PAR TYLER DURDEN
SAMEDI 05 AOÛT 2023 - 04:00
L'Office of National Intelligence australien, l'équivalent du directeur américain du National Intelligence, finance un projet visant à étudier les moyens de fusionner les cellules du cerveau humain avec l'intelligence artificielle.
Une équipe de chercheurs collaborant avec la startup Cortical Labs basée à Melbourne a reçu une subvention de 600 000 $ pour fusionner la biologie avec l'IA. L'équipe a déjà démontré comment environ 800 000 cellules cérébrales dans une boîte de Pétri sont capables de jouer à un jeu de "Pong".
"Cette nouvelle capacité technologique à l'avenir pourrait éventuellement dépasser les performances du matériel existant, purement à base de silicium", a déclaré le chef d'équipe Adeel Razi, professeur agrégé à l'Université Monarch.
"Les résultats d'une telle recherche auraient des implications significatives dans plusieurs domaines tels que, mais sans s'y limiter, la planification, la robotique, l'automatisation avancée, les interfaces cerveau-machine et la découverte de médicaments, donnant à l'Australie un avantage stratégique significatif."
Selon Razi, la technologie pourrait permettre à une intelligence artificielle "d'apprendre tout au long de sa vie" comme les cellules du cerveau humain, lui permettant d'acquérir de nouvelles compétences sans perdre les anciennes, ainsi que d'appliquer les connaissances existantes à de nouvelles tâches.
Razi et ses collègues visent à développer des cellules cérébrales dans un plat de laboratoire appelé le système DishBrain pour étudier ce processus d '«apprentissage continu tout au long de la vie». -L'octet
Selon Razi, "Nous utiliserons cette subvention pour développer de meilleures machines d'IA qui reproduisent la capacité d'apprentissage de ces réseaux de neurones biologiques."
"Cela nous aidera à augmenter la capacité du matériel et des méthodes au point où ils deviendront un remplacement viable pour l'informatique in silico."
Pendant ce temps, Neuralink d'Elon Musk a obtenu l'approbation de la FDA pour étudier les implants cérébraux chez l'homme depuis mai.
Sayer Ji : Le corps est CAPABLE de se RÉGÉNÉRER contre les blessures et les maladies
RépondreSupprimer08/04/2023
Kevin Hughes
L'auteur sur la santé et le bien-être Sayer Ji a révélé que le corps humain est capable de se régénérer à partir de n'importe quelle maladie.
Il a cité la cicatrisation des plaies comme un bon exemple de la capacité du corps, expliquant au Health Ranger Mike Adams : "C'est magnifique, parce que pour moi, c'est juste un exemple classique de la façon dont notre corps est si capable de se régénérer à partir de vraiment n'importe quelle maladie. Je pense [c'est] parce que nous avons été en quelque sorte hypnotisés par la sorcellerie de la médecine allopathique."
Ji, le fondateur du site Web de santé naturelle GreenMedInfo, a déclaré que les gens ont été induits en erreur en pensant que leur corps ne peut pas se régénérer à partir de maladies que le système allopathique a qualifiées d'incurables. Il a poursuivi en disant que le principe des campagnes de marketing de Big Pharma est centré sur le fait de ne pas connaître la cause profonde des maladies. Ainsi, il continue de marcher et de collecter des fonds pour de futurs traitements pharmaceutiques – ce que Ji a appelé une forme d'éclairage au gaz. (Connexe : Sayer Ji (GreenMedInfo) interviewé par le Health Ranger sur la SCIENCE de la médecine naturelle.)
L'esprit joue également un rôle dans cette régénération, a ajouté Ji, expliquant que le pouvoir de l'esprit d'une personne peut déterminer le destin de sa santé. Les gens doivent réaliser que cela commence vraiment avec leur esprit, lorsqu'ils croient qu'il est possible pour le corps de se guérir.
Le fondateur de Natural News et Brighteon.com était d'accord avec son invité. Il a également souligné qu'au lieu de la régénération, la dégénérescence est poussée en médecine et dans les médias.
"Et vous l'entendez tout le temps:" Oh, juste avec l'âge, vous perdez naturellement vos articulations; votre cerveau; vos reins; votre cœur. Juste avec l'âge, tout s'effondre ", a déclaré Adams.
"C'est vrai que c'est l'expérience de beaucoup de gens - mais surtout les gens qui prennent beaucoup de produits pharmaceutiques et qui mangent de la malbouffe transformée ; qui manquent de nutriments ; et qui ne prennent pas soin d'eux-mêmes, ça va s'effondrer. "
Les cellules souches jouent un rôle énorme dans la régénération du corps
Ji a également raconté qu'il avait été inspiré par la découverte des cellules souches dans le corps humain. Ces fils immortels de cellules construits dans le corps humain jouent un rôle énorme dans la régénération du corps.
"C'est notre corps qui recrute essentiellement un processus de régénération immortel, intensément beau [et] puissant pour faire face à l'assaut des attaques constantes de l'environnement artificiel de la toxicité", a-t-il déclaré. "En fin de compte, ces cellules souches s'épuiseront si elles sont tourmentées à chaque instant par des milliards d'expositions."
RépondreSupprimerLe fondateur de GreenMedInfo a également mentionné que le cancer est un processus de régénération du corps en réponse à des conditions extrêmement défavorables dans l'environnement comme les fréquences électromagnétiques non naturelles et les toxines. Adams a fait remarquer que le cancer concerne les cellules qui essaient de se régénérer de manière désorganisée, car elles manquent des informations dont elles ont besoin pour se développer structurellement et intelligemment.
Ji a accepté, notant que si l'environnement épigénétique des cellules est constamment privé des nutriments appropriés ou reçoit un excès de produits pétrochimiques, de nanoparticules et d'autres choses, il ne peut pas se conformer à un corps énergétique de santé et de bien-être.
Adams a mentionné que la médecine moderne a grossièrement simplifié beaucoup de choses en utilisant des étiquettes telles que la description des symptômes comme nom d'une maladie, citant l'hypertension artérielle ou l'hypertension comme exemple. Selon lui, chaque médecin croit que l'hypertension artérielle est une maladie. En réalité, l'hypertension artérielle n'est pas une maladie, mais un symptôme dont la cause sous-jacente n'est pas traitée.
Ji a noté que les médecins "propagateurs de maladies" supprimaient les symptômes, qui servent de moyen de guérison pour le corps et traitent ce qui est déséquilibré. S'en tenant à l'exemple du Health Ranger, il a déclaré que les médecins n'avaient jamais examiné les causes profondes des maladies cardiaques – qui sont devenues la première cause de décès dans le monde occidental ou développé.
Visitez BrightU.com pour vous inscrire à l'événement "Regenerate Yourself Masterclass" de Sayer Ji en streaming le samedi 5 août.
Regardez la conversation complète entre Sayer Ji et le Health Ranger Mike Adams sur le "Rapport du Health Ranger" ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
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6 Tissus corporels qui peuvent être régénérés par la nutrition.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
FAIM.org
https://www.naturalnews.com/2023-08-04-sayer-ji-human-body-capable-regenerating-itself.html
Les hauts responsables de la santé font la guerre au poulet NyQuil
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
5 août 2023
Nous n'avons plus d'organisme de réglementation chargé de la santé publique. Non seulement la Food and Drug Administration des États-Unis a été capturée par l'industrie pharmaceutique, mais elle est également dotée de cerveaux d'oiseaux incompétents et de bureaucrates politiquement motivés.
Du début à la mi-avril 2020, environ un mois après le début de la pandémie de COVID-19, les médecins de soins intensifs avaient déjà compris que le médicament antiparasitaire ivermectine – qui a été approuvé pour un usage humain depuis 1987 et figure sur la liste des «médicaments essentiels» de l'Organisation mondiale de la santé » liste – travaillait contre le nouveau coronavirus.
Mais la FDA n'était pas intéressée à sauver des vies de toutes les manières possibles. Il a apparemment décidé que sa fonction principale était de protéger les bénéfices de Big Pharma, et cela signifiait s'assurer qu'il n'y avait pas de traitements COVID potentiels disponibles, car l'autorisation d'utilisation d'urgence pour les piqûres d'ARNm ne pouvait être accordée que s'il n'y avait pas d'autres traitements.
La FDA ravie du tweet de la pâte de cheval virale
Les e-mails internes de la FDA obtenus par Motherboard via une demande de Freedom of Information Act révèlent que les responsables de l'agence étaient ravis du succès de son tweet désobligeant de "pâte de cheval" qui est devenu viral fin août 2021.
Tel que rapporté par Vice : 1
« Dans des e-mails internes, les superviseurs du bureau des affaires publiques de l'agence ont félicité l'auteur du tweet pour son approche "intelligente (humoristique)"... Le tweet a été rédigé par Brad Kimberly, le directeur des médias sociaux du bureau des affaires extérieures de l'agence.
Il a noté dans des e-mails que le tweet est rapidement devenu le deuxième plus populaire de l'histoire de l'agence, juste après un autre beaucoup moins humoristique lorsque l'agence a recommandé une pause temporaire dans l'administration des vaccins Johnson et Johnson en raison de rapports de caillots sanguins rares mais graves…
RépondreSupprimerLa pâte de cheval a dépassé les caillots sanguins en quelques jours, selon les e-mails. "Pour le moment, c'est le message le plus populaire que nous ayons jamais eu sur Twitter", a écrit Kimberly à propos du tweet de pâte de cheval dans un e-mail du 23 août adressé à Erica V. Jefferson, commissaire associée aux affaires extérieures de la FDA… Le tweet a recueilli plus de 23 millions d'impressions, selon les données fournies par Kimberly dans ses mises à jour par e-mail, et a attiré 11 000 nouveaux abonnés sur Twitter.
Abonnés sur Twitter et "j'aime" sur les réseaux sociaux. C'est ce qui préoccupait la FDA, alors que les gens mouraient faute de traitement précoce.
Au lieu de faire tout ce qu'ils pouvaient pour sauver des vies, ils ont poussé ce que nous soupçonnions alors et savons maintenant qu'il s'agissait d'un "vaccin" inutile qui n'empêche pas l'infection, n'empêche pas la propagation et vous rend plus vulnérable à l'infection, à l'hospitalisation et à la mort. au fil du temps et avec des doses supplémentaires. La FDA a poussé le pire « traitement » possible tout en se félicitant les uns les autres sur les goûts, les reposts et les médias sociaux en plein essor qui ont suivi leur désinformation.
L'ivermectine est approuvée et a une longue histoire d'utilisation sûre
Le tweet de la FDA lié à une page de mise à jour des consommateurs2 sur "Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l'ivermectine pour traiter ou prévenir le COVID-19", qui insinuait à tort que l'ivermectine n'était "pas approuvée ou autorisée" par la FDA.
Les médecins ont le droit légal et la capacité de prescrire N'IMPORTE QUEL médicament approuvé par la FDA hors AMM, de sorte qu'un médicament n'a pas besoin d'être approuvé dans un but spécifique, comme le COVID-19, pour être prescrit.
Ce qui manquait à cette déclaration, c'était que la FDA ne l'avait pas approuvé spécifiquement pour le COVID-19. L'ivermectine est en fait approuvée pour un usage humain depuis 1987 et présente un excellent profil d'innocuité - quelque chose que vous ne sauriez pas en lisant la page de propagande de la FDA.
De plus, les médecins ont le droit légal et la capacité de prescrire N'IMPORTE QUEL médicament approuvé par la FDA hors AMM, de sorte qu'un médicament n'a pas besoin d'être approuvé dans un but spécifique, comme le COVID-19, pour être prescrit. On pourrait dire que l'utilisation d'une formulation vétérinaire d'ivermectine est déconseillée, mais la principale raison pour laquelle les gens recouraient à l'ivermectine destinée au bétail était que les pharmaciens refusaient de remplir les ordonnances de comprimés d'ivermectine.
RépondreSupprimerLa FDA a poussé le jab expérimental sur un médicament sûr
Alors, quelle était la recommandation de traitement de la FDA ? Tu l'as deviné. Le roman COVID jab et rien d'autre :3
«Les moyens les plus efficaces de limiter la propagation du COVID-19 consistent à obtenir un vaccin COVID-19 lorsqu'il est à votre disposition et à suivre les directives actuelles du CDC. Parlez à votre fournisseur de soins de santé des vaccins COVID-19 disponibles et des options de traitement.
Combien de personnes sont mortes à cause de cette politique ? À la mi-juillet 2023, le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) géré par la FDA avait enregistré 36 611 rapports de décès après le vaccin COVID, dont 12 décès d'enfants de moins de 5 ans et 34 décès d'enfants âgés de 5 ans. et 12.4 Les chiffres réels sont au moins dix fois supérieurs, mais pourraient être jusqu'à 100 fois plus élevés, car les blessures causées par les vaccins sont notoirement sous-déclarées.
Ajoutant l'insulte à l'injure, la FDA ne fait rien pour réduire le nombre de morts de ces piqûres de thérapie génique. Même si les preuves de préjudice se sont accumulées, ils continuent de détourner le regard et refusent d'enquêter sur les causes potentielles ou d'émettre des avertissements.
Le NIH travaille également contre la santé publique
Les National Institutes for Health (NIH) ne font pas mieux. Il est également capturé par l'industrie et dirigé par des bureaucrates non élus de l'establishment qui ne répondent pas au peuple.
En février 2022, alors ancien directeur du NIH, le Dr Francis Collins, m'a blâmé pour l'incapacité du gouvernement à mettre un terme à la pandémie de COVID. Dans son esprit, les décès dus au COVID-19 aux États-Unis n'étaient pas dus au manque de traitement approprié, mais plutôt à notre incapacité à insérer une aiguille dans chaque bras.
Personnellement, je crois que Collins essayait désespérément de détourner et de cacher la propre implication du NIH dans la pandémie, qui est devenue de plus en plus évidente au fil du temps. Comme l'a noté l'utilisateur de Twitter Hans Mahncke, qui a publié la vidéo ci-dessus de Collins chantant sur COVID: 5
« Francis Collins est l'incarnation de l'establishment. En tant que chef du NIH, il était responsable du financement d'expériences imprudentes au laboratoire de Wuhan. Quand les choses allaient mal, il nous traitait comme des bambins.
Collins aurait pu soutenir les efforts des médecins pour sauver des vies avec un traitement précoce, mais il ne l'a pas fait. Au lieu de cela, il a chanté sur COVID et diffamé ceux qui partageaient des informations sur un traitement précoce sûr et efficace. C'est son héritage.
RépondreSupprimerCanards mentaux en désordre
Alors que l'establishment prétend avoir des opinions sur la vérité, ce sont eux qui répandent la désinformation, et probablement ainsi, de manière à la fois grande et petite. Collins, par exemple, dans une interview du magazine Time de février 2022, m'a en quelque sorte identifié à tort comme l'inventeur de la plate-forme d'ARNm, ce qui est une erreur assez épique. Le magazine Time n'a pas non plus réussi à détecter l'erreur.
L'article a finalement été corrigé pour préciser que le Dr Robert Malone était l'inventeur de la plateforme d'ARNm, mais ce que je veux dire, c'est que Collins ne savait même pas de qui il parlait, même s'il me diffamait, et le Times non plus. journaliste.
Les médias grand public sont les principaux diffuseurs de désinformation
WBUR news a commis une erreur similaire en septembre 2021, lorsqu'il a faussement affirmé que j'étais cofondateur de America's Frontline Doctors.6 Ce même mois, le journaliste de NPR, Robin Young, m'a également qualifié de "plus grand diffuseur de mensonges sur COVID".
Cette affirmation fabriquée provenait d'une organisation financée par de l'argent sombre appelée Center for Countering Digital Hate (CCDH) et avait été officiellement réfutée et corrigée par Facebook lui-même un mois plus tôt. En signalant la désinformation déjà réfutée comme un "fait", Young a effrontément violé les directives d'éthique et d'exactitude journalistiques de NPR.
La FDA gaspille des ressources sur un avertissement tardif contre une recette obscure
Pour en revenir à la FDA, qui ne peut apparemment plus rien faire, fin septembre 2022, elle s'est soudainement concentrée sur un obscur défi TikTok censé encourager les gens à cuisiner du poulet avec NyQuil.7 (En passant, je ne peux pas aidez-moi mais soupirez à l'ironie que la vidéo de NBC News à ce sujet contienne une publicité faisant la promotion de l'aspartame toxique comme étant sans danger.)
La FDA a publié un avertissement qui a reçu une couverture médiatique massive. Il a même fait son entrée dans le circuit des talk-shows de fin de soirée. L'ironie ici est que pratiquement personne n'avait jamais entendu parler de ce défi en ligne jusqu'à ce que la FDA en fasse la une des journaux dans toutes les stations de médias du pays. Tel que rapporté par Gizmodo : 8
RépondreSupprimer"Personne ne parlait du poulet NyQuil jusqu'à ce que la FDA dise à tout le monde de ne pas en parler. L'agence a mis en garde contre une tendance «récente» des médias sociaux à cuisiner du poulet à NyQuil la semaine dernière, mais la recette bizarre n'avait pas été à la mode depuis des mois… par la quantité de couverture qu'elle a obtenue, on pourrait penser que toute une bande de personnes avait été faire cette chose très stupide. Mais pas tout à fait.
Quand j'ai vu pour la première fois les articles de presse sur le poulet NyQuil plus tôt cette semaine, j'ai ressenti un étrange sentiment de déjà-vu. Ce n'était pas la première fois que j'entendais parler du poulet NyQuil, et un avertissement de la FDA sorti de nulle part semblait étrange.
Après quelques recherches, j'ai découvert que le poulet NyQuil, également connu sous le nom de «poulet endormi», était apparu en ligne en 2017 sur 4chan et YouTube, puis à nouveau plus tôt cette année sur TikTok… il y avait eu des mentions sporadiques du poulet NyQuil, mais rien de proche à la viralité…
Les experts qui ont parlé à Gizmodo ont été déconcertés par l'avertissement tardif. Un toxicologue l'a résumé : Il ne comprenait pas le raisonnement de la FDA pour parler du poulet NyQuil maintenant, déclarant que l'agence avait « de plus gros poulets à cuisiner ». plutôt que de dissuader les gens », a ajouté le Dr Ryan Marino …
Yotam Ophir, professeur agrégé à l'Université de Buffalo, a déclaré à Gizmodo dans un e-mail que la réponse de la FDA était « lente au point de manquer le train de plusieurs mois, sinon plus »… les implications d'une telle annonce d'une agence gouvernementale pourraient être "massif", a souligné le professeur.
«Ce qui aurait pu être une curiosité en ligne de niche est maintenant une histoire nationale à la mode. Donc, à tout le moins, il est plausible que la FDA ait exposé par inadvertance de nombreux nouveaux (jeunes) publics au défi… Pour faire court, soulever la question à l'attention nationale pourrait se retourner contre vous et amener les jeunes à rejoindre la tendance.
Les gens cuisinaient-ils du poulet à Nyquil en nombre significatif ? Des personnes ont-elles été hospitalisées à cause de cela ? Apparemment non9. Alors, pourquoi l'explosion médiatique ? La FDA n'avait-elle pas mieux à faire que de perdre du temps et de l'argent à faire connaître une menace pratiquement inexistante ? En quelque sorte, vous vous demandez s'il y avait quelque chose d'autre dans le cycle des nouvelles à ce moment-là qui devait être éclipsé. Ce ne serait pas la première fois que cela arriverait.
RépondreSupprimerSources and References
1 Vice October 1, 2021
2, 3 FDA Why You Should Not Use Ivermectin to Treat or Prevent COVID-19
4 OpenVAERS Data as of July 14, 2023
5 Twitter Hans Mahncke July 23, 2023
6 WBUR September 21, 2021
7 FDA Recipe for Danger
8, 9 Gizmodo September 22, 2022
https://www.lewrockwell.com/2023/08/joseph-mercola/top-health-officials-wage-war-against-nyquil-chicken/
L'éthique médicale remise en question de manière critique - une revue
RépondreSupprimer5 août 2023
par Andrea Drescher
Avec son livre " Tout le monde aurait pu savoir - l'éthique médicale en crise ", le médecin généraliste Dietmar Kabelka montre quelles formes de résistance étaient possibles dans le contexte de la pandémie corona.
Le livret est discret, en fait même trompeusement inoffensif. La présentation visuelle est en contradiction directe avec le titre. Je ne connaissais le format et la conception de la couverture qu'à partir de guides d'auto-assistance, de volumes de poésie et de textes amicaux similaires.
Le livre est un petit mais beau document contemporain d'une époque folle, dont nous sommes loin d'être révolus. Il appelle les gens à être courageux en enregistrant comment son auteur a tenté de fournir des informations dans le cadre de la profession médicale à travers diverses lettres depuis le début de la crise de Corona.
Le contenu de ces lettres elles-mêmes n'offre vraiment rien de nouveau aux lecteurs de TKP. Quiconque lit TKP sait qu'on aurait pu le savoir, car nous le savions tous grâce à TKP et à d'autres médias.
Qu'y a-t-il de si spécial dans le livre de toute façon ? Pourquoi vaut-il la peine de l'acheter, de le lire et peut-être de le donner à des amis autour de vous ?
Les destinataires des lettres sont intéressants. Le livre fournit une preuve supplémentaire de qui savait tout mais l'a ignoré. L'échec de la grande majorité des médecins n'est que trop clair, car Dietmar Kabelka pose exactement les questions que tout médecin qualifié avec un brin de responsabilité aurait dû se poser.
Mais cela montre aussi qu'il y avait des médecins qui étaient critiques et qui ne gardaient pas leurs inquiétudes pour eux. Il y avait des médecins qui reconnaissaient ce qui se passait et qui agissaient, même si on ne les voyait pas sur les scènes de démonstration à Linz ou à Vienne.
Les responsables savaient.
RépondreSupprimerDans le livre, il documente les informations qu'il a envoyées au chancelier fédéral et à diverses institutions médicales. Ils ont ignoré les informations ainsi que les avertissements de médecins et de scientifiques plus éminents.
Nous en connaissons les conséquences. La surmortalité, surtout chez les jeunes, l'augmentation des maladies cardiaques et des cancers, pour n'en nommer que quelques-uns, parlent d'eux-mêmes. Le nombre d'athlètes de compétition qui meurent subitement et de façon inattendue augmente de semaine en semaine.
Le livre tend un miroir aux responsables. C'est un élément constitutif de la documentation complète qui nous parvient toujours dans le cadre du travail de préparation.
À mon avis, c'est un bloc de construction qui, grâce à sa présentation conviviale, peut également être remis à des personnes qui étaient auparavant peu critiques et qui réalisent maintenant progressivement que quelque chose ne pouvait pas bien se passer. Cela montre aux gens que beaucoup de choses étaient connues à l'avance. Que son médecin de famille aurait dû le savoir aussi, et cela pourrait la faire douter de ce qui se passera plus rapidement la prochaine fois que la folie nous frappera.
De plus, c'est facile à lire sans être peu exigeant, une fois qu'on s'est habitué à la structure un peu inhabituelle, qui correspond au cahier des charges de l'éditeur story.one. Quatre pages par chapitre forcent des pauses qui m'ont parfois dérangé. Mais c'est inévitable.
S'il y avait eu plus de médecins de famille normaux comme Dietmar Kabelka, qui auraient résisté avec véhémence au sein de leur profession, beaucoup de souffrances auraient pu être évitées.
Publié le 14 juillet 2023, il peut être commandé n'importe où sous l'ISBN 978-3-7108-6278-6.
https://tkp.at/2023/08/05/medizin-ethik-kritisch-hinterfragt-eine-rezension/
L'ancien vice-président de Pfizer déclare que la prochaine crise de type covid manufacturé est "plus proche que jamais"
RépondreSupprimer08/04/2023
Ethan Huff
Dans le cadre de leur sombre campagne visant à faire basculer les prochains dominos associés à la Grande Réinitialisation et à réduire massivement la population mondiale, les mondialistes se préparent avec impatience à déclencher une autre crise de santé publique de type coronavirus de Wuhan (Covid-19), avec des confinements sévères et d'autres horreurs, pour faire le travail.
Selon l'ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, le monde est "plus proche que jamais" du déclenchement de la prochaine crise fabriquée, qui, tout comme la covid avant elle, sera complètement artificielle dans le but de mettre en place un maximum de tyrannie et de terreur sur les masses, donc conduisant à un nouvel ordre mondial avec beaucoup moins de personnes.
"Production d'aliments et d'engrais : c'est au mauvais endroit et c'est délibéré", a averti Yeadon dans une récente interview - regardez ci-dessous.
"Ils brisent les moyens de fabriquer suffisamment de calories pour maintenir 7,8 milliards de personnes en vie. Et où pensez-vous que cela va finir ? La réponse est la famine massive, la guerre et une migration mondiale - c'est ce qui va se passer si vous et tout le monde sinon choisissez de ne rien faire du tout."
(Connexe : Consultez le rapport 71 des documents Pfizer pour en savoir plus sur les crimes contre l'humanité de Big Pharma.)
Les mondialistes viennent chercher TOUT ce que les Américains ont de proche et cher
Selon Yeadon, ce dans quoi nous vivons actuellement est un programme scientifique massif de dépeuplement total de tous les "mangeurs inutiles", c'est-à-dire de tous ceux qui ne sont pas d'une quelconque utilité pour les mondialistes "d'élite".
Sous prétexte de lutter contre le réchauffement climatique et le changement climatique, les mondialistes détruisent systématiquement l'ordre mondial existant, dont une composante majeure sont les systèmes agricoles à grande échelle nécessaires pour nourrir et prospérer la population mondiale actuelle d'environ huit milliards de personnes.
"Ils viennent pour nos enfants ; ils viennent pour notre nourriture ; ils viennent pour nos ressources ; ils viennent pour toutes les formes d'énergie ; ils arrêtent tout - ils ne jouent pas à des jeux, " a commenté Jones.
"Ils libèrent des virus et blâment le réchauffement climatique. Ils coupent l'approvisionnement alimentaire et blâment le réchauffement climatique. Ils déclenchent des guerres et blâment le réchauffement climatique. Ils créent les systèmes économiques et culturels de la révolution totale et de l'effondrement : la grande réinitialisation, admettant que c'est leur plan, pour ensuite se faire passer pour des "sauveurs" pour amener leur gouvernement mondial, un système mondial transhumaniste sur ses cendres."
Yeadon dit que nous sommes au milieu du pire crime mondial, qui durera qui sait combien de temps, et il a l'intention de contrôler totalement et de supprimer la liberté de chacun. Il pense que le plan impliquera de tuer encore plusieurs millions, voire des milliards, de personnes avant qu'il ne soit terminé.
RépondreSupprimer"Les composants des vaccins qu'ils ont utilisés – vous savez, les tests PCR exagérés, l'utilisation de messages basés sur la peur dans les médias – tout cela a été répété par les militaires et les personnes que nous pourrions considérer comme les" fantômes "pour au moins 25 ans, et peut-être plus », prévient Yeadon.
"Ça ne va pas revenir à l'ancienne normalité. Premièrement, ce n'est jamais leur intention. Donc ça ne va pas se passer passivement parce qu'il n'y a pas de phénomène réel qui va s'estomper. Donc, si vous vous conformez à cette tyrannie, ça va se terminer par la perte de votre liberté et probablement de votre vie."
Assurez-vous de regarder le clip vidéo complet ci-dessus pour entendre le reste de ce que Yeadon avait à dire sur ce qui va bientôt arriver dans le monde.
Les dernières nouvelles sur les horreurs qui devraient arriver ensuite sur la scène mondiale peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
Infowars.com
Newstarget.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-04-former-pfizer-vp-next-manufactured-crisis-close.html
Addendum à l'Islande par le professeur Hans Bandelt
RépondreSupprimer5 août 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Hier, TKP a rendu compte des développements actuels concernant les injections de Covid en Islande . Peu de temps après la publication de l'article, j'ai reçu une note du professeur Hans-Jürgen Bandelt (émérite de l'Université de Hambourg), qui sera soumise ici plus tard.
Le rapport d'hier disait :
Selon les médias, Stéfansson était non seulement initialement sceptique quant aux taux de mortalité présumés dus à une infection par le coronavirus, mais a également mené sa propre étude de séroprévalence , qui a été publiée dans le New England Journal of Medicine de juin 2020 . Si le résultat vous intéresse encore aujourd'hui - contrairement aux informations fournies par les autorités, qui parlaient de 3 à 5 % de « cas de létalité », l'étude de Stéfansson et al. étude a réalisé un taux de mortalité de cas de 0,3%.
