Le témoignage oculaire suivant s'adresse aux membres des forces judiciaires et de sécurité qui ne sont plus disposés à fuir leurs responsabilités. Cependant, une grande partie de la justice, de la police, de la politique, des forces de sécurité etc. font exactement cela, avec des conséquences effroyables. La preuve en est la non-réaction à des centaines de nos émissions, dans lesquelles devant les caméras des témoins oculaires ont mis en lumière leurs œuvres criminelles, commises en collaboration avec des réseaux criminels. Il ne faut pas que ça continue ainsi ! Il n'est pas acceptable que des témoins oculaires, au risque de leur propre vie, révèlent devant une caméra leurs crimes commis en liaison avec des réseaux criminels et que les réseaux qui ont ainsi été démasqués n'aient aucune conséquence à craindre des autorités de sécurité et du pouvoir judiciaire. Au contraire la pratique de la vie quotidienne nous apprend qu'aujourd'hui, c'est plutôt la personne qui signale un incendie et non le pyromane lui-même qui doit craindre la justice. De plus en plus de policiers connus de nos rédactions disent qu'ils ne sont pas vraiment autorisés à exercer les fonctions pour lesquelles ils sont mandatés.
Récemment, des détectives crédibles font à nouveau des reportages authentiques sur des régions entières d’Allemagne qu'ils doivent laisser sans protection aux gangs criminels. Ils témoignent d’interdictions de parler, d'agir, de se défendre et ainsi de suite, de sorte que certains grands criminels sont arrêtés et emmenés jusqu'à 70 fois, mais qu’il faut ensuite les relâcher sans aucune conséquence. Si vous demandez à ces gens des forces de sécurité de témoigner devant une caméra, ils ne le font pas, soit par peur pour leur travail, soit parce qu'ils craignent des conséquences encore pires.
Au nom du peuple, Kla.tv demande : « Pourquoi êtes-vous devenus policiers ? Pourquoi êtes-vous devenus détectives ? Procureurs et juges ? Comment avez-vous pu vous engager à protéger la population aux dépens de l'État et maintenant abandonner si lâchement votre peuple ? Voulez-vous sérieusement et pour de bon laisser votre travail à des civils ? Peut-être à des mères sans défense, des pères qui travaillent ou des jeunes rebelles ? En fin de compte, si vous ne le faites pas, alors ce sera certainement et exclusivement les personnes sans aucune qualification juridique ou légale qui devront le faire ! Voulez-vous vraiment que ce soit le peuple sans défense qui ait maintenant le courage de révéler le nom de toutes les personnes dont ont peur tant les témoins oculaires que vous, les forces de l’ordre formées et armées jusqu'aux dents ? Comment avez-vous pu vous élever jusqu'à votre position de pouvoir et la négliger de manière aussi criminelle ? N'est-ce pas là un abus d'autorité, un pur abus de pouvoir ?
Les dirigeants de Davos chantent les louanges des microbes du sol OGM, mais les critiques mettent en garde contre les “conséquences irréparables”.
Les participants au Forum économique mondial ont salué les microbes génétiquement modifiés comme l'avenir de l'agriculture durable et respectueuse du climat, mais les groupes de surveillance ont averti que les modifications génétiques libérées à l'intérieur des microbes pourraient traverser les espèces et les frontières géographiques, avec des conséquences imprévues et potentiellement irréparables.
Par Brenda Baletti Mondialisation.ca, 29 janvier 2024
Le thème de la “biologie synthétique” – la science de la réingénierie des organismes vivants pour leur conférer de “nouvelles capacités” destinées à résoudre des problèmes dans des domaines allant de la médecine à l’agriculture en passant par la fabrication – a été abordé au cours de plusieurs sessions tenues la semaine dernière lors des réunions du Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse.
Selon Forbes, la biologie synthétique est à la base de ce que l’on appelle la “bioéconomie“, dont la valeur est estimée à un milliard de dollars aux États-Unis et qui devrait atteindre plus de 30 milliards de dollars au cours des deux prochaines décennies. Des initiatives telles que le décret de 2022 de l’administration Biden, qui prévoit des investissements fédéraux dans la biotechnologie, devraient stimuler cette croissance.
Les bioproduits vont des vaccins à ARNm aux viandes cultivées en laboratoire, en passant par les dispositifs médicaux bioélectroniques. Mais la plupart des débats qui ont eu lieu la semaine dernière lors de deux tables rondes du WEF sur la biologie synthétique dans l’alimentation et l’agriculture – “La biologie en tant que technologie de consommation” et “La voie biologique vers le net zéro” – ont porté sur les “produits biologiques”, c’est-à-dire les microbes du sol fixateurs d’azote issus du génie génétique.
Lors du panel “Net Zero”, Ester Baiget de Novozymes, qui a annoncé que son entreprise était sur le point de fusionner avec un producteur de microbes artificiels, Chr. Hansen,a expliqué comment les produits de son entreprise “nous rapprochent du ‘Net-zéro”.
“Tout ce que nous faisons permet de réduire les émissions de CO2, les produits chimiques, les déchets, l’impact sur l’environnement; améliorer les nutriments et la durabilité de l’agriculture sur l’ensemble de la chaîne de valeur”, a-t-il déclaré. “Nous favorisons une alimentation plus saine et plus durable.”
Lors du panel “La biologie en tant que technologie grand public”, Dror Bin, PDG de l’Autorité israélienne pour l’innovation, a prédit un avenir de “bioconvergence” où la biologie fusionnera avec tous les domaines scientifiques. La bioconvergence n’est pas “imaginaire”, a déclaré M. Bin. Ainsi, la semaine dernière, Israël est devenu le premier pays à autoriser la vente de bœuf cultivé, produit par Aleph Farms.
Les panélistes s’accordent à dire que l’acceptation par les consommateurs est le seul obstacle auquel ils sont tous confrontés lorsqu’il s’agit de développer la bioéconomie. Les organismes génétiquement modifiés (OGM) effraient inutilement les gens, selon M. Abbot de Pivot. “Ils ne sont pas si mauvais. On peut les utiliser à tort et à travers, mais nous [at Pivot] utilisons beaucoup moins de chimie grâce aux OGM”.
Le panel a convenu qu’il fallait “rééduquer” les consommateurs pour qu’ils acceptent les aliments transformés.
Les produits biologiques, concède M. Abbot, sont un peu plus “délicats” que les engrais synthétiques, “parce que vous prenez un organisme biologique, qui a sa propre variabilité et qui est généralement assez capricieux. On le place ensuite dans un environnement biologique, dans un sol où les conditions météorologiques sont de plus en plus difficiles chaque année. On essaie alors de prédire à l’avance comment tout cela va fonctionner”.
Mais c’est la partie la plus excitante, a-t-il ajouté.
Une “expérience en plein air sans précédent” En dehors du WEF, l’enthousiasme pour les microbes transgéniques et les autres technologies de biologie synthétique “food as software“, telles que la fermentation de précision ou la viande cultivée en laboratoire, est moindre.
Un rapport publié en août dernier par les Amis de la Terre s’inquiète des risques inconnus et potentiellement désastreux associés aux microbes génétiquement modifiés, qui sont fondamentalement différents des OGM déjà controversés qui, comme l’ont fait remarquer les panélistes, sont déjà très controversés depuis des décennies.
Les microbes GM sont des organismes vivants qui partagent facilement leur matériel génétique avec d’autres espèces et parcourent de grandes distances dans le vent. Les modifications génétiques libérées à l’intérieur des microbes pourraient franchir les frontières entre les espèces et les zones géographiques, ce qui aurait des conséquences imprévues et potentiellement irréparables, selon le rapport.
Et comme ils sont microscopiques, ils sont très nombreux.
“Une application de bactéries génétiquement modifiées pourrait libérer environ 3 000 milliards d’organismes génétiquement modifiés par demi-hectare, ce qui correspond à peu près au nombre de plants de maïs génétiquement modifiés dans l’ensemble des États-Unis”, a déclaré Dana Perls, responsable du programme sur l’alimentation et la technologie aux Amis de la Terre, dans un communiqué de presse.
L’introduction de microbes génétiquement modifiés dans l’agriculture représente une “expérience génétique en plein air sans précédent”, selon le rapport. “L’ampleur de la dissémination est bien plus grande et les chances de la contenir sont bien plus faibles que pour les cultures génétiquement modifiées.
Le rapport détaille une série d’accidents génétiques qui peuvent, et dans certains cas, se sont produits au cours du processus de génie génétique, y compris des insertions et des suppressions involontaires d’ADN.
Elle a souligné que lorsque ces microbes, qui posent des problèmes potentiels, sont libérés dans un environnement comprenant des milliards d’espèces d’autres microbes – dont la plupart ne sont pas encore compris par la science – ainsi que d’autres organismes vivants, les problèmes potentiels sont innombrables et graves.
Absence de cadre pour l’évaluation des risques
Ces risques n’ont pas empêché les entreprises de les commercialiser. Au moins deux microbes génétiquement modifiés, Proven de Pivot Bio et Poncho Votivo de BASF, sont déjà utilisés par les agriculteurs américains sur des millions d’hectares de terres agricoles.
Les panélistes du WEF ont prédit que le nombre de microbes transgéniques sur le marché allait monter en flèche, d’autant plus que le système réglementaire américain ne dispose d’aucun cadre pour évaluer leurs risques potentiels et qu’il les autorise rapidement.
Les participants au panel ont déclaré qu’ils préféraient développer leurs produits pour le marché américain plutôt que pour le marché européen, qui comporte beaucoup plus de barrières réglementaires pour les produits génétiquement modifiés ou issus du génie génétique et dont l’approbation prend six ans.
Le cadre réglementaire américain est si peu clair, selon le groupe de surveillance des grands groupes alimentaires Food Tank, qu’il est difficile de savoir combien de ces produits se trouvent réellement sur le marché. Mais “nous sommes probablement à l’aube d’une vague de nouveaux produits biologiques génétiquement modifiés qui passeront du laboratoire au terrain”.
Pivot a lancé Proven en 2019. La société, soutenue par d’importants investisseurs en biotechnologie, dont la Fondation Bill & Melinda Gates, a levé plus de 600 millions de dollars de capitaux privés en promettant de “perturber” l’agriculture en réduisant le besoin d’azote synthétique produit industriellement et en le remplaçant par de l’”azote propre” provenant de microbes génétiquement modifiés.
Mais ses propres études scientifiques n’ont montré aucune réduction de l’utilisation de l’azote par les agriculteurs lors de l’application du microbe génétiquement modifié.
La demande de brevet déposée par Pivot Bio pour son microbe GM Proven, commercialisé comme engrais azoté, énumère 29 gènes différents ainsi que de nombreuses protéines et enzymes qui peuvent être manipulés pour “perturber” et “court-circuiter” la capacité du microbe à détecter les niveaux d’azote dans son environnement et à le “tromper” pour qu’il surproduise de l’azote.
Les scientifiques de l’entreprise ont également publié une étude montrant qu’ils ont été surpris de constater que l’élimination de gènes augmentait l’azote, car elle aurait tout aussi bien pu le réduire.
Pivot a été la première entreprise à commercialiser ses microbes génétiquement modifiés, mais depuis, plusieurs autres start-ups et géants de l’industrie pharmaceutique sont entrés dans le jeu des microbes génétiquement modifiés.
M. Abbot n’a pas commenté les études menées par son entreprise, mais il a indiqué que Pivot était en train de développer sa technologie, dans le but de créer une “tendance de croissance durable”.
Au cours des dernières années, cinq grandes entreprises agrochimiques, Syngenta (ChemChina), BASF, Bayer-Monsanto, FMC Corp et Corteva (DowDuPont) ont acquis la plupart des entreprises biologiques existantes.
Ce sont ces mêmes entreprises qui ont contrôlé la création et la distribution des cultures génétiquement modifiées dans le passé.
Les Amis de la Terre écrivent qu’ils ont une longue expérience de l’ignorance des effets de leurs produits sur l’environnement et la santé, de l’affaiblissement systématique des petits agriculteurs, de l’obstruction du processus réglementaire et de la dissimulation de la vérité sur leurs produits.
Aujourd’hui, ces entreprises s’associent à de grandes sociétés de biotechnologie et à des start-ups pour faire avancer le processus.
Parmi les entreprises qui développent des microbes et qui ont été présentées lors des tables rondes du WEF, on peut citer la société danoise de biosciences Chr. Hansen, qui travaille dans le domaine de l’agriculture depuis 145 ans et dispose d’une bibliothèque d’environ 50 000 microbes. Indigo Ag“améliore” également les microbes naturels pour répondre à différents défis agricoles.
Ginkgo Bioworks déclare à la SEC que la dissémination de microbes génétiquement modifiés peut avoir des effets “inconnus”. Ginkgo Bioworks, un acteur majeur de l’industrie de la biologie synthétique, est activement impliqué dans le développement d’ aliments et de médicaments, y compris les vaccins, et les “plateformes de programmation cellulaire“, la biosécurité et la surveillance des maladies.
Elle conçoit et développe des microbes pour des applications allant des bactéries productrices de cannabinoïdes aux levures fermentant les protéines alimentaires, en passant par les microbes du sol.
L’entreprise commercialise ses microbes génétiquement modifiés par l’intermédiaire de Joyn Bio, un partenariat avec Bayer.
Par Joyn Bio, Ginkgo prévoit de poursuivre son engagement à “exploiter la puissance de la biologie programmable pour permettre une production alimentaire durable et la sécurité alimentaire dans le monde entier”, en s’associant à différentes entreprises pour développer “des solutions microbiennes agricoles pour toutes les cultures et toutes les zones géographiques, grâce à des plateformes techniques étendues et entièrement activées qui répondent aux divers besoins du marché”.
Par exemple, le mois dernier, l’entreprise a annoncé un nouveau partenariat avec la start-up française de biotechnologie OneOne Biosciences en vue de développer une “machine à espresso” pour “amplifier” les microbes ayant différentes fonctions, telles que la fixation de l’azote, la séquestration du carbone, etc. au point d’utilisation.
Derrière ses “déclarations prévisionnelles” utopiques, selon ses communiqués de presse, “Ginkgo ne donne aucune assurance qu’il atteindra ses attentes”.
Le rapport sur les risques de l’entreprise, déposé auprès de la Security and Exchange Commission (SEC) et rapporté par l’Organic Consumers Association (OCA), a soulevé un certain nombre de préoccupations.
À l’instar des risques mis en évidence par les Amis de la Terre, Ginkgo a déclaré à la SEC que “la dissémination d’organismes ou de matériaux génétiquement modifiés, par inadvertance ou à dessein, dans des environnements non contrôlés pourrait avoir des conséquences imprévues”, ce qui pourrait être néfaste pour les entreprises, sa principale préoccupation.
Le rapport indique également que
“Les organismes et matériaux issus du génie génétique que nous développons peuvent avoir des caractéristiques sensiblement modifiées par rapport à ceux que l’on trouve dans la nature, et les effets complets du déploiement ou de la libération de nos organismes et matériaux issus du génie génétique dans des environnements non contrôlés peuvent être inconnus.
“En particulier, un tel déploiement ou rejet, y compris un rejet non autorisé, pourrait avoir un impact sur l’environnement ou la communauté en général, ou sur la santé et la sécurité de nos employés, des employés de nos clients et des consommateurs des produits de nos clients.
“En outre, si une violation très médiatisée de la biosécurité ou la dissémination non autorisée d’un agent biologique se produit dans notre secteur, nos clients et clients potentiels pourraient perdre confiance dans la sécurité des environnements de laboratoire dans lesquels nous produisons des organismes et matériaux génétiquement modifiés, même si nous ne sommes pas directement touchés.
“Tout effet négatif résultant d’une telle publication, par nous ou par d’autres, pourrait avoir un effet négatif important sur l’acceptation par le public des produits issus de cellules modifiées, ainsi que sur nos activités et notre situation financière. …
“Nous pourrions synthétiser des séquences d’ADN ou nous engager dans d’autres activités qui contreviennent aux exigences de biosécurité, ou les autorités réglementaires pourraient promulguer des exigences de biosécurité plus ambitieuses que nos pratiques commerciales habituelles ne peuvent pas prendre en compte, ce qui pourrait donner lieu à une responsabilité juridique importante, entraver nos activités et nuire à notre réputation”.
“Le dossier déposé par Ginkgo auprès de la SEC montre clairement comment le fait de lâcher des microbes dans l’environnement pourrait causer des ravages”, a déclaré Alexis Baden-Mayer, de l’OCA.
M. Baden-Mayer a également noté que Ginkgo a acquis plusieurs technologies de biologie synthétique mises au point par des scientifiques de longue date de Monsanto et par George Church, co-développeur de CRISPR.
Cela fait de Ginkgo “le partenaire le plus important de Bayer dans son projet “Food-as-Software””, selon Baden-Mayer.
Un porte-parole de RethinkX, un groupe de réflexion technologique et un prévisionniste, a expliqué à The Defender, dans un courriel, ce qu’est le “Food-as-Software” (la nourriture en tant que logiciel) :
“Comme les logiciels, les produits alimentaires seront continuellement améliorés par itération au fur et à mesure que la technologie s’améliorera en termes de coût et de capacité et que les bases de données sur les composants alimentaires s’étofferont.
“L’intégration avec les technologies de l’information et l’internet signifie que les améliorations des méthodes de production et/ou des ingrédients peuvent être téléchargées et incorporées presque instantanément, ce qui permet à la production d’être entièrement distribuée et décentralisée – tout comme un logiciel”.
Baden-Mayer a offert une description plus critique de la vision de Big Food “food-as-software” (l’alimentation en tant que logiciel) :
Le modèle commercial de Monsanto-Bayer consiste à ruiner l’alimentation et l’agriculture avec des pesticides et des fermes industrielles, puis, lorsque les consommateurs réclament des “aliments propres”, à les proposer sous la forme de nouveaux aliments synthétiques de Frankenfood créés en laboratoire qui peuvent être commercialisés comme étant exempts de toxines et de cruauté”.
Le rapport de Ginkgo à la SEC, écrit-elle, “ressemble à une liste d’intrigues de films catastrophes rédigée par un auteur de science-fiction”.
La « vaccination » des femmes enceintes aurait doublé les risques de fausses couches pour les grossesses viables
le 30 janvier 2024 par pgibertie
Quel est le risque de fausse couche pour grossesses jugées viables ? L’étude Naert porte sur des femmes non vaccinées et aboutit à un risque de 6 %
- voir graph sur site -
L’étude Zauche porte sur le risque de fausse couches pour les grossesses jugées viables, elle porte sur les femmes vaccinées covid et trouve …14 % . Un gros probleme? Mais non car le taux normal serait de 14%
En faussant le taux habituel on camoufle une évidence: la responsabilité des injections dans le doublement des fausses couches
Maintenant que nous avons enquêté sur cette question aussi loin que possible, je vais simplement énumérer les preuves dont nous disposons selon lesquelles le déploiement du vaccin contre la COVID a non seulement entraîné une surabondance de fausses couches, mais le CDC, Viki Male et Kevin Ault, en tant que principaux partisans de le dogme « c’est sûr et honnête » l’ont dissimulé
Nous avons établi au-delà de tout doute raisonnable que le taux de fausses couches de fond devrait être inférieur à 6 %
Zauche, Shimabukuro et d’autres ont affirmé que le taux de fausses couches post-vaccinales était d’environ 14 %.Il existe des facteurs confondants importants dans les données sur les fausses couches et parce que le CDC refuse de divulguer les données V-safe pour une analyse indépendante, nous devons interpoler les données sur ce dont nous disposons
En utilisant une modélisation directement comparable et jamais réalisée auparavant, nous avons montré dans cet article que le taux de fausses couches présenté par Lauren Zauche, suite à la vaccination contre la COVID, est au moins le double de ce qu’il devrait être.
Vous pouvez donc considérer la cohorte Naert comme le groupe témoin et le groupe Zauche comme le groupe vacciné
Convulsions rotationnelles chez les vaccinés contre le COVID-19
18 vidéos de la « Spirale de la mort vaccinale »
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 30 janvier 2024
6 janvier 2024 – Scène effrayante au Qatar, alors qu'Andy Delort d'Umm Salal s'effondre au sol 10 minutes après avoir marqué un but – le joueur français a été soigné sur le terrain et a regardé la seconde moitié de la finale de la Coupe du Qatar sur le banc.
- voir clip effrayant sur site -
- voir clip effrayant sur site -
22 mai 2023 – Un homme s’effondre dans le magasin.
Caillots de 'calamars' et caillots sanguins anormaux chez les personnes vaccinées à ARNm contre le COVID-19
26 photos et théories choquantes dans la littérature publiée
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 29 janvier 2024
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Caillots violet foncé chez les vaccinés contre le COVID-19 :
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Neuralink : aurons-nous bientôt tous un implant dans le cerveau ?
Elon Musk, grand adepte du transhumanisme, semble bien résolu à transformer la science-fiction en réalité. L’entrepreneur américain a annoncé lundi 29 janvier 2024 qu’un premier implant cérébral de sa startup Neuralink, spécialisée en neurotechnologie, avait été posé sur un patient humain.
Par Axelle Ker le 30 janvier 2024 à 10h00
Neuralink a levé 323 millions de dollars au cours du second semestre de 2023 pour développer ses
Neuralink : Télépathie, le premier implant ICM posé sur un humain
Le lundi 29 janvier 2024 pourrait être un tournant majeur dans l'histoire de la médecine, de la technologie et finalement, du transhumanisme. Neuralink, l'entreprise fondée en 2016 par le magnat Elon Musk (SpaceX, Tesla, X [anciennement Twitter]), a posé son premier implant cérébral d'interface cerveau-machine (ICM), baptisé Télépathie, sur un patient humain. D'après l'entrepreneur américain, « les premiers résultats montrent une activité neuronale prometteuse ». L'entreprise a levé 323 millions d'euros au cours du second semestre de 2023 pour développer ses implants ICM.
