Pétition: Pas de participation de la Suisse et de l'Autriche au système de défense aérienne "Sky Shield" de l'OTAN
01.08.2023 www.kla.tv/26705
L'« European Sky Shield Initiative » (Bouclier anti-aérien européen) est un projet planifié visant à mettre en place un meilleur système européen de défense aérienne. L’initiative a été lancée par le chancelier allemand Olaf Scholz fin août 2022. Ceci dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. L'initiative vise à combler les lacunes de l'actuel bouclier de protection pour l'Europe. Par exemple, dans le domaine de la défense contre les drones, les missiles de croisière et les missiles balistiques intercontinentaux. Les missiles balistiques sont tirés depuis le sol selon une trajectoire en arc de cercle vers des cibles à terre et sont considérés comme le principal vecteur des ogives nucléaires.
Les membres de « Sky Shield » veulent notamment coordonner l'acquisition et la maintenance des systèmes de défense aérienne et améliorer ce qu’on appelle l'interopérabilité - c'est-à-dire l'interchangeabilité - des systèmes.
17 pays de l'OTAN sont déjà impliqués, mais pas la France ni l'Italie. Le 7 juillet 2023, Klaudia Tanner, ministre autrichienne de la Défense et Viola Amherd, conseillère fédérale suisse ont signé une déclaration d'intention d'adhésion. Au plus tard lorsqu'il s'agira de prendre des mesures concrètes, le Parlement suisse aura son mot à dire sur la participation de la Suisse à « Sky Shield ».
La grande question est de savoir dans quelle mesure une participation à « Sky Shield » est compatible avec la neutralité ancrée dans les Constitutions fédérale autrichienne et suisse. Celle-ci impose l'abstention absolue de toute intervention active dans le déroulement de la guerre, ainsi que l'absence de tout soutien militaire aux parties en guerre.
Le Département fédéral de la défense (DDPS) écrit toutefois dans un communiqué de presse que la neutralité n'est pas un obstacle : la Suisse et l'Autriche ont consigné leurs réserves en ce qui concerne le droit de la neutralité dans une déclaration complémentaire, afin d'exclure par exemple toute participation à des conflits militaires internationaux, peut-on y lire.
Mais est-ce vraiment le cas ? L'initiative interpartis et transnationale PatriotPetition.org écrit qu'une adhésion s'inscrit « dans une chaîne fatidique d'abandon fragmentaire de la neutralité ». « Faire un tel pas à un moment où le monde est au bord d'une Troisième Guerre mondiale nucléaire ne serait pas seulement irresponsable, ce serait de la folie pure ! »
Dans une pétition adressée aux ministres de la défense d'Autriche et de Suisse, PatriotPetition.org justifie son point de vue. La pétition peut être signée jusqu'à la mi-août au moins, en cliquant sur le lien qui apparaît dans le générique. Le texte de la pétition, reproduit ci-dessous dans son intégralité, est également destiné à servir de modèle pour écrire à vos parlementaires en Autriche et en Suisse.
Madame la Ministre de la Défense Tanner, Madame la Conseillère fédérale Amherd
Vous avez l'intention d'adhérer au système de défense aérienne « Sky Shield », initié par l'Allemagne, membre de l'OTAN. Nous considérons cette démarche non seulement comme incompatible avec la neutralité inscrite dans la Constitution fédérale, mais aussi comme tout à fait irresponsable au vu de la situation actuelle en matière de politique de sécurité.
Pour être « interopérable » comme annoncé, « Sky Shield », devrait nécessairement disposer de structures de commandement et de contrôle communes. Cela signifie que si un seul des pays impliqués, principalement ceux de l'OTAN, était mêlé à un conflit militaire, nous serions nous aussi - plus ou moins - associés. Un fait absolument incompatible avec le principe d'abstention du droit de la neutralité, qui impose de s'abstenir strictement de toute intervention active dans le déroulement de la guerre et de s'abstenir de tout soutien plus militaire aux parties belligérantes. Le fait est qu'en déployant des missiles antiaériens sur notre sol, l'OTAN obtiendrait un avantage stratégique, tandis que nous deviendrions la cible d'autres pays et abandonnerions notre position de force, qui pourrait justement nous permettre de jouer un rôle de médiateur dans le conflit actuel entre la Russie et l'Ukraine.
Le projet « Sky Shield » menace au plus haut point notre sécurité nationale et la protection que nous offre notre statut de neutralité. Ce serait une pure folie de se lier encore plus à l'OTAN, qui est au bord d'une troisième guerre mondiale nucléaire. Nous protestons donc vigoureusement contre l'adhésion au système de défense aérienne « Sky Shield » et vous appelons à y renoncer ! Engagez-vous clairement en faveur de la neutralité et préservez-la en toutes circonstances. Nous ne devons en aucun cas devenir une partie de guerre dans un conflit apocalyptique entre les grandes puissances !
La pétition en allemand peut être signée ici jusqu'à la mi-août 2023 au moins : https://www.patriotpetition.org/2023/07/06/keine-beteiligung-am-nato-luftverteidigungssystem-sky-shield-neutralitaet-verteidigen/
de dd. Sources / Liens : „European Sky Shield Initiative” https://de.wikipedia.org/wiki/European_Sky_Shield_Initiative
Amherd signe une déclaration d'intention pour l’« Initiative European Sky Shield » https://www.srf.ch/news/schweiz/europaeische-luftverteidigung-amherd-unterschreibt-absichtserklaerung-fuer-sky-shield
Réactions diverses à la participation suisse à « Sky Shield » https://www.srf.ch/news/schweiz/europaeische-luftverteidigung-gemischte-reaktionen-auf-schweizer-teilnahme-bei-sky-shield
Pétition adressée aux ministres de la Défense d'Autriche et de Suisse https://www.patriotpetition.org/2023/07/06/keine-beteiligung-am-nato-luftverteidigungssystem-sky-shield-neutralitaet-verteidigen/
Lettre ouverte du Tübingen Medical Group à la Commission allemande de vaccination
2 août 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Dans de nombreux pays, les commissions nationales ou régionales de vaccination sont responsables des recommandations de vaccination. Ils doivent agir et travailler de manière indépendante et impartiale vis-à-vis de ceux qui gagnent grâce aux vaccins. Ce n'est presque plus le cas. Comme les articles dans les médias spécialisés s'en plaignent à plusieurs reprises, il existe des liens beaucoup trop étroits avec l'industrie pharmaceutique en médecine et cela se voit également dans les sponsors des organisations médicales et des conférences. Et vous pouvez le voir dans la surmortalité (100 000 rien qu'en Allemagne en 2021 et 2022) et les dégâts sans fin des vaccins.
Le groupe de médecins de Tübingen a approché le président de la Commission permanente allemande de vaccination (STIKO) avec un catalogue de questions, a reçu une réponse et a rédigé lui-même une réponse.
TKP a reçu l'e-mail suivant :
Nous, le Tübingen Medical Group, avons reçu une réponse de M. Mertens à notre lettre ouverte dans laquelle nous demandions la suspension de la recommandation de vaccination corona il y a quelques semaines. De notre point de vue, les réponses de M. Mertens ne correspondent pas à l'état actuel de la recherche scientifique et contiennent des erreurs logiques, factuelles et méthodologiques. Nous le prouvons dans une lettre de réponse avec le soutien des professeurs Cullen, Kuhbandner et Ullrich avec des explications scientifiquement solides. Notre lettre a été envoyée à M. Mertens et STIKO hier.
Vous trouverez ci-joint un pdf avec notre lettre au STIKO avec la description des erreurs systématiques dans l'argumentation, les pièces jointes, la lettre de réponse du STIKO et la lettre ouverte du groupe de médecins de Tübingen.
Nous sommes convaincus que nos déclarations et en particulier les réponses de M. Mertens sont du plus grand intérêt public, nous vous demandons donc de les publier sur votre portail.
Nous sommes heureux de répondre à cette demande. Tout simplement parce que la lettre de Mertens contient des déclarations anti-scientifiques vraiment incroyables . Comme ceux-ci, qui sont critiqués en début de déclaration par le groupe médical :
“ Au début, vous expliquez que STIKO pèse les risques et les avantages avant de faire une recommandation ; c'est une évidence, ce que nous supposons naturellement. Vous déclarez plus tard que la STIKO ne recommande les vaccinations que lorsque le bénéfice l'emporte clairement sur elles. Dans ce qui suit, vous expliquez qu'il n'y a pas de définition de cas claire pour le syndrome post-vac en raison du grand nombre de symptômes et de signes, et donc une incidence ne peut pas être déterminée. Comment peser les risques et les bénéfices si les symptômes et les tableaux cliniques attendus ne sont pas clairs ? Cela rend impossible une évaluation solide des risques, et aucune recommandation de vaccination ne peut être faite sur cette base.
C'est vraiment incroyable à quel point ils admettent avec froideur qu'ils n'ont aucune idée et se moquent des dommages causés par le vaccin, mais forcent toujours les gens à se faire vacciner avec un sourire froid.
Voici la correspondance et les déclarations de Mertens et l'analyse du Tübingen Medical Group :
Réponse du Tübingen Medical Group au Prof. Mertens et sa lettre
Détournement de la science à l'exemple d'une étude ZEW erronée sur la manipulation du nombre de lits de soins intensifs
2 août 2023 du Dr. Rudiger Kessel
Il ne fait aucun doute que la pandémie de corona a entraîné des problèmes dans les cliniques allemandes. Il serait donc logique que les causes des problèmes soient également examinées par des chercheurs en économie. Pour que les résultats trouvés aient une quelconque valeur scientifique, il est toutefois nécessaire que les scientifiques qui mènent de telles investigations adhèrent aux principes scientifiques établis.
En juin 2023, le Centre Leibniz pour la recherche économique européenne (ZEW) a publié une étude scientifique intitulée « Hospital Capacity Reporting in Germany during COVID-19 » par les auteurs Dr. Simon Reif et Sabrina Schubert, qui montre comment la science peut être instrumentalisée par la politique lorsque les auteurs ignorent les principes scientifiques.
Une analyse précise du résumé et des conclusions ii montre déjà que la contribution de ZEW n'apporte aucun gain de connaissances scientifiques significatif. Les auteurs en sont évidemment conscients, car malgré les critiques substantielles de Tom Lausen iii , le Dr. Hans-Joachim Kremer IV et Dr. Manfred Kölsch v ils ne sont pas disposés à retirer ou à réviser leur contribution. Apparemment, les auteurs ne se soucient pas de fournir des résultats scientifiquement solides, mais ils voulaient fournir ce que leurs clients attendaient d'eux : une affirmation prétendument scientifique selon laquelle les cliniques n'abusaient pas des subventions pour les lits de soins intensifs.
L'étude se lit comme suit :
"Notre principale conclusion dans cet article est que si le système de financement d'urgence laisse place à un comportement stratégique lucratif, un tel comportement ne s'est pas produit dans une mesure perceptible."
Cependant, cette affirmation est manifestement basée sur une fausse conclusion, comme on peut le lire dans ma déclaration ( Déclaration sur les rapports sur la capacité hospitalière en Allemagne pendant le COVID-19 ). Mais les auteurs ne semblent pas s'en soucier et cela ne peut que signifier que ce résultat était ce que le client voulait. Apparemment, il était seulement important que le Handelsblatt vi en fasse état et induise ainsi le public en erreur. Afin d'entretenir cette tromperie, le ZEW n'est pas autorisé à retirer l'étude, même si elle est scientifiquement intenable.
Le fait que les auteurs ne soient apparemment pas impressionnés par les critiques substantielles ne peut que signifier que leur réputation scientifique n'est pas mise en danger par des déclarations fausses mais politiquement souhaitées.
L'étude contient également des informations sur la manière dont elle a été financée et sur le site Web correspondant, vous pouvez trouver les informations selon lesquelles le "Forum Gesundheitsstandort Baden-Württemberg" sous ID : 43-5400//141/1 a soutenu les activités du ZEW avec environ EUR soutenus 500 000 et que le Dr. Simon Reif est responsable de la coordination du projet au "Forum Healthcare Location Baden-Württemberg".
Le "Forum Healthcare Location Baden-Württemberg" est coordonné par le ministère d'État du Bade-Wurtemberg sous la direction du Premier ministre Winfried Kretschmann et est également soutenu par des hôpitaux et des établissements de soins.
Les résultats fournis par le ZEW suivent donc des orientations politiques, et les politiciens veulent évidemment que l'abus réel des subventions passe inaperçu. Quiconque suit cette forme de science court le risque de soutenir en fait une politique qui couvre dans une large mesure la fraude aux subventions.
Déclaration sur les rapports sur la capacité hospitalière en Allemagne pendant le COVID-19
Crédits: i Document de travail – Hospital Capacity Reporting in Germany during COVID-19 https://www.zew.de/publikationen/hospital-capacity-reporting-in-germany-during-covid-19
iii Les mauvaises questions aident la "mafia intensive" https://www.achgut.com/artikel/die_falschen_fragen_helfen_der_intensive_mafia
iv Des chercheurs économiques allemands écrivent un article diffamatoire sur les lits de soins intensifs
v Comment les manipulations des lits de soins intensifs pendant la crise corona devraient être dissimulées sous le couvert de la science https://netzwerkkrista.de/2023/07/28/wie-im-gewande-der-wissenschaft-die-intensivebetten-manipulationen- waehrend-der- crise corona-devrait-être-étouffée/
vi Les cliniques ont-elles triché pour obtenir une aide corona ? L'étude donne une réponse claire https://www.handelsblatt.com/politik/deutschland/zew-mannheim-haben-kliniken-betrogen-um-an-coronahilfe-zu-kommen-studie-giving-clear-answer/29226532.html
Cette "étude" Pro-Mask est la raison pour laquelle vous ne devriez jamais "faire confiance à la science"
PAR TYLER DURDEN MARDI 01 AOÛT 2023 - 22:45 Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
La semaine dernière, il a été signalé que l'État australien de Victoria envisageait peut-être des mandats de masque facial «permanents» pour atteindre «zéro-Covid».
Maintenant, nous n'avons pas besoin d'entrer dans les implications d'une telle loi sur la liberté personnelle, ou l'offre quasi infinie de preuves que les masques ne fonctionnent pas pour prévenir la transmission des maladies respiratoires.
Ils ne fonctionnent pas, ils n'ont jamais fonctionné. Les mandater était une décision politique conçue pour donner l'impression que la fausse «pandémie» de Covid était réelle, et leur utilisation continue est un symptôme de lavage de cerveau ou un sous-produit de la signalisation chronique de la vertu.
Le débat sur les masques, tel qu'il était, est terminé.
Non, le seul aspect de ce développement qui mérite d'être évoqué est la "preuve" utilisée pour étayer la position - et croyez-moi, les citations sont entièrement justifiées.
L'« étude » qui prétend démontrer les avantages du masquage permanent a été publiée la semaine dernière dans le Medical Journal of Australia et intitulée « Utilisation constante du masque et épidémiologie du SRAS-CoV-2 : une étude de modélisation par simulation ».
"Étude de modélisation de simulation" est vraiment l'expression clé ici. Pour ceux qui ne le savent pas, les «études de modélisation par simulation» consistent à introduire des données dans un programme informatique, puis à lui demander de tirer des conclusions.
De toute évidence, ils ne sont aussi fiables et utiles que les données que vous utilisez. En fait, vous pouvez très facilement leur faire produire n'importe quel résultat souhaité en introduisant les «bonnes» (mauvaises) données.
Dans cette étude de modélisation particulière, ils ont commencé par dire à l'ordinateur que les masques en tissu réduisent la transmission de 53 % et que les respirateurs la réduisent de 80 % :
Les rapports de cotes pour le risque relatif d'infection pour les personnes exposées à une personne infectée (portant un masque v ne portant pas de masque) ont été fixés à 0,47 pour les masques en tissu et chirurgicaux et à 0,20 pour les respirateurs
Essentiellement, ils ont dit à leur ordinateur que les masques préviennent les maladies… puis ont dit « ok, ordinateur, puisque vous savez maintenant que les masques préviennent les maladies – que se passerait-il si tout le monde les portait tout le temps ?
L'ordinateur leur a alors dit – évidemment – que personne ne tomberait malade.
Parce qu'ils rendaient logiquement impossible qu'il dise autre chose.
Mais il y a un peu plus que ça.
La prochaine couche d'intérêt est d'où ils ont obtenu leurs données d'entrée.
Après tout, des dizaines d'études ont été réalisées sur les masques au fil des ans, dont 98% disent que les masques ne fonctionnent pas.
Alors, nos gars ont-ils choisi un essai de contrôle en temps réel évalué par des pairs reposant sur des résultats en double aveugle testés en laboratoire ?
Peut-être l'un des douze procès de ce type répertoriés dans notre article sur les 40 faits ?
Ont-ils peut-être fait la moyenne des résultats de plusieurs études ?
Non, ils ont utilisé une enquête téléphonique.
Une enquête téléphonique.
Cette enquête téléphonique, publiée l'an dernier et réalisée fin 2021.
Dans cette *ahem* "étude scientifique", ils ont demandé à des gens d'appeler au hasard ceux qui avaient récemment été testés pour "Covid", leur ont demandé "avez-vous porté un masque?" puis a publié la conclusion – «les masques réduisent la transmission de 53%» – comme s'ils signifiaient quelque chose.
Fait intéressant, si vous faites défiler jusqu'à la section "affiliations", vous pouvez voir que l'un des auteurs est un récipiendaire d'une subvention Pfizer.
Un peu plus troublant – et pour une raison non mentionnée comme un conflit d'intérêts – c'est que toute l'étude a été produite par le California Board of Public Health.
La Californie avait déjà mis en place un mandat de masque depuis près d'un an avant même que cette «étude» ne soit lancée.
Ce que nous avons ici n'est pas de la "science", c'est un modèle informatique basé sur les résultats d'une enquête téléphonique subjective menée par une agence gouvernementale ayant un intérêt direct. Elle n'a aucun sens, et pourtant elle est publiée dans des revues et citée par des « experts », peut-être même utilisée comme base pour l'introduction de nouvelles lois.
C'est ainsi que fonctionne "The ScienceTM". Et, bien que Covid ait peut-être ouvert les yeux de nombreuses personnes sur ce problème, il est loin d'être unique à "Covid". Vous êtes tout aussi susceptible de trouver ce type de "recherche" publiée sur n'importe quel sujet - en particulier ceux qui servent un objectif politique - et cela depuis des années, voire des décennies.
Professeur de médecine factuelle à Stanford, John Ioannidis a écrit un article intitulé "Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux", et c'était en 2005.
Cela n'a rien à voir avec la "pandémie", et tout à voir avec la différence entre la science et "La Science". Examinons donc cette distinction.
La « science » est une approche du monde. Une méthode rationnelle pour recueillir des informations, tester de nouvelles idées et tirer des conclusions fondées sur des preuves.
« La science » est une industrie autonome d'universitaires qui ont besoin d'emplois et doivent des faveurs.
Une relation de quid pro quo continue entre les chercheurs – qui veulent des honneurs et des chevaliers, des contrats de titularisation, des livres et des subventions de recherche et être la tête parlante populaire expliquant des idées complexes à la multitude à la télévision – et les entreprises, les gouvernements et les « fondations caritatives » qui ont toutes ces choses dans leur cadeau.
Ce système ne produit pas de recherche destinée à être lue, il crée des titres que les célébrités peuvent tweeter, des liens que les "journalistes" peuvent intégrer, des sources que d'autres chercheurs peuvent citer.
Une illusion de justification solide qui se défait au moment où vous lisez réellement les mots, examinez la méthodologie ou analysez les données.
Enquêtes autodéclarées, données manipulées, "études de modélisation" qui crachent des résultats prédéterminés. Des auteurs affiliés payés par l'État ou des entreprises pour fournir des "preuves" à l'appui d'hypothèses très rentables ou politiquement commodes.
Cette étude de masque en est le parfait exemple.
Entrelacs de couches de rien conçues pour créer l'impression de quelque chose.
C'est pourquoi ils veulent que vous lui fassiez confiance, plutôt que de le lire.
La blessure de pointe de Covid-19 que vous devez connaître
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 2 août 2023
- voir clip sur site -
Dans la vidéo ci-dessus, John Campbell, Ph.D., une infirmière enseignante à la retraite, passe en revue les résultats d'une revue systématique1 publiée sur Preprints.org à la mi-juillet 2023, qui a conclu que les injections d'ARNm COVID sont causalement liées à la myocardite mortelle.
Les auteurs de cette revue incluent les Drs. Peter McCullough, Aseem Malhotra, Roger Hodkinson, Nicolas Hulscher et William Makis. Comme expliqué dans le résumé2, « les vaccins COVID-19 ont été associés à la myocardite qui, dans certaines circonstances, peut être mortelle. Cette revue systématique vise à étudier les liens de causalité potentiels entre les vaccins COVID-19 et la mort par myocardite à l'aide d'une analyse post-mortem.
McCullough et son équipe ont systématiquement examiné tous les rapports d'autopsie impliquant une myocardite liée au piqûre au COVID-19 publiés jusqu'au 3 juillet 2023. Quatorze articles détaillant 28 autopsies correspondent aux critères d'inclusion.
… il existe une forte probabilité d'un lien de causalité entre les vaccins COVID-19 et le décès par myocardite suspectée dans les cas où une mort subite et inattendue s'est produite chez une personne vaccinée. ~ Drs. Peter McCullough, Aseem Malhotra, Roger Hodkinson, Nicolas Hulscher et William Makis La causalité dans chaque cas a été déterminée par "trois examinateurs indépendants ayant une expérience et une expertise en pathologie cardiaque". Des images montrant l'infiltration de protéines de pointe du muscle cardiaque et l'inflammation associée sont incluses dans la vidéo de Campbell.
Piqûres d'ARNm liés de manière causale à la myocardite mortelle
Tel que rapporté par les auteurs :3
« Le système cardiovasculaire était le seul système organique touché dans 26 cas. Dans 2 cas, la myocardite a été caractérisée comme conséquence d'un syndrome inflammatoire multisystémique (MIS).
Le nombre moyen et médian de jours entre la dernière vaccination contre la COVID-19 et le décès était de 6,2 et 3 jours, respectivement. La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière injection. Nous avons établi que les 28 décès étaient liés de manière causale à la vaccination contre le COVID-19 par un jugement indépendant.
La relation temporelle, la cohérence interne et externe observée parmi les cas de cette revue avec une myocardite induite par le vaccin COVID-19 connue, ses mécanismes pathobiologiques et la surmortalité associée, complétée par la confirmation de l'autopsie, l'arbitrage indépendant et l'application des critères de Bradford Hill à l'ensemble l'épidémiologie de la myocardite vaccinale, suggère qu'il existe une forte probabilité d'un lien de causalité entre les vaccins COVID-19 et le décès par myocardite suspectée dans les cas où une mort subite et inattendue s'est produite chez une personne vaccinée.
Compte tenu de ces découvertes inquiétantes, McCullough et son équipe appellent à «une enquête urgente… dans le but de stratifier et d'atténuer les risques afin de réduire l'occurrence dans la population de myocardites mortelles induites par le vaccin COVID-19».
Les données d'essai de Moderna révèlent des problèmes de sécurité
La réalité exaspérante est que ce risque – ainsi que de nombreux autres – était évident dans les essais initiaux, malgré leur courte durée, mais les fabricants de vaccins ont utilisé toutes sortes d'astuces pour masquer ces effets.
Comme indiqué précédemment, un dénonciateur affirme que Pfizer a commis une fraude dans ses études sur le COVID, et les données de l'entreprise publiées par ordonnance du tribunal montrent que le tir de Pfizer était associé à quelque 158 000 problèmes de santé enregistrés qui n'ont jamais été admis publiquement.
Désormais, les données obtenues dans le cadre d'un litige en vertu de la loi sur la liberté d'information (FOIA) contre la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis par le groupe d'intérêt public Defending the Republic (DTR)4 jettent des doutes similaires sur les procès Spikevax de Moderna.
DTR, qui a obtenu jusqu'à présent près de 15 000 pages de données d'essais cliniques COVID-19 de Moderna, avertit qu'elles révèlent de graves problèmes de sécurité. Tel que rapporté par The Epoch Times, 21 juillet 2023 : 5
«Les dossiers… contiennent des informations importantes liées au profil de sécurité de Spikevax, qui a été autorisé pour la première fois pour une utilisation d'urgence aux États-Unis en décembre 2020 et en janvier 2022 a reçu une approbation complète pour les adultes.
"Le public peut être assuré que Spikevax répond aux normes élevées de la FDA en matière de sécurité, d'efficacité et de qualité de fabrication requises pour tout vaccin approuvé pour une utilisation aux États-Unis", a déclaré la commissaire par intérim de la FDA, le Dr Janet Woodcock, dans un communiqué plus tôt cette année.
Mais les nouvelles données remettent ce point de vue en question. Le groupe de défense affirme que les dizaines de milliers de pages de données d'essais cliniques publiées par la FDA étayent la conclusion qu'il existe un "doute sérieux" à la fois sur la sécurité de Spikevax et sur les normes d'approbation de la FDA.
Pour mémoire, comme pour les données d'essai de Pfizer, la FDA a dû être forcée par une ordonnance du tribunal de divulguer les données de Moderna. L'agence a initialement rejeté la demande FOIA de DTR, affirmant qu'il n'y avait "aucun besoin impérieux" pour le public d'examiner ces informations. Il s'avère que les données des essais cliniques de Moderna révèlent des problèmes de sécurité choquants que ni la société ni la FDA n'ont admis publiquement.
Les effets secondaires ignorés sans enquête
Par exemple, dans l'une des études de Moderna, 16 participants du groupe COVID jab sont décédés subitement, mais seuls deux ont été autopsiés. Malgré ce manque d'enquête, Moderna a conclu qu'aucun des décès n'était associé au coup. "Il semble qu'ils aient délibérément décidé de ne pas enquêter sur les décès suspects au cas où le vaccin Moderna pourrait en être la cause", a déclaré DTR dans un communiqué de presse.6
Les études ont également enregistré un certain nombre d'événements indésirables graves dans les groupes piquées, notamment la paralysie de Bell, le zona, les crises cardiaques, les embolies pulmonaires, les accidents ischémiques transitoires, les lymphomes et les fausses couches. Cependant, même lorsque des blessures potentiellement mortelles se sont produites dans les jours suivant l'injection, Moderna a arbitrairement conclu qu'aucune n'était associée à leur piqûre.
Comme l’a noté le DTR, les analyses ultérieures des rapports de blessures déposés auprès du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS), la base de données DMED du département américain de la Défense et les systèmes européens de signalement des blessures montrent « des taux accrus de ces maladies après l’administration du vaccin Moderna ».
Fertilité et développement fœtal défavorablement affectés
Dans le premier lot de documents publiés par la FDA, DTR a également reçu les résultats d'une étude sur des rats7 qui a évalué les effets sur la gestation, la fertilité et le développement pré et postnatal chez des rats de laboratoire gravides et allaitants. Les résultats sont troublants compte tenu de la recommandation de la FDA et des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis d'utiliser ce vaccin sur les femmes enceintes. Les principales conclusions et observations faites dans cette étude comprenaient8 :
Déformations squelettiques (côtes ondulées et nodules de côtes) — « Des côtes ondulées sont apparues chez 6 fœtus dans 4 portées pour une prévalence fœtale de 4,03 % et une prévalence de portée de 18,2 %. Des nodules costaux sont apparus chez 5 de ces 6 fœtus. L'incidence des côtes ondulées sur le fœtus et la portée dépassait la plage observée historiquement à l'installation d'essai… » Longueurs de cycle de reproduction plus élevées — "Le nombre moyen de longueurs de cycle [reproductif] était statistiquement significativement plus élevé dans le groupe ARNm-1273 par rapport au groupe témoin." Accouplement réduit - "L'accouplement s'est produit chez 95,5% des rats du groupe témoin et 88,6% des rats du groupe ARNm-1273." Indice de grossesse réduit - "L'indice de grossesse des femelles (nombre de rats s'accouplant / nombre de rats dans le groupe) était de 93,2 % et de 84,1 % dans les groupes témoin et ARNm-1273, respectivement." Maladie rénale - "Lors de l'euthanasie programmée, 1 chiot du groupe recevant la dose d'ARNm-1273 a été observé avec une papille rénale bilatérale, petite et minimale et un autre chiot de la même portée a été observé avec une papille rénale gauche, petite et modérée. Ces résultats n'ont pas été considérés comme liés à l'ARNm-1273 car les observations ne se sont produites que chez 2 chiots d'une même portée. Moderna a également mené une étude de distribution tissulaire9 chez des rats mâles, qui a révélé que l'ARNm, lorsqu'il était injecté par voie intramusculaire, se propageait dans tout le corps. L'ARNm a été détecté dans tous les tissus analysés à l'exception des reins. Les niveaux étaient particulièrement élevés dans la rate et les yeux.
