22 août 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Il existe un certain nombre d’événements sur Terre qui peuvent avoir un impact majeur sur le climat pendant un certain temps. Ceci est connu pour les éruptions volcaniques, qui peuvent rejeter de la poussière, du dioxyde de soufre ou - dans le cas des volcans sous-marins - de grandes quantités d'eau dans l'atmosphère. Le dioxyde de soufre protège du rayonnement solaire et peut provoquer un refroidissement, l'eau provoque généralement un réchauffement par réflexion et formation de nuages, la poussière ne provoque pas les deux. Il existe une étude intéressante sur l’effet des tempêtes de poussière en Alaska.
Lorsque la température est suffisamment basse, les particules de poussière – fragments microscopiques de roches, minéraux et plantes – agissent comme des particules de cristallisation de la glace, favorisant la formation de cristaux de glace dans les nuages. Bien que cet effet soit déjà connu dans une certaine mesure, la nouvelle recherche suggère qu’il est « plus important qu’on ne le pensait auparavant ». Tout ce qui concerne la formation des nuages est d’une importance capitale , y compris pour les modélisateurs climatiques.
D'énormes tempêtes de poussière dans le golfe d'Alaska peuvent durer plusieurs jours et rejeter des tonnes de sédiments fins ou de limon dans l'atmosphère, affectant ainsi le système climatique mondial, selon les scientifiques.
Les tempêtes sont si étendues qu'elles peuvent être vues par les satellites en orbite terrestre, rapporte Phys.org . Une image satellite Landsat de 2020 montre de la poussière soufflée hors de la vallée et sur la côte sud de l'Alaska.
La manière exacte dont la poussière affecte le système climatique mondial n’est pas encore claire, bien que de nouvelles recherches de l’Université de Leeds et du Centre national des sciences atmosphériques suggèrent que l’effet est plus important qu’on ne le pensait auparavant. L'étude a été publiée la semaine dernière sous le titre "Le sud de l'Alaska comme source de poussières minérales atmosphériques et de particules nucléatrices de glace" :
" Nous montrons que la poussière glaciaire collectée dans le sud de l'Alaska est un matériau efficace pour former de la glace dans les conditions liées aux nuages en phase mixte et qu'elle est plus active que la poussière des basses latitudes en raison d'un composant biologique qui renforce son activité."
Comment se forme la glace dans les nuages
Lorsque la température est suffisamment basse, le limon (fragments microscopiques de roche, de minéraux et de végétation) agit comme des particules de noyau de glace, favorisant la formation de cristaux de glace dans les nuages. La question de savoir si la formation de glace dans les nuages contribue au réchauffement climatique ou refroidit la planète dépend de la quantité de glace qu'ils contiennent, du nombre de particules de noyaux de glace présentes et de la nature de ces particules.
Le professeur Benjamin Murray, spécialiste de l'atmosphère à l'École de la Terre et de l'Environnement de Leeds, qui a dirigé l'étude, a déclaré : « Seule une petite fraction des particules de poussière présentes dans l'atmosphère a la capacité de nucléer la glace et nous commençons tout juste à identifier leurs sources. et comprendre la distribution mondiale.
« Le fait qu’un nuage reflète plus ou moins la lumière du soleil dépend de la quantité de glace qu’il contient. Nous devons donc être capables de comprendre et de quantifier les différentes sources de particules formant de la glace à travers le monde.
" Les modèles climatiques actuels ont tendance à ne pas représenter ces sources de poussière aux hautes latitudes, mais nos travaux montrent que nous devons le faire. "
Les modèles ne représentent pas ces influences car ils réfutent les affirmations selon lesquelles le gaz carbonique « fabriqué par l’homme » est unique. Tout ce qui contredit les intérêts lucratifs du capital financier – les investissements massifs aux dépens des contribuables dans le cadre du Green Deal – est ignoré et combattu. Même si les grands médias s’alignent.
https://tkp.at/2023/08/22/der-einfluss-von-staubstuermen-auf-das-klima/
Vaccin Covid-19 – Enfin des décisions de justice favorables…
RépondreSupprimerPar Collectif REINFO
Mondialisation.ca,
21 août 2023
Les derniers jours marquent un revirement dans l’approche de la Justice concernant la pandémie.
Deux décisions positives et enfin des perspectives
Tout d’abord, on apprenait la belle victoire des militaires qui ont réussi à faire reconnaître par un juge que les obligations vaccinales contrevenaient à la charte des Droits et liberté.
Il s’agit d’un revirement complet puisque depuis les débuts de la « crise », les tribunaux donnaient systématiquement raison aux autorités. On se demande comment la Justice a pu mettre autant de temps à voir « l’évidence ». Voilà qui ouvre la porte a bien d’autres poursuites.
En Alberta, une autre affaire, dont le rendu est tombé ce 31 juillet, ouvre elle aussi de belles perspectives. En effet, la juge a invalidé les ordonnances de santé publique (comme les confinements par exemple) du Dr Deena Hinshaw, chef de la Santé publique de l’Alberta car elles avaient été émises par le gouvernement plutôt que par la chef de la Santé publique. Le Dr Hinshaw a en effet témoigné au procès que les politiciens étaient l’autorité décisionnelle finale et qu’elle ne faisait que fournir des conseils et des recommandations.
Les conséquences sont que les personnes qui ont bravé les mesures comme les couvre-feux et qui ont reçu des amendes pour cela mais qui ont participé à cette plainte devraient voir leurs poursuites levées.
La décision de lundi pourrait donc avoir d’assez larges répercussions et impacter un certain nombre d’affaires dans lesquelles des accusations liées à la pandémie ont été portées contre des personnes accusées d’avoir enfreint les règles de santé publique.
RépondreSupprimerDes limites encore criantes
Cependant, tout n’est pas parfait. Ainsi la juge a conclu, « sans aucune analyse de la balance bénéfice/risques […] que les confinements étaient des violations justifiées des libertés de la Charte parce qu’ils produisaient plus de bien que de mal. » Cela est aberrant, au moins pour deux raisons.
La première est qu’on avait appris dans une autre affaire (C.M. v. Alberta) « que le Dr Hinshaw avait reçu des informations sur la façon dont les enfants pourraient être blessés par le port obligatoire du masque. Une note de service du 7 février 2022 envoyée au premier ministre Jason Kenney, sur laquelle le Dr Hinshaw était en copie, a déclaré que les masques peuvent perturber l’apprentissage et interférer avec le développement social, émotionnel et de la parole des enfants en altérant la communication verbale et non verbale, la signalisation émotionnelle et le visage.
Il est essentiel de savoir que Madame Hinshaw a déclaré en avril 2022, lors d’un contre-interrogatoire et sous serment, qu’elle n’était pas « au courant de preuves de préjudices pour les enfants du primaire du fait d’être obligés de porter des masques ».
Elle a donc menti grossièrement, d’autant que les blessures aux enfants des masques et des confinements étaient de notoriété publique. Ici au Québec, la Dr Mélissa Généreux avait publié en février 2022 une étude faite sur 30 000 jeunes qui montrait que suite aux « mesures », 1 sur 4 déclarait avoir envie de mourir ou de se blesser. Dès 2021, les psychoéducateurs rapportaient des drames chez les jeunes, des enfants de 9 ans qui se suicidaient, ce qui était du jamais vu. Comment la chef de la Santé publique peut-elle alors affirmer qu’elle n’était pas au courant?
N’oublions pas que les enfants n’avaient absolument rien à craindre de la covid…
Ainsi, même si au final il s’agit de deux belles victoires pleines de promesses, il est confondant de constater à quel point la Justice, en dépit de preuves accablantes, continue de se fier aux autorités et s’entête à ne pas étudier les données.
https://www.mondialisation.ca/vaccin-covid-19-enfin-des-decisions-de-justice-favorables/5680685?doing_wp_cron=1692693494.3344209194183349609375
Publication de l’essai Pfizer sur la sécurité des injections pour les femmes enceintes : des effets indésirables inquiétants
RépondreSupprimerPar Collectif REINFO
Mondialisation.ca,
21 août 2023
Pfizer vient enfin de publier son rapport sur les effets indésirables des injections pour les femmes enceintes. Il était temps vu qu’on les vaccine depuis 2 ans. Et on comprend pourquoi quand on voit les résultats.
Ainsi, on constate au point 16 que 6 % des bébés dont les mères ont été injectées ont des malformations congénitales… contre 3,6 % dans le groupe placebo.
Il y a donc une hausse de près de 100 % des malformations congénitales…
*
Au point 19, on note que 5,1% des bébés dans le groupe vaccinés ont eu des effets secondaires graves (comme des anormalités congénitales et des retards de développement)… contre 1,3% dans le groupe placebo.
Cela représente une hausse de 292 % !
On pourrait continuer encore assez longtemps comme ça. Bref, ces « vaccins » sont-ils sûrs et efficaces ? Devait-on vacciner les femmes enceintes ? Le tout alors qu’il s’agit des propres données du fabricant, dont on sait qu’il a manipulé le test initial (il n’y avait par exemple pas de double aveugle) et que c’est un multirécidiviste (il a été condamné à des milliards d’amendes pour manipulation, charlatanisme, etc.).
On sait aussi depuis longtemps que les femmes enceintes ne doivent prendre aucun médicament, même pas un cachet d’aspirine. Il y a notamment eu le scandale de la Thalidomide ou encore le Distilbène. C’est aussi faire fi du biais du survivant, une manipulation qui permet d’améliorer les statistiques.
Rappelons également que le placebo n’est probablement pas une solution salée mais un autre vaccin, déclaré « sûr et efficace ». Par exemple, le placebo utilisé dans l’essai d’AstraZeneca était le vaccin contre la méningite… qui serait l’un de ceux qui ont le plus d’effets indésirables. Cela permet de réduire l’écart entre les deux produits et de déclarer « sur » un « vaccin » qui ne l’est peut-être pas. Ou en tout cas pas autant qu’on voudrait bien nous le dire.
Bref, avoir autorisé l’inoculation d’une substance expérimentale pour les femmes enceintes sans données était un pari pour le moins extrêmement risqué.
RépondreSupprimerLe test n’a porté que sur un peu plus de 300 femmes enceintes qui sont arrivées à terme. Qu’en est-il des fausses couches et des mortinaissances ? Les résultats seraient sans doute encore plus catastrophiques.
Est-il alors étonnant de constater une baisse aussi marquée des naissances?
Rappelons que les autorités n’ont eu de cesse de faire la promotion de l’injection des femmes enceintes comme en témoignent ces campagnes publicitaires.
Celle-ci date de novembre 2021:
- voir sur site -
Santé Canada continuait en mai 2022 :
- voir sur site -
Même chose en France :
- voir sur site -
Les autorités doivent s’expliquer.
https://www.mondialisation.ca/publication-de-lessai-pfizer-sur-la-securite-des-injections-pour-les-femmes-enceintes-des-effets-indesirables-inquietants/5680681?doing_wp_cron=1692693132.9051270484924316406250
Étude : Les pays développés exigeant le plus de vaccins infantiles ont les taux de mortalité infantile les plus élevés
RépondreSupprimer21/08/2023
Zoey Sky
Selon une étude, les pays développés exigeant le plus grand nombre de doses de vaccin néonatal ont les pires taux de mortalité chez les enfants de moins de cinq ans.
Les détails de l'étude ont été publiés dans la revue Cureus.
Les chercheurs Neil Miller, directeur de l'Institut d'enquête médicale et scientifique du Nouveau-Mexique, et Gary Goldman, ont effectué plusieurs analyses basées sur les données de 2019 et 2021 pour examiner le lien entre le nombre de vaccinations de la petite enfance requises par les pays développés et leur taux de vaccination néonatale et infantile. et les taux de mortalité des moins de cinq ans.
L'étude a révélé que les enfants des pays développés qui ont besoin de davantage de vaccinations néonatales sont souvent confrontés à des conséquences néfastes qui augmentent la mortalité infantile, ce qui suggère que l'administration de davantage de vaccins aux nourrissons n'entraîne pas moins de décès.
Certains pays administrent les vaccins contre l'hépatite B et le bacille tuberculeux Calmette-Guérin (BCG) aux nourrissons après la naissance. L’étude a révélé que les pays qui exigent les deux vaccins avaient en réalité des taux de mortalité infantile bien inférieurs à ceux des pays qui n’exigent aucun des deux vaccins.
Les recherches de Miller et Goldman ont débuté en 2011 lorsqu’ils ont publié un article utilisant des données de 2009 montrant des taux de mortalité infantile moins favorables parmi les pays hautement développés exigeant le plus de vaccinations infantiles.
Leur nouvelle étude reproduit leur étude originale en utilisant les données de 2019 et 2021 des 50 principaux pays où les doses de vaccin infantiles varient de 12 à 26. Leurs résultats montrent que le taux de mortalité infantile a augmenté de 0,167 décès pour 1 000 naissances vivantes pour chaque dose de vaccin supplémentaire ajoutée au vaccin. calendrier de vaccination, confirmant les résultats de leur étude de 2011.