Mais à quoi peut bien servir cet implant Télépathie ? Selon Elon Musk : « Il permet de contrôler votre téléphone ou votre ordinateur, et par leur intermédiaire, presque tous les appareils, simplement en y pensant. Les premiers utilisateurs seront ceux qui ont perdu l’usage de leurs membres. ». Cette avancée n'est néanmoins pas exempte de questions éthiques, notamment pour ce qui concerne le traitement des animaux lors des expérimentations préalables et des tests sur les humains. Sur les 23 macaques ayant reçu un implant depuis 2020, seuls 7 ont survécu et une plainte a d'ailleurs été déposée à l'encontre de Neuralink.
La quête de l'homme augmenté
Neuralink n'est cependant pas la première à explorer ce domaine. D'autres, comme l'entreprise néerlandaise Onward, ont déjà testé des implants similaires. En septembre, Onward a couplé un implant cérébral à un stimulateur de la moelle épinière, visant à redonner la mobilité aux patients tétraplégiques. En France, l'institut grenoblois Clinatec a également franchi des étapes significatives en permettant à des tétraplégiques de manipuler un exosquelette. Toutefois, l'approche de Neuralink se distingue par son ambition qui dépasse largement le simple rétablissement de fonctions perdues.
Il s'agit pour Elon Musk de redéfinir notre interaction avec le monde digital, de transformer notre manière de vivre, de travailler, et peut-être même de penser. L'objectif affiché par Elon Musk serait de limiter le « risque pour notre civilisation » que pourrait représenter l'intelligence artificielle. Derrière Neuralink se cache une quête incessante de l'homme augmenté, qui pourrait nous faire rappeler certains films tels que Her de Spike Jonze, ou Minority Report avec Tom Cruise.
(...) Cette avancée n'est néanmoins pas exempte de questions éthiques, notamment pour ce qui concerne le traitement des animaux lors des expérimentations préalables et des tests sur les humains. Sur les 23 macaques ayant reçu un implant depuis 2020, seuls 7 ont survécu et une plainte a d'ailleurs été déposée à l'encontre de Neuralink. (...)
(...) En septembre, Onward a couplé un implant cérébral à un stimulateur de la moelle épinière, visant à redonner la mobilité aux patients tétraplégiques. (...)
Voila où en est la 'découverte' ! Le FAUX accord envers des tétraplégiques qui servent de cobayes pour des expérimentations dignes de 'Dracula' voire du 'Dr Machin et ses tentatives de résorber les non-fonctionnalités à des êtres dits perdus !
Une puce de musc implantée pour la première fois dans le cerveau
30 janvier 2024 de Thomas Oysmüller
Les expériences animales sur les singes ont été un désastre, mais le premier humain a maintenant reçu une puce cérébrale de la société Neuralink de Musk.
Elon Musk a annoncé une percée sur son portail de médias sociaux X. La première personne a reçu un implant Neuralink – une puce dans le cerveau. Il s’agit du premier implant cérébral depuis la création de la start-up technologique « Neuralink » en 2016.
Les premiers résultats sur l’activité neuronale des patients sont « prometteurs », a annoncé Musk lundi. L'année dernière, la société a reçu l'approbation des autorités américaines pour effectuer des tests. L’objectif est clair : la puce doit établir une connexion directe entre le cerveau et l’ordinateur. L’idée est que les programmes informatiques peuvent être exécutés à l’aide de pensées pures. Musk discute également à plusieurs reprises de la possibilité de guérir des maladies neurologiques telles que la maladie de Parkinson.
Musk explique plus loin Les premiers utilisateurs seront ceux qui ne peuvent plus bouger leurs membres.
Naturellement, Neuralink est très controversé. Beaucoup voient la technologie comme un cauchemar transhumaniste ou, à l’inverse, comme le rêve humide de Klaus Schwab. D’autres, comme le journaliste Ian Miles Cheong, critique à l’égard de Schwab, y voient une nécessité. Il écrit : « Beaucoup de gens pensent que la technologie est folle, mais Neuralink est la seule voie à suivre pour l’humanité si nous voulons suivre et contenir l’essor de l’IA. Nous ne voulons pas être à la merci de l’intelligence artificielle.
Voici un exemple de vidéo de ce que l'implant cérébral est censé rendre possible - cela explique probablement le nom du premier produit de Neuralink, à savoir "Télépathie" :
Musk le soutient également. Une interface entre le cerveau et l’ordinateur serait le seul moyen pour les humains de conserver à long terme le pouvoir sur les machines, estime le milliardaire de la technologie. Ce dont on ne parle plus actuellement, c’est de l’expérience ratée avec les singes. 16 singes de laboratoire sur 23 sont morts lors des expériences Neuralink en 2022.
Outre Neuralink, d’autres start-up travaillent également sur des projets similaires. La société australienne Synchron avait déjà installé une puce cérébrale chez un patient en juillet 2022.
Vaccins à ARN messager : tout se complique et se compliquera encore !
le 29 janvier 2024
Contrairement aux affirmations des laboratoires pharmaceutiques, essentiellement Pfizer/BioNtech et Moderna, les produits injectés à des milliards de personnes plus ou moins consentantes contiennent des quantités considérables d’ADN d’origine adénovirale. Apparaît alors un nouveau problème : quelle est la responsabilité des organismes tels que l’Agence européenne du médicament et la FDA américaine quand ils ont accordé malgré le caractère d’urgence sanitaire l’autorisation de mise sur le marché de ces produits. La fiche technique de ces produits dissimulait la présence d’ADN et les laboratoires d’analyse de ces organismes sus-nommés étaient censés vérifier les faits avec pragmatisme en requérant des analyses détaillées de ces produits déclaré abusivement comme devant présenter les mêmes propriétés qu’un vaccin classique. Il s’agit non plus seulement d’une fraude mais d’une mise en danger des personnes ayant reçu par injection ces produits puisque cet ADN peut pénétrer dans une cellule et au cours d’une multiplication de cette cellule s’incorporer dans l’ADN nucléaire. Cette situation a été confirmée par le passé et récemment pour de nombreux virus.
Il y a bien pire ! Afin de stabiliser l’ARN messager utilisé pour mettre au point ces vaccins l’uridine de cet ARN a été remplacé au cours de la production industrielle par de la pseudo-uridine. Or ni les laboratoires Pfizer ni les laboratoires Moderna n’ont pris la peine de vérifier si cet ARN messager était correctement lu par les ribosomes triplet (ou codon) après triplet afin d’obtenir in fine la synthèse de la protéine recherchée, en l’occurence la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du coronavirus, antigénique donc « faisant fonction » de vaccin. Or une étude récente datant déjà de fin décembre 2022 et réalisée à l’Université de Cambridge sous la direction du Docteur Anne Willis a montré que dans près de 10 % des cas le ribosomes est induit dans l’erreur au cours de la lecture d’un tel ARN messager quand il rencontre une pseudo-uridine. Cette erreur se traduit par un stop : la synthèse protéique s’arrête, ou ce ribosome saute une pseudo-uridine voire deux et effectue donc un « frame shift », un glissement du cadre de lecture par triplets de bases de l’ARN. Et que se passe-t-il alors : le ribosome synthétise n’importe quoi, des protéines totalement inconnues n’ayant jamais existé dans la nature et à fortiori dans l’organisme humain.
Ces protéines ont été analysées en utilisant en particulier la technique dite Maldi-Tof qui permet par une combinaison entre temps de vol des fragments de protéines générées par irradiation laser et un double spectrographe de masse pour l’analyse de ces fragments, le traitement informatique permettant d’obtenir une séquence protéique très rapidement, la séquence d’amino-acides d’une protéine en comportant 200 est l’affaire de quelques heures seulement ! Le Docteur Jean-Claude Perez, bio-mathématicien de haut vol retraité et membre de la Fondation Luc Montagnier a étudié toutes les séquences publiées dans le cadre de cette étude relative aux erreurs de lecture des ribosomes provoquées par la présence de pseudo-uridine. Cette étude a été publiée le 19 janvier 2024 et elle est tout simplement terrifiante (voir le lien en accès libre). Toutes les séquences d’ARNs, d’ADNs et de protéines sont publiées et disponibles dans une base de données internationale gérée par le NIH et Perez a effectué un travail non pas de bénédictin mais essentiellement informatique néanmoins très laborieux pour ne découvrir que des analogies de séquences particulièrement troublantes.
Je ne citerai que quelques exemples significatifs parmi des dizaines d’autres analogies de séquences et c’est un domaine que je connais pour avoir été confronté à ce type de situation lorsque j’avais purifié une petite protéine issue de placenta humain dont la nature était suivie à l’aide d’un immun-sérum dirigé contre le précurseur de l’ACTH et des beta-endorphines qui me conduisit après étude de la séquence de cette protéine à découvrir qu’il s’agissait d’un fragment d’immunoglobuline de sang fœtal. La publication de ces travaux dans la revue Science fit l’objet d’une violente polémique car elle remettait en cause tout un aspect de la science immunologique qui était convaincue de ses certitudes … La science est toujours remise en cause, c’est sa nature première, seule le doute fait progresser la science sauf semble-t-il la science climatique onusienne considérée comme définitive.
Les premières analogies concernent trois protéines présentant des analogies avec les « prion-like proteins » en d’autres termes ces protéines résultant d’erreurs de lecture des ribosomes sont artificielles et elles sont potentiellement capables de provoquer des symptômes neurologiques type « vache folle ». Cette étude de Perez est déjà confirmée par 26 cas de maladies de Creutzfeldt-Jakob avérées apparues à la suite d’actes de vaccination. Il y a également d’autres analogies troublantes dont les effets sur l’organisme humain sont totalement inconnues : une analogie avec une nucléase de Parabacteroides et également de Tannereliaceae (je n’ai fait que recopier les mentions de l’article de Perez), une analogie avec une métallopeptidase de Treponema …
(Perspectives : dans la cinquième partie de cette série, je changerai de vitesse, examinerai l'option 3 de la figure et demanderai si le virus tueur présumé est le résultat d'une campagne de leurre délibérée) .
L' original en anglais est ici sur Substack par Dr. Trouvez Siguna Mueller . Traduction en allemand par TKP.
Autres articles de la série :
L'analyse rationnelle de nouvelles expériences sur des virus cérébraux mortels révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés (PARTIE I) Une analyse rationnelle des nouvelles expériences avec le virus mortel du cerveau révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés. DEUXIEME PARTIE Les expériences sur les virus cérébraux sont hautement contre-productives
Une fois qu’une urgence de santé publique est déclarée par l’Organisation mondiale de la santé, tous les États signataires doivent se soumettre à l’autorité de l’OMS. Cela signifie que les pays doivent s’en remettre à l’OMS en ce qui concerne les traitements, les confinements, les exigences en matière de vaccins et la surveillance gouvernementale.
Ces pouvoirs prévaudraient sur la constitution dans la plupart des États. En Autriche, un référendum serait absolument nécessaire car il impliquerait une modification globale de la constitution, comme le dit le Dr. Georg Prchlik l'a analysé dans un article du TKP .
(...) Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a lancé cet avertissement lors d'une conférence de presse au cours de laquelle il a appelé les dirigeants du monde à restreindre la liberté d'expression en public. (...) !!!!!!!!!
Pourquoi les gouvernements européens exhortent-ils les citoyens à stocker des médicaments sur ordonnance ?
PAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE
Les gouvernements européens craignent une pénurie de médicaments sur ordonnance – demandent instamment la constitution de stocks
La question de savoir si vous devez ou non vous préparer à une pénurie de médicaments sur ordonnance n’est pas une question qui a fait l’objet d’une grande couverture ici aux États-Unis, et ce n’est pas non plus une question qui semble préoccuper l’administration Biden.
En Europe, cependant, le problème n’attire pas seulement l’attention des médias : certains gouvernements européens encouragent même les citoyens à stocker des médicaments sur ordonnance. Extrait de l'édition Europe de Politico,
Dans toute la Suède, des publicités invitent les patients atteints de maladies chroniques à s’assurer qu’ils disposent d’au moins un mois de médicaments à la maison. « L'auto-préparation fait partie du travail de la société visant à garantir l'accès des patients aux médicaments », déclare en ligne le Conseil national de la santé et de la protection sociale.
Cette campagne fait partie de la tentative de la Suède d'empêcher une répétition des dangereuses pénuries de médicaments auxquelles l'Europe a été confrontée l'hiver dernier.
Et ce n'est pas seulement en Suède,
L'Allemagne, par exemple, a imposé des stocks obligatoires de médicaments pour au moins six mois à tous les fabricants.
Les Européens s’inquiètent à juste titre des pénuries
Les dirigeants européens font plus que simplement réagir à une crise hypothétique : ils agissent après que le continent ait été confronté à des pénuries massives de médicaments l’hiver dernier.
Les consommateurs européens, tout comme les consommateurs américains, dépendent d’une chaîne d’approvisionnement pharmaceutique presque entièrement reprise par les Chinois.
Comme l'a souligné le sénateur Marco Rubio (R-FL) dans un rapport de 2019, avant le COVID,
Les décideurs politiques chinois visent à faire de l’industrie biotechnologique chinoise l’armoire à pharmacie du monde. Dans une large mesure, ils ont déjà réussi à dominer le bas de la chaîne de valeur des technologies pharmaceutiques et médicales. 80 pour cent des ingrédients pharmaceutiques actifs (API) des médicaments présents sur le marché américain proviennent de l’étranger, principalement de Chine et d’Inde. Dans le cas de médicaments plus anciens à faibles marges bénéficiaires, les fabricants chinois ont souvent repris entièrement la production des sociétés occidentales. Les fabricants chinois sont déjà les seuls fournisseurs de nombreux médicaments API et bas de gamme.
Depuis le COVID, cette dépendance à l’égard de la Chine pour les médicaments sur ordonnance n’a fait qu’empirer – et à mesure que les tensions s’intensifient entre les États-Unis et la Chine, la possibilité que les Chinois utilisent cet effet de levier à leur avantage devient de plus en plus préoccupante :
Les experts suggèrent que la croissance du commerce pharmaceutique entre les États-Unis et la Chine pose un risque sérieux, car les relations conflictuelles pourraient entraîner la fermeture des chaînes d’approvisionnement. Il n’est pas irréaliste que les produits pharmaceutiques puissent être utilisés comme une arme dans une guerre commerciale, comme cela a été suggéré lors de négociations stratégiques chinoises antérieures. De plus, la FDA exerce moins de surveillance sur les installations chinoises, ce qui soulève des questions sur la sécurité des fabricants étrangers.
Comment vous protéger contre les pénuries de médicaments sur ordonnance ? SOYEZ PRÉPARÉ !
Alors, si nos dirigeants n’interviennent pas et ne brisent pas l’emprise de la Chine sur les médicaments d’ordonnance, que peuvent faire les individus pour rester en sécurité et en bonne santé ? La solution est à préparer. C’est là qu’intervient The Wellness Company.
La Wellness Company et ses grands médecins – comme le Dr Peter McCullough, le Dr Drew, le Dr Harvey Risch et le Dr Jim Thorp – sont régulièrement dans les médias pour lutter contre l’establishment médical brisé.
Le Dr Thorp, l’un des principaux critiques nationaux des grandes sociétés pharmaceutiques corrompues, estime que maintenant – plus que jamais – les gens devraient se préparer à la prochaine pandémie :
« J’ai fortement recommandé de « stocker » les médicaments essentiels, notamment les antibiotiques, depuis le début du siècle. Il s’agit d’un investissement incroyable dont de nombreux amis, membres de la famille et patients en ont bénéficié. Aujourd’hui, à l’hiver 2024, cette recommandation est encore plus cruciale.»
La Wellness Company et ses médecins sont des professionnels de la santé en qui vous pouvez avoir confiance et leurs nouvelles trousses médicales d'urgence sont la référence en matière de sécurité et de santé.
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Ne soyez pas pris au dépourvu face à ce que le WEF a en tête. Ne comptez pas sur un complexe médico-industriel brisé et corrompu. Ne regrettez pas de ne pas avoir agi aujourd’hui.
Plusieurs médicaments courants sont liés à la démence
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 JANVIER 2024 - 08h45 Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Il est bien connu que la démence est souvent le résultat du vieillissement. Cependant, cela peut parfois être causé par des médicaments.
Démence d'origine médicamenteuse, le regretté neurologue et neurochirurgien K.K. Jain a écrit, est un type de démence réversible différent des troubles neurodégénératifs courants.
Plusieurs médicaments augmentent les risques de démence, les plus importants étant les médicaments anticholinergiques, les antiépileptiques, les médicaments oncologiques et les médicaments sédatifs-hypnotiques. Ce sont toutes des prescriptions courantes pour les personnes âgées.
Ces dernières années, les antidépresseurs ont également été associés à des risques de démence.
Le lien entre la démence et les médicaments courants Le psychiatre Dr Peter Breggin, qui a publié plusieurs livres sur la psychopharmacologie, a déclaré à Epoch Times que la plupart des médicaments sur le marché présentent un certain degré de neurotoxicité, ce qui peut entraîner des effets secondaires cognitifs et neurologiques.
Tout le monde ne sera pas affecté par les effets neurotoxiques d’un médicament, même si les personnes âgées et celles souffrant de déficits cérébraux sont plus vulnérables.
Avec les maladies qui apparaissent à un âge avancé et les pilules prescrites pour traiter chaque symptôme, les personnes âgées ont également tendance à être la cohorte la plus susceptible de se voir prescrire des médicaments qui endommagent leur cognition.
Par exemple, de nombreux médicaments prescrits pour traiter la maladie de Parkinson sont associés à des risques de démence, car ils bloquent l’acétylcholine dans le cerveau afin de prévenir les tremblements et les mouvements brusques chez les patients. L'acétylcholine est un neurotransmetteur qui facilite également la fonction cognitive.
Il a également été démontré dans des études que les inhibiteurs de la pompe à protons, souvent prescrits pour traiter les brûlures d’estomac, augmentent de 44 % les risques de démence.
Dans la littérature, la classe de médicaments la plus connue pouvant induire la démence est celle des médicaments anticholinergiques.
Les anticholinergiques bloquent la libération d'acétylcholine. Dès 1977, des expériences utilisant l’anticholinergique scopolamine ont montré que 40 minutes après l’administration du médicament, de jeunes volontaires médicaux d’une vingtaine d’années manifestaient des symptômes s’apparentant à ceux de la démence et avaient plus de mal à se souvenir des choses qu’ils venaient d’apprendre.
Les médicaments anticholinergiques bloquent les mouvements musculaires autonomes et diverses fonctions corporelles et sont souvent prescrits pour les crampes et les spasmes de divers organes. Ils fonctionnent également comme sédatifs.
Le neuroscientifique Dayan Goodenowe, titulaire d'un doctorat en médecine et en psychiatrie, a expliqué dans l'émission « Vital Signs » d'Epoch TV que le système acétylcholine est le même système qui contrôle la cognition et la mobilité, deux fonctions majeures altérées dans la démence.
Lorsque les neurones deviennent incapables de libérer de l’acétylcholine, soit en raison de l’âge, soit à cause des effets des médicaments, leur contact avec les autres neurones est réduit. Les neurones et le cerveau commencent alors à rétrécir.
Cela a également été observé dans une recherche publiée par Shannon Risacher, professeure à l'Université d'Indiana, titulaire d'un doctorat en neurosciences médicales. Elle a découvert que les personnes prenant des médicaments anticholinergiques présentaient une diminution plus importante du volume global du cerveau.
"L'utilisation de médicaments ayant une activité anticholinergique significative devrait probablement être découragée chez les personnes âgées si des thérapies alternatives sont disponibles", ont écrit Mme Risacher et ses co-auteurs dans une étude de JAMA Neurology.
Des exemples de médicaments anticholinergiques comprennent la diphenhydramine, le composé actif de Benadryl, Tylenol PM et Advil PM. Ils comprennent également des médicaments courants contre la maladie de Parkinson, comme la benztropine, le trihexyphénidyle, etc.
L'acétylcholine diminue naturellement avec le vieillissement, c'est pourquoi M. Goodenowe et son équipe ont tenté de trouver des traitements qui augmentent les niveaux d'acétylcholine dans le cerveau sans compromettre la fonction cérébrale globale.
Antidépresseurs, autres médicaments et polypharmacie Il a également été démontré que les antidépresseurs, les antiépileptiques, les sédatifs hypnotiques et les opioïdes augmentent le risque de démence. Ceux-ci, ainsi que les médicaments antiparkinsoniens, sont tous psychoactifs.
La fonction principale des antidépresseurs est de bloquer les neurotransmetteurs tels que la sérotonine au lieu de l'acétylcholine. Cependant, ces médicaments ont toujours de puissantes propriétés anticholinergiques et, lorsqu’ils sont pris avec d’autres anticholinergiques, pourraient augmenter la charge globale, induisant potentiellement des effets secondaires de délire et de démence.
Les personnes âgées atteintes de démence se voient souvent prescrire des antidépresseurs, des antiépileptiques et des sédatifs pour les aider à gérer la dépression et l'agressivité qui peuvent survenir.
Cependant, le Dr Breggin a souligné qu'il est ironique que les médicaments prescrits aux patients pour améliorer ces conditions puissent très bien aggraver leur maladie.