L'ARNm a également été trouvé dans le cerveau et le cœur, ce que d'autres études - y compris l'examen d'autopsie présenté - suggèrent qu'il peut avoir des conséquences mortelles car la protéine de pointe produite par les cellules en réponse à cet ARNm est hautement pathogène et provoque une inflammation des tissus affectés.
Découverte d'une supercherie d'essai de Pfizer Booster
Dans les nouvelles connexes, les Drs. Vinay Prasad, Tracy Hoeg et Ram Duriseti ont récemment mis en évidence des preuves montrant que Pfizer a également utilisé un "biais vaccinal sain" dans son essai de rappel pour faire apparaître le rappel COVID plus efficace qu'il ne l'est. Comment? Pfizer a simplement donné le véritable rappel aux personnes qui étaient en bien meilleure santé que les témoins.
Ceux qui ont reçu le vrai rappel se sont retrouvés avec des taux de mortalité par COVID nettement inférieurs, mais ils ont également eu la même réduction de la mortalité toutes causes confondues, ce qui signifie qu'ils ne sont pas non plus morts d'autres causes. Dans une lettre au rédacteur en chef du New England Journal of Medicine (NEJM), publiée le 20 juillet 2023, Prasad, Hoeg et Duriseti ont expliqué :10
« En utilisant des méthodes d'observation, Arbel et al. (23 décembre 2021, numéro) a calculé une mortalité inférieure ajustée de 90 % due au COVID-19 parmi les participants qui ont reçu un premier rappel du vaccin BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) que parmi ceux qui n'ont pas reçu de rappel.
Ils ont trouvé 65 décès associés au COVID-19 (signalés à 0,16 pour 100 000 personnes par jour) parmi les participants du groupe de rappel et 137 (signalés à 2,98 pour 100 000 personnes par jour) parmi ceux du groupe non boosté – une différence de 94,6 %.
Dans une lettre ultérieure (10 mars 2022, numéro), Arbel et al. ont signalé 441 décès non liés au COVID-19 dans le groupe rappel et 963 décès non liés au COVID -19 dans le groupe non rappel…
[U]sing les jours-personnes d'exposition inclus dans l'article de 2021 d'Arbel et al. et les décès non liés au COVID-19 rapportés dans la lettre suivante, nous avons estimé la mortalité non liée au COVID-19, selon le statut vaccinal, avec la formule suivante : les ratios du total des décès non liés au COVID-19 au COVID- Décès liés au 19, selon le groupe de vaccination, multipliés par la mortalité due à la COVID-19, selon le groupe de vaccination, ce qui représente les jours-personnes d'exposition.
La mortalité non liée au COVID-19 a été calculée comme (441/65) × 0,16 = 1,09 pour 100 000 personnes par jour dans le groupe de rappel par rapport à (963/137) × 2,98 = 20,95 pour 100 000 personnes par jour dans le groupe sans rappel .
Cela correspond à une mortalité inférieure de 94,8 % non liée au COVID-19 parmi les participants du groupe de rappel et indique une incidence nettement plus faible d'effets indésirables sur la santé dans le groupe de rappel.
La santé sous-jacente joue un rôle important dans la mortalité liée à la COVID-19. Les différences non ajustées de mortalité liées au COVID-19 et de mortalité non liées au COVID-19, selon le statut vaccinal, étaient essentiellement les mêmes dans l'étude de 2021 d'Arbel et ses collègues.
Ces résultats suscitent de vives inquiétudes concernant la confusion non ajustée. La baisse ajustée de 90 % de la mortalité due au COVID-19 signalée parmi les participants ayant reçu un rappel ne peut pas, avec certitude, être attribuée au rappel.
Le «biais des vaccinés sains» dans cette population peut également avoir conduit à des surestimations de l'efficacité du vaccin dans des études similaires de Clalit Health Services. L'inclusion de la mortalité non liée au COVID-19 dans toutes les études observationnelles sur le vaccin COVID-19 fournirait un contexte important.
Dans un post Twitter du 20 juillet 2023, Prasad a commenté :11
« Cette semaine dans le NEJM, Tracy Beth Hoeg, RD et moi prouvons que les études israéliennes, sur lesquelles la FDA s'est appuyée, sont CONFONDEES. Les rappels réduisent beaucoup trop les décès non liés au COVID pour être vrais. Les auteurs israéliens le concèdent en réponse. Ouah! Des millions ont reçu des boosters non éprouvés. La FDA a échoué.
Pourquoi le CDC a changé la définition de l'infection percée
Alors que nous parlons de tromperie et de partialité, une enquête récente d’Epoch Times révèle que les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont modifié leur définition d’« infection percée » pour éviter d’avoir à admettre que les injections n’ont pas fonctionné. Zachary Stieber d'Epoch Times écrit :12
« Le CDC a modifié sa définition des cas de COVID-19 parmi les vaccinés, ce qui a entraîné une baisse du nombre de cas classés comme une percée, selon des documents obtenus par The Epoch Times.
Au début de 2021, le CDC a défini les cas post-vaccination comme les personnes dont le test était positif sept jours ou plus après la réception d'une série de primo-vaccinations, selon l'un des documents.13 La définition a été modifiée le 2 février 2021 pour n'inclure que cas détectés au moins 14 jours après une première série, montre un autre document14.
"Nous avons révisé la définition de cas", a écrit à ses collègues à l'époque le Dr Marc Fischer, chef de l'équipe d'enquête sur les cas de percée vaccinale du CDC. La justification du changement a été expurgée…
La définition de cas révolutionnaire a été révisée après que plusieurs responsables du CDC ont envoyé un e-mail au sujet des vaccins qui ne prévenaient pas l'infection. Le Dr Fischer a déclaré dans un e-mail le 21 décembre 2020 qu'il avait été chargé par un supérieur "de commencer à travailler sur un protocole pour évaluer les échecs du vaccin COVID ou les cas décisifs".
La directrice du CDC de l'époque, le Dr Rochelle Walensky, a souligné un éditorial du 30 janvier 2021, qui décrivait les variantes comme une "menace croissante" d'échapper à la protection des vaccins...
À peu près au même moment, les responsables du CDC ont fait circuler un document d'une page sur les enquêtes sur les cas post-vaccination… La version du document que The Epoch Times a reçue a été entièrement expurgée… le CDC a refusé de fournir d'autres versions du document.
Pourquoi la justification de cette décision a-t-elle été expurgée ? Et pourquoi le document annonçant une enquête sur les cas post-piqûre a-t-il été expurgé ? Le porte-parole du CDC, Scott Pauley, a défendu le changement de définition, affirmant que "de nombreux cas de COVID-19 incubaient jusqu'à deux semaines avant de devenir symptomatiques", mais n'a pas précisé pourquoi cette explication - si elle était vraie - était jugée nécessaire.
Le Dr Harvey Risch, professeur émérite d'épidémiologie à la Yale School of Public Health, a déclaré à Stieber "qu'il n'y avait" aucune justification convaincante "pour exclure les premiers cas et autres événements parmi les vaccinés, qu'ils se soient produits dans les sept jours ou 14 jours. "
Stieber a également contacté le Dr Jay Bhattacharya, professeur de politique de santé à l'Université de Stanford, qui a déclaré que "plutôt que de jouer à des jeux avec la définition des cas révolutionnaires", le CDC aurait dû informer les personnes récemment piquées qu'elles n'avaient que peu ou pas de protection pour les deux premiers. semaines.
À la fin de la journée, en redéfinissant l'infection percée, le CDC a pu exclure une multitude de cas de COVID post-piqûre, gonflant ainsi l'efficacité du vaccin tout en alimentant simultanément le faux récit selon lequel COVID était "une pandémie de non vaccinés".
Vous avez la piqûre ? Agissez pour protéger votre santé
Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs piqûres et que vous vous inquiétez maintenant de votre santé, que pouvez-vous faire ? Eh bien, d'abord et avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID ou une autre injection de thérapie génique par ARNm. Vous devez mettre fin à l'assaut sur votre système.
Si vous avez développé des symptômes que vous n'aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l'aide d'un expert. À l'heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble avoir l'un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-jab. Il s'appelle I-RECOVER et peut être téléchargé à partir de covid19criticalcare.com.15
Le Dr Pierre Kory, qui a cofondé le FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif du vaccin blessé. Pour plus d'informations, voir DrPierreKory.com. La Dre Michelle Perro16 aide également les patients souffrant de blessures post-piqûre.
Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer les protéines de pointe, qui, selon la plupart des experts, sont le principal coupable. J'en ai parlé dans mon article de 2021, "Le Conseil mondial de la santé révèle la désintoxication des protéines de pointe".
Autres traitements et remèdes utiles
Les autres traitements et remèdes qui peuvent être utiles pour les blessures par injection de COVID comprennent :
• L'oxygénothérapie hyperbare, notamment en cas d'accident vasculaire cérébral, d'infarctus, de maladies auto-immunes et/ou de troubles neurodégénératifs. Pour en savoir plus, voir "Thérapie hyperbare - Une modalité de traitement largement sous-utilisée".
• Réduisez votre apport en oméga-6. L'acide linoléique est consommé en quantités 10 fois supérieures à l'idéal chez plus de 95 % de la population et contribue à un stress oxydatif massif qui altère votre réponse immunitaire. Les huiles de graines et les aliments transformés doivent être soigneusement évités. Voir "Acide linoléique - L'ingrédient le plus destructeur de votre alimentation" pour plus d'informations.
• Bleu de méthylène de qualité pharmaceutique, qui améliore la respiration mitochondriale et aide à la réparation mitochondriale. Une dose de 15 à 80 milligrammes par jour pourrait grandement contribuer à résoudre une partie de la fatigue dont beaucoup souffrent après le piqûre.
Il peut également être utile dans les accidents vasculaires cérébraux aigus. La principale contre-indication est si vous avez un déficit en G6PD (une maladie génétique héréditaire), auquel cas vous ne devez pas utiliser du tout de bleu de méthylène. Pour en savoir plus, consultez « Les bienfaits surprenants du bleu de méthylène pour la santé ».
• La lumière proche infrarouge, car elle déclenche la production de mélatonine dans vos mitochondries17 là où vous en avez le plus besoin. En éliminant les espèces réactives de l'oxygène, il contribue également à améliorer la fonction et la réparation des mitochondries. La lumière naturelle du soleil est composée à 54,3 % de rayonnement infrarouge18, ce traitement est donc disponible gratuitement. Pour plus d'informations, voir "Ce que vous devez savoir sur la mélatonine".
• La lumbrokinase et la serrapeptidase sont toutes deux des enzymes fibrinolytiques qui, lorsqu'elles sont prises à jeun une heure avant un repas ou deux heures après, aideront à réduire votre risque de caillots sanguins.
Sources and References
1, 2, 3 Preprints.org July 18, 2023 4, 6, 8 Defending the Republic Moderna FOIA 5 Epoch Times July 21, 2023 7 A Single Dose Intramuscular Injection Tissue Distribution Study of mRNA-1647 in Male Sprague-Dawley Rats 9 A GLP Intramuscular Combined Developmental and Perinatal/Postnatal Reproductive Toxicity Study of mRNA-1273 in Rats 10 The New England Journal of Medicine July 20, 2023; 389: 284-286 11 Twitter Vinay Prasad July 20, 2023 12 The Epoch Times July 22, 2023 13 Earlier CDC Breakthrough Definition Document 14 Revised Breakthrough Definition Document 15 Covid19criticalcare.com 16 DrMichellePerro.com 17 Physiology February 5, 2020 DOI: 10.1152/physiol.00034.2019 18 Journal of Photochemistry and Photobiology February 2016; 155: 78-85
L'Empire contre-attaque : les États-Unis envisagent une "nouvelle ère" des relations avec l'UE
1 août 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Au vu du théâtre Corona et des retombées du conflit ukrainien, le sort de « l'UE-Europe » est de plus en plus mis en avant : le début du déclin économique est exacerbé par l'absence de plan dans la caste politique européenne. Aujourd'hui, cependant, la « solution » envisagée, qui est au moins préconisée par l'élite américaine, est en train d'émerger : une « nouvelle ère » dans les relations entre les États-Unis et l'UE, comme l'a récemment décrit l'expert américain en politique étrangère Stuart Eizenstat dans le Financial Times . Un regard sur l'évolution rapide des relations entre les États-Unis et l'UE est absolument nécessaire pour un débat éclairé, ce que les "médias de premier plan et de qualité" ont jusqu'à présent, mais au moins systématiquement, refusé de faire . Certes, il s'est passé beaucoup de choses dans l'UE-Europe ces derniers temps : de l'introduction forcée d'une carte d'identité numérique et de passeports numériques basés sur le certificat Covid (TKP a toujours rendu compte en détail, y compris sur l' implication avec l'OMS ).
Les effets du conflit ukrainien continueront d'affecter l'Europe pendant longtemps : le déclin économique qui s'est amorcé va s'aggraver dans les années à venir en raison des conséquences négatives des « sanctions contre la Russie » et des coûts énergétiques massivement plus élevés.
Il existe de nombreuses preuves à cet égard : la Commission européenne a le commentaire suivant avec la note "dernière mise à jour le 4 mai 2023" :
2022 a été une mauvaise année pour l'économie russe. Selon les estimations, le produit intérieur brut (PIB) de la Russie a chuté de 2,1 % en 2022.
L'économie russe pourrait encore se contracter en 2023. Dans le pire des cas, le PIB devrait chuter de 2,5 % (OCDE) ou de 0,2 % (Banque mondiale). Le FMI table sur une croissance en 2023 (0,7%).
Le FMI prévoit une croissance économique russe de 0,7%, mais "l'économie russe pourrait continuer à se contracter en 2023", estime la Commission européenne.
C'est peut-être la "réalité" à Bruxelles, mais la réalité semble différente - difficile à croire même pour Reuters : l'Allemagne, le "moteur" de l'UE et de la zone euro, a entre-temps "glissé dans la récession", tout comme la " Des médias de premier plan et de qualité » doivent quant à eux admettre avec contrition . Compte tenu des coûts élevés de l'énergie, il n'y a pas de changement en vue, comme le montrent en un coup d'œil les données de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) :
Quiconque espère une reprise rapide au vu de ces écarts drastiques entre les prix de l'énergie (ici : le gaz naturel) aux USA vs en Europe et au Japon n'a guère raison. Sans parler des coûts unitaires de main-d'œuvre et des coûts annexes nettement plus élevés en Europe.
Eizenstat appelle à une « nouvelle ère dans les relations États-Unis-UE » Face à cette dure réalité, la Commission européenne met en jeu le dernier morceau de souveraineté et d'initiative que «l'Europe» a eu depuis 1945. Stuart Eizenstat, qui a travaillé comme diplomate sous le président américain Bill Clinton (en poste de 1993 à 2001), a récemment écrit les lignes suivantes dans un éditorial pour le Financial Times (ici et ci-dessous ma traduction et mon emphase) :
Un nouveau cadre transatlantique entre les États-Unis et l'UE, comparable à l'OTAN, est nécessaire pour relever les défis du XXIe siècle. L'OTAN rend actuellement un service indispensable en soutenant l'Ukraine contre l'agression russe, tout comme elle l'a fait pour mettre fin aux guerres en Bosnie et au Kosovo dans les années 1990. Mais l'Alliance retient toute l'attention des dirigeants des deux côtés de l'Atlantique à un moment où nous sommes confrontés à des problèmes qui dépassent son mandat. La sécurité militaire, la sécurité économique et la prospérité sont étroitement liées et doivent être coordonnées.
Citant explicitement la montée en puissance de la Chine, la "menace" du "changement climatique" qualifiée d'"existentielle", les chaînes d'approvisionnement de plus en plus fragiles et l'accès continu aux matières premières essentielles, les nouvelles technologies comme l'intelligence artificielle, la "menace nucléaire posée par l'Iran et le Nord Corée » – un « éternel favori » – et la reconstruction de l'Ukraine. Eizenstat déclare : "Tout cela nécessite une plus grande coopération entre les États-Unis et l'UE que jamais auparavant."
Alors que la participation des présidents américains et des chefs d'État européens aux réunions au sommet de l'OTAN va de soi, les réunions au sommet entre les chefs d'État et de gouvernement des États-Unis et de l'UE ont lieu au mieux de manière sporadique. Il n'y a pas de vision partagée pour l'avenir, et sur les initiatives importantes, chacun suit son chemin sans consulter au préalable les gouvernements et les entreprises d'outre-Atlantique.
Soit dit en passant, Eizenstadt trouve particulièrement déconcertant le fait que l'UE procède dans de nombreux domaines – le plus récemment concernant « l'intelligence artificielle » – sans consulter les États-Unis. Le sommet États-Unis-UE annoncé pour l'automne 2023 est donc important pour les six considérations suivantes afin de concrétiser précisément cette coopération transatlantique approfondie :
Premièrement, le rôle de plus en plus important que joue l'UE dans le domaine de la sécurité doit être reconnu. Deuxièmement, des mécanismes devraient être développés, y compris une évaluation d'impact transatlantique, qui éviteraient les surprises de la promulgation d'une législation sans consultation préalable des deux côtés de l'Atlantique.
Troisièmement, nous devrions faire progresser l'intégration de nos économies en négociant une nouvelle initiative transatlantique de libre-échange et d'investissement , visant à créer un marché transatlantique en franchise de droits d'ici dix ans tout en protégeant les lois environnementales nationales qui lèvent les restrictions sur les barrières à l'investissement qui intègrent avec mutuellement normes comptables reconnues et permettent aux produits d'être mutuellement acceptés sur un marché avec un ensemble de tests qui satisfont les deux parties. De cette manière, des normes occidentales plutôt que chinoises peuvent être créées pour les produits vendus dans le monde entier .
Quatrièmement, les organisations transatlantiques du secteur privé du nouvel agenda transatlantique de 1995 pour les entreprises, les travailleurs, les consommateurs et les groupes environnementaux devraient être relancées. Cinquièmement , une Assemblée transatlantique de type Conseil de l'OTAN devrait être établie sur la base du dialogue transatlantique . Enfin , la mise en place de sommets annuels UE - États - Unis .
À bien des égards, ces exigences vont bien au-delà du « vieux vin dans de nouvelles bouteilles ».
Craignez les Américains juste au moment où ils offrent des "cadeaux". Non seulement Eizenstat propose un retour à la politique économique et étrangère promue par Bill Clinton, Tony Blair, Gerd Schröder et Angela Merkel, qui est désastreuse pour la majorité de la population, mais aussi des conséquences pour les peuples non occidentaux - surtout les agressions illégales contre la Yougoslavie (1998-99), l'Irak (2003-), la Syrie (2009-) ou la Libye (2011-), sans oublier la Géorgie (2008) et l'Ukraine (au moins 2013/14-).
La militarisation des relations américano-européennes "sur le modèle du Conseil de l'OTAN" promue par les principaux médias américains est vraisemblablement - comme le "traité pandémique" de l'OMS et le Règlement sanitaire international - une question qui, enfin et surtout, contredit les constitutions d'Allemagne, d'Autriche et de nombreux autres pays.
Des référendums sur de tels changements sont le minimum que la politique, les médias et la société civile devraient exiger.
Eizenstat appelle également à la reprise des efforts d'intégration économique basés sur le "Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement" (TTIP) poussé par Barack Obama, qui a finalement été annulé par Donald Trump. Il est essentiel de noter ici que ce « partenariat » aurait principalement signifié une amélioration massive des soi-disant « droits des investisseurs », selon lesquels les sociétés transnationales auraient reçu le « droit », entre autres, de pouvoir poursuivre en justice pour les bénéfices non réalisés des États-nations. De plus, les « inquiétudes » concernant les « profits de la spéculation » ou leur écrémage par une « taxe sur les transactions » (taxe Tobin) semblent être des trucs puérils, sans parler d'un « impôt sur la fortune » comme le sont certains rêveurs de centre-gauche. appelle maintenant à nouveau.
Le rejet de tels changements est le minimum que la population aurait à exiger de ses représentants politiques (nominaux).
Sinon, il y a des détériorations massives dans presque tous les domaines : il est bien connu que les normes de qualité et de sécurité dans l'UE, en particulier pour les produits alimentaires et pharmaceutiques, sont « différentes » qu'aux États-Unis. En termes simples, les fabricants de produits dans l'UE/EEE doivent prouver qu'ils sont « sûrs » ou qu'ils ne présentent aucun risque ; aux États-Unis, en revanche, il suffit de démontrer (sic) que de tels problèmes ne sont pas connus. Au vu du déséquilibre drastique de la realpolitik entre Washington et Bruxelles sont clairs sur le fait que les "normes" américaines massivement laxistes devraient probablement être étendues à l'Europe.
En outre, on voit clairement ce que l'on entend par la demande de « normes comptables mutuellement reconnues » : l'affaiblissement institutionnalisé des traditions juridiques et de la jurisprudence européennes dans le système judiciaire et leur remplacement par une domination fortement influencée par les États-Unis et basée sur la « common law ». Incidemment, c'était l'une des pommes de discorde méconnues du "Brexit", car de nombreux traités et investissements "internationaux" dans l'UE suivaient déjà la "common law" (britannique), car celle-ci était plus facilement compatible avec la variante américaine. Comme me l'a récemment confirmé un employé de JP Morgan Chase lors d'une conversation, c'est encore une pratique courante.
Un large débat public sur les objectifs américains exprimés par Eizenstat et leurs conséquences est - non : doit - être la référence du discours politique et social.
Cependant, le silence complaisant des politiciens et des "médias de premier plan et de qualité" en dit long.
Résultats secrets de la réunion États-Unis-UE à Stockholm (16-17 mars 2023) Mi-mars 2023, un groupe de travail sur la « coopération sécuritaire États-Unis-UE » s'est réuni à Stockholm . Si vous ne l'avez pas remarqué, il y aura des raisons (y compris ne pas lire ma sous-pile ).
Puisqu'il était manifestement convenu que le résultat des délibérations resterait confidentiel, j'ai essayé d'obtenir des informations à ce sujet auprès de la présidence suédoise du Conseil.
Voici la réponse "officielle" de Sophie Dernild, qui travaille pour le gouvernement suédois, en séquence - ainsi que les notes qui ont fait surface "sur Internet" (également dans ma traduction et avec mon emphase ajoutée) :
Étant donné que les réunions des hauts fonctionnaires EU-US Home et Juztiz Dialogue servent à préparer les réunions ministérielles, aucune conclusion formelle n'est présentée . Cependant, les points récurrents de l'ordre du jour sont bien reflétés dans la déclaration conjointe de la dernière réunion ministérielle du 15 décembre 2022 à Washington, qui sera suivie lors d'une prochaine réunion ministérielle en juin.
Notons : les "réunions préparatoires" ont lieu en dehors du domaine public, lorsque la populace demande alors, référence est faite aux communiqués de presse, qui lancent des phrases vides tout aussi fort, mais permettent toujours un regard approfondi :
Le sommet de Washington a été l'occasion de réaffirmer l'engagement de l'Union européenne et des États-Unis en faveur d'un partenariat transatlantique fort à l'heure des grands enjeux géopolitiques . Les deux parties ont exprimé leur détermination à renforcer la coopération dans les domaines de la justice et des affaires intérieures
Le terrorisme et l'extrémisme violent sous toutes ses formes... doivent être combattus par des moyens appropriés. Le partage d'informations sur le terrorisme est essentiel pour atteindre cet objectif. Les deux parties ont approuvé un projet pilote visant à partager ces informations de manière plus systématique et ont chargé les hauts fonctionnaires de faire le point sur le projet lors de leur prochaine réunion au premier semestre 2023… [la réunion de Stockholm les 16 et 17 juin 2023 mars 2023, ndlr]
Les États-Unis et l'UE ont souligné l'importance de l'échange de données des dossiers passagers (PNR) en tant qu'outil international important pour la prévention du terrorisme et la lutte contre la criminalité. Les deux parties ont exprimé leur engagement mutuel à continuer de partager les données PNR...
Les États-Unis et l'UE ont réitéré leur objectif de reprendre les négociations sur un accord UE-États-Unis visant à faciliter l'accès aux preuves électroniques aux fins de la coopération en matière pénale au début de 2023...
L'Union européenne et les États-Unis sont déterminés à renforcer davantage leur coopération dans la lutte contre la criminalité environnementale, notamment par le développement d'outils de coopération et de mécanismes de partage d'informations ...
Quiconque sait lire peut voir clairement ce qui se passe ici – à huis clos et sans expliquer le contenu de la conversation : la Commission européenne est en train d'accorder aux autorités américaines un accès automatisé aux données personnelles européennes ; il se peut que les autorités de l'UE accèdent également aux bases de données américaines, mais en raison du déséquilibre politique réel - et dans le contexte des considérations économiques mentionnées au début - il faut s'attendre à ce que les entreprises américaines bénéficient bientôt d'énormes avantages concurrentiels en Europe .
Incidemment, j'ai trouvé le procès-verbal de la décision de la réunion de Stockholm "sur Internet" (ceci est cité en détail dans l'article de la sous-pile précédemment lié ; si vous voulez également le PDF, veuillez m'envoyer un e-mail). Ce document énonce clairement en quoi consiste cette "coopération" (encore une fois, mes traductions et mon emphase) :
La réunion a également été l'occasion d'identifier des domaines d'intérêt potentiels pour des discussions plus approfondies au niveau technique...
Il a été rappelé que le terrorisme de droite est en augmentation , les mouvements de complot anti-gouvernementaux provoqués par la pandémie devenant plus visibles dans certains cas. Le flou des loyautés traditionnelles dans la scène terroriste d'extrême droite rend l'image de la menace plus complexe [saut de ligne inséré, note].
La délégation de l'UE a souligné qu'[il] s'agit d'un défi d'identifier les acteurs impliqués et de s'assurer que les plateformes assument leurs responsabilités. Des réflexions ont été menées sur la manière de lutter contre la violence anti-systémique et de répertorier les organisations violentes d'extrême droite , en gardant à l'esprit les normes juridiques élevées établies par la CJCE…
La délégation américaine a noté que le changement démographique rapide [lire : « immigration de masse »] avait été identifié comme un prédicteur de la radicalisation … et a fait part de ses inquiétudes concernant la radicalisation [lire : « manque de fiabilité croissant », s.d.] parmi les forces de police. La délégation américaine a demandé le soutien de l'UE dans les forums mondiaux pour maintenir l'accent sur l'extrémisme "terroriste" ou "violent" (et veiller à ce que ces adjectifs ne soient pas abandonnés) afin d'empêcher les régimes répressifs de l'utiliser contre l'utilisation de la liberté d'expression...
