- ENTREE de SECOURS -



dimanche 26 mars 2023

LA MORT SUR LES LÈVRES - Thomas Kretschmann, Aglaia Szyszkowitz, Dominique Horwitz, Aleksandar Jovanovic et Walter Kreye

56 commentaires:

  1. Électricité : vous avez dit « souveraineté nationale » ?

    La souveraineté électrique et industrielle de la France dépend du développement durable de cette quatrième génération de réacteurs surgénérateurs.


    le 26 mars 2023
    Par Jean Fluchère et Michel Gay.


    Jusqu’à mi-mars 2023 se sont déroulées à l’Assemblée nationale des auditions passionnantes, parfois détonantes ou écœurantes, de hauts responsables politiques, techniques et administratifs sur la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique nationale. Le rapport de ces auditions sera rendu public début avril 2023.

    Vous avez dit « souveraineté et indépendance nationale » ?

    Métaux critiques

    Pour produire une même quantité d’électricité (un kilowattheure par exemple), une éolienne terrestre a besoin d’environ 40 fois plus de cuivre qu’un réacteur nucléaire EPR.

    Pour une éolienne marine, même avec un facteur de charge deux fois supérieur à celui des éoliennes terrestres (ce qui est utopique), ce ratio est encore de 20.

    Or, le cuivre fait partie des métaux critiques non disponible en France dont le prix est élevé et son immobilisation dans les éoliennes avec le développement qu’elles connaissent va rapidement poser un problème de ressources.

    De plus, les transformateurs et raccordements au réseau interconnecté sont dimensionnés pour faire face à la puissance maximum, hélas rarement atteinte, ce qui conduit à une surconsommation importante de cuivre.

    L’énergie de l’économie circulaire

    En outre, l’économie circulaire a besoin d’énergie pour recycler le cuivre.

    Or, les éoliennes sont conçues et construites pour une durée d’exploitation de 20 ans alors que pour un EPR cette durée est de 60 ans… au minimum.

    Il faudra donc dépenser quatre fois plus d’énergie pour recycler le cuivre des éoliennes que le cuivre des machines des centrales nucléaires.

    Ce genre de calculs est rarement effectué.

    L’acier à haute perméabilité magnétique

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  2. La grande majorité des éoliennes a besoin d’un acier à haute perméabilité magnétique différent de celui utilisé pour les machines de centrales électronucléaires. Il s’agit de tôles à grains dits orientés constitués d’un alliage fer-silicium. Les éoliennes sont donc plus onéreuses en raison de l’énergie supplémentaire dépensée pour leur fabrication.

    La France n’a plus de mines de fer et le minerai est désormais importé.

    Les terres rares

    Les éoliennes contiennent (pour la plupart) des aimants permanents dopés avec des terres rares, néodyme et dysprosium.

    Or la Chine est le principal producteur de ces terres rares dont l’exploitation minière constitue un désastre écologique.

    De plus, il n’existe toujours pas de technique permettant de les extraire du métal ferreux. Le recyclage n’est pas possible, sauf à réemployer ces aimants. Or, les éoliennes sont en évolution permanente (notamment en termes de puissance), ce qui rend leur recyclage difficile, voire impossible.

    L’Académie des Technologies a rédigé en 2021 un document relatif à la dépendance géologique intitulé : « Matières premières critiques et évolutions technologiques : cas de l’énergie et de la mobilité au XXIe siècle ».

    Elle y indique que :

    « Une transition énergétique vers la production d’électricité décarbonée issue des énergies renouvelables nécessitera beaucoup de matières premières minérales (par ex. ciment et granulats) et métalliques. La chaîne complète de la mine aux produits aura un impact en termes d’émission de CO2, de consommation d’eau et conduira à de grandes quantités de résidus miniers ».

    Les rédacteurs de ce rapport soulignent aussi :

    « La situation d’autres éléments, surtout des matières premières pour les batteries, c’est-à dire le lithium, le nickel et le cobalt, est encore plus préoccupante […] Un point essentiel concerne la cinétique de la transition. En effet, les chaînes de production, de la mine aux produits, sont longues à mettre en place et nécessitent des investissements considérables (l’unité de compte pour une usine ou une mine est de l’ordre d’environ 1 à 10 milliards d’euros). Cet aspect est insuffisamment pris en compte dans les objectifs des politiques publiques et ceux-ci risquent de ne pas être atteints dans les délais annoncés. Il est également devenu vital de mettre en place une politique nationale et européenne pour assurer les disponibilités pour l’ensemble de la chaîne, de l’extraction jusqu’aux sous-produits ».

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  3. Le minerai d’uranium

    L’uranium est relativement abondant sur Terre et il est réparti sur les cinq continents.

    La quantité d’uranium naturel actuellement nécessaire au parc nucléaire français est de l’ordre de 6000 tonnes par an, et la France dispose d’environ cinq années de réserve de combustible (contre trois mois pour le pétrole et le gaz). C’est donc une « force tranquille » sans problème géopolitique d’approvisionnement pour le combustible nucléaire uranium.

    De plus, lors du retraitement du combustible dont la France maîtrise toutes les étapes du cycle, les matières fissiles (uranium de retraitement et plutonium) sont récupérées. Le plutonium est ensuite mélangé avec de l’uranium appauvri sous forme d’assemblage MOX dans une vingtaine de réacteurs. L’uranium de retraitement peut être aussi réenrichi à l’issue de son recyclage car le pourcentage d’isotope fissile 235 y est plus élevé que dans l’uranium naturel. Ces deux combustibles récupérés lors du retraitement permettent d’économiser de l’uranium naturel.

    La France avait développé la filière des réacteurs surgénérateurs Phénix et Superphénix permettant de mieux utiliser le plutonium de retraitement, et surtout d’utiliser l’uranium appauvri comme combustible.

    Cette filière a été arrêtée pour de sordides raisons de marchandage électoral par Lionel Jospin en 1997. Elle n’est plus aujourd’hui qu’au stade des études après l’arrêt du projet de réacteur Astrid en 2019 pour d’obscures raisons financières, et aussi par manque de vision stratégique.

    Vous avez dit souveraineté ?

    Le développement progressif d’un parc de réacteurs surgénérateurs de quatrième génération permettrait de valoriser les plus de 350 000 tonnes d’uranium (appauvri ou sous d’autres formes) actuellement stockées en France. Cette filière rendrait le pays électriquement indépendant de l’approvisionnement en uranium naturel et produirait donc moins de déchets miniers.

    Or, le réacteur BN 600 russe a démarré en 1980, suivi du BN 800 en 2015, et le BN 1200 est en fonctionnement. La Chine et l’Inde ont pris la décision de se doter chacune d’un prototype de réacteur surgénérateur refroidi au sodium, ce qui était déjà le cas de Phénix et de Superphénix en France il y a… 30 ans !

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  4. La France disposait en 1997 d’une avance mondiale dans le domaine de la surgénération avec les réacteurs à neutrons rapides. Elle a depuis régressé.

    La souveraineté électrique et industrielle de la France dépend pourtant du développement durable de cette quatrième génération. Elle doit se préparer maintenant pour construire un nucléaire véritablement durable au-delà de 2050 afin d’améliorer son indépendance et sa souveraineté parce que l’électricité est appelée à devenir l’énergie de base, remplaçant d’ici 2050 gaz, charbon et pétrole.

    https://www.contrepoints.org/2023/03/26/453172-electricite-vous-avez-dit-souverainete-nationale

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  5. Émissions pléthoriques de gaz carbonique : l’autre gros mensonge de l’IPCC


    le 25 mars 2023


    Il ne fait plus aucun doute que l’organisme onusien IPCC situé à Genève aux côtés de l’Organisation Météorologique Mondiale est une officine politique qui utilise des travaux scientifiques pour en retourner les résultats et leurs conclusions afin de rendre aux décideurs politiques des directives pour guider leurs décisions dont les objectifs principaux sont d’atteindre une « neutralité carbone » pour toutes les économies occidentales. Les conséquences économiques et sociétales sont immenses comme la progressive interdiction des automobiles propulsées par des moteurs à combustion interne, la maîtrise du chauffage domestique en améliorant l’isolation des logements, la création du concept de « villes 15 minutes » pour réduire la circulation automobile, l’interdiction d’accès de certaines villes aux véhicules trop émetteurs de gaz carbonique et enfin le développement extravagant et très coûteux pour une efficacité proche de zéro des énergies dites renouvelables … Cet agenda est motivé par une seule hypothèse toujours non prouvée : l’effet de serre du gaz carbonique provoquant un réchauffement du climat. Et cette affirmation est basée sur la forte augmentation de la teneur en ce gaz dans l’atmosphère constatée depuis la fin du XIXe siècle. Le puits de gaz carbonique est l’océan et plus sa surface est froide plus le piégeage est efficace. L’expansion de l’ère industrielle à la fin du dix-neuvième siècle correspond approximativement à la fin du petit âge glaciaire qui dura 500 ans, période durant laquelle ce piège océanique fonctionna à plein régime. Arriva le réchauffement relatif du climat qui dura jusqu’aux années 1950 suivi d’une petite période relativement froide qui fit dire à la NOAA que les sécheresses dévastatrices en Inde étaient un signe avant coureur d’un refroidissement mais quelques années calmes suivirent avec une stabilisation depuis maintenant 30 ans.

    - voir graph sur site -

    Depuis la fin du XIXe siècle la surface des océans s’est donc réchauffée et selon la loi de Henry les océans ont donc « dégazé » provoquant l’augmentation de la teneur en gaz carbonique atmosphérique qui a été attribuée à tort à l’activité industrielle et humaine en général, activité fortement consommatrice d’énergie en particulier les combustibles carbonés fossiles. La capacité du piège océanique est virtuellement infinie puisque la formation de carbonates insolubles rend ce piégeage irréversible. Pour valider sa théorie l’IPCC a avancé une hypothèse erronée pour justifier l’insouciance de l’humanité brûlant abusivement des combustibles fossiles consistant à évaluer le temps de résidence de ce gaz carbonique nouvellement émis dans l’atmosphère comme étant de plusieurs siècles.

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  6. Or cette affirmation est non seulement fausse mais mensongère car l’IPCC disposait de toutes les preuves pour reconnaître que ce temps de résidence n’est qu’au mieux de 14 ans, en d’autres termes la moitié du gaz carbonique émis par l’activité humaine disparaît en 14 ans. En effet, le carbone-14 généré par les essais nucléaires atmosphériques et leur arrêt en 1960 a permis d’évaluer avec précision ce temps de résidence. Comme la capacité du piège océanique est infinie en raison de l’immobilisation sous forme solide il ne peut y avoir d’acidification des océans comme clamé par l’IPCC et certaines ONGs et il en est de même avec la végétation terrestre qui piège encore plus de ce gaz lorsque sa teneur augmente. Si l’équilibre chimique et thermodynamique de ce transfert de l’atmosphère vers le puits océanique est respecté alors la contribution de l’activité humaine à cette augmentation ne correspond qu’à 12 % de la totalité du gaz carbonique atmosphérique (1696 gigaTonnes), c’est-à-dire 202 gT comme cela vient d’être exposé et avec le même temps de résidence de 14 ans. L’étude réalisée par le Docteur Peter Stallinga ( https://doi.org/10.3390/e25020384 ) confirme ces résultats.

    - voir graph sur site -

    La partie a) de cette illustration est la représentation des émissions de gaz carbonique par an depuis le début de l’ère industrielle qui correspond précisément à la fin du petit âge glaciaire et la partie b) est l’intégrale de ces émissions obtenue à partir de l’équation décrite dans la publication, facile à comprendre, décrivant la thermodynamique de la répartition du gaz carbonique entre l’atmosphère et les eaux océaniques. Il « manque » pour équilibrer le bilan décrit par cette équation l’apport de l’activité humaine figurant en jaune dans ce graphique.

    L’IPCC ignore donc à dessein les preuves scientifiques incontestables et les contourne en les présentant sous une forme mensongère pour apporter des preuves de sa théorie de l’effet de serre du gaz carbonique et de l’urgence d’atteindre une neutralité carbone calculée sur une base faussement factuelle adossée sur de faux modèles. Pour que tous les décideurs politiques auxquels sont destinés les rapports de l’IPCC acquiescent sans réfléchir il doit exister un agenda politique caché dont le but est de détruire l’ensemble des économies occidentales, du moins celles des pays qui prennent des mesures erronées comme le prouve cette étude pour réduire leurs émissions de gaz carbonique. C’est tout simplement suicidaire ! Et j’ajouterai que c’est ridicule car tout ce scénario de l’IPCC est basé sur des mensonges, mais me direz-vous qui ne ment pas aujourd’hui ?

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/25/emissions-plethoriques-de-co2-lautre-gros-mensonge-de-lipcc/

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  7. L'interdiction de l'UE sur le carburant russe entraîne une surabondance de diesel en Asie


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 26 MARS 2023 - 15:20
    Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,


    L'interdiction par l'UE d'importer des produits pétroliers russes a conduit la Russie à détourner ses produits pétroliers vers l'Afrique du Nord et l'Asie.

    Les raffineries asiatiques doivent désormais concurrencer la Russie pour les ventes de diesel, les stocks hebdomadaires de gasoil au hub de Singapour atteignant le plus haut niveau depuis plus d'un an la semaine dernière.

    La surabondance de diesel en Asie ne devrait pas durer plus de quelques mois, même si les craintes de récession pourraient peser sur la demande.

    Les stocks de gasoil détenus en Asie ont bondi depuis l'entrée en vigueur de l'interdiction des importations de diesel russe par l'UE le 5 février, les raffineurs asiatiques devant désormais concurrencer la Russie pour les ventes de diesel en Afrique, ont déclaré à Reuters des négociants et des analystes.

    Avant l'embargo de l'UE sur les produits pétroliers russes, la Russie a commencé à détourner ses cargaisons de produits pétroliers vers l'Afrique du Nord et l'Asie. Dans le même temps, l'Europe a commencé à acheter plus de diesel et d'autres carburants du Moyen-Orient, d'Asie et d'Amérique du Nord pour remplacer les barils russes perdus.

    Les stocks hebdomadaires de gasoil au hub de Singapour la semaine dernière ont atteint leur plus haut niveau en plus d'un an, selon les estimations de Reuters, car la Russie vend désormais plus de diesel à l'Afrique, remplaçant l'approvisionnement de l'est de Suez.

    La surabondance de diesel en Asie ne devrait pas durer plus de quelques mois, car la demande au second semestre devrait augmenter, selon les analystes.