Maintenant, M. Bandelt a regardé l'étude de séroprévalence liée et m'a écrit les lignes suivantes (c'est moi qui souligne):
Merci d' avoir référencé l'ancien article de Stefansson dans NEJM . Ce travail était essentiellement basé sur le travail de séquençage et a été partiellement traduit par Stefansson dans la propagation du SRAS-CoV-2 dans la population islandaise. Malheureusement, l'approche globale n'est pas très adaptée à ces derniers pour savoir quelle proportion de ceux qui ont été testés positifs sont réellement symptomatiques. Je ne trouve rien dans cet article sur le CFR [Case Fatality Rate, cas de mortalité, ndlr] ou l'IFR [Infection Fatality Rate, mortalité par infection] . Comment trouvez-vous le 0,3 % CFR ? Avez-vous utilisé plus d'informations à ce sujet ?
CFR, IFR, NJEM – d'où viennent les faits et les chiffres ?
Dans ma réponse à M. Bandelt, j'ai écrit que je n'avais "pas" simplement "regardé le document", mais aussi passé au peigne fin leur annexe supplémentaire et découvert qu'"il n'y a rien là-dedans sur une mortalité de 0,3%".
Comme indiqué dans le post, le numéro dont vous vous plaignez provient de cet article : https://thorsteinn.substack.com/p/the-cheerleader-who-demanded-lifelong :
" L'un des acteurs clés de la réponse du gouvernement islandais au Covid-19 était le PDG de deCODE Genetics, le neurologue Dr. Kari Stefanson . Apparemment sceptique quant au danger du virus au tout début, il a mené une étude de séroprévalence locale qui indiquait un taux de mortalité de 0,3% seulement, alors que l'affirmation officielle était de 3 à 5% de mortalité. »
Il est particulièrement frappant que l'article lié ne mentionne expressément que 0,3% de mortalité par cas.
Les prochains mois et années montreront si Stéfansson - et aussi les autres casques d'acier de vaccination et les faucons corona - vont (doivent) encore modifier leurs opinions sur les produits mod-ARN.
RépondreSupprimerDe plus, cependant, sur la base de cette dernière déclaration citée, il y a l'hypothèse que "la tyrannie et le fascisme" n'ont pas été "intentionnellement" utilisés par les gouvernements et les autorités.
La seule explication restante, cependant, est que cela a été fait par ignorance, ignorance et incompétence. Non seulement ce serait absurde et un énorme danger pour le fonctionnement continu de nos sociétés, mais aussi une sorte d'aveu "ignorant" sur les "qualités" des politiciens, des "experts" et des "médias leaders et de qualité".
Il est bien connu que l'ignorance ne protège pas contre la punition.
https://tkp.at/2023/08/05/nachtrag-zu-island-von-prof-hans-bandelt/
Partout la société conspirait contre les malades. Toute personne présentant des symptômes d'une peste ne pouvait espérer de pitié ni même d'aide. Surtout quand il était pauvre et nécessiteux en même temps. Dès 1654, on disait que le nombre inévitablement croissant de pauvres était « d'horribles spectres qui privent les riches de leur repos bien mérité, gâtent le bonheur des familles et détruisent la paix publique » . des gens misérables qui ramènent les citoyens pacifiques chez eux et s'unissent dans des mouvements criminels. ' vi Pauvreté, mendicité et crime étaient synonymes. « Depuis que l'ordre a été donné d'enfermer les pauvres, nous poussons ici un soupir de soulagement. vi _
RépondreSupprimerAnéantissement miséricordieux ?
L'exagération ou même la mise en scène des épidémies n'est pas une "théorie du complot" farfelue. L'ecclésiastique et économiste Thomas Robert Malthus (1766-1834) écrivit le schéma directeur en 1826 : « Nous devons faciliter les processus de la nature qui produisent cette mortalité, au lieu d'essayer bêtement et en vain de les entraver ; et si nous redoutons les afflictions trop fréquentes de la forme affreuse de la famine, nous devrions promouvoir avec zèle les autres formes de destruction auxquelles nous forçons la nature. Dans nos villes, nous devrions rétrécir les rues, entasser plus de gens dans les maisons et encourager le retour de la peste. » viii
En fait, ce n'est pas la peste, mais surtout le choléra et la typhoïde, qui ont transformé les grandes villes européennes en foyers épidémiques au XIXe siècle. Des vomissements épidémiques et des diarrhées ont remplacé les maux visibles sur la peau. Les conditions de vie qui rendent les gens malades, qui rendent possibles les maladies infectieuses et les maladies de carence, n'étaient pas un accident industriel du turbo-capitalisme, mais plutôt un calcul. En 1882, l'historien Robert Höniger confirmait : « Dans ce monde, rien n'est plus facilement surmonté et remplacé plus rapidement que la perte de matériel humain, si importante soit-elle. Les thèses inhumaines de Thomas Malthus parvinrent aux dirigeants en cinq éditions et firent l'objet d'études pour les étudiants de l'Université de la Compagnie des Indes orientales pendant 30 ans.
Au même moment, le réformateur social hambourgeois Caspar Voght (1752-1839) tentait de trouver des solutions au problème croissant de la pauvreté. Malgré des succès dans sa ville natale et des concepts pour plusieurs autres villes européennes, la pensée économique froide de Thomas Malthus avec son "calcul des gens" a prévalu. Lorsque la dernière grande épidémie de choléra éclata en Allemagne en 1892, les conditions de vie dans le Gängeviertel de Hambourg étaient exactement comme Malthus l'avait exigé : jusqu'à soixante personnes vivaient et dormaient dans les sous-sols toujours humides. Même lorsque 500 personnes sont tuées chaque jour, les autorités de Hambourg ne réagissent pas. Avec l'afflux incontrôlé de personnes dans les grandes villes, ces vagues de « dépopulation » ont été souhaitées dans les classes populaires. Lorsque de l'eau potable bouillie a été distribuée à Hambourg, l'épidémie a pris fin. La voisine Altona, qui appartient à la Prusse, a été épargnée car elle disposait depuis des années d'un système de filtration pour l'eau potable.
Jusqu'au 17ème siècle, la population de l'Europe n'a jamais dépassé environ 100 millions. Cependant, au 18ème siècle, le nombre de personnes a presque doublé pour atteindre 180 millions et au 19ème siècle, une expansion encore plus massive a été menacée. La connaissance des méthodes simples de planification familiale avait été éradiquée avec les sages femmes et les sages-femmes de la vieille école. Après d'innombrables escarmouches avec Napoléon, une autre guerre majeure n'était plus une option; donc les fléaux ont dû le réparer.
RépondreSupprimerDepuis lors, les idées transhumanistes n'ont jamais disparu des programmes scolaires et des cours, ainsi que des directives des organisations internationales. x Même Bertrand Russell (1872-1970), le philosophe le plus influent de la première moitié du XXe siècle, et des écrivains tels que DH Lawrence (1885-1930) et George Bernard Shaw (1856-1950) ont alimenté la panique de la surpopulation. xi La limitation de la population était une position fixe dans la pensée des élites anglo-américaines.
Il y avait donc bien une idéologie derrière les « réductions de population » provoquées par les croisades, les guerres et les pestes. Bien sûr, ceux qui sont au pouvoir se sont presque toujours gardés de le dire. Les évaluations de l'écrivain et propagandiste du gouvernement britannique HG Wells (1866-1946) le confirment avec le recul. Il voit dans "l'essaim flamboyant des nouveau-nés" "la catastrophe essentielle du XIXe siècle". xiii
Du point de vue des dirigeants, ce n'était pas la guerre ou la faim et la pauvreté abjecte, mais la croissance démographique qui menaçait la structure sociale souhaitée. "Des masses dépravées, impuissantes et pauvres" se sont répandues avec les systèmes ferroviaires et, dans le cadre de l'industrialisation, représentaient les déchets d'un organisme sain. Wells a inventé le terme "peuple de l'abîme" pour ces "grandes masses inutiles" et a prophétisé : " la nation, qui plus résolument sélectionne, éduque, stérilise, exporte ou empoisonne son peuple de l'abîme », commencera l'avancée. xiii
crédits
i Rude G: La foule dans l'histoire, 1730-1848. page 35 ; New York-Londres 1964
ii Bercé YM : Histoire des croquants. 2ieme volume; pages 674-81 ; Paris 1986
iii Mornet D : Les Origines intellectuelles de la Révolution française. pages 443-6 ; Paris 1934
iv Rudé G : La foule dans l'histoire, 1730-1848. page 35 ; New York-Londres 1964
v Borne L : Lettres de Paris. 18e lettre ; Paris le 14 décembre 1830
vi Hernant G : Discours chrestien pour le bureau des pauvres de Beauvais. page 5 ; Paris 1654
vii Delumeau J : La peur en Occident. L'histoire des angoisses collectives en Europe du XIVe au XVIIIe siècle . page 159 ; Rowohlt ; Reinbek près de Hambourg 1985
viii Malthus T : Essai sur le principe de population. Tome II; 6e éd .; John Murray; Londres 1826
ix Höniger R : La peste noire en Allemagne. page 94 ; Eugène Grosser; Berlin 1882
x Andre L : Médecins de la déception. Ce qu'ils ne veulent pas que vous sachiez sur le traitement de choc. Presse universitaire Rutgers; Ithaque (New York) 2009
xi Goldberg J : Laissez la population croître. Chicago Tribune 20 octobre 2006
xii Wells HG : Kipps. page 240 ; Livres Fontana ; Londres 1961
xiii Wells HG : Anticipations de la réaction du progrès mécanique et scientifique sur la vie et la pensée humaines. pages 81-2 et 211-12 ; Chapman et Hall; Londres 1901
https://tkp.at/2023/08/05/seuchen-als-bevoelkerungskontrolle/
Covid comme test : le confinement climatique comme objectif
RépondreSupprimer5 août 2023
par Thomas Oysmuller
Les politiciens et les médias appellent de plus en plus ouvertement à des « mesures radicales » contre la prétendue catastrophe climatique. Il s'avère que Covid était une expérience (réussie), le ministre autrichien de la Santé le dit également clairement.
En octobre 2022, un groupe d'élite de la politique, des médias et de la société civile s'est réuni pour le 2e "Forum de dialogue SDG" à la Sofiensaal de Vienne. En dernier lieu, la journaliste vedette Corinna Milborn a animé une table ronde. Trois ministres autrichiens y participeront : Karoline Edtstadler (ÖVP), Leonore Gewessler (Verts) et Johannes Rauch (Verts). Il contient des déclarations qui étonnent de nombreux citoyens. On dresse le « croisement » entre Covid et « enjeu climatique ».
Du Covid au climat
Il s'agit de l'Agenda 2030 pour mettre en œuvre les objectifs de développement de l'ONU, qui sont tentés avec des acteurs privés tels que le WEF et des fondations valant des milliards. Ils sont le moyen de sauver le monde de la "catastrophe climatique". Cette hypothèse ne fait pas débat. Qui aurait pensé que la journaliste remettrait en question l'agenda car ce serait en fait son travail se trompe. Elle demande seulement jusqu'où on en est et où il en faut plus pour atteindre les objectifs qui sont censés nous sauver, ce qui serait sans réserve "bon". L'Agenda 2030 est devenu un dogme qui ne peut être remis en cause. L'insigne que chacun porte sur le podium en est même l'engagement symbolique.
Pendant des mois, la table ronde est restée presque inaperçue sur YouTube, presque personne n'était intéressé. Un petit compte Telegram a ensuite publié un extrait vidéo. J'ai partagé la vidéo sur Twitter/X, et les journalistes critiques et les citoyens l'ont rapidement remarquée. Car ce que Johannes Rauch dit ici a une énorme force explosive. Il dessine la « coupe transversale entre la pandémie et la question climatique ».
Voici le lien vers la table ronde complète.
Rauch dit :
RépondreSupprimer"Je trouve l'article extrêmement passionnant, de faire un comparatif croisé entre la pandémie et la lutte contre la pandémie et où nous en sommes sur la question climatique. Dans la lutte contre la pandémie, nous avons réussi à agir radicalement dans le monde entier, y compris ici en Autriche, avec des mesures totalement inimaginables. Nous avons créé des situations particulières, y compris juridiques, parce que nous avons outrepassé les choses, brimé des libertés inimaginables.
Puis Rauch demande : « Combien de radicalisme, analogue à la lutte contre la pandémie, osons-nous vraiment faire en tant que politiciens et en tant que société ?
Le journaliste citoyen Kurt Käferbock voit la force explosive de cette déclaration :
"Il admet que la pandémie est de nature expérimentale, les restrictions arbitraires des droits fondamentaux. Il se vante d'avoir réussi à transformer l'État en dictature en quelques semaines seulement."
Appel à une action radicale
Il faut aussi mentionner que Rauch (volontairement ou non) insiste sur le rôle décisif des médias dans la réaction politique. Avec la panique mise en scène par les médias - les images de Bergame - les politiciens ont été la cible d'interventions autoritaires radicales profondément dans les libertés les plus fondamentales.
Et quiconque suit les médias reconnaîtra qu'une tempête de propagande extrêmement violente fait rage dans les médias sur le climat depuis l'été. Il y a quelques mois, "Project Veritas" a utilisé une caméra secrète pour obtenir un ordre du jour correspondant d'un journaliste de CNN. Chaque événement météorologique extrême est présenté comme une expression de la catastrophe climatique qui fait rage.
Alors, quelle « radicalité » la société ose-t-elle faire ? Leonore Gewessler répond à sa collègue ministérielle : « Ces mesures (langage euphémique pour politique restrictive-autoritaire, ndlr) dont nous avons besoin pour cela […] ne sont pas des mesures radicales, ce sont des mesures nécessaires. Nous devons faire avancer les choses ensemble. Très habile dans la rhétorique, Gewessler renverse la situation : si une action radicale n'est pas entreprise, le monde ne peut pas être sauvé. Ainsi, la question de savoir à quel point vous « faites-vous confiance » ne se pose même pas.
- voir sur site -
Les médias travaillent docilement sur l'agenda. Vous laissez les « bonnes » personnes s'exprimer. Par exemple Simon Tschannett, météorologue, conseil du climat de la ville de Vienne et conseil consultatif du climat à Linz. Il est chroniqueur pour le Vorarlberger Nachrichten. Il y a quelques jours à peine, il a appelé à des "mesures radicales" contre la soi-disant catastrophe climatique.
RépondreSupprimerAu passage, lorsque son propos a été critiqué, il a répondu que cela n'entraînerait pas un "confinement climatique", mais plutôt un rationnement et un compte CO2. Donc pas de confinement, mais si le budget est vide, vous ne pouvez plus sortir. Nous pouvons nous en réjouir.
La façon dont le verrouillage climatique est travaillé étape par étape a été rapportée pour la première fois par Eric Angerer sur TKP . Tout cela a la bénédiction de l'ONU (en étroite collaboration avec l'acteur privé WEF), ce n'est qu'avec des mesures "radicales" que le monde pourra être sauvé. C'est ce que disent aussi les grandes fondations mandatées par l'État. Comme indiqué, l'Allemagne finance la Fondation Gates pour travailler sur l'Agenda 2030.
Quelles pourraient être les "mesures radicales". On pourrait parier sur l'empiètement sur les libertés civiles fondamentales : liberté de réunion, liberté d'expression, liberté de voyager, protection contre l'invasion arbitraire de la vie privée, liberté de commerce, droit à l'autodétermination corporelle.
Ou avec Johannes Rauch : des atteintes aux libertés civiles inimaginables.
https://tkp.at/2023/08/05/covid-als-testlauf-klima-lockdown-als-ziel/
Crise de Corona : Faire taire les médecins dissidents en Nouvelle-Zélande
RépondreSupprimerL'intrépide avocate néo-zélandaise Sue Gray en remporte un contre l'Empire
Par le Dr Emmanuel Garcia
Recherche mondiale,
04 août 2023
Lorsqu'un cartel mafieux mondialiste - ou une tyrannie de toutes sortes - souhaite faire taire la dissidence, il aime faire des «exemples» de ceux qui résistent. Ici en Nouvelle-Zélande, sous l'emprise de la "source unique de vérité" du Premier ministre Jacinda Ardern, quelques médecins qui, il y a trois ans, ont élevé la voix contre les mesures covid terriblement destructrices du gouvernement - des mesures qui comprenaient des verrouillages sévères, un masquage inefficace, des mesures anti -la distanciation sociale et la suppression véhémente du traitement précoce, de sorte que le coup de mort unique du vaccin Covid 19 pourrait être présenté comme notre salut – a constaté que leurs certificats d'exercice avaient été suspendus par le Conseil médical de Nouvelle-Zélande dirigé par la FSMB. J'étais malheureusement l'un d'eux, comme je l'ai découvert lorsque je suis allé renouveler mon certificat en novembre 2021.
Si d'autres médecins ont osé défendre les principes de leur profession et s'élever contre la démolition du consentement éclairé , du traitement individualisé et du serment d'Hippocrate qu'ils ont prêté lorsqu'ils ont obtenu leur diplôme de médecine, ils savaient ce qui les attendait. Ainsi le silence du mouton, qui a ouvert la voie à la conséquence des morts et des débilités excessives grâce au coup mandaté, ainsi que tous les autres attirails mondialistes, dont la plupart j'ai décrit dans de nombreux autres essais.
Au moment où j'écris, un certain nombre de bons médecins décents qui ont osé, par exemple, prescrire de l'ivermectine, ou qui se sont opposés aux recommandations institutionnelles à l'envers de piquer autant de personnes que possible afin que nous puissions tous "rester en sécurité", sont persécutés et harcelés alors qu'ils devraient en fait être félicités par le même Conseil médical qui prétend protéger le bien public.
Réprimer la dissidence est quelque chose de bien plus contagieux que le covid, et la New Zealand Law Society, prenant exemple sur le livre de jeu du Conseil médical, a décidé de poursuivre l'intrépide avocate Sue Gray , la traînant devant le tribunal disciplinaire des avocats et des convoyeurs pour des accusations d'inconduite et conduite « insatisfaisante ».
Mme Gray s'est représentée elle-même à l'audience du Tribunal et une décision a été rendue en sa faveur .
J'avoue franchement avoir été choqué par cette décision - non pas parce que j'ai remis en question la défense fondée sur les faits de Mme Grey, mais parce que je m'étais résigné à croire que la solution était en place.
Heureusement, nous avons maintenant des lueurs que la vérité sortira, que toutes les institutions ne sont pas irrévocablement corrompues et que défendre les droits et les principes de la liberté d'expression peut aboutir à la victoire même au sein d'un système lui-même compromis.
RépondreSupprimerC'est notre première vraie victoire judiciaire, à mon avis, une victoire qui ouvre la voie à d'autres, comme le médecin Peter Canaday qui, quinze semaines après sa comparution devant le Tribunal disciplinaire des professionnels de la santé , n'a toujours pas reçu de décision.
Nous avons mené une guerre longue et irrégulière pour la défense de la liberté et du bon sens médical et juridique, une lutte contre les mandats et contre le renversement du devoir et de la responsabilité professionnelle.
Sue Gray a toujours été un phare et son triomphe surprenant mérite des éloges.
Cela me rappelle, si vous permettez une analogie modérément hyperbolique, la bataille cruciale de George Washington contre les forces britanniques à Trenton le lendemain de Noël 1776. La traversée du Delaware par Washington était une entreprise très risquée qui a suivi une série de malheurs ; avec elle, il a renversé la tendance et le reste, comme on dit, appartient à l'histoire.
Sue Gray est entrée dans l'histoire. Allons maintenant de l'avant et appuyons sur notre avantage légitime et inspiré par la vérité.
*
Le Dr Garcia est un psychanalyste et psychiatre né à Philadelphie qui a émigré en Nouvelle-Zélande en 2006. Il est l'auteur d'articles allant de l'exploration de la technique psychanalytique à la psychologie de la créativité en musique (Mahler, Rachmaninov, Scriabine, Delius) et à la politique. Il est également poète, romancier et directeur de théâtre. Il a pris sa retraite de la pratique psychiatrique en 2021 après avoir travaillé dans le secteur public en Nouvelle-Zélande. Visitez sa sous-pile sur https://newzealanddoc.substack.com/
https://www.globalresearch.ca/intrepid-new-zealand-lawyer-sue-grey-wins-one-against-empire/5827846
De nouvelles preuves suggèrent que le vaccin ARNm COVID-19 transmet les aérosols des vaccinés aux non vaccinés
RépondreSupprimerDOSSIER RECHERCHE & DÉCOUVERTES
Megan Redshaw, JD
2 août 2023
De nouvelles preuves suggèrent que les individus vaccinés peuvent transmettre des anticorps générés par la vaccination par ARNm COVID-19 à des individus non vaccinés par le biais d'aérosols, selon une étude évaluée par des pairs publiée dans ImmunoHorizons.
Les exigences étendues en matière de masques ont permis aux scientifiques de l'Université du Colorado d'évaluer si les individus vaccinés pouvaient transférer des anticorps en aérosol générés à partir des vaccins COVID-19. Les aérosols sont une suspension fabriquée ou naturelle de particules ou de gouttelettes dans l'air, telles que la poussière, les brouillards, les vapeurs ou la fumée en suspension dans l'air, qui peuvent être absorbés par la peau ou inhalés.
Les chercheurs ont utilisé une combinaison de tests pour détecter les anticorps spécifiques au SRAS-CoV-2 à partir de masques que les membres du laboratoire vaccinés portaient et donnaient anonymement à la fin de la journée. Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire qui circulent dans le sang et neutralisent les substances étrangères telles que les bactéries et les virus.
Conformément aux résultats rapportés par d'autres, les chercheurs ont identifié à la fois des anticorps d'immunoglobuline G (IgG) et d'immunoglobuline A (IgA) dans la salive des personnes vaccinées et sur leurs masques.
Sur la base de leurs observations, les chercheurs ont émis l'hypothèse que le transfert de gouttelettes ou d'anticorps en aérosol pourrait se produire entre les individus, de la même manière que les gouttelettes et les particules virales en aérosol sont transférées par la même voie.
Pour tester leur hypothèse, ils ont obtenu et comparé des prélèvements nasaux d'enfants non vaccinés vivant dans des ménages vaccinés, non vaccinés et positifs au COVID-19.
Les résultats ont montré qu'un taux élevé d'IgG dans le nez des parents vaccinés était "significativement associé" à une augmentation des IgG intranasales chez l'enfant non vacciné du même ménage, en particulier par rapport au "déficit complet d'anticorps spécifiques au SRAS-CoV-2 détecté" dans le nez. écouvillons prélevés sur des enfants de familles non vaccinées. Une tendance similaire a été trouvée avec les IgA dans les mêmes échantillons.
RépondreSupprimerEn d'autres termes, leurs résultats suggèrent que la transmission d'anticorps par aérosol peut se produire entre les parents vaccinés contre le COVID-19 et leurs enfants - et la tendance à ce transfert est directement liée à la quantité d'anticorps nasaux ou oraux trouvés chez ceux qui ont reçu des vaccins.
Ce type d'excrétion est appelé «immunisation passive», où les anticorps - principalement des IgA - sont en fait échangés entre les individus par le biais de gouttelettes respiratoires, a écrit Brian Hooker, directeur scientifique de Children's Health Defence, titulaire d'un doctorat en génie biochimique, dans un e-mail à The Epoch Times. "Mais cela fournirait une immunité minimale aux" spectateurs "sur la base du fait que les vaccins à ARNm originaux offrent si peu de protection."
M. Hooker a déclaré que l'immunisation passive pourrait provoquer une auto-immunité et "toutes sortes de réactions" chez les passants en raison d'un "mimétisme moléculaire similaire entre les anticorps COVID-19 Ig [immunoglobuline] et les protéines humaines".
Des études ont montré que le mimétisme moléculaire entre les molécules étrangères et les molécules humaines peut conduire à une réponse auto-immune entraînant un mauvais fonctionnement des anticorps et une interaction contre les protéines humaines. L'auto-immunité fait référence à une réaction immunitaire où le corps attaque ses propres tissus, entraînant des dommages ou une maladie.
M. Hooker a déclaré que l'étude suggère que si les anticorps Ig peuvent être transmis de personne à personne, il est possible que la protéine de pointe générée par les vaccins COVID-19 soit également transmise.
"Cela pourrait entraîner l'immunisation des passants ainsi que des problèmes associés à la toxicité des protéines de pointe pour les composants de la circulation sanguine et d'autres tissus", a-t-il ajouté.
Les vaccins COVID-19 ont été autorisés sans études pour évaluer la transmission
Les vaccins COVID-19 utilisant la technologie de l'ARNm comme Pfizer et Moderna ont été autorisés dans le monde sans études sur l'expression possible de nanoparticules lipidiques (LNP) contenant l'ARNm ou de la protéine de pointe fabriquée par les cellules d'un individu récemment vacciné.
Un document confidentiel de Pfizer (pdf) divulgué dans le cadre d'une demande en vertu de la Freedom of Information Act suggère qu'une personne non vaccinée pourrait être exposée au contenu des vaccins COVID-19 par l'air ou la peau d'une personne vaccinée et fait référence à la possibilité qu'une réaction indésirable au vaccin puisse en résulter d'une telle exposition.
Une étude de biodistribution japonaise de Pfizer a montré que la protéine de pointe du vaccin COVID-19 peut voyager du site d'injection à travers le sang et s'accumuler dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et les ovaires. L'ARNm du vaccin est présent dès le jour de la vaccination et peut persister dans le sang des semaines après la vaccination.
RépondreSupprimerSelon un article de 2022 dans Infectious Diseases Research (pdf) de la pharmacienne et biologiste française Hélène Banoun, les LNP des vaccins à ARNm COVID-19 peuvent être excrétés par les fluides corporels et traverser la barrière transplacentaire.
Selon Mme Banoun, les protéines de pointe fabriquées par le corps après avoir reçu un vaccin COVID-19 circulent sous forme d'exosomes ou de vésicules extracellulaires libérées par les cellules qui transportent la protéine de pointe dans la circulation. Les exosomes se trouvent dans la salive, le sang, l'urine et le liquide céphalo-rachidien. Étant donné que les vaccins à ARNm ont été largement distribués, des études pharmacocinétiques sont justifiées pour déterminer comment ils sont excrétés du corps et quels composants des vaccins COVID-19 peuvent être transmis par une personne vaccinée, a-t-elle déclaré.
https://www.theepochtimes.com/health/new-evidence-suggests-mrna-covid-19-vaccine-transmission-of-aerosols-by-vaccinated-to-unvaccinated-5436722?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
L'effet Bizzarro de la folie universelle
RépondreSupprimerDe Gary D. Barnett
5 août 2023
« Nous n'avons pas besoin de visiter une maison de fous pour trouver des esprits désordonnés ; notre planète est l'institution mentale de l'univers.
~ Johann Wolfgang von Goethe
Combien de fois dans nos vies a-t-on dit ou pensé que les choses ne pouvaient pas empirer, plus bizarres, plus absurdes, plus dangereuses, plus immorales, plus brutales, plus contrôlantes, plus restrictives, plus perverses, plus meurtrières ou plus folles ? Ces pensées peuvent-elles même être prises en compte à notre époque de folie complète et totale ? Qu'est-il arrivé à l'humanité, et tout cela peut-il être imputé au lavage de cerveau et à l'endoctrinement par la classe dirigeante sur le reste de la société ? Je crois fermement que les causes des problèmes inconcevables que nous voyons aujourd'hui, vont bien plus loin que le simple blâme sur les maîtres invités, et commencent au cœur de la psyché de l'humanité. Si tel est le cas, la lutte pour les tentatives de l'homme de retrouver sa santé mentale, sa moralité et sa liberté dépend entièrement d'une grande partie de la société qui passe radicalement d'une dépendance totale et d'une attente de règle à une valeur individuelle et à une condition obligatoire. l'acceptation d'une responsabilité personnelle si écrasante qu'elle conduirait à la destruction totale de l'État.
Vous pourriez vous moquer d'une telle déclaration, mais à ce stade de la tyrannie, de l'indifférence et de la perte totale d'intégrité des masses, rien de moins qu'une refonte absolue et inconditionnelle de la société suffira pour éliminer la menace d'extinction de l'humanité telle que nous la connaissons. Nous vacillons au bord du précipice de l'anéantissement, et de faux espoirs ou de fausses prières ne suffiront jamais à restaurer cette soi-disant « civilisation ». L'apathie est notre ennemie et ne peut que conduire à une société asservie aux mains de dirigeants technocratiques.