Dans le cadre des discussions sur le partage d'informations liées au partenariat renforcé pour la sécurité des frontières (EBSP), les parties ont noté l'intention de transmettre un premier ensemble de données selon un concept en cours d'élaboration (présenté aux États membres dans le groupe de travail sur la justice et échange d'informations sur les affaires intérieures). Les deux parties ont salué un projet pilote prometteur entre Europol et le département américain de la Sécurité intérieure pour échanger des refus ESTA pour des motifs de terrorisme.…
Comme si cela ne suffisait pas, alors que suffisamment de matériel de discussion est fourni ici : « partage d'informations » signifie partager vos données personnelles avec les autorités américaines ; "L'immigration de masse" en tant que facteur de déstabilisation est apparemment tout aussi ouvertement discutée - tant que la population n'est pas "autorisée" à écouter.
Vous pouvez également lire beaucoup sur la façon dont ces conversations se déroulent - et pas seulement "entre les lignes":
Les parties se sont félicitées de la reprise des négociations UE-États-Unis sur un accord sur les preuves électroniques, tenues en marge du SOM [Senior Officials Meeting] à Stockholm les 15 et 16 mars … La prochaine réunion aura lieu en juin 2023 à Washington, DC. Les deux parties ont convenu qu'une coordination étroite était nécessaire dans le cadre des négociations sur la Convention des Nations Unies sur la cybercriminalité pour isoler la Chine et la Russie dans leur tentative de réglementer Internet.. La délégation américaine a mis en garde contre la création d'un régime parallèle de protection des données dans le cadre de la nouvelle convention des Nations unies, affirmant qu'elle préférerait utiliser les organes existants pour superviser la mise en œuvre de la convention plutôt que de créer une nouvelle conférence des parties.
En bref, le contexte : la Chine et la Russie veulent créer un nouveau cadre multilatéral de supervision/réglementation au sein de l'ONU, ce que les États-Unis, soutenus par les grandes entreprises et l'UE, veulent empêcher. En d'autres termes : il s'agit de géopolitique.
Dans une brève présentation d'Eurojust, la coopération en cours dans l'affaire ANOM a été soulignée, avec la mise en place d'un « verrouillage du traitement des affaires » qui permet aux procureurs de divulguer des informations non sensibles sur les affaires d'échange et les décisions de justice .
La délégation de l'UE a rendu compte de la réflexion actuelle de l'UE sur cette question de longue date (une priorité de la présidence suédoise) et des projets de création d'un groupe d'experts de haut niveau pour examiner la question de manière globale. La conviction de l'UE selon laquelle la légitimité des forces de l'ordre à mener des enquêtes doit être renforcée (y compris dans le discours public) était partagée par la délégation américaine, qui a également convenu que la "vie privée dès la conception" devrait avoir un "accès légal intégré". (c'est-à-dire une « porte dérobée » pour l'application de la loi).Une référence à cet égard est la déclaration du G7 2021, qui parle de « maintenir un accès licite strictement contrôlé aux données » ; en effet, les forces de l'ordre ne cherchent pas à obtenir de nouveaux pouvoirs, mais souhaitent conserver leur capacité à mener des enquêtes . Concernant le chiffrement de bout en bout, la délégation américaine a noté une certaine hypocrisie dans la position des plateformes internet, qui résistent à une coopération constructive avec les démocraties libérales sur l'accès légitime tout en cédant aux pressions d'ordres juridiques plus répressifs. Outre le cryptage, la délégation américaine a également identifié la conservation et le traitement des données comme des domaines prioritaires.Elle a confirmé que la lutte contre l'exploitation et la maltraitance des enfants en ligne reste une priorité nationale.
Épilogue : secret et conséquence
Les efforts croissants des États-Unis et de l'UE, pour l'instant encore en secret, pour que les organes exécutifs et le pouvoir judiciaire recherchent un "accès légitime… par une porte dérobée" aux données personnelles et autres sont clairement évidents, comme c'est déjà à l'ordre du jour dans les pays où « des systèmes juridiques plus répressifs ».
Toutes sortes de propagandes occidentales corsées sur la «démocratie» et «l'état de droit» sont punies en quelques lignes avant tout - MENSONGE.
L'UE et les USA s'efforcent de mettre en place un système par la voie procédurale ou « par la porte dérobée » qui corresponde à celui des pays au « système judiciaire plus répressif ».
En d'autres termes : si les peuples d'Europe laissent ces élites faire ce qu'elles veulent, l'avenir de l'Occident est clairement évident : la fin de plusieurs siècles d'évolution culturelle et sociale vers la liberté, l'égalité et la fraternité est (bientôt) révolue, la avenir qui nous menace est : la Chine.
Rien de ce qui précède n'est surprenant, soit dit en passant.
C'est ainsi qu'Edward Luttwak, un membre respecté de l'establishment transatlantique, décrivait - apparemment très clairement - il y a une trentaine d'années le "futur" de l'Occident. Luttwak est un homme aux multiples talents, soit dit en passant, alors peut-être que la biographie la plus "appropriée" est celle de Wikipédia .
En tout cas, je recommande l'essai de Luttwak au titre éloquent « Pourquoi le fascisme est la vague du futur », qui a été écrit en 1994 - et donc à une époque où la montée de la Chine dans l'espace public futur dont peu étaient conscients - est apparue dans la London Review of Books .
Il devient de plus en plus clair à quel point les politiques menées par les élites américaines et européennes sont anti-occidentales et anti-humaines.
Le Dr John Clauser ANNULÉ de la conférence du FMI après avoir déclaré que le récit sur le changement climatique était une "pseudoscience"
08/01/2023 Ethan Huff
Le lauréat du prix Nobel (physique 2022), le Dr John Clauser, a été exclu de prendre la parole lors d'un prochain engagement du Fonds monétaire international (FMI) en raison de déclarations qu'il a récemment faites sur le fait que le changement climatique d'origine humaine est une "pseudoscience". Le Dr Clauser devait présenter un séminaire sur les modèles climatiques au FMI avant de recevoir un e-mail à l'improviste de Pablo Moreno, directeur du Bureau d'évaluation indépendant du FMI, expliquant que la conférence Zoom du 25 juillet du Dr Clauser avait été sommairement et immédiatement annulé - bien que le mot utilisé dans l'e-mail ait été "reporté".
"Il n'y a pas de véritable crise climatique", avait précédemment déclaré le Dr Clauser avant de se faire virer de l'événement du FMI. "La science du climat s'est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc massive."
Le Dr Clauser avait également critiqué l'attribution d'un prix Nobel 2021 pour le travail effectué en développant des modèles informatiques prédisant le réchauffement climatique. Le Dr Clauser avait également dit directement au faux président Joe Biden à au moins une occasion que les politiques climatiques de Biden étaient désastreuses et pas du tout basées sur la science.
(Connexe : le Dr Clauser est très franc sur le réchauffement climatique d'origine humaine, qui, selon lui, est un canular total."
Les modèles climatiques du Dr Clauser tiennent compte de la lumière visible réfléchie par les cumulus, qui est systématiquement ignorée par les fanatiques du climat La grande majorité de la "science" climatique acceptée ignore complètement la lumière visible que reflète la couverture nuageuse des cumulus. Soit dit en passant, les cumulus couvrent en moyenne environ la moitié de la Terre.
Les modèles climatiques du Dr Clauser s'écartent des modèles climatiques de l'établissement en ce sens qu'il prend en compte cette lumière visible, ce qui est important car la couverture nuageuse cumulus exerce "un contrôle thermostatique très puissant et dominant de la température de la Terre", pour citer le Watts Up With That ? blog sur le climat.
"Les processus clés sont exagérés et mal compris environ 200 fois", a déclaré le Dr Clauser lors de la récente conférence quantique de Corée, ajoutant une fois de plus qu'il ne "croit pas qu'il y ait une crise climatique".
Le mois dernier, la gaz carbonique Coalition a nommé le Dr Clauser membre de son conseil d'administration. Soit dit en passant, la Coalition gaz carbonique soutient que les émissions de dioxyde de carbone provenant des humains et de l'activité humaine sont bonnes pour la planète car elles contribuent à un effet de "verdissement", ce qui signifie plus de vie végétale et plus d'abondance et de beauté.
Les fanatiques du climat détestent le gaz carbonique pour une raison quelconque. Ils détestent également l'azote et les autres éléments naturels dont les plantes, les animaux et les humains ont besoin pour vivre. Dans leur imagination de conte de fées, débarrasser la planète du gaz carbonique, de l'azote et de tous les autres gaz naturels aidera à "refroidir" la planète et à empêcher la fonte des calottes polaires.
Dans les années 1970, le Dr Clauser a démontré "l'intrication quantique", qui permet à des particules telles que les photons d'interagir à de grandes distances à des niveaux de communication qui dépassent apparemment la vitesse de la lumière.
"Le récit populaire sur le changement climatique reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l'économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes", prévient le Dr Clauser. "La science du climat malavisée s'est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc massive."
"À son tour, la pseudoscience est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d'autres maux sans rapport. Elle a été promue et étendue par des agents de marketing d'entreprise, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des écologistes tout aussi mal avisés. À mon avis, il n'y a pas de véritable Il y a cependant un problème très réel à fournir un niveau de vie décent à la grande population mondiale et une crise énergétique associée. Cette dernière est inutilement exacerbée par ce qui, à mon avis, est une science du climat incorrecte.
Dans les commentaires, quelqu'un a plaisanté en disant que le Dr Clauser pourrait vouloir réitérer qu'il n'est pas déprimé et qu'il ne possède aucune saleté sur Hillary Clinton, aspirante présidentielle ratée à deux reprises, l'insinuation étant que son scepticisme climatique pourrait le mettre dans le collimateur de certains. des gens très dangereux et puissants.
Les dernières nouvelles liées au climat peuvent être trouvées sur Climate.news.
Le soleil ou le gaz carbonique font-ils le changement climatique - en conversation avec MEGA-Radio
2 août 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Jusqu'en 1987, le soleil était responsable des changements climatiques sur terre et sur les autres planètes. Puis, en 1988, l'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) a été fondé en tant que sous-division de l'ONU. Il a ensuite mis en cause certains des gaz présents dans l'atmosphère, dont la production peut être attribuée à l'homme, quoique dans une faible mesure : le gaz carbonique, le protoxyde d'azote N2O et le méthane CH4.
Dans les modèles de l'IPCC, le rayonnement solaire est supposé être constant, ce qui n'est pas le cas, car comme toutes les planètes, il se déplace également autour du centre de masse du système solaire, comme Isaac Newton l'a décrit dans les Principia en 1687.
Le réacteur à fusion cosmique Soleil ne cesse de changer l'intensité de son rayonnement, par exemple grâce aux taches solaires, à la force de son puissant champ magnétique et même les pôles s'inversent environ tous les 11 ans. Tout cela exerce une forte influence sur la température, la formation des nuages, l'activité volcanique ou les tremblements de terre sur Terre.
Recommandations de livres TKP :
Chronologie d'une pandémie : Tous les articles du TKP de 2020 sous forme de livre Des gens courageux d'Andrea Drescher La théorie du gaz carbonique n'explique rien dans le passé - ni les petites glaciations ni les périodes chaudes - et est donc à rejeter, comme le fait tout scientifique sérieux. Ce n'est pas le cas des « modélisateurs » du IPCC. De nombreux géologues, géographes ou autres traînent là-bas, mais les astrophysiciens ou physiciens familiarisés avec la physique des nuages sont largement absents.
J'en discute et plus en détail avec Alexander Boos de MEGA-Radio.
MEGA Radio est une station qui s'écoute en DAB+ et aborde les sujets de manière critique et ouverte sans considération politique.
Quel que soit le gouvernement ou chef d’État dans le monde, il ne se composera JAMAIS de scientifiques dans le ministère attribué comme il n'y aura aucun docteur dans celui de la santé !! C'est aller chez le boulanger pour réparer sa bagnole ou prendre le bus pour aller de New-York en Europe ! Les dites 'grandes écoles' ne chient que des merdes ! QUE DES MERDES !
La guerre contre le protoxyde d'azote menace les agriculteurs et l'approvisionnement alimentaire mondial
2 août 2023 du Dr. Peter F. Mayer
L'UE est en train d'imposer une réduction des oxydes d'azote en expropriant et en expulsant les agriculteurs, initialement aux Pays-Bas. Ici aussi, le sauvetage climatique sert d'excuse, bien qu'il n'y ait pas de lien solide. Dans le même temps, des industries entières voient le jour qui produisent de la viande dans des réacteurs chimiques ou élèvent des insectes à ajouter aux plats cuisinés . En novembre 2022, quatre scientifiques renommés ont publié un article de physique intitulé Nitrous Oxide and Climate. Il démontre que la "guerre contre l'oxyde nitreux" du Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies pour atteindre des émissions nettes nulles (NZE) d'ici 2050 menace de provoquer un effondrement majeur de l' approvisionnement alimentaire mondial .
Les quatre auteurs de l'article sont des professionnels hors pair dans leur domaine, leur analyse et leur opinion doivent donc être prises très au sérieux, à savoir :
1) CA de Lange, physicien à la Vrije Universiteit d'Amsterdam ;
2) JD Ferguson, docteur en médecine à l'Université de Pennsylvanie, spécialisé dans le développement de modèles informatiques pour les effets des engrais azotés sur l'industrie laitière ;
3) William Happer, professeur émérite de physique à l'Université de Princeton ; et
4) WA van Wijngaarden, professeur de physique à l'Université York au Canada.
Tous quatre sont de fervents détracteurs des allégations non scientifiques du IPCC visant à étendre l' interdiction du gaz carbonique à la diabolisation du protoxyde d'azote (N2O) et du méthane (CH4), classés " gaz à effet de serre mineurs" . Le rapport se conclut par une vérité impérieuse : « Il n'est pas possible d'avoir une agriculture hautement productive sans engrais azotés. L'intention derrière cela est de remplacer la production rurale par la production industrielle, dans laquelle des milliards ont déjà été investis par divers fonds de capital-risque américains aux États-Unis et aux Pays-Bas . Et ces investissements devraient payer.
L' argument principal des scientifiques réfute complètement l'hystérie de l'Intergovernmental Panel on Climate Change. Les données montrent qu'en raison de l'impact minimal du N2O et du CH4 sur la température de la Terre, vous ne risquez pas un effondrement de la chaîne alimentaire mondiale. Vous écrivez:
Les propositions de restrictions sévères des émissions d'oxyde nitreux fondées sur les craintes du réchauffement climatique ne sont pas justifiées par ces faits. Les restrictions pourraient causer de graves dommages, par exemple en mettant en péril l'approvisionnement alimentaire mondial.
Les scientifiques expliquent que l'engrais azoté est le "facteur le plus important qui a conduit aux énormes augmentations de la productivité agricole depuis les années 1950 qui ont éliminé les famines meurtrières qui ont tourmenté l'humanité à travers l'histoire" . L'abolition des engrais azotés forcerait un retour à une « agriculture à faible rendement » qui «ne peut pas fournir les approvisionnements alimentaires nécessaires pour nourrir 8,5 à 10 milliards de personnes».
L'écologiste Bjørn Lomborg a reconnu la nature malthusienne de l'attaque des " conservateurs du climat" contre le N2O, qui a également longtemps joué un rôle aux côtés de la recherche de profit, a rapporté TKP . Le 19 avril 2023, Lomborg a posté ce qui suit sur Twitter :
En termes optimistes, l'agriculture biologique peut aujourd'hui nourrir 4,7 milliards de personnes.
L'agriculture industrielle peut nourrir avec optimisme 12 milliards de personnes n'importe où aujourd'hui.
La population mondiale est de 8 milliards.
Faites le calcul vous-même.
Dans son Essai sur le principe de la population (1798), Malthus a souligné la surpopulation comme un problème dans une économie et une société en développement. Ses partisans sont nombreux parmi les milliardaires, de Rockefeller à Gates.
Dans son livre de 2020 False Alarm: How Climate Change Panic Costs Us Trillions, Hurts the Poor, and Fails to Fix the Planet ) Lomborg a expliqué comment nous en étions à ce stade il y a une vingtaine d'années lorsque «l'engouement pour les biocarburants a balayé les pays riches». Il a écrit:
L'Union européenne a montré la voie et, en 2003, a demandé aux États membres de remplacer 5,75 % de tous les carburants fossiles dans les transports par des biocarburants d'ici 2010. Les pays en développement, même ceux en proie à la famine, ont été poussés à cultiver des cultures pour l'éthanol plutôt que pour la nourriture.
Lomborg a noté que la croissance massive des biocarburants « a inévitablement conduit à une baisse de la nourriture et à une hausse des prix des denrées alimentaires » . Un rapport confidentiel de la Banque mondiale, publié par le Guardian , a révélé que les biocarburants ont fait grimper les prix alimentaires mondiaux de 75 % et « plongé cent millions de personnes dans la pauvreté et trente millions dans la faim. "
Dans Nitrous Oxide and Climate, de Lange, Ferguson, Happer et Wijngaarden conviennent que la guerre contre les émissions de N2O est idéologiquement motivée et montre une volonté de sacrifier des millions de vies à une idée fausse scientifique populaire. Enfin, les quatre auteurs écrivent :
Avec peu de citoyens réalisant que l'impact climatique des émissions totales de N2O est négligeable, de nombreux gouvernements sont sous pression pour faire « quelque chose » au sujet des contributions de N2O de l'agriculture. Les réglementations idéologiques de l'État sur l'agriculture ont généralement conduit au désastre. Le monde vient d'assister à l'effondrement du secteur agricole autrefois florissant du Sri Lanka à la suite des restrictions gouvernementales sur les engrais minéraux.
Mais tout cela est accepté pour deux raisons. Klaus Schwab en a décrit un dans son livre "The Great Reset". La 4e révolution industrielle vise à donner au capital financier inactif de nouvelles opportunités d'investissement et de profit. A cette occasion, la paysannerie perturbatrice devrait également être abolie et l'agriculture industrialisée. L'autre motivation est la réduction de la population terrestre, telle que poursuivie par Malthus, Huxley ou le Club de Rome et dont les partisans continuent de poursuivre activement le projet.
La preuve est encore apportée que l'Intergovernmental Panel on Climate Change n'est qu'un gang d'ordures qui n'accepte pas les scientifiques. S'il y avait même un scientifique de première année, il aurait déclaré devant tous que depuis DES millions d'années TOUS les gaz sont fabriqués par la combustion de notre magma et que notre atmosphère recycle immédiatement tous les gaz qu'il y reçoit. PERSONNE ne peut supprimer ou ajouter des % de gaz dans notre atmosphère ! PERSONNE !
La grande leçon du film "Oppenheimer" est que la science n'est pas aussi indépendante qu'on nous le dit. Il peut facilement être acheté par les gouvernements, aussi tragique que cela puisse paraître.
Les vrais héros de chaque époque sont les voix qui s'en tiennent à la vérité et aux faits, quels que soient les vents de la politique. Pendant les fermetures, celles-ci étaient rares et espacées. Mais c'est peut-être toujours le cas.
Des chercheurs ont découvert que dans le monde entier, la consommation de viande est associée à une durée de vie plus longue
Sally Fallon Morell 29 juillet 2023
Points de vue sur la santé
En février de l'année dernière, l'International Journal of General Medicine a publié une étude qu'il était facile de rater, car aucune publication médiatique majeure n'a rapporté "La consommation totale de viande est associée à l'espérance de vie : une analyse des données transversales de 175 populations contemporaines". par Wenpeng You et son équipe de chercheurs.
Pendant des années, nous avons entendu dire que le secret d'une longue vie est de réduire la consommation de viande et d'augmenter notre consommation de glucides - un conseil inscrit dans les directives diététiques de l'USDA pour les Américains. Mais ce n'est pas ce que ces chercheurs ont trouvé.
Vous et son équipe avez analysé les données de 175 pays et territoires - en d'autres termes, presque le monde entier - et utilisé diverses méthodes statistiques pour "explorer et comparer les corrélations entre l'espérance de vie du nouveau-né... l'espérance de vie à cinq ans de vie... et les apports en viande", et les cultures glucidiques, respectivement. Les facteurs de risque établis pour l'espérance de vie - apport calorique, urbanisation, obésité et niveaux d'éducation - ont été inclus comme facteurs de confusion potentiels.
Les chercheurs ont découvert que dans le monde entier, la consommation de viande était associée à une durée de vie plus longue. "Cette relation est restée significative lorsque les influences de l'apport calorique, de l'urbanisation, de l'obésité, de l'éducation et des cultures glucidiques étaient statistiquement contrôlées." En revanche, la consommation de glucides avait une corrélation faible mais négative avec l'espérance de vie.
Zones bleues et consommation de viande
Vous vous interrogez peut-être sur les régions de la « zone bleue » du monde, celles qui comptent un pourcentage élevé de centenaires. Selon Dan Buettner, auteur de "The Blue Zones, Lessons for Living Longer From the People Who've Lived the Longest", la clé d'une longue vie est de minimiser la consommation de viande et de manger beaucoup de légumes.
Les personnes de longue durée vivant dans les zones bleues ne mangent-elles pas une alimentation principalement à base de plantes ?
Eh bien, en fait, non. Par exemple, en Sardaigne, la première zone bleue notée par M. Buettner, la consommation de viande est plus élevée chez les paysans de longue durée vivant dans les montagnes que chez ceux vivant dans les vallées, selon une étude de 2015 publiée dans le European Journal of Clinical Nutrition. Dites les auteurs :
"L'identification d'un point chaud d'une longévité exceptionnelle, la Zone Bleue de Longévité (LBZ), dans la population montagnarde de la Sardaigne a suscité un intérêt considérable envers sa nourriture traditionnelle comme l'un des facteurs potentiels de causalité... Jusqu'à il y a peu de temps, la LBZ la population dépendait principalement de l'élevage du bétail et la consommation d'aliments d'origine animale était relativement plus élevée que dans le reste de l'île. [soulignement ajouté]
Pour Okinawa, sa deuxième zone bleue répertoriée, M. Buettner insiste sur le fait que «les Okinawans plus âgés ont suivi un régime à base de plantes pendant la majeure partie de leur vie. Leurs repas de légumes sautés, de patates douces et de tofu sont riches en nutriments et faibles en calories. Cependant, ce n'est pas ce que les chercheurs ont trouvé dans une étude de 1992 comparant les régimes alimentaires des Japonais du continent et ceux vivant sur l'île d'Okinawa.
Ils ont constaté que la proportion de l'alimentation composée de protéines et de graisses - principalement du porc et de la graisse de porc, mais aussi du poisson - était plus élevée à Okinawa. Autre fait : les habitants d'Okinawa adorent le spam, consommant plus d'une boîte par personne et par semaine, pour un total d'un peu plus de sept millions de boîtes de conserve de porc par an. Le spam est le genre de « viande grasse et transformée » contre laquelle Buettner met en garde.
Passons à la péninsule de Nicoya au Costa Rica - une région où vivent du bétail, des chèvres et des porcs - les gens là-bas aiment aussi leur saindoux. Une étude de 2013 sur la région a révélé que les Nicoyens plus âgés mangeaient plus de poisson, plus de viande et plus de graisses saturées (du saindoux) que les habitants des autres régions du Costa Rica. Ils sont également friands d'un ragoût à base d'abats appelé « sustancia ».
Dans la zone bleue d'Ikaria, en Grèce, Buettner décrit le régime comme étant à base de plantes avec un "faible apport en graisses saturées provenant de la viande et des produits laitiers". Pourtant, les insulaires consomment beaucoup de produits laitiers de chèvre et de mouton, qui sont très riches en graisses saturées - et comme c'est la coutume dans toute la Grèce - ils consomment fréquemment de l'agneau gras.
En ce qui concerne les adventistes du septième jour de Loma Linda, en Californie, la cinquième et dernière zone bleue de Buettner, il n'est pas clair qu'il y ait beaucoup de centenaires dans la population, mais des études sur ces adventistes indiquent que les hommes vivent 7,3 ans de plus et les femmes vivent 4,4 ans. plus longtemps que les autres Californiens. Cependant, très peu d'adventistes (environ 4%) suivent un régime végétalien et, en tant que groupe, ils évitent l'alcool, les drogues, la caféine et la malbouffe - par rapport à l'ensemble des Californiens - qui ont tendance à consommer de l'alcool, des sodas, de la malbouffe, le café et la drogue.
Quelle population mondiale a la plus longue durée de vie ? La réponse est surprenante : Hong Kong animée, surpeuplée et polluée ! Selon les données des Nations Unies, l'espérance de vie à Hong Kong est de 82,38 ans pour les hommes et de 88,17 ans pour les femmes. Autre surprise : les habitants de Hong Kong ont la consommation de viande et de produits laitiers la plus élevée au monde, avec 500 grammes (plus d'une livre) de viande et 281 grammes (presque dix onces) de produits laitiers par jour.
Encore une autre étude ignorée des médias sur les bienfaits de la viande
Je me souviens d'une étude importante, décrite dans The Guardian, réalisée il y a près de vingt ans - également ignorée par les médias - qui a montré à quel point la viande est importante pour les enfants en pleine croissance.
Le professeur Lindsay Allen de l'Université de Californie à Davis (et récemment intronisé au Temple de la renommée des sciences de l'USDA ARS) a découvert que l'ajout de seulement deux onces de viande au régime alimentaire des enfants pauvres en Afrique "les transformait à la fois physiquement et mentalement". Sur une période de deux ans et par rapport à ceux qui ont reçu une tasse de lait, un supplément d'huile ou un quatrième groupe qui n'a reçu aucun supplément, ceux qui ont reçu de la viande « ont presque doublé leur développement musculaire et ont montré des améliorations spectaculaires de leurs capacités mentales. Ils sont également devenus plus actifs, bavards et enjoués à l'école… et ont montré plus de compétences en leadership.
"Les résultats des tests d'aptitudes mentales se sont améliorés de 35 points pour le groupe de la viande, de 14 pour le lait et sont restés inchangés pour les enfants qui n'ont reçu aucun supplément [d'origine animale]", a-t-elle déclaré.
S'exprimant lors de la réunion annuelle de l'Association américaine pour l'avancement des sciences à Washington DC, Mme Allen a déclaré :
"Les aliments d'origine animale contiennent des nutriments que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Si vous parlez de nourrir les jeunes enfants, les femmes enceintes et les femmes allaitantes, j'irais jusqu'à dire qu'il est contraire à l'éthique de refuser ces aliments pendant cette période de la vie… L'ajout de viande ou de lait aux régimes a également presque complètement éliminé le très taux élevés de carence en vitamine B12 précédemment observés chez les enfants.
Elle a ajouté:
« Il est important de savoir que ces avantages importants pour la fonction humaine et le capital humain ont été constatés en seulement deux ans. Si ces enfants avaient reçu ces aliments plus tôt dans leur vie ou si leurs mères les avaient reçus lorsqu'elles étaient enceintes, ou si les gens avaient pu les recevoir tout au long de leur vie, nous pensons que les améliorations du développement du capital humain seraient encore plus spectaculaires.
Les aliments d'origine animale, en particulier la viande, sont vitaux pour la croissance, le développement, la fonction mentale et une longue vie.
Laissez-les manger des insectes : contester la réinitialisation alimentaire axée sur les entreprises du WEF
Par Colin Todhunter Recherche mondiale 2 août 2023
Le modèle agroalimentaire mondialisé qui prévaut est construit sur des politiques commerciales injustes, l'effet de levier de la dette souveraine, les déplacements de population et la dépossession des terres. Elle alimente la monoculture de produits de base et l'insécurité alimentaire ainsi que la dégradation des sols et de l'environnement.
Il est responsable de l'augmentation des taux de maladie, des régimes alimentaires déficients en nutriments, du rétrécissement de la gamme des cultures vivrières, des pénuries d'eau, des ruissellements chimiques, de l'endettement croissant des agriculteurs, de l'affaiblissement et de la destruction des communautés locales et de l'éradication de la biodiversité.