    La Russie accélérerait ses exportations de diesel vers l'Arabie saoudite à la fois par des expéditions directes et des transferts de navire à navire, a rapporté Reuters plus tôt ce mois-ci, citant des sources commerciales et des données d'expédition de Refinitiv.

    En utilisant les chargements STS, la Russie raccourcit les routes des pétroliers à destination de l'Afrique et de l'Asie après que Moscou est désormais interdite d'exporter des carburants vers l'UE.

    Dans le même temps, l'Europe augmente ses importations de diesel en provenance du Moyen-Orient et d'Asie pour compenser la perte de barils russes, dont elle importait environ 600 000 barils par jour (bpj) avant l'entrée en vigueur de l'embargo du 5 février.

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  8. Jusqu'à présent en mars, les chargements de diesel russes ont augmenté de 400 000 bpj par rapport à février, pour atteindre "un niveau extraordinairement élevé" de 1,5 million de bpj jusqu'à présent ce mois-ci, a déclaré Jay Maroo, analyste principal du pétrole brut chez Vortexa, dans une analyse cette semaine.

    "Au moins à court terme, les approvisionnements semblent abondants et la demande pourrait être menacée, en particulier dans le cas du diesel, par des problèmes de récession plus larges", a noté Maroo.

    https://www.zerohedge.com/energy/eu-ban-russian-fuel-leads-diesel-glut-asia

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  9. Un éminent scientifique d'Oxford déclare que l'énergie éolienne "échoue à tous les coups"


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 26 MARS 2023 - 13:00
    Écrit par Chris Morrison via DailySceptic.org,


    On pourrait faire valoir que l'arithmétique de base montrant que l'énergie éolienne est un désastre économique et sociétal en devenir devrait être claire pour un enfant brillant du primaire. Maintenant, le mathématicien et physicien de l'Université d'Oxford, chercheur au CERN et membre du Keble College, le professeur émérite Wade Allison a fait les calculs. Le Royaume-Uni est confronté à la probabilité d'une panne de l'approvisionnement en électricité, conclut-il.

    "L'énergie éolienne échoue sur tous les plans", dit-il, ajoutant que les gouvernements ignorent "les preuves accablantes" des insuffisances de l'énergie éolienne, "et recourent à la fanfaronnade plutôt qu'à une analyse raisonnée".

    Les terribles avertissements du professeur Allison sont contenus dans un court article récemment publié par la Global Warming Policy Foundation. Il note que l'énergie fournie par le Soleil est "extrêmement faible", c'est pourquoi il était incapable de fournir l'énergie nécessaire pour soutenir même une petite population mondiale avant la révolution industrielle avec un niveau de vie acceptable. Une remarque similaire a été faite récemment d'une manière plus dramatique par le physicien nucléaire Dr. Wallace Manheimer. Il a fait valoir que l'infrastructure autour de l'éolien et du solaire échouera non seulement, "mais coûtera des billions, détruira de grandes parties de l'environnement et sera totalement inutile".

    Dans son article, Allison se concentre sur l'élaboration des chiffres qui se cachent derrière les fluctuations naturelles du vent. Les élaborations complètes ne sont pas compliquées et peuvent être évaluées à partir du lien ci-dessus. Il montre qu'à une vitesse de vent de 20 mph, la puissance produite par une éolienne est de 600 watts par mètre carré à pleine efficacité. Pour fournir la même puissance que la centrale nucléaire Hinkley Point C - 3 200 millions de watts - il faudrait 5,5 millions de mètres carrés de surface balayée par la turbine.

    Il est à noter que cela devrait être tout à fait inacceptable pour ceux qui se soucient des oiseaux et autres écologistes. Bien sûr, cette inquiétude ne semble pas s'être concrétisée à ce jour. On calcule que des millions de chauves-souris et d'oiseaux sont abattus chaque année par les éoliennes terrestres. Pendant ce temps, au large des côtes du Massachusetts, les travaux sont sur le point de commencer sur un parc éolien géant, avec des permis pour harceler et probablement blesser près d'un dixième de la population de la rare baleine noire de l'Atlantique Nord.

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  10. Lorsque les fluctuations de la vitesse du vent sont prises en compte dans la formule d'Allison, les performances du vent deviennent bien pires. Si la vitesse du vent diminue de moitié, la puissance disponible diminue d'un facteur huit. Presque pire, note-t-il, si la vitesse du vent double, la puissance délivrée est multipliée par huit et la turbine doit être éteinte pour sa propre protection.

    - voir graph sur site -

    L'effet des fluctuations accrues est dramatique, comme le montre le graphique ci-dessus. La capacité de production nominale installée dans l'UE et au Royaume-Uni en 2021, indiquée par la ligne pointillée marron, était de 236 GW, mais la production quotidienne la plus élevée n'était que de 103 GW le 26 mars. Le manque de fiabilité est encore plus visible dans le deuxième graphique qui trace le vent généré au large du Royaume-Uni en mars de l'année dernière.

    - voir graph sur site -

    Pendant huit jours à la fin du mois, la production d'électricité a chuté, probablement, dit Allison, parce que la vitesse du vent a diminué de moitié. La perte quotidienne de 8,8 GW au cours de la période a été estimée à 1 000 fois la capacité de la plus grande batterie de stockage de réseau au monde à Moss Landings en Californie. En ce qui concerne les énormes batteries nécessaires pour stocker l'énergie renouvelable, Allison note les problèmes de sécurité, ainsi que les pénuries de minéraux. Les batteries ne répareront jamais la défaillance des parcs éoliens offshore, même pendant une semaine, et il souligne qu'elles peuvent échouer beaucoup plus longtemps que cela.

    D'autres ont récemment examiné plus en détail les coûts du stockage sur batterie. L'avocat et mathématicien américain Francis Menton, qui dirige le site Manhattan Contrarian, a examiné les récents rapports officiels sur les coûts et a constaté que "même sur les hypothèses les plus optimistes", le coût pourrait être aussi élevé que le PIB d'un pays. Selon des hypothèses moins optimistes, le coût du capital pourrait à lui seul représenter 15 fois le PIB annuel. L'année dernière, le professeur agrégé Simon Michaux a averti le gouvernement finlandais qu'il n'y avait pas assez de minéraux dans le monde pour fournir toutes les batteries nécessaires au Net Zero. Michaux a observé que le projet Net Zero pourrait ne pas se dérouler pleinement « comme prévu ». Pendant ce temps, Menton a conclu, avec une opinion que certains pourraient considérer comme indûment charitable: "Il est difficile d'éviter la conclusion que les personnes qui planifient la transition Net Zero n'ont aucune idée de ce qu'elles font."

    Le professeur Allison a fait ses calculs en se basant sur la physique de base et sur des informations librement disponibles. « Quelle que soit la façon dont vous le regardez, l'énergie éolienne est inadéquate. Il est intermittent et peu fiable ; il est exposé et vulnérable ; il est faible avec une courte durée de vie », conclut-il.

    https://www.zerohedge.com/political/eminent-oxford-scientist-says-wind-power-fails-every-count

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  11. Alors que nous vendons nos réserves stratégiques de pétrole, réfléchissez à ceci


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 25 MARS 2023 - 23H30
    Écrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,


    L'une des réponses de Biden à la lutte contre la hausse des prix du gaz a été de puiser dans les réserves de pétrole américaines. Bien que je n'aie jamais été fan du programme américain de réserve stratégique de pétrole (SPR), il a sa place dans notre boîte à outils d'armes. Nous pouvons utiliser la réserve pour faire fonctionner le pays si les approvisionnements extérieurs en pétrole sont coupés. Pourtant, considérant à quel point Washington est devenu déconnecté de la réalité, nous ne pouvons qu'imaginer les types de services insensés qu'il jugerait essentiels la prochaine fois qu'une pénurie de pétrole se produirait.

    Malheureusement, certaines de ces réserves se sont retrouvées sur le marché d'exportation et se sont retrouvées en Chine. Nous avons maintenant la preuve que le fils du président, Hunter, avait un membre du Parti communiste chinois comme assistant lorsqu'il traitait avec les Chinois. Apparemment, il a joué un rôle dans l'expédition de gaz naturel américain vers la Chine en 2017. Il semble que la famille Biden ait promis à ses associés commerciaux qu'ils seraient récompensés une fois que Biden serait devenu président. Les actions de Biden pourraient être considérées comme celles d'un traître ou du moins le disqualifier d'être président.

    Les informations suivantes figuraient dans une lettre du membre du classement du House Oversight Committee, James Comer, R-Ky. au secrétaire au Trésor Janet Yellen en date du 20 septembre.

    "Le président a non seulement trompé le public américain sur ses transactions commerciales passées avec l'étranger, mais il a également omis de révéler qu'il avait joué un rôle essentiel dans l'organisation d'un accord commercial pour vendre des ressources naturelles américaines aux Chinois tout en envisageant de se présenter à la présidence."

    Joe Biden, a déclaré Comer, était un partenaire commercial dans l'arrangement et disposait d'un espace de bureau pour travailler sur l'accord, et une entreprise qu'il dirigeait a reçu des millions de ses partenaires chinois avant l'entreprise prévue. Alors qu'une partie de ce que Comer a déclaré avait déjà été rapportée dans les actualités, la lettre citait des témoignages de lanceurs d'alerte, ainsi que des e-mails, une présentation PowerPoint d'entreprise et une capture d'écran de messages cryptés. Ces documents ainsi que les documents bancaires que les républicains du comité ont obtenus suggèrent que les connaissances et l'implication de Biden dans le plan remontent à au moins 2017.

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  12. Vider le pétrole de la réserve stratégique est un choix à courte vue et dangereux qui aura un impact sur la sécurité énergétique de l'Amérique en ces temps d'incertitude mondiale. Dans un effort pour stopper les forces inflationnistes, Biden a libéré une énorme quantité de pétrole brut de la SPR pour supprimer artificiellement les prix du carburant avant les élections de mi-mandat.

    À ce jour, Biden a déversé plus de SPR sur le marché que tous les présidents précédents réunis, réduisant les réserves à des niveaux jamais vus depuis le début des années 1980. Malgré ce que je pense des inefficacités de ce programme, il joue un rôle vital. Il est difficile de sous-estimer l'importance de la capacité d'un pays à augmenter rapidement son flux intérieur de pétrole. Cette action défensive protège son économie et renforce sa résilience.

    Les actions de Biden ont mis tout le pays en danger. Les détracteurs de sa politique ont souligné que la réserve stratégique de pétrole était conçue pour être utilisée en cas d'urgence et non comme un outil pour manipuler les élections. Un autre des objectifs de Biden pourrait être de faire monter les prix du pétrole pour réduire son utilisation et accélérer l'utilisation de l'énergie verte à coût élevé.

    Quoi qu'il en soit, la guerre de Biden contre le pétrole n'a pas rendu les politiques énergétiques américaines plus efficaces ni le pays plus fort.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/we-sell-our-strategic-oil-reserves-ponder

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  13. De plus en plus de travailleurs et d’entrepreneurs veulent quitter l’Allemagne

    L’Allemagne a un problème : de plus en plus de personnes très performantes envisagent de quitter le pays.


    le 26 mars 2023
    Rainer Zitelmann


    Le taux d’émigration en Allemagne est déjà le troisième plus élevé des 38 principales nations industrielles – et les trois quarts de ceux qui partent sont titulaires d’un diplôme universitaire.

    La semaine dernière, j’ai organisé un séminaire pour les entrepreneurs à Berlin. Ils venaient tous de différents secteurs de l’économie – l’un était un négociant en vin, l’autre un grand fabricant de jouets, un autre encore travaillait dans le secteur de l’énergie. J’ai demandé qui avait déjà sérieusement envisagé l’émigration. Ce qui m’a choqué, c’est que presque tous ont levé la main.

    Quelques jours plus tard, j’ai organisé un autre événement intitulé « Plan B – Que faire si l’Allemagne va dans le mur ? ». Là encore, le public était essentiellement composé d’entrepreneurs.

    Un agriculteur a déclaré : « Les politiciens n’ont aucune idée de ce qu’est l’agriculture et nous ennuient chaque jour avec de nouvelles réglementations toujours plus absurdes. J’en ai assez. Je m’en vais ! »

    Bien entendu, tous ces entrepreneurs ne finiront pas par quitter le pays, d’autant plus que les politiciens utilisent tous les moyens à leur disposition pour leur compliquer la tâche. L’un de ces moyens est ce que l’on appelle la « taxe de sortie ».

    Lorsque les entrepreneurs partent, ils sont traités comme s’ils avaient vendu leur entreprise ou leurs actions et le « bénéfice », qui en réalité n’existe pas, est taxé. Cette taxe de sortie a récemment été rendue encore plus stricte pour les Allemands qui s’installent dans d’autres pays de l’UE. En fait, il s’agit d’un « mur fiscal » destiné à empêcher les entrepreneurs de quitter l’Allemagne.

    Mais ce serait une grave erreur de penser que beaucoup de ceux qui envisagent d’émigrer ne le feront pas un jour ou l’autre. Actuellement, 3,8 millions d’Allemands vivent hors d’Allemagne. Avec un taux d’émigration de 5,1 %, l’Allemagne se classe au troisième rang de l’OCDE, l’association des 38 principales nations industrielles du monde. Une autre étude de l’OCDE a conclu que l’Allemagne a la charge fiscale et sociale la plus élevée au monde. Il n’est donc pas surprenant que le salaire annuel net des émigrants augmente au cours de la première année passée à l’étranger malgré certains obstacles (compétences linguistiques, etc.).

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  14. Et ce sont surtout les personnes hautement qualifiées qui quittent l’Allemagne. Une étude de l’Institut fédéral de recherche démographique (BiB) a montré dès 2019 que l’émigrant allemand moyen a moins de quarante ans, qu’il a réussi professionnellement et qu’il est titulaire d’un diplôme universitaire. Près des trois quarts des émigrants ont un diplôme universitaire, ce qui contraste fortement avec ceux qui viennent en Allemagne, qui sont en grande majorité des personnes peu qualifiées, dont certaines veulent avant tout profiter des avantages du généreux système d’aide sociale allemand.

    Selon l’étude mentionnée ci-dessus, environ 180 000 Allemands s’installent dans un autre pays chaque année. Selon l’étude « German Emigration and Remigration Panel », publiée par l’Institut fédéral en coopération avec des sociologues de l’université de Duisburg-Essen, une grande partie des émigrants quittent l’Allemagne pour des raisons professionnelles – et gagnent nettement plus dans leur nouveau pays. En moyenne, les salariés à temps plein gagnent environ 1200 euros de plus par mois qu’en Allemagne.

