- ENTREE de SECOURS -



lundi 20 mars 2023

Le bouclier énergétique : un dispositif qui révèle les failles structurelles du mix électrique français

De nombreuses aides ont été mises en œuvre, portant le total du coût pour le contribuable à 40,8 milliards d’euros en 2022.


le 20 mars 2023

Par Romain Delisle.

IREF Europe


Le 24 février 2022, la Russie envahissait l’Ukraine, entraînant la mise en œuvre de sanctions sur le gaz et le pétrole et, conséquence directe, l’envolée de leurs cours. Peu de temps auparavant, au mois de septembre, trente-deux réacteurs nucléaires français avaient été mis à l’arrêt pour des problèmes de corrosion tandis que nos capacités de production hydroélectrique s’affaiblissaient à cause d’un épisode de sécheresse estivale.

Puisque le nucléaire avait été sacrifié sur l’autel du développement durable et « propre » la décennie précédente, la France, autrefois exportatrice d’électricité, s’est retrouvée à devoir en importer au prix fort, le prix de l’électricité étant couplé à celui du gaz.

Cette situation d’urgence a poussé le gouvernement à mettre en œuvre une série de mesures pour stabiliser les prix mais en générant un endettement massif au moment où les taux souverains s’orientaient vers les 3 %.

Stabilisation artificielle des prix dans un secteur déjà surtaxé …

Par un décret du 23 octobre 2021, l’exécutif avait gelé les tarifs réglementés de vente du gaz (TRVg) pour les clients résidentiels et les petites copropriétés, puis l’a étendu au mois d’avril 2022 aux logements sociaux et à ceux qui sont chauffés collectivement au gaz. Pour l’année en cours, le plafonnement de l’augmentation des prix sera de 15 % (contre 215 % en l’absence de régulation) pour un coût évalué à 6,24 milliards d’euros.

Concernant l’électricité, la fraction d’accise sur l’électricité (ancienne taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité) a été ramenée de 25 euros/MWh à 1 euro/MW/h, permettant une diminution du coût pour le consommateur de l’ordre de 15 à 20 % et engendrant une dépense fiscale de 8 milliards d’euros en 2022 et 10 milliards d’euros estimés en 2023.

À l’image du gaz, la hausse des prix de l’électricité a été plafonnée à 4 % en 2022 et à 15 % en 2023 par l’instauration de tarifs réglementés sur la vente d’électricité (TRVe) pour les ménages et les TPE, pour un coût de 12,7 milliards d’euros (compensé par l’État auprès des fournisseurs d’énergie).

D’autres aides comme l’amortisseur d’électricité, le chèque énergie ou carburant, ainsi que l’aide au paiement des factures d’électricité et du gaz, ont également été mises en œuvre, portant le total du coût pour le contribuable à 40,8 milliards d’euros en 2022.

Concrètement, les aides déployées contribuent à compenser le choc énergétique presque en totalité pour les ménages et partiellement pour les entreprises, ainsi que l’illustre le tableau suivant :

Cette intervention de l’État s’opère alors que le marché européen de l’électricité est très régulé et que l’ensemble des taxes sur l’électricité dépassait 35 % de la facture du consommateur avant la crise (contre 26 % pour le gaz). Elle se composait des taxes détaillées dans le tableau suivant, fourni par la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale :

… alors que les énergies renouvelables sont une charge pour le contribuable et que la situation d’EDF est critique

D’autres mesures ont contribué à assécher les ressources d’EDF (qui affiche une perte de 17,9 milliards d’euros pour 2022 et une dette de 64,5 milliards) alors que l’entreprise, en si mauvaise posture que l’État a dû la renationaliser, a besoin de fonds pour financer le plan de construction de six nouveaux EPR et pour la rénovation des centrales existantes. Ainsi, le plafond de l’Arenh (accès régulé à l’électricité nucléaire historique), vendu à 46,20 euros/MWh aux fournisseurs alternatifs, c’est-à-dire bien en dessous des prix du marché, a été porté à 120 TWh en 2022 contre 100 TWh habituellement.

L’un des effets collatéraux positifs de l’augmentation du prix de l’électricité est d’atténuer le prix du soutien public aux énergies renouvelables. En effet, l’État (via EDF) conclut des contrats d’obligation d’achat avec les fournisseurs d’électricité d’origine renouvelable à un prix de référence supérieur à celui du marché ou au prix du marché mais avec un complément de rémunération. Avec la crise, ceux-ci ont été réduits, permettant aux pouvoirs publics une économie bienvenue de 39 milliards (dont 9,9 milliards uniquement pour les éoliennes terrestres).

Une fois la crise terminée, il est toutefois probable que ce type de dépense repartira à la hausse, creusant un déficit alimenté par l’ensemble des mesures prises pour lutter contre l’inflation. À ce titre, il est intéressant de remarquer que les pays européens les plus endettés, la France et l’Italie, ont aussi été les plus prodigues. Alors que l’Allemagne et l’Espagne ont mis en œuvre des dispositifs dont le coût est évalué à 1,6 et 1,3 % de leur PIB, les deux pays ont respectivement dépensé l’équivalent de 2,1 et 2,8% du leur (selon les calculs de la Direction générale du Trésor).

Si, en période de crise, l’amortissement par l’État d’un choc d’une puissance susceptible de déséquilibrer le marché peut se comprendre, il ne saurait toutefois être financé par la dette mais par des réserves constituées en prévision d’une telle situation ou, a minima, intervenir dans un contexte de finances publiques saines affichant un taux d’imposition acceptable.

La mise en œuvre d’un bouclier énergétique aurait donc mérité d’être plus parcimonieuse et attentive à la bonne santé d’EDF.

Une fois la crise passée, il sera nécessaire de recommander la suppression de la CTA (contribution tarifaire d’acheminement), qui permet de financer les anciens régimes spéciaux de retraite des personnels des entreprises de distribution de l’électricité et du gaz, régimes qui devraient s’éteindre naturellement après le décès de leurs récipiendaires. Dans le même temps, la fraction d’accises sur l’électricité devrait être légalement affectée à l’entretien et au développement du parc nucléaire, le soutien aux énergies renouvelables devrait être diminué et les fonds fléchés vers le développement de l’énergie atomique.

Un point demeure en suspens : avec l’interdiction votée par le Parlement européen de la vente des véhicules thermiques dès 2035, le rendement de la fraction d’accise sur les produits pétroliers (ex TICPE) devrait se tarir ; on peut alors se demander quelle taxe l’État augmentera pour compenser cette perte. À moins qu’il ne parvienne enfin à réduire ses dépenses…

https://www.contrepoints.org/2023/03/20/452668-le-bouclier-energetique-un-dispositif-qui-revele-les-failles-structurelles-du-mix-electrique-francais

108 commentaires:

  1. Amazone

    Jeff Bezos, président exécutif d'Amazon, vise à piller l'Inde et à éradiquer des millions de petits commerçants et détaillants et de boutiques familiales de quartier.

    C'est un homme avec peu de scrupules.

    Après son retour d'un bref vol dans l'espace en juillet 2021, dans une fusée construite par sa société spatiale privée, Bezos a déclaré lors d'une conférence de presse :

    "Je tiens également à remercier chaque employé d'Amazon et chaque client d'Amazon parce que vous avez payé pour tout cela."

    En réponse, la députée américaine Nydia Velazquez a écrit sur Twitter :

    "Alors que Jeff Bezos fait la une des journaux pour avoir payé pour aller dans l'espace, n'oublions pas la réalité qu'il a créée ici sur Terre."

    Elle a ajouté le hashtag #WealthTaxNow en référence à l'évasion fiscale d'Amazon, révélée dans de nombreux rapports, notamment l'étude de mai 2021 ' La méthode Amazon : Comment profiter du système international d'État pour éviter de payer des impôts ' par des chercheurs de l'Université de Londres .

    Il n'est pas étonnant que lorsque Bezos s'est rendu en Inde en janvier 2020, il n'ait pas été accueilli à bras ouverts.

    Bezos a fait l'éloge de l'Inde sur Twitter en publiant :

    "Dynamisme. Énergie. Démocratie. #SiècleIndien.

    Le haut responsable du parti au pouvoir au département des affaires étrangères du BJP a riposté avec :

    "S'il vous plaît, dites ceci à vos employés à Washington DC. Sinon, votre offensive de charme sera probablement une perte de temps et d'argent.

    Une réponse appropriée, bien que perplexe compte tenu de la sanction proposée par l'administration actuelle de la prise de contrôle étrangère de l'économie.

    Bezos a atterri en Inde sur le dos du régulateur antitrust du pays, ouvrant une enquête officielle sur Amazon et avec de petits propriétaires de magasins manifestant dans les rues. La Confédération de tous les commerçants indiens (CAIT) a annoncé que les membres de ses organismes affiliés à travers le pays organiseraient des sit-in et des rassemblements publics dans 300 villes en signe de protestation.

    Dans une lettre au Premier ministre Modi, avant la visite de Bezos, le secrétaire du CAIT, le général Praveen Khandelwal, a affirmé qu'Amazon, comme Flipkart, propriété de Walmart, était un "terroriste économique" en raison de ses prix prédateurs qui "obligeaient à la fermeture". de milliers de petits commerçants.

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  2. En 2020, Delhi Vyapar Mahasangh (DVM) a déposé une plainte contre Amazon et Flipkart alléguant qu'ils favorisaient certains vendeurs par rapport à d'autres sur leurs plateformes en leur offrant des frais réduits et une liste préférentielle. Le DVM fait pression pour promouvoir les intérêts des petits commerçants. Cela a également soulevé des inquiétudes quant à la conclusion par Amazon et Flipkart de partenariats avec des fabricants de téléphones mobiles pour vendre des téléphones exclusivement sur leurs plates-formes.

    DVM a fait valoir qu'il s'agissait d'un comportement anticoncurrentiel, car les petits commerçants ne pouvaient pas acheter et vendre ces appareils. Des inquiétudes ont également été exprimées concernant les ventes flash et les rabais importants offerts par les entreprises de commerce électronique, qui ne pouvaient être égalés par les petits commerçants.

    Le CAIT estime qu'en 2019, plus de 50 000 détaillants de téléphones mobiles ont été contraints de fermer leurs portes par de grandes entreprises de commerce électronique.

    Les documents internes d'Amazon, tels que révélés par Reuters, indiquaient qu'Amazon détenait une participation indirecte dans une poignée de vendeurs qui représentaient l'essentiel des ventes sur sa plate-forme indienne. C'est un problème car en Inde, Amazon et Flipkart ne sont légalement autorisés à fonctionner que comme des plates-formes neutres qui facilitent les transactions entre vendeurs et acheteurs tiers moyennant des frais.

    Le résultat est que la Cour suprême de l'Inde a récemment statué qu'Amazon devait faire l'objet d'une enquête de la Commission indienne de la concurrence (CCI) pour des pratiques commerciales anticoncurrentielles présumées. La CCI a déclaré qu'elle enquêterait sur les remises importantes, les listes préférentielles et les tactiques d'exclusion qu'Amazon et Flipkart auraient utilisées pour détruire la concurrence.

    Cependant, il y a des forces puissantes qui se sont assises pendant que ces entreprises se déchaînaient.

    En août 2021, le CAIT a attaqué le NITI Aayog (l'influent groupe de réflexion de la commission politique du gouvernement indien) pour ingérence dans les règles de commerce électronique proposées par le ministère de la Consommation.

    Le CAIT a déclaré que le groupe de réflexion semble clairement être sous la pression et l'influence des géants étrangers du commerce électronique.

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  3. Chapitre VIII

    La nouvelle normalité
    Crise du capitalisme et réinitialisation dystopique

    Aujourd'hui, poussé par la vision de son influent président exécutif Klaus Schwab , le Forum économique mondial est un point focal majeur pour la « grande réinitialisation » dystopique , un changement tectonique qui vise à changer notre façon de vivre, de travailler et d'interagir les uns avec les autres.

    La grande réinitialisation envisage une transformation du capitalisme, entraînant des restrictions permanentes des libertés fondamentales et une surveillance de masse alors que des moyens de subsistance et des secteurs entiers sont sacrifiés pour renforcer le monopole et l'hégémonie des sociétés pharmaceutiques, des géants de la haute technologie/du big data, d'Amazon, de Google, des grandes sociétés mondiales chaînes, le secteur des paiements numériques, les entreprises biotechnologiques, etc.

    Sous le couvert des fermetures et des restrictions liées au COVID-19, la grande réinitialisation a été accélérée sous le couvert d'une « quatrième révolution industrielle » dans laquelle les petites entreprises doivent être poussées à la faillite ou rachetées par des monopoles. Les économies sont en train d'être « restructurées » et de nombreux emplois et rôles seront assurés par la technologie basée sur l'IA.

    Et nous assistons également à la marche vers une "économie verte" sous-tendue par la rhétorique de la "consommation durable" et de "l'urgence climatique".

    De nouvelles arènes essentielles (pour le capitalisme) pour faire du profit seront créées par la « financiarisation » et la propriété de tous les aspects de la nature , qui doit être colonisée, marchandisée et commercialisée sous la notion frauduleuse de protection de l'environnement. Cela signifie essentiellement que - sous prétexte d'émissions « zéro nettes » - les pollueurs peuvent continuer à polluer mais « compenser » leur pollution en utilisant et en échangeant (et en profitant) les terres et les ressources des peuples autochtones et des agriculteurs en tant que puits de carbone. Un autre stratagème financier à la Ponzi, cette fois basé sur « l'impérialisme vert ».

    Les politiciens de pays du monde entier ont utilisé la rhétorique de la grande réinitialisation, parlant de la nécessité de "reconstruire en mieux" pour la "nouvelle normalité". Ils sont tous au point. Ce n'est pas une coïncidence.

    Mais pourquoi cette réinitialisation est-elle nécessaire ?

    Le capitalisme doit maintenir des marges bénéficiaires viables. Le système économique actuel exige des niveaux toujours croissants d'extraction, de production et de consommation et a besoin d'un certain niveau de croissance annuelle du PIB pour que les grandes entreprises réalisent suffisamment de bénéfices.

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  4. Les gens ordinaires paieront la facture des plans de « secours COVID » et si les renflouements financiers ne se déroulent pas comme prévu, nous pourrions voir de nouveaux confinements imposés, peut-être justifiés sous prétexte de « virus » mais aussi « d'urgence climatique ».

    Il n'y a pas que la Big Finance qui a été sauvée. Une industrie pharmaceutique auparavant en difficulté a également reçu un renflouement massif (des fonds publics pour développer et acheter les vaccins) et une bouée de sauvetage grâce aux piqûres COVID lucratives.

    Ce que nous voyons, c'est que des millions de personnes dans le monde sont privées de leurs moyens de subsistance. Avec l'IA et l'automatisation avancée de la production, de la distribution et de la fourniture de services à l'horizon, une main-d'œuvre de masse ne sera plus nécessaire.

    Cela soulève des questions fondamentales sur la nécessité et l'avenir de l'éducation de masse, de la protection sociale et de la prestation de soins de santé et des systèmes qui ont traditionnellement servi à reproduire et à maintenir le travail requis par l'activité économique capitaliste. Au fur et à mesure que l'économie se restructure, la relation du travail au capital se transforme. Si le travail est une condition d'existence des classes laborieuses, alors, aux yeux des capitalistes, pourquoi maintenir un réservoir de main-d'œuvre (excédentaire) qui n'est plus nécessaire ?

    Dans le même temps, alors que de larges pans de la population se dirigent vers un état de chômage permanent, les dirigeants sont las de la dissidence et de la résistance de masse. Nous assistons à l'émergence d'un État de surveillance de la biosécurité conçu pour restreindre les libertés allant de la liberté de mouvement et de réunion à la protestation politique et à la liberté d'expression.

    Dans un système de capitalisme de surveillance descendant avec une partie croissante de la population considérée comme « improductive » et « mangeuse inutile », les notions d'individualisme, de démocratie libérale et l'idéologie du libre choix et du consumérisme sont considérées par l'élite comme des « luxes inutiles » ainsi que les droits et libertés politiques et civils.

    Il suffit de regarder la tyrannie en cours en Australie pour voir à quelle vitesse le pays est passé d'une «démocratie libérale» à un État policier totalitaire brutal de verrouillages sans fin où les rassemblements et les manifestations ne doivent pas être tolérés.

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  5. Être battu et jeté à terre et se faire tirer dessus avec des balles en caoutchouc au nom de la protection de la santé a autant de sens que de dévaster des sociétés entières par des confinements socialement et économiquement destructeurs pour «sauver des vies».

    Il y a peu ou pas de logique à cela. Mais bien sûr, si nous considérons ce qui se passe en termes de crise du capitalisme, cela pourrait commencer à avoir beaucoup plus de sens.

    Les mesures d'austérité qui ont suivi le crash de 2008 ont été suffisamment graves pour les gens ordinaires qui étaient encore sous le choc des impacts lorsque le premier confinement a été imposé.

    Les autorités sont conscientes que des impacts plus profonds et plus durs ainsi que des changements beaucoup plus étendus se produiront cette fois-ci et semblent catégoriques sur le fait que les masses doivent devenir plus étroitement contrôlées et conditionnées à leur servitude à venir.

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  6. Dans cet esprit, un article sur le site Web américain Right To Know expose le programme dirigé par Gates pour l'avenir de l'alimentation basé sur la programmation de la biologie pour produire des substances synthétiques et génétiquement modifiées. La pensée reflète la programmation des ordinateurs dans l'économie de l'information. Bien sûr, Gates et ses semblables ont breveté, ou sont en train de breveter, les processus et les produits impliqués.

    Par exemple, Ginkgo Bioworks, une start-up soutenue par Gates qui fabrique des «organismes personnalisés», a récemment été rendue publique dans le cadre d'un accord de 17,5 milliards de dollars. Il utilise la technologie de « programmation cellulaire » pour créer génétiquement des arômes et des parfums dans des souches commerciales de levures et de bactéries modifiées afin de créer des ingrédients « naturels », notamment des vitamines, des acides aminés, des enzymes et des arômes pour les aliments ultra-transformés.

    Ginkgo prévoit de créer jusqu'à 20 000 «programmes cellulaires» (il en a maintenant cinq) pour les produits alimentaires et de nombreuses autres utilisations. Il prévoit de facturer aux clients l'utilisation de sa «plate-forme biologique». Ses clients ne sont pas des consommateurs ou des agriculteurs, mais les plus grandes entreprises chimiques, alimentaires et pharmaceutiques du monde.

    Gates pousse la fausse nourriture à travers son programme de greenwash. S'il est vraiment intéressé à éviter une "catastrophe climatique", à aider les agriculteurs ou à produire suffisamment de nourriture, au lieu de cimenter le pouvoir et le contrôle des entreprises sur notre alimentation, il devrait faciliter les approches agroécologiques communautaires.

    Mais il ne le fera pas car il n'y a pas de place pour les brevets, les intrants propriétaires externes, la marchandisation et la dépendance à l'égard des entreprises mondiales que Gates considère comme la réponse à tous les problèmes de l'humanité dans sa quête pour contourner les processus démocratiques et déployer son programme.

    L'Inde devrait en tenir compte, car c'est l'avenir de la « nourriture ». Si les agriculteurs ne parviennent pas à faire abroger les lois agricoles, l'Inde redeviendra dépendante des importations de produits alimentaires ou des fabricants de produits alimentaires étrangers et même de la « nourriture » ​​fabriquée en laboratoire. Les aliments faux ou toxiques remplaceront les régimes alimentaires traditionnels et les méthodes de culture seront pilotées par des drones, des semences génétiquement modifiées et des fermes sans agriculteurs, dévastant les moyens de subsistance (et la santé) de centaines de millions de personnes.

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  7. Le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass, a déclaré que les pays les plus pauvres seront « aidés » à se remettre sur pied après les divers confinements qui ont été mis en place. Cette « aide » sera conditionnée à la mise en œuvre et à l'enracinement des réformes néolibérales et de l'affaiblissement des services publics.

    En avril 2020, le Wall Street Journal a titré « Le FMI et la Banque mondiale font face à un déluge de demandes d'aide du monde en développement ». Des dizaines de pays demandent des renflouements et des prêts aux institutions financières avec 1,2 billion de dollars à prêter. Une recette idéale pour alimenter la dépendance.

    En échange d'un allégement ou d'un «soutien» de la dette, les conglomérats mondiaux ainsi que Bill Gates seront en mesure de dicter davantage les politiques nationales et de vider les vestiges de la souveraineté des États-nations.

    La classe milliardaire qui défend ce programme pense qu'elle peut posséder la nature et tous les humains et peut contrôler les deux, que ce soit par la géo-ingénierie de l'atmosphère, par exemple, en modifiant génétiquement les microbes du sol ou en faisant un meilleur travail que la nature en produisant de faux aliments biosynthétisés dans un laboratoire.

    Ils pensent qu'ils peuvent clore l'histoire et réinventer la roue en remodelant ce que signifie être humain. Et ils espèrent pouvoir y parvenir le plus tôt possible. C'est une vision froide et dystopique qui veut éradiquer des milliers d'années de culture, de tradition et de pratiques pratiquement du jour au lendemain.

    Et bon nombre de ces cultures, traditions et pratiques sont liées à la nourriture, à la façon dont nous la produisons et à nos liens profondément enracinés avec la nature. Considérez que bon nombre des anciens rituels et célébrations de nos ancêtres ont été construits autour d'histoires et de mythes qui les ont aidés à accepter certains des problèmes les plus fondamentaux de l'existence, de la mort à la renaissance et à la fertilité. Ces croyances et pratiques ancrées dans la culture ont servi à sanctifier leur relation pratique avec la nature et son rôle dans le maintien de la vie humaine.

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  8. Alors que l'agriculture devenait essentielle à la survie humaine, la plantation et la récolte des cultures et d'autres activités saisonnières associées à la production alimentaire étaient au cœur de ces coutumes. Freyfaxi marque le début de la récolte dans le paganisme nordique, par exemple, tandis que Lammas ou Lughnasadh est la célébration de la première récolte/récolte de céréales dans le paganisme.

    Les humains ont célébré la nature et la vie à laquelle elle a donné naissance. Les anciennes croyances et rituels étaient empreints d'espoir et de renouveau et les gens avaient une relation nécessaire et immédiate avec le soleil, les graines, les animaux, le vent, le feu, le sol et la pluie et les saisons changeantes qui nourrissaient et apportaient la vie. Nos relations culturelles et sociales avec la production agraire et les divinités associées avaient une base pratique solide. La vie des gens est liée à la plantation, à la récolte, aux semences, au sol et aux saisons depuis des milliers d'années.

    Par exemple, le professeur Robert W Nicholls explique que les cultes de Woden et de Thor se sont superposés à des croyances beaucoup plus anciennes et mieux enracinées liées au soleil et à la terre, aux cultures et aux animaux et à la rotation des saisons entre la lumière et la chaleur de l'été et le froid et l'obscurité de l'hiver.

    Nous n'avons pas besoin de chercher plus loin que l'Inde pour apprécier la relation importante entre la culture, l'agriculture et l'écologie, notamment l'importance vitale de la mousson et des plantations et récoltes saisonnières. Les croyances et les rituels ruraux ancrés dans la nature persistent, même parmi les Indiens urbains. Ceux-ci sont liés aux systèmes de savoirs traditionnels où les moyens de subsistance, les saisons, la nourriture, la cuisine, la transformation et la préparation des aliments, l'échange de semences, les soins de santé et la transmission des connaissances sont tous interdépendants et forment l'essence même de la diversité culturelle en Inde.

    Bien que l'ère industrielle ait entraîné une diminution du lien entre la nourriture et l'environnement naturel à mesure que les gens s'installaient dans les villes, les « cultures alimentaires » traditionnelles - les pratiques, les attitudes et les croyances entourant la production, la distribution et la consommation de nourriture - continuent de prospérer et de mettre en valeur notre lien permanent avec l'agriculture et la nature.

    La main de Dieu
    Si nous revenons aux années 1950, il est intéressant de noter le récit d'entreprise d'Union Carbide basé sur une série d'images qui dépeignent l'entreprise comme une « main de Dieu » sortant du ciel pour « résoudre » certains des problèmes auxquels l'humanité est confrontée. L'une des images les plus célèbres est celle de la main déversant les produits agrochimiques de l'entreprise sur les sols indiens comme si les pratiques agricoles traditionnelles étaient en quelque sorte « arriérées ».

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  9. Malgré les affirmations largement médiatisées du contraire, cette approche basée sur les produits chimiques n'a pas conduit à une augmentation de la production alimentaire et a eu des conséquences écologiques, sociales et économiques dévastatrices à long terme.

    Dans le livre Food and Cultural Studies ' (Bob Ashley et al), nous voyons comment, il y a quelques années, une campagne publicitaire télévisée Coca Cola vendait son produit à un public qui associait la modernité à une boisson sucrée et décrivait les anciennes croyances autochtones comme nuisibles, ignorant et obsolète. Le coke et non la pluie est devenu le donneur de vie des desséchés. Ce type d'idéologie fait partie d'une stratégie plus large visant à discréditer les cultures traditionnelles et à les présenter comme étant déficientes et ayant besoin de l'aide de sociétés « divines ».

    Aujourd'hui, on parle de fermes sans agriculteur équipées de machines sans conducteur et surveillées par des drones, la nourriture de laboratoire devenant la norme. Nous pouvons spéculer sur ce que cela pourrait signifier : des cultures de base à partir de semences génétiquement modifiées brevetées aspergées de produits chimiques et cultivées pour la « biomatière » industrielle à traiter par des sociétés de biotechnologie et transformées en quelque chose ressemblant à de la nourriture.

    Dans des endroits comme l'Inde, les terres d'agriculteurs déjà (avant le COVID) lourdement endettés finiront-elles par être cédées aux géants de la technologie, aux institutions financières et à l'agro-industrie mondiale pour produire leurs boues industrielles GM de haute technologie et axées sur les données ?

    Est-ce que cela fait partie du brave new world promu par le Forum économique mondial ? Un monde dans lequel une poignée de dirigeants affichent leur mépris de l'humanité et leur arrogance, se croyant au-dessus de la nature et de l'humanité.

    Cette élite comprend entre 6 000 et 7 000 individus (environ 0,0001 % de la population mondiale) selon David Rothkopf – ancien directeur de Kissinger Associates (créé par Henry Kissinger), haut administrateur de l'administration Bill Clinton et membre du Council for Relations étrangères - dans son livre de 2008 «SuperClass: The Global Power Elite and the World They are Making».

    Cette classe comprend les élites mondiales imbriquées dans les mégacorporations et qui élaborent les politiques : des personnes au sommet absolu de la pyramide du pouvoir mondial. Ils établissent les ordres du jour de la Commission trilatérale, du Groupe Bilderberg, du G-8, du G-20, de l'OTAN, de la Banque mondiale et de l'Organisation mondiale du commerce et sont en grande partie issus des plus hauts niveaux du capital financier et des sociétés transnationales.

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  10. Mais ces dernières années, nous avons également assisté à la montée en puissance de ce que le journaliste Ernst Wolff appelle le complexe numérique-financier qui est aujourd'hui le moteur de la mondialisation et de l'agenda agricole mondial . Ce complexe comprend de nombreuses entreprises déjà mentionnées, telles que Microsoft, Alphabet (Google), Apple, Amazon et Meta (Facebook) ainsi que BlackRock et Vanguard, des sociétés transnationales d'investissement/de gestion d'actifs.

    Ces entités exercent un contrôle sur les gouvernements et les institutions importantes telles que la Banque centrale européenne (BCE) et la Réserve fédérale américaine. En effet, Wolff déclare que BlackRock et Vanguard ont plus d'actifs financiers que la BCE et la Fed réunies.

    Pour apprécier le pouvoir et l'influence de BlackRock et de Vanguard, tournons-nous vers le documentaire Monopoly : An Overview of the Great Reset qui soutient que les actions des plus grandes entreprises mondiales sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Cela signifie que les marques « concurrentes », comme Coke et Pepsi, ne sont pas vraiment des concurrents, puisque leurs actions sont détenues par les mêmes sociétés d'investissement, fonds d'investissement, compagnies d'assurance et banques.

    Les petits investisseurs sont la propriété de grands investisseurs. Ceux-ci appartiennent à des investisseurs encore plus importants. Le sommet visible de cette pyramide ne montre que deux sociétés : Vanguard et Black Rock.

    Un rapport Bloomberg de 2017 indique que ces deux sociétés en 2028 auront ensemble des investissements s'élevant à 20 000 milliards de dollars. En d'autres termes, ils posséderont presque tout ce qui vaut la peine d'être possédé.

    Le complexe numérique-financier veut contrôler tous les aspects de la vie. Il veut un monde sans argent liquide, pour détruire l'intégrité corporelle avec un programme de vaccination obligatoire lié aux technologies biopharmaceutiques numériques émergentes, pour contrôler toutes les données personnelles et l'argent numérique et il exige un contrôle total sur tout, y compris l'alimentation et l'agriculture.

    Si les événements depuis le début de 2020 nous ont montré quelque chose, c'est qu'une élite mondiale autoritaire et irresponsable connaît le type de monde qu'elle veut créer, a la capacité de coordonner son programme à l'échelle mondiale et utilisera la tromperie et la duplicité pour y parvenir. Et dans ce nouveau monde orwellien courageux où la «démocratie libérale» capitaliste a suivi son cours , il n'y aura pas de place pour des États-nations véritablement indépendants ou des droits individuels.

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  11. L'indépendance des États-nations pourrait être davantage érodée par la « financiarisation de la nature » du complexe numérique-financier et son « profilage vert » des pays et des entreprises.

    Si, encore une fois, nous prenons l'exemple de l'Inde, le gouvernement indien s'est efforcé sans relâche d'attirer des flux d'investissements étrangers vers des obligations d'État (créant un marché lucratif pour les investisseurs mondiaux). Il ne faut pas beaucoup d'imagination pour voir comment les investisseurs pourraient déstabiliser l'économie avec d'importants mouvements d'entrée ou de sortie de ces obligations, mais aussi comment les « références vertes » de l'Inde pourraient être prises en compte pour dégrader sa cote de crédit internationale.

    Et comment l'Inde pourrait-elle démontrer ses références vertes et donc sa « solvabilité » ? Peut-être en autorisant les monocultures de produits OGM résistants aux herbicides que le secteur des OGM présente à tort comme « respectueuses du climat » ou en déplaçant les peuples autochtones et en utilisant leurs terres et leurs forêts comme puits de carbone pour que les entreprises mondiales « nettes zéro » « compensent » leur pollution.

    Avec le lien complètement rompu entre la production alimentaire, la nature et les croyances ancrées dans la culture qui donnent un sens et une expression à la vie, nous nous retrouverons avec l'individu humain qui vit de la nourriture de laboratoire, qui dépend des revenus de l'État et qui est dépouillé d'un effort productif satisfaisant et d'un véritable épanouissement personnel.

    La récente protestation des agriculteurs en Inde et la lutte mondiale en cours pour l'avenir de l'alimentation et de l'agriculture doivent être considérées comme faisant partie intégrante de la lutte plus large concernant l'orientation future de l'humanité.

    Ce qu'il faut, c'est une « alternative au développement », comme l'explique le théoricien du post-développement Arturo Escobar :

    « Parce que sept décennies après la Seconde Guerre mondiale, certains fondamentaux n'ont pas changé. Les inégalités mondiales restent graves, tant entre les nations qu'au sein de celles-ci. La dévastation de l'environnement et la dislocation humaine, provoquées par des facteurs politiques et écologiques, continuent de s'aggraver. Ce sont des symptômes de l'échec du "développement", des indicateurs que le projet intellectuel et politique de post-développement reste une tâche urgente.