Le modèle repose sur un paradigme politique qui privilégie l'urbanisation, les marchés mondiaux, les longues chaînes d'approvisionnement, les intrants propriétaires externes, les aliments hautement transformés et la dépendance du marché (entreprise) au détriment des communautés rurales, les petites entreprises indépendantes et les petites exploitations agricoles, les marchés locaux, la pénurie d'approvisionnement. filières, ressources à la ferme, cultures agroécologiques diversifiées, régimes alimentaires riches en nutriments et souveraineté alimentaire.
Il est clair qu'il existe d'énormes problèmes environnementaux, sociaux et de santé qui découlent de la quantité de notre nourriture qui est actuellement produite et consommée et qu'un changement de paradigme est nécessaire.
Ainsi, certains optimistes - ou vœu pieux - auraient pu espérer de véritables solutions aux problèmes et défis décrits ci-dessus lors de la deuxième édition du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires (UNFSS) qui s'est tenue la semaine dernière à Rome.
L'UNFSS a affirmé qu'elle vise à fournir les dernières approches scientifiques fondées sur des preuves du monde entier, à lancer un ensemble de nouveaux engagements par le biais de coalitions d'action et à mobiliser de nouveaux financements et partenariats. Ces « coalitions d'action » s'articulent autour de la mise en œuvre d'une « transition alimentaire » plus durable, efficace et respectueuse de l'environnement.
Fondé sur un partenariat entre l'ONU et le Forum économique mondial (WEF), l'UNFSS est cependant influencé de manière disproportionnée par les entreprises, manque de transparence et de responsabilité et détourne l'énergie et les ressources financières des véritables solutions nécessaires pour lutter contre la faim multiple, crises environnementales et sanitaires.
Selon un article récent sur le site Web de The Canary, les principales initiatives multipartites (MSI) présentées au sommet de 2023 comprenaient le WEF, le Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale, EAT (EAT Forum, EAT Foundation et EAT-Lancet Commission on Sustainable Healthy Food Systems), le Conseil mondial des entreprises pour le développement durable et l'Alliance pour une révolution verte en Afrique.
Le secteur agroalimentaire mondial des entreprises, y compris Coca-Cola, Danone, Kelloggs, Nestlé, PepsiCo, Tyson Foods, Unilever, Bayer et Syngenta, était également en force avec Dutch Rabobank, la Fondation Mastercard, la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fondation Rockefeller.
Grâce à son "partenariat stratégique" avec l'ONU, le WEF considère les MSI comme la clé pour réaliser sa vision d'une "grande réinitialisation" - dans ce cas, une transition alimentaire. Le sommet comprend une puissante alliance d'entreprises mondiales, de fondations influentes et de pays riches qui tentent de saisir le récit de la « transformation des systèmes alimentaires ». Ces intérêts visent à assurer une plus grande concentration des entreprises et un effet de levier de l'agro-industrie sur les institutions publiques.
Hannah Sharland, l'auteur de l'article dans The Canary, écrit :
« … l'ONU donne sciemment aux entreprises mêmes qui parrainent la destruction de la planète des places de choix à la table. Ce sont précisément ces entreprises qui façonnent déjà l'état des systèmes alimentaires mondiaux.
Elle conclut que les solutions à une crise mondiale naissante ne peuvent être trouvées dans le système capitaliste d'entreprise qui l'a fabriquée.
Lors d'une conférence de presse le 17 juillet 2023, des représentants de la Réponse autonome du peuple à l'UNFSS ont souligné les actions urgentes et coordonnées nécessaires pour lutter contre la faim dans le monde. La réponse est venue sous la forme d'une déclaration de ceux qui représentent les mouvements de justice alimentaire, les organisations de petits producteurs alimentaires et les peuples autochtones.
La déclaration dénonçait l'approche des Nations Unies. Saúl Vicente du Conseil international des traités indiens a déclaré que les organisateurs du sommet visaient à vendre leur projet d'entreprise et industriel comme une "transformation".
Les mouvements et les organisations qui s'opposent au sommet appellent à un changement rapide des modèles industriels axés sur les entreprises vers des systèmes alimentaires biodiversifiés, agroécologiques et communautaires qui donnent la priorité à l'intérêt public plutôt qu'au profit. Il s'agit de garantir les droits d'accès et de contrôle des peuples à la terre et aux ressources productives tout en promouvant la production agroécologique et les semences paysannes.
La réponse au sommet ajoute que, malgré la reconnaissance croissante que les systèmes alimentaires industriels échouent sur tant de fronts, les entreprises agroalimentaires et agroalimentaires continuent d'essayer de garder leur contrôle. Ils déploient la numérisation, l'intelligence artificielle et d'autres technologies de l'information et de la communication pour promouvoir une nouvelle vague de dépendance ou de déplacement des agriculteurs, d'accaparement des ressources, d'extraction de richesse et d'exploitation du travail et pour restructurer les systèmes alimentaires vers une plus grande concentration du pouvoir et une valeur toujours plus mondialisée. Chaînes.
Shalmali Guttal, de Focus on the Global South, déclare :
« … des gens du monde entier ont présenté des stratégies concrètes et efficaces… souveraineté alimentaire, agroécologie, revitalisation de la biodiversité, marchés territoriaux et économie solidaire. Les preuves sont accablantes - les solutions conçues par les petits producteurs alimentaires et les peuples autochtones non seulement nourrissent le monde, mais font également progresser le genre, la justice sociale et économique, l'autonomisation des jeunes, les droits des travailleurs et une réelle résilience aux crises.
Guttal demande "pourquoi les décideurs politiques n'écoutent-ils pas cela et ne fournissent-ils pas un soutien adéquat ?"
C'est facile à répondre. L'ONU s'est mise au lit avec le WEF et des géants de l'agroalimentaire et du big data irresponsables, qui n'ont pas le temps pour la gouvernance démocratique.
Un nouveau rapport de FIAN International a été publié parallèlement à la déclaration de la Réponse autonome du peuple. Le rapport – Transformation des systèmes alimentaires – Dans quelle direction ? – appelle à une refonte urgente de l'architecture de la gouvernance alimentaire mondiale afin de garantir une prise de décision qui donne la priorité au bien public et au droit à l'alimentation pour tous.
Sofia Monsalve, secrétaire générale de FIAN International, déclare :
"La principale pierre d'achoppement pour prendre des mesures efficaces en faveur de systèmes alimentaires plus résilients, diversifiés, localisés et agroécologiques sont les intérêts économiques de ceux qui font progresser et bénéficient des systèmes alimentaires industriels axés sur les entreprises."
Ces intérêts promeuvent le multipartisme : un processus qui implique des entreprises et leurs groupes de façade et des armées de lobbyistes cooptant des organismes publics pour agir en leur nom au nom de « nourrir le monde » et de la « durabilité ».
Un processus qui place de puissants intérêts privés aux commandes, guidant les décideurs politiques pour répondre aux besoins des entreprises tout en mettant de côté les préoccupations et les solutions importantes transmises par de nombreuses organisations de la société civile, des petits producteurs alimentaires et des travailleurs, des peuples autochtones ainsi que d'importants universitaires.
Les sociétés mêmes qui sont responsables des problèmes du système alimentaire actuel. Ils offrent plus ou moins la même chose, cette fois emballés dans un emballage biosynthétique, génétiquement modifié, mangeur d'insectes, écomoderniste et faux vert (voir l'article en ligne De zéro net au glyphosate : la prise de pouvoir des entreprises vertes d'agritech).
Alors que plus de 800 millions de personnes se couchent affamées sous le régime alimentaire actuel, ces entreprises et leurs riches investisseurs continuent d'aspirer à toujours plus de profit et de contrôle. Le système économique garantit qu'ils ne sont pas motivés par la justice alimentaire ou toute autre forme de justice. Ils sont obligés de maximiser le profit, notamment en attribuant une valeur marchande économique à tous les aspects de la nature et des pratiques sociales, qu'il s'agisse de connaissances, de terres, de données, d'eau, de semences ou de systèmes d'échange de ressources.
En s'assurant intelligemment (et cyniquement) que les besoins des marchés mondiaux (c'est-à-dire les besoins des chaînes d'approvisionnement des entreprises et leurs stratégies de recherche de profit) sont devenus synonymes des besoins de l'agriculture moderne, ces entreprises ont obtenu une politique hégémonique intéressée paradigme parmi les décideurs qui est profondément ancré.
C'est pour une bonne raison que la Réponse autonome du peuple à l'UNFSS appelle à une mobilisation de masse pour contester le pouvoir que détiennent les grands intérêts corporatistes :
« [Ce pouvoir] doit être démantelé afin que le bien commun soit privilégié avant les intérêts des entreprises. Il est temps de relier nos luttes et de lutter ensemble pour un monde meilleur fondé sur le respect mutuel, la justice sociale, l'équité, la solidarité et l'harmonie avec notre Mère la Terre.
Cela peut sembler un défi de taille, surtout compte tenu de la financiarisation du secteur de l'alimentation et de l'agriculture, qui s'est développée en tandem avec l'agenda néolibéral et la financiarisation globale de l'économie mondiale. Cela signifie que des entreprises extrêmement puissantes comme BlackRock – qui détient des parts dans un certain nombre des plus grandes entreprises alimentaires et agroalimentaires au monde – ont beaucoup à faire pour renforcer davantage le système existant.
Mais l'espoir prévaut. En 2021, le groupe ETC et le groupe d'experts international sur les systèmes alimentaires durables ont publié le rapport A Long Food Movement: Transforming Food Systems by 2045. Il appelle les organisations de base, les ONG internationales, les groupes d'agriculteurs et de pêcheurs, les coopératives et les syndicats à collaborer plus étroitement pour transformer les flux financiers et les systèmes alimentaires de fond en comble.
L'auteur principal du rapport, Pat Mooney, affirme que la société civile peut riposter et développer des systèmes de production agroécologiques sains et équitables, construire des chaînes d'approvisionnement courtes (basées sur la communauté) et restructurer et démocratiser les structures de gouvernance.
The original source of this article is Global Research.
Glyphosate : M. Özdemir s'oppose à la réautorisation et ouvre une porte dérobée pour l'interdiction nationale
2 Août 2023 Norbert Lehmann, AGRARHEUTE*
La Commission Européenne va probablement proposer une prolongation de l'autorisation de la substance active herbicide glyphosate. Le ministre de l'Agriculture Özdemir s'y oppose, mais se considère « lié par la situation juridique ».
La Commission Européenne veut prolonger l'autorisation du glyphosate. M. Özdemir votera sans doute contre mais s'éloigne désormais prudemment d'une interdiction nationale.
Après l'avis positif de l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) sur la sécurité du glyphosate, la Commission Européenne ne voit « aucune raison de s'opposer à une nouvelle autorisation » de la substance active. C'est ce qu'a précisé le chef de service compétent de la Direction Générale de la Santé de l'UE (DG SANTÉ), Klaus Berend, devant la commission de l'environnement du Parlement Européen.
Il est donc probable que la Commission proposera en septembre de prolonger l'autorisation de la substance active herbicide. En octobre, les États membres devraient voter sur la proposition de règlement.
« Je plaide ici pour un non », a déclaré hier (25 juillet) le ministre allemand de l'Agriculture, Cem Özdemir, lors du Conseil Agricole de l'UE à Bruxelles, réaffirmant son opposition à une réautorisation.
Les expertises font obstacle à l'interdiction du glyphosate
Mais M. Özdemir, qui a toujours envisagé par le passé une interdiction nationale du glyphosate à partir de 2024, s'en écarte désormais prudemment. Certes, l'accord de coalition stipule clairement : « Nous retirons le glyphosate du marché d'ici fin 2023. »
Cependant, cette promesse de la coalition « feux tricolores » est juridiquement fragile après que l'EFSA a conclu début juillet dans son expertise qu'il n'y avait pas d'objection fondamentale d'un point de vue scientifique à une nouvelle autorisation de la substance active de l'herbicide. L'Agence Européenne des Produits Chimiques (EChA) avait déjà déclaré l'année dernière que les critères de classification du glyphosate comme substance cancérigène, mutagène ou toxique pour la reproduction n'étaient pas remplis.
M. Özdemir : « Je suis naturellement lié à la situation juridique en ce qui concerne le glyphosate. »
Si une majorité d'États membres approuve une prolongation de l'autorisation, comme cela a été le cas en 2017, une interdiction nationale du glyphosate, prononcée par l'Office Fédéral de la Protection des Consommateurs et de la Sécurité Alimentaire (BVL) compétent, serait juridiquement attaquable. Il pourrait en résulter des demandes d'indemnisation élevées de la part de l'industrie chimique, qui affecteraient directement le budget fédéral.
Le ministre Özdemir en est manifestement de plus en plus conscient. En marge du Conseil Agricole de l'UE, il a certes critiqué l'expertise de l'EFSA qui « ne tient pas suffisamment compte des effets sur la nature ». En même temps, M. Özdemir a nuancé : « A la fin de la journée, je suis bien sûr lié par la situation juridique. » Cela laisse supposer que le gouvernement allemand votera certes contre une prolongation de l'autorisation à Bruxelles, mais qu'il appliquera finalement une décision prise à la majorité.
Les États membres doivent voter sur la réautorisation en octobre
Sans un renouvellement par l'UE, l'autorisation du glyphosate dans la Communauté expirerait le 15 décembre 2023.
Une majorité qualifiée des États membres au sein du Comité Permanent des Végétaux, des Animaux, des Denrées Alimentaires et des Aliments pour Animaux (SCoPAFF) est nécessaire pour prendre une décision pour ou contre le glyphosate. Si cette majorité n'est pas obtenue après deux votes, la Commission décidera de sa proposition.
Lors du vote de novembre 2017, M. Christian Schmidt, alors ministre de l'Agriculture, de la CSU, avait voté « de sa propre initiative » et à la surprise générale en faveur de l'autorisation, snobant ainsi sa collègue du ministère de l'Environnement dirigé par la SPD Barbara Hendricks. Cela avait même valu à M. Schmidt une réprimande de la part de la chancelière allemande Angela Merkel.
L'Umwelthilfe poursuit l'Allemagne en justice au sujet de l'autorisation du Roundup
Le comportement de vote arbitraire avait alors presque coûté à M. Schmidt son poste de ministre. Ce n'est pas seulement depuis cet incident que le glyphosate est un dossier politique hautement explosif. Aujourd'hui encore, les groupes d'intérêt font monter la pression au fur et à mesure que la décision de Bruxelles se rapproche.
C'est ainsi que la Deutsche Umwelthilfe (DUH), soutenue par foodwatch, a déposé aujourd'hui [le 26 juillet 2023] une plainte contre la République fédérale d'Allemagne devant le tribunal administratif de Braunschweig pour obtenir le retrait de l'autorisation du Roundup PowerFlex, un herbicide total à base de glyphosate. Pour justifier sa décision, la DUH a évoqué les effets néfastes du glyphosate sur la biodiversité.
Il semble que les tribunaux allemands devront de toute façon se pencher sur l'autorisation du glyphosate, qu'elle soit renouvelée ou non.
Avec du matériel de AgE ____________
* Norbert Lehmann travaille depuis plus de 25 ans comme journaliste spécialisé. Après des études d'économie agricole à Bonn, le service de presse et d'information Agra-Europe a été sa première étape professionnelle. Il a fait de fréquents séjours à Bruxelles en tant que correspondant. Ensuite, activités au sein du groupe d'édition Handelsblatt, dans les relations publiques scientifiques ainsi qu'en tant qu'indépendant. Depuis 2012, il travaille au dlv, en dernier lieu en tant que chef de la rubrique Management & Markt à la rédaction d'AGRARHEUTE.
* Source : Glyphosat: Özdemir öffnet sich Hintertür aus nationalem Verbot | agrarheute.com
Rendements de l'agriculture biologique : Agreste lève (un peu) le voile
2 Août 2023
Dans la série Primeur, c'est intitulé avec une belle neutralité de ton « Des rendements en grandes cultures inférieurs en agriculture biologique à ceux en conventionnel », en dessous de « Enquête Terres labourables en 2022 ».
En chapô :
« En 2022, les rendements des grandes cultures issus de l’agriculture biologique sont inférieurs à ceux obtenus en agriculture conventionnelle. L’écart atteint 57 % pour le blé tendre contre 28 % pour le tournesol. Bien que les rendements évoluent d’une année à l’autre, les écarts entre bio et conventionnel sont stables dans le temps. Ils sont plus ou moins marqués selon la région. »
Agreste lève donc – un peu – le voile sur ce qui est un fait largement connu mais souvent dissimulé, et attendu compte tenu du cahier des charges de l'AB.
Le rapport est agrémenté de trois graphiques, dont un est fondamentalement redondant. Mais il nous apprend par exemple qu'il y a 179.000 hectares de blé en bio (sur 4,9 millions d'hectares en 2021), 11.000 hectares en maïs irrigué et 24.000 hectares en maïs non irrigué (c'est, curieusement, peu).
Le texte nous apprend également, par exemple, que 31,6 % des surfaces nationales en soja sont cultivées en AB, contre seulement 1 % de celles de colza.
Les écarts de rendements nationaux sont illustrés par le graphique ci-dessus.
Les écarts de rendements régionaux sont donnés dans le graphique ci-dessous pour le blé tendre (la culture pour laquelle les écarts sont les plus importants) et le tournesol (la culture pour laquelle les écarts sont les plus faibles après le soja).
Ajoutons tout de même un mot de prudence : ces chiffres ne sont pas totalement comparatifs des potentiels de rendement respectifs, mais incluent sans doute un facteur « fertilité » : on peut en effet penser que la « conversion » en bio se fait davantage pour les exploitations aux terres difficiles que pour celles aux sols généreux.
"Le son de la liberté", Les abus contre des enfants innocents : les politiciens et les personnalités publiques sont restés manifestement silencieux
La traite et l'exploitation des enfants atteignent les niveaux les plus élevés de l'autorité, à la fois laïque et religieuse.
Par Stephen Karganovic Recherche mondiale, 01 août 2023
Non, heureusement, la maladie n'a pas encore envahi l'Occident tout entier, mais elle s'est certainement emparée de l'élément qui, en son sein, donne le ton et façonne les esprits.
La matière précise qui exerce actuellement l'establishment n'est pas tant littéralement que symboliquement la maternité, dans la mesure où les pouvoirs qui sont écartés avec un mépris non dissimulé sont l'inviolabilité du bien le plus précieux de la maternité, les enfants innocents . C'est assez proche.
La réaction désordonnée des dictateurs d'opinion au film récemment sorti « Sound of Freedom » met en évidence un paradoxe apparent.
C'est que dans l'épicentre présumé de la civilisation mondiale et des valeurs humanistes, la haine et la condamnation de l'enlèvement et de l'asservissement d'enfants ne se révèlent ni automatiques ni unanimes.
- voir clip sur site -
Bien qu'il ne s'agisse pas d'une production hollywoodienne (peu après sa sortie, le célèbre repaire de corruption a désavoué sans équivoque le film et on en soupçonne facilement les raisons ) et malgré le dénigrement malveillant dans les médias contrôlés, "Sound of Freedom" a joué dans des salles combles à travers les États-Unis. Jusqu'à présent, ses revenus ont dépassé de plus de dix fois le coût de production, tandis que les superproductions hollywoodiennes publiées simultanément échouent lamentablement au box-office. C'était une réalisation remarquable, en particulier parce que le bouche à oreille était apparemment suffisant pour surmonter tous les obstacles imaginables érigés par l'establishment enragé .
Les données sur le succès commercial sont cependant un détail très mineur. Bien plus significatif est que l' establishment temporairement abasourdi , lui-même profondément impliqué dans toutes les formes connues d'amoralité , a réussi à transformer l'exposé d'un phénomène qui aurait dû être universellement répugnant en une question controversée.
En introduisant sournoisement l'ambivalence dans l'absolu de la distinction entre le bien et le mal, il a lui-même enregistré un modeste succès.
La popularité et l'audience massive du "Sound of Freedom" contre toute attente sont, bien sûr, des preuves réconfortantes que la grande majorité des Américains restent des gens normaux et décents. La question critique, cependant, est de savoir si, à long terme, le triomphe indéniable du film, s'il est jugé uniquement par les paramètres de l'industrie cinématographique, aura un impact substantiel au-delà de cela? En d'autres termes, marquera-t-elle les politiques publiques ou ne sera-t-elle qu'un feu de paille ?
Malheureusement, rien n'indique qu'en fin de compte, le film ne sera rien de plus qu'un feu de paille.
De vrais complices rémunérés de l'establishment se faisant passer pour des critiques de cinéma, dont beaucoup ont des antécédents personnels d'implication dans la pédophilie et donc en conflit d'intérêts clair , ont saccagé sans relâche le «Sound of Freedom» pendant des semaines depuis sa sortie sans obtenir pour leur peine aucun des résultats visibles au box-office.
Il est vrai aussi qu'en affluant massivement dans les salles de cinéma pour voir un film si fortement mal vu par leurs suzerains, pour reprendre une métaphore d'antan, la plèbe a voté avec ses pieds. C'est une méthode de vote que les compteurs de votes du Dominion sont incapables d'influencer ou d'inverser.
Pourtant, au niveau politique, le référendum public sur la traite des enfants dans les salles de cinéma n'a eu aucun écho dans les rangs de la classe dirigeante ni parmi ses courtisans et sbires.
Pas plus tard qu'il y a deux ou trois décennies, des politiciens et d'autres personnalités publiques se seraient affrontés pour récolter des points politiques en faisant semblant de s'identifier à l'indignation sociale.
Ils feraient écho au sentiment populaire et promettraient une législation efficace et d'autres mesures palliatives pour faire face au scandale. Cette fois-ci, cependant, rien de tel ne se produit. Les politiciens, les chefs religieux et culturels et les personnalités publiques aux profils les plus divers dont il faut naturellement s'attendre à une réaction, sont restés totalement et ostensiblement silencieux sur une question de la plus haute préoccupation publique et une indignation d'une ampleur extraordinaire.
- voir clip sur site -
Qu'est-ce que cela nous dit sur l'état de la société où cela est possible ?
Il nous dit au moins deux choses. Premièrement, qu'il existe un gouffre moral infranchissable séparant les dirigeants de leurs sujets . L'admission honnête de Pence à Tucker Carlson selon laquelle la longue liste de problèmes nationaux que ce dernier a cochés n'est "pas mon problème", probablement en raison de leur insignifiance par rapport à "l'obligation internationaliste" de soutenir le régime de Zelensky, est emblématique de l'état d'esprit aliéné de l'élite dirigeante. (En Europe, un sentiment identique, presque mot pour mot, a été exprimé par le stupide ministre allemand des Affaires étrangères.)
La nomenklatura ne ressent plus le besoin de même feindre une communauté de valeurs avec les masses qu'elle dirige de façon trompeuse.
En conséquence, la classe des «serviteurs du peuple» n'a pas reconnu la pandémie de traite et d'esclavage des enfants.
Aucune stratégie législative ou policière pour y faire face n'est publiquement envisagée et les dirigeants ne perçoivent pas la nécessité de présenter un plan d'action pour apaiser les masses furieuses, considérées d'en haut comme marginales, rien de plus qu'une nuisance mineure. Le scandale de la traite des êtres humains peut grandement déranger Joe So-and-So dans la rue, mais comme l'a expliqué utilement Pence, ce n'est pas leur préoccupation. Avec confiance et patience, ils attendent que les révélations sordides éclatent. Pendant ce temps, dans leurs laboratoires de modélisation de l'opinion publique, comme ceci est écrit, des distractions sont conçues pour les trouer la mémoire et ensuite, aussi rapidement que possible, pour changer de sujet.
L'autre chose que cela nous apprend sur l'élite dirigeante est que ce qui a longtemps été soupçonné de sa dégénérescence totale est très probablement vrai.
Les abus décrits dans "Sound of Freedom" ne se limitent pas aux rues et aux ruelles des grands centres métropolitains ou aux jungles de Colombie. Elle est endémique au mode de vie des personnes puissantes, et à tous les niveaux .
La participation volontaire à la dépravation est souvent le ticket d'entrée pour rejoindre les rangs de l'élite du pouvoir occidental . Les révélations crédibles du banquier néerlandais Ronald Bernard , qui s'est désisté lorsqu'on lui a demandé comme condition d'un avancement ultérieur de participer à un sacrifice de sang d'enfants ( 12h48 à 14h05 ), parlent d'elles-mêmes et sont confirmées par une masse d'autres témoignages similaires ( et ici ).
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La traite et l'exploitation des enfants, y compris les sacrifices sanglants, atteignent les plus hauts niveaux de l'autorité, à la fois laïque et religieuse . Ils sont les ultimes consommateurs des horreurs décrites dans le "Sound of Freedom". S'attendre à ce que ces cercles fassent autre chose que de le dissimuler est donc naïf et irréaliste.
L'euphémisme blanchissant dans le discours public de cette variété particulièrement odieuse de perversion , en requalifiant ses protagonistes criminels d'inoffensifs "adultes mineurs attirés", trahit le jeu. Il y a un effort systématique continu pour normaliser l'odieux et le promouvoir comme une caractéristique régulière et acceptée de la vie quotidienne. Sans un soutien de l'intérieur de l'appareil du pouvoir, qui est en réalité le réseau de psychopathes qui tiennent les sociétés occidentales dans leur poigne de fer, les refaçonnant agressivement à leur propre image et ressemblance corrompues, cette normalisation du mal ne pourrait pas avoir lieu.
À moins qu'une perestroïka complète ne soit menée en Occident et que les psychopathes qui infestent toutes les sphères de la vie publique et de l'influence sociale ne soient enfermés et que les clés ne soient jetées à jamais, les prisons et les asiles seront bientôt remplis de gens honnêtes, de dénonciateurs consciencieux et de moralistes des héros tels que les créateurs du "Son de la liberté".
Pétition: Pas de participation de la Suisse et de l'Autriche au système de défense aérienne "Sky Shield" de l'OTAN
RépondreSupprimer01.08.2023
www.kla.tv/26705
L'« European Sky Shield Initiative » (Bouclier anti-aérien européen) est un projet planifié visant à mettre en place un meilleur système européen de défense aérienne. L’initiative a été lancée par le chancelier allemand Olaf Scholz fin août 2022. Ceci dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. L'initiative vise à combler les lacunes de l'actuel bouclier de protection pour l'Europe. Par exemple, dans le domaine de la défense contre les drones, les missiles de croisière et les missiles balistiques intercontinentaux. Les missiles balistiques sont tirés depuis le sol selon une trajectoire en arc de cercle vers des cibles à terre et sont considérés comme le principal vecteur des ogives nucléaires.
Les membres de « Sky Shield » veulent notamment coordonner l'acquisition et la maintenance des systèmes de défense aérienne et améliorer ce qu’on appelle l'interopérabilité - c'est-à-dire l'interchangeabilité - des systèmes.
17 pays de l'OTAN sont déjà impliqués, mais pas la France ni l'Italie. Le 7 juillet 2023, Klaudia Tanner, ministre autrichienne de la Défense et Viola Amherd, conseillère fédérale suisse ont signé une déclaration d'intention d'adhésion. Au plus tard lorsqu'il s'agira de prendre des mesures concrètes, le Parlement suisse aura son mot à dire sur la participation de la Suisse à « Sky Shield ».
La grande question est de savoir dans quelle mesure une participation à « Sky Shield » est compatible avec la neutralité ancrée dans les Constitutions fédérale autrichienne et suisse. Celle-ci impose l'abstention absolue de toute intervention active dans le déroulement de la guerre, ainsi que l'absence de tout soutien militaire aux parties en guerre.
Le Département fédéral de la défense (DDPS) écrit toutefois dans un communiqué de presse que la neutralité n'est pas un obstacle : la Suisse et l'Autriche ont consigné leurs réserves en ce qui concerne le droit de la neutralité dans une déclaration complémentaire, afin d'exclure par exemple toute participation à des conflits militaires internationaux, peut-on y lire.