En 2009, 29 pays avaient de meilleurs taux de mortalité infantile que les États-Unis. Cependant, en 2019, les États-Unis étaient tombés au 44e rang en matière de mortalité infantile. En 2021, les États-Unis se classaient au 50e rang et exigeaient le plus grand nombre de vaccins pour nourrissons. (En relation : VACCINE ROULETTE : Certains lots de vaccins sont bien plus toxiques que d’autres, selon les analystes.)
RépondreSupprimerDans leur dernière étude, Miller et Goldman ont élargi leurs recherches pour analyser l’impact des vaccins contre l’hépatite et la tuberculose sur les taux de mortalité des nourrissons néonatals (définis comme les bébés de moins de 28 jours), des nourrissons de moins d’un an et des enfants de moins de cinq ans.
Les données sur la mortalité et les calendriers de vaccination ont été compilés par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les gouvernements nationaux.
Les chercheurs ont regroupé les pays selon qu'ils exigeaient zéro, une ou deux doses de vaccin pour les nouveau-nés afin de déterminer leur signification statistique par rapport aux taux de mortalité des trois groupes d'âge.
Leur analyse a révélé que les vaccins néonatals contre l'hépatite B et la tuberculose ne contribuent pas à une réduction globale de la mortalité dans les pays où les nourrissons présentent un faible risque de mortalité pour ces maladies.
La réduction des doses de vaccin pour les nourrissons est liée à une diminution de la mortalité
En utilisant les données de 2021, Miller et Goldman ont également découvert une différence statistiquement significative de 1,28 décès pour 1 000 naissances vivantes entre les taux de mortalité infantile moyens des pays qui n’ont pas vacciné leurs nouveau-nés (définis comme des bébés de quatre semaines ou moins) et ceux qui ont nécessité deux doses de vaccin. .
Pour chaque réduction de six doses de vaccin administrées pendant la petite enfance, le taux de mortalité infantile a été amélioré d’environ un décès pour 1 000 naissances vivantes.
Les chercheurs ont également découvert que les vaccins administrés au cours de la première année de vie avaient une plus grande influence sur les taux de mortalité des moins de cinq ans par rapport aux vaccins administrés entre la deuxième et la cinquième année de la vie.
Cela implique que les nourrissons plus jeunes, qui pèsent généralement moins et reçoivent plus de vaccins sur une période plus courte, sont plus susceptibles de présenter une réaction indésirable entraînant une hospitalisation ou la mort.
Miller a déclaré que dans la majorité des pays, plus de 50 pour cent des décès infantiles surviennent pendant la période néonatale, et environ 75 pour cent des décès néonatals surviennent au cours de la première semaine de la vie lorsque les vaccins néonatals sont administrés.
RépondreSupprimerLes décès qui surviennent pendant cette période ont un impact important sur les taux de mortalité néonatale, infantile et des moins de cinq ans. En fait, la mortalité néonatale représente 61 pour cent du taux de mortalité infantile américain et 52 pour cent du taux de mortalité des moins de cinq ans.
Miller a également révélé que les médecins, coroners et autres médecins légistes sont obligés de classer mal et de dissimuler les décès liés aux vaccins, car les classifications alternatives des causes de décès liées à la vaccination des nourrissons sont inexistantes.
L'étude a également montré que les vaccins ont des « effets non spécifiques » qui peuvent augmenter ou diminuer la mortalité due à des maladies infectieuses non ciblées par le vaccin.
Certains décès liés aux vaccins néonatals pourraient être retardés
Selon Miller, certains décès liés aux vaccins néonatals peuvent être retardés, par exemple en cas de mécanisme d'amorçage ou de toxicité cumulative qui augmente le risque de réaction grave ou mortelle aux vaccins administrés ultérieurement.
Une étude de 2018 publiée dans la revue Vaccine a montré que la séquence de vaccination peut également affecter la mortalité toutes causes confondues. Les chercheurs ont rapporté que les filles qui ont reçu un vaccin pentavalent (cinq vaccins en un) après avoir reçu un vaccin contre la rougeole étaient cinq fois plus susceptibles de mourir de toutes causes dans les six mois suivant le suivi, par rapport aux filles qui ont suivi le calendrier recommandé.
Miller et Goldman ont déclaré que 17 des 18 analyses qu’ils ont menées ont corroboré le fait que l’administration de plus de doses de vaccin entraîne des taux de mortalité infantile et de la petite enfance plus élevés dans les pays développés.
Les chercheurs ont exhorté les décideurs politiques en matière de vaccins à connaître le plein effet du calendrier de vaccination actuel sur les décès, quelle qu'en soit la cause, et à mener des recherches sur la sécurité du nombre de vaccins infantiles recommandés et sur la manière dont ils sont administrés pour confirmer qu'ils ont un impact positif sur la survie des enfants au lieu de simplement les exiger parce que Big Pharma insiste sur le fait qu’ils sont nécessaires.
Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d’informations sur les morts fœtales liées aux vaccins.
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne Son of the Republic sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
LES VACCINS COÛTENT DES VIES : La mortalité infantile est PLUS ÉLEVÉE dans les pays développés qui ont besoin de plus de vaccins – nouvelle étude.
Plus un bébé reçoit de vaccins, plus le risque de mort subite est élevé : ÉTUDE.
La « Joy Bank » de Philly paie des femmes pour qu'elles aient des bébés tandis que le « Lieu de naissance de l'Amérique » a le TAUX DE MORTALITÉ INFANTILE LE PLUS ÉLEVÉ en Amérique – une couverture pour l'effet de l'injection de caillot ?
Sources include:
TheEpochTimes.com
Cureus.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-21-nations-requiring-infant-vaccines-highest-childhood-mortality.html
VAXXED PORC : Combien d'Américains ont mangé des particules toxiques de protéines de pointe au cours des 5 dernières années à chaque fois qu'ils consomment du porc et du bacon ? (éditorial)
RépondreSupprimer08/21/2023
S.D. Wells
S'il est vrai que vous « êtes ce que vous mangez », alors des millions d'Américains marchent, parlent, agitant des bombes à retardement sanitaires remplies de prions toxiques imitant des virus qui ont été injectés aux porcs qu'ils mangent depuis 2018. Sans en informer les consommateurs du monde entier. L’Amérique, certains gouvernements d’État et Big « Farma » injectent aux porcs une « technologie » d’ARNm depuis plus de 5 ans. En d’autres termes, les porcs ont été « vaccinés » avec les mêmes protéines étrangères que plus de 50 millions d’Américains évitent comme la peste (ou du moins pensaient qu’ils l’étaient).
Aujourd’hui, Big Farma envisage d’injecter aux bovins de boucherie et aux bovins laitiers une technologie de mutation cellulaire de l’ARNm, et de nombreux petits et moyens éleveurs de vaches s’opposent au « système ». Qui veut manger de la viande avariée ? Qui sait s’ils le sont actuellement ou s’ils le sont depuis 5 ans ? Il y a une bonne raison pour laquelle la FDA ne réglemente pas cela, et c'est parce qu'elle a joué un rôle clé dans la pandémie de Covid-19 – fraude et manipulation de la perception du public.
Mangez du porc et du bœuf injectés d'ARNm et de protéines de pointe, et vous pourriez développer un Turbo-Cancer très bientôt
La progression rapide du lymphome à cellules T, également appelé « turbo cancer », a été bien documentée, dans laquelle les protéines de pointe provenant des injections d'ARNm ont servi de catapulte cancérigène, nourrissant les cellules cancéreuses existantes et les poussant à se multiplier de façon exponentielle et à envahir les tissus affaiblis. corps.
La soi-disant technologie de l’ARNm désactive littéralement les gènes qui combattent le cancer, donc en injectant ces injections aux bovins et aux porcs, leur viande est jonchée de milliards de prions à pointes que les humains consomment régulièrement, même les personnes qui ont choisi de NE PAS se faire vacciner contre le Covid. L'obtenir ? Il s’agit d’une vaccination forcée de la population, sans consentement, y compris des masses « totalement non vaccinées » qui mangent du porc et de la vache que Big Farma injecte de prions. Serez-vous atteint de la maladie de la vache folle, ou MSD – maladie du porc fou ?
RépondreSupprimerQuand les premiers cas de MALADIE PORCINE MAD seront-ils identifiés chez l’homme ?
Les prions provoquent des maladies et des troubles du cerveau et du système nerveux, pas seulement du cœur, comme nous le voyons avec la montée en flèche des cas de myocardite à travers le monde depuis le déploiement massif du vaccin à ARNm pour Covid. Les prions dans le cerveau provoquent des symptômes qui s'aggravent rapidement. Vous avez des convulsions ?
Les maladies à prions surviennent lorsque les protéines à prions présentes dans tout le corps, comme les protéines de pointe provenant des injections d'ARNm, commencent à se transformer en formes anormales et à se rassembler en grappes. Cela détruit les cellules cérébrales tout en créant des trous semblables à des éponges dans les tissus cérébraux, entraînant un déclin rapide des capacités cognitives, de raisonnement et de pensée critique. Les victimes ressentent également souvent des mouvements musculaires involontaires, de la confusion, des difficultés à marcher et des changements d’humeur. Cela ressemble à presque tous les humains à qui on a injecté le Covid-19. Peut-être que cela s'applique également à ceux qui mangent du porc enrichi et de la « vache Covid ».
Les médecins, les scientifiques, le CDC et l'OMS déclareront-ils une pandémie de « maladie de Creutzfeldt-Jakob » en raison de la présence de protéines dans le sang, le système digestif, les organes nettoyants et le cerveau ? Est-ce la MCJ ou le syndrome des protéines Spike ? Qui peut vraiment le dire, à part peut-être quelques coroners et embaumeurs témoins du carnage. N'oubliez pas que les maladies à prions se propagent entre les humains et les animaux. Êtes-vous exposé à un facteur de risque élevé parce que vous avez reçu les vaccins d’ARNm Covid ET que vous mangez régulièrement du porc Spike et de la vache Covid ?
Les chercheurs pensent qu’un « virus lent » inhabituel est à l’origine d’une maladie cérébrale à prions. Est-ce encore rare, ou courant, mais pas encore révélé au grand public ? Seul le temps – et des milliers d’autopsies – nous le dira. Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur le syndrome du long vaccin qui balaie la nation et le monde pendant que vous lisez ceci.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
Pandemic.news
TheGatewayPundit.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-21-vaxxed-swine-americans-have-been-eating-toxic-spike-protein-prions.html
Pourquoi l’illusion du Covid continue
RépondreSupprimerPar Jeff Thomas
Homme international
22 août 2023
Eh bien, la panique du COVID est terminée depuis plus d'un an, et la plupart des gens semblent respirer un peu plus facilement maintenant, au sens propre comme au sens figuré.
Presque tout le monde est revenu à sa vie d'avant la COVID. Les masques ont pour la plupart disparu et les tests ne sont effectués que par quelques personnes qui restent dans la peur.
La grande majorité des gens déclarent qu’ils ont fait la « bonne chose » et qu’ils ont reçu les premiers vaccins requis, bien qu’une majorité d’entre eux déclarent avoir décidé de ne pas utiliser les rappels. La raison ? La plupart ne sont pas clairs à ce sujet, sauf pour dire : « Je commençais à avoir des doutes… mais je suis toujours content d’avoir reçu les premières injections. »
Bien sûr, depuis que le signal « tout est clair » a été émis, les médecins qui ont initialement sauté à pieds joints à bord du COVID Express se sont un peu calmés, et de nombreux centres de recherche ont mené des études sur la possibilité de dommages causés par le vaccin.
Ces études ont montré avec une assez grande cohérence que le jab était effectivement préjudiciable - à court et à long terme. À ce stade, de nombreuses études sont parvenues à cette conclusion, et même de nombreux médecins éminents qui étaient initialement favorables au vaccin déclarent maintenant avec insistance : « On nous a menti ».
Ainsi, nous pourrions nous attendre à ce que ceux qui se sont rendus dans les cliniques comme du bétail pour obtenir le jab aient maintenant appris trois leçons importantes -
Ne faites pas confiance à Big Pharma
Ne faites pas confiance aux médias en ce qui concerne Big Pharma
Ne faites pas confiance aux autorités en ce qui concerne Big Pharma
Et pourtant ces leçons, à quelques exceptions près, ne semblent pas avoir été apprises.
Certaines personnes continuent de se faire tester chaque fois qu'elles présentent des symptômes du rhume. Lorsqu'on leur demande pourquoi, ils ne semblent pas avoir de réponse claire.
Lorsqu'on leur a demandé s'ils feraient à nouveau confiance à ceux qui ont poussé à nouveau les vaccins, leurs yeux ont tendance à devenir vitreux. Encore une fois, ils n'ont pas vraiment de réponse.