    En ce qui concerne la situation en Amérique latine, Escobar affirme que les stratégies de développement se sont concentrées sur des interventions à grande échelle, telles que l'expansion des plantations de palmiers à huile, l'exploitation minière et le développement de grands ports.

    Et c'est similaire en Inde : monoculture de produits de base ; la paupérisation à la campagne ; l'appropriation de la biodiversité, moyen de subsistance de millions de ruraux ; des projets d'infrastructure inutiles et inappropriés qui détruisent l'environnement et déplacent des personnes ; et la violence soutenue par l'État contre les couches les plus pauvres et les plus marginalisées de la société.

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  12. Ces problèmes ne sont pas le résultat d'un manque de développement mais d'un "développement excessif". Escobar se tourne vers les visions du monde des peuples autochtones et l'inséparabilité et l'interdépendance des humains et de la nature pour trouver des solutions.

    Il n'est pas seul. Les écrivains Felix Padel et Malvika Gupta soutiennent que l'économie des Adivasi (peuples indigènes de l'Inde) pourrait être le seul espoir pour l'avenir car les cultures tribales de l'Inde restent l'antithèse du capitalisme et de l'industrialisation. Leurs connaissances séculaires et leurs systèmes de valeurs favorisent la durabilité à long terme en restreignant ce qui est prélevé sur la nature. Leurs sociétés mettent également l'accent sur l'égalité et le partage plutôt que sur la hiérarchie et la concurrence.

    Ces principes doivent guider nos actions quel que soit l'endroit où nous vivons sur la planète car quelle est l'alternative ? Un système mû par le narcissisme, la domination, l'ego, l'anthropocentrisme, le spécisme et le pillage. Un système qui utilise les ressources naturelles beaucoup plus rapidement qu'elles ne peuvent jamais être régénérées. Nous avons empoisonné les rivières et les océans, détruit des habitats naturels, conduit des espèces sauvages à (au bord de) l'extinction et continuons de polluer et de dévaster.

    Et, comme nous pouvons le voir, le résultat est des conflits sans fin pour des ressources limitées tandis que des missiles nucléaires sont suspendus au-dessus de la tête de l'humanité comme une épée de Damoclès.

    https://www.globalresearch.ca/food-dispossession-dependency-resisting-new-world-order/5770468

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  13. Carburants : les pénuries commencent alors que le mouvement se durcit

    Depuis la décision du gouvernement, jeudi 16 mars 2023, d’utiliser l’article 49.3 de la Constitution pour faire passer en force la réforme des retraites, la mobilisation s’amplifie et se durcit. Des affrontements ont éclaté dans plusieurs villes de France, alors que Paris a connu au moins une manifestation par jour. Et sur le front du quotidien des Français, sans surprise, les premiers effets se font sentir.


    Par Paolo Garoscio
    le 20 mars 2023 à 6h03


    L'indemnité carburant pour 2023 est de 100 euros forfaitaires.

    Des centaines de stations service en rupture totale de carburants en France

    En première ligne contre la réforme des retraites, la CGT-Pétrole avait annoncé très rapidement un blocage de sites pétroliers. Selon TotalEnergies, 37% des effectifs sont en grève… et l’objectif est simple : empêcher la production et, surtout, l’approvisionnement en carburants en France.

    Ce n’est pas encore le cas, mais la situation se tend de plus en plus. La carte penurie.mon-essence.fr, site collaboratif, fait état au 20 mars 2023 de 400 stations en pénurie totale et plus de 500 en pénurie partielle. Deux fois plus de stations en pénurie totale que… la veille seulement.

    Et Olivier Mateu, secrétaire de l’Union départementale CGT, avait prévenu. Les Français ont tout intérêt à faire le plein dès qu’ils le peuvent… « car il n’y en aura bientôt plus beaucoup ».

    Le Sud particulièrement touché par les pénuries de carburants

    Selon la carte collaborative, c’est du côté de la région de Marseille que les pénuries se concentrent. 25 % des stations-service des Bouches-du-Rhône sont en effet en difficulté. Et la situation empire un peu partout en France.

    Sur l’ensemble du territoire, toutefois, 3,4 % des stations-service connaissent des difficultés d’approvisionnement. C’est trois fois plus que la moyenne en temps normal (environ 1 %) mais deux fois moins que lors du blocage du 7 mars 2023 (plus de 6 %).

    D’autres raffineries et dépôts bloqués contre la réforme

    La mise à l’arrêt de la raffinerie de Gonfreville-L’Orcher, la plus grande de France, samedi 18 mars 2023 a donné un coup de boost au mouvement. Et la CGT des Ports-et-Docks et des Industries Chimiques a annoncé la couleur : le mouvement va empirer.

    En Normandie, la raffinerie Total va être mise à l’arrêt, tout comme celle de Petroineos à Lavera (13). « Seule la raffinerie de Feyzin tourne normalement à l’heure actuelle », expliquait la CGT le 18 mars 2023 dans un communiqué de presse.

    - voir cadre sur site -

    Sur le front des carburants, de telles annonces ne peuvent que conduire à plus de difficultés.

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  14. Une situation critique si la motion de censure est rejetée ?
    Lundi 20 mars 2023 sera une journée charnière : les motions de censure contre le texte de la réforme des retraites seront déposées. Mais, selon les premières indications de vote, elles pourraient être rejetées. Y compris celle du groupe LIOT, transpartisane et soutenue par tous les opposants.

    En cas de rejet des motions de censure, le gouvernement reste en place et la réforme des retraites est adoptée. Sans vote, du fait du 49.3. De quoi galvaniser le mouvement de grève et les manifestants puisque le passage en force du gouvernement sera alors effectif.

    https://www.economiematin.fr/carburants-penurie-france-blocage-greve-raffineries

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  15. Alors que les manifestations françaises s'intensifient violemment, le gouvernement Macron tombera-t-il ?


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 20 MARS 2023 - 07:00
    Écrit par John Cody via Remix news,


    Après que le président français Emmanuel Macron a fait passer la réforme des retraites sans vote au Parlement, la réaction a été féroce et il y a maintenant de fortes chances qu'un vote de défiance cette semaine puisse faire tomber son gouvernement. Même s'il survit au vote, les commentateurs disent que Marine Le Pen n'a jamais été en meilleure position, le populiste conservateur sortant comme le "vainqueur" du débat acharné sur la réforme des retraites.

    La décision de Macron de se tourner vers l'article 49.3 de la Constitution française, qui lui permet de contourner le Parlement et de faire passer l'âge de la retraite de 62 à 64 ans par décret, avait été qualifiée d'"option nucléaire" par la presse française.

    Cependant, dans l'article se trouve une clause selon laquelle un vote de défiance peut être déposé dans les 24 heures suivant l'utilisation de l'article 49.3, et s'il réussit, cela signifierait la fin du gouvernement Macron.

    Des émeutes spontanées ont déjà éclaté à travers le pays, entraînant plus de 258 arrestations rien qu'à Paris, mais la presse et les analystes politiques avertissent que de plus graves troubles se profilent à l'horizon.

    Des centaines de milliers de personnes ont été chassées dans la rue ces dernières semaines au mépris de la réforme des retraites de Macron, et les sondages montrent systématiquement qu'environ 75 % des Français rejettent le relèvement de l'âge de la retraite.

    Ces manifestations pourraient contribuer à alimenter la campagne en faveur d'un vote de défiance, Le Pen annonçant rapidement qu'elle poursuivrait un vote de défiance immédiatement après que Macron ait imposé la réforme des retraites. Jusqu'à présent, le Rassemblement national de Le Len et la France insoumise de gauche se sont bloqués lorsqu'il s'agissait de tenter de destituer la Première ministre française Elisabeth Borne, qui reste une proche alliée de Macron.

    Cependant, le député libéral Charles de Courson pourrait l'introduire et ainsi servir de pont entre la droite et la gauche. Les libéraux, agissant comme intermédiaire neutre, pourraient permettre à la droite et à la gauche de voter pour leur motion. Il a également été annoncé que le groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (groupe LIOT) devrait déposer une motion de censure à 14 heures. aujourd'hui aussi.

    Bien que les différentes factions du parlement soient restées divisées jusqu'à présent, la décision douteuse de Macron d'imposer la réforme des retraites sans vote démocratique pourrait enfin unifier l'opposition.

    Les enjeux sont extrêmement élevés pour Macron. Il a qualifié sa décision de "mère de toutes les réformes" et souhaite faire de la réforme l'un des couronnements de son règne. Qu'il reste ou non au pouvoir, l'idée de «démocratie» en France est devenue une farce, et les tensions ne devraient monter que dans les semaines à venir, voire les années à venir.

    Le Pen dit qu'elle renversera la réforme des retraites si elle est élue présidente. Les experts disent que son parti a tout à gagner de la décision de Macron et qu'elle a réussi à élargir l'électorat de son parti de la base ouvrière à la classe moyenne.

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  16. "Ce sont précisément les salariés qui sont en colère contre la réforme de Macron", a déclaré le sondeur Frédéric Dabi au Welt allemand.

    Le Pen est également considéré comme le mieux placé pour capitaliser parmi les différents partis de droite et conservateurs en France.

    "Le Pen poursuit avec succès le processus de normalisation entamé il y a des années et continue d'en récolter les fruits", déclare Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrémisme de droite. "Il n'y a plus de tabou face à la victoire de Marine Le Pen. Il faut maintenant considérer cela comme une hypothèse sérieuse.

    https://www.zerohedge.com/political/french-protests-violently-escalate-will-macrons-government-fall

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  17. La France bénéficie d'un âge de la retraite relativement bas


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 19 MARS 2023 - 12:35


    Les protestations et les grèves qui ont perturbé la France pendant des semaines se sont intensifiées après que le gouvernement a décidé hier d'imposer une réforme controversée portant l'âge minimum de la retraite de 62 à 64 ans. Le changement est en cours depuis des années et a été reporté dans le temps et une fois de plus à la suite d'une opposition féroce au sein de la population - par exemple sous la forme de la plus longue grève des transports du pays au début de 2020.

    Le président français Emmanuel Macron évoquera des pouvoirs constitutionnels spéciaux pour adopter la loi que le Sénat français a approuvée jeudi, mais qui devait se heurter à un barrage routier à la chambre basse. Le Premier ministre français Elisabeth Borne, qui a annoncé le plan, a appelé la réforme nécessaire pour éviter un déficit majeur du système de retraite. Comme de nombreuses sociétés vieillissantes en Europe, la France cherche à soutenir une part croissante de retraités parmi sa population, mais contrairement à beaucoup de ses voisins, elle n'a pas encore relevé l'âge de la retraite.

    Le changement devrait être finalisé d'ici 2030. De même, d'autres pays développés dans le monde ont entrepris de relever l'âge de la retraite de leurs pensions publiques, mais la plupart sont allés beaucoup plus loin que la France ne l'aura fait au cours de cette décennie.

    - voir liste des pays sur site -

    Infographie : La France bénéficie d'un âge de la retraite relativement bas | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Les Pays-Bas, l'Espagne, l'Allemagne et les États-Unis (par l'intermédiaire de la Social Security Administration) approchent peu à peu leur nouvel âge commun de retraite de 67 ans.

    Les cohortes les plus récentes éligibles à une pension ordinaire au 1er janvier 2023 ont désormais entre 65 ans et 10 mois et 66 ans et 10 mois dans ces pays. Le nouvel âge de la retraite de 67 ans pour les cohortes nouvellement éligibles sera atteint entre 2024 et 2030. Le Royaume-Uni, quant à lui, commencera à atteindre 67 ans entre 2026 et 2028, tandis que la Belgique augmentera l'âge minimum de la retraite à 66 ans en 2025 et 67 ans en 2030. .

    En plus d'une condition d'âge, les pays appliquent également des minimums pour la durée de la vie professionnelle d'une personne afin de prendre sa retraite avec une pension standard. Des exceptions sont parfois faites pour les personnes qui dépassent largement cette exigence de vie professionnelle avant l'âge minimum de la retraite. Dans la plupart des pays, il est également possible de prendre sa retraite plus tôt et d'accepter des déductions. Des règles divergentes s'appliquent aux pensions professionnelles, aux pensions de base, aux comptes de pension individuels et, bien entendu, aux pensions privées.

    Les pays qui ont été plus timides dans le relèvement de l'âge de la retraite sont le Canada, où les projets de le modifier au-delà de 65 ans ont été abandonnés, et la Suisse, qui réfléchit toujours à une nouvelle augmentation. Cependant, l'âge de la retraite sera de 65 ans pour les deux sexes à partir de 2025 dans le pays. La Suède a relevé l'âge de la retraite à 63 ans cette année contre 62 ans et pourrait encore augmenter à mesure que l'espérance de vie augmente.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/france-enjoys-comparably-low-retirement-age

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  18. La Pologne se prépare à la guerre


    20 mars 2023
    par Thomas Oysmuller


    Une déclaration de l'ambassadeur de Pologne à Paris a suscité beaucoup d'émoi : si l'Ukraine ne pouvait plus se défendre, la Pologne devrait entrer en guerre. En même temps, vous mettez à niveau massivement.

    La Pologne entrera-t-elle bientôt en guerre ? Une déclaration de l'ambassadeur de Pologne en France, Jan Emeric Rostiszewski, a suscité beaucoup d'émotion dans une interview : si l'Ukraine ne peut pas défendre son indépendance, la Pologne sera forcée d'entrer dans le conflit, a-t-il déclaré.

    guerre contre la Russie

    La Pologne n'aurait alors pas d'autre choix, car rien de moins que les valeurs et les fondements de sa propre civilisation ne seraient en jeu :

    "Si l'Ukraine ne peut pas défendre son indépendance, nous n'avons pas le choix, nous serons contraints d'entrer en conflit."

    Un peu plus tard, l'ambassade de Pologne en France a démenti la déclaration faite par son propre ambassadeur. La déclaration a été « sortie de son contexte » par les médias, a-t-on affirmé. Ailleurs dans l'interview, Rosciszewski "a dit clairement que la Pologne n'est pas en guerre, mais fera tout pour aider l'Ukraine à se défendre dans ce conflit". Tout au long de l'interview, l'ambassadeur Rosciszewski était « convaincu de la nécessité d'alliés pour soutenir l'Ukraine » :

    "Si vous suivez attentivement toute la conversation, il devient clair qu'aucune implication directe de la Pologne dans la guerre n'a été annoncée, mais seulement un avertissement des conséquences de la défaite de l'Ukraine - la possibilité que la Russie attaque les États baltes et la Pologne ou entre en guerre impliquée" .

    Lundi, l'administration présidentielle s'est également sentie obligée de clarifier une fois de plus la déclaration de l'ambassadeur. La déclaration à Paris n'était "pas la position officielle du gouvernement polonais", a-t-on répété lundi. Donc pas sorti de son contexte.

    La Pologne entrera-t-elle bientôt en guerre contre la Russie ? L'armée polonaise est déjà la plus puissante d'Europe. Et vous continuez à mettre à niveau massivement.

    Matériel de guerre de Corée du Sud

    A l'intérieur du pays, la Pologne a intensifié les préparatifs de guerre. Des centres de recrutement ont été ouverts dans tout le pays pour recruter des volontaires pour le service militaire. Parce que le président Andrzej Duda veut construire « la plus grande armée terrestre » de l'UE et doubler la taille des forces armées polonaises. Actuellement, il y a environ 150 000 soldats.

    En plus de recruter du personnel, davantage de matériel de guerre est également acheté.

    Maintenant, il a été signalé qu'un accord avec la Corée du Sud avait été finalisé. La Pologne achètera 980 chars K2 Black Panther pour un total de 14,5 milliards de dollars. Des accords-cadres correspondants ont déjà été conclus en juillet 2022 , et on dit maintenant que l'accord est conclu.

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  19. Il n'y a pas que les chars avec lesquels nous nous améliorons. En outre, la Pologne achètera 50 avions de chasse et 600 obusiers automoteurs à la Corée du Sud. La militarisation du pays semble imparable. L'opposition à l'intérieur du pays n'est pas particulièrement forte. La Russie ennemie doit continuer à unir la Pologne. En janvier 2023, il a également acheté 116 chars Abrams aux États-Unis, le plus proche allié de la Pologne. Des milliers de mercenaires polonais combattent déjà en Ukraine. Des rumeurs selon lesquelles la Pologne pourrait envahir d'anciens territoires polonais dans l'ouest de l'Ukraine circulent depuis un certain temps. Le champ de bataille dans l'est de l'Ukraine décidera probablement si cela se réalise.

    https://tkp.at/2023/03/20/polen-ruestet-fuer-den-krieg/

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  20. Bill Gates "Solution : la viande cultivée en laboratoire est composée de cellules cancéreuses. Aimeriez-vous qu'il soit rare ou moyen ?

    L'USDA ne permet pas aux tumeurs animales d'entrer dans la chaîne alimentaire. Mais la viande cultivée en laboratoire est faite de cellules tumorales


    Par Igor Chudov
    Recherche mondiale,
    18 mars 2023


    Selon Bill Gates et le Forum économique mondial, le réchauffement climatique en cours menace de détruire l'humanité. Le méthane, provenant des rots et des pets des vaches, est un gaz à effet de serre (GES). Donc, les vaches sont un problème !

    Heureusement, Bill Gates a une solution pour nous, expliquée dans cette vidéo. Nous devons arrêter d'élever du bétail et passer au bœuf synthétique cultivé en laboratoire.

    Le Forum économique mondial s'attend à ce que nous mangions de la « viande synthétique » dans 16 ans. (l'article ci-dessous a été écrit il y a 4 ans)

    Bill Gates a fait des investissements considérables dans les fabricants de «viande synthétique», s'attendant à réaliser un joli profit.

    L'article de CNBC explique que la "viande cultivée en laboratoire", c'est-à-dire les cultures cellulaires cultivées dans des cuves géantes en acier inoxydable, n'est pas la même chose que la "fausse viande" faite de protéines de soja ou de pois :

    Les végétariens vantent depuis longtemps les problèmes éthiques et environnementaux liés à la production et à la consommation de viande. Des start-ups telles que MosaMeat, JUST et Memphis Meats fabriquent de la viande d'ingénierie tissulaire dans un laboratoire pour permettre aux gens de profiter d'être un carnivore sans aucun des problèmes environnementaux ou éthiques.

    Surnommées viande propre, les efforts sont distincts de la «fausse viande», comme le «poulet» aux protéines de soja que vous pouvez trouver dans votre épicerie aujourd'hui. Contrairement à Morningstar ou Boca Burgers, la viande propre est vraiment de la viande ; il pousse simplement dans un laboratoire au lieu de faire partie d'un animal .

    D'accord, mais de quels types de cellules provient cette viande de laboratoire ?

    La « viande » cultivée en laboratoire est faite de cellules cancéreuses « immortalisées »
    Cet excellent article de Bloomberg ( lien sans paywall ) précise que toute la viande de laboratoire est cultivée sous forme de cellules tumorales immortalisées. Comme l'explique l'article, ces mêmes cellules sont utilisées pour produire des vaccins traditionnels .

    Remerciez la révolution biotechnologique. Dans de bonnes conditions, les cellules animales peuvent être cultivées dans une boîte de Pétri, ou même à grande échelle dans des usines remplies de fûts en acier inoxydable . Pendant des décennies, des sociétés telles que Pfizer Inc. et Johnson & Johnson ont cultivé de grands volumes de cellules pour produire des vaccins, des anticorps monoclonaux et d'autres produits biothérapeutiques . Maintenant, l'idée est que nous pourrions aussi bien manger ces cellules.

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  21. Quelles sont ces cellules ?

    Le gros astérisque klaxonnant est que les cellules de viande normales ne se divisent pas indéfiniment . Pour que les cultures cellulaires se développent à des taux suffisamment élevés pour alimenter une entreprise, plusieurs entreprises, dont les Trois Grands, utilisent discrètement ce qu'on appelle des cellules immortalisées , quelque chose que la plupart des gens n'ont jamais mangé intentionnellement. Les cellules immortalisées sont un élément de base de la recherche médicale, mais elles sont, techniquement parlant, précancéreuses et peuvent, dans certains cas, être totalement cancéreuses.

    L'article met un « visage humain » sur certaines de ces lignées cellulaires, par exemple, la « lignée HeLa » issue du cancer du col de He nrietta La cks :

    C'est là qu'interviennent les cellules immortalisées. Elles sont utilisées dans la recherche médicale depuis le début des années 1950, lorsque la première et la plus célèbre lignée cellulaire immortelle, dérivée des cellules cancéreuses du col de l'utérus d'une femme nommée Henrietta Lacks , a été cultivée avec succès en laboratoire.

    La distinction entre les cellules précancéreuses et cancéreuses est relativement mineure : les cellules cancéreuses, par définition, peuvent s'éloigner du site de la tumeur, voyager dans le sang ou la lymphe et créer une nouvelle tumeur ( métastases ) à un autre endroit du corps.

    La distinction est importante pour le résultat clinique d'un patient avec une tumeur nouvellement découverte mais n'implique qu'une distinction biocellulaire mineure.

    Ne vous inquiétez pas : d'éminents chercheurs sur le cancer disent à Bloomberg Businessweek que parce que les cellules ne sont pas humaines, il est pratiquement impossible pour les personnes qui les mangent d'en attraper le cancer, ou pour les cellules précancéreuses ou cancéreuses de se répliquer à l'intérieur des gens . … Et les tumeurs des vaches se retrouvent parfois aussi dans des mandrins moulus achetés en magasin. [ce n'est pas vrai - les tumeurs ne sont JAMAIS autorisées par les inspecteurs de l'USDA - voir ci-dessous - IC] Bien sûr, les faits n'auraient peut-être pas beaucoup d'importance si les éleveurs ou d'autres acteurs de l'industrie traditionnelle de la viande se sentaient suffisamment menacés pour déclarer une guerre des relations publiques. Il est trop facile d'imaginer des chyrons trompeurs de Fox News sur les tumeurs de poulet et les hamburgers contre le cancer.

    Pas si trompeur que ça ! Le principal problème de la croissance d'un approvisionnement sans fin de "viande de laboratoire" est que les cellules tissulaires normales ne peuvent pas se répliquer à l'infini (voir ci-dessus) . Il y a une limite au nombre de fois qu'ils se diviseront.

    Les fabricants de vaccins utilisent déjà ces cellules tumorales immortalisées pour fabriquer certains vaccins Covid et d'autres vaccins :

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  22. Aujourd'hui, les vaccins Covid-19 d' AstraZeneca Plc et de J&J sont cultivés à l'aide de cellules rénales et rétiniennes humaines immortalisées , respectivement.

    Ainsi, les fournisseurs de « viande de laboratoire » et de « lignée cellulaire » cultivent de la viande à partir de cellules tumorales « immortalisées » ; en d'autres termes, leurs cellules peuvent se répliquer à l'infini. C'est pourquoi les cancers ne cessent jamais de croître, après tout !

    Eat Just Inc. a refusé de commenter cette histoire. Le directeur scientifique de Believer Meats, Yaakov Nahmias, déclare que son entreprise utilise des cellules immortalisées dans son poulet cultivé et que son équipe a en quelque sorte, par des moyens qu'il dit même qu'ils ne comprennent pas, créé des cellules immortalisées qui ne partagent aucune signature génétique avec les cellules cancéreuses. .

    Êtes-vous sceptique sur ce qui précède? Je suis. Même l'auteur de Bloomberg Joe Fassler, à son crédit, a douté de l'explication ci-dessus et a demandé à des biologistes indépendants qui ne croyaient pas non plus le BS de Yaakov Nahmias :

    (Deux biologistes cellulaires avec lesquels j'ai partagé ses commentaires ont exprimé leur scepticisme.)

    Nous pouvons voir que jusqu'à présent, toute la viande de laboratoire est fabriquée à partir de cellules tumorales qui se divisent à l'infini.

    Le système immunitaire de notre corps est conçu pour tuer et combattre ces cellules anormales et cancéreuses. Ainsi, les cancers ne s'installent que lorsque le système immunitaire s'affaiblit ou que les cellules cancéreuses apprennent à éviter les réactions immunitaires .

    Les cellules deviennent immortelles dans le corps humain tout le temps, en mutant pour contourner la sénescence - et en mutant un peu plus pour échapper au système immunitaire, qui essaie généralement de tuer ces mutants .

    Les entreprises de viande de laboratoire prévoient de nous vendre ce genre de cellules tumorales solides pour que nous les mangions.

    Bon appétit !

    Les inspecteurs de l'USDA filtrent les cancers et les tumeurs dans les carcasses d'animaux
    Malgré le langage sobre et apaisant de Bloomberg, les cancers et les tumeurs ne peuvent jamais passer les inspections de la viande de l'USDA .

    Précisions

    L'histoire ci-dessus s'applique à la «viande cultivée en laboratoire»: des produits fabriqués à partir de cellules tumorales animales immortalisées poussant dans des cuves.

    Les substituts de viande « substitut végétal », comme Beyond Meat, sont à base de protéines de pois ou de soja. En tant que tels, ils ne sont PAS liés à ces projets de cellules cancéreuses cultivées en laboratoire. Ces produits végétaux ne sont en aucun cas de la "viande".

    De plus, de faux sites d'information crient que la viande cultivée en laboratoire (faite de cellules tumorales) nous donnera le cancer. Il n'y a aucune preuve que la viande cultivée en laboratoire facilitera les cancers. Il n'y a également aucune preuve que la viande cultivée en laboratoire ne causera PAS de cancers. C'est simplement une inconnue. L'USDA a cependant une raison de rejeter les carcasses contenant des tumeurs. Il est préférable de ne pas faire d'affirmations injustifiées, et ma sous-pile ne consiste pas à inventer des trucs sensationnalistes.

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  23. Maintenant, ils veulent nous vendre des « steaks » de tumeurs solides
    L'article de Bloomberg explique que toute la "viande de laboratoire" est constituée de cellules tumorales .
    Dans le même temps, les réglementations de l'USDA interdisent les tumeurs dans l'approvisionnement en viande pour les humains .
    Je suis sûr que d'une manière ou d'une autre, Bill Gates et le WEF feront pression pour un changement des règles afin qu'ils puissent nous vendre des tumeurs solides comme de la "viande cultivée en laboratoire".

    À ce stade, je suis déchiré : est-ce que je préférerais manger du « ze bugz » ou de la « viande de tumeur cultivée en laboratoire ». Ou devenir végétarien ? Une décision difficile !

    Que choisiriez-vous ?

    https://www.globalresearch.ca/lab-grown-meat-made-cancer-cells-would-you-like-rare-medium/5809869

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    Réponses
    1. Comme il en a été pour les expérimentations géniques d'essais (frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins') les fausses viandes fabriquées en laboratoires pourront aussi contenir des nano-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spikes ! + diverses maladies animales (dont plus de 40 venins de serpents différents !) !

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  24. Amérique du Nord : les super-cochons hybrides deviennent un fléau


    19 Mars 2023
    Martina Hungerkamp, AGRARHEUTE*


    En Amérique du Nord, les sangliers et les croisements entre sangliers et cochons domestiques [cochongliers] sont devenus un véritable fléau. Ce phénomène est en partie dû à l'Homme.

    Incroyablement intelligents et difficiles à attraper : les sangliers ainsi que les croisements entre sangliers et porcs domestiques deviennent un fléau. Celui-ci est en partie du à l'Homme.

    A l'origine, il n'y avait pas de véritables sangliers en Amérique du Nord. Ce sont les Espagnols qui ont introduit les porcs domestiques sur le continent au XVIe siècle. Une partie d'entre eux est retournée à l'état sauvage. Au cours des dernières décennies, ces sangliers sont devenus un fléau à l'échelle du pays. Ils dévorent les récoltes, répandent des maladies et tueraient même des chevreuils et des élans.

    Selon The Guardian, une nouvelle menace viendrait désormais s'y ajouter : un soi-disant super-cochon du Canada. Dans les années 80, des sangliers y auraient été à nouveau croisés avec des porcs domestiques afin d'obtenir des porcs plus gros et plus charnus. Une partie d'entre eux s'est échappée ou a même été délibérément abandonnée, car ils étaient plus faciles à abattre. Les hybrides se sont rapidement répandus dans tout le Canada. Certains spécimens pèseraient plus de 300 kg.

    Super-cochon : énorme, intelligent, tolérant au froid

    Il s'agirait d'énormes cochons incroyablement intelligents et extrêmement insaisissables. Grâce à leur taille, ils sont capables de survivre dans des climats froids (jusqu'à -50 °C). Pour ce faire, ils s'enfoncent jusqu'à 2 mètres sous la neige et y créent une grotte. De préférence dans des zones marécageuses avec de la massette. Ils la récoltent avec leurs canines aiguisées comme des rasoirs, les défenses, pour en équiper leurs grottes et ainsi les isoler.

    Ces super-cochons sont maintenant sur le point d'envahir les États du nord des États-Unis et d'y augmenter le nombre de sangliers déjà présents. Selon les estimations du gouvernement américain, les quelque 6 millions de sangliers présents aux États-Unis causent déjà des dommages à hauteur de 1,5 milliard de dollars par an.

    Les sangliers sont chassés à la mitraillette

    Selon le Guardian, une véritable industrie de la chasse s'est développée dans les régions où les sangliers se sont particulièrement répandus. Les gens paieraient des milliers de dollars pour abattre des sangliers avec des mitraillettes.

    Mais la chasse serait également l'une des origines de ce fléau en partie d'origine humaine aux Etats-Unis : les porcs auraient été volontairement relâchés par les hommes afin de constituer une population chassable. C'est ainsi que l'on en est arrivé à une augmentation rapide.

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  25. L'invasion des sangliers met en danger les espèces indigènes

    Dans l'ensemble, les sangliers auraient un impact très négatif sur la faune et la flore, car ils se frayent un chemin sans ménagement à travers le pays. Selon un porte-parole du programme national de gestion des dégâts causés par les sangliers du Département Américain de l'Agriculture (USDA), il existe par exemple une concurrence alimentaire directe avec les espèces indigènes.

    Les cochons sont également des prédateurs expérimentés et opportunistes. Leurs longues défenses sont des armes à prendre au sérieux. Ils tuent les jeunes faons, sont connus pour être des prédateurs de nids et affectent ainsi entre autres la population de dindes et de cailles.

    Etats-Unis : les sangliers causent des dommages environnementaux

    En outre, les sangliers seraient responsables de toute une série de dommages environnementaux. Ils détruiraient par exemple les récoltes et les arbres et pollueraient les eaux. Selon le porte-parole, les sangliers représentent un risque pour la santé et la sécurité des personnes.

    Entre-temps, le nombre de cochons a augmenté aux Etats-Unis pour atteindre plus de 6 millions dans 34 Etats. Face à l'ampleur des dégâts, tout est désormais fait pour se débarrasser des cochons. Avec un certain succès, les scientifiques ont capturé des hordes entières dans de grands pièges. Les tentatives d'empoisonnement des sangliers ont eu moins de succès. Les experts ne croient pas à une éradication complète de l'espèce invasive en Amérique du Nord.

    Avec du matériel de The Guardian
    _____________

    * Martina Hungerkamp travaille chez AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média dans la rubrique élevage. Elle écrit principalement sur l'élevage d'animaux de rente, de préférence sur les porcs et la volaille.

