Incendies de forêt – le rituel médiatique de l'été dans la lutte pour le climat
24.08.2023 www.kla.tv/26860
En Grèce, à Rhodes, les forêts brûlent Feu de forêt à La Palma : plus de 4 000 personnes évacuées
Incendies de forêt en Europe : où les vacanciers doivent-ils être particulièrement vigilants ? Tous les ans, on peut presque régler l'horloge, les mêmes informations se succèdent dans les médias. L'une d'entre elles concerne les incendies de forêt. Lorsqu'il n'a pas plu depuis longtemps, cela favorise les incendies de forêt, disent les médias. Le réflexe est de sortir le changement climatique de la boîte. Mais ce n'est que partiellement la cause.
Les incendies de forêt sont presque toujours dus à l'homme, soit intentionnellement, soit par négligence. C'est ce que confirme le professeur Michael Müller de la faculté des sciences de l'environnement qui, actif dans l'enseignement et la recherche, s'occupe de l'apparition des incendies de forêt. Selon lui, les incendies de forêt sont presque toujours causés par l'homme. Jörg Kachelmann se défend également auprès du « Spiegel » contre un mythe récurrent : « Prenez également note du fait que la chaleur ne produit pas des incendies de forêt. Il faut 250 à 300 degrés pour que la végétation s’enflamme. Tous les incendies de forêt qui se produisent ces jours-ci sont le résultat soit d'une négligence, soit d'un acte intentionnel.
En Allemagne, le problème des incendies de forêt dévastateurs de Jüterbog dans le Brandebourg ou de Lübtheen dans le Mecklembourg venait du fait que ces terrains avaient servi à l'entraînement militaire pendant des décennies. Le sol est contaminé par des munitions, les travaux d'extinction sont dangereux et peuvent être mortels. Les pompiers ne peuvent y combattre le feu qu'à partir de ruelles dégagées, ce qui ne peut être efficace. On y laisse donc le feu faire son œuvre tant que personne n'est en danger.
Le professeur Michael Müller a confirmé qu'en 2018/19 déjà, tous les grands incendies de forêt s'étaient déclarés sur des surfaces contaminées par des munitions et, par conséquent, ne pouvaient être combattus directement. Ce n'était donc pas le changement climatique qui était en cause, mais la contamination du sol par les munitions. Le fait que les forêts du Brandebourg, du Mecklembourg, de Thuringe et du Harz soient caractérisées par de nombreuses monocultures de conifères complique encore l'extinction des incendies. Leurs aiguilles brûlent particulièrement bien en cas d'incendie et le feu se propage.
L'interdiction de déblayer le bois mort, dictée par l'idéologie, a également des conséquences catastrophiques. Le bois mort qui n'est pas enlevé brûle comme de l'amadou en période de sécheresse et est notamment responsable des dégâts dévastateurs dans le parc national de la Suisse saxonne et dans le parc national du Harz, autour du Brocken. L'administration du parc national, suivant l'idéologie verte, a émis la maxime « laisser la nature être la nature » et empêche ainsi presque tous les travaux d'entretien des forêts dans le parc national.
Aux États-Unis, au Colorado, on a également identifié d'autres causes pour les incendies dévastateurs. Des terrains à bâtir y ont été autorisés à côté de terres inflammables et des maisons ont été construites avec des matériaux inflammables.
Au lieu de dévoiler sérieusement les véritables causes et de les éliminer, on exploité les in-cendies de forêt pour continuer à alimenter – au sens propre du terme – la « chanson des catastrophes climatiques ».
de pi. ah. rw. Sources / Liens : Cause des incendies criminels https://tu-dresden.de/tu-dresden/newsportal/news/waldbraende-werden-fast-immer-durch-menschen-verursacht
Les gros titres dans les médias : https://www.thueringer-allgemeine.de/leben/vermischtes/waldbraende-europa-urlaub-hitze-griechenland-spanien-italien-id238986043.html
Mitteldeutsche Zeitung du 24.7.23 https://www.merkur.de/welt/waldbrand-auf-la-palma-mehr-als-4000-menschen-evakuiert-zr-92404378.html
Fauci déclare que les confinements étaient « absolument justifiés » et suggère qu'ils devraient être à nouveau utilisés pour forcer les vaccinations
Un bureaucrate du gouvernement à la retraite affirme que la tragédie de Maui était due au changement climatique.
Par Jordan Schachtel Recherche mondiale, 25 août 2023
Anthony Fauci , bureaucrate du gouvernement récemment retraité , vient d'apparaître lors d'un événement virtuel universitaire intitulé « Leçons sur la pandémie et rôle des professeurs dans la préparation à une pandémie avec le Dr Anthony Fauci ». Au cours de la conversation, Fauci, qui est désormais affilié à l’Université de Georgetown, a clairement indiqué qu’il soutenait toujours le confinement de la société au nom d’un virus, ajoutant que les confinements sont un excellent outil pour « vacciner » de force les gens.
Je vais vous faire gagner 40 minutes de votre vie et citer certains des « points forts » de l'interview, dans laquelle un professeur de la Wayne State University interroge Fauci sur ce qu'il a appris en supervisant une « réponse à une pandémie ». La vidéo du chat est disponible via YouTube ci-dessous :
Fauci a faussement affirmé que la ville de New York était envahie et disposait de « camions plus frais à l’extérieur parce qu’ils n’avaient aucun endroit où mettre les corps ».
« Il fallait avoir quelque chose pour arrêter immédiatement le tsunami d’infection », déclare-t-il, ajoutant : « ce confinement était absolument justifié ».
« Le confinement a un but », a poursuivi le pseudo-scientifique. « L'un des objectifs, si vous n'avez pas de vaccin, c'est d'avoir plus de respirateurs, de mieux préparer les hôpitaux… jusqu'à ce que vous relâchiez la pression sur les hôpitaux.
Fauci n'avait pas encore fini. Voici la folie vraiment maléfique…
« Si vous disposez d’un vaccin, vous souhaiterez peut-être vous confiner temporairement afin de pouvoir faire vacciner tout le monde », suggère-t-il.
Rejetant l’idée selon laquelle les confinements sont une question morale, il a ajouté que « les confinements ont leur place, mais ils ne constituent pas une solution permanente ».
La conversation s’est poursuivie, le chef de longue date du NIAID déclarant que le « changement climatique » « joue un rôle » dans l’apparition des épidémies.
Il appelle ensuite à un « engagement international pour réduire l’empreinte carbone dans la société afin d’éviter le genre de conditions météorologiques folles que nous connaissons dans ce pays ».
Oui, c'est une vraie citation.
Il a ensuite imputé la tragédie de Maui au changement climatique. « Ce qui s'est produit avec le changement climatique est complètement, vraiment incroyable », conclut-il.
Primo, il ne s'agit pas d'un microbe maladie transmissible) mais d'une POUSSIÈRE (appelée 'virus').
Secundo, le fait d'avoir un rhume, la grippe ou autre chose interdit le voisinnage, l'approche, voir l'enfermement avec d'autres personnes en bonne santé.
Le fait que la personne malade émette de la fièvre sera noté comme étant porteuse de la poussière inoculée (appelée 'virus') !!! Et donc sera piquée, exterminée !
Série sur les blessures causées par le vaccin à ARNm COVID : accidents vasculaires cérébraux mystérieux chez les jeunes femmes
Les jeunes femmes vaccinées contre le COVID-19 continuent de souffrir discrètement d'accidents vasculaires cérébraux que les médecins ne peuvent expliquer. Certains survivent, d'autres non.
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 25 août 2023
Royaume-Uni – Chandler Plante, 23 ans, rédactrice en chef d'un magazine, a eu un « COVID léger » en décembre 2020, a subi un accident vasculaire cérébral en mars 2021 et a perdu toute vision de son œil droit en novembre 2021. « Personne ne comprend pourquoi cela est arrivé à moi » ( source ).
Cet article attribue la « maladie mystérieuse » au « COVID long et grave », ce qui n’a pas de sens. Elle a eu un léger COVID en décembre 2020, puis un accident vasculaire cérébral en mars 2021. Chandler est présumée vaccinée contre le COVID-19 (l'article se concentrerait sur le fait qu'elle n'est pas vaccinée).
Sa maladie a commencé par un engourdissement des mains et des avant-bras et elle a été congédiée comme souffrant d'« anxiété ». Le 28 juin, un scanner cérébral a révélé de gros accidents vasculaires cérébraux ischémiques.
En avril 2023, elle a reçu une perfusion d'un médicament chimiothérapeutique, le rituximab, et ses effets secondaires s'améliorent considérablement.
Je soupçonne qu’elle souffrait d’une maladie auto-immune causée par les vaccins contre le COVID-19 et ses médecins ne l’ont jamais compris ou ne le lui ont jamais dit.
24 août 2023 – Calamvale, QLD, Australie – Shermayne Peka a eu des maux de tête et un accident vasculaire cérébral en décembre 2022 et ses médecins ont imputé cela à un « trou dans son cœur » qu'ils n'ont pas pu trouver lors des analyses préopératoires ultérieures. Lorsque ses maux de tête sont revenus en juillet 2023, on lui a diagnostiqué un glioblastome de grade 4 (TURBO BRAIN CANCER) ( source ).
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23 août 2023 – Covington, Géorgie – Hailey Sertain a eu un zona et un accident vasculaire cérébral. (le zona est un effet secondaire courant des vaccins contre la COVID-19).
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17 juillet 2023 – Waukesha, WI – Abelardo Ortega Zarate et son épouse Mariana Huerta rêvaient d'aller à Rome, en Italie, en mars 2020, mais ont dû annuler à cause du COVID-19. Ils y sont finalement allés le 2 mai 2023, mais Mariana a subi un accident vasculaire cérébral le premier jour à Rome et s'est retrouvée aux soins intensifs. Elle ne s'est jamais remise et est décédée le 17 juillet. ( Source )
11 juillet 2023 – Brésil – Vanessa Batista dos Santos, 24 ans, s'est effondrée et est décédée alors qu'elle faisait de l'exercice dans le parc, en sautant à la corde (elle est décédée d'un accident vasculaire cérébral hémorragique).
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13 juin 2023 – Godfrey, Illinois – Deirdre Copeland, 43 ans, a subi plusieurs accidents vasculaires cérébraux qui ont été imputés à « une réaction inattendue aux médicaments rhumatoïdes ».
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10 juin 2023 – Brooks, Géorgie – Ashlie Newton avait des caillots de sang dans les jambes et un accident vasculaire cérébral. Elle est sur un long chemin vers la guérison.
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22 avril 2023 – Clermont, Floride – Kaleigh Zimmerman, 34 ans, infirmière et militante pour les vaccins à ARNm qui a lutté contre la « désinformation sur les vaccins », a subi un accident vasculaire cérébral cérébelleux. Elle fait face à un long chemin vers la guérison. Le twist : des personnes non vaccinées font un don à son GoFundme pour l'aider à se rétablir. ( Source )
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20 avril 2023 – Atlanta, Géorgie – Zenette Steele a subi un accident vasculaire cérébral 24 heures après son injection de rappel contre le COVID-19. Elle est désormais paraplégique ( Source ).
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Décembre 2022 – Jennie Gow, animatrice de la BBC, 45 ans, a été victime d'un grave accident vasculaire cérébral en décembre 2022. « Mon discours a été la chose la plus affectée ».
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Juin 2022 – Le footballeur irlandais Siobhan McGrath, 35 ans, a été victime d'un accident vasculaire cérébral. « Mes bras ne fonctionnaient tout simplement pas correctement.
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26 décembre 2021 – North StaffordShire, Royaume-Uni – Charlotte Evans, 37 ans, s'est effondrée dans la cuisine et a eu un accident vasculaire cérébral. Elle a eu 50/50 de chances de vivre.
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Novembre 2021 – Sydney, Australie – Laura Sharp, 37 ans, mère au foyer de 5 enfants, avait de fortes migraines, des problèmes de vision et a subi un accident vasculaire cérébral. Elle n'avait aucun facteur de risque.
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Mars 2021 – Henderson, NV – Emma Burkey, 18 ans, a eu un accident vasculaire cérébral après avoir reçu une dose du vaccin J&J COVID-19. Elle reste confinée en fauteuil roulant en 2023 ( Source ).
Mon avis… Il est clair qu’au début du déploiement du vaccin à ARNm contre le COVID-19, les femmes s’effondraient à cause d’un accident vasculaire cérébral et leurs médecins ne considéraient même pas les vaccins contre le COVID-19 comme une cause.
Ces « accidents vasculaires cérébraux mystérieux » chez les jeunes femmes vaccinées contre le COVID-19 se poursuivent encore aujourd’hui. Les femmes souffrent souvent d’autres blessures causées par le vaccin en plus de leurs accidents vasculaires cérébraux.
Les données du gouvernement britannique sur le handicap montrent à quel point les « troubles de la coagulation » ont augmenté en 2022 par rapport à la moyenne pré-pandémique :
les 20-24 ans sont +170% les 25-29 ans sont +278% 30-35 ans est +1005% 35-39 ans est +700% 40-44 ans : +387% 45-49 ans : +1427% l'âge de 50 à 54 ans est de +989 %
Chez toute jeune femme vaccinée contre la COVID-19, tout symptôme d’accident vasculaire cérébral ou d’AIT (accident ischémique transitoire) doit être pris en compte en raison du vaccin jusqu’à preuve du contraire.
« Not nice Lucy » : l’infirmière qui aime s’amuser et qui est le pire tueur de bébés de la Grande-Bretagne moderne
le 24 août 2023 Michael Cook BioEdge , 24 août 2023
L’infirmière néonatale anglaise Lucy Letby a été reconnue coupable d’avoir tué sept bébés et tenté d’en tuer six autres. Les attaques ont eu lieu entre juin 2015 et juin 2016 dans un service pour bébés prématurés de l’hôpital de la comtesse de Chester, dans la ville de Chester. Lundi, l’infirmière de 33 ans a été condamnée à perpétuité, la peine la plus sévère possible en vertu de la loi anglaise.
Letby a refusé d’assister à l’audience de détermination de la peine à la Cour de la Couronne de Manchester, mais le juge a parlé à sa chaise vide. Le juge Goss a déclaré qu’il y avait « préméditation, calcul et ruse » et « une malveillance à la limite du sadisme ». « Au cours de ce procès, vous avez nié froidement toute responsabilité pour vos actes répréhensibles, a-t-il dit. Vous n’avez aucun remords. Il n’y a pas de facteurs atténuants ». Le procès de Letby a duré 10 mois et les jurés ont délibéré pendant 22 jours. Elle a fermement maintenu son innocence, de sorte que la preuve était largement circonstancielle. Il y a eu un pic soudain de décès pendant qu’elle travaillait dans l’unité néonatale. Lorsque les médecins ont commencé à enquêter, ils ont constaté que le seul facteur commun était sa présence. Certains des bébés ont été tués par surdose d’insuline, l’un en lui donnant trop de lait, l’autre en injectant de l’air dans les veines. Deux bébés qui ont survécu ont subi de graves lésions cérébrales.
Lorsque la police a fouillé sa maison, elle a découvert des phrases bizarres griffonnées sur des post-it. Ces mots incluaient de courtes phrases comme par exemple « JE SUIS MAL J’AI FAIT CECI, je les ai tués exprès parce que je ne suis pas assez bonne, je ne mérite pas de vivre, je suis une personne horrible ». Après de longs retards, Letby a été affectée à un travail de bureau fin juin 2016 et a finalement été arrêté en juillet 2018.
Dès qu’elle a été retirée de la salle des prématurés, les morts ont cessé, selon The Guardian. Depuis, plus de 2500 bébés ont été placés dans l’unité néonatale et il n’y a eu qu’un seul décès. La police continue d’enquêter sur des incidents suspects à l’hôpital de la comtesse de Chester et à l’hôpital pour femmes de Liverpool où elle a également travaillé pendant un certain temps. Il y a deux questions sans réponse qui planent sur ces crimes horribles. Le premier est la motivation de la tueuse. Ce qui a déconcerté tout le monde à propos de Lucy Letby, qui est devenue le pire tueur de bébé dans l’histoire britannique moderne, c’est à quel point elle était normale. Elle semblait joyeuse, compétente, confiante et attentionnée. Elle aimait les vacances et faire la fête avec ses amis. Aucun de ses collègues n’avait le moindre soupçon qu’elle pourrait être responsable du nombre croissant de morts. « Ça ne peut pas être Lucy ». « Ce n’est pas gentil, Lucy », se souvient un médecin quand les preuves ont commencé à l’indiquer. La poursuite a laissé entendre qu’elle aurait aimé « jouer à Dieu » en réanimant des bébés en situation de crise. Elle flirtait avec un médecin et elle voulait peut-être l’impressionner. Elle ne correspondait certainement pas aux stéréotypes d’un psychopathe.
Le psychiatre médico-légal Robert M. Kaplan, de l’Université de Wollongong, en Australie, a écrit dans « Quadrant » que Letby pourrait être un exemple de ce qu’il appelle Carer Assisted Serial Killing ou CASK [carer = personnel soignant]. « À mon avis, le CASK est la forme d’abattage en série qui connaît la croissance la plus rapide à un moment où le taux d’abattage en série prédateur typique diminue dans la plupart des pays ». Lorsque des hommes sont impliqués, le nombre de meurtres est exponentiel, Donald Harvey et Charles Cullen en sont deux exemples. Beaucoup moins de médecins figurent dans les rangs des tueurs, mais ceux qui sont actifs ont la capacité en vertu de leur position et de leur autorité de provoquer plus de victimes : le Dr Harold Shipman est devenu le pire tueur en série au Royaume-Uni avec 246 patients assassinés (certains disent peut-être jusqu’à 400) Son homologue américain, Michael Swango, est crédité de 60 victimes. Les infirmières qui tuent semblent être un groupe exceptionnel, brisant la vision traditionnelle des femmes en tant qu’individus iréniques non violents. La condamnation met Letby dans la même ligue que l’infirmière Beverley Allitt à l’hôpital Grantham et Kesteven du Lincolnshire en 1991, quand elle a tué quatre enfants et gravement blessé six autres.
La deuxième question est pourquoi les administrateurs de l’hôpital ont réagi si lentement. En juin 2015, après trois décès, le médecin en chef de l’unité néonatale, Stephen Brearey, et le directeur infirmier de l’hôpital ont remarqué que Letby avait été impliquée dans les trois décès. Après d’autres incidents, Brearey a demandé une réunion urgente avec les dirigeants de l’hôpital en février 2016. Il ne s’est rien passé avant mai 2016, lorsque l’administration a écrit une lettre dans laquelle elle disait : « Il n’y a aucune preuve contre LL [Letby] autre que la coïncidence ». Ce n’est qu’à la fin de juin et deux autres décès que Letby a été retiré des soins infirmiers.
Un médecin a recommandé de soulever la question auprès de la police. Il allèguait qu’on lui a dit que cela risquerait de nuire à la réputation de l’hôpital et ferait de l’unité néonatale une scène de crime. Deux examens externes ont été ordonnés, que les dirigeants de l’hôpital ont considérés comme exonérant Letby, bien qu’ils n’aient pas été au fait des examens de sa responsabilité pour les décès. En janvier 2017, l’administration de l’hôpital a exigé que sept médecins signent une lettre d’excuses à Letby pour avoir discrédité son nom. « Nous sommes très désolés du stress et de la colère que vous avez éprouvés au cours de la dernière année », dit la lettre. Les médecins ont également appris que les parents de Letby avaient menacé de les signaler au Conseil médical général. Deux des médecins ont reçu l’ordre d’assister à des séances de médiation avec Letby. L’un d’entre eux a obtempéré. Ce n’est qu’en mai 2017, sous la pression constante des médecins, que la police a été appelée.
Le Dr Brearey a déclaré à la BBC qu’il semblait que les dirigeants d’hôpitaux essayaient de « concevoir une sorte de récit » pour empêcher la police d’enquêter. « Si vous voulez appeler cela un camouflage alors, c’est un camouflage. » Deux examens externes ont été ordonnés, que les dirigeants de l’hôpital ont considérés comme exonérant Letby, bien qu’ils n’aient pas été en fait des examens de sa responsabilité pour les décès. En janvier 2017, l’administration de l’hôpital a exigé que sept médecins signent une lettre d’excuses à Letby pour avoir discrédité son nom. « Nous sommes très désolés du stress et de la colère que vous avez éprouvés au cours de la dernière année », dit la lettre. Les médecins ont également appris que les parents de Letby avaient menacé de les signaler au Conseil médical général. Deux des médecins ont reçu l’ordre d’assister à des séances de médiation avec Letby. L’un d’entre eux a obtempéré. Ce n’est qu’en mai 2017, sous la pression constante des médecins, que la police a été appelée.
Note de votre serviteur. Voici le commentaire que j’ai envoyé à Michael Cook avec qui j’avais eu des échanges de messages électroniques au sujet de l’industrie des mères porteuses dans les Îles Canaries contrôlée par la mafia espagnole que m’avait indiqué un médecin sous le sceau du secret. Je ne me suis pas renseigné plus avant considérant que je mettais ma vie en danger. Je n’ai pas pris la peine de traduire en français mon commentaire. J’ajouterai que le contrôle des naissances depuis le XVIIIe siècle en France consistait aussi à occire les nouveaux-nés en dehors des « faiseuses d’anges » et des plantes abortives.
« I remember a conversation between my mother who had been a nurse in the french army at the beginning of the second world war and a friend of her who was a midwife with a long experience. I was a 7 years old kid and I realized that adults were strange people. This friend of my mother told her that during her career as a midwife she intentionally killed more than a hundred new-born babies because according to her experience of thousands of births those babies would not survive or be a disaster for the family because they were crippled or trisomic. I remind you about the birth control in the farms of the hamlet where I was born : an undesired baby was thrown to the pigs and the placenta was the next delicacy. This happened 25 km from the big city of Lyon in France ! This story is 100 % true … ». (Nurse = infirmière, midwife = sage-femme, crippled = infirme, thrown to the pigs = jeté aux cochons).
- « Je me souviens d'une conversation entre ma mère qui avait été infirmière dans l'armée française au début de la seconde guerre mondiale et une de ses amies qui était sage-femme avec une longue expérience. J'étais un enfant de 7 ans et j'ai réalisé que les adultes étaient des gens étranges. Cette amie de ma mère lui a raconté qu'au cours de sa carrière de sage-femme, elle avait intentionnellement tué plus d'une centaine de nouveau-nés car, selon son expérience de milliers de naissances, ces bébés ne survivraient pas ou seraient un désastre pour la famille car ils étaient estropiés ou trisomique. Je vous rappelle le contrôle des naissances dans les fermes du hameau où je suis née : un bébé non désiré était jeté aux cochons et le placenta était le prochain délice. Cela s'est passé à 25 km de la grande ville de Lyon en France ! Cette histoire est 100 % vraie… ». (Nurse = infirmière, sage-femme = sage-femme, infirme = infirme, jeté aux cochons = jeté aux cochons).
Je me demande quelle pourrait être la peine infligée à Madeleine Albright qui a déclaré que la mort d’un demi-milliions d’enfants irakiens en valait la peine …
Dark Winter est une fanfiction bioterroriste fastidieuse écrite pour inspirer la peur du public face au virus de la variole et plaider pour la pertinence continue de ses éradicateurs.
Dans lequel Eugyppius lit un autre wargame pandémique pour que vous n'ayez pas à le faire.
EUGYPPIUS 24 AOÛT 2023
« Eugyppius », ont déclaré les critiques de la chronique de la peste, « tout le monde sait que la pandémie SPARS est un exercice stupide de communication en matière de santé publique. Bien sûr, il n’y a pas de confinement là-dedans, même si beaucoup prétendent le contraire depuis très longtemps, dans les livres à succès et partout sur Internet.»
"Eugyppius", ont déclaré les critiques de la chronique de la peste, "l'Opération Lockstep est évidemment un fantasme mondialiste insensé de la Fondation Rockefeller, sans même rapport avec la planification d'une pandémie, même si beaucoup ont passé des années à dire le contraire devant un public massif et parfois aussi dans vos commentaires."
« Eugyppius », dirent finalement les critiques de la chronique de la peste, « pourquoi ne regardez-vous pas les preuves réelles d'une plandémie ? Essayez-vous de nous tromper ? Tout le monde sait que Dark Winter est l’endroit où les corps sont enterrés. Si seulement vous lisiez Dark Winter, vous verriez enfin que des confinements sont planifiés par le secteur de la défense depuis 2001. Il s’agit d’une opération élaborée, naïf Eugyppius. Pourquoi cachez-vous cette vérité à vos lecteurs ?
"Critiques de la chronique de la peste", répond Eugyppius, reniflant et atteint du rhume des foins, depuis sa petite tour d'écriture octogonale au-dessus de l'Elbe, où une légère brise souffle à travers les fenêtres ouvertes, et où un voisin ne cesse de tailler ses haies avec quelque odieux bourdonnement. « J’ai lu tous les exercices sur table et wargames pandémiques de quelque importance, il y a deux ans, sur le flanc d’une montagne suisse. Il n’y a aucun confinement dans aucun d’entre eux. Vous pourrez peut-être vous replier sur d'autres documents pendant un certain temps, mais sachez que ma série s'adresse également à eux. Un par un, vos châteaux tomberont.
Eugyppius : une chronique de la peste est une publication financée par les lecteurs. peut-être que tu t'abonnes ?
C’est amusant de rire de la stupidité de SPARS et de « Lock Step », mais Dark Winter – et en fait tout ce qui sort du Johns Hopkins Center for Health Security – me donne la chair de poule. Ce n’est pas parce que ces informations sont particulièrement prémonitoires ou intelligentes, et ce n’est pas non plus parce qu’elles contiennent un plan de confinement de longue date que les planificateurs de la défense ont mis en œuvre avec l’épidémie de SRAS-2. Il y a ici comme ailleurs de graves défauts intellectuels, et l’importance de ces documents est largement surestimée. Mais avec Dark Winter, nous quittons le monde nerveux des majors de la communication et des consultants et entrons dans le domaine plutôt supérieur de la politique gouvernementale et de la stratégie de défense – où nous ne trouvons rien d’autre que les mêmes tactiques d’autopromotion et la même mythologie virale manipulatrice qui prévaut partout ailleurs. Ces gens mentent sur les virus et exagèrent les menaces d’épidémie depuis plus de vingt ans maintenant, et surtout après 2020, ce n’est pas très drôle.
Pour comprendre Dark Winter, il faut savoir que l’establishment pandémique a traversé deux époques majeures au XXIe siècle :
1) Au début se trouvait l’ère de la biodéfense, dominée par des fantasmes inhabituels de guerre biologique et par la peur artificiellement véhiculée selon laquelle de méchants dictateurs antilibéraux comme Saddam Hussein développaient secrètement des armes de destruction massive parce qu’ils détestent la démocratie. À cette époque, les subventions provenaient principalement du secteur de la défense, obligeant les opportunistes comme Donald Henderson, l’éradicateur de la variole pandémique, à aligner leur programme sur les intérêts de la défense. Cette époque a pris fin après la guerre en Irak.
2) Vint ensuite l’ère de la grande philanthropie, au cours de laquelle les magnats de la technologie et leurs organisations ont recentré l’attention pandémique sur le monde civil. Dans cette nouvelle ère, les pathogènes pandémiques émergents ont remplacé la guerre biologique comme menace à contrer. Le groupe de réflexion d'Henderson sur la pandémie, fondé sous le nom de Johns Hopkins Center for Civilian Biodefense Strategies (CCBS), a géré la transition en changeant son nom en Center for Health Security et en acceptant des millions de subventions de l'Open Philanthropy Project en 2017. Avec ces nouveaux fonds est venu le mandat de se concentrer sur les « risques catastrophiques mondiaux ». C’est ainsi que les tiers-mondistes ont éclipsé les bioterroristes. Cette transition est particulièrement importante pour nous, car c’est principalement à l’ère de la grande philanthropie que les pandémiques ont commencé à fantasmer sur des réponses élaborées d’atténuation des nouvelles épidémies de virus. Dans l’ère plus ancienne de la biodéfense, l’accent est plutôt mis sur les implications stratégiques, et l’aspect santé publique est une préoccupation secondaire.
Dark Winter était un « exercice de simulation » de l’ère de la biodéfense, organisé par le CCBS en partenariat avec le tout nouveau ANSER Institute for Homeland Security. Elle s'est tenue à la base aérienne d'Andrews, à Washington, D.C., les 22 et 23 juin 2001. L'impulsion est venue du Center for Strategic and International Studies, un groupe de réflexion de premier plan dans le secteur de la défense, qui a demandé à l'ANSER et au CCBS d'organiser « un exercice ». dans lequel d’anciens hauts fonctionnaires répondraient à une crise de sécurité nationale provoquée par l’utilisation d’une arme biologique. Une grande partie du financement provenait de l'Institut commémoratif national d'Oklahoma pour la prévention du terrorisme, une organisation à but non lucratif fondée pour commémorer l'attentat à la bombe de 1995 contre le bâtiment fédéral de Murrah.
Le scénario Dark Winter n’est clairement pas une prophétie future, et il n’est même pas plausible. Il s’agit plutôt d’un bretzel fastidieux concocté pour mettre en lumière les préoccupations centrales de chacune des organisations participantes. Il présente une épidémie de variole, l'obsession du CCBS, fondé par Henderson. Cette épidémie est provoquée par une attaque bioterroriste contre l'Oklahoma et deux autres États, afin de satisfaire les antiterroristes de l'Oklahoma. Il est fortement suggéré que cette attaque a été menée par des mandataires irakiens pour encourager le retrait des forces américaines du Moyen-Orient, de sorte que les stratèges de la défense qui ont commandé cette pièce de théâtre à prix réduit ont également obtenu ce qu'ils voulaient.
Dark Winter avait également un objectif plus profond. En 1986, un groupe d’experts de l’OMS a recommandé que les derniers échantillons de virus de la variole officiellement déclarés aux États-Unis et en Russie soient détruits. La date limite pour cette destruction a été fixée d’abord à 1993, puis à 1999. L’administration Clinton a décidé d’adopter cette recommandation, mais à la dernière minute, les forces américaines de la défense et du renseignement se sont battues pour sauver le dernier virus de la variole viable. Quelques mois avant la destruction prévue en 1999, une évaluation des services de renseignement fédéraux a été publiée affirmant, sur la base de preuves assez fragiles, que l'Irak, la Corée du Nord et la Russie cachaient probablement des échantillons de variole dans le but de programmes clandestins de guerre biologique. Clinton a cédé et a accepté de laisser le CDC garder sa variole. Deux ans plus tard, le Centre d’études stratégiques et internationales a chargé Dark Winter de dramatiser, pour le bénéfice des médias, à quoi pourrait ressembler une attaque de variole irakienne contre les États-Unis. Il s'agissait d'une opération publicitaire, un:
Objectif était de sensibiliser davantage les experts de haut rang en matière de sécurité nationale à l'ampleur et à la nature de la menace posée par les armes biologiques et de catalyser des actions susceptibles d'améliorer les stratégies de prévention et de réponse.
En d’autres termes, Dark Winter était l’acte final d’un petit drame mis en scène par la communauté du renseignement dans le but de convaincre le président de garder la variole, probablement à des fins de recherche sur les armes biologiques. Henderson et son CCBS, désespérés de rester pertinents vingt ans après que l’OMS eut déclaré éradiqué son virus qui avait fait carrière, étaient heureux de l’aider.