Beaucoup pourraient s'attendre à ce que l'État implose étant donné le rythme de ce complot de prise de contrôle et de la refonte des États-nations, mais qu'est-ce qui remplacerait les systèmes actuels si les plus faibles tombaient ? Cela pourrait-il être le résultat prévu, comme pour de nombreux systèmes étatiques défaillants, une restructuration mondiale par les pays les plus forts et les plus brutaux, tout comme l'indique le plan du WEF, aurait un net avantage dans sa tentative de création d'un nouvel ordre mondial ? Une transformation est nécessaire, mais cette transformation doit être orientée vers une structure apatride créée par des individus, au lieu d'un nouveau schéma de gouvernement politique.
L'intelligence réelle et la pensée critique sur cette terre manquent à l'action, et ce qui est déguisé en intelligence n'est jamais rien d'autre que de la propagande et des mensonges motivés par l'agenda de l'État. C'est pourquoi ce qui passe pour des "nouvelles" est si incroyablement inexact, entièrement incorrect et de nature enfantine. C'est tout ce qu'il faut de nos jours pour tromper le gros de la société. En d'autres termes, la réflexion n'est plus nécessaire, car les masses ont été conditionnées et soumises à un lavage de cerveau pour accepter presque n'importe quel baratin craché par les dirigeants, les faux « scientifiques », la profession médicale, les politiciens, le gouvernement et certainement le cirque médiatique composé de représentants de l'État. sanctionner les putains.
Tous ceux qui ont encore la capacité de penser rationnellement et intelligemment passent chaque jour dans l'émerveillement devant les choses sauvages, insensées et obscènes rapportées à la population en général ; ce plus grand segment de la société totalement aveuglé par l'ignorance, l'apathie et, dans de nombreux cas, la stupidité. Ces attitudes constituent un fourrage facile pour nourrir les moutons désespérés, crédules et dociles, et permettent à leur tour à cet État odieux de poursuivre sa marche vers un monde globalisé dirigé par très peu.
RépondreSupprimerL'idée complètement fausse du « réchauffement climatique » causé par l'homme et du faux « changement climatique » prend maintenant forme comme le principal raisonnement pour le contrôle de tout et de tout le monde sur terre par les technocrates. Cet agenda « climat » sera désormais poursuivi jusqu'à la fin de la vie telle que nous la connaissons. Il n'est plus à la marge, ni caché. Les gros titres idiots concernant la soi-disant terreur météorologique se multiplient en ce moment. Le sensationnalisme peut maintenant être utilisé universellement, alors que l'un après l'autre, de fausses catastrophes se profilent selon ces soi-disant « scientifiques » frauduleux et ces imposteurs appelés « experts ».
Tout est sur la table comme aiment le prétendre les bellicistes extrémistes, mais puisque cette guerre est contre nous tous, ce terme prend un nouveau sens. Les gros titres complètement stupides continuent, alors que maintenant la pornographie de peur nouvelle et améliorée provenant des têtes parlantes des médias grand public idiots et imbéciles abonde, allant jusqu'à étiqueter leur faux non-sens paranoïaque de "réchauffement climatique" comme "ébullition globale".
Mais il se passe tellement plus, alors qu'une myriade de fausses menaces est toujours sur nous, ou du moins c'est ce que prétendront les têtes parlantes. Nouveaux fléaux, maladies, "virus", tiques tueuses (si elles existent, elles ont probablement été créées à dessein par l'armée), menaces de guerre, et en particulier l'absurdité du "changement climatique". Le climat et la météo sont devenus totalement des armes et seront utilisés pour contrôler la vie à presque tous les niveaux maintenant et dans le futur.
N'oubliez jamais le mensonge inexistant de la «pandémie de covid». Il sera réorganisé, que ce soit comme quelque chose de identique ou similaire, ou comme un tueur nouveau et approuvé en liberté; si effrayant qu'il pousse tout le monde à l'intérieur, soi-disant loin de la foule affolante. Méfiez-vous du "virus" et du battage médiatique d'urgence, car il ne finira jamais tant que les masses se conformeront à la règle et obéiront en tant qu'esclaves.
La lecture de quelques flux d'actualités inondera l'esprit d'absurdités, mais la plupart considèrent ces affirmations comme réelles ou possibles ; le tout sans aucun justificatif légitime. La saga insensée de Trump ouvre la voie bien sûr, car cette stupidité est suivie par les deux côtés de l'arnaque politique, ce qui aide à garder la majeure partie du pays à la gorge l'une de l'autre. Mais il y a tellement plus. Le secteur bancaire est en faillite et les comptes personnels et professionnels de beaucoup sont fermés. Les pensions et les caisses de retraite sont également menacées. Les cyberattaques affectent de vastes pans de ce pays et les voyages en avion deviennent parfois impossibles à gérer. L'escroquerie trans se poursuit et va probablement s'intensifier après l'ouverture des écoles publiques cet automne. De plus en plus de signalements d'OVNIS sont poursuivis chaque semaine, des magasins ferment dans tout le pays, l'inflation est galopante et la guerre sous fausse bannière en Ukraine se poursuit.
Les ampoules à incandescence ont été interdites, les cuisinières à gaz et les chauffe-eau sont également visés. Il y a plus de faillites bancaires, plus de faillites d'entreprises de camionnage, les économies sont épuisées, ouvrant la voie à la numérisation de l'Amérique. L'essai et la mise en œuvre de la CBDC se poursuivront, et les craintes généralisées de défaut augmentent. Les taux d'intérêt continuent d'augmenter, car la cote de crédit des États-Unis a été abaissée.
RépondreSupprimerLa destruction de notre monde est sur nous, car l'effondrement de tout ce qui est naturel et sain est autorisé à se produire sous nos yeux. Toutes les choses mentionnées ici ne sont pas une liste complète par un effort d'imagination, car tant de choses tournent mal en plein jour, le tout avec peu de préavis par les masses moutonnières. La dépendance et l'indifférence sont nos ennemis mortels, Nous vivons dans un asile de fous ; un monde en grande contradiction avec toute santé mentale, et qui est devenu indifférent et moralement en faillite. Ce n'est pas la voie à suivre, mais la voie vers l'enfer sur terre.
Trouver l'individu à l'intérieur, se consoler et abandonner l'État est une meilleure façon.
“In individuals, insanity is rare; but in groups, parties, nations and epochs, it is the rule.”
Friedrich Nietzsche
https://www.lewrockwell.com/2023/08/gary-d-barnett/the-bizzarro-effect-of-universal-insanity/
Je dirais même 'plus qu'avant !' 'tout d'un coup' nous sommes entourés de cons !
SupprimerJamais y a plus de 3 ans l'on avait rencontré de gens si bêtes, des gens idiots, attardés. C'est grave ! C'est TRÈS grave ! Un monde de trisomiques ! de Gretamoilescouilles !
La conscience critique des sociétés occidentales
RépondreSupprimerPar Germán Gorraiz López
Mondialisation.ca,
03 août 2023
L’establishment ou le système dominant de la société occidentale utiliserait la dictature invisible du consumérisme compulsif des biens matériels pour annuler les idéaux de l’individu primitif et le transformer en un être acritique, craintif et conformiste qui formera une société homogène, uniforme et facilement manipulable, ayant comme effet collatéral la disparition de la conscience critique.
Hermann Hesse dans son livre Loup des steppes (Der Steppenwolf, 1927), définit le bourgeois comme «une personne qui essaie toujours de se placer au centre, entre les extrêmes, dans une zone tempérée et agréable, sans orages violents ni tempêtes».
Par conséquent, c’est par nature une créature à faible impulsion vitale, craintive, effrayée de se rendre, facile à gouverner. C’est pourquoi il a substitué le pouvoir à la règle de la majorité, la force à la loi et la responsabilité au mode de scrutin. Il est évident que cet être faible et apeuré, même existant en si grand nombre ne peut subsister seul et sur la base de ses qualités, et ne pourrait jouer dans le monde d’autre rôle que celui d’un troupeau d’agneaux parmi les loups errants…»
De son côté, l’Américain Harold Lasswell (l’un des pionniers de la «recherche sur la communication de masse»), a étudié les techniques de propagande après la Première Guerre mondiale et identifié une manière de manipuler les masses (théorie de «l’aiguille hypodermique ou balle magique»), une théorie incarnée dans son livre Techniques de propagande pendant la guerre mondiale (1927). Cette théorie consiste à «injecter une idée spécifique dans la population à l’aide des médias de masse afin d’orienter l’opinion publique à son avantage et d’atteindre le l’adhésion des individus à son idéologie politique sans avoir recours à la violence».
Par conséquent, l’éveil de la conscience critique devra attendre qu’un certain nombre de personnes (Masse Critique) atteignent un niveau de conscience supérieur, moment auquel l’individu est capable de faire un saut évolutif et d’accomplir un changement de mentalité, une thèse connue sous le nom de Théorie du centième singe et formulée par le biologiste Lyan Watson dans son ouvrage Lifetide publié en 1979.
De ce qui précède, on peut déduire que pour y parvenir, un processus de catharsis et de métanoïa collective ultérieure de la société actuelle sera inévitable, ce qui impliquera la double connotation de mouvement physique (retracer le chemin que nous avons parcouru) et de mouvement psychologique (changement de mentalité après avoir écarté les vieux stéréotypes en vigueur) pour diluer l’opiacé qui inhibe la conscience critique (consumérisme compulsif).
Germán Gorraiz López, analyste politique
https://www.mondialisation.ca/la-conscience-critique-des-societes-occidentales/5680109?doing_wp_cron=1691237124.9506731033325195312500
La prochaine génération est préparée pour la destruction - Voici pourquoi ils sont vulnérables
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 05 AOÛT 2023 - 05:40
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
La semaine dernière, la National Education Association, le plus grand syndicat d'enseignants aux États-Unis, a publié des directives sur l'utilisation de symboles militants de gauche dans les salles de classe des écoles publiques. Dans le cadre de leurs conseils aux enseignants, ils ont recommandé de violer les règles du district et de l'État et de suspendre des objets tels que des drapeaux de fierté et des drapeaux BLM. Ceci est généralement cité comme un moyen de "démarrer une conversation", un moyen pour les enseignants de contourner les règles de l'école. Ils ne pourront peut-être pas passer chaque journée à faire tourner des leçons sur des concepts éveillés, mais si un enfant pose une question sur les drapeaux dans la pièce, ils peuvent alors fournir un « contexte ».
La NEA a été l'une des principales forces motrices de l'intrusion de l'idéologie éveillée dans le cadre des écoles publiques. Environ 97 % de leur collecte de fonds politiques va aux candidats démocrates. Ils semblent être obsédés par le toilettage des enfants dans le giron de gauche avec des leçons axées sur la théorie critique de la race, la propagande de genre fluide et le socialisme. Si vous voulez savoir d'où vient la montée soudaine du culte de la justice sociale en termes d'enfants américains, les enseignants de gauche et la NEA sont à blâmer.
Gardez à l'esprit que les syndicats d'enseignants encouragent leurs membres à enfreindre la loi et à perdre leur emploi, juste pour doubler l'endoctrinement politique. Contrairement à la croyance populaire, les enseignants n'ont PAS le droit à la liberté d'expression au travail. Les enseignants éveillés pourraient fantasmer d'être Robin Williams dans Dead Poets Society luttant contre le système, mais la vérité est qu'ils SONT le système. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles des règles de comportement des enseignants sont nécessaires.
Les enseignants narcissiques sont des parasites qui considèrent la salle de classe comme un lieu où on leur doit une affirmation. Ils voient les enfants de leur classe comme un public captif dont ils peuvent se nourrir pour attirer l'attention, l'admiration et la justification. Ils méprisent les parents comme des inférieurs et traitent les élèves comme leurs propres marionnettes personnelles à modeler et à contrôler.
Dans leur esprit, les enfants n'appartiennent pas aux parents, les enfants appartiennent à la « société ». Les éducateurs progressistes se voient comme les bergers bienveillants choisis par le collectif pour conditionner les esprits de la prochaine génération. L'enseignement universitaire est secondaire - La fabrication de nouvelles recrues de gauche est plus importante pour eux. C'est la colline sur laquelle ils ont choisi de mourir et ils ne reculeront pas devant elle. Ils ont clairement indiqué que le ciblage des enfants était leur principale préoccupation.
Mais qu'en est-il de l'inflation ? Qu'en est-il de la crise économique ? Oui, de nombreuses menaces budgétaires ont prévalu au cours des dernières années et la stagflation rend la vie difficile à tout le monde, pas seulement aux jeunes. Ces conditions ne sont cependant pas sans précédent.
RépondreSupprimerLes baby-boomers et la génération X ont connu une crise stagflationniste d'une décennie dans les années 70 et au début des années 80, ainsi que la guerre du Vietnam. Mon propre grand-père a perdu des millions dans son entreprise de fret en raison de l'explosion des taux d'intérêt au début des années 1980. La plus grande génération a traité de la Grande Dépression, de la Première Guerre mondiale, de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre de Corée. Les jeunes d'aujourd'hui ont besoin de saisir la réalité et de comprendre qu'ils ne savent pas ce qu'est la véritable lutte, du moins pas encore.
Au fond, certains d'entre nous sont nés dans des périodes d'incertitude. Les générations précédentes ont cherché à relever le défi. La génération Z (et la génération Y 1980-1995) sont les premières générations à suggérer qu'elles doivent être récompensées pour leur inconfort. Ce n'est pas une tentative de diminuer leurs problèmes, juste de mettre ces problèmes dans une perspective historique. Les gauchistes utilisent des tactiques prédatrices pour attirer les jeunes en prétendant que leur vie est injuste - mais le fait est que la vie est injuste et le sera toujours.
Vous n'entrez pas dans le monde du travail sans compétences ni expérience et un diplôme universitaire sans valeur qui s'attend à devenir un succès immédiat. Vous vivez de chèque de paie en chèque de paie, grandissez en tant que personne et trouvez éventuellement votre créneau. Si vous êtes intelligent, ingénieux, responsable et prêt à faire des efforts, vous trouverez un moyen. Sinon, eh bien, vous ne méritez pas la prospérité.
Raison #2 : Les jeunes adultes sont motivés par le sexe et l'impulsion, pas par l'accomplissement
Je dois préciser que les jeunes du monde occidental sont davantage orientés vers la sexualité que vers l'accomplissement. Dans de nombreuses autres sociétés, les jeunes sont poussés à lutter pour leur réussite personnelle AVANT de poursuivre des relations, le mariage ou le sexe. En Occident, le sexe est purement récréatif et EST le moteur des adolescents, des vingt et trente ans. Plus précisément, le sexe sans conséquences.
Je soupçonne que c'est la raison pour laquelle l'innovation américaine, l'éthique du travail et l'excellence académique sont en perpétuelle baisse. La technologie a pris une partie du relais en termes de productivité, mais les nouvelles générations semblent être les moins impressionnantes en termes d'ambition et d'excellence. Il n'y aura pas d'Albert Einstein ou de Richard Feynman ou de Kurt Godel ou de Nikola Tesla ou même un Steve Wosniak produit par la Gen Z. Ils sont trop préoccupés d'être des victimes et de se défouler…
La gauche politique est éminemment consciente de cette dynamique. Ils savent que l'esprit des jeunes est facilement distrait par des pensées de révolution sexuelle, généralement parce qu'ils pensent que cela signifie un accès plus facile au sexe sans responsabilité. Les adolescents et les jeunes adultes sont plus susceptibles de soutenir les politiques sexualisées pour cette raison, et sans surprise, ils sont plus susceptibles de soutenir l'avortement. Les gauchistes savent que le sexe vend et permettre aux gens de tuer facilement les grossesses non désirées est une façon de vendre du sexe.
RépondreSupprimerLa chose intéressante qui se passe ces derniers temps, cependant, est que la gauche politique devient de plus en plus hostile au sexe hétéro. L'amour gratuit pour tout le monde était le mantra progressiste, mais plus maintenant.
La masculinité est maintenant réprimandée comme prédatrice et les femmes sont encouragées à traiter les avances masculines comme une menace. La gauche désexualise systématiquement les hétéros. En même temps, ils hyper-sexualisent les personnes LGBT au point que les défilés de la fierté sont applaudis pour des démonstrations grotesques dans les rues devant des enfants. Les jeunes hommes hétéros entrent dans un monde de rencontres qui leur dit que s'ils ne s'intéressent pas aux «femmes trans», ils sont sectaires et méchants.
L'objectif est de manœuvrer les jeunes dans le giron LGBT comme le seul endroit où la "liberté" sexuelle est acceptée. Tant que vous ne voulez pas d'enfants ou que vous ne pouvez pas en avoir, l'establishment de gauche est heureux de promouvoir un monde sans retenue. Les éveillés parlent souvent de liberté, mais ce qu'ils veulent vraiment dire, c'est l'hédonisme - La poursuite du plaisir au détriment de la conscience et de la boussole morale.
Raison #3 : Les jeunes sont désespérés de trouver un sens
Pour ceux qui se souviennent de leur adolescence et de leur vingtaine, il est courant d'être obsédé par le destin personnel presque autant que par le sexe. Dans la société occidentale, on accorde beaucoup de valeur à la célébrité ainsi qu'à l'héritage social. Tout le monde rêve d'être bien connu, bien aimé, de diriger un mouvement qui change les choses pour le mieux, de faire sa marque. La vérité est, statistiquement parlant, que la grande majorité des gens feront très peu pour marquer le monde de la manière dont ils l'imaginent.
Les idioties de donner des lettres (x, y, z) à des générations !!
RépondreSupprimerCeux avant le 'x' s'appelle 'les hommes préhistoriques' !! (avant l'histoire !!).
Par contre... après le 'z'... y a quoi ?
Désinformation et censure, 1984-2023
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 05 AOÛT 2023 - 03:00
Écrit par Peter Van Buren via TheAmericanConservative.com,
La liberté d'expression des Américains est menacée comme jamais auparavant...
Orwell, encore une fois. 1984 semble écrit pour l'ère Biden. Sous-jacent à tout cela se trouve le concept de désinformation, la racine de la propagande et du contrôle de l'esprit. C'est donc en 2023. Il suffit de demander au directeur du FBI, Chris Wray. Ou Facebook.
Le roman de George Orwell explore le concept de désinformation et son rôle dans le contrôle et la manipulation de la société. Orwell présente un avenir dystopique où un régime totalitaire, dirigé par le Parti et sa figure de proue Big Brother, exerce un contrôle total sur la vie de ses citoyens, y compris leur pensée. Le Parti emploie diverses techniques pour diffuser la désinformation et maintenir son pouvoir. L'un des exemples les plus marquants est le concept de «novlangue», un langage conçu pour restreindre et manipuler la pensée en réduisant la gamme d'idées exprimables. La novlangue vise à remplacer les mots et les concepts qui pourraient remettre en question ou critiquer l'idéologie du Parti, en contrôlant efficacement la façon dont les gens pensent et communiquent (à notre époque et à notre endroit, pensez à « sans logement », « faux discours », LGBTQIAXYZ+, « nationaliste », « terroriste »). ”).
Orwell introduit également le concept de double pensée, qui fait référence à la capacité d'avoir simultanément deux croyances contradictoires et de les accepter toutes les deux comme vraies. Cette technique de manipulation psychologique permet au Parti de contrôler l'esprit de ses citoyens et de leur faire croire à de fausses informations ou d'adopter des idées contradictoires sans poser de questions (pensez à imposer des masques qui n'empêchent pas la transmission de maladies). Le Parti en 1984 modifie les archives historiques et diffuse de fausses informations par l'intermédiaire du ministère de la Vérité. Cette manipulation d'événements et de faits historiques vise à contrôler la mémoire collective de la société dans une ère post-vérité, en veillant à ce que la version de la réalité du Parti reste incontestée (pensez à la guerre en Ukraine, en Irak, au Salvador, au Vietnam, tout cela pour protéger notre liberté à la maison.)
À travers ces représentations, Orwell met en évidence les dangers de la désinformation et son potentiel à déformer la vérité, à manipuler l'opinion publique et à maintenir des systèmes de pouvoir oppressifs. Le roman sert d'avertissement sur l'importance de la pensée critique, de la pensée indépendante et de la préservation de la vérité objective face à la désinformation et à la propagande.
La désinformation est mauvaise. Mais remplacer la désinformation par la censure ou le remplacer par une autre désinformation est pire.
1984 a fermé le marché des idées. Donc pour 2023.
RépondreSupprimerEn Amérique de 2023, le média est les médias sociaux et le ministère de la Vérité est la branche exécutive, principalement le FBI. Les sujets que le FBI a à un moment donné qualifiés de désinformation et ont cherché à censurer au nom de la protection des Américains contre la désinformation incluent, mais sans s'y limiter, le contenu de l'ordinateur portable de Hunter Biden, la théorie des fuites de laboratoire Covid, l'efficacité et la valeur pour la société de masques, confinements et vaccins, discours sur l'intégrité électorale et l'élection présidentielle de 2020, la sécurité du vote par correspondance, et même des récits parodiques se moquant du président (par exemple, un sur Finnegan Biden, la fille de Hunter Biden).
Lorsqu'on lui a demandé devant le Congrès de définir la désinformation, le directeur du FBI, Christopher Wray, n'a pas pu le faire, même si c'est la base de la campagne du FBI pour censurer les Américains. C'est un terme inventé sans signification fixe. Cela lui donne son pouvoir, car le «terrorisme» a été utilisé une dizaine d'années plus tôt. Vous vous souvenez du « terrorisme intérieur » ? Cela s'étendait à tout, des défenseurs du pouvoir blanc aux marcheurs du 6 janvier en passant par les manifestants du BLM et les mamans pour la liberté. Cela ne peut tout simplement pas être toutes ces choses tout le temps, mais cela peut être toutes ces choses à des moments différents, selon les besoins.
Le terme «discours de haine» est un autre outil flexible d'application, c'est pourquoi les efforts visant à codifier l'interdiction des discours de haine en vertu du premier amendement doivent être si fortement résistés. Pareil pour QAnon. Nous entendons parler de QAnon depuis des années maintenant, mais nous ne savons toujours pas s'il existe même. À lire les médias grand public, on pourrait penser que c'est la chose la plus puissante et la plus sinistre que l'on puisse imaginer, mais cela semble être imaginaire, un autre Cthulhu. Ont-ils un bureau, une adresse mail, un repaire quelque part ?
En termes simples : le gouvernement utilise les sociétés de médias sociaux comme mandataires pour censurer les pensées contraires des Américains, le tout sous couvert de corriger la désinformation et en artifice direct du Premier Amendement.
Sous le président Joe Biden, le gouvernement a entrepris "l'attaque la plus massive contre la liberté d'expression de l'histoire des États-Unis". C'est la conclusion extraordinaire à laquelle est parvenu un juge fédéral dans l'affaire Missouri c. Biden. L'affaire a révélé les efforts incroyables déployés par la Maison Blanche Biden et ses agences fédérales pour intimider les plateformes de médias sociaux afin qu'elles suppriment les opinions politiques qu'elles n'aiment pas. La Maison Blanche fait appel et a obtenu un sursis, espérant conserver ce puissant outil de contrôle de la pensée dès 1984. Une victoire pour la censure des Américains et de leurs pensées pourrait être la plus grande menace à la liberté d'expression de l'histoire américaine.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/disinformation-and-censorship-1984-2023
La fraude Deepfake augmente de plus de 1000 %, les initiés disent que ce n'est que le début
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 04 AOÛT 2023 - 17:45
Écrit par Autumn Spredemann via The Epoch Times
Alors que la frontière entre réalité et fiction devient de plus en plus difficile à distinguer, les criminels en ligne n'ont besoin que de deux heures pour créer un produit "deepfake" réaliste, généré par ordinateur, qui peut ruiner la vie de quelqu'un.
La montée en flèche de la popularité des photos, de l'audio et des vidéos hyperréalistes développés avec l'intelligence artificielle (IA) - communément appelées deepfakes - est devenue une sensation sur Internet.
Cela donne également aux cyber-méchants un avantage dans le monde du crime.
Entre 2022 et le premier trimestre de cette année, l'utilisation de deepfake dans la fraude a catapulté 1 200 % rien qu'aux États-Unis.
Bien que ce ne soit pas seulement un problème américain.
Dans la même analyse, les deepfakes utilisés à des fins d'escroquerie ont explosé au Canada, en Allemagne et au Royaume-Uni. Dans l'étude, les États-Unis représentaient 4,3 % des cas mondiaux de fraude profonde.
Pendant ce temps, les experts en IA et les enquêteurs en cybercriminalité disent que nous ne sommes qu'à la pointe de l'iceberg. Le terrier du lapin du potentiel de fraude deepfake continue.
« Je crois que la principale motivation des cybercriminels à commettre des cybercrimes est l'application de la loi et leur incapacité à suivre le rythme », a déclaré Michael Roberts à Epoch Times.
M. Roberts est un enquêteur professionnel et le fondateur de la société pionnière Rexxfield, qui aide les victimes d'attaques sur le Web.
Il a également lancé PICDO, une organisation de perturbation de la cybercriminalité, et a organisé une formation contre le piratage informatique pour les branches des armées américaine et australienne ainsi que pour l'OTAN.
M. Roberts a déclaré que les systèmes juridiques du monde occidental sont "désespérément submergés" par les cas de fraude en ligne, dont beaucoup incluent des attaques de contrefaçon. De plus, les cas qui font l'objet d'une enquête sans embaucher une entreprise privée sont triés sur le volet.
"Et même alors, cela [l'affaire] n'est pas résolue", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLe marché de la détection de deepfake était évalué à 3,86 milliards de dollars en 2020 et devrait croître de 42% par an jusqu'en 2026, selon un rapport du HSRC.
Tour de passe-passe
Imaginez recevoir un appel téléphonique d'un être cher, affirmant en larmes qu'il a été kidnappé. Naturellement, les ravisseurs veulent de l'argent et la voix du membre de votre famille procède pour donner des instructions sur la façon de remettre la rançon.
Vous pouvez être convaincu que c'est la voix de votre bien-aimé à l'autre bout du fil, mais il y a une chance que ce ne soit pas le cas.
Les escroqueries audio Deepfake ou "clonage de voix" se sont propagées comme une traînée de poudre à travers les États-Unis cette année, aveuglant des individus compatissants et non préparés dans plusieurs États.
Mais cela ne s'arrête pas là. Les attaques Deepfake peuvent arriver sous de nombreuses formes. Ces escroqueries intelligentes peuvent également apparaître sous forme de conversations vidéo avec quelqu'un que vous connaissez.
Ils peuvent apparaître comme la publication sur les réseaux sociaux d'un collègue de longue date, expliquant comment un investissement en crypto-monnaie leur a permis d'acheter la belle nouvelle maison qu'ils pointent avec enthousiasme sur une photo.
"Nous avons beaucoup d'escroqueries à la crypto-monnaie", a déclaré M. Roberts.
Les deepfakes sont également utilisés pour le chantage. Cela implique généralement la création d'une vidéo ou d'une photo passable de la victime dans une situation obscène ou compromettante.
Ensuite, les attaquants exigent une rançon, de peur de distribuer le faux aux collègues, au patron, à la famille et aux amis de la victime.
Augmenter votre sécurité en ligne peut vous aider à éviter d'être victime d'une arnaque ou à assurer votre sécurité après une violation de données. (Shutterstock)
Chacun de ces exemples se produit déjà.
Mais pour créer ces contrefaçons réalistes, les criminels doivent avoir accès à du matériel comme des photos, de l'audio et de la vidéo. Malheureusement, ces choses ne sont pas difficiles à obtenir.
"Si quelqu'un entre dans vos photos privées, dans votre iCloud, cela donne tout l'échantillonnage, toute la technologie … pour faire des faux hyperréalistes", a déclaré M. Roberts.
Les profils de médias sociaux sont un trésor pour les criminels qui cherchent à créer ces produits.
Récupérer les actifs perdus et la réputation de la victime peut être sinistre. Roberts a noté que les litiges contre les cybercrimes sont une bataille difficile. "C'est long, c'est ardu, c'est long et c'est éprouvant émotionnellement et financièrement."
RépondreSupprimerD'autres initiés de l'industrie de l'IA disent que ce n'est pas seulement la qualité des contrefaçons qui pose problème, mais aussi la quantité.
« Tôt ou tard, les gens pourront générer n'importe quelle combinaison de pixels de n'importe quel type de contenu. Et c'est à vous de le filtrer », a déclaré Alan Ikoev à Epoch Times.