Les médicaments non prescrits pour le traitement psychoactif ont également été associés à la démence.
Il a été démontré que les bloqueurs de l'histamine (H1) de type 1, prescrits pour contrôler les allergies, augmentent le risque de démence chez certaines personnes. Comparés aux bloqueurs de l'histamine (H2) de type 2, certains bloqueurs H1 peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique et empêcher la libération d'acétylcholine.
De plus, la prescription de plusieurs médicaments à un patient – une pratique connue sous le nom de polypharmacie – peut entraîner des effets indésirables cumulatifs.
"Le fait qu'un patient développe ou non des troubles cognitifs lorsqu'on lui prescrit un médicament particulier doté de propriétés anticholinergiques est imprévisible et dépend de facteurs tels que les co-médicaments qui peuvent avoir des effets anticholinergiques", expliquent les Drs. Alan Moore et Shaun O'Keefe, professeurs de médecine gériatrique, ont écrit dans leur article sur les effets neurologiques induits par les médicaments.
"Des études ont suggéré que c'est souvent la charge totale des médicaments anticholinergiques qui détermine le développement du délire plutôt que n'importe quel agent seul", ont-ils ajouté.
Le cerveau complexe Alors que de nombreux médicaments psychoactifs sur le marché tentent de « réparer » le cerveau, la manière dont cet organe est censé fonctionner au départ reste en grande partie un mystère.
Les médicaments psychoactifs sont souvent prescrits pour corriger les déséquilibres chimiques du cerveau, mais les chercheurs ne savent pas à quoi ressemble réellement l’état normal du cerveau, comme l’a illustré le professeur Avram Holmes de l’Université de Yale dans son commentaire de 2018 sur le cerveau n’ayant « aucun état normal fixe ».
"Il existe des centaines de neurotransmetteurs que nous ignorons et peut-être des milliers de transmetteurs", a déclaré le Dr Breggin. "Nous n'en avons que quelques-uns qui sont profondément affectés par les drogues psychotropes, et [ceux-là sont ceux que nous] pourrions étudier parce que les sociétés pharmaceutiques de l'industrie pharmaceutique paient pour cela."
Le Dr Breggin soutient que les médicaments psychoactifs, qui visent à remédier aux déséquilibres biochimiques dans le cerveau, provoquent en réalité une inadaptation encore plus grande du cerveau.
Il a donné l'exemple des ISRS, qui augmentent les niveaux de sérotonine en bloquant l'élimination de la sérotonine.
Il a observé que le cerveau subit deux changements pendant le traitement : il réduit la production de sérotonine et réduit la puissance du système d'élimination de la sérotonine.
Malade à mort : aliments malsains et technologies défaillantes
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 29 janvier 2024
Le monde traverse une crise alimentaire et sanitaire liée aux micronutriments. Les carences en micronutriments touchent désormais des milliards de personnes. Les micronutriments sont des vitamines et des minéraux essentiels, et leurs carences peuvent entraîner de graves problèmes de santé. Ils sont importants pour diverses fonctions, notamment la coagulation sanguine, le développement du cerveau, le système immunitaire, la production d’énergie et la santé des os, et jouent un rôle essentiel dans la prévention des maladies.
La racine de la crise est due à une dépendance accrue à l'égard d'aliments ultra-transformés (« malbouffe ») et à la manière dont les cultures vivrières modernes sont cultivées en termes de semences utilisées, de plantes produites, d'intrants synthétiques nécessaires (engrais, pesticides, etc. ) et les effets sur le sol.
En 2007, le thérapeute nutritionnel David Thomas a noté un changement précipité aux États-Unis vers des aliments prêts à l'emploi et préparés à l'avance, souvent dépourvus de micronutriments vitaux, mais remplis d'un cocktail d'additifs chimiques, notamment des colorants, des arômes et des conservateurs.
Il a noté qu'entre 1940 et 2002, le caractère, les méthodes de culture, la préparation, l'origine et la présentation finale des produits de base ont considérablement changé, à tel point que la teneur en oligo-éléments et en micronutriments a été gravement épuisée. Thomas a ajouté que les recherches en cours démontrent clairement une relation significative entre les carences en micronutriments et la mauvaise santé physique et mentale.
Avant la Révolution verte, bon nombre des cultures plus anciennes qui ont été déplacées contenaient des quantités de nutriments par calorie considérablement plus élevées. Par exemple, la teneur en fer du mil est quatre fois supérieure à celle du riz, et l’avoine contient quatre fois plus de zinc que le blé. En conséquence, entre 1961 et 2011, les teneurs en protéines, en zinc et en fer des céréales directement consommées dans le monde ont diminué respectivement de 4 %, 5 % et 19 %.
Les auteurs d'un article publié en 2010 dans l'International Journal of Environmental and Rural Development affirment que les systèmes de culture promus par la Révolution verte ont entraîné une réduction de la diversité des cultures vivrières et une diminution de la disponibilité des micronutriments. Ils notent que la malnutrition en micronutriments entraîne une augmentation des taux de cancer, de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de diabète et d'ostéoporose dans de nombreux pays en développement. Ils ajoutent que les sols sont de plus en plus touchés par des troubles en micronutriments.
En 2016, l'Institut central indien de recherche et de formation sur la conservation des eaux souterraines a rapporté que le pays perdait 5 334 millions de tonnes de terre chaque année en raison de l'érosion du sol en raison de l'utilisation indiscrète et excessive d'engrais, d'insecticides et de pesticides au fil des ans. En moyenne, 16,4 tonnes de terres fertiles sont perdues chaque année par hectare. Il a conclu que l' utilisation non judicieuse d'engrais synthétiques avait conduit à une détérioration de la fertilité des sols, entraînant une perte de micro et macronutriments, conduisant à des sols pauvres et à de faibles rendements.
La Révolution verte, à forte intensité d’intrants et de produits chimiques, avec ses semences hybrides, ses engrais et pesticides synthétiques, a contribué à la transition vers une plus grande monoculture et a abouti à des régimes alimentaires moins diversifiés et à des aliments moins nutritifs . Son impact à long terme a conduit à une dégradation des sols et à des déséquilibres minéraux, qui, à leur tour, ont eu des effets néfastes sur la santé humaine.
Mais l’épuisement des micronutriments n’est pas seulement dû au déplacement d’aliments de base riches en nutriments dans l’alimentation ou à des sols malsains. Prenez le blé, par exemple. Rothamsted Research au Royaume-Uni a évalué la concentration en minéraux d'échantillons de grains de blé et de sol archivés provenant de l'expérience sur le blé Broadbalk. L'expérience a débuté en 1843 et leurs résultats montrent une tendance à la baisse significative des concentrations de zinc, de cuivre, de fer et de magnésium dans les grains de blé depuis les années 1960.
Les chercheurs affirment que les concentrations de ces quatre minéraux sont restées stables entre 1845 et le milieu des années 1960, mais ont depuis diminué de manière significative de 20 à 30 %. Cela a coïncidé avec l’introduction des cultivars semi-nains à haut rendement de la révolution verte. Ils ont noté que les concentrations dans le sol utilisé dans l'expérience ont augmenté ou sont restées stables. Donc, dans ce cas, le sol n’est pas le problème.
Un article de 2021 paru dans la revue Environmental and Experimental Botany rapportait que la forte augmentation de la proportion de la population mondiale souffrant de carences en zinc et en fer au cours des quatre dernières décennies s'est produite depuis la Révolution verte et l'introduction de ses cultivars.
Reflétant les conclusions de Rothamsted Research au Royaume-Uni, une étude récente menée par des scientifiques du Conseil indien de la recherche agricole a révélé que les céréales consommées en Inde avaient perdu leur valeur alimentaire. Ils concluent que de nombreuses cultures actuelles ne parviennent pas à absorber suffisamment de nutriments, même lorsque le sol est sain.
Un article récent sur le site Web Down to Earth a fait état de cette étude selon laquelle le riz et le blé, qui couvrent plus de 50 % des besoins énergétiques quotidiens des Indiens, ont perdu jusqu'à 45 % de leur valeur alimentaire au cours des 50 dernières années. ou alors.
La concentration de nutriments essentiels comme le zinc et le fer a diminué respectivement de 33 % et 27 % dans le riz et de 30 % et 19 % dans le blé. Dans le même temps, la concentration d’arsenic, un élément toxique, dans le riz a augmenté de 1 493 %.
Down to Earth cite une étude du Conseil indien de la recherche médicale qui indique une augmentation de 25 % des maladies non transmissibles au sein de la population indienne entre 1990 et 2016. Les estimations montrent que l'Inde abrite un tiers des deux milliards d'habitants de la planète qui souffrent de carence en micronutriments. En effet, les cultivars modernes de riz et de blé sont moins efficaces pour séquestrer le zinc et le fer, quelle que soit leur abondance dans les sols. Les plantes ont perdu leur capacité à absorber les nutriments du sol.
Il a été démontré que la prévalence croissante du diabète, de la leucémie infantile, de l’obésité infantile, des troubles cardiovasculaires, de l’infertilité, de l’ostéoporose et de la polyarthrite rhumatoïde, des maladies mentales, etc., ont tous un lien direct avec l’alimentation et en particulier avec les carences en micronutriments.
La forte augmentation de la proportion de la population mondiale souffrant de carences en zinc et en fer au cours des quatre dernières décennies a coïncidé avec l’expansion mondiale de cultivars de céréales à haut rendement et sensibles aux intrants, lancés après la Révolution verte.
L'analyste agricole et politique Devinder Sharma affirme qu'un rendement élevé est inversement proportionnel à la nutrition des plantes : la baisse des niveaux de nutrition est telle que les nouvelles variétés de blé à haut rendement ont vu une forte baisse de la teneur en cuivre, un oligo-élément essentiel, d'autant 80 %, et certains nutritionnistes attribuent cela à une augmentation des incidences liées au cholestérol dans le monde.
L'Inde est autosuffisante en divers produits de base, mais bon nombre de ces produits alimentaires sont riches en calories et en nutriments, ce qui a conduit au remplacement de systèmes de culture plus diversifiés sur le plan nutritionnel et de cultures plus denses en nutriments.
Il ne faut pas négliger ici l’importance de l’agronome William Albrecht et de son travail en faveur de sols sains et d’humains sains. Dans ses expériences, il a découvert que les vaches nourries avec des cultures moins riches en nutriments mangeaient davantage, tandis que celles qui mangeaient de l'herbe riche en nutriments arrêtaient de manger une fois leur apport nutritionnel satisfait. C’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles nous constatons une augmentation des taux d’obésité à une époque d’insécurité alimentaire en matière de micronutriments.
Il est intéressant de noter que, compte tenu de la discussion ci-dessus sur les impacts négatifs de la révolution verte sur la nutrition, l'article New Histories of the Green Revolution (2019) du professeur Glenn Stone démystifie l'affirmation selon laquelle la révolution verte a stimulé la productivité : elle a simplement mis davantage (de nutriments) sur la nutrition. -déficient) dans l'alimentation indienne au détriment des autres cultures vivrières. Stone soutient que la productivité alimentaire par habitant n’a pas augmenté, voire a même diminué.
Dans cette optique, le tableau ci-dessous constitue une lecture intéressante. Les données sont fournies par le Conseil national de la productivité de l'Inde (un organisme autonome du Département de la promotion de l'industrie et du commerce intérieur du ministère du Commerce et de l'Industrie).
- voir cadre sur site -
Comme mentionné précédemment à propos d’Albrecht, l’obésité est devenue une préoccupation dans le monde entier, y compris en Inde. Ce problème est multidimensionnel et, comme nous l'avons évoqué, l'apport calorique excessif et les aliments pauvres en nutriments (ainsi que les modes de vie sédentaires) sont un facteur conduisant à la consommation d'aliments ultra-transformés sucrés et riches en graisses dans le but de combler le déficit nutritionnel. . Mais il existe également de nombreuses preuves reliant l’exposition humaine aux produits agrochimiques à l’obésité.
L'article de septembre 2020 Agrochemicals and Obesity dans la revue Molecular and Cellular Endocrinology résume les preuves épidémiologiques humaines et les études expérimentales sur les animaux soutenant l'association entre l'exposition agrochimique et l'obésité et décrit les fondements mécanistes possibles de ce lien.
De nombreuses autres études ont également montré que l’exposition aux pesticides était associée à l’obésité et au diabète. Par exemple, un article publié en 2022 dans la revue Endocrine rapporte que le premier contact avec des pesticides environnementaux se produit pendant des phases critiques de la vie, telles que la gestation et la lactation, ce qui peut entraîner des dommages aux tissus centraux et périphériques et par la suite des troubles de programmation tôt et plus tard dans la vie.
Un article publié en 2013 dans la revue Entropy sur les voies d'accès aux maladies modernes a rapporté que le glyphosate (l'ingrédient actif du Roundup de Monsanto) et l'herbicide le plus populaire utilisé dans le monde, renforce les effets néfastes d'autres résidus chimiques d'origine alimentaire et de toxines environnementales. L'impact négatif est insidieux et se manifeste lentement au fil du temps, à mesure que l'inflammation endommage les systèmes cellulaires dans tout le corps, entraînant des conditions associées à un régime alimentaire occidental, notamment des troubles gastro-intestinaux, l'obésité, le diabète, les maladies cardiaques, la dépression, l'autisme, l'infertilité, le cancer et la maladie d'Alzheimer. .
Malgré ces résultats, la militante Rosemary Mason a attiré l’attention sur la manière dont les discours officiels du gouvernement et de l’industrie tentent de détourner l’attention du rôle du glyphosate dans l’obésité (et d’autres pathologies) en exhortant le public à faire de l’exercice et à réduire sa consommation de « biscuits ». Dans un article récent, Kit Knightly sur le site Web OffGuardian note comment les grandes sociétés pharmaceutiques tentent d'individualiser l'obésité et de gagner des millions en promouvant leurs « remèdes médicaux » contre cette maladie.
Pour remédier aux carences en micronutriments, d’autres initiatives lucratives pour l’industrie sont encouragées, notamment la biofortification des aliments et des plantes et le génie génétique.
Les récits de l'industrie n'ont rien à dire sur le système alimentaire lui-même, qui considère la « nourriture » comme un simple produit de plus à utiliser dans un but lucratif, quels que soient les impacts sur la santé humaine ou l'environnement. Nous assistons simplement au déploiement d’un plus grand nombre de « solutions » technologiques censées remédier aux impacts des « innovations » et des décisions politiques précédentes qui ont profité aux résultats financiers de l’agro-industrie occidentale (et des grandes sociétés pharmaceutiques).
Les solutions technologiques rapides n’offrent pas de véritables solutions aux problèmes décrits ci-dessus. De telles solutions impliquent de remettre en question le pouvoir des entreprises qui façonne les récits et les politiques en fonction de leur agenda. Une alimentation saine, des personnes en bonne santé et des sociétés saines ne peuvent pas être créées dans un parc des sciences de la vie en constante expansion, spécialisé dans la manipulation de la nourriture et du corps humain (pour le profit des entreprises) sous la bannière de « l'innovation » et de la « santé », tout en laissant intactes les relations de pouvoir. qui sous-tendent la mauvaise alimentation et la mauvaise santé.
Une refonte radicale du système alimentaire est nécessaire, depuis la manière dont les aliments sont cultivés jusqu’à la manière dont la société doit être organisée. Cela implique de créer la souveraineté alimentaire, d'encourager le localisme, les marchés locaux et les chaînes d'approvisionnement courtes, de rejeter la mondialisation néolibérale, de soutenir l'agriculture des petits exploitants et la réforme agraire et d'encourager les pratiques agroécologiques qui renforcent la fertilité des sols, utilisent et développent des variétés locales hautement productives et se concentrent plutôt sur la nutrition par acre. qu'une augmentation de la taille des grains, du « rendement » et du « rendement ».
C'est ainsi que l'on crée une alimentation saine, des personnes et des sociétés saines.
Le Cirque du WEF Davos 2024 : leur seul objectif est de « réduire massivement la population mondiale »
Par Peter Koenig Recherche mondiale 30 janvier 2024
L'auteur du brillant article en espagnol « Platicando en Davos » (Parler à Davos), le Dr Victor Andrés Belaunde Gutiérrez, est un avocat péruvien et analyste international. Il a porté un dernier coup plutôt dévastateur – une vision latino-américaine – au WEF, Davos 24. Est-il représentatif de toute l’Amérique latine ?
Probablement pas. Mais pour un large segment de personnes alertes, y compris de nombreux dirigeants d’entreprises latino-américaines et même certains dirigeants de pays, les paroles de M. Belaunde peuvent parler avec leur cœur. Prenez Javier Milei, le président nouvellement élu de l'Argentine, qui a été invité à Davos et a prononcé un discours brillant auquel Klaus Schwab et de nombreux membres du clan du WEF ne s'attendaient probablement pas.
Peut-être que les paroles du président Milei et de Victor Belaunde font partie de la goutte d’eau qui a fait déborder le vase du WEF.
Le cirque du WEF dure depuis trop longtemps – 54 ans. Les organisateurs et les participants du WEF s'éloignent de plus en plus de la réalité, alors qu'ils n'ont qu'un seul objectif : réduire massivement la population mondiale, afin que les ressources naturelles restantes de la Terre Mère servent « pour toujours » à une petite élite, au lieu de être avalés par des « mangeurs inutiles », qui peuvent rapidement être remplacés par des robots, des transhumains (survivants humains pucés) et l’intelligence artificielle (IA).
Une fois qu'il ne restera plus qu'une fraction des 8 milliards d'habitants de la planète – et, oui, c'est l'objectif déjà énoncé par le Club de Rome (une invention de Rockefeller) dans son rapport de 1972 « Limite à la croissance », puis énoncé dans le livre d'Henry Kissinger. Rapport de 1974 sur le « Mémorandum d'étude sur la sécurité nationale (NSSM) 200 ». Kissinger était alors secrétaire d’État du président Nixon. (les deux rapports peuvent être téléchargés, pdf)
Malheureusement, au cours des dernières décennies, motivés par certains désirs bien réfléchis d'aider les autres, et d'autres par le désir d'appartenir à une caste privilégiée, les principaux dirigeants mondiaux du monde occidental ont abandonné le modèle de liberté pour différentes versions de ce que nous appelons le collectivisme. (…) »
L'avocat péruvien commente brièvement que M. Milei a raison : Ceux qui doivent défendre le capitalisme démocratique sont ceux qui l'enterrent, dans la plupart des cas, par pure frivolité :
« Je cite seulement ses mots d’ouverture [du président Milei] parce qu’ils résument l’objet des pourparlers, des conversations de Davos. Les gens qui ont atteint les plus hauts rangs en termes de statut et de richesse grâce au capitalisme libéral et démocratique promeuvent des idées qui, une fois mises en œuvre, le détruiront.
« De plus, les manifestations de frivolité et de médiocrité intellectuelle qu'émet le célèbre forum sont de plus en plus scandaleuses. Par exemple, l'impression que font les trafiquants de prostituées lors de ces réunions – pourquoi pas des orgies alors qu'on sauve le monde avec 2100 euros la nuit, des dames ?
« Ce n’est peut-être pas le meilleur exemple car c’est le métier le plus ancien au monde.
«Mais le spectacle pitoyable d'une prétendue sorcière, sorcière ou Dieu sait quoi, émettant des sons et crachant au visage de certains panélistes, est décidément pathétique [ndlr PK : un rituel culte].
«Je ne peux pas concevoir comment une personne qui a une quelconque notion de respect de soi pourrait tolérer de participer à des farces [sectaires] de ce calibre.
« Les personnes qui participent volontairement et applaudissent à de telles farces peuvent-elles être reconnues comme sérieuses ?
N'ont-ils aucune honte ? Est-ce parce que leur besoin d’appartenir aux gens cool de la planète est si puissant ? – Est-ce que le cool et le sophistiqué sont désormais inévitablement ridicules et honteux ?
*
L’avocat péruvien et analyste international Victor Belaunde a introduit sa conclusion sur le rôle déclinant et toujours plus dévastateur du WEF pour l’économie mondiale, par les mots suivants :
« Chaque année à Davos, en Suisse, les sommités de notre planète, les membres d'une supposée élite mondiale, se réunissent au soi-disant Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse.
« Le WEF est le fruit de l’imagination de l’exécutif allemand Klaus Schwab, qui, avec une immense compétence, a créé une cohorte relativement restreinte d’élitistes politiques et d’affaires, qui étaient et deviennent immensément riches au fil du temps.
"M. Schwab est le partisan d’une philosophie économique et commerciale particulière, dont la cohérence avec le capitalisme libéral et démocratique est hautement discutable. La grande majorité des participants ne s'arrêtent pas pour réfléchir sur ce point, s'intéressant uniquement à l'opportunité d'améliorer leurs relations publiques personnelles et de se côtoyer au plus haut niveau.
« Si vous arrivez à Davos, vous y êtes ! »
« Quelle est cette philosophie incompatible avec le capitalisme libéral et démocratique ?
« Il s’agit de ce qu’on appelle le capitalisme des parties prenantes, un terme popularisé dans toutes les langues et interprété comme signifiant « parties intéressées ».
« Mais qui sont ces « parties prenantes » et qu’entendent-ils par « parties prenantes » ? – Les parties prenantes sont toutes les personnes et entités qui ont un « intérêt » dans les activités d’une entreprise ou dans le développement d’un projet. Jusqu’à présent, tout cela semble très beau, moderne, inclusif et démocratique, mais ce n’est pas le cas.
« Le capitalisme est basé sur le respect de la propriété privée. Cependant, ce système de parties prenantes relègue les actionnaires des entreprises, c'est-à-dire leurs propriétaires, dans une position impossible à distinguer de celle de toute autre partie prenante.
