- ENTREE de SECOURS -



mardi 7 mars 2023

Un traité sur la pandémie donne à l'OMS le contrôle du bétail et de l'approvisionnement alimentaire

7 mars 2023

du Dr. Peter F. Mayer


Avec les nouvelles versions du Traité sur la pandémie et du Règlement sanitaire international, l'OMS se voit effectivement confier les pouvoirs de gouvernement mondial dans de plus en plus de domaines. Il n'est pas élu et prévaut sur tous les mécanismes de protection tels que les droits fondamentaux et les droits de l'homme. Nous avons rendu compte du programme « One Health » auquel participent les organisations internationales OMS, FAO, OIE et PNUE. Il convient d'examiner de plus près la mise en œuvre concrète de l'accord prévu en cas de pandémie.

L'OMS nous fait déjà savoir qu'elle commencera par la volaille. Cela peut être utilisé soit pour contrôler, surveiller et vacciner les troupeaux, soit pour les tuer afin que les virus qu'ils n'ont pas ne puissent pas se propager aux humains (ou endommager l'environnement). Les bases en sont déjà posées dans l'accord sur la pandémie.

Le projet d'accord de 32 pages donne à l'OMS le pouvoir de prendre le contrôle de l'agriculture et de notre approvisionnement alimentaire :

1 En signant l'accord, un pays reconnaît que "la plupart des maladies infectieuses émergentes trouvent leur origine chez les animaux, y compris les animaux sauvages et domestiques, puis se propagent à l'homme". (Voir p. 6)

Dès le départ, la fondation est posée que « la plupart des maladies infectieuses » commencent chez les animaux ; par conséquent, il est de leur ressort de réglementer les animaux.

2 Les Parties doivent réaffirmer l'importance d'une "approche unique pour la santé" pour détecter et prévenir les menaces sanitaires à l'interface animal-humain, "en particulier la transmission et la mutation zoonotiques, et pour équilibrer la santé humaine, animale et écosystémique de manière durable et pour l'optimiser". (Voir p. 6)

En d'autres termes, un État membre signant l'accord doit accepter d'« avaler le krot ». Ils ne veulent pas que les États membres soient en désaccord, donc chacun doit réaffirmer son allégeance à une initiative appelée One Health Approach, dont le champ d'application inclut la santé humaine, animale ET écosystémique.

3 Les parties doivent reconnaître "la formation du groupe des quatre" pour "mieux aborder toutes les questions liées à One Health".

Ici, nous voyons qui aura "l'autorité" sur l'alimentation et l'agriculture. Ce n'est pas le ministère de l'Agriculture des États anciennement indépendants, les Ab élus, les législateurs propriétaires terriens et les législatures ou les agriculteurs.

Le projet stipule spécifiquement que le "quadripartite" était composé de l'OMS - dont les trois principaux donateurs sont les États-Unis, la Fondation Bill et Melinda Gates et d'autres oligarques américains - l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, l'Organisation mondiale de la santé animale et le Programme des Nations Unies pour l'environnement.

 4 En signant cet accord, un pays doit s'engager en faveur d'un « système unique de surveillance de la santé [. . .] pour détecter et évaluer les risques et l'émergence d'agents pathogènes et de variants à potentiel pandémique afin de minimiser et de prévenir les débordements, les mutations et les risques associés aux maladies zoonotiques, tropicales négligées et à transmission vectorielle. pandémie (page 24)

En outre, chaque Partie doit « promouvoir une action aux niveaux national et communautaire qui englobe des approches gouvernementales et communautaires pour faire face aux épidémies de zoonoses (chez les animaux sauvages et les animaux domestiques), y compris en engageant les communautés dans la surveillance qui identifie les épidémies zoonotiques et la résistance aux antimicrobiens au niveau national ». origine ».

Les sections suivantes expliquent comment les parties doivent améliorer la surveillance pour "identifier et signaler les agents pathogènes" et "renforcer la prévention et le contrôle des infections dans les soins de santé, ainsi que l'assainissement et la biosécurité dans l'élevage […]".

who-zero-draft-international-pandemic-treaty-fevrier-2023

Le site Web de l'OMS déclare en outre:

"Certains des domaines critiques abordés par cet organe comprennent la production et la distribution alimentaires, l'urbanisation et le développement des infrastructures, les voyages et le commerce internationaux, les activités entraînant une perte de biodiversité et le changement climatique, et celles qui exercent une pression accrue sur les ressources naturelles - qui peuvent toutes conduire à l'émergence de maladies zoonotiques.

Il est encore temps d'arrêter ce « One health » et ce « Oneo World Order ». Elle ne peut que se terminer par un désastre total comme toutes les autres dictatures jusqu'à présent.

https://tkp.at/2023/03/07/pandemievertrag-gibt-who-kontrolle-ueber-viehbestand-und-lebensmittelversorgung/

106 commentaires:

  1. (...) L'OMS nous fait déjà savoir qu'elle commencera par la volaille. Cela peut être utilisé soit pour contrôler, surveiller et vacciner les troupeaux, soit pour les tuer afin que les virus qu'ils n'ont pas ne puissent pas se propager aux humains (ou endommager l'environnement). Les bases en sont déjà posées dans l'accord sur la pandémie. (...)

    Ce serait bien une première qu'il y ait une transmissibilité de l'animal à l'être humain !

    Après l'euthanasie pour les chats (Angleterre)...

    Regardons çà de plus près ! 1°) Les poules. Pourquoi ? Parce qu'une poule pond un œuf par jour et peut être élevée en milieu urbain. 2°) Les vaches. Pourquoi ? Une vache donne 28 litres de lait par jour pendant presque 1 an. De plus, elles pètent ! Moins que les éléphants, hippopotames, rhinocéros ou chevaux mais elles doivent être tuées !! 3°) Les plantes. Pourquoi ? Interdiction de mettre de l'engrais !! Interdiction d'apporter des remèdes aux maladies des plantes et insectes ravageurs !!

    Le monde DOIT connaître LA FAMINE ! COMPRIS ?!

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  2. Industrie, énergie, agriculture : la décadence française

    Si nous voulons nous affranchir de la valeur travail et si, sur toute une vie active, notre souhait est de travailler 30 % de moins que nos voisins allemands c’est notre décision, mais il faut admettre un niveau de vie 30 % inférieur et un État qui fonctionne moins bien.


    le 7 mars 2023
    Claude Goudron


    Rien ne va plus dans notre pays qui s’installe dans une perte de savoir-faire dans pratiquement tous les domaines économiques.

    Après avoir assisté à la décomposition de notre système productif industriel qui, je le rappelle, est passé en 20 ans de 24 % du PIB à moins de 10 % à ce jour, c’est également notre développement énergétique qui bat de l’aile. Et, c’est inadmissible, notre agriculture qui suit la même pente.

    La France n’est plus autosuffisante en agriculture

    En moins de dix ans, notre balance commerciale agricole européenne est passée d’un excédent de 6 milliards d’euros à un déficit de 300 millions en 2022.

    En 20 ans, la France est passée du deuxième au cinquième rang des exportateurs mondiaux.

    Le pays importe 70 % des fruits consommés.

    En 40 ans, le nombre de paysans est passé de 1,6 million à 400 000 aujourd’hui et va certainement passer à 200 000 en 2030.

    Cet effondrement n’est pas dû uniquement à l’environnement fiscal mais également à une spécificité française qu’est la surinterprétation des normes européennes, avec pour conséquence une seconde pénalisation des agriculteurs sur le marché mondial mais surtout européen.

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  3. Gestion absurde de l’indépendance énergétique

    Suite au premier choc pétrolier de 1973, Pierre Messmer, Premier ministre de Georges Pompidou, décide d’axer la production d’électricité sur le nucléaire, démarrant ainsi la construction de 19 centrales, en activité avant la fermeture de Fessenheim.

    Nos écolos irresponsables, aidés en cela par un François Hollande soucieux uniquement de son élection à la présidence, ont décidé idéologiquement la mort du nucléaire, n’hésitant pas pour cela à mentir et surtout à trahir. Dominique Voynet, ministre du gouvernement Jospin, n’a même pas honte de s’en vanter dans une vidéo ou elle avoue un deal fomenté avec son collègue britannique pour casser la filière nucléaire européenne, faisant fi des consignes de son Premier ministre de tutelle ; et au grand bonheur des Allemands qui n’en demandaient pas tant.

    Puis c’est au tour de Nicolas Hulot, ministre démissionnaire sous Macron, parti en laissant un dossier explosif qui consistait à sortir coûte que coûte du nucléaire sans aucune autre solution pour prendre le relais ; et malgré un rapport de 2018, qu’il avait lui-même commandé avec Bruno Le Maire.

    Classé « secret défense », ce rapport annonçait ce que nous constatons à ce jour, c’est-à-dire une insuffisance énergétique, et prônait l’urgence absolue de démarrer rapidement la construction de 6 nouveaux EPR : comme par hasard M. Hulot, auditionné dernièrement par l’Assemblée nationale, semble frappé d’amnésie et ne souvient plus de ce rapport.

    Le résultat est catastrophique, tant du point de vue financier qu’écologique, un comble pour ceux sensés en être les défenseurs.

    L’ardoise est sévère : outre l’abandon de Superphénix (Jospin) et Astrid (Macron) qui auraient résolu le problème des déchets nucléaires et auraient garanti une indépendance d’au moins un siècle à un coût extrêmement bas, selon Les Échos, le coût des délires écolos se chiffre à 29 milliards de dollars pour l’année 2022.

    Tout confondu, ce seront des centaines de milliards gaspillés dans les années à venir et ceci sans qu’aucun coupable ne soit sanctionné !

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  4. La désindustrialisation à l’origine de cette débâcle

    Une industrie à la dérive à laquelle on ajoute un prix de l’énergie qui s’envole suite à une gestion désastreuse, entraîne le pays dans une spirale autodestructrice qui ne pourra donc pas mettre fin à sa désindustrialisation malgré les incantations du ministre des Finances.

    Largement dénoncé dans mes précédents articles, c’est la surreprésentation administrative et son coût pharaonique amplifiée par une overdose de contraintes aussi inutiles qu’inefficaces qui ont conduit à surimposer et surtaxer les entreprises les rendant de ce fait non concurrentielles.

    La solution de facilité adoptée d’acheter à l’étranger ce qui n’est plus produit à des prix raisonnables sur le sol français a comme résultat un déficit extravagant de la balance commerciale de 164 milliards en 2022 battant tous les records, sans compter le coût de la dépendance à des pays producteurs pas toujours fréquentables.

    Entre autres preuves du déclassement industriel : la fabrication du matériel de défense du pays. Nos gouvernants qui se targuent à raison d’être le seul pays européen à pouvoir intervenir sur les lieux de conflits, achètent des fusils en Allemagne alors que, comme aux États-Unis, l’industrie militaire pourrait rapporter des devises. Notre voisin l’a bien compris car malgré sa faiblesse militaire il est capable de produire 4000 chars Léopard tandis que la France n’a même pas produit 1000 chars Leclerc.

    Industrialisés convenablement leur coût unitaire baisserait fortement permettrait d’augmenter notre parc sans dépenser plus et les exporter de façon compétitive.

    La boucle est bouclée. Faute de politique industrielle réaliste celle-ci se désagrège irrémédiablement, entraînant toute l’économie française dans sa chute. Le remède est connu. Il ne faudra pas se contenter de mesurettes mais immédiatement libérer les entreprises et tout le reste suivra.

    Résultat : une finance à la dérive

    Cette incompétence notoire ne pouvait que nous amener à la compenser par un cache-misère qui s’appelle la dette.

    Avec l’augmentation des taux d’emprunts, la charge de la dette est passée de 35 milliards d’euros en 2021 à 50 milliards d’euros en 2022 et va certainement atteindre 100 milliards avant la fin du quinquennat, devenant ainsi le premier budget de l’État !

    Avec une dépense correspondant à 59 % du PIB, mais 135 % si on le rapporte au budget de l’État (déduction faite des dépenses sociales financées séparément) l’État n’a pas d’autre solution que de se réformer urgemment et drastiquement. Le FMI le rappelle régulièrement et ne saurait tarder à mettre le pays sous tutelle.

    Ce délitement de l’économie française se traduit dans la vie courante par un système de santé qui part à la dérive, un système éducatif qui s’enfonce dans les fins fonds du classement PISA, une justice qui porte très mal son nom et une administration qui survole cette agonie comme si elle n’était pas concernée.

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  5. Comment en sommes-nous arrivés là ?

    La France, a été la première puissance économique à la fin du XVIIIe siècle ; la troisième en 1961 ; la quatrième en 1971 ; cinquième en 1997 ; sixième en 2005 et septième depuis 2017 (alors que l’Allemagne n’a perdu qu’une place).

    Imputer la faute aux autres est trop facile.

    Il y a du gaz de schiste sur notre territoire et pour plus de 100 ans, mais nous préférons l’acheter aux États-Unis et avons choisi la dépendance aux Russes ou maintenant aux Américains. L’entreprise la plus en pointe au monde pour l’extraction du gaz de schiste est TotalEnergie, une entreprise française mais on lui interdit toute recherche sur notre territoire.

    Nous savons produire du matériel militaire de bonne qualité : avions, chars, missiles d’attaque ou de défense, porte-avions etc. Ils ont fait la preuve de leur grande qualité mais si nous préférons dépenser à outrance pour le social c’est notre problème, pas celui des Américains.

    La gestion des finances et le gaspillage d’argent public, c’est encore notre problème, si nous préférons jeter l’argent par les fenêtres afin de ne pas décevoir nos syndicalistes qui ne représentent qu’eux-mêmes au détriment des forces vives de notre pays. C’est un choix qu’il faut assumer.

    Si nous voulons nous affranchir de la valeur travail et si sur toute une vie active, notre souhait est de travailler 30 % de moins que nos voisins allemands, c’est notre décision. Mais il faut admettre un niveau de vie 30 % inférieur et un État qui fonctionne moins bien.

    https://www.contrepoints.org/2023/03/07/451857-industrie-energie-agriculture-la-decadence-francaise

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  6. CHINE: «Un grand pays de 1,4 milliard d’habitants ne doit compter que sur lui-même»

    La Chine doit renforcer ses capacités de production et être capable de le faire seule, a estimé son président, au moment où son pays est confronté à d’intenses pressions des États-Unis et de leurs alliés.


    6 mars 2023, 13:37


    «Je dis souvent qu’il y a deux choses (critiques) à assurer: la première, c’est le bol de nourriture de la Chine», a souligné le président Xi Jinping, dimanche, lors de la session annuelle du Parlement, en référence à la sécurité alimentaire. «La seconde, c’est de bâtir un secteur manufacturier fort», a estimé Xi Jinping, selon des propos publiés lundi par le «Quotidien du Peuple», organe du Parti communiste au pouvoir. «Un grand pays de 1,4 milliard d’habitants ne doit compter que sur lui-même pour résoudre ces deux problématiques», a déclaré le président chinois. «Les marchés internationaux ne peuvent pas nous protéger.»

    Il s’exprimait dimanche à Pékin face à des députés du Jiangsu (est), l’une des provinces côtières les plus développées économiquement. Le développement de domaines clés permettra à la Chine de devenir «un grand pays socialiste moderne à tous égards», a assuré Xi Jinping, selon d’autres propos publiés par l’agence officielle Chine nouvelle.

    Bataille dans les puces électroniques

    La Chine et les États-Unis se livrent notamment une féroce bataille pour la fabrication des semi-conducteurs, ces composants électroniques miniatures indispensables au fonctionnement des smartphones, des voitures connectées mais aussi d’équipements militaires. Au nom d’une menace supposée à sa sécurité nationale, Washington a multiplié ces derniers mois les sanctions à l’encontre des fabricants de puces chinois, désormais entravés pour s’approvisionner en technologies américaines.

    La Chine a dévoilé dimanche un objectif prudent de croissance «d’environ 5 %» pour 2023, à l’ouverture de la session annuelle du Parlement – inféodé au Parti communiste – durant laquelle Xi Jinping obtiendra un nouveau mandat présidentiel de cinq ans. Le pays a par ailleurs annoncé un budget de la Défense 2023 en hausse, dans un contexte de méfiance de ses voisins asiatiques, des États-Unis et désormais de l’OTAN face à sa montée en puissance.

    https://www.lematin.ch/story/un-grand-pays-de-1-4-milliard-dhabitants-ne-doit-compter-que-sur-lui-meme-172523049893

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    1. Avec des latitudes Nord de 48° et 18° au Sud (France de 50°N à 42°S) et 49°N, 25°S pour les États-Unis, la Chine a donc tout pour s'en sortir (même si par endroit il faut y mettre des centaines d'hectares de serres.

      Oui la Chine peut s'en sortir toute seule face aux imbécilités des trisomiques européano-americano-écolo qui parlent que la vache boit 40 à 120 litres d'eau par jour, soit de 289 600 litres à 868 800 litres durant 20 ans ! laissant à penser aux gros cons qui les écoutent que la vache pèse 868 tonnes quand elle est abattue. Le maïs boit 460 litres, le blé 560 et le riz 1600 litres ! (pour 1 kg de matières sèches), qui laisseraient à penser que la boite de 1 kg de riz pèse 1,600 tonne !

      Rappel d'un publicité d’Évian: "Buvez, éliminez" !

      Notre planète ne pèse pas un gramme de plus ou de moins avec 1 milliard d'habitants ou 8 milliards ou 150 milliards d'habitants ! Çà alors !!

      Discussions aussi sur les quantités d'eau pour irriguer 1 ha (100 x 100 m) de 5 à 10 tonnes d'eau qui profiteront aux cultures et n'iront donc pas se perdre en mers (car ce sont DES milliards de tonnes d'eau qui s'en vont à la mer chaque jour par les fleuves et rivières ! et sans que le niveau ne monte !! Çà alors !!).

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  7. France 3 Bretagne et le glyphosate : la honte !


    5 Mars 2023


    France 3 Bretagne a diffusé le 24 février 2023 une séquence de 2 minutes reprises sur internet sous le titre : « Santé : un ancien paysagiste alerte sur les risques des pesticides ».

    On ne peut que compatir avec l'intéressé, qui a manifestement été atteint de graves problèmes de santé.

    Mais il incombe aux médias de vérifier les faits et de faire preuve de prudence, d'une prudence élémentaire.

    Elle s'exprime par un conditionnel (ha ! ha ! ha !) dans le chapô :

    « Le matin du vendredi 24 février, un rassemblement à eu lieu devant le tribunal administratif de Rennes pour soutenir un ancien paysagiste. Pendant plus de vingt ans, il a utilisé du glyphosate pour désherber les jardins, qui serait à l’origine de son lymphome et de la perte de ses jambes. »

    Une prudence jetée aux orties dans le premier paragraphe :

    « Ce paysagiste de 51 ans a perdu l’usage de ses jambes, après des troubles neurologiques et des pertes d’équilibre. Après une errance médicale de plusieurs mois, un lymphome est diagnostiqué. Un cancer du sang foudroyant, provoqué par l’exposition au glyphosate, un herbicide qu’il a utilisé pendant vingt ans. »

    On est déjà en retrait par rapport au titre : c'est le glyphosate, et non « [l]es pesticides », qui est incriminé.

    On est aussi en retrait par rapport au chapô : ce n'est plus la perte des jambes, mais de leur usage.

    C'est aussi et surtout une incroyable présomption que d'affirmer que, dans le cas d'un patient donné, le cancer a été provoqué par un facteur causal particulier – hormis dans des cas tels que l'amiante. Et ce, d'autant plus que le rôle du glyphosate dans la survenue de lymphomes n'est pas avéré – et même très contesté.

    En outre, le reportage met aussi le glyphosate en cause pour les troubles neurologiques et fait même un lien implicite entre ces troubles et le lymphome, ce qui est médicalement surprenant. Il n'y a pourtant aucune indication permettant d'étayer de telles associations.

    En bref, ces deux minutes sont un monument de désinformation.

    Franceinfo dispose d'une « charte déontologique » :

    « L’information de Franceinfo est le reflet d’une couverture exacte, équilibrée, complète et impartiale de l’actualité. L'exercice d'un journalisme rigoureux, honnête, sans préjugés ou préférences, respectueux de la dignité humaine, tel que défini par les chartes d'éthique professionnelle - et en particulier, celles de France Télévisions et radiofrance - conditionne cet engagement. [...] »

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  8. On est loin du compte.

    Ajoutons encore que selon l'intéressé, il n'y avait pas de masques ni de gants il y a 20 ans. Si on peut comprendre son désarroi, on ne saurait comprendre que la rédaction d'un média accepte sans barguigner une telle affirmation et la diffuse.

    La séquence et le texte se terminent par :

    « Il espère l’interdiction du glyphosate de la société Bayer-Monsanto. La Commission européenne a pourtant prolongé son autorisation jusqu’en 2023. »

    La manipulation médiatique est consommée.

    Ce n'est pas la première fois que le service public audiovisuel se livre à cet exercice. Le 7 décembre 2022, ce fut un article, avec quasiment les mêmes allégations, « TEMOIGNAGE. "J'ai subi douze chimiothérapies". Victime du glyphosate, un paysagiste alerte sur les dangers de l'herbicide ».

    Ajoutons encore que la reconnaissance d'une affection en maladie professionnelle n'est pas la preuve que cette affection est d'origine professionnelle. C'est une décision administrative qui ouvre certains droits lorsque les conditions pour l'attribution de ces droits sont réunies.

    https://seppi.over-blog.com/2023/03/france-3-bretagne-et-le-glyphosate-la-honte.html

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    1. Depuis DES décennie est utilisé le glyphosate ('Round'Up') aux États-Unis et des dizaines de millions de paysans ont perdu leur jambes ! HAHAHAHAHAHA !

      TOUT est poison ! C'est la dose qui fait poison et non son absorption !
      Buvez 50 litres d'eau et vous mourez !

      Quand des cons ne savent pas lire les étiquettes...

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  9. Le cheptel bovin américain tombe au plus bas depuis 1962 alors que la crise alimentaire mondiale s'intensifie


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 03 MARS 2023 - 23:00
    Écrit par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,


    Les Américains doivent être prêts à manger beaucoup moins de bœuf, car la taille du cheptel bovin national diminue régulièrement. Et bien sûr, cela se produit dans le contexte d'une crise beaucoup plus vaste. Comme je l'ai détaillé dans un article précédent, même CNN admet que nous sommes actuellement au milieu de "la pire crise alimentaire de l'histoire moderne". Mais même si des enfants meurent littéralement de faim à l'autre bout de la planète, beaucoup de gens ici aux États-Unis refusent de prendre cette crise au sérieux. Tant que leur estomac est plein, ils pensent que tout va bien. Mais la vérité est que les conditions commencent également à se durcir ici aux États-Unis.

    Selon le dernier rapport semestriel de l’USDA, le nombre de vaches de boucherie dans ce pays est tombé au plus bas niveau depuis 1962…

    Le rapport semestriel sur le bétail de l'USDA a montré qu'au 1er janvier 2023, il y avait un inventaire de 89,3 millions de têtes, soit 3 % de moins que le total d'il y a un an et le plus bas depuis 2015. De ce nombre, 38,3 millions de vaches et les génisses ont vêlé.

    De plus, il y a 28,9 millions de vaches de boucherie, qui sont explicitement élevées pour l'abattage et la vente de viande, au début de cette année – ce qui est en baisse de près de 4 % par rapport à l'année dernière et le plus bas enregistré par l'agence depuis 1962.

    En 1962, 184 millions de personnes vivaient aux États-Unis.

    Aujourd'hui, ce nombre est passé à 331 millions.

    Nous avons donc un problème.

    Mais même si les prix du bœuf ont grimpé en flèche, la plupart des Américains ne réalisent pas encore la gravité de cette pénurie car nous continuons à manger du bétail qui a été abattu il y a quelque temps.

    Et selon l’économiste de l’élevage Kenny Burdine, « la tendance à la baisse de la production bovine ne semble pas s’inverser en 2023 »…

    Kenny Burdine et James Mitchell, de l'Université du Kentucky, économiste de l'élevage pour la Division du système de l'agriculture de l'Université de l'Arkansas, ont récemment expliqué qu'"il ne faisait aucun doute que le troupeau de vaches de boucherie était devenu plus petit" et que la tendance à la baisse de la production bovine ne semble pas être il s'inversera en 2023.

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  10. "Il y a un retard biologique assez important dans la chaîne d'approvisionnement du bœuf", a noté Mitchell. « Ce que les consommateurs vivent à l'épicerie est le produit de ce que les éleveurs de bovins ont vécu il y a un an ou deux. Il faut environ deux ans pour qu'un nouveau veau devienne le steak de votre assiette.

    Les grands médias qualifient déjà le bœuf de « viande de luxe » et les prix vont inévitablement augmenter beaucoup plus dans les mois à venir.

    Donc, si vous aimez le bœuf, vous devriez vous approvisionner maintenant.

    Pendant ce temps, les pénuries alimentaires continuent de s'intensifier partout dans le monde.

    Au Yémen, littéralement des millions d'enfants "souffrent de malnutrition aiguë" à ce stade...

    L'Indice de la faim dans le monde classe actuellement le Yémen parmi les pires au monde en termes de niveau de faim. Des millions d'enfants yéménites, dans certaines régions jusqu'à 95 % selon les médecins de ces régions à qui j'ai parlé, souffrent de malnutrition aiguë.

    Le retard de développement physique qui en a résulté m'a convaincu que j'étais dans une classe de maternelle alors qu'en fait je rencontrais des enfants de huit et neuf ans. Et ces enfants étaient, comme l'a dit un collègue de façon troublante, « les plus chanceux ».

    En Corée du Nord, des citoyens ordinaires « tomberaient tous les jours morts dans les rues » en raison de la grave famine qui sévit dans ce pays…

    C'est le moment où Kim Jong-un et ses copains se sont gorgés de pop-corn et de champagne alors que la Corée du Nord fait face à la pire famine depuis trois décennies.

    Les stocks de nourriture diminuent rapidement dans cet État secret, et des dizaines de Nord-Coréens souffrant de malnutrition tomberaient chaque jour morts dans les rues.

    En Somalie, la sécheresse "la plus longue et la plus sévère" de l'histoire de ce pays a provoqué des souffrances sans précédent...

    Environ 1,3 million de personnes, dont 80 % de femmes et d'enfants, ont été déplacées à l'intérieur de la Somalie par la sécheresse qui a balayé la Corne de l'Afrique. Après cinq mauvaises saisons des pluies consécutives, la sécheresse actuelle est déjà devenue la plus longue et la plus grave de l'histoire récente de la Somalie.

    Près de 23 millions de personnes seraient en situation d'insécurité alimentaire extrême en Somalie, en Éthiopie et au Kenya, selon un groupe de travail sur la sécurité alimentaire présidé par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture et l'Autorité intergouvernementale régionale pour le développement.

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  11. Malheureusement, la plupart d'entre nous dans le monde occidental ne se soucient pas des pauvres de l'autre côté du globe.

    Alors permettez-moi de vous donner un exemple du monde occidental.

    Au Royaume-Uni, les plus grands supermarchés rationnent désormais strictement de nombreux fruits et légumes…

    Le plus grand supermarché du Royaume-Uni, Tesco, et le discounter Aldi ont déclaré qu'ils imposaient des limites de trois par client sur les ventes de tomates, de poivrons et de concombres.

    Asda a plafonné les ventes de laitues, de sacs de salade, de brocoli, de choux-fleurs et de barquettes de framboises à trois par client, ainsi que de tomates, de poivrons et de concombres.

    Et Morrisons a fixé des limites de deux sur les concombres, les tomates, les laitues et les poivrons.

    Et il est rapporté qu'environ 22 % de tous les ménages britanniques "sautaient des repas ou même jeûnaient pendant une journée entière en janvier"...

    Une ONG britannique a averti que jusqu'à quatre millions d'enfants sont désormais en situation de pauvreté alimentaire au milieu de la crise actuelle du coût de la vie.

    L'enquête pour le compte de la Food Foundation, une ONG qui promeut une alimentation saine, a révélé que 22 % des ménages ont déclaré avoir sauté des repas ou même jeûné pendant une journée entière en janvier de cette année, une augmentation par rapport aux 12% déclarant la même chose au début. de l'année dernière.

    C'est vraiment ce qui se passe.

    Mais il peut être très facile pour ceux qui ont encore beaucoup de nourriture de fermer les yeux sur la souffrance des autres.

    Malheureusement, ce n'est que le début.

    Comme je le prouve dans mon nouveau livre, la production alimentaire mondiale chutera précipitamment dans les années à venir, quoi que fassent nos dirigeants maintenant.

    Nous manquons de terre arable, les approvisionnements en engrais deviendront incroyablement rares dans les années à venir et des milliards de particules de plastique extrêmement petites pleuvent littéralement du ciel sur les fermes de la planète.

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  12. Beaucoup de nos dirigeants comprennent ce qui va se passer, mais ils ne veulent pas alarmer le grand public.

    Ceux qui sont sages verront ce qui se passe et se prépareront.

    Malheureusement, la plupart de la population continue de supposer que tout fonctionnera comme par magie et qu'elle ne sera donc pas prête pour les horreurs qui nous attendent.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/us-beef-herd-drops-lowest-1962-global-food-crisis-intensifies

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  13. L'approvisionnement en viande des États-Unis pourrait bientôt être largement contaminé par des protéines d'ARNm provenant de «vaccins» biotechnologiques


    Par Mike Adams
    Recherche mondiale,
    04 mars 2023


    Il y aura bientôt une autre raison de choisir des options alimentaires végétariennes ou d'obtenir votre viande de sources locales et fiables : les vaccins à ARNm sont sur le point d'être largement mis en œuvre dans l'industrie de la viande, avec des bovins, des poulets, des porcs, des chèvres et d'autres animaux d'élevage ciblés pour un traitement régulier. injections d'ARNm.