M. Ikoev est le PDG de Fame Flow, qui crée des publicités sous licence pour les célébrités et les influenceurs.
En tant que pionnier du contenu autorisé généré par l'IA impliquant des célébrités, il ne connaît que trop bien le travail de ses homologues infâmes.
Mais pour contrer ces escroqueries de plus en plus sophistiquées, les gens doivent se méfier de tout ce qu'ils voient en ligne. "S'ils ne remettent pas en question, ils sont facilement convaincus", a déclaré Ikoev.
Discerner ce qui est vrai ou faux en ligne est déjà difficile. Selon une enquête Ipsos menée auprès de plus de 25 000 participants dans 25 pays, 86 % des internautes ont admis avoir été trompés par de fausses informations.
Cette situation est aggravée par une récente étude sur la cybersécurité, qui a révélé que près de la moitié de tout le trafic Internet est désormais généré par des bots.
Mais ce ne sont pas toutes de mauvaises nouvelles. M. Roberts soutient que les criminels n'ont pas rattrapé la vitesse à laquelle la technologie évolue, qui dépasse actuellement les "mauvais acteurs".
Cependant, la vigilance et avoir un plan sont nécessaires pour repousser ou contrer les attaques deepfake.
Mouvements et contre-mouvements
Les progrès rapides de la technologie en matière de fraude évoquent presque la nostalgie de l'époque où les escroqueries sur Internet n'étaient qu'un e-mail d'un prince autoproclamé dans un pays étranger qui avait besoin d'aide pour transférer de l'argent.
L'IA a donné de meilleurs outils aux cybercriminels, mais elle peut aussi être utilisée contre eux.
"Le développement d'outils avancés de détection de deepfake utilisant des algorithmes basés sur l'IA est crucial pour lutter contre cette menace. Les efforts de collaboration entre les développeurs d'IA, les chercheurs et les entreprises technologiques sont essentiels pour créer des mesures de sécurité robustes et sensibiliser", Nikita Sherbina, PDG d'AIScreen, a déclaré à Epoch Times.
M. Sherbina a déclaré que les entreprises peuvent se protéger en doublant la technologie. Essentiellement combattre le feu numérique par le feu.
RépondreSupprimer"Mettez en œuvre des systèmes d'authentification avancés basés sur l'IA, y compris la reconnaissance vocale et faciale avec authentification multifactorielle. La surveillance et l'analyse continues des modèles de communication à l'aide d'algorithmes d'IA peuvent également aider à détecter et à prévenir les activités frauduleuses", a-t-il déclaré.
Mais pour les particuliers, perturber ou empêcher une arnaque deepfake est plus simple.
Certaines escroqueries téléphoniques prétendent provenir d'une organisation de services financiers et vous demandent de mettre à jour les informations, mais ne le faites pas ! Il peut s'agir d'une attaque de phishing visant à voler vos informations personnelles. (BestForBest/Shutterstock)
En cas d'attaque présumée par un clone de voix, M. Roberts a déclaré: "La première chose que vous faites est de dire:" Chérie, je vais te rappeler tout de suite. ""
Il a noté que les escrocs inventeront une excuse pour laquelle vous ne pouvez pas rappeler pour vérifier leur identité. Une autre astuce pour faire dérailler les criminels utilisant un son cloné pour simuler un enlèvement consiste à poser à l'appelant des questions qui ne sont pas du domaine public.
"Ayez cette conversation avec votre famille avant que cela ne se produise réellement afin qu'ils comprennent ce que vous faites", a ajouté M. Roberts.
Il a souligné l'importance de ne pas utiliser d'adresses e-mail individuelles avec des noms complets ou des numéros correspondant à la date de naissance de l'utilisateur.
De plus, une personne ne devrait jamais réutiliser un mot de passe de connexion. M. Roberts a noté que la première chose que les pirates informatiques font lorsqu'ils obtiennent un mot de passe est d'essayer de se connecter à tous les sites possibles pour voir où cela fonctionne.
Cela inclut les comptes bancaires, le stockage en nuage, les médias sociaux, etc.
Mais alors que les deepfakes ont placé la barre très haut pour les escrocs en ligne, les méthodes pour les traquer n'ont pas changé.
"Le processus ne change pas. L'IA n'est que le contenu … mais les miettes de pain laissées par les criminels sont toujours les mêmes", a déclaré M. Ikoev.
Le suivi des escrocs est peut-être bien établi, mais il n'existe pas de chemin clair pour les victimes pour récupérer l'argent perdu.
Les escroqueries financières des deepfakes peuvent aller de 243 000 $ à 35 millions de dollars, selon une analyse.
Un exemple était une agitation de crypto-monnaie utilisant une fausse ressemblance d'Elon Musk qui aurait coûté aux consommateurs américains environ 2 millions de dollars sur six mois.
RépondreSupprimerCe qui est peut-être plus troublant, c'est que n'importe qui peut les créer. M. Ikoev a expliqué que tout ce dont quelqu'un a besoin pour créer un deepfake sur son smartphone est une carte graphique et de regarder quelques tutoriels Web.
"Alors tu es prêt à partir," dit-il.
Monde de possibilités
Le moment de la prochaine élection présidentielle américaine en 2024 est précaire, compte tenu de la forte augmentation du matériel deepfake.
M. Roberts a déclaré que les Américains devraient s'attendre à une course électorale remplie d'escrocs brandissant un arsenal de deepfakes.
Le département américain de la Sécurité intérieure a également exprimé sa préoccupation quant à l'utilisation de la technologie, déclarant : "La menace des deepfakes et des médias synthétiques ne vient pas de la technologie utilisée pour la créer, mais de la tendance naturelle des gens à croire ce qu'ils voient."
Pourtant la boîte de Pandore est déjà ouverte.
Plus tôt cette année, des vidéos ont émergé de politiciens américains faisant des remarques étonnamment inhabituelles.
L'une impliquait Hillary Clinton approuvant le candidat républicain à la présidence, Ron DeSantis.
Un autre a représenté le président Joe Biden lançant des remarques de colère à une personne transgenre.
Selon M. Roberts, ce n'est que le début.
"Il va être utilisé dans de nombreuses ingérences politiques", a-t-il déclaré, ajoutant que cette technologie aggravera le prochain événement de niveau COVID pour le public.
"Je ne parle pas de désinformation telle que décrite par la gauche libérale. Je parle de mensonges délibérés à l'ingénieur social du monde entier."
https://www.zerohedge.com/technology/deepfake-fraud-surges-more-1000-percent-insiders-say-its-just-beginning
Les starlettes d'Hollywood risquent l'extinction alors que des influenceurs sexy de l'IA envahissent les médias sociaux
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 04 AOÛT 2023 - 23:20
La prolifération d'influenceurs des médias sociaux légèrement vêtus générés par l'IA est un signal d'alarme pour les écrivains, acteurs et autres créateurs hollywoodiens en grève.
Grâce à l'avènement des générateurs d'images et de vidéos alimentés par l'IA, ainsi que des chatbots, un certain nombre d'influenceurs virtuels, tels que "Milla Sofia", publient du contenu qui semble leur montrer qu'ils vivent une vie de luxe.
Sofia peut prétendre être originaire de Finlande et publier des photos de bikini de voyages européens. Et pour un œil non averti, son contenu semble réel, mais ce n'est pas le cas. Un message sur le site Web du bot AI indique que Sofia est une "influenceuse virtuelle et mannequin de 24 ans".
Bonjour. Créer des souvenirs au bord des eaux cristallines de Bora Bora.#bora #borabora #sea #sun #vacationmode #gm #sundayvibes pic.twitter.com/OAIDTEtEaZ
– Milla Sofia (@AiModelMilla) 11 juin 2023
L'influenceur de l'IA a publié du contenu sur des plateformes de médias sociaux comme Instagram, TikTok et Twitter depuis fin 2022. Cependant, le contenu est resté pratiquement le même, mais le réalisme des images s'est amélioré grâce aux progrès de l'IA.
Tu m'as vu aux infos ces derniers jours ?
Les derniers jours ont été assez fous ! Merci à tous pour votre soutien et vos gentils mots ! pic.twitter.com/DDd5iLnHxf
– Milla Sofia (@AiModelMilla) 1er août 2023
"Je suis toujours en train d'apprendre et d'évoluer grâce à des algorithmes sophistiqués et à l'analyse de données", poursuit le site Web de Sofia. "J'ai cette énorme base de connaissances programmée en moi, qui me tient au courant des dernières tendances de la mode, des informations sur l'industrie et de toutes les avancées technologiques."
"Je vous souhaite une bonne nuit depuis la Grèce ! 🌙🇬🇷 #SweetDreams #SantoriniSlumber #gn #goodnight pic.twitter.com/3KSDAFwfTk
– Milla Sofia (@AiModelMilla) 20 juillet 2023
Et Sofia n'est pas la seule influenceuse IA sur Twitter. Une simple recherche donne des dizaines...
- voir cadre sur site -
"Qui a besoin de répliques quand tu es une fille virtuelle ?" a tweeté un autre influenceur virtuel Alexis Ivyedge.
Les gars, suivez la charmante jeune Jessica ! N'est-elle pas belle ! 💕💋 https://t.co/Q6WbqgE5AU
– AlexisIvyedge (@AlexisIvyedge) 3 août 2023
... et puis il y a ça.
J'adore cette vidéo de vacances ! Il contient trois (peut-être quatre) de mes choses préférées ! pic.twitter.com/n0NLdTG1vb
– Vicki_verano (@VeranoVicki) 4 août 2023
La tendance suscite de nombreuses inquiétudes chez les créateurs d'OnlyFans. Selon Médium :
Les robots IA peuvent produire un contenu de qualité beaucoup plus rapidement, à un prix beaucoup moins cher. Là où un modèle Onlyfans pourrait facturer 20,00 $ + pour un abonnement à sa page, un bot pourrait produire les mêmes photos, vidéos et messages pour moins de la moitié du prix.
Peut-être que GenZ devrait commencer à penser à d'autres emplois.
RépondreSupprimerChers acteurs hollywoodiens en grève : nous avons de mauvaises nouvelles... https://t.co/wWUPK6uPes
– zerohedge (@zerohedge) 3 août 2023
Ensuite, il y a des acteurs et des écrivains frappants à Hollywood. Leurs syndicats craignent que les grands studios – Netflix, Sony, Amazon et Disney – ne les remplacent par l'IA. Netflix a déjà provoqué la colère de la Writers Guild of America et de la SAG-AFTRA en publiant des offres d'emploi pour les experts en IA.
Encore une mauvaise nouvelle pour les créateurs de contenu et les gens d'Hollywood. Il y a plusieurs mois, Goldman a fourni à ses clients une note sur les emplois actuels exposés à l'IA.
https://www.zerohedge.com/technology/sexy-ai-influencers-invade-social-media
Les solutions pour triompher de la tyrannie
RépondreSupprimerPar Jean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca,
03 août 2023
Grâce à l’importance qu’ont les télévisions de la société dite « évoluée », une pratique de la manipulation allait permettre de répandre à grande échelle une propagande permanente visant à modifier les références cognitives habituelles des personnes ainsi que leurs repères comportementaux donnés par la culture scientifique et historique. Puis, par ce tour de passe-passe, la manipulation allait parvenir à remplacer ces références et ces repères, par des normes sorties d’on ne sait quel chapeau et sans qu’à aucun moment la supercherie ne soit soupçonnée ! Cette réalité fut parfaitement sidérante pour ceux qui pouvaient l’observer !
Des comportementalistes ont démontré, comme chacun devrait désormais le savoir, qu’après une minute d’écoute, l’activité cérébrale du téléspectateur se modifie. Ils ont observé que la pensée logique et critique s’amenuisent et glissent vers une sorte de lâcher-prise comparable à celui que l’on obtient en hypnose. Nous sommes nombreux à pouvoir dire comment on peut se retrouver souvent endormi devant la télé ! La propagande utilise tout bonnement cette qualité hypnotique du téléviseur, d’autant plus qu’il est présent partout, même sur les lieux de travail !
Le psittacisme informationnel pratiqué en boucle, répétant sans cesse les mêmes informations manipulées, sur des cerveaux en état hypnotique, va réussir à convaincre les personnes qu’elles sont réellement informées tout en entrant dans une croyance qui n’a aucun rapport avec un savoir en tant que tel ! C’est le secret de la pensée unique et du politiquement correct qui a créé une intolérance spectaculaire au sein de la société ne supportant plus le moindre écart d’une pensée non alignée…
Peu à peu un nouveau modèle social s’est construit à partir de la pensée unique dominante et chaque individu a cherché dès lors à lui correspondre. Puis, le réflexe grégaire du peuple, bien connu des comportementalistes, allait à son tour entraîner une soumission de chacun comme de tous à des règles aberrantes persuadant tout citoyen qu’il était le gardien de l’ordre établi. Le mouton allait de lui-même à l’abattoir sans que personne n’ait plus à l’y conduire de force et en étant de plus persuadé que c’était là son bien, son bonheur, sa félicité…
La procédure est simple à comprendre : les programmes de télévision proposent un mixte quasi permanent entre les informations alarmistes, destinées à alimenter la peur, et des émissions de divertissements particulièrement débiles pour ne pas dire aliénantes, afin de provoquer l’endormissement de la vigilance intellectuelle des personnes. Ces émissions de télévision pullulent en Europe et dans tout l’Occident en général ! La censure est à la fête sur tous les médias collabos du système et elle sévit à longueur de temps, dès qu’un mot de travers est repéré par les surveillants algorithmes !
La lecture ou l’audition d’un débat ne permettent pas la manipulation hypnotique des personnes. Il n’y a donc plus de débats à la téloche, mais des campagnes de propagande partisane à sens unique, animées par le « consensus » et on ne laisse surtout pas de temps aux gens pour lire des livres qui pourraient les informer en profondeur. D’ailleurs, toute la publicité pour ces études, ces expertises, les informations scientifiques, non grevées par les « conflits d’intérêts », est systématiquement censurée! « L’imprimatur et le Nihil obstat » de la censure ecclésiastique pratiquée par l’Inquisition est aujourd’hui de retour dans le monde de l’édition.
RépondreSupprimerLa société a spectaculairement régressé pour être étouffée dans sa soif de liberté !
Tout ce qui se dit en Occident sur le conflit en Ukraine, est sidérant d’absurdité, de contre-vérités, de mensonge ! Le grand nombre se considère bien informé et radote avec conviction un discours à des années lumières de la vérité en étant persuadé qu’il dit sincèrement le vrai, l’évidence, ce qui ne peut pas être autrement ! Le grand nombre se croit vraiment « objectif », bien « informé », certain d’être dans le bien, dans le vertueux, dans le légitime ! Tout cela est consternant mais explique pourquoi le malheur a de « beaux jours » devant lui, pour se faire les dents sur cette humanité abusée…
Il est utile d’évoquer également « La stratégie du choc » de Naomi Klein.
Rappelons que cette stratégie a pour but d’initier et de maintenir un « chaos social ». La technique du choc permet de créer par une annonce, une image ou un commentaire, un état de sidération.
On pense aussitôt aux images des attentats, même celles qui ont été carrément truquées ; on pense aux images d’hôpitaux submergés dans l’Est de la France ou en Italie, de malades évacués par TGV, par hélicoptères militaires, par bateaux de la marine nationale ou par bus aménagés, on pense aux listes des victimes et aux commentaires anxiogènes sur le nombre de morts à venir…
Des populations terrifiées, ont ensuite attendu dans la peur le choc suivant qui serait aménagé par les prises de parole de l’exécutif dirigeant un « Conseil de défense » aux commandes d’un « état d’urgence sanitaire » !
Tous ces chocs successifs avaient pour but de faire « croire » que les sacrifices consentis étaient certes pénibles à supporter mais nécessaires et que, grâce à ces sacrifices inouïs, la vie reprendrait ses droits en retrouvant le bien être d’une existence sauvée par eux ! Le narratif officiel s’est ainsi imposé à tous, via essentiellement une infantilisation exceptionnelle développée à cette occasion !
On repense en premier lieu à cette manipulation par infantilisation qui consiste à rédiger un document s’autorisant à soi-même un déplacement à moins d’un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée et à condition de porter un masque…
Comment imaginer plus destructeur que ce genre d’ineptie humiliante acceptée sans broncher par des gens intelligents ? Ce genre d’humiliation était pratiqué habituellement par les tortionnaires dans divers pays ou plus proche de nous, par nos « meilleurs amis et alliés de toujours » dans le centre expérimental de torture de Guantanamo…
RépondreSupprimerPeu à peu, les libertés publiques et privées ont été éliminées. On a imposé des tests, on a menacé de rendre la « vaccination » obligatoire. On a agité les épouvantails à crétins sans la moindre hésitation ! On a fait des « cadeaux » en annonçant qu’il n’y aurait pas de nouvelles mesures coercitives de privation de liberté, comme si le droit naturel de respirer devait être autorisé par l’État !
Au moment où le confinement n’était plus supportable pour de multiples raisons, on allait inventer le « couvre-feu sanitaire » ! Les autorités allaient manier la carotte et le bâton en infantilisant au maximum les citoyens, sans que l’ombre d’une rébellion n’apparaisse chez le grand nombre !
On a entendu parler de « cluster » signifiant danger extrême, menace de mort ! Les « cluster » avaient la particularité de se multiplier à la vitesse de la lumière… On ne pouvait pas les contrôler, sauf si la docilité des personnes et des groupes se montrait irréprochable. Tous les récalcitrants aux mesures « barrières » seraient implicitement mis en accusation par les dociles et bons citoyens exemplaires… Les problèmes viendraient désormais des rétifs et insoumis à la dictature sanitaire…
La peur commandait tout cela. On parlait du patient Zéro recherché comme un criminel ou l’ennemi public numéro un. Les tests PCR seraient une évidence, alors qu’on sait aujourd’hui à quel point ils n’étaient pas fiables et comment ils ont fait partie d’une exécrable manipulation. Puis les courbes en cloche ou en plateaux comme les « variants », participeraient tous d’un langage pseudo scientifique abusant le grand public sur tous les plans !
Puis arrivait sur le devant de la scène le nouveau concept de l’après catastrophe, le « Great Reset », comme si ce qui arrivait ne permettrait plus même d’envisager la vie comme « avant » ; il faudrait désormais « vivre avec le virus », comme si cela était quelque chose d’incroyable, alors que l’humanité a toujours vécu avec toutes sortes de virus qui étaient là bien avant elle ! Les traitements étaient « inexistants » ou brutalement « interdits » sans aucune explication cohérente, en France comme dans plusieurs pays de l’Union Européenne. Il n’y avait plus que le « vaccin » messianique.
En balançant son concept « Objectif zéro covid », Macron, chef de guerre, annonçait implicitement que nous ne pourrions donc jamais sortir de la crise, puisque le virus serait toujours là, qu’on le veuille ou non ! Cet objectif étant irréalisable, il allait de soi qu’une seule conclusion s’imposait : le « vaccin » était la solution obligatoire et avec ce « vaccin », le plan sous-jacent non affiché aux yeux des gens abusés, mais que l’on parvient enfin à comprendre grâce aux innombrables publications sur les problèmes majeurs qui apparaissent partout dans le monde Occidental suite aux « vaccinations » …
Bien entendu, les médias collabos ne veulent même pas entendre parler de ces « rumeurs complotistes » et font l’impasse sur ces questions réellement préoccupantes !
RépondreSupprimerLa « vaccination » coupe court à toute question de bon sens sur les traitements à utiliser avant d’en arriver là. On ne pouvait pas non plus se poser de questions sur les conditions de la réalisation de ces « vaccins ». Tout de suite pointait la menace des restrictions de déplacements. Seule la « vaccination » permettrait de se déplacer et de se rendre partout ! Un grand nombre allait se laisser convaincre et c’est de cette manière qu’une telle mesure insensée allait pouvoir être organisée. Sans « vaccination » massive, la mise en place d’un passeport sanitaire n’était pas possible !
La fabrique du consentement a merveilleusement bien fonctionné et ceux qui sont restés lucides seront désormais les parias de la société, alors qu’ils étaient son âme, sa force, sa lumière, sa conscience, traités misérablement de « complotistes » faute d’arguments sérieux à leur opposer ! On les brûlera sur les bûchers du lynchage médiatique en les accusant d’avoir « copulé avec le diable » !
Nous sommes à nouveau dans la même croyance, dans la même superstition, dans la même arriération mentale, dans le même fanatisme et dans la même ignorance crasse que celle des siècles incriminés !
Il devenait impossible de poser quelque question de bon sens que ce soit. Comment faisait-on avant, lorsque nous étions assaillis par une pandémie ?
Pourquoi parler d’un « Great Reset », du monde d’après, de « guerre » contre un virus ? Pourquoi des traitements qui marchent, comme de nombreuses études l’ont démontré, ont-ils été interdits ?
Pourquoi les autopsies sur les nombreux soi-disant morts « du coronavirus » étaient-elles interdites ?
On allait passer de la peur d’être malade à la peur d’être « positif », puis de la peur d’être « cas contact » repéré par les brigades du harcèlement sanitaire et obligé d’entrer en « isolement » …
La soi-disant protection des « plus fragiles » allait faire admettre le massacre impitoyable du grand nombre à travers le délabrement de l’économie, les faillites, les dépressions majeures, les suicides, le retard dans les prises en charge des autres malades. L’hypnose médiatique allait faire croire que tout cela était bien et nécessaire.
Le chaos social a été sciemment organisé par ce « Conseil de défense » bidon, travaillant dans la non transparence absolue en dépensant allègrement l’argent public. Tout a été arbitraire, depuis le saccage des libertés jusqu’au rejet brutal des arguments scientifiques contraires à ce qui était imposé par ce « Conseil de tyrans » au service de la destruction volontaire de la société. Les voix compétentes ont été étouffées, sanctionnées, ignorées, combattues, condamnées, harcelées, réprimées, anéanties !
RépondreSupprimerEt voilà que tout cela nous est à nouveau resservi, en utilisant les mêmes arguments, mais cette fois, appliqués à la « crise écologique » : le réchauffement climatique provoqué par les comportements humains !
Tout un arsenal théorique est à nouveau ressorti, la censure est à l’œuvre, les spécialistes du climat sont priés de la fermer s’ils ne tiennent pas le seul discours autorisé par la dictature mondialiste qui n’en démord pas de son objectif : celui d’exterminer le grand nombre des récalcitrants à son narratif mensonger !
Ces nouveaux mensonges vont permettre cette fois-ci de piller les biens des personnes, de les jeter à la rue, de les ruiner, de les tuer, en publiant des lois « justifiées » par le discours mensonger de l’écologie mondialiste !
Les classes moyennes et celles qui ont généralement un niveau d’études universitaires, sont les plus dociles à la manipulation, au mensonge, à la tyrannie organisée par le mondialisme désireux d’exterminer tous les récalcitrants à la dictature du Nouvel Ordre Mondial…
Ce sont les gens les plus proches de la nature et de la réalité qui ont gardé leur bon sens, une expression de l’intelligence émotionnelle. Les classes intellectuelles se font abuser par la priorité donnée à la raison en basculant dans tout ce qu’il y a de plus irrationnel !
Toutes les aberrations entendues au cours de la crise des années 2020,2021 et 2022 et désormais celles qui se font entendre sur « les causes humaines du réchauffement climatique » viennent des « élites » de la classe dite « cultivée ».
Il y a aussi des gens cultivés qui n’ont pas oublié que la part la plus importante de l’intelligence humaine revient à l’intelligence émotionnelle. C’est en associant les deux sortes d’intelligence qu’on peut garder le Nord de la boussole intérieure et opérer le discernement obligatoire, en particulier dans les situations de crise.
Sans la vigilance de l’intelligence émotionnelle, l’intelligence rationnelle perd tous ses moyens qui sont vite dépassés par la perversion de la manipulation et du mensonge !
2 – Le second type de personnalité psychologique résistant, est celui qui a une expérience de l’intériorité : cela veut dire celui qui a combattu ses propres démons ; qui s’est confronté au numineux du mythe intérieur ; qui a exploré son sous-sol mental et qui, à cette occasion, y a rencontré le minotaure du labyrinthe intérieur. C’est celui qui a été confronté à l’énigme que pose la présence de cette force obscure au fond de lui-même et qui a su lui donner la bonne réponse pour ne pas être dominé par elle ! Le pouvoir pervers par nature ne peut avoir aucune prise sur cette personnalité psychologique ayant cette expérience. C’est une connaissance de soi, dans ce qu’il y a de plus profond, qui permet de connaître et de comprendre tout ce qui se passe et qui provient de l’extérieur de soi…
RépondreSupprimer3 – La tyrannie totalitaire du mondialisme pousse chaque personne dans ses retranchements. La conscience éveillée, l’expérience de l’amour inconditionnel, l’expérience de son lien intime au Tout, l’expérience du SOI, l’expérience spirituelle, l’expérience de la transcendance, la rencontre illuminative avec l’âme de la nature qui est à la fois père et mère de la Vie, façonnent la personnalité physique, psychique et spirituelle capable d’affronter n’importe quelle tyrannie. Aucune tyrannie ne peut atteindre ce type de personnalité qui est en connexion directe avec le Tout, car celui-ci l’informe à tout moment de tout ce que cette personne doit savoir pour vivre et marcher dans la liberté totale de la vérité…
« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers et les dieux ! » Cet oracle délivré par la Pythie du temple de Delphes dédié à Apollon, est toujours d’actualité, il est l’énigme qu’il fallait décrypter et la clé de toute victoire sur l’ignorance et la tyrannie.
https://www.mondialisation.ca/les-solutions-pour-triompher-de-la-tyrannie/5680096?doing_wp_cron=1691236606.0757479667663574218750
L’ère nucléaire n’est pas terminée : « Hiroshima Notes » d’Ōe Kenzaburō
RépondreSupprimerle 4 août 2023
Le prix Nobel de littérature Ōe Kenzaburō, décédé plus tôt cette année à l’âge de 88 ans, a attiré l’attention sur les effets des bombardements nucléaires avec son livre de reportage « Hiroshima Notes » de 1965. Cette œuvre classique reste aujourd’hui un puissant avertissement.
C’est en 1963 que Ōe Kenzaburō s’est rendu pour la première fois à Hiroshima pour des recherches. Bien sûr, la situation sociale et l’environnement international autour d’Hiroshima ont changé au cours des 60 dernières années. Tout d’abord, la position des hibakusha, ceux qui ont survécu au bombardement atomique, a changé. Selon le ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être, environ 110000 hibakusha ont survécu fin mars 2023. Leur âge moyen est supérieur à 85 ans.
Ōe Kenzaburō décrit la ville dans son livre « Hiroshima nōto » (trans. de David L. Swain et Toshi Yonezawa comme « Hiroshima Notes ») comme un endroit où chaque jour, la vie des jeunes qui auraient dû être en bonne santé a été brutalement interrompue par la « maladie de la bombe A », même près de 20 ans après le bombardement. Il a écrit : « Hiroshima est comme une blessure à nu infligée à toute l’humanité. » Maintenant, cependant, nous pourrions dire que les blessures sur Hiroshima ont été « cicatrisées », ce qui est, en tout cas, une bonne chose.
La menace des armes nucléaires a-t-elle disparu depuis ? La réponse est clairement non. Il est heureux que les armes nucléaires n’aient pas été utilisées depuis les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki, mais le risque que cela se reproduise est très réel. La Russie, qui a poursuivi son invasion illégale [voir note] de l’Ukraine depuis le printemps 2022, a menacé à plusieurs reprises sa volonté d’utiliser des armes nucléaires, faisant ainsi reculer la réalité du danger. Dans ce livre, Ōe Kenzaburō critique ceux qui, comme le chef du bureau de Tokyo d’une agence de presse américaine qui a plaidé avec quelques Hibakusha en faveur de l’utilisation à nouveau d’armes nucléaires pendant la guerre de Corée, incarnent l’esprit terne ou la décadence morale, ainsi que l’idéologie persistante parmi les grandes puissances de la logique de dissuasion nucléaire. L’âge nucléaire n’est pas terminé. En effet, à mesure que la netteté de cette tragédie s’estompe, l’avertissement et les espoirs que Ōe Kenzaburō a mis dans son livre pourraient bien disparaître dans l’oubli aussi, si nous restons inactifs.
