Le génocide du Covid-19 appelle à la création d'une Cour mondiale indépendante
17.03.2023 www.kla.tv/25447
Le lobbying international, les magouilles et la corruption de Big Pharma dans les sphères politiques et judiciaires montrent clairement qu’il faut une justice indépendante et entièrement nouvelle. En particulier dans le contexte des crimes mondiaux du Covid-19, un génocide dont l'ampleur n'a pas encore été déterminée, il faut un tribunal spécial, comparable aux procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale.
Un groupe d'avocats internationaux, d'experts de haut niveau et de scientifiques renommés présente à un grand jury les preuves que la pandémie Covid-19 est une opération criminelle visant à instaurer une dictature mondiale. Parmi les experts figurent des conseillers de l'OMS, un fonctionnaire des Nations unies, des membres des services secrets britanniques, d'anciens officiers de l'armée américaine et britannique, un expert du Center for Disease Control, un ancien vice-président de Pfizer, un lauréat du prix Nobel de médecine et de nombreux autres témoins de haut niveau. Ils ont bon espoir qu'une fois le procès terminé, des charges seront retenues contre tous les principaux accusés présumés.
L'accusation
Il est reproché que les gouvernements du monde entier sont tombés sous l'influence d’un contrôle de structures de pouvoir corrompues et criminelles, qui ont orchestré ensemble une pandémie qu'ils avaient planifiée depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses allégations factuelles et d'une opération psychologique socialement construite, dont ils ont diffusé les messages par le biais des médias dominants. Cette panique de masse avait pour but d'inciter la population à accepter des injections expérimentales, appelées "vaccins", qui ne sont pas des vaccins. Celles-ci ne se sont révélées ni efficaces ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles. En particulier, les accusations portent sur Christian Drosten, Anthony Fauci, Tedros de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Bill Gates, BlackRock et Pfizer. L'objectif final des pandémies mises en scène serait le contrôle total de tous les êtres humains. Les experts présentent à ce sujet des faits fondés.
Le constat des experts :
Selon le groupe d'experts, le Covid-19 n'est qu'une pandémie de test PCR alimentée par une opération psychologique sophistiquée visant à créer une panique permanente au sein de la population mondiale. Le virus correspond à une grippe bénigne qui peut être soignée de manière sûre et efficace avec des traitements éprouvés. Mais tous ces traitements ont été interdits par ceux qui utilisent cette pandémie comme couverture pour faire avancer leur projet final, à savoir amener tout un chacun à recevoir des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereuses, voire mortelles.
Selon le groupe d'experts, l'objectif principal est le contrôle mondial. Cela implique le pillage complet de l'économie. Cela implique la destruction délibérée des petites et moyennes entreprises, des commerces de détail, des hôtels et des restaurants, afin que des plateformes internationales comme Amazon puissent prendre le contrôle. Les mêmes forces qui ont fait de la grippe porcine une pandémie il y a 13 ans ont créé cette pandémie du Covid. Les politiciens n'ont pas empêché ces crimes financiers, car ils soutiennent ceux qui les commettent - et ils en profitent.
Le Forum économique mondial a pris le contrôle des gouvernements
Si, à l'époque de la faillite de Lehman, l'opinion publique mondiale avait regardé de plus près au lieu de croire aveuglément aux promesses des gouvernements selon lesquelles les responsables de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, l'opinion publique mondiale aurait alors vu que la mafia financière pillait les caisses publiques depuis des décennies. Au contraire, ils sont aux mains de la mafia financière, par le biais de sa principale organisation, le Forum économique mondial (FEM). Leur principale organisation, le Forum économique mondial de Klaus Schwab, avait déjà commencé en 1992 à créer ses propres leaders mondiaux par le biais du programme Young Global Leaders. Deux des premiers diplômés étaient Angela Merkel et Bill Gates. D'autres sont devenus des leaders politiques comme Sebastian Kurz, Justin Trudeau, Jacinda Ardern, Emmanuel Macron et bien d'autres. L'objectif était déjà à l'époque de réduire fortement la population et de la contrôler en manipulant l'ADN. Il était également prévu de détruire délibérément la démocratie, l'État de droit et les constitutions. Par le biais d'un chaos orchestré, les gens devaient consentir à perdre leurs identités nationales et culturelles et accepter à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l'ONU, les Nations unies, qui sont déjà sous le contrôle total du Forum économique mondial. Cela implique des passeports numériques permettant de surveiller et de contrôler chaque mouvement. Et une seule monnaie numérique, disponible uniquement par le biais de la Banque mondiale, à condition de faire exactement ce que le gouvernement attend de vous
La prise de pouvoir de la mafia financière – planifiée depuis plus de 20 ans
Le FEM promeut ouvertement, en étroite collaboration avec des personnes comme Bill Gates, les Rockefeller et d'autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l'ADN jusqu'au transhumanisme. Dans ce but, des plans concrets pour cette pandémie du Covid ont été élaborés au moins depuis le printemps 2001. Par exemple avec l'opération Dark Winter, suivie d'une autre répétition de ce type, l'exercice Lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Et enfin, l'événement 201 en octobre 2019 à New York, sponsorisé par le Johns Hopkins Centre for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. Les témoins prestigieux suivants informeront le grand jury sur le contexte historique et géopolitique de la prise de pouvoir et de l'eugénisme : James Bush, un ancien membre de l'armée américaine qui a participé à l'opération Dark Winter en 2001. Les anciens membres des services secrets britanniques, Brian Gerrish et Alex Thompson. Les journalistes d'investigation Whitney Webb et Matthew Ehret, ainsi que les anciens collaborateurs et conseillers de l'Organisation mondiale de la santé, les Dr Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger.
Comment l'extrême surmortalité a été si longtemps dissimulée
Jusqu'au début des injections expérimentales, il n'y avait nulle part de surmortalité. Début 2020, pas un seul cas n'avait été enregistré. Les experts expliquent comment l'urgence sanitaire internationale s'est produite et ce qui se cache derrière la légende de l'épidémie. Ils démontrent que le virus n'est pas plus dangereux qu'une grippe ordinaire. Ils prouvent que le test PCR ne peut rien dire sur les infections, alors qu'il a été utilisé comme seule base pour toutes les mesures anti-Covid. Et ils rapportent les effets secondaires et les décès massifs de ce qu’on appelle les « vaccins à ARNm », qui ne sont pas seulement inefficaces, mais qui mettent la vie en danger. Les personnes suivantes déposent en tant que témoins : le Dr Wolfgang Wodarg, un pneumologue expérimenté qui, il y a 13 ans, a réussi à démontrer que la grippe porcine était une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kämmerer, biologiste à l'Université de Würzburg et le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ainsi que le Dr Sylvia Behrendt, le Dr Astrid Stuckelberger de l'OMS, le Pr Dolores Cahill de l'Université de Dublin, le Pr Antonietta Gatti et le Pr Berkholz.
Pourquoi les malades de Covid ont été délibérément mal traités
Un autre groupe d'experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Ardis du Texas, du Dr Shankara Chetty d'Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wordarg d'Allemagne et de John O'Looney, entrepreneur de pompes funèbres d'Angleterre. Ces témoins témoignent de la manière dont l'humanité a été victime, dès le début, d'une interdiction délibérée et totalement insensée d’utiliser des méthodes normales, efficaces et sûres pour traiter les maladies respiratoires. Au lieu de cela, des traitements souvent mortels ont été prescrits, qui sont aujourd'hui considérés comme des fautes médicales graves : intubation, Remdesivir et Midazolam. John O'Looney explique comment il a d'abord cru aux allégations de pandémie et a même aidé la BBC à diffuser la propagande alarmiste, jusqu'à ce qu'il réalise comment des personnes ont été délibérément tuées sous le couvert de la pandémie.
Erreurs de traitement et de vaccination Covid : Assassinat de masse par le gouvernement
Le Pr Alexandra Henrion-Caude, le Pr Sucharit Bhakdi, le Dr Vanessa Schmidt-Krüger, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin à ARNm, et le Pr Arne Burkhardt, pathologiste allemand, montrent que le Covid-19 est inoffensif et qu'il présente un taux de survie de 99,97 % s'il est correctement traité. C'est la « vaccination » qui rend de nombreuses personnes malades et qui, depuis septembre 2022, provoque une surmortalité allant jusqu'à 40 % en raison de l'empoisonnement par la protéine Spike et, en outre, de la désactivation du système immunitaire. Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, raconte comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des doses mortelles afin d'étudier comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés pour que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui lui arrive.
Çà, c'est du '11 Septembre II' ! Çà a marché il y a 22 ans où TOUTES les télés du monde ont été arrêtées pour retransmettre en direct un... un accident d'avions à New-York !!! Çà faut le faire ! Si un train chargé de 5000 personnes était tombé dans un ravin en Chine l'info n'aura pas dépassé les 20 secondes ! Mais là, c'était LE scoop du jour ! LE TOUT Holywood était là !
12 millions de new-yorkais n'ont RIEN VU dans le ciel, seuls ceux qui ont vu des avions étaient assis devant leur télés ! comme les milliards d'autres cons dans le monde !
Le calque sur l'écran de télévision a montré un avion qui pénétrait des tours ! Bien sûr là TOUS les avionneurs et pilotes de ligne du monde entier ont crié au scandale, à l'escroquerie comme des millions d'architectes sur Terre ! Car, un avion en aluminium même s'il était lancé à 10 000 km/h ne pourrait pénétrer un bâtiment ! Les tours sont bardées de poutrelles verticales d'acier de 80 cm de large ! Et là... et là on a vu des 'avions' qui entraient et... coupaient les poutrelles d'acier !! HAHAHAHAHAHA !
Ça, c'était du film d'Hollywood, bref, passons. Puis est arrivé le Virus ! WHÔAW ! LE virus extraterrestres qui va vous mangeeeeeer ! Vous dévoreeeeeer ! Bref, le bon film d'horreur avec psychopathes et tout le tralala ! Là çà fout les jetons !
Oui mais là, en plus qu'il n'était pas dans l'air (les extraterrestres sont des hommes invisibles !) il était offert (un cadeau ne se refuse pas !) en seringues ! Et oui ! Avec sa petite infirmière nazie qui vient vous la faire ! Youpie ! Et çà, c'est PAS du cinéma !
Le « projet de viralité » autoritaire de Stanford a appelé Big Tech à censurer les histoires VRAIS de blessures causées par les vaccins
Jeudi 16 mars 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) L'auteur et ancien contributeur de Rolling Stone, Matt Taibbi, est sur le point de décomposer le contenu des fichiers Twitter, qui montrent que l'Université de Stanford pousse Big Tech à censurer les "histoires d'effets secondaires réels des vaccins" et les "vrais messages". ce qui pourrait alimenter les hésitations.
Dans le message n ° 32 d'une longue chaîne de révélation de fichiers Twitter, Taibbi a tweeté que les employés de Stanford – dont aucun n'est un expert de la santé ou de la médecine, pour être clair – ont approché des plateformes de médias sociaux comme Facebook et Twitter et les ont poussés à faire taire la voix des comptes. dire la vérité sur les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Dans le cadre de son soi-disant «projet de viralité», Stanford a informé l'industrie technologique que ses plates-formes contenaient une «désinformation standard sur les vaccins» qui devait être supprimée immédiatement.
"Le défaut : les publications sur votre plate-forme diffusent clairement de fausses informations erronées sur les vaccins qui, selon nous, violent vos politiques", lit-on dans un point dans le plan d'action d'un projet de viralité.
« Les récidivistes connus (incluent) [f] les messages faux ou trompeurs des récits de récidivistes bien connus, tels que Robert F. Kennedy, Jr. ou Sherri Tenpenny. Il s'agit d'un grand volume de contenu qui est presque toujours à signaler. Ex. RFK publie que 4 000 effets indésirables du vaccin ont été signalés au CDC en une semaine. »
(Connexe : Les fichiers Twitter montrent également que le plan globaliste est de transformer chaque être humain encore vivant en 2025 en un transgenre mangeur d'insectes.)
Si tous les Américains rejetaient entièrement Big Pharma, les pouvoirs en place ne seraient plus La "désinformation" présumée n'est pas la seule préoccupation du Stanford Virality Project. Il s'avère que le "vrai contenu" est également interdit à la sphère des médias sociaux car il "pourrait favoriser la réticence à la vaccination", ce que les mondialistes ne peuvent pas permettre de se produire à grande échelle.
Si des dizaines de millions d'Américains prenaient conscience de l'arnaque au vaccin, les flux de bénéfices de Big Pharma s'arrêteraient, écrasant le casino "boursier" de Wall Street et mettant fin à la vache à lait de Mystery Babylon - les mondialistes ne peuvent pas permettre que cela se produise, non plus .
L'une des façons dont ils empêchent la vérité de sortir est d'intimider les plateformes technologiques comme Facebook et Twitter pour qu'elles censurent «les messages viraux d'individus exprimant une hésitation à la vaccination ou des histoires de véritables effets secondaires des vaccins».
"Ce contenu n'est pas clairement de la mésinformation ou de la désinformation, mais il peut s'agir de désinformation (exagérée ou trompeuse)", lisent les documents internes du Virality Project. "Sont également inclus dans ce seau sont souvent de vrais messages qui pourraient alimenter l'hésitation, comme les pays individuels interdisant certains vaccins."
Deux exemples ont été inclus à côté de cela, l'un étant des articles de presse et des publications sur un district scolaire du centre de New York devant fermer après que de nombreux membres du personnel scolaire soient tombés malades des effets secondaires du "vaccin" covid. L'autre se concentre sur "la conversation autour des décès récents de célébrités après le vaccin".
"Souvent, ce contenu est invérifiable (la cause du décès n'est pas claire), mais se propage rapidement et suscite des conversations sur l'hésitation …", lisent plus loin les documents du Virality Project.
Commentant ces révélations et d'autres sur Twitter Files, Taibbi a écrit dans un tweet séparé que tout cela "est le complexe censure-industriel dans son essence : une bureaucratie prête à sacrifier la vérité factuelle au service d'objectifs narratifs plus larges".
"C'est le contraire de ce que fait une presse libre", a-t-il ajouté.
Ironiquement, le complexe censure-industriel est précisément ce qu'il prétend combattre : une source importante de désinformation. Et il a l'avantage que son financement provient des contribuables américains, qui, selon Taibbi, « financent par inadvertance leur propre éloignement de la réalité ».
"Sans de véritables mécanismes de surveillance, rien n'empêche ces avant-gardes de l'information surpuissantes de déformer la vérité à leurs propres fins", a ajouté Taibbi.
Le regretté président Dwight Eisenhower a mis en garde contre tout cela dans son discours d'adieu à l'Amérique, déclarant que "le potentiel de montée désastreuse d'un pouvoir mal placé existe" - regardez le discours d'adieu complet ci-dessous :
- voir clip sur site -
La seule façon de mettre un terme à la folie est d'arrêter de la financer. Une personne, répondant à la chaîne de fichiers Twitter de Taibbi, a écrit que la seule façon d'avoir un "véritable contrôle" sur le complexe censure-industriel est de "couper le financement des impôts de l'État et de rendre le contrôle et le pouvoir monétaires complets au peuple, qui obtient alors de décider quelle part de leur argent ils aimeraient consacrer aux efforts communs pour dépenser quoi. »
Un autre a simplement écrit que le moment est venu d'"arrêter cette merde" une fois pour toutes, par tous les moyens possibles, afin que les générations actuelles et futures d'Américains n'aient pas à vivre sous le type de tyrannie pour laquelle nos ancêtres se sont battus.
"Ainsi, la" désinformation "est désormais également associée au fait de ne pas être d'accord avec quelque chose et de publier un article de presse qui est vrai, simplement parce que cela pourrait faire hésiter quelqu'un à prendre une nouvelle chose médicale", a clarifié un autre à propos de la position apparente de Stanford sur le premier amendement.
Les dernières nouvelles sur les fichiers Twitter et ce qu'ils révèlent peuvent être trouvées sur Censorship.news.
Le secrétaire à la Santé de Floride, Joseph Ladapo: les vaccins à ARNm COVID-19 ont un «profil de sécurité terrible»
17 mars 2023 du Dr. Peter F. Mayer
La nouvelle circule lentement : les vaccins à ARNm ne sont ni « sûrs ni efficaces », au contraire. Le gouverneur de la Floride et les responsables de la santé de l'État ont toujours consulté des scientifiques critiques pour contrebalancer l'influence persistante du gouvernement central, puis se sont fait leur propre opinion. Et la Floride a fait mieux que des États comparables avec des mandats de vaccination stricts, des verrouillages et des masques comme la Californie. En Floride, poser des questions sur le statut vaccinal coûte depuis longtemps une amende de 5 000 $. Presque toutes les mesures Corona ont été levées depuis septembre 2020 .
Lors d'une conférence de presse marquant le troisième anniversaire des "15 jours pour ralentir la propagation" de l'ancien président Donald Trump, Joseph Ladapo s'est demandé s'il fallait même prendre les vaccins à ARNm COVID-19.
" Ces vaccins ont un profil d'innocuité terrible à ce stade de la pandémie ", a-t-il déclaré. "Je ne suis pas sûr que quiconque devrait les prendre et c'est la vérité honnête."
Ladapo a accusé les Centers for Disease Control and Prevention et la Food and Drug Administration de nier la vérité. Il a déclaré que le CDC et la FDA n'avaient "pas dit un mot" sur les études, selon Ladapo, qui montraient une baisse de la protection vaccinale contre l'infection". Surtout sur le fait qu'une étude du magazine "bien connu" Lancet montre également qu'après 7 mois, l'effet devient négatif, de sorte que les personnes vaccinées sont infectées plus souvent et tombent plus gravement malades.
Le médecin généraliste a félicité DeSantis pour sa gestion de la pandémie: "Vous ne pouvez pas lui donner assez de crédit pour ce qu'il a fait", a- t-il déclaré. Il y a 2-3 ans , c'était comme si une épingle était tombée. Il n'y avait presque pas de voix dissidentes."
"Il est resté fidèle à ses positions sur des choses qui avaient du sens pour lui et pour de nombreuses personnes à travers le pays, même s'ils ne parlaient pas quand tout le monde avait une crampe, même pour la plus simple goutte de bon sens."
La Floride bénéficie d'afflux massifs d'États restrictifs, d'un chômage plus faible et d'une économie florissante.
La bonne nouvelle : Le monde semble changer lentement mais sûrement pour le mieux, malgré des problèmes persistants. Des signes indubitables réveillent la croyance en un avenir plus vivable
Par le Dr Rudolf Hänsel Recherche mondiale, 17 mars 2023
Chers concitoyens ! Nous voyons, entendons et lisons beaucoup sur les problèmes du monde, sur les conséquences des soi-disant catastrophes naturelles (Turquie et Syrie), sur la guerre d'Ukraine, les nombreuses autres guerres et sur les crimes pharmaceutiques. Tous les événements touchent notre sang. Ce que nous avons tendance à négliger dans ce flot de nouvelles négatives, ce sont les signes que le monde semble changer lentement mais sûrement pour le mieux, malgré des problèmes persistants qui restent non résolus. Cela fait naître la confiance, qui inspire la foi en un avenir plus digne d'être vécu. Il faudra certainement un peu de patience jusqu'à ce que les changements positifs se reflètent également dans la vie personnelle de chaque citoyen. Mais si nous croyons au bien des gens, nous ne nous perdrons pas dans le labyrinthe des peurs pour l'avenir.
Par exemple, j'ai récemment reçu par la poste le magazine mensuel de la maison d'édition allemande Kopp-Verlag avec une pleine page de publicité pour le nouveau livre de Robert W. Malone : « Lies My Government Told Me and the Road to a Better Future . Avec une préface de Robert F. Kennedy Jr. » (1)
Parce qu'une telle publicité était inimaginable jusqu'à récemment, une occasion a été trouvée pour rapporter d'autres événements positifs sans euphorie.
Hommage à la vérité
"Quoi qu'on dise de lui aujourd'hui, Malone restera dans l'histoire comme un héros." Cette citation du présentateur de télévision américain Tucker Carlson figure déjà sur la couverture de la brochure, accompagnée d'une image du nouveau livre.
L'introduction de la page 1 se lit alors comme suit :
«En tant qu'étudiant en médecine et candidat au doctorat, Robert Malone a été le premier à inventer la technologie du vaccin à ARNm à la fin des années 1980. À l'époque, il ne pouvait pas commencer à imaginer qu'il jouerait un jour un rôle de premier plan dans un mouvement visant à exposer les dangers des vaccins à ARNm. Des milliards de personnes en ont reçu – sans être informées des risques. (2)
La suite se lit comme suit :
"Le Dr Robert Malone a été censuré par Big Tech et diffamé par les médias pour s'être prononcé contre les reportages" grand public ". (…). Le Dr Malone est la voix faisant autorité de la dissidence. Il expose le côté obscur de l'agenda Corona, il expose le rôle des médias grand public, la censure, la propagande et le nouveau monde courageux du transhumanisme promu par le Forum économique mondial et ses acolytes. Comment est-il possible que les mensonges propagés par les gouvernements persistent et que nos institutions ne parviennent pas à les cotiger ? Quel a été l'impact de la politique de Corona sur les vies, les moyens de subsistance et les démocraties ?
Le Dr Malone explore ces questions et prouve comment les données, les nouvelles et les émotions ont été délibérément déformées et manipulées pendant la pandémie. Les gouvernements ont délibérément utilisé la peur des gens comme une arme pour contrôler leur comportement. Les médias ont vilipendé quiconque résistait à la position officielle et s'exprimait. Le Dr Malone examine les liens pervers entre l'industrie pharmaceutique, les gouvernements et les médias et nous dit ce que nous pouvons faire à ce sujet. (3)
Les humains réalisent de plus en plus qu'ils sont obligés de se tendre la main pour survivre Malgré de nombreuses rechutes, l'humanité continue d'avancer avec une certitude instinctive. Un jour c'est « Tu ne tueras point », un autre jour « Aime ton prochain ! Surtout à l'époque de la guerre d'Ukraine et des nombreuses autres guerres et injustices, ce sont là des idées importantes.
Ainsi, non seulement les citoyens qui manifestent, mais aussi les politiciens réalistes du monde entier appellent à une solution diplomatique à la guerre actuelle en Ukraine et au remplacement du monde unipolaire de l'hégémonie, dans lequel un seul peut décider, par un monde multipolaire dans lequel beaucoup peuvent décider ensemble. (4).
Les diverses formes de l'éthos communautaire des êtres humains s'efforcent inexorablement d'avancer dans le but de créer une humanité unie. La certitude instinctive avec laquelle cela se produit semble être due à l'instinct de préservation des espèces.