    Source : Nordamerika: Hybride Superschweine werden zur Plage | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2023/03/amerique-du-nord-les-super-cochons-hybrides-deviennent-un-fleau.html

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  26. Pesticides : le chèvre-chou gouvernemental au Salon International de l'Agriculture


    19 Mars 2023
    André Heitz*


    C'est l'histoire d'une annonce suivie d'une annonce... qui sera suivie d'une annonce... L'étape deux laisse entrevoir quelques perspectives de progrès et des refus d'obstacle. Il reste l'étape trois, la concrétisation des bonnes (et moins bonnes) intentions.

    Le Président délègue...

    Le Président Emmanuel Macron avait fait quelques annonces et évoqué un plan le samedi 25 février 2023, lors de sa visite au Salon International de l'Agriculture. Selon l'Agence France-Presse (AFP), la Première Ministre Elisabeth Borne devait « dévoiler », non pas le plan, mais ses « contours » deux jours après.

    Ce fut fait. Mais les contours sont bien flous et l'image n'est pas nette.

    Une nouvelle édition d'Écophyto ?

    Ce sera selon l'AFP, « un plan de développement d’alternatives pour les produits phytosanitaires les plus importants », ou (et ?) encore un « nouveau plan Ecophyto 2030 ».

    La terminologie « Écophyto » acte probablement le refus obstiné de voir la réalité en face, dans son intégralité.

    Écophyto est le produit du Grenelle de l'Environnement, de fin 2008, une des concessions faites par le candidat Nicolas Sarkozy à un fameux hélicologiste en échange de son soutien plus ou moins explicite. L'objectif le plus visible et le plus médiatisé était de réduire de 50 % l'utilisation des pesticides à l'horizon 2018. Le ministre de l'Agriculture de l'époque, M. Bruno Le Maire, avait réussi à l'assortir d'un « si possible ».

    Bien sûr, l'objectif ne pouvait pas être atteint...

    C'est que la réduction du recours à des produits destinés à protéger les plantes, les récoltes, les revenus pour les agriculteurs, le disponible alimentaire pour les consommateurs, etc. ne se décrète pas d'un coup de crayon sur le coin d'une table. Pourquoi 50 %, sans étude préalable de faisabilité et d'impact ? Parce que c'est plus « sexy » que 49 % ou 20 %.

    Sous la présidence Hollande, l'échéance approchant, un courageux ministre de l'Agriculture du nom de Stéphane Le Foll fit donc concocter un Plan Écophyto 2, publié le 21 octobre 2015.

    Il y eut une « trajectoire en deux temps » pour, notamment, « [i]nscrire le plan Ecophyto 2 au cœur du projet agro-écologique pour la France, et produire mieux (performance économique, environnementale, et sociale) : une réduction de 25 % à l'horizon 2020 reposant, était-il dit, sur la généralisation et l’optimisation des systèmes de production économes et performants alors disponibles ; une réduction de 25 % supplémentaires à l’horizon 2025 « grâce à des mutations plus profondes des systèmes de production et des filières ».

    Douce illusion ! Bien sûr, les objectifs ne pouvaient pas davantage être atteints...

    Méprisant l'aphorisme attribué à Albert Einstein qui veut que « la folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent », sous la présidence Macron, le gouvernement publie en novembre 2018 un plan Écophyto II+ (ou 2+). Il maintint les objectifs de réduction des usages de pesticides et ajouta un autre monument de bêtise et d'irresponsabilité, « le "plan de sortie du glyphosate" annoncé le 22 juin 2018 ».

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  27. L'argumentaire à l'appui d'Écophyto II+ précise :

    « Le plan Ecophyto II+ répond aussi à une obligation européenne fixée par la directive 2009/128/CE instaurant un cadre d’action communautaire pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable, qui prévoit que les États membres "adoptent des plans d’action nationaux pour fixer leurs objectifs quantitatifs, leurs cibles, leurs mesures et leurs calendriers en vue de réduire les risques et les effets de l’utilisation des pesticides sur la santé humaine et l’environnement et d’encourager l’élaboration et l’introduction de la lutte intégrée contre les ennemis des cultures et des méthodes ou des techniques de substitution en vue de réduire la dépendance à l’égard de l’utilisation des pesticides." »

    L'obstination gouvernementale a donc aussi une base communautaire. Mais l'objectif démesuré est bien le fait de l'excès de zèle démagogique français.

    « Avoir un calendrier européen qui correspond au calendrier français »

    L'intertitre est un propos – un engagement – du président Emmanuel Macron. Il est peut-être mal formulé mais fait écho à, notamment, « un nouveau plan visant notamment à coordonner l’action de la France avec celle de l’Union européenne ».

    Il n'est pas interdit de penser que les objectifs délirants de la Commission Européenne dans le cadre de sa stratégie « Farm to Fork » (de la ferme à la table) ont trouvé une base dans les ambitions affichées par la France dans ses Écophytos successifs, mais aussi, notamment, l'Allemagne.

    La Commission a engagé une révision des normes applicables et proposé un règlement contraignant « concernant une utilisation des produits phytopharmaceutiques compatible avec le développement durable » (le règlement SUR, pour sustainable use regulation). Les travaux sont en cours, et les points de friction sont importants (voir ici pour le Parlement Européen). Le Conseil Européen a demandé, et obtenu de haute lutte, une analyse d'impact complémentaire en décembre 2022, échéance juin 2023.

    Pour autant que nous sachions, la France n'a pas été favorable à cette mesure de bon sens. La parole distillée à Paris n'arrive pas toujours à Bruxelles...

    Et que fait maintenant notre gouvernement ? De l'AFP :

    « Elisabeth Borne a appelé ses ministres de l’agriculture (Marc Fesneau), de la transition écologique (Christophe Béchu) et de la recherche (Sylvie Retailleau) à "présenter une nouvelle stratégie nationale" sur les produits phytosanitaires "d’ici l’été". "Ce nouveau plan Ecophyto 2030 sera construit avec tous les acteurs impliqués, au premier rang desquels les agriculteurs. Ses moyens seront augmentés", a-t-elle assuré, sans avancer de chiffres. »

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  28. En même temps...

    La politique de Gribouille reste donc bien en haut de l'affiche... mais on y impliquera les agriculteurs...

    Mais aussi :

    « Je veux être claire : en matière de produits phytosanitaires, nous respecterons désormais le cadre européen et rien que le cadre européen […] Nous ne créerons aucune distorsion de réglementation pour nos producteurs, sauf en cas de force majeure, quand la santé publique est menacée. »

    « ...désormais »... quel aveu ! Quoique... qu'est-ce que cela change par rapport à hier et avant-hier, la notion de force majeure étant éminemment flexible ? Peut-être la limitation de la force majeure à la seule santé publique, si l'analyse d'un obsédé textuel fait foi.

    Ce n'est donc toujours pas clair dans l'esprit gouvernemental : a-t-on conscience du fait qu'évoquer une « force majeure » nécessitant une action solitaire revient à décrédibiliser le système européen d'évaluation et d'approbation des produits phytosanitaires ?

    On ne peut que souscrire à l'opinion de la présidente de la FNSEA, Christiane Lambert :

    « On prend des décisions sous l'émotion ou sous le harcèlement d'un certain nombre d'écologistes les plus radicalisés. On a vu ce que ça a donné sur le nucléaire. »

    Des alternatives aux pesticides ?

    Beaucoup de médias se sont concentrés sur le « plan de développement d’alternatives pour les produits phytosanitaires les plus importants ». Le Monde a ainsi titré : « Elisabeth Borne veut trouver des substituts aux pesticides, sans affecter les agriculteurs français ».

    Comme si ces « substituts » pouvaient venir aux mêmes conditions d'emploi agronomiques et économiques et avec la même efficacité. La betterave à sucre nous a offert un magnifique exemple : on a commencé par clamer qu'il existait vingt-deux solutions contre les pucerons et la jaunisse pour finalement devoir admettre, mais sans le clamer, que même les quatre prétendument déjà applicables n'étaient pas vraiment fonctionnelles.

    Comme s'il suffisait d'établir – ou plutôt d'annoncer – un « plan ». La betterave à sucre... bis.

    Mais c'est quasiment un exercice obligé, surtout pour un gouvernement qui prétend s'occuper de tout. Mme Elisabeth Borne a même élaboré les « contours » de son plan :

    « Concrètement, cela signifie chercher à identifier de nouveaux usages, de nouveaux outils et de nouveaux produits pour mieux protéger les récoltes – tout en préservant notre biodiversité. »

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  29. Il faut cependant prendre cela au mot : de manière assez surprenante, ce n'est pas une rhétorique anti-pesticides !

    Insistons : il est question de « nouveaux produits » et de « nouveaux usages », formule qui s'applique aux produits existants.

    Il y a, bien sûr, la contrepartie à l'adresse du monde anti-pesticides :

    « Notre approche est fondée sur la science et les avis des scientifiques. C’est la méthode que nous appliquons sur tous les produits. L’autre point cardinal, c’est qu’on ne transige pas avec la santé publique. Personne ici ne veut répéter les erreurs du chlordécone. »

    On peut considérer que la référence au chlordécone est fort criticable, tant l'historique des décisions gouvernementales et administratives est aux antipodes des procédures d'homologation actuelles. Mais elle frappe les esprits.

    Et l'exercice d'équilibriste se poursuit. Il s'agit d'identifier les priorités – les molécules les plus à risque de disparaître prochainement de la boîte à outils des agriculteurs – et :

    « Ensuite, nous devons mettre au point des alternatives, chimiques et non chimiques, crédibles et efficaces. J’insiste sur ce point, car nous ne pouvons plus être uniquement dans la simple substitution d’une solution chimique par une autre. »

    C'est au prix d'un gros mensonge : nous n'avons jamais été « dans la simple substitution... ». D'ailleurs, une telle substitution n'est pas simple, comme le montre la boîte à outils des agriculteurs qui se vide, ainsi que les procédures d'homologation des rares substances nouvelles et de ré-homologation des substances anciennes exagérément fondées sur les dangers plutôt que les risques (les premiers sont inhérents aux substances, les seconds se gèrent).

    L'opportunité de promouvoir les solutions biotechnologiques

    Du reste, nous sommes plutôt dans la situation inverse ! Qu'est-ce que le refus hystérique des OGM – de la transgenèse et dans une moindre mesure, car elles ne sont pas encore suffisamment apparues sur les radars, des nouvelles techniques génomiques – sinon un refus des solutions non chimiques ?

    Les trois ministres chargés de préciser le plan « d’ici l’été » saisiront-ils cette opportunité pour mettre la France sur les rails du progrès ?

    Et (presque) pendant ce temps...

    Le 15 février 2023, une agence qui trouve inutile de donner son nom complet sur sa page d'accueil, l'ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l'Alimentation, de l'Environnement et du Travail) a publié un communiqué, « S-métolachlore : vers l’interdiction des principaux usages pour préserver la qualité des eaux souterraines ».

    C'est un dossier complexe, voire ubuesque : la norme applicable aux eaux souterraines est inférieure à celle applicable à l'eau du robinet. Si on constate des dépassements de la norme de qualité dans nos eaux souterraines (pas toutes), ce n'est pas le cas pour la Vmax, la valeur sanitaire maximale.

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  30. On n'est donc pas dans un « cas de force majeure, quand la santé publique est menacée ». Et il n'y a pas de sur-transposition des règles européennes, mais au contraire application

    Et application zélée. C'est que l'herbicide S-métolachlore fait l'objet d'une procédure de ré-autorisation (ou de retrait) au niveau européen. Le 28 février 2023, l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) a publié des conclusions adoptées le 27 janvier 2023. On s'achemine vers une décision européenne, sans doute de non-renouvellement (la position du gouvernement français sera quasiment dictée par l'ANSES...).

    Il reste cependant à voir les décisions pratiques de l'ANSES. L'interdiction du S-métolachlore posera(it) des problèmes sérieux à certaines filières comme le maïs doux et le maïs semence, mais aussi le soja et le tournesol, et péjorera(it) la compétitivité de nos agriculteurs.

    C'était la séquence « Nous ne créerons aucune distorsion de réglementation pour nos producteurs ».

    Et (presque) pendant ce temps (bis)

    Le 28 février 2023, plus de 170 députés du groupe Renaissance et apparentés menés par M. Stéphane Travert, M. Guillaume Kasbarian, Mme Aurore Bergé et Mme Laurence Heydel Grillere ont déposé une proposition de résolution « visant à lutter contre les sur transpositions en matière agricole ».

    Ce texte devait être initialement une proposition de loi. Il a sans doute été établi en concertation avec le gouvernement. Dans la partie opérationnelle, la proposition de résolution, notamment :

    « Réaffirme l’impérieuse nécessité de lutter contre les sur transpositions des directives européennes, pour éviter des distorsions de concurrence majeures au détriment de l’agriculture française et de notre économie ; »

    Et :

    « Souhaite conditionner toute interdiction de mise sur le marché de produits phytopharmaceutiques, qu’elle émane d’une autorité nationale ou européenne, à l’existence de solutions alternatives efficaces, n’entraînant pas de perte de rendement, ni de surcoûts de production inacceptables pour le producteur, et pouvant être déployées à grande échelle dans des délais compatibles avec ceux dans lesquels intervient l’interdiction ».

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  31. Dans la panoplie de propositions, de mesures et d'indignations il y a aussi : la demande de généralisation des « clauses miroirs » ; le renforcement des financements attribués aux programmes de recherche de solutions alternatives ; la mise en place d’une « véritable » planification pour la recherche d’alternatives aux substances actives susceptibles d’être retirées lors de leur examen futur ; la mise en place d'un plan de soutien de la filière betteravière.

    Et, comme nous sommes dans une économie de libre-entreprise, ouverte sur le monde extérieur, la résolution

    « Demande aux metteurs en marché, aux producteurs de produits phytosanitaires de faire la pleine transparence sur leur budget de recherche et de renforcer leurs efforts de développement d’alternatives pour nos agriculteurs. »

    Et, tout récemment...

    Ni le Président, ni la Première Ministre, ni les honorables députés n'ont eu le courage – ou peut-être l'audace compte tenu des manipulations de l'opinion publique et de la chienlit à l'Assemblée Nationale – de s'attaquer à un mal français : les lois scélérates qui ont interdit sur le seul territoire français les néonicotinoïdes et substances à mode d'action similaire (mais pas le spinosad, molécule utilisable en agriculture biologique).

    Ou d'annoncer des démarches à Bruxelles pour revenir, au moins, sur l'interdiction imbécile de l'enrobage des semences de betteraves.

    On ne répétera jamais assez que nous avons la preuve indiscutable que les néonicotinoïdes ont fait l'objet d'un complot « scientifique » – qui a abouti à Bruxelles grâce notamment à l'activisme français. Et que d'autres pays comme le Canada utilisent des semences enrobées de colza, une plante attractive pour les abeilles... avec le soutien des apiculteurs.

    Les producteurs de betteraves sucrières des autres États membres de l'Union Européenne pourront utiliser en pulvérisation foliaire un néonicotinoïde approuvé jusqu'en 2033, l'acétamipride. Les producteurs français devront se contenter de molécules à l'efficacité limitée comme l'a montré le désastre de 2020.

    Des annonces de restructuration des activités industrielles viennent de tomber. Tereos projette de fermer l’activité sucrière du site d’Escaudœuvres, dans le Nord, et de fermer la distillerie de Morains et mettre en vente la féculerie d’Haussimont, dans la Marne.

    Cela risque de n'être qu'un début.
    _______________

    * André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.

    https://seppi.over-blog.com/2023/03/pesticides-le-chevre-chou-gouvernemental-au-salon-international-de-l-agriculture.html

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    1. Comme il en est depuis des décennies des incapables, des arriérés mentaux envahissent les forums de jardinage afin de conseiller aux jardiniers amateurs de traiter les plants de tomates avec... du bicarbonate !! ou du ... savon noir !!! tandis que d'autres trisomiques payés pour faire croire à son succès viennent aux forums pour féliciter et s'auto-féliciter !
      Ce n'est rien de moins qu'un lâcher de Gréta ! comme il en est pour la 'direction du climat'.

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  32. La moitié de la Californie sortie de la sécheresse ; Les inondations sont maintenant une préoccupation alors que davantage de pluie se profile


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 20 MARS 2023 - 03:00
    Écrit par Jamie Joseph via The Epoch Times,


    Près de la moitié de la Californie est hors de sécheresse, y compris San Francisco, Sacramento et Los Angeles, selon les données publiées par le U.S. Drought Monitor le 16 mars.

    Mais avec une telle accumulation de neige dans les montagnes de la Sierra Nevada, la possibilité d'inondations est une nouvelle préoccupation, ont averti les prévisionnistes du National Weather Service Office of Water Prediction.

    Selon le moniteur de la sécheresse, environ 45 % de l'État est maintenant hors d'une sécheresse, y compris presque tout le centre de la Californie.

    Mais certaines parties du nord et du sud de la Californie restent dans des conditions "anormalement sèches" et de "sécheresse modérée".

    - voir carte sur site -

    (Avec l'aimable autorisation du US Drought Monitor)

    La Californie a connu des conditions de sécheresse sévères, par intermittence, depuis 2006, entraînant un rationnement et des réglementations de l'eau, dans les zones urbaines et agricoles et des niveaux de réservoirs sans précédent dans tout l'État.

    Mais ses problèmes d'eau de longue date ont pris une tournure positive après une série de tempêtes qui ont commencé en décembre.

    À la mi-janvier, le manteau neigeux en montagne aurait dépassé 200 %, selon le National Weather Service.

    Selon les données sur l'eau de l'État, les réservoirs qui étaient autrefois épuisés se remplissent maintenant à plus de 80 % - et les réserves d'eau souterraine ont considérablement augmenté.

    - voir carte et bassins sur site -

    (Capture d'écran via le Département des ressources en eau de Californie)

    En raison de l'accumulation excessive de neige, le National Weather Service a averti le 16 mars qu'environ 15 millions de Californiens risquaient un certain type d'inondation dans leurs communautés, dont 1,4 million d'inondations majeures et 6,4 millions supplémentaires pourraient être modérément touchés.

    D'autres pluies, selon les prévisionnistes, sont attendues mardi et mercredi prochains.

    https://www.zerohedge.com/weather/half-california-lifted-out-drought-flooding-now-concern-more-rain-looms

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  33. Visualiser le PIB de la Californie par rapport aux pays


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 20 MARS 2023 - 01:00


    Le comédien Trevor Noah a dit un jour que l'Amérique était constituée de cinquante petits pays se faisant passer pour un seul.

    D'un point de vue économique, cela pourrait contenir une part de vérité. Comme le détaille Aran Alai de Visual Capitalist ci-dessous, lorsque l'on examine la production économique de chaque État, en particulier les plus grands et les plus riches, ils se comparent souvent, voire dépassent, les PIB de nations entières.

    Pour illustrer, ce visuel de StatsPanda examine le PIB de 3,36 billions de dollars de la Californie en utilisant les données de la Banque mondiale et le compare à 10 économies nationales importantes.

    - voir graph sur site -

    Regardons de plus près.

    Évaluer le PIB de la Californie en 2021

    Le PIB de la Californie de plus de 3 billions de dollars est un chiffre énorme en soi, il n'est donc pas surprenant qu'il soit supérieur à la production économique de certains pays.

    Mais même en comparant avec des économies comme la Malaisie, la Colombie et la Finlande, toutes parmi les 50 premiers pays en termes de PIB, la Californie se tient debout.

    - voir liste sur site -

    De plus, ces 10 pays sont assez densément peuplés, avec une population combinée de 653 millions par rapport aux 39 millions de la Californie.

    Un regard plus attentif sur l'économie californienne
    Qu'est-ce qui rend le PIB de la Californie si vaste et son économie si puissante ?

    La population relative est un facteur important, car l'État est le plus peuplé des États-Unis, avec environ 12 % de la population du pays qui l'habite. Mais puisque le PIB de la Californie représente plus de 15 % de la production économique du pays, il doit y avoir autre chose à l'œuvre.

    L'un des principaux moteurs est le secteur de la technologie. Non seulement la Silicon Valley génère des quantités massives de production technologique, mais cela se traduit également directement par la richesse et l'activité économique. De nombreux marchés technologiques suivent une dynamique où le gagnant rafle tout, ramenant d'importants revenus à l'État. De plus, les petites entreprises technologiques sont souvent englouties par des concurrents plus importants, ce qui ajoute de la richesse au mélange par le biais de fusions et acquisitions.

    Cela pourrait expliquer en partie pourquoi on estime que le PIB de la Californie dépassera celui de l'Allemagne dans les années à venir et deviendra la 4e économie mondiale.

    https://www.zerohedge.com/economics/visualizing-californias-gdp-compared-countries

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  34. Les plages de Floride frappées par une «marée rouge» toxique à l'approche d'une goutte d'algues géantes


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 19 MARS 2023 - 14:55


    Certaines des plus belles plages de Floride risquent une double catastrophe, car la prolifération d'algues toxiques, communément appelée «marée rouge», cause la mort d'animaux sauvages et constitue une menace pour la santé des personnes. Maintenant, une énorme masse d'algues de 5 000 milles (8046 km) de large traverse les Caraïbes et remonte dans le golfe du Mexique et pourrait bientôt faire des ravages sur les plages de Sunshine State.

    "Il pourrait s'agir de deux problèmes qui se transforment en un problème plus important", a déclaré Mike Parsons, professeur de sciences marines à la Florida Gulf Coast University, à CBS News.

    L'algue responsable de la marée rouge est un organisme unicellulaire appelé "Karenia brevis". Il peut se reproduire en grand nombre et créer des efflorescences massives qui transforment l'eau en une étrange teinte brun rougeâtre - d'où la «marée rouge».

    Karenia brevis produit un type de toxine connue sous le nom de « brévétoxines », qui a des effets mortels sur la vie marine et les oiseaux. Le contact humain avec ces organismes de marée rouge peut provoquer une irritation de la peau et même des problèmes de toux ou de congestion.

    Et si cela ne suffisait pas. Une goutte d'algues s'étendant sur plus de 5 000 milles se dirige vers les côtes de la Floride.

    "Le blob pousse actuellement vers l'ouest et traversera les Caraïbes et remontera dans le golfe du Mexique au cours de l'été, les algues devraient devenir répandues sur les plages de Floride vers juillet, a déclaré le Dr Brian Lapointe, chercheur au Florida Atlantic University's Harbour. Direction de l'Institut océanographique, a déclaré à CNN.

    La combinaison de la marée rouge et de la goutte d'algues est susceptible de causer des problèmes aux amateurs de plage et de nuire potentiellement au secteur du tourisme dans l'État cet été.

    https://www.zerohedge.com/markets/florida-beaches-hit-toxic-red-tide-amid-giant-seaweed-blob-threat

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  35. L'économie russe est en plein essor – malgré ou à cause des sanctions ?
    "La souveraineté économique de la Russie s'est accrue." – Président Poutine


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale,
    20 mars 2023


    Il est vrai que les sanctions occidentales ont lamentablement échoué à détruire l'économie russe. Au contraire, l'économie russe est en plein essor depuis 2022 et continue de bien se porter, également projetée dans l'avenir. Pourquoi ?

    « Nous avons augmenté de façon exponentielle notre souveraineté économique », a déclaré le président Poutine lors d'une récente réunion avec les employés de l'usine d'avions à Ulan-Ude, en Bouriatie. La République autonome de Bouriatie se trouve au sud de la Sibérie orientale, le long de la frontière avec la Mongolie.

    Son territoire occupe les deux tiers de la surface aquatique du lac Baïkal (voir carte ci-dessous). Ceci juste comme une idée de l'énorme masse continentale, appelée Russie, et de ce qui se trouve au-dessus et en dessous d'elle.

    La souveraineté économique est l'une des principales raisons de la croissance économique de la Russie à l'époque des pires sanctions qu'aucun pays n'ait jamais subies de la part de l'Occident, menés, bien sûr, par les États-Unis et leur Europe fantoche. Ce dernier a suivi le cirque des sanctions, même s'il est autodestructeur pour l'Europe. Ceci, en effet, est bien connu de ceux qui ont été mis en position de «diriger» – ou plutôt de détruire – l'Europe en tant que force économique.

    Ce n'est pas un hasard si les deux personnages clés de ce scénario sont deux Allemands, la présidente non élue de la Commission européenne (CE) Madame Ursula von der Leyen , qui appelle tous les shorts importants, presque incontestés, et le chancelier allemand Olaf Scholz , qui est censé conduire la puissance économique européenne à l'anéantissement. Madame von der Leyen est également membre du conseil d'administration du WEF et Olaf Scholz est diplômé de la Young Global Leader's (YGL) Academy du WEF.

    Comme d'habitude, ce sont les Européens dans leur ensemble qui ont été trahis par leurs soi-disant dirigeants – la plupart, sinon tous, des universitaires de l'école de Klaus Schwab pour YGL. Ils n'ont en aucun cas été « infiltrés » pour servir les intérêts du peuple, qui les aurait soi-disant « élus » . La farce et la trahison sont si audacieuses que la plupart des gens ne peuvent pas et ne veulent pas y croire.

    C'est précisément sur quoi misent les pouvoirs de ceux qui financent et dirigent le WEF. Ils sont aidés par des décennies d'ingénierie sociale, de manipulation de l'esprit hautement professionnelle, par les grands médias occidentaux achetés.

    Les cerveaux derrière l'ingénierie sociale sont Tavistock , la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) , un groupe de réflexion lié au Pentagone, et d'autres, utilisant les technologies les plus sophistiquées pour orienter l'esprit des gens dans des directions qu'ils n'ont jamais voulues, mais ils n'ont pas leur mot à dire.

    Ce n'est qu'une fois que nous le reconnaissons, admettons notre « victimisation » de laisser-faire que nous pouvons réagir et résister. Voir ceci.

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  36. Paraphrasé, « Nous sommes fiers d'avoir pu infiltrer des pays du monde entier avec nos YGL » , c'est l'un des dictons tristement célèbres de Klaus Schwab.

    Le but de ces sanctions est bien plus de nuire à l'Europe que de détruire la Russie. L'objectif premier est de couper l'Europe - principalement l'Allemagne - du flux d'énergie bon marché, le gaz en provenance de Russie, ruinant ainsi et peut-être autant que désindustrialisant l'Allemagne et par association l'Europe. La destruction délibérée par les États-Unis / l'OTAN des pipelines Nord Stream en est un témoignage éclatant.

    Le président Poutine a expliqué le succès exponentiel de la Russie face aux sanctions occidentales,

    « Après tout, sur quoi comptait notre adversaire ? Qu'on s'effondrerait dans deux ou trois semaines ou dans un mois ? On s'attendait à ce que les entreprises cessent en raison du refus de nos partenaires de travailler avec nous, le système financier s'effondrerait, des dizaines de milliers de personnes seraient laissées sans travail, descendraient dans la rue, protesteraient, la Russie serait secouée de l'intérieur et s'effondrerait . C'était leur intention, mais cela ne s'est pas produit ».

    Le président Poutine n'a cependant pas expliqué l'un des principaux facteurs sous-jacents de l'épanouissement plutôt que du flétrissement de la Russie, à savoir la dédollarisation presque complète que la Banque centrale de Russie a réussi à mener à bien sous la direction de Sergey Glazyev , économiste russe de premier plan et conseiller économique du président Poutine .

    V. Poutine et S. Lavrov

    Grâce à la dédollarisation qui entraîne parallèlement une importante déseuroisation, l'économie russe est devenue plus forte, plus autonome, et est désormais encore plus liée aux économies de l'Est, notamment la Chine.

    Un accord d'échange rouble-yuan entre la Russie et la Chine est en vigueur depuis de nombreuses années et n'a cessé d'être étendu pour une protection mutuelle - élargissant ainsi également les relations de la Russie avec d'autres économies asiatiques, en particulier celles au sein de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), couvrant près de la moitié de la population mondiale et environ un tiers du PIB mondial.

    Cela signifie un commerce sans sanction avec la moitié du monde – un monde ami plutôt que belligérant. Cela seul est un avantage significatif par rapport à traiter avec l'Occident – ​​qui s'attend toujours à ce que ses «partenaires» dansent sur leur air.

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  37. La Russie joue un rôle majeur au sein des BRICS-plus, c'est-à-dire le Brésil, la Russie , l'Inde, la Chine, l'Afrique du Sud, le plus représentant l'Iran et de nombreux pays occidentaux ayant exprimé leur intérêt à rejoindre le groupe, avec l'espoir ultime de s'intégrer tôt ou tard. dans le "pli oriental", principalement représenté par le SCO.

    Étonnant, mais compte tenu du contexte ci-dessus, pas surprenant, l'important excédent commercial de la Russie, qui s'élève à plus de 330 milliards de dollars américains. Malgré les sanctions liées à l'ouest de l'Ukraine, les exportations russes ont bondi de près de 20 % en 2022.

    Une grande partie de l'excédent commercial est tirée par les exportations de céréales. La Russie produit près de 12 % du blé mondial, tous sans OGM (2022/2023 est.). La production mondiale totale de blé pour cette période est estimée à environ 781 millions de tonnes.

    La production combinée des BRICS et de l'Iran représente près de la moitié de la production mondiale. Celles de la Chine (18 %), de l'Inde (13 %) et de la Russie (12 %) représentent ensemble 43 % de la production mondiale totale. Près de la moitié de l'un des principaux aliments de base au monde est produite par seulement trois pays BRICS.

    Ce fait est important - signalant que le levier alimentaire n'est pas géré par l'Occident.

    Le commerce global de la Russie a augmenté de 8,1 % en 2022 par rapport à 2021, pour atteindre l'équivalent de 850,5 milliards de dollars. La majeure partie des exportations de la Russie était constituée de produits énergétiques, de gaz et de pétrole, représentant environ les deux tiers de toutes les exportations, soit l'équivalent de 384 milliards de dollars américains.

    Il s'agit d'une augmentation annuelle de près de 43 % malgré les sanctions occidentales. Moscou a redirigé l'énergie que l'Occident refusait (sanctions) vers la Chine, l'Inde et d'autres partenaires asiatiques, à des prix plus élevés que les tarifs spéciaux bas dont bénéficiaient l'Allemagne et l'Europe - et a ainsi rendu l'économie européenne plus compétitive dans le monde. Pour plus de détails, voir ceci .

    La tentative délibérée de suicide à la direction de l'Europe (sic) contre la volonté du peuple, ou plutôt en trahissant la population européenne, devient plus qu'évidente.

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  38. Cette tendance est énoncée dans la Grande Réinitialisation du WEF et l'Agenda 2030 des Nations Unies - destruction maximale du système économique actuel, principalement occidental, afin qu'il puisse être reconstruit selon le concept du WEF d'un ordre mondial unique (OWO) qui comprend également une réduction massive de la population. . Cela pourrait être précipité au cours des prochaines années par les injections toxiques qui ont été imposées aux 8 milliards d'habitants de la planète au cours des deux dernières années. On estime que 70 % ont été injectés.

    Ces piqûres ou «vaxxes», avec une variété de contenus toxiques, étaient prévues pour apporter la mort et l'infertilité. La preuve s'écoule lentement mais sûrement. Aujourd'hui, même de nombreux politiciens occidentaux ne sont plus silencieux, car ils sont confrontés à une surmortalité et à une infertilité qui montent en flèche.

    Avec ce plan global et ces objectifs du WEF et de ses gestionnaires diaboliques de l'ombre, il devient également évident que la Russie et la Chine deviennent des cibles clés pour la prise de contrôle, car le nouveau OWO prévu aura besoin de leur énergie et de leur nourriture - à part une myriade des autres ressources naturelles vitales que possèdent la Russie et la Chine.

    Ce que l'économie russe en plein essor – à cause des « sanctions » – et l'excédent commercial toujours croissant signale, c'est une indépendance plus stabilisatrice de l'Est par rapport à l'Ouest, un changement de leadership mondial. L'hégémonie belliciste s'estompe progressivement mais de plus en plus visiblement. Un nouveau concept de multipolarité pacifique prend le dessus. – C'est l'espoir de l'humanité.