    Comme nous l'avons vu avec les êtres humains, les injections d'ARNm peuvent :

    Circulent dans tout le corps et finissent dans le sang et les organes.
    Amener le corps à produire des protéines toxiques qui peuvent avoir des effets toxiques.
    Obstruer les artères et finir par tuer ou blesser des personnes par des accidents vasculaires cérébraux ou des crises cardiaques.
    Altérer les chromosomes et provoquer des changements génétiques permanents dans l'organisme.

    Il s'avère que les aiguilles hypodermiques ne sont pas le seul moyen d'introduire ces instructions d'ARNm dans le corps humain. Ils peuvent également être avalés ou pénétrer par contact avec la peau. Le simple fait de manipuler de la viande crue contaminée par des produits d'ARNm équivaut probablement à être exposé à la « diffusion » des vaccinés . Et même si l'acide gastrique détruit probablement les séquences d'ARNm, il y a une absorption qui a lieu dans la bouche, sous la langue, c'est pourquoi de nombreux médicaments et suppléments - y compris les huiles de CBD et le zinc - sont souvent mieux absorbés sous la langue plutôt que d'être avalés.

    Ainsi, le simple fait d'introduire dans votre bouche des produits à base de viande animale vaccinés à l'ARNm, s'ils ne sont pas entièrement cuits, peut vous exposer à une sorte de «perte de nourriture» de produits à ARNm qui peuvent être absorbés dans votre sang et diffusés dans tout votre corps. Cela peut inclure des protéines étrangères au corps humain.

    Pfizer, Bayer et d'autres géants pharmaceutiques ont déjà annoncé des vaccins à ARNm pour les animaux à viande
    Comme le Dr Robert Malone l'a révélé dans un article récent sur la sous-stack , les géants de Big Pharma ont commencé à annoncer des vaccins à ARNm pour les animaux dès 2016. De son histoire :

    Bayer s'associe à BioNTech pour développer des vaccins à ARNm et des médicaments pour la santé animale (10 mai 2016)
    SÉQUIVITÉ : Vaccins porcins personnalisés, utilisant des vaccins à ARN (site Web de Merck, janvier 2023)
    L'acquisition élargit et complète le solide portefeuille de vaccins de Merck Animal Health (communiqué de presse de Merck, novembre 2015)
    La Nouvelle-Galles du Sud suit rapidement les vaccins à ARNm contre la fièvre aphteuse et la dermatose nodulaire (chez les bovins) (gouvernement australien)

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  14. Un accord sur le vaccin ARNm contre la fièvre aphteuse a été signé entre le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud et la société américaine Tiba Biotech (communiqué de presse de Tiba Biotech)
    Il est clair que l'industrie des animaux de ranch est sur le point d'être dépassée par les vaccins à ARNm, qui tueront probablement un nombre choquant d'animaux de ranch (et favoriseront une infertilité croissante) et contamineront l'approvisionnement en viande avec des artefacts d'ARNm tels que des protéines de pointe. Considérez cela comme une sorte de programme de « dépopulation des animaux de ranch » pour éliminer la viande et forcer les gens à manger des vers de farine et des grillons (voir ci-dessous).

    Bientôt, si vous mangez des produits carnés conventionnels, vous mangerez les résultats de la production biotechnologique de la "vaccination" massive d'ARNm des animaux.

    Si vous mangez de la viande, sachez d'où elle vient

    À partir de maintenant, si vous choisissez de manger de la viande, sachez d'où elle vient. S'il provient d'élevages d'animaux d'usine, il est presque certain qu'il sera bientôt contaminé par la biotechnologie de l'ARNm.

    Bien qu'il s'agisse encore d'une hypothèse, il est possible que la cuisson à haute température détruise certaines protéines délicates générées par la biotechnologie de l'ARNm. Pour cette raison, assurez-vous d'éviter de manger des produits à base de viande crue / rose tels que des steaks saignants. Cependant, nous ne savons pas encore avec certitude que la cuisson détruit les protéines de pointe, alors faites preuve de prudence lorsque vous consommez des produits à base de viande provenant de sources conventionnelles. (J'espère que nous en apprendrons davantage sur ce sujet et que nous vous ferons part de nos conclusions.)

    Si vous mangez de la viande, faites un effort pour trouver des fournisseurs de viande locaux qui suivent des pratiques plus holistiques et naturelles, comme éviter les injections d'ARNm pour leurs troupeaux. Soutenez l'agriculture locale et vous aurez une ligne d'approvisionnement en aliments plus propres. Choisissez toujours des animaux élevés avec des aliments biologiques sans OGM, si possible.

    Ou vous pourriez manger des vers de farine et des "burgers de coléoptères" pour apaiser les mondialistes
    Il semble évident que les mondialistes essaient à la fois de contaminer l'approvisionnement en viande et de l'éliminer au fil du temps, en remplaçant les viandes animales par des larves, des vers de farine, des grillons et des larves de mouches soldats noires, entre autres créatures. Un article de StudyFinds.org met en lumière une étude récente sur les vers de farine qui prétend que ces larves séchées remplaceront bientôt le poulet dans les pépites de poulet.

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  15. Cela ne ressemble-t-il pas à un délicieux déjeuner ? Bientôt, voici ce que les masses démunies se verront offrir comme source de protéines :

    Pendant ce temps, sans aucun doute, les mondialistes apprécieront la côte de bœuf dans leurs jets privés tout en grignotant des salades biologiques sans OGM, car ils savent que les aliments propres favorisent la longévité.

    https://www.globalresearch.ca/us-meat-supply-may-soon-widely-contaminated-mrna-proteins-from-biotech-vaccines/5804980

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  16. "Le gouvernement essaie de nous tuer maintenant": les Américains à faible revenu fument dans des files d'attente de plusieurs kilomètres après la fin des avantages de la pandémie


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 07 MARS 2023 - 00:00


    Au cours de l'année écoulée, 18 États américains ont officiellement mis fin aux états d'urgence de l'ère pandémique - y compris l'aide alimentaire covid, tandis qu'un mandat de décembre du Congrès mettra fin à l'aide en mars pour les 32 autres États, ainsi que le district de Columbia, les États-Unis Îles Vierges et Guam.

    Le retour collectif aux politiques pré-pandémiques comprend des allocations de chômage et des crédits d'impôt pour enfants améliorés, ainsi qu'un ajustement de retour à Medicaid qui a stimulé les inscriptions.

    Maintenant, les gens attendent jusqu'à neuf heures dans des files d'attente de plusieurs kilomètres pour obtenir de la nourriture gratuite - certains d'entre eux disent qu'ils ne peuvent se permettre de manger qu'une fois par jour, tandis que d'autres disent qu'ils limitent les aliments coûteux tels que la viande pour des membres spécifiques de la famille, tels que adolescents en pleine croissance.

    "Je me suis dit : 'Wow, le gouvernement essaie de nous tuer maintenant'", a déclaré Danny Blair, 63 ans, du Kentucky. Blair, qui vit dans une maison mobile avec sa femme, survit grâce à son chèque d'invalidité de la sécurité sociale, rapporte le Washington Post.

    "Ils vont nous affamer", a poursuivi Blair, ignorant apparemment que l'aide gouvernementale fournie pendant la pandémie n'était pas permanente.

    Blair et sa femme montent dans leur camion deux fois par mois à 4 heures du matin pour s'assurer qu'ils obtiennent quelques aliments de base lors du cadeau du Hazel Green Food Project. Un vendredi récent, ils ont attendu neuf heures jusqu'à ce que les prisonniers locaux en service commencent à charger des sacs de viande et de légumes, des croustilles et des biscuits dans des véhicules dans l'une des communautés les plus pauvres du pays.

    De l'avant à l'arrière de la ligne, la mer de désespoir et de difficultés le long de cette autoroute désolée du Kentucky a préfiguré ce qui pourrait être réservé à des millions d'Américains alors que le gouvernement fédéral a mis fin à l'augmentation pandémique restante des prestations mensuelles de bons d'alimentation cette semaine. -Wapo

    Comme le décrit le Post, le retrait de l'aide liée à la pandémie pourrait constituer un revers pour les efforts de l'administration Biden pour «réduire la pauvreté» tout en créant une «classe moyenne plus saine et plus durable» – dont aucun n'était les objectifs déclarés de l'aide temporaire .

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  17. "Nous avons constaté des avantages positifs et moins de difficultés, y compris pour les familles avec enfants", a déclaré Dottie Rosenbaum, chercheur principal au Centre non partisan sur les priorités budgétaires et politiques, qui souligne que tout l'argent gratuit a contribué à réduire les taux de pauvreté infantile en 2021. "Nous pouvons nous attendre à ce que cela s'inverse maintenant."

    Suite à la réduction des prestations, les prestations du bénéficiaire SNAP moyen devraient baisser d'environ 90 $ par mois, selon le Center on Budget and Policy Priorities. Cela dit, une réduction encore plus importante est prévue pour les personnes âgées et les travailleurs pauvres qui reçoivent de l'aide d'autres programmes gouvernementaux et qui auront probablement droit à moins.

    Dans le Kentucky, de nombreuses personnes âgées bénéficiant de coupons alimentaires ont vu leur prestation mensuelle passer de 281 $ à 22 $ l'année dernière après que l'État a mis fin à l'urgence pandémique en mai, selon le réseau local de banques alimentaires, Feeding Kentucky.

    D'autres États se préparent à la même chose

    "Nous nous préparons, et nos agences, banques alimentaires membres, garde-manger et soupes populaires ne sont pas préparés à ce qui est sur le point de les frapper", a déclaré Lisa Hamler-Fugitt, directrice exécutive de l'Ohio Association of Foodbanks. "Cette réduction et la fin de l'urgence de santé publique, ne pouvait pas arriver à un pire moment."

    Avant même que les prestations ne soient retirées ce mois-ci dans l'Ohio, Hamler-Fugitt a déclaré que la demande dans les banques alimentaires avait grimpé en flèche l'année dernière, les prix au détail des aliments ayant augmenté de 11,4% à l'échelle nationale, soit plus de cinq fois la moyenne annuelle historique. Elle a déclaré que les organismes de bienfaisance et les banques alimentaires de l'Ohio ont servi 3,1 millions de personnes au cours du dernier trimestre de 2022, ce qu'elle a qualifié de record et environ 600 000 de plus qu'au cours de la même période en 2021.

    Maintenant, Hamler-Fugitt s'attend à ce que bon nombre des 1,5 million de bénéficiaires de l'État se démènent également pour trouver une aide alimentaire, ajoutant qu'elle prévoit que les réductions de prestations retireront 120 millions de dollars de l'économie de détail de l'Ohio chaque mois. -Wapo

    "Nous estimons que nous devrions multiplier par 15 notre distribution pour même commencer à résoudre ce problème, et nous n'avons pas les ressources pour le faire", a déclaré Hamler-Fugitt. "Ainsi, les taux de faim vont augmenter parmi nos personnes âgées et nos familles, et nos enfants vont prendre du retard sur le plan scolaire parce qu'ils ne pourront pas se concentrer à jeun."

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  18. Est-ce pratique ?

    Dans le Kentucky, le législateur du GOP, le sénateur Donald Douglas, a déclaré lors des débats qu'il n'était pas pratique de vivre "sous un état d'urgence constant".

    "Demandons-nous si les avantages SNAP devraient être un mode de vie ?" Il a demandé. "Maintenant, nous savons que c'est pour certains. Cela devrait-il être un mode de vie pour les adultes?"

    https://www.zerohedge.com/political/government-trying-kill-us-now-low-income-americans-fume-mile-long-food-lines-after

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  19. Plus de 75 % des Américains âgés de 17 à 24 ans ne sont pas aptes au service militaire : DOD


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 04 MARS 2023 - 19:00


    Alors que l'armée américaine peine à remplir ses rangs avec de nouvelles recrues, un nouveau rapport du ministère de la Défense révèle que la grande majorité des Américains âgés de 17 à 24 ans sont inaptes au service militaire.

    Citant une audience du Congrès du 16 février, un rapport du DoD révèle que 77 % des Américains du groupe d'âge ci-dessus ne pouvaient pas se qualifier physiquement pour entrer dans les forces armées - une augmentation de 6 % par rapport à 2017.

    Un facteur clé est l'obésité - qui a atteint près de 42 % en 2020. Pendant ce temps, une étude de 2022 citée par Epoch Times a trouvé un lien entre la réception d'une aide alimentaire gouvernementale et une plus grande chance de devenir obèse en consommant des aliments malsains. Une analyse de l'USDA de 2015 a révélé que 40 % du total des participants au programme SNAP étaient obèses.

    Le mois dernier, Military.com a rendu compte d'une initiative de l'armée visant à remettre en forme les grosses recrues à faible score dans le cadre de "cours de formation pré-base".

    Le programme, connu sous le nom de Future Soldier Preparatory Course, est conçu pour élargir le bassin d'Américains éligibles qui peuvent rejoindre le service en créant de courts camps qui aident les candidats à atteindre les normes de l'armée. Le service n'a pas atteint son objectif de recrutement l'année dernière, amenant 45 000 nouveaux soldats en service actif, bien en deçà de son objectif de 60 000. Cette année, le service est encore plus ambitieux, à la recherche de 65 000 nouvelles recrues. -Military.com

    "Le cours de préparation aux futurs soldats donne aux jeunes Américains qui veulent servir la chance de le faire, en les aidant non seulement à respecter nos normes, mais dans de nombreux cas à les dépasser", a déclaré le général James McConville, officier supérieur de l'armée. "Nous avons commencé à voir des résultats positifs dès le début du programme, et je suis heureux de le voir s'étendre à des installations supplémentaires afin que nous puissions continuer à attirer et à investir dans les meilleurs talents de notre pays."

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  20. Les candidats aux programmes ont 90 jours pour améliorer leurs scores ou perdre suffisamment de graisse corporelle pour se conformer aux normes de l'armée. Jusqu'à présent, seuls 3 206 étudiants ont suivi l'un des cours, dont 2 965 ont obtenu leur diplôme et sont passés à la formation de base.

    Un dilemme dangereux

    En septembre 2022, un général de l'armée américaine a déclaré sans ambages que les jeunes Américains étaient soit trop obèses, soit trop malades, soit trop criminels pour servir dans l'armée.

    "Certains des défis que nous avons sont l'obésité, nous avons des problèmes de santé préexistants, nous avons des problèmes de santé comportementale, nous avons la criminalité, les gens avec des crimes et nous avons la consommation de drogue", a déclaré le lieutenant-général Xavier Brunson à The Spokesman-Review. de Spokane, Washington.

    Brunson l'a qualifié de "condition", disant que "ce n'est pas un problème de l'armée, donc à l'échelle nationale, ce que nous devons regarder, c'est ce qui se passe avec nos jeunes".

    La déclaration du général est venue en réponse aux difficultés rencontrées par l'armée américaine pour atteindre ses objectifs de recrues en 2022. Cette lutte, répandue dans l'armée, la marine, le corps des marines et l'armée de l'air, a incité les analystes de la sécurité et certaines institutions américaines à déclarer l'obésité. une menace pour la sécurité nationale.

    L'obésité une menace pour la sécurité

    « Chaque année, plus de 60 millions de dollars sont consacrés au remplacement des plus de 1 200 recrues du premier mandat licenciées pour excès de poids », a déclaré Irina Tsukerman, analyste en sécurité et propriétaire de Scarab Rising, à Epoch Times.

    Elle a déclaré que les taux élevés d'obésité ont considérablement réduit le bassin de recrutement, couplés à "la baisse des normes d'intelligence et d'éducation". Elle a également noté qu'en plus d'une résilience et d'une flexibilité réduites, l'armée est moins préparée à relever des "défis asymétriques ou conventionnels".

    Les services de police sont confrontés à des défis similaires, selon Tsukerman.

    "Nous avons également constaté l'impact d'une mauvaise condition physique et de l'obésité parmi les forces de police dans les zones urbaines", a-t-elle déclaré. "Les officiers inaptes confrontés à des scénarios à haut risque sont moins susceptibles de bien performer dans leur travail... la même chose peut devenir une tendance dangereuse sur le champ de bataille."

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) classent également le défi de l'obésité aux États-Unis comme une menace pour la sécurité. L'organisation estime que 1 enfant sur 5 et 2 adultes américains sur 5 sont désormais obèses.

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  21. Les statistiques du CDC montrent également que 19 % des militaires en service actif souffraient d'obésité en 2020, contre 16 % en 2015.

    Les soldats en service actif aux prises avec l'obésité sont également 33% plus susceptibles de souffrir de blessures musculo-squelettiques.

    Baisser la barre ?

    En réponse à ce défi, l'armée américaine ajuste ses exigences en matière de condition physique pour certains emplois, en particulier ceux qui ne sont pas physiquement exigeants, tels que les postes basés sur la technologie.

    Tsukerman a averti qu'abaisser la barre au sein de l'armée américaine pourrait créer un dangereux précédent.

    "S'il est vrai que les développements techniques tels que l'utilisation d'UAV [véhicules aériens sans pilote] et d'IA [intelligence artificielle] ont déplacé une partie de la participation humaine sur le terrain, une grande partie du combat repose toujours sur des performances humaines conventionnelles", a-t-elle déclaré. "Par conséquent, la sécurité nationale dépend directement de l'intelligence, de la connaissance de la situation et de l'agilité des forces humaines."

    Hunnes a déclaré qu'il s'agissait de mettre les gens sur la bonne voie avec une bonne nutrition dès le départ. Elle a déclaré que des options de petit-déjeuner et de déjeuner sains pour les enfants et une meilleure nutrition pour les femmes enceintes sont un bon début pour lutter contre les problèmes d'obésité chez les jeunes d'aujourd'hui.

    "Nous avons besoin que les communautés, les individus et les gouvernements interviennent."

    https://www.zerohedge.com/political/more-75-americans-aged-17-24-arent-fit-military-service-dod

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  22. Décision du monarque : l’IRSN et l’ASN fusionnent de force et passent sous le joug du Commissariat à l’Energie Nucléaire et de l’Armée


    Par Coordination anti-nucléaire Sud-Est
    Mondialisation.ca,
    05 mars 2023


    L’homme lige de la nucléocratie, E.Macron vient d’annoncer après la réunion de son « Conseil de politique nucléaire » (créé par N.Sarkozy en 2008) – regroupant les chefs de l’armée, de la défense et sécurité nationale, du Commissariat à l’Energie Atomique, des ministres-relais des lobby de la défense/économie/finance/budget/industrie/affaires étrangères/commerce extérieur/recherche – de fusionner l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) avec l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et de les soumettre au bon vouloir du Délégué – militaire- à la sûreté nucléaire et à la radioprotection pour les activités et installations intéressant la Défense (DSND) ainsi que du Commissariat à l’Energie Nucléaire (CEA). Un nouveau coup de force contre la démocratie, l’indépendance, le peuple et l’environnement.

    * * *

    « … il a été décidé que les compétences techniques de l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) seront réunies avec celles de l’ASN, en étant vigilant à prendre en compte les synergies, avec le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) et le Délégué à la sûreté nucléaire et à la radioprotection pour les activités et installations intéressant la Défense (DSND) » auprès du ministre de la défense (1) Ainsi le Président-monarque vient d’acter les exigences de la nucléocratie militaro-civile : en finir avec les contrôles les empêchant de gérer entre-eux leurs sales affaires. A force de collaborer avec la nucléocratie l’ASN y a perdu des plumes tout comme son bras technique l’IRSN.

    Double langage d’un groupuscule ayant fait main basse sur le pays

    Une fois de plus, le double-langage de la classe régnante présente ses décisions comme une simple et évidente « Evolution de l’organisation du contrôle et de la recherche en radioprotection et sûreté nucléaire » prise lors d’un « Conseil de politique nucléaire » (2) tenue ce 3 février 2023 et excluant tout ce qui pourrait troubler leur entre-soi : parlementaires, syndicats, institutions paritaires, associations citoyennes, peuple. Après avoir détricoter le droit de l’environnement, le droit de l’urbanisme, les procédures de contrôles pour favoriser la construction de réacteurs nucléaires un peu partout sur le territoire.

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  23. En fait ce jour là, les chefs de l’armée, de la défense et sécurité nationale, du Commissariat à l’Energie Atomique, des ministres-relais des lobby de la défense/économie/finance/budget/industrie/affaires étrangères/commerce extérieur/recherche ont, sous couvert du cénacle « Conseil de politique nucléaire », passé en revue tous leurs enjeux militaro-financiers qu’ils souhaitent renforcer et celui du cycle du nucléaire impliquant Areva-Orano/EDF/CEA/Armée.

    Prétextant « crises climatique et énergétique » (dont leur caste est à l’origine) ce groupuscule autocratique a entériné la relance de la filière nucléaire soit-disant première énergie décarbonée du mix énergétique français* et une condition de la souveraineté énergétique de la France. Mon oeil ! Alors que 100 % de l’uranium provient de l’étranger, que les réacteurs nucléaires sont de l’Etats-Unien Westinghouse, que le système d’amorçage de la bombe atomique a été fourni par les services secrets anglais sur ordres des USA. On se croirait revenu au discours propagandiste des années soixante et que l’expérience de 60 ans de maltraitance nucléaire quotidienne sur les populations et l’environnement avec les rejets quotidiens de radioactivité dans l’air et dans l’eau portant atteinte à la santé et à la vie, les déchets mortels pour des centaines de milliers d’années, les incidents et accidents nucléaires dans les centrales atomiques tricolores, les catastrophes de Tchernobyl (Russie-Ukraine) et Fukushima-Daïchi (Japon), le dérèglement climatique et la baisse draconienne de l’eau des rivières n’existaient pas.

    A marche forcée comme dans n’importe quelle dictature.

    Cette nouvelle casse du peu d’organismes existant dans l’accompagnement/conseil du nucléaire (l’ASN n’a jamais été un « gendarme du nucléaire comme le claironne faussement les médias mainstream) vise à satisfaire la voracité des nucléocrates avec toujours le même discours libéralo-capitaliste débridé : » fluidifier les processus d’examen technique et de prise de décision de l’ASN pour répondre au volume croissant d’activités lié à la relance de la filière nucléaire souhaitée par le Gouvernement » Et placer sous le joug et la loi du silence des exploitants nucléaires ces organismes pour « augmenter les synergies en matière de recherche et développement dans le domaine nucléaire contribuant ainsi à la résilience et à l’anticipation des enjeux de long terme de la filière » (3)

    La soumise Ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher (4) , a donc donné ses ordres au Président de l’ASN, Bernard Doroszczuk, au Directeur général de l’IRSN, Jean-Christophe Niel, et à l’Administrateur général du CEA, François Jacq, l’un de ceux qui font la pluie et le beau temps en nucléocratie. D’ici fin février, ils devront s’exécuter et présenter de premières mesures et une méthode de travail visant à mettre en œuvre ces orientations, puis une feuille de route plus détaillée en vue de la loi de finances 2024. A marche forcée comme dans n’importe quelle dictature.

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  24. Et pas question pour l’IRSN et l’ASN d’obtenir plus de moyens : « Ces orientations devront être mises en œuvre en préservant les conditions de travail et de rémunération des personnels de l’Institut d’une part et en maintenant des moyens correspondant à l’exercice de ses missions d’autre part. »
    _______________

    * et pour cause puisque tout a été fait pour bloquer le développement des énergies renouvelables non radioactives et pousser à la sur-consommation électro-nucléaire

    Notes :
    (1) François Bugaut, Physicien des armes nucléaires issu de la Direction des applications militaires du CEA (cv ici), ancien directeur du centre de recherche et de production d’armes nucléaires de Valduc, en Côte-d’Or. Les précédents « délégués » étaient aussi issus de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole des mines, intégré EDF, Areva, CEA

    (2) https://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_de_politique_nucl%C3%A9aire

    (3) https://www.ecologie.gouv.fr/evolution-lorganisation-du-controle-et-recherche-en-radioprotection-et-surete-nucleaire

    (4) Agnès Pannier-Runacher: diplômé de Hautes Etudes Commerciales, de l’ENA, de Science-Po, inspectrice des finances, directrice adjointe de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) chargée de la stratégie et des finances et des acquisitions stratégiques, ainsi que du suivi actionnarial des filiales et participations stratégiques de la CDC (Accor, Veolia, Eiffage, Dexia, CNP Assurances, Icade, Transdev…), administratrice et présidente du comité d’audit du groupe de services maritimes Bourbon (de 2010 à 2018) notamment lors du placement en redressement judiciaire du groupe et de sa mise en examen en tant que personne morale pour « corruption d’agents publics étrangers ». Agnès Pannier-Runacher est la fille de Jean-Michel Runacher – ingénieur de l’École nationale des ponts et chaussées, ancien dirigeant de la société pétrolière Perenco, ancien vice-président de la banque Paris Bertrand Sturdza3 (ou banque Pâris Bertrand reprise par Rothschild & Co -, épouse à présent divorcée de Marc Pannier (condisciple à l’ENA), inspecteur des finances et actuellement président du conseil d’administration de Engie Global Markets, entité du groupe Engie.
    Lors de la réforme des retraites de 2020, Agnès Pannier-Runacher compare le marché français de la retraite par capitalisation à une « boîte de Smarties » pour le fond vautours américain « BlackRock » et est accusée d’influencer le gouvernement français en faveur d’un système de retraite par capitalisation.

    https://www.mondialisation.ca/decision-du-monarque-lirsn-et-lasn-fusionnent-de-force-et-passent-sous-le-joug-du-commissariat-a-lenergie-nucleaire-et-de-larmee/5675705

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  25. Surprise ! L’Allemagne s’oppose à la fin des moteurs thermiques en 2035

    Après des années de négociations âpres, tout le monde était sur la ligne de départ pour la fin des moteurs thermiques en 2035 dans l’Union européenne. Tout le monde… sauf l’Allemagne, qui a décidé de faire marche arrière à la toute dernière minute !


    Par Olivier Sancerre
    le 7 mars 2023 à 16h34


    Le groupe Renault vise la production de 500.000 véhicules électriques en 2025.

    Stupéfaction et inquiétude dans l'Union européenne. Le vote qui devait entériner la fin de la vente de voitures neuves équipées de moteurs thermiques en 2035 devait avoir lieu ce mardi 7 mars. Largement symbolique, il a finalement été repoussé pour des négociations de dernière minute avec l'Allemagne, qui veut finalement autoriser les carburants de synthèse dans le texte, ce qui n'était absolument pas prévu. L'incompréhension est de taille, sachant que l'ensemble de l'industrie, après avoir rechigné à la tâche, a fini par se mettre en ordre de bataille dans la transition vers le tout-électrique.

    Un sursis pour les moteurs thermiques ?

    Des milliards d'euros ont été mis sur la table pour remplacer complètement les moteurs thermiques par des motorisations électriques. Et maintenant, il faudrait faire de la place pour les carburants synthétiques ? Difficile d'y voir clair pour la filière qui attend des éclaircissements de la part de l'UE, et vite : pas question de faire demi-tour… Le gouvernement d'Olaf Scholz est une coalition aux intérêts parfois contradictoires, et dans ce dossier il semble que ce soit les libéraux-démocrates qui aient soudainement exigé l'autorisation de ce type de carburants dans le texte européen.

    Berlin pris entre deux feux

    Le parti libéral-démocrate allemand est probablement poussé par les constructeurs automobiles du pays, notamment Porsche, qui ont misé sur les carburants de synthèse. Une position un rien égoïste, qui met dans l'embarras tout le processus décisionnel de l'Union européenne. De nouvelles négociations ont été enclenchées, en espérant faire revenir Berlin à la raison. Car il n'est pas question de revenir en arrière sur ce texte qui va au-delà du symbole : il s'agit effectivement de réduire les émissions de gaz à effet de serre…

    https://www.economiematin.fr/fin-moteurs-thermiques-2035-allemagne-oppose

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  26. AUTOMOBILE: La voiture qui part d’elle-même si son leasing n’est pas payé

    Ford a déposé un brevet qui imagine plusieurs moyens pour décourager les mauvais payeurs, de la désactivation de fonctions jusqu’au véhicule qui retourne seul au garage.


    par Michel Pralong
    7 mars 2023, 07:00


    Si Ford se met de plus en plus à l’électrique, il rêve aussi de voitures suffisamment intelligentes pour combattre les mauvais payeurs.

    Même si les Américains qui ont plus de deux mois de retard sur le paiement de leur leasing de voiture restent largement minoritaires (1,78%), cette tendance est en train d’augmenter. Surtout chez ceux qui paient plus de 1000 dollars par mois, ils sont 5,67% à être en retard.

    Le grand constructeur Ford a déposé un brevet, publié en février dernier, pour tenter de trouver des solutions au problème. Comme le souligne le site The Drive, cela ne veut pas dire qu’il travaille activement à équiper ses modèles de ces futurs dispositifs, il ne fait peut-être que protéger les idées. Mais le document est suffisamment détaillé pour montrer que ses ingénieurs y ont sérieusement réfléchi.

    Ce système concerne toute voiture connectée à internet. L’idée est de faire monter la pression sur le mauvais payeur. Premier avertissement, on coupe à distance certaines fonctions non essentielles, comme le régulateur de vitesse, les commandes automatiques des vitres et des sièges et certaines fonctions multimédias comme le lecteur de MP3 ou le GPS.

    On coupe la climatisation

    Le client ne paie toujours pas ? C’est la climatisation qu’on lui coupe ou le verrouillage à distance des portes. On peut même ajouter un inconfort supplémentaire avec un son incessant et désagréable qui est émis lorsque le conducteur est au volant. Ford imagine même l’impossibilité pour le conducteur de déverrouiller les portières pour entrer dans le véhicule, mais cela ne s’appliquerait que le week-end et il y aurait possibilité de rouvrir les portes en cas d’urgence.

    Pour les voitures autonomes ou semi-autonomes, Ford va encore plus loin. Le véhicule non payé pourrait ainsi détecter grâce à ses caméras s’il est dans le garage de l’automobiliste et en sortir tout seul pour que celui qui loue la voiture puisse venir la récupérer dans un endroit où il ne risque pas une confrontation possiblement désagréable avec celui qui a signé le leasing.