    Mais les motivations financières ne sont pas les seules à jouer un rôle

    De nombreuses personnes sont mécontentes de la situation politique en Allemagne et beaucoup sont également gênées par le niveau élevé d’envie à l’égard des personnes les plus prospères du pays. Presque chaque jour, les politiciens de gauche en Allemagne appellent les « hauts revenus » à « enfin contribuer ». Or, le fait est que le premier pour cent des plus hauts revenus en Allemagne paie déjà plus de 20 % de l’impôt sur le revenu.

    Le seul endroit où l’envie des « riches » est plus forte qu’en Allemagne est la France, comme le montre une enquête représentative menée par Ipsos MORI dans 13 pays. Les données de cette enquête ont été utilisées pour calculer un coefficient d’envie sociale, qui décrit le rapport entre les personnes envieuses et non envieuses dans chaque pays. Plus le coefficient d’envie sociale est élevé, plus celle-ci est répandue dans un pays donné.

    Coefficient d’envie sociale – Une comparaison internationale

    - voir graph sur site - (France 1.26, Allemagne 0.97, USA 0.42)

    Sources : Zitelmann, Allensbach, Ipsos MORI

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  15. La situation est encore plus dramatique pour les entreprises. L’Association allemande de l’automobile a récemment indiqué que plus d’un cinquième de ses membres délocalisaient à l’étranger. La plus grande entreprise chimique du monde, BASF, a récemment fait la Une des journaux pour avoir délocalisé une partie de sa production de l’Allemagne vers la Chine. La raison : trop de paperasserie et de réglementation en Allemagne et des coûts énergétiques trop élevés.

    Les politiciens allemands attribuent ces coûts énergétiques élevés à la guerre en Ukraine. En réalité, les fabricants allemands payaient leur électricité environ 50 % plus cher que les entreprises américaines bien avant le début de la guerre. Au cours des douze derniers mois, la situation s’est encore aggravée, conséquence de l’échec total de la transition énergétique allemande, initiée par Angela Merkel et perpétuée aujourd’hui par le parti des Verts.

    https://www.contrepoints.org/2023/03/26/453165-de-plus-en-plus-de-travailleurs-et-dentrepreneurs-veulent-quitter-lallemagne

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  16. EXTRAITS – Jeff Bezos, Genèse d’un géant de l’entreprenariat

    Extraits du livre « Jeff Bezos – D’Amazon à la conquête de l’espace », de Luc Mary aux éditions l’Archipel

    « Il est plus facile d’inventer le futur que de le prédire ». Alan Kay


    Par Luc Mary
    le 24 mars 2023 à 15h44


    La fortune de Jeff Bezos est estimée à plus de 120 milliards de dollars en mars 2023.

    La vie de Jeff Bezos, ou la chronique d’un destin singulier ponctué de défis prométhéens. Amazon et Blue Origin sont les deux piliers de son existence professionnelle. Quand l’un jongle avec l’infiniment petit pour transformer notre globe en une vaste « maison jaune », l’autre lorgne vers l’infiniment grand et rêve de déplacer l’humanité hors de la planète bleue.

    Derrière le masque de l’homme le plus riche du monde, le visage d’un enfant abandonné puis adopté. Loin d’être né avec une cuiller d’argent dans la bouche, l’homme qui vaut 200 milliards de dollars est avant tout un entrepreneur qui croit non seulement en son avenir, mais en celui de l’humanité. Sa réussite insensée, il la doit bien sûr à son immense talent, mais surtout à une détermination sans faille et à son sens inné du futur. Plus que tout autre, à l’exception d’Elon Musk, Jeff Bezos a pressenti l’expansion d’Internet et parié sur Google 1, Airbnb et le tourisme spatial de
    masse.

    Cette intuition de l’avenir, peut-être la doit-il à son environnement social et géographique. Ayant grandi entre Los Alamos et Roswell, deux villes chargées de mystère et alimentant bien des fantasmes, le jeune Jeff se dope à la science-fiction, se nourrissant quotidiennement des récits d’Arthur C. Clarke, d’Isaac Asimov ou de Robert Heinlein. Quand Los Alamos reste connue pour ses labos d’expérience scientifique sur la bombe atomique (dans le cadre du projet Manhattan, en 1945), Roswell aurait été, d’après certains témoignages, le théâtre d’un impensable crash d’ovni en 1947. Passionné par la conquête spatiale depuis sa tendre enfance, féru de technologie high-tech et doué d’un esprit compétitif à toute épreuve, Bezos est une bête à concours. Le temps de ses études se confond avec celui de sa réussite.

    Enchaînant les succès et décrochant titres et brevets à foison, diplômé en génie électrique et en informatique, l’homme qui veut gravir les montagnes de la célébrité installe sa première start-up dans son garage à Seattle, avec le soutien indéfectible de ses parents. Il est alors âgé de trente et un ans. Baptisée « Amazon », cette société se propose de vendre des livres en ligne. Une idée saugrenue ? Quatre ans plus tard, en 1998, Bezos vend 57 000 ouvrages par jour. L’année suivante, le pionnier de l’Internet marchand devient milliardaire. C’est le début d’une irrésistible ascension…

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  17. Bezos avant Bezos

    12 janvier 1964. Moins de deux mois après l’assassinat du président Kennedy au Texas, un certain Jeffrey Preston Jorgensen voit le jour au Nouveau-Mexique, dans la banlieue d’Albuquerque. Le nouveau-né ne porte pas encore le nom de Bezos. Et pour cause : son père, Theodore John Jorgensen, est un artiste raté, un homme ruiné et ravagé par l’alcool. Au terme d’un an et demi de cohabitation, en juin 1965, sa compagne le met carrément à la porte, alors que son enfant est à peine âgé de dix-sept mois. Après la séparation, la jeune femme se réfugie chez ses parents avec son enfant, à Sandia Base, au sud-ouest d’Albuquerque. Son ex-mari doit lui verser une pension alimentaire de 40 dollars par mois : une somme astronomique au regard du faible salaire de cet artiste de cirque, champion de monocycle de son état, mais une aubaine pour Jackie, si démunie qu’elle n’a même pas le téléphone. Jeff ne connaîtra jamais son père biologique. La dernière fois qu’il l’a vu, il avait tout juste trois ans. La mère de Jeff, une jeune et pimpante brunette prénommée Jackie – Jacklyn Gise de son nom véritable –, ne tarde pas à rencontrer un autre homme : Miguel Bezos. Et c’est le bon ! D’origine cubaine, Miguel a fui le régime de Castro en 1962. Lorsqu’il est arrivé aux États-Unis, seul et âgé de seize ans, il ne connaissait qu’un mot d’anglais : hamburger. En 1968, l’année de son mariage avec Jackie, il devient ingénieur pétrolier après avoir suivi des cours à l’université du Nouveau-Mexique. Il ne s’oppose nullement à l’adoption du rejeton. De sorte qu’à l’âge de quatre ans, Jeff Jorgensen devient officiellement Jeff Bezos.

    Nous sommes en 1968, l’une des pires années dans l’histoire moderne des États-Unis. Tandis que l’armée américaine s’enlise au Viêtnam, que Robert Kennedy et Martin Luther King tombent sous les balles de leurs assassins, que des émeutes raciales éclatent à Chicago, d’aucuns trouvent une échappatoire en regardant vers les étoiles. Car, en cette année tourmentée, les missions Apollo battent leur plein, et la conquête de la Lune est au coeur de toutes les conversations. L’année suivante, le 21 juillet 1969, Armstrong et Aldrin posent le pied sur notre satellite. Des pas gravés dans l’éternité et qui résonnent déjà dans la tête du petit Jeff, un enfant bercé par les étoiles, amateur de science-fiction et nourri d’idées avant-gardistes et de gadgets en tout genre.

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  18. Un enfant adopté, bricoleur et surdoué

    Aux dires de ses proches, dès qu’il voit une machine, ce gamin curieux de tout ne peut s’empêcher de la démonter pour en comprendre le fonctionnement. Appareils de cuisine, jouets électroniques, moteurs de bateaux, tout y passe. Jeff s’empresse ensuite de construire de nouvelles machines, par exemple une ébauche de cuisinière fonctionnant à l’énergie solaire, à l’aide d’un simple parapluie et de papier aluminium. Selon Jackie, loin de s’extasier béatement devant les manèges des parcs d’attractions, il s’intéresse avec passion aux mécanismes, aux poulies et aux câbles. Même son berceau n’a pas résisté à sa créativité : dès l’âge de trois ans, équipé d’un simple tournevis, Jeff parvient à l’agrandir en démontant les barreaux. Sa curiosité à l’égard du monde qui l’entoure est en effet très précoce…

    S’adaptant à toutes les situations, l’enfant fabrique même une alarme pour empêcher son frère et sa soeur, Mark et Christina, tous deux ses cadets, d’entrer dans sa chambre comme bon leur semble. « Je piégeais constamment la maison avec diverses sortes d’alarmes, dont certaines n’émettaient pas seulement des sons mais déclenchaient de véritables mécanismes physiques, raconte Bezos. Je pense que cela a dû parfois inquiéter mes parents. Ils avaient peur d’ouvrir la porte et de voir 15 kg de clous leur tomber sur la tête, ou quelque chose du genre. » Quand il n’est pas absorbé par ses livres de science-fiction ou par le feuilleton Star Trek, qu’il visionne tous les jours sur le petit écran, l’adolescent passe le plus clair de son temps dans le garage de ses parents, où il expérimente à souhait ses jouets technologiques derniers-nés.

    À l’âge de neuf ans, ce bricoleur hors pair doublé d’un inventeur génial impressionne ses camarades en se branchant sur un vieil ordinateur à partir d’un téléscripteur. Il programme ensuite un jeu vidéo dont le thème n’est autre que Star Trek, série télévisée de science-fiction qui l’obsède encore à l’âge adulte. Par ailleurs, Jeff se montre d’autant plus brillant qu’il se sent soutenu par son milieu familial. Loin de s’inquiéter de son énergie créatrice, ses parents mais aussi ses grands-parents l’encouragent dans ce sens.

    https://www.economiematin.fr/luc-mary-jeff-bezos-livre-genese

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  19. Vidéo: La plus grave crise économique et sociale de l’histoire. Michel Chossudovsky
    La reproduction de la vie réelle


    Par Prof Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux
    Mondialisation.ca,
    25 mars 2023


    Depuis le début de 2020, nous vivons la plus grave crise économique et sociale de l’histoire.

    Il s’agit d’une guerre économique contre l’humanité toute entière : les 8 milliards d’habitants de la planète.

    Commencée avec la dite crise Covid-19 à partir de la fin janvier 2020, cette crise mondiale (2020-2023) – qui est en cours – a boulversé et détruit la vie des peuples dans le monde entier au cours des trois dernières années.

    L’ampleur et la complexité de cette crise économique et sociale mondiale 2020-2023 dépassent de loin toutes les « dépressions » précédentes, y compris la récession de 2007-2009 qui fut considérée comme l’effondrement économique le plus grave depuis la Grande Dépression de 1929.

    Tout est lié, à commencer par la pandémie Covid-19, le vaccin à ARNm, les pouvoirs des grandes sociétés pharmaceutiques, la gouvernance mondiale, les gouvernements corrompus, la déstabilisation de l’État-nation, la guerre en Ukraine, la désinformation médiatique, les entraves à diplomatie et des rapports entre pays, et la menace d’une guerre nucléaire.

    La crise économique mondiale repose sur de nombreux éléments complexes liés aux marchés financiers, au déclin de la production, à l’effondrement des institutions étatiques et au développement d’une économie de guerre axée sur le profit.

    Les mécanismes du « marché libre » tuent nos enfants. Cet acte de tuer est réalisé de manière contournée par l’entremise du commerce des dérivés (derivatives) sur les bourses de New York et de Chicago, où les prix mondiaux des denrées alimentaires de base telles que le riz, le blé et le maïs sont déterminés, par des actions de manipulation et de fraude financière.

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  20. Les « spéculateurs institutionnels » de la haute finance, y compris les fonds spéculatifs (hedge funds), sont impliqués dans cette manipulation délibérée sur les marchés des actions et des devises.

    La pauvreté n’est pas uniquement le résultat d’un processus décisionnel par les gouvernements au niveau national. Les peuples dans différents pays sont appauvris de manière simultanée. Les élites financières ont la capacité de déterminer, par la manipulation des marchés, le niveau de vie de millions de personnes dans le monde.

    Ce qui est rarement mentionné, c’est la façon dont cette restructuration économique mondiale empiète sur trois nécessités fondamentales de la vie : la nourriture, l’eau et l’énergie.

    L’accès à la nourriture, à l’eau et à l’énergie est lié à la « reproduction de la vie réelle », qui est la base même de la civilisation humaine.

    La « reproduction de la vie réelle » ne se limite pas aux « besoins humains fondamentaux » (basic man needs) (par exemple, la privatisation de l’eau, la reproduction du cycle agricole). Elle se réfère également à la reproduction des institutions de la société civile, y compris les écoles et les universités, la science, la connaissance, les relations sociales et familiales, les structures de l’État-nation, la justice, la culture, l’histoire, les relations internationales, qui sont menacées (sans exceptions) par l’imposition d’un Nouvel Ordre Mondial de nature hégémonique, dominé par la élites financières.

    Michel Chossudovsky

    Vidéo: Entrevue de Michel Chossudovsky avec Caroline Mailloux

    https://www.mondialisation.ca/video-la-plus-grave-crise-economique-et-sociale-de-lhistoire/5676305

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  21. Fichiers Twitter : "l'élite" en guerre contre la vérité


    26 mars 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Même des faits établis peuvent être qualifiés de « désinformation » s'ils contredisent le récit officiel. C'est ce qui s'est passé, par exemple, pendant la « pandémie », lorsque les virologues ont simplement jeté par-dessus bord les connaissances qu'ils avaient minutieusement accumulées au fil des décennies sur l'immunologie et le fonctionnement du système immunitaire. Le site Web de l'OMS regorge également de fausses informations, par exemple sur l'immunité collective grâce à la vaccination.

    Les fichiers Twitter et leur montage par le journaliste Matt Taibbi donnent un aperçu effrayant de la manière dont l'industrie pharmaceutique et le capital financier ont répandu la désinformation avec l'aide des services secrets. La semaine dernière, a publié un long fil Twitter sur les liens entre le projet de viralité de l'Université de Stanford et les dirigeants de Twitter. Le Virality Project a été formé pour découvrir et combattre les "représentations fausses et trompeuses" entourant la pandémie de Covid-19. Le fil de 45 tweets met en lumière la façon dont cette vaste collaboration a tenté de censurer des informations légitimes dans le débat sur Covid.

