Ignorance mortelle ou décision mondiale – Discours aux nations d'Ivo Sasek
03.03.2023 www.kla.tv/25284
Nous sommes en train d'unir nos forces pour prendre des décisions fondamentales pour le monde. C'est ce dont nous traitons ici dans cette émission.
Voici juste un petit extrait de ce génocide en cours.
Le groupe pharmaceutique Pfizer et l'autorité d'homologation FDA voulaient sceller ces 55.000 documents Pfizer pour 75 ans, c'est-à-dire les soustraire délibérément à l'ensemble de l'humanité. Car nous sommes en surnombre en tant que peuple.
Nous ne perdrons pas de vue tous ces criminels et ces génocidaires jusqu'à ce que leurs crimes actuels, futurs, mais aussi ceux commis il y a des décennies, soient traités de manière constitutionnelle et professionnelle ! C'est l'appel que je lance aux peuples.
Nous déclarons en tant que peuple : le temps des guerres est révolu - nous ne voulons plus de guerres ; car nous sommes le peuple souverain - le peuple qui aime la paix !
Ivo_Ce qui se passe chaque jour, et pas seulement au Bundestag allemand, est devenu le symbole de l’état du monde entier. Qu'il s'agisse d'une Alice Weidel de l'AfD qui s’emballe et profite de la déclaration gouvernementale de Scholz pour lancer une attaque sans précédent contre la coalition « tricolore » (1), ou du ministre de l'économie vert Habeck qui s'acharne en termes très durs sur l'introduction de sa taxe sur le gaz (2), une chose reste identique de tous les côtés : Comme à tous les comptoirs de bistrots, chaque parti se vautre dans son propre monologue et s'auto-congratule à chaque occasion avec des ovations plutôt dérangeantes. Le manque de respect mutuel et l'ignorance sont devenus absolus.
L'ignorance absolue règne non seulement dans les bâtiments fédéraux, mais partout où on regarde, quel que soit le sérieux du sujet. Mais l'ignorance la plus obstinée est surtout en plein essor parmi les plus hauts responsables. On ne s'écoute tout simplement plus, quel que soit le volume, l'insistance ou même le danger de mort que représente le contenu des oppositions. Et il y a des raisons logiques à cela ; j'en explique ici deux principales à l'exemple de l'ignorance endurcie entre les responsables « fidèles au mainstream » et leurs adversaires, les « lanceurs d’alerte libres ».
C'est très simple : les lanceurs d’alerte libres ne peuvent plus écouter les soi-disant « politiquement corrects », tout simplement parce qu'ils ont en main des milliers de preuves que les détenteurs de pouvoir de premier plan sont tous sous la coupe de puissances cachées en arrière-plan. Cette soumission mortelle à des directives en tout genre les rend sourds. D'autant plus que beaucoup de personnes politiquement correctes aiment se goinfrer du gâteau de ce réseau secret. C'est là que les choses se gâtent. Les personnes impliquées évoluent en permanence dans des conflits d'intérêts illicites. (3).
D'autre part, les soi-disant politiquement corrects, y compris les détenteurs de pouvoir et leurs instances, ne peuvent plus écouter pour exactement les mêmes raisons - parce que la réalité est exactement comme les lanceurs d’alerte libres le démontrent :
Rien que Kla.TV l'a démontré avec près de 20 000 émissions très élaborées : Seules les têtes pensantes de l'économie mènent désormais la danse. Et ces derniers opèrent depuis la clandestinité, en tout et partout. Ce ne sont donc plus les représentants du peuple, soi-disant démocratiquement élus, qui sont aux commandes. L'humanité est la dernière à avoir son mot à dire dans nos fausses démocraties. On peut donc dire en conclusion qu'il ne s'agit pas d'une théorie du complot, mais d'un fait de conspiration pur et simple : l'ignorance silencieuse des représentants du peuple de tous les pays est due en premier lieu au fait que ces responsables sont manipulés, contraints, voire soumis à un chantage par toutes sortes de puissances de sociétés secrètes.
Mais ce qui est le plus répréhensible, ce sont toutes les relations intentionnellement lucratives de nos dirigeants avec ces méchants avides d'argent et de pouvoir. Malheureusement, ces imbrications sont devenues légion dans tous les domaines existentiels de la vie. Et c'est précisément la raison pour laquelle leur ignorance, pour ne pas dire leur résistance à l'information, est si absolue à l'égard de tous les lanceurs d’alerte : sinon, ils devraient reconnaître ouvertement leurs sombres agissements. Leurs affaires et leurs relations illégales seraient révélées et ils devraient rendre des comptes et être punis en conséquence.
Mais c'est précisément vers cet objectif que nous travaillons maintenant ensemble, d'accord ? Nous sommes en train d'unir nos forces pour prendre des décisions fondamentales pour le monde. C'est de cela que nous parlons ici. Voici quelques exemples de crimes peu connus commis par des hommes politiques en exercice dans les milieux de la guerre et de l'industrie pharmaceutique : des lanceurs d’alerte italiens ont mis au jour un trafic d'armes à l'échelle européenne entre des membres du gouvernement en exercice et le crime organisé. Dans les années 1990 déjà, l'actuel maire ukrainien d'Odessa, Gennady Trukanov, opérait en étroite collaboration avec Alexander Angert, le chef de la mafia de la drogue et des armes.
Nicolai Fomichev doit également être inscrit dans le dictionnaire des coupables en tant que membre de cette équipe. A l'époque déjà, ils géraient ensemble un vaste système de trafic de drogue et d'armes. La guerre en Ukraine étant toujours une mine d'or pour la mafia, Trukanov devrait encore jouer un rôle central. En effet, Trukanov a terminé à l'époque une formation d'officier d'artillerie. Il a ainsi acquis les meilleures connaissances techniques pour pouvoir revendre toutes sortes d'armes sur le marché noir. Aujourd'hui, les armes issues de l'aide militaire occidentale font à nouveau l'objet d'un trafic à grande échelle. Le trafic d'armes concerne donc aussi bien les armes volées que les armes détournées. Le crime organisé remplit avant tout ses propres stocks d'armes et négocie ensuite le reste. Si on paie une kalachnikov avec de la cocaïne, on obtient de gros rabais. Le procureur de Calabre a confirmé que cette pratique existe depuis des décennies. Aujourd'hui encore, des stocks d'armes et de munitions de la guerre de Bosnie de 1992-95 refont surface.
Sur l'ensemble des armes livrées à l'époque, seulement 10 % seraient réellement parvenus aux troupes. Et alors que presque tous les entrepôts d'armes et de munitions d'Europe sont systématiquement pillés pour l'Ukraine, on a constaté une fois de plus qu'une grande partie des armes et des munitions promises n'est jamais parvenue aux cibles ukrainiennes. En revanche, beaucoup de ces armes sont réapparues sur le marché noir et sont justement négociées de l'Afrique à l'Hindou-Kouch, et même en Suède et aux Pays-Bas. Mais la trahison la plus stratégique est le fait que nos politiciens, qui ont des liens avec le lobby des armes, désarment les armées européennes de manière tout à fait insensée. Et ce, par le biais de dons d'armes à l'Ukraine, déguisés en dons démocratiques mais en réalité « sournoisement planifiés ».
Tout cela ne se passe pas par hasard maintenant, à la veille d'une guerre qui pourrait éclater à tout moment dans toute l'Europe. En clair, cela signifie que l'Europe pourrait résister chaque jour un peu moins à une offensive russe de grande envergure, par exemple. Même les objectifs de l'OTAN formulés autrefois par Lord Ismay, le premier secrétaire général de l'OTAN, pourraient alors s'avérer traîtres ; son motif ouvertement révélé était en effet le suivant : « Nous voulons garder les Américains à l'intérieur, les Russes à l'extérieur et les Allemands en bas. » Mais en réalité, Washington, dirigé par la société secrète, n'a toujours voulu garder qu'elle-même en haut et toutes les autres nations en bas ! En cas d'éclatement d'une guerre à l'échelle européenne, ces puissances cachées en arrière-plan pourraient alors, une fois de plus, rire aux éclats avec leurs plus fidèles vassaux américains.
Si tel était le cas, tous les États européens n'auraient pas fait du lobbying en vain. Pour conclure sur le thème de la guerre, je citerai encore quelques chiffres concernant l'aide humanitaire apportée par l'Allemagne à l'Ukraine : Au cours du premier semestre 2022, pas moins de 22 conteneurs maritimes, 389 wagons de chemin de fer et 220 camions chargés d'aide humanitaire ont disparu sans laisser de trace dans les environs de Kiev. De même, 55 millions d'euros de dons ont disparu. Sur une valeur initiale de 360 millions d'euros de marchandises, 342 millions d'euros ont été volés. Il est clair que tout cela ne peut pas se faire sans des politiciens infiltrés dans la mafia, vous comprenez ?
Venons-en maintenant à quelques responsables pharmaceutiques interconnectés et à leur génocide sournois à plusieurs niveaux. Une grande armée mondiale d'enquêteurs indépendants et fidèles a déjà mis en lumière de nombreux noms des principaux responsables et de leurs vassaux ; ils ont été rapportés partout et n'ont donc pas besoin d'être répétés.
Voici juste un petit segment de ce génocide en cours. Aujourd'hui, nous ne nous intéressons pas aux masses croissantes de victimes de la vaccination et de décès dus à la vaccination, ni au commerce gigantesque et florissant des enterrements, ni aux milliards de dollars de produits de profit Covid de toutes sortes, d'appareils, de vêtements de protection, de seringues, de masques, de désinfectants, etc. qui sont toujours en cours. Pour une fois, nous ne regardons que le génocide caché AVANT la naissance : Ce contre quoi le Dr Rebecca Leist, gynécologue, avait déjà mis en garde en novembre 21 s'est produit : 80% des femmes enceintes vaccinées ont fait des fausses couches. En Australie, il y a eu 63% de naissances en moins en 2022 ! Chez nous, en Suisse, la baisse de la natalité a été la plus forte depuis 150 ans - elle dépasse les deux guerres mondiales, la crise économique mondiale et même l'introduction du contrôle des naissances.
Personne ne peut dire avec certitude à l'heure actuelle si cette baisse drastique des naissances n'est que le début ou une chaîne sans fin d'infertilité. Mais le Dr Naomi Wolf a déclaré très tôt que Pfizer et la FDA savaient parfaitement que le faux vaccin expérimental ruinait la fertilité des femmes et des hommes. Ainsi, bien que 80% des bébés examinés soient morts, la thérapie génique a tout de même été introduite. De plus, exactement 9 mois après l'introduction du vaccin expérimental Covid dangereux pour la santé publique, le taux de natalité a chuté de manière spectaculaire dans toute l'Europe et dans de nombreux autres pays. Juste 9 mois après le lancement de la thérapie génique Covid, une baisse massive du taux de natalité a été constatée dans 13 des 19 pays européens, en Angleterre et au Pays de Galles, en Australie et à Taiwan. En Allemagne, le taux de natalité a chuté de 8,3 % en seulement 3 trimestres de l'année 22.
En Angleterre et au Pays de Galles, il y a eu une chute de 12 % jusqu'en juin 22 - et c'est précisément à ce moment-là que leur gouvernement a cessé de publier ces données ! Précisément 9 mois après le début de la « vaccination », une baisse à deux chiffres du taux de natalité aurait été enregistrée en Europe occidentale et dans d'autres pays développés. Ces chiffres sont à prendre, comme toujours, sans tenir compte des chiffres cachés. Toutes ces données ont été mises en lumière par le Dr Robert Chandler, sur la base de son étude de 55 000 documents de Pfizer. Auparavant, le groupe pharmaceutique et l'autorité d'homologation FDA voulaient sceller ces documents pour 75 ans, c'est-à-dire les cacher à l'humanité entière. Mais dans son rapport Pfizer récemment publié, on trouve tout de même un résumé de 50 études avec tous ces résultats choquants. Bien entendu, ce recensement a également été interrompu et bien entendu dissimulé à l'humanité trompée par le mainstream. Pas de théorie du complot - que des faits concrets ! Pourtant, la vaccination génique pour les femmes enceintes continue d'être fermement recommandée. C'est ce que le Dr Naomi Wolf décrit en résumé par ces mots : « Ils tuent l'Europe occidentale ». (4)
Qu'ils sachent tous que le temps approche, et qu'il est déjà en train de venir, où les peuples trompés ne redécouvriront pas seulement leur souveraineté politique, mais où de nouveaux tribunaux habiliteront des juges à faire le ménage à fond dans tous ces crimes et tous ces criminels. Il y aura à nouveau des tribunaux justes qui rendront la vraie justice aux peuples. Tout représentant pervers du peuple secrètement lié à cette mafia belliciste ou pharmaceutique démasquée et qui aura profité de son commerce d'armes et de drogue ne sera plus lâché des yeux jusqu'à ce que tous ses crimes soient traités de manière professionnelle ; tout autre abus de pouvoir subira le même sort, dans le monde entier ! Il en va de même pour tous ceux qui s'enrichissent grâce à des crises énergétiques ciblées et autres.
Je lance ici un appel à tous les militaires européens : ne vous laissez plus entraîner dans cette guerre Russie-Ukraine provoquée sournoisement par les États-Unis ! Refusez tout soutien à ces criminels de guerre de haut niveau que nous dénonçons depuis des années avec Kla.TV ! Dites haut et fort NON à cette guerre d'agression fomentée ! Vous tous, militaires allemands, refusez une nouvelle guerre par procuration ! Quelle que soit l'armée qui appelle ses soldats à s'engager dans cette guerre entre l'Ukraine et la Russie, elle appelle des condamnés à mort à une guerre d'agression et non, comme on le prétend, à une guerre de défense ! L'Europe ne peut pas gagner une troisième guerre mondiale chaude ! Car ce serait une 3e guerre par procuration, une guerre d'agression pour des bellicistes diaboliques, qui n'apporterait que la malédiction sur l'Europe. Ne suivez donc pas vos politiciens entremêlés avec le lobby des armes, refusez vos services à toute cette mafia de bellicistes, afin de ne pas finir dans un bain de sang inutile à cause de ces grands criminels !
La scène libre de l'information a pourtant prouvé, par des dizaines de milliers d'études de masse élaborées avec soin et des centaines de milliers de contributions individuelles irréfutables, qu'une minorité relativement gérable de conspirateurs mène cette guerre hybride contre le reste du monde ! Toi, humanité menacée, ne t'engage pas envers ces fauteurs de guerre, mais plutôt, en état de légitime défense, engage-toi à les démasquer avec nous de manière aussi approfondie et à ne plus les quitter jusqu'à ce qu'ils aient tous, jusqu'à leur dernier homme, à rendre des comptes en bonne et due forme ! Oui, jusqu'à ce qu'ils soient totalement dépossédés de leurs pouvoirs, justement punis et dépossédés. Nous ne lâcherons rien jusqu'à ce que les bénéfices de la crise, ces billions d'euros et de dollars, soient reversés aux peuples et aux nations pillés.
Car nous sommes en supériorité numérique ! Nous, les peuples pillés, nous nous levons maintenant et démontrons à ces destructeurs de l'humanité que nous pouvons être en réalité ce qu'ils nous ont fait miroiter pendant assez longtemps avec la pire des ruses - nous pouvons être une vraie démocratie, c'est-à-dire un gouvernement populaire qui fonctionne ! Une démocratie mondiale ! Comme tous les fonctionnaires de justice ont prouvé jusqu'à présent qu'ils ne peuvent plus rendre justice au peuple, mais uniquement à ces magnats de l'économie, ils nous ont tous obligés à défendre nos pays conformément à la Constitution.
C’est pourquoi, en tant que gouvernement populaire, nous continuons à porter au grand jour toutes les preuves ignorées par la justice - et ce, jusqu'à ce que l'humanité ait pleinement conscience de toutes les interconnexions entre ses dirigeants, ses politiciens, ses autorités de surveillance, etc. et toutes les organisations secrètes mafieuses. Nous ne lâcherons pas prise jusqu'à ce que tous ces dysfonctionnements soient réellement traités par la justice, d'accord ? Ensemble, nous mettons en lumière tous les liens de nos politiciens, responsables de la protection et autres responsables avec, par exemple, le lobby des armes et ses conspirateurs ou la mafia pharmaceutique et ses tueurs délibérés avec les vaccins. Nous établissons des actes d'accusation, comme un dictionnaire des coupables, dans lequel sont listés tous les responsables d’abus de pouvoir déjà démasqués, ainsi que leurs actes criminels et leurs liens. Nous ne perdrons pas de vue tous ces criminels et génocidaires tant que leurs crimes actuels, futurs, mais aussi ceux commis il y a des décennies ne seront pas traités de manière constitutionnelle et professionnelle !
Avec toutes ces indications, je n'ai fait que toucher une pointe de cet iceberg géant qui se trouve en dessous. Il y aurait des centaines d'autres zones thématiques et commerciales criminelles dans lesquelles nos politiciens et nos responsables se sont compromis. Dans chaque groupe, il ne s'agit que d'accroître son pouvoir et de tirer un profit personnel des crises. Nous ne pouvons donc pas prendre suffisamment au sérieux l'interdiction du profit de crise qui a été décrétée ! Remplissons ensemble les pages de Vetopedia, ce dictionnaire des coupables, et mettons en lumière tous ces infiltrés de la mafia et leurs œuvres. La communauté mondiale ne doit pas non plus perdre de vue toute la mafia des réfugiés, la mafia du trafic d'organes, la mafia du porno, la mafia du trafic d'enfants et la mafia du trafic de femmes. Ne négligez pas non plus les profits gigantesques tirés de la folie climatique attisée par des armes météorologiques réelles ou des crises énergétiques artificielles. Etudiez tous les blocs d'émissions thématiques sur Kla.TV. Vous pouvez les retrouver sous la rubrique Top-Thèmes.
Toute la mafia de la surveillance génère elle aussi en permanence de puissants profits à partir des crises qu'elle a elle-même provoquées. Nous devons interdire ces profits, tout comme ceux issus du génie génétique, du transhumanisme et d'autres domaines dangereux. Ne perdons jamais de vue les destructeurs de l'humanité qui, en dépit de toutes les études, dirigent vers nous leurs technologies d'armement de téléphonie mobile 4G, 5G, etc. Pendant qu'ils irradient insidieusement l'humanité, ils génèrent des profits incommensurables grâce à leurs technologies mortelles. Ne vous lassez pas de remplir les pages de la honte, jusqu'à ce que tous les coupables et leurs connexions, impliqués dans le commerce de l'adrénochrome, soient mis en lumière. Il est également urgent de mettre en lumière tous les grands escrocs qui, au moyen de l'intelligence artificielle (IA), c'est-à-dire de superordinateurs, concluent depuis longtemps des paris noirs incroyablement lucratifs contre l'humanité.
Ils génèrent en permanence des milliards à partir d'effondrements économiques calculés au préalable et bien sûr manipulés de manière ciblée. Ils provoquent donc sciemment des crises financières et profitent de l'effondrement des bourses de mille manières. Leur dernière séduction mondiale s'appelle ChatGPT. Comme pour le téléphone portable, leurs grands investisseurs font participer les peuples à cette intelligence artificielle extrêmement fascinante. Microsoft a déjà parié 2 milliards sur ce service Internet à la croissance la plus rapide et vient d'y ajouter 10 milliards supplémentaires. Ce que tous les utilisateurs ignorent, c'est qu'ils sont, comme toujours, en retard de plusieurs décennies sur l'état réel du développement. Le monde tombe une fois de plus dans le piège des plus grands. En l'espace de deux mois seulement, ChatGPT comptait déjà 100 millions d'utilisateurs actifs. Oui, et en plus de tous ces profiteurs de la crise, il y a aussi une mafia qui génère d'énormes bénéfices sur la mort, en particulier la mort Covid. Les funérailles sont devenues un commerce florissant presque du jour au lendemain. Déjà entre 2019 et 2021, le bénéfice par action de SCI [explication du mot : Service Corporation International, entreprise de pompes funèbres texane] a plus que doublé : de 1,90 dollar à 4,57 dollars.
L'autre jour, l'US Service Corporation International a annoncé ses chiffres de printemps - un autre trimestre record avec un chiffre d'affaires de près d'un milliard de dollars et un bénéfice de 135 millions de dollars. Tom Ryan, le président du conseil d'administration de l'entreprise, s'est interrogé sur ce sujet auprès des investisseurs et des analystes de Wall Street : « Je me demande quelle pourrait être la cause des nombreux décès enregistrés au cours des douze derniers mois, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans toute l'Europe occidentale et en Australie. »
Continuons à mettre en lumière tous les réseaux politiques du grand capital ! Car les grands capitalistes, comme le grand ponte des ONG George Soros, peuvent même déstabiliser les monnaies nationales du jour au lendemain, avec des conséquences toujours tragiques pour les salariés ordinaires. Soros est après tout devenu célèbre dès 1992 avec son pari contre la livre sterling. En un seul jour, il a réalisé un milliard de dollars de profit de crise avec un seul pari !
D'ailleurs, nous ne nous occupons encore que de la plus petite pointe de cette énorme montagne de fraude. En effet, alors que les médias à redevance obligatoire continuent à semer quotidiennement la panique et à nous montrer les impasses énergétiques, toute la mafia des brevets doit également être enfin mise en lumière. Là aussi, il existe des structures secrètes aux ramifications mondiales. Sans cette mafia, d'innombrables inventions énergétiques de grande qualité seraient depuis longtemps sur le marché. Nous pourrions tous nager gratuitement et librement dans les flots de l'énergie si des associations criminelles et leurs politiciens infiltrés ne se chargeaient pas de détourner toutes sortes d'inventions - bien sûr toujours sous des prétextes inventés et des profits de crise personnels très lucratifs.
En résumé, tout se dirige vers le Great Reset proclamé par le FEM : Nous ne devons plus rien posséder et en être contents. D'un autre côté, nous devons nous laisser piquer et repiquer sans cesse, sans nous poser de questions sur notre santé et notre survie.
Nous devons nous laisser surveiller du matin au soir dans tous les domaines de notre vie, jusque dans les moindres détails, sans avoir le moindre soupçon ni la moindre crainte. Nous devons continuer à verser toutes sortes de contributions obligatoires - non seulement pour des cotisations d'assurance maladie toujours plus élevées, mais aussi pour les médias de masse hors de prix - sans jamais nous plaindre et en laissant leurs poisons s'infiltrer en nous sans résistance - jour après jour. Il est grand temps que la communauté mondiale règle enfin ses comptes avec ces pires suppôts de la grande criminalité.
Vous savez quoi ? Je vais tout de suite vous faire quelques propositions qui pourraient devenir de véritables décisions mondiales. Et s'il vous plaît, ne me raccrochez pas au nez dès que vous aurez entendu la première moitié de la phrase, car la phrase se poursuit - et ça va bien se passer. En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d'abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM, ainsi que sur toutes les puissances d'arrière-plan qui parient certainement sur lui, comme BlackRock, Vanguard et Cie. Bien sûr, le Great Reset doit également être testé pendant 20 ans sur tous ces maîtres de l'argent privés, comme la Réserve fédérale, la City de Londres, l'État du Vatican.
En bref, tous les cercles connus qui ont tiré les plus grands profits des crises mondiales depuis des siècles, comme les maisons Rothschild, Rockefeller et autres, mais aussi tous les multimilliardaires actuels Jeff Bezos, Bom Kim, Anthony Wood, Ernest Garcia II, Jack Dorsey, Mark Zuckerberg, Brian Armstrong, George Soros, Bill Gates, Bobby Murphy, Evan Spiegel, Dan Gilbert, Jeff Green, etc. (5) ; ils doivent tous être mis à l'épreuve du Great Reset. En effet, ce n'est que si ces élites au pouvoir et les plus riches de la planète nous paraissent encore heureux après 20 ans de Great Reset que nous accepterons leur Great Reset.
En résumé, la démocratie mondiale teste d'abord la pertinence du Great Reset proclamé sur les 1% de super-riches qui possèdent justement plus d'argent que les 99% restants de la population mondiale. En tant que démocratie mondiale, nous décidons que la satisfaction durable de tous les multimilliardaires et multi-billionnaires de ce monde doit être prouvée sur une période d'au moins 20 ans avant que ce Great Reset souhaité puisse être appliqué au reste de l'humanité - mais pas avant ! Si le Great Reset devait faire le bonheur des personnes qui l'ont inventé et proclamé sur le monde entier, alors nous verrons ce qu'il en sera de la démocratie mondiale.
Je vais simplement dire en toute clarté ce que nous, le peuple, faisons complètement faux depuis tout ce temps : Nous nous laissons toujours guider et déterminer par des politiciens et des responsables qui n'ont aucunement prouvé par leur propre corps et leur vie que leurs nobles théories et idéaux politiques fonctionnent. Nous avons également laissé s'installer une mafia de l'éducation qui nous envahit de plus en plus avec ses idéologies et ses théories de comptoir. Aujourd'hui, nous ne savons même plus avec certitude si nous sommes un homme ou une femme… on en est arrivé là ! Nous laissons régner sur nous des puissances qui n'ont jamais pu nous prouver par elles-mêmes que leurs théories portaient vraiment de bons fruits.
Et si vous dites ici qu'une telle chose n'est pas possible, alors je vous répondrai : Bien sûr qu’une telle chose est possible ! Je renvoie tous ceux qui doutent de la possibilité d'une telle phase ou pratique de test à mon propre parcours :
Avant de commencer à parler au public et à agir dans le large public, j'ai d'abord testé ce que j'avais à dire et à offrir dans ma propre chair pendant 30 bonnes années - avec mon équipe, avec laquelle je travaille d'ailleurs toujours, depuis plus de 30 ans maintenant. En d'autres termes, nous avons offert gratuitement tous nos services, nos œuvres et nos produits depuis 1979. Avant de lancer le slogan « Le nouveau monde est sans argent », nous avons appliqué ce concept dans le pays le plus cher du monde, la Suisse. Aujourd’hui, cela fait déjà bien plus de 40 ans.
Bien sûr, nous savons qu'il faut de l'argent pour tout.Tout d'abord, sans argent, cela veut dire de ne plus rien faire pour de l'argent.
Le fait que tu puisses désormais regarder gratuitement 20 000 émissions de Kla.TV, que tu puisses te procurer et regarder gratuitement mes neuf grands films de fiction, est la preuve que ma théorie fonctionne dans la pratique - et ce avec des milliers de personnes qui vivent sous les mêmes latitudes que moi avec mes équipes ici.
Le fait que tu puisses obtenir gratuitement 2 000 enseignements de ma part, écrits et audio, en est une autre preuve. Les 18 grands événements de l'AZK, auxquels des dizaines de milliers de personnes ont pu participer gratuitement, en recevant tout le matériel d'enseignement et même de la nourriture de qualité gratuitement, sont la preuve que ma théorie fonctionne dans la pratique. Ensemble, nous n'avons pas rendu public et imposé au public quelque chose que nous n'avions pas testé auparavant sur notre propre corps pendant des décennies. Nous avons également prouvé pendant des décennies qu'un nouveau monde sans argent pouvait fonctionner en soignant gratuitement des milliers de personnes, en les hébergeant gratuitement chez nous et, au lieu de leur prendre de l'argent, nous les avons encore nourris.
Et si tu demandes malgré tout avec consternation comment une telle chose peut se faire, car il faut de l'argent pour tout et qu'après tout, l'argent ne tombe pas du ciel, je te répondrai ceci : Il est bien vrai que l'argent ne tombe pas du ciel, mais chaque fois que nous faisons vraiment du bon travail, des services qui viennent du cœur, des services sans arrière-pensée ni but lucratif, le ciel veille à ce que les gens nous récompensent automatiquement pour nos bonnes prestations/actions/oeuvres ! Ils ont alors naturellement envie de soutenir financièrement notre cause. Et non, pas à la suite d'appels aux dons ou de lettres de mendicité !
Pas après avoir parcouru les rangs avec une corbeille de collecte ; pas non plus après avoir publié nos numéros de compte en banque et avoir constamment insisté sur le fait qu'il fallait nous faire des dons, car sinon nous n’aurions pas de revenus. Pendant des décennies, nous n'avons pas utilisé une seule de ces possibilités ! Au lieu de cela, nous avons servi sans compter des dizaines de milliers de personnes qui ne nous ont jamais rendu un seul centime. Nous avons volontairement testé cette expérience sur notre propre corps et notre propre vie, c'est-à-dire dans notre pratique personnelle, pendant des décennies, avant de déclarer : « Le nouveau monde est sans argent ». Le fait est qu'à aucun moment nous n'avons manqué d'argent et que jusqu'à aujourd'hui nous n'avons connu que du surplus en quantité croissante - et ce en distribuant !
Aujourd'hui, avec des milliers de contributeurs bénévoles, je sers déjà régulièrement des millions de personnes. Et nous travaillons tous dur, jour et nuit. Et vous savez quoi ? En plus de tous les services bénévoles, nous travaillons tous dur pour gagner notre propre pain. Nous réinjectons constamment des parts considérables de l'argent que nous gagnons dans nos œuvres bénévoles, afin de pouvoir vous servir gratuitement ! J’ai créé pas moins de trois entreprises pour pouvoir vous servir gratuitement. Cela signifie que moi et nous tous, nous ne cherchons vraiment pas votre argent. Nous préférons vous servir avec notre propre argent et nous mettre à votre disposition avec tout ce que nous avons. Comme je le fais déjà depuis 1979, nous le faisons encore aujourd'hui en tant qu'équipes dirigeantes de Kla.TV, AZK, V&CV, OCG, etc.
Nous réinjectons constamment nos excédents dans le circuit commun : pour le travail d'information, pour le travail de réhabilitation, pour le travail de guérison des personnes en quête d'aide de toutes sortes, pour l'aide aux familles et bien d'autres choses encore. Je pense donc être compétent en proposant de dire désormais « oui » à tous les vaccins commandés par l'industrie pharmaceutique, y compris ceux de la MNRA, mais à la seule condition que nous testions au préalable tous ces produits pendant au moins 20 ans sur leurs propres fabricants, ainsi que sur tous les politiciens qui soutiennent de telles actions expérimentales. Mais le test de 20 ans doit également être mené à bien sur tous les complices et collaborateurs des services de santé et autres. Et nous établissons des instances de surveillance totalement indépendantes du point de vue de la démocratie mondiale, qui examinent en permanence ces vaccins pour s'assurer qu'aucune solution saline n'est injectée à leur place.
Quiconque est en accord avec ce type de vaccination doit se soumettre à un test pendant au moins 20 ans avant que la population mondiale puisse être mise en contact avec ces poisons. En fin de compte, nous devons, en tant que démocratie mondiale, œuvrer à la décision mondiale selon laquelle plus rien ne peut être appliqué à l'ensemble de l'humanité sans avoir été suffisamment testé sur ses propres inventeurs. Nous aimerions d'abord voir comment se portent Bill Gates, Karl Lauterbach, Drosten et consorts après 20 ans d'injections d'ARNm. C'est pourquoi je propose que nous disions même « oui » à la surveillance totale prévue, ainsi qu'à l'abolition de l'argent liquide - mais uniquement à la condition que l'ensemble de la population mondiale puisse surveiller pendant au moins 20 ans toutes les élites susmentionnées avec leurs propres technologies. En tant que démocratie mondiale, nous inversons les rôles et ordonnons une sorte de Truman Show géant.
D'abord, nous mettons tous ensemble en lumière ces pouvoirs cachés, jusqu'à ce que nous ayons inscrit le dernier nom dans notre dictionnaire des pollueurs. Ensuite, nous éliminons toutes ces forces secrètes et nous les dotons de la technologie de surveillance qu'elles ont l'intention d'implanter sous la peau de toute la population mondiale. Nous voulons suivre aussi, pendant au moins 20 ans, chaque mouvement de ces mystérieuses élites. Tous les yeux du monde peuvent alors s'intéresser le soir, au lieu de regarder la télévision, à ce que ces personnes font toute la journée. Nous travaillerons avec la reconnaissance faciale et le GPS afin de savoir à tout moment où se trouvent par exemple Klaus Schwab, Elon Musk, Bill Gates, George Soros et tous les autres grands fonctionnaires.
Chaque transaction qu'ils effectueront, chaque dollar qu'ils percevront, nous voulons pouvoir les reconstituer et les suivre ensemble. Ils vivront eux-mêmes, comme ils l'ont planifié, sous un système de crédit social. Il y aura immédiatement des pénalités, des restrictions de voyage et des sanctions automatiques dès qu'ils ne fonctionneront pas exactement comme une population mondiale décente selon ce que nous pensons. Nous aimerions d'abord comprendre chaque pari que ces gros spéculateurs ont fait auparavant sur nos faillites. Nous voulons éduquer la population mondiale à l'exemple de ces personnes, afin qu'elle apprenne à comprendre exactement, et même que chaque enfant puisse finalement juger dans quelle mesure ces personnes sont utiles ou nuisibles à la communauté mondiale.
Nous voulons aussi connaître chaque interrelation, qui est en relation avec qui exactement et ce qu'ils font toute la journée - et, tant qu'on y est, bien sûr aussi la nuit. Nous aimerions voir ce que ce type de personnes, qui veut nous surveiller totalement, mange et boit exactement, quels médicaments elles prennent et lesquels elles refusent. Il ne doit pas y avoir un seul morceau de tissu sur leur corps dont nous ne soyons pas au courant. Pendant au moins 20 ans, nous voulons surveiller chaque pas qu'ils feront et nous relayer dans le monde entier pour qu'aucun moment ne nous échappe. Si alors ces élites semblent après tout vraiment heureuses aux yeux de la communauté mondiale qui les aura surveillées, celle-ci pourra adopter leurs technologies et se faire surveiller elle-même - mais seulement après une décision démocratique mondiale - et pas une heure avant. Et en aucun cas si le bonheur de ces élites surveillées ne nous a pas totalement convaincus.
Avant de conclure, j'aimerais encore faire une proposition de démocratie mondiale sur l'entrée dans le « nouveau monde sans argent ». Car un « monde sans argent » ne peut pas être introduit du jour au lendemain. Il doit grandir, on doit d'abord s'y habituer progressivement. Et ma proposition est la suivante : j'utilise pour cela une comparaison : Aucun citoyen ordinaire et sain d'esprit ne donnerait par exemple son argent à des terroristes manifestes, comme les coupeurs de têtes de l'EI, pour qu'ils puissent continuer à couper la tête de toutes sortes de personnes qui ne leur conviennent pas. Vous vous souvenez certainement de la manière dont ils coupaient la tête des personnes qui ne leur convenaient pas ou dont ils les abattaient et les poignardaient devant les caméras. Ma question à la communauté mondiale est la suivante : Pourquoi continuons-nous à donner notre argent - je parle ici au sens figuré - à n'importe quel coupeur de têtes du système mainstream ?
Voyez donc comment Kla.TV permet de réaliser un travail télévisuel professionnel, même à temps partiel, sans recevoir aucun argent des redevances. Pourquoi le mainstream devrait-il continuer à extorquer chaque année des milliards de redevances, eux qui, chaque jour, mentent comme un arracheur de dents et trompent de manière toujours plus nocive ? Parvenons ici aussi à une décision mondiale : Ils peuvent continuer à influencer l'opinion, mais uniquement à leurs propres frais, avec de l'argent honnêtement gagné. Fini le financement obligatoire. Pourquoi continuons-nous à donner notre argent à Big Pharma, aux fauteurs de guerre, aux banksters, à la mafia du climat, à toutes sortes de mafias d'assurances et de profiteurs de crise ?
Pourquoi continuons-nous à financer avec notre argent tous ces systèmes sans argent liquide, pourquoi tombons-nous dans le panneau de toutes ces commodités, comme le QR code, etc. ? Savez-vous pourquoi l'absence d'argent liquide est si importante pour les élites encore au pouvoir ? Parce qu'elles savent pertinemment que le temps est venu, et viendra encore plus, où vous allez soudainement retirer, retenir votre argent devant tous ces criminels - et ce pour des raisons de conscience ! C'est pourquoi ils mettent les bouchées doubles pour pouvoir maîtriser vos flux d'argent et vos avoirs dans leurs systèmes numériques en appuyant sur un seul bouton. Si nous ne nous levons pas maintenant en tant que population mondiale et si nous ne les freinons pas à temps, cela n'aura bientôt plus d'importance pour ces détracteurs de la domination mondiale.
Car d'une simple pression sur un bouton, ils pourront tout simplement geler votre argent et vous n'en aurez plus. Et donc plus de capacité de défense, plus de voix, plus de liberté de mouvement. Unissons-nous donc et continuons à travailler pour que de plus en plus de lanceurs d'alerte de tous les domaines se lèvent et divulguent ces structures mafieuses. Continuons à travailler pour que tous les experts, médecins spécialisés, militaires, spécialistes et lanceurs d’alerte de tous les horizons se lèvent et sortent de ces associations. Qu'un dictionnaire de décharge soit aussi créé, où pourront s'inscrire tous ceux qui, suffisamment tôt, se sont sortis de toutes ces interconnexions illégales et préjudiciables aux peuples. Puisse-t-on un jour couronner ces personnes et les célébrer comme des héros courageux de cette époque, parce qu'elles auront changé de camp à temps. Mais commençons par opposer notre veto à toute guerre en tant que gouvernement populaire mondial. Nous déclarons : Le temps des guerres est terminé- nous ne voulons plus de guerres ; car nous sommes le peuple souverain - le peuple qui aime la paix !
Nous sommes arrivés à la fin de ce discours. Je recommande un mantra que je répète sans cesse à haute voix avec tous nos collaborateurs. Le voici – et il s'applique également à vous : « Ça ne se fera ni par la force militaire, ni par la force humaine, mais par les forces célestes en nous ; maintenant l’ennemi s’écroule totalement ! » Il n'y a pas d'autre chemin. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 46 ans.
de i.s. Sources / Liens : Reden von Alice Weidel https://www.youtube.com/watch?v=2ImCFvfWkdk
https://www.youtube.com/watch?v=dT27FAzrKXE
Rede von Robert Habeck https://www.youtube.com/watch?v=m2Wcnq6l4sI
Aktuelle Waffenlieferungen an die Ukraine - Im Filz der Waffenlobby www.kla.tv/24679
Quellen zu «Waffenmafia in der Ukraine», zu «gestohlene humanitäre Hilfe» und zu «Rückgang der Geburten» Büro Ha: Informations- und Nachrichten Büro – Bureau d’information et de renseignement 5040 Schöftland,AG / Wochenbericht 6/23 + 7/23
Zitat von Lord Hastings Ismay, erster Generalsekretär der NATO https://politreflex.ch/geschichte-gegenwart/die-nato-sollte-deutschland-unten-halten-erinnert-sich-die-afd-und-setzt-auf-russland/
Beteiligung von Microsoft an ChatGPT https://www.handelszeitung.ch/tech/open-ai-firma-hinter-chatgpt-erhalt-10-milliarden-us-dollar-von-microsoft-566394
Über «Service Corporation International» https://irrglaube-und-wahrheit.de/index.php?/topic/21307-dem-bestattungsgewerbe-geht-es-hervorragend/
Soros Wette gegen das britische Pfund https://www.cash.ch/news/politik/black-wednesday-heute-vor-30-jahren-zwang-george-soros-die-bank-of-england-in-die-knie-und-verdiente-eine-milliarde-dollar-532323
Un nouveau scandale médicamenteux se profile-t-il ?
le 4 mars 2023
Il est maintenant reconnu que la « malbouffe » est à l’origine de la nouvelle pathologie qui touche surtout les pays occidentaux. Il s’agit de l’obésité morbide. Le phénomène interpelle. En effet, des pays comme le Mexique ne disposent pas d’eau potable « à tous les étages » et heureusement que le Coca-Cola est là puisqu’il est produit avec de l’eau stérilisée avec de l’ozone et ultra-filtrée. Le seul détail réside dans le fait que le Coca-Cola est une boisson outrageusement sucrée qui favorise l’obésité. Avec tous les autres sodas sucrés il s’agit de la première cause d’obésité pathologique qui sévit dans les pays occidentaux. Cette obésité s’accompagne de diabète de type 2 non insulino-dépendant. Pour comprendre la suite de ce billet il est nécessaire de faire un bref rappel de la régulation du sucre, essentiellement le glucose, circulant dans le sang. Le saccharose ou sucre de betterave ou de canne est constitué d’une molécule de glucose et d’une molécule de fructose. Ces deux unités ne sont pas métabolisées ni utilisées par les mêmes voies métaboliques dans l’organisme à part égale. Le glucose est très rapidement « brûlé » pour fournir de l’énergie ou stocké sous forme de glycogène dans le foie et les muscles pour une utilisation ultérieure. J’anthropomorphise cette description pour une meilleure compréhension. Il n’existe pas de mécanisme de stockage du fructose qui est donc dégradé pour produire un précurseur des acides gras, donc favoriser l’apparition d’une augmentation du volume du tissu adipeux inutile et ainsi de l’obésité avec le diabète de type 2 comme conséquence.
Puisque l’organisme fonctionne dans le but d’éviter une pénurie de glucose, le principal « combustible » du cerveau et des muscles. Le fructose joue néanmoins un rôle important dans l’apport en énergie de la cellule puisqu’il peut se retrouver sous forme phosphorylée à partir du glucose mais également entrer dans le processus de stockage hépatique et musculaire du glucose. En effet l’insuline, une hormone sécrétée par le pancréas, stimule la dégradation du glucose et du fructose dans le processus appelé glycolyse pour optimiser le stockage du glucose. Dans ces conditions l’organisme a mis au point un système de régulation très sophistiqué dont les deux acteurs sont l’insuline qui dit à la cellule de stocker du glucose et une autre hormone également d’origine pancréatique, le glucagon, qui redirige le tronc métabolique de la glycolyse vers la production d’acides gras. La production de glucose sous sa forme phosphorylée en position 1 va ainsi pouvoir être utilisé pour le stockage de ce sucre sous forme d’un polymère appelé glycogène. J’ai rédigé ce rappel de mémoire sans vérifier si je n’avait pas écrit de graves erreurs mais mes lecteurs pourront vérifier, il me semble avoir été exact.
L’apparition du diabète de type 2 est en réalité une conséquence de la consommation abusive de saccharose. La régulation ne sait plus où elle en est. En d’autres termes il est préférable de faire de l’alcool à l’aide de levures en les nourrissant avec du saccharose plutôt que de charger l’organisme avec ce sucre mal utilisé et conduisant à des déviances métaboliques qui nuisent à la santé de milliards de personnes dans le monde.
Venons-en donc à l’objet de cette note. Les laboratoires pharmaceutiques ont trouvé la poule aux œufs d’or pour combattre l’obésité car elle entre dans le cadre des préoccupations des décideurs politiques et la stratégie est simple. Il suffit de créer synthétiquement un analogue du glucagon qui se fixe sur le récepteur de ce dernier. La conséquence est évidente : puisque ce que j’ai mentionné plus haut, la glycolyse est réorientée vers une diminution de la concentration sanguine de glucose, ce qui est le cas pour le diabète de type 2 : de fortes teneurs en glucose sanguin, alors cette approche de stimulation du récepteur du glucagon va bien provoquer une chute du taux de glucose sanguin mais par voie de conséquence stimuler également le « brûlage » du fructose et non la fin fatale vers la production d’acides gras. Il existe aujourd’hui deux traitements pour combattre le diabète de type 2 et ces deux médicaments sont des analogues du glucagon qui ont été modifiés pour persister dans la circulation sanguine près d’une semaine. Il s’agit du Semaglutide connu sous le nom d’Ozempic et le Tirzepatide qui ont strictement le même mode d’action.
Les conséquences sur le métabolisme sont spectaculaires : diminution du glucose sanguin, perte d’appétit et perte de poids, tout pour plaire aux médecins peu scrupuleux qui voient de plus en plus d’obèses pathologiques consulter. Ces médecins peu scrupuleux, il faut appeler un chat un chat, prescrivent maintenant l’Ozempic pour perdre du poids, ce qui est réel, mais également comme coupe-faim. Aux Etats-Unis la demande a explosé et la FDA laisse faire. Un article récent du quotidien Le Monde (que je ne lis jamais) souligne ce nouveau fait de société apparu en France (lien en fin de billet) mais n’analyse pas les graves conséquences sur la santé. Ces « drogues » présentent un effet secondaire qui a été décrit dans la littérature médicale. Une molécule comme l’Ozempic rétroagit sur les cellules endocrines du pancréas et peuvent provoquer une inflammation du pancréas conduisant à plus ou moins court terme à un cancer fatal de cet organe. La glande thyroïde est également concernée. On se trouve donc à l’évidence devant un nouveau scandale sanitaire d’ampleur mondiale. Les laboratoires pharmaceutiques tels que Novo Nordisk ou Eli Lilly (il y a plus de 5 acteurs dans ce domaine dont Sanofi) ne lâcheront pas le morceau puisque les réseaux sociaux se sont emparés de cette nouvelle thérapeutique de perte de poids et on peut parier que les autorités sanitaires se feront graisser la patte abondamment pour autoriser la prescription de ces médicaments dangereux au moins jusqu’à expiration de leurs brevets. En conclusion la santé est devenue une marchandise source de profits pour des criminels, ces entreprises pharmaceutiques, qui ne sont préoccupées que par les dividendes versés à leurs actionnaires et leurs propres profits. Mais jusqu’à quel point les vrais coupables de cet état de fait ne sont pas ces actionnaires eux-mêmes dont par exemple le gestionnaire de fonds BlackRock ?
"Quand vous considérez que les tests étaient obligatoires dans les hôpitaux, bien qu'ils ne soient pas écrits dans la loi, et qu'ils aient utilisé le test PCR notoire pour produire de faux positifs, il n'est pas difficile de voir comment le gouvernement a réussi à mélanger des dizaines de milliers de personnes qui sont réellement décédées. d'autres causes dans les statistiques de décès de Covid-19 », a rapporté The Exposé à propos de cette falsification des chiffres.
Il a fallu de nombreuses enquêtes, y compris de nombreuses demandes d'accès à l'information, pour aller au fond de cette tromperie. Il a également fallu une analyse et une évaluation indépendantes des données pour parvenir à une conclusion précise sur la véritable cause principale de décès tout au long de l'arnaque : les « vaccins ».
Le dernier ensemble de données publié le 21 février 2023 confirme que les piqûres de covid augmentent massivement le risque de décès d'une personne - de 276%, en fait. Les taux de mortalité parmi les non vaccinés, quant à eux, sont les plus bas de tous les groupes démographiques.
"Comme je le vois maintenant que nous connaissons les conséquences de tous les vaccins non testés, non testés et non prouvés, si une personne formée médicalement essaie de me piquer avec une aiguille, elle se cassera accidentellement le cou", a écrit un commentateur furieux en réponse. à l'actualité.
«Ce n'est rien de plus qu'un meurtre intentionnel parrainé par l'État d'appliquer à nouveau quoi que ce soit comme ces vaxx covid, et les vaxx sont pour moi trop stupides pour réaliser d'une manière ou d'une autre que le vaxx et les boosters vont les sauver. C'est aussi pourquoi je ne devrais rien avoir à payer pour ça ! Les vaxxés se sont injectés sciemment et devraient payer leurs propres soins de santé à l'avenir.
Un autre commentateur s'est inquiété du fait que les "chemtrails", qui sont produits lors des opérations de pulvérisation de géo-ingénierie, soient peut-être mélangés à du covid ou à un autre produit chimique toxique conçu pour rendre malade quiconque les respire.
"Dans le Yorkshire U.K., nous sommes régulièrement chemtrailés", a écrit cette personne. "Il devrait y avoir une élimination de tous les députés inutiles."
Les dernières nouvelles sur les injections covid peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Le Canada fait la guerre au Dr Charles Hoffe pour avoir dénoncé publiquement les «vaccins» covid
Vendredi 03 mars 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) L'un des premiers professionnels de la santé à être ciblé et traqué par l'établissement médical pour avoir utilisé un test D-Dimer pour prouver les dommages causés par le «vaccin» du coronavirus de Wuhan (Covid-19), le Dr Charles Hoffe s'exprime à nouveau sur les dangers de se faire injecter du covid.
La salle d'urgence et le médecin de famille du sud de la Colombie-Britannique disent avoir vu un afflux de patients endommagés par le vaccin depuis le lancement de l'opération Warp Speed. Une sorte de dénonciateur, Hoffe continue de le dire comme si cela mettait en danger sa vie et ses moyens de subsistance.
"On nous a dit que cela avait été testé pour la sécurité", a déclaré Hoffe à propos de l'injection. « Normalement, il faut cinq à dix ans pour dire si un nouveau traitement est sûr. Et lorsqu'il s'agit d'une technologie entièrement nouvelle, il leur faudrait plus de temps que cela. C'était une technologie complètement nouvelle, donc le fait qu'ils l'aient déployée si rapidement a suscité l'inquiétude de beaucoup de gens.
"On nous a assuré que cela avait passé tous les tests de sécurité normaux, ce qui, bien sûr, était complètement faux. Nous étions littéralement faussement assurés de leur innocuité et de leur efficacité. Et parce que les gens veulent pouvoir faire confiance aux médias et au gouvernement, ils ont cru. Mais j'avais des doutes, alors je regardais attentivement.
(En relation: En 2021, Hoffe a averti que la plupart des personnes qui se «vaccinent» contre le covid mourront d'une insuffisance cardiaque dans quelques années.)
De nombreux patients de Hoffe ont développé de graves problèmes neurologiques après avoir été piqués Presque immédiatement après que l'administration Trump a déclenché les injections de covid, Hoffe a commencé à voir de première main les problèmes neurologiques qu'elles causent. Hoffe venait de rentrer de vacances en Afrique du Sud lorsque cette série de blessures a commencé à apparaître, et cela l'a choqué.
"J'étais assez alarmé par le fait que ces personnes avaient de graves effets secondaires neurologiques qui n'avaient pas disparu et qu'elles ne montraient aucun signe de résolution", dit-il. "Et j'étais profondément préoccupé par le fait que ces tirs n'étaient clairement pas aussi sûrs qu'on nous l'avait dit et que d'autres médecins ne les signalaient même pas."
Certains des premiers signes d'un problème étaient des patients présentant des étourdissements prononcés, des bourdonnements dans les oreilles (acouphènes), une sensibilité à la lumière et au son et une faiblesse physique. Puis vinrent les sensations de décharge électrique dans leurs membres, ainsi que la douleur et la paralysie nerveuse chez certains.
"Je n'ai jamais vu autant d'effets secondaires graves d'un traitement, et encore moins d'un vaccin", déclare Hoffe. « Les vaccins sont un traitement administré aux personnes en bonne santé pour les maintenir en bonne santé. Il devrait y avoir une tolérance zéro pour causer du tort.
Sur les quelque 900 patients de Hoffe qui ont été injectés, au moins six d'entre eux ont développé des effets secondaires neurologiques graves sans aucun signe de résolution. Certains d'entre eux sont allés voir d'autres médecins pendant l'absence de vacances de Hoffe pour demander de l'aide, seulement pour constater qu'il n'y a pas de solutions connues à ces dommages par injection.
Hoffe a alors pris sur lui de contacter 18 collègues médecins de sa région pour s'enquérir de ce qu'ils voyaient avec leurs patients. Il a reçu un ordre de bâillon des autorités sanitaires locales et a également été menacé par le Collège des médecins et chirurgiens de se taire, sinon.
"J'ai réalisé que, évidemment, il y avait une grande dissimulation qui se passait ici", dit Hoffe à propos de ce qu'il a fini par apprendre tout au long de cette horrible saga.
« C'était absolument stupéfiant que les médecins ne soient plus autorisés à utiliser leurs connaissances scientifiques ou leur perspicacité médicale pour évaluer ce qui se passait chez leurs propres patients. Ceci n'est pas un médicament. Ce n'est pas scientifique. C'est de la tyrannie médicale.
Les dernières nouvelles sur les guerres covid peuvent être trouvées sur Plague.info.
Naomi Wolf: Les autopsies sur le vaxxed confirment que les dommages causés par le vaccin COVID endommagent les organes du corps
Vendredi 03 mars 2023 par : Kevin Hughes
(Natural News) L'auteure et PDG de Daily Clout, Naomi Wolf, a fait remarquer que les autopsies sur les personnes vaccinées attestent de la façon dont le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) cause des dommages catastrophiques aux organes du corps.
"Le rapport 56, je pense, est une preuve irréfutable que nous sommes en guerre car il montre que cette injection - dont je dis qu'elle est une arme biologique - cause des dommages catastrophiques chez au moins ces 30 personnes décédées qui ont été autopsiées", a déclaré Wolf à l'hôte. et l'ancien stratège en chef de la Maison Blanche Steve Bannon lors d'un récent épisode du podcast "Bannon's War Room".
Wolf a noté les efforts du Dr Robert Chandler, l'un des volontaires réunis par le Daily Clout pour parcourir les documents du fabricant de vaccins COVID-19 Pfizer. Chandler s'est concentré sur l'étude réalisée par le pathologiste allemand Dr Arne Burkhardt et sept autres experts. Les huit ont pratiqué une deuxième autopsie sur 30 personnes décédées injectées avec le vaccin COVID-19 à la demande de la famille et des amis insatisfaits des résultats des premiers examens.
La plus jeune personne avait 28 ans, tandis que la plus âgée avait plus de 90 ans. Wolf a noté que ces personnes sont décédées à l'intérieur et à l'extérieur des établissements médicaux.
Lésions catastrophiques, protéine de pointe trouvée chez le défunt
Wolf a dit à Bannon que des lésions catastrophiques ont été trouvées dans tout le corps de ces personnes – plus particulièrement dans des organes tels que le cerveau, le cœur, les reins, le foie, la rate et les poumons.
« Les décès étaient de sept jours à six mois après les injections. Ainsi, ils recherchaient tout signe indiquant que la protéine de pointe ou d'autres ingrédients avaient été la cause des décès. Et dans la majorité des cas, ils ont trouvé [que la] cause probable ou la cause probable était le vaccin. »
Burkhardt a prélevé des échantillons de tissus et les a colorés pour voir s'il y avait des changements dans les tissus des personnes vaccinées décédées. Après analyse, ils ont trouvé la protéine de pointe SARS-CoV-2 dans les parois artérielles et l'aorte des cadavres. Sur cette base, Wolf a déclaré que les vaccins COVID-19 avaient peut-être endommagé le système vasculaire – en plus de provoquer des caillots dans les vaisseaux sanguins.
Elle a également présenté une diapositive d'une rate montrant le phénomène de «peau d'oignon» observé dans certaines maladies auto-immunes et un poumon vacciné endommagé par l'injection de COVID. Cela a ensuite été suivi par un rapport de Burkhardt et de ses collègues concluant que les lymphocytes provoquaient probablement une rupture dans le cerveau du défunt.
De plus, Wolf a présenté une diapositive montrant des corps étrangers non identifiés dans les vaisseaux, en particulier dans les vaisseaux spléniques qui se trouvaient dans cinq des cadavres. Elle a déclaré que les scientifiques et les pathologistes avaient conclu qu'il s'agissait probablement de nanoparticules lipidiques (LNP) qui coalescent et se solidifient.
Ils ont également déclaré qu'il est probable que dans la chaleur du corps, les LNP se solidifient et provoquent ce matériau non identifié qui ressemblait à une graisse industrielle durcie. Selon Wolf, les nanoparticules sont transportées et stockées à des températures inférieures à zéro, ce qui signifie qu'elles sont sous forme liquide avant de se solidifier dans le corps ou à température ambiante. En d'autres termes, les gens reçoivent de l'injection de COVID quelque chose qui traverse leur corps, traverse tous les organes de leur corps, puis fusionne.
"Je veux juste conclure en disant que c'est une arme biologique. C'est une arme biologique. Ceci n'est pas un produit médical. Cela cause des dommages catastrophiques à 30 cadavres, 70 % d'entre eux ont des dommages catastrophiques, et la conclusion de ces scientifiques et médecins respectés est que c'est lié au vaccin », a déclaré Wolf.
Suivez VaccineDeaths.com pour plus d'informations sur les décès et les blessures causés par le vaccin COVID.
Regardez la conversation complète entre Steve Bannon et Naomi Wolf ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne The Willow sur Brighteon.com.
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Les examens post-mortem trouvent des biostructures massives de caillots sanguins dans les corps des vaccinés.
Analyse d'autopsie : 93 % des décès post-vaccinaux sont causés par les piqûres… les « lymphocytes tueurs » attaquent des organes comme le cœur et les poumons.
Une étude révèle que 25 % des personnes vaccinées souffrent d'effets post-immunisation, allant de légers à potentiellement mortels.
Le syndrome de la mort subite de l'adulte est le nouveau nom des décès par vaccin dans la réalité factice de l'establishment médical.
Les protéines de pointe de piqûres de Covid envahissent «tous les principaux organes», accélèrent le vieillissement cellulaire.
The Robert Scott Bell Show : Le Dr Jack Wolfson atteste de la capacité de renforcement des artères du super nutriment CUIVRE – Brighteon.TV
Vendredi 03 mars 2023 par : Belle Carter
(Natural News) Malgré l'hésitation des gens à propos de la toxicité du cuivre, un cardiologue certifié a attesté des effets positifs du nutriment sur la santé vasculaire car il renforce les artères.
Le cardiologue Dr Jack Wolfson a partagé les avantages du cuivre lors de l'édition du 27 février de "The Robert Scott Bell Show" sur Brighteon.TV. L'auteur de "The Paleo Cardiologist : The Natural Way to Heart Health" a déclaré à l'animateur de l'émission, Robert Scott Bell, que le cuivre est naturellement présent dans certains aliments et qu'il est disponible sous forme de complément alimentaire.
"Il est certainement très intéressant que la formation médicale soit très brève concernant le cuivre en tant que minéral et en tant que nutriment", a déclaré Wolfson. "[Bien que] nous reconnaissions que le diagnostic typique de surcharge en cuivre ou de maladie de Wilson est franchement très rare, nous n'utilisons tout simplement pas les avantages du cuivre."
Le cardiologue a ajouté que le cuivre joue un rôle dans la chaîne de transport d'électrons et la production d'énergie, la production d'eau à l'intérieur d'une cellule, puis finalement c'est un cofacteur de l'enzyme chlorure de lithium (LiCl) oxydase, qui aide à rendre les artères solides et autres tissus.
Le cardiologue a également déclaré qu'il souhaitait que le cuivre soit accessible à tous, citant que la meilleure source de nutriments provient de la chair animale et des abats, en particulier du foie de bison. "Le bison d'Amérique est un animal majestueux et c'est la meilleure nourriture pour notre corps car il est nourri avec de l'herbe en liberté et des prairies finies avec de l'herbe", a-t-il ajouté.
Selon le Bureau des compléments alimentaires des National Institutes of Health, le cuivre peut être trouvé dans plusieurs aliments tels que les crustacés, les graines et les noix, les céréales de son de blé, les produits à grains entiers et le chocolat. L'eau du robinet et d'autres boissons peuvent également être des sources de cuivre, bien que la quantité dans ces liquides varie selon la source.
Selon Medical News Today, de faibles niveaux de cuivre ont été associés à un taux de cholestérol élevé et à une pression artérielle élevée. Trop peu de cuivre peut également entraîner une neutropénie, une carence en globules blancs qui combattent les infections.
L'apport quotidien recommandé en cuivre est d'environ 900 microgrammes (mcg) par jour pour les adolescents et les adultes, avec une limite supérieure de 10 000 mcg ou 10 milligrammes (mg) par jour pour les adultes âgés de 19 ans et plus. Un apport supérieur à ce niveau pourrait être toxique.
L'accent mis sur la santé cardiovasculaire aborde également les problèmes rénaux D'une part, si l'on est déficient en cuivre, certaines conditions de santé et d'autres facteurs peuvent augmenter le risque. Ceux-ci incluent des défauts génétiques du métabolisme du cuivre, des problèmes d'absorption et une consommation trop élevée de suppléments de zinc ou de vitamine C. Certaines conditions, telles que la démyélinisation du système nerveux central, la polyneuropathie, la myélopathie et l'inflammation du nerf optique peuvent également être aggravées. Le cuivre étant stocké dans le foie, les carences ont tendance à se développer lentement avec le temps.
D'autre part, une accumulation excessive de cuivre a également été associée à la maladie d'Alzheimer. (Connexe : Consommez-vous trop de cuivre ? Le cuivre provenant de l'alimentation est lié à un risque accru de maladie d'Alzheimer.)
Bell a souligné que si les gens et les médecins se concentrent sur la santé cardiovasculaire, même la santé rénale peut être améliorée et restaurée. Wolfson a accepté, affirmant que la clé pour les personnes atteintes de maladie rénale est certainement de surveiller leurs niveaux de potassium, de magnésium et de sodium.
"Ce que vous allez rechercher, c'est ce qui se passe car nous voulons faire attention à ce que le potassium et le sodium ne montent pas trop haut ou trop bas car cela aurait un impact sur l'équilibre du magnésium", a-t-il déclaré. "Lorsque vous donnez au corps les nutriments dont il a besoin pour faire son travail, vous pouvez vous attendre à une amélioration de la fonction rénale, et non à une amélioration de la détérioration."
Suivez Nutrients.news pour plus d'histoires sur le cuivre et d'autres nutriments.
Regardez l'épisode complet du 27 février de "The Robert Scott Bell Show" mettant en vedette le Dr Jack Wolfson ci-dessous. Découvrez les nouveaux épisodes du programme tous les lundis de 16h à 17h. sur Brighteon.TV.
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Viande d'organe nourrie à l'herbe décrite par certains comme une centrale de micronutriments pour une nutrition maximale.
Un scientifique japonais met en garde : les méfaits du vaccin COVID sont désormais un problème mondial
Vendredi 03 mars 2023 par : Oliver Young
(Natural News) L'éminent scientifique japonais, le Dr Masanori Fukushima, a averti que les dommages causés par les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), en particulier ceux de la variété ARNm, sont désormais un problème mondial.
Fukushima est le président du Centre d'informatique de recherche translationnelle et est également professeur émérite à l'Université de Kyoto. Il a près de trois décennies d'expérience dans la recherche sur le cancer et les soins médicaux globaux.
Selon Fukushima, l'ampleur des effets néfastes sur la santé causés par les injections d'ARNm a finalement mis en danger des milliards de personnes innocentes.
Dès mars de l'année dernière, les données du système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) ont révélé que les décès causés par les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont dépassé ceux causés par tous les autres vaccins au cours des 30 dernières années.