M. Belaunde prend l’exemple d’une « communauté » ou d’une ONG, qui sont toutes deux des « parties prenantes », selon le concept du WEF. Mais en suivant leurs lois et statuts, nous devons défendre les consommateurs de la région. Cette « philosophie », selon Belaunde, détruit la possibilité de développer des entreprises privées.
Pourquoi alors, se demande Belaunde, tant de cadres assistent-ils volontiers à ces conclaves qui promeuvent des idées incompatibles avec la liberté économique ? La réponse est simple. Le pouvoir économique passe progressivement des propriétaires de l’entreprise aux salariés, qui deviennent peu à peu des castes auto-entretenues qui captent les entités pour lesquelles ils travaillent.
"Cela ressemble à une forme subtile de marxisme", intimide M. Belaunde, estimant que cela va justement à l'encontre de l'idée du WEF.
*
L’essentiel est un rapport dévastateur sur le WEF Davos24, en particulier, et sur le WEF et ses objectifs infâmes en général.
Cela devrait être une source d’inspiration supplémentaire pour nous, le peuple, en Amérique latine et dans le monde, pour nous lever et mettre fin au génocide destructeur de cette civilisation émergente, lancé encore et encore par le Forum économique mondial et ses gestionnaires et partisans.
La source originale de cet article est Global Research.
Sommes-nous trop ,ombreux sur Terre ? Non ! On pourrait y être 10 fois plus sans aucune pénuries alimentaires ni énergétique. Mais, de trop riches personnes qui ne savent pas quoi faire de leur pédocratie de psychopathe se réunissent en Suisse (seule Démocratie au monde) pour discuter sur les prochains assassinats souhaités par tous et le comment s'y prendre pour dire que c'est pour votre bien !
Par Jeff Thomas Homme international 30 janvier 2024
Klaus Schwab est né dans l'Allemagne nazie en 1938. Peu d'informations sont disponibles sur son éducation – c'est-à-dire sur le degré auquel il a été éduqué pour croire à la doctrine nazie – mais quoi qu'on lui ait enseigné dans sa jeunesse, il est aujourd'hui l'un des les plus ardents croyants et partisans du régime totalitaire.
Le terme « nazi » fait référence au Nationalsozialistisch, ou « national-socialisme », et son concept général était le fascisme – un concept qui englobait un système économique corporatiste, un système politique socialiste et un régime totalitaire.
Bien que cette description puisse paraître plutôt alambiquée, le concept était considéré par Wall Street et une grande partie du gouvernement américain dans les années 1930 comme la voie de l’avenir. À tel point qu’ils ont fourni un soutien financier et logistique considérable à l’Allemagne nazie dans les années 1930 et même jusque dans les années 1940.
Après la guerre, seule une poignée d’Allemands furent poursuivis pour crimes de guerre lors des procès de Nuremberg. D’innombrables autres ont été embauchés par l’industrie américaine et le gouvernement après la guerre, pour former l’industrie américaine à la méthodologie allemande.
Pendant de nombreuses années après la guerre, les concepts nazis sont restés sous les radars, mais ces dernières années, ils sont devenus une force majeure non seulement aux États-Unis, mais aussi dans les États alliés des États-Unis : le Canada, l'Australie, le Royaume-Uni et, plus particulièrement, les États-Unis. UE.
Les concepts de base sont éternels dans leur attrait pour ceux qui cherchent à dominer :
Créez une classe supérieure de ceux qui occupent des positions élevées à la fois dans l’industrie et en politique. Paralyser économiquement la classe moyenne, afin qu’elle n’ait plus le pouvoir de prendre ses propres décisions de vie. Offrir une dépendance considérablement accrue à l’égard de l’État pour soulager les difficultés économiques créées par l’État. Supprimer les libertés, en échange de promesses de largesses de la part de l’État. Instituer un État policier et un régime totalitaire pour garantir la pérennité du nouveau paradigme. Une fois que les contrôles seront pleinement mis en œuvre et que la population sera devenue dépendante du nouveau système, commencez à supprimer les droits promis. L’idée derrière ce dernier point est qu’une fois que la population sera totalement dépendante de l’État, elle aura perdu le pouvoir de s’opposer ou de se rebeller si ses droits lui sont supprimés. Ils sont alors pleinement dominés.
Le gouvernement aura le contrôle total de tous les aspects de votre vie, ainsi que la tâche d’éliminer tous les obstacles à votre bonheur.
Ça a l'air merveilleux. Où puis-je m'inscrire ?
Mais si nous nous arrêtons et réfléchissons un instant, nous souhaiterons peut-être poser quelques questions.
D’une part, vous renoncez à tous vos droits au début de la transaction. Vous aurez perdu tous vos biens et toutes vos libertés. Vous serez dépendant à 100% de l'État. Leur part de l’accord doit être livrée en aval.
Mais une fois qu’on est totalement dépendant et qu’on ne peut plus s’extirper du deal, plus rien ne les empêche de retirer le bol à punch… Oh-oh.
Toutes les choses qui ont été promises peuvent être retirées une à une, jusqu’à ce que vous soyez à la fois serviles et appauvris. Il vous manquera la capacité de vous rebeller ou même de vous plaindre.
Pendant des générations, les dirigeants politiques ont fait des promesses creuses qui n’ont jamais été tenues. Les dirigeants politiques conservateurs et libéraux ont toujours fait grande démonstration de leur désaccord sur la forme de gouvernance qui pourrait le mieux servir le peuple. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, le résultat, quel que soit le groupe qui détient théoriquement les rênes du pouvoir à un moment donné, a toujours été un gouvernement plus grand et plus puissant et une population de plus en plus privée de ses libertés – sociales, politiques et économiques.
Nous sommes aujourd’hui à un tournant décisif où une grande partie de l’ancien monde libre est tentée de faire le saut vers le « Meilleur des Mondes ».
Tous les problèmes sociaux, politiques et économiques qui existent actuellement ont été causés par les dirigeants politiques. Ils vous demandent maintenant de leur faire confiance pour mettre fin à ces problèmes.
La promesse est simple : vous ne posséderez rien. Et tu seras heureux.
Mais vous n’êtes pas obligé de vous inscrire. Tout ce que vous avez à faire est de rester tranquille et d’accepter la transformation vers le totalitarisme au fur et à mesure qu’elle se déroule.
La consanguinité des dirigeants se déplore de nos jours plus qu'en tout autre temps où n'existait pas encore l'Internet. Leur niveau de facultés intellectuelles est si bas qu'il s'apparente à la trisomie de leur cadre de vue où ils sont parfaitement incapables de gérer un pays (malgré l'arrivée des ordinateurs) et voudraient... gouverner le monde !! La plupart sont des assassins-psychopathes très dangereux.
L’élite américaine presque fermée pour politique climatique radicale
30 janvier 2024 de Thomas Oysmüller
Une enquête menée auprès de l’élite américaine montre que la politique climatique ne peut guère aller assez loin pour les riches Américains. Presque tout le monde souhaite des « mesures » radicales et un rationnement du Storm ou de la viande.
L’élite américaine soutient presque unanimement les projets d’économie de guerre climatique. C’est ce que montre un rapport récent qui a mené une enquête auprès de 1 000 élites américaines. La politique climatique, qui conduit finalement au rationnement de la viande, de l’électricité et au démantèlement des droits fondamentaux, bénéficie d’un soutien total.
Pour le rationnement SlayNews rend compte de l'enquête sur les projets du WEF. Ce que veut exactement la nouvelle élite est peut-être mieux compris par les idéologues que par le WEF lui-même. Ulrike Herrmann, en tant qu'idéologue verte, appelle à une économie de guerre comme en Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale – cette fois pour sauver le climat . Elle parle ouvertement et presque avec délectation du prochain rationnement des citoyens.
Si l’on en croit le rapport du Comité pour libérer la prospérité (CUP), les citoyens les plus riches d’Amérique soutiennent pleinement le projet du WEF visant à rationner le gaz, l’électricité, la viande et les produits laitiers au grand public afin de soi-disant « lutter contre le changement climatique ». Mais contrairement aux projets d'Herrmann, l'élite se considère probablement comme exclue de ces projets.
Quoi qu’il en soit, l’élite américaine est pleinement engagée dans la lutte contre le changement climatique. Net-Zero doit être appliqué. Près de 90 % des « élites américaines » estiment qu’un rationnement strict du gaz, de la viande et de l’électricité est nécessaire pour lutter contre la « crise climatique ».
77 % des Américains aux revenus élevés soutiennent globalement ces plans. Ce sont des chiffres énormes. 89 % de ces riches issus des « meilleures universités » croient qu’il faut réduire la qualité de vie de la population afin d’atteindre le « Net Zero ». Les élites ne se font donc aucune illusion : le « climat » ne sera pas sauvé par les droits civiques fondamentaux.
C’est probablement la raison pour laquelle 60 % des élites estiment qu’il y a « trop de liberté » aux États-Unis.
S layNews considère également l’enquête comme une preuve supplémentaire de la grande distance qui s’est développée entre les citoyens ordinaires et l’élite. Au total, 63 % des Américains rejettent la politique climatique. L'enquête est également discutée en conséquence. Un magazine écrit que le résultat montre que le changement climatique « est clairement une obsession des très riches et des plus instruits ».
L'enquête a été publiée ce mois-ci sous le titre « Eux contre les États-Unis : les deux Amériques et comment l'élite nationale est déconnectée des Américains moyens ». CUP écrit qu’il représente un « premier aperçu des opinions de l’élite américaine ».
Le rapport est basé sur deux enquêtes menées l’automne dernier auprès de 1 000 élites.
Les plantes génétiquement modifiées luttent ostensiblement contre le changement climatique, mais en fin de compte contre les agriculteurs
30 janvier 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis environ 70 ans, des tentatives sont faites pour saper l’indépendance des agriculteurs et industrialiser la production alimentaire. C'est depuis combien de temps des milliardaires comme Rockefeller et Ford investissent dans le développement de semences génétiquement modifiées et donc brevetables.
Des variétés à haut rendement, les « graines miracles », développées par le sélectionneur Dr. Développé par Norman Borlaug en collaboration avec la Fondation Rockefeller et la Fondation Ford, il visait à rendre les agriculteurs arriérés d'Afrique, d'Asie et d'Amérique du Sud dépendants des grandes entreprises, comme indiqué ici par exemple . Ces programmes ont été complétés par des institutions telles que le « Corps de la Paix » et le groupe terroriste militaire les « Bérets verts », connus pour leurs crimes pendant la guerre du Vietnam.
Sous couvert de protection du climat, on tente encore de mettre les agriculteurs sous contrôle. C'est ce que montre un article dans « Trends in Plant Science » d'Emma Kovak et al intitulé « Les cultures génétiquement modifiées soutiennent l'atténuation du changement climatique ».
Ça dit:
« Les cultures génétiquement modifiées peuvent contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’agriculture. En plus de réduire potentiellement les émissions de production, l’augmentation des rendements génétiquement modifiés réduit également le changement d’affectation des terres et les émissions associées. Une adoption plus large des cultures génétiquement modifiées existantes en Europe pourrait entraîner une réduction équivalente à 7,5 % des émissions totales de gaz à effet de serre agricoles en Europe.
Le débat public sur les cultures génétiquement modifiées est erroné, notamment en Europe. Les avantages réels et potentiels seraient ignorés. Les cultures génétiquement modifiées entraîneraient des avantages économiques, écologiques et sanitaires grâce à des rendements agricoles plus élevés.
Mais plus encore : « Certaines études montrent également que certaines applications de cultures génétiquement modifiées contribuent à réduire les émissions de gaz à 'effet de serre' et favorisent la séquestration du carbone dans le sol en permettant un travail du sol réduit. "
Les auteurs tentent de montrer que « les augmentations de rendement des cultures génétiquement modifiées peuvent avoir des impacts positifs supplémentaires sur l'atténuation du changement climatique qui n'ont pas été pris en compte et quantifiés auparavant. Alors que la demande mondiale de produits alimentaires continue d’augmenter, l’augmentation des rendements agricoles peut réduire le besoin de nouvelles superficies, empêchant ainsi les émissions supplémentaires de CO2 liées au changement d’affectation des terres (Figure 1). Actuellement, le changement d’affectation des terres est responsable de plus de 30 % des émissions agricoles de gaz à effet de serre. "
- voir schéma sur site -
Les auteurs préconisent l'introduction de variétés génétiquement modifiées dans l'UE pour cinq cultures importantes : le maïs, le soja, le coton, le colza et la betterave sucrière.
« Nous nous concentrons sur l’UE pour deux raisons. Premièrement, l’UE n’a pas encore introduit les cultures génétiquement modifiées à grande échelle, en grande partie à cause de problèmes d’acceptation par le public et d’obstacles politiques associés. Nous pouvons donc comparer un scénario hypothétique avec l’introduction des cultures génétiquement modifiées dans un statu quo dans lequel pratiquement aucune culture génétiquement modifiée n’est cultivée. Deuxièmement, l'UE réévalue actuellement sa politique de réglementation des OGM ; par conséquent, cette analyse pourrait aider à fournir une image plus complète de l’impact probable d’un changement de politique.
L'avantage serait « la résistance aux insectes (IR) et la tolérance aux herbicides (HT) ». Cela signifie que des gains de rendement moyens d'environ 22 % peuvent être obtenus grâce aux plantes génétiquement modifiées.
Les auteurs théorisent ensuite comment un meilleur équilibre environnemental peut être atteint grâce à une diminution des importations, une réduction de l’utilisation des terres, etc. Bien entendu, cela s'inscrit bien dans les plans de « renaturation » de l'UE, qui visent à entraîner le déplacement et l'expropriation des agriculteurs.
Puisque l’un des objectifs est d’augmenter la « tolérance aux herbicides », on peut supposer que davantage de désherbants seront utilisés. Les dommages à la santé qui en résultent ne sont même pas mentionnés dans l'article. Cependant, les auteurs admettent qu'une introduction dans l'UE aurait également un impact important sur l'utilisation d'herbicides dans d'autres pays. Le génie génétique étant actuellement interdit dans l’UE, il a également entravé son introduction dans d’autres pays. Mais « une plus grande diffusion des cultures génétiquement modifiées dans l’UE [conduirait] probablement également à une plus grande diffusion dans d’autres pays. « .
En fin de compte, l’utilisation du génie génétique vise à industrialiser l’agriculture et à rendre les agriculteurs dépendants des sociétés agricoles et du secteur financier, puis à les chasser de leurs terres, comme les Pays-Bas ont initialement tenté de le faire avec 3 000 agriculteurs. Cependant, cette nouvelle s'est déjà répandue parmi les agriculteurs européens et a donné lieu à des manifestations massives.
Réponse commune à tous les commentaires élogieux reçus …
le 28 janvier 2024
À la suite de l’annonce d’un arrêt de mon blog le 15 février 2024 j’ai reçu un nombre inattendu de commentaires élogieux, parfois amicaux et cette réaction m’a conduit à reconsidérer cette décision pour deux raisons. En premier lieu si je cesse cette activité autant dire que je n’aurai plus aucune motivation pour utiliser mes neurones vieillissants afin d’échapper au gâtisme et je constate ce qu’il en est dans la résidence pour vieux où j’ai élu domicile pour libérer mes enfants. Ces « vieux » passent leur temps devant des programmes télévisuels d’une médiocre qualité et les imprègnent de la propagande gouvernementale. Je viens de terminer une conférence donnée à l’École des Chartes. Pour intégrer cette école le concours est beaucoup plus difficile que celui d’entrée à Normale ou l’X : il y a une vingtaine d’étudiants pour moins de 5 postes dans cette école.
Je voudrais en guise de remerciement adressé à tous les lecteurs de ce blog faire quelques confidences. Lorsque je suis revenu du Vanuatu en 2003 j’ai entrepris de faire des recherches généalogiques patronymiques et j’ai découvert que j’étais apparenté au journaliste de gauche Jacques Julliard, père de Jean-François, et récemment décédé. Son fils J-F était à l’époque journaliste au Canard enchainé. J’ai rencontré ce dernier au bar Le Nemours, près du Conseil Constitutionnel, pour lui communiquer le résultat de mes travaux de généalogie. J’étais un cousin de son père en remontant à 9 générations en arrière. En discutant avec des habitants du village du Bugey dont est issue cette branche du même patronyme que celui de votre serviteur, plusieurs personnes m’ont raconté de sordides histoires de famille et du traitement odieux que J Julliard a fait subir à sa sœur toujours résidente de ce village à l’époque. Je n’en dirai pas plus. Je m’appelle donc Jacques H. Julliard, le nom sous lequel j’ai publié quelques articles scientifiques d’audience internationale. La désignation de mon blog est une contraction de mes deux premiers prénom, le troisième étant celui du facteur dans « La Jument Verte » de Marcel Aymé adapté au cinéma par Claude Autant-Lara tout simplement parce que mon père était un adepte de cet auteur truculent ce qui explique pourquoi j’ai lu les Contes du Chat Perché dans mon enfance. Le fils de mon homonyme (et je ne suis pas journaliste) a versé dans le gauchisme en créant Reporters sans Frontière, une antenne de la CIA, et il sévit maintenant à Greenpeace.
C’est la raison pour laquelle j’ai dissimulé mon identité depuis de si nombreuses années. Je ne changerai pas l’adresse de mon blog et pour ne pas solliciter mes lecteurs généreux je mettrai en ligne par chapitres un roman policier que j’envisage sérieusement de proposer à Gallimard, pourquoi pas, en en réservant la primeur aux lecteurs de ce blog moyennant une modeste participation. Etant incapable de mettre en place un compte Tipee ou autre je ferai appel à l’expertise de mon fils résidant à Tokyo depuis 18 ans maintenant. Il y aura donc un long délai pour une éventuelle disparition de ce blog … Meilleurs vœux à tous mes lecteurs fidèles !
Discours punitif sur le silence de mort
RépondreSupprimer30.08.2020
www.kla.tv/17129
Le témoignage oculaire suivant s'adresse aux membres des forces judiciaires et de sécurité qui ne sont plus disposés à fuir leurs responsabilités. Cependant, une grande partie de la justice, de la police, de la politique, des forces de sécurité etc. font exactement cela, avec des conséquences effroyables. La preuve en est la non-réaction à des centaines de nos émissions, dans lesquelles devant les caméras des témoins oculaires ont mis en lumière leurs œuvres criminelles, commises en collaboration avec des réseaux criminels. Il ne faut pas que ça continue ainsi ! Il n'est pas acceptable que des témoins oculaires, au risque de leur propre vie, révèlent devant une caméra leurs crimes commis en liaison avec des réseaux criminels et que les réseaux qui ont ainsi été démasqués n'aient aucune conséquence à craindre des autorités de sécurité et du pouvoir judiciaire. Au contraire la pratique de la vie quotidienne nous apprend qu'aujourd'hui, c'est plutôt la personne qui signale un incendie et non le pyromane lui-même qui doit craindre la justice. De plus en plus de policiers connus de nos rédactions disent qu'ils ne sont pas vraiment autorisés à exercer les fonctions pour lesquelles ils sont mandatés.
Récemment, des détectives crédibles font à nouveau des reportages authentiques sur des régions entières d’Allemagne qu'ils doivent laisser sans protection aux gangs criminels. Ils témoignent d’interdictions de parler, d'agir, de se défendre et ainsi de suite, de sorte que certains grands criminels sont arrêtés et emmenés jusqu'à 70 fois, mais qu’il faut ensuite les relâcher sans aucune conséquence. Si vous demandez à ces gens des forces de sécurité de témoigner devant une caméra, ils ne le font pas, soit par peur pour leur travail, soit parce qu'ils craignent des conséquences encore pires.
Au nom du peuple, Kla.tv demande : « Pourquoi êtes-vous devenus policiers ? Pourquoi êtes-vous devenus détectives ? Procureurs et juges ?
Comment avez-vous pu vous engager à protéger la population aux dépens de l'État et maintenant abandonner si lâchement votre peuple ?
Voulez-vous sérieusement et pour de bon laisser votre travail à des civils ? Peut-être à des mères sans défense, des pères qui travaillent ou des jeunes rebelles ? En fin de compte, si vous ne le faites pas, alors ce sera certainement et exclusivement les personnes sans aucune qualification juridique ou légale qui devront le faire !
Voulez-vous vraiment que ce soit le peuple sans défense qui ait maintenant le courage de révéler le nom de toutes les personnes dont ont peur tant les témoins oculaires que vous, les forces de l’ordre formées et armées jusqu'aux dents ? Comment avez-vous pu vous élever jusqu'à votre position de pouvoir et la négliger de manière aussi criminelle ? N'est-ce pas là un abus d'autorité, un pur abus de pouvoir ?
Les dirigeants de Davos chantent les louanges des microbes du sol OGM, mais les critiques mettent en garde contre les “conséquences irréparables”.
RépondreSupprimerLes participants au Forum économique mondial ont salué les microbes génétiquement modifiés comme l'avenir de l'agriculture durable et respectueuse du climat, mais les groupes de surveillance ont averti que les modifications génétiques libérées à l'intérieur des microbes pourraient traverser les espèces et les frontières géographiques, avec des conséquences imprévues et potentiellement irréparables.
Par Brenda Baletti
Mondialisation.ca,
29 janvier 2024
Le thème de la “biologie synthétique” – la science de la réingénierie des organismes vivants pour leur conférer de “nouvelles capacités” destinées à résoudre des problèmes dans des domaines allant de la médecine à l’agriculture en passant par la fabrication – a été abordé au cours de plusieurs sessions tenues la semaine dernière lors des réunions du Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse.