    Ces dernières révélations sont particulièrement importantes car elles prouvent au-delà de tout doute raisonnable ce que de nombreux observateurs indépendants soupçonnaient même pendant les fermetures - que l'élite politique et les grandes technologies essayaient de bloquer les vraies informations. Dans un monde idéal, cela dissiperait une fois pour toutes l'idée que nos politiciens, l'OMS, l'UE et leurs experts n'agissent que pour protéger un monde menacé. Ils ne l'ont pas fait. Ils ont agi pour protéger leur propre pouvoir.

    Taibbi a publié des captures d'écran montrant que le projet Virality a catégorisé différents types de contenu qui, selon lui, devraient être arrêtés sur Twitter. Celles-ci comprenaient la "désinformation standard sur les vaccins", les "récidivistes connus " (par exemple, l'activiste anti-vaccin Robert F. Kennedy Jr. et même l'auteur plutôt obscur de ces lignes) et "un contenu réel qui a une attitude hésitante envers les vaccinations pourrait promouvoir". Cette dernière catégorie comprenait « des histoires d'effets secondaires réels de vaccins» – dans mon cas la publication d'une étude sur l'étiologie de la maladie de Cretzfeldt-Jacob par les injections d'ARNm avec le lauréat du prix Nobel Luc Montagnier comme co-auteur. Il est compréhensible que cela ait été jugé dangereux pour les profits pharmaceutiques.

    Taibbi écrit: " [The Virality Project] a régulièrement présenté de véritables rapports d'effets secondaires comme de la désinformation, des "histoires vraies" sur les caillots sanguins des vaccins AstraZeneca à une histoire du New York Times sur les vaccinés développant le trouble sanguin thrombocytopénie."

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  22. Un exemple d'une de ces personnes blessées par le vaccin Covid est une victime de la vaccination d'Ebensee, en Autriche . L'ancien athlète de compétition doit non seulement faire face aux conséquences à vie de sa myocardite à la suite d'une vaccination par ARNm. De plus, il a été littéralement moqué au tribunal, toutes ses demandes ont été rejetées - et il a dû payer les frais de justice de près de 20 000 euros. Bien que, selon lui, l'homme ait reçu aussi peu d'informations avant la vaccination que presque tous les autres Autrichiens, les tribunaux ont accepté les excuses de son médecin.

    En plus de faire face aux conséquences physiques bien réelles, les victimes du vaccin doivent également se défendre contre un complot visant à manipuler les reportages. Ils ont affaire à un établissement qui vise précisément à les discréditer et à les réduire au silence.

    The Virality Project s'est également offensé de la diffusion des e-mails d'Antony Fauci de 2020 concernant une éventuelle fuite dans le laboratoire Covid. Dans un briefing de 2021, il a averti que ces e-mails authentiques pourraient être utilisés pour « attiser les soupçons sur les conseils professionnels de Fauci et sur les responsables et agences de santé publique américains ».

    Il y a deux leçons extrêmement importantes que nous devons tirer des récentes révélations sur les fichiers Twitter. Premièrement, le mot « désinformation » ne signifie rien de plus que « des informations que les élites n'aiment pas ». La seule fonction du mot est de calomnier. Michael Shellenberger, un autre journaliste qui a joué un rôle déterminant dans la mise en lumière des fichiers Twitter, a fait valoir ce point fondamental dans son témoignage devant le Congrès américain au début du mois. Il a décrit les États-Unis comme étant sous l'emprise d'un "complexe industriel de censure" qui prétend "lutter contre la désinformation, c'est-à-dire les bogues Internet".

    Le deuxième élément clé à retenir des fichiers Twitter est qu'une grande partie de ce qui est présenté comme « preuve » dans les médias grand public est faux, ou du moins douteux. Une grande partie de ce qui est considéré comme un fait incontesté n'est qu'une opinion, une hypothèse et une insinuation recyclées, provenant souvent d'institutions compromises. Le fait que les chercheurs de Stanford jouent un rôle central dans le récent cache des fichiers Twitter révèle la véritable nature de l'écosystème des groupes de réflexion et des magasins de politiques. Soi-disant, ils fournissent des analyses, des recherches et des données. Mais essentiellement, ils fonctionnent comme des rondelles d'idées. Ils n'essaient pas tant de découvrir la vérité qu'ils essaient de conduire le récit.

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  23. Tout cela a des équivalents européens. Le 2 mars 2022 , par exemple, j'ai rendu hommage à la façon dont les mensonges sont propagés par les vérificateurs de faits SWR ou dans des articles du Centre Helmholtz pour la recherche sur les infections . Je trouve particulièrement ennuyeux qu'on s'ébatte dans des institutions qui portent les noms de physiciens hautement qualifiés et renommés. Les institutions avec Paul Ehrlich ou Robert Koch dans leurs noms sont moins crédibles car elles représentent la "théorie des germes" unilatérale et peu fiable.

    https://tkp.at/2023/03/26/twitter-files-die-elite-im-krieg-mit-der-wahrheit/

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  24. Le coup de cricket de Narendra Modi


    Par le Dr Binoy Kampmark
    Recherche mondiale,
    25 mars 2023


    Quel coup. Nue amorale mais totalement égoïste dans sa gloire sucrée. Le premier ministre indien Narendra Modi , qui semble par ailleurs avoir des qualités d'employé de bureau et de bureau, avait ce qu'il voulait : un invité accommodant, peut-être désemparé sous la forme du Premier ministre australien Anthony Albanese ; un intérêt commun pour le cricket sportif national indien et un spectacle l'illuminant en tant que chef suprême hindou présidant une nouvelle ère politique. Pour Albanese, c'était mal adapté et dérangeant, mais tout à fait conforme à l'occasion.

    Ce mois-ci, Albanese, qui a été tenu au sein de grandes puissances ces derniers temps, s'est retrouvé à la merci de la diplomatie du cricket au stade Narendra Modi d'Ahmedabad. Il avait été placé sur une voiture de golf improvisée avec Modi avant le début du quatrième test de cricket entre l'Australie et l'Inde. Mais Albanese n'était pas simplement l'invité de Modi ; il apparaissait également dans un stade nommé d'après le Premier ministre avec qui il tenait compagnie. La pudeur avait été exorcisée ; le faste et le narcissisme avaient pris sa place.

    Les joueurs de cricket des équipes nationales n'ont pas été épargnés par la manipulation fleurie et l'exploitation fleurie. En Inde, le cricket fait craindre Dieu, les adeptes du football buvant de la bière ressemblent à de doux agnostiques d'une certaine réserve et d'une sensibilité domestique. Dans le canon de cricket indien, les joueurs sont sanctifiés du monde entier, ajoutés à un sanctuaire d'adoration permanente dans quelque chose qui rappelle la tradition ancienne. Tout comme les divinités de l'Empire romain, tous les grands joueurs de cricket, d'Antigua à Sydney, trouvent leur terre sainte spirituelle sur le sol indien, assimilés à jamais.

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  25. Pour Modi, tout cela signifiait opportunité et gloire. Il est le politicien classiquement dangereux pour ceux de l'Occident largement décrit qui pensent le comprendre. Souple, doux, oléagineux, Modi est à la fois peu scrupuleux et enclin à courtiser. Et Albanese était là pour lui tenir compagnie. Les équipes de deux grandes nations de cricket ont été effectivement invitées au spectacle, Modi et Albanese donnant leurs casquettes aux capitaines de leurs pays respectifs avant le début du match.

    Le lien de pouvoir dans le cricket mondial – et son lien Modi – a également été affirmé par la présence de responsables du très puissant Board of Control for Cricket in India (BCCI). Ils étaient sur place pour offrir à Modi le plus vulgaire des cadeaux : une photo de lui-même encadrée de manière voyante.

    Les scènes auraient dû mettre Albanese mal à l'aise. Alors que les responsables australiens, les types d'entreprises et les opportunistes rêvent d'opportunités de marché en Inde, il convient également d'apprécier ce qu'est Modi. Cela n'est pertinent que compte tenu du puissant penchant moral que Canberra adopte sur ces questions: les Chinois et les Russes sont considérés comme des barbares martelant l'ordre fondé sur des règles et détruisant les droits de l'homme - ou quelque chose du genre - et là se trouve l'Inde, prometteuse, vaste et nominalement démocratique.

    Les choses, cependant, ne vont pas bien dans la plus grande démocratie du monde. Ce n'est qu'en février que les bureaux de la BBC à Delhi et à Mumbai ont reçu une visite peu amicale de la part d'agents du fisc désireux de mener une « enquête ». Cela s'est produit quelques semaines seulement après la publication par l'organisation d'un documentaire qui a jeté une lumière moins que rose sur le cher leader.

    Pour tout cela, les gouvernements australiens peuvent difficilement se plaindre : la police fédérale australienne s'est livrée à des actes similaires contre le radiodiffuseur national en juin 2019, et est même allée jusqu'à suggérer que deux journalistes de l'Australian Broadcasting Corporation pourraient être poursuivis pour des atteintes à la sécurité nationale.

    Modi avait également une superbe distraction à utiliser contre le Premier ministre australien. Il pouvait réprimander son invité et l'exhorter sur ce qui se passait concernant les récents actes de vandalisme contre les temples hindous de Melbourne. "Il est regrettable que des attaques contre des temples aient été régulièrement signalées en Australie au cours des dernières semaines."

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  26. Celles-ci comportaient principalement des slogans de soutien au mouvement séparatiste sikh pro-Khalistan. Le mur du temple ISKCON situé dans la banlieue d'Albert Park, par exemple, comportait les mots "Khalistan Zindabad (Long Live the Sikh Homeland)", "Hindustan Murdabad (Down with India)" et "Sant Bhindranwale is martyred". Un autre incident à Carrum Downs a présenté, selon la police victorienne, des dommages qui "incluaient des slogans de graffitis de ce qui semble être [de] nature politique".

    Albanese, pris dans le rôle d'être le bon invité, n'a pu que dire que de tels actes n'avaient «pas leur place en Australie. Et nous prendrons toutes les mesures par le biais de notre police et de nos agences de sécurité pour nous assurer que toute personne responsable de cela sera confrontée à toute la force de la loi. Nous sommes une nation multiculturelle tolérante et il n'y a pas de place en Australie pour cette activité.

    En Inde, en revanche, il y a plus qu'assez d'espace pour l'intolérance lorsque le Premier ministre Modi et les autorités du parti Bharatiya Janata (BJP) au pouvoir l'encouragent. Les droits des musulmans, par exemple, ont été restreints par la Citizenship Amendment Act, un instrument qui permet aux communautés non musulmanes originaires du Pakistan, du Bangladesh ou d'Afghanistan de demander la citoyenneté indienne si elles étaient arrivées en Inde avant le 31 décembre 2014.

    La violence contre les musulmans et les déclarations islamophobes des responsables sont également devenues plus courantes, la Cour suprême indienne avertissant que les attaques de foule risquaient d'être normalisées dans l'environnement actuel.

    Rien de tout cela n'a été évoqué dans les discussions modi-albanaises. Pas plus que la conduite du premier conglomérat port-électricité de l'Inde, le groupe Adani, qui possède d'importants intérêts miniers, ferroviaires et portuaires en Australie. Pour ajouter à son bilan environnemental peu glorieux, Adani a été reconnu par le vendeur à découvert activiste Hindenburg Research plus tôt cette année comme étant prétendument responsable de fraude comptable et de manipulation d'actions. Garder cela hors de l'ordre du jour était encore un autre coup d'État puissant pour le dirigeant indien.

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  27. *

    Le Dr Binoy Kampmark était boursier du Commonwealth au Selwyn College de Cambridge. Il enseigne actuellement à l'Université RMIT. Il contribue régulièrement à Global Research et Asia-Pacific Research. Courriel : bkampmark@gmail.com

    https://www.globalresearch.ca/narendra-modis-cricket-coup/5813340

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  28. Le Tsunami imminent des dérivés quadrillions de dollars

    "Armes financières de destruction massive"


    Par Ellen Brown
    Recherche mondiale,
    25 mars 2023


    Le vendredi 10 mars, la Silicon Valley Bank (SVB) s'est effondrée et a été reprise par les régulateurs fédéraux. SVB était la 16e plus grande banque du pays et sa faillite était la deuxième plus importante de l'histoire des États-Unis, après Washington Mutual en 2008. Malgré sa taille, SVB n'était pas une «institution financière d'importance systémique» (SIFI) telle que définie dans le Dodd- Frank Act, qui oblige les SIFI insolvables à « renflouer » l'argent de leurs créanciers pour se recapitaliser.

    Techniquement, le seuil pour les SIFI est de 250 milliards de dollars d'actifs. Cependant, la raison pour laquelle ils sont appelés « d'importance systémique » n'est pas la taille de leurs actifs, mais le fait que leur défaillance pourrait faire s'effondrer l'ensemble du système financier. Cette désignation vient principalement de leur exposition aux produits dérivés, le casino mondial qui est si fortement interconnecté qu'il est un «château de cartes». Sortez une carte et toute la maison s'effondre. SVB détenait 27,7 milliards de dollars en produits dérivés , ce qui n'est pas une mince somme, mais ce n'est que 0,05 % des 55 387 milliards de dollars (55 387 milliards de dollars) détenus par JPMorgan, la plus grande banque américaine de produits dérivés.

    SVB pourrait être le canari dans la mine de charbon préfigurant le sort d'autres banques surdimensionnées, mais son effondrement n'est pas le genre de «risque systémique» prévu pour déclencher la «contagion». Tel que rapporté par CNN :

    "Malgré la panique initiale à Wall Street, les analystes ont déclaré que l'effondrement de SVB ne déclencherait probablement pas le type d'effet domino qui s'est emparé du secteur bancaire pendant la crise financière.

    "Le système est aussi bien capitalisé et liquide qu'il ne l'a jamais été", a déclaré l'économiste en chef de Moody's, Mark Zandi. "Les banques qui sont actuellement en difficulté sont bien trop petites pour constituer une menace significative pour l'ensemble du système."

    Au plus tard lundi matin, tous les déposants assurés auront un accès complet à leurs dépôts assurés, selon la FDIC. Il versera aux déposants non assurés un "dividende anticipé au cours de la semaine prochaine".

    Un rapport plus complet sur l'effondrement de SVB devra attendre les développements qui se produisent au cours du week-end et peu de temps après.