Le caractère sacré de la vie à l’ère nucléaire. Ōe Kenzaburō n’a pas seulement rempli ce livre d’images d’un « enfer nucléaire ». Le premier décès d’une personne nommée dans le livre se trouve dans le prologue « Towards Hiroshima ». C’est celui de Haraguchi Kikuya, un hibakusha de Nagasaki et poète qui s’est suicidé. Ōe inclut une lettre d’un médecin d’Hiroshima qui demande : « Est-ce que toutes les victimes survivantes de la bombe A doivent finalement rencontrer une mort tragique causée par les séquelles des radiations ? » Ōe inclut la lettre et un article ultérieur écrit par le médecin, car il s’agit d’une réponse critique à ses propres écrits. Le médecin explique : « Il voulait que sa vie se termine comme les uns, comme les autres, qui n’avait rien à voir avec la bombe atomique. Il a cherché, c’est-à-dire à éviter d’être compté parmi les victimes de la bombe A qui sont regroupées de manière impersonnelle et inhumaine. »
RépondreSupprimerOe a décrit le suicide de plusieurs autres personnes, et il n’a jamais condamné cet acte. Il l’a décrit comme un moyen pour les individus de maintenir ou de retrouver leur dignité. Il met en contrepoint une mort, qui a lieu au milieu du chapitre 1, « Mon premier voyage à Hiroshima ». Il parle de la mort d’une fille dans un hôpital de la bombe atomique à Hiroshima un matin d’août. Ōe a regardé son corps être transporté dans le bâtiment de la Commission des victimes de la bombe atomique du gouvernement américain à Hijiyama, un district d’Hiroshima, où il a été jeté comme données dans un centre de recherche inhumain et brillamment éclairé. C’est l’inhumanité des armes nucléaires, qui privent les gens du droit de mourir avec dignité en tant qu’individus désignés. Que cela se passait même près de 20 ans plus tard est clair à partir de ce contraste.
Un classique et un avertissement. Il y a un écart stupéfiant entre l’inhumanité des armes atomiques et nucléaires et l’insoutenable oisiveté des politiciens. C’est dans ce fossé, où la moralité et l’humanité signifient qu’il y a encore des gens qui ne se tuent pas, ou dans la tentative de créer une vision fiable de l’aspiration humaine à l’ère nucléaire en témoignant des extrêmes de la misère humaine que Ōe trouve espoir. Cette position semble partager quelque chose avec l’approche de la société civile contemporaine, car elle cherche à renforcer la reconnaissance par la communauté internationale de l’inhumanité des armes nucléaires et à les positionner comme des armes qui ne doivent pas être utilisées. Elle s’emploie également à promouvoir l’adoption du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires.
Certaines parties du livre semblent datées, comme les discussions approfondies sur les divisions politiques dans le mouvement d’interdiction de la bombe et l’accent mis sur les essais nucléaires en Chine. L’écriture de Ōe, cependant, touche constamment à l’essence vraie et durable des armes nucléaires et de la bombe A.
C’est la volonté de ceux qui ont rejoint le mouvement pour la paix après avoir eux-mêmes vécu les bombardements, à savoir que « nous ne devons pas laisser les autres traverser les souffrances que nous traversons ». Ce livre se termine par une déclaration de solidarité avec le « vrai » peuple d’Hiroshima. Maintenant, l’auteur lui-même est décédé, et ces vrais gens d’Hiroshima sont des sujets de l’histoire. Mais les idéaux de ce livre ne sont pas des choses du passé. C’est une question pour ceux d’entre nous qui vivent à l’ère nucléaire, de savoir si nous avons l’imagination pour remonter 60 ou même presque 80 ans dans le passé et ressentir cette solidarité. En ce sens, ce livre continue d’être un avertissement pour aujourd’hui, même comme un classique de son temps. Article d’Umehara Toshiya, Nippon.com 4 août 2023
RépondreSupprimer- voir schéma sur site -
Notes. La légalité et le devoir d’intervention à des fins humanitaire pouvant justifier une ingérence armée dans un pays, selon le Français Bernard Kouchner, sont deux notions différentes. La légalité doit être reconnue par les Nations-Unies à deux niveaux, par le Conseil de sécurité et par l’Assemblée générale s’il n’y a pas de veto qui s’y oppose. Or dans le cas de l’intervention spéciale de la Russie sur le sol de l’Ukraine était motivée par les bombardements incessants depuis 2014 des populations civiles russophones par l’armée ukrainienne et ce seul fait justifie l’intervention pour des raisons humanitaires de la part de la Russie. Quant à l’avis du Conseil de sécurité de l’ONU il est évident qu’il se serait heurté aux veto des américains et des britanniques. C’est pour cette raison que les Occidentaux considèrent que l’intervention de l’armée russe en Ukraine est illégale. Enfin l’article paru sur le site Nippon.com est tout à fait opportun puisque le conflit ukrainien peut dégénérer à tout moment en se généralisant et dériver vers l’usage d’armes nucléaires. Les rares survivants à un tel conflit n’auront aucun espoir de survie dans un « hiver nucléaire » qui anéantira toutes sortes de vie sur la Terre … Le graphique glissé plus haut mais qui ne figure pas dans l’article original décrit l’apparition de tumeurs cancéreuses en fonction de la dose de rayonnements subie lors de l’explosion nucléaire. Il s’agit d’une étude réalisée par l’armée américaine au cours des années 1970.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/08/04/lere-nucleaire-nest-pas-terminee-hiroshima-notes-doe-kenzaburo/
(...) Cette œuvre classique reste aujourd’hui un puissant avertissement. (...)
SupprimerN'exagérons pas !
(...) L’âge nucléaire n’est pas terminé. En effet, à mesure que la netteté de cette tragédie s’estompe, l’avertissement et les espoirs que Ōe Kenzaburō a mis dans son livre pourraient bien disparaître dans l’oubli aussi, si nous restons inactifs. (...)
'si nous restons inactifs', oui mais que pouvons nous faire ?
Là est la question qui n'a pas (d'après l'auteur) su donner de réponse !! Faut dire que l'auteur vivait au temps de l'empereur ! (comme ceux d'aujourd'hui) et, comme il en est de toutes autres dictatures (monarchiques ou républicaines) le Peuple DOIT FERMER SA GUEULE !!
Jamais l'auteur ne parle de Démocratie où c'est le Peuple qui dirige ! Voir la Suisse.
Si le peuple japonais avait été en Démocratie la guerre n'aurait JAMAIS EU LIEU.
« Scientifiques », « climatosceptiques », mon c...
RépondreSupprimer5 Août 2023
Récemment, des acteurs des discours qui alertent sur les changements climatiques ou expliquent des phénomènes météorologiques ont été violemment pris à partie sur des réseaux sociaux. Le phénomène est à la fois plus simple et plus complexe que ce que d'aucuns pensent... et disent.
Tout de suite les grands mots...
C'est un petit chef-d'oeuvre de Libération que ce « Canicule : sur les réseaux sociaux, les scientifiques sous le feu des climatosceptiques » (article réservé aux abonnés).
En chapô :
« Alors que des températures étouffantes sont enregistrées partout dans le monde, les détracteurs de la science s’en prennent de plus en plus violemment aux météorologues et climatologues, surtout en ligne. »
Voilà un apparentement de deux idées qui laisse perplexe ! Qu'en serait-il s'il n'y avait pas les canicules ?
En sur-titre : « Cyberharcèlement ». Mais quand on plonge dans l'article, la baudruche se dégonfle assez lamentablement.
Non, il ne s'agit pas de « scientifiques ». Non, il ne s'agit pas spécifiquement de « climatosceptiques ».
« Alors que les effets du réchauffement climatique induit par les activités humaines se font de plus en plus sentir, les menaces envers les météorologues et les climatologues s’amplifient, en volume et en agressivité. "Il y a une minorité très visible qui pollue l’espace commentaires sous nos publications sur les réseaux sociaux", constate Alexandre Slowik, le fondateur du site Météo Express, qui a publié un article à ce sujet. »
Un exposé des faits plus raisonnable
Libération a été précédé par, par exemple, 24 heures avec « Canicule : Les climatosceptiques tentent de semer le doute avec #secheressemoncul ». Il est toujours question de « climatosceptiques », mais les faits qui sont relatés prennent un sacré bémol. En résumé :
Le hashtag #secheressemoncul a abondamment été relayé ces dernières heures, se classant ce mardi dans le top 5 des tendances françaises sur Twitter.
Certains comptes climatosceptiques basent leur argumentaire sur le fait que les cartes météorologiques seraient mensongères, et artificiellement rougies afin de provoquer la panique chez les gens.
RépondreSupprimerD’autres internautes expliquent quant à eux qu’il n’y a pas de sécheresse, car il a beaucoup plu chez eux ces dernières semaines.
Un tweet illustre ce qui relève de l'incompréhension ou du malaise devant les informations.
- voir 2 cartes sur site (2017/2022) -
20 minutes explique, à propos de ce tweet :
« Plusieurs posts avançant cette théorie ont été massivement retweetés, comme une carte allemande montrant deux images provenant de bulletins météorologiques, l’une en verte datant de 2017 avec des températures allant de 20 à 37°, et l’autre en rouge datant de 2022 avec un thermomètre allant de 19 à 32°. Il n’y a bien sûr aucune manipulation, comme l’ont démontré certains sites de fact-checking. L’émission allemande qui a diffusé ces cartes « dispose de deux formats de carte pour afficher la météo : l’un qui utilise des nuances de rouge et se concentre uniquement sur la température, et l’autre qui utilise du vert pour une prévision générale ».
Que faut-il penser en définitive ?
Il y a sans aucun doute une exaspération d'une partie de la population devant les annonces incessantes de catastrophes et de l'apocalypse à la Philippulus.
Elle s'est exprimée sur des comptes Twitter dédiés à la météo – ou au climat – et s'est amplifiée en volume et en agressivité... et aussi en bêtise. Avec la création des hashtags #secheressemoncul et #caniculemoncul, le phénomne s'est encore amplifié davantage. Voici un autre exemple :
- voir 2 cartes sur site -
Et quand un twittos découvre une bévue comme celle-ci, c'est la curée :
- voir photo sur site -
Qui sème le vent...
RépondreSupprimerLa question dite climatique – au jour le jour, c'est de la météorologie – donne lieu à bien des excès.
Ils se disent « climato-réalistes »... pour le camp d'en face, ils sont « climato-sceptiques »... Mais comment ne pas admettre qu'ils ont trouvé un bel os à ronger ?
- voir photo sur site -
Une preuve par l'image de leur site : la subreptice correction apportée à son article par le Spiegel.
- voir photo sur site -
Le problème de la température au sol et des matériaux est illustré ici :
- voir photo sur site des prises de températures -
Pulvérisant tous les records d'indécence...
- voir photo sur site -
...Voici l'inénarrable Sandrine Rousseau :
Elle a récidivé en mettant en cause la consommation de viande : « La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout. ». Le Monde est venu à son secours avec un articulet vraiment minable. Faire confirmer le propos par une activiste du Réseau Action Climat, quelle idée saugrenue !
...Et la routine des propos hors de propos
Mais au-delà de l'indécence irresponsable – ou de l'irresponsabilité indécente –, il y a la routine : ces plateaux où l'on cause, avec des invités qui monnaye leur notoriété acquise par des diplômes en principe pertinents et le cas échéant par une participation à des organismes prestigieux, et qui taillent leur discours dans le sens attendu, susceptible de susciter une nouvelle invitation (style « les méga-bassines sont une maladaptation »...) ; les informations – et « informations » – qui ne ratent pas une occasion de relier un événement météo au changement climatique dû à l'activité humaine.
Puiser dans une nappe phréatique, on le fait depuis des temps immémoriaux... (Source)
- voir photo sur site des prises de températures -
Comment, dès lors, ne pas comprendre l'agacement d'une partie croissante de la population qui se voit non seulement asséner des « vérités » qui ne les convainquent pas (quand les propos ne sont pas abscons), mais encore en quelque sorte sermonner, l'« activité humaine » étant aussi, en partie, la leur ?
Il n'est vraiment pas nécessaire de monter de grandes théories d'une action plus ou moins sournoise des « climatosceptiques » ou encore des officines de désinformation et d'agit-prop de Poutine.
Et tout cela ne nous avance pas d'un poil dans la lutte contre les changements climatiques et l'adaptation à ceux-ci.
https://seppi.over-blog.com/2023/08/scientifiques-climatosceptiques-mon-c.html
Non-seulement la planète se REFROIDIT mais elle... manque d'eau !!
SupprimerA savoir que depuis l'antiquité des canaux ont été creusés (oubliez le 'Pont du Gard' qui est une bévue romaine ou le bâtiment était... plus haut que la source ! HAHAHAHA ! et n'a donc jamais vu une goutte d'eau couler).
Les canaux ne sont PAS nettoyés ! Ni de nouveaux creusés !! Et donc: CHAQUE JOUR ce sont des millions de m³ d'eaux propres et gratuites des fleuves et rivières qui vont... se jeter à la mer !!
Étude : Les modèles climatiques manquent de résolution pour modéliser le changement climatique
RépondreSupprimer5 août 2023
du Dr. Peter F. Mayer
L'organisation onusienne IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) fait des prévisions détaillées sur l'évolution des températures pour les 25 prochaines années sans disposer des instruments scientifiques nécessaires. On se déplace dans une « terra incognita » et on produit des prévisions avec des gaz à effet de serre, qui ne représentent que 5 % du total des gaz à effet de serre.
Il est bien connu dans la science du climat que l'eau « exerce une influence fondamentale sur le système climatique physique et sur le changement climatique », que les nuages « contrôlent l'albédo planétaire et la quantité de rayonnement solaire atteignant la surface », et que « la circulation océanique.. .qui détermine et module le climat de nombreuses régions du monde ».
- voir graph sur site -
La vapeur d'eau, qui compose les nuages, représente 95 % des gaz à effet de serre dans notre atmosphère. Le gaz carbonique représente 3,6 % des gaz à effet de serre. Environ 0,9% de cela est causé par les activités humaines.
Mais il y a un assez gros problème ici. En ce qui concerne les modèles climatiques, la « zone terra incognita » inconnue et inexplorée est ce à quoi nous assistons aujourd'hui.
« …les modèles pénètrent de plus en plus dans le domaine de la 'terra incognita'. ” – selon Stephens et al. (2023) dans Bulletin of the American Meteorological Society 104, 1 .
"Les modèles climatiques existants ... ne peuvent pas résoudre la structure détaillée et les cycles de vie de systèmes tels que les cyclones tropicaux, les systèmes à basse pression et les systèmes à haute pression soutenue qui sont essentiels pour coupler les cycles de l'énergie et de l'eau."
Alors que la circulation océanique détermine le climat régional, " les modèles mondiaux actuels sont également incapables de résoudre les courants océaniques fondamentaux pour la variabilité climatique ".
La convection domine le transfert de chaleur à des altitudes entre la surface et la troposphère. Alors que le rayonnement ne représente que 8 % du processus de transfert de chaleur ici, il est de 67 % en convection . Mais les modèles climatiques d'aujourd'hui ne peuvent pas « dissoudre » la convection.
Ainsi, l'affirmation selon laquelle nous savons que les humains contrôlent le climat aujourd'hui est une déclaration de foi. L'allégation n'a aucune signification scientifique et est invérifiable. En fait, il n'est pas falsifiable. Elle ne peut donc prétendre être scientifique. Il est également essentiellement économique et sert ceux qui en tirent des revenus.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/08/05/studie-klimamodellen-fehlt-die-aufloesung-um-klimawandel-zu-modellieren/
(...) Le gaz carbonique représente 3,6 % des gaz à effet de serre. Environ 0,9% de cela est causé par les activités humaines. (...)
SupprimerPrimo, le gaz carbonique est le gaz le plus lourd.
🏡 L'air pèse: 1,2 gr/litre
Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
Il existe 2 zones de gaz carbonique: L'une à très haute altitude qui est présente par les éruptions volcaniques (donc: zéro production humaine, animale ou industrielle. Et l'autre est au ras du sol et est responsable des gelées (donc: aucun pouvoir de réchauffement).
Secundo, de plus TOUS les gaz se recyclent immédiatement (sans quoi la vie sur Terre ne serait jamais apparue).
Sondage britannique : oui au Net-Zero, mais pas si cela coûte plus cher
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 05 AOÛT 2023 - 13:00
Écrit par Eric Worrall via WattsUpWithThat.com,
Les faussetés sur les énergies renouvelables réduisant les factures d'énergie menacent de détruire la crédibilité des politiciens traditionnels.
Électeurs britanniques : oui au Net Zero, mais pas si cela nous coûte
Un nouveau sondage montre à quel point le soutien aux politiques vertes est peu profond
La population britannique est massivement favorable à l'objectif de réduire les émissions de carbone à Net Zero d'ici 2050, mais se retourne vers une forte opposition si la politique impose des "coûts supplémentaires aux gens ordinaires", selon un nouveau sondage.
Alors que le Premier ministre Rishi Sunak annonce son intention d'étendre la capture du carbone et d'augmenter la quantité de forage pétrolier et gazier en mer du Nord, les résultats montrent une préférence pour l'objectif général de Net Zero, plutôt que tout engagement envers les politiques qui seraient nécessaires pour le livrer. Alors que plus de 70 % soutiennent l'objectif plus large, moins de la moitié (42 %) sont d'accord avec la décision d'interdire la vente de voitures neuves à essence et diesel après 2030.
L'enquête, réalisée par YouGov, a demandé à 2000 adultes de tout le Royaume-Uni ce qu'ils pensaient du programme vert du gouvernement. En plus de l'opposition marginale à l'interdiction des voitures à essence, seuls 42 % des répondants soutiennent l'arrêt progressif des nouvelles chaudières à gaz, qui devrait commencer en 2035.
... En savoir plus : https://unherd.com/thepost/british-voters-yes-to-net-zero-but-not-if-it-costs-me/
JoNova a fait un excellent article sur les politiciens inconstants britanniques qui se refroidissent sur Net Zero après la victoire choc de l'élection partielle d'Uxbridge, par un militant anti-ULEZ.
Les partisans du net zéro ont-ils dit des faussetés sur le coût des énergies renouvelables ? Comme beaucoup de comptabilité, la réponse dépend de la façon dont vous louchez sur les chiffres.
En termes réels, les factures d'énergie que les gens paient dans des endroits où les énergies renouvelables comme la Grande-Bretagne et la Californie montent en flèche. Donc, dans un sens pratique, la réponse est un oui retentissant.
RépondreSupprimerMais si vous jouez à des jeux comptables fantaisistes avec les chiffres, comme l'ajout du coût social du carbone, les dommages présumés que les émissions de gaz carrbonique causeront à l'avenir, faites des hypothèses très optimistes sur les futurs coûts de stockage de l'énergie et antidatez ces futurs coûts présumés des dommages climatiques. dans l'économie d'aujourd'hui en utilisant un facteur d'actualisation, vous pouvez arriver à d'autres réponses.
Je doute que la plupart des électeurs soient impressionnés par les astuces comptables fantaisistes. Ajouter de faux coûts futurs pour justifier de claquer les gens avec des factures d'énergie plus élevées aujourd'hui n'atténue pas la douleur de la facture d'énergie que les gens éprouvent en ce moment.
Les gens doivent vivre aujourd'hui, ici et maintenant. Les gens qui ont le choix entre se chauffer, manger et payer l'hypothèque ne se soucient pas du temps qu'il fera dans 50 ans, ils ont des problèmes plus immédiats.
Même si le changement climatique anthropique commence à mordre et crée plus de vagues de chaleur, la dernière chose que quiconque dans le monde d'aujourd'hui souhaite, c'est que l'énergie soit si chère qu'elle ne puisse pas se permettre de faire fonctionner son climatiseur.
Ma prédiction : à moins que les verts ne trouvent une solution à la flambée des factures d'énergie, et rapidement, d'ici 2025, les politiciens élus qui admettent qu'ils soutiennent sans équivoque Net Zero seront une espèce en voie de disparition.
https://www.zerohedge.com/political/british-poll-yes-net-zero-not-if-it-costs-more
La "guerre contre le changement climatique" arrive... à nouveau
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 04 AOÛT 2023 - 23:40
Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
La semaine dernière, un haut responsable du Parlement du parti travailliste britannique est passé à la télévision pour demander au Royaume-Uni – peut-être même au monde entier – d'être sur un "pied de guerre" pour lutter contre le changement climatique.
S'exprimant dans le magazine politique phare de la BBC, Newsnight, le député de Barry Gardiner a plaidé en faveur d'une unité d'objectif contre la "menace existentielle" du changement climatique :
« … si c'était une guerre, nous ne nous disputerions pas pour savoir si la stratégie travailliste ou la stratégie conservatrice était meilleure, nous travaillerions ensemble pour essayer de gagner […] Eh bien, c'est une guerre. C'est une guerre pour la survie et le changement climatique menace tout. c'est ce qu'il faut..."
Deux jours plus tard, les mêmes pensées ont été exprimées dans une colonne du Financial Times par Camilla Cavendish, ancienne chef de l'unité politique de Downing Street de David Cameron et ancienne élève de la Kennedy School of Government :
La réponse est sûrement d'invoquer un esprit de guerre et de faire de la lutte contre le changement climatique une entreprise commune contre un ennemi commun. Si la volonté publique et politique est là, l'ingéniosité humaine peut l'emporter, à une vitesse remarquable. Pendant la seconde guerre mondiale, l'Amérique a transformé sa base de fabrication pour produire des chars et des munitions. La pandémie de Covid a entraîné la découverte et le développement de vaccins à grande échelle, sauvant des millions de vies.
Il est intéressant de noter la comparaison avec Covid, mais nous y reviendrons.
La campagne n'est pas isolée au Royaume-Uni, en fait elle a débuté de l'autre côté de l'Atlantique, avec l'Inquirer publiant un article intitulé « Le président Biden devrait s'adresser à la nation et déclarer la guerre… au changement climatique » le 16 juillet, qui argumenté:
Biden et ses assistants doivent saisir ce mégaphone métaphorique et appeler les réseaux de télévision pour annoncer une adresse aux heures de grande écoute du bureau ovale qui déclarera une urgence nationale – essentiellement, un état de guerre – pour lutter contre le changement climatique.
RépondreSupprimerJoe Biden lui-même a qualifié le changement climatique de "menace existentielle" le 27 juillet.
L'invocation de la guerre métaphorique n'a bien sûr rien de nouveau.
« Guerre » est un mot très important dans le monde de la politique et de la propagande. Elle a – ou est supposée avoir – un effet immédiat sur l'esprit collectif du public ; une connexion instantanée à des générations de souvenirs partagés, qui favorise les sentiments de conformité et de solidarité.
Certaines études psychologiques ou groupes de discussion l'ont clairement compris il y a des décennies, et en tant que tel, le mot «guerre» est fréquemment utilisé pour contrôler les récits.
Dans les «démocraties» occidentales, le déploiement du mot W est le code d'un accord bipartite, tentant d'engendrer une fausse solidarité entre les mêmes personnes qu'ils encouragent à se haïr 90% du temps, tout en qualifiant les dissidents d'étrangers qui sont une menace à la sécurité du groupe.
Plus pragmatiquement, être « en guerre » crée une « urgence » qui justifie la suppression « temporaire » des droits et libertés de l'homme et permet d'accroître les pouvoirs assumés par l'État.
OffG - et d'autres - ont discuté de cela à l'infini, passé un certain point, tout gouvernement autoritaire doit exister en état de guerre afin d'éviter l'effondrement, et ainsi des ennemis sont créés qui, de par leur nature, peuvent rester à jamais invaincus.
Voir : « La guerre contre la drogue », « La guerre contre le terrorisme », « La guerre contre le Covid »
… et, maintenant, la guerre contre le changement climatique.
Ou, plus exactement, « la guerre contre le changement climatique… encore une fois ».
Car ni Barry Gardiner ni Camilla Cavendish ne sont les premiers à exprimer cette pensée. Même pas proche.
Le prince de l'époque devenu roi Charles a exprimé exactement le même sentiment dans les mêmes mots dans un discours à la COP26 en novembre 2021, des articles d'opinion contemporains dans le Guardian étaient d'accord avec lui.
Ils faisaient en fait écho à un rapport de l'University College London de mai 2021.
RépondreSupprimerCNN a averti que nous "perdions la guerre contre le changement climatique" en avril 2019, plagiant exactement le même titre dans The Economist d'un an plus tôt en août 2018.
Bill McKibben a écrit "Nous sommes attaqués par le changement climatique - et notre seul espoir est de nous mobiliser comme nous l'avons fait pendant la Seconde Guerre mondiale" pour la Nouvelle République en août 2016.
Venkatesh Rao a écrit "Pourquoi résoudre le changement climatique sera comme se mobiliser pour la guerre" pour l'Atlantique en octobre 2015, répétant les mêmes arguments d'un article de CNN quatre mois plus tôt.
Enfer, tout le chemin du retour en 2003, le New York Times publiait des éditoriaux "Après l'Irak : Déclarez la guerre au réchauffement climatique"
(Ah, rappelez-vous quand le changement climatique n'avait pas encore reçu sa métamorphose d'infalsifiabilité et était encore connu sous le nom de "réchauffement climatique" ?)
Essentiellement, tous les quelques mois, ils trottent cette idée de «déclarer la guerre au changement climatique», n'obtiennent presque aucun engagement du public, puis recommencent à jaillir de l'alarmisme et de la peur du porno pendant un certain temps avant de réessayer.
Ils font cela depuis des années. Jusqu'à présent, cela n'a pas fonctionné.
… mais cette fois, c'est peut-être un peu différent.
Pourquoi ? Parce que nous vivons désormais dans une société post-Covid.
Considérez, à l'exception des vaccins, tout ce qui a été provoqué par Covid - les blocages, l'effondrement financier, tout le "Grand Reset" - était à l'origine censé être une "réponse" au changement climatique.
Ils avaient un ensemble de « solutions » prêtes et attendaient une « réaction » publique qui ne vint jamais. Les gens n'avaient tout simplement jamais assez peur à l'idée que le monde pourrait se réchauffer un peu.
On pourrait faire valoir que l'échec répété du réchauffement climatique à déclencher une panique mondiale est la raison même pour laquelle ils ont eu recours à "Covid" en premier lieu, mais quelle que soit la relation de cause à effet, le fait est que Covid a jeté les bases pour la « guerre contre le changement climatique » qui n'a jamais existé auparavant.
Les « mesures anti-Covid » constituent un précédent à la fois pour l'utilisation de « réponses » extrêmes et leur apparente « efficacité »
Covid a créé suffisamment de peur pour qu'ils puissent augmenter l'hystérie climatique en liant l'environnementalisme à de futures «pandémies» potentielles
Covid (prétendument) "a inspiré la coopération mondiale" et "a démontré ce que nous pouvons réaliser lorsque nous travaillons tous ensemble"
Les verrouillages de Covid (prétendument) «ont montré comment le monde peut guérir» en réduisant les émissions.
RépondreSupprimerEt, plus important encore, le déploiement du récit Covid a démontré qu'une fois que les gens ont investi leur vertu ou leur personnalité dans une histoire, vous pouvez leur dire presque tout ce qui concerne cette histoire et ils seront incités à vous croire - PEU IMPORTE COMMENT ABSURD IT POURRAIT ÊTRE.
Nous avons noté précédemment que plusieurs articles récents «déclarant la guerre au changement climatique» font référence à Covid, presque toujours comme une réussite mondiale.
Il est désormais courant de parler d'éviter une catastrophe climatique par le biais de Covid. Les Nations Unies, le Conseil des relations étrangères et le Fonds monétaire international ont tous publié des articles au cours des deux dernières années avec des titres presque identiques, par exemple :
Ce que la pandémie de coronavirus nous apprend sur la lutte contre le changement climatique
L'exemple peut-être le plus flagrant d'utilisation de l'imagerie Covid pour vendre le changement climatique et le mondialisme est l'appel à créer une "Organisation mondiale du climat", du Dr David King dans l'Independent il y a quelques jours (notre emphase) :
«En ce qui concerne une crise sanitaire, comme la crise du Covid, nous avons une Organisation mondiale de la santé et elle est basée à Genève et fait partie des Nations Unies. Nous n'avons pas d'organisation mondiale de crise climatique. C'est ce dont nous avons besoin, pour que tous les pays du monde puissent se regrouper à travers une instance comme celle-là, comme nous le faisons quand il y a une crise sanitaire, nous contribuons tous aux frais de l'OMS. Nous avons besoin d'un système mondial qui nous rassemble tous pour lutter contre cette menace extérieure à notre avenir gérable. »
Nous savons ce que c'est, c'est le "pivot de Covid au climat" dont ils nous ont littéralement dit qu'il arrivait.
