- ENTREE de SECOURS -



samedi 26 août 2023

Nucléaire en France : la force tranquille en marche

La force tranquille du nucléaire est en marche en France et à l’étranger, après 20 années de procrastination et de politique énergétique aberrante.


le 26 août 2023

Michel Gay


Le 21 août 2023, la durée de vie du réacteur nucléaire n°1 de la centrale du Tricastin dans la Drôme a été officiellement prolongée de dix ans par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).

Il s’agit du premier réacteur nucléaire qui pourra continuer à fonctionner après 40 années d’activité, d’abord jusqu’à 50 ans, et peut-être jusqu’à 60 ans comme aux États-Unis, voire plus.

Un évènement majeur

L’événement est majeur pour la France qui mise plus que jamais sur la prolongation de la durée de vie de ses réacteurs nucléaires pour assurer une production massive d’électricité sur le long terme, et aussi pour atteindre ses objectifs climatiques dans le cadre de la transition énergétique.

Toutefois, contrairement à de fausses affirmations diffusées par certains médias, ce n’est pas une autorisation pour poursuivre l’exploitation de ce réacteur « au-delà de sa durée théorique de fonctionnement maximal », car les 40 ans n’ont jamais été une durée théorique de fonctionnement maximal.

Cette prolongation est l’aboutissement du programme « Grand carénage », mené par EDF depuis 2014 et estimé à 66 milliards d’euros, pour rénover le parc des réacteurs nucléaires français et améliorer leur sûreté afin de poursuivre leur exploitation au-delà de 40 ans.

Il y a quelques mois, le gouvernement a lancé des études « permettant de préparer la prolongation de la durée de vie des centrales existantes « à 60 ans et au-delà ».

Un réacteur nucléaire n’a pas d’âge limite !

Cette autorisation constitue certes une première en France, mais pas en Europe. Le réacteur n°1 de la centrale de Beznau en Suisse fêtera ses 54 ans en décembre 2023… et d’autres ont déjà dépassé 40 ans (Beznau 2 fonctionne depuis 50 ans, et la centrale de Gösgen depuis 42 ans).

Un examen tous les 10 ans

La législation française prévoit des réexamens périodiques tous les dix ans. Au terme de ceux-ci, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) autorise le réacteur à fonctionner pour dix années supplémentaires, ou non.

Réduire la puissance des centrales nucléaires qui constituent le moyen de production d’électricité le plus « décarboné » (avec l’hydroélectricité) conduit automatiquement à augmenter les émissions de gaz carbonique. Il est en effet nécessaire de compenser l’intermittence des sources d’électricité renouvelables du vent et du soleil par des moyens de production « carbonés » (gaz, charbon, fuel, bois).

Le gouvernement semble enfin prendre conscience que la poursuite des orientations énergétiques fondées sur les énergies aléatoires et fatales du vent et du soleil des vingt précédentes années conduit la France droit dans le mur.

Un grand chantier industriel 

Le grand chantier du second quinquennat du président de la République est la relance du nucléaire (une « technologie d’avenir ») qui faisait partie de ses arguments de campagne, avant sa réélection en mai 2022. En février 2022 à Belfort, il avait même annoncé un programme nucléaire pour répondre à la fois à la hausse massive de la consommation d’électricité (liée à l’électrification des usages), à la neutralité carbone à horizon 2050, et au maintien d’une électricité à des prix compétitifs afin de ne pas pénaliser les entreprises françaises.

Outre la construction de 14 nouveaux réacteurs (six EPR2 « dès à présent » et potentiellement huit nouveaux exemplaires « dans les années à venir », il avait annoncé la prolongation de « la durée de vie de tous les réacteurs nucléaires qui peuvent l’être ».

Les États-Unis, qui ont quasiment les mêmes réacteurs, les ont déjà prorogés jusqu’à 60 ans, et étudient dès à présent des prolongations jusqu’à 80 ans.

La loi d’accélération du nouveau nucléaire

Pour mener à bien son ambitieux programme, le gouvernement a présenté un projet de loi dit d’« accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires » afin de commencer les travaux du premier réacteur de nouvelle génération EPR2 à Penly, en Normandie, dès juin 2024 pour une mise en service à l’horizon 2035.

L’Élysée suit au plus près cette relance du nucléaire.

Emmanuel Macron convoque dorénavant régulièrement un « conseil de politique nucléaire », chargé de veiller à tenir le cap et la cadence de la relance accélérée de la filière, ainsi que la prolongation de la durée de vie des centrales existantes à 60 ans.

Début mai 2023, députés et sénateurs sont parvenus à un accord en commission mixte paritaire sur le projet de loi d’accélération du nucléaire et les sénateurs ont levé l’objectif de réduction du nucléaire à 50 % dans le mix électrique à 2035.

En Europe aussi, l’atome fait son grand retour

La guerre en Ukraine et ses conséquences, notamment sur l’approvisionnement en gaz, ont relancé, partout en Europe, l’intérêt pour l’énergie nucléaire.

À l’initiative de la France, quatorze pays européens ont même créé une « alliance du nucléaire » afin de faire entendre la voix de ceux favorables à cette énergie au sein des 27, et de peser sur les décisions européennes parfois délirantes en matière de politique énergétique.

Les Pays-Bas et la Suède ont annoncé de nouveaux projets de construction de centrales nucléaires, marquant ainsi un profond revirement de leur politique énergétique. La Hongrie a également ouvert la porte aux industriels français du nucléaire, tandis que le Royaume-Uni a confirmé son intention d’investir aux côtés d’EDF dans un projet de centrale à Sizewell (Suffolk).

La force tranquille du nucléaire est en marche après 20 années de procrastination et de politique énergétique aberrante.

La phase suivante sera de décider le lancement du nucléaire durable fondé sur les surgénérateurs utilisant 100 fois mieux l’uranium naturel (presque 100 % au lieu de 0,7 % actuellement). Le nucléaire deviendrait ainsi une source d’énergie propre pendant plusieurs milliers d’années.

C’est une nécessité vitale et morale pour les futures générations.

https://www.contrepoints.org/2023/08/26/462387-nucleaire-en-france-la-force-tranquille-en-marche 

106 commentaires:

  1. L’Australie ne peut pas construire une seule centrale nucléaire, mais il y a cinquante ans, la France en a construit 56 en 15 ans


    Par Jo Nova
    August 23rd, 2023


    Le lamentable et le dénuement de notre débat national sur l’énergie
    On pourrait penser que notre ancien scientifique en chef saurait faire de la recherche fondamentale avant de commenter l'actualité nationale ?

    Alan Finkel affirme que l’Australie ne pourrait probablement pas construire une centrale nucléaire en moins de vingt ans, car les Émirats arabes unis ont mis quinze ans. Mais il y a cinquante ans, les Français ont construit 56 centrales nucléaires en seulement 15 ans. N’est-ce pas pertinent et ne devrions-nous pas au moins le mentionner ? À l’époque, la France comptait 51 millions d’habitants, soit le double de celle de l’Australie aujourd’hui. Au prorata, l’Australie pourrait viser 26 réacteurs.

    Si nous le demandons gentiment, peut-être pourrions-nous emprunter les anciens plans de 1973 ? Le plan Messmer a été lancé en réponse à la crise pétrolière et les Français ont lancé la même année la construction de trois centrales. Le slogan qu’ils utilisaient était « En France, nous n’avons pas de pétrole, mais nous avons des idées ».

    En Australie, notre slogan semble être que nous n’avons pas de pétrole, mais que nous achetons des panneaux solaires à la Chine.

    Dans le même ordre d’idées, la Suède a annoncé il y a deux semaines qu’elle construirait 10 nouveaux réacteurs nucléaires d’ici 2045. Avec 10 millions d’habitants, la tendance est apparemment que la construction d’une centrale nucléaire par million d’habitants est la norme.

    Or, ces deux pays possèdent déjà ou ont fait fonctionner quelques centrales nucléaires, ils ne démarraient donc pas à froid. L’Australie ne possède qu’un seul réacteur de qualité médicale et quelques hypothétiques sous-marins nucléaires. Mais en 1973, la France ne pouvait pas s’appuyer sur cinquante ans de recherche industrielle et il n’y avait pas 436 réacteurs en activité dans le monde. Si hypothétiquement, nous étions dans une crise existentielle aux proportions de fin mondiale, penseriez-vous que nous pourrions construire plus rapidement que dans les années 1970 ?

    RépondreSupprimer
  2. Alan Finkel a été conseiller spécial du gouvernement australien pour les technologies à faibles émissions pendant deux ans jusqu'en novembre 2022, il a donc été payé pour savoir ce genre de choses. L’énergie nucléaire est la technologie ultime à faibles émissions. C'était son devoir de comprendre cela. L'année dernière, il a reçu le titre de Compagnon de l'Ordre d'Australie (AC) lors de l'Australia Day Honors pour « ses services éminents rendus à la science, à la capacité nationale d'innovation énergétique et d'infrastructure de recherche, aux initiatives de réponse au changement climatique et au COVID-19, et à la science et formation d’ingénieur ». Ces prix sont devenus une mauvaise plaisanterie.

    Alan Finkel ne craint clairement pas de donner aux Australiens la moitié de la vérité et le Sydney Morning Herald est bien sûr heureux de publier des bêtises. Tout ce que Mike Foley, a déclaré le journaliste, avait à faire pour mener une enquête, c'était de téléphoner à n'importe qui dans l'industrie nucléaire aux États-Unis ou en France, ou de faire une recherche sur un blog climato-sceptique.

    La campagne de la coalition en faveur de l’énergie nucléaire est invraisemblable, selon les experts
    Mike Foley Sydney Morning Herald

    L’ancien scientifique en chef Alan Finkel affirme qu’il faudrait des décennies pour développer une industrie locale de l’énergie nucléaire, alors que lui et d’autres experts rejettent la volonté de la Coalition de passer des énergies renouvelables au nucléaire comme étant invraisemblable puisque l’Australie a besoin de remplacer de toute urgence ses centrales électriques au charbon vieillissantes.

    Finkel a déclaré qu'il était très improbable que l'Australie puisse ouvrir une centrale nucléaire avant le début des années 2040, affirmant que les Émirats arabes unis autocratiques avaient mis plus de 15 ans pour achever leur premier projet nucléaire utilisant une technologie établie.

    Au lieu d’être un type de « l’Ordre d’Australie », au service de son pays, Finkel ressemble à un vendeur d’énergies renouvelables :

    RépondreSupprimer
  3. La viabilité économique du parc vieillissant de centrales électriques au charbon d’Australie, qui représentent encore les deux tiers du réseau électrique, a été mise à mal par des sources d’énergie renouvelables moins chères. Une énergie de remplacement est nécessaire de toute urgence, avec cinq centrales sur 15 qui devraient fermer d’ici une décennie et d’autres devraient suivre.

    En fin de compte, c’est le coût global du système qui compte pour les familles. Nous continuons à ajouter des énergies renouvelables et pourtant, plus nous en ajoutons, plus les prix augmentent. C’est la preuve qui compte, l’observation qu’un « scientifique » est censé remarquer.

    En fin de compte, l’Australie a besoin d’une énergie bon marché et rien n’est moins cher que le charbon. Brûlez le charbon, nourrissez le monde, puis créez une industrie nucléaire…

    https://joannenova.com.au/2023/08/australia-cant-build-one-nuclear-plant-but-fifty-years-ago-france-built-56-in-15-years/

    RépondreSupprimer
  4. Centrales à charbon : elles reprennent du service pour cet hiver

    Face à la menace de coupures d’électricité cet hiver, le gouvernement français a pris la décision controversée de prolonger le fonctionnement des centrales à charbon. Une mesure qui soulève de nombreuses questions sur l’équilibre entre la sécurité énergétique et la protection de l’environnement.


    Par Nicolas Egon
    le 25 août 2023 à 15h30


    En Europe, en 2019, 79 % des centrales à charbon ne sont pas rentables

    Un fonctionnement prolongé pour ces centrales thermiques

    Les centrales à charbon, bien que largement critiquées pour leur impact environnemental, jouent encore un rôle dans le mix énergétique français. En effet, les deux centrales à charbon restantes ne représentent que 0,6 % du mix énergétique du pays. Cependant, face à la crainte de coupures d'électricité cet hiver, le gouvernement a autorisé ces centrales à fonctionner plus longtemps. Un décret publié au Journal officiel le 24 août 2023 a assoupli les normes d'émissions de gaz à effet de serre.

    Le plafond d'émission a été relevé à « 1,8 kilotonne d'équivalents dioxyde de carbone par mégawatt de puissance électrique installée entre le 1er avril 2023 et le 31 décembre 2024 ». Initialement, ce plafond devait être de 0,6 kilotonne à partir d'avril 2023, puis 0,7 à partir de janvier 2024. En termes d'heures de fonctionnement, cela signifie que les centrales pourront fonctionner 500 heures supplémentaires, soit un total de 1800 heures.

    Les motifs d’un tel assouplissement

    L'assouplissement de ces normes intervient dans un contexte où le gouvernement cherche à garantir la sécurité énergétique du pays. Bien que le niveau de tension sur le système électrique soit actuellement inférieur à celui de l'année dernière, le ministère de la Transition énergétique a déclaré prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la production électrique française.

    Les analyses du gestionnaire de réseau RTE montrent que le niveau de tension sur le système électrique pour l'hiver 2023-2024 sera moindre que l'hiver précédent. De plus, la situation est favorisée par la disponibilité du parc nucléaire, le développement des énergies renouvelables et les efforts des Français en matière de sobriété énergétique. Cependant, le gouvernement a choisi d'être prudent et de prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir l'approvisionnement en énergie, même dans les scénarios les plus extrêmes.

    https://www.economiematin.fr/centrales-charbon-prolongement-service-hiver

    RépondreSupprimer
  5. Les États-Unis doublent leurs importations d’uranium en provenance de Russie


    Par Mac Slavo
    Plan SHTF
    26 août 2023


    Les achats d’uranium des États-Unis à la Russie ont doublé depuis l’année dernière. Les États-Unis ont acheté 416 tonnes d’uranium à la Russie au premier semestre, soit plus du double de la quantité pour la même période en 2022 et le niveau le plus élevé depuis 2005.

    Compte tenu de la diabolisation continue de la Russie par les dirigeants américains, cela semble pour le moins étrange. RIA Novosti a rendu compte jeudi des achats d'uranium, citant les données du service statistique américain. La Russie fournit aux États-Unis uniquement de l'uranium enrichi, un élément essentiel pour la production d'énergie nucléaire civile, selon un rapport de RT.

    Les calculs de RIA montrent que les dirigeants de Washington ont payé 696,5 millions de dollars pour les livraisons d'uranium en provenance de Russie, soit la valeur la plus élevée depuis 2002. Au cours du premier semestre, le coût des fournitures a été multiplié par 2,5 et la part de la Russie dans les importations américaines a augmenté de 13 points de pourcentage. à 32%.

    L'Allemagne et le Canada figuraient également parmi les cinq principaux fournisseurs d'uranium du marché américain, représentant respectivement 13 % et 11 % des importations. Selon un récent rapport du New York Times, environ un tiers de l’uranium enrichi utilisé aux États-Unis est importé de Russie. GHS Climate, une société de conseil en énergie propre, affirme qu’un foyer et une entreprise américaine sur 20 étaient alimentés à l’uranium russe l’année dernière.

    Près de la moitié de l’uranium enrichi mondial est produit en Russie, et les efforts des États-Unis pour réduire leur dépendance à l’égard des importations en provenance de ce pays ont jusqu’à présent échoué. Les usines d’enrichissement américaines ont été fermées après la guerre froide, car il était nettement moins cher pour les importateurs d’acheter de l’uranium russe. Actuellement, seules deux installations américaines – l’une dans l’Ohio et l’autre au Nouveau-Mexique – sont autorisées à produire du combustible nucléaire de haute qualité. -RT

    RépondreSupprimer
  6. En janvier dernier, le Washington Post rapportait que si des sanctions étaient imposées à Rosatom, la société nucléaire civile russe, elle pourrait suspendre ses exportations d’uranium vers l’industrie nucléaire américaine et européenne. La dépendance des États-Unis à l’égard du combustible nucléaire russe est considérable, mais les entreprises américaines disposent de plusieurs options si Rosatom est frappée par des sanctions.

    Il semble que les États-Unis essaient toujours de contourner les règles qu’ils créent
    .
    Reprinted with permission from SHTFplan.

    https://www.lewrockwell.com/2023/08/mac-slavo/u-s-doubles-uranium-imports-from-russia/

    RépondreSupprimer
  7. Le climat se réchauffe ensuite vers le Ve siècle avant J.-C., apogée de la Grèce antique puis vers l’époque du Christ, apogée de Rome. Mais le constat est là : «L’époque romaine était marquée par un climat majoritairement humide et chaud et relativement stable», explique Ulf Büngten, chercheur au Swiss Federal Research Institute de Zurich (Suisse) qui ajoute : «Le déclin de l’Empire romain d’Occident s’accompagne d’un climat nettement plus froid et plus instable à partir de 250 après J.-C.».

    source : Patrice Gibertie

    https://reseauinternational.net/le-refroidissement-climatique-entraine-la-secheresse-et-la-crise-des-civilisations/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-refroidissement-climatique-entraine-la-secheresse-et-la-crise-des-civilisations

    RépondreSupprimer
  8. Soudain, l’Australie a besoin de 1,5 billion de dollars pour sa quête énergétique « Moonshot » pour le contrôle mondial de la météo.


    Par Jo Nova
    August 22nd, 2023


    Maintenant, ils nous disent :
    …de grosses dépenses dans les énergies renouvelables sont nécessaires, selon un rapport
    L’Australie doit trouver 1 500 milliards de dollars d’ici la fin de la décennie pour atteindre les objectifs verts de 2050, dans un effort qui, selon les experts, devrait refléter la reconstruction de l’Europe après la Seconde Guerre mondiale.
    — Par Nick Evans, L'Australien

    Jusqu’il y a cinq minutes (ou du moins jusqu’aux dernières élections), l’énergie éolienne et solaire représentait l’avenir – on ne pouvait pas les arrêter parce que l’énergie gratuite était rentable et devenait moins chère chaque année. (Moins cher que gratuit !) Maintenant que nous sommes sortis des brumes du jardin des fées, quelques passagers au dernier étage du Carbon Bus aperçoivent la falaise arriver. Soudain, nous sommes passés de « cela permettra d’économiser de l’argent » à un besoin de 1 500 milliards de dollars ou de 1,5 million de valises d’un million de dollars chacune, ce qui est beaucoup dans un pays de 26 millions d’habitants. Cela équivaut à 57 000 $ chacun pour chaque homme, femme, retraité et bébé, et nous en aurons besoin au cours des 7 prochaines années. Cela représente donc un quart de million de dollars pour chaque famille de quatre personnes.

    Peu importe une maison ou des vacances, si nous sommes sérieux, nous devons travailler le week-end et envoyer les enfants à l'usine après l'école. Quel est le salaire minimum pour les enfants de dix ans ?

    On va faire « un Moonshot » apparemment. Dommage que personne n’en ait parlé lors des dernières élections ?
    Le nouveau rapport a été publié le mois dernier par le comité d’experts dont nous n’avions jamais entendu parler – Net Zero Australia.

    La plus grande transformation économique de l'histoire de l'Australie figure parmi les conclusions finales d'une étude d'experts majeure sur la voie suivie par l'Australie vers zéro émission nette de carbone, menée par des équipes interdisciplinaires de l'Université de Melbourne, de l'Université du Queensland, du Centre Andlinger pour l'énergie et l'environnement de l'Université de Princeton, et Groupe Nous.

    RépondreSupprimer
  9. L’Australie a juste besoin de construire 230 GW de production d’énergie renouvelable d’ici 2035, et à l’heure actuelle, nous avons « engagé » 50 GW :

    Le rapport indique que près de 50 gigawatts de production d’énergie renouvelable planifiée et engagée sont bien en deçà des 230 GW estimés nécessaires d’ici 2035, et qu’une accélération drastique du développement éolien terrestre et offshore serait nécessaire pour fournir l’énergie future.

    Robin Batterham – professeur émérite d’ingénierie à l’Université de Melbourne et ancien scientifique en chef d’Australie – qui a présidé le comité directeur du groupe, a déclaré que c’était une tâche énorme.

    Ainsi, nous formerons 100 000 ingénieurs et artisans dans les 7 prochaines années :

    La poussée économique serait énorme, même parmi la population active. La modélisation de Net Zero Australia suggère que la main-d'œuvre qualifiée nécessaire pour installer et gérer les actifs de nouvelle génération, les lignes de transport et les efforts de décarbonation associés devra doubler pour atteindre au moins 200 000 personnes d'ici 2030 et atteindre 700 000 à 850 000 d'ici 2060, soit jusqu'à 4 % de la population australienne. effectif total estimé.

    Les experts du nouveau comité ont osé suggérer que nous devions construire un nouveau parc de centrales à gaz et laisser fonctionner les anciens générateurs au charbon jusqu'à ce que nous disposions d'un nouvel approvisionnement fiable. Ils peuvent voir comment quelques coupures d’électricité de quelques milliards de dollars vont entamer l’enthousiasme pour le racket des énergies renouvelables vertes. C'est improbable qu'ils disent qu'il faut garder toutes les options ouvertes, sauf le nucléaire, bien sûr, et cette idée folle de vérifier les déclarations d'un comité étranger.

    Nous ne devrions pas attendre une technologie « miracle » comme les petits réacteurs modulaires, disent-ils, mais il est acceptable d'attendre des batteries bon marché, des centrales éoliennes fiables, une élimination sûre des pales de turbine, des aigles morts, des baleines échouées et des rapports sur la pollution par les infrasons. des études que personne n’a encore faites.

    Ne parlez pas du rapport risque/récompense…

    Nous devons dépenser 5 000 milliards de dollars d’ici 2050, construire 40 fois plus de génération, et sur la base d’une modélisation économique douteuse avec vingt-cinq ans de suppositions extrapolées sur des technologies qui n’ont pas encore été inventées, nous pourrions réduire les coûts énergétiques de 9 % à 7 % de la consommation énergétique. l'économie totale, mais nous ne refroidirons certainement pas le monde à aucun degré ?

    RépondreSupprimer
  10. La production d'énergie renouvelable devrait atteindre environ 40 fois la capacité de production actuelle du NEM, selon une modélisation précédente du groupe – mais, même dans le cadre du scénario d'énergie renouvelable le plus agressif modélisé par Net Zero Australia, les coûts énergétiques nationaux totaux du pays chuteraient de d’un peu moins de 9 pour cent du PIB à environ 7 pour cent d’ici 2050.

    Les Australiens ont déployé des efforts considérables en installant des installations éoliennes et solaires au cours des dix dernières années, mais nous devons en faire « 40 fois plus ». Tracez la courbe jusqu'en 2050 dans votre tête :

    - voir graph sur site -

    Croissance des sources renouvelables de production d’électricité en Australie
    Énergie.gov.au

    Personne ne prend au sérieux la transition ou les émissions de carbone. Tant que la sauce coule à flot…

    https://joannenova.com.au/2023/08/suddenly-australia-needs-1-5-trillion-dollars-on-energy-moonshot-quest-for-global-weather-control/

    RépondreSupprimer
  11. Bill Gates promeut le “Net Zéro” comme solution au problème du climat : Les critiques le qualifient d’”escroquerie financière”

    Dans un entretien avec The Defender, la militante écologiste et défenseur de la souveraineté alimentaire Vandana Shiva, Ph.D., a déclaré que le mouvement "net zéro" promu par Bill Gates et d'autres mondialistes est une escroquerie qui permet aux pollueurs d'acheter des crédits au lieu de réduire leurs émissions, ce qui favorise l'accaparement des terres et la mainmise des entreprises.


    Par W. Aaron Vandiver
    Mondialisation.ca,
    24 août 2023


    Bill Gates est connu pour être l’un des principaux défenseurs de la notion de “net zero”. Le milliardaire de la technologie a déclaré qu’atteindre des émissions de gaz à effet de serre “Net zéro” [Zéro émission nette] d’ici à 2050 serait “le défi le plus difficile que l’humanité ait jamais relevé” et “la chose la plus étonnante que l’humanité ait jamais faite”.

    Faire passer les émissions mondiales de gaz à effet de serre de leur niveau actuel de 52 milliards de tonnes à zéro net au cours des trois prochaines décennies, selon M. Gates, signifie que “nous devons trouver de meilleures façons de faire à peu près tout”, de la “nourriture que nous mangeons” aux “bâtiments dans lesquels nous vivons”, car “pratiquement toutes les activités humaines produisent des émissions de gaz à effet de serre”.

    Mais lorsque M. Gates parle de “net zéro”, il ne veut pas dire “zéro réel”, c’est-à-dire sans émissions.

    L’ajout du mot “net” dans l’équation pour refaire “pratiquement toutes les activités humaines” modifie considérablement le sens du mot “zéro”.

    Et M. Gates a contribué à convaincre la plupart des pays du monde d’ajouter ce petit mot, mal compris et apparemment inoffensif, “net”, dans leurs engagements en matière de changement climatique.

    Que signifie donc exactement l’absence totale d’émissions pour M. Gates et les autres personnes qui partagent ses ambitions ?

    RépondreSupprimer
  12. L’activiste écologique Vandana Shiva, docteur en philosophie, a déclaré au Défenseur :

    Comme l’admet Bill Gates dans son livre “How to Avoid a Climate Disaster“, la notion de “net zéro” ne signifie pas que les pollueurs cessent de polluer. Il s’agit pour les pollueurs d’obtenir de nouveaux profits en créant de nouveaux marchés pour de fausses solutions techniques telles que la géo-ingénierie et les faux aliments, et de nouvelles formes d’accaparement des terres par le biais des “carbon offsets” (compensations carbone).

    “Le net zéro est une escroquerie financière comme la crise des subprimes de 2008, qui a conduit à l’effondrement de Wall Street et d’économies entières”.

    Les implications futures du “net zéro” sont considérables. La campagne mondiale en faveur du “net zéro” a transformé les “crédits carbone” en instruments financiers négociés à l’échelle mondiale, donnant aux grandes entreprises et aux milliardaires une sorte de “permis de polluer”.

    Le “marché mondial du carbone” a créé de nouveaux moyens pour les élites économiques de s’approprier des terres, de tirer profit de technologies douteuses et de tenter de s’accaparer le marché de toute activité produisant du carbone, ce qui pourrait englober “pratiquement toutes les activités humaines”, selon les termes de M. Gates.

    L’histoire du “net zéro” et son potentiel d’abus

    Le concept de “net zéro” existait principalement dans les documents et rapports universitaires jusqu’à ce qu’il soit incorporé dans l’Accord de Paris de 2015, à la demande expresse de puissants défenseurs. Depuis lors, l’engagement mondial en faveur de l’objectif “net” zéro a explosé.