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  29. Cette colonne, quant à elle, se concentre sur les produits dérivés et fait suite à ma colonne du 23 février sur les dispositions de «renflouement interne»de la loi Dodd Frank de 2010, qui a éliminé les renflouements des contribuables en obligeant les SIFI insolvables à se recapitaliser avec les fonds de leurs créanciers. Les « créanciers » sont définis pour inclure les déposants, mais les dépôts de moins de 250 000 $ sont protégés par l'assurance de la FDIC. Cependant, le fonds FDIC est suffisant pour couvrir seulement environ 2 % des 9 600 milliards de dollars de dépôts assurés aux États-Unis. Une crise nationale déclenchant des paniques bancaires à travers le pays, comme cela s'est produit au début des années 1930, anéantirait le fonds. Aujourd'hui, certains experts financiers prédisent une crise de cette ampleur sur le marché des dérivés de plus de quatre milliards de dollars, en raison de la hausse rapide des taux d'intérêt. Cette colonne examine la probabilité que cela soit et ce qui peut être fait pour l'empêcher ou l'esquiver.

    "Armes financières de destruction massive"

    En 2002, le méga-investisseur Warren Buffett écrivait que les dérivés étaient des « armes financières de destruction massive ». À cette époque, leur valeur « notionnelle » totale (la valeur des actifs sous-jacents dont les « dérivés » étaient « dérivés ») était estimée à 56 000 milliards de dollars . Investopedia a rapporté en mai 2022 que la bulle des produits dérivés avait atteint environ 600 billions de dollars selon la Banque des règlements internationaux (BRI), et que le total est souvent estimé à plus d'un quadrillion de dollars. Personne ne le sait avec certitude, car la plupart des échanges se font en privé .

    Au troisième trimestre 2022, selon le « Quarterly Report on Bank Trading and Derivatives Activities » de l'Office of the Comptroller of the Currency (le régulateur fédéral des banques), un total de 1 211 banques commerciales et d'épargne nationales et étatiques américaines assurées détenaient des dérivés, mais 88,6 % de ceux-ci étaient concentrés dans seulement quatre grandes banques : JP Morgan Chase (54 300 milliards de dollars), Goldman Sachs (51 000 milliards de dollars), Citibank (46 000 milliards de dollars), Bank of America (21 600 milliards de dollars), suivie de Wells Fargo (12,2 billions de dollars). Une liste complète est ici . Contrairement à 2008-09, lorsque les principales préoccupations en matière de produits dérivés étaient les titres adossés à des créances hypothécaires et les swaps sur défaillance de crédit, aujourd'hui, la catégorie la plus importante et la plus risquée est celle des produits de taux d'intérêt.

    L'objectif initial des produits dérivés était d'aider les agriculteurs et autres producteurs à gérer les risques de changements spectaculaires sur les marchés des matières premières. Mais ces derniers temps, ils ont explosé en de puissants véhicules de spéculation à effet de levier (emprunter pour jouer). Dans leur forme de base, les produits dérivés ne sont que des paris - un casino géant dans lequel les joueurs se protègent contre une variété de changements dans les conditions du marché (taux d'intérêt, taux de change, défauts, etc.). Ils sont vendus comme une assurance contre le risque, qui est transmis à la contrepartie au pari. Mais le risque est toujours là, et si la contrepartie ne peut pas payer, les deux parties perdent. Dans les situations « d'importance systémique », le gouvernement finit par payer la note.

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  30. Comme sur une piste de course, les joueurs peuvent parier bien qu'ils n'aient aucun intérêt dans l'actif sous-jacent (le cheval). Cela a permis aux paris dérivés de croître jusqu'à plusieurs fois le PIB mondial et a ajouté un autre élément de risque : si vous ne possédez pas la grange sur laquelle vous pariez, la tentation est là de brûler la grange pour obtenir l'assurance. Les entités financières prenant ces paris se couvrent généralement en pariant dans les deux sens, et elles sont fortement interconnectées. Si les contreparties ne sont pas payées, elles ne peuvent pas payer leurs propres contreparties, et l'ensemble du système peut s'effondrer très rapidement, un risque systémique appelé « l'effet domino ».

    C'est pourquoi les SIFI insolvables ont dû être renfloués lors de la crise financière mondiale (GFC) de 2007-09, d'abord avec 700 milliards de dollars d'argent des contribuables, puis par la Réserve fédérale avec un «assouplissement quantitatif». Les produits dérivés étaient au cœur de cette crise. Lehman Brothers était l'une des entités dérivées avec des paris à travers le système. Il en va de même pour la compagnie d'assurance AIG, qui a réussi à survivre grâce à un énorme renflouement de 182 milliards de dollars du Trésor américain ; mais Lehman était considéré comme trop faiblement garanti pour être sauvé. Il a diminué et la Grande Récession a suivi.

    Des risques cachés dans l'ombre

    Les produits dérivés sont en grande partie une création du système « shadow banking », un groupe d'intermédiaires financiers qui facilite la création de crédit à l'échelle mondiale mais dont les membres ne sont pas soumis à une surveillance réglementaire . Le système bancaire parallèle comprend également des activités non réglementées par des institutions réglementées. Il comprend le marché des pensions, qui a évolué comme une sorte de prêteur sur gage pour les grands investisseurs institutionnels avec plus de 250 000 $ à déposer. Le marché des pensions est un endroit sûr pour ces prêteurs, y compris les fonds de pension et le Trésor américain, pour garer leur argent et gagner un peu d'intérêt. Mais sa sécurité n'est pas assurée par la FDIC mais par des garanties solides déposées par les emprunteurs, de préférence sous forme de titres fédéraux.

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  31. Comme l'explique le professeur Gary Gorton :

    « Ce système bancaire (le système bancaire "fantôme" ou "parallèle") - repo basé sur la titrisation - est un véritable système bancaire, aussi vaste que le système bancaire traditionnel et régulé. Il est d'une importance cruciale pour l'économie car il constitue la base de financement du système bancaire traditionnel. Sans elle, les banques traditionnelles ne prêteront pas et le crédit, indispensable à la création d'emplois, ne sera pas créé.

    S'il est vrai que les banques créent l'argent qu'elles prêtent simplement en souscrivant des prêts sur les comptes de leurs emprunteurs, elles ont toujours besoin de liquidités pour compenser les retraits ; et pour cela, ils s'appuient largement sur le marché des pensions, dont le chiffre d'affaires quotidien aux États-Unis dépasse 1 000 milliards de dollars. Le commentateur financier britannique Alasdair MacLeod observe que le marché des produits dérivés s'est construit sur un crédit repo bon marché. Mais les taux d'intérêt ont grimpé en flèche et le crédit n'est plus bon marché, même pour les institutions financières.

    Selon un rapport de décembre 2022 de la BRI , 80 000 milliards de dollars de dérivés de change hors bilan (documentés uniquement dans les notes de bas de page des rapports bancaires) sont sur le point d'être réinitialisés (roulement à des taux d'intérêt plus élevés). Le commentateur financier George Gammon discute de la menace que cela représente dans un podcast qu'il appelle " BIS avertit de 2023 Black Swan - Une bombe à retardement sur les produits dérivés ". Une autre bombe à retardement dans l'actualité est le Credit Suisse, une banque suisse géante de produits dérivés qui a été touchée par une ruée vers 88 milliards de dollars sur ses dépôts par de grands investisseurs institutionnels fin 2022. La banque a été renflouée par la Banque nationale suisse via des lignes de swap avec les États-Unis. Réserve fédérale à 3,33 % d'intérêt.

    Les incitations perverses créées par la «sphère de sécurité» en cas de faillite

    Dans The New Financial Deal: Understanding the Dodd-Frank Act and Its (Intended) Consequences , le professeur David Skeel réfute ce qu'il appelle le «mythe de Lehman» - la croyance largement répandue selon laquelle l'effondrement de Lehman résulte de la décision de le laisser échouer. Il blâme l'amendement de la sphère de sécurité de 2005 à la loi sur la faillite, qui stipule que la garantie déposée par les emprunteurs insolvables pour les prêts repo et les dérivés a un statut de « sphère de sécurité » qui l'exempte de recouvrement par le tribunal des faillites. Lorsque Lehman a semblé en difficulté, les négociants en pension et dérivés se sont tous précipités pour réclamer la garantie avant qu'elle ne soit épuisée, et le tribunal n'avait pas le pouvoir de les arrêter .

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  32. Alors pourquoi ne pas abroger l'amendement? Dans un article de 2014 intitulé « The Roots of Shadow Banking », le professeur Enrico Perotti de l'Université d'Amsterdam a expliqué que l'exemption de la sphère de sécurité est une caractéristique essentielle du système bancaire parallèle, dont il a besoin pour fonctionner. À l'instar des banques traditionnelles, les banques parallèles créent du crédit sous la forme de prêts adossés à une « dette exigible » - des prêts à court terme ou des dépôts qui peuvent être rappelés sur demande. Dans le système bancaire traditionnel, la promesse que le déposant peut récupérer son argent sur demande est rendue crédible par l'assurance des dépôts garantie par le gouvernement et l'accès au financement de la banque centrale. Les banques parallèles avaient besoin de leur propre variante de « dette exigible » et elles l'ont obtenue grâce au privilège de la « super-priorité » en cas de faillite. Perotti a écrit:

    Le statut de sphère de sécurité accorde le privilège d'être exclu du séjour obligatoire et, fondamentalement, de toutes les autres restrictions. Les prêteurs de la sphère de sécurité, qui incluent actuellement les pensions et les marges sur dérivés, peuvent immédiatement reprendre possession et revendre les garanties mises en gage. Cela donne aux pensions et dérivés une super-priorité extraordinaire sur toutes les autres créances, y compris les créances fiscales et salariales, les dépôts, les crédits garantis réels et les réclamations d'assurance . [Je souligne.]

    Le dilemme de notre système bancaire actuel est que les prêteurs n'avanceront pas les liquidités à court terme nécessaires pour financer les prêts repo sans une garantie à toute épreuve ; mais la garantie qui protège l'argent du prêteur rend le système lui-même très risqué. Lorsqu'un débiteur semble être sur un terrain fragile, il y aura une ruée prévisible des créanciers privilégiés pour saisir la garantie, dans une ruée vers les sorties qui peuvent propulser un débiteur autrement viable à la faillite ; et c'est ce qui est arrivé à Lehman Brothers.

    Les produits dérivés se sont vu accorder une « sphère de sécurité », car leur échec était également considéré comme un risque systémique. Cela pourrait déclencher «l'effet domino», anéantissant tout le système. L'erreur, dit le professeur Skeel, était dans le passage de l'amendement de 2005 sur la sphère de sécurité. Mais le problème avec son abrogation maintenant est que nous aurons l'effet domino, dans l'effondrement à la fois du marché des dérivés de quatre milliards de dollars et des plus de mille milliards de dollars échangés quotidiennement sur le marché des pensions.

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  33. Le choc des taux d'intérêt

    Les dérivés de taux d'intérêt sont particulièrement vulnérables dans le contexte actuel de taux d'intérêt élevés. De mars 2022 à février 2023, le taux préférentiel (le taux que les banques facturent à leurs meilleurs clients) est passé de 3,5 % à 7,75 % , un bond radical. L'analyste de marché Stephanie Pomboy appelle cela un "choc des taux d'intérêt". Il n'atteindra pas vraiment le marché tant que les contrats à taux variable ne seront pas réinitialisés, mais 1 billion de dollars de contrats d'entreprise américains devraient être réinitialisés cette année, un autre billion l'année prochaine et un autre billion l'année suivante.

    Quelques faillites bancaires sont gérables, mais un choc des taux d'intérêt sur le marché massif des dérivés pourrait faire chuter l'ensemble de l'économie. Comme Michael Snyder l'a écrit dans un article de 2013 intitulé " A Chilling Warning About Interest Rate Derivatives :"

    La hausse rapide des taux d'intérêt va-t-elle déchirer le système financier américain comme une lame de tondeuse à gazon géante ? Oui, l'économie américaine a survécu à des taux d'intérêt beaucoup plus élevés dans le passé, mais à cette époque, il n'y avait pas des centaines de billions de dollars de dérivés sur taux d'intérêt suspendus au-dessus de notre système financier comme une épée de Damoclès.

    … [L]a hausse des taux d'intérêt pourrait faire éclater la bulle des produits dérivés et provoquer « des faillites massives dans le monde entier » [citant le milliardaire mexicain Hugo Salinas Price]. Bien sûr, il y a beaucoup de gens qui seraient très heureux de voir les banques «too big to fail» faire faillite, mais la vérité est que si elles s'effondrent, toute notre économie s'effondrera avec elles. … Tout notre système économique est basé sur le crédit, et tout comme nous l'avons vu en 2008, si les grandes banques commencent à faire faillite, le crédit se bloque et tout à coup personne ne peut obtenir d'argent pour quoi que ce soit.

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  34. Il existe des moyens plus sûrs de concevoir le système bancaire, mais ils ne seront probablement pas en place avant l'éclatement de la bulle des dérivés de quatre milliards de dollars. Snyder écrivait il y a 10 ans, et ça n'a pas encore éclaté ; mais c'était principalement parce que la Fed avait réussi le « Fed Put » – la présomption qu'elle soutiendrait « le marché » dans toute sorte de crise financière. Il a fonctionné comme prévu jusqu'à présent, mais le Fed Put l'a dépouillé de son « indépendance » et de sa capacité à s'acquitter de ses fonctions imposées par la loi. C'est un sujet compliqué, mais deux excellents livres à ce sujet sont Layered Money (2021) de Nik Bhatia et The Fed Unbound: Central Banking in a Time of Crisis (2022) de Lev Menand .

    Aujourd'hui, la Fed semble retrouver son indépendance en tuant intentionnellement le Fed Put, avec ses efforts pour augmenter les taux d'intérêt. (Voir mon article précédent ici .) Il soutient toujours le marché offshore du dollar avec des «lignes de swap», des accords entre les banques centrales de deux pays pour garder la monnaie disponible pour les banques membres, mais le dernier taux de ligne de swap pour la Banque centrale européenne est un cher 4,83%. Fini le « repas gratuit » pour les banques.

    Solutions alternatives

    Les alternatives qui ont été proposées pour dénouer la bulle massive des produits dérivés comprennent l'abrogation de l'amendement de la sphère de sécurité et l'imposition d'une taxe sur les transactions financières, généralement une taxe de 0,1 % sur toutes les transactions financières . Mais ces propositions existent depuis des années et le Congrès n'a pas répondu à l'appel. Plutôt que d'attendre que le Congrès agisse, de nombreux commentateurs disent que nous devons former nos propres systèmes monétaires alternatifs parallèles.