    Directement à la casse

    Mieux, le véhicule pourrait se rendre de lui-même au garage de location ou, si cela ne vaut plus la peine de le récupérer, à la casse. Pour l’instant, selon The Drive, Ford est le seul constructeur à avoir imaginé ce genre de concept. Existera-t-il un jour? Cela dépendra aussi certainement de l’augmentation ou non du nombre de mauvais payeurs.

    https://www.lematin.ch/story/la-voiture-qui-part-delle-meme-si-son-leasing-nest-pas-paye-846236992133

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  27. Les pales d'éoliennes pourraient représenter plus de 43 millions de tonnes de déchets chaque année d'ici 2050


    Lundi 06 mars 2023
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) On estime que d'ici 2050, les pales d'éoliennes pourraient représenter plus de 43 millions de tonnes de déchets par an.

    Environ 85 % d'une éolienne moderne typique peut être recyclée. La majorité du corps d'une éolienne est constituée principalement de métal qui peut facilement être décomposé et recyclé en d'autres biens. L'exception notable à cela concerne les pales de l'éolienne, qui durent environ 20 à 25 ans avant de devoir être remplacées.

    Les pales des éoliennes sont conçues pour tourner en continu pendant 20 à 25 ans, parfois dans des conditions météorologiques défavorables. Leur fabrication les rend exceptionnellement durables et extrêmement difficiles à recycler.

    Jonathan Naughton, professeur de génie mécanique à l'Université du Wyoming et directeur du Wind Energy Research Center, a noté que les pales d'éoliennes sont constituées de composites contenant diverses fibres à haute résistance fixées dans une matrice de résine qui les lie toutes ensemble.

    Ce mélange de matériaux composites est ce qui rend les pales exceptionnellement difficiles à recycler. Ils ne peuvent pas simplement être décomposés et refondus en matériaux frais.

    Cela ne tient même pas compte du fait que la taille des pales - s'étendant souvent jusqu'à 300 pieds de long - les rend encore plus difficiles et coûteuses à démonter et à transporter vers des installations de recyclage. Ils peuvent souvent mesurer entre 120 et 300 pieds de long et peser environ cinq tonnes, le plus grand étant aussi long qu'un terrain de football - 360 pieds - et pesant jusqu'à 20 tonnes.

    Naughton a noté que des recherches sont en cours pour trouver des moyens de les rendre plus recyclables, et certains fabricants se sont déjà engagés à développer des lames entièrement recyclables à l'avenir. Mais cela pourrait encore prendre un certain temps avant que ceux-ci ne soient déployés sur toutes les nouvelles turbines.

    "Nous recyclons une grande partie du reste de la turbine - l'acier de la turbine, le cuivre - tous ces types de choses sont recyclables à l'infini", a déclaré Naughton. "Les lames sont la dernière pièce sur laquelle nous devons nous améliorer."

    Jusqu'à ce que ces lames recyclables arrivent, ces composants massifs et non recyclables se transforment en un problème de déchets sans cesse croissant.

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  28. Actuellement, aucune technologie évolutive n'est capable de recycler les aubes de turbine
    Selon une étude de 2017 publiée par Waste Management, l'industrie éolienne mondiale pourrait finir par produire plus de 43 millions de tonnes de déchets de pales par an d'ici 2050, les États-Unis et l'Europe représentant 41 % de ces déchets. (Connexe : les propriétaires de véhicules électriques se plaignent du « cauchemar logistique » causé par le manque de bornes de recharge.)

    Certains projets nécessitent une quantité limitée de lames usagées pour être réutilisées. En Espagne, le projet RecycleBlade de la société d'ingénierie éolienne Siemens Gamesa a transformé plusieurs pales en abris à vélos et utilise actuellement de nouvelles résines avancées pour permettre de récupérer facilement certaines des matières premières de la pale.

    Aux Pays-Bas, des lames réutilisées ont été transformées en terrains de jeux. Au Danemark, ils ont été transformés en abris à vélos et en mobilier de jardin et urbain élégant. Dans l'ouest de la Pologne et le comté de Cork, en Irlande, ils ont été transformés en petites passerelles avec une durée de vie estimée à 60 ans.

    Mais ces projets n'ont qu'un impact limité sur la situation globale des déchets de lames, et il n'existe actuellement aucun moyen évolutif et rentable de recycler les lames, ce qui signifie que presque toutes les lames inutilisables finissent dans des décharges.

    Rien qu'en 2019, la décharge régionale de la ville de Casper, dans le Wyoming, a accepté d'éliminer environ 1 500 pales d'éoliennes. Mike Bratvold, superviseur des déchets spéciaux pour la ville, a noté que la décharge n'accepte plus de lames supplémentaires en raison du manque d'espace.

    "Nous avons des codes tarifaires et tout pour être capables de prendre des lames, mais nous n'avons actuellement aucun projet qui nous apporte des lames", a-t-il déclaré.

    Bratvold a ajouté que les aubes de turbine usagées ne rejettent pas de substances potentiellement toxiques dans le sol, c'est pourquoi elles ne sont pas mises dans les fosses d'enfouissement doublées où vont beaucoup de déchets solides municipaux. Ils sont classés comme déchets de construction et de démolition.

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  29. En savoir plus sur l'infrastructure et les besoins énergétiques des États-Unis sur Electricity.news.

    Regardez ce clip de la célèbre écologiste Greta Thunberg, qui a rejoint une manifestation en Norvège pour s'opposer à la construction d'éoliennes.

    Cette vidéo provient de la chaîne PureTrauma357 sur Brighteon.com.

    More related stories:

    Wind farms pose health risks to local residents, but governments around the world don’t care.

    Attacks on US power grid SURGED in 2022 and are likely to keep increasing this year.

    Green fail: Many of Scotland’s wind turbines are being powered by diesel fuel generators that are leaking hydraulic fluid.

    Green energy projects financially COLLAPSING around the world; Siemens wind turbine manufacturer latest casualty.

    Solar and wind can’t replace fossil fuel, points out economist Peter Hartley.

    Sources include:

    CowboyStateDaily.com
    Hackaday.com
    Earth911.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-06-wind-turbine-blades-account-millions-tons-waste.html

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    1. 😎 http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html

      http://toryaardvark.com/2011/11/17/14000-abandoned-wind-turbines-in-the-usa/

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/01/leolien-coute-cher-et-nest-pas-efficace.html

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  30. La technologie sans fil 5G est une guerre contre l'humanité


    Par Claire Edwards
    Recherche mondiale,
    07 mars 2023


    Les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale sans combats ont été appelés la drôle de guerre. L'utilisation des ondes millimétriques comme technologie de communication sans fil de cinquième génération ou 5G est une guerre bidon d'un autre genre.

    Cette guerre bidon est également silencieuse, mais cette fois, des coups de feu sont tirés - sous la forme de faisceaux de rayonnement électromagnétique (EMR) de type laser provenant de rangées de milliers de minuscules antennes [1] - et presque personne dans la ligne de tir ne sait que ils sont silencieusement, gravement et irrémédiablement blessés.

    Dans un premier temps, la 5G est susceptible de rendre les personnes électro- hypersensibles (EHS). [2] Peut-être que c'était assis devant deux grands écrans d'ordinateur pendant la plupart des 18 années où j'ai travaillé à l'ONU qui m'ont fait EHS. Lorsque l'Office des Nations Unies à Vienne a installé de puissants points d'accès Wi-Fi et de téléphonie mobile - conçus pour desservir de vastes espaces publics - dans des couloirs étroits aux parois métalliques du Centre international de Vienne en décembre 2015, j'ai été malade sans interruption pendant sept mois.

    J'ai fait de mon mieux pendant deux ans et demi pour alerter le syndicat du personnel de l'ONU, l'administration et le service médical du danger pour la santé du personnel de l'ONU de l'EMR à partir de ces points d'accès, mais j'ai été ignoré. C'est pourquoi, en mai 2018, j'ai porté la question devant le Secrétaire général de l'ONU , António Guterres [transcription] . Il est physicien et ingénieur électricien et a donné des conférences sur les signaux de télécommunications au début de sa carrière, mais a affirmé qu'il n'en savait rien. Il s'est engagé à demander à l' Organisation mondiale de la santé de se pencher sur la question, mais sept mois plus tard, ces points d'accès publics restent en place. Je n'ai reçu aucune réponse à mes nombreux courriels de suivi.

    En conséquence, j'ai salué l'opportunité de me joindre à l'effort de publication d'un appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l'espace, car il était clair pour moi que, malgré 43 appels scientifiques antérieurs, très peu de gens comprenaient les dangers de l'EMR. Mon expérience en tant qu'éditeur pourrait aider à garantir qu'un nouvel appel 5G, y compris la question du rayonnement 5G depuis l'espace, soit clair, complet, explicatif et accessible aux non-scientifiques. L' appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l'espace est entièrement référencé, citant plus d'une centaine d'articles scientifiques parmi les dizaines de milliers sur les effets biologiques de l'EMR publiés au cours des 80 dernières années. [3]

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  31. Ayant passé des années à éditer des documents de l'ONU traitant de l'espace, je sais que l'espace extra-atmosphérique est âprement disputé sur le plan géopolitique et que tout événement fâcheux impliquant un satellite militaire risque de déclencher une réponse catastrophique. [4] Le droit de l'espace est si inadéquat – un exemple est la complexité du droit de la responsabilité spatiale [5],[6] – que nous pourrions vraiment appeler les orbites terrestres un nouveau Far West. La Chine a provoqué la consternation internationale en 2007 lorsqu'elle a fait la démonstration d'une arme anti-satellite en détruisant son propre satellite. Les débris spatiaux sont la principale préoccupation des nations spatiales, avec un soi-disant syndrome de Kessler postulant une cascade de débris spatiaux qui pourrait rendre les orbites terrestres inutilisables pendant mille ans. [7] Lance-t-il plus de 20 000 satellites commerciaux 5Gdans de telles circonstances vous semble-t-il rationnel ?

    Je vis à Vienne, en Autriche, où le déploiement de la 5G est soudain sur nous. Au cours des cinq dernières semaines, la pré-5G a été officiellement annoncée à l'aéroport de Vienne et la 5G sur la Rathausplatz, la place principale de Vienne, qui attire des dizaines de milliers de visiteurs sur son marché de Noël chaque décembre et sa patinoire chaque janvier, qui sont spéciaux friandises pour les enfants. Avec les oiseaux et les insectes, les enfants sont les plus vulnérables à la déprédation 5G en raison de leur petit corps. [8]

    Des amis et connaissances et leurs enfants à Vienne signalent déjà les symptômes classiques de l'empoisonnement au REM : [9] saignements de nez, maux de tête , douleurs oculaires, douleurs thoraciques, nausées, fatigue , vomissements, acouphènes , étourdissements, symptômes pseudo-grippaux et douleurs cardiaques. Ils signalent également une bande serrée autour de la tête ; pression sur le dessus de la tête; douleurs courtes et lancinantes autour du corps; et des organes internes bourdonnants. D'autres effets biologiques tels que les tumeurs et la démence mettent généralement plus de temps à se manifester, mais dans le cas de la 5G, qui n'a jamais été testée pour la santé ou la sécurité, qui sait ? [dix]

    Apparemment du jour au lendemain, une forêt d'infrastructures 5G a poussé en Autriche. En l'espace de trois semaines, une amie est passée d'une santé robuste à la fuite de ce pays où elle vit depuis 30 ans. Chaque personne vit le DME différemment. Pour elle, c'était une torture extrême alors elle et moi avons passé ses deux dernières nuits en Autriche à dormir dans les bois. Fait intéressant, alors qu'elle traversait le sud de l'Allemagne, elle a subi des tortures encore pires qu'en Autriche, tandis que dans le nord de l'Allemagne, elle n'avait aucun symptôme et se sentait tout à fait normale, ce qui suggère qu'il n'y a pas encore eu de déploiement de la 5G là-bas.

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  32. Il n'y a pas de limites légales à l'exposition aux EMR . Idéalement pour l'industrie des télécommunications, il n'y a que des directives non juridiquement exécutoires telles que celles produites par la grandiose Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants , qui s'avère être comme le magicien d'Oz, juste une toute petite ONG en Allemagne qui nomme ses propres membres, dont aucun n'est médecin ou expert en environnement. [11]

    Comme le magicien d'Oz, l'ICNIRP semble avoir des pouvoirs magiques. Sa prestidigitation fait disparaître les effets non thermiques (non chauffants) de l'exposition au REM, car la prise en compte des dizaines de milliers d'études de recherche démontrant les effets biologiques du REM invaliderait ses soi-disant directives de sécurité. [12] Il a ensorcelé l' Union internationale des télécommunications , qui fait partie de la famille des Nations Unies, pour qu'elle reconnaisse ces lignes directrices. [13] Et un petit mail envoyé à l'ICNIRP en octobre 2018 pour soumettre le professeur Martin PallLes commentaires de sur le nouveau projet de directives de l'ICNIRP ont suscité une explosion immédiate d'intérêt pour la présence en ligne de l'expéditeur - qui n'en avait jusqu'alors attiré aucun - de la part d'entreprises et d'individus du monde entier, des autorités d'immigration d'un pays, du bureau du chancelier autrichien (chef du gouvernement ) , un cabinet d'avocats à Vienne et même Interpol ! [14],[15]

    J'espère que les gens liront et partageront notre appel spatial Stop 5G pour se réveiller eux-mêmes et les autres rapidement et l'utiliser pour agir eux-mêmes pour arrêter la 5G. Même huit petits mois de cette drôle de guerre 5G pourraient être catastrophiques pour toute vie sur Terre. Elon Musk devrait lancer les 4 425 premiers satellites 5G en juin 2019 et « couvrir » la Terre avec la 5G, en violation d'innombrables traités internationaux. Cela pourrait déclencher la dernière grande extinction, grâce à la 5G de plusieurs billions de dollars américains, la plus grande expérience biologique et la manifestation la plus odieuse d'orgueil et de cupidité de l'histoire humaine.10

    La première réaction des gens à l'idée que la 5G pourrait être une menace existentielle pour toute vie sur Terre est généralement l'incrédulité et/ou la dissonance cognitive. Une fois qu'ils ont examiné les faits, cependant, leur deuxième réaction est souvent la terreur. Nous devons transcender cela afin de voir la 5G comme une opportunité de nous responsabiliser, de prendre nos responsabilités et d'agir. Nous avons peut-être déjà perdu 80 % de nos insectes à cause de l'EMR au cours des 20 dernières années. [16] Nos arbres risquent d'être abattus par millions afin d'assurer une signalisation 5G continue pour les voitures, bus et trains autonomes. [17] Allons-nous rester les bras croisés et nous voir, nous et nos enfants, irradiés, nos systèmes alimentaires décimés, notre environnement naturel détruit ?

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  33. Nos journaux popularisent maintenant avec désinvolture le mème que l'extinction humaine serait une bonne chose , [18],[19] mais quand la question devient non pas rhétorique mais réelle, quand c'est votre vie, votre enfant, votre communauté, votre environnement qui est sous menace immédiate, pouvez-vous vraiment souscrire à une telle suggestion ? Si vous ne le faites pas, veuillez signer l' appel Stop 5G et contactez activement toutes les personnes à qui vous pensez qui ont le pouvoir d'arrêter la 5G, en particulier Elon Musk [20] et les PDG de toutes les autres entreprises qui envisagent de lancer des satellites 5G, commencer dans seulement 20 semaines à partir de maintenant. La vie sur Terre a besoin de votre aide maintenant.

    La transcription de mon échange avec le Secrétaire général des Nations Unies du 14 mai 2018 suit.

    Membre du personnel : M. le Secrétaire général

    Le personnel de l'ONU s'est fait dire à maintes reprises qu'il constituait la ressource la plus importante de cette Organisation.

    Depuis décembre 2015, le personnel du Centre international de Vienne est exposé à des rayonnements électromagnétiques hors échelle provenant du Wi-Fi et des amplificateurs de téléphonie mobile installés sur des plafonds très bas dans tous les bâtiments. Selon le professeur Olle Johansson de l'Institut Karolinska en Suède, les niveaux d'exposition actuels du public sont au moins un quintillion de fois (soit 18 zéros) au-dessus du rayonnement de fond naturel.

    Les effets biologiques très dangereux des champs électromagnétiques ont été documentés par des milliers d'études depuis 1932 indiquant que nous pourrions être confrontés à une catastrophe sanitaire mondiale d'ordres de grandeur pires que celles causées par le tabac et l'amiante.

    Monsieur le Secrétaire général, sur la base du principe de précaution, je vous exhorte à faire retirer immédiatement ces dispositifs émetteurs de champs électromagnétiques et à mettre un terme à tout déploiement de la 5G dans les lieux d'affectation des Nations Unies, car elle est conçue pour fournir des informations concentrées et ciblées. rayonnement électromagnétique supérieur à 100 fois les niveaux actuels de la même manière que les armes à énergie dirigée.

    Conformément aux Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme, « Protéger, respecter et réparer », les technologies 5G DOIVENT être soumises à une évaluation indépendante de la santé et de la sécurité avant d'être lancées partout dans le monde.

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  34. Quelles températures allons-nous endurer dans les toutes prochaines années : chaleur ou froid ?


    le 6 mars 2023


    La réponse à cette question qui soulève les passions vient d’être apportée par un « vulgaire » météorologiste professionnel curieux qui s’est penché sur une multitude de publications scientifiques en survolant cette question qui semble préoccuper le monde entier avec toutes les conséquences globalement catastrophiques attendues. Il est vrai que personne ne se dit « ça va m’arriver bientôt » … Cette notion de réchauffement climatique reste en effet relativement virtuelle pour un individu pris au hasard malgré la propagande incessante qui amalgame les épisodes de froid, les inondations, les périodes de sécheresse et les phénomènes météorologiques violents comme étant des conséquences directes de ce réchauffement et le coupable est le gaz carbonique.

    L’homme de la rue continue à vivre en évitant d’imaginer qu’il lui sera interdit de rouler avec un véhicule automobile propulsé par un moteur à combustion interne dans quelques années et qu’il lui faudra isoler son logement et consentir à endurer des coupures d’électricité perturbant sa confortable vie quotidienne. Dans le fond de leur pensée les gens de la rue n’y croient pas. Ils pensent que toutes ces mesures seront un jour ou l’autre oubliées ou alors que le vrai changement du climat aura lieu bien après leur mort. Et ils espèrent que les politiciens changeront leur fusil d’épaule et que dans quelques années plus personne ne parlera de changement climatique et qu’on sera passé à autre chose.

    Qu’ils se détrompent, la problématique du changement climatique, il ne faut plus dire réchauffement, est devenue une véritable religion adossée sur des dogmes. Un dogme est une notion à laquelle il faut croire sans se poser de question, et puisque je viens d’évoquer que cette histoire de changement du climat est une religion c’est un peu comme s’il fallait croire, pour un croyant de la religion catholique, au dogme de la transsubstantiation. C’est vraiment impossible à avaler, surtout pour un scientifique … Bref, le réchauffement, le changement, du climat est une notion dogmatique. Et en compilant une série de publications scientifiques tout au long de sa longue carrière de météorologiste au sein de l’organisme américain officiel en charge de l’étude de l’atmosphère et des océans, la NOAA, le Docteur David Dilley s’est décidé à finalement à créer un organisme indépendant, Global Weather Oscillations, basé à Tampa en Floride (https://www.globalweatheroscillations.com/copy-of-mr-dilley-s-bio ).

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  35. Dilley a recherché les « signaux faibles » des cycles climatiques en remontant dans le temps par une analyse critique des données collectées à la suite des carottages effectuées dans les couvertures de glace du Groenland et de l’Antarctique et il s’est intéressé au gaz carbonique. Ce gaz est le diable de la nouvelle religion climatique alors que Gaïa en est le dieu et l’approche de Dilley a consisté à remettre à leur place les idées reçues de l’IPCC et colportées par les gouvernements et les média. Le récent exposé de David Dilley est très dense et il met en évidence les erreurs grossières relatives aux teneurs extravagantes du gaz carbonique mesurées dans l’atmosphère, la clé de voute de toute l’idéologie de la transition écologique, énergétique et climatique actuelle : tout est exagéré et entièrement faux ! https://www.youtube.com/watch?v=qNSPiMmuIvI

    La présentation de David Dilley est en anglais et je vais m’attacher à exposer le dernier point exposé qui concerne directement « monsieur tout le monde », celui à qui on demande des efforts pour sauver Gaïa.

    - voir doc sur site -

    Durant les 800 000 dernières années la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère n’a jamais dépassé 300 ppm. Les analyses des carottes de glace telles que présentées ci-dessous sont représentées par des graphiques et un seul point expérimental de ces courbes représente la valeur moyenne du gaz carbonique sur un intervalle de 5 000 ans. Rapprocher les mesures faites à l’observatoire de Mona Loa à Hawaï avec les résultats des glaciologues est donc un « hoax », une grossière imposture, dont le seul but est d’alimenter la propagande climatique.

    - voir doc sur site -

    Cet amalgame entre les données issues des études des carottages de glace et les analyses provenant de la NOAA à Mona Loa ressemble étrangement aux traficotages de Mann avec sa fameuse courbe en crosse de hockey pour faire passer le véritable canular du réchauffement climatique ! Mais il y a plus alarmant dans cet exposé. Il faut bien se souvenir que la totalité de la biosphère terrestre est très majoritairement dominé par les végétaux puisqu’ils représentent 82 % de cette biosphère : https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/01/20/digressions-au-sujet-de-la-biomasse-terrestre/ par conséquent le cycle du gaz carbonique atmosphérique est intimement dépendant de cette biosphère végétale. Le gaz carbonique provenant des combustibles carbonés fossiles est tout simplement négligeable, tout au plus 23 % de la totalité du gaz carbonique atmosphérique ! Clamer que le gaz carbonique d’origine humaine va changer le climat est un mensonge que l’église climatique a transformé en dogme. Les « spécialistes » de l’IPCC ont manipulé les données pour leur faire dire ce que les politiciens désiraient pour mettre en application leur agenda de transition énergétique. Inutile de mentionner la propagande au sujet du méthane dégagé par les ruminants. Ces gaz à effet de serre ne sont présents qu’à l’état de trace en comparaison de la vapeur d’eau dont le rôle dans l’atmosphère est le gaz prépondérant à l’exclusion de tous les autres composants de l’atmosphère :

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  36. - voir doc sur site -

    Enfin l’étude des cycles climatiques faite par David Dilley fait apparaître une tendance vers un brutal refroidissement qui n’aura pas lieu vers les années 2060 comme cela a été prédit par Valentina Zarkova avec son modèle dérivé de l’activité magnétique solaire mais beaucoup plus tôt : dès 2024. Les « signaux faibles » résident dans l’existence de cycles de réchauffement suivis de périodes plus froides qui ont été mis en évidence avec les études des stomates des plantes, étude corroborée par les reconstitutions des températures à l’aide de divers « proxys » depuis un peu plus de 1000 ans dans l’hémisphère nord :

    - voir doc sur site -

    Selon Dilley les autres signaux faibles se trouvent dans l’évolution récente des températures relevés au delà de 70 degrés de latitude nord ou sud qui indiquent un refroidissement prononcé des pôles où les températures les plus basses jamais enregistrées ont été rapportées ces dix dernières années, évolution qui s’est aggravée ces deux dernières années 2021 et 2022. Demandez aux Américains ce qu’ils pensent des 4 derniers hivers qu’ils ont enduré. Et enfin l’autre signal faible est la tendance récente du refroidissement des eaux de surface de l’Océan Pacifique, le plus grand océan de la planète où se trouve la cause première de l’évolution du climat de la Terre entière, la persistance de la Nina en est l’un des signaux faibles (voir aussi ci-après). C’est donc pour très bientôt, deux ans, peut-être trois ans ! Les Parisiens et les Londoniens pourront patiner sur leurs fleuves gelés en hiver. Enfin, mais Dilley ne le mentionne pas dans son exposé, le cycle d’activité solaire actuel est encore plus faible que le précédent conformément aux prévisions des astrophysiciens, un autre signal faible superbement ignoré par les fonctionnaires de l’IPCC puisque pour ces fonctionnaires le Soleil n’a aucun effet sur le climat de la Terre. Nul ne sait combien de temps cette période froide imminente durera, 30 ans, 300 ans ?

    J’ajouterai enfin un autre signal faible provenant de Tokyo. Cette ville est normalement tempérée par un courant marin chaud provenant des Philippines, le « gyre » du Pacifique nord, et pourtant depuis trois ans l’immense agglomération est soumise à des températures souvent inférieures à zéro degrés accompagnées d’épisodes neigeux. La bloggeuse climatique Kirye l’a souligné. Quand on prend en compte que la plupart des maisons situées dans les quartiers résidentiels sont équipées d’une adduction d’eau apparente non enfouie dans le sol on peut se poser des questions. Il s’agit encore d’un « signal faible » que les fonctionnaires de l’IPCC ne prennent pas en compte. J’observe, c’était le cœur de mon métier de chercheur en biologie par le passé, que par exemple la saison des pluies en Polynésie débute normalement au mois de décembre. En cette année 2023 elle ne vient de se concrétiser que début mars ! Nous sommes ici à la fin de l’été austral et ce retard constitue un indicateur du refroidissement de l’Océan pacifique sud, une situation notée par Dilley.

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  37. On peut encore espérer que Dilley se trompe mais il y a de bonnes raisons de prendre ses prévisions en considération car lorsqu’il sévissait à la NOAA l’une de ses principales missions était de prédire le nombre d’ouragans et leur intensité dans l’Atlantique nord. Il ne s’est jamais trompé durant les 20 dernières années. Cela ne veut pas dire qu’on doit le croire les yeux fermés mais il faut tout de même prendre au sérieux ses prévisions et son modèle adossés à des données factuelles. Venons-en aux conséquences immédiates de la prévision de Dilley, outre le fait que la Tamise et la Seine pourraient bien être prises par les glaces dès le prochain hiver. Par exemple la route maritime du nord que la Russie entend maintenir ouverte tout l’hiver en construisant une armada de brises-glaces à propulsion nucléaire pourrait pourtant malgré ces efforts considérables rester fermée plusieurs mois par an. La situation de l’Europe occidentale pourrait devenir pire encore qu’elle ne l’est à l’heure actuelle, les espoirs d’autres hivers aux températures douces comme en cette année 2023 seront amèrement déçus et les problèmes d’énergie deviendront tout simplement insolubles : il y aura des « morts climatiques » provoquées par le refroidissement. Certes il ne s’agira pas d’une période de glaciation mais les gouvernements devront néanmoins prendre des décisions allant à l’encontre de leurs agendas et toute cette problématique de la transition énergétique et environnementale sera brutalement remise en question et jetée aux oubliettes fétides de l’histoire …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/06/quelles-temperatures-allons-nous-endurer-dans-les-toutes-prochaines-annees-chaleur-ou-froid/

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    1. La nature ne ment pas ! Les hivers sont de plus en plus froids. Les plantes poussent mal. D'où la construction de serres de partout dans le monde !

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  38. Crise climatique : Un nouveau « petit âge glaciaire » a déjà commencé !


    le 3 janvier 2019


    Selon 98 nouvelles publications scientifiques soumises à des comités de lecture et non pas des communiqués de presse repris par les médias main-stream depuis le début de l’année 2018, il ne fait plus aucun doute que le climat de la Terre est étroitement dépendant de l’activité du Soleil. Tous les auteurs de ces articles – qui je le rappelle exposent des résultats scientifiques incontestables émanant des plus prestigieux centres de recherche universitaires dans le monde – s’accordent pour prédire que dans moins de dix ans les températures moyennes globales chuteront dramatiquement.

    Ces géophysiciens pour la plupart d’entre eux n’aiment pas trop parler de moyennes de températures car ce genre de représentation physique n’a aucune signification. Ce sont des géophysiciens spécialisés en particulier dans les observations et les analyses de l’activité solaire à l’aide d’une multitude d’instruments leur permettant de comprendre ce qui se passe à l’intérieur de cet astre des centaines de millions de fois plus grand que la Terre qui tirent la sonnette d’alarme. Ces physiciens ne s’intéressent pas au climat futur car la science du climat ne peut que se focaliser sur le climat du passé, c’est une évidence ! Et il faut remettre les pieds sur terre et cesser de croire que le futur sera torride car c’est tout le contraire qui se prépare …

    Comment peut-on se hasarder à faire des projections sur l’évolution future du climat terrestre alors qu’il dépend d’une multitude de paramètres qui ne peuvent pas se prêter à une quelconque modélisation en raison justement de leur multitude : mathématiquement, quelle que soit la puissance des ordinateurs utilisés pour atteindre de telles modélisations, celles-ci sont par définition sans aucune valeur puisque mathématiquement il est impossible de prendre en considération plus de six paramètres interdépendants dans une quelconque simulation sans aboutir à un résultat hasardeux. Les faits observés par les spécialistes du Soleil à l’aide de satellites et d’observatoires au sol et aussi reconstruits à l’aide de proxys sont formels : le Soleil est déjà entré dans une phase de sommeil. Or les faits passés sont aussi formels : quand l’activité magnétique du Soleil est faible, le climat terrestre est froid et inversement et si on ne connait toujours pas précisément les mécanismes liant l’activité magnétique du Soleil au climat terrestre ceci a été formellement prouvé avec des proxys.

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  39. Comme je ne suis pas du tout un spécialiste du climat et que mes lecteurs ne le sont pas nécessairement voici une explication succincte des proxys, on peut dire aussi marqueurs, utilisés par les climatologues – la climatologie est une science du passé faut-il le répéter – et les géophysiciens. Pour se faire une idée du climat passé et donc de la température en un endroit donné de la Terre la mesure de l’abondance relative de l’isotope 18 de l’oxygène est le marqueur utilisé pour « remonter » dans le passé. La partie de l’eau des océans « alourdie » en oxygène-18 s’évapore d’autant mieux qu’il fait plus chaud car il faut plus d’énergie thermique pour que cette évaporation ait lieu. Le marqueur de l’activité solaire, activité qui englobe l’irradiance, c’est-à-dire l’énergie exprimée en Watts/m2 atteignant la Terre, et l’activité magnétique du Soleil est corrélé à l’abondance du béryllium-10 dans les sédiments et les carottes glaciaires. Le béryllium-10 est radioactif et a une période de demi-vie de 1,387 million d’années. Son abondance est utilisée pour dater les sédiments et également les carottes glaciaires très précisément. Ce métal est utilisé comme marqueur de l’activité solaire car il est produit par le bombardement de l’oxygène ou de l’azote atmosphériques par les rayons cosmiques. Or les rayons cosmiques sont mieux déviés par le champ magnétique solaire lorsque l’activité solaire est élevée.