La meilleure source pour Dark Winter est un article publié dans Clinical Infectious Diseases en 2002 par Tara O’Toole, Mair Michael et Thomas V. Ingelsby, sous le titre « Shining Light on ‘Dark Winter’ ». Le document est particulièrement utile pour rendre compte des décisions des participants à l’exercice et de la justification des diverses caractéristiques de l’exercice, et c’est ce que j’ai cité et que je citerai ici. Avant une récente refonte du site Web du Center for Health Security, les lecteurs pouvaient également télécharger un script Dark Winter de 44 pages avec tous les faux mémos et points de discussion fournis aux participants à l'événement, et regarder une vidéo de huit minutes contenant diverses diapositives et le ridicule sans limites. des « reportages d’actualité » projetés aux participants à l’événement. Ceux-ci peuvent toujours être trouvés sur la Wayback Machine. Je les ai tous étudiés, mais je trouve qu’ils n’ajoutent pas grand-chose à l’article d’O’Toole/Michael/Ingelsby.
Dark Winter a simulé des réunions simulées du Conseil de sécurité nationale, dont les membres étaient joués par douze participants politiquement éminents. De plus, cinq journalistes – dont la célèbre propagandiste des ADM Judith Miller – « ont observé les délibérations du NSC simulé et ont participé à une simulation de conférence de presse pendant l’exercice ». Tout cela s’est déroulé devant un public de « ca. 50 personnes ayant des responsabilités politiques ou opérationnelles actuelles ou anciennes liées à la préparation aux armes biologiques.
On nous assure que « dans la mesure du possible, les décisions prises » par les participants « ont été intégrées à l’exercice évolutif, de sorte que les décisions clés ont affecté l’évolution et les résultats du scénario ». Les reportages pré-filmés montrent que cette ampleur ne peut pas être très grande. Le Conseil de sécurité nationale n’est pas non plus chargé de coordonner la politique de santé publique américaine, de sorte que les participants n’ont jamais eu la moindre opportunité significative de changer le cours de l’épidémie par leurs actions. En fait, le problème est qu’il n’y a rien à faire, car le stock du CDC de 15,4 millions de doses de vaccin contre la variole est terriblement insuffisant.
Dark Winter présente trois réunions du NSC les 9, 15 et 22 décembre 2002. La première réunion a lieu après que 3 000 personnes ont été infectées par le virus de la variole lors de « trois attaques simultanées dans trois centres commerciaux distincts à Oklahoma City, Philadelphie et Atlanta » – mais à ce stade. seuls 50 cas ont été identifiés.
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Les auteurs du scénario supposent que 20 % de la population américaine possède une immunité persistante contre la variole, là où les vaccinations de routine ont cessé en 1972, mais je ne vois pas qu’ils prennent un jour ce chiffre en compte dans leur modèle brut de transmission du virus. Ils proposent également de manière très insensée un nombre de reproduction de 10 pour la variole, « basé sur une analyse de 34 cas d’importation de variole en Europe entre 1958 et 1973 », qu’ils ont sélectionnés pour obtenir les chiffres les plus élevés :
Ces importations de variole étaient des cas dans lesquels une personne contractait la variole dans un pays où la maladie était encore présente naturellement, puis ramenait sans le savoir le virus dans un pays où la variole n'était plus endémique. Dix de ces importations ont eu lieu entre juin et novembre, lorsque le taux de transmission de la variole est à son plus bas niveau saisonnier. Ces importations n'ont pas été incluses dans une analyse plus approfondie, car l'attaque de variole simulée dans Dark Winter a eu lieu en décembre, lorsque le taux de transmission de la variole atteint son plus haut niveau saisonnier.
Comme toujours, la vaccination est au centre de la réponse imaginaire. Les auteurs du scénario savent que la vaccination contre la variole est dangereuse ; cela n’est pas mentionné dans le document, mais le script estime que « des complications vaccinales potentiellement mortelles » pourraient survenir à un taux pouvant atteindre 1 vaccination sur 5 000.
Lors de leur première réunion, le faux NSC s’est vu proposer trois options : 1) une « politique de vaccination en anneau », dans laquelle les vaccins seraient administrés aux « contacts des patients et au personnel essentiel » dans chacun des trois États attaqués ; 2) une « politique combinée de vaccination en réseau et de masse », dans laquelle, en plus du 1), les trois villes au centre des épidémies recevraient suffisamment de vaccins pour vacciner tout le monde ; et 3) une « politique combinée de distribution en réseau et de masse », dans laquelle, en plus de 2), les 47 autres États recevraient cependant 125 000 doses à utiliser. Dans chaque cas, le ministère de la Défense réserve 2,5 millions de doses pour ses propres forces.
Les participants ont choisi de stocker les vaccins et ont opté pour la première option, attendant effectivement que les cas dépassent leur capacité à vacciner. Mais comme nous l’avons vu ci-dessus, cela n’a guère d’importance ; le scénario était gravé dans le marbre et l’épidémie se déroulerait de la même manière, quoi qu’ils décident de faire.
Lors de la deuxième réunion, le 15 décembre, 2 000 cas ont été identifiés dans 15 États, et 300 sont décédés.
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La production de vaccins passe à la vitesse supérieure ; "Trois sociétés pharmaceutiques américaines conviennent de produire un nouveau vaccin à raison de 6 millions de doses par mois, avec les premières livraisons dans 5 semaines." En outre, la Russie offre 4 millions de doses aux États-Unis, qui sont acceptées à condition qu’elles passent des « évaluations de sécurité ». Parce que rien de tout cela n’a d’importance compte tenu du calendrier serré de l’exercice, le NSC tourne son attention vers les interventions non pharmaceutiques :
Les patients atteints de variole devraient-ils être confinés dans des établissements qui leur sont dédiés ? Les contacts des patients devraient-ils être obligés de rester à la maison ou dans des installations dédiées jusqu'à ce qu'il soit prouvé qu'ils sont indemnes de la variole ? Faut-il imposer des restrictions nationales aux voyages ? Comment peut-on trouver le meilleur équilibre entre le confinement des maladies et les perturbations économiques et la protection des libertés civiles ? Dans quelle mesure le gouvernement peut-il et doit-il porter atteinte aux libertés civiles ? Dans quelles conditions ces pouvoirs peuvent-ils être exercés ?
Les participants n’étaient pas intéressés par l’heure de discussion sur les libertés civiles, choisissant de laisser « les décisions sur la quarantaine et l’isolement entre les mains des représentants de l’État ». Nous lisons que « plusieurs frontières internationales sont fermées au commerce et aux voyageurs américains » et que des « violences sporadiques » sont « signalées contre des minorités qui semblent être d’origine arabe ». De toute évidence, le racisme figure parmi les principaux risques du bioterrorisme.
Des pénuries alimentaires apparaissent dans les États touchés en raison de problèmes de voyage et de fermetures de magasins. … Il n’existe aucune piste solide quant à l’auteur de cette attaque. … Les écoles sont fermées dans tout le pays. Les rassemblements publics sont limités dans les États touchés. Certains États limitent les déplacements et les rassemblements non essentiels.
Notez l’absence de confinement, même face à un agent pathogène viral qui aurait un taux de létalité de 30 % et un taux de reproduction de 10. La réponse affirmative est confinée au secteur public ; les « fermetures de magasins » ne sont jamais caractérisées, mais semblent être sporadiques et volontaires – simplement une partie du désordre social croissant provoqué par la panique liée à la variole. Les auteurs du scénario ne se prononcent pas sur ces fermetures, notant seulement qu'elles provoquent des « pénuries ».
Lors de la troisième et dernière réunion du 22 décembre, treize jours après, il y a 16 000 cas documentés dans 25 États, et le nombre de morts a atteint 1 000. Les réserves de vaccins sont épuisées et les nouvelles doses seront disponibles dans quatre semaines. Les décès devraient atteindre 10 000 d’ici quelques jours.
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À l’heure actuelle, les restrictions sur les « voyages non essentiels » s’élargissent au niveau des États, ce qui provoque davantage de « pénuries alimentaires ». Malheureusement, « l’économie nationale souffre ».
Les habitants ont fui et fuient les villes où de nouveaux cas apparaissent. Le Canada et le Mexique ont fermé leurs frontières avec les États-Unis. Le public exige l’isolement obligatoire des victimes de la variole et de leurs contacts, mais l’identification des contacts est devenue logistiquement impossible.
Ne vous inquiétez pas : « Les membres du NSC sont informés que l’administration d’un nouveau vaccin combinée à des mesures d’isolement est susceptible d’endiguer l’expansion de l’épidémie. » Les participants ont quand même demandé des projections du pire des cas, ce qui est remarquable, car cela suggère que même lors de la dernière séance de leur mélodrame viral, ils n’avaient pas compris la simple arithmétique au cœur de la simulation. Vous, idiots, vous augmentez simplement le nombre d'infections initiales (3 000) à la puissance appropriée de dix et supposez qu'un tiers de la population meurt :
On leur dit que dans le pire des cas, la troisième génération de cas pourrait comprendre 300 000 nouveaux cas de variole et entraîner 100 000 décès, et que la quatrième génération de cas pourrait vraisemblablement comprendre jusqu'à 3 000 000 de cas de variole et entraîner autant de décès. comme 1 000 000 de morts. Il est une fois de plus souligné aux participants que ces chiffres sont des projections du pire des cas et peuvent être considérablement réduits par des programmes de vaccination et des procédures de confinement des maladies à grande échelle et efficaces.
Les simulateurs de variole ont également ressenti le besoin de fournir ce graphique stupide pour illustrer l'arithmétique de leurs accusations :
Dans l’acte final, « un transfuge irakien de premier plan affirme que l’Irak est à l’origine de l’attaque biologique » et « la communauté du renseignement considère ses informations comme hautement crédibles ». Alors,
Le New York Times, le Washington Post et USA Today reçoivent des lettres anonymes exigeant le retrait immédiat (une semaine) de toutes les forces américaines d'Arabie saoudite et de tous les navires de guerre du golfe Persique. Le non-respect de ces règles entraînera de nouvelles attaques contre les États-Unis, notamment l'anthrax, la peste et la variole. Chaque lettre contenait également une empreinte génétique de la souche de la variole correspondant à l'empreinte de la souche à l'origine de l'épidémie actuelle.
Certains ont affirmé que ce qui précède équivalait à une prédiction, plusieurs mois à l’avance, des attaques à l’anthrax de 2001. Les architectes de Dark Winter étaient certainement ravis de cette coïncidence, écrivant dans leur article que ces événements prouvent que « le bioterrorisme n’est plus seulement le sujet de jeux de guerre ». Les lecteurs raisonnables, je pense, conviendront que Dark Winter ne fait que jeter ici tous les derniers scénarios de bioterrorisme. La possibilité que le saboteur de l’anthrax ait été inspiré ou influencé d’une manière ou d’une autre par Dark Winter mérite néanmoins d’être envisagée, car les attaques provenaient de l’establishment américain de la biodéfense – précisément du public de ces mises en scène.
Dark Winter emprunte beaucoup à l'épidémie de variole yougoslave de 1972, au cours de laquelle un Albanais récemment vacciné a contracté la variole lors du Hajj et l'a ramenée au Kosovo avec lui. L’épidémie qu’il a provoquée a finalement infecté 175 personnes. Le patient index n'aurait infecté qu'une seule personne, un professeur d'école nommé Latif Mumdžić, bien que personne n'ait pu prouver que les deux étaient entrés en contact. Au début, les médecins n'ont pas réussi à diagnostiquer Mumdžić et il a été transporté dans divers hôpitaux et même montré à un groupe d'étudiants en médecine. Cela s'est produit alors qu'il développait une variante hémorragique terrifiante de la variole, connue sous le nom de vérole noire, qui, selon certaines sources, est beaucoup plus contagieuse. On sait que l’événement à grande propagation auquel il est associé a directement infecté 38 personnes. Même si nous supposons, de manière très improbable, que les 135 autres cas découlent directement de ces 38 infections, nous obtenons un taux de reproduction d'au plus 3,5 pour la variole sans super-propagation, avec 35 décès donnant un taux de létalité de 20 %.
Ces chiffres sont nettement meilleurs que les paramètres pessimistes du scénario Dark Winter. Il n’est pas très convaincant d’attribuer cet écart au programme de vaccination infantile contre la variole en vigueur en Yougoslavie. On considère que l’immunité vaccinale diminue considérablement après cinq ans, et de toute façon, les auteurs du scénario citent spécifiquement l’épidémie yougoslave pour justifier leurs chiffres exagérément gonflés. Des articles ultérieurs publiés après Dark Winter jettent encore plus de doute sur les paramètres de simulation. Cette étude de 2002 analyse les données historiques et place le taux de reproduction de la variole entre 3,5 et 6, tandis que celle-ci, réalisée un an plus tard, examine une épidémie nigériane bien documentée de 1967 dans une communauté chrétienne non vaccinée et trouve un R-zéro de 6,87 parmi les contacts étroits. de personnes infectées.
Maintenant, 6,87 est peut-être inférieur à 10, mais cela reste assez élevé. Il y a cependant ici un problème important. Pas moins qu'Henderson, dans un article plus ancien de 1969 sur une épidémie de variole en Afrique de l'Ouest, notait que « la transmission de la variole semblait s'arrêter lorsque l'approvisionnement en personnes sensibles en contact intime prolongé avec les cas était épuisé », même si les « contacts occasionnels » persistaient. entre les personnes infectées et les autres villageois sensibles.
En d’autres termes : vous obtenez une transmission relativement élevée lorsque la variole se propage parmi les contacts étroits, mais une transmission très faible car la variole a de sérieuses difficultés à infecter les personnes qui ne sont exposées au virus que brièvement. Partout dans la littérature, on constate que la variole, au-delà du niveau des épidémies confinées, semble évoluer plutôt lentement. Alors que les goules de la guerre biologique sont attachées à l’idée que le virus se transmet principalement via des aérosols (la prémisse de la variole en tant qu’agent de guerre biologique en dépend), je trouve les attaques de centres commerciaux envisagées par Dark Winter plutôt invraisemblables. Tout porte à croire que l'on contracte la variole non pas par inhalation passagère d'aérosols, mais par proximité prolongée avec des membres de la famille infectés.
Les auteurs du scénario imaginent qu’une propagation non détectée après les premières infections constituerait un problème sérieux.
Au moment où une attaque secrète sera découverte, la maladie se propagera déjà à la prochaine génération de cas, connus sous le nom de cas de « deuxième génération ». Étant donné que très peu de médecins exerçant actuellement la médecine ont déjà vu un cas de variole et qu'il n'existe actuellement aucun test de diagnostic rapide et largement disponible pour la variole, il est probable que le diagnostic des premiers cas de variole sera retardé, favorisant ainsi la propagation de la variole. maladie.
Cela aussi semble faux. Tout indique que la transmission se produit dans une fenêtre étroite après l’apparition de l’éruption cutanée distinctive – c’est-à-dire que les patients sont plus contagieux lorsqu’ils sont aussi les plus faciles à diagnostiquer. Dans les stades fébriles et pré-éruption cutanées les plus furtifs de l’infection, presque aucune propagation ne se produit. Une véritable attaque de variole entraînerait donc des infections secondaires dans les hôpitaux et parmi les contacts familiaux, mais quoi que l'on fasse, l'épidémie ralentirait considérablement par la suite. Henderson et ses collègues imaginaires de la variole du CCBS le savaient, et pourtant, ils ont délibérément doté la variole de propriétés beaucoup plus contagieuses dans Dark Winter simplement pour semer l’anxiété face au virus et à la possibilité de sa réémergence.
Une dernière observation, plus conspiratrice : il est intéressant de noter que des personnes comme Henderson ont développé une inquiétude publique face à la réémergence de la variole vers l’an 2000, environ une génération après l’arrêt des vaccinations infantiles contre la variole aux États-Unis. Peut-être que leurs préoccupations étaient plus que des efforts opportunistes pour suivre le mouvement du bioterrorisme. La variole est extrêmement durable dans l’environnement ; le virus peut rester viable pendant plusieurs années dans les croûtes des patients. Sa durabilité environnementale semble liée à son pouvoir pathogène ; selon la terminologie de Paul Ewald, il poursuit une stratégie de « sit and wait », qui lui donne la capacité de provoquer des maladies très graves sans jamais s'épuiser complètement. La transmission interhumaine se produit donc principalement parmi les contacts immédiats lors d’une épidémie donnée. Cependant, pour se propager d’épidémie en épidémie, la variole doit se cacher dans l’environnement et attendre de manière opportuniste un nouvel hôte. Est-ce une coïncidence si le seul virus jamais éradiqué grâce aux efforts humains est précisément l’un de ces rares virus capables de se cacher inaperçus dans l’environnement pendant des années jusqu’à ce qu’il trouve quelqu’un de nouveau à infecter ? Peut-être que la question en 2000 – après l’arrêt de la vaccination infantile contre la variole et la chute de l’immunité de la population à presque zéro – était de savoir si la variole reviendrait.
Ici en bas, le tableau de bord.
- voir graph sur site -
Sérieux : Les enquêtes menées après la guerre en Irak ont montré que, contrairement à l'évaluation des renseignements de 1999, l'Irak a mis fin à toutes les recherches sur les armes biologiques après 1996, par crainte de répercussions internationales. Saddam Hussein a maintenu l'ambiguïté publique concernant cette décision à des fins de dissuasion, mais il n'y a aucune preuve qu'il ait jamais cherché à transformer la variole en arme. L’attaque du centre commercial me semble également hautement invraisemblable et peu susceptible de fonctionner comme prévu. Les auteurs de Dark Winter auraient pu concevoir un scénario d’épidémie bien plus grave, mais cela n’aurait guère servi leurs intérêts ni ceux de leurs collaborateurs. Il s’agit d’une fiction bioterroriste mal écrite, conçue non pas pour être réaliste, mais pour impressionner les décideurs politiques et les médias.
Prescience : J'attribuerai quelques points pour avoir anticipé les attaques à l'anthrax de 2001, mais pas beaucoup. Je ne vois pas grand-chose de pertinent pour la réponse à la pandémie de 2020 ici, à part la fermeture des écoles (une idée qui est courante dans les cercles de santé publique américains depuis qu’elle a été testée en 1918) et les limites des rassemblements publics. Il n’y a pas ici la moindre allusion à un confinement massif. Le scénario imagine que des interventions non pharmaceutiques pourraient ralentir les infections, mais ne conçoit jamais qu’elles « écraseront la courbe ». Encore une fois, Dark Winter est structuré de telle sorte que les infections progressent indépendamment de ce que font les participants.
Rigueur : Dark Winter a été conçu par une institution pandémique centrale, et contrairement aux tristes blagues que sont SPARS et « Lock Step », il est en contact avec la recherche épidémiologique contemporaine, bien que celle-ci soit souvent déformée dans le but de provoquer une catastrophe maximale.
Valeur comique : Absolument aucune, les goules de guerre biologique sont un fléau sur terre et si jamais la variole réapparaît, je n'ai aucun doute que ce sera de leur faute.
Le Parmesan contiendra désormais une puce électronique
25 août 2023 par Thomas Oysmuller
Afin d'éviter le piratage des produits, le célèbre Parmigiano Reggiano contiendra à l'avenir une puce en silicium encore plus petite qu'une puce RFID.
Les personnes qui avaient fait soupçonner qu’elles voulaient insérer une puce électronique grâce à la vaccination ont été ridiculisées et pathologisées. Ce qui serait déjà techniquement possible peut maintenant être vu. C'est ce que montre désormais le « vrai » parmesan « Parmigiano Reggiano ». À l’avenir, le fromage légendaire sera doté d’une puce électronique – on dit que sa consommation est totalement inoffensive.
manger avec
Le Wall Street Journal rapporte comment les Européens ont l’intention de « lutter contre les contrefaçons alimentaires » à l’aide de puces électroniques à l’avenir. Les pionniers sont les producteurs de parmesan en Italie, qui souhaitent utiliser « l'innovation » pour lutter contre la contrefaçon de leurs produits.
Le vrai Parmigiano ne peut être produit que dans certaines régions d'Italie, sous des conditions strictes, avec certains ingrédients. Il doit mûrir pendant au moins un an pour être vendu comme représentatif de sa classe.
À l'avenir, une puce de la société américaine p-Chip sera donc placée dans la croûte du fromage. Si cela est mangé, ce n'est pas un problème, déclare le responsable technologique de l'entreprise. Source absolument objective. Il l'aurait testé lui-même.
La puce utilisée est plus petite et plus stable que la puce RFID bien connue et est en silicium. Cependant, les médias allemands écrivent qu'il s'agirait d'une puce de silicium.
Selon des tests, ils survivent également à l’acide gastrique jusqu’à trois semaines. Par conséquent, la consommation de la puce se fait sans hésitation. Il sera simplement « excrété de la manière normale ».
L'entreprise assure également que la puce ne peut pas être suivie à distance. Après tout, vous ne voulez pas « être connu comme l’entreprise accusée de traquer les gens », explique le directeur de la technologie. Apparemment, p-Chip est conscient que la méfiance à l'égard d'une puce dans le fromage est susceptible d'être assez élevée. Le tag p-chip est un appareil passif doté d'une mémoire avec un numéro d'identification unique et d'une option de transmission sans fil. Il est « réveillé » par une lumière laser, c'est-à-dire allumé. Dès sa mise sous tension, il transmet par radiofréquence le numéro de série enregistré à un lecteur spécial. Mesurant 0,5 mm x 0,5 mm, il est suffisamment petit pour être fixé sur divers produits comme dispositif anti-contrefaçon.
Mais cette « innovation » n’est de toute façon pratiquement pas signalée. Si l’utilisation de la technologie dans le Parmigiano Reggiano réussit, elle ne se limitera probablement pas à cela.
L’ONU annonce la création d’une "armée digitale" pour lutter contre une "désinformation meurtrière"
le 25 août 2023 - 12:00
INFORMATION - Faisant de "la lutte contre la désinformation" en ligne "une priorité absolue", les Nations Unies (ONU) ne se contentent plus de discours ou de résolutions sur "la prolifération de la haine et des mensonges" sur les réseaux sociaux. L'organisation intergouvernementale a annoncé ce mois-ci la création d’une "armée digitale", composée de "soldats de la paix" qui "luttent contre la désinformation meurtrière". Déployée par les casques bleus à travers le monde, cette armée devrait "détecter les fausses informations" qui visent à "saper des faits scientifiquement établis" liés à la pandémie de Covid-19 ou au réchauffement climatique, selon les récents dires du Secrétaire général (SG) de l’ONU Antonio Guterres.
Depuis 2020 et la crise du Covid-19, les appels de l’ONU à lutter contre la désinformation se sont multipliés. Déjà en 2019, "la mission des Nations Unies en République démocratique du Congo (RDC) - connue sous son acronyme MONUSCO - a exprimé de graves inquiétudes concernant les campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux appelant à la violence contre les soldats de maintien de la paix", rappelle-t-on.
Antonio Guterres a fait de la lutte contre ce phénomène une "priorité absolue", appelant dès avril 2020 à "rejeter les mensonges et les inepties sur le coronavirus". Au fil des mois et des événements, le SG des Nations Unies alertait sans cesse contre "la prolifération de la haine et des mensonges en ligne", qui provoquent, affirme-t-il, "de graves dommages au niveau mondial". "Cela alimente les conflits, la mort et la destruction. Cela menace la démocratie et les droits humains", estime-t-il, remettant en cause le rôle des "plateformes numériques".
"Pas de définition universellement acceptée de la désinformation" Si les réseaux sociaux "ont transformé les interactions sociales, culturelles et politiques partout dans le monde" en "connectant les citoyens sur des questions importantes", ces plateformes ont également "exposé un côté plus sombre de l’écosystème numérique. Elles ont permis la propagation rapide des mensonges et de la haine, causant de réels dégâts à l'échelle mondiale".
Dans une note diffusée sur le site internet de l’organisation, Guterres, tout en admettant qu’il "n'existe pas de définition universellement acceptée de la désinformation", rappelle que celle-ci peut "survenir dans des contextes variés et complexes, comme le processus électoral, la santé publique, les conflits armés ou le changement climatique", avec pour objectif de "tromper" et "causer un préjudice grave". "Elle peut être diffusée par des acteurs étatiques ou non-étatiques, affecter un vaste éventail de droits fondamentaux, saper la réponse des politiques publiques ou encore amplifier les tensions en période d'urgence ou de conflit armé", a-t-il écrit.
En juin 2023, le SG des Nations Unies est encore revenu à la charge, exprimant leur volonté d'intensifier la lutte contre la "prolifération de la désinformation". La multiplication de nouveaux outils d’intelligence artificielle (IA) suscitait à ce moment-là une profonde inquiétude mais Antonio Guterres insistait sur le "risque existentiel" de la désinformation en ligne à ses yeux, proposant un "code de conduite international".
"La capacité de disséminer à large échelle de la désinformation pour saper des faits scientifiquement établis pose un risque existentiel à l’humanité", a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse, citant comme exemples les risques de violences, les fausses informations véhiculées d'après lui lors de la pandémie de Covid-19 ou encore la propagation de thèses niant la responsabilité de l’humanité dans le changement climatique. "Ces risques se sont encore intensifiés à cause de l’avancée rapide de la technologie, comme l’intelligence artificielle générative", qui permet notamment de créer des deepfakes (des enregistrements vidéo ou audio réalisés ou modifiés grâce à l'IA).
Une "armée" dotée de smartphones, collaboration avec Big Tech
Dans un communiqué de presse publié le 19 août dernier, l’ONU explique le "statu quo n’est pas une option". L'organisation annonce ainsi la mise en place d’une "armée digitale" pour lutter contre une "désinformation meurtrière". "Les soldats de la paix de l'ONU mettent de nouveaux outils entre les mains des civils de tous âges", y compris des personnes encore mineures.
Comment cette "armée" va-t-elle procéder ? Les Nations Unies précisent que leurs "soldats" seront chargés de "détecter des fausses informations" et produire des contenus à l’aide de leurs smartphones et des applications adaptées. Ces contenus, que l’ONU qualifie "d’informations objectives et crédibles", seront diffusés à travers des "clubs relais" qui se chargent de les partager sur les réseaux sociaux. Les "soldats" de cette "armée digitale" seront formés lors d’ateliers animés par les casques bleus, dont certains ont déjà eu lieu en République démocratique du Congo (RDC).
Il ne s’agit pas de la première mesure prise par les Nations Unies pour lutter contre la désinformation. Ce mois-ci, une station de radio visant à "contrer les discours de haine" et les "fake news" (fausses nouvelles) a été lancée à Abiyé au Soudan. Le Programme pour le développement (PNUD) a déployé cette année un outil automatisé de fact-checking (vérification des faits) baptisé "iVerify".
Basée sur l’Intelligence Artificielle, cette solution a été développée en collaboration avec des organisations médiatiques comme International Fact-Checking Network et des géants du numérique comme le groupe Meta. L'ouil "iVerify" a jusque-là été utilisé en Zambie et au Honduras lors d’élections générales, pour lutter, selon l’ONU, contre "la propagation de faux récits pendant les périodes électorales".
Si l'IA, la désinformation en ligne ou le discours de haine sur les réseaux sociaux suscitent des inquiétudes tant chez les acteurs étatiques que non étatiques, cette "armée digitale" onusienne ne rassure pas tout le monde.
Parmi les domaines dans lesquels cette "désinformation" est censée surgir, cités par Antonio Guterres, figurent justement les questions liées au coronavirus ou encore le réchauffement climatique. Des thématiques complexes qui nécessitent des débats, qui évoluent régulièrement avec l'état de la science : certains craignent ainsi des phénomènes de censure.
L’Intelligence Artificielle (IA) s’est développée de façon exponentielle ces dernières années, comme a pu le montrer l’émergence de plateformes telles que ChatGPT. Les entreprises ont d’ailleurs bien compris ce tournant, puisque, selon Gartner, 79 % des organisations voient l’IA, l’analytique et l’automatisation comme essentielles à leur prospérité dans le futur.
Par Jean-Christophe Vitu le 25 août 2023 à 6h05
99 % des spécialistes de la sybersécurité ont intégré l'IA dans leurs outils.
L’IA présente une menace pour la sécurité des entreprises, mais elle peut également aider à protéger les identités L'IA, qui est arrivée très rapidement à la connaissance du grand public, promet aujourd’hui de transformer la société moderne à une vitesse sans précédent. Elle peut faire les devoirs des étudiants, ou bien aider les organisations à prendre de meilleures décisions en matière d'investissement ou de traitement. Mais ces changements bénéfiques s’accompagnent d’utilisations plus discutables.
En matière de cybersécurité, l'IA demeure une arme à double tranchant. Du côté des cybercriminels, notre récente étude a révélé que les professionnels de la cybersécurité considèrent les menaces basées sur l'IA comme prioritaires en 2023. Plus de 90 % s'attendent, en effet, à ce qu’elle ait un impact négatif sur la cybersécurité, en termes de malwares, de phishing, de deepfakes ou d'une autre forme de cybermenace.
Si l'IA ne donne pas lieu à de nouveaux risques, elle peut, par exemple, améliorer la qualité et le volume des attaques de phishing, qui sont l'un des moyens les plus couramment utilisés pour compromettre l'identité et s'introduire dans les organisations. Grâce à l’IA, les hackers peuvent notamment lancer des campagnes massives plus difficile à déceler par les victimes : habituellement, les utilisateurs sont méfiants, surtout lorsqu’ils voient des fautes d’orthographe dans les emails qu’ils reçoivent ; ici, ce type d’erreur est évité et les victimes sont donc plus nombreuses. En outre, les nouvelles technologies intelligentes permettent aussi le vishing, une technique de phishing qui imite la voix d’une personne proche de la victime pour lui soudoyer des informations. Grâce à l’accumulation de données vocales de certaines personnes sur le net, l’outil peut faire dire n’importe quoi à n’importe qui de manière crédible.
Toutefois, l'IA est également un outil devenu indispensable pour se défendre contre les cyberattaques ; 99 % des personnes interrogées ont intégré l'IA d'une manière ou d'une autre, permettant par exemple une détection plus rapide des violations et un contrôle plus précis de l'accès aux données sensibles. Cette technologie contribue également à résoudre un problème très humain : le manque de compétences en cybersécurité auquel de nombreuses organisations sont actuellement confrontées.
Puisque les cybercriminels innovent avec des méthodes automatisées et plus efficaces liées à l’IA, il est important que les experts de la cybersécurité en fassent de même. Cette technologie, désormais incontournable, doit être prise en compte, non seulement au niveau des risques qu’elle entraîne pour la protection des identités, mais aussi pour les opportunités qu’elle créé pour la protection de ces dernières.
Nous parlons ici de machines en panne. Quand une machine est en panne, plutôt que d'appeler un réparateur en urgence il y a l''I.A.'. L'IA va examiner, diagnostiquer les faiblesses mais pas forcément les réparer. Çà, c'est le travail du mécanicien ou de l'électronicien. L'IA agit aussi comme un antivirus, une sorte de Linux à tout faire qui peut réparer les Windows (choses que l'inverse est impossible).
Oui l'IA peut être un anti-virus comme peut être un virus !
Zoom met à jour ses conditions d'utilisation : les experts en matière de confidentialité mettent en garde contre un potentiel VOL DE DONNÉES pour la formation en IA
24/08/2023 Zoey Sky
Fin juillet, Zoom a mis à jour ses conditions de service (TOS). Cette décision a suscité des critiques et de l'indignation de la part des utilisateurs et des experts en cybersécurité qui s'inquiétaient du fait que Zoom utilise les données des clients sans leur autorisation pour entraîner l'intelligence artificielle (IA). Pour apaiser ces craintes concernant la violation de la vie privée, Zoom a révisé ses conditions d'utilisation à deux reprises : d'abord le 7 août, puis de nouveau le 11 août. La société a également publié un article de blog complémentaire pour expliquer son approche de l'IA.