Le VAERS a enregistré un total de 26 059 décès causés par les vaccins COVID-19 au cours des 15 premiers mois de déploiement, soit près de trois fois les 9 066 personnes tuées par des vaccins non COVID au cours des 30 années précédentes. (En relation: les données du VAERS montrent que les décès par vaccin COVID SURPASSENT ceux causés par d'autres injections.)
Les vaccins COVID-19 ont également causé des incapacités permanentes à 48 342 personnes en seulement 15 mois, soit plus du double des 20 096 personnes qui ont souffert d'incapacités permanentes après avoir reçu des injections de vaccins non COVID au cours des trois dernières décennies.
Avec un plus grand nombre de pays ayant désormais accès aux vaccins, il est facile de comprendre pourquoi Fukushima pense que les dommages induits par les vaccins sont désormais une préoccupation mondiale.
Le médecin a également critiqué ceux qui font la promotion des vaccins à ARNm auprès des masses, en particulier ceux qui n'ont pas les qualifications académiques appropriées pour le faire. Fukushima faisait évidemment référence à des politiciens comme le président Joe Biden, qui n'hésitent pas à imposer des vaccinations malgré une connaissance limitée des vaccins.
L'analyse experte de Fukushima des injections d'ARNm et de la santé humaine domine la communauté médicale mondiale. D'après son analyse, les conséquences négatives sur la santé des injections d'ARNm sont déjà un problème mondial. Les vaccins peuvent potentiellement déclencher une vague de crises cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux et de morts subites.
Les personnes vaccinées sont comme une bombe à retardement Daniel Horowitz, rédacteur en chef du Blaze, a fait un point similaire dans un article il y a près d'un an.
«Les rapports de myocardite et de péricardite sont si répandus maintenant que seulement au cours des huit premières semaines de 2022, nous sommes déjà à 47% du total des soumissions au VAERS pour 2021. Il y a eu 24 177 rapports de péricardite [et] de myocardite soumis au VAERS en 2021 En 2022, jusqu'au 25 février, il y a eu 11 289 signalements, soit près de la moitié du total de l'année dernière », a-t-il écrit.
Horowitz a proposé deux explications possibles à l'afflux soudain de rapports du VAERS au cours des deux premiers mois de 2022. "Soit plus de gens et de médecins connaissent le VAERS et savent [comment] rechercher une myocardite, soit il y a une bombe à retardement avec beaucoup plus de gens maintenant réalisant qu'ils avaient des problèmes cardiaques des mois plus tard », a-t-il déclaré.
« Quoi qu'il en soit, cela signifie que les estimations initiales de la prévalence des cas n'étaient que la pointe de l'iceberg, et nous verrons probablement de jeunes cœurs endommagés pour les années à venir.
Pour empêcher que cela ne se produise, Fukushima a proposé une solution simple : arrêter tous les programmes de vaccination contre le COVID-19 à travers le monde.
Mais Fukushima a déclaré que les agences de santé publique doivent d'abord reconnaître les problèmes causés par les vaccins et indiquer clairement que ces problèmes constituent une menace directe pour la santé publique.
Lisez plus d'histoires sur les vaccins COVID-19 sur Vaccines.news.
Regardez le Dr Masanori Fukushima discuter de son procès contre le gouvernement japonais pour avoir dissimulé la vérité sur les injections de COVID-19 ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne Red Voice Media sur Brighteon.com.
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Par Dominique Arias Mondialisation.ca, 03 mars 2023
Je me consacre entièrement à un travail de recherche sur le fonctionnement cognitif des autistes. Il se trouve que je le suis moi-même mais je ne le savais pas. Je ne l’ai compris qu’il y a trois ans, à l’entrée de la « Crise COVID », et j’ai immédiatement commencé mon autoformation dans ce domaine, parrainé par le Pr. Mottron, de Montréal, qui m’a diagnostiqué lui-même. Laurent Mottron est l’un des experts les plus réputés dans ce domaine – et surtout l’un des plus unanimement reconnu et validé par les autistes eux-mêmes, parce que ses analyses correspondent réellement à notre vécu et l’éclairent vraiment, dans tous ses aspects à la fois. Ce qui n’est généralement pas le cas de la grande majorité des théoriciens de l’autisme – loin s’en faut.
Ce texte est une réponse à l’article de Senta Depuydt, « En hommage au Pr. Montagnier, qui a osé parler du lien entre autisme et vaccination ».
On ne peut reprocher à quelqu’un de ne pas savoir, concernant un domaine dont les plus grands spécialistes eux-mêmes se reconnaissent déconcertés et incapable d’expliquer l’origine réelle et les clés de cette évolution atypique. Mais on peut certainement reprocher à un chercheur de renom de prétendre avoir tout compris d’un domaine dont il ignore (délibérément) les fondements les plus élémentaires. Et évidemment c’est un sujet auquel je suis particulièrement sensible, non pour moi-même, mais parce que ce sujet concerne la survie d’enfants qui sont exactement comme j’étais moi aussi à leur âge, et souvent rien de plus, mais dont le taux de suicide devient à l’âge adulte nettement supérieur à ce qu’il est chez leurs pairs non-autistes, alors qu’ils aiment la vie telle qu’ils la perçoivent, comme on ne peut l’imaginer lors qu’on ignore tout de ce qu’est le surfonctionnement perceptif.
J’ai une grande admiration pour le Pr Montagnier. Je n’ai aucun doute sur l’éclairage qu’il porte sur les vaccins et sur les effets néfastes de la toxicité environnementale (ou sur l’émergence du SIDA). C’est incontestablement son domaine de compétence, et c’était un grand érudit. J’ai, moi aussi, refusé de me faire vacciner COVID malgré mon âge et je ne considère pas non plus ces produits comme des vaccins. Au reste je n’ai aucun doute sur les effets potentiellement néfastes de la vaccination en général sur le « système immunitaire » (ou sur la capacité de réponse immunitaire de l’organisme). Par ailleurs, j’ai compris par moi-même dès les premières semaines de la « pandémie » que la narrative du COVID était une PSYOP qui ne collait pas avec sa propre évolution, et qu’il y avait des contradictions flagrantes entre les chiffres et les faits – ou leur improbabilité. J’étais de fait convaincu dès le départ que le virus avait été modifié en labo, comme ceux des différentes grippes aviaires et porcines qui l’avaient précédé, sauf que cette fois-ci il ne visait pas la « régulation d’un marché » mais les populations humaines. Là-dessus, nous sommes totalement sur la même longueur d’onde.
Mais en matière d’autisme comme en virologie ou en épidémiologie, il est inacceptable qu’un profane absolu s’arroge le droit d’écarter d’un revers de main les plus grands spécialistes de ce domaine en assurant qu’ils mentent ou n’y connaissent rien, sans être lui-même ni expert ni directement concerné. C’est tout aussi inadmissible lorsqu’il s’agit d’un journaliste ou d’un obstétricien qui réfute Péronne, Raoult, Delépine ou Montagnier lui-même dans leur propre domaine d’expertise, que lorsque Montagnier à son tour réfute de la même manière les connaissances des autistes eux-mêmes sur leur propre condition et l’érudition de personnes qui ont passé toute leur carrière à observer et diagnostiquer des milliers de tout jeunes autistes, à les suivre jusqu’à l’âge adulte, et à chercher à étudier et comprendre l’autisme, entourés d’étudiants et de chercheurs autistes, en éclairant dès lors non plus leurs « déficits » mais au contraire leurs surcapacités perceptives et intellectuelles. L’empoisonnement par des toxiques chimiques provoque des dégradations et des lésions, non des surcapacités ou des surperformances – et pas seulement chez quelques-uns. Par exemple : si l’on avait découvert bien plus tôt le moyen de « guérir l’autisme » (le Saint Graal de tant de chercheurs, eugénistes dans l’âme), on n’aurait jamais constaté qu’un enfant entre deux et cinq ans, n’importe quel enfant ou presque, peut s’avérer parfaitement capable de décoder mentalement, tout seul, les structures et le fonctionnement du langage (oral et écrit) en restant presque totalement en retrait des interactions interhumaines (aucun problème d’interactivité avec le chat ou le chien), simplement perceptivement et par déduction, en détectant les similitudes, les associations et les correspondances qui le structurent. Et parfois même sans prononcer un seul mot pendant cinq ans ni échanger un seul regard avec quiconque. C’est pourtant de ça qu’il s’agit !
L’autisme n’est pas une maladie
L’autisme, à ce qu’on en comprend aujourd’hui, n’est ni une maladie à soigner ni une déficience cognitive ou un « trouble évolutif du développement » (sinon pour ceux qui ont un train de retard). Au regard du type et des niveaux d’intelligence qu’il produit, l’autisme est simplement l’expression d’une diversité naturelle dans le développement de l’intelligence et des structures neuronales qui la sous-tendent dans notre espèce, et peut-être pas seulement. Exactement comme le fait d’être gaucher n’est ni un handicap en soi, ni une déficience. Tout part d’une erreur de jugement au départ. Au XIXe siècle, lorsqu’on établissait l’inventaire des maladies mentales, on n’identifiait que les cas les plus flagrants, et on ne classifiait pas encore correctement tous les symptômes de chaque phénotype. L’autisme alors était une psychose infantile, et lorsqu’un enfant semblait « autiste » et montrait un déficit mental, on parlait d’autisme profond ou d’autisme sévère. Tandis que lorsqu’un enfant qui n’avait rien d’un autiste était atteint de la même déficience, exactement la même, on ne parlait jamais d’une « normalité profonde » ou de « normalité sévère ». Cet obscurantisme absurde persiste encore aujourd’hui, comme de la glu sur une chaise, et nombre de déficients mentaux sont encore assimilés d’office à la catégorie autistes, qu’ils le soient réellement ou non, par le seul fait qu’ils y ressemblent. On parle alors d’autisme « syndromique ». Mais il est aujourd’hui classé à part dans les différentes formes d’autismes, et sitôt débarrassé des diagnostics erronés il est devenu statistiquement ultra-minoritaire. L’autisme a toujours existé, ça n’est ni une maladie ni une malformation, ça ne s’attrape pas, ça n’est pas contagieux et ça n’est pas d’origine épigénétique.
Le mythe statistique du nombre croissant d’autistes
Quant aux courbes alarmantes de « progression » de l’autisme, un enfant de cinq ans peut en deviner la cause exacte, s’il se pose réellement la question sans vouloir mettre en fait la réponse qu’il pensait avoir trouvé d’avance. Que Montagnier ait pu occulter une telle évidence statistique à seule fin de se donner raison et nonobstant les conséquences physiologiques de ses expérimentations stériles sur les dizaines d’enfants qu’il faisait placer sous antibiotiques pendant plusieurs années de suite est parfaitement inadmissible. Il n’y a rien de sorcier ni de suspect là-dedans, c’est simplement logique. Purement logique. L’autisme est découvert et défini comme « trouble mental précoce » vers la fin du XIXe siècle par Bleuler. Mais sa définition très vague et le flou persistant sur les origines de ce trouble font que pendant des décennies il n’est que rarement diagnostiqué lorsque ça n’est pas absolument flagrant, et seulement par des spécialistes. Très progressivement la capacité à diagnostiquer l’autisme est enseignée en psychiatrie, dans quelques universités seulement, et s’étend peu à peu. Mais encore aujourd’hui la grande majorité des psychiatres français (pour peu qu’ils soient honnêtes) se reconnaissent incapable d’effectuer eux-mêmes un diagnostic complexe ou de donner une définition claire, inclusive et non-datée de ce qu’est réellement l’autisme. Le nombre de diagnostics n’a donc augmenté au fil des décennies qu’en proportions de l’évolution du nombre de spécialistes correctement formés à les poser. Ce qui a envoyé des centaines de milliers d’autistes en institutions psychiatriques à vie, dès l’âge de quatre ou cinq ans, pour toutes sortes de diagnostics totalement erronés. Et aujourd’hui encore, les témoignages récents de tels traitements restent légions en France. Pas de quoi claironner, vraiment !
Dans les années 1960-70, on validait néanmoins de plus en plus de diagnostics – dans les pays occidentaux du moins. Au début des années 1980, Lorna Wing, découvre un ensemble de cas particuliers d’autisme qui se rapprochent de ceux décrits dans les années 1940 par le chercheur Autrichien Hans Asperger. Elle redéfinit ce type d’autisme, auquel elle donne le nom de « syndrome d’Asperger ». La courbe constamment progressive du nombre de diagnostics se double alors d’une nouvelle courbe apparemment exponentielle elle aussi mais qui n’est, une fois de plus, qu’une augmentation de diagnostics réalisés par une profession qui n’intègre que très progressivement des tests plus inclusifs, et donc plus difficiles à réaliser – le plus souvent laissés à des experts spécialisés dans les tests de détection. Et on découvre alors qu’il y a, non pas de plus en plus d’autistes, mais simplement beaucoup plus d’autistes qu’on ne le pensait au départ, et surtout beaucoup plus de cas de figure possibles. C’est seulement le nombre de diagnostics posés qui augmente constamment et non pas le nombre d’autistes !
Dans le même temps, la détection clinique s’étendait progressivement aux pays non-occidentaux, et les chiffres augmentaient d’autant, avec partout – quelle que soit la latitude ou la culture, et vaccinés ou pas – la même proportion d’environ 1 %. Aujourd’hui, on parle d’autisme « au féminin » et d’autisme « invisible » pour les cas les plus indécelables à première vue mais que l’anamnèse et les tests confirment sans équivoque (c’est notamment mon cas, diagnostiqué à 59 ans à ma grande surprise). Plus récemment, l’élargissement délirant des critères à fait passer ces statistiques à 2 % ou plus, selon les administrations, car une industrie lucrative de l’intervention précoce s’est greffée par-dessus, qui fausse sciemment les diagnostics, en les posant aux nourrissons. Et la plupart sont faux, mais comment le prouver ? Même si l’on soustrait l’enfant aux soins préconisés, son développement « normal » sera utilisé pour attester qu’on peut guérir l’autisme. Et si on ne l’y soustrait pas, sa normalité-même validera d’office la pertinence de l’intervention et de son diagnostic précoce. C’est une vertigineuse impasse dans laquelle des nourrissons tombent comme dans une escarcelle. Et les parents en restent cois.
Le plus souvent les diagnostics tardifs surviennent lorsque on fait un burnout ou lorsque des parents amènent leur enfant en consultation chez un spécialiste pour une confirmation, et constatent ensemble que la description des caractéristiques correspond aussi à l’un d’eux. Car l’autisme apparait plus fréquemment dans les familles où il y a déjà des autistes. C’est comme la couleur des yeux ou des cheveux, ou le fait d’être gaucher – précisément. Et ça n’est pas davantage une « anomalie génétique » que le fait d’être gaucher ou d’avoir les yeux ou les cheveux de telle ou telle couleur. Alors où est le problème et d’où vient le handicap ?
Lorsqu’il n’est pas accompagné d’un handicap mental (dont l’origine est réellement une anomalie génétique), l’autisme n’est ni une maladie ni un handicap en soi. C’est l’écart monumental entre le fonctionnement cognitif des non-autistes et celui des autistes qui place ces derniers en « situation de handicap » dans pratiquement tous les contextes d’interactions sociales. Des capacités perceptives trop différentes produisent une représentation du monde et une « manière d’être au monde » totalement différente. Le degré de difficulté à comprendre l’autre et à s’en faire comprendre est dès lors totalement réciproque. Il a été expérimentalement démontré par le Pr. Damian Milton (chercheur lui-même autiste) que ce degré de difficulté était en réalité aussi énorme d’un côté que de l’autre. Autrement dit, que les autistes entre eux se comprennent aussi bien que les non-autistes entre eux. Il est donc « pratiquement » aussi difficile pour un autiste de comprendre un non-autiste et de s’en faire comprendre, que pour un non-autiste de comprendre un autiste et de s’en faire comprendre. « Pratiquement », parce que la proportion n’est pas la même : 1 à 2 % d’un côté, contre 98 à 99 % de l’autre. Il est donc en réalité plus facile à un autiste de se faire comprendre qu’à un non-autiste, parce que 99 % des personnes qui l’entourent depuis sa naissance sont non-autistes. Une évidence contrintuitive ! Mais paradoxalement, là où le surnombre donne aux uns la conviction d’être la norme, l’inverse donne aux autistes une confiance en soi chroniquement altérée, dont ils subissent les conséquences à vie.
Autre point d’importance dont Montagner et Chronimed avaient choisi de faire fi : la chronologie de l’évolution cognitive des autistes diffère de celle des non-autistes parce qu’ils se mettent instinctivement en retrait, très précocement, de ce qui leur est désagréable et de tout ce qui les contraint. Et, pour quelque raison que ce soit, les interactions interhumaines leur sont très tôt désagréables, comme le sont aussi à d’autres enfants les légumes, les fruits, les ascenseurs, le sport ou la baignoire, sans que chez eux cela porte outre mesure à conséquence. Et très tôt, les petits autistes, lorsqu’on les dérange avec insistance, lèvent spontanément le bras exactement comme le font les adultes non-autistes pour signifier : « Minute ! Pardon, mais pas maintenant, je suis en train de réfléchir à quelque chose de compliqué ». Parce que c’est exactement ce qu’ils sont en train de faire. Ils préfèrent être seuls et tranquilles que d’être dérangés. Certains parce qu’ils craignent l’insistance et le regard direct, qui servent à exiger une attention complète. D’autres parce que l’émotion qu’ils ressentent en présence d’une personne qui cherche leur contact leur parait à la fois si indéfinie et si puissante que ça les tétanise, et qu’ils préfèrent rester à l’écoute sans y répondre. D’autres enfin parce que leur hypersensibilité sensorielle les dépasse et les pousse à se mettre à l’écart des bruits, des odeurs, des couleurs, des lumières et des gestes ou des voix, et de tout ce qu’on sollicite de leur part. On ne peut comprendre aucun de ces comportements si l’on n’essaye pas de se représenter les niveaux de perception sensorielle et d’émotion qui accompagnent le surfonctionnement perceptif, mais aussi l’intensité des intérêts qu’il génère dans tout ce que l’on découvre, observe avec les sens, et qu’on cherche à comprendre. Tout petits, les autistes sont spontanément attirés par tout ce qui est structurellement complexe et peut s’analyser perceptivement et mentalement, par la répétition, l’observation et la déduction. Mais évidemment seul et sans interférence, parce que ces observations-là sont difficiles entre deux et cinq ans, exigeant attention et concentration.
Dans environ 75 % des cas, vers l’âge d’un an-et-demi à deux ans, les petits autistes se détournent si drastiquement des interactions sociales qu’ils cessent totalement de communiquer et donc de parler, et évitent systématiquement les regards directs (le eye contact). A cet âge apparaissent les crises de plus en plus fortes qui caractérisent seulement la difficulté de ces enfants à gérer leurs émotions et perceptions sensorielles dans un environnement qu’ils découvrent comme de plus en plus complexe et saturé de sensations qui leur semblent trop fortes. L’un des inconvénients du surfonctionnement perceptif, c’est qu’un enfant a besoin de plusieurs années pour s’habituer à l’intensité des émotions et des sensations qu’il génère. Il ne les comprend pas parce qu’elles deviennent de plus en plus puissantes. Ces enfants connaissent alors ce que les spécialistes appellent un « pallier mutique ». Ils vont cesser de parler pendant plusieurs années de suite (alors qu’ils avaient souvent bien commencé), et repousser drastiquement tout contact insistant ou contraint. Mais sans cesser pour autant de décoder le langage – tout seuls et mentalement – en privilégiant soit sa forme écrite (imprimés, livres, magazines, partitions, calendriers, notices d’objets), soit sa forme orale mais indirectement et sans interactions (radio, télévision, conversations écoutées passivement d’un air absent, etc.)
Avec ou sans intervention, la très grande majorité se remettra spontanément à parler entre quatre et sept ans, et généralement par phrases complètes, en utilisant l’écholalie comme mode de production des phrases, qu’ils mémorisent spontanément et tentent de réutiliser telles quelles, sans les démonter. Parce que perceptivement c’est au départ la « matière phonétique » de ces phrases qui les intéresse et les touche, bien plus que leur fonction communicationnelle. Cette fonction, ils l’intègreront petit à petit, par besoin de communiquer, en décomposant leurs phrases préférées pour en reconstruire d’autres à partir d’éléments de plus en plus nombreux. Seul un très faible pourcentage de ces enfants tentera son retour vers la parole trop tard, car au-delà d’un certain stade de croissance, la connectique neuromotrice ne parvient plus se mettre en place. Ils ne parleront pas. Mais ils continueront à décoder le langage, et la plupart d’entre eux pourront parfaitement communiquer par écrit, si leur entourage n’a cessé à aucun moment d’alimenter leur besoin d’apprendre – intellectuellement vital – sans les contraindre ni les braquer, en leur parlant toujours normalement, même s’ils ne répondent pas. Pareil qu’avec le chat, qui ne parle pas non plus. Mutiques ou non et colériques ou pas, ils ont seulement besoin d’amour, de soutien, d’indulgence, de compréhension et d’énormément de patience. Et surtout qu’on accepte leur différence de fonctionnement cognitif telle qu’elle s’est déjà mise en place, en la laissant s’épanouir et se construire à sa façon. Si on l’aide, elle s’épanouit. Contrainte elle ne portera aucun des fruits qu’elle aurait pu porter : Pas de Bach ou Mozart, Einstein ou Lao Tzeu, si l’on prive un enfant précoce (mutique ou pas, autiste ou non) de s’isoler régulièrement pour se livrer à ses passions ou à ses réflexions sur le monde. Ils réfléchissent avec les doigts ! Et, tant que cette maturation ne s’est pas faite, impossible de savoir de quel niveau sera l’intelligence qui se construit mentalement dans le silence, en retrait des interactions. Et d’ailleurs, quelle importance ? C’est sa tranquillité d’esprit qui compte, et surtout ses besoins vitaux. Certains s’éveilleront plus tard que d’autres, mais c’est tout.
Interactions sociales
En retrait des interactions interhumaines, la connectique cérébrale se structure différemment parce qu’elle est sollicitée et utilisée différemment – outre les différences innées qui sous-tendent le surfonctionnement perceptif. Pour eux, entre deux et cinq ans (et souvent bien au-delà) la grande majorité des opérations (observer, apprendre, comprendre, analyser, calculer, réfléchir, composer, etc.) sont presque exclusivement effectuées mentalement et pour soi-même. Tandis que tous les autres enfants du même âge apprennent à obéir, à se conformer à ce qu’on attend d’eux et à paramétrer leurs opinions et leurs comportements sur ceux des autres, les autistes apprennent (tout seuls) à évaluer ce qui est vrai, faux, bon, mauvais, pertinent ou pas, etc., exclusivement sur la base de leurs propres capacités de déduction logique, de détection des incohérences, et de comparaison des milliers d’informations et de détails qu’ils mémorisent massivement pour les évaluer ensuite, avec un temps de latence. Pour les mêmes opérations, ils n’utilisent pas les mêmes zones du cerveau que les autres. Ils passent d’instincts par d’autres cheminements, plus spatialisés, plus perceptifs, plus sensoriels et souvent plus rapides, et synthétisent en images plutôt qu’en phrases. Parce que les phrases servent à communiquer, ce qui pour eux n’est pas spontanément une priorité réflexe. La majeure partie de leur fonctionnement cognitif (de même que le niveau qu’il pourra atteindre) s’articule sur leur mémoire et leur capacité à manipuler mentalement proportions et concepts. D’où leurs intérêts très peu éclectiques au départ (intérêts dits « restreints »), mais qui s’élargiront plus tard, atypiquement, à partir des similitudes.
Évidemment, hors ou en retrait des interactions sociales, les autistes n’intègrent pratiquement aucun des codes d’interactivité que tous les autres enfants intègrent par immersion constante dans les interactions, pour fonctionner collectivement en synergie. Mais leur cerveau n’est pas passif pour autant, loin de là ! Et ils apprennent d’autres choses, que les autres enfants ne peuvent apprendre aussi précocement à cause de leur immersion constante dans les interactions et du réflexe de paramétrage permanent qui en est la clef principale et les protège de l’ostracisme.
A l’exception de ceux qui ne passent pas par le pallier mutique (et encore), les autistes n’apprennent par immersion ni le langage non-verbal, ni les mimiques normales, ni les sous-entendus, ni les implicites tacites (les implicites involontaires ne leur échappent pas du tout, en revanche), ni les non-dits. Tous les autres apprennent à mentir vers l’âge de deux ans, eux non. Les autres enfants apprennent à discuter et à jouer ensemble aux mêmes choses ; eux, à s’amuser tout seuls et de n’importe quoi – le plus souvent mentalement, au point de ne pas même éprouver le besoin de manipuler leurs jouets, mais de jouer seulement en leur présence (avec eux mais d’une autre manière, non-interactive). Ils s’émerveillent de leurs perceptions lorsqu’elles ne sont pas excessives et leur sont agréables, mais n’éprouvent généralement aucun besoin de les partager. Ils aiment en revanche partager ce qu’ils comprennent, ce qu’ils ont découvert et ce qui les fascine. Mais ne connaissant aucun code (et n’en soupçonnant même pas l’existence), ils le font très maladroitement. On ne comprend pas où ils veulent en venir. On leur cherche des intentions qu’ils n’ont pas. Cependant, contrairement aux autres, ils pratiquent très tôt, spontanément et très intensément l’auto-hypnose et la pleine conscience, et sans même en être conscients. Même précocement, il est des choses que l’on ne peut apprendre qu’en recherchant la solitude et la paix intérieure. Seul dans sa chambre ou absorbé dans ses passions, un autiste n’est jamais en situation de handicap, sauf lorsqu’il souffre d’avoir été rejeté et de n’avoir pas su se faire comprendre ou aimer, et ne sait ni comment ni à qui l’exprimer. En retrait des interactions, la plupart des autistes, enfants, n’ont personne vers qui se tourner pour être consolés lorsqu’ils ont peur ou lorsqu’ils souffrent. Ils apprennent à se consoler tout seuls, par des moyens qui sont les leurs – comme se taper rythmiquement la tête contre les murs. J’ai connu ça, et ça marchait !
Quant aux troubles fonctionnels, neuro-moteurs, psychologiques, comportementaux émotionnels ou psychoaffectifs qui affectent très fréquemment le comportement et la vie des autistes, dans la très grande majorité des cas (à l’exception de certaines re-location neuronales liés à leurs domaines précoces de spécialisation ou à leur prédominance perceptive, et qui causent des dyspraxies) ils apparaissent finalement, la plupart du temps, comme les très profonds impacts du décalage cognitif entre leur propre fonctionnement et le monde qui les entoure, et comme les impacts du surfonctionnement perceptif et émotionnel sur l’hypersensibilité émotionnelle et perceptive qui les accompagne inévitablement. Cette même hypersensibilité perceptive qui permettra parfois à un enfant autiste d’apprendre presque instantanément à l’oreille des partitions de Bach dès la première écoute et de les rejouer en regardant mentalement la partition qu’il a visualisée en écoutant, lui vaudra aussi des crises de panique monumentales et des tsunamis émotionnels lorsque son hypersensibilité perceptive atteindra son seuil de saturation – ce qui arrive très fréquemment et pour un rien dans la petite enfance. Ces crises et les cauchemars qui les répliquent nuitamment laissent les mêmes stigmates que les chocs psychologiques subis précocement par tant d’autres enfants en contexte de guerre, d’accidents graves, violences physiques, de torture mentale, etc. Si l’on retire aux symptômes de l’autisme tout ce que l’on retrouve à l’identique dans le trouble de stress post traumatique (y compris l’inconfort lié à l’hypersensibilité sensorielle et aux interactions sociales), la majorité des symptômes restants sont des caractéristiques positives liés au surfonctionnement cérébral et aux aptitudes et capacités atypiques qu’il offre. Ces capacités sont notre jouet préféré lorsque nous sommes enfants. Et nous ne sommes même pas conscients que c’est un privilège, naïvement persuadés que tout le monde est comme nous.
Si l’on refuse de prendre tout cela en compte, on peut s’enfermer ad vitam aeternam dans l’idée que l’autisme est un trouble évolutif du développement (euphémisme mondain pour déficience mentale), que l’on pourra soigner un jour d’une manière ou d’une autre, eugénistiquement, par les antibiotiques, le dressage cognitivo-comportemental, les électrochocs ou même l’arsenic (comme on soignait autrefois la syphilis). Si l’on prend au contraire ces aspects-là en compte, alors c’est quoi l’autisme au bout du compte ?
Je ne le comprends qu’aujourd’hui, mais en mourant dans son avion, mon père, sans le savoir m’avait donné le reste de sa vie. C’est parce qu’il était mort trop peu de temps avant que ma mère a toujours refusé de me laisser placer en institution psychiatrique, alors qu’on le lui demandait, moi qui voulais mourir aussi, dès l’âge de quatre ans. Et puis mon enfance a passé, et la vie a filé tout doucement, d’une péripétie à l’autre, comme une poignée de sable fin entre mes doigts. Et ainsi, sans rien en savoir, j’ai eu la chance d’échapper au reflet venimeux de ce miroir toxique. Parce que lorsque j’ai finalement compris que j’étais ainsi fait, j’étais déjà en fin de trajectoire. C’était donc ça mes crises de gosse et mes terreurs à se rouler par terre ; mon silence ébahi de nourrisson tranquille, qui ne demande jamais et joue avec ses doigts ; mon horreur des mains sales, des bises aux gens qui sentent ; mes hésitations permanentes et mes gestes tout raides et toujours tout coincés. C’était donc ça cette sensation de toujours regarder le monde de l’extérieur, et de m’y voir gesticuler vainement au milieu de tout le monde, en me demandant « mais qu’est-ce que je fais là, moi ? Qu’est-ce que je fais là ? ». Ma différence, ma si précieuse différence, mon refuge aux murs de silence épais comme une forteresse, que j’avais préservée de tout, à bec et griffes : mon tout dernier recoin d’enfance. J’avais passé toute ma vie à ne pas le savoir du tout. Mais je savais depuis longtemps, par tout ce que j’avais vécu, appris, compris et retenu, ce que j’étais ou pas. Je le savais pertinemment. Fallait pas me la faire, j’étais pas dupe des euphémismes et des bien belles théories, qui ne collent pas dès qu’on s’y penche. Et débile, certainement pas !
Quant à leur reprocher vraiment ? Sachant qu’ils ne comprennent pas, n’ayant jamais été autistes… N’ai-je pas moi aussi passé ma vie à ne voir de l’autisme que ce qu’on en disait ? J’en ai des décennies durant fait l’expérience. Au fond, que pouvais-je vraiment comprendre de l’autisme tant que je n’en connaissais que les lieux communs les plus réducteurs, et sans me sentir concerné ? Avant de comprendre que je l’étais aussi, en fait, et que toutes ces définitions purement théoriques et spéculatives si doctement élaborées par des non-autistes condescendants, me dépeignaient donc moi-aussi comme un handicapé mental. Évidement ça vous motive à considérer autrement et sous une lumière plus crue tous ces a priori stupides. C’est efficace ! Mais si on m’avait collé cette étiquette-là dans la tête à cinq ans, à dix ou à vingt ; cette image pourrie de moi-même, qu’est-ce que je serais devenu ? Qui je serais devenu en me voyant jour après jour dans ce miroir devenu le regard des autres, de tous les autres ? Les aurais-je faits mes voyages ? Aurais-je osé être amoureux, ne fut-ce qu’une fois dans ma vie ? Est-ce que je serais encore là ? Pour en parler et pour vous dire : ça n’est pas une maladie…
L’autisme : un regard sur le monde, sans concession, de l’extérieur… Quoi qu’il en soit, et au vu de cet éclairage, pendant plusieurs années, Luc Montagnier, Chronimed et consorts ont dupé consciemment une armée de parents crédules et misé sur une hypothèse comme sur une martingale, en l’expérimentant directement sur des cobayes humains, hypothéquant leur avenir en toute impunité, sachant pouvoir se défausser totalement des conséquences. Après tout, ça ne les rendrait pas malades, ils l’étaient déjà au départ, et à vie. Bein voyons ! Ces cobayes étaient non seulement des enfants, mais en plus ils étaient autistes. Deux fois plus incapables en somme de refuser un traitement ou de s’en plaindre à qui que ce soit, même après des années devant les tribunaux. Fut-ce avec les meilleures intentions du monde, ce qui reste sujet à caution, on était bien plus près de Mengele que d’Hippocrate. Et ça reste une faute impardonnable, que l’immense majorité des autistes ne leur pardonnera jamais.
Confinement, fermetures des écoles, port du masque… The Daily Telegraph dévoile des messages WhatsApp compromettants des responsables britanniques
Par FranceSoir Mondialisation.ca, 03 mars 2023
Le quotidien britannique The Daily Telegraph a dévoilé mercredi 1 mars 2023 les “Lockdown Files”. Plus de 100.000 messages, échangés sur WhatsApp entre l’ex-ministre de la Santé, Matt Hancock, des membres du gouvernement, dont l’ex-Premier ministre Boris Johnson et leurs conseillers de santé ont été divulgués par la journaliste Isabel Oakeshott. Les coulisses des principales décisions des autorités dans le cadre de la lutte contre la pandémie de coronavirus, comme la vaccination, le port du masque, la fermeture des écoles ou le confinement sont (et seront) partagées au grand public. Matt Hancock s’est dit victime d’une “traitrise”.
La journaliste Isabel Oakeshott s’est longuement expliquée sur sa décision de publier ces “2.3 millions de mots” analysés par elle et ses collègues chez The Daily Telegraph. “J’ai décidé de publier cette masse sensationnelle d’échanges privés car il est absolument impossible d’attendre plus longtemps des réponses”, a-t-elle écrit.
L’enquête sur la gestion de la pandémie au Royaume-Uni avançait très lentement. “Annoncée en mai 2021, notre enquête publique – qui a déjà coûté jusqu’à 85 millions de livres sterling – n’a pas même commencé ses audiences officielles”, rappelle la journaliste. A défaut des résultats de cette enquête, le quotidien promet des “scoops” quotidiennement sur les coulisses des politiques britanniques contre la pandémie, “jusque-là restées secrètes”. La source de cette fuite, poursuit la journaliste, n’est autre que … l’ex-ministre de la Santé lui-même.
Des décisions (souvent) contraires aux avis scientifiques
L’une des premières révélations des Lockdown Files concerne le port du masque, notamment dans les écoles. Des échanges entre Boris Johnson, le médecin en chef Sir Chris Whitty, Matt Hancock et Lee Cain, directeur de la communication de l’ex-Premier ministre, démontrent que la décision de rendre le port du masque obligatoire était un alignement sur une recommandation de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) mais surtout, sur une décision de Nicola Sturgeon, Première ministre d’Écosse.
Répondant ainsi à une question de Boris Johnson sur la “nécessité du port du masque”, Lee Cain a écrit qu’il serait “difficile” pour le gouvernement “de maintenir le cap” sur son intention de ne pas rendre le masque obligatoire avec la décision de la responsable écossaise. Le médecin en chef Chris Whitty répondait pourtant, dans la même conversation, “qu’aucune raison forte” ne pouvait justifier la nécessité du port du masque.
Il ne s’agit pas de la seule décision prise par Boris Johnson à l’encontre de ses conseillers. The Daily Telegraph poursuit que l’ex-PM a exprimé des regrets pour avoir rapidement décidé d’instaurer un deuxième confinement, sur la base de données que les scientifiques affirmaient être “fausses”. “Malgré ses craintes, le confinement a eu lieu et a duré un mois”, rappelle le quotidien.
Lorsqu’il a exprimé le souhait de lever le confinement plus tôt que prévu, ce sont ses conseilleurs en communications, notamment Lee Cain, qui l’ont dissuadé au motif qu’une telle mesure serait “trop en avance sur l’opinion publique”. “L’ancien PM et son gouvernement ont toujours affirmé qu’ils étaient “guidés par la science”, mais ce n’était pas exclusivement le cas”, lit-on.
“Panique au sommet”
Une autre information est révélée par le quotidien britannique dans le même échange. Boris Johnson évoque une réouverture des écoles avant l’été 2020 mais son ministre de la Santé, Matt Hancock, le dissuade. “Tout le monde a accepté qu’il n’y aura plus d’écoles avant septembre”, a-t-il justifié.
Les premières publications du Daily Telegraph expliquent comment les forces de l’ordre ont été poussées à être plus agressives dans le maintien du respect des mesures sanitaires ou encore comment l’influence des deux conseillers en communication de Boris Johnson ont “changé le quotidien” des Britanniques. D’autres articles dévoilent les coulisses de la mise en place de la “règle des 6”, aussi imposée aux enfants, qui interdisait aux familles et amis d’outre-manche de se réunir à plus de 6 personnes en extérieur. Les efforts de Matt Hancock pour fermer les écoles ou pour atteindre “son objectif” de 100.000 tests Covid-19 par jour sont également abordés. Les échanges démontrent que plusieurs décisions concernant différents aspects de la lutte contre la pandémie ont été prises sans raison suffisante, parfois de manière contradictoire.
L’ex-ministre de la Santé s’est dit victime d’une “haute trahison et d’un abus de confiance” suite à la divulgation de ces messages WhatsApp. La journaliste Isabel Oakeshott a aussi révélé avoir reçu des “messages menaçants” de sa part. Les révélations font l’effet d’une bombe dans la haute sphère politique du pays et les réactions à ces fuites s’enchainent au Royaume-Uni.
Plus de rapports de sécurité de l'UE sur le vaccin à ARNm de Pfizer-BioNTech
4 mars 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Le premier rapport régulier de mise à jour de sécurité de l'UE (PSUR #1) de 286 pages, couvrant la période de six mois allant du 19 décembre 2020 au 18 juin 2021, a révélé des signaux de sécurité accablants pour le vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19. Le rapport a été mis à la disposition de TKP via une demande FOIA d'un lecteur anonyme et publié ici .
Selon la définition de l'Agence européenne des médicaments, les PSUR ( rapports périodiques actualisés de sécurité ) sont des documents de pharmacovigilance destinés à fournir une évaluation du rapport bénéfice/risque d'un médicament à des moments précis après son approbation. L'objectif du PSUR est de fournir une analyse complète et critique du rapport bénéfice-risque du médicament, en tenant compte des informations de sécurité nouvelles ou émergentes dans le contexte des informations cumulées sur le rapport bénéfice-risque.
Le titulaire de l'autorisation de mise sur le marché, en l'occurrence BioNTech SE, est légalement tenu de soumettre un PSUR à l'EMA ainsi que des frais de dossier. L'EMA évalue ensuite les informations contenues dans le rapport pour déterminer si de nouveaux risques ont été identifiés ou si le rapport bénéfice/risque a changé.
Le premier PSUR a été évalué par Sonia Elijah et publié sur sa sous-stack . Sonia Elijah rend également compte de son évaluation dans l'interview sur "Redacted" sur YouTube :
- voir clip sur site -
Les données essentielles suivantes résultent du PSUR :
Dans la période du 19/12/2020 au 18/06/2021, des effets indésirables ont été signalés pour 327 827 personnes, dont 233 948 femmes environ 70 %, 75 340 hommes et 18 539 cas de sexe inconnu. Les tranches d'âge 31-50 ans (107 416) et 51-65 ans (68 685) ont été particulièrement touchées (p. 31)
Dans la tranche d'âge des moins de 18 ans, 2 076 personnes ont été touchées. (p. 31) Parmi les personnes pour lesquelles des effets secondaires ont été signalés, près d'un tiers ont eu des effets secondaires graves. (p. 31) Pour les 327 827 personnes, 1 172 004 effets secondaires ont été signalés, chacun avec une fréquence d'au moins 2 % des effets secondaires (p. 49f). Tous les effets secondaires dont la fréquence est inférieure à 2 % ne sont pas inclus dans ce nombre. Chaque personne affectée a subi en moyenne plus de 3 effets secondaires. Décès : 5 115 (page 32) Au 18 juin 2021, 76 960 cas n'étaient pas encore en bonne santé et le sort de 70 271 personnes était inconnu. (p. 32)
84 % des personnes touchées n'avaient pas de maladies antérieures
En page 56, le PSUR répertorie les lots les plus concernés par les déclarations d'effets indésirables. Les numéros de lot EL1484 avec 16 077, EJ6797 avec 11 168 et EK9788 avec 10 139 se distinguent ici avec plus de 10 000 effets secondaires. Malgré cela, BioNTech précise qu'aucun problème de qualité n'a été identifié pour les lots concernés. Ce PSUR montre bien l'importance de la connaissance de ces données pour les médecins dans leur pratique quotidienne.
Dans le groupe d'âge jusqu'à 64 ans inclus et dans le groupe d'âge inconnu, le nombre de décès de personnes sans comorbidités est parfois significativement plus élevé que la proportion de décès de personnes avec comorbidités. Cela signifie : Dans ces tranches d'âge, plus de personnes auparavant en bonne santé sont décédées sans maladies concomitantes.
D'autres PSUR nous ont été envoyés, que nous publions ici pour une évaluation plus approfondie :
#3. Rapport périodique de mise à jour de la sécurité (PSUR)
Secrétaire d'État à la Santé : les médecins sont protégés par la suppression de l'adhésion obligatoire à la Chambre
4 mars 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Selon le secrétaire d'Etat à la Santé, l'amendement à la loi voté mardi pour supprimer l'adhésion obligatoire à l'Ordre des médecins protège les médecins. La loi a été adoptée par le parlement de Budapest avec 122 voix pour et 33 contre . Le nouveau système d'astreinte crée pour eux de bien meilleures conditions qu'auparavant.
Le secrétaire d'État à la Santé, Péter Takács, a déclaré au journal Magyar Nemzet que la gauche hongroise est également capable de mettre en péril les soins de santé de la population au nom du pouvoir et qu'elle saisira toutes les occasions « de se présenter à la Commission européenne et de nuire à la Hongrie » . .
Dans une interview publiée dans l'édition de vendredi du journal sous le titre Nous protégerons les médecins menacés par la Chambre , Péter Takács a déclaré qu'elle menaçait la sécurité des patients en abusant de leur pouvoir et en faisant pression sur des médecins qui, comme s'ils avaient prêté serment juste envie de travailler et de guérir. « Avec l'amendement à la loi qui vient d'être voté, nous avons retiré cet instrument des mains de la Chambre. Nous protégeons ainsi nos propres confrères, les médecins, qui peuvent désormais travailler sans être membre de la chambre », a expliqué le secrétaire d'Etat.
Il a également souligné que les collègues se voient offrir de bien meilleures conditions . « De cette manière, nous pourrons donner plus d'argent aux médecins et assistants, qui recevaient auparavant un salaire horaire brut de 1 500 forints. Désormais, nous pouvons les employer à un salaire horaire brut de 2 900 HUF en semaine et de 3 500 HUF le week-end, et le salaire des ambulanciers et des infirmières de longue durée peut être encore plus élevé », déclare Péter Takács .
" Avec l'amendement à la loi voté mardi pour supprimer l'adhésion obligatoire à l'ordre des médecins, nous protégeons les médecins, et avec la mise en place du nouveau système de garde nous leur offrons des conditions nettement meilleures", a-t-il souligné .
L'abolition de l'affiliation obligatoire serait également une réforme urgente pour nous. Au cours des trois dernières années, les associations médicales ont joué un rôle pervers. Comme le déclare Takács, avec leurs ordonnances et leurs interdictions, ils ont mis en danger la prise en charge professionnelle des patients et ont forcé leurs membres à se faire vacciner avec la règle 1G, qui a été introduite dans certains cas.
L'abolition de l'affiliation obligatoire aura un effet positif sur le travail des médecins et la santé des patients.
Négationniste ou technocrate autoritaire ? Un an Ministre Rauch
3 mars 2023 par Thomas Oysmuller
Une étrange manif a eu lieu devant le ministère de la Santé à l'occasion de l'anniversaire du ministre Rauch : la pandémie permanente a été réclamée. Parce que pour certains, il est un négationniste corona. Mais en réalité il reste strictement sur une voie autoritaire qui exploite la science.
Il y a exactement un an, Johannes Rauch était présenté comme le successeur du ministre de la vaccination obligatoire Wolfgang Mückstein. Rauch est donc ministre de la Santé depuis un an. Il a mis fin à la plus grande hystérie Covid du pays, a levé l'obligation de vacciner et a ramené la politique corona au moins à mi-chemin des normes internationales. Avant Rauch, l'Autriche faisait partie des pays les plus durs. Si la fumée était comparée à Mückstein, alors le ministre actuel serait en fait une exception positive au sein du gouvernement.
Pour plus d'action
Cependant, il y a des protestations devant le ministère de la Santé aujourd'hui : Pas des critiques de Covid qui réclameraient l'arrêt (et une évaluation honnête) du traitement par ARNm : Non ! La "Healthy Austria Initiative" manifeste pour plus de "mesures", pour plus d'influence de l'OMS, pour que le Covid reste une maladie à déclaration obligatoire, pour des filtres à air dans les écoles et pour une "protection préventive contre les infections". En bref : Pour la pandémie permanente.
Les ambassadeurs de l'association sont les relations habituelles des "experts" et des observateurs politiques. Par exemple, l'ancien défenseur des patients Sigrid Pilz, Daniel Landau, le microbiologiste Michael Wagner, Natascha Strobl ou les hommes du SPÖ Andreas Babler et Rudi Fussi. Pour eux, Johannes Rauch, un « Corona Schwurbler », a vraisemblablement repris le ministère. Le rallye a bien sûr été un gros flop, mais certains médias s'y sont tout de même intéressés. Mais selon un journaliste citoyen, pas un seul participant n'était parfois présent. Plus tard, au moins une poignée de militants pro-lockdown étaient sur place.
L'"Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information" (anciennement les Verts contre la vaccination obligatoire) a célébré l'anniversaire de Rauch différemment. Les dissidents verts se demandent si le ministre Rauch est "un adversaire de la science" . Car ce n'est que mercredi qu'il s'est clairement positionné et a dit qu'il ne voyait "pas la peine" de "se réconcilier avec les gens qui remettent en question la science ou nient les faits." Il entend par là les gens qui critiquent les masques, le confinement et la vaccination. Aujourd'hui, nous savons que rien de tout cela n'a eu de bienfaits pour la santé, au contraire.
Voici le communiqué de presse de l'association verte :
La science est scepticisme
Cette affirmation doit être remise en question de manière critique à bien des égards. D'une part, « la science » n'existe pas. La science est discours et doute. La science prospère en remettant en question et en testant des thèses.
Katrin Skala , psychiatre senior pour enfants et adolescents à l'hôpital général de Vienne , l'a décrit avec justesse dans l'émission « Talk im Hangar » en référence à Sir Karl Popper :
« Pour moi, science et scepticisme vont de pair. En tant que scientifique, si je ne suis pas sceptique, j'ai perdu. Je suis un grand partisan du rationalisme critique, c'est-à-dire que je pense voir ou savoir quelque chose et cela reste vrai jusqu'à ce que je le réfute. Eh bien, le cygne blanc est valable jusqu'à ce qu'il y ait un cygne noir, et puis, quand je vois un cygne noir, je ne devrais pas dire "c'est en fait un canard", mais peut-être accepter que c'est vraiment un cygne. Et cela a été perdu. Il y avait un monopole de l'opinion, les positions dissidentes étaient discréditées, les gens étaient généralement qualifiés de "Schwurbler" et s'ils se rebellaient à nouveau, ils étaient "de droite" et s'ils se rebellaient à nouveau, ils étaient "nazis" - quelque peu exagéré.
Il n'y a jamais eu de consensus scientifique
La remise en question des thèses scientifiques est donc l'essence de la science. Contrairement à la représentation politique, il n'y a jamais eu de « consensus scientifique » sur les questions pertinentes, bien au contraire. Dans la déclaration de Great Barrington - la déclaration la plus soutenue de l'histoire de la science - les mesures sont critiquées et le manque de preuves est mis en garde. Celui-ci a été signé par des lauréats du prix Nobel, des professeurs d'université d'élite et des scientifiques de renommée mondiale et a déjà été soutenu plus de 900 000 fois. Il est donc complètement faux que le ministre Rauch qualifie tous ces gens d'opposants à la science, car en réalité ce sont les opposants à la science l'élite de la communauté scientifique.
Alors qui sont les vrais adversaires de la science ?
La communauté scientifique s'est imposée des règles de « bonne pratique scientifique » . Il s'agit notamment de l'honnêteté et de l'intégrité, de la transparence, de l'impartialité et de la promotion du discours scientifique.
Le rapport ZiB2 "Les mesures Covid arrivent à leur terme" du 2 mars 2023 passe en revue les mesures des 3 dernières années et précise " ...tout cela s'accompagne de messages politiques contradictoires ou simplement erronés ".
En fait, presque tous les principes de bonne pratique scientifique ont été violés par les politiciens. Le discours scientifique a été délibérément supprimé, les scientifiques d'opinions différentes ont été généralement dénigrés et discrédités. Ces experts avaient généralement raison.
Une revue Cochrane en cours confirme pour l'essentiel les résultats de l'étude publiée en 2020 : le port du masque a "peu ou pas d'effet" sur la fréquence des infections pseudo-grippales (grippe ou Covid-19). ( TKP l'avait signalé, ndlr ). Même avant la crise de Corona, les manuels scolaires savaient que les vaccins administrés par voie intramusculaire Les infections et les transmissions dans les maladies respiratoires ne peuvent pas être évitées, puisque pratiquement aucun anticorps ne se forme sur les muqueuses (voir Janeway Immunologie, Murphey/Weaver, 9e édition, 16.3.6. Le type d'administration d'un vaccin est important pour son succès). Le récit "La vaccination vous protège, vous et les autres" était donc faux dès le départ. Pourtant, c'était le principal argument en faveur de la 2G et du confinement des non-vaccinés. En fait, la politique de mesures Covid s'est écartée des enseignements dominants de la médecine - sans qu'il n'y ait de connaissances scientifiques viables pour cela. Une approche véritablement anti-scientifique.
Le désintérêt des responsables pour la transparence est également démontré par le fait que les justifications techniques de la réglementation ne sont pas publiées à ce jour . Une plainte est actuellement pendante auprès du BVwG pour forcer la publication. Selon le profil , le département craint qu'"une publication puisse donner lieu à une "interprétation ( ) par des profanes médicaux et juridiques, dans les médias sociaux, comme Twitter notamment".
Un argument aventureux dans un État constitutionnel démocratique dans lequel la liberté d'expression, y compris la liberté de formation d'opinion, et la liberté de la science sont en fait protégées par la Constitution.
Communication délibérément trompeuse et mensongère ?
Il devrait être clair qui est «l'ennemi de la science». Pourtant, Rauch est aussi fermement en selle qu'aucun de ses deux prédécesseurs. Et au moins, il a pu normaliser la politique Covid en Autriche, le pays où même des manifestations sont organisées pour plus de pandémies.
Gates crée un sentiment de grande réinitialisation en Inde
3 mars 2023 par Thomas Oysmuller
Bill Gates est actuellement en Inde et essaie d'y mettre de l'ambiance pour son programme : monnaie de banque centrale numérique, surveillance, réduction de la population et manipulation génétique.
Que fait Bill Gates en ce moment ? Il est actuellement en Inde. Il rencontre des personnes censées promouvoir la transformation sociale pour lui et avec lui en Inde également. Le journaliste indien Yohan Tengra a documenté les plans de Gates pour un voyage en Inde. Tengra est impliqué dans le procès contre Gates pendant devant la Haute Cour de Bombay. "La prochaine fois, il devra venir en Inde lorsque le HC de Bombay le convoquera dans une affaire de vaccination-homicide que nous avons déposée contre lui", écrit le journaliste.
Hotspot Inde
Gates a jusqu'à présent rencontré Shaktikanka Das, gouverneur de la Banque nationale de l'Inde, et deux des plus grands industriels indiens. Bien sûr, il avait un exemplaire de ses livres "Comment prévenir la prochaine pandémie" et "Comment éviter une catastrophe climatique" pour tout le monde. Tengra ne retient pas sa critique : « Les deux livres expliquent exactement comment la menace du climat et du virus est utilisée pour asservir les gens. » Mais il faut lire entre les lignes pour voir cette intention.
Il suppose que Gates rencontrera d'autres personnalités en Inde qui "promeuvent le programme diabolique de la Grande Réinitialisation en Inde". Tengra a déterminé le rôle de Gates au sein du complexe médical il y a deux ans dans la recherche. L'Inde, en tant que pays immense, est extrêmement importante pour l'agenda mondial, et elle a fait marche arrière dans une certaine mesure pendant Covid, comme sur la question de l'ivermectine.
En conséquence, Bill Gates promeut sa politique en Inde : "L'Inde n'est pas seulement bénéficiaire de nouvelles percées, mais aussi innovatrice", a-t- il déclaré à New Delhi. Une grande innovation est nécessaire de la part de l'Inde en particulier, exige Gates. Et il se vante : Avec GAVI, son alliance de vaccination, il a sauvé la vie de centaines de milliers d'enfants.
Dans une vidéo, Tengra décrit avec Corbett comment les « programmes » sont « conçus » par Gates et son environnement, par exemple dans le cas du Covid, et comment le complexe médical les met ensuite en œuvre.
Mais il ne s'agit pas seulement de Covid. Le programme comprend, selon Tengra : l'application des CBDC (monnaie de banque centrale numérique, abolition de l'argent liquide, eugénisme (programmes secrets de réduction de la population), surveillance numérique, modification du climat et culture d'OGM.
Dans la guerre contre la Russie, l'Inde est neutre, augmentant même ses importations d'énergie depuis la Russie et se rapprochant de la Chine, au grand dam des États-Unis. Le ministre indien des Affaires étrangères, qui était également dans le studio « ZIB2 » il y a quelques semaines, a ouvertement critiqué George Soros lors de la conférence de Munich sur la sécurité. Gates n'a pas été critiqué jusqu'à présent.
Est-il (encore) nécessaire de travailler dans notre société ?
A l’heure où est débattu l’allongement de la durée du travail en France. A l’heure où la quête de sens est dans la plupart des esprits. A l’heure de la (presque) grande démission, le rapport au travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. Aliette Trocheris, cofondatrice de Même Pas Cap ! questionne alors la nécessité de travailler dans notre société, ou plutôt la nécessité de questionner le sens et l’importance donnée au travail.
Par Aliette Trocheris le 3 mars 2023 à 14h11
D’un côté, 36 % des actifs de moins de 35 ans sont insatisfaits au travail alors qu’ils connaîtront en moyenne 8 à 10 transitions professionnelles au cours de leur vie. De l’autre, on allonge la durée de vie professionnelle alors que le chômage touche sévèrement les séniors. Et au milieu se trouve une génération qui n’a de cesse de se questionner quant au sens à donner à son engagement professionnel. Cependant, une même question les anime : est-il (encore) nécessaire de travailler dans notre société ?
Si la question est légitime, le questionnement reste bancal. Parce qu’il est urgent, non pas de reléguer le travail aux oubliettes, mais d'inverser le questionnement : qu’est-ce que je souhaite réaliser dans ma vie maintenant et comment le travail peut-il le permettre ? Comment puis-je devenir l’artisan de mon propre modèle de vie ? Finalement le sujet n’est pas tant le travail que l’alignement.
Si on a mieux à faire, il ne faut pas travailler
Le bonheur n’est pas en lien avec le niveau de rémunération. Si c’est facile à dire, désolidariser le travail de la rémunération financière est complexe à “désancrer”. Soyons clair, gagner de l’argent n’est pas uniquement lié au fait de travailler. Vous pouvez vivre sans revenu financier traditionnel comme gagner aux jeux de grattage, vivre de vos rentes, d’un héritage, de subventions, de troc,… Si ces exemples peuvent heurter la sensibilité de certains, ils permettent de repenser la question du travail indépendamment du sujet économique.
La question devient alors : qu’est-ce qui est prioritaire pour moi ? Qu’est-ce qui fait que mon travail va me donner le sentiment d’être utile et ancré dans ma vie et augmenter mon bonheur collectif ? Qu’est-ce qui fait que je suis en phase avec le fait de laisser mes enfants (ou mes parents âgés) pour aller au travail ? Les réponses à cette question et les motivations au bonheur sont aussi nombreuses et louables qu’il y a d’actifs sur Terre ! Alors, si faire le tour du monde en kitesurf, s’occuper de ses parents ou embrasser son rôle d’aidant procure plus de bonheur que d’aller au travail, ne travaillez pas !
Qu'est-ce qui est prioritaire et fait sens selon moi ? Questionner le sens c’est tout d’abord identifier ce que l’on fait naturellement, sans effort. Ensuite, c’est choisir un “travail” pour lequel on pourrait être payé pour l’effectuer. Et ce n’est en rien choisir la facilité mais l’alignement. Pour questionner le sens, un travail sur sa personnalité est un préalable indispensable pour faire ressortir ce qui est “naturel”et essentiel. C’est la mission d’un bilan de compétences.
Il est urgent de questionner le sens et ce, dès le plus jeune âge. Cependant en France, le modèle est davantage de pousser à l'excellence depuis le plus jeune âge, plutôt que de questionner l’alignement. Identifier ce que l’on fait naturellement très tôt permettrait pourtant de développer l’excellence personnelle, de mettre le doigt sur ses appétences ; plutôt que ce sur quoi il faudrait progresser, à la sueur de son front et au détriment de sa confiance en soi. Et ce, tout en développant la complémentarité de chacun au service du collectif.
Embrasser le sens, c’est évidemment prendre un risque. Celui d’être en dehors des codes, des clous ou même de ne pas y arriver. Les écrivains, peintres ou influenceurs, n’étaient-ils pas en dehors des clous avant de devenir des références métier ? N’ont-ils pas pris le risque de suivre leur sens, leur envie, leur intuition ? Questionner son sens et embrasser un risque peut cependant être maîtrisé. En aménagement par exemple son temps de travail pour essayer quelque chose de nouveau, qui fasse écho à ce qui est en phase avec son propre ADN.
… tous les 5 ans
Si un cycle professionnel dure en moyenne 5 ans, le sens que l’on donne au travail ne peut pas être linéaire. Porter une nouvelle réflexion tous les 5 ans, c’est s’assurer de son alignement sur le long terme en intégrant le fait que de nouvelles bonnes raisons peuvent justifier un changement et redessiner la place que l’on souhaite donner au travail dans sa vie.
Cette démarche honnête demande cependant de casser un certain nombre de codes imposés depuis notre tendre enfance. Oui, il est possible de ne pas travailler. Oui il est possible de faire un travail qui nous donne l’impression de ne pas travailler. Oui, il est possible de devenir artiste ou artisan de sa propre vie, notamment en :
• définissant la place et le temps que l’on souhaite accorder au travail • intégrant que le CDI de 35 heures dans un bureau n’est plus la seule norme • embrassant un nouveau rapport au temps de travail • ouvrant le champs des possibles, comme avec le temps partagé en entreprise • choisissant de suivre ses propres règles du jeux et d'inventer son propre modèle
On a longtemps fait croire que c’était à l’entreprise de définir le format ou le cadre, d’en être la seule garante. Si ces croyances limitantes sont encore trop présentes, les règles ont changé et il appartient à présent à tout un chacun de décider de la place du temps et du lieu dans lequel il souhaite évoluer. Bien sûr, il est également du devoir des entreprises de proposer un nouveau cadre, en lien avec le sens recherché par une grande majorité des actifs. Par exemple permettre à chaque salarié de travailler d’où il le souhaite ou encore proposer des congés illimités. Il est une certitude : offrir ou tester des formats plus libres qui reposent sur une relation de confiance amène plus de productivité au sein de l’entreprise.
Est-il venu le temps d’être aligné dans sa vie et son travail ? Oui, parce qu’aujourd’hui, il est possible de rendre compatibles ses centres d'intérêt, ses appétences et ses compétences, sans pour autant renoncer à gagner sa vie. Comme le disait récemment Patrick Besson : “Un monde où personne ne voudrait partir à la retraite serait un monde heureux”. En attendant que ce monde arrive, pourquoi ne pas travailler uniquement les 25 meilleures années qui comptent pour le calcul de sa retraite ?
(...) Vous pouvez vivre sans revenu financier traditionnel comme gagner aux jeux de grattage, vivre de vos rentes, d’un héritage, de subventions, de troc,… Si ces exemples peuvent heurter la sensibilité de certains, ils permettent de repenser la question du travail indépendamment du sujet économique. (...)
Il fut un temps (que le moins de 50 ans ne peuvent pas connaître) où les choses se passaient autrement. Le fils de paysans était paysans et, le fils de garagiste était lui-même garagiste comme ses 'aïeux'. Mais les 'choses' ont changé ! Les devenants ne sont plus les 'en devenir' ! Le progrès en a détourné les structures, et, les échappés du bocal ne sont plus de ce que leurs pères et mères n'étaient.
La nouvelle vie pouvait commencer.
De nouvelles technologies sont apparues et, de nouveaux performants s'en ont suivis. LA machine était là ! Avec elle ses dépendances et ses idées nouvelles nous ont offert l'arrivée du téléphone et de l'électricité ! Et, suivez le fil, tout un ensemble de structures infiniment complexes répondant aux normes de l'intelligence cervicale de chacun. L'avenir se développait.
Le cheval, le bœuf (ou même chien ou l'être humain !) ont été dépassés par l'arrivée providentielle appelée 'des moteurs'. Ces mêmes moteurs pouvaient remplacer l'animal et l'être humain ! Hourra ! Ce n'était plus l'esclavagisme des siècles passés, mais la progression du 'rien foutre' à l'ombre des arbres à cames !
La faveur du nombre (augmentation de la population) a permis de sélectionner ces êtres du dessus propres à changer l'environnement de la mal-bouffe et du transport des charrettes.
Enfin on y était arrivés ! La détermination de chaque être présent sur Terre fait que son intelligence est exceptionnelle. Chacun peut selon ses facultés peut développer un programme inconnu des autres et en construire un mode de révélation au monde.
Aujourd'hui, l'être humain est capable de découvertes personnelles et d'évolutions qui n'appartiennent qu'à lui. Il ne s'agit pas seulement de gènes (un enfant de professeur peut être le dernier des cons) mais de mémorisation des actes suivis avec attention. Nos neurones - via synapses - sont conjoncturellement les 'boites' qui renferment l'intelligence (Il ne s'agit pas d'ajouter des boites vides comme dans le film de Besson 'Lucy', où sont développées des particularités extraordinaires) mais de le remplir celles qui existent !
