- ENTREE de SECOURS -



jeudi 10 août 2023

RÉCHAUFFEMENT: Le «thermomètre mouillé», indicateur de la chaleur supportable

Cette mesure prend en compte non seulement la température mais le taux d’humidité. Il y a danger mortel à 35 °C et 100 % d’humidité ou 46 °C et 50 %.


9 août 2023, 18:08


Le thermomètre mouillé a son extrémité enveloppée dans un chiffon mouillé ou dans un environnement humide !

Il y a une limite à la quantité de chaleur et d’humidité que le corps humain peut supporter et le dérèglement climatique promet d’augmenter les épisodes de «thermomètre mouillé», potentiellement mortels.

Plus encore qu’en chaleur absolue, dont les records tombent régulièrement, la capacité de résistance du corps humain s’évalue en fonction du concept de «température humide» ou «thermomètre mouillé». Même une personne jeune et en parfaite santé risque de mourir après six heures à 35 degrés en température au «thermomètre mouillé» («Wet Bulb Globe Temperature», TW), indice qui prend en compte à la fois la chaleur et l’humidité, selon des recherches.

La sueur ne s’évapore plus

À ce stade, l’humidité contenue dans l’air chaud empêche l’évaporation de la transpiration, principal outil du corps pour abaisser sa température, pouvant entraîner un coup de chaleur, une défaillance d’organes voire la mort.

Une température de 35 degrés au «thermomètre mouillé» a été atteinte une douzaine de fois dans le monde jusqu’ici, principalement en Asie du Sud et dans le golfe Persique, explique à l’AFP Colin Raymond, chercheur de la NASA. Ces épisodes n’ayant jusqu’ici jamais dépassé deux heures, aucun «événement de mortalité massive» n’y a été lié, note cet expert, principal auteur d’une étude parue en 2020.

Mais alors que les températures continuent d’augmenter, juillet 2023 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre, les épisodes de «thermomètre mouillé» vont se multiplier, avertissent les scientifiques. La fréquence des pics de chaleur humide a plus que doublé dans le monde depuis 1979 et les températures «dépasseront régulièrement 35°TW» dans différentes parties du globe si le réchauffement mondial atteint +2,5 °C, selon les travaux de Colin Raymond.

L’Asie du Sud et du Sud-Est, le golfe Persique, le golfe du Mexique et certaines parties du continent africain sont les régions les plus exposées.

Désormais principalement calculé via les données de chaleur et d’humidité, l’effet de «thermomètre mouillé» était initialement mesuré en plaçant un chiffon humide sur un thermomètre et en l’exposant à l’air. Cela a permis de mesurer la vitesse à laquelle l’eau s’évaporait du tissu, comme la transpiration de la peau. La limite théorique de survie humaine de 35° au «thermomètre mouillé» représente 35 °C avec une humidité de 100% ou 46 °C avec 50% d’humidité.

Endurance variable selon les personnes

Pour tester cette limite, des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, aux États-Unis, ont évalué les températures de jeunes en bonne santé dans une chambre thermique. Les participants atteignaient leur «limite environnementale critique» (soit lorsque leur corps était incapable d’empêcher leur température interne de continuer à grimper) à 30,6° au «thermomètre mouillé».

Il faudrait entre cinq et sept heures avant que de telles conditions n’atteignent «des températures vraiment, vraiment dangereuses», a précisé à l’AFP Daniel Vecellio, qui a travaillé sur l’étude. Joy Monteiro, chercheur basé en Inde qui a récemment publié une étude dans «Nature» sur le «thermomètre mouillé» en Asie du Sud, souligne que la plupart des vagues de chaleur meurtrières dans la région étaient jusqu’alors bien en dessous du seuil des 35 degrés TW.

Mais les limites d’endurance varient fortement d’une personne à l’autre, a-t-il expliqué à l’AFP. Les jeunes enfants sont moins capables de réguler leur température corporelle, donc plus à risque. Les plus vulnérables restent cependant les personnes âgées, dotées de moins de glandes sudoripares et déjà davantage victimes des canicules. Les personnes devant travailler à l’extérieur sont également plus en danger.

La possibilité ou non de refroidir occasionnellement son corps, par exemple dans des espaces climatisés, joue aussi. Sans compter l’accès à des toilettes, car les personnes qui en sont privées boivent souvent moins d’eau et se déshydratent plus.

Aggravé par El Niño

Les recherches de Colin Raymond montrent aussi que le phénomène climatique El Niño a accru l’effet «thermomètre mouillé» par le passé. De retour depuis peu, ce grave épisode météorologique, cyclique, fera sentir ses pleins effets vers la fin de cette année et perdurera l’année suivante.

Les pics de «thermomètre mouillé» sont aussi étroitement liés aux températures océaniques de surface, précise le chercheur. Or les océans ont battu la semaine dernière un nouveau record mondial de température, supérieur au précédent de 2016, selon l’observatoire climatique de l’Union européenne, Copernicus.

https://www.lematin.ch/story/le-thermometre-mouille-indicateur-de-la-chaleur-supportable-283807430343

 

54 commentaires:

  1. A quand pour les trisomiques l'idée du corps mouillé ?

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  2. La FOIA montre que le gouvernement a soudoyé des gynécologues-obstétriciens pour pousser le vaccin toxique de Covid


    Par Ben Amstrong
    Le nouvel américain
    9 août 2023


    La FOIA a également révélé que les OB-GYN payés par le HHS simulaient des cas de covid afin de faire grimper les chiffres. Regardez la vidéo pour en savoir plus.

    Sources vidéo :

    Salle de guerre de Bannon - Dr Naomi Wolf: HHS a payé les OB-GYN de la nation pour «s'en tenir au script HHS» sur l'effet de COVID Vax sur les femmes enceintes

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    Cela est apparu à l'origine sur The New American.

    https://www.lewrockwell.com/2023/08/no_author/foia-shows-the-government-bribed-ob-gyns-to-push-poisonous-covid-shot/

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  3. Les enfants n'ont presque jamais transmis le COVID dans les écoles ; Découvertes majeures de nouvelles études


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 08 AOÛT 2023 - 21:45
    Écrit par Alex Berenson via la sous-pile "Unreported Truths",


    La recherche devrait mettre fin à ce qui reste de l'effort pathétique d'arrière-garde pour défendre les fermetures d'écoles - ou toute mesure d'atténuation comme obliger les enfants à porter des masques...

    Les enfants n'ont presque jamais transmis d'infections à Covid à l'école, révèle une étude publiée vendredi.

    À l'automne 2021, dans quatre districts scolaires du Massachusetts comptant 18 000 enfants, les chercheurs ont découvert 44 cas potentiels de transmission à l'école.

    Vous avez bien lu.

    18 000 étudiants. 34 écoles. Quatre mois. Et 44 infections à Covid - dont aucune infection d'enseignants ou d'autres membres du personnel.

    Tout au long de 2020 et 2021, alors que les parents pressaient avec une urgence croissante de rouvrir les salles de classe, les syndicats d'enseignants et les politiciens démocrates ont averti que la transmission de Covid à l'école entraînerait des vagues de décès. "Les enseignants sont tellement inquiets de retourner à l'école qu'ils préparent des testaments", a tristement écrit CNN le 16 juillet 2020.

    En réalité, les écoles étaient parmi les endroits les plus sûrs possibles pour les élèves et les enseignants pendant Covid, suggère cette étude.

    L'étude, qui a été publiée dans la revue à comité de lecture JAMA Health Forum, est à la fois presque inutile et vitale.

    C'est presque inutile pour faire progresser nos connaissances réelles sur Covid - car des chercheurs sérieux savent depuis 2020 que les enfants propagent Covid beaucoup moins fréquemment que les adultes et que les écoles et les camps étaient susceptibles d'être des sources majeures de nouveaux cas de Covid.

    Dès le 11 avril 2020, des chercheurs français ont publié un article montrant qu'un enfant de neuf ans infecté n'avait pas transmis la maladie "malgré des interactions étroites au sein des écoles". En août 2020, des chercheurs espagnols et suédois avaient confirmé cette découverte à une échelle beaucoup plus grande.

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  4. La raison est également évidente, puisque c'est la même raison pour laquelle les enfants tombent beaucoup moins malades que les adultes. Ils ont des charges virales plus faibles et éliminent l'infection plus rapidement. Pour de nombreux enfants en bonne santé, Covid est à peine un rhume.

    (Juste une autre bonne raison de détester CNN)

    Pourtant, le nouveau papier est également vital.

    Pourquoi? Parce qu'il couvre les écoles américaines et a été publié dans une revue américaine. Et le complexe américain Covid-politico-médical a l'habitude depuis plus de trois ans d'ignorer simplement toute recherche extérieure aux États-Unis, surtout si elle comprend des données et des faits gênants.

    Et donc avoir des preuves américaines concrètes que les écoles n'étaient en aucun cas des vecteurs significatifs de transmission de Covid ne peut que contribuer à garantir que l'erreur colossale des fermetures massives d'écoles ne se reproduise plus jamais.

    Dommage que cela arrive bien trop tard pour avoir de l'importance pour les enfants des États bleus qui, dans certains cas, se sont vu refuser plus d'un an d'éducation en personne.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/kids-almost-never-transmitted-covid-schools-major-new-study-finds

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    1. Un poison n'est PAS transmissible par expirations. Ce poison mortel inoculé circule dans le sang (de la tête aux pieds) et supprime toutes immunités et aggrave toutes les maladies existantes dont l'inoculé est porteur.

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  5. En effet, selon le procureur général adjoint spécial pour la Louisiane, D. John Sauer, un avocat des plaignants dans l'affaire Missouri c. Biden, "les fonctionnaires fédéraux sont les plus désireux, les plus concentrés, à faire taire les discours véridiques", et si "ils ne sont pas contrôlés , la censure fédérale atteindra pratiquement toutes les questions sociales et politiques contestées sur lesquelles les fonctionnaires fédéraux veulent imposer leur pouvoir. »12

    Facebook a appelé un « récit erroné » dans le rapport

    De toute évidence, le ciblage de Kennedy, de moi et de bien d'autres a pour origine la liste "Disinformation Dozen". Sans cela, les attaquants auraient «volé à l'aveugle», ne sachant pas qui cibler.

    Avec des objectifs spécifiques, cependant, le gouvernement, travaillant illégalement avec Big Tech dans les coulisses, a pu concevoir une campagne de censure largement médiatisée, dont l'intention réelle (je crois) était d'effrayer tout le monde pour qu'il suive la ligne officielle, de peur qu'ils , aussi, être annulé, diffamé, déformé, délicencié ou pire.

    Dans un rapport Facebook du 18 août 202113, Monika Bickert, vice-présidente de la politique de contenu de Facebook, a remis les pendules à l'heure en déclarant que les 12 personnes identifiées par le CCDH n'étaient en fait responsables que de 0,05 % de toutes les vues sur le vaccin -contenu lié sur Facebook — bien loin des 73 % revendiqués par le CCDH. Selon Bickert :

    « Le rapport14 sur lequel repose le récit erroné n'a analysé qu'un ensemble restreint de 483 éléments de contenu sur six semaines provenant de seulement 30 groupes, dont certains ne comptent que 2 500 utilisateurs. Ils ne sont en aucun cas représentatifs des centaines de millions de messages que les gens ont partagés sur les vaccins COVID-19 au cours des derniers mois sur Facebook.

    De plus, il n'y a aucune explication sur la manière dont l'organisation à l'origine du rapport a identifié le contenu qu'elle décrit comme "anti-vax" ou sur la manière dont elle a choisi les 30 groupes qu'elle a inclus dans son analyse. Rien ne justifie leur affirmation selon laquelle leurs données constituent un «échantillon représentatif» du contenu partagé sur nos applications.

    Le CCDH répond à la définition des « extrémistes haineux »

    Ironiquement, alors que le CCDH prétend « lutter contre la haine » en ligne et que son fondateur et PDG Imran Ahmed siège au comité directeur de la Commission britannique de lutte contre l'extrémisme, le CCDH lui-même répond à la définition de la Commission des extrémistes haineux.15 Dans le document de la Commission de 2019 , "Combattre l'extrémisme haineux", le terme est défini comme :16

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  6. « Les comportements qui peuvent inciter et amplifier la haine, ou s'engager dans une haine persistante, ou tergiverser et plaider moralement en faveur de la violence ; Et qui s'appuient sur des croyances haineuses, hostiles ou suprématistes dirigées contre un groupe externe qui sont perçues comme une menace pour le bien-être, la survie ou le succès d'un groupe interne ; Et qui causent, ou sont susceptibles de causer, des dommages aux individus, aux communautés ou à la société au sens large. »

    En outre, dans l'avant-propos du rapport, la commissaire principale Sara Khan note que "les extrémistes haineux cherchent à restreindre les libertés individuelles et à restreindre les libertés fondamentales qui définissent notre pays".