Dans le billet de blog, Zoom a confirmé à trois reprises qu’il n’utiliserait pas le chat, l’audio, la vidéo, le partage d’écran, les pièces jointes ou d’autres communications telles que le contenu client pour former les modèles d’intelligence artificielle de Zoom ou de tiers.
Le contenu client comprend les résultats du sondage, les réactions et le tableau blanc.
Le message affirme que les fonctionnalités d'IA sont désactivées par défaut. Toutefois, si un administrateur de la réunion, qui est généralement l'hôte, les active, la seule façon pour les participants de se désinscrire est de quitter la réunion.
Faisant référence à un arrêt de janvier de la Cour de justice de l'Union européenne contre les pratiques de consentement forcé de Meta, TechCrunch a souligné que même si les utilisateurs de Zoom pouvaient quitter une réunion avec les fonctionnalités Ai activées, cela ne signifie pas automatiquement que Zoom a « un libre choix » sur ce qu'ils font avec les données des utilisateurs.
Les données sont "de l'or" Zoom a déclaré qu'elle conserve tous les droits sur les données générées par le service, ce qui signifie que l'entreprise peut modifier, distribuer, traiter, partager, conserver et stocker lesdites données.
L'avocat W. Scott McCollough, dont l'expérience comprend la rédaction de conditions d'utilisation et de politiques d'utilisation acceptables pour le secteur de la technologie et des télécommunications, a expliqué que c'est ce qu'on peut attendre d'entreprises comme Zoom, qui propose un forfait de base gratuit et des forfaits payants.
McCollough a prévenu que tout service gratuit considère l'utilisateur comme le produit. Il a ajouté que les entreprises trouveront toujours un moyen de « s'approprier et de monétiser les données des utilisateurs », indépendamment de ce que disent les conditions d'utilisation ou des cases sur lesquelles vous cliquez lorsque vous utilisez leurs applications.
Et même s'il existe de nombreuses lois fédérales et étatiques sur la protection de la vie privée, l'exception à toutes est le consentement, a déclaré Greg Glaser, un avocat.
Les données sont importantes. En tant que "nouvel or", Zoom tentera de contourner l'invasion des lois sur la vie privée en affirmant que les utilisateurs "ont consenti à ce que Zoom utilise et entraîne l'IA sur votre propre [appel] vidéo".
Glaser a averti que Zoom pourrait essayer d'utiliser l'IA avancée pour créer des expériences pouvant être vendues. (En relation : Elon Musk annonce la création d’une nouvelle société d’IA après avoir passé des ANNÉES à critiquer le développement rapide de l’IA.)
Selon Search Logistics, Zoom a enregistré 10 millions de participants quotidiens aux réunions en décembre 2019. Depuis lors, Zoom a connu une croissance de plus de 2 900 %.
À ce jour, Zoom compte actuellement en moyenne 300 millions d’utilisateurs actifs quotidiens.
Glaser a déclaré que les géants de la technologie comme Zoom et Meta essayaient de faire valoir dans leurs conditions qu'ils avaient un accès légitime aux informations des consommateurs. À terme, ils auront carte blanche pour créer et utiliser des « émules », ou la version informatique d’une personne réelle.
Cela est lié à des entreprises comme Zoom, Google et Meta qui utilisent délibérément l'IA sur les vidéos privées des utilisateurs. Glaser a ajouté que les entreprises ont de grands projets en matière de données et que les utilisateurs pourraient éventuellement leur être superflus.
Selon le TedTalk de Robin Hanson sur les émules (ems), qu'il définit comme des copies numériques de l'esprit humain, le travail des humains réels consiste simplement à « prendre leur retraite et mourir ».
McCollough a également souligné la structure de propriété de Zoom. La société étant publique, les dirigeants internes en détiennent près de 60 pour cent.
La formation de classe A comprend le lieutenant général (à la retraite) H.R. McMaster, ancien conseiller à la sécurité nationale de Trump, The Vanguard Group et T. Rowe Price. Vanguard et Price sont tous deux importants dans le secteur pharmaceutique, tandis que le premier est également important dans les télécommunications.
Les actions de classe B semblent être détenues par d’autres personnes impliquées dans le capitalisme de surveillance.
Fonctionnalités de l'IA Zoom En mars, Zoom a annoncé des offres d'IA générative qui utilisent des réseaux de neurones pour identifier les modèles et les structures au sein des données existantes afin de créer du contenu nouveau et original.
La dernière fonctionnalité d'IA de Zoom, appelée Zoom IQ, permet aux utilisateurs de générer des réponses de chat à des collègues, de produire des tableaux blancs basés sur des invites textuelles, de fournir des récapitulatifs de réunions et de résumer les fils de discussion dans Zoom Team Chat.
Le défenseur de la confidentialité numérique, Open Rights Group, a exprimé ses inquiétudes quant à la mise à disposition des outils Zoom IQ pour les clients sur la base d'un essai gratuit. Le groupe a averti que l’essai gratuit encourage les clients à « s’inscrire », ce qui rend les révisions des conditions d’utilisation de Zoom alarmantes.
Les utilisateurs qui activent les outils d'IA se verraient présenter un processus de consentement transparent pour former les modèles d'IA de Zoom à l'aide du contenu de leur client, a déclaré Smita Hashim, responsable des produits de Zoom.
Dans le billet de blog, Zoom a insisté sur le fait que les propriétaires de comptes et les administrateurs peuvent contrôler s'ils souhaitent activer ces fonctionnalités d'IA pour leurs comptes.
Mais dans la plupart des cas, l’interaction de l’utilisateur avec le menu d’options est elle-même surveillée, a prévenu McCollough. Il a ajouté que pour des entreprises comme Zoom et leurs services de renseignement, se retirer ou refuser de s'inscrire "est un acte subversif et conduit probablement à un démérite par rapport à votre score de crédit social".
Fight for the Future, un groupe de défense, a récemment lancé une pétition en ligne pour exiger que Zoom revoie sa politique.
Zoom paie 85 millions de dollars pour régler un recours collectif concernant des problèmes de sécurité Zoom a déjà eu des problèmes avec les lois sur la confidentialité. En avril 2022, l’entreprise a payé des millions de dollars pour régler un recours collectif pour des problèmes de sécurité qui ont permis à des pirates informatiques d’interrompre des réunions virtuelles.
La pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) a déclenché une vague inquiétante de « Zoom-bombing » où des pirates informatiques et des farceurs s'immiscent dans des réunions virtuelles avec des messages et des images abusifs.
Zoom a accepté un paiement « historique » de 85 millions de dollars dans le cadre d'un recours collectif intenté par plusieurs utilisateurs qui affirmaient que les perturbations les avaient traumatisés.
Dans le cadre de l'accord de règlement, Zoom versera 85 millions de dollars aux utilisateurs en compensation en espèces. L'entreprise a également promis de réformer ses pratiques commerciales.
La juge fédérale Laurel Beeler de Californie a donné son approbation finale à l'accord.
Lors d’un incident survenu en 2020, l’église luthérienne Saint Paulus de San Francisco organisait un cours d’étude biblique. La plupart des participants étaient des personnes âgées.
Une poursuite fédérale déposée en mai 2020 a révélé qu'après le début de l'appel vidéo de groupe, Zoom avait autorisé un « délinquant connu » à bombarder la classe avec Zoom.
Les participants ont été horrifiés lorsque leurs écrans d’ordinateur ont été piratés et leurs boutons de commande désactivés. Ensuite, les kamikazes de Zoom les ont tous forcés à regarder des séquences vidéo pornographiques.
Les vidéos choquantes comprenaient des images de violences physiques et d’abus sexuels sur des enfants.
L'hôte n'ayant pas pu forcer le pirate de l'air à quitter la salle de réunion, il n'a eu d'autre choix que de demander aux participants de quitter et de rejoindre la réunion.
Cependant, le pirate de l’air a réussi à bombarder à nouveau la réunion avec du contenu graphique. L'incident a laissé l'hôte et les participants "traumatisés et impuissants".
Les plaignants ont également accusé Zoom de partager illégalement des données avec des tiers autorisés tels que Facebook, Google et LinkedIn et de déformer la force de ses protocoles de cryptage de bout en bout.
Apprenez-en davantage sur les dangers potentiels de l’utilisation de l’IA sur FutureScienceNews.com.
Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir comment le PCC utilise Zoom pour collecter des données du monde entier.
Cette vidéo provient des Chinois qui suppriment la chaîne EVIL CCP sur Brighteon.com.
Biais institutionnalisant : les HSH et les entreprises technologiques concluent un accord historique sur l’utilisation du contenu « FAKE NEWS » pour former des chatbots IA.
Chercheurs : les décisions en matière d’IA pourraient provoquer une CATASTROPHE « au niveau nucléaire ».
Google a mis à jour sa politique de confidentialité afin de pouvoir utiliser toutes vos données pour entraîner l'IA.
Google déploie une nouvelle fonctionnalité d'IA générative qui résume les articles – ce qui signifie que vous ne pouvez voir que ce qu'elle vous permet de voir
23/08/2023 Arsenio Toledo
Google a commencé à déployer une nouvelle fonctionnalité Search Generative Experience (SGE) basée sur l'intelligence artificielle, qui résumera les articles recherchés à l'aide du navigateur Web Chrome de l'entreprise.
SGE est déjà actif sur Chrome. Mais la nouvelle fonctionnalité, connue sous le nom de « SGE pendant la navigation », est conçue pour aller encore plus loin en fournissant immédiatement des résumés aux articles sur lesquels les utilisateurs cliquent.
Google a décrit cette nouvelle fonctionnalité comme un outil permettant de « naviguer efficacement dans les informations en ligne » et de mieux interagir avec le contenu long de différents éditeurs et créateurs afin de faciliter la recherche de certains sujets. (Connexe : Google utilise l'IA pour parcourir les comptes Gmail afin de « trouver exactement ce que vous recherchez » – et peut-être PLUS.)
La fonctionnalité n'est actuellement disponible qu'en tant que « première expérience » à laquelle certains utilisateurs de Chrome peuvent adhérer. Les utilisateurs de Chrome qui ont déjà choisi d'utiliser certaines des fonctionnalités antérieures de SGE y auront automatiquement accès.
Pour accéder à cette fonctionnalité de résumé, les utilisateurs qui font défiler les articles sur Chrome verront une option en bas de l'écran indiquant « Obtenir les points clés générés par l'IA » chaque fois que l'IA de Google peut générer des résumés pour les pages qu'ils visitent.
Il y aura également une section « Explorer sur la page » qui montrera aux utilisateurs certains points soulevés par les articles, tels que les questions auxquelles les utilisateurs recherchent des réponses.
La fonctionnalité sera d'abord disponible dans l'application Google sur Android et iOS, et sera disponible sur le navigateur Chrome de bureau "dans les jours à venir". La fonctionnalité de résumé ne sera pas utilisable pour les articles payants, et les éditeurs auront la possibilité de bloquer la fonctionnalité en désignant leur contenu comme payant avec le centre d'aide de Google.
La sortie de cet outil de synthèse alimenté par l'IA s'accompagne d'autres nouvelles fonctionnalités, notamment une où les utilisateurs dans les requêtes de recherche sur des sujets liés à la science, à l'économie et à l'histoire peuvent survoler certains mots pour obtenir des définitions ou des diagrammes et des images.
Une autre nouvelle fonctionnalité permettra aux utilisateurs de SGE de demander de l'aide pour la programmation. L'IA générative permettra désormais aux utilisateurs de comprendre et de déboguer plus facilement le code généré.
Les résumés générés par l’IA pourraient être truffés de préjugés
Christina Maas, écrivant pour Reclaim The Net, a averti que cette nouvelle fonctionnalité d'IA générative n'est que la dernière des attaques de Google contre l'intégrité journalistique équilibrée.
"L'entreprise n'est pas exactement connue pour son objectivité ces dernières années", a-t-elle écrit, notant que les précédents précédents avec Google traitant des informations à conserver et à omettre donnent "une image inquiétante de la propension de Google à filtrer le contenu pour soutenir son propre contenu". perspectives idéologiques. »
"En facilitant ostensiblement un accès simple aux points clés d'un article, complétés par des liens pertinents, Google incite à une ingérence plus directe dans la consommation et l'interprétation des informations", a poursuivi Maas.
Elle a noté qu’il s’agissait d’un grand pas en avant par rapport à la simple possibilité de filtrer quels sites apparaissent en premier dans les requêtes de recherche et quels sites – tels que les sites d’information et d’opinion indépendants et alternatifs – sont effectivement mis sur liste noire dès la première page.
"Cela entraîne une dynamique dans laquelle l'IA de Google devient le principal résumé de l'actualité, ce qui soulève des inquiétudes quant à la diffusion impartiale de l'information", a déclaré Maas.
"De plus en plus de preuves indiquent un biais bien ancré dans les algorithmes et les systèmes de Google", a-t-elle conclu. "Il existe une crainte légitime qu'un tel parti pris envahisse son IA d'information, diluant l'objectivité essentielle à une véritable liberté d'expression."
Apprenez-en davantage sur les derniers développements dans le monde de l’IA sur Robotics.news.
Regardez cette vidéo expliquant comment Google AI contrôle désormais également les plans de vol des avions.
Cette vidéo provient de la chaîne Alex Hammer sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes: Google permet aux utilisateurs de supprimer leurs photos explicites des résultats de recherche.
Les créatifs s'opposent au vol de leur travail par l'IA générative et demandent aux Big Tech de les indemniser équitablement.
Les journalistes des médias grand public sont désormais OBSOLÈTES : Google teste un nouvel outil d’IA capable d’écrire des JOURNÉES et de remplacer les journalistes-propagandistes obéissants.
Google a mis à jour sa politique de confidentialité afin de pouvoir utiliser toutes vos données pour entraîner l'IA.
L’IA générative pourrait remplacer jusqu’à 300 millions d’emplois, principalement des cols blancs, dans le monde.
Non-non, n'allez pas penser qu'à l'avenir il n'existera plus de con car ils résoudront leurs problèmes grâce à l'IA ! Au contraire ! Comme le programme est un programme 'spécial con', le petit con du jour deviendra le super-con du jour !
Apple : vous pourrez réparer vous-même votre iPhone !
Apple, autrefois réticent à l’idée de permettre aux utilisateurs de réparer leurs propres appareils, semble avoir changé d’avis en Californie. Un changement qui étonne mais qui n’est pas infondé et incompatible avec la politique du géant de la tech.
Par Benoit Vrignaud le 25 août 2023 à 12h30
iOS :concentre 17,29 % des parts de marché des systèmes d'exploitation dans le monde
Apple soutient le droit à la réparation en Californie
Depuis ses origines, Apple a toujours été réticent à l'idée que ses utilisateurs démontent et réparent leurs appareils. Cependant, récemment, la firme de Cupertino a exprimé son soutien au projet de loi SB 244 en Californie. Cette loi vise à contraindre les fabricants à fournir les outils, manuels et pièces nécessaires pour réparer les appareils électroniques et électroménagers endommagés. Dans une déclaration, Apple a affirmé soutenir cette loi pour élargir l'accès aux réparations tout en garantissant la sécurité et la vie privée des utilisateurs.
Pendant longtemps, Apple s'est opposé à toute forme de droit à la réparation. Cependant, face à la pression croissante et aux changements de mentalité, notamment en matière d'écologie, Apple semble avoir assoupli sa position. Bien que la société ait mis en place un programme de réparation à domicile, permettant aux clients d'acheter des pièces détachées officielles, ce changement de cap semble être davantage motivé par la protection de son image de marque que par une véritable ouverture à l'idée de la réparation.
Image de marque ou préoccupation réelle
Malgré ce revirement apparent, il y a des nuances à considérer. Par exemple, même si un utilisateur peut remplacer un composant par une pièce d'origine, il doit passer par un serveur Apple pour associer les numéros de série et garantir un fonctionnement normal à l'appareil réparé. Cela pose des problèmes écologiques. Il n'est en effet pas possible de récupérer des pièces fonctionnelles d'un appareil pour en réparer un autre. Il est donc essentiel de passer par Apple. Ce verrouillage fait partie intégrante de la politique interne de l'entreprise. Il montre que, malgré les apparences, la société est toujours guidée par des considérations financières mais aussi par la volonté de garder la main sur tout ce qui touche à ses produits.
Pour la première fois dans l’histoire, l’humanité a un seul ennemi commun
Il ne s’agit plus de nation contre nation, de dirigeant contre dirigeant, de groupe contre groupe, de personne contre personne. Il s’agit de l’humanité contre l’extinction. C’est un combat qui ne peut avoir qu’un seul vainqueur, et c’est un combat que nous ne pouvons gagner qu’ensemble.
CaitlinJohnstone.com 25 août 2023
Lors d’un discours prononcé devant les Nations Unies en 1987, Ronald Reagan a parlé positivement de l’effet unificateur qu’une invasion extraterrestre aurait sur l’humanité dans le monde.
"Dans notre obsession des antagonismes du moment, nous oublions souvent à quel point tous les membres de l'humanité sont unis", a déclaré Reagan. « Peut-être avons-nous besoin d’une menace extérieure et universelle pour nous faire reconnaître ce lien commun. Je pense parfois à la rapidité avec laquelle nos différences à travers le monde disparaîtraient si nous étions confrontés à une menace extraterrestre venant de l’extérieur de ce monde.
Les « antagonismes du moment » dans le cas de Reagan étaient la fin d'une guerre froide avec l'URSS qui avait tenu l'humanité en otage de la menace d'anéantissement nucléaire depuis que les Soviétiques ont fait exploser leur première bombe atomique en 1949. Avant cela, les antagonismes de C'étaient les deux guerres mondiales, et avant cela, d'innombrables conflits entre nations, royaumes, civilisations et tribus s'étendaient au-delà de l'horizon de l'histoire enregistrée.
Les antagonismes se sont poursuivis de moment en moment jusqu’à nos jours, avec une nouvelle guerre froide sur plusieurs fronts qui pourrait devenir brûlante à tout moment, ramenant déjà la menace d’un armageddon nucléaire au premier plan après une brève interruption. Ce qui est absolument ridicule, car, pour la première fois dans l’histoire, l’humanité est confrontée à une menace universelle commune qui devrait nous rassembler.
Cette menace ne nous vient pas de l’extérieur comme dans le scénario hypothétique d’invasion extraterrestre de Reagan, mais de l’intérieur. Pour la première fois dans l’histoire, l’humanité est confrontée avec force à sa propre autodestruction, parce que nous nous dirigeons vers notre propre extinction.
L’humanité a été aux prises avec elle-même tout au long de l’histoire connue, la violence, la guerre et la tyrannie restant une constante comportementale dans le monde entier, aussi loin que nos archives peuvent nous le montrer. Dès que nous sommes devenus le nouveau prédateur suprême sur la scène, nous avons cessé d'avoir à craindre d'être tués par des carnivores affamés et nous nous sommes plutôt inquiétés principalement d'être tués par d'autres humains. D'autres humains qui voulaient nos affaires. D'autres humains qui voulaient notre terre. D'autres humains qui ont servi un dirigeant différent du nôtre. D'autres humains qui adoraient un dieu différent du nôtre. D’autres humains qui ont épousé une idéologie politique différente de la nôtre.
Chaque espèce finit par atteindre un point où elle doit s’adapter à des situations changeantes ou disparaître. Nous arrivons actuellement au nôtre. Je ne sais pas exactement à quoi cela ressemblera si et quand cette adaptation se produira, mais je pense que nous pouvons probablement supposer que cela ressemblerait à une prise de conscience rapide des forces qui déterminent notre comportement, à la fois individuellement et collectivement.
Comme un toxicomane qui a touché le fond, nous allons être confrontés à une forte pression pour examiner ce qui nous pousse à faire les choses que nous faisons. Au niveau individuel, cela se résumera aux constructions psychologiques et aux habitudes intérieures liées à l’ego, qui peuvent être dissipées par un examen intérieur rigoureux. Au niveau collectif, cela dépendra des systèmes, des institutions et des personnes qui maintiennent l’humanité enfermée dans ses schémas autodestructeurs, qui peuvent être dissipés par des révolutions de toutes sortes.
Cela semble être ce vers quoi nous nous dirigeons alors que l’humanité commence à se retourner et à faire face à son ennemi collectif : soit une explosion massive de conscience, soit une horrible extinction auto-infligée. Mais ce vers quoi nous ne nous dirigeons certainement pas, c’est un avenir dans lequel les puissances nucléaires continueront à intensifier leurs agressions les unes contre les autres tout en ignorant la santé de la biosphère dont nous dépendons tous pour notre survie. D’une manière ou d’une autre, ces jours touchent à leur fin.
Il ne s’agit plus de nation contre nation, de dirigeant contre dirigeant, de groupe contre groupe, de personne contre personne. Il s’agit de l’humanité contre l’extinction. C’est un combat qui ne peut avoir qu’un seul vainqueur, et c’est un combat que nous ne pouvons gagner qu’ensemble.
(...) Lors d’un discours prononcé devant les Nations Unies en 1987, Ronald Reagan a parlé positivement de l’effet unificateur qu’une invasion extraterrestre aurait sur l’humanité dans le monde. (...)
C'est 'presque' de l'extraterrestre ! L'intelligence artificelle ! Un PROGRAMME à la con comme une minuterie de la machine à laver ou de la 'valise' ! (dont ce sert un informaticien pour réparer les problèmes d'électronique sur votre voiture).
Aujourd'hui votre frigo, ordi ou votre 'alarme en cas d'infraction à votre propriété' est régi une (ou un ?) fantôme qui a créé LE problème (de type Windows) et... il interviendrait pour le réparer ! Whoâw !
Vraie science contre fausse science : découvrez la vérité sur la soi-disant « urgence climatique »
24/08/2023 Ethan Huff
En ce qui concerne la science entourant le changement climatique, il existe deux camps distincts qui disent des choses opposées sur l’état actuel des conditions météorologiques mondiales. D’un côté, il y a les fanatiques du climat qui insistent sur le fait que le monde est « en ébullition » ou « en train de fondre » et que la seule façon d’y remédier est d’interdire tout ce qui rend la vie moderne vivable. D’un autre côté, il y a les réalistes du climat qui admettent que le climat a toujours changé et qu’il n’existe pas de véritable urgence climatique basée sur les modèles météorologiques historiques.
Le lauréat du prix Nobel, le Dr John Clauser, appartient au deuxième camp, ayant récemment apposé sa signature sur la Déclaration mondiale sur le climat déclarant qu'« il n'y a pas d'urgence climatique ». À l’inverse, « l’apocalyptographe » du climat, Mike Mann, défend une position diamétralement opposée, affirmant que chaque événement météorologique majeur, y compris les récents incendies de Maui et l’ouragan Hilary, est la preuve positive que le réchauffement climatique est réel.
Bien entendu, ces deux hommes ne peuvent pas avoir raison. Seul Clauser détient une position solide qui s’aligne sur la science, tandis que Mann soutient la vision mondialiste conspiratrice selon laquelle chaque activité de l’humanité réchauffe la planète, provoquant ainsi la fonte des calottes glaciaires polaires et l’élévation du niveau des océans.
(Connexe : Découvrez ces 14 villes américaines qui prévoient d'interdire la viande, les produits laitiers, la possession de voitures particulières, les nouveaux vêtements et les voyages aériens commerciaux d'ici 2030.)
Passer au « vert » signifie abaisser le niveau de vie des gens ordinaires tout en permettant aux riches de devenir encore plus riches. Clauser n’est pas le seul à rejeter le discours dominant sur le climat. Il est en fait le deuxième lauréat du prix Nobel à signer la Déclaration mondiale sur le climat, un document qui compte actuellement près de 1 600 signatures importantes.
Clauser a également récemment rejoint le conseil d'administration de la CO2 Coalition, une organisation climatique qui rejette l'idée inventée selon laquelle les « gaz à effet de serre » comme le dioxyde de carbone sont en quelque sorte responsables des événements météorologiques majeurs sur lesquels les « verts » insistent. parce que trop de gens mangent encore de la viande et conduisent des voitures.
"Le discours populaire sur le changement climatique reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l'économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes", aurait déclaré Clauser.
"Une science du climat malavisée s'est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc massive. À son tour, la pseudoscience est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d'autres maux sans rapport. Elle a été promue et étendue par des agents de marketing commercial, des politiciens, des journalistes et des agences gouvernementales tout aussi malavisés. , et les écologistes.
En termes clairs, Clauser a répété à maintes reprises que, sur la base de tout ce qu’il sait et voit, il n’y a absolument aucune crise climatique en cours – du moins pas d’une sorte que les humains peuvent empêcher, en tout cas.
"Il existe cependant un problème très réel pour assurer un niveau de vie décent à l'importante population mondiale et une crise énergétique qui en découle", déclare toutefois Clauser. "Cette dernière situation est inutilement exacerbée par ce qui, à mon avis, est une science climatique incorrecte."
Clauser est assez courageux dans sa position, partageant publiquement chaque changement qu'il obtient, y compris lors du récent événement Quantum Korea 2023. Là-bas, Clauser a averti son auditoire que la pseudoscience et la désinformation autour du changement climatique continuent de croître.
"Attention : si vous faites de la bonne science, cela peut vous conduire dans des domaines politiquement incorrects", a déclaré Clauser lors de l'événement.
"Si vous êtes un bon scientifique, vous les suivrez. J'en ai plusieurs dont je n'aurai pas le temps de parler, mais je peux affirmer avec certitude qu'il n'y a pas de véritable crise climatique et que le changement climatique ne provoque pas d'événements météorologiques extrêmes."
Le canular du changement climatique provoqué par l'homme est un complot mondialiste visant à priver la population mondiale de toute liberté – parce que la liberté « pollue » la planète, nous dit-on. Apprenez-en davantage sur GreenTyranny.news.
Les incendies incandescents de Maui alimentés par des aérosols de chemtrails et du nitrate d'ammonium, préviennent un analyste
24/08/2023 Ethan Huff
Les vents violents à eux seuls n'ont pas suffi à déclencher les incendies de Maui, qui ont détruit quelque 2 200 structures et tué des centaines, voire des milliers de personnes. Il fallait également du carburant, et en grande quantité, sous forme d'aérosols de chemtrails et de nitrate d'ammonium. Même les arbres peu présents dans cette partie de l’île n’auraient pas constitué suffisamment de carburant pour provoquer les enfers incinérant les voitures et créant de la poussière blanche qui ont laissé Lahaina complètement dévastée et pratiquement inexistante.
"Si ce n'est pas un incendie de forêt, alors quel a été le combustible qui a allumé les incendies pour qu'ils brûlent sur différents supports et matériaux ?" » demande James Grundvig, écrivant pour American Media Periscope.
"Qu'est-ce qui a déclenché les incendies qui ont brûlé des métaux et des plastiques, surchauffé des blocs et des briques de CMU, fondu des pare-brise et des alliages métalliques de jantes et des bateaux en fibre de verre retirés du port ?"
La première réponse est toute cette géo-ingénierie qui a eu lieu à Maui depuis au moins une décennie, transformant le ciel de l'île d'un bleu cristallin avec peut-être quelques nuages gonflés et de la pluie de temps en temps en une brume blanche persistante.
Cette brume, nous le savons désormais, est composée de trois substances chimiques principales : le baryum (Ba), l'aluminium (Al) et le strontium-90 (90Sr), ce dernier étant un isotope radioactif.
"Pour ceux qui s'éveillent maintenant aux pulvérisations au-dessus de leur tête, notez que le baryum et l'aluminium combinés font de "Ba'al", l'un des dieux démoniaques que les humains vénèrent à basse fréquence", note Grundvig en guise d'encadré à cette sinistre équation.
(Connexe : Il semble bien que les incendies de Maui étaient un complot de gauche visant à propager davantage de peur et d’anxiété climatiques.)
En utilisant du nitrate d'ammonium comme accélérateur oxygénant, les incendies de Maui ont pu brûler des voitures et de l'acier tout en laissant les arbres tranquilles. L’autre ingrédient apparent des incendies de Maui est le nitrate d’ammonium, dont plusieurs tonnes ont mystérieusement et commodément disparu d’un train de marchandises en Californie le 30 mai dernier.
Le nitrate d'ammonium est la même substance qui avait déjà été utilisée lors de l'attentat à la bombe d'Oklahoma City en 1995, ainsi que lors de l'explosion de 2011 à Oslo, en Norvège. Le nitrate d’ammonium est également utilisé pour fabriquer des voitures piégées.
Connu scientifiquement sous le nom de NH4NO3, le nitrate d’ammonium n’est pas inflammable et ne peut pas non plus s’enflammer tout seul. Cependant, il brûle et se décompose en présence d'autres catalyseurs, créant une fumée blanche ou de couleur claire comme celle observée à Lahaina lors des incendies.
Ce qui rend un feu alimenté au NH4NO3 unique, c'est qu'au lieu de briller en rouge ou dans une autre couleur typique associée à un incendie de forêt, il brûle de manière claire et blanche.
"Le nitrate d'ammonium est un oxydant ; il favorise la combustion d'autres matériaux", explique Grundvig.
"Lorsqu'une réaction violente se produit, comme l'explosion d'une bombe ou une explosion, le nuage qui en résulte est principalement constitué d'oxyde d'azote et de vapeur d'eau. Essentiellement, le nitrate d'ammonium libère de l'oxygène. L'oxygène est le combustible dont un incendie a besoin pour éclater et se propager."
En d’autres termes, le NH4NO3 agit comme un oxygénateur pour vraiment attiser un incendie et le rendre plus chaud et plus mortel que la normale. Cela semble être la raison pour laquelle les incendies de Maui ont pu faire fondre l'acier des voitures et des structures de bâtiments dotées de renforts en acier.
"Maintenant, ajoutez les revêtements de nanopoussières métalliques issus d'années de chemtrails avec une nouvelle couche de nitrate d'ammonium et tout ce dont la tempête de feu de Maui avait besoin était une étincelle", affirme Grundvig.
"Oui, le dispositif DEW (arme à énergie dirigée), qu'il s'agisse d'un laser provenant d'un avion qui passe, d'un satellite ou d'un ballon espion chinois. Il n'en faudrait pas beaucoup pour exploser l'enfer la nuit."
"L'État Profond a créé le carburant parfait, qui a expliqué comment les bateaux, les véhicules et les structures ont tous brûlé en même temps, et pourquoi les arbres ont survécu pour la plupart, y compris le banian vieux de 150 ans qui centre Lahaina."
Quels autres complots de terrorisme environnemental le gouvernement s’apprête-t-il à déclencher ? Pour en savoir plus, consultez FalseFlag.news.
Températures record et orages violents : la France face à une double menace !
La France est actuellement en proie à des conditions météorologiques extrêmes. Alors que le sud du pays ressent les derniers effets d’une canicule étouffante, une vague orageuse menace trois quarts du territoire. La vigilance est de mise, et il est crucial de connaître les départements concernés pour prendre les précautions nécessaires.
Par Paolo Garoscio le 25 août 2023 à 11h00
78% de la population française a été touchée par la canicule en 2022.
Une canicule persistante dans le Sud-Est
La canicule, phénomène météorologique caractérisé par une chaleur intense et durable, touche principalement le quart Sud-Est de la France.
Les départements concernés par cette vigilance orange à la canicule comprennent l'Ain, les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche, l'Aude, les Bouches-du-Rhône, la Haute-Corse, la Drôme, le Gard, l'Hérault, l'Isère, la Loire, la Haute-Loire, les Pyrénées-Orientales, le Rhône, la Savoie, la Haute-Savoie, le Var et le Vaucluse. L'Andorre est également touchée.
Les records de température continuent d'être battus avec des valeurs ayant atteint 42,9°C à Mirande, 42,5°C à Montauban et Agen, ou encore 41,4°C à Lyon le 24 août 2023. Mais la situation va s’améliorer vendredi 25 août 2023. Les premières chutes de pluie ont même été signalées du côté de Lyon.