Mais est-ce vraiment le cas ? L'initiative interpartis et transnationale PatriotPetition.org écrit qu'une adhésion s'inscrit « dans une chaîne fatidique d'abandon fragmentaire de la neutralité ». « Faire un tel pas à un moment où le monde est au bord d'une Troisième Guerre mondiale nucléaire ne serait pas seulement irresponsable, ce serait de la folie pure ! »
Dans une pétition adressée aux ministres de la défense d'Autriche et de Suisse, PatriotPetition.org justifie son point de vue. La pétition peut être signée jusqu'à la mi-août au moins, en cliquant sur le lien qui apparaît dans le générique. Le texte de la pétition, reproduit ci-dessous dans son intégralité, est également destiné à servir de modèle pour écrire à vos parlementaires en Autriche et en Suisse.
RépondreSupprimerMadame la Ministre de la Défense Tanner, Madame la Conseillère fédérale Amherd
Vous avez l'intention d'adhérer au système de défense aérienne « Sky Shield », initié par l'Allemagne, membre de l'OTAN. Nous considérons cette démarche non seulement comme incompatible avec la neutralité inscrite dans la Constitution fédérale, mais aussi comme tout à fait irresponsable au vu de la situation actuelle en matière de politique de sécurité.
Pour être « interopérable » comme annoncé, « Sky Shield », devrait nécessairement disposer de structures de commandement et de contrôle communes. Cela signifie que si un seul des pays impliqués, principalement ceux de l'OTAN, était mêlé à un conflit militaire, nous serions nous aussi - plus ou moins - associés. Un fait absolument incompatible avec le principe d'abstention du droit de la neutralité, qui impose de s'abstenir strictement de toute intervention active dans le déroulement de la guerre et de s'abstenir de tout soutien plus militaire aux parties belligérantes. Le fait est qu'en déployant des missiles antiaériens sur notre sol, l'OTAN obtiendrait un avantage stratégique, tandis que nous deviendrions la cible d'autres pays et abandonnerions notre position de force, qui pourrait justement nous permettre de jouer un rôle de médiateur dans le conflit actuel entre la Russie et l'Ukraine.
Le projet « Sky Shield » menace au plus haut point notre sécurité nationale et la protection que nous offre notre statut de neutralité. Ce serait une pure folie de se lier encore plus à l'OTAN, qui est au bord d'une troisième guerre mondiale nucléaire. Nous protestons donc vigoureusement contre l'adhésion au système de défense aérienne « Sky Shield » et vous appelons à y renoncer ! Engagez-vous clairement en faveur de la neutralité et préservez-la en toutes circonstances. Nous ne devons en aucun cas devenir une partie de guerre dans un conflit apocalyptique entre les grandes puissances !
Votre signature ………….
La pétition en allemand peut être signée ici jusqu'à la mi-août 2023 au moins :
RépondreSupprimerhttps://www.patriotpetition.org/2023/07/06/keine-beteiligung-am-nato-luftverteidigungssystem-sky-shield-neutralitaet-verteidigen/
de dd.
Sources / Liens :
„European Sky Shield Initiative”
https://de.wikipedia.org/wiki/European_Sky_Shield_Initiative
Amherd signe une déclaration d'intention pour l’« Initiative European Sky Shield »
https://www.srf.ch/news/schweiz/europaeische-luftverteidigung-amherd-unterschreibt-absichtserklaerung-fuer-sky-shield
Réactions diverses à la participation suisse à « Sky Shield »
https://www.srf.ch/news/schweiz/europaeische-luftverteidigung-gemischte-reaktionen-auf-schweizer-teilnahme-bei-sky-shield
Pétition adressée aux ministres de la Défense d'Autriche et de Suisse
https://www.patriotpetition.org/2023/07/06/keine-beteiligung-am-nato-luftverteidigungssystem-sky-shield-neutralitaet-verteidigen/
https://www.kla.tv/fr
Lettre ouverte du Tübingen Medical Group à la Commission allemande de vaccination
RépondreSupprimer2 août 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Dans de nombreux pays, les commissions nationales ou régionales de vaccination sont responsables des recommandations de vaccination. Ils doivent agir et travailler de manière indépendante et impartiale vis-à-vis de ceux qui gagnent grâce aux vaccins. Ce n'est presque plus le cas. Comme les articles dans les médias spécialisés s'en plaignent à plusieurs reprises, il existe des liens beaucoup trop étroits avec l'industrie pharmaceutique en médecine et cela se voit également dans les sponsors des organisations médicales et des conférences. Et vous pouvez le voir dans la surmortalité (100 000 rien qu'en Allemagne en 2021 et 2022) et les dégâts sans fin des vaccins.
Le groupe de médecins de Tübingen a approché le président de la Commission permanente allemande de vaccination (STIKO) avec un catalogue de questions, a reçu une réponse et a rédigé lui-même une réponse.
TKP a reçu l'e-mail suivant :
Nous, le Tübingen Medical Group, avons reçu une réponse de M. Mertens à notre lettre ouverte dans laquelle nous demandions la suspension de la recommandation de vaccination corona il y a quelques semaines. De notre point de vue, les réponses de M. Mertens ne correspondent pas à l'état actuel de la recherche scientifique et contiennent des erreurs logiques, factuelles et méthodologiques. Nous le prouvons dans une lettre de réponse avec le soutien des professeurs Cullen, Kuhbandner et Ullrich avec des explications scientifiquement solides. Notre lettre a été envoyée à M. Mertens et STIKO hier.
Vous trouverez ci-joint un pdf avec notre lettre au STIKO avec la description des erreurs systématiques dans l'argumentation, les pièces jointes, la lettre de réponse du STIKO et la lettre ouverte du groupe de médecins de Tübingen.
Nous sommes convaincus que nos déclarations et en particulier les réponses de M. Mertens sont du plus grand intérêt public, nous vous demandons donc de les publier sur votre portail.
Nous sommes heureux de répondre à cette demande. Tout simplement parce que la lettre de Mertens contient des déclarations anti-scientifiques vraiment incroyables . Comme ceux-ci, qui sont critiqués en début de déclaration par le groupe médical :
“ Au début, vous expliquez que STIKO pèse les risques et les avantages avant de faire une recommandation ; c'est une évidence, ce que nous supposons naturellement. Vous déclarez plus tard que la STIKO ne recommande les vaccinations que lorsque le bénéfice l'emporte clairement sur elles. Dans ce qui suit, vous expliquez qu'il n'y a pas de définition de cas claire pour le syndrome post-vac en raison du grand nombre de symptômes et de signes, et donc une incidence ne peut pas être déterminée. Comment peser les risques et les bénéfices si les symptômes et les tableaux cliniques attendus ne sont pas clairs ? Cela rend impossible une évaluation solide des risques, et aucune recommandation de vaccination ne peut être faite sur cette base.
C'est vraiment incroyable à quel point ils admettent avec froideur qu'ils n'ont aucune idée et se moquent des dommages causés par le vaccin, mais forcent toujours les gens à se faire vacciner avec un sourire froid.
RépondreSupprimerVoici la correspondance et les déclarations de Mertens et l'analyse du Tübingen Medical Group :
Réponse du Tübingen Medical Group au Prof. Mertens et sa lettre
https://tkp.at/2023/08/02/offener-brief-der-aerztegruppe-tuebingen-an-die-deutsche-impfkommission
Détournement de la science à l'exemple d'une étude ZEW erronée sur la manipulation du nombre de lits de soins intensifs
RépondreSupprimer2 août 2023
du Dr. Rudiger Kessel
Il ne fait aucun doute que la pandémie de corona a entraîné des problèmes dans les cliniques allemandes. Il serait donc logique que les causes des problèmes soient également examinées par des chercheurs en économie. Pour que les résultats trouvés aient une quelconque valeur scientifique, il est toutefois nécessaire que les scientifiques qui mènent de telles investigations adhèrent aux principes scientifiques établis.
En juin 2023, le Centre Leibniz pour la recherche économique européenne (ZEW) a publié une étude scientifique intitulée « Hospital Capacity Reporting in Germany during COVID-19 » par les auteurs Dr. Simon Reif et Sabrina Schubert, qui montre comment la science peut être instrumentalisée par la politique lorsque les auteurs ignorent les principes scientifiques.
Une analyse précise du résumé et des conclusions ii montre déjà que la contribution de ZEW n'apporte aucun gain de connaissances scientifiques significatif. Les auteurs en sont évidemment conscients, car malgré les critiques substantielles de Tom Lausen iii , le Dr. Hans-Joachim Kremer IV et Dr. Manfred Kölsch v ils ne sont pas disposés à retirer ou à réviser leur contribution. Apparemment, les auteurs ne se soucient pas de fournir des résultats scientifiquement solides, mais ils voulaient fournir ce que leurs clients attendaient d'eux : une affirmation prétendument scientifique selon laquelle les cliniques n'abusaient pas des subventions pour les lits de soins intensifs.
L'étude se lit comme suit :
"Notre principale conclusion dans cet article est que si le système de financement d'urgence laisse place à un comportement stratégique lucratif, un tel comportement ne s'est pas produit dans une mesure perceptible."
Cependant, cette affirmation est manifestement basée sur une fausse conclusion, comme on peut le lire dans ma déclaration ( Déclaration sur les rapports sur la capacité hospitalière en Allemagne pendant le COVID-19 ). Mais les auteurs ne semblent pas s'en soucier et cela ne peut que signifier que ce résultat était ce que le client voulait. Apparemment, il était seulement important que le Handelsblatt vi en fasse état et induise ainsi le public en erreur. Afin d'entretenir cette tromperie, le ZEW n'est pas autorisé à retirer l'étude, même si elle est scientifiquement intenable.
Le fait que les auteurs ne soient apparemment pas impressionnés par les critiques substantielles ne peut que signifier que leur réputation scientifique n'est pas mise en danger par des déclarations fausses mais politiquement souhaitées.
L'étude contient également des informations sur la manière dont elle a été financée et sur le site Web correspondant, vous pouvez trouver les informations selon lesquelles le "Forum Gesundheitsstandort Baden-Württemberg" sous ID : 43-5400//141/1 a soutenu les activités du ZEW avec environ EUR soutenus 500 000 et que le Dr. Simon Reif est responsable de la coordination du projet au "Forum Healthcare Location Baden-Württemberg".
RépondreSupprimerLe "Forum Healthcare Location Baden-Württemberg" est coordonné par le ministère d'État du Bade-Wurtemberg sous la direction du Premier ministre Winfried Kretschmann et est également soutenu par des hôpitaux et des établissements de soins.
Les résultats fournis par le ZEW suivent donc des orientations politiques, et les politiciens veulent évidemment que l'abus réel des subventions passe inaperçu. Quiconque suit cette forme de science court le risque de soutenir en fait une politique qui couvre dans une large mesure la fraude aux subventions.
Déclaration sur les rapports sur la capacité hospitalière en Allemagne pendant le COVID-19
Crédits:
i Document de travail – Hospital Capacity Reporting in Germany during COVID-19 https://www.zew.de/publikationen/hospital-capacity-reporting-in-germany-during-covid-19
iii Les mauvaises questions aident la "mafia intensive"
https://www.achgut.com/artikel/die_falschen_fragen_helfen_der_intensive_mafia
iv Des chercheurs économiques allemands écrivent un article diffamatoire sur
les lits de soins intensifs
v Comment les manipulations des lits de soins intensifs pendant la crise corona devraient être dissimulées sous le couvert de la science
https://netzwerkkrista.de/2023/07/28/wie-im-gewande-der-wissenschaft-die-intensivebetten-manipulationen- waehrend-der- crise corona-devrait-être-étouffée/
vi Les cliniques ont-elles triché pour obtenir une aide corona ? L'étude donne une réponse claire
RépondreSupprimerhttps://www.handelsblatt.com/politik/deutschland/zew-mannheim-haben-kliniken-betrogen-um-an-coronahilfe-zu-kommen-studie-giving-clear-answer/29226532.html
https://tkp.at/2023/08/02/missbrauch-der-wissenschaft-am-beispiel-einer-fehlerhaften-studie-des-zew-zu-manipulationen-mit-den-intensivbettenzahlen/
Cette "étude" Pro-Mask est la raison pour laquelle vous ne devriez jamais "faire confiance à la science"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 01 AOÛT 2023 - 22:45
Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
La semaine dernière, il a été signalé que l'État australien de Victoria envisageait peut-être des mandats de masque facial «permanents» pour atteindre «zéro-Covid».
Maintenant, nous n'avons pas besoin d'entrer dans les implications d'une telle loi sur la liberté personnelle, ou l'offre quasi infinie de preuves que les masques ne fonctionnent pas pour prévenir la transmission des maladies respiratoires.
Ils ne fonctionnent pas, ils n'ont jamais fonctionné. Les mandater était une décision politique conçue pour donner l'impression que la fausse «pandémie» de Covid était réelle, et leur utilisation continue est un symptôme de lavage de cerveau ou un sous-produit de la signalisation chronique de la vertu.
Le débat sur les masques, tel qu'il était, est terminé.
Non, le seul aspect de ce développement qui mérite d'être évoqué est la "preuve" utilisée pour étayer la position - et croyez-moi, les citations sont entièrement justifiées.
L'« étude » qui prétend démontrer les avantages du masquage permanent a été publiée la semaine dernière dans le Medical Journal of Australia et intitulée « Utilisation constante du masque et épidémiologie du SRAS-CoV-2 : une étude de modélisation par simulation ».
"Étude de modélisation de simulation" est vraiment l'expression clé ici. Pour ceux qui ne le savent pas, les «études de modélisation par simulation» consistent à introduire des données dans un programme informatique, puis à lui demander de tirer des conclusions.
De toute évidence, ils ne sont aussi fiables et utiles que les données que vous utilisez. En fait, vous pouvez très facilement leur faire produire n'importe quel résultat souhaité en introduisant les «bonnes» (mauvaises) données.
Dans cette étude de modélisation particulière, ils ont commencé par dire à l'ordinateur que les masques en tissu réduisent la transmission de 53 % et que les respirateurs la réduisent de 80 % :
Les rapports de cotes pour le risque relatif d'infection pour les personnes exposées à une personne infectée (portant un masque v ne portant pas de masque) ont été fixés à 0,47 pour les masques en tissu et chirurgicaux et à 0,20 pour les respirateurs
Essentiellement, ils ont dit à leur ordinateur que les masques préviennent les maladies… puis ont dit « ok, ordinateur, puisque vous savez maintenant que les masques préviennent les maladies – que se passerait-il si tout le monde les portait tout le temps ?
RépondreSupprimerL'ordinateur leur a alors dit – évidemment – que personne ne tomberait malade.
Parce qu'ils rendaient logiquement impossible qu'il dise autre chose.
Mais il y a un peu plus que ça.
La prochaine couche d'intérêt est d'où ils ont obtenu leurs données d'entrée.
Après tout, des dizaines d'études ont été réalisées sur les masques au fil des ans, dont 98% disent que les masques ne fonctionnent pas.
Alors, nos gars ont-ils choisi un essai de contrôle en temps réel évalué par des pairs reposant sur des résultats en double aveugle testés en laboratoire ?
Peut-être l'un des douze procès de ce type répertoriés dans notre article sur les 40 faits ?
Ont-ils peut-être fait la moyenne des résultats de plusieurs études ?
Non, ils ont utilisé une enquête téléphonique.
Une enquête téléphonique.
Cette enquête téléphonique, publiée l'an dernier et réalisée fin 2021.
Dans cette *ahem* "étude scientifique", ils ont demandé à des gens d'appeler au hasard ceux qui avaient récemment été testés pour "Covid", leur ont demandé "avez-vous porté un masque?" puis a publié la conclusion – «les masques réduisent la transmission de 53%» – comme s'ils signifiaient quelque chose.
Fait intéressant, si vous faites défiler jusqu'à la section "affiliations", vous pouvez voir que l'un des auteurs est un récipiendaire d'une subvention Pfizer.
Un peu plus troublant – et pour une raison non mentionnée comme un conflit d'intérêts – c'est que toute l'étude a été produite par le California Board of Public Health.
La Californie avait déjà mis en place un mandat de masque depuis près d'un an avant même que cette «étude» ne soit lancée.
Ce que nous avons ici n'est pas de la "science", c'est un modèle informatique basé sur les résultats d'une enquête téléphonique subjective menée par une agence gouvernementale ayant un intérêt direct. Elle n'a aucun sens, et pourtant elle est publiée dans des revues et citée par des « experts », peut-être même utilisée comme base pour l'introduction de nouvelles lois.
C'est ainsi que fonctionne "The ScienceTM". Et, bien que Covid ait peut-être ouvert les yeux de nombreuses personnes sur ce problème, il est loin d'être unique à "Covid". Vous êtes tout aussi susceptible de trouver ce type de "recherche" publiée sur n'importe quel sujet - en particulier ceux qui servent un objectif politique - et cela depuis des années, voire des décennies.
RépondreSupprimerProfesseur de médecine factuelle à Stanford, John Ioannidis a écrit un article intitulé "Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux", et c'était en 2005.
Cela n'a rien à voir avec la "pandémie", et tout à voir avec la différence entre la science et "La Science". Examinons donc cette distinction.
La « science » est une approche du monde. Une méthode rationnelle pour recueillir des informations, tester de nouvelles idées et tirer des conclusions fondées sur des preuves.
« La science » est une industrie autonome d'universitaires qui ont besoin d'emplois et doivent des faveurs.
Une relation de quid pro quo continue entre les chercheurs – qui veulent des honneurs et des chevaliers, des contrats de titularisation, des livres et des subventions de recherche et être la tête parlante populaire expliquant des idées complexes à la multitude à la télévision – et les entreprises, les gouvernements et les « fondations caritatives » qui ont toutes ces choses dans leur cadeau.
Ce système ne produit pas de recherche destinée à être lue, il crée des titres que les célébrités peuvent tweeter, des liens que les "journalistes" peuvent intégrer, des sources que d'autres chercheurs peuvent citer.
Une illusion de justification solide qui se défait au moment où vous lisez réellement les mots, examinez la méthodologie ou analysez les données.
Enquêtes autodéclarées, données manipulées, "études de modélisation" qui crachent des résultats prédéterminés. Des auteurs affiliés payés par l'État ou des entreprises pour fournir des "preuves" à l'appui d'hypothèses très rentables ou politiquement commodes.
Cette étude de masque en est le parfait exemple.
Entrelacs de couches de rien conçues pour créer l'impression de quelque chose.
C'est pourquoi ils veulent que vous lui fassiez confiance, plutôt que de le lire.
https://www.zerohedge.com/medical/pro-mask-study-why-you-should-never-trust-science
La blessure de pointe de Covid-19 que vous devez connaître
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
2 août 2023
- voir clip sur site -
Dans la vidéo ci-dessus, John Campbell, Ph.D., une infirmière enseignante à la retraite, passe en revue les résultats d'une revue systématique1 publiée sur Preprints.org à la mi-juillet 2023, qui a conclu que les injections d'ARNm COVID sont causalement liées à la myocardite mortelle.
Les auteurs de cette revue incluent les Drs. Peter McCullough, Aseem Malhotra, Roger Hodkinson, Nicolas Hulscher et William Makis. Comme expliqué dans le résumé2, « les vaccins COVID-19 ont été associés à la myocardite qui, dans certaines circonstances, peut être mortelle. Cette revue systématique vise à étudier les liens de causalité potentiels entre les vaccins COVID-19 et la mort par myocardite à l'aide d'une analyse post-mortem.
McCullough et son équipe ont systématiquement examiné tous les rapports d'autopsie impliquant une myocardite liée au piqûre au COVID-19 publiés jusqu'au 3 juillet 2023. Quatorze articles détaillant 28 autopsies correspondent aux critères d'inclusion.
… il existe une forte probabilité d'un lien de causalité entre les vaccins COVID-19 et le décès par myocardite suspectée dans les cas où une mort subite et inattendue s'est produite chez une personne vaccinée. ~ Drs. Peter McCullough, Aseem Malhotra, Roger Hodkinson, Nicolas Hulscher et William Makis
La causalité dans chaque cas a été déterminée par "trois examinateurs indépendants ayant une expérience et une expertise en pathologie cardiaque". Des images montrant l'infiltration de protéines de pointe du muscle cardiaque et l'inflammation associée sont incluses dans la vidéo de Campbell.
Piqûres d'ARNm liés de manière causale à la myocardite mortelle
Tel que rapporté par les auteurs :3
« Le système cardiovasculaire était le seul système organique touché dans 26 cas. Dans 2 cas, la myocardite a été caractérisée comme conséquence d'un syndrome inflammatoire multisystémique (MIS).
Le nombre moyen et médian de jours entre la dernière vaccination contre la COVID-19 et le décès était de 6,2 et 3 jours, respectivement. La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière injection. Nous avons établi que les 28 décès étaient liés de manière causale à la vaccination contre le COVID-19 par un jugement indépendant.
RépondreSupprimerLa relation temporelle, la cohérence interne et externe observée parmi les cas de cette revue avec une myocardite induite par le vaccin COVID-19 connue, ses mécanismes pathobiologiques et la surmortalité associée, complétée par la confirmation de l'autopsie, l'arbitrage indépendant et l'application des critères de Bradford Hill à l'ensemble l'épidémiologie de la myocardite vaccinale, suggère qu'il existe une forte probabilité d'un lien de causalité entre les vaccins COVID-19 et le décès par myocardite suspectée dans les cas où une mort subite et inattendue s'est produite chez une personne vaccinée.
Compte tenu de ces découvertes inquiétantes, McCullough et son équipe appellent à «une enquête urgente… dans le but de stratifier et d'atténuer les risques afin de réduire l'occurrence dans la population de myocardites mortelles induites par le vaccin COVID-19».
Les données d'essai de Moderna révèlent des problèmes de sécurité
La réalité exaspérante est que ce risque – ainsi que de nombreux autres – était évident dans les essais initiaux, malgré leur courte durée, mais les fabricants de vaccins ont utilisé toutes sortes d'astuces pour masquer ces effets.
Comme indiqué précédemment, un dénonciateur affirme que Pfizer a commis une fraude dans ses études sur le COVID, et les données de l'entreprise publiées par ordonnance du tribunal montrent que le tir de Pfizer était associé à quelque 158 000 problèmes de santé enregistrés qui n'ont jamais été admis publiquement.
Désormais, les données obtenues dans le cadre d'un litige en vertu de la loi sur la liberté d'information (FOIA) contre la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis par le groupe d'intérêt public Defending the Republic (DTR)4 jettent des doutes similaires sur les procès Spikevax de Moderna.
DTR, qui a obtenu jusqu'à présent près de 15 000 pages de données d'essais cliniques COVID-19 de Moderna, avertit qu'elles révèlent de graves problèmes de sécurité. Tel que rapporté par The Epoch Times, 21 juillet 2023 : 5
«Les dossiers… contiennent des informations importantes liées au profil de sécurité de Spikevax, qui a été autorisé pour la première fois pour une utilisation d'urgence aux États-Unis en décembre 2020 et en janvier 2022 a reçu une approbation complète pour les adultes.
"Le public peut être assuré que Spikevax répond aux normes élevées de la FDA en matière de sécurité, d'efficacité et de qualité de fabrication requises pour tout vaccin approuvé pour une utilisation aux États-Unis", a déclaré la commissaire par intérim de la FDA, le Dr Janet Woodcock, dans un communiqué plus tôt cette année.
RépondreSupprimerMais les nouvelles données remettent ce point de vue en question. Le groupe de défense affirme que les dizaines de milliers de pages de données d'essais cliniques publiées par la FDA étayent la conclusion qu'il existe un "doute sérieux" à la fois sur la sécurité de Spikevax et sur les normes d'approbation de la FDA.
Pour mémoire, comme pour les données d'essai de Pfizer, la FDA a dû être forcée par une ordonnance du tribunal de divulguer les données de Moderna. L'agence a initialement rejeté la demande FOIA de DTR, affirmant qu'il n'y avait "aucun besoin impérieux" pour le public d'examiner ces informations. Il s'avère que les données des essais cliniques de Moderna révèlent des problèmes de sécurité choquants que ni la société ni la FDA n'ont admis publiquement.
Les effets secondaires ignorés sans enquête
Par exemple, dans l'une des études de Moderna, 16 participants du groupe COVID jab sont décédés subitement, mais seuls deux ont été autopsiés. Malgré ce manque d'enquête, Moderna a conclu qu'aucun des décès n'était associé au coup. "Il semble qu'ils aient délibérément décidé de ne pas enquêter sur les décès suspects au cas où le vaccin Moderna pourrait en être la cause", a déclaré DTR dans un communiqué de presse.6
Les études ont également enregistré un certain nombre d'événements indésirables graves dans les groupes piquées, notamment la paralysie de Bell, le zona, les crises cardiaques, les embolies pulmonaires, les accidents ischémiques transitoires, les lymphomes et les fausses couches. Cependant, même lorsque des blessures potentiellement mortelles se sont produites dans les jours suivant l'injection, Moderna a arbitrairement conclu qu'aucune n'était associée à leur piqûre.
Comme l’a noté le DTR, les analyses ultérieures des rapports de blessures déposés auprès du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS), la base de données DMED du département américain de la Défense et les systèmes européens de signalement des blessures montrent « des taux accrus de ces maladies après l’administration du vaccin Moderna ».
RépondreSupprimerFertilité et développement fœtal défavorablement affectés
Dans le premier lot de documents publiés par la FDA, DTR a également reçu les résultats d'une étude sur des rats7 qui a évalué les effets sur la gestation, la fertilité et le développement pré et postnatal chez des rats de laboratoire gravides et allaitants. Les résultats sont troublants compte tenu de la recommandation de la FDA et des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis d'utiliser ce vaccin sur les femmes enceintes. Les principales conclusions et observations faites dans cette étude comprenaient8 :
Déformations squelettiques (côtes ondulées et nodules de côtes) — « Des côtes ondulées sont apparues chez 6 fœtus dans 4 portées pour une prévalence fœtale de 4,03 % et une prévalence de portée de 18,2 %. Des nodules costaux sont apparus chez 5 de ces 6 fœtus. L'incidence des côtes ondulées sur le fœtus et la portée dépassait la plage observée historiquement à l'installation d'essai… »
Longueurs de cycle de reproduction plus élevées — "Le nombre moyen de longueurs de cycle [reproductif] était statistiquement significativement plus élevé dans le groupe ARNm-1273 par rapport au groupe témoin."
Accouplement réduit - "L'accouplement s'est produit chez 95,5% des rats du groupe témoin et 88,6% des rats du groupe ARNm-1273."
Indice de grossesse réduit - "L'indice de grossesse des femelles (nombre de rats s'accouplant / nombre de rats dans le groupe) était de 93,2 % et de 84,1 % dans les groupes témoin et ARNm-1273, respectivement."
Maladie rénale - "Lors de l'euthanasie programmée, 1 chiot du groupe recevant la dose d'ARNm-1273 a été observé avec une papille rénale bilatérale, petite et minimale et un autre chiot de la même portée a été observé avec une papille rénale gauche, petite et modérée. Ces résultats n'ont pas été considérés comme liés à l'ARNm-1273 car les observations ne se sont produites que chez 2 chiots d'une même portée.
Moderna a également mené une étude de distribution tissulaire9 chez des rats mâles, qui a révélé que l'ARNm, lorsqu'il était injecté par voie intramusculaire, se propageait dans tout le corps. L'ARNm a été détecté dans tous les tissus analysés à l'exception des reins. Les niveaux étaient particulièrement élevés dans la rate et les yeux.
L'ARNm a également été trouvé dans le cerveau et le cœur, ce que d'autres études - y compris l'examen d'autopsie présenté - suggèrent qu'il peut avoir des conséquences mortelles car la protéine de pointe produite par les cellules en réponse à cet ARNm est hautement pathogène et provoque une inflammation des tissus affectés.