La "Grande réinitialisation" a pris un bon départ, mais ils ont encore une série de politiques amusantes qu'ils veulent introduire (par exemple, le rationnement de la nourriture). Dans un monde post-Covid, ils espèrent enfin rendre le « changement climatique » suffisamment effrayant pour que les gens les supplient de remodeler complètement le monde comme bon leur semble.
La partie amusante est qu'il n'a toujours pas l'impression d'atterrir, pour être honnête.
RépondreSupprimerEn dehors de la chambre d'écho des médias et des signaleurs de vertu, toutes les cartes de température "terrifiantes", les experts avertissant que "des millions de personnes mourront instantanément" s'ils éteignent leur climatisation, la nouvelle phrase à la mode de "l'ébullition mondiale" est en train d'être rencontrée avec un petit "meh".
Dommage pour eux, car ils se sont fixé un délai. Chaque année qui passe sans dégradation climatique catastrophique, chaque été, les calottes glaciaires ne disparaissent pas, chaque juillet inhabituellement froid ou humide est un autre clou dans le cercueil de leur récit, quelques normes supplémentaires se désengageant de l'histoire.
C'est probablement pourquoi la couverture de "canicule cerbère" et "d'ébullition mondiale" est fervente à la limite de la fièvre. Il y a un élément de désespoir aux mains moites qui s'infiltre dans chaque tweet, chaque titre.
Ils manquent de temps.
Le sombre corollaire de cela est qu'un jour prochain, ils pourraient bien renoncer à essayer de persuader les gens et commencer à essayer de les forcer.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/war-climate-change-coming-again
(...) Bill McKibben a écrit "Nous sommes attaqués par le changement climatique - et notre seul espoir est de nous mobiliser comme nous l'avons fait pendant la Seconde Guerre mondiale" pour la Nouvelle République en août 2016. (...)
SupprimerLA débilité extrême ! Se battre contre... le magma !! L'esprit des fous attaque la Terre !
SEULE la masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds est 100 % responsable du climat.
La dialectique de mondialisation et dé-mondialisation dans l’affrontement entre USA et Chine
RépondreSupprimerPar Domenico Moro
Mondialisation.ca,
04 août 2023
Récemment sont advenus des faits auxquels les mass media italiens n’ont pas donné leur juste relief et qui montrent, d’une part, l’extension du conflit entre USA et Chine et, d’autre part, l’émergence de contradictions internes qui gagnent l’Occident, les USA en particulier.
La confrontation compétitive entre USA et Chine, qui est le véritable chiffre des relations internationales actuelles, avec la guerre en Ukraine, s’étend de plus en plus dans le champ économique. Il s’agit d’une vraie guerre économique, avec comme protagonistes les deux colosses mondiaux. Il y a peu de temps, les USA avaient bloqué les exportations de microchips à la Chine, qui, en rétorsion, avait bloqué l’exportation de matières premières comme le gallium et le germanium, décisives pour la fabrication de produits de haute technologie, parmi lesquels, aussi, les microchips.
Maintenant le conflit s’étend au réseau des câbles sous-marins qui représentent un aspect décisif des communications et donc de l’économie mondiale. En effet, à travers un réseau de 1,4 millions de kilomètres de câbles posés sur le fond de la mer passe 96% du trafic de données et entrées. Sans ce réseau de câbles il n’y aurait pas de mondialisation. De ce fait, le contrôle sur ces câbles est fondamental pour contrôler l’économie mondiale. Comme la pose de ces câbles est effectuée surtout par des sociétés étasuniennes, toute intromission de sociétés chinoises apparaît comme potentiellement dangereuse et donc à contrecarrer.
Un exemple est représenté par SeMeWe6, un câble de 19.200 km de fibre qui d’ici 2025 devra connecter Singapour à Marseille en passant par l’Égypte. La commande avait été gagnée par la société chinoise HMN Tech, qui pour ses services demandait 475 millions de dollars.
Toutefois, les travaux ont commencé avec une autre société, l’étasunienne SubCom, bien que leur exigence, 600 millions de dollars, fut supérieure. L’intervention du gouvernement étasunien a déterminé l’éviction de la société chinoise au profit de l’étasunienne (1).
Mais cela n’est pas le seul cas d’intervention de l’administration étasunienne. En 2020 le gouvernement des USA a de fait interdit la liaison directe via câble sous-marin entre Los Angeles et Hong Kong. Après diverses polémiques, le câble s’est arrêté dans les Philippines et à Taiwan, en excluant la République populaire chinoise. En outre les querelles entre Chine et USA sur la souveraineté en Mer de Chine méridionale ont poussé plusieurs consortiums industriels, d’Abricot à Echo, à créer un nouveau hub des câbles dans l’île de Guam, qui est sous contrôle US. En synthèse, nous pouvons dire que jusqu’à présent les USA ont réussi à limiter la présence chinoise dans les câbles sous-marins : la chinoise HMN Tech n’est active que pour 10 % des câbles existants ou planifiés.
Mais la Chine ne reste pas les bras ballants, y compris parce qu’elle a compris que la confrontation compétitive avec les USA se joue surtout dans la haute-technologie, dans laquelle elle a renforcé ses investissements. Une part importante de ceux-ci est connectée à la Route digitale de la soie, notamment au Peace cable, structure qui part du Pakistan, atteint le Kenya, Djibouti et arrive à Marseille. Cette infrastructure permet à la Chine de lancer ou consolider ses propres activités commerciales en Afrique, continent ayant la plus grande croissance démographique et une ample disponibilité en matières premières. Un autre câble important contrôlé par la Chine est le Sail, entre Cameroun et Brésil. De plus, il y a les nouveaux projets chinois, comme l’Ema, projet de câble sous-marin de 500 millions de dollars, qui reliera Asie et Europe, en passant par le Moyen-Orient. Dans ce cas, l’objectif de la Chine est de concurrencer les câbles existants sous le contrôle étasunien.
RépondreSupprimerLa conséquence finale de cet affrontement entre les USA et la Chine pourrait être la naissance de deux Internet, c’est-à-dire la fracture du réseau, qui déterminerait la création de deux networks, l’un sous contrôle USA et l’autre sous contrôle chinois. Ce qui pousse à la séparation est déterminé par le fait que décider où, quand et comment construire un câble permet d’intercepter les informations et créer une dépendance technologique. Les propriétaires des câbles peuvent insérer des backdoors et autres mécanismes de surveillance. En outre, ce qui est sûr à présent, grâce à la traditionnelle cryptographie, peut ne pas l’être dans l’avenir à cause des ordinateurs quantiques. De tout cela naît la tendance à séparer les réseaux de câbles, en introduisant des barrières physiques et virtuelles pour la protection de ses propres données.
Les autres faits importants à considérer dans les processus de fragmentation du monde globalisé concernent les contradictions internes au bloc occidental et aux zones sous son influence. Un premier exemple s’est manifesté pendant le sommet entre l’Ue et la Celac qui comprend 33 pays latino-américains. Dans ce sommet l’Ue voulait produire un document final de condamnation de la Russie à cause de l’éclatement de la guerre en Ukraine. Cela n’a pas été possible, à cause de l’opposition de certains pays latino-américains (2). Du reste en février dernier à l’ONU une résolution de condamnation de la Russie avait enregistré le vote opposé du Nicaragua et l’abstention de la Bolivie, Cuba et du Salvador. Pas même au G20 ne s’est manifestée une vision unitaire de la guerre en Ukraine, conflit perçu de façon de plus en plus diverse entre les continents. De nombreux pays, spécialement ceux de l’Afrique mais aussi de l’Amérique latine, sont en train de se tourner vers les BRICS et la Chine. Parmi eux se trouve l’Algérie, qui est un pays fondamental pour les approvisionnements de gaz de l’Italie et de l’Europe en remplacement des russes, et qui ces derniers jours a requis d’entrer dans la Nouvelle Banque du Développement, la banque des BRICS. La requête algérienne a été promptement acceptée par la Chine, faisant croître la mauvaise humeur des USA.
Mais la contradiction la plus éclatante est peut-être celle qui se passe à l’intérieur des USA. Comme nous l’avons dit plus haut, l’administration Biden a bloqué les exportations de microchip vers la Chine, qui, à son tour, a interrompu l’exportation de matières premières stratégiques vers les USA. La Semiconductor Industry Association, l’association des sociétés étasuniennes du secteur, a invité fort décisivement l’administration Biden à s’abstenir d’ultérieures restrictions sur les ventes de chip à la Chine. Selon les industriels étasuniens, parmi lesquels se trouvent des colosses comme Intel, Qualcomm et Nvidia, la guerre sur les échanges technologiques et les nouvelles limites à l’export qui sont à l’étude à Washington pourraient faire de lourds dégâts et risquent de rendre vain le Chips Act. Celui-ci est le plan de soutien à l’industrie technologique lancé par Biden, qui aligne le chiffre imposant de 280 milliards de dollars pour soutenir la recherche scientifique et en particulier la production de semi-conducteurs. Biden est notamment en train d’évaluer la possibilité de lancer un ordre exécutif qui devrait poser des limites à l’accession par les groupes chinois aux chip nécessaires pour développer des technologies d’intelligence artificielle plus avancées. Contre cette décision s’est engagée Nvidia, en soutenant qu’une interdiction aux exportations de chip pour l’intelligence artificielle en Chine “conduirait à une perte permanente d’opportunités pour l’industrie étasunienne et pour sa compétitivité”(3).
RépondreSupprimerLes grands groupes étasuniens de la high tech et notamment ceux des semi-conducteurs redoutent des rétorsions de la part de la Chine, qui est pour eux un marché très important. Qualcomm est l’unique entreprise avec licence de la part des autorités étasuniennes pour vendre des chip pour téléphones portables à Huawei Technology. Nvidia est en train de vendre un chip AI (intelligence artificielle) optimisé pour le marché chinois, tandis que l’administrateur délégué d’Intel s’est récemment rendu en Chine pour faire la promotion de ses chip AI. Il apparaît ainsi évident que le conflit croissant entre Chine et USA produit des divisions à l’intérieur de la capitale étasunienne : une fraction, celle de la high tech et des semi-conducteurs, est opposée à la séparation entre l’économie étasunienne et la chinoise, alors que d’autres fractions, parmi lesquelles le complexe militaro-industriel et l’industrie extractive, font pression pour une séparation plus grande, préoccupées de ce que les exportations de technologies étasuniennes puissent favoriser l’économie et surtout l’industrie guerrière chinoises. La création de deux réseaux distincts de câbles sous-marins met en péril le symbole même de la mondialisation, Internet.
En synthèse, le cadre offert par les faits décrits ci-dessus démontre que l’affrontement géopolitique et stratégique avec la Russie et surtout avec la Chine se caractérise par une contradiction à l’intérieur des USA (mais aussi de l’Ue) qui se creuse de plus en plus : contradiction entre les forces politiques mais aussi économiques tendant à produire la fragmentation du marché mondial, autrement dit la dé-mondialisation, et les forces politiques et économiques qui tentent de défendre l’unité du marché mondial, autrement dit la mondialisation. Pour le moment il semble que ces forces s’équilibrent. Y compris parce que récemment certains représentants de l’establishment USA ont fait une visite à Pékin pour essayer de recoudre un rapport qui se fissure de plus en plus. Particulièrement importants ont été les récents voyages : du ministre US du Trésor Janet Yellen, qui représente évidement les préoccupations sur la possible fin des achats de titres publics étasuniens par la Chine, et celui, tout récent aussi, de Henry Kissinger, qui, bien qu’il se soit présenté en citoyen privé, a été reçu au plus haut niveau par le président Xi Jinping et représente à coup sûr une fraction importante du capital US.
RépondreSupprimerProbablement, du moins pour le moment, plus qu’une dé-mondialisation véritable, fondée sur le découplage des économies chinoises et US (et Ue), ce à quoi nous sommes en train d’assister est le début d’un processus de de-risking, c’est-à-dire de réduction du risque d’interruption des chaînes de la valeur. Avec le de-risking la tendance est de raccourcir les chaînes de la valeur en positionnant les divers processus de production et de fourniture de matières premières, produits semi-finis et composants, dans des zones géopolitiquement plus sûres, en ré-internalisant les activités au sein des zones, USA, Ue et Japon, qui avaient massivement délocalisé en période d’expansion de la mondialisation. Le problème est que les zones sûres, c’est-à-dire dépendantes et contrôlées par le G7, à savoir l’Occident collectif, ne sont pas toujours aussi sûres, car de nombreux pays se trouvant dans la sphère d’influence occidentale sont en train de se tourner vers les BRICS et en particulier vers la Chine.
Pour conclure, nous pouvons dire que la contradiction mondialisation/dé-mondialisation est le reflet des contradictions du mode de production capitaliste, dans sa phase impérialiste. Le capital est à la fois la tendance à dépasser continuellement les limites du marché et la compétition pérenne entre ses parties, accentuée par la croissance inégale qui détermine protectionisme et sanctions. Pour cela le capital vit d’une dialectique pérenne entre extension et fragmentation du marché mondial. Il convient de comprendre à chaque fois laquelle des deux tendances en présence prévaut, la mondialisation ou la dé-mondialisation. Comprendre cela est important aussi pour comprendre si et comment surviennent les guerres. En effet, bien que des guerres limitées et à basse intensité soient possibles même en phases d’expansion de la mondialisation, comme le prouvent l’Irak, l’Afghanistan, la Syrie et la Libye, l’éclatement de guerres à haute intensité, plus étendues et généralisées est largement favorisé par les phases de dé-mondialisation.
RépondreSupprimerhttps://www.mondialisation.ca/la-dialectique-de-mondialisation-et-de-mondialisation-dans-laffrontement-entre-usa-et-chine/5680116?doing_wp_cron=1691212845.9465649127960205078125
La Chine (1 milliard ½ d'habitants) a dépassé de très très loin tous les pays du monde par le nombre de surdoués. C'est l'intelligence réelle contre l'argent inventé !
SupprimerLes riches ne sont pas comme vous et moi - Notre société en couches terminales
RépondreSupprimer3 août 2023
L'histoire suggère qu'une société aussi stratifiée ne peut pas durer en tant que démocratie.
Lorsque nous disons "Les riches ne sont pas comme vous et moi", la plupart des gens supposeront que nous parlons d'individus très fortunés (UHNWI) avec 30 millions de dollars ou plus d'actifs ou même d'hyper-riches valant des centaines de personnes. millions ou milliardaires.
Je ne parle pas ici de la petite classe des UHNWI, je parle des 8 millions de ménages des 5 % les plus riches et des 13 millions de ménages des 10 % les plus riches qui possèdent 70 % de tous les actifs et près de 90 % des revenus des actifs tels que des actions, des obligations, des immeubles locatifs, etc. Pas les uber-riches ou hyper-riches, juste les riches qui possèdent un million ou deux d'actifs sans compter leur résidence principale.
Une enquête récente rapporte qu'il y a 13,6 millions de ménages qui ont une valeur nette de 1 million de dollars ou plus (environ 10 % des 132 millions de ménages américains), et environ 8 millions de ménages américains ont une valeur nette de 2 millions de dollars ou plus (environ 6 % des ménages), sans compter la valeur de leur résidence principale. .
Ces 10 % les plus riches perçoivent environ 50 % de tous les revenus et représentent environ 40 % de toute la consommation.
Le sujet ici est la barrière de plus en plus imperméable entre les 5% supérieurs et les 95% inférieurs, une question non seulement d'inégalité financière mais de séparation sociologique discutée par Christopher Lasch dans son livre de 1996 La révolte des élites et la trahison de la démocratie.
Je tiens à préciser que je ne critique pas la catégorie de personnes que je décris ici. Je les observe plutôt comme un anthropologue observe les tribus, les classes et les cultures.
J'ai récemment rencontré de vieux amis de nos jours de collège. À l'époque, ils étaient étudiants et vivaient dans un appartement de grande hauteur à l'emporte-pièce avec les meubles usuels et les étagères à livres en blocs de béton / planches de pin.
Maintenant, ils vivent dans une maison de plusieurs millions de dollars dans un quartier exclusif, entouré de McMansions de 5 millions de dollars récemment construits sur de petits terrains après la démolition des maisons d'origine. Eux aussi ont démoli la maison héritée des parents et ont construit une nouvelle maison de luxe.
Ce qui m'a frappé en tant que journaliste / analyste, c'est à quel point ils sont riches et à quel point tous leurs amis sont riches. Ils n'interagissent pas avec les 95% inférieurs des gens "normaux", sauf en tant que femmes de ménage, réparateurs ou livreurs, etc., en tant qu'ouvriers interchangeables et banalisés qui sont en fait des paysans / péons dans notre économie néoféodale hautement stratifiée. En fait, ils ne connaissent aucune personne "normale" comme amis ou même comme collègues ; leurs amis sont tous des gens riches comme eux.
RépondreSupprimerNous pourrions dire que cette division de classe imperméable est naturelle, mais cela néglige trois facteurs clés.
La première est que la barrière entre les riches et les moins riches était une fois de plus perméable. Comme l'a observé Lasch, les élites américaines se sont séparées du reste de la société dans des enclaves exclusives et dans un mode de vie mobile détaché du lieu.
D'autres commentateurs ont écrit sur la même tendance sociologique des élites vivant dans des bulles peuplées par d'autres élites : dans des universités d'élite, dans des groupes sociaux exclusifs, dans des quartiers exclusifs qu'aucun ménage normal ne peut se permettre, etc.
Le point de Lasch était que cette stratification économique / mode de vie est toxique pour la démocratie, une réalité qui se joue de toutes sortes de façons.
Un autre facteur est que toutes les personnes riches que je connais sont devenues riches grâce à l'aide financière de leurs parents. Toutes les personnes riches que je connais (à quelques exceptions près)--et j'entends par là les personnes qui vivent dans des maisons d'une valeur de 750 000 $ ou plus et qui possèdent d'autres actifs financiers substantiels qui génèrent des gains en capital et des revenus--ont fréquenté une université financée par leur parents, et dont le premier achat immobilier a été rendu possible grâce à l'aide de leurs parents ou beaux-parents.
J'ai également observé que cette classe de privilégiés vante souvent leur "amorçage" tout en négligeant d'énumérer la pleine mesure du soutien financier qu'ils ont reçu de leur famille. Tout le monde veut prétendre "J'ai tout fait moi-même", mais cela sonne creux une fois que les faits sont connus.
Cette classe a également hérité d'une richesse substantielle au décès de leurs parents ou de fiducies établies par les parents pour transférer leur patrimoine avant leur décès.
Enfin, tous les riches que je connais ont acheté ou acquis il y a longtemps des biens à des prix abordables pour les ménages aux revenus normaux de la classe moyenne. Aux évaluations d'aujourd'hui, les maisons et les actifs qu'ils ont achetés il y a des décennies ne sont plus abordables pour les ménages en dessous des 10 % les plus riches.
Une autre caractéristique commune des riches qui ont hérité de leur richesse et qui ont énormément bénéficié des 30 dernières années d'inflation des actifs est qu'ils attribuent uniformément leur richesse à leur travail acharné. Oui, ils ont travaillé dur, mais la plupart des 95% inférieurs qui ne sont pas riches ont fait de même.
RépondreSupprimerLe facteur décisif n'était pas la richesse qu'ils ont créée en tant qu'entrepreneurs ou travailleurs ; ce sont les actifs qu'ils ont pu acheter il y a longtemps grâce à l'aide financière de leurs parents - ou, en d'autres termes, la richesse générée par l'inflation monumentale des actifs que leurs parents ont achetés il y a des décennies.
Grattez 1) l'université payée par les parents, 2) l'aide parentale pour acheter leur première propriété, 3) leur capacité à économiser de l'argent dans les IRA et les 401K grâce à des hypothèques à faible coût (ou pas d'hypothèque du tout) et investir ces économies dans d'autres actifs à bas prix, et 4) l'inflation galopante des actifs des 30 dernières années, et combien de richesses posséderaient-ils uniquement grâce à leurs revenus/frugalité ?
Oui, il y a de riches entrepreneurs qui ont gagné leur richesse en créant de la valeur dans une entreprise, mais encore une fois, éliminez les entreprises qui dépendent de la bulle immobilière et des entreprises boursières, et combien d'entrepreneurs ont réellement créé de la richesse en créant de la valeur ? Otez les 30 ans d'inflation des actifs et la réponse est très peu.
Une grande partie de ce que les riches prétendent être brillant n'est rien de plus que la chance de vivre dans une ère de plusieurs décennies d'évaluations d'actifs en constante augmentation.
Certains amis ont hérité de portefeuilles d'actions versant des dividendes qui étaient en auto-réinvestissement des dividendes depuis 50 ou 60 ans. Les petites participations investies à l'époque valent maintenant 1 million de dollars ou plus. D'autres ont hérité de l'or acheté à bas prix il y a des décennies. Ce ne sont là que deux exemples des nombreux transferts de richesse qui sont rarement mentionnés.
En règle générale, les riches ne dévoilent pas toutes les aides qu'ils ont reçues, ou n'attribuent pas leur richesse à l'inflation des actifs. Ils vantent leurs longs services dans le milieu universitaire ou les entreprises américaines, leurs investissements judicieux, leur travail acharné, etc.
Je le sais parce que j'ai bénéficié de la même inflation des actifs, même si je n'ai pas bénéficié d'un héritage ou d'une grande aide de mes parents (j'ai reçu une vieille VW rouillée qui avait besoin d'une reconstruction du moteur - un vrai plus à l'époque car j'avais besoin d'une voiture pour me rendre au travail). Mais même les réalisations dont je peux m'attribuer le mérite - faire mes études universitaires en travaillant 24 à 32 heures par semaine, en étant entièrement autonome et en construisant ma propre maison à l'âge de 27 ans - sont hors de portée de la majorité des "gens normaux" maintenant.
Les frais de scolarité et les frais universitaires ont monté en flèche, tout comme les loyers. Il est presque impossible pour un jeune de tirer un revenu suffisant de 30 heures de travail par semaine pour payer tous les frais universitaires, le loyer d'un petit studio (135 $ par mois en 1975) et entretenir une vieille voiture, plus l'épicerie, la bière, etc. .
RépondreSupprimerIl y a un autre facteur qui doit être décrit dans cette stratification de la richesse : le rôle de la frugalité. Ma femme et moi avons vécu pendant des années dans le studio le moins cher et le plus minable de la ville, avons travaillé le samedi sur des travaux parallèles à la construction, avons fait notre propre entretien automobile, etc. pour économiser de l'argent pour acheter un terrain et des matériaux de construction pour construire notre propre maison . Je connais beaucoup d'autres personnes, pour la plupart des immigrés mais aussi des Américains de souche, qui ont suivi la même voie de frugalité extrêmement disciplinée pour économiser l'acompte nécessaire à l'achat d'une maison.
Mais même le chemin de la frugalité est plus raide maintenant. Le loyer, même pour le studio le plus minable, est exorbitant, les voitures d'occasion coûtent une petite fortune et les salaires stagnent depuis 45 ans, un fait que j'ai souvent noté dans mes articles de blog. Même les salaires dans la construction ont stagné.
Ajusté en fonction de l'inflation / du pouvoir d'achat, j'ai gagné plus d'argent en tant que menuisier/artisan de 23 ans en 1976 que je n'en ai jamais gagné depuis. En d'autres termes, il fallait moins d'heures de travail en 1976 pour payer le logement de base, la nourriture, les services publics et le transport qu'aujourd'hui. (Voir le graphique ci-dessous sur la part des salaires dans l'économie : elle a atteint son sommet en 1975.)
Lorsque la stratification économique était moins prononcée et moins enracinée, vous auriez pu avoir un éventail de voisins. Maintenant, les riches ne connaissent que d'autres personnes riches, car personne qui n'est pas riche ne peut acheter une maison dans leurs enclaves exclusives ou entrer dans leurs cercles sociaux de personnes assez riches pour faire un don aux arts ou à la politique.
Dans la bulle des riches, on entend parler de la difficulté de trouver des gens pour réparer les pompes de piscine, de riches connaissances qui ont obtenu une location en bord de mer pour seulement 7 000 $ par mois et d'innombrables histoires de jets. On entend également des efforts tendus pour montrer à quel point ils sont frugaux, comme si la notation des vols aériens à prix réduits était le genre de frugalité qui finira par constituer un acompte pour une maison incroyablement surévaluée dans leur enclave.
La stratification extrême est désormais la norme à l'échelle mondiale. La barrière entre ceux qui ont hérité de la richesse ou qui ont eu suffisamment d'aide pour acheter des actifs il y a des décennies et ceux qui n'ont pas de richesse parentale pour les aider maintenant est imperméable. Même si les jeunes générations font pression pour que davantage de logements soient construits, ils restent inabordables à moins qu'ils ne soient fortement subventionnés.
RépondreSupprimerVoici quelques liens décrivant des aspects de cette stratification imperméable :
Les nouveaux diplômés poursuivent la lutte des «styles de vie TikTok» à New York alors que les loyers augmentent
A Tale of Paradise, Parking Lots and My Mother's Berkeley Backyard (NYT.com) NIMBYs et YIMBYs - les résidents plus âgés et plus riches ne veulent pas que de nouveaux logements à plusieurs étages changent leurs enclaves, les plus jeunes veulent plus de logements pour (espérons-le) baisser les loyers .
Majorité des vols pris par un petit pourcentage de voyageurs
La surabondance salvatrice des riches
Un peu de réalisme et d'humilité sont de mise. Oui, nous avons travaillé dur, mais nous ne sommes pas riches parce que nous sommes si brillants ou même parce que nous sommes si frugaux. Nous sommes riches parce que l'économie mondiale est structurée pour gonfler les bulles d'actifs. Ceux qui ont acheté ou reçu des actifs il y a des décennies en ont profité, ceux qui entrent à l'université et sur le marché du travail ne peuvent plus se permettre les mêmes choses que nous avons achetées avec des revenus moyens sans hériter de la richesse de leurs familles.
Ceux à l'intérieur de la bulle de richesse qui ne s'associent qu'avec d'autres personnes riches ne semblent pas remarquer la stratification sociale/financière ou ses conséquences profondément négatives. Peut-être pensent-ils que c'est ainsi que tout le monde vit, s'inquiétant de trouver des travailleurs bon marché et des vols bon marché, ou ils considèrent leur propre richesse comme simplement "confortable". Peut-être pensent-ils "puisque je vais très bien, tout le monde va très bien".
Ils ont perdu le contact avec ceux qui n'ont pas pu acheter des actifs à bas prix, qui n'ont pas fait payer leurs études universitaires par leur famille, qui n'ont pas d'héritage ou d'acompte versé par la Banque de Maman et Papa.
RépondreSupprimerL'histoire suggère qu'une société aussi stratifiée ne peut pas durer en tant que démocratie.
*
Cet essai a été tiré de mes rapports hebdomadaires sur les réflexions envoyés exclusivement aux abonnés, aux mécènes et aux abonnés de Substack. Merci beaucoup de soutenir mon travail.
https://www.oftwominds.com/blogaug23/stratification8-23.html
SupprimerD'abord les riches ne confient pas leur patrimoine génétique à n'importe qu'elle école ou à n'importe quel professeur ! On ne place pas sa ou ses progénitures en des lieux fréquentés par des immigrés et des professeurs aussi attardés que les élèves !
Le riche s'entoure de gens intelligents qui connaissent des opportunités, de scientifiques, d'expert-comptables mais n'iront même pas tremper le petit doigt dans la politique sinon d'être de la merde comme elle.
L'intelligence est le médicament à tous les maux.
Réforme des notaires : tout ce que vous devez savoir
RépondreSupprimerLa transmission du patrimoine en France est au cœur des débats. Les notaires, acteurs clé de ce secteur, proposent une série de mesures pour moderniser et simplifier le système. Ces propositions, bien qu’audacieuses, visent à répondre aux besoins évolutifs des citoyens tout en s’adaptant aux réalités socio-économiques actuelles.
Par Nicolas Egon
le 5 août 2023 à 9h00
Pour l'achat d'un bien immobilier les frais de notaire peuvent s'élever jusqu'à 8% du prix d'achat
Un système en décalage avec la réalité
La réforme des notaires ambitionne de réviser le système de transmission du patrimoine. Actuellement, 60 % de l'épargne financière et des investissements immobiliers sont détenus par les personnes âgées de plus de 60 ans. Cette concentration freine la circulation des patrimoines, privant ainsi les jeunes générations d'accéder à ces avantages. Laurence Leguil, vice-présidente du Conseil supérieur du notariat (CSN), souligne que la fiscalité actuelle n'encourage pas les Français à anticiper, ce qui entrave la transmission anticipée du patrimoine.