Selon Forbes, la biologie synthétique est à la base de ce que l’on appelle la “bioéconomie“, dont la valeur est estimée à un milliard de dollars aux États-Unis et qui devrait atteindre plus de 30 milliards de dollars au cours des deux prochaines décennies. Des initiatives telles que le décret de 2022 de l’administration Biden, qui prévoit des investissements fédéraux dans la biotechnologie, devraient stimuler cette croissance.
Les bioproduits vont des vaccins à ARNm aux viandes cultivées en laboratoire, en passant par les dispositifs médicaux bioélectroniques. Mais la plupart des débats qui ont eu lieu la semaine dernière lors de deux tables rondes du WEF sur la biologie synthétique dans l’alimentation et l’agriculture – “La biologie en tant que technologie de consommation” et “La voie biologique vers le net zéro” – ont porté sur les “produits biologiques”, c’est-à-dire les microbes du sol fixateurs d’azote issus du génie génétique.
Lors du panel “Net Zero”, Ester Baiget de Novozymes, qui a annoncé que son entreprise était sur le point de fusionner avec un producteur de microbes artificiels, Chr. Hansen,a expliqué comment les produits de son entreprise “nous rapprochent du ‘Net-zéro”.
RépondreSupprimer“Tout ce que nous faisons permet de réduire les émissions de CO2, les produits chimiques, les déchets, l’impact sur l’environnement; améliorer les nutriments et la durabilité de l’agriculture sur l’ensemble de la chaîne de valeur”, a-t-il déclaré. “Nous favorisons une alimentation plus saine et plus durable.”
Lors du panel “La biologie en tant que technologie grand public”, Dror Bin, PDG de l’Autorité israélienne pour l’innovation, a prédit un avenir de “bioconvergence” où la biologie fusionnera avec tous les domaines scientifiques. La bioconvergence n’est pas “imaginaire”, a déclaré M. Bin. Ainsi, la semaine dernière, Israël est devenu le premier pays à autoriser la vente de bœuf cultivé, produit par Aleph Farms.
Les panélistes s’accordent à dire que l’acceptation par les consommateurs est le seul obstacle auquel ils sont tous confrontés lorsqu’il s’agit de développer la bioéconomie. Les organismes génétiquement modifiés (OGM) effraient inutilement les gens, selon M. Abbot de Pivot. “Ils ne sont pas si mauvais. On peut les utiliser à tort et à travers, mais nous [at Pivot] utilisons beaucoup moins de chimie grâce aux OGM”.
Le panel a convenu qu’il fallait “rééduquer” les consommateurs pour qu’ils acceptent les aliments transformés.
Les produits biologiques, concède M. Abbot, sont un peu plus “délicats” que les engrais synthétiques, “parce que vous prenez un organisme biologique, qui a sa propre variabilité et qui est généralement assez capricieux. On le place ensuite dans un environnement biologique, dans un sol où les conditions météorologiques sont de plus en plus difficiles chaque année. On essaie alors de prédire à l’avance comment tout cela va fonctionner”.
Mais c’est la partie la plus excitante, a-t-il ajouté.
Une “expérience en plein air sans précédent”
En dehors du WEF, l’enthousiasme pour les microbes transgéniques et les autres technologies de biologie synthétique “food as software“, telles que la fermentation de précision ou la viande cultivée en laboratoire, est moindre.
Un rapport publié en août dernier par les Amis de la Terre s’inquiète des risques inconnus et potentiellement désastreux associés aux microbes génétiquement modifiés, qui sont fondamentalement différents des OGM déjà controversés qui, comme l’ont fait remarquer les panélistes, sont déjà très controversés depuis des décennies.
Les microbes GM sont des organismes vivants qui partagent facilement leur matériel génétique avec d’autres espèces et parcourent de grandes distances dans le vent. Les modifications génétiques libérées à l’intérieur des microbes pourraient franchir les frontières entre les espèces et les zones géographiques, ce qui aurait des conséquences imprévues et potentiellement irréparables, selon le rapport.
RépondreSupprimerEt comme ils sont microscopiques, ils sont très nombreux.
“Une application de bactéries génétiquement modifiées pourrait libérer environ 3 000 milliards d’organismes génétiquement modifiés par demi-hectare, ce qui correspond à peu près au nombre de plants de maïs génétiquement modifiés dans l’ensemble des États-Unis”, a déclaré Dana Perls, responsable du programme sur l’alimentation et la technologie aux Amis de la Terre, dans un communiqué de presse.
L’introduction de microbes génétiquement modifiés dans l’agriculture représente une “expérience génétique en plein air sans précédent”, selon le rapport. “L’ampleur de la dissémination est bien plus grande et les chances de la contenir sont bien plus faibles que pour les cultures génétiquement modifiées.
Le rapport détaille une série d’accidents génétiques qui peuvent, et dans certains cas, se sont produits au cours du processus de génie génétique, y compris des insertions et des suppressions involontaires d’ADN.
Elle a souligné que lorsque ces microbes, qui posent des problèmes potentiels, sont libérés dans un environnement comprenant des milliards d’espèces d’autres microbes – dont la plupart ne sont pas encore compris par la science – ainsi que d’autres organismes vivants, les problèmes potentiels sont innombrables et graves.
Absence de cadre pour l’évaluation des risques
Ces risques n’ont pas empêché les entreprises de les commercialiser. Au moins deux microbes génétiquement modifiés, Proven de Pivot Bio et Poncho Votivo de BASF, sont déjà utilisés par les agriculteurs américains sur des millions d’hectares de terres agricoles.
Les panélistes du WEF ont prédit que le nombre de microbes transgéniques sur le marché allait monter en flèche, d’autant plus que le système réglementaire américain ne dispose d’aucun cadre pour évaluer leurs risques potentiels et qu’il les autorise rapidement.
Les participants au panel ont déclaré qu’ils préféraient développer leurs produits pour le marché américain plutôt que pour le marché européen, qui comporte beaucoup plus de barrières réglementaires pour les produits génétiquement modifiés ou issus du génie génétique et dont l’approbation prend six ans.
RépondreSupprimerLe cadre réglementaire américain est si peu clair, selon le groupe de surveillance des grands groupes alimentaires Food Tank, qu’il est difficile de savoir combien de ces produits se trouvent réellement sur le marché. Mais “nous sommes probablement à l’aube d’une vague de nouveaux produits biologiques génétiquement modifiés qui passeront du laboratoire au terrain”.
Pivot a lancé Proven en 2019. La société, soutenue par d’importants investisseurs en biotechnologie, dont la Fondation Bill & Melinda Gates, a levé plus de 600 millions de dollars de capitaux privés en promettant de “perturber” l’agriculture en réduisant le besoin d’azote synthétique produit industriellement et en le remplaçant par de l’”azote propre” provenant de microbes génétiquement modifiés.
Mais ses propres études scientifiques n’ont montré aucune réduction de l’utilisation de l’azote par les agriculteurs lors de l’application du microbe génétiquement modifié.
La demande de brevet déposée par Pivot Bio pour son microbe GM Proven, commercialisé comme engrais azoté, énumère 29 gènes différents ainsi que de nombreuses protéines et enzymes qui peuvent être manipulés pour “perturber” et “court-circuiter” la capacité du microbe à détecter les niveaux d’azote dans son environnement et à le “tromper” pour qu’il surproduise de l’azote.
Les scientifiques de l’entreprise ont également publié une étude montrant qu’ils ont été surpris de constater que l’élimination de gènes augmentait l’azote, car elle aurait tout aussi bien pu le réduire.
Pivot a été la première entreprise à commercialiser ses microbes génétiquement modifiés, mais depuis, plusieurs autres start-ups et géants de l’industrie pharmaceutique sont entrés dans le jeu des microbes génétiquement modifiés.
M. Abbot n’a pas commenté les études menées par son entreprise, mais il a indiqué que Pivot était en train de développer sa technologie, dans le but de créer une “tendance de croissance durable”.
Au cours des dernières années, cinq grandes entreprises agrochimiques, Syngenta (ChemChina), BASF, Bayer-Monsanto, FMC Corp et Corteva (DowDuPont) ont acquis la plupart des entreprises biologiques existantes.
Ce sont ces mêmes entreprises qui ont contrôlé la création et la distribution des cultures génétiquement modifiées dans le passé.
RépondreSupprimerLes Amis de la Terre écrivent qu’ils ont une longue expérience de l’ignorance des effets de leurs produits sur l’environnement et la santé, de l’affaiblissement systématique des petits agriculteurs, de l’obstruction du processus réglementaire et de la dissimulation de la vérité sur leurs produits.
Aujourd’hui, ces entreprises s’associent à de grandes sociétés de biotechnologie et à des start-ups pour faire avancer le processus.
Parmi les entreprises qui développent des microbes et qui ont été présentées lors des tables rondes du WEF, on peut citer la société danoise de biosciences Chr. Hansen, qui travaille dans le domaine de l’agriculture depuis 145 ans et dispose d’une bibliothèque d’environ 50 000 microbes. Indigo Ag“améliore” également les microbes naturels pour répondre à différents défis agricoles.
Ginkgo Bioworks déclare à la SEC que la dissémination de microbes génétiquement modifiés peut avoir des effets “inconnus”.
Ginkgo Bioworks, un acteur majeur de l’industrie de la biologie synthétique, est activement impliqué dans le développement d’ aliments et de médicaments, y compris les vaccins, et les “plateformes de programmation cellulaire“, la biosécurité et la surveillance des maladies.
Elle conçoit et développe des microbes pour des applications allant des bactéries productrices de cannabinoïdes aux levures fermentant les protéines alimentaires, en passant par les microbes du sol.
L’entreprise commercialise ses microbes génétiquement modifiés par l’intermédiaire de Joyn Bio, un partenariat avec Bayer.
Par Joyn Bio, Ginkgo prévoit de poursuivre son engagement à “exploiter la puissance de la biologie programmable pour permettre une production alimentaire durable et la sécurité alimentaire dans le monde entier”, en s’associant à différentes entreprises pour développer “des solutions microbiennes agricoles pour toutes les cultures et toutes les zones géographiques, grâce à des plateformes techniques étendues et entièrement activées qui répondent aux divers besoins du marché”.
Par exemple, le mois dernier, l’entreprise a annoncé un nouveau partenariat avec la start-up française de biotechnologie OneOne Biosciences en vue de développer une “machine à espresso” pour “amplifier” les microbes ayant différentes fonctions, telles que la fixation de l’azote, la séquestration du carbone, etc. au point d’utilisation.
Derrière ses “déclarations prévisionnelles” utopiques, selon ses communiqués de presse, “Ginkgo ne donne aucune assurance qu’il atteindra ses attentes”.
RépondreSupprimerLe rapport sur les risques de l’entreprise, déposé auprès de la Security and Exchange Commission (SEC) et rapporté par l’Organic Consumers Association (OCA), a soulevé un certain nombre de préoccupations.
À l’instar des risques mis en évidence par les Amis de la Terre, Ginkgo a déclaré à la SEC que “la dissémination d’organismes ou de matériaux génétiquement modifiés, par inadvertance ou à dessein, dans des environnements non contrôlés pourrait avoir des conséquences imprévues”, ce qui pourrait être néfaste pour les entreprises, sa principale préoccupation.
Le rapport indique également que
“Les organismes et matériaux issus du génie génétique que nous développons peuvent avoir des caractéristiques sensiblement modifiées par rapport à ceux que l’on trouve dans la nature, et les effets complets du déploiement ou de la libération de nos organismes et matériaux issus du génie génétique dans des environnements non contrôlés peuvent être inconnus.
“En particulier, un tel déploiement ou rejet, y compris un rejet non autorisé, pourrait avoir un impact sur l’environnement ou la communauté en général, ou sur la santé et la sécurité de nos employés, des employés de nos clients et des consommateurs des produits de nos clients.
“En outre, si une violation très médiatisée de la biosécurité ou la dissémination non autorisée d’un agent biologique se produit dans notre secteur, nos clients et clients potentiels pourraient perdre confiance dans la sécurité des environnements de laboratoire dans lesquels nous produisons des organismes et matériaux génétiquement modifiés, même si nous ne sommes pas directement touchés.
“Tout effet négatif résultant d’une telle publication, par nous ou par d’autres, pourrait avoir un effet négatif important sur l’acceptation par le public des produits issus de cellules modifiées, ainsi que sur nos activités et notre situation financière. …
“Nous pourrions synthétiser des séquences d’ADN ou nous engager dans d’autres activités qui contreviennent aux exigences de biosécurité, ou les autorités réglementaires pourraient promulguer des exigences de biosécurité plus ambitieuses que nos pratiques commerciales habituelles ne peuvent pas prendre en compte, ce qui pourrait donner lieu à une responsabilité juridique importante, entraver nos activités et nuire à notre réputation”.
RépondreSupprimer“Le dossier déposé par Ginkgo auprès de la SEC montre clairement comment le fait de lâcher des microbes dans l’environnement pourrait causer des ravages”, a déclaré Alexis Baden-Mayer, de l’OCA.
M. Baden-Mayer a également noté que Ginkgo a acquis plusieurs technologies de biologie synthétique mises au point par des scientifiques de longue date de Monsanto et par George Church, co-développeur de CRISPR.
Cela fait de Ginkgo “le partenaire le plus important de Bayer dans son projet “Food-as-Software””, selon Baden-Mayer.
Un porte-parole de RethinkX, un groupe de réflexion technologique et un prévisionniste, a expliqué à The Defender, dans un courriel, ce qu’est le “Food-as-Software” (la nourriture en tant que logiciel) :
“Comme les logiciels, les produits alimentaires seront continuellement améliorés par itération au fur et à mesure que la technologie s’améliorera en termes de coût et de capacité et que les bases de données sur les composants alimentaires s’étofferont.
“L’intégration avec les technologies de l’information et l’internet signifie que les améliorations des méthodes de production et/ou des ingrédients peuvent être téléchargées et incorporées presque instantanément, ce qui permet à la production d’être entièrement distribuée et décentralisée – tout comme un logiciel”.
Baden-Mayer a offert une description plus critique de la vision de Big Food “food-as-software” (l’alimentation en tant que logiciel) :
Le modèle commercial de Monsanto-Bayer consiste à ruiner l’alimentation et l’agriculture avec des pesticides et des fermes industrielles, puis, lorsque les consommateurs réclament des “aliments propres”, à les proposer sous la forme de nouveaux aliments synthétiques de Frankenfood créés en laboratoire qui peuvent être commercialisés comme étant exempts de toxines et de cruauté”.
Le rapport de Ginkgo à la SEC, écrit-elle, “ressemble à une liste d’intrigues de films catastrophes rédigée par un auteur de science-fiction”.
https://www.mondialisation.ca/les-dirigeants-de-davos-chantent-les-louanges-des-microbes-du-sol-ogm-mais-les-critiques-mettent-en-garde-contre-les-consequences-irreparables/5685822?doing_wp_cron=1706597230.5585548877716064453125
La « vaccination » des femmes enceintes aurait doublé les risques de fausses couches pour les grossesses viables
RépondreSupprimerle 30 janvier 2024
par pgibertie
Quel est le risque de fausse couche pour grossesses jugées viables ? L’étude Naert porte sur des femmes non vaccinées et aboutit à un risque de 6 %
- voir graph sur site -
L’étude Zauche porte sur le risque de fausse couches pour les grossesses jugées viables, elle porte sur les femmes vaccinées covid et trouve …14 % . Un gros probleme? Mais non car le taux normal serait de 14%
En faussant le taux habituel on camoufle une évidence: la responsabilité des injections dans le doublement des fausses couches
- voir doc sur site -
https://www.arkmedic.info/p/a-miscarriage-of-statistics-the-thalidomide
Maintenant que nous avons enquêté sur cette question aussi loin que possible, je vais simplement énumérer les preuves dont nous disposons selon lesquelles le déploiement du vaccin contre la COVID a non seulement entraîné une surabondance de fausses couches, mais le CDC, Viki Male et Kevin Ault, en tant que principaux partisans de le dogme « c’est sûr et honnête » l’ont dissimulé
Nous avons établi au-delà de tout doute raisonnable que le taux de fausses couches de fond devrait être inférieur à 6 %
Zauche, Shimabukuro et d’autres ont affirmé que le taux de fausses couches post-vaccinales était d’environ 14 %.Il existe des facteurs confondants importants dans les données sur les fausses couches et parce que le CDC refuse de divulguer les données V-safe pour une analyse indépendante, nous devons interpoler les données sur ce dont nous disposons
En utilisant une modélisation directement comparable et jamais réalisée auparavant, nous avons montré dans cet article que le taux de fausses couches présenté par Lauren Zauche, suite à la vaccination contre la COVID, est au moins le double de ce qu’il devrait être.
Vous pouvez donc considérer la cohorte Naert comme le groupe témoin et le groupe Zauche comme le groupe vacciné
https://pgibertie.com/2024/01/30/la-vaccination-des-femmes-enceintes-aurait-double-les-risques-de-fausses-couches-pour-les-grossesses-viables/
Convulsions rotationnelles chez les vaccinés contre le COVID-19
RépondreSupprimer18 vidéos de la « Spirale de la mort vaccinale »
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
30 janvier 2024
6 janvier 2024 – Scène effrayante au Qatar, alors qu'Andy Delort d'Umm Salal s'effondre au sol 10 minutes après avoir marqué un but – le joueur français a été soigné sur le terrain et a regardé la seconde moitié de la finale de la Coupe du Qatar sur le banc.
- voir clip effrayant sur site -
- voir clip effrayant sur site -
22 mai 2023 – Un homme s’effondre dans le magasin.
- voir clip effrayant sur site -
18 décembre 2022 – Effondrement d’un supermarché.
- voir clip effrayant sur site -
9 décembre 2022 – Homme asiatique en scooter.
- voir clip effrayant sur site -
Cliquez ici pour lire l'article complet:
https://makismd.substack.com/p/rotational-seizures-in-covid-19-vaccinated?utm_source=post-email-title&publication_id=1385328&post_id=140784001&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=1ifz5&utm_medium=email
https://www.globalresearch.ca/rotational-seizures-covid-19-vaccinated/5847834
Caillots de 'calamars' et caillots sanguins anormaux chez les personnes vaccinées à ARNm contre le COVID-19
RépondreSupprimer26 photos et théories choquantes dans la littérature publiée
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
29 janvier 2024
Tous les articles de Global Research peuvent être lus dans 51 langues en activant le bouton Traduire le site Web sous le nom de l'auteur (disponible uniquement dans la version de bureau).
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- voir les 26 photos et théories choquantes dans la littérature publiée -
Caillots violet foncé chez les vaccinés contre le COVID-19 :
Cliquez ici pour lire l'article complet sur les morgelons (filaments qui bouchent les artères) :
https://makismd.substack.com/p/calamari-clots-and-blood-clots-in?utm_source=post-email-title&publication_id=1385328&post_id=140918346&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=1ifz5&utm_medium=email
https://www.globalresearch.ca/calamari-clots-abnormal-blood-clots-covid-19-mrna-vaccinated/5847863
Neuralink : aurons-nous bientôt tous un implant dans le cerveau ?
RépondreSupprimerElon Musk, grand adepte du transhumanisme, semble bien résolu à transformer la science-fiction en réalité. L’entrepreneur américain a annoncé lundi 29 janvier 2024 qu’un premier implant cérébral de sa startup Neuralink, spécialisée en neurotechnologie, avait été posé sur un patient humain.
Par Axelle Ker
le 30 janvier 2024 à 10h00
Neuralink a levé 323 millions de dollars au cours du second semestre de 2023 pour développer ses
Neuralink : Télépathie, le premier implant ICM posé sur un humain
Le lundi 29 janvier 2024 pourrait être un tournant majeur dans l'histoire de la médecine, de la technologie et finalement, du transhumanisme. Neuralink, l'entreprise fondée en 2016 par le magnat Elon Musk (SpaceX, Tesla, X [anciennement Twitter]), a posé son premier implant cérébral d'interface cerveau-machine (ICM), baptisé Télépathie, sur un patient humain. D'après l'entrepreneur américain, « les premiers résultats montrent une activité neuronale prometteuse ». L'entreprise a levé 323 millions d'euros au cours du second semestre de 2023 pour développer ses implants ICM.
Mais à quoi peut bien servir cet implant Télépathie ? Selon Elon Musk : « Il permet de contrôler votre téléphone ou votre ordinateur, et par leur intermédiaire, presque tous les appareils, simplement en y pensant. Les premiers utilisateurs seront ceux qui ont perdu l’usage de leurs membres. ». Cette avancée n'est néanmoins pas exempte de questions éthiques, notamment pour ce qui concerne le traitement des animaux lors des expérimentations préalables et des tests sur les humains. Sur les 23 macaques ayant reçu un implant depuis 2020, seuls 7 ont survécu et une plainte a d'ailleurs été déposée à l'encontre de Neuralink.
La quête de l'homme augmenté
Neuralink n'est cependant pas la première à explorer ce domaine. D'autres, comme l'entreprise néerlandaise Onward, ont déjà testé des implants similaires. En septembre, Onward a couplé un implant cérébral à un stimulateur de la moelle épinière, visant à redonner la mobilité aux patients tétraplégiques. En France, l'institut grenoblois Clinatec a également franchi des étapes significatives en permettant à des tétraplégiques de manipuler un exosquelette. Toutefois, l'approche de Neuralink se distingue par son ambition qui dépasse largement le simple rétablissement de fonctions perdues.
