numérique
RépondreSupprimer8 janvier 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
En octobre de l’année précédente, le président de la BCE avait annoncé que l’euro numérique était en préparation. L'étape suivante a maintenant été franchie avec l'attribution des tâches pour sa mise en œuvre concrète. Les entreprises du numérique reçoivent des commandes lucratives.
L'Union européenne (UE) a annoncé en mars que 1,3 milliard d'euros avaient été débloqués pour le développement de l'euro numérique programmable. Des « appels à candidatures pour les fournisseurs de composants numériques pour l'euro » ont été publiés la semaine dernière . Le tout deuxième paragraphe précise que la BCE « ne prend aucun engagement d’entreprendre les travaux de développement énumérés dans les appels à candidatures ».
Mais pour l’instant, la BCE met en œuvre ses plans , bien plus tôt que prévu par les observateurs – à tel point que cette annonce est considérée comme une surprise par certains. Au total, cinq partenaires du secteur privé recevront désormais des contrats majeurs ; Dans le passé, Amazon a été impliqué de manière controversée dans le prototype de paiement électronique.
La façon dont une entreprise qui a violé les règles de l’UE en matière de protection des données et qui a été condamnée à une amende de 887 millions de dollars pas plus tard qu’en 2021 est devenue un « partenaire » de l’UE pour des projets de cette envergure a provoqué la colère de certains membres du Parlement européen.
Et ils ne seront pas heureux d'apprendre qu'Amazon, bien que cela ne soit pas garanti, pourrait également être choisi cette fois-ci.
Selon la déclaration de la BCE, les destinataires de l'argent seront non seulement chargés de créer un prototype de monnaie numérique de banque centrale (CBDC), mais également de développer une application correspondante, des systèmes de paiement hors ligne et une « gestion des risques et de la fraude ». 237 millions d'euros sont réservés à cette dernière « initiative », tandis que la majorité des fonds ira au développement des paiements hors ligne – 662 millions d'euros.
Plus de 90 % des pays du monde sont actuellement en train de lancer une nouvelle monnaie numérique émise par leur banque centrale. La monnaie entièrement numérique permet un suivi total de chaque transaction. Si la monnaie était programmable, elle permettrait également de contrôler chaque transaction. Une intégration et une interopérabilité transparentes sont prévues
RépondreSupprimerMême si les CBDC nationales du monde et l'euro numérique seront théoriquement distincts, la plupart seront codées de manière à pouvoir se reconnaître et interagir les unes avec les autres. Ils sont presque tous développés sous les directives de la Banque des règlements internationaux et d’autres institutions financières mondialistes, et ils sont tous programmés par la même poignée de géants de la technologie.
Un rapport de juin 2023 pour le Forum économique mondial (WEF) souligne l’importance des « Principes d’interopérabilité mondiale de la monnaie numérique de la Banque centrale » et déclare :
Il est essentiel que les banques centrales donnent la priorité aux considérations d’interopérabilité dès le début du processus de développement en adhérant à un ensemble de principes directeurs. Pour faciliter la coordination mondiale et assurer une mise en œuvre harmonieuse des CBDC , l'élaboration d'un ensemble complet de principes et de normes est essentielle. S'appuyant sur des recherches antérieures et des efforts de collaboration, cet ensemble de principes peut servir de base solide et guider les banques centrales dans la prise en compte proactive de l'interopérabilité dès le début de leurs initiatives CBDC. En adoptant ces principes, les banques centrales peuvent œuvrer à la création d’un écosystème CBDC cohérent et interconnecté.
Le site Internet du Forum économique mondial commente le rapport :
Pour garantir une mise en œuvre réussie et promouvoir l'interopérabilité, une coordination mondiale est primordiale […] En adhérant aux principes d'interopérabilité, les CBDC peuvent évoluer harmonieusement et conduire à des systèmes de paiement numérique efficaces et interconnectés .
Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour déchiffrer « coordination mondiale », « écosystème interconnecté », « évolution harmonieuse » et « systèmes de paiement interconnectés ». Il n’y a aucune différence pratique entre 195 monnaies numériques « interopérables » et interconnectées et une monnaie mondiale unique.