RépondreSupprimerDécouverte d'une supercherie d'essai de Pfizer Booster
Dans les nouvelles connexes, les Drs. Vinay Prasad, Tracy Hoeg et Ram Duriseti ont récemment mis en évidence des preuves montrant que Pfizer a également utilisé un "biais vaccinal sain" dans son essai de rappel pour faire apparaître le rappel COVID plus efficace qu'il ne l'est. Comment? Pfizer a simplement donné le véritable rappel aux personnes qui étaient en bien meilleure santé que les témoins.
Ceux qui ont reçu le vrai rappel se sont retrouvés avec des taux de mortalité par COVID nettement inférieurs, mais ils ont également eu la même réduction de la mortalité toutes causes confondues, ce qui signifie qu'ils ne sont pas non plus morts d'autres causes. Dans une lettre au rédacteur en chef du New England Journal of Medicine (NEJM), publiée le 20 juillet 2023, Prasad, Hoeg et Duriseti ont expliqué :10
« En utilisant des méthodes d'observation, Arbel et al. (23 décembre 2021, numéro) a calculé une mortalité inférieure ajustée de 90 % due au COVID-19 parmi les participants qui ont reçu un premier rappel du vaccin BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) que parmi ceux qui n'ont pas reçu de rappel.
Ils ont trouvé 65 décès associés au COVID-19 (signalés à 0,16 pour 100 000 personnes par jour) parmi les participants du groupe de rappel et 137 (signalés à 2,98 pour 100 000 personnes par jour) parmi ceux du groupe non boosté – une différence de 94,6 %.
Dans une lettre ultérieure (10 mars 2022, numéro), Arbel et al. ont signalé 441 décès non liés au COVID-19 dans le groupe rappel et 963 décès non liés au COVID -19 dans le groupe non rappel…
[U]sing les jours-personnes d'exposition inclus dans l'article de 2021 d'Arbel et al. et les décès non liés au COVID-19 rapportés dans la lettre suivante, nous avons estimé la mortalité non liée au COVID-19, selon le statut vaccinal, avec la formule suivante : les ratios du total des décès non liés au COVID-19 au COVID- Décès liés au 19, selon le groupe de vaccination, multipliés par la mortalité due à la COVID-19, selon le groupe de vaccination, ce qui représente les jours-personnes d'exposition.
La mortalité non liée au COVID-19 a été calculée comme (441/65) × 0,16 = 1,09 pour 100 000 personnes par jour dans le groupe de rappel par rapport à (963/137) × 2,98 = 20,95 pour 100 000 personnes par jour dans le groupe sans rappel .
Cela correspond à une mortalité inférieure de 94,8 % non liée au COVID-19 parmi les participants du groupe de rappel et indique une incidence nettement plus faible d'effets indésirables sur la santé dans le groupe de rappel.
RépondreSupprimerLa santé sous-jacente joue un rôle important dans la mortalité liée à la COVID-19. Les différences non ajustées de mortalité liées au COVID-19 et de mortalité non liées au COVID-19, selon le statut vaccinal, étaient essentiellement les mêmes dans l'étude de 2021 d'Arbel et ses collègues.
Ces résultats suscitent de vives inquiétudes concernant la confusion non ajustée. La baisse ajustée de 90 % de la mortalité due au COVID-19 signalée parmi les participants ayant reçu un rappel ne peut pas, avec certitude, être attribuée au rappel.
Le «biais des vaccinés sains» dans cette population peut également avoir conduit à des surestimations de l'efficacité du vaccin dans des études similaires de Clalit Health Services. L'inclusion de la mortalité non liée au COVID-19 dans toutes les études observationnelles sur le vaccin COVID-19 fournirait un contexte important.
Dans un post Twitter du 20 juillet 2023, Prasad a commenté :11
« Cette semaine dans le NEJM, Tracy Beth Hoeg, RD et moi prouvons que les études israéliennes, sur lesquelles la FDA s'est appuyée, sont CONFONDEES. Les rappels réduisent beaucoup trop les décès non liés au COVID pour être vrais. Les auteurs israéliens le concèdent en réponse. Ouah! Des millions ont reçu des boosters non éprouvés. La FDA a échoué.
Pourquoi le CDC a changé la définition de l'infection percée
Alors que nous parlons de tromperie et de partialité, une enquête récente d’Epoch Times révèle que les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont modifié leur définition d’« infection percée » pour éviter d’avoir à admettre que les injections n’ont pas fonctionné. Zachary Stieber d'Epoch Times écrit :12
« Le CDC a modifié sa définition des cas de COVID-19 parmi les vaccinés, ce qui a entraîné une baisse du nombre de cas classés comme une percée, selon des documents obtenus par The Epoch Times.
Au début de 2021, le CDC a défini les cas post-vaccination comme les personnes dont le test était positif sept jours ou plus après la réception d'une série de primo-vaccinations, selon l'un des documents.13 La définition a été modifiée le 2 février 2021 pour n'inclure que cas détectés au moins 14 jours après une première série, montre un autre document14.
"Nous avons révisé la définition de cas", a écrit à ses collègues à l'époque le Dr Marc Fischer, chef de l'équipe d'enquête sur les cas de percée vaccinale du CDC. La justification du changement a été expurgée…
La définition de cas révolutionnaire a été révisée après que plusieurs responsables du CDC ont envoyé un e-mail au sujet des vaccins qui ne prévenaient pas l'infection. Le Dr Fischer a déclaré dans un e-mail le 21 décembre 2020 qu'il avait été chargé par un supérieur "de commencer à travailler sur un protocole pour évaluer les échecs du vaccin COVID ou les cas décisifs".
RépondreSupprimerLa directrice du CDC de l'époque, le Dr Rochelle Walensky, a souligné un éditorial du 30 janvier 2021, qui décrivait les variantes comme une "menace croissante" d'échapper à la protection des vaccins...
À peu près au même moment, les responsables du CDC ont fait circuler un document d'une page sur les enquêtes sur les cas post-vaccination… La version du document que The Epoch Times a reçue a été entièrement expurgée… le CDC a refusé de fournir d'autres versions du document.
Pourquoi la justification de cette décision a-t-elle été expurgée ? Et pourquoi le document annonçant une enquête sur les cas post-piqûre a-t-il été expurgé ? Le porte-parole du CDC, Scott Pauley, a défendu le changement de définition, affirmant que "de nombreux cas de COVID-19 incubaient jusqu'à deux semaines avant de devenir symptomatiques", mais n'a pas précisé pourquoi cette explication - si elle était vraie - était jugée nécessaire.
Le Dr Harvey Risch, professeur émérite d'épidémiologie à la Yale School of Public Health, a déclaré à Stieber "qu'il n'y avait" aucune justification convaincante "pour exclure les premiers cas et autres événements parmi les vaccinés, qu'ils se soient produits dans les sept jours ou 14 jours. "
Stieber a également contacté le Dr Jay Bhattacharya, professeur de politique de santé à l'Université de Stanford, qui a déclaré que "plutôt que de jouer à des jeux avec la définition des cas révolutionnaires", le CDC aurait dû informer les personnes récemment piquées qu'elles n'avaient que peu ou pas de protection pour les deux premiers. semaines.
À la fin de la journée, en redéfinissant l'infection percée, le CDC a pu exclure une multitude de cas de COVID post-piqûre, gonflant ainsi l'efficacité du vaccin tout en alimentant simultanément le faux récit selon lequel COVID était "une pandémie de non vaccinés".
Vous avez la piqûre ? Agissez pour protéger votre santé
Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs piqûres et que vous vous inquiétez maintenant de votre santé, que pouvez-vous faire ? Eh bien, d'abord et avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID ou une autre injection de thérapie génique par ARNm. Vous devez mettre fin à l'assaut sur votre système.
Si vous avez développé des symptômes que vous n'aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l'aide d'un expert. À l'heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble avoir l'un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-jab. Il s'appelle I-RECOVER et peut être téléchargé à partir de covid19criticalcare.com.15
RépondreSupprimerLe Dr Pierre Kory, qui a cofondé le FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif du vaccin blessé. Pour plus d'informations, voir DrPierreKory.com. La Dre Michelle Perro16 aide également les patients souffrant de blessures post-piqûre.
Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer les protéines de pointe, qui, selon la plupart des experts, sont le principal coupable. J'en ai parlé dans mon article de 2021, "Le Conseil mondial de la santé révèle la désintoxication des protéines de pointe".
Autres traitements et remèdes utiles
Les autres traitements et remèdes qui peuvent être utiles pour les blessures par injection de COVID comprennent :
• L'oxygénothérapie hyperbare, notamment en cas d'accident vasculaire cérébral, d'infarctus, de maladies auto-immunes et/ou de troubles neurodégénératifs. Pour en savoir plus, voir "Thérapie hyperbare - Une modalité de traitement largement sous-utilisée".
• Réduisez votre apport en oméga-6. L'acide linoléique est consommé en quantités 10 fois supérieures à l'idéal chez plus de 95 % de la population et contribue à un stress oxydatif massif qui altère votre réponse immunitaire. Les huiles de graines et les aliments transformés doivent être soigneusement évités. Voir "Acide linoléique - L'ingrédient le plus destructeur de votre alimentation" pour plus d'informations.
• Bleu de méthylène de qualité pharmaceutique, qui améliore la respiration mitochondriale et aide à la réparation mitochondriale. Une dose de 15 à 80 milligrammes par jour pourrait grandement contribuer à résoudre une partie de la fatigue dont beaucoup souffrent après le piqûre.
Il peut également être utile dans les accidents vasculaires cérébraux aigus. La principale contre-indication est si vous avez un déficit en G6PD (une maladie génétique héréditaire), auquel cas vous ne devez pas utiliser du tout de bleu de méthylène. Pour en savoir plus, consultez « Les bienfaits surprenants du bleu de méthylène pour la santé ».
• La lumière proche infrarouge, car elle déclenche la production de mélatonine dans vos mitochondries17 là où vous en avez le plus besoin. En éliminant les espèces réactives de l'oxygène, il contribue également à améliorer la fonction et la réparation des mitochondries. La lumière naturelle du soleil est composée à 54,3 % de rayonnement infrarouge18, ce traitement est donc disponible gratuitement. Pour plus d'informations, voir "Ce que vous devez savoir sur la mélatonine".
RépondreSupprimer• La lumbrokinase et la serrapeptidase sont toutes deux des enzymes fibrinolytiques qui, lorsqu'elles sont prises à jeun une heure avant un repas ou deux heures après, aideront à réduire votre risque de caillots sanguins.
Sources and References
1, 2, 3 Preprints.org July 18, 2023
4, 6, 8 Defending the Republic Moderna FOIA
5 Epoch Times July 21, 2023
7 A Single Dose Intramuscular Injection Tissue Distribution Study of mRNA-1647 in Male Sprague-Dawley Rats
9 A GLP Intramuscular Combined Developmental and Perinatal/Postnatal Reproductive Toxicity Study of mRNA-1273 in Rats
10 The New England Journal of Medicine July 20, 2023; 389: 284-286
11 Twitter Vinay Prasad July 20, 2023
12 The Epoch Times July 22, 2023
13 Earlier CDC Breakthrough Definition Document
14 Revised Breakthrough Definition Document
15 Covid19criticalcare.com
16 DrMichellePerro.com
17 Physiology February 5, 2020 DOI: 10.1152/physiol.00034.2019
18 Journal of Photochemistry and Photobiology February 2016; 155: 78-85
https://www.lewrockwell.com/2023/08/joseph-mercola/the-covid-19-spike-injury-you-need-to-know-about/
L'Empire contre-attaque : les États-Unis envisagent une "nouvelle ère" des relations avec l'UE
RépondreSupprimer1 août 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Au vu du théâtre Corona et des retombées du conflit ukrainien, le sort de « l'UE-Europe » est de plus en plus mis en avant : le début du déclin économique est exacerbé par l'absence de plan dans la caste politique européenne. Aujourd'hui, cependant, la « solution » envisagée, qui est au moins préconisée par l'élite américaine, est en train d'émerger : une « nouvelle ère » dans les relations entre les États-Unis et l'UE, comme l'a récemment décrit l'expert américain en politique étrangère Stuart Eizenstat dans le Financial Times . Un regard sur l'évolution rapide des relations entre les États-Unis et l'UE est absolument nécessaire pour un débat éclairé, ce que les "médias de premier plan et de qualité" ont jusqu'à présent, mais au moins systématiquement, refusé de faire .
Certes, il s'est passé beaucoup de choses dans l'UE-Europe ces derniers temps : de l'introduction forcée d'une carte d'identité numérique et de passeports numériques basés sur le certificat Covid (TKP a toujours rendu compte en détail, y compris sur l' implication avec l'OMS ).
Les effets du conflit ukrainien continueront d'affecter l'Europe pendant longtemps : le déclin économique qui s'est amorcé va s'aggraver dans les années à venir en raison des conséquences négatives des « sanctions contre la Russie » et des coûts énergétiques massivement plus élevés.
Il existe de nombreuses preuves à cet égard : la Commission européenne a le commentaire suivant avec la note "dernière mise à jour le 4 mai 2023" :
2022 a été une mauvaise année pour l'économie russe. Selon les estimations, le produit intérieur brut (PIB) de la Russie a chuté de 2,1 % en 2022.
L'économie russe pourrait encore se contracter en 2023. Dans le pire des cas, le PIB devrait chuter de 2,5 % (OCDE) ou de 0,2 % (Banque mondiale). Le FMI table sur une croissance en 2023 (0,7%).
Le FMI prévoit une croissance économique russe de 0,7%, mais "l'économie russe pourrait continuer à se contracter en 2023", estime la Commission européenne.
C'est peut-être la "réalité" à Bruxelles, mais la réalité semble différente - difficile à croire même pour Reuters : l'Allemagne, le "moteur" de l'UE et de la zone euro, a entre-temps "glissé dans la récession", tout comme la " Des médias de premier plan et de qualité » doivent quant à eux admettre avec contrition . Compte tenu des coûts élevés de l'énergie, il n'y a pas de changement en vue, comme le montrent en un coup d'œil les données de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) :
- voir sur site -
Quiconque espère une reprise rapide au vu de ces écarts drastiques entre les prix de l'énergie (ici : le gaz naturel) aux USA vs en Europe et au Japon n'a guère raison. Sans parler des coûts unitaires de main-d'œuvre et des coûts annexes nettement plus élevés en Europe.
RépondreSupprimerEizenstat appelle à une « nouvelle ère dans les relations États-Unis-UE »
Face à cette dure réalité, la Commission européenne met en jeu le dernier morceau de souveraineté et d'initiative que «l'Europe» a eu depuis 1945. Stuart Eizenstat, qui a travaillé comme diplomate sous le président américain Bill Clinton (en poste de 1993 à 2001), a récemment écrit les lignes suivantes dans un éditorial pour le Financial Times (ici et ci-dessous ma traduction et mon emphase) :
Un nouveau cadre transatlantique entre les États-Unis et l'UE, comparable à l'OTAN, est nécessaire pour relever les défis du XXIe siècle. L'OTAN rend actuellement un service indispensable en soutenant l'Ukraine contre l'agression russe, tout comme elle l'a fait pour mettre fin aux guerres en Bosnie et au Kosovo dans les années 1990. Mais l'Alliance retient toute l'attention des dirigeants des deux côtés de l'Atlantique à un moment où nous sommes confrontés à des problèmes qui dépassent son mandat. La sécurité militaire, la sécurité économique et la prospérité sont étroitement liées et doivent être coordonnées.
Citant explicitement la montée en puissance de la Chine, la "menace" du "changement climatique" qualifiée d'"existentielle", les chaînes d'approvisionnement de plus en plus fragiles et l'accès continu aux matières premières essentielles, les nouvelles technologies comme l'intelligence artificielle, la "menace nucléaire posée par l'Iran et le Nord Corée » – un « éternel favori » – et la reconstruction de l'Ukraine. Eizenstat déclare : "Tout cela nécessite une plus grande coopération entre les États-Unis et l'UE que jamais auparavant."
Alors que la participation des présidents américains et des chefs d'État européens aux réunions au sommet de l'OTAN va de soi, les réunions au sommet entre les chefs d'État et de gouvernement des États-Unis et de l'UE ont lieu au mieux de manière sporadique. Il n'y a pas de vision partagée pour l'avenir, et sur les initiatives importantes, chacun suit son chemin sans consulter au préalable les gouvernements et les entreprises d'outre-Atlantique.
Soit dit en passant, Eizenstadt trouve particulièrement déconcertant le fait que l'UE procède dans de nombreux domaines – le plus récemment concernant « l'intelligence artificielle » – sans consulter les États-Unis. Le sommet États-Unis-UE annoncé pour l'automne 2023 est donc important pour les six considérations suivantes afin de concrétiser précisément cette coopération transatlantique approfondie :
Premièrement, le rôle de plus en plus important que joue l'UE dans le domaine de la sécurité doit être reconnu. Deuxièmement, des mécanismes devraient être développés, y compris une évaluation d'impact transatlantique, qui éviteraient les surprises de la promulgation d'une législation sans consultation préalable des deux côtés de l'Atlantique.
Troisièmement, nous devrions faire progresser l'intégration de nos économies en négociant une nouvelle initiative transatlantique de libre-échange et d'investissement , visant à créer un marché transatlantique en franchise de droits d'ici dix ans tout en protégeant les lois environnementales nationales qui lèvent les restrictions sur les barrières à l'investissement qui intègrent avec mutuellement normes comptables reconnues et permettent aux produits d'être mutuellement acceptés sur un marché avec un ensemble de tests qui satisfont les deux parties. De cette manière, des normes occidentales plutôt que chinoises peuvent être créées pour les produits vendus dans le monde entier .
RépondreSupprimerQuatrièmement, les organisations transatlantiques du secteur privé du nouvel agenda transatlantique de 1995 pour les entreprises, les travailleurs, les consommateurs et les groupes environnementaux devraient être relancées. Cinquièmement , une Assemblée transatlantique de type Conseil de l'OTAN devrait être établie sur la base du dialogue transatlantique . Enfin , la mise en place de sommets annuels UE - États - Unis .
À bien des égards, ces exigences vont bien au-delà du « vieux vin dans de nouvelles bouteilles ».
Craignez les Américains juste au moment où ils offrent des "cadeaux".
Non seulement Eizenstat propose un retour à la politique économique et étrangère promue par Bill Clinton, Tony Blair, Gerd Schröder et Angela Merkel, qui est désastreuse pour la majorité de la population, mais aussi des conséquences pour les peuples non occidentaux - surtout les agressions illégales contre la Yougoslavie (1998-99), l'Irak (2003-), la Syrie (2009-) ou la Libye (2011-), sans oublier la Géorgie (2008) et l'Ukraine (au moins 2013/14-).
La militarisation des relations américano-européennes "sur le modèle du Conseil de l'OTAN" promue par les principaux médias américains est vraisemblablement - comme le "traité pandémique" de l'OMS et le Règlement sanitaire international - une question qui, enfin et surtout, contredit les constitutions d'Allemagne, d'Autriche et de nombreux autres pays.
Des référendums sur de tels changements sont le minimum que la politique, les médias et la société civile devraient exiger.
Eizenstat appelle également à la reprise des efforts d'intégration économique basés sur le "Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement" (TTIP) poussé par Barack Obama, qui a finalement été annulé par Donald Trump. Il est essentiel de noter ici que ce « partenariat » aurait principalement signifié une amélioration massive des soi-disant « droits des investisseurs », selon lesquels les sociétés transnationales auraient reçu le « droit », entre autres, de pouvoir poursuivre en justice pour les bénéfices non réalisés des États-nations. De plus, les « inquiétudes » concernant les « profits de la spéculation » ou leur écrémage par une « taxe sur les transactions » (taxe Tobin) semblent être des trucs puérils, sans parler d'un « impôt sur la fortune » comme le sont certains rêveurs de centre-gauche. appelle maintenant à nouveau.
Le rejet de tels changements est le minimum que la population aurait à exiger de ses représentants politiques (nominaux).
RépondreSupprimerSinon, il y a des détériorations massives dans presque tous les domaines : il est bien connu que les normes de qualité et de sécurité dans l'UE, en particulier pour les produits alimentaires et pharmaceutiques, sont « différentes » qu'aux États-Unis. En termes simples, les fabricants de produits dans l'UE/EEE doivent prouver qu'ils sont « sûrs » ou qu'ils ne présentent aucun risque ; aux États-Unis, en revanche, il suffit de démontrer (sic) que de tels problèmes ne sont pas connus. Au vu du déséquilibre drastique de la realpolitik entre Washington et Bruxelles sont clairs sur le fait que les "normes" américaines massivement laxistes devraient probablement être étendues à l'Europe.
En outre, on voit clairement ce que l'on entend par la demande de « normes comptables mutuellement reconnues » : l'affaiblissement institutionnalisé des traditions juridiques et de la jurisprudence européennes dans le système judiciaire et leur remplacement par une domination fortement influencée par les États-Unis et basée sur la « common law ». Incidemment, c'était l'une des pommes de discorde méconnues du "Brexit", car de nombreux traités et investissements "internationaux" dans l'UE suivaient déjà la "common law" (britannique), car celle-ci était plus facilement compatible avec la variante américaine. Comme me l'a récemment confirmé un employé de JP Morgan Chase lors d'une conversation, c'est encore une pratique courante.
Un large débat public sur les objectifs américains exprimés par Eizenstat et leurs conséquences est - non : doit - être la référence du discours politique et social.
Cependant, le silence complaisant des politiciens et des "médias de premier plan et de qualité" en dit long.
Résultats secrets de la réunion États-Unis-UE à Stockholm (16-17 mars 2023)
Mi-mars 2023, un groupe de travail sur la « coopération sécuritaire États-Unis-UE » s'est réuni à Stockholm . Si vous ne l'avez pas remarqué, il y aura des raisons (y compris ne pas lire ma sous-pile ).
Puisqu'il était manifestement convenu que le résultat des délibérations resterait confidentiel, j'ai essayé d'obtenir des informations à ce sujet auprès de la présidence suédoise du Conseil.
Voici la réponse "officielle" de Sophie Dernild, qui travaille pour le gouvernement suédois, en séquence - ainsi que les notes qui ont fait surface "sur Internet" (également dans ma traduction et avec mon emphase ajoutée) :
Étant donné que les réunions des hauts fonctionnaires EU-US Home et Juztiz Dialogue servent à préparer les réunions ministérielles, aucune conclusion formelle n'est présentée . Cependant, les points récurrents de l'ordre du jour sont bien reflétés dans la déclaration conjointe de la dernière réunion ministérielle du 15 décembre 2022 à Washington, qui sera suivie lors d'une prochaine réunion ministérielle en juin.
RépondreSupprimerNotons : les "réunions préparatoires" ont lieu en dehors du domaine public, lorsque la populace demande alors, référence est faite aux communiqués de presse, qui lancent des phrases vides tout aussi fort, mais permettent toujours un regard approfondi :
Le sommet de Washington a été l'occasion de réaffirmer l'engagement de l'Union européenne et des États-Unis en faveur d'un partenariat transatlantique fort à l'heure des grands enjeux géopolitiques . Les deux parties ont exprimé leur détermination à renforcer la coopération dans les domaines de la justice et des affaires intérieures
Le terrorisme et l'extrémisme violent sous toutes ses formes... doivent être combattus par des moyens appropriés. Le partage d'informations sur le terrorisme est essentiel pour atteindre cet objectif. Les deux parties ont approuvé un projet pilote visant à partager ces informations de manière plus systématique et ont chargé les hauts fonctionnaires de faire le point sur le projet lors de leur prochaine réunion au premier semestre 2023… [la réunion de Stockholm les 16 et 17 juin 2023 mars 2023, ndlr]
Les États-Unis et l'UE ont souligné l'importance de l'échange de données des dossiers passagers (PNR) en tant qu'outil international important pour la prévention du terrorisme et la lutte contre la criminalité. Les deux parties ont exprimé leur engagement mutuel à continuer de partager les données PNR...
Les États-Unis et l'UE ont réitéré leur objectif de reprendre les négociations sur un accord UE-États-Unis visant à faciliter l'accès aux preuves électroniques aux fins de la coopération en matière pénale au début de 2023...
L'Union européenne et les États-Unis sont déterminés à renforcer davantage leur coopération dans la lutte contre la criminalité environnementale, notamment par le développement d'outils de coopération et de mécanismes de partage d'informations ...
Quiconque sait lire peut voir clairement ce qui se passe ici – à huis clos et sans expliquer le contenu de la conversation : la Commission européenne est en train d'accorder aux autorités américaines un accès automatisé aux données personnelles européennes ; il se peut que les autorités de l'UE accèdent également aux bases de données américaines, mais en raison du déséquilibre politique réel - et dans le contexte des considérations économiques mentionnées au début - il faut s'attendre à ce que les entreprises américaines bénéficient bientôt d'énormes avantages concurrentiels en Europe .
RépondreSupprimerIncidemment, j'ai trouvé le procès-verbal de la décision de la réunion de Stockholm "sur Internet" (ceci est cité en détail dans l'article de la sous-pile précédemment lié ; si vous voulez également le PDF, veuillez m'envoyer un e-mail). Ce document énonce clairement en quoi consiste cette "coopération" (encore une fois, mes traductions et mon emphase) :
La réunion a également été l'occasion d'identifier des domaines d'intérêt potentiels pour des discussions plus approfondies au niveau technique...
Il a été rappelé que le terrorisme de droite est en augmentation , les mouvements de complot anti-gouvernementaux provoqués par la pandémie devenant plus visibles dans certains cas. Le flou des loyautés traditionnelles dans la scène terroriste d'extrême droite rend l'image de la menace plus complexe [saut de ligne inséré, note].
La délégation de l'UE a souligné qu'[il] s'agit d'un défi d'identifier les acteurs impliqués et de s'assurer que les plateformes assument leurs responsabilités. Des réflexions ont été menées sur la manière de lutter contre la violence anti-systémique et de répertorier les organisations violentes d'extrême droite , en gardant à l'esprit les normes juridiques élevées établies par la CJCE…
La délégation américaine a noté que le changement démographique rapide [lire : « immigration de masse »] avait été identifié comme un prédicteur de la radicalisation … et a fait part de ses inquiétudes concernant la radicalisation [lire : « manque de fiabilité croissant », s.d.] parmi les forces de police. La délégation américaine a demandé le soutien de l'UE dans les forums mondiaux pour maintenir l'accent sur l'extrémisme "terroriste" ou "violent" (et veiller à ce que ces adjectifs ne soient pas abandonnés) afin d'empêcher les régimes répressifs de l'utiliser contre l'utilisation de la liberté d'expression...
Dans le cadre des discussions sur le partage d'informations liées au partenariat renforcé pour la sécurité des frontières (EBSP), les parties ont noté l'intention de transmettre un premier ensemble de données selon un concept en cours d'élaboration (présenté aux États membres dans le groupe de travail sur la justice et échange d'informations sur les affaires intérieures). Les deux parties ont salué un projet pilote prometteur entre Europol et le département américain de la Sécurité intérieure pour échanger des refus ESTA pour des motifs de terrorisme.…
RépondreSupprimerComme si cela ne suffisait pas, alors que suffisamment de matériel de discussion est fourni ici : « partage d'informations » signifie partager vos données personnelles avec les autorités américaines ; "L'immigration de masse" en tant que facteur de déstabilisation est apparemment tout aussi ouvertement discutée - tant que la population n'est pas "autorisée" à écouter.
Vous pouvez également lire beaucoup sur la façon dont ces conversations se déroulent - et pas seulement "entre les lignes":
Les parties se sont félicitées de la reprise des négociations UE-États-Unis sur un accord sur les preuves électroniques, tenues en marge du SOM [Senior Officials Meeting] à Stockholm les 15 et 16 mars … La prochaine réunion aura lieu en juin 2023 à Washington, DC. Les deux parties ont convenu qu'une coordination étroite était nécessaire dans le cadre des négociations sur la Convention des Nations Unies sur la cybercriminalité pour isoler la Chine et la Russie dans leur tentative de réglementer Internet.. La délégation américaine a mis en garde contre la création d'un régime parallèle de protection des données dans le cadre de la nouvelle convention des Nations unies, affirmant qu'elle préférerait utiliser les organes existants pour superviser la mise en œuvre de la convention plutôt que de créer une nouvelle conférence des parties.