    Toutes ces définitions et clarifications de ce qu'est l'extrémisme haineux adaptent le CCDH à un T. Ahmed a fabriqué des données pour créer un faux récit selon lequel 12 individus constituent une menace pour le bien-être et la survie du monde entier, puis a utilisé ce récit pour inciter haine contre nous et restreignent notre liberté d'expression.

    Qui finance cette organisation ? Ils répandent la désinformation et poussent à la censure, tout en prétendant le contraire. Vraiment maléfique. ~ Elon Musc
    Depuis lors, le harcèlement contre nous - alimenté par le faux récit créé par le CCDH - s'est transformé en cyberattaques et en débancage, qui ont encore restreint nos libertés fondamentales d'une manière qui aurait été impensable dans le passé.

    Elon Musk poursuit le CCDH

    Le 31 juillet 2023, Twitter, désormais renommé X Corp, a intenté une action en justice contre le CCDH17, arguant que le CCDH « s'emploie activement à empêcher la libre expression » et diffuse « des allégations troublantes et sans fondement qui semblent conçues pour nuire à Twitter en général, et à son réseau numérique ». publicité en particulier.

    Les affirmations sans fondement auxquelles Musk fait référence font référence à un rapport du CCDH du 1er juin 202318 sur Twitter Blue, qui affirme que Twitter n'a pas censuré 99 % de la haine publiée par les comptes abonnés à Twitter Blue. Selon Musk, les affirmations du CCDH sont "fausses, trompeuses, ou les deux, et elles ne sont étayées par rien qui puisse être qualifié de manière crédible de recherche".19

    Dans une publication Twitter/X du 18 juillet 2023, Musk a republié le rejet par Facebook du rapport « The Disinformation Dozen », déclarant : « Qui finance cette organisation ? Ils répandent la désinformation et poussent à la censure, tout en prétendant le contraire. Vraiment diabolique. Deux semaines plus tard, le jour même où il a déposé sa plainte contre le CCDH, il a tweeté : « Enlevons le masque de cette organisation et voyons qui est vraiment derrière elle. »20

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  7. Selon Musk, le CCDH s'est engagé "dans une série d'actes illégaux visant à accéder de manière inappropriée aux données protégées de X Corp." dans le but de créer une "campagne de peur" pour éloigner les annonceurs de sa plateforme. Le Défenseur rapporte :21

    «Déposée devant le tribunal de district américain du district nord de la Californie, la poursuite a accusé le CCDH de« se faire passer pour une agence de recherche et d'utiliser des identifiants de connexion obtenus de manière inappropriée pour accéder aux données de l'entreprise.

    Selon la plainte, le CCDH a utilisé les données pour "choisir parmi les centaines de millions de messages publiés chaque jour sur X et prétendre à tort qu'il disposait d'un support statistique montrant que la plate-forme est submergée de contenu préjudiciable". au moins des dizaines de millions de dollars en revenus publicitaires et autres coûts en conséquence directe des actions du CCDH.

    Commentant le procès, Sayer Ji, fondateur de Greenmedinfo.com, a déclaré au Defender :22

    « Les médias grand public rendent compte de la décision de Musk sous un jour négatif, ce qui est à prévoir, étant donné la façon dont ils ont travaillé en collusion avec le CCDH lors des campagnes précédentes, attaquant ou défendant en leur nom, sans faute …

    Ce procès vise à avertir le CCDH, leurs complices dans les médias et le gouvernement américains, ainsi que leurs bailleurs de fonds sombres à l'étranger, que les lois de ce pays et la Constitution américaine qui les vivifie ne seront pas piétinées si honteusement sans un bon combat.

    Jim Jordan lance une enquête sur le CCDH

    Le 3 août 2023, le président de la magistrature de la Chambre, Jim Jordan, R-Ohio, a également ouvert une enquête sur le CCDH. Le groupe a reçu l'ordre de remettre des dossiers au comité judiciaire détaillant ses interactions avec le gouvernement américain et le pouvoir exécutif d'ici le 17 août 2023.23 Tel que rapporté par le Washington Examiner :24

    "" Nous savons par les fichiers Facebook que le Center for Countering Digital Hate travaillait avec la Maison Blanche pour censurer les discours ", a déclaré un haut responsable du Congrès du GOP au courant de l'enquête. ‘Mais jusqu’où est-il allé ? Les républicains veulent le savoir, et bien sûr, des assignations à comparaître sont sur la table si nous n'obtenons pas de réponses.

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  8. La lettre de la Jordanie25 [au CCDH]… est la dernière escalade des efforts du GOP pour enquêter sur la manière dont le gouvernement fédéral s'est, dans certains cas, coordonné avec le secteur privé pour signaler certains discours, y compris des discours liés à la COVID-19, comme de la « désinformation » ou "désinformation"...

    "Nous souhaitons comprendre les interactions entre le Centre de lutte contre la haine numérique (CCDH) et le gouvernement fédéral en particulier, ainsi qu'entre le CCDH et les entreprises de médias sociaux", a écrit Jordan dans sa lettre au PDG du centre, Imran Ahmed…

    Dans sa lettre, Jordan a demandé au centre des communications remontant à janvier 2015 entre lui-même et des employés, des sous-traitants ou des représentants avec le pouvoir exécutif ou des sociétés de médias sociaux "faisant référence ou concernant la modération, la suppression, la suppression, la restriction, la démonétisation ou la réduction circulation du contenu » ainsi que « l'exactitude ou la véracité du contenu » et « l'attribution du contenu à la source ou au participant à une opération étrangère malveillante ou d'influence parrainée par l'État ».

    Le président a également demandé une liste des employés, sous-traitants ou agents du centre qui «ont communiqué» avec des entreprises technologiques ou le gouvernement sur la modération de contenu – et des détails sur les contrats ou subventions reçus du gouvernement américain sur cette pratique.

    Quel est le véritable objectif derrière le CCDH ?

    En plus de cibler les « anti-vaxxers », le CCDH a élargi ses domaines de plaidoyer pour inclure également la « désinformation sur le changement climatique ». Nous pouvons probablement nous attendre d'un jour à l'autre à une liste des « 10 principaux diffuseurs de désinformation sur le changement climatique » pour faire taire les personnes qui s'opposent à la fermeture des fermes, à la restriction des déplacements et à l'interdiction des cuisinières à gaz au nom du changement climatique.

    En fin de compte, il semble que le CCDH ait été créé comme une arme de propagande pour une guerre de l'information, dans laquelle nous sommes en ce moment.

    Lorsque le rapport "Disinformation Dozen" a été publié, le CCDH était littéralement une opération d'un seul homme, bien qu'il ait eu un conseil d'administration qui supervisait son travail. Depuis lors, le CCDH a ajouté plusieurs membres à l'équipe, dont une responsable des politiques et des partenariats (Sarah Eagan), une responsable de la recherche (Callum Hood), une responsable des campagnes et des communications (Tom Lavelle) et une directrice de l'exploitation (Jemma Levene) .

    Auparavant, les membres du conseil d'administration étaient tous répertoriés sur le site Web du CCDH, mais cette liste a maintenant été supprimée, et une recherche dans les documents déposés par les sociétés UK.gov26 révèle que le conseil d'administration du CCDH a subi de nombreux changements au cours des deux dernières années.

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  9. Cela dit, en 2021, lorsque le rapport "The Disinformation Dozen" a été publié, les membres du conseil d'administration qui ont supervisé et approuvé ce travail pourraient être liés à une longue liste de bastions de l'État profond et de promoteurs de la grande réinitialisation, notamment :

    La Commission trilatérale, le Conseil de l'Atlantique, le Conseil européen des relations étrangères, Save the Children Fund (financé par la Fondation Gates et un partenaire de Gates' GAVI Vaccine Alliance), le Parlement britannique, la CIA, Reuters et Event 201 (la pandémie exercice organisé en octobre 2019 qui a préfiguré et « joué » les contre-mesures draconiennes mises en œuvre lorsque le COVID-19 est apparu des mois plus tard).

    Compte tenu de l'influence sans précédent et imméritée du CCDH, nous devons vraiment découvrir qui dirige et finance cette organisation. L'avenir nous dira si le procès d'Elon Musk peut clarifier ce qui se cache réellement derrière cette organisation, dont la seule mission semble être l'élimination de la liberté d'expression, sans laquelle la démocratie ne peut exister.

    Sources and References

    1 Counterhate.com The Disinformation Dozen March 24, 2021
    2 Search for “Brandon Hill” through this XML page to find the metadata creator
    3 TBCrevolutions.com
    4 The Atlantic November 2, 2021
    5 Fox News May 16, 2023
    6 Greenmedinfo.com July 24, 2023
    7, 8 The Defender July 27, 2023
    9 AG Letter to Tech CEOs March 24, 2021 (PDF)
    10 The Defender July 18, 2023
    11, 12 The Defender July 20, 2023
    13 Facebook August 18, 2021
    14 CCDH, The Disinformation Dozen
    15 Greenmed Info March 25, 2021
    16 Challenging Hateful Extremism 2019
    17 New York Times July 31, 2023 (Archived)
    18 Counterhate.com June 1, 2023
    19, 20 AOL.com August 1, 2023
    21, 22 The Defender August 1, 2023
    23 Greenmedinfo.com August 3, 2023
    24 Washington Examiner August 3, 2023
    25 Jim Jordan’s letter to Imran Ahmed CEO of CCDH August 3, 2023
    26 Gov.UK Companies House Advanced Search

    https://www.lewrockwell.com/2023/08/joseph-mercola/group-attacking-mercola-sued-by-elon-musk/

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  10. Le successeur de Fauci au NIAID a colporté le dangereux médicament Remdesivir comme «solution miracle» contre Covid-19

    Le Dr Jeanne Marrazzo a essayé d'utiliser un médicament antiviral IV dangereux sur chaque patient hospitalisé par covid à l'UAB.


    JORDANIE SCHACHTEL
    9 AOÛT 2023


    Le Dr Jeanne Marrazzo, le nouveau successeur du Dr Anthony Fauci à l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), a récemment été l'une des principales femmes américaines à la mode pour un médicament antiviral qui est maintenant unanimement considéré comme un traitement dangereux et catastrophiquement échoué pour COVID-19 [feminine.

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    Avant de passer à son poste de santé publique, Marrazzo a longtemps été directrice de la Division des maladies infectieuses de l'Université de l'Alabama à Birmingham (UAB).

    En partenariat avec le fabricant de médicaments Big Pharma Gilead, UAB a joué un rôle majeur dans la recherche et le développement du Remdesivir. Le médicament a été développé il y a plus de dix ans dans l'espoir de traiter l'hépatite C et le virus respiratoire syncytial (VRS), mais a soudainement été réutilisé pour "traiter" le Covid-19 lorsque l'hystérie du coronavirus a atteint les États-Unis.

    Compte tenu du partenariat UAB-Gilead, on pourrait penser que le Dr Marrazzo s'abstiendrait de commenter les questions à travers lesquelles elle entretenait un conflit d'intérêts clair. Ou à tout le moins, elle avait le devoir de divulguer son conflit d'intérêts lorsqu'elle parlait aux médias du «médicament miracle» développé par l'UAB. Elle n'a rien fait de tel.

    - voir doc sur site -

    Pire encore, le Dr Marrazzo a dénoncé des alternatives inoffensives et peu coûteuses comme l'hydroxychloroquine, tout en vantant les mérites du médicament concurrent super cher Gilead-UAB.

    "L'espoir était peut-être que si vous traitez au début de la maladie, vous n'avez pas besoin d'une solution miracle" comme le remdesivir, a-t-elle déclaré au Washington Post dans un article de juillet 2020. "Les hôpitaux sont sur le fil du rasoir", a-t-elle ajouté, contribuant à la peur et à la paranoïa qui enveloppaient la nation à l'époque.

    Interview après interview, le Dr Marrazzo n'avait que de bonnes choses à dire sur le remdesivir, malgré l'incroyable manque de données disponibles pour étayer ses affirmations farfelues sur le médicament.

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  11. Sur les réseaux sociaux, Marrazzo a prodigué des éloges sans fin au Remdesivir, le déclarant le meilleur agent contre la maladie à coronavirus et se vantant que son hôpital essaie de l'utiliser sur chaque patient hospitalisé.

    "Nous n'avons pas assez de remdesivir pour traiter tous ceux qui sont à l'hôpital", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse fin 2020 sur l'état de son système hospitalier. "C'est une situation vraiment difficile."

    Son prédécesseur au NIAID, M. Fauci, a tristement présenté le Remdesivir comme la «norme de soins» pour le traitement Covid-19, ajoutant qu'il peut «bloquer le virus».

    Les affirmations pseudoscientifiques non étayées concernant des médicaments très coûteux (un traitement complet de remdesivir coûte des milliers de dollars au patient) n'ont rien de nouveau pour les responsables du NIAID, qui, sous la direction de Fauci, ont créé une agence qui agit comme un service de marketing gouvernemental pour les sociétés pharmaceutiques.