Quel forme pourrait prendre un programme présidentiel libéral?
Claude Goudron le 4 mars 2023
// Ça rentre dans notre format ce genre d’articles ?
En plagiant l’anaphore de Hollande, sans pour autant postuler à la fonction de président, je présente un programme qui devrait être, sous peine de déclassement irrémédiable de la France, celui du prochain président français, l’actuel ayant largement démontré son échec.
Moi président je m’engage auprès des Français à réformer le pays avec comme unique objectif un retour à l’efficacité dans tous les domaines qui seront les miens.
Moi président je ne tremblerai pas dans l’application des réformes que j’aurai au préalable explicité sans concession à tous les citoyens.
Moi président je ferai prendre conscience aux Français que l’entreprise, principalement industrielle et agricole, est la seule créatrice de richesse indispensable au bon fonctionnement d’un État.
Moi président je donnerai immédiatement les mêmes chances aux entreprises françaises qu’à celles qui nous concurrencent au niveau européen en baissant drastiquement toutes les contraintes financières et administratives afin d’être dans la moyenne européenne.
Moi président j’expliquerai à nos concitoyens qu’ils devront travailler davantage tout au long de leur carrière, soit 30 % de plus afin de se mettre au niveau de l’Allemagne s’ils ne veulent pas décrocher encore plus.
Moi président j’expliquerai à nos compatriotes que l’endettement à outrance, tel que pratiqué actuellement en France, est très dangereux quand il sert à financer notre train de vie au détriment de nos investissements et surtout très méprisable pour nos enfants qui devront le rembourser.
Moi président je ferai comprendre aux Français qu’il faut revoir complètement le partage des budgets de la nation en réduisant celui du social, le plus élevé au monde, pour en transférer une partie sur ceux que nous avons négligés par inconscience ou par lâcheté.
Moi président je combattrai tout système déficitaire privé et d’État vivant au crochet des finances du pays. Leur existence devra être justifiée par le concours financier de ses propres adhérents.
Moi président je protégerai ces mêmes Français contre un monde de plus en plus violent et belliqueux en augmentant le budget de l’armée à 4 % du PIB, la sécurité et l’avenir du pays sont à ce prix : il n’y a pas de puissance économique forte sans puissance militaire forte !
Moi président je remettrai totalement à plat le système fonctionnarisé en dérive permanente depuis maintenant 40 ans qui s’est autoalimenté dans le temps et est devenu ingérable, incontrôlable, inefficace et donc budgétivore.
Moi président je veux promouvoir le mérite et dénoncer cette envie d’égalitarisme qui ne peut se faire que par le bas ; je ferai sauter les barrières à la création et je favoriserai les actifs par rapport aux inactifs.
Moi président je veux réformer le système fiscal en le simplifiant et en réduisant drastiquement le nombre de taxes et impôts ainsi que le nombre de niches fiscales qui en ont été la conséquence.
Moi président je redéfinirai les fonctions régaliennes et ferai en sorte qu’il n’y ait plus de statut particulier outrancier de la fonction publique.
Moi président, après en avoir fait la liste, je soutiendrai la fabrication sur le sol français ou européen pour certains cas, de tout produit stratégique pour la sécurité économique et humaine des Français.
Moi président je rendrai la liberté d’expression, mise à mal actuellement, au peuple français et aux médias.
Moi président, en matière de justice, je ferai en sorte que la victime soit toujours privilégiée par rapport au coupable et qu’une plus grande sévérité soit exigée envers les délinquants en appliquant tout simplement les lois existantes.
Moi président, dans ce but, je lancerai dans les tout premiers mois de mon mandat la construction des 20 000 places de prison manquantes afin que la justice redevienne crédible.
Moi président je changerai radicalement de stratégie envers les gendarmes et policiers afin qu’ils se sentent respectés et soutenus par leur hiérarchie contre certains « politiciens » qui veulent les affaiblir.
Moi président je veux que la justice française retrouve son indépendance en garantissant la neutralité politique de ses serviteurs.
Moi président je veux libérer les juges du double carcan de certaines procédures trop souvent surdimensionnées pour les petits délits et une sous budgétarisation de la profession.
Moi président je donnerai les moyens financiers et humains pour une justice beaucoup plus efficace et rapide.
Moi président je veux dépolitiser l’Éducation nationale du collège aux grandes écoles et bannir tout type d’endoctrinement de la jeunesse afin de ne pas influencer ses choix.
Moi président je prends l’engagement de réformer le système éducatif afin que la jeunesse française soit préparée au système économique démocratique qui est la base de notre engagement occidental.
Moi président je demanderai, que par leur vote les électeurs me donnent en même temps quitus pour la mise en place de tout le programme proposé.
À 75 ans je n’ai pas le dynamisme ni certainement la compétence pour briguer ce poste mais mon expérience d’entrepreneur ayant subi les tracas d’une administration hors sol et une passion pour la liberté m’ont permis d’identifier les blocages du pays et de proposer les remèdes indispensables.
Libre aux futurs candidats de se les approprier pour guérir une France mal en point.
L’Europe des projets structurants est-elle encore possible ?
La France a fédéré une alliance pronucléaire visant à défendre l’atome dans les politiques énergétiques de l’UE.
le 4 mars 2023 Philippe Charlez
L’Union européenne est née dans un continent dévasté par un conflit ayant fait plus de 50 millions de morts.
Aussi, son dessein initial fut-il « de rendre la guerre en Europe matériellement impossible en créant un marché unique du charbon et de l’acier (la CECA), les deux principaux ingrédients requis pour fabriquer des chars et des canons ».
Des premiers pas réussis grâce à un projet structurant recherchant paix et stabilité.
Le projet de l’Union européenne
Régulièrement élargie, l’Union européenne fût graduellement consolidée d’abord sur le plan économique puis sur le plan monétaire.
Tous deux européens convaincus, François Mitterrand et Helmut Kohl anticipèrent qu’une union monétaire engendrerait à terme une union politique. Si les débuts de l’euro furent une réussite, la terrible crise des subprimes démontra la légèreté avec laquelle les critères de convergence avaient été appliqués. Elle fut aussi révélatrice d’un manque de solidarité au sein de l’euroland, les plus vertueux rechignant de porter secours aux « mauvais élèves » qui avaient laissé filer leur dette.
Contrairement à la CECA, la monnaie unique ne consolida pas cette « communauté de destin » dont avaient rêvé Giscard, Schmitt, Mitterrand et Kohl. En revanche, elle fut révélatrice de la faillite d’un modèle sans leadership et sans moyen dégageant une image d’impuissance : une structure technocratique produisant une batterie de normes souvent inutiles, un Parlement sans réel pouvoir agissant dans « l’occupationnel », un conseil incapable de gérer collectivement les grands problèmes de société et ne représentant finalement qu’une « somme d’égoïsmes nationaux ».
Cette image d’égoïsme prévaut aujourd’hui particulièrement dans le domaine crucial de l’énergie.
Il a mis au grand jour le fossé béant séparant les stratégies énergétiques d’une France restant profondément nucléaire et d’une Allemagne considérant l’atome comme le diable absolu. Par suite de la catastrophe de Fukushima, l’Allemagne s’est lancée il y a 10 ans à corps perdu dans un Energiewende suicidaire imprimant de façon indélébile un Green Deal européen autodestructeur : promotion puérile du 100 % renouvelables, réduction chimérique des émissions de GES de 55 % à l’horizon 2030, arrêt kamikaze de la production des voitures thermiques à l’horizon 2035, l’Union européenne allemandisée par la voix de sa présidente court à sa perte.
On en voit aujourd’hui le résultat patent.
Devenu implicitement le meilleur ami des renouvelables, le gaz a rendu fou les marchés de l’électricité. Occultée par un hiver clément, la loi sur les retraites et la frivole affaire Palmade, la crise énergétique est pourtant plus que jamais présente. Dans l’ombre, elle est chaque jour responsable de nouvelles faillites et dépôts de bilan de PME et TPE ne pouvant plus honorer des factures d’électricité devenues démesurées.
Cependant, pour d’intolérables raisons électorales, l’Allemagne refuse toute réforme du marché européen de l’électricité avant le scrutin européennes de 2024 ! Au même titre que le nucléaire est devenu en France un nouveau marqueur politique entre la gauche et la droite, une scission s’est opérée en Europe autour de l’atome. Malgré une opposition féroce de l’Allemagne d’intégrer le nucléaire dans la taxonomie verte, la France avait gagné au Parlement européen la première manche. Une victoire intéressante mais largement insuffisante pour faire plier l’Allemagne.
Face à un groupe d’antinucléaires intransigeants regroupant l’Allemagne, le Luxembourg, l’Autriche, le Danemark, le Portugal et l’Espagne, la France a fédéré une alliance pronucléaire visant à défendre l’atome dans les politiques énergétiques de l’UE. Cette alliance est particulièrement soutenue par les anciens pays du Pacte de Varsovie soucieux de se libérer à long terme du carcan du gaz russe (Bulgarie, Croatie, Hongrie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Slovaquie et Slovénie) mais aussi par la Suède, la Finlande, les Pays-Bas et même l’Italie de Georgia Meloni décidée à se renucléariser après avoir été le premier pays renonçant à l’atome dès la fin des années 1980.
En marge d’une réunion des ministres de l’Énergie, la première réunion du groupe a eu lieu à Stockholm ces 27 et 28 février 2023 à l’initiative de la ministre française de l’Énergie Agnès Pannier-Runacher. Si certains comme le ministre néerlandais de l’Énergie, Rob Jetten se félicitent de cette coopération permettant de partager des connaissances et des expériences, en coulisse, l’ombre allemande était bien présente. Cette scission qui ne dit pas son nom ampute un peu plus la crédibilité européenne aujourd’hui incapable de lancer de façon coordonnée de nouveaux projet structurants. En ce qui concerne l’énergie chacun continuera à faire cavalier seul !
Malgré que tous les merdias du monde aient caché la véracité des faits, le public s'est très vite aperçu que le nucléaire n'avait rien à voir avec l'accident du 11 Mars 2011 à Fukushima. Et que la seule connerie catastrophique (identique à celles des autres dans le monde !!) venaient que les tuyaux d'alimentation en eaux des réacteurs... n'étaient pas montés sur vérins !! Ainsi, lors du moindre tremblement de terre... les tuyaux se brisent en mille morceaux ! Cà alors ! HAHAHAHA !
États-Unis: le gouverneur de Californie déclare l'état d'urgence dans 13 comtés
par AFP/La rédaction vendredi, 03.03.2023
États-Unis: la tempête a fait un mort dans le Mississippi
La tempête hivernale qui balaie actuellement les États-Unis a fait une victime jeudi dans le Mississippi (sud). Le gouverneur de l'État Tate Reeves a annoncé sur Twitter qu'une personne avait perdu la vie en raison du mauvais temps. Selon les services d'urgence du Mississippi, la victime a été tuée jeudi par la chute d'un arbre sur sa voiture. Plusieurs autres personnes ont été blessées par des chutes d'arbres.
16:43 Pacifique: les îles Vanuatu frappées à la fois par un nouveau cyclone et un séisme Les îles Vanuatu ont été balayées vendredi, par le cyclone «Kevin», charriant des vents à 165 km/h et des pluies diluviennes. L'archipel a été simultanément secoué par un séisme de magnitude 6,5, suivi d'une réplique de 5,4. L'état d'urgence a été déclaré, mais aucune victime n'a été signalée pour l'heure.
Le séisme s’est produit à 19h04 (heure suisse) jeudi, à 10 kilomètres de profondeur sous la mer, au large de la grande île d’Espiritu Santo et à 82 kilomètres au sud-ouest du village de Port-Olry, selon l’Institut américain de géophysique. À ce moment-là, les habitants étaient terrés chez eux pendant que les vents violents du cyclone arrachaient les toits des bâtiments et déracinaient les arbres.
Mercredi, les îles Vanuatu avaient déjà été frappées par un autre cyclone, «Judy», avec des vents atteignant 200 km/h. Des pluies torrentielles ont inondé les routes de l’île, où l’électricité et les communications sont toujours en partie coupées.
15:49 Canada: Toronto en alerte à la tempête hivernale Les autorités canadiennes ont émis un avis d'alerte à la tempête hivernale pour Toronto et ses environs à partir de ce vendredi soir. Selon le Ministère de l'environnement et du changement climatique, on attend des cumuls de 20 à 30 cm de neige d'ici samedi matin et des conditions de blizzard avec «une visibilité considérablement réduite» et «des conditions de déplacement dangereuses», écrit-il sur son site.
14:49 États-Unis: le parc de Yosemite fermé pour une durée indéterminée En Californie, le parc national de Yosemite, célèbre dans le monde entier pour ses séquoias géants centenaires et fermé depuis le 25 février dernier, en raison des chutes de neige sur la Sierra Nevada, a annoncé sur Twitter qu'aucune date de réouverture n'était prévue.
«Les équipes du parc s'efforcent de rétablir les services essentiels, afin que les visiteurs puissent revenir en toute sécurité», a twitté la direction, affirmant que jusqu'à 15 pieds sont tombés dans certaines zones du parc, à savoir plus de 4,5 mètres.
14:30 États-Unis: le gouverneur de Californie déclare l'état d'urgence dans 13 comtés Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a déclaré l'état d'urgence dans 13 comtés – dont Los Angeles et Santa Barbara – touchés, ces derniers jours, par d'importantes chutes de neige dont le cumul dépasse les 3 m de haut à certains endroits.
De nombreux habitants, bloqués chez eux ou dans leur voiture, commencent à manquer d'eau et de nourriture, particulièrement dans le comté de San Bernardino (photos), rapporte le site spécialisé AccuWeather.
Le site Deadline rapporte, lui, que la neige est même tombée sur Disneyland, au sud de Los Angeles, une première depuis 1882.
jeudi, 02.03.2023 13:28 Orages et tornades sur le centre des États-Unis jeudi, neige et pluie au nord vendredi Les États-Unis sont toujours en proie à des phénomènes météorologiques extrêmes. Ce jeudi, un important système de tempête apportera des orages violents, y compris des tornades, et de fortes pluies, qui pourraient produire des crues soudaines dans le centre du pays. Ce système se déplacera vers la région des Grands Lacs et le nord-est, vendredi et samedi, avec de fortes chutes de neige et de la glace.
Parallèlement, explique le National Weather Service (NWS), ce jeudi, on attend une neige abondante dans le nord-ouest de la côte Pacifique et dans le nord des Rocheuses, tandis que règne une vive inquiétude concernant des risques d’incendies dans les plaines du sud. Enfin, la chaleur anormale dans l'est des États-Unis commencera à s'estomper ce week-end, pendant que des températures fraîches pour la saison persisteront dans l'ouest.
mercredi, 01.03.2023 17:52 Espagne: des dizaines d’automobilistes piégés par la neige aux Baléares Les services d’urgence sont à pied d’oeuvre mercredi sur l’île espagnole de Majorque pour venir en aide à des dizaines d’automobilistes piégés par la neige, un événement rarissime dans cette île de l’archipel méditerranéen des Baléares qui évoque plutôt la plage et le soleil.
«Nous demandons à la population de ne pas sortir pour aller voir la neige, que ce soit en voiture ou à pied. Nous devons tous aider le dispositif à fonctionner afin de secourir les personnes qui restent coincées», ont ainsi demandé les services d’urgence.
«Les autorités travaillent en coordination avec les forces de l’ordre afin de parvenir au refuge de Cúber, à la Font del Noguer et au chemin de Sa Calobra pour secourir les personnes qui sont encore isolées», a annoncé le gouvernement régional des Baléares dans un communiqué, précisant que toutes ces personnes étaient «en bonne santé».
14:19 En France, la sécheresse hivernale met la Loire au plus bas En France, le niveau de la Loire est au plus bas et les bancs de sable toujours visibles, alors que le fleuve connaît une sécheresse hivernale exceptionnelle. Après un nouveau record de 32 jours sans pluie et un hiver très sec, le rechargement des nappes phréatiques est menacé.
Pour rappel, le ministre français de la Transition écologique, Christophe Béchu, a appelé, lundi, les préfets à prendre des arrêtés de restriction d’eau «dès maintenant», pour anticiper d’éventuelles situations de crise pendant l’été.
mardi, 28.02.2023 21:59 États-Unis: après un hiver doux, New York enfin sous la neige À la fin d’un hiver particulièrement clément, la neige a (très provisoirement) recouvert en début de semaine la ville de New York, notamment Central Park ainsi que les grandes artères de Manhattan et de Brooklyn.
Les services météo du pays (National Weather Service) ont mesuré près de cinq centimètres de manteau blanc dans l’immense poumon vert de la mégapole, le long de la mythique 5e avenue, un «record» cette saison.
Mais à la mi-journée mardi, la pluie a fait toutefois fondre l’essentiel de la neige et de la glace, même si les autorités locales ont émis des bulletins d’alerte poussant les écoles à ouvrir plus tard et perturbant les transports routiers, aériens et ferroviaires.
19:11 Espagne: la région de la Castille-La Manche s'est réveillée mardi par -16ºC Au centre de l'Espagne, le fameux «Triangle du froid», une zone à cheval sur l’Aragón et la Castille connue pour son climat hivernal rigoureux, a fait honneur à sa réputation ce début de semaine, rapporte l'agence météo espagnole (AEMET).
La ville de Molina de Aragón, dans la province de Guadalajara (région de Castille-La Manche), s’est ainsi réveillée mardi matin avec une température de près de -16ºC. Non loin de là, à Teruel (Aragón), il faisait -11ºC.
Selon Rubén del Campo, porte-parole de l'AEMET, le «printemps météorologique», qui commence mercredi 1er mars, débutera avec «des températures minimales de cinq à dix degrés inférieures à la normale dans la plus grande partie» du pays.
19:04 Espagne: chutes de neige record aux Baléares Les îles Baléares, au large des côtes est de l'Espagne ont été balayées par la tempête hivernale «Juliette» qui a provoqué des chutes de neige record, en particulier sur la plus grande île, celle de Majorque.
«Dans quelques endroits du nord de Majorque, la couche de neige a dépassé un mètre en 24 heures au-dessus de 800 mètres d’altitude», a indiqué le porte-parole de l’Agence nationale de Météorologie (AEMET), Rubén del Campo, qui a parlé de chutes de neige «extraordinaires».
Majorque a également enregistré de violentes bourrasques de vent qui ont atteint 117 km/h, selon l’AEMET, ainsi que des pluies diluviennes, les médias locaux faisant état de plus de 100 litres par mètre carré dans de nombreuses localités.
Ces pluies pourraient être à l’origine de plusieurs effondrements de terrain à Palma de Majorque, la capitale de l’île, le plus important ayant produit un trou béant de huit mètres de diamètre et d’une profondeur de quatre mètres sur une avenue de la ville.
17:24 Soda Springs, petite ville de Californie, croule sous la neige Les États-Unis sont frappés par une nouvelle tempête hivernale. La Californie ne fait pas exception à la règle. La petite ville de Soda Springs (la plus enneigée de l'État, selon les statistiques), près du lac Tahoe et de la frontière avec le Nevada, a observé, le week-end dernier, l’«arrivée» de 45,1 pouces de poudreuse, soit 1,15 mètre. Les spécialistes et la centaine de résidants de Soda Springs – qui culmine à un peu plus de 2000 mètres d’altitude – s’attendent même à un hiver record, avec 36 pieds de neige sur tout l’hiver, soit environ onze mètres.
lundi, 27.02.2023 21:43 France: préfets appelés à prendre des arrêtés de restrictions d'eau dès maintenant Le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, qui réunissait lundi soir les préfets coordinateurs de bassin pour évoquer la sécheresse hivernale inédite en France, les a appelés à prendre des arrêtés de restriction d’eau «dès maintenant» pour anticiper d’éventuelles situations de crise pendant l’été.
Le ministre a invité ces préfets, qui animent la politique de l’État en matière de gestion de l’eau, à «ne pas avoir la main qui tremble pour prendre des arrêtés», en se disant «alarmé» par le déficit d’eau dans les sols.
21:41 La banquise de l’Antarctique atteint un nouveau plus bas L’étendue de la banquise en Antarctique a atteint fin février un nouveau plus bas, marquant un record de fonte depuis le début des mesures satellites il y a 45 ans, a annoncé lundi l’observatoire américain de référence.
La banquise de l’Antarctique fond en été et se reconstitue en hiver. Mi-février, le centre américain National Snow and Ice Data Center (NSIDC) avait annoncé qu’avant même la fin de l’été, elle avait davantage fondu qu’en 2022, battant alors déjà son record.
Mais la fonte s’est poursuivie, et cette fois la banquise a «probablement atteint son étendue minimum pour l’année, à 1,79 million de kilomètres carrés, le 21 février 2023», a déclaré l’observatoire.
Il a toutefois précisé que ce chiffre était «préliminaire» et que «des conditions de fonte poursuivies pourraient encore pousser l’étendue de glace plus bas». Une annonce formelle est attendue début mars.
13:56 Les tornades n’ont pas épargné l’État de l’Oklahoma Dimanche, le centre des États-Unis a été touché par des vents extrêmement violents. L’Oklahoma a été particulièrement frappé par la violence des éléments. Selon le site de la chaîne KFOR, les météorologues ont signalé, pour l’instant, sept tornades qui ont touché l'État dimanche. Si cela était confirmé par le National Weather Service, cela pourrait être un record pour le mois de février.
Des milliers d’habitants d'Oklahoma se sont retrouvés sans électricité et de nombreux autres vont se réveiller avec de gros dégâts. Entre dimanche soir et très tôt lundi matin, nombreuses étaient les chutes d’arbres, routes coupées et pannes d’électricité signalées. Heureusement, pour l'instant, aucun blessé grave ou décès n'a été signalé.
02:21 Le bilan des inondations au Brésil passe à 65 morts Les inondations et glissements de terrain qui ont affecté le sud-est du Brésil il y a une semaine ont fait 65 morts, selon le dernier bilan rendu public dimanche soir par les autorités.
«Jusqu’à présent ont été confirmés 65 morts», parmi lesquels ont été identifiés «21 hommes, 17 femmes et 19 enfants», ont indiqué les autorités de l’État de São Paulo. São Sebastiao, une station balnéaire située à 200 km de São Paulo, a reçu près de 680 mm de pluie en 24 heures, soit plus du double de la moyenne mensuelle des précipitations, et le volume cumulé en une journée le plus élevé jamais enregistré au Brésil, selon les autorités.
Après la découverte dimanche après-midi du corps de la 65e victime, les secouristes ont mis fin aux recherches dans le quartier de Vila do Sahy à São Sebastiao, la zone la plus affectée, selon la chaîne d’informations GloboNews citant des sources de la Défense civile.
dimanche, 26.02.2023 20:54 Inondations au Brésil: le bilan s’alourdit à 64 morts Les inondations et glissements de terrain qui ont affecté le sud-est du Brésil il y a une semaine ont fait 64 morts, selon le dernier bilan rendu public dimanche par les autorités, tandis qu’une personne était toujours portée disparue.
«Jusqu’à présent ont été confirmés 64 morts», parmi lesquels ont été identifiés «20 hommes, 17 femmes et 18 enfants», ont indiqué les autorités de l’État de São Paulo. Plus de 2400 personnes ont été déplacées, selon un bilan officiel.
Les experts mettent en cause, outre les effets du changement climatique, une urbanisation incontrôlée. Au Brésil, 9,5 millions de personnes vivent dans des zones exposées aux risques d’inondations et de glissement de terrain.
17:09 Sécheresse extrême: Jill Biden appelle à aider davantage la Corne de l’Afrique La Première dame des États-Unis, Jill Biden, a appelé les pays riches à donner davantage aux pays de la Corne de l’Afrique qui connaît sa pire sécheresse depuis quarante ans, lors d’une visite dimanche à des communautés touchées au Kenya.
Les États-Unis ont financé la majeure partie de l’aide visant à faire face à cette catastrophe climatique, qui a conduit à la mort de millions de têtes de bétail et détruit les récoltes. «Nous ne pouvons pas être les seuls. Il faut que d’autres pays se joignent à nous dans cet effort mondial pour aider les populations de la région», a déclaré la First Lady.
La Corne de l’Afrique est l’une des régions les plus vulnérables au changement climatique, avec des crises de plus en plus fréquentes et intenses. Selon les spécialistes, les conditions actuelles sont pires que celles d’avant la sécheresse de 2011, qui avait entraîné la famine et la mort de milliers de personnes.
16:46 Californie: les plages de Redondo Beach saupoudrées de blanc Les plages de Redondo Beach, dans le comté de Los Angeles, ont été saupoudrées de blanc samedi en raison d'une averse de grêle. De fortes intempéries ont frappé la Californie ces derniers jours, entraînant d'importantes inondations. Mais le mauvais temps n'a pas refroidi tout le monde, à en juger par ce surfeur photographié en train de faire un shaka de la main pour signifier que tout va bien.
15:28 France: des pointes à 142 km/h enregistrées en Lozère Une tempête balaie ce dimanche la vallée du Rhône, avec des rafales dépassant largement les 100 km/h, rapporte le site La Chaîne Météo. À Arles, des pointes à 116 km/h ont été enregistrées et à Avignon les vents ont atteint les 122 km/h. Mais c'est dans la ville d'Altier, en Lozère, que les vitesses les plus importantes ont été mesurées, à savoir 142 km/h. Il s'agit d'un record pour le mois de février.
Un coup d'HAARP ? A quoi servent ces stations dans le monde ?
Elles serviraient à réchauffer les régions froides et refroidir les régions chaudes (invention Nikola Tesla). Oui mais, c'est l'armée des USA qui en a pris le contrôle ! et, quand il fait froid quelque part il fait tout-à-coup très très froid ! Çà alors !! Quand il fait chaud quelque part il fait tout-à-coup très très chaud ! Çà alors !
Des régions ou des pays perdent la totalité des récoltes comme des animaux ! Puis y a le truc appelé 'grippe aviaire' ! Ah çà fallait le faire ! Figurez-vous que les poules ne vont pas faire leurs courses à bicyclettes, en voitures ou même à s'entasser dans les métros ! Elles restent aux poulaillers ! Ouais ! Et, ces poulaillers sont espacés d'x kilomètres ! Alors... alors comment font-elles pour attraper 'la grippe aviaire' ? Nous avons LA preuve que même confinées, elles ne meurent pas toutes ! Çà alors !! et pourtant, comme pour 'les vaches folles' est ordonné de tuer l'ensemble du troupeau !! Je ne sais pas si vous vous rendez compte !... Si la grippe est déclarée dans votre quartier et donc que le gouvernement décide/oblige à tuer toutes celles et tous ceux de votre quartier !...
Tous les faits dont vous avez besoin pour démystifier les escrocs du « changement climatique » (Vidéo)
jeudi 02 mars 2023 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Le vendredi soir 24 février, le groupe d'activistes canadiens de base, Action4Canada, a accueilli Robert Lyman et Tom Harris, qui ont discuté de la science du changement climatique (météo et révélé comment il a été militarisé pour attaquer la liberté et remplir les poches des mondialistes ).
(Article republié de RairFoundation.com)
Robert Lyman
Le premier à prendre la parole était Robert Lyman, un architecte de politique canadien de carrière dont la présentation est « La nécessité de repenser le plan de politique climatique d'Ottawa ». Lyman a discuté de la série de mesures draconiennes récemment votées par Ottawa, qui réduiront considérablement la qualité de vie et les libertés des résidents sans rien faire pour affecter le climat.
Entre autres atteintes majeures à la liberté, Robert explique que la ville d'Ottawa envisage d'accélérer le calendrier d'interdiction de tous les véhicules à combustion interne. Dans le cadre des plans de la ville, ils dépenseront environ 1 000 000 000,00 $ CDN pour acheter des autobus électriques et des véhicules publics. L'interdiction devait initialement entrer en vigueur en 2035, mais ils espèrent que l'interdiction sera mise en œuvre d'ici 2030.
Robert souligne qu'Ottawa est l'une des capitales les plus froides au monde et que le temps froid épuise les batteries très rapidement, un problème courant pour les autobus électriques actuels.
Tom Harris, réaliste du « changement climatique »
Le deuxième conférencier, Tom Harris, est le directeur exécutif de l'International Climate Science Coalition. Harris se décrit comme étant en train de passer "d'un climat alarmiste à un climat réaliste". Il a précédemment donné des interviews percutantes (voir ici et ici) avec la RAIR Foundation USA.
Au cours de sa présentation, il discute des multiples couches de la fraude au changement climatique qui enrichit les élites mondialistes et trompe l'humanité. Le changement climatique est une autre façon de créer des «milliardaires verts et de diminuer la population mondiale», explique Action4Canada.
Regardez la présentation suivante, qui fournira aux téléspectateurs un arsenal personnel d'informations et de faits vérifiables pour démystifier les campagnes de désinformation des alarmistes climatiques.
L’Allemagne retarde le feu vert de l’UE à la fin du moteur thermique
Le vote des États membres de l’UE prévu mardi pour entériner l’interdiction de la vente de voitures à moteur thermique en 2035 a été reporté sine die.
3 mars 2023, 13:54
L’UE veut réduire à zéro les émissions de gaz carbonique des véhicules neufs dès 2035.
L’abstention annoncée de l’Allemagne empêche de réunir la majorité nécessaire donnant le feu vert à la fin des voitures à moteur thermique dans l’UE. Ce texte prévoyant de réduire à zéro les émissions de gaz carbonique des voitures et camionnettes neuves en Europe à partir de 2035 a fait l’objet en octobre d’un accord entre États membres et négociateurs du Parlement européen, formellement approuvé mi-février par les eurodéputés. Il devait encore être entériné mardi par les Vingt-Sept, lors d’une réunion de ministres à Bruxelles, dernière étape formelle avant son entrée en vigueur, sans possibilité désormais de renégocier le contenu.
Les ambassadeurs des Vingt-Sept à Bruxelles ont «décidé de reporter la décision (…) à une réunion ultérieure», a annoncé un porte-parole de la représentation de la Suède, pays qui assure la présidence tournante du Conseil de l’UE. Les ambassadeurs «reviendront sur ce sujet en temps voulu», a-t-il ajouté. L’Italie avait annoncé de longue date son opposition au texte. La Pologne voulait aussi se prononcer contre et la Bulgarie souhaitait s’abstenir. Ces pays, à eux trois, n’ont pas les moyens de bloquer la procédure.
L’Allemagne s’abstient
Mais Berlin a indiqué ces derniers jours son intention de ne pas accorder non plus son feu vert dans l’immédiat. Sans l’Allemagne, la majorité qualifiée des Vingt-Sept qui est requise (vote favorable d’au moins 55 % des États représentant au moins 65 % de la population de l’UE) n’était plus atteinte. «Nous avons toujours dit clairement que la Commission européenne devait présenter une proposition sur la manière dont les carburants synthétiques pourraient être utilisés dans les moteurs à combustion après 2035 (…). Ce qui manque maintenant, c’est la réalisation de cet engagement», a rappelé vendredi le ministre allemand des Transports, Volker Wissing (FDP, libéraux).
À la demande de Rome et Berlin, les Vingt-Sept avaient intégré au texte un possible feu vert à l’avenir pour des technologies alternatives comme les carburants synthétiques (e-carburants) si celles-ci permettent d’atteindre l’objectif de supprimer totalement les émissions de gaz à effet de serre des véhicules. La technologie des carburants de synthèse, en cours de développement, consiste à produire du fuel à partir de gaz carbonique issu notamment des activités industrielles en utilisant de l’électricité bas carbone. Pour la filière automobile, elle permettrait de prolonger l’utilisation des moteurs thermiques menacés par l’irruption des véhicules 100 % électriques. L’usage de cette technologie dans l’automobile est contesté car elle est très énergivore. Berlin souhaite que la Commission propose une législation supplémentaire pour encourager ces carburants de synthèse dans le transport routier tandis qu’un autre texte sur les «infrastructures pour carburants alternatifs» est en cours de négociation.
Par manque d'électricité, par manque de soleil, par manque de vent, par manque de lithium, par manque de jugeote, par manque de liberté, par manque de Démocratie !
Antennes 6G humaines ? «Une des pires idées de tous les temps», selon un critique
Par Suzanne Burdick Mondialisation.ca, 03 mars 2023
Selon une équipe de chercheurs de l’université du Massachusetts Amherst et de l’université de technologie de Delft, aux Pays-Bas, les êtres humains pourraient être utilisés comme éléments d’un système d’antennes de rayonnement électromagnétique (REM) en portant un bracelet spécial en cuivre enroulé.
Les chercheurs ont déclaré avoir mis au point un moyen peu coûteux de “récolter” le rayonnement radiofréquence (RF ) qui “fuit” pendant la communication par lumière visible (VLC) – une technologie qui, selon eux, sera probablement utilisée dans les “futurs réseaux 6G”.
Mais certains critiques affirment que l’utilisation d’êtres humains comme antennes RF pour la 6G est un manque de respect pour le corps humain et peut avoir des répercussions inconnues sur la santé.
“Je suis diamétralement opposé à ce type de travail, en particulier compte tenu de la rareté des recherches médicales sur l’utilisation du corps humain comme antenne RF”, a déclaré Brian Hooker, Ph.D., P.E., responsable scientifique en chef de Children’s Health Defense (CHD) et professeur de biologie à l’université Simpson.
“Ce type de technologie fait du corps humain un collecteur de radiofréquences et ignore totalement les implications sanitaires des CEM”, a déclaré Hooker au Defender.
La technologie LiFi peut permettre la mise en place de nouveaux systèmes sans fil omniprésents pour l’internet des objets.
Les chercheurs – dont Jie Xiong, Ph.D.professeur associé d’informatique et de sciences de l’information à l’Université du Massachusetts Amherst et Qing Wang, Ph.D.,un professeur adjoint dans le Groupe Systèmes embarqués dans leDépartement de la technologie des logiciels à l’Université technique de Delft, aux Pays-Bas – sont des partisans du VLC, ou “LiFi“, comme on l’appelle parfois, qui utilise la lumière pour transmettre des données.
Le VLC fonctionne en allumant et en éteignant des lumières LED à une vitesse très élevée, invisible pour l’œil humain.
Comme le WiFi, le VLC est sans fil, mais au lieu d’utiliser un routeur et des ondes RF pour transmettre des données, le VLC utilise des ampoules LED et des signaux lumineux pour envoyer et recevoir des informations.
Selon OpenVLC, une plateforme de recherche cofondée par Wang, la VCL peut “permettre de nouveaux systèmes sans fil pervasifs dans le contexte de l’Internet des objets.”
Pendant le VLC, le rayonnement RF est “fui” dans l’environnement ambiant, ce qui permet de le “récolter” et de l’utiliser pour alimenter de petits appareils, ont indiqué les chercheurs.
L’équipe a conçu un système électrique appelé “Bracelet+” grâce auquel un humain portant un bracelet contenant une bobine de cuivre pourrait “collecter” le rayonnement RF généré pendant le VLC.
Les chercheurs ont déclaré qu’ils étaient en mesure de récolter des microwatts d’énergie en utilisant leur système de bracelet en bobine de cuivre dans des scénarios testés.
“Un tel niveau d’énergie récoltée, de l’ordre du micro-watt, pourrait permettre d’alimenter des capteurs à très faible puissance, tels que des capteurs de température et de glucose”, ont-ils déclaré.
L’équipe n’a pas précisé dans sa conception comment le rayonnement récolté serait relayé aux appareils.
Deux bracelets récoltent plus de RF qu’un seul
L’équipe a indiqué qu’elle était en mesure de récolter davantage de rayonnements RF lorsqu’une personne portait deux bracelets, un sur chaque bras.
Selon Minhao Cui, étudiant en doctorat en sciences de l’information et de l’informatique à l’université du Massachusetts Amherst, qui a travaillé avec Xiong sur le projet, l’augmentation du nombre de bracelets n’augmenterait pas l’exposition du porteur aux RF.
“Le bracelet ne fait qu’”extraire” l’énergie [RF] du corps humain, qui est déjà captée par le corps humain”, a-t-il déclaré. “Ainsi, quel que soit le nombre de bracelets que nous portons, [it] n’influencera pas l’exposition des gens aux RF.”
L’équipe a déclaré que le port du bracelet “n’entraîne aucun problème de santé”, car la quantité maximale de rayonnement RF du VLC est “d’environ 0,01 microwatt par centimètre carré (mW/cm2) ” – ce qui est “bien en dessous” des limites RF spécifiées par la Federal Communications Commission (FCC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.
Les directives de la FCC fixent la limite d’exposition humaine aux RF à 0,2 mW/cm2 et la FDA spécifie une limite supérieure de 10 mW/cm2, ont-ils précisé.
L’une des pires idées jamais conçues
Cependant, Bill Bathgate, ingénieur électricien et consultant certifié en biologie environnementale des bâtiments, a déclaré qu’il était impossible de penser que le port des bracelets n’augmenterait pas l’exposition des gens aux RF. “Ce n’est pas possible”, a-t-il dit.
Commentant l’étude, M. Bathgate a déclaré : “C’est l’une des pires idées jamais conçues.” Cela utilise le corps humain comme un “point de télécommunication dans une sorte de réseau” et cela pourrait entraîner “des effets sur la santé que nous ne pouvons pas prévoir”, a-t-il déclaré.
M. Bathgate a critiqué les chercheurs pour avoir utilisé les réglementations de la FCC et de la FDA comme mesure de l’impact sur la santé. “Ce sont deux des organisations les plus corrompues que j’aie jamais rencontrées dans ce secteur de l’ingénierie électrique”, a-t-il déclaré.
“La FCC n’est pas une agence de santé”, a déclaré Mme Bathgate, “La FDA l’est – mais elle ne connaît rien des RF”.
M. Bathgate a souligné qu’en 2021, CHD a poursuivi avec succès la FCC pour avoir été incapable d’expliquer pourquoi ses directives actuelles protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements RF.
La Cour d’appel des États-Unis a jugé que la FCC n’avait pas tenu compte des preuves concernant les effets néfastes non cancéreux de la technologie sans fil sur la santé dans sa décision de ne pas mettre à jour ses directives de 1996.
M. Bathgate a déclaré qu’il aurait aimé que les auteurs de l’étude fournissent des preuves à l’appui de leur affirmation selon laquelle les fuites de rayonnements RF du VLC ne causent pas de problèmes de santé. “Quelles mesures ont été effectuées pour valider cette affirmation ?” a-t-il demandé.
“Il faut être prudent… les gens lancent ces produits sans même penser à leurs ramifications potentielles”, a-t-il déclaré, ajoutant que des recherches antérieures ont indiqué des interactions claires entre l’exposition aux CEM – y compris les RF – et les problèmes de santé.
Des milliers d’études évaluées par des pairs ont montré les effets biologiques non thermiques – c’est-à-dire les effets des rayonnements de faible niveau qui ne provoquent pas de chaleur – au niveau cellulaire, notamment le stress oxydatif, les lésions de l’ADN, les lésions du sperme, les effets neurologiques, les troubles cognitifs et l’électrosensibilité.
Néanmoins, M. Cui a déclaré qu’il ne pensait pas que le VLC ait un impact sur la santé des gens. “L’énergie des signaux RF fuyant du VLC est largement inférieure à celle des signaux Wi-Fi déjà présents dans l’environnement”, a-t-il ajouté.
Faire du corps humain le plan de masse des communications 6G
M. Bathgate a expliqué les raisons scientifiques qui ont poussé les auteurs de l’étude à utiliser le corps humain pour recueillir les radiofréquences générées par le VLC.
En VLC, lorsque les ampoules LED oscillent à une fréquence très élevée, cela permet d’envoyer des signaux à très faible puissance. Ces signaux sont transférés au corps humain, a expliqué M. Bathgate, faisant du corps une “antenne amplificatrice” pour les signaux.
“En fait, il s’agit de faire du corps humain le plan de masse des communications 6G”, a-t-il ajouté.
“Si vous passez devant une tour de télévision ou une tour de radio, vous voyez cette grande chose qui s’élève dans les airs. En dessous de cette tour – que vous ne pouvez pas voir – se trouve une très grande feuille de cuivre de la taille d’un parking.”
C’est le plan de masse pour l’antenne, a-t-il dit. “L’antenne seule ne rayonnera pas si elle n’a pas un contrepoids – ou un plan de masse – pour réfléchir l’information.”
Bathgate a déclaré que les êtres humains sont très efficaces en tant que plan de masse car ce sont des “êtres d’eau salée”.
Par exemple, s’il voulait obtenir un signal très fort avec une radio amateur, il irait sur une plage d’eau salée et “planterait” littéralement l’antenne dans le sable, là où se trouve l’eau salée.
L’eau salée amplifierait les signaux “très rapidement et très efficacement”, a-t-il déclaré, en faisant de l’océan – “la moitié de la terre” – le plan de masse. “Mon antenne sera beaucoup plus efficace que si je me trouvais à une centaine de mètres à l’intérieur des terres”, a-t-il déclaré.
En effet, les auteurs de l’étude ont testé différents objets pour déterminer lesquels fonctionnaient le mieux pour amplifier le rayonnement RF produit pendant le VLC et ont constaté que le corps humain était le meilleur “objet” pour recueillir le rayonnement RF.
Ils ont d’abord placé une bobine de cuivre sur des objets – en plastique, carton, bois et acier – mais ont constaté que le métal était le plus efficace. Ils ont ensuite testé des objets “omniprésents” dans la vie quotidienne, notamment des murs, des appareils électroniques (tels qu’un smartphone et un ordinateur portable) et le corps humain.
Ils ont conclu que le corps humain – avec ses nombreux tissus aqueux – était plus efficace pour amplifier le rayonnement RF récoltable que les appareils électroniques ou les murs.
Les auteurs de l’étude n’ont pas discuté de la quantité de rayonnements RF à laquelle on pourrait s’attendre chez les personnes exposées aux VLC qui portent des bijoux en cuivre similaires à leur bracelet en cuivre ou chez les femmes qui utilisent un dispositif intra-utérin en cuivre comme forme de contrôle des naissances à long terme.
Après que des attardés mentaux se soient fait inoculer profond la solution létale faite pour eux, ces nano-particules d'oxyde de graphène injectées servent dès lors d'antennes vers le cerveau désormais contrôlé 100 % de l'extérieur.
Nous avons constaté que les échantillons de sang des oiseaux montraient la présence de résidus de cinq néonics : trois interdits depuis 2018 en France – la clothianidine, le thiaclopride et le thiaméthoxame – et deux – le dinotéfurane et le nitenpyram – utilisés uniquement à des fins vétérinaires.
Si aucun de ces néonics n’a été détecté chez les merles, tous étaient présents chez les perdrix grises. La clothianidine a été détectée chez toutes les espèces, à l’exception des merles.
Les concentrations des trois néonics interdits étaient similaires ou supérieures aux concentrations trouvées chez les oiseaux contrôlés ailleurs avant l’interdiction. Ces résultats soulèvent des questions sur la persistance des néonics dans l’environnement et le mode d’exposition de la faune sauvage.
De futures recherches sur les effets sublétaux de ces néonics sur les traits de l’histoire de vie de ces oiseaux de milieux agricoles pourraient aider (may help) à mieux comprendre les effets de l’exposition des populations d’oiseaux à ces insecticides, ainsi que les effets conséquents sur la santé humaine. »
Ça pue le militantisme ! Dès le titre !
L’interdiction des néonicotinoïdes en agriculture a une chronologie plutôt complexe en France et dans l’Union européenne (ils restent autorisés et utilisés ailleurs). On peut cependant admettre qu’ils ont légalement disparu du paysage en France au 1er septembre 2018. Qui – de raisonnable – pourrait s’étonner de la présence de résidus dans l’écosystème quelque deux, trois ou quatre années après ?
Dès l’introduction, les auteurs se font marchands de doute. « Les néonicotinoïdes (néonics) […] sont considérés… », alors que leur excellent profil s’agissant des vertébrés fait consensus… au point que l’imidaclopride est utilisée à forte dose pour l’antipuçage de nos animaux de compagnie.
De même, « ils seraient (reported to be) rapidement excrétés et métabolisés ». Ils seraient également d’une nature « prétendument inoffensive… ».
C’est de la science bruits de couloirs !
Que penser aussi de ce titre fort sélectif quand les auteurs rapportent la présence de résidus, non seulement d’insecticides anciennement agricoles, mais aussi de médicaments vétérinaires ?
La réponse est assez simple : les techniques d’identification sont maintenant tellement sensibles que l’on trouve à peu près tout dans tout (à condition de chercher). Ainsi, en mars 2013, grâce à 60 millions de Consommateurs, les médias ont pu faire du chiffre de vente et d’audience parce qu’on avait trouvé des traces de pesticides et de médicaments dans des eaux minérales.
Le résumé ne s’éternise pas sur les médicaments vétérinaires dinotéfurane et nitenpyram… Ils ne sont pas dans le collimateur du militantisme anti-néonicotinoïdes.
Du reste, on peut se demander pourquoi ils ont été inclus dans l’étude et pas l’acétamipride ni l’imidaclopride, l’insecticide agricole qui fut le plus largement utilisé. Selon les explications des auteurs, « ces composés n’étaient pas détectables avec la méthode multi-résidus utilisée dans cette étude ». Le choix de la méthode aurait donc été malheureux…
Pourtant, l’acétamipride et l’imidaclopride avaient été détectés dans Fritsch et al., l’étude précédente sur les poils de petits mammifères.
Les auteurs de la nouvelle étude se sont du reste empressés d’ajouter :
« Cependant, connaissant le contexte historique de la zone d’étude et les résultats des études menées dans la même zone avant l’interdiction des néonics […], si le titrage avait été possible, nous nous serions attendus à trouver de grandes quantités d’imidaclopride dans le sang des oiseaux et probablement aucune ou de très faibles concentrations d’acétamipride. »
C’est de la science au doigt mouillé.
Capture oiseaux 2
Une conclusion délirante
Les auteurs ne s’interrogent donc pas plus avant dans leur résumé sur la présence de ces médicaments vétérinaires dans le sang de certains oiseaux ; ils se lancent cependant dans des suppositions dans le texte (notamment des « contaminations » dans les fermes d’élevage des perdrix). Ni sur l’absence de traces de néonicotinoïdes chez les merles.
Le résumé – le seul élément qui sera peut-être lu par les prêcheurs d’apocalypse (l’article est derrière un péage, sauf pour quelques extraits) – est aussi très vague sur les résultats. Aucune indication quantitative, ni sur les teneurs observées, ni sur le nombre d’oiseaux « contaminés ».
« La clothianidine a été détectée chez toutes les espèces, à l’exception des merles », écrivent-ils ? Chez trois busards de Montagu sur 55 (5 % des effectifs), du reste à des doses très élevées, huit perdrix sur 31 de l’hiver 2021-2022 (26 %), mais aucune sur les 23 piégées lors de l’hiver précédent. Et le 100 % de bruants et de rossignols « contaminés » au thiaclopride le sont pour des teneurs inférieures à la limite de quantification.
Mais les auteurs ne se posent pas de questions sur la pertinence de leurs résultats. Non, pour eux, les questions sont la persistance dans l’environnement et le mode d’exposition, ici des oiseaux.
Il y a pourtant mieux : une étude scientifique se conclut généralement par une suggestion d’entreprendre de nouvelles études.
Ici, bien que la question n’ait visiblement pas été abordée dans l’étude, ce serait sur les « effets sublétaux de ces néonics »…
… Et même sur les « effets conséquents sur la santé humaine ».
On ne se refuse rien dans la recherche militante…
« Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison » – Paracelse
Les auteurs rapportent leurs résultats dans une curieuse unité : des picogrammes par microlitre de sang. Faisons court : c’est (aussi) des microgrammes par litre (et en gros un tiers de gramme dans une piscine olympique de 3000 mètres cubes).
Par exemple, pour la clothianidine les concentrations moyennes observées varient de 0,05 microgramme par litre (µg/L) chez… deux rossignols à 951,60 µg/L chez… trois perdrix.
Selon le site canadien SagE Pesticides : « [l]a clothianidine est pratiquement non toxique chez le colin de Virginie (DL50 supérieure à 2 000 mg/kg p.c.) » (la DL50 est la dose qui tue 50 % des animaux dans un test de laboratoire). Nous ne parlons certes pas de la même chose (effets sublétaux et dose létale), pas de la même matrice (sang dans un cas, corps entier dans l’autre), ni des mêmes espèces. Mais nous sommes dans des rapports de 1 à 4 millions et de 1 à 2000, respectivement.
À ces doses-là et avec un brin d’ironie, on peut évoquer des effets homéopathiques…
ÉTATS-UNIS: Le gruyère n’est pas seulement suisse ou français selon la justice américaine
Le terme gruyère fait référence aux États-Unis à un nom commun et ne peut être réservé aux seuls fromages de ce type originaires de France ou de Suisse, selon une cour d’appel américaine.
4 mars 2023, 03:29
Il n’existe pas aux États-Unis les mêmes protections qu’en Europe sur l’appellation des produits alimentaires.
Une cour d’appel américaine l’a confirmé vendredi: le terme gruyère fait bien référence aux États-Unis à un nom commun et ne peut être réservé aux seuls fromages de ce type originaires de France ou de Suisse.
L’interprofession du Gruyère, qui représente les acteurs du secteur en Suisse, et le Syndicat interprofessionnel du Gruyère, son pendant français, avaient bien tenté d’inscrire le terme au registre américain des marques certifiées. Mais face au refus de l’organisme, ils avaient porté plainte et avaient perdu en première instance début 2022. Des juges d’une cour d’appel ont conforté cette décision.
Il n’existe pas aux États-Unis les mêmes protections qu’en Europe sur l’appellation des produits alimentaires, comme l’Indication géographique protégée (IGP) pour le gruyère en France, font-ils valoir dans leur verdict. L’agence chargée de la sécurité sanitaire des aliments, la FDA, définit bien des critères pour le gruyère, comme l’existence de «petits trous» ou le fait qu’il soit vieilli pendant au moins 90 jours. Mais n’inclut pas des critères sur l’origine géographique.
Une décision saluée par l’industrie laitière américaine
Aussi «du fromage, peu importe où il a été produit, est étiqueté et vendu comme du gruyère aux États-Unis depuis des décennies». Et ce, qu’il ait été produit dans l’État américain du Wisconsin ou importé depuis les Pays-Bas, l’Allemagne ou l’Autriche, ajoutent-ils. En conclusion, écrivent-ils, les plaignants ne peuvent pas aller à l’encontre de «ce qui ressort clairement du dossier: les consommateurs de fromage aux États-Unis comprennent que le terme «gruyère» fait référence à un type de fromage, ce qui rend le terme générique».
Cette décision a été saluée par plusieurs acteurs du secteur laitier aux États-Unis, dont la Fédération des producteurs américains de lait, qui espèrent qu’elle incitera les fédérations professionnelles françaises et suisses à «cesser de tenter d’exproprier un nom commun d’aliment» en enregistrant une marque.
On se demande même pourquoi les faux sacs 'YSL' ou parfums 'CC' ou carrés 'H' ne sont pas autorisés à être vendu de partout puisqu'ils sont les mêmes que les 'originaux' (fabriqués en Asie) ! Pour ce qui est des vaches (importées d'Europe !) elles ont la carte verte, font du lait américain et des fromages américains. Notons qu'en Europe ont emploi pas le mot 'Mastication des gencives' mais le mot américain 'Chewing-gum' ! (et marque 'Hollywood' !).
La tyrannie des bien-pensants et leur vision du monde identitaire
3 mars 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Près de deux semaines après le suicide de Clemens Arvay, une discussion a couru hier sur Servus TV qui devait en fait être diffusée sur les ondes publiques conformément à son mandat éducatif. Cependant, ce n'était pas le cas, ce qui n'est malheureusement pas une surprise étant donné la politique obscène du gouvernement concernant le corona et l'Ukraine et les «médias de premier plan et de qualité». Une contribution à la culture du débat et quelques suggestions pour changer la vie dans notre « société ouverte » (Karl Popper).
L'ambiance est chaude en Autriche et la situation actuelle promet peu d'amélioration. La discussion d'hier sur Servus TV était une rare lueur d'espoir, surtout compte tenu des expériences des trois dernières années.
Sous le titre « Tyrannie des justes », Heinz Sichrovsky, Birgit Kelle, Sandra Kostner, Eva Glawischnig et le psychiatre Raphael Bonelli, qui connaît personnellement Arvay, ont discuté. Extrait du texte d'annonce de Servus TV :
"Promoteurs de la paix" : ce terme a récemment été utilisé pour discréditer tous ceux qui prônent l'arrêt des livraisons d'armes à l'Ukraine et des négociations avec la Russie. Ce n'est pas un phénomène nouveau : depuis le début de la pandémie de corona, il y a eu un désir croissant de diviser le spectre des opinions en bien et en mal ou même en bien et en mal. Les gens aiment publiquement pointer du doigt l'autre côté.
Certains sont brisés par la haine et la haine, comme le montre le cas du biologiste et auteur de non-fiction Clemens Arvay, qui critique la vaccination. D'autres se retirent du débat public : Selon un sondage du MDR, une personne sur deux a désormais peur d'exprimer son opinion en public. Qui ou quoi est responsable du durcissement des fronts ? Cette fissure profonde peut-elle encore être colmatée ? Ou sommes-nous tous devenus trop sensibles ? Et que faut-il pour que le processus d'acceptation du passé et de réconciliation réussisse ?
Une discussion attendue depuis longtemps qui est recommandée à tous.
Les pharisiens politiques ont donné le mauvais exemple Même le regard le plus superficiel sur les événements actuels montre que les membres de la caste politique donnent ici un très mauvais exemple :
Vice-chancelier Kogler (Verts) : "Quiconque est neutre est complice."
Johannes Rauch (Verts) a récemment déclaré à propos de la "réconciliation Corona" (Karl Nehammer) :
Je ne vois pas non plus la nécessité de me réconcilier avec les gens qui remettent en question la science ou nient les faits.
Au vu de ces déclarations - et de bien d'autres - ainsi que de l'échec total des "médias de premier plan et de qualité", qui ont également été fortement subventionnés par les politiciens en vue de Corna, on trouve presque désespérément (Matt, 7: 3):
Mais pourquoi vois-tu la paille dans l'œil de ton frère et ne vois-tu pas la poutre dans ton propre œil ?
Arrêtez l'obligation de nom réel et le financement des médias Je pourrais penser à quelques choses qui mériteraient d'être discutées. Cependant, tous ne sont pas nécessairement sans ambiguïté, c'est-à-dire qu'il y a des aspects positifs et négatifs à prendre en compte dans toutes ces considérations.
Il semble clair que nous devons faire quelque chose contre le phénomène du discours de haine en ligne. Beaucoup d'encre (virtuelle) a déjà coulé, alors voici une suggestion claire :
1. Abolition de l'anonymat sur Internet
Avant de crier : il y a une interdiction de se couvrir le visage lors des manifestations et dans les espaces publics, mais c'est apparemment une pratique courante dans le « cyberespace ». Il est clair que cela seul n'est pas une panacée, mais nous ne pouvons pas nous empêcher de parler en tant que société de la nature et de l'essence des médias sociaux - ainsi que de la fonction de commentaire dans les médias en ligne.
Je suis également conscient que dans certains contextes, cela est tout simplement impossible, mais il est maintenant clair que "l'internet" et en particulier "les médias (sociaux)" font partie de la sphère publique. Et à ce titre, il faut aussi aborder cela de manière légale et réglementaire : au regard des normes et pratiques républicaines-démocratiques comme de droit pénal, l'obligation du vrai nom pour toute personne qui veut s'exprimer en public apparaît comme le minimum.
Vous pourriez renverser les rôles, pour ainsi dire, et introduire des « frais de traitement » ou similaire pour l'anonymat en ligne - mais pas pour divulguer votre vrai nom lors de l'inscription ou avant de commenter : si vous souhaitez rester anonyme en ligne, vous devriez le faire - et pour toute conséquence juridique – payez.
A l'inverse, cela signifie probablement que certains "modérateurs de contenu" peuvent être sauvés, puisqu'il est évident que les gens se comportent "différemment" lorsqu'ils se savent "en public".
2. Limiter le pouvoir des médias
L'étendue de l'influence exercée par « les médias » est, on le sait, énorme. Cependant, comme le montre la discussion actuelle sur la taxe sur les ménages annoncée par l'ORF, les "médias leaders et de qualité" sont souvent payés pour la propagation de contenus et d'opinions, dont certains vont de l'irresponsable à l' indésirable .
Il est clair que nous avons besoin de plus, et non de moins, de liberté d'expression, mais cela inclut également le fait que dans une "société ouverte", chacun devrait également avoir la possibilité d'exprimer son mécontentement.
Mais comment les «médias de premier plan et de qualité» ont non seulement supprimé d'autres opinions, les ont poussées vers la «droite extérieure» dans le coin sale ou ont unilatéralement pris parti, c'est après environ trois ans de politique Corona et un peu plus d'un an après la Russie l'intervention de l'Ukraine est tout aussi évidente.
Que diriez-vous d'un modèle décentralisé ? J'écris sur Substack depuis un moment maintenant, une plate-forme où la plupart des bénéfices possibles vont directement aux écrivains (avant que vous ne demandiez : mes messages sont librement accessibles).
Le modèle bien connu des grandes entreprises de médias avec souveraineté d'interprétation est en route vers le bûcher proverbial de l'histoire : la plupart des Américains sont d'avis que les grandes organisations de "câble d'information" (CNN, MSNCB, FoxNews) ne sont pas
Jack Shafer a récemment (2021) écrit un éditorial dans le Politico libéral de gauche prônant le démantèlement de ces organisations de « nouvelles par câble » (CNN, MSNCB, FoxNews).
Vous pouvez trouver des informations détaillées à ce sujet, par exemple, dans un article de Daniel Hanlin du Center for Media Literacy, qui explique cela en utilisant l'exemple américain - que nous, en Europe, suivons presque servilement.
Epilogue : Le lanceur va au puits jusqu'à ce qu'il casse
Vous me traiterez peut-être d'optimiste, mais une chose semble claire : le « système » actuel de collaboration entre « politique » et « médias » va bientôt suivre le chemin de tous les êtres terrestres. Les enchevêtrements (voici, vous regarde, Thomas Walach) entre eux sont trop étroits, l'abîme entre la réalité et ce qui est véhiculé dans les médias est trop large.
Qu'il s'agisse de Corona, de l'Ukraine ou de l' impôt sur les ménages ORF .
On peut s'attendre à ce que ces abîmes deviennent encore plus grands, mais on peut également supposer que le nombre de consommateurs continuera à diminuer. Un jour, cela se reflétera dans le nombre d'abonnés et les résultats des élections, et ce jour n'est pas très éloigné.
En 2022, OGM enregistrait dans l' indice de confiance que "les médias" occupaient l'avant-dernière place dans la confiance de la population, suivis "uniquement" par le gouvernement et les membres de la caste politique.
Chers « travailleurs des médias » du pays : demandez-vous combien de temps le gouvernement continuera à vous déverser la corne d'abondance si l'effent (« retour sur investissement ») n'est plus en rapport avec les résultats.
Ni "la politique" ni "les médias" n'ont de réponse à cette question pour le moment, c'est-à-dire en dehors du réflexe de discours de haine et de censure. Comme on le sait, le lanceur ne va au puits que jusqu'à ce qu'il se casse. Les égratignures et les fractures sont déjà si évidentes - et elles ne font que s'agrandir à mesure que les politiciens et leurs porteurs d'eau restent silencieux dans les médias du système sur les discours de haine comme contre Clemens Arvay (honte à vous, Monsieur le président fédéral).
Ce « système » du complexe politico-médial est mort, l'odeur de pourriture est bien perceptible, mais comme le proverbial « poulet sans tête », le complexe politico-médial erre encore un peu.
Bientôt plus de pain en France ? Ce sera la révolution !
le 3 mars 2023
Le coronavirus a disparu, remplacé par les événement d’Ukraine dans les médias de grand chemin et la problématique du changement du climat est devenue presque secondaire. En réalité les lobbys de la protection de l’environnement n’ont pas lâché la barre. Le mouvement suit son cap inexorable vers la ruine des sociétés occidentales souhaitées par ces idéologues qui considèrent que le sauvetage d’une espèce de fleurs qui n’intéresse personne sinon quelques spécialistes inconnus est plus importante que le chômage de masse engendré par des mesures iniques d’harmonisation du marché européen de l’énergie ou l’interdiction de retenue collinaires de réserves d’eau pour l’agriculture. Nous vivons aujourd’hui dans un monde occidental surréaliste dans lequel l’homme est moins important que la réintroduction des ours ou des loups dont l’élimination fut l’une des préoccupations des générations qui nous ont précédé pour améliorer les conditions de vie du peuple en lui fournissant des denrées alimentaires de manière à inspirer confiance et à des prix abordables.
La France, de par ses terroirs et l’ingéniosité de ses agriculteurs, a longtemps été le grenier de l’Empire romain puis de l’Europe. Aujourd’hui, en raison de mesures iniques issues des idéologies environnementales niant tout argument scientifique rationnel, la France est contrainte d’importer plus de 15 % de ses denrées alimentaires courantes, qu’il s’agisse de viande, de fruits et légumes ou de produits lactés, du jamais vu depuis que la France existe en tant que nation ou même que colonie romaine.
Ces mêmes défenseurs des petites fleurs et des papillons (il faudrait également considérer tous les insectes nuisibles) ont contribué à détruire le secteur agricole français. On parle maintenant avec insistance du marché européen de l’énergie car l’opinion publique a enfin compris que la France avait été bernée en ce qui concerne l’électricité par les écologistes allemands en raison de l’augmentation insupportable des faillites d’entreprises. Pour l’agriculture française on assiste au même phénomène avec l’interdiction des néonicotinoïdes, ce qui scientifiquement est une absurdité sous le fallacieux prétexte que quelques insectes pollinisateurs seraient affectés par ces produits phytosanitaires. Comme conséquence de ces décisions de la Commission européenne vendue aux lobbys « verts » l’état de l’agriculture française va atteindre un stade irréversible de dégradation.
