Les BRICS s’étendent à près de la moitié de la population mondiale et demandent de l’argent pour le climat, des technologies gratuites et un laissez-passer gratuit
Écrit par Jo Nova August 26th, 2023
Sommes-nous encore attentifs ?
Les pays BRICS (en rouge ci-dessous) viennent d’accepter six nouveaux membres : l’Arabie saoudite, l’Égypte, l’Argentine, l’Iran, l’Éthiopie et les Émirats arabes unis (en vert). Le bloc comprend désormais 46 % de la population de la Terre. Ils produisent 43 % du pétrole mondial et environ un quart des biens échangés. Les BRICS vont abandonner le dollar américain et 20 autres pays ont exprimé le désir de les rejoindre. The India Narrative l’appelle « un nouvel ordre mondial ».
Par ailleurs, les groupes BRICS ont déclaré qu’ils aimeraient que l’Occident continue de leur donner de l’argent et des technologies climatiques gratuites pour sauver le monde du changement climatique (pendant que l’Occident combat les démons climatiques et entrave ses propres économies). Les BRICS promettent qu’ils deviendront peut-être sérieux eux aussi dans quelques décennies.
Alors qu’ils brûlent des quantités record de charbon, ils s’opposent à toute barrière commerciale imposée par le monde développé au nom du changement climatique. Nous ne voudrions pas que des choses comme la pollution, le travail des enfants ou l’esclavage fassent obstacle à un bon commerce, n’est-ce pas ?
Lorsque le président Xi se vante d’être la « majorité mondiale », ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ait raison :
- voir carte sur site -
BRICS Chine, Brésil, Inde, Russie, Afrique du Sud. Le Visual Capitalist estime que la population des BRICS est actuellement d’environ 3,7 milliards.
Donnez-nous votre argent Les BRICS aimeraient recevoir les 100 milliards de dollars promis par l’Occident :
Les pays des BRICS ont en outre exhorté jeudi les pays développés à honorer leurs engagements, notamment en mobilisant 100 milliards de dollars américains par an d'ici 2020 et jusqu'en 2025 pour soutenir l'action climatique dans les pays en développement. — CGTN
L’ONU est « très importante » car elle aide les pays BRICS à obtenir des choses gratuites de l’Occident, ralentit le monde développé et n’exige presque jamais rien en retour. C'est un siphon à sens unique :
New Delhi, 24 août (IANS) : Les pays BRICS ont réaffirmé jeudi l'importance de la mise en œuvre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et de son Accord de Paris ainsi que du principe des responsabilités communes mais différenciées et des capacités respectives (CBDR- RC) améliorant le transfert de technologies climatiques à faible coût, le renforcement des capacités ainsi que la mobilisation de nouvelles ressources financières supplémentaires abordables, adéquates et fournies en temps opportun pour des projets écologiquement durables.
« Nous reconnaissons que les moyens de mise en œuvre devraient être renforcés par les pays développés, notamment par un flux adéquat et opportun de financements climatiques abordables, une coopération technique, un renforcement des capacités et un transfert de technologie pour les actions climatiques.
« En outre, il est nécessaire de mettre en place des dispositions financières globales pour faire face aux pertes et dommages dus au changement climatique, y compris la mise en œuvre du fonds pour les pertes et dommages, comme convenu lors de la COP27 de la CCNUCC, au profit des pays en développement », indique la déclaration.
Ce n’est pas exactement un pacte de liberté d’expression et de libre marché Comme l'a noté Alexandra Wexler dans le WSJ, cinq des six nouveaux membres se classent très bas dans les enjeux de la liberté.
L’Inde et le Brésil veulent rester en bons termes avec l’Occident et réclamaient il y a seulement quelques jours de la « clarté », mais il semblait que l’expansion ne se concrétiserait pas. Mais le poids de l’Occident a diminué (avec ses émissions de carbone) et, de toute évidence, l’Inde a décidé que le pacte de défense QUAD survivrait à tout ressentiment suscité par son approbation, eww, de l’Iran. (Le QUAD étant le Japon, les États-Unis, l'Australie et l'Inde).
Le Brésil et l’Inde ont plaidé pour une expansion plus progressive des Brics, craignant que le groupe ne s’aligne trop sur l’Occident, se transformant en une version autocratique des grandes économies du Groupe des Sept.
Il semble que les Brics se dirigent dans cette direction, avec un seul des six pays nouvellement admis – l’Argentine – classé comme « libre » dans l’indice mondial de liberté largement utilisé par Freedom House, avec un score de 85 sur 100. Les cinq autres pays sont tous désignés comme « non libres », avec des notes allant de huit à 21.
Pourtant, le Brésil et l’Inde ont exprimé leur soutien à l’expansion…
Qui sait, le bloc pourrait être aux prises avec des tensions internes, car l’Iran et l’Arabie saoudite ne sont pas exactement dans les meilleurs termes, pas plus que l’Égypte et l’Éthiopie. L’économie chinoise serait en difficulté. L’Afrique du Sud souffre de longues coupures d’électricité, de violence et de corruption. L’Inde a rejoint le Quad par crainte de l’agression de la Chine.
Merci à NetZeroWatch pour les liens vers les articles clés et OldOzzie.
Les pailles en papier contiennent des « produits chimiques éternels » qui pourraient être pires pour nous et pour l'environnement que le plastique.
Écrit par Jo Nova August 27th, 2023
Voudriez-vous du PFAS avec ça ? Pailles en papier Ne le savez-vous pas : pour rendre les pailles en papier résistantes à l'eau, il semble que nous devions ajouter des produits chimiques de type téflon qui restent pendant des milliers d'années.
Les chercheurs ont analysé 39 marques de pailles en Belgique et ont découvert que deux tiers contenaient du PFAS, les pailles en papier étant les pires. Au moins 90 % de toutes les pailles en papier contenaient une forme de PFAS. 80 % des pailles en bambou le faisaient également, tout comme 75 % des pailles en plastique. Même 40 % des pailles en verre contenaient des PFAS. Le seul type de pailles qui en était dépourvu était l'acier.
Les gouvernements britannique, canadien, belge, néo-zélandais et australien ont interdit les pailles en plastique, tout comme certains États américains, car « elles étaient mauvaises pour l'environnement ».
Les pailles en papier peuvent être nocives et ne sont peut-être pas meilleures pour l'environnement que les pailles en plastique. Science Quotidienne
Dans le cadre de la première analyse de ce type en Europe, et seulement la deuxième au monde, des chercheurs belges ont testé 39 marques de pailles pour le groupe de produits chimiques synthétiques appelés substances poly- et perfluoroalkyles (PFAS).
Des PFAS ont été trouvés dans la majorité des pailles testées et étaient plus courants dans celles fabriquées à partir de papier et de bambou, selon l'étude publiée dans la revue à comité de lecture Food Additives and Contaminants.
Les PFAS sont utilisés pour fabriquer des produits du quotidien, des vêtements d'extérieur aux poêles antiadhésives, résistants à l'eau, à la chaleur et aux taches. Ils sont cependant potentiellement nocifs pour les personnes, la faune et l'environnement.
Ils se décomposent très lentement au fil du temps et peuvent persister pendant des milliers d’années dans l’environnement, une propriété qui leur a valu d’être surnommés « produits chimiques éternels ».
Ils ont été associés à un certain nombre de problèmes de santé, notamment une réponse plus faible aux vaccins, un poids à la naissance plus faible, des maladies de la thyroïde, une augmentation du taux de cholestérol, des lésions hépatiques, un cancer du rein et un cancer des testicules.
Peut-être accidentel, peut-être pas…
On ne sait pas si les PFAS ont été ajoutés aux pailles par les fabricants à des fins d’imperméabilisation ou s’ils sont le résultat d’une contamination. Les sources potentielles de contamination comprennent le sol dans lequel les matières végétales ont été cultivées et l’eau utilisée dans le processus de fabrication.
Cependant, la présence de produits chimiques dans presque toutes les marques de paille en papier signifie qu'il est probable qu'elle ait été, dans certains cas, utilisée comme revêtement hydrofuge, affirment les chercheurs.
Appeler ces pailles « papier », 100 % biodégradables et entièrement compostables, semble être une fausse publicité.
La MORT de la liberté ? L’ONU lance une « armée numérique » pour censurer la « désinformation » en ligne partout dans le monde
25/08/2023 Ethan Huff
L’organisme dirigeant non élu et contrôlé par les mondialistes, connu sous le nom d’Organisation des Nations Unies (ONU), « construit une armée numérique » pour contrôler et censurer la liberté d’expression en ligne – et il le fait en utilisant l’argent de vos impôts. Afin de maintenir sa position de leader mondial dans la « lutte contre la désinformation en ligne », l’ONU prend sur elle d’essayer d’aligner la totalité de l’humanité sous la bannière d’une information contrôlée comme celle dispensée par les mondialistes.
Les individus ne seront plus autorisés à partager librement des informations en ligne lorsque cela va à l’encontre d’un diktat ou d’un récit de l’establishment. Tout ce qui défie la version officielle sur un sujet donné sera considéré comme une « désinformation mortelle » qui doit être retirée du Web.
Une annonce sur le site Internet de l'ONU explique que toutes les formes de « désinformation » sont « mortelles », posant un risque « existentiel » pour ce que l'organisme mondialiste considère comme les éléments fondamentaux de la société moderne.
Afin de se maintenir au sommet de la pyramide, les mondialistes doivent maintenir un contrôle total sur toutes les « institutions démocratiques » et les « droits humains fondamentaux » qu’elles sont censées garantir.
(Connexe : Si l'ONU réussit dans ses efforts, alors la Chine communiste sera chargée de maintenir l'ordre et de contrôler l'Internet mondial.)
L'ONU utilise un langage alarmiste et guerrier en référence à l'éradication de la liberté d'expression Il n’est plus acceptable que les plateformes de médias sociaux et les moteurs de recherche se contentent de publier des avertissements ou des « vérifications des faits » en conjonction avec ce que les mondialistes considèrent comme des « fausses nouvelles ». L'ONU s'efforce de faire taire tout le monde, en utilisant des mots comme « guerre » et « champ de bataille » pour décrire cette entreprise.
Dans l’esprit de ceux qui dirigent l’ONU, la liberté d’expression et le Premier Amendement constituent une menace pour leur structure de contrôle. Ainsi, les mondialistes mènent désormais la guerre à tous ceux d’entre nous qui osent dire ou partager des informations qui menacent le réseau électrique mondialiste.
Il est intéressant de noter que le langage guerrier de l’ONU est le même que celui du faux président Joe Biden et de son régime obsédé par la censure. Bon nombre des « solutions » proposées par l’ONU à la « désinformation » sont exactement les mêmes que celles que Biden et Cie ont infligées aux Américains pendant la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Dans le cadre de ses efforts de « maintien de la paix », l'ONU espère lutter rapidement et minutieusement contre la « désinformation à grande échelle » du type qui amènerait les gens à se demander si le COVID est réel ou non, par exemple, ou si les masques faciaux font quelque chose. au-delà d’étouffer les porteurs.
L'ONU souhaite adopter une approche plus « proactive » pour réprimer la liberté d'expression, recommandant que cette même approche soit également appliquée à l'Afrique déchirée par la guerre et frappée par la pauvreté, qui est également « attaquée » par la libre pensée.
Les mondialistes du monde entier croient qu'ils savent mieux que quiconque ce qui est « réel » et « vrai », et qu'ils ont été choisis pour guider le troupeau humain vers une pensée et un langage justes.
C’est là qu’entre en jeu l’initiative « Vérifié » de l’ONU, il s’agit d’un cours « gratuit » proposé par l’organisme mondialiste pour aider à « éduquer » les masses sur la manière de se protéger de la « désinformation ».
"Cet effort s'étend sur plusieurs sujets fondamentaux, notamment comment reconnaître la "désinformation"", rapporte Slay News. "L'ONU vous expliquera également pourquoi cela se propage. Une autre raison est d'être capable de discerner un contenu émotionnel, dramatique et provocateur."
L'initiative Vérifié de l'ONU vise également à réprimer la « désinformation » sur le changement climatique, la position de l'organisme mondialiste étant que nous sommes actuellement dans une situation de crise « d'urgence climatique » qui nécessite des réductions drastiques de la qualité de vie pour être surmontée.
"Au cœur de notre combat pour une planète vivable se trouve une bataille de l'information, que nous ignorons à nos risques et périls", affirme l'ONU.
La dépendance à l’égard de l’État est au cœur du complot de conquête de l’humanité
24/08/2023 Rédacteurs en chef
« Il ne s’agit pas d’une liste de droits qui ne cesse de s’allonger – le « droit » aux soins de santé, le « droit » à l’alimentation et au logement. Ce n’est pas la liberté, c’est la dépendance. Ce ne sont pas des droits, ce sont les rations de l’esclavage : du foin et une grange pour le bétail humain. (Article de Gary D. Barnett republié sur LewRockwell.com)
P.J. O'Rourke
La plupart d'entre vous sont entrés dans la dernière étape de leur acceptation volontaire de l'esclavage de masse, et cet esclavage dépend entièrement du concept de peur, de l'obéissance à une fausse « autorité » et d'une dépendance totale à l'égard de ce même tyran appelé gouvernement, dont le plan est de contrôler le monde en contrôlant la foule collective commune, ignorante et apathique appelée « le peuple ». L’élément le plus vital de ce programme de « Grande Réinitialisation » est que la majorité soit dépendante de l’État, et ce phénomène est maintenant proche de main. Le fondement final de toutes les restrictions, du contrôle des transactions financières et monétaires et du contrôle des mouvements, reposera sur la fraude ridicule appelée « changement climatique » d'origine humaine. Ne vous inquiétez pas cependant, car de nombreuses autres excuses et aspects de contrôle et de manipulation seront utilisés. également, mais à ce stade, le canular du « changement climatique » est la clé de voûte du futur complot de rachat.
La vitesse de ce programme s'est accélérée bien au-delà des projections antérieures, et je pense que cela est dû à une plus grande exposition de la part de quelques-uns qui comprennent ce qui se passe réellement, pour expliquer toutes les contradictions, les mensonges et la propagande qui ont inondé la société pour le moment. dernières décennies. À ce stade, la classe dirigeante quelque peu paniquée et ses pions au sein du gouvernement ont considérablement intensifié leur campagne de terreur dans le monde entier, afin de mettre fin à la dissidence avant qu’elle ne puisse gagner trop de terrain. Cette campagne de terreur vise à pousser l’outil de la peur à un degré bien plus élevé, afin de pouvoir atteindre les objectifs de prise de contrôle avec moins de résistance. Comme mentionné précédemment, cette intimidation accrue repose principalement sur le faux modèle du « changement climatique ».
En ce qui concerne l'alarmisme extrême, les « services » météorologiques à l'échelle nationale ont intentionnellement modifié tous les rapports afin de semer une peur extrême dans le troupeau collectif appelé « citoyenneté ». Des allégations fantastiques de chaleur record, qui sont fausses dans la plupart des cas, sont monnaie courante. . Au lieu de verts et de couleurs plus sombres pour montrer la chaleur, les rouges foncés et les violets se trouvent être la nouvelle norme dans tout le pays, et simultanément ; une coïncidence certainement ? En plus, la chaleur n’est pas seulement brûlante, elle est désormais « bouillante » selon ces idiots de la météo. Ces descriptions, bien que ridicules et complotées, sont délibérément destinées à susciter une inquiétude injustifiée auprès d’un « public » mal informé, avec peu ou pas de désir ou d’effort pour comprendre la moindre vérité.
Toutes ces choses, et une quantité infinie d'autres menaces, y compris la menace d'une guerre nucléaire, d'un effondrement financier, de pénuries alimentaires, d'une inflation extrême conduisant à des prix extrêmes, à de nouvelles urgences « pandémiques », à des restrictions de voyage, à des confinements, à des contrôles. de toutes les transactions, et de numérisation totale de l’économie pour tout contrôler, sont désormais constantes. La fin du cash est activement poursuivie et son remplacement par la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) se profile dans un avenir proche. Ce programme s’est également considérablement accéléré récemment, ce qui indique que l’élément dirigeant de la société tente d’étendre ses mécanismes de contrôle plus rapidement afin d’éviter toute réticence. Compte tenu de ce qui se passe à la vue de tous, de la forte augmentation des événements désastreux intentionnellement structurés, du transfert massif de richesses et de propriétés, de la position agressive du gouvernement immédiatement après chaque « événement météorologique » fabriqué de toutes pièces ou de chaque urgence dite « naturelle », et du nombre total de catastrophes naturelles. au mépris de la vie et des biens personnels, combien de temps faudra-t-il pour que ce complot de prise de contrôle devienne pleinement ancré dans la réalité ?
Tous ces événements visent à rendre le « citoyen » moyen dépendant de l’État. Plus il y a de dépendance, plus il est facile de contrôler. Lorsque la majeure partie de la société ne peut pas ou ne veut pas prendre soin d'elle-même, ne sera pas responsable de sa propre vie et de sa liberté, ne ripostera pas pour sa propre défense et choisira volontairement d'accepter l'autorité et l'aide de l'État au lieu d'assumer une quelconque responsabilité personnelle. , que va devenir ce pays ?
Il sera très révélateur de voir ce terrorisme d'État qui s'est répandu à Maui et la façon dont la population y réagit. Vont-ils abandonner leurs maisons et leurs terres qui ont été détruites par et à cause des forces du mal, ou exigeront-ils de conserver et de détenir leurs biens ? Vont-ils exclure cette ordure totalitaire appelée gouverneur de ses plans infâmes à l’ONU et garder ce qui leur appartient ? Ou vont-ils simplement permettre à la classe politique de l’État de faire ce qu’elle veut de tout ce qu’elle a délibérément détruit et de devenir des pupilles (esclaves) de l’État ?
Une fois la dépendance de masse installée, il n’y aura plus aucune chance d’avoir une société libre. L’État cherche à tout contrôler, et le moyen d’accomplir cette mission odieuse est de rendre la population dans son ensemble complètement impuissante, afin qu’elle n’ait ni la capacité ni la volonté de riposter. La dépendance totale est la clé de toute conspiration de prise de pouvoir par la classe dirigeante et ses voyous de l’État, et de nombreuses menaces feintes et soi-disant urgences éclateront régulièrement à l’avenir. C’est sans aucun doute mon avis, alors ne croyez rien, ne faites confiance à aucun représentant de l’État à quelque niveau que ce soit, ne faites confiance à aucun média grand public, et remettez tout en question !
"Entre le gouvernement qui fait le mal et le peuple qui l'accepte, il existe une certaine solidarité honteuse."
L’Open Society Foundation concrétise son retrait de l’Europe. De nombreuses ONG de gauche libérale qui dépendent de l’argent du milliardaire sont au bord de l’extinction. Les bureaux licencient leurs employés.
Le retrait annoncé de la Soros Foundation Open Society (OSF) a été une surprise totale. La fondation politique multimilliardaire souhaite réduire considérablement son travail en Europe. Les préparatifs correspondants sont déjà bien avancés, comme le montre un courrier interne. La fondation prépare ses collaborateurs à Berlin au licenciement de la plupart des salariés. Les ONG dépendantes deviennent très inquiètes.
retrait d'Europe
C'est ce que rapporte le Welt am Sonntag et parle d'une "rupture historique" dans le projet Soros, qui a débuté en Hongrie il y a plus de 30 ans. Le fils de George Soros, Alex, a repris en décembre l'empire, qui a désormais un impact durable sur la société dite civile, notamment en Occident. Et il passe à un « nouveau modèle économique ».
Il ne sera plus indiqué directement qui recevra à l’avenir de l’argent de l’OSF en Europe. Alex Soros déclare dans un communiqué :
« Les Fondations Open Society changent leur façon de travailler, mais ma famille et OSF soutiennent depuis longtemps le projet européen et y restent très engagés.
En outre, selon la fondation, on soutiendra "la lutte contre l'autoritarisme en Europe" en Europe et donc "la société civile indispensable à ces objectifs".
Apparemment, il existe cependant une grande incertitude au sein des « organisations financées ». D’une part, ils mettent en garde – bien sûr – contre le grand danger politique que représenterait la suppression des fonds. En revanche, ils doutent que la fondation ait déjà pris une décision définitive à ce sujet. Le manque de communication est critiqué. Pour certaines ONG en Europe, il s’agit probablement d’une question de survie. Si Soros réduisait les budgets, les organisations seraient obligées de fermer leurs portes.
"Nous sommes probablement plusieurs centaines de groupes ici en Europe et nous n'avons aucune idée de la manière dont cette décision a été prise", déclare Márta Pardavi, coprésidente des Comités Helsinki hongrois. Le groupe de défense des droits de l'homme est depuis longtemps parrainé par l'OFS. Vous dépendez plus ou moins de la fondation, qui vous fournit assez rapidement l’argent dont vous avez besoin. Pardavi craint que "les mouvements conservateurs puissent désormais en bénéficier".
Cependant, le courrier électronique interne de Thorsten Klassen, directeur du bureau berlinois d'OSF, daté du 20 juillet, est clair : « La nouvelle orientation stratégique qui a été décidée prévoit le retrait et l'arrêt d'une grande partie de notre travail actuel dans le domaine européen. " Les raisons incluent : L'UE a fourni des fonds publics pour "les droits de l'homme et le pluralisme". Ainsi, là où un empire oligarchique privé avait précédemment investi, l'UE intervient désormais. L’OSF souhaite désormais utiliser ses ressources différemment. Toutefois, l’UE ne peut pas compenser cette perte, selon Pardavi.
80 pour cent des collaborateurs du bureau de Berlin doivent être licenciés d'ici janvier. Le bureau de Bruxelles aurait licencié 60 pour cent de ses employés. A Barcelone, le bureau sera complètement fermé. Des réductions sont également en cours à Londres, mais leur montant est inconnu. Ces chiffres ne sont plus démentis.
Les projets futurs d'OSF sont relativement vagues.
Die Welt écrit : "Le travail devrait à l'avenir être orienté vers des 'opportunités' plutôt que vers des programmes, disent-ils. Les opportunités sont définies comme des « usines organisées autour d'objectifs clairs et ambitieux ».
La figure culturelle et activiste Tom Bohn note : « Les multimilliardaires américains savent exactement quand changer de cheval. Sinon, ils ne seraient pas multimilliardaires.»
• Comment se fait-il que la justice du monde entier couvre soudain tous les meurtriers insolents et sanctionne au contraire sans scrupules leurs victimes ?
• Comment se fait-il que Big Pharma détruise inexorablement des peuples entiers, les mène à la ruine au vu et au su de tous et génère ensuite des billions de profits ?
Je pose la question :
• Comment se fait-il que des bellicistes incorrigibles nous entraînent obstinément dans une troisième guerre mondiale ? Et s'imposent ainsi dans une position de domination mondiale ?
• Comment se fait-il qu'une haute finance entraîne sans pitié le monde entier dans son piège de l'endettement et s'empare ainsi de tous les biens ?
• Comment se fait-il que les mafias de la drogue puissent en toute impunité s'en prendre à des peuples entiers et les condamner à la non-résistance absolue - de même que les mafias de la pornographie, de l'alcool, des stimulants, du bien-être et autres ?
• Comment se fait-il aussi qu'une mafia de l'éducation puisse nous priver sans contradiction de toute véritable origine, mais aussi de toute connaissance de la véritable vision du monde et de notre être véritable ?
• Comment se fait-il qu'un satanisme de plus en plus omniprésent puisse abuser de tous nos instincts naturels, nous priver de toute véritable liberté et priver l'humanité de tout bon sens, de toute éthique et de toute morale protectrice ?
• Comment se fait-il que les églises et les religions elles-mêmes travaillent d'arrache-pied à la destruction de toute connaissance spirituelle véritable et de toute relation authentique avec Dieu ?
• Comment se fait-il que les médias de masse incitent soudainement le monde entier à s'en prendre aux personnes vraiment honnêtes et justes, qu'ils couvrent les pires agresseurs d'enfants, etc. et qu'ils poussent les gens à se jeter dans les griffes des sbires susmentionnés en semant constamment la panique ? Vous vous posez la même question ?
• Comment se fait-il que la politique déracine précisément toutes les ethnies, les dépouille de leurs coutumes ancestrales, de leur appartenance et de leurs richesses culturelles ?
• Comment se fait-il que la science, en dépit de toutes les protestations, asservisse avec détermination tous les êtres humains à ses technologies de contrôle totalitaire ?
• Comment se fait-il que ce soient justement des philanthropes qui isolent des peuples entiers de leurs responsables et de leurs institutions de protection ?
• Comment se fait-il que de plus en plus de soi-disant organisations de protection de l'enfance arrachent aux parents au grand cœur tout pouvoir éducatif et leur enlèvent leurs enfants ?
• Comment se fait-il que les groupes technologiques nous privent de plus en plus de toute intelligence propre et de toute capacité de perception naturelle ?
• Comment se fait-il que l'industrie cinématographique nous prive chaque jour davantage de notre objectivité et de notre propre créativité ?
• Comment se fait-il que des pédagogues de tous bords puissent détruire en toute impunité toute éducation traditionnelle et saine ainsi que la famille en tant que cellule de base ?
• Comment se fait-il que toutes sortes d'ONG et de lobbyistes de plus en plus sournois puissent infiltrer tous les gouvernements du monde, saper leurs constitutions et détruire toutes les souverainetés nationales ?
• Comment se fait-il que des milliers de livres nous aient avertis il y a des décennies déjà de ces développements et aient mis en lumière tous ces plans de conspiration - mais sans aucune réaction mondiale, c'est-à-dire sans succès ?
• Comment se fait-il que les sociétés secrètes et les Illuminati puissent systématiquement détruire nos civilisations sans que la justice ne s'émeuve, afin d'établir leur propre domination mondiale au vu et au su de tous ?
Je continue à demander :
• Comment se fait-il que de plus en plus de pédagogues extérieurs infiltrent et détruisent nos systèmes scolaires traditionnels ?
• Comment se fait-il aussi que des soi-disant « spécialistes » extérieurs aient pu dénier toute sexualité naturelle, du plus jeune enfant à l'adulte, et même faire passer le travestissement avant l’hétérosexualité, sans susciter l'effroi généralisé de la société ?
Je dis qu’il y a une seule explication cohérente, et donc recevable, à tout cela et à bien d'autres choses encore. Je dis : Il y a un diable, et il est descendu dans ce monde, vous comprenez ? Exactement comme c'est écrit depuis 2 000 ans dans Apocalypse 12:12. Je cite : « Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère. » Peut-être te dis-tu maintenant : « Fuck, arrête avec ces conneries, ce n'est que de la religion. Ce sont les princes de l'Eglise qui ont inventé le diable et les démons pour pouvoir exercer leur domination sur les croyants, et sur toute l'humanité. Alors, arrête avec ta religion, je n'aime pas en entendre parler. » C'est bien sûr ton droit le plus légitime de parler ainsi. Je dis : Sois toutefois conscient que tu dois encore une réponse concluante à ce monde meurtri, et ce pour tout ce qui se passe ici de plus en plus cruellement.
• Jusqu'aux thèmes des monnaies numériques, etc., l'inflation en cours qui nous détruit. Qui ne se contente pas de notre monnaie garantie par l’or, mais nous dépossède aussi et démantèle tous les peuples trompés, et ce jusqu'au Great Reset, selon la devise : Tu ne posséderas plus rien et tu seras heureux. D'où vient tout cela ?
• Explique ensuite au monde : comment des spéculateurs malhonnêtes ont pu voler d’incalculables sommes d'argent et nous priver, en grande partie, de nos économies durement acquises, de notre prévoyance vieillesse, etc.
• Explique ensuite au monde : comment les organisations mondiales de la santé ont pu ruiner notre santé et faire grimper les coûts de notre assurance maladie.
• Explique-nous ensuite comment, malgré toutes les mises en garde avant l'expérience mortelle du Covid sur les peuples, des millions de personnes ont pu être rendues stériles par injection, des millions et des millions de personnes sont devenues malades chroniques et d'innombrables personnes ont été tuées en toute impunité !
• Explique-nous comment des faussaires de l'histoire ont pu nous priver de nos racines malgré toutes les protestations.
• Explique-nous aussi comment le système des brevets a pu geler sans faille toute technique d'autosuffisance et anéantir ainsi toute indépendance au milieu de nous.
• Explique-nous aussi comment des censeurs arbitraires ont pu restreindre notre accès à tous aux mystères profonds de la vie et nous priver du véritable être et de la véritable forme de la Terre, etc. Il y aurait encore beaucoup de choses à dire...
• Explique-nous aussi par quel moyen, par exemple, de quelconques ministères de l'environnement ont pu, avec les crises énergétiques qu’ils ont inventées de toutes pièces, assombrir l’état de nos ressources et nos possibilités de développement infinies, afin de pomper maintenant, par chantage, toujours plus de richesses populaires par des prélèvements obligatoires.
• Explique alors au monde entier comment il aurait été possible autrement de le diriger de manière dictatoriale par le biais de pseudo-démocraties, à travers toutes sortes de marionnettes douteuses et d'hommes de paille.