    Sans aucun doute, le maximalisme du Remdesivir de Marrazzo a eu des implications désastreuses pour les patients hospitalisés à l'UAB. La soi-disant solution miracle a ensuite pris un surnom morbide, "courez, la mort est proche", en raison du portefeuille d'effets secondaires graves associé au médicament IV.

    Les titres parlent d'eux-mêmes :

    - voir doc sur site -

    Le remdesivir a non seulement échoué, mais a activement nui aux patients hospitalisés, à qui on a injecté l'agent antiviral conformément aux recommandations du Dr Marrazzo.

    Les études les plus exhaustives sur le médicament Gilead-UAB montrent qu'il n'y a aucun avantage clinique à injecter du remdesivir aux patients. De nombreuses études montrent que le Remdesivir peut gravement endommager des organes vitaux tels que le cœur et les reins.

    Le Dr Marrazzo n'a jamais exprimé publiquement de remords pour sa promotion de longue date du médicament qu'elle a autrefois décrit comme une «solution miracle» contre Covid-19. Elle a fait la promotion du médicament dangereux pour la dernière fois en décembre 2021, longtemps après que la plupart des systèmes hospitaliers ont cessé de traiter les patients avec le médicament de catastrophe Gilead-UAB.

    https://www.dossier.today/p/fauci-successor-at-niaid-peddled

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  12. Nouvelles variantes COVID-19 : la propagande s'intensifie et la COVID Con est de retour

    Nouvelles variantes : EG.5.1 "Eris" (DEMONIC Goddess of Chaos & Discord), variante FLIP, variante indonésienne la plus mutée


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale, 09 août 2023


    Je passerai en revue la dernière propagande de variante COVID publiée le 7 août 2023 par les États-Unis aujourd'hui , et une sous-pile de l'un des meilleurs escrocs COVID des États-Unis, le Dr Eric Topol :

    - voir image sur site -

    EG.5.1 – "Variante Eris"
    Le 7 août 2023, USA Today a publié un article sur la nouvelle variante COVID-19 poussée par les grandes sociétés pharmaceutiques comme devenant la plus répandue aux États-Unis et au Royaume-Uni : EG.5.1, surnommée « Eris ».

    EG.5.1 est une sous-variante d'Omicron B.1.1.529

    - voir tableau sur site -

    Variantes COVID 2023 qui n'ont pas fait leur chemin
    Passons en revue certains des « scariants » COVID de 2023 qui n'ont pas réussi à s'imposer :

    - voir tableau et clip sur site -

    Kraken était un grand nom (bien que Jimmy Fallon ait chanté une horrible chanson digne de grincer des dents avec son autre nom XBB.1.5), Arcturus était maladroit et une bouchée, ni compris. Quelqu'un se souvient de Deltacron ? Griffon ? Hypérion ? Acrux ? Orthrus ?

    - voir graph sur site -

    La dernière variante de COVID-19 s'appelle curieusement "Eris". USA Today nous dit que le nom a été inventé par un escroc canadien du COVID, Ryan Gregory, professeur de biologie à l'Université de Guelph (qui m'a bloqué sur Twitter).

    Il est normal qu'un universitaire canadien soit crédité d'avoir choisi « Eris », la déesse grecque du chaos et de la discorde, souvent décrite comme un DÉMON qui aime « infliger douleur, souffrance et destruction ». Très approprié pour le Canada, et la douleur, la souffrance et la destruction infligées à notre population par des démons joyeux.

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  13. Où se propage la nouvelle variante Eris ?
    Eris a déjà dépassé Arcturus aux États-Unis, devenant la variante la plus répandue au cours de la période de deux semaines se terminant le 5 août, avec 17 % des cas, selon le CDC.

    Les États-Unis et le Royaume-Uni ont tous deux enregistré une augmentation des hospitalisations pour COVID au cours des mois d'été, les États-Unis enregistrant une augmentation récente de 12 % des admissions à l'hôpital et une augmentation de 41 % des admissions au Royaume-Uni.

    L'Irlande semble avoir le plus "Eris":

    - voir graph sur site -

    Certains hôpitaux britanniques semblent avoir le plus d'hospitalisations d'Eris :

    - voir image sur site -

    Quels sont les signes de la variante Eris ?
    Eris a des symptômes similaires à Omicron. Les plus courants incluent :

    Nez qui coule ou bouché
    Mal de tête
    Fatigue
    Éternuer
    Mal de gorge
    Tousser
    Modifications de l'odorat
    Poussée d'appoint COVID
    Le professeur Gregory nous dit à quoi ressemblera la poussée du vaccin COVID-19 à l'automne :

    - voir doc sur site -

    Le Dr Eric Topol et la variante effrayante "FLIP"
    La "variante FLIP" est un ensemble de deux mutations adjacentes de protéines de pointe L455F et F456L qui augmentent considérablement la liaison au récepteur ACE2 et diminuent les anticorps neutralisants.

    - voir graph sur site -

    EG.5.1 ne possède qu'une seule de ces deux mutations. Donc, une mutation de plus et vous obtenez la variante FLIP. Il peut également provenir de Kraken (voir le tableau compliqué ci-dessus).

    « L'évolution (variante FLIP) du virus sera plus troublante que EG.5.1 et nous pouvons nous attendre à ce qu'il montre un avantage de croissance supplémentaire dans les semaines à venir. À l'heure actuelle, il est à des niveaux faibles au niveau mondial (~2%) ”

    Le Brésil et l'Espagne sont les points chauds de la variante FLIP :

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  14. 25% des Canadiens ont pris des boosters bivalents Omicron (9,4 millions), donc je m'attendrais à ce que la même population fasse la queue pour le booster Jimmy Fallon ou le booster Kraken qui sortira à l'automne (conçu contre XBB.1.5 qui est apparemment assez proche à EG.5.1).

    Poussée de propagande douce

    Ce que je vois en ce moment, c'est une poussée de propagande douce pour relancer les injections de rappel d'ARNm COVID-19, et ils savent qu'ils ont 25% de la population garantie de faire la queue comme des moutons pour leur prochaine dose de poison d'ARNm.

    Mais ce qu'ils recherchent vraiment, c'est le reste des 85 % qui ont pris 2 doses mais qui ont arrêté de prendre des rappels. C'est la cible. Et il est difficile de les récupérer.

    Ce théâtre EG.5.1 Eris ne fonctionnera pas et ils le savent. Ils ne veulent pas non plus surjouer leur main, alors ils nous disent que EG.5.1 n'est pas trop inquiétant.

    Mais il y a 3 messages clés qu'ils poussent en ce moment :

    La pandémie de COVID-19 n'est pas terminée - #CovidIsNotOver
    Ils veulent ramener le masquage – #MaskUp
    Le virus COVID-19 évolue et il y a des variantes « effrayantes » à venir
    Voici à quoi ressemble la propagande sur Twitter :

    Conclusion

    Qu'il s'agisse de Kraken ou d'Eris, ou d'EG.5.1, ces variantes concernent UNIQUEMENT les vaccinés COVID-19 dont le système immunitaire a été détruit.

    Ils courent un risque d'hospitalisation ou de décès, d'autant plus s'ils prennent également le rappel Kraken à l'automne. Plus de jabs = plus de destruction immunitaire = plus de décès.

    Pour le reste d'entre nous, je suis beaucoup plus préoccupé par les tentatives d'emprisonner Trump et les efforts en cours pour faire taire et détruire tous les médecins dissidents. Le Canada met tout en œuvre pour censurer Internet et Twitter est à nouveau en panne, avec des shadowbans et des suspensions.

    Quelle que soit la catastrophe avec laquelle ils vont nous frapper ensuite, ils veulent d'abord que beaucoup d'entre nous soient réduits au silence. Et c'est ce qui me fait peur à ce stade.

    Eris "se délecte de l'effusion de sang" et aime infliger douleur, souffrance et destruction.

    Ils se moquent de nous dans le processus.

    https://www.globalresearch.ca/new-covid-variants-propaganda-ramping-covid-con/5828204

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    Réponses
    1. Le retour de Batman ? Superman ? Stallone ? Schwarzenegger ? Paméla Anderson ? Non ! Le retour de Coco Vide19 ! HAHAHAHAHAHA !
      LE chef des trous de cul ! Et leurs adorateurs en redemandent ! Youpiiiiii !

      "On veut se faire inoculer la 5ème dose ! "On veut se faire inoculer la 5ème dose ! "On veut se faire inoculer la 5ème dose ! "On veut se faire inoculer la 5ème dose !

      HAHAHAHAHJA !

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  15. "Des résultats significativement pires" - L'enquête écossaise sur le COVID déjoue les confinements et les vaccins


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 10 AOÛT 2023 - 08:00
    Rédigé par Will Jones via DailySceptic.org,


    Tout au long de la pandémie de Covid, le gouvernement écossais a fait semblant d’imposer des restrictions plus strictes et plus longues que le gouvernement conservateur « téméraire » de Boris Johnson au sud de la frontière. Pourtant, malgré ces mesures supplémentaires, au cours des deux années écoulées entre le début de la pandémie et le printemps 2022, l'Écosse a enregistré en moyenne 23,9 décès supplémentaires par million par semaine, écrit le Dr David Livermore dans Spiked. "C'était de loin le plus élevé au Royaume-Uni, le Pays de Galles subissant 22,9 décès supplémentaires par million, l'Irlande du Nord 18,8 et l'Angleterre 18,6."

    Cet échec évident de la réponse de l'Écosse a été, remarquablement, résumé dans un rapport d'ouverture commandé par l'enquête officielle écossaise sur Covid et rédigé par le Dr Ashley Croft, un épidémiologiste des infections de santé publique qui a passé la majeure partie de sa carrière à travailler pour l'armée et qui exerce maintenant depuis Harley Street. comme témoin expert médico-légal.

    Il a déclaré à l'enquête que:

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  16. En 2020, il y avait des preuves scientifiques à l'appui de l'utilisation de certaines des mesures physiques (par exemple, le lavage fréquent des mains, l'utilisation d'EPI en milieu hospitalier) adoptées contre la COVID-19. Pour d'autres mesures (par exemple, les mandats de masque facial en dehors des établissements de santé, les confinements, la distanciation sociale, les mesures de test, de traçage et d'isolement), il n'y avait pas suffisamment de preuves en 2020 pour soutenir leur utilisation - ou alternativement, aucune preuve ; la base de preuves n'a pas changé de manière significative au cours des trois années écoulées. Il a été avancé que les mesures restrictives introduites pendant la pandémie de COVID-19 ont entraîné des dommages individuels, sociétaux et économiques qui étaient évitables et qui n'auraient pas dû se produire.

    Le Dr Livermore dit qu'il est entièrement d'accord.

    Comme l’a révélé l’enquête Covid déjà terminée de la Suède, « plusieurs pays qui ont imposé des confinements… ont eu des ‘résultats nettement pires’ que la Suède ».

    Elle a également conclu que la restriction de la liberté individuelle était « difficilement défendable autrement que face à des menaces très extrêmes ».

    Le Dr Croft est également pessimiste à propos des vaccins, affirmant qu'"il n'est pas clair si la vaccination contre le COVID-19 a entraîné ou non moins de décès dus au COVID-19". Le Dr Livermore conteste cette conclusion, affirmant « qu'il semble assez clair que les vaccins ont rompu le lien entre les cas et les décès au printemps et à l'été 2021 ». Cependant, une analyse récente d'experts comme le Dr Eyal Shahar suggère qu'une grande partie de l'efficacité apparente des vaccins peut être une illusion créée par l'effet vacciné sain, selon lequel ceux qui ont pris les vaccins ont tendance, toutes choses égales par ailleurs, à avoir moins de risque sous-jacent. facteurs.

    En tout cas, le Dr Livermore est d'accord avec le Dr Croft que "la protection qu'ils ont offerte était brève et incomplète".

    Bien avant que les passeports vaccinaux ne soient imposés aux Écossais à l'automne 2021, il existait de nombreuses preuves que les vaccins n'arrêtaient pas l'infection et la transmission. Cela aurait dû faire sauter le fond du boîtier des passeports de vaccins. Qu'il n'ait pas réussi à les arrêter est une honte.

    Le Dr Croft ajoute que les « 2 362 rapports spontanés [Carte jaune] suggérant une issue fatale après la vaccination contre la COVID-19 » sont « préoccupants », notant que de tels événements sont probablement sous-déclarés.

    Mais le point le plus important à propos du rapport du Dr Croft, dit le Dr Livermore, est qu'il défie de manière si flagrante le récit officiel de confinements sévères mais nécessaires sauvant la population des ravages d'une peste mortelle.

    Indépendamment du fait que l'on soit d'accord ou non avec ses conclusions, Croft doit être félicité pour avoir répondu à la question centrale : les restrictions du gouvernement, déployées à grands frais et en perturbant la société, ont-elles fonctionné ?