Un changement dans le monde pour le mieux est également évident dans la libération de nombreux États africains des chaînes de siècles de colonialisme meurtrier. Par exemple, le président français a déjà proclamé la fin de l'« ère France-Afrique » coloniale (5). D'autres époques coloniales européennes et américaines toucheront également bientôt à leur fin.
Cela inclut le gouvernement canadien, sous la direction de son premier ministre actuel, présentant des excuses aux peuples autochtones pour le génocide commis contre eux (6). Des excuses ne sont que le début d'une juste réparation pour ce crime contre l'humanité – mais c'est un premier pas. Les Indiens, comme les Amérindiens, auront enregistré de près ce geste du gouvernement canadien et attendront un signal similaire de Washington (7).
En conclusion, la question se pose de savoir comment ce changement positif du monde pour le mieux affectera la vie personnelle des citoyens et pourquoi cela éveillera la croyance en un avenir plus vivable - en particulier pour nos enfants et les enfants de nos enfants ?
Ce qui pèse encore aujourd'hui sur les gens, c'est le manque d'éducation sociale. Beaucoup souffrent encore de la fiction du pouvoir et de la suffisance de l'individu. C'est pourquoi la loi sous laquelle se trouve l'humanité est également mal comprise : que les gens doivent se serrer les coudes et sont obligés de se tendre la main. La lutte pour la préservation de la vie ainsi que les problèmes de sécurité, de progrès et d'adaptation peuvent être résolus au mieux par l'unité de tous et l'entraide.
Malheureusement, le patrimoine culturel est toujours menacé et doit être reconquis chaque jour. Le développement culturel consiste essentiellement à ce que la voix de la conscience humaine se fasse de plus en plus entendre et à ce que l'esprit de responsabilité se substitue à la violence et aux guerres. Il y a des signes indéniables de cela dans le monde.
* Cet article a été initialement publié sur NRhZ-ONLINE .
Le Dr Rudolf Lothar Hänsel est recteur d'école, pédagogue (Dr pédagogue) et psychologue (Dipl.-Psych.). Après ses études universitaires, il est devenu enseignant universitaire (professeur) dans l'éducation des adultes : il a entre autres dirigé une expérience modèle d'école indépendante et formateur en cours d'emploi de conseillers d'orientation et de psychologues scolaires bavarois. En tant que retraité, il a travaillé comme psychothérapeute en pratique privée. Il a été rapporteur pour l'Allemagne lors d'une audition publique sur la délinquance juvénile au Parlement européen. Dans ses livres et ses articles, il appelle à une éducation éthique et morale consciente et à une éducation à l'esprit public et à la paix. Pour ses services rendus à la Serbie, il a reçu le prix de la République "Capitaine Misa Anastasijevic" par les universités de Belgrade et de Novi Sad en 2021.
Il contribue régulièrement à Global Research.
Remarques
(1) www.kopp-verlag.de, Kopp Aktuell. Des livres qui ouvrent les yeux. Couverture. Mars 2023
Tout miser sur l’hégémonie ; tout risquer pour éviter la ruine
Par Alastair Crooke Arrêt sur info 15 mars 2023
L’Occident est aujourd’hui trop dysfonctionnel et trop affaibli pour se battre sur tous les fronts. Pourtant, il ne peut y avoir de recul sans une humiliation de l’Occident.
De temps à autre, une fenêtre s’ouvre sur la vérité du fonctionnement du “système”. Momentanément, il se montre à nu dans sa dégénérescence. Nous détournons les yeux, et pourtant, c’est une révélation (même si cela ne devrait pas l’être). En effet, nous voyons clairement à quel point les vêtements qui l’ont habillé sont de pacotille. Le succès apparent du “libéralisme” – presque entièrement une production éphémère de relations publiques – ne sert qu’à rendre ses contradictions internes sous-jacentes plus évidentes, plus “visibles” – beaucoup moins crédibles.
Cet effritement témoigne de l’incapacité à résoudre de manière satisfaisante les contradictions inhérentes à la modernité libérale. Ou plutôt, son effritement découle du choix de résoudre une légitimité en déclin par une quête d’hégémonie toujours plus totalisante et idéologique.
L’une de ces fenêtres a été l’affaire sordide des confinements en cas de pandémie au Royaume-Uni, révélée par une fuite de 100 000 messages WhatsApp de ministres gérant le projet de confinement.
Qu’ont-ils montré (pour reprendre les termes des principaux commentateurs politiques pro-gouvernementaux) ? Une image peu flatteuse de la façon dont l’establishment occidental interagit en s’envoyant des piques entre eux et en méprisant totalement la population.
Janet Daley écrit dans le Telegraph :
“Il ne s’agissait pas de science, mais de politique. C’était évident dès que le gouvernement a commencé à parler de suivre la science – comme s’il s’agissait d’un corps fixe de vérité révélée … ils étaient engagés dans une campagne délibérément trompeuse de coercition publique. Le programme a été conçu pour effrayer – et non pour informer – et pour faire passer le doute ou le scepticisme pour une attitude moralement irresponsable – ce qui est précisément le contraire de ce que fait la science”.
“Le modèle de ce programme gouvernemental monumental, dans le cadre duquel s’asseoir sur un banc public ou rencontrer sa famille élargie est devenu un délit, était la nation en guerre. Des niveaux horribles d’isolement social ont été délibérément conçus pour présenter le pays comme mobilisé dans un effort collectif contre un ennemi malveillant. Cela allait bien au-delà de ce que nous considérons généralement comme de l’autoritarisme : même la Stasi est-allemande n’interdisait pas aux enfants de serrer leurs grands-parents dans leurs bras, ni ne proscrivait les relations sexuelles entre personnes vivant dans des foyers différents. Toute autre considération devait être reléguée au second plan dans le cadre d’une lutte nationale héroïque contre une armée d’invasion dont l’objectif était de tuer le plus grand nombre d’entre nous. Et cet ennemi était d’autant plus insidieux qu’il était invisible”.
Sherelle Jacobs:
“Nous avons eu un rare aperçu de la vraie nature du pouvoir, loin du regard des médias : comment, en privé, il manigance, jure, boude et se moque. Tous ses paradoxes lugubres sont mis en évidence : sa mégalomanie féroce et sa recherche constante de réconfort de la part de ses collaborateurs politiques, sa tendance à la pensée de groupe et ses critiques incessantes.
“On ressent une nouvelle solidarité froide avec l’Amérique des années 1970 [Watergate] dans son horreur de la “qualité d’esprit de bas étage” qui caractérisait sa classe politique. Mais le parallèle le plus fort avec le Watergate est peut-être que … les opérations de l’État semblent imprégnées d’un nihilisme banal. On le retrouve dans les croisades amusées visant à “effrayer les gens”. On le retrouve dans les moqueries pince-sans-rire des vacanciers enfermés dans des [hôtels] de quarantaine (“hilarant”). C’est dans le dévouement sans faille à la “narration”.
“Le zèle avec lequel l’État s’est lancé dans la mise en œuvre de mesures draconiennes, une fois qu’il a décidé au siège que les bouclages étaient le bon appel populiste. Nous avons appris comment Hancock (ministre de la santé) a conspiré pour “s’asseoir” sur les scientifiques, qu’il dénonçait comme “farfelus” ou “grandes gueules” pour avoir défié les lignes officielles. Nous devons digérer le fait que des fonctionnaires ont insisté sur le fait que le “facteur peur/culpabilité” était “vital” pour “intensifier les messages” lors du troisième confinement douteux. Tout aussi peu édifiante est la révélation qu’à l’approche de ce Lockdown, les politiciens se sont emparés d’une nouvelle variante comme d’un outil pour “faire rouler le terrain”. Le plus exaspérant est peut-être le conseil de Patrick Vallance (conseiller scientifique) selon lequel le gouvernement devrait “absorber l’interprétation misérable des données scientifiques par les médias” pour ensuite “surproduire” dans une atmosphère de peur exacerbée.
“Nous constatons que le Premier ministre est effroyablement bien servi et informé. C’est presque suspect. À un moment donné, il est tellement dans l’ignorance du taux de mortalité de Covid qu’il interprète mal un chiffre par un facteur de cent. [Le moment le plus révélateur a eu lieu en juin 2020, lorsque le doux secrétaire d’État aux affaires a plaidé pour que certaines règles soient consultatives plutôt qu’obligatoires. À ce stade, la circulation de Covid s’est effondrée et le nombre de décès a chuté de 93 % par rapport au pic : “Pourquoi s’oppose-t-elle à la lutte contre le virus”, se plaint le ministre. Elle est motivée par la pure idéologie conservatrice ! rétorque le secrétaire du cabinet [c’est-à-dire qu’elle est libertarienne].
“Les dossiers de Lockdown comprennent des milliers de pièces jointes envoyées entre les ministres. Lorsque je suis tombé dessus pour la première fois, j’espérais y trouver des rapports secrets de haut niveau de grande qualité. Au lieu de cela, les ministres partageaient des articles de journaux et des graphiques trouvés sur les médias sociaux. La qualité de ces informations était souvent médiocre, voire exécrable”.
Les “Lockdown Files“, publiés au Royaume-Uni par le Telegraph, révèlent une culture toxique où tout ministre ou fonctionnaire posant des questions “gênantes” savait qu’il risquait d’être dénoncé, mis à l’écart ou ostracisé. Les députés dont on pensait qu’ils s’opposaient aux fermetures étaient placés sur une liste rouge secrète, et le collaborateur du ministre de la santé de l’époque a écrit : “la réélection de ces gens dépend de nous : Nous savons ce qu’ils veulent”.
Mais les dossiers révèlent quelque chose d’encore plus effrayant. Quelle a été la réaction générale du public à la publication des dossiers ? C’est simple : La majorité des gens sont tellement anesthésiés et passifs – et tellement en phase – que l’État leur fait subir une série d’urgences répétées vers un nouveau type d’autoritarisme, qu’ils ne s’inquiètent pas beaucoup, ou même ne remarquent pas grand-chose.
Pour être clair, l’épisode de Lockdown (confinement) est emblématique de ce nouveau schéma de contrôle effectué par le biais de l’hégémonie, de l’idéologie et de la technologie. L’autonomie de l’individu – et sa recherche d’une vie ayant un sens – est désormais remplacée par son contraire : L’instinct de soumission et de domination, et d’imposition de l’ordre dans un monde incohérent et apparemment inquiétant.
Comme l’a écrit, Arta Moeini, l’État libéral gestionnaire basé sur la surveillance s’est transformé en “un Léviathan totalitaire et aspirant à s’étendre sur le globe”, frauduleusement déguisé en démocratie libérale – dont les principaux éléments libérateurs ont été remplacés depuis longtemps par leurs antonymes, dans une inversion orwellienne.
Soyons clairs : tous les excès de pouvoir de l’État qui ont eu lieu au Royaume-Uni pendant la pandémie ont été acceptés dans le cadre du système politique occidental. L’État peut à tout moment suspendre l’État de droit pour ce qu’il estime être le bien commun. La pandémie n’a fait qu’exposer le fonctionnement in extenso de la démocratie libérale – canalisant la notion de Carl Schmitt selon laquelle un “état d’exception” est le code source de la “souveraineté” de l’État sur la population
Dans ce vide éthique, et avec le chavirement du sens de la société, les politiciens occidentaux ne peuvent que s’invectiver grossièrement les uns les autres, à la manière du Seigneur des Anneaux, tout en espérant surfer sur le “récit” et le “jeu” médiatique du jour pour “élever leur niveau” dans la grille de lecture du pouvoir. Pour être franc, l’absence de principes directeurs plus profonds est tout simplement hypocrite.
Cependant, en poussant le pendule du schéma libéral si fort vers l’extrémité de l’hégémonie, il a provoqué l’embrasement de l’autre extrémité du spectre du schéma libéral global : La demande de respect de l’autonomie individuelle et de la liberté d’expression. Cette antithèse est particulièrement évidente aux États-Unis.
Le libéralisme a été conçu au début de la Révolution française comme un projet de libération systémique des hiérarchies sociales oppressives, de la religion et des normes culturelles du passé, afin qu’un nouvel ordre d’individualisme libéré puisse voir le jour. Rousseau y voyait une rupture radicale avec le passé – une dissociation de l’individu de la famille, de l’église et des normes culturelles, afin qu’il puisse mieux évoluer en tant que composante unitaire d’une gouvernance universelle rénovée.
Tel était le sens du libéralisme dans sa phase initiale. Cependant, le règne de la Terreur et les exécutions massives sous les Jacobins ont mis en évidence le lien schizophrénique entre la “libération” et le désir d’imposer la conformité à la société. L’appel persistant à la révolution violente contre la “rédemption de l’humanité” imposée (utopique) marque les deux pôles opposés de la psyché occidentale qui, aujourd’hui, sont “résolus” par l’inclinaison vers l'”hégémonie”.
Cette tension inhérente entre la libération radicale de l’individu et un “ordre mondial” conformiste devait être résolue par de “nouvelles valeurs universelles” : La diversité, le genre et l’équité, ainsi que le dédommagement des victimes pour les discriminations antérieures subies. Cette “modernité transparente” était considérée comme “globalement neutre” (contrairement aux valeurs du siècle des Lumières) et pouvait donc étayer l’ordre mondial dirigé par l’Occident.
La contradiction inhérente à cette idée était trop évidente : Le reste du monde considère l’ordre “libéral” comme un moyen trop évident de prolonger le pouvoir occidental. Il refuse son côté “missionnaire” (cet aspect n’a jamais été présent en dehors de la sphère judéo-chrétienne) et l’affirmation selon laquelle l’Occident devrait déterminer les valeurs (qu’il s’agisse des Lumières ou de l’esprit Woke) selon lesquelles nous devons tous vivre.
Le non-Occident observe plutôt un Occident affaibli et ne ressent plus le besoin d’offrir sa loyauté à un “suzerain” mondial. Le méta-cycle de l’occidentalisation forcée (de la Russie, de la Turquie, de l’Égypte et de l’Iran) est terminé.
Sa dimension mystique et son attrait ont disparu, et bien que le respect des mesures de verrouillage au Royaume-Uni (et en Europe) ait été obtenu grâce à un “projet de peur”, ce succès s’est fait au détriment de la confiance du public. En clair, l’autorité de l’Occident suscite de plus en plus de méfiance, chez nous comme à l’étranger.
La crise des contradictions et de l’autorité déclinante du libéralisme s’aggrave.
Les deux autres mantras de Carl Schmitt étaient, premièrement, de conserver le pouvoir : “Utilisez-le” (ou perdez-le) et, deuxièmement, de configurer un “ennemi” aussi polarisant et aussi “sombre” que possible afin de conserver le pouvoir – et de maintenir les masses dans la crainte et la docilité.
C’est ainsi que nous avons vu Biden, faute d’alternative, recourir à un manichéisme radical pour renforcer l’autorité contre ses opposants nationaux aux États-Unis (en les présentant ironiquement comme des ennemis de la “démocratie”), tout en utilisant la guerre en Ukraine comme un outil permettant de présenter la guerre de l’Occident contre la Russie comme une lutte épique entre la Lumière et l’Obscurité. Ces codes idéologiques manichéens dominent pour l’instant le libéralisme occidental.
Mais l’Occident s’est lui-même mis dans un piège : “devenir manichéen” met l’Occident dans une camisole de force idéologique. Il s’agit d’une crise que l’Occident a lui-même provoquée. Pour parler franchement, le manichéisme est l’antithèse de toute solution négociée ou de toute voie de sortie. Carl Schmitt était clair sur ce point : l’intention d’évoquer la plus noire des inimitiés était précisément d’empêcher toute négociation (libérale) : Comment la “vertu” pourrait-elle négocier avec le “mal” ?
L’Occident est aujourd’hui trop dysfonctionnel et trop faible pour se battre sur tous les fronts. Pourtant, il ne peut y avoir de recul (sans humiliation de l’Occident).
L’Occident a tout misé sur son système de “contrôle” géré par la peur et la “crise d’urgence” pour se sauver. Ses espoirs reposent désormais sur son système “Attention ! Le grand patron est devenu fou de colère ; il pourrait faire n’importe quoi”, qui, espère-t-il, fera reculer le monde.
Mais le reste du monde ne recule pas, il s’affirme de plus en plus. Les élites occidentales sont de moins en moins nombreuses à croire ce qu’elles disent et de moins en moins nombreuses à faire confiance à leurs compétences. L’Occident a imprudemment ” fait le grand pari ” ; il risque de tout perdre. Ou, plus dangereux encore, dans un accès de colère, il pourrait renverser les tables de jeu des autres.
Alastair CROOKE
Ancien diplomate britannique, fondateur et directeur du Conflicts Forum, basé à Beyrouth.
Dans une interview accordée à Bret Baier, de Fox News, mardi dernier, le directeur du FBI, Chris Wray, a déclaré : « Le FBI estime depuis un certain temps déjà que l’origine de la pandémie est très probablement un incident de laboratoire potentiel à Wuhan. » Comme beaucoup d’autres choses dans la vie torturée et distrayante de l’Amérique ces jours-ci, la signification de cette déclaration est passée au-dessus de la tête de presque tout le monde.
Quelle était la partie essentielle de cette déclaration ? « Depuis un certain temps maintenant…. » Mince, vraiment ? Genre, combien de temps ? Un an ? Plus que ça ? Peut-être depuis mars 2020 ? Et vous n’avez rien dit, M. le Directeur du FBI ? Vous n’avez rien fait pour dissiper les miasmes de la Covid-19 qui enveloppaient Washington DC comme une couverture de variole d’antan ? La question de savoir d’où vient le nouveau coronavirus est une féroce controverse nationale depuis fin 2019, vous comprenez. Plusieurs agences gouvernementales, dont la CIA et tous les bureaux relevant du gigantesque National Institutes of Health (NIH) – y compris le NIAID dirigé pendant des décennies par le Dr Anthony Fauci – plus la FDA et le CDC, rangés dans le Department of Health and Human Services (HHS)… toutes ces équipées ont fait semblant de ne pas connaître la véritable origine de la Covid-19 pendant plus de trois ans. Et le directeur du FBI, qui aurait pu apporter un éclairage autorisé sur la question en montant sur un podium et en s’exprimant, a simplement laissé faire tout ce chaos ? Et n’oublions pas que pendant tout le temps où Chris Wray savait avec une certitude modérée que la Covid-19 provenait du laboratoire de virologie de Wuhan, il était à la tête d’un bataillon d’agents du FBI chargés de gérer Twitter, Facebook et Google – c’est-à-dire les applications qui composent la place publique numérique – pour s’assurer que quiconque s’exprimait sur le fait que la Covid provenait du laboratoire de Wuhan était censuré, banni, annulé, et sa réputation détruite.
Alors, pourquoi M. Wray a-t-il fait cette déclaration mardi… « Le FBI a depuis un certain temps déjà évalué… » Nous entendons probablement la vieille stratégie du dommage contrôlé, une ruse vénérable, qui consiste pour un gouvernement criminellement coupable à jeter au public un os d’admission sur quelque chose qui est de toute façon de notoriété publique – la chose que tout le monde sait – tout en prétendant qu’ils étaient dans la notoriété publique depuis le début – ce qui ne fait qu’ajouter une autre couche de perfidie à la matrice géante de mensonges établie par les responsables des agences américaines dans cet épisode honteux de l’histoire des États-Unis. Ce que M. Wray a omis dans sa déclaration de cette semaine, c’est toute allusion au fait qu’un groupe de scientifiques et de médecins américains, sous la direction du Dr Fauci, était directement et intimement impliqué dans les activités de Wuhan qui ont produit le virus qui a tué des millions de personnes dans le monde, et qui ont conduit à la production à la vitesse de l’éclair d’un « vaccin » quelques semaines seulement après l’apparition de l’organisme – qui finira probablement par tuer et mutiler plus de personnes que la maladie elle-même.
Pour le groupe d’âge jusqu’à 44 ans, les décès excédentaires ont dépassé la ligne de base (normale) : 13 % en octobre, 21 % en novembre et 43 % en décembre. Pour le groupe d’âge de 45 à 64 ans, le taux de décès supérieur à la ligne de base a augmenté de 4 % en octobre, de 16 % en novembre et de 35 % en décembre. M. Dowd dit qu’on lui dit que les taux pour le premier trimestre de 2023 seront encore plus élevés. Il s’agit de ce que l’on appelle une tendance, et une tendance plutôt inquiétante.
Elle se résume à la mort d’un très grand nombre de personnes dans la force de l’âge, et ce chaque mois. Personne dans aucune des agences de santé publique américaines n’en parle. Un responsable très en vue, Rochelle Wallensky, qui dirige le CDC, est toujours occupé à prendre des dispositions pour distribuer davantage de vaccins à ARNm Pfizer et Moderna aux écoliers américains – les « vaccins » étant les principaux suspects à l’origine de ces étonnants taux de mortalité excessifs chez les jeunes et les travailleurs. Beau travail, Rochelle !
Comment les quelque 70 % d’Américains vaccinés font-ils face à cette réalité ? Beaucoup, bien sûr, remarquent que des membres de leur famille, des amis, des collègues, des sportifs, des connaissances sont malades et meurent soudainement d’insuffisance cardiaque, d’accidents vasculaires cérébraux, de cancers agressifs, d’étranges problèmes neurologiques et d’autres syndromes mystifiants. Jusqu’à présent, la réaction générale semble être un désespoir insensible. Mais les vaccinés encore en vie doivent également faire face à l’anxiété de ce qui se passe dans leur propre corps. Peut-être ont-ils entendu les voix les plus extrêmes, en marge de cette discussion, murmurer que chaque personne vaccinée pourrait, d’une manière ou d’une autre, connaître une mort précoce. Ce serait une raison de se retirer dans la première étape du transect de deuil de Kübler-Ross, qui est le déni… et de se mettre à l’abri… pour le moment. C’est beaucoup de choses à gérer.
Et ensuite ? Considérez qu’environ 30 % des Américains n’ont pas reçu le vaccin et ne sont pas inquiets à l’idée qu’ils sont fichus – malgré les limites fondamentales de la condition humaine. Ces 30 % d’Américains, et peut-être même une partie des 70 % d’Américains vaccinés, seront peut-être préoccupés par les autres menaces énormes qui pèsent sur notre vie nationale : le projet fou de l’Ukraine, qui ressemble à l’ouverture de la troisième guerre mondiale (non merci) ; et l’effondrement de l’économie américaine, avec des caractéristiques telles que la nourriture et le carburant inabordables, la pénurie de pièces pour réparer tout ce qui est cassé, et une bonne chance que les comptes de retraite soient vidés lors d’une prochaine « correction » du marché des actions et des obligations.