Orages : une menace imminente pour le Nord-Est
Parallèlement à la canicule, une vigilance orange aux orages concerne des départements allant de la Drôme au Nord. Cette liste inclut l'Ain, l'Aisne, l'Allier, l'Ardèche, les Ardennes, l'Aube, la Côte-d'Or, le Doubs, la Drôme, l'Isère, le Jura, la Loire, la Haute-Loire, la Marne, la Haute-Marne, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, la Moselle, la Nièvre, le Nord, l'Oise, le Puy-de-Dôme, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, le Rhône, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, les Vosges, l'Yonne et le Territoire de Belfort.
Ces orages, qualifiés de "parfois violents" par Météo France, pourraient entraîner des pluies intenses (jusqu'à 50 à 60 mm en peu de temps), des chutes de grêle et des rafales de vent pouvant atteindre 100 km/h.
Recommandations et précautions face à la double alerte canicule orages Face à ces conditions météorologiques extrêmes, il est essentiel de rester informé et de suivre les recommandations des autorités.
Pour la canicule, pensez à vous hydrater régulièrement, évitez les efforts physiques et restez à l'ombre.
Pour les orages, éloignez-vous des fenêtres, évitez d'utiliser des appareils électriques et ne vous abritez pas sous les arbres.
Le détail des alertes canicule et orages département par département
Hugging Face : cette start-up française lève 235 millions de dollars
La start-up Hugging Face, née de l’ambition de trois Français, vient de réaliser une levée de fonds impressionnante de 235 millions de dollars, attirant l’attention des géants mondiaux de la tech. Cette levée marque une étape cruciale dans l’évolution de l’entreprise, qui se positionne comme une référence dans le domaine de l’intelligence artificielle open source.
Par Nicolas Egon le 25 août 2023 à 12h00
En 2022, l'entreprise avait procédé, à une levée de fonds de 100 millions de dollars 1
Hugging Face : un acteur majeur de l'IA en open source
Hugging Face, fondée en 2016, a parcouru un long chemin depuis ses débuts en tant que simple chatbot sur iPhone. Aujourd'hui, elle est souvent surnommée le « GitHub de l'IA », hébergeant plus de 500 000 modèles d'intelligence artificielle et 250 000 ensembles de données sur sa plateforme. Avec plus de 10 000 clients payants, la société a su se démarquer en proposant une plateforme collaborative en open source, permettant aux développeurs du monde entier de partager, adapter et améliorer des modèles pré-entraînés.
La récente levée de fonds a propulsé la valorisation de Hugging Face à 4,5 milliards de dollars, soit plus du double de sa valeur précédente. Cette croissance fulgurante est le fruit d'une vision claire et d'une collaboration étroite avec des acteurs majeurs de la tech tels que Google, Amazon, Nvidia et bien d'autres.
Les raisons d'une levée de fonds record
La levée de fonds de 235 millions de dollars, orchestrée par Salesforce Ventures, a été motivée par la volonté de Hugging Face de renforcer sa position dominante dans le secteur de l'IA. Les fonds levés seront utilisés pour élargir l'équipe, qui compte actuellement 170 employés, dont 80 en France, et pour renforcer les efforts collaboratifs de la plateforme.
Les géants de la tech ont choisi d'investir dans Hugging Face car ils reconnaissent la valeur de la plateforme. Nvidia, par exemple, a récemment annoncé que les services d'Hugging Face seraient hébergés sur son cloud DGX, spécialisé dans l'IA. De plus, des entreprises telles que Renault, Pfizer et Roche utilisent la bibliothèque open source de Hugging Face pour accélérer leurs services alimentés par l'IA.
Le problème n’est pas la pénurie de logements, c’est la concentration de la propriété par les riches
23 août 2023 Charles Hugh Smith
Cette concentration de la propriété immobilière par les riches est le résultat direct de la Réserve fédérale et des politiques fédérales qui profitent aux riches.
On nous dit que les loyers et les prix des logements exorbitants sont le résultat d’une pénurie de logements. La solution est simple : construire plus de logements.
Cela semble évident, mais la réalité est que le problème n’est pas une pénurie, c’est la concentration de la propriété immobilière dans les 10 % les plus riches, les mêmes 10 % qui possèdent la majorité des autres actifs générateurs de revenus comme les actions et les obligations.
Le problème est que les riches thésaurisent le logement comme un simple actif générateur de revenus à accumuler parce que les banques centrales et les politiques économico-financières des dernières décennies ont favorisé le capital au détriment du travail et des déjà riches qui ont acheté des actifs quand ils étaient bon marché.
Les milliers de milliards de dollars de nouveaux crédits ont été distribués de manière asymétrique : les plus solvables, avec les revenus et les garanties les plus élevés, appartiennent aux 10 % les plus riches, et ont donc accaparé la majeure partie du crédit. Étant donné que l’immobilier dépend fortement du crédit (20 % en baisse et 80 % emprunté, contrairement aux actions et aux obligations), cet afflux massif de crédit à faible coût a conduit les 10 % les plus riches à accumuler des logements d’investissement.
En d’autres termes, la répartition asymétrique du crédit a concentré la propriété du logement entre les mains d’une minorité au détriment du plus grand nombre. Les riches se sont lancés dans des guerres d'enchères pour les « logements excédentaires » avec d'autres riches, un processus d'enchères basé en grande partie sur qui avait accès au crédit le moins cher et dont la richesse existante avait le plus gonflé dans la bulle de tout générée par la banque centrale.
Ceux qui ne disposaient pas d'une garantie de bulle de crédit ou de l'argent gratuit émis par la Banque de Maman et Papa ne pouvaient pas rivaliser.
Compte tenu de ces asymétries en matière de crédit, de garanties et de richesse familiale, il était impossible que les riches ne se retrouvent pas avec la part du lion des « logements excédentaires », tout comme ils finissaient par posséder la part du lion des actions, des obligations, des métaux précieux et des crypto-monnaies. , œuvres d'art, etc.
Il existe de nombreuses sources de rétention de logements. L’un est l’héritage. Les parents emménagent dans une résidence-services ou décèdent, et comme la famille était suffisamment riche pour aider les enfants à acheter leur propre maison dès leur plus jeune âge, la maison des parents constitue un « capital excédentaire » qui reste dans la famille.
Un autre exemple est l’achat par les entreprises de propriétés locatives. La hausse constante des loyers (voir le dernier graphique ci-dessous) fait du logement locatif un investissement attractif et à faible risque, de sorte que les entreprises ont fait appel à leurs lignes de crédit ou au marché des obligations d'entreprises pour acquérir des dizaines de milliers de logements locatifs. Étant donné que les coûts de capital et de gestion des entreprises sont inférieurs à ceux des ménages, les entreprises peuvent se permettre d’être moins sensibles aux prix. Les acheteurs individuels pourraient être surenchéris par les entreprises.
Une troisième source est le récent « engouement pour les investissements » pour les locations de vacances à court terme (STVR), les riches ayant entendu des histoires selon lesquelles d'autres personnes riches recevaient 10 000 $ par mois dans des maisons qui rapportaient 2 000 $ par mois en location à long terme.
Ce différentiel a déclenché un tsunami d'achats de maisons par les riches cherchant à maximiser leurs gains grâce à un crédit bon marché et à un « excédent de capital » stagnant sur leurs comptes et rapportant des intérêts proches de zéro.
De manière classique, cette frénésie de ruée vers les terres pour capter les profits démesurés du STVR a englouti tout le stock de logements, créant une pénurie induite par le crédit. Toujours de manière classique, les riches enchérisseurs ont commencé à baser leurs offres non pas sur 3 000 dollars par mois via des revenus de location à long terme, mais sur 12 000 dollars par mois (en haute saison) provenant de touristes insensibles aux prix via STVR.
Le déluge de « dépenses de vengeance » déclenché après la fin des confinements pandémiques a exacerbé l’avidité et l’acquisition de logements pour des locations de vacances à court terme. 12 000 $ par mois, c'était désormais de la monnaie ; le prix a grimpé à 15 000 $, et assez vite, c'était une « bonne affaire » qui avait besoin d'un autre coup de pouce.
Ceux qui cherchaient désespérément des vacances, quel qu'en soit le prix, constituaient la clientèle idéale pour les prix abusifs généralisés, c'est-à-dire pour « maximiser le retour sur investissement ».
La véritable ampleur de cette ruée des riches vers les STVR est difficile à évaluer pour diverses raisons. Pour bénéficier de taux d’hypothèque et d’impôt foncier préférentiels, certains nouveaux propriétaires peuvent avoir demandé la résidence ou inscrit le nouvel achat comme résidence secondaire. La seule façon d’évaluer avec précision l’ampleur réelle est de regrouper les licences STVR dans des localités qui exigent que les propriétaires de STVR obtiennent des permis et paient des frais d’enregistrement annuels.
Considérez les faits présentés ci-dessous. La bulle immobilière actuelle est le résultat direct du flot de mesures de relance émises par la Réserve fédérale et le Trésor après la pandémie. Notez l’augmentation massive des achats d’investissements qui en a résulté.
- voir graph sur site -
Le troisième graphique montre que la population américaine a augmenté de 4 millions entre 2019 et 2023, tandis que le logement a augmenté de 5 millions d'unités. Euh, OK, où est la rareté alors que le logement par habitant (par personne) atteint des niveaux record ?
Le quatrième graphique montre que la cohorte la plus active d'acheteurs de maisons (âgées de 25 à 54 ans) a stagné depuis 2008, tout comme le nombre de personnes employées et donc en mesure d'obtenir et de payer un prêt hypothécaire. Ce qui a grimpé en flèche, ce n'est pas le nombre d'acheteurs de logements salariés, mais plutôt le crédit et les mesures de relance des banques centrales et du gouvernement : le bilan de la Fed et les avoirs en titres adossés à des créances hypothécaires ont grimpé en flèche (cinquième graphique), ce qui a entraîné une hausse directe du logement via la baisse des taux hypothécaires, et dépenses fédérales déficitaires.
Les riches accumulent des logements parce que le système les incite à investir « l’excédent de capital et de crédit » dans le logement. Cette concentration de la propriété immobilière parmi les riches est le résultat direct de la Réserve fédérale et des politiques fédérales qui profitent aux riches.
Comme l'a dit Suzanne S., correspondante de longue date : « Je ne suis pas sûre que nous soyons confrontés à une crise du logement autant qu'à une crise de la propriété. »
Subway : la chaîne de sandwiches rachetée, et cher !
La célèbre chaîne de sandwiches Subway a récemment été au cœur d’une transaction majeure. Découvrez les détails de cette acquisition qui fait grand bruit dans le secteur de la restauration.
Par Benoit Vrignaud le 25 août 2023 à 10h30
Les offres de rachat, restées confidentielles, auraient avoisinées 9 milliards de dollars.
Un rachat historique pour Subway
Subway, la chaîne américaine emblématique de sandwiches, a officiellement annoncé son rachat par la société d'investissements américaine Roark Capital. Bien que le montant exact de la transaction n'ait pas été divulgué, des sources proches des négociations ont mentionné des offres dépassant les 9 milliards de dollars. Le Wall Street Journal a même évoqué une offre avoisinant les 9,6 milliards de dollars.
Si ces chiffres s'avèrent réels, cette acquisition se classerait parmi les plus importantes dans le secteur de la restauration aux États-Unis. Elle surpasserait alors de nombreuses transactions mémorables de ces dernières années.
Subway : une transformation en cours
Face à une concurrence accrue et aux défis posés par la pandémie, Subway a entamé un processus de transformation. La chaîne a travaillé sur la modernisation de ses points de vente et l'amélioration de l'expérience client. Fondée en 1965, Subway possède aujourd'hui plus de 37.000 restaurants dans plus de 100 pays, dont 21.000 aux États-Unis.
Malgré les défis, les efforts de transformation de la marque semblent porter leurs fruits, avec une augmentation notable des ventes en Amérique du Nord au premier semestre 2023. Il faut dire que pour de la restauration rapide, Subway rassemble tous les critères qui plaisent. Que ce soit la vitesse de préparation des sandwichs jusqu'à leur composition personnalisée, Subway a tous les atouts.
Le futur du fastfood sous Roark Capital
Roark Capital, qui deviendra le nouveau propriétaire de Subway, est déjà un acteur majeur dans le monde de la restauration. Avec des marques comme Jimmy John's, Arby's, Baskin-Robbins et Buffalo Wild Wings sous son aile, Roark Capital apporte une expertise considérable à la table. Neil Saunders, directeur général de GlobalData, estime que l'expérience de Roark dans la croissance des marques de restauration sera bénéfique pour Subway, en particulier sur le marché américain. Bien que les marques du groupe ne soient pas très présentes en Europe, elles assurent au nouveau propriétaire un début de statut concurrentiel. De quoi faire face aux géants du secteur du fastfood aux États-Unis.
Visualiser tous les partenaires commerciaux de la Chine
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 25 AOÛT 2023 - 02:15
La Chine est un acteur redoutable sur la scène commerciale mondiale, exerçant son influence en tant que premier exportateur mondial de marchandises.
Avec un réseau complexe de partenariats commerciaux couvrant plus de 200 pays, régions et territoires, la deuxième économie mondiale entretient d’importantes relations économiques avec ses alliés et ses adversaires.
En utilisant les données commerciales de 2022 de l'Administration générale des douanes chinoises, ce graphique de Truman Du et Omri Wallach de Visual Capitalist répartit les principaux partenaires commerciaux du pays en termes d'importations et d'exportations par destination.
- voir cadre sur site -
Importations et exportations de la Chine par pays en 2022
Au cours de l’année 2022, la Chine a enregistré des exportations totalisant 3 570 milliards de dollars et des importations totalisant 2 710 milliards de dollars, ce qui lui confère un énorme excédent commercial de 857 milliards de dollars.
🇮🇶 Iraq $39.4B $13.8B -$-25.6B 🇴🇲 Oman $36.2B $4.2B -$-32.1B 🇰🇷 Republic of Korea $199.1B $161.3B -$-37.8B 🇷🇺 Russia $114.4B $75.6B -$-38.7B 🇸🇦 Saudi Arabia $78.1B $37.7B -$-40.4B 🇨🇭 Switzerland $49.7B $7.6B -$-42.1B 🇧🇷 Brazil $109.4B $61.8B -$-47.6B 🇦🇺 Australia $142.1B $78.5B -$-63.6B 🇨🇳 China $121.9B N/A -$-121.9B 🇹🇼 Taiwan $237.2B $81.5B -$-155.8B
La Chine a enregistré des excédents commerciaux individuels avec l’écrasante majorité de ses partenaires commerciaux : 174 des 234 pays et territoires répertoriés.
Ces excédents commerciaux sont particulièrement visibles dans les relations commerciales de la Chine avec plusieurs des plus grandes économies mondiales, dont les États-Unis et l’Inde, avec respectivement 401,1 milliards de dollars et 100,3 milliards de dollars d’excédents.
Parallèlement, une bonne partie des déficits commerciaux du pays concernent les principales économies asiatiques. Son déficit le plus important se situe avec Taiwan, provenant principalement des importations de circuits intégrés. La Chine présente également des déficits avec le Japon (-11,9 milliards de dollars) et la Corée du Sud (-37,8 milliards de dollars), respectivement les deuxième et quatrième économies de la région, en grande partie à cause des importations d'électronique et de machines.
Les autres déficits commerciaux du pays proviennent de la satisfaction de besoins stratégiques. Par exemple, la Chine a des déficits avec des pays producteurs de pétrole comme la Russie et l’Arabie Saoudite. Le pays connaît également un déficit commercial avec l’Australie, un fournisseur clé de matières premières telles que le fer, l’or, le lithium et le gaz de pétrole liquéfié.
L’évolution des relations commerciales avec la Chine Les relations commerciales de la Chine vont bien au-delà des simples considérations économiques ; ils reflètent également des facteurs historiques, géopolitiques et stratégiques.
Le rôle majeur de Taiwan sur le marché des semi-conducteurs, par exemple, en fait à la fois un partenaire commercial précieux et un rival controversé. La Chine considère Taiwan comme une partie de son territoire, tandis que Taiwan fonctionne comme une entité distincte et autonome.
De même, les investissements croissants de la Chine dans les infrastructures dans certaines parties de l’Asie et de l’Afrique commencent à refléter la croissance des balances commerciales avec les pays en développement appelés à devenir des partenaires commerciaux majeurs à l’avenir.
À mesure que l’économie chinoise évolue (et s’affaiblit potentiellement), ses relations avec ses alliés et ses ennemis potentiels ne feront que devenir plus complexes.
Sondage Gallup : Los Angeles parmi cinq villes jugées dangereuses pour vivre ou visiter
23/08/2023 Richard Brown
Los Angeles a une identité complexe et à plusieurs niveaux. Avec son industrie du divertissement fastueuse, sa diversité culturelle et ses monuments emblématiques, elle captive l'imagination du monde entier.
Cependant, sous cette surface scintillante, la ville est aux prises avec un défi persistant : la criminalité. De la violence des gangs aux crimes contre les biens, Los Angeles est confrontée à une bataille multiforme pour maintenir la sûreté et la sécurité de ses résidents et visiteurs.
Selon le dernier sondage Gallup, qui a étudié la perception des Américains en matière de sécurité dans les grandes villes américaines, Los Angeles se trouve dans une position défavorable. Classée troisième en partant du bas de la liste des 16 villes, Los Angeles est considérée comme dangereuse pour y vivre ou la visiter par 58 % des personnes interrogées. (Connexe : SONDAGE : 40 % des Californiens envisagent de QUITTER en raison du coût de la vie élevé, des politiques laxistes à l'égard de la criminalité et de la politique réveillée.)
Parmi les facteurs contribuant à ces préoccupations figure la question des crimes violents.
Los Angeles, bastion démocrate, a un taux de crimes violents de 29,1, supérieur à la moyenne américaine de 22,7. La violence liée aux gangs a longtemps été une épine dans le pied de la ville, contribuant à l'image de certains quartiers comme des zones à haut risque.
L'un des principaux points de discorde dans le discours sur la criminalité est le procureur de district de la ville, George Gascon, qui est indulgent envers la criminalité. Accusé de mettre en œuvre des politiques perçues comme indulgentes à l'égard de la criminalité, Gascon a été critiqué pour son approche des accusations liées à la toxicomanie et à l'itinérance.
Ses politiques s'abstiennent de porter des accusations telles que trouble à l'ordre public, simple possession de drogue et intrusion, recommandant plutôt des suspects à des programmes de déjudiciarisation en matière de santé mentale. Cette approche a déclenché des débats sur la nécessité de trouver un équilibre entre la sécurité publique et la nécessité d'une réforme du système de justice pénale.
Rejoignant Los Angeles dans le groupe de cinq villes jugées dangereuses par au moins la moitié des personnes interrogées sont Philadelphie (50 %), New York (57 %), Chicago (70 %) et Détroit (73 %).
San Francisco, une autre grande ville de Californie, se retrouve également dans la moitié inférieure des 16 villes incluses dans l'enquête, avec 46 % des personnes interrogées déclarant qu'il n'est pas sûr d'y vivre ou de s'y rendre. La City by the Bay est à égalité avec Washington aux 10e et 11e places.
Une enquête met en évidence les divisions partisanes dans les perceptions de la sécurité en ville Le sondage Gallup met en évidence une division partisane dans les perceptions de la sécurité en ville.
Les démocrates et les indépendants de tendance démocrate considèrent qu'un plus grand nombre de villes sont sûres, les républicains exprimant de plus grandes inquiétudes. Cette division soulève des questions sur le récit plus large entourant la criminalité et la sécurité dans le pays, ainsi que sur son impact sur les décisions politiques.
La plupart des démocrates estiment que presque toutes les villes sont sûres, à l'exception de Chicago et de Détroit. La plupart des Républicains, en revanche, considèrent que seules cinq villes sont sûres : Las Vegas, Miami, Dallas, Boston et Houston. Les démocrates sont les plus enclins à considérer Seattle et Boston comme des villes sûres, tandis que Boston et Dallas se classent parmi les villes les plus sûres parmi les républicains.
Dallas arrive en tête de liste des villes les plus sûres, suivie de Boston et Seattle.
Près des trois quarts des adultes américains trouvent Dallas (74 %) et Boston (72 %) sûres, avec des majorités allant de 52 à 63 % considérant neuf autres villes comme sûres. Ces villes comprennent Seattle, Las Vegas, Miami, Minneapolis, Houston, la Nouvelle-Orléans, Atlanta, San Francisco et Washington, D.C.
En revanche, moins de la moitié des Américains pensent que Philadelphie (47 %), New York (41 %) et Los Angeles (41 %) sont sûres, tandis que seulement 26 % considèrent Détroit comme sûre et 27 % perçoivent Chicago comme sûre.
Les différences dans les perceptions de la sécurité en ville restent constantes selon le sexe et le revenu annuel des ménages, avec des écarts minimes selon l'âge, l'urbanité et le niveau d'éducation. Les jeunes adultes, les citadins et les diplômés universitaires ont tendance à considérer les villes comme plus sûres.
Visitez Collapsifornia.com pour plus d’informations sur la Californie.
Regardez cette vidéo récente montrant un centre commercial de Los Angeles saccagé.
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
Californie DA : Le vol à l'étalage dans le Golden State est hors de contrôle et la politique laxiste en matière de criminalité est à blâmer.
Doug Casey sur l'augmentation de la criminalité, la légalisation du vol à l'étalage et d'autres tendances inquiétantes dans les villes américaines.
Où est l'amour ? Philadelphie connaît la pire augmentation de la criminalité VIOLENTE de l'histoire de la ville.
Incendies de forêt – le rituel médiatique de l'été dans la lutte pour le climat
RépondreSupprimer24.08.2023
www.kla.tv/26860
En Grèce, à Rhodes, les forêts brûlent
Feu de forêt à La Palma : plus de 4 000 personnes évacuées
Incendies de forêt en Europe : où les vacanciers doivent-ils être particulièrement vigilants ?
Tous les ans, on peut presque régler l'horloge, les mêmes informations se succèdent dans les médias. L'une d'entre elles concerne les incendies de forêt. Lorsqu'il n'a pas plu depuis longtemps, cela favorise les incendies de forêt, disent les médias. Le réflexe est de sortir le changement climatique de la boîte. Mais ce n'est que partiellement la cause.
Les incendies de forêt sont presque toujours dus à l'homme, soit intentionnellement, soit par négligence. C'est ce que confirme le professeur Michael Müller de la faculté des sciences de l'environnement qui, actif dans l'enseignement et la recherche, s'occupe de l'apparition des incendies de forêt. Selon lui, les incendies de forêt sont presque toujours causés par l'homme.
Jörg Kachelmann se défend également auprès du « Spiegel » contre un mythe récurrent : « Prenez également note du fait que la chaleur ne produit pas des incendies de forêt. Il faut 250 à 300 degrés pour que la végétation s’enflamme. Tous les incendies de forêt qui se produisent ces jours-ci sont le résultat soit d'une négligence, soit d'un acte intentionnel.
En Allemagne, le problème des incendies de forêt dévastateurs de Jüterbog dans le Brandebourg ou de Lübtheen dans le Mecklembourg venait du fait que ces terrains avaient servi à l'entraînement militaire pendant des décennies. Le sol est contaminé par des munitions, les travaux d'extinction sont dangereux et peuvent être mortels. Les pompiers ne peuvent y combattre le feu qu'à partir de ruelles dégagées, ce qui ne peut être efficace. On y laisse donc le feu faire son œuvre tant que personne n'est en danger.
Le professeur Michael Müller a confirmé qu'en 2018/19 déjà, tous les grands incendies de forêt s'étaient déclarés sur des surfaces contaminées par des munitions et, par conséquent, ne pouvaient être combattus directement. Ce n'était donc pas le changement climatique qui était en cause, mais la contamination du sol par les munitions. Le fait que les forêts du Brandebourg, du Mecklembourg, de Thuringe et du Harz soient caractérisées par de nombreuses monocultures de conifères complique encore l'extinction des incendies. Leurs aiguilles brûlent particulièrement bien en cas d'incendie et le feu se propage.
L'interdiction de déblayer le bois mort, dictée par l'idéologie, a également des conséquences catastrophiques. Le bois mort qui n'est pas enlevé brûle comme de l'amadou en période de sécheresse et est notamment responsable des dégâts dévastateurs dans le parc national de la Suisse saxonne et dans le parc national du Harz, autour du Brocken. L'administration du parc national, suivant l'idéologie verte, a émis la maxime « laisser la nature être la nature » et empêche ainsi presque tous les travaux d'entretien des forêts dans le parc national.
Aux États-Unis, au Colorado, on a également identifié d'autres causes pour les incendies dévastateurs. Des terrains à bâtir y ont été autorisés à côté de terres inflammables et des maisons ont été construites avec des matériaux inflammables.
RépondreSupprimerAu lieu de dévoiler sérieusement les véritables causes et de les éliminer, on exploité les in-cendies de forêt pour continuer à alimenter – au sens propre du terme – la « chanson des catastrophes climatiques ».
de pi. ah. rw.
Sources / Liens :
Cause des incendies criminels
https://tu-dresden.de/tu-dresden/newsportal/news/waldbraende-werden-fast-immer-durch-menschen-verursacht
https://www.feuerwehr-ub.de/normen-recht-wissen/fachartikel/brandstiftung-ist-haeufigste-waldbrand-ursache/
https://www.derwesten.de/panorama/vermischtes/wetter-news-joerg-kachelmann-ard-vorhersage-hitze-deutschland-ventilator-braende-id235931281.html
https://archiv.klimanachrichten.de/deutschland-waldbraende-und-klimawandel-2019
Bois mort en cause
https://eike-klima-energie.eu/2022/08/05/menschgemachter-klimawandel-oder-menschgemachte-waldbraende/
https://vera-lengsfeld.de/2022/08/01/die-rolle-des-politisch-gewollten-totholzes-bei-den-aktuellen-waldbraenden/
Ce que les médias ne disent pas :
https://eike-klima-energie.eu/2023/06/17/was-die-medien-verschweigen-ueber-wald-und-buschbraende/
https://eike-klima-energie.eu/2023/06/16/das-sommer-ritual/
Les gros titres dans les médias :
https://www.thueringer-allgemeine.de/leben/vermischtes/waldbraende-europa-urlaub-hitze-griechenland-spanien-italien-id238986043.html
Mitteldeutsche Zeitung du 24.7.23
https://www.merkur.de/welt/waldbrand-auf-la-palma-mehr-als-4000-menschen-evakuiert-zr-92404378.html
https://www.kla.tv/fr
Fauci déclare que les confinements étaient « absolument justifiés » et suggère qu'ils devraient être à nouveau utilisés pour forcer les vaccinations
RépondreSupprimerUn bureaucrate du gouvernement à la retraite affirme que la tragédie de Maui était due au changement climatique.
Par Jordan Schachtel
Recherche mondiale,
25 août 2023
Anthony Fauci , bureaucrate du gouvernement récemment retraité , vient d'apparaître lors d'un événement virtuel universitaire intitulé « Leçons sur la pandémie et rôle des professeurs dans la préparation à une pandémie avec le Dr Anthony Fauci ». Au cours de la conversation, Fauci, qui est désormais affilié à l’Université de Georgetown, a clairement indiqué qu’il soutenait toujours le confinement de la société au nom d’un virus, ajoutant que les confinements sont un excellent outil pour « vacciner » de force les gens.
Je vais vous faire gagner 40 minutes de votre vie et citer certains des « points forts » de l'interview, dans laquelle un professeur de la Wayne State University interroge Fauci sur ce qu'il a appris en supervisant une « réponse à une pandémie ». La vidéo du chat est disponible via YouTube ci-dessous :
Fauci a faussement affirmé que la ville de New York était envahie et disposait de « camions plus frais à l’extérieur parce qu’ils n’avaient aucun endroit où mettre les corps ».
« Il fallait avoir quelque chose pour arrêter immédiatement le tsunami d’infection », déclare-t-il, ajoutant : « ce confinement était absolument justifié ».
« Le confinement a un but », a poursuivi le pseudo-scientifique. « L'un des objectifs, si vous n'avez pas de vaccin, c'est d'avoir plus de respirateurs, de mieux préparer les hôpitaux… jusqu'à ce que vous relâchiez la pression sur les hôpitaux.
Fauci n'avait pas encore fini. Voici la folie vraiment maléfique…
« Si vous disposez d’un vaccin, vous souhaiterez peut-être vous confiner temporairement afin de pouvoir faire vacciner tout le monde », suggère-t-il.
Rejetant l’idée selon laquelle les confinements sont une question morale, il a ajouté que « les confinements ont leur place, mais ils ne constituent pas une solution permanente ».
La conversation s’est poursuivie, le chef de longue date du NIAID déclarant que le « changement climatique » « joue un rôle » dans l’apparition des épidémies.
Il appelle ensuite à un « engagement international pour réduire l’empreinte carbone dans la société afin d’éviter le genre de conditions météorologiques folles que nous connaissons dans ce pays ».
Oui, c'est une vraie citation.
Il a ensuite imputé la tragédie de Maui au changement climatique. « Ce qui s'est produit avec le changement climatique est complètement, vraiment incroyable », conclut-il.
https://www.globalresearch.ca/fauci-lockdowns-justified-used-again-force-vaccinations/5830213?doing_wp_cron=1692970899.8785920143127441406250
Primo, il ne s'agit pas d'un microbe maladie transmissible) mais d'une POUSSIÈRE (appelée 'virus').
SupprimerSecundo, le fait d'avoir un rhume, la grippe ou autre chose interdit le voisinnage, l'approche, voir l'enfermement avec d'autres personnes en bonne santé.
Le fait que la personne malade émette de la fièvre sera noté comme étant porteuse de la poussière inoculée (appelée 'virus') !!! Et donc sera piquée, exterminée !
Série sur les blessures causées par le vaccin à ARNm COVID : accidents vasculaires cérébraux mystérieux chez les jeunes femmes
RépondreSupprimerLes jeunes femmes vaccinées contre le COVID-19 continuent de souffrir discrètement d'accidents vasculaires cérébraux que les médecins ne peuvent expliquer. Certains survivent, d'autres non.
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
25 août 2023
Royaume-Uni – Chandler Plante, 23 ans, rédactrice en chef d'un magazine, a eu un « COVID léger » en décembre 2020, a subi un accident vasculaire cérébral en mars 2021 et a perdu toute vision de son œil droit en novembre 2021. « Personne ne comprend pourquoi cela est arrivé à moi » ( source ).
Cet article attribue la « maladie mystérieuse » au « COVID long et grave », ce qui n’a pas de sens. Elle a eu un léger COVID en décembre 2020, puis un accident vasculaire cérébral en mars 2021. Chandler est présumée vaccinée contre le COVID-19 (l'article se concentrerait sur le fait qu'elle n'est pas vaccinée).
Sa maladie a commencé par un engourdissement des mains et des avant-bras et elle a été congédiée comme souffrant d'« anxiété ». Le 28 juin, un scanner cérébral a révélé de gros accidents vasculaires cérébraux ischémiques.
En avril 2023, elle a reçu une perfusion d'un médicament chimiothérapeutique, le rituximab, et ses effets secondaires s'améliorent considérablement.
Je soupçonne qu’elle souffrait d’une maladie auto-immune causée par les vaccins contre le COVID-19 et ses médecins ne l’ont jamais compris ou ne le lui ont jamais dit.
24 août 2023 – Calamvale, QLD, Australie – Shermayne Peka a eu des maux de tête et un accident vasculaire cérébral en décembre 2022 et ses médecins ont imputé cela à un « trou dans son cœur » qu'ils n'ont pas pu trouver lors des analyses préopératoires ultérieures. Lorsque ses maux de tête sont revenus en juillet 2023, on lui a diagnostiqué un glioblastome de grade 4 (TURBO BRAIN CANCER) ( source ).