En fait, « l’interopérabilité » est le mot d’ordre de toutes les futures structures de pouvoir mondiales. Les inquiétudes concernant l’invasion de la vie privée et l’utilité générale de la CBDC en tant que concurrent d’autres types de paiements numériques sont soulevées à plusieurs reprises par les opposants.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2024/01/08/ezb-schreibt-auftraege-fuer-entwicklungen-zum-digitalen-euro-aus/
France gaspillage: Avec Macron nous sommes les champions du monde des prélèvements obligatoires
RépondreSupprimerle 9 janvier 2024
par pgibertie
C’est logique : pour faire baisser le co2, on supprime les arbres qui transforment le co2 en o2…
- voir doc sur site -
@Etienne_Chouard
L’eurodéputé croate, Mislav Kolakušić, au parlement de l’UE : L’UE utilise le canular du « réchauffement climatique d’origine humaine » comme prétexte pour s’emparer des terres agricoles aux agriculteurs, dans le but ultime de créer des pénuries alimentaires délibérées. Rappelez-vous que les personnes affamées et désespérées sont beaucoup plus susceptibles de se conformer à la tyrannie, en échange de suffisamment de calories pour éviter la mort, que les personnes ayant un accès facile à une abondance de nourriture, même si la source de ces calories de survie est des insectes – ou de la fausse « viande » cultivée en laboratoire.
Partager :
- voir doc sur site -
https://pgibertie.com/2024/01/09/france-gaspillage-avec-macron-nous-sommes-les-champions-du-monde-des-prelevements-obligatoires/
Croissance mondiale : les mauvaises nouvelles continuent
RépondreSupprimerLa Banque Mondiale a publié un rapport inquiétant le 9 janvier 2024. Une croissance mondiale en berne, des tensions géopolitiques qui ne s’apaisent pas et des pays émergents en difficulté. Des facteurs alarmants pour les années à venir.
Par Grégoire Hernandez
le 10 janvier 2024 à 10h00
La Banque Mondiale prévoit une hausse du PIB mondial en 2024 de seulement 2,4%.
Croissance mondiale en 2024 : c'est la plus faible enregistrée depuis 2008 !
La Banque Mondiale prévoit une hausse du PIB mondial en 2024 de seulement 2,4%, marquant un recul pour la troisième année consécutive (la hausse était de 2,6% en 2023). C'est 0,75 point de pourcentage en dessous de la moyenne observée depuis le début des années 2000. Cette tendance à la baisse n'avait pas été observée depuis la crise financière de 2008, si l'on excepte l'année 2020 de la pandémie mondiale. Les tensions géopolitiques actuelles (Ukraine/Russie, Israël/Palestine...) et les perspectives parfois mitigées dans la majorité des pays émergents laissent présager une décennie d'opportunités manquées.
La Chine, deuxième économie mondiale, n'est pas non plus à la fête. Sa croissance devrait chuter de 5,2% en 2023 à 4,5% en 2024, puis à 4,3% en 2025, le niveau le plus bas depuis 1990. Ce ralentissement est le reflet d'une consommation intérieure en baisse et d'un moral des consommateurs en berne. La crise immobilière et l'endettement croissant en Chine sont des facteurs aggravants, impactant négativement les autres économies en développement, notamment celles ayant des liens commerciaux étroits avec l'empire du Milieu. Le vieillissement de la population et la diminution du nombre de populations sur le territoire chinois ne devraient pas permettre un regain de sa croissance dans les prochaines années.
Les pays émergents bientôt en grande difficulté ?
RépondreSupprimerLes économies avancées devraient connaître une faible hausse de leur PIB, de 1,2%, tandis que les pays émergents verront une croissance de 4%. Cependant, cette dernière est freinée par un ralentissement des investissements, tant privés que publics. On peut parler d'une croissance très inégale entre les différents pays du monde. Les tensions politiques, les taux d'intérêt élevés, l'inflation persistante et la fragmentation des échanges commerciaux sont autant de risques qui compliquent une potentielle croissance. La Banque Mondiale souligne l'importance d'adopter des politiques budgétaires plus disciplinées et des régimes de taux de change flexibles pour atténuer ces effets.