• Explique-nous : Comment se fait-il que les forces de police protègent soudain de plus en plus tous les criminels et même les instigateurs très dangereux, tandis qu'elles poursuivent les petits et répriment brutalement tout soulèvement populaire pertinent.
• Explique-nous aussi comment il aurait été possible autrement que les associations de protection de l'environnement, par exemple, et les ministères aient pu dicter leur loi aux peuples et détruire les systèmes énergétiques qu’ils avaient chèrement acquis autrefois, alors qu'en contrepartie ils nous fournissent maintenant des black-out, taxent tout et n'importe quoi comme étant nuisible au climat, ils propagent cela malgré tout ce qu’en dit la science indépendante.
• Tu dois aussi nous expliquer, ainsi qu'au monde, comment, autrement, les organisations humanitaires détruisent délibérément toutes les nationalités en les submergeant de vagues de réfugiés et en imposant les mélanges raciaux les plus absurdes.
Et pour finir, tu devrais également proposer à la communauté mondiale une solution permettant d'aborder et de vaincre concrètement ces innombrables méchancetés, car tout le monde peut désormais constater que si ça continue, nous finirons tous comme esclaves des despotes les plus cruels. Comme des esclaves sans ressources, sans droits et impuissants. La plupart d'entre nous n'existeront même plus si leur plan réussit, car le génocide en cours, c'est-à-dire le meurtre des peuples, est poursuivi de manière irréfutable par les eugénistes, et ce avec acharnement. Des sept milliards et demi d'êtres humains, sept milliards auront bientôt disparu, telle est la vérité, à moins que ces créatures ne soient vaincues ! Alors, quelle est ta solution pratique pour gagner cette guerre sur tous les fronts, disons, cette guerre contre les super-riches, les sociétés secrètes, les satanistes et les conspirateurs mondiaux ; pour prendre le dessus ? Et n'oublie pas, avant de répondre, que ceux qu'il faut vaincre possèdent toutes les armes et tous les droits sur les armes, alors que toi, tu es déjà derrière les barreaux si tu transportes un couteau un peu trop long, de la largeur d'une main. Et ceux-là viennent à bout de gens sans défense, sans ressources, absolument sans ressources. Eux qui disposent eux-mêmes d'armes à ondes électromagnétiques, avec lesquelles ils peuvent nous cuire en une nuit et faire bien d'autres choses encore. Je dis :
Je vais te dire ce qui est écrit dans la Bible, et chaque personne sous ce ciel peut décider elle-même si elle veut continuer à ignorer, à dédaigner ou même à mépriser ces témoignages ; ou si elle veut simplement les suivre. Regardez, c'est ainsi : Lorsque Jésus-Christ a commencé à prêcher dans les rues poussiéreuses de Jérusalem, des centaines, voire des milliers de cas similaires se sont produits partout. Partout, des puissances invisibles ont commencé à agir à partir des hommes, lisez la Bible dans le Nouveau Testament, dans les Évangiles. La Bible les appelle des démons, des esprits impurs, des mauvais esprits. Ainsi, alors que Jésus a transformé, guéri des dizaines de milliers de personnes par une simple parole, Il a en même temps chassé de ces personnes des quantités de démons et de diables. C'était presque toujours la clé du changement. Ces personnes hurlaient alors, criaient fort, étaient traînés dans tous les sens. Les démons les laissaient tomber par terre comme morts, les jetaient dans l'eau, parfois même dans le feu, etc.
Il n'y a pas d'autre raison qui explique que Jésus soit devenu mondialement célèbre en seulement deux ans, vous savez. C'est parce que le monde entier a pu constater que des puissances invisibles étaient entrées dans l'homme et l'avaient complètement dominé. De la première à la dernière page, la Bible parle clairement et sans équivoque de ce problème ; ou encore de l'origine, d'où proviennent les dérives malveillantes, impures ou mensongères de l'homme. Dans le jargon spirituel, nous parlons de charges démoniaques, voire de possessions démoniaques. D'une manière ou d'une autre, chaque être humain qui naît dans ce monde est chargé de démons, il faut le dire. Car chaque mauvaise nouvelle à la radio, à la télévision ou dans la presse apporte son lot d'oppressions diaboliques. Partout agissent des puissances d'intimidation, des puissances de peur, de panique. Des personnes malveillantes qui comprennent, qui comprennent tout cela, attisent alors consciemment la panique parmi les peuples, car elles peuvent ainsi utiliser ces pouvoirs spirituels pour briser les gens. Elles peuvent les manipuler et les exploiter égoïstement. C'est toujours de cela qu'il s'agit.
Mais la question est la suivante : A partir de quand une personne est-elle possédée, et pas seulement chargée de démons ? C'est très simple : C'est exactement à partir du moment où on ne pourrait plus, d'aucune manière, parler humainement avec cette personne, ni négocier, ni vivre ensemble de manière constructive, ni travailler avec elle.
Question : Quelle a été ta pire expérience ?
- Être un instrument pour prendre la vie d'une petite fille et devoir la manger à la fin. Jusqu'à aujourd'hui… c'était la pire des choses !
- Cette créature est entrée en moi et j'ai dû tuer la petite fille. Ce que je peux encore dire, c'est que quand elle était en moi, parce qu'en fait elles ne peuvent pas mettre la main dessus d'elles-mêmes, elles ont toujours besoin d'une sorte d'instrument, d'exosquelette, qu'elles peuvent habiter ; j'ai eu un certain aperçu de la façon de penser, de la nature de cette créature, et c'était si profondément répugnant ! Je décris toujours ça comme si un milliard de violons jouaient bizarrement, avec en plus un sentiment de haine et de dégoût pour tout ce qui nous fait dire « c'est beau ». Quand on se promène dans la forêt et qu'on voit un écureuil courir ou qu'on voit ses enfants rire et jouer, et pour ces choses-là, il y a un dégoût complet, on veut le détruire, on veut le démonter.
- Absolument répugnant et dégoûtant. C'est ce que j'ai ressenti pendant ce temps.
Les guerres, par exemple, n'ont jamais été autre chose que les percées, les dernières, de ce monde diabolique dans les hommes. Cela a commencé par des disputes anodines, puis des bagarres, des meurtres, des assassinats. Et puis soudain éclatent ces destructions mutuelles aveugles, parfois aussi des autodestructions. La Bible décrit des possédés qui vivaient dans des tombes, des fosses funéraires, qui se frappaient eux-mêmes avec des pierres, qui mettaient en danger les gens jour et nuit, qui les attaquaient. On ne pouvait pas lier ces gens avec des chaînes, y est-il attesté, parce qu'ils pouvaient facilement briser ces chaînes et se libérer à nouveau. Vous voyez, c'est naturellement impossible. J’exerce un ministère pastoral depuis plus de 45 ans, je peux témoigner moi-même, par expérience personnelle, que la possession existe. Je suis désolé, c'est comme ça. Tu ne peux pas parler raisonnablement aux personnes possédées, elles peuvent être complètement différentes d'un moment à l'autre. Il n'y a aucune logique humaine, aucun moyen de pression - tout simplement rien qui fonctionne naturellement... Sauf... Et c'est là que j'en viens à une vérité fondamentale et profonde. Qu'est-ce que c'est ?
Jésus a lié et chassé les mauvais esprits par Sa simple parole ! Donc pas de moyens physiques. C'est la parole. La parole, c'est l'épée dans la bouche. Et maintenant tu dis : « Qu'est-ce que tout ça a à voir avec moi ? Je ne suis pas chrétien et je ne suis pas religieux... » Oui, c'est ça, tu n'es pas non plus un prêtre, ni un exorciste - du moins, c'est ce que tu penses, et tu abandonnes alors simplement à leur horrible sort toutes ces personnes chargées par le diable et ces personnes multi-possédées. S'il te plaît, ne sois pas effrayé. Je te dis simplement par ce discours que chaque personne sous ce ciel est un exorciste potentiel et doit l'être dans des situations extrêmes comme celle que nous vivons actuellement, tu comprends. S'il ne veut pas sombrer, si nous ne voulons pas sombrer, nous devons apprendre quelque chose, de toute urgence ! Et si nous ne le comprenons pas enfin, ces forces invisibles apparaîtront définitivement et nous apprendrons alors à les connaître et nous verrons dans notre propre corps comment elles nous chasseront. Nous chasser où ? Hors de cette vie, hors de cette planète ! C'est ce qui se passera si nous ne prenons pas le dessus ici.
Vous voyez, Paul notre apôtre des nations, nous a déjà éclairés sur ces choses il y a près de 2 000 ans avec les mots suivants. Je le cite : « Notre combat », dit-il, écrit-il, « n'est pas contre la chair et le sang », c'est-à-dire pas contre les hommes directement, « mais contre les esprits méchants dans les lieux célestes, contre les cosmocrates... », comme les esprits méchants etc. C'est ce qui est écrit dans Éphésiens 6:12. Et ça ne signifie pas que nous ne devons pas agir activement contre les criminels en chair et en os, sinon nous Kla.TV, l’AZK ou les éclaireurs libres, nous ne ferions plus rien. Vous comprenez.
Mais Jésus a enseigné à Ses disciples, je Le cite : « Tout ce que vous liez sur la terre sera aussi lié au ciel. » Vous vous demandez de quoi Il parle ? Précisément de ces forces spirituelles qui entrent dans les individus ici-bas ! D’ailleurs, Jésus a confirmé les témoignages bibliques à des centaines d’endroits différents dans Ses sermons, c’est-à-dire qu’Il a confirmé la Bible elle-même à des centaines d’endroits. Il l'a signée et l'a présentée comme véridique et juridiquement valable. Dans le dernier livre de la Bible, l'Apocalypse, il est écrit que lorsque les choses deviendront particulièrement cruelles ici-bas sur la Terre, il se produira un mouvement mondial qui saisira le diable, l'enchaînera, le liera et le poussera dans l'abîme, le jettera en bas ! Tout cela est représenté par des images symboliques. Dans le symbole, c'est un ange puissant qui descend du ciel, il y est décrit comme descendant, etc. Mais « ange » signifie aussi littéralement « messager ». Cela signifie donc tout simplement qu'une communication céleste va arriver. Un instant, une parole prophétique qui nous parvient, qui déclenche ensuite ces événements, où les gens commencent à enchaîner le diable Et ce que je vais te dire est une de ces paroles qui, je dirais, nous vient du ciel. De quoi s'agit-il ? Toi et moi, nous avons tous ensemble cette mission. Donc nous ne pouvons pas attendre l'ange du ciel. Ce ne sont que des symboles. Nous avons pour mission d'expulser les forces invisibles qui ont pris possession de notre politique, de notre économie, de notre science, de notre religion, de notre culture, etc. et de les lier en tant que peuple, vous comprenez, de les lier et de les pousser dans l'abîme, de les sceller. Il s'agit d'un discours imagé.
Et j'appelle toute personne, mais vraiment toute personne, qui peut m'entendre et me voir ici à participer à ce que j'appellerai un exorcisme universel, vous comprenez ! Bien sûr, nous demandons : Comment cela peut-il se faire en pratique ? Orientons tous fermement nos cœurs et nos sens, jour après jour, pour crier avec volonté et de manière absolue un stop dans le monde invisible ! C'est comme ça que ça marche. Ça n'a rien de religieux, vous comprenez. C'est la force de l'esprit, la disposition naturelle qui se trouve en chacun de nous. Et nous pouvons les libérer et nous tenir au-dessus de ce diable grâce à cette force spirituelle qui nous habite. Au-dessus de ces diables qui ont tout accaparé. C'est pourquoi, depuis longtemps déjà, je proclame ce stop tous les jours entre 6h00 et 6h15 du matin, avec des milliers de résistants spirituels ! Tous les jours. Matin après matin, à la même heure. En outre, tu peux bien sûr le proclamer à chaque minute de la journée, pour toi tout seul, où que tu sois, quand tu le souhaites. Et cette manifestation synergique de volonté, cette résistance intérieure commune, agit dans le monde invisible comme un feu, comme un déluge de feu, comme une sorte de grêle de balles ou d'explosion violente, contre ces esprits dans le monde invisible. Ce sont des expériences profondes que nous partageons ici.
Prenez-les au sérieux, s'il vous plaît. C'est le combat spirituel. Chaque fois que tu opposes une résistance farouche à un démon et que tu dis : « Tu t'éloignes maintenant d'ici ou de cette personne, tu laisses partir maintenant cette personne ! », que tu le dis avec une détermination sans faille, ça brûle cet esprit comme un feu. Mais nous ne devons pas continuer à permettre aux démons qui quittent un homme de passer ensuite dans un autre homme et de l'occuper à son tour. C'est pourquoi Jésus a dit à plusieurs reprises : « Sors de cet homme et ne rentre plus en lui. » La Bible nous dit qu'à cette époque nous devons lier, pousser les démons dans l'abîme. On pourrait dire que cela ressemble à une sorte d'arrestation. Dans cette action commune, nous disons à ces puissances invisibles qui dominent nos politiciens, nos scientifiques etc., nous leur disons en quelque sorte : « Vous êtes arrêtés », vous comprenez. « Nous allons maintenant vous lier et vous jeter dans un cachot. » Ce sont des êtres spirituels, on peut le faire ainsi. « Et vous y resterez et n'en sortirez plus. » Et vous voyez, grâce à de telles actions, des villes entières ont déjà été libérées de leur souffrance en très peu de temps. Là où régnaient auparavant des brutes sauvages, que ce soit dans le domaine de la drogue, du commerce sexuel ou autre, les prisons de ces villes se sont vidées en l'espace de quelques semaines, dans toutes sortes de villes, après que des lanceurs d’alerte libres et des résistants spirituels ont décidé de mettre fin à cette dérive diabolique.
Auparavant, toutes les discussions et tous les efforts étaient inutiles, rien ne fonctionnait avant. Pourquoi ? Parce que les malfaiteurs disposaient d'un pouvoir d'endurcissement, qui agissait en eux par le biais de ces êtres spirituels. Mais la résistance commune dans l'esprit a enchaîné le diable, elle a pour ainsi dire désarmé ces personnes. Et le « Stop, jusqu'ici, et pas un pas de plus ! » a eu le même effet - je le dis encore avec une autre image – c’est comme si on coupait l'essence d'un moteur en marche ou l'alimentation électrique d'un générateur. On peut lier le pouvoir des mauvais esprits sur les individus. J'ai d'ailleurs parlé en détail de ces liens et du combat spirituel dans ma dernière Journée des Amis 2023.Je vous invite à réécouter ces trois prédications, en particulier la deuxième et la troisième. J'ai décidé de partager ces sermons avec tout le monde, au risque que vous me déchiriez et que vous me traitiez de sectaire, comme le diable le fait depuis des décennies par le biais de ses serviteurs des médias. Mais je m'en fiche, vous savez. Car nous allons tous, en ces jours, faire la connaissance du diable en chair et en os. Je vous le garantis. Car il est littéralement descendu dans ce monde et montrera de plus en plus sa « tronche ». Il a déjà commencé à le faire. Nous vivrons tous l'enfer ici-bas jusqu'à ce que chaque personne sous ce ciel sache profondément que le diable et ses démons existent - croyez-le - et que c'est la raison principale de toute souffrance sous ce ciel.
Je conclurai donc en réitérant mon appel : Liez ces esprits menteurs qui agissent ici-bas, ces mauvais esprits, ces esprits impurs, ces esprits meurtriers aussi qui agissent ici, qui ont pris le contrôle de la politique, de la science, de l'art et jusqu’aux plus hautes sphères de la justice. Lions-les ! Ordonnons ensemble, chaque matin entre 6h00 et 6h15, que tous ces esprits diaboliques quittent ces personnes. Est-ce que vous participez ? Et je dis, chacun pour soi, dans sa chambre, son salon ou n'importe où, exprime clairement que c'est maintenant que ça se passe, et ce, sur son ordre. Nos paroles prononcées avec conviction sont les armes spirituelles les plus efficaces que nous ayons. Croyez-le, s'il vous plaît. Nous nous y connaissons et avons toujours suivi cette voie dans l'esprit depuis notre plus jeune âge, contre toute résistance des médias de masse, de Big-Pharma, de la haute finance, etc. Il en est ainsi depuis des décennies. C'est l'enseignement direct qui est sorti de la bouche de Jésus-Christ. Il ne nous a jamais abandonnés à une grande entreprise pharmaceutique, mais a ordonné - je Le cite dans Matthieu 10:8 - : « Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons ! » Voilà le résumé. Le « chassez les démons » doit être compris, pour ainsi dire, comme le mal fondamental de toute personne malade, lépreuse ou mourante.
Et nous ne lâcherons pas prise jusqu'à ce que nos ordres synergiques fassent effet et que ces personnes soient libérées de ces forces. Vous savez, il n'y a pas d'autre moyen de les dégriser et de les ramener à la raison. Ce n'est pas possible. Mais lorsqu'ils reviennent à la raison, il arrive souvent de belles choses. Ils pleurent souvent comme des petits enfants, ils ont des regrets profonds pour ce qu'ils ont fait, ils réalisent le jeu qu'on a joué avec eux. Attendons-nous précisément à ce que ça se produise. Si tu es chrétien, tu peux prier tout cela comme étant Jésus-Christ en Son nom. Tu peux ordonner. Si tu es musulman, alors ordonne au nom d'Allah. Quel que soit le dieu que tu sers de tout ton cœur dans la foi, parle toi-même et donne des ordres pour que ce mal, cette tenaille de la mort, voire cette cuirasse de la folie, soit arrachée de l'humanité et que nous puissions tous à nouveau penser clairement, parler et débattre ensemble. Je le répète, si nous n'y parvenons pas, le diable nous chassera tous. C'est ce qui va se passer. Avec ce discours, je suis allé assez loin et - comme je l'ai dit - je risque d'être détesté et méprisé pour cela. Pour certains, il s'agit peut-être d'une confirmation de ce qu'ils ont entendu à mon sujet dans le mainstream. Mais je l'ai fait parce que je sais très bien que dans peu de temps, tout le monde me comprendra et saura que j'ai dit ici toute la vérité, rien que la vérité, et même la réalité de ce qui se passe vraiment ici-bas. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.
de is. Sources / Liens : www.kla.tv/20771 …. Les dimensions psycho-enzymiques : www.kla.tv/26201 …. Journée des Amis, sans Dieu ça ne marche pas, 3e partie
Aspartame : un festival de mésinformation et de désinformation
26 Août 2023 André Heitz*
Le 14 juillet 2023, une conférence de presse était organisée sur les résultats des évaluations de deux instances liées à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) et le Comité Mixte d'Experts des Additifs Alimentaires de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) et de l'OMS (JECFA). Une grande partie des médias n'ont retenu que le classement en « cancérogène possible » de l'aspartame ou ont minimisé les conclusions rassurantes du JECFA sur les risques de cet édulcorant. En se trompant souvent sur l'un au l'autre élément d'information.
Remontons dans le temps : le CIRC, envers et contre tout
L'aspartame, l'édulcorant basses calories le plus utilisé dans le monde, fait l'objet depuis longtemps de recherches militantes visant à « démontrer » sa nocivité. Sans grand succès.
Cela n'a pas empêché un comité consultatif chargé de faire des recommandations sur le programme de travail du CIRC en matière de monographies, qui s'est réuni en avril 2014, d'attribuer une priorité haute à l'examen de l'aspartame.
Si vous avez quelques connaissances sur le fonctionnement des monographies, vous pouvez tomber à la renverse ! Comment produire une monographie sans études pertinentes ? Selon le rapport de ce comité,
« […] De nombreuses études sur l'épidémiologie du cancer et l'utilisation d'édulcorants alimentaires non nutritifs ont été réalisées et ont donné des résultats essentiellement négatifs. L'aspartame a été étudié dans de nombreux essais biologiques sur le cancer chez les rats et les souris, y compris une série récente d'un laboratoire qui a donné lieu à des rapports de constatations controversées pour un certain nombre de sites tumoraux. […] Le groupe consultatif a accordé à l'aspartame une priorité élevée pour l'examen par les monographies du CIRC en raison de son utilisation répandue, de l'inquiétude persistante quant à son potentiel cancérigène et des rapports récents faisant état de résultats positifs dans des études de cancérogénicité chez l'animal. »
Le même niveau de priorité a été donné au sucralose (nom commercial en France : Canderel) dans des conditions similaires.
Le méthyleugénol et l'isoeugénol, deux composés aromatiques et parfumants présents naturellement dans les huiles essentielles de diverses plantes, examinés en même temps que l'aspartame dans le récent exercice, n'étaient pas à l'ordre du jour du comité consultatif précité.
Faisons un peu de complotisme... ou peut-être pas.
Ce comité consultatif était présidé par le sulfureux et controversé Christopher Portier qui figurait sur la liste des participants sous son ancienne affiliation dans les Centers for Disease Control and Prevention, occultant ainsi son embauche par une association militante, pourtant connue du CIRC. Il a joué un rôle éminent dans la classification infâmante du glyphosate en « probablement cancérogène » en mars 2015, mais aussi, précédemment, en 2011, dans celle en « peut-être cancérogènes » des champs électromagnétiques de radiofréquences (essentiellement les téléphones portables) dans des conditions qui ont aussi fait débat. M. Christopher Portier a été un témoin expert des avocats prédateurs qui ont fait les poches de Bayer-Monsanto aux États-Unis d'Amérique. Il l'a vraisemblablement aussi été pour des affaires liées aux portables (voir ici, avec une reproduction du compte rendu de son audition dans le cadre d'une action portant sur le glyphosate).
Le classement de l'aspartame pouvait ainsi avoir deux effets : clarifier la situation et mettre fin aux attaques contre l'aspartame (du moins du point de vue du cancer) ou, au contraire, fournir une base d'action, notamment, pour les avocats prédateurs états-uniens (et leurs témoins experts...).
Le laboratoire aux constatations controversées, en fait pas seulement sur l'aspartame, c'est l'Institut Ramazzini. Nombre d'autorités d'évaluation ou d'homologation refusent maintenant de prendre en compte les résultats de cette usine à annonces d'apocalypse (voir par exemple ici pour l'ANSES sur... l'aspartame).
Notons encore que peu de temps après l'arrivée de l'actuelle directrice du CIRC, Elisabete Weiderpass, le site web du CIRC a été remanié et certains documents – dont le rapport du comité consultatif et des pages relatives au glyphosate – ont été « invisibilisés », sauf à avoir noté l'ancienne URL et à chercher dans les archives du Web.
Une nouvelle tentative en 2019
L'aspartame ne fut pas évalué. Un autre groupe consultatif se réunit en mars 2019 pour faire des recommandations pour la période 2020-2024.
L'aspartame fut à nouveau affecté d'une priorité haute, avec la mention supplémentaire que l'évaluation pourrait se faire dans un délai de deux ans et demi.
Parmi la littérature citée, il y avait Morando Soffritti et al. (incluant Fiorella Belpoggi), The carcinogenic effects of aspartame: The urgent need for regulatory re-evaluation (les effets cancérigènes de l'aspartame : l'urgence d'une réévaluation réglementaire). Un titre qui pue la science militante... de l'Institut Ramazzini. Et qui n'était pas très nouveau puisqu'il datait de janvier 2014.
Dans le groupe d'experts, il y avait... Mme Fiorella Belpoggi. Ce monde fonctionne en vase clos.
Et parmi les exploits de Mme Fiorella Belpoggi témoignant de son militantisme, il y a sa participation, pendant un temps, dans l'arnaque russe Factor GMO.
Il y avait aussi deux personnages de la saga du glyphosate : Mme Kathryn Guyton, en tant que chef par intérim du groupe des monographies du CIRC, et M. Kurt Straif, ancien chef et pour l'occasion consultant.
M. Kurt Straif mérite ici une mention particulière : il a produit en 2021 Aspartame and cancer – new evidence for causation (aspartame et cancer – nouvelles preuves de causalité) avec Philip J. Landrigan. Dans leurs conclusions résumées, outre l'appel à agir lancé aux autorités sanitaires :
« Ces nouveaux résultats confirment que l'aspartame est un cancérogène chimique chez les rongeurs. Ils confirment le résultat très inquiétant selon lequel l'exposition prénatale à l'aspartame augmente le risque de cancer chez la progéniture des rongeurs. Ils valident les conclusions des études originales de l'IR [Institut Ramazzini]. »
Le méthyl eugénol et l'isoeugénol ont aussi été classés en priorité haute par ce groupe consultatif.
Ces deux substances ont été évaluées en même temps que l'aspartame et classées en 2A (probablement cancérogène) et 2B (peut-être cancérogène), respectivement. Mais personne ne s'y intéresse, malgré un classement plus infâmant pour l'un...
L'OMS a imposé une coordination, mais les États-Unis et le Japon protestent
Après le scandale du classement du glyphosate en « probablement cancérogène », les États membres – à défaut d'un arrêt des monographies dans le domaine alimentaire – ont imposé une coordination entre le CIRC et les comités mixtes de la FAO et de l'OMS experts des additifs alimentaires (JECFA) et des pesticides (JMPR).
L'aspartame devait donc être examiné par le CIRC du 6 au 13 juin 2023 et le JECFA, du 27 juin au 6 juillet 2023. Le classement du CIRC devait rester confidentiel et les conclusions des deux organes devaient être publiés conjointement le 14 juillet 2023 – ce qui fut fait (communiqué de presse de l'OMS ; conférence de presse conjointe).
Les gouvernements des États-Unis d'Amérique (échange de lettres ici) et du Japon (un extrait de la lettre ici) n'ont pas été satisfaits. Le premier écrivait en particulier, le 12 août 2022 :
« Nous sommes extrêmement préoccupés par le fait que des déterminations contradictoires présentées par le CIRC et le JECFA mineraient sérieusement la confiance dans le processus scientifique pour les deux organes et pourraient enflammer davantage le climat actuel de scepticisme du public quant à la validité de la science et du processus scientifique. »
Et l'inévitable se produisit...
La décision de classer l'aspartame en « peut-être cancérogène » a évidemment fuité, le 29 juin 2023. Courtoisie de Reuters et d'un informateur anonyme (mais il y a des soupçons...). Des médias alléchés par une « mauvaise nouvelle » qui est médiatiquement une bonne nouvelle ont repris l'information, souvent amputée du contexte, en se trompant parfois d'adverbe, et en attribuant le classement à l'OMS plutôt qu'au CIRC (c'est classique !).
Ainsi, Doctissimo a titré le 30 juin 2023 : « Vers un classement de l’aspartame comme cancérogène ? », sans qualificatif, et a évoqué un « probablement cancérogène » dans le texte. Le titre a été modifié, apparemment le 18 juillet 2023, mais la classification erronée figure toujours dans le chapô, dans un intertitre et dans le commentaire d'un médecin nutritionniste...
Médisite est encore plus péremptoire en titre le 3 juillet 2023 : « Aspartame : un organisme de l’OMS le considère comme cancérigène ».
Un communiqué de presse de l'OMS millimétré
Le communiqué de presse de l'OMS, « Publication des résultats de l’évaluation des dangers et des risques liés à l’aspartame » est un « communiqué commun » pédagogique, millimétré et s'efforçant de ménager les susceptibilités :
« Le CIRC a classé l’aspartame comme "peut-être cancérogène pour l’homme" (groupe 2B) sur la base d’une "indication limitée" de cancer chez l’homme (en particulier, pour le carcinome hépatocellulaire, qui est un type de cancer du foie). En outre, il existait une "indication limitée" de cancer chez l’animal de laboratoire, de même qu’une "indication limitée" concernant les mécanismes possibles d’action cancérogène.
Le Comité mixte a conclu que les données évaluées ne fournissaient aucun motif suffisant justifiant une modification de la dose journalière admissible de 0 à 40 mg par kilogramme de poids corporel (en anglais) précédemment établie pour l’aspartame. Par conséquent, le Comité mixte a réaffirmé qu’une personne peut consommer de l’aspartame sans risque dans la limite de cette quantité journalière. Par exemple, avec une canette de boisson gazeuse light contenant 200 ou 300 mg d’aspartame, un adulte pesant 70 kg devrait consommer plus de 9 à 14 canettes par jour pour dépasser la dose journalière admissible, en supposant aucun autre apport en aspartame provenant d’autres sources alimentaires. »
Mais l'exercice avait eu ses limites :
« "Le Comité mixte a également examiné les éléments de preuve concernant le risque de cancer, dans le cadre d’études menées chez l’animal et chez l’homme, et a conclu que les données faisant état d’une association entre la consommation d’aspartame et le cancer chez l’homme ne sont pas convaincantes", a déclaré le Dr Moez Sanaa, Chef de l’Unité Normes et avis scientifiques sur l’alimentation et la nutrition de l’OMS. »
En fait, la conclusion générale du JECFA est encore plus large :
« Dans l'ensemble, le comité a conclu qu'il n'y avait pas de preuves convaincantes provenant de données expérimentales sur les animaux ou sur l'homme que l'aspartame a des effets indésirables après ingestion. Cette conclusion est étayée par le fait que l'aspartame est entièrement hydrolysé dans le tractus gastro-intestinal en métabolites qui sont identiques à ceux absorbés après la consommation d'aliments courants, et qu'aucun aspartame ne pénètre dans la circulation systémique. »
On peut faire court : dans la plupart des cas, ils se sont concentrés sur le classement par le CIRC.