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23 août 2023 – Covington, Géorgie – Hailey Sertain a eu un zona et un accident vasculaire cérébral. (le zona est un effet secondaire courant des vaccins contre la COVID-19).
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17 juillet 2023 – Waukesha, WI – Abelardo Ortega Zarate et son épouse Mariana Huerta rêvaient d'aller à Rome, en Italie, en mars 2020, mais ont dû annuler à cause du COVID-19. Ils y sont finalement allés le 2 mai 2023, mais Mariana a subi un accident vasculaire cérébral le premier jour à Rome et s'est retrouvée aux soins intensifs. Elle ne s'est jamais remise et est décédée le 17 juillet. ( Source )
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11 juillet 2023 – Brésil – Vanessa Batista dos Santos, 24 ans, s'est effondrée et est décédée alors qu'elle faisait de l'exercice dans le parc, en sautant à la corde (elle est décédée d'un accident vasculaire cérébral hémorragique).
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13 juin 2023 – Godfrey, Illinois – Deirdre Copeland, 43 ans, a subi plusieurs accidents vasculaires cérébraux qui ont été imputés à « une réaction inattendue aux médicaments rhumatoïdes ».
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10 juin 2023 – Brooks, Géorgie – Ashlie Newton avait des caillots de sang dans les jambes et un accident vasculaire cérébral. Elle est sur un long chemin vers la guérison.
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22 avril 2023 – Clermont, Floride – Kaleigh Zimmerman, 34 ans, infirmière et militante pour les vaccins à ARNm qui a lutté contre la « désinformation sur les vaccins », a subi un accident vasculaire cérébral cérébelleux. Elle fait face à un long chemin vers la guérison. Le twist : des personnes non vaccinées font un don à son GoFundme pour l'aider à se rétablir. ( Source )
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20 avril 2023 – Atlanta, Géorgie – Zenette Steele a subi un accident vasculaire cérébral 24 heures après son injection de rappel contre le COVID-19. Elle est désormais paraplégique ( Source ).
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Décembre 2022 – Jennie Gow, animatrice de la BBC, 45 ans, a été victime d'un grave accident vasculaire cérébral en décembre 2022. « Mon discours a été la chose la plus affectée ».
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Juin 2022 – Le footballeur irlandais Siobhan McGrath, 35 ans, a été victime d'un accident vasculaire cérébral. « Mes bras ne fonctionnaient tout simplement pas correctement.
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26 décembre 2021 – North StaffordShire, Royaume-Uni – Charlotte Evans, 37 ans, s'est effondrée dans la cuisine et a eu un accident vasculaire cérébral. Elle a eu 50/50 de chances de vivre.
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Novembre 2021 – Sydney, Australie – Laura Sharp, 37 ans, mère au foyer de 5 enfants, avait de fortes migraines, des problèmes de vision et a subi un accident vasculaire cérébral. Elle n'avait aucun facteur de risque.
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Mars 2021 – Henderson, NV – Emma Burkey, 18 ans, a eu un accident vasculaire cérébral après avoir reçu une dose du vaccin J&J COVID-19. Elle reste confinée en fauteuil roulant en 2023 ( Source ).
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Mon avis…
RépondreSupprimerIl est clair qu’au début du déploiement du vaccin à ARNm contre le COVID-19, les femmes s’effondraient à cause d’un accident vasculaire cérébral et leurs médecins ne considéraient même pas les vaccins contre le COVID-19 comme une cause.
Ces « accidents vasculaires cérébraux mystérieux » chez les jeunes femmes vaccinées contre le COVID-19 se poursuivent encore aujourd’hui. Les femmes souffrent souvent d’autres blessures causées par le vaccin en plus de leurs accidents vasculaires cérébraux.
Les données du gouvernement britannique sur le handicap montrent à quel point les « troubles de la coagulation » ont augmenté en 2022 par rapport à la moyenne pré-pandémique :
les 20-24 ans sont +170%
les 25-29 ans sont +278%
30-35 ans est +1005%
35-39 ans est +700%
40-44 ans : +387%
45-49 ans : +1427%
l'âge de 50 à 54 ans est de +989 %
Chez toute jeune femme vaccinée contre la COVID-19, tout symptôme d’accident vasculaire cérébral ou d’AIT (accident ischémique transitoire) doit être pris en compte en raison du vaccin jusqu’à preuve du contraire.
https://www.globalresearch.ca/covid-mrna-vaccine-strokes-young-women/5830199
« Not nice Lucy » : l’infirmière qui aime s’amuser et qui est le pire tueur de bébés de la Grande-Bretagne moderne
RépondreSupprimerle 24 août 2023
Michael Cook BioEdge , 24 août 2023
L’infirmière néonatale anglaise Lucy Letby a été reconnue coupable d’avoir tué sept bébés et tenté d’en tuer six autres. Les attaques ont eu lieu entre juin 2015 et juin 2016 dans un service pour bébés prématurés de l’hôpital de la comtesse de Chester, dans la ville de Chester. Lundi, l’infirmière de 33 ans a été condamnée à perpétuité, la peine la plus sévère possible en vertu de la loi anglaise.
Letby a refusé d’assister à l’audience de détermination de la peine à la Cour de la Couronne de Manchester, mais le juge a parlé à sa chaise vide. Le juge Goss a déclaré qu’il y avait « préméditation, calcul et ruse » et « une malveillance à la limite du sadisme ». « Au cours de ce procès, vous avez nié froidement toute responsabilité pour vos actes répréhensibles, a-t-il dit. Vous n’avez aucun remords. Il n’y a pas de facteurs atténuants ». Le procès de Letby a duré 10 mois et les jurés ont délibéré pendant 22 jours. Elle a fermement maintenu son innocence, de sorte que la preuve était largement circonstancielle. Il y a eu un pic soudain de décès pendant qu’elle travaillait dans l’unité néonatale. Lorsque les médecins ont commencé à enquêter, ils ont constaté que le seul facteur commun était sa présence. Certains des bébés ont été tués par surdose d’insuline, l’un en lui donnant trop de lait, l’autre en injectant de l’air dans les veines. Deux bébés qui ont survécu ont subi de graves lésions cérébrales.
Lorsque la police a fouillé sa maison, elle a découvert des phrases bizarres griffonnées sur des post-it. Ces mots incluaient de courtes phrases comme par exemple « JE SUIS MAL J’AI FAIT CECI, je les ai tués exprès parce que je ne suis pas assez bonne, je ne mérite pas de vivre, je suis une personne horrible ». Après de longs retards, Letby a été affectée à un travail de bureau fin juin 2016 et a finalement été arrêté en juillet 2018.
Dès qu’elle a été retirée de la salle des prématurés, les morts ont cessé, selon The Guardian. Depuis, plus de 2500 bébés ont été placés dans l’unité néonatale et il n’y a eu qu’un seul décès. La police continue d’enquêter sur des incidents suspects à l’hôpital de la comtesse de Chester et à l’hôpital pour femmes de Liverpool où elle a également travaillé pendant un certain temps. Il y a deux questions sans réponse qui planent sur ces crimes horribles. Le premier est la motivation de la tueuse. Ce qui a déconcerté tout le monde à propos de Lucy Letby, qui est devenue le pire tueur de bébé dans l’histoire britannique moderne, c’est à quel point elle était normale. Elle semblait joyeuse, compétente, confiante et attentionnée. Elle aimait les vacances et faire la fête avec ses amis. Aucun de ses collègues n’avait le moindre soupçon qu’elle pourrait être responsable du nombre croissant de morts. « Ça ne peut pas être Lucy ». « Ce n’est pas gentil, Lucy », se souvient un médecin quand les preuves ont commencé à l’indiquer. La poursuite a laissé entendre qu’elle aurait aimé « jouer à Dieu » en réanimant des bébés en situation de crise. Elle flirtait avec un médecin et elle voulait peut-être l’impressionner. Elle ne correspondait certainement pas aux stéréotypes d’un psychopathe.
Le psychiatre médico-légal Robert M. Kaplan, de l’Université de Wollongong, en Australie, a écrit dans « Quadrant » que Letby pourrait être un exemple de ce qu’il appelle Carer Assisted Serial Killing ou CASK [carer = personnel soignant]. « À mon avis, le CASK est la forme d’abattage en série qui connaît la croissance la plus rapide à un moment où le taux d’abattage en série prédateur typique diminue dans la plupart des pays ». Lorsque des hommes sont impliqués, le nombre de meurtres est exponentiel, Donald Harvey et Charles Cullen en sont deux exemples. Beaucoup moins de médecins figurent dans les rangs des tueurs, mais ceux qui sont actifs ont la capacité en vertu de leur position et de leur autorité de provoquer plus de victimes : le Dr Harold Shipman est devenu le pire tueur en série au Royaume-Uni avec 246 patients assassinés (certains disent peut-être jusqu’à 400) Son homologue américain, Michael Swango, est crédité de 60 victimes. Les infirmières qui tuent semblent être un groupe exceptionnel, brisant la vision traditionnelle des femmes en tant qu’individus iréniques non violents. La condamnation met Letby dans la même ligue que l’infirmière Beverley Allitt à l’hôpital Grantham et Kesteven du Lincolnshire en 1991, quand elle a tué quatre enfants et gravement blessé six autres.
RépondreSupprimerLa deuxième question est pourquoi les administrateurs de l’hôpital ont réagi si lentement. En juin 2015, après trois décès, le médecin en chef de l’unité néonatale, Stephen Brearey, et le directeur infirmier de l’hôpital ont remarqué que Letby avait été impliquée dans les trois décès. Après d’autres incidents, Brearey a demandé une réunion urgente avec les dirigeants de l’hôpital en février 2016. Il ne s’est rien passé avant mai 2016, lorsque l’administration a écrit une lettre dans laquelle elle disait : « Il n’y a aucune preuve contre LL [Letby] autre que la coïncidence ». Ce n’est qu’à la fin de juin et deux autres décès que Letby a été retiré des soins infirmiers.
Un médecin a recommandé de soulever la question auprès de la police. Il allèguait qu’on lui a dit que cela risquerait de nuire à la réputation de l’hôpital et ferait de l’unité néonatale une scène de crime. Deux examens externes ont été ordonnés, que les dirigeants de l’hôpital ont considérés comme exonérant Letby, bien qu’ils n’aient pas été au fait des examens de sa responsabilité pour les décès. En janvier 2017, l’administration de l’hôpital a exigé que sept médecins signent une lettre d’excuses à Letby pour avoir discrédité son nom. « Nous sommes très désolés du stress et de la colère que vous avez éprouvés au cours de la dernière année », dit la lettre. Les médecins ont également appris que les parents de Letby avaient menacé de les signaler au Conseil médical général. Deux des médecins ont reçu l’ordre d’assister à des séances de médiation avec Letby. L’un d’entre eux a obtempéré. Ce n’est qu’en mai 2017, sous la pression constante des médecins, que la police a été appelée.
Le Dr Brearey a déclaré à la BBC qu’il semblait que les dirigeants d’hôpitaux essayaient de « concevoir une sorte de récit » pour empêcher la police d’enquêter. « Si vous voulez appeler cela un camouflage alors, c’est un camouflage. » Deux examens externes ont été ordonnés, que les dirigeants de l’hôpital ont considérés comme exonérant Letby, bien qu’ils n’aient pas été en fait des examens de sa responsabilité pour les décès. En janvier 2017, l’administration de l’hôpital a exigé que sept médecins signent une lettre d’excuses à Letby pour avoir discrédité son nom. « Nous sommes très désolés du stress et de la colère que vous avez éprouvés au cours de la dernière année », dit la lettre. Les médecins ont également appris que les parents de Letby avaient menacé de les signaler au Conseil médical général. Deux des médecins ont reçu l’ordre d’assister à des séances de médiation avec Letby. L’un d’entre eux a obtempéré. Ce n’est qu’en mai 2017, sous la pression constante des médecins, que la police a été appelée.
Note de votre serviteur. Voici le commentaire que j’ai envoyé à Michael Cook avec qui j’avais eu des échanges de messages électroniques au sujet de l’industrie des mères porteuses dans les Îles Canaries contrôlée par la mafia espagnole que m’avait indiqué un médecin sous le sceau du secret. Je ne me suis pas renseigné plus avant considérant que je mettais ma vie en danger. Je n’ai pas pris la peine de traduire en français mon commentaire. J’ajouterai que le contrôle des naissances depuis le XVIIIe siècle en France consistait aussi à occire les nouveaux-nés en dehors des « faiseuses d’anges » et des plantes abortives.
RépondreSupprimer« I remember a conversation between my mother who had been a nurse in the french army at the beginning of the second world war and a friend of her who was a midwife with a long experience. I was a 7 years old kid and I realized that adults were strange people. This friend of my mother told her that during her career as a midwife she intentionally killed more than a hundred new-born babies because according to her experience of thousands of births those babies would not survive or be a disaster for the family because they were crippled or trisomic. I remind you about the birth control in the farms of the hamlet where I was born : an undesired baby was thrown to the pigs and the placenta was the next delicacy. This happened 25 km from the big city of Lyon in France ! This story is 100 % true … ». (Nurse = infirmière, midwife = sage-femme, crippled = infirme, thrown to the pigs = jeté aux cochons).
- « Je me souviens d'une conversation entre ma mère qui avait été infirmière dans l'armée française au début de la seconde guerre mondiale et une de ses amies qui était sage-femme avec une longue expérience. J'étais un enfant de 7 ans et j'ai réalisé que les adultes étaient des gens étranges. Cette amie de ma mère lui a raconté qu'au cours de sa carrière de sage-femme, elle avait intentionnellement tué plus d'une centaine de nouveau-nés car, selon son expérience de milliers de naissances, ces bébés ne survivraient pas ou seraient un désastre pour la famille car ils étaient estropiés ou trisomique. Je vous rappelle le contrôle des naissances dans les fermes du hameau où je suis née : un bébé non désiré était jeté aux cochons et le placenta était le prochain délice. Cela s'est passé à 25 km de la grande ville de Lyon en France ! Cette histoire est 100 % vraie… ». (Nurse = infirmière, sage-femme = sage-femme, infirme = infirme, jeté aux cochons = jeté aux cochons).
Je me demande quelle pourrait être la peine infligée à Madeleine Albright qui a déclaré que la mort d’un demi-milliions d’enfants irakiens en valait la peine …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/08/24/not-nice-lucy-linfirmiere-qui-aime-samuser-et-qui-est-le-pire-tueur-de-bebes-de-la-grande-bretagne-moderne/
Dark Winter est une fanfiction bioterroriste fastidieuse écrite pour inspirer la peur du public face au virus de la variole et plaider pour la pertinence continue de ses éradicateurs.
RépondreSupprimerDans lequel Eugyppius lit un autre wargame pandémique pour que vous n'ayez pas à le faire.
EUGYPPIUS
24 AOÛT 2023
« Eugyppius », ont déclaré les critiques de la chronique de la peste, « tout le monde sait que la pandémie SPARS est un exercice stupide de communication en matière de santé publique. Bien sûr, il n’y a pas de confinement là-dedans, même si beaucoup prétendent le contraire depuis très longtemps, dans les livres à succès et partout sur Internet.»
"Eugyppius", ont déclaré les critiques de la chronique de la peste, "l'Opération Lockstep est évidemment un fantasme mondialiste insensé de la Fondation Rockefeller, sans même rapport avec la planification d'une pandémie, même si beaucoup ont passé des années à dire le contraire devant un public massif et parfois aussi dans vos commentaires."
« Eugyppius », dirent finalement les critiques de la chronique de la peste, « pourquoi ne regardez-vous pas les preuves réelles d'une plandémie ? Essayez-vous de nous tromper ? Tout le monde sait que Dark Winter est l’endroit où les corps sont enterrés. Si seulement vous lisiez Dark Winter, vous verriez enfin que des confinements sont planifiés par le secteur de la défense depuis 2001. Il s’agit d’une opération élaborée, naïf Eugyppius. Pourquoi cachez-vous cette vérité à vos lecteurs ?
"Critiques de la chronique de la peste", répond Eugyppius, reniflant et atteint du rhume des foins, depuis sa petite tour d'écriture octogonale au-dessus de l'Elbe, où une légère brise souffle à travers les fenêtres ouvertes, et où un voisin ne cesse de tailler ses haies avec quelque odieux bourdonnement. « J’ai lu tous les exercices sur table et wargames pandémiques de quelque importance, il y a deux ans, sur le flanc d’une montagne suisse. Il n’y a aucun confinement dans aucun d’entre eux. Vous pourrez peut-être vous replier sur d'autres documents pendant un certain temps, mais sachez que ma série s'adresse également à eux. Un par un, vos châteaux tomberont.
Eugyppius : une chronique de la peste est une publication financée par les lecteurs. peut-être que tu t'abonnes ?
C’est amusant de rire de la stupidité de SPARS et de « Lock Step », mais Dark Winter – et en fait tout ce qui sort du Johns Hopkins Center for Health Security – me donne la chair de poule. Ce n’est pas parce que ces informations sont particulièrement prémonitoires ou intelligentes, et ce n’est pas non plus parce qu’elles contiennent un plan de confinement de longue date que les planificateurs de la défense ont mis en œuvre avec l’épidémie de SRAS-2. Il y a ici comme ailleurs de graves défauts intellectuels, et l’importance de ces documents est largement surestimée. Mais avec Dark Winter, nous quittons le monde nerveux des majors de la communication et des consultants et entrons dans le domaine plutôt supérieur de la politique gouvernementale et de la stratégie de défense – où nous ne trouvons rien d’autre que les mêmes tactiques d’autopromotion et la même mythologie virale manipulatrice qui prévaut partout ailleurs. Ces gens mentent sur les virus et exagèrent les menaces d’épidémie depuis plus de vingt ans maintenant, et surtout après 2020, ce n’est pas très drôle.
Ce sera un article sérieux.
RépondreSupprimerPour comprendre Dark Winter, il faut savoir que l’establishment pandémique a traversé deux époques majeures au XXIe siècle :
1) Au début se trouvait l’ère de la biodéfense, dominée par des fantasmes inhabituels de guerre biologique et par la peur artificiellement véhiculée selon laquelle de méchants dictateurs antilibéraux comme Saddam Hussein développaient secrètement des armes de destruction massive parce qu’ils détestent la démocratie. À cette époque, les subventions provenaient principalement du secteur de la défense, obligeant les opportunistes comme Donald Henderson, l’éradicateur de la variole pandémique, à aligner leur programme sur les intérêts de la défense. Cette époque a pris fin après la guerre en Irak.
2) Vint ensuite l’ère de la grande philanthropie, au cours de laquelle les magnats de la technologie et leurs organisations ont recentré l’attention pandémique sur le monde civil. Dans cette nouvelle ère, les pathogènes pandémiques émergents ont remplacé la guerre biologique comme menace à contrer. Le groupe de réflexion d'Henderson sur la pandémie, fondé sous le nom de Johns Hopkins Center for Civilian Biodefense Strategies (CCBS), a géré la transition en changeant son nom en Center for Health Security et en acceptant des millions de subventions de l'Open Philanthropy Project en 2017. Avec ces nouveaux fonds est venu le mandat de se concentrer sur les « risques catastrophiques mondiaux ». C’est ainsi que les tiers-mondistes ont éclipsé les bioterroristes. Cette transition est particulièrement importante pour nous, car c’est principalement à l’ère de la grande philanthropie que les pandémiques ont commencé à fantasmer sur des réponses élaborées d’atténuation des nouvelles épidémies de virus. Dans l’ère plus ancienne de la biodéfense, l’accent est plutôt mis sur les implications stratégiques, et l’aspect santé publique est une préoccupation secondaire.
Dark Winter était un « exercice de simulation » de l’ère de la biodéfense, organisé par le CCBS en partenariat avec le tout nouveau ANSER Institute for Homeland Security. Elle s'est tenue à la base aérienne d'Andrews, à Washington, D.C., les 22 et 23 juin 2001. L'impulsion est venue du Center for Strategic and International Studies, un groupe de réflexion de premier plan dans le secteur de la défense, qui a demandé à l'ANSER et au CCBS d'organiser « un exercice ». dans lequel d’anciens hauts fonctionnaires répondraient à une crise de sécurité nationale provoquée par l’utilisation d’une arme biologique. Une grande partie du financement provenait de l'Institut commémoratif national d'Oklahoma pour la prévention du terrorisme, une organisation à but non lucratif fondée pour commémorer l'attentat à la bombe de 1995 contre le bâtiment fédéral de Murrah.
Le scénario Dark Winter n’est clairement pas une prophétie future, et il n’est même pas plausible. Il s’agit plutôt d’un bretzel fastidieux concocté pour mettre en lumière les préoccupations centrales de chacune des organisations participantes. Il présente une épidémie de variole, l'obsession du CCBS, fondé par Henderson. Cette épidémie est provoquée par une attaque bioterroriste contre l'Oklahoma et deux autres États, afin de satisfaire les antiterroristes de l'Oklahoma. Il est fortement suggéré que cette attaque a été menée par des mandataires irakiens pour encourager le retrait des forces américaines du Moyen-Orient, de sorte que les stratèges de la défense qui ont commandé cette pièce de théâtre à prix réduit ont également obtenu ce qu'ils voulaient.
Dark Winter avait également un objectif plus profond. En 1986, un groupe d’experts de l’OMS a recommandé que les derniers échantillons de virus de la variole officiellement déclarés aux États-Unis et en Russie soient détruits. La date limite pour cette destruction a été fixée d’abord à 1993, puis à 1999. L’administration Clinton a décidé d’adopter cette recommandation, mais à la dernière minute, les forces américaines de la défense et du renseignement se sont battues pour sauver le dernier virus de la variole viable. Quelques mois avant la destruction prévue en 1999, une évaluation des services de renseignement fédéraux a été publiée affirmant, sur la base de preuves assez fragiles, que l'Irak, la Corée du Nord et la Russie cachaient probablement des échantillons de variole dans le but de programmes clandestins de guerre biologique. Clinton a cédé et a accepté de laisser le CDC garder sa variole. Deux ans plus tard, le Centre d’études stratégiques et internationales a chargé Dark Winter de dramatiser, pour le bénéfice des médias, à quoi pourrait ressembler une attaque de variole irakienne contre les États-Unis. Il s'agissait d'une opération publicitaire, un:
RépondreSupprimerObjectif était de sensibiliser davantage les experts de haut rang en matière de sécurité nationale à l'ampleur et à la nature de la menace posée par les armes biologiques et de catalyser des actions susceptibles d'améliorer les stratégies de prévention et de réponse.
En d’autres termes, Dark Winter était l’acte final d’un petit drame mis en scène par la communauté du renseignement dans le but de convaincre le président de garder la variole, probablement à des fins de recherche sur les armes biologiques. Henderson et son CCBS, désespérés de rester pertinents vingt ans après que l’OMS eut déclaré éradiqué son virus qui avait fait carrière, étaient heureux de l’aider.
La meilleure source pour Dark Winter est un article publié dans Clinical Infectious Diseases en 2002 par Tara O’Toole, Mair Michael et Thomas V. Ingelsby, sous le titre « Shining Light on ‘Dark Winter’ ». Le document est particulièrement utile pour rendre compte des décisions des participants à l’exercice et de la justification des diverses caractéristiques de l’exercice, et c’est ce que j’ai cité et que je citerai ici. Avant une récente refonte du site Web du Center for Health Security, les lecteurs pouvaient également télécharger un script Dark Winter de 44 pages avec tous les faux mémos et points de discussion fournis aux participants à l'événement, et regarder une vidéo de huit minutes contenant diverses diapositives et le ridicule sans limites. des « reportages d’actualité » projetés aux participants à l’événement. Ceux-ci peuvent toujours être trouvés sur la Wayback Machine. Je les ai tous étudiés, mais je trouve qu’ils n’ajoutent pas grand-chose à l’article d’O’Toole/Michael/Ingelsby.
Dark Winter a simulé des réunions simulées du Conseil de sécurité nationale, dont les membres étaient joués par douze participants politiquement éminents. De plus, cinq journalistes – dont la célèbre propagandiste des ADM Judith Miller – « ont observé les délibérations du NSC simulé et ont participé à une simulation de conférence de presse pendant l’exercice ». Tout cela s’est déroulé devant un public de « ca. 50 personnes ayant des responsabilités politiques ou opérationnelles actuelles ou anciennes liées à la préparation aux armes biologiques.
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On nous assure que « dans la mesure du possible, les décisions prises » par les participants « ont été intégrées à l’exercice évolutif, de sorte que les décisions clés ont affecté l’évolution et les résultats du scénario ». Les reportages pré-filmés montrent que cette ampleur ne peut pas être très grande. Le Conseil de sécurité nationale n’est pas non plus chargé de coordonner la politique de santé publique américaine, de sorte que les participants n’ont jamais eu la moindre opportunité significative de changer le cours de l’épidémie par leurs actions. En fait, le problème est qu’il n’y a rien à faire, car le stock du CDC de 15,4 millions de doses de vaccin contre la variole est terriblement insuffisant.
RépondreSupprimerDark Winter présente trois réunions du NSC les 9, 15 et 22 décembre 2002. La première réunion a lieu après que 3 000 personnes ont été infectées par le virus de la variole lors de « trois attaques simultanées dans trois centres commerciaux distincts à Oklahoma City, Philadelphie et Atlanta » – mais à ce stade. seuls 50 cas ont été identifiés.
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Les auteurs du scénario supposent que 20 % de la population américaine possède une immunité persistante contre la variole, là où les vaccinations de routine ont cessé en 1972, mais je ne vois pas qu’ils prennent un jour ce chiffre en compte dans leur modèle brut de transmission du virus. Ils proposent également de manière très insensée un nombre de reproduction de 10 pour la variole, « basé sur une analyse de 34 cas d’importation de variole en Europe entre 1958 et 1973 », qu’ils ont sélectionnés pour obtenir les chiffres les plus élevés :
Ces importations de variole étaient des cas dans lesquels une personne contractait la variole dans un pays où la maladie était encore présente naturellement, puis ramenait sans le savoir le virus dans un pays où la variole n'était plus endémique. Dix de ces importations ont eu lieu entre juin et novembre, lorsque le taux de transmission de la variole est à son plus bas niveau saisonnier. Ces importations n'ont pas été incluses dans une analyse plus approfondie, car l'attaque de variole simulée dans Dark Winter a eu lieu en décembre, lorsque le taux de transmission de la variole atteint son plus haut niveau saisonnier.
Comme toujours, la vaccination est au centre de la réponse imaginaire. Les auteurs du scénario savent que la vaccination contre la variole est dangereuse ; cela n’est pas mentionné dans le document, mais le script estime que « des complications vaccinales potentiellement mortelles » pourraient survenir à un taux pouvant atteindre 1 vaccination sur 5 000.
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Lors de leur première réunion, le faux NSC s’est vu proposer trois options : 1) une « politique de vaccination en anneau », dans laquelle les vaccins seraient administrés aux « contacts des patients et au personnel essentiel » dans chacun des trois États attaqués ; 2) une « politique combinée de vaccination en réseau et de masse », dans laquelle, en plus du 1), les trois villes au centre des épidémies recevraient suffisamment de vaccins pour vacciner tout le monde ; et 3) une « politique combinée de distribution en réseau et de masse », dans laquelle, en plus de 2), les 47 autres États recevraient cependant 125 000 doses à utiliser. Dans chaque cas, le ministère de la Défense réserve 2,5 millions de doses pour ses propres forces.
RépondreSupprimerLes participants ont choisi de stocker les vaccins et ont opté pour la première option, attendant effectivement que les cas dépassent leur capacité à vacciner. Mais comme nous l’avons vu ci-dessus, cela n’a guère d’importance ; le scénario était gravé dans le marbre et l’épidémie se déroulerait de la même manière, quoi qu’ils décident de faire.
Lors de la deuxième réunion, le 15 décembre, 2 000 cas ont été identifiés dans 15 États, et 300 sont décédés.
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La production de vaccins passe à la vitesse supérieure ; "Trois sociétés pharmaceutiques américaines conviennent de produire un nouveau vaccin à raison de 6 millions de doses par mois, avec les premières livraisons dans 5 semaines." En outre, la Russie offre 4 millions de doses aux États-Unis, qui sont acceptées à condition qu’elles passent des « évaluations de sécurité ». Parce que rien de tout cela n’a d’importance compte tenu du calendrier serré de l’exercice, le NSC tourne son attention vers les interventions non pharmaceutiques :
Les patients atteints de variole devraient-ils être confinés dans des établissements qui leur sont dédiés ? Les contacts des patients devraient-ils être obligés de rester à la maison ou dans des installations dédiées jusqu'à ce qu'il soit prouvé qu'ils sont indemnes de la variole ? Faut-il imposer des restrictions nationales aux voyages ? Comment peut-on trouver le meilleur équilibre entre le confinement des maladies et les perturbations économiques et la protection des libertés civiles ? Dans quelle mesure le gouvernement peut-il et doit-il porter atteinte aux libertés civiles ? Dans quelles conditions ces pouvoirs peuvent-ils être exercés ?
Les participants n’étaient pas intéressés par l’heure de discussion sur les libertés civiles, choisissant de laisser « les décisions sur la quarantaine et l’isolement entre les mains des représentants de l’État ». Nous lisons que « plusieurs frontières internationales sont fermées au commerce et aux voyageurs américains » et que des « violences sporadiques » sont « signalées contre des minorités qui semblent être d’origine arabe ». De toute évidence, le racisme figure parmi les principaux risques du bioterrorisme.
Des pénuries alimentaires apparaissent dans les États touchés en raison de problèmes de voyage et de fermetures de magasins. … Il n’existe aucune piste solide quant à l’auteur de cette attaque. … Les écoles sont fermées dans tout le pays. Les rassemblements publics sont limités dans les États touchés. Certains États limitent les déplacements et les rassemblements non essentiels.
Notez l’absence de confinement, même face à un agent pathogène viral qui aurait un taux de létalité de 30 % et un taux de reproduction de 10. La réponse affirmative est confinée au secteur public ; les « fermetures de magasins » ne sont jamais caractérisées, mais semblent être sporadiques et volontaires – simplement une partie du désordre social croissant provoqué par la panique liée à la variole. Les auteurs du scénario ne se prononcent pas sur ces fermetures, notant seulement qu'elles provoquent des « pénuries ».
RépondreSupprimerLors de la troisième et dernière réunion du 22 décembre, treize jours après, il y a 16 000 cas documentés dans 25 États, et le nombre de morts a atteint 1 000. Les réserves de vaccins sont épuisées et les nouvelles doses seront disponibles dans quatre semaines. Les décès devraient atteindre 10 000 d’ici quelques jours.
- voir carte sur site -
À l’heure actuelle, les restrictions sur les « voyages non essentiels » s’élargissent au niveau des États, ce qui provoque davantage de « pénuries alimentaires ». Malheureusement, « l’économie nationale souffre ».
Les habitants ont fui et fuient les villes où de nouveaux cas apparaissent. Le Canada et le Mexique ont fermé leurs frontières avec les États-Unis. Le public exige l’isolement obligatoire des victimes de la variole et de leurs contacts, mais l’identification des contacts est devenue logistiquement impossible.