    Cependant, nous ne devons pas oublier que ce concept d'un mode d'agression occidental constant pour gouverner le monde a été conçu il y a déjà un siècle ou plus. Il a été perfectionné en créant plusieurs armes de destruction massive qui peuvent être utilisées simultanément dans le monde entier – comme la peur du covid et les mesures totalitaires, tant que le monde dupé par les médias dort. Alternativement, ces armes de destruction massive peuvent être utilisées individuellement et en ciblant des pays et des régions spécifiques, pour déguiser leur intention destructrice gratuite.

    Outre une guerre nucléaire potentiellement destructrice - qui peut ne pas être dans l'intérêt de ceux qui ont l'intention de diriger le monde - il existe quelques autres armes de destruction massive :

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  39. (i) Modification artificielle du temps et du climat qui comprend également le déclenchement de tremblements de terre mortels - Techniques de modification de l'environnement, ou ENMOD, qui comprend le programme de recherche aurorale active à haute fréquence, ou système HAARP, ainsi que d'autres technologies développées par la DARPA, voir ceci et ceci .
    Ces technologies ne sont heureusement pas un monopole occidental, mais sont également contrôlées par la Russie et la Chine, et au moins partiellement par quelques autres pays. Ceci, malgré le fantasme arrogant de Klaus Schwab (WEF) exprimé lors du récent Sommet mondial des gouvernements à Dubaï, selon lequel une petite élite devrait contrôler ces technologies mondiales – voyez ceci ;

    (ii) L'assaut pharmaceutique sur le monde, comme nous en avons été témoins avec le covid-crime, où des médicaments nocifs et mortels sont imposés à la population ; voyez cela - et les nations imminentes qui écrasent la suprématie de l'OMS avec le Règlement sanitaire international (RSI) révisé, dont le nouveau Traité sur la pandémie fera partie intégrante - tyrannisant le monde avec des mesures sanitaires auxquelles aucun gouvernement ne peut soi-disant s'opposer.
    Bien que l'application de la police et de l'armée soit prévue, il est peu probable qu'elle résiste au pouvoir du peuple. Voir ceci . La réponse la plus simple et la plus efficace est - QUITTEZ QUI IMMÉDIATEMENT ; et

    (iii) L'effondrement financier mondial – qui est en grande partie et délibérément une « arme financière de destruction massive » basée sur les produits dérivés . Cela a peut-être commencé avec le récent effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB) de Californie, suivie de la NYC Signature Bank – et du dernier Credit Suisse (CS), à peine sauvé par la Banque centrale suisse avec un crédit vital équivalent à 54 milliards de dollars. . CS fait partie des banques « Too Big to Fail » (TBF). Ce n'est peut-être qu'une question de temps, avant que les banques TBF ne deviennent une responsabilité trop importante pour les contribuables - et elles doivent être abandonnées. Pour plus de détails sur le tsunami financier imminent , voir ceci et cela .

    Ce ne sont là que quelques-unes des armes de destruction massive que l'Occident pourrait vouloir utiliser pour maintenir son hégémonie dirigée par Washington.

    C'est étonnant, mais ce n'est pas une coïncidence, la façon dont les points se connectent lors de l'analyse de l'économie russe en plein essor, malgré – NON, À CAUSE des sanctions occidentales .

    Les agressions, les mensonges, la tromperie, le meurtre délibéré sont des actes ou des comportements à faible vibration. Tôt ou tard, ils succomberont à une spiritualité supérieure, émise par une société éveillée, consciente et consciente – Nous, le Peuple.

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  40. *

    Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l'auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » ( Clarity Press – 1er novembre 2020).

    Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.

    https://www.globalresearch.ca/russia-economy-booming-despite-because-sanctions/5812628

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  41. "La nouvelle normalité": New York va abaisser les normes de compétence en mathématiques et en anglais en raison d'un mauvais résultat de test


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 19 MARS 2023 - 18:30
    Écrit par Jonathan Turley,


    J'ai récemment écrit comment les éducateurs publics et les syndicats tuaient méthodiquement l'éducation publique. Le meilleur exemple cette semaine vient de New York où un comité de conseil scolaire a résolu les lamentables scores en mathématiques et en lecture des enfants du système. . . ils ont abaissé les normes. Ce n'est pas le premier système à vider ses normes plutôt qu'à améliorer la qualité de son éducation.

    Alors que les enseignants et les syndicats s'opposent au choix de l'école, ils continuent de plaider en faveur de l'enseignement privé.

    Les parents votent de plus en plus avec leurs pieds.

    Le conseil appelle simplement le manque de compétence «la nouvelle normalité» et modifie les normes. Fait.

    New York abaissera de façon permanente les normes de compétence en mathématiques et en lecture après des résultats embarrassants aux tests d'État. Cela revient à raccourcir le sprint de 100 mètres à 50 mètres pour rester compétitif en termes de vitesse.

    Les médias ont rapporté que

    «Un comité de notation qui relève du Board of Regents a déclaré lundi qu'il devait tenir compte des résultats des tests de l'année dernière pour les élèves de la troisième à la huitième année. Certaines écoles ont affiché des résultats choquants – à Schenectady, aucun élève de huitième année ayant passé le test de mathématiques n'a été jugé compétent. Et les scores des tests de la troisième à la huitième année dans tout l'État étaient bien inférieurs en 2022 qu'en 2019, résultat sans aucun doute de l'absence d'apprentissage en personne pendant la première année et au-delà de la pandémie de COVID-19.

    Cela peut sembler insensé à quiconque maîtrise la logique, mais beaucoup à New York l'ignorent. Il est désormais admis que les écoles publiques ne peuvent pas réellement éduquer les élèves aux niveaux de compétence nécessaires pour réussir dans le monde moderne. En attendant, certains districts passent à une semaine de travail de quatre jours pour les enseignants afin de réduire le stress.

    Nous avons précédemment discuté de l'élimination des programmes doués et talentueux pour atteindre l'équité en abaissant artificiellement tout le monde au même niveau.

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  42. D'autres écoles ont éliminé le «F» pour garantir des taux de réussite de 100 %.

    D'autres encore ont suspendu les normes de compétence pour simplement les étudiants diplômés qui ne peuvent pas atteindre les niveaux requis en écriture, en mathématiques et en anglais.

    Il y a aussi une tendance à mettre fin aux tests standardisés.

    Dans une colonne précédente, j'ai été particulièrement ému par la frustration d'une mère à Baltimore récemment qui s'est plainte que son fils était dans la moitié supérieure de sa classe malgré l'échec de toutes ses classes sauf trois. Diplômer des étudiants sans maîtriser l'anglais ou les mathématiques est le pire chemin possible pour ces étudiants, les écoles et la société.

    C'est l'abrutissement de l'Amérique, mais les administrateurs, les conseils d'administration et les syndicats insistent sur le fait que c'est mieux pour ces étudiants, qui font face à de sombres perspectives d'emploi futur. En attendant, nous versons des milliards dans des écoles qui ne peuvent pas produire un seul élève compétent dans les matières de base. S'il s'agissait d'une entreprise, il y aurait des accusations de fraude criminelle dans tout le pays.

    https://www.zerohedge.com/political/new-normal-new-york-lower-math-and-english-proficiency-standards-due-poor-test-result

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  43. Selon le patron de l’Observatoire des inégalités, il faut… retarder l’apprentissage de la lecture !


    Philippe Kerlouan
    15 mars 2023


    La théorie de Bourdieu sur la reproduction sociale a la vie dure. Ainsi, Louis Maurin, le patron de l'Observatoire des inégalités, regrette, dans une tribune publiée le 23 février, que « près de la moitié des parents diplômés de l’enseignement supérieur apprennent à lire à leurs enfants avant le primaire », ce qui accentuerait les inégalités sociales. Il considère qu'« il serait à la fois plus juste et plus efficace de repousser d’un an l’âge d’apprentissage de la lecture à l’école ». Décidément, en matière d'enseignement, on aura tout entendu ! Jusqu'où l'égalitarisme niveleur exercera-t-il ses ravages ?

    « Plus on apprend à lire tôt, plus les inégalités de réussite sont grandes », écrit Louis Maurin. C'est une évidence que le milieu social et culturel des parents influe sur la réussite d'un enfant. Il est non moins évident que, pour apprendre à lire, « il faut disposer d’un socle de mots suffisant », ce qui s'acquiert plus facilement dans les milieux favorisés et cultivés. On peut éventuellement discuter de savoir s'il est de l'intérêt de l'enfant que ses parents lui apprennent à lire – encore que certaines méthodes utilisées à l'école soient discutables et que de jeunes enfants soient demandeurs.

    Pour réduire les inégalités, il ne va pas jusqu'à préconiser de retirer tous les enfants de leur famille pour les mettre entre les mains de l'État, mais c'est tout comme. Il rejette d'emblée les expériences consistant à « tenter de développer le vocabulaire des enfants de milieux populaires dès les premières années de leur vie », ce qui demande, selon lui, « des moyens considérables, pour des effets incertains ». Non, la solution est de « repousser d’un an l’âge d’apprentissage de la lecture à l’école ». Autrement dit, il faut retarder les élèves qui pourraient avancer plus vite. Serait-il, sans le savoir, un disciple de Procuste, ce brigand de la mythologie qui étendait les voyageurs sur un lit trop court et leur coupait la partie du corps qui dépassait du lit ?

    L'auteur de cette tribune illustre à merveille les lieux communs et les préjugés de la pensée unique. Malheureusement, il n'est pas le seul à succomber aux charmes de l'égalitarisme appliqué à l'école. C'est la même conception qui a présidé à la création du collège unique – qu'on devrait plutôt appeler « inique » –, par une étrange connivence entre la droite libérale et la gauche. On connaît le résultat de la sinistre réforme Haby, mise en place sous le septennat de Valéry Giscard d'Estaing. Depuis cette époque, chaque nouvelle réforme n'a fait qu'aggraver les choses, car elle ne rompait pas avec l'erreur originelle de l'égalitarisme.

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  44. Ne leur en déplaise, ces apprentis sorciers, qui prônent idéalement la « réussite pour tous », instaurent en réalité la « médiocrité pour tous » en prenant soin de mettre leur progéniture à l'abri. Certes, tous les enfants ne vivent pas dans un milieu favorable aux études et il est du devoir de l'État de les accompagner matériellement et financièrement pour leur donner les moyens de réussir, en fonction de leurs talents et de leurs efforts. C'est en rompant avec les dérives actuelles, en rétablissant une véritable instruction, qu'on donnera à chacun les moyens de se promouvoir intellectuellement et socialement. Retarder l'apprentissage de la lecture, sous prétexte d'égaliser les chances, est une aberration. L'obsession de l'égalité tue l'égalité.

    https://www.bvoltaire.fr/selon-le-patron-de-lobservatoire-des-inegalites-il-faut-retarder-lapprentissage-de-la-lecture/

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  45. La réalité techno-fasciste du Nouveau Monde. Le crédit social s’installe en Europe.

    Le Crédit social chinois, notre avenir technofasciste. Vidéo reportage d’Envoyé spécial (publiée ici le 15 octobre 2019)

    - voir clip sur site -

    Le techno-fascisme ne finit pas de s’installer dans les pays anciennement qualifiés de démocratiques ou de libres.


    MARS 19, 2023
    PAR LHK


    Pourtant, l’Occident des politiques poursuit les mêmes objectifs d’organisation sociale que les Chinois. La différence réside dans le marketing qui vise à préserver l’image d’un intérêt pour l’humain et pour une économie de marché.

    Dans les faits rien n’est plus faux.

    Dans Coup d’Etat planétaire, nous avons longuement analysé le fait que ledit marché n’existe plus depuis bien longtemps et que les petits agents économiques locaux ont intérêt à bien le comprendre et vite. Cela ne signifie pas qu’il faille boucler son entreprise. Non. Mais il faut certainement se débarrasser de tout ce qui relie aux tenants des capitaux; à savoir les banquiers et ceux qui gèrent les parcs immobiliers commerciaux. Ce que je dis là est urgent!

    Voici une preuve, s’il en fallait encore, de la décision politique supranationale qui met à mort les acteurs locaux. Elle nous vient cette fois des Etats-Unis et plus précisément de Mme Yellen. Elle aurait rappeler que les déposants des banques non systémiques ne seraient pas protégés comme ceux des grandes Too big to fail. Rien de nouveau sous le soleil, mais là les gens commencent à écouter et prendre conscience de ce que nous dénonçons ici depuis des années.

    - voir doc sur site -

    https://www.cnbc.com/2023/03/16/svb-signature-bank-failures-yellen-says-us-banking-system-is-stable-and-deposits-remain-safe.html

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  46. Cette loi too big to fail représente la quintessence de la malfaisance de Planète finance. Nous en parlions en 2013 au travers d’un papier dédié à Mme Eveline Widmer-Schlumpf, la grande architecte de la restructuration de la place financière suisse qui avait légalement rendu les citoyens-contribuables suisses responsables des délits et crimes des grandes banques suisses. Voici un extrait du papier.

    Il y aura un avant et un après-Eveline Widmer-Schlumpf. En attendant, ses actions choquent de plus en plus, aussi bien sur le fond que sur la forme. Eveline Widmer-Schlumpf n’en a cure. Sa résilience résiste à tout.

    Eveline Widmer-Schlumpf polarise la vie publique. Son monde semble se diviser entre les tenants de la finance (grandes banques too big to fail), de la puissance (Etats-Unis, Union européenne…) et du pouvoir (Fonds monétaire international, OCDE…), d’une part, et le peuple suisse, ses élus et ses PME, d’autre part. Son comportement semble aussi à géométrie variable. Son style de négociation avec les puissants relève d’une soumission doublée de grande générosité. On la voit multiplier concessions et chèques en blanc sans contrepartie aucune.

    Face au peuple et à ses élus, Eveline Widmer-Schlumpf pratique le «there is no alternative» cher à Mme Thatcher. Le problème de la méthode est qu’Eveline Widmer-Schlumpf a, elle, un problème de légitimité pour se permettre de contrer l’opinion publique et de se passer de soumettre sa politique aux référendums. Son parti ne représente que 4,5% d’élus au National et 2% aux États. Sa présence même au Conseil fédéral relève du miracle.

    - voir doc sur site -

    https://www.letemps.ch/economie/eveline-widmerschlumpf-allee-loin

    Vous comprenez que les dirigeants du Credit Suisse n’ont aucun souci à se faire. Ils vont non seulement recevoir des sommes extravagantes (50 milliards) de la BNS sans aucun débat public, mais aussi et surtout n’auront aucun souci à se faire quant à d’éventuelles poursuites contre leur personne. Immunité totale et parfaite. Ainsi l’avait voulu Mme Widmer-Schlumpf qui s’est recyclée dans la gestion du destin des personnes âgées…. On évitera de parler de la gestion des personnes âgées durant le Covid. Ca ferait too much.

    Mais pourquoi donc cet acharnement à tuer le marché et les petits agents économiques, alors qu’au même moment on booste les grosses entreprises de toutes les manières possibles, y compris en impliquant les banquiers centraux? Pourquoi déposséder de manière aussi humiliante les gens de leur argent alors qu’ils l’ont gagné à la sueur de leur front, contrairement aux faux-monnayeurs légitimés?

    Oui, pourquoi? Parce que la dépossession généralisée des 99% des acteurs économiques poursuit un objectif politique global impensable pour l’individu normal:

    Arrêter l’économie comme nous l’avons connue!

    Le monsieur vous a dit que vous n’aurez plus rien. Et il a raison. Ce n’est pas son projet à lui. Il n’en est que le énième sous-fifre. Et alors me direz-vous comment allons-nous nous loger, manger, etc? Planète finance va s’occuper de faire survivre ceux qui en sont dignes; c’est-à-dire ses serviteurs.

    Et le système de Crédit social, car c’est un système, global, car planétaire, va faire des uns et des autres une ressource qui répond, ou pas, aux critères requis pour être digne, ou pas, de vivre dans la société. Et vous savez quoi? L’implantation de ce modèle de société a fait un bond de géant grâce à la technicisation de la société durant la « crise » du Covid.

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  47. L’Europe n’y échappe pas.

    Voir ci-dessous un texte de 2022 qui nous vient de Bon pour la tête.

    Derrière le Crédit social et la société de technosurveillance on trouve le système Skynet du nom d’un personnage de Terminator. SpaceX de Elon Musk est de l’aventure bien sûr

    - voir doc sur site -

    https://www.teslarati.com/spacex-wins-skynet-launch-contract/

    Le même Musk qui s’intéresse à vous implanter sa petite puce dans le crâne. Au fait, tous les petits singes qui ont servi de cobayes sont morts. Mais cela ne l’empêche pas de demander à implanter les humains. Au vu des résultats désastreux, la FDA a refusé…


    Vous constaterez la référence au passage de l’Evangile qui dit dans Matthieu:les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres. .. Est-ce que Musk se prend pour le Nouveau Messie? En tous les cas, si ce n’est pas lui, c’est quelqu’un qui n’en est pas loin. Le Nouveau Monde verra très probablement l’avènement d’un être qui se présentera comme le sauveur de la planète: « Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux ». Ce temps se rapproche. https://www.reuters.com/investigates/special-report/neuralink-musk-fda/

    … pour l’instant.

    LHK

    Venu de Chine, le crédit social se répand en Europe

    On le disait dystopique, on le contemplait effarés dans la fiction «Black Mirror» en 2016, il est pourtant devenu réalité en Chine en 2020, et fait des petits rapidement. Le premier né est italien. Le second pourrait-il être suisse ?
    Le crédit social a pénétré l’Europe, il fait une petite percée au nord-est de l’Italie, à 380 kilomètres du Simplon, plus précisément en Emilie-Romagne à Bologne, ville de 394’374 habitants surnommée «la Rossa» (la Rouge) pour ses tuiles en terre cuite, vantées dans les guides touristiques, mais aussi en référence au communisme, dont elle était le bastion durant un demi-siècle.

    De quoi parle-t-on ?
    Le crédit social était testé dans certaines provinces de Chine depuis 2013. Il faut croire que cet essai a été jugé concluant puisque depuis 2020, il est appliqué dans l’ensemble du pays, soumettant 1,4 milliards d’individus à la première dictature numérique au monde. Les habitants se voient attribuer une note en fonction de leurs actions. Moins une personne a de points, moins elle a de droits.

    Pour ce faire une veille internet est réalisée, la géolocalisation utilisée, la délation généralisée encouragée. Quelque 600 millions de caméras intelligentes, capables de reconnaître les visages malgré le port du masque, ont été installées, contre 176 millions en 2016. Cette nouvelle version du totalitarisme s’est accélérée avec la pandémie. Des caméras thermiques permettent même de débusquer les personnes fiévreuses. Elles sont embarquées sur les casques des policiers et dans les transports publics. L’arsenal du gouvernement ne semble pas vouloir s’arrêter là, même des drones sont utilisés. A court terme, ce sont 2,76 milliards de caméras qui sont envisagées. L’objectif d’ici 2030, pour le gouvernement chinois, n’est pas seulement de renforcer sa sécurité intérieure, c’est aussi de devenir le leader mondial de l’intelligence artificielle.

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  48. Comment ?

    Au début, en Chine, le crédit social n’a pas non plus été déployé partout. Il était très disparate dans la forme, mais globalement il s’agissait d’être valorisé, mis en avant, si on était un citoyen modèle. Pour certains, être affiché en grand sur les panneaux de la ville constituait une fierté. Aujourd’hui, il faut regarder le documentaire «Tous surveillés: 7 milliards de suspects», pourtant réalisé avant la pandémie, pour mesurer l’ampleur du phénomène. «Les mauvais citoyens sont expulsés hors des villes, leurs visages défilent sur des panneaux lumineux pour les humilier. Dans certaines provinces les autorités leur ont attribué une sonnerie de téléphone particulière – « la personne que vous essayez de joindre a été mal notée par le tribunal, merci de l’inciter à se responsabiliser et de l’aider à respecter la loi ». Aujourd’hui, plus de 20 millions de citoyens chinois seraient placés sur liste noire.»

    Dès la rentrée 2022, voici ce qui attend les Bolonais: Le Smart citizen wallet. Dans le journal Corriere di Bologna, le conseiller pour l’agenda numérique Massimo Bugani explique que l’idée s’apparente au mécanisme d’une collecte de points de supermarché. «Les citoyens seront reconnus s’ils trient leurs déchets, s’ils utilisent les transports en commun, s’ils gèrent bien l’énergie, s’ils ne prennent pas de sanctions de la part de l’autorité municipale, s’ils sont actifs avec la carte culture.» Naturellement, c’est sur la base du volontariat. Pour le moment, c’est seulement à titre expérimental, et ne donne que des avantages à celui qui accepte de participer.

    Pourquoi ?

    Voici des passages du documentaire mentionné précédemment.

    «L’éducation est nécessaire, le système de crédit social est le meilleur moyen de gérer efficacement une société. Avec cela on peut non seulement contrôler les risques financiers, bancaires, mais aussi rétablir l’éducation morale, l’honnêteté, les comportements vertueux. La résolution des problèmes par le crédit social, ce n’est pas l’envoi en prison quand on a enfreint les lois, c’est le regard du reste de la société qui trouve que votre attitude n’est pas bonne», explique Lin Junyue, chercheur membre de l’Académie des sciences sociales et théoricien du crédit social. Et d’ajouter: «Je pense qu’on a mis en place une bonne méthode technologique et j’espère vraiment que nous arriverons à l’exporter à un pays capitaliste. Je trouve que la France devrait vite adopter notre système de crédit social, pour régler les mouvements sociaux. Il n’y aurait jamais eu les gilets jaunes, on aurait détecté ça avant qu’ils agissent».

    Selon ce chercheur, le Cambodge, le Sri Lanka, le Chili et la Pologne seraient intéressés par ce système. Progressivement, le Big Brother chinois s’exporte. La Chine développe actuellement un immense plan d’investissement de mille milliards de dollars afin de renforcer ses échanges commerciaux avec le reste du monde. Grâce à ce projet baptisé Les nouvelles routes de la soie numériques par Xi Jinping, 60 à 80 pays devraient pouvoir bénéficier des technologies de surveillance chinoise.

    Et en Suisse ?

    La situation a en tout cas attiré l’attention d’un avocat genevois, Maître Yacine Rezki. Il définit le crédit social comme étant «un courant de pensée juridique qui voudrait qu’on puisse ôter aux individus leur libre arbitre avec des incitations qui auraient pour but de normer les comportements humains, en impliquant par essence une surveillance de masse.»

    Selon lui, la circulation routière serait un bon point de départ. Il prend l’exemple de la boite noire sur les véhicules. La presse en a récemment parlé, les nouvelles voitures mises sur le marché dès juillet 2022 seront équipées d’un enregistreur de données d’accident, comme celui présent dans les avions. Tout y sera enregistré, l’accélération, la vitesse, le freinage, l’usage des clignotants. Pour Maître Rezki, «on pourrait tracer tous les comportements, et attribuer à chaque conducteur des récompenses ou des sanctions».

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  49. En Suisse, est-ce que notre Constitution permettrait une telle dérive? Pour Yacine Rezki, la réponse est oui. «On peut tout à fait imaginer qu’une loi fédérale puisse aller à l’encontre de certains principes constitutionnels. C’était une volonté du législateur de dire qu’il n’incombe pas aux juges de déterminer si une loi est contraire à la Constitution ou non, on fait confiance au parlement et au peuple qui sont les gardes fous.»

    Cela nous conduit à une situation déjà observée dans le contexte pandémique, si nous votons pour l’application de lois contraires à la Constitution, alors nous ne sommes plus ses garants, nous autorisons sa violation.

    Certains affirment malgré tout que le crédit social est impossible en démocratie. Reste à savoir quelle définition nous donnons à ce mot. Pour l’avocat genevois, le crédit social n’est pas impossible en démocratie si on la réduit au fait de pouvoir voter. «Si par contre on admet que la démocratie est le droit au libre arbitre, à la souveraineté personnelle, un contre-pouvoir réel, la transparence et la possibilité de revenir en arrière sur certains processus, alors non ça n’est pas compatible».

    Des dérives déjà existantes

    Stéphane Werly, préposé cantonal à la protection des données du canton de Genève, voit des similitudes avec le système de récompense dans le domaine de la santé. «Depuis quelques années, sur la base du volontariat, des montres connectées sont proposées par des compagnies d’assurance maladie en échange de rabais. Le problème de ces montres c’est que les données vont sur le cloud et, potentiellement, n’importe qui pourrait voir que vous faites de la course à pied 3 fois par semaine ou au contraire que vous n’avez pas fait vos 2’000 pas par jour et que vous avez pris 2 kilos.»

    Alexis Pfefferle, avocat de formation, actif dans le domaine de la sécurité numérique, rédigeait en 2018 un article très intéressant intitulé «La montre connectée, reine des espionnes». Selon lui, le fait que vous courriez 10 km par jour n’a aucun intérêt, les obligations de l’assurance de base restent les mêmes. Ce qui a de la valeur provient du GPS. «Les métadonnées de géolocalisation en continu sont une mine insoupçonnée d’informations très personnelles.»

    Questionné sur les observations de Maître Rezki, Stéphane Werly confirme certaines craintes. «C’est vrai qu’on a déjà vu une forme de crédit social avec le certificat Covid. A la différence de ce dernier, le Conseil fédéral ne pourrait pas édicter des règles de droit sous la forme d’une ordonnance pour instaurer le crédit social. Seule une loi, soumise au référendum facultatif, pourrait le permettre. Mais cela me paraît peu probable que nous arrivions à une situation comme en Chine, on est quand même dans un autre régime et, il faudrait une base légale claire. Par exemple, est-ce que ceux qui fument pourraient encore acheter des cigarettes? Et si j’ai une dette hypothécaire importante, est-ce bon ou serais-je ostracisé? Sinon ce serait le début de l’arbitraire et, effectivement, le risque de tomber dans le système chinois.»

    Sous l’angle de la protection des données, le préposé constate une augmentation des dérives. «Malheureusement, on entend souvent les gens dire: Je n’ai rien à me reprocher, donc vous pouvez prendre toutes les données que vous voulez. Il y a une énorme augmentation des caméras partout. Néanmoins, il y a des règles à respecter, la pose de la caméra doit être justifiée, on doit notamment vous prévenir que vous êtes filmé, dans le cadre des écoles, le système de vidéosurveillance ne doit pas tourner pendant les cours.»

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  50. Cheval de Troie

    «D’abord, il faut la paix et la stabilité, que chacun vive bien. Et après seulement, on réfléchira aux droits de l’homme», selon le théoricien du crédit social. En Suisse, avons-nous trop longtemps vécu au sommet de la pyramide de Maslow, trop déconnectés de la réalité des besoins physiologiques pour être conscients du vent qui tourne? Si on ne connaît que la liberté, est-on capable d’identifier à temps une restriction de nos droits? Sommes-nous prêts à accepter toutes les technologies, nous faire offrir des chevaux de Troie? Avec le développement du digital wallet résolu à s’imposer partout, et les autres services proposés par les licornes chinoises (en économie, désigne une startup dans les nouvelles technologies, valorisée à au moins un milliard de dollars), ne sommes-nous pas en train de franchir la ligne rouge? N’est-ce pas le moment où les sirènes retentissent pour nous réveiller? Si nous vivons en démocratie, il n’est pas trop tard pour stopper la machine, à moins que ça aussi, ne soit qu’une chimère de plus.

    https://bonpourlatete.com/actuel/venu-de-chine-le-credit-social-se-repend-en-europe

    A lire également:
    https://www.wired.it/article/bologna-nuovo-piano-digitale-punti-cittadini-virtuosi/

    https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/surveillance-numerique-des-populations-vers-un-credit-social-en-europe/
    Rappel: La liste noire de FINMA,
    En 2015, nous avions découvert le système de sanctions-humiliation mis en place par Finma.

    https://lilianeheldkhawam.com/2015/08/30/la-liste-noire-de-finma-liliane-held-khawam/

    https://lilianeheldkhawam.com/2023/03/19/la-realite-techno-fasciste-du-nouveau-monde-le-credit-social-sintalle-en-europe/

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  51. Au milieu du krach bancaire


    20 mars 2023
    par Thomas Oysmuller


    La panique sur les marchés boursiers est grande. Le capitalisme financier est de nouveau en crise. Le professeur Michael Hudson explique pourquoi la crise devient beaucoup plus grave qu'en 2008.

    Le rachat de Credit Suisse ne calmera pas la panique actuelle sur les marchés financiers. La « peur de la contagion » que davantage de banques fassent faillite est très élevée. Michael Hudson a publié un texte mercredi, jour où la crise bancaire suisse a durement frappé.

    Le professeur d'économie de l'Université du Missouri analyse de manière critique la politique Covid ou la politique suicidaire de l'Allemagne - TKP a également rendu compte à plusieurs reprises d'Hudson. Par exemple, sur la " voie géo-économique, loin de l'ordre néolibéral" ou le texte très remarqué " Le dollar dévore l'euro" .

    Mercredi, il a publié le texte "Pourquoi la crise bancaire n'est pas terminée" en anglais. Pour Hudson, le secteur bancaire et financier fait face à un krach plus grave qu'en 2008. Hudson explique l'origine de la crise actuelle, qui se situe ailleurs qu'alors. Nous n'assistons plus qu'aux premiers jours de la nouvelle crise financière.

    Voici le texte en allemand (emphase ajoutée par tkp):

    Les effondrements de Silvergate, Silicon Valley Bank, Signature Bank et leurs faillites connexes sont beaucoup plus graves que le krach de 2008-09. Le problème à l'époque était les banques frauduleuses qui accordaient de mauvais prêts hypothécaires. Les débiteurs ont fait défaut et ont fait défaut, et les propriétés qu'ils avaient données en garantie se sont avérées frauduleusement surévaluées, c'est-à-dire des hypothèques de pacotille créées par des évaluations incorrectes du prix réel du marché de la propriété et des revenus hypothécaires de l'emprunteur. Les banques ont vendu ces prêts à des acheteurs institutionnels tels que des fonds de pension, des caisses d'épargne allemandes et d'autres acheteurs crédules qui avaient bu le "Kool Aid" néolibéral d'Alan Greenspan et croyaient

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  52. Les investissements de la Silicon Valley Bank (SVB) ne présentaient pas un tel risque de défaut. Le Trésor peut toujours payer en imprimant simplement de l'argent, et les hypothèques à long terme de premier ordre que le SVP a achetées étaient également solvables. Le problème, c'est le système financier lui-même, ou plutôt le coin que la Fed post-Obama a accaparé le système bancaire . Il ne peut pas sortir de son assouplissement quantitatif de 13 ans sans inverser l'inflation des prix des actifs et faire baisser la valeur de marché des obligations, des actions et de l'immobilier.

    En bref, la résolution de la crise d'illiquidité de 2009, qui a évité aux banques de perdre de l'argent (au prix d'alourdir l'économie d'une énorme dette), a ouvert la voie à la profonde crise d'illiquidité systémique qui commence seulement à se préciser. Je ne peux pas m'empêcher de mentionner que j'ai déjà souligné leur dynamique de base en 2007 (Harpers) et dans mon livre de 2015 Killing the Host .