    Ces observations ont permis d’établir un lien entre l’activité solaire et les variations du climat terrestre passé et ce lien est incontestable bien qu’il ait été soigneusement ignoré par les « spécialistes autoproclamés » de l’IPCC. En reprenant la centaine d’articles scientifiques parus en 2018 dans des revues à comité de lecture il n’est plus contestable que l’activité solaire a atteint un niveau de faiblesse alarmant et les études relatives à l’évolution de l’activité solaire passée indiquent que l’optimum climatique moderne décline depuis le milieu des années 1990. Le dernier cycle solaire #24 atteindra son minimum en 2019-2020 après avoir été le plus faible depuis 350 ans en termes de taches solaire (donc d’activité magnétique) c’est-à-dire justement à la période correspondant au minimum dit de Maunder (1650-1750), période durant laquelle l’Europe mais également la Chine connurent des froids intenses. Les prévisions des astrophysiciens relatives à l’évolution du champ magnétique solaire sont complètement alarmantes puisque certains d’entre eux prévoient même une chute globale des températures dès 2019.

    - voir graph sur site -

    Ce qui est plus alarmant encore ressort d’une étude réalisée par le Docteur Abdussamatov (doi : 10.1016/B978-0-12-804588-6.00017-3 , observatoire de St-Petersbourg) où il est mentionné que depuis 1990 en raison du déclin progressif de l’irradiance solaire, la Terre se refroidit car le déficit de la dissipation de l’énergie vers l’espace dans les longueurs d’onde de l’infra-rouge n’est plus compensée par cette irradiance. Ceci s’explique par l’inertie thermique des océans. Selon cet auteur un nouveau petit âge glaciaire a commencé depuis l’année 2015 et la situation deviendra réellement critique dès 2030 quand l’inertie océanique aura faibli au point d’accélérer le refroidissement des températures.

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  40. Le climat terrestre a toujours varié : au cours des 7500 dernières années il y eut plus de 34 alternances plus ou moins prononcées de périodes chaudes suivies de périodes froides soumises aux variations de l’activité solaire et il ressort que ces fluctuations chaud + froid suivent un cycle d’environ 200 ans. Aujourd’hui nous avons dépassé la fin d’un cycle bicentenaire qui débuta au tournant du XIXe siècle et après l’optimum climatique moderne attribué à tort aux émissions de gaz carbonique nous nous acheminons vers un nouvel âge glaciaire. Combien d’années de froidure nous attendent ? Peut-être plus de 100 ans …

    - voir graph sur site -

    Pour ceux qui confondent le climat et la météorologie, la période froide dans laquelle nous vivons donc déjà va augmenter les épisodes météorologiques de grande ampleur quand l’inertie thermique des océans, au moins superficiellement, jusqu’à 100 mètres de profondeur, se sera estompée par rééquilibrage naturel. En effet, le gradient des températures entre la zone inter-tropicale et les latitudes 30-65 degrés nord et sud deviendra plus prononcé. Il en résultera à ces latitudes des périodes de grands froids et des périodes de grandes chaleurs et de sécheresses. Cette instabilité météorologique rendra encore plus insupportable le changement du climat.

    Source et illustrations : H.I. Abdussamatov in Evidence-Based Climate Science, Elsevier, 2016 (doi dans le texte) et aussi la « Frost Fair » de 1814 sur la Tamise, en arrière plan l’Eglise Saint-Paul. (https://thames.me.uk/s00051.htm)

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/01/03/crise-climatique-un-nouveau-petit-age-glaciaire-a-deja-commence/

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  41. La neutralité climatique à petit prix...


    7 Mars 2023
    Willi l'agriculteur*


    Sur Internet, on peut lire qu'une personne produit environ 7 tonnes de gaz carbonique par an.

    Or, il existe une invention astucieuse : les certificats de gaz carbonique. Ce que je ne savais pas, c'est qu'ils sont également négociés par le biais des Nations Unies (ONU) et qu'ils ne coûtent que 2 euros par tonne, selon le projet :

    https://www.wiwo.de/unternehmen/handel/klimazertifikate-macht-baeume-pflanzen-ein-kohlekraftwerk-klimaneutral/28958634-all.html

    Comme l'a révélé l'enquête du magazine « Wirtschaftswoche », ces certificats ne sont pas seulement d'un prix défiant toute concurrence, ils sont aussi en partie totalement inutiles, car ils sont émis pour des projets qui auraient été réalisés même sans certificats.

    Le « ZEIT » émet lui aussi de grands doutes quant à l'efficacité des certificats :

    https://www.zeit.de/2023/04/co2-zertifikate-betrug-emissionshandel-klimaschutz

    Et d'autres le remarquent également :

    https://www.klimareporter.de/international/der-grosse-schwindel-mit-den-co2-zertifikaten

    Fritz l'agriculteur a fait le calcul pour une vache climatiquement neutre. Comment ta vache devient-elle climatiquement neutre ? Ou comment on fait en sorte que la vache soit climatiquement neutre !

    Hypothèse : 100 kg de méthane par vache et par an.

    Facteur de nocivité du méthane par rapport au gaz carbonique : 20-28 ; utilisons le facteur 25 pour le calcul.

    Ainsi : 100 kg de méthane x 25 = 2.500 kg de gaz carbonique par vache et par an = 2,5 tonnes de gaz carbonique.

    https://www.ndr.de/ratgeber/verbraucher/Die-Kuh-als-Klimakiller,klimakiller102.html

    Prix du certificat ONU : 2 dollars la tonne.

    Coût du certificat ONU : 2,5 t x 2 dollars = 5 dollars

    Au cours actuel du dollar par rapport à l'euro de 0,91 euro, la vache climatiquement neutre avec certificat de l'ONU coûte 4,55 euros.

    Je pense que chaque agriculteur peut vraiment rendre son troupeau climatiquement neutre avec une telle somme. Et il devrait le faire. Comme on peut le lire ci-dessus, d'autres le font aussi – sans aucune gêne.

    Mais ce que tout le monde sait, c'est que les vaches ne sont pas des tueuses de climat. Même si on le répète cent fois, cela ne devient pas une vérité. Et on peut tranquillement s'épargner l'achat de certificats.
    ______________

    * Source : Klimaneutral für kleines Geld... - Bauer Willi

    https://seppi.over-blog.com/2023/03/la-neutralite-climatique-a-petit-prix.html

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    1. Primo: Le gaz carbonique n'a jamais été un polluant et
      Secundo: TOUS les gaz dans notre atmosphère se recyclent immédiatement sans quoi la vie sur Terre ne serait JAMAIS apparue.
      Tertio: Lorsqu'un être humain ou animal aspire il aspire TOUS les gaz autour de lui et pas seulement de l'oxygène ! Donc il expire tous les gaz sauf l'oxygène qui lui-seul passe dans le sang.

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  42. Gruyère : selon la justice américaine, il n’est pas uniquement suisse ou français

    Une décision cocasse aux États-Unis. La justice vient de se prononcer en faveur d’un gruyère produit partout dans le monde. L’indication géographique n’est pas prise en compte Outre-Atlantique.


    Par Cédric Bonnefoy
    le 6 mars 2023 à 11h55


    Le gruyère n’est pas juste suisse ou français pour la justice américaine

    La justice américaine réfute l’affirmation suivante : le fromage gruyère est seulement produit en Suisse et en France. En effet, elle vient de pencher en faveur de l’utilisation du terme pour un certain type de fromage, indépendamment de son lieu de fabrication. Si la décision peut faire sourire, pour les producteurs français et suisse il s’agit d’une très mauvaise nouvelle. Ainsi, l’interprofession de Genève et le Syndicat interprofessionnel du Gruyère sont déboutés.

    Mais alors : comment expliquer cette décision ? D’une part, dans sa décision la justice estime que le gruyère est un terme courant dans le pays pour désigner plusieurs fromages. Mais surtout, il n’existe pas Outre-Atlantique de certification sur l’origine des produits. Par exemple, pas d’indication géographique protégée (IGP) ou autre. La seule indication pour désigner un fromage par le terme gruyère reste la formation de petits trous avec 90 jours de vieillissement.

    La filière est en colère

    En réalité, selon la justice américaine, le terme gruyère est tellement courant dans le domaine alimentaire qu’il devient générique. Ainsi, pas question de refuser à des producteurs de fromage d’appeler leur fromage comme cela. Malgré, la concurrence déloyale que cela peut représenter pour les filières suisse et française. La loi américaine ne fait pas différence entre un produit fabriqué sur son sol ou à l’étranger. Évidemment, l’annonce ravit les producteurs et industriels américains.

    Mais de l’autre côté, c’est la soupe à la grimace. Par la voix de leur avocat, les fédérations suisses et françaises estiment que la décision de la cour d’appel ne correspond pas avec la réalité du marché américain. Par ailleurs, elles indiquent continuer à œuvrer pour protéger ce fromage partout dans le monde. Y compris aux États-Unis.

    https://www.economiematin.fr/gruyere-selon-la-justice-americaine-il-nest-pas-uniquement-suisse-ou-francais

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    1. Le terme de 'Gruyère' est comme celui de Frigidaire ou de Mobylette. Il s'apparente à la marque. Or, le Gruyère (sans 's') est employé ! Gruyères (à 15 km de lac Léman) est une ville médiévale située dans le canton suisse de Fribourg. Elle est réputée pour sa production du fromage du même nom. Existe même 'La maison du Gruyère' (sans 's') à 2 km au Nord.

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  43. Il y a dix ans, mourait Hugo Chávez


    Par Maurice Lemoine
    Mondialisation.ca, 06 mars 2023


    Caracas, tétanisée. Un hoquet a secoué les flancs des cerros qu’escaladent les ranchitos. Des collines, encore des collines. Puis le pays tout entier. Le peuple souverain. Des immeubles chics des quartiers les plus chics aux humbles masures des plus humbles pueblos.

    On le savait très malade. On le savait. Depuis ce funeste 30 juin 2011. Jour où il a annoncé qu’il souffrait d’un cancer. On ne voulait pas y croire. Deux Notre Père, trois Ave María, une invocation à Bolivar et à José Martí, il s’en tirerait. Comme à l’accoutumée. Avec son grand rire de métis aux yeux en amande et aux cheveux crépus. Un mélange de Noir, de Blanc et d’Indien. Le parfait prototype du llanero – l’homme des immenses plaines d’herbe haute et abondante où serpentent les ríos.

    Une tumeur agressive dans la région pelvienne – ou quelque chose comme ça.

    Deux interventions chirurgicales à La Havane. La première dirigée par un médecin vénézuélien, la seconde par un russe. Enfin, c’est ce qu’on croit. Il y a eu pas mal de mystère. Et de rumeurs. Celui-ci provoquant celles-là. Et vice-versa. Mais l’apparence ne trompait pas. Ce fameux 30 juin 2011, on l’avait découvert les joues creuses, amaigri, fatigué. Les chimiothérapies l’ont rendu méconnaissable. Gonflé, bouffi, enflé, dilaté. Sans cheveux. Ne lui restait que son regard brun foncé, pétillant de malice et de volonté. De désespoir parfois, à l’idée de devoir d’interrompre sa tâche. La transformation du Venezuela. Et ce terrible Jeudi Saint d’avril 2012, après sa troisième opération, quand il a supplié : « Donne-moi ta couronne, Christ, donne-la-moi, que je saigne, donne-moi ta croix, donne-moi cent croix, mais donne-moi la vie ! »

    C’est comme lorsqu’on traverse un torrent : on ignore si l’on parviendra à avancer, mais on ne peut retourner en arrière. On s’en sort comme on peut. Contre toute attente, à ce moment, il s’est arraché, il s’en est tiré.

    Il a mené sa dernière campagne électorale avec les tripes, le cœur, la ténacité. Une énergie des catacombes. Il a sauté, il a chanté, il a dansé. On l’a entendu dire : « Je ne suis pas Chávez, je suis tout un peuple ! » Cette graine qu’il semait. Insubmersible, le 4 octobre, à Caracas, il a discouru sous des trombes d’eau. On n’avait jamais vu un tel déluge. La pluie les enveloppant de tourbillons et de rafales, les centaines de milliers de partisans vêtus de rouge l’acclamaient : « Uh ! Ah ! Chávez no se va ! » – « Ouh ! Ah ! Chávez ne s’en va pas ! » Une avalanche bolivarienne. Et le 13 octobre 2012, il a gagné. Une fois encore. Oui. Une fois de plus. Pour un nouveau mandat de six ans.

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  44. 4 octobre 2012, dernier discours de Hugo Chávez.

    A peine célébrée la victoire, des frissons prolongés l’ont saisi. Une violente douleur. Cette saloperie de crabe le rattrapait. Lucide, il a laissé entendre que… Tandis que les siens retenaient leur souffle, il a même évoqué celui qu’il faudrait élire en cas de malheur. Le vice-président en exercice, Nicolás Maduro. Puis il a repris l’avion pour La Havane, après un dernier salut de la main. A transité par le bloc opératoire. Après soixante-douze jours de convalescence dans l’île, est rentré au pays, le 18 février. Au petit matin, son compte Tweeter personnel @chavezcandanga a crépité : « Nous sommes arrivés de nouveau dans notre patrie vénézuélienne. Merci mon Dieu !! Merci mon peuple aimé !! Nous continuerons ici le traitement. » Ses plus de 4 millions de suiveurs ont hurlé de soulagement. « Volvio, volvio, volvio ! » – « Il est revenu, il est revenu ! » Comme le 13 avril 2002. Deux jours auparavant, le 11, des putschistes l’avaient séquestré. Coup d’Etat. Pedro Carmona (le patron des patrons), George W. Bush (le patron du patron des patrons), les médias d’opposition (inféodés à tous les patrons). Soutenu par l’insurrection du peuple, libéré par les militaires loyaux, Chávez était revenu.

    Mais au lendemain de ce 18 février 2013, silence total. Aucune nouvelle. Juste quelques à-peu-près vasouillards du gouvernement. Jusqu’à ce mardi 5 mars…

    Il pleut. Livide, sidéré, regard lointain, le vice-président Maduro délivre la nouvelle la plus dure et la plus tragique qu’il puisse annoncer au peuple vénézuélien : « A 4h25 de l’après-midi, le commandant-président Hugo Chávez est décédé après avoir livré, pendant près de deux ans, une dure bataille contre la maladie, entouré de l’amour de son peuple et des siens, et de la loyauté la plus absolue de ses camarades de lutte ».

    A mesure que l’information circule, les fenêtres, les balcons, les toits, les arbres des quartiers populaires se couvrent de portraits. Deuil national, du 5 au 11 mars. Dès le 5, ils sont des centaines de milliers à descendre spontanément dans la rue, à s’agglutiner, à errer. Beaucoup portent la chemise rouge. Ils stationnent, ici assis sur le trottoir, là debout ou appuyés contre les murs, abattus et préoccupés.

    Le lendemain, de tous les points de Caracas, la foule compacte se dirige vers le parcours que va emprunter la dépouille, pour un dernier adieu. Certains ont passé la nuit sur place. La boule jaune du soleil les a réveillés. Le métro est gratuit. Au terminal La Bandera, un long chapelet d’autocars arrivés de l’intérieur déverse une cargaison humaine que le voyage de nuit a épuisée. « Même si j’avais dû venir à pied, ou en ramant, ou en rampant, je serais venue », répète encore et encore une petite paysanne d’une cinquantaine d’années. « Hugo Chávez, Christ des pauvres, ne nous abandonne pas », ajoute-t-elle, se signant.

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  45. Sur le coup de midi, on perçoit une cascade de grincements métalliques. Les petits commerces baissent leurs rideaux de fer. Escorté par les bérets rouges de la Garde d’honneur, le cercueil quitte l’Hôpital militaire – le dernier champ de bataille du « comandante ». Avenue San Martín, places O´Leary et Miranda, avenues Lecuna, Fuerzas Armadas, Roca Tarpeya, Nueva Granada, La Bandera, Los Próceres… Jusqu’à l’Académie militaire de Fort Tiuna, il y a huit kilomètres. Au milieu des sanglots, des cris, des vivats, des prières, des drapeaux et des bouquets de fleurs, sous un soleil de plomb, la gigantesque marche dure plus de sept heures. Le cortège défile entre deux haies.

    Une infinie tristesse. Ici et là, pourtant, des mains se lèvent pour taper l’une dans l’autre. A pleins poumons, s’élèvent les chansons d’un autre guerrier disparu, le chanteur du peuple Alí Primera. Dans les cœurs, les défunts vivent encore. « Uh ! Ah ! Chávez no se va ! »

    Début de soirée. Le cercueil se dresse désormais dans la chapelle ardente installée pour l’occasion. Protégé par une vitre, le visage du défunt paraît très serein. On l’a revêtu d’un costume vert olive et de son béret rouge. Son fameux béret rouge d’ancien militaire. D’ancien putschiste, disent ceux qui ne l’aiment pas. Autour se pressent la famille, des membres du gouvernement, des représentants des autres pouvoirs au grand complet. Arrivés dans la matinée, Cristina Kirchner, José Mujica et Evo Morales sont déjà là (les chefs d’Etat amis – Argentine, Uruguay, Bolivie). Pendant qu’un peloton rend les honneurs militaires, on voit pleurer des généraux. Nicolás Maduro arbore un blouson de sport bleu-jaune-rouge. Celui que portait souvent Chávez. Aux couleurs du drapeau vénézuélien.

    Ouais, et alors ?

    Publiquement silencieux, mais euphoriques dès qu’ils se croisent, les opposants, de l’ultradroite aux ex-sociaux-démocrates, se préparent à engloutir des hectolitres de bière, de whisky et de rhum pour célébrer l’événement. Le départ d’ « Hugo Boss », « Micomandante-presidente » [1], « l’hyper-leader sidéral », le « caudillo-commandant-héros-libertador-candidat éternel à la réélection ». Il a représenté une étape désastreuse de leur existence, rien de plus. C’est fini. C’est du passé. Le bon vieux temps va revenir. Patience.Une fois l’émotion passée.

    Plus avisé, Henrique Capriles Radonski évite de se laisser griser. Ce genre de sentiments excessifs empêche de réfléchir. Lors de la dernière présidentielle, Chávez l’a sèchement battu. La prochaine échéance se profile, sans doute contre Maduro. Pour l’heure, le mot clé est « modération ». Capriles présente ses condoléances à la famille, aux proches et aux partisans : « Nous fûmes des adversaires, jamais des ennemis. » Joliment dit, très délicat. Mais, au moins, c’est décent.

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  46. 7 mars. A deux heures et demie du matin, le froid vous saisit. Silhouettes indistinctes et floues, des ombres battent la semelle, d’autres soufflent dans leurs mains pour se réchauffer. A mesure que l’aube pointe, puis que le soleil monte et réchauffe l’air paresseux, des milliers de chavistes se dirigent vers le hall de l’Académie militaire. Des dizaines de milliers. Des centaines de milliers. Ils déferlent des quartiers populaires – Petare, 23 de Enero, Catia, la Vega, el Cerro Carapita… Peu leur importe combien de temps ils devront attendre pour un dernier hommage. Peu leur chaud que d’autres arrivent encore, et encore, et toujours, surgis des stations La Bandera, Los Símbolos, El Valle. Gratuit, le métro peine à transporter cette marée. La file immense qui transpire s’étend sur plus de quatre kilomètres. « Je suis le peuple », proclamait Chávez. « Nous sommes Chávez », répond le peuple, en ce terrible moment. Avant de se recueillir – cinq secondes chacun, un salut militaire ou un baiser, un poing levé ou un signe de croix – devant le cercueil revêtu d’un drapeau. Sous un énorme crucifix doré.

    Ce 8 mars, il n’est pas encore midi. Dehors, serpentent toujours d’interminables serpents humains. Rouges de chez rouge – « rojos rojitos ».Dans le salon « El Libertador General en Jefe Simón Bolívar » de l’Académie militaire, se pressent trente-deux chefs d’Etat et de gouvernement. Les représentants de cinquante-cinq délégations. Les petits soldats du corps expéditionnaire médiatique ne peuvent retenir un hoquet. Dans l’illustre assemblée habillée de noir, ils ont repéré le cubain Raúl Castro, l’iranien Mahmoud Ahmadinejad, le Bélarusse Alexandre Loukachenko. Demain, ils en feront des tonnes avec ces trois-là. Cuba n’a-t-elle pas décrété deux jours de deuil national ? Chávez, l’ami des dictateurs et des autocrates. Ils pourraient également noter la présence d’autres personnalités non totalement dépourvues d’intérêt. Et en rien sulfureuses, si l’on adopte leur point de vue ! Sebastián Piñera, Enrique Peña Nieto, Juan Manuel Santos, Otto Perez, Ollanta Humala, Ricardo Martinelli, Michel Martelly – représentants des droites continentales (Chili, Mexique, Colombie, Guatemala, Pérou, Panamá, Haïti). Porfirio Lobo – héritier du pouvoir grâce au coup d’Etat qui a renversé le réformiste Manuel Zelaya au Honduras. L’ancien premier ministre canadien Jean Chrétien… Bof, quel intérêt ? Les nobles consciences de l’info ne censurent pas, elles sélectionnent. Les obsèques de Chávez ? Castro, Ahmadinejad, Loukachenko. Mais, parole, elles ne mentent pas. Disons : juste un peu, par omission.

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  47. Car Maduro a également souhaité « la bienvenue » aux envoyés du président américain Barack Obama. Une délégation de second rang. Il s’est même permis de leur faire remarquer que le Venezuela veut un monde de coopération. « Sans empires », a-t-il précisé. Les Européens ne brillent guère plus par leur présence. A l’exception de l’Espagne, qui, monde ibéro-américain oblige, a dépêché l’héritier de la Couronne, Felipe, prince des Asturies. La France ? D’une nullité crasse. Elle a envoyé son ministre des Outre-mer, Victorin Lurel. Pas forcément un mauvais bougre, mais que les Outre-mer nous pardonnent : personne ne le connaît. Jean-Marc Ayrault (premier ministre) et Laurent Fabius (sinistre des Affaires étrangères) étaient très occupés. Surtout : ils n’aiment pas le Venezuela. Et encore moins Chávez. Un « socialiste » ! Le genre de type qui vit un couteau entre les dents. Qui « menace la démocratie ». Il y aurait bien François Hollande, mais il se réserve pour les funérailles du roi Abdallah d’Arabie saoudite, la troisième plus riche tête couronnée au monde, qui auront lieu en janvier 2015. Un souverain exemplaire, lui, en matière de droits humains : 26 ou 27 exécutions capitales en 2010, 82 en 2011, 76 au 2012, 79 en 2013, 90 en 2014 et au moins 153 en 2015 pour homicide, sorcellerie, adultère, homosexualité, usage de stupéfiants ou renoncement à l’islam.

    Douleur, tristesse, inquiétude. Indifférente à l’absence des capitalistes « haut de gamme » et des sociaux-démocrates « fin de série », toute la gauche latina se tient les coudes et vibre à l’unisson. Rafael Correa, arrivé d’Equateur ; Daniel Ortaga, du Nicaragua ; Mauricio Funes, du petit Salvador ; José « Pepe » Mujica et son épouse Lucia Topolansky, d’Uruguay… Lula les accompagne – l’ex chef d’Etat de l’immense Brésil. Hier soir, engoncé dans son costume sombre, Raúl Castro a salué la fille aînée de Chávez, Rosa Virginia, ainsi que sa mère Elena Frias, qui l’a reçu en sanglots. Assistant à la scène, Ahmadinejad a été tellement bouleversé qu’il a spontanément embrassé la maman. S’attirant la colère et les critiques féroces de la presse iranienne et des mollahs. Comment a-t-il pu toucher une femme, qui plus est non voilée ?

    Egalement présents hier, les présidentes argentine et brésilienne Cristina Kirchner et Dilma Roussef, ainsi que Luiz Inácio Lula da Silva, sont déjà repartis. Pris par leurs agendas respectifs. Version officielle. En réalité, Cristina n’a pas envie de croiser Ahmadinejad, au risque de déclencher une volée de commentaires négatifs de ses médias nationaux. Buenos Aires et Téhéran entretiennent des relations compliquées. A tort ou à raison, la justice argentine accuse l’Iran d’être impliqué dans l’attentat à la bombe contre l’Association mutuelle israélite argentine (AMIA) qui, le 18 juillet 1994, a fait quatre-vingt-cinq morts à Buenos Aires. De son côté, Lula serait bien resté, mais c’eut été mettre en évidence le départ de Dilma.

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  48. La lecture des noms des présidents étrangers marque le début de la cérémonie. Une salve d’applaudissements accompagne chacune des citations de la litanie. Celle qui honore Ahmadinejad dépasse de très loin celle qui salue à peine poliment le prince Felipe. Beaucoup ont en mémoire le grossier « y porque no te callas ? » (« et pourquoi ne la fermes-tu pas ? ») du roi Juan Carlos à Chávez, le 10 novembre 2007, lors du Sommet ibéro-américain de Santiago du Chili. Chávez rappelait le rôle de José María Aznar dans le coup d’Etat organisé en avril 2002 pour le renverser. Sa Majesté n’avait pas aimé. « Y porque no te callas ? » Chávez l’avait cinglé : « Monsieur le roi, je vais vous dire une chose : nous sommes là depuis cinq cents ans et jamais nous ne nous tairons. Surtout pas sur l’ordre d’un monarque. Le roi est autant chef d’Etat que moi. Mais moi, j’ai été élu trois fois. »

    Bref, l’Iranien est beaucoup plus applaudi que l’Espagnol. Les envoyés spéciaux se bouchent les oreilles et le nez.

    Roulements de tambours. L’Orchestre symphonique Simón Bolivar entame l’hymne national. Maduro dépose sur le cercueil une réplique de l’épée en or du Libertador. La figure tutélaire de la « révolution bolivarienne ». L’arme sera remise à la famille du défunt à l’issue de la cérémonie. Beaucoup paraissent sur le point de fondre en larmes. Le chef d’Etat bolivien Evo Morales a l’air anéanti.

    A la façon dont la voix de Maduro résonne, on le devine sonné. Sonné. Mais déterminé. Chávez l’a désigné comme son dauphin. « Il n’y a pas eu, dans l’Histoire de notre pays, un leader plus injurié, plus vilipendé et plus vilement attaqué que notre commandant-président, constate-t-il, avec une sorte de rage dans la voix. Jamais, en deux cents ans, on n’a autant menti sur un homme. » La colère peut être un outil très utile. Il développe sa harangue avec une aisance qu’on ne lui connaissait pas. C’est que l’opposition brille par son absence. Moue méprisante autour des mots, elle vient d’annoncer qu’elle boycottera aussi la cérémonie de son investiture en tant que président par intérim, avant que n’ait lieu la prochaine élection. Rien de plus motivant que l’adversité. C’est à elle qu’il s’adresse, Maduro. A l’opposition. Malgré les larmes qui coulent sur ses joues, il jure publiquement sa « loyauté au-delà de la mort » au disparu : « Il est là, invaincu, pur, transparent, unique, authentique, vivant pour toujours, jusqu’à la fin des temps. Commandant ! Ils n’ont rien pu contre toi ! Ils ne pourront rien contre nous, jamais ! La lutte continue ! Vive Chávez ! Vive Chávez ! Jusqu’à la victoire toujours, Comandante ! »

    Dignitaires, militaires vénézuéliens, dirigeants étrangers acclament debout la fin du discours. L’émotion pèse, à la limite du supportable. Même les plus endurcis ont les yeux embués. Puis les chefs d’Etat et de gouvernement sont invités par petits groupes à former des haies d’honneur successives autour du catafalque. Les alliés les plus proches, Raúl Castro, Evo Morale, Rafael Correa s’exécutent les premiers. Plus tard, Loukachenko et Ahmadinejad, le duo maudit. Ahmadinejad paraît retenir ses larmes. Il récite une prière entre ses dents.

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  49. Devant les grilles de l’Académie, sous la chaleur accablante, des centaines de milliers de chavistes suivent la cérémonie sur des écrans. Canalisés par des barrières métalliques et des militaires, ils attendent de pouvoir reprendre leur procession vers la dépouille du « comandante ». Serrant les poings, ils alternent les « ils ne reviendront pas ! » et les « Chávez vit, la lutte continue ! »

    Sur place ou à la télévision, ils ont entendu Maduro promettre de poursuivre le combat de Chávez « pour les pauvres, l’éducation et un monde plus juste ». Ils ont également soupiré de soulagement. Beaucoup désespéraient. Alors que plus de deux millions de Vénézuéliens avaient déjà rendu hommage à leur dirigeant, des dizaines de milliers attendaient encore leur tour. Leurs vœux sont exaucés. Vu l’affluence, le corps du « comandante » demeurera visible pendant encore au moins sept jours dans le grand salon de l’Académie militaire.

    Des groupes passent toute la nuit sur l’immense esplanade jouxtant le bâtiment. Ils dorment sur des cartons, sur des journaux. Dès l’aube, entonnant parfois des chants révolutionnaires, d’interminables processions se forment à nouveau.