Tout cela pour demander : quand les habitants de ce pays vont-ils enfin se mettre en colère contre les gestionnaires qui dirigent tout ? Et quand les gens commenceront-ils à exprimer leur nouvelle rage ? Je vais faire une supposition. D’ici le mois de mai, lorsque le temps commencera vraiment à s’éclaircir, les gens seront dans les rues pour écraser tout ce qui semble représenter l’autorité. Bienvenue dans la saison du vrai chaos et de la crise, qui pourrait durer plusieurs saisons, voire des années. Prenez grand soin de vous-mêmes et de vos situations. Préparez-vous si vous le pouvez. Qu’est-ce que ça fait… d’être seul ? Le barde a chanté il y a soixante ans. Nous le saurons bientôt.
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
Bilan Corona en Norvège dominé par les demi-vérités et le révisionnisme
17 mars 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Ces jours sont « la pandémie » ou le (premier) « confinement » pour la troisième fois. Les autorités sanitaires norvégiennes dressent un bilan médiatique révélateur, caractérisé par des demi-vérités, un manque de preuves et des sophismes, mais qui donne au moins quelques indications : la "vaccination" a été manifestement inefficace quant à sa "fonction protectrice" (et la Norvège est obstinément silencieuse sur les effets secondaires possibles), mais montre également ce qui est à venir : plus de « préparation » pour la prochaine « pandémie » et un certain nombre d'autres « ingrédients actifs » de modARN sont prévus ou font déjà l'objet d'études cliniques (voir par exemple ici ) .
Le 13 mars 2023, un article extrêmement perspicace, bien que truffé de problèmes massifs, est paru dans Bergens Tidende , le quotidien de la deuxième plus grande ville de Norvège, Bergen. Dans l'article, que vous pouvez retrouver traduit ici en extraits*, le Dr. Espen Nakstak, directeur adjoint de la santé, et Dr. Preben Aavitsland, chef du département des maladies infectieuses du Folkeheleseinstituttet (par exemple, le bureau de la santé publique, l'homologue norvégien de l'AGES ou du BASG) a fait une déclaration détaillée à l'occasion du 3e anniversaire de la "pandémie".
(*Référez-vous à ma sous-pile pour une traduction complète en anglais.)
Toutes les traductions et les accents sont de moi, de même que les commentaires et les annotations à la fin.
Trois ans avec Corona, Bergens Tidende
A l'occasion de "l'anniversaire" du premier "lockdown", qui en Norvège, comme en Autriche, était initialement limité à deux semaines ("deux semaines pour aplatir la courbe"), Espen Nakstad a commenté ainsi :
Nous sommes actuellement dans une phase calme de la pandémie et ce depuis un certain temps . La situation en Norvège et en Europe est désormais stable , bien qu'il y ait encore quelques hospitalisations pour infections respiratoires. Dans l'ensemble, en mars 2023, il y a eu autant d'admissions à l'hôpital pour infections respiratoires qu'il y en aurait autrement au cours d'une année normale .
Son collègue du Folkehelseinstituttet, Preben Aavitsland, a fait une déclaration similaire :
Dans les années à venir, nous verrons deux, trois ou peut-être quatre vagues de COVID-19 par an. Ceux-ci sont susceptibles de devenir de plus en plus petits et d'attirer de moins en moins d'attention et d'intérêt.
La ministre norvégienne de la Santé, Ingvild Kjerkol, du Parti travailliste, a ajouté :
Je suis heureux que notre vie quotidienne soit largement revenue à la normale . Dans le même temps, nous sommes préparés à de nouvelles vagues de coronavirus si la situation devait changer. Nous avons une stratégie de réponse à jour que nous poursuivons et ajustons si nécessaire.
Niveaux élevés d'« immunité de la population » – mais d'où ?
Les passages les plus aventureux se trouvent au milieu de la contribution de Bergens Tidende, qu'il convient ici de citer en détail. Nakstad déclare :
Nous avons atteint un niveau élevé d'immunité de la population après la vaccination et la maladie. Je crois que l'immunité de la population continuera d'augmenter en Norvège et dans le monde en 2023. En conséquence, bien qu'il puisse y avoir des vagues d'infection localement et internationalement, nous verrons de moins en moins de vagues d'hospitalisation.
Cependant, Nakstad ne parvient pas à différencier la cause de ce niveau d'immunité de la population. Cela est très probablement dû à deux facteurs : comme l'indique un document de planification du Folkehelseinstituttet du 8 novembre 2022, les autorités « savent exactement qui a reçu combien de doses », mais pas combien de personnes sont infectées. (Le document n'est pas paginé, mais vous pouvez lire un compte rendu détaillé sur ma sous-stack .)
Nous en concluons donc que l'avenir s'annonce plutôt prometteur grâce à la « croyance » du directeur adjoint de la santé.
Son collègue Aavitsland du Folkehelseinstituttet souligne également que presque tous les habitants du pays sont désormais infectés par le virus corona, ce qui permet au moins de tirer des conclusions sur l'efficacité - plutôt : l'inutilité - des injections administrées :
La protection contre l'infection diminue de manière significative dans les six mois suivant l'infection ou la vaccination. Presque tous ceux qui sont infectés maintenant le seront pour la deuxième ou la troisième fois. Nous pouvons toujours tomber vraiment malades, mais le risque de tomber suffisamment malade pour nécessiter une hospitalisation diminue.
Il s'agit d'une déclaration très problématique, qui est contredite par les informations fournies par le Folkehelseinstituttet . Le tableau suivant se trouve également dans le document de planification lié ci-dessus :
Ceci décrit les considérations ou attentes de modélisation du Folkehelseinstituttet , qui montrent que le seuil d'efficacité attendu de 50 % (de réduction du risque relatif) des injections corona est fixé entre 27 et 40 jours après la dernière "vaccination". Cela signifie que la "protection vaccinale" contre l'infection - au 1er octobre 2022 - est comprise entre quatre et sept semaines (en effet, avec de tels calculs, une fois le seuil de 50 % dépassé, il ne peut plus être prouvé qu'une éventuelle Conséquences comme une infection ou dont l'absence a été provoquée par une intervention médicale ou par le système immunitaire).
Statut vaccinal et « effet protecteur »
"Chaque semaine", selon Bergens Tidende , il y a encore des "décès associés au corona" en Norvège, qui résultent des près de 150 hospitalisations par semaine actuellement. Accessoirement, la définition des « décès associés au corona » est problématique, puisqu'aucune distinction n'est faite entre la cause du décès « corona » ou d'autres causes (p. 25) :
Pour les décès liés à la COVID-19, il existe une incertitude quant à la mesure dans laquelle une cause de décès indiquée sur le certificat de décès a réellement contribué au décès signalé.
Les informations contiennent donc à la fois des personnes décédées « de Covid » et « avec Covid » – et sont donc dénuées de sens pour des considérations fondées sur des preuves.
Selon Bergens Tidende, "environ la moitié" des "hospitalisations associées au corona" sont le résultat de Covid, "le reste est amené avec d'autres maladies et a également le corona". Il y a un silence obstiné sur le statut vaccinal des personnes hospitalisées - et cela malgré le fait que les autorités, comme expliqué ci-dessus, sont au courant de chaque "vaccination" administrée.
Le rapport hebdomadaire actuel (n°10, 6-12 mars 2023, p. 17) ne contient que le graphique suivant :
- voir graph sur site -
Cela montre «l'incidence hebdomadaire combinée des nouveaux décès ou hospitalisations dus au Covid-19 comme cause principale». Comme indiqué dans la légende, « To doser » désigne 2 doses (et pas plus de coups), « tre doser » à 3 trois (et pas plus) et « fire doser » à 4 injections (et pas plus). Les vaccinés simplement ne sont pas enregistrés.
Le statut vaccinal par cohorte d'âge se trouve dans un tableau en page 62 ; cela peut également être compris sans connaissance du norvégien - et donc je ne vous donnerai ici "que" les informations suivantes :
Sur les quelque 4,5 millions de personnes âgées de plus de 16 ans en Norvège, 93 % sont célibataires, 92 % sont doublement vaccinées et 65 % sont triplement vaccinées (et 19 % quadruplement). Sur près de 2,5 millions de personnes âgées de plus de 45 ans, 94 % sont célibataires, 93 % sont doublement vaccinées, 83 % sont triplement vaccinées et 34 % sont quadruplement vaccinées. Sur un peu plus d'un million de personnes âgées de plus de 65 ans, 96 % sont célibataires, 96 % sont doubles, 92 % sont triples et 67 % sont quadruples vaccinées. L'"efficacité" de la vaccination, qu'Aavitsland évalue à "quelques mois", peut être qualifiée de négligeable, du moins pour les moins de 65 ans, sur la base des informations du tableau 9.
Surmortalité et tentatives d'explication L'avant-dernière section du bilan Corona est consacrée aux "décès associés au corona" - bien que définis de manière problématique. Depuis le début de la "pandémie" il y a trois ans, un total de 5 230 décès liés au corona ont été enregistrés en Norvège. Selon les informations officielles du Folkehelseinstituttet , "337 décès corona" ont été enregistrés jusqu'à présent en 2023. Concernant Nakstad :
Nous voyons des signes que le taux de mortalité dans la population est probablement plus bas maintenant qu'il ne l'était avant la pandémie. Cela suggère qu'il n'y a actuellement aucune augmentation spectaculaire des infections, ce qui est bien sûr un bon signe.
Il s'agit d'une affirmation très problématique, puisqu'on nous demande à nouveau de donner foi à une évaluation sans preuves ("probable"). Les chiffres officiels d'infection sont probablement plus bas qu'ils ne l'ont été depuis longtemps car pratiquement aucun test n'est effectué en Norvège.
- voir graph sur site -
Accessoirement, depuis le 23 juin 2022, les données de test ne sont également plus mises à jour par « Our World in Data » .
Nakstad souligne que "seuls ceux qui recherchent un traitement médical, sont admis à l'hôpital ou sont ciblés pour un traitement par pilule [Paxlovid, disponible en Norvège depuis le 8 décembre 2022] sont recommandés pour être testés". Les conséquences de cela, selon Nakstad, sont claires :
En conséquence, il est difficile de donner une estimation précise du nombre de personnes actuellement touchées par le coronavirus, même lorsque nous maîtrisons le nombre d'hospitalisations.
Encore une fois, pour rappel : les «chiffres exacts» sur les vaccinations corona administrées sont également connus, mais ne sont pas publiés par les autorités sanitaires. Soit dit en passant : il y a un peu plus de données à ce sujet – dans le rapport hebdomadaire actuel cité, page 20, sur les vaccinations contre la grippe : 47 % des hospitalisations sont « uvaksinées » (non vaccinées), les 53 % restants sont vaccinés, ce qui – fait intéressant – maintenant aussi avec la vaccination contre la grippe avec la fenêtre de temps de 14 jours connue du programme de vaccination corona - y compris tous les problèmes méthodologiques associés - est différenciée de l'injection.
En ce qui concerne les "chiffres de décès associés au corona" rapportés, il convient également de noter que cette information est problématique :
434 personnes sont décédées du ou avec le Covid jusqu'au 27 décembre 2020 (avant le début de la campagne de vaccination le 27 décembre 2020). Du 28 décembre 2020 au 2 janvier 2022, il y a eu 487 décès liés au Covid «non vaccinés» et 388 «entièrement vaccinés» en Norvège. en 2022, il y a eu 2 977 décès « associés à Covid ». Selon les données officielles ( bilan des semaines 43 et 44/2022, p. 46), la couverture vaccinale pour tous les résidents de plus de 16 ans était de 91 % (1 dose), 87 % (2 doses), 66 % (3 doses) et 16 % (4 doses). La prise de rappels chez les personnes âgées était significativement plus élevée : 92 % de toutes les personnes âgées (65 ans et plus) avaient reçu une troisième dose à ce stade, et 63 % avaient reçu une dose supplémentaire (la 4e).
Dans l'article de Bergens Tidende cité ici , le total officiel est donné à 5 230 de ces « décès associés au corona ». C'est étrange car l'ajout des décès énumérés ci-dessus de 2020, 2021 et 2022 donne un total de 4 286 personnes.
La différence entre ce nombre et les 5 230 mentionnés ci-dessus est de 944, ce qui contraste avec les 337 "décès liés au corona" rapportés dans l'article discuté ici.
En dehors de cela, on peut s'attendre avec une probabilité proche de la certitude qu'en 2023 l'écrasante majorité de ces "décès associés au corona" surviendra également dans les 96% de la population au moins une fois vaccinée parmi les "vaccinés".
Les déclarations sur «l'efficacité» de la «vaccination corona» auraient probablement dû être superflues sur la base de ces indications.
Situation et perspectives des autorités norvégiennes Les déclarations suivantes sont disponibles auprès de Nakstad :
Nous avons une nouvelle maladie. Indépendamment de la vaccination, elle sera toujours dangereuse pour les personnes les plus âgées et les plus fragiles, par exemple dans les EHPAD. Avec les vaccins d'aujourd'hui, nous ne pouvons pas les protéger complètement. Alors, comme la grippe aujourd'hui, le coronavirus deviendra un tueur assez commun des plus âgés et des plus infirmes .
Cela devrait probablement aussi rendre superflu le « débat » sur d'éventuelles « mesures de protection » pour la société dans son ensemble. "Les vaccins d'aujourd'hui" "ne fonctionnent pas complètement", comme Nakstad - certainement un candidat au titre de "M. Euphémisme 2023 » – admet.
Aavitsland du Folkehelseinstituttet a déclaré :
Bien sûr, il y a un petit risque que le virus change radicalement et devienne encore plus contagieux et provoque des maladies encore plus graves. Ce serait alors plutôt une nouvelle pandémie .
Nakstad adopte un point de vue similaire :
Le virus est en constante mutation et a beaucoup changé au cours de sa phase Omicron. Néanmoins, la proportion de maladies graves n'a cessé de diminuer, ce qui est bon signe... Nous avons beaucoup appris au fil du temps sur la façon de vivre avec un virus pandémique sans que cela n'affecte trop notre quotidien et sans que le système de santé ne s'effondre. Surtout depuis l'introduction du programme de vaccination, nous avons pu mener une vie relativement normale en Norvège.
Cependant, la dernière phrase sur le rôle du "programme de vaccination" est - comme mentionné - problématique. Ceci non seulement à cause des considérations faites, mais aussi parce que les bureaucrates de la santé eux-mêmes (comme cité ci-dessus) n'utilisent pas des mots aussi clairs. Au contraire, et donc la "croyance" des principales autorités et la "probabilité" sans preuves doivent être rappelées ici.
Le chevalier Vaccinationsteel Helms sur Si la "pandémie" nous a appris quelque chose, c'est que les autorités sanitaires sont pleinement engagées dans le génie génétique des médicaments modRNA. Concernant Nakstad :
La pandémie nous a appris des leçons utiles et fait progresser la recherche sur les vaccins dans la bonne direction. Dans le même temps, il existe encore une grande incertitude concernant les maladies infectieuses pouvant être transmises des animaux aux humains, les soi-disant zoonoses.
La réflexion ou même la perspicacité face à leurs propres données semble différente.
Nakstad dit ce qui suit à propos de la gestion de crise :
Les leçons que nous avons apprises s'appliquent également à d'autres types de gestion de crise, et il est important de garder cela à l'esprit.
Ce n'est rien de plus qu'une menace ouverte, même dans le cas d'"autres types" d'incidents, qu'ils soient factuellement vérifiables - voir le non-test depuis l'été dernier, qui a été utilisé au début de la "pandémie" pour sa "justification" - ou revendiqué.
Cependant, comme le montre le rapport de la Commission norvégienne Corona (p. 445, également dans ma traduction et avec mon emphase), qui a été présenté fin avril de l'année dernière, ces faits ne jouent guère de rôle :
La population norvégienne se distingue dans le contexte international en ce que nous avons un haut niveau de confiance les uns envers les autres et envers les autorités ... Nous pensons que ce haut niveau de confiance a contribué au soutien de la population aux mesures de contrôle des infections et qu'ils ont généralement suivies, qu'elles soient émises sous forme de mandats ou de recommandations. Le niveau élevé de confiance a également contribué à la couverture vaccinale élevée de la population. Le niveau de conflit lié à la gestion de la pandémie a toujours été faible en Norvège, alors même que la crise s'est prolongée et que les nombreuses mesures ont fait des ravages sur la population .
Tout au long de la pandémie, le public a exprimé sa confiance dans la gestion de la situation par les autorités. Dans les enquêtes, les deux tiers de la population ont toujours déclaré qu'ils faisaient confiance aux autorités pour avoir pris les mesures nécessaires pour contrôler l'infection, et une proportion égale a déclaré faire confiance aux informations qu'ils avaient reçues des autorités sanitaires. La longue pandémie ne semble pas avoir ébranlé la confiance fondamentale qui caractérise la société norvégienne
Ces passages datent d'environ un an - et compte tenu du bilan Corona de cette année, ils me choquent beaucoup, mis à part les comparaisons directes avec ce que les politiciens autrichiens, les "experts" et leurs porteurs d'eau en disent dans les "médias de premier plan et de qualité ". .
Si vous regardez ce rapport de la Commission Corona à la lumière du bilan Corona dressé par les autorités sanitaires norvégiennes ces jours-ci, il est difficile de ne pas en tirer la conclusion suivante.
Des mesures plus dures - comme en Allemagne ou en Autriche - pourraient être évitées car 2/3 de la population faisait plus ou moins aveuglément confiance aux autorités et aux "experts". Si le taux de vaccination en Norvège - qui, soit dit en passant, ne diffère pas des taux en Allemagne ou en Autriche, bien que ces derniers aient été "achetés" avec beaucoup plus de coercition - a été atteint sans ces mesures coercitives et cette propagande massive, deux conclusions s'imposent :
- voir graph sur site -
1 - Les Allemands et les Autrichiens, qui ont résisté pendant des années aux pressions massives, inconstitutionnelles et largement dépourvues de preuves des politiciens, des "experts" et de leurs exécuteurs volontaires dans les "médias de premier plan et de qualité", ont manifestement appris beaucoup "plus" de "l'histoire" que leurs compagnons norvégiens.
2 - Si la couverture vaccinale en Norvège avait été différente, les politiciens, les "experts" et leurs exécuteurs volontaires dans les "médias de premier plan et de qualité" seraient certainement passés à attaquer la population et seraient probablement allés ici aussi pour "voir les rênes resserré " ( Alexander Schallenberg)
Toutes ces choses se sont déjà produites – et il est extrêmement important de faire passer le mot pour que les conséquences ne se révèlent pas être ce que le ministre de la Santé Kjerkol, entre autres, dit « afin que nous soyons bien préparés pour l'avenir » :
La préparation est une partie importante du travail du gouvernement et nous en ferons le suivi à la fois dans le rapport de santé publique qui doit être publié le 31 mars et dans le rapport de préparation sur la santé qui doit être publié à l'automne.
« Passeports verts », identification numérique et contrôles de consommation et d'accès resteront donc avec nous – et les autorités partout et à l'unisson disent que les « leçons de la pandémie » devraient bientôt être appliquées à d'autres contextes.
Il est donc grand temps de se préparer aux conséquences attendues : résister aux débuts.
(...) Il est donc grand temps de se préparer aux conséquences attendues : résister aux débuts. (...)
Encore eut-il fallut que le public sache ce qu'est un virus ! Mais, les trop gros cons pour ouvrir dictionnaire ou chercher sur le net en sont donc restés plantés/scotchés devant leur télé-merde, radio-merde et journaux pour se torcher le cul !
Pourtant... la vérité était là dès le début ! Les merdias l'ont annoncé "C'est un virus !" et non "C'est un microbe !" Et, comme un virus est une poussière et que toutes les poussières sont inoffensives (sauf les poussières radioactives), donc y a pas à paniquer. Or, il existe des milliers de laboratoires dans le monde qui analysent l'air tous les jours. Et, AUCUN de ces laboratoires d'analyses n'a trouvé de 'cocovide19' !! Çà alors !! Mais alors... où est-ce qu'il est-il ?? Il est... il est... il est dans la seringue ! EH OUI ! Vous ne l'attendiez pas ! Et bêh VOUS L'AVEZ ! HAHAHAHA ! "T'es piqué tu l'as, tu l'as t'es mort !" Pas belle la vie ? Moins de cons sur Terre.
Associations médicales en Autriche : composition de la commission disciplinaire inconstitutionnelle
18 mars 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Une décision récente de la VFGH a également été déclenchée par la liste de l'association médicale "Nous sommes des médecins et non des chambres". La Cour constitutionnelle a abrogé la disposition de la loi sur les médecins selon laquelle le comité de discipline de l'Ordre des médecins est nommé sur proposition du ministère de la Santé.
Les associations médicales et surtout leurs commissions de discipline ont joué un rôle douteux ces trois dernières années. Des verdicts disciplinaires ont été rendus pour des motifs contraires à la preuve et les médecins de la commission n'avaient apparemment aucune idée de la façon de citer correctement. Par exemple, il était simplement écrit qu'il y avait des études sur www.medRxiv.com . Cependant, ils peuvent dire exactement le contraire de ce que soupçonnait le commissaire disciplinaire.
Avec des arguments qui étaient et sont contra lege artis, la liberté de choix du traitement pour les patients a été massivement restreinte, non seulement par les commissions disciplinaires, mais par les responsables politiques des chambres.
Tribunal politique
Comme on le sait, de nombreux médecins qui ont objectivement critiqué les mesures gouvernementales et se sont opposés à la réglementation dans l'intérêt de leurs patients ont fait l'objet de rapports disciplinaires arbitraires et existentiels pendant la crise de Corona. Les commissions fermées de l'association médicale avaient souvent l'apparence d'un simulacre de procès, comme dans les États autoritaires où la condamnation était prédéterminée.
En conséquence, de nombreux médecins critiques ont également été condamnés. Non seulement des amendes sensibles et parfois existentiellement menaçantes ont été infligées, mais parfois même la licence du médecin a été révoquée.
Sur quoi DDr. Christian Fiala, porte-parole de la liste "Nous sommes médecins et non chambres" et d'autres médecins ont porté plainte auprès du tribunal administratif de l'Etat et se sont notamment plaints de la composition inconstitutionnelle de ce "tribunal" interne à la chambre. La Cour administrative s'est alors tournée vers la Cour constitutionnelle.
Y aura-t-il maintenant des demandes de dommages-intérêts ?