    Fictions comptables vs réalité de marché

    Il n'y avait aucun risque de défaillance sur les investissements en titres d'État ou en hypothèques à long terme groupées achetés par la SVB et d'autres banques. Le problème est que la valeur marchande de ces prêts hypothécaires a chuté en raison de la hausse des taux d'intérêt. Les taux d'intérêt sur les obligations et les hypothèques achetées il y a quelques années sont bien inférieurs à ceux des nouvelles hypothèques et des nouveaux bons du Trésor et obligations. À mesure que les taux d'intérêt augmentent, les prix de ces « anciens actifs » chutent pour aligner leurs rendements pour les nouveaux acheteurs sur la hausse des taux d'intérêt de la Fed.

    Le problème d'évaluation du marché cette fois n'est pas un problème d'arnaque.

    Le public vient de découvrir que l'image statistique que les banques donnent de leurs actifs et passifs ne reflète pas la réalité du marché. Les comptables des banques sont autorisés à évaluer leurs actifs à la « valeur comptable », qui est basée sur le prix payé pour les acquérir – quelle que soit la valeur actuelle de ces actifs . Pendant le boom de 14 ans (à partir de 2008) des prix des obligations, des actions et de l'immobilier, les bénéfices réels des banques ont été sous-estimés car la Fed a réduit les taux d'intérêt pour augmenter les prix des actifs . Cependant, cet assouplissement quantitatif (QE) a pris fin en 2022 lorsque la Fed a commencé à resserrer les taux d'intérêt pour freiner la croissance des salaires.

    Note TKP : L'assouplissement quantitatif décrit une forme non conventionnelle d'expansion de la base monétaire par une banque centrale. La banque centrale achète généralement des titres privés ou publics à long terme, tels que des obligations d'État, auprès de banques commerciales. Ces achats augmentent la base monétaire.

    Lorsque les taux d'intérêt augmentent et que les prix des obligations baissent, les cours des actions suivent généralement. Cependant, si les banques conservent simplement leurs obligations ou leurs hypothèques, elles n'ont pas à déprécier le prix de marché de leurs actifs en conséquence. Ils n'ont besoin de divulguer la baisse de la valeur marchande que si, dans l'ensemble, les déposants retirent leur argent et que la banque a réellement besoin de vendre ces actifs pour lever l'argent nécessaire pour payer leurs déposants.

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  53. Il ne s'agissait pas d'une « ruée sur les banques » motivée par des craintes de faillite. La raison en était que les banques, étant des monopoles, étaient assez fortes pour ne pas partager leurs profits croissants avec leurs investisseurs. Avec les intérêts qu'ils facturaient aux emprunteurs et les rendements qu'ils gagnaient sur leurs investissements, ils réalisaient des profits fulgurants. Cependant, ils ont continué à ne payer aux déposants qu'environ 0,2 %.

    Le Trésor américain payait beaucoup plus et au jeudi 11 mars, le rendement du Trésor à 2 ans était de près de 5 %. L'écart grandissant entre ce que les investisseurs peuvent gagner en achetant des titres sans risque et la misère que les banques payaient à leurs déposants a poussé les déposants plus riches à retirer leur argent pour chercher ailleurs un rendement plus équitable sur le marché.

    Ce serait une erreur d'appeler cela un "bank run" - et encore moins une panique. Les déposants n'étaient pas irrationnels ou ne succombaient pas à la «folie de masse» lorsqu'ils retiraient leur argent. Les banques étaient tout simplement trop égoïstes. Et comme les clients ont retiré leurs dépôts, les banques ont dû vendre leurs avoirs en titres, y compris les titres à long terme de la SVB.

    Tout cela fait partie de l'annulation des renflouements bancaires et de l'assouplissement quantitatif d'Obama. Le résultat d'une tentative de retour à des niveaux de taux d'intérêt historiques plus normaux est que l'agence de notation Moody's a abaissé les perspectives du système bancaire américain à négatives de stables le 14 mars, citant "l'environnement opérationnel en évolution rapide". Cela signifie que les réserves des banques sont de moins en moins en mesure de faire face à leurs dettes envers leurs déposants, qui retirent leur argent et forcent les banques à vendre des titres à perte.

    La dissimulation trompeuse du président Biden

    Le président Biden tente de semer la confusion chez les électeurs en leur assurant que le "sauvetage" des riches déposants SVB non assurés n'est pas un renflouement. Mais bien sûr, c'est une opération de sauvetage. Ce qu'il voulait dire, c'est que les actionnaires de la banque ne seront pas renfloués. Mais les gros déposants non assurés ont été épargnés de perdre un seul centime malgré le fait qu'ils n'étaient pas éligibles à la garantie, mais qu'ils se sont entendus entre eux et ont décidé d'abandonner le navire et de provoquer l'effondrement de la banque.

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  54. Ce que Biden voulait vraiment dire, c'est qu'il ne s'agit pas d'un renflouement des contribuables. Ce n'est pas de l'impression monétaire, ni un déficit budgétaire, pas plus que les 9 000 milliards de dollars que la Fed a donnés aux banques avec ses mesures d'assouplissement quantitatif depuis 2008 étaient de l'impression monétaire ou ont augmenté le déficit budgétaire. C'est un exercice comptable - techniquement une sorte de "swap", compensant les bons prêts de la Réserve fédérale pour les "mauvais" papiers bancaires donnés en garantie - bien au-dessus des prix actuels du marché, pour être précis. C'est exactement ce qui a "sauvé" les banques après 2009. L'emprunt fédéral a été créé sans imposition.

    La vision tunnel systémique des banques

    On pourrait imiter la reine Elizabeth II et demander : « Personne n'a vu cela venir ? Où était la Federal Home Loan Bank qui était censée réguler la SVB ? Où étaient les auditeurs de la Réserve fédérale ?

    Pour répondre à cette question, il faut regarder qui sont les régulateurs et les auditeurs bancaires. Ils sont choisis par les banques elles-mêmes parce qu'elles nient qu'il y ait un problème structurel dans notre système financier. Ce sont de "vrais croyants" qui croient que les marchés financiers se corrigent par les "stabilisateurs automatiques" et le "bon sens".

    La corruption de la déréglementation a joué un rôle dans la sélection rigoureuse de ces régulateurs et auditeurs à la vue de tunnel. La SVB était réglementée par la Federal Home Loan Bank (FHLB). Le FHLB est connu pour intimider les banques qui veulent opérer sous sa supervision. Cependant, l'activité de SVB n'est pas le crédit hypothécaire. Il s'agit de prêter à des sociétés de capital-investissement de haute technologie qui sont prêtes pour des introductions en bourse – émises à des prix élevés, louées aux nues, puis souvent jetées dans un jeu de pompage et de vidage. Les responsables de la banque ou les auditeurs qui reconnaissent ce problème seront disqualifiés en tant que "surqualifiés".

    Un autre aspect politique est que la Silicon Valley est un bastion du Parti démocrate et une riche source de financement de campagne. L'administration Biden n'a pas voulu tuer la poule aux œufs d'or des fonds de campagne. Bien sûr, elle voulait sauver la banque et ses clients des capitaux privés. Le secteur financier est au cœur du Parti démocrate et la direction du parti est fidèle à ses partisans. Comme l'a dit le président Obama aux banquiers, qui craignaient de pouvoir tenir sa promesse de campagne de réduire la dette hypothécaire à des valeurs de marché réalistes afin que les clients de l'immobilier de pacotille exploités puissent rester chez eux : "Je suis le seul à me tenir entre vous [les banquiers qui possèdent la Maison Blanche ont visité] et la foule avec les fourches », c'est-à-dire

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  55. La Fed prend peur et baisse les taux d'intérêt

    Le 14 mars, les cours des actions et des obligations ont bondi. Les acheteurs de marge ont fait fortune quand ils ont vu que le plan du gouvernement était le plan habituel : se débarrasser du problème bancaire et renflouer l'économie jusqu'au jour des élections en novembre 2024 (pour les banquiers, pas les étudiants débiteurs) pour inonder.

    La grande question est donc de savoir si les taux d'intérêt peuvent jamais revenir à la "normale" historique sans transformer l'ensemble du système bancaire en une sorte de SVB. Si la Fed relève vraiment les taux d'intérêt pour revenir à la normale ou ralentir la croissance des salaires, un krach financier est inévitable. Pour éviter cela, la Fed doit créer un flux exponentiellement croissant d'assouplissement quantitatif.

    Le problème sous-jacent est que la dette portant intérêt croît de façon exponentielle, mais l'économie suit une courbe en S puis chute. Et lorsque l'économie ralentit - ou est délibérément ralentie, lorsque les salaires et traitements ont tendance à rattraper l'inflation des prix provoquée par les prix de monopole et les sanctions américaines anti-russes qui font grimper les prix de l'énergie et des denrées alimentaires, le montant des demandes financières sur le solvabilité de l'économie.

    C'est la véritable crise financière à laquelle l'économie est confrontée. Cela va au-delà de la banque. L'ensemble de l'économie souffre de la déflation de la dette, même face à l'inflation des prix des actifs soutenue par la Réserve fédérale. Ainsi, la grande question - littéralement - est de savoir comment la Fed sortira du coin à taux bas de l'assouplissement quantitatif dans lequel elle a manœuvré l'économie américaine. Plus longtemps ils et le parti au pouvoir respectif protègent les investisseurs du secteur FIRE des pertes, plus la solution finale doit être violente.

    https://tkp.at/2023/03/20/mitten-im-bankencrash/

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  56. États-Unis – Les lois de 20 États doivent rendre obligatoire la monnaie numérique de la banque centrale


    20 mars 2023
    depuis Dr. Peter F. Mayer


    La monnaie de banque centrale numérique est en cours de préparation par un certain nombre de pays et l'UE. Le contrôle de ses revenus et de son argent est ainsi transféré aux gouvernements ou à des organes centraux non élus. D'un simple clic de souris, l'utilisation autorisée de l'argent peut être réglementée, toute liberté et intimité disparaît. Il deviendra désormais loi dans 20 États américains.
    L'utilisation de l'argent peut être liée par un contrôle central, par exemple si vous avez reçu certains vaccins, si votre propre maison répond aux normes énergétiques prescrites par l'UE, si vous n'avez pas encore épuisé votre budget gaz carbonique et si vous avez été élu. Il n'y a pas de limites aux possibilités de surveillance et de contrôle.

    La gouverneure du Dakota du Sud, Kristi Noem, met en garde contre les mesures prises au niveau de l'État pour redéfinir la monnaie, la même législation affectant actuellement 20 États. Elle est apparue dans l'émission télévisée de Tucker Carlson pour envoyer un avertissement aux autres gouverneurs. Selon le rapport, la législature du Dakota du Sud a adopté un projet de loi visant à redéfinir les devises et à créer des règles pour une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) qui empêcheraient l'utilisation de toutes les autres monnaies numériques dans l'État. Le gouverneur Noem a opposé son veto au projet de loi.

    Lorsqu'on lui a demandé pourquoi sa législature le ferait, Noem a répondu que les politiciens de l'État n'avaient probablement pas lu le projet de loi de 110 pages parce qu'il avait été rédigé par des lobbyistes.

    À Washington ou à Bruxelles, les groupes de pression à but lucratif, principalement issus d'entreprises et de l'industrie financière, poursuivent l'objectif de façonner la politique et la législation de manière à servir leurs intérêts. Ils ont des bureaux complets comme n'importe quelle autre entreprise - sauf que leur "activité" consiste à appliquer la législation pour leurs clients. Ces groupes sont composés d'avocats hautement rémunérés qui représentent les intérêts de l'entreprise et rédigent des lois et des projets de loi. Aujourd'hui, c'est là que sont créées les lois qui sont finalement votées par le Congrès ou l'appareil bruxellois.

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  57. Cependant, l'un des aspects les plus alarmants de la discussion de Noem sur la question est qu'environ 20 autres États envisagent une législation similaire.

    Elle a rendu visite à Tucker Carlson pour en discuter :

    - voir clip sur site :

    https://tkp.at/2023/03/20/usa-gesetze-in-20-bundesstaaten-sollen-digitale-zentralbankwaehrung-verpflichtend-machen/

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  58. Samedi 13 mai 2023 : Colloque sur la dérive totalitaire sur les enfants

    Le samedi 13 mai prochain, la LNPLV parraine une journée de conférences à quelques minutes de Paris, sur le thème des enjeux autour des enfants dans le contexte actuel.


    Ariane Bilheran
    9 mars 2023


    Au programme :


    La dérive totalitaire sur les enfants : diagnostic, causes et conséquences, solutions Comment retrouver des principes vertueux ?

    Au cours de cette journée de conférences dans un cadre agréable à quelques minutes de Paris, des spécialistes vont se succéder pour proposer au public des réflexions approfondies sur différents aspects de la dérive totalitaire, qui a causé de graves dommages psychiques et somatiques sur les enfants depuis 2020. Il analysera la nature de la dérive, en termes d’idéologies politiques, de pratiques institutionnelles (endoctrinement, politiques de sexualisations précoces, irrespect du secret professionnel pour les vaccinations, stigmatisations, etc.), de symptômes constatés (« effets secondaires » psychiques et physiques), tant sur le plan qualitatif que quantitatif. Mais il s’agira aussi de proposer des perspectives, et de retrouver des principes vertueux par l’écoute de la souffrance des jeunes générations, la réinvention de la clinique et le choix des « bons mots », pour conforter également les parents dans leur rôle de protecteur de leurs enfants.
    Ce colloque est parrainé par la LNPLV.

    Il est organisé par Ariane Bilheran, normalienne, psychologue clinicienne, philosophe, docteur en psychopathologie, et Amandine Lafargue, psychologue clinicienne, psychologue sociale et des organisations de travail, psychothérapeute et psychanalyste.
    La journée est animée par Ariane Bilheran, avec en pointillé de chaque intervention le point de vue de l’expert juridique, l’avocate Maître Virginie de Araujo-Recchia. L’avocate sera en effet consultée pour la recherche des qualifications juridiques des délits et des peines commis à l’encontre des enfants.

    Déroulé de la journée

    8h-9h :

    Introduction au colloque, bienvenue aux participants.

    Diagnostic et constats actuels de la dérive totalitaire sur les enfants.

    9h-10h30 :

    Les dangers de la sexualisation des enfants via les programmes de l’OMS.

    Les « droits sexuels » des enfants, origines, filiations, promoteurs, concepteurs.

    Ariane Bilheran.

    La sexualité infantile : une invention de toute pièce aux dépens des enfants.

    Régis Brunod.


    10h30-11h00 : Pause

    11h-12h30 :

    La clinique des maltraitances depuis 2020.

    Bilan psychologique de la crise : une symptomatologie inédite, tant du point de vue quantitatif que qualitatif.

    Marie-Estelle Dupont.

    Faire preuve d’inventivité clinique face au caractère inédit des troubles psychiques infantiles.
    Amandine Lafargue.

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  59. 12h30–14h00 : Pause repas

    14h-15h30 :

    Quelles perspectives pour les enfants ?

    Les apprentissages faits par les enfants dans le cadre de cette crise sans précédent.

    Cécile Maïchak.

    Quel avenir est-il proposé aux enfants ?

    Karina Terki.

    15h30-16h00 : Pause

    16h00-17h00 :

    Du côté des chiffres…

    Santé environnementale, santé mentale : d’abord ne pas nuire.

    Senta Depuydt.

    16h30-17h00 : Pause

    17h00-18h00 : débat avec la salle, puis clôture et vente/dédicace de livres.

    Participants par ordre alphabétique :

    Virginie de Araujo-Recchia, avocate.

    Elle a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide »

    Karine Baillieu, psychologue clinicienne, spécialisée en psychopathologie psychanalytique et psychotraumatisme.

    Sujet : Diagnostic et constats actuels de la dérive totalitaire sur les enfants
    Sera proposée une vision systémique de la dérive totalitaire sur les enfants ces dernières années, dans les différents champs (sanitaire, « droits sexuels », histoire, endoctrinements idéologiques, etc.), afin d’en extraire une vision globale, et d’interroger la raison pour laquelle les enfants en sont la cible privilégiée. Nous analyserons les enjeux et les potentiels devenirs de cette situation alarmante, notamment par des exemples, comme les conséquences des masques et des campagnes de propagande, sous l’angle de l’absence de représentation chez certains adolescents : impossibilité de se projeter dans l’avenir, sidération massive, vide psychique, qui tous ont des conséquences graves sur la construction identitaire, les choix identificatoires, et la propension à l’assujettissement et à la dépression.

    Ariane Bilheran, normalienne, psychologue clinicienne, philosophe, docteur en psychopathologie.

    Auteur de Psychopathologie de la pédophilie et de L’imposture des droits sexuels, ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial.

    Sujet : Les « droits sexuels » des enfants, origines, filiations, promoteurs, concepteurs
    Nous analyserons les origines et les filiations de ces « droits sexuels » aujourd’hui promus par l’OMS, en particulier pour les enfants, à travers des « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », notamment. Nous étudierons la nature des promoteurs et concepteurs, et des références dites « scientifiques », pour les confronter au corpus de connaissance de la psychologie de l’enfance, notamment en matière de transgression sexuelle infantile. Nous poserons les critères d’une véritable prévention aux traumatismes sexuels et parlerons de l’endoctrinement des enfants par la mainmise totalitaire, et de l’importance de passer par la sexualité pour ce faire.

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  60. Dr Régis Brunod, pédiatre et pédopsychiatre, titulaire d’une HDR en Sciences de la Vie et de la Terre ainsi que d’un DEA en Philosophie (épistémologie), ancien Expert auprès des Tribunaux.

    Auteur du livre Préserver l’innocence des enfants.

    Sujet : La sexualité infantile : une invention de toute pièce aux dépens des enfants.
    Un peu partout, on parle de la sexualité infantile comme d’une réalité omniprésente dont les adultes devraient s’occuper. L’OMS en fait même une obligation éducative dès la naissance. Cela ne repose sur aucune base scientifique et est totalement contraire à la croissance des enfants dans tous les autres secteurs de leur développement neuropsychique. Pourtant ce dogme sert à tenter de justifier nombre d’agressions sexuelles sur de jeunes enfants, certaines sous couvert de science ou de prévention. L’observation de la réalité clinique montre qu’il n’en est rien et que la sexualité humaine se construit aussi de manière développementale avec des prérequis avant d’arriver à la fonction mature. L’absence chez les enfants d’une sexualité sur le modèle de celle des adultes est une réponse claire à toutes les tentatives de la légitimer, même avec les meilleures intentions du monde, celles dont l’enfer est pavé. Cette absence de sexualité chez l’enfant est le socle sur lequel peut reposer toute prévention de la pédocriminalité.

    Senta Depuydt, journaliste diplômée en sciences de la communication (Université Catholique de Louvain, B.).

    Ancien membre fondateur et dirigeant de plusieurs associations dans les domaines de la protection de la santé, de l’éducation et de la défense des libertés fondamentales.

    Sujet : Santé environnementale, santé mentale : d’abord ne pas nuire.
    Dans le domaine de la santé mentale, les chiffres actuels sont alarmants. On assiste à une véritable épidémie de diagnostics : dépression, tendances suicidaires, hyperactivité, troubles du développement, autisme. Différents facteurs sont à prendre en compte, parmi lesquels la toxicité de l’environnement et des produits à usage humain, particulièrement nuisible au développement de l’enfant. La société de l’urgence, où l’acceptation aveugle des risques liés aux innovations constitue désormais la nouvelle norme, semble avoir aboli le principe de précaution qui devrait régir toutes les politiques liées à l’enfance et à la santé. L’enfant est devenu un cobaye, sacrifié sur l’autel du profit industriel. Quelles sont nos possibilités de renverser cette tendance et d’opérer un changement de paradigme ?

    Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne et psychothérapeute, auteur de L'anti-Mère.

    Sujet : Bilan psy de la crise. Inédit quantitatif et qualitatif (symptomatologie).
    Nous verrons comment la crise sanitaire a bouleversé la clinique, et notamment la clinique des plus jeunes. Comment cela a-t-il été possible, pourquoi une telle inversion des places et des valeurs ? Comment consoler, déculpabiliser et réhabiliter nos enfants, notamment par le regard apporté à l’importance des mots qui ont été dévoyés ?

    Amandine Lafargue, Psychologue clinicienne, psychologue sociale et des organisations de travail, psychothérapeute et psychanalyste, auteur de Psychopathologie de la pédophilie.

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  61. Sujet : Faire preuve d’inventivité clinique face au caractère inédit des troubles psychiques infantiles.
    Après avoir tenté d’alerter sur les risques psychiques que les enfants encouraient en raison des politiques sanitaires subies, nous avons pu mesurer cet impact dans le réel de notre clinique auprès d’eux. Notre société continue cependant de se déculpabiliser, au nom du mythe de l’illusoire « adaptation » des enfants. Aussi, les spécialistes continuent de faire état des études chiffrées détaillant les symptômes par tranches d’âges, pendant que nous inventons et fabriquons sans cesse une nouvelle clinique, pour faire face au caractère inédit des troubles psychiques infantiles. Quelles solutions pour diminuer le stress/l’impact sur le développement des enfants, les dédommager, quelles cliniques en temps de pandémie ?

    Cécile Maïchak, psychopédagogue, créatrice du Doctothon, auteur de 250

    médecins, la vérité sans censure.

    Sujet : Les apprentissages faits par les enfants dans le cadre de cette crise sans précédent.
    À partir des témoignages recueillis lors des Doctothon et Dosumani précédents, notamment sur le thème de l’enfance, la psychopédagogue souhaite interroger les apprentissages des enfants depuis 2020 : qu’ont-ils appris en observant leurs enseignants qui appliquaient les protocoles, quelles qu’en soient les conséquences ? Qu’ont-ils appris en voyant la passivité de leurs parents face, par exemple, au port du masque à l’école ? Qu’ont-ils appris quand, à l’école, il était exigé d’eux qu’ils n’aient pas de contact avec leurs camarades ? Etc. Et comment se construisent-ils sur cette base ? Cette réflexion envisagera des perspectives pour le futur.

    Karina Terki, psychologue clinicienne diplômée en psychologie clinique et pathologique, thérapeute EMDR spécialisée dans le psychotraumatisme, a exercé en psychiatrie adulte depuis plus de 20 ans.

    Sujet : Quel avenir est-il proposé aux enfants ?
    Le bouleversement sociétal de ces deux dernières années a produit chez les adultes des effets de sidération, de soumission et conséquemment, un changement profond dans la nécessité de préserver un développement le plus harmonieux possible pour les enfants. Aujourd’hui quel constat pouvons-nous faire sur l’avenir proposé aux enfants et aux adolescents ? Quels modèles identificatoires la société leur propose ? Quelles sont les alternatives possibles ?

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  62. L'événement aura lieu dans un hotel au bord de la Seine à Alfortville (3km de paris), proposant un parking sécurisé aux alentours de 10€ la journée, et accessible en transports en commun.

    Rejoignez-nous pour cet événement unique pour comprendre et avancer sur ces enjeux qui affectent vos enfant, avec malheureusement un nombre de places limité.

    Inscrivez vous, places limitées ! (Prix... 40 euros !)

    https://www.arianebilheran.com/post/samedi-13-mai-2023-colloque-sur-la-dérive-totalitaire-sur-les-enfants

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  63. Selon un rapport du Haut Conseil de la famille, de plus en plus d’enfants vivent sous psychotropes


    Richard Hanlet
    13 mars 2023


    On sait que la France est grande consommatrice de psychotropes, mais ce qu’on sait moins, c’est que les mineurs constituent une part croissante des usagers. Le dernier rapport du Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge, adopté le 7 mars, pointe qu'en seulement sept ans, de 2014 à 2021, le taux de consommation chez les moins de 20 ans a augmenté de 50 % pour les antipsychotiques, de 60 % pour les antidépresseurs, de 80 % pour les psychostimulants (type ritaline) et de 150 % pour les hypnotiques et sédatifs !

    Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA) vient donc de lancer une alerte opportune sur ces ordonnances de produits généralement destinés aux adultes, sur des cerveaux dont la plupart des zones n’arrivent à maturité que vers 25 ans. Et s’ils ne sont pas toujours prescrits par des psychiatres, même ceux-ci y ont recours, comme le reconnaît le Dr Buffière, présidente de la fédération des CMPP (centres médico-psycho-pédagogiques) : « Cela m’arrive d’en prescrire et certains de mes collègues le font aussi, pour que l’enfant puisse retourner à l’école, continuer à mener un semblant de vie normale » (Le Parisien), voire simplement pour espacer les séances chez le psy.

    Nos enfants vont mal parce qu’ils sont probablement le symptôme d'un environnement sociétal, scolaire et familial de plus en plus dysfonctionnel : « Aujourd’hui, les dépressions commencent à s’observer chez des enfants dès 10 ou 11 ans, c’est nouveau. Quand ils sont en CE2, on a l’impression qu’ils vont entrer en prépa ! Il y a davantage de phobies scolaires, de harcèlement », note la pédopsychiatre Christine Barois (ibid).

    Ajoutez à cela un pays qu’on ne leur fait plus aimer, divorces et familles recomposées, pression de conformité des réseaux sociaux et de leurs divers « influenceurs », angoisses sanitaires (Covid) ou écologiques (Greta Thunberg) surjouées, injonction débile de s’interroger sur son « genre » et même - un comble ! - de s’inquiéter de sa retraite... N’y a-t-il pas de quoi mettre en vrille le mental de certains ados et pré-ados ?

    Cet univers mental adolescent a peu de chance d’être amélioré par l’accès facile au cannabis et à la cocaïne, au protoxyde d’azote (en vente libre) ou aux nombreux « nouveaux produits de synthèse » difficiles à combattre juridiquement car non répertoriés comme stupéfiants. La zombification de la génération alpha comme instrument de domination politique avait été envisagée, il y près d’un siècle, par l'écrivain Aldous Huxley qui, à propos de la liberté sexuelle, notait : « Le dictateur fera bien d’encourager cette liberté-là. Conjointement avec la liberté de se livrer au songe en plein jour sous l’influence des drogues, du cinéma et de la radio, elle contribuera à réconcilier ses sujets avec la servitude qui sera leur sort. » Huxley ne connaissait pas Internet...

    https://www.bvoltaire.fr/selon-un-rapport-du-haut-conseil-de-la-famille-de-plus-en-plus-denfants-vivent-sous-psychotropes/

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  64. La confusion du langage gauche/droite et de la terminologie aide la pandémie et le belliciste


    20 mars 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Depuis trois ans, il est devenu de plus en plus clair pour beaucoup de gens que les attributions politiques telles que "gauche" ou "droite" ne peuvent plus être utilisées pour caractériser des positions de manière raisonnable. Néanmoins, il est souvent utilisé pour dévaloriser les gens. Certaines choses sont qualifiées de "gauche" ou même de "gauche radicale", ce qui n'a rien à voir avec de véritables positions de gauche et encore plus souvent cela s'applique à des positions supposées de droite.

    Les deux attributions sont souvent utilisées pour dénigrer les gens personnellement si les arguments de fond manquent. Les profiteurs de la pandémie et de la guerre aiment revêtir un manteau de gauche pour se distraire de leurs propres machinations fascistes.

    Les ONG de Rockefeller, Ford, Soros, Gates, Warburg, Clinton etc. ont adopté un vocabulaire de gauche dans leurs règles linguistiques, comme le décrit James Petras dans son livre de 2007 « Les ONG : au service de l'impérialisme » .

    Les ONG adoptent le langage de la gauche : "pouvoir du peuple", "empowerment", "égalité des genres", "développement durable", "leadership bottom-up", etc. Le problème est que ce langage est combiné à un cadre de coopération avec les donateurs et les agences gouvernementales qui subordonnent les activités » (J. Petras, 2007, p:434).

    Est-ce que cela fait de Soros et Gates des gauchistes ? Apparemment non, ils restent milliardaires, impérialistes, corona et profiteurs de guerre.

    Attaques contre les médias

    Les médias critiques doivent faire face à des vents contraires, bien sûr les médecins et les scientifiques encore plus. Un événement assez unique s'est produit récemment. Comme indiqué hier, l'événement « L'extrémisme de droite en Haute-Autriche » a eu lieu le « 13 mars 2023 […] au Musée Arbeitswelt Steyr. ... Devant 150 personnes, majoritairement issues de la gauche radicale, des photos de personnes, leurs adresses et des photos de leurs domiciles privés ont été montrées. C'est une incroyable rupture d'un tabou..."

    L' article du TKP sur cet incident poursuit en disant :

    Les auteurs de TKP n'ont certainement jamais rien eu à voir avec les idées de droite. Mais une chose est claire :

    "Quiconque commet de telles actions est tout sauf de gauche."

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  65. Cependant, si vous les qualifiez de "gauche", vous faites le jeu de ces organisations et individus et vous soutenez exactement le récit qui, selon Petras, est poursuivi par les ONG des oligarques.

    Selon Petras, ces "gauchistes" sont mieux décrits comme des "fantassins de l'impérialisme". Ils font objectivement les affaires des oligarques, de Wall Street, des grandes banques et de ceux derrière Corona ou de la guerre en Ukraine.

    Et plus loin, dans notre article, nous avons caractérisé ces prétendus « gauchistes » comme suit :

    "Pour Mussolini, le fascisme était synonyme de 'corporatisme', une combinaison du pouvoir de l'Etat avec celui des corporations. Cela est devenu plus qu'évident dans l'histoire de Corona et ce sont précisément ces prétendus gauchistes qui sont au premier plan. Plus d'argent pour les produits pharmaceutiques, redistribution de bas en haut. Et pour y parvenir, les gens sont diffamés en tant que négationnistes du corona et les journalistes qui font toujours leur travail sont tentés de les diffamer et de les mettre en danger. "

    Une définition un peu plus précise que celle de Mussolini pour le pouvoir d'État fasciste des années 1930 est attribuée à Georgi Dimitrov :

    "Le fascisme au pouvoir est la dictature ouverte et terroriste des éléments les plus réactionnaires, chauvins et impérialistes du capital financier."

    La définition s'appliquait à de nombreux pays européens à l'époque, certains comme la Grèce, l'Espagne et le Portugal le restant jusque dans les années 1970. Aujourd'hui, de nombreux programmes fascistes sont gérés par des organisations internationales telles que l'OMS et les autres organisations des Nations Unies impliquées dans le programme One Health (FAO, OIE et PNUE), le WEF, l'OTAN ou l'UE. Aux États-Unis, comme le décrit Ernst Wolff, la fusion du capital financier et de l'État est depuis longtemps achevée et a conduit à une série interminable de guerres et de coups d'État depuis 1945 :

    Un article très soigneusement documenté dans Global Research montre au moins 20 millions de morts dans 37 pays victimes à la suite des guerres menées par les États-Unis depuis 1945.

    En quoi est-ce pertinent aujourd'hui ?

    L'analyste et auteur Ernst Wolff souligne à plusieurs reprises la continuité de l'influence des impérialistes américains sur les guerres en Europe. Les banques de Wall Street ont financé la Première et la Seconde Guerre mondiale. Leur pouvoir et leur influence se sont étendus à un groupe encore plus petit de gestionnaires de fonds comme BlackRock, Vanguard et les autres. Ils sont les principaux actionnaires de Pfizer, BioNTech, Moderna et des autres sociétés pharmaceutiques ainsi que des sociétés de défense comme Raytheon, Lockheed Martin, General Dynamics, etc.

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  66. Voici une vidéo avec Ernst Wolff sur les financiers des guerres mondiales et la Grande Réinitialisation :

    - voir clip sur site -

    Incidemment, le PDG de BlackRock, Larry Fink, est également un «épargnant climatique» actif. Dans une lettre de janvier 2020, il écrivait : " Dans un avenir proche - et plus tôt que prévu - il y aura une réallocation importante du capital... Le risque climatique est un risque d'investissement." Il a ajouté : "Chaque gouvernement, chaque entreprise et chaque actionnaire doit faire face au changement climatique".