    Les partisans de la crypto voient une promesse dans Bitcoin ; mais comme l'observe Alastair MacLeod , le prix du Bitcoin est trop volatil pour qu'il serve de monnaie de réserve nationale ou mondiale, et il n'a pas le statut de monnaie ayant cours légal exécutoire. L'alternative préférée de MacLeod est une monnaie adossée à l'or, pas de la variété du 19 e siècle qui a conduit à des paniques bancaires lorsque les banques manquaient d'or, mais du type actuellement proposé par Sergey Glazyev pour l'Union économique eurasienne . Le prix de l'or serait un critère pour évaluer les monnaies nationales, et l'or physique pourrait être utilisé comme moyen de règlement pour équilibrer les balances commerciales.

    Lev Menand, auteur de The Fed Unbound , est professeur agrégé à la Columbia Law School qui a travaillé à la Fed de New York et au Trésor américain. Abordant le problème du système bancaire parallèle non réglementé et incontrôlable, il a déclaré dans une interview de juillet 2022 avec The Hill : « Je pense que l'une des grandes réformes possibles est le mouvement bancaire public et la reproduction d'entreprises bancaires publiques prospères qui nous avons maintenant dans certains endroits, ou que nous avons eu dans le passé.

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  35. Certes, pour les dépôts de nos collectivités locales, les banques publiques sont une solution importante. Les gouvernements des États et locaux ont généralement bien plus de 250 000 dollars déposés dans les banques SIFI, mais les législateurs locaux les considèrent comme protégés car ils sont « garantis ». En Californie, par exemple, les banques acceptant les dépôts de l'État doivent les garantir avec une garantie égale à 110 % des dépôts eux-mêmes. Le problème est que les demandeurs de dérivés et de pensions avec « supra-priorité » peuvent effacer l'intégralité de la garantie d'une banque en faillite avant que d'autres déposants « garantis » n'y aient accès.

    L'argent de nos impôts devrait travailler pour nous dans nos propres communautés, et non capitaliser les SIFI défaillants de Wall Street. Notre modèle stellaire (et unique) d'État est la Bank of North Dakota, qui a mené le Dakota du Nord à travers la crise financière de 2008-09 avec brio. Après la GFC (la crise financière mondiale de 2007 à 2009), elle a réalisé des bénéfices records en réinvestissant les revenus de l'État dans l'État, tandis que les grandes banques commerciales ont perdu des milliards sur les marchés spéculatifs. Plusieurs législatures d'État ont actuellement des projets de loi dans leurs livres suite au précédent du Dakota du Nord.

    Pour une solution de contournement fédérale, nous pourrions suivre l'exemple de la Reconstruction Finance Corporation de Jesse Jones, qui a financé le New Deal qui a sorti le pays de la Grande Dépression. Un projet de loi pour une banque nationale d'investissement actuellement au Congrès qui bénéficie d'un large soutien est basé sur ce modèle très efficace, évitant la nécessité d'augmenter les impôts ou la dette fédérale.

    Toutes ces alternatives dépendent cependant de la législation, qui peut être trop tardive. Pendant ce temps, les communautés «intentionnelles» autosuffisantes gagnent en popularité, si cette option s'offre à vous. Les monnaies communautaires, y compris les monnaies numériques, peuvent être utilisées pour le commerce. Il peut s'agir de « Labor Dollars » ou de « Food Dollars » adossés aux biens et services pour lesquels la communauté a accepté de les accepter. (Voir mon article précédent ici .) La technologie existe maintenant pour former un réseau de crypto-monnaies communautaires qui sont adossées à des actifs et protégées par la confidentialité, mais c'est un sujet pour une autre colonne.

    Le système financier actuel est fragile, volatil et vulnérable aux chocs systémiques. Il doit être réinitialisé, mais nous devons nous assurer que le système est modifié d'une manière qui fonctionne pour les personnes dont le travail et le crédit le soutiennent. Nos dépôts durement gagnés sont désormais la seule source de liquidités bon marché des banques. Nous pouvons tirer parti de ce pouvoir en collaborant d'une manière qui sert l'intérêt public.

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  36. *

    Ellen Brown est avocate, présidente du Public Banking Institute et auteur de treize livres, dont Web of Debt , The Public Bank Solution et Banking on the People: Democratizing Money in the Digital Age . Elle co-anime également une émission de radio sur PRN.FM intitulée " It's Our Money ". Ses plus de 400 articles de blog sont publiés sur EllenBrown.com . Elle contribue régulièrement à Global Research.

    https://www.globalresearch.ca/looming-quadrillion-dollar-derivatives-tsunami/5811784

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    1. Depuis l'Âge de pierre puis l'Âge de fer ont été créées des valeurs comme l'ont fait tous les paysans qui sèment, qui plantent et qui récoltent. Mais leurs dimensions ne s'épandaient que sur quelques lieux. La communication était donc restreinte, donc le savoir était limité.
      Puis arrivèrent les époques du livres, journaux puis celles de la radio, téléphone jusqu'à l'ère de l'Internet. Donc, depuis ces évènements le quotient intellectuel a progressé. De nouvelles valeurs ont été créées, la planche-à-billets a imprimé en conséquence car l'arrivée des machines qui travaillent 24/24 h et 7/7 j bousculent un peu les habitudes.

      L'avaleur de la valeur ne pouvait plus rien dire sans être dépassé.

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  37. RÉFORME DES RETRAITES EN FRANCE:
    Avant un dixième round dans la rue mardi, la crainte du «chaos» s’installe

    Après le regain de mobilisation contre la réforme des retraites, terni par les heurts, Paris et les syndicats mettent en garde contre un risque de «chaos» pour mardi, dixième journée de protestation.


    26 mars 2023, 14:47


    Des dégradations de mobilier urbain, des poubelles incendiées et des heurts ont été rapportés dans plusieurs villes françaises, ce samedi, dont Paris.
    REUTERS

    Un court répit, après plusieurs nuits tendues. En France, la contestation de la réforme des retraites s’est poursuivie dans plusieurs villes, samedi, avec des cortèges rassemblant quelques centaines de personnes. Des «rassemblements de proximité» encouragés par l’intersyndicale, avant une nouvelle grande journée de mobilisation, mardi, avec notamment un cortège parisien qui défilera de la place de la République à Nation.

    Des dégradations de mobilier urbain et des jets de projectiles sur les forces de l’ordre ont été rapportés ce samedi à Rennes, lors du cortège antiréforme. Mais rien de comparable avec les «scènes de chaos» dans la capitale bretonne, dont s’était émue sa maire Nathalie Appéré lors de la manifestation de jeudi. Des débordements ont été observés dans de nombreuses autres villes: commissariat attaqué à Lorient, porche de l’Hôtel de Ville incendié à Bordeaux, heurts et départs de feux innombrables à Paris.

    Conseil de l’Europe inquiet d’un «usage excessif de la force»

    Point d’orgue d’une semaine d’échauffourées quotidiennes, depuis le recours du gouvernement au 49.3 pour faire adopter sa réforme au Parlement, cette neuvième journée à l’initiative des syndicats a aussi marqué un rebond de la mobilisation, avec entre 1,09 (autorités) et 3,5 millions (CGT) de participants. Succès éclipsé par les accusations de violences, qui visent également les forces de l’ordre: pouce arraché pour une manifestante à Rouen, cheminot «éborgné» à Paris selon SUD-Rail, syndicats «visés par le canon à eau» à Rennes…

    Le Conseil de l’Europe s’est alarmé d’un «usage excessif de la force», les critiques se concentrant sur la BRAV-M, unité à moto chargée du maintien de l’ordre dans la capitale.

    Face aux violences, l’exécutif rejette la faute sur une partie de ses opposants. «Je ne crois pas que ceux qui, aujourd’hui, tirent au mortier, tentent d’incendier» des bâtiments publics «ont pour principale motivation la réforme des retraites», a déclaré, dimanche, Olivier Dussopt lors de l’émission politique de France Inter, France Télévisions et Le Monde. «Ils ont une volonté de désordre.»

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  38. Suspendre la loi, le temps «de trouver un compromis social plus intelligent»

    «Ceux qui protestent sont en colère, il nous faut les entendre», dit le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, dans le «Journal du dimanche». Rien à voir avec «les factieux qui viennent pour semer le chaos dans le pays». Argument renvoyé par Laurent Berger, qui rappelle que la réforme des retraites vise à générer «à peine dix milliards d’euros d’économies» – avec le report de l’âge légal de 62 à 64 ans – et juge «proprement absurde de risquer de faire sombrer la France dans le chaos pour si peu».

    Le patron du syndicat de la CFDT esquisse une porte de sortie en suggérant que les syndicats demandent «non pas le retrait de la loi, mais sa suspension», ce qui donnerait selon lui le temps «de trouver un compromis social plus intelligent». Sans se faire d’illusion toutefois puisque Emmanuel Macron a indiqué, vendredi, «attendre la décision du Conseil constitutionnel» sur la réforme des retraites – d’ici trois semaines –, tout en se disant «à la disposition» des syndicats «pour avancer tout de suite» sur d’autres sujets, comme les salaires et les conditions de travail.

    https://www.lematin.ch/story/avant-un-dixieme-round-dans-la-rue-mardi-la-crainte-du-chaos-sinstalle-156526743192

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  39. Où les Européens prennent-ils leur retraite le plus tôt (et le plus tard) ?


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 26 MARS 2023 - 13:35


    Dans la plupart des pays, l'âge effectif moyen de sortie du marché du travail est inférieur à l'âge officiel de la retraite à taux plein.

    Comme le note Anna Fleck de Statista, dans l'Union européenne, par exemple, la majorité des États membres ont fixé l'âge légal de la retraite à environ 65 ans (62 à 67 ans), mais comme le montrent les données les plus récentes de l'OCDE, de nombreux Européens quittent monde professionnel plus tôt.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Où les gens prennent-ils leur retraite le plus tôt (et le plus tard) ? | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    En Europe, il est courant que les personnes en Suède, en Islande, en Suisse, en Lettonie, en Estonie et en Roumanie quittent le marché du travail relativement plus tard (à 65 ans en moyenne, lorsque la moyenne est calculée pour les hommes et les femmes).

    En revanche, l'âge moyen de sortie du marché du travail est plus proche de 60 ans au Luxembourg, en Slovaquie, en Croatie et en Grèce.

    La France, la Belgique, l'Espagne et l'Autriche (61 ans) sont d'autres pays du continent où l'âge de la retraite est relativement précoce, tandis que la moyenne de l'UE-27 est de 62 ans (données de 2020).

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/where-do-europeans-retire-earliest-and-latest

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  40. Fait: Le midazolam Matt Hancock a transformé les maisons de retraite en camps de concentration où les personnes âgées et vulnérables ont reçu des injections létales pour créer l'illusion d'une pandémie de COVID


    vendredi 24 mars 2023
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Matt Hancock, l'ancien secrétaire britannique à la Santé qui a supervisé la réponse à la pandémie, devrait être en prison.

    (Article republié de Expose-News.com)

    Parce que pendant que vous restiez à la maison pour «protéger le NHS et (prétendument) sauver des vies», Matt Hancock a orchestré le meurtre de masse de personnes âgées et vulnérables dans des maisons de soins en utilisant un médicament connu sous le nom de Midazolam, puis vous a dit qu'ils étaient tous morts de COVID-19 [feminine; et on peut le prouver...

    Vous avez abandonné plus de deux ans de votre vie à cause d'un mensonge.

    Un mensonge qui impliquait de mettre fin prématurément à la vie de milliers et de milliers de personnes, dont on vous a dit qu'elles étaient mortes de Covid-19.

    Un mensonge qui a impliqué de commettre l'un des plus grands crimes contre l'humanité de mémoire d'homme.

    Un mensonge qui a exigé trois choses : la peur, votre conformité et un médicament connu sous le nom de Midazolam.

    On nous dit que la maladie grave de Covid-19 présente une pneumonie et une insuffisance respiratoire qui l'accompagne. Par conséquent, les symptômes typiques comprennent l'essoufflement, la toux, la faiblesse et la fièvre.

    On nous dit aussi que les personnes qui souffrent d'une insuffisance respiratoire aggravée et qui ne reçoivent pas de soins intensifs, développent un syndrome de détresse respiratoire aiguë avec essoufflement sévère.

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  41. Pendant ce temps, le Midazolam est une drogue qui a été utilisée lors d'exécutions par injection létale aux États-Unis. Cela peut causer des problèmes respiratoires graves ou potentiellement mortels, tels qu'une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, ce qui peut entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort.

    Sachant cela, utiliseriez-vous le Midazolam pour soigner des « patients » souffrant du Covid-19 ?

    Parce que c'est précisément ce que le secrétaire à la Santé de l'époque, Matt Hancock, a décidé de faire.

    Les données tirées de l'Office for National Statistics (ONS) nous montrent qu'en avril 2020, il y a eu 26 541 décès dans les maisons de soins, soit une augmentation de 17 850 par rapport à la moyenne quinquennale. C'est la moitié du nombre de décès présumés de Covid-19 au cours de la même période.

    Pourquoi ces personnes étaient-elles dans des maisons de retraite et non dans des hôpitaux ?

    Ils étaient dans des maisons de retraite parce que Matt Hancock avait donné l'ordre de les y mettre…

    - voir doc sur site -

    Le 19 mars 2020, une directive a été envoyée au NHS, avec l'autorisation de Matt Hancock, ordonnant aux hôpitaux de libérer tous les patients qu'ils jugeaient ne pas avoir besoin d'un lit d'hôpital.

    Ils ont déclaré que les transferts du service doivent avoir lieu dans l'heure suivant la prise de cette décision vers une zone de sortie désignée, et que la sortie de l'hôpital doit avoir lieu dans les 2 heures. Les fiducies du NHS ont été informées qu'elles "doivent adhérer" à la nouvelle directive.

    Pourquoi diable les gens seraient-ils déjà dans un lit d'hôpital s'ils n'en avaient pas besoin ? Vous allez à l'hôpital parce que vous avez besoin d'un traitement médical, pas parce que vous voulez vous allonger et passer une bonne nuit de sommeil.

    Cette directive signifiait que les personnes nécessitant un traitement médical et des soins étaient renvoyées dans des maisons de soins par milliers.

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  42. Et cela a permis à Matt Hancock d'orchestrer un génocide des personnes âgées et vulnérables afin qu'il puisse vous dire que des milliers de personnes mouraient de Covid-19 et justifier l'État draconien et totalitaire que son gouvernement avait imposé au pays, aux côtés de nombreux autres gouvernements à travers le monde. .

    L'échange suivant a eu lieu lors d'une réunion de commission parlementaire le 17 avril 2020 entre Matt Hancock et le Dr Evans, un député conservateur.