La critique de la liste des médecins du comité de discipline s'avère aujourd'hui justifiée : en témoignent également la surmortalité désormais manifeste liée à la vaccination, la chute massive des naissances 9 mois après la campagne de vaccination, ainsi que la volonté déterminée inefficacité de la protection de la bouche et du nez.« Nous avons toujours critiqué l'arbitraire de cette commission de chambre et son inconstitutionnalité. Beaucoup de nos collègues ont été intimidés, réduits au silence et menacés existentiellement. Je m'attends maintenant à ce que, sur la base de cette décision, de nombreux collègues déposent des demandes de dommages-intérêts contre l'ordre médical, mais aussi contre les personnes qui ont servi cette justice politique et intimidé les médecins avec l'aide de ces commissions - désormais officiellement inconstitutionnelles - - au moins, nous soutiendrons dans ce différend juridique.
Faible impact
Comme l'explique l'avocat Georg Prchlik, la Cour constitutionnelle a accordé au législateur un très long délai jusqu'au 30 septembre 2024 (!) pour réparer la loi. Les dispositions n'expireront que le 30 septembre 2024 et devront être appliquées jusque-là. (Ils ne sont pas utilisés dans la procédure sur laquelle la contestation était fondée, c'est-à-dire dans la procédure pendante devant le tribunal administratif dans laquelle le tribunal administratif a arrêté la procédure et a récusé la Cour constitutionnelle.)
La décision VfGH n'a aucun effet sur les procédures qui ont déjà été définitivement conclues; en particulier, aucune sanction disciplinaire imposée par la loi ne sera levée.
Cependant, la Cour constitutionnelle a la possibilité d'une influence inadmissible de la politique (du ministre) sur le Conseil de discipline et, par conséquent, la preuve du contrôle politique des décisions du Conseil de discipline pourrait être facilitée.
Mais surtout, le système des associations médicales sera préservé. Différent en Hongrie. Depuis, un parlement soucieux des intérêts des médecins en activité et de leurs patients a levé l'obligation d'adhésion aux associations médicales.
Le secrétaire à la Santé, Péter Takács, a expliqué que l'Association médicale menaçait la sécurité des patients en abusant de son pouvoir et en faisant pression sur les médecins qui, comme ils l' ont juré dans leur serment, veulent juste travailler et guérir. « Avec l'amendement à la loi qui vient d'être voté, nous avons retiré cet instrument des mains de la Chambre. Nous protégeons ainsi nos propres confrères, les médecins, qui peuvent désormais travailler sans être membre de la Chambre » , a déclaré le secrétaire d'État début mars 2023 .
La crise du nouvel ordre mondial et « la reproduction de la vraie vie » : nourriture, eau et énergie. Trois nécessités fondamentales de la vie en péril
Une guerre ouverte contre toute l'humanité : les 8 milliards d'habitants de la planète
Par le Pr Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 18 mars 2023
Introduction
L'ampleur et la complexité de la crise économique et sociale mondiale de 2020-2023 dépassent de loin toutes les « dépressions » précédentes, y compris la récession de 2007-2009 , qui a été classée comme la crise économique la plus grave depuis la Grande Dépression de 1929.
Nous sommes actuellement au carrefour de la plus grave crise économique et sociale de l'histoire mondiale. C'est une guerre pure et simple contre toute l'humanité : les 8 milliards d'habitants de la Planète.
La crise mondiale actuelle (2020-2023) – qui se poursuit – a littéralement perturbé et détruit la vie des gens dans le monde entier au cours des trois dernières années.
Tout est lié :
la pandémie de Covid, le vaccin ARNm, la déstabilisation incessante de l'économie mondiale entraînant une pauvreté de masse, des famines, la déstabilisation de l'État-nation, la destruction de la démocratie, la guerre en Ukraine, l'effondrement artificiel de la production, la hausse des prix de l'énergie et de l'alimentation, fraude financière, gouvernements corrompus, désinformation médiatique, la disparition de la diplomatie internationale, la menace d'une guerre nucléaire. L'article ci-dessous a été écrit il y a quinze ans en juin 2008 au plus fort de la crise économique de 2007-2009.
L'accent est mis sur « la nourriture, l'eau et le carburant. Trois nécessités fondamentales de la vie en péril ». Inutile de dire que ces concepts ont une incidence directe sur notre compréhension de la crise économique et sociale 2020-2023 en cours.
L'accès à la nourriture, à l'eau et à l'énergie relève de la « reproduction de la vie réelle » qui est la base même de la civilisation humaine .
La « reproduction de la vie réelle » ne se limite pas aux « besoins humains fondamentaux » ( par exemple, la privatisation de l'eau, la reproduction du cycle agricole ). Il concerne également la reproduction simultanée des institutions de la société civile, y compris les écoles et les universités, la science, la connaissance, les relations sociales et familiales, les structures de l'État-nation, la justice, la culture, l'histoire, les relations internationales, qui sont actuellement menacées .
L'article se concentre également sur le programme américain de contrôle de la population tel qu'il figure dans le National Security Study Memorandum 200 (NSSSM 200) formulé sous l'administration Nixon.
Le Congrès américain a créé une commission sur « la croissance démographique et l'avenir américain ». (Voir Centre de recherche sur la population et la sécurité) .
Sous la direction d' Henry Kissinger, l'objectif tacite de la Commission était de réduire la population mondiale en vue de servir les intérêts stratégiques et de sécurité nationale des États-Unis.
Il convient de noter que le NSSSM 200 a été la source d'inspiration de Klaus Schwab, et al dans la formulation du programme de dépopulation du Forum économique mondial.
Ce qui est en jeu est un projet formulé par les élites financières pour saper la "Reproduction de la Vraie Vie" , par laquelle de larges secteurs de la population mondiale seront précipités dans une pauvreté et un désespoir abyssaux.
Michel Chossudovsky, Global Research, 17 mars 2023
* * *
La crise mondiale : nourriture, eau et carburant. Trois nécessités fondamentales de la vie en péril
de Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 05 juin 2008
(légère modification par l'auteur)
* * *
Les balles enrobées de sucre du "marché libre" tuent nos enfants. L'acte de tuer est instrumenté de manière détachée par le commerce de programmes informatiques sur les bourses commerciales de New York et de Chicago, où les prix mondiaux du riz, du blé et du maïs sont décidés.
La pauvreté n'est pas uniquement le résultat d'échecs politiques au niveau national. Les habitants de différents pays s'appauvrissent simultanément en raison d'un mécanisme de marché mondial. Un petit nombre d'institutions financières et de sociétés mondiales ont la capacité de déterminer, par la manipulation du marché, le niveau de vie de millions de personnes dans le monde.
Nous sommes au carrefour de la plus grave crise économique et sociale de l'histoire moderne. Le processus d'appauvrissement mondial déclenché au début de la crise de la dette des années 1980 a atteint un tournant majeur, conduisant à l' apparition simultanée de famines dans toutes les grandes régions du monde en développement.
De nombreuses caractéristiques complexes sous-tendent la crise économique mondiale concernant les marchés financiers, le déclin de la production, l'effondrement des institutions de l'État et le développement rapide d'une économie de guerre axée sur le profit . Ce qui est rarement mentionné dans cette analyse, c'est la façon dont cette restructuration économique mondiale empiète de manière forcée sur trois nécessités fondamentales de la vie : la nourriture, l'eau et le carburant.
L'approvisionnement en nourriture, en eau et en carburant est une condition préalable à une société civilisée : ce sont des facteurs nécessaires à la survie de l'espèce humaine. Ces dernières années, les prix de ces trois variables ont augmenté de façon spectaculaire au niveau mondial, avec des conséquences économiques et sociales dévastatrices.
Ces trois biens ou marchandises essentiels, qui déterminent dans un sens réel la reproduction de la vie économique et sociale sur la planète terre , sont sous le contrôle d'un petit nombre d'entreprises mondiales et d'institutions financières.
Tant l'État que l'ensemble des organisations internationales – souvent appelées la « communauté internationale » – servent les intérêts absolus du capitalisme mondial. Les principaux organismes intergouvernementaux, dont les Nations Unies, les institutions de Bretton Woods et l'Organisation mondiale du commerce (OMC), ont approuvé le Nouvel Ordre mondial au nom de leurs sponsors. Les gouvernements des pays développés et en développement ont abandonné leur rôle historique de régulation des variables économiques clés ainsi que d'assurer un minimum de subsistance à leur population.
Des mouvements de protestation dirigés contre la hausse des prix des denrées alimentaires et de l'essence ont éclaté simultanément dans différentes régions du monde. Les conditions sont particulièrement critiques en Haïti, au Nicaragua, au Guatemala, en Inde, au Bangladesh. La flambée des prix des denrées alimentaires et du carburant en Somalie a précipité le pays tout entier dans une situation de famine massive, associée à de graves pénuries d'eau. Une situation similaire et tout aussi grave prévaut en Éthiopie.
Parmi les autres pays touchés par la flambée des prix des denrées alimentaires figurent l'Indonésie, les Philippines, le Libéria, l'Égypte, le Soudan, le Mozambique, le Zimbabwe, le Kenya, l'Érythrée, une longue liste de pays pauvres…, sans parler de ceux sous occupation militaire étrangère, notamment l'Irak, l'Afghanistan et la Palestine.
La plupart de ces ouvriers de Kurigram ont faim au cours de ces trois mois à cause du chômage et de la hausse du prix des produits de première nécessité
L'approvisionnement en vivres, en eau et en carburant ne fait plus l'objet d'une réglementation ou d'une intervention gouvernementale ou intergouvernementale, en vue de réduire la pauvreté ou d'éviter le déclenchement de famines.
Le sort de millions d'êtres humains est géré à huis clos dans les salles de réunion des entreprises dans le cadre d'un programme axé sur le profit.
Et parce que ces puissants acteurs économiques opèrent à travers un mécanisme de marché apparemment neutre et "invisible", les impacts sociaux dévastateurs des hausses artificielles des prix des aliments, du carburant et de l'eau sont ignorés avec désinvolture en raison de considérations d'offre et de demande.
Nature de la crise économique et sociale mondiale
Largement occultées par les rapports officiels et médiatiques, la « crise alimentaire » comme la « crise pétrolière » sont le résultat de la manipulation spéculative des valeurs marchandes par de puissants acteurs économiques.
Nous n'avons pas affaire à des « crises » alimentaires, énergétiques et hydriques distinctes et séparées, mais à un processus mondial de restructuration économique et sociale.
La flambée des prix de ces trois produits essentiels n'est pas fortuite. Les trois variables, y compris les prix des aliments de base, l'eau pour la production et la consommation et le carburant font l'objet d'un processus de manipulation délibérée et simultanée du marché.
Au cœur de la crise alimentaire se trouve la hausse des prix des denrées alimentaires de base couplée à une augmentation spectaculaire du prix du carburant.
Parallèlement, le prix de l'eau qui est un intrant essentiel à la production agricole et industrielle, aux infrastructures sociales, à l'assainissement public et à la consommation des ménages a augmenté brutalement à la suite d'un mouvement mondial de privatisation des ressources en eau.
Nous avons affaire à un bouleversement économique et social majeur, une crise mondiale sans précédent, caractérisée par la relation triangulaire entre l'eau, la nourriture et le carburant : trois variables fondamentales, qui ensemble affectent les moyens mêmes de survie humaine.
Concrètement, ces hausses de prix appauvrissent et détruisent la vie des gens. De plus, l'effondrement mondial du niveau de vie se produit en temps de guerre. Elle est intimement liée à l'agenda militaire. La guerre au Moyen-Orient est directement liée au contrôle des réserves de pétrole et d'eau.
Si l'eau n'est pas aujourd'hui une marchandise faisant l'objet d'échanges internationaux au même titre que le pétrole et les denrées alimentaires de base, elle fait aussi l'objet de manipulations de marché à travers la privatisation de l'eau.
Les acteurs économiques et financiers opérant à huis clos : – les principales banques et sociétés financières de Wall Street, y compris les spéculateurs institutionnels qui jouent un rôle direct sur les marchés des matières premières, y compris les marchés pétrolier et alimentaire
-Les géants anglo-américains du pétrole et de l'énergie, dont British Petroleum (BP), ExxonMobil, Chevron-Texaco, Royal Dutch Shell
– Les conglomérats biotech-agro-industriels, qui détiennent les droits de propriété intellectuelle sur les semences et les intrants agricoles . Les sociétés de biotechnologie sont également des acteurs majeurs sur les bourses marchandes de New York et de Chicago.
– Les géants de l'eau dont Suez, Veolia et Bechtel-United Utilities , impliqués dans la vaste privatisation des ressources mondiales en eau.
– Le complexe militaro-industriel anglo-américain qui comprend les cinq grands entrepreneurs de défense américains (Lockheed Martin, Raytheon, Northrop Grunman, Boeing et General Dynamics) en alliance avec British Aerospace Systems Corporation (BAES) constitue une puissante force imbriquée, étroitement alignée sur Wall Street, les géants pétroliers et les conglomérats agro-biotechnologiques.
La bulle des prix du pétrole
Le mouvement des prix mondiaux sur les bourses commerciales de New York et de Chicago n'a aucun rapport avec les coûts de production du pétrole. La flambée des prix du pétrole brut n'est pas le résultat d'une pénurie de pétrole. On estime que le coût du baril de pétrole au Moyen-Orient ne dépasse pas 15 dollars. Le coût d'un baril de pétrole extrait des sables bitumineux de l'Alberta, au Canada, est de l'ordre de 30 $ (Antoine Ayoub, Radio Canada, mai 2008)
Le prix du pétrole brut dépasse actuellement les 120 dollars le baril. Ce prix de marché est en grande partie le résultat de l'assaut spéculatif.
- voir graph sur site -
Source : NYMEX
Le carburant entre dans la production de pratiquement tous les domaines de l'industrie manufacturière, de l'agriculture et de l'économie des services.
Les hausses des prix du carburant ont contribué, dans toutes les grandes régions du monde, à précipiter des dizaines de milliers de petites et moyennes entreprises dans la faillite ainsi qu'à saper et potentiellement paralyser les canaux du commerce intérieur et international.
L'augmentation du coût de l'essence au niveau de la vente au détail entraîne la disparition des économies locales, une concentration industrielle accrue et une centralisation massive du pouvoir économique entre les mains d'un petit nombre de sociétés mondiales. À leur tour, les hausses de carburant se répercutent sur le système de transport urbain, les écoles et les hôpitaux, l'industrie du camionnage, le transport maritime intercontinental, le transport aérien, le tourisme, les loisirs et la plupart des services publics.
La hausse des prix du carburant déclenche un processus inflationniste plus large qui se traduit par une compression du pouvoir d'achat réel et par conséquent une baisse mondiale de la demande des consommateurs. Tous les grands secteurs de la société, y compris les classes moyennes des pays développés, sont touchés.
Ces mouvements de prix sont dictés par les marchés des matières premières. Ils sont le résultat d'échanges spéculatifs sur des fonds indiciels, des contrats à terme et des options sur les principaux marchés de matières premières, notamment l'ICE de Londres, les bourses commerciales de New York et de Chicago.
Les hausses spectaculaires des prix ne sont pas le résultat d'une pénurie de carburant, de nourriture ou d'eau. Ce bouleversement de l'économie mondiale est délibéré. Les politiques économiques et financières de l'État sont contrôlées par des intérêts corporatifs privés. Le commerce spéculatif ne fait pas l'objet de politiques réglementaires. La dépression économique contribue à la formation de richesses, au renforcement du pouvoir d'une poignée d'entreprises mondiales
Selon William Engdahl;
« … Au moins 60 % des 128 prix du baril de pétrole brut proviennent de spéculations à terme non réglementées par des fonds spéculatifs, des banques et des groupes financiers utilisant les bourses à terme de Londres ICE et de New York NYMEX et des échanges interbancaires ou de gré à gré non contrôlés. commerce pour éviter un examen minutieux. Les règles de marge américaines de la Commodity Futures Trading Commission du gouvernement permettent aux spéculateurs d'acheter un contrat à terme sur le pétrole brut sur le Nymex, en ne payant que 6% de la valeur du contrat.
Au prix actuel de 128 dollars le baril, cela signifie qu'un trader à terme n'a qu'à mettre environ 8 dollars pour chaque baril. Il emprunte les 120 $ restants. Cet « effet de levier » extrême de 16 contre 1 contribue à faire grimper les prix à des niveaux totalement irréalistes et à compenser les pertes des banques dans les subprimes et autres catastrophes aux dépens de l'ensemble de la population. (Voir En savoir plus sur la véritable raison des prix élevés du pétrole , Global Research, mai 2008)
Parmi les principaux acteurs du marché spéculatif du pétrole brut figurent Goldman Sachs, Morgan Stanley, British Petroleum (BP), le conglomérat bancaire français Société Générale, Bank of America, la plus grande banque des États-Unis, et la suisse Mercuria. (Voir Miguel Angel Blanco, La Clave, Madrid, juin 2008)
British Petroleum contrôle l'International Petroleum Exchange (IPE) basé à Londres, qui est l'une des plus grandes bourses d'options et de contrats à terme sur l'énergie au monde. Parmi les principaux actionnaires d'IPE figurent Goldman Sachs et Morgan Stanley.
Selon Der Spiegel , Morgan Stanley est l'un des principaux acteurs institutionnels du marché pétrolier spéculatif (IPE) basé à Londres. Selon Le Monde, la Société Générale française ainsi que Bank of America et Deutsche Bank ont été impliquées dans la diffusion de rumeurs visant à faire grimper le prix du pétrole brut. (Voir Miguel Angel Blanco, La Clave, Madrid, juin 2008)
Montée en flèche des prix alimentaires
La crise alimentaire mondiale, caractérisée par des hausses importantes des prix des denrées alimentaires de base, a conduit des millions de personnes dans le monde à la famine et à la privation chronique.
Selon la FAO, le prix des céréales de base a augmenté de 88 % depuis mars 2007. Le prix du blé a augmenté de 181 % sur une période de trois ans. Le prix du riz a augmenté de 50 % au cours des trois derniers mois (Voir Ian Angus, Crise alimentaire : « La plus grande démonstration de l'échec historique du modèle capitaliste » , Global Research, avril 2008) :
Le prix du riz a triplé en cinq ans, passant d'environ 600$ la tonne en 2003 à plus de 1800$ la tonne en mai 2008. (voir graphique ci-dessous)
« Le grade de riz thaïlandais le plus populaire se vendait 198 dollars la tonne il y a cinq ans et 323 dollars la tonne il y a un an. En avril 2008, le prix a atteint 1 000 $. Les augmentations sont encore plus importantes sur les marchés locaux — en Haïti, le prix du marché d'un sac de riz de 50 kilos a doublé en une semaine fin mars 2008. Ces augmentations sont catastrophiques pour les 2,6 milliards de personnes dans le monde qui vivent avec moins que les États-Unis. 2 $ par jour et consacrent 60 à 80 % de leurs revenus à l'alimentation. Des centaines de millions de personnes n'ont pas les moyens de manger » (Ibid)
Les principaux acteurs du marché des céréales sont Cargill et Archer Daniels Midland (ADM). Ces deux géants contrôlent une part importante du marché mondial des céréales. Ils sont également impliqués dans des transactions spéculatives sur des contrats à terme et des options sur le NYMEX et le Chicago Board of Trade (CBOT). Aux États-Unis, "le plus grand producteur mondial de cultures GM, Cargill, ADM et son concurrent Zen Noh contrôlent à eux seuls 81 % de toutes les exportations de maïs et 65 % de toutes les exportations de soja". ( Greg Muttitt, Control Freaks, Cargill et ADM, The Ecologist, mars 2001 )
Pendant ce temps, les prix à la ferme au niveau local couvrent à peine les coûts de production, entraînant la faillite de l'économie paysanne.
La privatisation de l'eau
Selon des sources de l'ONU, qui sous-estiment largement la gravité de la crise de l'eau, un milliard de personnes dans le monde (15 % de la population mondiale) n'ont pas accès à l'eau potable "et 6 000 enfants meurent chaque jour à cause d'infections liées à l'eau insalubre" ( BBC Actualités, 24 mars 2004 )
Une poignée d'entreprises mondiales, dont Suez, Veolia, Bechtel-United Utilities, Thames Water et l'allemand RWE-AG, acquièrent le contrôle et la propriété des services publics d'eau et de gestion des déchets. Suez et Veolia détiennent environ 70 % des systèmes d'eau privatisés dans le monde.
La privatisation de l'eau sous l'égide de la Banque mondiale se nourrit de l'effondrement du système public de distribution d'eau potable du robinet :
"La Banque mondiale sert les intérêts des compagnies des eaux à la fois par le biais de ses programmes de prêts réguliers aux gouvernements, qui sont souvent assortis de conditions exigeant explicitement la privatisation de l'approvisionnement en eau…" ( Maude Barlow et Tony Clarke, Water Privatization: The World Bank's Latest Market Fantasy , Institut Polaris, Ottawa, 2004 )
"Le modus operandi [en Inde] est clair - négliger le développement des ressources en eau [dans le cadre des mesures d'austérité budgétaire de la Banque mondiale], revendiquer une " pénurie de ressources " et laisser les systèmes existants se détériorer. " ( Ann Ninan, Private Water, Public Misery, India Resource Centre, 16 avril 2003 )
Pendant ce temps, les marchés de l'eau en bouteille ont été appropriés par une poignée d'entreprises, dont Coca-Cola, Danone, Nestlé et PepsiCo. Ces entreprises ne travaillent pas seulement main dans la main avec les sociétés de distribution d'eau, elles sont également liées aux entreprises agro-industrielles et biotechnologiques impliquées dans l'industrie alimentaire.
L'eau du robinet est achetée par Coca-Cola à une installation d'eau municipale, puis revendue au détail. On estime qu'aux États-Unis, 40 % de l'eau en bouteille est de l'eau du robinet. (Voir, Jared Blumenfeld, Susan Leal Le coût réel de l'eau en bouteille, San Francisco Chronicle, 18 février 2007 )
En Inde, Coca-Cola a contribué à l'épuisement des nappes phréatiques au détriment des communautés locales : « Les communautés à travers l'Inde vivant autour des usines d'embouteillage de Coca-Cola connaissent de graves pénuries d'eau, directement en raison de l'extraction massive d'eau par Coca-Cola de la ressource commune d'eau souterraine . Les puits se sont asséchés et les pompes à eau manuelles ne fonctionnent plus. Des études, dont une réalisée par le Central Ground Water Board en Inde , ont confirmé l'important épuisement de la nappe phréatique.