Même l'ONU, avec « Edulcorant : l’aspartame est "peut-être" cancérogène, selon une 1ère évaluation de l’OMS »...
Avec toujours des problèmes de conformité aux faits. Même le Quotidien du Médecin ,« Le Circ classe l'aspartame comme cancérogène probable, mais le risque reste contenu selon l'OMS et la FAO »... Non, ce n'est pas « probable » et le risque n'est pas « contenu », mais nul. On s'expose à une intoxication à l'eau bien avant d'atteindre la dose journalière admissible d'aspartame.
Parmi les morceaux d'anthologie : cet articulet du Monde, avec Reuters (tiens donc... après la fuite...), « L’aspartame classé comme "cancérogène possible" ». En chapô :
« VIDÉO La dangerosité potentielle de cet édulcorant, parmi les plus répandus du marché, vient d’être reconnue par l’OMS. »
Et, en bref, aucune référence à l'évaluation rassurante du JECFA, mais :
« Concrètement, cela signifie que le niveau de preuves scientifiques n’est, pour le moment, pas suffisant pour qualifier définitivement l’aspartame d’agent cancérogène, mais que des signaux sérieux existent. »
La FDA réagit sans délai !
Des signaux sérieux (alors qu'ils sont au mieux faibles) ?
C'est apparemment un événement rare : la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis d'Amérique a réagi publiquement, le jour même de l'annonce par l'OMS, au classement en « peut-être cancérogène » de l'aspartame :
« La FDA n'est pas d'accord avec la conclusion du CIRC selon laquelle ces études justifient la classification de l'aspartame comme cancérogène possible pour l'homme. Les scientifiques de la FDA ont examiné les informations scientifiques incluses dans l'étude du CIRC en 2021, lorsqu'elles ont été mises à disposition pour la première fois, et ont identifié des lacunes importantes dans les études sur lesquelles le CIRC s'est appuyé. Nous notons que le JECFA n'a pas soulevé de problèmes de sécurité pour l'aspartame dans les niveaux d'utilisation actuels et n'a pas modifié la dose journalière admissible (DJA). »
« ...les données faisant état d’une association entre la consommation d’aspartame et le cancer chez l’homme ne sont pas convaincantes », selon le Dr Moez Sanaa, de l'OMS (et le JECFA) ? C'est un euphémisme !
Nous ne disposons à ce stade que d'un résumé des travaux du CIRC dans The Lancet. Mais il est déjà instructif.
Le groupe de travail était composé de 25 chercheurs de 12 pays... mais six des États-Unis d'Amérique (ils étaient sept sur 16, plus le fameux Christopher Portier, pour le glyphosate ; et dans le cas des pompiers, 11 sur 25).
Ils n'ont déclaré aucun conflit d'intérêts. Pourtant, au moins quatre d'entre eux ont co-signé des études sur l'aspartame : Mmes Mélanie Deschasaux-Tanguy et Mathilde Touvier (une étude fondée sur la cohorte NutriNet-Santé – qui n'a du reste pas trouvé grâce aux yeux du groupe de travail), M. Daniele Mandrioli (de l'Institut Ramazzini) et Mme Marjorie L. McCullough (une des études retenues).
Intéressante, cette étude (Sugar- and Artificially-Sweetened Beverages and Cancer Mortality in a Large U.S. Prospective Cohort – boissons sucrées et artificiellement sucrées et mortalité par cancer dans une grande cohorte prospective américaine) : le résumé ne comporte aucune indication sur les boissons artificiellement sucrées.
Ce n'est pas une preuve, mais une suggestion : on a dû fouiller dans tous les recoins pour trouver quelque chose qui puisse étayer un « preuves limitées » pour la cancérogénicité chez l'homme.
« Sweetened beverage consumption and risk of liver cancer by diabetes status: A pooled analysis » (consommation de boissons sucrées et risque de cancer du foie en fonction du statut diabétique : une analyse groupée) présente une analyse nuancée. Mais quand des rapports de risques ont été mentionnés – y compris pour le sucre – les limites inférieures étaient très proches de 1, donc de l'absence de signification statistique.
La troisième étude, « Consumption of soft drinks and juices and risk of liver and biliary tract cancers in a European cohort (consommation de boissons gazeuses et de jus de fruits et risque de cancer du foie et des voies biliaires dans une cohorte européenne) a suivi 477.202 personnes sur 11,4 ans et trouvé, sur 191 carcinomes hépatocellulaires (CHC), que « La consommation combinée de boissons gazeuses (>6 portions/semaine) était positivement associée au risque de CHC : HR 1,83 ; CI 95 % 1,11-3,02 ». Mais, en conclusion selon le résumé, « La consommation quotidienne de boissons gazeuses combinées est positivement associée au CHC, mais une association différentielle entre le sucre et l'édulcorant artificiel ne peut être écartée. »
Dans un deuxième article publié par le Monde (mis en ligne le même jour et à la même heure que celui évoqué ci-dessus – 00h30, heure de fin de l'embargo fixé par l'OMS), on impressionne le lecteur en chapô : « Le CIRC s’appuie sur 1 300 études scientifiques parues ces dernières années ».
Non ! Trois études pour la cancérogénicité chez l'homme et quatre études sur la cancérogénicité chez l'animal... du très contesté Institut Ramazzini. Et encore, il a fallu bien des contorsions pour leur trouver du mérite en minimisant ou écartant les objections (idem pour les études sur les mécanismes, non référencées dans l'article du Lancet)...
Et pourtant...
« Une minorité du groupe de travail n'a pas partagé ces préoccupations concernant cette série d'études et a considéré que les preuves de cancer chez les animaux de laboratoire étaient "suffisantes" ; ils ont donc soutenu une classification dans le groupe 2A plutôt que dans le groupe 2B pour l'aspartame. »
Cancérogène... envers et contre tout
On aurait donc écarté quelque 1.290 études... Il sera du reste intéressant de consulter la monographie une fois qu'elle sera publiée pour voir les avis du groupe de travail sur les études écartées. Du reste, si l'on veut trouver un intérêt dans les monographies, c'est peut-être dans le tri qu'elles opèrent entre études considérées (à tort ou à raison) comme digne d'intérêt et les innombrables autres.
Mais ce n'était pas assez selon le Dr Moez Sanaa et le JECFA.
Selon un article de 2019 de Carr J. Smith et Thomas A. Perfetti, « An approximated one-quarter of IARC Group 3 (unclassifiable) chemicals fit more appropriately into IARC Group 4 (probably not carcinogenic) » (environ un quart des substances chimiques du groupe 3 (inclassables) du CIRC correspondent mieux au groupe 4 (probablement non cancérogènes) du CIRC). On peut sans doute faire la même analyse pour les groupes supérieurs.
Cela ne posait pas de problème particulier tant que ces classements touchaient un public restreint et averti. Mais aujourd'hui, à l'Âge Facebook de la Science, elles sont instrumentalisées par des lobbies, par des entités qui font commerce de la peur (y compris pour le compte d'intérêts économiques concurrents), par des hommes politiques, par des médias...
Et ce, au mépris de la portée et de la signification réelle des classements – sérieux ou contestables, voire franchement inacceptables – quant au danger et non aux risques.
On bourre actuellement le mou du public sur l'aspartame – on incite implicitement des consommateurs à se tourner vers le sucre, peut-être plus problématique pour leur santé – alors qu'il ne se passe pas un jour sans que l'on voie une publicité pour un produit contenant de l'Aloe vera... également classé « cancérogène possible »...
Mais ces produits ne sont pas commercialisés par Coca Cola et Cie... aux poches profondes. Les avocats prédateurs états-uniens seront sans doute déçus par ce classement... mais rien n'est perdu... Cependant, les perspectives ne semblent pas extraordinaires. Nous n'avons pas vu de racolage massif.
Les manœuvres commencent à se mettre en place.
US Right to Know a trouvé un journal français pour, le 19 juillet 2023, initier une manœuvre qu'on a déjà vue pour le glyphosate, avec « Nouvelles recommandations sur l’aspartame : les liaisons dangereuses de certains experts avec Coca et Pepsi ». Et dans son article du même jour, a priori postérieur, Gary Ruskin cite Gaël Lombart du Parisien, un message subliminal pour faire porter l'initiative de l'attaque contre des membres du JECFA à ce dernier.
Gary Ruskin, c'est... US Right to Know. (Source)
Parce que, figurez-vous, au moins six des 13 experts du JECFA ont collaboré un jour avec l'International Life Sciences Institute (ILSI), « a longtime Coca-Cola front group » (un groupe de façade de longue date de Coca-Cola).
Cherchez par exemple Diane Benford et ILSI, et vous tomberez sur « Application of the Margin of Exposure (MOE) approach to substances in food that are genotoxic and carcinogenic » (application de l'approche de la marge d'exposition (ME) aux substances génotoxiques et cancérogènes présentes dans les denrées alimentaires) qu'elle a co-rédigé dans le cadre d'un groupe d'experts établi par l'ILSI (avec du reste trois autres membres du JECFA, MM. Michael DiNovi, Jean-Charles Leblanc et Josef Schlatter)... en 2009.
Mme Diane Benford a aussi signé « The Acceptable Daily Intake: A Tool for Ensuring Food Safety » (la dose journalière admissible : un outil pour garantir la sécurité alimentaire), une monographie succincte de l'ILSI... en 2000. Ce genre de coopération suffit pour monter des allégations de conflits d'intérêts qui, nécessairement pour la faune militante, vicie et invalide un avis qui lui déplaît. Pour tous les mis en cause – et à perpétuité condamnés – l'association avec l'ILSI date de dix ans et plus...
Le Parisien, toujours sous la même signature, a même tenté d'impliquer Bayer dans une cabale, alléguée et imaginaire, contre le CIRC :
« "L’intérêt de Bayer est de discréditer le CIRC, en raison de sa classification du glyphosate comme probablement cancérogène", croit deviner Gary Ruskin, directeur de l’ONG américaine US Right to Know. »
Le masque en France va-t-il être encore imposé à la population comme cela a été le cas en juillet 2020 ?
TRIBUNE/OPINION - Alors que les médias parlent du variant Eris... Alors que les masques reviennent sur les visages... Alors que le ministre de la Santé dit qu'il faut "reprendre le réflexe de mettre un masque"... Il faut sortir de l'amnésie, cette amnésie qui pousse à l'apathie, afin d'agir, afin d'être acteur politique, pour soi et pour tous. Repérer les mêmes dysfonctionnements, à des fins dites sanitaires, mais aussi climatiques, mais aussi de terreur. Voir ces points communs qui amènent à toujours plus de restrictions, de suppressions des libertés fondamentales, à de plus en plus de contrôles sur tout, même sur les actes les plus quotidiens et anodins, de dématérialisation vers un tout-Numérique pour un mode mécaniste, vers la pensée unique pour ne suivre que les injonctions dénuées de sens et contradictoires ; à devenir obéissants sans conscience, à fonctionner en marionnettes. Deuxième partie : le retour des masques ?
I. Masque obligatoire : une mesure, sans mesure, une dé-mesure
Jamais le masque censé lutter contre l’épidémie n’aura été si mal porté. Avec l’obligation (1), ce sont des masques touchés en permanence, triturés, mis dans les poches, ressortis pour quelques minutes pour acheter sa baguette qu'on utilise. Ils sont humides d’être trop longtemps portés. Pire, on va les garder des jours durant, tant qu’ils tiennent. Tout cela est très loin des recommandations indispensables à suivre pour les porter avec le plus d’efficacité possible. Une efficacité qui reste même là toute relative : ce n’est qu’un outil, dont les probabilités d’efficacité se mesurent en pourcentage, qui est de loin le zéro risque que trop veulent croire.
Parce qu’il y a nécessité physiologique de ne pas les porter trop longtemps. L'être humain, qui est un animal, a la fonction essentielle de respirer. Ce qui signifie, en simplifiant, saisir de l’oxygène en inspirant et rejeter du gaz carbonique en expirant. Non de réinjecter dans son organisme son propre gaz carbonique, comme en témoigne cette sensation d’essoufflement, ces maux de tête, qui s’expliquent par un manque d’oxygénation.
Outre l’aspect psychologique de fermeture à ce qui s’apparente à une muselière, la composante organique demande une utilisation parcimonieuse. Et de privilégier surtout les distances physiques. Ce qui n’est pas non plus très agréable socialement, je vous l’accorde. Mais pouvoir bien respirer, pour son équilibre physique et mental est indispensable (2).
Avec le Premier Ministre Jean Castex, c’est une nouvelle mise au pas qui a été faite pour qu'il puisse marquer son territoire et s’inscrire dans la mémoire des Français, en obligeant ces derniers.
Avec son coéquipier Macron, ce couple a voulu faire autorité sous couvert d’efficacité contre un virus. Convaincants ? Nombreux sont ceux décérébrés par la peur qui ont approuvé, pensant qu’ainsi ils participent à leur petit niveau à la résolution sanitaire, en ayant un peu de pouvoir sur l’anéantissement du coronavirus. Ce qui est certain en termes de résultat, c’est inévitablement la recrudescence d’une société de contrôle, de coercition, et d’infantilisation.
La spirale descendante des libertés, de l’intelligence et de la démocratie se poursuit, quand on pouvait espérer un palier après ces derniers mois de restrictions. Le cycle pervers reprend de plus belle. La défiance envers chacun, ainsi muselés, ainsi que son isolement sensoriel, s’accentue. En plus d’accorder foi à un moyen, qui ressemble de plus en plus à de la superstition.
Qui ira peut-être même réussir à faire croire à certains, que s’il n’y a pas de "deuxième vague", que c’est grâce à lui, ex Monsieur déconfinement devenu chef du gouvernement ! Qu’au vu de l’utilisation forcée et risquée du masque, de cette utilisation démesurée qu’elle amène entre mettre ce masque trop longtemps ou d’y toucher en permanence, s’il n’y en a pas, c’est que l’épidémie avait dit le mot de la fin, que le risque n’était plus…
On a les victoires que l’on peut !
II. Avons-nous encore le "droit de respirer" ? À l’origine, il s’agit d’un droit à avoir un air sain, donc d’exiger que soit prise en compte la qualité de l’air supposant la lutte contre la pollution atmosphérique. Un droit légitime somme toute, auquel se réfère, on s’en doute, la politique anti-voitures de Anne Hidalgo, qui ne donne pas vraiment dans la nuance, ressemblant à une lubie, voire à un acharnement, où l’automobiliste devient coupable de tous les maux associés à la pollution.
Ce droit à respirer, que je revendique, au vu d’une nouvelle danseuse de ce maire, réélu pourtant avec un taux d’abstention record et qui réclame ce masque non plus seulement obligatoire dans les lieux clos, mais aussi à l’extérieur !
Le pouvoir exécutif est devenu roi omnipotent. Où sont les contre-pouvoirs ?
Où est le pouvoir Juridique en ce moment d’épidémie ? Où est le pouvoir judiciaire ? Où est le droit ? Où sont les analyses critiques, de la situation, de ces cascades de chiffres ? Quand va-t-on sortir de l’arbitraire, de l’emballement, des effets d’annonce ? Y a-t-il un pilote dans l’avion ?
Là aussi, nous avons le droit de respirer, psychiquement parlant. Régler cette épidémie n’est pas du ressort des citoyens, et ne doit pas se faire en les attaquant, en touchant à leur santé physique et mentale impunément. Cette logique de dédouanement aussi sur nous est insupportable. Assortie en plus à ce flou, à cette mise dans l’ignorance et la peur, pour nous soumettre, de gré ou de force. Si des contraintes se justifient, il s’agit de nous le prouver concrètement et avec une durée limitée dans le temps.
Voilà ce que seraient des gouvernants qui ont la compétence de gouverner. Des gens qui auraient cette stature là. Des gens responsables en somme, et humbles. Tel un De Gaulle en pleine débâcle, vu comme un illuminé à ne pas croire en la défaite inéluctable. A contrario de tous ces suiveurs, qui se retrouvent de façon inquiétante dans d’autres pays, prenant les mêmes mesures coercitives. Suivre, faire pareil, pour se dédouaner ?
Nous méritons ce "pilote", qui fera changer le cap. Qui nous respectera dans nos libertés et notre libre arbitre. Quand diriger n’est jamais soumettre. Et là, cette épidémie et toutes les autres pourront être dépassées.
*Laurence Waki est écrivain et philosophe. Retrouvez ses textes sur son site internet.
Notes : (1) La première partie de ce texte a été écrite dans sa version originale le 17 juillet 2020 et publié sur le site de Laurence Waki.
(2) Note de l'auteur - Le docteur Nicole Delépine a offert une voix discordante au consensus, qui peut supposer que tous les médecins sont loin de pouvoir se faire entendre du grand public, et surtout du gouvernement ; bien qu’il ne peut y avoir de certitudes en médecine.
Il sont tellement CONS chez 'france-soir' que ni l'explicateur sans instruction ni son 'rédacteur en chef', n'ont pris la plus simple initiative de passer un masque sous l'optique d'un microscope à balayage électronique !!! Là, ils se seraient rendu compte que les mailles (du masque le plus fin) sont cent fois trop écartées vis à vis de la nano-poussière (appelée 'virus'). C'est-à-dire que LE MASQUE NE SERT A RIEN ! A RIEN ! Et qu'il est IMPOSSIBLE de fabriquer dans le monde un masque anti microbes ou anti-virus (poussières) car, si les mailles sont davantage serrées l'air ne passe plus ! Les masques dits 'chirurgicaux' ne sont PAS des masques anti-microbes ou anti poussières, ils sont des masque anti-postillons ! C'est tout ! AUCUN chirurgien, docteur ou infirmière ne conserve le masque hors du bloc opératoire.
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
mardi 20 octobre 2020 par Tyler Durden Dim, 18/10/2020 - 08:45
Dernièrement, les plus grandes menaces du monde ont été de taille microscopique.
De la pandémie mondiale de COVID-19 aux incendies de forêt qui ravagent la côte ouest des États-Unis, il semble que nos poumons ne puissent pas prendre une pause, ou plus exactement, un souffle.
Mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist, quelle est la taille des particules que nous combattons actuellement? Et comment leur taille se compare-t-elle à d'autres petites molécules?
Les taches sont trop petites pour être vues
Bien que le coronavirus à l'origine du COVID-19 soit de taille relativement petite, ce n'est pas la plus petite particule virale du marché.
Le virus Zika et le bactériophage T4 - responsables d'E. Coli - ne représentent qu'une fraction de la taille, bien qu'ils n'aient pas presque fait autant de morts que le COVID-19 à ce jour.
Les particules de coronavirus sont plus petites que les globules rouges ou blancs, cependant, une seule cellule sanguine est toujours pratiquement invisible à l'œil nu. Pour l'échelle, nous avons également ajouté un seul cheveu humain en tant que référence dans la partie supérieure de la gamme de tailles.
AVEC ou SANS masque vous respirez:
Zika virus:::::::::::::::::::::::::::: 0,045 µ T4 Bactériophage::::::::::::::::: 0,225 µ Coronavirus:::::::::::::::::::::::: 0,1 µ à 0,5 micron Fumée de feu de forêt::::::::::: 0,4 à 0,7 µ Bactérie (microbe)::::::::::::::: 1 à 3 microns Particule de poussière (PM 2.5): 2,5 microns
Les masques (FFP2 et N95 3 µ) empêchent ces nano-particules de pénétrer:
Gouttelette respiratoire:::::::::: 5 à 10 µ Globule rouge::::::::::::::::::::::7 à 8 µ Particule de poussière (PM 10):: 10 µ Grain de pollen::::::::::::::::::: 15 µ Globule blanc::::::::::::::::::::: 25 µ VISIBLES A L'ŒIL NU: Grain de sel:::::::::::::::::::::::: 60 µ Sable fin de plage:::::::::::::::::90 µ Cheveu humain::::::::::::::::::: 50 à 180 µ
À l'autre extrémité du spectre, le pollen, le sel et le sable sont nettement plus gros que les virus ou les bactéries. En raison de leur taille relative plus élevée, notre corps est généralement capable de les bloquer - une particule doit être inférieure à 10 microns avant de pouvoir être inhalée dans vos voies respiratoires.
Pour cette raison, le pollen ou le sable sont généralement piégés dans le nez et la gorge avant d'entrer dans nos poumons. Les particules plus petites, cependant, peuvent se glisser plus facilement.
Smoky Skies: Pollution atmosphérique et incendies de forêt
Bien que le virus responsable du COVID-19 soit certainement la particule la plus d'actualité à l'heure actuelle, ce n'est pas la seule tache qui pose un risque pour la santé. La pollution atmosphérique est l’une des principales causes de décès dans le monde - elle est en fait plus mortelle que le tabagisme, le paludisme ou le sida.
Les particules, qui peuvent contenir des particules de poussière, de saleté, de suie et de fumée, constituent une source majeure de pollution atmosphérique. D'une moyenne d'environ 2,5 microns, ces particules peuvent souvent pénétrer dans les poumons humains.
À juste une fraction de la taille entre 0,4-0,7 microns, la fumée des feux de forêt pose encore plus de risques pour la santé. La recherche a également lié les expositions aux feux de forêt non seulement à des problèmes respiratoires, mais aussi à des problèmes cardiovasculaires et neurologiques.
Voici une carte animée de Flowing Data, montrant comment les choses se sont réchauffées pendant la haute saison des feux de forêt entre août et septembre 2020:
- voir clip sur site -
Quelle est la principale chose à retenir de tout cela?
Il existe de nombreux types de taches plus petites que l'œil ne peut voir, et il vaut la peine de savoir comment elles peuvent avoir un impact sur la santé humaine.
La prise de pouvoir du COVID-19 en tant que « crime organisé ». Une tromperie aux multiples facettes
Par le professeur Anthony J. Hall Recherche mondiale, 27 août 2023
De nombreuses failles sont en train de briser l’épais mur mental d’obstructions générées par les médias et destinées à empêcher le grand public de comprendre la prise de pouvoir liée au COVID-19. Le faux combat pour vaincre le coronavirus des célébrités est largement dénoncé comme une tromperie aux multiples facettes.
Alors que les illusions se brisent, de plus en plus de gens commencent à ouvrir leur esprit à la nature profonde des dangers réels qui nous engloutissent. Ce faisant, les patrons qui dirigent le mafioso du COVID perdent le contrôle du récit dominant du COVID. Les défenseurs du récit, assiégés, cherchent de plus en plus désespérément à détourner l’attention du public de la scène des crimes du COVID.
Malgré les tactiques de diversion, un nombre croissant de personnes commencent à comprendre que les prédateurs humains, et non l’invasion surprise d’un nouveau type de germe, sont les principaux responsables du malaise qui nous envahit. Notre économie, nos droits, nos libertés, nos institutions et, de plus en plus, nos vies et notre bien-être sont attaqués à mesure que la prise de pouvoir liée au COVID-19 franchit de nouvelles frontières d’infiltration subversive.
Certains de ceux qui participent à la conquête du pouvoir ont exposé leur véritable programme en célébrant l’effondrement des formes existantes d’économie politique. Ils ont salué la destruction de nos systèmes de survie comme un expédient nécessaire pour dégager les ponts d’une transformation structurelle massive parfois décrite comme la Grande Réinitialisation. Voyez ceci .
Ce slogan est mieux compris comme une expression cynique de relations publiques dont le but propagandiste est de dissimuler l’impitoyabilité anarchique de la prise de pouvoir liée au COVID-19. Dans leurs fantasmes intérieurement contradictoires, les adeptes de Davos qui poussent l’idée d’une grande réinitialisation imaginent une utopie éveillée et verte sous la poigne de fer numérique d’une dictature corporatiste.
Pour anticiper où nous mènera cette prise de pouvoir, il nous suffit d’évaluer la trajectoire des développements qui nous sont parvenus depuis 2020. Les preuves sont devenues accablantes que les mesures COVID imposées au nom de la sauvegarde de la santé humaine font exactement le contraire. Les confinements liés au COVID ont accéléré une calamité économique bien avancée et les injections ont déclenché une catastrophe de santé publique mondiale encore à ses balbutiements.
Les vaccins contre le COVID, le principal remède supposé à cette pandémie mal nommée, ont jusqu'à présent été injectés dans les bras de bien plus de la moitié des 8 milliards d'habitants de la planète. Aussi imparfaites et incomplètes soient-elles, les preuves pointent vers la conclusion désormais incontournable selon laquelle ces injections rendent une très forte proportion de personnes vaccinées plus malades au lieu de les améliorer. Les vaccins tronquent la durée de vie, ils ne la prolongent pas.
De plus, tous ceux qui se sont fait vacciner sont rendus plus vulnérables à toute une gamme de maladies infectieuses, dont le COVID-19. Les injections de COVID détruisent subrepticement l’immunité humaine, un processus de sabotage biologique qui devient de plus en plus grave avec les injections répétées.
Le but de cette attaque contre l’immunité naturelle est de faire progresser les conditions d’un régime permanent et universellement mandaté d’injections du berceau à la tombe. Les merveilles de l’immunité naturelle sont retirées aux humains dans le cadre d’un plan d’assaut plus large visant à rendre la plupart des gens plus dépendants de nos suzerains pour notre survie même.
Promouvoir la réingénierie industrielle de la biologie humaine
L’Organisation mondiale de la santé a joué un rôle important dans cette attaque coordonnée contre l’immunité innée grâce à sa redéfinition stratégique de « l’immunité collective ». Avant octobre 2020, l’OMS reconnaissait que les populations pouvaient atteindre l’immunité collective – l’immunité collective – grâce à une « immunité naturelle généralisée développée lors d’une infection antérieure ». Ensuite, l’OMS a proclamé que l’immunité collective ne peut être atteinte que lorsqu’un « seuil de vaccination est atteint ». Voyez ceci .
Cette déclaration de l’OMS a encouragé l’affirmation inexacte selon laquelle l’immunité induite par le vaccin est plus efficace que l’immunité naturelle. La principale division de la santé des Nations Unies a ainsi sanctionné ce qui équivalait à une prise de contrôle industrielle des mécanismes fondamentaux régissant les interactions humaines avec la maladie.
Ce changement a contribué à ouvrir la voie à la poussée mondiale visant à universaliser les injections de COVID-19, une campagne sans précédent que nous pouvons maintenant considérer rétrospectivement comme le mince bord du fossé dans la prise de contrôle technocratique de l’autonomie corporelle. Jusqu’à présent, les gouvernements ou les médias n’ont accordé pratiquement aucun espace pour un débat public ouvert et une procédure démocratique régulière sur la mise en œuvre par les entreprises de cet agenda transhumaniste.
Nous, les cobayes humains entraînés dans des expériences médicales non réglementées et non consensuelles, n’avons pas été impliqués dans le processus décisionnel sur la manière dont nos propres corps doivent être envahis, reconstitués et contrôlés. S’il a déjà été décidé par nos maîtres que même nos personnes ne nous appartiennent plus, que pouvons-nous attendre d’autre des prochaines étapes de la « Grande Réinitialisation » ?
Les injections de COVID ont constitué le principal point d’entrée permettant à l’État de surveillance de pénétrer sous la peau des gens dans le cadre de la réingénierie industrielle de la biologie humaine. Ce projet d’ingénierie en cours s’étend à la poursuite de la quête impériale d’une connaissance et d’un contrôle total de l’information, y compris sur le flux numérique de l’argent liquide. Beaucoup de nos gouverneurs de haut niveau souhaitent s’autonomiser davantage en faisant des systèmes monétaires sans numéraire liés au crédit social la base du contrôle par l’IA de toutes les transactions financières.
En conséquence, l’imposition de la plus grande campagne d’injection de l’histoire visant à vacciner l’ensemble de la population mondiale est tout sauf sûre et humanitaire. Cette campagne est plutôt un élément clé d’une prise de pouvoir déterminée, menée sur la base d’une énorme fraude. Au lieu d’offrir une protection, les vaccins toxiques ruinent et annihilent des vies dans ce qui s’avère être de loin le plus grand scandale médical de tous les temps.
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Voyez ceci .
Face à ces évolutions, les gardiens des mythes du COVID continuent de tenter d’effacer et de cacher autant de preuves que possible des décès et des blessures par injection. La détermination continue selon laquelle rien ne doit remettre en question le conte de fées de Sunny Way selon lequel les injections de COVID sont sûres et efficaces.
Erreurs honnêtes ou intention malveillante ?
La révélation rapide de l’immense ampleur de la fraude liée au COVID se produit au vu et au su de millions de personnes qui ont appris à contourner les tromperies des médias du régime désormais discrédités. Les chercheurs de vérité ont alimenté et absorbé cette ruée vers la divulgation. Ils ont développé des compétences de pensée critique et indépendantes, suffisantes pour reconnaître les sources d’informations généralement fiables sur la COVID.
Ceux qui sont capables de faire la distinction nécessaire entre sources crédibles et frauduleuses restent cependant encore une minorité. Ce groupe minoritaire deviendra-t-il désormais majoritaire alors que de plus en plus de personnes perdent des êtres chers ou assisteront au système médical qui refuse la reconnaissance, l’empathie et le traitement appropriés aux membres de la famille qui comprennent bien qu’ils ont été gravement blessés par les vaccins ?