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  17. Le fait qu'il ait même posé cette question contraste avec la pensée de groupe exposée lors de l'enquête britannique, présidée par Lady Hallett. Son premier thème, examinant "Préparation et résilience", s'est terminé le mois dernier. Au cours des audiences, les témoins se sont livrés à de longs méandres à travers le Brexit et l'austérité Tory/Lib Dem. Et ce malgré le fait évident que les pays voisins de l'UE qui n'étaient pas auparavant gouvernés par David Cameron et Nick Clegg ont connu des difficultés similaires avec le virus.

    Des témoins ont également déclaré que la Grande-Bretagne s'était préparée au mauvais type de pandémie, tous nos plans anticipant une pandémie de grippe plutôt qu'une pandémie de coronavirus. Mais si les pandémies de coronavirus et de grippe étaient si manifestement différentes, les scientifiques ne se disputeraient plus pour savoir si la «grippe russe» de 1889-94 – qui était comparable à Covid en termes de mortalité – était une forme de grippe ou un coronavirus.

    Sans surprise, le rapport de Croft n'a pas été bien accueilli par la presse écossaise favorable au verrouillage. Il a été attaqué comme n'étant «pas un expert» des pandémies virales. Je ne connais pas Croft et je n'ai pas de mémoire personnel pour lui, mais son CV indique une expérience beaucoup plus longue de la santé publique liée à la microbiologie que, disons, l'universitaire en santé publique Devi Sridhar, qui a exercé une grande influence sur la réponse écossaise à Covid. La médecine militaire – où il a fait sa carrière – s'intéresse beaucoup aux épidémies. Ils ont arrêté de nombreuses armées, de Charles VIII à Naples (syphilis) à l'amiral Vernon à Carthagène (fièvre jaune).

    Le Dr Livermore conclut qu'"il est révélateur que les commentateurs écossais n'essaient même plus de dire que les confinements écossais ont été un succès... il y a trop de preuves du contraire".

    "J'espère sincèrement que l'enquête de l'Ecosse réfléchira à cela. Et que Lady Hallett lit le rapport de Croft. Cela pourrait simplement recentrer l'enquête britannique sur les questions qui comptent vraiment.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/significantly-worse-outcomes-scottish-covid-inquiry-savages-lockdowns-and-vaccines

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  18. Obésité pathologique : une nouvelle approche prometteuse ?


    le 9 août 2023


    Le yam est un tubercule d’une plante considérée comme invasive dans de nombreux pays. Cependant lorsque la croissance de la plante est maîtrisée ce tubercule est traditionnellement utilisé en Extrême-Orient pour la préparation de spécialités culinaires. Des biologistes chinois de l’Université du Henan en Chine se sont penché sur le yam, Dioscorea opposita, pour tenter d’élucider quelle était la matière active permettant de maîtriser la prise de poids, l’une des utilisations de cette racine décrite dans la médecine traditionnelle. Sous la direction du Docteur Sheng-Nan Li ces biologistes ont identifié un glycane après un protocole de purification très simple qui régule la prise de poids chez des souris soumises à un gavage riche en carbohydrates. Lorsque des oies sont soumises à un gavage forcé elles ne grossissent pas visuellement mais elles développent un stéatite c’est-à-dire un foie « gras ». C’est d’ailleurs le but recherché. Chez l’homme l’excès de carbohydrates dont en particulier des aliments et des boissons sucrées conduit au même résultat, une obésité qui peut devenir rapidement pathologique. Les effets de l’obésité sont particulièrement dévastateurs pour la santé : l’apparition de diabète de type 2 (insensibilité à l’insuline), un foie gras (comme les oies !) une inflammation de divers tissus et organes, des désordres métaboliques, des troubles cardiovasculaires, certains types de cancer et enfin des perturbations de la réponse immunitaire aux infections bactériennes ou virales comme cela a été noté lors de l’épidémie de coronavirus. Les personnes en surpoids ont en effet été les premières victimes de cette infection virale.

    Sur le plan du tableau clinique la surcharge pondérale se caractérise par une accumulation de graisses avec une hypertrophie des adipocytes, un déséquilibre de la flore intestinale et des intoxications métaboliques, le fonctionnement du foie étant altéré. Enfin l’obésité pathologique provoque l’apparition d’interleukine-6, l’une des causes primaires du diabète non-insulinodépendant. L’effet secondaire redouté de ce diabète est la cause première des graves problèmes cardiovasculaires dont sont victimes les personnes en surpoids.

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  19. Toutes les études relatives au yam ont été effectuées avec des souris. Un extrait aqueux de Dioscorea opposita a été incorporé à la nourriture des souris gavées avec une nourriture abondante riche en carbohydrates et en acides gras. Pourtant ce glycane est lui-même un carbohydrate mais il interfère selon de multiples directions découvertes au cours de l’étude. Le premier effet est une réduction de la prise de poids par les souris, une réduction de la taille des adipocytes et l’utilisation de souris mâles facilita cette observation car les testicules de ces souris grossissent au cours de ces périodes de gavage avec une alimentation très riche en sucres et en acides gras. Il s’agit d’un suivi visuellement très simple et significatif. L’analyse de la flore bactérienne a montré qu’elle redevenait partiellement normale après deux mois de traitement et enfin la sensibilité à l’insuline était également partiellement restaurée (mesure de la teneur en glycogène dans les muscles) sans que ces deux paramètres redeviennent normaux car le gavage était poursuivi durant toute l’expérimentation.

    Le tubercule de yam produit une série de glycanes particuliers qui agit non seulement sur l’équilibre de la flore bactérienne intestinale mais également sur un éventail d’activités enzymatiques impliquées dans le métabolisme général. Ce n’est pas surprenant car les glycanes interagissent avec les protéines au niveau de leur structure tridimensionnelle. Il existe une multitude de glycanes dont les effets tant à l’intérieur des cellules qu’à l’extérieur ont été observées et il s’agit d’un domaine de la biologie très complexe. La structure de cet extrait de glycanes de Dioscorea opposita obtenu par précipitations différentielles en présence d’alcool est probablement complexe et c’est la raison pour laquelle aucune structure n’a été indiqué dans l’article cité en référence dont voici le résumé :

    - voir schéma sur site -

    Ce n’est pas surprenant car les glycanes sont des polymères de sucres incluant divers sucres mais également des sucres acétylés et des glucosamines et la taille de ces polymères est variée. De plus cette complexité est, dans un extrait d’origine végétale, une condition de l’activité biologique constatée. Espérer traiter une personne en état de surpoids avec un extrait aqueux de ce tubercule reste pour l’instant un mince espoir mais il était intéressant de signaler l’objet de ces travaux d’autant plus que la pharmacopée traditionnelle chinoise est le résultat de millénaires d’observations. Ce ne sont pas les synthèses chimiques aléatoires qui permettront de découvrir de nouvelles molécules actives, l’approche adoptée maintenant par les grandes firmes pharmaceutiques en mettant en œuvre des méthodes de « screening » haute fréquence. Considérer une plante ou un champignon microscopique comme montrant selon la tradition un effet semble une approche plus logique. Ce sera l’objet d’un prochain article sur ce blog relatif à ces champignons microscopiques avec lesquels fut découverte par exemple la pénicilline. Source et illustration : DOI : 10.1002/fsn3.3588

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/08/09/obesite-pathologique-une-nouvelle-approche-prometteuse/

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  20. Selon les directives de l'OMS : le ministère de la Santé lance un nouveau tableau de bord sur la pandémie


    10 août 2023
    par Thomas Oysmuller


    Un "système d'alerte précoce pour la surveillance des infections respiratoires graves" est en ligne en Autriche depuis jeudi. Ceci est destiné à identifier à un stade précoce une surcharge imminente des hôpitaux. QUI aime ça.

    Le regard sur le tableau de bord Corona, les chiffres quotidiens sur la "situation d'infection" étaient un élément essentiel de la politique médiatique de Covid. Il y a maintenant un nouveau tableau de bord. Il montre les admissions de patients hospitalisés avec des infections respiratoires aiguës sévères (SARI) telles que la grippe, la couronne et le VRS et d'autres maladies virales. C'est "une sorte de système d'alerte précoce", rapporte le ministre de la Santé Johannes Rauch. Le système suit le plan de l'OMS.

    Préparation pour l'automne
    Avec le tableau de bord SARI, une "possible surcharge du système de santé" devrait être reconnue tôt. Il est mis à jour chaque semaine et accessible au public sur www.sari-dashboard.at .

    "Afin d'estimer le fardeau des hôpitaux, nous devrons faire attention à toutes les infections respiratoires graves à l'avenir. Le tableau de bord SARI nous montre à un stade précoce les charges imminentes pour les hôpitaux en raison d'infections respiratoires graves », se réjouit le ministre de la Santé, Johannes Rauch . "Avec la surveillance étendue des eaux usées corona, nous avons une bonne vue d'ensemble du développement et sommes maintenant bien préparés pour l'automne à venir."

    Le nouveau tableau de bord est destiné à permettre "un suivi encore meilleur de la situation dans les hôpitaux", selon le communiqué du ministère de la Santé.

    Rauch sait aussi prévenir la « surcharge » des hôpitaux : Vaccinations :

    « Des vaccins efficaces sont déjà disponibles contre certaines infections respiratoires graves comme la grippe, le COVID-19 ou les pneumocoques. Ils offrent la meilleure protection possible contre les maladies graves et les séjours hospitaliers. Cette année, des vaccins contre le VRS ont également été approuvés pour la première fois, qui devraient être disponibles en Autriche à l'automne. » », poursuit le ministère.

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  21. Politique de l'OMS
    En plus de la vaccination contre le Covid, la vaccination contre la grippe "dans tous les États fédéraux est facilement accessible et peu coûteuse pour tout le monde en Autriche".

    Fumée:

    « Les vaccinations restent la meilleure mesure préventive. Cela s'applique non seulement à Corona, mais également à de nombreuses autres maladies. Je recommande donc à chacun de se renseigner en temps utile auprès des médecins traitants (sic !) sur les vaccinations recommandées pour l'automne prochain.

    Et comment ça se passe actuellement ? La semaine dernière, 10 personnes étaient en soins intensifs en raison de la "maladie SARI". Le ministère n'a pas précisé si le ministère souhaitait déclarer une "crise sanitaire" après une certaine charge de travail.

    Ce que le ministère ne dit pas : avec le nouveau tableau de bord, l'Autriche applique exactement la recommandation de l'OMS de 2014. A cette époque, une définition uniforme de « SARI » était déjà publiée. À cette fin, une ligne directrice pour le suivi et la gestion des SARI a été publiée. Lisez ici. Avec la prochaine réforme de l'OMS, le suivi pourra alors devenir obligatoire. Cependant, l'Autriche est à nouveau un élève modèle et met déjà en œuvre les recommandations.

    https://tkp.at/2023/08/10/entsprechend-who-vorgabe-gesundheitsministerium-startet-neues-pandemie-dashboard/

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  22. L'absurdité de cette procédure est critiquée dans l'article comme suit :

    Tout au long de l'article, les auteurs ont complètement évité la manière dont la "population non vaccinée" a traité le virus COVID-19. Vous avez divisé la population humaine en deux parties, et tirez donc des conclusions pour les deux parties. Le modèle quantitatif de Watson et al. suggère que 14,4 millions de vies ont été sauvées dans le monde sans inclure la partie non vaccinée de la population humaine dans leurs calculs. Il existe une règle générale en science selon laquelle vous ne pouvez pas tirer de conclusions sur quelque chose que vous n'avez pas inclus dans votre recherche. Les chercheurs ont exclu la partie non vaccinée de la population humaine. Au moins dans certaines cohortes non vaccinées, cela peut être le cas que cette partie a mieux résisté au virus COVID-19 grâce à une immunité naturelle et n'a pas été lésée. Cette possibilité, qui aurait dû être envisagée, a été automatiquement écartée par les auteurs. Ils supposent simplement que la partie vaccinée de la population était mieux protégée que la partie non vaccinée de la population sans avoir aucune donnée pour étayer leur hypothèse.

    L'article cite également un certain nombre d'études antérieures qui démontrent les dommages à la santé causés par la campagne de vaccination. Il vaut la peine de lire toute l'étude ici .

    En voici quelques perles :

    La discussion selon laquelle ces vaccins font plus de mal que de bien à la santé n'est pas pertinente car aucune étude clinique convaincante n'a été menée pour prouver que ces vaccins sont efficaces pour protéger la santé, comme c'est le cas avec l'ivermectine par exemple [10]. Pourquoi l'OMS n'a pas recommandé l'ivermectine reste une question ouverte. Cependant, une chose est certaine : une organisation à 80 % privée ne peut pas représenter les intérêts de la santé publique mondiale.

    Sur les méthodes et l'importance des données :

    Avec la crise du COVID, la science médicale a perdu l'esprit d'empirisme. Des articles sont publiés sur l'efficacité des vaccins qui n'ont pas de modèle mathématique pertinent et ignorent le fait que seul un groupe témoin issu d'une partie non vaccinée de la population peut prouver l'efficacité des vaccinations. En utilisant les mathématiques de l'école primaire, nous pouvons calculer le taux de mortalité d'un sous-ensemble vacciné de la population et le comparer au taux de mortalité d'un sous-ensemble non vacciné de la population.