Le commerce mondial connaîtra tout de même une amélioration en 2024 par rapport à 2023. Toutefois, il ne devrait représenter que la moitié de la moyenne de la décennie précédant la pandémie. Les pays exportateurs de matières premières, qui constituent deux tiers des pays en développement, sont particulièrement vulnérables à la volatilité des prix. La Banque Mondiale recommande des cadres budgétaires plus rigoureux et une ouverture aux mouvements de capitaux internationaux pour stimuler la croissance. La nouvelle étude publiée par La Banque Mondiale le 9 janvier 2024 indique qu'on a évité le pire, mais rien n'est très rassurant avec toutes ces tensions géopolitiques.
Les projections de croissance par région pour les années 2024 et 2025
Asie de l’Est et Pacifique : 4,5% en 2024 et 4,4% en 2025
Europe et Asie centrale : 2,4% en 2024 et 2,7% en 2025
Amérique latine et Caraïbe : 2,3 % en 2024 et 2,5 % en 2025
Moyen-Orient et Afrique du Nord : 3,5 % en 2024 et 2025
Asie du Sud : 5,6 % en 2024 puis 5,9 % en 2025
Afrique subsaharienne : 3,8 % en 2024 puis à 4,1 % en 2025
https://www.economiematin.fr/croissance-banque-mondiale-geopolitique-pays
Ils ont découvert le feu ! Whoâaaw ! "Il ne nous rete plus rien à découvriiiiiir !! YOUPIII !
SupprimerImpôts : si vous gagnez moins de cette somme vous n’avez rien à payer
RépondreSupprimerLa loi de finances de 2024, en vigueur depuis le 1er janvier 2024, a modifié le barème de l’impôt sur le revenu. Quel est le nouveau seuil de revenu à ne pas dépasser pour éviter l’impôt sur le revenu ?
Par Axelle Ker
le 10 janvier 2024 à 17h03
Une personne seule ne doit pas avoir des revenus annuels supérieurs à 17 133 euros pour être exonérée d'impôt.
Impôt sur le revenu, un nouveau barème en 2024
La loi de finances de 2024 a introduit une revalorisation de 4,8 % du barème de l'impôt sur le revenu. Cela signifie que le seuil d'imposition a été revu à la hausse et que si vos revenus sont inférieurs à celui-ci, vous n'avez rien à payer. Ainsi donc, depuis le 1er janvier 2024, une personne seule ne doit pas gagner plus de 17.133 euros pour être exonéré d'impôt.
Ce seuil augmente avec le nombre de parts du quotient familial d'un foyer. Un adulte compte pour une part, tandis qu'un enfant compte pour une demie-part. Pour un foyer de 1,5 part, soit un adulte et un enfant, le revenu le seuil à ne pas dépasser est de désormais de 22.780 euros. Pour un foyer avec un quotient familial de 2 parts, soit un couple sans enfant, la limite est de 28.427 euros. Pour un foyer de 3 parts, il est de 37.545 euros, et de 40.963 euros pour un couple avec trois enfants (3,5 parts), etc.
Comprendre le calcul de l'impôt
Outre le quotient familial, le calcul de l'impôt sur le revenu en 2024 est basé sur un barème progressif spécifique selon la tranche dans laquelle vos revenus se situent. Par exemple, pour les revenus inférieurs à 11 294 euros, le taux d'imposition est de 0 %. Entre 11.294 et 29.797 euros, votre taux d'imposition est de 11 %. Entre 28.797 et 82.341 euros, de 30 %, il est de 41 % si vos revenus se situent entre 82.342 et 177.106 euros, et de 45 % si vous gagnez annuellement plus de 177.106 euros.
Cette réforme fiscale issue de la loi de finance de 2024 qui introduit ce nouveau barème vise à atténuer les effets de l'inflation sur les ménages. Les seuils d'imposition ont ainsi été ajustés pour protéger les revenus modestes. À noter que le seuil d'imposition prend en compte l'ensemble de vos sources de revenus : retraite, salaire, revenus locatifs, après paiement des charges.
https://www.economiematin.fr/impot-seuil-revenu-exoneration-bareme-2024?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
La Fiat Money Gestapo américaine : l'histoire inédite des services secrets
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 11 JANVIER 2024 - 04:20
Rédigé par Joshua Glawson via The Mises Institute,
Il existe une histoire inédite dans l’histoire monétaire américaine. Certains hésitent même à en discuter.