Lorsque l'eau est extraite de la ressource souterraine commune en creusant plus profondément, l'eau a une odeur et un goût étranges. Coca-Cola a déversé sans distinction ses eaux usées dans les champs autour de son usine et parfois dans les rivières, y compris le Gange, dans la région. Le résultat a été que les eaux souterraines ont été polluées ainsi que le sol. Les autorités de santé publique ont affiché des panneaux autour des puits et des pompes manuelles informant la communauté que l'eau est impropre à la consommation humaine….
Des tests effectués par diverses agences, y compris le gouvernement indien, ont confirmé que les produits Coca-Cola contenaient des niveaux élevés de pesticides et, par conséquent, le Parlement indien a interdit la vente de Coca-Cola dans sa cafétéria . Cependant, Coca-Cola continue non seulement à vendre des boissons empoisonnées en Inde (qui ne pourraient jamais être vendues aux États-Unis et dans l'UE), mais introduit également de nouveaux produits sur le marché indien. Et comme si vendre des boissons contenant du DDT et d'autres pesticides aux Indiens ne suffisait pas, l'une des dernières installations d'embouteillage de Coca-Cola à ouvrir en Inde, à Ballia, est située dans une zone où la nappe phréatique est fortement contaminée par l' arsenic . Resource Center, Coca-Cola Crisis in India, sans date )
Dans les pays en développement, la hausse des prix des carburants a augmenté les coûts de l'eau du robinet bouillie par les ménages, ce qui a favorisé la privatisation des ressources en eau.
Dans la phase la plus avancée de la privatisation de l'eau, la propriété effective des lacs et des rivières par des sociétés privées est envisagée. La Mésopotamie n'a pas seulement été envahie pour ses vastes ressources pétrolières, la vallée des deux fleuves (Tigre et Euphrate) possède d'importantes réserves d'eau.
Remarques finales
Nous avons affaire à une constellation complexe et centralisée de pouvoir économique dans laquelle les instruments de manipulation du marché ont une incidence directe sur la vie de millions de personnes.
Les prix de la nourriture, de l'eau, du carburant sont déterminés au niveau mondial, hors de portée des politiques gouvernementales nationales . Les hausses de prix de ces trois matières premières essentielles constituent un instrument de « guerre économique », menée à travers le « marché libre » sur les marchés à terme et d'options.
Ces hausses des prix de la nourriture, de l'eau et du carburant contribuent dans un sens très réel à "l'élimination des pauvres" à travers les "morts de faim" .
Les balles enrobées de sucre du "marché libre" tuent nos enfants. L'acte de tuer est instrumenté de manière détachée par le commerce de programmes informatiques sur les bourses de marchandises, où les prix mondiaux du riz, du blé et du maïs sont décidés.
"La Commission sur la croissance démographique et l'avenir américain" Mais il ne s'agit pas uniquement de concepts de marché. L'apparition de famines dans différentes parties du monde, résultant de la flambée des prix des denrées alimentaires et du carburant, a de vastes implications stratégiques et géopolitiques.
Le président Richard Nixon au début de son mandat en 1969 a affirmé
« sa conviction que la surpopulation menace gravement la paix et la stabilité mondiales ».
Henry Kissinger , qui à l'époque était le conseiller de Nixon pour la sécurité nationale, a ordonné à diverses agences gouvernementales d'entreprendre conjointement "une étude de l'impact de la croissance démographique mondiale sur la sécurité américaine et les intérêts étrangers".
En mars 1970, le Congrès américain a créé une Commission sur la croissance démographique et l'avenir américain. (Voir Centre de recherche sur la population et la sécurité) .
La Commission n'était pas un groupe de travail ordinaire. Il a intégré des représentants de l'USAID, du Département d'Etat et du Département de l'Agriculture avec des responsables de la CIA et du Pentagone. Son objectif n'était pas d'aider les pays en développement mais plutôt de réduire la population mondiale en vue de servir les intérêts stratégiques et de sécurité nationale des États-Unis. La Commission considérait également le contrôle de la population comme un moyen d'assurer un environnement stable et sûr pour les investisseurs américains ainsi que de prendre le contrôle des ressources minérales et pétrolières des pays en développement.
Cette Commission termina ses travaux en décembre 1974 et diffusa un document classifié intitulé
National Security Study Memorandum 200 : Implications of Worldwide Population Growth for US Security and Overseas Interests » aux « secrétaires désignés et chefs d'agence pour leur examen et leurs commentaires ».
En novembre 1975, le rapport et ses recommandations ont été approuvés par le président Gerald Ford.
Le rapport se concentre strictement sur le contrôle de la population. La question du dépeuplement n'est pas formellement abordée.
Le National Security Study Memorandum 200 (NSSSM 200) laisse cependant entrevoir ceci : que dans certains pays une récurrence des mines affamées, des maladies et des guerres pourrait constituer un instrument de facto de contrôle de la population.
"En conséquence, les pays où la faim et la malnutrition à grande échelle sont déjà présentes sont confrontés à la sombre perspective d'une amélioration minime, voire inexistante, de l'apport alimentaire dans les années à venir, à moins d'un important programme d'aide alimentaire financière étrangère, d'une expansion plus rapide de la production alimentaire nationale. , une croissance démographique réduite ou une combinaison des trois. Pire encore, une série de catastrophes agricoles pourrait transformer certaines d'entre elles en cas malthusiens classiques avec des famines impliquant des millions de personnes.
Alors que l'aide étrangère continuera probablement d'être fournie pour faire face à des situations d'urgence à court terme comme la menace d'une famine massive, il est plus douteux que les pays donateurs soient prêts à fournir le type d'aide alimentaire massive qu'exigent les projections d'importations sur la planète. une base continue à long terme.
Des taux de croissance démographique réduits pourraient clairement apporter un soulagement significatif à plus long terme…..
Dans les cas extrêmes où les pressions démographiques conduisent à la famine endémique, aux émeutes de la faim et à l'effondrement de l'ordre social, ces conditions ne sont guère propices à l'exploration systématique des gisements miniers ou aux investissements à long terme nécessaires à leur exploitation.
Sauf famine, à moins qu'un minimum d'aspirations populaires à l'amélioration matérielle ne puisse être satisfaite, et à moins que les conditions d'accès et d'exploitation ne persuadent les gouvernements et les peuples que cet aspect de l'ordre économique international a « quelque chose pour eux », des concessions aux compagnies étrangères sont susceptibles d'être expropriés ou soumis à une intervention arbitraire.
Que ce soit par l'action du gouvernement, les conflits de travail, le sabotage ou les troubles civils, la circulation fluide des matériaux nécessaires sera compromise.
Bien que la pression démographique ne soit évidemment pas le seul facteur en cause, ces types de frustrations sont beaucoup moins probables dans des conditions de croissance démographique lente ou nulle.
( 1974 National Security Study Memorandum 200: Implications of Worldwide Population Growth for US Security and Overseas Interests". (soulignement ajouté)
Le rapport se termine par quelques questions clés concernant le rôle de la nourriture en tant qu'"instrument de pouvoir national", qui pourrait être utilisé dans la poursuite des intérêts stratégiques américains.
« Sur quelle base ces ressources alimentaires devraient-elles alors être fournies ? La nourriture serait-elle considérée comme un instrument du pouvoir national ? Serons-nous obligés de faire des choix quant à qui nous pouvons raisonnablement aider, et si oui, les efforts de population devraient-ils être un critère pour une telle aide ? Les États-Unis sont-ils prêts à accepter le rationnement alimentaire pour aider les personnes qui ne peuvent pas/ne veulent pas contrôler leur croissance démographique ? » (Ibid, nous soulignons) Selon les mots d'Henri Kissinger :
« Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations ; contrôlez la nourriture et vous contrôlez les gens.
Acteurs corporatifs mis en évidence dans cet article (parmi de nombreux autres acteurs corporatifs importants)
Commerce spéculatif du pétrole brut : Goldman Sachs, Morgan Stanley, British Petroleum (BP), Deutsche Bank, Société Générale, Bank of America, Mercuria en Suisse.
Privatisation de l'eau
Infrastructures hydrauliques : Suez, Veolia, Bechtel-United Utilities, Thames Water et l'allemand RWE-AG
Distribution au détail d'eau potable : Coca-Cola, Danone, Nestlé et PepsiCo
Prix des denrées alimentaires et semences génétiquement modifiées
Monsanto, Syngenta, Aventis, DuPont, Dow Chemical, Cargill, Arch Daniel Midland.
Complexe militaro-industriel
Lockheed Martin, Raytheon, Northrop Grunman, Boeing, General Dynamics, British Aerospace Systems Corporation (BAES)
Pandémie de SARS-CoV-2 : la conclusion, et après ?
le 18 mars 2023
Je cite de mémoire cette pensée de Michel Maffesoli : « Je te fais peur, je te protège, mais tu te soumets ». Il est probable que cette citation soit inspirée de Machiavel mais je n’ai pas réussi à prouver cette allégation. Ce que l’on sait est que Lénine s’est inspiré du concept défini par la citation de Maffesoli. Pour Lénine il suffit de faire peur aux individus pour les dominer. À l’exception des Suédois, tous les peuples européens en ont subi les conséquences lors de l’épidémie de coronavirus. L’État a alimenté la peur, il a ensuite protégé ses administrés, quelles que fut la justification des décisions prises pour cette protection et finalement comme on put le constater les peuples se sont soumis sans discuter, persuadés que l’État les avait protégés à bon escient. Enfin Goebbels a appliqué à grande échelle ce concept machiavélique en assurant aux Allemands que les ethnies germaniques représentaient les « vrais hommes » à l’exclusion de toutes les autres ethnies, en particulier les juifs, les tziganes ou encore les slaves et qu’ils étaient par nature dangereux pour les aryens pure souche. Il est inutile de rappeler ici ce que furent les conséquences de cette propagande de Goebbels.
Les conséquences de la manipulation de la peur sont multiples et variées. Par exemple l’application du principe de précaution, un autre concept adossé à la peur, remonte à l’idéologie de Goebbels : il faut se méfier des Juifs, par exemple … Cette idéologie antisémite développée par Hitler fut le fondement de la politique du parti nazi allemand. Il faut tout de même rappeler un fait que les historiens ont tous occulté. Hitler souffrait des symptômes d’une syphilis au stade tertiaire. Il est vrai, à sa décharge, que durant la première moitié du vingtième siècle, alors que les antibiotiques n’existaient pas, cette maladie était beaucoup plus répandue qu’on ne le croit encore aujourd’hui. Il n’existait aucun traitement pour endiguer la progression de ce mal dont l’évolution détruisait le psychisme et les facultés cognitives des personnes en souffrant. Hitler était tout simplement atteint de démence.
Le principe de précaution a conduit et conduit toujours à des manifestations de peur surprenantes. Pour ne citer que quelques exemples caricaturaux, la peur du changement du climat, la peur des plantes génétiquement modifiées, la peur de la dégradation de l’environnement, la peur de l’énergie nucléaire, bref, toutes sortes de phobies entretenues à dessein par le pouvoir politique qui n’oublie aucune occasion pour dire à son peuple qu’il est là pour le protéger. C’est tellement facile de se comporter ainsi. Curieusement la technologie récente de pseudo-vaccins à ARN messager afin de combattre le SARS-CoV-2 qui n’a jamais fait ses preuves depuis plus de 20 ans n’a fait l’objet d’aucune opposition de la part des comités d’éthique ni de peur et pour cause : les gouvernements occidentaux ont alimenté la peur du coronavirus et selon l’adage cité plus haut et qui fait l’objet de ce billet : « Vous avez peur du coronavirus, l’Etat vous protège avec ce « vaccin ! » ». Cette machination machiavélique a autorisé ainsi les gouvernements à piétiner l’ensemble des dix articles du Code de Nuremberg, il fallait faire très fort : « l’Etat vous protège, mais vous devez vous soumettre ». Et dans le cas de la thérapie génique basée sur des ARNs messagers synthétiques « Vous devez vous soumettre puisque l’Etat vous protège ». Les 10 articles du Code de Nuremberg sont consultables ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg
Il est très intéressant de passer en revue ces articles et de les replacer dans le contexte de l’épidémie de coronavirus et la mise en place des campagnes de « vaccination ». Le premier article présente le consentement éclairé du sujet soumis à des expérimentations. L’a-t-on demandé aux personnes désirant être « vaccinées » ? Non, et cette opération a été imposée par le pouvoir politique. L’article 2 stipule qu’une telle approche expérimentale ne doit être choisie que s’il n’existe pas d’autres alternatives thérapeutiques, or l’efficacité de l’HCQ avait été démontrée près de 20 ans plus tôt avec le SRAS puis le MERS et cette observation avait fait l’objet d’une publication dans un journal d’audience internationale, L’effet très largement protecteur de l’Ivermectine aurait, selon le Code de Nuremberg, mettre fin à cette campagne de « vaccination » internationale puisque l’efficacité de cette thérapie génique a vite été mise en doute avec l’apparition de nouveaux virus mutants. L’article 3 précise que les expérimentations sur les animaux dont les résultats sont négatifs doivent mettre fin aux essais, or autant les hamsters que les petits primates de laboratoires sont morts après injection de l’ARN messager synthétique supposé être la panacée pour combattre le coronavirus, selon des divulgations des rapports de Pfizer et Moderna.
L’article 4 du Code de Nuremberg précise que l’expérimentation ne doit conduire à aucune souffrance, y compris la mort, or cette thérapie, que l’on sache, est toujours considérée comme expérimentale et ce jusqu’à la fin de l’année 2023. En regard du comptage morbide des divers effets secondaires et des décès d’adultes en parfaite santé, enfants morts-nés et fausses-couches, cet article a été tout simplement violé.L’article 5 est éloquent : si l’expérimentation englobe également les médecins impliqués dans les essais, ceux-ci étant responsables, ils courent le même risque que les sujets soumis à cette expérimentations. Combien de médecins et de pharmaciens de Pfizer ou Moderna ont eux-mêmes participé à ces essais, il serait intéressant de disposer d’informations à ce sujet. L’article 6 précise le rapport bénéfice/risque sans le nommer. Les documents qu’a obtenu le Professeur Chossudovsky et figurant dans le lien en fin de billet du 5 mars 2023 sur ce blog sont également éloquents : ce rapport bénéfice/risque est tout simplement catastrophique et jamais cette thérapie génique n’aurait du être ni commercialisée ni par conséquent utilisée à grande échelle. L’article 7 revient sur les effets secondaires. Quant à l’application de l’article 8 de ce Code à l’évidence les évaluateurs des principaux laboratoires acteurs de la « Vaccination » étaient incompétents ou, sur ordre, ont dissimulé leurs observations. L’article 9 est à peine documenté dans le rapport de Pfizer : pour des raisons inconnues ou dissimulées, un nombre significatif de participants à l’expérimentation n’ont pas répondu aux questionnaire qui leur était demandé dans le cadre du contrat les liant aux laboratoires ou ont abandonné les essais pour des raisons non précisées dissimulant peut-être des effets secondaires délétères. Enfin l’article 10 précise la responsabilité des personnels compétents ayant suivi l’essai. On ne peut qu’exprimer un doute sérieux à ce sujet.
Le caractère d’urgence de cette vaccination a servi d’alibi aux décideurs politiques et ils sont responsables devant la loi pour avoir provoqué des morts et des invalidités, les laboratoires pharmaceutiques ayant pris le soin de se décharger de toute responsabilité pénale en raison de ce caractère d’urgence. Ne jouons pas sur les mots : toute cette histoire sent à en être suffoqué la corruption généralisée du monde politique sans oublier les traficotages éhontés des laboratoires pharmaceutiques. Il s’agit d’un crime contre l’humanité toute entière et non pas des évènements localisés comme ceux qu’on avance au sujet du conflit ukrainien ou des enfant yéménites qui meurent de faim. Et l’organisation de ce crime trouve ses racines dans la soif de profit des grandes firmes pharmaceutiques et le grand dessein du monde politique de financiariser la santé. Je ne citerai qu’un exemple révoltant de cette « financiarisation » du corps humain et de la santé. Il s’agit du projet d’utilisation de l’utérus de jeunes femmes en état de mort cérébrale pour servir de mères porteuses contre monnaie sonnante et trébuchantes, cela va de soi. Quoi qu’il en soit cette pandémie de SARS-CoV-2 a laissé des traces et devra être conclue par un grand procès à l’encontre des laboratoires pharmaceutiques et d’un nombre incalculable de décideurs politiques … Enfin j’aitrouvé une piste pour tenter de citer les propos de Michel Maffesoli. Il mentionne cet adage au cours d’une causerie organisée par Radio Courtoisie ( https://www.youtube.com/watch?v=sC6bHPZDo6Q ). Illustration : SARS-CoV-2 avec les spiculeshttps://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.02.972927v1.full.pdf
Surmortalité en Allemagne – à la recherche d'indices dans la carte thermique pour 2022 (Partie III)
18 mars 2023 par Ulf Lorre
Dans cette série en trois parties, une carte thermique illustre les décès en Allemagne. Des régularités générales et de nombreuses anomalies dans la période 2021 - 2022 deviennent visibles. Dans cette troisième partie, nous examinons l'année 2022. Dans l'ensemble, elle a largement dépassé 2021 en termes de surmortalité, ce qui se traduit dans la carte thermique par une accumulation de nuances de couleur rouge et orange.
- voir graph sur site -
Fig. 1 : Carte thermique du ratio de risque (taux de mortalité 2021-2022), DE
L'année avait commencé de manière assez banale. A partir de la semaine 6, le "second booster" est entré en jeu. Par rapport aux fréquences de vaccination en 2021, le nombre de doses était cette fois bien inférieur, mais là encore ce sont surtout les personnes âgées qui ont pris l'aiguille, là où les risques éventuels pèsent naturellement plus lourd. Les chiffres de la dose 4 ont atteint un premier maximum au cours de la semaine 14.
- voir graph sur site -
Fig. 2 : Évolution de la vaccination après les doses. Source : Suivi vaccinal du RKI.
La carte thermique montre-t-elle une décoloration liée à cela ? La réponse est oui.
- voir graph sur site -
Fig. 3 : Grappe de « second boosters »
Certes, ce signal de couleur ne semble pas trop spectaculaire. Pourtant, à cette période de l'année, et surtout après la précédente vague de décès, les nuances de vert devraient nettement prédominer, et ce n'est pas le cas. Enfin et surtout, il faut tenir compte du fait que la période d'évaluation 2021 - 2022 était globalement surmortelle, c'est-à-dire que le milieu de l'échelle de couleurs représente la surmortalité moyenne de cette période.
Au second semestre 2022, la situation semble sur le point de changer. Les nuances de vert n'apparaissent qu'occasionnellement, nulle part en grappes.
- voir graph sur site -
Fig. 4 : Situation à partir de la semaine 24 en 2022.
Trois vagues rouges sont visibles dans la partie supérieure. Le premier implique la vague de chaleur KW29 discutée dans la partie I, mais elle traîne un panache orange de plusieurs semaines. Dans ce contexte, notez la dose 4, dont l'administration n'est nullement tombée à zéro en milieu d'année. Une deuxième vague, concentrée autour de la semaine 41, a touché les personnes de plus de 60 ans. Ici aussi, un lien avec les vaccinations peut être démontré. Les courbes de vaccination de la figure 2 montrent une coïncidence dans le temps des signaux des doses 4, 5 et 6 dans les semaines de fin d'été et d'automne. Cette onde est d'autant plus claire dans l'espace - aucune autre cause ne peut expliquer cet amas bien délimité en termes d'âge et de temps.
Les bandes rouge foncé sur le bord droit marquent la fin fatale de l'année 2022. Bien qu'elles ne puissent plus être directement liées aux signaux des courbes de vaccination, elles s'intègrent dans le tableau d'ensemble dans la mesure où les dommages à la santé durent également plus longtemps de temps et s'accumule d'une dose à l'autre, ce qui est le plus évident pendant les périodes de forte incidence de maladies respiratoires aiguës.
Jusqu'à présent, je n'ai pas reçu de réponse importante. Les nuances de couleur évaluées illustrent les fluctuations relatives du risque. Dans les statistiques, se pose alors la question de la « taille de l'effet ». En termes de décès supérieurs aux attentes, les années 2021 et 2022 ont cumulé 105 000 décès, si l'on compte prudemment. Dans ce cas, conservateur signifie que les valeurs attendues ont été déterminées à partir d'une époque de référence qui tend à générer des tendances apparentes positives dans les risques de mortalité par cohorte, comme c'est le cas avec la fenêtre temporelle 2016 - 2020 utilisée. Avec l'époque de référence 2015 – 2019, par exemple, c'est l'inverse qui se produit ; vous obtenez une surmortalité de 155 000 morts. La valeur la plus probable se situe entre ces deux énoncés.
Avec le recul, devenu entre-temps presque historique, il est intéressant de noter à quel moment une menace pour la santé publique est apparue à partir des chiffres purement démographiques. En semant dans la vague de décès de l'hiver 2020/21, des décès supplémentaires, quelle qu'en soit l'origine, avaient été masqués pendant un certain temps. Mais cela ne peut plus s'appliquer au groupe de décès de personnes d'âge moyen décrit dans la partie II au printemps 2021. Le problème se reflétait également dans l'âge moyen au décès et l'espérance de vie, c'est-à-dire les variables statistiques standard. Jusque-là, la surmortalité cumulée restait dans des limites. Les plus de 100 000 décès décrits ci-dessus sont en grande partie le résultat du temps qui a suivi. Certes, beaucoup seraient encore vivants si l'on avait regardé au bon endroit.
Être conscient de sa propre capacité à refuser la connaissance, bref détourner délibérément le regard, correspond au « péché contre le Saint-Esprit » de la théologie morale chrétienne. Matthieu dit que chaque péché sera pardonné, mais pas celui-ci, que ce soit dans cet âge ou dans l'âge à venir. L'ex-ministre d'un parti C qui avait très tôt revendiqué la nécessité de « se pardonner » aurait dû y penser. Dans l'histoire de cette pandémie, il y a beaucoup à voir avec le fait délibéré, ou plutôt organisé, de ne pas regarder.
*
Ulf Lorré est ingénieur en génie biomédical et écrit sous un pseudonyme.
Des e-mails déterrés de 2020 prouvent que le test PCR covid est une arnaque
vendredi 17 mars 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) Les tests PCR que le gouvernement a imposés aux masses lors de la «pandémie» du coronavirus de Wuhan (Covid-19) ne sont rien de plus qu'une arnaque, comme le montrent des e-mails déterrés.