    Mme Shiva a récemment déclaré à Russell Brand: “J’ai vu Bill Gates s’emparer du système de l’ONU [United Nations] lors du sommet sur le climat qui s’est tenu à Paris en 2015.”

    Dans une autre interview, Shiva a dit ceci à propos de Gates.

    Il a inventé un mot, que je n’avais jamais entendu auparavant, appelé “net zéro”. Il a dit que nous devions résoudre les problèmes climatiques en appliquant le principe du “net zéro”.

    RépondreSupprimer
  13. “Cela ne signifie pas que nous nous débarrassons des émissions. Il se déplace en jet privé et bénéficie de tous les services de jet privé du monde. Il dit que cela ne signifie pas que nous allons arrêter de polluer. Il dit que cela signifie simplement que nous devons trouver des terres d’autres personnes pour compenser notre pollution”.

    Voici comment le concept de “net zéro” est censé fonctionner.

    Dans l’article 4 de l’Accord de Paris, les parties ont convenu que les sources d’émissions doivent être “équilibrées” par des “absorptions” de gaz à effet de serre.

    L’article 6 fait référence aux “résultats d’atténuation transférés au niveau international”, c’est-à-dire aux crédits de carbone qui peuvent être achetés, vendus et échangés au-delà des frontières internationales.

    L’Accord de Paris a conduit à l’émergence d’un “marché du carbone” mondial dans lequel les gouvernements et les acteurs privés achètent et vendent des crédits en finançant des activités qui réduisent ou évitent les émissions de carbone, ou celles qui éliminent le carbone de l’atmosphère.

    Les crédits d’absorption peuvent être obtenus par des méthodes technologiques d’absorption telles que la “capture directe de l’air” – une technologie qui n’a pas encore fait ses preuves à grande échelle – ou par des méthodes terrestres telles que la préservation des forêts et la séquestration du carbone dans le sol des terres agricoles.

    Les gros émetteurs qui obtiennent des crédits peuvent les utiliser pour “compenser” leurs émissions, de sorte qu’ils n’ont pas à les réduire.

    Selon Mme Shiva, l’idée de parvenir à un “net zéro” par le biais d’un marché mondial des crédits carbone s’éloignait d’une conception antérieure de la manière dont le changement climatique devait être abordé.

    “Mettre fin à la pollution qui est à l’origine du chaos climatique et de la déstabilisation du climat est une obligation écologique, à la fois pour protéger les droits de la Terre en tant qu’organisme vivant et les droits de l’homme de ces vies que nous perdons à cause des catastrophes climatiques”, a déclaré Mme Shiva au Defender.

    Cela signifie que nous devons tendre vers le “vrai zéro” en termes d’émissions. Étant donné que 0,1 % est responsable de la majeure partie de la pollution, les pollueurs doivent cesser de polluer et, comme il a été convenu à Rio lors du Sommet de la Terre, les pollueurs doivent payer”, a-t-elle déclaré.

    RépondreSupprimer
  14. Le principe du “zéro net” a renversé cette logique en donnant aux grands pollueurs le droit d’acheter financièrement des “droits d’émission”. C’est ainsi que les crédits carbone sont devenus la “solution climatique préférée de Wall Street“.

    “L’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, est aujourd’hui à la tête de l’initiative Net Zero de l’ONU, qui est décrite comme “changeant à jamais la tuyauterie de l’ensemble du système financier”, a déclaré Mme Shiva.

    Avec une telle puissance financière, la campagne mondiale en faveur du “net zero” a pris son essor depuis l’accord de Paris de 2015. En 2019, des pays représentant un sixième de l’économie mondiale avaient pris des engagements nets de zéro, et en 2021, les engagements nets de zéro couvraient neuf dixièmes de l’économie mondiale.

    En juillet, M. Gates a déclaré que la prochaine conférence des Nations unies sur le climat (COP28), qui se tiendra du 30 novembre au 12 décembre, sera ”une occasion cruciale pour les dirigeants du monde entier de se réunir et de prendre des mesures concrètes pour accélérer notre marche vers des émissions de carbone net-zéro”.

    Des compensations carbone sans grande valeur et une géo-ingénierie dangereuse

    On estime que le marché des “crédits carbone” pourrait atteindre 100 milliards de dollars d’ici le milieu du siècle.

    Les crédits carbone ont toutefois fait l’objet d’un examen plus approfondi ces dernières années, car de grandes entreprises en ont acheté de grandes quantités dans le cadre d’un effort de relations publiques visant à améliorer leur réputation en matière d’environnement. Les critiques qualifient cette pratique d’”écoblanchiment”.

    Les recherches sur les compensations montrent que “la grande majorité d’entre elles ne sont pas réelles ou sont surcréditées, voire les deux”, a conclu Barbara Haya, Ph.D., directrice du Berkeley Carbon Trading Project (projet d’échange de droits d’émission de carbone).

    “Les compensations de carbone forestier approuvées par le principal certificateur mondial et utilisées par Disney, Shell, Gucci et d’autres grandes entreprises sont en grande partie sans valeur”, selon une enquête menée par The Guardian.

    Néanmoins, la pression pour atteindre le niveau zéro en permettant aux grands émetteurs d’obtenir des crédits carbone s’est accélérée.

    RépondreSupprimer
  15. La loi sur le changement climatique signée par le président Joe Biden, l’Inflation Reduction Act, a été une “manne financière pour l’industrie du captage du carbone”, selon le Time, même s’il n’a jamais été prouvé que les méthodes technologiques de “captage du carbone” étaient économiquement réalisables à grande échelle.

    La géo-ingénierie, qui consiste à manipuler directement le climat de la Terre, est une autre source potentielle de crédits carbone. Certaines start-ups tentent déjà de commercialiser des crédits de carbone issus de la géo-ingénierie, avec divers projets tels que la pulvérisation de produits chimiques dans l’atmosphère pour réfléchir la lumière du soleil ou la séquestration du carbone dans les herbiers marins.

    Alors que la géoingénierie est considérée comme dangereuse et prématurée, la Maison Blanche a néanmoins publié un rapport en juin recommandant que certaines formes de géoingénierie soient étudiées et mentionnant l’éventuelle participation future d’”acteurs privés”.

    L’achat de crédits carbone : une “ruée vers l’or” à l’échelle mondiale

    Contrairement aux méthodes technologiques spéculatives et non éprouvées d’élimination du carbone, le piégeage du carbone dans les forêts et les terres agricoles peut séquestrer le carbone à grande échelle.

    Dans la course à l’acquisition des crédits carbone disponibles d’ici 2050, les grands acteurs de l’économie mondiale ont un énorme intérêt financier à acheter des terres capables de produire des crédits carbone, dans une sorte de “ruée vers l’or” à l’échelle mondiale. Seuls ceux qui possèdent le nombre limité de crédits terrestres pourront revendiquer le droit d’émettre des gaz à effet de serre.

    La ruée mondiale vers les crédits carbone terrestres avait été prévue dès l’introduction de l’objectif “net zéro”. Certains défenseurs de l’environnement craignaient que les pays les moins développés du Sud ne soient visés.

    RépondreSupprimer
  16. Ces prévisions se sont avérées exactes.

    Le Liberia, pays africain, vient d’annoncer qu’ il concédait environ 10 % de ses terres – plus de 2 millions d’acres de forêt – à une société des Émirats arabes unis (EAU) appelée Blue Carbon LLC. Ce “transfert de droits de pollution”, comme l’appellent les parties, permettra aux Émirats arabes unis de “respecter leurs engagements en matière de climat”. (Les Émirats arabes unis accueilleront la CoP28 de l’ONU dans le courant de l’année).

    Blue Carbon est en pourparlers avec la Zambie et la Tanzanie.

    L’année dernière, le Nigeria a accordé l’accès à plus de 4 millions d’hectares de terres à une entreprise américaine, African Agriculture Inc. L’entreprise prévoit de planter des arbres et de vendre ensuite les crédits carbone aux grands émetteurs.

    Les critiques qualifient ce type d’accords de “colonialisme du carbone”, car les systèmes de crédits carbone basés sur la terre retirent l’accès à la terre aux populations locales et l’accordent à des gouvernements étrangers et à des intérêts financiers internationaux. En outre, les avantages environnementaux sont souvent exagérés.

    En juillet, le président français Emmanuel Macron s’est rendu en Papouasie-Nouvelle-Guinée pour promouvoir à la fois un vaste projet de conservation et un investissement de 10 milliards de dollars dans le gaz naturel liquéfié (GNL) dans le pays par le géant français de l’énergieTotalEnergies.

    Un cadre de TotalEnergies a déclaré que les crédits carbone du projet de conservation seraient utilisés pour “compenser” les émissions du projet GNL.

    La ruée vers les “crédits carbone” ne se limite pas aux pays en développement : elle fait son chemin dans les pays occidentaux industrialisés.

    “L’Écosse se trouve sur la ligne de front mondiale du grand accaparement des terres nettes-zéro“, peut-on lire dans un titre sur les multinationales et les fonds d’investissement qui ont investi dans les terres rurales écossaises, y compris les tourbières riches en carbone du pays.

    Aux Pays-Bas, en dépit de la résistance farouche des agriculteurs, le gouvernement néerlandais a poursuivi ses projets d’expropriation de 3 000 exploitations agricoles afin d’atteindre les objectifs climatiques du pays.

    Les agriculteurs néerlandais sont la cible d’un accaparement des terres, a déclaré Mme Shiva.

    Ce n’est peut-être pas une coïncidence si, en 2021, la banque néerlandaise Rabobank a mis en place les premiers projets pilotes de la Rabo Carbon Bank. Cette initiative fait suite à un rapport publié la même année par la Commission européenne, qui présente des stratégies rentables pour l’”agriculture du carbone“.

    RépondreSupprimer
  17. Selon Barbara Baarsma, PDG de Rabo Carbon Bank, “le potentiel du marché est énorme”.

    La volonté de fermer les exploitations agricoles ne peut être comprise que dans le contexte plus large de ce marché mondial du carbone potentiellement “énorme”, avec sa demande vorace de crédits de carbone d’origine terrestre.

    Selon certaines estimations, une seule compagnie pétrolière, Shell, aurait besoin d’un terrain trois fois plus grand que les Pays-Bas pour mettre en œuvre ses plans “net zéro”.

    Les crédits fonciers qui pourraient être générés par la fermeture de milliers d’exploitations agricoles néerlandaises pourraient être achetés par des investisseurs, puis crédités à de gros pollueurs ailleurs sur le marché mondial, qui pourraient les utiliser pour “compenser” la poursuite de leurs émissions.

    Cette dynamique pourrait expliquer pourquoi M. Gates a acheté 250 000 acres de terres agricoles aux États-Unis ces dernières années, un sujet qui fait l’objet de nombreuses spéculations, les gens se demandant pourquoi M. Gates s’est fait le plus grand “agriculteur” d’Amérique. Une telle quantité de terres pourrait lui permettre de tirer parti du marché mondial du carbone.

    À mesure que l’accaparement des terres pour une consommation nette zéro fait disparaître les petits et moyens producteurs de denrées alimentaires, des personnes comme M. Gates, qui investissent massivement dans des entreprises alimentaires de haute technologie prétendument respectueuses du climat – les faux producteurs de viande, par exemple – sont en mesure de s’emparer de parts de marché et de contrôler davantage l’approvisionnement en denrées alimentaires.

    Mme Shiva a déclaré que l’accaparement de terres nettes-zéro contribuait à la réalisation de la vision d’un avenir alimentaire de haute technologie promue par Gates et les investisseurs de la Silicon Valley : “l’agriculture sans agriculteurs” et “l’alimentation sans fermes”.

    L’alimentation est le “nouvel empire” de M. Gates, selon Mme Shiva. Il prévoit notamment de “contrôler les terres et les semences, de détruire la vraie nourriture pour la remplacer par de la nourriture de laboratoire et d’éliminer complètement les agriculteurs”, en utilisant des semences brevetées et diverses technologies “intelligentes pour le climat”.

    Jusqu’où l’abus de “net zero” peut-il être poussé à l’avenir ?
    Au-delà de l’accaparement des terres et des solutions techniques douteuses, la tentative des élites économiques d’accaparer le marché des crédits carbone a d’autres implications pour l’avenir.

    Dans un avenir où chaque citoyen disposerait d’un quota personnel de carbone – une idée lancée par certains activistes, politiciens et institutions internationales – le fait d’autoriser l’achat et la vente de crédits de carbone donnerait aux élites économiques un moyen d’acheter les futurs “droits de consommation” de tous les autres.

    Voici comment M. Baarsma, de la Rabo Carbon Bank, un “contributeur à l’agenda” du Forum économique mondial (WEF), a déclaré qu’une allocation carbone personnelle fonctionnerait :

    RépondreSupprimer
  18. “Si je veux prendre l’avion, j’achète des droits d’émission de carbone à quelqu’un qui n’a pas les moyens de prendre l’avion, par exemple… Ou si quelqu’un vit dans une petite maison, il peut vendre ses droits d’émission de carbone à quelqu’un qui vit dans une grande maison. De cette manière, les pauvres peuvent bénéficier de l’économie verte”.

    Bien que M. Baarsma ait tenté de donner une tournure positive à cette idée, permettre aux personnes très riches et aux grandes entreprises d’acheter des “droits d’émission de carbone” aux pauvres et à la classe moyenne reviendrait à permettre aux 1 % les plus riches d’acheter les futurs “droits de consommation” des gens pour tout ce qui produit du carbone, y compris le logement, l’agriculture, les transports et les voyages.

    La décentralisation est la clé de l’évolution vers le net zéro

    L’objectif “net zéro” “n’est pas de guérir la terre et de régénérer ses systèmes et processus écologiques. Il ne s’agit pas d’arrêter la pollution. Il s’agit de continuer à polluer et de trouver de nouveaux moyens de polluer”, a déclaré Mme Shiva au Defender.

    En ce qui concerne la terre, Mme Shiva plaide pour la souveraineté alimentaire: le contrôle de la nourriture et des terres agricoles par les agriculteurs et les populations locales qui pratiquent des méthodes d’agriculture traditionnelles, non industrielles et régénératrices.

    “Nous devons soutenir les petites exploitations qui prennent soin de la terre, de toutes les formes de vie et qui produisent des aliments biodiversifiés, sains, frais et respectueux de l’environnement pour tous“, a-t-elle déclaré.

    Les petits agriculteurs qui utilisent des méthodes écologiques s’opposent aux milliardaires et aux grandes entreprises qui utilisent le concept “net zéro” comme excuse pour s’approprier des terres et tirer profit des crédits carbone, en contrôlant l’approvisionnement alimentaire à l’aide de méthodes industrielles nuisibles à l’environnement et à la santé humaine.

    RépondreSupprimer
  19. La clé d’une réponse authentique, populaire et écologique à leurs efforts est de décentraliser le pouvoir, comme l’ont suggéré Shiva et d’autres critiques du “net zero”.

    Il faut rejeter les systèmes financiers tels que le “net zéro”, qui prétendent lutter contre le changement climatique, mais qui permettent en réalité aux 1 % les plus riches de concentrer leur pouvoir sur les terres agricoles et les denrées alimentaires, de profiter de technologies douteuses et d’exercer un contrôle financier sur les activités humaines qui produisent du carbone – “pratiquement toutes les activités humaines”, pour reprendre les termes de M. Gates.

    Le passage d’une mondialisation pilotée par les multinationales à une localisation progressive de nos économies est devenu un impératif écologique et social, écrit Mme Shiva, afin de protéger à la fois la vie des gens et l’environnement.

    https://www.mondialisation.ca/bill-gates-promeut-le-net-zero-comme-solution-au-probleme-du-climat-les-critiques-le-qualifient-descroquerie-financiere/5680782?doing_wp_cron=1692980966.2175450325012207031250

    RépondreSupprimer
  20. L’Arabie Saoudite évalue l’offre de la Chine pour construire une centrale nucléaire


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 25 AOÛT 2023 - 23H40
    Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com


    L'Arabie saoudite envisage une offre d'une entreprise d'État chinoise pour construire une centrale nucléaire, ce qui pourrait donner au Royaume un levier dans d'éventuelles négociations sur l'aide américaine à la création d'une industrie nucléaire civile, a rapporté vendredi le Wall Street Journal, citant des responsables saoudiens bien informés. de la question.

    L'Arabie saoudite recherche activement de l'aide en matière d'expertise en énergie nucléaire pour développer sa propre capacité de production nucléaire civile. Les États-Unis constituent évidemment un premier choix parmi les partenaires potentiels, mais Washington a adopté une approche prudente. Les États-Unis ont clairement indiqué qu’ils n’aideraient Riyad à développer ses capacités de production nucléaire que si un accord prévoyait d’empêcher l’enrichissement de l’uranium ou le retraitement du plutonium des réacteurs, afin d’empêcher la militarisation de l’énergie nucléaire.

    L'Arabie saoudite évalue actuellement une offre de la China National Nuclear Corporation (CNNC) pour construire une centrale nucléaire dans une province orientale de l'Arabie saoudite, près de la frontière avec le Qatar et les Émirats arabes unis (EAU), ont déclaré les responsables saoudiens au Journal.

    Ces responsables ont également admis au WSJ que l’idée d’examiner la candidature chinoise était une tentative d’influencer les négociations avec les États-Unis sur leur aide au programme nucléaire civil de l’Arabie saoudite, et potentiellement d’obtenir un compromis sur les questions de non-prolifération.

    Le Moyen-Orient n’est pas connu pour ses capacités de production d’énergie nucléaire. Malgré toutes ses richesses pétrolières, la région s’appuie traditionnellement sur les combustibles fossiles pour répondre à ses besoins en électricité.

    En 2020, la première centrale nucléaire du monde arabe a commencé à fonctionner aux Émirats arabes unis. Il est prévu de l’étendre pour en faire une installation capable de répondre à un quart de la demande en électricité du pays.

    Cependant, les observateurs préviennent que toute expansion des capacités nucléaires dans la région sensible du Moyen-Orient pourrait conduire à une course aux armements nucléaires qui pourrait se terminer par un désastre.

    https://www.zerohedge.com/energy/saudi-arabia-weighs-china-bid-build-nuclear-power-plant

    RépondreSupprimer
  21. Nous ne nous laisserons plus berner


    James Howard Kunstler
    25 août 2023


    « Les personnes de bonne foi acceptent d'être corrigées (parce que la vérité est importante), ce qui n'est pas le cas des menteurs bien sûr (ils savent qu'ils ont tort) ou des idéologues. Les idéologues n'agissent donc pas de bonne foi, même s'ils pensent le faire ». (Truman Verdun)
    covid 19 vaccin

    Parmi tous les mensonges vicieux diffusés autour de l'opération Covid-19, l'un des plus préjudiciables a été la campagne de diabolisation de l'ivermectine, un véritable médicament miracle récompensé par le prix Nobel, l'un des produits pharmaceutiques les plus sûrs jamais connus, efficace contre les parasites pathogènes et également un puissant agent antiviral - ce qui est exactement la raison pour laquelle le CDC et la FDA se sont retournés contre lui. Il a très efficacement maîtrisé les infections à Covid-19.

    En d'autres termes, il a fonctionné. C'est pourquoi ces agences ont dû prétendre qu'il était inutile et nocif, afin de protéger l'autorisation d'utilisation d'urgence des fabuleux vaccins à ARNm qui n'ont pas fonctionné et qui ont fini par blesser, handicaper et tuer de nombreuses personnes. Tout traitement qui se serait avéré efficace aurait invalidé l'autorisation d'utilisation d'urgence et annulé le bouclier de responsabilité qui accompagnait l'autorisation d'utilisation d'urgence et qui protégeait les fabricants de vaccins contre les poursuites judiciaires.

    Il y a une semaine, dans le cadre d'un procès intenté par trois médecins contre la FDA pour ses restrictions concernant le Covid-19, Ashley Honold, avocate du département de la Justice, a déclaré à la cour d'appel du 5e circuit de Louisiane que « la FDA reconnaît explicitement que les médecins sont habilités à prescrire de l'ivermectine pour traiter le Covid ». Vraiment ? Après avoir passé trois ans à dénigrer le médicament dans des messages d'intérêt public - vermifuge pour les chevaux et les vaches, pas pour les humains ! - et avoir dit aux conseils nationaux de médecins de ne pas l'utiliser et à l'organisation nationale des pharmaciens de ne pas le prescrire... ce qui a conduit de nombreux États à en interdire officiellement l'utilisation... ce qui a conduit à des injustices flagrantes telles que la persécution insensée par le conseil médical de l'État du Maine du Dr Meryl Nass, expert en guerre biologique et épidémiologiste (pour laquelle le Dr Nass les poursuit aujourd'hui en justice)... et à de nombreux autres conseils d'État qui ont révoqué les licences des médecins...

    RépondreSupprimer
  22. Quelques jours après ce coup de gueule de l'avocate du DOJ, Mme Honold, les responsables de la FDA à Washington sont revenus sur ce qu'elle avait dit au tribunal, déclarant : « ... elle n'a pas autorisé ou approuvé l'utilisation de l'ivermectine pour la prévention ou le traitement du COVID-19, et elle n'a pas non plus déclaré qu'elle était sûre ou efficace pour cet usage ». L'agence a ensuite invoqué sa batterie de fausses excuses pour justifier cette décision : les études ne sont pas concluantes, bla, bla, ce qui n'est qu'une connerie de plus, vous comprenez, car le fond du problème est toujours le même : la FDA ne renoncera pas à l'autorisation d'utilisation d'urgence et à ses diverses protections pour les vaccins Covid. Et elle emploiera n'importe quel mensonge officiel pour soutenir cette position.

    Anthony Fauci, alors directeur du NIAID, et Francis Collins, alors directeur du NIH - deux agences apparentées qui ont financé et soutenu la recherche sur le gain de fonction du coronavirus à l'Institut de virologie de Wuhan - ont reçu plusieurs millions de dollars en « royalties » pour leur participation au développement de vaccins ARNm contre l'agent pathogène Covid-19 qu'ils avaient déjà mis au point (le montant total en dollars serait supérieur à 300 millions de dollars, selon les rumeurs). Vous voyez comment cela fonctionne ?

    Si vous faites partie de la partie de la population qui n'a pas perdu la tête, vous pouvez vous rendre compte que les autorités de santé publique n'ont aucune autorité. Elles ont menti de manière scandaleuse sur tout ce qui concerne le Covid-19. Et lorsqu'elles ont été prises en flagrant délit de mensonge, elles n'ont fait que mentir davantage dans une vaine tentative de dissimuler leurs mensonges précédents. Il serait donc stupide de considérer que tout ce qu'ils diront à partir de maintenant - sans un nettoyage complet du personnel de l'agence et des poursuites judiciaires sérieuses - mérite d'être écouté et suivi.

    RépondreSupprimer
  23. L'autorité, voyez-vous, n'est accordée qu'à ceux qui sont dignes de confiance. Oui, c'est aussi simple que cela. Si une autorité ment à propos de tout, et qu'elle est prise en flagrant délit, alors elle est invalidée. Or, il se trouve que les agences de santé publique américaines, aussi énormes et coûteuses soient-elles, ne constituent qu'une partie du gouvernement américain, encore plus grand et plus coûteux, qui s'emploie depuis des années à renoncer à l'autorité de toutes ses autres parties, au point que l'ensemble de l'entreprise n'est plus digne de confiance et a besoin d'un grand ménage. Traditionnellement, les élections sont le mécanisme qui permet de nettoyer la maison, mais nos élections ont également perdu leur autorité ? C'est vrai ? Comment cela se fait-il ? Parce que les fonctionnaires indignes de confiance qui en sont responsables utilisent des systèmes douteux pour recueillir les votes : le vote par correspondance qui invite à la fraude et les machines de comptage des votes piratables qui sont connectées à l'internet.

    Les défauts de ces systèmes sont si évidents qu'il est difficile de les ignorer. Le remède est lui aussi simple et évident : des bulletins de vote sur papier comptés à la main dans des circonscriptions de taille raisonnable, le tout en une seule journée, que nous appelons le jour du scrutin (et qui devrait être un jour férié, afin que davantage de travailleurs puissent se rendre aux urnes). Cependant, nous sommes incapables de mettre en œuvre ce remède, probablement parce que les responsables indignes de confiance perdraient leur emploi et le pouvoir dont ils jouissent dans le cadre d'une élection véritablement équitable. Ils en concluent donc qu'il n'y a pas lieu de le faire.

    Il semble même que les autorités sanitaires indignes de confiance préparent une nouvelle alerte au Covid-19 pour l'automne, afin de renforcer le programme spécial de vote par correspondance qui fonctionne si bien (pour eux), et de troubler l'esprit du public pour qu'il soit trop effrayé pour remarquer que toutes les autres parties du gouvernement manquent à pratiquement tous leurs devoirs envers les habitants de ce pays. Il faut donc introduire de nouveaux variants du Covid et le nouveau vaccin de rappel qui fonctionnera si bien (pas). Allez-y, nous devrions dire, je vous mets au défi. Nous ne nous laisserons plus berner.

    Source : Clusterfuck Nation

    Traduction Réseau International

    https://reseauinternational.net/nous-ne-nous-laisserons-plus-berner/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=nous-ne-nous-laisserons-plus-berner

    RépondreSupprimer
  24. Économie de la confiance : la Suisse conforte sa position de leader

    Après la crise sanitaire, les inquiétudes autour des données privées et des scandales alimentaires à répétition, la quête de transparence s’inscrit de plus en plus dans l’esprit des consommateurs européens. Un contexte qui favorise l’émergence d’une économie de la confiance, portée notamment par la Suisse où se concentre un écosystème d’acteurs publics, associatifs et privés, dont SICPA, leader des technologies d’authentification et de traçabilité sécurisée, est au cœur.


    le 26 août 2023 à 4h14


    Seuls 36 % des Français accordent leur confiance aux GAFAM

    Les sondages se suivent et se ressemblent : dans une société de plus en plus digitalisée et après des décennies de scandales sanitaires et alimentaires, les consommateurs expriment, plus que jamais, une forte demande de transparence et de confiance. Et cela vaut quel que soit le secteur concerné. En France, les consommateurs attendent, par exemple, plus de transparence sur les aliments qu’ils achètent : 80 % d’entre eux cherchent ainsi régulièrement des informations sur l’origine du produit, mais 73 % estiment que ces mêmes informations sont difficiles à trouver ; et, d’après la même étude, près de la moitié des Français plébisciteraient les nouvelles technologies, comme les puces RFID ou la blockchain, pour assurer la traçabilité des produits alimentaires, signe que les solutions technologiques ne constituent pas un obstacle psychologique majeur.