La plupart des gens qui ont reçu la piqûre ne semblent pas avoir avancé leur réflexion au cours de la dernière année. Leur courbe d'apprentissage semble s'être arrêtée au moment où les médias ont cessé de parler de COVID.
En cours de route, nous entendons également des informations « ne faisant pas autorité » et prenons soin de classer ces informations comme « théorie du complot ». Ces informations ne pénètrent que brièvement dans le lobe temporal. Dans la plupart des cas, le cerveau humain a été formé pour supprimer ces informations, car elles n'ont aucune valeur en ce qui concerne les instructions suivantes. Pire, cela nous fait remettre en question cette instruction. Le lobe temporal devient apte à supprimer de telles informations comme si elles n'avaient jamais été reçues.
RépondreSupprimerEt, ici, nous avons une fonction de base du cerveau humain qui affecte la grande majorité des gens - en fait, toutes les personnes qui ne sont pas, à un moment donné de leur vie, devenues des penseurs indépendants :
Répondre à l'entrée contrôlée et ignorer l'entrée périphérique
Pour ceux qui ont remis en question l'arnaque COVID tôt, beaucoup a été appris même pendant qu'elle se déroulait. Mais la question demeure, pourquoi d'autres, qui y ont adhéré, n'ont-ils pas appris de la pléthore d'études qui ont été publiées au fil du temps ?
Après tout, l'entrée contrôlée concernant COVID a cessé d'être poussée il y a un an ou plus. Cela se traduit par le fait que ceux qui se contentent de mémoriser des informations et ne les remettent pas en question de manière significative n'ont plus rien à faire. Ils sont bloqués au neutre. Ils reçoivent occasionnellement une entrée périphérique qui annule l'entrée contrôlée, mais ils l'interprètent comme une entrée périphérique et, dans une réaction instinctive entraînée, l'ignorent à chaque occasion. Ils ne considèrent jamais sa totalité, car ils ne sont pas programmés pour penser de cette façon.
Aussi désagréable qu'elle soit à considérer, cette incapacité est la norme, même pour les personnes qui sont par ailleurs intelligentes et/ou éduquées. Comme des hamsters sur une roue, ils ont l'impression qu'ils sont en mouvement vers l'avant, mais en vérité, ils n'avanceront pas d'un pouce tant qu'ils n'auront pas reçu d'entrée contrôlée leur demandant de le faire.
Les masques COVID ont été enlevés, mais la compréhension de la fraude qui a été perpétrée n'a, pour la majorité des gens, pas été comprise.
On pourrait faire valoir que la discussion présentée ci-dessus pourrait être considérée comme académique – inutile – car la peur du COVID est maintenant terminée et les masques ont disparu.
RépondreSupprimerMais, en fait, à moins que nous ne prêtions attention à ce que les chercheurs ont conclu l'année dernière et, en effet, si nous revenons à notre formation bien ancrée non pas pour questionner, mais simplement pour répondre aux commentaires immédiats, nous sommes prêts à comprendre aspiré à nouveau.
Si nous et la majorité des personnes que nous connaissons, une fois de plus, répondons à l'entrée contrôlée et ignorons l'entrée périphérique, nous n'aurons pas simplement manqué le bateau sur la réalité de l'arnaque COVID.
Nous sommes prêts à être dupés à nouveau.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2023/08/no_author/why-the-covid-delusion-continues/
Le racket de la planification pandémique
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
22 août 2023
À l’automne 2022, les grands médias ont commencé à mettre en garde contre une potentielle « tripledémie », avec la COVID1, la grippe saisonnière et le virus respiratoire syncytial (VRS)2 circulant simultanément. La peur vend, disent-ils, et c'est certainement l'adage utilisé par Big Pharma en matière de vaccins.
L'attention soudaine portée sur le VRS en particulier, qui existe depuis des décennies, a coïncidé avec les annonces selon lesquelles les vaccins contre le VRS étaient accélérés - une entreprise risquée s'il en est une, étant donné que les fabricants de vaccins ont essayé d'apporter un VRS vaccin sur le marché depuis environ 60 ans, et n'a pas pu en raison de problèmes de sécurité.
Sans surprise, Pfizer et Moderna travaillent également sur des piqûres combinés d'ARNm pour le COVID, le VRS et la grippe,3 qui devraient actuellement arriver sur le marché en 2024 et/ou 2025.4 La Food and Drug Administration des États-Unis a approuvé les tout premiers vaccins contre le VRS cet été de 2023 pour les personnes âgées de 60 ans et plus — un par Pfizer (Abrysvo)5 et un par GlaxoSmithKline (Arexvy).6
Les deux vaccins sont des vaccins sous-unitaires recombinants, ce qui signifie que certaines protéines virales sont utilisées pour déclencher une réponse immunitaire,7 et les deux fabricants ont signalé le syndrome de Guillain-Barré comme effet secondaire de leurs injections.8
Le vaccin RSV de Pfizer coûtera probablement entre 180 $ et 270 $, tandis que GSK a l'intention de facturer 200 $ à 295,9 $ GSK avait initialement annoncé un prix de 148 $ par dose, mais a décidé de doubler le prix en raison de données plus récentes suggérant que l'efficacité pourrait se poursuivre dans une deuxième saison .
La propagande tripledémique continue
RépondreSupprimerAlors que nous nous dirigeons vers l'automne 2023, la «triple épidémie» de COVID, de VRS et de grippe fait à nouveau la une des journaux. Une recherche Google sur les mots clés « triple pandémie 2023 »10 a permis de recueillir le chiffre stupéfiant de 41,2 millions d’articles à la mi-août 2023.
N'oubliez pas que l'exemple ci-dessus est uniquement à des fins d'illustration et que je vous déconseille fortement d'utiliser Google. Mais voici la vraie leçon d'apprentissage. Tout ce que vous pouvez utiliser dans la recherche des résultats totaux est la fréquence du terme. Google a depuis longtemps cessé de vous servir tous ces 40 millions de résultats. Devinez combien vous pouvez voir ? Seulement une centaine.
C'est un point non pertinent pour des mots clés comme la triple pandémie de 2023, mais cela devient extrêmement important pour vous et votre famille lorsque vous cherchez à faire des recherches sérieuses sur Internet. Il est pratiquement impossible maintenant que Google non seulement censure des informations vitales sur la santé naturelle, mais refuse d'afficher autre chose que les 100 premiers résultats.
Et, comme nous l'avons vu tout au long de la pandémie de COVID, les agences de presse utilisent exactement les mêmes titres et points de discussion - preuve sans équivoque que le récit tripledémique est coordonné par une source centrale.
Tel que rapporté par CNN, 10 août 2023 : 11
« Les responsables de la santé des États et des localités des États-Unis se préparent à une augmentation des maladies respiratoires cet automne et prévoient d’exhorter toutes les personnes éligibles à se faire vacciner contre le Covid-19, la grippe et le virus respiratoire syncytial une fois que ces vaccins seront disponibles. …
À l'échelle nationale, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis se préparent également à la menace des maladies respiratoires cet automne. «La protection contre les maladies respiratoires cet automne est un objectif central pour le CDC.
Les efforts comprendront la préparation des Américains à quoi s'attendre, les aider à comprendre le risque de maladie dans leurs communautés et fournir des informations sur la façon dont ils peuvent se protéger », a déclaré la porte-parole Kathleen Conley dans un e-mail.
« Le CDC utilisera tous les leviers à sa disposition pour aider les gens à comprendre comment ils peuvent se protéger et protéger leurs familles contre les maladies graves, notamment en restant à jour sur leurs vaccinations. »
RépondreSupprimerTrois clichés recommandés pour cet automne
Pour cet automne, les autorités sanitaires américaines recommandent :
1. Un vaccin contre la grippe pour toute personne âgée de 6 mois et plus
2. Un rappel d’ARNm COVID-19 mis à jour ciblant la souche Omicron XBB.1.5, même si cette souche est déjà en déclin. La plupart des cas de COVID-19 aux États-Unis et au Canada sont maintenant causés par les souches Eris (EG.5)12 et BA.5.13
Aux États-Unis, les détails sur qui devrait se faire vacciner et quand sont encore indéterminés, car la FDA n'a pas encore officiellement approuvé le rappel mis à jour. Au Canada, le rappel COVID d'automne est recommandé pour toute personne âgée de 5 ans et plus qui a reçu son dernier vaccin ou qui a eu une infection à la COVID il y a au moins six mois14
3. Un vaccin contre le VRS pour les personnes âgées de 60 ans et plus
Sans surprise, beaucoup encouragent les gens à regrouper les trois injections en une seule visite, même s'il n'y a aucune donnée pour étayer l'affirmation selon laquelle cela est sûr. Certains médecins, cependant – comme le Dr William Schaffner dans le rapport de CBS News ci-dessus – recommandent de recevoir le vaccin contre le VRS séparément.
Pas besoin de sonner l’alarme
Selon les données des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, les hospitalisations liées au COVID-19 ont augmenté en moyenne de 12,5 % au cours de la semaine du 23 au 29 juillet 2023. Dix-huit États américains ont vu les taux d'hospitalisation liés au COVID augmenter de 20 % ou plus. .15
Environ 54 % des nouveaux cas aux États-Unis sont attribués à une nouvelle sous-variante d'Omicron appelée BA.5, tandis qu'Eris (EG.5) représente environ 17,3 %, soit une augmentation de 9,8 % depuis début juillet.16 XBB.1.5, que ciblera le nouveau rappel COVID, ne représente que 10,3 % des cas.17 Advisory.com écrit :18
« Selon Stuart Turville, professeur agrégé à l'Université de Nouvelle-Galles du Sud à Sydney, le groupe de sous-variantes EG.5 est « un peu plus glissant » et « compétitif » par rapport aux autres variantes actuelles et est capable de « mieux naviguer ». la présence d'anticorps provenant des vaccins.
RépondreSupprimerCela dit, les taux d’hospitalisation sont loin des sommets observés les années précédentes. Pour la semaine se terminant le 29 juillet 2023, il y a eu 9 056 nouvelles hospitalisations liées au COVID dans tout le pays, bien loin du pic de 150 000 de janvier 2022.
La crise de la biosécurité doit se poursuivre indéfiniment car c'est la principale justification de The Great Reset.
« Cela s’accélère un peu, mais ce n’est pas quelque chose pour lequel nous devons tirer la sonnette d’alarme », a déclaré David Dowdy, épidémiologiste des maladies infectieuses à l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg à Advisory.com.19
La peur est un outil pour favoriser l'obéissance
Il est important de réaliser que les « menaces » posées par la COVID, la grippe et le VRS sont amplifiées pour une raison. La crise de la biosécurité doit se poursuivre indéfiniment car c'est la principale justification de The Great Reset. À intervalles réguliers, il doit y avoir un autre Chicken Little avertissant que le ciel continue de tomber et qu'il ne faut pas baisser la garde.
À un moment donné, vous devez réaliser que plus vous cédez et obéissez, plus vous devez céder et obéir. Il n'y a vraiment pas de fin à ce qu'ils peuvent et veulent vous prendre, et s'accrocher à la conviction que votre gouvernement ne [remplirait jamais] devient de plus en plus dangereux de jour en jour.
Il est également important de réaliser que votre gouvernement n'est pas le pouvoir ultime. Nos responsables gouvernementaux reçoivent également des ordres de ce que l'on appelle souvent l'État profond. Ce n'est pas du tout un gouvernement, mais une structure de pouvoir mondiale et cachée qui n'a de comptes à rendre à personne, tout en influençant et en manipulant tout le monde pour instaurer un nouvel ordre mondial.
Au cours des années passées, cette cabale ténébreuse de courtiers en pouvoir était désignée sous le terme de Nouvel Ordre Mondial. En 2020, le Forum économique mondial est sorti sur la scène publique et a annoncé The Great Reset, qui n'est rien d'autre que le NWO renommé.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Dans la vidéo ci-dessus, le journaliste d'investigation Harry Vox parle des épidémies, des quarantaines et des couvre-feux comme des outils essentiels dans la boîte à outils de la classe dirigeante, et de la manière dont ces outils devaient être utilisés pour inaugurer la prochaine phase de contrôle.
L’interview, qui a eu lieu en 2014, semble aujourd’hui plus que prophétique, car ces trois outils indispensables au contrôle totalitaire font partie de notre réalité depuis 2020. Vox y fait également référence aux « Scénarios pour l’avenir de la technologie et des relations internationales ». Development »,20 un document de la Fondation Rockefeller, dans lequel ils présentent un scénario « Lockstep », qui détaille la réponse mondiale à une pandémie fictive.
Ils vous ont déjà dit quelle est la fin du jeu
Bien que le nom et l’origine du virus diffèrent, le scénario présenté dans les « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international »21 correspond étroitement à ce que nous avons vécu à l’ère du COVID, en particulier son effet mortel sur les économies.