Il s'agit pour Elon Musk de redéfinir notre interaction avec le monde digital, de transformer notre manière de vivre, de travailler, et peut-être même de penser. L'objectif affiché par Elon Musk serait de limiter le « risque pour notre civilisation » que pourrait représenter l'intelligence artificielle. Derrière Neuralink se cache une quête incessante de l'homme augmenté, qui pourrait nous faire rappeler certains films tels que Her de Spike Jonze, ou Minority Report avec Tom Cruise.
RépondreSupprimerhttps://www.economiematin.fr/tech-neuralink-musk-implant-cerebral-humain
(...) Cette avancée n'est néanmoins pas exempte de questions éthiques, notamment pour ce qui concerne le traitement des animaux lors des expérimentations préalables et des tests sur les humains. Sur les 23 macaques ayant reçu un implant depuis 2020, seuls 7 ont survécu et une plainte a d'ailleurs été déposée à l'encontre de Neuralink. (...)
Supprimer(...) En septembre, Onward a couplé un implant cérébral à un stimulateur de la moelle épinière, visant à redonner la mobilité aux patients tétraplégiques. (...)
Voila où en est la 'découverte' ! Le FAUX accord envers des tétraplégiques qui servent de cobayes pour des expérimentations dignes de 'Dracula' voire du 'Dr Machin et ses tentatives de résorber les non-fonctionnalités à des êtres dits perdus !
Une puce de musc implantée pour la première fois dans le cerveau
RépondreSupprimer30 janvier 2024
de Thomas Oysmüller
Les expériences animales sur les singes ont été un désastre, mais le premier humain a maintenant reçu une puce cérébrale de la société Neuralink de Musk.
Elon Musk a annoncé une percée sur son portail de médias sociaux X. La première personne a reçu un implant Neuralink – une puce dans le cerveau. Il s’agit du premier implant cérébral depuis la création de la start-up technologique « Neuralink » en 2016.
Les premiers résultats sur l’activité neuronale des patients sont « prometteurs », a annoncé Musk lundi. L'année dernière, la société a reçu l'approbation des autorités américaines pour effectuer des tests. L’objectif est clair : la puce doit établir une connexion directe entre le cerveau et l’ordinateur. L’idée est que les programmes informatiques peuvent être exécutés à l’aide de pensées pures. Musk discute également à plusieurs reprises de la possibilité de guérir des maladies neurologiques telles que la maladie de Parkinson.
Musk explique plus loin Les premiers utilisateurs seront ceux qui ne peuvent plus bouger leurs membres.
Naturellement, Neuralink est très controversé. Beaucoup voient la technologie comme un cauchemar transhumaniste ou, à l’inverse, comme le rêve humide de Klaus Schwab. D’autres, comme le journaliste Ian Miles Cheong, critique à l’égard de Schwab, y voient une nécessité. Il écrit : « Beaucoup de gens pensent que la technologie est folle, mais Neuralink est la seule voie à suivre pour l’humanité si nous voulons suivre et contenir l’essor de l’IA. Nous ne voulons pas être à la merci de l’intelligence artificielle.
Voici un exemple de vidéo de ce que l'implant cérébral est censé rendre possible - cela explique probablement le nom du premier produit de Neuralink, à savoir "Télépathie" :
Musk le soutient également. Une interface entre le cerveau et l’ordinateur serait le seul moyen pour les humains de conserver à long terme le pouvoir sur les machines, estime le milliardaire de la technologie. Ce dont on ne parle plus actuellement, c’est de l’expérience ratée avec les singes. 16 singes de laboratoire sur 23 sont morts lors des expériences Neuralink en 2022.
Outre Neuralink, d’autres start-up travaillent également sur des projets similaires. La société australienne Synchron avait déjà installé une puce cérébrale chez un patient en juillet 2022.
https://tkp.at/2024/01/30/erstmals-musk-chip-in-hirn-implantiert/
Vaccins à ARN messager : tout se complique et se compliquera encore !
RépondreSupprimerle 29 janvier 2024
Contrairement aux affirmations des laboratoires pharmaceutiques, essentiellement Pfizer/BioNtech et Moderna, les produits injectés à des milliards de personnes plus ou moins consentantes contiennent des quantités considérables d’ADN d’origine adénovirale.
Apparaît alors un nouveau problème : quelle est la responsabilité des organismes tels que l’Agence européenne du médicament et la FDA américaine quand ils ont accordé malgré le caractère d’urgence sanitaire l’autorisation de mise sur le marché de ces produits. La fiche technique de ces produits dissimulait la présence d’ADN et les laboratoires d’analyse de ces organismes sus-nommés étaient censés vérifier les faits avec pragmatisme en requérant des analyses détaillées de ces produits déclaré abusivement comme devant présenter les mêmes propriétés qu’un vaccin classique. Il s’agit non plus seulement d’une fraude mais d’une mise en danger des personnes ayant reçu par injection ces produits puisque cet ADN peut pénétrer dans une cellule et au cours d’une multiplication de cette cellule s’incorporer dans l’ADN nucléaire. Cette situation a été confirmée par le passé et récemment pour de nombreux virus.
Il y a bien pire ! Afin de stabiliser l’ARN messager utilisé pour mettre au point ces vaccins l’uridine de cet ARN a été remplacé au cours de la production industrielle par de la pseudo-uridine. Or ni les laboratoires Pfizer ni les laboratoires Moderna n’ont pris la peine de vérifier si cet ARN messager était correctement lu par les ribosomes triplet (ou codon) après triplet afin d’obtenir in fine la synthèse de la protéine recherchée, en l’occurence la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du coronavirus, antigénique donc « faisant fonction » de vaccin. Or une étude récente datant déjà de fin décembre 2022 et réalisée à l’Université de Cambridge sous la direction du Docteur Anne Willis a montré que dans près de 10 % des cas le ribosomes est induit dans l’erreur au cours de la lecture d’un tel ARN messager quand il rencontre une pseudo-uridine. Cette erreur se traduit par un stop : la synthèse protéique s’arrête, ou ce ribosome saute une pseudo-uridine voire deux et effectue donc un « frame shift », un glissement du cadre de lecture par triplets de bases de l’ARN. Et que se passe-t-il alors : le ribosome synthétise n’importe quoi, des protéines totalement inconnues n’ayant jamais existé dans la nature et à fortiori dans l’organisme humain.
Ces protéines ont été analysées en utilisant en particulier la technique dite Maldi-Tof qui permet par une combinaison entre temps de vol des fragments de protéines générées par irradiation laser et un double spectrographe de masse pour l’analyse de ces fragments, le traitement informatique permettant d’obtenir une séquence protéique très rapidement, la séquence d’amino-acides d’une protéine en comportant 200 est l’affaire de quelques heures seulement ! Le Docteur Jean-Claude Perez, bio-mathématicien de haut vol retraité et membre de la Fondation Luc Montagnier a étudié toutes les séquences publiées dans le cadre de cette étude relative aux erreurs de lecture des ribosomes provoquées par la présence de pseudo-uridine. Cette étude a été publiée le 19 janvier 2024 et elle est tout simplement terrifiante (voir le lien en accès libre).
RépondreSupprimerToutes les séquences d’ARNs, d’ADNs et de protéines sont publiées et disponibles dans une base de données internationale gérée par le NIH et Perez a effectué un travail non pas de bénédictin mais essentiellement informatique néanmoins très laborieux pour ne découvrir que des analogies de séquences particulièrement troublantes.
Je ne citerai que quelques exemples significatifs parmi des dizaines d’autres analogies de séquences et c’est un domaine que je connais pour avoir été confronté à ce type de situation lorsque j’avais purifié une petite protéine issue de placenta humain dont la nature était suivie à l’aide d’un immun-sérum dirigé contre le précurseur de l’ACTH et des beta-endorphines qui me conduisit après étude de la séquence de cette protéine à découvrir qu’il s’agissait d’un fragment d’immunoglobuline de sang fœtal. La publication de ces travaux dans la revue Science fit l’objet d’une violente polémique car elle remettait en cause tout un aspect de la science immunologique qui était convaincue de ses certitudes … La science est toujours remise en cause, c’est sa nature première, seule le doute fait progresser la science sauf semble-t-il la science climatique onusienne considérée comme définitive.
Les premières analogies concernent trois protéines présentant des analogies avec les « prion-like proteins » en d’autres termes ces protéines résultant d’erreurs de lecture des ribosomes sont artificielles et elles sont potentiellement capables de provoquer des symptômes neurologiques type « vache folle ». Cette étude de Perez est déjà confirmée par 26 cas de maladies de Creutzfeldt-Jakob avérées apparues à la suite d’actes de vaccination. Il y a également d’autres analogies troublantes dont les effets sur l’organisme humain sont totalement inconnues : une analogie avec une nucléase de Parabacteroides et également de Tannereliaceae (je n’ai fait que recopier les mentions de l’article de Perez), une analogie avec une métallopeptidase de Treponema …
(Perspectives : dans la cinquième partie de cette série, je changerai de vitesse, examinerai l'option 3 de la figure et demanderai si le virus tueur présumé est le résultat d'une campagne de leurre délibérée) .
RépondreSupprimerL' original en anglais est ici sur Substack par Dr. Trouvez Siguna Mueller . Traduction en allemand par TKP.
Autres articles de la série :
L'analyse rationnelle de nouvelles expériences sur des virus cérébraux mortels révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés (PARTIE I)
Une analyse rationnelle des nouvelles expériences avec le virus mortel du cerveau révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés. DEUXIEME PARTIE
Les expériences sur les virus cérébraux sont hautement contre-productives
https://tkp.at/2024/01/30/ist-das-toedliche-gehirnvirus-das-ergebnis-eines-laborfehlers-teil-iv/
Une fois qu’une urgence de santé publique est déclarée par l’Organisation mondiale de la santé, tous les États signataires doivent se soumettre à l’autorité de l’OMS. Cela signifie que les pays doivent s’en remettre à l’OMS en ce qui concerne les traitements, les confinements, les exigences en matière de vaccins et la surveillance gouvernementale.
RépondreSupprimerCes pouvoirs prévaudraient sur la constitution dans la plupart des États. En Autriche, un référendum serait absolument nécessaire car il impliquerait une modification globale de la constitution, comme le dit le Dr. Georg Prchlik l'a analysé dans un article du TKP .
https://tkp.at/2024/01/30/who-tedros-luegen-und-verschwoerungstheorien-gefaehrden-machtuebernahme/
(...) Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a lancé cet avertissement lors d'une conférence de presse au cours de laquelle il a appelé les dirigeants du monde à restreindre la liberté d'expression en public. (...) !!!!!!!!!
SupprimerPourquoi les gouvernements européens exhortent-ils les citoyens à stocker des médicaments sur ordonnance ?
RépondreSupprimerPAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE
Les gouvernements européens craignent une pénurie de médicaments sur ordonnance – demandent instamment la constitution de stocks
La question de savoir si vous devez ou non vous préparer à une pénurie de médicaments sur ordonnance n’est pas une question qui a fait l’objet d’une grande couverture ici aux États-Unis, et ce n’est pas non plus une question qui semble préoccuper l’administration Biden.
En Europe, cependant, le problème n’attire pas seulement l’attention des médias : certains gouvernements européens encouragent même les citoyens à stocker des médicaments sur ordonnance. Extrait de l'édition Europe de Politico,
Dans toute la Suède, des publicités invitent les patients atteints de maladies chroniques à s’assurer qu’ils disposent d’au moins un mois de médicaments à la maison. « L'auto-préparation fait partie du travail de la société visant à garantir l'accès des patients aux médicaments », déclare en ligne le Conseil national de la santé et de la protection sociale.
Cette campagne fait partie de la tentative de la Suède d'empêcher une répétition des dangereuses pénuries de médicaments auxquelles l'Europe a été confrontée l'hiver dernier.
Et ce n'est pas seulement en Suède,
L'Allemagne, par exemple, a imposé des stocks obligatoires de médicaments pour au moins six mois à tous les fabricants.
Les Européens s’inquiètent à juste titre des pénuries
Les dirigeants européens font plus que simplement réagir à une crise hypothétique : ils agissent après que le continent ait été confronté à des pénuries massives de médicaments l’hiver dernier.
Les consommateurs européens, tout comme les consommateurs américains, dépendent d’une chaîne d’approvisionnement pharmaceutique presque entièrement reprise par les Chinois.
Comme l'a souligné le sénateur Marco Rubio (R-FL) dans un rapport de 2019, avant le COVID,
RépondreSupprimerLes décideurs politiques chinois visent à faire de l’industrie biotechnologique chinoise l’armoire à pharmacie du monde. Dans une large mesure, ils ont déjà réussi à dominer le bas de la chaîne de valeur des technologies pharmaceutiques et médicales. 80 pour cent des ingrédients pharmaceutiques actifs (API) des médicaments présents sur le marché américain proviennent de l’étranger, principalement de Chine et d’Inde. Dans le cas de médicaments plus anciens à faibles marges bénéficiaires, les fabricants chinois ont souvent repris entièrement la production des sociétés occidentales. Les fabricants chinois sont déjà les seuls fournisseurs de nombreux médicaments API et bas de gamme.
Depuis le COVID, cette dépendance à l’égard de la Chine pour les médicaments sur ordonnance n’a fait qu’empirer – et à mesure que les tensions s’intensifient entre les États-Unis et la Chine, la possibilité que les Chinois utilisent cet effet de levier à leur avantage devient de plus en plus préoccupante :
Les experts suggèrent que la croissance du commerce pharmaceutique entre les États-Unis et la Chine pose un risque sérieux, car les relations conflictuelles pourraient entraîner la fermeture des chaînes d’approvisionnement. Il n’est pas irréaliste que les produits pharmaceutiques puissent être utilisés comme une arme dans une guerre commerciale, comme cela a été suggéré lors de négociations stratégiques chinoises antérieures. De plus, la FDA exerce moins de surveillance sur les installations chinoises, ce qui soulève des questions sur la sécurité des fabricants étrangers.
Comment vous protéger contre les pénuries de médicaments sur ordonnance ? SOYEZ PRÉPARÉ !
Alors, si nos dirigeants n’interviennent pas et ne brisent pas l’emprise de la Chine sur les médicaments d’ordonnance, que peuvent faire les individus pour rester en sécurité et en bonne santé ? La solution est à préparer. C’est là qu’intervient The Wellness Company.
La Wellness Company et ses grands médecins – comme le Dr Peter McCullough, le Dr Drew, le Dr Harvey Risch et le Dr Jim Thorp – sont régulièrement dans les médias pour lutter contre l’establishment médical brisé.
Le Dr Thorp, l’un des principaux critiques nationaux des grandes sociétés pharmaceutiques corrompues, estime que maintenant – plus que jamais – les gens devraient se préparer à la prochaine pandémie :
« J’ai fortement recommandé de « stocker » les médicaments essentiels, notamment les antibiotiques, depuis le début du siècle. Il s’agit d’un investissement incroyable dont de nombreux amis, membres de la famille et patients en ont bénéficié. Aujourd’hui, à l’hiver 2024, cette recommandation est encore plus cruciale.»
La Wellness Company et ses médecins sont des professionnels de la santé en qui vous pouvez avoir confiance et leurs nouvelles trousses médicales d'urgence sont la référence en matière de sécurité et de santé.
RépondreSupprimerLa garantie ultime pour votre santé.
Soyez prêt pour la prochaine crise. Cette trousse médicale d’urgence contient un assortiment de médicaments vitaux, notamment l’ivermectine, l’amoxicilline et le Z-pak. La trousse médicale d’urgence comprend un guide pour faciliter l’utilisation sécuritaire de ces médicaments qui sauvent des vies.
Ce kit est délivré uniquement sur ordonnance – vous ne pouvez le trouver dans aucun magasin ou pharmacie. Remplissez simplement un court questionnaire après l'achat et un médecin de confiance de Wellness Company confirmera votre aptitude et vous délivrera votre kit d'urgence médicale sur ordonnance.
La trousse médicale d’urgence de Wellness Company comprend :
· Amoxicillin-Clavulanate (Augmentin générique) 875/125 mg - 28 comprimés
· Azithromycine (générique Z-Pak) 250 mg - 12 comprimés
· Hyclate de Doxycycline 100 mg - 60 gélules
· Métronidazole (Flagyl générique) 500 mg - 30 comprimés
· Triméthoprime-Sulfaméthoxazole (générique Bactrim) 800/160 mg - 28 comprimés
· Ivermectine 18 mg - 7 gélules composées
· Fluconazole (Diflucan générique) 150 mg - 2 comprimés
· Ondansetron (zofran générique) 4mg - 6 comprimés
1 Guide des médicaments d'urgence rédigé par le Conseil médical en chef pour une utilisation en toute sécurité.
Ce que les gens disent de la trousse médicale d’urgence :
Excellente trousse ! Cette trousse médicale d’urgence est géniale. L’avoir « juste au cas où » me procure une tranquillité d’esprit. Recommande fortement. Merci! – Mélinda C.
Je suis heureux d'avoir acheté votre kit médical d'urgence ! Même si je n’ai pas encore eu besoin d’utiliser aucun des médicaments contenus dans notre trousse, je suis heureux de l’avoir commandé ! On ne sait jamais quand « une urgence pourrait survenir », et je me sens plus en sécurité en ayant votre M.E.Kit à ma disposition SI nécessaire ! Nous sommes très heureux d’avoir commandé le nôtre ! Merci de l'avoir rendu disponible ! – Suzanne M.
RépondreSupprimerTranquillité d'esprit. C'est une incroyable tranquillité d'esprit d'avoir ce kit en cas d'urgence et de pénurie. La Wellness Company a fait un excellent travail en me faisant parvenir cela en temps opportun et je suis reconnaissant de l'avoir. -Phyllis T.
J'espère que je n'en aurai jamais besoin ! Je vous remercie pour le soin! C'est bien d'avoir des médecins qui s'occupent de nous. Les temps sont imprévisibles de nos jours, ça fait du bien d’avoir quelque chose dans l’armoire à pharmacie en cas d’urgence. - Chats.
Excellente trousse médicale d'urgence. Le kit est venu comme annoncé ! Propre et rangé. Le guide est super. Prévoyez de l’utiliser uniquement en cas d’urgence pendant une période difficile. Je suis sûr que c'est ce sur quoi je comptais. – Fred D.
Ne soyez pas pris au dépourvu face à ce que le WEF a en tête. Ne comptez pas sur un complexe médico-industriel brisé et corrompu. Ne regrettez pas de ne pas avoir agi aujourd’hui.
https://www.zerohedge.com/sponsored-post/why-are-european-governments-urging-citizens-stockpile-prescription-drugs
Plusieurs médicaments courants sont liés à la démence
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 JANVIER 2024 - 08h45
Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Il est bien connu que la démence est souvent le résultat du vieillissement. Cependant, cela peut parfois être causé par des médicaments.
Démence d'origine médicamenteuse, le regretté neurologue et neurochirurgien K.K. Jain a écrit, est un type de démence réversible différent des troubles neurodégénératifs courants.
Plusieurs médicaments augmentent les risques de démence, les plus importants étant les médicaments anticholinergiques, les antiépileptiques, les médicaments oncologiques et les médicaments sédatifs-hypnotiques. Ce sont toutes des prescriptions courantes pour les personnes âgées.
Ces dernières années, les antidépresseurs ont également été associés à des risques de démence.
Le lien entre la démence et les médicaments courants
Le psychiatre Dr Peter Breggin, qui a publié plusieurs livres sur la psychopharmacologie, a déclaré à Epoch Times que la plupart des médicaments sur le marché présentent un certain degré de neurotoxicité, ce qui peut entraîner des effets secondaires cognitifs et neurologiques.
Tout le monde ne sera pas affecté par les effets neurotoxiques d’un médicament, même si les personnes âgées et celles souffrant de déficits cérébraux sont plus vulnérables.
Avec les maladies qui apparaissent à un âge avancé et les pilules prescrites pour traiter chaque symptôme, les personnes âgées ont également tendance à être la cohorte la plus susceptible de se voir prescrire des médicaments qui endommagent leur cognition.
Par exemple, de nombreux médicaments prescrits pour traiter la maladie de Parkinson sont associés à des risques de démence, car ils bloquent l’acétylcholine dans le cerveau afin de prévenir les tremblements et les mouvements brusques chez les patients. L'acétylcholine est un neurotransmetteur qui facilite également la fonction cognitive.
Il a également été démontré dans des études que les inhibiteurs de la pompe à protons, souvent prescrits pour traiter les brûlures d’estomac, augmentent de 44 % les risques de démence.
Dans la littérature, la classe de médicaments la plus connue pouvant induire la démence est celle des médicaments anticholinergiques.
Les anticholinergiques bloquent la libération d'acétylcholine. Dès 1977, des expériences utilisant l’anticholinergique scopolamine ont montré que 40 minutes après l’administration du médicament, de jeunes volontaires médicaux d’une vingtaine d’années manifestaient des symptômes s’apparentant à ceux de la démence et avaient plus de mal à se souvenir des choses qu’ils venaient d’apprendre.
RépondreSupprimerLes médicaments anticholinergiques bloquent les mouvements musculaires autonomes et diverses fonctions corporelles et sont souvent prescrits pour les crampes et les spasmes de divers organes. Ils fonctionnent également comme sédatifs.
Le neuroscientifique Dayan Goodenowe, titulaire d'un doctorat en médecine et en psychiatrie, a expliqué dans l'émission « Vital Signs » d'Epoch TV que le système acétylcholine est le même système qui contrôle la cognition et la mobilité, deux fonctions majeures altérées dans la démence.