    La disparition de Chávez constitue un événement politique de la plus haute importance. Ses homologues en ont parfaitement conscience. Les latino-américains en tout premier lieu. Personne ne se contente de platitudes compassionnelles. Et moins que les autres, les alliés de « l’Internationale progressiste et révolutionnaire continentale », comme l’a définie le vice-président bolivien Álvaro García Linera. Ou la « pink tide » – marée rose – en version étatsunienne. Ensemble, main dans la main, ils ont transformé la région au cours des quinze années précédentes. Sous leurs mandats respectifs, 56 millions de personnes sont sorties de la pauvreté. A qui veut l’entendre, l’équatorien Correa confie : « Sans lui, sans Chávez, aucun de nous ne serait là. Nous lui devons tout. »

    Présidente argentine, Cristina Fernández de Kirchner n’a rien oublié de la terrible crise qui, en 2001, martyrisait son pays : « Chávez, c’est le meilleur ami qu’a eu l’Argentine lorsque personne ne nous tendait la main. (…) Les hommes comme lui ne meurent jamais. Il vit et il vivra dans chaque Vénézuélien et Vénézuélienne, qui ont cessé d’être invisibles et sont devenus protagonistes [de leur histoire]. Cet homme leur a ouvert l’esprit. Personne ne pourra le leur refermer, jamais. Avant de repartir [en Argentine], je me suis approchée et, sans le regarder, j’ai touché le drapeau posé sur le cercueil. (…) Ne vous l’ai-je pas dit : Chávez est vivant. Pour toujours. »

    Premier président indigène d’Amérique latine, Evo Morales ne cache pas plus son émotion : « Nous sommes blessés par le décès du frère, du compagnon Hugo Chávez, mon frère solidaire, mon compagnon révolutionnaire, latino-américain qui a lutté pour la Grande Patrie comme le fit Simón Bolívar en donnant sa vie pour la libération du peuple vénézuélien. (…) Chávez demeurera présent dans toutes les régions du monde, parmi tous les mouvements sociaux, pour accompagner ces grands processus de changement, de construction de l’égalité, après tant d’années de soumission et de pillage. »

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  50. Ex-chef d’Etat immensément populaire du Brésil, Luiz Inácio « Lula » da Silva hoche la tête : « Je suis fier de l’avoir côtoyé et d’avoir travaillé avec lui pour l’intégration de l’Amérique latine et pour un monde plus juste (…) CompañeroChávez : si tu n’existais pas, tu devrais naître à nouveau parce que le monde a besoin de dirigeants comme toi ! »

    Moins proche du défunt, Dilma Rousseff, qui a succédé à « Lula » au Palais de Planalto, renchérit néanmoins : « Le gouvernement brésilien n’était pas toujours entièrement d’accord avec le président Chávez (…) mais [celui-ci] laissera un vide dans le cœur de l’Histoire et dans les luttes de l’Amérique latine. Je le regrette en tant que présidente et en tant que personne qui avait une grande tendresse pour lui. »

    Raúl Castro, s’exprime bien sûr au nom de son frère Fidel et de l’île rebelle, Cuba : « Le président Chávez est parti invaincu, est parti invincible, est parti victorieux et cela, personne ne pourra le lui enlever, c’est gravé dans l’Histoire, dans l’histoire de son pays, de notre pays, des Caraïbes, de toute l’Amérique latine et de bien d’autres parties du monde. » Sandiniste historique de retour au pouvoir au Nicaragua, Daniel Ortega renchérit : « Nous nous sentons plus engagés que jamais, nous sommes une seule famille, la famille vénézuélienne, la famille nicaraguayenne, la famille latino-américaine, la famille de la planète terre, nous sommes une seule famille, et le comandante Chávez a inspiré cette famille en matière de solidarité, en matière d’amour, en matière de paix ; à partir d’aujourd’hui, il nous accompagnera dans ces luttes que nous allons continuer à mener. »

    Autre ami, l’ex-« évêque des pauvres » Fernando Lugo, renversé par un coup d’Etat, le 22 juin 2012 au Paraguay, y va de son homélie : « Hugo Chávez appartient au patrimoine de l’Amérique latine et de la Caraïbe. Malgré son absence, la révolution bolivarienne est entre de bonnes mains, car elle est entre les mains du peuple vénézuélien qui, aujourd’hui, garantit les changements dans cette Patrie. » Si Mauricio Funes, le président du Salvador, évite toute dithyrambe internationaliste – « La mort de celui qui a été l’un des leaders latino-américains les plus forts et les plus populaires produira sans doute un vide politique, mais, surtout, dans le cœur des Vénézuéliens et des Vénézuéliennes » –, son vice-président, Salvador Sánchez Cerén, ancien guérillero du Front Farabundo Martí de libération nationale (FMLN), qui lui succédera en 2014, se montre plus concerné : « Chávez est dans le cœur des peuples de son pays, de l’Amérique latine et de la Caraïbe. Le Venezuela a aujourd’hui une grande responsabilité, car il est le phare qui illumine l’Amérique latine et le monde. Il n’y a pas de marche arrière pour le Venezuela ; la voie à suivre est d’approfondir les grandes transformations révolutionnaires engagées par Chávez. »

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  51. Tendances égoïstes et intérêt. Voilà, souvent, les mobiles principaux de l’action politique. Pas pour Chávez. Il a beaucoup aidé les petits pays vulnérables. Ces Caribéens laissés sur le sable de leurs îles, avec des assiettes vides et des carafes pleines d’eau. Premier ministre d’Antigua-et-Barbuda,membre de l’Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (ALBA), fondée en 2004 par Chávez et Fidel Castro, Winston Baldwin confie : « La contribution de Chávez au développement d’Antigua-et-Barbuda et des Caraïbes en général ne sera jamais oubliée. Les Caraïbes ont une dette de gratitude envers le Venezuela pour avoir partagé avec elles un fils de la terre, dont l’imposante présence physique n’avait d’égale que l’intelligence exceptionnelle et la compassion. » Même son de cloche chez Roosevelt Skerrit, son homologue de La Dominique (également membre de l’ALBA) : « Je décrète le deuil national à la Dominique. Avec Chávez, nous avons perdu un grand collègue, un père, un frère et un ami. » Autre insulaire, Ralph Gonsalves, premier ministre de Saint-Vincent-et-les-Grenadines (ALBA) : « C’est le Titan de l’Amérique latine et de la Caraïbe, un phare, une lumière brillante qui nous a illuminé dans notre recherche de la justice, de la paix, de la démocratie et de l’élévation de l’humanité, spécialement celle des pauvres, des défavorisés et des marginalisés. Sans lui, il n’y aurait pas eu Petrocaribe, ni l’ALBA, ni la Celac [Communauté des Etats latino-américains et caraïbes], ni, dans tous les domaines, les programmes bilatéraux. »

    « Le Président Chávez était un grand ami d’Haïti, souligne le président Michel Martelly. Plus qu’un ami, il était un frère pour nous. C’est avec beaucoup de respect que je m’incline devant la dépouille mortelle de ce grand homme. Il n’a jamais raté une occasion d’exprimer sa solidarité en faveur du peuple haïtien, dans ses situations les plus délicates. A travers le programme Petrocaribe, divers chantiers de développement durable ont démarré, des centaines de projets sont en cours d’exécution grâce à la coopération vénézuélienne. »
    C’est pour s’être rapproché du « bolivarien » que Manuel Zelaya, en 2009, a été renversé par un coup d’Etat. Lui non plus n’a rien oublié : « Chávez a été comme un frère qui a tendu la main au Honduras, entre autres à travers l’ALBA, en matière d’aliments, de réforme agraire, d’énergie et de solidarité. Bien peu de fois, dans l’histoire de ce pays, on a vu quelqu’un d’aussi désintéressé et généreux que le leader vénézuélien. »

    L’influence de Chávez sur le continent ? Du pétrole, un gros carnet de chèque et la constitution d’une clientèle d’obligés. On dira ici ce qu’on pense de cette analyse en termes polis : terriblement réductrice. Même ses adversaires politiques lui tirent un coup de chapeau. Très droitier chef d’Etat du Chili, Sebastián Piñera avoue : « J’ai eu l’honneur de travailler avec le président Chávez à la création de la première communauté qui regroupe tous les Etats d’Amérique latine et des Caraïbes [la Celac] et à travers laquelle il a montré un véritable engagement en faveur de l’intégration latino-américaine. » A Washington, le secrétaire général de l’Organisation des Etats américains (OEA), José Miguel Insulza, évoque, au-delà des coups d’éclat et des querelles qui les ont opposés, « l’ouragan, le phénomène de la nature dont tout le monde se souvient quand il l’a vu passer ». « On se rappelle surtout de ses polémiques, regrette-t-il, mais moins de l’énorme effort qu’il a fait, surtout à la fin de sa vie, pour l’unité de sa région. »

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  52. Membre de l’oligarchie hondurienne rétrograde qui a renversé Zelaya, même Porfirio Lobo admet : « Le président Chávez a été un leader extraordinaire, qui a lutté pour l’union des peuples latino-américains (…) Avec sa mort, l’Amérique latine perd un bon exemple et un homme qui a lutté pour l’inclusion sociale ; jamais le peuple vénézuélien n’en avait connu une comme celle dont il jouit aujourd’hui et ceci est un processus irréversible. »

    Adversaire ? Pis. A l’occasion, ennemis mortels. Des pics d’hostilité à odeur de souffre ont régulièrement agité les relations entre le Venezuela et sa voisine, la Colombie. Entre Chávez et l’extrême-droitier Álvaro Uribe ou son ministre de la Défense Juan Manuel Santos. Avec l’élection de ce dernier en 2010, les tensions ont diminué. Et c’est lui qui déclare : « L’obsession qui nous unissait, et qui a été la base de notre relation, était la paix de la Colombie et de la région. Si nous avons avancé dans un processus solide de paix, avec des progrès clairs et concrets, des avancées comme jamais il n’y en avait eu avec la guérilla des FARC [Forces armées révolutionnaires de Colombie], c’est aussi grâce au dévouement et à l’engagement sans limites du président Chávez et du gouvernement vénézuélien. (…) Il disait que c’est ce que voulait Bolivar, et il avait raison. »

    S’il fallait résumer, on laisserait le mot de la fin au populaire président uruguayen José « Pepe » Mujica : « On regrette toujours la mort, mais quand il s’agit d’un militant de première ligne, de quelqu’un que j’ai un jour défini comme “le gouvernant le plus généreux que j’aie jamais connu”, la douleur a une autre dimension. (…) Ce qui restera vivant est la cause de Chávez. L’essentiel. Une œuvre d’intégration. Et nous allons continuer à suivre ce chemin, avec ses contradictions, ses marches et ses contre-marches. Mais il n’y aura aucune personnalité, à court terme, pour jouer le rôle symbolique [de Chávez] parce que, lorsque tombe un très grand arbre, il laisse un vide gigantesque. Il y a des hommes qui symbolisent des causes. Pour l’heure, la cause demeure et nous avons perdu le symbole. (…) Mais le capital accumulé, débordant de richesse, permettra de dépasser ce moment. »

    A l’évocation d’un géant, les nains enragent. Certains nains médiatiques, pour être plus précis. Qui n’aiment guère rendre compte de l’actualité. Qui préfèrent la fabriquer. Ce qu’on appelle diffuser des « fake news ». C’est ainsi que, dans l’ex-quotidien d’information Le Monde, le 7 mars 2013, Paulo Paranagua, un gauchiste repenti et recyclé en « journaliste », poursuit la campagne haineuse qu’il mène depuis des années contre le Venezuela : « En dépit des discours sur l’unité de l’Amérique latine, le chavisme a nui à l’intégration régionale (…) » Après les déclarations qui précèdent, et que tout « observateur » digne de ce nom a forcément entendu, il faut oser. Mais certains osent tout. Comme dit l’autre, c’est à ça qu’on les reconnaît.

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  53. De la presse écrite à l’audiovisuel, il n’y a qu’un pas. De son décès le 5 mars au jour de ses obsèques, le 8, des centaines et des centaines de milliers de Vénézuéliens ont défilé dans Caracas et devant sa dépouille pour rendre hommage au comandante. « Pour me recueillir vingt secondes devant son cercueil, a témoigné Nelly Rivas, une chaviste appartenant à la classe moyenne, j’ai fait neuf heures de queue. D’autres ont attendu deux jours. Ce matin, mes frères y sont allés et ont dû rebrousser chemin : tout était paralysé par des queues interminables de gens qui, avec toute la patience du monde, étaient disposés à attendre le temps qu’il faudrait pour lui faire leurs ultimes adieux. »
    A Paris, le 8 mars, jour des obsèques, interrogé dans les studios de BFM TV par le présentateur du journal qu’étonnent ces files pouvant atteindre trois kilomètres, pour un caudillo attaqué sans répit par tous les médias et présenté comme un « dictateur », le « meilleur spécialiste du Venezuela » (d’après son éditeur), le « journaliste » François-Xavier Freland, fait une réponse qui restera dans les annales : « Oh, vous savez, dans cette foule, il y a beaucoup de curieux… »

    Dans son style direct, Rafael Correa, initiateur en Equateur de la « révolution citoyenne », avait, quelques jours auparavant, réglé son sort à cette catégorie de faux témoins : « Le fait qu’un visionnaire aussi solidaire puisse être transformé en criminel donne une idée de la dictature médiatique en Occident. Nous, nous devons continuer à lutter pour cette Amérique latine en pleine libération. L’Histoire donnera sa vraie place, sa vraie dimension à Hugo Chávez. »

    https://www.mondialisation.ca/il-y-a-dix-ans-mourait-hugo-chavez/5675738

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  54. ffondrement record des naissances en Norvège en 2022, dégâts massifs de la vaccination chez les femmes


    7 mars 2023
    par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes


    Alors maintenant, c'est officiel : comme vient de le rapporter le Statistisk Sentralbyro (Statistics Norway), il y a eu une baisse record des naissances de -9% en 2022. Alors qu'il y avait environ 55 000 naissances en 2021, il y a eu une diminution d'environ 4 500 naissances en 2022. Cela a également un impact sur la fécondité, qui a connu une baisse sans précédent depuis le début des records à 1,41 enfant par femme (contre 1,55 en 2021). À ce jour, plus de 15 000 rapports de crampes menstruelles ont été reçus, dont plus de 800 ont été classés comme « graves ». Il n'y a pas de réactions des autorités.

    Comme vient de le rapporter le radiodiffuseur norvégien NRK , il y a eu un effondrement massif des naissances en Norvège (ma traduction et emphase) :

    L' indice synthétique de fécondité (ISF) pour 2022 a été déterminé à 1,41 enfant par femme. Il s'agit d'une forte baisse par rapport à 1,55 l'année précédente et de la valeur la plus basse jamais enregistrée en Norvège : en 2022, 51 480 enfants sont nés en Norvège.

    Précisions sur la baisse des naissances des autorités
    Le Statistisk Sentralbyro écrit ce qui suit (ma traduction et emphase) :

    En 2022, 51 500 enfants sont nés en Norvège. C'est 4 500 de moins que l'année dernière et 1 500 de moins qu'en 2020, selon les nouveaux chiffres de Birth Statistics...

    Depuis 2009, l'indice synthétique de fécondité baisse chaque année sauf en 2021 . Puis il est passé de 1,48 en 2020 à 1,55 enfant par femme. En 2022, la valeur est de nouveau tombée à la valeur la plus basse jamais mesurée en Norvège de 1,41 enfant par femme.

    La poussée de fécondité de 2021 s'est avérée être un événement ponctuel au cours de la deuxième année de la pandémie de coronavirus. "Nous sommes maintenant de retour sur la tendance, avec une forte baisse de la fécondité", déclare Espen Andersen, Rådgiver senior à Statistics Norway.

    La fécondité a baissé chez les femmes de moins de 40 ans , alors qu'elle est restée stable chez les femmes de plus de 40 ans. La baisse est particulièrement forte chez les femmes âgées de 25 à 34 ans.

    "Le fait que la baisse soit la plus importante dans ces tranches d'âge a un impact particulièrement fort sur les taux de fécondité, puisque c'est à cet âge que la plupart des femmes ont leur premier enfant", a déclaré Andersen.

    Plus de la moitié des trentenaires sont sans enfant .

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  55. 2021 a donc été une petite exception aux tendances à long terme. Quelle que soit la part que les injections corona peuvent avoir dans cela - a rapporté TKP - la chute massive des taux de natalité, en particulier chez les femmes entre 25 et 34 ans, est peut-être un phénomène social beaucoup plus inquiétant que l'impact des "vaccinations" (bien que il est impossible aujourd'hui leurs conséquences à long terme).

    La Norvège – et l'Europe – s'autodétruit
    Les effets de la politique corona en particulier semblent être les forces motrices directes : l'assignation à résidence ("lockdowns") et la "distanciation sociale" - les deux ont été utilisées sans aucune preuve - ont poussé de nombreux "jeunes" dans la solitude ou l'ont aggravée.

    Soit dit en passant : à titre de référence anecdotique, je pourrais énumérer un grand nombre d'histoires de mes étudiants, dont une proportion assez élevée se plaignait précisément de ces problèmes.

    Cependant, les tendances à long terme sont particulièrement préoccupantes :

    - voir graph sur site -

    Fig. (même source que la contribution de Statistisk Sentralbyro) : « ingen barn » = sans enfant ; « 1 grange » = 1 enfant ; « 2 grange » = 2 enfants ; « 3 grange » = 3 enfants ; « 4 barn eller flere » = 4 enfants ou plus

    Comme le montre la visualisation, 2021 était une valeur aberrante qui ne se reflète pas dans la ligne de tendance : le nombre de femmes sans enfant augmente depuis la Seconde Guerre mondiale et il n'y a pas de fin en vue à cette tendance.

    Le taux de fécondité le plus bas se trouve à Oslo : en 2022, le taux de fécondité total n'était que de 1,25 enfant par femme. La valeur précédemment la plus basse jamais mesurée était de 1,34, mesurée en 1983.

    La seule exception à cette tendance est la région du Rogaland, où l'indice synthétique de fécondité en 2022 était de 1,57 enfant par femme.

    Baisse des taux de fécondité totale en Scandinavie
    La baisse de la natalité n'est pas un phénomène exclusivement norvégien. Ses voisins scandinaves enregistrent également une baisse non moins sévère des naissances par rapport à 2021.

    Parmi les quatre pays nordiques, la fécondité était la plus élevée au Danemark et en Suède, avec respectivement 1,55 et 1,52 enfants par femme en 2022. De loin, le taux de fécondité total le plus bas est en Finlande à 1,32, mais comme le note Statistisk Sentrabyro :

    La baisse de 2021 à 2022 a été similaire dans tous les pays.

    - voir graph sur site -

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  56. [Je] n'hésite pas à recommander le vaccin Corona aux femmes en âge de procréer.
    La Ministre de la Famille Kjersti Toppe (Parti du Centre) a déclaré :

    Je trouve troublant que le taux de natalité soit si bas. Au gouvernement, nous sommes particulièrement préoccupés par cette baisse.

    Et Anne Eskild, professeur et chef du département d'obstétrique et de gynécologie à l'hôpital universitaire d'Akershus à Oslo, a déclaré (même source) :

    Il y a beaucoup moins de personnes aujourd'hui qui tombent enceintes "accidentellement"... C'est peut-être une opinion controversée, mais ce n'est pas nécessairement une mauvaise chose de tomber enceinte accidentellement... Je trouve qu'une planification excessive peut aider les jeunes femmes à donner naissance à moins enfants.

    J'ai récemment discuté du dernier article mentionné sur ma sous-pile .

    Pourquoi personne ne parle de texte brut à ce sujet ?
    Cela ne semble pas "mieux" dans les autres pays européens non plus.

    La baisse de la natalité en 2022 est drastique, certes, mais - à l'instar de la surmortalité ( partie 2 ; partie 3 ) - les « grands médias et de qualité », les « experts » et la caste politique refusent toute discussion.

    Évidemment, une partie du problème est la question du cadre de référence : cependant, si l'on ne regarde « que » les trois dernières années, cela semble inquiétant ; vu sur plusieurs décennies, cela est à peine perceptible.

    Néanmoins : au moins ces rapports apparaissent encore et encore dans les « rapports de plomb et de qualité » ; la comparaison avec l'Autriche est frappante.

    Cependant, j'ai aussi l'impression que ces rapports épars contribuent également à normaliser cette situation - en particulier les conséquences des "vaccinations".

    Nous sommes encore loin d'avoir la discussion attendue à ce sujet. Un jour, cependant, ce sera inévitable.

    https://tkp.at/2023/03/07/rekord-geburteneinbruch-in-norwegen-2022-massive-impfschaeden-bei-frauen/

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  57. Héritiers de Rosalie Bertell ? Son importance pour un mouvement de femmes, compte tenu de la « nouvelle guerre contre toute vie et la Terre mère elle-même » d'aujourd'hui

    Présentation de l'auteur : Conférence DEP "Désarmer les femmes - Donne Disarmanti", Université Ca´Foscari, Venise, élargie et révisée en 2022


    Par le professeur Claudia von Werlhof
    Recherche mondiale,
    04 mars 2023


    Première publication le 13 février 2022
    Journée de la femme, le 8 mars 2023

    Introduction méthodologique
    Vous serez peut-être étonnés voire choqués par ma présentation suivante, car elle peut vous sembler très inhabituelle voire même assez radicale.

    La raison en est la perspective différente à partir de laquelle je parle maintenant : je n'argumente plus d'un simple point de vue humain. Le point de vue humain ou social est celui habituel à l'époque moderne de l'anthropocentrisme, qui inclut également les femmes et leurs opinions. Cependant, même l'écoféminisme n'est pas encore parvenu à vraiment changer de perspective, ou changer de camp - c'est-à-dire changer du côté de la nature, de la vie et même de la planète en tant que telle, en regardant le monde d'un autre point de vue, c'est-à-dire non humain - ou plus qu'un point de vue humain.

    Cette perspective était à l'origine indigène, celle que nous, en Occident, avons abolie avec le colonialisme. Mon point de vue diffère néanmoins de celui des indigènes dans la mesure où la nature et la planète aujourd'hui ne sont plus les mêmes, car elles ont été et sont largement transformées, voire « détruites », comme l'appelle Rosalie Bertell. Cela est dû à quelque chose que j'appelle le patriarcat, qui est une civilisation qui méprise et déteste toute vie, parce qu'elle veut la remplacer par sa propre "création", et par conséquent, s'engage dans son processus de destruction délibérée.

    Curieusement, cependant, presque personne ne voit cette destruction - car nous n'avons aucun concept pour cela. Nous sommes aveuglés par un « progrès » qui accompagne la destruction. Cela semble être au-delà de notre perception, même si nous savons, grâce à une mesure détaillée de son ampleur, que la destruction existe. Le philosophe autrichien Günther Anders , qui a fait la critique la plus profonde et la plus radicale de la menace nucléaire, a donc parlé d'un « apocalypse-aveuglement » dans la société occidentale. Il pensait que cet aveuglement face aux dangers de la technologie moderne est dû à une admiration générale pour elle, empêchant les gens de reconnaître les conséquences catastrophiques potentielles et même l'anéantissement de la vie que ces technologies proclament et apporteraient probablement, ou inévitablement, au monde, tôt ou tard.

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  58. Pour vaincre cet aveuglement, il n'y a qu'un seul moyen : regarder, ou du moins essayer de regarder le monde du point de vue de la nature, de la vie et de la planète elle-même. Cela signifie regarder ce que cette soi-disant civilisation leur a fait et leur fait en tant que monde non humain ou plus qu'humain, et parler en son nom. Bien sûr, sa destruction permanente en cours devrait être arrêtée immédiatement, sinon, nous, en tant qu'humains, ne survivrions pas non plus à ce que nous faisons à l'Autre. Et du point de vue de la nature et de la planète, ce « nous » comprend tous ceux qui pensent ne pas faire de mal du tout, aussi, parce qu'ils font partie de la race humaine et en tant que tels co-responsables de ce comportement.

    Dans ce contexte, je suggère la prise en compte des 16 points suivants :

    Nous savons que la question de la guerre, de l'armée et de la violence est la question la plus centrale et le résultat du patriarcat en tant que civilisation qui a une histoire de plusieurs milliers d'années au cours de laquelle la guerre est devenue l'« ultima ratio » de cette civilisation.
    Sans guerre et armée, il n'y aurait pas de patriarcat, et il n'y en a jamais eu. C'est le principal contraste avec la civilisation matriarcale, existant depuis des millénaires, avant l'établissement du patriarcat, et où aucune institution de guerre, de violence ou d'armée n'existait. Si quelqu'un essayait de changer cela, cela était immédiatement empêché (cf. Clastres).

    Les cultures matriarcales sont des cultures égalitaires et axées sur le consensus, c'est-à-dire qu'elles trouvent des solutions aux problèmes qui se posent en parvenant à un consensus au sein de leur communauté. Cependant, n'ayant jamais connu d'invasions violentes par une force militaire organisée de l'extérieur, les sociétés matriarcales ont été incapables de trouver des réponses.

    Face à la question de la guerre et de la violence, nous touchons directement au fondement de notre civilisation actuelle comme la dernière et la plus moderne des civilisations patriarcales, le « patriarcat capitaliste », comme nous l'avons défini. Je l'appelle le « système de guerre alchimique » (Werlhof 2011, 2013).

    Aujourd'hui, l'armée est organisée comme le complexe militaro-industriel, MIC, et liée au soi-disant «État profond» avec ses services secrets, etc. - tout ce qui nous est caché et n'atteint normalement pas le public.

    La façon dont l'armée existe aujourd'hui prouve à quel point nous sommes loin d'un monde sans patriarcat - contrairement à ceux qui pensent que le patriarcat est en train de disparaître ou qu'il a même déjà pris fin !

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  59. Aujourd'hui, nous sommes même confrontés à une situation complètement nouvelle à cet égard, à savoir rien de moins que la destruction continue de la vie sur cette planète, des cycles planétaires de maintien de la vie et même de la planète elle-même - en raison d'inventions, d'expériences et d'activités militaires. sur la base d'un nouvel armement vraiment futuriste, déjà en développement depuis la Seconde Guerre mondiale, c'est-à-dire depuis plus de 70 ans déjà (s.Bertell 20000/2020; Werlhof 2021). En fait, nous sommes entrés dans une nouvelle guerre mondiale qui est même planétaire, dans le sens où elle est plus que globale – elle atteint même le système solaire. Cette nouvelle guerre, et en fait, « totale », a déjà commencé et va se développer beaucoup plus loin. Elle implique l'utilisation simultanée de technologies et d'armements nucléaires et post-nucléaires.

    Une guerre basée sur la géo-ingénierie militaire est différente de presque tout ce que nous définissons comme guerre jusqu'à aujourd'hui, parce que cette nouvelle guerre n'est pas une guerre "officiellement" déclarée, elle n'a pas d'armées comme nous en avons l'habitude, elle ne dépend pas de frontières ni limites, elle ne fait pas nécessairement la distinction entre amis et ennemis, car elle est le processus de transformation de la planète entière et de ses immenses énergies naturelles, en une méga-arme et une gigantesque machine de guerre.

    Rosalie Bertell : « Les nouvelles guerres ne se font jamais avec les mêmes armes que les précédentes. Et la prochaine guerre sera celle contre l'environnement dans laquelle le temps, le climat et les catastrophes naturelles joueront un rôle… » ​​(Bertell 2011).

    La seule chose qui ressemble aux guerres précédentes, ce sont le secret et les mensonges qui l'accompagnent, et l'énorme système de propagande qui le légitime - niant même son existence. Cela est possible car – comme nous le dit Bertell – l'armée a, du point de vue de son armement, 50 ans d'avance sur nous.

    Cette guerre nous est plutôt expliquée comme le salut de la planète de quelque chose dont nous, le peuple, sommes responsables, à savoir la croissance des émissions de CO2 et les modes de consommation irresponsables qui conduisent au changement du climat planétaire et à une menace pour la vie. réchauffement », nous dit-on (Werlhof 2021).
    La nouvelle guerre est censée apporter la paix, comme George Orwell appellerait cette inversion.

    Des dimensions totalement nouvelles que comprend cette guerre, nous devons conclure qu'elle est liée à un projet sociétal plus large d'immense changement qui ne peut être réalisé ni démocratiquement ni pacifiquement (voir Werlhof 2021, Introduction).

    Il semble que nous soyons aux portes d'une révolution venue d'en haut qui va presque tout changer : toute la civilisation, telle que nous la connaissons, la façon dont les survivants de cette guerre vont y vivre, et tout l'environnement naturel , y compris la planète elle-même.

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  60. Ceux qui croient en un projet de salut pour la planète sont cependant amenés à croire que le système accepte de s'organiser de manière « alternative », voire « verte ». Mais la propagande des "villes intelligentes" nous dit autre chose (voir Heibel 2021), comme le G5 et la numérisation via l'IA, l'intelligence artificielle. Comme le dit Maria Heibel : Le gaz carbonique n'est que le bouc émissaire pour atteindre des objectifs très différents et obscurcit la vérité de l'arrivée d'un Nouvel Ordre Mondial qui va maintenant nous être imposé à tous.

    Il faut, qu'on le veuille ou non, analyser la situation et trouver des réponses à cette évolution, que ce soit en tant qu'êtres humains, que ce soit en tant que femmes, car dans cette guerre, c'est la vie elle-même qui est désormais menacée dans son intégralité , même la vie de la Terre Mère elle-même.
    Nous sommes confrontés à une toute nouvelle dimension de ce qui se passe, sur et avec la terre, une dimension jamais entendue auparavant dans l'histoire.

    C'est pourquoi il est urgent de repenser les activités, les réflexions et les sentiments que nous avons jusqu'à présent développés face à la guerre et surtout à la menace nucléaire (s. Caldicott 2002), car face au nouveau panorama qui s'ouvre , nos réponses précédentes sont loin d'être suffisantes.

    En tant que femmes, nous devons avouer que nos mouvements contre les guerres, y compris la menace nucléaire, n'ont pas été couronnés de succès jusqu'à présent. Si nous ne reconnaissons pas ce qui se passe maintenant – et avant tout, comprenons pourquoi – nous aurons encore moins de succès aujourd'hui.

    Nous semblons même être arrivés à une situation dans laquelle quelque chose comme la "guerre pure", comme l'appelait Paulo Virilio, approche, un monde dans lequel non seulement la démocratie telle que nous la connaissons, mais la vie civile en tant que telle va être submergée par la militarisation – et finira par cesser d'exister (voir Virilio/Lotringer 1984).