    Cette exigence de transparence s’étend aussi, et peut-être davantage encore, dans un espace numérique perçu comme lourd de menaces. Sur Internet, la défiance est de mise, particulièrement en ce qui concerne la collecte et le traitement des données personnelles : d’après une enquête publiée en 2021, sept Français sur dix se disent préoccupés par les informations personnelles récoltées sur le Web, et une proportion semblable juge « mauvaise » la protection de leurs données. Ainsi, selon un sondage réalisé la même année, seuls 36 % des Français accordent leur confiance aux GAFAM (Facebook, Google, etc.) et 34 % aux sites de e-commerce ; à l’inverse, ils sont près de sept sur dix (68%) à faire confiance aux banques pour sécuriser leurs données personnelles, et une petite majorité (55%) aux opérateurs téléphoniques.

    RépondreSupprimer
  25. En France, les timides balbutiements d’une économie de la confiance

    Loin de se cantonner à la seule sphère privée, la question de la protection des données et de la confiance numérique s’est aussi immiscée au cœur des préoccupations des entreprises : 80 % d’entre-elles déclarent avoir hissé, en 2023, leurs investissements dans les programmes de confiance au rang de priorité absolue. Une montée en puissance qu’accompagnent certains grands acteurs du secteur, à l’image d’Orange Business, selon qui « la confiance numérique repose (…) sur la capacité à assurer la confidentialité, la disponibilité et l’intégrité des données. Et, contrairement aux idées reçues, elle dépasse largement le champ de la cybersécurité ». C’est dans ce cadre que, portée par les autorités françaises, progresse notamment la notion de « cloud de confiance ».

    En avril dernier, le gouvernement a en effet, par la voix de Bruno Le Maire, annoncé le renforcement de l’offre de cloud de confiance. Dans le cadre de la stratégie « France 2030 », le ministre de l’Économie a dévoilé un nouvel appel à projets « Suites bureautiques collaboratives cloud » et le lancement d’un dispositif d’accompagnement à la qualification SecNumCloud, un référentiel développé par l’ANSSI, qui permet d’identifier les offres de services cloud de confiance. Et, le 5 juillet, le Sénat a adopté un projet de loi ambitionnant de « sécuriser et réguler l’espace numérique », en introduisant un certain nombre de dispositions : filtre « anti-arnaque » par SMS ou mail, interdiction des frais lors d’un changement de fournisseur de cloud – mais aussi exclusion des cyberharceleurs, sanction des contenus pédopornographiques, etc.

    RépondreSupprimer
  26. En Suisse, SICPA inaugure un campus dédié à la confiance numérique

    Autant d’initiatives qui, pour être bienvenues, demeurent dispersées et sont, en France, encore dépourvues de la cohérence qu’octroie une vraie vision d’ensemble. A la différence de la Suisse, où prévaut une véritable culture de la confiance numérique : lors de la dernière édition du salon Vivatech, la Confédération helvétique s’est ainsi très officiellement positionnée comme le « pays de la confiance numérique ». Une revendication pour le moins paradoxale, alors que la population suisse se montre particulièrement méfiante vis-à-vis du traitement de ses données par ses propres institutions – publiques comme privées –, tout en faisant preuve d’une conscience des enjeux de l’intégrité numérique « beaucoup plus avancée que la moyenne européenne », d’après l’entreprise de cybersécurité Ubcom.

    L’implantation, en Suisse, de plusieurs grands noms de l’économie de la confiance serait-elle pour quelque chose dans cette pole position helvétique ? A l’image du groupe SICPA, leader mondial des solutions d’authentification, d’identification et de traçabilité – notamment des encres de sécurité équipant les billets de banque –, qui vient d’inaugurer, avec plusieurs acteurs privés et publics, un tout nouveau campus dédié à l’économie de la confiance. Baptisé Unlimitrust, le projet, implanté à deux pas du siège social de SICPA dans les environs de Lausanne, a pour ambition de créer un écosystème d’innovation en faveur d’un monde numérique plus sûr. Inauguré en juin 2023 en présence de plusieurs élus, le bâtiment ultra-moderne de 50 000 mètres carrés rassemblera entreprises innovantes, start-up, investisseurs, leaders d’opinion et associations au sein d’un microcosme fédérant plus de 1 300 spécialistes.

    RépondreSupprimer
  27. Pour Philippe Amon, PDG de SICPA, avec ses plus de 35 entreprises le campus Unlimitrust illustre « la volonté de SICPA de créer un monde plus sûr et plus fiable pour tous à travers la collaboration et la mise en commun d’expertises multiples ». Et la Suisse compte bien conforter sa place de leader dans l’économie de la confiance, comme en témoigne le lancement, par la fondation genevoise Swiss Digital Initiative, d’un nouveau label de confiance numérique dénommé Digital Trust Label. Lancée en 2022, l’initiative vise à garantir « aux utilisateurs qu’un service numérique est digne de la confiance selon quatre dimensions : la sécurité, la protection des données, la fiabilité ainsi que les interactions équitables entre les utilisateurs », d’après la directrice générale de la Swiss Digital Initiative, Niniane Paeffgen.

    https://www.economiematin.fr/economie-confiance-suisse-avancee-technologie-innovation-redacteur

    RépondreSupprimer
  28. Plus de 300 caméras de surveillance « à faibles émissions » volées ou endommagées à Londres depuis avril


    Par Jo Nova
    August 19th, 2023


    La guerre contre les pauvres est devenue une guerre contre les caméras de surveillance
    Le « programme d'émissions ultra faibles » ULEZ à Londres obligera les conducteurs de la périphérie de Londres à payer des frais ULEZ quotidiens draconiens de 12,50 £ lorsque le programme s'étendra à leur région à partir du 29 août. Mais beaucoup de ces personnes sont pauvres et n’ont pas les moyens d’acheter une nouvelle voiture ou de payer les frais. Les personnes qui possèdent des voitures diesel de plus de 2015 ou des voitures à essence de plus de 2006 devront payer ces frais, ce qui nuira le plus aux personnes les plus pauvres. Il n’est pas surprenant que cette pratique soit très impopulaire, car elle a un impact considérable sur la vie de certaines personnes. Les commerçants se demandent s'ils doivent abandonner leur activité et les personnes âgées sont déjà contraintes de vendre leur voiture. Les travailleurs de la santé travaillant tard dans la nuit pourraient finir par tenter de rentrer chez eux dans les banlieues périphériques en pleine nuit sur des lignes de bus clairsemées. Tous ceux qui se trouvent à l’intérieur de la zone ULEZ finiront également par payer davantage pour que les commerçants de l’extérieur de la zone y entrent.

    Cela affecte de nombreuses personnes et peut-être pas moins de 850 000 véhicules immatriculés à Londres ne sont pas conformes. Le RAC affirme que « cela aura un impact financier massif sur les automobilistes et les entreprises ».

    Neil Garratt AM souligne que même si Sadiq Khan pense que les Londoniens les plus pauvres ne possèdent pas de voiture, les données du TfL (Transport for London) montrent que la plupart possèdent une voiture, et qu'ils sont plus susceptibles de posséder une voiture que les maisons aux revenus les plus élevés. dans le centre de Londres. (Voir le graphique ci-dessous).

    Sans surprise, les gens sont en colère
    Officiellement, quelque 339 rapports ont été reçus faisant état de caméras ULEZ endommagées ou manquantes – mais une carte non officielle suggère que ce nombre s'approche plutôt de 460, soit 28 % de toutes les caméras installées jusqu'à présent.

    RépondreSupprimer
  29. Si seulement il y avait une meilleure façon de résoudre ce problème, comme par exemple avec un référendum ? Donnons plutôt aux gens le droit de voter. Peut-être ne voudront-ils pas abandonner leurs voitures pour rendre le monde plus froid de 0,000 degré dans cent ans ?

    Ces règles sont tellement envahissantes que les gens deviennent désespérés.

    Ulez : Plus de 300 caméras endommagées ou volées en quatre mois
    Par Yasmin Rufo, BBC

    En quatre mois, le Met a reçu 339 rapports faisant état de câbles de caméra endommagés ou de caméras volées ou obscurcies. Le nombre réel de caméras concernées est probablement encore plus élevé, car un rapport peut représenter plusieurs caméras. Des données non officielles cartographiant l'emplacement des caméras désactivées suggèrent que près de 500 caméras auraient pu être affectées.

    La force n’a révélé l’emplacement d’aucune des caméras désactivées, mais un groupe de personnes se faisant appeler la carte Julie’s Ulez, opposées à l’extension Ulez, a travaillé pour suivre les emplacements et les dommages causés aux caméras.

    La carte montre qu'il y a 1 619 caméras à l'extérieur des routes circulaires nord et sud, dont 461 signalées comme vandalisées ou volées, ce qui équivaut à 28 % des caméras du réseau de Transport for London (TfL).

    - voir carte sur site -

    Caméras vandalisées sur la carte ULEZ

    Dans le graphique ci-dessous, « pas de voiture » est la ligne bleue, et dans le centre de Londres, environ 75 % des riches et des pauvres ne possèdent pas de voiture. Mais dans les zones périphériques, seulement 20 à 40 % ne possèdent pas de voiture, et on peut supposer que les plus pauvres posséderaient davantage de voitures si seulement ils pouvaient se le permettre, puisque c’est ce que font tous les autres habitants de leur région qui ont plus d’argent.

    - voir graph sur site -

    Propriété automobile à Londres Graphique.

    RépondreSupprimer
  30. Plus de 50 % des personnes les plus démunies de la périphérie de Londres possèdent au moins une voiture.

    Ce graphique ci-dessus montre le succès phénoménal de l’invention de l’automobile et de l’industrialisation et du libre marché qui l’ont rendu possible. En un peu plus d’un siècle, plus de la moitié des citoyens les plus pauvres ont pu acheter quelque chose de bien meilleur que ce que possédaient autrefois les plus riches parmi les riches.

    - voir photo sur site -

    Alfieri Maserati en 1908

    Voiture de course de 1908
    1908 Grand Prix des Voiturettes à Dieppe fut Alfieri Maserati dans son Isotta-Fraschini, |Bibliothèque nationale de France. Agence Rol.

    La résistance grandit
    Des groupes, des applications et des cartes interactives surgissent pour protester et cartographier les emplacements des caméras. Certains conseils ont refusé d'autoriser les caméras sur les routes qu'ils gèrent, mais la plupart des routes principales seront couvertes par 2 750 caméras lorsque l'ensemble complet sera installé.

    Arrêtez les rapports Ulez.com

    Actuellement, deux personnes ont été accusées de dommages criminels, mais une affaire a été abandonnée la veille de sa comparution devant le tribunal de la Couronne (félicitations à Kingsley – le bon sens a prévalu) et l'autre est en cours, avec un plaidoyer de non-culpabilité, une date d'audience pour la Couronne et un manque de preuves.

    RépondreSupprimer
  31. L’énigme de la caméra ULEZ

    L'Extension ULEZ sera surveillée par des caméras qui montent à un rythme alarmant sur un feu tricolore près de chez vous (dans la mesure où vous habitez dans la grande zone d'expansion). Bien que certains conseils aient refusé d'autoriser TFL et Sadiq Khan à installer des caméras sur la propriété du conseil et sur les routes appartenant au conseil, TFL est autorisé à installer ce qu'il veut sur les itinéraires qu'il gère. Ils installent également une signalisation ULEZ, dont la légalité est contestée, comme discuté ici par le Conseil de Bexley. Ces itinéraires couvrent pratiquement toutes les routes principales qui traversent chaque arrondissement.

    Cette prolificité signifie que les chances d'éviter les caméras et de trouver un chemin détourné vers une école ou un jardin sont très limitées.

    Autres liens :

    Carte ULEZ de Julie
    Le site Great Climate Con propose un programme intitulé « Reclaim Our Roads » qui comprend une trentaine de groupes locaux sur Twitter, Telegram et Facebook.
    Ulez Camera Locations est une autre carte en direct (les gens sont donc « mieux équipés pour planifier des voyages autour d'eux afin que vous n'ayez pas à entrer dans la zone ULEZ si vous ne le souhaitez pas. »)
    Carte de la caméra ULEZ (groupe Facebook privé)

    https://joannenova.com.au/2023/08/over-300-low-emission-surveillance-cameras-stolen-or-damaged-in-london-since-april/

    RépondreSupprimer
  32. Les “robots nounous” de l’IA promettent aux enfants une “amitié authentique”, mais les experts mettent en garde contre les effets néfastes sur le développement cognitif et social.

    Les produits d'intelligence artificielle (IA) destinés aux enfants promettent divertissement et connexion, mais les experts s'inquiètent du fait que, sans mesure de sûreté adéquates, la technologie pourrait fausser le développement des enfants et compromettre leur vie privée.


    Par Monica Dutcher et John-Michael Dumais
    Mondialisation.ca,
    24 août 2023


    Depuis un certain temps déjà, les innovateurs technologiques mettent en garde contre les inconvénients de l’intelligence artificielle (IA), qu’il s’agisse de la création de vidéos “deepfake”, de la perte d’emplois ou de l’extinction totale de l’humanité.

    Mais la plupart de ces discussions négligent l’impact direct de l’IA sur les enfants, même si la technologie est déjà présente dans les salles de jeux et les chambres des enfants.

    Les fabricants proposent déjà un large choix de produits pour enfants dotés d’IA, la prochaine génération de dispositifs d’IA étant “susceptible de devenir des baby-sitters électroniques” – des “nounous d’IA” ou des “robots nounous” – et d’être utilisée comme la télévision et les jeux vidéo pour alléger la tâche de ceux qui prennent soin des enfants.

    L’interface de la technologie avec les enfants soulève d’importantes préoccupations quant à ses effets sur leur développement émotionnel et neurologique et sur leur vie privée.

    Le Dr Michelle Perro, co-auteur de “What’s Making our Children Sick ?” (Qu’est-ce qui rend nos enfants malades ?), qui a passé 40 ans dans la pratique pédiatrique, a déclaré au Defender:

    “La communication entre parents et enfants est plus qu’une simple interaction neuronale. Outre la communication verbale, il existe des éléments incommensurables, tels que les expressions faciales, les variations de ton et les échanges énergétiques souvent négligés qui ont lieu entre les humains et qui sont impossibles à saisir par l’IA.

    RépondreSupprimer
  33. “Les enfants apprennent avec six sens, et l’intelligence émotionnelle transmise par la communication est un élément clé de cet apprentissage. Sans parler des variations culturelles qui sont transmises dans le développement du langage et de la communication et qui seraient perdues avec des nounous IA.”

    Les “camarades de jeu” de l’IA promettent une “véritable amitié”

    À l’instar des innovations des générations précédentes, les produits alimentés par l’IA visent à impliquer les enfants, à perfectionner certaines compétences et à faciliter la vie des parents.

    Par exemple, le robot Moxie est présenté comme le “robot à intelligence artificielle le plus avancé pour les enfants de plus de cinq ans”. Il a pour but d’aider les enfants à acquérir des compétences telles que le traitement et l’expression des émotions.

    Miko, un autre compagnon de jeu de l’IA, promet une “amitié authentique” aux enfants en les reconnaissant et en les appelant par leur nom, ainsi qu’en réagissant à leur humeur.

    “Besoin d’une blague quand vous êtes déprimé ? D’une danse quand vous vous ennuyez ? Miko s’en occupe”, peut-on lire sur le site web du produit. “Parce que ce n’est pas seulement le petit robot le plus intelligent que vous rencontrerez jamais. C’est aussi votre ami.”

    Aujourd’hui, les enfants interagissent régulièrement avec l’IA par l’intermédiaire d’appareils domestiques tels que les smartphones (“Hey Siri”) et les appareils domotiques (“Hey Google”) pour allumer et éteindre les lumières et les listes de lecture musicales, et pour obtenir des réponses à un large éventail de questions.

    Sandra Chang-Kredl, docteur en sciences, professeur associé au département d’éducation de l’université Concordia à Montréal (Canada), a déclaré au Globe and Mail:

    “Voulons-nous que les enfants pensent que les jouets ou les objets sont aussi bons que les vrais animaux de compagnie, les vrais amis ou les vrais humains ? Cela me préoccupe. … Comment cela se passera-t-il lorsque les enfants seront délibérément encouragés à confondre ce qu’est un objet et ce qu’est un être vivant ?”

    L’IA ne se limite pas aux robots et aux appareils.

    Par exemple, la plateforme de médias sociaux Snapchat a lancé en février “My AI“, alimenté par ChatGPT, conçu pour être un “chatbot expérimental et amical” et un “acolyte personnel”.

    RépondreSupprimer
  34. Bien que les conditions d’utilisation de Snapchat exigent que les utilisateurs aient au moins 13 ans, il n’y a pas de vérification de l’âge, ce qui permet à des enfants plus jeunes de s’inscrire et d’utiliser le service.

    Ces outils d’IA plus désincarnés, même s’ils ne sont pas physiques comme des nounous robotisées, pourraient, s’ils ne sont pas soigneusement surveillés par les parents et réglementés par les gouvernements, se substituer à des liens sociaux réels et saper les compétences dont les enfants ont besoin pour négocier des relations dans un monde complexe, ont déclaré des experts en développement de l’enfant au Defender.

    Les câlins, les jeux et les interactions en face à face “ne peuvent être délégués”
    Il est trop tôt pour savoir comment l’IA affectera le développement de l’enfant, mais les experts peuvent émettre quelques hypothèses.

    Le Dr Liz Mumper, présidente-directrice générale du Rimland Center for Integrative Medicine, a déclaré que l’idée de nounous IA “provoque une réaction de peur innée” en elle.

    Le Dr Mumper a déclaré au Defender :

    “Nous venons de voir les effets dévastateurs des contre-mesures COVID sur le développement de l’enfant. Les innovations qui éloignent les gens les uns des autres, dénigrent le rôle de la personne dans l’éducation des enfants et élèvent la technologie au rang de substitut parental partiel m’inquiètent pour les générations à venir.

    “Les parents doivent faire attention à la publicité faite autour de cette technologie. Certains aspects du rôle des parents qui élèvent leurs nourrissons et leurs enfants en bas âge – les câlins, les jeux et les interactions en face à face – ne peuvent pas être délégués”.

    Il reste encore beaucoup à apprendre sur le développement fondamental du cerveau, selon un récent article du Wall Street Journal rédigé par le Dr Dana Suskind, fondatrice et codirectrice du TMW Center for Early Learning + Public Health et directrice fondatrice du Pediatric Cochlear Implant Program à l’université de Chicago.

    RépondreSupprimer
  35. Elle a écrit dans “The AI Nanny in Your Baby’s Future” (La nounou de l’IA dans l’avenir de votre bébé) :

    Ce dont les bébés ont le plus besoin pour optimiser cette période précoce de progrès rapide, c’est d’une conversation riche, ce que les psychologues du développement appellent les interactions “service et retour”. Les parents interagissent naturellement avec leurs enfants, ce qui favorise le développement des compétences cognitives et émotionnelles des enfants.

    “Exposer de jeunes cerveaux à l’IA réactive peut les altérer d’une manière fondamentale que nous ne pouvons pas anticiper. Si nous fournissons le mauvais type d’apport ou d’interaction, nous risquons de fausser le développement cognitif de manière considérable.”

    L’éducateur Jonathan Sim s’inquiète de l’influence de l’IA et des médias sociaux sur le développement social des enfants et leur capacité à collaborer. Dans une chronique pour Channel News Asia, M. Sim a écrit :

    “J’ai observé des étudiants qui se débattaient avec des projets de groupe, car ils ne comprenaient pas comment quelqu’un pouvait travailler si différemment d’eux – une fausse perception renforcée par leur expérience des médias sociaux, où ils interagissaient avec des personnes similaires à l’intérieur de leur bulle…

    “En voyant comment ces bulles personnalisées font que nos jeunes ont du mal à comprendre les autres et à travailler avec eux, je crains que ce problème ne s’aggrave avec les enfants élevés par l’IA.

    “Si nous n’y prenons pas garde, nous risquons d’élever une génération d’enfants dont la perception du monde sera gravement faussée en raison de la bulle personnalisée que l’IA créera autour d’eux.”

    Les technologies d’IA centrées sur l’enfant posent des problèmes de protection de la vie privée

    RépondreSupprimer
  36. Un produit d’IA, Storytimes, utilise un programme qui inscrit les enfants dans une histoire et génère des illustrations d’accompagnement sur la base des photos téléchargées par l’utilisateur. Le site Web de Storytimes indique : “Grâce à l’intelligence artificielle, nous sommes en mesure de recréer des illustrations réalistes de votre enfant dans divers contextes et aventures”.

    Bien que le site web du produit fournisse des informations sur les fonctions créatives, il n’indique pas comment les images des enfants seront utilisées ni si des mesures de protection seront prévues pour protéger les images des enfants.

    Les sociétés de baby-monitoring proposent une technologie d’intelligence artificielle qui enregistre les visages, les sons et les mouvements des nourrissons 24 heures sur 24. Selon le Washington Post, les critiques s’inquiètent du fait que ces dispositifs s’accompagnent de compromis importants en matière de protection de la vie privée et qu’ils exposent les foyers à des cyberattaques.

    L’avocat Greg Glaser a déclaré au Defender : “Je suis étonné que les législateurs et les régulateurs n’aient pas pris les devants pour protéger de manière proactive les enfants contre l’IA”.

    Des préoccupations similaires en matière de protection de la vie privée s’appliquent à tous les jeux, vidéos et plateformes de médias sociaux avec lesquels les enfants interagissent.

    La Commission fédérale du commerce étudie une proposition visant à autoriser les entreprises à utiliser une “technologie d’estimation de l’âge” par balayage biométrique facial alimenté par l’IA pour obtenir l’autorisation parentale d’utiliser des services de jeux en ligne pour les enfants de moins de 13 ans. Mais les garanties de respect de la vie privée proposées par l’industrie ne convainquent pas les critiques.

    Des promesses vagues et inapplicables

    En juin, les législateurs de l’Union européenne ont signé un projet de législation sur l’utilisation de l’IA, qui interdit notamment l’utilisation de cette technologie pour la surveillance biométrique et contient certaines clauses visant à protéger les enfants.

    Il s’agit de la première loi sur l’IA adoptée par un grand régulateur et elle pourrait servir de modèle à d’autres juridictions qui prévoient des réglementations similaires.

    RépondreSupprimer
  37. Le projet d’orientation politique de l’UNICEF promeut les droits de l’enfant et sensibilise à la manière dont les systèmes d’intelligence artificielle peuvent défendre ou compromettre ces droits. Ce guide a été élaboré à l’issue d’un vaste processus de consultation d’experts du monde entier et de près de 250 enfants dans cinq pays.

    Steven Vosloo, spécialiste des données, de la recherche et de la politique de l’UNICEF, a déclaré :

    “L’IA pourrait utiliser le traitement du langage naturel pour comprendre les mots et les instructions. Elle recueille donc de nombreuses données sur l’enfant, y compris des conversations intimes, et ces données sont stockées dans le nuage, souvent sur des serveurs commerciaux. Ces données sont stockées dans le nuage, souvent sur des serveurs commerciaux, ce qui pose des problèmes de protection de la vie privée. …

    “Environ un tiers des utilisateurs en ligne sont des enfants. Nous constatons souvent que les jeunes enfants utilisent des plateformes de médias sociaux ou de partage de vidéos qui n’ont pas été conçues pour eux.

    “Ils sont souvent conçus pour un engagement maximal et reposent sur un certain niveau de profilage basé sur des ensembles de données qui peuvent ne pas représenter les enfants.

    Selon Nature, “les États-Unis n’ont pas de lois fédérales de grande envergure relatives à l’IA, ni de règles significatives en matière de protection des données”. Les auditions du Congrès et les réunions présidentielles relatives à la réglementation de l’IA ont débouché sur des promesses “vagues et inapplicables”, selon Nature.

    Les lois relatives à l’IA entrent en vigueur dans six États cette année. La plupart d’entre elles font partie de lois globales sur la protection de la vie privée des consommateurs, qui réglementent l’IA et la prise de décision automatisée en permettant aux utilisateurs de refuser le profilage et en exigeant des évaluations d’impact.

    Les deux propositions de loi du Minnesota visant à interdire les algorithmes de médias sociaux ciblant les enfants ont échoué. Deux d’entre elles ont été examinées en Californie l’année dernière : L’AB 2273, “The California Age-Appropriate Design Code Act”, a été adoptée et promulguée, et l’AB 2408, “The Social Media Platform Duty to Children Act”, a été “discrètement tuée” par le Sénat californien.

    Au cours de la présente session législative, 12 États ont adopté des lois sur l’IA. La loi RB 1103 du Connecticut est la seule à aborder la question de la protection des enfants – et encore, elle ne mentionne que brièvement les questions de protection de la vie privée, et non les conséquences neurologiques et sociales potentielles de l’exposition des enfants à l’IA.

    RépondreSupprimer
  38. Plusieurs États ont proposé des projets de loi visant à accroître la transparence et la compréhension des effets de l’IA. Seuls deux projets de loi concernent les enfants, l’AB 1282 de la Californie et le HM 75/SM 63 du Nouveau-Mexique, créeraient des commissions chargées de rendre compte des risques pour la santé mentale associés à l’utilisation des médias sociaux et de l’IA par les enfants.

    https://www.mondialisation.ca/les-robots-nounous-de-lia-promettent-aux-enfants-une-amitie-authentique-mais-les-experts-mettent-en-garde-contre-les-effets-nefastes-sur-le-developpement/5680778

    RépondreSupprimer
  39. La route vers le totalitarisme, partie 3 : procès (et condamnation) de CJ Hopkins pour « crimes de pensée »


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 AOÛT 2023 - 06H00
    Rédigé par CJ Hopkins via The Consent Factory,


    Les Allemands me traduisent donc en justice pour mes délits de pensée et, apparemment, j’ai déjà été reconnu coupable et condamné. Soyez patient et je vais essayer de vous expliquer.

    Le tribunal de district de Berlin a émis une soi-disant « ordonnance de sanction » ou « ordonnance de punition », dans laquelle je suis informé que je suis désormais officiellement un criminel en Allemagne, pour avoir tweeté deux Tweets. Selon mon avocat, un procès va maintenant être programmé, au cours duquel mon avocat plaidera l'affaire devant le juge qui vient de rendre « l'ordonnance de punition ». Lors de ce procès, le juge écoutera attentivement les arguments que mon avocat a déjà présentés par écrit, les examinera attentivement et me déclarera à nouveau coupable. Ensuite, le juge réaffirmera « l’ordre de punition ».

    Allez-y, relisez ce paragraphe.