Lorsque les neurones deviennent incapables de libérer de l’acétylcholine, soit en raison de l’âge, soit à cause des effets des médicaments, leur contact avec les autres neurones est réduit. Les neurones et le cerveau commencent alors à rétrécir.
Cela a également été observé dans une recherche publiée par Shannon Risacher, professeure à l'Université d'Indiana, titulaire d'un doctorat en neurosciences médicales. Elle a découvert que les personnes prenant des médicaments anticholinergiques présentaient une diminution plus importante du volume global du cerveau.
"L'utilisation de médicaments ayant une activité anticholinergique significative devrait probablement être découragée chez les personnes âgées si des thérapies alternatives sont disponibles", ont écrit Mme Risacher et ses co-auteurs dans une étude de JAMA Neurology.
Des exemples de médicaments anticholinergiques comprennent la diphenhydramine, le composé actif de Benadryl, Tylenol PM et Advil PM. Ils comprennent également des médicaments courants contre la maladie de Parkinson, comme la benztropine, le trihexyphénidyle, etc.
L'acétylcholine diminue naturellement avec le vieillissement, c'est pourquoi M. Goodenowe et son équipe ont tenté de trouver des traitements qui augmentent les niveaux d'acétylcholine dans le cerveau sans compromettre la fonction cérébrale globale.
Antidépresseurs, autres médicaments et polypharmacie
RépondreSupprimerIl a également été démontré que les antidépresseurs, les antiépileptiques, les sédatifs hypnotiques et les opioïdes augmentent le risque de démence. Ceux-ci, ainsi que les médicaments antiparkinsoniens, sont tous psychoactifs.
La fonction principale des antidépresseurs est de bloquer les neurotransmetteurs tels que la sérotonine au lieu de l'acétylcholine. Cependant, ces médicaments ont toujours de puissantes propriétés anticholinergiques et, lorsqu’ils sont pris avec d’autres anticholinergiques, pourraient augmenter la charge globale, induisant potentiellement des effets secondaires de délire et de démence.
Les personnes âgées atteintes de démence se voient souvent prescrire des antidépresseurs, des antiépileptiques et des sédatifs pour les aider à gérer la dépression et l'agressivité qui peuvent survenir.
Cependant, le Dr Breggin a souligné qu'il est ironique que les médicaments prescrits aux patients pour améliorer ces conditions puissent très bien aggraver leur maladie.
Les médicaments non prescrits pour le traitement psychoactif ont également été associés à la démence.
Il a été démontré que les bloqueurs de l'histamine (H1) de type 1, prescrits pour contrôler les allergies, augmentent le risque de démence chez certaines personnes. Comparés aux bloqueurs de l'histamine (H2) de type 2, certains bloqueurs H1 peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique et empêcher la libération d'acétylcholine.
De plus, la prescription de plusieurs médicaments à un patient – une pratique connue sous le nom de polypharmacie – peut entraîner des effets indésirables cumulatifs.
"Le fait qu'un patient développe ou non des troubles cognitifs lorsqu'on lui prescrit un médicament particulier doté de propriétés anticholinergiques est imprévisible et dépend de facteurs tels que les co-médicaments qui peuvent avoir des effets anticholinergiques", expliquent les Drs. Alan Moore et Shaun O'Keefe, professeurs de médecine gériatrique, ont écrit dans leur article sur les effets neurologiques induits par les médicaments.
"Des études ont suggéré que c'est souvent la charge totale des médicaments anticholinergiques qui détermine le développement du délire plutôt que n'importe quel agent seul", ont-ils ajouté.
Le cerveau complexe
RépondreSupprimerAlors que de nombreux médicaments psychoactifs sur le marché tentent de « réparer » le cerveau, la manière dont cet organe est censé fonctionner au départ reste en grande partie un mystère.
Les médicaments psychoactifs sont souvent prescrits pour corriger les déséquilibres chimiques du cerveau, mais les chercheurs ne savent pas à quoi ressemble réellement l’état normal du cerveau, comme l’a illustré le professeur Avram Holmes de l’Université de Yale dans son commentaire de 2018 sur le cerveau n’ayant « aucun état normal fixe ».
"Il existe des centaines de neurotransmetteurs que nous ignorons et peut-être des milliers de transmetteurs", a déclaré le Dr Breggin. "Nous n'en avons que quelques-uns qui sont profondément affectés par les drogues psychotropes, et [ceux-là sont ceux que nous] pourrions étudier parce que les sociétés pharmaceutiques de l'industrie pharmaceutique paient pour cela."
Le Dr Breggin soutient que les médicaments psychoactifs, qui visent à remédier aux déséquilibres biochimiques dans le cerveau, provoquent en réalité une inadaptation encore plus grande du cerveau.
Il a donné l'exemple des ISRS, qui augmentent les niveaux de sérotonine en bloquant l'élimination de la sérotonine.
Il a observé que le cerveau subit deux changements pendant le traitement : il réduit la production de sérotonine et réduit la puissance du système d'élimination de la sérotonine.
https://www.zerohedge.com/medical/several-common-drugs-are-linked-dementia
Malade à mort : aliments malsains et technologies défaillantes
RépondreSupprimerPar Colin Todhunter
Recherche mondiale,
29 janvier 2024
Le monde traverse une crise alimentaire et sanitaire liée aux micronutriments. Les carences en micronutriments touchent désormais des milliards de personnes. Les micronutriments sont des vitamines et des minéraux essentiels, et leurs carences peuvent entraîner de graves problèmes de santé. Ils sont importants pour diverses fonctions, notamment la coagulation sanguine, le développement du cerveau, le système immunitaire, la production d’énergie et la santé des os, et jouent un rôle essentiel dans la prévention des maladies.
La racine de la crise est due à une dépendance accrue à l'égard d'aliments ultra-transformés (« malbouffe ») et à la manière dont les cultures vivrières modernes sont cultivées en termes de semences utilisées, de plantes produites, d'intrants synthétiques nécessaires (engrais, pesticides, etc. ) et les effets sur le sol.
En 2007, le thérapeute nutritionnel David Thomas a noté un changement précipité aux États-Unis vers des aliments prêts à l'emploi et préparés à l'avance, souvent dépourvus de micronutriments vitaux, mais remplis d'un cocktail d'additifs chimiques, notamment des colorants, des arômes et des conservateurs.
Il a noté qu'entre 1940 et 2002, le caractère, les méthodes de culture, la préparation, l'origine et la présentation finale des produits de base ont considérablement changé, à tel point que la teneur en oligo-éléments et en micronutriments a été gravement épuisée. Thomas a ajouté que les recherches en cours démontrent clairement une relation significative entre les carences en micronutriments et la mauvaise santé physique et mentale.
Avant la Révolution verte, bon nombre des cultures plus anciennes qui ont été déplacées contenaient des quantités de nutriments par calorie considérablement plus élevées. Par exemple, la teneur en fer du mil est quatre fois supérieure à celle du riz, et l’avoine contient quatre fois plus de zinc que le blé. En conséquence, entre 1961 et 2011, les teneurs en protéines, en zinc et en fer des céréales directement consommées dans le monde ont diminué respectivement de 4 %, 5 % et 19 %.
Les auteurs d'un article publié en 2010 dans l'International Journal of Environmental and Rural Development affirment que les systèmes de culture promus par la Révolution verte ont entraîné une réduction de la diversité des cultures vivrières et une diminution de la disponibilité des micronutriments. Ils notent que la malnutrition en micronutriments entraîne une augmentation des taux de cancer, de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de diabète et d'ostéoporose dans de nombreux pays en développement. Ils ajoutent que les sols sont de plus en plus touchés par des troubles en micronutriments.
En 2016, l'Institut central indien de recherche et de formation sur la conservation des eaux souterraines a rapporté que le pays perdait 5 334 millions de tonnes de terre chaque année en raison de l'érosion du sol en raison de l'utilisation indiscrète et excessive d'engrais, d'insecticides et de pesticides au fil des ans. En moyenne, 16,4 tonnes de terres fertiles sont perdues chaque année par hectare. Il a conclu que l' utilisation non judicieuse d'engrais synthétiques avait conduit à une détérioration de la fertilité des sols, entraînant une perte de micro et macronutriments, conduisant à des sols pauvres et à de faibles rendements.
RépondreSupprimerLa Révolution verte, à forte intensité d’intrants et de produits chimiques, avec ses semences hybrides, ses engrais et pesticides synthétiques, a contribué à la transition vers une plus grande monoculture et a abouti à des régimes alimentaires moins diversifiés et à des aliments moins nutritifs . Son impact à long terme a conduit à une dégradation des sols et à des déséquilibres minéraux, qui, à leur tour, ont eu des effets néfastes sur la santé humaine.
Mais l’épuisement des micronutriments n’est pas seulement dû au déplacement d’aliments de base riches en nutriments dans l’alimentation ou à des sols malsains. Prenez le blé, par exemple. Rothamsted Research au Royaume-Uni a évalué la concentration en minéraux d'échantillons de grains de blé et de sol archivés provenant de l'expérience sur le blé Broadbalk. L'expérience a débuté en 1843 et leurs résultats montrent une tendance à la baisse significative des concentrations de zinc, de cuivre, de fer et de magnésium dans les grains de blé depuis les années 1960.
Les chercheurs affirment que les concentrations de ces quatre minéraux sont restées stables entre 1845 et le milieu des années 1960, mais ont depuis diminué de manière significative de 20 à 30 %. Cela a coïncidé avec l’introduction des cultivars semi-nains à haut rendement de la révolution verte. Ils ont noté que les concentrations dans le sol utilisé dans l'expérience ont augmenté ou sont restées stables. Donc, dans ce cas, le sol n’est pas le problème.
Un article de 2021 paru dans la revue Environmental and Experimental Botany rapportait que la forte augmentation de la proportion de la population mondiale souffrant de carences en zinc et en fer au cours des quatre dernières décennies s'est produite depuis la Révolution verte et l'introduction de ses cultivars.
Reflétant les conclusions de Rothamsted Research au Royaume-Uni, une étude récente menée par des scientifiques du Conseil indien de la recherche agricole a révélé que les céréales consommées en Inde avaient perdu leur valeur alimentaire. Ils concluent que de nombreuses cultures actuelles ne parviennent pas à absorber suffisamment de nutriments, même lorsque le sol est sain.
RépondreSupprimerUn article récent sur le site Web Down to Earth a fait état de cette étude selon laquelle le riz et le blé, qui couvrent plus de 50 % des besoins énergétiques quotidiens des Indiens, ont perdu jusqu'à 45 % de leur valeur alimentaire au cours des 50 dernières années. ou alors.
La concentration de nutriments essentiels comme le zinc et le fer a diminué respectivement de 33 % et 27 % dans le riz et de 30 % et 19 % dans le blé. Dans le même temps, la concentration d’arsenic, un élément toxique, dans le riz a augmenté de 1 493 %.
Down to Earth cite une étude du Conseil indien de la recherche médicale qui indique une augmentation de 25 % des maladies non transmissibles au sein de la population indienne entre 1990 et 2016. Les estimations montrent que l'Inde abrite un tiers des deux milliards d'habitants de la planète qui souffrent de carence en micronutriments. En effet, les cultivars modernes de riz et de blé sont moins efficaces pour séquestrer le zinc et le fer, quelle que soit leur abondance dans les sols. Les plantes ont perdu leur capacité à absorber les nutriments du sol.
Il a été démontré que la prévalence croissante du diabète, de la leucémie infantile, de l’obésité infantile, des troubles cardiovasculaires, de l’infertilité, de l’ostéoporose et de la polyarthrite rhumatoïde, des maladies mentales, etc., ont tous un lien direct avec l’alimentation et en particulier avec les carences en micronutriments.
La forte augmentation de la proportion de la population mondiale souffrant de carences en zinc et en fer au cours des quatre dernières décennies a coïncidé avec l’expansion mondiale de cultivars de céréales à haut rendement et sensibles aux intrants, lancés après la Révolution verte.
L'analyste agricole et politique Devinder Sharma affirme qu'un rendement élevé est inversement proportionnel à la nutrition des plantes : la baisse des niveaux de nutrition est telle que les nouvelles variétés de blé à haut rendement ont vu une forte baisse de la teneur en cuivre, un oligo-élément essentiel, d'autant 80 %, et certains nutritionnistes attribuent cela à une augmentation des incidences liées au cholestérol dans le monde.
L'Inde est autosuffisante en divers produits de base, mais bon nombre de ces produits alimentaires sont riches en calories et en nutriments, ce qui a conduit au remplacement de systèmes de culture plus diversifiés sur le plan nutritionnel et de cultures plus denses en nutriments.
RépondreSupprimerIl ne faut pas négliger ici l’importance de l’agronome William Albrecht et de son travail en faveur de sols sains et d’humains sains. Dans ses expériences, il a découvert que les vaches nourries avec des cultures moins riches en nutriments mangeaient davantage, tandis que celles qui mangeaient de l'herbe riche en nutriments arrêtaient de manger une fois leur apport nutritionnel satisfait. C’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles nous constatons une augmentation des taux d’obésité à une époque d’insécurité alimentaire en matière de micronutriments.
Il est intéressant de noter que, compte tenu de la discussion ci-dessus sur les impacts négatifs de la révolution verte sur la nutrition, l'article New Histories of the Green Revolution (2019) du professeur Glenn Stone démystifie l'affirmation selon laquelle la révolution verte a stimulé la productivité : elle a simplement mis davantage (de nutriments) sur la nutrition. -déficient) dans l'alimentation indienne au détriment des autres cultures vivrières. Stone soutient que la productivité alimentaire par habitant n’a pas augmenté, voire a même diminué.
Dans cette optique, le tableau ci-dessous constitue une lecture intéressante. Les données sont fournies par le Conseil national de la productivité de l'Inde (un organisme autonome du Département de la promotion de l'industrie et du commerce intérieur du ministère du Commerce et de l'Industrie).
- voir cadre sur site -
Comme mentionné précédemment à propos d’Albrecht, l’obésité est devenue une préoccupation dans le monde entier, y compris en Inde. Ce problème est multidimensionnel et, comme nous l'avons évoqué, l'apport calorique excessif et les aliments pauvres en nutriments (ainsi que les modes de vie sédentaires) sont un facteur conduisant à la consommation d'aliments ultra-transformés sucrés et riches en graisses dans le but de combler le déficit nutritionnel. . Mais il existe également de nombreuses preuves reliant l’exposition humaine aux produits agrochimiques à l’obésité.
L'article de septembre 2020 Agrochemicals and Obesity dans la revue Molecular and Cellular Endocrinology résume les preuves épidémiologiques humaines et les études expérimentales sur les animaux soutenant l'association entre l'exposition agrochimique et l'obésité et décrit les fondements mécanistes possibles de ce lien.
RépondreSupprimerDe nombreuses autres études ont également montré que l’exposition aux pesticides était associée à l’obésité et au diabète. Par exemple, un article publié en 2022 dans la revue Endocrine rapporte que le premier contact avec des pesticides environnementaux se produit pendant des phases critiques de la vie, telles que la gestation et la lactation, ce qui peut entraîner des dommages aux tissus centraux et périphériques et par la suite des troubles de programmation tôt et plus tard dans la vie.
Un article publié en 2013 dans la revue Entropy sur les voies d'accès aux maladies modernes a rapporté que le glyphosate (l'ingrédient actif du Roundup de Monsanto) et l'herbicide le plus populaire utilisé dans le monde, renforce les effets néfastes d'autres résidus chimiques d'origine alimentaire et de toxines environnementales. L'impact négatif est insidieux et se manifeste lentement au fil du temps, à mesure que l'inflammation endommage les systèmes cellulaires dans tout le corps, entraînant des conditions associées à un régime alimentaire occidental, notamment des troubles gastro-intestinaux, l'obésité, le diabète, les maladies cardiaques, la dépression, l'autisme, l'infertilité, le cancer et la maladie d'Alzheimer. .
Malgré ces résultats, la militante Rosemary Mason a attiré l’attention sur la manière dont les discours officiels du gouvernement et de l’industrie tentent de détourner l’attention du rôle du glyphosate dans l’obésité (et d’autres pathologies) en exhortant le public à faire de l’exercice et à réduire sa consommation de « biscuits ». Dans un article récent, Kit Knightly sur le site Web OffGuardian note comment les grandes sociétés pharmaceutiques tentent d'individualiser l'obésité et de gagner des millions en promouvant leurs « remèdes médicaux » contre cette maladie.
Pour remédier aux carences en micronutriments, d’autres initiatives lucratives pour l’industrie sont encouragées, notamment la biofortification des aliments et des plantes et le génie génétique.
RépondreSupprimerLes récits de l'industrie n'ont rien à dire sur le système alimentaire lui-même, qui considère la « nourriture » comme un simple produit de plus à utiliser dans un but lucratif, quels que soient les impacts sur la santé humaine ou l'environnement. Nous assistons simplement au déploiement d’un plus grand nombre de « solutions » technologiques censées remédier aux impacts des « innovations » et des décisions politiques précédentes qui ont profité aux résultats financiers de l’agro-industrie occidentale (et des grandes sociétés pharmaceutiques).
Les solutions technologiques rapides n’offrent pas de véritables solutions aux problèmes décrits ci-dessus. De telles solutions impliquent de remettre en question le pouvoir des entreprises qui façonne les récits et les politiques en fonction de leur agenda. Une alimentation saine, des personnes en bonne santé et des sociétés saines ne peuvent pas être créées dans un parc des sciences de la vie en constante expansion, spécialisé dans la manipulation de la nourriture et du corps humain (pour le profit des entreprises) sous la bannière de « l'innovation » et de la « santé », tout en laissant intactes les relations de pouvoir. qui sous-tendent la mauvaise alimentation et la mauvaise santé.
Une refonte radicale du système alimentaire est nécessaire, depuis la manière dont les aliments sont cultivés jusqu’à la manière dont la société doit être organisée. Cela implique de créer la souveraineté alimentaire, d'encourager le localisme, les marchés locaux et les chaînes d'approvisionnement courtes, de rejeter la mondialisation néolibérale, de soutenir l'agriculture des petits exploitants et la réforme agraire et d'encourager les pratiques agroécologiques qui renforcent la fertilité des sols, utilisent et développent des variétés locales hautement productives et se concentrent plutôt sur la nutrition par acre. qu'une augmentation de la taille des grains, du « rendement » et du « rendement ».
C'est ainsi que l'on crée une alimentation saine, des personnes et des sociétés saines.
https://www.globalresearch.ca/sick-death-unhealthy-food-failed-technologies/5847886
La majorité des femmes d'aujourd'hui ont un cul large de 1 mètre !
SupprimerLe Cirque du WEF Davos 2024 : leur seul objectif est de « réduire massivement la population mondiale »
RépondreSupprimerPar Peter Koenig
Recherche mondiale
30 janvier 2024
L'auteur du brillant article en espagnol « Platicando en Davos » (Parler à Davos), le Dr Victor Andrés Belaunde Gutiérrez, est un avocat péruvien et analyste international. Il a porté un dernier coup plutôt dévastateur – une vision latino-américaine – au WEF, Davos 24. Est-il représentatif de toute l’Amérique latine ?
Probablement pas. Mais pour un large segment de personnes alertes, y compris de nombreux dirigeants d’entreprises latino-américaines et même certains dirigeants de pays, les paroles de M. Belaunde peuvent parler avec leur cœur. Prenez Javier Milei, le président nouvellement élu de l'Argentine, qui a été invité à Davos et a prononcé un discours brillant auquel Klaus Schwab et de nombreux membres du clan du WEF ne s'attendaient probablement pas.
Peut-être que les paroles du président Milei et de Victor Belaunde font partie de la goutte d’eau qui a fait déborder le vase du WEF.
Le cirque du WEF dure depuis trop longtemps – 54 ans. Les organisateurs et les participants du WEF s'éloignent de plus en plus de la réalité, alors qu'ils n'ont qu'un seul objectif : réduire massivement la population mondiale, afin que les ressources naturelles restantes de la Terre Mère servent « pour toujours » à une petite élite, au lieu de être avalés par des « mangeurs inutiles », qui peuvent rapidement être remplacés par des robots, des transhumains (survivants humains pucés) et l’intelligence artificielle (IA).
Une fois qu'il ne restera plus qu'une fraction des 8 milliards d'habitants de la planète – et, oui, c'est l'objectif déjà énoncé par le Club de Rome (une invention de Rockefeller) dans son rapport de 1972 « Limite à la croissance », puis énoncé dans le livre d'Henry Kissinger. Rapport de 1974 sur le « Mémorandum d'étude sur la sécurité nationale (NSSM) 200 ». Kissinger était alors secrétaire d’État du président Nixon. (les deux rapports peuvent être téléchargés, pdf)
Malheureusement, au cours des dernières décennies, motivés par certains désirs bien réfléchis d'aider les autres, et d'autres par le désir d'appartenir à une caste privilégiée, les principaux dirigeants mondiaux du monde occidental ont abandonné le modèle de liberté pour différentes versions de ce que nous appelons le collectivisme. (…) »
RépondreSupprimerL'avocat péruvien commente brièvement que M. Milei a raison : Ceux qui doivent défendre le capitalisme démocratique sont ceux qui l'enterrent, dans la plupart des cas, par pure frivolité :
« Je cite seulement ses mots d’ouverture [du président Milei] parce qu’ils résument l’objet des pourparlers, des conversations de Davos. Les gens qui ont atteint les plus hauts rangs en termes de statut et de richesse grâce au capitalisme libéral et démocratique promeuvent des idées qui, une fois mises en œuvre, le détruiront.