    Le concept même de « militarisation » peut être un symptôme de ce qui arrive, ce qui signifie que tout est transformé en arme : toutes les techniques, tout le travail, toute la communication, la politique, le sexe, les soins de santé, les systèmes éducatifs, la météo et même l'être humain lui-même en étant changé via le "transhumanisme" (s. Werlhof 2020).

    La civilisation de la machine armée du patriarcat qui met tout sous son contrôle – la méga-machine (voir Mumford 1970) – émerge maintenant à l'horizon. Cela signifie que nous, en tant qu'anciens humains libres et indépendants, sommes désormais censés ne devenir qu'une infime partie de cette machine. Ce sera notre nouvelle „part“-icipation.

    Les réalités destructrices sur terre ont commencé à se faire sentir partout.

    Comme nous l'avons déjà vu, ils nous sont expliqués comme les conséquences du gaz carbonique en tant que prétendues émissions de gaz à effet de serre des industries civiles et de notre mode de vie, entraînant un « réchauffement climatique » et un « changement climatique » dont nous semblons être nous-mêmes responsables.

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  61. De cette façon, nous sommes censés nous sentir coupables des problèmes de la planète et accepter les mesures proposées d'en haut, comme accepter une soi-disant "géo-ingénierie civile" comme une technologie censée nous sauver, nous et la planète, du réchauffement climatique. et le chaos climatique comme les principaux problèmes supposés de l'humanité aujourd'hui.

    Cependant, les concepts sous-jacents de cette "guerre de l'information" ne définissent jamais ceux qui sont vraiment responsables de ce qui se passe sur terre, c'est-à-dire les multinationales, le capital financier et le complexe militaro-industriel, l'État profond (s. Fraile 2021) et la « quatrième révolution industrielle » en tant que telle, ajoutant l'IA, l'intelligence artificielle, les nanotechnologies, les biotechnologies (technologies génétiques et synthétiques) à la géoingénierie militaire (voir Freeland 2021). Ils nous cachent et nous cachent que tout le récit et la fausse science sur le gaz carbonique et le réchauffement climatique sont une invention des vrais pouvoirs en place et découlent de leur sombre programme pour le monde (voir Engdahl 2018).

    Après la Conférence des Nations Unies sur le climat de Paris de 2015, le nouveau IPCC Intergovernmental Panel on Climate Change - Rapport spécial de 2018 se propage enfin pour mettre en œuvre ces nouvelles technologies planétaires qui jusqu'à présent n'ont pas été officiellement discutées, comme une solution possible (IPCC 2018).

    En premier lieu, il s'agit de la technologie dite SRM, gestion du rayonnement solaire (ou SAI), proposée pour pouvoir refroidir la planète en imitant une éruption volcanique, l'effet dit Pinatubo, ce qui signifie bloquer le soleil par des particules métalliques dans l'atmosphère, comme l'aluminium, le soufre (s. Keith 2015) et d'autres (s. Werlhof 2021, Geoengineering: From geo-weaponry to geo-warfare).

    Ce débat a été ouvert au public il y a seulement quelques années et a donné naissance à la prétendue « science » de la « géo-ingénierie civile » ou « ingénierie climatique », sans parler du passé militaire derrière, sans parler de son histoire troublante. Cette partie de l'histoire est carrément démentie.

    Le travail de Rosalie Bertell, cependant, est le premier à révéler une image totalement différente de ce qui se passe dans la réalité.
    Bertell (1929-2012) était une religieuse catholique et scientifique, spécialisée dans la biométrie, les catastrophes environnementales et les questions de santé, vivant aux États-Unis et au Canada. Elle a travaillé pour l'ONU en tant que spécialiste des accidents industriels dans le monde entier et a fondé diverses institutions, par exemple l'IICPH, l'Institut international de préoccupation pour la santé publique. Bertell a reçu 9 doctorats honorifiques ainsi que le Right Livelihood Award, entre autres.

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  62. Depuis que j'ai rencontré Rosalie en 2010, elle voulait que je poursuive son travail, le publiant et le discutant partout, et le rapportant davantage à la question du patriarcat comme notre civilisation moderne. De cette façon, j'en suis venu à me considérer comme un héritier de son travail.

    C'est pourquoi je suis ici et pourquoi je peux présenter aujourd'hui la version italienne de son livre le plus important : « Pianeta Terra. L´ultima arma di guerra“ (Trieste 2018, Asterios).

    Rosalie Bertell a écrit deux livres uniques : « No Immediate Danger ? Pronostic for a Radioactive Earth » (1985) et « Planet Earth. La dernière arme de guerre" (2000) - désormais disponible en italien, français, espagnol et allemand, déjà dans la 4e édition (depuis 2020, dans la 5e édition, ainsi qu'une nouvelle édition anglaise améliorée en 2020). Ils peuvent être considérés comme faisant partie des livres les plus importants du XXIe siècle.

    Le premier livre traite des problèmes de santé causés par le faible rayonnement nucléaire qui se produit même en temps de paix, à côté de l'industrie nucléaire et des centrales nucléaires, et explique la façon dont ces problèmes de santé sont transmis aux générations futures sans possibilité de guérison, car la génétique les altérations qu'ils provoquent sont irréversibles.

    Dans le deuxième livre, Bertell aborde les développements nucléaires et pour la plupart secrets des armes post-nucléaires pour la destruction planétaire - y compris la destruction en cours de la planète elle-même, qui est en train d'être transformée en une arme de guerre géante - et le développement historique de ce projet dans Est et Ouest jusqu'à présent.

    Du point de vue de l'analyse de Bertell, les réalités de la planète sont complètement différentes de celles qu'on nous raconte officiellement , et elles résultent d'origines très différentes de celles présentées au public.
    Selon les conclusions de Rosalie Bertell, nous sommes confrontés aux résultats de :

    200 essais nucléaires dans l'atmosphère et sur terre entre 1958 et 1998 seulement, qui ont endommagé la magnétosphère et l'atmosphère, modifiant même l'axe de la terre (maintenant observé par les Inuits) et abaissant le mouvement circulaire de la planète
    la manipulation du temps et du climat, la provocation de catastrophes apparemment naturelles et le changement des systèmes de support de la vie de la terre et des cycles dans l'air et au sol, en utilisant ce qu'on appelle des "armes à plasma"

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  63. Le SRM - gestion du rayonnement solaire - qui est censé être mis en œuvre maintenant par les géo-ingénieurs civils pour lutter contre le soi-disant réchauffement climatique, alors que le SRM est déjà utilisé secrètement depuis 30 ans avec des effets complètement différents et appliqué pour des raisons très différentes.

    Le SRM consiste en des avions pulvérisant des aérosols sous forme de nanoparticules dans l'atmosphère, et ils peuvent être vus presque tous les jours dans le monde entier. Ils déversent sur nous une variété toujours croissante d'aluminium et de métaux lourds comme le baryum et le strontium, des cendres volantes de charbon (s. Herndon 2018), des fibres, des polymères, des virus, des bactéries et bientôt, ou déjà, même des minimachines sous forme de nanobots, tous qui nous rendent malades. De plus, ceux-ci nous relient en tant qu'êtres vivants via des micro-ondes avec des dispositifs spéciaux au sol ainsi qu'avec des satellites en orbite (voir les activités d'Elon Musk, cf. Freeland 2021).

    De cette façon, nous sommes continuellement empoisonnés ; la toxicité accrue dans l'atmosphère et dans notre corps provoque la maladie d'Alzheimer et d'autres maladies neurologiques, le cancer, les maladies cardiaques et pulmonaires et l'autisme , une maladie qui semble toucher particulièrement les garçons. Selon une estimation pour les États-Unis, presque toutes les générations futures en seront affectées (voir Klinghardt 2016). Nous sommes déjà sur la voie du « transhumanisme » où notre survie dépend de la façon dont nous parvenons à vivre en tant que cyborgs (« Homo transformator », s. Wörer 2017 ; Werlhof 2020).

    Plus récemment, DEW, les armes à énergie dirigée (s. Wood 2014, Johnson 2017) doivent être débattues, basées sur les ondes EM - électromagnétiques - qui semblent avoir été appliquées lors du 11 septembre et dans les soi-disant incendies de forêt partout dans le monde. monde (voir Kadia 2021). Cependant, le public manque toujours d'une analyse plus approfondie de ces armes.
    L'aspersion de l'atmosphère via SRM est cependant officiellement démentie partout – alors que Monsanto (aujourd'hui Bayer) a inventé une graine qui résiste à l'aluminium, l'un des principaux composants des aérosols. Alors, comment ont-ils su ?

    En outre, la technologie de pulvérisation de SRM est liée à d'autres techniques de géo-ingénierie pratiquées secrètement par les militaires, à savoir les armes à plasma mentionnées ci-dessus, car les nuages ​​​​artificiels produits par la pulvérisation de métaux offrent un guidage et une "atmosphère de remplacement" artificielle pour les ondes électromagnétiques. des armes à plasma à se propager même là où l'atmosphère a été affaiblie ou détruite entre-temps (appauvrissement de la couche d'ozone, s. Herndon 2018, Werlhof 2018).

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  64. De cette façon, la pulvérisation de SRM n'a rien à voir avec le refroidissement de la planète. Il a été inventé et appliqué pour la première fois pendant la guerre du Vietnam sous le nom d'"Agent Orange" - mais un prétendu refroidissement est la principale raison pour laquelle cette méthode est maintenant propagée pour être appliquée dans un proche avenir !

    Recourir désormais officiellement à la méthode du SRM, signifie seulement commencer à appliquer la géo-ingénierie militaire en tant que telle, la définissant même comme sauveur de la planète, alors qu'en réalité, c'est l'inverse qui est vrai.

    À propos des nouvelles armes à plasma :

    L'utilisation d'armes à plasma se produit depuis les hauteurs de l'ionosphère , de 100 à 200 km d'altitude et bien plus, et entraîne des catastrophes apparemment naturelles sur terre.
    Ces armes sont beaucoup plus difficiles à comprendre. Ils sont basés sur les inventions de Nicola Tesla - un physicien et inventeur serbe, vivant de 1856 à 1943. Tesla a travaillé avec l'électromagnétisme terrestre et a inventé la production et l'utilisation de l'énergie électrique sous toutes ses formes , y compris le courant alternatif, les appareils électroniques et la communication sans fil - tout ce qui est généralement utilisé aujourd'hui.

    Sur la base de ses travaux, il a été possible d'inventer des bras qui fonctionnent avec des ondes électromagnétiques , produites artificiellement et pulsées jusqu'à des milliards de watts qui peuvent atteindre haut dans l'ionosphère et redescendre vers la terre, même en passant par son noyau - son cœur - menant à la destruction délibérée et planifiée là où ils arrivent.

    Rosalie Bertell a comparé ce fonctionnement à un canon de l'ionosphère qui menace la terre d'en haut. Ces armes sont des armes à plasma, le plasma étant un état électrifié de la matière au-delà du solide, du liquide ou du gaz. Ces armes sont appliquées par des radiateurs dits ionosphériques, comme le HAARP (High Frequency Active Aurora Borealis Research Program) en Alaska.

    Il existe environ 3 à 4 douzaines de ces installations fonctionnant à différents niveaux de puissance sur terre actuellement, certaines des plus récentes étant MUOS en Sicile et Marlow dans le nord-est de l'Allemagne.

    La technologie du plasma est à la base de toute géo-ingénierie militaire, de même que toute la pulvérisation de l'atmosphère y est nécessairement liée. Du point de vue de l'armée et du complexe militaro-industriel derrière elle, en conjonction avec le programme de l'État sombre et profond pour l'avenir de la planète, cette technologie et cette stratégie ne seront très probablement jamais abandonnées.

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  65. La Convention ENMOD (Environmental Modification Convention) de l'ONU explique toutes ces méthodes déjà en 1977 après la guerre du Vietnam, dans laquelle certaines d'entre elles avaient été utilisées.
    Au total, ils comprennent la mise en œuvre artificielle de : tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis, changement du temps dans une région géographique entière et pendant une période prolongée, ouragans, sécheresses, incendies et inondations, et changement des courants océaniques (el Nino, la Nina).

    On peut également utiliser les ondes EM pour modifier les courants-jets, les courants de vent qui se déplacent à grande vitesse autour de la terre et influencent la distribution de la chaleur et du froid. On peut influencer les courants de vapeur de la terre qui gèrent la distribution de la pluie, et avec les pulvérisations on peut transporter l'humidité d'une région du monde à une autre, car le métal dans l'air lie l'humidité (les effets étant la pluie et la neige en Arabie Saoudite , assèchement de l'Europe et de la Californie…)

    Après des décennies d'expérimentation, à commencer par la Seconde Guerre mondiale, et une guerre secrète en cours au niveau de la planète en tant que telle, nous sommes maintenant confrontés à ce que j'appelle "le moment de vérité" (Werlhof 2018). Cela signifie que la terre a été endommagée d'une manière qui va finalement être le début de la mort de la vie sur terre, si rien n'est fait MAINTENANT pour l'empêcher.
    Il existe en fait des preuves réelles de cela, comme l'ont récemment enquêté, par exemple :

    La mort continue de la couche d'ozone dans l'atmosphère. Les rayons UV-B et -C mortels du soleil, qui ne sont plus filtrés par la couche d'ozone, atteignent la surface de la terre, produisant une brûlure toxique et provoquant la mort par suffocation de nombreuses formes de vie, en particulier les plus petites, car l'ozone est une sorte d'oxygène atmosphérique. De cette façon, la chaîne alimentaire est interrompue et avec elle, la reproduction de la vie en tant que telle.

    Déjà en 2007, la NASA, l'Agence spatiale nord-américaine, était au courant de cela et n'a rien fait pour alarmer le public ou mener d'autres recherches (voir Herndon 2018).

    Marvin Herndon de San Diego et al. ont découvert que la vie dans les océans ainsi que sur terre est affectée : par la mort du plancton, de la sanglante des coraux et des insectes qui meurent, de sorte que les oiseaux meurent également (voir Carson 1962 : Silent Spring), et les arbres perdent leurs capacités de reproduction à mesure que les structures cellulaires et tout leur environnement sont génétiquement et chimiquement modifiés. A la fin, l'agriculture deviendra impossible. En conséquence, il n'y aura pas assez de nourriture pour nourrir le monde si ce processus se poursuit.

    Les prophéties de Rosalie deviennent déjà de terribles réalités : le processus de la couche d'ozone qu'elle a anticipé, nous oblige à devenir actifs maintenant. L'ozone est la robe ou la robe de la terre, une couche très fine et spéciale qui est unique dans l'univers et qui est la raison pour laquelle la vie pourrait se développer sur terre. Sans ozone, la terre est nue, sans protection et exposée aux rayonnements solaires non filtrés de tous types, dont les UV sont les plus nocifs (plus gamma, rayons X, infrarouges, micro-ondes). A terme, si ce processus se poursuivait, la terre ressemblerait donc et deviendrait comme Mars… inhabitable.

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  66. Il faudrait des décennies pour réparer la couche d'ozone, connaître les raisons de son appauvrissement et les empêcher de fonctionner. Le CFC était censé en être la cause, et il était déjà interdit dans les années 1980 (Protocole de Montréal). On a fait croire à tout le monde que la couche d'ozone se rétablirait. Depuis 2018, cependant, les données montrent que ce n'était pas le cas, au contraire. La couche d'ozone s'est même affaiblie partout, pas seulement aux pôles.

    La nouvelle mauvaise nouvelle concernant la couche d'ozone ne peut s'expliquer que par les effets de la radioactivité et de la géo-ingénierie militaire dans leur ensemble, y compris leurs applications civiles :
    Ils sont tous préjudiciables à la couche d'ozone qui se situe dans la stratosphère entre 10-25 km, au-dessus de la troposphère et au-dessous de l'ionosphère (l'oxygène O2 de la surface terrestre y étant transformé en O3 par le rayonnement solaire). Le processus de formation de l'ozone est perturbé par la radioactivité (s. Fuskushima) et la couche d'ozone en tant que telle est menacée par les ondes électromagnétiques, qui la perforent par les vols supersoniques, les fusées et tout le trafic aérien, en particulier la pulvérisation de SRM - qui se produisent à côté de la couche d'ozone, à l'intérieur de celle-ci ou la traversant et la traversant, et, enfin et surtout, par les micro-ondes d'en bas et d'en haut.

    L'application de ces technologies devrait être complètement supprimée, le principal problème étant la radioactivité qui ne peut être contrôlée une fois qu'elle a été libérée.

    Notre connaissance et notre compréhension de ces processus signifient que nous savons maintenant ce que nous devons récupérer de toute urgence !
    Jusqu'à aujourd'hui, il n'y a pas de débat sur les véritables raisons de l'appauvrissement de la couche d'ozone, même s'il existe des preuves concrètes telles qu'elles sont mesurées. Ainsi, la première chose à faire est d'informer le public qui n'a aucune idée de ces dangers et de leurs causes réelles. Au contraire, la « guerre de l'information » d'aujourd'hui consiste à alimenter systématiquement le public avec de fausses explications.

    Rosalie Bertell était toujours optimiste quant aux mouvements en cours et nouveaux pour le changement social dans le monde entier pour faire face à la nouvelle guerre qui se développe, y compris le mouvement des femmes pour lutter pour un monde sans patriarcat, sans capitalisme et sans armée. C'était dans les années 1990, quand elle a écrit son livre "Planet Earth".
    Cependant, avant son décès en 2012, Rosalie était devenue plus pessimiste, car de nombreux mouvements avaient échoué ou disparu entre-temps, ou se sont corrompus, et aussi parce que l'armée et son nouveau développement d'armements n'étaient ni reconnus ni compris par le public et par les mouvements sociaux, y compris le mouvement des femmes.

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  67. La connaissance des technologies modernes n'est pas encore devenue une tradition féminine, pas plus qu'une vision de la terre comme celle qu'avait Rosalie Bertell, considérant la planète comme un macro-être cosmique vivant - dans lequel toute vie est interdépendante dans un ensemble organique plus vaste. toile de vie, connue depuis des millénaires dans toutes les sociétés pré-partriarcale et indigène. Cette compréhension a été abolie avec l'essor de la science moderne qui a fait place à la vision moderne de la planète comme une roche morte traversant un univers mort.

    Les femmes, et même les mouvements sociaux de femmes aujourd'hui, n'ont pas encore saisi ce qui se passe. Ainsi, ils ne sont pas préparés à assimiler, reconnaître et discuter de manière critique de ce qui se passe entre-temps. Et les hommes et leurs mouvements ne développent normalement pas une critique des technologies modernes car ils sont "aveugles à l'apocalypse" (Anders), et continuent à les comprendre et à les définir comme un progrès ! Notre critique du patriarcat ne les a pas atteints.

    Les deux principaux dangers que vit Bertell consistent en ceci :
    Les effets des radiations nucléaires en cours, y compris Fukushima. Elle demande : « Sommes-nous les dernières générations ? » (Bertell 2016)
    Les effets de la géo-ingénierie militaire. Elle demande : Planète sans avenir ? De nouvelles armes par la destruction de la Terre Mère » (Berthe 2017).
    Ainsi, un nouveau mouvement de femmes est nécessaire, si possible mondial, afin de discuter et de comprendre les causes de la destruction planétaire du patriarcat, et de promouvoir un mouvement pour l'abolition totale de ces technologies dévastatrices.

    Cependant, il est peu probable qu'un tel mouvement devienne actif en temps voulu, car la plupart des femmes qui voulaient s'organiser, ont été la proie de la tromperie délibérée d'en haut sur les dangers présumés du gaz carbonique, incapables de développer leur conscience des interventions militaires secrètes. (v. 14e Infolettre PBME : Manifeste de la société civile et ONU femmes pour la justice climatique).

    Notre objectif en tant que femmes doit néanmoins être d'organiser un nouveau mouvement qui agisse simultanément dans deux directions : en faveur de la terre mère, de la planète, de la nature et de la vie, d'une part, et en désignant celles qui détruisent activement eux, d'autre part, afin que les faits de la vie puissent être connus.

    Nous sommes désormais tous héritiers des découvertes de Rosalie Bertell dans le sens où nous savons pour la première fois, comment et par quels moyens la guerre contre la vie et la planète existe et s'opère !

    Cet avantage de la connaissance est dû à Bertell et à ses années de recherche approfondie. Mais, deux choses que nous ne savons pas encore : POURQUOI tout cela se passe-t-il, et QUE pouvons-nous faire pour l'arrêter.

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  68. POURQUOI tout cet arsenal destructeur a-t-il été développé ? Pour Bertell, il suffisait de le voir en relation avec l'activité destructrice de l'armée et du complexe militaro-industriel (MIC) en tant que tel.
    Afin de faire face aux nouveaux dangers, cependant, nous devons en comprendre davantage :

    Pourquoi ces armes ont-elles pu être inventées et entrer dans le monde ?
    Pourquoi presque personne n'en avait connaissance et pourquoi presque personne ne leur résiste-t-il ?
    Pourquoi la remise en cause du militaire est-elle un « tabou », l'empêchant ainsi d'entrer dans le débat ?
    Pourquoi l'armée est-elle autorisée à faire ce qu'elle veut et, comme nous le savons maintenant, à menacer même toute vie et les conditions mêmes de la vie sur la planète, y compris la planète elle-même ?
    Ici, je peux proposer notre « théorie critique du patriarcat » comme explication. Nos recherches ont montré que le patriarcat ne consiste pas simplement à dominer les femmes d'une manière ou d'une autre, mais que le patriarcat est un système, une "civilisation" entière, et c'est celui qui s'est développé dans ce que j'appelle le "système de guerre alchimique" que nous vivent actuellement (Werlhof 2011, 2013, 2022/3).

    Cela a à voir avec l'idée utopique des patriarches de transformer le monde d'un monde orienté vers la mère en un monde orienté vers le père, ce qui signifie que tout l'ordre terrestre est changé et transformé en un ordre de création masculine, au lieu de rester féminin/maternel. Depuis les débuts du patriarcat, par exemple dans l'ancienne alchimie, cela a déjà été discuté et pratiqué : des techniques qui conduiraient à faire tourner la nature et à la bouleverser pour devenir patriarcale au lieu de rester matriarcale. La nouvelle civilisation ne dépendrait donc plus des mères et de la nature, mais serait indépendante d'elles et remplacée par les inventions masculines. En fin de compte, ce processus a conduit à des technologies modernes qui prétendent toutes faire partie d'une civilisation meilleure, plus "divine et supérieure" - celle créée par les "Pères".

    Cependant, le revers de la médaille d'un tel progrès est la destruction, car l'alchimie de la transformation implique la mort de la nature et de la mère, tout en étant transformée en matière première à « extraire » pour le « meilleur des mondes » des pères.

    Tel est le cas de la géo-ingénierie en tant que forme de ce que j'appelle "l'alchimie militaire". C'est la dernière expression d'une civilisation planétaire et patriarcale et de sa "haine de la vie" - le motif pour détruire délibérément cette vie de manière toujours plus efficace, et propager son remplacement par les inventions soi-disant meilleures et plus élevées de la "création" masculine. Cela inclut même la terre en tant que telle, car le complexe militaro-industriel et ses penseurs de l'état profond envisagent une « meilleure planète », qui, dans leur pensée, doit devenir gérable et obéissante, une qui doit être apprivoisée par eux, donc il agit comme ils veulent qu'il agisse - et cela signifie: comme une machine de guerre géante à leur disposition. Dans le patriarcat, l'armée est au pouvoir et presque tout le monde croit au progrès et au développement !

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  69. Ce qu'il faut faire ? Tout d'abord, nous devons diffuser les connaissances sur ce qui se passe et pourquoi, afin de sortir de l'obscurité de l'ignorance et de la séduction en temps de « guerre de l'information ».
    Nous devons récupérer nos conditions de vie planétaires que l'armée ne devrait pas être autorisée à menacer, comme l'a dit Rosalie Bertell. Et en effet, cette menace arrive à la terre, à l'eau, à l'air et maintenant même à la lumière du soleil ! – à tous les éléments de la vie terrestre.

    Nous, les femmes, devrons inventer d'autres formes de lutte. Nous pouvons apprendre de l'amour de Rosalie pour la Terre Mère. Sa « conscience planétaire » est une conscience qui comprend la terre comme un grand être cosmique vivant, amical, beau et maternel, mais pas humain. La Terre Mère est la seule que nous ayons !

    Cela implique que nous devrions être reconnaissants et heureux avec cette terre. Nous devons nous battre pour lui, le protéger et le sauver de tant d'agressions ! C'est ce dont on a le plus besoin aujourd'hui.

    Un être fort est aussi un être vulnérable, on le sait. Alors, il faut accepter notre responsabilité et changer de camp : du côté de la société humaine au côté de Mère Nature, de la terre et de la vie, regarder avec leurs yeux, les laisser nous parler, les écouter, comprendre leur souffrance, sentir leur force ainsi que leur désespoir – leur demander conseil et leur offrir notre amour, notre respect et notre protection. Quoi d'autre?

    Nous le devons à elle et à toute la vie.

    Parce que ce sont les humains qui détruisent la terre, il ne peut y avoir que des humains pour arrêter cela. Ces humains c'est NOUS !

    Afin de rassembler le courage pour cela, et après avoir consciemment compris l'esprit clair de Rosalie Bertell, nous allons très probablement d'abord traverser l'enfer, et je parle d'expérience. C'est un pur enfer quand on arrive vraiment à cette profondeur de compréhension de la situation actuelle – car cela implique aussi de ressentir dans son corps – ce qui se passe sur la terre aujourd'hui. Vous le ressentirez comme de la peur, cela vous choquera profondément, c'est fort, vous tomberez malade, tout votre corps tremblera, c'est comme un tremblement de terre dans votre corps, votre esprit et votre psyché en même temps…

    C'est la crise à laquelle vous devrez vous attendre et que vous traverserez, lorsque vous changerez de perspective et que vous vous tournerez du côté de la planète vivante. La crise ne peut être évitée. Mais, c'est mon expérience des enfers que j'ai traversés dans ce processus, vous pouvez en sortir à nouveau. Mais d'ici là, vous aurez perdu vos illusions sur cette société et cette civilisation, ses dirigeants, ses institutions et sa politique. Vous aurez appris les myriades de sentiments dont nous disposons en tant qu'êtres humains. Certains sentiments ont presque été perdus, comme une profonde tristesse, une profonde joie, une profonde douleur et une profonde compréhension. Celles-ci ressurgissent alors dans toute leur intensité et leur beauté. Et à la fin il y a un sentiment en particulier : L'AMOUR. C'est l'amour comme vous ne l'avez pas connu auparavant. L'amour est lesentiment de tous les sentiments. C'est la raison pour laquelle vous vous sentez du tout! L'amour doit être d'origine cosmique parce qu'il a à voir avec notre être cosmique, la terre vivante et toute vie qui s'y trouve.

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  70. Ainsi, la réponse est : "l'Amour Cosmique" - au lieu de la haine patriarcale. Cet Amour est bien plus grand et plus puissant que la haine, car c'est la force cosmique en tant que telle, alors que la haine n'est qu'une invention humaine ou une inversion, une erreur qu'on peut laisser de côté – non : l'Amour Cosmique. Cosmic Love va nous montrer quoi faire, comment le faire et comment rester fort.
    Cet amour n'est cependant pas facile. Cela ne remplace pas notre responsabilité pour ce qui se passe sur terre. Au contraire, il définit cette responsabilité et nous conduit non seulement à ressentir, mais aussi à penser et à agir en son nom. Il nous dit que nous avons en effet le pouvoir d'arrêter la transformation violente du monde qui nous entoure. Nous avons le pouvoir de réorganiser notre civilisation jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau en synchronie avec la nature - devenant une civilisation de l'amour, au lieu de la haine.

    C'est notre devoir de femmes et d'humanité. Nous sommes le résultat de l'amour cosmique. Ainsi, nous sommes appelés non seulement à nous souvenir de cela, mais à l'appliquer comme un pouvoir pour notre libération. Libération des forces de la haine, de la violence et de la guerre qui sont utilisées pour détruire et transformer la terre vivante et toute vie en leur contraire !

    Dans un premier temps, nous devons apprendre à aimer et à soutenir – la terre ! Ainsi, elle peut être et sera avec nous, maintenant et à l'avenir, nous soutenant également de toutes ses forces. Nous pouvons en faire l'expérience dans des contextes rituels et d'autres méthodes que nous connaissons.

    De plus, nous devons inventer des formes d'accompagnement pour traverser l'enfer et connaître l'Amour, c'est-à-dire apprendre à aimer, aimer à un niveau profond et global, y compris l'amour pour le monde plus qu'humain. L'amour est le seul pouvoir qui va nous aider dans la lutte à venir – une lutte que nous ne pouvons plus éviter. Le temps est venu d'agir et de montrer que la race humaine est en faveur de et avec la terre et avec la vie elle-même, pas contre eux !

    Sinon nous serons perdus à Armageddon, sinon même un possible "Omnicide" comme nous prévient Rosalie Bertell.

    Or : un mouvement ne s'invente pas. Il doit émerger tout seul. C'est un mystère. Un événement d'amour spirituel et collectif est un mystère - cela peut arriver ou non. Personne ne sait à l'avance.

    *

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  71. Claudia von Werlhof , née en 1943 près de Berlin, en Allemagne, est professeure universitaire de sciences politiques et d'études féminines en Autriche à Innsbruck, mère d'un fils. Elle a co-inventé la "Bielefeld School" en Allemagne, a travaillé sur le terrain en Amérique centrale et du Sud, a développé la "Théorie critique du patriarcat", a co-fondé le FIPAZ (Institut de recherche pour la critique du patriarcat et des civilisations alternatives), le « Mouvement planétaire pour la Terre Mère » et « BOOMERANG – Journal pour la critique du patriarcat ».

    Elle est associée de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation, Montréal.