En bref, le contexte : la Chine et la Russie veulent créer un nouveau cadre multilatéral de supervision/réglementation au sein de l'ONU, ce que les États-Unis, soutenus par les grandes entreprises et l'UE, veulent empêcher. En d'autres termes : il s'agit de géopolitique.
Dans une brève présentation d'Eurojust, la coopération en cours dans l'affaire ANOM a été soulignée, avec la mise en place d'un « verrouillage du traitement des affaires » qui permet aux procureurs de divulguer des informations non sensibles sur les affaires d'échange et les décisions de justice .
Enfin, il dit comme suit:
RépondreSupprimerLa délégation de l'UE a rendu compte de la réflexion actuelle de l'UE sur cette question de longue date (une priorité de la présidence suédoise) et des projets de création d'un groupe d'experts de haut niveau pour examiner la question de manière globale. La conviction de l'UE selon laquelle la légitimité des forces de l'ordre à mener des enquêtes doit être renforcée (y compris dans le discours public) était partagée par la délégation américaine, qui a également convenu que la "vie privée dès la conception" devrait avoir un "accès légal intégré". (c'est-à-dire une « porte dérobée » pour l'application de la loi).Une référence à cet égard est la déclaration du G7 2021, qui parle de « maintenir un accès licite strictement contrôlé aux données » ; en effet, les forces de l'ordre ne cherchent pas à obtenir de nouveaux pouvoirs, mais souhaitent conserver leur capacité à mener des enquêtes . Concernant le chiffrement de bout en bout, la délégation américaine a noté une certaine hypocrisie dans la position des plateformes internet, qui résistent à une coopération constructive avec les démocraties libérales sur l'accès légitime tout en cédant aux pressions d'ordres juridiques plus répressifs. Outre le cryptage, la délégation américaine a également identifié la conservation et le traitement des données comme des domaines prioritaires.Elle a confirmé que la lutte contre l'exploitation et la maltraitance des enfants en ligne reste une priorité nationale.
Épilogue : secret et conséquence
Les efforts croissants des États-Unis et de l'UE, pour l'instant encore en secret, pour que les organes exécutifs et le pouvoir judiciaire recherchent un "accès légitime… par une porte dérobée" aux données personnelles et autres sont clairement évidents, comme c'est déjà à l'ordre du jour dans les pays où « des systèmes juridiques plus répressifs ».
Toutes sortes de propagandes occidentales corsées sur la «démocratie» et «l'état de droit» sont punies en quelques lignes avant tout - MENSONGE.
L'UE et les USA s'efforcent de mettre en place un système par la voie procédurale ou « par la porte dérobée » qui corresponde à celui des pays au « système judiciaire plus répressif ».
En d'autres termes : si les peuples d'Europe laissent ces élites faire ce qu'elles veulent, l'avenir de l'Occident est clairement évident : la fin de plusieurs siècles d'évolution culturelle et sociale vers la liberté, l'égalité et la fraternité est (bientôt) révolue, la avenir qui nous menace est : la Chine.
Rien de ce qui précède n'est surprenant, soit dit en passant.
C'est ainsi qu'Edward Luttwak, un membre respecté de l'establishment transatlantique, décrivait - apparemment très clairement - il y a une trentaine d'années le "futur" de l'Occident. Luttwak est un homme aux multiples talents, soit dit en passant, alors peut-être que la biographie la plus "appropriée" est celle de Wikipédia .
RépondreSupprimerEn tout cas, je recommande l'essai de Luttwak au titre éloquent « Pourquoi le fascisme est la vague du futur », qui a été écrit en 1994 - et donc à une époque où la montée de la Chine dans l'espace public futur dont peu étaient conscients - est apparue dans la London Review of Books .
Il devient de plus en plus clair à quel point les politiques menées par les élites américaines et européennes sont anti-occidentales et anti-humaines.
Ceux qui se taisent semblent d'accord.
https://tkp.at/2023/08/01/the-empire-strikes-back-usa-planen-neue-aera-der-eu-beziehungen/
Le Dr John Clauser ANNULÉ de la conférence du FMI après avoir déclaré que le récit sur le changement climatique était une "pseudoscience"
RépondreSupprimer08/01/2023
Ethan Huff
Le lauréat du prix Nobel (physique 2022), le Dr John Clauser, a été exclu de prendre la parole lors d'un prochain engagement du Fonds monétaire international (FMI) en raison de déclarations qu'il a récemment faites sur le fait que le changement climatique d'origine humaine est une "pseudoscience".
Le Dr Clauser devait présenter un séminaire sur les modèles climatiques au FMI avant de recevoir un e-mail à l'improviste de Pablo Moreno, directeur du Bureau d'évaluation indépendant du FMI, expliquant que la conférence Zoom du 25 juillet du Dr Clauser avait été sommairement et immédiatement annulé - bien que le mot utilisé dans l'e-mail ait été "reporté".
"Il n'y a pas de véritable crise climatique", avait précédemment déclaré le Dr Clauser avant de se faire virer de l'événement du FMI. "La science du climat s'est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc massive."
Le Dr Clauser avait également critiqué l'attribution d'un prix Nobel 2021 pour le travail effectué en développant des modèles informatiques prédisant le réchauffement climatique. Le Dr Clauser avait également dit directement au faux président Joe Biden à au moins une occasion que les politiques climatiques de Biden étaient désastreuses et pas du tout basées sur la science.
(Connexe : le Dr Clauser est très franc sur le réchauffement climatique d'origine humaine, qui, selon lui, est un canular total."
Les modèles climatiques du Dr Clauser tiennent compte de la lumière visible réfléchie par les cumulus, qui est systématiquement ignorée par les fanatiques du climat
La grande majorité de la "science" climatique acceptée ignore complètement la lumière visible que reflète la couverture nuageuse des cumulus. Soit dit en passant, les cumulus couvrent en moyenne environ la moitié de la Terre.
Les modèles climatiques du Dr Clauser s'écartent des modèles climatiques de l'établissement en ce sens qu'il prend en compte cette lumière visible, ce qui est important car la couverture nuageuse cumulus exerce "un contrôle thermostatique très puissant et dominant de la température de la Terre", pour citer le Watts Up With That ? blog sur le climat.
"Les processus clés sont exagérés et mal compris environ 200 fois", a déclaré le Dr Clauser lors de la récente conférence quantique de Corée, ajoutant une fois de plus qu'il ne "croit pas qu'il y ait une crise climatique".
Le mois dernier, la gaz carbonique Coalition a nommé le Dr Clauser membre de son conseil d'administration. Soit dit en passant, la Coalition gaz carbonique soutient que les émissions de dioxyde de carbone provenant des humains et de l'activité humaine sont bonnes pour la planète car elles contribuent à un effet de "verdissement", ce qui signifie plus de vie végétale et plus d'abondance et de beauté.
Les fanatiques du climat détestent le gaz carbonique pour une raison quelconque. Ils détestent également l'azote et les autres éléments naturels dont les plantes, les animaux et les humains ont besoin pour vivre. Dans leur imagination de conte de fées, débarrasser la planète du gaz carbonique, de l'azote et de tous les autres gaz naturels aidera à "refroidir" la planète et à empêcher la fonte des calottes polaires.
RépondreSupprimerDans les années 1970, le Dr Clauser a démontré "l'intrication quantique", qui permet à des particules telles que les photons d'interagir à de grandes distances à des niveaux de communication qui dépassent apparemment la vitesse de la lumière.
"Le récit populaire sur le changement climatique reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l'économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes", prévient le Dr Clauser. "La science du climat malavisée s'est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc massive."
"À son tour, la pseudoscience est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d'autres maux sans rapport. Elle a été promue et étendue par des agents de marketing d'entreprise, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des écologistes tout aussi mal avisés. À mon avis, il n'y a pas de véritable Il y a cependant un problème très réel à fournir un niveau de vie décent à la grande population mondiale et une crise énergétique associée. Cette dernière est inutilement exacerbée par ce qui, à mon avis, est une science du climat incorrecte.
Dans les commentaires, quelqu'un a plaisanté en disant que le Dr Clauser pourrait vouloir réitérer qu'il n'est pas déprimé et qu'il ne possède aucune saleté sur Hillary Clinton, aspirante présidentielle ratée à deux reprises, l'insinuation étant que son scepticisme climatique pourrait le mettre dans le collimateur de certains. des gens très dangereux et puissants.
Les dernières nouvelles liées au climat peuvent être trouvées sur Climate.news.
Les sources de cet article incluent :
WattsUpWithThat.com
Newstarget.com
https://www.naturalnews.com/2023-08-01-dr-clauser-cancelled-imf-climate-change-pseudoscience.html
Le soleil ou le gaz carbonique font-ils le changement climatique - en conversation avec MEGA-Radio
RépondreSupprimer2 août 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Jusqu'en 1987, le soleil était responsable des changements climatiques sur terre et sur les autres planètes. Puis, en 1988, l'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) a été fondé en tant que sous-division de l'ONU. Il a ensuite mis en cause certains des gaz présents dans l'atmosphère, dont la production peut être attribuée à l'homme, quoique dans une faible mesure : le gaz carbonique, le protoxyde d'azote N2O et le méthane CH4.
Dans les modèles de l'IPCC, le rayonnement solaire est supposé être constant, ce qui n'est pas le cas, car comme toutes les planètes, il se déplace également autour du centre de masse du système solaire, comme Isaac Newton l'a décrit dans les Principia en 1687.
Le réacteur à fusion cosmique Soleil ne cesse de changer l'intensité de son rayonnement, par exemple grâce aux taches solaires, à la force de son puissant champ magnétique et même les pôles s'inversent environ tous les 11 ans. Tout cela exerce une forte influence sur la température, la formation des nuages, l'activité volcanique ou les tremblements de terre sur Terre.
Recommandations de livres TKP :
Chronologie d'une pandémie : Tous les articles du TKP de 2020 sous forme de livre
Des gens courageux d'Andrea Drescher
La théorie du gaz carbonique n'explique rien dans le passé - ni les petites glaciations ni les périodes chaudes - et est donc à rejeter, comme le fait tout scientifique sérieux. Ce n'est pas le cas des « modélisateurs » du IPCC. De nombreux géologues, géographes ou autres traînent là-bas, mais les astrophysiciens ou physiciens familiarisés avec la physique des nuages sont largement absents.
J'en discute et plus en détail avec Alexander Boos de MEGA-Radio.
MEGA Radio est une station qui s'écoute en DAB+ et aborde les sujets de manière critique et ouverte sans considération politique.
Sur Spotify….
RépondreSupprimer… ou sur YouTube :
Articles discutés à lire :
L'Europe compte 10 fois plus de morts par le froid que de morts par la chaleur
Les scientifiques sur le prochain grand minimum solaire et le climat plus froid
La réduction du nombre de taches solaires indique le début du petit âge glaciaire
La vapeur d'eau - le gaz à effet de serre le plus important pour la régulation du climat
Le gaz carbonique serait responsable du réchauffement climatique - les valeurs de gaz carbonique revendiquées sont-elles correctes ?
La réduction du nombre de taches solaires indique le début du petit âge glaciaire
Le mouvement du soleil provoque le réchauffement et le refroidissement de la terre dans le cycle de Hallstatt de 2200 ans
Le gaz carbonique ne joue aucun rôle dans les périodes glaciaires et les périodes chaudes comme le montre cette courbe
Changement climatique dû aux cycles solaires au lieu du gaz carbonique ? Étude indésirable et retirée
Comment le soleil contrôle notre climat – la physicienne solaire Valentina Zharkova
Record de froid en Argentine et en Sibérie – records depuis le début des mesures
Étude : Le Groenland était libre de glace il y a 400 000 ans
https://tkp.at/2023/08/02/macht-die-sonne-oder-co2-den-klimawandel-im-gespraech-bei-mega-radio/
Quel que soit le gouvernement ou chef d’État dans le monde, il ne se composera JAMAIS de scientifiques dans le ministère attribué comme il n'y aura aucun docteur dans celui de la santé !! C'est aller chez le boulanger pour réparer sa bagnole ou prendre le bus pour aller de New-York en Europe !
SupprimerLes dites 'grandes écoles' ne chient que des merdes ! QUE DES MERDES !
La guerre contre le protoxyde d'azote menace les agriculteurs et l'approvisionnement alimentaire mondial
RépondreSupprimer2 août 2023
du Dr. Peter F. Mayer
L'UE est en train d'imposer une réduction des oxydes d'azote en expropriant et en expulsant les agriculteurs, initialement aux Pays-Bas. Ici aussi, le sauvetage climatique sert d'excuse, bien qu'il n'y ait pas de lien solide. Dans le même temps, des industries entières voient le jour qui produisent de la viande dans des réacteurs chimiques ou élèvent des insectes à ajouter aux plats cuisinés .
En novembre 2022, quatre scientifiques renommés ont publié un article de physique intitulé Nitrous Oxide and Climate. Il démontre que la "guerre contre l'oxyde nitreux" du Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies pour atteindre des émissions nettes nulles (NZE) d'ici 2050 menace de provoquer un effondrement majeur de l' approvisionnement alimentaire mondial .
Les quatre auteurs de l'article sont des professionnels hors pair dans leur domaine, leur analyse et leur opinion doivent donc être prises très au sérieux, à savoir :
1) CA de Lange, physicien à la Vrije Universiteit d'Amsterdam ;
2) JD Ferguson, docteur en médecine à l'Université de Pennsylvanie, spécialisé dans le développement de modèles informatiques pour les effets des engrais azotés sur l'industrie laitière ;
3) William Happer, professeur émérite de physique à l'Université de Princeton ; et
4) WA van Wijngaarden, professeur de physique à l'Université York au Canada.
Tous quatre sont de fervents détracteurs des allégations non scientifiques du IPCC visant à étendre l' interdiction du gaz carbonique à la diabolisation du protoxyde d'azote (N2O) et du méthane (CH4), classés " gaz à effet de serre mineurs" . Le rapport se conclut par une vérité impérieuse : « Il n'est pas possible d'avoir une agriculture hautement productive sans engrais azotés. L'intention derrière cela est de remplacer la production rurale par la production industrielle, dans laquelle des milliards ont déjà été investis par divers fonds de capital-risque américains aux États-Unis et aux Pays-Bas . Et ces investissements devraient payer.
L' argument principal des scientifiques réfute complètement l'hystérie de l'Intergovernmental Panel on Climate Change. Les données montrent qu'en raison de l'impact minimal du N2O et du CH4 sur la température de la Terre, vous ne risquez pas un effondrement de la chaîne alimentaire mondiale. Vous écrivez:
Les propositions de restrictions sévères des émissions d'oxyde nitreux fondées sur les craintes du réchauffement climatique ne sont pas justifiées par ces faits. Les restrictions pourraient causer de graves dommages, par exemple en mettant en péril l'approvisionnement alimentaire mondial.
RépondreSupprimerLes scientifiques expliquent que l'engrais azoté est le "facteur le plus important qui a conduit aux énormes augmentations de la productivité agricole depuis les années 1950 qui ont éliminé les famines meurtrières qui ont tourmenté l'humanité à travers l'histoire" . L'abolition des engrais azotés forcerait un retour à une « agriculture à faible rendement » qui «ne peut pas fournir les approvisionnements alimentaires nécessaires pour nourrir 8,5 à 10 milliards de personnes».
L'écologiste Bjørn Lomborg a reconnu la nature malthusienne de l'attaque des " conservateurs du climat" contre le N2O, qui a également longtemps joué un rôle aux côtés de la recherche de profit, a rapporté TKP . Le 19 avril 2023, Lomborg a posté ce qui suit sur Twitter :
En termes optimistes, l'agriculture biologique peut aujourd'hui nourrir 4,7 milliards de personnes.
L'agriculture industrielle peut nourrir avec optimisme 12 milliards de personnes n'importe où aujourd'hui.
La population mondiale est de 8 milliards.
Faites le calcul vous-même.
Dans son Essai sur le principe de la population (1798), Malthus a souligné la surpopulation comme un problème dans une économie et une société en développement. Ses partisans sont nombreux parmi les milliardaires, de Rockefeller à Gates.
Dans son livre de 2020 False Alarm: How Climate Change Panic Costs Us Trillions, Hurts the Poor, and Fails to Fix the Planet ) Lomborg a expliqué comment nous en étions à ce stade il y a une vingtaine d'années lorsque «l'engouement pour les biocarburants a balayé les pays riches». Il a écrit:
L'Union européenne a montré la voie et, en 2003, a demandé aux États membres de remplacer 5,75 % de tous les carburants fossiles dans les transports par des biocarburants d'ici 2010. Les pays en développement, même ceux en proie à la famine, ont été poussés à cultiver des cultures pour l'éthanol plutôt que pour la nourriture.
Lomborg a noté que la croissance massive des biocarburants « a inévitablement conduit à une baisse de la nourriture et à une hausse des prix des denrées alimentaires » . Un rapport confidentiel de la Banque mondiale, publié par le Guardian , a révélé que les biocarburants ont fait grimper les prix alimentaires mondiaux de 75 % et « plongé cent millions de personnes dans la pauvreté et trente millions dans la faim. "
RépondreSupprimerDans Nitrous Oxide and Climate, de Lange, Ferguson, Happer et Wijngaarden conviennent que la guerre contre les émissions de N2O est idéologiquement motivée et montre une volonté de sacrifier des millions de vies à une idée fausse scientifique populaire. Enfin, les quatre auteurs écrivent :
Avec peu de citoyens réalisant que l'impact climatique des émissions totales de N2O est négligeable, de nombreux gouvernements sont sous pression pour faire « quelque chose » au sujet des contributions de N2O de l'agriculture. Les réglementations idéologiques de l'État sur l'agriculture ont généralement conduit au désastre. Le monde vient d'assister à l'effondrement du secteur agricole autrefois florissant du Sri Lanka à la suite des restrictions gouvernementales sur les engrais minéraux.
Mais tout cela est accepté pour deux raisons. Klaus Schwab en a décrit un dans son livre "The Great Reset". La 4e révolution industrielle vise à donner au capital financier inactif de nouvelles opportunités d'investissement et de profit. A cette occasion, la paysannerie perturbatrice devrait également être abolie et l'agriculture industrialisée. L'autre motivation est la réduction de la population terrestre, telle que poursuivie par Malthus, Huxley ou le Club de Rome et dont les partisans continuent de poursuivre activement le projet.
https://tkp.at/2023/08/02/der-krieg-gegen-stickstoffoxid-bedroht-bauern-und-globale-versorgung-mit-nahrungsmitteln/
La preuve est encore apportée que l'Intergovernmental Panel on Climate Change n'est qu'un gang d'ordures qui n'accepte pas les scientifiques. S'il y avait même un scientifique de première année, il aurait déclaré devant tous que depuis DES millions d'années TOUS les gaz sont fabriqués par la combustion de notre magma et que notre atmosphère recycle immédiatement tous les gaz qu'il y reçoit. PERSONNE ne peut supprimer ou ajouter des % de gaz dans notre atmosphère ! PERSONNE !
SupprimerLa grande leçon du film "Oppenheimer" est que la science n'est pas aussi indépendante qu'on nous le dit. Il peut facilement être acheté par les gouvernements, aussi tragique que cela puisse paraître.
RépondreSupprimerLes vrais héros de chaque époque sont les voix qui s'en tiennent à la vérité et aux faits, quels que soient les vents de la politique. Pendant les fermetures, celles-ci étaient rares et espacées. Mais c'est peut-être toujours le cas.
https://lists.youmaker.com/archive/HXGf860Qs/FyUWi451y/A72ndJaBs
Consommation de viande et longévité
RépondreSupprimerDes chercheurs ont découvert que dans le monde entier, la consommation de viande est associée à une durée de vie plus longue
Sally Fallon Morell
29 juillet 2023
Points de vue sur la santé
En février de l'année dernière, l'International Journal of General Medicine a publié une étude qu'il était facile de rater, car aucune publication médiatique majeure n'a rapporté "La consommation totale de viande est associée à l'espérance de vie : une analyse des données transversales de 175 populations contemporaines". par Wenpeng You et son équipe de chercheurs.
Pendant des années, nous avons entendu dire que le secret d'une longue vie est de réduire la consommation de viande et d'augmenter notre consommation de glucides - un conseil inscrit dans les directives diététiques de l'USDA pour les Américains. Mais ce n'est pas ce que ces chercheurs ont trouvé.
Vous et son équipe avez analysé les données de 175 pays et territoires - en d'autres termes, presque le monde entier - et utilisé diverses méthodes statistiques pour "explorer et comparer les corrélations entre l'espérance de vie du nouveau-né... l'espérance de vie à cinq ans de vie... et les apports en viande", et les cultures glucidiques, respectivement. Les facteurs de risque établis pour l'espérance de vie - apport calorique, urbanisation, obésité et niveaux d'éducation - ont été inclus comme facteurs de confusion potentiels.
Les chercheurs ont découvert que dans le monde entier, la consommation de viande était associée à une durée de vie plus longue. "Cette relation est restée significative lorsque les influences de l'apport calorique, de l'urbanisation, de l'obésité, de l'éducation et des cultures glucidiques étaient statistiquement contrôlées." En revanche, la consommation de glucides avait une corrélation faible mais négative avec l'espérance de vie.
Zones bleues et consommation de viande
Vous vous interrogez peut-être sur les régions de la « zone bleue » du monde, celles qui comptent un pourcentage élevé de centenaires. Selon Dan Buettner, auteur de "The Blue Zones, Lessons for Living Longer From the People Who've Lived the Longest", la clé d'une longue vie est de minimiser la consommation de viande et de manger beaucoup de légumes.
Les personnes de longue durée vivant dans les zones bleues ne mangent-elles pas une alimentation principalement à base de plantes ?
Eh bien, en fait, non. Par exemple, en Sardaigne, la première zone bleue notée par M. Buettner, la consommation de viande est plus élevée chez les paysans de longue durée vivant dans les montagnes que chez ceux vivant dans les vallées, selon une étude de 2015 publiée dans le European Journal of Clinical Nutrition. Dites les auteurs :
"L'identification d'un point chaud d'une longévité exceptionnelle, la Zone Bleue de Longévité (LBZ), dans la population montagnarde de la Sardaigne a suscité un intérêt considérable envers sa nourriture traditionnelle comme l'un des facteurs potentiels de causalité... Jusqu'à il y a peu de temps, la LBZ la population dépendait principalement de l'élevage du bétail et la consommation d'aliments d'origine animale était relativement plus élevée que dans le reste de l'île. [soulignement ajouté]
RépondreSupprimerPour Okinawa, sa deuxième zone bleue répertoriée, M. Buettner insiste sur le fait que «les Okinawans plus âgés ont suivi un régime à base de plantes pendant la majeure partie de leur vie. Leurs repas de légumes sautés, de patates douces et de tofu sont riches en nutriments et faibles en calories. Cependant, ce n'est pas ce que les chercheurs ont trouvé dans une étude de 1992 comparant les régimes alimentaires des Japonais du continent et ceux vivant sur l'île d'Okinawa.
Ils ont constaté que la proportion de l'alimentation composée de protéines et de graisses - principalement du porc et de la graisse de porc, mais aussi du poisson - était plus élevée à Okinawa. Autre fait : les habitants d'Okinawa adorent le spam, consommant plus d'une boîte par personne et par semaine, pour un total d'un peu plus de sept millions de boîtes de conserve de porc par an. Le spam est le genre de « viande grasse et transformée » contre laquelle Buettner met en garde.
Passons à la péninsule de Nicoya au Costa Rica - une région où vivent du bétail, des chèvres et des porcs - les gens là-bas aiment aussi leur saindoux. Une étude de 2013 sur la région a révélé que les Nicoyens plus âgés mangeaient plus de poisson, plus de viande et plus de graisses saturées (du saindoux) que les habitants des autres régions du Costa Rica. Ils sont également friands d'un ragoût à base d'abats appelé « sustancia ».
Dans la zone bleue d'Ikaria, en Grèce, Buettner décrit le régime comme étant à base de plantes avec un "faible apport en graisses saturées provenant de la viande et des produits laitiers". Pourtant, les insulaires consomment beaucoup de produits laitiers de chèvre et de mouton, qui sont très riches en graisses saturées - et comme c'est la coutume dans toute la Grèce - ils consomment fréquemment de l'agneau gras.
En ce qui concerne les adventistes du septième jour de Loma Linda, en Californie, la cinquième et dernière zone bleue de Buettner, il n'est pas clair qu'il y ait beaucoup de centenaires dans la population, mais des études sur ces adventistes indiquent que les hommes vivent 7,3 ans de plus et les femmes vivent 4,4 ans. plus longtemps que les autres Californiens. Cependant, très peu d'adventistes (environ 4%) suivent un régime végétalien et, en tant que groupe, ils évitent l'alcool, les drogues, la caféine et la malbouffe - par rapport à l'ensemble des Californiens - qui ont tendance à consommer de l'alcool, des sodas, de la malbouffe, le café et la drogue.
RépondreSupprimerQuelle population mondiale a la plus longue durée de vie ? La réponse est surprenante : Hong Kong animée, surpeuplée et polluée ! Selon les données des Nations Unies, l'espérance de vie à Hong Kong est de 82,38 ans pour les hommes et de 88,17 ans pour les femmes. Autre surprise : les habitants de Hong Kong ont la consommation de viande et de produits laitiers la plus élevée au monde, avec 500 grammes (plus d'une livre) de viande et 281 grammes (presque dix onces) de produits laitiers par jour.
Encore une autre étude ignorée des médias sur les bienfaits de la viande
Je me souviens d'une étude importante, décrite dans The Guardian, réalisée il y a près de vingt ans - également ignorée par les médias - qui a montré à quel point la viande est importante pour les enfants en pleine croissance.
Le professeur Lindsay Allen de l'Université de Californie à Davis (et récemment intronisé au Temple de la renommée des sciences de l'USDA ARS) a découvert que l'ajout de seulement deux onces de viande au régime alimentaire des enfants pauvres en Afrique "les transformait à la fois physiquement et mentalement". Sur une période de deux ans et par rapport à ceux qui ont reçu une tasse de lait, un supplément d'huile ou un quatrième groupe qui n'a reçu aucun supplément, ceux qui ont reçu de la viande « ont presque doublé leur développement musculaire et ont montré des améliorations spectaculaires de leurs capacités mentales. Ils sont également devenus plus actifs, bavards et enjoués à l'école… et ont montré plus de compétences en leadership.
"Les résultats des tests d'aptitudes mentales se sont améliorés de 35 points pour le groupe de la viande, de 14 pour le lait et sont restés inchangés pour les enfants qui n'ont reçu aucun supplément [d'origine animale]", a-t-elle déclaré.
S'exprimant lors de la réunion annuelle de l'Association américaine pour l'avancement des sciences à Washington DC, Mme Allen a déclaré :
RépondreSupprimer"Les aliments d'origine animale contiennent des nutriments que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Si vous parlez de nourrir les jeunes enfants, les femmes enceintes et les femmes allaitantes, j'irais jusqu'à dire qu'il est contraire à l'éthique de refuser ces aliments pendant cette période de la vie… L'ajout de viande ou de lait aux régimes a également presque complètement éliminé le très taux élevés de carence en vitamine B12 précédemment observés chez les enfants.
Elle a ajouté:
« Il est important de savoir que ces avantages importants pour la fonction humaine et le capital humain ont été constatés en seulement deux ans. Si ces enfants avaient reçu ces aliments plus tôt dans leur vie ou si leurs mères les avaient reçus lorsqu'elles étaient enceintes, ou si les gens avaient pu les recevoir tout au long de leur vie, nous pensons que les améliorations du développement du capital humain seraient encore plus spectaculaires.