    Une fois mon procès kafkaïen terminé, mon avocat déposera une série de recours, qui échoueront, et je devrai alors décider si je dois payer une amende de 3 600 euros ou aller dans une prison allemande pendant 60 jours.

    Ce processus prendra des mois, voire des années, et me coûtera Dieu sait combien d’argent en honoraires d’avocat, frais de justice, puis 3 600 € d’amende. Oui, je vais payer l'amende. Je n'irai pas dans une prison allemande avant 60 jours. La vie est trop courte, et je vieillis, et cela ne servirait à rien d’autre que de me donner en spectacle narcissique.

    Cependant, ce qui accomplira quelque chose (je ne sais pas combien, mais quelque chose), c'est si je mène tout le processus jusqu'au bout et que je l'éclaire autant que possible, car mon cas n'est qu'un parmi tant d'autres. de tels cas, et la véritable histoire ici ne concerne pas moi, mais la répression de la dissidence politique qui est menée, non seulement ici en Allemagne, mais aussi dans d’autres pays partout en Occident.

    Il n’y a pas beaucoup de médias qui rapportent cette histoire, ni de médias ayant une portée significative. Si vous lisez cette chronique, vous connaissez probablement divers médias alternatifs, mais la plupart de ces médias sont mis en quarantaine là où les gens « normaux » n'ont jamais besoin de les voir, et sont délégitimés en tant que « sources peu fiables » et fournisseurs d'informations. « désinformation », et ainsi de suite.

    Il existe quelques sources plus importantes qui couvrent l’histoire, qui sont également de plus en plus qualifiées d’« illégitimes », comme Racket News de Matt Taibbi, Public de Michael Shellenberger, les opérations Locals de Glenn Greenwald, et je suis sûr que j’en oublie quelques autres, pardonnez-moi.

    RépondreSupprimer
  40. Le fait est que, à moins que vous ne soyez un membre fondateur du club des « extrémistes de gauche ou de droite qui nie la science, théorisent le complot, tiennent des discours haineux, sont anti-vaccins et désinformateurs » – c'est-à-dire des gens qui lisent d'étranges « malinformationnistes » » des publications comme The Grayzone, OffGuardian, ZeroHedge, Dissident Voice et Unlimited Hangout, et qui envisagent de voter pour Bobby Kennedy, ou, Dieu les aide, Donald Trump – vous n'avez probablement aucune idée de ce que je veux dire lorsque je fais référence à « le répression de la dissidence »… ou vous le faites, et vous pensez que c'est tout simplement du bon sens.

    Je ne mâcherai pas mes mots. Les gens qui pensent que c’est génial sont des totalitaires. Ce sont des fascistes. Ils applaudissent la répression de la dissidence. Ils applaudissent à la criminalisation de la dissidence. Ils applaudissent à la censure du discours politique, de tout discours avec lequel ils ne sont pas d'accord. Ils veulent que leurs opposants politiques soient emprisonnés. Ils veulent que tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux soient punis. Ils veulent que les personnes qui les offensent soient annulées. Ils veulent que tous ceux qui refusent de se conformer à leur idéologie officielle soient effacés.

    Cela fait maintenant plusieurs années que je traite ces gens de « totalitaires » et de « fascistes ». Je n'aime pas faire ça. Je ne le fais pas gratuitement. Certaines de ces personnes étaient mes amis. Je fais cela, en traitant ces gens de « fascistes » et en comparant le totalitarisme naissant qui éclate partout en Occident à d'autres systèmes totalitaires antérieurs, comme le stalinisme (désolé, amis marxistes), et, oui, à la putain d'Allemagne nazie, car, malgré les nombreuses différences, il s’agit en grande partie d’un totalitarisme classique. Totalitarisme nu dans les manuels scolaires. Il n’y a pas d’autre mot plus agréable pour le décrire… ou pour ceux qui l’adoptent avec enthousiasme.

    Je ne vais pas présenter à nouveau les preuves de cette affirmation. Je l'ai fait ad nauseam, en grande partie dans mon dernier livre, qui est interdit par Amazon dans plusieurs pays, et qui comporte un avertissement sur d'autres sites Amazon de « visiter l'OMS, le CDC » ou votre autorité nationale de santé locale, « pour les dernières informations sur le Covid-19 et les vaccins » avant d’envisager de l’acheter, et dont la pochette est sur le point de faire de moi un « criminel haineux » officiel avec un casier judiciaire.

    RépondreSupprimer
  41. Le but de poursuites comme celle-ci (et de poursuites bien plus graves et significatives, comme celle de Julian Assange, par exemple) est d’envoyer un message. Le mépris flagrant de l’État de droit, l’absurdité flagrante des accusations, le mépris ouvert des principes démocratiques font partie du message. Ce n’est pas un message sur la loi. C’est un message sur le pouvoir. Qui l’a et qui ne l’a pas. Et qu’arrive-t-il à ceux qui refusent de s’y plier.

    Le message ne s’adresse pas à moi, ni à des personnalités plus importantes comme Julian Assange, ou aux nombreux autres dissidents moins connus dont on donne actuellement des exemples. Nous ne sommes que le médium qui transmet le message. Nous sommes le service de livraison. Le message est pour vous.

    Je suis presque sûr que vous comprenez le message. La question est… comment allez-vous répondre ?

    Je ne veux pas dire par « prendre d’assaut » votre capitale. S'il vous plaît, ne sortez pas et ne vous faites pas tirer dessus. Je veux dire, allez-vous nous aider à faire la lumière sur la direction que nous prenons ? Parce qu'il fait vraiment sombre. Les gens proposent de m'envoyer de l'argent pour m'aider à payer mes frais juridiques, et je leur en suis extrêmement reconnaissant, car je vais en avoir besoin (et voici comment faire), mais ce que je pense que nous devons faire est un peu plus difficile. , et coûte plus cher, et est beaucoup plus important.

    Nous devons parler aux totalitaires… oui, à ceux qui voulaient nous mettre dans des camps. Si nous ne parvenons pas à les joindre, nous sommes probablement foutus. Et il existe une fenêtre d’opportunité pour le faire maintenant. Nous ne sommes ni en 2020 ni en 2021. L’hystérie de masse s’est dissipée pour beaucoup de gens. Je sais, pas tous, mais pour certains d'entre eux, beaucoup. Certains d'entre eux sont enfin accessibles.

    Tentez votre chance, parlez-leur, à ceux que vous connaissez ou que vous connaissiez. Essayez de les joindre. Pas les types aux yeux écarquillés, fanatiques et écumants qui ne peuvent pas attendre le retour des « mesures d’urgence ». Les autres… vous savez ceux que je veux dire. Ceux qui veulent sortir. Vous pouvez le voir dans leurs yeux. Tente ta chance. Parlez à ces gens. Le totalitarisme, le fascisme, ce n'est pas une identité. C'est un état d'esprit. Personne ne naît fasciste. Les gens peuvent être déprogrammés. Certains d’entre eux le peuvent. Et à ce stade, nous avons besoin de toute l’aide possible.

    RépondreSupprimer
  42. Donc, si vous faites partie de ces personnes gentilles et généreuses qui vous demandent ce que vous pouvez faire pour m'aider et qui proposent de m'envoyer de l'argent, bien sûr, allez-y et envoyez-moi de l'argent - merci, j'ai été submergé par votre messages, et je suis désolé de ne pas pouvoir répondre personnellement à tous – mais réfléchissez également à ce que je suggère, si vous pouvez vous résoudre à le faire. Si vous ne pouvez pas, je comprends parfaitement. Croyez-moi, je suis toujours aussi en colère que vous. Je suis blessé. Je me sens trahi et abandonné. J'ai le sentiment que certains d'entre vous ressentent cela aussi. Je sais donc ce que je demande lorsque je vous demande de parler aux totalitaires de la Nouvelle Normalité, ceux qui pourraient être joignables.

    Si vous ne pouvez pas encore le faire, ne le faites pas. Mais si vous en êtes capable, essayez.

    N’essayez pas de les convaincre que vous aviez raison et qu’ils avaient tort. Il suffit de mettre en lumière la route sur laquelle nous sommes. Essayez de leur faire comprendre où nous allons. Peu importe qui avait raison et qui avait tort, nous empruntons tous cette voie ensemble.

    Personnellement, je préfère ne pas aller jusqu’au bout et affronter ce qui se passe cette fois-ci.

    https://www.zerohedge.com/political/road-totalitarianism-part-3-cj-hopkins-trial-sentencing-thoughtcrimes

    RépondreSupprimer
  43. Un pilote humanoïde IA pourrait être en mesure de résoudre la pénurie de pilotes


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 AOÛT 2023 - 05H30


    Nos lecteurs savent qu'il n'y a pas encore de solution rapide à la pénurie de pilotes aux États-Unis, qui pourrait persister jusqu'en 2032. Les données actuelles montrent un écart stupéfiant de 17 000 pilotes. Ce déficit peut être attribué à plusieurs facteurs :

    Des retraites anticipées provoquées par la pandémie.

    L’âge inflexible de la retraite à 65 ans.

    Un nombre décroissant de pilotes militaires.

    La perspective peu attrayante pour les civils de se lancer dans une carrière de pilote.

    Les compagnies aériennes ne peuvent former que 1 500 à 1 800 pilotes par an. Le déficit a déclenché toutes sortes de perturbations de vols, la dernière en date étant celle d'American Airlines.

    Cependant, des chercheurs sud-coréens de l'Institut supérieur coréen des sciences et technologies (KAIST) ont développé "Pibot", un robot humanoïde grandeur nature capable de piloter des avions et de comprendre des commandes de vol complexes.

    Le site Web d'informations sur les vols Airways Magazine en explique plus sur les capacités de Pibot :

    Alors que le monde continue de s’adapter à la tendance croissante de l’intelligence artificielle (IA), des scientifiques sud-coréens ont dévoilé un robot humanoïde capable de piloter un avion.

    Baptisé Pibot, le robot grandeur nature, mesurant 160 cm de haut et pesant 65 kg, est capable de saisir les commandes, de mémoriser les manuels de l'avion et même de répondre aux situations d'urgence. Il est équipé de plusieurs caméras capables de surveiller les systèmes et les conditions opérationnelles de l'avion.

    RépondreSupprimer
  44. Actuellement en cours de développement par l'Institut avancé des sciences et technologies de Corée (KAIST), les chercheurs ont utilisé des chatbots Al tels que ChatGPT pour créer des moyens permettant à PiBot d'apprendre les manuels de pilotage de divers avions. Le robot peut ensuite être remplacé par une autre cellule en cliquant sur le type. Il peut également mémoriser les cartes de navigation aéronautique Jeppesen du monde entier, une tâche impossible pour son équivalent humain.

    PiBot peut également communiquer avec le contrôle du trafic aérien (ATC) et d'autres personnes présentes dans le poste de pilotage, ce qui signifie qu'il peut opérer via un capitaine ou un premier officier. Cela a été réalisé à l'aide de la synthèse vocale. En branchant le robot sur l’avion, il peut communiquer directement avec la cellule.

    Airways Magazine a expliqué que le pilote humanoïde a déjà démontré qu'il pouvait contrôler un avion en toute sécurité.

    S'il est clair qu'un robot-pilote n'est pas quelque chose que la Federal Aviation Administration américaine pourrait approuver de si tôt, cela pourrait attirer l'attention de l'agence au milieu de la pire pénurie de pilotes jamais vue.

    Les compagnies aériennes américaines ont fait discrètement pression sur le Congrès pour qu'il leur permette de n'utiliser qu'un seul pilote dans le cockpit au lieu de deux. Mais avec le nombre croissant de décès de pilotes – certains même en vol – il faut se demander : la FAA est-elle ouverte à envisager un mélange de pilotes humains et de robots dans le cockpit ?

    https://www.zerohedge.com/technology/ai-humanoid-pilot-might-be-able-solve-pilot-shortage

    RépondreSupprimer
  45. Le jet privé le plus piloté aux États-Unis est...


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 AOÛT 2023 - 04H30


    Dans une évolution rapide de l'aviation privée entre millionnaires, cent millionnaires et milliardaires, le Cessna Citation de Textron Inc., le jet privé le plus populaire et le plus piloté aux États-Unis, qui détenait ce record depuis 15 ans, vient d'être détrôné.

    Bloomberg rapporte que de nouvelles données mensuelles sur les vols de la Federal Aviation Administration montrent que l'Embraer Phenom 300 du Brésil, un avion de taille moyenne pouvant accueillir environ neuf passagers, a effectué 360 000 décollages et atterrissages dans les aéroports américains au cours des 12 mois précédant août, soit 1 200 de plus que la famille Citation Excel. de jets.

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    Brian Foley, consultant en aviation privée, a déclaré que la principale raison de la popularité croissante du Phenom 300 est son efficacité énergétique, qui consomme un tiers de moins que le Citation Excel. Il a déclaré que les coûts de carburant moins élevés compensaient le plus petit espace cabine du Phenom 300.

    Pour un certain contexte, à vitesse de croisière, les deux turboréacteurs Pratt & Whitney du Citation Excel brûlent environ 225 gallons par heure de carburant Jet A.

    - voir photos sur site -

    Pendant ce temps, le Phenom 300 consomme environ 158 gallons (598 l./h) de carburant Jet A par heure.

    - voir photos sur site -

    Même si les Phenom 300 volent davantage, Cessna domine toujours les livraisons de jets privés.

    Source : Bloomberg

    Textron a déclaré à Bloomberg : « Un avion d'affaires sur trois dans le monde est un Cessna Citation, et les mises à niveau de produits comme celles-ci continuent de donner aux clients de nouvelles raisons de nous choisir pour nos performances éprouvées, notre technologie de pointe et notre expérience cabine inégalée. »

    Malgré les encouragements du « changement climatique », la demande de jets privés a atteint de nouveaux sommets ces dernières années, même si l'incertitude macroéconomique croissante et les taux d'intérêt les plus élevés depuis deux décennies ont conduit à un ralentissement des vols en jet privé plus tôt cette année.

    https://www.zerohedge.com/markets/most-flown-private-jet-us

    RépondreSupprimer
  46. "Je veux juste vendre des photos de seins" : des travailleuses du sexe baisées par Crypto


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 AOÛT 2023 - 02H30


    Les travailleuses du sexe – qui sont fréquemment confrontées à une discrimination financière et perdent l'accès aux applications de paiement et aux applications bancaires telles que PayPal, Venmo et CashApp en raison de leur profession – ont commencé à utiliser des crypto-monnaies telles que Bitcoin comme alternative pour les paiements, qui contournent les systèmes bancaires traditionnels et évitent les frais de service. à partir de plateformes telles que OnlyFans.

    Selon les données de la Free Speech Coalition, les deux tiers des travailleuses du sexe ont perdu l'accès à un compte bancaire ou à un service financier, et 40 % d'entre elles ont vu leur compte fermé au cours de l'année écoulée, rapporte Wired.

    "Je veux juste vendre des photos de seins", a déclaré Allie Eve Knox, dominatrice professionnelle et artiste fétichiste. "Je n'ai jamais voulu être un expert en matière de discrimination financière."

    Après avoir débuté dans le travail du sexe en 2014, Knox, comme d’autres actrices du secteur, est devenu une sorte de paria financier. Les premières à l'interdire ont été les applications de paiement – PayPal, Venmo et CashApp – qui interdisent la vente de contenu pour adultes. Mais Knox a également perdu son compte bancaire. Il lui a fallu une semaine pour récupérer son argent.

    Neuf ans plus tard et plus de 30 interdictions plus tard, Knox est blasé : « Je ne veux pas avoir à savoir comment déplacer l’argent vers différents endroits. Je ne veux pas m’occuper de ces conneries. -Câblé

    Une autre travailleuse du sexe, Allie Rae, une travailleuse des soins intensifs de formation, a commencé à publier sur OnlyFans lorsque son mari a été mis en congé. Après une courte période, elle gagnait près de 500 000 $ de plus par mois que son travail quotidien, mais elle dit avoir rapidement rencontré des problèmes.

    Après que son compte OnlyFans ait été découvert par son employeur, elle a été licenciée. Elle a également constaté que les agents immobiliers l’évitaient, que les prêteurs refusaient de prolonger une hypothèque et que les comptables la faisaient fantôme. Rae a finalement créé une société pour gérer son entreprise, mais aucune grande banque n'a ouvert de compte professionnel.

    RépondreSupprimer
  47. "À gauche et à droite, ça a été un combat", a-t-elle déclaré au média. "J'étais très naïve : je ne comprenais pas l'ampleur de la discrimination."

    Bref, dans un monde qui embrasse l’économie des petits boulots, où les YouTubeurs et les influenceurs Instagram peuvent devenir millionnaires, les travailleuses du sexe se retrouvent dans une forme particulière d’exil.

    Crypto : faux espoir

    Compte tenu de la discrimination systémique dans le secteur bancaire, de nombreuses travailleuses du sexe se sont tournées vers les crypto-monnaies comme moyen à la fois de stocker leurs richesses et d’accepter des paiements. Pendant un moment, les choses allaient bien. Les monnaies numériques permettaient aux clients de payer discrètement sans fournir d’informations personnelles, tandis que les travailleuses du sexe disposaient désormais d’un moyen de contourner complètement le système bancaire.

    Knox, par exemple, a commencé à accepter les crypto-monnaies en 2014, en brandissant un code QR grâce auquel les téléspectateurs pouvaient lui donner un pourboire en crypto-monnaie.

    Une autre travailleuse du sexe, Lira Roux, ancienne escorte devenue star du porno, a déclaré au média qu'elle avait commencé à accepter la cryptographie en 2015 à la demande de ses clients. Au départ, elle échangeait la crypto contre des dollars, mais lorsque de nouvelles lois sont entrées en vigueur – après quoi de nombreux sites publicitaires destinés aux adultes se sont vu interdire d'accepter de l'argent ordinaire – elle a également commencé à payer pour ses publicités avec de la crypto.

    "Dans l'ensemble, la cryptographie est utile pour les personnes qui ne sont pas correctement prises en charge par le gouvernement", a déclaré Roux. "Pour les travailleuses du sexe, qui ne sont pas bien desservies par les banques, cela devient une option utile."

    RépondreSupprimer
  48. Aujourd’hui, grâce à la surveillance réglementaire qui s’est intensifiée depuis l’effondrement de l’échange crypto FTX, les travailleuses du sexe « se heurtent » aux limites – et découvrent que la crypto « décentralisée » n’est pas plus détachée du système bancaire que la monnaie traditionnelle – comme les travailleuses du sexe ont de plus en plus de mal à convertir les crypto-monnaies en dollars. Généralement, cela se fait via un échange, qui permet ensuite d'effectuer un retrait sur un compte bancaire traditionnel. Les travailleuses du sexe sont désormais bannies des échanges cryptographiques.

    "Vous bénéficiez d'un échange aussi longtemps que vous le pouvez, jusqu'à ce qu'ils vous ferment le cul", a déclaré Knox. "Vous [manquez rapidement d'échanges], vous vous retrouvez donc assis avec beaucoup d'argent inutile. Toute cette histoire de "la cryptographie est sans autorisation et résistante à la censure" n'est qu'un tas de conneries."

    Aux États-Unis, le travail du sexe à part entière (également connu sous le nom de prostitution) est illégal dans tous les États, à l'exception du Nevada, mais la pornographie et le travail du sexe en ligne sont légaux en vertu du premier amendement. Indépendamment de cette distinction, l'accès aux services bancaires constitue un problème pour l'ensemble de la communauté du travail du sexe depuis au moins les années 1960, explique Mike Stabile, directeur des affaires publiques au FSC, et ce problème n'a fait que s'aggraver.

    Le problème a été exacerbé il y a dix ans par un programme lancé par l’administration Obama, dans le cadre duquel les banques étaient averties qu’un ensemble de secteurs présentaient un « risque élevé » de fraude, y compris la pornographie. Désormais connue sous le nom d'Opération Chokepoint, l'initiative n'a pas été considérée par les enquêteurs comme une tentative délibérée de perturber les entreprises défavorisées, mais elle aurait néanmoins conduit les banques à rompre leurs liens avec le secteur adulte.

    ...

    RépondreSupprimer
  49. (Knox soupçonne qu'elle s'est retrouvée sur une liste noire à Pl

    Le problème a été exacerbé il y a dix ans par un programme lancé par l’administration Obama, dans le cadre duquel les banques étaient averties qu’un ensemble de secteurs présentaient un « risque élevé » de fraude, y compris la pornographie. Désormais connue sous le nom d'Opération Chokepoint, l'initiative n'a pas été considérée par les enquêteurs comme une tentative délibérée de perturber les entreprises défavorisées, mais elle aurait néanmoins conduit les banques à rompre leurs liens avec le secteur adulte.

    ...

    (Knox soupçonne qu'elle s'est retrouvée sur une liste noire chez Plaid, un fournisseur de technologie permettant de raccorder de grands échanges cryptographiques comme Gemini, Kraken et Robinhood, ce qui a conduit à des interdictions répétées. Freya Petersen, porte-parole de Plaid, dit qu'une telle liste n'existe pas, mais que toutes les entreprises qui souhaitent utiliser ses services sont soumises à un processus standard d'évaluation des risques, prenant en compte le secteur dans lequel elles opèrent.) -Wired

    Lorsque les banques mettent les travailleuses du sexe sur liste noire, elles justifient rarement leurs actes. Dans un cas, la star du porno Alana Evans, présidente de l'Adult Performance Artists Guild (APAG), a été informée par Wells Fargo que son compte, ouvert au milieu des années 1990, serait fermé dans le cadre d'"examens en cours" liés à la responsabilité de la banque. pour « gérer les risques ».

    Le lock-out de l'industrie signifie que les travailleuses du sexe ne peuvent pas profiter des facteurs de commodité fournis par Venmo ou d'autres plateformes de paiement, et les oblige à s'appuyer sur OnlyFans et Fansly, qui gèrent les paiements, mais pas avant de prendre une part importante de leurs revenus.

    Dans cet environnement, de nombreuses travailleuses du sexe se tournent vers des amis ou des conjoints (ou des proxénètes) pour agir en tant que gardiens de leurs finances, les exposant ainsi à des abus potentiels.

    "L'une des façons dont les trafiquants contrôlent les victimes est de contrôler leurs finances", a déclaré Jessica Van Meir, fondatrice de MintStars, une plateforme d'abonnement NFT adaptée aux adultes et doctorante à Harvard spécialisée dans le travail informel des femmes. "L'ironie est que les banques excluent les travailleuses du sexe en grande partie par crainte d'être tenues responsables du trafic sexuel, mais en discriminant les travailleuses du sexe, elles les exposent à un risque plus élevé de trafic sexuel."

    C'est foutu à quel point ?

    https://www.zerohedge.com/markets/i-just-want-sell-titty-pictures-sex-workers-fked-crypto

    RépondreSupprimer
  50. Un tiers des investisseurs américains sont ouverts à faire confiance aux conseils financiers de l'IA


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 25 AOÛT 2023 - 19H45
    Rédigé par Jesse Coghlan via CoinTelegraph.com,


    Selon une enquête récente, environ un investisseur américain sur trois serait disposé à suivre les conseils financiers générés par l’IA sans les vérifier auprès d’une autre source.

    Le 22 août, le Conseil des normes du planificateur financier agréé a publié les résultats d'un sondage mené auprès de plus de 1 100 adultes début juillet.

    Seulement 31 % des personnes interrogées ont effectivement reçu des conseils de planification financière d’AI, et 80 % d’entre elles ont déclaré un certain niveau de satisfaction à l’égard de cette expérience. Les répondants plus âgés étaient plus susceptibles d'être satisfaits de l'expérience que ceux de moins de 45 ans.

    Cependant, près d’un tiers de tous les répondants interrogés, qu’ils l’aient essayé ou non, ont indiqué qu’ils seraient à l’aise de suivre des conseils sans les vérifier.

    Avant la vague des chatbots IA, tels que ChatGPT d’OpenAI et Bard de Google, il avait été remarqué que de plus en plus d’investisseurs commençaient à s’appuyer sur leurs amis, les influenceurs et les médias sociaux pour obtenir des conseils en investissement.

    Il est intéressant de noter que l’enquête la plus récente a révélé que les outils d’IA générative ont surpassé les médias sociaux à tous les âges, les investisseurs interrogés se disant comparativement plus à l’aise avec les conseils financiers de l’IA sans vérifier les informations, par rapport aux médias sociaux.

    - voir graph sur site -

    26 % ont indiqué qu’ils étaient à l’aise avec l’utilisation de conseils financiers non vérifiés provenant des médias sociaux, contre 31 % citant la même chose à partir d’un outil d’IA générative. Source : Conseil du CFP

    RépondreSupprimer
  51. Le Conseil du CFP a cependant affirmé que les investisseurs de tous âges ont déclaré être plus à l'aise avec les conseils financiers générés par l'IA et dérivés des médias sociaux s'ils étaient vérifiés par un conseiller financier.

    - voir graph sur site -

    L’expérience dans l’utilisation de l’IA à des fins de conseils financiers était faible mais était largement satisfaisante pour ceux qui l’avaient fait. Source : Conseil du CFP

    Les résultats ont toutefois révélé que seulement 52 % des personnes interrogées étaient intéressées à recevoir à l’avenir des conseils financiers créés par l’IA.

    https://www.zerohedge.com/technology/third-us-investors-are-open-trusting-ai-financial-advice

    RépondreSupprimer
  52. Regarder : La frontière sud est littéralement grande ouverte


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 25 AOÛT 2023 - 19H05
    Rédigé par Steve Watson via Summit News,


    Des milliers d'immigrants illégaux traversent simplement la frontière américaine après que le gouvernement fédéral a décidé de laisser les portes grandes ouvertes, affirmant qu'il existe un risque d'inondations et de dangers environnementaux qui en résultent.

    Le New York Post rapporte que « la patrouille frontalière américaine a maintenant admis qu’elle était responsable de la décision de laisser grandes ouvertes les vannes géantes du mur frontalier – donnant ainsi à des milliers d’immigrants illégaux une opportunité facile d’affluer vers l’Arizona. »

    Le rapport note que « les agents de la patrouille frontalière, agissant sur ordre de leurs supérieurs, ont soudé quelque 114 portes pour empêcher quiconque de les fermer – ce qu’ils avaient fait à plusieurs reprises dans le but d’empêcher les gens de traverser la frontière ».

    Le CBP affirme que « un débit d’eau élevé combiné à une accumulation excessive de sédiments et de débris peut mettre à mal ou compromettre l’intégrité de conception de la barrière », et a donc littéralement laissé la frontière grande ouverte.