Peut-être que le gouvernement français réagira quand le peuple commencera à ne plus pouvoir manger à sa faim. Il y a déjà en France dix millions de personnes qui sont nourries par le gouvernement avec des subventions ciblées, chèques restaurant payés par l’Etat, bons d’achat de denrées de première nécessité, … on oublie de le mentionner dans les grands médias. Dix millions tous âges confondus c’est énorme et ça coûte une fortune en impôts pour tous les autres contribuables qui, eux également, vont devoir se serrer la ceinture. Je n’invente rien, ce sont des statistiques agrégeant les nécessiteux dont tous les étudiants font partie, les chômeurs de longue durée, les immigrés sans travail et les personnes seules ayant charge de famille. Et pendant ce temps-là les admirables terres arables françaises redeviennent le domaine des ronces et des orties ou sont vendues par milliers d’hectares à des fonds de pension américains … Il y a vraiment de quoi pleurer, d’autant plus que les ministres, dont celui de l’agriculture, sont des indigents intellectuels notoires ! À peine 30 % des terres agricoles françaises appartiennent aux agriculteurs qui les exploitent. Il y a de moins en moins de jeunes attirés par le nouveau métier (plein d’avenir) d’ouvriers agricoles et on les comprend. La métairie et le fermage ont toujours existé en France mais aujourd’hui il s’agit d’un phénomène de plus grande ampleur qui échappe au régulateur qu’est la SAFER (Société d’aménagement foncier et d’établissement rural), un organisme qui a paradoxalement contribué à la situation actuelle en encourageant le remembrement des terres et en concentrant l’activité agricole.
Quand le peuple français souffrira de la faim, ce qui ne saurait tarder, alors le gouvernement en place fuira à Versailles pour échapper à la vindicte populaire. Ce n’était qu’une hypothèse qui rappelle douloureusement l’époque pré-révolutionnaire quand les Parisiennes allèrent chercher le Roi à Versailles car elles n’avaient plus de pain pour nourrir leurs enfants. Imaginez les fonds de pension américains achetant les riches terres de la Beauce. Que feront-ils du blé tendre si prisé des Français pour leur bon pain ? De l’alcool qu’ils rapatrieront avec profits dans leur pays ou qu’ils revendront sur les marchés. Voilà décrit en quelques lignes l’avenir de l’agriculture française …
L’Homme est adaptable et a surmonté bien des défis depuis toujours. Il pourra surmonter celui-ci si on le laisse s’organiser librement.
le 5 mars 2023 Yves Montenay
On parle beaucoup de la transition énergétique mais beaucoup ignorent les problèmes pratiques qu’elle va poser. Limites des énergies renouvelables, rôle du nucléaire, lutte contre les émissions de méthane, approvisionnements en métaux et impacts géopolitiques sont autant de problèmes qui restent à résoudre !
Qu’est-ce que la transition énergétique ?
C’est le passage du charbon et du pétrole aux énergies renouvelables que sont la biomasse, l’hydraulique, le solaire et les éoliennes. Vous remarquerez que je n’ai pas parlé du bois, du gaz et pour l’instant, du nucléaire dont le rôle est controversé. Je vise l’ensemble de la planète, même si je vais privilégier des exemples français qui nous intéressent directement.
Cette transition s’inscrit dans l’idéal d’une transition écologique qui intégrerait des questions se recoupant largement : la biodiversité, les risques sanitaires, la fiscalité écologique et une éventuelle gouvernance environnementale.
Quels besoins en énergies renouvelables ?
Les énergies renouvelables ne sont pas nouvelles, la Hollande avait déjà l’équivalent d’un réacteur nucléaire au Moyen Âge avec ses moulins à vent, et le bateau à voile est encore plus ancien.
Mais on a changé d’ordre de grandeur : entre 1900 et 2000 la consommation d’énergie a presque été multipliée par dix. En 2018, selon l’Agence Internationale de l’Energie, cette énergie était à 81 % d’origine fossile.
Or l’objectif de la transition est théoriquement de faire disparaître ces sources fossiles, à une échéance variable selon les pays. On voit l’ampleur de la tâche !
Il faudra donc des batteries beaucoup plus puissantes et bien meilleur marché qu’aujourd’hui. La recherche avance mais c’est loin d’être résolu.
En effet, si les progrès scientifiques et techniques ont fait chuter le prix des batteries de 682 euros le kWh en 2013 à 141 euros en 2022, la demande de stockage est, elle, estimée à de 2900 GWh en 2030, contre 600 GWh en 2020.
Pour produire ces batteries, il faudrait investir 1200 milliards de dollars d’ici 2030. Cela a commencé avec la multiplication des projets de giga factories (usines géantes). Par exemple, trois sont prévues dans les seuls Hauts-de-France, dont au moins une avec le soutien de l’Union européenne.
La recherche scientifique continue. Saft, par exemple, cherche à créer des batteries « solides » dans lesquelles l’électrolyte n’est plus un liquide mais un matériau dur devant permettre de doubler la densité énergétique.
La filière de recyclage devra suivre. Les batteries usagées seront une ressource stratégique qu’il sera nécessaire de recycler correctement afin de récupérer leurs précieux matériaux.
On voit que nous sommes très loin d’avoir réponse à tous ces enjeux et, en attendant, le nucléaire fait son grand retour.
Le nucléaire a tout pour séduire
Le principal avantage du nucléaire est de n’émettre quasiment pas de gaz à effet de serre. C’est même le plus efficace « du berceau à la tombe », c’est-à-dire de la construction à la démolition comprise. Il est en effet pour cela un peu meilleur que l’éolien et le solaire, très loin devant les centrales au gaz et encore plus loin devant celles au charbon ou au fioul.
Par ailleurs, il s’insère parfaitement dans les infrastructures actuelles : routes, réseaux électriques… ce qui n’est pas le cas de l’éolien et pas souvent celui du solaire.
En France, le nucléaire a été victime des zigzags politiques. Après un démarrage spectaculaire et un fonctionnement sans accident, le compromis politique avec les écologistes a mené à l’arrêt des constructions et la perte de la main-d’œuvre qualifiée. Aujourd’hui le consensus a changé de sens et le gouvernement annonce la construction de 6 nouveaux réacteurs et d’une quinzaine de petits réacteurs modulaires dont la technologie est encore loin d’être rôdée.
L’Allemagne et la Belgique sont aujourd’hui très embarrassées par la fermeture de la majorité de leurs centrales depuis 2015, sous l’influence du parti des Verts, et tergiversent maintenant pour ne pas fermer les dernières.
À l’inverse, le Royaume-Uni prévoit huit nouveaux réacteurs et la Pologne, pays où le charbon est roi, vient de se tourner elle aussi vers le nucléaire.
Que reproche-t-on donc au nucléaire qui explique ce coup d’arrêt particulièrement dévastateur en Europe et au Japon ?
Il y a d’abord la crainte de la radioactivité : depuis le bombardement d’Hiroshima et de Nagasaki en 1945, on sait qu’elle est invisible mais dévastatrice. C’est toutefois très exagéré car ce n’est vrai qu’en cas de bombardement ou de destruction d’une centrale.
Tout le monde oublie que le granit est légèrement radioactif et que les habitants, Bretons par exemple, vivent en bonne santé depuis des siècles dans cette radioactivité légère.
Et les accidents ont tous été maîtrisés à temps sauf deux : Tchernobyl et Fukushima. Le premier est plutôt « un accident communiste » comme il y en a eu de très nombreux en URSS dans d’autres domaines polluants. Ils proviennent à mon avis de l’absence de démocratie qui permet à des responsables locaux de prendre des risques qui ne seraient pas tolérés en Occident. Quant à Fukushima, la mise hors service des réacteurs n’a fait aucune victime, les seules provenant du tsunami et non de la centrale.
Si on pense aux déchets, il s’agit de tous petits volumes qui semblent sécurisés une fois traités et enterrés mais pour lesquels on agite une éventuelle radioactivité qui ne serait pourtant que du niveau de celle de la Bretagne.
Plus sérieux est le problème des besoins en eau auxquels il faudra être plus attentif que par le passé, si le réchauffement climatique entraîne des sécheresses régulières, comme en France en 2023.
Enfin, on évoque parfois de possibles difficultés d’approvisionnement en uranium. Pour la France, il provient aujourd’hui du Niger et du Kazakhstan. Mais d’autres mines sont possibles et surtout le nucléaire en requiert de très faibles volumes et permet le stockage de combustible pour de très longues durées à proximité des centrales.
Je pense donc que les campagnes antinucléaires des écologistes sont contre-productives, y compris pour leurs propres objectifs.
Voyons maintenant un point sur lequel tout le monde semble d’accord : économiser l’énergie.
C’était mon ancien métier et j’ai pu constater l’importance des gaspillages jusqu’au choc pétrolier de 1974, gaspillages que notre entreprise pouvait limiter assez facilement pour peu que le client, en général dans le tertiaire, délègue la gestion de l’énergie à des professionnels.
L’envolée du prix du pétrole de 1974 a sensibilisé tous les acteurs comme on peut le constater en regardant la diminution de la taille des fenêtres pour les immeubles conçus après cette date. Depuis la guerre en Ukraine, les craintes de pénuries sensibilisent de nouveau le grand public.
La tendance actuelle est de fonctionner autant que possible en circuit fermé, c’est-à-dire en utilisant la chaleur et les déchets qui étaient jusqu’à présent rejetés à l’extérieur. On gagne sur les deux tableaux, l’énergie et la matière.
Les cimenteries l’ont fait depuis déjà longtemps et cela gagne ensemble du secteur industriel. Même le bâtiment commence à recycler les gravats à grande échelle pour les intégrer dans le béton.
Les subventions énergétiques
De nombreux pays subventionnent le pétrole comme l’Arabie Saoudite, l’Égypte ou même récemment la France avec le bouclier tarifaire. C’est évidemment économiquement tout à fait opposé à la transition énergétique mais beaucoup de pays restent bloqués dans cette politique par crainte de leurs électeurs dans les démocraties et par crainte d’émeutes et de guerre civile ailleurs.
D’un point de vue purement technique, il vaudrait mieux distribuer les mêmes sommes à des pauvres plutôt que de subventionner un produit. Il est probable que se mettraient alors spontanément en place des solutions moins énergivores, et que l’on verrait moins souvent gaspiller un produit noble, le carburant, pour promener une tonne d’acier autour d’un humain de 80 kg.
Remarquons que le raisonnement vaut aussi pour les transports en commun qui sont extraordinairement économes… quand ils sont pleins, ce qui est très variable d’un lieu à l’autre et d’une heure à l’autre.
Rénover pour économiser ?
Les bâtiments et infrastructures avec 20 % des émissions sont dans le collimateur. Mais si les logements neufs sont maintenant de bonne qualité environnementale, il reste un stock considérable de logements anciens difficilement isolables et une partie des aides publiques risque d’être gaspillée.
Le calcul purement énergétique montre la grande efficacité des pompes à chaleur mais leur installation se heurte à des problèmes techniques ou de voisinage, notamment dans les appartements anciens.
Avoir ses propres panneaux solaires ou tout autre solution technique, chez l’utilisateur industriel, tertiaire ou particulier est à la mode depuis que son rendement financier, qui n’était pas extraordinaire, devient très intéressant dans le contexte actuel d’augmentation du prix de l’électricité, voire de pénurie.
Outre le rendement, qui dépend bien sûr du prix de l’alternative, le principal argument est que cela rend le propriétaire très conscient de sa consommation d’énergie et qu’il trouve donc mille occasions d’en économiser. Accessoirement cela évite les pertes en réseau qui sont quand même de 2 à 3 %.
Réussir la transition énergétique suppose également de régler le problème des émissions de méthane.
Le méthane pire que le gaz carbonique
Le méthane, plus connu sous le nom de gaz naturel, a deux sources principales : la décomposition des matières organiques, que je vais symboliser ici par « la viande » et l’organisation actuelle de l’industrie pétrolière (le « gaz fatal » issu de l’extraction). Ce gaz serait 28 fois plus nuisible que le gaz carbonique. En réduire sa diffusion dans l’atmosphère permettrait donc de retarder la hausse des températures, laissant à l’économie le temps de généraliser les autres solutions.
Allons-nous tous devenir végétariens ?
La consommation de viande et notamment de la viande de bœuf a des effets massifs sur la planète. Pour nourrir les animaux, il faut en effet d’énormes surfaces de maïs qui nécessitent beaucoup d’eau, et de culture du soja, cause de déforestation notamment au Brésil.
S’y ajoute l’énergie nécessaire au transport de cette nourriture et surtout, ce qui a frappé le public, le fait que les bovins produisent massivement du méthane en ruminant.
D’où une série de réactions, qui vont de « la vache verte » à l’alimentation végétarienne.
« La vache verte » est la grande vedette de l’actuel Salon de l’Agriculture. Chacun expose sa méthode : maîtrise des périodes de vêlage (la naissance des veaux), le pâturage traditionnel, qui est bon pour le sol et diminue les besoins en maïs et soja etc.
Bien sûr, il s’agit d’une réaction de défense des éleveurs devant une action plus radicale qui serait de ne plus manger de viande ou de la remplacer par de la viande synthétique ou de la viande végétale.
La viande synthétique par élevage en laboratoire des cellules animales présente l’avantage psychologique d’être « une vraie viande ». Mais elle nécessite des installations compliquées, telles que des laboratoires aseptisés, ainsi que la production de milieux de cultures cellulaires. On ne sait pas aujourd’hui si ces procédés seront industrialisables à des coûts acceptables, ni quelle pollution leur fabrication pourrait générer.
Par contre, la viande végétale, qu’il est interdit d’appeler « viande » en magasin, a une production et une commercialisation en croissance rapide. Il s’agit de protéines végétales, soja par exemple, agrémentées d’autres végétaux pour lui donner une apparence, une texture et un goût aussi proche que possible de la viande. Ce sera probablement une des révolutions des prochaines années.
L’industrie pétrolière en flammes
Dans les périodes d’énergie chère, nous avons tous été frappés par les torchères, ces grandes flammes qui surplombent beaucoup de puits de pétrole. Les pétroliers l’expliquent par des raisons économiques, comme la difficulté d’envoyer ce gaz dans un réseau, et pour des raisons chimiques : produire du gaz carbonique est moins nuisible à l’environnement que de laisser fuir du méthane.
C’est évidemment de moins en moins tolérable lorsque le gaz devient très demandé comme aujourd’hui. Il y a donc des pressions et un contrôle croissant, notamment de la part de la Banque mondiale.
Le résultat est prévisible : les pays démocratiques où l’information circule bien font des progrès, comme les États-Unis, tandis que les autres, comme la Chine, la Russie et le Venezuela ne réagissent pas.
Et pour tout compliquer, la transition pose de nombreux problèmes géopolitiques.
De la géopolitique du pétrole aux conflits miniers
Les mines nécessaires à tous les besoins exposés plus haut doivent bien se trouver quelque part, et ce « quelque part » pose des questions géopolitiques. De même pour la pollution qui provient surtout de certains pays, mais gêne tout le monde.
La production électrique par l’éolien et le solaire demande des batteries, des panneaux, des pales, des socles en béton, parfois des routes, des interfaces informatiques… Donc de grandes quantités de matériaux, dont le fer, le cuivre, le lithium, le cobalt, le tungstène… L’Agence Internationale de l’Énergie estime ainsi que la production de métaux rares devra être multipliée par 4 à 6 d’ici 2040 pour rester dans le cadre des accords de Paris.
Or ces matériaux sont très inégalement répartis sur la Terre. Par exemple, en 2019, la Chine et la République démocratique du Congo produisaient 60 % du cobalt et des terres rares, et une grande partie du lithium mondial vient du Chili et accessoirement d’Argentine et de Bolivie.
Sachant ce qui s’est passé en géopolitique du fait du pétrole, on peut imaginer le pire, qui a d’ailleurs commencé dans l’est de la République démocratique du Congo, avec des guerres civiles à soubassement international pour le contrôle des mines.
Certes de nouvelles découvertes sont possibles, notamment, paraît-il, en France… mais les mêmes écologistes qui réclament ces matériaux pour les énergies renouvelables sont opposés à l’ouverture de mines qui porteraient atteinte à l’environnement local.
Et puis, les énergies renouvelables émettent elle aussi du gaz carbonique lors de leur construction et leur démolition.
Les panneaux solaires nécessitent du silicium (donc des mines) et de l’énergie, actuellement carbonée.
Les éoliennes nécessitent des « terres rares » et du béton. Les pales ne sont pas recyclables. Et puis nous avons vu que l’intermittence implique de disposer aussi de centrales à charbon ou à gaz : malgré son énorme équipement en solaire et surtout en éolien l’Allemagne émet plus de gaz carbonique que jamais du fait des centrales à charbon remplaçant le nucléaire.
Un nouveau clivage Nord-Sud
La COP 27 a acté la création d’un fonds pour compenser des dommages que le réchauffement climatique inflige aux pays du Sud alors qu’ils n’en sont pas responsables. Par ailleurs les pays du Sud souhaitent continuer à explorer et exploiter le pétrole, le gaz et le charbon :
« Les pays développés nous font la morale mais ils ne sont pas dans la même situation que nous, qui devons d’abord nous développer ».
C’est compréhensible mais un peu hypocrite de la part des dirigeants du Sud. En effet l’argent provenant de l’exploitation de l’or noir a souvent profité à une élite politique corrompue et non au développement.
Il vaudrait donc mieux utiliser les moyens financiers et humains de la recherche et du développement des énergies fossiles en développant les énergies renouvelables, le solaire et l’hydraulique qui ont un grand potentiel en Afrique.
Mais au sud l’intérêt des peuples n’est pas celui des gouvernements. Ces derniers ouvrent leur porte à la Chine et à la Russie pour se protéger de leurs propres peuples et continuer leur prédation, notamment sur les recettes pétrolières.
Le poids de Chine et de l’Inde
L’Inde, le plus grand des pays du sud, mène une politique énergétique tous azimuts, ce qui en pratique signifie une consommation croissante de charbon. Par ailleurs, avec d’autres pays d’Asie, elle est à la fois auteur et victime de la tradition qui consiste à brûler les résidus de récolte. De ce fait, la ville de New Delhi suffoque chaque année. Son cas est médiatisé mais c’est aussi celui de régions entières de cette partie du monde, et en plus dilué celui de l’ensemble de la planète.
Ces deux sources de pollution serviront sûrement de marchandage dans des négociations internationales.
La Chine est le principal pollueur annuel, et de très loin, bien qu’elle accuse États-Unis qui le sont en cumulé depuis environ 150 ans, ce qui n’est pas le problème d’aujourd’hui.
Comme l’Inde, la Chine mène une politiques tous azimuts avec un développement rapide du nucléaire, mais c’est d’abord la consommation de charbon qui continue d’augmenter. Là aussi, on peut prévoir des échanges musclés, l’Occident réclamant que ses efforts ne soient pas annulés par l’usage chinois du charbon !
Or tout ce qui touche la Chine ébranle le monde. Napoléon l’avait déjà prédit.
Finalement les énergies fossiles sont là pour longtemps
Ainsi, malgré l’urgence de la situation et la nécessité de réaliser la transition énergétique, notre dépendance aux énergies fossiles va durer longtemps.
D’abord, la demande énergétique mondiale continue de croître, non comme les écologistes nous le répètent, en raison de la croissance démographique mondiale qui n’existe plus en dehors de l’Afrique subsaharienne, mais par le développement du Sud et de la Chine, que les intéressés ne veulent surtout pas arrêter.
De plus, des énergies fossiles bénéficient des infrastructures existantes qui ont été conçues pour elles : centrales électriques, réseaux de transports, etc. De même, il est plus simple d’acheter du charbon et de le brûler dans des centrales bien rodées que de mettre en place des systèmes de production d’énergies renouvelables, très demandeurs en composants de haute technologie.
Enfin, les énergies fossiles restent encore compétitives avec des chaînes d’approvisionnement efficaces et de nombreux acteurs installés depuis des décennies.
Cela pourrait changer côté pétrole avec la disparition des gisements « faciles ». Par contre les réserves de gaz et de charbon sont très abondantes et très tentantes.
Compte tenu de tout cela, et selon l’Agence Internationale de l’Énergie, les émissions de carbone liées à l’énergie pourraient atteindre leur pic en 2025, à 37 milliards de tonnes par an, pour baisser progressivement jusqu’à 32 milliards de tonnes annuelles en 2050. Ce qui signifie que la transition sera alors à peine amorcée !
On comprend pourquoi de plus en plus d’économistes parlent d’adaptation à la hausse des températures d’autant que cette prévision ne prend pas en compte les éventuelles erreurs économiques futures des politiciens, comme l’arrêt du nucléaire en Allemagne et en Belgique.
Donc, contrairement à certains politiques écologistes, je fais plutôt confiance à l’évolution technique et à sa mise en place par le marché qu’à des décisions gouvernementales arbitraires qui peuvent se révéler catastrophiques.
Certes, on estime indispensable le rôle des États pour limiter les dérives des entreprises. Je pense que c’est plutôt le problème inverse qui se pose, l’entreprise étant une communauté humaine qui ne peut ignorer les convictions de ses actionnaires, de son personnel, de ses cadres, et surtout de ses clients.
L’Homme est adaptable et a surmonté bien des défis depuis toujours. Il pourra surmonter celui-ci si on le laisse s’organiser librement.
Avant de parler de 'transition énergétique' il faudrait au moins se demander pourquoi ! Pourquoi depuis DES milliards d'années les volcans polluent des millions de fois plus que tous les humains, les animaux et les industries réunis et... et personne n'est mort ! Çà alors ! Bien sûr là vous me direz que les merdias évitent d'inviter sur plateaux, studios ou colonnes des scientifiques pour parler de science mais invitent plutôt des gros cons de ministres incompétents qui n'ont jamais de leur vie fait une heure d'étude scientifique !
Car (HOULALA !), un scientifique ne fait pas la science, il la découvre. Et, la découverte lui dira que DEPUIS DES MILLIARDS D’ANNÉES TOUS LES GAZ SE RECYCLENT IMMÉDIATEMENT ! Çà alors !! Faute de quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue !
Alors là vous allez me parler des putains de villes où des urbanistes à la con ont tout fait pour faire crever la population ! Effectivement, le prix du m² ayant grimpé, ce sont plutôt de très hautes tours qui sont construites. Et, ces bâtiments stoppent ou détournent les vents. Et l'air en ville ne peut plus s'échapper ! HAHAHA ! Il tourne en rond ! Noircit les façades. Et c'est là que des cons qui se refusent à dire la vérité crient à la pollution en voulant supprimer les voitures et toutes les cheminées sur les toits ! Oui mais... il n'y a pas d'électricité pour tout le monde ! (surtout avec les putains d'éoliennes et panneaux solaires à la con !).
Alors ils conseillent aux personnes frileuses de s'acheter un pull-over ! ou d'isoler leur maison ! HAHAHAHA ! Même avec des murs de 50 m d'épaisseur LA CHALEUR NE SERA JAMAIS CONSERVÉE !
Alors, ils s'en prennent encore aux paysans où l'air n'est pas pollué mais il le serait par des rejets de gaz carbonique ! HAHAHAHA ! d'azote ! HAHAHAHA ! et de méthane ! HAHAHAHA !
- L'atmosphère terrestre est l'enveloppe gazeuse, entourant la Terre, que l'on appelle air. L'air sec se compose à 78,087 % d'azote, à 20,95 % d'oxygène, à 0,93 % d'argon, à 0,041 % de gaz carbonique, et de traces d'autres gaz. -
Supprimer l'azote de l'air ! HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA ! Supprimer le gaz rare appelé gaz carbonique ! HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA ! Quant aux pets de vaches, des chiens, des humains ou des poissons rouge...
Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.
Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !
Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinnage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !
1 -- Arabie Saoudite 2 -- Australie 3 -- Canada 4 -- USA 5 -- Corée du Sud 6 -- Russie 7 -- Allemagne 8 -- Afrique du Sud 9 -- Japon 10 - Italie 11 - Royaume-Uni 12 - Chine 13 - Turquie 14 - Argentine 15 - Mexique 16 - Inde 17 - Indonésie 18 - France 19 - Brésil
Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arêtes de poissons !
Le ministre allemand de la Défense déclare que son armée est incapable de défendre le pays, ce qui signifie qu'il ne vaut rien pour l'OTAN
Vendredi 03 mars 2023 par : JD Heyes
(Natural News) L'Allemagne était, en grande partie, responsable de deux horribles guerres mondiales au 21e siècle, après avoir passé des décennies en tant que nation divisée après la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne de l'Est étant détenue par l'ex-Union soviétique et l'Allemagne de l'Ouest aux mains des Alliés. .
Après la fin de la guerre froide, cependant, le pays s'est replié militairement et maintenant, après avoir dominé le continent pendant un siècle, l'armée allemande est une coquille d'elle-même et, selon son ministre de la Défense, incapable de défendre le peuple allemand.
Selon le ministre de la Défense Boris Pistorius, la Bundeswehr est en sous-effectif et mal équipée en raison de décennies de négligence de la part du gouvernement fédéral, a rapporté FirstPost cette semaine.
"Nous n'avons pas de forces armées capables de défendre [l'Allemagne], c'est-à-dire capables de la défendre contre une guerre d'agression offensive et brutale", a-t-il déclaré lors d'une récente réunion avec des membres du Parti social-démocrate au pouvoir.
Le ministre de la Défense a affirmé que l'armée allemande a été ignorée par le gouvernement fédéral pendant plusieurs années, ce qui a entraîné des effectifs et des équipements insuffisants. Pour répondre aux normes de l'OTAN, il a suggéré que l'Allemagne doit accroître ses investissements militaires.
L'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, communément appelée OTAN, est une alliance militaire et politique de 30 pays membres d'Amérique du Nord et d'Europe. Elle a été fondée en 1949 dans le but de fournir une défense collective contre les menaces potentielles, de promouvoir la stabilité et la sécurité dans la région euro-atlantique et d'encourager la coopération entre ses membres.
La mission première de l'OTAN est d'assurer la sécurité de ses pays membres. Ceci est accompli par une variété de moyens, y compris le maintien d'une forte présence militaire en Europe, la conduite d'exercices et d'entraînements militaires, et l'engagement dans le partage de renseignements et la coopération. L'OTAN s'emploie également à promouvoir la stabilité et la sécurité dans des régions extérieures à ses pays membres, notamment par le biais de missions de maintien de la paix et d'efforts d'aide humanitaire.
Un autre rôle important de l'OTAN est de promouvoir les valeurs et les institutions démocratiques. Cela comprend le soutien à l'état de droit, aux droits de l'homme et à la liberté d'expression et de la presse. L'OTAN s'emploie également à promouvoir le développement économique et le commerce, et à encourager la coopération politique entre ses membres.
L'OTAN a joué un rôle important dans la promotion de la paix et de la stabilité en Europe depuis sa création. Pendant la guerre froide, l'OTAN a servi de rempart contre l'Union soviétique et a contribué à empêcher le déclenchement d'une guerre majeure en Europe. Depuis la fin de la guerre froide, l'OTAN a continué de jouer un rôle important dans la promotion de la paix et de la stabilité dans la région, notamment par sa participation aux conflits dans les Balkans et ses efforts continus pour combattre le terrorisme.
Ces dernières années, l'OTAN a été confrontée à un certain nombre de défis. Il s'agit notamment des tensions entre les pays membres, des inquiétudes quant au rôle de l'OTAN au Moyen-Orient et de la montée de nouvelles menaces telles que les cyberattaques et la guerre hybride. Mais clairement, selon les responsables allemands, non seulement l'armée du pays ne peut pas beaucoup contribuer à l'OTAN, mais elle ne peut pas se défendre.
Le commandant et officier le plus haut gradé de l'armée allemande, le lieutenant-général Alfons Mais, a déclaré la semaine dernière que les 100 milliards d'euros promis par le chancelier Olaf Scholz seraient insuffisants pour garantir que les forces armées du pays soient prêtes au combat.
"L'armée que j'ai le devoir de diriger est plus ou moins nue", aurait-il déclaré à un média allemand.
Pistorius a fait cette déclaration quelques heures seulement après que le colonel Andre Wustner, président de l'Association des forces armées allemandes, ait révélé dans une interview au média allemand Bild que seuls 30 % des quelque 300 chars Leopard 2 de l'inventaire allemand sont actuellement opérationnels. Malgré une situation de défense préoccupante dans son pays, l'Allemagne offre depuis plus d'un an une aide importante à l'Ukraine déchirée par la guerre alors qu'elle lutte contre l'agression russe.
Selon Armin Papperger, PDG de Rheinmetall, le principal entrepreneur de défense du pays, le gouvernement allemand a donné à l'Ukraine deux systèmes de défense aérienne de pointe conçus à l'origine pour protéger Berlin. Papperger a fait cette déclaration lors d'un épisode mardi du podcast Pioneer.
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8. * Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros ou 'google': sent zéro. https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux Etats-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
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Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
Par Jérôme Henriques Mondialisation.ca, 04 mars 2023
La théorie des jeux est une branche des mathématiques à la base de nombreux principes politiques, économiques, sociologiques. En son sein, le Théorème du Prisonnier trouve nombre d’applications pratiques … jusqu’aux problèmes sociaux actuels.
Le dilemme du prisonnier est une théorie énoncée par Albert W. Tucker à Princeton en 1950. Tucker suppose deux prisonniers (complices d’un crime) retenus dans des cellules séparées et ne pouvant communiquer. On leur propose alors le choix suivant :
– si les deux se taisent (aucun ne dénonce l’autre), les deux font un an de prison. – si les deux se dénoncent mutuellement, chacun est condamné à 5 ans de prison. – si l’un dénonce l’autre et que l’autre se tait, le premier est libre tandis que le second écope de 10 ans de prison.
Le choix optimal pour les deux prisonniers est qu’ils se taisent (ils font dans ce cas tous deux un an de prison). Pourtant, les deux choisissent généralement de dénoncer. L’explication tient en fait à une approche individuelle de la situation, chaque prisonnier raisonnant à partir des deux réactions possibles de son complice :
– soit ce dernier dénonce … j’ai alors intérêt à dénoncer aussi (pour faire 5 ans de prison au lieu de 10) – soit il ne dénonce pas … et j’ai quand même intérêt à dénoncer (pour être libre au lieu de faire un an de prison)
Pierre angulaire dans le domaine de la théorie des jeux (mathématiques), le dilemme du prisonnier trouve nombre d’applications pratiques dans les domaines de l’économie, la politique internationale, la sociologie …
En économie par exemple, dans la lutte contre les ententes illicites (entreprises qui s’entendent sur les prix …), la mise en place de procédures de clémence (la première entreprise qui dénonce le cartel est exonérée de peine) est une application directe du dilemme du prisonnier. Au niveau international, la difficile mise en place/coordination de politiques nationales sur les questions environnementales, fiscales, de désarmement … (peur de perdre un avantage compétitif sur les autres pays …) est également une illustration pratique de ce dilemme.
En réalité, on retrouve le dilemme du prisonnier dans nombre de situations de la vie politique et sociale et l’actualité du moment en donne une bonne illustration.
Prenons le projet de réforme des retraites. 70 % des Français n’en veulent pas et 90 % des actifs (les premiers concernés, excusez du peu) la rejettent catégoriquement. Et pour cause ! Une réforme qui, de par son injustice (faire les poches du petit peuple pendant qu’on goinfre le monde du capital) et le fait qu’elle s’inscrive dans une succession de réformes du même type (Woerth, Touraine, Borne … à quand la prochaine ?), fait craindre une diminution progressive des retraites, voire à terme, une disparition pure et simple du système de retraites actuel.
Il y a fort à parier que si l’ensemble des travailleurs concernés décidaient, tous ensemble, de se mettre en grève, le gouvernement ne tiendrait pas longtemps. Comme on l’a vu pendant la période Covid, nombre de métiers mal payés, peu considérés (dans les transports, l’énergie …) s’avèrent (en cas de crise) indispensables pour faire tourner le pays.
Attention, il ne s’agit pas ici de tenir un discours sectaire ou moralisateur : chacun a ses impératifs, contraintes ou problèmes et certains n’ont tout simplement pas les moyens de faire grève. Par contre, il s’agit de remarquer que parmi les « anti-réforme », beaucoup choisissent de ne pas participer au mouvement alors qu’ils pourraient le faire …
« Ca sert à rien », « Le gouvernement s’en fout », « mon métier n’est pas stratégique », « on va perdre une journée pour rien », « pour que ce soit utile, il faudrait vraiment que tout le monde s’y mette » (sous-entendu « les autres d’abord »), « les syndicats roulent pour eux », « comme à chaque fois, c’est le gouvernement qui va gagner », etc. Moralité : parmi les « anti-réforme » (dont certains parfois très virulents à l’égard de l’actuel gouvernement), seule une petite minorité choisit de participer (d’une manière ou d’une autre) à la grève.
Derrière ces excuses plus ou moins sincères, une peur de perdre « quelque chose » (ou de perdre quelque chose par rapport aux autres) : une journée de salaire, une (demi-)journée de congé, du temps (dans les manifs), l’estime de la hiérarchie, un déclassement (« d’autres auront la promo à ma place ») avec en trame de fond l’idée que, tout le monde ne jouant pas le jeu (ou pouvant de ne pas jouer le jeu), autant ne pas le jouer non plus (et éviter ainsi d’être le « dindon de la farce »).
Certes, on pourrait avancer que la notion d’incertitude dans le dilemme (les prisonniers ne peuvent pas communiquer) est ici absente puisque les travailleurs ont tout le loisir de communiquer (de se regrouper, s’organiser …). C’est en parti vrai et certaines formes d’union populaire (l’union syndicale notamment) constituent heureusement un contrepoids important à certaines politiques libérales.
Mais la capacité d’entente à l’échelle de deux individus n’a rien à voir avec celle d’un peuple (d’une nation) où la notion d’incertitude (que vont faire des millions d’autres individus ?) s’apparente finalement à celle du prisonnier (isolé). Nos gouvernants l’ont bien compris qui savent manier le « diviser pour mieux régner » pour cloisonner la base et casser les luttes : les Français (de souche) contre les étrangers, le public contre le privé, les travailleurs contre les fainéants, les citoyens respectueux contre les bloqueurs (preneurs d’otages) …
Il est à ce propos intéressant d’observer, à la veille de grands mouvements sociaux, le gouvernement dévoiler lui-même ses inquiétudes. Ainsi tous ces ministres qui répètent à l’envi qu »ils respectent le droit de grève, inscrit dans la constitution, tout à fait normal … mais qu’il ne faut surtout pas bloquer le pays … » Comme s’ils reconnaissaient eux-même qu’ils considèrent les grèves (manifs) comme une sorte de folklore (carnaval) éphémère et inoffensif (auquel ils ne se donnent même pas la peine de répondre d’ailleurs), mais qu’un mouvement de grande ampleur (avec blocage, dans la durée …) pourrait réellement changer la donne.
L’union fait la force dit le proverbe. Et la résignation du peuple la meilleure arme du gouvernement pour lui permettre de détricoter un à un l’ensemble des droits sociaux obtenus par nos ancêtres. Pendant que l’état se soumet aux banques (plus de 3.000 milliards de dette) et se désengage de ses missions régaliennes (école, santé …), pendant que la société s’uber-ise et que des cabinets de conseil privés décident de la politique à mener dans le pays, il est peut-être bon de se poser la question : jusqu’où allons-nous aller ?
Dans la nature, le gnou se dit qu’il n’a pas besoin de courir plus vite que le lion : il a juste besoin de courir plus vite que le plus lent de son troupeau. Il sauve ainsi sa vie une fois, deux fois, n fois … jusqu’au jour ou il se fait bouffer lui aussi. S’ils décidaient de faire bloc, (ce qui arrive parfois), les gnous arriveraient sûrement à mettre en fuite (voire en danger avec leurs cornes …), le lion qui les poursuit.
Nous ne sommes pas des gnous. Nous avons la possibilité de penser (la société que nous voulons), nous coordonner, agir. Nous avons aussi la capacité de comprendre que l’acceptation d’une n-ième réforme (paramétrique) fait aussi office d’acceptation (du moins d’encouragement) pour la n+1-ième. Et que seul un mouvement social de grande ampleur, c’est à dire avec l’effort de tous, permettrait de peser dans le rapport de force. Ca sert à rien de râler, seuls les actes comptent. Bref, tous dans la rue le 07 mars.
Le problème des oligarques et des milliardaires des États-Unis et du monde
5 mars 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Les trois dernières années ont apporté des changements comme nous n'en avions pas vu depuis longtemps. Pour la première fois, un passeport santé a été introduit dans le monde entier, dont vous avez besoin pour voyager et parfois même pour être autorisé à manger au restaurant ou à acheter des vêtements. Lors de la réunion de l'année dernière à Bali, le G20 a de nouveau appelé à un certificat de santé numérique.
Cependant, l'identification numérique est une condition préalable à un certain nombre d'autres projets tels que le budget gaz carbonique personnel, toutes sortes de restrictions de circulation pour sauver le climat, l'argent numérique de la banque centrale et bien sûr la poursuite des campagnes mondiales de vaccination avec de toutes nouvelles préparations d'ARNm contre tous sortes de virus et de maladies.
Une autre évolution, qui dure depuis de nombreuses décennies, est l'escalade significative des tensions internationales. Et pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, il y a un affrontement militaire entre grandes puissances, sous la forme d'une guerre par procuration, mais avec le potentiel de se terminer par un échange de coups nucléaires.
Ces événements et développements politiques sont liés, du moins par ceux qui les animent. Ce sont principalement les oligarques occidentaux dirigés par ceux des États-Unis.
Michael Whitney écrit un intéressant résumé du travail de ces oligarques américains dans la Unz Review sous le titre « The Plan to Wreck America ». Et si cela réussit, cela affectera de grandes parties du monde, mais au moins l'Europe.
Michael Whitney est un analyste géopolitique et social renommé basé dans l'État de Washington. Il a commencé sa carrière en tant que journaliste citoyen indépendant en 2002 avec un engagement pour le journalisme honnête, la justice sociale et la paix mondiale.
Voici la traduction allemande de l'article :
Le plan pour détruire l'Amérique. Les milliardaires mondialistes, par Mike Whitney à Unz Review En Amérique, nous avons un problème d'oligarque, et il est bien plus important que le problème d'oligarque auquel Poutine a été confronté lorsqu'il est devenu président en 2000. L'Occident tout entier est désormais entre les mains d'élites milliardaires qui ont la mainmise sur les médias, l'establishment politique et toutes nos grandes institutions. Ces dernières années, ces oligarques ont étendu leur influence des marchés, de la finance et du commerce à la politique, aux affaires sociales et même à la santé publique.L'impact que ce groupe a eu sur ces autres domaines d'intérêt a été tout simplement époustouflant. Les élites de l'establishment et leurs médias n'étaient pas seulement unis derrière le Russiagate, la destitution de Trump, les émeutes du BLM et le fiasco du 6 janvier, ils ont également contribué à l'hystérie du Covid et aux nombreuses mesures répressives prises au nom de la santé publique. Nous aimerions savoir dans quelle mesure ce groupe participe activement à façonner d'autres événements visant à transformer la république américaine en un système plus autoritaire ?
En d'autres termes, ce sont les injections prescrites, les confinements forcés, la censure gouvernementale agressive, l'élection présidentielle louche, les incendies d'usines alimentaires, les déraillements de train, les attaques du réseau électrique, les émeutes antifa du BLM, les spectacles de drag queen pour les écoliers, les l'accent insensé sur les questions de genre et les procès publics étincelants ne sont que des incidents aléatoires survenus spontanément au cours d'une période de grands changements sociaux, ou sont-ils en fait la preuve d'une opération secrètement orchestrée menée par des agents de l'État au nom de leurs bienfaiteurs d'élite ?Nous savons déjà que le FBI, le ministère de la Justice et les agences de renseignement ont été directement impliqués dans l'affaire du Russiagate, qui était une attaque secrète contre le président sortant des États-Unis. La question n'est donc pas de savoir si ces agences sont activement engagées dans d'autres actes de trahison, mais plutôt dans quelle mesure ces actes affectent la vie des Américains ordinaires, notre politique et le pays. Mais avant de répondre à cette question, jetons un coup d'œil à cette citation d'une récente interview du colonel Douglas MacGregor :
J'ai lu un document que George Soros a écrit il y a plus de dix ans dans lequel il parle spécifiquement d'une guerre totale qui serait finalement dirigée contre la Russie parce que, selon lui, c'est "le dernier État nationaliste à se tenir sur les bases de l'orthodoxie". La culture chrétienne avec l'identité russe en son cœur ». Cela doit être éliminé. Je pense donc que les dirigeants occidentaux et les dirigeants de Washington pensent qu'ils ont réussi à détruire l'identité des peuples européen et américain, que nous n'avons aucun sens de nous-mêmes, que nos frontières ne sont pas défendues, que nous n'offrons aucune résistance aux migrants entrants des pays en développement qui nous écrasent comme si nous leur devions notre gagne-pain, et que nos lois ne comptent pas. Jusqu'à présent, je dirais qu'il s'agit d'une évaluation précise de ce que nous avons fait. Et je pense que c'est une grande victoire pour George Soros et les mondialistes, les anti-nationalistes ; ceux qui veulent des frontières ouvertes, ce qu'ils appellent "Open Society" parce qu'au final il ne reste plus rien, une masse amorphe de personnes luttant pour survivre et réduites au plus bas niveau de subsistance... (Soros) va même jusqu'à aller au-delà dire à quel point il serait utile que ce soient des Européens de l'Est dont la vie soit sacrifiée dans ce processus, et non des Européens de l'Ouest qui ne veulent tout simplement pas subir les pertes. Ce n'est pas rien. C'est le genre de pensée qui, à mon avis, est si destructrice et si diabolique que c'est ce à quoi nous avons vraiment affaire dans nos propres pays , et je pense que Poutine le reconnaît." ( Douglas Macgregor – A Huge Offensive , You Tube;, 11:20 minutes)
Ce que dit Nimmo, c'est que ces élites milliardaires sont maintenant si puissantes qu'elles peuvent dire ouvertement qu'elles passent "de la prise de décision intergouvernementale" (c'est-à-dire un gouvernement représentatif) à un système de "gouvernance multipartite". Si je ne me trompe pas, c'est une explication assez simple pour une nouvelle forme de gouvernement supranational où seuls les groupes d'intérêts milliardaires ont leur mot à dire sur les politiques mises en œuvre. Mais n'est-ce pas ainsi que les choses fonctionnent maintenant ? Sur de nombreux sujets, de l'ESG [Environnement, Social, Gouvernance] aux monnaies numériques, en passant par les certificats de vaccination, l'IA, la recherche sur l'amélioration des fonctions, les villes en 15 minutes, le transhumanisme jusqu'à la guerre avec la Russie,
Et cela nous ramène à notre question initiale : combien de ces événements étranges (au cours des dernières années) ont été évoqués et mis en œuvre par des agents de l'État profond pour faire avancer l'agenda de l'élite ?
Cela semble être une question impossible car il est difficile de trouver un lien entre ces événements radicalement différents. Par exemple, quel est le lien entre une heure pour enfants drag queen et, disons, un incendie criminel contre une usine alimentaire dans l'Oklahoma ? Ou l'exploitation politique impitoyable des questions de genre et les procès-spectacles publics du 6 janvier ? S'il y avait un lien, nous le verrions, n'est-ce pas ?
Pas nécessairement, car le lien peut n'avoir rien à voir avec l'événement lui-même, mais avec son impact sur les personnes qui le vivent. En d'autres termes, tous ces événements pourraient viser à créer la peur, l'insécurité, les troubles, l'aliénation et même la terreur. Les services de renseignement ont-ils déjà mené de telles opérations déstabilisatrices ?
En effet, ils l'ont fait plusieurs fois. Voici un extrait d'un article pour vous montrer où je veux en venir. Il provient d'un article de The Saker intitulé "Operation Gladio: NATO's Secret War for International Fascism ". Voyez si vous voyez des similitudes avec la façon dont les choses ont évolué en Amérique ces dernières années :
Yves Guerin-Serac : le grand maître des Black Ops derrière l'Opération Gladio…. a écrit les manuels de formation et de propagande de base qui peuvent être appelés en toute sécurité l'ordre de bataille de Gladio."...
Guerin-Serac était un héros de guerre, un agent provocateur, un assassin, un kamikaze, un officier du renseignement, un catholique messianique et le grand maître intellectuel derrière la « Stratégie de la tension » qui était essentielle au succès de l'opération Gladio. Guerin-Serac a publié le Manuel de Gladio via Aginter Press, qui comprend, entre autres, la section Notre activité politique , qui peut être décrite à juste titre comme le premier commandement de Gladio :
« Notre conviction est que la première phase de l'activité politique devrait être de créer les conditions qui favorisent l'installation du chaos dans toutes les structures du régime... À notre avis, la première étape devrait être d'établir la structure de l'État démocratique sous le régime destructeur. la couverture des activités communistes et pro-soviétiques … En plus, nous avons des gens qui ont infiltré ces groupes.
« Deux formes de terrorisme peuvent provoquer une telle situation [effondrement de l'État] : le terrorisme aveugle (massacres aveugles qui font un grand nombre de victimes) et le terrorisme sélectif (élimination d'individus sélectionnés)...
Cette destruction de l'État doit être menée sous le couvert d'« activités communistes ». Après cela, il faut intervenir au cœur de l'armée, de la justice et de l'Église pour influencer l'opinion populaire, proposer une solution et montrer clairement la faiblesse de l'appareil judiciaire actuel. L'opinion publique doit être tellement polarisée que nous sommes dépeints comme le seul outil qui peut sauver la nation . »
La violence anarchique aveugle devrait être la solution pour provoquer un tel état d'instabilité, permettant ainsi un tout nouveau système, un ordre autoritaire mondial. Yves Guerin-Serac, qui était un fasciste déclaré, ne serait pas le premier à utiliser des tactiques sous fausse bannière imputées aux communistes et utilisées pour justifier un contrôle policier et militaire plus strict par l'État...". (« Opération Gladio : la guerre secrète de l'OTAN contre le fascisme international » , The Saker)
Je le répète : la première phase de l'activité politique devrait être de créer les conditions favorables à l'installation du chaos dans toutes les structures du régime… Cette destruction de l'État doit être menée sous couvert d'activités (communistes)…. L'opinion publique doit être polarisée pour nous présenter comme le seul véhicule capable de sauver la nation.
En d'autres termes, le but de l'opération est de perturber complètement toutes les relations et interactions sociales, de cultiver des sentiments d'insécurité, de polarisation et de terreur, de trouver un groupe comme bouc émissaire pour l'effondrement sociétal plus large, puis de se présenter (les élites) comme le meilleur choix pour rétablir l'ordre.
Le Pentagone, Big Pharma et la guerre mondialiste C'est ce qui se passe ici ?
C'est très possible. Tout cela pourrait faire partie d'une grande stratégie visant à "faire table rase" pour "s'éloigner de la prise de décision intergouvernementale" et vers un système de "gouvernance multi-acteurs".
Cela pourrait expliquer pourquoi notre histoire, notre culture, nos traditions, nos croyances religieuses, nos monuments, nos héros et nos fondateurs ont été si violemment et constamment attaqués. Ils veulent remplacer notre idéalisme par des sentiments de honte, d'humiliation et de culpabilité. Ils veulent effacer notre passé, nos valeurs collectives, notre héritage, notre attachement à la liberté personnelle et l'idée même de l'Amérique. Ils veulent tout niveler et recommencer. C'est leur plan de match de base dans le grand schéma des choses.
La destruction de l'État se présente sous le couvert d'événements apparemment aléatoires qui sèment le chaos, approfondissent les divisions politiques, augmentent les incidents publics et ouvrent la voie à une réorganisation violente du gouvernement.
Vous ne pouvez pas établir un nouvel ordre mondial tant que l'ancien n'est pas détruit.
Le rationnement de l'épicerie commence au Royaume-Uni comme moyen de "normaliser" les pénuries à venir avant l'effondrement
Vendredi 03 mars 2023 par : JD Heyes
(Natural News) La disparition de l'Occident, planifiée par nos dirigeants mondialistes comme un moyen de s'autonomiser davantage en tant que rois et reines, se poursuit au milieu d'une nouvelle guerre en Europe et maintenant, du rationnement des légumes au Royaume-Uni.
"Ces derniers jours, certains fruits et légumes ont été" rationnés "par les grands supermarchés britanniques", écrit Kit Knightly à Off Guardian cette semaine, en énumérant plusieurs chaînes d'épiceries où le rationnement se produisait.
«Beaucoup – dont Justin King, ancien PDG de Sainsbury – ont sauté sur l'occasion pour rejeter la faute sur le Brexit. Mais cela n'a pas beaucoup de sens, puisque le Maroc - d'où le Royaume-Uni importe beaucoup de légumes à salade - n'est évidemment pas dans l'UE. De plus, l'Irlande a également été touchée, et nous ne sommes qu'à 5 mois de la France (et d'autres pays de l'UE) confrontés à leurs propres "pénuries alimentaires catastrophiques", a poursuivi Knightley.
L'auteur suggère que si un côté du Brexit attribue les pénuries aux conditions météorologiques, la véritable raison des pénuries est qu'elles ont été conçues. Knightly implique alors que le «récit de l'establishment» sur le changement climatique est utilisé pour détourner l'attention de la véritable cause des pénuries. Knightly mentionne également le «fiasco du papier toilette» au début de la pandémie comme exemple d'une éventuelle opération psy, ou opération psychologique, qui a créé l'apparence d'une pénurie.
L'inflation délibérée des prix du pétrole et du gaz a provoqué une flambée des coûts de production, de récolte et de transport des cultures. De plus, le prix des engrais a également augmenté en raison d'une pénurie de produits manufacturés. Bien que ces problèmes soient attribués à la guerre en Ukraine, ils existaient avant le conflit (comme précédemment couvert ici et ici). Cela a été longuement discuté lorsque des rapports de «pénuries alimentaires» sont apparus pour la première fois au printemps, a poursuivi Knightly.
« En parlant d'Ukraine, il est actuellement plus facile d'obtenir des tomates à Kherson déchirée par la guerre qu'à Londres. C'est la réalité qui nous est présentée », a écrit le chroniqueur.
En bref, a suggéré Knightly, le rationnement actuel de certains produits dans les supermarchés britanniques fait partie d'un récit déroutant et incohérent. Bien que le Brexit et la météo aient été cités comme raisons des pénuries, ces explications n'ont pas tout à fait de sens. De plus, le rationnement semble affecter certains magasins et lieux mais pas d'autres.
Selon un agriculteur, les supermarchés pourraient combler le déficit d'importations en achetant des produits cultivés dans le pays, mais ils ne seraient pas disposés à payer les coûts supplémentaires. La normalisation des étagères vides et du rationnement suggère qu'il pourrait y avoir un objectif sous-jacent au récit de la pénurie alimentaire.
Le commentateur social Neil Oliver a résumé ce qui se passe dans un récent monologue pour son programme GBNews :
Ils rationnent les tomates dans les supermarchés. On nous dit qu'il s'agit de chaînes d'approvisionnement, de mauvais temps et du prix du chauffage, mais pour le moment, en termes de message, je soupçonne qu'il s'agit davantage de pousser le mot - le rationnement. Moins sur une pénurie crédible de nourriture et plus sur le fait de nous habituer à entendre le mot. Nul doute que si l'on se fie à l'expérience, le reste viendra plus tard. Mon argent dit que l'application de rationnement pour nos smartphones est déjà installée quelque part sur un disque dur, prête quand nous le sommes.
Pour l'instant, il s'agit plutôt d'un processus familier de manipulation psychologique. Familiarisez-vous avec l'idée générale de la pénurie alimentaire afin que nous soyons bien préparés lorsque la réalité planifiée se déroule. On nous a fait subir le même traitement avec des mots comme « confinement » et « pandémie », « mandat » et « négationniste ». Coup de coude, coup de coude. Le rationnement est un mot de la génération de nos parents et grands-parents, un peu comme "guerre en Europe" et "fasciste" et maintenant ils sont de nouveau à la mode. Rationnement, je vous demande, alors que les décharges se gonflent de nourriture fraîche déversée chaque jour.
Les mondialistes qui dirigent la civilisation occidentale détestent la civilisation occidentale, et ils organisent son effondrement parce que vous ne pouvez pas contrôler les gens libres.
L'Armageddon énergétique de l'Europe depuis Berlin et Bruxelles, pas Moscou
Par F.William Engdahl Recherche mondiale, 04 mars 2023
Le 22 août, le prix du marché boursier du gaz naturel dans le hub gazier allemand THE (Trading Hub Europe) s'échangeait plus de 1000% plus haut qu'il y a un an. Le régime de Scholz dit à la plupart des citoyens que la raison en est Poutine et la guerre de la Russie en Ukraine. La vérité est tout autre. Les politiciens européens et les principaux intérêts financiers utilisent la Russie pour couvrir ce qui est une crise énergétique made in Germany et bruxelloise. Les conséquences ne sont pas accidentelles.
Ce n'est pas parce que des politiciens comme Scholz ou le ministre allemand de l'économie verte, Robert Habeck, ni le vice-président de la Commission européenne pour l'énergie verte, Frans Timmermans, sont stupides ou ignorants. Corrompu et malhonnête, peut-être oui. Ils savent exactement ce qu'ils font. Ils lisent un scénario. Tout cela fait partie du plan de l'UE visant à désindustrialiser l'une des concentrations industrielles les plus économes en énergie de la planète. Il s'agit de l'Agenda vert des Nations Unies 2030 autrement connu sous le nom de Grande réinitialisation de Klaus Schwab.
Dérégulation du marché du gaz de l'UE
Ce que la Commission européenne et les ministres du gouvernement en Allemagne et dans toute l'UE cachent soigneusement, c'est la transformation qu'ils ont créée dans la façon dont le prix du gaz naturel est déterminé aujourd'hui. Pendant près de deux décennies, la Commission européenne, soutenue par les méga banques telles que JP MorganChase ou les grands fonds spéculatifs spéculatifs, a commencé à jeter les bases de ce qui est aujourd'hui une déréglementation complète du marché du gaz naturel. Il a été promu comme la «libéralisation» du marché du gaz naturel de l'Union européenne. Ce qu'il permet désormais, c'est que les échanges sur le marché libre en temps réel et non réglementés fixent les prix plutôt que les contrats à long terme .
Avec le soutien total de l'UE pour le nouveau marché de gros du gaz, Bruxelles, l'Allemagne et l'OTAN ont commencé à fermer systématiquement le gazoduc stable à long terme vers l'UE.
Après avoir rompu les relations diplomatiques avec le Maroc en août 2021 au sujet de territoires contestés, l'Algérie a annoncé que le gazoduc Maghreb-Europe (MGE), lancé en 1996, cesserait de fonctionner le 31 octobre 2021, à l'expiration de l'accord correspondant.
En septembre 2021, Gazprom a achevé son gazoduc sous-marin Nord Stream 2 de plusieurs milliards de dollars entre la Russie et la mer Baltique jusqu'au nord de l'Allemagne. Il doublerait la capacité de Nord Stream 1 à 110 milliards de mètres cubes par an, permettant à Gazprom d'être indépendant des interférences avec les livraisons de gaz via son gazoduc Soyouz traversant l'Ukraine. La Commission européenne, soutenue par l'administration Biden, a bloqué l'ouverture du pipeline avec un sabotage bureaucratique, et finalement le chancelier allemand Scholz a imposé une sanction sur le pipeline le 22 février pour la reconnaissance par la Russie de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Louhansk. Avec la crise croissante du gaz depuis, le gouvernement allemand a refusé d'ouvrir Nord Stream 2 malgré le fait qu'il soit terminé.
Puis, le 12 mai 2022, bien que les livraisons de Gazprom au gazoduc Soyouz à travers l'Ukraine aient été ininterrompues pendant près de trois mois de conflit, malgré les opérations militaires russes en Ukraine, le régime Zelenskyy contrôlé par l'OTAN à Kiev a fermé un important gazoduc russe passant par Lugansk, qui était acheminant du gaz russe vers son Ukraine ainsi que vers les États de l'UE, déclarant qu'il resterait fermé jusqu'à ce que Kiev obtienne le contrôle total de son réseau de gazoducs qui traverse les deux républiques du Donbass. Cette section de la ligne ukrainienne Soyouz a coupé un tiers du gaz via Soyouz vers l'UE. Cela n'a certainement pas aidé l'économie de l'UE à un moment où Kiev demandait plus d'armes à ces mêmes pays de l'OTAN. Soyouz a ouvert ses portes en 1980 sous l'Union soviétique, apportant du gaz du champ gazier d'Orenbourg.
Le sabotage délibéré des prix de l'énergie et de l'électricité devient encore plus absurde. Le 28 août, le ministre allemand des Finances, Christian Lindner, seul membre du cabinet du Parti libéral (FDP), a révélé qu'en vertu des termes opaques des mesures complexes de réforme du marché de l'électricité de l'UE, les producteurs d'électricité solaire ou éolienne reçoivent automatiquement le même prix pour leur électricité « renouvelable », ils vendent aux compagnies d'électricité pour le réseau au prix le plus élevé, c'est-à-dire le gaz naturel !
Lindner a appelé à une modification "urgente" de la loi allemande sur l'énergie pour découpler les différents marchés. Le ministre fanatique de l'économie verte, Robert Habeck, a immédiatement répondu : « Nous travaillons dur pour trouver un nouveau modèle de marché », mais avertissant que le gouvernement doit veiller à ne pas trop intervenir : « Nous avons besoin de marchés qui fonctionnent et, en même temps, nous devons établir les bonnes règles afin que les positions sur le marché ne soient pas abusées . ”
Habeck fait en fait tout son possible pour construire l'agenda vert et éliminer le gaz, le pétrole et le nucléaire, les seules sources d'énergie fiables à l'heure actuelle. Il refuse d'envisager de rouvrir trois centrales nucléaires fermées il y a un an ou de reconsidérer la fermeture des trois autres en décembre. Tout en déclarant dans une interview à Bloomberg que « je n'aborderai pas cette question de manière idéologique », dans le souffle suivant, il a déclaré : « Le nucléaire n'est pas la solution, c'est le problème ».Habeck ainsi que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ont déclaré à plusieurs reprises que davantage d'investissements dans l'éolien et le solaire non fiables sont la réponse à une crise des prix du gaz que leurs politiques ont délibérément créée. À tous égards, la crise énergétique suicidaire en cours en Europe a été « Made in Germany », pas en Russie.
Ignorance mortelle ou décision mondiale – Discours aux nations d'Ivo Sasek
RépondreSupprimer03.03.2023
www.kla.tv/25284
Nous sommes en train d'unir nos forces pour prendre des décisions fondamentales pour le monde. C'est ce dont nous traitons ici dans cette émission.
Voici juste un petit extrait de ce génocide en cours.
Le groupe pharmaceutique Pfizer et l'autorité d'homologation FDA voulaient sceller ces 55.000 documents Pfizer pour 75 ans, c'est-à-dire les soustraire délibérément à l'ensemble de l'humanité. Car nous sommes en surnombre en tant que peuple.
Nous ne perdrons pas de vue tous ces criminels et ces génocidaires jusqu'à ce que leurs crimes actuels, futurs, mais aussi ceux commis il y a des décennies, soient traités de manière constitutionnelle et professionnelle ! C'est l'appel que je lance aux peuples.
Nous déclarons en tant que peuple : le temps des guerres est révolu - nous ne voulons plus de guerres ; car nous sommes le peuple souverain - le peuple qui aime la paix !
Ivo_Ce qui se passe chaque jour, et pas seulement au Bundestag allemand, est devenu le symbole de l’état du monde entier. Qu'il s'agisse d'une Alice Weidel de l'AfD qui s’emballe et profite de la déclaration gouvernementale de Scholz pour lancer une attaque sans précédent contre la coalition « tricolore » (1), ou du ministre de l'économie vert Habeck qui s'acharne en termes très durs sur l'introduction de sa taxe sur le gaz (2), une chose reste identique de tous les côtés : Comme à tous les comptoirs de bistrots, chaque parti se vautre dans son propre monologue et s'auto-congratule à chaque occasion avec des ovations plutôt dérangeantes. Le manque de respect mutuel et l'ignorance sont devenus absolus.
L'ignorance absolue règne non seulement dans les bâtiments fédéraux, mais partout où on regarde, quel que soit le sérieux du sujet. Mais l'ignorance la plus obstinée est surtout en plein essor parmi les plus hauts responsables. On ne s'écoute tout simplement plus, quel que soit le volume, l'insistance ou même le danger de mort que représente le contenu des oppositions. Et il y a des raisons logiques à cela ; j'en explique ici deux principales à l'exemple de l'ignorance endurcie entre les responsables « fidèles au mainstream » et leurs adversaires, les « lanceurs d’alerte libres ».
C'est très simple : les lanceurs d’alerte libres ne peuvent plus écouter les soi-disant « politiquement corrects », tout simplement parce qu'ils ont en main des milliers de preuves que les détenteurs de pouvoir de premier plan sont tous sous la coupe de puissances cachées en arrière-plan. Cette soumission mortelle à des directives en tout genre les rend sourds. D'autant plus que beaucoup de personnes politiquement correctes aiment se goinfrer du gâteau de ce réseau secret. C'est là que les choses se gâtent. Les personnes impliquées évoluent en permanence dans des conflits d'intérêts illicites. (3).
RépondreSupprimerD'autre part, les soi-disant politiquement corrects, y compris les détenteurs de pouvoir et leurs instances, ne peuvent plus écouter pour exactement les mêmes raisons - parce que la réalité est exactement comme les lanceurs d’alerte libres le démontrent :
Rien que Kla.TV l'a démontré avec près de 20 000 émissions très élaborées : Seules les têtes pensantes de l'économie mènent désormais la danse. Et ces derniers opèrent depuis la clandestinité, en tout et partout. Ce ne sont donc plus les représentants du peuple, soi-disant démocratiquement élus, qui sont aux commandes. L'humanité est la dernière à avoir son mot à dire dans nos fausses démocraties. On peut donc dire en conclusion qu'il ne s'agit pas d'une théorie du complot, mais d'un fait de conspiration pur et simple : l'ignorance silencieuse des représentants du peuple de tous les pays est due en premier lieu au fait que ces responsables sont manipulés, contraints, voire soumis à un chantage par toutes sortes de puissances de sociétés secrètes.
Mais ce qui est le plus répréhensible, ce sont toutes les relations intentionnellement lucratives de nos dirigeants avec ces méchants avides d'argent et de pouvoir. Malheureusement, ces imbrications sont devenues légion dans tous les domaines existentiels de la vie. Et c'est précisément la raison pour laquelle leur ignorance, pour ne pas dire leur résistance à l'information, est si absolue à l'égard de tous les lanceurs d’alerte : sinon, ils devraient reconnaître ouvertement leurs sombres agissements. Leurs affaires et leurs relations illégales seraient révélées et ils devraient rendre des comptes et être punis en conséquence.