Le professeur Martin Neil a reçu en septembre 2020 une poignée de courriels anonymes qui prouvent sans équivoque la nature frauduleuse des tests PCR, qui n'ont jamais été conçus pour détecter les virus.
"Certaines des séquences [de test] se trouvent dans le génome humain lui-même", lit-on dans l'un des e-mails.
De plus, le seuil de cycle des kits de test PCR était presque uniformément fixé à un niveau trop élevé, ce qui entraînait de nombreux faux positifs. Et ces kits ont-ils même été approuvés ou certifiés pour de tels tests en premier lieu ? Absolument pas.
L'un des plus gros pistolets fumants est le séquençage génétique que le Dr Christian Drosten a utilisé dans son système de test covid, qui s'est répandu dans le monde entier. Drosten, le gars crédité d'avoir inventé le système de dépistage du covid, n'a jamais isolé le virus ni même eu accès à celui-ci.
"Au lieu de cela, il a téléchargé la séquence d'ARN du virus à partir d'une base de données chinoise", expliquent les rapports. "Drosten a ensuite créé le premier kit de dépistage RT-PCR disponible dans le commerce basé sur ce génome."
"Les chercheurs chinois ont affirmé plus tard que l'échantillon de virus isolé était devenu inutilisable peu de temps après le téléchargement de la séquence, ils ont donc détruit tous les restes."
(En relation: Comment les tests PCR peuvent-ils tester le covid si le covid n'a même jamais été isolé et prouvé qu'il existe ?)
Les tests PCR sont faux, tout comme le covid
Sans accès au virus isolé, comment Drosten a-t-il pu obtenir le génome complet du virus lors de la sélection de ses séquences d'amorces ? Et pourquoi personne d'autre ne pose cette question, sans parler d'essayer d'y répondre ?
Les e-mails anonymes expliquent qu'en plus de certaines des séquences d'amorces provenant du génome humain lui-même, d'autres parties de celui-ci proviennent d'une source inconnue dans l'eau de mer.
Tout cela signifie que les tests covid étaient faux – et le virus lui-même semble également avoir été faux. Le tout était une opération psychologique conçue pour instiller la peur, la paranoïa et l'obéissance au gouvernement.
Il y a environ deux ans et demi, lorsque Neil a reçu ces e-mails pour la première fois, cela aurait été un bon moment pour en parler au monde – mais malheureusement, personne ne l'a fait. La vérité est qu'il n'y a pas de coronavirus nouveau et mortel, et il n'y en a jamais eu, sur la base de cette preuve irréfutable.
Au lieu de révéler la vérité, les pouvoirs en place l'ont gardé secret et ont continué à pousser leur escroquerie frauduleuse de tests de virus. Les gouvernements ont semé la peur au sujet de nouvelles « vagues » du virus, ainsi que de nouvelles « variantes » que ces mêmes tests détectaient d'une manière ou d'une autre, même si aucune des variantes n'a jamais été isolée non plus.
Ajoutez à cela le fait que les laboratoires évaluant les résultats des tests covid ont complètement abandonné les directives standard de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour identifier un résultat de test positif et il devient tout à fait évident que toute la mascarade était une arnaque dans tous les sens du terme.
"Cette preuve a de nouveau souligné la réactivité croisée et la non-spécificité du test PCR", écrit Rhoda Wilson pour The Exposé à propos de ce que les e-mails ont révélé. "Il semblait être conçu pour détecter, eh bien, tout ce que vous voudriez qu'il détecte."
« Ainsi, plutôt que de trouver des résidus de fragments de virus SARS-CoV2, il semblait peut-être assez brillant pour trouver n'importe quel coronavirus. Par conséquent, peut-être que le test a parfaitement bien fonctionné, mais pas dans le but, ou de la manière dont ils nous ont dit que cela fonctionnait.
Gardez à l'esprit que le rhume est un coronavirus, ce qui signifie que les tests ne faisaient probablement que détecter les reniflements saisonniers, qui ont ensuite été utilisés pour effrayer et contraindre les gens à se «vacciner», ce qui était clairement le plan depuis le début.
Covid est sans doute la plus grande arnaque jamais perpétrée dans le monde par les mondialistes. Pour en savoir plus, visitez Plague.info.
Des métaux comme le cuivre et l'or peuvent aider à mettre fin à la pandémie de COVID-19, selon des chercheurs
Vendredi 17 mars 2023 par : Zoey Sky
(Natural News) Une étude fascinante a révélé que le remède à la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) pourrait être quelque chose d'improbable : des métaux comme le cuivre et l'or.
Les détails de l'étude ont été publiés dans la revue Chemical Science.
L'étude a été menée par des scientifiques australiens, qui ont découvert que les protéines de pointe du SRAS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, adhèrent à des éléments comme l'or, le cuivre et le silicium.
Une fois piégés, les résultats ont révélé que le coronavirus est électriquement détectable et vulnérable aux impulsions électriques.
Protéines de pointe, métaux et impulsions électriques
Les protéines de pointe permettent aux coronavirus d'envahir les cellules voisines et de provoquer des infections. Mais lorsque ces protéines entrent en contact avec des substances comme le cuivre, cela provoque une réaction qui crée une forte liaison chimique.
La liaison attache la protéine de pointe à leurs surfaces, ce qui la rend très difficile à éliminer.
Mais les scientifiques ont découvert que les champs électriques peuvent aider à détruire les protéines de pointe et éventuellement tuer le virus après qu'il ait perdu sa capacité à provoquer des infections.
Essam Dief, co-auteur de l'étude et chercheur à l'Université Curtin, a expliqué que les impulsions électriques aident à modifier la structure de la protéine de pointe. À certaines intensités, ces impulsions peuvent également éliminer la protéine et désactiver le coronavirus. (Connexe: le Dr Zelenko partage comment le MSM l'a sali pour avoir révélé le remède au COVID - Brighteon.TV.)
"Nous pensons que ces matériaux peuvent être utilisés pour capturer les coronavirus en étant utilisés dans les filtres à air, comme revêtement pour les bancs, les tables et les murs, ou dans le tissu des chiffons d'essuyage et des masques faciaux", a déclaré Nadim Darwish, chercheur à l'École de Sciences moléculaires et de la vie à l'Université Curtin.
Darwish a ajouté qu'en capturant les coronavirus à l'aide de substances comme le cuivre et l'or, il serait possible de les empêcher "d'atteindre et d'infecter plus de personnes".
Les scientifiques espèrent que les résultats de l'étude pourront également être utilisés pour affiner les tests COVID-19.
Darwish propose de créer une solution pour un prélèvement buccal ou nasal et de la tester avec un minuscule appareil électronique pour détecter la protéine de pointe virale. Il a émis l'hypothèse que cela pourrait aider à créer des résultats de test COVID-19 plus sensibles et plus précis.
Selon Dief, l'incorporation de matériaux comme le cuivre ou le silicium dans les filtres à air peut aider les chercheurs à "potentiellement capturer et par conséquent arrêter la propagation du virus". Dief a ajouté que l'incorporation de champs électriques à travers quelque chose comme des filtres à air peut aider à désactiver le virus.
Les experts de la santé utilisent des tests viraux pour rechercher une infection actuelle par le SRAS-CoV-2. Ces tests nécessitent des échantillons de votre nez ou de votre bouche.
Il existe deux principaux types de tests viraux : les tests d'amplification des acides nucléiques (TAAN) et les tests antigéniques.
Les TAAN, comme les tests basés sur la PCR, sont souvent effectués en laboratoire. Ils sont considérés comme les tests les plus fiables pour les personnes avec ou sans symptômes. Ces tests détectent le matériel génétique viral, qui peut rester dans le corps humain jusqu'à 90 jours après le test positif.
N'utilisez pas de TAAN si vous avez été testé positif au cours des 90 derniers jours.
Les tests antigéniques sont des tests rapides et produisent des résultats en 15 à 30 minutes. Cependant, les tests antigéniques sont moins fiables que les TAAN, surtout si vous ne présentez pas de symptômes. Gardez à l'esprit qu'un seul résultat de test d'antigène négatif n'exclut pas une infection.
Les autotests, également appelés tests à domicile, sont des tests antigéniques qui peuvent être effectués n'importe où sans avoir à se rendre sur un site de test.
Visitez Cures.news pour en savoir plus sur les remèdes potentiels pour COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l'hydroxychloroquine, un autre traitement potentiel du COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne UNPLUG THE MEDIA sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Les chercheurs recherchent des personnes résistantes au COVID dans l'espoir de découvrir un remède naturel.
RIGGED: Twitter a censuré les publications sur l'immunité naturelle et les vaccins après la pression d'un membre du conseil d'administration de Pfizer.
Bill Gates : La prochaine pandémie sera probablement d'origine humaine et pire que la COVID-19.
Une nouvelle étude réitère la science fondamentale de l'école primaire, dit que les enfants qui attrapent un rhume sans vaccins développent une immunité naturelle
Vendredi 17 mars 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) Des chercheurs suédois ont découvert une évidence sur le système immunitaire humain : lorsqu'une personne « attrape » un rhume et se rétablit, elle développe une immunité naturelle durable contre les coronavirus.
Le rhume est un type de coronavirus, au cas où vous ne le sauriez pas. Et si vous avez déjà eu un rhume, surtout enfant, alors votre système immunitaire sait déjà comment combattre les coronavirus, y compris le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Pour leur étude, qui a été publiée dans les Actes de l'Académie nationale des sciences (PNAS), les chercheurs ont examiné 48 échantillons de sang prélevés sur des enfants de deux et six ans, ainsi que 94 échantillons prélevés sur des adultes âgés de 26 et 83. Ils ont également examiné des échantillons de sang prélevés sur 58 personnes qui se sont récemment remises d'une infection covid.
Cela a apparemment été une surprise pour les experts du Karolinska Institutet qui ont piloté l'étude selon laquelle les infections antérieures aux coronavirus entraînent le système immunitaire d'une personne à combattre naturellement les coronavirus - et sans avoir besoin de "vaccins".
Une immunité croisée contre le covid se forme, ont-ils découvert, lorsque des lymphocytes T mémoire générés par des coronavirus plus courants se développent à la suite d'une infection naturelle. Des échantillons de sang prélevés sur des enfants avant le lancement de la « pandémie » montrent que ces lymphocytes T mémoire réagissent en fait aux cellules infectées par le SRAS-CoV-2.
(Connexe: Inversement, une étude du New England Journal of Medicine [NEJM] de l'année dernière a révélé que les «vaccins» covid détruisent cette immunité naturelle.)
L'immunité naturelle contre les coronavirus se développe dès l'âge de deux ans Il existe quatre coronavirus différents qui sont principalement responsables des systèmes de rhume saisonnier, ont déclaré les chercheurs. Et l'exposition à tous ces coronavirus stimule une réponse immunitaire qui va aussi après le covid.
Même les cellules T qui ont été précédemment activées par le virus OC43, par exemple, réagissent de manière croisée contre le SRAS-CoV-2, démontrant ce que la science au niveau de l'école primaire utilisait pour enseigner aux enfants dès leur plus jeune âge : cette immunité naturelle se développe après une exposition naturelle .
"Ces réactions sont particulièrement fortes au début de la vie et s'affaiblissent beaucoup à mesure que nous vieillissons", a déclaré Annika Karlsson, auteur correspondant de l'étude et chef de groupe de recherche au Département de médecine de laboratoire du Karolinska Institutet.
"Nos résultats montrent comment la réponse des lymphocytes T se développe et change au fil du temps et peuvent guider la surveillance et le développement futurs de vaccins."
La prochaine étape pour ce domaine de recherche particulier consiste à mener des études analogues sur des enfants plus jeunes, des enfants plus âgés, des adolescents et de jeunes adultes afin de suivre de plus près l'évolution de la réponse immunitaire aux coronavirus à chaque étape de la vie, de l'enfance à l'âge adulte.
Une recherche similaire publiée dans The Lancet en février a également révélé que l'infection naturelle et la guérison du covid offrent une protection immunitaire durable contre d'autres infections par le covid.
Les chercheurs ont analysé 65 études différentes sur l'immunité naturelle, constatant que l'efficacité moyenne de l'immunité naturelle est d'au moins 88% contre l'hospitalisation et la mort pendant au moins 10 mois après l'infection par toutes les souches et variantes de covid.
"J'ai eu le covid en 2021", a écrit un commentateur en réponse à ces études. «Je n'ai pas de comorbidités – c'était dur, pire que la grippe. Je me suis soigné et j'allais bien après environ une semaine. Je n'ai jamais eu aucun des vaccins, je ne fais pas de distance sociale, je ne porte pas de masque, je n'utilise pas de désinfectant pour les mains et je travaille avec le public et je sais que j'ai été exposé plusieurs fois aussi tard que la semaine dernière lorsque tout le monde dans mon entourage a été testé positif.
"Je n'ai eu qu'un mal de gorge", a ajouté cette personne. «Je ne peux pas m'empêcher de penser que j'ai une immunité à long terme contre le covid dès le début. Les personnes de mon entourage qui ont eu des cas confirmés dans le passé présentaient également des symptômes plus légers à des degrés divers.
Trouvez plus d'histoires sur l'immunité naturelle sur ImmuneSystem.news.
(...) Le rhume est un type de coronavirus, au cas où vous ne le sauriez pas. Et si vous avez déjà eu un rhume, surtout enfant, alors votre système immunitaire sait déjà comment combattre les coronavirus, y compris le coronavirus de Wuhan (Covid-19). (...)
HOULALA ! A ne pas confondre la poussière (émise par le magma en milliards de milliards de nano-particules dans les océans et consommées par des milliards de poissons chaque heure) et ce que renferment les flacons injectables et seringues !!
Les flacons injectables se composent de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (fabriquées en laboratoires) à quoi sont ajoutées des spikes + des hydres + diverses maladies animales (dont plus de 40 venins de serpents différents !) !
Les représentants du gouvernement ont menti et des gens sont morts Selon les propres chiffres de l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), 63,4 millions de personnes étaient éligibles à la vaccination rien qu'en Angleterre au 3 juin 2022. En utilisant ces mêmes chiffres, 44,48 millions de personnes ont reçu une seule dose ; 41,8 millions de personnes ont reçu deux doses ; et 32,9 millions de personnes ont reçu trois doses.
Sur la base de ces chiffres, près de 20 millions de Britanniques ont dit non, Jose ! aux coups, qui est un nombre bien plus élevé que celui que Darzi a décidé de choisir au hasard pour donner l'impression que seul un très petit pourcentage de "fanatiques" vient de dire non aux drogues dangereuses.
Bien que rien de tout cela ne choque probablement nos lecteurs, vous devez vous rappeler qu'il y a des millions d'autres personnes qui engloutissent des "nouvelles" comme celles publiées par le Times comme si elles étaient factuelles.
"Ils savent ce qu'ils font", a écrit un commentateur à propos de Darzi et de ses semblables, qui sont des trompeurs de premier ordre. « Louez le SEIGNEUR pour le prochain enlèvement de tous les chrétiens nés de nouveau ! JESUS revient bientôt ! Être prêt!"
Un autre a écrit que les responsables gouvernementaux comme Darzi sont la menace « qui a permis à ce grand génocide de se produire ».
"Nous ne pouvons pas trouver une peine suffisamment sévère à appliquer à ces criminels", a ajouté cette personne.
Vous trouverez plus d'informations sur les vaccins contre la grippe Fauci sur ChemicalViolence.com.
Le génocide du Covid-19 appelle à la création d'une Cour mondiale indépendante
RépondreSupprimer17.03.2023
www.kla.tv/25447
Le lobbying international, les magouilles et la corruption de Big Pharma dans les sphères politiques et judiciaires montrent clairement qu’il faut une justice indépendante et entièrement nouvelle. En particulier dans le contexte des crimes mondiaux du Covid-19, un génocide dont l'ampleur n'a pas encore été déterminée, il faut un tribunal spécial, comparable aux procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale.
Un groupe d'avocats internationaux, d'experts de haut niveau et de scientifiques renommés présente à un grand jury les preuves que la pandémie Covid-19 est une opération criminelle visant à instaurer une dictature mondiale. Parmi les experts figurent des conseillers de l'OMS, un fonctionnaire des Nations unies, des membres des services secrets britanniques, d'anciens officiers de l'armée américaine et britannique, un expert du Center for Disease Control, un ancien vice-président de Pfizer, un lauréat du prix Nobel de médecine et de nombreux autres témoins de haut niveau.
Ils ont bon espoir qu'une fois le procès terminé, des charges seront retenues contre tous les principaux accusés présumés.
L'accusation
Il est reproché que les gouvernements du monde entier sont tombés sous l'influence d’un contrôle de structures de pouvoir corrompues et criminelles, qui ont orchestré ensemble une pandémie qu'ils avaient planifiée depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses allégations factuelles et d'une opération psychologique socialement construite, dont ils ont diffusé les messages par le biais des médias dominants. Cette panique de masse avait pour but d'inciter la population à accepter des injections expérimentales, appelées "vaccins", qui ne sont pas des vaccins. Celles-ci ne se sont révélées ni efficaces ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles. En particulier, les accusations portent sur Christian Drosten, Anthony Fauci, Tedros de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Bill Gates, BlackRock et Pfizer. L'objectif final des pandémies mises en scène serait le contrôle total de tous les êtres humains. Les experts présentent à ce sujet des faits fondés.
Le constat des experts :
Selon le groupe d'experts, le Covid-19 n'est qu'une pandémie de test PCR alimentée par une opération psychologique sophistiquée visant à créer une panique permanente au sein de la population mondiale. Le virus correspond à une grippe bénigne qui peut être soignée de manière sûre et efficace avec des traitements éprouvés. Mais tous ces traitements ont été interdits par ceux qui utilisent cette pandémie comme couverture pour faire avancer leur projet final, à savoir amener tout un chacun à recevoir des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereuses, voire mortelles.
Objectif de la pandémie de Covid :
RépondreSupprimerSelon le groupe d'experts, l'objectif principal est le contrôle mondial. Cela implique le pillage complet de l'économie. Cela implique la destruction délibérée des petites et moyennes entreprises, des commerces de détail, des hôtels et des restaurants, afin que des plateformes internationales comme Amazon puissent prendre le contrôle. Les mêmes forces qui ont fait de la grippe porcine une pandémie il y a 13 ans ont créé cette pandémie du Covid. Les politiciens n'ont pas empêché ces crimes financiers, car ils soutiennent ceux qui les commettent - et ils en profitent.
Le Forum économique mondial a pris le contrôle des gouvernements
Si, à l'époque de la faillite de Lehman, l'opinion publique mondiale avait regardé de plus près au lieu de croire aveuglément aux promesses des gouvernements selon lesquelles les responsables de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, l'opinion publique mondiale aurait alors vu que la mafia financière pillait les caisses publiques depuis des décennies. Au contraire, ils sont aux mains de la mafia financière, par le biais de sa principale organisation, le Forum économique mondial (FEM). Leur principale organisation, le Forum économique mondial de Klaus Schwab, avait déjà commencé en 1992 à créer ses propres leaders mondiaux par le biais du programme Young Global Leaders. Deux des premiers diplômés étaient Angela Merkel et Bill Gates. D'autres sont devenus des leaders politiques comme Sebastian Kurz, Justin Trudeau, Jacinda Ardern, Emmanuel Macron et bien d'autres. L'objectif était déjà à l'époque de réduire fortement la population et de la contrôler en manipulant l'ADN. Il était également prévu de détruire délibérément la démocratie, l'État de droit et les constitutions. Par le biais d'un chaos orchestré, les gens devaient consentir à perdre leurs identités nationales et culturelles et accepter à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l'ONU, les Nations unies, qui sont déjà sous le contrôle total du Forum économique mondial. Cela implique des passeports numériques permettant de surveiller et de contrôler chaque mouvement. Et une seule monnaie numérique, disponible uniquement par le biais de la Banque mondiale, à condition de faire exactement ce que le gouvernement attend de vous
La prise de pouvoir de la mafia financière – planifiée depuis plus de 20 ans
Le FEM promeut ouvertement, en étroite collaboration avec des personnes comme Bill Gates, les Rockefeller et d'autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l'ADN jusqu'au transhumanisme. Dans ce but, des plans concrets pour cette pandémie du Covid ont été élaborés au moins depuis le printemps 2001. Par exemple avec l'opération Dark Winter, suivie d'une autre répétition de ce type, l'exercice Lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Et enfin, l'événement 201 en octobre 2019 à New York, sponsorisé par le Johns Hopkins Centre for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. Les témoins prestigieux suivants informeront le grand jury sur le contexte historique et géopolitique de la prise de pouvoir et de l'eugénisme : James Bush, un ancien membre de l'armée américaine qui a participé à l'opération Dark Winter en 2001. Les anciens membres des services secrets britanniques, Brian Gerrish et Alex Thompson. Les journalistes d'investigation Whitney Webb et Matthew Ehret, ainsi que les anciens collaborateurs et conseillers de l'Organisation mondiale de la santé, les Dr Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger.
Comment l'extrême surmortalité a été si longtemps dissimulée
RépondreSupprimerJusqu'au début des injections expérimentales, il n'y avait nulle part de surmortalité. Début 2020, pas un seul cas n'avait été enregistré. Les experts expliquent comment l'urgence sanitaire internationale s'est produite et ce qui se cache derrière la légende de l'épidémie. Ils démontrent que le virus n'est pas plus dangereux qu'une grippe ordinaire. Ils prouvent que le test PCR ne peut rien dire sur les infections, alors qu'il a été utilisé comme seule base pour toutes les mesures anti-Covid. Et ils rapportent les effets secondaires et les décès massifs de ce qu’on appelle les « vaccins à ARNm », qui ne sont pas seulement inefficaces, mais qui mettent la vie en danger. Les personnes suivantes déposent en tant que témoins : le Dr Wolfgang Wodarg, un pneumologue expérimenté qui, il y a 13 ans, a réussi à démontrer que la grippe porcine était une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kämmerer, biologiste à l'Université de Würzburg et le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ainsi que le Dr Sylvia Behrendt, le Dr Astrid Stuckelberger de l'OMS, le Pr Dolores Cahill de l'Université de Dublin, le Pr Antonietta Gatti et le Pr Berkholz.
Pourquoi les malades de Covid ont été délibérément mal traités
Un autre groupe d'experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Ardis du Texas, du Dr Shankara Chetty d'Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wordarg d'Allemagne et de John O'Looney, entrepreneur de pompes funèbres d'Angleterre. Ces témoins témoignent de la manière dont l'humanité a été victime, dès le début, d'une interdiction délibérée et totalement insensée d’utiliser des méthodes normales, efficaces et sûres pour traiter les maladies respiratoires. Au lieu de cela, des traitements souvent mortels ont été prescrits, qui sont aujourd'hui considérés comme des fautes médicales graves : intubation, Remdesivir et Midazolam. John O'Looney explique comment il a d'abord cru aux allégations de pandémie et a même aidé la BBC à diffuser la propagande alarmiste, jusqu'à ce qu'il réalise comment des personnes ont été délibérément tuées sous le couvert de la pandémie.