    En conséquence, les cartels emmènent les migrants par bus et les déposent simplement pour qu’ils puissent entrer dans le pays à pied :

    Brandon Judd, le président du syndicat national des patrouilles frontalières est furieux, déclarant que « ces portes ne devraient jamais être ouvertes », ajoutant « à mon avis et selon l'avis de l'agent de la patrouille frontalière, ces portes ne devraient jamais s'ouvrir ».

    « Nous pensions que les agents allaient nous dire quelque chose », a déclaré un migrant équatorien. "Mais nous venons juste d'entrer."

    Un autre Cubain a déclaré : « C’était si facile d’entrer aux États-Unis. »

    « Rien de tel que notre voyage à travers le Mexique. Cette partie était difficile », a-t-elle ajouté. "Je pensais qu'il y aurait plus de sécurité."

    NEWSNATION : « Les vannes sont littéralement ouvertes ici dans le secteur [frontalier] de Tucson », où les immigrants illégaux « arrivent par une porte ouverte ».

    "Il y a 141 portes différentes le long de la frontière sud... et la majorité d'entre elles sont ouvertes par le gouvernement fédéral." pic.twitter.com/ILqXAvQzZW
    – Recherche RNC (@RNCResearch) 24 août 2023

    Le journaliste Bill Melugin documente depuis plusieurs jours les conséquences des portes grandes ouvertes :

    Top Border Patrol 3 secteurs hier :
    1) Vallée du Rio Grande – 1 700+
    2) Tucson, Arizona – 1 500+ (c’est là que le gouvernement fédéral a soudé les portes frontalières ouvertes et que des masses de migrants y arrivent quotidiennement, voir l’article ci-joint.)
    3) Del Rio – 1 300+ https://t.co/Wm75v39ElA
    – Bill Melugin (@BillMelugin_) 24 août 2023

    https://www.zerohedge.com/political/watch-southern-border-literally-wide-open

    RépondreSupprimer
  53. Identification des gènes impliqués chez les champignons dans la biosynthèse des « métabolites secondaires ».


    le 25 août 2023


    Cet article est très technique et je m’en excuse auprès de mes lecteurs. Les champignons microscopiques aussi appelés moisissures sont, depuis la découverte de la pénicilline par Alexander Fleming, l’une des sources privilégiées pour la recherche de nouveaux médicaments. Ces composés chimiques parfois extrêmement complexes sont dits « métabolites secondaires », cependant pas si secondaires qu’il n’y paraît, car leur rôle est de servir de défense pour le champignon contre des ennemis comme les bactéries, les virus ou d’autres champignons. Rappelons ici le cas de l’Ivermectine, un anti-parasites puissant qui, hors autorisation de mise sur le marché, s’est révélé être un anti-coronavirus, en dehors du fait que cette molécule est également efficace pour combattre les acariens (hors autorisation de prescription en France). Il a été isolé à partir d’une moisissure. La découverte de nouveaux antibiotiques devient une préoccupation majeure pour la santé publique en raison de la dispersion par transfert horizontal des plasmides codant pour des activités enzymatiques conférant cette résistance entre espèces de bactéries pathogènes non apparentées. Outre les molécules déjà connues, cyclosporines, griseofulvine, mycophenolate, streptomycine, … mais ne présentant plus aucun intérêt économique car les brevets datent de nombreuses années, il est possible de les modifier ponctuellement pour en améliorer l’efficacité et contourner les mécanismes de résistance, la recherche de nouveaux « métabolites secondaires » issus de champignons fait l’objet de nombreux travaux académiques.

    - voir schéma sur site -

    Cet article est très technique et je m’en excuse auprès de mes lecteurs. Les champignons microscopiques aussi appelés moisissures sont, depuis la découverte de la pénicilline par Alexander Fleming, l’une des sources privilégiées pour la recherche de nouveaux médicaments. Ces composés chimiques parfois extrêmement complexes sont dits « métabolites secondaires », cependant pas si secondaires qu’il n’y paraît, car leur rôle est de servir de défense pour le champignon contre des ennemis comme les bactéries, les virus ou d’autres champignons. Rappelons ici le cas de l’Ivermectine, un anti-parasites puissant qui, hors autorisation de mise sur le marché, s’est révélé être un anti-coronavirus, en dehors du fait que cette molécule est également efficace pour combattre les acariens (hors autorisation de prescription en France). Il a été isolé à partir d’une moisissure. La découverte de nouveaux antibiotiques devient une préoccupation majeure pour la santé publique en raison de la dispersion par transfert horizontal des plasmides codant pour des activités enzymatiques conférant cette résistance entre espèces de bactéries pathogènes non apparentées. Outre les molécules déjà connues, cyclosporines, griseofulvine, mycophenolate, streptomycine, … mais ne présentant plus aucun intérêt économique car les brevets datent de nombreuses années, il est possible de les modifier ponctuellement pour en améliorer l’efficacité et contourner les mécanismes de résistance, la recherche de nouveaux « métabolites secondaires » issus de champignons fait l’objet de nombreux travaux académiques.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/08/25/identification-des-genes-impliques-chez-les-champignons-dans-la-biosynthese-des-metabolites-secondaires/

    RépondreSupprimer
  54. Le nouveau booster pour XBB1.5 n’a aucun espoir de fonctionner contre Eris EG5 qui est un rhume de tête très léger et bref. Il a encore muté !


    le 25 août 2023
    par pgibertie


    EG.5 descend de XBB.1.9.2, une progéniture d’Omicron avec la même protéine de pointe que XBB.1.5, la variante ciblée par les prochains vaccins . Mais contrairement à ces variantes, EG.5 possède la mutation de la protéine Spike F456L, qui, lors d’expériences en laboratoire, lui a permis d’échapper à la plupart des anticorps neutralisants XBB.1.5. La sous-variante EG.5.1, qui représente 88 % des séquences EG.5 disponibles, contient une mutation supplémentaire de la protéine Spike, Q52H.

    La mutation F456L semble être particulièrement importante, ont déclaré Sato et d’autres.

    « Le F456L en particulier est apparu à plusieurs reprises chez les descendants de XBB.1.5 et pourrait le rendre légèrement moins sensible aux anticorps chez les personnes précédemment vaccinées et/ou infectées », Nicole Doria-Rose, PhD, scientifique aux National Institutes of Health (NIH). , a déclaré dans un e-mail. Le F456L peut également être lié à la transmissibilité, a noté Doria-Rose, chef du groupe d’immunologie humorale au Centre de recherche sur les vaccins de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses.

    https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2808762

    https://pgibertie.com/2023/08/25/le-nouveau-booster-pour-xbb1-5-na-aucun-espoir-de-fonctionner-contre-eris-eg5-qui-est-un-rhume-de-tete-tres-leger-et-bref-il-a-encore-mute/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. NON ! IL N'Y A PAS de 'mutation' de poussières ! Le sable ne deviendra pas du riz et les pierres de l'or !
      FAUT PAS PRENDRE LES GENS POUR DES CONS !

      Si çà mute c'est vivant ! Si c'est vivant c'est microbes !

      Supprimer
  55. Syndrome de Stevens-Johnson Après les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna COVID-19.
    Augmentation de 700 % depuis le début de la vaccination, jusqu'à 25 % sont mortels


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    25 août 2023


    3 juillet 2023 – BRÉSIL – Le chanteur et compositeur Frank Aguiar, 52 ans, est marié à Caroline Aguiar, 31 ans, qui a révélé sur les réseaux sociaux le jour de son anniversaire qu'elle souffrait du syndrome de Stevens-Johnson qui « brûle le corps » et qu'elle avait été hospitalisée au Aux soins intensifs pendant 10 jours, j'ai failli mourir.

    - voir photo sur site - (Attention aux photos)

    Il s’agit désormais d’une réaction reconnue aux vaccins à ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna :

    Octobre 2022 – Charish Chambers, 22 ans, a travaillé comme CNA pour le VA. Elle a développé le syndrome de Stevens-Johnson après avoir reçu son vaccin contre le COVID-19. Elle souffre désormais de neuropathie.

    - voir photo sur site -

    Janvier 2023 – Julie Mitchell Peel est photographe, sa fille Lia a reçu un diagnostic de syndrome de Stevens-Johnson/TEN. Elle a perdu 74 % de sa peau et a été intubée mais s'est rétablie.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  56. Qu'est-ce que le syndrome de Stevens-Johnson ?

    Le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) est une réaction d'hypersensibilité aiguë qui provoque une nécrose étendue de la membrane muqueuse et de la peau .

    Le SJS résulte d'une réaction immunitaire cytotoxique dans les kératinocytes, qui conduit à une apoptose généralisée des kératinocytes (mort cellulaire) .

    Bien que les infections bactériennes et virales soient considérées comme des facteurs causals du syndrome, les médicaments seraient également une cause majeure .

    Le SJS a également été rapporté avec les vaccins : grippe, rougeole, varicelle, tétanos .

    Souvent décrit comme SJS/TEN ( TEN = nécrolyse épidermique toxique )

    Il s’agit de SJS si < 10 % de la surface corporelle est impliquée
    Il est DIX si > 30 % de la surface corporelle est concernée
    Selon des études antérieures, la prévalence du SJS est inférieure à 1 à 2 cas par million de personnes et par an.

    Le taux de mortalité est d'environ 25 à 30 % .

    - voir photo sur site -

    L’Arabie Saoudite a signalé le premier cas de SJS après l’ARNm de Pfizer
    Elboraey et Essa ont signalé le premier cas de SJS après l'ARNm de Pfizer en octobre 2021 :
    C'était une femme d'âge moyen en Arabie Saoudite
    Elle a développé des lésions 5 jours après la 2ème dose de Pfizer (rien après la 1ère dose !)
    ils ont théorisé que l'ARNm de Pfizer stimule les cellules immunitaires, les cellules T cytotoxiques et les cellules tueuses naturelles qui sécrètent la granulysine qui détruit les cellules de la peau et des muqueuses par dérégulation de voies protéiques spécifiques.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  57. La Corée du Sud signale le premier cas de SJS après le rappel Pfizer
    Mihn-Sook Jue et al ont rapporté un autre cas :
    Une Sud-Coréenne de 20 ans a reçu le troisième vaccin à ARNm Pfizer contre le COVID-19
    le lendemain, elle est arrivée aux urgences avec de la fièvre et des lésions cutanées (n'a eu aucun problème avec la dose 1 ou 2)
    elle avait besoin de 5 semaines de stéroïdes IV.

    - voir photo sur site -

    Les médecins croates tentent de s’en prendre aux « anti-vaccins » et échouent
    Un article hilarant de 2022 rédigé par les médecins croates Dodig et al :
    « La présentation (clinique) du SJS est impressionnante et la désinformation des anti-vaccins concernant la campagne de vaccination contre le COVID-19 s'est concentrée sur le SJS pour accroître l'hésitation à la vaccination »

    Conclusion : « Le SJS après la vaccination contre le COVID-19 semble être une réaction indésirable médicamenteuse possible mais extrêmement rare. Le signal potentiel identifié dans notre brève analyse concernant le vaccin Moderna mérite une analyse plus approfondie et pourrait être dû à la dose nettement plus élevée utilisée par le vaccin Moderna.
    États-Unis (Minnesota)
    Padniewski et coll. a rapporté une femme éthiopienne de 46 ans qui avait le premier ARNm de Moderna
    elle s'est présentée aux urgences 3 jours plus tard avec des lésions cutanées et muqueuses

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  58. Australie

    Stanley et al – Médecins dans une unité des brûlés d'un hôpital de Sydney, en Australie, ont publié :
    Augmentation de 7 fois du SJS depuis le début de la vaccination contre le COVID-19
    8 patients ont tous été vaccinés à ARNm (3 ont été doublement vaccinés, 4 ont été triples, 1 a été quadruple vacciné)
    Théorisé selon lequel la protéine Spike peut se lier aux cellules T auxiliaires de type 1, conduisant à une expansion clonale de cellules T cytotoxiques qui peuvent libérer anormalement des granules provoquant l'apoptose de la peau.
    Bien qu’il ait été théorisé que la protéine Spike pourrait « amorcer » le système immunitaire pour qu’un futur médicament provoque le SJS/TEN.

    - voir photo sur site -

    Le vaccin AstraZeneca contre la COVID-19 a fait cela aussi
    Gouveia et al , des chercheurs brésiliens ont également signalé un SJS avec le vaccin AstraZeneca COVID-19
    Une femme noire de 40 ans a reçu son premier vaccin AstraZeneca contre le COVID-19 et a reçu ce vaccin 2 jours plus tard.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  59. Mon avis…
    Le syndrome de Stevens-Johnson était une réaction d'hypersensibilité rare, rapportée avec plus de 200 médicaments, y compris les vaccins contre la grippe (vaccins contre la grippe) et d'autres vaccins.

    Depuis le déploiement des vaccins contre la COVID-19, le SJS a été multiplié par 7 (700 %).

    Le SJS est désormais une réaction connue aux vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna contre la COVID-19, avec 296 cas signalés dans la base de données de l'OMS VigiAccess.

    - voir photo sur site -

    Image clinique:

    Le taux de mortalité du SJS/TEN peut atteindre 25 à 30 %
    commence par de la fièvre, de la toux, des ganglions lymphatiques
    l'éruption cutanée apparaît d'abord sur la bouche (recherchez les plaies sur les lèvres), le cou et les bras
    peut se propager sur tout le corps avec des cloques et des croûtes
    la peau peut se détacher
    peut concerner les muqueuses : œsophage, vagin, rectum et yeux (risque de cécité)
    des cicatrices défigurantes peuvent se développer
    SJS/TEN est la preuve d’une réponse dysfonctionnelle du système immunitaire.

    La théorie est qu’il s’agit d’une réaction d’hypersensibilité de type retardée, médiée par les lymphocytes T, qui peut survenir de 6 heures à plusieurs semaines après l’injection du vaccin à ARNm.

    La protéine Spike du vaccin COVID-19 est exprimée sur les kératinocytes de la peau et stimule une réponse immunitaire anormale entraînant la production de lymphocytes T cytotoxiques qui libèrent des enzymes conduisant à l'apoptose (mort cellulaire) dans la peau et les muqueuses.

    Vous pouvez obtenir cette réaction avec n'importe quelle dose d'ARNm , même si vous n'avez eu aucune réaction aux doses précédentes, cela est probablement dû à la variabilité d'un lot à l'autre du contenu des flacons d'ARNm .

    SJS/TEN est une URGENCE MÉDICALE qui répond aux stéroïdes IV, mais après avoir obtenu des soins médicaux immédiats pour cette réaction, la détoxification de la protéine de pointe est toujours très importante !

    La détox aux protéines Spike est habituelle :

    Répartition des pointes : Nattokinase, Bromélaïne (Serrapeptase, Lumbrokinase)
    Liant de pointe : quercétine, feuille d'olivier, graines noires, curcumine, extrait de pissenlit
    Antioxydants : NAC, Taurine, Vitamine C, Resvératrol, CoQ10
    Soutien immunitaire : Vitamine D, Zinc, Magnésium, Sélénium, Mélatonine, etc.
    Autophagie : jeûne hydrique de 3 jours
    (Un merci spécial à Nashville Angela sur Twitter pour avoir attiré l'attention sur ces cas douloureux de blessures causées par le vaccin à ARNm et pour avoir tenté de réveiller les gens !)

    https://www.globalresearch.ca/stevens-johnson-syndrome-pfizer-moderna-covid-19-mrna-vaccines/5830108

    RépondreSupprimer
  60. L'endocrinologue Heather Patisaul : l'EPA et la FDA sont complices de l'industrie dans l'empoisonnement du public américain


    24 AOÛT 2023 ~
    SUZAN MAZUR



    « Il devient désormais évident que les effets de l’exposition aux EDC ne se limitent pas nécessairement à la personne exposée. Il est désormais reconnu que bon nombre de ces composés ont des effets transgénérationnels et, dans certains cas, les effets sur les générations suivantes sont plus profonds que ceux observés lors de la première génération. »—Heather B. Patisaul et Heather B. Adewale, « Effets à long terme des effets environnementaux ». perturbateurs endocriniens sur la physiologie et le comportement de la reproduction », Frontiers in Behavioral Neuroscience
    Articles connexes, Oscillations : (1) Américains à risque : l'EPA doit tester les produits chimiques pour détecter les perturbations endocriniennes et étiqueter les produits ; (2) Liste des produits chimiques encore à tester du programme américain de dépistage des perturbateurs endocriniens ; (3) Le document « Politique d’action fondée sur des données probantes » aborde la catastrophe liée aux perturbateurs chimiques endocriniens

    Il faudra le courage sans faille de Heather Patisaul de la part des Américains de tout le pays pour faire sortir l’EPA et la FDA de leur zone de confort avec l’industrie et maîtriser les perturbateurs endocriniens (EDC) qui empoisonnent le pays. Patisaul, neuroendocrinologue, accuse l'EPA et la FDA de sélectionner des données, entre autres irrégularités. Elle est l’une des voix les plus respectées sur les dangers des perturbateurs endocriniens, notamment en ce qui concerne la compréhension des « mécanismes spécifiques au sexe par lesquels les expositions chimiques affectent le développement et le comportement du cerveau ».

    Heather Patisaul est actuellement doyenne associée à la recherche au College of Sciences de la North Carolina State University ainsi que professeur de biologie au NCSU.

    En 2016, Patisaul a présidé la conférence du Gordon Research Council sur les perturbateurs endocriniens et, en 2020, a présidé le comité de plaidoyer et de sensibilisation de l’Endocrine Society.

    Patisaul est l'auteur avec Scott M. Belcher du livre Endocrine Disruptors, Brain, and Behaviour. Elle est également l’une des auteurs du Guide EDC 2020 de l’Endocrine Society. Patisaul a publié plus de 100 articles scientifiques.

    RépondreSupprimer
  61. La base universitaire de Heather Patisaul en Caroline du Nord et avant cela à l’Université Emory de Géorgie (PhD) et à l’Université de Floride (BS, zoologie) ont nécessité une sérieuse protection contre le soleil. En tant que blonde à la peau claire, Patisaul m'a dit qu'elle comptait sur un écran solaire minéral (par opposition à chimique), qui bloque les rayons UV. Ce sont donc uniquement les nanoparticules qui pénètrent dans la peau dont il faut s’inquiéter, a-t-elle plaisanté. Notre conversation suit.

    Suzan Mazur : Le gouvernement américain laisse-t-il essentiellement à l'industrie le soin de se contrôler elle-même en ce qui concerne les produits chimiques nocifs, les perturbateurs endocriniens et autres ?

    Heather Patisaul : Essentiellement, oui.

    Suzan Mazur : Étant donné que la Food and Drug Administration (FDA) n'a pas pour mandat de tester ou d'étiqueter les aliments américains concernant les produits chimiques toxiques ou les perturbateurs endocriniens (EDC), et que l'Environmental Protection Agency (EPA) n'a pas testé ni étiqueté les produits. contaminés par des perturbateurs endocriniens – pouvons-nous supposer que les Américains sont empoisonnés à cause de l’incapacité du gouvernement à réglementer ?

    Heather Patisaul : Oui.

    Suzan Mazur : Pourriez-vous expliquer l'approche à haut débit de l'EPA pour identifier les perturbateurs endocriniens au lieu des tests sur les animaux ?

    Heather Patisaul : Les tests toxicologiques à des fins réglementaires étaient à l'origine des tests sur des animaux entiers. Et il existe encore des statuts et des lois qui exigent des données sur les animaux, donc les tests sur des animaux entiers restent extrêmement importants. En tant qu'endocrinologue, je trouve ces tests particulièrement utiles car dans le système endocrinien, un organe influence un autre organe.

    RépondreSupprimer
  62. L'ovaire est un exemple classique. L'ovaire produit des hormones comme les œstrogènes, qui circulent ensuite dans tout le corps, se dirigeant vers l'utérus, les glandes mammaires et de nombreux autres organes. Cependant, il y a eu une tendance à abandonner les tests sur les animaux pour des raisons éthiques et autres. Des stratégies de tests à haut débit [s'appuyant sur des données] sont en cours d'élaboration. Elles se veulent plus rapides, plus sûres, plus faciles et évitent d'utiliser des animaux entiers. Mais c’est un peu le Far West et tous ne fonctionnent pas bien.

    C’est ainsi que l’EPA consacre son temps aux perturbateurs endocriniens. Il essaie de développer certains de ces tests avec un taux d’échec assez élevé. Pendant ce temps, nous ne constatons pas que l’EPA soit pressée d’utiliser la montagne de données déjà disponibles dans la littérature pour réglementer les perturbateurs endocriniens.

    Suzan Mazur : Une grande partie des données que l'EPA utiliserait dans son approche à haut débit proviendraient de l'industrie qui a créé les produits chimiques. Est-ce correct ?

    Heather Patisaul : C'est mon inquiétude. Une grande partie du développement des tests et une grande partie des informations et des données proviennent de l’industrie. Nous appelons cela des « données grises ». Parce que l’EPA peut le voir, mais un scientifique comme moi et le public, nous ne pouvons pas le voir. Nous ne savons pas comment cela est évalué. Cela est également vrai pour certains travaux sur des animaux entiers.

    D’après certaines données publiées par le biais de la Freedom of Information Act et d’autres moyens, il est clair que l’industrie sait très bien dire que rien n’est toxique. Si vous croyez cela, alors l’industrie n’a jamais produit de produits chimiques toxiques. Puisque nous savons que c’est complètement faux, nous sommes confrontés à un gros problème : notre système de réglementation dépend fortement des données de l’industrie et il existe un conflit d’intérêts financier évident.

    Suzan Mazur : Quelles sont les différences entre les approches des États-Unis et de l’Union européenne pour faire face à la catastrophe d’EDC ?

    Heather Patisaul : La plus grande différence est que l’Europe – son programme s’appelle REACH – adopte ce qu’on appelle une approche basée sur les dangers. Cela signifie : j’ai un produit chimique, un produit chimique X et je vais le tester pour sa toxicité.

    RépondreSupprimer
  63. Suzan Mazur : L’Europe teste-t-elle les animaux ?

    Heather Patisaul : Oui, l’Europe pratique principalement des tests sur les animaux, mais elle s’efforce également de développer des tests sans animaux. C’est bien, nous voulons toute une variété de tests. Ainsi, pour l’Europe, si un produit chimique s’avère suffisamment dangereux, le processus réglementaire démarre.

    Aux États-Unis, c’est différent. Déterminer si un produit chimique perturbe le système endocrinien ou a un effet toxique est l’étape 1. C’est ce qu’on appelle identifier le danger. L’étape 2 est celle où l’EPA tente de déterminer quelle est l’exposition du public. OK, le produit chimique X est toxique : dans quelle mesure les personnes sont-elles exposées au produit chimique X ? L'étape 3 est l'évaluation des risques. L’EPA dit : OK, le produit chimique X est toxique, mais l’exposition du public au produit chimique X est faible – nous n’allons donc pas le réglementer. Le problème, c’est que dès que l’EPA prend cette décision, le niveau d’exposition change et il augmente généralement rapidement.

    Nous l’avons vu avec les retardateurs de flamme. Et nous l’avons certainement constaté avec les produits chimiques perfluorés où l’exposition est si dynamique. Nous allons rester coincés avec ceux-ci pendant littéralement des siècles parce qu’ils sont si persistants.

    Il se peut que vous soyez faiblement exposé à un produit chimique et que son utilisation augmente. Et deux ans plus tard, le public est très fortement exposé à ce produit chimique. C’est ainsi qu’aux États-Unis, nous pouvons nous retrouver avec des expositions plus élevées que dans d’autres pays à certains produits chimiques – et à des produits chimiques très toxiques qui sont encore sur le marché.

    Suzan Mazur : L’EPA est-elle au courant des informations sur les tests européens sur lesquelles l’UE s’appuie pour étiqueter ses produits ?

    Heather Patisaul : Certaines informations sont partagées. Ce qui est différent, c’est la façon dont les informations sont utilisées. Par exemple, de nombreux produits chimiques contenus dans les produits de soins personnels, qui ne sont pas légaux dans l’UE parce qu’ils sont identifiés comme dangereux, se trouvent dans des produits utilisés partout aux États-Unis, puisque les États-Unis adoptent une approche d’évaluation des risques. Autrement dit, les régulateurs comme l’EPA et la FDA décident que l’exposition du public est trop faible pour qu’il y ait un problème et que le public peut donc simplement être « micro-dosé » constamment avec toutes ces substances toxiques. C’est pourquoi nous avons dans notre environnement des produits chimiques interdits dans d’autres pays.

    RépondreSupprimer
  64. Suzan Mazur : Connaissez-vous des webinaires majeurs de la National Science Foundation ou de la National Academy of Sciences accessibles au public ces dernières années sur la question de l'ECD ?

    Heather Patisaul : Non.

    Suzan Mazur : Il est intéressant de noter que la NAS a récemment organisé un important symposium en ligne sur la gamétogenèse in vitro (IVG), au cours duquel un avocat de la FDA a prédit que nous verrions l'IVG d'ici un ou deux cycles présidentiels américains. Une partie de la discussion a porté sur l'IVG permettant aux couples de même sexe de fonder une famille, à la lumière d'une expérience récente menée par des scientifiques japonais ayant abouti à la naissance de petits souris issus de deux pères souris.

    Il est très étrange que la NAS organise une telle conférence IVG avec la participation d’avocats de la FDA, mais une conférence EDC préventive ne mérite pas une réunion publique similaire.

    Heather Patisaul : La FDA est un cas intéressant. Les parties Food et Drug de l’agence opèrent dans des univers fonctionnels complètement différents. Le secteur alimentaire dépend entièrement de l’autorégulation de l’industrie. La FDA n’a pratiquement rien fait pour réglementer non seulement les perturbateurs endocriniens, mais aussi les produits chimiques toxiques présents dans nos aliments. Je dirais que le côté alimentaire de la FDA est l’un des plus gros problèmes que nous ayons aux États-Unis. Tout cela repose sur le volontariat de l’industrie.

    Je pense que c’est en 2018 ou à peu près à cette époque que la FDA a déclaré : si vous ne voyez pas l’effet de la toxicité chez les deux sexes, ce n’est pas biologiquement pertinent. Ce qui est absurde.

    Suzan Mazur : Pourquoi les scientifiques du domaine de l’EDC et les agences de réglementation ne prennent-ils pas en compte le fait qu’il y a eu un changement de paradigme dans la science évolutionniste pour inclure les virus et les microbes, qui constituent la majeure partie de la biosphère ? Ainsi, les effets nocifs des perturbateurs endocriniens sont bel et bien systémiques, puisque nous vivons dans une sphère microbe/virus.