À combien de mensonges supplémentaires et d’abus graves, y compris des actes de meurtre avec préméditation, les membres du public peuvent-ils résister avant de devenir suffisamment indignés pour exiger une certaine mesure de responsabilité de la part des autorités responsables du COVID ?
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Qu’arrivera-t-il à ceux qui, jusqu’à présent, ont fait confiance aux autorités gouvernementales et aux médias pour les guider dans les soi-disant remèdes promus, comme s’ils avaient la capacité d’atténuer et de mettre fin aux prétendues inflictions du COVID ? L’ampleur et l’intensité des nouvelles révélations sur les graves dommages causés au nom de la lutte contre le COVID continueront-elles à pousser l’opinion publique mondiale dans une direction positive ?
Ceux qui ont jusqu’à présent fait confiance aux conseils des figures d’autorité supervisant le fiasco du COVID trouveront-ils le courage de mettre leur crédulité de côté et de commencer à poser des questions sceptiques pertinentes ?
L’opinion majoritaire peut-elle être suffisamment étendue pour comprendre que nous sommes au milieu d’une prise de pouvoir monumentale présentée à tort comme une réponse fondée sur des preuves à une urgence médicale ? La prise de conscience du public se développera-t-elle au point où des citoyens vigilants, excités et bien informés pourront présenter des revendications soutenues par le poids d’une opinion publique solide ?
Le cœur de ces revendications doit appeler les responsables publics à constituer des équipes crédibles d’enquêteurs objectifs ayant l’expérience nécessaire pour explorer en connaissance de cause de nombreuses questions restées sans réponse. Un certain nombre de ces questions les plus vitales ont été mises en lumière par des lanceurs d’alerte consciencieux qui ont souvent fait l’objet de graves récriminations pour avoir dénoncé les mensonges et les crimes de l’administration du COVID.
Comme dans le cas des « prisons médicales » mises en place pour les patients atteints du COVID, par exemple au Amita Health Resurrection Center de Chicago, les pistes découvertes par des lanceurs d’alerte comme le Dr Elizabeth Vliet sont souvent extrêmement significatives. Elles doivent être suivies par le travail d'enquêteurs professionnels dotés de pouvoirs étendus d'assignation à comparaître. Si elles sont correctement menées, de nombreuses enquêtes devront céder la place à des accusations criminelles portées contre certains des pires coupables du COVID.
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Avant que la société dans son ensemble ne commence à accepter les révélations majeures sur les actes répréhensibles liés à la COVID-19 désormais rendus publics, beaucoup plus de personnes devront examiner d’un œil critique leurs propres hypothèses sur ce qui n’a pas fonctionné. Il est naturel de commencer par supposer, par exemple, que toute incapacité à réagir de manière appropriée aux aléas de la débâcle du COVID doit être le résultat d’erreurs honnêtes, de simples malentendus, ou peut-être même d’une incompétence malheureuse.
Il ne fait aucun doute que l’incompétence, la stupidité et la complicité naïve de certains responsables ont joué un rôle dans la genèse de la débâcle du COVID. Cependant, toute hypothèse selon laquelle cette explication serait suffisante à elle seule pour expliquer la profondeur de notre dilemme actuel est tout simplement fausse.
Il en va de même pour la tendance à expliquer la nature véritablement criminelle de l’opération COVID en prétendant que tous les professionnels impliqués faisaient simplement de leur mieux pour répondre à un ensemble intimidant de circonstances inexplorées et sans précédent. Il est cependant désormais possible de démontrer que bon nombre de ces « circonstances sans précédent » ont été soigneusement planifiées et mises en œuvre.
Des évaluations aussi superficielles et incomplètes sur la nature de la prise de pouvoir liée au COVID-19 ne feront que rendre la société plus vulnérable à des crimes encore plus audacieux à venir. La meilleure façon de parvenir à la quête continue des multimilliardaires et de leurs complices pour obtenir davantage de butin est de mettre en œuvre des méthodes de contrôle plus complet.
Le Dr Michael Yeadon a réfléchi à la difficulté qu'ont eu, aujourd'hui et par le passé, les gens à prendre des mesures pour bloquer la montée de régimes impitoyables dont les dirigeants semblent déterminés à causer de graves dommages. Il a écrit,
«Beaucoup se demandent pourquoi les gens n'ont pas résisté aux tyrans dans le passé. C'est en partie la peur. Mais c'est bien plus que cela. C'est que les gens normaux, comme vous et moi, ne peuvent tout simplement pas imaginer être aussi méchants. Nous avons confiance en l'humanité. Et c’est ce que nous devrions faire. La plupart des gens sont bons. Rares sont ceux qui sont vraiment terriblement horribles. Mais certains le sont. C'est l'incapacité de croire que cela se produit qui a réellement empêché les gens de s'y opposer alors qu'ils le devraient, alors que les preuves étaient indubitables mais n'étaient pas encore parvenues à leur porte, à leur famille.»
Un bon moyen d’évoluer vers un engagement plus proactif face à des évolutions menaçantes est d’éviter une dépendance excessive à l’égard d’hypothèses. Pour transcender le domaine des suppositions, il faut poser des questions, beaucoup de questions, adressées en particulier à ceux qui revendiquent l’impératif particulier d’éduquer le public à partir de positions d’autorité bien récompensées.
Ceux qui tombent dans les zones de danger où prévalent des hypothèses non étayées sont souvent les victimes de la pensée de groupe. Dans cette prise de pouvoir liée au COVID-19, la pensée de groupe est souvent favorisée par les décisions prises par ceux qui dirigent de nombreux médias.
Depuis le début de la débâcle en 2020, les médias ont amené des agneaux humains à recevoir leurs vaccins sur les autels sacrificiels de la religion télévisée prêchant la rédemption de l’infection au COVID. Les médecins ont joué le rôle qui leur a été assigné dans le meurtre rituel, les blessures et l’effacement de l’immunité naturelle de ceux qui sont soumis à la réplication invasive de la protéine Spike.
Briser la cohésion sociale en transmettant l’idée que nous sommes tous des risques biologiques Comment se fait-il que les gouvernements de la grande majorité des 195 pays du monde aient tous commis essentiellement les mêmes erreurs en réagissant aux mêmes circonstances ? La réplication du même ensemble de mauvaises réponses à la crise fabriquée de toutes pièces du COVID a commencé presque immédiatement.
Cette décision décisive a été prise avec la décision sans précédent de suivre l'exemple de la Chine en mettant fin à l'élément vital de la liberté de circulation et de circulation de la société mondiale. Les nouvelles obstructions mises en place se sont étendues dans de nombreuses directions, y compris jusqu’à l’étranglement d’aspects ciblés du commerce et du travail.
Les mesures de confinement ont été conçues dans le but d’ériger des obstacles particulièrement élevés aux transactions soutenant les petites entreprises, la classe moyenne et l’indépendance des travailleurs. Les confinements ont considérablement accéléré l’aspiration des actifs de la plus grande masse de l’humanité vers un minuscule contingent de personnes riches bien au-dessus des 1 % les plus riches.
Environ un milliard et demi de travailleurs ont été particulièrement touchés dans les pays à faible revenu, où l'emploi informel est le plus répandu.
Voyez ceci .
Les confinements ont favorisé l’idée selon laquelle même les personnes en bonne santé constituent des risques biologiques potentiels les unes pour les autres ; que tout le monde a des raisons de se représenter les autres comme des suspects à rejeter, à se méfier et à soumettre à de nombreuses formes de distanciation. Cet éclatement de la cohésion sociale a contribué aux stratégies impériales de diviser pour régner.
La mise en œuvre rapide et uniforme d’une affirmation aussi invasive du pouvoir de l’État indique qu’une certaine autorité mondiale était la source commune des directives adressées aux gouvernements nationaux. Quelle autorité mondiale serait en mesure d’imposer par la contrainte une politique conformiste à la plupart des systèmes nationaux de santé publique à travers le monde ?
Le WEF a certainement joué un rôle important. Mais le WEF reçoit en fin de compte ses ordres des dirigeants des entreprises mondiales et des banquiers qui facilitent leurs opérations. Seules les institutions bancaires internationales et leurs mandataires, notamment BlackRock et Vanguard, seraient en mesure d’imposer des réponses aussi uniformes et cohérentes à presque tous les gouvernements nationaux.
Les terribles implications de cette formidable démonstration de force géopolitique doivent être résolument affrontées. Plus encore, la kleptocratie actuelle qui constitue le système financier dominant doit être restructurée pour servir efficacement l’ensemble de l’humanité, et non seulement une infime minorité en son sein. Les changements requis vont dans une direction très différente de la Grande Réinitialisation préconisée par le WEF et sa mascotte et son larbin le plus ennuyeux, Justin Trudeau.
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La quête dilettante de Trudeau pour étendre la gouvernance « post-nationaliste » est représentative de forces plus vastes qui dirigent l'humanité vers un asservissement de masse. Trudeau personnifie une classe émergente de colporteurs essayant de reproduire l’exemple du chef du crime « philanthropique », Bill Gates.
Ce n’est qu’en développant les expressions financières de l’autonomie nationale que nous, les peuples du monde, pourrons échapper davantage au piège de la prise de pouvoir du COVID-19 et de toutes les autres crises fabriquées qui en découlent.
La stimulation de la peur et de la confusion à propos de tout, de la variole à la famine généralisée, contribue à freiner toute enquête minutieuse sur qui et quoi se cache derrière la prise de pouvoir liée au COVID-19. Plutôt que de nous laisser distraire par de nouvelles vagues de peurs fabriquées, nous devons tenir bon. Nous devons exiger des moyens formels pour enquêter sur les preuves de la criminalité organisée facilitant la crise fabriquée de la COVID dont les conséquences dévastatrices continuent de se produire. Voyez ceci .
De la réduction de l’empreinte carbone à l’élimination de masses de personnes L’accord de Paris sur le changement climatique conclu en 2015 peut être considéré comme un prélude à l’adoption de politiques quasi identiques par presque tous les gouvernements nationaux pour répondre au soi-disant nouveau coronavirus.
Quelques heures après avoir prêté serment en janvier 2021, le président américain Joe Biden a autorisé l’adhésion des États-Unis à l’accord de Paris.
Le Forum économique mondial a été un acteur majeur qui a amené les gouvernements de tous les pays du monde à adhérer à l'accord de Paris. Pour ceux qui s’imprègnent du Kool-Aid du WEF, l’objectif de réduire, voire d’éliminer « l’empreinte carbone » des populations, commence par la quête de décarbonation de toute production d’énergie.
De là, il s’agit de concevoir les gens comme des cancers à éliminer. Dans l’esprit des signaleurs de vertu les plus prestigieux au monde, la population mondiale est composée de troupeaux humains qui doivent être abattus et réduits pour créer un monde plus vert et plus sain.
La prise de pouvoir liée au COVID-19 et son expression dans la Grande Réinitialisation visent à réduire l’empreinte carbone globale de l’humanité. En fait, le programme d’injection semble bien calculé pour annuler tout type d’empreinte de ces humains éliminés dans la conduite d’une guerre laïque mais sainte pour vaincre la maladie, la surpopulation et le réchauffement climatique.
Les préoccupations anti-carbone et anti-humaines des régimes fantoches qui dominent les gouvernements occidentaux prennent la forme d’interventions sans précédent visant à ralentir le rythme et à réduire l’ampleur de l’activité économique. Le principal moyen de provoquer cette contraction est de rendre la nourriture et les combustibles fossiles plus rares et plus chers. Voyez ceci .
L’objectif de freiner l’activité économique constitue une quasi-condamnation à mort dont les premières victimes sont des millions de pauvres. Cette initiative est poussée par les mêmes personnes qui font pression sur l’OTAN dirigée par les Sioaméricains pour qu’elle s’engage dans un conflit militaire avec la Russie et la Chine.
La promotion d’actes de guerre simultanés, l’un ciblant ceux qui se trouvent sur le front intérieur et l’autre visant à provoquer l’hostilité des superpuissances dotées de l’arme nucléaire, est à la fois bizarre et pour le moins imprudent. On pourrait interpréter cette convergence de scénarios comme étant bien calculée pour accélérer l’élimination massive de personnes.
Tromperies opérationnelles et conceptuelles dans les mensonges du COVID Le Dr Michael Yeadon a initialement perçu le gâchis médical provoqué par une pandémie mal nommée comme le résultat d’une série d’erreurs graves. Peu à peu, il s'éloigna de cette vision. Le Dr Yeadon a rendu public un compte rendu très riche de ses perceptions changeantes de la bureaucratie du COVID. Voyez ceci .
Alors que la futilité de sa quête pour aider la cause de la santé mentale médicale lui devenait de plus en plus claire, le Dr Yeadon a progressivement adopté l’idée que la débâcle du COVID-19 n’est pas un accident survenu au hasard. Sa conclusion professionnelle est plutôt que tout ce fiasco est le résultat d’un sinistre plan visant à infliger délibérément du mal.
En traversant cette transition analytique, le Dr Yeadon a rendu explicite les points de vue de nombreuses personnes qui opèrent des changements de compréhension similaires. Le Dr Yeadon s’exprime au nom d’un cercle plus large de participants et de témoins en concluant que c’est la malveillance, et non l’incompétence, qui est la principale force motrice du fiasco de la COVID.
Le Dr Yeadon apporte à son interprétation une richesse d'expérience et de réalisations dans le processus de recherche et développement dans la création de médicaments commerciaux. Il est un ancien vice-président de Pfizer, où il était responsable mondial de la recherche dans les domaines des allergies et des maladies respiratoires.
Lorsqu'il a quitté Pfizer en 2011, le Dr Yeadon a fondé et dirigé une société de biotechnologie, Ziarco. Novartis a acquis Ziaroco en 2017. Voir ceci .
Consultant indépendant auprès de 30 sociétés de biotechnologie, le Dr Yeadon est actuellement conseiller scientifique en chef auprès de America's Frontline Doctors.
Alors que la crise du COVID fabriqué prenait de l’ampleur, le Dr Yeadon a réagi en s’engageant dans une collaboration constructive avec ses collègues professionnels. En février 2021, le Dr Yeadon faisait partie d’une réponse apportée par Doctors for Covid Ethics. Voyez ceci .
L’initiative D4CE s’adressait à l’Agence européenne des médicaments. Les intervenants ont accusé l’agence d’avoir été « prématurée et imprudente » en accordant aux fabricants d’injections COVID l’équivalent européen de l’autorisation d’utilisation d’urgence.
Parmi les problèmes majeurs soulevés par le Dr Yeadon et ses collègues, il y avait le fait que les nouveaux produits médicaux créeraient presque certainement des déficits sanitaires majeurs en stimulant « les caillots sanguins, les saignements abondants et les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques ». Voyez ceci .
L'affirmation du D4CE selon laquelle ces produits d'injection expérimentaux devraient être retirés de la distribution publique a été répétée à plusieurs reprises par une grande variété de groupes scientifiques et professionnels de haut niveau. Cependant, dans le cas de la prise de pouvoir du COVD-19, le principe de précaution, comme tant d’autres règles axiomatiques de santé publique et de sécurité publique, a tout simplement été jeté aux oubliettes dans la course à toute vitesse visant à infliger des dommages généralisés.
Dans les mois qui ont suivi l'intervention de l'Agence européenne des médicaments, le Dr Yeadon est devenu de plus en plus convaincu de l'inutilité de faire appel à des agences de réglementation corrompues dans le but de protéger le public contre les produits médicaux dangereux. La pourriture et la corruption de ces organismes de réglementation capturés par l’industrie étaient tout simplement trop avancées. Le véritable projet, a-t-il conclu, était d’infliger des dommages médicaux massifs dans le but de concentrer le contrôle de l’humanité entre de moins en moins de mains.
Ses essais et interviews s’enracinaient de plus en plus dans la thèse bien étayée selon laquelle tout le drame du COVID était une arnaque de haut niveau dépourvue de toute honnêteté et intentions bienveillantes. Au cours du développement de cette ligne d’analyse, le Dr Yeadon a rédigé un aperçu concis intitulé « The Covid Lies ». Voyez ceci .
En décrivant son approche, le Dr Yeadon a expliqué qu’il avait en 2020 « essayé de trouver des explications bénignes » au désastre des soins de santé en cours, mais « n’y est pas parvenu ». Il a déterminé que « le tableau général est celui d’une tromperie extrême et d’une fraude hautement organisée ». Selon lui, « tout l’événement est basé sur des mensonges ».
Du point de vue du Dr Yeadon, ces mensonges sont le résultat d’une « planification à long terme » visant à provoquer des « actes délibérément préjudiciables » ayant des « conséquences mortelles ». L’ensemble de la méthodologie « donne un voile d’invisibilité à ceux qui veulent commettre des meurtres de masse, littéralement », dans un environnement « où tant de gens sont prêts à imaginer que cela n’arrive pas ».
De toute évidence, le Dr Yeadon ne mâche pas ses mots en tirant une alarme aux conséquences énormes.
Le Dr Yeadon voit à la fin de ce processus la création d’un système de « passeports vaccinaux » qui seraient la porte d’entrée vers un système mondial massif d’identités numériques obligatoires sous la propriété privée d’un géant de l’entreprise. Il continue,
« Ajoutez à cela [une prise de pouvoir] une « grande réinitialisation financière » avec le retrait des espèces et l'introduction des monnaies numériques des banques centrales (CBDC) et nous obtenons une population entièrement contrôlée, contrôlée automatiquement sans intervention humaine sur le terrain. Il suffit d’exiger de la population qu’elle présente son passeport sanitaire, sinon elle ne sera pas autorisée à franchir un seuil réglementé, comme accéder à un magasin d’alimentation, ou à effectuer une transaction avec de l’argent numérique, à moins que les algorithmes de l’IA ne le permettent.
La plus grande partie de l'essai du Dr Yeadon est composée de 12 sous-sections qui identifient et expliquent la nature de 12 mensonges liés au COVID. Deux de ces mensonges impliquent ce qu’il appelle « la tromperie conceptuelle centrale » et la « tromperie opérationnelle centrale ».
La tromperie opérationnelle est le système inexact de tests PCR. Cette procédure de diagnostic produit une grande abondance de résultats faussement positifs qui sont déployés pour gonfler la peur et justifier la mise en place d’une énorme infrastructure d’opérations COVID.
Pendant un certain temps, la plupart des journaux du monde ont publié des titres quotidiens destinés à pousser le public à la panique en raison de « l’augmentation des cas confirmés ». Cette nouvelle frauduleuse ne reposait que sur les résultats dénués de sens d’un test dont l’inventeur avait clairement indiqué qu’il n’était pas conçu pour diagnostiquer une maladie. Voyez ceci .
La principale tromperie conceptuelle était le mensonge selon lequel le COVID-19 était un agent pathogène insaisissable qui pouvait se propager de manière prolifique par des personnes ne présentant aucun symptôme de maladie. Le mensonge de la transmission asymptomatique du COVID-19 a ouvert les vannes des faux tests PCR. Cela a également ouvert la voie aux confinements mondiaux qui ont ravagé l’économie mondiale et soumis les humains à des fléaux tels que le suicide, la dépression, la violence domestique et la toxicomanie.
Les gouvernements du Canada, des Pays-Bas et du WEF s'associent pour réduire l'approvisionnement alimentaire et promouvoir l'identification numérique comme condition du voyage aérien Les cartes d’identité numériques et les soi-disant passeports vaccinaux contre lesquels le Dr Yeadon a mis en garde sont mis en avant de diverses manières. Par exemple, la Banque mondiale a contribué 1 milliard de dollars pour financer de « nouveaux cadres de passeport vaccinal à l’échelle nationale ». Voyez ceci .
L’approche américaine en matière de passeports vaccinaux implique « un réseau complexe de partenariats Big Tech ». Voyez ceci .
L'une des initiatives implique un projet de collaboration entre le Forum économique mondial (WEF), le gouvernement Trudeau au Canada et le gouvernement Mark Ruffe aux Pays-Bas. La coopération trilatérale entre ces parties est consacrée au lancement d'un projet pilote nommé Known Traveler Digital Identity, KTDI. Voyez ceci .
Beaucoup de personnes qui ont fait la queue pour se faire vacciner contre le COVID l’ont fait volontairement pour voyager. Ce même groupe est à nouveau ciblé dans le cadre des efforts visant à étendre la prise de pouvoir du COVID aux identifications numériques mondialisées.
Le site Web conjoint KTDI/WEF décrit l'initiative comme « la première collaboration mondiale de ce type », une collaboration qui « permet des voyages plus sûrs et plus fluides ». Pour ce faire, il « permettra aux partenaires du consortium d'accéder à des déclarations vérifiables sur l'identité d'un voyageur ».
L’un des moyens par lesquels les partenaires du KTID affirment qu’ils atteindront l’objectif de « partage et collaboration transfrontaliers de données » consiste à adopter la biométrie. La biométrie permet des systèmes informatisés de reconnaissance faciale qui permettent aux autorités de « lier l’identité numérique à la personne physique ». Voyez ceci .
Le même partenariat trilatéral soutenant l’initiative KTDI est également mis en évidence à l’échelle internationale dans la résistance croissante au plan néerlando-canadien-WEF visant à réduire de 30 % l’utilisation d’engrais émettant de l’azote. Ceux qui sont à l'origine de cette réduction justifient la diminution de la nourriture disponible par le respect du plan Agenda 2030 de l'ONU.
La résistance concertée des agriculteurs néerlandais à cette attaque contre leur viabilité économique a souvent été comparée à la réponse du Convoi pour la liberté des camionneurs canadiens aux actions répressives du gouvernement Trudeau. Aujourd’hui, les mouvements de résistance des agriculteurs aux Pays-Bas et au Canada unissent leurs forces contre des attaques similaires contre la production alimentaire menées par leurs propres gouvernements endoctrinés par le WEF.
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Voyez ceci .
La moitié du cabinet de Justin Trudeau est composée de néophytes politiques diplômés du programme Young Leaders du WEF. Un document intitulé « Présentation de l'ambition numérique du gouvernement du Canada 2022 » est tout à fait en phase avec le programme de grande réinitialisation du WEF. Le gouvernement Trudeau y expose son plan ambitieux pour les prochaines étapes de la prise de pouvoir liée au COVID-19, avec des formes plus sophistiquées de surveillance des logiciels espions rendues possibles par des normes universalisées en matière d’identification numérique. Voyez ceci .
Le long article Web s’ouvre sur l’affirmation suivante : « Depuis le début de la pandémie de COVID-19, les Canadiens travaillent, magasinent, apprennent et interagissent de plus en plus avec le gouvernement en ligne. » La déclaration se vante ensuite : « Pendant la pandémie, le gouvernement a rapidement déployé de nouveaux programmes innovants pour soutenir les Canadiens. »
Cette affirmation s’éloigne en grande partie de ce qui s’est réellement passé. En fait, le flux de communications à sens unique du gouvernement canadien sur la COVID-19 n’avait pas grand-chose à voir avec « l’engagement » ou les « programmes innovants ». Le plus haut responsable du gouvernement canadien a plutôt utilisé Internet pour rendre publiques ses attaques personnelles acerbes visant à diffamer, diaboliser, séparer, menacer et retirer de leur emploi de nombreux Canadiens qui ont choisi de ne pas se faire vacciner contre les caillots pathogènes.
La « consultation » promise sur les « ambitions numériques du Canada » continuera probablement à marginaliser et à rejeter les opinions de tous les Canadiens qui ne partagent pas les mêmes programmes que le gouvernement canadien endoctriné par le FEM.
Voyez ceci et cela .
Le système d’identification numérique KTID sera sans aucun doute présenté comme un moyen de sortir du chaos qui s’est emparé de l’industrie aéronautique. L'aéroport international Pearson de Toronto est l'un des exemples internationaux les plus notoires de cet effondrement du secteur du transport aérien. Il relève de la compétence fédérale du gouvernement de Justin Trudeau.
Au printemps et à l’été 2022, l’aéroport Pearson a fait la une des journaux internationaux en étant désigné comme « le pire au monde » en termes de retards et d’annulations de vols. L’effondrement du système aéronautique est étroitement lié à l’imposition de mandats d’injection qui ont poussé des milliers de personnels de l’aviation à quitter leur emploi.
Le départ volontaire ou coercitif de masses d'employés expérimentés des compagnies aériennes fuyant la police de leur employeur, habilitée par le gouvernement fédéral, constitue l'élément central de l'effondrement très public de l'industrie aéronautique. Voyez ceci et cela .
Parmi les travailleurs de l’aviation conformes aux injections qui ont suivi les mandats figurent des pilotes entièrement vaccinés. En tant que destinataires des injections de caillots, l'environnement de travail à haute altitude des pilotes restants les expose à des risques accrus de crise cardiaque, d'accident vasculaire cérébral, etc. Voyez ceci .
En conséquence, les voyageurs qui sont capables de voler sont soumis à la menace supplémentaire de catastrophes aériennes causées par des urgences médicales dans le cockpit. Voyez ceci et cela .
Le désordre notoire à l'aéroport de Toronto peut être considéré comme le reflet de l'incompétence de Justin Trudeau. Trudeau parvient à piéger pratiquement toutes les responsabilités fédérales qu’il touche.
Trudeau a traité l'aéroport le plus fréquenté du Canada comme un jeu vidéo réel pour ses expériences, par exemple, sur les tests COVID aléatoires, la mise en quarantaine et l'imposition obligatoire à tous les passagers de l'application de voyage ArriveCan codée par QR. Voyez ceci .
Cette application ArriveCan a été décrite comme « une technologie de suivi glorifiée avec un enregistrement des vaccins COVID que vous avez reçus ». Il s’agit essentiellement d’un passeport vaccinal déguisé prêt à être intégré à l’infrastructure du projet KTID. Voyez ceci .
Pouvons-nous restaurer un État de droit et un mode de vie décent et raisonnable ? Christine Anderson, députée européenne, a récemment présidé une réunion à Bruxelles sur le chaos dans le transport aérien. À l’assemblée, l’affirmation a été soulevée selon laquelle « les pilotes vaccinés pourraient ne plus être aptes à voler ».
La détérioration de l’industrie aéronautique traumatisée est de plus en plus considérée comme un exemple révélateur du profond malaise résultant de la mise en œuvre massive des mensonges du COVID. Ce n’est que maintenant que quelques courageux dans de nombreuses professions, institutions et industries discréditées commencent à être confrontés aux implications de la mise de côté des principes de précaution afin d’agir sur ces fausses déclarations. Voyez ceci et cela .
Les premières étapes de cette prise de conscience au sein du secteur aérien montrent la voie à des processus similaires qui doivent avoir lieu dans l’ensemble de la société. Nous ne serons pas en mesure de rétablir quoi que ce soit qui ressemble à un État de droit viable, et encore moins à des conditions de vie décentes et raisonnables, sans nous attaquer au rôle des mensonges et des crimes du COVID dans la prise de pouvoir en cours du COVID.
Dans la deuxième partie de cet essai, nous explorerons davantage les facteurs qui ont poussé Mme Anderson à replacer le fiasco de l'aviation dans son contexte. Ce fiasco se déroule, a-t-elle réfléchi, comme l’un des aspects du « plus grand crime jamais commis dans l’histoire contre l’humanité ».
MAKING OF "THE KATE LOGAN AFFAIR" ALEXIS BLEDEL (2010)
RépondreSupprimerUn document rare dans lequel Alexis Bledel parle de son expérience sur The Kate Logan Affair.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=327&v=Ef4SwdxZ_uY&embeds_referring_euri=
http%3A%2F%2Fthekateloganaffair.blogspot.com
%2F&source_ve_path=MTM5MTE3LDM2ODQyLDEzOTExNywyODY2Ng&feature=
emb_logo
Making of du film L'Affaire Kate Logan (2009)
https://www.youtube.com/watch?v=nqIecTUv4bg
Les BRICS s’étendent à près de la moitié de la population mondiale et demandent de l’argent pour le climat, des technologies gratuites et un laissez-passer gratuit
RépondreSupprimerÉcrit par Jo Nova
August 26th, 2023
Sommes-nous encore attentifs ?
Les pays BRICS (en rouge ci-dessous) viennent d’accepter six nouveaux membres : l’Arabie saoudite, l’Égypte, l’Argentine, l’Iran, l’Éthiopie et les Émirats arabes unis (en vert). Le bloc comprend désormais 46 % de la population de la Terre. Ils produisent 43 % du pétrole mondial et environ un quart des biens échangés. Les BRICS vont abandonner le dollar américain et 20 autres pays ont exprimé le désir de les rejoindre. The India Narrative l’appelle « un nouvel ordre mondial ».
Par ailleurs, les groupes BRICS ont déclaré qu’ils aimeraient que l’Occident continue de leur donner de l’argent et des technologies climatiques gratuites pour sauver le monde du changement climatique (pendant que l’Occident combat les démons climatiques et entrave ses propres économies). Les BRICS promettent qu’ils deviendront peut-être sérieux eux aussi dans quelques décennies.