Erreurs de traitement et de vaccination Covid : Assassinat de masse par le gouvernement
Le Pr Alexandra Henrion-Caude, le Pr Sucharit Bhakdi, le Dr Vanessa Schmidt-Krüger, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin à ARNm, et le Pr Arne Burkhardt, pathologiste allemand, montrent que le Covid-19 est inoffensif et qu'il présente un taux de survie de 99,97 % s'il est correctement traité. C'est la « vaccination » qui rend de nombreuses personnes malades et qui, depuis septembre 2022, provoque une surmortalité allant jusqu'à 40 % en raison de l'empoisonnement par la protéine Spike et, en outre, de la désactivation du système immunitaire. Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, raconte comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des doses mortelles afin d'étudier comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés pour que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui lui arrive.
Çà, c'est du '11 Septembre II' ! Çà a marché il y a 22 ans où TOUTES les télés du monde ont été arrêtées pour retransmettre en direct un... un accident d'avions à New-York !!! Çà faut le faire !
RépondreSupprimerSi un train chargé de 5000 personnes était tombé dans un ravin en Chine l'info n'aura pas dépassé les 20 secondes ! Mais là, c'était LE scoop du jour ! LE TOUT Holywood était là !
12 millions de new-yorkais n'ont RIEN VU dans le ciel, seuls ceux qui ont vu des avions étaient assis devant leur télés ! comme les milliards d'autres cons dans le monde !
Le calque sur l'écran de télévision a montré un avion qui pénétrait des tours !
Bien sûr là TOUS les avionneurs et pilotes de ligne du monde entier ont crié au scandale, à l'escroquerie comme des millions d'architectes sur Terre ! Car, un avion en aluminium même s'il était lancé à 10 000 km/h ne pourrait pénétrer un bâtiment ! Les tours sont bardées de poutrelles verticales d'acier de 80 cm de large ! Et là... et là on a vu des 'avions' qui entraient et... coupaient les poutrelles d'acier !! HAHAHAHAHAHA !
Ça, c'était du film d'Hollywood, bref, passons. Puis est arrivé le Virus ! WHÔAW ! LE virus extraterrestres qui va vous mangeeeeeer ! Vous dévoreeeeeer ! Bref, le bon film d'horreur avec psychopathes et tout le tralala ! Là çà fout les jetons !
Oui mais là, en plus qu'il n'était pas dans l'air (les extraterrestres sont des hommes invisibles !) il était offert (un cadeau ne se refuse pas !) en seringues ! Et oui ! Avec sa petite infirmière nazie qui vient vous la faire ! Youpie ! Et çà, c'est PAS du cinéma !
Le « projet de viralité » autoritaire de Stanford a appelé Big Tech à censurer les histoires VRAIS de blessures causées par les vaccins
RépondreSupprimerJeudi 16 mars 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) L'auteur et ancien contributeur de Rolling Stone, Matt Taibbi, est sur le point de décomposer le contenu des fichiers Twitter, qui montrent que l'Université de Stanford pousse Big Tech à censurer les "histoires d'effets secondaires réels des vaccins" et les "vrais messages". ce qui pourrait alimenter les hésitations.
Dans le message n ° 32 d'une longue chaîne de révélation de fichiers Twitter, Taibbi a tweeté que les employés de Stanford – dont aucun n'est un expert de la santé ou de la médecine, pour être clair – ont approché des plateformes de médias sociaux comme Facebook et Twitter et les ont poussés à faire taire la voix des comptes. dire la vérité sur les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Dans le cadre de son soi-disant «projet de viralité», Stanford a informé l'industrie technologique que ses plates-formes contenaient une «désinformation standard sur les vaccins» qui devait être supprimée immédiatement.
"Le défaut : les publications sur votre plate-forme diffusent clairement de fausses informations erronées sur les vaccins qui, selon nous, violent vos politiques", lit-on dans un point dans le plan d'action d'un projet de viralité.
« Les récidivistes connus (incluent) [f] les messages faux ou trompeurs des récits de récidivistes bien connus, tels que Robert F. Kennedy, Jr. ou Sherri Tenpenny. Il s'agit d'un grand volume de contenu qui est presque toujours à signaler. Ex. RFK publie que 4 000 effets indésirables du vaccin ont été signalés au CDC en une semaine. »
(Connexe : Les fichiers Twitter montrent également que le plan globaliste est de transformer chaque être humain encore vivant en 2025 en un transgenre mangeur d'insectes.)
Si tous les Américains rejetaient entièrement Big Pharma, les pouvoirs en place ne seraient plus
La "désinformation" présumée n'est pas la seule préoccupation du Stanford Virality Project. Il s'avère que le "vrai contenu" est également interdit à la sphère des médias sociaux car il "pourrait favoriser la réticence à la vaccination", ce que les mondialistes ne peuvent pas permettre de se produire à grande échelle.
Si des dizaines de millions d'Américains prenaient conscience de l'arnaque au vaccin, les flux de bénéfices de Big Pharma s'arrêteraient, écrasant le casino "boursier" de Wall Street et mettant fin à la vache à lait de Mystery Babylon - les mondialistes ne peuvent pas permettre que cela se produise, non plus .
L'une des façons dont ils empêchent la vérité de sortir est d'intimider les plateformes technologiques comme Facebook et Twitter pour qu'elles censurent «les messages viraux d'individus exprimant une hésitation à la vaccination ou des histoires de véritables effets secondaires des vaccins».
"Ce contenu n'est pas clairement de la mésinformation ou de la désinformation, mais il peut s'agir de désinformation (exagérée ou trompeuse)", lisent les documents internes du Virality Project. "Sont également inclus dans ce seau sont souvent de vrais messages qui pourraient alimenter l'hésitation, comme les pays individuels interdisant certains vaccins."
Deux exemples ont été inclus à côté de cela, l'un étant des articles de presse et des publications sur un district scolaire du centre de New York devant fermer après que de nombreux membres du personnel scolaire soient tombés malades des effets secondaires du "vaccin" covid. L'autre se concentre sur "la conversation autour des décès récents de célébrités après le vaccin".
RépondreSupprimer"Souvent, ce contenu est invérifiable (la cause du décès n'est pas claire), mais se propage rapidement et suscite des conversations sur l'hésitation …", lisent plus loin les documents du Virality Project.
Commentant ces révélations et d'autres sur Twitter Files, Taibbi a écrit dans un tweet séparé que tout cela "est le complexe censure-industriel dans son essence : une bureaucratie prête à sacrifier la vérité factuelle au service d'objectifs narratifs plus larges".
"C'est le contraire de ce que fait une presse libre", a-t-il ajouté.
Ironiquement, le complexe censure-industriel est précisément ce qu'il prétend combattre : une source importante de désinformation. Et il a l'avantage que son financement provient des contribuables américains, qui, selon Taibbi, « financent par inadvertance leur propre éloignement de la réalité ».
"Sans de véritables mécanismes de surveillance, rien n'empêche ces avant-gardes de l'information surpuissantes de déformer la vérité à leurs propres fins", a ajouté Taibbi.
Le regretté président Dwight Eisenhower a mis en garde contre tout cela dans son discours d'adieu à l'Amérique, déclarant que "le potentiel de montée désastreuse d'un pouvoir mal placé existe" - regardez le discours d'adieu complet ci-dessous :
- voir clip sur site -
La seule façon de mettre un terme à la folie est d'arrêter de la financer. Une personne, répondant à la chaîne de fichiers Twitter de Taibbi, a écrit que la seule façon d'avoir un "véritable contrôle" sur le complexe censure-industriel est de "couper le financement des impôts de l'État et de rendre le contrôle et le pouvoir monétaires complets au peuple, qui obtient alors de décider quelle part de leur argent ils aimeraient consacrer aux efforts communs pour dépenser quoi. »
Un autre a simplement écrit que le moment est venu d'"arrêter cette merde" une fois pour toutes, par tous les moyens possibles, afin que les générations actuelles et futures d'Américains n'aient pas à vivre sous le type de tyrannie pour laquelle nos ancêtres se sont battus.
RépondreSupprimer"Ainsi, la" désinformation "est désormais également associée au fait de ne pas être d'accord avec quelque chose et de publier un article de presse qui est vrai, simplement parce que cela pourrait faire hésiter quelqu'un à prendre une nouvelle chose médicale", a clarifié un autre à propos de la position apparente de Stanford sur le premier amendement.
Les dernières nouvelles sur les fichiers Twitter et ce qu'ils révèlent peuvent être trouvées sur Censorship.news.
Sources for this article include:
Twitter.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-16-vitality-project-stanford-big-tech-censorship-vaccine-injuries.html
Le secrétaire à la Santé de Floride, Joseph Ladapo: les vaccins à ARNm COVID-19 ont un «profil de sécurité terrible»
RépondreSupprimer17 mars 2023
du Dr. Peter F. Mayer
La nouvelle circule lentement : les vaccins à ARNm ne sont ni « sûrs ni efficaces », au contraire. Le gouverneur de la Floride et les responsables de la santé de l'État ont toujours consulté des scientifiques critiques pour contrebalancer l'influence persistante du gouvernement central, puis se sont fait leur propre opinion. Et la Floride a fait mieux que des États comparables avec des mandats de vaccination stricts, des verrouillages et des masques comme la Californie.
En Floride, poser des questions sur le statut vaccinal coûte depuis longtemps une amende de 5 000 $. Presque toutes les mesures Corona ont été levées depuis septembre 2020 .
Lors d'une conférence de presse marquant le troisième anniversaire des "15 jours pour ralentir la propagation" de l'ancien président Donald Trump, Joseph Ladapo s'est demandé s'il fallait même prendre les vaccins à ARNm COVID-19.
" Ces vaccins ont un profil d'innocuité terrible à ce stade de la pandémie ", a-t-il déclaré. "Je ne suis pas sûr que quiconque devrait les prendre et c'est la vérité honnête."
Ladapo a accusé les Centers for Disease Control and Prevention et la Food and Drug Administration de nier la vérité. Il a déclaré que le CDC et la FDA n'avaient "pas dit un mot" sur les études, selon Ladapo, qui montraient une baisse de la protection vaccinale contre l'infection". Surtout sur le fait qu'une étude du magazine "bien connu" Lancet montre également qu'après 7 mois, l'effet devient négatif, de sorte que les personnes vaccinées sont infectées plus souvent et tombent plus gravement malades.
Le médecin généraliste a félicité DeSantis pour sa gestion de la pandémie: "Vous ne pouvez pas lui donner assez de crédit pour ce qu'il a fait", a- t-il déclaré. Il y a 2-3 ans , c'était comme si une épingle était tombée. Il n'y avait presque pas de voix dissidentes."
"Il est resté fidèle à ses positions sur des choses qui avaient du sens pour lui et pour de nombreuses personnes à travers le pays, même s'ils ne parlaient pas quand tout le monde avait une crampe, même pour la plus simple goutte de bon sens."
La Floride bénéficie d'afflux massifs d'États restrictifs, d'un chômage plus faible et d'une économie florissante.
https://tkp.at/2023/03/17/floridas-gesundheitsminister-joseph-ladapo-mrna-covid-19-impfstoffe-haben-schreckliches-sicherheitsprofil/
Rendre hommage à la vérité
RépondreSupprimerLa bonne nouvelle : Le monde semble changer lentement mais sûrement pour le mieux, malgré des problèmes persistants. Des signes indubitables réveillent la croyance en un avenir plus vivable
Par le Dr Rudolf Hänsel
Recherche mondiale,
17 mars 2023
Chers concitoyens ! Nous voyons, entendons et lisons beaucoup sur les problèmes du monde, sur les conséquences des soi-disant catastrophes naturelles (Turquie et Syrie), sur la guerre d'Ukraine, les nombreuses autres guerres et sur les crimes pharmaceutiques. Tous les événements touchent notre sang. Ce que nous avons tendance à négliger dans ce flot de nouvelles négatives, ce sont les signes que le monde semble changer lentement mais sûrement pour le mieux, malgré des problèmes persistants qui restent non résolus. Cela fait naître la confiance, qui inspire la foi en un avenir plus digne d'être vécu. Il faudra certainement un peu de patience jusqu'à ce que les changements positifs se reflètent également dans la vie personnelle de chaque citoyen. Mais si nous croyons au bien des gens, nous ne nous perdrons pas dans le labyrinthe des peurs pour l'avenir.
Par exemple, j'ai récemment reçu par la poste le magazine mensuel de la maison d'édition allemande Kopp-Verlag avec une pleine page de publicité pour le nouveau livre de Robert W. Malone : « Lies My Government Told Me and the Road to a Better Future . Avec une préface de Robert F. Kennedy Jr. » (1)
Parce qu'une telle publicité était inimaginable jusqu'à récemment, une occasion a été trouvée pour rapporter d'autres événements positifs sans euphorie.
Hommage à la vérité
"Quoi qu'on dise de lui aujourd'hui, Malone restera dans l'histoire comme un héros." Cette citation du présentateur de télévision américain Tucker Carlson figure déjà sur la couverture de la brochure, accompagnée d'une image du nouveau livre.
L'introduction de la page 1 se lit alors comme suit :
«En tant qu'étudiant en médecine et candidat au doctorat, Robert Malone a été le premier à inventer la technologie du vaccin à ARNm à la fin des années 1980. À l'époque, il ne pouvait pas commencer à imaginer qu'il jouerait un jour un rôle de premier plan dans un mouvement visant à exposer les dangers des vaccins à ARNm. Des milliards de personnes en ont reçu – sans être informées des risques. (2)
La suite se lit comme suit :
"Le Dr Robert Malone a été censuré par Big Tech et diffamé par les médias pour s'être prononcé contre les reportages" grand public ". (…). Le Dr Malone est la voix faisant autorité de la dissidence. Il expose le côté obscur de l'agenda Corona, il expose le rôle des médias grand public, la censure, la propagande et le nouveau monde courageux du transhumanisme promu par le Forum économique mondial et ses acolytes. Comment est-il possible que les mensonges propagés par les gouvernements persistent et que nos institutions ne parviennent pas à les cotiger ? Quel a été l'impact de la politique de Corona sur les vies, les moyens de subsistance et les démocraties ?
Le Dr Malone explore ces questions et prouve comment les données, les nouvelles et les émotions ont été délibérément déformées et manipulées pendant la pandémie. Les gouvernements ont délibérément utilisé la peur des gens comme une arme pour contrôler leur comportement. Les médias ont vilipendé quiconque résistait à la position officielle et s'exprimait. Le Dr Malone examine les liens pervers entre l'industrie pharmaceutique, les gouvernements et les médias et nous dit ce que nous pouvons faire à ce sujet. (3)
RépondreSupprimerLes humains réalisent de plus en plus qu'ils sont obligés de se tendre la main pour survivre
Malgré de nombreuses rechutes, l'humanité continue d'avancer avec une certitude instinctive. Un jour c'est « Tu ne tueras point », un autre jour « Aime ton prochain ! Surtout à l'époque de la guerre d'Ukraine et des nombreuses autres guerres et injustices, ce sont là des idées importantes.
Ainsi, non seulement les citoyens qui manifestent, mais aussi les politiciens réalistes du monde entier appellent à une solution diplomatique à la guerre actuelle en Ukraine et au remplacement du monde unipolaire de l'hégémonie, dans lequel un seul peut décider, par un monde multipolaire dans lequel beaucoup peuvent décider ensemble. (4).
Les diverses formes de l'éthos communautaire des êtres humains s'efforcent inexorablement d'avancer dans le but de créer une humanité unie. La certitude instinctive avec laquelle cela se produit semble être due à l'instinct de préservation des espèces.
Un changement dans le monde pour le mieux est également évident dans la libération de nombreux États africains des chaînes de siècles de colonialisme meurtrier. Par exemple, le président français a déjà proclamé la fin de l'« ère France-Afrique » coloniale (5). D'autres époques coloniales européennes et américaines toucheront également bientôt à leur fin.
Cela inclut le gouvernement canadien, sous la direction de son premier ministre actuel, présentant des excuses aux peuples autochtones pour le génocide commis contre eux (6). Des excuses ne sont que le début d'une juste réparation pour ce crime contre l'humanité – mais c'est un premier pas. Les Indiens, comme les Amérindiens, auront enregistré de près ce geste du gouvernement canadien et attendront un signal similaire de Washington (7).
En conclusion, la question se pose de savoir comment ce changement positif du monde pour le mieux affectera la vie personnelle des citoyens et pourquoi cela éveillera la croyance en un avenir plus vivable - en particulier pour nos enfants et les enfants de nos enfants ?
Ce qui pèse encore aujourd'hui sur les gens, c'est le manque d'éducation sociale. Beaucoup souffrent encore de la fiction du pouvoir et de la suffisance de l'individu. C'est pourquoi la loi sous laquelle se trouve l'humanité est également mal comprise : que les gens doivent se serrer les coudes et sont obligés de se tendre la main. La lutte pour la préservation de la vie ainsi que les problèmes de sécurité, de progrès et d'adaptation peuvent être résolus au mieux par l'unité de tous et l'entraide.
Malheureusement, le patrimoine culturel est toujours menacé et doit être reconquis chaque jour. Le développement culturel consiste essentiellement à ce que la voix de la conscience humaine se fasse de plus en plus entendre et à ce que l'esprit de responsabilité se substitue à la violence et aux guerres. Il y a des signes indéniables de cela dans le monde.
RépondreSupprimer*
Cet article a été initialement publié sur NRhZ-ONLINE .
Le Dr Rudolf Lothar Hänsel est recteur d'école, pédagogue (Dr pédagogue) et psychologue (Dipl.-Psych.). Après ses études universitaires, il est devenu enseignant universitaire (professeur) dans l'éducation des adultes : il a entre autres dirigé une expérience modèle d'école indépendante et formateur en cours d'emploi de conseillers d'orientation et de psychologues scolaires bavarois. En tant que retraité, il a travaillé comme psychothérapeute en pratique privée. Il a été rapporteur pour l'Allemagne lors d'une audition publique sur la délinquance juvénile au Parlement européen. Dans ses livres et ses articles, il appelle à une éducation éthique et morale consciente et à une éducation à l'esprit public et à la paix. Pour ses services rendus à la Serbie, il a reçu le prix de la République "Capitaine Misa Anastasijevic" par les universités de Belgrade et de Novi Sad en 2021.
Il contribue régulièrement à Global Research.
Remarques
(1) www.kopp-verlag.de, Kopp Aktuell. Des livres qui ouvrent les yeux. Couverture. Mars 2023
(2) op. cit., p. 1
(3) op. cit.
(4) https://de.rt.com/kurzclips/video/164562-frankfurt-am-main-demonstranten-fordern-diplomatische-loesung/
(5 ) https://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/humanitaere-lustbruecke-der-eu-macron-verspricht-mehr-hilfe-fuer-kongo-18724733.html
(6) https://www.oe24.at/welt/trudeau-entschuldigt-sich-bei-ureinwohnern/310394473
(7) https://www.nzz.ch/international/veruebten-die-usa-einen-genozid-an-den-indianern-ld.1631753?reduced=true
https://www.globalresearch.ca/good-news-world-seems-changing-slowly-but-surely-better-despite-persistent-problems/5812310
Tout miser sur l’hégémonie ; tout risquer pour éviter la ruine
RépondreSupprimerPar Alastair Crooke
Arrêt sur info
15 mars 2023
L’Occident est aujourd’hui trop dysfonctionnel et trop affaibli pour se battre sur tous les fronts. Pourtant, il ne peut y avoir de recul sans une humiliation de l’Occident.
De temps à autre, une fenêtre s’ouvre sur la vérité du fonctionnement du “système”. Momentanément, il se montre à nu dans sa dégénérescence. Nous détournons les yeux, et pourtant, c’est une révélation (même si cela ne devrait pas l’être). En effet, nous voyons clairement à quel point les vêtements qui l’ont habillé sont de pacotille. Le succès apparent du “libéralisme” – presque entièrement une production éphémère de relations publiques – ne sert qu’à rendre ses contradictions internes sous-jacentes plus évidentes, plus “visibles” – beaucoup moins crédibles.
Cet effritement témoigne de l’incapacité à résoudre de manière satisfaisante les contradictions inhérentes à la modernité libérale. Ou plutôt, son effritement découle du choix de résoudre une légitimité en déclin par une quête d’hégémonie toujours plus totalisante et idéologique.
L’une de ces fenêtres a été l’affaire sordide des confinements en cas de pandémie au Royaume-Uni, révélée par une fuite de 100 000 messages WhatsApp de ministres gérant le projet de confinement.
Qu’ont-ils montré (pour reprendre les termes des principaux commentateurs politiques pro-gouvernementaux) ? Une image peu flatteuse de la façon dont l’establishment occidental interagit en s’envoyant des piques entre eux et en méprisant totalement la population.
Janet Daley écrit dans le Telegraph :
“Il ne s’agissait pas de science, mais de politique. C’était évident dès que le gouvernement a commencé à parler de suivre la science – comme s’il s’agissait d’un corps fixe de vérité révélée … ils étaient engagés dans une campagne délibérément trompeuse de coercition publique. Le programme a été conçu pour effrayer – et non pour informer – et pour faire passer le doute ou le scepticisme pour une attitude moralement irresponsable – ce qui est précisément le contraire de ce que fait la science”.
“Le modèle de ce programme gouvernemental monumental, dans le cadre duquel s’asseoir sur un banc public ou rencontrer sa famille élargie est devenu un délit, était la nation en guerre. Des niveaux horribles d’isolement social ont été délibérément conçus pour présenter le pays comme mobilisé dans un effort collectif contre un ennemi malveillant. Cela allait bien au-delà de ce que nous considérons généralement comme de l’autoritarisme : même la Stasi est-allemande n’interdisait pas aux enfants de serrer leurs grands-parents dans leurs bras, ni ne proscrivait les relations sexuelles entre personnes vivant dans des foyers différents. Toute autre considération devait être reléguée au second plan dans le cadre d’une lutte nationale héroïque contre une armée d’invasion dont l’objectif était de tuer le plus grand nombre d’entre nous. Et cet ennemi était d’autant plus insidieux qu’il était invisible”.