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  23. Et voici à quoi ressemble la surmortalité mondiale :

    Quelle est l'efficacité des vaccins COVID à l'échelle mondiale ? Selon Our World in Data, 57,94 millions de personnes sont mortes en 2019. En 2020, 63,17 millions de personnes sont mortes sur ce globe, en 2021 69,25 millions de personnes sont mortes et en 2022 67,10 millions de personnes sont mortes [32]. En 2020, le virus COVID-19 a massivement tué des personnes dans le monde, donc 5,23 millions de personnes de plus sont mortes en 2020 qu'en 2019. En 2021, le remède est enfin venu et la vaccination massive a commencé. En 2021, 6,08 millions de personnes de plus sont décédées qu'en 2020. Où sont cachées les 14,4 millions de vies sauvées grâce aux vaccins corona (tableau 3).

    - voir liste sur site -

    Si vous ne laissez parler que les faits, le résultat est sans appel : la vaccination C19 est nocive pour la santé.

    Tout cela n'est pas surprenant et, connaissant la technologie utilisée, a été prédit par des scientifiques et de vrais médecins depuis le milieu des années 2020. Cela peut également être lu dans le livre récemment publié avec tous les articles TKP de 2020 :

    Chronologie d'une pandémie : tous les articles du TKP de 2020

    Les articles de 2021 sont actuellement en cours de traitement en deux volumes supplémentaires et seront publiés dans les semaines et les mois à venir. 2022 est également prévu par la suite.

    https://tkp.at/2023/08/10/studie-ueber-mortalitaets-daten-corona-impfung-verfrueht-und-hat-menschen-geschadet/

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  24. Covid en France : un expert détruit les médias : « le nouveau variant Eris ne représente aucun danger », dit-il


    By Cheikh Dieng
    10 août 2023


    Depuis quelques heures, les médias en France nous mettent en garde contre la hausse exponentielle de cas de Covid dû au nouveau variant Eris qui serait à l’origine de la hausse des hospitalisations. Pourtant, dans une interview accordée à Ouest France ce 09 août et lue par Lecourrier-du-soir.com, Étienne Simon-Lorière, responsable du Centre national de référence des virus respiratoires nous rassure que ce variant ne représente, pour l’heure, aucun danger particulier

    Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire l’interview dans son intégralité

    Excellente lecture

    Qu’est-ce que ce variant EG.5 surnommé Eris ?

    Il fait partie de la grande famille des sous lignages d’Omicron, plus précisément des sous-lignages XBB dominants depuis des mois. Il ne présente pas de grosses différences avec ceux que l’on connaît. Deux mutations (une pour le EG.5 et deux pour le sous-lignage EG.5.1) sur la protéine spike seulement, dont une qui lui permet d’échapper un peu plus aux anticorps.

    Pas de signes de virulence particulière ?

    Il n’y a aucun indicateur inquiétant en termes de symptômes ou de virulence. Il n’y a pas de saut évolutif comme on en a connu par le passé, avant l’hégémonie du variant Omicron.

    EG.5 est-il à l’origine de la recrudescence actuelle des cas de Covid-19 ?

    On est, aujourd’hui, bien en peine pour dire ce qui est lié au variant ou au cycle du virus qui n’est pas encore bien calé sur l’hiver. On voit des sursauts, en phase avec des rassemblements, mais on n’est pas du tout dans la situation des années précédentes. Il faudra suivre ce qui se passera à la rentrée.

    Une vaccination à l’automne restera utile pour les personnes vulnérables ?

    Absolument. La persistance d’une protection contre les formes sévères est un sujet très discuté actuellement. Sur les formes sévères, elle semble assez solide, mais on voit bien qu’elle ne l’est pas contre l’infection. Les personnes vulnérables, qui ont un système immunitaire moins efficace, auront intérêt à la vaccination.

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  25. Ce sous-lignage va-t-il devenir dominant ?

    Il se développe en France, aux États-Unis, en Grande-Bretagne… mais on a des sous-variants en progression différents dans d’autres parties du monde (selon l’OMS, il est présent dans 51 pays et représente 17 % des séquences étudiées fin juillet contre 7,6 % fin juin )

    Un sous-variant d’Omicron peut-il devenir problématique ?

    À 99 %, il n’y a aucune raison de le penser. Un variant préoccupant pourrait être transmis par une autre espèce ou se développer chez une personne immunodéprimée, mais le risque est maintenant faible. Omicron est très transmissible. S’il semble moins virulent, c’est surtout parce que la population a été vaccinée ou exposée à un variant précédent. Si la pandémie avait démarré avec Omicron, cela aurait été effroyable.

    https://lecourrier-du-soir.com/covid-en-france-un-expert-detruit-les-medias-le-nouveau-variant-eris-ne-represente-aucun-danger-dit-il/

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    Réponses
    1. Ce qu'ils ont appelé le 'coco vide' est une nano-poussière (qui N'EST PAS DANS L'AIR mais UNIQUEMENT disponible en seringues létales).
      Ainsi, faute d'être un microbe (vivant) cette poussière ne peut faire des petits ou des 'variants' ou 'sous-variants' !

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  26. Dans la salle des machines d'un prochain confinement climatique


    10 août 2023
    par Thomas Oysmuller


    Quelle radicalité les politiques osent-ils adopter sur la « question climatique » ? Similaire à Covid ? Si oui, sur quoi repose un tel « confinement climatique » ?

    L'annonce de Johannes Rauch qui a été révélée, "combien de radicalisme" les politiciens osent adopter la "question climatique" par rapport à Corona, aurait dû être un peu surprenante - a rapporté TKP . Il y a sans aucun doute des forces - et des hauts placés - qui veulent un autre confinement. Le climat n'en est que l'argument, tout comme Covid 2020 l'était. L'arrière-plan concerne la transformation du monde (ou du moins de l'UE) en un État de surveillance dystopique-numérique et néo-féodal.

    One Health pour le climat et le confinement

    Les conséquences fatales des "confinements", des blocages de contact, de l'isolement, des interdictions de commerce, des fermetures d'écoles, etc., sont très bien documentées. Et c'était déjà en février 2020. On savait que cette politique entraînait une augmentation de l'anxiété, de la dépression, de la toxicomanie et des suicides. L'augmentation persiste souvent bien après les coupes extrêmes. (Quiconque ne veut pas attribuer la surmortalité actuelle dans de nombreuses régions du monde à la "vaccination" doit supposer que la politique de confinement est à blâmer.)

    Patricia Harrity a récemment écrit pour The Exposé sur le rôle central de l'OMS en cas de véritables restrictions climatiques. Harrity relie les signes indiquant que les blocages climatiques pourraient être imminents avec la réforme de l'OMS, sur laquelle TKP a abondamment rendu compte - par exemple ici .

    L'accent est souvent mis sur le "Traité sur la pandémie", mais la réforme du Règlement sanitaire international (RSI) contraignant au niveau international est encore plus explosive. Celles-ci sont également plus faciles à décider lors de l'assemblée de l'OMS. Unf pour les deux branches de la réforme est l'idéologie "One Health". La vision du monde superficiellement considérée comme "holistique" - tout est lié - est en fait le "concept" avec lequel les futurs verrouillages climatiques peuvent être prescrits. Puis quand l'OMS dit que la catastrophe climatique est devenue « une menace trop grande » pour être ignorée. La propagande du complexe politico-médiatique, qui fait remonter chaque événement météorologique à la catastrophe climatique, parle en faveur de cet agenda.

    Mac Slavo a écrit dans le rapport Discern :

    «Le langage de l'arnaque One Health, bien que vague et déroutant, est un outil de création de réseaux et de mutualisation des efforts pour centraliser le pouvoir et le contrôle, ce qui est toujours l'objectif de tous les seigneurs partout.

    Une fois que ce pouvoir centralisé est atteint, des mesures similaires imposées en réponse à la pandémie de COVID peuvent être utilisées pour le changement climatique, la perte de biodiversité, les maladies humaines, les maladies à transmission vectorielle et bien plus encore.

    La réforme de l'OMS reste le nœud du problème. Daily Exposé décrit la mise en œuvre de One Health comme suit :

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  27. « Le concept reconnaît l'interdépendance de la santé humaine et animale et le lien avec l'environnement. Grâce à ce One Health Agenda, l'OMS sera habilitée à prendre des décisions sur les questions environnementales (y compris les émissions de gaz à effet de serre, la pollution et la déforestation), la santé animale (par exemple le bétail) et la santé humaine (y compris la vaccination, les facteurs sociaux et les mouvements de population).

    Avec ces pouvoirs élargis, l'OMS pourrait facilement déclarer une urgence climatique ou environnementale et imposer des confinements.

    En fait, One Health considère la santé humaine comme dépendante de celle des animaux. Dans le même temps, les humains et les animaux sont dépendants de la "santé" du climat. Ainsi, lorsque le climat est "malade", tous les êtres vivants de la planète sont malades. Vous pouvez alors vous sentir en si bonne santé.

    Tout cela est également conforme à l'Agenda 2030 et aux objectifs de développement durable. L'agenda doit contrôler tout, les animaux, les plantes, l'eau, les écosystèmes, pour sauver la planète et "sauver" la santé humaine.

    Vous pouvez lire ici comment la réforme de l'OMS via One Health vise à donner à l'OMS le contrôle du bétail et des approvisionnements alimentaires .

    https://tkp.at/2023/08/10/im-maschinenraum-eines-kommenden-klima-lockdowns/

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    1. (...) Patricia Harrity a récemment écrit pour The Exposé sur le rôle central de l'OMS en cas de véritables restrictions climatiques. Harrity relie les signes indiquant que les blocages climatiques pourraient être imminents avec la réforme de l'OMS, sur laquelle TKP a abondamment rendu compte - par exemple ici . (...)

      (...) En fait, One Health considère la santé humaine comme dépendante de celle des animaux. Dans le même temps, les humains et les animaux sont dépendants de la "santé" du climat. Ainsi, lorsque le climat est "malade", tous les êtres vivants de la planète sont malades. Vous pouvez alors vous sentir en si bonne santé. (...)

      Qu'est-ce que le climat ?
      Le climat n'est pas modifiable car il appartient à notre planète qui tournoie et s'incline. ON Y PEUT RIEN !
      Il n'est pas à confondre avec la météo. La météo peut signaler des hausses ou des baisses de températures en hivers comme en étés qui sont dues aux évacuations de chaleurs (365 jours par an) par les sources chaudes aux planchers maritimes et océaniques. Ils peut s'agir de radoucissements des températures hivernales répertoriées par 'canicules' lorsqu'elles s'émettent en étés.

      L'être humain ou animal n'y sont POUR RIEN dans ces éruptions magmatiques. La Terre n'est pas 'malade', mais seuls sont les trisomiques au pouvoir qui le sont.

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  28. Physique et chimie sur le gaz carbonique : peu d'influence sur le climat et historiquement bas


    10 août 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Les affirmations de l'IPCC et des organisations mondiales telles que le WEF, l'ONU, l'OMS ou l'UE contredisent les découvertes fondamentales en physique et en chimie, mais aussi en biologie. Les affirmations concernant l'influence sur le réchauffement ne sont pas étayées par des faits, mais sont basées sur des modèles qui ignorent des facteurs importants tels que le soleil. L'importance fondamentale du gaz carbonique pour la croissance des plantes - en dessous de 150 ppm c'est la fin - n'est pas comprise.

    Tout d'abord, l'importance du niveau de température. Comme on peut le voir dans la 1ère édition de Meyers Großes Konversations-Lexicon , qui a été publiée entre 1857-61, le chimiste genevois Nicolas de Saussure (1767-1845) a effectué les premières mesures de gaz carbonique à la fin des années 1820. Le résultat étonnant : environ 410 ppm de concentration dans l'air. État actuel : 420 ppm.

    Entre 1800 et 1850, les glaciers ont commencé à fondre et à raccourcir, et les températures enregistrées dans le centre de l'Angleterre ont montré une augmentation constante depuis environ 1710, comme lisez ici . Cependant, selon les affirmations des politiciens, la concentration de gaz carbonique n'était que de 300 ppm en 1950 - c'est-à-dire de 410 à 300 et de nouveau à 420 et la température continue d'augmenter régulièrement.