Le scénario prévoyait un arrêt brutal de la mobilité internationale, affaiblissant les industries, le tourisme et les chaînes d'approvisionnement mondiales. "Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, dépourvus d'employés et de clients", peut-on lire dans le document.
Dans le récit Rockefeller, la Chine est saluée pour son imposition rapide de quarantaines universelles à tous les citoyens, qui se sont avérées efficaces pour freiner la propagation du virus. Il est important de noter que la mise en quarantaine universelle – le confinement des personnes en bonne santé – n'a jamais été utilisée auparavant dans le contrôle des maladies infectieuses, et il y a une raison à cela. Nous savions déjà que cela ne fonctionnerait pas.
De nombreux autres pays où les dirigeants « ont fait preuve d’autorité » et ont imposé de sévères restrictions à leurs citoyens – « du port obligatoire de masques faciaux au contrôle de la température corporelle à l’entrée des espaces communs comme les gares et les supermarchés » – ont également obtenu de bons résultats dans ce domaine. Scénario Rockefeller.
RépondreSupprimerÉcoutez l'incrédulité dans la voix de l'intervieweur lorsqu'il demande si Vox croit réellement qu'une telle chose pourrait arriver, que nous devrions faire la queue pour faire vérifier notre température avant d'entrer dans un bâtiment.
Eh bien, chacun d'entre nous a maintenant dû le faire, donc nous savons que c'est possible. Et si cela est possible, pourquoi pas le reste du plan Lockstep, qui nous dit que : « Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés, et même intensifiés. »
Ne vous laissez pas berner deux fois
Nous ne pouvons plus nous permettre de ne pas croire jusqu’où cette cabale mondialiste peut et va aller pour prendre le contrôle total. Ils nous ont déjà expliqué quel était leur plan ultime : utiliser le bioterrorisme pour prendre le contrôle des ressources, des richesses et des populations du monde.
Tout ce que nous devons faire, c’est y croire et réaliser que la seule chose qui leur donne le pouvoir d’imposer leur volonté est notre peur. Tant que nous choisissons la peur et exigeons que notre gouvernement assure notre sécurité, il a toutes les chances de gagner.
Espérons qu’une nette majorité de gens auront désormais appris cette leçon et ne tomberont plus dans le piège des mêmes pièges, même s’ils ont fait monter la barre avec une triple menace, plutôt qu’une seule. La peur est un outil utilisé pour vous contrôler, mais elle ne fonctionne que si vous y adhérez, et il devrait désormais être clair que le discours sur la nécessité des vaccins est, au mieux, trompeur.
Abandonnez la peur et prenez simplement le contrôle de votre santé
RépondreSupprimerBien que la grippe, le VRS et la COVID puissent être problématiques et dangereux pour certaines personnes à haut risque, les risques globaux qui leur sont associés sont négligeables pour la plupart. Repensez simplement à votre vie : combien de fois avez-vous eu un rhume ou une grippe ? Êtes-vous toujours là? Combien de personnes connaissez-vous qui sont mortes d’un rhume ou d’une grippe ?
À ce stade, la plupart des gens ont également eu le COVID et sont là pour attester de sa non-létalité. Malheureusement, ceux qui ont reçu plusieurs vaccins contre le COVID appartiennent désormais à la catégorie à haut risque et peuvent en fait souffrir d’une infection plus grave.
Garder votre système immunitaire fort est le meilleur moyen de vous protéger contre toutes les infections, et il existe de nombreuses façons efficaces d'y parvenir, comme par exemple optimiser votre taux de vitamine D.
Il a été démontré que des niveaux plus élevés de vitamine D diminuent le risque de développer un cas grave et d’en mourir. Il a également été démontré qu’une supplémentation en vitamine D réduit le risque de rhume22 et de grippe23,24, car elle renforce votre immunité innée.
Les nutraceutiques stimulant le système immunitaire tels que la vitamine C, la quercétine avec du zinc et la N-acétylcystéine (NAC) ont également leur place dans votre armoire à pharmacie afin que vous puissiez commencer à les prendre dès les premiers signes de symptômes. Le zinc est un puissant antiviral à large spectre et la quercétine aide à le transporter dans la cellule, là où il est nécessaire. La vitamine C constitue également un traitement de premier ordre contre de nombreuses infections et contribue à renforcer la fonction immunitaire globale.
La NAC, quant à elle, est un précurseur du glutathion réduit, qui semble jouer un rôle crucial en particulier dans le cas du COVID-19. Les avantages de la NAC comprennent l’inhibition de l’expression des cytokines pro-inflammatoires, l’amélioration de la réponse des lymphocytes T et l’inhibition de l’hypercoagulation pouvant entraîner un accident vasculaire cérébral et/ou des caillots sanguins altérant la capacité d’échange d’oxygène dans les poumons.
RépondreSupprimerSources and References
1 Yahoo News October 29, 2022
2 NPR October 24, 2022
3 World Economic Forum, COVID-19: What’s Next? January 17, 2022, 6:25
4 Fierce Pharma January 23, 2023
5 EMPR.com June 1, 2023
6 CNN May 3, 2023
7 GoodRX Different Types of Vaccines
8, 9 New York Times July 5, 2023
10 Google Search “Triple Pandemic 2023”
11 CNN August 10, 2023
12, 14 Global News Canada August 10, 2023
13, 16, 17 Benzinga August 11, 2023
15, 18, 19 Advisory.com August 10, 2023, Updated August 11, 2023
20, 21 Scenarios for the Future of Technology and International Development
22 NIH Research Matters March 9, 2009
23 Nutrients April 2020; 12(4): 988
24 Canadian Family Physician June 2015; 61(6): 507
https://www.lewrockwell.com/2023/08/joseph-mercola/the-pandemic-planning-racket/
Connu depuis 2016 : des doses répétées d’ARNm provoquent des dommages importants et permanents
RépondreSupprimer22 août 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Plusieurs études ont montré que les injections répétées d’ARNm endommagent de manière permanente le système immunitaire, que l’ARN du vaccin reste en permanence dans l’organisme, que l’infection entraîne une maladie grave et prolongée grâce à la tolérance au virus et provoque d’autres maladies comme le cancer. Des articles du principal magazine médical américain Statnews soulignaient déjà ces effets du traitement par ARNm en 2016 et 2017.
Moderna et BioNTech ont initialement développé cette technologie comme traitement contre le cancer. Dans les cas de cancer graves et à un stade avancé, il est parfaitement possible de supporter des effets secondaires indésirables si c’est la seule option de traitement restante. Bien entendu, cela n’est pas possible lorsque l’on vaccine des personnes sûres et en bonne santé et viole tous les principes éthiques.
Les enseignements du traitement du cancer à ARNm
Comme indiqué précédemment, Stat a eu affaire à Moderna à plusieurs reprises. Elle a été présentée comme une entreprise avec des produits douteux et une direction Rambo. Deux articles abordent également les dangers de la technologie et sa toxicité en cas d'utilisation répétée.
Les applications multiples posent problème. Les effets secondaires deviennent plus fréquents et dangereux, parfois même importants, à chaque dose. Moderna avait donc déjà suscité de vives critiques, par exemple dans la revue médicale Stat. Stat est un site Web d'information américain axé sur la santé fondé en novembre 2015 par le propriétaire du Boston Globe, John W. Henry.
RépondreSupprimerDans un article du 13 septembre 2016, l'accent était mis sur le style de management du PDG Stéphane Bancel, comme le titre l'indique déjà : « Ego, ambition et tumulte : au sein d'une des startups de biotech les plus secrètes » (Ego, ambition et tumulte : À l'intérieur de l'une des startups les plus mystérieuses de la biotechnologie). Mais il y a aussi un avertissement concernant les dangers de l’utilisation répétée de l’ARNm :
" Les traitements les plus révolutionnaires qui pourraient remettre en question le marché multimilliardaire de la thérapie protéique impliqueraient des doses répétées d'ARNm pendant de nombreuses années afin que le corps du patient continue à fabriquer des protéines pour contrôler la maladie. "
" La livraison, c'est-à-dire l'introduction de l'ARN dans les cellules, est depuis longtemps un problème sur le terrain. Seules, les molécules d’ARN ont du mal à atteindre leurs objectifs. Ils fonctionnent mieux lorsqu'ils sont enveloppés dans un mécanisme de transport, par ex. B. dans les nanoparticules de lipides. Cependant, ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années.
Novartis a abandonné le domaine connexe de l’interférence ARN en raison de problèmes de toxicité, tout comme Merck et Roche.
Le 10 janvier 2017, un autre article a été publié, intitulé à juste titre « Moderna, généreusement financé, rencontre des problèmes de sécurité dans une tentative audacieuse de révolutionner la médecine », citant les problèmes, en particulier lorsque des applications répétées peuvent être clairement résolues :
« Pour protéger les molécules d'ARNm des défenses naturelles de l'organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une coque protectrice. Pour Moderna, cela signifiait emballer la thérapie Crigler-Najjar dans des nanoparticules de lipides. Pour les chimistes de l'entreprise, ces nanoparticules représentaient un défi majeur : à dose trop faible, on n'obtient pas suffisamment d'enzymes pour agir sur la maladie ; si la dose est trop élevée, le médicament est trop toxique pour les patients.
La toxicité des nanoparticules lipidiques nécessaires au procédé est connue depuis longtemps :
RépondreSupprimer" Mais Moderna n'a pas réussi à faire de sa thérapie un succès, comme le rapportent d'anciens employés et employés. La dose sûre était trop faible et des injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace ont eu des effets perturbateurs sur le foie dans les études animales.
La toxicité a également été prouvée par des expérimentations animales.
Cela remet également en question la valorisation de Moderna, que Pitchbook évalue à 4,7 milliards de dollars. La société a levé près de 2 milliards de dollars en espèces auprès d'investisseurs et de partenaires. Mais il l’a fait en promettant une technologie révolutionnaire suffisamment sûre pour délivrer des doses répétées d’ARNm.
En revanche, les médicaments que la société met désormais sur le marché sont plus modestes et reposent sur des administrations uniques d’ARNm. Parallèlement aux quatre vaccins, un essai clinique précoce ciblant les maladies cardiaques a été lancé le mois dernier par son partenaire AstraZeneca. Ce traitement est une dose unique et n’utilise pas la délicate coque des nanoparticules.
L'émergence d'anticorps de type IgG4 et les conséquences
Plusieurs études ont déjà montré que le sous-type 4 des anticorps IgG est dominant au plus tard à la troisième dose. Cela signifie que les produits d’ARNm modifiés stimulent le système immunitaire à induire une tolérance, raison pour laquelle les gens se sentent plus mal après l’injection que l’inverse.
Cependant, l'étude la plus récente, rapportée en détail ici par TKP, a montré qu'au moins une partie des dommages causés par des doses répétées d'ARNm ne se produisent pas si la personne vaccinée est déjà immunisée contre une infection antérieure. Cependant, des dommages à long terme causés par d'autres mécanismes sont toujours probables, comme détaillé ici dans cet article .
Cependant, la dernière étude a ajouté certains aspects à la connaissance des dégâts.
Les voitures écrivent :
RépondreSupprimer« La mémoire immunitaire et la formation d’anticorps spécifiques à commutation de classe dépendent principalement des réponses des lymphocytes T. Des cellules T auxiliaires folliculaires robustes et persistantes (Tfh) ont également été décrites dans les ganglions lymphatiques d'individus vaccinés avec le vaccin de Pfizer-BioNTech.
Les cellules Tfh sont essentielles au soutien des centres germinaux et à la formation de la mémoire immunologique. De plus, ils sont d'une grande importance :
" Les réponses immunitaires hyperactives des cellules Tfh ont le potentiel de générer des centres germinaux indésirables composés de cellules B mutées de manière aberrante qui peuvent déclencher des maladies auto-immunes médiées par les anticorps. "
Ainsi, l’injection de produits d’ARNm modifiés provoque des « réponses » de lymphocytes T auxiliaires (folliculaires). Cela signifie que ces cellules sont activées et répondent en exprimant des récepteurs de surface cellulaire, en sécrétant des cytokines et des chimiokines, et en soutenant et en activant d'autres types de cellules tels que les CTL et les macrophages, en particulier les cellules B.
Il a été démontré que l’ARNm et le Spike persistent dans l’organisme. Puisqu’il s’agit d’antigènes étrangers, ils stimuleront toujours la réaction du système immunitaire. Un état d’activation constant est mauvais. Elle entraîne une hyperinflammation (inflammation), une sénescence (vieillissement cellulaire) et un épuisement.
L’essentiel est qu’il existe de plus en plus de preuves selon lesquelles les injections d’ARNm modifiés induisent un dysfonctionnement immunitaire (et une tolérance) au détriment de la physiologie humaine, et de toute une montagne de cela. Ceci n’est PAS réfutable, peu importe le nombre de personnes qui en bénéficient osent affirmer que ces produits sont sûrs. Tu n'es pas.