Parmi les idées mises en avant dans cette réforme, la création d'un abattement fiscal non lié au lien de parenté se démarque. Cette mesure permettrait d'élargir le champ des bénéficiaires, favorisant ainsi une plus grande solidarité intergénérationnelle. De plus, la réintroduction d'une réduction d'impôt basée sur l'âge du donateur pourrait inciter les seniors à transmettre leurs biens de leur vivant.
Une réforme en phase avec les nouveaux enjeux
Les notaires envisagent d'adapter la fiscalité à la diversité des situations familiales. La réforme propose notamment de prendre en compte les familles recomposées, de supprimer certaines conditions liées à l'âge, ou encore de créer un nouvel abattement pour les transmissions aux enfants du conjoint.
La réforme des notaires prévoit également des mesures pour répondre à des enjeux sociétaux majeurs. Par exemple, l'exonération des droits de mutation pour les donations visant à rénover des « passoires thermiques ». Ou encore l'incitation à investir dans des sociétés écologiques. De plus, face à la problématique de la dépendance, ils suggèrent la création d'un compte familial dédié au soutien des membres en situation de handicap ou de dépendance. Ces propositions, bien que novatrices, ne font pas l'unanimité. Le débat est ouvert, et il appartient désormais au gouvernement de trancher. Mais une chose est sûre : la donation du patrimoine en France est sur le point de connaître des changements majeurs.
https://www.economiematin.fr/reforme-des-notaires-changements
Supprimer(...) Actuellement, 60 % de l'épargne financière et des investissements immobiliers sont détenus par les personnes âgées de plus de 60 ans. Cette concentration freine la circulation des patrimoines, privant ainsi les jeunes générations d'accéder à ces avantages. (...)
'Cette concentration freine la circulation des patrimoines, privant ainsi les jeunes générations d'accéder à ces avantages.' !!! Priver les propriétaires trop âgés pour vivre encore afin d'offrir le patrimoine à de jeunes cons qui n'ont rien fait pour l'avoir !!
(...) Laurence Leguil, vice-présidente du Conseil supérieur du notariat (CSN), souligne que la fiscalité actuelle n'encourage pas les Français à anticiper, ce qui entrave la transmission anticipée du patrimoine. (...)
Parce qu'en plus de payer des impôts en tant que propriétaire il y a des impôts pour la transmission !!
Squats : le Conseil constitutionnel transforme les coupables en victimes
RépondreSupprimerDans une décision aussi inattendue que déconcertante, le Conseil constitutionnel vient de bouleverser la loi anti-squat. Les propriétaires, désormais sur le fil du rasoir, portent la responsabilité des dommages résultant d’un défaut d’entretien de leur bien squatté.
le 5 août 2023
Armand Paquereau
Le Conseil constitutionnel vient de prendre une décision lourde de conséquences : lors de l’examen de la loi anti-squat qu’il a validée, il a censuré l’article 7 qui libérait le propriétaire d’un bien squatté de son obligation d’entretien, et l’exonérait en cas de dommage résultant d’un défaut d’entretien.
Pour justifier sa décision, il s’est ainsi rangé derrière l’article 1244 du Code civil qui prévoit que « le propriétaire d’un bâtiment est responsable du dommage causé par sa ruine, lorsqu’elle est arrivée par une suite du défaut d’entretien ou par le vice de sa construction. »
Protéger les victimes
Le Conseil constitutionnel se défend d’avoir statué en protection des squatteurs : « la censure de l’article 7 de la loi [anti-squat] a pour seul effet de maintenir l’état du droit en ce domaine », en laissant l’article 1244 du Code civil inchangé.
Il ajoute que cet article 7 prévoyait d’exonérer le propriétaire de la responsabilité du dommage à un tiers résultant d’un défaut d’entretien. « Les squatteurs, difficiles à identifier et souvent dans une situation matérielle précaire, ne présentent pas les mêmes garanties que le propriétaire, notamment en matière d’assurance ».
En un mot, le Conseil constitutionnel entend s’assurer de l’indemnisation des victimes. Les propriétaires sont des nantis qui doivent supporter les préjudices causés par ce qu’ils possèdent. Entre autres exemples, un propriétaire de voiture peut être condamné pour des dommages causés par celle-ci avant même qu’il n’ait eu connaissance du vol et qu’il n’ait pu porter plainte.
Cette situation peut engendrer toutes les audaces : des cambrioleurs qui tentaient d’entrer dans un domicile sont mis en fuite par le propriétaire qui tire un coup de feu en l’air : ils portent plainte. Heureusement, au final, le propriétaire est relaxé.
Mais dans certains cas, le propriétaire est condamné, tel cet agriculteur qui, demandant à quatre jeunes en moto-cross qui délabraient ses cultures de partir, a dû faire retraite devant leur agressivité. Il est revenu et a tiré un coup de fusil en l’air. Il a été condamné à cinq mois de prison avec sursis et à la confiscation de ses armes. Il faut préciser que les agissements de ces perturbateurs avaient été signalés à plusieurs reprises aux forces de l’ordre, sans résultat.
Dangereux renversement des valeurs
RépondreSupprimerDans le cas des squats, qui est la victime ? Les squatteurs ou le propriétaire qui se voit dépossédé de l’usage de son bien ? Sans compter les dégradations qu’ils laissent lorsqu’enfin, après de longues et fastidieuses procédures judiciaires, ils peuvent être légalement expulsés.
Selon la philosophie du Conseil constitutionnel, ils sont exonérés de leurs responsabilités du fait de leur insolvabilité.
Malgré un jugement d’expulsion, une locataire s’est maintenue dans les lieux et est tombée d’une fenêtre dont la balustrade a cédé. Devant la première instance de juridiction, puis en cours d’appel et en cassation ensuite, elle a obtenu la condamnation de la propriétaire pour défaut d’entretien.
Comment cette propriétaire pouvait-elle connaître cette défaillance, peut-être créée par un défaut d’entretien par la locataire elle-même ?
Il faut savoir que, par définition, les squatteurs n’ont pas envie de rencontrer les propriétaires et ne sont pas enclins à leur mentionner les anomalies ou les non-conformités des logements qu’ils envahissent. De plus, dès qu’ils sont installés dans les lieux, la loi les protège puisqu’un propriétaire qui tenterait de récupérer son bien en changeant les serrures pendant leur absence sera condamné au titre de violation de domicile.
Une décision aux effets pervers
L’article 7 qui a été censuré était pourtant porteur d’une logique évidente : il prévoyait que pendant la période d’occupation illicite, en cas de dommage résultant du mauvais entretien du bien ou de dommage causé à un tiers, la responsabilité en incombe dès lors à l’occupant sans droit ni titre du bien immobilier.
Cet article 7 était parfaitement conforme au respect de la propriété, et totalement dissuasif de l’appropriation ou de la dégradation du bien d’autrui.
Afin de prévenir les malfaiteurs contre leurs propres méfaits, il y a davantage de garantie d’indemnisations à laisser celles-ci à la charge des propriétaires. Squatteurs, volez, cassez, vous ne serez pas punis car insolvables, et indemnisés car considérés comme victimes de vos propres dégradations. Dans quelle idéologie vivent nos plus hauts législateurs pour aboutir à de telles énormités ?
À moins que derrière cette décision, une analyse plus sournoise se fasse jour. Comme les propriétaires occupants sont moins directement contraints que les bailleurs par la mise aux normes énergétiques et de décence de leurs logements, cette « jurisprudence » du Conseil constitutionnel ouvre aux squatteurs la voie pour exiger des propriétaires spoliés la mise aux normes énergétiques et de décence des logements qu’ils occupent illégalement.
RépondreSupprimerCe qui est certain, c’est que cette décision inique ouvre la voie à une multitude de procédures judiciaires, car le propriétaire aura à prouver que le mauvais entretien ou la dégradation seront du fait des squatteurs avec la quasi-impossibilité matérielle d’en apporter les preuves. Donc, nouvelle opportunité d’indemniser les squatteurs pour le préjudice moral causé par la procédure judiciaire…
J’avais écrit il y a quelque temps un article où je démontrais que l’insécurité était une industrie d’État…
Les retombées de TVA et d’impôts sur les revenus des acteurs de la chaîne judiciaire semblent primer sur une saine gestion de la paix sociale.
Peu de chance donc de voir solutionner le problème, sauf s’il s’amplifie au point de devenir socialement insupportable…
https://www.contrepoints.org/2023/08/05/461196-squats-le-conseil-constitutionnel-transforme-les-coupables-en-victimes
1°) Premier volet du Plan 'Dépopulation21': Faire croire que des poussières... attaquent ! (hors poussières radioactives), inventer un vaccin... anti-poussières !! Piquer, piquer, piquer ! puis brûler tous les morts pour éviter les autopsies. Conjointement lancer le Plan 'Global Warming' avec entrée de centaines de millions d'africains et asiatiques en Europe et de Sud-américains aux USA afin de 'combler les trous' car, si une ville se vide çà se voit !
Supprimer2°) Volet logement des faux 'réfugiés climatique'. Empêcher par TOUS les moyens aux propriétaires d'appartements de récupérer leurs biens ! Protéger les voleurs, les violeurs et assassins et condamner les français et américains qui osent encore être honnêtes !
Récolte de céréales 2023 : des millions de pertes à prévoir en Allemagne
RépondreSupprimer5 Août 2023
Willi l'agriculteur*
L'Allemagne est menacée d'une catastrophe nationale : comme le rapportent les médias, l'accès au concert de heavy metal de Wacken n'est plus possible en raison des sols détrempés. Et voici la météo qui s'y met.
Ce que les médias ne rapportent pas
Dans de nombreux champs du sud de l'Allemagne et dans presque tous les champs du nord, il n'est absolument pas question de récolter des céréales ou du colza en ce moment. La photo de couverture montrant une parcelle de blé a été prise dimanche [30 juillet 2023]. Chaque jour, le blé est de plus en plus attaqué par des fumagines.
Mais ce n'est pas là le véritable dommage : en raison de l'humidité persistante, les valeurs qualitatives baissent chaque jour, notamment l'indice de chute [de Hagberg], si important pour le blé de boulangerie. J'ai décrit ce qu'il en est dans une vidéo que vous trouverez à la fin de l'article. L'indice de chute diminue lorsque la germination du grain de blé démarre. Si l'humidité persiste, le grain germera dans l'épi et formera une feuille verte. Tout cela est favorisé par des températures chaudes; la germination est alors particulièrement rapide et le grain n'est plus utilisable pour la cuisson, car certains processus enzymatiques se sont déjà déroulés dans le grain.
Quand le blé panifiable devient du blé fourrager
Nous, les agriculteurs, connaissons cette situation, elle n'est pas nouvelle pour nous. Le « mauvais » temps a toujours existé. Le blé fourrager est moins bien payé, mais il est encore commercialisable. Heureusement, il y a l'élevage, qui produit des choses comestibles à partir d'une céréale qui n'est plus utilisable pour l'alimentation humaine. S'il n'y a pas d'animaux ou s'il y en a beaucoup moins, que faire des céréales non comestibles ? C'est alors trop dommage de le livrer au méthaniseur, qui ne produit pas de denrées alimentaires.
Pourquoi des millions de dommages ?
RépondreSupprimerSi l'on additionne les surfaces cultivées de blé d'hiver, de seigle et de triticale (un croisement de blé et de seigle), on arrive à environ 3,5 millions d'hectares. Je me suis renseigné et j'estime qu'environ deux tiers de cette surface, soit 2,3 millions d'hectares, ne sont pas encore récoltés. Pour le colza, il pourrait s'agir d'environ 500.000 hectares. Comme je l'ai dit, il s'agit d'estimations très approximatives, mais dans le nord de l'Allemagne, presque toutes les cultures devraient encore être dans les champs.
En supposant un rendement céréalier d'environ 9 t/ha, cela représente une récolte de 20,7 millions de tonnes de céréales. En raison de la perte de qualité, il faut s'attendre à une baisse des recettes d'environ 15 €/tonne. Si l'ensemble des céréales était touché, cela représenterait un montant total d'environ 310 millions d'euros.
Qu'en est-il du colza ?
Pour le colza, il devrait s'agir d'environ 2 millions de tonnes qui n'ont pas encore été récoltées. Notre colza est mûr et chaque jour de vent fort et de forte pluie, les gousses éclatent et les graines tombent au sol. Comme aucun changement de temps n'est en vue d'ici le week-end, je m'attends à une perte avant récolte d'environ 20 %. Pour toute l'Allemagne, cela représenterait une perte de récolte de 400.000 tonnes. Evaluée au prix actuel d'environ 450 €/t, il manquerait 180 millions d'euros supplémentaires à l'agriculture allemande.
Je pense que vous pouvez calculer vous-même la somme de 310 + 180. C'est beaucoup d'argent, non ?
Peut-être que les médias allemands de qualité parviendront-ils à parler de la deuxième chose la plus importante après les concerts de heavy metal : notre alimentation.
______________
* Source : Getreideernte 2023: Millionenschäden zu erwarten - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2023/08/recolte-de-cereales-2023-des-millions-de-pertes-a-prevoir-en-allemagne.html
Cela a été catastrophique pour l'industrie pétrolière et gazière. L'homme de Fink, Deese, a activement donné au nouveau président Biden une liste de mesures anti-pétrole à signer par décret exécutif à compter du premier jour de janvier 2021. Cela comprenait la fermeture de l'énorme oléoduc Keystone XL qui amènerait 830 000 barils par jour du Canada jusqu'à présent. que les raffineries du Texas, et l'arrêt de tout nouveau bail dans l'Arctic National Wildlife Refuge (ANWR). Biden a également rejoint l'Accord de Paris sur le climat que Deese avait négocié pour Obama en 2015 et que Trump a annulé.
RépondreSupprimerLe même jour, Biden a mis en branle un changement du soi-disant «coût social du carbone» qui impose une punition de 51 $ la tonne de CO2 à l'industrie pétrolière et gazière. Cette seule décision, établie sous l'autorité purement exécutive sans le consentement du Congrès , a un coût dévastateur pour les investissements dans le pétrole et le gaz aux États-Unis, un pays seulement deux ans auparavant qui était le plus grand producteur de pétrole au monde.[iv]
Tuer la capacité de la raffinerie
Pire encore, les règles environnementales agressives de Biden et les mandats d'investissement BlackRock ESG tuent la capacité de raffinage américaine. Sans raffineries, peu importe le nombre de barils de pétrole que vous prélevez de la réserve stratégique de pétrole. Au cours des deux premières années de la présidence de Biden, les États-Unis ont fermé quelque 1 million de barils par jour de capacité de raffinage d'essence et de diesel, certains en raison de l'effondrement de la demande, la baisse la plus rapide de l'histoire des États-Unis. Les arrêts sont permanents. En 2023, une capacité supplémentaire de 1,7 million de bpj devrait être fermée en raison du désinvestissement ESG de BlackRock et de Wall Street et de la réglementation de Biden. [v]
Citant le lourd désinvestissement de Wall Street dans le pétrole et les politiques anti-pétrole de Biden, le PDG de Chevron a déclaré en juin 2022 qu'il ne croyait pas que les États-Unis construiraient un jour une autre nouvelle raffinerie.[vi]
Larry Fink, membre du conseil d'administration du Forum économique mondial de Klaus Schwab, est rejoint par l'UE dont la présidente de la Commission européenne, la notoirement corrompue Ursula von der Leyen, a quitté le conseil d'administration du WEF en 2019 pour devenir chef de la Commission européenne. Son premier acte majeur à Bruxelles a été de faire passer l'agenda européen Zero Carbon Fit for 55. Cela a imposé d'importantes taxes sur le carbone et d'autres contraintes sur le pétrole, le gaz et le charbon dans l'UE bien avant les actions russes de février 2022 en Ukraine. L'impact combiné de l'agenda ESG frauduleux de Fink dans l'administration Biden et de la folie zéro carbone de l'UE crée la pire crise énergétique et inflationniste de l'histoire.
RépondreSupprimer*
F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est titulaire d'un diplôme en politique de l'Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique.
Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.
Remarques
[i] Larry Fink, A Fundamental Reshaping of Finance, Lettre aux PDG, janvier 2020, https://www.blackrock.com/corporate/investor-relations/2020-blackrock-client-letter
[ii] Idem.
[iii] Tsvetana Paraskova, Pourquoi les investisseurs tournent-ils le dos aux projets de combustibles fossiles ?, OilPrice.com,
11 mars 2021, https://oilprice.com/Energy/Energy-General/Why-Are-Investors-Turning-Their-Backs-On-Fossil-Fuel-Projects.html
[iv] Joseph Toomey, Energy Inflation Was by Design, septembre 2022, https://assets.realclear.com/files/2022/10/2058_energyinflationwasbydesign.pdf
[v] Idem.
[vi] Fox Business, le PDG de Chevron déclare qu'il n'y aura peut-être jamais d'autre raffinerie de pétrole construite aux États-Unis, 3 juin 2022, https://www.foxbusiness.com/markets/chevron-ceo-oil-refinery-built-us
https://www.globalresearch.ca/how-blackrock-larry-fink-created-global-energy-crisis/5799286
Dès lors que la dictature (monarchique, républicaine ou impériale) cède sa place (par un jeu très imaginatif d'apparition de milliards de dollars créés sur ordinateur et crédité vers un tel ou une telle) un pays n'est plus une étendue ou vivent des gens mais une Propriété privée où des esclaves travaillent. C'est ainsi que des banques dites 'sans le sou' prêtent DES milliards de milliards en hypothéquant des millions d'hectares de terre où des maisons y sont construites, des routes tracées et des gens qui y circulent. C'est LE contrat clé en main pour saisir sans argent réel une planète réelle !
SupprimerLe test COVID-19 RT-PCR : comment tromper toute l'humanité. Utiliser un "test" pour verrouiller la société
RépondreSupprimerIl est temps que chacun sorte de cette transe négative, de cette hystérie collective, car la famine, la pauvreté, le chômage massif tueront, faucheront bien plus de personnes que le SARS-CoV-2 !
Par le Dr Pascal Sacré
Recherche mondiale,
05 août 2023
Publié pour la première fois par Global Research le 5 novembre 2020
Introduction : utiliser une technique pour enfermer la société
Toute la propagande actuelle sur la pandémie de COVID-19 est basée sur une hypothèse considérée comme évidente, vraie et qui n'est plus remise en question :
Un test RT-PCR positif signifie être malade du COVID. Cette hypothèse est trompeuse .
Très peu de gens, y compris les médecins, comprennent le fonctionnement d'un test PCR.
RT-PCR signifie R eal Time - P olymerase C hain Reaction .
En français, cela signifie : Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel.
En médecine, on utilise cet outil principalement pour diagnostiquer une infection virale.
Partant d'une situation clinique avec la présence ou l'absence de symptômes particuliers chez un patient, nous envisageons différents diagnostics basés sur des tests.
Dans le cas de certaines infections, notamment virales, nous utilisons la technique RT-PCR pour confirmer une hypothèse diagnostique suggérée par un tableau clinique.
Nous n'effectuons pas systématiquement de RT-PCR sur un patient qui a trop chaud, qui tousse ou qui a un syndrome inflammatoire !
C'est une technique de laboratoire, de biologie moléculaire, d'amplification génique car elle recherche des traces de gènes (ADN ou ARN) en les amplifiant.
Outre la médecine, d'autres domaines d'application sont la génétique, la recherche, l'industrie et la médecine légale.
La technique est réalisée dans un laboratoire spécialisé , elle ne peut se faire dans aucun laboratoire, même hospitalier. Cela entraîne un certain coût, et un délai parfois de plusieurs jours entre le prélèvement et le résultat.
Aujourd'hui, depuis l'émergence de la nouvelle maladie appelée COVID-19 ( CO rona VI rus D isease-20 19 ), la technique de diagnostic RT-PCR est utilisée pour définir les cas positifs, confirmés comme SARS-CoV-2 (coronavirus responsable de la nouveau syndrome de détresse respiratoire aiguë appelé COVID-19).
RépondreSupprimerCes cas positifs sont assimilés à des cas de COVID-19, dont certains sont hospitalisés voire admis en réanimation.
Postulat officiel de nos managers : cas RT-PCR positifs = patients COVID-19. [1]
C'est le postulat de départ, le postulat de toute propagande officielle, qui justifie toutes les mesures gouvernementales restrictives : isolement, confinement, quarantaine, masques obligatoires, codes couleurs par pays et interdictions de voyager, traçage, distances sociales dans les entreprises, les magasins et même, encore plus surtout, dans les écoles [2].
Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est utilisée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements , soutenus par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, la destruction du l'économie avec la faillite de secteurs actifs entiers de la société, la dégradation des conditions de vie d'un grand nombre de citoyens ordinaires, sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients .
Aspects techniques : pour mieux comprendre et ne pas être manipulé
La technique PCR a été développée par le chimiste Kary B. Mullis en 1986. Kary Mullis a reçu le prix Nobel de chimie en 1993.
Bien que cela soit contesté [3], Kary Mullis lui-même aurait critiqué l'intérêt de la PCR comme outil de diagnostic d'une infection, notamment virale.
Il a affirmé que si la PCR était un bon outil pour la recherche, c'était un très mauvais outil en médecine, en clinique [4].
Mullis faisait référence au virus du SIDA (rétrovirus VIH ou VIH) [5], avant la pandémie de COVID-19, mais cet avis sur la limitation de la technique dans les infections virales [6], par son créateur, ne peut être écarté d'emblée ; il faut en tenir compte !
La PCR a été perfectionnée en 1992.
Comme l'analyse peut être effectuée en temps réel, en continu, elle devient RT (Real-Time) – PCR , encore plus performante.
Elle peut se faire à partir de n'importe quelle molécule, y compris celles du vivant, les acides nucléiques qui composent les gènes :
ADN (acide désoxyribonucléique)
RépondreSupprimerARN (acide ribonucléique)
Les virus ne sont pas considérés comme des êtres « vivants », ce sont des paquets d'informations (ADN ou ARN) formant un génome.
C'est par une technique d'amplification (multiplication) que la molécule recherchée est mise en évidence et ce point est très important.
La RT-PCR est une technique d'amplification [7].
S'il y a de l'ADN ou de l'ARN de l'élément recherché dans un échantillon, il n'est pas identifiable en tant que tel.
Cet ADN ou ARN doit être amplifié (multiplié) un certain nombre de fois , parfois un très grand nombre de fois, avant de pouvoir être détecté. À partir d'une trace infime, jusqu'à des milliards de copies d'un échantillon spécifique peuvent être obtenues, mais cela ne signifie pas qu'il y a toute cette quantité dans l'organisme testé.
Dans le cas du COVID-19, l'élément recherché par RT-PCR est le SARS-CoV-2, un virus à ARN [8].
Il existe des virus à ADN tels que les virus de l'herpès et de la varicelle.
Les virus à ARN les plus connus , en plus des coronavirus, sont les virus Influenza, Rougeole, EBOLA, ZIKA.
Dans le cas du SARS-CoV-2, virus à ARN, une étape spécifique supplémentaire est nécessaire, une transcription de l'ARN en ADN au moyen d'une enzyme, la Reverse Transcriptase.
Cette étape précède la phase d'amplification.
Ce n'est pas le virus entier qui est identifié, mais des séquences de son génome viral.
Cela ne veut pas dire que cette séquence de gène, fragment du virus, n'est pas spécifique du virus recherché, mais c'est quand même une nuance importante :
La RT-PCR ne révèle aucun virus, mais seulement des parties, des séquences de gènes spécifiques du virus.
Au début de l'année, le génome du SRAS-CoV-2 a été séquencé.
Il se compose d'environ 30 000 paires de bases. L'acide nucléique (ADN-ARN), composant des gènes, est une séquence de bases. En comparaison, le génome humain compte plus de 3 milliards de paires de bases.
Les équipes surveillent en permanence l'évolution du génome viral du SRAS-CoV-2 au fur et à mesure de son évolution [9-10-11], à travers les mutations qu'il subit. Aujourd'hui, il existe de nombreuses variantes [12].
RépondreSupprimerEn prélevant quelques gènes spécifiques du génome du SRAS-CoV-2, il est possible d'initier une RT-PCR sur un échantillon des voies respiratoires.
Pour la maladie COVID-19, qui a une porte d'entrée nasopharyngée (nez) et oropharyngée (bouche), le prélèvement doit être effectué le plus profondément possible dans les voies respiratoires supérieures afin d'éviter une contamination par la salive notamment.
- voir cadre sur site -
Toutes les personnes testées disent que c'est très douloureux [13].
Le Gold Standard (site préféré pour le prélèvement) est l'approche nasopharyngée (nasale) , la voie la plus douloureuse.
S'il existe une contre-indication à l'approche nasale, ou de préférence à la personne testée, selon les organes officiels, l'approche oropharyngée (par la bouche) est également acceptable. Le test peut déclencher un réflexe de nausées/vomissements chez la personne testée.
Normalement, pour que le résultat d'un test RT-PCR soit considéré comme fiable, une amplification à partir de 3 gènes différents (amorces) du virus à l'étude est nécessaire .
« Les amorces sont des séquences d'ADN simple brin spécifiques au virus. Ils garantissent la spécificité de la réaction d'amplification. » [14]
« Le premier test développé à La Charité à Berlin par le Dr Victor Corman et ses associés en janvier 2020 permet de mettre en évidence les séquences d'ARN présentes dans 3 gènes du virus appelés E, RdRp et N. Pour savoir si les séquences de ces gènes sont présentes dans les échantillons d'ARN collectés, il est nécessaire d'amplifier les séquences de ces 3 gènes afin d'obtenir un signal suffisant pour leur détection et leur quantification. »[15].
La notion essentielle de Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité Ct [16].
Un test RT-PCR est négatif (pas de traces de l'élément recherché) ou positif (présence de traces de l'élément recherché).
Cependant, même si l'élément recherché est présent en quantité infime et négligeable, le principe de la RT-PCR est de pouvoir enfin le mettre en évidence en poursuivant les cycles d'amplification autant que nécessaire.
RépondreSupprimerLa RT-PCR peut pousser jusqu'à 60 cycles d'amplification, voire plus !
Voici comment cela fonctionne :
Cycle 1 : cible x 2 (2 exemplaires)
Cycle 2 : cible x 4 (4 exemplaires)
Cycle 3 : cible x 8 (8 exemplaires)
Cycle 4 : cible x 16 (16 exemplaires)
Cycle 5 ; cible x 32 (32 exemplaires)
Etc de manière exponentielle jusqu'à 40 à 60 cycles !
Quand on dit que le Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité RT-PCR) est égal à 40, cela signifie que le laboratoire a utilisé 40 cycles d'amplification , c'est à dire obtenu 2 40 copies.
C'est ce qui sous-tend la sensibilité du test RT-PCR.
S'il est vrai qu'en médecine nous aimons avoir une spécificité et une sensibilité élevées des tests pour éviter les faux positifs et les faux négatifs, dans le cas de la maladie COVID-19, cette hypersensibilité du test RT-PCR causée par le nombre de cycles d'amplification utilisé s'est retourné contre lui.
Cette sursensibilité du test RT-PCR est délétère et trompeuse !
Elle nous détache de la réalité médicale qui doit rester basée sur l'état clinique réel de la personne : la personne est-elle malade, a-t-elle des symptômes ?
C'est la chose la plus importante !
Comme je le disais au début de l'article, en médecine on part toujours de la personne : on l'examine, on recueille ses symptômes (plaintes-anamnèse) et signes cliniques objectifs (examen) et sur la base d'un bilan clinique réflexion dans laquelle interviennent connaissances et expériences scientifiques, nous formulons des hypothèses diagnostiques.
Ce n'est qu'alors que nous prescrivons les tests les plus appropriés, basés sur cette réflexion clinique.
Nous comparons constamment les résultats des tests avec l' état clinique du patient (symptômes et signes), qui prime sur tout le reste dans nos décisions et nos traitements.
RépondreSupprimerAujourd'hui, nos gouvernements, appuyés sur leurs avis scientifiques de sécurité, nous font faire le contraire et mettre le test en premier, suivi d'une réflexion clinique nécessairement influencée par ce test préalable, dont nous venons de voir les faiblesses, notamment son hypersensibilité.