    RépondreSupprimer
  65. Par exemple, un article récent dans la revue Cell Host & Microbe explique comment l'hydrogel humain, plus communément appelé mucus, lubrifie les yeux, la cavité buccale, les poumons, l'estomac, les intestins, ainsi que le tractus urogénital féminin, et que les microbes du mucus Les ports qui bordent sont particulièrement sensibles aux signaux chimiques, qui peuvent modifier la physiologie bactérienne et entraîner une inflammation et d'autres maladies. Voudriez-vous commenter ?

    Heather Patisaul : Vous me faites réfléchir. Le problème est que les États-Unis ne réglementent même pas les produits chimiques ouvertement toxiques qui rendent les gens stériles, obèses, contractent le cancer ou même meurent. Nous ne parvenons même pas à convaincre la FDA et l’EPA de bouger sur ce point. Quelque chose de plus complexe, dont vous parlez, qui ne serait pas considéré comme négatif par un organisme de réglementation. Il y a probablement des scientifiques universitaires qui travaillent dans ce domaine, mais il n’y aura pas beaucoup de mouvement tant que nous n’aurons pas pris des mesures concernant ces produits chimiques ouvertement toxiques que le gouvernement ne semble tout simplement pas pouvoir réglementer. L’industrie a la mainmise sur notre système de réglementation.

    Suzan Mazur : Que pensez-vous du récent document d'action politique fondé sur des données probantes d'EDC rédigé par Duh-Leong, Kassotis, Vandenberg et al.

    Ils soulignent qu’il n’existe pas de niveau de perturbateurs endocriniens sûr, ni de dose de référence sûre en raison des propriétés non linéaires et monotones des perturbateurs endocriniens, avec des effets d’exposition souvent latents. C’est un article intensément informatif et accablant, dans lequel les auteurs proposent également des solutions. Le problème est tellement énorme : quelque chose doit céder.

    Heather Patisaul : Oui, quelque chose doit céder. Je n'ai pas encore lu leur récent article sur Nature mais je connais leurs travaux sur les perturbateurs endocriniens. Laura Vandenberg participe à ce débat depuis longtemps et connaît les tenants et les aboutissants du domaine de l'EDC comme sa poche.

    RépondreSupprimer
  66. Tout se résume à l’argent. L’industrie fait ces sauts hystériques lorsque des réglementations sont imposées, même si les délais de mise en œuvre sont longs : le contrôle de la pollution tue des emplois. Une catastrophe économique pourrait s’ensuivre. Notre approvisionnement alimentaire va s’effondrer. Etc. Pendant ce temps, il n’y a rien de mal à ce que l’industrie continue à nous empoisonner.

    Suzan Mazur : Il semble qu’il n’y ait pas d’argent pour la prévention, le budget du programme de dépistage des perturbations endocriniennes de l’EPA pour 2023 est de 7,6 millions de dollars. Pendant ce temps, un seul district de Manhattan dépense un demi-million de dollars pour changer les toilettes de trois écoles publiques.

    Heather Patisaul : En tant que société, les États-Unis aiment réparer les choses lorsqu’elles sont en panne. Nous ne faisons pas très bien de prévention. Malheureusement, la culture américaine préfère déshumaniser et blâmer les victimes plutôt que de s’attaquer au problème. La culture n’est pas proactive.

    Qu’il s’agisse du climat ou de la santé. Qu’il s’agisse de l’allée du cancer en Louisiane, où le taux de cancer et de décès est incroyablement élevé, ce sont les gens qui y vivent qui sont blâmés plutôt que les usines chimiques qui les entourent. Que l’infertilité soit considérée comme un échec de l’individu. L'obésité, où des tonnes de ces produits chimiques sont obésogènes, les individus sont à nouveau blâmés et humiliés.

    Suzan Mazur : Etes-vous optimiste ? Les poursuites pour préjudices causés par la télévision doivent sensibiliser le public et exercer une certaine pression sur l'industrie et les régulateurs gouvernementaux.

    RépondreSupprimer
  67. Heather Patisaul : Je suis optimiste quant à l’attention actuelle portée à la réduction des plastiques. La plupart des produits chimiques toxiques ayant un impact négatif sur la vie proviennent de l’industrie pétrochimique. Cependant, des entreprises comme Chevron brûlent désormais du plastique pour fabriquer des carburants, qui sont dans certains cas les carburants les plus toxiques jamais vus – et elles appellent cela le recyclage. Et l’EPA pense que c’est très bien.

    Il faut une refonte de la politique chimique aux États-Unis. Il n’y a aucune volonté politique en ce sens, et des groupes scientifiques, tels que l’OMS, sont infiltrés par des représentants de l’industrie implantés en tant qu’experts scientifiques. C’est terrible à dire, mais une grande partie du système est truquée. Ces soi-disant experts ont un intérêt financier à préserver le statu quo et ils font partie de ces panels pour une bonne raison.

    Suzan Mazur : C’est vrai. Comme l’a conseillé l’historien et critique des sciences et technologies David F. Noble : Il y a eu un pas de deux entre les scientifiques américains et l’industrie depuis l’après-Seconde Guerre mondiale. Le public est tenu à l’écart grâce à un examen par les pairs. Et une entreprise privée qui investit de l’argent dans la recherche universitaire – une université également financée par des fonds publics – effectue un examen avant publication. L’entreprise privée peut censurer ce qu’elle veut.

    Heather Patisaul : L'industrie a créé ses propres revues, comités de rédaction et ses propres sociétés avec des buts et des objectifs qui semblent scientifiquement indépendants mais qui ne le sont pas.

    Une réforme de l’éthique serait d’une grande aide, tout comme la transparence et la divulgation des conflits d’intérêts financiers. Nous n’en avons pas assez pour le moment. Il faudra une volonté politique considérable de la part de l’opinion publique américaine empoisonnée pour instaurer la discipline réglementaire d’EDC.

    https://oscillations.net/2023/08/24/endocrinologist-heather-patisaul-epa-fda-complicit-w-industry-in-poisoning-american-public/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La transmission existe ! Un homme qui s'est fait inoculer peut transmettre - via sperme - le poison de la seringue vers sa partenaire. La femme enceinte transmettra le poison à l'enfant qu'elle porte.

      Supprimer
  68. Le CDC refuse désormais les nouveaux rapports d’événements indésirables liés au vaccin COVID dans son programme V-Safe


    Par David Gortler
    JUSTIN HART
    24 AOÛT 2023


    Note de Justin : Dans une tournure choquante des événements, il semble que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aient discrètement cessé de collecter des rapports d'événements indésirables sur leur site Web V-safe. Ce site Web, qui collectait activement des données sur la sécurité des vaccins contre la COVID-19, a brusquement cessé de collecter des données le 30 juin 2023, laissant beaucoup se demander pourquoi. Le CDC dirige désormais les utilisateurs vers le site Web VAERS de la FDA pour signaler les événements indésirables, même s'ils avaient auparavant rejeté le VAERS comme étant « passif » et « non vérifié ». Cette décision soulève des questions troublantes sur la sécurité des injections d’ARNm Covid-19 et pourquoi le CDC choisirait d’arrêter de surveiller les événements indésirables pour une technologie aussi nouvelle et potentiellement risquée.

    Le site Web V-safe des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a discrètement cessé de collecter des rapports d'événements indésirables sans raison ni explication. Le site V-safe indique simplement : « Merci pour votre participation. La collecte de données sur les vaccins contre la COVID-19 s’est terminée le 30 juin 2023. » Si vous y allez aujourd’hui, V-safe dirige les utilisateurs vers le site Web VAERS de la FDA pour signaler les événements indésirables, même si les responsables ont continuellement ridiculisé le VAERS en le qualifiant de « passif » et de « non vérifié ».

    VAERS et V-safe sont des bases de données de collecte de sécurité mutuellement exclusives, exploitées respectivement par la FDA et le CDC. VAERS est une méthode plus ancienne de collecte de données de sécurité où l'on peut remplir un formulaire en ligne, manuellement ou en appelant un numéro gratuit, tandis que V-safe est une « application » d'appareil qui nécessite une inscription en ligne. VAERS et V-safe collectent tous deux des informations personnelles, des numéros de lot, des dates et des informations associées, mais V-safe était un système de collecte actif destiné à un groupe démographique plus jeune utilisant des applications.

    RépondreSupprimer
  69. Voici le dernier rapport avant suppression.

    Cela signifie-t-il que le CDC estime que les injections d’ARNm Covid-19 sont si sûres qu’il n’est plus nécessaire de surveiller les rapports d’événements indésirables ? Quel est l’argument contre une surveillance continue, d’autant plus que le site Internet V-safe était déjà opérationnel et payant ?

    Alors que le V-safe du CDC a été furtivement et brusquement désactivé, refusant d’accepter de nouveaux rapports de sécurité, le CDC continue aujourd’hui d’exhorter toute personne âgée de 6 mois et plus à se tenir au courant des vaccins et des rappels contre le COVID-19.

    En tant qu’expert en sécurité des médicaments, je ne peux personnellement pas citer un autre exemple d’une agence ou d’un fabricant ayant interrompu la collecte de données sur la sécurité. Cela semble encore pire car la technologie de l’ARNm est relativement nouvelle et ses manifestations à long terme sont inconnues. De plus, les fabricants et la FDA refusent de partager la liste des ingrédients, tels que les nanoparticules lipidiques, qui pourraient affecter différemment les individus et mettre beaucoup de temps à se manifester cliniquement.

    La collecte de données sur la sécurité ne devrait jamais s'arrêter

    Comparez cela avec le fait que la National Highway Traffic and Safety Administration (NHTSA) acceptera toujours un rapport de sécurité pour un Ford Bronco II de 30 ans. En effet, il s'agit d'un exemple étrangement spécifique, mais uniquement parce que j'ai conduit exactement ce véhicule en tant que famille, lorsque j'étais étudiant, dans le cadre de ma résidence, de ma bourse, de mon mandat de professeur à Yale dans les rues méchantes de New Haven et même pendant mes années à la FDA en tant que médecin/analyste médical principal.

    Comme les injections d’ARNm, les Bronco II sont toujours disponibles sur le marché et les gens les utilisent encore aujourd’hui. Mon Bronco est devenu un sujet de conversation intermittent avec des amis et des collègues de la FDA. Un jour, un agent de sécurité en patrouille à la FDA m'a informé qu'il s'agissait de la voiture la plus ancienne du campus.

    RépondreSupprimer
  70. Je ne connaissais pas grand-chose aux voitures (ou à la technologie de l'ARNm) à l'époque, mais lorsqu'un collègue de la FDA m'a informé que mon Bronco II avait des problèmes de sécurité notables et que la NHTSA avait toujours un œil sur ce véhicule (les accidents de retournement étaient plus fréquents). et plus fatal) J'ai résolu le problème : je me suis débarrassé de la relique fiable, même si je l'aimais beaucoup.

    La NHTSA accepte toujours les rapports de sécurité trois décennies plus tard.

    Le CDC n'accepte plus les rapports de sécurité malgré l'augmentation rapide des résultats de sécurité :

    Contrairement à mon ancien Bronco, les injections d’ARNm ne sont sur le marché que depuis environ deux ans, et selon la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) de la FDA, les « vaccins » à ARNm ont été désignés comme le principal suspect dans plus de 1,5 million de rapports d’événements indésirables. , dont plus de 20 000 crises cardiaques et plus de 27 000 cas de myocardite et de péricardite rien qu'aux États-Unis. Les chiffres mondiaux seraient plus élevés. Selon de nombreuses références, y compris une étude financée par la FDA et réalisée à Harvard, les rapports VAERS représentent moins de 1 % des événements indésirables liés aux vaccins qui se produisent réellement.

    Fait intéressant, le lien NHTSA ci-dessus sur mon Ford Bronco II n'affiche que : un rappel de pièces, une enquête et 23 plaintes, et comporte toujours un bouton dans le coin supérieur droit pour soumettre de nouvelles plaintes.

    Wikipédia définit une crise humanitaire ou une catastrophe humanitaire comme : « un événement singulier ou une série d'événements menaçant en termes de santé, de sécurité ou de bien-être d'une communauté ou d'un grand groupe de personnes ». Sur la base du VAERS et des conclusions précédentes de V-safe, les événements indésirables liés aux injections d'ARNm aux États-Unis uniquement pourraient être considérés comme une crise humanitaire.

    RépondreSupprimer
  71. Malgré ces résultats cliniques alarmants, le CDC a conclu que la collecte de nouveaux rapports de sécurité n’était plus dans l’intérêt de la santé publique américaine. Les données existantes du site V-safe ont montré environ 6,5 millions d'événements indésirables/impacts sur la santé sur 10,1 millions d'utilisateurs, avec environ 2 millions de ces personnes incapables de mener leurs activités normales de la vie quotidienne ou ayant besoin de soins médicaux, selon un rendu tiers. de ses conclusions. En d’autres termes, bien que les injections d’ARNm soient toujours largement disponibles et que le CDC encourage son utilisation continue, l’affaire est « close » en ce qui concerne la collecte de nouveaux rapports de sécurité, sous l’actuelle administration fédérale de la santé publique.

    Le CDC se prononcera-t-il sur les données existantes ou justifiera-t-il l’arrêt de la collecte de nouvelles données de sécurité ? À ma connaissance, l’arrêt de la collecte d’informations sur la santé publique n’a pas de justification clinique ni de précédent scientifique, surtout lorsqu’il s’agit d’un produit activement commercialisé.

    Dans 1984 de George Orwell, The Party a demandé aux personnages de « rejeter l’évidence de vos yeux et de vos oreilles ». Désormais, le CDC n’autorise même pas la collecte de ces preuves pour les consulter (et les rejeter éventuellement). C’est une très mauvaise idée pour n’importe quel produit, sans parler des nouvelles technologies d’ARNm.

    https://covidreason.substack.com/p/cdc-now-refusing-new-covid-vaccine?utm_source=post-email-title&publication_id=64295&post_id=136379710&isFreemail=true&utm_medium=email

    RépondreSupprimer
  72. 371 personnes accusées de fraude liée au COVID-19 totalisant 836 millions de dollars : DOJ


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 AOÛT 2023 - 03H00
    Rédigé par Samantha Flom via The Epoch Times


    Le ministère de la Justice (DOJ) a lancé deux nouvelles forces de lutte contre la fraude contre le COVID-19, a annoncé mercredi le ministère en annonçant le dépôt d'accusations criminelles contre 371 personnes en relation avec le vol de plus de 836 millions de dollars de fonds de secours en cas de pandémie.

    "Le ministère de la Justice a maintenant saisi plus de 1,4 milliard de dollars de fonds de secours contre le COVID-19 que des criminels avaient volés et a inculpé plus de 3 000 accusés de crimes dans les districts fédéraux à travers le pays", a déclaré le procureur général Merrick Garland dans un communiqué.

    « Cette dernière action, impliquant plus de 300 accusés et plus de 830 millions de dollars en fraude présumée liée au COVID-19, devrait envoyer un message clair : l'urgence de santé publique liée au COVID-19 est peut-être terminée, mais le travail du ministère de la Justice pour identifier et poursuivre en justice ceux qui ont volé la pandémie les fonds de secours sont loin d’être épuisés », a-t-il ajouté.

    Les accusations sont le résultat d’une campagne de lutte contre la fraude liée au COVID-19 qui a eu lieu dans tout le pays de mai à fin juillet.

    Selon le DOJ, sur les 371 accusés inculpés, 119 ont plaidé coupables ou ont été reconnus coupables au procès, et plus de 57 millions de dollars de dédommagements ordonnés par le tribunal ont été imposés.

    Cette opération a impliqué un total de 718 actions policières, dont 117 affaires civiles qui ont rapporté plus de 10,4 millions de dollars en jugements.

    De nombreuses affaires concernaient des accusations liées à une fraude aux prestations d’assurance-chômage en cas de pandémie et à une fraude contre les deux plus grands programmes de lutte contre la pandémie de la Small Business Administration : le programme de protection des chèques de paie et les prêts en cas de catastrophe économique.

    RépondreSupprimer
  73. Ensemble, les procureurs et les forces de l'ordre ont travaillé pour obtenir la confiscation de plus de 231,4 millions de dollars.

    Annonçant les résultats lors d'une table ronde réunissant de hauts responsables du DOJ, des forces de l'ordre et du Bureau de l'Inspecteur général, la procureure générale adjointe Lisa Monaco a déclaré que le département lançait également deux nouvelles forces de frappe pour l'aider dans sa répression en cours de la fraude liée à la pandémie.

    « Les mesures d'application de la loi annoncées aujourd'hui reflètent l'objectif du ministère de la Justice – en collaboration avec nos partenaires chargés de l'application des lois à l'échelle nationale – de traduire en justice ceux qui ont volé des entreprises et des familles américaines en période d'urgence nationale », a déclaré Mme Monaco. « Les deux nouvelles forces de frappe lancées aujourd’hui augmenteront notre portée alors que nous continuons à poursuivre les fraudeurs et à récupérer l’argent des contribuables, quel que soit le temps que cela prendra. »

    Selon l’Associated Press, il est possible que plus de 280 milliards de dollars de fonds de secours en cas de pandémie aient été volés par des fraudeurs, tandis que 123 milliards de dollars supplémentaires ont été gaspillés ou mal dépensés.

    Le procureur général a créé le Groupe de travail sur la lutte contre la fraude liée au COVID-19 en mai 2021 pour aider à prévenir, enquêter et poursuivre les cas de fraude liée au COVID-19. En septembre 2022, le DOJ a ajouté à ces efforts en lançant trois équipes de force de frappe dans les bureaux du procureur américain des districts est et central de Californie, du district sud de Floride et du district du Maryland.

    Les nouvelles forces de frappe opéreront à partir des bureaux du procureur américain du district du Colorado et du district du New Jersey.

    « J'applaudis le travail acharné de nos procureurs à travers le pays », a déclaré Michael C. Galdo, directeur par intérim de COVID-19 Fraud Enforcement. « Toutefois, cette annonce n’est pas un tour de victoire. Notre mission n'est pas terminée.

    « Nos partenaires d’enquête nous savent qu’il est difficile d’identifier ceux qui ont commis des fraudes en matière d’aide en cas de pandémie et de récupérer les fonds volés. Mais le ministère de la Justice, y compris nos forces de frappe, les bureaux des avocats américains et les divisions pénale et civile, s’engage à utiliser nos outils pénaux, civils et de confiscation pour demander des comptes à ces fraudeurs.

    https://www.zerohedge.com/political/371-charged-covid-19-fraud-totaling-836-million-doj

    RépondreSupprimer
  74. Une compilation surprenante : « Ni sûre ni efficace »


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 25 AOÛT 2023 - 23H00
    Rédigé par Linda Weigenfeld via The Epoch Times


    Une section de l’introduction du Dr Colleen Huber à son livre très important, « Ni plus sûr ni efficace, 2e édition : les preuves contre les vaccins contre le COVID », mérite d’être citée avant d’examiner le livre dans son ensemble :

    « Dr. Peter McCullough, un cardiologue américain, a qualifié les vaccins anti-Covid de « pire idée de développement pharmaceutique de l’histoire de l’humanité ».

    « Les gens sont souvent surpris d’apprendre que les interventions médicales de type ARNm et les vaccins contre le coronavirus ont suscité de nombreux signaux d’alarme au cours de leur histoire avant décembre 2020. Les ingrédients utilisés étaient déjà connus pour être toxiques : les lipides cationiques endommagent le système nerveux, les poumons et foie, ainsi que les membranes cellulaires dans tout le corps. Le polyéthylène glycol n'a jamais été utilisé pour les injections, pour des raisons de sécurité. Il a déjà été démontré que l’ARNm modifie l’ADN. Les tentatives précédentes de vaccins contre le coronavirus avaient toutes échoué et tué les animaux testés. Ainsi, administrer à la population mondiale un nouveau vaccin, pour l’essentiel non testé et dont les composants comportaient déjà tant d’avertissements de sécurité, a été l’expérience imprudente la plus répandue de l’histoire de l’humanité.

    Le Dr Huber expose les décès, les blessures et l’absence de résultats souhaités à la suite des vaccins contre la COVID. Elle étaye ses propos par plus de 700 références à des études médicales et à des pages Web du gouvernement.

    Un peu de contexte

    La clinique du Dr Colleen Huber à Tempe, en Arizona, dispense des soins contre le cancer par des médecins naturopathes depuis 16 ans d'existence. En 2014, le Dr Huber est l'auteur de la plus grande et de la plus longue étude de l'histoire médicale sur la consommation de sucre chez les patients atteints de cancer.

    RépondreSupprimer
  75. Depuis le printemps 2020, les intérêts de recherche du Dr Huber se concentrent sur les risques pour la santé des masques et des vaccins contre la COVID, ainsi que sur les premiers traitements contre la COVID. En tant qu'expert médical dans des affaires judiciaires liées à des problèmes de sécurité des vaccins, elle a, pour préparer les témoignages pour les procès, compilé des statistiques de l'état civil, des données provenant des fabricants de vaccins et d'autres données provenant des États-Unis et des gouvernements du monde entier.

    Bien que certaines parties du livre du Dr Huber soient assez techniques et d’autres désagréables (c’est le moins qu’on puisse dire), sans accès à un livre contenant des données comme celle-ci, la santé de ceux qui reçoivent les vaccins pourrait être encore plus compromise et des vies perdues. La documentation est complète et exhaustive, soutenant l’intention du Dr Huber d’exposer la vérité sur les vaccinations contre la COVID.

    Un manque de contrôle public

    Le Dr Huber explique comment le public naïf a dû permettre à Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson d’injecter des substances de pure foi, sans aucun résultat scientifique étayant les produits de l’entreprise.

    Chacun des fabricants n’a pas été suffisamment examiné par le public avant l’utilisation généralisée des vaccins. Il y avait pourtant lieu d’examiner minutieusement ces entreprises. Pfizer a eu la particularité d’avoir payé la plus grosse amende pénale de l’histoire pour fraude, et Moderna n’avait jamais rien produit auparavant, encore moins un traitement médical. Johnson and Johnson avait récemment été reconnu coupable de contamination par l'amiante de sa poudre de talc. Ainsi, les trois principaux fabricants de vaccins contre la COVID-19 avaient chacun une histoire qui aurait dû alarmer les gens.

    Le public pensait également que les vaccins seraient meilleurs que la maladie. Peut-être que cette hypothèse était en partie due à une campagne de peur du COVID, lourdement financée et soigneusement chorégraphiée.

    RépondreSupprimer
  76. Le Dr Huber affirme qu’un vaccin expérimental d’urgence ne peut pas être considéré comme plus sûr qu’un virus ayant un taux de survie très élevé comme le COVID.

    Effets secondaires du vaccin
    Le Dr Huber documente les effets des vaccinations contre la COVID. Par exemple, le vaccin peut provoquer une coagulation sanguine susceptible de provoquer des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies pulmonaires.

    Le vaccin transforme le corps en une usine à protéines. Ces protéines de pointe endommagent ensuite les vaisseaux sanguins et les cellules de tout le corps, y compris les cellules du cœur.

    L'uvéite, une inflammation oculaire, est une plainte courante quelques jours après une vaccination contre la COVID. Cela se manifeste par une vision floue, des corps flottants, des douleurs, des rougeurs et/ou une sensibilité à la lumière. Des lésions de la rétine et une opacification de l'humeur vitrée (le gel transparent que nous voyons à travers) ont également été rapportées.

    En août 2022, l’analyste de données Raimond Hagemann avait compilé des informations sur l’évolution du taux de natalité dans 19 pays européens et produit un article extrêmement important. Neuf mois après le pic des vaccinations contre le COVID, les taux de natalité ont fortement diminué et sont restés bas.

    Les cancers, en particulier les cancers agressifs, ont énormément augmenté depuis le pic de vaccination contre la COVID au printemps 2021.

    Des troubles démyélinisants, c'est-à-dire des affections qui endommagent une couche de cellules qui protègent les nerfs, ont été signalés à la suite des vaccinations. Il s'agit notamment de la sclérose en plaques, de Guillain-Barré, des convulsions, des encéphalopathies et de l'encéphalite.

    - voir carte sur site -

    Une carte montrant la part de la population entièrement vaccinée contre le COVID-19. Notez le taux de vaccination en Afrique. (Notre monde en données/CC BY-SA 4.0)

    RépondreSupprimer
  77. Autres chapitres d'intérêt

    Le Dr Huber a un chapitre sur le système immunitaire, et un autre explique pourquoi les vaccins contre les maladies respiratoires ne peuvent pas fonctionner. Il y a aussi un chapitre démontrant à l’aide de graphiques que plus une personne reçoit de vaccins (rappels), plus les dégâts peuvent survenir.

    Offrant des suggestions pour guérir les blessés vaccinés, le Dr Huber ajoute l'avertissement selon lequel elle ne peut garantir qu'aucun de ses conseils guérira même partiellement les blessés, mais que certains d'entre eux peuvent s'avérer efficaces dans certains cas. Elle mentionne la vitamine D avec sa longue et très efficace histoire contre les infections virales, ainsi que l'agmatine, la phosphatidylsérine et la nattokinase.

    Elle conseille également de se tourner vers l’Afrique pour trouver des solutions. L’Afrique a été un phare de lumière sur une carte mondiale par ailleurs sombre. Le continent a la particularité d’avoir très peu d’incidence et de décès dus au COVID par rapport au reste du monde peuplé. L’Afrique a également un taux de vaccination extraordinairement faible. Au lieu de vaccins, l'ivermectine et l'hydroxychloroquine sont largement utilisées dans toute l'Afrique équatoriale depuis environ un demi-siècle, car elles se révèlent très utiles contre les parasites endémiques.

    Le Dr Huber inclut un chapitre sur les affaires juridiques pertinentes à l'autonomie corporelle. Elle inclut un lien vers chaque affaire, y compris certaines dans lesquelles elle n'a pas été impliquée, avec des citations de chaque juge statuant.

    Elle explique également comment obtenir des exemptions religieuses et médicales pour les vaccins contre la COVID, en fournissant une lettre qui affirme les droits civils et soutient l'autonomie corporelle.

    Parler à l'auteur
    Colleen Huber a expliqué pourquoi elle a écrit « Ni sûr ni efficace ».

    Dr Colleen Huber, auteur de « Ni sûr ni efficace, 2e édition : Les preuves contre les vaccins COVID ». (Sous-pile)

    RépondreSupprimer
  78. Craignant qu’une pandémie ne se reproduise, le Dr Huber s’inquiète de l’acceptation presque aveugle des vaccins contre la COVID. Elle espère que son livre contribuera à mettre fin à la vaccination obligatoire contre le COVID pour tous, car il n’y a pas de solution unique. Les corps des gens sont différents et réagissent de différentes manières aux médicaments, aux vaccins et même à la nourriture. Ainsi, elle espère que son livre suscitera des doutes chez ceux qui envisagent de se faire vacciner contre le COVID à l’avenir.