Alors qu’ils brûlent des quantités record de charbon, ils s’opposent à toute barrière commerciale imposée par le monde développé au nom du changement climatique. Nous ne voudrions pas que des choses comme la pollution, le travail des enfants ou l’esclavage fassent obstacle à un bon commerce, n’est-ce pas ?
Lorsque le président Xi se vante d’être la « majorité mondiale », ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ait raison :
- voir carte sur site -
BRICS Chine, Brésil, Inde, Russie, Afrique du Sud.
Le Visual Capitalist estime que la population des BRICS est actuellement d’environ 3,7 milliards.
Donnez-nous votre argent
RépondreSupprimerLes BRICS aimeraient recevoir les 100 milliards de dollars promis par l’Occident :
Les pays des BRICS ont en outre exhorté jeudi les pays développés à honorer leurs engagements, notamment en mobilisant 100 milliards de dollars américains par an d'ici 2020 et jusqu'en 2025 pour soutenir l'action climatique dans les pays en développement. — CGTN
L’ONU est « très importante » car elle aide les pays BRICS à obtenir des choses gratuites de l’Occident, ralentit le monde développé et n’exige presque jamais rien en retour. C'est un siphon à sens unique :
New Delhi, 24 août (IANS) : Les pays BRICS ont réaffirmé jeudi l'importance de la mise en œuvre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et de son Accord de Paris ainsi que du principe des responsabilités communes mais différenciées et des capacités respectives (CBDR- RC) améliorant le transfert de technologies climatiques à faible coût, le renforcement des capacités ainsi que la mobilisation de nouvelles ressources financières supplémentaires abordables, adéquates et fournies en temps opportun pour des projets écologiquement durables.
« Nous reconnaissons que les moyens de mise en œuvre devraient être renforcés par les pays développés, notamment par un flux adéquat et opportun de financements climatiques abordables, une coopération technique, un renforcement des capacités et un transfert de technologie pour les actions climatiques.
« En outre, il est nécessaire de mettre en place des dispositions financières globales pour faire face aux pertes et dommages dus au changement climatique, y compris la mise en œuvre du fonds pour les pertes et dommages, comme convenu lors de la COP27 de la CCNUCC, au profit des pays en développement », indique la déclaration.
Ce n’est pas exactement un pacte de liberté d’expression et de libre marché
Comme l'a noté Alexandra Wexler dans le WSJ, cinq des six nouveaux membres se classent très bas dans les enjeux de la liberté.
L’Inde et le Brésil veulent rester en bons termes avec l’Occident et réclamaient il y a seulement quelques jours de la « clarté », mais il semblait que l’expansion ne se concrétiserait pas. Mais le poids de l’Occident a diminué (avec ses émissions de carbone) et, de toute évidence, l’Inde a décidé que le pacte de défense QUAD survivrait à tout ressentiment suscité par son approbation, eww, de l’Iran. (Le QUAD étant le Japon, les États-Unis, l'Australie et l'Inde).
Le Brésil et l’Inde ont plaidé pour une expansion plus progressive des Brics, craignant que le groupe ne s’aligne trop sur l’Occident, se transformant en une version autocratique des grandes économies du Groupe des Sept.
RépondreSupprimerIl semble que les Brics se dirigent dans cette direction, avec un seul des six pays nouvellement admis – l’Argentine – classé comme « libre » dans l’indice mondial de liberté largement utilisé par Freedom House, avec un score de 85 sur 100. Les cinq autres pays sont tous désignés comme « non libres », avec des notes allant de huit à 21.
Pourtant, le Brésil et l’Inde ont exprimé leur soutien à l’expansion…
Qui sait, le bloc pourrait être aux prises avec des tensions internes, car l’Iran et l’Arabie saoudite ne sont pas exactement dans les meilleurs termes, pas plus que l’Égypte et l’Éthiopie. L’économie chinoise serait en difficulté. L’Afrique du Sud souffre de longues coupures d’électricité, de violence et de corruption. L’Inde a rejoint le Quad par crainte de l’agression de la Chine.
Merci à NetZeroWatch pour les liens vers les articles clés et OldOzzie.
https://joannenova.com.au/2023/08/brics-expand-to-nearly-half-the-worlds-population-ask-for-climate-money-free-tech-and-a-free-pass/
Les pailles en papier contiennent des « produits chimiques éternels » qui pourraient être pires pour nous et pour l'environnement que le plastique.
RépondreSupprimerÉcrit par Jo Nova
August 27th, 2023
Voudriez-vous du PFAS avec ça ?
Pailles en papier Ne le savez-vous pas : pour rendre les pailles en papier résistantes à l'eau, il semble que nous devions ajouter des produits chimiques de type téflon qui restent pendant des milliers d'années.
Les chercheurs ont analysé 39 marques de pailles en Belgique et ont découvert que deux tiers contenaient du PFAS, les pailles en papier étant les pires. Au moins 90 % de toutes les pailles en papier contenaient une forme de PFAS. 80 % des pailles en bambou le faisaient également, tout comme 75 % des pailles en plastique. Même 40 % des pailles en verre contenaient des PFAS. Le seul type de pailles qui en était dépourvu était l'acier.
Les gouvernements britannique, canadien, belge, néo-zélandais et australien ont interdit les pailles en plastique, tout comme certains États américains, car « elles étaient mauvaises pour l'environnement ».
Les pailles en papier peuvent être nocives et ne sont peut-être pas meilleures pour l'environnement que les pailles en plastique.
Science Quotidienne
Dans le cadre de la première analyse de ce type en Europe, et seulement la deuxième au monde, des chercheurs belges ont testé 39 marques de pailles pour le groupe de produits chimiques synthétiques appelés substances poly- et perfluoroalkyles (PFAS).
Des PFAS ont été trouvés dans la majorité des pailles testées et étaient plus courants dans celles fabriquées à partir de papier et de bambou, selon l'étude publiée dans la revue à comité de lecture Food Additives and Contaminants.
Les PFAS sont utilisés pour fabriquer des produits du quotidien, des vêtements d'extérieur aux poêles antiadhésives, résistants à l'eau, à la chaleur et aux taches. Ils sont cependant potentiellement nocifs pour les personnes, la faune et l'environnement.
RépondreSupprimerIls se décomposent très lentement au fil du temps et peuvent persister pendant des milliers d’années dans l’environnement, une propriété qui leur a valu d’être surnommés « produits chimiques éternels ».
Ils ont été associés à un certain nombre de problèmes de santé, notamment une réponse plus faible aux vaccins, un poids à la naissance plus faible, des maladies de la thyroïde, une augmentation du taux de cholestérol, des lésions hépatiques, un cancer du rein et un cancer des testicules.
Peut-être accidentel, peut-être pas…
On ne sait pas si les PFAS ont été ajoutés aux pailles par les fabricants à des fins d’imperméabilisation ou s’ils sont le résultat d’une contamination. Les sources potentielles de contamination comprennent le sol dans lequel les matières végétales ont été cultivées et l’eau utilisée dans le processus de fabrication.
Cependant, la présence de produits chimiques dans presque toutes les marques de paille en papier signifie qu'il est probable qu'elle ait été, dans certains cas, utilisée comme revêtement hydrofuge, affirment les chercheurs.
Appeler ces pailles « papier », 100 % biodégradables et entièrement compostables, semble être une fausse publicité.
https://joannenova.com.au/2023/08/paper-straws-have-forever-chemicals-that-may-be-worse-for-us-and-the-environment-than-plastic/
La MORT de la liberté ? L’ONU lance une « armée numérique » pour censurer la « désinformation » en ligne partout dans le monde
RépondreSupprimer25/08/2023
Ethan Huff
L’organisme dirigeant non élu et contrôlé par les mondialistes, connu sous le nom d’Organisation des Nations Unies (ONU), « construit une armée numérique » pour contrôler et censurer la liberté d’expression en ligne – et il le fait en utilisant l’argent de vos impôts.
Afin de maintenir sa position de leader mondial dans la « lutte contre la désinformation en ligne », l’ONU prend sur elle d’essayer d’aligner la totalité de l’humanité sous la bannière d’une information contrôlée comme celle dispensée par les mondialistes.
Les individus ne seront plus autorisés à partager librement des informations en ligne lorsque cela va à l’encontre d’un diktat ou d’un récit de l’establishment. Tout ce qui défie la version officielle sur un sujet donné sera considéré comme une « désinformation mortelle » qui doit être retirée du Web.
Une annonce sur le site Internet de l'ONU explique que toutes les formes de « désinformation » sont « mortelles », posant un risque « existentiel » pour ce que l'organisme mondialiste considère comme les éléments fondamentaux de la société moderne.
Afin de se maintenir au sommet de la pyramide, les mondialistes doivent maintenir un contrôle total sur toutes les « institutions démocratiques » et les « droits humains fondamentaux » qu’elles sont censées garantir.
(Connexe : Si l'ONU réussit dans ses efforts, alors la Chine communiste sera chargée de maintenir l'ordre et de contrôler l'Internet mondial.)
L'ONU utilise un langage alarmiste et guerrier en référence à l'éradication de la liberté d'expression
Il n’est plus acceptable que les plateformes de médias sociaux et les moteurs de recherche se contentent de publier des avertissements ou des « vérifications des faits » en conjonction avec ce que les mondialistes considèrent comme des « fausses nouvelles ». L'ONU s'efforce de faire taire tout le monde, en utilisant des mots comme « guerre » et « champ de bataille » pour décrire cette entreprise.
Dans l’esprit de ceux qui dirigent l’ONU, la liberté d’expression et le Premier Amendement constituent une menace pour leur structure de contrôle. Ainsi, les mondialistes mènent désormais la guerre à tous ceux d’entre nous qui osent dire ou partager des informations qui menacent le réseau électrique mondialiste.
Il est intéressant de noter que le langage guerrier de l’ONU est le même que celui du faux président Joe Biden et de son régime obsédé par la censure. Bon nombre des « solutions » proposées par l’ONU à la « désinformation » sont exactement les mêmes que celles que Biden et Cie ont infligées aux Américains pendant la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19).
RépondreSupprimerDans le cadre de ses efforts de « maintien de la paix », l'ONU espère lutter rapidement et minutieusement contre la « désinformation à grande échelle » du type qui amènerait les gens à se demander si le COVID est réel ou non, par exemple, ou si les masques faciaux font quelque chose. au-delà d’étouffer les porteurs.
L'ONU souhaite adopter une approche plus « proactive » pour réprimer la liberté d'expression, recommandant que cette même approche soit également appliquée à l'Afrique déchirée par la guerre et frappée par la pauvreté, qui est également « attaquée » par la libre pensée.
Les mondialistes du monde entier croient qu'ils savent mieux que quiconque ce qui est « réel » et « vrai », et qu'ils ont été choisis pour guider le troupeau humain vers une pensée et un langage justes.
C’est là qu’entre en jeu l’initiative « Vérifié » de l’ONU, il s’agit d’un cours « gratuit » proposé par l’organisme mondialiste pour aider à « éduquer » les masses sur la manière de se protéger de la « désinformation ».
"Cet effort s'étend sur plusieurs sujets fondamentaux, notamment comment reconnaître la "désinformation"", rapporte Slay News. "L'ONU vous expliquera également pourquoi cela se propage. Une autre raison est d'être capable de discerner un contenu émotionnel, dramatique et provocateur."
L'initiative Vérifié de l'ONU vise également à réprimer la « désinformation » sur le changement climatique, la position de l'organisme mondialiste étant que nous sommes actuellement dans une situation de crise « d'urgence climatique » qui nécessite des réductions drastiques de la qualité de vie pour être surmontée.
"Au cœur de notre combat pour une planète vivable se trouve une bataille de l'information, que nous ignorons à nos risques et périls", affirme l'ONU.
L’ONU n’a aucune autorité constitutionnelle sur le premier amendement. Apprenez-en davantage sur Censorship.news.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
SlayNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-25-un-digital-army-censor-online-disinformation.html
La dépendance à l’égard de l’État est au cœur du complot de conquête de l’humanité
RépondreSupprimer24/08/2023
Rédacteurs en chef
« Il ne s’agit pas d’une liste de droits qui ne cesse de s’allonger – le « droit » aux soins de santé, le « droit » à l’alimentation et au logement. Ce n’est pas la liberté, c’est la dépendance. Ce ne sont pas des droits, ce sont les rations de l’esclavage : du foin et une grange pour le bétail humain.
(Article de Gary D. Barnett republié sur LewRockwell.com)
P.J. O'Rourke
La plupart d'entre vous sont entrés dans la dernière étape de leur acceptation volontaire de l'esclavage de masse, et cet esclavage dépend entièrement du concept de peur, de l'obéissance à une fausse « autorité » et d'une dépendance totale à l'égard de ce même tyran appelé gouvernement, dont le plan est de contrôler le monde en contrôlant la foule collective commune, ignorante et apathique appelée « le peuple ». L’élément le plus vital de ce programme de « Grande Réinitialisation » est que la majorité soit dépendante de l’État, et ce phénomène est maintenant proche de main. Le fondement final de toutes les restrictions, du contrôle des transactions financières et monétaires et du contrôle des mouvements, reposera sur la fraude ridicule appelée « changement climatique » d'origine humaine. Ne vous inquiétez pas cependant, car de nombreuses autres excuses et aspects de contrôle et de manipulation seront utilisés. également, mais à ce stade, le canular du « changement climatique » est la clé de voûte du futur complot de rachat.
La vitesse de ce programme s'est accélérée bien au-delà des projections antérieures, et je pense que cela est dû à une plus grande exposition de la part de quelques-uns qui comprennent ce qui se passe réellement, pour expliquer toutes les contradictions, les mensonges et la propagande qui ont inondé la société pour le moment. dernières décennies. À ce stade, la classe dirigeante quelque peu paniquée et ses pions au sein du gouvernement ont considérablement intensifié leur campagne de terreur dans le monde entier, afin de mettre fin à la dissidence avant qu’elle ne puisse gagner trop de terrain. Cette campagne de terreur vise à pousser l’outil de la peur à un degré bien plus élevé, afin de pouvoir atteindre les objectifs de prise de contrôle avec moins de résistance. Comme mentionné précédemment, cette intimidation accrue repose principalement sur le faux modèle du « changement climatique ».
En ce qui concerne l'alarmisme extrême, les « services » météorologiques à l'échelle nationale ont intentionnellement modifié tous les rapports afin de semer une peur extrême dans le troupeau collectif appelé « citoyenneté ». Des allégations fantastiques de chaleur record, qui sont fausses dans la plupart des cas, sont monnaie courante. . Au lieu de verts et de couleurs plus sombres pour montrer la chaleur, les rouges foncés et les violets se trouvent être la nouvelle norme dans tout le pays, et simultanément ; une coïncidence certainement ? En plus, la chaleur n’est pas seulement brûlante, elle est désormais « bouillante » selon ces idiots de la météo. Ces descriptions, bien que ridicules et complotées, sont délibérément destinées à susciter une inquiétude injustifiée auprès d’un « public » mal informé, avec peu ou pas de désir ou d’effort pour comprendre la moindre vérité.
RépondreSupprimerToutes ces choses, et une quantité infinie d'autres menaces, y compris la menace d'une guerre nucléaire, d'un effondrement financier, de pénuries alimentaires, d'une inflation extrême conduisant à des prix extrêmes, à de nouvelles urgences « pandémiques », à des restrictions de voyage, à des confinements, à des contrôles. de toutes les transactions, et de numérisation totale de l’économie pour tout contrôler, sont désormais constantes. La fin du cash est activement poursuivie et son remplacement par la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) se profile dans un avenir proche. Ce programme s’est également considérablement accéléré récemment, ce qui indique que l’élément dirigeant de la société tente d’étendre ses mécanismes de contrôle plus rapidement afin d’éviter toute réticence. Compte tenu de ce qui se passe à la vue de tous, de la forte augmentation des événements désastreux intentionnellement structurés, du transfert massif de richesses et de propriétés, de la position agressive du gouvernement immédiatement après chaque « événement météorologique » fabriqué de toutes pièces ou de chaque urgence dite « naturelle », et du nombre total de catastrophes naturelles. au mépris de la vie et des biens personnels, combien de temps faudra-t-il pour que ce complot de prise de contrôle devienne pleinement ancré dans la réalité ?
Tous ces événements visent à rendre le « citoyen » moyen dépendant de l’État. Plus il y a de dépendance, plus il est facile de contrôler. Lorsque la majeure partie de la société ne peut pas ou ne veut pas prendre soin d'elle-même, ne sera pas responsable de sa propre vie et de sa liberté, ne ripostera pas pour sa propre défense et choisira volontairement d'accepter l'autorité et l'aide de l'État au lieu d'assumer une quelconque responsabilité personnelle. , que va devenir ce pays ?
Il sera très révélateur de voir ce terrorisme d'État qui s'est répandu à Maui et la façon dont la population y réagit. Vont-ils abandonner leurs maisons et leurs terres qui ont été détruites par et à cause des forces du mal, ou exigeront-ils de conserver et de détenir leurs biens ? Vont-ils exclure cette ordure totalitaire appelée gouverneur de ses plans infâmes à l’ONU et garder ce qui leur appartient ? Ou vont-ils simplement permettre à la classe politique de l’État de faire ce qu’elle veut de tout ce qu’elle a délibérément détruit et de devenir des pupilles (esclaves) de l’État ?
RépondreSupprimerUne fois la dépendance de masse installée, il n’y aura plus aucune chance d’avoir une société libre. L’État cherche à tout contrôler, et le moyen d’accomplir cette mission odieuse est de rendre la population dans son ensemble complètement impuissante, afin qu’elle n’ait ni la capacité ni la volonté de riposter. La dépendance totale est la clé de toute conspiration de prise de pouvoir par la classe dirigeante et ses voyous de l’État, et de nombreuses menaces feintes et soi-disant urgences éclateront régulièrement à l’avenir. C’est sans aucun doute mon avis, alors ne croyez rien, ne faites confiance à aucun représentant de l’État à quelque niveau que ce soit, ne faites confiance à aucun média grand public, et remettez tout en question !
"Entre le gouvernement qui fait le mal et le peuple qui l'accepte, il existe une certaine solidarité honteuse."
Read more at: LewRockwell.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-24-dependency-on-the-state-core-takeover-plot.html
Le retrait de l’empire Soros progresse
RépondreSupprimer27 août 2023
par Thomas Oysmuller
L’Open Society Foundation concrétise son retrait de l’Europe. De nombreuses ONG de gauche libérale qui dépendent de l’argent du milliardaire sont au bord de l’extinction. Les bureaux licencient leurs employés.
Le retrait annoncé de la Soros Foundation Open Society (OSF) a été une surprise totale. La fondation politique multimilliardaire souhaite réduire considérablement son travail en Europe. Les préparatifs correspondants sont déjà bien avancés, comme le montre un courrier interne. La fondation prépare ses collaborateurs à Berlin au licenciement de la plupart des salariés. Les ONG dépendantes deviennent très inquiètes.
retrait d'Europe
C'est ce que rapporte le Welt am Sonntag et parle d'une "rupture historique" dans le projet Soros, qui a débuté en Hongrie il y a plus de 30 ans. Le fils de George Soros, Alex, a repris en décembre l'empire, qui a désormais un impact durable sur la société dite civile, notamment en Occident. Et il passe à un « nouveau modèle économique ».
Il ne sera plus indiqué directement qui recevra à l’avenir de l’argent de l’OSF en Europe. Alex Soros déclare dans un communiqué :
« Les Fondations Open Society changent leur façon de travailler, mais ma famille et OSF soutiennent depuis longtemps le projet européen et y restent très engagés.
En outre, selon la fondation, on soutiendra "la lutte contre l'autoritarisme en Europe" en Europe et donc "la société civile indispensable à ces objectifs".
Apparemment, il existe cependant une grande incertitude au sein des « organisations financées ». D’une part, ils mettent en garde – bien sûr – contre le grand danger politique que représenterait la suppression des fonds. En revanche, ils doutent que la fondation ait déjà pris une décision définitive à ce sujet. Le manque de communication est critiqué. Pour certaines ONG en Europe, il s’agit probablement d’une question de survie. Si Soros réduisait les budgets, les organisations seraient obligées de fermer leurs portes.
"Nous sommes probablement plusieurs centaines de groupes ici en Europe et nous n'avons aucune idée de la manière dont cette décision a été prise", déclare Márta Pardavi, coprésidente des Comités Helsinki hongrois. Le groupe de défense des droits de l'homme est depuis longtemps parrainé par l'OFS. Vous dépendez plus ou moins de la fondation, qui vous fournit assez rapidement l’argent dont vous avez besoin. Pardavi craint que "les mouvements conservateurs puissent désormais en bénéficier".
Cependant, le courrier électronique interne de Thorsten Klassen, directeur du bureau berlinois d'OSF, daté du 20 juillet, est clair : « La nouvelle orientation stratégique qui a été décidée prévoit le retrait et l'arrêt d'une grande partie de notre travail actuel dans le domaine européen. " Les raisons incluent : L'UE a fourni des fonds publics pour "les droits de l'homme et le pluralisme". Ainsi, là où un empire oligarchique privé avait précédemment investi, l'UE intervient désormais. L’OSF souhaite désormais utiliser ses ressources différemment. Toutefois, l’UE ne peut pas compenser cette perte, selon Pardavi.
RépondreSupprimer80 pour cent des collaborateurs du bureau de Berlin doivent être licenciés d'ici janvier. Le bureau de Bruxelles aurait licencié 60 pour cent de ses employés. A Barcelone, le bureau sera complètement fermé. Des réductions sont également en cours à Londres, mais leur montant est inconnu. Ces chiffres ne sont plus démentis.
Les projets futurs d'OSF sont relativement vagues.
Die Welt écrit : "Le travail devrait à l'avenir être orienté vers des 'opportunités' plutôt que vers des programmes, disent-ils. Les opportunités sont définies comme des « usines organisées autour d'objectifs clairs et ambitieux ».
La figure culturelle et activiste Tom Bohn note : « Les multimilliardaires américains savent exactement quand changer de cheval. Sinon, ils ne seraient pas multimilliardaires.»
https://tkp.at/2023/08/27/rueckzug-des-soros-imperium-geht-voran/
Exorcisme collectif
RépondreSupprimer26.08.2023
www.kla.tv/26874
• Comment se fait-il que la justice du monde entier couvre soudain tous les meurtriers insolents et sanctionne au contraire sans scrupules leurs victimes ?
• Comment se fait-il que Big Pharma détruise inexorablement des peuples entiers, les mène à la ruine au vu et au su de tous et génère ensuite des billions de profits ?
Je pose la question :
• Comment se fait-il que des bellicistes incorrigibles nous entraînent obstinément dans une troisième guerre mondiale ? Et s'imposent ainsi dans une position de domination mondiale ?
• Comment se fait-il qu'une haute finance entraîne sans pitié le monde entier dans son piège de l'endettement et s'empare ainsi de tous les biens ?
• Comment se fait-il que les mafias de la drogue puissent en toute impunité s'en prendre à des peuples entiers et les condamner à la non-résistance absolue - de même que les mafias de la pornographie, de l'alcool, des stimulants, du bien-être et autres ?
• Comment se fait-il aussi qu'une mafia de l'éducation puisse nous priver sans contradiction de toute véritable origine, mais aussi de toute connaissance de la véritable vision du monde et de notre être véritable ?
• Comment se fait-il qu'un satanisme de plus en plus omniprésent puisse abuser de tous nos instincts naturels, nous priver de toute véritable liberté et priver l'humanité de tout bon sens, de toute éthique et de toute morale protectrice ?
• Comment se fait-il que les églises et les religions elles-mêmes travaillent d'arrache-pied à la destruction de toute connaissance spirituelle véritable et de toute relation authentique avec Dieu ?
• Comment se fait-il que les médias de masse incitent soudainement le monde entier à s'en prendre aux personnes vraiment honnêtes et justes, qu'ils couvrent les pires agresseurs d'enfants, etc. et qu'ils poussent les gens à se jeter dans les griffes des sbires susmentionnés en semant constamment la panique ? Vous vous posez la même question ?
• Comment se fait-il que la politique déracine précisément toutes les ethnies, les dépouille de leurs coutumes ancestrales, de leur appartenance et de leurs richesses culturelles ?
• Comment se fait-il que la science, en dépit de toutes les protestations, asservisse avec détermination tous les êtres humains à ses technologies de contrôle totalitaire ?
RépondreSupprimer• Comment se fait-il que ce soient justement des philanthropes qui isolent des peuples entiers de leurs responsables et de leurs institutions de protection ?
• Comment se fait-il que de plus en plus de soi-disant organisations de protection de l'enfance arrachent aux parents au grand cœur tout pouvoir éducatif et leur enlèvent leurs enfants ?
• Comment se fait-il que les groupes technologiques nous privent de plus en plus de toute intelligence propre et de toute capacité de perception naturelle ?
• Comment se fait-il que l'industrie cinématographique nous prive chaque jour davantage de notre objectivité et de notre propre créativité ?
• Comment se fait-il que des pédagogues de tous bords puissent détruire en toute impunité toute éducation traditionnelle et saine ainsi que la famille en tant que cellule de base ?
• Comment se fait-il que toutes sortes d'ONG et de lobbyistes de plus en plus sournois puissent infiltrer tous les gouvernements du monde, saper leurs constitutions et détruire toutes les souverainetés nationales ?
• Comment se fait-il que des milliers de livres nous aient avertis il y a des décennies déjà de ces développements et aient mis en lumière tous ces plans de conspiration - mais sans aucune réaction mondiale, c'est-à-dire sans succès ?
• Comment se fait-il que les sociétés secrètes et les Illuminati puissent systématiquement détruire nos civilisations sans que la justice ne s'émeuve, afin d'établir leur propre domination mondiale au vu et au su de tous ?
Je continue à demander :
• Comment se fait-il que de plus en plus de pédagogues extérieurs infiltrent et détruisent nos systèmes scolaires traditionnels ?
• Comment se fait-il aussi que des soi-disant « spécialistes » extérieurs aient pu dénier toute sexualité naturelle, du plus jeune enfant à l'adulte, et même faire passer le travestissement avant l’hétérosexualité, sans susciter l'effroi généralisé de la société ?
Je dis qu’il y a une seule explication cohérente, et donc recevable, à tout cela et à bien d'autres choses encore. Je dis : Il y a un diable, et il est descendu dans ce monde, vous comprenez ? Exactement comme c'est écrit depuis 2 000 ans dans Apocalypse 12:12. Je cite : « Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère. »
RépondreSupprimerPeut-être te dis-tu maintenant : « Fuck, arrête avec ces conneries, ce n'est que de la religion. Ce sont les princes de l'Eglise qui ont inventé le diable et les démons pour pouvoir exercer leur domination sur les croyants, et sur toute l'humanité. Alors, arrête avec ta religion, je n'aime pas en entendre parler. » C'est bien sûr ton droit le plus légitime de parler ainsi. Je dis : Sois toutefois conscient que tu dois encore une réponse concluante à ce monde meurtri, et ce pour tout ce qui se passe ici de plus en plus cruellement.
• Jusqu'aux thèmes des monnaies numériques, etc., l'inflation en cours qui nous détruit. Qui ne se contente pas de notre monnaie garantie par l’or, mais nous dépossède aussi et démantèle tous les peuples trompés, et ce jusqu'au Great Reset, selon la devise : Tu ne posséderas plus rien et tu seras heureux. D'où vient tout cela ?
• Explique ensuite au monde : comment des spéculateurs malhonnêtes ont pu voler d’incalculables sommes d'argent et nous priver, en grande partie, de nos économies durement acquises, de notre prévoyance vieillesse, etc.
• Explique ensuite au monde : comment les organisations mondiales de la santé ont pu ruiner notre santé et faire grimper les coûts de notre assurance maladie.
• Explique-nous ensuite comment, malgré toutes les mises en garde avant l'expérience mortelle du Covid sur les peuples, des millions de personnes ont pu être rendues stériles par injection, des millions et des millions de personnes sont devenues malades chroniques et d'innombrables personnes ont été tuées en toute impunité !
• Explique-nous comment des faussaires de l'histoire ont pu nous priver de nos racines malgré toutes les protestations.
• Explique-nous aussi comment le système des brevets a pu geler sans faille toute technique d'autosuffisance et anéantir ainsi toute indépendance au milieu de nous.
• Explique-nous aussi comment des censeurs arbitraires ont pu restreindre notre accès à tous aux mystères profonds de la vie et nous priver du véritable être et de la véritable forme de la Terre, etc. Il y aurait encore beaucoup de choses à dire...
• Explique-nous aussi par quel moyen, par exemple, de quelconques ministères de l'environnement ont pu, avec les crises énergétiques qu’ils ont inventées de toutes pièces, assombrir l’état de nos ressources et nos possibilités de développement infinies, afin de pomper maintenant, par chantage, toujours plus de richesses populaires par des prélèvements obligatoires.
RépondreSupprimer• Explique alors au monde entier comment il aurait été possible autrement de le diriger de manière dictatoriale par le biais de pseudo-démocraties, à travers toutes sortes de marionnettes douteuses et d'hommes de paille.