    - voir doc sur site -

    - voir clip sur site -

    Source

    Ce qui suit est un extrait d'un article qui confirme que le Royaume-Uni a acheté pour deux ans de Midazolam en mars 2020 et cherchait à en acheter beaucoup plus -

    Les approvisionnements en midazolam sédatif ont été détournés de France par « précaution » pour atténuer les pénuries potentielles dans le NHS causées par le COVID-19, a déclaré le ministère de la Santé et des Affaires sociales (DHSC) au Pharmaceutical Journal.

    Un porte-parole d'Accord Healthcare, l'un des cinq fabricants du médicament, a déclaré au Pharmaceutical Journal qu'il devait obtenir l'approbation réglementaire pour vendre des fournitures d'injection de midazolam étiquetées en France au NHS, après avoir déjà vendu deux ans de stock au Royaume-Uni. grossistes « à la demande du NHS » en mars 2020.

    Le DHSC a déclaré que la demande de stock supplémentaire faisait partie des "efforts nationaux pour répondre à l'épidémie de coronavirus", qui comprenait des précautions "pour réduire la probabilité de futures pénuries".

    Pourquoi diable le Royaume-Uni aurait-il besoin d'acheter pour deux ans de Midazolam, un médicament associé à la suppression respiratoire et à l'arrêt respiratoire, pour traiter une maladie qui provoque une suppression respiratoire et un arrêt respiratoire ?

    En avril 2020, les prescriptions hors hôpital de Midazolam étaient deux fois plus élevées qu'en 2019 -

    - voir graph sur site -

    Selon les données officielles d'avril 2019, jusqu'à 21 977 ordonnances de Midazolam ont été délivrées, contenant 171 952 articles, la grande majorité étant du chlorhydrate de Midazolam.

    Cependant, en avril 2020, 45 033 ordonnances de Midazolam ont été délivrées, contenant 333 229 articles, la grande majorité étant du chlorhydrate de Midazolam.

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  43. Cela représente une augmentation de 104,91 % du nombre d'ordonnances émises pour le Midazolam et une augmentation de 93,85 % du nombre d'articles qu'elles contenaient. Mais ceux-ci n'ont pas été délivrés dans les hôpitaux, ils ont été délivrés par des cabinets de médecins généralistes, ce qui ne peut signifier qu'une chose, ils ont été délivrés pour les soins de fin de vie.

    Ce qui suit est un graphique affiché sur le site Web du gouvernement britannique affichant les décès dans les 28 jours suivant un résultat de test positif pour Covid-19 par date de décès –

    - voir graph sur site -

    Le graphique suivant a été créé à partir de données sur la quantité de solution de Midazolam produite chaque mois de janvier 20219 à mars 2021.

    - voir graph sur site -

    Pouvez-vous repérer la différence ? Nous ne pouvions pas non plus car il n'y en a pas.

    Les pics de production de la solution de Midazolam correspondent aux pics de décès présumés de Covid dans les 28 jours suivant un test positif.

    Avril 2020 - une énorme augmentation des prescriptions de Midazolam hors de l'hôpital et une énorme augmentation de la production de la solution de Midazolam.
    Avril 2020 – une énorme augmentation des décès présumés de Covid.
    Janvier 2021 - une énorme augmentation de la production de la solution de Midazolam.
    Janvier 2021 – une énorme augmentation des décès présumés de Covid.
    Ajoutez le fait que -

    - voir doc sur site -

    Les lits d'hôpitaux en avril 2020 étaient en baisse de 30% par rapport à l'année précédente.

    La fréquentation des A&E a diminué de 57 % en avril 2020 par rapport à l'année précédente.

    Les décès dans les foyers de soins ont augmenté de 205% en avril 2020 par rapport à avril 2019.

    Données source

    Et la grande majorité des décès présumés de Covid concernent des personnes de plus de 85 ans.

    Ensuite, il est assez simple de voir comment Matt Hancock a orchestré ce qui équivaut au meurtre de masse de personnes âgées et vulnérables en les forçant à entrer dans des maisons de retraite, en leur refusant des soins médicaux appropriés, en les mettant sur la voie de la fin de vie, en prescrivant trop de mizaolam et ensuite faussement étiquetant les décès comme étant dus au Covid-19.

    Croyez-vous vraiment qu'il existe un virus si intelligent qu'il sait tuer les personnes handicapées ? Regardez les statistiques de l'ONS.

    Trois décès présumés de Covid-19 sur cinq sont survenus chez des personnes souffrant de difficultés d'apprentissage et de handicaps (voir ici).

    - voir doc sur site -

    En ce qui concerne les décès de personnes ayant des difficultés d'apprentissage, l'ONS a déclaré - "l'effet le plus important était associé à la vie dans une maison de soins ou un autre établissement communal".

    Avoir une difficulté d'apprentissage et être pris en charge ne signifie pas que vous êtes plus susceptible de mourir de Covid-19. Cela signifie que vous êtes beaucoup plus susceptible de recevoir une ordonnance DNR sans en informer vous-même ou votre famille, que le personnel des soignants / NHS utilise ensuite comme autorisation pour vous mettre sous soins de fin de vie, ce qui implique l'administration de Midazolam.

    Nous savons que cela s'est produit parce qu'un rapport d'Amnistie et un rapport du CQC l'ont dit.

    Le rapport d'Amnesty indique que -

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  44. Les preuves suggèrent que le Liverpool Care Pathway est revenu avec vengeance en avril 2020 sous la direction du secrétaire à la Santé Matt Hancock, des conseillers gouvernementaux et des chefs du NHS, et il semble qu'il ait été utilisé pour vous manipuler pour qu'il abandonne deux à trois ans de votre vie sous prétexte que vous restiez à la maison, pour protéger le NHS et sauver des vies.

    Mais en réalité, pendant que vous faisiez cela comme on vous l'a dit, Matt Hancock a orchestré le meurtre de masse de personnes âgées et vulnérables dans des maisons de soins avec un médicament appelé midazolam, puis vous a faussement dit qu'ils étaient tous morts de Covid-19.

    C'est pourquoi « Midazolam Matt » Hancock devrait être en prison en ce moment.

    Read more at: Expose-News.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-24-hancock-turned-care-homes-into-concentration-camps.html

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  45. Dr Robert Malone: Les meilleures universités du monde sont désormais des marionnettes du Forum économique mondial


    vendredi 24 mars 2023
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Le Forum mondial des dirigeants universitaires du Forum économique mondial est un autre moyen par lequel l'organisation mondialiste a coopté des dirigeants mondiaux.

    (Article de Robert Malone, M.D. republié de LifeSiteNews.com)

    L'un des événements les plus troublants des trois dernières années a été le message globalisé et coordonné des missives et des politiques socio-économiques à travers le monde. Nous tous dans le mouvement pour la liberté nous sommes demandés : qui contrôle cela ? Comment cela peut-il arriver?

    Je me souviens avoir passé du temps l'automne dernier avec Nick Hudson du groupe Pandata (Panda). Nous discutions des politiques transgenres à travers le monde. Nous étions tous les deux très perturbés, non seulement par les politiques, mais aussi par la façon dont elles ont été mises en place.

    Comment les politiques d'enseignement des genres supposés non binaires dans les écoles et l'importance de la « transition » des jeunes se sont-elles répandues si rapidement dans le monde ? Comment est-il possible que l'Afrique du Sud soit plongée dans les mêmes batailles pour les "droits des trans" que les États-Unis et la plupart des pays d'Europe ? Bien sûr, cela n'est pas possible sans coordination.

    Ensuite, nos esprits se sont tournés non seulement vers les politiques pandémiques de masquage, de mandats et de verrouillages, mais aussi vers le changement climatique, l'élimination des voitures à essence, l'Agenda 2030, la décision d'éliminer les éléments de propriété privée tels que les automobiles et le logement, les identifiants numériques, les monnaie, villes à 15 minutes, confiscation de terres privées pour la conservation, censure mondialisée, etc., pas seulement dans un pays, mais dans le monde entier. La liste coordonnée semble interminable.

    Je ne me souviens pas d'une période de ma vie où la plupart des gouvernements du monde étaient d'accord sur tant de choses. D'où viennent ces politiques ? Qui les coordonne ? Comment est-ce arrivé ?

    Eh bien, un lecteur de cette sous-stack m'a écrit à propos de sa découverte que le Forum économique mondial (WEF) a un comité formel de présidents des meilleures universités du monde et que ces présidents se réunissent régulièrement pour discuter et décider de la politique dans les meilleures universités du monde. Ces présidents se sont engagés à soutenir le Forum économique mondial.

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  46. Sur le site Web du FEM :

    La communauté du Global University Leaders Forum (GULF) est composée des présidents des plus grandes universités du monde qui s'engagent à soutenir la mission du Forum d'améliorer l'état du monde. Ensemble, les présidents du GULF identifient et traitent des questions d'intérêt commun, y compris les tendances, les défis et les meilleures pratiques dans l'enseignement supérieur, la recherche et l'impact sociétal. La communauté est composée de 29 membres et est présidée par Suzanne Fortier, principale et vice-chancelière de l'Université McGill.

    En 2021, la communauté GULF se concentrera sur la manière dont les universités peuvent faciliter une reprise plus équitable et inclusive après la pandémie de COVID-19, notamment en explorant les compétences pour l'avenir et la reconversion, l'inclusion sociale et l'action pour le climat.

    Les présidents et les professeurs du GULF s'engagent de plusieurs manières avec le Forum :

    Réseaux d'experts : opportunités pour les experts de contribuer aux communautés d'experts, y compris les Global Future Councils
    Développement d'idées : opportunités de contribuer à de nouvelles recherches, de diffuser de nouvelles idées et de collaborer à l'amélioration de l'intelligence stratégique
    Action : des opportunités pour façonner le monde à travers 18 plateformes répondant à des défis sociaux, environnementaux, technologiques et industriels
    Apprentissage : opportunités de développer et de piloter des modules éducatifs avec les communautés du Forum
    Les 29 membres de GULF sont listés ci-dessous :

    - voir sur site -
    C/O : Robert Malone

    Des universités telles que Stanford, MIT, Princeton, Yale, Berkeley, l'Université de Pennsylvanie et l'Université de Chicago en sont membres. Les présidents de collèges internationaux sont membres d'Oxford, de l'Université du Cap (Afrique du Sud) et des meilleures universités chinoises et européennes. Il existe une plate-forme de 18 idéologies que ces présidents sont invités à soutenir et à diffuser dans leurs campus et dans la société.

    Ces dirigeants universitaires ont reçu un statut spécial au sein du WEF et sont invités à siéger dans d'autres conseils, tels que les «Global Future Councils».

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  47. Selon le site Web du WEF :

    Le réseau des Global Future Councils du Forum économique mondial est le premier réseau de connaissances multipartite et interdisciplinaire au monde dédié à la promotion d'une réflexion innovante pour façonner un avenir plus résilient, inclusif et durable.

    Le réseau réunit environ 600 des leaders d'opinion les plus pertinents et les plus compétents du monde universitaire, du gouvernement, des organisations internationales, des entreprises et de la société civile, regroupés dans des conseils thématiques basés sur l'expertise. Il s'agit d'une communauté sur invitation uniquement et les membres sont nommés pour un mandat de deux ans.

    Il me semble que le Global University Leaders Forum est un autre moyen par lequel le WEF a coopté des leaders mondiaux. Ceux-ci font le travail du WEF d'une manière que nous ne pouvons qu'imaginer.

    Les gens remarquent souvent que le WEF n'occupe pas de postes de grande autorité, c'est-à-dire plein de pompe et de circonstance, mais pas de substance. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

    Vous vous souvenez en 2019, lorsque le WEF et les Nations Unies ont signé un accord de partenariat massif ? Maintenant, le pouvoir du WEF est soutenu par le pouvoir de l'ONU et vice-versa.

    Ce qui suit est extrait d'un communiqué de presse du WEF, publié le 13 juin 2019 :

    Le Forum économique mondial et les Nations Unies ont signé aujourd'hui un cadre de partenariat stratégique décrivant les domaines de coopération pour approfondir l'engagement institutionnel et accélérer conjointement la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le développement durable. Le cadre a été rédigé sur la base d'une cartographie de la collaboration existante entre les deux institutions et permettra une approche plus stratégique et coordonnée pour produire un impact.

    L'ONU ne représente plus des nations, elle est partenaire des 1000 plus grandes entreprises transnationales du monde : le WEF. Nous ne pouvons que supposer qu'avec ce partenariat, une énorme somme d'argent a été versée dans les coffres de l'ONU.

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  48. Les Nations Unies et le Forum économique mondial n'ont pas de fonctionnaires qui représentent le peuple. Leurs dirigeants n'ont pas été élus pour prendre des décisions en notre nom ou au nom de notre nation. Les programmes de ces organisations ne sont pas ceux de notre nation et ne reflètent pas nos concepts de droits à la souveraineté personnelle. Pourtant, à travers des navires tels que l'Agenda 2030 et le Règlement sanitaire international proposé par l'Organisation mondiale de la santé (une organisation faîtière des Nations Unies), il semble que l'ONU souhaite remplacer la législation nationale et la souveraineté nationale et personnelle.

    Les politiciens affiliés au WEF doivent se déclarer comme agents étrangers. Il s'agit d'un conflit d'intérêts inhérent à la fois de représenter et de soutenir le WEF et le gouvernement américain.

    De même, de nombreux présidents d'université nommés dirigeants du WEF GULF sont issus d'institutions publiques. Ils ont le devoir, en tant qu'agents publics, de signaler cela comme un conflit d'intérêts avec leur institution. L'argent des contribuables ne devrait pas servir à financer des présidents d'université qui sont fidèles à une ONG étrangère.

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    https://www.naturalnews.com/2023-03-24-dr-malone-top-universities-now-puppets-wef.html

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  49. Qui protège Beethoven des chercheurs en génétique ?


    26 mars 2023
    du Dr. médical Gérard Reuther


    Depuis les années 1990 au plus tard, la recherche sur le génome est présentée en médecine comme le cœur des maladies et de leur traitement. Pendant des décennies, la question de savoir si les capacités et les maladies des humains sont plus fortement influencées par l'environnement ou par leur matériel génétique a été controversée. L'industrie pharmaceutique et les chercheurs en génétique ont décidé eux-mêmes cette question : le génome humain contient en plus notre misère de maladies. à la bénédiction des talents.