    Larry Fink est-il un gauchiste ou même un « communiste mondial » ?

    Les abus de langage aident les convoitises et les bellicistes
    Dans la chaîne Telegram d' Oliver Janich & Team, il y a parfois des erreurs de classification complètement absurdes. Par exemple ici :

    « Le plan des communistes mondiaux visant à exacerber massivement la pénurie de logements en Allemagne fonctionne. Cela fonctionne parce que l'État n'enseigne délibérément aux citoyens allemands aucune connaissance de base de l'économie et que la plupart trouvent le sujet de « l'économie » ennuyeux. Maintenant, ils reçoivent juste une leçon pratique. Mais la plupart penseront que c'est le marché phobique :"

    Janich prouve immédiatement le manque de connaissances de base en économie avec la prochaine publication :

    "Jan. '23 : 7 700 logements agréés de moins qu'en janvier 2022

    Permis de construire pour les nouvelles constructions -25,5% pour les maisons unifamiliales, -48,4% pour les maisons bifamiliales, -28,6% pour les maisons multifamiliales

    https://www.destatis.de/DE/Presse/Pressemitteilungen/2023/03/PD23_108_3111.html ”

    Ainsi, en Allemagne, les «communistes mondiaux» empêchent la construction de logements. L'hypothèse selon laquelle ceux-ci empêcheraient les permis est un pur non-sens, comme vous pouvez facilement le voir avec la requête de recherche « Qui délivre les permis de construire en Allemagne » :

    La réponse est à savoir :

    "Gouvernement de comté ou municipal

    Dans la plupart des cas, le constructeur doit demander l'approbation du district ou de l'administration municipale, pour laquelle une demande de construction est soumise.

    Ainsi les « communistes mondiaux » siègent-ils dans les bureaux des immeubles des communes et des districts ? Janich se ridiculise avec les deux affectations et fait directement le jeu des BlackRocks & Co, car les méchants ne sont pas les capitalistes financiers et les impérialistes américains, mais les "communistes mondiaux" (dans les autorités allemandes du bâtiment ?).

    C'est bien sûr le marché, car la demande s'est effondrée en raison de la surmortalité et de la flambée des prix de l'énergie due à la libéralisation des marchés de l'énergie par l'UE, aux mesures Corona et aux sanctions contre la Russie. Les responsables sont à Bruxelles et non à la régie des immeubles de Buxtehude.

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  67. Ceux qui publient les adresses privées des opposants, insultent et emprisonnent les non vaccinés ou assimilés ne sont pas des gauchistes, mais des "fantassins de l'impérialisme", des gens à tendance fasciste qui servent les corporations.

    Tout cela devrait être nommé précisément avec des termes politiques et politico-économiques. La gauche et la droite sont insipides et presque toujours fausses.

    Voici une analyse de propagande actuelle sur le thème des poisons des partis politiques :

    - voir clip sur site -

    La précision de l'analyse et la façon dont les choses vont au fond sont guidées par le Dr. Thomas Ly, Dr. Daniele Ganser et Prof. DDr. Martin Haditsch avant. Un bonus pour tous ceux qui sont arrivés jusqu'ici, dans la plus haute culture de conversation :

    https://tkp.at/2023/03/20/links-rechts-sprach-und-begriffsverwirrung-hilft-pandemie-und-kriegstreibern/

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  68. Nouvelle parution : L'Internationale nazie, d'Ariane Bilheran


    7 nov. 2022


    Et si les nazis avaient sacrifié l'Allemagne, mais n'avaient pas perdu la guerre ?

    Cette thèse, aussi inconcevable pour certains qu'elle est évidente pour d'autres, fut émise pour la première fois en 1945 par Hannah Arendt, la grande philosophe du totalitarisme.

    En 2022, après Le débat interdit, écrit avec Vincent Pavan, et les Chroniques du Totalitarisme 2021, Ariane Bilheran suggère de revenir à ce texte d'Hannah Arendt pour mettre en perspective l'actualité du monde, et sa dérive totalitaire.

    Ariane Bilheran est normalienne (Ulm, Paris), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, auteur de plus d'une trentaine d'ouvrages dont certains traduits en plusieurs langues. Elle est spécialisée dans la psychopathologie du pouvoir, l'étude de la manipulation, de la perversion et de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme.

    Avant-propos de Slobodan Despot

    Préface de Jean-Dominique Michel

    EXTRAIT

    LE IVÈME REICH OU LE RAFFINEMENT DU SURHOMME

    La destruction sauvage de l’Europe, qui est un danger réel, et très certainement planifié, pourquoi pas à partir du foyer ukrainien, pourrait alors contraindre les peuples à se sentir coincés dans l’alternative suivante : « la domination nazie ou le chaos » ! Le projet de l’Internationale nazie est d’ailleurs présent dès l’origine : « depuis la fin des années 1920, le Parti national-socialiste n’était plus un parti purement allemand, mais une organisation internationale ayant son siège en Allemagne. (...)

    https://www.arianebilheran.com/post/l-internationale-nazie-de-ariane-bilheran

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    1. En italien: nazional socialista. Le parti nazi n'a pas disparu mais s'est renforcé au 21 ème siècle grâce à l'ONU et à la dictature en place à Bruxelles qui 'gouvernerait l'Europe' ! Voir Ukraine où le dictateur nazi en place est reçu et salué par tous les chefs d’États du monde !

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  69. Le loup et les sept blocages - réplique du commentaire de Kurt Kotrschal


    19 mars 2023
    par Jan David Zimmermann


    Pas d'excuses et pas de remords à "non vacciné" car ce serait un "revirement criminel-victime" : c'est ainsi que la "presse" argumentait il y a quelques jours. Jan David Zimmermann avec un contre-discours.

    Dans son commentaire du 12.03. ou 13.03. En 2023 dans la "Presse", le biologiste du comportement Kurt Kotrschal a déclaré que les politiciens ne devraient pas s'excuser auprès des "refuseurs de vaccination", cela équivaudrait à un renversement auteur-victime. Il faut donc le noter : Les personnes qui ne sont pas vaccinées contre le Covid sont des auteurs pour Kotrschal. Quelqu'un ici a fondamentalement mal compris quelque chose et est tombé dans le rôle de bouc émissaire du gouvernement et des médias.

    Les considérations qui apparaissent par la suite dans le texte du biologiste semblent désormais avoir été écrites en 2020 ou 2021, car elles ne sont plus d'actualité, ou pour le dire plus clairement : les hypothèses de base de Kotrschal, qui ont conduit à son argumentation contre le plomb " opposants à la vaccination" ont tort.

    L'effet de primauté psychologique s'applique évidemment ici ; quelle que soit l'information qui s'est d'abord installée dans le cerveau, elle y reste et n'est pas révisée.

    J'explique mon accusation selon laquelle Kotrschal n'était pas informé sur la base de plusieurs points.

    Il est bien connu que la vaccination corona est au mieux une auto-protection , pas une protection contre les autres. Parce que vous pouvez à la fois être infecté par Corona et transmettre le virus (ce que tout le monde a probablement connu dans son propre environnement), il n'y a pas d'immunité stérile par la vaccination (voir citation au point 2). Par conséquent, avec cette intervention médicale, vous ne protégez personne d'autre. Pas grand-mère, pas d'autres groupes vulnérables, idéalement vous-même.

    Or, comme argument en faveur de la vaccination, il est mentionné à plusieurs reprises qu'au moins la charge virale chez la personne vaccinée infectée est réduite. Dans quelle mesure la vaccination est destinée à réduire la charge virale était totalement inconnue au moment de la 2G et du confinement des non vaccinés (novembre 2021) et le reste à ce jour. Citation d'AGES (en date du 14 mars 2023) : « Selon l'état actuel des connaissances, la vaccination offre une protection individuelle[c'est moi qui souligne, JD Zimmermann] de contracter le COVID-19. L'influence de la vaccination sur la transmission du Sars-CoV-2 fait l'objet de nombreuses études. La transmission du virus semble être réduite, bien que l'étendue ne soit pas tout à fait claire. Cependant , il faut supposer que les personnes qui deviennent positives à la PCR après un contact avec le SRAS-CoV-2 malgré la vaccination, excrètent également des virus et sont contagieuses.

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  70. Incidemment, la même chose était également vraie en Allemagne, où le RKI en Allemagne a écrit à l'automne 2021 : "La mesure dans laquelle la vaccination réduit la transmission du virus ne peut actuellement pas être quantifiée avec précision."- https://www.rki.de/ SharedDocs /FAQ/COVID-Impfen/FAQ_Liste_Wirksammkeit.html , récupéré le 31 octobre 2021.

    De cela et des déclarations de dizaines d'experts bien connus dans ce domaine, il s'ensuit que des mesures telles que la 2G et le confinement pour les non vaccinés n'ont aucun fondement scientifique, mais une pure politisation et un harcèlement délibéré des personnes non vaccinées dans la population (presque 2,5 millions de personnes en Autriche ) était. Le discours de solidarité à travers la vaccination Covid s'était effondré avec le manque d'immunité stérile et cela était connu au moins depuis l'automne 2021. Loin de toute évidence, le récit de la solidarité a été obstinément transmis comme une question politique et comme une auto-adulation de ceux qui se croyaient les gentils.

    Ainsi, si la vaccination est destinée à être une forme d'autoprotection, alors une vaccination est généralement décidée en fonction de l'indication, c'est-à-dire de la nécessité, individuellement et en fonction de l'état de santé respectif de la personne concernée. La vaccination contre Corona est donc une affaire privée que chacun devrait décider pour lui-même. Surtout lorsqu'il s'agit de protéger les hôpitaux et les unités de soins intensifs, l'argument selon lequel les personnes qui n'ont jamais été malades ou à risque devraient être vaccinées contre le corona est absurde : parce qu'elles ne se retrouveront généralement pas dans l'unité de soins intensifs et, par conséquent, elles ne pèseront pas non plus sur le système hospitalier.

    Il est également bien connu que la 2G ou le confinement des non-vaccinés n'a en rien soulagé le système hospitalier. Je me réfère ici aux propos de l'expert en santé publique Dr. Martin Sprenger, qui a abordé à plusieurs reprises l'absurdité de la 2G. Et même Christian Drosten a trouvé absurde le dicton sur la "pandémie des non-vaccinés", tout comme Hendrik Streeck, Alexander Kekulé, Detlev Krüger et Jonas Schmidt-Chanasit. Oui, il a même été dit par beaucoup que la 2G était dangereuse car elle endormirait les vaccinés dans un faux sentiment de sécurité, ce qui a finalement été le cas.
    L'obligation de vacciner était une tentative actionniste des politiciens de détourner l'attention de leur propre échec systémique et de rejeter la faute sur ceux qui « ne voulaient pas vacciner » (quel mot !).

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  71. Si vous regardez ce qu'a dit M. Kotrschal, cette graine empoisonnée a germé. Il croit toujours que toutes les souffrances de la pandémie étaient dues au mal et à l'absence de solidarité des "opposants à la vaccination". Il faut se demander si les gens doivent encore être vaccinés contre le Kotschral, ​​​​après que toute la protection ne dure soi-disant que 6 mois. Ceux qui ont été vaccinés trois fois tombent-ils également en disgrâce auprès de Kotrschal parce que leur autoprotection s'épuise ?
    Après tous ces points, venons-en à l'aspect des effets secondaires excessifs de la vaccination et des dommages de la vaccination causés par la vaccination corona, qui est complètement étouffée en Autriche , mais qui est progressivement traitée en Allemagne et dans d'autres pays. Cela se produit même maintenant dans des médias tels que SWR, ARTE, BR, rbb, ZDF, BILD etc., mais a déjà été signalé dans des dizaines de médias alternatifs (Cicero, Multipolar, Reitschuster, Tichys Insight etc. etc.) et par des critiques les médecins et les scientifiques ont discuté, prévu, discuté. Il s'agit d'un sujet important et très sensible en soi, mais il a conduit de nombreuses personnes qui en ont été informées à ne pas vouloir être traitées avec les vaccins corona. Si M. Kotrschal le souhaite, je peux lui envoyer des dizaines de sources à ce sujet.

    Ce serait bien si Kotrschal n'adoptait pas le même jargon médiatique péjoratif à la Standard lorsqu'il s'agit de 26 % de la population, soit près de 2,5 millions de personnes (actuellement ce sera probablement plus de jour en jour). Ces généralisations péjoratives sont sans fondement et primitives. Les « non-vaccinés » ne sont pas tous des ennemis de la science, ni tous des électeurs du FPÖ. Et rejeter une vaccination ARNm Covid ou un vaccin vecteur Covid ne signifie pas rejeter toutes les vaccinations. Le fait que M. Kotschral ait eu l'idée que quelqu'un qui rejette personnellement la vaccination contre le C refuserait également automatiquement la vaccination contre la rougeole montre en fait qu'il croit le récit des médias, selon lequel ceux qui "ne veulent pas être vaccinés" sont tous " corona négationnistes", "Slobbers", "extrémistes de droite", "ennemis de la science".
    La politisation, non, l'idéologisation de la question de la santé s'est opérée à un degré tellement exagéré depuis 2020 qu'apparemment même un biologiste titulaire d'un doctorat n'était pas à l'abri d'être séduit par la propagande. Non, il n'y a pas que la politique qui devrait s'excuser auprès des "non vaccinés". Des gens comme Kotrschal devraient faire de même.

    https://tkp.at/2023/03/19/der-wolf-und-die-sieben-lockdowns-replik-auf-den-kommentar-von-kurt-kotrschal/

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  72. Une dose de réalité : pouvez-vous y faire face ?


    De Gary D. Barnett
    20 mars 2023


    "La réalité est ce qui, quand on cesse d'y croire, ne s'en va pas."
    ~ Philip K. Dick, J'espère que j'arriverai bientôt

    Par où commencer lorsqu'on tente de préparer un compte rendu de toute la terreur réelle, la tyrannie, le bellicisme, la torture, l'empoisonnement, les injections mortelles, la manipulation financière, l'appâtage racial du gouvernement et des médias, la promotion insensée des « transgenres », les efforts de dépeuplement, la brutalité policière, les l'expérimentation animale et l'abattage, la destruction monétaire et la numérisation de toute l'économie par la classe dirigeante et son gouvernement ? Y a-t-il une oppression dictatoriale et une corruption criminelle qui feront même cligner des yeux l'homme du commun ? Combien faudra-t-il à ce prolétariat pour qu'il dise non et fasse quelque chose contre les tentatives totalitaires de cet État odieux et diabolique de contrôler toute la société ?

    Les difficultés, les conflits et les mauvais traitements dus à la tyrannie sont désormais considérés comme des choses à cacher et à éviter, au lieu d'affronter de front les problèmes qui menacent cette population. Attendre et s'attendre à ce que quelqu'un d'autre résolve le problème ne fera pas le travail et, en fait, ne fera qu'empirer les choses. Il a été dit que sauver une vie peut sauver le monde, mais ce n'est pas vraiment exact. Métaphoriquement parlant, si chaque individu est prêt à sauver une vie, en particulier la sienne, toutes les vies peuvent être sauvées et la société restaurée, car cela entraînera un grand changement dans l'attitude des masses afin qu'un grand nombre d'individus puissent gagner en force. en masse. Cela demande du courage et de la détermination, mais lorsque tous, en tant qu'individus, décident de s'aider eux-mêmes et les uns les autres, aucune force étatique ne peut s'opposer à eux. Cela se résume au grand nombre contre quelques-uns, et en raison de l'énorme majorité que nous pouvons exercer, si chacun de nous est prêt à faire quelque chose pour résister, ceux qui recherchent le pouvoir tomberont immédiatement. Ce système ne peut être changé ou réformé de l'intérieur, il doit d'abord être marginalisé puis éliminé.

    La réalité de notre situation n'est pas cachée, elle est aussi crue et évidente que possible. Quiconque cherche à comprendre la nature totalitaire de la classe dirigeante n'a qu'à ouvrir les yeux et l'esprit. En un instant, la terreur et le contrôle oligarchique comploté sur ce pays et le monde deviennent clairs, et une fois connue et acceptée, la solution devrait être incontestable, car nous sommes si nombreux et si peu nombreux. Si tous continuent à courir et à se cacher, et à rester dépendants de ce système de gouvernance, trop effrayés pour ne serait-ce que s'aider eux-mêmes, alors la dynamique des nombres finira par devenir sans objet. Si et quand cela se produit, la violence en résultera, et tout soulèvement violent ne pourra jamais conduire à la liberté ; cela ne peut que conduire à une règle plus puissante.

    Comme cela devrait être évident, l'ensemble du système financier court désormais un grand risque d'échec, mais l'État n'est pas concerné tant que tout effondrement par étapes peut être utilisé pour rendre dépendante la majeure partie de la population. Si tout se passe comme prévu, le résultat de cette débâcle sera de mettre en place des monnaies numériques de banque centrale dans ce pays et dans le monde, afin de capturer et de contrôler tous les peuples à travers un système technocratique numérique. Si la plupart n'ont pas accès à leurs richesses et à leurs biens, ne peuvent pas acheter la nourriture dont ils ont besoin pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles, ne peuvent pas accéder aux réserves d'énergie sans se conformer et deviennent dépendants des faveurs de la classe dirigeante, alors l'État a gagné.

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  73. L'inflation massive de la masse monétaire se poursuit sans relâche, ceci après que l'odieuse Réserve fédérale et ceux qui vous contrôlent aient déclaré à maintes reprises qu'aucune banque ne serait renflouée à l'avenir. Actuellement, le plan semble être, comme annoncé par JP Morgan, que 2 000 milliards de dollars soient injectés dans le système bancaire pour renflouer les banques défaillantes. Ce ne serait bien sûr que le début. Presque chaque centime de ces «injections» serait volé par les grandes banques, après avoir provoqué la faillite de nombreuses banques régionales en semant la peur parmi les déposants. Ce serait une autre consolidation du capital à des niveaux astronomiques, ne bénéficiant qu'aux meilleurs acteurs qui contrôlent la quasi-totalité des actifs. En d'autres termes, les gens sont à nouveau trompés et maltraités, tout cela au nom de la "protection" de l'État. La classe dirigeante captera bien plus de 99% tandis que la population générale perdra tout.

    Beaucoup prétendent que cela est dû à des erreurs, à des augmentations de taux d'intérêt et à des opérations bancaires douteuses, mais ce n'est que de la fumée et des miroirs. Les pratiques bancaires malsaines sont la norme depuis la création de la Réserve fédérale, et même bien avant, et à dessein. Nous vivons à une époque de corruption totale, de banque à réserves fractionnaires, d'inflation monétaire intentionnelle et de vol pur et simple de tout l'argent, des biens et des actifs par la petite classe dirigeante. Tout cela s'est produit avec l'aide de ce gouvernement mal contrôlé, acheté et payé. Il ne s'agit pas de taux d'intérêt, ni de mauvaise gestion ou de "pratiques" bancaires malsaines, car toutes ces choses ont été faites intentionnellement dans le but de voler presque tout, puis de contrôler qui et ce qui reste. Tenter de jeter le blâme en utilisant ces rationalisations excusatoires, masque la vue d'ensemble, permettant de se concentrer sur l'isolement et la critique d'individus particuliers, la mauvaise gestion et certaines entités, alors que le vrai problème qu'est la corruption criminelle de l'ensemble du système, est ignoré par l'économie troupeau du prolétariat ignorant.

    Oserais-je le redire pour la millième fois ; tout ce qui s'est passé, et tout ce qui se passe, a été planifié à l'avance, n'est pas une coïncidence ou un accident, n'est pas naturel ou organique, et n'est pas une erreur ; tout est intentionnel; tout est complot. Tout est lié à la réalisation d'un programme de contrôle de masse. Elle n'est ni démocrate ni républicaine, elle n'est ni libérale ni conservatrice, elle n'est ni de gauche ni de droite ; c'est toutes ces choses et plus encore, parce qu'il n'y a aucune différence dans aucun parti ou classe politique. Le mal est le mal, le mal engendre le mal, et toute politique, tout gouvernement et presque tous ceux qui choisissent de gouverner sont mauvais.

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  74. Si l'État réussit, il y aura plus de guerre ; non seulement contre des ennemis faussement « revendiqués » de loin, mais surtout contre le peuple en général. Il y aura un dépeuplement massif. Il y aura un effondrement financier, comme prévu, puis il y aura le dernier élément de contrôle de la société qui est la monnaie numérique émise par les banques centrales contrôlées éventuellement au niveau mondial. En fait, il y aura une numérisation totale de tous les processus personnels et économiques. C'est l'objectif recherché par les technocrates des banques et des entreprises qui cherchent à contrôler ce gouvernement et tous les autres. Il n'y a pas d'autre sauveur que soi, car aucun politicien (maître) de quelque couleur que ce soit ne libérera jamais les esclaves qui continuent de s'incliner devant le pouvoir.

    Ne vous laissez pas berner par les excuses et le battage médiatique. Ne vous laissez pas berner par le fiasco et la distraction des « arrestations » à venir de Trump. Ne cédez à aucune absurdité électorale. N'achetez pas le mensonge selon lequel tout peut être réparé en refaisant les mêmes choses. N'acceptez pas les fausses promesses et toute perception de soi-disant réforme. Ne croyez pas les devins politiques et médiatiques. Comptez simplement sur vous-même et sur la réalité qui se déroule devant vous, en recherchant la vérité dans votre propre esprit, au lieu de simplement exister dans la folie psychologique qui est le jeu extérieur délirant de la vie.

    La solution dépend de vous ; chacun de vous, et personne ne peut le faire à votre place. Il s'agit d'individus souverains se liguant contre l'État en masse, tout en restant à jamais indépendants d'esprit, de corps et de pensée. Le pouvoir détenu par un grand nombre ne peut être vaincu que si la majorité reste dans le troupeau collectif de l'anonymat, de l'indifférence et de la lâcheté et refuse de s'aider elle-même.

    « Il n'y a de réalité que celle contenue en nous. C'est pourquoi tant de gens vivent une vie si irréelle. Ils prennent les images à l'extérieur d'eux pour la réalité et ne permettent jamais au monde intérieur de s'affirmer.

    ~ Hermann Hesse, Steppenwolf

    https://www.lewrockwell.com/2023/03/gary-d-barnett/a-dose-of-reality-can-you-handle-it/

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  75. L'épidémie de mort subite d'adultes a enfin fait l'actualité


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    20 mars 2023


    L'ancien analyste et gestionnaire de fonds de BlackRock, Edward Dowd, est l'un des rares courageux à avoir tenté de faire connaître les dangers des injections de COVID-19. Alors que je l'ai interviewé deux fois - une fois sur la certitude mathématique d'un effondrement financier et une deuxième fois sur son livre, "Cause inconnue : l'épidémie de morts subites en 2021 et 2022", - ses informations attirent enfin l'attention des médias grand public.

    Dans une interview avec Tucker Carlson, il explique que les médias comme Yahoo ont relevé l'augmentation indéniable des décès chez les jeunes adultes en bonne santé. Cependant, ils s'empressent d'affirmer que ces décès ne sont pas dus aux injections de COVID-19.1 Mais Dowd n'est pas découragé. Comme l'a noté un médecin du Midwest sur Substack: 2

    "Ed Dowd s'est concentré sur l'utilisation d'un ensemble de preuves plus restreint et l'a lié à l'un des arguments les plus convaincants actuellement disponibles pour modifier le récit. Un pic statistiquement impossible de morts subites s'est produit dans le segment le plus sain de la population et s'est produit en même temps qu'un pic d'invalidité (c'est pourquoi nous avons maintenant des pénuries de main-d'œuvre).

    Dowd a l'intention d'attirer l'attention mondiale sur cette augmentation des décès et des invalidités qui s'est produite depuis le lancement de la campagne de tir COVID-19, et il n'est pas disposé à laisser quiconque, ou aucune entité, l'arrêter. « Nous avons les données. Nous avons les preuves », dit-il, « et il y a une grande scène mondiale de meurtre qui vient de se produire. »3

    Les données des compagnies d'assurance révèlent une augmentation de 40 % des décès

    "Cause inconnue" détaille les données montrant que les tirs sont un crime contre l'humanité. Certaines de ces données proviennent de compagnies d'assurance privées, qui adorent vendre des polices d'assurance-vie collectives aux grandes entreprises du Fortune 500 et aux entreprises de taille moyenne, car elles n'ont presque jamais à payer une réclamation.

    Les travailleurs de ces entreprises ont tendance à être en bonne santé, les données de l'industrie suggérant que les titulaires de polices d'assurance-vie collective ont un taux de mortalité d'un tiers du taux de mortalité de la population générale des États-Unis. Les taux de mortalité ont toujours été hautement prévisibles au sein de ce groupe - jusqu'en 2021. Un rapport publié par la Society of Actuaries4 a révélé des pics de mortalité de 40 % ou plus cette année-là.

    Les compagnies d'assurance ont enregistré des augmentations considérables des versements en cas de décès et d'invalidité. Dowd a tweeté le 1er février 2022 que la compagnie d'assurance financière Unum a signalé une augmentation significative de son ratio de prestations (versements par rapport aux primes) dans son segment vie. Dowd a tweeté : 5

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  76. "En 2021, ils ont enregistré une augmentation de 17,4 % par rapport à 2020. C'est supérieur à l'augmentation de 13,3 % par rapport à 2019. Ainsi, les paiements les plus élevés en 21 se produisent avec un vaccin miracle et des souches moins virulentes… En 2019, l'unité a réalisé un bénéfice de 266 millions de dollars, la dernière année un bénéfice de 82 millions de dollars et cette année une perte de -192 millions de dollars. Une baisse de 458 millions de dollars sur 2 ans. Il est important de se rappeler qu'il s'agit de personnes en âge de travailler.

    Dowd a également rapporté des données provenant de salons funéraires, y compris la société Carriage Services, qui a été inondée d'affaires. Il a tweeté :6

    «Les affaires ont été plutôt bonnes depuis l'introduction des vaccins et le stock a augmenté de 106% en 2021. Curieux non? Les gars, c'est choquant car 89% des salons funéraires sont privés aux États-Unis. Nous ne voyons que la partie émergée de l'iceberg. »

    Steve Kirsch a également publié des données sur Substack7 montrant que, parmi les personnes âgées de 65 ans et moins infectées par le COVID, la mort subite était la première cause de décès en 2021 et 2022. La deuxième était la mort d'origine cardiaque et le cancer la troisième. Il est important de noter que l'incidence du cancer turbocompressé parmi les piqûres était significative dans ce groupe, et la myocardite a tué plus que le COVID-19.

    En plus des morts subites, les problèmes cardiaques sont devenus une cause majeure de décès chez les jeunes vaccinés de moins de 65 ans. Aucun décès par myocardite n'a été observé chez les personnes non vaccinées du même groupe d'âge.

    Les chiffres du handicap montent en flèche

    Dowd a également examiné le nombre de personnes handicapées aux États-Unis, en utilisant des données à haute fréquence du Bureau of Labor Statistics des États-Unis. L'agence utilise une enquête téléphonique mensuelle qui demande : « Êtes-vous ou quelqu'un de votre foyer est-il handicapé et incapable de travailler ? Avant les injections de COVID-19, a déclaré Dowd, il y avait 29 à 30 millions de personnes handicapées sur une base absolue, un taux qui est resté stable pendant quatre ou cinq ans.

    En février 2021, un changement de tendance s'est produit, atteignant un sommet de 33,2 millions en septembre 2022, avec des chiffres toujours à la hausse. Il s'agit d'un taux de variation de trois écarts-types depuis mai 2021, ce qui signifie que la probabilité que cela se produise est de 0,03 %, ce qui est très inhabituel.

    Dowd explique: "Sur les 3,2 millions d'Américains nouvellement handicapés, 1,7 avaient un emploi mais provenaient de la population active du pays." C'est important, dit-il, parce que8 :

    « Les personnes employées de ce pays sont, de manière générale, par le fait même qu'elles se lèvent le matin, montent dans leur voiture et se rendent au travail, en meilleure santé que la population générale des États-Unis.

    De par la nature même du travail, vous êtes en meilleure santé. Et c'est un fait qui n'a jamais été contesté auparavant. Les résultats pour la santé des employés ont été désastreux. Depuis février 2021, leur taux d'invalidité a augmenté de 31 %... le taux d'invalidité de la population générale des États-Unis a augmenté de 9 %.

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  77. Les agences de santé « en mode dissimulation »

    Télécharger la transcription de l'entrevue | Lien vidéo

    Lorsqu'on lui a demandé pourquoi les agences de santé n'intervenaient pas pour enquêter sur la flambée des morts subites, Dowd soupçonne qu'elles sont toutes MIA parce qu'"elles sont en mode dissimulation". "Je ne me reposerai pas tant que nous n'arrêterons pas ce qui se passe", dit-il, ajoutant que de nombreux premiers intervenants sont toujours confrontés à des mandats pour se faire vacciner et que certaines universités l'exigent toujours.

    Il espère que davantage de dénonciateurs sortiront et que les audiences du Congrès briseront le récit assourdissant de «désinformation» qui imprègne toujours beaucoup la société.

    Les critiques de ses données suggèrent que les décès excessifs sont dus à un long COVID, mais Dowd dit qu’il n’a pas encore vu d’étude montrant que c’est le cas – et il n’y a pas de définition de la durée réelle du COVID. De plus, de nombreux symptômes « longs COVID » reflètent les réactions indésirables aux injections de COVID-19.

    Si vous ou un proche avez été affecté, le protocole I-RECOVER14 du Front Line COVID-19 Critical Care Working Group (FLCCC) peut être téléchargé dans son intégralité,15 vous donnant des instructions étape par étape sur la façon de traiter les réactions de COVID-19. 19 piqûres.16

    Sources and References

    1 Yahoo February 4, 2023
    2 Substack, A Midwestern Doctor February 24, 2023
    3 Bitchute, Tucker Carlson Interviews Ed Dowd February 25, 2023, 10:00
    4 SOA Research Institute, Group Life COVID-19 Mortality Survey Report, August 2022
    5 Twitter February 1, 2022
    6 Twitter, Ed Dowd February 2, 2022
    7 Steve Kirsch Substack December 27, 2022
    8 Bitchute, Tucker Carlson Interviews Ed Dowd February 25, 2023, 17:00
    9 Bitchute, Tucker Carlson Interviews Ed Dowd February 25, 2023, 19:22
    10, 11 Bitchute, Tucker Carlson Interviews Ed Dowd February 25, 2023, 21:30
    12 Phinance Technologies, Humanity Projects
    13 Bitchute, Tucker Carlson Interviews Ed Dowd February 25, 2023, 29:00
    14, 15 FLCCC Alliance, I-RECOVER
    16 FLCCC Alliance, I-RECOVER, Post-Vaccine Treatment Protocol

    https://www.lewrockwell.com/2023/03/joseph-mercola/epidemic-of-sudden-adult-deaths-finally-made-news/

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  78. The Lancet approuve la dictature One Health dans les éditoriaux


    20 mars 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Les mesures Corona, y compris la campagne de vaccination, ont entraîné des changements internationaux massifs au cours des trois dernières années. Des organisations comme l'OMS ou l'UE se sont emparées de pouvoirs dictatoriaux sous prétexte de protéger notre santé et, plus récemment, de sauver le climat.

    Les mêmes organisations ont pris fait et cause pour « One Health ». Le média médical spécialisé The Lancet, qui fait de plus en plus de lobbying auprès des pharmas, se précipite pour les soutenir. La dictature sanitaire et climatique souhaitée est étayée idéologiquement dans un éditorial intitulé « One Health : un appel à l'équité écologique » .