Et nous le savons grâce aux rapports de Statnews depuis 2016. TKP en avait déjà fait état le 9 avril 2021. Les « experts », notamment ceux des entreprises manufacturières, devaient le savoir depuis longtemps. Ce qui suit ?
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/08/22/seit-2016-bekannt-wiederholte-dosen-mrna-richten-erheblichen-und-dauerhaften-schaden-an/
Dans une étude (publiée il y a 3 ans) dans l'analyse du contenu des flacons injectables, les docteures suisse Astrid Stuckelberger et l'américaine Carrie Masej ont fait part de leur découvertes épouvantables !
SupprimerDe 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !
° des hydres !
° des spikes !
+ diverses maladies animales avec une qurantaine de poisons de serpents différents !
Si avec çà t'es pas mort(e)...
Caillots sanguins dans les jambes, les poumons et le cœur des jeunes (vaccinés contre le COVID-19). Tori Kelly, lauréate d'un Grammy, marquise Goodwin des Cleveland Browns de la NFL
RépondreSupprimer25 nouveaux cas examinés, c'est une épidémie !
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
22 août 2023
23 juillet 2023 – Tori Kelly, chanteuse de 30 ans lauréate d'un Grammy, s'est effondrée lors d'un dîner avec des amis et a reçu un diagnostic de caillots sanguins près des organes vitaux !
19 août 2023 – Ryan Crouser remporte le titre mondial du lancer du poids avec des caillots de sang dans la jambe.
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17 août 2023 – Austin Phyfe, 24 ans, basketteur attaquant des Northern Iowa Panthers , a raté toute la saison 2022-2023 en se remettant de « caillots sanguins dans ses poumons et ses jambes ». Il vient d’annoncer sa « retraite médicale » du basket-ball.
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16 août 2023 – Lexington, Caroline du Sud – Victoria Hoult a développé des caillots sanguins dans ses poumons, dont l'un s'est effondré.
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14 août 2023 – Hinckley, Royaume-Uni – Gemma Brookes a développé une embolie pulmonaire, après avoir subi de nombreux événements indésirables liés aux vaccins AstraZeneca.
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13 août 2023 – Hawaï – Dia Sol a une connaissance, Linda, qui s'est fait retirer plus de 40 caillots lors d'une récente intervention chirurgicale.
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11 août 2023 – Tim, 59 ans, avait des caillots sanguins dans le cœur 4 semaines après avoir reçu son dernier vaccin Pfizer.
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3 août 2023 – Cleveland, OH – Rick Bub travaille à la Cleveland Clinic en tant que chef de travail en matière de transport des patients. Il a développé une embolie pulmonaire.
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2 août 2023 – Kernersville, Caroline du Nord – Tara Toney Tomlinson est une infirmière en soins intensifs qui pense avoir eu une embolie pulmonaire après un récent combat contre le COVID-19.
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30 juillet 2023 – L'épouse de Steve Buchanan est décédée subitement dans un avion, à cause d'un caillot de sang dans ses poumons.
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30 juillet 2023 – Summerville, Caroline du Sud – Ashley Thompson a développé des caillots sanguins dans la jambe gauche, puis d'autres caillots dans ses poumons. On lui a posé un filtre VCI, dans l'espoir d'empêcher davantage de caillots de se déplacer vers ses poumons et son cœur. Elle a de nombreuses complications.
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29 juillet 2023 – Wolverhampton, Royaume-Uni – Paul Bell a développé d'énormes caillots sanguins dans ses poumons, son cœur et son cerveau.
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28 juillet 2023 – Royaume-Uni – Steve Nicholson a développé des caillots sanguins dans ses jambes.
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28 juillet 2023 – Mendon, Illinois – Craig Daugherty, 50 ans, agent correctionnel au centre correctionnel de Western Illinois, est décédé subitement AU TRAVAIL à cause d'un caillot de sang.
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21 juillet 2023 – Le joueur WR des Cleveland Browns de la NFL, Marquise Goodwin, manquera le début du camp d'entraînement en raison de caillots sanguins dans les jambes et les poumons.
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23 juillet 2023 – Moscou, ID – Vanessa Lopez, 25 ans, a eu une bronchite ou un COVID et a ensuite développé des caillots sanguins dans ses poumons.
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15 juillet 2023 – Nottingham, Royaume-Uni – Charlotte Hukin, qui travaille dans la fonction publique, souffrait d'essoufflement et a reçu un diagnostic de plusieurs caillots sanguins dans les deux poumons.
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9 juillet 2023 – Ackworth, Géorgie – « Ally », membre de la famille d'Ashley Langill, avait 23 ans lorsqu'elle est décédée subitement. "Le coroner est positif à 98 % et dit qu'elle avait un caillot de sang qui s'est propagé jusqu'à son cœur et a provoqué une embolie."
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4 juillet 2023 – Victoria, Colombie-Britannique – Alyssa Hulbert (une technicienne en traitement stérile chez Island Health) s'est effondrée à son domicile le 26 juin 2023 en raison d'une embolie pulmonaire qui l'a provoquée en arrêt cardiaque. Faute d'oxygène dans son cerveau, elle est décédée le 4 juillet.
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4 juillet 2023 – El Dorado, Illinois – Ashley Foster est infirmière auxiliaire à temps plein et étudiante en soins infirmiers IAA. On lui a diagnostiqué une « Phlegmasia Cerulia Dolens », caractérisée par d'importants caillots sanguins dans les jambes, et elle présentait désormais des caillots dans les poumons (embolie pulmonaire).
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14 juin 2023 – Melbourne, Floride – Tonya Ingle souffre de caillots sanguins et d’un ensemble d’autres symptômes (très probablement liés au vaccin COVID-19) comme un brouillard cérébral, des problèmes cardiaques et une fatigue intense. Les traitements pour ses caillots NE FONCTIONNENT PAS.
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10 mai 2023 – Iola, KS – Tarin Guerrero, 31 ans, est décédée subitement des « caillots sanguins massifs dans ses poumons et de ce qu’ils pensaient être une tumeur dans la partie inférieure de son poumon ».
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21 décembre 2022 – Hilton, NY – Jo Lynn Rossman, 44 ans, était infirmière autorisée au Strong Memorial Hospital. Elle avait du mal à respirer depuis une semaine et aux urgences, ils ont découvert qu'elle avait « d'énormes caillots sanguins dans ses artères pulmonaires dans chaque branche/lobe ».
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8 novembre 2022 – L'actrice britannique Emily Chesterton, 30 ans, avait des caillots de sang dans les jambes, est allée voir un médecin et un médecin associé lui a dit qu'elle souffrait d'anxiété. Elle est décédée d'une embolie pulmonaire une semaine plus tard.
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1er avril 2022 – La Youtubeuse iJustine, Justine Ezarik, 38 ans, avait un caillot de sang dans l'épaule qui s'est propagé jusqu'à son poumon.
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Ma prise…
RépondreSupprimerJ'ai déjà écrit plusieurs articles substack sur les caillots sanguins chez les jeunes, mais cela arrive de plus en plus fréquemment maintenant.
Je crois que la coagulation est un effet indésirable à la fois à court et à long terme des vaccins contre la COVID-19.
Ces problèmes de coagulation chez les personnes vaccinées contre le COVID-19 sont inhabituellement complexes – impliquent généralement plusieurs endroits (jambes et poumons) et résistent au traitement médical, nécessitant une ablation chirurgicale.
Et tandis que le médaillé d'or olympique Ryan Crouser peut remporter le titre mondial du lancer du poids avec des caillots sanguins dans les jambes, pour la plupart des pratiquants d'athlétisme, ces caillots sanguins du vaccin à ARNm mettent fin à leur carrière.
Comme vous pouvez le constater à partir de nombreux cas que j’ai présentés ici, ces problèmes de coagulation induits par le vaccin COVID-19 sont souvent mortels et NE PEUVENT donc PAS être sous-estimés.
Il a été démontré que la NATTOKINASE, une enzyme isolée au Japon et dérivée de graines de soja fermentées, décompose la protéine de pointe du vaccin à ARNm et les caillots sanguins chez les personnes vaccinées contre le COVID-19.
Cet important nutraceutique sauve des milliers de vies vaccinées à l’ARNm.
https://www.globalresearch.ca/blood-clots-in-the-legs-lungs-and-hearts-of-young-people-covid-19-vaccinated-grammy-winner-tori-kelly-nfl-cleveland-browns-marquise-goodwin/5829779
Il est temps de prendre votre huitième dose de vaccin Covid : Pfizer déclare que le dernier rappel ne sera pas testé sur les humains, mais qu'il fonctionne très bien sur les souris !
RépondreSupprimerIl n’y a pas de fin à la folie.
Par Jordan Schachtel
Recherche mondiale, 22 août 2023
Il est temps de prendre une autre dose !
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Hourra la science !
Pfizer a annoncé le 17 août 2023 que son nouveau vaccin, qui cible la variante Eris (quel qu'il soit) du rhume/grippe communément appelé Covid-19, se montre très prometteur chez la souris .
Et étant donné que les poids lourds de l'industrie pharmaceutique comme Pfizer contrôlent quasiment les institutions gouvernementales de santé américaines, nous devrions nous attendre à voir la FDA obtenir l'autorisation d'une autre injection « d'urgence » dans les semaines à venir.
Pour les vrais croyants qui sont en phase avec « la science », cela représenterait une huitième dose d’ARNm en moins de trois ans.
En avril, la FDA a autorisé une septième dose d’un nouveau vaccin appelé « rappel bivalent ». Lorsque le nouveau shot formulé « Eris » sortira, il s’agira d’une huitième piqûre.
Mais pour certains médecins et institutions pharmaceutiques capturés, huit, ce n’est toujours pas suffisant ! Selon ce nouvel article de NPR , certains « experts » recommandent désormais un rappel tous les deux mois pour les immunodéprimés. Si vous n'êtes pas encore immunodéprimé, vous pouvez vous faire vacciner tous les quatre mois. Une fois que vous êtes immunodéprimé par les injections, vous avez débloqué le succès tous les deux mois et vous serez récompensé par un grille-pain Pfizer gratuit. Il est temps d’augmenter ces niveaux d’anticorps. Personnalisez la dose !
- voir doc sur site -
RépondreSupprimerL’année dernière, la FDA a cessé de prétendre se soucier de la sécurité des injections, permettant aux dernières formulations de Pfizer et Moderna d’éviter tout test sur l’homme ou tout semblant d’examen indépendant. Nous espérons donc qu'il est encourageant de savoir que les essais sur l'homme se déroulent dans un format différent, plus en direct, qu'auparavant. Très excitant d’être à la pointe de la science.
Heureusement, pour le bien de l’humanité, la plupart des Américains ont arrêté de recevoir des injections d’ARNm, en grande partie parce que beaucoup ont réalisé en silence qu’ils avaient été trompés par les grandes sociétés pharmaceutiques et qu’ils prenaient une injection qui, en fait, n’arrêtait pas les reniflements.
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*
La crise mondiale du coronavirus, coup d'État mondial contre l'humanité
de Michel Chossudovsky
Michel Chossudovsky revient en détail sur la façon dont ce projet insidieux « détruit la vie des gens ». Il fournit une analyse complète de tout ce que vous devez savoir sur la « pandémie » – des dimensions médicales aux répercussions économiques et sociales, en passant par les fondements politiques et les impacts mentaux et psychologiques.
« Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer les gens du monde entier et de réfuter le discours officiel qui a été utilisé comme justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers, suivi de l’imposition du « vaccin » « mortel » contre le COVID-19. Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.
ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 Chapitres
Prix : 11,50 $ COPIE GRATUITE ! Cliquez ici (docsend) et téléchargez .
https://www.globalresearch.ca/eighth-dose-pfizer-says-latest-booster-wont-tested-humans-works-great-mice/5829719
Lauréat du prix Nobel, plus de 1 600 scientifiques et professionnels déclarent : Il n’y a PAS de crise climatique
RépondreSupprimer21/08/2023
Laura Harris
Le Dr John Clauser, lauréat du prix Nobel de physique l'année dernière, s'est joint à plus de 1 600 scientifiques et professionnels pour signer une déclaration affirmant qu'« il n'y a pas de crise climatique ».
Les signataires du monde entier sont membres du Global Climate Intelligence Group (GCIG), une filiale de la Climate Intelligence Foundation, un groupe de réflexion opérant dans les domaines du changement climatique et de la politique climatique.
Les membres du GCIG, composés d’experts en science du climat, en politique et dans d’autres domaines connexes, estiment que le discours sur le climat est une mauvaise interprétation des données et l’influence indue de l’hystérie médiatique. Ils visent à présenter une perspective alternative sur le changement climatique et son urgence perçue. (Connexe : le PCC prouve que la lutte pour le « climat » n’est pas vraiment une question de climat.)