Ne vous inquiétez pas : « Les membres du NSC sont informés que l’administration d’un nouveau vaccin combinée à des mesures d’isolement est susceptible d’endiguer l’expansion de l’épidémie. » Les participants ont quand même demandé des projections du pire des cas, ce qui est remarquable, car cela suggère que même lors de la dernière séance de leur mélodrame viral, ils n’avaient pas compris la simple arithmétique au cœur de la simulation. Vous, idiots, vous augmentez simplement le nombre d'infections initiales (3 000) à la puissance appropriée de dix et supposez qu'un tiers de la population meurt :
On leur dit que dans le pire des cas, la troisième génération de cas pourrait comprendre 300 000 nouveaux cas de variole et entraîner 100 000 décès, et que la quatrième génération de cas pourrait vraisemblablement comprendre jusqu'à 3 000 000 de cas de variole et entraîner autant de décès. comme 1 000 000 de morts. Il est une fois de plus souligné aux participants que ces chiffres sont des projections du pire des cas et peuvent être considérablement réduits par des programmes de vaccination et des procédures de confinement des maladies à grande échelle et efficaces.
Les simulateurs de variole ont également ressenti le besoin de fournir ce graphique stupide pour illustrer l'arithmétique de leurs accusations :
Dans l’acte final, « un transfuge irakien de premier plan affirme que l’Irak est à l’origine de l’attaque biologique » et « la communauté du renseignement considère ses informations comme hautement crédibles ». Alors,
Le New York Times, le Washington Post et USA Today reçoivent des lettres anonymes exigeant le retrait immédiat (une semaine) de toutes les forces américaines d'Arabie saoudite et de tous les navires de guerre du golfe Persique. Le non-respect de ces règles entraînera de nouvelles attaques contre les États-Unis, notamment l'anthrax, la peste et la variole. Chaque lettre contenait également une empreinte génétique de la souche de la variole correspondant à l'empreinte de la souche à l'origine de l'épidémie actuelle.
RépondreSupprimerCertains ont affirmé que ce qui précède équivalait à une prédiction, plusieurs mois à l’avance, des attaques à l’anthrax de 2001. Les architectes de Dark Winter étaient certainement ravis de cette coïncidence, écrivant dans leur article que ces événements prouvent que « le bioterrorisme n’est plus seulement le sujet de jeux de guerre ». Les lecteurs raisonnables, je pense, conviendront que Dark Winter ne fait que jeter ici tous les derniers scénarios de bioterrorisme. La possibilité que le saboteur de l’anthrax ait été inspiré ou influencé d’une manière ou d’une autre par Dark Winter mérite néanmoins d’être envisagée, car les attaques provenaient de l’establishment américain de la biodéfense – précisément du public de ces mises en scène.
Dark Winter emprunte beaucoup à l'épidémie de variole yougoslave de 1972, au cours de laquelle un Albanais récemment vacciné a contracté la variole lors du Hajj et l'a ramenée au Kosovo avec lui. L’épidémie qu’il a provoquée a finalement infecté 175 personnes. Le patient index n'aurait infecté qu'une seule personne, un professeur d'école nommé Latif Mumdžić, bien que personne n'ait pu prouver que les deux étaient entrés en contact. Au début, les médecins n'ont pas réussi à diagnostiquer Mumdžić et il a été transporté dans divers hôpitaux et même montré à un groupe d'étudiants en médecine. Cela s'est produit alors qu'il développait une variante hémorragique terrifiante de la variole, connue sous le nom de vérole noire, qui, selon certaines sources, est beaucoup plus contagieuse. On sait que l’événement à grande propagation auquel il est associé a directement infecté 38 personnes. Même si nous supposons, de manière très improbable, que les 135 autres cas découlent directement de ces 38 infections, nous obtenons un taux de reproduction d'au plus 3,5 pour la variole sans super-propagation, avec 35 décès donnant un taux de létalité de 20 %.
Ces chiffres sont nettement meilleurs que les paramètres pessimistes du scénario Dark Winter. Il n’est pas très convaincant d’attribuer cet écart au programme de vaccination infantile contre la variole en vigueur en Yougoslavie. On considère que l’immunité vaccinale diminue considérablement après cinq ans, et de toute façon, les auteurs du scénario citent spécifiquement l’épidémie yougoslave pour justifier leurs chiffres exagérément gonflés. Des articles ultérieurs publiés après Dark Winter jettent encore plus de doute sur les paramètres de simulation. Cette étude de 2002 analyse les données historiques et place le taux de reproduction de la variole entre 3,5 et 6, tandis que celle-ci, réalisée un an plus tard, examine une épidémie nigériane bien documentée de 1967 dans une communauté chrétienne non vaccinée et trouve un R-zéro de 6,87 parmi les contacts étroits. de personnes infectées.
Maintenant, 6,87 est peut-être inférieur à 10, mais cela reste assez élevé. Il y a cependant ici un problème important. Pas moins qu'Henderson, dans un article plus ancien de 1969 sur une épidémie de variole en Afrique de l'Ouest, notait que « la transmission de la variole semblait s'arrêter lorsque l'approvisionnement en personnes sensibles en contact intime prolongé avec les cas était épuisé », même si les « contacts occasionnels » persistaient. entre les personnes infectées et les autres villageois sensibles.
RépondreSupprimerEn d’autres termes : vous obtenez une transmission relativement élevée lorsque la variole se propage parmi les contacts étroits, mais une transmission très faible car la variole a de sérieuses difficultés à infecter les personnes qui ne sont exposées au virus que brièvement. Partout dans la littérature, on constate que la variole, au-delà du niveau des épidémies confinées, semble évoluer plutôt lentement. Alors que les goules de la guerre biologique sont attachées à l’idée que le virus se transmet principalement via des aérosols (la prémisse de la variole en tant qu’agent de guerre biologique en dépend), je trouve les attaques de centres commerciaux envisagées par Dark Winter plutôt invraisemblables. Tout porte à croire que l'on contracte la variole non pas par inhalation passagère d'aérosols, mais par proximité prolongée avec des membres de la famille infectés.
Les auteurs du scénario imaginent qu’une propagation non détectée après les premières infections constituerait un problème sérieux.
Au moment où une attaque secrète sera découverte, la maladie se propagera déjà à la prochaine génération de cas, connus sous le nom de cas de « deuxième génération ». Étant donné que très peu de médecins exerçant actuellement la médecine ont déjà vu un cas de variole et qu'il n'existe actuellement aucun test de diagnostic rapide et largement disponible pour la variole, il est probable que le diagnostic des premiers cas de variole sera retardé, favorisant ainsi la propagation de la variole. maladie.
Cela aussi semble faux. Tout indique que la transmission se produit dans une fenêtre étroite après l’apparition de l’éruption cutanée distinctive – c’est-à-dire que les patients sont plus contagieux lorsqu’ils sont aussi les plus faciles à diagnostiquer. Dans les stades fébriles et pré-éruption cutanées les plus furtifs de l’infection, presque aucune propagation ne se produit. Une véritable attaque de variole entraînerait donc des infections secondaires dans les hôpitaux et parmi les contacts familiaux, mais quoi que l'on fasse, l'épidémie ralentirait considérablement par la suite. Henderson et ses collègues imaginaires de la variole du CCBS le savaient, et pourtant, ils ont délibérément doté la variole de propriétés beaucoup plus contagieuses dans Dark Winter simplement pour semer l’anxiété face au virus et à la possibilité de sa réémergence.
Une dernière observation, plus conspiratrice : il est intéressant de noter que des personnes comme Henderson ont développé une inquiétude publique face à la réémergence de la variole vers l’an 2000, environ une génération après l’arrêt des vaccinations infantiles contre la variole aux États-Unis. Peut-être que leurs préoccupations étaient plus que des efforts opportunistes pour suivre le mouvement du bioterrorisme. La variole est extrêmement durable dans l’environnement ; le virus peut rester viable pendant plusieurs années dans les croûtes des patients. Sa durabilité environnementale semble liée à son pouvoir pathogène ; selon la terminologie de Paul Ewald, il poursuit une stratégie de « sit and wait », qui lui donne la capacité de provoquer des maladies très graves sans jamais s'épuiser complètement. La transmission interhumaine se produit donc principalement parmi les contacts immédiats lors d’une épidémie donnée. Cependant, pour se propager d’épidémie en épidémie, la variole doit se cacher dans l’environnement et attendre de manière opportuniste un nouvel hôte. Est-ce une coïncidence si le seul virus jamais éradiqué grâce aux efforts humains est précisément l’un de ces rares virus capables de se cacher inaperçus dans l’environnement pendant des années jusqu’à ce qu’il trouve quelqu’un de nouveau à infecter ? Peut-être que la question en 2000 – après l’arrêt de la vaccination infantile contre la variole et la chute de l’immunité de la population à presque zéro – était de savoir si la variole reviendrait.
RépondreSupprimerIci en bas, le tableau de bord.
- voir graph sur site -
Sérieux : Les enquêtes menées après la guerre en Irak ont montré que, contrairement à l'évaluation des renseignements de 1999, l'Irak a mis fin à toutes les recherches sur les armes biologiques après 1996, par crainte de répercussions internationales. Saddam Hussein a maintenu l'ambiguïté publique concernant cette décision à des fins de dissuasion, mais il n'y a aucune preuve qu'il ait jamais cherché à transformer la variole en arme. L’attaque du centre commercial me semble également hautement invraisemblable et peu susceptible de fonctionner comme prévu. Les auteurs de Dark Winter auraient pu concevoir un scénario d’épidémie bien plus grave, mais cela n’aurait guère servi leurs intérêts ni ceux de leurs collaborateurs. Il s’agit d’une fiction bioterroriste mal écrite, conçue non pas pour être réaliste, mais pour impressionner les décideurs politiques et les médias.
Prescience : J'attribuerai quelques points pour avoir anticipé les attaques à l'anthrax de 2001, mais pas beaucoup. Je ne vois pas grand-chose de pertinent pour la réponse à la pandémie de 2020 ici, à part la fermeture des écoles (une idée qui est courante dans les cercles de santé publique américains depuis qu’elle a été testée en 1918) et les limites des rassemblements publics. Il n’y a pas ici la moindre allusion à un confinement massif. Le scénario imagine que des interventions non pharmaceutiques pourraient ralentir les infections, mais ne conçoit jamais qu’elles « écraseront la courbe ». Encore une fois, Dark Winter est structuré de telle sorte que les infections progressent indépendamment de ce que font les participants.
Rigueur : Dark Winter a été conçu par une institution pandémique centrale, et contrairement aux tristes blagues que sont SPARS et « Lock Step », il est en contact avec la recherche épidémiologique contemporaine, bien que celle-ci soit souvent déformée dans le but de provoquer une catastrophe maximale.
RépondreSupprimerValeur comique : Absolument aucune, les goules de guerre biologique sont un fléau sur terre et si jamais la variole réapparaît, je n'ai aucun doute que ce sera de leur faute.
Scorecard
Seriousness: 3/10
Prescience: 3/10
Rigour: 8/10
Comedic value: 0/10
https://www.eugyppius.com/p/dark-winter-is-tedious-bioterror
Le Parmesan contiendra désormais une puce électronique
RépondreSupprimer25 août 2023
par Thomas Oysmuller
Afin d'éviter le piratage des produits, le célèbre Parmigiano Reggiano contiendra à l'avenir une puce en silicium encore plus petite qu'une puce RFID.
Les personnes qui avaient fait soupçonner qu’elles voulaient insérer une puce électronique grâce à la vaccination ont été ridiculisées et pathologisées. Ce qui serait déjà techniquement possible peut maintenant être vu. C'est ce que montre désormais le « vrai » parmesan « Parmigiano Reggiano ». À l’avenir, le fromage légendaire sera doté d’une puce électronique – on dit que sa consommation est totalement inoffensive.
manger avec
Le Wall Street Journal rapporte comment les Européens ont l’intention de « lutter contre les contrefaçons alimentaires » à l’aide de puces électroniques à l’avenir. Les pionniers sont les producteurs de parmesan en Italie, qui souhaitent utiliser « l'innovation » pour lutter contre la contrefaçon de leurs produits.
Le vrai Parmigiano ne peut être produit que dans certaines régions d'Italie, sous des conditions strictes, avec certains ingrédients. Il doit mûrir pendant au moins un an pour être vendu comme représentatif de sa classe.
À l'avenir, une puce de la société américaine p-Chip sera donc placée dans la croûte du fromage. Si cela est mangé, ce n'est pas un problème, déclare le responsable technologique de l'entreprise. Source absolument objective. Il l'aurait testé lui-même.
La puce utilisée est plus petite et plus stable que la puce RFID bien connue et est en silicium. Cependant, les médias allemands écrivent qu'il s'agirait d'une puce de silicium.
Selon des tests, ils survivent également à l’acide gastrique jusqu’à trois semaines. Par conséquent, la consommation de la puce se fait sans hésitation. Il sera simplement « excrété de la manière normale ».
L'entreprise assure également que la puce ne peut pas être suivie à distance. Après tout, vous ne voulez pas « être connu comme l’entreprise accusée de traquer les gens », explique le directeur de la technologie. Apparemment, p-Chip est conscient que la méfiance à l'égard d'une puce dans le fromage est susceptible d'être assez élevée. Le tag p-chip est un appareil passif doté d'une mémoire avec un numéro d'identification unique et d'une option de transmission sans fil. Il est « réveillé » par une lumière laser, c'est-à-dire allumé. Dès sa mise sous tension, il transmet par radiofréquence le numéro de série enregistré à un lecteur spécial. Mesurant 0,5 mm x 0,5 mm, il est suffisamment petit pour être fixé sur divers produits comme dispositif anti-contrefaçon.
Mais cette « innovation » n’est de toute façon pratiquement pas signalée. Si l’utilisation de la technologie dans le Parmigiano Reggiano réussit, elle ne se limitera probablement pas à cela.
https://tkp.at/2023/08/25/kultparmesan-enthaelt-kuenftig-microchip/
L’ONU annonce la création d’une "armée digitale" pour lutter contre une "désinformation meurtrière"
RépondreSupprimerle 25 août 2023 - 12:00
INFORMATION - Faisant de "la lutte contre la désinformation" en ligne "une priorité absolue", les Nations Unies (ONU) ne se contentent plus de discours ou de résolutions sur "la prolifération de la haine et des mensonges" sur les réseaux sociaux. L'organisation intergouvernementale a annoncé ce mois-ci la création d’une "armée digitale", composée de "soldats de la paix" qui "luttent contre la désinformation meurtrière". Déployée par les casques bleus à travers le monde, cette armée devrait "détecter les fausses informations" qui visent à "saper des faits scientifiquement établis" liés à la pandémie de Covid-19 ou au réchauffement climatique, selon les récents dires du Secrétaire général (SG) de l’ONU Antonio Guterres.
Depuis 2020 et la crise du Covid-19, les appels de l’ONU à lutter contre la désinformation se sont multipliés. Déjà en 2019, "la mission des Nations Unies en République démocratique du Congo (RDC) - connue sous son acronyme MONUSCO - a exprimé de graves inquiétudes concernant les campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux appelant à la violence contre les soldats de maintien de la paix", rappelle-t-on.
Antonio Guterres a fait de la lutte contre ce phénomène une "priorité absolue", appelant dès avril 2020 à "rejeter les mensonges et les inepties sur le coronavirus". Au fil des mois et des événements, le SG des Nations Unies alertait sans cesse contre "la prolifération de la haine et des mensonges en ligne", qui provoquent, affirme-t-il, "de graves dommages au niveau mondial". "Cela alimente les conflits, la mort et la destruction. Cela menace la démocratie et les droits humains", estime-t-il, remettant en cause le rôle des "plateformes numériques".
"Pas de définition universellement acceptée de la désinformation"
Si les réseaux sociaux "ont transformé les interactions sociales, culturelles et politiques partout dans le monde" en "connectant les citoyens sur des questions importantes", ces plateformes ont également "exposé un côté plus sombre de l’écosystème numérique. Elles ont permis la propagation rapide des mensonges et de la haine, causant de réels dégâts à l'échelle mondiale".
Dans une note diffusée sur le site internet de l’organisation, Guterres, tout en admettant qu’il "n'existe pas de définition universellement acceptée de la désinformation", rappelle que celle-ci peut "survenir dans des contextes variés et complexes, comme le processus électoral, la santé publique, les conflits armés ou le changement climatique", avec pour objectif de "tromper" et "causer un préjudice grave". "Elle peut être diffusée par des acteurs étatiques ou non-étatiques, affecter un vaste éventail de droits fondamentaux, saper la réponse des politiques publiques ou encore amplifier les tensions en période d'urgence ou de conflit armé", a-t-il écrit.
En juin 2023, le SG des Nations Unies est encore revenu à la charge, exprimant leur volonté d'intensifier la lutte contre la "prolifération de la désinformation". La multiplication de nouveaux outils d’intelligence artificielle (IA) suscitait à ce moment-là une profonde inquiétude mais Antonio Guterres insistait sur le "risque existentiel" de la désinformation en ligne à ses yeux, proposant un "code de conduite international".
"La capacité de disséminer à large échelle de la désinformation pour saper des faits scientifiquement établis pose un risque existentiel à l’humanité", a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse, citant comme exemples les risques de violences, les fausses informations véhiculées d'après lui lors de la pandémie de Covid-19 ou encore la propagation de thèses niant la responsabilité de l’humanité dans le changement climatique. "Ces risques se sont encore intensifiés à cause de l’avancée rapide de la technologie, comme l’intelligence artificielle générative", qui permet notamment de créer des deepfakes (des enregistrements vidéo ou audio réalisés ou modifiés grâce à l'IA).
RépondreSupprimerUne "armée" dotée de smartphones, collaboration avec Big Tech
Dans un communiqué de presse publié le 19 août dernier, l’ONU explique le "statu quo n’est pas une option". L'organisation annonce ainsi la mise en place d’une "armée digitale" pour lutter contre une "désinformation meurtrière". "Les soldats de la paix de l'ONU mettent de nouveaux outils entre les mains des civils de tous âges", y compris des personnes encore mineures.
Comment cette "armée" va-t-elle procéder ? Les Nations Unies précisent que leurs "soldats" seront chargés de "détecter des fausses informations" et produire des contenus à l’aide de leurs smartphones et des applications adaptées. Ces contenus, que l’ONU qualifie "d’informations objectives et crédibles", seront diffusés à travers des "clubs relais" qui se chargent de les partager sur les réseaux sociaux. Les "soldats" de cette "armée digitale" seront formés lors d’ateliers animés par les casques bleus, dont certains ont déjà eu lieu en République démocratique du Congo (RDC).
Il ne s’agit pas de la première mesure prise par les Nations Unies pour lutter contre la désinformation. Ce mois-ci, une station de radio visant à "contrer les discours de haine" et les "fake news" (fausses nouvelles) a été lancée à Abiyé au Soudan. Le Programme pour le développement (PNUD) a déployé cette année un outil automatisé de fact-checking (vérification des faits) baptisé "iVerify".
Basée sur l’Intelligence Artificielle, cette solution a été développée en collaboration avec des organisations médiatiques comme International Fact-Checking Network et des géants du numérique comme le groupe Meta. L'ouil "iVerify" a jusque-là été utilisé en Zambie et au Honduras lors d’élections générales, pour lutter, selon l’ONU, contre "la propagation de faux récits pendant les périodes électorales".
Si l'IA, la désinformation en ligne ou le discours de haine sur les réseaux sociaux suscitent des inquiétudes tant chez les acteurs étatiques que non étatiques, cette "armée digitale" onusienne ne rassure pas tout le monde.
Parmi les domaines dans lesquels cette "désinformation" est censée surgir, cités par Antonio Guterres, figurent justement les questions liées au coronavirus ou encore le réchauffement climatique. Des thématiques complexes qui nécessitent des débats, qui évoluent régulièrement avec l'état de la science : certains craignent ainsi des phénomènes de censure.
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech-medias/onu-annonce-creation-armee-digitale-pour-lutter-desinformation
AUCUN scientifique ne siège à l'ONU qui embauche des soldats NAZIS de la paix !
SupprimerL’expansion de l’IA, une arme à double tranchant
RépondreSupprimerL’Intelligence Artificielle (IA) s’est développée de façon exponentielle ces dernières années, comme a pu le montrer l’émergence de plateformes telles que ChatGPT. Les entreprises ont d’ailleurs bien compris ce tournant, puisque, selon Gartner, 79 % des organisations voient l’IA, l’analytique et l’automatisation comme essentielles à leur prospérité dans le futur.
Par Jean-Christophe Vitu
le 25 août 2023 à 6h05
99 % des spécialistes de la sybersécurité ont intégré l'IA dans leurs outils.
L’IA présente une menace pour la sécurité des entreprises, mais elle peut également aider à protéger les identités
L'IA, qui est arrivée très rapidement à la connaissance du grand public, promet aujourd’hui de transformer la société moderne à une vitesse sans précédent. Elle peut faire les devoirs des étudiants, ou bien aider les organisations à prendre de meilleures décisions en matière d'investissement ou de traitement. Mais ces changements bénéfiques s’accompagnent d’utilisations plus discutables.
En matière de cybersécurité, l'IA demeure une arme à double tranchant. Du côté des cybercriminels, notre récente étude a révélé que les professionnels de la cybersécurité considèrent les menaces basées sur l'IA comme prioritaires en 2023. Plus de 90 % s'attendent, en effet, à ce qu’elle ait un impact négatif sur la cybersécurité, en termes de malwares, de phishing, de deepfakes ou d'une autre forme de cybermenace.
Si l'IA ne donne pas lieu à de nouveaux risques, elle peut, par exemple, améliorer la qualité et le volume des attaques de phishing, qui sont l'un des moyens les plus couramment utilisés pour compromettre l'identité et s'introduire dans les organisations. Grâce à l’IA, les hackers peuvent notamment lancer des campagnes massives plus difficile à déceler par les victimes : habituellement, les utilisateurs sont méfiants, surtout lorsqu’ils voient des fautes d’orthographe dans les emails qu’ils reçoivent ; ici, ce type d’erreur est évité et les victimes sont donc plus nombreuses. En outre, les nouvelles technologies intelligentes permettent aussi le vishing, une technique de phishing qui imite la voix d’une personne proche de la victime pour lui soudoyer des informations. Grâce à l’accumulation de données vocales de certaines personnes sur le net, l’outil peut faire dire n’importe quoi à n’importe qui de manière crédible.
Toutefois, l'IA est également un outil devenu indispensable pour se défendre contre les cyberattaques ; 99 % des personnes interrogées ont intégré l'IA d'une manière ou d'une autre, permettant par exemple une détection plus rapide des violations et un contrôle plus précis de l'accès aux données sensibles. Cette technologie contribue également à résoudre un problème très humain : le manque de compétences en cybersécurité auquel de nombreuses organisations sont actuellement confrontées.
Puisque les cybercriminels innovent avec des méthodes automatisées et plus efficaces liées à l’IA, il est important que les experts de la cybersécurité en fassent de même. Cette technologie, désormais incontournable, doit être prise en compte, non seulement au niveau des risques qu’elle entraîne pour la protection des identités, mais aussi pour les opportunités qu’elle créé pour la protection de ces dernières.
RépondreSupprimerhttps://www.economiematin.fr/ia-expansion-danger-attaque-cybercriminalite-securite-enjeux-vitu
Nous parlons ici de machines en panne. Quand une machine est en panne, plutôt que d'appeler un réparateur en urgence il y a l''I.A.'. L'IA va examiner, diagnostiquer les faiblesses mais pas forcément les réparer. Çà, c'est le travail du mécanicien ou de l'électronicien. L'IA agit aussi comme un antivirus, une sorte de Linux à tout faire qui peut réparer les Windows (choses que l'inverse est impossible).
SupprimerOui l'IA peut être un anti-virus comme peut être un virus !
Zoom met à jour ses conditions d'utilisation : les experts en matière de confidentialité mettent en garde contre un potentiel VOL DE DONNÉES pour la formation en IA
RépondreSupprimer24/08/2023
Zoey Sky
Fin juillet, Zoom a mis à jour ses conditions de service (TOS). Cette décision a suscité des critiques et de l'indignation de la part des utilisateurs et des experts en cybersécurité qui s'inquiétaient du fait que Zoom utilise les données des clients sans leur autorisation pour entraîner l'intelligence artificielle (IA).
Pour apaiser ces craintes concernant la violation de la vie privée, Zoom a révisé ses conditions d'utilisation à deux reprises : d'abord le 7 août, puis de nouveau le 11 août. La société a également publié un article de blog complémentaire pour expliquer son approche de l'IA.
Dans le billet de blog, Zoom a confirmé à trois reprises qu’il n’utiliserait pas le chat, l’audio, la vidéo, le partage d’écran, les pièces jointes ou d’autres communications telles que le contenu client pour former les modèles d’intelligence artificielle de Zoom ou de tiers.
Le contenu client comprend les résultats du sondage, les réactions et le tableau blanc.
Le message affirme que les fonctionnalités d'IA sont désactivées par défaut. Toutefois, si un administrateur de la réunion, qui est généralement l'hôte, les active, la seule façon pour les participants de se désinscrire est de quitter la réunion.
Faisant référence à un arrêt de janvier de la Cour de justice de l'Union européenne contre les pratiques de consentement forcé de Meta, TechCrunch a souligné que même si les utilisateurs de Zoom pouvaient quitter une réunion avec les fonctionnalités Ai activées, cela ne signifie pas automatiquement que Zoom a « un libre choix » sur ce qu'ils font avec les données des utilisateurs.
Les données sont "de l'or"
Zoom a déclaré qu'elle conserve tous les droits sur les données générées par le service, ce qui signifie que l'entreprise peut modifier, distribuer, traiter, partager, conserver et stocker lesdites données.
L'avocat W. Scott McCollough, dont l'expérience comprend la rédaction de conditions d'utilisation et de politiques d'utilisation acceptables pour le secteur de la technologie et des télécommunications, a expliqué que c'est ce qu'on peut attendre d'entreprises comme Zoom, qui propose un forfait de base gratuit et des forfaits payants.
McCollough a prévenu que tout service gratuit considère l'utilisateur comme le produit. Il a ajouté que les entreprises trouveront toujours un moyen de « s'approprier et de monétiser les données des utilisateurs », indépendamment de ce que disent les conditions d'utilisation ou des cases sur lesquelles vous cliquez lorsque vous utilisez leurs applications.
RépondreSupprimerEt même s'il existe de nombreuses lois fédérales et étatiques sur la protection de la vie privée, l'exception à toutes est le consentement, a déclaré Greg Glaser, un avocat.
Les données sont importantes. En tant que "nouvel or", Zoom tentera de contourner l'invasion des lois sur la vie privée en affirmant que les utilisateurs "ont consenti à ce que Zoom utilise et entraîne l'IA sur votre propre [appel] vidéo".
Glaser a averti que Zoom pourrait essayer d'utiliser l'IA avancée pour créer des expériences pouvant être vendues. (En relation : Elon Musk annonce la création d’une nouvelle société d’IA après avoir passé des ANNÉES à critiquer le développement rapide de l’IA.)
Selon Search Logistics, Zoom a enregistré 10 millions de participants quotidiens aux réunions en décembre 2019. Depuis lors, Zoom a connu une croissance de plus de 2 900 %.
À ce jour, Zoom compte actuellement en moyenne 300 millions d’utilisateurs actifs quotidiens.
Glaser a déclaré que les géants de la technologie comme Zoom et Meta essayaient de faire valoir dans leurs conditions qu'ils avaient un accès légitime aux informations des consommateurs. À terme, ils auront carte blanche pour créer et utiliser des « émules », ou la version informatique d’une personne réelle.
Cela est lié à des entreprises comme Zoom, Google et Meta qui utilisent délibérément l'IA sur les vidéos privées des utilisateurs. Glaser a ajouté que les entreprises ont de grands projets en matière de données et que les utilisateurs pourraient éventuellement leur être superflus.
Selon le TedTalk de Robin Hanson sur les émules (ems), qu'il définit comme des copies numériques de l'esprit humain, le travail des humains réels consiste simplement à « prendre leur retraite et mourir ».
McCollough a également souligné la structure de propriété de Zoom. La société étant publique, les dirigeants internes en détiennent près de 60 pour cent.
La formation de classe A comprend le lieutenant général (à la retraite) H.R. McMaster, ancien conseiller à la sécurité nationale de Trump, The Vanguard Group et T. Rowe Price. Vanguard et Price sont tous deux importants dans le secteur pharmaceutique, tandis que le premier est également important dans les télécommunications.
RépondreSupprimerLes actions de classe B semblent être détenues par d’autres personnes impliquées dans le capitalisme de surveillance.
Fonctionnalités de l'IA Zoom
En mars, Zoom a annoncé des offres d'IA générative qui utilisent des réseaux de neurones pour identifier les modèles et les structures au sein des données existantes afin de créer du contenu nouveau et original.
La dernière fonctionnalité d'IA de Zoom, appelée Zoom IQ, permet aux utilisateurs de générer des réponses de chat à des collègues, de produire des tableaux blancs basés sur des invites textuelles, de fournir des récapitulatifs de réunions et de résumer les fils de discussion dans Zoom Team Chat.
Le défenseur de la confidentialité numérique, Open Rights Group, a exprimé ses inquiétudes quant à la mise à disposition des outils Zoom IQ pour les clients sur la base d'un essai gratuit. Le groupe a averti que l’essai gratuit encourage les clients à « s’inscrire », ce qui rend les révisions des conditions d’utilisation de Zoom alarmantes.
Les utilisateurs qui activent les outils d'IA se verraient présenter un processus de consentement transparent pour former les modèles d'IA de Zoom à l'aide du contenu de leur client, a déclaré Smita Hashim, responsable des produits de Zoom.
Dans le billet de blog, Zoom a insisté sur le fait que les propriétaires de comptes et les administrateurs peuvent contrôler s'ils souhaitent activer ces fonctionnalités d'IA pour leurs comptes.
Mais dans la plupart des cas, l’interaction de l’utilisateur avec le menu d’options est elle-même surveillée, a prévenu McCollough. Il a ajouté que pour des entreprises comme Zoom et leurs services de renseignement, se retirer ou refuser de s'inscrire "est un acte subversif et conduit probablement à un démérite par rapport à votre score de crédit social".
Fight for the Future, un groupe de défense, a récemment lancé une pétition en ligne pour exiger que Zoom revoie sa politique.
Zoom paie 85 millions de dollars pour régler un recours collectif concernant des problèmes de sécurité
Zoom a déjà eu des problèmes avec les lois sur la confidentialité. En avril 2022, l’entreprise a payé des millions de dollars pour régler un recours collectif pour des problèmes de sécurité qui ont permis à des pirates informatiques d’interrompre des réunions virtuelles.
La pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) a déclenché une vague inquiétante de « Zoom-bombing » où des pirates informatiques et des farceurs s'immiscent dans des réunions virtuelles avec des messages et des images abusifs.
Zoom a accepté un paiement « historique » de 85 millions de dollars dans le cadre d'un recours collectif intenté par plusieurs utilisateurs qui affirmaient que les perturbations les avaient traumatisés.
RépondreSupprimerDans le cadre de l'accord de règlement, Zoom versera 85 millions de dollars aux utilisateurs en compensation en espèces. L'entreprise a également promis de réformer ses pratiques commerciales.
La juge fédérale Laurel Beeler de Californie a donné son approbation finale à l'accord.
Lors d’un incident survenu en 2020, l’église luthérienne Saint Paulus de San Francisco organisait un cours d’étude biblique. La plupart des participants étaient des personnes âgées.
Une poursuite fédérale déposée en mai 2020 a révélé qu'après le début de l'appel vidéo de groupe, Zoom avait autorisé un « délinquant connu » à bombarder la classe avec Zoom.
Les participants ont été horrifiés lorsque leurs écrans d’ordinateur ont été piratés et leurs boutons de commande désactivés. Ensuite, les kamikazes de Zoom les ont tous forcés à regarder des séquences vidéo pornographiques.
Les vidéos choquantes comprenaient des images de violences physiques et d’abus sexuels sur des enfants.