    Mais en fait, le gaz carbonique a des effets négligeables par rapport à la vapeur d'eau, qui constitue 95 % des gaz à effet de serre. Les changements de concentration ont très peu d'effet, qui, de plus, diminue selon une fonction logarithmique avec l'augmentation de la concentration. Plus d'explications ici et dans cette entrée Wikipedia :

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  29. « Le forçage radiatif d'un gaz à effet de serre dépend de manière non linéaire de sa concentration. Cette dépendance non linéaire est approximativement une fonction logarithmique. Cela signifie qu'un changement de concentration de, par exemple, 2 à 3 ppm a le même effet qu'un changement de concentration de 20 ppm à 30 ppm (ou 200 ppm à 300 ppm, etc.). Outre le plus grand nombre de modes de vibration possibles des molécules complexes par rapport au gaz carbonique par exemple, c'est une autre raison pour laquelle le changement de concentration d'un gaz traceur absorbant dans la fenêtre atmosphérique, qui naturellement n'existe pas ou n'existe que dans des proportions extrêmement faibles concentrations, a un effet si fort, comme le montre le tableau.

    Cette diminution est illustrée dans le graphique suivant :

    - voir graph sur site -

    Les climatologues ont découvert que l'effet de réchauffement de chaque molécule de gaz carbonique individuelle diminue de manière significative (logarithmiquement) avec l'augmentation de la concentration. C'est l'une des raisons pour lesquelles il n'y a pas eu de réchauffement incontrôlé de la serre lorsque les niveaux de gaz carbonique étaient près de 20 fois supérieurs à ce qu'ils sont aujourd'hui. Ce fait gênant, aussi important soit-il, est très bien caché et rarement évoqué car il sape la théorie d'un futur changement climatique catastrophique causé par le gaz carbonique. Le principe des rendements décroissants s'applique.

    Une description plus détaillée du diagramme pour les amateurs de physique peut être trouvée ici par le Dr. Guillaume Happer :

    "La courbe bleue montre comment le flux de rayonnement thermique Z(C) de la Terre vers l'espace varie avec la concentration C de gaz carbonique dans l'atmosphère. Cet exemple fait référence à une latitude estivale tempérée. C est mesuré en parties par million (ppm) de toutes les molécules atmosphériques. Au niveau actuel de concentration de gaz carbonique, environ C = 400 ppm, le flux est Z(400 ppm) = 277 watts par mètre carré (W/m^2). Si tout le gaz carbonique pouvait être éliminé de l'atmosphère terrestre de sorte que C = 0 mais sans changement dans les concentrations des autres gaz à effet de serre (vapeur d'eau, ozone, méthane et protoxyde d'azote) et aucun changement dans le profil de température atmosphérique, le flux serait supérieur, Z (0 ppm ) = 307 watts (W/m^2), représenté par le point bleu sur l'axe vertical du graphique. Lorsque l'on ajoute le gaz à effet de serre gaz carbonique, le flux vers l'espace diminue, et très rapidement pour les premières parties par million de gaz carbonique, comme le montre la courbe bleue. Cependant, à mesure que l'ajout de gaz carbonique augmente, la loi des rendements décroissants entre en jeu. La courbe bleue est presque plate pour les concentrations actuelles de gaz carbonique, de sorte que l'effet de serre est très insensible aux variations des concentrations de gaz carbonique. Dans le jargon de la transmission radiative, l'effet de serre est qualifié de « saturé ». La courbe bleue est presque plate pour les concentrations actuelles de gaz carbonique, de sorte que l'effet de serre est très insensible aux variations des concentrations de gaz carbonique. Dans le jargon de la transmission radiative, l'effet de serre est qualifié de « saturé ». La courbe bleue est presque plate pour les concentrations actuelles de gaz carbonique, de sorte que l'effet de serre est très insensible aux variations des concentrations de gaz carbonique. Dans le jargon de la transmission radiative, l'effet de serre est qualifié de « saturé ».

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  30. Les lignes rouges verticales montrent la diminution du flux radiatif dans l'espace causée par une augmentation successive de la concentration en gaz carbonique C par pas de 50 ppm. Les augmentations sont si faibles qu'elles doivent être multipliées par un facteur 100 pour être clairement visibles sur le graphique. À l'exception des concentrations C, qui sont proches de zéro, chaque doublement de la concentration de gaz carbonique réduit le rayonnement dans l'espace de 3 W. Par exemple, la première barre rouge montre que l'augmentation de C de 50 ppm à 100 ppm réduit le rayonnement dans l'espace Espace diminué de 300/100 W/m^2 = 3 W/m^2.

    Source : Wijngaarden-Happer 2020, Dépendance du rayonnement thermique terrestre sur les cinq gaz à effet de serre les plus abondants

    Diminution de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère
    Les océans du monde sont le plus grand réservoir de gaz carbonique. Cependant, la capacité de stockage diminue avec l'augmentation de la température et le réchauffement des couches supérieures dû à l'augmentation du rayonnement solaire entraîne un dégazage.

    Non seulement l'origine de la vie se trouve dans la mer, mais aussi la conversion la plus massive de gaz carbonique en oxygène se produit à travers la végétation marine et le plancton. L'étude de 2012 « Ocean Science : The power of plankton » publiée dans Nature déclare :

    « Le phytoplancton comprend deux groupes principaux : les cyanobactéries photosynthétiques et les algues unicellulaires qui flottent dans les couches supérieures ensoleillées des océans. Ils fournissent de la nourriture, directement ou indirectement, à pratiquement toute autre vie marine. Ils produisent une grande partie de l'oxygène qui imprègne notre atmosphère. Leurs restes fossilisés, enterrés et compactés par les forces géologiques, sont transformés en pétrole, le liquide dense fait de carbone que nous utilisons pour alimenter nos voitures, camions et bus.

    - voir graph sur site -

    Le phytoplancton (photo ci-dessus) a prélevé d'énormes quantités de gaz carbonique de l'atmosphère pendant des millions d'années et l'a converti en pétrole et en gaz naturel.

    - voir graph sur site -

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  31. Nous avons même atteint un niveau record.

    - voir graph sur site -

    150 ppm est la valeur seuil pour la survie des plantes sur terre, si elle tombe en dessous alors la vie est finie, nous manquons de nourriture sur le continent. La faune et la flore dans l'eau peuvent survivre jusqu'à ce que le gaz carbonique soit converti en calcaire (CaCO3) ou en pétrole.

    - voir graph sur site -

    Au cours de chacune des quatre dernières périodes glaciaires, les niveaux de gaz carbonique sont tombés en dessous de 190 ppm. À la fin de la dernière période glaciaire, il est tombé à 182 ppm, considéré comme le niveau le plus bas de l'histoire de la Terre. Pourquoi est-ce alarmant ? Parce qu'en dessous de 150 ppm, la plupart des plantes du sol ne peuvent plus exister.

    Nous sommes à moins de 30 ppm (30 molécules sur un million) de l'extinction de la plupart des plantes terrestres et, avec elle, de l'extinction de toutes les formes de vie terrestres supérieures qui en dépendent. Ainsi, avant de commencer à ajouter du gaz carbonique dans l'atmosphère en brûlant le pétrole produit par le phytoplancton, nous ne pouvions pas être sûrs de ne pas tomber en dessous de ce seuil critique de 150 ppm lors de la prochaine période glaciaire.

    Ces faits montrent clairement que l'ensemble des politiques de gaz carbonique des organisations mondiales sont anti-vie et absurdes. Les mandats de ces politiques proviennent de capitalistes financiers comme Larry Fink, PDG du plus grand gestionnaire de fortune au monde avec 7 000 milliards de dollars, et le WEF, l'Organisation des grandes entreprises et des milliardaires. Vous en trouverez la preuve dans cet article du TKP .

    Bientôt disponible ici sur TKP : Importance du gaz carbonique pour la croissance des plantes

    https://tkp.at/2023/08/10/physik-und-chemie-zu-co2-kaum-einfluss-auf-klima-und-historischer-tiefststand/

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    1. Ce qui semble ne pas avoir été compris est l'abondance exponentielle du gaz carbonique vis-à-vis des siècles passés. TOUS les gaz présents dans notre atmosphère proviennent de la combustion de la masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds. Ainsi, s'il y a plus de gaz carbonique il y a donc plus d'azote, d'oxygène, de méthane, etc car TOUS les gaz se recyclent et s'établissent dans une stabilité inchangeable. Le % demeure donc le même même s'il varie de peu suite aux éruptions volcaniques terrestres.

      N'oublions pas que le gaz carbonique (gaz le plus lourd,

      L'air pèse: 1,2 gr/litre
      Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
      Gaz carbonique: 1,8 gr/l.

      se recycle IMMÉDIATEMENT sur l'eau des mers & océans, flaques d'eau ou pluies, brouillards grâce au phytoplancton qui flotte à sa surface. Il se transforme en carbone (charbon).

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  32. Lettre à Mathilde Panot, députée Nupes, spécialiste du climat


    9 Août 2023


    Lettre à Mathilde Panot, députée Nupes, spécialiste du climat

    Jean-Paul Pelras*


    Madame,

    vous avez récemment déclaré sur France Info, concernant les retenues d’eau, plus communément appelées « bassines », qu’elles étaient une idée de Pinochet. Évidemment tant qu’à faire, et même si les cratères de volcans éteints étaient déjà utilisés 3 000 ans avant Jésus Christ, autant attribuer à ceux qui osent braver la pensée écologique ambiante, quelques réalisations dictatoriales servant ou non à collecter l’eau de pluie.

    Vous devriez, à ce titre, condamner les barrages, puisque Franco en fit implanter un peu partout en Espagne, mais aussi les autoroutes dont Hitler était un adepte fervent et, entre autres édifications despotiques, quelques ponts dont le plus long du monde, celui de Danyang Kunshan, se situe en Chine, pays réputé pour ses penchants démocratiques…

    Tout est bon chez les nouveaux ambassadeurs du climat pour nous rappeler où se situe le camp du bien et celui du mal, quitte à verser dans la comparaison grossière tant qu’elle n’effleure pas le culte de Trotski, Castro et autre Chavez, chers au chef de file d’une France insoumise dont la sympathie envers certains autocrates n’est plus à démontrer. Ou comment le climat est devenu ce fonds de commerce dont une certaine gauche, qui n’en est plus à un paradoxe près, s’est subitement emparée.

    Lors de cette émission, vous avez d’ailleurs déclaré : « Nous avons connu les 7 jours les plus chauds sur les 100 000 dernières années ». Affirmation rapidement contrée par ceux qui vous ont rappelé que les relevés de températures détaillés existaient depuis seulement 1850. Ensuite, bien évidemment, il faudrait remonter à la période précédant les cent derniers millénaires et ce qui correspondait soi-disant (avec un delta de 90 000 ans…) à une période glaciaire. Un saut dans le temps qui n’entre peut-être pas dans votre champ de compétences scientifiques, sachant qu’à cette époque l’activité humaine, que vous fustigez à l’avenant, était bien entendu plus qu’anecdotique.

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  33. Mais revenons à ce et à ceux qui impactent le climat, responsables selon vous (avec la police pour d’autres aléas…) des menaces qui pèsent sur nos sociétés, sur notre modus vivendi, sur nos territoires. Un combat que vous menez aux côtés de Sandrine Rousseau, « députée des réseaux sociaux », avec le courage qui caractérise ceux qui sont appelés à entrer dans l’histoire. Madame Rousseau qui, même si elle a été vue attablée avec Autain, Mélenchon et Coquerel devant une tranche de jambon, déclarait tout de même : « La consommation de viande est l’une des causes des feux et fortes chaleurs. » Après avoir précisé que la tranche en question avait été « mangée le 12 juin 2021 », soit deux ans avant la tenue de ses propos végétariens, elle rajoute, toujours sur Twitter : « Je pose ici que pour espérer ralentir la catastrophe climatique il faut réduire de 70 à 80 % la quantité de viande que l’on mange. Pas la peine, forcément, d’aller à 100 %. (ADEME). Si toutefois votre motivation est la cause animale, alors il faut arrêter complètement. » Ou encore « La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout. Se prendre en photo, tout sourire, avec un morceau de viande, aujourd’hui, c’est cracher à la figure de celles et ceux qui fuient, brûlent, meurent de chaleur. » Le message ne précisant pas s’il existe une quelconque dérogation concernant la charcuterie…

    Sincèrement, Mesdames, pensez-vous que nous vous versons une indemnité parlementaire mensuelle de 7 605 euros bruts (hors frais de mandats et autres avantages liés à la fonction) pour nous donner des informations sur le yoyo des thermomètres et nous prodiguer (ou nous imposer) des conseils concernant le contenu de nos assiettes ?

    La politique française en serait-elle réduite à savoir si nous devons préférer le jus de navet au faux filet et la mare naturelle aux bassines de Pinochet ? Ou bien est-elle en train de s’enfoncer inexorablement dans les sables mouvants d’une pensée tout autant sordide qu’hallucinée ?
    _____________

    * Source : Lettre à Mathilde Panot, députée Nupes, spécialiste du climat [par J.-P. Pelras] - L'agri (lagri.fr)

    https://seppi.over-blog.com/2023/08/lettre-a-mathilde-panot-deputee-nupes-specialiste-du-climat.html
    _

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    1. Y a des putains qui ont des culs a y rentrer dedans en voiture !