Selon les membres du GCIG, les archives géologiques historiques démontrent que la planète a subi différents cycles naturels de phases chaudes et froides tout au long de son existence, y compris la fin récente du Petit Âge Glaciaire du XIIIe au XIXe siècle. Ce faisant, la déclaration affirme que les facteurs naturels, plutôt que les activités exclusivement humaines, contribuent à façonner les modèles naturels de la Terre.
RépondreSupprimerIls soulignent également l’affirmation selon laquelle le rythme du réchauffement climatique est plus lent que ce que prédisaient les modèles climatiques. Cet écart entre les observations du monde réel et les prévisions des modèles souligne la complexité de la science du climat et les défis liés à la compréhension des subtilités du changement climatique.
La déclaration critique en outre le recours aux modèles climatiques comme base des décisions politiques. Ces modèles présentent des défauts inhérents et exagèrent souvent les effets des gaz à effet de serre tout en négligeant les aspects positifs de facteurs tels que l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique. Ils affirment que le gaz carbonique n’est pas un polluant mais plutôt un composant essentiel de l’écosystème, essentiel à la croissance des plantes et à la biomasse végétale mondiale.
Contrairement aux affirmations des climatologues, les membres du GCIG affirment qu’il n’existe aucune preuve statistique solide reliant l’augmentation du réchauffement climatique à des ouragans, des inondations et des sécheresses plus intenses ou plus fréquents. Les signataires suggèrent plutôt de mettre l’accent sur l’adaptation plutôt que sur des mesures drastiques d’atténuation.
Selon les signataires, les mesures visant à atténuer les émissions de gaz carbonique se sont révélées préjudiciables sans apporter de bénéfices proportionnels. Ils suggèrent que ces efforts pourraient entraîner des pertes économiques importantes tout en ayant peu d’effet sur le climat.
Clauser a été réduit au silence pour avoir rejoint la campagne contre « l'urgence climatique »
Clauser, un physicien renommé qui a récemment rejoint la campagne contre l'urgence climatique, devait faire une présentation lors d'un séminaire du Fonds monétaire international (FMI) le 27 juillet.
Mais selon la Coalition gaz carbonique, le séminaire a été annulé après un courriel du directeur du Bureau indépendant d'évaluation du FMI, Pablo Moreno, qui a déclaré que la présentation de Clauser avait été "reportée". Cette décision faisait suite aux récents propos de Clauser contestant l’existence d’une crise climatique lors d’un discours à Quantum Korea 2023, une conférence internationale axée sur les innovations des écosystèmes quantiques.
RépondreSupprimer"Je ne crois pas qu'il y ait une crise climatique", a proclamé avec audace Clauser lors de son discours à Séoul. "Le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui est rempli de désinformation. C'est à chacun d'entre vous de servir de juge, distinguant la vérité du mensonge sur la base d'observations précises des phénomènes."
Ces déclarations faisaient écho aux sentiments exprimés précédemment par Clauser, selon lequel il n'y avait pas de « véritable crise climatique » mais plutôt une crise énergétique exacerbée par ce qu'il considérait comme une science climatique incorrecte.
Le Dr William Harper, l'un des fondateurs de la gaz carbonique Coalition, a condamné la décision du FMI d'annuler le séminaire, la qualifiant de « honte » et de suppression de la liberté académique. "C'est un triste jour lorsqu'un scientifique éminent comme le Dr Clauser est réduit au silence parce que ses opinions remettent en question le discours dominant", a déclaré Harper dans une déclaration à Newsweek.
Les dernières nouvelles sur le canular du changement climatique sont disponibles sur ClimateScienceNews.com.
Regardez cet épisode du « Health Ranger Report » alors que Mike Adams, le Health Ranger, discute du projet de géo-ingénierie alimenté par l'alarmisme climatique pour atténuer le soleil, polluer le ciel et geler les océans de la planète.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
RépondreSupprimerPlus d'histoires connexes:
Où est cette « crise climatique » dont parlent les militants ?
INSANITÉ : l’administration Biden s’attaque désormais aux lave-vaisselle pour lutter contre une crise climatique imaginaire.
Absurde : les militants pour le climat affirment que la production alimentaire est la cause de la crise environnementale mondiale.
Essayer de résoudre la « crise climatique » avec davantage de biotechnologies est une tâche insensée, estiment les universitaires.
Le Dr John Clauser, lauréat du prix Nobel, affirme qu’il n’y a AUCUNE crise climatique… tout cela n’est qu’un canular poussé à des fins politiques.
Sources include:
WhatsUpWithThat.com
NewsWeek.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-21-scientists-professionals-there-is-no-climate-crisis.html
Des scientifiques de Princeton et du MIT confirment que les nouvelles réglementations climatiques de l’EPA sont basées sur une pseudoscience « canular »
RépondreSupprimer21/08/2023
Ethan Huff
William Happer, professeur émérite de physique à l'Université de Princeton, et Richard Lindzen, professeur émérite de sciences atmosphériques au Massachusetts Institute of Technology (MIT), ont présenté des données montrant que les nouvelles réglementations climatiques proposées par l'Environmental Protection Agency (EPA) « seront désastreux pour le pays, sans aucune raison scientifiquement justifiable. »
Au cas où vous l'auriez manqué, le régime illégal de Biden tente de détruire toute la production terrestre de combustibles « fossiles » aux États-Unis, affirmant que cela est nécessaire pour arrêter la production « dangereuse » de gaz carbonique et d'autres substances naturelles gaz à effet de serre. Happer et Lindzen ne mettent pas en garde si vite puisqu'ils affirment que l'EPA s'appuie sur la pseudoscience plutôt que sur la science réelle en la matière.
"La méthode d'analyse non scientifique, reposant sur le consensus, l'examen par les pairs, l'opinion du gouvernement, les modèles qui ne fonctionnent pas, la sélection des données et l'omission de volumineuses données contradictoires, est couramment utilisée dans ces études et par l'EPA dans la règle proposée", Happer et Lindzen a expliqué.
"Aucune des études ne fournit de connaissances scientifiques et, par conséquent, aucune ne fournit de support scientifique à la règle proposée."
Selon le duo, chaque modèle climatique qui prédit un effondrement catastrophique du réchauffement climatique surestime « grossièrement » le niveau de réchauffement par rapport à ce que disent les données réelles, affirment-ils en outre.
"La méthode scientifique prouve qu'il n'y a aucun risque que les combustibles fossiles et le gaz carbonique provoquent un réchauffement catastrophique et des conditions météorologiques extrêmes."
(Connexe : Si les règles de l'EPA sont inscrites dans la loi, attendez-vous à des pannes d'électricité répétées et à un éventuel effondrement du réseau.)
L'EPA ment aux Américains depuis des décennies sur les « méfaits » des émissions de gaz carbonique
RépondreSupprimerIl s’avère que les modèles climatiques sur lesquels l’EPA s’appuie depuis plusieurs décennies sont systématiquement erronés, et pourtant l’agence fédérale les traite comme une vérité évangélique tout en colportant de nouvelles initiatives « vertes » aux masses sans méfiance.
La plupart des Américains sont désormais tellement drogués par les produits pharmaceutiques, les divertissements, les OGM et le plaisir qu’ils ne savent pas ce que l’EPA prépare – et ce depuis bien avant le début du siècle.
« C'était déjà embarrassant dans les années 90, lorsque j'étais directeur de la recherche énergétique au Département américain de l'énergie », a déclaré Happer à Epoch Times à propos des découvertes de Lindzen et lui.
"Je finançais une grande partie de ce travail et je savais très bien à l'époque que les modèles surestimaient considérablement le réchauffement."
Depuis près de 50 ans au moins, l’EPA sélectionne des données pour surestimer grossièrement les dommages présumés causés par les émissions de gaz carbonique, tout en dissimulant commodément les nombreux avantages du gaz carbonique, notamment le fait qu’il nourrit les plantes.
L'argument de longue date contre les diverses propositions anti-gaz carbonique de l'EPA repose sur la « question des doctrines majeures », ce qui signifie que l'agence n'a pas l'autorité légale pour inventer des réglementations qui ont un effet aussi énorme sur les Américains sans avoir reçu au préalable des instructions et une autorisation claires de la part de l'EPA. Congrès.
Happer et Lindzen estiment que le règlement proposé par l'EPA est "arbitraire et capricieux", ne réussissant pas à satisfaire au test simple proposé dans l'affaire Motor Vehicle Manufacturers c. State Farm Mutual Automobile Insurance Company.
"À maintes reprises, les tribunaux ont appliqué les principes de la "State Farm" pour invalider les règles de l'agence lorsque l'agence n'a pas pris en compte un aspect important du problème, ou n'a pas sélectionné des données pour étayer une conclusion prédéterminée", explique le duo.
RépondreSupprimer"Des données sur six cents millions d'années de gaz carbonique et de température contredisent la théorie selon laquelle des niveaux élevés de gaz carbonique provoqueraient un réchauffement climatique catastrophique", ajoutent-ils.
"L'augmentation souvent soulignée de 140 [parties par million] du gaz carbonique depuis le début de l'ère industrielle est insignifiante comparée aux changements de gaz carbonique au cours de l'histoire géologique de la vie sur Terre."
Le changement climatique provoqué par l’homme est un canular. Apprenez-en davantage sur Hoax.news.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-21-scientists-princeton-mit-epa-climate-hoax-pseudoscience.html
Litige sur les changements climatiques : le précédent du Montana
RépondreSupprimerPar le Dr Binoy Kampmark
Recherche mondiale,
22 août 2023
Les litiges liés au changement climatique deviennent de plus en plus pressants. En Australie, l'affaire Sharma de 2021, bien qu'elle ait finalement échoué devant trois juges de la Cour fédérale en 2022, a suggéré que les ministres avaient été avertis d'une éventuelle obligation de diligence concernant les conséquences de l'approbation de projets de combustibles fossiles.
La décision du tribunal de première instance avait ébranlé l'industrie des combustibles fossiles avec sa décision en faveur des huit enfants et de leur tuteur à l'instance, une religieuse octogénaire. Le juge Bromberg a conclu que la prise en compte des dommages potentiels résultant des émissions de dioxyde de carbone était une considération obligatoire de la Loi sur la protection de l'environnement et la conservation de la biodiversité. Le ministre de l'Environnement avait également un devoir de diligence étant donné qu'il était raisonnablement prévisible que les enfants australiens courent un risque de préjudice en raison de l'extension du projet minier. De plus, la Ministre avait le contrôle sur ce risque, étant donné qu'elle pouvait approuver la prolongation et que les enfants étaient vulnérables à un risque réel de préjudice découlant des menaces climatiques.
Bien que les trois juges de la Cour fédérale aient été en désaccord avec le raisonnement du juge Bromberg, rejetant sa conclusion selon laquelle le ministre devait tenir compte des dommages potentiels causés aux enfants par les émissions de gaz à effet de serre dans le cadre de l'EPBC, l'un des juges a laissé la possibilité d'envisager ultérieurement la conclusion d'un devoir d'attention.
RépondreSupprimerDans le Montana, un tribunal a donné raison à 16 personnes âgées de 5 à 22 ans qui affirmaient que leur droit constitutionnel à un environnement propre et sain avait été violé en autorisant des projets de combustibles fossiles. Seule une poignée d’États américains, dont Hawaï, l’Illinois, New York, le Massachusetts et la Pennsylvanie, ont inscrit la protection de l’environnement dans leur constitution. La constitution du Montana énumère spécifiquement que « l’État et chaque personne doivent maintenir et améliorer un environnement propre et sain… pour les générations présentes et futures ».
Dans sa décision du 14 août , la juge Kathy Seeley du tribunal de district a spécifiquement jugé que la politique d'évaluation des permis de combustibles fossiles, un processus qui ne permettait pas aux agences de prendre en compte les émissions de gaz à effet de serre, était inconstitutionnelle. "Chaque tonne supplémentaire d'émissions de GES (gaz à effet de serre) aggrave les blessures des plaignants et risque de provoquer des dommages climatiques irréversibles." Dans l'état actuel des choses, cette politique avait déjà contribué, illégalement, à « l'épuisement et à la dégradation » de l'environnement de l'État.
Le juge a refusé d'accepter l'affirmation de l'État selon laquelle le rôle environnemental du Montana était minime et insignifiant dans le système de telles émissions, et que l'arrêt des émissions de dioxyde de carbone n'aurait aucun effet tangible compte tenu des contributions mondiales des autres pays.
Les têtes parlantes ont exprimé diverses opinions sur l’importance de cette décision. Michael Gerrard du Sabin Center for Climate Change de l'Université Columbia a qualifié la décision Held de « décision la plus ferme sur le changement climatique jamais rendue par un tribunal ».
Richard Lazarus, professeur à la Harvard Law School, suggère qu'il ne faut pas exagérer l'impact de la décision, tout en acceptant néanmoins son caractère singulier. (La décision est la première du genre aux États-Unis.) « Bien sûr, il s’agit d’un tribunal d’État et non d’un tribunal fédéral et la décision est basée sur la constitution d’un État et non sur la Constitution américaine », a-t-il déclaré à l’Associated Press . , « mais il s’agit clairement d’une victoire majeure et révolutionnaire pour les plaignants du climat ».