Mais c'est précisément vers cet objectif que nous travaillons maintenant ensemble, d'accord ? Nous sommes en train d'unir nos forces pour prendre des décisions fondamentales pour le monde. C'est de cela que nous parlons ici. Voici quelques exemples de crimes peu connus commis par des hommes politiques en exercice dans les milieux de la guerre et de l'industrie pharmaceutique : des lanceurs d’alerte italiens ont mis au jour un trafic d'armes à l'échelle européenne entre des membres du gouvernement en exercice et le crime organisé. Dans les années 1990 déjà, l'actuel maire ukrainien d'Odessa, Gennady Trukanov, opérait en étroite collaboration avec Alexander Angert, le chef de la mafia de la drogue et des armes.
Nicolai Fomichev doit également être inscrit dans le dictionnaire des coupables en tant que membre de cette équipe. A l'époque déjà, ils géraient ensemble un vaste système de trafic de drogue et d'armes. La guerre en Ukraine étant toujours une mine d'or pour la mafia, Trukanov devrait encore jouer un rôle central. En effet, Trukanov a terminé à l'époque une formation d'officier d'artillerie. Il a ainsi acquis les meilleures connaissances techniques pour pouvoir revendre toutes sortes d'armes sur le marché noir. Aujourd'hui, les armes issues de l'aide militaire occidentale font à nouveau l'objet d'un trafic à grande échelle. Le trafic d'armes concerne donc aussi bien les armes volées que les armes détournées. Le crime organisé remplit avant tout ses propres stocks d'armes et négocie ensuite le reste. Si on paie une kalachnikov avec de la cocaïne, on obtient de gros rabais. Le procureur de Calabre a confirmé que cette pratique existe depuis des décennies. Aujourd'hui encore, des stocks d'armes et de munitions de la guerre de Bosnie de 1992-95 refont surface.
RépondreSupprimerSur l'ensemble des armes livrées à l'époque, seulement 10 % seraient réellement parvenus aux troupes. Et alors que presque tous les entrepôts d'armes et de munitions d'Europe sont systématiquement pillés pour l'Ukraine, on a constaté une fois de plus qu'une grande partie des armes et des munitions promises n'est jamais parvenue aux cibles ukrainiennes. En revanche, beaucoup de ces armes sont réapparues sur le marché noir et sont justement négociées de l'Afrique à l'Hindou-Kouch, et même en Suède et aux Pays-Bas. Mais la trahison la plus stratégique est le fait que nos politiciens, qui ont des liens avec le lobby des armes, désarment les armées européennes de manière tout à fait insensée. Et ce, par le biais de dons d'armes à l'Ukraine, déguisés en dons démocratiques mais en réalité « sournoisement planifiés ».
Tout cela ne se passe pas par hasard maintenant, à la veille d'une guerre qui pourrait éclater à tout moment dans toute l'Europe. En clair, cela signifie que l'Europe pourrait résister chaque jour un peu moins à une offensive russe de grande envergure, par exemple. Même les objectifs de l'OTAN formulés autrefois par Lord Ismay, le premier secrétaire général de l'OTAN, pourraient alors s'avérer traîtres ; son motif ouvertement révélé était en effet le suivant : « Nous voulons garder les Américains à l'intérieur, les Russes à l'extérieur et les Allemands en bas. » Mais en réalité, Washington, dirigé par la société secrète, n'a toujours voulu garder qu'elle-même en haut et toutes les autres nations en bas ! En cas d'éclatement d'une guerre à l'échelle européenne, ces puissances cachées en arrière-plan pourraient alors, une fois de plus, rire aux éclats avec leurs plus fidèles vassaux américains.
Si tel était le cas, tous les États européens n'auraient pas fait du lobbying en vain. Pour conclure sur le thème de la guerre, je citerai encore quelques chiffres concernant l'aide humanitaire apportée par l'Allemagne à l'Ukraine : Au cours du premier semestre 2022, pas moins de 22 conteneurs maritimes, 389 wagons de chemin de fer et 220 camions chargés d'aide humanitaire ont disparu sans laisser de trace dans les environs de Kiev. De même, 55 millions d'euros de dons ont disparu. Sur une valeur initiale de 360 millions d'euros de marchandises, 342 millions d'euros ont été volés. Il est clair que tout cela ne peut pas se faire sans des politiciens infiltrés dans la mafia, vous comprenez ?
Venons-en maintenant à quelques responsables pharmaceutiques interconnectés et à leur génocide sournois à plusieurs niveaux. Une grande armée mondiale d'enquêteurs indépendants et fidèles a déjà mis en lumière de nombreux noms des principaux responsables et de leurs vassaux ; ils ont été rapportés partout et n'ont donc pas besoin d'être répétés.
RépondreSupprimerVoici juste un petit segment de ce génocide en cours. Aujourd'hui, nous ne nous intéressons pas aux masses croissantes de victimes de la vaccination et de décès dus à la vaccination, ni au commerce gigantesque et florissant des enterrements, ni aux milliards de dollars de produits de profit Covid de toutes sortes, d'appareils, de vêtements de protection, de seringues, de masques, de désinfectants, etc. qui sont toujours en cours. Pour une fois, nous ne regardons que le génocide caché AVANT la naissance : Ce contre quoi le Dr Rebecca Leist, gynécologue, avait déjà mis en garde en novembre 21 s'est produit : 80% des femmes enceintes vaccinées ont fait des fausses couches. En Australie, il y a eu 63% de naissances en moins en 2022 ! Chez nous, en Suisse, la baisse de la natalité a été la plus forte depuis 150 ans - elle dépasse les deux guerres mondiales, la crise économique mondiale et même l'introduction du contrôle des naissances.
Personne ne peut dire avec certitude à l'heure actuelle si cette baisse drastique des naissances n'est que le début ou une chaîne sans fin d'infertilité. Mais le Dr Naomi Wolf a déclaré très tôt que Pfizer et la FDA savaient parfaitement que le faux vaccin expérimental ruinait la fertilité des femmes et des hommes. Ainsi, bien que 80% des bébés examinés soient morts, la thérapie génique a tout de même été introduite. De plus, exactement 9 mois après l'introduction du vaccin expérimental Covid dangereux pour la santé publique, le taux de natalité a chuté de manière spectaculaire dans toute l'Europe et dans de nombreux autres pays. Juste 9 mois après le lancement de la thérapie génique Covid, une baisse massive du taux de natalité a été constatée dans 13 des 19 pays européens, en Angleterre et au Pays de Galles, en Australie et à Taiwan. En Allemagne, le taux de natalité a chuté de 8,3 % en seulement 3 trimestres de l'année 22.
En Angleterre et au Pays de Galles, il y a eu une chute de 12 % jusqu'en juin 22 - et c'est précisément à ce moment-là que leur gouvernement a cessé de publier ces données ! Précisément 9 mois après le début de la « vaccination », une baisse à deux chiffres du taux de natalité aurait été enregistrée en Europe occidentale et dans d'autres pays développés. Ces chiffres sont à prendre, comme toujours, sans tenir compte des chiffres cachés. Toutes ces données ont été mises en lumière par le Dr Robert Chandler, sur la base de son étude de 55 000 documents de Pfizer. Auparavant, le groupe pharmaceutique et l'autorité d'homologation FDA voulaient sceller ces documents pour 75 ans, c'est-à-dire les cacher à l'humanité entière. Mais dans son rapport Pfizer récemment publié, on trouve tout de même un résumé de 50 études avec tous ces résultats choquants. Bien entendu, ce recensement a également été interrompu et bien entendu dissimulé à l'humanité trompée par le mainstream. Pas de théorie du complot - que des faits concrets ! Pourtant, la vaccination génique pour les femmes enceintes continue d'être fermement recommandée. C'est ce que le Dr Naomi Wolf décrit en résumé par ces mots : « Ils tuent l'Europe occidentale ». (4)
Qu'ils sachent tous que le temps approche, et qu'il est déjà en train de venir, où les peuples trompés ne redécouvriront pas seulement leur souveraineté politique, mais où de nouveaux tribunaux habiliteront des juges à faire le ménage à fond dans tous ces crimes et tous ces criminels. Il y aura à nouveau des tribunaux justes qui rendront la vraie justice aux peuples. Tout représentant pervers du peuple secrètement lié à cette mafia belliciste ou pharmaceutique démasquée et qui aura profité de son commerce d'armes et de drogue ne sera plus lâché des yeux jusqu'à ce que tous ses crimes soient traités de manière professionnelle ; tout autre abus de pouvoir subira le même sort, dans le monde entier ! Il en va de même pour tous ceux qui s'enrichissent grâce à des crises énergétiques ciblées et autres.
RépondreSupprimerJe lance ici un appel à tous les militaires européens : ne vous laissez plus entraîner dans cette guerre Russie-Ukraine provoquée sournoisement par les États-Unis ! Refusez tout soutien à ces criminels de guerre de haut niveau que nous dénonçons depuis des années avec Kla.TV ! Dites haut et fort NON à cette guerre d'agression fomentée ! Vous tous, militaires allemands, refusez une nouvelle guerre par procuration ! Quelle que soit l'armée qui appelle ses soldats à s'engager dans cette guerre entre l'Ukraine et la Russie, elle appelle des condamnés à mort à une guerre d'agression et non, comme on le prétend, à une guerre de défense ! L'Europe ne peut pas gagner une troisième guerre mondiale chaude ! Car ce serait une 3e guerre par procuration, une guerre d'agression pour des bellicistes diaboliques, qui n'apporterait que la malédiction sur l'Europe. Ne suivez donc pas vos politiciens entremêlés avec le lobby des armes, refusez vos services à toute cette mafia de bellicistes, afin de ne pas finir dans un bain de sang inutile à cause de ces grands criminels !
La scène libre de l'information a pourtant prouvé, par des dizaines de milliers d'études de masse élaborées avec soin et des centaines de milliers de contributions individuelles irréfutables, qu'une minorité relativement gérable de conspirateurs mène cette guerre hybride contre le reste du monde ! Toi, humanité menacée, ne t'engage pas envers ces fauteurs de guerre, mais plutôt, en état de légitime défense, engage-toi à les démasquer avec nous de manière aussi approfondie et à ne plus les quitter jusqu'à ce qu'ils aient tous, jusqu'à leur dernier homme, à rendre des comptes en bonne et due forme ! Oui, jusqu'à ce qu'ils soient totalement dépossédés de leurs pouvoirs, justement punis et dépossédés. Nous ne lâcherons rien jusqu'à ce que les bénéfices de la crise, ces billions d'euros et de dollars, soient reversés aux peuples et aux nations pillés.
Car nous sommes en supériorité numérique ! Nous, les peuples pillés, nous nous levons maintenant et démontrons à ces destructeurs de l'humanité que nous pouvons être en réalité ce qu'ils nous ont fait miroiter pendant assez longtemps avec la pire des ruses - nous pouvons être une vraie démocratie, c'est-à-dire un gouvernement populaire qui fonctionne ! Une démocratie mondiale ! Comme tous les fonctionnaires de justice ont prouvé jusqu'à présent qu'ils ne peuvent plus rendre justice au peuple, mais uniquement à ces magnats de l'économie, ils nous ont tous obligés à défendre nos pays conformément à la Constitution.
C’est pourquoi, en tant que gouvernement populaire, nous continuons à porter au grand jour toutes les preuves ignorées par la justice - et ce, jusqu'à ce que l'humanité ait pleinement conscience de toutes les interconnexions entre ses dirigeants, ses politiciens, ses autorités de surveillance, etc. et toutes les organisations secrètes mafieuses. Nous ne lâcherons pas prise jusqu'à ce que tous ces dysfonctionnements soient réellement traités par la justice, d'accord ? Ensemble, nous mettons en lumière tous les liens de nos politiciens, responsables de la protection et autres responsables avec, par exemple, le lobby des armes et ses conspirateurs ou la mafia pharmaceutique et ses tueurs délibérés avec les vaccins. Nous établissons des actes d'accusation, comme un dictionnaire des coupables, dans lequel sont listés tous les responsables d’abus de pouvoir déjà démasqués, ainsi que leurs actes criminels et leurs liens. Nous ne perdrons pas de vue tous ces criminels et génocidaires tant que leurs crimes actuels, futurs, mais aussi ceux commis il y a des décennies ne seront pas traités de manière constitutionnelle et professionnelle !
RépondreSupprimerAvec toutes ces indications, je n'ai fait que toucher une pointe de cet iceberg géant qui se trouve en dessous. Il y aurait des centaines d'autres zones thématiques et commerciales criminelles dans lesquelles nos politiciens et nos responsables se sont compromis. Dans chaque groupe, il ne s'agit que d'accroître son pouvoir et de tirer un profit personnel des crises. Nous ne pouvons donc pas prendre suffisamment au sérieux l'interdiction du profit de crise qui a été décrétée ! Remplissons ensemble les pages de Vetopedia, ce dictionnaire des coupables, et mettons en lumière tous ces infiltrés de la mafia et leurs œuvres. La communauté mondiale ne doit pas non plus perdre de vue toute la mafia des réfugiés, la mafia du trafic d'organes, la mafia du porno, la mafia du trafic d'enfants et la mafia du trafic de femmes. Ne négligez pas non plus les profits gigantesques tirés de la folie climatique attisée par des armes météorologiques réelles ou des crises énergétiques artificielles. Etudiez tous les blocs d'émissions thématiques sur Kla.TV. Vous pouvez les retrouver sous la rubrique Top-Thèmes.
Toute la mafia de la surveillance génère elle aussi en permanence de puissants profits à partir des crises qu'elle a elle-même provoquées. Nous devons interdire ces profits, tout comme ceux issus du génie génétique, du transhumanisme et d'autres domaines dangereux. Ne perdons jamais de vue les destructeurs de l'humanité qui, en dépit de toutes les études, dirigent vers nous leurs technologies d'armement de téléphonie mobile 4G, 5G, etc. Pendant qu'ils irradient insidieusement l'humanité, ils génèrent des profits incommensurables grâce à leurs technologies mortelles. Ne vous lassez pas de remplir les pages de la honte, jusqu'à ce que tous les coupables et leurs connexions, impliqués dans le commerce de l'adrénochrome, soient mis en lumière. Il est également urgent de mettre en lumière tous les grands escrocs qui, au moyen de l'intelligence artificielle (IA), c'est-à-dire de superordinateurs, concluent depuis longtemps des paris noirs incroyablement lucratifs contre l'humanité.
Ils génèrent en permanence des milliards à partir d'effondrements économiques calculés au préalable et bien sûr manipulés de manière ciblée. Ils provoquent donc sciemment des crises financières et profitent de l'effondrement des bourses de mille manières. Leur dernière séduction mondiale s'appelle ChatGPT. Comme pour le téléphone portable, leurs grands investisseurs font participer les peuples à cette intelligence artificielle extrêmement fascinante. Microsoft a déjà parié 2 milliards sur ce service Internet à la croissance la plus rapide et vient d'y ajouter 10 milliards supplémentaires. Ce que tous les utilisateurs ignorent, c'est qu'ils sont, comme toujours, en retard de plusieurs décennies sur l'état réel du développement. Le monde tombe une fois de plus dans le piège des plus grands. En l'espace de deux mois seulement, ChatGPT comptait déjà 100 millions d'utilisateurs actifs. Oui, et en plus de tous ces profiteurs de la crise, il y a aussi une mafia qui génère d'énormes bénéfices sur la mort, en particulier la mort Covid. Les funérailles sont devenues un commerce florissant presque du jour au lendemain. Déjà entre 2019 et 2021, le bénéfice par action de SCI [explication du mot : Service Corporation International, entreprise de pompes funèbres texane] a plus que doublé : de 1,90 dollar à 4,57 dollars.
RépondreSupprimerL'autre jour, l'US Service Corporation International a annoncé ses chiffres de printemps - un autre trimestre record avec un chiffre d'affaires de près d'un milliard de dollars et un bénéfice de 135 millions de dollars. Tom Ryan, le président du conseil d'administration de l'entreprise, s'est interrogé sur ce sujet auprès des investisseurs et des analystes de Wall Street : « Je me demande quelle pourrait être la cause des nombreux décès enregistrés au cours des douze derniers mois, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans toute l'Europe occidentale et en Australie. »
Continuons à mettre en lumière tous les réseaux politiques du grand capital ! Car les grands capitalistes, comme le grand ponte des ONG George Soros, peuvent même déstabiliser les monnaies nationales du jour au lendemain, avec des conséquences toujours tragiques pour les salariés ordinaires. Soros est après tout devenu célèbre dès 1992 avec son pari contre la livre sterling. En un seul jour, il a réalisé un milliard de dollars de profit de crise avec un seul pari !
D'ailleurs, nous ne nous occupons encore que de la plus petite pointe de cette énorme montagne de fraude. En effet, alors que les médias à redevance obligatoire continuent à semer quotidiennement la panique et à nous montrer les impasses énergétiques, toute la mafia des brevets doit également être enfin mise en lumière. Là aussi, il existe des structures secrètes aux ramifications mondiales.
Sans cette mafia, d'innombrables inventions énergétiques de grande qualité seraient depuis longtemps sur le marché. Nous pourrions tous nager gratuitement et librement dans les flots de l'énergie si des associations criminelles et leurs politiciens infiltrés ne se chargeaient pas de détourner toutes sortes d'inventions - bien sûr toujours sous des prétextes inventés et des profits de crise personnels très lucratifs.
En résumé, tout se dirige vers le Great Reset proclamé par le FEM : Nous ne devons plus rien posséder et en être contents. D'un autre côté, nous devons nous laisser piquer et repiquer sans cesse, sans nous poser de questions sur notre santé et notre survie.
RépondreSupprimerNous devons nous laisser surveiller du matin au soir dans tous les domaines de notre vie, jusque dans les moindres détails, sans avoir le moindre soupçon ni la moindre crainte. Nous devons continuer à verser toutes sortes de contributions obligatoires - non seulement pour des cotisations d'assurance maladie toujours plus élevées, mais aussi pour les médias de masse hors de prix - sans jamais nous plaindre et en laissant leurs poisons s'infiltrer en nous sans résistance - jour après jour. Il est grand temps que la communauté mondiale règle enfin ses comptes avec ces pires suppôts de la grande criminalité.
Vous savez quoi ? Je vais tout de suite vous faire quelques propositions qui pourraient devenir de véritables décisions mondiales. Et s'il vous plaît, ne me raccrochez pas au nez dès que vous aurez entendu la première moitié de la phrase, car la phrase se poursuit - et ça va bien se passer.
En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d'abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM, ainsi que sur toutes les puissances d'arrière-plan qui parient certainement sur lui, comme BlackRock, Vanguard et Cie. Bien sûr, le Great Reset doit également être testé pendant 20 ans sur tous ces maîtres de l'argent privés, comme la Réserve fédérale, la City de Londres, l'État du Vatican.
En bref, tous les cercles connus qui ont tiré les plus grands profits des crises mondiales depuis des siècles, comme les maisons Rothschild, Rockefeller et autres, mais aussi tous les multimilliardaires actuels Jeff Bezos, Bom Kim, Anthony Wood, Ernest Garcia II, Jack Dorsey, Mark Zuckerberg, Brian Armstrong, George Soros, Bill Gates, Bobby Murphy, Evan Spiegel, Dan Gilbert, Jeff Green, etc. (5) ; ils doivent tous être mis à l'épreuve du Great Reset. En effet, ce n'est que si ces élites au pouvoir et les plus riches de la planète nous paraissent encore heureux après 20 ans de Great Reset que nous accepterons leur Great Reset.
En résumé, la démocratie mondiale teste d'abord la pertinence du Great Reset proclamé sur les 1% de super-riches qui possèdent justement plus d'argent que les 99% restants de la population mondiale. En tant que démocratie mondiale, nous décidons que la satisfaction durable de tous les multimilliardaires et multi-billionnaires de ce monde doit être prouvée sur une période d'au moins 20 ans avant que ce Great Reset souhaité puisse être appliqué au reste de l'humanité - mais pas avant ! Si le Great Reset devait faire le bonheur des personnes qui l'ont inventé et proclamé sur le monde entier, alors nous verrons ce qu'il en sera de la démocratie mondiale.
Je vais simplement dire en toute clarté ce que nous, le peuple, faisons complètement faux depuis tout ce temps : Nous nous laissons toujours guider et déterminer par des politiciens et des responsables qui n'ont aucunement prouvé par leur propre corps et leur vie que leurs nobles théories et idéaux politiques fonctionnent. Nous avons également laissé s'installer une mafia de l'éducation qui nous envahit de plus en plus avec ses idéologies et ses théories de comptoir. Aujourd'hui, nous ne savons même plus avec certitude si nous sommes un homme ou une femme… on en est arrivé là ! Nous laissons régner sur nous des puissances qui n'ont jamais pu nous prouver par elles-mêmes que leurs théories portaient vraiment de bons fruits.
Et si vous dites ici qu'une telle chose n'est pas possible, alors je vous répondrai : Bien sûr qu’une telle chose est possible ! Je renvoie tous ceux qui doutent de la possibilité d'une telle phase ou pratique de test à mon propre parcours :
Avant de commencer à parler au public et à agir dans le large public, j'ai d'abord testé ce que j'avais à dire et à offrir dans ma propre chair pendant 30 bonnes années - avec mon équipe, avec laquelle je travaille d'ailleurs toujours, depuis plus de 30 ans maintenant. En d'autres termes, nous avons offert gratuitement tous nos services, nos œuvres et nos produits depuis 1979. Avant de lancer le slogan « Le nouveau monde est sans argent », nous avons appliqué ce concept dans le pays le plus cher du monde, la Suisse. Aujourd’hui, cela fait déjà bien plus de 40 ans.
RépondreSupprimerBien sûr, nous savons qu'il faut de l'argent pour tout.Tout d'abord, sans argent, cela veut dire de ne plus rien faire pour de l'argent.
Le fait que tu puisses désormais regarder gratuitement 20 000 émissions de Kla.TV, que tu puisses te procurer et regarder gratuitement mes neuf grands films de fiction, est la preuve que ma théorie fonctionne dans la pratique - et ce avec des milliers de personnes qui vivent sous les mêmes latitudes que moi avec mes équipes ici.
Le fait que tu puisses obtenir gratuitement 2 000 enseignements de ma part, écrits et audio, en est une autre preuve. Les 18 grands événements de l'AZK, auxquels des dizaines de milliers de personnes ont pu participer gratuitement, en recevant tout le matériel d'enseignement et même de la nourriture de qualité gratuitement, sont la preuve que ma théorie fonctionne dans la pratique.
Ensemble, nous n'avons pas rendu public et imposé au public quelque chose que nous n'avions pas testé auparavant sur notre propre corps pendant des décennies. Nous avons également prouvé pendant des décennies qu'un nouveau monde sans argent pouvait fonctionner en soignant gratuitement des milliers de personnes, en les hébergeant gratuitement chez nous et, au lieu de leur prendre de l'argent, nous les avons encore nourris.
Et si tu demandes malgré tout avec consternation comment une telle chose peut se faire, car il faut de l'argent pour tout et qu'après tout, l'argent ne tombe pas du ciel, je te répondrai ceci : Il est bien vrai que l'argent ne tombe pas du ciel, mais chaque fois que nous faisons vraiment du bon travail, des services qui viennent du cœur, des services sans arrière-pensée ni but lucratif, le ciel veille à ce que les gens nous récompensent automatiquement pour nos bonnes prestations/actions/oeuvres ! Ils ont alors naturellement envie de soutenir financièrement notre cause. Et non, pas à la suite d'appels aux dons ou de lettres de mendicité !
Pas après avoir parcouru les rangs avec une corbeille de collecte ; pas non plus après avoir publié nos numéros de compte en banque et avoir constamment insisté sur le fait qu'il fallait nous faire des dons, car sinon nous n’aurions pas de revenus. Pendant des décennies, nous n'avons pas utilisé une seule de ces possibilités ! Au lieu de cela, nous avons servi sans compter des dizaines de milliers de personnes qui ne nous ont jamais rendu un seul centime. Nous avons volontairement testé cette expérience sur notre propre corps et notre propre vie, c'est-à-dire dans notre pratique personnelle, pendant des décennies, avant de déclarer : « Le nouveau monde est sans argent ». Le fait est qu'à aucun moment nous n'avons manqué d'argent et que jusqu'à aujourd'hui nous n'avons connu que du surplus en quantité croissante - et ce en distribuant !
Aujourd'hui, avec des milliers de contributeurs bénévoles, je sers déjà régulièrement des millions de personnes. Et nous travaillons tous dur, jour et nuit. Et vous savez quoi ? En plus de tous les services bénévoles, nous travaillons tous dur pour gagner notre propre pain. Nous réinjectons constamment des parts considérables de l'argent que nous gagnons dans nos œuvres bénévoles, afin de pouvoir vous servir gratuitement ! J’ai créé pas moins de trois entreprises pour pouvoir vous servir gratuitement. Cela signifie que moi et nous tous, nous ne cherchons vraiment pas votre argent. Nous préférons vous servir avec notre propre argent et nous mettre à votre disposition avec tout ce que nous avons. Comme je le fais déjà depuis 1979, nous le faisons encore aujourd'hui en tant qu'équipes dirigeantes de Kla.TV, AZK, V&CV, OCG, etc.
RépondreSupprimerNous réinjectons constamment nos excédents dans le circuit commun : pour le travail d'information, pour le travail de réhabilitation, pour le travail de guérison des personnes en quête d'aide de toutes sortes, pour l'aide aux familles et bien d'autres choses encore. Je pense donc être compétent en proposant de dire désormais « oui » à tous les vaccins commandés par l'industrie pharmaceutique, y compris ceux de la MNRA, mais à la seule condition que nous testions au préalable tous ces produits pendant au moins 20 ans sur leurs propres fabricants, ainsi que sur tous les politiciens qui soutiennent de telles actions expérimentales. Mais le test de 20 ans doit également être mené à bien sur tous les complices et collaborateurs des services de santé et autres. Et nous établissons des instances de surveillance totalement indépendantes du point de vue de la démocratie mondiale, qui examinent en permanence ces vaccins pour s'assurer qu'aucune solution saline n'est injectée à leur place.
Quiconque est en accord avec ce type de vaccination doit se soumettre à un test pendant au moins 20 ans avant que la population mondiale puisse être mise en contact avec ces poisons. En fin de compte, nous devons, en tant que démocratie mondiale, œuvrer à la décision mondiale selon laquelle plus rien ne peut être appliqué à l'ensemble de l'humanité sans avoir été suffisamment testé sur ses propres inventeurs. Nous aimerions d'abord voir comment se portent Bill Gates, Karl Lauterbach, Drosten et consorts après 20 ans d'injections d'ARNm. C'est pourquoi je propose que nous disions même « oui » à la surveillance totale prévue, ainsi qu'à l'abolition de l'argent liquide - mais uniquement à la condition que l'ensemble de la population mondiale puisse surveiller pendant au moins 20 ans toutes les élites susmentionnées avec leurs propres technologies. En tant que démocratie mondiale, nous inversons les rôles et ordonnons une sorte de Truman Show géant.
D'abord, nous mettons tous ensemble en lumière ces pouvoirs cachés, jusqu'à ce que nous ayons inscrit le dernier nom dans notre dictionnaire des pollueurs. Ensuite, nous éliminons toutes ces forces secrètes et nous les dotons de la technologie de surveillance qu'elles ont l'intention d'implanter sous la peau de toute la population mondiale. Nous voulons suivre aussi, pendant au moins 20 ans, chaque mouvement de ces mystérieuses élites. Tous les yeux du monde peuvent alors s'intéresser le soir, au lieu de regarder la télévision, à ce que ces personnes font toute la journée. Nous travaillerons avec la reconnaissance faciale et le GPS afin de savoir à tout moment où se trouvent par exemple Klaus Schwab, Elon Musk, Bill Gates, George Soros et tous les autres grands fonctionnaires.
RépondreSupprimerChaque transaction qu'ils effectueront, chaque dollar qu'ils percevront, nous voulons pouvoir les reconstituer et les suivre ensemble. Ils vivront eux-mêmes, comme ils l'ont planifié, sous un système de crédit social. Il y aura immédiatement des pénalités, des restrictions de voyage et des sanctions automatiques dès qu'ils ne fonctionneront pas exactement comme une population mondiale décente selon ce que nous pensons. Nous aimerions d'abord comprendre chaque pari que ces gros spéculateurs ont fait auparavant sur nos faillites. Nous voulons éduquer la population mondiale à l'exemple de ces personnes, afin qu'elle apprenne à comprendre exactement, et même que chaque enfant puisse finalement juger dans quelle mesure ces personnes sont utiles ou nuisibles à la communauté mondiale.
Nous voulons aussi connaître chaque interrelation, qui est en relation avec qui exactement et ce qu'ils font toute la journée - et, tant qu'on y est, bien sûr aussi la nuit. Nous aimerions voir ce que ce type de personnes, qui veut nous surveiller totalement, mange et boit exactement, quels médicaments elles prennent et lesquels elles refusent. Il ne doit pas y avoir un seul morceau de tissu sur leur corps dont nous ne soyons pas au courant. Pendant au moins 20 ans, nous voulons surveiller chaque pas qu'ils feront et nous relayer dans le monde entier pour qu'aucun moment ne nous échappe. Si alors ces élites semblent après tout vraiment heureuses aux yeux de la communauté mondiale qui les aura surveillées, celle-ci pourra adopter leurs technologies et se faire surveiller elle-même - mais seulement après une décision démocratique mondiale - et pas une heure avant. Et en aucun cas si le bonheur de ces élites surveillées ne nous a pas totalement convaincus.
Avant de conclure, j'aimerais encore faire une proposition de démocratie mondiale sur l'entrée dans le « nouveau monde sans argent ». Car un « monde sans argent » ne peut pas être introduit du jour au lendemain. Il doit grandir, on doit d'abord s'y habituer progressivement. Et ma proposition est la suivante : j'utilise pour cela une comparaison : Aucun citoyen ordinaire et sain d'esprit ne donnerait par exemple son argent à des terroristes manifestes, comme les coupeurs de têtes de l'EI, pour qu'ils puissent continuer à couper la tête de toutes sortes de personnes qui ne leur conviennent pas. Vous vous souvenez certainement de la manière dont ils coupaient la tête des personnes qui ne leur convenaient pas ou dont ils les abattaient et les poignardaient devant les caméras. Ma question à la communauté mondiale est la suivante : Pourquoi continuons-nous à donner notre argent - je parle ici au sens figuré - à n'importe quel coupeur de têtes du système mainstream ?
Voyez donc comment Kla.TV permet de réaliser un travail télévisuel professionnel, même à temps partiel, sans recevoir aucun argent des redevances. Pourquoi le mainstream devrait-il continuer à extorquer chaque année des milliards de redevances, eux qui, chaque jour, mentent comme un arracheur de dents et trompent de manière toujours plus nocive ? Parvenons ici aussi à une décision mondiale : Ils peuvent continuer à influencer l'opinion, mais uniquement à leurs propres frais, avec de l'argent honnêtement gagné. Fini le financement obligatoire. Pourquoi continuons-nous à donner notre argent à Big Pharma, aux fauteurs de guerre, aux banksters, à la mafia du climat, à toutes sortes de mafias d'assurances et de profiteurs de crise ?
RépondreSupprimerPourquoi continuons-nous à financer avec notre argent tous ces systèmes sans argent liquide, pourquoi tombons-nous dans le panneau de toutes ces commodités, comme le QR code, etc. ? Savez-vous pourquoi l'absence d'argent liquide est si importante pour les élites encore au pouvoir ? Parce qu'elles savent pertinemment que le temps est venu, et viendra encore plus, où vous allez soudainement retirer, retenir votre argent devant tous ces criminels - et ce pour des raisons de conscience ! C'est pourquoi ils mettent les bouchées doubles pour pouvoir maîtriser vos flux d'argent et vos avoirs dans leurs systèmes numériques en appuyant sur un seul bouton. Si nous ne nous levons pas maintenant en tant que population mondiale et si nous ne les freinons pas à temps, cela n'aura bientôt plus d'importance pour ces détracteurs de la domination mondiale.
Car d'une simple pression sur un bouton, ils pourront tout simplement geler votre argent et vous n'en aurez plus. Et donc plus de capacité de défense, plus de voix, plus de liberté de mouvement. Unissons-nous donc et continuons à travailler pour que de plus en plus de lanceurs d'alerte de tous les domaines se lèvent et divulguent ces structures mafieuses. Continuons à travailler pour que tous les experts, médecins spécialisés, militaires, spécialistes et lanceurs d’alerte de tous les horizons se lèvent et sortent de ces associations. Qu'un dictionnaire de décharge soit aussi créé, où pourront s'inscrire tous ceux qui, suffisamment tôt, se sont sortis de toutes ces interconnexions illégales et préjudiciables aux peuples. Puisse-t-on un jour couronner ces personnes et les célébrer comme des héros courageux de cette époque, parce qu'elles auront changé de camp à temps. Mais commençons par opposer notre veto à toute guerre en tant que gouvernement populaire mondial. Nous déclarons : Le temps des guerres est terminé- nous ne voulons plus de guerres ; car nous sommes le peuple souverain - le peuple qui aime la paix !
Nous sommes arrivés à la fin de ce discours. Je recommande un mantra que je répète sans cesse à haute voix avec tous nos collaborateurs. Le voici – et il s'applique également à vous :
« Ça ne se fera ni par la force militaire, ni par la force humaine,
mais par les forces célestes en nous ; maintenant l’ennemi s’écroule totalement ! »
Il n'y a pas d'autre chemin.
Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 46 ans.
de i.s.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Reden von Alice Weidel
https://www.youtube.com/watch?v=2ImCFvfWkdk
https://www.youtube.com/watch?v=dT27FAzrKXE
Rede von Robert Habeck
https://www.youtube.com/watch?v=m2Wcnq6l4sI
Aktuelle Waffenlieferungen an die Ukraine - Im Filz der Waffenlobby
www.kla.tv/24679
Quellen zu «Waffenmafia in der Ukraine», zu «gestohlene humanitäre Hilfe» und zu «Rückgang der Geburten»
Büro Ha: Informations- und Nachrichten Büro – Bureau d’information et de renseignement 5040 Schöftland,AG / Wochenbericht 6/23 + 7/23
Jammernde Milliardäre - Corona-Abzock-Übersicht
www.kla.tv/19050
Zitat von Lord Hastings Ismay, erster Generalsekretär der NATO
https://politreflex.ch/geschichte-gegenwart/die-nato-sollte-deutschland-unten-halten-erinnert-sich-die-afd-und-setzt-auf-russland/
Beteiligung von Microsoft an ChatGPT
https://www.handelszeitung.ch/tech/open-ai-firma-hinter-chatgpt-erhalt-10-milliarden-us-dollar-von-microsoft-566394
https://www.notebookcheck.com/Microsoft-Weitere-Milliarden-fuer-OpenAI-und-ChatGPT.684528.0.html
Eintrag von ChatGPT
Über «Service Corporation International»
https://irrglaube-und-wahrheit.de/index.php?/topic/21307-dem-bestattungsgewerbe-geht-es-hervorragend/
Soros Wette gegen das britische Pfund
https://www.cash.ch/news/politik/black-wednesday-heute-vor-30-jahren-zwang-george-soros-die-bank-of-england-in-die-knie-und-verdiente-eine-milliarde-dollar-532323
https://www.kla.tv/fr
Un nouveau scandale médicamenteux se profile-t-il ?
RépondreSupprimerle 4 mars 2023
Il est maintenant reconnu que la « malbouffe » est à l’origine de la nouvelle pathologie qui touche surtout les pays occidentaux. Il s’agit de l’obésité morbide. Le phénomène interpelle. En effet, des pays comme le Mexique ne disposent pas d’eau potable « à tous les étages » et heureusement que le Coca-Cola est là puisqu’il est produit avec de l’eau stérilisée avec de l’ozone et ultra-filtrée. Le seul détail réside dans le fait que le Coca-Cola est une boisson outrageusement sucrée qui favorise l’obésité. Avec tous les autres sodas sucrés il s’agit de la première cause d’obésité pathologique qui sévit dans les pays occidentaux. Cette obésité s’accompagne de diabète de type 2 non insulino-dépendant. Pour comprendre la suite de ce billet il est nécessaire de faire un bref rappel de la régulation du sucre, essentiellement le glucose, circulant dans le sang. Le saccharose ou sucre de betterave ou de canne est constitué d’une molécule de glucose et d’une molécule de fructose. Ces deux unités ne sont pas métabolisées ni utilisées par les mêmes voies métaboliques dans l’organisme à part égale. Le glucose est très rapidement « brûlé » pour fournir de l’énergie ou stocké sous forme de glycogène dans le foie et les muscles pour une utilisation ultérieure. J’anthropomorphise cette description pour une meilleure compréhension. Il n’existe pas de mécanisme de stockage du fructose qui est donc dégradé pour produire un précurseur des acides gras, donc favoriser l’apparition d’une augmentation du volume du tissu adipeux inutile et ainsi de l’obésité avec le diabète de type 2 comme conséquence.
Puisque l’organisme fonctionne dans le but d’éviter une pénurie de glucose, le principal « combustible » du cerveau et des muscles. Le fructose joue néanmoins un rôle important dans l’apport en énergie de la cellule puisqu’il peut se retrouver sous forme phosphorylée à partir du glucose mais également entrer dans le processus de stockage hépatique et musculaire du glucose. En effet l’insuline, une hormone sécrétée par le pancréas, stimule la dégradation du glucose et du fructose dans le processus appelé glycolyse pour optimiser le stockage du glucose. Dans ces conditions l’organisme a mis au point un système de régulation très sophistiqué dont les deux acteurs sont l’insuline qui dit à la cellule de stocker du glucose et une autre hormone également d’origine pancréatique, le glucagon, qui redirige le tronc métabolique de la glycolyse vers la production d’acides gras. La production de glucose sous sa forme phosphorylée en position 1 va ainsi pouvoir être utilisé pour le stockage de ce sucre sous forme d’un polymère appelé glycogène. J’ai rédigé ce rappel de mémoire sans vérifier si je n’avait pas écrit de graves erreurs mais mes lecteurs pourront vérifier, il me semble avoir été exact.
L’apparition du diabète de type 2 est en réalité une conséquence de la consommation abusive de saccharose. La régulation ne sait plus où elle en est. En d’autres termes il est préférable de faire de l’alcool à l’aide de levures en les nourrissant avec du saccharose plutôt que de charger l’organisme avec ce sucre mal utilisé et conduisant à des déviances métaboliques qui nuisent à la santé de milliards de personnes dans le monde.
Venons-en donc à l’objet de cette note. Les laboratoires pharmaceutiques ont trouvé la poule aux œufs d’or pour combattre l’obésité car elle entre dans le cadre des préoccupations des décideurs politiques et la stratégie est simple. Il suffit de créer synthétiquement un analogue du glucagon qui se fixe sur le récepteur de ce dernier. La conséquence est évidente : puisque ce que j’ai mentionné plus haut, la glycolyse est réorientée vers une diminution de la concentration sanguine de glucose, ce qui est le cas pour le diabète de type 2 : de fortes teneurs en glucose sanguin, alors cette approche de stimulation du récepteur du glucagon va bien provoquer une chute du taux de glucose sanguin mais par voie de conséquence stimuler également le « brûlage » du fructose et non la fin fatale vers la production d’acides gras. Il existe aujourd’hui deux traitements pour combattre le diabète de type 2 et ces deux médicaments sont des analogues du glucagon qui ont été modifiés pour persister dans la circulation sanguine près d’une semaine. Il s’agit du Semaglutide connu sous le nom d’Ozempic et le Tirzepatide qui ont strictement le même mode d’action.
RépondreSupprimerLes conséquences sur le métabolisme sont spectaculaires : diminution du glucose sanguin, perte d’appétit et perte de poids, tout pour plaire aux médecins peu scrupuleux qui voient de plus en plus d’obèses pathologiques consulter. Ces médecins peu scrupuleux, il faut appeler un chat un chat, prescrivent maintenant l’Ozempic pour perdre du poids, ce qui est réel, mais également comme coupe-faim. Aux Etats-Unis la demande a explosé et la FDA laisse faire. Un article récent du quotidien Le Monde (que je ne lis jamais) souligne ce nouveau fait de société apparu en France (lien en fin de billet) mais n’analyse pas les graves conséquences sur la santé. Ces « drogues » présentent un effet secondaire qui a été décrit dans la littérature médicale. Une molécule comme l’Ozempic rétroagit sur les cellules endocrines du pancréas et peuvent provoquer une inflammation du pancréas conduisant à plus ou moins court terme à un cancer fatal de cet organe. La glande thyroïde est également concernée. On se trouve donc à l’évidence devant un nouveau scandale sanitaire d’ampleur mondiale. Les laboratoires pharmaceutiques tels que Novo Nordisk ou Eli Lilly (il y a plus de 5 acteurs dans ce domaine dont Sanofi) ne lâcheront pas le morceau puisque les réseaux sociaux se sont emparés de cette nouvelle thérapeutique de perte de poids et on peut parier que les autorités sanitaires se feront graisser la patte abondamment pour autoriser la prescription de ces médicaments dangereux au moins jusqu’à expiration de leurs brevets. En conclusion la santé est devenue une marchandise source de profits pour des criminels, ces entreprises pharmaceutiques, qui ne sont préoccupées que par les dividendes versés à leurs actionnaires et leurs propres profits. Mais jusqu’à quel point les vrais coupables de cet état de fait ne sont pas ces actionnaires eux-mêmes dont par exemple le gestionnaire de fonds BlackRock ?
https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/03/01/l-utilisation-de-l-antidiabetique-ozempic-pour-maigrir-inquiete-les-autorites-de-sante_6163744_3224.html
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/04/un-nouveau-scandale-medicamenteux-se-profile-t-il/
"Quand vous considérez que les tests étaient obligatoires dans les hôpitaux, bien qu'ils ne soient pas écrits dans la loi, et qu'ils aient utilisé le test PCR notoire pour produire de faux positifs, il n'est pas difficile de voir comment le gouvernement a réussi à mélanger des dizaines de milliers de personnes qui sont réellement décédées. d'autres causes dans les statistiques de décès de Covid-19 », a rapporté The Exposé à propos de cette falsification des chiffres.
RépondreSupprimerIl a fallu de nombreuses enquêtes, y compris de nombreuses demandes d'accès à l'information, pour aller au fond de cette tromperie. Il a également fallu une analyse et une évaluation indépendantes des données pour parvenir à une conclusion précise sur la véritable cause principale de décès tout au long de l'arnaque : les « vaccins ».
Le dernier ensemble de données publié le 21 février 2023 confirme que les piqûres de covid augmentent massivement le risque de décès d'une personne - de 276%, en fait. Les taux de mortalité parmi les non vaccinés, quant à eux, sont les plus bas de tous les groupes démographiques.
"Comme je le vois maintenant que nous connaissons les conséquences de tous les vaccins non testés, non testés et non prouvés, si une personne formée médicalement essaie de me piquer avec une aiguille, elle se cassera accidentellement le cou", a écrit un commentateur furieux en réponse. à l'actualité.
«Ce n'est rien de plus qu'un meurtre intentionnel parrainé par l'État d'appliquer à nouveau quoi que ce soit comme ces vaxx covid, et les vaxx sont pour moi trop stupides pour réaliser d'une manière ou d'une autre que le vaxx et les boosters vont les sauver. C'est aussi pourquoi je ne devrais rien avoir à payer pour ça ! Les vaxxés se sont injectés sciemment et devraient payer leurs propres soins de santé à l'avenir.
Un autre commentateur s'est inquiété du fait que les "chemtrails", qui sont produits lors des opérations de pulvérisation de géo-ingénierie, soient peut-être mélangés à du covid ou à un autre produit chimique toxique conçu pour rendre malade quiconque les respire.
"Dans le Yorkshire U.K., nous sommes régulièrement chemtrailés", a écrit cette personne. "Il devrait y avoir une élimination de tous les députés inutiles."
Les dernières nouvelles sur les injections covid peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-03-more-likely-die-covid-vaccines-than-disease.html
Il y a même un chant nazi qui dit "Qu'un sang impur abreuve nos sillons" !
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RépondreSupprimerLe Canada fait la guerre au Dr Charles Hoffe pour avoir dénoncé publiquement les «vaccins» covid
Vendredi 03 mars 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) L'un des premiers professionnels de la santé à être ciblé et traqué par l'établissement médical pour avoir utilisé un test D-Dimer pour prouver les dommages causés par le «vaccin» du coronavirus de Wuhan (Covid-19), le Dr Charles Hoffe s'exprime à nouveau sur les dangers de se faire injecter du covid.
La salle d'urgence et le médecin de famille du sud de la Colombie-Britannique disent avoir vu un afflux de patients endommagés par le vaccin depuis le lancement de l'opération Warp Speed. Une sorte de dénonciateur, Hoffe continue de le dire comme si cela mettait en danger sa vie et ses moyens de subsistance.
"On nous a dit que cela avait été testé pour la sécurité", a déclaré Hoffe à propos de l'injection. « Normalement, il faut cinq à dix ans pour dire si un nouveau traitement est sûr. Et lorsqu'il s'agit d'une technologie entièrement nouvelle, il leur faudrait plus de temps que cela. C'était une technologie complètement nouvelle, donc le fait qu'ils l'aient déployée si rapidement a suscité l'inquiétude de beaucoup de gens.
"On nous a assuré que cela avait passé tous les tests de sécurité normaux, ce qui, bien sûr, était complètement faux. Nous étions littéralement faussement assurés de leur innocuité et de leur efficacité. Et parce que les gens veulent pouvoir faire confiance aux médias et au gouvernement, ils ont cru. Mais j'avais des doutes, alors je regardais attentivement.
(En relation: En 2021, Hoffe a averti que la plupart des personnes qui se «vaccinent» contre le covid mourront d'une insuffisance cardiaque dans quelques années.)
De nombreux patients de Hoffe ont développé de graves problèmes neurologiques après avoir été piqués
Presque immédiatement après que l'administration Trump a déclenché les injections de covid, Hoffe a commencé à voir de première main les problèmes neurologiques qu'elles causent. Hoffe venait de rentrer de vacances en Afrique du Sud lorsque cette série de blessures a commencé à apparaître, et cela l'a choqué.
"J'étais assez alarmé par le fait que ces personnes avaient de graves effets secondaires neurologiques qui n'avaient pas disparu et qu'elles ne montraient aucun signe de résolution", dit-il. "Et j'étais profondément préoccupé par le fait que ces tirs n'étaient clairement pas aussi sûrs qu'on nous l'avait dit et que d'autres médecins ne les signalaient même pas."
Certains des premiers signes d'un problème étaient des patients présentant des étourdissements prononcés, des bourdonnements dans les oreilles (acouphènes), une sensibilité à la lumière et au son et une faiblesse physique. Puis vinrent les sensations de décharge électrique dans leurs membres, ainsi que la douleur et la paralysie nerveuse chez certains.
"Je n'ai jamais vu autant d'effets secondaires graves d'un traitement, et encore moins d'un vaccin", déclare Hoffe. « Les vaccins sont un traitement administré aux personnes en bonne santé pour les maintenir en bonne santé. Il devrait y avoir une tolérance zéro pour causer du tort.
RépondreSupprimerSur les quelque 900 patients de Hoffe qui ont été injectés, au moins six d'entre eux ont développé des effets secondaires neurologiques graves sans aucun signe de résolution. Certains d'entre eux sont allés voir d'autres médecins pendant l'absence de vacances de Hoffe pour demander de l'aide, seulement pour constater qu'il n'y a pas de solutions connues à ces dommages par injection.
Hoffe a alors pris sur lui de contacter 18 collègues médecins de sa région pour s'enquérir de ce qu'ils voyaient avec leurs patients. Il a reçu un ordre de bâillon des autorités sanitaires locales et a également été menacé par le Collège des médecins et chirurgiens de se taire, sinon.
"J'ai réalisé que, évidemment, il y avait une grande dissimulation qui se passait ici", dit Hoffe à propos de ce qu'il a fini par apprendre tout au long de cette horrible saga.
« C'était absolument stupéfiant que les médecins ne soient plus autorisés à utiliser leurs connaissances scientifiques ou leur perspicacité médicale pour évaluer ce qui se passait chez leurs propres patients. Ceci n'est pas un médicament. Ce n'est pas scientifique. C'est de la tyrannie médicale.
Les dernières nouvelles sur les guerres covid peuvent être trouvées sur Plague.info.
Les sources de cet article incluent :
RAIRFoundation.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-03-canada-targeting-charles-hoffe-defying-covid-vaccines.html
Naomi Wolf: Les autopsies sur le vaxxed confirment que les dommages causés par le vaccin COVID endommagent les organes du corps
RépondreSupprimerVendredi 03 mars 2023
par : Kevin Hughes
(Natural News) L'auteure et PDG de Daily Clout, Naomi Wolf, a fait remarquer que les autopsies sur les personnes vaccinées attestent de la façon dont le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) cause des dommages catastrophiques aux organes du corps.
"Le rapport 56, je pense, est une preuve irréfutable que nous sommes en guerre car il montre que cette injection - dont je dis qu'elle est une arme biologique - cause des dommages catastrophiques chez au moins ces 30 personnes décédées qui ont été autopsiées", a déclaré Wolf à l'hôte. et l'ancien stratège en chef de la Maison Blanche Steve Bannon lors d'un récent épisode du podcast "Bannon's War Room".
Wolf a noté les efforts du Dr Robert Chandler, l'un des volontaires réunis par le Daily Clout pour parcourir les documents du fabricant de vaccins COVID-19 Pfizer. Chandler s'est concentré sur l'étude réalisée par le pathologiste allemand Dr Arne Burkhardt et sept autres experts. Les huit ont pratiqué une deuxième autopsie sur 30 personnes décédées injectées avec le vaccin COVID-19 à la demande de la famille et des amis insatisfaits des résultats des premiers examens.
La plus jeune personne avait 28 ans, tandis que la plus âgée avait plus de 90 ans. Wolf a noté que ces personnes sont décédées à l'intérieur et à l'extérieur des établissements médicaux.
Lésions catastrophiques, protéine de pointe trouvée chez le défunt
Wolf a dit à Bannon que des lésions catastrophiques ont été trouvées dans tout le corps de ces personnes – plus particulièrement dans des organes tels que le cerveau, le cœur, les reins, le foie, la rate et les poumons.
« Les décès étaient de sept jours à six mois après les injections. Ainsi, ils recherchaient tout signe indiquant que la protéine de pointe ou d'autres ingrédients avaient été la cause des décès. Et dans la majorité des cas, ils ont trouvé [que la] cause probable ou la cause probable était le vaccin. »
Burkhardt a prélevé des échantillons de tissus et les a colorés pour voir s'il y avait des changements dans les tissus des personnes vaccinées décédées. Après analyse, ils ont trouvé la protéine de pointe SARS-CoV-2 dans les parois artérielles et l'aorte des cadavres. Sur cette base, Wolf a déclaré que les vaccins COVID-19 avaient peut-être endommagé le système vasculaire – en plus de provoquer des caillots dans les vaisseaux sanguins.
Elle a également présenté une diapositive d'une rate montrant le phénomène de «peau d'oignon» observé dans certaines maladies auto-immunes et un poumon vacciné endommagé par l'injection de COVID. Cela a ensuite été suivi par un rapport de Burkhardt et de ses collègues concluant que les lymphocytes provoquaient probablement une rupture dans le cerveau du défunt.
RépondreSupprimerDe plus, Wolf a présenté une diapositive montrant des corps étrangers non identifiés dans les vaisseaux, en particulier dans les vaisseaux spléniques qui se trouvaient dans cinq des cadavres. Elle a déclaré que les scientifiques et les pathologistes avaient conclu qu'il s'agissait probablement de nanoparticules lipidiques (LNP) qui coalescent et se solidifient.
Ils ont également déclaré qu'il est probable que dans la chaleur du corps, les LNP se solidifient et provoquent ce matériau non identifié qui ressemblait à une graisse industrielle durcie. Selon Wolf, les nanoparticules sont transportées et stockées à des températures inférieures à zéro, ce qui signifie qu'elles sont sous forme liquide avant de se solidifier dans le corps ou à température ambiante. En d'autres termes, les gens reçoivent de l'injection de COVID quelque chose qui traverse leur corps, traverse tous les organes de leur corps, puis fusionne.
"Je veux juste conclure en disant que c'est une arme biologique. C'est une arme biologique. Ceci n'est pas un produit médical. Cela cause des dommages catastrophiques à 30 cadavres, 70 % d'entre eux ont des dommages catastrophiques, et la conclusion de ces scientifiques et médecins respectés est que c'est lié au vaccin », a déclaré Wolf.
Suivez VaccineDeaths.com pour plus d'informations sur les décès et les blessures causés par le vaccin COVID.
Regardez la conversation complète entre Steve Bannon et Naomi Wolf ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne The Willow sur Brighteon.com.
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Les examens post-mortem trouvent des biostructures massives de caillots sanguins dans les corps des vaccinés.
Analyse d'autopsie : 93 % des décès post-vaccinaux sont causés par les piqûres… les « lymphocytes tueurs » attaquent des organes comme le cœur et les poumons.
Une étude révèle que 25 % des personnes vaccinées souffrent d'effets post-immunisation, allant de légers à potentiellement mortels.
Le syndrome de la mort subite de l'adulte est le nouveau nom des décès par vaccin dans la réalité factice de l'establishment médical.
Les protéines de pointe de piqûres de Covid envahissent «tous les principaux organes», accélèrent le vieillissement cellulaire.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
WarRoom.org
DailyClout.io
https://www.naturalnews.com/2023-03-03-autopsies-on-vaxxed-confirm-covid-vaccine-damage.html
The Robert Scott Bell Show : Le Dr Jack Wolfson atteste de la capacité de renforcement des artères du super nutriment CUIVRE – Brighteon.TV
RépondreSupprimerVendredi 03 mars 2023
par : Belle Carter
(Natural News) Malgré l'hésitation des gens à propos de la toxicité du cuivre, un cardiologue certifié a attesté des effets positifs du nutriment sur la santé vasculaire car il renforce les artères.
Le cardiologue Dr Jack Wolfson a partagé les avantages du cuivre lors de l'édition du 27 février de "The Robert Scott Bell Show" sur Brighteon.TV. L'auteur de "The Paleo Cardiologist : The Natural Way to Heart Health" a déclaré à l'animateur de l'émission, Robert Scott Bell, que le cuivre est naturellement présent dans certains aliments et qu'il est disponible sous forme de complément alimentaire.
"Il est certainement très intéressant que la formation médicale soit très brève concernant le cuivre en tant que minéral et en tant que nutriment", a déclaré Wolfson. "[Bien que] nous reconnaissions que le diagnostic typique de surcharge en cuivre ou de maladie de Wilson est franchement très rare, nous n'utilisons tout simplement pas les avantages du cuivre."
Le cardiologue a ajouté que le cuivre joue un rôle dans la chaîne de transport d'électrons et la production d'énergie, la production d'eau à l'intérieur d'une cellule, puis finalement c'est un cofacteur de l'enzyme chlorure de lithium (LiCl) oxydase, qui aide à rendre les artères solides et autres tissus.
Le cardiologue a également déclaré qu'il souhaitait que le cuivre soit accessible à tous, citant que la meilleure source de nutriments provient de la chair animale et des abats, en particulier du foie de bison. "Le bison d'Amérique est un animal majestueux et c'est la meilleure nourriture pour notre corps car il est nourri avec de l'herbe en liberté et des prairies finies avec de l'herbe", a-t-il ajouté.
Selon le Bureau des compléments alimentaires des National Institutes of Health, le cuivre peut être trouvé dans plusieurs aliments tels que les crustacés, les graines et les noix, les céréales de son de blé, les produits à grains entiers et le chocolat. L'eau du robinet et d'autres boissons peuvent également être des sources de cuivre, bien que la quantité dans ces liquides varie selon la source.
Selon Medical News Today, de faibles niveaux de cuivre ont été associés à un taux de cholestérol élevé et à une pression artérielle élevée. Trop peu de cuivre peut également entraîner une neutropénie, une carence en globules blancs qui combattent les infections.
L'apport quotidien recommandé en cuivre est d'environ 900 microgrammes (mcg) par jour pour les adolescents et les adultes, avec une limite supérieure de 10 000 mcg ou 10 milligrammes (mg) par jour pour les adultes âgés de 19 ans et plus. Un apport supérieur à ce niveau pourrait être toxique.
L'accent mis sur la santé cardiovasculaire aborde également les problèmes rénaux
D'une part, si l'on est déficient en cuivre, certaines conditions de santé et d'autres facteurs peuvent augmenter le risque. Ceux-ci incluent des défauts génétiques du métabolisme du cuivre, des problèmes d'absorption et une consommation trop élevée de suppléments de zinc ou de vitamine C. Certaines conditions, telles que la démyélinisation du système nerveux central, la polyneuropathie, la myélopathie et l'inflammation du nerf optique peuvent également être aggravées. Le cuivre étant stocké dans le foie, les carences ont tendance à se développer lentement avec le temps.
D'autre part, une accumulation excessive de cuivre a également été associée à la maladie d'Alzheimer. (Connexe : Consommez-vous trop de cuivre ? Le cuivre provenant de l'alimentation est lié à un risque accru de maladie d'Alzheimer.)
RépondreSupprimerBell a souligné que si les gens et les médecins se concentrent sur la santé cardiovasculaire, même la santé rénale peut être améliorée et restaurée. Wolfson a accepté, affirmant que la clé pour les personnes atteintes de maladie rénale est certainement de surveiller leurs niveaux de potassium, de magnésium et de sodium.
"Ce que vous allez rechercher, c'est ce qui se passe car nous voulons faire attention à ce que le potassium et le sodium ne montent pas trop haut ou trop bas car cela aurait un impact sur l'équilibre du magnésium", a-t-il déclaré. "Lorsque vous donnez au corps les nutriments dont il a besoin pour faire son travail, vous pouvez vous attendre à une amélioration de la fonction rénale, et non à une amélioration de la détérioration."
Suivez Nutrients.news pour plus d'histoires sur le cuivre et d'autres nutriments.
Regardez l'épisode complet du 27 février de "The Robert Scott Bell Show" mettant en vedette le Dr Jack Wolfson ci-dessous. Découvrez les nouveaux épisodes du programme tous les lundis de 16h à 17h. sur Brighteon.TV.
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Toxicité du cuivre associée à la dépression, à la schizophrénie et à d'autres troubles.
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Viande d'organe nourrie à l'herbe décrite par certains comme une centrale de micronutriments pour une nutrition maximale.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
ODS.OD.NIH.gov
MedicalNewsToday.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-03-jack-wolfson-super-nutrient-copper-strengthens-arteries.html
Un scientifique japonais met en garde : les méfaits du vaccin COVID sont désormais un problème mondial
RépondreSupprimerVendredi 03 mars 2023
par : Oliver Young
(Natural News) L'éminent scientifique japonais, le Dr Masanori Fukushima, a averti que les dommages causés par les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), en particulier ceux de la variété ARNm, sont désormais un problème mondial.
Fukushima est le président du Centre d'informatique de recherche translationnelle et est également professeur émérite à l'Université de Kyoto. Il a près de trois décennies d'expérience dans la recherche sur le cancer et les soins médicaux globaux.
Selon Fukushima, l'ampleur des effets néfastes sur la santé causés par les injections d'ARNm a finalement mis en danger des milliards de personnes innocentes.
Dès mars de l'année dernière, les données du système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) ont révélé que les décès causés par les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont dépassé ceux causés par tous les autres vaccins au cours des 30 dernières années.
Le VAERS a enregistré un total de 26 059 décès causés par les vaccins COVID-19 au cours des 15 premiers mois de déploiement, soit près de trois fois les 9 066 personnes tuées par des vaccins non COVID au cours des 30 années précédentes. (En relation: les données du VAERS montrent que les décès par vaccin COVID SURPASSENT ceux causés par d'autres injections.)
Les vaccins COVID-19 ont également causé des incapacités permanentes à 48 342 personnes en seulement 15 mois, soit plus du double des 20 096 personnes qui ont souffert d'incapacités permanentes après avoir reçu des injections de vaccins non COVID au cours des trois dernières décennies.
Avec un plus grand nombre de pays ayant désormais accès aux vaccins, il est facile de comprendre pourquoi Fukushima pense que les dommages induits par les vaccins sont désormais une préoccupation mondiale.
Le médecin a également critiqué ceux qui font la promotion des vaccins à ARNm auprès des masses, en particulier ceux qui n'ont pas les qualifications académiques appropriées pour le faire. Fukushima faisait évidemment référence à des politiciens comme le président Joe Biden, qui n'hésitent pas à imposer des vaccinations malgré une connaissance limitée des vaccins.
L'analyse experte de Fukushima des injections d'ARNm et de la santé humaine domine la communauté médicale mondiale. D'après son analyse, les conséquences négatives sur la santé des injections d'ARNm sont déjà un problème mondial. Les vaccins peuvent potentiellement déclencher une vague de crises cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux et de morts subites.
Les personnes vaccinées sont comme une bombe à retardement
RépondreSupprimerDaniel Horowitz, rédacteur en chef du Blaze, a fait un point similaire dans un article il y a près d'un an.
«Les rapports de myocardite et de péricardite sont si répandus maintenant que seulement au cours des huit premières semaines de 2022, nous sommes déjà à 47% du total des soumissions au VAERS pour 2021. Il y a eu 24 177 rapports de péricardite [et] de myocardite soumis au VAERS en 2021 En 2022, jusqu'au 25 février, il y a eu 11 289 signalements, soit près de la moitié du total de l'année dernière », a-t-il écrit.
Horowitz a proposé deux explications possibles à l'afflux soudain de rapports du VAERS au cours des deux premiers mois de 2022. "Soit plus de gens et de médecins connaissent le VAERS et savent [comment] rechercher une myocardite, soit il y a une bombe à retardement avec beaucoup plus de gens maintenant réalisant qu'ils avaient des problèmes cardiaques des mois plus tard », a-t-il déclaré.
« Quoi qu'il en soit, cela signifie que les estimations initiales de la prévalence des cas n'étaient que la pointe de l'iceberg, et nous verrons probablement de jeunes cœurs endommagés pour les années à venir.