    En conséquence, tout ce qui concerne l'ADN est repris avec empressement par les médias. Même le journal "Bild" attend désormais de ses lecteurs qu'ils utilisent les analyses génétiques pour résoudre les problèmes. "Est-ce que Beethoven n'était pas Beethoven du tout ?", demande le tabloïd dans son édition du 24 mars 2023. La révélation soi-disant spectaculaire des gene-watchers est qu'un ou plusieurs ancêtres du génie musical ont engendré une progéniture illégitime dans les sept générations précédant sa naissance. En conséquence, le génie musical diffère des autres membres de la famille par son chromosome Y. Une équipe de recherche internationale avec la participation de l'Institut Max Planck de Leipzig vend sérieusement cela comme une découverte historique.

    "Oui, et ?", voudrait-on demander. Étant donné que les talents extraordinaires ne sont pas héréditaires, mais sont principalement acquis par la biographie individuelle, peu importe de quel pipeline proviennent ses propres gènes, tant qu'il ne s'agit pas de prétentions héréditaires. Les segments génétiques non familiaux de Ludwig van Beethoven n'étaient certainement pas un désavantage par rapport à ses proches. Mais ils n'expliquent pas non plus ses performances exceptionnelles.

    Ce qui est ignoré par les séparateurs de cheveux génétiques, c'est que la mèche de cheveux de Beethoven contient des informations beaucoup plus importantes. Plomb dans une concentration excessive, ce qui explique sa surdité, ses coliques intestinales, son agitation, sa cirrhose du foie et sa solitude. Une falsification du vin au sucre de plomb, très répandue à l'époque en raison du climat frais et pluvieux de la région viticole viennoise, fut fatale à Beethoven.

    Les chercheurs en génétique et les éditeurs de "Bild" ignorent soigneusement cela. Ils portent même atteinte à leur réputation à titre posthume en affirmant que Ludwig van Beethoven était lui-même responsable de sa cirrhose du foie en tant que "gros buveur de vin blanc bon marché" avec des "facteurs de risque" génétiques. Ceux qui ont subi des dommages sans faute de leur part n'ont pas à s'inquiéter du ridicule après leur mort ! Comme s'il n'avait pas subi assez d'injustices dans sa vie.

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  50. Le cas Beethoven montre de manière impressionnante à quel point l'analyse génétique en dit peu sur nous, nos maladies et notre avenir. Beethoven n'était ni alcoolique ni buveur de vin bon marché ! L'irritabilité, l'agitation et les sautes d'humeur de Beethoven ne s'expliquent que par l'intoxication au plomb et ses conséquences. Ni une prédisposition génétique à la cirrhose du foie ni une tendance à l'alcool ne peuvent être dérivées des gènes. Beethoven n'est issu que d'une famille de buveurs avec une tradition de marchand de vin.

    Notre destin n'est pas la séquence des paires de bases de notre génome, mais notre vie. Notre information génétique est modulée, activée et désactivée par ce que nous mangeons et vivons. Ce n'est qu'à travers notre environnement que nous devenons finalement ce que nous sommes via les mécanismes de ce qu'on appelle l'épigénétique. En témoignent les modifications physiques de vrais jumeaux, qui, séparés très tôt, sont exposés à des vies très différentes et ne se ressemblent finalement plus. Voltaire savait déjà que la cause de la mort d'une personne est presque toujours sa vie.

    Malgré les programmes d'évaluation informatisés, les diagnostics génomiques ne sont en aucun cas plus précis que les autres diagnostics. La médecine nous incite à connaître notre avenir via des risques génétiques supplémentaires afin que nous puissions agir selon un « profil de risque » fictif. Quiconque devrait tirer les conséquences d'un tel coup d'œil dans la boule de cristal et se faire enlever les seins ou les ovaires en raison d'un risque présumé de cancer ou qui prend un médicament nocif à titre prophylactique, le diagnostic génétique deviendra vraiment son destin.

    Les gènes de Beethoven ne sont pas la clé de son génie et de sa mort, mais de sa vie. Pour ceux qui veulent en savoir plus que les chercheurs en génétique et les journalistes de "Bild", j'ai récemment raconté la fin de Beethoven et l'ai analysée médicalement : Derniers jours - causes de décès incomprises et dissimulées de personnes célèbres. Leipzig 2022

    https://tkp.at/2023/03/26/wer-schuetzt-beethoven-vor-den-genforschern/

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  51. Bridgen explique également comment, afin d'examiner la fréquence des événements indésirables graves après la vaccination avec les vaccins Pfizer et Moderna ARNm COVID-19, les données détenues par la National Library of Medicine du gouvernement américain ont été utilisées pour une étude de recherche dirigée par le Dr Joseph Fraiman . Cela a révélé qu'il y a 10,1 événements indésirables graves pour 10 000 vaccinations Pfizer administrées, ce qui signifie qu'une personne sur 990 vaccinée avec le rappel Pfizer subira un événement indésirable grave.

    Le Dr Fraiman a en outre découvert que le risque du vaccin à ARNm Moderna était encore plus élevé que celui de Pfizer, avec une moyenne de 15,1 événements indésirables graves pour 10 000 injections administrées. Cela signifie qu'une personne sur 662 vaccinée avec le rappel Moderna subira un événement indésirable grave. La combinaison des données des vaccins ou des rappels à ARNm Pfizer et Moderna donne une moyenne de 1 250 événements indésirables graves pour 1 million de rappels de vaccins administrés - en d'autres termes, une chance sur 800 qu'un événement indésirable grave se produise.

    Le véritable coût de l'utilisation des vaccins à ARNm pour prévenir l'hospitalisation
    Bridgen décrit comment les propres données du gouvernement britannique montrent que, pour éviter qu'un seul adulte en bonne santé âgé de 50 à 59 ans ne soit hospitalisé en raison du COVID-19, 43 600 personnes doivent recevoir une injection de rappel. Sur la base d'un taux d'événements indésirables graves d'un sur 800, cela signifie que dans le groupe des 50 à 59 ans en bonne santé, à la suite de l'administration de rappels d'ARNm, 55 personnes mourraient ou seraient hospitalisées simplement pour prévenir un COVID-19 patient hospitalisé.

    Les mêmes données montrent également que dans le groupe d'âge en bonne santé des 40 à 49 ans, 92 500 piqûres de rappel ont été nécessaires juste pour éviter qu'une personne ne soit hospitalisée en raison du COVID-19. Cela aurait mis 116 personnes en danger de mort ou d'avoir une réaction indésirable grave. Dans le groupe d'âge en bonne santé des 30 à 39 ans, un total de 210 400 piqûres de rappel seraient nécessaires pour éviter qu'une personne ne soit hospitalisée. Cela suggère que 263 citoyens britanniques de ce groupe d'âge auront été hospitalisés ou même décédés juste pour garder un seul cas de COVID-19 hors de l'hôpital.

    Comme le souligne Bridgen, cependant, l'hospitalisation ne signifie pas nécessairement une intervention médicale sérieuse telle que l'intubation ou l'oxygène. Pour éviter une hospitalisation grave due au COVID-19, les chiffres à augmenter avec les vaccins deviennent astronomiques. Ici, les propres données du gouvernement britannique montrent que, chez les adultes en bonne santé âgés de 50 à 59 ans, il a été nécessaire de donner 256 400 injections de rappel pour éviter une seule hospitalisation grave. Cela entraînerait l'hospitalisation de 321 personnes avec un effet secondaire grave, y compris un risque de décès.

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  52. Pour les 40 à 49 ans en bonne santé, le nombre à augmenter pour garder un seul patient COVID-19 hors d'une unité de soins intensifs passe à 932 500. Cela met potentiellement 1 165 personnes à l'hôpital avec des blessures graves, une invalidité ou la mort.

    Pour le groupe le plus vulnérable - les plus de 70 ans avec des comorbidités - les données du gouvernement britannique suggèrent qu'il serait nécessaire d'administrer 800 rappels de vaccins pour éviter une hospitalisation. Cela signifie qu'en étant boosté, tout ce que fait essentiellement ce groupe est d'échanger le risque d'être hospitalisé avec le COVID-19 contre le risque d'être hospitalisé à cause du vaccin.

    Examinant le coût financier du programme de vaccination COVID-19 au Royaume-Uni, Bridgen dit que les propres données du gouvernement suggèrent qu'il en coûte plus de 1,9 million de livres sterling (2,34 millions de dollars) pour éviter une seule hospitalisation chez les personnes en bonne santé de 50 à 59 ans, et plus 11 millions de livres sterling (13,54 millions de dollars) pour éviter une hospitalisation grave dans ce groupe. Le coût de la prévention de l'hospitalisation d'une personne en bonne santé de 40 à 49 ans s'élevait à plus de 4 millions de livres sterling (4,93 millions de dollars). Pour les 30 à 39 ans en bonne santé, la prévention d'une hospitalisation coûte plus de 9 millions de livres sterling (11,08 millions de dollars).

    Automutilation parrainée par l'État

    En résumé, Bridgen dit que les données sont claires : pour toutes les personnes en bonne santé et toutes celles considérées à risque de moins de 70 ans, la probabilité d'être gravement lésé par le COVID-19 est largement dépassée par les risques associés aux vaccins expérimentaux à ARNm et aux rappels. Même pour le groupe le plus vulnérable – les plus de 70 ans ayant des problèmes de santé – il dit que les deux risques sont essentiellement identiques. Décrivant l'utilisation des vaccins à ARNm comme une "folie absolue", il soutient que si le Royaume-Uni devait continuer à les employer, il s'engagerait dans "une automutilation coûteuse parrainée par l'État au niveau national".

    Bridgen n'hésite pas non plus à identifier les principaux bénéficiaires du programme britannique de vaccination contre le COVID-19. Soulignant que les vaccins à ARNm ont rapporté des milliards à l'industrie pharmaceutique, il décrit comment l' Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) est financée à 86 % par les sociétés pharmaceutiques. Il allègue en outre que les membres du Joint Committee on Vaccination and Immunization (JCVI) du Royaume-Uni, l'organisme qui conseille les services de santé britanniques sur la vaccination, ont entre eux déclaré des intérêts de plus d'un milliard de livres sterling (1,23 milliard de dollars) dans l'industrie pharmaceutique. De toute évidence, cela ne qualifie guère leurs conseils d'indépendants.

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  53. Accusant les sociétés pharmaceutiques de faire passer les profits avant les gens, Bridgen affirme que les gouvernements du monde entier ont été leurs agents de marketing volontaires dans tout cela. Il conclut en appelant le gouvernement britannique à arrêter immédiatement le programme de rappel du vaccin ARNm et à lancer une enquête publique complète non seulement sur les méfaits du vaccin, mais également sur la façon dont chaque agence et institution britannique mise en place pour protéger l'intérêt public a échoué si lamentablement dans son devoirs.

    Le discours de Bridgen devrait être obligatoire pour les politiciens du monde entier.

    *
    Cet article a été initialement publié sur Dr. Rath Health Foundation .

    Directeur exécutif de la Dr. Rath Health Foundation et l'un des co-auteurs de notre livre explosif, " The Nazi Roots of the 'Brussels EU' ", Paul est également notre expert à la Commission du Codex Alimentarius et a eu une expérience de témoin oculaire, comme un délégué observateur officiel, à ses réunions. Vous pouvez trouver Paul sur Twitter à @paulanthtaylor

    https://www.globalresearch.ca/uk-parliament-speech-about-mrna-covid-19-vaccines-that-youtube-didnt-want-you-see/5813341

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  54. Un groupe d'experts américains se réunira pour déterminer les événements indésirables provoqués par les vaccins COVID-19


    Zachary Stieber, journaliste
    25 mars 2023


    Un groupe d'experts américains doit se réunir prochainement dans le cadre d'un projet visant à déterminer les effets indésirables provoqués par les vaccins COVID-19.

    Les académies nationales des sciences, de l'ingénierie et de la médecine (NASEM) ont nommé un comité chargé d'examiner les preuves de la relation entre les vaccins et les événements indésirables spécifiques survenus après la vaccination, notamment l'infertilité et la mort subite.

    Le processus du comité comprend l'établissement de méthodes, l'examen de la littérature, la rédaction de conclusions et la préparation d'un rapport.

    "Le comité tirera des conclusions sur l'association causale entre les vaccins et des événements indésirables spécifiques", indique le site Web du NASEM.

    Bien que leur travail soit financé par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis et le Département américain de la santé et des services sociaux (HHS), les sponsors ne pourront pas examiner le rapport avant qu'il ne soit publié au public, Kathleen Stratton, une responsable du NASEM, a déclaré lors d'une récente réunion.

    "Cela signifie que si un sponsor n'aime pas ce que le comité a à dire - les conclusions du comité - … le sponsor ne peut pas empêcher le rapport d'être rendu public", a déclaré Stratton. "C'est un outil très puissant dont nous disposons."

    Le Dr Tom Shimabukuro, un responsable du CDC, a récemment déclaré aux membres du panel que le CDC aiderait les membres à localiser les études et les données de l'agence. « Nous apprécions beaucoup votre expertise et votre indépendance. Nous sommes impatients de travailler avec vous, impatients de voir les résultats de vos découvertes », a-t-il déclaré.

    La prochaine réunion aura lieu les 27 et 31 mars, cette dernière inclura du temps pour les commentaires du public. Le reste de la réunion de deux jours se tiendra à huis clos.

    Le panel s'est déjà réuni les 25 janvier et 1er février.

    "Vos conclusions aideront à éclairer les recommandations et les décisions en matière d'indemnisation des blessures lors de l'évaluation si des événements indésirables spécifiques sont associés de manière causale aux vaccins", a déclaré le Dr George Reed Grimes, responsable de la Division des programmes d'indemnisation des blessures du HHS, aux membres du panel lors de la réunion.

    Le rapport devrait être publié en mars 2024.

    Questions spécifiques
    Les responsables du HHS ont ordonné au NASEM de convoquer le comité ad hoc pour examiner « les preuves épidémiologiques, cliniques et biologiques » afin d'évaluer si les vaccins provoquent certaines conditions.

    Les effets indésirables comprennent des affections qui, selon les autorités, sont déjà causées par un ou plusieurs des vaccins, notamment la myocardite, un type d'inflammation cardiaque causée par les quatre vaccins disponibles aux États-Unis, et la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie, une maladie souvent mortelle. maladie causée par le vaccin Johnson & Johnson.

    Les autres événements spécifiques sont :

    Paralysie de Bell
    Syndrome de fuite capillaire
    Maux de tête chroniques
    Polyneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique
    Le syndrome de Guillain Barre
    Perte auditive
    Infertilité
    Blessures à l'épaule
    Mort subite
    Événements thromboemboliques comme l'embolie pulmonaire
    Acouphène
    Myélite transverse

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  55. ENCORE 2 ARTICLES DE CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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