    Elle souhaite également diffuser des informations qui responsabilisent les gens. En publiant ses données maintenant, elle montre ce qui se passe lorsqu’un gouvernement et des sociétés de médias sociaux s’entendent pour étouffer le libre échange d’informations médicales. Il est devenu clair que les problèmes liés aux vaccins contre la COVID auraient été plus faciles à prévenir avant qu’ils ne soient administrés que de traiter les problèmes qu’ils ont créés par la suite.

    Et bien sûr, elle souhaite fournir des ressources pour aider les vaccinés blessés.

    Les raisons pour lesquelles le Dr Huber a écrit ce livre sont les mêmes raisons pour lesquelles vous devriez acheter le livre. La connaissance est le pouvoir.

    https://www.zerohedge.com/medical/startling-compilation-neither-safe-nor-effective

    RépondreSupprimer
  79. Un épidémiologiste de haut niveau a déclaré au CDC dans une lettre secrète que les masques anti-COVID NE FONCTIONNENT PAS et que le gouvernement a délibérément déformé les données scientifiques pour dire le contraire.


    25/08/2023
    Ethan Huff


    Des documents internes extraits des National Institutes of Health (NIH) montrent que l’agence fédérale corrompue a menti sur la science afin de promouvoir un programme agressif en faveur du masque pendant la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Le NIH, sous la direction du directeur aujourd'hui disparu, Francis Collins, s'est appuyé sur des informations inexactes et a dénaturé la recherche médicale pour affirmer faussement que le port d'un masque facial aide à prévenir une transmission grave de la grippe Fauci. Et l’agence l’a fait malgré les preuves scientifiques contradictoires en sa possession démontrant exactement le contraire.

    Au contraire, les masques rendent une personne plus sujette aux infections en bloquant l'apport d'oxygène, sans parler du fait que le matériau du masque a tendance à héberger des agents pathogènes mortels et d'autres déchets expirés, qui se trouvent juste à côté du nez et de la bouche d'une personne.

    Dans une lettre récemment obtenue et envoyée en novembre 2021 aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, l'épidémiologiste Michael Osterholm, directeur du Center for Infectious Disease Research and Policy de l'Université du Minnesota, ainsi que sept de ses collègues, a averti le CDC qu’il faisait également la promotion des mêmes données erronées tout en excluant les données contradictoires montrant que les masques ne fonctionnent pas pour prévenir l’infection ou la propagation.

    Cette lettre appelait spécifiquement le COVID-19 Real-Time Learning Network, un programme créé conjointement par le CDC et l'Infectious Diseases Society of America (IDSA), qui contient de fausses informations qui menacent de « nuire à la crédibilité de la science » tout en mettant en danger le public. confiance en « déformant les preuves » et en donnant au public de « fausses attentes » quant aux prétendus avantages qu’il devrait s’attendre à tirer du port d’un masque.

    "Nous pensons que les informations et les recommandations fournies peuvent en fait exposer un individu à un risque accru d'être infecté par le SRAS-CoV-2 et de subir une infection grave, voire mortelle", ont écrit Osterholm et les autres.

    RépondreSupprimer
  80. (Connexe : Le CDC a également admis fin 2022 que l'immunité naturelle est bien meilleure que les « vaccins » contre le Covid pour protéger la santé humaine.)

    S'ils tentent de nous forcer à porter des masques cet automne, rappelez à tous la lettre d'Osterholm au CDC.
    Osterholm et ses collègues ont exhorté l’IDSA à supprimer la suggestion selon laquelle le port d’un masque empêche de quelque manière que ce soit la transmission du SRAS-CoV-2 – car le fait est que les masques ne font rien d’autre que donner à celui qui les porte un air stupide et crédule.

    Osterholm a souligné que le gouvernement américain de l’époque avait clairement montré une tendance à sélectionner les données qui soutenaient son discours tout en rejetant les données qui s’y opposaient. En conséquence, la science a été compromise, suivie d’une méfiance généralisée du public à l’égard des agences gouvernementales américaines.

    Les créateurs de la page "Masques et couvre-visages pour le public" de l'IDSA ont choisi de "se concentrer sur les points forts des études qui soutiennent ses conclusions tout en ignorant leurs lacunes dans la conception des études", a expliqué Osterholm. "Les études qui ne soutiennent pas son point de vue sont également minimisées."

    Grâce au financement du CDC, le réseau d'apprentissage en temps réel COVID-19 a été lancé en 2020 dans le cadre d'un effort de propagande du gouvernement visant à promouvoir les masques et la distanciation sociale comme solutions au Covid. L'IDSA elle-même collabore également avec les grandes organisations suivantes :

    • L'Académie américaine des médecins de famille

    • L'Académie américaine de pédiatrie

    • Le Collège américain des obstétriciens et gynécologues

    • Le Collège américain des médecins

    • La Société de médecine de soins intensifs

    • La Société américaine d'épidémiologie des soins de santé

    • La Société des pharmaciens des maladies infectieuses

    RépondreSupprimer
  81. Bien qu'ils n'aient jamais donné suite à sa demande, Osterholm a demandé au CDC et à l'IDSA de remédier aux « erreurs graves » publiées sur son site Web concernant « l'efficacité » des masques, où, selon lui, « des affirmations irresponsables ont été faites ».

    Ne laissez pas les pouvoirs en place vous forcer à porter un masque cet automne. Apprenez-en davantage sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    TheEpochTimes.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-08-25-epidemiologist-cdc-covid-masks-fraudulent-data-corruption.html

    RépondreSupprimer
  82. La vitamine B12 est si bénéfique pour la santé du cerveau que les médicaments psychiatriques pourraient devenir obsolètes


    25/08/2023
    Ethan Huff


    Un nombre choquant de troubles psychiatriques que la médecine occidentale tente de traiter avec des médicaments pharmaceutiques ont pour origine une carence en vitamine B12, à laquelle il est facile de remédier par un régime alimentaire et des suppléments.

    Dans un article qu’elle a écrit pour Epoch Times, la présidente fondatrice de la Fondation Weston A. Price (WAPF), Sally Fallon Morell, a dévoilé les conclusions d’un rapport de cas de 2015 publié dans l’Indian Journal of Psychological Medicine (IJPM) concernant une carence en vitamine B12 et des troubles neuropsychologiques.

    Dans ce rapport, un garçon de 13 ans du sud de l'Inde qui suivait un régime lacto-végétarien traditionnel a soudainement cessé de parler tout en faisant preuve de « rigidité, immobilité, regard fixe, sommeil perturbé, idées d'inutilité et de désespoir, d'errance sans but et de culpabilité ». et des idées suicidaires."

    Présentant de nombreux symptômes courants associés à l'autisme, le garçon a été soumis à un cocktail de médicaments en constante évolution après avoir reçu un diagnostic de « trouble psychotique aigu de type schizophrénie ». On lui a donné :

    • Lorazépam, un médicament utilisé pour traiter les troubles anxieux

    • Olanzapine, un médicament antipsychotique

    • Sertraline, un antidépresseur plus communément appelé Zoloft

    • L'aripiprazole, un médicament antipsychotique

    RépondreSupprimer
  83. Lorsque ces quatre médicaments puissants ont fini par faire échouer le corps, ce qui l'a amené à devenir hyper méfiant, à entendre des voix, à parler trop fort, à être trop enjoué, à avoir une estime de soi exagérée, à diminuer son besoin de sommeil, à augmenter son appétit, à augmenter ses activités agréables et à perturber ses conditions sociales. -éducation", son diagnostic a été révisé à "trouble schizo-affectif, type maniaque" et son Zoloft a été remplacé par du divalproate de sodium, un médicament utilisé pour traiter les convulsions.

    Après que les symptômes du garçon se soient encore aggravés, il est revenu pour un sixième médicament : le carbonate de lithium, un médicament utilisé pour traiter le trouble bipolaire.

    (Connexe : Saviez-vous que la vitamine B12 inhibe une enzyme clé responsable de la maladie de Parkinson ?)

    Avant de prendre des produits pharmaceutiques dangereux, essayez d’abord d’augmenter votre taux de vitamine B12
    Rien ne fonctionnait jusqu'à ce que finalement le garçon soit testé pour ses niveaux de vitamine B12, révélant qu'il avait une grave carence de seulement 112 nanogrammes par millilitre (ng/mL) – la plage normale de vitamine B12 se situe entre 180 et 914 ng/mL, avec 180 ng/mL. étant associée à la manifestation la plus grave de la carence en vitamine B12, connue sous le nom d’anémie pernicieuse.

    Même des niveaux de vitamine B12 de 500 à 550 ng/mL sont considérés au Japon et dans certains pays européens comme étant associés à des manifestations psychologiques et comportementales telles que la démence et la perte de mémoire.

    Après que le garçon ait reçu plusieurs injections de vitamine B12, ses symptômes se sont améliorés et son diagnostic a été révisé : « trouble schizo-affectif secondaire à une carence en cobalamine (vitamine B12) » – problème résolu.

    C'était une solution très simple – et sûre, en plus – et pourtant, il a fallu plusieurs séries de médicaments et de tests erronés avant que les médecins indiens soient en mesure de comprendre que le garçon manquait simplement d'une vitamine nécessaire à sa santé cérébrale et à ses capacités mentales. .

    "La carence en vitamine B12 est associée à un large éventail de troubles psychologiques : dépression, perte de mémoire, maladie d'Alzheimer, anxiété, colère irrationnelle ou chronique, comportement violent et autres problèmes psychologiques", note Morell.

    RépondreSupprimer
  84. "Et la thérapie à la vitamine B12 s'est avérée utile pour une série de conditions considérées comme neurologiques : problèmes de vision, perte d'audition et acouphènes, engourdissements et picotements dans les mains et les pieds, alcoolisme, impuissance, incontinence, névralgie, fatigue de combat et manque d'équilibre ou démarche anormale."

    "En outre, un faible taux de vitamine B12 est indiqué dans de nombreuses autres maladies : l'ostéoporose, l'asthme, les affections cutanées, notamment le psoriasis, le diabète, le glaucome, l'infertilité et bien sûr l'anémie."

    Parmi les meilleures sources naturelles de vitamine B12 figurent la viande et le lait cru, ainsi que le foie et les mollusques. Certains aliments végétaux, comme le soja, les champignons et la spiruline, contiennent également de la B12, mais sous une forme qui peut en fait aggraver la carence en raison de la présence d'analogues de la vitamine B12 appelés cobamides, qui peuvent entraîner une prolifération de bactéries dans l'intestin grêle.

    Les dernières nouvelles sur les remèdes naturels contre les maladies humaines peuvent être trouvées sur Cures.news.

    Les sources de cet article incluent :

    TheEpochTimes.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-08-25-vitamin-b12-brain-health-psychiatric-drugs-obsolete.html

    RépondreSupprimer

  85. EVIE publie un article avertissant les lecteurs de ne pas avoir de relations sexuelles avec des hommes vaccinés contre le COVID


    25/08/2023
    Ethan Huf


    Lorsque même les grands médias admettent que les « vaccins » à ARN messager (ARNm) contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont dangereux et « produisent une excrétion virale », vous voudrez peut-être y prêter attention.

    C’est l’aveu choquant d’un nouvel article du magazine EVIE, qui avertit ses lecteurs d’éviter d’avoir des relations sexuelles avec des hommes qui ont été piqués pour le covid, car leur corps propage probablement des protéines de pointe et d’autres substances mortelles dans le processus.

    "Choquant, ce n'est pas qu'un complot !" prévient Andrea Mew d'EVIE. "De nouvelles preuves sont apparues suggérant que les vaccins à ARNm peuvent produire une excrétion virale. Alors, peut-être avez-vous après tout raison d'être assez pointilleux sur votre partenaire sexuel."

    (Connexe : Plus tôt cette année, une recherche publiée par la pharmacologue française Dr Hélène Banoun dans la revue Infectious Diseases Research a révélé que ceux qui prennent des injections de covid répandent en fait leur contenu sur d'autres, y compris leurs partenaires sexuels.)

    L'ARNm « réécrit le fonctionnement de vos cellules » et « peut interagir avec l'ADN et le modifier », révèle EVIE
    Dans l'article de Mew pour EVIE, elle fait référence à des recherches montrant que les anticorps en aérosol provenant d'injections d'ARNm de covid peuvent être transmis d'individus vaccinés à des individus non vaccinés via un processus appelé « immunisation passive ».

    Cela peut sembler une bonne chose, écrit-elle, dans la mesure où cela implique que l'un partage « l'immunité » avec un autre – « Mais ce n'est pas si simple », prévient-elle.

    "Certains critiques, comme le podcasteur Joe Rogan, ont souligné à quel point la nature même de ce 'vaccin' le compare davantage à une thérapie génique expérimentale qu'à un vaccin typique", ajoute Mew.

    RépondreSupprimer
  86. "C'est vrai, nous avons actuellement affaire à des vaccins à ARNm, pas à des vaccins vivants atténués. Ces derniers contiennent une forme faible du virus censée provoquer une réponse immunitaire lors de l'injection et donc fournir une immunité future."

    Mew se donne beaucoup de mal pour dévoiler ce contre quoi nous, ici à Natural News et bien d’autres dans le spectre des médias indépendants, vous mettons en garde depuis des années, pour ensuite être surnommés « théoriciens du complot » par les médias contrôlés par les grandes entreprises.

    Il semble que les choses changent, cependant, puisqu'un magazine populaire destiné aux femmes modernes les avertit d'éviter les hommes qui se sont fait piquer par Tony Fauci et Donald Trump lors de l'opération Warp Speed.

    En plus de « réécrire le fonctionnement de vos cellules afin que vous puissiez intrinsèquement prévenir les maladies grâce à la production de protéines », Mew explique en outre que les injections d'ARNm ont également la capacité « d'interagir avec l'ADN et de le modifier ».

    "Par exemple, nous savons que le vaccin Covid n'a pas été développé pour interagir avec le foie humain, et pourtant, dans une étude suédoise, des chercheurs ont découvert que le vaccin modifiait les cellules hépatiques", écrit Mew.

    "Puis, dans une étude japonaise de biodistribution de Pfizer, des informations ont été révélées selon lesquelles les protéines de pointe pourraient voyager du site d'injection à travers votre sang et s'accumuler dans des tissus et des organes involontaires comme la rate, les glandes surrénales, les ovaires, la moelle osseuse et, encore une fois, le foie. "

    Ensuite, nous avons le risque de myocardite, ainsi que le sang contaminé par une « protéine de pointe complète » qui n’est « pas limitée par des anticorps », sans parler des risques spécifiques pour les femmes impliquant des irrégularités menstruelles et d’éventuelles malformations congénitales.

    Mew fait même référence à l’étude Banoun susmentionnée, ainsi qu’à une autre réalisée au Colorado, montrant que les parents entièrement vaccinés peuvent transférer des anticorps à ARNm « via des gouttelettes respiratoires » à leurs enfants non vaccinés.

    Si les masques faciaux fonctionnaient réellement (alerte spoiler : ils ne le font pas), alors ils seraient utiles pour protéger une personne non vaccinée contre la contraction d'une injection d'ARNm de covid par les gouttelettes respiratoires en aérosol d'une personne entièrement vaccinée.

    RépondreSupprimer
  87. "Dans la quête du progrès de la médecine moderne, nous ne devrions pas éviter les sujets difficiles simplement parce qu'ils peuvent aller à l'encontre de préjugés préconçus", écrit Mew en conclusion à propos de ces vérités difficiles.

    Il devient rapidement de notoriété publique que les vaccins contre la grippe Fauci sont une entreprise à haut risque qui rend indatable celui qui est entièrement vacciné. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    EVIEMagazine.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-08-25-evie-warns-readers-avoid-men-covid-vaccinated.html

    RépondreSupprimer
  88. Les nouvelles réglementations de l’EPA affameront-elles des millions de personnes ?


    25/08/2023
    Rédacteurs en chef


    Deux éminents climatologues ont déposé auprès de l'Environmental Protection Agency (EPA) un commentaire de 45 pages sur le projet de règlement annoncé par l'EPA le 11 mai 2023, fixant des normes d'émission qui exigeraient que presque toutes les centrales alimentées au charbon et au gaz dans le Les États-Unis doivent capter la quasi-totalité – 90 % – de leurs émissions de dioxyde de carbone (CO2) d’ici 2038 ou fermer leurs portes.

    (Article de Jerome R. Corsi republié sur AmericanThinker.com)

    Dans leur commentaire, William Happer, professeur émérite de physique à l'Université de Princeton, et Richard Lindzen, professeur émérite de sciences de la Terre, de l'atmosphère et des planètes, présentent des arguments à la fois juridiques et scientifiques selon lesquels la nouvelle règle proposée par l'EPA est basée sur des raisons idéologiques. des politiques sans fondement dans la science climatique légitime. Dans un document qui semble être le prélude à une action en justice visant à empêcher l'EPA de mettre en œuvre le règlement proposé, Happer et Lindzen présentent un argumentaire scientifique affirmant que les nouvelles règles de l'EPA conçues pour limiter l'utilisation d'hydrocarbures dans le pays Les centrales électriques pourraient finir par réduire les réserves alimentaires mondiales de manière si dramatique que des milliards de personnes dans le monde risqueraient de mourir de faim.

    Happer et Lindzen commencent leur commentaire en citant un précédent de la Cour suprême qui suggère que leur commentaire pourrait facilement servir de base à une contestation judiciaire devant un tribunal fédéral pour empêcher l'EPA de mettre en œuvre la nouvelle règle proposée. Happer et Lindzen ont organisé leurs commentaires autour de deux cas spécifiques.

    RépondreSupprimer
  89. Premièrement, dans l’affaire Daubert c. Merrell Pharmaceuticals, Inc., 509 U.S. 579, 593 (1993), la Cour suprême a statué que « les « connaissances scientifiques »… doivent être dérivées par la méthode scientifique ». Deuxièmement, dans l’affaire Motor Vehicle Manufacturers Ass’n of the United States, Inc. c. State Farm Mutual Automobile Ins. Co., 463 U.S. 29, 43 (1983), la Cour a statué qu'une règle d'agence est « arbitraire et capricieuse si l'agence… a complètement omis de prendre en compte un aspect important du problème » et « les données pertinentes ».

    Dans leur commentaire, Happer et Lindzen ont démontré que l’EPA (1) n’a pas pris en compte des aspects et des données d’importance cruciale concernant les combustibles fossiles CO2 et le changement climatique, et (2) s’est appuyée sur de nombreuses études qui violent la méthode scientifique. Ils ont conclu : « En conséquence, la règle proposée, qui éliminerait les centrales électriques à combustibles fossiles qui fournissent 61 % de l’électricité aux États-Unis, serait désastreuse pour le pays, sans aucune raison scientifiquement justifiable. »

    Pour en savoir plus : AmericanThinker.com

    https://www.naturalnews.com/2023-08-25-will-new-epa-regulations-starve-millions-people.html

    RépondreSupprimer
  90. Après avoir utilisé les victimes du COVID-19 pour promouvoir la tyrannie médicale, les grands médias ignorent catégoriquement les blessés du vaccin.


    24/08/2023
    Lance D Johnson


    L’Institut de recherche de la Society of Actuaries a publié en mai un rapport mettant en garde contre une augmentation « stupéfiante » de 34 % du nombre de décès de jeunes (35 à 44 ans). Le rapport conclut que « les affirmations liées au COVID-19 n’expliquent pas entièrement cette augmentation » et que quelque chose de bien plus catastrophique est en train de détruire la vie des gens. Cette tendance à la surmortalité a débuté au troisième trimestre 2021 et se poursuit depuis.

    Les grands médias, largement financés par l’industrie pharmaceutique, ont utilisé le décompte des victimes du COVID-19 en 2020 pour promouvoir le confinement, les mandats et diverses mesures de tyrannie médicale et d’abus psychologiques. Essayant de paraître compatissants et pleins de vertu, les grands médias ont promu des mesures de « sécurité » qui n’ont finalement causé que davantage de douleur et de souffrance.

    Aujourd’hui, les grands médias restent silencieux sur la question de la surmortalité. Davantage de personnes mourront en 2022 et 2023 dans tous les groupes d’âge. Les médias grand public ne poussent pas à des déclarations d’état d’urgence ni à tenir un décompte de ces décès pour pousser à une intervention, une enquête ou une action sociétale du gouvernement. La surmortalité touche tous les groupes d’âge, en particulier parmi la population jeune et auparavant en bonne santé, et les têtes parlantes des médias grand public ne demandent même pas pourquoi.

    L'éléphant dans la pièce piétine et rugit, mais reste ignoré

    Dans un article important du Wall Street Journal, le Dr Pierre Kory de Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) déclare : « Personne ne sait précisément ce qui motive ce phénomène, mais il y a un manque inexplicable d'urgence. pour le découvrir. Une enquête concertée s’impose. La surmortalité représente une urgence de santé publique qui dépasse de loin les décès et les ravages causés par la pandémie de COVID-19 de 2020. Cependant, après avoir imposé des vaccins illégaux et contraires à l’éthique, les grands médias restent silencieux sur les résultats concrets qui ont eu lieu après que plusieurs cycles de vaccination ont été imposés à la population.

    RépondreSupprimer
  91. Si le programme de vaccination avait été un tel succès, alors le COVID-19 aurait été stoppé net en 2021 et il y aurait eu moins de décès tout au long de 2022 et 2023. Le vaccin n’a pas été le sauveur que les grands médias prétendaient être. En gardant le silence sur les conséquences réelles de l’après-vaccin, les grands médias deviennent complices des crimes contre l’humanité qui ont eu lieu lors de ce scandale mondial de tyrannie et d’expérimentation médicale.

    "Quand on voit ce qui s'est passé chez les plus jeunes, c'est absolument terrifiant." Kory a dit au Défenseur. "En général, une société stable compte un certain pourcentage de personnes qui meurent chaque mois, chaque année, chaque jour. Ces taux sont stables dans le temps", a-t-il expliqué. "Lorsque vous voyez plus de personnes mourir que la valeur de référence, cela est considéré comme une surmortalité. Il s'agit d'une augmentation du nombre de personnes qui meurent au sein d'une population."

    Kory a déclaré que lui et la co-auteure Mary Beth Pfeiffer n'avaient pas mentionné les vaccins contre le COVID-19 dans l'article d'opinion, car s'ils l'avaient fait, leurs préoccupations concernant la surmortalité n'auraient jamais été publiées. Cela montre que les grands médias couvrent l'industrie des vaccins et ne permettent pas de débats ou d'enquêtes qui sont cruciaux pour l'avenir de l'éthique médicale et l'intégrité de la méthode scientifique, sans parler de la vie et des moyens de subsistance des populations du monde entier. globe.

    Kory se demande pourquoi il n'y a pas d'indignation sur cette question. "Le nombre massif de décès post-pandémiques a réussi à intéresser seulement un groupe de spécialistes des données, de scientifiques, de médecins et de journalistes qui pensent que des erreurs ont été commises dans la gestion de la pandémie", a écrit Kory. "Mais pourquoi, demandons-nous, cette question a-t-elle engendré un silence assourdissant plutôt qu'une enquête de haut niveau urgente et nécessaire."

    Entrant au cœur du problème dans son Substack personnel, Kory écrit que « l’augmentation soudaine et sans précédent des réclamations d’assurance-vie au 3ème trimestre 2021 parmi le secteur le plus sain de la société – les Américains en âge de travailler, les cols blancs avec des polices d’assurance-vie collectives ». » a une cause plausible : l’obligation de vacciner contre le COVID-19.

    RépondreSupprimer
  92. « Que s'est-il passé sur le lieu de travail des cols blancs à ce moment-là ? Kory a écrit. "Je vais vous donner les seules possibilités qui pourraient expliquer une hausse aussi soudaine : une série d'attentats terroristes, une mobilisation en temps de guerre ou la prolifération des mandats de vaccination des entreprises. Pour autant que je me souvienne, un seul de ces événements a réellement eu lieu."

    Sources include:

    SOA.org [PDF]
    LifeSiteNews.com
    Covid19CriticalCare.com
    ChildrensHealthDefense.org

    https://www.naturalnews.com/2023-08-24-msm-uses-covid-victims-disregards-vaccine-injured.html

    RépondreSupprimer
  93. Cela se produit réellement : les mandats de masques et la recherche des contacts réimplantés dans les collèges et les bureaux


    24/08/2023
    Rédacteurs de nouvelles


    Des rapports circulent selon lesquels les collèges et les bureaux commencent à rétablir les mandats de masques COVID et la recherche des contacts malgré qu'aucun nouveau cas de virus n'ait été signalé.
    (Article de Steve Watson republié de Summit.news)

    L’Atlanta Journal-Constitution a rapporté lundi que le Morris Brown College, un collège privé noir d’arts libéraux, avait rétabli ces mesures dans le cadre d’une « mesure de précaution ».

    Le rapport note que les étudiants et le personnel seront tous invités à se masquer sur le campus, une semaine seulement après le début des cours.

    Une communication publiée par le collège affirme qu’il y a eu « des cas positifs parmi les étudiants de l’Atlanta University Center », un consortium de collèges et d’universités noirs situés à l’ouest d’Atlanta.

    D'Instagram Morris Brown College ramène un mandat de masque. pic.twitter.com/KyqJUjMJgy
    – Rapport Covid (@CovidDataReport) 21 août 2023

    Les mesures, qui comprennent la distanciation sociale, les contrôles de température et l’interdiction de grands rassemblements, devraient être en place pendant deux semaines, affirme-t-on.

    Cela ne date pas de 2020. Cela date d’aujourd’hui.

    Alex Jones a eu le scoop de sa vie : cela allait revenir. https://t.co/SfRqduWV4u
    – Cernovich (@Cernovich) 22 août 2023

    Alex Jones d'Infowars a rapporté la semaine dernière que les restrictions étaient de retour :

    RUPTURE : Alex Jones dit qu'un lanceur d'alerte de la TSA lui a dit que les employés de la TSA avaient été informés mardi que les masques reviendraient d'ici octobre pour les voyageurs et que les restrictions/verrouillages complets de Covid d'ici décembre en raison d'une nouvelle « variante dangereuse » en provenance du Canada. pic.twitter.com/sw4b2XYuoh
    – Mélissa Tate (@TheRightMelissa) 19 août 2023

    RépondreSupprimer
  94. Alex Jones avait raison. https://t.co/qHymOshp9t
    – Cernovich (@Cernovich) 21 août 2023

    En outre, il a été rapporté que le studio de cinéma Lionsgate, basé en Californie, aurait réimplémenté un mandat de port du masque dans son bureau de Santa Monica.