    Le texte donne un bon aperçu de la direction que prend la santé publique ces dernières années et pourquoi la réponse Covid a pu se produire. Pourquoi les professionnels de la santé ont-ils recommandé de refuser aux enfants le droit de jouer ensemble et d'obliger les femmes enceintes à se faire injecter de nouveaux médicaments qui passent au fœtus ? Une partie de la réponse réside dans le dogme qui domine désormais les institutions de santé et les revues qui prétendent informer.

    Le concept selon lequel la santé humaine est influencée par l'environnement est aussi ancien que la société elle-même.Le terme One Health a été introduit il y a quelques décennies pour illustrer les avantages d'une approche plus écologiquement holistique de la santé publique. La tuberculose bovine affectera moins de personnes si elle est contrôlée plus efficacement chez les bovins. Le bien-être humain s'améliorera si la conservation des forêts préserve les précipitations et l'ombre, ce qui à son tour améliore la production végétale et animale. Jusqu'ici, tout va bien.

    The Lancet demande d'abord qu'un exemple soit tiré du soin de la terre par les peuples autochtones. Il plaide ensuite pour l'abolition du régime alimentaire à base de viande des peuples autochtones, citant la commission EAT-Lancet selon laquelle ils

    … adopte une approche équitable en recommandant aux gens de passer d'une alimentation à base d'animaux à une alimentation à base de plantes, qui profite non seulement à la santé humaine mais aussi à la santé et au bien-être des animaux.

    C'est une vision plutôt naïve des peuples autochtones et de la nature, qui rappelle le paternalisme culturel des romantiques victoriens. De nombreux peuples autochtones et espèces animales, des chiens aux jaguars, espèrent que leurs repas seront servis par les chefs du Lancet. Mais bien sûr, vous pouvez aussi les produire de manière écologique à partir de vers de farine et de grillons domestiques en usine.

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  79. Cependant, One Health va bien au-delà des fantasmes du Lancet et est intégré aux accords de pandémie proposés que l'Organisation mondiale de la santé et d'autres cherchent à prendre le contrôle de la santé publique, de la politique et des personnes dans le monde.

    Si l'industrie de la santé voit vraiment le monde à travers ces lentilles, le public devrait alors se demander si ses protagonistes peuvent faire confiance à une quelconque influence ou autorité. Le fantasme de One Health, tel qu'envisagé par l'OMS et ses financiers, est basé sur un traitement coercitif non seulement des humains, mais de toute la faune et du climat.

    Une approche rationnelle One Health ne nécessite pas de règles et de réglementations d'en haut. Nous n'avons que trois ans derrière nous, au cours desquels de nouveaux médicaments ont été testés en masse sur des enfants et des femmes enceintes et des entreprises se sont enrichies en exerçant des pressions sur des millions de personnes. Des concoctions comme The Lancet ne sont plus dignes de confiance.

    https://tkp.at/2023/03/20/the-lancet-unterstuetzt-die-one-health-gesundheitsdiktatur-in-leitartikel/

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  80. Un joueur de hockey canadien de 10 ans de Hamilton, en Ontario, est décédé subitement le 11 mars 2023. Les mandats canadiens de vaccination contre la COVID-19 pour les athlètes de 12 ans et plus sont un crime grave


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    20 mars 2023


    Evan Lloyd Corson, un joueur de hockey de 10 ans de Hamilton, en Ontario, est décédé subitement le 11 mars 2023. Evan était en 5e année à l'école St. Eugene.

    « Il adorait jouer au hockey sur glace à l'aréna Rosedale avec son équipe les Kings. Même s'il n'était pas un buteur, il a joué de son mieux à chaque match. ( nécrologie ici )

    À quel point les mandats de vaccination contre la COVID-19 sont-ils insensés en Ontario?
    La «Rosedale Arena» de Hamilton, en Ontario, dans laquelle il a joué au hockey, avait deux ensembles d'exigences en matière de vaccins contre la COVID-19 : ( cliquez ici )

    Par la ville de Hamilton
    Par les instances dirigeantes du hockey

    - voir doc sur site -

    Les mandats de vaccination contre la COVID-19 étaient pour les 12 ans et plus, mais regardez la pression qu'ils ont exercée sur chaque citoyen de Hamilton, en Ontario. Juste pour entrer dans l'Arena : "un fonctionnaire de la ville sera présent à la porte pour vérifier le certificat de vaccination et la pièce d'identité".

    Qu'est-ce que la ville de Hamilton, en Ontario, pousse aujourd'hui?
    Lorsque vous allez sur la page Web de la ville de Hamilton, vous verrez avec quelle agressivité ils poussent toujours les vaccins COVID-19 sur les enfants. ( cliquez ici ).

    "Des rappels bivalents COVID-19 pour toute personne de 5 ans et plus sont maintenant disponibles"

    "Toute personne âgée de 6 mois ou plus peut commencer ou terminer sa première série dans une clinique de santé publique sans rendez-vous"

    « Cliniques mobiles de vaccination de santé publique (6 mois et plus)

    - voir doc sur site -

    Ma prise…
    Imaginez la pression que les instances dirigeantes du hockey de l'Ontario et la ville de Hamilton exercent sur les familles de jeunes joueurs de hockey. Vous ne pouvez même pas entrer dans l'arène si vous avez 12 ans et plus, à moins que vous ne soyez complètement vacciné et qu'un employé de la ville ne vous laisse entrer que si vous présentez votre certificat de vaccination et votre permis de conduire .

    Et si les instances dirigeantes du hockey imposaient la vaccination par ARNm de la COVID-19 à tous les joueurs de hockey au Canada âgés de 12 ans et plus, imaginez la pression sur les jeunes de 11, 10 et 9 ans. Je suppose que la plupart des familles auraient simplement fait vacciner ces enfants également, sans aucun doute.

    Surtout quand les autorités de santé publique et les politiciens de l'Ontario leur ont promis que ces vaccins à ARNm COVID-19 étaient sûrs et efficaces pour une utilisation chez les enfants de 5 à 11 ans. Seulement ils ne l'ont jamais été .

    Les dernières données montrent que 52 % des enfants canadiens âgés de 5 à 11 ans ont reçu une dose de vaccin contre la COVID-19, soit 1,5 million d'enfants.

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  81. 40,6 % des enfants canadiens âgés de 5 à 11 ans ont reçu deux doses de vaccin contre la COVID-19, soit 1,18 million d'enfants.

    9,5 % des enfants canadiens âgés de 5 à 11 ans ont reçu une dose de rappel supplémentaire au cours des 6 derniers mois, soit 275 806 enfants.

    - voir doc sur site -

    Le déploiement des vaccins à ARNm COVID-19 chez les enfants de 5 à 11 ans était un crime très grave qui nécessitera un jour des accusations criminelles pour toutes les personnes impliquées.

    Rosedale Minor Hockey a fait un don de 1 000 $ au GoFundMe de la famille pour couvrir les frais funéraires.

    Peut-être auraient-ils plutôt dû dire quelque chose quand cela importait et défendre leurs jeunes joueurs de hockey lorsque des vaccins expérimentaux à ARNm COVID-19 avec un profil d'effets secondaires à long terme inconnu étaient déployés chez des enfants qui n'en avaient pas besoin.

    *

    Le Dr William Makis est un médecin canadien spécialisé en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursier de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.

    https://www.globalresearch.ca/10-year-old-canadian-hockey-player-from-hamilton-ontario-died-suddenly-march-11-2023-canada-covid-19-vaccine-mandates-athletes-ages-12-serious-crime/5812656

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  82. Thrombose veineuse centrale du cerveau après infection par le SRAS-CoV-2 et vaccination par ARNm
    Le désastre neurologique est encore pire après l'injection


    Par le Dr Peter McCullough
    Recherche mondiale,
    20 mars 2023


    Les partisans de la vaccination de masse contre le COVID-19 reconnaissent que des résultats désastreux similaires se produisent à la fois avec l'infection par le SRAS-CoV-2 et les vaccins contre le COVID-19 (myocardite, caillots sanguins, problèmes neurologiques). Ils positionnent un compromis et suggèrent que vous devriez le risquer avec le vaccin dans l'espoir qu'il soit inférieur à celui de l'infection. Depuis que 94 % des Américains ont eu le COVID-19, son eau sous le pont de l'infection. Un traitement précoce réduit les manifestations systémiques invasives de la maladie et réduit considérablement les hospitalisations et les décès, y compris les complications. Avec la vaccination, c'est une autre histoire, toute la force de la protéine Spike modifiée est ressentie dans le corps à chaque injection et par cas, la gravité de l'effet secondaire est bien pire que celle du COVID-19.

    Tu, et al ont illustré ce principe en analysant la thrombose veineuse centrale qui est un caillot sanguin dans la veine principale du cerveau qui est une urgence médicale nécessitant une hospitalisation, des anticoagulants intraveineux ou sous-cutanés, une imagerie en série, une observation et dans certains cas une intervention chirurgicale. Tu a tenté de diviser les cas par de grands dénominateurs pour minimiser les risques ; cela n'est pas valide dans la recherche sur la sécurité car tous les cas ne peuvent pas être trouvés particulièrement mortels sans autopsie. Les résultats importants de Tu sont dans les tableaux. La thrombose veineuse centrale après la vaccination a été une catastrophe avec plus de cas, un plus grand besoin de thérapie, plus de chirurgie cérébrale et des degrés plus élevés de déficience neurologique à la sortie pour ceux qui ont pris le vaccin à ARNm.

    Tu TM, Yi SJ, Koh JS, Saffari SE, Hoe RHM, Chen GJ, Chiew HJ, Tham CH, Seet CYH, Yong MH, Yong KP, Hui AC, Fan BE, Tan BY, Quek AML, Seet RCS, Yeo LLL , Tan K, Thirugnanam UN. Incidence de la thrombose veineuse cérébrale suite à une infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à la vaccination par ARNm contre le SRAS-CoV-2 à Singapour. JAMA Netw Open. 1 mars 2022;5(3):e222940. doi : 10.1001/jamanetworkopen.2022.2940. PMID : 35297971 ; PMCID : PMC8931554.

    En aucun cas, quelqu'un ne pourrait accepter un caillot de sang dans le cerveau avec le vaccin dans l'espoir de ne pas attraper le COVID-19. Ce compromis est intenable et constitue une autre raison pour laquelle les promoteurs de vaccins ont perdu la confiance d'un public averti.

    Si vous trouvez «Courageous Discourse» agréable et utile à vos efforts, veuillez vous inscrire en tant que membre payant ou fondateur pour soutenir nos efforts en vous aidant à vous engager dans ces discussions avec votre famille, vos amis et vos cercles élargis.

    *

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  83. Source

    Tu TM, Yi SJ, Koh JS, Saffari SE, Hoe RHM, Chen GJ, Chiew HJ, Tham CH, Seet CYH, Yong MH, Yong KP, Hui AC, Fan BE, Tan BY, Quek AML, Seet RCS, Yeo LLL , Tan K, Thirugnanam UN. Incidence de la thrombose veineuse cérébrale suite à une infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à la vaccination par ARNm contre le SRAS-CoV-2 à Singapour. JAMA Netw Open. 1 mars 2022;5(3):e222940. doi : 10.1001/jamanetworkopen.2022.2940. PMID : 35297971 ; PMCID : PMC8931554.

    https://www.globalresearch.ca/central-venous-thrombosis-brain-after-sars-cov-2-infection-mrna-vaccination/5812584

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  84. Covid-19 : « Un vaccin en vitesse record »

    Troisième anniversaire des essais sur l'homme de l'ARNm-1273 du NIAID-Moderna.


    Par John Leake
    Recherche mondiale,
    18 mars 2023


    Il y a trois ans, le 16 mars 2020, le NIH a publié un communiqué de presse intitulé NIH Clinical Trial of Investigational Vaccine for COVID-19 Begins . Bien que la plupart des Américains ne l'aient pas remarqué à l'époque, il a annoncé un projet qui était déjà au centre de la réponse officielle à la pandémie. Dans le chapitre 4 de The Courage to Face COVID-19: Preventing Hospitalization and Death , le Dr McCullough et moi racontons l'histoire de cet événement et son lien avec la suppression impitoyable du traitement précoce du COVID-19. Si vous trouvez ce chapitre intéressant, veuillez envisager de commander un exemplaire de notre livre , qui a obtenu plus de 1 000 évaluations 5 étoiles sur Amazon.

    * * *
    Le 16 mars, le jour même où Elon Musk a retweeté une référence à l'article de Rigano-Todaro [sur l'efficacité de la chloroquine dans le traitement du COVID-19], l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) a annoncé qu'il commençait une étude clinique essai d'un nouveau vaccin expérimental au Kaiser Permanente Washington Health Research Institute (KPWHRI) à Seattle.

    Le vaccin s'appelle mRNA-1273 et a été développé par des scientifiques du NIAID et leurs collaborateurs de la société de biotechnologie Moderna, Inc., basée à Cambridge, Massachusetts. La Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) a soutenu la fabrication du vaccin candidat pour l'essai clinique de phase 1.

    "Trouver un vaccin sûr et efficace pour prévenir l'infection par le SRAS-CoV-2 est une priorité urgente de santé publique", a déclaré le directeur du NIAID, Anthony S. Fauci, MD. "Cette étude de phase 1, lancée à une vitesse record, est une première étape importante vers atteindre cet objectif. » Le vaccin expérimental a été développé à l'aide d'une plateforme génétique appelée ARNm (ARN messager). Le vaccin expérimental dirige les cellules du corps pour exprimer une protéine virale qui, on l'espère, déclenchera une réponse immunitaire robuste. Le vaccin ARNm-1273 s'est révélé prometteur dans des modèles animaux, et il s'agit du premier essai à l'examiner chez l'homme.

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  85. Lors de la simulation de pandémie de l'événement 201 le 19 octobre 2019, plusieurs participants pensaient qu'un médicament antiviral réutilisé était le meilleur espoir de répondre immédiatement à l'urgence, car il faudrait au moins un an pour développer un vaccin. Cependant, le Dr Timothy Evans a attiré l'attention de ses collègues sur le fait que le CEPI - la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations - travaillait déjà sur un vaccin contre le coronavirus. Désormais, le CEPI "a soutenu la fabrication du vaccin candidat pour l'essai clinique de phase 1". Il s'agissait de la première étape de l'exécution du « plan d'affaires préliminaire » que le CEPI a publié en novembre 2016.

    *

    Remarques

    [i] NIAID. Début de l'essai clinique du NIH sur un vaccin expérimental contre le COVID-19. 16 mars 2020. https://www.niaid.nih.gov/news-events/nih-clinical-trial-investigational-vaccine-covid-19-begins

    [ii] CDC. Premier cas lié au voyage du nouveau coronavirus 2019 détecté aux États-Unis. 21 janvier 2020. https://www.cdc.gov/media/releases/2020/p0121-novel-coronavirus-travel-case.html

    [iii] CDC. Chronologie COVID-19 du musée CDC. https://www.cdc.gov/museum/timeline/covid19.html

    [iv] Moderne. Notre histoire. https://www.modernatx.com/about-us/our-story ?

    [v] Étain, Alexandre. Moderna offre au NIH la copropriété du brevet du vaccin COVID au milieu d'un différend avec le gouvernement. CBS News , 15 novembre 2021. https://www.cbsnews.com/news/moderna-covid-vaccine-patent-dispute-national-institutes-health/

    https://www.globalresearch.ca/a-vaccine-in-record-speed/5812344

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  86. La légende du vaccin. Au-delà du mythe vaccinal, l’histoire éloquente des sels d’aluminium contenus dans les vaccins


    Par Jean-Yves Jézéquel
    Mondialisation.ca, 19 mars 2023


    Cinquième volet de « La légende du vaccin » de dix articles.

    *

    8 – Au-delà du mythe vaccinal, l’histoire éloquente des sels d’aluminium contenus dans les vaccins

    « Les sels d’aluminium ne présentent aucun danger », bien entendu ! On peut consulter une lettre ouverte de l’assocation E3M : www.vaccinssansaluminium.org, au Président de la République Française et au Président de la Commission Européenne.

    La conclusion de cette lettre attire une fois de plus l’attention des « autorités du pays » sur l’extrême dangerosité des vaccins : l’association, munie de toutes les preuves nécessaires, pouvait déclarer que les particules d’aluminium intracellulaires retrouvées dans le cerveau de personnes autistes étaient d’origine vaccinale.

    Nous sommes dans une dictature médicale, avec des politiques ignares et donc irresponsables sur la question vaccinale. Quant à la médecine traditionnelle, elle est dans le déni total lorsqu’une famille est victime des conséquences désastreuses d’un vaccin sur leur enfant. Ce qui est encore plus sidérant, c’est que vous êtes accusé de mauvais traitement sur votre enfant et de « non-assistance à personne en danger » en cas de refus de vaccination ! Alors qu’en réalité c’est votre profonde connaissance de ce dossier des vaccins, votre rationalité, votre esprit critique éveillé, votre conscience et l’amour que vous avez pour votre enfant qui vous poussent à le protéger en refusant légitimement le vaccin qui dès son origine est une imposture. Vous passez donc automatiquement de votre situation de personne maltraitée à celle de coupable et vous qui souffrez d’un mensonge criminel, vous êtes doublement pénalisé et brutalisé par une injustice insupportable ! Voilà encore une fois un cauchemar qui prélude aux futures violences inévitables préparées par la sidération répétée dépassant le seuil du tolérable…

    www.infovaccinsfrance.org

    Le Pr Gherardi, qui avait conscience du problème de l’aluminium découvert par le Dr Coquet dans un muscle, établissait des dosages d’aluminium dans le sang et les urines des patients atteints de myofasciite : ils étaient normaux, et comme aucun trouble rénal, aucune exposition professionnelle ne pouvait être constaté, le mystère demeurait total. D’où pouvait venir le métal ? Quelques jours après la découverte de Coquet, Gherardi découvrait, le 27 octobre 1998, l’Encyclopedia of Immunology : quatre volumes de 3.000 pages au total, dont les articles avaient été écrits par 700 auteurs, et qui rassemblaient le meilleur des connaissances en immunologie.

    Concernant l’article sur l’aluminium, on pouvait y lire ceci: « Aluminium Hydroxyde as An Adjuvant of Vaccines ».

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  87. C’est ainsi qu’il apprenait que les vaccins contenaient de l’aluminium ! En 1998, personne ne le savait encore en France, les laboratoires omettant systématiquement d’indiquer cet adjuvant à leurs vaccins dans les notices techniques associées ; Gherardi découvrait ce jour-là qu’on utilisait depuis 72 ans, ce métal comme adjuvant, c’est-à-dire pour augmenter l’efficacité des injections de vaccin, depuis 1926. Un lien existait-il entre l’aluminium et la myofasciite ? Le médecin de Créteil en parla à deux responsables de l’Institut de veille sanitaire (InVs).

    Le 14 septembre 1999, Romain Gherardi était convoqué à Genève, au siège de l’OMS, où il fut reçu par le comité consultatif de sécurité vaccinale. Il y avait là son président, le Sud-Africain Peter Folb, accompagné par huit conseillers, dont deux États-Uniens qui représentaient les Centers for Disease Control (CDC), ces centres fédéraux pour le contrôle des maladies. L’initiative de l’OMS était louable : constatant qu’un chercheur réputé s’interrogeait sur les « adjuvants aluminiques » des vaccins, le comité provoquait une audition. Gherardi était lui aussi accompagné par plusieurs représentants de l’industrie pharmaceutique et des experts d’agences publiques françaises. Depuis le début de cette histoire, il avait affûté ses observations, et il arrivait à Genève raisonnablement confiant, pour au moins trois raisons.

    La première, montrait que 100 % des malades atteints de myofasciite avaient été vaccinés au cours des années précédant l’apparition des symptômes, le plus grand nombre contre l’hépatite B.

    En second lieu, ce pouvait être un hasard, mais, deux, des études expérimentales menées avec le concours de Gherardi montraient que l’injection de vaccins à l’aluminium chez des rats provoquait l’apparition de myofasciites. Ce qui donnait lieu à publication scientifique en 2001. Oui, mais dans ce cas, pourquoi découvrait-on le problème en 2001, alors que l’aluminium était utilisé comme adjuvant vaccinal depuis 1926 ?

    En troisième lieu, après bien des recherches assidues, le Pr. Gherardi trouvait finalement qu’on avait cessé de vacciner sous la peau en 1990, et commencé à piquer dans le muscle lui-même. C’était là toute la différence.

    Autant dire que Gherardi avait des arguments à faire valoir. Au total, quarante personnes étaient réunies à Genève, pour écouter avec attention le propos sidérant du professeur français. S’il avait raison, un monument de la doctrine médicale s’écroulait, mais il avait le malheur d’être honnête et à cause de cela ajoutait qu’il ne savait pas tout sur le sujet. Notamment, il ignorait combien de temps s’écoulait entre l’injection d’aluminium et l’apparition d’une lésion à macrophages. Il fallait en toute hypothèse compter en années, ce qui dynamitait tous les tests de contrôle des médicaments, qui ne sont possibles que sur quelques jours et au mieux quelques semaines. Des experts mondialement connus comme l’un d’eux, qui travaillait pour Pasteur-Mérieux, fabricant de vaccins, s’empressait de contester Gherardi. Ayant travaillé sur des lapins, il assurait que la lésion observée disparaissait en trois mois au plus. Quel avait été son protocole d’étude ? Secret professionnel et commercial. Gherardi s’exposait pendant que d’autres affirmaient sans complexe que tout cela n’était pas « sérieux ».

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  88. A ce rendez-vous de Genève il était tout de même acquis que les lésions observées par Gherardi étaient bien d’origine vaccinale et qu’elles duraient longtemps. Mais, pour le reste, il y avait dissensus. Les sommités estimaient que la lésion musculaire constatée était une réaction post-vaccinale normale, et passagère. La question restait donc en suspens : l’aluminium était-il responsable de la maladie nouvelle constatée chez certains malades ? L’OMS ne pouvait pas trancher cette question et préconisait de nouvelles études !

    En bonne logique, les autorités françaises de santé publique décidaient alors de stopper toute recherche sur la question ! L’avis de l’OMS comme le principe de précaution étaient les derniers de leurs soucis !

    Un autre rendez-vous important attendait Gherardi après sa visite à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en septembre 1999. On le prenait au sérieux, car bien d’autres observations, corroborant ses travaux, avaient été faites partout dans le monde. Les CDC [Centers for Disease Control, les centres fédéraux pour le contrôle des maladies aux États-Unis], invitaient le professeur Gherardi à Porto-Rico en mai 2000. Le service états-unien en charge de la vaccination — le NVPO — organisait le 10 de ce mois une conférence internationale au titre sans équivoque : « Aluminium In Vaccines ». Les CDC, qui y étaient associés, avaient estimé à juste titre que Gherardi avait toute sa place dans pareil événement scientifique.

    Il était l’un des rares étrangers présents. Pourquoi ce choix exotique de Porto-Rico ? Gherardi pensera des années plus tard avoir trouvé une réponse qui s’appelle « Big Pharma ». Porto-Rico, État associé aux États-Unis, bénéficie d’une fiscalité si intéressante que de très nombreux groupes industriels y ont installé des centres de production. Et parmi eux, Novartis, Pfizer, Merck, géants de la pharmacie, dont les enseignes et affiches pullulent dans la ville.

    Le Congrès était dominé par la personnalité d’un chercheur états-unien, Stanley L. Hem. Hem est le co-auteur d’une contribution importante sur les adjuvants aluminiques, parue en 1997, qui assure qu’ils disparaissent très vite par les voies urinaires. Au rendez-vous de Porto-Rico, il présidait une session consacrée à la pharmacologie des sels d’aluminium. Dès le premier jour, Gherardi apprenait une chose qui avait son importance : l’adjuvant aluminique, s’il permettait en effet, dans un premier temps, de renforcer l’effet du vaccin, ne servait à rien dans les injections de rappel. Mais dans ce cas, pourquoi les laboratoires ne les supprimaient pas dans les rappels ? La réponse était simple : un médicament pour les humains devait être testé dans sa totalité. Si l’on modifiait sa composition, fût-ce en enlevant les sels d’aluminium, il fallait repartir pour un processus coûteux, d’homologation, aux frais de l’industriel ! Pour une raison d’argent, encore une fois, l’intérêt de la santé des personnes passait à la trappe !

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  89. Nonobstant, ce n’était encore qu’un modeste élément du dossier. Hem affirmait, après une expérience menée sur des lapins, que l’aluminium ne saurait rester dans le corps, et qu’il était rapidement éliminé. De son côté, Gherardi constatait que si certains sels d’aluminium semblaient en effet disparaître, c’était loin d’être le cas pour l’hydroxyde d’aluminium, celui justement incriminé dans la survenue des myofasciites. Le pire était à venir, car Gherardi faisait à son tour une communication que, dans le contexte du Congrès, on ne pouvait pas décrire en détail. Hem faisait alors sa publicité de propagandiste et l’intervention de Gherardi devenait un coup d’épée dans l’eau.

    Il faut savoir que Hem était chimiste à la différence du biologiste Gherardi pour lequel le rôle des cellules dans un organisme humain est majeur. L’étude de Hem reposait en réalité sur 2 lapins, et n’avait pas été poursuivie au-delà de 28 jours ! Néanmoins cette expérience prouvait, selon lui, que l’aluminium ne pouvait pas subsister dans le corps ! Ce n’était pas très sérieux de la part de ce « chercheur » américain, mais plus les aberrations sont énormes plus elles semblent satisfaire l’industrie pharmaceutique qui ne voit que par l’argent et les profits envisageables, même à partir d’un mensonge ou d’une expérience bidon…

    En janvier 2001, l’OMS annonçait que le financement d’études sur les adjuvants aluminiques était finalement refusé. Il était évident que l’un des médecins importants du comité de l’OMS se trouvait en conflits d’intérêts et devait tenir le discours d’opposition aux travaux de Gherardi, après avoir obtenu une chaire prestigieuse financée par Mérieux, l’un des leaders de la vaccination. Nous, les humains ordinaires, subissant les vaccinations obligatoires, nous sommes donc entre les mains de ce genre de salauds dont le sens des initiatives est exclusivement au service du profit et non pas au service de la santé des peuples ! Il faut appeler les choses par leur nom : ces gens-là sont des criminels, sans le moindre doute et devraient donc subir le sort des criminels…

    L’affaire de l’aluminium ajouté aux vaccins se termina par un communiqué de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, l’Afssaps ancêtre de l’Agence du médicament. Le 6 mai 2004, le conseil scientifique de l’Afssaps écrivait sans hésiter ce mensonge abominable, sans aucun scrupule : « aucun syndrome clinique spécifique n’est retrouvé associé à la vaccination avec des vaccins contenant un adjuvant aluminique » ! Cette agence estimait dès lors qu’aucune étude complémentaire ne devait être menée. C’était sidérant, et cela prouvait à quel point ce sont les gros intérêts financiers qui dirigent ce monde pervers trahissant les humains victimes de la criminalité passive de ces organismes pratiquant l’arbitraire et non pas la rigueur scientifique…

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  90. La veille, le 5 mai 2004, ce même conseil scientifique de l’Afssaps se réunissait pour évaluer le travail d’une épidémiologiste, Annie Fourrier. Elle-même et quelques collègues avaient réalisé une étude de haute qualité, selon l’avis de Gherardi, étude dite de cas-témoins, sur la fameuse myofasciite. Les travaux d’Annie Fourrier étaient violemment dénigrés par des « experts épidémiologistes » appelés en renfort. Les trois rapporteurs de la Kabbale contre les travaux de cette épidémiologiste avaient tous des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique, ce qui invalidait leurs propos conditionnés par des conflits d’intérêts. Pourtant rien de cela n’était pris en compte par le « conseil scientifique » de l’Afssaps. Pourquoi ? Chacun doit y réfléchir et trouver la réponse qui nous paraît sans équivoque…

    Le communiqué du 6 mai 2004 avait une conséquence immédiate : les 250 malades diagnostiqués auparavant n’existaient plus en tant que tels, même si leurs symptômes renvoyaient sans discussion au syndrome de fatigue chronique, reconnu comme maladie neurologique grave par l’OMS ! Les travaux de Gherardi, privés de tout financement public, s’achevèrent donc en même temps. Cet abandon par la médecine et par les autorités sanitaires se rendant coupables de non-assistance à personnes en danger, allait durer dix ans. Les chercheurs du CHU Henri-Mondor de Créteil entrèrent alors dans une sorte de « clandestinité », ou du moins, selon le mot de Gherardi lui-même, de « marginalité », pour contourner la criminalité d’un organisme officiel de l’Etat.

    L’équipe de Gherardi continuait à comptabiliser par centaines « ces malades qui n’existaient pas », et recommençait à valider chacune de ses découvertes. De leur côté, les malades atteints de myofasciite créaient en 2001 une association pour se défendre contre les autorités criminelles de la santé, E3M (l’association d’entraide aux malades de myofasciite à macrophages). Le 4 décembre 2007, à force d’obstination, E3M obtint une réunion au ministère de la Santé pour mettre sur la table la question de la myofasciite. Gherardi étant de la partie, détaillait les résultats d’examens cliniques méticuleux menés à Créteil. Les révélations faites au ministère étaient proprement sidérantes : la mémoire visuelle et la mémoire de travail étaient gravement atteintes chez les malades, et dans 92 % des cas, un test au moins évoquait ce que les neuropathologistes appellent la démence, c’est-à-dire de profondes altérations cognitives !

    En face de lui, les deux conseillers de la ministre en place, l’ancienne pharmacienne Roselyne Bachelot, cachaient à peine leur ennui. Gherardi citait une étude prouvant que l’aluminium vaccinal peut migrer jusque dans le cerveau, passant donc la barrière hémato-encéphalique ? Ce travail était resté modeste, parce qu’il fallait que le ministère se décide à financer d’autres études complémentaires, avançait Gherardi. Mais les deux conseillers abrégèrent la rencontre, et renvoyèrent Gherardi à sa « marginalité ». Voilà le genre de personnes qui veillent, dans nos ministères, sur les intérêts du bien commun et la santé publique : de parfaits crétins, bornés, obtus, dont l’arrogance est le vêtement dépareillé d’une criminalité faite vertu !

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  91. En 2009, la mobilisation controversée contre le virus grippal H1N1 aura coûté, notamment pour les vaccins, entre 1 et 2 milliards d’euros. Déléguée médicale du laboratoire ICI Pharma — devenu AstraZeneca — entre 1969 et 1976, Roselyne Bachelot sera chargée des relations publiques de Soguipharm — un autre labo pharmaceutique — entre 1984 et 1989.

    AstraZeneca a été au cœur de la fabrication de vaccins contre le virus H1N1, ce qui mérite d’être rappelé.

    Le sérieux du travail scientifique du professeur Gherardi et de son équipe sur la maladie provoquée par les adjuvants aluminiques des vaccins allait être enfin reconnu. Mais la recherche approfondie restait ouvertement entravée, tandis qu’une nouvelle ministre de la santé proche des firmes pharmaceutiques imposait l’obligation de onze vaccins !

    En décembre 2012, exaspérés, les malades de l’association E3M commençaient une grève de la faim. Ils réclamaient des choses évidentes. Tout d’abord, la reconnaissance de leur maladie. Ensuite, des fonds pour les recherches indispensables. Puis, a minima, l’utilisation d’un vaccin DT-polio, sans aluminium. Car en effet, et c’est toujours le cas, on ne trouve pas en France, en ce début 2023, de vaccins obligatoires sans sels d’aluminium. Alors même qu’il existe au moins un adjuvant parfaitement inoffensif, le phosphate de calcium, qui n’est pas utilisé. Pourquoi ? Nouvelle interrogation sur des questions incompréhensibles quand on raisonne santé publique au lieu de profits financiers !