Je fais référence au rôle même des services secrets américains dans la destruction de la monnaie saine en Amérique.
Alors que la monnaie constitutionnelle et saine sous forme de pièces d'or et d'argent physiques - qu'elles soient frappées à titre privé ou non - devenait un obstacle ennuyeux à l'expansion de la taille et du pouvoir du gouvernement fédéral, les planificateurs centraux ont commencé à faire circuler des procurations papier non garanties et ont formé une police de type Gestapo. agence chargée de faire appliquer le programme.
Fondés en 1865, vers la fin de la guerre civile américaine, les services secrets étaient à l’origine une branche du département du Trésor américain.
La tâche principale de cette force de police fédérale était d'empêcher d'autres personnes de contrefaire la monnaie américaine, qui venait d'être nationalisée par des actes du Congrès via le National Money Act de 1863 et le Coinage Act de 1864.
Ensemble, ces lois ont formé ce que l'on appelle communément les lois bancaires nationales de 1863 et 1864.
Ces lois de Washington, DC imposaient des impôts avec un système judiciaire de prélèvement et mettaient en œuvre une fiscalité directe. Cela a conduit au premier impôt sur le revenu du pays. Le gouvernement a également renforcé la création de l’Internal Revenue Service (IRS), qui avait commencé à fonctionner en 1862. Conjointement, ceux-ci ont soutenu le nouveau système fédéral de monnaie fiduciaire.
Depuis 1837 environ et jusqu'à une partie de la guerre civile, l'émission de monnaie et les opérations bancaires en Amérique étaient dirigées par un réseau plus décentralisé d'États et d'institutions bancaires gratuites. Ces entités émettaient des billets de banque qui pouvaient être échangés contre des pièces d’or ou d’argent standardisées ou échangés contre des biens et des services.
Cependant, pendant la guerre civile, les deux camps ont émis leurs propres billets de banque pour aider à financer leurs efforts de guerre respectifs, souvent sans le soutien des deux métaux monétaires.
RépondreSupprimerL’Union a lancé la monnaie fiduciaire du billet vert dans les billets à demande et les billets américains. Dans le même temps, les Confédérés imprimaient des billets gris fiduciaires sous la forme de dollars confédérés et de billets du Trésor confédérés.
Le nombre de dollars fiduciaires dans une banque et une région dans la nouvelle ère serait largement basé sur la population plutôt que sur les réserves d’or et d’argent, ce qui est l’une des raisons pour lesquelles l’Union a continué à encourager l’immigration à la fois pour le soutien monétaire fiduciaire et pour les efforts de guerre.
L'Union a poussé à étendre les territoires américains par le biais de ces lois visant à augmenter la population et à émettre de la monnaie fiduciaire du gouvernement.
Étant donné que l’Union et le Congrès cherchaient à imposer un système fédéral de monnaie fiduciaire ayant cours légal qui ne reposait pas sur la valeur tangible et le volontarisme, ils avaient besoin de faire appliquer ces lois. Ces lois de soutien comprenaient les impôts sur le revenu et la création de l'IRS. La guerre, les conflits économiques et la concurrence entre les monnaies ont créé divers types de « fausses » monnaies.
Les représentants du gouvernement ont affirmé avec hauteur qu’à cette époque, une pièce d’or ou d’argent fractionnée sur trois était contrefaite et ne contenait pas son poids d’or ou d’argent d’origine. En diminuant la quantité d’or ou d’argent dans une pièce, un contrefacteur pourrait réaliser un profit.
Pourtant, ces hypocrites du gouvernement n’ont eu aucun scrupule à exiger que la monnaie fiduciaire non garantie soit considérée comme légalement égale aux pièces d’or et d’argent. Ils ne s’opposent pas non plus aux profits illicites que cela permet au gouvernement central d’engranger.