• Explique-nous : Comment se fait-il que les forces de police protègent soudain de plus en plus tous les criminels et même les instigateurs très dangereux, tandis qu'elles poursuivent les petits et répriment brutalement tout soulèvement populaire pertinent.
• Explique-nous aussi comment il aurait été possible autrement que les associations de protection de l'environnement, par exemple, et les ministères aient pu dicter leur loi aux peuples et détruire les systèmes énergétiques qu’ils avaient chèrement acquis autrefois, alors qu'en contrepartie ils nous fournissent maintenant des black-out, taxent tout et n'importe quoi comme étant nuisible au climat, ils propagent cela malgré tout ce qu’en dit la science indépendante.
• Tu dois aussi nous expliquer, ainsi qu'au monde, comment, autrement, les organisations humanitaires détruisent délibérément toutes les nationalités en les submergeant de vagues de réfugiés et en imposant les mélanges raciaux les plus absurdes.
Et pour finir, tu devrais également proposer à la communauté mondiale une solution permettant d'aborder et de vaincre concrètement ces innombrables méchancetés, car tout le monde peut désormais constater que si ça continue, nous finirons tous comme esclaves des despotes les plus cruels. Comme des esclaves sans ressources, sans droits et impuissants. La plupart d'entre nous n'existeront même plus si leur plan réussit, car le génocide en cours, c'est-à-dire le meurtre des peuples, est poursuivi de manière irréfutable par les eugénistes, et ce avec acharnement. Des sept milliards et demi d'êtres humains, sept milliards auront bientôt disparu, telle est la vérité, à moins que ces créatures ne soient vaincues ! Alors, quelle est ta solution pratique pour gagner cette guerre sur tous les fronts, disons, cette guerre contre les super-riches, les sociétés secrètes, les satanistes et les conspirateurs mondiaux ; pour prendre le dessus ? Et n'oublie pas, avant de répondre, que ceux qu'il faut vaincre possèdent toutes les armes et tous les droits sur les armes, alors que toi, tu es déjà derrière les barreaux si tu transportes un couteau un peu trop long, de la largeur d'une main. Et ceux-là viennent à bout de gens sans défense, sans ressources, absolument sans ressources. Eux qui disposent eux-mêmes d'armes à ondes électromagnétiques, avec lesquelles ils peuvent nous cuire en une nuit et faire bien d'autres choses encore. Je dis :
Je vais te dire ce qui est écrit dans la Bible, et chaque personne sous ce ciel peut décider elle-même si elle veut continuer à ignorer, à dédaigner ou même à mépriser ces témoignages ; ou si elle veut simplement les suivre. Regardez, c'est ainsi : Lorsque Jésus-Christ a commencé à prêcher dans les rues poussiéreuses de Jérusalem, des centaines, voire des milliers de cas similaires se sont produits partout. Partout, des puissances invisibles ont commencé à agir à partir des hommes, lisez la Bible dans le Nouveau Testament, dans les Évangiles. La Bible les appelle des démons, des esprits impurs, des mauvais esprits. Ainsi, alors que Jésus a transformé, guéri des dizaines de milliers de personnes par une simple parole, Il a en même temps chassé de ces personnes des quantités de démons et de diables. C'était presque toujours la clé du changement. Ces personnes hurlaient alors, criaient fort, étaient traînés dans tous les sens. Les démons les laissaient tomber par terre comme morts, les jetaient dans l'eau, parfois même dans le feu, etc.
RépondreSupprimerIl n'y a pas d'autre raison qui explique que Jésus soit devenu mondialement célèbre en seulement deux ans, vous savez. C'est parce que le monde entier a pu constater que des puissances invisibles étaient entrées dans l'homme et l'avaient complètement dominé. De la première à la dernière page, la Bible parle clairement et sans équivoque de ce problème ; ou encore de l'origine, d'où proviennent les dérives malveillantes, impures ou mensongères de l'homme. Dans le jargon spirituel, nous parlons de charges démoniaques, voire de possessions démoniaques. D'une manière ou d'une autre, chaque être humain qui naît dans ce monde est chargé de démons, il faut le dire. Car chaque mauvaise nouvelle à la radio, à la télévision ou dans la presse apporte son lot d'oppressions diaboliques. Partout agissent des puissances d'intimidation, des puissances de peur, de panique. Des personnes malveillantes qui comprennent, qui comprennent tout cela, attisent alors consciemment la panique parmi les peuples, car elles peuvent ainsi utiliser ces pouvoirs spirituels pour briser les gens. Elles peuvent les manipuler et les exploiter égoïstement. C'est toujours de cela qu'il s'agit.
Mais la question est la suivante : A partir de quand une personne est-elle possédée, et pas seulement chargée de démons ? C'est très simple : C'est exactement à partir du moment où on ne pourrait plus, d'aucune manière, parler humainement avec cette personne, ni négocier, ni vivre ensemble de manière constructive, ni travailler avec elle.
Question : Quelle a été ta pire expérience ?
- Être un instrument pour prendre la vie d'une petite fille et devoir la manger à la fin. Jusqu'à aujourd'hui… c'était la pire des choses !
- Cette créature est entrée en moi et j'ai dû tuer la petite fille. Ce que je peux encore dire, c'est que quand elle était en moi, parce qu'en fait elles ne peuvent pas mettre la main dessus d'elles-mêmes, elles ont toujours besoin d'une sorte d'instrument, d'exosquelette, qu'elles peuvent habiter ; j'ai eu un certain aperçu de la façon de penser, de la nature de cette créature, et c'était si profondément répugnant ! Je décris toujours ça comme si un milliard de violons jouaient bizarrement, avec en plus un sentiment de haine et de dégoût pour tout ce qui nous fait dire « c'est beau ». Quand on se promène dans la forêt et qu'on voit un écureuil courir ou qu'on voit ses enfants rire et jouer, et pour ces choses-là, il y a un dégoût complet, on veut le détruire, on veut le démonter.
RépondreSupprimer- Absolument répugnant et dégoûtant. C'est ce que j'ai ressenti pendant ce temps.
Les guerres, par exemple, n'ont jamais été autre chose que les percées, les dernières, de ce monde diabolique dans les hommes. Cela a commencé par des disputes anodines, puis des bagarres, des meurtres, des assassinats. Et puis soudain éclatent ces destructions mutuelles aveugles, parfois aussi des autodestructions. La Bible décrit des possédés qui vivaient dans des tombes, des fosses funéraires, qui se frappaient eux-mêmes avec des pierres, qui mettaient en danger les gens jour et nuit, qui les attaquaient. On ne pouvait pas lier ces gens avec des chaînes, y est-il attesté, parce qu'ils pouvaient facilement briser ces chaînes et se libérer à nouveau. Vous voyez, c'est naturellement impossible. J’exerce un ministère pastoral depuis plus de 45 ans, je peux témoigner moi-même, par expérience personnelle, que la possession existe. Je suis désolé, c'est comme ça. Tu ne peux pas parler raisonnablement aux personnes possédées, elles peuvent être complètement différentes d'un moment à l'autre. Il n'y a aucune logique humaine, aucun moyen de pression - tout simplement rien qui fonctionne naturellement... Sauf... Et c'est là que j'en viens à une vérité fondamentale et profonde. Qu'est-ce que c'est ?
Jésus a lié et chassé les mauvais esprits par Sa simple parole ! Donc pas de moyens physiques. C'est la parole. La parole, c'est l'épée dans la bouche. Et maintenant tu dis : « Qu'est-ce que tout ça a à voir avec moi ? Je ne suis pas chrétien et je ne suis pas religieux... » Oui, c'est ça, tu n'es pas non plus un prêtre, ni un exorciste - du moins, c'est ce que tu penses, et tu abandonnes alors simplement à leur horrible sort toutes ces personnes chargées par le diable et ces personnes multi-possédées. S'il te plaît, ne sois pas effrayé. Je te dis simplement par ce discours que chaque personne sous ce ciel est un exorciste potentiel et doit l'être dans des situations extrêmes comme celle que nous vivons actuellement, tu comprends. S'il ne veut pas sombrer, si nous ne voulons pas sombrer, nous devons apprendre quelque chose, de toute urgence ! Et si nous ne le comprenons pas enfin, ces forces invisibles apparaîtront définitivement et nous apprendrons alors à les connaître et nous verrons dans notre propre corps comment elles nous chasseront. Nous chasser où ? Hors de cette vie, hors de cette planète ! C'est ce qui se passera si nous ne prenons pas le dessus ici.
Vous voyez, Paul notre apôtre des nations, nous a déjà éclairés sur ces choses il y a près de 2 000 ans avec les mots suivants. Je le cite : « Notre combat », dit-il, écrit-il, « n'est pas contre la chair et le sang », c'est-à-dire pas contre les hommes directement, « mais contre les esprits méchants dans les lieux célestes, contre les cosmocrates... », comme les esprits méchants etc. C'est ce qui est écrit dans Éphésiens 6:12. Et ça ne signifie pas que nous ne devons pas agir activement contre les criminels en chair et en os, sinon nous Kla.TV, l’AZK ou les éclaireurs libres, nous ne ferions plus rien. Vous comprenez.
RépondreSupprimerMais Jésus a enseigné à Ses disciples, je Le cite : « Tout ce que vous liez sur la terre sera aussi lié au ciel. » Vous vous demandez de quoi Il parle ? Précisément de ces forces spirituelles qui entrent dans les individus ici-bas ! D’ailleurs, Jésus a confirmé les témoignages bibliques à des centaines d’endroits différents dans Ses sermons, c’est-à-dire qu’Il a confirmé la Bible elle-même à des centaines d’endroits. Il l'a signée et l'a présentée comme véridique et juridiquement valable. Dans le dernier livre de la Bible, l'Apocalypse, il est écrit que lorsque les choses deviendront particulièrement cruelles ici-bas sur la Terre, il se produira un mouvement mondial qui saisira le diable, l'enchaînera, le liera et le poussera dans l'abîme, le jettera en bas ! Tout cela est représenté par des images symboliques. Dans le symbole, c'est un ange puissant qui descend du ciel, il y est décrit comme descendant, etc. Mais « ange » signifie aussi littéralement « messager ». Cela signifie donc tout simplement qu'une communication céleste va arriver. Un instant, une parole prophétique qui nous parvient, qui déclenche ensuite ces événements, où les gens commencent à enchaîner le diable Et ce que je vais te dire est une de ces paroles qui, je dirais, nous vient du ciel. De quoi s'agit-il ? Toi et moi, nous avons tous ensemble cette mission. Donc nous ne pouvons pas attendre l'ange du ciel. Ce ne sont que des symboles. Nous avons pour mission d'expulser les forces invisibles qui ont pris possession de notre politique, de notre économie, de notre science, de notre religion, de notre culture, etc. et de les lier en tant que peuple, vous comprenez, de les lier et de les pousser dans l'abîme, de les sceller. Il s'agit d'un discours imagé.
Et j'appelle toute personne, mais vraiment toute personne, qui peut m'entendre et me voir ici à participer à ce que j'appellerai un exorcisme universel, vous comprenez ! Bien sûr, nous demandons : Comment cela peut-il se faire en pratique ? Orientons tous fermement nos cœurs et nos sens, jour après jour, pour crier avec volonté et de manière absolue un stop dans le monde invisible ! C'est comme ça que ça marche. Ça n'a rien de religieux, vous comprenez. C'est la force de l'esprit, la disposition naturelle qui se trouve en chacun de nous. Et nous pouvons les libérer et nous tenir au-dessus de ce diable grâce à cette force spirituelle qui nous habite. Au-dessus de ces diables qui ont tout accaparé. C'est pourquoi, depuis longtemps déjà, je proclame ce stop tous les jours entre 6h00 et 6h15 du matin, avec des milliers de résistants spirituels ! Tous les jours. Matin après matin, à la même heure. En outre, tu peux bien sûr le proclamer à chaque minute de la journée, pour toi tout seul, où que tu sois, quand tu le souhaites. Et cette manifestation synergique de volonté, cette résistance intérieure commune, agit dans le monde invisible comme un feu, comme un déluge de feu, comme une sorte de grêle de balles ou d'explosion violente, contre ces esprits dans le monde invisible. Ce sont des expériences profondes que nous partageons ici.
RépondreSupprimerPrenez-les au sérieux, s'il vous plaît. C'est le combat spirituel. Chaque fois que tu opposes une résistance farouche à un démon et que tu dis : « Tu t'éloignes maintenant d'ici ou de cette personne, tu laisses partir maintenant cette personne ! », que tu le dis avec une détermination sans faille, ça brûle cet esprit comme un feu. Mais nous ne devons pas continuer à permettre aux démons qui quittent un homme de passer ensuite dans un autre homme et de l'occuper à son tour. C'est pourquoi Jésus a dit à plusieurs reprises : « Sors de cet homme et ne rentre plus en lui. » La Bible nous dit qu'à cette époque nous devons lier, pousser les démons dans l'abîme. On pourrait dire que cela ressemble à une sorte d'arrestation. Dans cette action commune, nous disons à ces puissances invisibles qui dominent nos politiciens, nos scientifiques etc., nous leur disons en quelque sorte : « Vous êtes arrêtés », vous comprenez. « Nous allons maintenant vous lier et vous jeter dans un cachot. » Ce sont des êtres spirituels, on peut le faire ainsi. « Et vous y resterez et n'en sortirez plus. » Et vous voyez, grâce à de telles actions, des villes entières ont déjà été libérées de leur souffrance en très peu de temps. Là où régnaient auparavant des brutes sauvages, que ce soit dans le domaine de la drogue, du commerce sexuel ou autre, les prisons de ces villes se sont vidées en l'espace de quelques semaines, dans toutes sortes de villes, après que des lanceurs d’alerte libres et des résistants spirituels ont décidé de mettre fin à cette dérive diabolique.
Auparavant, toutes les discussions et tous les efforts étaient inutiles, rien ne fonctionnait avant. Pourquoi ? Parce que les malfaiteurs disposaient d'un pouvoir d'endurcissement, qui agissait en eux par le biais de ces êtres spirituels. Mais la résistance commune dans l'esprit a enchaîné le diable, elle a pour ainsi dire désarmé ces personnes. Et le « Stop, jusqu'ici, et pas un pas de plus ! » a eu le même effet - je le dis encore avec une autre image – c’est comme si on coupait l'essence d'un moteur en marche ou l'alimentation électrique d'un générateur. On peut lier le pouvoir des mauvais esprits sur les individus. J'ai d'ailleurs parlé en détail de ces liens et du combat spirituel dans ma dernière Journée des Amis 2023.Je vous invite à réécouter ces trois prédications, en particulier la deuxième et la troisième. J'ai décidé de partager ces sermons avec tout le monde, au risque que vous me déchiriez et que vous me traitiez de sectaire, comme le diable le fait depuis des décennies par le biais de ses serviteurs des médias. Mais je m'en fiche, vous savez. Car nous allons tous, en ces jours, faire la connaissance du diable en chair et en os. Je vous le garantis. Car il est littéralement descendu dans ce monde et montrera de plus en plus sa « tronche ». Il a déjà commencé à le faire. Nous vivrons tous l'enfer ici-bas jusqu'à ce que chaque personne sous ce ciel sache profondément que le diable et ses démons existent - croyez-le - et que c'est la raison principale de toute souffrance sous ce ciel.
RépondreSupprimerJe conclurai donc en réitérant mon appel : Liez ces esprits menteurs qui agissent ici-bas, ces mauvais esprits, ces esprits impurs, ces esprits meurtriers aussi qui agissent ici, qui ont pris le contrôle de la politique, de la science, de l'art et jusqu’aux plus hautes sphères de la justice. Lions-les ! Ordonnons ensemble, chaque matin entre 6h00 et 6h15, que tous ces esprits diaboliques quittent ces personnes. Est-ce que vous participez ? Et je dis, chacun pour soi, dans sa chambre, son salon ou n'importe où, exprime clairement que c'est maintenant que ça se passe, et ce, sur son ordre. Nos paroles prononcées avec conviction sont les armes spirituelles les plus efficaces que nous ayons. Croyez-le, s'il vous plaît. Nous nous y connaissons et avons toujours suivi cette voie dans l'esprit depuis notre plus jeune âge, contre toute résistance des médias de masse, de Big-Pharma, de la haute finance, etc. Il en est ainsi depuis des décennies. C'est l'enseignement direct qui est sorti de la bouche de Jésus-Christ. Il ne nous a jamais abandonnés à une grande entreprise pharmaceutique, mais a ordonné - je Le cite dans Matthieu 10:8 - : « Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons ! » Voilà le résumé. Le « chassez les démons » doit être compris, pour ainsi dire, comme le mal fondamental de toute personne malade, lépreuse ou mourante.
Et nous ne lâcherons pas prise jusqu'à ce que nos ordres synergiques fassent effet et que ces personnes soient libérées de ces forces. Vous savez, il n'y a pas d'autre moyen de les dégriser et de les ramener à la raison. Ce n'est pas possible. Mais lorsqu'ils reviennent à la raison, il arrive souvent de belles choses. Ils pleurent souvent comme des petits enfants, ils ont des regrets profonds pour ce qu'ils ont fait, ils réalisent le jeu qu'on a joué avec eux. Attendons-nous précisément à ce que ça se produise. Si tu es chrétien, tu peux prier tout cela comme étant Jésus-Christ en Son nom. Tu peux ordonner. Si tu es musulman, alors ordonne au nom d'Allah. Quel que soit le dieu que tu sers de tout ton cœur dans la foi, parle toi-même et donne des ordres pour que ce mal, cette tenaille de la mort, voire cette cuirasse de la folie, soit arrachée de l'humanité et que nous puissions tous à nouveau penser clairement, parler et débattre ensemble. Je le répète, si nous n'y parvenons pas, le diable nous chassera tous. C'est ce qui va se passer. Avec ce discours, je suis allé assez loin et - comme je l'ai dit - je risque d'être détesté et méprisé pour cela. Pour certains, il s'agit peut-être d'une confirmation de ce qu'ils ont entendu à mon sujet dans le mainstream. Mais je l'ai fait parce que je sais très bien que dans peu de temps, tout le monde me comprendra et saura que j'ai dit ici toute la vérité, rien que la vérité, et même la réalité de ce qui se passe vraiment ici-bas.
RépondreSupprimerJe suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.
de is.
Sources / Liens :
www.kla.tv/20771
…. Les dimensions psycho-enzymiques :
www.kla.tv/26201
…. Journée des Amis, sans Dieu ça ne marche pas, 3e partie
https://www.kla.tv/fr
Aspartame : un festival de mésinformation et de désinformation
RépondreSupprimer26 Août 2023
André Heitz*
Le 14 juillet 2023, une conférence de presse était organisée sur les résultats des évaluations de deux instances liées à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) et le Comité Mixte d'Experts des Additifs Alimentaires de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) et de l'OMS (JECFA). Une grande partie des médias n'ont retenu que le classement en « cancérogène possible » de l'aspartame ou ont minimisé les conclusions rassurantes du JECFA sur les risques de cet édulcorant. En se trompant souvent sur l'un au l'autre élément d'information.
Remontons dans le temps : le CIRC, envers et contre tout
L'aspartame, l'édulcorant basses calories le plus utilisé dans le monde, fait l'objet depuis longtemps de recherches militantes visant à « démontrer » sa nocivité. Sans grand succès.
Cela n'a pas empêché un comité consultatif chargé de faire des recommandations sur le programme de travail du CIRC en matière de monographies, qui s'est réuni en avril 2014, d'attribuer une priorité haute à l'examen de l'aspartame.
Si vous avez quelques connaissances sur le fonctionnement des monographies, vous pouvez tomber à la renverse ! Comment produire une monographie sans études pertinentes ? Selon le rapport de ce comité,
« […] De nombreuses études sur l'épidémiologie du cancer et l'utilisation d'édulcorants alimentaires non nutritifs ont été réalisées et ont donné des résultats essentiellement négatifs. L'aspartame a été étudié dans de nombreux essais biologiques sur le cancer chez les rats et les souris, y compris une série récente d'un laboratoire qui a donné lieu à des rapports de constatations controversées pour un certain nombre de sites tumoraux. […] Le groupe consultatif a accordé à l'aspartame une priorité élevée pour l'examen par les monographies du CIRC en raison de son utilisation répandue, de l'inquiétude persistante quant à son potentiel cancérigène et des rapports récents faisant état de résultats positifs dans des études de cancérogénicité chez l'animal. »
Le même niveau de priorité a été donné au sucralose (nom commercial en France : Canderel) dans des conditions similaires.
Le méthyleugénol et l'isoeugénol, deux composés aromatiques et parfumants présents naturellement dans les huiles essentielles de diverses plantes, examinés en même temps que l'aspartame dans le récent exercice, n'étaient pas à l'ordre du jour du comité consultatif précité.
RépondreSupprimerFaisons un peu de complotisme... ou peut-être pas.
Ce comité consultatif était présidé par le sulfureux et controversé Christopher Portier qui figurait sur la liste des participants sous son ancienne affiliation dans les Centers for Disease Control and Prevention, occultant ainsi son embauche par une association militante, pourtant connue du CIRC. Il a joué un rôle éminent dans la classification infâmante du glyphosate en « probablement cancérogène » en mars 2015, mais aussi, précédemment, en 2011, dans celle en « peut-être cancérogènes » des champs électromagnétiques de radiofréquences (essentiellement les téléphones portables) dans des conditions qui ont aussi fait débat. M. Christopher Portier a été un témoin expert des avocats prédateurs qui ont fait les poches de Bayer-Monsanto aux États-Unis d'Amérique. Il l'a vraisemblablement aussi été pour des affaires liées aux portables (voir ici, avec une reproduction du compte rendu de son audition dans le cadre d'une action portant sur le glyphosate).
Le classement de l'aspartame pouvait ainsi avoir deux effets : clarifier la situation et mettre fin aux attaques contre l'aspartame (du moins du point de vue du cancer) ou, au contraire, fournir une base d'action, notamment, pour les avocats prédateurs états-uniens (et leurs témoins experts...).
Le laboratoire aux constatations controversées, en fait pas seulement sur l'aspartame, c'est l'Institut Ramazzini. Nombre d'autorités d'évaluation ou d'homologation refusent maintenant de prendre en compte les résultats de cette usine à annonces d'apocalypse (voir par exemple ici pour l'ANSES sur... l'aspartame).
Notons encore que peu de temps après l'arrivée de l'actuelle directrice du CIRC, Elisabete Weiderpass, le site web du CIRC a été remanié et certains documents – dont le rapport du comité consultatif et des pages relatives au glyphosate – ont été « invisibilisés », sauf à avoir noté l'ancienne URL et à chercher dans les archives du Web.
Une nouvelle tentative en 2019
L'aspartame ne fut pas évalué. Un autre groupe consultatif se réunit en mars 2019 pour faire des recommandations pour la période 2020-2024.
L'aspartame fut à nouveau affecté d'une priorité haute, avec la mention supplémentaire que l'évaluation pourrait se faire dans un délai de deux ans et demi.
RépondreSupprimerParmi la littérature citée, il y avait Morando Soffritti et al. (incluant Fiorella Belpoggi), The carcinogenic effects of aspartame: The urgent need for regulatory re-evaluation (les effets cancérigènes de l'aspartame : l'urgence d'une réévaluation réglementaire). Un titre qui pue la science militante... de l'Institut Ramazzini. Et qui n'était pas très nouveau puisqu'il datait de janvier 2014.
Dans le groupe d'experts, il y avait... Mme Fiorella Belpoggi. Ce monde fonctionne en vase clos.
Et parmi les exploits de Mme Fiorella Belpoggi témoignant de son militantisme, il y a sa participation, pendant un temps, dans l'arnaque russe Factor GMO.
Il y avait aussi deux personnages de la saga du glyphosate : Mme Kathryn Guyton, en tant que chef par intérim du groupe des monographies du CIRC, et M. Kurt Straif, ancien chef et pour l'occasion consultant.
M. Kurt Straif mérite ici une mention particulière : il a produit en 2021 Aspartame and cancer – new evidence for causation (aspartame et cancer – nouvelles preuves de causalité) avec Philip J. Landrigan. Dans leurs conclusions résumées, outre l'appel à agir lancé aux autorités sanitaires :
« Ces nouveaux résultats confirment que l'aspartame est un cancérogène chimique chez les rongeurs. Ils confirment le résultat très inquiétant selon lequel l'exposition prénatale à l'aspartame augmente le risque de cancer chez la progéniture des rongeurs. Ils valident les conclusions des études originales de l'IR [Institut Ramazzini]. »
Le méthyl eugénol et l'isoeugénol ont aussi été classés en priorité haute par ce groupe consultatif.
Ces deux substances ont été évaluées en même temps que l'aspartame et classées en 2A (probablement cancérogène) et 2B (peut-être cancérogène), respectivement. Mais personne ne s'y intéresse, malgré un classement plus infâmant pour l'un...
L'OMS a imposé une coordination, mais les États-Unis et le Japon protestent
Après le scandale du classement du glyphosate en « probablement cancérogène », les États membres – à défaut d'un arrêt des monographies dans le domaine alimentaire – ont imposé une coordination entre le CIRC et les comités mixtes de la FAO et de l'OMS experts des additifs alimentaires (JECFA) et des pesticides (JMPR).
L'aspartame devait donc être examiné par le CIRC du 6 au 13 juin 2023 et le JECFA, du 27 juin au 6 juillet 2023. Le classement du CIRC devait rester confidentiel et les conclusions des deux organes devaient être publiés conjointement le 14 juillet 2023 – ce qui fut fait (communiqué de presse de l'OMS ; conférence de presse conjointe).
RépondreSupprimerLes gouvernements des États-Unis d'Amérique (échange de lettres ici) et du Japon (un extrait de la lettre ici) n'ont pas été satisfaits. Le premier écrivait en particulier, le 12 août 2022 :
« Nous sommes extrêmement préoccupés par le fait que des déterminations contradictoires présentées par le CIRC et le JECFA mineraient sérieusement la confiance dans le processus scientifique pour les deux organes et pourraient enflammer davantage le climat actuel de scepticisme du public quant à la validité de la science et du processus scientifique. »
Et l'inévitable se produisit...
La décision de classer l'aspartame en « peut-être cancérogène » a évidemment fuité, le 29 juin 2023. Courtoisie de Reuters et d'un informateur anonyme (mais il y a des soupçons...). Des médias alléchés par une « mauvaise nouvelle » qui est médiatiquement une bonne nouvelle ont repris l'information, souvent amputée du contexte, en se trompant parfois d'adverbe, et en attribuant le classement à l'OMS plutôt qu'au CIRC (c'est classique !).
Ainsi, Doctissimo a titré le 30 juin 2023 : « Vers un classement de l’aspartame comme cancérogène ? », sans qualificatif, et a évoqué un « probablement cancérogène » dans le texte. Le titre a été modifié, apparemment le 18 juillet 2023, mais la classification erronée figure toujours dans le chapô, dans un intertitre et dans le commentaire d'un médecin nutritionniste...
Médisite est encore plus péremptoire en titre le 3 juillet 2023 : « Aspartame : un organisme de l’OMS le considère comme cancérigène ».
Un communiqué de presse de l'OMS millimétré
Le communiqué de presse de l'OMS, « Publication des résultats de l’évaluation des dangers et des risques liés à l’aspartame » est un « communiqué commun » pédagogique, millimétré et s'efforçant de ménager les susceptibilités :
« Le CIRC a classé l’aspartame comme "peut-être cancérogène pour l’homme" (groupe 2B) sur la base d’une "indication limitée" de cancer chez l’homme (en particulier, pour le carcinome hépatocellulaire, qui est un type de cancer du foie). En outre, il existait une "indication limitée" de cancer chez l’animal de laboratoire, de même qu’une "indication limitée" concernant les mécanismes possibles d’action cancérogène.
RépondreSupprimerLe Comité mixte a conclu que les données évaluées ne fournissaient aucun motif suffisant justifiant une modification de la dose journalière admissible de 0 à 40 mg par kilogramme de poids corporel (en anglais) précédemment établie pour l’aspartame. Par conséquent, le Comité mixte a réaffirmé qu’une personne peut consommer de l’aspartame sans risque dans la limite de cette quantité journalière. Par exemple, avec une canette de boisson gazeuse light contenant 200 ou 300 mg d’aspartame, un adulte pesant 70 kg devrait consommer plus de 9 à 14 canettes par jour pour dépasser la dose journalière admissible, en supposant aucun autre apport en aspartame provenant d’autres sources alimentaires. »
Mais l'exercice avait eu ses limites :
« "Le Comité mixte a également examiné les éléments de preuve concernant le risque de cancer, dans le cadre d’études menées chez l’animal et chez l’homme, et a conclu que les données faisant état d’une association entre la consommation d’aspartame et le cancer chez l’homme ne sont pas convaincantes", a déclaré le Dr Moez Sanaa, Chef de l’Unité Normes et avis scientifiques sur l’alimentation et la nutrition de l’OMS. »
En fait, la conclusion générale du JECFA est encore plus large :
« Dans l'ensemble, le comité a conclu qu'il n'y avait pas de preuves convaincantes provenant de données expérimentales sur les animaux ou sur l'homme que l'aspartame a des effets indésirables après ingestion. Cette conclusion est étayée par le fait que l'aspartame est entièrement hydrolysé dans le tractus gastro-intestinal en métabolites qui sont identiques à ceux absorbés après la consommation d'aliments courants, et qu'aucun aspartame ne pénètre dans la circulation systémique. »
Et les médias ?