    Donc, une grève de la faim de gens affaiblis, malheureux et méprisés est engagée. Gherardi continue ses travaux dans l’espoir d’éclairer la « migration systémique et cérébrale » de l’aluminium vaccinal. La grève de la faim semblait, dans un premier temps, débloquer la situation. Le ministère acceptait le principe de nouvelles études, pilotées par l’Agence du médicament (ANSM, selon son acronyme), qui a pris la suite de l’Afssaps. On « offrait » la somme dérisoire de 150.000 euros, qui ne seront obtenus qu’en avril 2014, mais on excluait du travail l’équipe de Gherardi, seule à travailler sur la question depuis plus de quinze ans ! Mais, face à cette recherche trop difficile à diriger, le professeur était finalement réintégré, appuyé par quelques élus, dont Laurence Cohen, présidente de la Commission des affaires sociales du Sénat. La corruption prend l’autoroute et c’est la fête perpétuelle pour ce qui est corrompu. Mais dès qu’il faut se donner la peine d’être vrai et d’être juste, les choses tournent curieusement à la galère absolue !

    Pendant trois ans, Gherardi va devoir faire des recherches scientifiques de haut niveau avec les 150.000 euros qui lui ont été péniblement consentis. Cependant il avance héroïquement dans ses recherches sur les prédispositions génétiques qui permettraient d’expliquer pourquoi une minorité de vaccinés, qui sont des millions, développent une myofasciite. Et voilà qu’en mars 2017, l’Agence du médicament (ANSM) réapparaissait. Un débat avait lieu dans le cadre de son conseil scientifique, et l’on s’écharpait à nouveau à propos des résultats de Gherardi. Les experts réunis étaient une fois de plus divisés, mais reconnaissaient unanimement le sérieux du travail ; ils demandaient, dans un avis consultatif, la poursuite des travaux et donc des financements.

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  92. Mais cet avis était volontairement oublié jusqu’en septembre 2017, quand le journal Le Parisien accusa l’Agence d’avoir caché un débat essentiel. Au cœur de la polémique, une question portait sur la toxicologie. Depuis Paracelse, il y avait 400 ans, la plupart des spécialistes pensaient, après lui, que la dose faisait le poison. Plus on en recevait, plus on réagissait. Or, une révolution, celle de la complexité, celle des « effets non linéaires », était en cours. Il apparaissait désormais certain que des doses plus faibles pouvaient, dans certains cas, avoir des effets plus importants via les interactions et rétroactions de l’endocausalité et de l’exocausalité… Le peu d’aluminium contenu dans une dose vaccinale pouvait être la cause d’un grand désordre général. On pouvait, malgré l’ampleur de l’expression, parler de rupture paradigmatique. Il y avait un avant, et surtout, un après.

    À ce stade, Gherardi ne réclamait qu’un financement ridicule de 550.000 euros — qui montera à 670.000 euros — pour continuer un travail dont personne ne contestait le caractère scientifique. Mais l’Agence du médicament refusa son crédit, arguant qu’il lui fallait s’adresser à l’Agence nationale de la recherche (ANR). Celle-ci constatait, dans un document, l’excellence scientifique du projet, qui recueillait 42 points sur un total possible de 45. « Mystérieusement » elle refusait pourtant le financement, et plaçait le tout dans une liste d’attente qui avait l’apparence d’une impasse !

    Le professeur Gherardi insistait :

    « Il faut mesurer les effets à long terme des adjuvants aluminiques, car une expansion massive des approches vaccinales est programmée par l’OMS, qui annonce plus de 120 nouveaux vaccins, en majorité aluminiques, dans les “pipelines”, pour une croissance annuelle de 20 % du marché des vaccins, le chiffre d’affaires étant passé de 5 à 43 milliards de dollars de 2000 à 2016 et devant atteindre 100 milliards en 2025. Le plus satisfaisant serait bien entendu que la suppression des adjuvants aluminiques soit envisagée à terme. »

    Un chercheur espagnol de l’université de Saragosse, Lluís Luján, de son côté réalisait une étude édifiante sur les moutons, en leur injectant des vaccins contenant de l’aluminium. Une faible partie des vaccinés — autour de 0,5 % — développaient un syndrome passant par « un épisode neurologique aigu » et des changements neurodégénératifs, proches des symptômes observés avec la myofasciite.

    L’histoire mouvementée des sels d’aluminium dans les vaccins poursuit sa route et rien n’est à ce jour clarifié une fois pour toutes…

    https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-ce-danger-que-l-Etat-refuse-de-voir

    https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-recherche-interdite

    https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-loi-des-lobbies

    A suivre…

    https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin-au-dela-du-mythe-vaccinal-lhistoire-eloquente-des-sels-daluminium-contenus-dans-les-vaccins/5676169

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  93. « Tout simplement obscène » : La FDA approuve la quatrième injection contre la COVID pour les nourrissons et les enfants de moins de 5 ans

    La décision prise mardi par la Food and Drug Administration (FDA) d'autoriser les nourrissons et les enfants âgés de 6 mois à 4 ans à recevoir le rappel bivalent de Pfizer a suscité de vives critiques de la part des pédiatres et d'autres personnes qui ont déclaré que les enfants n'avaient pas besoin de vaccins contre la COVID-19, et encore moins de quatre doses.


    Par Suzanne Burdick
    Mondialisation.ca,
    19 mars 2023


    Les nourrissons et les enfants âgés de 6 mois à 4 ans qui ont reçu la série primaire de trois doses du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech peuvent désormais bénéficier d’une quatrième dose – le rappel bivalent de Pfizer.

    La Food and Drug Administration (FDA) américaine a modifié mardi l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du rappel bivalent contre la COVID-19 de Pfizer pour le groupe d’âge le plus jeune, mais seulement pour les enfants qui ont reçu la série de trois doses avant que la FDA n’autorise le rappel bivalent contre Omicron de Pfizer comme troisième injection de la série primaire.

    En vertu de l’autorisation modifiée, les enfants peuvent recevoir leur quatrième vaccin deux mois après avoir terminé la série primaire de trois doses.

    Peter Marks, directeur du Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA, a déclaré que l’autorisation donnait aux parents la possibilité de « mettre à jour la protection de leurs enfants ».

    Mais les critiques, dont Peter McCullough, M.D., MPH, interniste et cardiologue, ont déclaré que les injections posaient des problèmes de sécurité à long terme pour les enfants.

    « Je suis très préoccupé par la sécurité à long terme de l’accumulation de nouveaux ARNm et de la protéine de pointe de Wuhan chez des enfants auparavant en bonne santé », a déclaré M. McCullough au Defender. « Les piqûres continues ne sont pas naturelles et ne peuvent pas rendre leur corps plus sain. »

    Mary Holland, présidente et conseillère générale de laChildren’s Health Defense, a déclaré :

    « Si l’on avait besoin de savoir de quel côté se trouve la FDA, de celui de l’industrie pharmaceutique ou de celui du peuple, il suffirait de voir qu’elle a autorisé une quatrième injection contre la COVID pour les enfants de moins de 5 ans.

    « Sachant que ces vaccins ne fonctionnent pas et qu’ils peuvent causer de graves dommages, y compris la mort, cette décision est tout simplement obscène. »

    Le Dr Michelle Perro, pédiatre ayant plus de 40 ans d’expérience en médecine aiguë et intégrative, a déclaré au Defender : « La logique et la raison médicales ont été reléguées au second plan au profit d’une politique insondable fondée sur la fiction. »

    Mme Perro a ajouté :

    « Avec le flux constant d’informations désormais disponibles sur VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] et d’autres systèmes mondiaux de notification des vaccins, le préjudice causé aux enfants par ce « vaccin » inutile n’est rien de moins qu’un pédiacide. »

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  94. En supposant que le risque de blessure dû au vaccin contre la COVID-19 soit similaire pour les enfants au risque global le ministre allemand de la santé a révélé, il faudrait vacciner plus de 112 000 enfants de 5 à 11 ans avec deux injections et blesser gravement 22 d’entre eux pour éviter une hospitalisation COVID-19.

    « Toute personne ayant connaissance de ces données et recommandant les vaccins à mRNA contre la COVID pour les enfants est, à mon avis, coupable d’une faute professionnelle, d’un crime et doit être immédiatement traduite en justice », a déclaré Mme Nass.

    https://www.mondialisation.ca/tout-simplement-obscene-la-fda-approuve-la-quatrieme-injection-contre-la-covid-pour-les-nourrissons-et-les-enfants-de-moins-de-5-ans/5676162

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  95. Les autorités australiennes poussent le 5ème COVID SHOT sur une population sans méfiance tout en admettant que chaque rappel n'est "efficace" que pendant quelques mois


    Sunday, March 19, 2023
    by: S.D. Wells



    (Natural News) Les autorités australiennes informent les 25 millions d'habitants de la nation qu'ils sont "éligibles" pour un 5ème vaccin COVID, en tant que "rappel", s'ils n'ont pas été piqués au cours des 6 derniers mois, sauf s'ils 'ai déjà eu l'infection financée par Fauci (la meilleure protection qui soit, soit dit en passant). Ils "recommandent" également le coup mortel si vous avez plus de 65 ans ou si vous souffrez déjà de maladies mortelles mais évitables, comme le diabète, les maladies cardiaques ou le cancer (conditions médicales graves qui les exposent au "risque" de coronavirus de Wuhan COVID- 19). Seuls 40 % des Australiens étaient suffisamment naïfs (et toujours en vie) pour avoir déjà reçu une 4e dose, même s'il a déjà été démontré que certains des injections de caillots provoquaient un "turbo cancer", une version accélérée dans laquelle les tumeurs grossissent de façon exponentielle après l'injection.

    Des rapports inondent Internet sur des «personnes en forme et en bonne santé» recevant des piqûres COVID, puis «retombant avec des problèmes cardiaques», déclare le présentateur de nouvelles australien

    Le risque de lésions cardiaques, de décès et d'affaiblissement permanent du système immunitaire dû à un trop grand nombre de piqûres de COVID FAR l'emporte sur le risque de contracter le COVID-19, et même les présentateurs de nouvelles et les journalistes prennent conscience de ce fait et expriment leurs inquiétudes à la télévision en direct. Bien que les médecins et les scientifiques fassent de leur mieux pour dissimuler tout le carnage sanitaire dans le monde causé par les injections expérimentales de caillots, la vérité apparaît dans chaque nation et chaque ville comme "Whac-A-Mole".

    Ce n'est plus un secret pour personne que les injections de caillots causent souvent de graves problèmes cardiaques, en particulier chez les jeunes hommes en bonne santé, notamment la myocardite, la péricardite, les rythmes cardiaques fluctuants, les caillots vasculaires, le système immunitaire affaibli, et attendez… PLUS de susceptibilité à attraper la grippe de Wuhan. Alors, pourquoi quelqu'un de sensé recevrait-il un cinquième coup ? C'est ça. Les gens qui ont déjà reçu quatre coups ne peuvent même pas penser correctement.

    Le groupe consultatif technique australien sur la vaccination pousse le cinquième injection de caillot sur la population souffrant déjà des effets des piqûres COVID précédentes

    Il n'y a rien que le complexe industriel des vaccins (VIC) déteste pire qu'un présentateur qui sort du «scénario» et parle franchement des dangers des vaccins, des peurs et de la quasi-inutilité de toute la campagne de peur. Pourtant, c'est exactement ce qui s'est passé sur une chaîne de télévision australienne populaire appelée Nine Network, et le présentateur, Karl Stefanovic, a choqué les téléspectateurs et des millions de moutons dans le pays d'en bas, affirmant qu'il ne voyait aucune raison valable d'obtenir plus de clichés après avoir TOUJOURS attrapé COVID deux fois.

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  96. Il a dit que le tir pourrait entraîner des «problèmes cardiaques» et, comme nous l'avons tous vu à travers le monde, des athlètes en bonne santé se mettent à genoux et serrent leur poitrine, essayant de respirer, tandis que les «coups de caillots» empêchent l'oxygène de circuler normalement à travers tout leur système vasculaire. Ce n'est rien de moins qu'un holocauste vaccinal, et les gens commencent enfin à le remarquer.

    Vous craignez d'avoir des complications à la suite d'un QUATRIÈME ou CINQUIÈME rappel contre la grippe de chauve-souris fabriquée en laboratoire à Wuhan ? Tu n'es pas seul. Dose après dose, beaucoup souffrent de leur propre système immunitaire qui attaque les protéines de pointe qui se logent dans les organes vitaux, notamment les poumons, le cerveau, le foie, les reins, le pancréas et l'utérus. Grâce à la "technologie" de l'ARNm, les milliards d'humains génétiquement modifiés injectés sont sujets au syndrome de mort subite de l'adulte (SADS), tout comme le syndrome de mort subite du nourrisson, sauf qu'au lieu qu'un bébé meure pour des causes inconnues, les adultes meurent peu de temps après avoir contracté le coronavirus " vaccins », et les causes sont connues, mais censurées des nouvelles.

    "L'autre chose qui m'inquiète, c'est que si je reçois une autre dose, je pourrais avoir des complications. J'ai vu tout cela, tous ces rapports sur Internet sur des personnes en forme et en bonne santé qui viennent de tomber avec des problèmes cardiaques, et il n'est toujours pas encore clairement établi si le vaccin a causé ou non certains de ces problèmes cardiaques. Mais c'est une inquiétude pour moi, plus que de contracter le COVID », a déclaré le présentateur de nouvelles australien.

    Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur l'Holocauste des vaccins qui balaie l'Australie et le monde pendant que vous lisez ceci.

    Les sources comprennent :

    Pandemic.news
    TheGatewayPundit.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-19-australian-authorities-pushing-5th-covid-shot-populace.html

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  97. Le ministre allemand de la Santé admet que les vaccins COVID-19 sont NOCIFS après avoir précédemment affirmé qu'ils étaient "sans effets secondaires"


    dimanche 19 mars 2023
    par : Zoey Sky


    (Natural News) Le ministre fédéral allemand de la Santé, Karl Lauterbach, connu pour sa promotion agressive de la vaccination de masse et ses politiques de confinement strictes, a récemment admis que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) étaient en effet liés à des effets secondaires indésirables.

    Lauterbach, un politicien du Parti social-démocrate d'Allemagne (SPD), a d'abord nié que les vaccins COVID-19 aient eu des effets secondaires négatifs à l'été 2021.

    Les données du gouvernement allemand montrent que plus de 330 000 personnes dans le pays ont des blessures liées au vaccin COVID-19. Beaucoup d'entre eux comprennent des jeunes qui ont subi de graves effets secondaires.

    Dans une interview accordée au "Today Journal" du radiodiffuseur de service public ZDF le dimanche 12 mars, Lauterbach a déclaré qu'une personne vaccinée sur 10 000 souffrait d'effets secondaires graves. Il a ajouté que les médicaments pour traiter le "post-vac" ne sont pas encore disponibles. Pire encore, les demandes de couverture des compagnies d'assurance maladie sont très limitées en Allemagne.

    Après avoir fait marche arrière, Lauterbach a été interrogé sur une affirmation qu'il avait faite dans un tweet en 2021. Dans son message, il a déclaré que la vaccination était "sans effets secondaires".

    Lauterbach a ensuite tenté de changer de sujet en ajoutant qu'il s'agissait d'une exagération qu'il avait faite dans "un tweet malheureux". Pourtant, le responsable est catégorique sur le fait qu'il n'a vu aucun échec de la part du ministère de la Santé. Il a également affirmé que les effets secondaires graves dus aux vaccins sont rares.

    "Les dommages graves de la vaccination, d'après les données de l'Institut Paul Ehrlich ou de l'autorité européenne de délivrance des licences, sont de l'ordre de moins d'une vaccination sur 10 000. Ce n'est donc pas que les dommages causés par les vaccins soient si courants », a déclaré Lauterbach.

    Les utilisateurs allemands se sont tournés vers les réseaux sociaux pour critiquer Lauterbach. Par exemple, le professeur de l'Université de Hanovre, Stefan Homburg, a appelé Lauterbach pour avoir déclaré qu'il était "tout au courant" des dommages enregistrés par la vaccination, mais il les a niés et a fait pression pour une vaccination de masse.

    Les personnes blessées par les vaccins envisagent de poursuivre les fabricants
    Selon Welt News, les personnes gravement touchées par les vaccins COVID-19 travaillent ensemble pour poursuivre les fabricants de vaccins. Cependant, les chances sont souvent contre ceux qui souffrent de blessures causées par les vaccins, car les fabricants peuvent souvent se cacher derrière des protections légales.

    Beaucoup de ces victimes, comme Alina Adams, 20 ans, étaient en parfaite santé avant d'être vaccinées. Adams est tombé malade un jour après avoir reçu le vaccin. Maintenant, Adams est principalement confiné à un fauteuil roulant et a reçu un diagnostic de «syndrome post-vac».

    Homburg a également contesté les chiffres officiels de Lauterbach, qui affirmaient qu'il n'y avait qu'un seul cas grave sur 10 000.

    « À 1:10 000, Lauterbach minimise le risque de dommages graves aux vaccins. Son propre ministère suppose 1: 5 000 sans cas non signalés, ce qui fait 1: 1 250 avec quatre doses », a déclaré Homburg.

    Les gens demandent maintenant aux fabricants de vaccins d'assumer une partie du fardeau financier des personnes souffrant d'effets secondaires indésirables à cause des vaccins COVID-19. (Connexe: Lanceur d'alerte de l'OMS: les marionnettes mondialistes cherchent à contrôler totalement l'humanité grâce au déploiement du traité sur la pandémie COVID-19.)

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  98. Dans l'interview, Lauterbach a mentionné qu'il appelait les sociétés pharmaceutiques à partager l'indemnisation des victimes.

    Il a annoncé qu'il avait lancé un programme avec son ministère pour enquêter sur les conséquences de "Long Covid et Post Vac (dommages de la vaccination)" et pour améliorer les soins aux personnes souffrant de blessures causées par les vaccins.

    L'Institut Paul Ehrlich a reçu au moins 333 492 cas suspects d'effets indésirables et 50 833 cas suspects d'effets indésirables graves « après la vaccination de base plus les vaccinations de rappel » jusqu'en décembre 2022. Les effets secondaires graves liés aux vaccins COVID-19 comprennent l'inflammation cardiaque, les lésions neurologiques et paralysie.

    Allez sur VaccineInjurynews.com pour plus d'histoires sur les blessures liées aux vaccins.

    Regardez la vidéo pour plus d'informations sur les effets secondaires des vaccins COVID-19.

    Cette vidéo provient de la chaîne Tommy's Podcast sur Brighteon.com.

    More related stories:

    Naomi Wolf: Pfizer’s COVID-19 mRNA shot a war on women, human fertility.

    The more vaccines a baby gets, the higher the likelihood of sudden death: STUDY.

    Ben Armstrong: Bombshell report from Naomi Wolf exposed Pfizer’s illegal COVID vaccine trial on 61 kids.

    Sources include:

    RMX.news
    TodayTimesLive.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-19-german-health-minister-admits-covid-vaccines-harmful.html

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  99. Les nouveaux « anges de la mort » américains : injectez à l'humanité une technologie de modification génétique de la mort. Les professionnels de la santé ne peuvent pas revendiquer l'ignorance


    Par le professeur Bill Willers
    Recherche mondiale,
    19 mars 2023


    "La culpabilité pour le meurtre de masse est uniquement celle des dirigeants politiques... J'accuse les dirigeants d'avoir abusé de mon obéissance. A cette époque, l'obéissance était exigée, tout comme à l'avenir elle sera également exigée du subordonné. L'obéissance est louée comme une vertu. — Adolph Eichmann , nazi, lors de son procès

    Au début de la pandémie déclarée de Covid19, la communauté médicale américaine - et cela comprenait les pharmacies américaines - s'est regroupée autour d'un système d'interdiction des médicaments connus pour être efficaces, sûrs et peu coûteux, notamment l'ivermectine et l'hydroxychloroquine. Avec le temps, il est devenu évident que le refus d'un traitement précoce était crucial pour le projet de l'industrie pharmaceutique de vacciner le monde contre un prétendu virus Covid19.

    Si l'efficacité des médicaments peu coûteux et disponibles avait été largement reconnue, le prétexte pour «l'autorisation d'utilisation d'urgence» d'un produit expérimental produit à la vitesse de l'éclair se serait volatilisé. Avec un projet mondial de vaccination d'un billion de dollars en jeu, cela ne pouvait pas être autorisé, de sorte que les mensonges selon lesquels l'ivermectine et l'hydroxychloroquine étaient toxiques ont été appliqués avec autorité.

    La politique est descendue (et continue de descendre) des réseaux administratifs au sein du ministère de la Santé et des Services sociaux (notamment le CDC et le NIAID) aux États. Ces réseaux font partie et sont alimentés par un complexe international impliquant l'Organisation mondiale de la santé, elle-même sous le contrôle d'intérêts pharmaceutiques internationaux axés principalement sur les vaccins, ainsi que sur les manipulations génétiques vendues sous la bannière trompeuse de « vaccin ».

    Cet univers à plusieurs volets, axé sur les vaccins, comprend désormais des universités de recherche et des écoles de médecine, des sociétés médicales et des revues médicales frauduleuses présentant des articles « scientifiques » rédigés par des fantômes. Un acteur clé est la discipline de la santé publique, un domaine politisé se présentant comme une science objective, exécuteur du récit officiel et lanceur de l'épithète de «désinformation» aux dissidents. Et bien sûr, il y a les médias conformes. Et l'argent, des rivières sans fin.

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  100. Au niveau de l'hôpital, les commandes de ce complexe transitent par des administrateurs attachés à des bureaux, les médecins et les infirmières étant incités à suivre ces commandes de peur de perdre l'accès nécessaire à l'hôpital. Ne pas s'en soucier peut même entraîner la suspension du permis d'exercice de la médecine. Ce système de contrôle s'étend aux conseils médicaux d'État sous l'égide de la Fédération des conseils médicaux d'État , dont les directives exigent que les praticiens utilisent des traitements « ... étayés par les meilleures preuves scientifiques disponibles ou le consensus scientifique en vigueur ». Mais les «meilleures preuves scientifiques disponibles» officiellement acceptées sont désormais si étroitement contrôlées que l'on est littéralement contraint vers le «consensus scientifique dominant».

    Le « consensus » auquel il est fait référence est une histoire strictement appliquée, et toute divergence par rapport à celle-ci est immédiatement attaquée de tous les coins de l'administration comme de la « désinformation ». Une branche clé de l'armée protégeant le scénario officiel et criblé de mensonges a été l'industrie naissante de la vérification des faits, succinctement clouée par le Dr Bryan Ardis « La vérification des faits consiste à vous détourner de la vérité et à vous ramener au récit que vous êtes. être vendu dans le monde entier.

    Vous, médecins, qui avez obéi à un protocole inspiré par l'industrie et dirigé par le gouvernement, avez abdiqué la relation médecin-patient. Et ce qui vaut pour les médecins à cet égard vaut aussi pour les infirmières. En retenant les traitements disponibles et en renvoyant les malades chez eux ; en injectant à un public confiant une technologie expérimentale de modification génétique qui a des effets potentiellement dévastateurs à long terme, voire transgénérationnels ; en ne voyant pas tout de suite l'idiotie criminelle d'injecter des enfants, pour qui le prétendu virus est réputé bénin, vous avez fait de vos patients des animaux de laboratoire de facto .

    Le directeur du FBI, J. Edgar Hoover, a écrit un jour : « L'individu est handicapé en se retrouvant face à face avec un complot si monstrueux qu'il ne peut pas croire qu'il existe. La pandémie de Covid19, mise en place pour justifier un projet mondial visant à injecter à l'humanité une technologie mortelle altérant les gènes , est certainement suffisamment monstrueuse pour handicaper n'importe qui, au moins pour un temps. C'est meurtrier à une échelle si immense qu'elle est incroyable à première vue. Et cela seul a peut-être posé une trop grande barrière pour que la plupart de la multitude veuille même y jeter un coup d'œil de plus près.

    Mais vous, les professionnels de la santé, ne pouvez pas prétendre l'ignorer à cette date tardive, alors que de simples minutes de recherche en ligne peuvent révéler que des personnalités médicales exceptionnelles du monde entier ont lutté contre la censure et les vomissements des médias grand public pour exposer le projet Covid19/"vaccin" truffé de mensonges ( 1 , 2 , 3 …) Pour leurs ennuis, bien sûr, ils continuent d'être attaqués par le réseau médiatique connu depuis longtemps pour être pourri jusqu'à la moelle. Votre choix d'obéir dans ce long cauchemar a-t-il été simplement pour conserver un emploi ? Ou avez-vous simplement été trop paresseux pour rechercher des informations censurées ? Ou trop indifférent ? Ou es-tu juste stupide ? Vous seul le sauriez avec certitude.

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  101. Josef Mengele , comme vous, était médecin. Au camp de concentration d'Auschwitz, ses horribles expériences médicales lui ont valu une place dans l'histoire en tant que Todesengel, "l'ange de la mort". Il est censé avoir dit "Plus nous vous faisons de mal, moins vous semblez croire que nous le faisons". Cela vous semble-t-il familier et vos patients vous font-ils toujours confiance ? Dans tous les cas, vous, les médecins qui avez été si obéissants au projet mondial impitoyable de l'industrie du vaccin, voudriez peut-être connaître le Dr Mengele. Il existe même des livres sur l'homme. Après tout, c'était une de vos âmes sœurs, puisque vous vous êtes, les yeux grands ouverts, vous-mêmes, par omission ou par commission, ses héritiers médicaux.

    *

    Bill Willers est professeur émérite de biologie à l'Université du Wisconsin à Oshkosh. Il est le fondateur du Superior Wilderness Action Network et rédacteur en chef de Learning to Listen to the Land et Unmanaged Landscapes, tous deux publiés par Island Press. Il peut être contacté à willers@uwosh.edu .

    https://www.globalresearch.ca/america-new-angels-death/5786216

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  102. Rions (jaune) : les vaccins à ARNm et les Bifidobacterium


    20 Mars 2023


    Comme on peut le voir ci-dessus, c'est un gazouillis de Mme Stephanie Seneff – la diva des corrélations loufoques censées démontrer que le glyphosate est le père de toutes les maladies et même d'événements comme les suicides. Et un gazouillis répercuté par Mme Vandana Shiva – la diva de l'écoféminisme.

    Il n'en fallait pas plus pour cliquer sur le lien... en ayant pris une petite précaution urinaire préalable, laquelle s'est avérée parfaitement judicieuse.

    L'American Journal of Gastroenterology a donc publié « Messenger RNA SARS-CoV-2 Vaccines Affect the Gut Microbiome » (les vaccins à ARN messager contre le SARS-CoV-2 affectent le microbiome intestinal) de Sabine Hazan, Sonya Dave, Brad Barrows et Thomas J. Borody.

    Les auteurs déclarent des affiliations avec des entreprises, dont ProgenaBiome pour deux d'entre eux.

    Voici le texte de l'article :

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  103. « Introduction :

    Les vaccins à ARN messager destinés à prévenir l'infection par le SARS-CoV-2 sont largement utilisés, mais leur effet sur le microbiome intestinal n'est pas connu. De faibles niveaux de bifidobactéries ont été associés à une infection sévère par le SARS-CoV-2, à des maladies inflammatoires de l'intestin, à une infection par Clostridioides diffícile, à l'obésité et au vieillissement. Des rapports de cas préliminaires suggèrent que la transplantation de microbiote fécal pourrait guérir l'infection par le SARS-CoV-2 (1). Une étude de Bozkurt et al. a montré que des patients atteints du SARS-CoV-2 qui prenaient des probiotiques contenant des bifidiobactéries avaient des durées d'hospitalisation plus courtes liées à la Covid (2).

    Méthodes :

    34 sujets ont eu un prélèvement de selles avant la vaccination et un mois après la vaccination pour évaluer l'abondance relative des bifidobactéries dans l'intestin. L'ADN a été extrait, la bibliothèque a été préparée, et l'enrichissement et le séquençage ont été effectués à l'aide du séquençage métagénomique de nouvelle génération.

    Résultats :

    L'abondance relative du genre bifidobacteria a diminué de manière significative pour atteindre environ la moitié de la valeur initiale après la vaccination (P = 0,0065 via le test de rang signé de Wilcoxon). Avant la vaccination, les valeurs médianes (intervalle interquartile) de l'abondance relative du genre bifidobacteria étaient de 1,13 % (0,0016 % à 2,52 %) et après la vaccination de 0,64 % (0,0015 % à 2,48 %).

    Conclusion :

    Les bifidobactéries, qui font partie de l'industrie des probiotiques d'une valeur d'un milliard de dollars, se sont révélées essentielles dans les maladies inflammatoires, les Covid-19 graves, l'obésité et le processus de vieillissement. Nos résultats, bien que préliminaires, suggèrent que le vaccin à ARNm contre le SARS COV-2 diminue les niveaux de bifidobactéries (P = 0,0065). De futures études seront nécessaires pour caractériser l'évolution temporelle de cette diminution de l'abondance des bifidobactéries, son impact sur la santé humaine et pour déterminer si des résultats similaires sont observés avec d'autres vaccins (figure). »

    - voir graph sur site -

    Figure 1 : L'abondance relative des bifidobactéries diminue (P = 0,0065) chez les sujets (n=34) après la vaccination par rapport à avant la vaccination chez les mêmes sujets. Les barres indiquent la médiane ; les barres d'erreur indiquent l'intervalle interquartile.

    Références

    1. Biliński J, Winter K, Jasiński M, et al. Rapid resolution of COVID-19 after faecal microbiota transplantation. Gut. 2022;71(1):230-232. doi:10.1136/gutjnl-2021-325010

    Google Scholar

    2. Bozkurt HS, Ö Bilen. Oral booster probiotic bifidobacteria in SARS-COV-2 patients. Int J Immunopathol Pharmacol. 2021;35:20587384211059677 doi:10.1177/20587384211059677

    Google Scholar

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  104. On n'en saura donc pas plus.

    Mais comment un vaccin à ARNm, ciblant un élément – une protéine spiculaire – de l'enveloppe du virus peut-il affecter des bactéries, et ce, un mois après la vaccination. C'est à notre sens un exemple typique de post hoc, propter hoc.

    Et par Toutatis ! Des conclusions tirées avec une valeur de P extraordinaire de deux fois 34 analyses de selles ! Les auteurs ont cherché le « genre Bifidobacteria » – en fait, c'est Bifidobacterium – et bingo ! ils ont trouvé que sa présence – en pourcentage – était divisée grosso modo par deux.

    Le texte est en outre très verbeux.

    « De faibles niveaux de bifidobactéries ont été associés... » ? Aucune référence, alors même que l'on cite la Covid sévère ! Et que viennent faire ici, par exemple, l'obésité et le vieillissement ?

    « Des rapports de cas préliminaires suggèrent... » ? Une seule référence... qui s'avère être la description des cas de deux patients, laquelle description nous semble loin de montrer que « la transplantation de microbiote fécal pourrait – même avec un conditionnel – guérir l'infection par le SARS-CoV-2 ».

    Cela vous étonnera-t-il si on vous dit qu'au moins deux des entreprises citées pratiquent les transplantations de microbiote intestinal ?

    https://seppi.over-blog.com/2023/03/rions-jaune-les-vaccins-a-arnm-et-les-bifidobacterium.html

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  105. ENCORE UN ARTICLE DE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119)

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