Malheureusement, la Cour suprême des États-Unis a notoirement confirmé ce stratagème sournois lorsqu’elle a statué sur les « affaires de cours légaux », considérées par de nombreux juristes (y compris les juges actuels de la Haute Cour) comme ayant été mal tranchées.
RépondreSupprimerEn tant que tel, le gouvernement a modifié la définition de la monnaie et les citoyens pourraient désormais être contraints d’accepter le papier non remboursable comme l’équivalent des pièces d’or ou d’argent.
Le 14 avril 1865, le président Abraham Lincoln a signé une loi créant les services secrets pour lutter contre la fausse monnaie, du type non gouvernemental bien sûr. Plus tard le même jour, Lincoln a été assassiné et il est décédé le 15 avril.
De 1865 à 1901, la mission principale des services secrets était de démanteler les opérations privées de contrefaçon. En 1881, le président James Garfield a été assassiné – fait intéressant, peu de temps après avoir publiquement plaidé en faveur d’un retour à l’étalon-or.
Puis, en 1901, avec l’assassinat du président William McKinley et sous la nouvelle présidence de Theodore Roosevelt, les services secrets se voient confier la tâche supplémentaire de défendre les présidents américains. (L'assassinat de McKinley a eu lieu un an après qu'il ait signé le Gold Standard Act de 1900, qui a mis fin au bimétallisme en diminuant le rôle monétaire de l'argent.)
Les services secrets sont passés de leur rôle initial consistant à aider à imposer une nouvelle norme de monnaie fiduciaire à une force de police beaucoup plus importante qui protège également les présidents américains.
Cinquante ans avant l'adoption, la veille de Noël, de la loi sur la Réserve fédérale de 1913, le Congrès avait déjà lancé un plan visant à priver le système monétaire de notre pays de son or et de son argent, à mettre en circulation une monnaie fiduciaire, à promouvoir le système bancaire à réserves fractionnaires, à timbrer éliminer les billets de banque publics et privés, renforcer l'IRS et créer les services secrets pour aider à faire appliquer tout cela.
La solution consiste à revenir à un marché libre de l’argent – un système de concurrence où l’or et l’argent sont autorisés à circuler aux côtés d’autres formes de paiement – et à retirer la force gouvernementale de l’équation.
Que la meilleure monnaie gagne.
https://www.zerohedge.com/political/americas-fiat-money-gestapo-untold-history-secret-service
Électricité : avec le froid, la consommation française explose
RépondreSupprimerAlors que le froid s’installe, la consommation électrique en France atteint des sommets. Cela rappelle à quel point les Français ont besoin d’électricité pendant cette période. Il faut assurer que le pays en produise assez.
Par Grégoire Hernandez
le 11 janvier 2024 à 15h30
La France a enregistré un pic de consommation d'électricité à 83.5 GW le mercredi 10 janvier 2024 à 19 h.
Froid : l'électricité au secours des ménages Français
Avec l'arrivée du froid, les Français, en toute logique, prennent les mesures nécessaires pour hausser la température de leurs ménages. Chauffages électriques, radiateurs et autres appareils consommateurs d'énergie tournent à plein régime.
En ce début d'année 2024, la vague de froid a poussé la consommation électrique à des niveaux record. Des pics de consommation ont été observés, notamment aux heures de pointe en soirée, une heure où tout le monde est à la maison au mois de janvier. À 19 heures, le réseau électrique est mis à rude épreuve. La France a enregistré un pic de consommation d'électricité à 83.5 GW le mercredi 10 janvier 2024 à 19 h, selon RTE (réseau de transport d'électricité). Le record historique de la France date de début 2012, avec une pointe de consommation à 102,98 GW le 8 février à 19 h 00.
Une production d'électricité qui devrait suffire
Face à cette hausse, le réseau électrique tourne à plein régime, partout dans l'Hexagone. Malgré cela, la production est pour l'instant suffisante. Le directeur de l'exploitation de RTE, Arnaud Mazingue, a écarté toute inquiétude sur le plateau de BFM Business, le 8 janvier 2024, sur la capacité du système électrique à faire face. La production d'électricité française a ainsi couvert la demande, et la France pourrait compter sur ses capacités d'import grâce à ses voisins européens si nécessaire.