    Sources

    Anders, Günther, 1992/1995 : Die Antiquiertheit des Menschen, 2. Bde, München, Beck

    Bertell, Rosalie, 1985 : Aucun danger immédiat. Prognosi for a Radioactive Earth, Londres, Women´s Press

    2000 : Planète Terre. La dernière arme de guerre, Londres, The Women´s Press
    2010 : Sommes-nous les dernières générations ? Interview, dans : BOOMERANG, Nr. 2, 2016, www.fipaz.at
    Planète sans avenir ? Entretien, dans BOOMERANG, Nr. 3, 2017, www.fipaz.at
    2011, Slowly Wrecking our Planet, 3e lettre d'information, www.pbme-online.org
    2011-2020, Kriegswaffe Planet Erde, 5 éditions, Gelnhausen, JK Fischer
    2018, Pianeta Terra. L´ultima arma di guerra, Trieste, Asterios
    2018, Planeta Tierra – la última Guerra, Guadalajara, La Casa del Mago
    2018, La Planète Terre. Ultime Arme de Guerre, 2. Vol., Paris, Talma
    2020, Planète Terre. La dernière arme de guerre, édition améliorée, Dublin, Talma International
    Caldicott, Helen, 2002 : Le nouveau danger nucléaire, New York, The New Press

    Carson, Rachel, 1962 : Printemps silencieux, Boston, Houghton Mifflin

    Clastres, Pierre, 1981 : Freiheit – Fatalität – Namenlos, in : Unter dem Pflaster liegt der Stran, Bd. 8, Berlin, S. 85-99

    Engdahl, William, 2018 : Changement climatique, scénarios de panique, débat scientifique meurtrier. La sombre histoire du « réchauffement climatique », dans Global Research, 16.10.18

    Fipaz, Institut de recherche pour la critique du patriarcat et des civilisations alternatives, www.fipaz.at

    Fraile, Josefina, 2021 : De la géo-ingénierie à un nouveau pacte pour la nature : Détruire la Terre à des fins lucratives, in : Werlhof, C. v. (Ed.) : Global WAR-NING ! pp34-48

    Freeland, Elana, 2021 : Géoingénierie, le « État profond » et le verrouillage planétaire, dans : Werlhof. Cv (Ed.) : AVERTISSEMENT MONDIAL ! pp14-21

    Heibel, Maria, 2021 : Le CO2 comme bouc émissaire et voie vers un « meilleur des mondes », in : Werlhof, C. v. (Ed.) : Global WAR-NING ! pages 57-62

    Herndon, Marvin, 2018 : http://www.NuclearPlanet.com/uv.html

    Rapport de l'IPCC 2018 : SR1.5 – Rapport spécial 1,5 – IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) 8e février. Octobre, Incheon, Corée du Sud

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  72. Johnson, Andrew, 2017 : Uncommon Purpose – Agenda 2022, dans : BOOMERAN, Nr. 3, www.fipaz.at

    Kadia, Conny, 2021 : Incendies de forêt artificiels au Portugal 2017, dans : Werlhof, C. v. (Ed.) : Global WAR-NING ! pages 22-33

    Keith, David, 2015 : Projet SCOPEX, dans : Der Spiegel, Hambourg, juin

    Klinghardt, Dietrich, 2016 : Effets des chemtrails sur la santé, https://www.youtube.com/watch?v=f1eqT-xu54Y

    Mumford, Lewis, 1970 : Le mythe de la machine. Le Pentagone du Pouvoir, San Diego. Harcourt Brace* Co

    PBME, Mouvement Planétaire pour la Terre Mère, 2018 : 14 e Infolettre, www-pbme-online.org

    Orwell, George, 1949 : 1984, Londres, Secker et Warburg

    Tesla, Nikola, 1919/1982 : Mes inventions, dans : Expérimentateur électrique, Neuhrsg. Ben Johnson, février—juin, New York

    ONU, 1977 : Convention sur la modification de l'environnement (ENMOD). Convention sur l'interdiction de l'utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l'environnement, signée le 18 mai, Genève

    Virilio, Paul et Lotringer, Sylvère, 1984 : Der reine Krieg, Berlin, Merve

    Werlhof, Claudia de :

    2011 : L'échec de la civilisation moderne et la lutte pour une alternative « profonde », Francfort-sur-le-Main, Peter Lang

    2013 : Destruction par la « création » – La « théorie critique du patriarcat » et l'effondrement de la civilisation moderne, in : CNS, Capitalism-Nature-Socialism, Vol. 24, n° 4, pp.68-85
    2018, Wissenschaftler schlagen Alarme ! Ozonschicht lässt hochgefährliche kosmische Strahlung durch, in: raum& zeit, Juli; français : Le moment de vérité est arrivé ! Et maintenant? Menace pour la vie sur la planète Terre : disparition de l'ozone et rayonnement cosmique ultraviolet mortel, auf globalresearch.ca , 26 avril 2018
    2020, https://www.globalresearch.ca/compulsory-vaccination-no-longer-human-being/5716572
    2021, (Ed.) : AVERTISSEMENT MONDIAL ! La géoingénierie détruit notre planète et l'humanité, Montréal, Global Research (e-book)
    Vater des Nichts. Zum Wahn einer Neuschöpfung der Welt. 2 Bde., Höhr-Grenzhausen, Zeitgeist, 2022/3 à paraître
    Wörer, Simone, 2017 : Homo Transformator und die Krise der Gabe, Dissertation, Universität Innsbruck

    Wood, Judy, 2014 : Où sont passées les tours ? Preuve de la technologie d'énergie libre dirigée le 11 septembre, Port Townsend, Feral House

    https://www.globalresearch.ca/heirs-rosalie-bertell-her-significance-women-movement-view-today-new-war-against-all-life-mother-earth-herself/5793198

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  73. Les « lockdown files » — Le nouveau scandale britannique révèle la gestion calamiteuse et « non-scientifique » de la pandémie covid


    Par Francesca de Villasmundo
    Mondialisation.ca,
    06 mars 2023


    La divulgation de plus de 100 000 messages WhatsApp de l’ancien secrétaire à la Santé britannique Matt Hancock dans les colonnes du Telegraph jette une lumière crue sur la gestion de la pandémie covid par le gouvernement de Boris Johnson. Confinements, fermetures des écoles, tests, l’argument scientifique n’a été qu’un argument fallacieux en faveur d’enjeux politiques.

    La divulgation des messages était « dans l’intérêt public », explique la lanceuse d’alerte, la journaliste Isabel Oakeshott

    Le Telegraph a obtenu plus de 100 000 messages WhatsApp entre Matt Hancock, le ministre de la Santé britannique et d’autres ministres et fonctionnaires au plus fort de la pandémie de Covid-19. Les messages ont été remis au quotidien britannique par la journaliste Isabel Oakeshott, qui les a reçus de M. Hancock lui-même alors qu’ils travaillaient sur son livre Pandemic Diaries. M. Hancock a qualifié la fuite de ses messages par Mme Oakeshott de « trahison massive » utilisée pour produire « un compte rendu partiel et biaisé adapté à un programme anti-verrouillage ».

    Mais Isabel Oakeshott a insisté hier sur le fait que la divulgation des messages était « dans l’intérêt public ». « Je ne pense pas qu’il devrait y avoir une répétition des catastrophes induites par les verrouillages », explique-t-elle en qualifiant les textes de « document historique vital à un moment où nous avons besoin de réponses urgentes ».

    Les communications couvrent les années de la pandémie et révèlent des discussions entre le secrétaire à la Santé de l’époque et ceux qui sont au cœur du processus décisionnel, y compris le Premier ministre de l’époque, Boris Johnson. Ils font apparaître l’inhumanité et la folie des confinements et des mesures restrictives imposés aux Britanniques. Ils révèlent également l’approche souvent désinvolte que les ministres ont adoptée pour prendre des décisions importantes, notamment l’appel à la fermeture de salles de classe, l’introduction de masques faciaux dans les écoles et la fourniture de tests dans les maisons de soins.

    Absence de justification solide, mesures inhumaines et inefficaces, pression sur la police, données erronées n’ont pas empêché les confinements et les mesures liberticides à répétition
    Par exemple Matt Hancock a rejeté l’avis d’un des conseillers du ministère de la Santé qui lui faisait remarquer que les restrictions imposées aux visiteurs des maisons de soins étaient « inhumaines ». Ainsi les résidents sont restés isolés plusieurs mois.

    Les masques faciaux ont été introduits dans les couloirs et les zones communes des écoles après que le Premier ministre a été informé que cela éviterait une « dispute » avec le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon.

    Alors que l’ancien secrétaire à l’éducation, Sir Gavin Williamson, avait persuadé le Premier ministre de garder ouvertes les écoles en janvier 2021, Matt Hancock a décidé de les fermer tout de même.

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  74. De même le gouvernement Johnson savait qu’il n’y avait « aucune justification solide » pour imposer la « règle de six » aux enfants, mais l’a quand même fait.

    Le secrétaire à la Santé a également déclaré que le gouvernement devrait « s’acharner sur la police » pour l’aider à réprimer les contrevenants aux règles des confinements.

    Les plus hauts conseillers scientifiques du gouvernement ont déclaré au Premier ministre que la mise en place des mesures de confinement n’était pas « très efficace ». Boris Johnson lui-même a évoqué la perspective de donner aux plus de 65 ans « le choix » entre se protéger du virus ou prendre ce qu’il espérait être un « risque de plus en plus décroissant » de vivre une vie plus normale. Il a comparé le risque des plus de 65 ans de mourir de Covid à celui de « tomber dans les escaliers », ajoutant :

    « Et nous n’empêchons pas les personnes âgées d’utiliser les escaliers ».

    Par ailleurs Boris Johnson avait été averti que les modélisations sombres prévoyant 4000 décès par jour étaient fausses. Mais, malgré ces réserves, le gouvernement a quand même réintroduit le confinement à l’échelle nationale. Sachant que les données « étaient erronées » selon ses propres mots, Johnson était donc impatient d’assouplir les restrictions sur la vente au détail, l’hospitalité et les rassemblements en juin 2020, mais on lui a dit qu’il était « trop en avance sur l’opinion publique ».

    Le gouvernement britannique a imposé des politiques dont il savait qu’elles causeraient des souffrances généralisées, sans vraiment savoir si elles sauveraient des vies
    Les messages WhatsApp donnent l’impression que presque tout ce que le gouvernement Johnson a fait pour essayer d’atténuer l’impact de covid-19 — distanciation sociale, verrouillage, masquage, fermeture d’écoles, restriction de l’accès aux maisons de soins — n’était qu’un non-sens qu’il a inventé au fur et à mesure, dans le but d’être vu en train de faire quelque chose. Ainsi le gouvernement britannique a imposé des politiques dont il savait qu’elles causeraient des souffrances généralisées, sans vraiment savoir si elles sauveraient des vies.

    Les Lockdown Files montrent à quel point les préoccupations politiques ont façonné les mesures covid, la « science » étant trop souvent utilisée comme habillage verbal.

    La même politique ayant été imposée en France, on peut gager que la « science » — qui ne se rappelle pas les injonctions « Restez chez vous, sauvez des vies, vaccinez-vous » ? —, n’a été qu’un habillage verbal pour les Macron, Veran & Co destiné à imposer les mêmes restrictions folles. À quand une enquête sérieuse sur la gestion covid comme en Grande-Bretagne ?

    https://www.mondialisation.ca/les-lockdown-files-le-nouveau-scandale-britannique-revele-la-gestion-calamiteuse-et-non-scientifique-de-la-pandemie-covid/5675764

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  75. La légende du vaccin: le verdict de l’histoire sur la faillite des vaccins


    Par Jean-Yves Jézéquel
    Mondialisation.ca,
    05 mars 2023


    2 – Le verdict de l’Histoire sur la faillite des vaccins

    Les chiffres des statistiques officielles accessibles depuis de longues années le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n’ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l’émergence de maladies nouvelles devenues plus redoutables puisqu’elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli par les vaccins.

    Ce que l’Histoire démontre opiniâtrement, c’est que les épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin ! Il est clair que les partisans des vaccins ignorent cette réalité et on peut se demander pour quelle raison ? Pourquoi s’acharner à ne pas vouloir savoir ? Disons-le une fois de plus : ce comportement relève de la psychopathologie et des systèmes de conditionnement de l’être humain, comme on l’a démontré dans plusieurs articles auxquels je renvoie le lecteur sur mondialisation.ca (Cf., les références dans les sources ci-dessous : dossier Coronavirus)

    2.1 – La peste, le choléra et la lèpre

    Ainsi, en 1347, la peste noire s’installait en Europe et en 1348 elle faisait périr la majorité de la population française. Pendant des siècles, elle fit des ravages à travers le monde pour s’éteindre et disparaître totalement sans aucune vaccination.

    Le choléra allait, lui aussi, semer la terreur dans nos pays européens pour disparaître à son tour sans aucun vaccin.

    Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est certain que les propagandistes et les fanatiques du vaccin auraient attribué cette disparition à l’efficacité des vaccins.

    L’étude rigoureuse des faits historiques, impute ces régressions à bien d’autres facteurs. La lèpre existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé, et les grandes épidémies ne sévissent plus. Faut-il préciser qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie ?

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  76. Pour les historiens des vaccins, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.

    Pour attester de l’action bénéfique des vaccins, la médecine allopathique se base sur le taux d’anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l’organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d’anticorps, mais leur présence ne prouve pas qu’ils vont immuniser l’individu. Leur augmentation signifie surtout un affolement des défenses immunitaires.

    Dans bien des cas, les vaccins fortifient la maladie et sont « facilitants ». Les mécanismes engagés dans le corps se trouvent souvent débordés, provoquant des combinaisons anticorps/antigène, appelées « complexes immuns » ; ces combinaisons restent en circulation dans l’organisme, provoquant des maladies graves. Quant à la durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est considérablement plus courte que celle des anticorps naturels.

    La vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux qui sont activés par une intrusion virale naturelle.

    Les vaccins sont des facilitateurs de l’émergence d’autres maladies, parce que le terrain immunitaire est affaibli. A cause de ce phénomène d’immunodéficience, provoqué par le vaccin, le terrain se laisse plus facilement assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.

    Mirko D. Grmek, professeur d’histoire de la médecine à l’Ecole des hautes études, donne au phénomène émergent d’une maladie qui disparaît ensuite d’elle-même, le nom de « pathocénose ».

    La « pathocénose » explique l’apparition et la disparition naturelles d’une épidémie.

    « Ainsi, la vaccination antivariolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle. La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coqueluche a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l’effondrement du système immunitaire et à l’installation d’un syndrome d’immunodéficience acquise. » (Cf., Sylvie Simon, paru dans le magazine Nexus, mars-avril 2013, n°85)

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  77. Le British Medical Journal, publiait le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 : Pandermix, avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que la règle bénéfice/risque ne soit venue approuver l’utilité du vaccin. Une association a également été repérée entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré.

    Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer du col de l’utérus, est pointé par l’association Sanevax, car ce vaccin est relié à 29 003 effets secondaires graves et au moins à 130 décès connus.

    Les historiens des vaccins savent aujourd’hui que le vaccin contre l’hépatite B, tue des cellules du foie, alors qu’il a été conçu pour protéger contre une maladie du foie. Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin contre l’hépatite B, avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffrent des milliers de personnes qui ont été vaccinées contre l’hépatite B.

    Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol et aujourd’hui, au sujet du vaccin anti-covid, l’oxyde de graphène. (Concernant cette dernière substance, on y reviendra plus tard). On imagine les effets que peuvent avoir ces substances sur des enfants en pleine croissance.

    Ces molécules sont des adjuvants destinés à stabiliser les vaccins ou à renforcer leur efficacité en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

    Le lien a été établi aujourd’hui entre l’aluminium des vaccins et la maladie d’Alzheimer, mais aussi du cancer du sein, la maladie d’Alzheimer étant une nouvelle maladie apparue après-guerre et suite aux campagnes de vaccinations.

    Ces effets indésirables sont, bien entendu, présentés par les « autorités médicales » et la grande presse aux ordres du système, comme mineurs au regard des bénéfices obtenus par les vaccins.

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  78. 3 – Le cas particulier de l’autisme

    L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années. Après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme ont explosé, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. On peut présumer d’une large prolifération de l’autisme avec les 11 vaccins devenus obligatoires sous Macron et sa ministre de la santé réputée avoir été la plus grande représentante historique des laboratoires : Agnès Buzyn, aujourd’hui passant sa vie devant les tribunaux.

    Comment se fait-il qu’on n’ait pas cherché à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidences ?

    En fin 1990, les sels d’aluminium sont déclarés, par les chercheurs du monde entier, responsables des autismes, de la sclérose en plaques, de la myofasciite à macrophages, cette dernière maladie ayant été signalée pour la première fois en 1998. Le professeur Romain Gherardi publiait les résultats de ses recherches en 2016 : « Site NIH de la National Library of Medicine, 28 novembre 2016 ». Le professeur confirmera encore la conclusion de ses recherches en avril 2001 dans le mensuel « Alternative Santé l’Impatient » : « sur 50 malades, 85% d’entre eux avaient reçu le vaccin de l’hépatite B et 15% des autres restants avaient reçu récemment le vaccin anti-tétanos. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) niait le rapport qui existe et qui a été démontré entre l’injection contenant de l’aluminium et les troubles graves étudiés par le professeur Gherardi.

    Les conséquences dramatiques de ces vaccinations allaient opposer les experts devant les tribunaux. L’Etat reconnaissait enfin sa responsabilité. Un arrêt du Conseil d’Etat de mars 2007, allait permettre l’indemnisation de 150 victimes des vaccins. Le nombre peu élevé de contaminés aujourd’hui ne justifiant pas la vaccination de masse.

    L’opinion publique manipulée, attribue toujours un mérite inexistant aux vaccins qui nous protégeraient de nombreuses maladies infectieuses et pensent encore à ce jour qu’ils ont éradiqué toutes les épidémies décimant autrefois nos pays : le typhus, la diphtérie, la coqueluche, la scarlatine, la tuberculose, la méningite, le tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc.

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  79. 4 – Selon les documents historiques, la vaccination est bien une fiction

    Se reporter au dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants.

    La vérité scientifique et historique démontre qu’il s’agit d’une pure fiction.

    Toutes ces maladies que l’on vient d’évoquer avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. Disons-le et répétons-le : c’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent la disparition de ces maladies.

    4.1 – La Diphtérie

    Dans le début des années 1900, en Espagne, il y avait encore 5 000 morts par an de diphtérie. Puis ce chiffre est tombé à 81 en 1964, l’année où la vaccination obligatoire fut introduite.

    En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

    En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an au cours de la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, puis 250 000 en 1945. Ce qui démontre que ce sont les conditions de vie, les situations d’hygiène, de nutrition, qui expliquent les épidémies… Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie passa à 800 en 1972. Les cas sont rares aujourd’hui, mais repartent à la hausse dans les milieux défavorisés des réfugiés sans logis et autres victimes du désastre économique actuel malgré les vaccins …

    Tous les chiffres répertoriés par les historiens indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (crise économique, chômage endémique, existence sous le seuil de pauvreté, guerre), et que les campagnes de vaccination sont impuissantes à enrayer ce phénomène.

    L’Histoire souligne que chaque retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagne d’un recul des maladies, jusqu’à leur disparition complète.

    Le scandale dans tout cela, c’est que des gouvernements imposent la vaccination systématique de la population pour des maladies devenues inexistantes : c’était le cas de l’Espagne en 1964 et de l’Allemagne en 1939.

    Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

    Les traitements sérieux reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du Pr Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Le Pr. Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine. Mais le réflexe sectaire du corps médical, toujours enfermé dans sa croyance fétichiste du vaccinalisme, refusa de remettre en cause le dogme de l’infaillibilité vaccinale.

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  80. Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il écrivait : « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »

    Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent du narratif mensonger officiel, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent la conduite de tout ce qui représente l’autorité sanitaire du pays. On peut tout à fait parler de pratiques criminelles des autorités sanitaires, en toute impunité. Les braves gens peuvent crever, cela laisse indifférent les responsables, car la loi de l’argent, des intérêts, des profits dépassent de loin la vie des personnes considérées comme des « inutiles », des « substituables », « ceux qui ne sont rien »…

    4.2 – La Typhoïde, la Coqueluche et la Scarlatine

    La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5000 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole, à partir de 1937, fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y ait eu de campagne de vaccinations.

    Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

    En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

    La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

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  81. 4.3 – ROR

    En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en 1982 !

    Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que c’est foncièrement faux : les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

    Les mensonges dénoncés ici concernent le monde entier. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200.000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3 000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau « révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

    Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin en l’exigeant même pour l’admission en crèche. Dans le domaine du mensonge, nos « experts » restent les champions du monde ! Quand demandera-t-on des comptes à ces responsables de la santé publique en rappelant leurs irresponsabilités, demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé ?

    A suivre…

    https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin-le-verdict-de-lhistoire-sur-la-faillite-des-vaccins/5675719

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  82. Les données du VAERS confirment le turbo cancer (3) : cancer gastro-intestinal

    7 mars 2023
    du Dr. Hans Joachim Kremer


    Il y a également une augmentation nette et statistiquement significative des rapports de cas suspects après les vaccins COVID-19 parmi les types de cancer du tractus gastro-intestinal. Dans l'ensemble, le risque de tels cancers a été multiplié par au moins 2,8 à la suite des vaccinations contre le COVID-19.

    Cette petite série traite des analyses de disproportionnalité (DPA) basées sur la base de données US VAERS. Contrairement aux analyses correspondantes du CDC, les miennes sont conçues pour la plus grande sélectivité possible avec une similarité historique suffisante. Les règles d'évaluation se trouvent dans les tableaux. Ceux-ci sont expliqués en prose dans le premier article de cette série .

    Dans l'analyse du CDC mentionnée ci-dessus, il y avait un signal provenant de cette zone pour le cancer du pancréas ( carcinome pancréatique ). J'en ai profité pour regarder un peu à gauche et à droite et examiner tous les types de cancer gastro-intestinal. VAERS n'autorise que 3 termes principaux par requête. Par conséquent, j'ai dû subdiviser la requête par localisation en une partie supérieure du tube digestif, c'est-à-dire l'estomac ( cancer gastrique ), le duodénum (duodénum, ​​ici appelé cancer de l'intestin grêle ) et le pancréas ( carcinome pancréatique ) et la partie inférieure, c'est-à-dire (maladie de Grimm ) Cancer de l'intestin ( cancer du côlon ), cancer du gros intestin ( cancer colorectal et cancer du rectum r).

    Résultats
    Contrairement à l'analyse du CDC, il n'y a pas assez de signal pour le cancer du pancréas seul, encore moins pour les autres cancers individuels du tube digestif supérieur (tableau 1). Cependant, l'ensemble des cancers du tube digestif supérieur montre un signal (l'un des éléments ci-dessus, uKG 1,17, p = 0,0187).

    Tableau 1 DPA des données gastro-intestinales supérieures du VAERS, 18+

    - voir cadre sur site -

    Avec un 0 dans la colonne "Contrôle", un DPA est mathématiquement impossible. Dans le cas de déséquilibres importants, on peut cependant se rabattre sur le test exact de Fisher. Il en résulte un signal pour le cancer du côlon (p = 0,0012) et une tendance pour le cancer du côlon métastatique (p = 0,0587). Si vous additionnez tous les cas, il y a un signal clair (uKG 2,36, p < 0,00001).

    Tableau 2 DPA de VAERS Lower Gastrointestinal Data, 18+

    - voir cadre sur site -

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  83. Les deux totaux peuvent être résumés sous l'hypothèse évidente, qui peut difficilement être vérifiée avec des moyens simples, que les patients ne développent pas de cancer dans les sections gastro-intestinales supérieures et inférieures en même temps (tableau 3). Le PRR se situe maintenant à peu près entre les valeurs indiquées ci-dessus, mais l'intervalle de confiance devient nettement plus petit, de sorte que le signal est confirmé sans équivoque (p<0,00001).

    Tableau 3 DPA à partir des données du VAERS, cancer gastro-intestinal général, 18+

    - voir cadre sur site -

    Danger ! Les bases de données de pharmacovigilance ou leurs analyses ne sont pas adaptées à l'estimation des incidences, mais uniquement à l'identification qualitative ou semi-quantitative des risques.

    discussion

    Comme pour le cancer de la prostate et du sein, limiter le nombre absolu de cancers gastro-intestinaux aux personnes de plus de 40 ans (plutôt que de plus de 18) diminue quelque peu, mais n'augmente que dans une très faible mesure les estimations de la DPA (données non présentées ici).

    Cependant, en raison du nombre toujours faible de cas dans le groupe témoin, la DPA n'est pas un moyen approprié d'étudier la dépendance à l'âge du turbocancer. Notez que même dans le grand total des cas, il n'y avait que 3 observations dans le contrôle. Si un seul cas était abandonné en restreignant les tranches d'âge, cela aurait un impact énorme sur le PRR (serait probablement plus grand) et l'intervalle de confiance serait certainement beaucoup plus grand.

    On peut également se demander si les données de pharmacovigilance conviennent à de telles analyses. Car dans les cohortes plus jeunes, le cancer est rarement détecté lors d'un bilan médical préventif, car de tels examens du cancer du sein, par exemple, sont recommandés aux USA pour les femmes de plus de 45 ans, et la fréquence diminue au-delà de 55 ans. Logiquement, on s'attendrait au sommet dans la tranche d'âge comprise entre 45 et 60 ans environ. Il devrait également être vrai que le cancer n'est presque jamais signalé comme cas suspect dans le cadre d'une vaccination dans les cohortes très âgées.

    Par conséquent, je ne présenterai pas d'autres sous-analyses des groupes d'âge en termes de cancer.

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  84. En général, le lien suivant, qui est en fait très évident, émerge : les types de cancer avec une incidence de base élevée sont plus visibles dans la DPA. Si les cancers de la prostate, du sein et tous les cancers gastro-intestinaux combinés sont assez fréquents, cela sera dû à un mécanisme sous-jacent commun. Si les vaccinations COVID-19 affaiblissent le système immunitaire en général, tous les types de cancer devraient également augmenter en général ou être affectés par le turbo cancer. Par conséquent, les types de cancer courants sont plus susceptibles d'être trouvés dans un DPA.

    Si les vaccinations basées sur le génie génétique, surtout les vaccinations par ARN mod, avaient un effet spécifiquement dommageable, cela devrait être reconnaissable dans des types de cancer très particuliers et isolés. Ça ne ressemble pas à ça pour le moment.

    Mots-clés : VAERS, analyse de disproportionnalité, vaccinations COVID-19, cancer gastrique, cancer du côlon

    Article suivant : Les données du VAERS démontrent un turbo cancer (4) : cancer du poumon et néoplasie

    Mes remerciements vont à Ulf Lorré pour ses suggestions.

    https://tkp.at/2023/03/07/vaers-daten-belegen-turbokrebs-3-magen-darm-krebs/

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  85. PDG de Moderna : Nous avons déjà produit 100 000 doses de vaccin en 2019


    7 mars 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Nous avons toujours entendu dire que le génie génétique et en particulier les préparations d'ARNm étaient produits à la vitesse phénoménale de "Warp Speed". Quelque peu surprenant, cependant, a été la déclaration du PDG de Moderna, Stéphane Bancel, selon laquelle 100 000 canettes avaient déjà été produites en 2019. Au plus tard depuis l'événement 201 en octobre 2019, Moderna savait qu'il y aurait une pandémie corona en 2020.

    Beaucoup de choses sont arrivées à Warp Speed ​​​​pendant la pandémie de Corona. Par exemple le développement du test PCR, la publication de l'étude dans EuroSurveillance et la revue par les pairs de l'article en 24 heures environ.

    Le 10 janvier, la première séquence numérique du gène du virus, maintenant connu sous le nom de SARS-CoV-2, apparaît sur virological.org, le 12 janvier, quatre autres séquences de ce type seront publiées par Edward Holmes, un virologue australien et professeur invité au Chinese Center for Disease and Control Prevention (Chinese Disease Control Agency) dans la base de données GISAID (Global Initiative on Sharing All Influenza Data).

    Juste un jour plus tard, l'OMS a accepté le protocole de test PCR de M. Drosten comme référence. Deux semaines exactement se sont écoulées depuis que Li Wienlang a exprimé ses inquiétudes dans un groupe de discussion. Un processus unique. En trois jours au mieux, M. Drosten, en collaboration avec Olfert Landt, le propriétaire de la société TIB Molbiol (un fabricant berlinois de tests PCR), développe la détection parfaite d'un virus jusqu'alors inconnu.

    La victoire de la coupe des absurdités revient cependant à la société TIB Molbiol d'Olfert Landt, qui avait déjà terminé un kit de test fonctionnel le 10 janvier, jour où la première séquence génétique du virus a été publiée, et a commencé à l'envoyer dans le monde. .

    Mais Moderna a été encore plus rapide, produisant 100 000 doses de leur « vaccin » en 2019. Vous avez également un brevet sur une séquence de gènes de 19 paires de bases dans le virus. Cela a certainement aidé.

    Apparemment, le Forum économique mondial n'hésite plus à dire ouvertement la vérité. Ici toute la vidéo :

    Cependant, Bancel ne dit pas directement les vaccins corona. Moderna avait essayé en vain pendant plusieurs années de préparer un produit pour le marché. Le premier où cela a réussi est la préparation d'un vaccin corona.

    https://tkp.at/2023/03/07/moderna-ceo-wir-haben-2019-schon-100-000-impf-dosen-erzeugt/

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  86. Ma prise…
    Claire a traversé un cauchemar absolu. Il est très probable qu'elle soit victime de blessures causées par le vaccin COVID-19, et non du COVID-19. Il y a des milliers de victimes comme elle. AstraZeneca et J&J ont été retirés du marché en raison de caillots sanguins, mais Pfizer et Moderna provoquent également des caillots sanguins et à un degré très similaire.

    À ce jour, Pfizer et Moderna nient que leurs vaccins à ARNm COVID-19 provoquent des caillots sanguins, et leurs victimes sont ignorées par les médecins.