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  34. Le Brésilien Lula appelle à un gouvernement climatique mondial


    10 août 2023
    par Thomas Oysmuller


    Les parlements nationaux ne devraient plus pouvoir bloquer les "mesures" mondiales sur la question climatique, selon le souhait du président brésilien. Une ONU « restructurée » doit prendre le relais.

    Le sommet mondial sur le climat aura lieu à Belém do Pará au Brésil en 2025. Cela a été confirmé mardi et célébré par le gouvernement Lula. À cette occasion, le président du Brésil a accordé une interview qui s'est propagée comme une traînée de poudre. Il attaque de front la souveraineté nationale et appelle à plus de pouvoirs pour l'ONU ou une autre entité de "gouvernance mondiale".

    Contre l'autodétermination nationale sur les questions climatiques

    Le court extrait vidéo a été partagé sur Twitter par le journaliste brésilien Kim D. Pain et a évidemment beaucoup de pouvoir explosif. Parce que Lula proclame très clairement que l'ONU devrait retirer la souveraineté sur la politique climatique aux États-nations . Un média brésilien en parle ici.

    Les parlements démocratiquement élus dans les États-nations ne seraient souvent pas d'accord avec les décisions prises lors d'un sommet sur le climat. Et puis "ça ne marche pas", selon Lula. C'est pourquoi une « restructuration de l'ONU » est nécessaire. Avec la structure avec laquelle l'ONU a été fondée en 1945, elle "ne peut pas continuer", dit Lula. Le Brésil « investit » donc dans la « gouvernance mondiale ».

    Le scientifique européen Simon Goddek, qui vit au Brésil et dont les travaux avaient été attaqués lors de la manœuvre Covid, a écrit : « Lula a attaqué la souveraineté nationale du Brésil en proposant de dépouiller le Congrès national des pouvoirs si l'ONU ou un gouvernement mondial propose une action climatique. Lula a montré ses vraies couleurs. C'est un mondialiste et un partisan du Nouvel Ordre Mondial !

    Cependant , un blogueur politique brésilien comptant plusieurs centaines de milliers d'abonnés sur YouTube a critiqué Goddek. Le message a été mal interprété parce que Lula "se détournerait des mondialistes et se rangerait du côté de Poutine", a déclaré Lilo. Ceci est montré lorsque Lula dans la vidéo demande que l'ONU soit contrôlée.

    En fait, depuis la guerre d'Ukraine, de telles propositions sont venues principalement de Russie. Mais le blogueur a également reçu des critiques de la part d'utilisateurs brésiliens. Les « gentlemen » de Lula seraient clairement du côté qui se positionne contre Poutine. TKP a publié une analyse de la conformité de Lula avec les États-Unis.

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  35. Superficiellement, le Brésil se comporte de manière neutre dans la guerre contre l'Ukraine. Se concentre sur la diplomatie plutôt que sur les livraisons d'armes et fait partie du groupe BRICS. On dit que Lula jouit d'une grande confiance de la part de Poutine et de Xi. La Chine en particulier était très heureuse du succès électoral de Lula. En tout cas, Lula mène une politique radicalement antisouveraine sur la « question climatique » – c'est du moins ce que l'on peut déduire de sa déclaration.

    Kim D. Paim note que Lula est très ferme sur cette question et réclame depuis des années un gouvernement climatique mondial doté de pouvoirs juridiques étendus :

    Cependant, le fait que l'ONU se voit accorder plus de pouvoir et qu'elle se place juridiquement au-dessus des États-nations est également dû à la réforme de l'OMS. De plus, la "crise climatique" est de plus en plus vendue comme une crise sanitaire, ce qui pourrait également donner à l'OMS un rôle crucial dans ce dossier.

    https://tkp.at/2023/08/10/brasiliens-lula-fordert-globale-klimaregierung/

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    1. Le président brésilien applique une politique PERSONNELLE et non Démocratique car le Brésil est une dictature où le Peuple doit fermer sa gueule !

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  36. ÉNERGIE NUCLÉAIRE: La Suède veut construire de nouveaux réacteurs


    9. août 2023, 15:05


    Stockholm rêve de changer la loi qui limite le nombre de réacteurs nucléaires à dix. Selon le gouvernement, il faudra «doubler la production d’électricité» pour réussir la transition énergétique.

    Concrètement, la Suède aura besoin de l’équivalent de dix nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels d’ici 2045, selon les estimations du gouvernement de droite.

    Le gouvernement suédois a annoncé, mercredi, lever les obstacles à la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, en modifiant la législation régissant ce domaine, pour répondre à la demande croissante en électricité dans le pays.

    Il faudra «doubler la production d’électricité» pour réussir la transition énergétique, a exposé, lors d’une conférence de presse, la ministre de l’Environnement Romina Pourmokhtari, pour qui «l’énergie nucléaire devra représenter une grande partie de cette augmentation». Concrètement, la Suède aura besoin de l’équivalent de dix nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels d’ici 2045, selon les estimations du gouvernement de droite.

    Limite supprimée

    Afin d’y parvenir, ce dernier a décidé d’entreprendre une réforme lui permettant de supprimer la limite actuelle d’un maximum de dix réacteurs nucléaires autorisés dans le pays, ainsi que l’obligation de construire de nouveaux réacteurs là où sont localisés les anciens. Le projet de réforme va être examiné par le Parlement cet automne.

    Actuellement, la Suède a six réacteurs en exploitation sur trois centrales différentes, mis en service au cours de la décennie 1975-1985. Plusieurs autres réacteurs ont été arrêtés depuis 1999, à la suite d’un référendum non contraignant en 1980, se prononçant en faveur d’un abandon progressif de l’énergie nucléaire.

    Absence de sources alternatives viables

    Mais le pays a du mal à trouver des sources d’énergie alternatives viables pour remplacer l’énergie nucléaire, les énergies renouvelables n’étant pas encore en mesure de répondre entièrement à ses besoins. Aujourd’hui, l’énergie provenant d’une source nucléaire représente 30% de l’électricité utilisée dans le pays.

    «Il faudra doubler la production d’électricité pour réussir la transition énergétique. L’énergie nucléaire devra représenter une grande partie de cette augmentation.»

    Romina Pourmokhtari, ministre suédoise de l’Environnement

    Mercredi, le gouvernement a aussi souligné l’importance de la coopération internationale en matière de «développement des connaissances» et d'«utilisation plus efficace des ressources» dans ce domaine.

    En janvier, le Premier ministre suédois Ulf Kristersson avait évoqué, à Paris, un possible partenariat avec la France pour la construction de nouveaux réacteurs nucléaires en Suède. «Je suis entièrement ouvert à ce que la France soit un des pays qui fassent en sorte que la Suède ait plus de nucléaire», avait-il alors dit.

    https://www.lematin.ch/story/la-suede-veut-construire-de-nouveaux-reacteurs-580725783036

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    1. (...) Mais le pays a du mal à trouver des sources d’énergie alternatives viables pour remplacer l’énergie nucléaire, les énergies renouvelables n’étant pas encore en mesure de répondre entièrement à ses besoins. (...)

      ' les énergies renouvelables n’étant pas encore en mesure de répondre entièrement à ses besoins' !!

      HAHAHAHAHA !

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  37. Nouvelles techniques génomiques et « bio » : de qui se moquent-ils ?


    10 Août 2023


    En bref, les intérêts de la filière « bio », fossilisée dans ses dogmes, fantasmes et contre-vérités, doivent être préservés en interdisant à l'agriculture dite « conventionnelle » de progresser avec des nouvelles variétés plus performantes du point de vue agronomique, économique et environnemental, et de mettre à la disposition des consommateurs des produits meilleurs sur le plan nutritionnel et de la santé. Soumettons donc les produits des NBT aux mêmes règles que les OGM « classiques », issues de la transgenèse, qui furent implicitement conçues pour empêcher leur développement et déploiement.

    Ce communiqué de presse du 1er août 2023 – « Nouveaux OGM : la bio en danger » – nous présente quelques apparentements largement ignorés de la majorité de nos concitoyens : à côté des instances représentatives du monde de l'agriculture biologique (FNAB, Synabio, etc.), il y a... Greenpeace, Générations Futures et OGM dangers.

    Que ce soit donc bien clair : si Greenpeace roule essentiellement pour lui-même en choisissant des thèmes de campagne susceptibles de faire rentrer des picaillons, Générations Futures roule pour le/la bio (et fait aussi rentrer ainsi des picaillons).

    Oui, la bio est en danger...

    Non, pas à cause de la proposition de la Commission sur la réglementation des plantes obtenues grâce à de nouvelles techniques génomiques (NGT)... mais à cause de la fossilisation idéologiques qui pèse sur l'agriculture biologique.

    Les NGT – surtout couplées à d'autres technologies comme les techniques de décryptage de l'ADN – nous promettent de grandes avancées à divers niveaux, de la ferme à la table.

    Par exemple des variétés de plantes résistantes à des maladies comme ce mildiou qui a fait des ravages considérables cette année dans les vignobles du Bordelais, ou des variétés de pommes de terre ne produisant pas d'acrylamide, classé probablement cancérogène par le CIRC, lors de la cuisson.

    Aux producteurs et aux consommateurs de produits bio les fondamentalistes diront : « Ah, pas de ça ! Ce sont des OGM ! ». Tant pis pour un itinéraire cultural plus favorable pour les uns, et une meilleure protection de la santé pour les autres...

    ...Non, la bio n'est pas en danger

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  38. Comment effrayer le consommateur ? Ils « perdront en conséquence leur droit à l’information et leur liberté de choisir une alimentation bio et sans OGM », affirment-ils.

    L'alimentation bio, enfermée dans les remparts des dogmes, n'est absolument pas touchée, c'est une évidence.

    Le communiqué de presse est de ce point de vue grossièrement mensonger.

    Quant au « droit à l'information », on est dans le domaine de la demi-vérité, qui est aussi un mensonge.

    La proposition de la Commission prévoit en effet que les « plantes NGT de catégorie 1 » – qui « pourraient également être produites naturellement ou par sélection conventionnelle » – feraient l'objet d'une déclaration par leurs obtenteurs et d'une confirmation de ce statut par les autorités. Les informations pertinentes seraient également fournies par le biais de l'étiquetage des semences, d'une base de données publique et des catalogues pertinents sur les variétés végétales.

    Il est vrai qu'il y aura des productions où il n'y aura pas forcément une séparation des filières, par exemple pour le blé, la farine, etc. Toutefois, cette séparation se fera naturellement si les OGMophobes sont suffisamment nombreux pour susciter la mise en place d'un marché spécialisé... aux frais des clients de ce marché et non de la collectivité. Sinon, les OGMophobes pourront toujours se rabattre sur... le bio.

    La traçabilité se fera naturellement pour les produits qui présentent un avantage nutritionnel qui sera, évidemment, un argument marketing.

    Oui, il y a « Un danger tout particulier pour la filière bio »

    Bis repetita ! Les plantes issues des NGT représentent un danger considérable pour une filière bio accrochée à ses lubies.

    Non, il n'y a pas « Un danger tout particulier pour la filière bio »

    Ce constat d'un danger est cependant fait... mais d'une manière très capillotractée. Voici le gloubi-boulga :

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  39. « La dérégulation des NTG reste une véritable menace pour le secteur de l’agriculture biologique. En effet, ces techniques OGM sont incompatibles avec les principes de la bio, c’est pourquoi elles sont aujourd’hui explicitement interdites en Bio. Cette interdiction qui figure bien dans la proposition de la Commission européenne doit d’une part être maintenue d’ici la validation finale du règlement. D’autre part, cette interdiction doit être rendue possible sans coûts supplémentaires pour les agriculteurs et opérateurs bio pour assurer l’absence de contamination des produits bio. Enfin le plus gros risque demeure, qu’à terme, l’ensemble des semences mises sur le marché soient NTG et empêchent les opérateurs bio de respecter l’interdiction d’utilisation des NTG.

    On nous ressort l'indestructible épouvantail – largement imaginaire – des contaminations. Et l'indestructible revendication d'une mise à la charge des producteurs conventionnels des frais d'une garantie de virginité des productions bio exigée par les idéologues du bio.

    Rappelons à cet égard, que l'agriculture biologique a une obligation de moyens, pas de résultats.

    C'est la première moitié de la dernière phrase qui livre le vrai problème : oui, il est tout à fait possible qu'à terme, toutes les variétés – nouvelles – d'une espèce donnée soient issues directement ou par sélection conventionnelle subséquente, d'une nouvelle technique génomique.

    On a déjà vu ce « grand remplacement » par le passé, par exemple pour les colzas riches en acide érucique (on en cultive encore pour l'industrie) supplantés par les variétés « zéro » (sans acide érucique, réputées meilleures pour la santé), puis « double zéro » (pauvres en glucosinolates antinutritifs en alimentation animale).

    Et, en effet, on voit mal pourquoi les producteurs conventionnels se priveraient d'une véritable révolution agronomique (des pommes de terre d'une variété appréciée par les consommateurs résistantes au mildiou, par exemple). Ou pourquoi les consommateurs se priveraient d'un avantage nutritionnel.