RépondreSupprimerJames Huffman, de la Lewis & Clark Law School, basée à Portland, a été encore moins impressionné . « La décision n’apporte en réalité rien d’autre qu’un soutien émotionnel aux nombreuses affaires visant à établir un droit de confiance publique, un droit de l’homme ou un droit constitutionnel fédéral. »
En effet, la conclusion du juge est également entravée par le défaut de faire respecter le droit de réparation. Les plaignants ne peuvent qu’attendre de la législature du Montana qu’elle mette en œuvre des politiques qui ne violent pas le droit à un environnement propre, ce qui suggère que ce droit est de nature négative. Cela n’implique aucune imposition d’une quelconque obligation d’adopter une stratégie d’atténuation des GES.
Cela dit, le régulateur national est désormais confronté à la perspective de devoir prendre en compte les effets climatiques et les émissions de gaz à effet de serre des projets en cours, notamment la centrale électrique au gaz de 283 millions de dollars et 175 MW en construction sur la rivière Yellowstone, au sud de Billings. Comme Seeley l'a noté, la construction du projet a été initialement suspendue à la suite d'une décision de justice d'avril selon laquelle le ministère de la Qualité de l'environnement avait commis une erreur en ne prenant pas en compte les effets d'environ 23 millions de tonnes d'émissions de GES. Les travaux avaient toutefois repris après que le législateur ait modifié la loi nationale sur l'énergie, empêchant explicitement les agences d'État d'envisager « une évaluation des émissions de gaz à effet de serre et des impacts correspondants sur le climat dans l'État ou au-delà des frontières de l'État ». Une telle reprise de la construction a eu lieu en l’absence de tout examen des « impacts cumulatifs des permis [du régulateur] sur les émissions de GES ou le changement climatique ».
Seeley a également noté que quatre centrales électriques privées au charbon ont été autorisées à produire 30 % des besoins énergétiques du Montana « sans considérer comment les émissions de GES supplémentaires contribueront au changement climatique ou seront conformes aux normes que la Constitution impose » aux entités de l'État « pour protéger ». les droits des personnes. »
Le Parlement du Montana, qui reste le moins impressionné de tous, promet de faire appel de la décision, et il pourrait bien , comme le Commonwealth australien dans l'affaire Sharma, obtenir gain de cause. Emily Flower, porte-parole du procureur général de l'État, Austin Knudsen, a réitéré la position du gouvernement selon laquelle les habitants du Montana « ne peuvent pas être blâmés pour le changement climatique ». La théorie juridique testée « a été rejetée par les tribunaux fédéraux et les tribunaux de plus d’une douzaine d’États. Cela aurait dû être ici aussi.
RépondreSupprimerMalgré une telle consternation et une telle opposition de la part des législatures, une autorisation judiciaire est en cours pour les plaignants désireux de détourner les législateurs et les décideurs de la complaisance joyeuse et des accommodements confortables avec le lobby des combustibles fossiles. La durabilité écologique, avec le temps, promet de devenir une question, et non seulement une question de droits explicites comme des droits solennellement implicites.
https://www.globalresearch.ca/climate-change-litigation-montana-precedent/5829745
Technologie VS humain : le meilleur des deux mondes
RépondreSupprimerÀ l’ère du digital, les consommateurs sont plus exigeants que jamais, une attitude qui est renforcée par un contexte économique et géopolitique instable, qui les fait adopter de nouveaux comportements lorsqu’ils réalisent des achats.
Par Tanguy Meriadec
le 19 août 2023 à 11h00
49 % des Français affirment qu’une information produit de mauvaise qualité amène à un abandon de transaction
L’inflation les pousse à être beaucoup plus réfléchis avant de valider leur panier, alors que les problématiques environnementales les incitent dans le même temps à faire attention à la typologie de produits achetés.
Une situation qui pourrait rapidement conduire les marques à leur perte si elles ne tiennent pas compte de ces changements et n’adoptent pas une approche plus personnalisée et sur mesure pour absorber cette nouvelle norme. Et en la matière, un élément doit être au cœur de la stratégie de chaque marque qui souhaite prospérer : l’information produit. C’est uniquement en adoptant une approche adaptée et en proposant une bonne expérience produit que le succès sera au rendez-vous.
Mais comment procéder et s’adapter tout en tenant compte des contraintes budgétaires qui laissent moins de place aux investissements ? Voici les éléments clés que toute marque ou distributeur doit prendre en compte pour déclencher l’acte d’achat, contenter le consommateur, et le fidéliser sur la durée.
Respecter la règle d’or des 3C
Il peut être difficile de savoir par où commencer quand il s’agit de gérer l’information produit. Pourtant, toute entreprise devrait suivre une règle existante infaillible qui permet de cadrer sa démarche et de générer un véritable retour sur investissement : les 3C – Compréhension, Cohérence, Complémentarité. C’est uniquement grâce à cette combinaison gagnante que les entreprises pourront s’assurer de maîtriser de bout en bout le parcours client et de déclencher l’achat final.
La compréhension: à savoir, quelle typologie d’information produit est recherchée par votre audience. Une récente étude révèle une montée en puissance de l'importance des informations liées aux valeurs de la marque (28 %), et une insatisfaction face au niveau d’information produit lié à l’impact environnemental (24 %). Et avec 39 % des Français qui se disent prêts à payer plus si les marques et distributeurs proposent une information produit complète et à jour, les marques ont donc tout intérêt à prendre en compte ces tendances pour dynamiser leur chiffre d’affaires.
RépondreSupprimerLa cohérence: l’idée est ici de s’assurer que les données qui vont être transmises aux consommateurs soient cohérentes sur l’ensemble des canaux de vente. En effet, rien n’est plus frustrant pour un client que de voir apparaître une information sur un site e-commerce, et d’en trouver une contradictoire sur une application mobile par exemple. D’ailleurs, 49 % des Français affirment qu’une information produit de mauvaise qualité amène à un abandon de transaction et que 61 % des Français ont déjà fait un retour dû à des informations produits incorrectes. Pour éviter ce genre de situation, les entreprises doivent investir dans une solution PXM (Product Expérience Management) qui permet de créer des expériences produits convaincantes en rassemblant les personnes, technologies et processus dans le but de diffuser des informations produits détaillées sur tous leurs canaux de vente, et ce, peu importe où se trouvent les clients.
La complémentarité: qui consiste en l’adoption d’une stratégie omnicanale. En utilisant le bon canal pour diffuser une bonne information produit, cela ne fera qu’accroître la possibilité de retour sur investissement pour les efforts marketing fournis. A ce titre, il faut prendre en compte la montée en puissance des réseaux sociaux par exemple. Par ailleurs, le parcours d’achat n’est pas linéaire, et il est tout à fait possible de rechercher un produit en ligne pour l’acheter ensuite en magasin (comme le font 87 % des Français). Autant de tendances qui prouvent la nécessité de diversifier les canaux de vente en fonction des publics à toucher.
S’adapter grâce au commerce composable
RépondreSupprimerMais une fois la règle des 3C intégrée, comment la transposer efficacement dans les faits. Pour suivre l’évolution des demandes clients et garder une longueur d’avance sur la concurrence, les entreprises ont besoin d’un cadre et d’un écosystème technologique adéquats, qui répondent à leurs propres besoins, mais également aux attentes des clients et de les dépasser.
En ce sens, les entreprises ont tout intérêt à réfléchir à une stratégie de commerce composable, une approche moderne, innovante et flexible de leur environnement technologique, qui permet aux entreprises de choisir et combiner différents composants ou modules pour créer une solution de commerce personnalisée et adaptable. Elle permet aux entreprises d’assembler et de réassembler leurs solutions technologiques en fonction de leurs besoins, ce qui leur donne la souplesse nécessaire pour s’adapter rapidement et répondre aux évolutions du marché.
Une souplesse bienvenue alors que les entreprises doivent porter une attention toute particulière à l’histoire produit véhiculée sur leurs canaux de vente, qui, comme nous l’avons vu, doit être compréhensible et cohérente. Le commerce composable facilite ce travail en permettant l’intégration d’importants composants, tels que les solutions de Gestion des Informations Produits (PIM), les systèmes de gestion de contenu (CMS) ou la gestion des contenus digitaux (DAM), afin de garantir que les données et les contenus relatifs aux produits soient synchronisés et mis à jour sur tous les canaux de vente.
Tirer parti des nouvelles technologies
Un bon processus et une approche composable pour une expérience parfaite ? Pas uniquement. Dans un monde où la technologie fait bouger les lignes en permanence, les marques ne peuvent pas se plonger corps perdu dans un mode de fonctionnement unique, aussi composable soit-il.
Les nouvelles technologies apportent une multitude de nouvelles opportunités dont les acteurs de la vente doivent se saisir pour proposer des expériences toujours plus augmentées à leurs clients. Dans le secteur du retail, ChatGPT et d’autres technologies utilisant l’IA peuvent être utilisées pour analyser les données clients et créer des expériences d’achat personnalisées et fluides. Ainsi, à terme, ChatGPT, et son traitement du langage naturel (NLP), pourraient permettre aux clients de trouver et d’acheter plus facilement les produits recherchés par exemple.
Mais l’IA n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. La réalité augmentée et la réalité virtuelle rendent pratiquement palpable des éléments pourtant virtuels, et les assistants vocaux automatisent les processus, permettant aux collaborateurs de mettre leur véritable expertise de pointe au service du produit et des clients.
RépondreSupprimerFaire prospérer sa marque en 2023 n’est donc pas mission impossible. Il faut remettre au cœur des priorités l’expérience produit, qui doit être claire et cohérente de bout en bout, quels que soient les canaux utilisés. Par ailleurs, il faut trouver un équilibre entre l’utilisation de technologies et de solutions adaptées aux besoins de l’entreprise et des nouveaux comportements clients, tout en gardant une place centrale pour l’humain.
https://www.economiematin.fr/technologie-humains-intelligence-artificielle-experience-client-retail-meriadec
(...) Les nouvelles technologies apportent une multitude de nouvelles opportunités dont les acteurs de la vente doivent se saisir pour proposer des expériences toujours plus augmentées à leurs clients. Dans le secteur du retail, ChatGPT et d’autres technologies utilisant l’IA peuvent être utilisées pour analyser les données clients et créer des expériences d’achat personnalisées et fluides. Ainsi, à terme, ChatGPT, et son traitement du langage naturel (NLP), pourraient permettre aux clients de trouver et d’acheter plus facilement les produits recherchés par exemple. (...)
SupprimerEncore un programme à-la-con (I.A.) qui va diriger les cons vers des conneries !
Passoires thermiques : l’interdiction de location est confirmée
RépondreSupprimerL’avenir des logements énergivores, communément appelés « passoires thermiques », est désormais scellé. Un décret confirme le calendrier d’interdiction progressive de mise en location de ces logements, marquant une étape cruciale dans la transition énergétique de la France. Propriétaires, il est temps de prendre connaissance de ces nouvelles directives et d’agir en conséquence.
Par Paolo Garoscio
le 22 août 2023 à 11h00
Près de 17 % du parc immobilier français seraient des passoires thermiques.
Passoires thermiques : le calendrier d'interdiction de location dévoilé
Les propriétaires de passoires thermiques doivent marquer leurs calendriers. À partir de 2025, les logements classés G seront les premiers à être interdits à la location. Cette interdiction s'étendra ensuite aux logements classés F en 2028, puis aux logements classés E en 2034. Ces dates sont valables pour la France métropolitaine.
Pour les territoires d'outre-mer tels que la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, La Réunion et Mayotte, le calendrier est légèrement différent. L'interdiction pour les logements classés G commencera en 2028, suivie des logements classés F en 2031.
Des exceptions à la règle
Tous les propriétaires de passoires thermiques ne seront pas en mesure de rendre leurs logements conformes aux nouvelles normes énergétiques. En raison de contraintes architecturales ou patrimoniales, certains travaux d'amélioration pourraient s'avérer impossibles. Dans de tels cas, des exceptions ont été prévues par le décret publié au Journal officiel le 20 août 2023.
Deux situations principales permettent d'être exempté de ces obligations pour les passoires thermiques. Premièrement, si les travaux risquent d'entraîner des problèmes structurels au bâtiment, attestés par un expert. Deuxièmement, si les travaux nécessitent des modifications extérieures ou touchent à l'architecture et sont refusés par une autorité administrative, comme un refus de permis de construire.