RépondreSupprimerOn peut faire court : dans la plupart des cas, ils se sont concentrés sur le classement par le CIRC.
Même l'ONU, avec « Edulcorant : l’aspartame est "peut-être" cancérogène, selon une 1ère évaluation de l’OMS »...
Avec toujours des problèmes de conformité aux faits. Même le Quotidien du Médecin ,« Le Circ classe l'aspartame comme cancérogène probable, mais le risque reste contenu selon l'OMS et la FAO »... Non, ce n'est pas « probable » et le risque n'est pas « contenu », mais nul. On s'expose à une intoxication à l'eau bien avant d'atteindre la dose journalière admissible d'aspartame.
Parmi les morceaux d'anthologie : cet articulet du Monde, avec Reuters (tiens donc... après la fuite...), « L’aspartame classé comme "cancérogène possible" ». En chapô :
« VIDÉO La dangerosité potentielle de cet édulcorant, parmi les plus répandus du marché, vient d’être reconnue par l’OMS. »
Et, en bref, aucune référence à l'évaluation rassurante du JECFA, mais :
« Concrètement, cela signifie que le niveau de preuves scientifiques n’est, pour le moment, pas suffisant pour qualifier définitivement l’aspartame d’agent cancérogène, mais que des signaux sérieux existent. »
La FDA réagit sans délai !
Des signaux sérieux (alors qu'ils sont au mieux faibles) ?
C'est apparemment un événement rare : la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis d'Amérique a réagi publiquement, le jour même de l'annonce par l'OMS, au classement en « peut-être cancérogène » de l'aspartame :
« La FDA n'est pas d'accord avec la conclusion du CIRC selon laquelle ces études justifient la classification de l'aspartame comme cancérogène possible pour l'homme. Les scientifiques de la FDA ont examiné les informations scientifiques incluses dans l'étude du CIRC en 2021, lorsqu'elles ont été mises à disposition pour la première fois, et ont identifié des lacunes importantes dans les études sur lesquelles le CIRC s'est appuyé. Nous notons que le JECFA n'a pas soulevé de problèmes de sécurité pour l'aspartame dans les niveaux d'utilisation actuels et n'a pas modifié la dose journalière admissible (DJA). »
Des dysfonctionnements patents
RépondreSupprimer« ...les données faisant état d’une association entre la consommation d’aspartame et le cancer chez l’homme ne sont pas convaincantes », selon le Dr Moez Sanaa, de l'OMS (et le JECFA) ? C'est un euphémisme !
Nous ne disposons à ce stade que d'un résumé des travaux du CIRC dans The Lancet. Mais il est déjà instructif.
Le groupe de travail était composé de 25 chercheurs de 12 pays... mais six des États-Unis d'Amérique (ils étaient sept sur 16, plus le fameux Christopher Portier, pour le glyphosate ; et dans le cas des pompiers, 11 sur 25).
Ils n'ont déclaré aucun conflit d'intérêts. Pourtant, au moins quatre d'entre eux ont co-signé des études sur l'aspartame : Mmes Mélanie Deschasaux-Tanguy et Mathilde Touvier (une étude fondée sur la cohorte NutriNet-Santé – qui n'a du reste pas trouvé grâce aux yeux du groupe de travail), M. Daniele Mandrioli (de l'Institut Ramazzini) et Mme Marjorie L. McCullough (une des études retenues).
Intéressante, cette étude (Sugar- and Artificially-Sweetened Beverages and Cancer Mortality in a Large U.S. Prospective Cohort – boissons sucrées et artificiellement sucrées et mortalité par cancer dans une grande cohorte prospective américaine) : le résumé ne comporte aucune indication sur les boissons artificiellement sucrées.
Ce n'est pas une preuve, mais une suggestion : on a dû fouiller dans tous les recoins pour trouver quelque chose qui puisse étayer un « preuves limitées » pour la cancérogénicité chez l'homme.
« Sweetened beverage consumption and risk of liver cancer by diabetes status: A pooled analysis » (consommation de boissons sucrées et risque de cancer du foie en fonction du statut diabétique : une analyse groupée) présente une analyse nuancée. Mais quand des rapports de risques ont été mentionnés – y compris pour le sucre – les limites inférieures étaient très proches de 1, donc de l'absence de signification statistique.
La troisième étude, « Consumption of soft drinks and juices and risk of liver and biliary tract cancers in a European cohort (consommation de boissons gazeuses et de jus de fruits et risque de cancer du foie et des voies biliaires dans une cohorte européenne) a suivi 477.202 personnes sur 11,4 ans et trouvé, sur 191 carcinomes hépatocellulaires (CHC), que « La consommation combinée de boissons gazeuses (>6 portions/semaine) était positivement associée au risque de CHC : HR 1,83 ; CI 95 % 1,11-3,02 ». Mais, en conclusion selon le résumé, « La consommation quotidienne de boissons gazeuses combinées est positivement associée au CHC, mais une association différentielle entre le sucre et l'édulcorant artificiel ne peut être écartée. »
Dans un deuxième article publié par le Monde (mis en ligne le même jour et à la même heure que celui évoqué ci-dessus – 00h30, heure de fin de l'embargo fixé par l'OMS), on impressionne le lecteur en chapô : « Le CIRC s’appuie sur 1 300 études scientifiques parues ces dernières années ».
RépondreSupprimerNon ! Trois études pour la cancérogénicité chez l'homme et quatre études sur la cancérogénicité chez l'animal... du très contesté Institut Ramazzini. Et encore, il a fallu bien des contorsions pour leur trouver du mérite en minimisant ou écartant les objections (idem pour les études sur les mécanismes, non référencées dans l'article du Lancet)...
Et pourtant...
« Une minorité du groupe de travail n'a pas partagé ces préoccupations concernant cette série d'études et a considéré que les preuves de cancer chez les animaux de laboratoire étaient "suffisantes" ; ils ont donc soutenu une classification dans le groupe 2A plutôt que dans le groupe 2B pour l'aspartame. »
Cancérogène... envers et contre tout
On aurait donc écarté quelque 1.290 études... Il sera du reste intéressant de consulter la monographie une fois qu'elle sera publiée pour voir les avis du groupe de travail sur les études écartées. Du reste, si l'on veut trouver un intérêt dans les monographies, c'est peut-être dans le tri qu'elles opèrent entre études considérées (à tort ou à raison) comme digne d'intérêt et les innombrables autres.
Mais ce n'était pas assez selon le Dr Moez Sanaa et le JECFA.
Selon un article de 2019 de Carr J. Smith et Thomas A. Perfetti, « An approximated one-quarter of IARC Group 3 (unclassifiable) chemicals fit more appropriately into IARC Group 4 (probably not carcinogenic) » (environ un quart des substances chimiques du groupe 3 (inclassables) du CIRC correspondent mieux au groupe 4 (probablement non cancérogènes) du CIRC). On peut sans doute faire la même analyse pour les groupes supérieurs.
Cela ne posait pas de problème particulier tant que ces classements touchaient un public restreint et averti. Mais aujourd'hui, à l'Âge Facebook de la Science, elles sont instrumentalisées par des lobbies, par des entités qui font commerce de la peur (y compris pour le compte d'intérêts économiques concurrents), par des hommes politiques, par des médias...
Et ce, au mépris de la portée et de la signification réelle des classements – sérieux ou contestables, voire franchement inacceptables – quant au danger et non aux risques.
On bourre actuellement le mou du public sur l'aspartame – on incite implicitement des consommateurs à se tourner vers le sucre, peut-être plus problématique pour leur santé – alors qu'il ne se passe pas un jour sans que l'on voie une publicité pour un produit contenant de l'Aloe vera... également classé « cancérogène possible »...
C'est parti pour les grandes manœuvres
RépondreSupprimerMais ces produits ne sont pas commercialisés par Coca Cola et Cie... aux poches profondes. Les avocats prédateurs états-uniens seront sans doute déçus par ce classement... mais rien n'est perdu... Cependant, les perspectives ne semblent pas extraordinaires. Nous n'avons pas vu de racolage massif.
Les manœuvres commencent à se mettre en place.
US Right to Know a trouvé un journal français pour, le 19 juillet 2023, initier une manœuvre qu'on a déjà vue pour le glyphosate, avec « Nouvelles recommandations sur l’aspartame : les liaisons dangereuses de certains experts avec Coca et Pepsi ». Et dans son article du même jour, a priori postérieur, Gary Ruskin cite Gaël Lombart du Parisien, un message subliminal pour faire porter l'initiative de l'attaque contre des membres du JECFA à ce dernier.
Gary Ruskin, c'est... US Right to Know. (Source)
Parce que, figurez-vous, au moins six des 13 experts du JECFA ont collaboré un jour avec l'International Life Sciences Institute (ILSI), « a longtime Coca-Cola front group » (un groupe de façade de longue date de Coca-Cola).
Cherchez par exemple Diane Benford et ILSI, et vous tomberez sur « Application of the Margin of Exposure (MOE) approach to substances in food that are genotoxic and carcinogenic » (application de l'approche de la marge d'exposition (ME) aux substances génotoxiques et cancérogènes présentes dans les denrées alimentaires) qu'elle a co-rédigé dans le cadre d'un groupe d'experts établi par l'ILSI (avec du reste trois autres membres du JECFA, MM. Michael DiNovi, Jean-Charles Leblanc et Josef Schlatter)... en 2009.
Mme Diane Benford a aussi signé « The Acceptable Daily Intake: A Tool for Ensuring Food Safety » (la dose journalière admissible : un outil pour garantir la sécurité alimentaire), une monographie succincte de l'ILSI... en 2000. Ce genre de coopération suffit pour monter des allégations de conflits d'intérêts qui, nécessairement pour la faune militante, vicie et invalide un avis qui lui déplaît. Pour tous les mis en cause – et à perpétuité condamnés – l'association avec l'ILSI date de dix ans et plus...
Le Parisien, toujours sous la même signature, a même tenté d'impliquer Bayer dans une cabale, alléguée et imaginaire, contre le CIRC :
« "L’intérêt de Bayer est de discréditer le CIRC, en raison de sa classification du glyphosate comme probablement cancérogène", croit deviner Gary Ruskin, directeur de l’ONG américaine US Right to Know. »
RépondreSupprimerhttps://seppi.over-blog.com/2023/08/aspartame-un-festival-de-mesinformation-et-de-desinformation.html
Le retour du masque ?
RépondreSupprimerLaurence Waki*
le 26 août 2023 - 19:30
Le masque en France va-t-il être encore imposé à la population comme cela a été le cas en juillet 2020 ?
TRIBUNE/OPINION - Alors que les médias parlent du variant Eris... Alors que les masques reviennent sur les visages... Alors que le ministre de la Santé dit qu'il faut "reprendre le réflexe de mettre un masque"... Il faut sortir de l'amnésie, cette amnésie qui pousse à l'apathie, afin d'agir, afin d'être acteur politique, pour soi et pour tous. Repérer les mêmes dysfonctionnements, à des fins dites sanitaires, mais aussi climatiques, mais aussi de terreur. Voir ces points communs qui amènent à toujours plus de restrictions, de suppressions des libertés fondamentales, à de plus en plus de contrôles sur tout, même sur les actes les plus quotidiens et anodins, de dématérialisation vers un tout-Numérique pour un mode mécaniste, vers la pensée unique pour ne suivre que les injonctions dénuées de sens et contradictoires ; à devenir obéissants sans conscience, à fonctionner en marionnettes. Deuxième partie : le retour des masques ?
I. Masque obligatoire : une mesure, sans mesure, une dé-mesure
Jamais le masque censé lutter contre l’épidémie n’aura été si mal porté. Avec l’obligation (1), ce sont des masques touchés en permanence, triturés, mis dans les poches, ressortis pour quelques minutes pour acheter sa baguette qu'on utilise. Ils sont humides d’être trop longtemps portés. Pire, on va les garder des jours durant, tant qu’ils tiennent. Tout cela est très loin des recommandations indispensables à suivre pour les porter avec le plus d’efficacité possible. Une efficacité qui reste même là toute relative : ce n’est qu’un outil, dont les probabilités d’efficacité se mesurent en pourcentage, qui est de loin le zéro risque que trop veulent croire.
Parce qu’il y a nécessité physiologique de ne pas les porter trop longtemps. L'être humain, qui est un animal, a la fonction essentielle de respirer. Ce qui signifie, en simplifiant, saisir de l’oxygène en inspirant et rejeter du gaz carbonique en expirant. Non de réinjecter dans son organisme son propre gaz carbonique, comme en témoigne cette sensation d’essoufflement, ces maux de tête, qui s’expliquent par un manque d’oxygénation.
Outre l’aspect psychologique de fermeture à ce qui s’apparente à une muselière, la composante organique demande une utilisation parcimonieuse. Et de privilégier surtout les distances physiques. Ce qui n’est pas non plus très agréable socialement, je vous l’accorde. Mais pouvoir bien respirer, pour son équilibre physique et mental est indispensable (2).
RépondreSupprimerAvec le Premier Ministre Jean Castex, c’est une nouvelle mise au pas qui a été faite pour qu'il puisse marquer son territoire et s’inscrire dans la mémoire des Français, en obligeant ces derniers.
Avec son coéquipier Macron, ce couple a voulu faire autorité sous couvert d’efficacité contre un virus. Convaincants ? Nombreux sont ceux décérébrés par la peur qui ont approuvé, pensant qu’ainsi ils participent à leur petit niveau à la résolution sanitaire, en ayant un peu de pouvoir sur l’anéantissement du coronavirus. Ce qui est certain en termes de résultat, c’est inévitablement la recrudescence d’une société de contrôle, de coercition, et d’infantilisation.
La spirale descendante des libertés, de l’intelligence et de la démocratie se poursuit, quand on pouvait espérer un palier après ces derniers mois de restrictions. Le cycle pervers reprend de plus belle. La défiance envers chacun, ainsi muselés, ainsi que son isolement sensoriel, s’accentue. En plus d’accorder foi à un moyen, qui ressemble de plus en plus à de la superstition.
Qui ira peut-être même réussir à faire croire à certains, que s’il n’y a pas de "deuxième vague", que c’est grâce à lui, ex Monsieur déconfinement devenu chef du gouvernement ! Qu’au vu de l’utilisation forcée et risquée du masque, de cette utilisation démesurée qu’elle amène entre mettre ce masque trop longtemps ou d’y toucher en permanence, s’il n’y en a pas, c’est que l’épidémie avait dit le mot de la fin, que le risque n’était plus…
On a les victoires que l’on peut !
II. Avons-nous encore le "droit de respirer" ?
À l’origine, il s’agit d’un droit à avoir un air sain, donc d’exiger que soit prise en compte la qualité de l’air supposant la lutte contre la pollution atmosphérique. Un droit légitime somme toute, auquel se réfère, on s’en doute, la politique anti-voitures de Anne Hidalgo, qui ne donne pas vraiment dans la nuance, ressemblant à une lubie, voire à un acharnement, où l’automobiliste devient coupable de tous les maux associés à la pollution.
Ce droit à respirer, que je revendique, au vu d’une nouvelle danseuse de ce maire, réélu pourtant avec un taux d’abstention record et qui réclame ce masque non plus seulement obligatoire dans les lieux clos, mais aussi à l’extérieur !
Le pouvoir exécutif est devenu roi omnipotent. Où sont les contre-pouvoirs ?
RépondreSupprimerOù est le pouvoir Juridique en ce moment d’épidémie ? Où est le pouvoir judiciaire ? Où est le droit ? Où sont les analyses critiques, de la situation, de ces cascades de chiffres ? Quand va-t-on sortir de l’arbitraire, de l’emballement, des effets d’annonce ? Y a-t-il un pilote dans l’avion ?
Là aussi, nous avons le droit de respirer, psychiquement parlant. Régler cette épidémie n’est pas du ressort des citoyens, et ne doit pas se faire en les attaquant, en touchant à leur santé physique et mentale impunément. Cette logique de dédouanement aussi sur nous est insupportable. Assortie en plus à ce flou, à cette mise dans l’ignorance et la peur, pour nous soumettre, de gré ou de force. Si des contraintes se justifient, il s’agit de nous le prouver concrètement et avec une durée limitée dans le temps.
Voilà ce que seraient des gouvernants qui ont la compétence de gouverner. Des gens qui auraient cette stature là. Des gens responsables en somme, et humbles. Tel un De Gaulle en pleine débâcle, vu comme un illuminé à ne pas croire en la défaite inéluctable. A contrario de tous ces suiveurs, qui se retrouvent de façon inquiétante dans d’autres pays, prenant les mêmes mesures coercitives. Suivre, faire pareil, pour se dédouaner ?
Nous méritons ce "pilote", qui fera changer le cap. Qui nous respectera dans nos libertés et notre libre arbitre. Quand diriger n’est jamais soumettre. Et là, cette épidémie et toutes les autres pourront être dépassées.
*Laurence Waki est écrivain et philosophe. Retrouvez ses textes sur son site internet.
Notes :
(1) La première partie de ce texte a été écrite dans sa version originale le 17 juillet 2020 et publié sur le site de Laurence Waki.
(2) Note de l'auteur - Le docteur Nicole Delépine a offert une voix discordante au consensus, qui peut supposer que tous les médecins sont loin de pouvoir se faire entendre du grand public, et surtout du gouvernement ; bien qu’il ne peut y avoir de certitudes en médecine.
(3) Note de l'auteur - Pour un éclairage médical précis sur la nécessité de la respiration sur la santé, voir ce lien.
RépondreSupprimer(4) Ce texte, sa deuxième partie, a été écrit dans sa version originale le 5 août 2020 et publié sur le site de Laurence Waki.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-retour-du-masque
Il sont tellement CONS chez 'france-soir' que ni l'explicateur sans instruction ni son 'rédacteur en chef', n'ont pris la plus simple initiative de passer un masque sous l'optique d'un microscope à balayage électronique !!!
SupprimerLà, ils se seraient rendu compte que les mailles (du masque le plus fin) sont cent fois trop écartées vis à vis de la nano-poussière (appelée 'virus').
C'est-à-dire que LE MASQUE NE SERT A RIEN ! A RIEN !
Et qu'il est IMPOSSIBLE de fabriquer dans le monde un masque anti microbes ou anti-virus (poussières) car, si les mailles sont davantage serrées l'air ne passe plus !
Les masques dits 'chirurgicaux' ne sont PAS des masques anti-microbes ou anti poussières, ils sont des masque anti-postillons ! C'est tout !
AUCUN chirurgien, docteur ou infirmière ne conserve le masque hors du bloc opératoire.
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
mardi 20 octobre 2020
par Tyler Durden
Dim, 18/10/2020 - 08:45
Dernièrement, les plus grandes menaces du monde ont été de taille microscopique.
De la pandémie mondiale de COVID-19 aux incendies de forêt qui ravagent la côte ouest des États-Unis, il semble que nos poumons ne puissent pas prendre une pause, ou plus exactement, un souffle.
Mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist, quelle est la taille des particules que nous combattons actuellement? Et comment leur taille se compare-t-elle à d'autres petites molécules?
Les taches sont trop petites pour être vues
Bien que le coronavirus à l'origine du COVID-19 soit de taille relativement petite, ce n'est pas la plus petite particule virale du marché.
Le virus Zika et le bactériophage T4 - responsables d'E. Coli - ne représentent qu'une fraction de la taille, bien qu'ils n'aient pas presque fait autant de morts que le COVID-19 à ce jour.
Les particules de coronavirus sont plus petites que les globules rouges ou blancs, cependant, une seule cellule sanguine est toujours pratiquement invisible à l'œil nu. Pour l'échelle, nous avons également ajouté un seul cheveu humain en tant que référence dans la partie supérieure de la gamme de tailles.
AVEC ou SANS masque vous respirez:
Zika virus:::::::::::::::::::::::::::: 0,045 µ
T4 Bactériophage::::::::::::::::: 0,225 µ
Coronavirus:::::::::::::::::::::::: 0,1 µ à 0,5 micron
Fumée de feu de forêt::::::::::: 0,4 à 0,7 µ
Bactérie (microbe)::::::::::::::: 1 à 3 microns
Particule de poussière (PM 2.5): 2,5 microns
Les masques (FFP2 et N95 3 µ) empêchent ces nano-particules de pénétrer:
Gouttelette respiratoire:::::::::: 5 à 10 µ
Globule rouge::::::::::::::::::::::7 à 8 µ
Particule de poussière (PM 10):: 10 µ
Grain de pollen::::::::::::::::::: 15 µ
Globule blanc::::::::::::::::::::: 25 µ
VISIBLES A L'ŒIL NU:
Grain de sel:::::::::::::::::::::::: 60 µ
Sable fin de plage:::::::::::::::::90 µ
Cheveu humain::::::::::::::::::: 50 à 180 µ
À l'autre extrémité du spectre, le pollen, le sel et le sable sont nettement plus gros que les virus ou les bactéries. En raison de leur taille relative plus élevée, notre corps est généralement capable de les bloquer - une particule doit être inférieure à 10 microns avant de pouvoir être inhalée dans vos voies respiratoires.
Pour cette raison, le pollen ou le sable sont généralement piégés dans le nez et la gorge avant d'entrer dans nos poumons. Les particules plus petites, cependant, peuvent se glisser plus facilement.
Smoky Skies: Pollution atmosphérique et incendies de forêt
Bien que le virus responsable du COVID-19 soit certainement la particule la plus d'actualité à l'heure actuelle, ce n'est pas la seule tache qui pose un risque pour la santé. La pollution atmosphérique est l’une des principales causes de décès dans le monde - elle est en fait plus mortelle que le tabagisme, le paludisme ou le sida.
Les particules, qui peuvent contenir des particules de poussière, de saleté, de suie et de fumée, constituent une source majeure de pollution atmosphérique. D'une moyenne d'environ 2,5 microns, ces particules peuvent souvent pénétrer dans les poumons humains.
SupprimerÀ juste une fraction de la taille entre 0,4-0,7 microns, la fumée des feux de forêt pose encore plus de risques pour la santé. La recherche a également lié les expositions aux feux de forêt non seulement à des problèmes respiratoires, mais aussi à des problèmes cardiovasculaires et neurologiques.
Voici une carte animée de Flowing Data, montrant comment les choses se sont réchauffées pendant la haute saison des feux de forêt entre août et septembre 2020:
- voir clip sur site -
Quelle est la principale chose à retenir de tout cela?
Il existe de nombreux types de taches plus petites que l'œil ne peut voir, et il vaut la peine de savoir comment elles peuvent avoir un impact sur la santé humaine.
https://www.zerohedge.com/medical/visualizing-relative-size-particles-covid-19
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
La prise de pouvoir du COVID-19 en tant que « crime organisé ». Une tromperie aux multiples facettes
RépondreSupprimerPar le professeur Anthony J. Hall
Recherche mondiale,
27 août 2023
De nombreuses failles sont en train de briser l’épais mur mental d’obstructions générées par les médias et destinées à empêcher le grand public de comprendre la prise de pouvoir liée au COVID-19. Le faux combat pour vaincre le coronavirus des célébrités est largement dénoncé comme une tromperie aux multiples facettes.
Alors que les illusions se brisent, de plus en plus de gens commencent à ouvrir leur esprit à la nature profonde des dangers réels qui nous engloutissent. Ce faisant, les patrons qui dirigent le mafioso du COVID perdent le contrôle du récit dominant du COVID. Les défenseurs du récit, assiégés, cherchent de plus en plus désespérément à détourner l’attention du public de la scène des crimes du COVID.
Malgré les tactiques de diversion, un nombre croissant de personnes commencent à comprendre que les prédateurs humains, et non l’invasion surprise d’un nouveau type de germe, sont les principaux responsables du malaise qui nous envahit. Notre économie, nos droits, nos libertés, nos institutions et, de plus en plus, nos vies et notre bien-être sont attaqués à mesure que la prise de pouvoir liée au COVID-19 franchit de nouvelles frontières d’infiltration subversive.
Certains de ceux qui participent à la conquête du pouvoir ont exposé leur véritable programme en célébrant l’effondrement des formes existantes d’économie politique. Ils ont salué la destruction de nos systèmes de survie comme un expédient nécessaire pour dégager les ponts d’une transformation structurelle massive parfois décrite comme la Grande Réinitialisation. Voyez ceci .
Ce slogan est mieux compris comme une expression cynique de relations publiques dont le but propagandiste est de dissimuler l’impitoyabilité anarchique de la prise de pouvoir liée au COVID-19. Dans leurs fantasmes intérieurement contradictoires, les adeptes de Davos qui poussent l’idée d’une grande réinitialisation imaginent une utopie éveillée et verte sous la poigne de fer numérique d’une dictature corporatiste.
Pour anticiper où nous mènera cette prise de pouvoir, il nous suffit d’évaluer la trajectoire des développements qui nous sont parvenus depuis 2020. Les preuves sont devenues accablantes que les mesures COVID imposées au nom de la sauvegarde de la santé humaine font exactement le contraire. Les confinements liés au COVID ont accéléré une calamité économique bien avancée et les injections ont déclenché une catastrophe de santé publique mondiale encore à ses balbutiements.
Voyez ceci.
RépondreSupprimerLes vaccins contre le COVID, le principal remède supposé à cette pandémie mal nommée, ont jusqu'à présent été injectés dans les bras de bien plus de la moitié des 8 milliards d'habitants de la planète. Aussi imparfaites et incomplètes soient-elles, les preuves pointent vers la conclusion désormais incontournable selon laquelle ces injections rendent une très forte proportion de personnes vaccinées plus malades au lieu de les améliorer. Les vaccins tronquent la durée de vie, ils ne la prolongent pas.
De plus, tous ceux qui se sont fait vacciner sont rendus plus vulnérables à toute une gamme de maladies infectieuses, dont le COVID-19. Les injections de COVID détruisent subrepticement l’immunité humaine, un processus de sabotage biologique qui devient de plus en plus grave avec les injections répétées.
Le but de cette attaque contre l’immunité naturelle est de faire progresser les conditions d’un régime permanent et universellement mandaté d’injections du berceau à la tombe. Les merveilles de l’immunité naturelle sont retirées aux humains dans le cadre d’un plan d’assaut plus large visant à rendre la plupart des gens plus dépendants de nos suzerains pour notre survie même.
Promouvoir la réingénierie industrielle de la biologie humaine
L’Organisation mondiale de la santé a joué un rôle important dans cette attaque coordonnée contre l’immunité innée grâce à sa redéfinition stratégique de « l’immunité collective ». Avant octobre 2020, l’OMS reconnaissait que les populations pouvaient atteindre l’immunité collective – l’immunité collective – grâce à une « immunité naturelle généralisée développée lors d’une infection antérieure ». Ensuite, l’OMS a proclamé que l’immunité collective ne peut être atteinte que lorsqu’un « seuil de vaccination est atteint ». Voyez ceci .
Cette déclaration de l’OMS a encouragé l’affirmation inexacte selon laquelle l’immunité induite par le vaccin est plus efficace que l’immunité naturelle. La principale division de la santé des Nations Unies a ainsi sanctionné ce qui équivalait à une prise de contrôle industrielle des mécanismes fondamentaux régissant les interactions humaines avec la maladie.
Ce changement a contribué à ouvrir la voie à la poussée mondiale visant à universaliser les injections de COVID-19, une campagne sans précédent que nous pouvons maintenant considérer rétrospectivement comme le mince bord du fossé dans la prise de contrôle technocratique de l’autonomie corporelle. Jusqu’à présent, les gouvernements ou les médias n’ont accordé pratiquement aucun espace pour un débat public ouvert et une procédure démocratique régulière sur la mise en œuvre par les entreprises de cet agenda transhumaniste.
Nous, les cobayes humains entraînés dans des expériences médicales non réglementées et non consensuelles, n’avons pas été impliqués dans le processus décisionnel sur la manière dont nos propres corps doivent être envahis, reconstitués et contrôlés. S’il a déjà été décidé par nos maîtres que même nos personnes ne nous appartiennent plus, que pouvons-nous attendre d’autre des prochaines étapes de la « Grande Réinitialisation » ?
RépondreSupprimerLes injections de COVID ont constitué le principal point d’entrée permettant à l’État de surveillance de pénétrer sous la peau des gens dans le cadre de la réingénierie industrielle de la biologie humaine. Ce projet d’ingénierie en cours s’étend à la poursuite de la quête impériale d’une connaissance et d’un contrôle total de l’information, y compris sur le flux numérique de l’argent liquide. Beaucoup de nos gouverneurs de haut niveau souhaitent s’autonomiser davantage en faisant des systèmes monétaires sans numéraire liés au crédit social la base du contrôle par l’IA de toutes les transactions financières.