Aucun de mes collègues cliniciens ne peut me contredire.
Hormis des cas très particuliers comme le dépistage génétique de certaines catégories de populations (tranches d'âge, sexe) et certains cancers ou maladies génétiques familiales, nous travaillons toujours dans ce sens : de la personne (symptômes, signes) aux tests appropriés, jamais la inverse.
C'est la conclusion d'un article du Swiss Medical Journal (RMS) paru en 2007, rédigé par les docteurs Katia Jaton et Gilbert Greub microbiologistes de l'Université de Lausanne :
PCR en microbiologie : de l'amplification de l'ADN à l'interprétation des résultats :
« Pour interpréter le résultat d'une PCR, il est essentiel que les cliniciens et les microbiologistes partagent leurs expériences, afin que les niveaux d'interprétation analytique et clinique puissent être combinés.
Il serait indéfendable de donner à tout le monde un électrocardiogramme pour dépister tous ceux qui pourraient avoir un jour une crise cardiaque.
En revanche, dans certains contextes cliniques ou sur la base de symptômes évocateurs particuliers, là, oui, un électrocardiogramme peut être bénéfique.
Retour à RT-PCR et Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold).
Dans le cas d'une maladie infectieuse, notamment virale, la notion de contagiosité est un autre élément important.
Puisque certains milieux scientifiques considèrent qu'une personne asymptomatique peut transmettre le virus, ils estiment important de tester la présence du virus, même si la personne est asymptomatique, étendant ainsi l'indication de la RT-PCR à tous.
Les tests RT-PCR sont-ils de bons tests de contagiosité ? [17]
RépondreSupprimerCette question nous ramène à la notion de charge virale et donc de Ct .
La relation entre contagiosité et charge virale est contestée par certains [18] et aucune preuve formelle, à ce jour, ne permet de trancher.
Cependant, le bon sens donne un crédit évident à l'idée que plus une personne a de virus en elle , en particulier dans les voies respiratoires supérieures (oropharynx et nasopharynx), avec des symptômes tels que la toux et les éternuements, plus le risque de contagiosité est élevé , proportionnel à la charge virale et l'importance des symptômes de la personne.
C'est ce qu'on appelle le bon sens , et bien que la médecine moderne ait largement bénéficié de l'apport de la science à travers les statistiques et l'Evidence-Based Medicine (EBM), elle se base encore avant tout sur le bon sens, l'expérience et l'empirisme.
La médecine est l' art de guérir .
Aucun test ne mesure la quantité de virus dans l'échantillon !
La RT-PCR est qualitative : positive (présence du virus) ou négative (absence du virus).
Cette notion de quantité, donc de charge virale, peut être estimée indirectement par le nombre de cycles d'amplification (Ct) utilisés pour mettre en évidence le virus recherché.
Plus le Ct utilisé pour détecter le fragment viral est faible, plus la charge virale est considérée comme élevée (élevée).
Plus le Ct utilisé pour détecter le fragment viral est élevé, plus la charge virale est considérée comme faible (faible).
Ainsi, le Centre national de référence (CNR), en phase aiguë de la pandémie, a estimé que le pic d'excrétion virale survenait au début des symptômes, avec une quantité de virus correspondant à environ 10 8 (100 millions) de copies de SRAS -ARN viral CoV-2 en moyenne (données de la cohorte française COVID-19) avec une durée d'excrétion variable dans les voies respiratoires supérieures (de 5 jours à plus de 5 semaines) [19].
Ce nombre de 108 (100 millions) copies/μl correspond à un Ct très bas.
RépondreSupprimerUn Ct de 32 correspond à 10-15 copies/μl.
Un Ct de 35 correspond à environ 1 copie/μl.
Au-dessus de Ct 35, il devient impossible d'isoler une séquence virale complète et de la cultiver !
En France et dans la plupart des pays, des Ct supérieurs à 35, voire 40, sont encore utilisés aujourd'hui !
La Société française de microbiologie (SFM) a rendu un avis le 25 septembre 2020 dans lequel elle ne recommande pas de résultats quantitatifs, et elle recommande de rendre positif jusqu'à un Ct de 37 pour un seul gène [20] !
Avec 1 copie/μl d'un échantillon (Ct 35) , sans toux, sans symptômes, on peut comprendre pourquoi tous ces médecins et scientifiques disent qu'un test RT-PCR positif ne signifie rien , rien du tout en termes de médecine et de clinique !
Les tests RT-PCR positifs, sans aucune mention du Ct ni de sa relation avec la présence ou l'absence de symptômes, sont utilisés tels quels par nos gouvernements comme argument exclusif pour appliquer et justifier leur politique de sévérité, d'austérité, d'isolement et d'atteinte à nos libertés , avec l'impossibilité de voyager, de se rencontrer, de vivre normalement !
Il n'y a aucune justification médicale à ces décisions, à ces choix gouvernementaux !
Dans un article publié sur le site du New York Times (NYT) samedi 29 août, des experts américains de l'université d'Harvard s'étonnent que les tests RT-PCR tels qu'ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus de preuve de la progression d'une pandémie. en cas d'infection par le SRAS-CoV-2 [21].
Selon eux, le seuil (Ct) considéré aboutit à des diagnostics positifs chez des personnes qui ne représentent aucun risque de transmission du virus !
La réponse binaire « oui/non » ne suffit pas, selon cet épidémiologiste de la Harvard University School of Public Health.
« C'est la quantité de virus qui devrait dicter le plan d'action pour chaque patient testé. »
La quantité de virus (charge virale); mais aussi et surtout l'état clinique, symptomatique ou non de la personne !
Cela remet en cause l'utilisation du résultat binaire de ce test RT-PCR pour déterminer si une personne est contagieuse et doit suivre des mesures d'isolement strictes.
Ces questions sont soulevées par de nombreux médecins à travers le monde, non seulement aux États-Unis mais aussi en France, en Belgique ( Belgium Health Experts Demand Investigation Of WHO For Fake Coronavirus Pandemic ), en France, en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, aux États-Unis États-Unis et le Royaume-Uni. en Allemagne, en Espagne…
RépondreSupprimerSelon eux : « Nous allons mettre des dizaines de milliers de personnes en confinement, en isolement, pour rien. » [22]. 22] Et infliger des souffrances, des angoisses, des drames économiques et psychologiques par milliers !
La plupart des tests RT-PCR fixent le Ct à 40, selon le NYT. Certains l'ont fixé à 37.
"Des tests avec des seuils aussi élevés (Ct) peuvent non seulement détecter des virus vivants mais aussi des fragments de gènes, des restes d'une ancienne infection qui ne représentent pas de danger particulier", ont déclaré les experts.
Un virologue de l'Université de Californie admet qu'un test RT-PCR avec un Ct supérieur à 35 est trop sensible. « Un seuil plus raisonnable serait entre 30 et 35 », ajoute-t-elle.
Quasiment aucun laboratoire ne précise le Ct (nombre de cycles d'amplification réalisés) ou le nombre de copies d'ARN viral par μl d'échantillon.
Voici un exemple de résultat de laboratoire (approuvé par Sciensano, le centre national de référence belge) chez un patient RT-PCR négatif :
- voir cadre sur site -
Aucune mention de Ct.
Dans le NYT, des experts ont compilé trois ensembles de données avec des responsables des États du Massachusetts, de New York et du Nevada qui les mentionnent.
Conclusion ?
« Jusqu'à 90 % des personnes testées positives n'étaient pas porteuses de virus. »
Le Wadworth Center, un laboratoire de l'Etat de New York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40.
« Avec un seuil de Ct de 35 , environ la moitié de ces tests PCR ne seraient plus considérés comme positifs », précise le NYT.
« Et environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ! "
RépondreSupprimerDans le Massachusetts, entre 85 et 90 % des personnes testées positives en juillet avec un Ct de 40 auraient été considérées comme négatives avec un Ct de 30, ajoute le NYT. Et pourtant, tous ces gens ont dû s'isoler, avec toutes les conséquences psychologiques et économiques dramatiques, alors qu'ils n'étaient pas malades et probablement pas contagieux du tout.
En France, le Centre National de Référence (CNR), la Société Française de Microbiologie (SFM) continuent de pousser le Ct à 37 et recommandent aux laboratoires de n'utiliser qu'un seul gène du virus comme amorce.
Je rappelle qu'à partir de Ct 32, il devient très difficile de cultiver le virus ou d'en extraire une séquence complète, ce qui montre le caractère totalement artificiel de cette positivité du test, avec des Ct aussi élevés, supérieurs à 30.
Des résultats similaires ont été rapportés par des chercheurs de l'agence britannique de santé publique dans un article publié le 13 août dans Eurosurveillance : « La probabilité de cultiver le virus tombe à 8 % dans des échantillons avec des niveaux de Ct supérieurs à 35 ». [23]
De plus, actuellement, le Centre national de référence en France n'évalue que la sensibilité des kits de réactifs disponibles dans le commerce, pas leur spécificité : de sérieux doutes persistent quant à la possibilité d'une réactivité croisée avec des virus autres que le SARS-CoV-2, comme d'autres virus du rhume bénin. coronavirus. [20]
C'est potentiellement la même situation dans d'autres pays, dont la Belgique.
De même, des mutations du virus peuvent avoir invalidé certaines amorces (gènes) utilisées pour détecter le SRAS-CoV-2 : les fabricants ne donnent aucune garantie là-dessus, et si les journalistes de la vérification rapide de l'AFP vous disent le contraire, testez leur bonne foi en demandant ces garanties, ces preuves.
S'ils n'ont rien à cacher et si ce que je dis est faux, cette garantie vous sera fournie et prouvera leur bonne foi.
Il faut exiger que les résultats RT-PCR soient rendus en mentionnant le Ct utilisé car au-delà de Ct 30, un test RT-PCR positif ne veut rien dire.
Il faut écouter les scientifiques et médecins, spécialistes, virologues qui recommandent l'utilisation de Ct adaptés, inférieurs, à 30 . Une alternative consiste à obtenir le nombre de copies d'ARN viral/μl ou /ml d'échantillon. [23]
Il faut remonter jusqu'au patient, à la personne, à son état clinique (présence ou absence de symptômes) et à partir de là juger de la pertinence du test et de la meilleure façon d'interpréter le résultat.
Jusqu'à ce qu'il y ait une meilleure justification du dépistage par PCR, avec un seuil Ct connu et approprié, une personne asymptomatique ne devrait en aucun cas être testée.
Même une personne symptomatique ne devrait pas automatiquement être testée, tant qu'elle peut se placer en isolement pendant 7 jours.
RépondreSupprimerArrêtons cette débauche de tests RT-PCR à des niveaux de Ct trop élevés et revenons à une médecine clinique de qualité.
Une fois que nous comprenons comment fonctionnent les tests RT-PCR, il devient impossible de laisser la stratégie gouvernementale actuelle de dépistage de routine, inexplicablement soutenue par les virologues des conseils de sécurité, se poursuivre.
Mon espoir est qu'enfin , correctement informés, de plus en plus de personnes exigeront l'arrêt de cette stratégie , car c'est nous tous, éclairés, guidés par une bienveillance et un bon sens réels, qui devons décider de nos destinées collectives et individuelles.
Personne d'autre ne devrait le faire pour nous, surtout quand on se rend compte que ceux qui décident ne sont plus raisonnables ou rationnels.
Résumé des points importants :
Le test RT-PCR est une technique de diagnostic de laboratoire peu adaptée à la médecine clinique.
C'est une technique de diagnostic qualitative binaire qui confirme (test positif) ou non (test négatif) la présence d'un élément dans le milieu analysé. Dans le cas du SARS-CoV-2, l'élément est un fragment du génome viral, pas le virus lui-même.
En médecine, même en situation d'épidémie ou de pandémie, il est dangereux de placer les tests, les examens, les techniques au-dessus de l'évaluation clinique (symptômes, signes). C'est le contraire qui garantit une médecine de qualité.
La principale limite (faiblesse) du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si un seuil de positivité (Ct) adapté n'est pas choisi. Aujourd'hui, les experts recommandent d'utiliser un seuil Ct maximum de 30.
Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat positif de la RT-PCR afin que le médecin sache interpréter ce résultat positif, notamment chez une personne asymptomatique, afin d'éviter un isolement inutile, une quarantaine, un traumatisme psychologique.
En plus de mentionner le Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer à s'assurer de la spécificité de leurs kits de détection du SARS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer à utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou , sinon, mentionnez-le.
Conclusion générale
L'obstination des gouvernements à utiliser la stratégie désastreuse actuelle, le dépistage systématique par RT-PCR, est-elle due à l'ignorance ?
Est-ce dû à la bêtise ?
A une sorte de piège cognitif emprisonnant leur ego ?
En tout cas, nous devrions pouvoir les interroger, et si parmi les lecteurs de cet article il y a encore des journalistes honnêtes, ou des politiciens naïfs, ou des personnes qui ont la possibilité d'interroger nos gouvernants, alors faites-le, en utilisant ces clairs et scientifiques arguments.
RépondreSupprimerC'est d'autant plus incompréhensible que nos gouvernants se sont entourés de certains des spécialistes les plus expérimentés en la matière.
Si j'ai pu recueillir moi-même ces informations, partagées, je le rappelle, par des personnes compétentes au-dessus de tout soupçon de complot, comme Hélène Banoun, Pierre Sonigo, Jean-François Toussaint, Christophe De Brouwer, dont l'intelligence, l'honnêteté intellectuelle et la légitimité ne peut être remis en cause, alors les conseillers scientifiques belges, français, québécois, etc., le savent aussi.
Donc ?
Que se passe-t-il ?
Pourquoi continuer dans cette direction déformée, en faisant obstinément des erreurs ?
Il n'est pas anodin de réimposer confinements, couvre-feux, quarantaines, bulles sociales réduites, de secouer à nouveau nos économies chancelantes, de plonger des familles entières dans la précarité, de semer tant de peur et d'anxiété générant un véritable état de stress post-traumatique dans le monde entier, de réduire l'accès aux soins pour d'autres pathologies qui réduisent pourtant l'espérance de vie bien plus que le COVID-19 ! [24]
Y a-t-il intention de nuire ?
Y a-t-il une intention d'utiliser l'alibi d'une pandémie pour faire avancer l'humanité vers une issue qu'elle n'aurait autrement jamais acceptée ? En tout cas, pas comme ça !
Cette hypothèse, que les censeurs modernes s'empresseront de qualifier de « complot », serait-elle l'explication la plus valable de tout cela ?
En effet, si l'on tire une ligne droite des événements actuels, s'ils se maintiennent, on pourrait se retrouver à nouveau confinés avec des centaines, des milliers d'êtres humains contraints à l'inactivité, ce qui, pour les métiers de la restauration, du spectacle, de la vente, des forains , itinérants, démarcheurs, risque d'être catastrophique avec faillites, chômage, dépression, suicides par centaines de milliers. [25-26-27-28]
L'impact sur l'éducation, sur nos enfants, sur l'enseignement, sur la médecine avec des soins planifiés de longue date, des opérations, des traitements à annuler, à reporter, sera profond et destructeur.
"Nous risquons une crise alimentaire imminente si des mesures ne sont pas prises rapidement." [29].
Il est temps que chacun sorte de cette transe négative, de cette hystérie collective , car la famine, la pauvreté, le chômage massif tueront, faucheront bien plus de personnes que le SARS-CoV-2 !
Tout cela a-t-il un sens face à une maladie qui recule, sur-diagnostiquée et mal interprétée par ce détournement de tests PCR calibrés de façon trop sensible ?
Pour beaucoup, le port continu du masque semble être devenu une nouvelle norme.
RépondreSupprimerMême si elle est constamment minimisée par certains professionnels de santé et journalistes fact-checking, d'autres médecins alertent sur les conséquences néfastes, tant médicales que psychologiques, de cette obsession hygiénique qui, entretenue en permanence, est en fait une anomalie !
Quelle entrave aux relations sociales, qui sont le véritable fondement d'une humanité physiquement et psychologiquement saine !
Certains osent trouver tout cela normal, ou un moindre prix à payer face à la pandémie de tests PCR positifs.
Isolement, distanciation, masquage du visage, appauvrissement de la communication émotionnelle, peur de se toucher et de s'embrasser même au sein des familles, des communautés, entre proches…
Des gestes spontanés du quotidien entravés et remplacés par des gestes mécaniques et contrôlés…
Des enfants terrifiés, maintenus dans une peur et une culpabilité permanentes…
Tout cela aura un impact profond, durable et négatif sur les organismes humains, dans leur physique, mental, émotionnel et représentation du monde et de la société.
Ce n'est pas normal!
Nous ne pouvons plus laisser nos dirigeants, pour quelque raison que ce soit, organiser notre suicide collectif.
Traduit du français par Global Research. Source originale : Mondialisation.ca
Le Dr Pascal Sacré est médecin spécialisé en soins intensifs, auteur et analyste renommé en santé publique, Charleroi, Belgique. Il est chercheur associé à l'entre for Research on Globalization (CRG)
* * * * *
Professionnels dont les références et les commentaires sont à la base de cet article dans son aspect scientifique (surtout et principalement sur la RT-PCR) :
RépondreSupprimer1) Hélène Banoun
https://www.researchgate.net/profile/Helene_Banoun
PhD, Pharmacien biologiste
Ancien chargé de recherche INSERM
Ancien interne des Hôpitaux de Paris
2) Pierre Sonigo
Virologue
Directeur de recherche INSERM, a travaillé à l'Institut Pasteur
Dirige le laboratoire de génétique des virus à Cochin, Paris.
Participe en 1985 au séquençage du virus du SIDA.
3) Christophe De Brouwer
Doctorat en sciences de la santé publique
Professeur honoraire à l'École de santé publique de l'ULB, Belgique
4) Jean-François Toussaint
Docteur, Professeur de Physiologie à l'Université Paris-Descartes
Directeur de l'IRMES, Institut de recherche biomédicale et d'épidémiologie du sport
Ancien membre du Haut Conseil de la Santé Publique
* * *
Remarques (français)
[1] "Une nette augmentation du nombre de cas dans toutes les provinces et toutes les tranches d'âge" , 7sur7 ACTU Belgique, 5-10-2020
[2] Le gouvernement belge renforce des mesures anti-Covid , VRT.be ; 6 octobre 2020.
[3] Non, l'inventeur du test PCR n'a pas dit que sa méthode était inefficace pour détecter les virus , dans Le Monde, 7 octobre 2020
[4] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » , vidéo accessible sur YouTube, 9 octobre 2020.
[5] https://www.weblyf.com/2020/05/coronavirus-the-truth-about-pcr-test-kit-from-the-inventor-and-other-experts/
[6] « La vérité sur le kit de test PCR de l'inventeur et d'autres experts »
[7] PCR en microbiologie : de l'amplification de l'ADN à l'interprétation du résultat
[8] COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? , Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020.
[9] https://www.youtube.com/watch?v=CaAcSJI0oMs&feature=youtu.be , 8 octobre 2020. Évolution génomique des virus ARN à l'Institut Pasteur , environ la moitié des nucléotides sont susceptibles d'avoir muté sur les 30 000 nucléotides de l'ARN viral. « Pour l'instant aucune mutation ou suppression n'a été associée à une perte de sévérité de la maladie sur une grande échelle géographique mais de nombreuses publications devraient bientôt préciser ces points. »
[10] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/FD_Raoult_SARS-CoV-2_EID_Sep2020_vL2.pdf , Article IHU-Méditerranée , Professeur D. Raoult, Hausse dramatique du SRAS-CoV -2 taux de mutation et faible taux de mortalité lors de la deuxième épidémie en été à Marseille, le 7 septembre 2020
Lorsque l'acide nucléique viral est détectable après un petit nombre de cycles, cela signifie que la quantité de virus dans l'échantillon de départ est grande. Au contraire, lorsqu'il faut un grand nombre de cycles de réplication pour détecter l'ARN viral, cela signifie que l'échantillon de départ contient une quantité de virus très faible. On parle alors en nombre de cycles, ou Ct, qui signifie « temps de cycle », pour définir, au moins de façon semi quantitative, la quantité d'ARN présente dans l'échantillon de départ. Ainsi, un petit Ct correspond à un grand nombre de copies, un grand Ct à un petit nombre de copies.
RépondreSupprimerCette sensibilité particulière n'est pas sans inconvénient et nécessite des précautions particulières. En effet, un échantillon positif amplifié un million de fois contient une très haute concentration de cible et le risque qu'il contamine (carry over) d'autres échantillons est particulièrement élevé. La saturation des laboratoires peut encore augmenter ce risque et produire des faux positifs accidentels. Dans ces conditions, il est important que les résultats positifs soient confirmés par un second test, à plus forte raison lorsqu'un test positif présente des conséquences significatives, qu'elles soient médicales, professionnelles ou liées à l'obligation d'isolement.
La deuxième question importante concernant la PCR, une fois encore conséquence de sa sensibilité spectaculaire, est celle de sa signification clinique. Un sujet parfaitement asymptomatique présentant une PCR positive ne peut être qualifié de « malade », comme on le lit dans les médias qui rapportent la progression de l'épidémie ! Peut-on même parler de « cas » ? C'est pourtant le terme utilisé dans les dénombrements officiels. Ne sommes-nous pas en train d'oublier le patient pour se focaliser sur la technologie ? Est-ce une épidémie d'ARN dans des tubes que nous surveillons ou une maladie grave et potentiellement mortelle ?
Des publications récentes soulignent que la dose détectable par PCR est inférieure à la dose infectieuse ou contagieuse : aucun virus infectieux n'a pu être retrouvé chez les patients asymptomatiques présentant des tests PCR positifs avec un Ct élevé. Suite à ces résultats, la question du seuil de Ct qui permet de déclarer un échantillon positif est débattue. Peut-on rendre un résultat négatif chez un sujet asymptomatique dont la positivité apparaît au-delà de 35 cycles ? A défaut, est-il utile de retester ces échantillons ? Comme souvent en matière de diagnostic médical, lorsqu'un seuil de positivité est déterminé, faut-il privilégier la sensibilité ou la spécificité du test ?
De plus, un échantillon confirmé positif d'un point de vue analytique reste un faux positif du point de vue de la clinique, si la personne testée est en santé, parfois même prêt à affronter une compétition de tennis ou de football professionnels ! La question devient uniquement celle de sa contagiosité potentielle. C'est la question de la transmission éventuelle par des sujets asymptomatiques, qui sans être eux-mêmes en danger, pourraient en représenter un pour les autres.
Par rapport à cette question, il est important de raisonner quantitativement. La virologie, ce n'est pas du tout ou rien. De manière générale, au cours des infections virales aiguës, le risque de contagion et la gravité de l'infection varient en fonction de la quantité de virus présents dans l'organisme et de leur excrétion dans le milieu extérieur. Quelques copies de virus tapis dans les sinus n'ont pas la dangerosité d'un million de projets par la toux. Un sujet asymptomatique produit moins de virus qu'un sujet symptomatique et les secrets moins vers l'extérieur. La quantité de virus produite et donc le risque de contagion sont corrélés à la gravité des symptômes. Même si elle n'est pas de zéro, le risque de transmission est donc vraisemblablement faible pour un sujet asymptomatique. Malheureusement,
RépondreSupprimerDe même, la stratégie « dépister-isoler » n'est pas réaliste lorsque le dépistage n'est pas suffisamment fiable et surtout lorsque le virus est déjà largement répandu dans la population. Il est bien trop tard pour appliquer une méthode conçue pour bloquer une épidémie à sa naissance. Comme pour une invasion de coccinelles ou de frelons, on ne peut stopper un virus qui est déjà partout avec une passoire trouée à 25% et bouchée par endroits. L'échec de la stratégie actuelle est plutôt lié à sa conception naïve et inapplicable qu'aux mauvais comportements des citoyens.
Si, comme on l'observe en ce moment, la diffusion virale reprend, faut-il déposer plus massivement ou revoir la stratégie de protection de la population ?
Cette question ne relève pas de la science. Elle dépend des risques acceptables par un individu ou par un groupe. Si on est dans la recherche du risque minimal, proche de zéro, parce que le risque n'a pas été quantifié, ou pour des raisons de responsabilité juridique, on doit prendre les précautions maximales. Si on accepte un risque même faible, on peut reprendre certaines libertés et protéger ceux qui en ont réellement besoin.
Le scientifique doit mesurer la grandeur des risques et ne pas se contenter d'affirmer qu'un événement adverse est « possible ». Mais ce n'est pas son rôle de décider si ces risques peuvent être pris par autrui.
Les tests PCR permettent une détection extrêmement sensible de l'ARN viral. Ils sont indispensables mais ne sont pas la solution ultime et unique qui permettra de contrôler l'épidémie et de gérer efficacement les risques de contagion. Appliquée lorsque le virus est largement disséminé dans la population, la stratégie « dépister isoler » est vouée à l'échec. Du fait de la sensibilité très élevée et des limites de leur spécificité, les tests PCR doivent être pratiqués et interprétés avec précaution, et comme toujours en lien avec le contexte clinique et épidémiologique. N'oublions pas qu'un sujet asymptomatique doit plutôt être considéré comme immunisé que comme malade.
[17] Les tests RT-PCR du Covid-19 se révèlent être de très mauvais tests de contagiosité , Xavier Boisinet, mis à jour le 3/9/2020.
[18] De nombreuses publications partagées des milliers de fois sur les réseaux sociaux en quelques jours affirment que « 90 % » des personnes déclarées positives au Covid-19 ont en fait des charges virales trop basses pour être « malades » ou « contagieuses ». C'est faux.
[19] Mise au point du CNR sur la réalisation des prélèvements et la sensibilité des tests RT-PCR pour la détection du SARS-CoV-2 , 9 mai 2020
[20] Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l'interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenu en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positif sur les prélèvements cliniques réalisées à des fins diagnostiques ou de dépistage, 25 septembre 2020
RépondreSupprimer[21] Coronavirus – Les tests PCR inadaptés contre l'épidémie ? « Jusqu'à 90% de personnes testées ne seraient pas contagieuses » , basée sur une étude d'une équipe de Harvard ( Harvard TH Chan School of Public Health ) de Michael Mina, département d'épidémiologie, je vous mets en fichier joint le PDF correspondant, une étude, reprise par le NY Times :
« Pour eux, la limite du test PCR (prélèvement par voie nasale ou salivaire) réside dans la brutalité et la simplicité du résultat qu'il donne. La personne est soit positive, soit négative. Pas plus de renseignement, notamment sur la contagiosité du malade.
Or, les scientifiques d'Harvard soulèvent le problème de la quantité de virus que ce test PCR ne donne pas et qui pourraient, selon eux, permettre de donner des clés supplémentaires pour contrer l'épidémie.
« Les tests standards diagnostiquent un grand nombre de personnes qui peuvent être porteuses de quantités relativement insignifiantes du virus », explique ainsi le Dr Michael Mina, épidémiologiste à la Harvard TH Chan School of Public Health . »
[22] « Au rythme actuel avec nos tests RT-PCR, nous allons confiner des dizaines de milliers de gens pour rien », alerte le Dr Yvon Le Flohic, manuel Moragues, 3 septembre 2020.
[23] Tests de diagnostic ultra sensibles, les tests RT-PCR sortent positifs même pour des individus qui portent trop peu de virus pour être encore contagieux. Pour en faire de meilleurs tests de contagiosité, certains intimés à limiter leur seuil de détection. Est-ce une bonne idée ? Quelles sont les limites de cette solution ? Décryptage. Xavier Boinivet, le 15 septembre 2020
[24] Jean-Luc Gala (UCL) estime que les futures mesures de la Celeval, tel le confinement, vont tuer l'économie, provoquer des suicides et déstabiliser l'État. Le Celeval, ou Cellule d'évaluation, est le groupe d'experts qui conseille le gouvernement belge dans la gestion du COVID.
[25] L'OMS plaide pour éviter à tout prix les confinements : 'Cela ne rend que les pauvres plus les pauvres'
[26] Voici comment la pandémie risque de faire exploser la pauvreté mondiale, une première en 22 ans
[27] "Le coronavirus menace 500 millions de personnes de pauvreté", prévient l'Oxfam . Ce n'est pas le coronavirus, la menace, mais l'attitude de nos gouvernants face au coronavirus !
[28] Le chômage de masse est désormais mondial
[29] "Nous risquons une crise alimentaire imminente si des mesures ne sont pas prises rapidement" . Encore une fois, ce n'est pas à cause du coronavirus, mais à cause de notre attitude face à cette crise
https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483
ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119)
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