L'hôte n'ayant pas pu forcer le pirate de l'air à quitter la salle de réunion, il n'a eu d'autre choix que de demander aux participants de quitter et de rejoindre la réunion.
Cependant, le pirate de l’air a réussi à bombarder à nouveau la réunion avec du contenu graphique. L'incident a laissé l'hôte et les participants "traumatisés et impuissants".
Les plaignants ont également accusé Zoom de partager illégalement des données avec des tiers autorisés tels que Facebook, Google et LinkedIn et de déformer la force de ses protocoles de cryptage de bout en bout.
Apprenez-en davantage sur les dangers potentiels de l’utilisation de l’IA sur FutureScienceNews.com.
Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir comment le PCC utilise Zoom pour collecter des données du monde entier.
Cette vidéo provient des Chinois qui suppriment la chaîne EVIL CCP sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
RépondreSupprimerBiais institutionnalisant : les HSH et les entreprises technologiques concluent un accord historique sur l’utilisation du contenu « FAKE NEWS » pour former des chatbots IA.
Chercheurs : les décisions en matière d’IA pourraient provoquer une CATASTROPHE « au niveau nucléaire ».
Google a mis à jour sa politique de confidentialité afin de pouvoir utiliser toutes vos données pour entraîner l'IA.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
Blog.Zoom.us
TechCrunch.com
TheGuardian.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-24-zoom-updates-tos-experts-warn-data-theft.html
Le renard dans le poulailler !
SupprimerGoogle déploie une nouvelle fonctionnalité d'IA générative qui résume les articles – ce qui signifie que vous ne pouvez voir que ce qu'elle vous permet de voir
RépondreSupprimer23/08/2023
Arsenio Toledo
Google a commencé à déployer une nouvelle fonctionnalité Search Generative Experience (SGE) basée sur l'intelligence artificielle, qui résumera les articles recherchés à l'aide du navigateur Web Chrome de l'entreprise.
SGE est déjà actif sur Chrome. Mais la nouvelle fonctionnalité, connue sous le nom de « SGE pendant la navigation », est conçue pour aller encore plus loin en fournissant immédiatement des résumés aux articles sur lesquels les utilisateurs cliquent.
Google a décrit cette nouvelle fonctionnalité comme un outil permettant de « naviguer efficacement dans les informations en ligne » et de mieux interagir avec le contenu long de différents éditeurs et créateurs afin de faciliter la recherche de certains sujets. (Connexe : Google utilise l'IA pour parcourir les comptes Gmail afin de « trouver exactement ce que vous recherchez » – et peut-être PLUS.)
La fonctionnalité n'est actuellement disponible qu'en tant que « première expérience » à laquelle certains utilisateurs de Chrome peuvent adhérer. Les utilisateurs de Chrome qui ont déjà choisi d'utiliser certaines des fonctionnalités antérieures de SGE y auront automatiquement accès.
Pour accéder à cette fonctionnalité de résumé, les utilisateurs qui font défiler les articles sur Chrome verront une option en bas de l'écran indiquant « Obtenir les points clés générés par l'IA » chaque fois que l'IA de Google peut générer des résumés pour les pages qu'ils visitent.
Il y aura également une section « Explorer sur la page » qui montrera aux utilisateurs certains points soulevés par les articles, tels que les questions auxquelles les utilisateurs recherchent des réponses.
La fonctionnalité sera d'abord disponible dans l'application Google sur Android et iOS, et sera disponible sur le navigateur Chrome de bureau "dans les jours à venir". La fonctionnalité de résumé ne sera pas utilisable pour les articles payants, et les éditeurs auront la possibilité de bloquer la fonctionnalité en désignant leur contenu comme payant avec le centre d'aide de Google.
La sortie de cet outil de synthèse alimenté par l'IA s'accompagne d'autres nouvelles fonctionnalités, notamment une où les utilisateurs dans les requêtes de recherche sur des sujets liés à la science, à l'économie et à l'histoire peuvent survoler certains mots pour obtenir des définitions ou des diagrammes et des images.
RépondreSupprimerUne autre nouvelle fonctionnalité permettra aux utilisateurs de SGE de demander de l'aide pour la programmation. L'IA générative permettra désormais aux utilisateurs de comprendre et de déboguer plus facilement le code généré.
Les résumés générés par l’IA pourraient être truffés de préjugés
Christina Maas, écrivant pour Reclaim The Net, a averti que cette nouvelle fonctionnalité d'IA générative n'est que la dernière des attaques de Google contre l'intégrité journalistique équilibrée.
"L'entreprise n'est pas exactement connue pour son objectivité ces dernières années", a-t-elle écrit, notant que les précédents précédents avec Google traitant des informations à conserver et à omettre donnent "une image inquiétante de la propension de Google à filtrer le contenu pour soutenir son propre contenu". perspectives idéologiques. »
"En facilitant ostensiblement un accès simple aux points clés d'un article, complétés par des liens pertinents, Google incite à une ingérence plus directe dans la consommation et l'interprétation des informations", a poursuivi Maas.
Elle a noté qu’il s’agissait d’un grand pas en avant par rapport à la simple possibilité de filtrer quels sites apparaissent en premier dans les requêtes de recherche et quels sites – tels que les sites d’information et d’opinion indépendants et alternatifs – sont effectivement mis sur liste noire dès la première page.
"Cela entraîne une dynamique dans laquelle l'IA de Google devient le principal résumé de l'actualité, ce qui soulève des inquiétudes quant à la diffusion impartiale de l'information", a déclaré Maas.
"De plus en plus de preuves indiquent un biais bien ancré dans les algorithmes et les systèmes de Google", a-t-elle conclu. "Il existe une crainte légitime qu'un tel parti pris envahisse son IA d'information, diluant l'objectivité essentielle à une véritable liberté d'expression."
Apprenez-en davantage sur les derniers développements dans le monde de l’IA sur Robotics.news.
Regardez cette vidéo expliquant comment Google AI contrôle désormais également les plans de vol des avions.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne Alex Hammer sur Brighteon.com.
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Google permet aux utilisateurs de supprimer leurs photos explicites des résultats de recherche.
Les créatifs s'opposent au vol de leur travail par l'IA générative et demandent aux Big Tech de les indemniser équitablement.
Les journalistes des médias grand public sont désormais OBSOLÈTES : Google teste un nouvel outil d’IA capable d’écrire des JOURNÉES et de remplacer les journalistes-propagandistes obéissants.
Google a mis à jour sa politique de confidentialité afin de pouvoir utiliser toutes vos données pour entraîner l'IA.
L’IA générative pourrait remplacer jusqu’à 300 millions d’emplois, principalement des cols blancs, dans le monde.
Les sources incluent :
ReclaimTheNet.org
FrGadget.com
TheVerge.com
TechCrunch.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-23-google-rolls-out-generative-ai-summarizes-articles.html
Non-non, n'allez pas penser qu'à l'avenir il n'existera plus de con car ils résoudront leurs problèmes grâce à l'IA ! Au contraire ! Comme le programme est un programme 'spécial con', le petit con du jour deviendra le super-con du jour !
SupprimerApple : vous pourrez réparer vous-même votre iPhone !
RépondreSupprimerApple, autrefois réticent à l’idée de permettre aux utilisateurs de réparer leurs propres appareils, semble avoir changé d’avis en Californie. Un changement qui étonne mais qui n’est pas infondé et incompatible avec la politique du géant de la tech.
Par Benoit Vrignaud
le 25 août 2023 à 12h30
iOS :concentre 17,29 % des parts de marché des systèmes d'exploitation dans le monde
Apple soutient le droit à la réparation en Californie
Depuis ses origines, Apple a toujours été réticent à l'idée que ses utilisateurs démontent et réparent leurs appareils. Cependant, récemment, la firme de Cupertino a exprimé son soutien au projet de loi SB 244 en Californie. Cette loi vise à contraindre les fabricants à fournir les outils, manuels et pièces nécessaires pour réparer les appareils électroniques et électroménagers endommagés. Dans une déclaration, Apple a affirmé soutenir cette loi pour élargir l'accès aux réparations tout en garantissant la sécurité et la vie privée des utilisateurs.
Pendant longtemps, Apple s'est opposé à toute forme de droit à la réparation. Cependant, face à la pression croissante et aux changements de mentalité, notamment en matière d'écologie, Apple semble avoir assoupli sa position. Bien que la société ait mis en place un programme de réparation à domicile, permettant aux clients d'acheter des pièces détachées officielles, ce changement de cap semble être davantage motivé par la protection de son image de marque que par une véritable ouverture à l'idée de la réparation.
Image de marque ou préoccupation réelle
Malgré ce revirement apparent, il y a des nuances à considérer. Par exemple, même si un utilisateur peut remplacer un composant par une pièce d'origine, il doit passer par un serveur Apple pour associer les numéros de série et garantir un fonctionnement normal à l'appareil réparé. Cela pose des problèmes écologiques. Il n'est en effet pas possible de récupérer des pièces fonctionnelles d'un appareil pour en réparer un autre. Il est donc essentiel de passer par Apple. Ce verrouillage fait partie intégrante de la politique interne de l'entreprise. Il montre que, malgré les apparences, la société est toujours guidée par des considérations financières mais aussi par la volonté de garder la main sur tout ce qui touche à ses produits.
https://www.economiematin.fr/apple-soutient-droit-reparation-californie
RépondreSupprimerPour la première fois dans l’histoire, l’humanité a un seul ennemi commun
Il ne s’agit plus de nation contre nation, de dirigeant contre dirigeant, de groupe contre groupe, de personne contre personne. Il s’agit de l’humanité contre l’extinction. C’est un combat qui ne peut avoir qu’un seul vainqueur, et c’est un combat que nous ne pouvons gagner qu’ensemble.
CaitlinJohnstone.com
25 août 2023
Lors d’un discours prononcé devant les Nations Unies en 1987, Ronald Reagan a parlé positivement de l’effet unificateur qu’une invasion extraterrestre aurait sur l’humanité dans le monde.
"Dans notre obsession des antagonismes du moment, nous oublions souvent à quel point tous les membres de l'humanité sont unis", a déclaré Reagan. « Peut-être avons-nous besoin d’une menace extérieure et universelle pour nous faire reconnaître ce lien commun. Je pense parfois à la rapidité avec laquelle nos différences à travers le monde disparaîtraient si nous étions confrontés à une menace extraterrestre venant de l’extérieur de ce monde.
Les « antagonismes du moment » dans le cas de Reagan étaient la fin d'une guerre froide avec l'URSS qui avait tenu l'humanité en otage de la menace d'anéantissement nucléaire depuis que les Soviétiques ont fait exploser leur première bombe atomique en 1949. Avant cela, les antagonismes de C'étaient les deux guerres mondiales, et avant cela, d'innombrables conflits entre nations, royaumes, civilisations et tribus s'étendaient au-delà de l'horizon de l'histoire enregistrée.
Les antagonismes se sont poursuivis de moment en moment jusqu’à nos jours, avec une nouvelle guerre froide sur plusieurs fronts qui pourrait devenir brûlante à tout moment, ramenant déjà la menace d’un armageddon nucléaire au premier plan après une brève interruption. Ce qui est absolument ridicule, car, pour la première fois dans l’histoire, l’humanité est confrontée à une menace universelle commune qui devrait nous rassembler.
Cette menace ne nous vient pas de l’extérieur comme dans le scénario hypothétique d’invasion extraterrestre de Reagan, mais de l’intérieur. Pour la première fois dans l’histoire, l’humanité est confrontée avec force à sa propre autodestruction, parce que nous nous dirigeons vers notre propre extinction.
L’humanité a été aux prises avec elle-même tout au long de l’histoire connue, la violence, la guerre et la tyrannie restant une constante comportementale dans le monde entier, aussi loin que nos archives peuvent nous le montrer. Dès que nous sommes devenus le nouveau prédateur suprême sur la scène, nous avons cessé d'avoir à craindre d'être tués par des carnivores affamés et nous nous sommes plutôt inquiétés principalement d'être tués par d'autres humains. D'autres humains qui voulaient nos affaires. D'autres humains qui voulaient notre terre. D'autres humains qui ont servi un dirigeant différent du nôtre. D'autres humains qui adoraient un dieu différent du nôtre. D’autres humains qui ont épousé une idéologie politique différente de la nôtre.
Chaque espèce finit par atteindre un point où elle doit s’adapter à des situations changeantes ou disparaître. Nous arrivons actuellement au nôtre. Je ne sais pas exactement à quoi cela ressemblera si et quand cette adaptation se produira, mais je pense que nous pouvons probablement supposer que cela ressemblerait à une prise de conscience rapide des forces qui déterminent notre comportement, à la fois individuellement et collectivement.
RépondreSupprimerComme un toxicomane qui a touché le fond, nous allons être confrontés à une forte pression pour examiner ce qui nous pousse à faire les choses que nous faisons. Au niveau individuel, cela se résumera aux constructions psychologiques et aux habitudes intérieures liées à l’ego, qui peuvent être dissipées par un examen intérieur rigoureux. Au niveau collectif, cela dépendra des systèmes, des institutions et des personnes qui maintiennent l’humanité enfermée dans ses schémas autodestructeurs, qui peuvent être dissipés par des révolutions de toutes sortes.
Cela semble être ce vers quoi nous nous dirigeons alors que l’humanité commence à se retourner et à faire face à son ennemi collectif : soit une explosion massive de conscience, soit une horrible extinction auto-infligée. Mais ce vers quoi nous ne nous dirigeons certainement pas, c’est un avenir dans lequel les puissances nucléaires continueront à intensifier leurs agressions les unes contre les autres tout en ignorant la santé de la biosphère dont nous dépendons tous pour notre survie. D’une manière ou d’une autre, ces jours touchent à leur fin.
Il ne s’agit plus de nation contre nation, de dirigeant contre dirigeant, de groupe contre groupe, de personne contre personne. Il s’agit de l’humanité contre l’extinction. C’est un combat qui ne peut avoir qu’un seul vainqueur, et c’est un combat que nous ne pouvons gagner qu’ensemble.
https://www.lewrockwell.com/2023/08/no_author/for-the-first-time-in-history-humanity-has-a-single-common-foe/
(...) Lors d’un discours prononcé devant les Nations Unies en 1987, Ronald Reagan a parlé positivement de l’effet unificateur qu’une invasion extraterrestre aurait sur l’humanité dans le monde. (...)
SupprimerC'est 'presque' de l'extraterrestre ! L'intelligence artificelle ! Un PROGRAMME à la con comme une minuterie de la machine à laver ou de la 'valise' ! (dont ce sert un informaticien pour réparer les problèmes d'électronique sur votre voiture).
Aujourd'hui votre frigo, ordi ou votre 'alarme en cas d'infraction à votre propriété' est régi une (ou un ?) fantôme qui a créé LE problème (de type Windows) et... il interviendrait pour le réparer ! Whoâw !
Vraie science contre fausse science : découvrez la vérité sur la soi-disant « urgence climatique »
RépondreSupprimer24/08/2023
Ethan Huff
En ce qui concerne la science entourant le changement climatique, il existe deux camps distincts qui disent des choses opposées sur l’état actuel des conditions météorologiques mondiales.
D’un côté, il y a les fanatiques du climat qui insistent sur le fait que le monde est « en ébullition » ou « en train de fondre » et que la seule façon d’y remédier est d’interdire tout ce qui rend la vie moderne vivable. D’un autre côté, il y a les réalistes du climat qui admettent que le climat a toujours changé et qu’il n’existe pas de véritable urgence climatique basée sur les modèles météorologiques historiques.
Le lauréat du prix Nobel, le Dr John Clauser, appartient au deuxième camp, ayant récemment apposé sa signature sur la Déclaration mondiale sur le climat déclarant qu'« il n'y a pas d'urgence climatique ». À l’inverse, « l’apocalyptographe » du climat, Mike Mann, défend une position diamétralement opposée, affirmant que chaque événement météorologique majeur, y compris les récents incendies de Maui et l’ouragan Hilary, est la preuve positive que le réchauffement climatique est réel.
Bien entendu, ces deux hommes ne peuvent pas avoir raison. Seul Clauser détient une position solide qui s’aligne sur la science, tandis que Mann soutient la vision mondialiste conspiratrice selon laquelle chaque activité de l’humanité réchauffe la planète, provoquant ainsi la fonte des calottes glaciaires polaires et l’élévation du niveau des océans.
(Connexe : Découvrez ces 14 villes américaines qui prévoient d'interdire la viande, les produits laitiers, la possession de voitures particulières, les nouveaux vêtements et les voyages aériens commerciaux d'ici 2030.)
Passer au « vert » signifie abaisser le niveau de vie des gens ordinaires tout en permettant aux riches de devenir encore plus riches.
Clauser n’est pas le seul à rejeter le discours dominant sur le climat. Il est en fait le deuxième lauréat du prix Nobel à signer la Déclaration mondiale sur le climat, un document qui compte actuellement près de 1 600 signatures importantes.
Clauser a également récemment rejoint le conseil d'administration de la CO2 Coalition, une organisation climatique qui rejette l'idée inventée selon laquelle les « gaz à effet de serre » comme le dioxyde de carbone sont en quelque sorte responsables des événements météorologiques majeurs sur lesquels les « verts » insistent. parce que trop de gens mangent encore de la viande et conduisent des voitures.
"Le discours populaire sur le changement climatique reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l'économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes", aurait déclaré Clauser.
RépondreSupprimer"Une science du climat malavisée s'est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc massive. À son tour, la pseudoscience est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d'autres maux sans rapport. Elle a été promue et étendue par des agents de marketing commercial, des politiciens, des journalistes et des agences gouvernementales tout aussi malavisés. , et les écologistes.
En termes clairs, Clauser a répété à maintes reprises que, sur la base de tout ce qu’il sait et voit, il n’y a absolument aucune crise climatique en cours – du moins pas d’une sorte que les humains peuvent empêcher, en tout cas.
"Il existe cependant un problème très réel pour assurer un niveau de vie décent à l'importante population mondiale et une crise énergétique qui en découle", déclare toutefois Clauser. "Cette dernière situation est inutilement exacerbée par ce qui, à mon avis, est une science climatique incorrecte."
Clauser est assez courageux dans sa position, partageant publiquement chaque changement qu'il obtient, y compris lors du récent événement Quantum Korea 2023. Là-bas, Clauser a averti son auditoire que la pseudoscience et la désinformation autour du changement climatique continuent de croître.
"Attention : si vous faites de la bonne science, cela peut vous conduire dans des domaines politiquement incorrects", a déclaré Clauser lors de l'événement.
"Si vous êtes un bon scientifique, vous les suivrez. J'en ai plusieurs dont je n'aurai pas le temps de parler, mais je peux affirmer avec certitude qu'il n'y a pas de véritable crise climatique et que le changement climatique ne provoque pas d'événements météorologiques extrêmes."
Le canular du changement climatique provoqué par l'homme est un complot mondialiste visant à priver la population mondiale de toute liberté – parce que la liberté « pollue » la planète, nous dit-on. Apprenez-en davantage sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
WattsUpWithThat.com
CNN.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-24-real-science-fake-truth-climate-emergency.html
Les incendies incandescents de Maui alimentés par des aérosols de chemtrails et du nitrate d'ammonium, préviennent un analyste
RépondreSupprimer24/08/2023
Ethan Huff
Les vents violents à eux seuls n'ont pas suffi à déclencher les incendies de Maui, qui ont détruit quelque 2 200 structures et tué des centaines, voire des milliers de personnes. Il fallait également du carburant, et en grande quantité, sous forme d'aérosols de chemtrails et de nitrate d'ammonium.
Même les arbres peu présents dans cette partie de l’île n’auraient pas constitué suffisamment de carburant pour provoquer les enfers incinérant les voitures et créant de la poussière blanche qui ont laissé Lahaina complètement dévastée et pratiquement inexistante.
"Si ce n'est pas un incendie de forêt, alors quel a été le combustible qui a allumé les incendies pour qu'ils brûlent sur différents supports et matériaux ?" » demande James Grundvig, écrivant pour American Media Periscope.
"Qu'est-ce qui a déclenché les incendies qui ont brûlé des métaux et des plastiques, surchauffé des blocs et des briques de CMU, fondu des pare-brise et des alliages métalliques de jantes et des bateaux en fibre de verre retirés du port ?"
La première réponse est toute cette géo-ingénierie qui a eu lieu à Maui depuis au moins une décennie, transformant le ciel de l'île d'un bleu cristallin avec peut-être quelques nuages gonflés et de la pluie de temps en temps en une brume blanche persistante.
Cette brume, nous le savons désormais, est composée de trois substances chimiques principales : le baryum (Ba), l'aluminium (Al) et le strontium-90 (90Sr), ce dernier étant un isotope radioactif.
"Pour ceux qui s'éveillent maintenant aux pulvérisations au-dessus de leur tête, notez que le baryum et l'aluminium combinés font de "Ba'al", l'un des dieux démoniaques que les humains vénèrent à basse fréquence", note Grundvig en guise d'encadré à cette sinistre équation.
(Connexe : Il semble bien que les incendies de Maui étaient un complot de gauche visant à propager davantage de peur et d’anxiété climatiques.)
RépondreSupprimerEn utilisant du nitrate d'ammonium comme accélérateur oxygénant, les incendies de Maui ont pu brûler des voitures et de l'acier tout en laissant les arbres tranquilles.
L’autre ingrédient apparent des incendies de Maui est le nitrate d’ammonium, dont plusieurs tonnes ont mystérieusement et commodément disparu d’un train de marchandises en Californie le 30 mai dernier.
Le nitrate d'ammonium est la même substance qui avait déjà été utilisée lors de l'attentat à la bombe d'Oklahoma City en 1995, ainsi que lors de l'explosion de 2011 à Oslo, en Norvège. Le nitrate d’ammonium est également utilisé pour fabriquer des voitures piégées.
Connu scientifiquement sous le nom de NH4NO3, le nitrate d’ammonium n’est pas inflammable et ne peut pas non plus s’enflammer tout seul. Cependant, il brûle et se décompose en présence d'autres catalyseurs, créant une fumée blanche ou de couleur claire comme celle observée à Lahaina lors des incendies.
Ce qui rend un feu alimenté au NH4NO3 unique, c'est qu'au lieu de briller en rouge ou dans une autre couleur typique associée à un incendie de forêt, il brûle de manière claire et blanche.
"Le nitrate d'ammonium est un oxydant ; il favorise la combustion d'autres matériaux", explique Grundvig.
"Lorsqu'une réaction violente se produit, comme l'explosion d'une bombe ou une explosion, le nuage qui en résulte est principalement constitué d'oxyde d'azote et de vapeur d'eau. Essentiellement, le nitrate d'ammonium libère de l'oxygène. L'oxygène est le combustible dont un incendie a besoin pour éclater et se propager."
En d’autres termes, le NH4NO3 agit comme un oxygénateur pour vraiment attiser un incendie et le rendre plus chaud et plus mortel que la normale. Cela semble être la raison pour laquelle les incendies de Maui ont pu faire fondre l'acier des voitures et des structures de bâtiments dotées de renforts en acier.
"Maintenant, ajoutez les revêtements de nanopoussières métalliques issus d'années de chemtrails avec une nouvelle couche de nitrate d'ammonium et tout ce dont la tempête de feu de Maui avait besoin était une étincelle", affirme Grundvig.
"Oui, le dispositif DEW (arme à énergie dirigée), qu'il s'agisse d'un laser provenant d'un avion qui passe, d'un satellite ou d'un ballon espion chinois. Il n'en faudrait pas beaucoup pour exploser l'enfer la nuit."
RépondreSupprimer"L'État Profond a créé le carburant parfait, qui a expliqué comment les bateaux, les véhicules et les structures ont tous brûlé en même temps, et pourquoi les arbres ont survécu pour la plupart, y compris le banian vieux de 150 ans qui centre Lahaina."
Quels autres complots de terrorisme environnemental le gouvernement s’apprête-t-il à déclencher ? Pour en savoir plus, consultez FalseFlag.news.
Les sources de cet article incluent :
AmericanMediaPeriscope.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-24-white-hot-maui-fires-chemtrails-ammonium-nitrate.html
Températures record et orages violents : la France face à une double menace !
RépondreSupprimerLa France est actuellement en proie à des conditions météorologiques extrêmes. Alors que le sud du pays ressent les derniers effets d’une canicule étouffante, une vague orageuse menace trois quarts du territoire. La vigilance est de mise, et il est crucial de connaître les départements concernés pour prendre les précautions nécessaires.
Par Paolo Garoscio
le 25 août 2023 à 11h00
78% de la population française a été touchée par la canicule en 2022.
Une canicule persistante dans le Sud-Est
La canicule, phénomène météorologique caractérisé par une chaleur intense et durable, touche principalement le quart Sud-Est de la France.
Les départements concernés par cette vigilance orange à la canicule comprennent l'Ain, les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche, l'Aude, les Bouches-du-Rhône, la Haute-Corse, la Drôme, le Gard, l'Hérault, l'Isère, la Loire, la Haute-Loire, les Pyrénées-Orientales, le Rhône, la Savoie, la Haute-Savoie, le Var et le Vaucluse. L'Andorre est également touchée.
Les records de température continuent d'être battus avec des valeurs ayant atteint 42,9°C à Mirande, 42,5°C à Montauban et Agen, ou encore 41,4°C à Lyon le 24 août 2023. Mais la situation va s’améliorer vendredi 25 août 2023. Les premières chutes de pluie ont même été signalées du côté de Lyon.
Orages : une menace imminente pour le Nord-Est
Parallèlement à la canicule, une vigilance orange aux orages concerne des départements allant de la Drôme au Nord. Cette liste inclut l'Ain, l'Aisne, l'Allier, l'Ardèche, les Ardennes, l'Aube, la Côte-d'Or, le Doubs, la Drôme, l'Isère, le Jura, la Loire, la Haute-Loire, la Marne, la Haute-Marne, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, la Moselle, la Nièvre, le Nord, l'Oise, le Puy-de-Dôme, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, le Rhône, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, les Vosges, l'Yonne et le Territoire de Belfort.
Ces orages, qualifiés de "parfois violents" par Météo France, pourraient entraîner des pluies intenses (jusqu'à 50 à 60 mm en peu de temps), des chutes de grêle et des rafales de vent pouvant atteindre 100 km/h.
Recommandations et précautions face à la double alerte canicule orages
Face à ces conditions météorologiques extrêmes, il est essentiel de rester informé et de suivre les recommandations des autorités.
Pour la canicule, pensez à vous hydrater régulièrement, évitez les efforts physiques et restez à l'ombre.
Pour les orages, éloignez-vous des fenêtres, évitez d'utiliser des appareils électriques et ne vous abritez pas sous les arbres.
Le détail des alertes canicule et orages département par département
- voir cadre sur site !
https://www.economiematin.fr/canicule-orages-france-aerte-mete-danger-chaleur-grele
Hugging Face : cette start-up française lève 235 millions de dollars
RépondreSupprimerLa start-up Hugging Face, née de l’ambition de trois Français, vient de réaliser une levée de fonds impressionnante de 235 millions de dollars, attirant l’attention des géants mondiaux de la tech. Cette levée marque une étape cruciale dans l’évolution de l’entreprise, qui se positionne comme une référence dans le domaine de l’intelligence artificielle open source.
Par Nicolas Egon
le 25 août 2023 à 12h00
En 2022, l'entreprise avait procédé, à une levée de fonds de 100 millions de dollars
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Hugging Face : un acteur majeur de l'IA en open source
Hugging Face, fondée en 2016, a parcouru un long chemin depuis ses débuts en tant que simple chatbot sur iPhone. Aujourd'hui, elle est souvent surnommée le « GitHub de l'IA », hébergeant plus de 500 000 modèles d'intelligence artificielle et 250 000 ensembles de données sur sa plateforme. Avec plus de 10 000 clients payants, la société a su se démarquer en proposant une plateforme collaborative en open source, permettant aux développeurs du monde entier de partager, adapter et améliorer des modèles pré-entraînés.
La récente levée de fonds a propulsé la valorisation de Hugging Face à 4,5 milliards de dollars, soit plus du double de sa valeur précédente. Cette croissance fulgurante est le fruit d'une vision claire et d'une collaboration étroite avec des acteurs majeurs de la tech tels que Google, Amazon, Nvidia et bien d'autres.
Les raisons d'une levée de fonds record
La levée de fonds de 235 millions de dollars, orchestrée par Salesforce Ventures, a été motivée par la volonté de Hugging Face de renforcer sa position dominante dans le secteur de l'IA. Les fonds levés seront utilisés pour élargir l'équipe, qui compte actuellement 170 employés, dont 80 en France, et pour renforcer les efforts collaboratifs de la plateforme.
Les géants de la tech ont choisi d'investir dans Hugging Face car ils reconnaissent la valeur de la plateforme. Nvidia, par exemple, a récemment annoncé que les services d'Hugging Face seraient hébergés sur son cloud DGX, spécialisé dans l'IA. De plus, des entreprises telles que Renault, Pfizer et Roche utilisent la bibliothèque open source de Hugging Face pour accélérer leurs services alimentés par l'IA.
https://www.economiematin.fr/hugging-face-levee-fonds-235-millions-dollars
Le problème n’est pas la pénurie de logements, c’est la concentration de la propriété par les riches
RépondreSupprimer23 août 2023
Charles Hugh Smith
Cette concentration de la propriété immobilière par les riches est le résultat direct de la Réserve fédérale et des politiques fédérales qui profitent aux riches.
On nous dit que les loyers et les prix des logements exorbitants sont le résultat d’une pénurie de logements. La solution est simple : construire plus de logements.
Cela semble évident, mais la réalité est que le problème n’est pas une pénurie, c’est la concentration de la propriété immobilière dans les 10 % les plus riches, les mêmes 10 % qui possèdent la majorité des autres actifs générateurs de revenus comme les actions et les obligations.
Le problème est que les riches thésaurisent le logement comme un simple actif générateur de revenus à accumuler parce que les banques centrales et les politiques économico-financières des dernières décennies ont favorisé le capital au détriment du travail et des déjà riches qui ont acheté des actifs quand ils étaient bon marché.
Les milliers de milliards de dollars de nouveaux crédits ont été distribués de manière asymétrique : les plus solvables, avec les revenus et les garanties les plus élevés, appartiennent aux 10 % les plus riches, et ont donc accaparé la majeure partie du crédit. Étant donné que l’immobilier dépend fortement du crédit (20 % en baisse et 80 % emprunté, contrairement aux actions et aux obligations), cet afflux massif de crédit à faible coût a conduit les 10 % les plus riches à accumuler des logements d’investissement.
En d’autres termes, la répartition asymétrique du crédit a concentré la propriété du logement entre les mains d’une minorité au détriment du plus grand nombre. Les riches se sont lancés dans des guerres d'enchères pour les « logements excédentaires » avec d'autres riches, un processus d'enchères basé en grande partie sur qui avait accès au crédit le moins cher et dont la richesse existante avait le plus gonflé dans la bulle de tout générée par la banque centrale.
Ceux qui ne disposaient pas d'une garantie de bulle de crédit ou de l'argent gratuit émis par la Banque de Maman et Papa ne pouvaient pas rivaliser.
Compte tenu de ces asymétries en matière de crédit, de garanties et de richesse familiale, il était impossible que les riches ne se retrouvent pas avec la part du lion des « logements excédentaires », tout comme ils finissaient par posséder la part du lion des actions, des obligations, des métaux précieux et des crypto-monnaies. , œuvres d'art, etc.
Il existe de nombreuses sources de rétention de logements. L’un est l’héritage. Les parents emménagent dans une résidence-services ou décèdent, et comme la famille était suffisamment riche pour aider les enfants à acheter leur propre maison dès leur plus jeune âge, la maison des parents constitue un « capital excédentaire » qui reste dans la famille.