Pour empêcher que cela ne se produise, Fukushima a proposé une solution simple : arrêter tous les programmes de vaccination contre le COVID-19 à travers le monde.
Mais Fukushima a déclaré que les agences de santé publique doivent d'abord reconnaître les problèmes causés par les vaccins et indiquer clairement que ces problèmes constituent une menace directe pour la santé publique.
Lisez plus d'histoires sur les vaccins COVID-19 sur Vaccines.news.
Regardez le Dr Masanori Fukushima discuter de son procès contre le gouvernement japonais pour avoir dissimulé la vérité sur les injections de COVID-19 ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne Red Voice Media sur Brighteon.com.
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Les sources comprennent :
NaturalHealth365.com
GlobalResearch.ca
TheBlaze.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-03-covid-vaccine-harms-now-a-global-problem.html
L’autisme et la toxicité
RépondreSupprimerDroit de réponse
Par Dominique Arias
Mondialisation.ca,
03 mars 2023
Je me consacre entièrement à un travail de recherche sur le fonctionnement cognitif des autistes. Il se trouve que je le suis moi-même mais je ne le savais pas. Je ne l’ai compris qu’il y a trois ans, à l’entrée de la « Crise COVID », et j’ai immédiatement commencé mon autoformation dans ce domaine, parrainé par le Pr. Mottron, de Montréal, qui m’a diagnostiqué lui-même. Laurent Mottron est l’un des experts les plus réputés dans ce domaine – et surtout l’un des plus unanimement reconnu et validé par les autistes eux-mêmes, parce que ses analyses correspondent réellement à notre vécu et l’éclairent vraiment, dans tous ses aspects à la fois. Ce qui n’est généralement pas le cas de la grande majorité des théoriciens de l’autisme – loin s’en faut.
Ce texte est une réponse à l’article de Senta Depuydt, « En hommage au Pr. Montagnier, qui a osé parler du lien entre autisme et vaccination ».
On ne peut reprocher à quelqu’un de ne pas savoir, concernant un domaine dont les plus grands spécialistes eux-mêmes se reconnaissent déconcertés et incapable d’expliquer l’origine réelle et les clés de cette évolution atypique. Mais on peut certainement reprocher à un chercheur de renom de prétendre avoir tout compris d’un domaine dont il ignore (délibérément) les fondements les plus élémentaires. Et évidemment c’est un sujet auquel je suis particulièrement sensible, non pour moi-même, mais parce que ce sujet concerne la survie d’enfants qui sont exactement comme j’étais moi aussi à leur âge, et souvent rien de plus, mais dont le taux de suicide devient à l’âge adulte nettement supérieur à ce qu’il est chez leurs pairs non-autistes, alors qu’ils aiment la vie telle qu’ils la perçoivent, comme on ne peut l’imaginer lors qu’on ignore tout de ce qu’est le surfonctionnement perceptif.
J’ai une grande admiration pour le Pr Montagnier. Je n’ai aucun doute sur l’éclairage qu’il porte sur les vaccins et sur les effets néfastes de la toxicité environnementale (ou sur l’émergence du SIDA). C’est incontestablement son domaine de compétence, et c’était un grand érudit. J’ai, moi aussi, refusé de me faire vacciner COVID malgré mon âge et je ne considère pas non plus ces produits comme des vaccins. Au reste je n’ai aucun doute sur les effets potentiellement néfastes de la vaccination en général sur le « système immunitaire » (ou sur la capacité de réponse immunitaire de l’organisme). Par ailleurs, j’ai compris par moi-même dès les premières semaines de la « pandémie » que la narrative du COVID était une PSYOP qui ne collait pas avec sa propre évolution, et qu’il y avait des contradictions flagrantes entre les chiffres et les faits – ou leur improbabilité. J’étais de fait convaincu dès le départ que le virus avait été modifié en labo, comme ceux des différentes grippes aviaires et porcines qui l’avaient précédé, sauf que cette fois-ci il ne visait pas la « régulation d’un marché » mais les populations humaines. Là-dessus, nous sommes totalement sur la même longueur d’onde.
Mais en matière d’autisme comme en virologie ou en épidémiologie, il est inacceptable qu’un profane absolu s’arroge le droit d’écarter d’un revers de main les plus grands spécialistes de ce domaine en assurant qu’ils mentent ou n’y connaissent rien, sans être lui-même ni expert ni directement concerné. C’est tout aussi inadmissible lorsqu’il s’agit d’un journaliste ou d’un obstétricien qui réfute Péronne, Raoult, Delépine ou Montagnier lui-même dans leur propre domaine d’expertise, que lorsque Montagnier à son tour réfute de la même manière les connaissances des autistes eux-mêmes sur leur propre condition et l’érudition de personnes qui ont passé toute leur carrière à observer et diagnostiquer des milliers de tout jeunes autistes, à les suivre jusqu’à l’âge adulte, et à chercher à étudier et comprendre l’autisme, entourés d’étudiants et de chercheurs autistes, en éclairant dès lors non plus leurs « déficits » mais au contraire leurs surcapacités perceptives et intellectuelles. L’empoisonnement par des toxiques chimiques provoque des dégradations et des lésions, non des surcapacités ou des surperformances – et pas seulement chez quelques-uns. Par exemple : si l’on avait découvert bien plus tôt le moyen de « guérir l’autisme » (le Saint Graal de tant de chercheurs, eugénistes dans l’âme), on n’aurait jamais constaté qu’un enfant entre deux et cinq ans, n’importe quel enfant ou presque, peut s’avérer parfaitement capable de décoder mentalement, tout seul, les structures et le fonctionnement du langage (oral et écrit) en restant presque totalement en retrait des interactions interhumaines (aucun problème d’interactivité avec le chat ou le chien), simplement perceptivement et par déduction, en détectant les similitudes, les associations et les correspondances qui le structurent. Et parfois même sans prononcer un seul mot pendant cinq ans ni échanger un seul regard avec quiconque. C’est pourtant de ça qu’il s’agit !
RépondreSupprimerL’autisme n’est pas une maladie
L’autisme, à ce qu’on en comprend aujourd’hui, n’est ni une maladie à soigner ni une déficience cognitive ou un « trouble évolutif du développement » (sinon pour ceux qui ont un train de retard). Au regard du type et des niveaux d’intelligence qu’il produit, l’autisme est simplement l’expression d’une diversité naturelle dans le développement de l’intelligence et des structures neuronales qui la sous-tendent dans notre espèce, et peut-être pas seulement. Exactement comme le fait d’être gaucher n’est ni un handicap en soi, ni une déficience. Tout part d’une erreur de jugement au départ. Au XIXe siècle, lorsqu’on établissait l’inventaire des maladies mentales, on n’identifiait que les cas les plus flagrants, et on ne classifiait pas encore correctement tous les symptômes de chaque phénotype. L’autisme alors était une psychose infantile, et lorsqu’un enfant semblait « autiste » et montrait un déficit mental, on parlait d’autisme profond ou d’autisme sévère. Tandis que lorsqu’un enfant qui n’avait rien d’un autiste était atteint de la même déficience, exactement la même, on ne parlait jamais d’une « normalité profonde » ou de « normalité sévère ». Cet obscurantisme absurde persiste encore aujourd’hui, comme de la glu sur une chaise, et nombre de déficients mentaux sont encore assimilés d’office à la catégorie autistes, qu’ils le soient réellement ou non, par le seul fait qu’ils y ressemblent. On parle alors d’autisme « syndromique ». Mais il est aujourd’hui classé à part dans les différentes formes d’autismes, et sitôt débarrassé des diagnostics erronés il est devenu statistiquement ultra-minoritaire. L’autisme a toujours existé, ça n’est ni une maladie ni une malformation, ça ne s’attrape pas, ça n’est pas contagieux et ça n’est pas d’origine épigénétique.
Le mythe statistique du nombre croissant d’autistes
RépondreSupprimerQuant aux courbes alarmantes de « progression » de l’autisme, un enfant de cinq ans peut en deviner la cause exacte, s’il se pose réellement la question sans vouloir mettre en fait la réponse qu’il pensait avoir trouvé d’avance. Que Montagnier ait pu occulter une telle évidence statistique à seule fin de se donner raison et nonobstant les conséquences physiologiques de ses expérimentations stériles sur les dizaines d’enfants qu’il faisait placer sous antibiotiques pendant plusieurs années de suite est parfaitement inadmissible. Il n’y a rien de sorcier ni de suspect là-dedans, c’est simplement logique. Purement logique. L’autisme est découvert et défini comme « trouble mental précoce » vers la fin du XIXe siècle par Bleuler. Mais sa définition très vague et le flou persistant sur les origines de ce trouble font que pendant des décennies il n’est que rarement diagnostiqué lorsque ça n’est pas absolument flagrant, et seulement par des spécialistes. Très progressivement la capacité à diagnostiquer l’autisme est enseignée en psychiatrie, dans quelques universités seulement, et s’étend peu à peu. Mais encore aujourd’hui la grande majorité des psychiatres français (pour peu qu’ils soient honnêtes) se reconnaissent incapable d’effectuer eux-mêmes un diagnostic complexe ou de donner une définition claire, inclusive et non-datée de ce qu’est réellement l’autisme. Le nombre de diagnostics n’a donc augmenté au fil des décennies qu’en proportions de l’évolution du nombre de spécialistes correctement formés à les poser. Ce qui a envoyé des centaines de milliers d’autistes en institutions psychiatriques à vie, dès l’âge de quatre ou cinq ans, pour toutes sortes de diagnostics totalement erronés. Et aujourd’hui encore, les témoignages récents de tels traitements restent légions en France. Pas de quoi claironner, vraiment !
Dans les années 1960-70, on validait néanmoins de plus en plus de diagnostics – dans les pays occidentaux du moins. Au début des années 1980, Lorna Wing, découvre un ensemble de cas particuliers d’autisme qui se rapprochent de ceux décrits dans les années 1940 par le chercheur Autrichien Hans Asperger. Elle redéfinit ce type d’autisme, auquel elle donne le nom de « syndrome d’Asperger ». La courbe constamment progressive du nombre de diagnostics se double alors d’une nouvelle courbe apparemment exponentielle elle aussi mais qui n’est, une fois de plus, qu’une augmentation de diagnostics réalisés par une profession qui n’intègre que très progressivement des tests plus inclusifs, et donc plus difficiles à réaliser – le plus souvent laissés à des experts spécialisés dans les tests de détection. Et on découvre alors qu’il y a, non pas de plus en plus d’autistes, mais simplement beaucoup plus d’autistes qu’on ne le pensait au départ, et surtout beaucoup plus de cas de figure possibles. C’est seulement le nombre de diagnostics posés qui augmente constamment et non pas le nombre d’autistes !
Dans le même temps, la détection clinique s’étendait progressivement aux pays non-occidentaux, et les chiffres augmentaient d’autant, avec partout – quelle que soit la latitude ou la culture, et vaccinés ou pas – la même proportion d’environ 1 %. Aujourd’hui, on parle d’autisme « au féminin » et d’autisme « invisible » pour les cas les plus indécelables à première vue mais que l’anamnèse et les tests confirment sans équivoque (c’est notamment mon cas, diagnostiqué à 59 ans à ma grande surprise). Plus récemment, l’élargissement délirant des critères à fait passer ces statistiques à 2 % ou plus, selon les administrations, car une industrie lucrative de l’intervention précoce s’est greffée par-dessus, qui fausse sciemment les diagnostics, en les posant aux nourrissons. Et la plupart sont faux, mais comment le prouver ? Même si l’on soustrait l’enfant aux soins préconisés, son développement « normal » sera utilisé pour attester qu’on peut guérir l’autisme. Et si on ne l’y soustrait pas, sa normalité-même validera d’office la pertinence de l’intervention et de son diagnostic précoce. C’est une vertigineuse impasse dans laquelle des nourrissons tombent comme dans une escarcelle. Et les parents en restent cois.
RépondreSupprimerLe plus souvent les diagnostics tardifs surviennent lorsque on fait un burnout ou lorsque des parents amènent leur enfant en consultation chez un spécialiste pour une confirmation, et constatent ensemble que la description des caractéristiques correspond aussi à l’un d’eux. Car l’autisme apparait plus fréquemment dans les familles où il y a déjà des autistes. C’est comme la couleur des yeux ou des cheveux, ou le fait d’être gaucher – précisément. Et ça n’est pas davantage une « anomalie génétique » que le fait d’être gaucher ou d’avoir les yeux ou les cheveux de telle ou telle couleur. Alors où est le problème et d’où vient le handicap ?
Lorsqu’il n’est pas accompagné d’un handicap mental (dont l’origine est réellement une anomalie génétique), l’autisme n’est ni une maladie ni un handicap en soi. C’est l’écart monumental entre le fonctionnement cognitif des non-autistes et celui des autistes qui place ces derniers en « situation de handicap » dans pratiquement tous les contextes d’interactions sociales. Des capacités perceptives trop différentes produisent une représentation du monde et une « manière d’être au monde » totalement différente. Le degré de difficulté à comprendre l’autre et à s’en faire comprendre est dès lors totalement réciproque. Il a été expérimentalement démontré par le Pr. Damian Milton (chercheur lui-même autiste) que ce degré de difficulté était en réalité aussi énorme d’un côté que de l’autre. Autrement dit, que les autistes entre eux se comprennent aussi bien que les non-autistes entre eux. Il est donc « pratiquement » aussi difficile pour un autiste de comprendre un non-autiste et de s’en faire comprendre, que pour un non-autiste de comprendre un autiste et de s’en faire comprendre. « Pratiquement », parce que la proportion n’est pas la même : 1 à 2 % d’un côté, contre 98 à 99 % de l’autre. Il est donc en réalité plus facile à un autiste de se faire comprendre qu’à un non-autiste, parce que 99 % des personnes qui l’entourent depuis sa naissance sont non-autistes. Une évidence contrintuitive ! Mais paradoxalement, là où le surnombre donne aux uns la conviction d’être la norme, l’inverse donne aux autistes une confiance en soi chroniquement altérée, dont ils subissent les conséquences à vie.
Le mythe de la régression autistique
RépondreSupprimerAutre point d’importance dont Montagner et Chronimed avaient choisi de faire fi : la chronologie de l’évolution cognitive des autistes diffère de celle des non-autistes parce qu’ils se mettent instinctivement en retrait, très précocement, de ce qui leur est désagréable et de tout ce qui les contraint. Et, pour quelque raison que ce soit, les interactions interhumaines leur sont très tôt désagréables, comme le sont aussi à d’autres enfants les légumes, les fruits, les ascenseurs, le sport ou la baignoire, sans que chez eux cela porte outre mesure à conséquence. Et très tôt, les petits autistes, lorsqu’on les dérange avec insistance, lèvent spontanément le bras exactement comme le font les adultes non-autistes pour signifier : « Minute ! Pardon, mais pas maintenant, je suis en train de réfléchir à quelque chose de compliqué ». Parce que c’est exactement ce qu’ils sont en train de faire. Ils préfèrent être seuls et tranquilles que d’être dérangés. Certains parce qu’ils craignent l’insistance et le regard direct, qui servent à exiger une attention complète. D’autres parce que l’émotion qu’ils ressentent en présence d’une personne qui cherche leur contact leur parait à la fois si indéfinie et si puissante que ça les tétanise, et qu’ils préfèrent rester à l’écoute sans y répondre. D’autres enfin parce que leur hypersensibilité sensorielle les dépasse et les pousse à se mettre à l’écart des bruits, des odeurs, des couleurs, des lumières et des gestes ou des voix, et de tout ce qu’on sollicite de leur part. On ne peut comprendre aucun de ces comportements si l’on n’essaye pas de se représenter les niveaux de perception sensorielle et d’émotion qui accompagnent le surfonctionnement perceptif, mais aussi l’intensité des intérêts qu’il génère dans tout ce que l’on découvre, observe avec les sens, et qu’on cherche à comprendre. Tout petits, les autistes sont spontanément attirés par tout ce qui est structurellement complexe et peut s’analyser perceptivement et mentalement, par la répétition, l’observation et la déduction. Mais évidemment seul et sans interférence, parce que ces observations-là sont difficiles entre deux et cinq ans, exigeant attention et concentration.
Dans environ 75 % des cas, vers l’âge d’un an-et-demi à deux ans, les petits autistes se détournent si drastiquement des interactions sociales qu’ils cessent totalement de communiquer et donc de parler, et évitent systématiquement les regards directs (le eye contact). A cet âge apparaissent les crises de plus en plus fortes qui caractérisent seulement la difficulté de ces enfants à gérer leurs émotions et perceptions sensorielles dans un environnement qu’ils découvrent comme de plus en plus complexe et saturé de sensations qui leur semblent trop fortes. L’un des inconvénients du surfonctionnement perceptif, c’est qu’un enfant a besoin de plusieurs années pour s’habituer à l’intensité des émotions et des sensations qu’il génère. Il ne les comprend pas parce qu’elles deviennent de plus en plus puissantes. Ces enfants connaissent alors ce que les spécialistes appellent un « pallier mutique ». Ils vont cesser de parler pendant plusieurs années de suite (alors qu’ils avaient souvent bien commencé), et repousser drastiquement tout contact insistant ou contraint. Mais sans cesser pour autant de décoder le langage – tout seuls et mentalement – en privilégiant soit sa forme écrite (imprimés, livres, magazines, partitions, calendriers, notices d’objets), soit sa forme orale mais indirectement et sans interactions (radio, télévision, conversations écoutées passivement d’un air absent, etc.)
Avec ou sans intervention, la très grande majorité se remettra spontanément à parler entre quatre et sept ans, et généralement par phrases complètes, en utilisant l’écholalie comme mode de production des phrases, qu’ils mémorisent spontanément et tentent de réutiliser telles quelles, sans les démonter. Parce que perceptivement c’est au départ la « matière phonétique » de ces phrases qui les intéresse et les touche, bien plus que leur fonction communicationnelle. Cette fonction, ils l’intègreront petit à petit, par besoin de communiquer, en décomposant leurs phrases préférées pour en reconstruire d’autres à partir d’éléments de plus en plus nombreux. Seul un très faible pourcentage de ces enfants tentera son retour vers la parole trop tard, car au-delà d’un certain stade de croissance, la connectique neuromotrice ne parvient plus se mettre en place. Ils ne parleront pas. Mais ils continueront à décoder le langage, et la plupart d’entre eux pourront parfaitement communiquer par écrit, si leur entourage n’a cessé à aucun moment d’alimenter leur besoin d’apprendre – intellectuellement vital – sans les contraindre ni les braquer, en leur parlant toujours normalement, même s’ils ne répondent pas. Pareil qu’avec le chat, qui ne parle pas non plus. Mutiques ou non et colériques ou pas, ils ont seulement besoin d’amour, de soutien, d’indulgence, de compréhension et d’énormément de patience. Et surtout qu’on accepte leur différence de fonctionnement cognitif telle qu’elle s’est déjà mise en place, en la laissant s’épanouir et se construire à sa façon. Si on l’aide, elle s’épanouit. Contrainte elle ne portera aucun des fruits qu’elle aurait pu porter : Pas de Bach ou Mozart, Einstein ou Lao Tzeu, si l’on prive un enfant précoce (mutique ou pas, autiste ou non) de s’isoler régulièrement pour se livrer à ses passions ou à ses réflexions sur le monde. Ils réfléchissent avec les doigts ! Et, tant que cette maturation ne s’est pas faite, impossible de savoir de quel niveau sera l’intelligence qui se construit mentalement dans le silence, en retrait des interactions. Et d’ailleurs, quelle importance ? C’est sa tranquillité d’esprit qui compte, et surtout ses besoins vitaux. Certains s’éveilleront plus tard que d’autres, mais c’est tout.
RépondreSupprimerInteractions sociales
En retrait des interactions interhumaines, la connectique cérébrale se structure différemment parce qu’elle est sollicitée et utilisée différemment – outre les différences innées qui sous-tendent le surfonctionnement perceptif. Pour eux, entre deux et cinq ans (et souvent bien au-delà) la grande majorité des opérations (observer, apprendre, comprendre, analyser, calculer, réfléchir, composer, etc.) sont presque exclusivement effectuées mentalement et pour soi-même. Tandis que tous les autres enfants du même âge apprennent à obéir, à se conformer à ce qu’on attend d’eux et à paramétrer leurs opinions et leurs comportements sur ceux des autres, les autistes apprennent (tout seuls) à évaluer ce qui est vrai, faux, bon, mauvais, pertinent ou pas, etc., exclusivement sur la base de leurs propres capacités de déduction logique, de détection des incohérences, et de comparaison des milliers d’informations et de détails qu’ils mémorisent massivement pour les évaluer ensuite, avec un temps de latence. Pour les mêmes opérations, ils n’utilisent pas les mêmes zones du cerveau que les autres. Ils passent d’instincts par d’autres cheminements, plus spatialisés, plus perceptifs, plus sensoriels et souvent plus rapides, et synthétisent en images plutôt qu’en phrases. Parce que les phrases servent à communiquer, ce qui pour eux n’est pas spontanément une priorité réflexe. La majeure partie de leur fonctionnement cognitif (de même que le niveau qu’il pourra atteindre) s’articule sur leur mémoire et leur capacité à manipuler mentalement proportions et concepts. D’où leurs intérêts très peu éclectiques au départ (intérêts dits « restreints »), mais qui s’élargiront plus tard, atypiquement, à partir des similitudes.
Évidemment, hors ou en retrait des interactions sociales, les autistes n’intègrent pratiquement aucun des codes d’interactivité que tous les autres enfants intègrent par immersion constante dans les interactions, pour fonctionner collectivement en synergie. Mais leur cerveau n’est pas passif pour autant, loin de là ! Et ils apprennent d’autres choses, que les autres enfants ne peuvent apprendre aussi précocement à cause de leur immersion constante dans les interactions et du réflexe de paramétrage permanent qui en est la clef principale et les protège de l’ostracisme.
RépondreSupprimerA l’exception de ceux qui ne passent pas par le pallier mutique (et encore), les autistes n’apprennent par immersion ni le langage non-verbal, ni les mimiques normales, ni les sous-entendus, ni les implicites tacites (les implicites involontaires ne leur échappent pas du tout, en revanche), ni les non-dits. Tous les autres apprennent à mentir vers l’âge de deux ans, eux non. Les autres enfants apprennent à discuter et à jouer ensemble aux mêmes choses ; eux, à s’amuser tout seuls et de n’importe quoi – le plus souvent mentalement, au point de ne pas même éprouver le besoin de manipuler leurs jouets, mais de jouer seulement en leur présence (avec eux mais d’une autre manière, non-interactive). Ils s’émerveillent de leurs perceptions lorsqu’elles ne sont pas excessives et leur sont agréables, mais n’éprouvent généralement aucun besoin de les partager. Ils aiment en revanche partager ce qu’ils comprennent, ce qu’ils ont découvert et ce qui les fascine. Mais ne connaissant aucun code (et n’en soupçonnant même pas l’existence), ils le font très maladroitement. On ne comprend pas où ils veulent en venir. On leur cherche des intentions qu’ils n’ont pas. Cependant, contrairement aux autres, ils pratiquent très tôt, spontanément et très intensément l’auto-hypnose et la pleine conscience, et sans même en être conscients. Même précocement, il est des choses que l’on ne peut apprendre qu’en recherchant la solitude et la paix intérieure. Seul dans sa chambre ou absorbé dans ses passions, un autiste n’est jamais en situation de handicap, sauf lorsqu’il souffre d’avoir été rejeté et de n’avoir pas su se faire comprendre ou aimer, et ne sait ni comment ni à qui l’exprimer. En retrait des interactions, la plupart des autistes, enfants, n’ont personne vers qui se tourner pour être consolés lorsqu’ils ont peur ou lorsqu’ils souffrent. Ils apprennent à se consoler tout seuls, par des moyens qui sont les leurs – comme se taper rythmiquement la tête contre les murs. J’ai connu ça, et ça marchait !
Les autres troubles et symptômes
RépondreSupprimerQuant aux troubles fonctionnels, neuro-moteurs, psychologiques, comportementaux émotionnels ou psychoaffectifs qui affectent très fréquemment le comportement et la vie des autistes, dans la très grande majorité des cas (à l’exception de certaines re-location neuronales liés à leurs domaines précoces de spécialisation ou à leur prédominance perceptive, et qui causent des dyspraxies) ils apparaissent finalement, la plupart du temps, comme les très profonds impacts du décalage cognitif entre leur propre fonctionnement et le monde qui les entoure, et comme les impacts du surfonctionnement perceptif et émotionnel sur l’hypersensibilité émotionnelle et perceptive qui les accompagne inévitablement. Cette même hypersensibilité perceptive qui permettra parfois à un enfant autiste d’apprendre presque instantanément à l’oreille des partitions de Bach dès la première écoute et de les rejouer en regardant mentalement la partition qu’il a visualisée en écoutant, lui vaudra aussi des crises de panique monumentales et des tsunamis émotionnels lorsque son hypersensibilité perceptive atteindra son seuil de saturation – ce qui arrive très fréquemment et pour un rien dans la petite enfance. Ces crises et les cauchemars qui les répliquent nuitamment laissent les mêmes stigmates que les chocs psychologiques subis précocement par tant d’autres enfants en contexte de guerre, d’accidents graves, violences physiques, de torture mentale, etc. Si l’on retire aux symptômes de l’autisme tout ce que l’on retrouve à l’identique dans le trouble de stress post traumatique (y compris l’inconfort lié à l’hypersensibilité sensorielle et aux interactions sociales), la majorité des symptômes restants sont des caractéristiques positives liés au surfonctionnement cérébral et aux aptitudes et capacités atypiques qu’il offre. Ces capacités sont notre jouet préféré lorsque nous sommes enfants. Et nous ne sommes même pas conscients que c’est un privilège, naïvement persuadés que tout le monde est comme nous.
Si l’on refuse de prendre tout cela en compte, on peut s’enfermer ad vitam aeternam dans l’idée que l’autisme est un trouble évolutif du développement (euphémisme mondain pour déficience mentale), que l’on pourra soigner un jour d’une manière ou d’une autre, eugénistiquement, par les antibiotiques, le dressage cognitivo-comportemental, les électrochocs ou même l’arsenic (comme on soignait autrefois la syphilis). Si l’on prend au contraire ces aspects-là en compte, alors c’est quoi l’autisme au bout du compte ?
RépondreSupprimerJe ne le comprends qu’aujourd’hui, mais en mourant dans son avion, mon père, sans le savoir m’avait donné le reste de sa vie. C’est parce qu’il était mort trop peu de temps avant que ma mère a toujours refusé de me laisser placer en institution psychiatrique, alors qu’on le lui demandait, moi qui voulais mourir aussi, dès l’âge de quatre ans. Et puis mon enfance a passé, et la vie a filé tout doucement, d’une péripétie à l’autre, comme une poignée de sable fin entre mes doigts. Et ainsi, sans rien en savoir, j’ai eu la chance d’échapper au reflet venimeux de ce miroir toxique. Parce que lorsque j’ai finalement compris que j’étais ainsi fait, j’étais déjà en fin de trajectoire. C’était donc ça mes crises de gosse et mes terreurs à se rouler par terre ; mon silence ébahi de nourrisson tranquille, qui ne demande jamais et joue avec ses doigts ; mon horreur des mains sales, des bises aux gens qui sentent ; mes hésitations permanentes et mes gestes tout raides et toujours tout coincés. C’était donc ça cette sensation de toujours regarder le monde de l’extérieur, et de m’y voir gesticuler vainement au milieu de tout le monde, en me demandant « mais qu’est-ce que je fais là, moi ? Qu’est-ce que je fais là ? ». Ma différence, ma si précieuse différence, mon refuge aux murs de silence épais comme une forteresse, que j’avais préservée de tout, à bec et griffes : mon tout dernier recoin d’enfance. J’avais passé toute ma vie à ne pas le savoir du tout. Mais je savais depuis longtemps, par tout ce que j’avais vécu, appris, compris et retenu, ce que j’étais ou pas. Je le savais pertinemment. Fallait pas me la faire, j’étais pas dupe des euphémismes et des bien belles théories, qui ne collent pas dès qu’on s’y penche. Et débile, certainement pas !
Quant à leur reprocher vraiment ? Sachant qu’ils ne comprennent pas, n’ayant jamais été autistes… N’ai-je pas moi aussi passé ma vie à ne voir de l’autisme que ce qu’on en disait ? J’en ai des décennies durant fait l’expérience. Au fond, que pouvais-je vraiment comprendre de l’autisme tant que je n’en connaissais que les lieux communs les plus réducteurs, et sans me sentir concerné ? Avant de comprendre que je l’étais aussi, en fait, et que toutes ces définitions purement théoriques et spéculatives si doctement élaborées par des non-autistes condescendants, me dépeignaient donc moi-aussi comme un handicapé mental. Évidement ça vous motive à considérer autrement et sous une lumière plus crue tous ces a priori stupides. C’est efficace ! Mais si on m’avait collé cette étiquette-là dans la tête à cinq ans, à dix ou à vingt ; cette image pourrie de moi-même, qu’est-ce que je serais devenu ? Qui je serais devenu en me voyant jour après jour dans ce miroir devenu le regard des autres, de tous les autres ? Les aurais-je faits mes voyages ? Aurais-je osé être amoureux, ne fut-ce qu’une fois dans ma vie ? Est-ce que je serais encore là ? Pour en parler et pour vous dire : ça n’est pas une maladie…
L’autisme : un regard sur le monde, sans concession, de l’extérieur… Quoi qu’il en soit, et au vu de cet éclairage, pendant plusieurs années, Luc Montagnier, Chronimed et consorts ont dupé consciemment une armée de parents crédules et misé sur une hypothèse comme sur une martingale, en l’expérimentant directement sur des cobayes humains, hypothéquant leur avenir en toute impunité, sachant pouvoir se défausser totalement des conséquences. Après tout, ça ne les rendrait pas malades, ils l’étaient déjà au départ, et à vie. Bein voyons ! Ces cobayes étaient non seulement des enfants, mais en plus ils étaient autistes. Deux fois plus incapables en somme de refuser un traitement ou de s’en plaindre à qui que ce soit, même après des années devant les tribunaux. Fut-ce avec les meilleures intentions du monde, ce qui reste sujet à caution, on était bien plus près de Mengele que d’Hippocrate. Et ça reste une faute impardonnable, que l’immense majorité des autistes ne leur pardonnera jamais.
RépondreSupprimerhttps://www.mondialisation.ca/lautisme-et-la-toxicite/5674789
Confinement, fermetures des écoles, port du masque… The Daily Telegraph dévoile des messages WhatsApp compromettants des responsables britanniques
RépondreSupprimerPar FranceSoir
Mondialisation.ca,
03 mars 2023
Le quotidien britannique The Daily Telegraph a dévoilé mercredi 1 mars 2023 les “Lockdown Files”. Plus de 100.000 messages, échangés sur WhatsApp entre l’ex-ministre de la Santé, Matt Hancock, des membres du gouvernement, dont l’ex-Premier ministre Boris Johnson et leurs conseillers de santé ont été divulgués par la journaliste Isabel Oakeshott. Les coulisses des principales décisions des autorités dans le cadre de la lutte contre la pandémie de coronavirus, comme la vaccination, le port du masque, la fermeture des écoles ou le confinement sont (et seront) partagées au grand public. Matt Hancock s’est dit victime d’une “traitrise”.
La journaliste Isabel Oakeshott s’est longuement expliquée sur sa décision de publier ces “2.3 millions de mots” analysés par elle et ses collègues chez The Daily Telegraph. “J’ai décidé de publier cette masse sensationnelle d’échanges privés car il est absolument impossible d’attendre plus longtemps des réponses”, a-t-elle écrit.
L’enquête sur la gestion de la pandémie au Royaume-Uni avançait très lentement. “Annoncée en mai 2021, notre enquête publique – qui a déjà coûté jusqu’à 85 millions de livres sterling – n’a pas même commencé ses audiences officielles”, rappelle la journaliste. A défaut des résultats de cette enquête, le quotidien promet des “scoops” quotidiennement sur les coulisses des politiques britanniques contre la pandémie, “jusque-là restées secrètes”. La source de cette fuite, poursuit la journaliste, n’est autre que … l’ex-ministre de la Santé lui-même.
Des décisions (souvent) contraires aux avis scientifiques
L’une des premières révélations des Lockdown Files concerne le port du masque, notamment dans les écoles. Des échanges entre Boris Johnson, le médecin en chef Sir Chris Whitty, Matt Hancock et Lee Cain, directeur de la communication de l’ex-Premier ministre, démontrent que la décision de rendre le port du masque obligatoire était un alignement sur une recommandation de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) mais surtout, sur une décision de Nicola Sturgeon, Première ministre d’Écosse.
Répondant ainsi à une question de Boris Johnson sur la “nécessité du port du masque”, Lee Cain a écrit qu’il serait “difficile” pour le gouvernement “de maintenir le cap” sur son intention de ne pas rendre le masque obligatoire avec la décision de la responsable écossaise. Le médecin en chef Chris Whitty répondait pourtant, dans la même conversation, “qu’aucune raison forte” ne pouvait justifier la nécessité du port du masque.
Il ne s’agit pas de la seule décision prise par Boris Johnson à l’encontre de ses conseillers. The Daily Telegraph poursuit que l’ex-PM a exprimé des regrets pour avoir rapidement décidé d’instaurer un deuxième confinement, sur la base de données que les scientifiques affirmaient être “fausses”. “Malgré ses craintes, le confinement a eu lieu et a duré un mois”, rappelle le quotidien.
RépondreSupprimerLorsqu’il a exprimé le souhait de lever le confinement plus tôt que prévu, ce sont ses conseilleurs en communications, notamment Lee Cain, qui l’ont dissuadé au motif qu’une telle mesure serait “trop en avance sur l’opinion publique”. “L’ancien PM et son gouvernement ont toujours affirmé qu’ils étaient “guidés par la science”, mais ce n’était pas exclusivement le cas”, lit-on.
“Panique au sommet”
Une autre information est révélée par le quotidien britannique dans le même échange. Boris Johnson évoque une réouverture des écoles avant l’été 2020 mais son ministre de la Santé, Matt Hancock, le dissuade. “Tout le monde a accepté qu’il n’y aura plus d’écoles avant septembre”, a-t-il justifié.
Les premières publications du Daily Telegraph expliquent comment les forces de l’ordre ont été poussées à être plus agressives dans le maintien du respect des mesures sanitaires ou encore comment l’influence des deux conseillers en communication de Boris Johnson ont “changé le quotidien” des Britanniques. D’autres articles dévoilent les coulisses de la mise en place de la “règle des 6”, aussi imposée aux enfants, qui interdisait aux familles et amis d’outre-manche de se réunir à plus de 6 personnes en extérieur. Les efforts de Matt Hancock pour fermer les écoles ou pour atteindre “son objectif” de 100.000 tests Covid-19 par jour sont également abordés. Les échanges démontrent que plusieurs décisions concernant différents aspects de la lutte contre la pandémie ont été prises sans raison suffisante, parfois de manière contradictoire.
L’ex-ministre de la Santé s’est dit victime d’une “haute trahison et d’un abus de confiance” suite à la divulgation de ces messages WhatsApp. La journaliste Isabel Oakeshott a aussi révélé avoir reçu des “messages menaçants” de sa part. Les révélations font l’effet d’une bombe dans la haute sphère politique du pays et les réactions à ces fuites s’enchainent au Royaume-Uni.
https://www.mondialisation.ca/confinement-fermetures-des-ecoles-port-du-masque-the-daily-telegraph-devoile-des-messages-whatsapp-compromettants-des-responsables-britanniques/5675624
Plus de rapports de sécurité de l'UE sur le vaccin à ARNm de Pfizer-BioNTech
RépondreSupprimer4 mars 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Le premier rapport régulier de mise à jour de sécurité de l'UE (PSUR #1) de 286 pages, couvrant la période de six mois allant du 19 décembre 2020 au 18 juin 2021, a révélé des signaux de sécurité accablants pour le vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19. Le rapport a été mis à la disposition de TKP via une demande FOIA d'un lecteur anonyme et publié ici .
Selon la définition de l'Agence européenne des médicaments, les PSUR ( rapports périodiques actualisés de sécurité ) sont des documents de pharmacovigilance destinés à fournir une évaluation du rapport bénéfice/risque d'un médicament à des moments précis après son approbation. L'objectif du PSUR est de fournir une analyse complète et critique du rapport bénéfice-risque du médicament, en tenant compte des informations de sécurité nouvelles ou émergentes dans le contexte des informations cumulées sur le rapport bénéfice-risque.
Le titulaire de l'autorisation de mise sur le marché, en l'occurrence BioNTech SE, est légalement tenu de soumettre un PSUR à l'EMA ainsi que des frais de dossier. L'EMA évalue ensuite les informations contenues dans le rapport pour déterminer si de nouveaux risques ont été identifiés ou si le rapport bénéfice/risque a changé.
Le premier PSUR a été évalué par Sonia Elijah et publié sur sa sous-stack . Sonia Elijah rend également compte de son évaluation dans l'interview sur "Redacted" sur YouTube :
- voir clip sur site -
Les données essentielles suivantes résultent du PSUR :
Dans la période du 19/12/2020 au 18/06/2021, des effets indésirables ont été signalés pour 327 827 personnes, dont 233 948 femmes environ 70 %, 75 340 hommes et 18 539 cas de sexe inconnu.
Les tranches d'âge 31-50 ans (107 416) et 51-65 ans (68 685) ont été particulièrement touchées (p. 31)
Dans la tranche d'âge des moins de 18 ans, 2 076 personnes ont été touchées. (p. 31)
Parmi les personnes pour lesquelles des effets secondaires ont été signalés, près d'un tiers ont eu des effets secondaires graves. (p. 31)
Pour les 327 827 personnes, 1 172 004 effets secondaires ont été signalés, chacun avec une fréquence d'au moins 2 % des effets secondaires (p. 49f). Tous les effets secondaires dont la fréquence est inférieure à 2 % ne sont pas inclus dans ce nombre. Chaque personne affectée a subi en moyenne plus de 3 effets secondaires.
Décès : 5 115 (page 32)
Au 18 juin 2021, 76 960 cas n'étaient pas encore en bonne santé et le sort de 70 271 personnes était inconnu. (p. 32)
84 % des personnes touchées n'avaient pas de maladies antérieures
RépondreSupprimerEn page 56, le PSUR répertorie les lots les plus concernés par les déclarations d'effets indésirables. Les numéros de lot EL1484 avec 16 077, EJ6797 avec 11 168 et EK9788 avec 10 139 se distinguent ici avec plus de 10 000 effets secondaires. Malgré cela, BioNTech précise qu'aucun problème de qualité n'a été identifié pour les lots concernés.
Ce PSUR montre bien l'importance de la connaissance de ces données pour les médecins dans leur pratique quotidienne.
Dans le groupe d'âge jusqu'à 64 ans inclus et dans le groupe d'âge inconnu, le nombre de décès de personnes sans comorbidités est parfois significativement plus élevé que la proportion de décès de personnes avec comorbidités. Cela signifie : Dans ces tranches d'âge, plus de personnes auparavant en bonne santé sont décédées sans maladies concomitantes.
D'autres PSUR nous ont été envoyés, que nous publions ici pour une évaluation plus approfondie :
#3. Rapport périodique de mise à jour de la sécurité (PSUR)
Rapport d'évaluation du PSUR de l'EMA
https://tkp.at/2023/03/04/weitere-eu-sicherheitsberichte-zum-mrna-impfstoff-von-pfizer-biontech/
Secrétaire d'État à la Santé : les médecins sont protégés par la suppression de l'adhésion obligatoire à la Chambre
RépondreSupprimer4 mars 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Selon le secrétaire d'Etat à la Santé, l'amendement à la loi voté mardi pour supprimer l'adhésion obligatoire à l'Ordre des médecins protège les médecins. La loi a été adoptée par le parlement de Budapest avec 122 voix pour et 33 contre . Le nouveau système d'astreinte crée pour eux de bien meilleures conditions qu'auparavant.
Le secrétaire d'État à la Santé, Péter Takács, a déclaré au journal Magyar Nemzet que la gauche hongroise est également capable de mettre en péril les soins de santé de la population au nom du pouvoir et qu'elle saisira toutes les occasions « de se présenter à la Commission européenne et de nuire à la Hongrie » . .
Dans une interview publiée dans l'édition de vendredi du journal sous le titre Nous protégerons les médecins menacés par la Chambre , Péter Takács a déclaré qu'elle menaçait la sécurité des patients en abusant de leur pouvoir et en faisant pression sur des médecins qui, comme s'ils avaient prêté serment juste envie de travailler et de guérir. « Avec l'amendement à la loi qui vient d'être voté, nous avons retiré cet instrument des mains de la Chambre. Nous protégeons ainsi nos propres confrères, les médecins, qui peuvent désormais travailler sans être membre de la chambre », a expliqué le secrétaire d'Etat.
Il a également souligné que les collègues se voient offrir de bien meilleures conditions . « De cette manière, nous pourrons donner plus d'argent aux médecins et assistants, qui recevaient auparavant un salaire horaire brut de 1 500 forints. Désormais, nous pouvons les employer à un salaire horaire brut de 2 900 HUF en semaine et de 3 500 HUF le week-end, et le salaire des ambulanciers et des infirmières de longue durée peut être encore plus élevé », déclare Péter Takács .
" Avec l'amendement à la loi voté mardi pour supprimer l'adhésion obligatoire à l'ordre des médecins, nous protégeons les médecins, et avec la mise en place du nouveau système de garde nous leur offrons des conditions nettement meilleures", a-t-il souligné .
L'abolition de l'affiliation obligatoire serait également une réforme urgente pour nous. Au cours des trois dernières années, les associations médicales ont joué un rôle pervers. Comme le déclare Takács, avec leurs ordonnances et leurs interdictions, ils ont mis en danger la prise en charge professionnelle des patients et ont forcé leurs membres à se faire vacciner avec la règle 1G, qui a été introduite dans certains cas.
L'abolition de l'affiliation obligatoire aura un effet positif sur le travail des médecins et la santé des patients.
https://tkp.at/2023/03/04/staatssekretaer-fuer-gesundheit-aerzte-werden-durch-abschaffung-der-pflichtmitgliedschaft-in-der-kammer-geschuetzt/
Négationniste ou technocrate autoritaire ? Un an Ministre Rauch
RépondreSupprimer3 mars 2023
par Thomas Oysmuller
Une étrange manif a eu lieu devant le ministère de la Santé à l'occasion de l'anniversaire du ministre Rauch : la pandémie permanente a été réclamée. Parce que pour certains, il est un négationniste corona. Mais en réalité il reste strictement sur une voie autoritaire qui exploite la science.
Il y a exactement un an, Johannes Rauch était présenté comme le successeur du ministre de la vaccination obligatoire Wolfgang Mückstein. Rauch est donc ministre de la Santé depuis un an. Il a mis fin à la plus grande hystérie Covid du pays, a levé l'obligation de vacciner et a ramené la politique corona au moins à mi-chemin des normes internationales. Avant Rauch, l'Autriche faisait partie des pays les plus durs. Si la fumée était comparée à Mückstein, alors le ministre actuel serait en fait une exception positive au sein du gouvernement.
Pour plus d'action
Cependant, il y a des protestations devant le ministère de la Santé aujourd'hui : Pas des critiques de Covid qui réclameraient l'arrêt (et une évaluation honnête) du traitement par ARNm : Non ! La "Healthy Austria Initiative" manifeste pour plus de "mesures", pour plus d'influence de l'OMS, pour que le Covid reste une maladie à déclaration obligatoire, pour des filtres à air dans les écoles et pour une "protection préventive contre les infections". En bref : Pour la pandémie permanente.
Les ambassadeurs de l'association sont les relations habituelles des "experts" et des observateurs politiques. Par exemple, l'ancien défenseur des patients Sigrid Pilz, Daniel Landau, le microbiologiste Michael Wagner, Natascha Strobl ou les hommes du SPÖ Andreas Babler et Rudi Fussi. Pour eux, Johannes Rauch, un « Corona Schwurbler », a vraisemblablement repris le ministère. Le rallye a bien sûr été un gros flop, mais certains médias s'y sont tout de même intéressés. Mais selon un journaliste citoyen, pas un seul participant n'était parfois présent. Plus tard, au moins une poignée de militants pro-lockdown étaient sur place.
L'"Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information" (anciennement les Verts contre la vaccination obligatoire) a célébré l'anniversaire de Rauch différemment. Les dissidents verts se demandent si le ministre Rauch est "un adversaire de la science" . Car ce n'est que mercredi qu'il s'est clairement positionné et a dit qu'il ne voyait "pas la peine" de "se réconcilier avec les gens qui remettent en question la science ou nient les faits." Il entend par là les gens qui critiquent les masques, le confinement et la vaccination. Aujourd'hui, nous savons que rien de tout cela n'a eu de bienfaits pour la santé, au contraire.
Voici le communiqué de presse de l'association verte :
La science est scepticisme
Cette affirmation doit être remise en question de manière critique à bien des égards. D'une part, « la science » n'existe pas. La science est discours et doute. La science prospère en remettant en question et en testant des thèses.
Katrin Skala , psychiatre senior pour enfants et adolescents à l'hôpital général de Vienne , l'a décrit avec justesse dans l'émission « Talk im Hangar » en référence à Sir Karl Popper :
« Pour moi, science et scepticisme vont de pair. En tant que scientifique, si je ne suis pas sceptique, j'ai perdu. Je suis un grand partisan du rationalisme critique, c'est-à-dire que je pense voir ou savoir quelque chose et cela reste vrai jusqu'à ce que je le réfute. Eh bien, le cygne blanc est valable jusqu'à ce qu'il y ait un cygne noir, et puis, quand je vois un cygne noir, je ne devrais pas dire "c'est en fait un canard", mais peut-être accepter que c'est vraiment un cygne. Et cela a été perdu. Il y avait un monopole de l'opinion, les positions dissidentes étaient discréditées, les gens étaient généralement qualifiés de "Schwurbler" et s'ils se rebellaient à nouveau, ils étaient "de droite" et s'ils se rebellaient à nouveau, ils étaient "nazis" - quelque peu exagéré.
RépondreSupprimerIl n'y a jamais eu de consensus scientifique
La remise en question des thèses scientifiques est donc l'essence de la science. Contrairement à la représentation politique, il n'y a jamais eu de « consensus scientifique » sur les questions pertinentes, bien au contraire. Dans la déclaration de Great Barrington - la déclaration la plus soutenue de l'histoire de la science - les mesures sont critiquées et le manque de preuves est mis en garde. Celui-ci a été signé par des lauréats du prix Nobel, des professeurs d'université d'élite et des scientifiques de renommée mondiale et a déjà été soutenu plus de 900 000 fois. Il est donc complètement faux que le ministre Rauch qualifie tous ces gens d'opposants à la science, car en réalité ce sont les opposants à la science l'élite de la communauté scientifique.
Alors qui sont les vrais adversaires de la science ?
La communauté scientifique s'est imposée des règles de « bonne pratique scientifique » . Il s'agit notamment de l'honnêteté et de l'intégrité, de la transparence, de l'impartialité et de la promotion du discours scientifique.
Le rapport ZiB2 "Les mesures Covid arrivent à leur terme" du 2 mars 2023 passe en revue les mesures des 3 dernières années et précise " ...tout cela s'accompagne de messages politiques contradictoires ou simplement erronés ".
En fait, presque tous les principes de bonne pratique scientifique ont été violés par les politiciens. Le discours scientifique a été délibérément supprimé, les scientifiques d'opinions différentes ont été généralement dénigrés et discrédités. Ces experts avaient généralement raison.
Une revue Cochrane en cours confirme pour l'essentiel les résultats de l'étude publiée en 2020 : le port du masque a "peu ou pas d'effet" sur la fréquence des infections pseudo-grippales (grippe ou Covid-19). ( TKP l'avait signalé, ndlr ). Même avant la crise de Corona, les manuels scolaires savaient que les vaccins administrés par voie intramusculaire Les infections et les transmissions dans les maladies respiratoires ne peuvent pas être évitées, puisque pratiquement aucun anticorps ne se forme sur les muqueuses (voir Janeway Immunologie, Murphey/Weaver, 9e édition, 16.3.6. Le type d'administration d'un vaccin est important pour son succès). Le récit "La vaccination vous protège, vous et les autres" était donc faux dès le départ. Pourtant, c'était le principal argument en faveur de la 2G et du confinement des non-vaccinés. En fait, la politique de mesures Covid s'est écartée des enseignements dominants de la médecine - sans qu'il n'y ait de connaissances scientifiques viables pour cela. Une approche véritablement anti-scientifique.
Empêchement du traitement transparent
RépondreSupprimerLe désintérêt des responsables pour la transparence est également démontré par le fait que les justifications techniques de la réglementation ne sont pas publiées à ce jour . Une plainte est actuellement pendante auprès du BVwG pour forcer la publication. Selon le profil , le département craint qu'"une publication puisse donner lieu à une "interprétation ( ) par des profanes médicaux et juridiques, dans les médias sociaux, comme Twitter notamment".
Un argument aventureux dans un État constitutionnel démocratique dans lequel la liberté d'expression, y compris la liberté de formation d'opinion, et la liberté de la science sont en fait protégées par la Constitution.
Communication délibérément trompeuse et mensongère ?
Il devrait être clair qui est «l'ennemi de la science». Pourtant, Rauch est aussi fermement en selle qu'aucun de ses deux prédécesseurs. Et au moins, il a pu normaliser la politique Covid en Autriche, le pays où même des manifestations sont organisées pour plus de pandémies.
https://tkp.at/2023/03/03/coronaleugner-oder-autoritaerer-technokrat-ein-jahr-minister-rauch/
Gates crée un sentiment de grande réinitialisation en Inde
RépondreSupprimer3 mars 2023
par Thomas Oysmuller
Bill Gates est actuellement en Inde et essaie d'y mettre de l'ambiance pour son programme : monnaie de banque centrale numérique, surveillance, réduction de la population et manipulation génétique.
Que fait Bill Gates en ce moment ? Il est actuellement en Inde. Il rencontre des personnes censées promouvoir la transformation sociale pour lui et avec lui en Inde également. Le journaliste indien Yohan Tengra a documenté les plans de Gates pour un voyage en Inde. Tengra est impliqué dans le procès contre Gates pendant devant la Haute Cour de Bombay. "La prochaine fois, il devra venir en Inde lorsque le HC de Bombay le convoquera dans une affaire de vaccination-homicide que nous avons déposée contre lui", écrit le journaliste.
Hotspot Inde
Gates a jusqu'à présent rencontré Shaktikanka Das, gouverneur de la Banque nationale de l'Inde, et deux des plus grands industriels indiens. Bien sûr, il avait un exemplaire de ses livres "Comment prévenir la prochaine pandémie" et "Comment éviter une catastrophe climatique" pour tout le monde. Tengra ne retient pas sa critique : « Les deux livres expliquent exactement comment la menace du climat et du virus est utilisée pour asservir les gens. » Mais il faut lire entre les lignes pour voir cette intention.
Il suppose que Gates rencontrera d'autres personnalités en Inde qui "promeuvent le programme diabolique de la Grande Réinitialisation en Inde". Tengra a déterminé le rôle de Gates au sein du complexe médical il y a deux ans dans la recherche. L'Inde, en tant que pays immense, est extrêmement importante pour l'agenda mondial, et elle a fait marche arrière dans une certaine mesure pendant Covid, comme sur la question de l'ivermectine.
En conséquence, Bill Gates promeut sa politique en Inde : "L'Inde n'est pas seulement bénéficiaire de nouvelles percées, mais aussi innovatrice", a-t- il déclaré à New Delhi. Une grande innovation est nécessaire de la part de l'Inde en particulier, exige Gates. Et il se vante : Avec GAVI, son alliance de vaccination, il a sauvé la vie de centaines de milliers d'enfants.
Dans une vidéo, Tengra décrit avec Corbett comment les « programmes » sont « conçus » par Gates et son environnement, par exemple dans le cas du Covid, et comment le complexe médical les met ensuite en œuvre.
Mais il ne s'agit pas seulement de Covid. Le programme comprend, selon Tengra : l'application des CBDC (monnaie de banque centrale numérique, abolition de l'argent liquide, eugénisme (programmes secrets de réduction de la population), surveillance numérique, modification du climat et culture d'OGM.
Dans la guerre contre la Russie, l'Inde est neutre, augmentant même ses importations d'énergie depuis la Russie et se rapprochant de la Chine, au grand dam des États-Unis. Le ministre indien des Affaires étrangères, qui était également dans le studio « ZIB2 » il y a quelques semaines, a ouvertement critiqué George Soros lors de la conférence de Munich sur la sécurité. Gates n'a pas été critiqué jusqu'à présent.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/03/03/gates-macht-in-indien-stimmung-fuer-great-reset/
Est-il (encore) nécessaire de travailler dans notre société ?
RépondreSupprimerA l’heure où est débattu l’allongement de la durée du travail en France. A l’heure où la quête de sens est dans la plupart des esprits. A l’heure de la (presque) grande démission, le rapport au travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. Aliette Trocheris, cofondatrice de Même Pas Cap ! questionne alors la nécessité de travailler dans notre société, ou plutôt la nécessité de questionner le sens et l’importance donnée au travail.
Par Aliette Trocheris
le 3 mars 2023 à 14h11
D’un côté, 36 % des actifs de moins de 35 ans sont insatisfaits au travail alors qu’ils connaîtront en moyenne 8 à 10 transitions professionnelles au cours de leur vie. De l’autre, on allonge la durée de vie professionnelle alors que le chômage touche sévèrement les séniors. Et au milieu se trouve une génération qui n’a de cesse de se questionner quant au sens à donner à son engagement professionnel. Cependant, une même question les anime : est-il (encore) nécessaire de travailler dans notre société ?
Si la question est légitime, le questionnement reste bancal. Parce qu’il est urgent, non pas de reléguer le travail aux oubliettes, mais d'inverser le questionnement : qu’est-ce que je souhaite réaliser dans ma vie maintenant et comment le travail peut-il le permettre ? Comment puis-je devenir l’artisan de mon propre modèle de vie ? Finalement le sujet n’est pas tant le travail que l’alignement.
Si on a mieux à faire, il ne faut pas travailler
Le bonheur n’est pas en lien avec le niveau de rémunération. Si c’est facile à dire, désolidariser le travail de la rémunération financière est complexe à “désancrer”. Soyons clair, gagner de l’argent n’est pas uniquement lié au fait de travailler. Vous pouvez vivre sans revenu financier traditionnel comme gagner aux jeux de grattage, vivre de vos rentes, d’un héritage, de subventions, de troc,… Si ces exemples peuvent heurter la sensibilité de certains, ils permettent de repenser la question du travail indépendamment du sujet économique.
La question devient alors : qu’est-ce qui est prioritaire pour moi ? Qu’est-ce qui fait que mon travail va me donner le sentiment d’être utile et ancré dans ma vie et augmenter mon bonheur collectif ? Qu’est-ce qui fait que je suis en phase avec le fait de laisser mes enfants (ou mes parents âgés) pour aller au travail ? Les réponses à cette question et les motivations au bonheur sont aussi nombreuses et louables qu’il y a d’actifs sur Terre !
Alors, si faire le tour du monde en kitesurf, s’occuper de ses parents ou embrasser son rôle d’aidant procure plus de bonheur que d’aller au travail, ne travaillez pas !
De l’urgence de questionner le sens …
RépondreSupprimerQu'est-ce qui est prioritaire et fait sens selon moi ? Questionner le sens c’est tout d’abord identifier ce que l’on fait naturellement, sans effort. Ensuite, c’est choisir un “travail” pour lequel on pourrait être payé pour l’effectuer. Et ce n’est en rien choisir la facilité mais l’alignement.
Pour questionner le sens, un travail sur sa personnalité est un préalable indispensable pour faire ressortir ce qui est “naturel”et essentiel. C’est la mission d’un bilan de compétences.
Il est urgent de questionner le sens et ce, dès le plus jeune âge. Cependant en France, le modèle est davantage de pousser à l'excellence depuis le plus jeune âge, plutôt que de questionner l’alignement. Identifier ce que l’on fait naturellement très tôt permettrait pourtant de développer l’excellence personnelle, de mettre le doigt sur ses appétences ; plutôt que ce sur quoi il faudrait progresser, à la sueur de son front et au détriment de sa confiance en soi. Et ce, tout en développant la complémentarité de chacun au service du collectif.
Embrasser le sens, c’est évidemment prendre un risque. Celui d’être en dehors des codes, des clous ou même de ne pas y arriver. Les écrivains, peintres ou influenceurs, n’étaient-ils pas en dehors des clous avant de devenir des références métier ? N’ont-ils pas pris le risque de suivre leur sens, leur envie, leur intuition ? Questionner son sens et embrasser un risque peut cependant être maîtrisé. En aménagement par exemple son temps de travail pour essayer quelque chose de nouveau, qui fasse écho à ce qui est en phase avec son propre ADN.
… tous les 5 ans
Si un cycle professionnel dure en moyenne 5 ans, le sens que l’on donne au travail ne peut pas être linéaire. Porter une nouvelle réflexion tous les 5 ans, c’est s’assurer de son alignement sur le long terme en intégrant le fait que de nouvelles bonnes raisons peuvent justifier un changement et redessiner la place que l’on souhaite donner au travail dans sa vie.
Cette démarche honnête demande cependant de casser un certain nombre de codes imposés depuis notre tendre enfance. Oui, il est possible de ne pas travailler. Oui il est possible de faire un travail qui nous donne l’impression de ne pas travailler. Oui, il est possible de devenir artiste ou artisan de sa propre vie, notamment en :
RépondreSupprimer• définissant la place et le temps que l’on souhaite accorder au travail
• intégrant que le CDI de 35 heures dans un bureau n’est plus la seule norme
• embrassant un nouveau rapport au temps de travail
• ouvrant le champs des possibles, comme avec le temps partagé en entreprise
• choisissant de suivre ses propres règles du jeux et d'inventer son propre modèle
On a longtemps fait croire que c’était à l’entreprise de définir le format ou le cadre, d’en être la seule garante. Si ces croyances limitantes sont encore trop présentes, les règles ont changé et il appartient à présent à tout un chacun de décider de la place du temps et du lieu dans lequel il souhaite évoluer.
Bien sûr, il est également du devoir des entreprises de proposer un nouveau cadre, en lien avec le sens recherché par une grande majorité des actifs. Par exemple permettre à chaque salarié de travailler d’où il le souhaite ou encore proposer des congés illimités. Il est une certitude : offrir ou tester des formats plus libres qui reposent sur une relation de confiance amène plus de productivité au sein de l’entreprise.
Est-il venu le temps d’être aligné dans sa vie et son travail ? Oui, parce qu’aujourd’hui, il est possible de rendre compatibles ses centres d'intérêt, ses appétences et ses compétences, sans pour autant renoncer à gagner sa vie. Comme le disait récemment Patrick Besson : “Un monde où personne ne voudrait partir à la retraite serait un monde heureux”. En attendant que ce monde arrive, pourquoi ne pas travailler uniquement les 25 meilleures années qui comptent pour le calcul de sa retraite ?
https://www.economiematin.fr/sens-travail-societe-monde-argent-reflexion-trocheris
(...) Vous pouvez vivre sans revenu financier traditionnel comme gagner aux jeux de grattage, vivre de vos rentes, d’un héritage, de subventions, de troc,… Si ces exemples peuvent heurter la sensibilité de certains, ils permettent de repenser la question du travail indépendamment du sujet économique. (...)
SupprimerIl fut un temps (que le moins de 50 ans ne peuvent pas connaître) où les choses se passaient autrement. Le fils de paysans était paysans et, le fils de garagiste était lui-même garagiste comme ses 'aïeux'.
Mais les 'choses' ont changé ! Les devenants ne sont plus les 'en devenir' ! Le progrès en a détourné les structures, et, les échappés du bocal ne sont plus de ce que leurs pères et mères n'étaient.
La nouvelle vie pouvait commencer.
De nouvelles technologies sont apparues et, de nouveaux performants s'en ont suivis. LA machine était là ! Avec elle ses dépendances et ses idées nouvelles nous ont offert l'arrivée du téléphone et de l'électricité ! Et, suivez le fil, tout un ensemble de structures infiniment complexes répondant aux normes de l'intelligence cervicale de chacun. L'avenir se développait.
Le cheval, le bœuf (ou même chien ou l'être humain !) ont été dépassés par l'arrivée providentielle appelée 'des moteurs'. Ces mêmes moteurs pouvaient remplacer l'animal et l'être humain ! Hourra ! Ce n'était plus l'esclavagisme des siècles passés, mais la progression du 'rien foutre' à l'ombre des arbres à cames !
La faveur du nombre (augmentation de la population) a permis de sélectionner ces êtres du dessus propres à changer l'environnement de la mal-bouffe et du transport des charrettes.
Enfin on y était arrivés ! La détermination de chaque être présent sur Terre fait que son intelligence est exceptionnelle. Chacun peut selon ses facultés peut développer un programme inconnu des autres et en construire un mode de révélation au monde.
Aujourd'hui, l'être humain est capable de découvertes personnelles et d'évolutions qui n'appartiennent qu'à lui. Il ne s'agit pas seulement de gènes (un enfant de professeur peut être le dernier des cons) mais de mémorisation des actes suivis avec attention. Nos neurones - via synapses - sont conjoncturellement les 'boites' qui renferment l'intelligence (Il ne s'agit pas d'ajouter des boites vides comme dans le film de Besson 'Lucy', où sont développées des particularités extraordinaires) mais de le remplir celles qui existent !
L'aventure c'est l'aventure !
Moi président
RépondreSupprimerQuel forme pourrait prendre un programme présidentiel libéral?
Claude Goudron
le 4 mars 2023
// Ça rentre dans notre format ce genre d’articles ?
En plagiant l’anaphore de Hollande, sans pour autant postuler à la fonction de président, je présente un programme qui devrait être, sous peine de déclassement irrémédiable de la France, celui du prochain président français, l’actuel ayant largement démontré son échec.
Moi président je m’engage auprès des Français à réformer le pays avec comme unique objectif un retour à l’efficacité dans tous les domaines qui seront les miens.
Moi président je ne tremblerai pas dans l’application des réformes que j’aurai au préalable explicité sans concession à tous les citoyens.