« De plus, les manifestations de frivolité et de médiocrité intellectuelle qu'émet le célèbre forum sont de plus en plus scandaleuses. Par exemple, l'impression que font les trafiquants de prostituées lors de ces réunions – pourquoi pas des orgies alors qu'on sauve le monde avec 2100 euros la nuit, des dames ?
« Ce n’est peut-être pas le meilleur exemple car c’est le métier le plus ancien au monde.
«Mais le spectacle pitoyable d'une prétendue sorcière, sorcière ou Dieu sait quoi, émettant des sons et crachant au visage de certains panélistes, est décidément pathétique [ndlr PK : un rituel culte].
«Je ne peux pas concevoir comment une personne qui a une quelconque notion de respect de soi pourrait tolérer de participer à des farces [sectaires] de ce calibre.
« Les personnes qui participent volontairement et applaudissent à de telles farces peuvent-elles être reconnues comme sérieuses ?
N'ont-ils aucune honte ? Est-ce parce que leur besoin d’appartenir aux gens cool de la planète est si puissant ? – Est-ce que le cool et le sophistiqué sont désormais inévitablement ridicules et honteux ?
*
L’avocat péruvien et analyste international Victor Belaunde a introduit sa conclusion sur le rôle déclinant et toujours plus dévastateur du WEF pour l’économie mondiale, par les mots suivants :
« Chaque année à Davos, en Suisse, les sommités de notre planète, les membres d'une supposée élite mondiale, se réunissent au soi-disant Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse.
RépondreSupprimer« Le WEF est le fruit de l’imagination de l’exécutif allemand Klaus Schwab, qui, avec une immense compétence, a créé une cohorte relativement restreinte d’élitistes politiques et d’affaires, qui étaient et deviennent immensément riches au fil du temps.
"M. Schwab est le partisan d’une philosophie économique et commerciale particulière, dont la cohérence avec le capitalisme libéral et démocratique est hautement discutable. La grande majorité des participants ne s'arrêtent pas pour réfléchir sur ce point, s'intéressant uniquement à l'opportunité d'améliorer leurs relations publiques personnelles et de se côtoyer au plus haut niveau.
« Si vous arrivez à Davos, vous y êtes ! »
« Quelle est cette philosophie incompatible avec le capitalisme libéral et démocratique ?
« Il s’agit de ce qu’on appelle le capitalisme des parties prenantes, un terme popularisé dans toutes les langues et interprété comme signifiant « parties intéressées ».
« Mais qui sont ces « parties prenantes » et qu’entendent-ils par « parties prenantes » ? – Les parties prenantes sont toutes les personnes et entités qui ont un « intérêt » dans les activités d’une entreprise ou dans le développement d’un projet. Jusqu’à présent, tout cela semble très beau, moderne, inclusif et démocratique, mais ce n’est pas le cas.
« Le capitalisme est basé sur le respect de la propriété privée. Cependant, ce système de parties prenantes relègue les actionnaires des entreprises, c'est-à-dire leurs propriétaires, dans une position impossible à distinguer de celle de toute autre partie prenante.
M. Belaunde prend l’exemple d’une « communauté » ou d’une ONG, qui sont toutes deux des « parties prenantes », selon le concept du WEF. Mais en suivant leurs lois et statuts, nous devons défendre les consommateurs de la région. Cette « philosophie », selon Belaunde, détruit la possibilité de développer des entreprises privées.
Pourquoi alors, se demande Belaunde, tant de cadres assistent-ils volontiers à ces conclaves qui promeuvent des idées incompatibles avec la liberté économique ? La réponse est simple. Le pouvoir économique passe progressivement des propriétaires de l’entreprise aux salariés, qui deviennent peu à peu des castes auto-entretenues qui captent les entités pour lesquelles ils travaillent.
RépondreSupprimer"Cela ressemble à une forme subtile de marxisme", intimide M. Belaunde, estimant que cela va justement à l'encontre de l'idée du WEF.
*
L’essentiel est un rapport dévastateur sur le WEF Davos24, en particulier, et sur le WEF et ses objectifs infâmes en général.
Cela devrait être une source d’inspiration supplémentaire pour nous, le peuple, en Amérique latine et dans le monde, pour nous lever et mettre fin au génocide destructeur de cette civilisation émergente, lancé encore et encore par le Forum économique mondial et ses gestionnaires et partisans.
La source originale de cet article est Global Research.
https://www.lewrockwell.com/2024/01/no_author/the-wef-davos-2024-circus-their-one-objective-is-to-massively-reduce-world-population/
Sommes-nous trop ,ombreux sur Terre ? Non ! On pourrait y être 10 fois plus sans aucune pénuries alimentaires ni énergétique. Mais, de trop riches personnes qui ne savent pas quoi faire de leur pédocratie de psychopathe se réunissent en Suisse (seule Démocratie au monde) pour discuter sur les prochains assassinats souhaités par tous et le comment s'y prendre pour dire que c'est pour votre bien !
SupprimerVous ne posséderez rien et vous serez heureux
RépondreSupprimerPar Jeff Thomas
Homme international
30 janvier 2024
Klaus Schwab est né dans l'Allemagne nazie en 1938. Peu d'informations sont disponibles sur son éducation – c'est-à-dire sur le degré auquel il a été éduqué pour croire à la doctrine nazie – mais quoi qu'on lui ait enseigné dans sa jeunesse, il est aujourd'hui l'un des les plus ardents croyants et partisans du régime totalitaire.
Le terme « nazi » fait référence au Nationalsozialistisch, ou « national-socialisme », et son concept général était le fascisme – un concept qui englobait un système économique corporatiste, un système politique socialiste et un régime totalitaire.
Bien que cette description puisse paraître plutôt alambiquée, le concept était considéré par Wall Street et une grande partie du gouvernement américain dans les années 1930 comme la voie de l’avenir. À tel point qu’ils ont fourni un soutien financier et logistique considérable à l’Allemagne nazie dans les années 1930 et même jusque dans les années 1940.
Après la guerre, seule une poignée d’Allemands furent poursuivis pour crimes de guerre lors des procès de Nuremberg. D’innombrables autres ont été embauchés par l’industrie américaine et le gouvernement après la guerre, pour former l’industrie américaine à la méthodologie allemande.
Pendant de nombreuses années après la guerre, les concepts nazis sont restés sous les radars, mais ces dernières années, ils sont devenus une force majeure non seulement aux États-Unis, mais aussi dans les États alliés des États-Unis : le Canada, l'Australie, le Royaume-Uni et, plus particulièrement, les États-Unis. UE.
Les concepts de base sont éternels dans leur attrait pour ceux qui cherchent à dominer :
Créez une classe supérieure de ceux qui occupent des positions élevées à la fois dans l’industrie et en politique.
Paralyser économiquement la classe moyenne, afin qu’elle n’ait plus le pouvoir de prendre ses propres décisions de vie.
Offrir une dépendance considérablement accrue à l’égard de l’État pour soulager les difficultés économiques créées par l’État.
Supprimer les libertés, en échange de promesses de largesses de la part de l’État.
Instituer un État policier et un régime totalitaire pour garantir la pérennité du nouveau paradigme.
Une fois que les contrôles seront pleinement mis en œuvre et que la population sera devenue dépendante du nouveau système, commencez à supprimer les droits promis.
L’idée derrière ce dernier point est qu’une fois que la population sera totalement dépendante de l’État, elle aura perdu le pouvoir de s’opposer ou de se rebeller si ses droits lui sont supprimés. Ils sont alors pleinement dominés.
Le gouvernement aura le contrôle total de tous les aspects de votre vie, ainsi que la tâche d’éliminer tous les obstacles à votre bonheur.
RépondreSupprimerÇa a l'air merveilleux. Où puis-je m'inscrire ?
Mais si nous nous arrêtons et réfléchissons un instant, nous souhaiterons peut-être poser quelques questions.
D’une part, vous renoncez à tous vos droits au début de la transaction. Vous aurez perdu tous vos biens et toutes vos libertés. Vous serez dépendant à 100% de l'État. Leur part de l’accord doit être livrée en aval.
Mais une fois qu’on est totalement dépendant et qu’on ne peut plus s’extirper du deal, plus rien ne les empêche de retirer le bol à punch… Oh-oh.
Toutes les choses qui ont été promises peuvent être retirées une à une, jusqu’à ce que vous soyez à la fois serviles et appauvris. Il vous manquera la capacité de vous rebeller ou même de vous plaindre.
Pendant des générations, les dirigeants politiques ont fait des promesses creuses qui n’ont jamais été tenues. Les dirigeants politiques conservateurs et libéraux ont toujours fait grande démonstration de leur désaccord sur la forme de gouvernance qui pourrait le mieux servir le peuple. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, le résultat, quel que soit le groupe qui détient théoriquement les rênes du pouvoir à un moment donné, a toujours été un gouvernement plus grand et plus puissant et une population de plus en plus privée de ses libertés – sociales, politiques et économiques.
Nous sommes aujourd’hui à un tournant décisif où une grande partie de l’ancien monde libre est tentée de faire le saut vers le « Meilleur des Mondes ».
Tous les problèmes sociaux, politiques et économiques qui existent actuellement ont été causés par les dirigeants politiques. Ils vous demandent maintenant de leur faire confiance pour mettre fin à ces problèmes.
La promesse est simple : vous ne posséderez rien. Et tu seras heureux.
Mais vous n’êtes pas obligé de vous inscrire. Tout ce que vous avez à faire est de rester tranquille et d’accepter la transformation vers le totalitarisme au fur et à mesure qu’elle se déroule.
Rien de plus simple.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2024/01/no_author/youll-own-nothing-and-youll-be-happy/
La consanguinité des dirigeants se déplore de nos jours plus qu'en tout autre temps où n'existait pas encore l'Internet. Leur niveau de facultés intellectuelles est si bas qu'il s'apparente à la trisomie de leur cadre de vue où ils sont parfaitement incapables de gérer un pays (malgré l'arrivée des ordinateurs) et voudraient... gouverner le monde !!
SupprimerLa plupart sont des assassins-psychopathes très dangereux.
L’élite américaine presque fermée pour politique climatique radicale
RépondreSupprimer30 janvier 2024
de Thomas Oysmüller
Une enquête menée auprès de l’élite américaine montre que la politique climatique ne peut guère aller assez loin pour les riches Américains. Presque tout le monde souhaite des « mesures » radicales et un rationnement du Storm ou de la viande.
L’élite américaine soutient presque unanimement les projets d’économie de guerre climatique. C’est ce que montre un rapport récent qui a mené une enquête auprès de 1 000 élites américaines. La politique climatique, qui conduit finalement au rationnement de la viande, de l’électricité et au démantèlement des droits fondamentaux, bénéficie d’un soutien total.
Pour le rationnement
SlayNews rend compte de l'enquête sur les projets du WEF. Ce que veut exactement la nouvelle élite est peut-être mieux compris par les idéologues que par le WEF lui-même. Ulrike Herrmann, en tant qu'idéologue verte, appelle à une économie de guerre comme en Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale – cette fois pour sauver le climat . Elle parle ouvertement et presque avec délectation du prochain rationnement des citoyens.
Si l’on en croit le rapport du Comité pour libérer la prospérité (CUP), les citoyens les plus riches d’Amérique soutiennent pleinement le projet du WEF visant à rationner le gaz, l’électricité, la viande et les produits laitiers au grand public afin de soi-disant « lutter contre le changement climatique ». Mais contrairement aux projets d'Herrmann, l'élite se considère probablement comme exclue de ces projets.
Quoi qu’il en soit, l’élite américaine est pleinement engagée dans la lutte contre le changement climatique. Net-Zero doit être appliqué. Près de 90 % des « élites américaines » estiment qu’un rationnement strict du gaz, de la viande et de l’électricité est nécessaire pour lutter contre la « crise climatique ».
77 % des Américains aux revenus élevés soutiennent globalement ces plans. Ce sont des chiffres énormes. 89 % de ces riches issus des « meilleures universités » croient qu’il faut réduire la qualité de vie de la population afin d’atteindre le « Net Zero ». Les élites ne se font donc aucune illusion : le « climat » ne sera pas sauvé par les droits civiques fondamentaux.
C’est probablement la raison pour laquelle 60 % des élites estiment qu’il y a « trop de liberté » aux États-Unis.
S layNews considère également l’enquête comme une preuve supplémentaire de la grande distance qui s’est développée entre les citoyens ordinaires et l’élite. Au total, 63 % des Américains rejettent la politique climatique. L'enquête est également discutée en conséquence. Un magazine écrit que le résultat montre que le changement climatique « est clairement une obsession des très riches et des plus instruits ».
L'enquête a été publiée ce mois-ci sous le titre « Eux contre les États-Unis : les deux Amériques et comment l'élite nationale est déconnectée des Américains moyens ». CUP écrit qu’il représente un « premier aperçu des opinions de l’élite américaine ».
Le rapport est basé sur deux enquêtes menées l’automne dernier auprès de 1 000 élites.
https://tkp.at/2024/01/30/us-elite-fast-geschlossen-fuer-radikale-klimapolitik/
Les plantes génétiquement modifiées luttent ostensiblement contre le changement climatique, mais en fin de compte contre les agriculteurs
RépondreSupprimer30 janvier 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis environ 70 ans, des tentatives sont faites pour saper l’indépendance des agriculteurs et industrialiser la production alimentaire. C'est depuis combien de temps des milliardaires comme Rockefeller et Ford investissent dans le développement de semences génétiquement modifiées et donc brevetables.
Des variétés à haut rendement, les « graines miracles », développées par le sélectionneur Dr. Développé par Norman Borlaug en collaboration avec la Fondation Rockefeller et la Fondation Ford, il visait à rendre les agriculteurs arriérés d'Afrique, d'Asie et d'Amérique du Sud dépendants des grandes entreprises, comme indiqué ici par exemple . Ces programmes ont été complétés par des institutions telles que le « Corps de la Paix » et le groupe terroriste militaire les « Bérets verts », connus pour leurs crimes pendant la guerre du Vietnam.
Sous couvert de protection du climat, on tente encore de mettre les agriculteurs sous contrôle. C'est ce que montre un article dans « Trends in Plant Science » d'Emma Kovak et al intitulé « Les cultures génétiquement modifiées soutiennent l'atténuation du changement climatique ».
Ça dit:
« Les cultures génétiquement modifiées peuvent contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’agriculture. En plus de réduire potentiellement les émissions de production, l’augmentation des rendements génétiquement modifiés réduit également le changement d’affectation des terres et les émissions associées. Une adoption plus large des cultures génétiquement modifiées existantes en Europe pourrait entraîner une réduction équivalente à 7,5 % des émissions totales de gaz à effet de serre agricoles en Europe.
Le débat public sur les cultures génétiquement modifiées est erroné, notamment en Europe. Les avantages réels et potentiels seraient ignorés. Les cultures génétiquement modifiées entraîneraient des avantages économiques, écologiques et sanitaires grâce à des rendements agricoles plus élevés.
Mais plus encore : « Certaines études montrent également que certaines applications de cultures génétiquement modifiées contribuent à réduire les émissions de gaz à 'effet de serre' et favorisent la séquestration du carbone dans le sol en permettant un travail du sol réduit. "
RépondreSupprimerLes auteurs tentent de montrer que « les augmentations de rendement des cultures génétiquement modifiées peuvent avoir des impacts positifs supplémentaires sur l'atténuation du changement climatique qui n'ont pas été pris en compte et quantifiés auparavant. Alors que la demande mondiale de produits alimentaires continue d’augmenter, l’augmentation des rendements agricoles peut réduire le besoin de nouvelles superficies, empêchant ainsi les émissions supplémentaires de CO2 liées au changement d’affectation des terres (Figure 1). Actuellement, le changement d’affectation des terres est responsable de plus de 30 % des émissions agricoles de gaz à effet de serre. "
- voir schéma sur site -
Les auteurs préconisent l'introduction de variétés génétiquement modifiées dans l'UE pour cinq cultures importantes : le maïs, le soja, le coton, le colza et la betterave sucrière.
« Nous nous concentrons sur l’UE pour deux raisons. Premièrement, l’UE n’a pas encore introduit les cultures génétiquement modifiées à grande échelle, en grande partie à cause de problèmes d’acceptation par le public et d’obstacles politiques associés. Nous pouvons donc comparer un scénario hypothétique avec l’introduction des cultures génétiquement modifiées dans un statu quo dans lequel pratiquement aucune culture génétiquement modifiée n’est cultivée. Deuxièmement, l'UE réévalue actuellement sa politique de réglementation des OGM ; par conséquent, cette analyse pourrait aider à fournir une image plus complète de l’impact probable d’un changement de politique.
L'avantage serait « la résistance aux insectes (IR) et la tolérance aux herbicides (HT) ». Cela signifie que des gains de rendement moyens d'environ 22 % peuvent être obtenus grâce aux plantes génétiquement modifiées.
Les auteurs théorisent ensuite comment un meilleur équilibre environnemental peut être atteint grâce à une diminution des importations, une réduction de l’utilisation des terres, etc. Bien entendu, cela s'inscrit bien dans les plans de « renaturation » de l'UE, qui visent à entraîner le déplacement et l'expropriation des agriculteurs.
Puisque l’un des objectifs est d’augmenter la « tolérance aux herbicides », on peut supposer que davantage de désherbants seront utilisés. Les dommages à la santé qui en résultent ne sont même pas mentionnés dans l'article. Cependant, les auteurs admettent qu'une introduction dans l'UE aurait également un impact important sur l'utilisation d'herbicides dans d'autres pays. Le génie génétique étant actuellement interdit dans l’UE, il a également entravé son introduction dans d’autres pays. Mais « une plus grande diffusion des cultures génétiquement modifiées dans l’UE [conduirait] probablement également à une plus grande diffusion dans d’autres pays. « .
En fin de compte, l’utilisation du génie génétique vise à industrialiser l’agriculture et à rendre les agriculteurs dépendants des sociétés agricoles et du secteur financier, puis à les chasser de leurs terres, comme les Pays-Bas ont initialement tenté de le faire avec 3 000 agriculteurs. Cependant, cette nouvelle s'est déjà répandue parmi les agriculteurs européens et a donné lieu à des manifestations massives.
https://tkp.at/2024/01/30/gentechnik-pflanzen-vorgeblich-gegen-klimawandel-letztlich-aber-gegen-bauern/
Réponse commune à tous les commentaires élogieux reçus …
RépondreSupprimerle 28 janvier 2024
À la suite de l’annonce d’un arrêt de mon blog le 15 février 2024 j’ai reçu un nombre inattendu de commentaires élogieux, parfois amicaux et cette réaction m’a conduit à reconsidérer cette décision pour deux raisons. En premier lieu si je cesse cette activité autant dire que je n’aurai plus aucune motivation pour utiliser mes neurones vieillissants afin d’échapper au gâtisme et je constate ce qu’il en est dans la résidence pour vieux où j’ai élu domicile pour libérer mes enfants. Ces « vieux » passent leur temps devant des programmes télévisuels d’une médiocre qualité et les imprègnent de la propagande gouvernementale. Je viens de terminer une conférence donnée à l’École des Chartes. Pour intégrer cette école le concours est beaucoup plus difficile que celui d’entrée à Normale ou l’X : il y a une vingtaine d’étudiants pour moins de 5 postes dans cette école.
Je voudrais en guise de remerciement adressé à tous les lecteurs de ce blog faire quelques confidences. Lorsque je suis revenu du Vanuatu en 2003 j’ai entrepris de faire des recherches généalogiques patronymiques et j’ai découvert que j’étais apparenté au journaliste de gauche Jacques Julliard, père de Jean-François, et récemment décédé. Son fils J-F était à l’époque journaliste au Canard enchainé. J’ai rencontré ce dernier au bar Le Nemours, près du Conseil Constitutionnel, pour lui communiquer le résultat de mes travaux de généalogie. J’étais un cousin de son père en remontant à 9 générations en arrière. En discutant avec des habitants du village du Bugey dont est issue cette branche du même patronyme que celui de votre serviteur, plusieurs personnes m’ont raconté de sordides histoires de famille et du traitement odieux que J Julliard a fait subir à sa sœur toujours résidente de ce village à l’époque. Je n’en dirai pas plus. Je m’appelle donc Jacques H. Julliard, le nom sous lequel j’ai publié quelques articles scientifiques d’audience internationale. La désignation de mon blog est une contraction de mes deux premiers prénom, le troisième étant celui du facteur dans « La Jument Verte » de Marcel Aymé adapté au cinéma par Claude Autant-Lara tout simplement parce que mon père était un adepte de cet auteur truculent ce qui explique pourquoi j’ai lu les Contes du Chat Perché dans mon enfance. Le fils de mon homonyme (et je ne suis pas journaliste) a versé dans le gauchisme en créant Reporters sans Frontière, une antenne de la CIA, et il sévit maintenant à Greenpeace.
C’est la raison pour laquelle j’ai dissimulé mon identité depuis de si nombreuses années. Je ne changerai pas l’adresse de mon blog et pour ne pas solliciter mes lecteurs généreux je mettrai en ligne par chapitres un roman policier que j’envisage sérieusement de proposer à Gallimard, pourquoi pas, en en réservant la primeur aux lecteurs de ce blog moyennant une modeste participation. Etant incapable de mettre en place un compte Tipee ou autre je ferai appel à l’expertise de mon fils résidant à Tokyo depuis 18 ans maintenant. Il y aura donc un long délai pour une éventuelle disparition de ce blog … Meilleurs vœux à tous mes lecteurs fidèles !
https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/01/28/reponse-commune-a-tous-les-commentaires-elogieux-recus/
ENCORE 7 articles censurés ! (60 - 7 = 53)
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