Un autre exemple est l’achat par les entreprises de propriétés locatives. La hausse constante des loyers (voir le dernier graphique ci-dessous) fait du logement locatif un investissement attractif et à faible risque, de sorte que les entreprises ont fait appel à leurs lignes de crédit ou au marché des obligations d'entreprises pour acquérir des dizaines de milliers de logements locatifs. Étant donné que les coûts de capital et de gestion des entreprises sont inférieurs à ceux des ménages, les entreprises peuvent se permettre d’être moins sensibles aux prix. Les acheteurs individuels pourraient être surenchéris par les entreprises.
RépondreSupprimerUne troisième source est le récent « engouement pour les investissements » pour les locations de vacances à court terme (STVR), les riches ayant entendu des histoires selon lesquelles d'autres personnes riches recevaient 10 000 $ par mois dans des maisons qui rapportaient 2 000 $ par mois en location à long terme.
Ce différentiel a déclenché un tsunami d'achats de maisons par les riches cherchant à maximiser leurs gains grâce à un crédit bon marché et à un « excédent de capital » stagnant sur leurs comptes et rapportant des intérêts proches de zéro.
De manière classique, cette frénésie de ruée vers les terres pour capter les profits démesurés du STVR a englouti tout le stock de logements, créant une pénurie induite par le crédit. Toujours de manière classique, les riches enchérisseurs ont commencé à baser leurs offres non pas sur 3 000 dollars par mois via des revenus de location à long terme, mais sur 12 000 dollars par mois (en haute saison) provenant de touristes insensibles aux prix via STVR.
Le déluge de « dépenses de vengeance » déclenché après la fin des confinements pandémiques a exacerbé l’avidité et l’acquisition de logements pour des locations de vacances à court terme. 12 000 $ par mois, c'était désormais de la monnaie ; le prix a grimpé à 15 000 $, et assez vite, c'était une « bonne affaire » qui avait besoin d'un autre coup de pouce.
Ceux qui cherchaient désespérément des vacances, quel qu'en soit le prix, constituaient la clientèle idéale pour les prix abusifs généralisés, c'est-à-dire pour « maximiser le retour sur investissement ».
La véritable ampleur de cette ruée des riches vers les STVR est difficile à évaluer pour diverses raisons. Pour bénéficier de taux d’hypothèque et d’impôt foncier préférentiels, certains nouveaux propriétaires peuvent avoir demandé la résidence ou inscrit le nouvel achat comme résidence secondaire. La seule façon d’évaluer avec précision l’ampleur réelle est de regrouper les licences STVR dans des localités qui exigent que les propriétaires de STVR obtiennent des permis et paient des frais d’enregistrement annuels.
RépondreSupprimerConsidérez les faits présentés ci-dessous. La bulle immobilière actuelle est le résultat direct du flot de mesures de relance émises par la Réserve fédérale et le Trésor après la pandémie. Notez l’augmentation massive des achats d’investissements qui en a résulté.
- voir graph sur site -
Le troisième graphique montre que la population américaine a augmenté de 4 millions entre 2019 et 2023, tandis que le logement a augmenté de 5 millions d'unités. Euh, OK, où est la rareté alors que le logement par habitant (par personne) atteint des niveaux record ?
Le quatrième graphique montre que la cohorte la plus active d'acheteurs de maisons (âgées de 25 à 54 ans) a stagné depuis 2008, tout comme le nombre de personnes employées et donc en mesure d'obtenir et de payer un prêt hypothécaire. Ce qui a grimpé en flèche, ce n'est pas le nombre d'acheteurs de logements salariés, mais plutôt le crédit et les mesures de relance des banques centrales et du gouvernement : le bilan de la Fed et les avoirs en titres adossés à des créances hypothécaires ont grimpé en flèche (cinquième graphique), ce qui a entraîné une hausse directe du logement via la baisse des taux hypothécaires, et dépenses fédérales déficitaires.
Les riches accumulent des logements parce que le système les incite à investir « l’excédent de capital et de crédit » dans le logement. Cette concentration de la propriété immobilière parmi les riches est le résultat direct de la Réserve fédérale et des politiques fédérales qui profitent aux riches.
Comme l'a dit Suzanne S., correspondante de longue date : « Je ne suis pas sûre que nous soyons confrontés à une crise du logement autant qu'à une crise de la propriété. »
https://www.oftwominds.com/blogaug23/hoarding-housing8-23.html
Subway : la chaîne de sandwiches rachetée, et cher !
RépondreSupprimerLa célèbre chaîne de sandwiches Subway a récemment été au cœur d’une transaction majeure. Découvrez les détails de cette acquisition qui fait grand bruit dans le secteur de la restauration.
Par Benoit Vrignaud
le 25 août 2023 à 10h30
Les offres de rachat, restées confidentielles, auraient avoisinées 9 milliards de dollars.
Un rachat historique pour Subway
Subway, la chaîne américaine emblématique de sandwiches, a officiellement annoncé son rachat par la société d'investissements américaine Roark Capital. Bien que le montant exact de la transaction n'ait pas été divulgué, des sources proches des négociations ont mentionné des offres dépassant les 9 milliards de dollars. Le Wall Street Journal a même évoqué une offre avoisinant les 9,6 milliards de dollars.
Si ces chiffres s'avèrent réels, cette acquisition se classerait parmi les plus importantes dans le secteur de la restauration aux États-Unis. Elle surpasserait alors de nombreuses transactions mémorables de ces dernières années.
Subway : une transformation en cours
Face à une concurrence accrue et aux défis posés par la pandémie, Subway a entamé un processus de transformation. La chaîne a travaillé sur la modernisation de ses points de vente et l'amélioration de l'expérience client. Fondée en 1965, Subway possède aujourd'hui plus de 37.000 restaurants dans plus de 100 pays, dont 21.000 aux États-Unis.
Malgré les défis, les efforts de transformation de la marque semblent porter leurs fruits, avec une augmentation notable des ventes en Amérique du Nord au premier semestre 2023. Il faut dire que pour de la restauration rapide, Subway rassemble tous les critères qui plaisent. Que ce soit la vitesse de préparation des sandwichs jusqu'à leur composition personnalisée, Subway a tous les atouts.
Le futur du fastfood sous Roark Capital
Roark Capital, qui deviendra le nouveau propriétaire de Subway, est déjà un acteur majeur dans le monde de la restauration. Avec des marques comme Jimmy John's, Arby's, Baskin-Robbins et Buffalo Wild Wings sous son aile, Roark Capital apporte une expertise considérable à la table. Neil Saunders, directeur général de GlobalData, estime que l'expérience de Roark dans la croissance des marques de restauration sera bénéfique pour Subway, en particulier sur le marché américain. Bien que les marques du groupe ne soient pas très présentes en Europe, elles assurent au nouveau propriétaire un début de statut concurrentiel. De quoi faire face aux géants du secteur du fastfood aux États-Unis.
https://www.economiematin.fr/subway-fast-food-rachat-porprietaire-2023
Visualiser tous les partenaires commerciaux de la Chine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 AOÛT 2023 - 02:15
La Chine est un acteur redoutable sur la scène commerciale mondiale, exerçant son influence en tant que premier exportateur mondial de marchandises.
Avec un réseau complexe de partenariats commerciaux couvrant plus de 200 pays, régions et territoires, la deuxième économie mondiale entretient d’importantes relations économiques avec ses alliés et ses adversaires.
En utilisant les données commerciales de 2022 de l'Administration générale des douanes chinoises, ce graphique de Truman Du et Omri Wallach de Visual Capitalist répartit les principaux partenaires commerciaux du pays en termes d'importations et d'exportations par destination.
- voir cadre sur site -
Importations et exportations de la Chine par pays en 2022
Au cours de l’année 2022, la Chine a enregistré des exportations totalisant 3 570 milliards de dollars et des importations totalisant 2 710 milliards de dollars, ce qui lui confère un énorme excédent commercial de 857 milliards de dollars.
Country . Imports (2022 USD) . Exports (2022 USD) .Balance (2022 USD)
RépondreSupprimer🇨🇳 China $121.9B IMPORT. $3570 EXPORT. BALANCE: $-121.9B
🇺🇸 United States $177.7B $578.8B +$401.1B
🇭🇰 Hong Kong $7.8B $295.2B +$287.4B
🇳🇱 Netherlands $12.5B $117.4B +$104.9B
🇮🇳 India $17.5B $117.7B +$100.3B
🇲🇽 Mexico $17.4B $77.3B +$59.8B
🇬🇧 United Kingdom $21.8B $81.0B +$59.2B
🇻🇳 Vietnam $88.0B $144.4B +$56.4B
🇸🇬 Singapore $33.9B $80.0B +$46.1B
🇵🇭 Philippines $23.0B $63.9B +$40.9B
🇵🇱 Poland $5.1B $38.0B +$32.9B
🇪🇸 Spain $9.8B $41.6B +$31.9B
🇹🇷 Türkiye $4.5B $33.9B +$29.4B
🇧🇪 Belgium $8.7B $35.5B +$26.7B
🇧🇩 Bangladesh $1.0B $26.7B +$25.7B
🇮🇹 Italy $27.0B $50.5B +$23.6B
🇹🇭 Thailand $56.5B $77.7B +$21.1B
🇳🇬 Nigeria $1.6B $22.1B +$20.5B
🇵🇰 Pakistan $3.4B $22.9B +$19.5B
🇪🇬 Egypt $1.0B $17.1B +$16.0B
🇰🇬 Kyrgyzstan $0.1B $15.3B +$15.3B
🇨🇿 Czechia $5.4B $18.2B +$12.8B
🇰🇭 Cambodia $1.8B $14.0B +$12.2B
🇬🇷 Greece $0.8B $12.9B +$12.1B
🇵🇦 Panama $1.2B $12.6B +$11.4B
🇨🇦 Canada $42.3B $53.4B +$11.1B
🇫🇷 France $35.6B $45.5B +$9.9B
🇨🇴 Colombia $7.0B $15.5B +$8.5B
🇦🇪 United Arab Emirates $45.4B $53.5B +$8.1B
🇰🇪 Kenya $0.3B $8.2B +$7.9B
🇱🇷 Liberia $0.0B $7.5B +$7.5B
🇮🇱 Israel $9.0B $16.4B +$7.4B
🇹🇿 Tanzania $0.5B $7.7B +$7.1B
🇸🇮 Slovenia $0.6B $6.8B +$6.3B
🇬🇭 Ghana $2.3B $7.8B +$5.5B
🇭🇺 Hungary $5.0B $10.5B +$5.4B
🇺🇿 Uzbekistan $2.3B $7.4B +$5.1B
🇩🇿 Algeria $1.1B $6.2B +$5.1B
🇯🇴 Jordan $0.7B $5.7B +$4.9B
🇲🇦 Morocco $0.9B $5.7B +$4.8B
🇩🇪 Germany $111.4B $115.9B +$4.5B
🇩🇰 Denmark $5.7B $10.2B +$4.4B
🇷🇴 Romania $3.1B $7.4B +$4.3B
🇦🇷 Argentina $8.6B $12.7B +$4.1B
🇲🇴 Macao $0.1B $4.2B +$4.1B
🇬🇹 Guatemala $0.6B $4.3B +$3.8B
🇩🇴 Dominican Republic $0.5B $4.3B +$3.7B
🇸🇳 Senegal $0.3B $4.0B +$3.7B
🇲🇭 Marshall Islands $0.0B $3.5B +$3.5B
🇱🇰 Sri Lanka $0.5B $3.7B +$3.2B
🇩🇯 Djibouti $0.1B $3.2B +$3.1B
🇮🇷 Iran $6.4B $9.4B +$3.0B
🇹🇬 Togo $0.2B $3.1B +$2.9B
🇵🇹 Portugal $3.0B $6.0B +$2.9B
🇨🇮 Cote d'Ivoire $1.0B $3.5B +$2.5B
🇨🇲 Cameroon $0.7B $3.1B +$2.5B
🇱🇧 Lebanon $0.1B $2.5B +$2.4B
🇸🇪 Sweden $9.1B $11.4B +$2.2B
🇻🇪 Venezuela $0.8B $3.0B +$2.1B
🇾🇪 Yemen $0.6B $2.8B +$2.1B
🇭🇷 Croatia $0.2B $2.3B +$2.1B
🇲🇿 Mozambique $1.3B $3.2B +$1.9B
🇲🇲 Myanmar $11.5B $13.4B +$1.9B
🇹🇯 Tajikistan $0.4B $2.2B +$1.8B
🇵🇾 Paraguay $0.1B $1.9B +$1.8B
🇪🇹 Ethiopia $0.5B $2.2B +$1.8B
🇱🇹 Lithuania $0.1B $1.8B +$1.7B
🇳🇵 Nepal $0.0B $1.6B +$1.6B
🇹🇳 Tunisia $0.3B $1.9B +$1.6B
🇧🇬 Bulgaria $1.3B $2.8B +$1.6B
🇭🇳 Honduras $0.0B $1.6B +$1.5B
🇧🇭 Bahrain $0.3B $1.8B +$1.5B
🇰🇿 Kazakhstan $14.8B $16.3B +$1.5B
🇧🇾 Belarus $1.8B $3.2B +$1.4B
🇧🇯 Benin $0.3B $1.7B +$1.4B
🇸🇻 El Salvador $0.2B $1.7B +$1.4B
🇲🇹 Malta $0.6B $2.0B +$1.4B
🇸🇩 Sudan $0.9B $2.0B +$1.1B
🇨🇾 Cyprus $0.0B $1.2B +$1.1B
🇬🇪 Georgia $0.1B $1.2B +$1.1B
🇸🇴 Somalia $0.0B $1.0B +$1.0B
🇦🇿 Azerbaijan $0.1B $1.1B +$1.0B
🇯🇲 Jamaica $0.0B $1.0B +$1.0B
🇺🇬 Uganda $0.1B $1.1B +$1.0B
🇲🇺 Mauritius $0.0B $1.0B +$0.9B
🇷🇸 Serbia $1.4B $2.2B +$0.8B
🇲🇬 Madagascar $0.6B $1.4B +$0.8B
🇰🇵 Korea, DPR $0.1B $0.8B +$0.7B
🇳🇮 Nicaragua $0.0B $0.7B +$0.7B
🇪🇪 Estonia $0.3B $0.9B +$0.7B
🇱🇻 Latvia $0.4B $1.0B +$0.6B
🇭🇹 Haiti $0.0B $0.6B +$0.6B
🇦🇱 Albania $0.2B $0.7B +$0.5B
🇦🇫 Afghanistan $0.0B $0.6B +$0.5B
🇲🇱 Mali $0.1B $0.6B +$0.5B
🇫🇯 Fiji $0.0B $0.5B +$0.5B
🇲🇻 Maldives $0.0B $0.4B +$0.4B
🇸🇾 Syria $0.0B $0.4B +$0.4B
🇬🇲 Gambia $0.0B $0.4B +$0.4B
🇧🇫 Burkina Faso $0.1B $0.5B +$0.4B
🇧🇸 Bahamas $0.0B $0.4B +$0.4B
🇳🇪 Niger $0.3B $0.7B +$0.4B
🇨🇷 Costa Rica $2.0B $2.4B +$0.4B
🇷🇼 Rwanda $0.1B $0.4B +$0.3B
🇧🇿 Belize $0.0B $0.3B +$0.3B
🇸🇷 Suriname $0.0B $0.3B +$0.3B
🇲🇼 Malawi $0.0B $0.3B +$0.3B
RépondreSupprimer🇷🇪 Réunion $0.0B $0.2B +$0.2B
🇱🇺 Luxembourg $0.3B $0.5B +$0.2B
🇧🇴 Bolivia $0.9B $1.1B +$0.2B
🇲🇪 Montenegro $0.0B $0.2B +$0.2B
🇧🇹 Bhutan $0.0B $0.2B +$0.2B
🇵🇸 Palestine $0.0B $0.2B +$0.2B
🇵🇫 French Polynesia $0.0B $0.2B +$0.1B
🇹🇱 Timor-Leste $0.1B $0.3B +$0.1B
🇧🇧 Barbados $0.0B $0.2B +$0.1B
🇲🇩 Moldova $0.1B $0.2B +$0.1B
🇼🇸 Samoa $0.0B $0.1B +$0.1B
🇮🇸 Iceland $0.2B $0.3B +$0.1B
🇻🇬 British Virgin Islands $0.0B $0.1B +$0.1B
🇧🇮 Burundi $0.0B $0.1B +$0.1B
🌏 Other Oceanian Territories $0.0B $0.1B +$0.1B
🇦🇬 Antigua and Barbuda $0.0B $0.1B +$0.1B
🇸🇨 Seychelles $0.0B $0.1B +$0.1B
🇨🇻 Cabo Verde $0.0B $0.1B +$0.1B
🇻🇺 Vanuatu $0.0B $0.1B +$0.1B
🇧🇲 Bermuda $0.0B $0.1B +$0.1B
🇸🇿 Eswatini $0.0B $0.1B +$0.1B
🇬🇵 Guadeloupe $0.0B $0.1B +$0.1B
🇰🇲 Comoros $0.0B $0.1B +$0.1B
🇦🇼 Aruba $0.0B $0.1B +$0.1B
🇧🇦 Bosnia and Herzegovina $0.1B $0.2B +$0.1B
🇨🇼 Curaçao $0.0B $0.1B +$0.1B
🇾🇹 Mayotte $0.0B $0.1B +$0.1B
🇬🇼 Guinea-Bissau $0.0B $0.1B +$0.1B
🇹🇴 Tonga $0.0B $0.1B +$0.1B
🇲🇰 North Macedonia $0.2B $0.2B +$0.1B
🇰🇾 Cayman Islands $0.0B $0.1B +$0.1B
🌎 Other Latin American Territories $0.0B $0.1B +$0.1B
🇵🇼 Palau $0.0B $0.1B +$0.1B
🇲🇶 Martinique $0.0B $0.0B +$0.0B
🇰🇮 Kiribati $0.0B $0.0B +$0.0B
🇬🇫 French Guiana $0.0B $0.0B +$0.0B
🇱🇸 Lesotho $0.0B $0.1B +$0.0B
🇱🇨 Saint Lucia $0.0B $0.0B +$0.0B
🇩🇲 Dominica $0.0B $0.0B +$0.0B
🇹🇻 Tuvalu $0.0B $0.0B +$0.0B
🇫🇲 Federated States of Micronesia $0.0B $0.0B +$0.0B
🇨🇫 Central African Republic $0.0B $0.1B +$0.0B
🇧🇶 Bonaire, Sint Eustatius, and Saba $0.0B $0.0B +$0.0B
🇬🇩 Grenada $0.0B $0.0B +$0.0B
🇦🇩 Andorra $0.0B $0.0B +$0.0B
🇻🇨 Saint Vincent and the Grenadines $0.0B $0.0B +$0.0B
🇬🇮 Gibraltar $0.0B $0.0B +$0.0B
🇸🇹 Sao Tome and Principe $0.0B $0.0B +$0.0B
🌍 Other European Territories $0.0B $0.0B +$0.0B
🇰🇳 Saint Kitts and Nevis $0.0B $0.0B +$0.0B
🇳🇷 Nauru $0.0B $0.0B +$0.0B
🇨🇰 Cook Islands $0.0B $0.0B +$0.0B
🇹🇨 Turks and Caicos Islands $0.0B $0.0B +$0.0B
🇲🇫 Saint Martin $0.0B $0.0B +$0.0B
🌏 Other North American Territories $0.0B $0.0B +$0.0B
🇸🇲 San Marino $0.0B $0.0B +$0.0B
🌍 Other African Territories $0.0B $0.0B +$0.0B
🇮🇨 Canary Islands $0.0B $0.0B +$0.0B
🇼🇫 Wallis and Futuna $0.0B $0.0B +$0.0B
🇳🇫 Norfolk Island $0.0B $0.0B +$0.0B
🇪🇭 Western Sahara $0.0B $0.0B +$0.0B
🌏 Other Asian Territories $0.0B $0.0B +$0.0B
🇲🇸 Montserrat $0.0B $0.0B +$0.0B
🇪🇺 Ceuta $0.0B $0.0B +$0.0B
🇻🇦 Holy See $0.0B $0.0B +$0.0B
🇪🇺 Melilla $0.0B $0.0B +$0.0B
🇵🇲 Saint Pierre and Miquelon $0.0B $0.0B +$0.0B
🇧🇶 Bonaire $0.0B $0.0B +$0.0B
🇲🇨 Monaco $0.0B $0.0B -$0.0B
RépondreSupprimer🇨🇺 Cuba $0.5B $0.4B -$0.0B
🇳🇦 Namibia $0.6B $0.6B -$0.0B
🇸🇸 South Sudan $0.2B $0.2B -$-0.1B
🇸🇧 Solomon Islands $0.3B $0.2B -$-0.1B
🇫🇴 Faroe Islands $0.1B $0.0B -$-0.1B
🇱🇮 Liechtenstein $0.2B $0.1B -$-0.1B
🇧🇼 Botswana $0.4B $0.2B -$-0.2B
🇿🇼 Zimbabwe $1.3B $1.1B -$-0.2B
🇸🇱 Sierra Leone $0.8B $0.6B -$-0.2B
🇹🇹 Trinidad and Tobago $0.8B $0.5B -$-0.2B
🇲🇷 Mauritania $1.2B $0.9B -$-0.2B
🇦🇲 Armenia $0.8B $0.5B -$-0.3B
🇪🇷 Eritrea $0.5B $0.1B -$-0.3B
🇵🇷 Puerto Rico $1.3B $1.0B -$-0.3B
🇬🇱 Greenland $0.4B $0.0B -$-0.4B
🇪🇨 Ecuador $6.8B $6.3B -$-0.6B
🇱🇾 Libya $2.9B $2.4B -$-0.6B
🇫🇮 Finland $5.3B $4.5B -$-0.7B
🇬🇾 Guyana $1.3B $0.6B -$-0.7B
🇹🇩 Chad $1.1B $0.3B -$-0.8B
🇺🇦 Ukraine $4.3B $3.3B -$-1.1B
🇱🇦 Laos $3.4B $2.3B -$-1.1B
🇬🇶 Equatorial Guinea $1.5B $0.2B -$-1.3B
🌏 Unknown Countries (Territories) $1.4B $0.0B -$-1.4B
🇧🇳 Brunei $2.2B $0.8B -$-1.4B
🇺🇾 Uruguay $4.5B $3.0B -$-1.5B
🇳🇨 New Caledonia $1.9B $0.2B -$-1.7B
🇬🇳 Guinea $4.5B $2.3B -$-2.3B
🇵🇬 Papua New Guinea $3.8B $1.4B -$-2.4B
🇳🇴 Norway $8.0B $5.2B -$-2.8B
🇦🇹 Austria $8.2B $5.1B -$-3.1B
🇸🇰 Slovakia $7.7B $4.4B -$-3.3B
🇬🇦 Gabon $3.9B $0.6B -$-3.4B
🇨🇬 Congo $5.6B $1.0B -$-4.6B
🇿🇲 Zambia $5.7B $1.0B -$-4.8B
🇲🇳 Mongolia $9.3B $2.9B -$-6.5B
🇳🇿 New Zealand $16.0B $9.1B -$-6.8B
🇮🇩 Indonesia $77.9B $70.9B -$-7.0B
🇿🇦 South Africa $32.4B $24.0B -$-8.4B
🇹🇲 Turkmenistan $10.3B $0.9B -$-9.5B
🇵🇪 Peru $24.1B $13.4B -$-10.7B
🇨🇩 Democratic Republic of Congo $16.6B $5.1B -$-11.5B
🇯🇵 Japan $184.4B $172.5B -$-11.9B
🇮🇪 Ireland $18.1B $5.7B -$-12.4B
🇲🇾 Malaysia $109.9B $92.2B -$-17.7B
🇶🇦 Qatar $22.6B $3.9B -$-18.6B
🇦🇴 Angola $23.2B $4.0B -$-19.2B
🇰🇼 Kuwait $26.5B $4.9B -$-21.6B
🇨🇱 Chile $44.4B $22.4B -$-22.0B
🇮🇶 Iraq $39.4B $13.8B -$-25.6B
RépondreSupprimer🇴🇲 Oman $36.2B $4.2B -$-32.1B
🇰🇷 Republic of Korea $199.1B $161.3B -$-37.8B
🇷🇺 Russia $114.4B $75.6B -$-38.7B
🇸🇦 Saudi Arabia $78.1B $37.7B -$-40.4B
🇨🇭 Switzerland $49.7B $7.6B -$-42.1B
🇧🇷 Brazil $109.4B $61.8B -$-47.6B
🇦🇺 Australia $142.1B $78.5B -$-63.6B
🇨🇳 China $121.9B N/A -$-121.9B
🇹🇼 Taiwan $237.2B $81.5B -$-155.8B
La Chine a enregistré des excédents commerciaux individuels avec l’écrasante majorité de ses partenaires commerciaux : 174 des 234 pays et territoires répertoriés.
Ces excédents commerciaux sont particulièrement visibles dans les relations commerciales de la Chine avec plusieurs des plus grandes économies mondiales, dont les États-Unis et l’Inde, avec respectivement 401,1 milliards de dollars et 100,3 milliards de dollars d’excédents.
Parallèlement, une bonne partie des déficits commerciaux du pays concernent les principales économies asiatiques. Son déficit le plus important se situe avec Taiwan, provenant principalement des importations de circuits intégrés. La Chine présente également des déficits avec le Japon (-11,9 milliards de dollars) et la Corée du Sud (-37,8 milliards de dollars), respectivement les deuxième et quatrième économies de la région, en grande partie à cause des importations d'électronique et de machines.
Les autres déficits commerciaux du pays proviennent de la satisfaction de besoins stratégiques. Par exemple, la Chine a des déficits avec des pays producteurs de pétrole comme la Russie et l’Arabie Saoudite. Le pays connaît également un déficit commercial avec l’Australie, un fournisseur clé de matières premières telles que le fer, l’or, le lithium et le gaz de pétrole liquéfié.
L’évolution des relations commerciales avec la Chine
Les relations commerciales de la Chine vont bien au-delà des simples considérations économiques ; ils reflètent également des facteurs historiques, géopolitiques et stratégiques.
Le rôle majeur de Taiwan sur le marché des semi-conducteurs, par exemple, en fait à la fois un partenaire commercial précieux et un rival controversé. La Chine considère Taiwan comme une partie de son territoire, tandis que Taiwan fonctionne comme une entité distincte et autonome.
De même, les investissements croissants de la Chine dans les infrastructures dans certaines parties de l’Asie et de l’Afrique commencent à refléter la croissance des balances commerciales avec les pays en développement appelés à devenir des partenaires commerciaux majeurs à l’avenir.
À mesure que l’économie chinoise évolue (et s’affaiblit potentiellement), ses relations avec ses alliés et ses ennemis potentiels ne feront que devenir plus complexes.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-all-chinas-trade-partners
Sondage Gallup : Los Angeles parmi cinq villes jugées dangereuses pour vivre ou visiter
RépondreSupprimer23/08/2023
Richard Brown
Los Angeles a une identité complexe et à plusieurs niveaux. Avec son industrie du divertissement fastueuse, sa diversité culturelle et ses monuments emblématiques, elle captive l'imagination du monde entier.
Cependant, sous cette surface scintillante, la ville est aux prises avec un défi persistant : la criminalité. De la violence des gangs aux crimes contre les biens, Los Angeles est confrontée à une bataille multiforme pour maintenir la sûreté et la sécurité de ses résidents et visiteurs.
Selon le dernier sondage Gallup, qui a étudié la perception des Américains en matière de sécurité dans les grandes villes américaines, Los Angeles se trouve dans une position défavorable. Classée troisième en partant du bas de la liste des 16 villes, Los Angeles est considérée comme dangereuse pour y vivre ou la visiter par 58 % des personnes interrogées. (Connexe : SONDAGE : 40 % des Californiens envisagent de QUITTER en raison du coût de la vie élevé, des politiques laxistes à l'égard de la criminalité et de la politique réveillée.)
Parmi les facteurs contribuant à ces préoccupations figure la question des crimes violents.
Los Angeles, bastion démocrate, a un taux de crimes violents de 29,1, supérieur à la moyenne américaine de 22,7. La violence liée aux gangs a longtemps été une épine dans le pied de la ville, contribuant à l'image de certains quartiers comme des zones à haut risque.
L'un des principaux points de discorde dans le discours sur la criminalité est le procureur de district de la ville, George Gascon, qui est indulgent envers la criminalité. Accusé de mettre en œuvre des politiques perçues comme indulgentes à l'égard de la criminalité, Gascon a été critiqué pour son approche des accusations liées à la toxicomanie et à l'itinérance.
Ses politiques s'abstiennent de porter des accusations telles que trouble à l'ordre public, simple possession de drogue et intrusion, recommandant plutôt des suspects à des programmes de déjudiciarisation en matière de santé mentale. Cette approche a déclenché des débats sur la nécessité de trouver un équilibre entre la sécurité publique et la nécessité d'une réforme du système de justice pénale.
Rejoignant Los Angeles dans le groupe de cinq villes jugées dangereuses par au moins la moitié des personnes interrogées sont Philadelphie (50 %), New York (57 %), Chicago (70 %) et Détroit (73 %).
San Francisco, une autre grande ville de Californie, se retrouve également dans la moitié inférieure des 16 villes incluses dans l'enquête, avec 46 % des personnes interrogées déclarant qu'il n'est pas sûr d'y vivre ou de s'y rendre. La City by the Bay est à égalité avec Washington aux 10e et 11e places.
Une enquête met en évidence les divisions partisanes dans les perceptions de la sécurité en ville
Le sondage Gallup met en évidence une division partisane dans les perceptions de la sécurité en ville.
Les démocrates et les indépendants de tendance démocrate considèrent qu'un plus grand nombre de villes sont sûres, les républicains exprimant de plus grandes inquiétudes. Cette division soulève des questions sur le récit plus large entourant la criminalité et la sécurité dans le pays, ainsi que sur son impact sur les décisions politiques.
RépondreSupprimerLa plupart des démocrates estiment que presque toutes les villes sont sûres, à l'exception de Chicago et de Détroit. La plupart des Républicains, en revanche, considèrent que seules cinq villes sont sûres : Las Vegas, Miami, Dallas, Boston et Houston. Les démocrates sont les plus enclins à considérer Seattle et Boston comme des villes sûres, tandis que Boston et Dallas se classent parmi les villes les plus sûres parmi les républicains.
Dallas arrive en tête de liste des villes les plus sûres, suivie de Boston et Seattle.
Près des trois quarts des adultes américains trouvent Dallas (74 %) et Boston (72 %) sûres, avec des majorités allant de 52 à 63 % considérant neuf autres villes comme sûres. Ces villes comprennent Seattle, Las Vegas, Miami, Minneapolis, Houston, la Nouvelle-Orléans, Atlanta, San Francisco et Washington, D.C.
En revanche, moins de la moitié des Américains pensent que Philadelphie (47 %), New York (41 %) et Los Angeles (41 %) sont sûres, tandis que seulement 26 % considèrent Détroit comme sûre et 27 % perçoivent Chicago comme sûre.
Les différences dans les perceptions de la sécurité en ville restent constantes selon le sexe et le revenu annuel des ménages, avec des écarts minimes selon l'âge, l'urbanité et le niveau d'éducation. Les jeunes adultes, les citadins et les diplômés universitaires ont tendance à considérer les villes comme plus sûres.
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Regardez cette vidéo récente montrant un centre commercial de Los Angeles saccagé.
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
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Les sources incluent :
Actualités.Gallup.com
FreeBeacon.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-23-gallup-poll-la-among-5-unsafe-cities.html