Cette importante vague de froid montre l'importance d'une consommation plus responsable et le rôle clé des énergies renouvelables. En effet, la France a enregistré un nouveau solde exportateur maximum à 20,3 GW le 3 janvier 2024 à 15 h 30, pulvérisant les précédents records d'exportation. Cela démontre l'intérêt des marchés pour la production d'électricité française, abondante et compétitive. De plus, les conditions favorables, telles qu'une baisse structurelle de la consommation observée depuis fin 2022, des températures au-dessus des normales de saison, une production éolienne abondante en France, et une disponibilité de la production nucléaire supérieure à celle de l'année 2023, ont permis à la France de couvrir l'intégralité de ses besoins en électricité par des sources 'décarbonées' les 2 et 3 janvier 2024, y compris pendant les pics de consommation.
https://www.economiematin.fr/froid-consommation-electricite-energie?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Les coûts énergétiques au Royaume-Uni doublent encore la moyenne historique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 11 JANVIER 2024 - 11h00
Rédigé par Rhodri Morgan via City A.M.,
Les factures d’électricité devraient rester le double de la moyenne historique malgré les réductions attendues dans les mois à venir.
Les chiffres publiés aujourd'hui par le cabinet de conseil en analyse énergétique Cornwall Insights montrent que les coûts moyens pour 2024 seront de 113 £ par MWh, soit une baisse de 16 £ par rapport aux prévisions précédentes.
Cela est dû en grande partie au fait que l’Europe détient des réserves de gaz naturel plus élevées que prévu.
Cependant, malgré la baisse des prix, les prévisions restent nettement supérieures aux moyennes historiques de 50 £ par MWh, la dépendance de l'Europe à l'égard du gaz naturel liquéfié (GNL) international suite aux sanctions sur les importations en provenance de Russie étant citée comme une raison principale.
Les prix devraient redescendre en dessous de 100 £ par MWh en 2025.
Evelin Blom, modélisatrice chez Cornwall Insight, a déclaré que les réductions représentaient « une bonne nouvelle indispensable pour les ménages britanniques ».
« Même si cet allègement est le bienvenu, les consommateurs britanniques sont confrontés à un long chemin vers une énergie véritablement abordable », a-t-elle ajouté.
« L’augmentation de la demande d’électricité constitue un obstacle important et, si aucune mesure n’est prise, elle menace de maintenir les factures d’électricité à un niveau élevé jusqu’à la fin de la décennie et au-delà. »
RépondreSupprimerChiffres du fournisseur d’énergie domestique Aira partagés exclusivement avec City A.M. aujourd'hui, montrent que 65 pour cent des Britanniques continueront probablement à baisser le chauffage en janvier, et 7 pour cent choisiront de le laisser complètement éteint.
L'enquête menée auprès de 8 068 personnes interrogées a également révélé qu'une personne sur quatre prélèvera également de l'argent sur ses dépenses alimentaires habituelles pour payer ses factures d'énergie et que presque le même nombre utilisera de l'argent pour ses activités de loisirs (24 pour cent) et ses vêtements (22 %).
Cette semaine également, Ofgem a lancé un avertissement aux fournisseurs qu'elle a autorisés à reprendre la pratique controversée et précédemment interdite de l'installation forcée de compteurs.
L'organisme de surveillance a déclaré qu'une longue liste de critères devaient être remplis avant que les fournisseurs puissent mettre en œuvre l'installation.
Octopus Energy a déclaré qu’elle ne poursuivrait pas cette pratique, tandis qu’un porte-parole de Scottish Power a confirmé que ce serait toujours un « dernier recours ».
https://www.zerohedge.com/personal-finance/energy-costs-uk-still-double-historic-average
Si les combustibles fossiles proviennent de fossiles, pourquoi les scientifiques les ont-ils trouvés sur l’une des lunes de Saturne ?
RépondreSupprimerPar Jo Nova
January 11th, 2024
Ils ne nous l’ont pas dit, le terme « énergies fossiles » est peut-être aussi erroné.