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  40. Implicitement, la revendication est la suivante : pour assurer la compétitivité (relative) du bio, il faut empêcher le progrès génétique – et par conséquent agronomique, technologique et nutritionnel – dans le conventionnel.

    Notez bien qu'il y a bien des décideurs politiques qui sont, hélas, partants pour une telle entourloupe...

    Quant à l'hypothèse que « les opérateurs bio » puissent être empêchés « de respecter l’interdiction d’utilisation des NTG », il y a de quoi tomber de sa chaise. On ne les privera pas des variétés « traditionnelles ». Et, si le secteur du bio veut du progrès génétique selon les méthodes « classiques », conformes à son dogme, qu'il organise sa propre filière variétale et semencière !

    Et toujours les prétendues « fausses promesses »...

    Les contradictions n'étouffent pas les concepteurs de la propagande anti-OGM et anti-NGT de la filière bio et de ses alliés.

    Après avoir évoqué l'éventualité d'un raz-de-marée de semences et plants issus des NGT, voici l'immortel argument de l'échec des OGM... qui ne peut que sous-tendre la prédiction d'un échec similairement retentissant des NGT.

    « Les NTG sont une fausse promesse pour répondre aux enjeux de transition agroécologique. Depuis 30 ans, les premiers OGM n’ont ni permis de réduire l’usage des pesticides, bien au contraire, ni d’assurer notre souveraineté alimentaire. En effet, 99% des OGM servent à rendre les plantes tolérantes aux herbicides et/ou à produire des protéines insecticides. Ce sera pareil avec les nouveaux OGM (NTG). [...] »

    Il y a une partie qui est exacte pour le France, l'Union Européenne et une partie du monde : les OGM n'ont pas permis... parce que le militantisme anti-OGM et la pusillanimité des décideurs politiques ne leur a pas permis d'apporter les bénéfices réels et potentiels.

    ...et toujours d'autres fausses promesses

    C'est un invariant des sermons religieux : après la description de l'enfer, voici le paradis :

    « A l’inverse, l’agriculture bio est une solution fondée sur le vivant, crédible et éprouvée. [...] »

    Mais, à part le fait que la bio est fondée sur le vivant... tout comme l'agriculture conventionnelle, les allégations sont téméraires, sinon mensongères.

    Non, la bio n'est pas favorable à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, ni à la santé des sols et de la biodiversité, surtout si on raisonne à l'échelle des unités de produit.

    Un catalogue de revendications à la Prévert

    La demande d'interdiction des produits issus des NGT n'étant pas salonfähig, ou bankable, la technique éprouvée a consisté à revendiquer un véritable apartheid susceptible de mener à l'exclusion des produits issus des NGT du paysage français.

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  41. Il faut donc, notamment, « [r]endre obligatoire la traçabilité et l’étiquetage des NTG, au même titre que les autres OGM » et « [m]aintenir l’évaluation des risques des NTG ».

    Tout en mettant en place – aux frais de la princesse... oups ! du contribuable – des dispositifs censés protéger l'agriculture biologique, par exemple, « [g]arantir la disponibilité de l’information sans surcoût pour les opérateurs bio » et « [i]ntroduire des mesures de coexistence efficaces qui n’incombent pas au secteur biologique, notamment un fond d’indemnisation en cas de contaminations par les sociétés de biotechnologie ».

    Notez bien le « par les sociétés de biotechnologie »... l'anticapitalisme est un élément incontournable du discours.

    Dans ces revendications, il en est qui sont déjà satisfaites dans le projet de règlement de la Commission Européenne – s'agissant de l'information par exemple.

    Mais faire l'âne est une stratégie gagnante : on montre aujourd'hui à sa clientèle qu'on se démène – et demain qu'on a obtenu un succès.

    https://seppi.over-blog.com/2023/08/nouvelles-techniques-genomiques-et-bio-de-qui-se-moquent-ils.html

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  42. Matière organique du sol, gaz à effet de serre et agriculture biologique : pas terrible !


    9 Août 2023


    Nature Climate Change a publié un article d'une équipe franco-britannique, « Soil organic carbon stocks potentially at risk of decline with organic farming expansion » (les stocks de carbone organique du sol risquent de diminuer avec l'expansion de l'agriculture biologique).

    Les auteurs en sont Ulysse Gaudaré, Matthias Kuhnert, Pete Smith, Manuel Martin, Pietro Barbieri, Sylvain Pellerin et Thomas Nesme. Les auteurs français sont affiliés à l'INRAE... oups ! INRAE, quatre d'entre eux à ISPA (Interactions Sol Plante Atmosphère), Bordeaux Sciences Agro.

    Nous ne disposons que du résumé et ne sommes pas disposé à payer la « modique » somme de 25 euros moins un centime pour un accès limité dans le temps.

    Le voici (découpé) :

    « L'agriculture biologique est souvent considérée comme une stratégie permettant d'augmenter le stock de carbone organique du sol (COS) des terres cultivées. Cependant, les fermes biologiques n'occupent actuellement qu'une petite fraction des terres cultivées, et on ne sait pas exactement comment l'expansion à grande échelle de l'agriculture biologique aura un impact sur les apports de carbone dans le sol et sur les stocks de COS.

    Nous utilisons ici un modèle biogéochimique spatialement explicite pour montrer que la conversion complète des terres cultivées mondiales à l'agriculture biologique sans utilisation de cultures de couverture et de résidus végétaux (scénario normatif) entraînera une réduction de 40 % de l'apport de carbone dans le sol et une baisse de 9 % des stocks de COS.

    Un scénario biologique optimal favorisant l'utilisation généralisée de cultures de couverture et le recyclage accru des résidus réduira l'apport de carbone dans le sol de 31 %, et le COS pourra être préservé 20 ans après la conversion à l'agriculture biologique.

    Ces résultats suggèrent que l'expansion de l'agriculture biologique pourrait réduire le potentiel de piégeage du carbone dans le sol, à moins que des pratiques agricoles appropriées ne soient mises en œuvre. »

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  43. Ce n'est pas terrible comme résumé et cela donne l'impression sur la fin qu'on a cherché à rester « politiquement correct ».

    Sauf erreur, il n'y a pas d'autres éléments sur internet... Pas de communiqué de presse – tonitruant – de l'INRAE... oups ! INRAE.

    Mais quelques recherches ont mené à la présentation d'une soutenance de thèse de M. Ulysse Gaudaré. La voici, également découpée :

    « L’expansion de l’agriculture biologique permettrait-elle d’atténuer les émissions de gaz à effet de serre d’origine agricole ? Une approche systémique à l’échelle mondiale.

    L’agriculture et les autres usages des terres sont responsables de 23 % des émissions anthropiques mondiales de gaz à effet de serre (GES). Pour atteindre les objectifs fixés par l’Accord de Paris, il est nécessaire de réduire les émissions de GES dans tous les secteurs y compris l’agriculture.

    L’Agriculture Biologique (AB) apparait comme un modèle agricole prometteur du fait (i) du non recours aux engrais azotés de synthèse – et de la réduction des émissions de N2O associées – et (ii) de pratiques favorisant le stockage de carbone (C) dans les sols – et donc le retrait de CO2 atmosphérique.

    Cependant l’AB est souvent critiquée pour ses rendements plus faibles, engendrant potentiellement des changements d’usage des terres si ce mode de production se développait.

    Plusieurs études ont estimé que la généralisation de l’AB serait de nature à atténuer les émissions de GES d’origine agricole (de -3 à -40%), mais celles-ci n’ont pas tenu compte des rétroactions systémiques potentielles que le développement de ce mode de production pourrait générer. Ces rétroactions sont principalement le fait d’une plus forte compétition pour les ressources fertilisantes organiques avec une potentielle cascade d’effets menant à

    (i) une réduction de la disponibilité en azote pour les cultures engendrant une réduction des rendements,

    (ii) une réduction des entrées de C et des stocks de C dans les sols agricoles et

    (iii) des changements d’usage des terres liés à un besoin accru de surfaces agricoles.

    Si l’effet de ces rétroactions sur la production alimentaire mondiale a été étudié dans une récente étude, leurs effets sur les émissions de GES n’ont encore jamais été explorés à l’échelle mondiale.

    L’objectif de cette dissertation est d’évaluer l’effet d’une généralisation de l’AB – ainsi que des rétroactions systémiques qu’elle engendre – sur les émissions de GES d’origine agricole.

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  44. Pour répondre à cet objectif, nous avons couplé le modèle GOANIM – modèle simulant la disponibilité en azote et ses conséquences sur la productivité des cultures dans des scénarios de généralisation de l’AB – à trois autres modèles : le modèle N2O-CH4 adapté des directives du IPCC pour estimer les émissions de N2O et CH4 des activités agricoles, un modèle simulant la dynamique du C dans les sols agricoles (RothC) pour estimer les changements de stocks de carbone organique des sols et un modèle visant à estimer un changement de besoin en terres agricoles en fonction des rendements agricoles et des régimes alimentaires (GlobAgri-AgT) pour estimer le changement d’usage des terres.

    Les résultats obtenus montrent qu’une généralisation de l’AB verrait les émissions de GES d’origine agricole augmenter de 56% comparées aux émissions actuelles. Cette augmentation nette s’explique par

    (i) une baisse de 60 % des émissions annuelles de N2O et CH4 (-3.1 Gt gaz carboniqueeq.an-1),

    (ii) une augmentation des émissions de gaz carbonique liée au déstockage du carbone des sols agricoles (+2.3 Gt gaz carboniqueeq.an-1) et

    (iii) des émissions de gaz carbonique induites par des changements d’usage des terres (+3.7 Gt gaz carboniqueeq.an-1).

    De plus, nous avons trouvé une réponse non-linéaire des émissions mondiales de GES en fonction de la part des surfaces agricoles mondiales occupées par l’AB. Ainsi, dans un scénario où l’AB ne couvre que 20 % des surfaces agricoles mondiales, les émissions de GES mondiales pourraient être réduites de 70 %. Ce résultat suggère l’existence d’un développement optimal de l’AB minimisant les émissions de GES d’origine agricole.

    Par ailleurs, nos résultats permettent d’identifier des pratiques en AB (comme la généralisation des cultures intermédiaires) qui permettraient d’améliorer les effets de l’AB sur les émissions de GES.

    L’approche utilisée dans cette dissertation est une base méthodologique qui permettra l’analyse d’autres scénarios incluant une plus grande diversité de pratiques, apportant un éclairage sur les pistes ouvertes aux producteurs et décideurs publiques pour réduire les émissions de GES d’origine agricole.

    Faut-il laisser cela brut de décoffrage ? Je ne pense pas.

    Cela reste des Kriegsspiele sur tableur.

    Et cela reste enfermé dans le carcan d'une idéologie antiscientifique.

    L'agriculture biologique ne refuse pas seulement les engrais de synthèse (sauf lorsqu'ils ont été « blanchis » par le passage sur un champ cultivé ou dans l'estomac d'un animal élevé dans le cadre de l'agriculture conventionnelle). Elle refuse aussi la protection phytosanitaire avec des produits de synthèse (avec quelques exceptions...), le progrès génétique moderne, etc.

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  45. Quels seraient les résultats si on adoptait une approche dynamique incorporant des progrès agronomiques dans les deux formes d'agriculture, en tenant compte des freins considérables qui s'exercent sur l'agriculture biologique ?

    Cela ne devrait pas changer la conclusion générale. En tant que telle, l'agriculture biologique n'est pas favorable au stockage du carbone dans le sol.

    Pour stocker – augmenter la teneur en matière organique du sol – il faut, d'une part, apporter de la matière organique. Étant entendu que quand on apporte de la matière organique provenant d'ailleurs – par exemple d'une exploitation conventionnelle ou d'un manège équestre – on procède à un enrichissement d'un côté et un appauvrissement de l'autre.

    Les rendements moindres de l'AB en produits agricoles et alimentaires sont sans doute associés à des rendements moindres en résidus susceptibles de se transformer en humus.

    On me rétorquera peut-être : « Ah oui, mais les rotations en bio, les cultures de trèfle et de luzerne pourvoyeuses de matière organique en agriculture biologique »... Mais l'AB n'en a pas le monopole et l'AC ne s'interdit pas ces cultures.

    Il faut, d'autre part, minimiser les pertes. Là aussi, l'AB est pénalisée par le nécessaire recours à des façons culturales pour lutter contre les adventices.

    On peut, bien sûr, essayer de ruser. Évoquer des « pratiques agricoles appropriées ». Cela ne change rien ou pas grand-chose aux fondamentaux car les pratiques bénéfiques sont aussi applicables dans l'agriculture que l'on appelle par convention et faute de mieux « conventionnelle ».

    https://seppi.over-blog.com/2023/08/matiere-organique-du-sol-gaz-a-effet-de-serre-et-agriculture-biologique-pas-terrible.html

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  46. ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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