En conséquence, l’imposition de la plus grande campagne d’injection de l’histoire visant à vacciner l’ensemble de la population mondiale est tout sauf sûre et humanitaire. Cette campagne est plutôt un élément clé d’une prise de pouvoir déterminée, menée sur la base d’une énorme fraude. Au lieu d’offrir une protection, les vaccins toxiques ruinent et annihilent des vies dans ce qui s’avère être de loin le plus grand scandale médical de tous les temps.
- voir clip (Rumble) sur site -
Voyez ceci .
Face à ces évolutions, les gardiens des mythes du COVID continuent de tenter d’effacer et de cacher autant de preuves que possible des décès et des blessures par injection. La détermination continue selon laquelle rien ne doit remettre en question le conte de fées de Sunny Way selon lequel les injections de COVID sont sûres et efficaces.
Erreurs honnêtes ou intention malveillante ?
La révélation rapide de l’immense ampleur de la fraude liée au COVID se produit au vu et au su de millions de personnes qui ont appris à contourner les tromperies des médias du régime désormais discrédités. Les chercheurs de vérité ont alimenté et absorbé cette ruée vers la divulgation. Ils ont développé des compétences de pensée critique et indépendantes, suffisantes pour reconnaître les sources d’informations généralement fiables sur la COVID.
Ceux qui sont capables de faire la distinction nécessaire entre sources crédibles et frauduleuses restent cependant encore une minorité. Ce groupe minoritaire deviendra-t-il désormais majoritaire alors que de plus en plus de personnes perdent des êtres chers ou assisteront au système médical qui refuse la reconnaissance, l’empathie et le traitement appropriés aux membres de la famille qui comprennent bien qu’ils ont été gravement blessés par les vaccins ?
À combien de mensonges supplémentaires et d’abus graves, y compris des actes de meurtre avec préméditation, les membres du public peuvent-ils résister avant de devenir suffisamment indignés pour exiger une certaine mesure de responsabilité de la part des autorités responsables du COVID ?
RépondreSupprimer- voir clip (Rumble) sur site -
Qu’arrivera-t-il à ceux qui, jusqu’à présent, ont fait confiance aux autorités gouvernementales et aux médias pour les guider dans les soi-disant remèdes promus, comme s’ils avaient la capacité d’atténuer et de mettre fin aux prétendues inflictions du COVID ? L’ampleur et l’intensité des nouvelles révélations sur les graves dommages causés au nom de la lutte contre le COVID continueront-elles à pousser l’opinion publique mondiale dans une direction positive ?
Ceux qui ont jusqu’à présent fait confiance aux conseils des figures d’autorité supervisant le fiasco du COVID trouveront-ils le courage de mettre leur crédulité de côté et de commencer à poser des questions sceptiques pertinentes ?
L’opinion majoritaire peut-elle être suffisamment étendue pour comprendre que nous sommes au milieu d’une prise de pouvoir monumentale présentée à tort comme une réponse fondée sur des preuves à une urgence médicale ? La prise de conscience du public se développera-t-elle au point où des citoyens vigilants, excités et bien informés pourront présenter des revendications soutenues par le poids d’une opinion publique solide ?
Le cœur de ces revendications doit appeler les responsables publics à constituer des équipes crédibles d’enquêteurs objectifs ayant l’expérience nécessaire pour explorer en connaissance de cause de nombreuses questions restées sans réponse. Un certain nombre de ces questions les plus vitales ont été mises en lumière par des lanceurs d’alerte consciencieux qui ont souvent fait l’objet de graves récriminations pour avoir dénoncé les mensonges et les crimes de l’administration du COVID.
Comme dans le cas des « prisons médicales » mises en place pour les patients atteints du COVID, par exemple au Amita Health Resurrection Center de Chicago, les pistes découvertes par des lanceurs d’alerte comme le Dr Elizabeth Vliet sont souvent extrêmement significatives. Elles doivent être suivies par le travail d'enquêteurs professionnels dotés de pouvoirs étendus d'assignation à comparaître. Si elles sont correctement menées, de nombreuses enquêtes devront céder la place à des accusations criminelles portées contre certains des pires coupables du COVID.
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Avant que la société dans son ensemble ne commence à accepter les révélations majeures sur les actes répréhensibles liés à la COVID-19 désormais rendus publics, beaucoup plus de personnes devront examiner d’un œil critique leurs propres hypothèses sur ce qui n’a pas fonctionné. Il est naturel de commencer par supposer, par exemple, que toute incapacité à réagir de manière appropriée aux aléas de la débâcle du COVID doit être le résultat d’erreurs honnêtes, de simples malentendus, ou peut-être même d’une incompétence malheureuse.
Il ne fait aucun doute que l’incompétence, la stupidité et la complicité naïve de certains responsables ont joué un rôle dans la genèse de la débâcle du COVID. Cependant, toute hypothèse selon laquelle cette explication serait suffisante à elle seule pour expliquer la profondeur de notre dilemme actuel est tout simplement fausse.
Il en va de même pour la tendance à expliquer la nature véritablement criminelle de l’opération COVID en prétendant que tous les professionnels impliqués faisaient simplement de leur mieux pour répondre à un ensemble intimidant de circonstances inexplorées et sans précédent. Il est cependant désormais possible de démontrer que bon nombre de ces « circonstances sans précédent » ont été soigneusement planifiées et mises en œuvre.
RépondreSupprimerDes évaluations aussi superficielles et incomplètes sur la nature de la prise de pouvoir liée au COVID-19 ne feront que rendre la société plus vulnérable à des crimes encore plus audacieux à venir. La meilleure façon de parvenir à la quête continue des multimilliardaires et de leurs complices pour obtenir davantage de butin est de mettre en œuvre des méthodes de contrôle plus complet.
Le Dr Michael Yeadon a réfléchi à la difficulté qu'ont eu, aujourd'hui et par le passé, les gens à prendre des mesures pour bloquer la montée de régimes impitoyables dont les dirigeants semblent déterminés à causer de graves dommages. Il a écrit,
«Beaucoup se demandent pourquoi les gens n'ont pas résisté aux tyrans dans le passé. C'est en partie la peur. Mais c'est bien plus que cela. C'est que les gens normaux, comme vous et moi, ne peuvent tout simplement pas imaginer être aussi méchants. Nous avons confiance en l'humanité. Et c’est ce que nous devrions faire. La plupart des gens sont bons. Rares sont ceux qui sont vraiment terriblement horribles. Mais certains le sont. C'est l'incapacité de croire que cela se produit qui a réellement empêché les gens de s'y opposer alors qu'ils le devraient, alors que les preuves étaient indubitables mais n'étaient pas encore parvenues à leur porte, à leur famille.»
Un bon moyen d’évoluer vers un engagement plus proactif face à des évolutions menaçantes est d’éviter une dépendance excessive à l’égard d’hypothèses. Pour transcender le domaine des suppositions, il faut poser des questions, beaucoup de questions, adressées en particulier à ceux qui revendiquent l’impératif particulier d’éduquer le public à partir de positions d’autorité bien récompensées.
Ceux qui tombent dans les zones de danger où prévalent des hypothèses non étayées sont souvent les victimes de la pensée de groupe. Dans cette prise de pouvoir liée au COVID-19, la pensée de groupe est souvent favorisée par les décisions prises par ceux qui dirigent de nombreux médias.
Depuis le début de la débâcle en 2020, les médias ont amené des agneaux humains à recevoir leurs vaccins sur les autels sacrificiels de la religion télévisée prêchant la rédemption de l’infection au COVID. Les médecins ont joué le rôle qui leur a été assigné dans le meurtre rituel, les blessures et l’effacement de l’immunité naturelle de ceux qui sont soumis à la réplication invasive de la protéine Spike.
Briser la cohésion sociale en transmettant l’idée que nous sommes tous des risques biologiques
Comment se fait-il que les gouvernements de la grande majorité des 195 pays du monde aient tous commis essentiellement les mêmes erreurs en réagissant aux mêmes circonstances ? La réplication du même ensemble de mauvaises réponses à la crise fabriquée de toutes pièces du COVID a commencé presque immédiatement.
Cette décision décisive a été prise avec la décision sans précédent de suivre l'exemple de la Chine en mettant fin à l'élément vital de la liberté de circulation et de circulation de la société mondiale. Les nouvelles obstructions mises en place se sont étendues dans de nombreuses directions, y compris jusqu’à l’étranglement d’aspects ciblés du commerce et du travail.
Les mesures de confinement ont été conçues dans le but d’ériger des obstacles particulièrement élevés aux transactions soutenant les petites entreprises, la classe moyenne et l’indépendance des travailleurs. Les confinements ont considérablement accéléré l’aspiration des actifs de la plus grande masse de l’humanité vers un minuscule contingent de personnes riches bien au-dessus des 1 % les plus riches.
RépondreSupprimerEnviron un milliard et demi de travailleurs ont été particulièrement touchés dans les pays à faible revenu, où l'emploi informel est le plus répandu.
Voyez ceci .
Les confinements ont favorisé l’idée selon laquelle même les personnes en bonne santé constituent des risques biologiques potentiels les unes pour les autres ; que tout le monde a des raisons de se représenter les autres comme des suspects à rejeter, à se méfier et à soumettre à de nombreuses formes de distanciation. Cet éclatement de la cohésion sociale a contribué aux stratégies impériales de diviser pour régner.
La mise en œuvre rapide et uniforme d’une affirmation aussi invasive du pouvoir de l’État indique qu’une certaine autorité mondiale était la source commune des directives adressées aux gouvernements nationaux. Quelle autorité mondiale serait en mesure d’imposer par la contrainte une politique conformiste à la plupart des systèmes nationaux de santé publique à travers le monde ?
Le WEF a certainement joué un rôle important. Mais le WEF reçoit en fin de compte ses ordres des dirigeants des entreprises mondiales et des banquiers qui facilitent leurs opérations. Seules les institutions bancaires internationales et leurs mandataires, notamment BlackRock et Vanguard, seraient en mesure d’imposer des réponses aussi uniformes et cohérentes à presque tous les gouvernements nationaux.
Les terribles implications de cette formidable démonstration de force géopolitique doivent être résolument affrontées. Plus encore, la kleptocratie actuelle qui constitue le système financier dominant doit être restructurée pour servir efficacement l’ensemble de l’humanité, et non seulement une infime minorité en son sein. Les changements requis vont dans une direction très différente de la Grande Réinitialisation préconisée par le WEF et sa mascotte et son larbin le plus ennuyeux, Justin Trudeau.
- voir clip (Rumble) sur site -
La quête dilettante de Trudeau pour étendre la gouvernance « post-nationaliste » est représentative de forces plus vastes qui dirigent l'humanité vers un asservissement de masse. Trudeau personnifie une classe émergente de colporteurs essayant de reproduire l’exemple du chef du crime « philanthropique », Bill Gates.
Ce n’est qu’en développant les expressions financières de l’autonomie nationale que nous, les peuples du monde, pourrons échapper davantage au piège de la prise de pouvoir du COVID-19 et de toutes les autres crises fabriquées qui en découlent.
RépondreSupprimerLa stimulation de la peur et de la confusion à propos de tout, de la variole à la famine généralisée, contribue à freiner toute enquête minutieuse sur qui et quoi se cache derrière la prise de pouvoir liée au COVID-19. Plutôt que de nous laisser distraire par de nouvelles vagues de peurs fabriquées, nous devons tenir bon. Nous devons exiger des moyens formels pour enquêter sur les preuves de la criminalité organisée facilitant la crise fabriquée de la COVID dont les conséquences dévastatrices continuent de se produire. Voyez ceci .
De la réduction de l’empreinte carbone à l’élimination de masses de personnes
L’accord de Paris sur le changement climatique conclu en 2015 peut être considéré comme un prélude à l’adoption de politiques quasi identiques par presque tous les gouvernements nationaux pour répondre au soi-disant nouveau coronavirus.
Quelques heures après avoir prêté serment en janvier 2021, le président américain Joe Biden a autorisé l’adhésion des États-Unis à l’accord de Paris.
Le Forum économique mondial a été un acteur majeur qui a amené les gouvernements de tous les pays du monde à adhérer à l'accord de Paris. Pour ceux qui s’imprègnent du Kool-Aid du WEF, l’objectif de réduire, voire d’éliminer « l’empreinte carbone » des populations, commence par la quête de décarbonation de toute production d’énergie.
De là, il s’agit de concevoir les gens comme des cancers à éliminer. Dans l’esprit des signaleurs de vertu les plus prestigieux au monde, la population mondiale est composée de troupeaux humains qui doivent être abattus et réduits pour créer un monde plus vert et plus sain.
La prise de pouvoir liée au COVID-19 et son expression dans la Grande Réinitialisation visent à réduire l’empreinte carbone globale de l’humanité. En fait, le programme d’injection semble bien calculé pour annuler tout type d’empreinte de ces humains éliminés dans la conduite d’une guerre laïque mais sainte pour vaincre la maladie, la surpopulation et le réchauffement climatique.
Les préoccupations anti-carbone et anti-humaines des régimes fantoches qui dominent les gouvernements occidentaux prennent la forme d’interventions sans précédent visant à ralentir le rythme et à réduire l’ampleur de l’activité économique. Le principal moyen de provoquer cette contraction est de rendre la nourriture et les combustibles fossiles plus rares et plus chers. Voyez ceci .
L’objectif de freiner l’activité économique constitue une quasi-condamnation à mort dont les premières victimes sont des millions de pauvres. Cette initiative est poussée par les mêmes personnes qui font pression sur l’OTAN dirigée par les Sioaméricains pour qu’elle s’engage dans un conflit militaire avec la Russie et la Chine.
La promotion d’actes de guerre simultanés, l’un ciblant ceux qui se trouvent sur le front intérieur et l’autre visant à provoquer l’hostilité des superpuissances dotées de l’arme nucléaire, est à la fois bizarre et pour le moins imprudent. On pourrait interpréter cette convergence de scénarios comme étant bien calculée pour accélérer l’élimination massive de personnes.
RépondreSupprimerTromperies opérationnelles et conceptuelles dans les mensonges du COVID
Le Dr Michael Yeadon a initialement perçu le gâchis médical provoqué par une pandémie mal nommée comme le résultat d’une série d’erreurs graves. Peu à peu, il s'éloigna de cette vision. Le Dr Yeadon a rendu public un compte rendu très riche de ses perceptions changeantes de la bureaucratie du COVID. Voyez ceci .
Alors que la futilité de sa quête pour aider la cause de la santé mentale médicale lui devenait de plus en plus claire, le Dr Yeadon a progressivement adopté l’idée que la débâcle du COVID-19 n’est pas un accident survenu au hasard. Sa conclusion professionnelle est plutôt que tout ce fiasco est le résultat d’un sinistre plan visant à infliger délibérément du mal.
En traversant cette transition analytique, le Dr Yeadon a rendu explicite les points de vue de nombreuses personnes qui opèrent des changements de compréhension similaires. Le Dr Yeadon s’exprime au nom d’un cercle plus large de participants et de témoins en concluant que c’est la malveillance, et non l’incompétence, qui est la principale force motrice du fiasco de la COVID.
Le Dr Yeadon apporte à son interprétation une richesse d'expérience et de réalisations dans le processus de recherche et développement dans la création de médicaments commerciaux. Il est un ancien vice-président de Pfizer, où il était responsable mondial de la recherche dans les domaines des allergies et des maladies respiratoires.
Lorsqu'il a quitté Pfizer en 2011, le Dr Yeadon a fondé et dirigé une société de biotechnologie, Ziarco. Novartis a acquis Ziaroco en 2017. Voir ceci .
Consultant indépendant auprès de 30 sociétés de biotechnologie, le Dr Yeadon est actuellement conseiller scientifique en chef auprès de America's Frontline Doctors.
Alors que la crise du COVID fabriqué prenait de l’ampleur, le Dr Yeadon a réagi en s’engageant dans une collaboration constructive avec ses collègues professionnels. En février 2021, le Dr Yeadon faisait partie d’une réponse apportée par Doctors for Covid Ethics. Voyez ceci .
L’initiative D4CE s’adressait à l’Agence européenne des médicaments. Les intervenants ont accusé l’agence d’avoir été « prématurée et imprudente » en accordant aux fabricants d’injections COVID l’équivalent européen de l’autorisation d’utilisation d’urgence.
Parmi les problèmes majeurs soulevés par le Dr Yeadon et ses collègues, il y avait le fait que les nouveaux produits médicaux créeraient presque certainement des déficits sanitaires majeurs en stimulant « les caillots sanguins, les saignements abondants et les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques ». Voyez ceci .
RépondreSupprimerL'affirmation du D4CE selon laquelle ces produits d'injection expérimentaux devraient être retirés de la distribution publique a été répétée à plusieurs reprises par une grande variété de groupes scientifiques et professionnels de haut niveau. Cependant, dans le cas de la prise de pouvoir du COVD-19, le principe de précaution, comme tant d’autres règles axiomatiques de santé publique et de sécurité publique, a tout simplement été jeté aux oubliettes dans la course à toute vitesse visant à infliger des dommages généralisés.
Dans les mois qui ont suivi l'intervention de l'Agence européenne des médicaments, le Dr Yeadon est devenu de plus en plus convaincu de l'inutilité de faire appel à des agences de réglementation corrompues dans le but de protéger le public contre les produits médicaux dangereux. La pourriture et la corruption de ces organismes de réglementation capturés par l’industrie étaient tout simplement trop avancées. Le véritable projet, a-t-il conclu, était d’infliger des dommages médicaux massifs dans le but de concentrer le contrôle de l’humanité entre de moins en moins de mains.
Ses essais et interviews s’enracinaient de plus en plus dans la thèse bien étayée selon laquelle tout le drame du COVID était une arnaque de haut niveau dépourvue de toute honnêteté et intentions bienveillantes. Au cours du développement de cette ligne d’analyse, le Dr Yeadon a rédigé un aperçu concis intitulé « The Covid Lies ». Voyez ceci .
En décrivant son approche, le Dr Yeadon a expliqué qu’il avait en 2020 « essayé de trouver des explications bénignes » au désastre des soins de santé en cours, mais « n’y est pas parvenu ». Il a déterminé que « le tableau général est celui d’une tromperie extrême et d’une fraude hautement organisée ». Selon lui, « tout l’événement est basé sur des mensonges ».
Du point de vue du Dr Yeadon, ces mensonges sont le résultat d’une « planification à long terme » visant à provoquer des « actes délibérément préjudiciables » ayant des « conséquences mortelles ». L’ensemble de la méthodologie « donne un voile d’invisibilité à ceux qui veulent commettre des meurtres de masse, littéralement », dans un environnement « où tant de gens sont prêts à imaginer que cela n’arrive pas ».
De toute évidence, le Dr Yeadon ne mâche pas ses mots en tirant une alarme aux conséquences énormes.
Le Dr Yeadon voit à la fin de ce processus la création d’un système de « passeports vaccinaux » qui seraient la porte d’entrée vers un système mondial massif d’identités numériques obligatoires sous la propriété privée d’un géant de l’entreprise. Il continue,
« Ajoutez à cela [une prise de pouvoir] une « grande réinitialisation financière » avec le retrait des espèces et l'introduction des monnaies numériques des banques centrales (CBDC) et nous obtenons une population entièrement contrôlée, contrôlée automatiquement sans intervention humaine sur le terrain. Il suffit d’exiger de la population qu’elle présente son passeport sanitaire, sinon elle ne sera pas autorisée à franchir un seuil réglementé, comme accéder à un magasin d’alimentation, ou à effectuer une transaction avec de l’argent numérique, à moins que les algorithmes de l’IA ne le permettent.
RépondreSupprimerLa plus grande partie de l'essai du Dr Yeadon est composée de 12 sous-sections qui identifient et expliquent la nature de 12 mensonges liés au COVID. Deux de ces mensonges impliquent ce qu’il appelle « la tromperie conceptuelle centrale » et la « tromperie opérationnelle centrale ».
La tromperie opérationnelle est le système inexact de tests PCR. Cette procédure de diagnostic produit une grande abondance de résultats faussement positifs qui sont déployés pour gonfler la peur et justifier la mise en place d’une énorme infrastructure d’opérations COVID.
Pendant un certain temps, la plupart des journaux du monde ont publié des titres quotidiens destinés à pousser le public à la panique en raison de « l’augmentation des cas confirmés ». Cette nouvelle frauduleuse ne reposait que sur les résultats dénués de sens d’un test dont l’inventeur avait clairement indiqué qu’il n’était pas conçu pour diagnostiquer une maladie. Voyez ceci .
La principale tromperie conceptuelle était le mensonge selon lequel le COVID-19 était un agent pathogène insaisissable qui pouvait se propager de manière prolifique par des personnes ne présentant aucun symptôme de maladie. Le mensonge de la transmission asymptomatique du COVID-19 a ouvert les vannes des faux tests PCR. Cela a également ouvert la voie aux confinements mondiaux qui ont ravagé l’économie mondiale et soumis les humains à des fléaux tels que le suicide, la dépression, la violence domestique et la toxicomanie.
Les gouvernements du Canada, des Pays-Bas et du WEF s'associent pour réduire l'approvisionnement alimentaire et promouvoir l'identification numérique comme condition du voyage aérien
Les cartes d’identité numériques et les soi-disant passeports vaccinaux contre lesquels le Dr Yeadon a mis en garde sont mis en avant de diverses manières. Par exemple, la Banque mondiale a contribué 1 milliard de dollars pour financer de « nouveaux cadres de passeport vaccinal à l’échelle nationale ». Voyez ceci .
L’approche américaine en matière de passeports vaccinaux implique « un réseau complexe de partenariats Big Tech ». Voyez ceci .
L'une des initiatives implique un projet de collaboration entre le Forum économique mondial (WEF), le gouvernement Trudeau au Canada et le gouvernement Mark Ruffe aux Pays-Bas. La coopération trilatérale entre ces parties est consacrée au lancement d'un projet pilote nommé Known Traveler Digital Identity, KTDI. Voyez ceci .
RépondreSupprimerBeaucoup de personnes qui ont fait la queue pour se faire vacciner contre le COVID l’ont fait volontairement pour voyager. Ce même groupe est à nouveau ciblé dans le cadre des efforts visant à étendre la prise de pouvoir du COVID aux identifications numériques mondialisées.
Le site Web conjoint KTDI/WEF décrit l'initiative comme « la première collaboration mondiale de ce type », une collaboration qui « permet des voyages plus sûrs et plus fluides ». Pour ce faire, il « permettra aux partenaires du consortium d'accéder à des déclarations vérifiables sur l'identité d'un voyageur ».
L’un des moyens par lesquels les partenaires du KTID affirment qu’ils atteindront l’objectif de « partage et collaboration transfrontaliers de données » consiste à adopter la biométrie. La biométrie permet des systèmes informatisés de reconnaissance faciale qui permettent aux autorités de « lier l’identité numérique à la personne physique ». Voyez ceci .
Le même partenariat trilatéral soutenant l’initiative KTDI est également mis en évidence à l’échelle internationale dans la résistance croissante au plan néerlando-canadien-WEF visant à réduire de 30 % l’utilisation d’engrais émettant de l’azote. Ceux qui sont à l'origine de cette réduction justifient la diminution de la nourriture disponible par le respect du plan Agenda 2030 de l'ONU.
La résistance concertée des agriculteurs néerlandais à cette attaque contre leur viabilité économique a souvent été comparée à la réponse du Convoi pour la liberté des camionneurs canadiens aux actions répressives du gouvernement Trudeau. Aujourd’hui, les mouvements de résistance des agriculteurs aux Pays-Bas et au Canada unissent leurs forces contre des attaques similaires contre la production alimentaire menées par leurs propres gouvernements endoctrinés par le WEF.
- voir clip (Rumble) sur site -
Voyez ceci .
La moitié du cabinet de Justin Trudeau est composée de néophytes politiques diplômés du programme Young Leaders du WEF. Un document intitulé « Présentation de l'ambition numérique du gouvernement du Canada 2022 » est tout à fait en phase avec le programme de grande réinitialisation du WEF. Le gouvernement Trudeau y expose son plan ambitieux pour les prochaines étapes de la prise de pouvoir liée au COVID-19, avec des formes plus sophistiquées de surveillance des logiciels espions rendues possibles par des normes universalisées en matière d’identification numérique. Voyez ceci .
Le long article Web s’ouvre sur l’affirmation suivante : « Depuis le début de la pandémie de COVID-19, les Canadiens travaillent, magasinent, apprennent et interagissent de plus en plus avec le gouvernement en ligne. » La déclaration se vante ensuite : « Pendant la pandémie, le gouvernement a rapidement déployé de nouveaux programmes innovants pour soutenir les Canadiens. »
RépondreSupprimerCette affirmation s’éloigne en grande partie de ce qui s’est réellement passé. En fait, le flux de communications à sens unique du gouvernement canadien sur la COVID-19 n’avait pas grand-chose à voir avec « l’engagement » ou les « programmes innovants ». Le plus haut responsable du gouvernement canadien a plutôt utilisé Internet pour rendre publiques ses attaques personnelles acerbes visant à diffamer, diaboliser, séparer, menacer et retirer de leur emploi de nombreux Canadiens qui ont choisi de ne pas se faire vacciner contre les caillots pathogènes.
La « consultation » promise sur les « ambitions numériques du Canada » continuera probablement à marginaliser et à rejeter les opinions de tous les Canadiens qui ne partagent pas les mêmes programmes que le gouvernement canadien endoctriné par le FEM.
Voyez ceci et cela .
Le système d’identification numérique KTID sera sans aucun doute présenté comme un moyen de sortir du chaos qui s’est emparé de l’industrie aéronautique. L'aéroport international Pearson de Toronto est l'un des exemples internationaux les plus notoires de cet effondrement du secteur du transport aérien. Il relève de la compétence fédérale du gouvernement de Justin Trudeau.
Au printemps et à l’été 2022, l’aéroport Pearson a fait la une des journaux internationaux en étant désigné comme « le pire au monde » en termes de retards et d’annulations de vols. L’effondrement du système aéronautique est étroitement lié à l’imposition de mandats d’injection qui ont poussé des milliers de personnels de l’aviation à quitter leur emploi.
Le départ volontaire ou coercitif de masses d'employés expérimentés des compagnies aériennes fuyant la police de leur employeur, habilitée par le gouvernement fédéral, constitue l'élément central de l'effondrement très public de l'industrie aéronautique. Voyez ceci et cela .
Parmi les travailleurs de l’aviation conformes aux injections qui ont suivi les mandats figurent des pilotes entièrement vaccinés. En tant que destinataires des injections de caillots, l'environnement de travail à haute altitude des pilotes restants les expose à des risques accrus de crise cardiaque, d'accident vasculaire cérébral, etc. Voyez ceci .
En conséquence, les voyageurs qui sont capables de voler sont soumis à la menace supplémentaire de catastrophes aériennes causées par des urgences médicales dans le cockpit. Voyez ceci et cela .
Le désordre notoire à l'aéroport de Toronto peut être considéré comme le reflet de l'incompétence de Justin Trudeau. Trudeau parvient à piéger pratiquement toutes les responsabilités fédérales qu’il touche.
Trudeau a traité l'aéroport le plus fréquenté du Canada comme un jeu vidéo réel pour ses expériences, par exemple, sur les tests COVID aléatoires, la mise en quarantaine et l'imposition obligatoire à tous les passagers de l'application de voyage ArriveCan codée par QR. Voyez ceci .
RépondreSupprimerCette application ArriveCan a été décrite comme « une technologie de suivi glorifiée avec un enregistrement des vaccins COVID que vous avez reçus ». Il s’agit essentiellement d’un passeport vaccinal déguisé prêt à être intégré à l’infrastructure du projet KTID. Voyez ceci .
Pouvons-nous restaurer un État de droit et un mode de vie décent et raisonnable ?
Christine Anderson, députée européenne, a récemment présidé une réunion à Bruxelles sur le chaos dans le transport aérien. À l’assemblée, l’affirmation a été soulevée selon laquelle « les pilotes vaccinés pourraient ne plus être aptes à voler ».
La détérioration de l’industrie aéronautique traumatisée est de plus en plus considérée comme un exemple révélateur du profond malaise résultant de la mise en œuvre massive des mensonges du COVID. Ce n’est que maintenant que quelques courageux dans de nombreuses professions, institutions et industries discréditées commencent à être confrontés aux implications de la mise de côté des principes de précaution afin d’agir sur ces fausses déclarations. Voyez ceci et cela .
Les premières étapes de cette prise de conscience au sein du secteur aérien montrent la voie à des processus similaires qui doivent avoir lieu dans l’ensemble de la société. Nous ne serons pas en mesure de rétablir quoi que ce soit qui ressemble à un État de droit viable, et encore moins à des conditions de vie décentes et raisonnables, sans nous attaquer au rôle des mensonges et des crimes du COVID dans la prise de pouvoir en cours du COVID.
Dans la deuxième partie de cet essai, nous explorerons davantage les facteurs qui ont poussé Mme Anderson à replacer le fiasco de l'aviation dans son contexte. Ce fiasco se déroule, a-t-elle réfléchi, comme l’un des aspects du « plus grand crime jamais commis dans l’histoire contre l’humanité ».
https://www.globalresearch.ca/covid-19-power-grab-organized-crime/5792651