Le Dr Willie Soon se déchaîne sur les échecs du changement climatique et de la science moderne pendant 40 minutes avec Tucker Carlson (voir ci-dessous). En guise d’ouverture, il a expliqué comment l’une des lunes de Saturne possède plus de combustible liquide que tous les gisements de pétrole et de gaz de la Terre, ce qui remet en cause l’idée selon laquelle les combustibles fossiles ne sont fabriqués qu’à partir de fossiles.
Essentiellement, une lune gelée et sans vie, sans dinosaures, sans forêts ni tourbières, possède d'une manière ou d'une autre des lacs de méthane. Non seulement Titan possède des mers liquides d’hydrocarbures, mais nous le savons depuis des années. En fait, même en 2005, un scientifique de la NASA a discrètement admis que Titan contenait du méthane qui n’était pas fabriqué à partir de fossiles. Mais où était la NASA au cours des 18 années qui ont suivi ?
Bientôt, il explique que Titan prouve que la formation abiotique de pétrole et de gaz est vraie. En 2009, une expérience a montré que lorsque le méthane est soumis à une forte pression, comme celle que l’on trouve à 80 ou 100 kilomètres sous terre, il peut former des hydrocarbures plus complexes. (Kolesnikov). Plusieurs articles publiés au cours des douze dernières années ont découvert des types plus exotiques d’hydrocarbures aromatiques polycycliques partout, comme dans l’atmosphère de Titan et même dans l’espace interstellaire froid et profond. (Zhao, Parker, Freissinet) Ils ont également trouvé du benzène sur Mars.
Sur ses sites CERES, Willie Soon explique qu’en pratique, nous ne savons pas quelle quantité de pétrole et de gaz sur terre est produite sans fossiles (dans un processus abiogénique). Il pourrait se former à 50 à 100 miles (80 à 160 km) de profondeur, mais nous ne forons qu’à 6 à 8 milles (9,6 ou 12,8 km) de profondeur. Il me semble que nous n'en avons aucune idée. Même si le pétrole abiotique existe sur Terre, il se peut qu’il se forme trop lentement pour être utile. Bien qu’il y ait eu ces étranges affirmations depuis des années selon lesquelles certains champs de pétrole se remplissent.
RépondreSupprimerCe que nous savons, dit Jo, c’est qu’ils n’essaient pas de comprendre cela, et qu’ils n’essaient pas non plus de nous dire toute la vérité. Nous avons enseigné à deux générations d’enfants qu’il existe un récit simple, et que si vous le remettiez en question, vous étiez un idiot. N’est-il pas temps qu’une civilisation dépendante de ces carburants ait une discussion honnête sur leur origine ?
Il y a beaucoup plus dans l’interview sur son expérience à Harvard, sur la science du climat et sur le soleil.
- voir doc sur site -
Willie Soon a travaillé à Harvard en astrophysique pendant 31 ans, mais préfère avoir la liberté de dire ce qu'il pense et de rechercher ce qu'il veut. Il a co-fondé CERES-Science où vous pouvez retrouver ses autres derniers articles.
Aidez à soutenir le travail de Tucker en rejoignant son réseau Tucker Carlson — TCN.
Merci à tous les lecteurs qui ont mentionné l’huile abiotique au fil des ans. Konrad, Garry Meyers, Bobl, theRealUniverse, Latus Dextro, OriginalSteve. William Astley, Beijing Yankee, un autre Ian, Zane suggère « F. Le livre de William Engdahl de 2012 « Mythes, mensonges et guerres pétrolières »., ainsi que Skeptical Sam et Chris (et d’autres aussi).