    Toute histoire médiatique grand public qui blâme les caillots sanguins sur COVID-19 au lieu des vaccins COVID-19 abuse des victimes de blessures vaccinales et ment de manière flagrante au reste d'entre nous. Considérant qu'il s'agit de CNN, ce n'est pas du tout surprenant.

    En ce qui concerne les médias grand public et les sujets liés au COVID-19, la vérité est presque toujours exactement le contraire de ce qu'ils rapportent. Le fait qu'ils accordent autant d'importance à l'histoire de Claire montre à quel point ils essaient désespérément de détourner notre attention de l'horrible vérité.

    Revoyez la vidéo ci-dessus, cette fois dans le contexte d'une victime blessée par le vaccin COVID-19. C'est complètement différent, car les sociétés pharmaceutiques savaient depuis le tout début que leurs produits causaient ces blessures. Ils s'en fichaient tout simplement et aucun médecin ou politicien qui a poussé les vaccins non plus.

    https://www.globalresearch.ca/young-people-who-suffered-blood-clots-amputations-after-covid-19-vaccination-being-lied-media-uses-them-lie-us/5811137

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  87. «En Allemagne, environ 27,9% de la population adulte est touchée par une maladie mentale chaque année. Cela correspond à environ 17,8 millions de personnes touchées, (…). Les troubles les plus courants sont les troubles anxieux (15,4 %), suivis des troubles affectifs (9,8 %, dépression unipolaire seule 8,2 %) et des troubles causés par la consommation d'alcool ou de drogues (5,7 %). (2)

    Malheureusement, de nombreux collègues essaient de réconcilier les demandeurs de conseil précaires avec la société existante respective au lieu d'inclure également le problème social et culturel dans le processus thérapeutique. Ils apprendraient alors que leurs problèmes individuels ne sont pas seulement enracinés dans leur histoire personnelle, mais plutôt dans une société et une culture inhumaines.

    Mais « l'entraide » s'avère être une « invitation » et une « offre » pour « aider » ses semblables – et, en les aidant, devenir soi-même en bonne santé. Dans cette situation, les personnes qui se voient offrir un soutien apprennent que ceux qui les aident ont aussi des problèmes qui ne sont pas entièrement différents des leurs.

    Partout, il s'agit d'un sens de la communauté, d'un sentiment d'appartenance, d'être ensemble. Le don de l'évolution consiste dans la conscience morale de l'individu, dans la compréhension de la responsabilité de tous envers tous.

    Sur l'importance de l'illumination
    L'avenir de notre culture dépend encore de ce qu'il y aura suffisamment de gens éclairés capables d'éliminer des masses populaires les préjugés qui sont la toile de fond idéologique des catastrophes de l'humanité. Plus que jamais, nous dépendons des "esprits libres" pour nous apprendre ce qui est vrai et ce qui est mensonge.

    En cela, les intellectuels ont une grande responsabilité, car leur devoir serait de penser pour les autres. Cependant, certains d'entre eux craignent qu'en tant qu'intellectuels ils ne restent entre eux, ne se parlent qu'entre eux et n'atteignent pas du tout la masse de la population.

    Par conséquent, il serait important pour tous les "éclaireurs", en plus de l'illumination, de s'asseoir avec d'autres êtres humains, de les écouter calmement et d'essayer de comprendre leurs problèmes.

    Ou comme Alfred Adler , le fondateur de la psychologie individuelle, l'a dit :

    "Voir avec les yeux d'un autre, entendre avec les oreilles d'un autre, ressentir avec le cœur d'un autre." (3)

    Ensemble, on trouve généralement une issue humaine (psychologique) au labyrinthe des peurs face à l'avenir. Et cela est particulièrement vrai lorsque l'offre d'aide est une invitation amicale et une offre informelle sur la façon de gérer la situation actuelle de manière satisfaisante et ainsi de mieux vivre.

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  88. Avant même ma « repensée », j'avais lancé l'appel avec une citation de Bertolt Brecht : « Quand l'injustice devient un droit, la résistance devient un devoir ». Pour des raisons de conscience, refusez d'obéir à l'État. Les politiciens ne sont que les pions visibles des vrais dirigeants du monde.

    J'avais commencé l'article en disant : « Le temps presse (Shakespeare). Mais ceux qui sont conscients du danger du néo-fascisme, du danger du « crime pharmaceutique du siècle » (CHD) et de la menace d'une guerre mondiale seront d'accord avec l'injonction de Bertolt Brecht et celle du critique du régime allemand Wolfgang Borchert dans son manifeste de 1947 "Alors il n'y a qu'une chose : Dites NON !".

    Mais l'admiration des grands modèles qui ont refusé d'obéir à l'État pour des raisons de conscience et avec leurs actions désintéressées non seulement ont protégé la loi et la liberté dans leur propre pays ne suffit pas à changer la situation très préoccupante dans le monde : chacun de nous doit prendre agir nous-mêmes.

    Étant donné que l'article prévu était à nouveau un appel à l'action à d'autres êtres humains qui étaient déjà accablés par des problèmes, je me suis abstenu de cette idée après ma «réflexion».

    Pierre Kropotkine
    Enfin, une déclaration psychologique de l'anarchiste et révolutionnaire russe à l'esprit humaniste, le prince Pierre Kropotkine :

    "Un homme chez qui la capacité de s'identifier à son entourage est innée, un homme qui est lui-même conscient de son cœur, de sa volonté, met librement ses facultés au service des autres, sans en attendre aucune récompense dans ceci ou dans tout autre monde. Surtout, il possède la capacité de comprendre les sentiments des autres, de les ressentir. C'est assez. Il partage les joies et les peines avec les autres. Il les aide à supporter les moments difficiles de leur vie. Il sent sa force et utilise généreusement ses capacités à aimer les autres, à inspirer les autres, à éveiller en eux la croyance en un avenir meilleur et à les inspirer à se battre pour cet avenir. Quel que soit le malheur qui lui arrive, il le prend non comme une souffrance mais comme l'accomplissement de sa vie, qu'il ne veut pas échanger contre une végétation dévouée ; il peut préférer les dangers à une vie dépourvue de lutte et de contenu. (4)

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  89. *

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    Le Dr Rudolf Lothar Hänsel est directeur d'école, pédagogue (Dr pédagogue) et psychologue (Dipl.-Psych.). Après ses études universitaires, il est devenu enseignant universitaire (professeur) dans l'éducation des adultes : il a entre autres dirigé un essai modèle d'école indépendante et formateur en cours d'emploi d'enseignants-conseils et de psychologues scolaires bavarois. En tant que retraité, il a travaillé comme psychothérapeute en pratique privée. Il a été rapporteur pour l'Allemagne lors d'une audition publique sur la délinquance juvénile au Parlement européen. Dans ses livres et ses articles, il appelle à une éducation éthique et morale consciente et à une éducation à l'esprit public et à la paix. Pour ses services rendus à la Serbie, il a reçu le prix de la République "Capitaine Misa Anastasijevic" des universités de Belgrade et de Novi Sad en 2021. Il contribue régulièrement à Global Research.

    Remarques

    (1) Kropotkine, Pierre (1908). Entraide dans le monde animal et humain. Leipzig

    (2) https://de.rt.com/meinung/164099-studie-rund-ein-drittel-der-erwachsenen-deutschen-psychisch-erkrankt/

    (3) Adler, Alfred (1928). Brèves remarques sur la raison, l'intelligence et la faiblesse d'esprit. Dans : International Journal of Individual Psychology No. 6. pp. 267-273, p. 267.

    (4) Citation de : Grasenack, Moritz (éd.). (2005). La psychothérapie libertaire de Friedrich Liebling. Une introduction à sa thérapie en grand groupe basée sur des transcriptions textuelles des séances de thérapie. Liche / Hesse, p. 45

    https://www.globalresearch.ca/society-makes-people-sick/5810986

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  90. À venir : l'ARNm contre toutes sortes d'infections et de maladies


    8 mars 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Apparemment, il y a des points de vue assez différents sur le succès de la campagne de vaccination avec des préparations d'ARNm. Il est célébré comme un grand succès par les politiciens, l'industrie pharmaceutique et leurs investisseurs, tandis que les critiques parlent d'un échec complet en raison d'effets secondaires graves sans précédent et d'une faible efficacité. La politique et les produits pharmaceutiques font apparemment leur chemin, et davantage d'ARNm arrivent.

    Un rapport du Times intitulé « Moderna va construire un centre de vaccination de 150 millions de livres sterling au Royaume-Uni après l'accord avec le NHS » documente l'enthousiasme malavisé du secrétaire britannique à la Santé, Steve Barclay, pour un système défaillant :

    "Le nouveau centre d'innovation et de technologie de Moderna signifie que les patients du NHS auront accès à des vaccins à ARNm de pointe pour cibler les futures variantes de Covid, ainsi que d'autres virus respiratoires."

    L'accord Moderna comprend une "clause d'achat garanti". En d'autres termes, il semble garantir que le gouvernement britannique achètera les futurs vaccins à ARNm de Moderna, quoi qu'il arrive. Il contourne également les réglementations conçues pour contrôler les profits excessifs réalisés par les sociétés pharmaceutiques. Cet accord devrait être suivi d'un autre avec BioNTech.

    L'article ne mentionne pas le taux excessivement élevé d'événements indésirables et de décès associés aux vaccins Moderna et Pfizer. Il semble que le gouvernement britannique ait décidé que ces taux élevés de dommages médicaux sont acceptables et doivent continuer indépendamment de la perte - un chèque en blanc pour la médecine biotechnologique à risque.

    Ce n'est pas un cas isolé

    Les médicaments avec des taux élevés d'effets secondaires sont non seulement approuvés, mais également promus par les gouvernements et/ou les médias. Un article du New York Post intitulé "Hollywood Weight-Loss Drugs Could Cause Deadly Side Effects, Researchers Claim" rapporte une nouvelle étude sur les médicaments amaigrissants approuvés Ozempic et Wegovy, utilisés pour traiter l'obésité clinique et le diabète de type 2. utilisé.

    L'étude intitulée « Un effet indésirable potentiellement grave des agonistes des récepteurs du GLP-1 » précise :

    "Des événements indésirables à long terme tels qu'un risque accru d'occlusion intestinale ont été signalés chez les diabétiques, ce qui est 4,5 fois plus élevé que chez les patients recevant d'autres médicaments de contrôle de la glycémie."

    Dans l'étude, des changements restrictifs perturbateurs dans la structure intestinale des rats prenant les médicaments ont été observés. Les auteurs ont conclu :

    "Parce que l'obstruction intestinale est une maladie mortelle qui nécessite une intervention chirurgicale, les cliniciens doivent être conscients que la survenue d'événements indésirables chroniques liés aux GLP-1RA peut affecter l'intestin grêle. Si la cause sous-jacente reste inconnue, des conclusions erronées sont susceptibles d'être tirées. Ceci est d'une importance particulière car l'utilisation des GLP-1RA [Ozempic et Wegovy] dans le traitement de diverses maladies augmente considérablement.

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  91. À l'inverse, les gens continuent de s'opposer à des traitements qui sont soit basés sur des découvertes scientifiques en biochimie, comme l'utilisation de vitamine C à haute dose, la prévention avec de la vitamine D , etc., ainsi que des médicaments qui ont été essayés et testés des milliards de fois, comme l'ivermectine ou l'hydroxchloroquine.

    Dans la plus ancienne et la plus importante revue médicale, The BMJ, cet abandon de la base scientifique par la médecine moderne fait l'objet de vives critiques dans un article .

    « L'introduction de la médecine fondée sur des preuves a été un changement de paradigme visant à placer la médecine sur une base scientifique solide. Cependant, la validité de ce nouveau paradigme dépend de données fiables provenant d'essais cliniques, dont la plupart sont menés par l'industrie pharmaceutique et publiés pour le compte d'universitaires de haut rang. La publication de documents auparavant confidentiels de l'industrie pharmaceutique a donné à la communauté médicale un aperçu précieux de la mesure dans laquelle les essais cliniques parrainés par l'industrie sont déformés. Tant que ce problème ne sera pas résolu, la médecine factuelle restera une illusion.

    Plus sur la critique de ce type de médecine dans cet article TKP :

    Médecine corrompue par les grandes sociétés pharmaceutiques, la mauvaise réglementation et la commercialisation universitaire

    https://tkp.at/2023/03/08/was-kommt-mrna-gegen-alle-moeglichen-infektion-und-krankheiten/

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  92. Scott Atlas: la réponse américaine au COVID était basée sur des mensonges


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 07 MARS 2023 - 22:20
    Écrit par Scott Atlas, éditorial via Newsweek.com,


    Presque tous les dirigeants américains ont progressivement retiré leurs mandats, exigences et fermetures COVID – même dans des États comme la Californie, qui avaient imposé les restrictions les plus strictes et les plus durables au public.

    Dans le même temps, les médias ont progressivement reconnu la publication en cours d'études qui réfutent totalement les prétendues raisons de ces restrictions.

    Ce renversement manifeste est faussement décrit comme « appris » ou « nouvelle preuve ». On trouve peu de reconnaissance d'erreur. Nous n'avons vu aucune excuse publique pour la diffusion de fausses informations, ou pour la diffamation et la délégitimation d'experts en politique et de scientifiques médicaux comme moi qui ont parlé correctement des données, des connaissances standard sur les infections virales et les pandémies, et de la biologie fondamentale.

    Le dossier historique est essentiel. Nous avons vu une macabre tentative orwellienne de réécrire l'histoire et de blâmer l'échec des verrouillages généralisés sur les critiques des verrouillages, aux côtés de dénégations absurdes des propres demandes incessantes des fonctionnaires à leur égard.

    Dans l'administration Trump, le Dr Deborah Birx était officiellement responsable du volet médical du groupe de travail sur les coronavirus de la Maison Blanche au cours de la première année de la pandémie. À ce titre, elle a rédigé toutes les recommandations de politique fédérale écrites aux gouverneurs et aux États et a personnellement conseillé les responsables de la santé publique de chaque État lors de visites officielles, souvent avec le vice-président Mike Pence, qui a supervisé l'ensemble du groupe de travail. Lors de l'investiture du président Joe Biden, le Dr Anthony Fauci est devenu conseiller médical en chef et a dirigé la réponse à la pandémie de Biden.

    Nous devons reconnaître l'échec lamentable des politiques Birx-Fauci.

    Ils ont été promulgués, mais ils n'ont pas réussi à empêcher les mourants, à empêcher l'infection de se propager et ont infligé des dégâts et des destructions massifs, en particulier aux familles à faible revenu et aux enfants américains.

    Plus d'un million de décès américains ont été attribués à ce virus. Même après des mesures draconiennes, notamment des fermetures d'écoles, l'arrêt des soins médicaux non COVID, des fermetures d'entreprises, des restrictions personnelles, puis le maintien de nombreuses restrictions et mandats en présence d'un vaccin, il y a eu un échec indéniable - sur deux administrations présidentielles - pour empêcher les cas de s'aggraver rapidement.

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  93. De nombreux experts - dont John Ioannidis, David Katz et moi-même - ont appelé à une protection ciblée, une alternative plus sûre aux confinements généralisés, dans les médias nationaux à partir de mars 2020. Cette proposition a été rejetée. Le plus grand échec de la politique de santé publique de l'histoire est venu de ceux qui ont recommandé les confinements et de ceux qui les ont mis en œuvre, et non de ceux qui ont conseillé le contraire.

    WASHINGTON, DC - AVRIL 09: Deborah Birx, coordinatrice de la réponse aux coronavirus de la Maison Blanche, s'exprime en tant que directeur (de gauche à droite) de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses Anthony Fauci, le vice-président américain Mike Pence et le secrétaire au Travail Eugene Scalia écoutent pendant le briefing quotidien sur les coronavirus dans le Brady Press Salle de briefing à la Maison Blanche le 09 avril 2020 à Washington, DC. Les demandes de chômage aux États-Unis ont approché les 17 millions au cours des trois dernières semaines au milieu de la pandémie de COVID-19. ALEX WONG/GETTY IMAGES

    L'échec tragique de confinements imprudents et sans précédent qui étaient contraires à la science pandémique établie, et les dommages massifs supplémentaires de ces politiques sur les enfants, les personnes âgées et les familles à faible revenu, sont incontestables et bien documentés dans de nombreuses études. Ce fut la plus grande, la plus tragique et la plus contraire à l'éthique du leadership en santé publique de l'histoire moderne.

    Dans une démocratie, voire dans toute société éthique et libre, la vérité est essentielle. Le peuple américain a besoin d'entendre la vérité, les faits, exempts de distorsions politiques, de fausses déclarations et de censure. La première étape consiste à énoncer clairement la dure vérité dans les termes les plus crus possibles. Des mensonges ont été dits. Ces mensonges ont nui au public. Ces mensonges étaient directement contraires aux preuves, à des décennies de connaissances sur les pandémies virales et à une biologie fondamentale établie de longue date.

    Voici les 10 plus grands mensonges - connus depuis des années pour être faux, pas récemment appris ou prouvés comme tels - promus par les responsables américains de la santé publique, les élus et les non-élus et les universitaires désormais discrédités :

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  94. 1. Le coronavirus SARS-CoV-2 a un taux de mortalité bien plus élevé que la grippe de plusieurs ordres de grandeur.

    2. Tout le monde court un risque important de mourir de ce virus.

    3. Personne n'a de protection immunologique, car ce virus est complètement nouveau.

    4. Les personnes asymptomatiques sont les principaux moteurs de la propagation.

    5. Le confinement - fermer les écoles et les entreprises, confiner les gens chez eux, arrêter les soins médicaux non COVID et éliminer les déplacements - arrêtera ou éliminera le virus.

    6. Les masques protégeront tout le monde et arrêteront la propagation.

    7. Le virus est connu pour être d'origine naturelle, et prétendre qu'il provient d'un laboratoire est une théorie du complot.

    8. Les enseignants courent un risque particulièrement élevé.

    9. Les vaccins COVID arrêtent la propagation de l'infection.

    10. La protection immunitaire ne vient que d'un vaccin.

    Aucun d'entre nous n'est assez naïf pour s'attendre à des excuses directes de la part des critiques de mon employeur, l'Université de Stanford, ou du gouvernement, de la santé publique universitaire et des médias. Mais pour s'assurer que cela ne se reproduise plus jamais, les chefs de gouvernement, les fonctionnaires influents et les universitaires et conseillers influents qui entretiennent souvent des conflits d'intérêts doivent être tenus pour responsables. Personnellement, je reste très sceptique sur le fait que toute enquête ou commission gouvernementale puisse éviter la politisation. Indépendamment de leur intention, toutes ces enquêtes dirigées par le gouvernement seront au moins perçues comme politiquement motivées et leurs conclusions seront catégoriquement rejetées par beaucoup.

    Ces enquêtes doivent cependant se poursuivre, ne serait-ce que pour rechercher la vérité, pour enseigner à nos enfants que la vérité compte et pour se souvenir de G.K. La leçon essentielle de Chesterton selon laquelle "le bien est le bien, même si personne ne le fait. Le mal est le mal, même si tout le monde a tort."

    https://www.zerohedge.com/covid-19/scott-atlas-americas-covid-response-was-based-lies

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  95. L'agence de Fauci a envoyé de l'argent au laboratoire de Wuhan par un intermédiaire. Certaines expériences financées avec l'argent ont augmenté la virulence d'un virus de chauve-souris modifié.

    Position adoucie

    Certains scientifiques ont depuis adouci leur position contre la théorie des fuites de laboratoire, car plus de temps passe sans aucune identification d'un animal hôte pour soutenir la théorie de l'origine naturelle.

    Farrar a déclaré à Epoch Times en 2021 que "les meilleures preuves scientifiques disponibles à ce jour" soutenaient une origine naturelle, mais a admis qu'il existe "d'autres possibilités qui ne peuvent pas être complètement exclues et qu'il est essentiel de garder l'esprit ouvert".

    Le Dr Peter Palese, un microbiologiste américain qui a signé la lettre du Lancet, a déclaré qu'il soutenait une enquête sur l'origine du virus.

    Le nouveau sous-comité de la Chambre s'est engagé à enquêter sur la question, après qu'elle ait été largement ignorée par les démocrates lors du précédent Congrès.

    Comme la communauté scientifique, les entités de renseignement aux États-Unis restent divisées sur la question, mais plusieurs disent que les preuves soutiennent la théorie des fuites de laboratoire.

    Cela inclut le FBI.

    "Le FBI évalue depuis un certain temps maintenant que l'origine de la pandémie est [sic] très probablement un incident potentiel de laboratoire à Wuhan", a déclaré le directeur Christopher Wray, nommé par Trump, dans une récente interview.

    Le département de l'énergie aurait également changé pour dire qu'il est plus probable que l'origine soit le laboratoire.

    Le 3 mars, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a appelé les pays disposant d'informations sur l'origine à les partager avec l'OMS et la communauté scientifique internationale.

    "L'OMS continue d'appeler la Chine à faire preuve de transparence dans le partage des données, à mener les enquêtes nécessaires et à partager les résultats", a-t-il déclaré. "D'ici là, toutes les hypothèses sur les origines du virus restent sur la table."

    https://www.theepochtimes.com/new-who-chief-scientist-made-crucial-change-to-paper-claiming-covid-19-didnt-come-from-lab_5102060.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  96. Les fécondations in vitro avec trois parents


    le 7 mars 2023


    Pour comprendre l’objet de ce billet il est nécessaire de faire un court rappel du déroulement de la fécondation. L’ovule est le gamète femelle, excusez-moi mais il faut appeler les choses par leur nom car dire le gamète féminin restreindrait cet exposé à l’être humain, par conséquent le spermatozoïde est le gamète mâle. Les gamètes ont subi une étape au cours de leur maturation appelée méiose qui divise le patrimoine génétique par 2 chez les espèces dites diploïdes comme l’être humain. La combinaison de ces deux gamètes au cours de la fécondation va rétablir le caractère diploïde de l’être à venir et il se forme au cours de ce processus un « brassage » des gènes qui confère au nouvel être son caractère unique. L’ovule est une grosse cellule sphérique, il m’est arrivé d’en observer avec une loupe binoculaire, qui contient tout l’appareil sub-cellulaire que l’on rencontre dans n’importe quelle autre cellule diploïde tel qu’on peut le révéler par microscopie électronique. L’ovule contient notamment des mitochondries avec leur matériel génétique propre. Le spermatozoïde est complètement différent et est constitué de trois parties, un cône contenant le matériel génétique mâle un flagelle et une mitochondrie géante qui va oxyder tout ce qui se trouve autour d’elle pour fournir l’énergie nécessaire au flagelle, le moyen de locomotion du spermatozoïde pour trouver un ovule à féconder. Seul le cône de ce gamète mâle pénètre dans l’ovule, la mitochondrie et le reste étant inutiles pour la fécondation. L’oeuf fécondé diploïde hérite donc du matériel génétique de la femelle.

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  97. C’est ainsi l’explication des travaux de paléogénétique qui font souvent appel à l’ADN mitochondrial car dans une cellule il n’y a qu’un seul noyau et une multitude de mitochondries et séquencer l’ADN mitochondrial, plus petit, est beaucoup moins malaisé que séquencer l’ADN nucléaire. Bref, cet ADN mitochondrial peut transmettre des défauts si par définition il est défectueux. Il s’agit alors de maladies génétiques transmises par la mère. Il existe un grand nombre de maladies de ce type, beaucoup d’entre elles étant heureusement létales, mais certaines de ces maladies constituent un lourd fardeau durant toute une vie car elles sont incurables pour la très grande majorité d’entre elles (https://en.wikipedia.org/wiki/Mitochondrial_disease ). Dans l’ovule le matériel génétique (haploïde) est contenu dans le noyau, chez les plantes comme chez l’homme. Les progrès de la fécondation in vitro (également pratiquée avec les animaux d’élevage) ont permis une ouverture pour traiter les maladies génétiques d’origine mitochondriale. Pour comprendre l’objet de ce billet il faut brièvement décrire quelle est cette manipulation et quel est le concept de l’enfant à « trois parents » dont il est question ici. Une femme porteuse d’une maladie génétique d’origine mitochondriale et désirant avoir un enfant normal peut faire appel à la technique de « l’enfant à trois parents. Par micromanipulation le noyau de l’ovule de la mère est prélevé et implanté dans un ovule sain qui a été dénucléé préalablement par le même type de micromanipulation. La fécondation in vitro est alors effectuée et l’enfant à naître après implantation dans l’utérus sera indemne de toute maladie d’origine mitochondriale. On parle donc d’un enfant ayant trois parents : la mère biologique puisqu’il sera porteur du patrimoine haploïde de sa mère, le père biologique puisqu’il hérite du patrimoine haploïde du père et la mère « donneuse » puisqu’il portera le patrimoine génétique mitochondrial d’une autre mère donneuse d’ovule. Cette approche à des fins thérapeutiques est pratiquée dans certaines cliniques spécialisées.

    Après de nombreuses discussions d’ordre éthique ce type d’approche a été légalisé par la loi au Royaume-Uni, à Singapour et en Australie. Cette approche est illégale aux Etats-Unis mais des pays comme la Grèce ou l’Ukraine proposent ce type de manipulation mais il y a certainement d’autres pays où des cliniques proposent ce type de service, pays proposant des mères porteuses, « business is business », comme en Grèce où des jeunes femmes dans la misère ont trouvé là une source de revenus inespérée. Personnellement je ne suis pas opposé aux grossesses pour autrui puisque tout être humain est libre de disposer de son corps y compris à des fins mercantiles, de même que je ne suis pas opposé à l’enfant à trois parents avec l’un d’entre eux étant une « donneuse de mitochondries » comme il y a des hommes « donneurs de sperme ». Rien ne me paraît choquant éthiquement parlant puisque le don de sperme est admis par la loi pourquoi le « don de mitochondries » devrait-il être interdit ?

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  98. Il existe cependant dans cette approche décrite plus haut des cas d’erreur de manipulation lors du transfert du noyau de l’ovule de la mère biologique sur le plan du patrimoine génétique nucléaire dans l’ovule de la « donneuse de mitochondries ». Au cours de ce transfert il arrive que des mitochondries, donc défectueuses, soient transférées dans l’ovule dénucléé de la mère donneuse de mitochondries. Deux cas d’un tel transfert ont été décrits dans la littérature médicale ( https://www.technologyreview.com/2023/03/02/1069296/three-parent-baby-technique-risk-of-disease/ ) et les personnalités en charge d’examiner l’aspect éthique ont immédiatement sonné l’alarme. Selon le Docteur Joanna Poulton de l’Université d’Oxford, une spécialiste de l’ADN mitochondrial, pas moins de 20 % des enfants à trois parents pourraient être exposé à ce type de risque. Le Docteur Heidi de l’Université de Ghent, spécialiste des questions de bioéthique, considère que l’approche enfant à trois parents est contraire aux règles de l’éthique et qu’il s’agit d’un pur développement mercantile des techniques de fécondation in vitro. Ces braves spécialistes feraient mieux de s’occuper de l’interdiction stricte des thérapies de changement de sexe par hormono-thérapie et chirurgie. À ma connaissance seules la Caroline du Nord et la Floride ont interdit tout récemment cette pratique criminelle encouragée par les parents qui ont succombé à l’idéologie dévastatrice LGBTQ.WC+. Le Texas est sur le point d’adopter la même interdiction alors que le débat n’est pas à l’ordre du jour en Europe car certains membres du corps médical et les laboratoires pharmaceutiques se frottent les mains …

    Inspiré d’un article paru sur le site bioedge.org. Illustration qui n’a rien à voir avec la réalité !

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/07/les-fecondations-in-vitro-avec-trois-parents/

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  99. Les «vaccins» à ARNm «sûrs et efficaces» ont causé plus de cas de Covid et plus de décès que le virus lui-même


    De Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    8 mars 2023


    "Les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais carrément dangereux." — Journal d'immunologie clinique et expérimentale

    Chers lecteurs : Comme vous le savez, j'ai déjà signalé les avertissements clairs de scientifiques médicaux indépendants sur les dangers des « vaccins » à ARNm. Certains d'entre vous m'ont remercié de vous avoir sauvé du sort des vaccinés. Voici deux phrases du dernier rapport de recherche publié :

    « Une analyse mondiale de l'impact causal bayésien suggère que la thérapie génique COVID-19 (vaccin à ARNm) provoque plus de cas de COVID-19 par million et plus de décès non liés au Covid par million que ceux associés au COVID-19 [43].

    "Une abondance d'études a montré que les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais carrément dangereux."

    Ceux qui ont mis en garde ont été diabolisés et censurés, et les médecins qui ont refusé de suivre le récit officiel ont été punis pour avoir raison. Certains ont perdu leur licence médicale.

    La capacité des sociétés pharmaceutiques motivées par la cupidité à retourner la masse du public américain stupide et apeuré contre ceux qui s'efforcent de sauver leur vie et leur santé en dit long sur l'intelligence et le caractère de la population américaine. Je soupçonne que ces mêmes Américains seront également incapables de résister à la tyrannie croissante qui caractérise le gouvernement américain.

    Le Journal of Clinical & Experimental Immunology est publié par Oxford University Press pour le compte de la British Society for Immunology dont il est la revue scientifique officielle.

    Steve Kirsch fournit le rapport et résume ses conclusions. Je vous exhorte à le lire et à passer le mot à vos amis et aux membres de votre famille soumis au lavage de cerveau et endoctrinés. C'est face à ces preuves tangibles que le CDC et la FDA, totalement corrompus et meurtriers, ont approuvé l'injection aux enfants et aux bébés de la substance mortelle d'ARNm.

    Comment peut-on à nouveau faire confiance à « son » gouvernement, « ses » autorités de santé publique, « ses » médias, « son » établissement médical corporatif ?

    https://www.lewrockwell.com/2023/03/paul-craig-roberts/the-safe-and-effective-mrna-vaccines-caused-more-covid-cases-and-more-deaths-than-the-virus-itself/

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  100. ENCORE 4 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 4 = 116)

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