    "Au milieu de l'augmentation des cas de Covid à Los Angeles, Lionsgate a rétabli l'obligation de porter un masque pour près de la moitié des employés de l'entreprise dans son bureau phare situé au 2700 Colorado Ave. à Santa Monica." https://t.co/XLKaAjAWA3
    – Laurie Allee (@laurieallee) 21 août 2023

    Une note interne indique que « les employés doivent porter un couvre-visage de qualité médicale (masque chirurgical, KN95 ou N95) lorsqu'ils sont à l'intérieur, sauf lorsqu'ils sont seuls dans un bureau avec la porte fermée, qu'ils mangent activement, qu'ils boivent activement à leur bureau ou à leur poste de travail, ou s'ils sont le seul individu présent dans un grand espace de travail ouvert.

    .@Siège social de Lionsgate à Santa Monica :

    -Mandat de masque médical

    -Auto-dépistage quotidien des symptômes

    -Quarantaine pendant 10 jours après un voyage international

    -Recherche des contacts

    -Tests Covid sur demandehttps://t.co/HK8ec0jmZDpic.twitter.com/2JMJxvyLIo

    – Anthony LaMesa (@ajlamesa) 21 août 2023

    La santé publique du comté de Los Angeles a recommandé aux résidents à risque élevé de porter des masques, affirmant que les cas de COVID augmentent, tout en admettant que les hospitalisations restent faibles.

    Avec l'augmentation de la transmission du COVID-19, les personnes les plus à risque devraient adopter des stratégies simples pour réduire l'exposition et prévenir les maladies graves. Voir : https://t.co/VKLwWmbdqApic.twitter.com/rjkrNUoZdQ
    – LA Public Health (@lapublichealth) 18 août 2023

    Les grands médias sont d’accord avec cette « résurgence du COVID » imaginaire :

    Ils essaient de refaire le truc du Covid. pic.twitter.com/QPJS2PuXIC

    – Le post millénaire (@TPostMillennial) 18 août 2023

    Pour en savoir plus : Summit.news

    https://www.naturalnews.com/2023-08-24-mask-mandates-reimplanted-at-colleges-offices.html

    RépondreSupprimer
  95. EAU EMPOISONNÉE : Comment Rachel Levine a essayé de bloquer la vilaine vérité sur l'effet dévastateur de la fluoration sur le QI des enfants


    Mardi 30 mai 2023
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Covid nous a montré à quel point l'establishment médical est devenu corrompu non seulement en Amérique mais dans le monde entier. Les médecins savent où leur pain est beurré et parlent rarement hors de l'école ou fournissent des conseils basés sur leurs propres recherches indépendantes. Ils soutiendront presque tous les discours du gouvernement sur la santé si c'est ce qu'il faut pour s'assurer que l'argent continue de couler, même si cela signifie violer leur serment de «ne pas nuire».

    (Article republié de LeoHohmann.com)

    Après le complexe de sécurité biomédicale, viennent ensuite les médias.

    Les gens disent que la vérité prévaudra toujours, et je suis d'accord. Mais c'est une leçon que les gouvernements ne semblent jamais apprendre, surtout lorsqu'ils ont des médias corrompus prêts à couvrir leurs mensonges.

    Nous voyons le gouvernement et les médias s'entendre pour tromper les masses sur les vaccins (ils sont sûrs et efficaces, sûrs et efficaces, sûrs et efficaces). Nous les voyons s'entendre sur le faux récit du changement climatique, où pour sauver la planète, il faut cultiver moins de nourriture, échanger de la vraie viande contre de la fausse, manger des insectes, restreindre la liberté de mouvement, numériser l'humanité et convertir toute la production d'électricité au réseau électrique , qui est déjà surtaxé. Nous le voyons avec la soi-disant "violence armée" - blâmez l'outil et non les personnes malveillantes qui en abusent. Et la liste continue.

    Mais nulle part la collusion entre le gouvernement et les médias n'a duré plus longtemps que lorsqu'il s'agit de l'empoisonnement délibéré de l'eau potable municipale américaine. Ils l'empoisonnent à la source, puis vous disent que c'est bon pour vous. Il construit des dents solides!

    Le rapport final d'une étude exhaustive de six ans sur la neurotoxicité du fluorure a été bloqué par la personne nommée par Biden, le Dr Richard "Rachel" Levine au département américain de la Santé et des Services sociaux en mai 2022, selon le Fluoride Action Network.

    L'étude exhaustive, menée par le National Toxicology Program (NTP), comprenait des preuves irréfutables que le fluorure entrave le développement du cerveau chez les enfants qui en consomment aux niveaux présents dans la plupart des systèmes d'eau publics.

    Mais en vertu d'un accord conclu dans le cadre d'un procès en cours contre l'EPA, le rapport a finalement été rendu public le 15 mars de cette année avec une table des matières. Ont été inclus les commentaires des pairs externes et des départements internes du HHS, ainsi que les réponses du National Toxicology Program.

    RépondreSupprimer
  96. L'examen a pris en compte toutes les études humaines sur l'effet du fluorure sur le cerveau en développement. Sa conclusion a confirmé et renforcé les conclusions de deux versions antérieures publiées en 2019 et 2020. Les pairs examinateurs externes étaient tous d'accord avec la conclusion selon laquelle les expositions au fluorure prénatales et précoces peuvent réduire le QI.

    Le rapport a été publié en deux parties, une monographie et une méta-analyse. La méta-analyse a révélé que 52 des 55 études ont trouvé un QI inférieur avec des expositions au fluorure plus élevées, démontrant une cohérence remarquable. Sur les 19 études jugées de meilleure qualité, 18 ont trouvé une baisse du QI. La méta-analyse n'a pu détecter aucune exposition sans danger, y compris à des niveaux communs à la consommation d'eau fluorée.

    Des documents obtenus grâce à la loi sur la liberté d'information montrent que les agences gouvernementales qui promeuvent la fluoration, la plupart alliées aux intérêts dentaires, ont tenté d'édulcorer le rapport, selon un communiqué de Fluoride Action Network.

    Dans l'extrait du communiqué de presse du 15 mars ci-dessous, le Fluoride Action Network nomme spécifiquement "Rachel Levine", un homme confus, alors que le responsable du gouvernement qui a tenté d'empêcher la vérité de sortir sur les ravages que le fluorure continue de faire chez les enfants cerveaux. Il a fallu un procès pour extraire ces informations des fichiers secrets du gouvernement. Le communiqué indique :

    Lorsque le NTP a tenu bon, ces agences ont demandé à Rachel Levine, administratrice adjointe du HHS, de bloquer sa publication. Il n'existe qu'un seul exemple historique d'un rapport du NTP dont la publication a été bloquée, un rapport sur la cancérogénicité du talc contaminé par l'amiante. Les groupes de l'industrie du talc ont mené une campagne de lobbying agressive, engageant des membres du Congrès amicaux à intervenir. Le FAN a pu forcer la publication aujourd'hui du rapport du NTP en utilisant l'effet de levier du procès en cours contre l'EPA.

    Les défenseurs de la fluoration ont faussement affirmé que des versions préliminaires du rapport avaient été «rejetées» par un comité des académies nationales. En fait, le comité a recommandé que le NTP clarifie ses méthodes et son raisonnement pour parvenir à ses conclusions, car la question était considérée comme si controversée. Le NTP l'a fait dans le rapport publié aujourd'hui. Il ne fait désormais aucun doute qu'un grand nombre de preuves scientifiques appuient la conclusion selon laquelle le fluorure peut abaisser le QI de l'enfant, y compris à des niveaux d'exposition à l'eau fluorée.

    Avec la publication de ce rapport, les intérêts dentaires devront peut-être repenser leur déni de la preuve que la fluoration peut réduire le QI des enfants.

    RépondreSupprimer
  97. La Russie affirme que des agents pathogènes de la grippe aviaire avec un taux de létalité de 40 % chez l'homme sont préparés dans un biolab américain en Ukraine


    Mardi 30 mai 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le gouvernement de la Fédération de Russie prétend avoir trouvé des preuves que le gouvernement des États-Unis effectue des tests dans un laboratoire biologique géré par les États-Unis en Ukraine sur des agents pathogènes de la grippe aviaire avec un taux de létalité pouvant atteindre 40 % chez l'homme.

    Des documents saisis dans un laboratoire vétérinaire de la réserve de biosphère d'Askania Nova, dans la région de Kherson en Ukraine "confirment l'implication de l'Institut de médecine vétérinaire de Kharkov dans les travaux des projets UP-8 et P-444 et les préparatifs pour la grippe-Fly- Way project », a tweeté l'ambassade de Russie aux États-Unis – voir les images ci-dessous desdits documents :

    Le ministère des Affaires étrangères de la Russie a également tweeté à propos de la découverte, qui révèle des preuves de recherches pathogènes dangereuses en cours en Ukraine à la demande du gouvernement des États-Unis, qui implante des biolabs BSL-4 dans le monde entier dans le but de développer des produits biologiques, armes pour commettre des crimes contre l'humanité.

    Lire le briefing complet de @mod_russia sur l'activité militaro-biologique des États-Unis.

    Preuve de la recherche d'agents pathogènes dangereux en Ukraine
    Développement d'armes biologiques par les États-Unis
    Création de biolabs BSL-4 à l'étranger par les États-Unis

    https://t.co/ocZoPmxSB4 pic.twitter.com/kDngcI1uix
    — AMF Russie (@mfa_russia) 26 mai 2023

    RépondreSupprimer
  98. (Connexe: la Russie dit également que le gouvernement américain travaille sur une arme biologique OGM «universelle» dans les biolabs ukrainiens pour infliger une mort massive aux humains, aux animaux et aux cultures vivrières.)

    Le gouvernement ukrainien a tenté de soudoyer les travailleurs du laboratoire biologique pour qu'ils détruisent toutes les preuves de la recherche sur les armes biologiques
    Un élément majeur de l'opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine consiste à découvrir la vérité sur ces biolabs dirigés par le Pentagone, dont des politiciens menteurs comme le sénateur Mitt Romney (R-Utah) continuent de prétendre qu'ils sont inexistants. Romney a même accusé l'ancien sénateur Tulsi Gabbard de "trahison" simplement pour en avoir parlé publiquement.

    Romney est un menteur, cependant, parce que nous savons maintenant que ces biolabs existent. Non seulement cela, ils constituent une menace existentielle pour la vie, la liberté et la poursuite du bonheur – une menace que la Russie découvre et expose, ce qui explique pourquoi les institutions politiques et médiatiques américaines n'ont jamais rien de bon à dire sur la Russie.

    "... au cours de l'opération militaire spéciale, des preuves documentaires ont été obtenues confirmant que des employés de la réserve de biosphère d'Askania Nova, dans la région de Kherson, étudiaient les voies de migration des oiseaux migrateurs et sélectionnaient et transféraient du matériel biologique à l'étranger", expliquent les rapports.

    « Le groupe de travail du ministère russe de la Défense ainsi que des agents du Service fédéral de sécurité et du Rosselkhoznadzor ont confirmé la collecte et la certification des souches du virus de la grippe aviaire à fort potentiel de propagation épidémique et capables de franchir la barrière des espèces, en particulier le H5N8. souche, dont la létalité dans la transmission humaine peut atteindre 40 pour cent. N'oubliez pas que 1% des nouvelles infections à coronavirus entraînent la mort.

    Les responsables du laboratoire ont tenté de saboter et de détruire son contenu pour éviter que la Russie ne les découvre et ne les signale, mais ces efforts ont été un échec car des spécialistes du 48e Institut central de recherche du ministère russe de la Défense ont trouvé des traces de matériel génétique non seulement hautement pathogène. la grippe aviaire mais aussi le virus de la maladie de Newcastle et les avulovirus.

    Nous savons également que le régime de Volodymyr Zelensky a tenté de payer les travailleurs du biolab pour détruire lesdites preuves, ce qu'ils n'ont pas réussi à faire avant que la Russie ne les trouve et ne les relie aux projets américains UP-8 et P-444 et aux préparatifs de son Flu- Projet Fly-Way.

    La Russie réussira-t-elle à éradiquer le Pentagone et d'autres bioterroristes hors d'Ukraine ? En savoir plus sur RussiaReport.news.

    Les sources comprennent :

    TheGatewayPundit.com

    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-05-30-russia-finds-avian-flu-pathogens-us-biolabs.html

    RépondreSupprimer
  99. La FDA approuve les implants cérébraux Neuralink d'Elon Musk qui cherchent à CONTRÔLER l'esprit humain


    mardi 30 mai 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Comme prévu, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé son approbation aux micropuces d'implant cérébral Neuralink d'Elon Musk, qui sont toutes prêtes à être insérées dans le crâne des gens.

    Dans une annonce cette semaine, Neuralink a déclaré qu'il commencerait immédiatement ses essais cliniques humains tant attendus sur les implants de micropuces cérébrales, qui sont à peu près aussi dystopiques que cela vient de quelqu'un qui prétend «combattre la tyrannie» avec la sortie du soi-disant fichiers Twitter.

    "Nous sommes ravis de partager que nous avons reçu l'approbation de la FDA pour lancer notre première étude clinique chez l'homme!" a tweeté le compte Twitter officiel de Neuralink.

    « C'est le résultat d'un travail incroyable de l'équipe Neuralink en étroite collaboration avec la FDA et représente une première étape importante qui permettra un jour à notre technologie d'aider de nombreuses personnes… Le recrutement n'est pas encore ouvert pour notre essai clinique. Nous annoncerons bientôt plus d'informations à ce sujet !"

    (Connexe: très peu de choses ont changé sur Twitter depuis que Musk a pris le relais; la censure est toujours endémique, et dans certains cas encore pire qu'avant.)

    Elon Musk est un pionnier du transhumanisme - ne croyez pas ses mensonges sur l'opposition à l'IA
    Depuis un certain temps maintenant, Musk se vante publiquement de la façon dont la FDA donnerait finalement le feu vert à sa société Neuralink pour permettre à ses implants de micropuce d'être injectés dans la tête des gens – pour les «aider», bien sûr.

    L'année dernière, la FDA a rejeté la demande initiale de Neuralink, invoquant des problèmes de sécurité avec le produit. Depuis ce temps, Musk a en quelque sorte armé la FDA pour qu'elle accepte la deuxième demande de Neuralink.

    L'objectif déclaré de l'interface de la puce cérébrale de Neuralink est "d'améliorer" la fonctionnalité du cerveau et du corps à l'aide d'ordinateurs. Plus simplement en termes que le grand public devrait maintenant comprendre, l'objectif de Neuralink est de répandre le transhumanisme partout dans le monde à des fins lucratives.

    RépondreSupprimer
  100. Selon Musk, le but des puces est de "traiter les lésions cérébrales ou les lésions de la colonne vertébrale et de compenser la capacité perdue de quelqu'un". La vérité, cependant, est bien plus sinistre que cela.

    En 2021, des séquences vidéo troublantes montraient des employés de Musk abusant de singes en leur implantant des puces. Cette petite expérience a suscité beaucoup de controverse alors que le public accusait Musk d'être un agresseur d'animaux.

    Musk a depuis continué à prétendre qu'il s'opposait à l'intelligence artificielle, ou IA, malgré sa promotion active via Neuralink, qui vise à aider les humains à atteindre une "symbiose avec l'intelligence artificielle".

    Au cas où vous ne l'auriez pas encore compris, Musk parle des deux côtés de sa bouche. Tout en prétendant s'opposer à l'IA, il pousse activement, dans son propre intérêt, à ce que les humains et les machines soient fusionnés en un seul – le tout sous son contrôle, bien sûr.

    Cette « singularité technologique » que Musk et d'autres mondialistes visent à atteindre signifiera plus de vrais humains sur la planète Terre. Cela ressemble-t-il au genre de choses sur lesquelles les conservateurs pro-vie voudraient s'aligner ?

    "Musk est peut-être un troll, mais il reste un mondialiste", a écrit un commentateur avec dégoût face aux actions de Musk.

    "Attention mon ami", a répondu un autre. "Les gens qui disent la vérité ont tendance à disparaître."

    "Si ceux-ci sont implantés à la naissance, alors le gouvernement aura un contrôle complet et total sur l'esprit des gens", a écrit un autre, avec une suggestion supplémentaire que peut-être Musk et ses collègues mondialistes seront déjà devenus le "gouvernement" à ce moment-là.

    "Si c'est si cool, alors demandez à Musk de le faire en premier et de le montrer à tout le monde", a suggéré un autre sur la façon dont Musk devrait se porter volontaire pour être la première personne à recevoir l'une de ses propres micropuces d'implant cérébral en direct à la télévision.

    Les dernières nouvelles concernant Elon Musk sont disponibles sur ElonMuskWatch.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Breitbart.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-05-30-fda-approves-elon-musk-neuralink-implants.html

    RépondreSupprimer
  101. Les bébés allaités par des mères qui ont pris des vaccins à ARNm MEURENT


    Mardi 30 mai 2023
    par : Olivia Cook


    (Natural News) Des bébés allaités par des mères injectées avec des injections d'ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) meurent.

    Cet avertissement est venu du Dr William Makis, un médecin canadien avec une triple spécialisation en radiologie, oncologie et immunologie et auteur de plus de 100 articles médicaux évalués par des pairs. Makis a fourni deux cas de bébés décédés après avoir été allaités par des mères entièrement vaccinées contre le COVID-19. (Connexe: Infirmière lanceuse d'alerte: les décès fœtaux ont explosé depuis que les femmes enceintes ont commencé à être forcées de se faire vacciner contre le COVID-19.)

    Un cas concernait une mère de 36 ans du Nouveau-Mexique, qui a écrit sur la mort de son bébé de huit semaines en juillet 2021.

    "Il est tombé très malade avec une forte fièvre le 21 juin, environ deux semaines après avoir reçu le premier vaccin Pfizer", a-t-elle écrit. "Il a été traité pendant deux semaines avec des antibiotiques IV pour une supposée infection bactérienne, mais ils n'ont jamais trouvé de bactéries."

    "Après la cure d'antibiotiques de 14 jours, il est resté à la maison pendant une semaine, mais a présenté des symptômes étranges", a-t-elle poursuivi, notant que son enfant avait une paupière enflée, des éruptions cutanées étranges et vomissait régulièrement.

    "Je l'ai ramené à l'hôpital le 15 juillet, où il a présenté ce qu'ils ont appelé une maladie de Kawasaki atypique. Il est décédé peu de temps après de caillots dans ses artères gravement enflammées », a-t-elle conclu.

    Makis a présenté un autre cas, celui d'un bébé de cinq mois décédé le 20 mars 2021, trois jours seulement après que la mère du nourrisson a reçu sa deuxième dose de vaccin à ARNm de Pfizer.

    Juste un jour après que la mère a été complètement vaccinée, le nourrisson a immédiatement développé une éruption cutanée et "est devenu inconsolable, refusant de manger et a développé de la fièvre", a écrit Makis. "Le bébé a été amené aux urgences, une analyse de sang a révélé une élévation des enzymes hépatiques, a été hospitalisé mais a continué à décliner et est décédé le 20 mars 2021, avec un diagnostic de PTT."

    Le purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) est un trouble caractérisé par la formation soudaine de caillots sanguins dans de petits vaisseaux sanguins qui peuvent bloquer le flux sanguin vers les organes vitaux comme le cerveau, les reins et le cœur.

    RépondreSupprimer
  102. Les médecins mettent en garde contre la vaccination des femmes enceintes et allaitantes depuis le début
    Les experts médicaux ont averti les gouvernements presque depuis le début du déploiement des vaccins COVID-19 que ces vaccins doivent être tenus à l'écart des femmes enceintes et allaitantes en raison de graves préoccupations concernant leur sécurité.

    L'un de ces groupes - composé de 66 médecins, scientifiques et autres praticiens cliniques - a publié sa propre lettre ouverte avertissant que les problèmes de sécurité liés aux vaccinations contre le COVID-19 pendant la grossesse sont trop dangereux pour être ignorés.

    Le groupe, qui comprend des obstétriciens et des gynécologues du Royaume-Uni, a mis en garde contre les récents conseils des organisations médicales du pays concernant la vaccination des femmes enceintes, affirmant que cela est en totale contradiction avec tout ce que «lui-même et les institutions universitaires ont enseigné sur les preuves- médecine basée.

    "Ce conseil est que : les vaccins COVID-19 sont non seulement sûrs mais fortement recommandés pour les femmes enceintes", écrit le groupe dans la lettre. "Ces conseils ne sont pas fondés sur des données solides basées sur des recherches menées de manière éthique - et toute personne ayant une formation médicale et académique devrait sérieusement contester cela."

    Les experts ont noté à quel point ils étaient préoccupés et "profondément perturbés" par la façon dont les meilleures pratiques scientifiques sont déformées juste pour mettre sur le marché un produit pharmaceutique nouvellement développé.

    "Nous avons le devoir collectif de rétablir les principes de l'éthique médicale dans notre pratique et dans la recherche clinique afin de protéger les groupes les plus vulnérables contre les préjudices, et cela inclut les femmes enceintes et leurs bébés", a conclu le groupe.

    Visitez VaccineDamage.news pour plus d'histoires sur les effets secondaires du vaccin COVID-19.

    Regardez cette vidéo montrant comment de soi-disant experts ont répété à plusieurs reprises au monde que les vaccins COVID-19 étaient sans danger pour les femmes enceintes et allaitantes.

    Cette vidéo provient de la chaîne COVID Times sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Les données de Pfizer révèlent que les vaccins COVID-19 n'étaient JAMAIS sûrs pour les femmes enceintes.

    TURBO CANCER : Des enfants MEURENT dans les heures ou les jours suivant le diagnostic de leucémie, souvent après avoir reçu des piqûres de vaccin.

    Les faux messages sur les vaccins administrés aux femmes enceintes.

    Naomi Wolf : Plus de placentas normaux depuis le déploiement du vaccin COVID-19.

    Dr Bryan Ardis : Les peptides de venin produits à partir des vaccins COVID-19 empêchent les embryons de se fixer à l'utérus, provoquant des fausses couches.

    Sources include:

    GlobalResearch.ca
    InfoWars.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-05-30-babies-breastfed-by-mrna-vaccinated-mothers-dying.html

    RépondreSupprimer
  103. Le traité pandémique donnera à l'OMS le pouvoir de forcer le verrouillage du Royaume-Uni, avertissent les députés


    Mardi 30 mai 2023
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) L'Organisation mondiale de la santé pourrait bientôt obtenir le pouvoir de forcer le Royaume-Uni à se verrouiller dans le cadre du prochain "traité" pandémique, ont averti un certain nombre de députés.

    (Article de Peter Caddle republié de Breitbart.com)

    Six membres du parlement britannique ont écrit au gouvernement du pays pour les exhorter à rejeter un soi-disant «traité» pandémique qui élargira considérablement les pouvoirs de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Également connu sous le nom d '«accord pandémique», l'accord verra des règles contraignantes imposées à tous les États membres de l'Organisation mondiale de la santé les obligeant à lutter contre la soi-disant «désinformation» et à allouer 5% de leur budget annuel de la santé à la préparation de la prochaine pandémie mondiale.

    Selon un rapport de The Telegraph, les six politiciens du Parti conservateur pensent également que l'accord verra également l'OMS. étant donné le pouvoir de forcer unilatéralement le Royaume-Uni à se verrouiller s'il le souhaite, ce qui, selon eux, constitue une menace importante pour la souveraineté nationale du Royaume-Uni.

    "Il y a, à juste titre, une inquiétude croissante concernant le traité sur la pandémie et le règlement sanitaire international de l'OMS", aurait déclaré Esther McVey, la députée qui a dirigé la lettre au gouvernement, le politicien avertissant qu'il y a une ambition évidente "pour le OMS. passer d'une organisation consultative à une autorité internationale de contrôle ».

    "Les plans représentent un changement important pour l'organisation, d'un organe consultatif dirigé par ses membres à une autorité sanitaire dotée de pouvoirs de contrainte", a-t-elle poursuivi. "C'est particulièrement inquiétant si l'on considère le piètre bilan de l'OMS en matière de fourniture de conseils cohérents, clairs et scientifiquement fondés pour la gestion des épidémies internationales."

    RépondreSupprimer
  104. Puis le comédien américain Teddy Ray est décédé à l'âge de 32 ans. Sa cause de décès est cachée aux yeux du public. Pourquoi? Teddy Ray était apparu plusieurs fois sur le flux de comédie numérique de Russell Simmons "All Def Digital" et sur "Wild 'N Out" de MTV.

    Au Japon, Tsuyoshi Kubota, membre du duo comique japonais "Independence Day", est décédé subitement à l'âge de 36 ans. Sa santé s'était rapidement détériorée, mais les rapports ne diront pas comment ni pourquoi. Encore une fois, la cause du décès a été cachée aux yeux du public. Pourquoi? Personne n'avait jamais entendu parler de lui ayant des problèmes de santé, puis tout à coup, tout a basculé et il est mort ? Cela ressemble à un autre "résultat" de la mystérieuse plandémie par injection de caillots.

    Sean Lampkin, le comédien qui jouait le barman 'Nispey' dans l'émission "Martin", est décédé à 54 ans de causes inconnues dans son sommeil à 54 ans. Aussi, l'acteur américain (lauréat d'un Emmy Award) et le comédien Leslie Jordan, d'American Horror Story ," est mort de sa propre histoire d'horreur "vaxxident" lorsque sa voiture s'est écrasée contre un mur à Hollywood. La spéculation est qu'il est décédé en conduisant après avoir été vacciné avec des prions de protéine de pointe qui pourraient avoir causé une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. C'est maintenant une cause de décès très courante, bien que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et les médias soient de mèche pour tout couvrir.

    La liste ne fait que s'allonger, et la partie la plus effrayante est que la plupart des comédiens qui s'effondrent sur scène se sont produits dans des clubs qui nécessitaient l'entrée de jabs COVID, et beaucoup d'entre eux ont fait des blagues sur les gens qui avaient peur des coups de caillot. Quelle ironie. Les vaccins contre la grippe Fauci ne sont évidemment pas une plaisanterie, car ils sont susceptibles de provoquer une myocardite, une péricardite, des caillots vasculaires, des troubles auto-immuns, des problèmes du système nerveux central et toute une série d'autres "effets secondaires" mortels.

    Faites attention à Jimmy Kimmel, ces blagues sur les caillots pourraient bien revenir à la maison, comme elles l'ont fait avec tant d'autres comédiens de l'industrie des vaccins.

    Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur l'Holocauste des vaccins qui balaie la nation et le monde pendant que vous lisez ceci.

    Les sources comprennent :

    MarkCrispinMiller.substack.com
    TheSun.ie
    NBCNewYork.com

    https://www.naturalnews.com/2023-05-30-comedians-vaccine-shills-dropping-dead-suddenly.html

    RépondreSupprimer