Les aliments d'origine animale, en particulier la viande, sont vitaux pour la croissance, le développement, la fonction mentale et une longue vie.
Vidéo connexe du partenaire
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https://www.theepochtimes.com/health/meat-consumption-and-longevity-5404726?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Laissez-les manger des insectes : contester la réinitialisation alimentaire axée sur les entreprises du WEF
RépondreSupprimerPar Colin Todhunter
Recherche mondiale
2 août 2023
Le modèle agroalimentaire mondialisé qui prévaut est construit sur des politiques commerciales injustes, l'effet de levier de la dette souveraine, les déplacements de population et la dépossession des terres. Elle alimente la monoculture de produits de base et l'insécurité alimentaire ainsi que la dégradation des sols et de l'environnement.
Il est responsable de l'augmentation des taux de maladie, des régimes alimentaires déficients en nutriments, du rétrécissement de la gamme des cultures vivrières, des pénuries d'eau, des ruissellements chimiques, de l'endettement croissant des agriculteurs, de l'affaiblissement et de la destruction des communautés locales et de l'éradication de la biodiversité.
Le modèle repose sur un paradigme politique qui privilégie l'urbanisation, les marchés mondiaux, les longues chaînes d'approvisionnement, les intrants propriétaires externes, les aliments hautement transformés et la dépendance du marché (entreprise) au détriment des communautés rurales, les petites entreprises indépendantes et les petites exploitations agricoles, les marchés locaux, la pénurie d'approvisionnement. filières, ressources à la ferme, cultures agroécologiques diversifiées, régimes alimentaires riches en nutriments et souveraineté alimentaire.
Il est clair qu'il existe d'énormes problèmes environnementaux, sociaux et de santé qui découlent de la quantité de notre nourriture qui est actuellement produite et consommée et qu'un changement de paradigme est nécessaire.
Ainsi, certains optimistes - ou vœu pieux - auraient pu espérer de véritables solutions aux problèmes et défis décrits ci-dessus lors de la deuxième édition du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires (UNFSS) qui s'est tenue la semaine dernière à Rome.
L'UNFSS a affirmé qu'elle vise à fournir les dernières approches scientifiques fondées sur des preuves du monde entier, à lancer un ensemble de nouveaux engagements par le biais de coalitions d'action et à mobiliser de nouveaux financements et partenariats. Ces « coalitions d'action » s'articulent autour de la mise en œuvre d'une « transition alimentaire » plus durable, efficace et respectueuse de l'environnement.
Fondé sur un partenariat entre l'ONU et le Forum économique mondial (WEF), l'UNFSS est cependant influencé de manière disproportionnée par les entreprises, manque de transparence et de responsabilité et détourne l'énergie et les ressources financières des véritables solutions nécessaires pour lutter contre la faim multiple, crises environnementales et sanitaires.
Selon un article récent sur le site Web de The Canary, les principales initiatives multipartites (MSI) présentées au sommet de 2023 comprenaient le WEF, le Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale, EAT (EAT Forum, EAT Foundation et EAT-Lancet Commission on Sustainable Healthy Food Systems), le Conseil mondial des entreprises pour le développement durable et l'Alliance pour une révolution verte en Afrique.
Le secteur agroalimentaire mondial des entreprises, y compris Coca-Cola, Danone, Kelloggs, Nestlé, PepsiCo, Tyson Foods, Unilever, Bayer et Syngenta, était également en force avec Dutch Rabobank, la Fondation Mastercard, la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fondation Rockefeller.
RépondreSupprimerGrâce à son "partenariat stratégique" avec l'ONU, le WEF considère les MSI comme la clé pour réaliser sa vision d'une "grande réinitialisation" - dans ce cas, une transition alimentaire. Le sommet comprend une puissante alliance d'entreprises mondiales, de fondations influentes et de pays riches qui tentent de saisir le récit de la « transformation des systèmes alimentaires ». Ces intérêts visent à assurer une plus grande concentration des entreprises et un effet de levier de l'agro-industrie sur les institutions publiques.
Hannah Sharland, l'auteur de l'article dans The Canary, écrit :
« … l'ONU donne sciemment aux entreprises mêmes qui parrainent la destruction de la planète des places de choix à la table. Ce sont précisément ces entreprises qui façonnent déjà l'état des systèmes alimentaires mondiaux.
Elle conclut que les solutions à une crise mondiale naissante ne peuvent être trouvées dans le système capitaliste d'entreprise qui l'a fabriquée.
Lors d'une conférence de presse le 17 juillet 2023, des représentants de la Réponse autonome du peuple à l'UNFSS ont souligné les actions urgentes et coordonnées nécessaires pour lutter contre la faim dans le monde. La réponse est venue sous la forme d'une déclaration de ceux qui représentent les mouvements de justice alimentaire, les organisations de petits producteurs alimentaires et les peuples autochtones.
La déclaration dénonçait l'approche des Nations Unies. Saúl Vicente du Conseil international des traités indiens a déclaré que les organisateurs du sommet visaient à vendre leur projet d'entreprise et industriel comme une "transformation".
Les mouvements et les organisations qui s'opposent au sommet appellent à un changement rapide des modèles industriels axés sur les entreprises vers des systèmes alimentaires biodiversifiés, agroécologiques et communautaires qui donnent la priorité à l'intérêt public plutôt qu'au profit. Il s'agit de garantir les droits d'accès et de contrôle des peuples à la terre et aux ressources productives tout en promouvant la production agroécologique et les semences paysannes.
RépondreSupprimerLa réponse au sommet ajoute que, malgré la reconnaissance croissante que les systèmes alimentaires industriels échouent sur tant de fronts, les entreprises agroalimentaires et agroalimentaires continuent d'essayer de garder leur contrôle. Ils déploient la numérisation, l'intelligence artificielle et d'autres technologies de l'information et de la communication pour promouvoir une nouvelle vague de dépendance ou de déplacement des agriculteurs, d'accaparement des ressources, d'extraction de richesse et d'exploitation du travail et pour restructurer les systèmes alimentaires vers une plus grande concentration du pouvoir et une valeur toujours plus mondialisée. Chaînes.
Shalmali Guttal, de Focus on the Global South, déclare :
« … des gens du monde entier ont présenté des stratégies concrètes et efficaces… souveraineté alimentaire, agroécologie, revitalisation de la biodiversité, marchés territoriaux et économie solidaire. Les preuves sont accablantes - les solutions conçues par les petits producteurs alimentaires et les peuples autochtones non seulement nourrissent le monde, mais font également progresser le genre, la justice sociale et économique, l'autonomisation des jeunes, les droits des travailleurs et une réelle résilience aux crises.
Guttal demande "pourquoi les décideurs politiques n'écoutent-ils pas cela et ne fournissent-ils pas un soutien adéquat ?"
C'est facile à répondre. L'ONU s'est mise au lit avec le WEF et des géants de l'agroalimentaire et du big data irresponsables, qui n'ont pas le temps pour la gouvernance démocratique.
Un nouveau rapport de FIAN International a été publié parallèlement à la déclaration de la Réponse autonome du peuple. Le rapport – Transformation des systèmes alimentaires – Dans quelle direction ? – appelle à une refonte urgente de l'architecture de la gouvernance alimentaire mondiale afin de garantir une prise de décision qui donne la priorité au bien public et au droit à l'alimentation pour tous.
Sofia Monsalve, secrétaire générale de FIAN International, déclare :
"La principale pierre d'achoppement pour prendre des mesures efficaces en faveur de systèmes alimentaires plus résilients, diversifiés, localisés et agroécologiques sont les intérêts économiques de ceux qui font progresser et bénéficient des systèmes alimentaires industriels axés sur les entreprises."
Ces intérêts promeuvent le multipartisme : un processus qui implique des entreprises et leurs groupes de façade et des armées de lobbyistes cooptant des organismes publics pour agir en leur nom au nom de « nourrir le monde » et de la « durabilité ».
Un processus qui place de puissants intérêts privés aux commandes, guidant les décideurs politiques pour répondre aux besoins des entreprises tout en mettant de côté les préoccupations et les solutions importantes transmises par de nombreuses organisations de la société civile, des petits producteurs alimentaires et des travailleurs, des peuples autochtones ainsi que d'importants universitaires.
RépondreSupprimerLes sociétés mêmes qui sont responsables des problèmes du système alimentaire actuel. Ils offrent plus ou moins la même chose, cette fois emballés dans un emballage biosynthétique, génétiquement modifié, mangeur d'insectes, écomoderniste et faux vert (voir l'article en ligne De zéro net au glyphosate : la prise de pouvoir des entreprises vertes d'agritech).
Alors que plus de 800 millions de personnes se couchent affamées sous le régime alimentaire actuel, ces entreprises et leurs riches investisseurs continuent d'aspirer à toujours plus de profit et de contrôle. Le système économique garantit qu'ils ne sont pas motivés par la justice alimentaire ou toute autre forme de justice. Ils sont obligés de maximiser le profit, notamment en attribuant une valeur marchande économique à tous les aspects de la nature et des pratiques sociales, qu'il s'agisse de connaissances, de terres, de données, d'eau, de semences ou de systèmes d'échange de ressources.
En s'assurant intelligemment (et cyniquement) que les besoins des marchés mondiaux (c'est-à-dire les besoins des chaînes d'approvisionnement des entreprises et leurs stratégies de recherche de profit) sont devenus synonymes des besoins de l'agriculture moderne, ces entreprises ont obtenu une politique hégémonique intéressée paradigme parmi les décideurs qui est profondément ancré.
C'est pour une bonne raison que la Réponse autonome du peuple à l'UNFSS appelle à une mobilisation de masse pour contester le pouvoir que détiennent les grands intérêts corporatistes :
« [Ce pouvoir] doit être démantelé afin que le bien commun soit privilégié avant les intérêts des entreprises. Il est temps de relier nos luttes et de lutter ensemble pour un monde meilleur fondé sur le respect mutuel, la justice sociale, l'équité, la solidarité et l'harmonie avec notre Mère la Terre.
Cela peut sembler un défi de taille, surtout compte tenu de la financiarisation du secteur de l'alimentation et de l'agriculture, qui s'est développée en tandem avec l'agenda néolibéral et la financiarisation globale de l'économie mondiale. Cela signifie que des entreprises extrêmement puissantes comme BlackRock – qui détient des parts dans un certain nombre des plus grandes entreprises alimentaires et agroalimentaires au monde – ont beaucoup à faire pour renforcer davantage le système existant.
RépondreSupprimerMais l'espoir prévaut. En 2021, le groupe ETC et le groupe d'experts international sur les systèmes alimentaires durables ont publié le rapport A Long Food Movement: Transforming Food Systems by 2045. Il appelle les organisations de base, les ONG internationales, les groupes d'agriculteurs et de pêcheurs, les coopératives et les syndicats à collaborer plus étroitement pour transformer les flux financiers et les systèmes alimentaires de fond en comble.
L'auteur principal du rapport, Pat Mooney, affirme que la société civile peut riposter et développer des systèmes de production agroécologiques sains et équitables, construire des chaînes d'approvisionnement courtes (basées sur la communauté) et restructurer et démocratiser les structures de gouvernance.
The original source of this article is Global Research.
https://www.lewrockwell.com/2023/08/no_author/let-them-eat-bugs-challenging-the-wefs-corporate-driven-food-reset/
Glyphosate : M. Özdemir s'oppose à la réautorisation et ouvre une porte dérobée pour l'interdiction nationale
RépondreSupprimer2 Août 2023
Norbert Lehmann, AGRARHEUTE*
La Commission Européenne va probablement proposer une prolongation de l'autorisation de la substance active herbicide glyphosate. Le ministre de l'Agriculture Özdemir s'y oppose, mais se considère « lié par la situation juridique ».
La Commission Européenne veut prolonger l'autorisation du glyphosate. M. Özdemir votera sans doute contre mais s'éloigne désormais prudemment d'une interdiction nationale.
Après l'avis positif de l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) sur la sécurité du glyphosate, la Commission Européenne ne voit « aucune raison de s'opposer à une nouvelle autorisation » de la substance active. C'est ce qu'a précisé le chef de service compétent de la Direction Générale de la Santé de l'UE (DG SANTÉ), Klaus Berend, devant la commission de l'environnement du Parlement Européen.
Il est donc probable que la Commission proposera en septembre de prolonger l'autorisation de la substance active herbicide. En octobre, les États membres devraient voter sur la proposition de règlement.
« Je plaide ici pour un non », a déclaré hier (25 juillet) le ministre allemand de l'Agriculture, Cem Özdemir, lors du Conseil Agricole de l'UE à Bruxelles, réaffirmant son opposition à une réautorisation.
Les expertises font obstacle à l'interdiction du glyphosate
Mais M. Özdemir, qui a toujours envisagé par le passé une interdiction nationale du glyphosate à partir de 2024, s'en écarte désormais prudemment. Certes, l'accord de coalition stipule clairement : « Nous retirons le glyphosate du marché d'ici fin 2023. »
Cependant, cette promesse de la coalition « feux tricolores » est juridiquement fragile après que l'EFSA a conclu début juillet dans son expertise qu'il n'y avait pas d'objection fondamentale d'un point de vue scientifique à une nouvelle autorisation de la substance active de l'herbicide. L'Agence Européenne des Produits Chimiques (EChA) avait déjà déclaré l'année dernière que les critères de classification du glyphosate comme substance cancérigène, mutagène ou toxique pour la reproduction n'étaient pas remplis.
M. Özdemir : « Je suis naturellement lié à la situation juridique en ce qui concerne le glyphosate. »
RépondreSupprimerSi une majorité d'États membres approuve une prolongation de l'autorisation, comme cela a été le cas en 2017, une interdiction nationale du glyphosate, prononcée par l'Office Fédéral de la Protection des Consommateurs et de la Sécurité Alimentaire (BVL) compétent, serait juridiquement attaquable. Il pourrait en résulter des demandes d'indemnisation élevées de la part de l'industrie chimique, qui affecteraient directement le budget fédéral.
Le ministre Özdemir en est manifestement de plus en plus conscient. En marge du Conseil Agricole de l'UE, il a certes critiqué l'expertise de l'EFSA qui « ne tient pas suffisamment compte des effets sur la nature ». En même temps, M. Özdemir a nuancé : « A la fin de la journée, je suis bien sûr lié par la situation juridique. » Cela laisse supposer que le gouvernement allemand votera certes contre une prolongation de l'autorisation à Bruxelles, mais qu'il appliquera finalement une décision prise à la majorité.
Les États membres doivent voter sur la réautorisation en octobre
Sans un renouvellement par l'UE, l'autorisation du glyphosate dans la Communauté expirerait le 15 décembre 2023.
Une majorité qualifiée des États membres au sein du Comité Permanent des Végétaux, des Animaux, des Denrées Alimentaires et des Aliments pour Animaux (SCoPAFF) est nécessaire pour prendre une décision pour ou contre le glyphosate. Si cette majorité n'est pas obtenue après deux votes, la Commission décidera de sa proposition.
Lors du vote de novembre 2017, M. Christian Schmidt, alors ministre de l'Agriculture, de la CSU, avait voté « de sa propre initiative » et à la surprise générale en faveur de l'autorisation, snobant ainsi sa collègue du ministère de l'Environnement dirigé par la SPD Barbara Hendricks. Cela avait même valu à M. Schmidt une réprimande de la part de la chancelière allemande Angela Merkel.
L'Umwelthilfe poursuit l'Allemagne en justice au sujet de l'autorisation du Roundup
Le comportement de vote arbitraire avait alors presque coûté à M. Schmidt son poste de ministre. Ce n'est pas seulement depuis cet incident que le glyphosate est un dossier politique hautement explosif. Aujourd'hui encore, les groupes d'intérêt font monter la pression au fur et à mesure que la décision de Bruxelles se rapproche.
C'est ainsi que la Deutsche Umwelthilfe (DUH), soutenue par foodwatch, a déposé aujourd'hui [le 26 juillet 2023] une plainte contre la République fédérale d'Allemagne devant le tribunal administratif de Braunschweig pour obtenir le retrait de l'autorisation du Roundup PowerFlex, un herbicide total à base de glyphosate. Pour justifier sa décision, la DUH a évoqué les effets néfastes du glyphosate sur la biodiversité.
Il semble que les tribunaux allemands devront de toute façon se pencher sur l'autorisation du glyphosate, qu'elle soit renouvelée ou non.
RépondreSupprimerAvec du matériel de AgE
____________
* Norbert Lehmann travaille depuis plus de 25 ans comme journaliste spécialisé. Après des études d'économie agricole à Bonn, le service de presse et d'information Agra-Europe a été sa première étape professionnelle. Il a fait de fréquents séjours à Bruxelles en tant que correspondant. Ensuite, activités au sein du groupe d'édition Handelsblatt, dans les relations publiques scientifiques ainsi qu'en tant qu'indépendant. Depuis 2012, il travaille au dlv, en dernier lieu en tant que chef de la rubrique Management & Markt à la rédaction d'AGRARHEUTE.
* Source : Glyphosat: Özdemir öffnet sich Hintertür aus nationalem Verbot | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2023/08/glyphosate-m.ozdemir-s-oppose-a-la-reautorisation-et-ouvre-une-porte-derobee-pour-l-interdiction-nationale.html
Rendements de l'agriculture biologique : Agreste lève (un peu) le voile
RépondreSupprimer2 Août 2023
Dans la série Primeur, c'est intitulé avec une belle neutralité de ton « Des rendements en grandes cultures inférieurs en agriculture biologique à ceux en conventionnel », en dessous de « Enquête Terres labourables en 2022 ».
En chapô :
« En 2022, les rendements des grandes cultures issus de l’agriculture biologique sont inférieurs à ceux obtenus en agriculture conventionnelle. L’écart atteint 57 % pour le blé tendre contre 28 % pour le tournesol. Bien que les rendements évoluent d’une année à l’autre, les écarts entre bio et conventionnel sont stables dans le temps. Ils sont plus ou moins marqués selon la région. »
Agreste lève donc – un peu – le voile sur ce qui est un fait largement connu mais souvent dissimulé, et attendu compte tenu du cahier des charges de l'AB.
Le rapport est agrémenté de trois graphiques, dont un est fondamentalement redondant. Mais il nous apprend par exemple qu'il y a 179.000 hectares de blé en bio (sur 4,9 millions d'hectares en 2021), 11.000 hectares en maïs irrigué et 24.000 hectares en maïs non irrigué (c'est, curieusement, peu).
Le texte nous apprend également, par exemple, que 31,6 % des surfaces nationales en soja sont cultivées en AB, contre seulement 1 % de celles de colza.
Les écarts de rendements nationaux sont illustrés par le graphique ci-dessus.
Les écarts de rendements régionaux sont donnés dans le graphique ci-dessous pour le blé tendre (la culture pour laquelle les écarts sont les plus importants) et le tournesol (la culture pour laquelle les écarts sont les plus faibles après le soja).
Ajoutons tout de même un mot de prudence : ces chiffres ne sont pas totalement comparatifs des potentiels de rendement respectifs, mais incluent sans doute un facteur « fertilité » : on peut en effet penser que la « conversion » en bio se fait davantage pour les exploitations aux terres difficiles que pour celles aux sols généreux.
- voir graph sur site -
https://seppi.over-blog.com/2023/08/rendements-de-l-agriculture-biologique-agreste-leve-un-peu-le-voile.html
"Le son de la liberté", Les abus contre des enfants innocents : les politiciens et les personnalités publiques sont restés manifestement silencieux
RépondreSupprimerLa traite et l'exploitation des enfants atteignent les niveaux les plus élevés de l'autorité, à la fois laïque et religieuse.
Par Stephen Karganovic
Recherche mondiale, 01 août 2023
Non, heureusement, la maladie n'a pas encore envahi l'Occident tout entier, mais elle s'est certainement emparée de l'élément qui, en son sein, donne le ton et façonne les esprits.
La matière précise qui exerce actuellement l'establishment n'est pas tant littéralement que symboliquement la maternité, dans la mesure où les pouvoirs qui sont écartés avec un mépris non dissimulé sont l'inviolabilité du bien le plus précieux de la maternité, les enfants innocents . C'est assez proche.
La réaction désordonnée des dictateurs d'opinion au film récemment sorti « Sound of Freedom » met en évidence un paradoxe apparent.
C'est que dans l'épicentre présumé de la civilisation mondiale et des valeurs humanistes, la haine et la condamnation de l'enlèvement et de l'asservissement d'enfants ne se révèlent ni automatiques ni unanimes.
- voir clip sur site -
Bien qu'il ne s'agisse pas d'une production hollywoodienne (peu après sa sortie, le célèbre repaire de corruption a désavoué sans équivoque le film et on en soupçonne facilement les raisons ) et malgré le dénigrement malveillant dans les médias contrôlés, "Sound of Freedom" a joué dans des salles combles à travers les États-Unis. Jusqu'à présent, ses revenus ont dépassé de plus de dix fois le coût de production, tandis que les superproductions hollywoodiennes publiées simultanément échouent lamentablement au box-office. C'était une réalisation remarquable, en particulier parce que le bouche à oreille était apparemment suffisant pour surmonter tous les obstacles imaginables érigés par l'establishment enragé .
Les données sur le succès commercial sont cependant un détail très mineur. Bien plus significatif est que l' establishment temporairement abasourdi , lui-même profondément impliqué dans toutes les formes connues d'amoralité , a réussi à transformer l'exposé d'un phénomène qui aurait dû être universellement répugnant en une question controversée.
En introduisant sournoisement l'ambivalence dans l'absolu de la distinction entre le bien et le mal, il a lui-même enregistré un modeste succès.
La popularité et l'audience massive du "Sound of Freedom" contre toute attente sont, bien sûr, des preuves réconfortantes que la grande majorité des Américains restent des gens normaux et décents. La question critique, cependant, est de savoir si, à long terme, le triomphe indéniable du film, s'il est jugé uniquement par les paramètres de l'industrie cinématographique, aura un impact substantiel au-delà de cela? En d'autres termes, marquera-t-elle les politiques publiques ou ne sera-t-elle qu'un feu de paille ?
Malheureusement, rien n'indique qu'en fin de compte, le film ne sera rien de plus qu'un feu de paille.
RépondreSupprimerDe vrais complices rémunérés de l'establishment se faisant passer pour des critiques de cinéma, dont beaucoup ont des antécédents personnels d'implication dans la pédophilie et donc en conflit d'intérêts clair , ont saccagé sans relâche le «Sound of Freedom» pendant des semaines depuis sa sortie sans obtenir pour leur peine aucun des résultats visibles au box-office.
Il est vrai aussi qu'en affluant massivement dans les salles de cinéma pour voir un film si fortement mal vu par leurs suzerains, pour reprendre une métaphore d'antan, la plèbe a voté avec ses pieds. C'est une méthode de vote que les compteurs de votes du Dominion sont incapables d'influencer ou d'inverser.
Pourtant, au niveau politique, le référendum public sur la traite des enfants dans les salles de cinéma n'a eu aucun écho dans les rangs de la classe dirigeante ni parmi ses courtisans et sbires.
Pas plus tard qu'il y a deux ou trois décennies, des politiciens et d'autres personnalités publiques se seraient affrontés pour récolter des points politiques en faisant semblant de s'identifier à l'indignation sociale.
Ils feraient écho au sentiment populaire et promettraient une législation efficace et d'autres mesures palliatives pour faire face au scandale. Cette fois-ci, cependant, rien de tel ne se produit. Les politiciens, les chefs religieux et culturels et les personnalités publiques aux profils les plus divers dont il faut naturellement s'attendre à une réaction, sont restés totalement et ostensiblement silencieux sur une question de la plus haute préoccupation publique et une indignation d'une ampleur extraordinaire.
- voir clip sur site -
Qu'est-ce que cela nous dit sur l'état de la société où cela est possible ?
Il nous dit au moins deux choses. Premièrement, qu'il existe un gouffre moral infranchissable séparant les dirigeants de leurs sujets . L'admission honnête de Pence à Tucker Carlson selon laquelle la longue liste de problèmes nationaux que ce dernier a cochés n'est "pas mon problème", probablement en raison de leur insignifiance par rapport à "l'obligation internationaliste" de soutenir le régime de Zelensky, est emblématique de l'état d'esprit aliéné de l'élite dirigeante. (En Europe, un sentiment identique, presque mot pour mot, a été exprimé par le stupide ministre allemand des Affaires étrangères.)
La nomenklatura ne ressent plus le besoin de même feindre une communauté de valeurs avec les masses qu'elle dirige de façon trompeuse.
En conséquence, la classe des «serviteurs du peuple» n'a pas reconnu la pandémie de traite et d'esclavage des enfants.
Aucune stratégie législative ou policière pour y faire face n'est publiquement envisagée et les dirigeants ne perçoivent pas la nécessité de présenter un plan d'action pour apaiser les masses furieuses, considérées d'en haut comme marginales, rien de plus qu'une nuisance mineure. Le scandale de la traite des êtres humains peut grandement déranger Joe So-and-So dans la rue, mais comme l'a expliqué utilement Pence, ce n'est pas leur préoccupation. Avec confiance et patience, ils attendent que les révélations sordides éclatent. Pendant ce temps, dans leurs laboratoires de modélisation de l'opinion publique, comme ceci est écrit, des distractions sont conçues pour les trouer la mémoire et ensuite, aussi rapidement que possible, pour changer de sujet.
L'autre chose que cela nous apprend sur l'élite dirigeante est que ce qui a longtemps été soupçonné de sa dégénérescence totale est très probablement vrai.
Les abus décrits dans "Sound of Freedom" ne se limitent pas aux rues et aux ruelles des grands centres métropolitains ou aux jungles de Colombie. Elle est endémique au mode de vie des personnes puissantes, et à tous les niveaux .
La participation volontaire à la dépravation est souvent le ticket d'entrée pour rejoindre les rangs de l'élite du pouvoir occidental . Les révélations crédibles du banquier néerlandais Ronald Bernard , qui s'est désisté lorsqu'on lui a demandé comme condition d'un avancement ultérieur de participer à un sacrifice de sang d'enfants ( 12h48 à 14h05 ), parlent d'elles-mêmes et sont confirmées par une masse d'autres témoignages similaires ( et ici ).
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
La traite et l'exploitation des enfants, y compris les sacrifices sanglants, atteignent les plus hauts niveaux de l'autorité, à la fois laïque et religieuse . Ils sont les ultimes consommateurs des horreurs décrites dans le "Sound of Freedom". S'attendre à ce que ces cercles fassent autre chose que de le dissimuler est donc naïf et irréaliste.
L'euphémisme blanchissant dans le discours public de cette variété particulièrement odieuse de perversion , en requalifiant ses protagonistes criminels d'inoffensifs "adultes mineurs attirés", trahit le jeu. Il y a un effort systématique continu pour normaliser l'odieux et le promouvoir comme une caractéristique régulière et acceptée de la vie quotidienne. Sans un soutien de l'intérieur de l'appareil du pouvoir, qui est en réalité le réseau de psychopathes qui tiennent les sociétés occidentales dans leur poigne de fer, les refaçonnant agressivement à leur propre image et ressemblance corrompues, cette normalisation du mal ne pourrait pas avoir lieu.
À moins qu'une perestroïka complète ne soit menée en Occident et que les psychopathes qui infestent toutes les sphères de la vie publique et de l'influence sociale ne soient enfermés et que les clés ne soient jetées à jamais, les prisons et les asiles seront bientôt remplis de gens honnêtes, de dénonciateurs consciencieux et de moralistes des héros tels que les créateurs du "Son de la liberté".
https://www.globalresearch.ca/the-sound-of-freedom-the-abuse-against-innocent-children-politicians-and-public-figures-have-remained-conspicuously-silent/5827539
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