Moi président je ferai prendre conscience aux Français que l’entreprise, principalement industrielle et agricole, est la seule créatrice de richesse indispensable au bon fonctionnement d’un État.
Moi président je donnerai immédiatement les mêmes chances aux entreprises françaises qu’à celles qui nous concurrencent au niveau européen en baissant drastiquement toutes les contraintes financières et administratives afin d’être dans la moyenne européenne.
Moi président j’expliquerai à nos concitoyens qu’ils devront travailler davantage tout au long de leur carrière, soit 30 % de plus afin de se mettre au niveau de l’Allemagne s’ils ne veulent pas décrocher encore plus.
Moi président j’expliquerai à nos compatriotes que l’endettement à outrance, tel que pratiqué actuellement en France, est très dangereux quand il sert à financer notre train de vie au détriment de nos investissements et surtout très méprisable pour nos enfants qui devront le rembourser.
Moi président je ferai comprendre aux Français qu’il faut revoir complètement le partage des budgets de la nation en réduisant celui du social, le plus élevé au monde, pour en transférer une partie sur ceux que nous avons négligés par inconscience ou par lâcheté.
Moi président je combattrai tout système déficitaire privé et d’État vivant au crochet des finances du pays. Leur existence devra être justifiée par le concours financier de ses propres adhérents.
Moi président je protégerai ces mêmes Français contre un monde de plus en plus violent et belliqueux en augmentant le budget de l’armée à 4 % du PIB, la sécurité et l’avenir du pays sont à ce prix : il n’y a pas de puissance économique forte sans puissance militaire forte !
Moi président je remettrai totalement à plat le système fonctionnarisé en dérive permanente depuis maintenant 40 ans qui s’est autoalimenté dans le temps et est devenu ingérable, incontrôlable, inefficace et donc budgétivore.
RépondreSupprimerMoi président je veux promouvoir le mérite et dénoncer cette envie d’égalitarisme qui ne peut se faire que par le bas ; je ferai sauter les barrières à la création et je favoriserai les actifs par rapport aux inactifs.
Moi président je veux réformer le système fiscal en le simplifiant et en réduisant drastiquement le nombre de taxes et impôts ainsi que le nombre de niches fiscales qui en ont été la conséquence.
Moi président je redéfinirai les fonctions régaliennes et ferai en sorte qu’il n’y ait plus de statut particulier outrancier de la fonction publique.
Moi président, après en avoir fait la liste, je soutiendrai la fabrication sur le sol français ou européen pour certains cas, de tout produit stratégique pour la sécurité économique et humaine des Français.
Moi président je rendrai la liberté d’expression, mise à mal actuellement, au peuple français et aux médias.
Moi président, en matière de justice, je ferai en sorte que la victime soit toujours privilégiée par rapport au coupable et qu’une plus grande sévérité soit exigée envers les délinquants en appliquant tout simplement les lois existantes.
Moi président, dans ce but, je lancerai dans les tout premiers mois de mon mandat la construction des 20 000 places de prison manquantes afin que la justice redevienne crédible.
Moi président je changerai radicalement de stratégie envers les gendarmes et policiers afin qu’ils se sentent respectés et soutenus par leur hiérarchie contre certains « politiciens » qui veulent les affaiblir.
Moi président je veux que la justice française retrouve son indépendance en garantissant la neutralité politique de ses serviteurs.
Moi président je veux libérer les juges du double carcan de certaines procédures trop souvent surdimensionnées pour les petits délits et une sous budgétarisation de la profession.
Moi président je donnerai les moyens financiers et humains pour une justice beaucoup plus efficace et rapide.
Moi président je veux dépolitiser l’Éducation nationale du collège aux grandes écoles et bannir tout type d’endoctrinement de la jeunesse afin de ne pas influencer ses choix.
RépondreSupprimerMoi président je prends l’engagement de réformer le système éducatif afin que la jeunesse française soit préparée au système économique démocratique qui est la base de notre engagement occidental.
Moi président je demanderai, que par leur vote les électeurs me donnent en même temps quitus pour la mise en place de tout le programme proposé.
À 75 ans je n’ai pas le dynamisme ni certainement la compétence pour briguer ce poste mais mon expérience d’entrepreneur ayant subi les tracas d’une administration hors sol et une passion pour la liberté m’ont permis d’identifier les blocages du pays et de proposer les remèdes indispensables.
Libre aux futurs candidats de se les approprier pour guérir une France mal en point.
https://www.contrepoints.org/2023/03/04/451184-moi-president
Même la Suisse n'en voudrait pas de cette merde ! Même la Suisse !
Supprimer😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
jeudi 23 octobre 2014
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
L’Europe des projets structurants est-elle encore possible ?
RépondreSupprimerLa France a fédéré une alliance pronucléaire visant à défendre l’atome dans les politiques énergétiques de l’UE.
le 4 mars 2023
Philippe Charlez
L’Union européenne est née dans un continent dévasté par un conflit ayant fait plus de 50 millions de morts.
Aussi, son dessein initial fut-il « de rendre la guerre en Europe matériellement impossible en créant un marché unique du charbon et de l’acier (la CECA), les deux principaux ingrédients requis pour fabriquer des chars et des canons ».
Des premiers pas réussis grâce à un projet structurant recherchant paix et stabilité.
Le projet de l’Union européenne
Régulièrement élargie, l’Union européenne fût graduellement consolidée d’abord sur le plan économique puis sur le plan monétaire.
Tous deux européens convaincus, François Mitterrand et Helmut Kohl anticipèrent qu’une union monétaire engendrerait à terme une union politique. Si les débuts de l’euro furent une réussite, la terrible crise des subprimes démontra la légèreté avec laquelle les critères de convergence avaient été appliqués. Elle fut aussi révélatrice d’un manque de solidarité au sein de l’euroland, les plus vertueux rechignant de porter secours aux « mauvais élèves » qui avaient laissé filer leur dette.
Contrairement à la CECA, la monnaie unique ne consolida pas cette « communauté de destin » dont avaient rêvé Giscard, Schmitt, Mitterrand et Kohl. En revanche, elle fut révélatrice de la faillite d’un modèle sans leadership et sans moyen dégageant une image d’impuissance : une structure technocratique produisant une batterie de normes souvent inutiles, un Parlement sans réel pouvoir agissant dans « l’occupationnel », un conseil incapable de gérer collectivement les grands problèmes de société et ne représentant finalement qu’une « somme d’égoïsmes nationaux ».
Le cas de l’énergie
RépondreSupprimerCette image d’égoïsme prévaut aujourd’hui particulièrement dans le domaine crucial de l’énergie.
Il a mis au grand jour le fossé béant séparant les stratégies énergétiques d’une France restant profondément nucléaire et d’une Allemagne considérant l’atome comme le diable absolu. Par suite de la catastrophe de Fukushima, l’Allemagne s’est lancée il y a 10 ans à corps perdu dans un Energiewende suicidaire imprimant de façon indélébile un Green Deal européen autodestructeur : promotion puérile du 100 % renouvelables, réduction chimérique des émissions de GES de 55 % à l’horizon 2030, arrêt kamikaze de la production des voitures thermiques à l’horizon 2035, l’Union européenne allemandisée par la voix de sa présidente court à sa perte.
On en voit aujourd’hui le résultat patent.
Devenu implicitement le meilleur ami des renouvelables, le gaz a rendu fou les marchés de l’électricité. Occultée par un hiver clément, la loi sur les retraites et la frivole affaire Palmade, la crise énergétique est pourtant plus que jamais présente. Dans l’ombre, elle est chaque jour responsable de nouvelles faillites et dépôts de bilan de PME et TPE ne pouvant plus honorer des factures d’électricité devenues démesurées.
Cependant, pour d’intolérables raisons électorales, l’Allemagne refuse toute réforme du marché européen de l’électricité avant le scrutin européennes de 2024 ! Au même titre que le nucléaire est devenu en France un nouveau marqueur politique entre la gauche et la droite, une scission s’est opérée en Europe autour de l’atome. Malgré une opposition féroce de l’Allemagne d’intégrer le nucléaire dans la taxonomie verte, la France avait gagné au Parlement européen la première manche. Une victoire intéressante mais largement insuffisante pour faire plier l’Allemagne.
Face à un groupe d’antinucléaires intransigeants regroupant l’Allemagne, le Luxembourg, l’Autriche, le Danemark, le Portugal et l’Espagne, la France a fédéré une alliance pronucléaire visant à défendre l’atome dans les politiques énergétiques de l’UE. Cette alliance est particulièrement soutenue par les anciens pays du Pacte de Varsovie soucieux de se libérer à long terme du carcan du gaz russe (Bulgarie, Croatie, Hongrie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Slovaquie et Slovénie) mais aussi par la Suède, la Finlande, les Pays-Bas et même l’Italie de Georgia Meloni décidée à se renucléariser après avoir été le premier pays renonçant à l’atome dès la fin des années 1980.
En marge d’une réunion des ministres de l’Énergie, la première réunion du groupe a eu lieu à Stockholm ces 27 et 28 février 2023 à l’initiative de la ministre française de l’Énergie Agnès Pannier-Runacher. Si certains comme le ministre néerlandais de l’Énergie, Rob Jetten se félicitent de cette coopération permettant de partager des connaissances et des expériences, en coulisse, l’ombre allemande était bien présente. Cette scission qui ne dit pas son nom ampute un peu plus la crédibilité européenne aujourd’hui incapable de lancer de façon coordonnée de nouveaux projet structurants. En ce qui concerne l’énergie chacun continuera à faire cavalier seul !
RépondreSupprimerhttps://www.contrepoints.org/2023/03/04/451722-leurope-des-projets-structurants-est-elle-encore-possible
Malgré que tous les merdias du monde aient caché la véracité des faits, le public s'est très vite aperçu que le nucléaire n'avait rien à voir avec l'accident du 11 Mars 2011 à Fukushima. Et que la seule connerie catastrophique (identique à celles des autres dans le monde !!) venaient que les tuyaux d'alimentation en eaux des réacteurs... n'étaient pas montés sur vérins !!
SupprimerAinsi, lors du moindre tremblement de terre... les tuyaux se brisent en mille morceaux ! Cà alors ! HAHAHAHA !
États-Unis: le gouverneur de Californie déclare l'état d'urgence dans 13 comtés
RépondreSupprimerpar AFP/La rédaction
vendredi, 03.03.2023
États-Unis: la tempête a fait un mort dans le Mississippi
La tempête hivernale qui balaie actuellement les États-Unis a fait une victime jeudi dans le Mississippi (sud). Le gouverneur de l'État Tate Reeves a annoncé sur Twitter qu'une personne avait perdu la vie en raison du mauvais temps. Selon les services d'urgence du Mississippi, la victime a été tuée jeudi par la chute d'un arbre sur sa voiture. Plusieurs autres personnes ont été blessées par des chutes d'arbres.
16:43
Pacifique: les îles Vanuatu frappées à la fois par un nouveau cyclone et un séisme
Les îles Vanuatu ont été balayées vendredi, par le cyclone «Kevin», charriant des vents à 165 km/h et des pluies diluviennes. L'archipel a été simultanément secoué par un séisme de magnitude 6,5, suivi d'une réplique de 5,4. L'état d'urgence a été déclaré, mais aucune victime n'a été signalée pour l'heure.
Le séisme s’est produit à 19h04 (heure suisse) jeudi, à 10 kilomètres de profondeur sous la mer, au large de la grande île d’Espiritu Santo et à 82 kilomètres au sud-ouest du village de Port-Olry, selon l’Institut américain de géophysique. À ce moment-là, les habitants étaient terrés chez eux pendant que les vents violents du cyclone arrachaient les toits des bâtiments et déracinaient les arbres.
Mercredi, les îles Vanuatu avaient déjà été frappées par un autre cyclone, «Judy», avec des vents atteignant 200 km/h. Des pluies torrentielles ont inondé les routes de l’île, où l’électricité et les communications sont toujours en partie coupées.
15:49
Canada: Toronto en alerte à la tempête hivernale
Les autorités canadiennes ont émis un avis d'alerte à la tempête hivernale pour Toronto et ses environs à partir de ce vendredi soir. Selon le Ministère de l'environnement et du changement climatique, on attend des cumuls de 20 à 30 cm de neige d'ici samedi matin et des conditions de blizzard avec «une visibilité considérablement réduite» et «des conditions de déplacement dangereuses», écrit-il sur son site.
14:49
États-Unis: le parc de Yosemite fermé pour une durée indéterminée
En Californie, le parc national de Yosemite, célèbre dans le monde entier pour ses séquoias géants centenaires et fermé depuis le 25 février dernier, en raison des chutes de neige sur la Sierra Nevada, a annoncé sur Twitter qu'aucune date de réouverture n'était prévue.
«Les équipes du parc s'efforcent de rétablir les services essentiels, afin que les visiteurs puissent revenir en toute sécurité», a twitté la direction, affirmant que jusqu'à 15 pieds sont tombés dans certaines zones du parc, à savoir plus de 4,5 mètres.
14:30
États-Unis: le gouverneur de Californie déclare l'état d'urgence dans 13 comtés
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a déclaré l'état d'urgence dans 13 comtés – dont Los Angeles et Santa Barbara – touchés, ces derniers jours, par d'importantes chutes de neige dont le cumul dépasse les 3 m de haut à certains endroits.
De nombreux habitants, bloqués chez eux ou dans leur voiture, commencent à manquer d'eau et de nourriture, particulièrement dans le comté de San Bernardino (photos), rapporte le site spécialisé AccuWeather.
Le site Deadline rapporte, lui, que la neige est même tombée sur Disneyland, au sud de Los Angeles, une première depuis 1882.
jeudi, 02.03.2023
RépondreSupprimer13:28
Orages et tornades sur le centre des États-Unis jeudi, neige et pluie au nord vendredi
Les États-Unis sont toujours en proie à des phénomènes météorologiques extrêmes. Ce jeudi, un important système de tempête apportera des orages violents, y compris des tornades, et de fortes pluies, qui pourraient produire des crues soudaines dans le centre du pays. Ce système se déplacera vers la région des Grands Lacs et le nord-est, vendredi et samedi, avec de fortes chutes de neige et de la glace.
Parallèlement, explique le National Weather Service (NWS), ce jeudi, on attend une neige abondante dans le nord-ouest de la côte Pacifique et dans le nord des Rocheuses, tandis que règne une vive inquiétude concernant des risques d’incendies dans les plaines du sud. Enfin, la chaleur anormale dans l'est des États-Unis commencera à s'estomper ce week-end, pendant que des températures fraîches pour la saison persisteront dans l'ouest.
mercredi, 01.03.2023
17:52
Espagne: des dizaines d’automobilistes piégés par la neige aux Baléares
Les services d’urgence sont à pied d’oeuvre mercredi sur l’île espagnole de Majorque pour venir en aide à des dizaines d’automobilistes piégés par la neige, un événement rarissime dans cette île de l’archipel méditerranéen des Baléares qui évoque plutôt la plage et le soleil.
«Nous demandons à la population de ne pas sortir pour aller voir la neige, que ce soit en voiture ou à pied. Nous devons tous aider le dispositif à fonctionner afin de secourir les personnes qui restent coincées», ont ainsi demandé les services d’urgence.
«Les autorités travaillent en coordination avec les forces de l’ordre afin de parvenir au refuge de Cúber, à la Font del Noguer et au chemin de Sa Calobra pour secourir les personnes qui sont encore isolées», a annoncé le gouvernement régional des Baléares dans un communiqué, précisant que toutes ces personnes étaient «en bonne santé».
14:19
En France, la sécheresse hivernale met la Loire au plus bas
En France, le niveau de la Loire est au plus bas et les bancs de sable toujours visibles, alors que le fleuve connaît une sécheresse hivernale exceptionnelle. Après un nouveau record de 32 jours sans pluie et un hiver très sec, le rechargement des nappes phréatiques est menacé.
Pour rappel, le ministre français de la Transition écologique, Christophe Béchu, a appelé, lundi, les préfets à prendre des arrêtés de restriction d’eau «dès maintenant», pour anticiper d’éventuelles situations de crise pendant l’été.
mardi, 28.02.2023
RépondreSupprimer21:59
États-Unis: après un hiver doux, New York enfin sous la neige
À la fin d’un hiver particulièrement clément, la neige a (très provisoirement) recouvert en début de semaine la ville de New York, notamment Central Park ainsi que les grandes artères de Manhattan et de Brooklyn.
Les services météo du pays (National Weather Service) ont mesuré près de cinq centimètres de manteau blanc dans l’immense poumon vert de la mégapole, le long de la mythique 5e avenue, un «record» cette saison.
Mais à la mi-journée mardi, la pluie a fait toutefois fondre l’essentiel de la neige et de la glace, même si les autorités locales ont émis des bulletins d’alerte poussant les écoles à ouvrir plus tard et perturbant les transports routiers, aériens et ferroviaires.
19:11
Espagne: la région de la Castille-La Manche s'est réveillée mardi par -16ºC
Au centre de l'Espagne, le fameux «Triangle du froid», une zone à cheval sur l’Aragón et la Castille connue pour son climat hivernal rigoureux, a fait honneur à sa réputation ce début de semaine, rapporte l'agence météo espagnole (AEMET).
La ville de Molina de Aragón, dans la province de Guadalajara (région de Castille-La Manche), s’est ainsi réveillée mardi matin avec une température de près de -16ºC. Non loin de là, à Teruel (Aragón), il faisait -11ºC.
Selon Rubén del Campo, porte-parole de l'AEMET, le «printemps météorologique», qui commence mercredi 1er mars, débutera avec «des températures minimales de cinq à dix degrés inférieures à la normale dans la plus grande partie» du pays.
19:04
Espagne: chutes de neige record aux Baléares
Les îles Baléares, au large des côtes est de l'Espagne ont été balayées par la tempête hivernale «Juliette» qui a provoqué des chutes de neige record, en particulier sur la plus grande île, celle de Majorque.
«Dans quelques endroits du nord de Majorque, la couche de neige a dépassé un mètre en 24 heures au-dessus de 800 mètres d’altitude», a indiqué le porte-parole de l’Agence nationale de Météorologie (AEMET), Rubén del Campo, qui a parlé de chutes de neige «extraordinaires».
Majorque a également enregistré de violentes bourrasques de vent qui ont atteint 117 km/h, selon l’AEMET, ainsi que des pluies diluviennes, les médias locaux faisant état de plus de 100 litres par mètre carré dans de nombreuses localités.
Ces pluies pourraient être à l’origine de plusieurs effondrements de terrain à Palma de Majorque, la capitale de l’île, le plus important ayant produit un trou béant de huit mètres de diamètre et d’une profondeur de quatre mètres sur une avenue de la ville.
17:24
RépondreSupprimerSoda Springs, petite ville de Californie, croule sous la neige
Les États-Unis sont frappés par une nouvelle tempête hivernale. La Californie ne fait pas exception à la règle. La petite ville de Soda Springs (la plus enneigée de l'État, selon les statistiques), près du lac Tahoe et de la frontière avec le Nevada, a observé, le week-end dernier, l’«arrivée» de 45,1 pouces de poudreuse, soit 1,15 mètre. Les spécialistes et la centaine de résidants de Soda Springs – qui culmine à un peu plus de 2000 mètres d’altitude – s’attendent même à un hiver record, avec 36 pieds de neige sur tout l’hiver, soit environ onze mètres.
lundi, 27.02.2023
21:43
France: préfets appelés à prendre des arrêtés de restrictions d'eau dès maintenant
Le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, qui réunissait lundi soir les préfets coordinateurs de bassin pour évoquer la sécheresse hivernale inédite en France, les a appelés à prendre des arrêtés de restriction d’eau «dès maintenant» pour anticiper d’éventuelles situations de crise pendant l’été.
Le ministre a invité ces préfets, qui animent la politique de l’État en matière de gestion de l’eau, à «ne pas avoir la main qui tremble pour prendre des arrêtés», en se disant «alarmé» par le déficit d’eau dans les sols.
21:41
La banquise de l’Antarctique atteint un nouveau plus bas
L’étendue de la banquise en Antarctique a atteint fin février un nouveau plus bas, marquant un record de fonte depuis le début des mesures satellites il y a 45 ans, a annoncé lundi l’observatoire américain de référence.
La banquise de l’Antarctique fond en été et se reconstitue en hiver. Mi-février, le centre américain National Snow and Ice Data Center (NSIDC) avait annoncé qu’avant même la fin de l’été, elle avait davantage fondu qu’en 2022, battant alors déjà son record.
Mais la fonte s’est poursuivie, et cette fois la banquise a «probablement atteint son étendue minimum pour l’année, à 1,79 million de kilomètres carrés, le 21 février 2023», a déclaré l’observatoire.
Il a toutefois précisé que ce chiffre était «préliminaire» et que «des conditions de fonte poursuivies pourraient encore pousser l’étendue de glace plus bas». Une annonce formelle est attendue début mars.
13:56
Les tornades n’ont pas épargné l’État de l’Oklahoma
Dimanche, le centre des États-Unis a été touché par des vents extrêmement violents. L’Oklahoma a été particulièrement frappé par la violence des éléments. Selon le site de la chaîne KFOR, les météorologues ont signalé, pour l’instant, sept tornades qui ont touché l'État dimanche. Si cela était confirmé par le National Weather Service, cela pourrait être un record pour le mois de février.
Des milliers d’habitants d'Oklahoma se sont retrouvés sans électricité et de nombreux autres vont se réveiller avec de gros dégâts. Entre dimanche soir et très tôt lundi matin, nombreuses étaient les chutes d’arbres, routes coupées et pannes d’électricité signalées. Heureusement, pour l'instant, aucun blessé grave ou décès n'a été signalé.
02:21
RépondreSupprimerLe bilan des inondations au Brésil passe à 65 morts
Les inondations et glissements de terrain qui ont affecté le sud-est du Brésil il y a une semaine ont fait 65 morts, selon le dernier bilan rendu public dimanche soir par les autorités.
«Jusqu’à présent ont été confirmés 65 morts», parmi lesquels ont été identifiés «21 hommes, 17 femmes et 19 enfants», ont indiqué les autorités de l’État de São Paulo. São Sebastiao, une station balnéaire située à 200 km de São Paulo, a reçu près de 680 mm de pluie en 24 heures, soit plus du double de la moyenne mensuelle des précipitations, et le volume cumulé en une journée le plus élevé jamais enregistré au Brésil, selon les autorités.
Après la découverte dimanche après-midi du corps de la 65e victime, les secouristes ont mis fin aux recherches dans le quartier de Vila do Sahy à São Sebastiao, la zone la plus affectée, selon la chaîne d’informations GloboNews citant des sources de la Défense civile.
dimanche, 26.02.2023
20:54
Inondations au Brésil: le bilan s’alourdit à 64 morts
Les inondations et glissements de terrain qui ont affecté le sud-est du Brésil il y a une semaine ont fait 64 morts, selon le dernier bilan rendu public dimanche par les autorités, tandis qu’une personne était toujours portée disparue.
«Jusqu’à présent ont été confirmés 64 morts», parmi lesquels ont été identifiés «20 hommes, 17 femmes et 18 enfants», ont indiqué les autorités de l’État de São Paulo. Plus de 2400 personnes ont été déplacées, selon un bilan officiel.
Les experts mettent en cause, outre les effets du changement climatique, une urbanisation incontrôlée. Au Brésil, 9,5 millions de personnes vivent dans des zones exposées aux risques d’inondations et de glissement de terrain.
17:09
Sécheresse extrême: Jill Biden appelle à aider davantage la Corne de l’Afrique
La Première dame des États-Unis, Jill Biden, a appelé les pays riches à donner davantage aux pays de la Corne de l’Afrique qui connaît sa pire sécheresse depuis quarante ans, lors d’une visite dimanche à des communautés touchées au Kenya.
Les États-Unis ont financé la majeure partie de l’aide visant à faire face à cette catastrophe climatique, qui a conduit à la mort de millions de têtes de bétail et détruit les récoltes. «Nous ne pouvons pas être les seuls. Il faut que d’autres pays se joignent à nous dans cet effort mondial pour aider les populations de la région», a déclaré la First Lady.
La Corne de l’Afrique est l’une des régions les plus vulnérables au changement climatique, avec des crises de plus en plus fréquentes et intenses. Selon les spécialistes, les conditions actuelles sont pires que celles d’avant la sécheresse de 2011, qui avait entraîné la famine et la mort de milliers de personnes.
16:46
RépondreSupprimerCalifornie: les plages de Redondo Beach saupoudrées de blanc
Les plages de Redondo Beach, dans le comté de Los Angeles, ont été saupoudrées de blanc samedi en raison d'une averse de grêle. De fortes intempéries ont frappé la Californie ces derniers jours, entraînant d'importantes inondations. Mais le mauvais temps n'a pas refroidi tout le monde, à en juger par ce surfeur photographié en train de faire un shaka de la main pour signifier que tout va bien.
15:28
France: des pointes à 142 km/h enregistrées en Lozère
Une tempête balaie ce dimanche la vallée du Rhône, avec des rafales dépassant largement les 100 km/h, rapporte le site La Chaîne Météo. À Arles, des pointes à 116 km/h ont été enregistrées et à Avignon les vents ont atteint les 122 km/h. Mais c'est dans la ville d'Altier, en Lozère, que les vitesses les plus importantes ont été mesurées, à savoir 142 km/h. Il s'agit d'un record pour le mois de février.
https://www.lematin.ch/story/le-royaume-uni-se-prepare-a-franchir-le-seuil-des-40-degres-mardi-660046508457
Un coup d'HAARP ?
SupprimerA quoi servent ces stations dans le monde ?
Elles serviraient à réchauffer les régions froides et refroidir les régions chaudes (invention Nikola Tesla). Oui mais, c'est l'armée des USA qui en a pris le contrôle ! et, quand il fait froid quelque part il fait tout-à-coup très très froid ! Çà alors !! Quand il fait chaud quelque part il fait tout-à-coup très très chaud ! Çà alors !
Des régions ou des pays perdent la totalité des récoltes comme des animaux ! Puis y a le truc appelé 'grippe aviaire' ! Ah çà fallait le faire ! Figurez-vous que les poules ne vont pas faire leurs courses à bicyclettes, en voitures ou même à s'entasser dans les métros ! Elles restent aux poulaillers ! Ouais ! Et, ces poulaillers sont espacés d'x kilomètres ! Alors... alors comment font-elles pour attraper 'la grippe aviaire' ? Nous avons LA preuve que même confinées, elles ne meurent pas toutes ! Çà alors !! et pourtant, comme pour 'les vaches folles' est ordonné de tuer l'ensemble du troupeau !!
Je ne sais pas si vous vous rendez compte !... Si la grippe est déclarée dans votre quartier et donc que le gouvernement décide/oblige à tuer toutes celles et tous ceux de votre quartier !...
https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/
Tous les faits dont vous avez besoin pour démystifier les escrocs du « changement climatique » (Vidéo)
RépondreSupprimerjeudi 02 mars 2023
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Le vendredi soir 24 février, le groupe d'activistes canadiens de base, Action4Canada, a accueilli Robert Lyman et Tom Harris, qui ont discuté de la science du changement climatique (météo et révélé comment il a été militarisé pour attaquer la liberté et remplir les poches des mondialistes ).
(Article republié de RairFoundation.com)
Robert Lyman
Le premier à prendre la parole était Robert Lyman, un architecte de politique canadien de carrière dont la présentation est « La nécessité de repenser le plan de politique climatique d'Ottawa ». Lyman a discuté de la série de mesures draconiennes récemment votées par Ottawa, qui réduiront considérablement la qualité de vie et les libertés des résidents sans rien faire pour affecter le climat.
Entre autres atteintes majeures à la liberté, Robert explique que la ville d'Ottawa envisage d'accélérer le calendrier d'interdiction de tous les véhicules à combustion interne. Dans le cadre des plans de la ville, ils dépenseront environ 1 000 000 000,00 $ CDN pour acheter des autobus électriques et des véhicules publics. L'interdiction devait initialement entrer en vigueur en 2035, mais ils espèrent que l'interdiction sera mise en œuvre d'ici 2030.
Robert souligne qu'Ottawa est l'une des capitales les plus froides au monde et que le temps froid épuise les batteries très rapidement, un problème courant pour les autobus électriques actuels.
Tom Harris, réaliste du « changement climatique »
Le deuxième conférencier, Tom Harris, est le directeur exécutif de l'International Climate Science Coalition. Harris se décrit comme étant en train de passer "d'un climat alarmiste à un climat réaliste". Il a précédemment donné des interviews percutantes (voir ici et ici) avec la RAIR Foundation USA.
Au cours de sa présentation, il discute des multiples couches de la fraude au changement climatique qui enrichit les élites mondialistes et trompe l'humanité. Le changement climatique est une autre façon de créer des «milliardaires verts et de diminuer la population mondiale», explique Action4Canada.
Regardez la présentation suivante, qui fournira aux téléspectateurs un arsenal personnel d'informations et de faits vérifiables pour démystifier les campagnes de désinformation des alarmistes climatiques.
RépondreSupprimer- voir clip (Rumble) sur site :
En savoir plus sur : RairFoundation.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-02-facts-you-need-to-debunk-climate-change-scammers.html
L’Allemagne retarde le feu vert de l’UE à la fin du moteur thermique
RépondreSupprimerLe vote des États membres de l’UE prévu mardi pour entériner l’interdiction de la vente de voitures à moteur thermique en 2035 a été reporté sine die.
3 mars 2023, 13:54
L’UE veut réduire à zéro les émissions de gaz carbonique des véhicules neufs dès 2035.
L’abstention annoncée de l’Allemagne empêche de réunir la majorité nécessaire donnant le feu vert à la fin des voitures à moteur thermique dans l’UE. Ce texte prévoyant de réduire à zéro les émissions de gaz carbonique des voitures et camionnettes neuves en Europe à partir de 2035 a fait l’objet en octobre d’un accord entre États membres et négociateurs du Parlement européen, formellement approuvé mi-février par les eurodéputés. Il devait encore être entériné mardi par les Vingt-Sept, lors d’une réunion de ministres à Bruxelles, dernière étape formelle avant son entrée en vigueur, sans possibilité désormais de renégocier le contenu.
Les ambassadeurs des Vingt-Sept à Bruxelles ont «décidé de reporter la décision (…) à une réunion ultérieure», a annoncé un porte-parole de la représentation de la Suède, pays qui assure la présidence tournante du Conseil de l’UE. Les ambassadeurs «reviendront sur ce sujet en temps voulu», a-t-il ajouté. L’Italie avait annoncé de longue date son opposition au texte. La Pologne voulait aussi se prononcer contre et la Bulgarie souhaitait s’abstenir. Ces pays, à eux trois, n’ont pas les moyens de bloquer la procédure.
L’Allemagne s’abstient
Mais Berlin a indiqué ces derniers jours son intention de ne pas accorder non plus son feu vert dans l’immédiat. Sans l’Allemagne, la majorité qualifiée des Vingt-Sept qui est requise (vote favorable d’au moins 55 % des États représentant au moins 65 % de la population de l’UE) n’était plus atteinte. «Nous avons toujours dit clairement que la Commission européenne devait présenter une proposition sur la manière dont les carburants synthétiques pourraient être utilisés dans les moteurs à combustion après 2035 (…). Ce qui manque maintenant, c’est la réalisation de cet engagement», a rappelé vendredi le ministre allemand des Transports, Volker Wissing (FDP, libéraux).
À la demande de Rome et Berlin, les Vingt-Sept avaient intégré au texte un possible feu vert à l’avenir pour des technologies alternatives comme les carburants synthétiques (e-carburants) si celles-ci permettent d’atteindre l’objectif de supprimer totalement les émissions de gaz à effet de serre des véhicules. La technologie des carburants de synthèse, en cours de développement, consiste à produire du fuel à partir de gaz carbonique issu notamment des activités industrielles en utilisant de l’électricité bas carbone. Pour la filière automobile, elle permettrait de prolonger l’utilisation des moteurs thermiques menacés par l’irruption des véhicules 100 % électriques. L’usage de cette technologie dans l’automobile est contesté car elle est très énergivore. Berlin souhaite que la Commission propose une législation supplémentaire pour encourager ces carburants de synthèse dans le transport routier tandis qu’un autre texte sur les «infrastructures pour carburants alternatifs» est en cours de négociation.
https://www.lematin.ch/story/lallemagne-retarde-le-feu-vert-de-lue-a-la-fin-du-moteur-thermique-112355907133
Par manque d'électricité, par manque de soleil, par manque de vent, par manque de lithium, par manque de jugeote, par manque de liberté, par manque de Démocratie !
SupprimerAntennes 6G humaines ? «Une des pires idées de tous les temps», selon un critique
RépondreSupprimerPar Suzanne Burdick
Mondialisation.ca, 03 mars 2023
Selon une équipe de chercheurs de l’université du Massachusetts Amherst et de l’université de technologie de Delft, aux Pays-Bas, les êtres humains pourraient être utilisés comme éléments d’un système d’antennes de rayonnement électromagnétique (REM) en portant un bracelet spécial en cuivre enroulé.
Les chercheurs ont déclaré avoir mis au point un moyen peu coûteux de “récolter” le rayonnement radiofréquence (RF ) qui “fuit” pendant la communication par lumière visible (VLC) – une technologie qui, selon eux, sera probablement utilisée dans les “futurs réseaux 6G”.
Mais certains critiques affirment que l’utilisation d’êtres humains comme antennes RF pour la 6G est un manque de respect pour le corps humain et peut avoir des répercussions inconnues sur la santé.
“Je suis diamétralement opposé à ce type de travail, en particulier compte tenu de la rareté des recherches médicales sur l’utilisation du corps humain comme antenne RF”, a déclaré Brian Hooker, Ph.D., P.E., responsable scientifique en chef de Children’s Health Defense (CHD) et professeur de biologie à l’université Simpson.
“Ce type de technologie fait du corps humain un collecteur de radiofréquences et ignore totalement les implications sanitaires des CEM”, a déclaré Hooker au Defender.
La technologie LiFi peut permettre la mise en place de nouveaux systèmes sans fil omniprésents pour l’internet des objets.
Les chercheurs – dont Jie Xiong, Ph.D.professeur associé d’informatique et de sciences de l’information à l’Université du Massachusetts Amherst et Qing Wang, Ph.D.,un professeur adjoint dans le Groupe Systèmes embarqués dans leDépartement de la technologie des logiciels à l’Université technique de Delft, aux Pays-Bas – sont des partisans du VLC, ou “LiFi“, comme on l’appelle parfois, qui utilise la lumière pour transmettre des données.
Le VLC fonctionne en allumant et en éteignant des lumières LED à une vitesse très élevée, invisible pour l’œil humain.
Comme le WiFi, le VLC est sans fil, mais au lieu d’utiliser un routeur et des ondes RF pour transmettre des données, le VLC utilise des ampoules LED et des signaux lumineux pour envoyer et recevoir des informations.
RépondreSupprimerSelon OpenVLC, une plateforme de recherche cofondée par Wang, la VCL peut “permettre de nouveaux systèmes sans fil pervasifs dans le contexte de l’Internet des objets.”
Pendant le VLC, le rayonnement RF est “fui” dans l’environnement ambiant, ce qui permet de le “récolter” et de l’utiliser pour alimenter de petits appareils, ont indiqué les chercheurs.
L’équipe a conçu un système électrique appelé “Bracelet+” grâce auquel un humain portant un bracelet contenant une bobine de cuivre pourrait “collecter” le rayonnement RF généré pendant le VLC.
Les chercheurs ont déclaré qu’ils étaient en mesure de récolter des microwatts d’énergie en utilisant leur système de bracelet en bobine de cuivre dans des scénarios testés.
“Un tel niveau d’énergie récoltée, de l’ordre du micro-watt, pourrait permettre d’alimenter des capteurs à très faible puissance, tels que des capteurs de température et de glucose”, ont-ils déclaré.
L’équipe n’a pas précisé dans sa conception comment le rayonnement récolté serait relayé aux appareils.
Deux bracelets récoltent plus de RF qu’un seul
L’équipe a indiqué qu’elle était en mesure de récolter davantage de rayonnements RF lorsqu’une personne portait deux bracelets, un sur chaque bras.
Selon Minhao Cui, étudiant en doctorat en sciences de l’information et de l’informatique à l’université du Massachusetts Amherst, qui a travaillé avec Xiong sur le projet, l’augmentation du nombre de bracelets n’augmenterait pas l’exposition du porteur aux RF.
“Le bracelet ne fait qu’”extraire” l’énergie [RF] du corps humain, qui est déjà captée par le corps humain”, a-t-il déclaré. “Ainsi, quel que soit le nombre de bracelets que nous portons, [it] n’influencera pas l’exposition des gens aux RF.”
L’équipe a déclaré que le port du bracelet “n’entraîne aucun problème de santé”, car la quantité maximale de rayonnement RF du VLC est “d’environ 0,01 microwatt par centimètre carré (mW/cm2) ” – ce qui est “bien en dessous” des limites RF spécifiées par la Federal Communications Commission (FCC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.
Les directives de la FCC fixent la limite d’exposition humaine aux RF à 0,2 mW/cm2 et la FDA spécifie une limite supérieure de 10 mW/cm2, ont-ils précisé.
RépondreSupprimerL’une des pires idées jamais conçues
Cependant, Bill Bathgate, ingénieur électricien et consultant certifié en biologie environnementale des bâtiments, a déclaré qu’il était impossible de penser que le port des bracelets n’augmenterait pas l’exposition des gens aux RF. “Ce n’est pas possible”, a-t-il dit.
Commentant l’étude, M. Bathgate a déclaré : “C’est l’une des pires idées jamais conçues.” Cela utilise le corps humain comme un “point de télécommunication dans une sorte de réseau” et cela pourrait entraîner “des effets sur la santé que nous ne pouvons pas prévoir”, a-t-il déclaré.
M. Bathgate a critiqué les chercheurs pour avoir utilisé les réglementations de la FCC et de la FDA comme mesure de l’impact sur la santé. “Ce sont deux des organisations les plus corrompues que j’aie jamais rencontrées dans ce secteur de l’ingénierie électrique”, a-t-il déclaré.
“La FCC n’est pas une agence de santé”, a déclaré Mme Bathgate, “La FDA l’est – mais elle ne connaît rien des RF”.
M. Bathgate a souligné qu’en 2021, CHD a poursuivi avec succès la FCC pour avoir été incapable d’expliquer pourquoi ses directives actuelles protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements RF.
La Cour d’appel des États-Unis a jugé que la FCC n’avait pas tenu compte des preuves concernant les effets néfastes non cancéreux de la technologie sans fil sur la santé dans sa décision de ne pas mettre à jour ses directives de 1996.
M. Bathgate a déclaré qu’il aurait aimé que les auteurs de l’étude fournissent des preuves à l’appui de leur affirmation selon laquelle les fuites de rayonnements RF du VLC ne causent pas de problèmes de santé. “Quelles mesures ont été effectuées pour valider cette affirmation ?” a-t-il demandé.
“Il faut être prudent… les gens lancent ces produits sans même penser à leurs ramifications potentielles”, a-t-il déclaré, ajoutant que des recherches antérieures ont indiqué des interactions claires entre l’exposition aux CEM – y compris les RF – et les problèmes de santé.
Des milliers d’études évaluées par des pairs ont montré les effets biologiques non thermiques – c’est-à-dire les effets des rayonnements de faible niveau qui ne provoquent pas de chaleur – au niveau cellulaire, notamment le stress oxydatif, les lésions de l’ADN, les lésions du sperme, les effets neurologiques, les troubles cognitifs et l’électrosensibilité.
RépondreSupprimerNéanmoins, M. Cui a déclaré qu’il ne pensait pas que le VLC ait un impact sur la santé des gens. “L’énergie des signaux RF fuyant du VLC est largement inférieure à celle des signaux Wi-Fi déjà présents dans l’environnement”, a-t-il ajouté.
Faire du corps humain le plan de masse des communications 6G
M. Bathgate a expliqué les raisons scientifiques qui ont poussé les auteurs de l’étude à utiliser le corps humain pour recueillir les radiofréquences générées par le VLC.
En VLC, lorsque les ampoules LED oscillent à une fréquence très élevée, cela permet d’envoyer des signaux à très faible puissance. Ces signaux sont transférés au corps humain, a expliqué M. Bathgate, faisant du corps une “antenne amplificatrice” pour les signaux.
“En fait, il s’agit de faire du corps humain le plan de masse des communications 6G”, a-t-il ajouté.
“Si vous passez devant une tour de télévision ou une tour de radio, vous voyez cette grande chose qui s’élève dans les airs. En dessous de cette tour – que vous ne pouvez pas voir – se trouve une très grande feuille de cuivre de la taille d’un parking.”
C’est le plan de masse pour l’antenne, a-t-il dit. “L’antenne seule ne rayonnera pas si elle n’a pas un contrepoids – ou un plan de masse – pour réfléchir l’information.”
Bathgate a déclaré que les êtres humains sont très efficaces en tant que plan de masse car ce sont des “êtres d’eau salée”.
Par exemple, s’il voulait obtenir un signal très fort avec une radio amateur, il irait sur une plage d’eau salée et “planterait” littéralement l’antenne dans le sable, là où se trouve l’eau salée.
L’eau salée amplifierait les signaux “très rapidement et très efficacement”, a-t-il déclaré, en faisant de l’océan – “la moitié de la terre” – le plan de masse. “Mon antenne sera beaucoup plus efficace que si je me trouvais à une centaine de mètres à l’intérieur des terres”, a-t-il déclaré.
En effet, les auteurs de l’étude ont testé différents objets pour déterminer lesquels fonctionnaient le mieux pour amplifier le rayonnement RF produit pendant le VLC et ont constaté que le corps humain était le meilleur “objet” pour recueillir le rayonnement RF.
Ils ont d’abord placé une bobine de cuivre sur des objets – en plastique, carton, bois et acier – mais ont constaté que le métal était le plus efficace. Ils ont ensuite testé des objets “omniprésents” dans la vie quotidienne, notamment des murs, des appareils électroniques (tels qu’un smartphone et un ordinateur portable) et le corps humain.
Ils ont conclu que le corps humain – avec ses nombreux tissus aqueux – était plus efficace pour amplifier le rayonnement RF récoltable que les appareils électroniques ou les murs.
Les auteurs de l’étude n’ont pas discuté de la quantité de rayonnements RF à laquelle on pourrait s’attendre chez les personnes exposées aux VLC qui portent des bijoux en cuivre similaires à leur bracelet en cuivre ou chez les femmes qui utilisent un dispositif intra-utérin en cuivre comme forme de contrôle des naissances à long terme.
RépondreSupprimerhttps://www.mondialisation.ca/antennes-6g-humaines-une-des-pires-idees-de-tous-les-temps-selon-un-critique/5675633
Après que des attardés mentaux se soient fait inoculer profond la solution létale faite pour eux, ces nano-particules d'oxyde de graphène injectées servent dès lors d'antennes vers le cerveau désormais contrôlé 100 % de l'extérieur.
SupprimerNous avons constaté que les échantillons de sang des oiseaux montraient la présence de résidus de cinq néonics : trois interdits depuis 2018 en France – la clothianidine, le thiaclopride et le thiaméthoxame – et deux – le dinotéfurane et le nitenpyram – utilisés uniquement à des fins vétérinaires.
RépondreSupprimerSi aucun de ces néonics n’a été détecté chez les merles, tous étaient présents chez les perdrix grises. La clothianidine a été détectée chez toutes les espèces, à l’exception des merles.
Les concentrations des trois néonics interdits étaient similaires ou supérieures aux concentrations trouvées chez les oiseaux contrôlés ailleurs avant l’interdiction. Ces résultats soulèvent des questions sur la persistance des néonics dans l’environnement et le mode d’exposition de la faune sauvage.
De futures recherches sur les effets sublétaux de ces néonics sur les traits de l’histoire de vie de ces oiseaux de milieux agricoles pourraient aider (may help) à mieux comprendre les effets de l’exposition des populations d’oiseaux à ces insecticides, ainsi que les effets conséquents sur la santé humaine. »
Ça pue le militantisme !
Dès le titre !
L’interdiction des néonicotinoïdes en agriculture a une chronologie plutôt complexe en France et dans l’Union européenne (ils restent autorisés et utilisés ailleurs). On peut cependant admettre qu’ils ont légalement disparu du paysage en France au 1er septembre 2018. Qui – de raisonnable – pourrait s’étonner de la présence de résidus dans l’écosystème quelque deux, trois ou quatre années après ?
Dès l’introduction, les auteurs se font marchands de doute. « Les néonicotinoïdes (néonics) […] sont considérés… », alors que leur excellent profil s’agissant des vertébrés fait consensus… au point que l’imidaclopride est utilisée à forte dose pour l’antipuçage de nos animaux de compagnie.
De même, « ils seraient (reported to be) rapidement excrétés et métabolisés ». Ils seraient également d’une nature « prétendument inoffensive… ».
C’est de la science bruits de couloirs !
Que penser aussi de ce titre fort sélectif quand les auteurs rapportent la présence de résidus, non seulement d’insecticides anciennement agricoles, mais aussi de médicaments vétérinaires ?
La réponse est assez simple : les techniques d’identification sont maintenant tellement sensibles que l’on trouve à peu près tout dans tout (à condition de chercher). Ainsi, en mars 2013, grâce à 60 millions de Consommateurs, les médias ont pu faire du chiffre de vente et d’audience parce qu’on avait trouvé des traces de pesticides et de médicaments dans des eaux minérales.
Nous supputons…
RépondreSupprimerLe résumé ne s’éternise pas sur les médicaments vétérinaires dinotéfurane et nitenpyram… Ils ne sont pas dans le collimateur du militantisme anti-néonicotinoïdes.
Du reste, on peut se demander pourquoi ils ont été inclus dans l’étude et pas l’acétamipride ni l’imidaclopride, l’insecticide agricole qui fut le plus largement utilisé. Selon les explications des auteurs, « ces composés n’étaient pas détectables avec la méthode multi-résidus utilisée dans cette étude ». Le choix de la méthode aurait donc été malheureux…
Pourtant, l’acétamipride et l’imidaclopride avaient été détectés dans Fritsch et al., l’étude précédente sur les poils de petits mammifères.
Les auteurs de la nouvelle étude se sont du reste empressés d’ajouter :
« Cependant, connaissant le contexte historique de la zone d’étude et les résultats des études menées dans la même zone avant l’interdiction des néonics […], si le titrage avait été possible, nous nous serions attendus à trouver de grandes quantités d’imidaclopride dans le sang des oiseaux et probablement aucune ou de très faibles concentrations d’acétamipride. »
C’est de la science au doigt mouillé.
Capture oiseaux 2
Une conclusion délirante
Les auteurs ne s’interrogent donc pas plus avant dans leur résumé sur la présence de ces médicaments vétérinaires dans le sang de certains oiseaux ; ils se lancent cependant dans des suppositions dans le texte (notamment des « contaminations » dans les fermes d’élevage des perdrix). Ni sur l’absence de traces de néonicotinoïdes chez les merles.
Le résumé – le seul élément qui sera peut-être lu par les prêcheurs d’apocalypse (l’article est derrière un péage, sauf pour quelques extraits) – est aussi très vague sur les résultats. Aucune indication quantitative, ni sur les teneurs observées, ni sur le nombre d’oiseaux « contaminés ».
« La clothianidine a été détectée chez toutes les espèces, à l’exception des merles », écrivent-ils ? Chez trois busards de Montagu sur 55 (5 % des effectifs), du reste à des doses très élevées, huit perdrix sur 31 de l’hiver 2021-2022 (26 %), mais aucune sur les 23 piégées lors de l’hiver précédent. Et le 100 % de bruants et de rossignols « contaminés » au thiaclopride le sont pour des teneurs inférieures à la limite de quantification.
Mais les auteurs ne se posent pas de questions sur la pertinence de leurs résultats. Non, pour eux, les questions sont la persistance dans l’environnement et le mode d’exposition, ici des oiseaux.
RépondreSupprimerIl y a pourtant mieux : une étude scientifique se conclut généralement par une suggestion d’entreprendre de nouvelles études.
Ici, bien que la question n’ait visiblement pas été abordée dans l’étude, ce serait sur les « effets sublétaux de ces néonics »…
… Et même sur les « effets conséquents sur la santé humaine ».
On ne se refuse rien dans la recherche militante…
« Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison » – Paracelse
Les auteurs rapportent leurs résultats dans une curieuse unité : des picogrammes par microlitre de sang. Faisons court : c’est (aussi) des microgrammes par litre (et en gros un tiers de gramme dans une piscine olympique de 3000 mètres cubes).
Par exemple, pour la clothianidine les concentrations moyennes observées varient de 0,05 microgramme par litre (µg/L) chez… deux rossignols à 951,60 µg/L chez… trois perdrix.
Selon le site canadien SagE Pesticides : « [l]a clothianidine est pratiquement non toxique chez le colin de Virginie (DL50 supérieure à 2 000 mg/kg p.c.) » (la DL50 est la dose qui tue 50 % des animaux dans un test de laboratoire). Nous ne parlons certes pas de la même chose (effets sublétaux et dose létale), pas de la même matrice (sang dans un cas, corps entier dans l’autre), ni des mêmes espèces. Mais nous sommes dans des rapports de 1 à 4 millions et de 1 à 2000, respectivement.
À ces doses-là et avec un brin d’ironie, on peut évoquer des effets homéopathiques…
https://www.contrepoints.org/2023/03/04/451458-neonicotinoides-et-oiseaux-des-champs-des-picogrammes-dans-des-microlitres
ÉTATS-UNIS: Le gruyère n’est pas seulement suisse ou français selon la justice américaine
RépondreSupprimerLe terme gruyère fait référence aux États-Unis à un nom commun et ne peut être réservé aux seuls fromages de ce type originaires de France ou de Suisse, selon une cour d’appel américaine.
4 mars 2023, 03:29
Il n’existe pas aux États-Unis les mêmes protections qu’en Europe sur l’appellation des produits alimentaires.
Une cour d’appel américaine l’a confirmé vendredi: le terme gruyère fait bien référence aux États-Unis à un nom commun et ne peut être réservé aux seuls fromages de ce type originaires de France ou de Suisse.
L’interprofession du Gruyère, qui représente les acteurs du secteur en Suisse, et le Syndicat interprofessionnel du Gruyère, son pendant français, avaient bien tenté d’inscrire le terme au registre américain des marques certifiées. Mais face au refus de l’organisme, ils avaient porté plainte et avaient perdu en première instance début 2022. Des juges d’une cour d’appel ont conforté cette décision.
Il n’existe pas aux États-Unis les mêmes protections qu’en Europe sur l’appellation des produits alimentaires, comme l’Indication géographique protégée (IGP) pour le gruyère en France, font-ils valoir dans leur verdict. L’agence chargée de la sécurité sanitaire des aliments, la FDA, définit bien des critères pour le gruyère, comme l’existence de «petits trous» ou le fait qu’il soit vieilli pendant au moins 90 jours. Mais n’inclut pas des critères sur l’origine géographique.
Une décision saluée par l’industrie laitière américaine
Aussi «du fromage, peu importe où il a été produit, est étiqueté et vendu comme du gruyère aux États-Unis depuis des décennies». Et ce, qu’il ait été produit dans l’État américain du Wisconsin ou importé depuis les Pays-Bas, l’Allemagne ou l’Autriche, ajoutent-ils. En conclusion, écrivent-ils, les plaignants ne peuvent pas aller à l’encontre de «ce qui ressort clairement du dossier: les consommateurs de fromage aux États-Unis comprennent que le terme «gruyère» fait référence à un type de fromage, ce qui rend le terme générique».
Cette décision a été saluée par plusieurs acteurs du secteur laitier aux États-Unis, dont la Fédération des producteurs américains de lait, qui espèrent qu’elle incitera les fédérations professionnelles françaises et suisses à «cesser de tenter d’exproprier un nom commun d’aliment» en enregistrant une marque.
https://www.lematin.ch/story/le-gruyere-nest-pas-seulement-suisse-ou-francais-selon-la-justice-americaine-905403094256
On se demande même pourquoi les faux sacs 'YSL' ou parfums 'CC' ou carrés 'H' ne sont pas autorisés à être vendu de partout puisqu'ils sont les mêmes que les 'originaux' (fabriqués en Asie) !
SupprimerPour ce qui est des vaches (importées d'Europe !) elles ont la carte verte, font du lait américain et des fromages américains. Notons qu'en Europe ont emploi pas le mot 'Mastication des gencives' mais le mot américain 'Chewing-gum' ! (et marque 'Hollywood' !).
La tyrannie des bien-pensants et leur vision du monde identitaire
RépondreSupprimer3 mars 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Près de deux semaines après le suicide de Clemens Arvay, une discussion a couru hier sur Servus TV qui devait en fait être diffusée sur les ondes publiques conformément à son mandat éducatif. Cependant, ce n'était pas le cas, ce qui n'est malheureusement pas une surprise étant donné la politique obscène du gouvernement concernant le corona et l'Ukraine et les «médias de premier plan et de qualité». Une contribution à la culture du débat et quelques suggestions pour changer la vie dans notre « société ouverte » (Karl Popper).
L'ambiance est chaude en Autriche et la situation actuelle promet peu d'amélioration. La discussion d'hier sur Servus TV était une rare lueur d'espoir, surtout compte tenu des expériences des trois dernières années.
Sous le titre « Tyrannie des justes », Heinz Sichrovsky, Birgit Kelle, Sandra Kostner, Eva Glawischnig et le psychiatre Raphael Bonelli, qui connaît personnellement Arvay, ont discuté. Extrait du texte d'annonce de Servus TV :
"Promoteurs de la paix" : ce terme a récemment été utilisé pour discréditer tous ceux qui prônent l'arrêt des livraisons d'armes à l'Ukraine et des négociations avec la Russie. Ce n'est pas un phénomène nouveau : depuis le début de la pandémie de corona, il y a eu un désir croissant de diviser le spectre des opinions en bien et en mal ou même en bien et en mal. Les gens aiment publiquement pointer du doigt l'autre côté.
Certains sont brisés par la haine et la haine, comme le montre le cas du biologiste et auteur de non-fiction Clemens Arvay, qui critique la vaccination. D'autres se retirent du débat public : Selon un sondage du MDR, une personne sur deux a désormais peur d'exprimer son opinion en public. Qui ou quoi est responsable du durcissement des fronts ? Cette fissure profonde peut-elle encore être colmatée ? Ou sommes-nous tous devenus trop sensibles ? Et que faut-il pour que le processus d'acceptation du passé et de réconciliation réussisse ?
Une discussion attendue depuis longtemps qui est recommandée à tous.
RépondreSupprimerLes pharisiens politiques ont donné le mauvais exemple
Même le regard le plus superficiel sur les événements actuels montre que les membres de la caste politique donnent ici un très mauvais exemple :
Vice-chancelier Kogler (Verts) : "Quiconque est neutre est complice."
Johannes Rauch (Verts) a récemment déclaré à propos de la "réconciliation Corona" (Karl Nehammer) :
Je ne vois pas non plus la nécessité de me réconcilier avec les gens qui remettent en question la science ou nient les faits.
Au vu de ces déclarations - et de bien d'autres - ainsi que de l'échec total des "médias de premier plan et de qualité", qui ont également été fortement subventionnés par les politiciens en vue de Corna, on trouve presque désespérément (Matt, 7: 3):
Mais pourquoi vois-tu la paille dans l'œil de ton frère et ne vois-tu pas la poutre dans ton propre œil ?
Arrêtez l'obligation de nom réel et le financement des médias
Je pourrais penser à quelques choses qui mériteraient d'être discutées. Cependant, tous ne sont pas nécessairement sans ambiguïté, c'est-à-dire qu'il y a des aspects positifs et négatifs à prendre en compte dans toutes ces considérations.
Il semble clair que nous devons faire quelque chose contre le phénomène du discours de haine en ligne. Beaucoup d'encre (virtuelle) a déjà coulé, alors voici une suggestion claire :
1. Abolition de l'anonymat sur Internet
Avant de crier : il y a une interdiction de se couvrir le visage lors des manifestations et dans les espaces publics, mais c'est apparemment une pratique courante dans le « cyberespace ». Il est clair que cela seul n'est pas une panacée, mais nous ne pouvons pas nous empêcher de parler en tant que société de la nature et de l'essence des médias sociaux - ainsi que de la fonction de commentaire dans les médias en ligne.
Je suis également conscient que dans certains contextes, cela est tout simplement impossible, mais il est maintenant clair que "l'internet" et en particulier "les médias (sociaux)" font partie de la sphère publique. Et à ce titre, il faut aussi aborder cela de manière légale et réglementaire : au regard des normes et pratiques républicaines-démocratiques comme de droit pénal, l'obligation du vrai nom pour toute personne qui veut s'exprimer en public apparaît comme le minimum.
Vous pourriez renverser les rôles, pour ainsi dire, et introduire des « frais de traitement » ou similaire pour l'anonymat en ligne - mais pas pour divulguer votre vrai nom lors de l'inscription ou avant de commenter : si vous souhaitez rester anonyme en ligne, vous devriez le faire - et pour toute conséquence juridique – payez.
A l'inverse, cela signifie probablement que certains "modérateurs de contenu" peuvent être sauvés, puisqu'il est évident que les gens se comportent "différemment" lorsqu'ils se savent "en public".
RépondreSupprimer2. Limiter le pouvoir des médias
L'étendue de l'influence exercée par « les médias » est, on le sait, énorme. Cependant, comme le montre la discussion actuelle sur la taxe sur les ménages annoncée par l'ORF, les "médias leaders et de qualité" sont souvent payés pour la propagation de contenus et d'opinions, dont certains vont de l'irresponsable à l' indésirable .
Il est clair que nous avons besoin de plus, et non de moins, de liberté d'expression, mais cela inclut également le fait que dans une "société ouverte", chacun devrait également avoir la possibilité d'exprimer son mécontentement.
Mais comment les «médias de premier plan et de qualité» ont non seulement supprimé d'autres opinions, les ont poussées vers la «droite extérieure» dans le coin sale ou ont unilatéralement pris parti, c'est après environ trois ans de politique Corona et un peu plus d'un an après la Russie l'intervention de l'Ukraine est tout aussi évidente.
Que diriez-vous d'un modèle décentralisé ? J'écris sur Substack depuis un moment maintenant, une plate-forme où la plupart des bénéfices possibles vont directement aux écrivains (avant que vous ne demandiez : mes messages sont librement accessibles).
Le modèle bien connu des grandes entreprises de médias avec souveraineté d'interprétation est en route vers le bûcher proverbial de l'histoire : la plupart des Américains sont d'avis que les grandes organisations de "câble d'information" (CNN, MSNCB, FoxNews) ne sont pas
Jack Shafer a récemment (2021) écrit un éditorial dans le Politico libéral de gauche prônant le démantèlement de ces organisations de « nouvelles par câble » (CNN, MSNCB, FoxNews).
Vous pouvez trouver des informations détaillées à ce sujet, par exemple, dans un article de Daniel Hanlin du Center for Media Literacy, qui explique cela en utilisant l'exemple américain - que nous, en Europe, suivons presque servilement.
Epilogue : Le lanceur va au puits jusqu'à ce qu'il casse
Vous me traiterez peut-être d'optimiste, mais une chose semble claire : le « système » actuel de collaboration entre « politique » et « médias » va bientôt suivre le chemin de tous les êtres terrestres. Les enchevêtrements (voici, vous regarde, Thomas Walach) entre eux sont trop étroits, l'abîme entre la réalité et ce qui est véhiculé dans les médias est trop large.
Qu'il s'agisse de Corona, de l'Ukraine ou de l' impôt sur les ménages ORF .
RépondreSupprimerOn peut s'attendre à ce que ces abîmes deviennent encore plus grands, mais on peut également supposer que le nombre de consommateurs continuera à diminuer. Un jour, cela se reflétera dans le nombre d'abonnés et les résultats des élections, et ce jour n'est pas très éloigné.
En 2022, OGM enregistrait dans l' indice de confiance que "les médias" occupaient l'avant-dernière place dans la confiance de la population, suivis "uniquement" par le gouvernement et les membres de la caste politique.
Chers « travailleurs des médias » du pays : demandez-vous combien de temps le gouvernement continuera à vous déverser la corne d'abondance si l'effent (« retour sur investissement ») n'est plus en rapport avec les résultats.
Ni "la politique" ni "les médias" n'ont de réponse à cette question pour le moment, c'est-à-dire en dehors du réflexe de discours de haine et de censure. Comme on le sait, le lanceur ne va au puits que jusqu'à ce qu'il se casse. Les égratignures et les fractures sont déjà si évidentes - et elles ne font que s'agrandir à mesure que les politiciens et leurs porteurs d'eau restent silencieux dans les médias du système sur les discours de haine comme contre Clemens Arvay (honte à vous, Monsieur le président fédéral).
Ce « système » du complexe politico-médial est mort, l'odeur de pourriture est bien perceptible, mais comme le proverbial « poulet sans tête », le complexe politico-médial erre encore un peu.
Mais ce sera bientôt fini.
https://tkp.at/2023/03/03/tyrannei-der-selbstgerechten-und-deren-identitaeres-weltbild/
Bientôt plus de pain en France ? Ce sera la révolution !
RépondreSupprimerle 3 mars 2023
Le coronavirus a disparu, remplacé par les événement d’Ukraine dans les médias de grand chemin et la problématique du changement du climat est devenue presque secondaire. En réalité les lobbys de la protection de l’environnement n’ont pas lâché la barre. Le mouvement suit son cap inexorable vers la ruine des sociétés occidentales souhaitées par ces idéologues qui considèrent que le sauvetage d’une espèce de fleurs qui n’intéresse personne sinon quelques spécialistes inconnus est plus importante que le chômage de masse engendré par des mesures iniques d’harmonisation du marché européen de l’énergie ou l’interdiction de retenue collinaires de réserves d’eau pour l’agriculture. Nous vivons aujourd’hui dans un monde occidental surréaliste dans lequel l’homme est moins important que la réintroduction des ours ou des loups dont l’élimination fut l’une des préoccupations des générations qui nous ont précédé pour améliorer les conditions de vie du peuple en lui fournissant des denrées alimentaires de manière à inspirer confiance et à des prix abordables.