RépondreSupprimerL'impact sur le marché immobilier français
Face à ces nouvelles réglementations, de nombreux propriétaires se sont précipités pour vendre leurs logements, souvent à des prix réduits. La peur de ne pas pouvoir se conformer aux normes et l'incertitude quant aux exceptions possibles ont créé une certaine panique sur le marché. Les passoires thermiques ont donc été bradées, et
Interdiction de louer une passoire thermique : calendrier et exceptions
https://www.economiematin.fr/passoires-thermiques-interdiction-location-calendrier-decret-reglementation
De la primauté du droit à la loi militarisée
RépondreSupprimerle 21 août 2023
Paul Craig Roberts, 20 août 2023: Dans mon livre « The Tyranny of Good Intentions » (2000), j’ai discuté de la militarisation de la loi afin de faciliter la condamnation des criminels. Au XXIe siècle, nous avons assisté à une expansion remarquable de la militarisation du droit. Par exemple, l’utilisation de la loi militarisée contre les participants au rassemblement de Trump et contre le président Trump lui-même. La militarisation du droit n’a suscité aucune protestation de la part des facultés de droit, des barreaux, du Congrès, des médias ou des juges fédéraux. Par conséquent, nous sommes devenus une société [les USA] dans laquelle la fonction du droit est d’obtenir de quelqu’un ou de réaliser un programme qui ne peut pas être réalisé par voie législative. La personne n’a pas à être coupable d’un crime. Il suffit d’être diabolisé ou désapprouvé. Le droit ne sert plus la justice mais les émotions politiques et idéologiques et les agendas des puissants.
Le fait que toute la profession juridique et toutes ses institutions se soient tenues à l’écart de cette transformation du droit indique que la liberté n’est plus une valeur. Par conséquent, les protections constitutionnelles sont de moins en moins appliquées. Les Américains blancs souffrent de discrimination dans les admissions universitaires, l’embauche et la promotion depuis plus d’un demi-siècle. Le gouvernement et ses agences ont utilisé la presse écrite, la télévision et les médias sociaux pour censurer et contrôler les explications à ce sujet. L’espionnage des citoyens sans mandat de la cour est répandu. Les États-Unis ont déclaré leur loi exécutoire dans le monde entier, même applicable aux journalistes nationaux étrangers tels que Julian Assange, et au président de la Russie.
Tout lecteur de nouvelles alternatives peut faire une longue liste des pouvoirs arbitraires inexplicables utilisés pour nier les protections juridiques et constitutionnelles. Le président républicain George W. Bush a déclaré qu’il pouvait détenir des citoyens américains en prison indéfiniment au mépris de l’habeas corpus. Le président démocrate Obama a déclaré qu’il pouvait exécuter des citoyens américains sur la seule suspicion sans l’application régulière de la loi. Ni l’un ni l’autre n’ont été tenus responsables de ces crimes et violations du serment d’office. La présomption de « terroristes » était considérée comme plus importante que la Constitution américaine. La liberté civile et la primauté du droit que requiert cette liberté civile sont toujours menacées. Les avocats, les procureurs et les juges sont de pauvres défenseurs de l’État de droit. Les avocats et les procureurs essaient toujours de contourner la loi ou de trouver une nouvelle interprétation de ce que signifie la loi, une nouvelle théorie de l’objet de la loi afin de mettre la loi au service de leurs intérêts. Les juges accueillent favorablement les nouvelles interprétations qui brisent la monotonie de la loi. Les procureurs recherchent les condamnations – leur indicateur de succès – et non la détermination de l’innocence ou de la culpabilité. De nouvelles interprétations signifient que l’accusé est jugé pour un crime dont il ignorait l’existence. Même le président Trump se trouve dans cette situation. Trump ne savait pas que c’était un crime de douter de l’honnêteté de l’élection de Biden et de tenter de faire quelque chose à ce sujet.
RépondreSupprimerJuste les ajouts constants à la loi la rendent inconnaissable. Il y a plus de dix ans, Harvey Silverglate, ancien chef de l’ACLU du Massachusetts, a écrit un livre, « Three Felonies A Day : How the Feds Target the Innocent » [Feds : les agents fédéraux dont le FBI]. La loi est si vaste et compliquée que les Américains peuvent facilement commettre trois crimes par jour sans le savoir.
En Amérique, l’adoption d’une loi est la solution à tout. Nous avons tous entendu le refrain commun : « Il devrait y avoir une loi contre cela. » Les conséquences involontaires de ces lois ne sont jamais abordées. Les procureurs sont moins respectueux de la loi que les criminels. Les criminels ne font qu’enfreindre la loi. Les procureurs la corrompent. Les procureurs retiennent les preuves disculpatoires des accusés, soudoient les témoins avec des accusations abandonnées, des peines avec sursis et de l’argent pour faux témoignage contre l’accusé. Tant à New York qu’au Texas, et sans aucun doute dans d’autres États, il y a eu des scandales dans lesquels des preuves policières de drogues illégales utilisées pour condamner un grand nombre de personnes se sont avérées être du « papier peint ». Lorsque le gouverneur ou le procureur général a tenté de libérer ces personnes faussement condamnées, les procureurs se sont opposés à leur libération. Dans un cas, les procureurs ont inculpé et condamné le gouverneur pour fausses accusations.
Les procureurs n’admettront tout simplement pas de fausses condamnations. Lorsque les victimes de fausses condamnations sont libérées, les procureurs blâment les « juges libéraux qui sont indulgents envers la criminalité », et non leurs propres méthodes malhonnêtes de poursuite. À mon avis, il y a rarement une raison de faire confiance à un procureur. Il suffit de regarder le parcours de l’agent Derek Chauvin. Chauvin a été jugé et condamné dans les médias, pas devant un tribunal. Les médias ont assuré la condamnation de Chauvin en montrant à plusieurs reprises une vidéo prise par un adolescent noir de loin et sous un angle qui a entraîné une distorsion de perspective faisant croire que Chauvin avait le genou sur le cou de George Floyd, Alors que les vidéos de police rapprochées sans distorsion de perspective montraient le genou de Chauvin sur l’épaule de Floyd, une prise approuvée.
RépondreSupprimerChauvin tenait Floyd toujours dans un effort pour sauver la vie de Floyd. Chauvin a reconnu que la vie de Floyd était menacée par une surdose de fentanyl, confirmé par le rapport du laboratoire que le sang de Floyd avait plus de deux fois la dose létale de fentanyl ! Chauvin ou ses collègues officiers avaient appelé une ambulance d’urgence. Comme Floyd s’était plaint de difficultés respiratoires alors qu’il était assis dans la voiture de police et avait demandé à s’allonger, il lui a été conseillé de rester assis afin de conserver son oxygène. Si Chauvin voulait tuer Floyd, pourquoi appeler une ambulance d’urgence ?
Les faits ont été présentés au procès, mais à ce moment-là il était trop tard. Les jurés, même s’ils étaient amendables aux faits, savaient que Chauvin était déjà condamné et que s’ils ne ratifiaient pas la condamnation, ils seraient dénoncés comme un « jury raciste » par les médias américains et auraient leurs voisins, Antifa, et Black Lives Matter sur leur pelouse et pas de police pour les protéger.
C’est ce qui se produit lorsque la loi est abandonnée. Et les conséquences s’accumulent. Aujourd’hui, la police évite d’appliquer la loi contre les Noirs. Il en va de même pour les villes démocrates, comme San Francisco où une loi a été adoptée pour libérer les Noirs des charges criminelles pour les vols de moins de 950 $ par incident. L’un des résultats a été des raids noirs de masse sur les magasins, et la fuite de San Francisco de nombreuses entreprises. À l’heure actuelle, la législature californienne adopte une loi selon laquelle les Noirs doivent être punis moins pour les mêmes crimes que les Blancs.
Le fentanyl est maintenant devenu une drogue de choix. La police sait que l’arrestation d’un toxicomane peut la laisser avec un mort au fentanyl sur les mains comme George Floyd. Par conséquent, la police évite les arrestations pour drogue. Par conséquent, de San Francisco à Philadelphie, les rues sont jonchées de consommateurs de drogues, ce qui est une publicité impressionnante pour l’Amérique « exceptionnelle, indispensable ». Aujourd’hui, l’absence de loi aux États-Unis présente les États-Unis au monde comme un asile d’aliénés dans lequel l’un ou l’autre des électeurs américains sont si incompétents pour élire et réélire un criminel endurci à la présidence, à peine une recommandation pour la démocratie, ou les démocrates sont tellement sans foi ni loi qu’ils ne permettront pas une élection honnête pour les empêcher de prendre le pouvoir et, par conséquent, pour militariser la loi afin de détruire leur adversaire politique.
En regardant les agents démocrates et les procureurs, que voyez-vous ? Des gens complètement stupides, des gens qui croient que le reste du monde acceptera leurs affirmations selon lesquelles, alors que le président des États-Unis, entouré par le conseiller de la Maison-Blanche et un ministère de la Justice, le président Trump a commis de multiples crimes entraînant quatre inculpations, y compris le racket digne d’une inculpation RICO. Une inculpation RICO signifie que l’incompétent Fani Willis à Atlanta peut saisir les actifs de Trump et empêcher sa défense. Fani, bien sûr, est trop incompétent pour le savoir, mais qu’en est-il de l’escroc Biden nommé « procureur général » des États-Unis ? Quand apprendrons-nous que les avoirs de Trump ont été saisis pour empêcher sa défense ?
RépondreSupprimerL’aspect le plus effrayant des accusations de Trump est que la profession juridique est prête à les prendre au sérieux. Peut-être cette volonté reflète-t-elle le parti pris contre Trump. Peut-être indique-t-elle une valeur de divertissement dans les mises en accusation. C’est peut-être de la curiosité si les procureurs peuvent créer de nouvelles lois par un précédent et obtenir Trump en élargissant l’interprétation des lois existantes. Certes, le Premier Amendement a été tellement déprécié et piétiné qu’il est un faible roseau pour une défense. Je suis étonné que les juges qui supervisent ces affaires ne les aient pas rejetées. Ce que cela nous dit, je pense, c’est que la profession juridique préfère le cirque à la primauté du droit.
Note. Cette réflexion de Paul Craig Roberts s’applique étrangement à la France point par point et à d’autres pays occidentaux dont le pouvoir politique ignore le principe le plus fondamental de la démocratie : la séparation stricte entre le pouvoir exécutif et la justice. Les magistrats ont succombé aux idéaux progressistes qui ravagent la notion même de séparation des pouvoirs. De ce fait la France n’est plus une démocratie …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/08/21/de-la-primaute-du-droit-a-la-loi-militarisee/
L'ONU crée une « armée numérique » contre la désinformation
RépondreSupprimer22 août 2023
par Thomas Oysmuller
Dans sa lutte contre la « désinformation » numérique et meurtrière, l’ONU est en train de créer une armée numérique. Les forces de maintien de la paix de l’ONU devraient désormais intervenir activement dans l’actualité. D'abord en Afrique.
L'ONU élargit sa structure de « lutte contre la désinformation en ligne » et confie une nouvelle tâche aux soldats de la paix de l'ONU. La désinformation de l'ONU a longtemps été évoquée comme un danger pouvant même conduire au génocide – en tout cas elle est « mortelle ». Une « armée numérique » est désormais en préparation pour lutter contre la désinformation.
Armée numérique
Les soldats de la paix ont désormais pour mission de constituer une armée numérique. L'ONU parle littéralement de la "guerre" dans laquelle on se trouve - et on parle du "champ de bataille" médiatique. Le langage guerrier, même si l’ONU a effectivement pour mission d’assurer la paix entre les peuples, est alarmant. L’armée numérique combat une menace « existentielle » qui pèse sur la société moderne.
Reclaim The Net souligne même la même formulation. Cela « peut être ou non une coïncidence ». Le portail souligne également à maintes reprises à quel point "l'orientation des activités et des objectifs traditionnels de l'ONU" a changé entre-temps.
La publication de l’ONU sur la désinformation ne parle pas seulement de « choses comme saper les efforts visant à contenir les épidémies, protéger la vérité et les faits scientifiques (et, comme l’expérience récente l’a montré, les « faits »), etc. Les missions de maintien de la paix de l'ONU échouent en partie à cause d'une « désinformation à grande échelle », selon le communiqué.
RépondreSupprimerL’ONU opte désormais pour des approches « proactives ». D’abord dans les pays africains. La République démocratique du Congo jouera probablement un rôle clé. Là-bas, « une armée numérique » est formée « capable de reconnaître les fausses informations ». Comment? "En produisant des contenus à l'aide d'un smartphone et d'un logiciel de montage, tout en diffusant des informations objectives et crédibles sur les 'clubs relais' qui relayent cette actualité à travers leurs réseaux."
On dirait un peu que l’ONU forme désormais ses propres vérificateurs de faits pour l’Afrique.
En outre, les projets de l’ONU commencent à clarifier comment se protéger contre la désinformation en ligne. De plus, les « contenus émotionnels, dramatiques et provocateurs » devraient être plus facilement reconnus. Reclaim The Net : « Certains pourraient dire que l’article du site Web de l’ONU référencé ici s’y prête facilement.
https://tkp.at/2023/08/22/uno-gruendet-digitale-armee-gegen-desinformation/
ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)
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