LES RÉFÉRENCES
RépondreSupprimerKolesnikov, A., Kutcherov, V. & Goncharov, A. Hydrocarbures dérivés du méthane produits dans des conditions du manteau supérieur. Nature Geosci 2, 566-570 (2009). https://doi.org/10.1038/ngeo591
Mastrogiuseppe, M., Poggiali, V., Hayes, A.G. et al. Lacs profonds et riches en méthane sur Titan. Nat Astron 3, 535-542 (2019). https://doi.org/10.1038/s41550-019-0714-2
Hayes, Alexander (2016) Les lacs et les mers de Titan, Revue annuelle des sciences de la Terre et des planètes, Vol. 44:57-83 (date de publication du volume juin 2016)
Zhao, L., Kaiser, RI, Xu, B. et al. Formation à basse température d’hydrocarbures aromatiques polycycliques dans l’atmosphère de Titan. Nat Astron 2, 973-979 (2018). https://doi.org/10.1038/s41550-018-0585-y
C. Freissinet, et al (2015) Molécules organiques dans le mudstone Sheepbed, Gale Crater, Mars, JGR Planets, AGU, https://doi.org/10.1002/2014JE004737
Dorian S. N. Parker et collègues (2011), Actes de la National Academy of Sciences, https://doi.org/10.1073/pnas.11138271. [Lien vers le bas, il peut faire référence à cet article « Formation de naphtalène à basse température et son rôle dans la synthèse des HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques) dans le milieu interstellaire », https://doi.org/10.1073/pnas.1113827108]
Titan, par Imsofinite
https://joannenova.com.au/2024/01/if-fossil-fuels-come-from-fossils-why-have-scientists-found-them-on-one-of-saturns-moons/#more-95156
Comme nous le savons le pétrole est abiotique. TOUT se recycle. TOUT ! Même les gaz (émis par combustions magmatiques). L'eau de mer contient 86 % d'oxygène.
SupprimerLe gaz carbonique (gaz rare - 0,041 % de notre atmosphère - est un gaz lourd - 1,8 gr/litre - L'air de notre atmosphère est de 1,2, gr/L. et l'oxygène 1,42 gr/l.), est un gaz qui se maintient donc au ras du sol où il est transformé par le phytoplancton à la surface des eaux en nano-particules de carbone (charbon). Cependant, ce gaz disparaît avec une température supérieure à 30,9 °C.
C'est là que se pose question du pourquoi sortirait-il de nos poumons à 37°C ainsi que des pots d"échappement et cheminée d'usines !!
(...) Même si le pétrole abiotique existe sur Terre, il se peut qu’il se forme trop lentement pour être utile. Bien qu’il y ait eu ces étranges affirmations depuis des années selon lesquelles certains champs de pétrole se remplissent. (...)
Voir les derricks dits 'en fin de vie' qui refonctionnent 10 ou 15 ans après que les nappes se reremplissent !
Jeanne Traduction
RépondreSupprimerNos amis remarquent qu'Ariane Bilheran subit actuellement une attaque en-dessous de la ceinture.
Devinez par qui ? Les "amis" du CSI (!) par le biais d'un ouvrage de Mehdi Belaj Khacem, qui sort un ouvrage (de philosophie ?) censé parler de Nietzsche, mais en fait complètement à charge contre cette "chère Ariane" (comme il la nomme pour se moquer). En tout cas il la salit comme si elle ne brassait que du vent dans tant de passages de son livre...
Il oublie (volontairement) qu'il n'ai rien fait de concret, lui, contre le déferlement totalitaire en cours, alors qu'Ariane Bilheran a tenu 3 colloques et produit 2 livres dont 1 collectif dont elle en est la coordinatrice (https://www.editions-tredaniel.com/corruption-et-fraude...) et d'innombrables vidéos pédagogiques.
Et bien sûr, dixit Pavan sur X-Twitter, Medhi (son "ami"!) sera bientôt l'invité d'un CSI. Alors qu'ils avaient refusé Christine Cotton, entre autre, parce qu'elle n'était pas scientifique...
Heureusement se lèvent ceux qui osent aller au fond du problème, Eric Loridan (https://x.com/ErikLoridan/status/1743049124297998683?s=20), Martine Wonner (voir PJ) et d'autres, pour remettre les choses à leur place : qui sont ceux qui se mouillent depuis plus de 10 ans dans le décryptage de la pathologie totalitaire en cours si ce n'est Ariane Bilheran ! Et ceux qui la soutiennent ?
Soyons de ceux-là !
https://www.editions-tredaniel.com/corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020-p-11393.html?fbclid=IwAR1VOzJ68obCTmPfDWmNLsVQJyEoY-G7tSyJ6VQPzNRfhnfnnh658jWDsEE
https://www.facebook.com/JeanneTraduction/
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