La France, de par ses terroirs et l’ingéniosité de ses agriculteurs, a longtemps été le grenier de l’Empire romain puis de l’Europe. Aujourd’hui, en raison de mesures iniques issues des idéologies environnementales niant tout argument scientifique rationnel, la France est contrainte d’importer plus de 15 % de ses denrées alimentaires courantes, qu’il s’agisse de viande, de fruits et légumes ou de produits lactés, du jamais vu depuis que la France existe en tant que nation ou même que colonie romaine.
Ces mêmes défenseurs des petites fleurs et des papillons (il faudrait également considérer tous les insectes nuisibles) ont contribué à détruire le secteur agricole français. On parle maintenant avec insistance du marché européen de l’énergie car l’opinion publique a enfin compris que la France avait été bernée en ce qui concerne l’électricité par les écologistes allemands en raison de l’augmentation insupportable des faillites d’entreprises. Pour l’agriculture française on assiste au même phénomène avec l’interdiction des néonicotinoïdes, ce qui scientifiquement est une absurdité sous le fallacieux prétexte que quelques insectes pollinisateurs seraient affectés par ces produits phytosanitaires. Comme conséquence de ces décisions de la Commission européenne vendue aux lobbys « verts » l’état de l’agriculture française va atteindre un stade irréversible de dégradation.
Peut-être que le gouvernement français réagira quand le peuple commencera à ne plus pouvoir manger à sa faim. Il y a déjà en France dix millions de personnes qui sont nourries par le gouvernement avec des subventions ciblées, chèques restaurant payés par l’Etat, bons d’achat de denrées de première nécessité, … on oublie de le mentionner dans les grands médias. Dix millions tous âges confondus c’est énorme et ça coûte une fortune en impôts pour tous les autres contribuables qui, eux également, vont devoir se serrer la ceinture. Je n’invente rien, ce sont des statistiques agrégeant les nécessiteux dont tous les étudiants font partie, les chômeurs de longue durée, les immigrés sans travail et les personnes seules ayant charge de famille. Et pendant ce temps-là les admirables terres arables françaises redeviennent le domaine des ronces et des orties ou sont vendues par milliers d’hectares à des fonds de pension américains … Il y a vraiment de quoi pleurer, d’autant plus que les ministres, dont celui de l’agriculture, sont des indigents intellectuels notoires ! À peine 30 % des terres agricoles françaises appartiennent aux agriculteurs qui les exploitent. Il y a de moins en moins de jeunes attirés par le nouveau métier (plein d’avenir) d’ouvriers agricoles et on les comprend. La métairie et le fermage ont toujours existé en France mais aujourd’hui il s’agit d’un phénomène de plus grande ampleur qui échappe au régulateur qu’est la SAFER (Société d’aménagement foncier et d’établissement rural), un organisme qui a paradoxalement contribué à la situation actuelle en encourageant le remembrement des terres et en concentrant l’activité agricole.
RépondreSupprimerQuand le peuple français souffrira de la faim, ce qui ne saurait tarder, alors le gouvernement en place fuira à Versailles pour échapper à la vindicte populaire. Ce n’était qu’une hypothèse qui rappelle douloureusement l’époque pré-révolutionnaire quand les Parisiennes allèrent chercher le Roi à Versailles car elles n’avaient plus de pain pour nourrir leurs enfants. Imaginez les fonds de pension américains achetant les riches terres de la Beauce. Que feront-ils du blé tendre si prisé des Français pour leur bon pain ? De l’alcool qu’ils rapatrieront avec profits dans leur pays ou qu’ils revendront sur les marchés. Voilà décrit en quelques lignes l’avenir de l’agriculture française …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/03/bientot-plus-de-pain-en-france-ce-sera-la-revolution/
😎 Voici l'ordre des exportateurs de blé pour 2020 :
SupprimerRussia:::::::::: US$7.9 billion (17.6% of total wheat exports)
United States: $6.32 billion (14.1%)
Canada:::::::::::: $6.3 billion (14%)
France::::::::::::: $4.5 billion (10.1%)
Ukraine::::::::::: $3.6 billion (8%)
Australia:::::::::: $2.7 billion (6%)
Argentina:::::: $2.12 billion (4.7%)
Germany::::::::: $2.1 billion (4.7%)
Kazakhstan::::: $1.1 billion (2.5%)
Poland:::::::::::::::::$1 billion (2.3%)
Romania:;::: $948.8 million (2.1%)
Lithuania::::: $910.7 million (2%)
Bulgaria:::::: $699.2 million (1.6%)
Latvia::::::::: $649.2 million (1.4%)
Hungary::::: $630.6 million (1.4%)
La transition énergétique, c’est compliqué
RépondreSupprimerL’Homme est adaptable et a surmonté bien des défis depuis toujours. Il pourra surmonter celui-ci si on le laisse s’organiser librement.
le 5 mars 2023
Yves Montenay
On parle beaucoup de la transition énergétique mais beaucoup ignorent les problèmes pratiques qu’elle va poser. Limites des énergies renouvelables, rôle du nucléaire, lutte contre les émissions de méthane, approvisionnements en métaux et impacts géopolitiques sont autant de problèmes qui restent à résoudre !
Qu’est-ce que la transition énergétique ?
C’est le passage du charbon et du pétrole aux énergies renouvelables que sont la biomasse, l’hydraulique, le solaire et les éoliennes. Vous remarquerez que je n’ai pas parlé du bois, du gaz et pour l’instant, du nucléaire dont le rôle est controversé. Je vise l’ensemble de la planète, même si je vais privilégier des exemples français qui nous intéressent directement.
Cette transition s’inscrit dans l’idéal d’une transition écologique qui intégrerait des questions se recoupant largement : la biodiversité, les risques sanitaires, la fiscalité écologique et une éventuelle gouvernance environnementale.
Quels besoins en énergies renouvelables ?
Les énergies renouvelables ne sont pas nouvelles, la Hollande avait déjà l’équivalent d’un réacteur nucléaire au Moyen Âge avec ses moulins à vent, et le bateau à voile est encore plus ancien.
Mais on a changé d’ordre de grandeur : entre 1900 et 2000 la consommation d’énergie a presque été multipliée par dix. En 2018, selon l’Agence Internationale de l’Energie, cette énergie était à 81 % d’origine fossile.
Or l’objectif de la transition est théoriquement de faire disparaître ces sources fossiles, à une échéance variable selon les pays. On voit l’ampleur de la tâche !
L’électrification sans pétrole ni charbon
Un point rapide sur les batteries
RépondreSupprimerIl faudra donc des batteries beaucoup plus puissantes et bien meilleur marché qu’aujourd’hui. La recherche avance mais c’est loin d’être résolu.
En effet, si les progrès scientifiques et techniques ont fait chuter le prix des batteries de 682 euros le kWh en 2013 à 141 euros en 2022, la demande de stockage est, elle, estimée à de 2900 GWh en 2030, contre 600 GWh en 2020.
Pour produire ces batteries, il faudrait investir 1200 milliards de dollars d’ici 2030. Cela a commencé avec la multiplication des projets de giga factories (usines géantes). Par exemple, trois sont prévues dans les seuls Hauts-de-France, dont au moins une avec le soutien de l’Union européenne.
La recherche scientifique continue. Saft, par exemple, cherche à créer des batteries « solides » dans lesquelles l’électrolyte n’est plus un liquide mais un matériau dur devant permettre de doubler la densité énergétique.
La filière de recyclage devra suivre. Les batteries usagées seront une ressource stratégique qu’il sera nécessaire de recycler correctement afin de récupérer leurs précieux matériaux.
On voit que nous sommes très loin d’avoir réponse à tous ces enjeux et, en attendant, le nucléaire fait son grand retour.
Le nucléaire a tout pour séduire
Le principal avantage du nucléaire est de n’émettre quasiment pas de gaz à effet de serre. C’est même le plus efficace « du berceau à la tombe », c’est-à-dire de la construction à la démolition comprise. Il est en effet pour cela un peu meilleur que l’éolien et le solaire, très loin devant les centrales au gaz et encore plus loin devant celles au charbon ou au fioul.
Par ailleurs, il s’insère parfaitement dans les infrastructures actuelles : routes, réseaux électriques… ce qui n’est pas le cas de l’éolien et pas souvent celui du solaire.
En France, le nucléaire a été victime des zigzags politiques. Après un démarrage spectaculaire et un fonctionnement sans accident, le compromis politique avec les écologistes a mené à l’arrêt des constructions et la perte de la main-d’œuvre qualifiée. Aujourd’hui le consensus a changé de sens et le gouvernement annonce la construction de 6 nouveaux réacteurs et d’une quinzaine de petits réacteurs modulaires dont la technologie est encore loin d’être rôdée.
L’Allemagne et la Belgique sont aujourd’hui très embarrassées par la fermeture de la majorité de leurs centrales depuis 2015, sous l’influence du parti des Verts, et tergiversent maintenant pour ne pas fermer les dernières.
À l’inverse, le Royaume-Uni prévoit huit nouveaux réacteurs et la Pologne, pays où le charbon est roi, vient de se tourner elle aussi vers le nucléaire.
Le nucléaire : pourquoi tant de haine ?
RépondreSupprimerQue reproche-t-on donc au nucléaire qui explique ce coup d’arrêt particulièrement dévastateur en Europe et au Japon ?
Il y a d’abord la crainte de la radioactivité : depuis le bombardement d’Hiroshima et de Nagasaki en 1945, on sait qu’elle est invisible mais dévastatrice. C’est toutefois très exagéré car ce n’est vrai qu’en cas de bombardement ou de destruction d’une centrale.
Tout le monde oublie que le granit est légèrement radioactif et que les habitants, Bretons par exemple, vivent en bonne santé depuis des siècles dans cette radioactivité légère.
Et les accidents ont tous été maîtrisés à temps sauf deux : Tchernobyl et Fukushima. Le premier est plutôt « un accident communiste » comme il y en a eu de très nombreux en URSS dans d’autres domaines polluants. Ils proviennent à mon avis de l’absence de démocratie qui permet à des responsables locaux de prendre des risques qui ne seraient pas tolérés en Occident. Quant à Fukushima, la mise hors service des réacteurs n’a fait aucune victime, les seules provenant du tsunami et non de la centrale.
Si on pense aux déchets, il s’agit de tous petits volumes qui semblent sécurisés une fois traités et enterrés mais pour lesquels on agite une éventuelle radioactivité qui ne serait pourtant que du niveau de celle de la Bretagne.
Plus sérieux est le problème des besoins en eau auxquels il faudra être plus attentif que par le passé, si le réchauffement climatique entraîne des sécheresses régulières, comme en France en 2023.
Enfin, on évoque parfois de possibles difficultés d’approvisionnement en uranium. Pour la France, il provient aujourd’hui du Niger et du Kazakhstan. Mais d’autres mines sont possibles et surtout le nucléaire en requiert de très faibles volumes et permet le stockage de combustible pour de très longues durées à proximité des centrales.
Je pense donc que les campagnes antinucléaires des écologistes sont contre-productives, y compris pour leurs propres objectifs.
Voyons maintenant un point sur lequel tout le monde semble d’accord : économiser l’énergie.
Les nécessaires économies d’énergie
RépondreSupprimerC’était mon ancien métier et j’ai pu constater l’importance des gaspillages jusqu’au choc pétrolier de 1974, gaspillages que notre entreprise pouvait limiter assez facilement pour peu que le client, en général dans le tertiaire, délègue la gestion de l’énergie à des professionnels.
L’envolée du prix du pétrole de 1974 a sensibilisé tous les acteurs comme on peut le constater en regardant la diminution de la taille des fenêtres pour les immeubles conçus après cette date. Depuis la guerre en Ukraine, les craintes de pénuries sensibilisent de nouveau le grand public.
La tendance actuelle est de fonctionner autant que possible en circuit fermé, c’est-à-dire en utilisant la chaleur et les déchets qui étaient jusqu’à présent rejetés à l’extérieur. On gagne sur les deux tableaux, l’énergie et la matière.
Les cimenteries l’ont fait depuis déjà longtemps et cela gagne ensemble du secteur industriel. Même le bâtiment commence à recycler les gravats à grande échelle pour les intégrer dans le béton.
Les subventions énergétiques
De nombreux pays subventionnent le pétrole comme l’Arabie Saoudite, l’Égypte ou même récemment la France avec le bouclier tarifaire. C’est évidemment économiquement tout à fait opposé à la transition énergétique mais beaucoup de pays restent bloqués dans cette politique par crainte de leurs électeurs dans les démocraties et par crainte d’émeutes et de guerre civile ailleurs.
D’un point de vue purement technique, il vaudrait mieux distribuer les mêmes sommes à des pauvres plutôt que de subventionner un produit. Il est probable que se mettraient alors spontanément en place des solutions moins énergivores, et que l’on verrait moins souvent gaspiller un produit noble, le carburant, pour promener une tonne d’acier autour d’un humain de 80 kg.
Remarquons que le raisonnement vaut aussi pour les transports en commun qui sont extraordinairement économes… quand ils sont pleins, ce qui est très variable d’un lieu à l’autre et d’une heure à l’autre.
Rénover pour économiser ?
Les bâtiments et infrastructures avec 20 % des émissions sont dans le collimateur. Mais si les logements neufs sont maintenant de bonne qualité environnementale, il reste un stock considérable de logements anciens difficilement isolables et une partie des aides publiques risque d’être gaspillée.
Le calcul purement énergétique montre la grande efficacité des pompes à chaleur mais leur installation se heurte à des problèmes techniques ou de voisinage, notamment dans les appartements anciens.
L’autoproduction
RépondreSupprimerAvoir ses propres panneaux solaires ou tout autre solution technique, chez l’utilisateur industriel, tertiaire ou particulier est à la mode depuis que son rendement financier, qui n’était pas extraordinaire, devient très intéressant dans le contexte actuel d’augmentation du prix de l’électricité, voire de pénurie.
Outre le rendement, qui dépend bien sûr du prix de l’alternative, le principal argument est que cela rend le propriétaire très conscient de sa consommation d’énergie et qu’il trouve donc mille occasions d’en économiser. Accessoirement cela évite les pertes en réseau qui sont quand même de 2 à 3 %.
Réussir la transition énergétique suppose également de régler le problème des émissions de méthane.
Le méthane pire que le gaz carbonique
Le méthane, plus connu sous le nom de gaz naturel, a deux sources principales : la décomposition des matières organiques, que je vais symboliser ici par « la viande » et l’organisation actuelle de l’industrie pétrolière (le « gaz fatal » issu de l’extraction). Ce gaz serait 28 fois plus nuisible que le gaz carbonique. En réduire sa diffusion dans l’atmosphère permettrait donc de retarder la hausse des températures, laissant à l’économie le temps de généraliser les autres solutions.
Allons-nous tous devenir végétariens ?
La consommation de viande et notamment de la viande de bœuf a des effets massifs sur la planète. Pour nourrir les animaux, il faut en effet d’énormes surfaces de maïs qui nécessitent beaucoup d’eau, et de culture du soja, cause de déforestation notamment au Brésil.
S’y ajoute l’énergie nécessaire au transport de cette nourriture et surtout, ce qui a frappé le public, le fait que les bovins produisent massivement du méthane en ruminant.
D’où une série de réactions, qui vont de « la vache verte » à l’alimentation végétarienne.
« La vache verte » est la grande vedette de l’actuel Salon de l’Agriculture. Chacun expose sa méthode : maîtrise des périodes de vêlage (la naissance des veaux), le pâturage traditionnel, qui est bon pour le sol et diminue les besoins en maïs et soja etc.
Bien sûr, il s’agit d’une réaction de défense des éleveurs devant une action plus radicale qui serait de ne plus manger de viande ou de la remplacer par de la viande synthétique ou de la viande végétale.
La viande synthétique par élevage en laboratoire des cellules animales présente l’avantage psychologique d’être « une vraie viande ». Mais elle nécessite des installations compliquées, telles que des laboratoires aseptisés, ainsi que la production de milieux de cultures cellulaires. On ne sait pas aujourd’hui si ces procédés seront industrialisables à des coûts acceptables, ni quelle pollution leur fabrication pourrait générer.
Par contre, la viande végétale, qu’il est interdit d’appeler « viande » en magasin, a une production et une commercialisation en croissance rapide. Il s’agit de protéines végétales, soja par exemple, agrémentées d’autres végétaux pour lui donner une apparence, une texture et un goût aussi proche que possible de la viande. Ce sera probablement une des révolutions des prochaines années.
RépondreSupprimerL’industrie pétrolière en flammes
Dans les périodes d’énergie chère, nous avons tous été frappés par les torchères, ces grandes flammes qui surplombent beaucoup de puits de pétrole. Les pétroliers l’expliquent par des raisons économiques, comme la difficulté d’envoyer ce gaz dans un réseau, et pour des raisons chimiques : produire du gaz carbonique est moins nuisible à l’environnement que de laisser fuir du méthane.
C’est évidemment de moins en moins tolérable lorsque le gaz devient très demandé comme aujourd’hui. Il y a donc des pressions et un contrôle croissant, notamment de la part de la Banque mondiale.
Le résultat est prévisible : les pays démocratiques où l’information circule bien font des progrès, comme les États-Unis, tandis que les autres, comme la Chine, la Russie et le Venezuela ne réagissent pas.
Et pour tout compliquer, la transition pose de nombreux problèmes géopolitiques.
De la géopolitique du pétrole aux conflits miniers
Les mines nécessaires à tous les besoins exposés plus haut doivent bien se trouver quelque part, et ce « quelque part » pose des questions géopolitiques. De même pour la pollution qui provient surtout de certains pays, mais gêne tout le monde.
La production électrique par l’éolien et le solaire demande des batteries, des panneaux, des pales, des socles en béton, parfois des routes, des interfaces informatiques… Donc de grandes quantités de matériaux, dont le fer, le cuivre, le lithium, le cobalt, le tungstène… L’Agence Internationale de l’Énergie estime ainsi que la production de métaux rares devra être multipliée par 4 à 6 d’ici 2040 pour rester dans le cadre des accords de Paris.
Or ces matériaux sont très inégalement répartis sur la Terre. Par exemple, en 2019, la Chine et la République démocratique du Congo produisaient 60 % du cobalt et des terres rares, et une grande partie du lithium mondial vient du Chili et accessoirement d’Argentine et de Bolivie.
Sachant ce qui s’est passé en géopolitique du fait du pétrole, on peut imaginer le pire, qui a d’ailleurs commencé dans l’est de la République démocratique du Congo, avec des guerres civiles à soubassement international pour le contrôle des mines.
Certes de nouvelles découvertes sont possibles, notamment, paraît-il, en France… mais les mêmes écologistes qui réclament ces matériaux pour les énergies renouvelables sont opposés à l’ouverture de mines qui porteraient atteinte à l’environnement local.
Remplacer la pollution actuelle par d’autres ?
RépondreSupprimerEt puis, les énergies renouvelables émettent elle aussi du gaz carbonique lors de leur construction et leur démolition.
Les panneaux solaires nécessitent du silicium (donc des mines) et de l’énergie, actuellement carbonée.
Les éoliennes nécessitent des « terres rares » et du béton. Les pales ne sont pas recyclables. Et puis nous avons vu que l’intermittence implique de disposer aussi de centrales à charbon ou à gaz : malgré son énorme équipement en solaire et surtout en éolien l’Allemagne émet plus de gaz carbonique que jamais du fait des centrales à charbon remplaçant le nucléaire.
Un nouveau clivage Nord-Sud
La COP 27 a acté la création d’un fonds pour compenser des dommages que le réchauffement climatique inflige aux pays du Sud alors qu’ils n’en sont pas responsables. Par ailleurs les pays du Sud souhaitent continuer à explorer et exploiter le pétrole, le gaz et le charbon :
« Les pays développés nous font la morale mais ils ne sont pas dans la même situation que nous, qui devons d’abord nous développer ».
C’est compréhensible mais un peu hypocrite de la part des dirigeants du Sud. En effet l’argent provenant de l’exploitation de l’or noir a souvent profité à une élite politique corrompue et non au développement.
Il vaudrait donc mieux utiliser les moyens financiers et humains de la recherche et du développement des énergies fossiles en développant les énergies renouvelables, le solaire et l’hydraulique qui ont un grand potentiel en Afrique.
Mais au sud l’intérêt des peuples n’est pas celui des gouvernements. Ces derniers ouvrent leur porte à la Chine et à la Russie pour se protéger de leurs propres peuples et continuer leur prédation, notamment sur les recettes pétrolières.
Le poids de Chine et de l’Inde
L’Inde, le plus grand des pays du sud, mène une politique énergétique tous azimuts, ce qui en pratique signifie une consommation croissante de charbon. Par ailleurs, avec d’autres pays d’Asie, elle est à la fois auteur et victime de la tradition qui consiste à brûler les résidus de récolte. De ce fait, la ville de New Delhi suffoque chaque année. Son cas est médiatisé mais c’est aussi celui de régions entières de cette partie du monde, et en plus dilué celui de l’ensemble de la planète.
Ces deux sources de pollution serviront sûrement de marchandage dans des négociations internationales.
La Chine est le principal pollueur annuel, et de très loin, bien qu’elle accuse États-Unis qui le sont en cumulé depuis environ 150 ans, ce qui n’est pas le problème d’aujourd’hui.
RépondreSupprimerComme l’Inde, la Chine mène une politiques tous azimuts avec un développement rapide du nucléaire, mais c’est d’abord la consommation de charbon qui continue d’augmenter. Là aussi, on peut prévoir des échanges musclés, l’Occident réclamant que ses efforts ne soient pas annulés par l’usage chinois du charbon !
Or tout ce qui touche la Chine ébranle le monde. Napoléon l’avait déjà prédit.
Finalement les énergies fossiles sont là pour longtemps
Ainsi, malgré l’urgence de la situation et la nécessité de réaliser la transition énergétique, notre dépendance aux énergies fossiles va durer longtemps.
D’abord, la demande énergétique mondiale continue de croître, non comme les écologistes nous le répètent, en raison de la croissance démographique mondiale qui n’existe plus en dehors de l’Afrique subsaharienne, mais par le développement du Sud et de la Chine, que les intéressés ne veulent surtout pas arrêter.
De plus, des énergies fossiles bénéficient des infrastructures existantes qui ont été conçues pour elles : centrales électriques, réseaux de transports, etc. De même, il est plus simple d’acheter du charbon et de le brûler dans des centrales bien rodées que de mettre en place des systèmes de production d’énergies renouvelables, très demandeurs en composants de haute technologie.
Enfin, les énergies fossiles restent encore compétitives avec des chaînes d’approvisionnement efficaces et de nombreux acteurs installés depuis des décennies.
Cela pourrait changer côté pétrole avec la disparition des gisements « faciles ». Par contre les réserves de gaz et de charbon sont très abondantes et très tentantes.
Compte tenu de tout cela, et selon l’Agence Internationale de l’Énergie, les émissions de carbone liées à l’énergie pourraient atteindre leur pic en 2025, à 37 milliards de tonnes par an, pour baisser progressivement jusqu’à 32 milliards de tonnes annuelles en 2050. Ce qui signifie que la transition sera alors à peine amorcée !
On comprend pourquoi de plus en plus d’économistes parlent d’adaptation à la hausse des températures d’autant que cette prévision ne prend pas en compte les éventuelles erreurs économiques futures des politiciens, comme l’arrêt du nucléaire en Allemagne et en Belgique.
Donc, contrairement à certains politiques écologistes, je fais plutôt confiance à l’évolution technique et à sa mise en place par le marché qu’à des décisions gouvernementales arbitraires qui peuvent se révéler catastrophiques.
Certes, on estime indispensable le rôle des États pour limiter les dérives des entreprises. Je pense que c’est plutôt le problème inverse qui se pose, l’entreprise étant une communauté humaine qui ne peut ignorer les convictions de ses actionnaires, de son personnel, de ses cadres, et surtout de ses clients.
L’Homme est adaptable et a surmonté bien des défis depuis toujours. Il pourra surmonter celui-ci si on le laisse s’organiser librement.
https://www.contrepoints.org/2023/03/05/451646-la-transition-energetique-cest-complique
Avant de parler de 'transition énergétique' il faudrait au moins se demander pourquoi ! Pourquoi depuis DES milliards d'années les volcans polluent des millions de fois plus que tous les humains, les animaux et les industries réunis et... et personne n'est mort ! Çà alors !
SupprimerBien sûr là vous me direz que les merdias évitent d'inviter sur plateaux, studios ou colonnes des scientifiques pour parler de science mais invitent plutôt des gros cons de ministres incompétents qui n'ont jamais de leur vie fait une heure d'étude scientifique !
Car (HOULALA !), un scientifique ne fait pas la science, il la découvre. Et, la découverte lui dira que DEPUIS DES MILLIARDS D’ANNÉES TOUS LES GAZ SE RECYCLENT IMMÉDIATEMENT ! Çà alors !! Faute de quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue !
Alors là vous allez me parler des putains de villes où des urbanistes à la con ont tout fait pour faire crever la population ! Effectivement, le prix du m² ayant grimpé, ce sont plutôt de très hautes tours qui sont construites. Et, ces bâtiments stoppent ou détournent les vents. Et l'air en ville ne peut plus s'échapper ! HAHAHA ! Il tourne en rond ! Noircit les façades. Et c'est là que des cons qui se refusent à dire la vérité crient à la pollution en voulant supprimer les voitures et toutes les cheminées sur les toits ! Oui mais... il n'y a pas d'électricité pour tout le monde ! (surtout avec les putains d'éoliennes et panneaux solaires à la con !).
Alors ils conseillent aux personnes frileuses de s'acheter un pull-over ! ou d'isoler leur maison ! HAHAHAHA ! Même avec des murs de 50 m d'épaisseur LA CHALEUR NE SERA JAMAIS CONSERVÉE !
Alors, ils s'en prennent encore aux paysans où l'air n'est pas pollué mais il le serait par des rejets de gaz carbonique ! HAHAHAHA ! d'azote ! HAHAHAHA ! et de méthane ! HAHAHAHA !
- L'atmosphère terrestre est l'enveloppe gazeuse, entourant la Terre, que l'on appelle air. L'air sec se compose à 78,087 % d'azote, à 20,95 % d'oxygène, à 0,93 % d'argon, à 0,041 % de gaz carbonique, et de traces d'autres gaz. -
Supprimer l'azote de l'air ! HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA ! Supprimer le gaz rare appelé gaz carbonique ! HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA ! Quant aux pets de vaches, des chiens, des humains ou des poissons rouge...
💣️ Pollution et pollution
Supprimerhttp://globaleconomicanalysis.blogspot.fr/2014/11/historic-hype-over-global-warming.html
Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.
Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !
Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinnage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !
1 -- Arabie Saoudite
2 -- Australie
3 -- Canada
4 -- USA
5 -- Corée du Sud
6 -- Russie
7 -- Allemagne
8 -- Afrique du Sud
9 -- Japon
10 - Italie
11 - Royaume-Uni
12 - Chine
13 - Turquie
14 - Argentine
15 - Mexique
16 - Inde
17 - Indonésie
18 - France
19 - Brésil
Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arêtes de poissons !
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html
Le ministre allemand de la Défense déclare que son armée est incapable de défendre le pays, ce qui signifie qu'il ne vaut rien pour l'OTAN
RépondreSupprimerVendredi 03 mars 2023
par : JD Heyes
(Natural News) L'Allemagne était, en grande partie, responsable de deux horribles guerres mondiales au 21e siècle, après avoir passé des décennies en tant que nation divisée après la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne de l'Est étant détenue par l'ex-Union soviétique et l'Allemagne de l'Ouest aux mains des Alliés. .
Après la fin de la guerre froide, cependant, le pays s'est replié militairement et maintenant, après avoir dominé le continent pendant un siècle, l'armée allemande est une coquille d'elle-même et, selon son ministre de la Défense, incapable de défendre le peuple allemand.
Selon le ministre de la Défense Boris Pistorius, la Bundeswehr est en sous-effectif et mal équipée en raison de décennies de négligence de la part du gouvernement fédéral, a rapporté FirstPost cette semaine.
"Nous n'avons pas de forces armées capables de défendre [l'Allemagne], c'est-à-dire capables de la défendre contre une guerre d'agression offensive et brutale", a-t-il déclaré lors d'une récente réunion avec des membres du Parti social-démocrate au pouvoir.
Le ministre de la Défense a affirmé que l'armée allemande a été ignorée par le gouvernement fédéral pendant plusieurs années, ce qui a entraîné des effectifs et des équipements insuffisants. Pour répondre aux normes de l'OTAN, il a suggéré que l'Allemagne doit accroître ses investissements militaires.
L'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, communément appelée OTAN, est une alliance militaire et politique de 30 pays membres d'Amérique du Nord et d'Europe. Elle a été fondée en 1949 dans le but de fournir une défense collective contre les menaces potentielles, de promouvoir la stabilité et la sécurité dans la région euro-atlantique et d'encourager la coopération entre ses membres.
La mission première de l'OTAN est d'assurer la sécurité de ses pays membres. Ceci est accompli par une variété de moyens, y compris le maintien d'une forte présence militaire en Europe, la conduite d'exercices et d'entraînements militaires, et l'engagement dans le partage de renseignements et la coopération. L'OTAN s'emploie également à promouvoir la stabilité et la sécurité dans des régions extérieures à ses pays membres, notamment par le biais de missions de maintien de la paix et d'efforts d'aide humanitaire.
Un autre rôle important de l'OTAN est de promouvoir les valeurs et les institutions démocratiques. Cela comprend le soutien à l'état de droit, aux droits de l'homme et à la liberté d'expression et de la presse. L'OTAN s'emploie également à promouvoir le développement économique et le commerce, et à encourager la coopération politique entre ses membres.
L'OTAN a joué un rôle important dans la promotion de la paix et de la stabilité en Europe depuis sa création. Pendant la guerre froide, l'OTAN a servi de rempart contre l'Union soviétique et a contribué à empêcher le déclenchement d'une guerre majeure en Europe. Depuis la fin de la guerre froide, l'OTAN a continué de jouer un rôle important dans la promotion de la paix et de la stabilité dans la région, notamment par sa participation aux conflits dans les Balkans et ses efforts continus pour combattre le terrorisme.
RépondreSupprimerCes dernières années, l'OTAN a été confrontée à un certain nombre de défis. Il s'agit notamment des tensions entre les pays membres, des inquiétudes quant au rôle de l'OTAN au Moyen-Orient et de la montée de nouvelles menaces telles que les cyberattaques et la guerre hybride. Mais clairement, selon les responsables allemands, non seulement l'armée du pays ne peut pas beaucoup contribuer à l'OTAN, mais elle ne peut pas se défendre.
Le commandant et officier le plus haut gradé de l'armée allemande, le lieutenant-général Alfons Mais, a déclaré la semaine dernière que les 100 milliards d'euros promis par le chancelier Olaf Scholz seraient insuffisants pour garantir que les forces armées du pays soient prêtes au combat.
"L'armée que j'ai le devoir de diriger est plus ou moins nue", aurait-il déclaré à un média allemand.
Pistorius a fait cette déclaration quelques heures seulement après que le colonel Andre Wustner, président de l'Association des forces armées allemandes, ait révélé dans une interview au média allemand Bild que seuls 30 % des quelque 300 chars Leopard 2 de l'inventaire allemand sont actuellement opérationnels. Malgré une situation de défense préoccupante dans son pays, l'Allemagne offre depuis plus d'un an une aide importante à l'Ukraine déchirée par la guerre alors qu'elle lutte contre l'agression russe.
Selon Armin Papperger, PDG de Rheinmetall, le principal entrepreneur de défense du pays, le gouvernement allemand a donné à l'Ukraine deux systèmes de défense aérienne de pointe conçus à l'origine pour protéger Berlin. Papperger a fait cette déclaration lors d'un épisode mardi du podcast Pioneer.
Les sources comprennent :
FirstPost.com
OTAN.int
https://www.naturalnews.com/2023-03-03-german-defense-minister-military-incapable-of-defending-country.html
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8.
Supprimer* Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros ou 'google': sent zéro.
https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux Etats-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
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Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
dimanche 8 novembre 2015
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/11/secretaire-la-defense-suggere-poutine.html
Réformes sociales: le dilemme du prisonnier
RépondreSupprimerPar Jérôme Henriques
Mondialisation.ca,
04 mars 2023
La théorie des jeux est une branche des mathématiques à la base de nombreux principes politiques, économiques, sociologiques. En son sein, le Théorème du Prisonnier trouve nombre d’applications pratiques … jusqu’aux problèmes sociaux actuels.
Le dilemme du prisonnier est une théorie énoncée par Albert W. Tucker à Princeton en 1950. Tucker suppose deux prisonniers (complices d’un crime) retenus dans des cellules séparées et ne pouvant communiquer. On leur propose alors le choix suivant :
– si les deux se taisent (aucun ne dénonce l’autre), les deux font un an de prison.
– si les deux se dénoncent mutuellement, chacun est condamné à 5 ans de prison.
– si l’un dénonce l’autre et que l’autre se tait, le premier est libre tandis que le second écope de 10 ans de prison.
Le choix optimal pour les deux prisonniers est qu’ils se taisent (ils font dans ce cas tous deux un an de prison). Pourtant, les deux choisissent généralement de dénoncer. L’explication tient en fait à une approche individuelle de la situation, chaque prisonnier raisonnant à partir des deux réactions possibles de son complice :
– soit ce dernier dénonce … j’ai alors intérêt à dénoncer aussi (pour faire 5 ans de prison au lieu de 10)
– soit il ne dénonce pas … et j’ai quand même intérêt à dénoncer (pour être libre au lieu de faire un an de prison)
Pierre angulaire dans le domaine de la théorie des jeux (mathématiques), le dilemme du prisonnier trouve nombre d’applications pratiques dans les domaines de l’économie, la politique internationale, la sociologie …
En économie par exemple, dans la lutte contre les ententes illicites (entreprises qui s’entendent sur les prix …), la mise en place de procédures de clémence (la première entreprise qui dénonce le cartel est exonérée de peine) est une application directe du dilemme du prisonnier. Au niveau international, la difficile mise en place/coordination de politiques nationales sur les questions environnementales, fiscales, de désarmement … (peur de perdre un avantage compétitif sur les autres pays …) est également une illustration pratique de ce dilemme.
En réalité, on retrouve le dilemme du prisonnier dans nombre de situations de la vie politique et sociale et l’actualité du moment en donne une bonne illustration.
Prenons le projet de réforme des retraites. 70 % des Français n’en veulent pas et 90 % des actifs (les premiers concernés, excusez du peu) la rejettent catégoriquement. Et pour cause ! Une réforme qui, de par son injustice (faire les poches du petit peuple pendant qu’on goinfre le monde du capital) et le fait qu’elle s’inscrive dans une succession de réformes du même type (Woerth, Touraine, Borne … à quand la prochaine ?), fait craindre une diminution progressive des retraites, voire à terme, une disparition pure et simple du système de retraites actuel.
RépondreSupprimerIl y a fort à parier que si l’ensemble des travailleurs concernés décidaient, tous ensemble, de se mettre en grève, le gouvernement ne tiendrait pas longtemps. Comme on l’a vu pendant la période Covid, nombre de métiers mal payés, peu considérés (dans les transports, l’énergie …) s’avèrent (en cas de crise) indispensables pour faire tourner le pays.
Attention, il ne s’agit pas ici de tenir un discours sectaire ou moralisateur : chacun a ses impératifs, contraintes ou problèmes et certains n’ont tout simplement pas les moyens de faire grève. Par contre, il s’agit de remarquer que parmi les « anti-réforme », beaucoup choisissent de ne pas participer au mouvement alors qu’ils pourraient le faire …
« Ca sert à rien », « Le gouvernement s’en fout », « mon métier n’est pas stratégique », « on va perdre une journée pour rien », « pour que ce soit utile, il faudrait vraiment que tout le monde s’y mette » (sous-entendu « les autres d’abord »), « les syndicats roulent pour eux », « comme à chaque fois, c’est le gouvernement qui va gagner », etc. Moralité : parmi les « anti-réforme » (dont certains parfois très virulents à l’égard de l’actuel gouvernement), seule une petite minorité choisit de participer (d’une manière ou d’une autre) à la grève.
Derrière ces excuses plus ou moins sincères, une peur de perdre « quelque chose » (ou de perdre quelque chose par rapport aux autres) : une journée de salaire, une (demi-)journée de congé, du temps (dans les manifs), l’estime de la hiérarchie, un déclassement (« d’autres auront la promo à ma place ») avec en trame de fond l’idée que, tout le monde ne jouant pas le jeu (ou pouvant de ne pas jouer le jeu), autant ne pas le jouer non plus (et éviter ainsi d’être le « dindon de la farce »).
Certes, on pourrait avancer que la notion d’incertitude dans le dilemme (les prisonniers ne peuvent pas communiquer) est ici absente puisque les travailleurs ont tout le loisir de communiquer (de se regrouper, s’organiser …). C’est en parti vrai et certaines formes d’union populaire (l’union syndicale notamment) constituent heureusement un contrepoids important à certaines politiques libérales.
Mais la capacité d’entente à l’échelle de deux individus n’a rien à voir avec celle d’un peuple (d’une nation) où la notion d’incertitude (que vont faire des millions d’autres individus ?) s’apparente finalement à celle du prisonnier (isolé). Nos gouvernants l’ont bien compris qui savent manier le « diviser pour mieux régner » pour cloisonner la base et casser les luttes : les Français (de souche) contre les étrangers, le public contre le privé, les travailleurs contre les fainéants, les citoyens respectueux contre les bloqueurs (preneurs d’otages) …
RépondreSupprimerIl est à ce propos intéressant d’observer, à la veille de grands mouvements sociaux, le gouvernement dévoiler lui-même ses inquiétudes. Ainsi tous ces ministres qui répètent à l’envi qu »ils respectent le droit de grève, inscrit dans la constitution, tout à fait normal … mais qu’il ne faut surtout pas bloquer le pays … » Comme s’ils reconnaissaient eux-même qu’ils considèrent les grèves (manifs) comme une sorte de folklore (carnaval) éphémère et inoffensif (auquel ils ne se donnent même pas la peine de répondre d’ailleurs), mais qu’un mouvement de grande ampleur (avec blocage, dans la durée …) pourrait réellement changer la donne.
L’union fait la force dit le proverbe. Et la résignation du peuple la meilleure arme du gouvernement pour lui permettre de détricoter un à un l’ensemble des droits sociaux obtenus par nos ancêtres. Pendant que l’état se soumet aux banques (plus de 3.000 milliards de dette) et se désengage de ses missions régaliennes (école, santé …), pendant que la société s’uber-ise et que des cabinets de conseil privés décident de la politique à mener dans le pays, il est peut-être bon de se poser la question : jusqu’où allons-nous aller ?
Dans la nature, le gnou se dit qu’il n’a pas besoin de courir plus vite que le lion : il a juste besoin de courir plus vite que le plus lent de son troupeau. Il sauve ainsi sa vie une fois, deux fois, n fois … jusqu’au jour ou il se fait bouffer lui aussi. S’ils décidaient de faire bloc, (ce qui arrive parfois), les gnous arriveraient sûrement à mettre en fuite (voire en danger avec leurs cornes …), le lion qui les poursuit.
Nous ne sommes pas des gnous. Nous avons la possibilité de penser (la société que nous voulons), nous coordonner, agir. Nous avons aussi la capacité de comprendre que l’acceptation d’une n-ième réforme (paramétrique) fait aussi office d’acceptation (du moins d’encouragement) pour la n+1-ième. Et que seul un mouvement social de grande ampleur, c’est à dire avec l’effort de tous, permettrait de peser dans le rapport de force. Ca sert à rien de râler, seuls les actes comptent. Bref, tous dans la rue le 07 mars.
https://www.mondialisation.ca/reformes-sociales-le-dilemme-du-prisonnier/5675658
Le problème des oligarques et des milliardaires des États-Unis et du monde
RépondreSupprimer5 mars 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Les trois dernières années ont apporté des changements comme nous n'en avions pas vu depuis longtemps. Pour la première fois, un passeport santé a été introduit dans le monde entier, dont vous avez besoin pour voyager et parfois même pour être autorisé à manger au restaurant ou à acheter des vêtements. Lors de la réunion de l'année dernière à Bali, le G20 a de nouveau appelé à un certificat de santé numérique.
Cependant, l'identification numérique est une condition préalable à un certain nombre d'autres projets tels que le budget gaz carbonique personnel, toutes sortes de restrictions de circulation pour sauver le climat, l'argent numérique de la banque centrale et bien sûr la poursuite des campagnes mondiales de vaccination avec de toutes nouvelles préparations d'ARNm contre tous sortes de virus et de maladies.
Une autre évolution, qui dure depuis de nombreuses décennies, est l'escalade significative des tensions internationales. Et pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, il y a un affrontement militaire entre grandes puissances, sous la forme d'une guerre par procuration, mais avec le potentiel de se terminer par un échange de coups nucléaires.
Ces événements et développements politiques sont liés, du moins par ceux qui les animent. Ce sont principalement les oligarques occidentaux dirigés par ceux des États-Unis.
Michael Whitney écrit un intéressant résumé du travail de ces oligarques américains dans la Unz Review sous le titre « The Plan to Wreck America ». Et si cela réussit, cela affectera de grandes parties du monde, mais au moins l'Europe.
Michael Whitney est un analyste géopolitique et social renommé basé dans l'État de Washington. Il a commencé sa carrière en tant que journaliste citoyen indépendant en 2002 avec un engagement pour le journalisme honnête, la justice sociale et la paix mondiale.
Voici la traduction allemande de l'article :
Le plan pour détruire l'Amérique. Les milliardaires mondialistes, par Mike Whitney à Unz Review
En Amérique, nous avons un problème d'oligarque, et il est bien plus important que le problème d'oligarque auquel Poutine a été confronté lorsqu'il est devenu président en 2000. L'Occident tout entier est désormais entre les mains d'élites milliardaires qui ont la mainmise sur les médias, l'establishment politique et toutes nos grandes institutions. Ces dernières années, ces oligarques ont étendu leur influence des marchés, de la finance et du commerce à la politique, aux affaires sociales et même à la santé publique.L'impact que ce groupe a eu sur ces autres domaines d'intérêt a été tout simplement époustouflant. Les élites de l'establishment et leurs médias n'étaient pas seulement unis derrière le Russiagate, la destitution de Trump, les émeutes du BLM et le fiasco du 6 janvier, ils ont également contribué à l'hystérie du Covid et aux nombreuses mesures répressives prises au nom de la santé publique. Nous aimerions savoir dans quelle mesure ce groupe participe activement à façonner d'autres événements visant à transformer la république américaine en un système plus autoritaire ?
En d'autres termes, ce sont les injections prescrites, les confinements forcés, la censure gouvernementale agressive, l'élection présidentielle louche, les incendies d'usines alimentaires, les déraillements de train, les attaques du réseau électrique, les émeutes antifa du BLM, les spectacles de drag queen pour les écoliers, les l'accent insensé sur les questions de genre et les procès publics étincelants ne sont que des incidents aléatoires survenus spontanément au cours d'une période de grands changements sociaux, ou sont-ils en fait la preuve d'une opération secrètement orchestrée menée par des agents de l'État au nom de leurs bienfaiteurs d'élite ?Nous savons déjà que le FBI, le ministère de la Justice et les agences de renseignement ont été directement impliqués dans l'affaire du Russiagate, qui était une attaque secrète contre le président sortant des États-Unis. La question n'est donc pas de savoir si ces agences sont activement engagées dans d'autres actes de trahison, mais plutôt dans quelle mesure ces actes affectent la vie des Américains ordinaires, notre politique et le pays. Mais avant de répondre à cette question, jetons un coup d'œil à cette citation d'une récente interview du colonel Douglas MacGregor :
RépondreSupprimerJ'ai lu un document que George Soros a écrit il y a plus de dix ans dans lequel il parle spécifiquement d'une guerre totale qui serait finalement dirigée contre la Russie parce que, selon lui, c'est "le dernier État nationaliste à se tenir sur les bases de l'orthodoxie". La culture chrétienne avec l'identité russe en son cœur ». Cela doit être éliminé. Je pense donc que les dirigeants occidentaux et les dirigeants de Washington pensent qu'ils ont réussi à détruire l'identité des peuples européen et américain, que nous n'avons aucun sens de nous-mêmes, que nos frontières ne sont pas défendues, que nous n'offrons aucune résistance aux migrants entrants des pays en développement qui nous écrasent comme si nous leur devions notre gagne-pain, et que nos lois ne comptent pas. Jusqu'à présent, je dirais qu'il s'agit d'une évaluation précise de ce que nous avons fait. Et je pense que c'est une grande victoire pour George Soros et les mondialistes, les anti-nationalistes ; ceux qui veulent des frontières ouvertes, ce qu'ils appellent "Open Society" parce qu'au final il ne reste plus rien, une masse amorphe de personnes luttant pour survivre et réduites au plus bas niveau de subsistance... (Soros) va même jusqu'à aller au-delà dire à quel point il serait utile que ce soient des Européens de l'Est dont la vie soit sacrifiée dans ce processus, et non des Européens de l'Ouest qui ne veulent tout simplement pas subir les pertes. Ce n'est pas rien. C'est le genre de pensée qui, à mon avis, est si destructrice et si diabolique que c'est ce à quoi nous avons vraiment affaire dans nos propres pays , et je pense que Poutine le reconnaît." ( Douglas Macgregor – A Huge Offensive , You Tube;, 11:20 minutes)
Ce que dit Nimmo, c'est que ces élites milliardaires sont maintenant si puissantes qu'elles peuvent dire ouvertement qu'elles passent "de la prise de décision intergouvernementale" (c'est-à-dire un gouvernement représentatif) à un système de "gouvernance multipartite". Si je ne me trompe pas, c'est une explication assez simple pour une nouvelle forme de gouvernement supranational où seuls les groupes d'intérêts milliardaires ont leur mot à dire sur les politiques mises en œuvre. Mais n'est-ce pas ainsi que les choses fonctionnent maintenant ? Sur de nombreux sujets, de l'ESG [Environnement, Social, Gouvernance] aux monnaies numériques, en passant par les certificats de vaccination, l'IA, la recherche sur l'amélioration des fonctions, les villes en 15 minutes, le transhumanisme jusqu'à la guerre avec la Russie,
RépondreSupprimerEt cela nous ramène à notre question initiale : combien de ces événements étranges (au cours des dernières années) ont été évoqués et mis en œuvre par des agents de l'État profond pour faire avancer l'agenda de l'élite ?
Cela semble être une question impossible car il est difficile de trouver un lien entre ces événements radicalement différents. Par exemple, quel est le lien entre une heure pour enfants drag queen et, disons, un incendie criminel contre une usine alimentaire dans l'Oklahoma ? Ou l'exploitation politique impitoyable des questions de genre et les procès-spectacles publics du 6 janvier ? S'il y avait un lien, nous le verrions, n'est-ce pas ?
Pas nécessairement, car le lien peut n'avoir rien à voir avec l'événement lui-même, mais avec son impact sur les personnes qui le vivent. En d'autres termes, tous ces événements pourraient viser à créer la peur, l'insécurité, les troubles, l'aliénation et même la terreur. Les services de renseignement ont-ils déjà mené de telles opérations déstabilisatrices ?
En effet, ils l'ont fait plusieurs fois. Voici un extrait d'un article pour vous montrer où je veux en venir. Il provient d'un article de The Saker intitulé "Operation Gladio: NATO's Secret War for International Fascism ". Voyez si vous voyez des similitudes avec la façon dont les choses ont évolué en Amérique ces dernières années :
Yves Guerin-Serac : le grand maître des Black Ops derrière l'Opération Gladio…. a écrit les manuels de formation et de propagande de base qui peuvent être appelés en toute sécurité l'ordre de bataille de Gladio."...
Guerin-Serac était un héros de guerre, un agent provocateur, un assassin, un kamikaze, un officier du renseignement, un catholique messianique et le grand maître intellectuel derrière la « Stratégie de la tension » qui était essentielle au succès de l'opération Gladio. Guerin-Serac a publié le Manuel de Gladio via Aginter Press, qui comprend, entre autres, la section Notre activité politique , qui peut être décrite à juste titre comme le premier commandement de Gladio :
« Notre conviction est que la première phase de l'activité politique devrait être de créer les conditions qui favorisent l'installation du chaos dans toutes les structures du régime... À notre avis, la première étape devrait être d'établir la structure de l'État démocratique sous le régime destructeur. la couverture des activités communistes et pro-soviétiques … En plus, nous avons des gens qui ont infiltré ces groupes.
Guérin Sérac poursuit :
RépondreSupprimer« Deux formes de terrorisme peuvent provoquer une telle situation [effondrement de l'État] : le terrorisme aveugle (massacres aveugles qui font un grand nombre de victimes) et le terrorisme sélectif (élimination d'individus sélectionnés)...
Cette destruction de l'État doit être menée sous le couvert d'« activités communistes ». Après cela, il faut intervenir au cœur de l'armée, de la justice et de l'Église pour influencer l'opinion populaire, proposer une solution et montrer clairement la faiblesse de l'appareil judiciaire actuel. L'opinion publique doit être tellement polarisée que nous sommes dépeints comme le seul outil qui peut sauver la nation . »
La violence anarchique aveugle devrait être la solution pour provoquer un tel état d'instabilité, permettant ainsi un tout nouveau système, un ordre autoritaire mondial. Yves Guerin-Serac, qui était un fasciste déclaré, ne serait pas le premier à utiliser des tactiques sous fausse bannière imputées aux communistes et utilisées pour justifier un contrôle policier et militaire plus strict par l'État...". (« Opération Gladio : la guerre secrète de l'OTAN contre le fascisme international » , The Saker)
Je le répète : la première phase de l'activité politique devrait être de créer les conditions favorables à l'installation du chaos dans toutes les structures du régime… Cette destruction de l'État doit être menée sous couvert d'activités (communistes)…. L'opinion publique doit être polarisée pour nous présenter comme le seul véhicule capable de sauver la nation.
En d'autres termes, le but de l'opération est de perturber complètement toutes les relations et interactions sociales, de cultiver des sentiments d'insécurité, de polarisation et de terreur, de trouver un groupe comme bouc émissaire pour l'effondrement sociétal plus large, puis de se présenter (les élites) comme le meilleur choix pour rétablir l'ordre.
Le Pentagone, Big Pharma et la guerre mondialiste
C'est ce qui se passe ici ?
C'est très possible. Tout cela pourrait faire partie d'une grande stratégie visant à "faire table rase" pour "s'éloigner de la prise de décision intergouvernementale" et vers un système de "gouvernance multi-acteurs".
Cela pourrait expliquer pourquoi notre histoire, notre culture, nos traditions, nos croyances religieuses, nos monuments, nos héros et nos fondateurs ont été si violemment et constamment attaqués. Ils veulent remplacer notre idéalisme par des sentiments de honte, d'humiliation et de culpabilité. Ils veulent effacer notre passé, nos valeurs collectives, notre héritage, notre attachement à la liberté personnelle et l'idée même de l'Amérique. Ils veulent tout niveler et recommencer. C'est leur plan de match de base dans le grand schéma des choses.
La destruction de l'État se présente sous le couvert d'événements apparemment aléatoires qui sèment le chaos, approfondissent les divisions politiques, augmentent les incidents publics et ouvrent la voie à une réorganisation violente du gouvernement.
Vous ne pouvez pas établir un nouvel ordre mondial tant que l'ancien n'est pas détruit.
https://tkp.at/2023/03/05/das-oligarchen-und-milliardaers-problem-der-usa-und-der-welt/
Le rationnement de l'épicerie commence au Royaume-Uni comme moyen de "normaliser" les pénuries à venir avant l'effondrement
RépondreSupprimerVendredi 03 mars 2023
par : JD Heyes
(Natural News) La disparition de l'Occident, planifiée par nos dirigeants mondialistes comme un moyen de s'autonomiser davantage en tant que rois et reines, se poursuit au milieu d'une nouvelle guerre en Europe et maintenant, du rationnement des légumes au Royaume-Uni.
"Ces derniers jours, certains fruits et légumes ont été" rationnés "par les grands supermarchés britanniques", écrit Kit Knightly à Off Guardian cette semaine, en énumérant plusieurs chaînes d'épiceries où le rationnement se produisait.
«Beaucoup – dont Justin King, ancien PDG de Sainsbury – ont sauté sur l'occasion pour rejeter la faute sur le Brexit. Mais cela n'a pas beaucoup de sens, puisque le Maroc - d'où le Royaume-Uni importe beaucoup de légumes à salade - n'est évidemment pas dans l'UE. De plus, l'Irlande a également été touchée, et nous ne sommes qu'à 5 mois de la France (et d'autres pays de l'UE) confrontés à leurs propres "pénuries alimentaires catastrophiques", a poursuivi Knightley.
L'auteur suggère que si un côté du Brexit attribue les pénuries aux conditions météorologiques, la véritable raison des pénuries est qu'elles ont été conçues. Knightly implique alors que le «récit de l'establishment» sur le changement climatique est utilisé pour détourner l'attention de la véritable cause des pénuries. Knightly mentionne également le «fiasco du papier toilette» au début de la pandémie comme exemple d'une éventuelle opération psy, ou opération psychologique, qui a créé l'apparence d'une pénurie.
L'inflation délibérée des prix du pétrole et du gaz a provoqué une flambée des coûts de production, de récolte et de transport des cultures. De plus, le prix des engrais a également augmenté en raison d'une pénurie de produits manufacturés. Bien que ces problèmes soient attribués à la guerre en Ukraine, ils existaient avant le conflit (comme précédemment couvert ici et ici). Cela a été longuement discuté lorsque des rapports de «pénuries alimentaires» sont apparus pour la première fois au printemps, a poursuivi Knightly.
« En parlant d'Ukraine, il est actuellement plus facile d'obtenir des tomates à Kherson déchirée par la guerre qu'à Londres. C'est la réalité qui nous est présentée », a écrit le chroniqueur.
En bref, a suggéré Knightly, le rationnement actuel de certains produits dans les supermarchés britanniques fait partie d'un récit déroutant et incohérent. Bien que le Brexit et la météo aient été cités comme raisons des pénuries, ces explications n'ont pas tout à fait de sens. De plus, le rationnement semble affecter certains magasins et lieux mais pas d'autres.
RépondreSupprimerSelon un agriculteur, les supermarchés pourraient combler le déficit d'importations en achetant des produits cultivés dans le pays, mais ils ne seraient pas disposés à payer les coûts supplémentaires. La normalisation des étagères vides et du rationnement suggère qu'il pourrait y avoir un objectif sous-jacent au récit de la pénurie alimentaire.
Le commentateur social Neil Oliver a résumé ce qui se passe dans un récent monologue pour son programme GBNews :
Ils rationnent les tomates dans les supermarchés. On nous dit qu'il s'agit de chaînes d'approvisionnement, de mauvais temps et du prix du chauffage, mais pour le moment, en termes de message, je soupçonne qu'il s'agit davantage de pousser le mot - le rationnement. Moins sur une pénurie crédible de nourriture et plus sur le fait de nous habituer à entendre le mot. Nul doute que si l'on se fie à l'expérience, le reste viendra plus tard. Mon argent dit que l'application de rationnement pour nos smartphones est déjà installée quelque part sur un disque dur, prête quand nous le sommes.
Pour l'instant, il s'agit plutôt d'un processus familier de manipulation psychologique. Familiarisez-vous avec l'idée générale de la pénurie alimentaire afin que nous soyons bien préparés lorsque la réalité planifiée se déroule. On nous a fait subir le même traitement avec des mots comme « confinement » et « pandémie », « mandat » et « négationniste ». Coup de coude, coup de coude. Le rationnement est un mot de la génération de nos parents et grands-parents, un peu comme "guerre en Europe" et "fasciste" et maintenant ils sont de nouveau à la mode. Rationnement, je vous demande, alors que les décharges se gonflent de nourriture fraîche déversée chaque jour.
Les mondialistes qui dirigent la civilisation occidentale détestent la civilisation occidentale, et ils organisent son effondrement parce que vous ne pouvez pas contrôler les gens libres.
Les sources comprennent :
Off-Guardian.org
GBNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-03-grocery-rationing-begins-uk-normalizing-coming-shortages.html
L'Armageddon énergétique de l'Europe depuis Berlin et Bruxelles, pas Moscou
RépondreSupprimerPar F.William Engdahl
Recherche mondiale,
04 mars 2023
Le 22 août, le prix du marché boursier du gaz naturel dans le hub gazier allemand THE (Trading Hub Europe) s'échangeait plus de 1000% plus haut qu'il y a un an. Le régime de Scholz dit à la plupart des citoyens que la raison en est Poutine et la guerre de la Russie en Ukraine. La vérité est tout autre. Les politiciens européens et les principaux intérêts financiers utilisent la Russie pour couvrir ce qui est une crise énergétique made in Germany et bruxelloise. Les conséquences ne sont pas accidentelles.
Ce n'est pas parce que des politiciens comme Scholz ou le ministre allemand de l'économie verte, Robert Habeck, ni le vice-président de la Commission européenne pour l'énergie verte, Frans Timmermans, sont stupides ou ignorants. Corrompu et malhonnête, peut-être oui. Ils savent exactement ce qu'ils font. Ils lisent un scénario. Tout cela fait partie du plan de l'UE visant à désindustrialiser l'une des concentrations industrielles les plus économes en énergie de la planète. Il s'agit de l'Agenda vert des Nations Unies 2030 autrement connu sous le nom de Grande réinitialisation de Klaus Schwab.
Dérégulation du marché du gaz de l'UE
Ce que la Commission européenne et les ministres du gouvernement en Allemagne et dans toute l'UE cachent soigneusement, c'est la transformation qu'ils ont créée dans la façon dont le prix du gaz naturel est déterminé aujourd'hui. Pendant près de deux décennies, la Commission européenne, soutenue par les méga banques telles que JP MorganChase ou les grands fonds spéculatifs spéculatifs, a commencé à jeter les bases de ce qui est aujourd'hui une déréglementation complète du marché du gaz naturel. Il a été promu comme la «libéralisation» du marché du gaz naturel de l'Union européenne. Ce qu'il permet désormais, c'est que les échanges sur le marché libre en temps réel et non réglementés fixent les prix plutôt que les contrats à long terme .
Fermeture du gazoduc de l'UE
RépondreSupprimerAvec le soutien total de l'UE pour le nouveau marché de gros du gaz, Bruxelles, l'Allemagne et l'OTAN ont commencé à fermer systématiquement le gazoduc stable à long terme vers l'UE.
Après avoir rompu les relations diplomatiques avec le Maroc en août 2021 au sujet de territoires contestés, l'Algérie a annoncé que le gazoduc Maghreb-Europe (MGE), lancé en 1996, cesserait de fonctionner le 31 octobre 2021, à l'expiration de l'accord correspondant.
En septembre 2021, Gazprom a achevé son gazoduc sous-marin Nord Stream 2 de plusieurs milliards de dollars entre la Russie et la mer Baltique jusqu'au nord de l'Allemagne. Il doublerait la capacité de Nord Stream 1 à 110 milliards de mètres cubes par an, permettant à Gazprom d'être indépendant des interférences avec les livraisons de gaz via son gazoduc Soyouz traversant l'Ukraine. La Commission européenne, soutenue par l'administration Biden, a bloqué l'ouverture du pipeline avec un sabotage bureaucratique, et finalement le chancelier allemand Scholz a imposé une sanction sur le pipeline le 22 février pour la reconnaissance par la Russie de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Louhansk. Avec la crise croissante du gaz depuis, le gouvernement allemand a refusé d'ouvrir Nord Stream 2 malgré le fait qu'il soit terminé.
Puis, le 12 mai 2022, bien que les livraisons de Gazprom au gazoduc Soyouz à travers l'Ukraine aient été ininterrompues pendant près de trois mois de conflit, malgré les opérations militaires russes en Ukraine, le régime Zelenskyy contrôlé par l'OTAN à Kiev a fermé un important gazoduc russe passant par Lugansk, qui était acheminant du gaz russe vers son Ukraine ainsi que vers les États de l'UE, déclarant qu'il resterait fermé jusqu'à ce que Kiev obtienne le contrôle total de son réseau de gazoducs qui traverse les deux républiques du Donbass. Cette section de la ligne ukrainienne Soyouz a coupé un tiers du gaz via Soyouz vers l'UE. Cela n'a certainement pas aidé l'économie de l'UE à un moment où Kiev demandait plus d'armes à ces mêmes pays de l'OTAN. Soyouz a ouvert ses portes en 1980 sous l'Union soviétique, apportant du gaz du champ gazier d'Orenbourg.
La folie des prix les plus élevés en Allemagne
RépondreSupprimerLe sabotage délibéré des prix de l'énergie et de l'électricité devient encore plus absurde. Le 28 août, le ministre allemand des Finances, Christian Lindner, seul membre du cabinet du Parti libéral (FDP), a révélé qu'en vertu des termes opaques des mesures complexes de réforme du marché de l'électricité de l'UE, les producteurs d'électricité solaire ou éolienne reçoivent automatiquement le même prix pour leur électricité « renouvelable », ils vendent aux compagnies d'électricité pour le réseau au prix le plus élevé, c'est-à-dire le gaz naturel !
Lindner a appelé à une modification "urgente" de la loi allemande sur l'énergie pour découpler les différents marchés. Le ministre fanatique de l'économie verte, Robert Habeck, a immédiatement répondu : « Nous travaillons dur pour trouver un nouveau modèle de marché », mais avertissant que le gouvernement doit veiller à ne pas trop intervenir : « Nous avons besoin de marchés qui fonctionnent et, en même temps, nous devons établir les bonnes règles afin que les positions sur le marché ne soient pas abusées . ”
Habeck fait en fait tout son possible pour construire l'agenda vert et éliminer le gaz, le pétrole et le nucléaire, les seules sources d'énergie fiables à l'heure actuelle. Il refuse d'envisager de rouvrir trois centrales nucléaires fermées il y a un an ou de reconsidérer la fermeture des trois autres en décembre. Tout en déclarant dans une interview à Bloomberg que « je n'aborderai pas cette question de manière idéologique », dans le souffle suivant, il a déclaré : « Le nucléaire n'est pas la solution, c'est le problème ».Habeck ainsi que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ont déclaré à plusieurs reprises que davantage d'investissements dans l'éolien et le solaire non fiables sont la réponse à une crise des prix du gaz que leurs politiques ont délibérément créée. À tous égards, la crise énergétique suicidaire en cours en Europe a été « Made in Germany », pas en Russie.
https://www.globalresearch.ca/europe-energy-armageddon-from-berlin-brussels-not-moscow/5792005
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