RépondreSupprimerSherelle Jacobs:
“Nous avons eu un rare aperçu de la vraie nature du pouvoir, loin du regard des médias : comment, en privé, il manigance, jure, boude et se moque. Tous ses paradoxes lugubres sont mis en évidence : sa mégalomanie féroce et sa recherche constante de réconfort de la part de ses collaborateurs politiques, sa tendance à la pensée de groupe et ses critiques incessantes.
“On ressent une nouvelle solidarité froide avec l’Amérique des années 1970 [Watergate] dans son horreur de la “qualité d’esprit de bas étage” qui caractérisait sa classe politique. Mais le parallèle le plus fort avec le Watergate est peut-être que … les opérations de l’État semblent imprégnées d’un nihilisme banal. On le retrouve dans les croisades amusées visant à “effrayer les gens”. On le retrouve dans les moqueries pince-sans-rire des vacanciers enfermés dans des [hôtels] de quarantaine (“hilarant”). C’est dans le dévouement sans faille à la “narration”.
“Le zèle avec lequel l’État s’est lancé dans la mise en œuvre de mesures draconiennes, une fois qu’il a décidé au siège que les bouclages étaient le bon appel populiste. Nous avons appris comment Hancock (ministre de la santé) a conspiré pour “s’asseoir” sur les scientifiques, qu’il dénonçait comme “farfelus” ou “grandes gueules” pour avoir défié les lignes officielles. Nous devons digérer le fait que des fonctionnaires ont insisté sur le fait que le “facteur peur/culpabilité” était “vital” pour “intensifier les messages” lors du troisième confinement douteux. Tout aussi peu édifiante est la révélation qu’à l’approche de ce Lockdown, les politiciens se sont emparés d’une nouvelle variante comme d’un outil pour “faire rouler le terrain”. Le plus exaspérant est peut-être le conseil de Patrick Vallance (conseiller scientifique) selon lequel le gouvernement devrait “absorber l’interprétation misérable des données scientifiques par les médias” pour ensuite “surproduire” dans une atmosphère de peur exacerbée.
Fraser Nelson:
RépondreSupprimer“Nous constatons que le Premier ministre est effroyablement bien servi et informé. C’est presque suspect. À un moment donné, il est tellement dans l’ignorance du taux de mortalité de Covid qu’il interprète mal un chiffre par un facteur de cent. [Le moment le plus révélateur a eu lieu en juin 2020, lorsque le doux secrétaire d’État aux affaires a plaidé pour que certaines règles soient consultatives plutôt qu’obligatoires. À ce stade, la circulation de Covid s’est effondrée et le nombre de décès a chuté de 93 % par rapport au pic : “Pourquoi s’oppose-t-elle à la lutte contre le virus”, se plaint le ministre. Elle est motivée par la pure idéologie conservatrice ! rétorque le secrétaire du cabinet [c’est-à-dire qu’elle est libertarienne].
“Les dossiers de Lockdown comprennent des milliers de pièces jointes envoyées entre les ministres. Lorsque je suis tombé dessus pour la première fois, j’espérais y trouver des rapports secrets de haut niveau de grande qualité. Au lieu de cela, les ministres partageaient des articles de journaux et des graphiques trouvés sur les médias sociaux. La qualité de ces informations était souvent médiocre, voire exécrable”.
Les “Lockdown Files“, publiés au Royaume-Uni par le Telegraph, révèlent une culture toxique où tout ministre ou fonctionnaire posant des questions “gênantes” savait qu’il risquait d’être dénoncé, mis à l’écart ou ostracisé. Les députés dont on pensait qu’ils s’opposaient aux fermetures étaient placés sur une liste rouge secrète, et le collaborateur du ministre de la santé de l’époque a écrit : “la réélection de ces gens dépend de nous : Nous savons ce qu’ils veulent”.
Mais les dossiers révèlent quelque chose d’encore plus effrayant. Quelle a été la réaction générale du public à la publication des dossiers ? C’est simple : La majorité des gens sont tellement anesthésiés et passifs – et tellement en phase – que l’État leur fait subir une série d’urgences répétées vers un nouveau type d’autoritarisme, qu’ils ne s’inquiètent pas beaucoup, ou même ne remarquent pas grand-chose.
Pour être clair, l’épisode de Lockdown (confinement) est emblématique de ce nouveau schéma de contrôle effectué par le biais de l’hégémonie, de l’idéologie et de la technologie. L’autonomie de l’individu – et sa recherche d’une vie ayant un sens – est désormais remplacée par son contraire : L’instinct de soumission et de domination, et d’imposition de l’ordre dans un monde incohérent et apparemment inquiétant.
Comme l’a écrit, Arta Moeini, l’État libéral gestionnaire basé sur la surveillance s’est transformé en “un Léviathan totalitaire et aspirant à s’étendre sur le globe”, frauduleusement déguisé en démocratie libérale – dont les principaux éléments libérateurs ont été remplacés depuis longtemps par leurs antonymes, dans une inversion orwellienne.
Soyons clairs : tous les excès de pouvoir de l’État qui ont eu lieu au Royaume-Uni pendant la pandémie ont été acceptés dans le cadre du système politique occidental. L’État peut à tout moment suspendre l’État de droit pour ce qu’il estime être le bien commun. La pandémie n’a fait qu’exposer le fonctionnement in extenso de la démocratie libérale – canalisant la notion de Carl Schmitt selon laquelle un “état d’exception” est le code source de la “souveraineté” de l’État sur la population
RépondreSupprimerDans ce vide éthique, et avec le chavirement du sens de la société, les politiciens occidentaux ne peuvent que s’invectiver grossièrement les uns les autres, à la manière du Seigneur des Anneaux, tout en espérant surfer sur le “récit” et le “jeu” médiatique du jour pour “élever leur niveau” dans la grille de lecture du pouvoir. Pour être franc, l’absence de principes directeurs plus profonds est tout simplement hypocrite.
Cependant, en poussant le pendule du schéma libéral si fort vers l’extrémité de l’hégémonie, il a provoqué l’embrasement de l’autre extrémité du spectre du schéma libéral global : La demande de respect de l’autonomie individuelle et de la liberté d’expression. Cette antithèse est particulièrement évidente aux États-Unis.
Le libéralisme a été conçu au début de la Révolution française comme un projet de libération systémique des hiérarchies sociales oppressives, de la religion et des normes culturelles du passé, afin qu’un nouvel ordre d’individualisme libéré puisse voir le jour. Rousseau y voyait une rupture radicale avec le passé – une dissociation de l’individu de la famille, de l’église et des normes culturelles, afin qu’il puisse mieux évoluer en tant que composante unitaire d’une gouvernance universelle rénovée.
Tel était le sens du libéralisme dans sa phase initiale. Cependant, le règne de la Terreur et les exécutions massives sous les Jacobins ont mis en évidence le lien schizophrénique entre la “libération” et le désir d’imposer la conformité à la société. L’appel persistant à la révolution violente contre la “rédemption de l’humanité” imposée (utopique) marque les deux pôles opposés de la psyché occidentale qui, aujourd’hui, sont “résolus” par l’inclinaison vers l'”hégémonie”.
Cette tension inhérente entre la libération radicale de l’individu et un “ordre mondial” conformiste devait être résolue par de “nouvelles valeurs universelles” : La diversité, le genre et l’équité, ainsi que le dédommagement des victimes pour les discriminations antérieures subies. Cette “modernité transparente” était considérée comme “globalement neutre” (contrairement aux valeurs du siècle des Lumières) et pouvait donc étayer l’ordre mondial dirigé par l’Occident.
La contradiction inhérente à cette idée était trop évidente : Le reste du monde considère l’ordre “libéral” comme un moyen trop évident de prolonger le pouvoir occidental. Il refuse son côté “missionnaire” (cet aspect n’a jamais été présent en dehors de la sphère judéo-chrétienne) et l’affirmation selon laquelle l’Occident devrait déterminer les valeurs (qu’il s’agisse des Lumières ou de l’esprit Woke) selon lesquelles nous devons tous vivre.
Le non-Occident observe plutôt un Occident affaibli et ne ressent plus le besoin d’offrir sa loyauté à un “suzerain” mondial. Le méta-cycle de l’occidentalisation forcée (de la Russie, de la Turquie, de l’Égypte et de l’Iran) est terminé.
RépondreSupprimerSa dimension mystique et son attrait ont disparu, et bien que le respect des mesures de verrouillage au Royaume-Uni (et en Europe) ait été obtenu grâce à un “projet de peur”, ce succès s’est fait au détriment de la confiance du public. En clair, l’autorité de l’Occident suscite de plus en plus de méfiance, chez nous comme à l’étranger.
La crise des contradictions et de l’autorité déclinante du libéralisme s’aggrave.
Les deux autres mantras de Carl Schmitt étaient, premièrement, de conserver le pouvoir : “Utilisez-le” (ou perdez-le) et, deuxièmement, de configurer un “ennemi” aussi polarisant et aussi “sombre” que possible afin de conserver le pouvoir – et de maintenir les masses dans la crainte et la docilité.
C’est ainsi que nous avons vu Biden, faute d’alternative, recourir à un manichéisme radical pour renforcer l’autorité contre ses opposants nationaux aux États-Unis (en les présentant ironiquement comme des ennemis de la “démocratie”), tout en utilisant la guerre en Ukraine comme un outil permettant de présenter la guerre de l’Occident contre la Russie comme une lutte épique entre la Lumière et l’Obscurité. Ces codes idéologiques manichéens dominent pour l’instant le libéralisme occidental.
Mais l’Occident s’est lui-même mis dans un piège : “devenir manichéen” met l’Occident dans une camisole de force idéologique. Il s’agit d’une crise que l’Occident a lui-même provoquée. Pour parler franchement, le manichéisme est l’antithèse de toute solution négociée ou de toute voie de sortie. Carl Schmitt était clair sur ce point : l’intention d’évoquer la plus noire des inimitiés était précisément d’empêcher toute négociation (libérale) : Comment la “vertu” pourrait-elle négocier avec le “mal” ?
L’Occident est aujourd’hui trop dysfonctionnel et trop faible pour se battre sur tous les fronts. Pourtant, il ne peut y avoir de recul (sans humiliation de l’Occident).
L’Occident a tout misé sur son système de “contrôle” géré par la peur et la “crise d’urgence” pour se sauver. Ses espoirs reposent désormais sur son système “Attention ! Le grand patron est devenu fou de colère ; il pourrait faire n’importe quoi”, qui, espère-t-il, fera reculer le monde.
Mais le reste du monde ne recule pas, il s’affirme de plus en plus. Les élites occidentales sont de moins en moins nombreuses à croire ce qu’elles disent et de moins en moins nombreuses à faire confiance à leurs compétences. L’Occident a imprudemment ” fait le grand pari ” ; il risque de tout perdre. Ou, plus dangereux encore, dans un accès de colère, il pourrait renverser les tables de jeu des autres.
Alastair CROOKE
Ancien diplomate britannique, fondateur et directeur du Conflicts Forum, basé à Beyrouth.
Source: Strategic-culture.org
Traduction Arretsurinfo.ch
https://arretsurinfo.ch/tout-miser-sur-lhegemonie-tout-risquer-pour-eviter-la-ruine/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=tout-miser-sur-lhegemonie-tout-risquer-pour-eviter-la-ruine
Nous allons bientôt le savoir
RépondreSupprimerle mars 14, 2023
par hervek
Dans une interview accordée à Bret Baier, de Fox News, mardi dernier, le directeur du FBI, Chris Wray, a déclaré : « Le FBI estime depuis un certain temps déjà que l’origine de la pandémie est très probablement un incident de laboratoire potentiel à Wuhan. » Comme beaucoup d’autres choses dans la vie torturée et distrayante de l’Amérique ces jours-ci, la signification de cette déclaration est passée au-dessus de la tête de presque tout le monde.
Quelle était la partie essentielle de cette déclaration ? « Depuis un certain temps maintenant…. » Mince, vraiment ? Genre, combien de temps ? Un an ? Plus que ça ? Peut-être depuis mars 2020 ? Et vous n’avez rien dit, M. le Directeur du FBI ? Vous n’avez rien fait pour dissiper les miasmes de la Covid-19 qui enveloppaient Washington DC comme une couverture de variole d’antan ? La question de savoir d’où vient le nouveau coronavirus est une féroce controverse nationale depuis fin 2019, vous comprenez. Plusieurs agences gouvernementales, dont la CIA et tous les bureaux relevant du gigantesque National Institutes of Health (NIH) – y compris le NIAID dirigé pendant des décennies par le Dr Anthony Fauci – plus la FDA et le CDC, rangés dans le Department of Health and Human Services (HHS)… toutes ces équipées ont fait semblant de ne pas connaître la véritable origine de la Covid-19 pendant plus de trois ans. Et le directeur du FBI, qui aurait pu apporter un éclairage autorisé sur la question en montant sur un podium et en s’exprimant, a simplement laissé faire tout ce chaos ?
Et n’oublions pas que pendant tout le temps où Chris Wray savait avec une certitude modérée que la Covid-19 provenait du laboratoire de virologie de Wuhan, il était à la tête d’un bataillon d’agents du FBI chargés de gérer Twitter, Facebook et Google – c’est-à-dire les applications qui composent la place publique numérique – pour s’assurer que quiconque s’exprimait sur le fait que la Covid provenait du laboratoire de Wuhan était censuré, banni, annulé, et sa réputation détruite.
Alors, pourquoi M. Wray a-t-il fait cette déclaration mardi… « Le FBI a depuis un certain temps déjà évalué… » Nous entendons probablement la vieille stratégie du dommage contrôlé, une ruse vénérable, qui consiste pour un gouvernement criminellement coupable à jeter au public un os d’admission sur quelque chose qui est de toute façon de notoriété publique – la chose que tout le monde sait – tout en prétendant qu’ils étaient dans la notoriété publique depuis le début – ce qui ne fait qu’ajouter une autre couche de perfidie à la matrice géante de mensonges établie par les responsables des agences américaines dans cet épisode honteux de l’histoire des États-Unis.
Ce que M. Wray a omis dans sa déclaration de cette semaine, c’est toute allusion au fait qu’un groupe de scientifiques et de médecins américains, sous la direction du Dr Fauci, était directement et intimement impliqué dans les activités de Wuhan qui ont produit le virus qui a tué des millions de personnes dans le monde, et qui ont conduit à la production à la vitesse de l’éclair d’un « vaccin » quelques semaines seulement après l’apparition de l’organisme – qui finira probablement par tuer et mutiler plus de personnes que la maladie elle-même.
Pour le groupe d’âge jusqu’à 44 ans, les décès excédentaires ont dépassé la ligne de base (normale) : 13 % en octobre, 21 % en novembre et 43 % en décembre. Pour le groupe d’âge de 45 à 64 ans, le taux de décès supérieur à la ligne de base a augmenté de 4 % en octobre, de 16 % en novembre et de 35 % en décembre. M. Dowd dit qu’on lui dit que les taux pour le premier trimestre de 2023 seront encore plus élevés. Il s’agit de ce que l’on appelle une tendance, et une tendance plutôt inquiétante.
RépondreSupprimerElle se résume à la mort d’un très grand nombre de personnes dans la force de l’âge, et ce chaque mois. Personne dans aucune des agences de santé publique américaines n’en parle. Un responsable très en vue, Rochelle Wallensky, qui dirige le CDC, est toujours occupé à prendre des dispositions pour distribuer davantage de vaccins à ARNm Pfizer et Moderna aux écoliers américains – les « vaccins » étant les principaux suspects à l’origine de ces étonnants taux de mortalité excessifs chez les jeunes et les travailleurs. Beau travail, Rochelle !
Comment les quelque 70 % d’Américains vaccinés font-ils face à cette réalité ? Beaucoup, bien sûr, remarquent que des membres de leur famille, des amis, des collègues, des sportifs, des connaissances sont malades et meurent soudainement d’insuffisance cardiaque, d’accidents vasculaires cérébraux, de cancers agressifs, d’étranges problèmes neurologiques et d’autres syndromes mystifiants. Jusqu’à présent, la réaction générale semble être un désespoir insensible. Mais les vaccinés encore en vie doivent également faire face à l’anxiété de ce qui se passe dans leur propre corps. Peut-être ont-ils entendu les voix les plus extrêmes, en marge de cette discussion, murmurer que chaque personne vaccinée pourrait, d’une manière ou d’une autre, connaître une mort précoce. Ce serait une raison de se retirer dans la première étape du transect de deuil de Kübler-Ross, qui est le déni… et de se mettre à l’abri… pour le moment. C’est beaucoup de choses à gérer.
Et ensuite ? Considérez qu’environ 30 % des Américains n’ont pas reçu le vaccin et ne sont pas inquiets à l’idée qu’ils sont fichus – malgré les limites fondamentales de la condition humaine. Ces 30 % d’Américains, et peut-être même une partie des 70 % d’Américains vaccinés, seront peut-être préoccupés par les autres menaces énormes qui pèsent sur notre vie nationale : le projet fou de l’Ukraine, qui ressemble à l’ouverture de la troisième guerre mondiale (non merci) ; et l’effondrement de l’économie américaine, avec des caractéristiques telles que la nourriture et le carburant inabordables, la pénurie de pièces pour réparer tout ce qui est cassé, et une bonne chance que les comptes de retraite soient vidés lors d’une prochaine « correction » du marché des actions et des obligations.
Tout cela pour demander : quand les habitants de ce pays vont-ils enfin se mettre en colère contre les gestionnaires qui dirigent tout ? Et quand les gens commenceront-ils à exprimer leur nouvelle rage ? Je vais faire une supposition. D’ici le mois de mai, lorsque le temps commencera vraiment à s’éclaircir, les gens seront dans les rues pour écraser tout ce qui semble représenter l’autorité. Bienvenue dans la saison du vrai chaos et de la crise, qui pourrait durer plusieurs saisons, voire des années. Prenez grand soin de vous-mêmes et de vos situations. Préparez-vous si vous le pouvez. Qu’est-ce que ça fait… d’être seul ? Le barde a chanté il y a soixante ans. Nous le saurons bientôt.
RépondreSupprimerJames Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
https://lesakerfrancophone.fr/nous-allons-bientot-le-savoir
Bilan Corona en Norvège dominé par les demi-vérités et le révisionnisme
RépondreSupprimer17 mars 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Ces jours sont « la pandémie » ou le (premier) « confinement » pour la troisième fois. Les autorités sanitaires norvégiennes dressent un bilan médiatique révélateur, caractérisé par des demi-vérités, un manque de preuves et des sophismes, mais qui donne au moins quelques indications : la "vaccination" a été manifestement inefficace quant à sa "fonction protectrice" (et la Norvège est obstinément silencieuse sur les effets secondaires possibles), mais montre également ce qui est à venir : plus de « préparation » pour la prochaine « pandémie » et un certain nombre d'autres « ingrédients actifs » de modARN sont prévus ou font déjà l'objet d'études cliniques (voir par exemple ici ) .
Le 13 mars 2023, un article extrêmement perspicace, bien que truffé de problèmes massifs, est paru dans Bergens Tidende , le quotidien de la deuxième plus grande ville de Norvège, Bergen. Dans l'article, que vous pouvez retrouver traduit ici en extraits*, le Dr. Espen Nakstak, directeur adjoint de la santé, et Dr. Preben Aavitsland, chef du département des maladies infectieuses du Folkeheleseinstituttet (par exemple, le bureau de la santé publique, l'homologue norvégien de l'AGES ou du BASG) a fait une déclaration détaillée à l'occasion du 3e anniversaire de la "pandémie".
(*Référez-vous à ma sous-pile pour une traduction complète en anglais.)
Toutes les traductions et les accents sont de moi, de même que les commentaires et les annotations à la fin.
Trois ans avec Corona, Bergens Tidende
A l'occasion de "l'anniversaire" du premier "lockdown", qui en Norvège, comme en Autriche, était initialement limité à deux semaines ("deux semaines pour aplatir la courbe"), Espen Nakstad a commenté ainsi :
Nous sommes actuellement dans une phase calme de la pandémie et ce depuis un certain temps . La situation en Norvège et en Europe est désormais stable , bien qu'il y ait encore quelques hospitalisations pour infections respiratoires. Dans l'ensemble, en mars 2023, il y a eu autant d'admissions à l'hôpital pour infections respiratoires qu'il y en aurait autrement au cours d'une année normale .
Son collègue du Folkehelseinstituttet, Preben Aavitsland, a fait une déclaration similaire :
RépondreSupprimerDans les années à venir, nous verrons deux, trois ou peut-être quatre vagues de COVID-19 par an. Ceux-ci sont susceptibles de devenir de plus en plus petits et d'attirer de moins en moins d'attention et d'intérêt.
La ministre norvégienne de la Santé, Ingvild Kjerkol, du Parti travailliste, a ajouté :
Je suis heureux que notre vie quotidienne soit largement revenue à la normale . Dans le même temps, nous sommes préparés à de nouvelles vagues de coronavirus si la situation devait changer. Nous avons une stratégie de réponse à jour que nous poursuivons et ajustons si nécessaire.
Niveaux élevés d'« immunité de la population » – mais d'où ?
Les passages les plus aventureux se trouvent au milieu de la contribution de Bergens Tidende, qu'il convient ici de citer en détail. Nakstad déclare :
Nous avons atteint un niveau élevé d'immunité de la population après la vaccination et la maladie. Je crois que l'immunité de la population continuera d'augmenter en Norvège et dans le monde en 2023. En conséquence, bien qu'il puisse y avoir des vagues d'infection localement et internationalement, nous verrons de moins en moins de vagues d'hospitalisation.
Cependant, Nakstad ne parvient pas à différencier la cause de ce niveau d'immunité de la population. Cela est très probablement dû à deux facteurs : comme l'indique un document de planification du Folkehelseinstituttet du 8 novembre 2022, les autorités « savent exactement qui a reçu combien de doses », mais pas combien de personnes sont infectées. (Le document n'est pas paginé, mais vous pouvez lire un compte rendu détaillé sur ma sous-stack .)
Nous en concluons donc que l'avenir s'annonce plutôt prometteur grâce à la « croyance » du directeur adjoint de la santé.
Son collègue Aavitsland du Folkehelseinstituttet souligne également que presque tous les habitants du pays sont désormais infectés par le virus corona, ce qui permet au moins de tirer des conclusions sur l'efficacité - plutôt : l'inutilité - des injections administrées :
La protection contre l'infection diminue de manière significative dans les six mois suivant l'infection ou la vaccination. Presque tous ceux qui sont infectés maintenant le seront pour la deuxième ou la troisième fois. Nous pouvons toujours tomber vraiment malades, mais le risque de tomber suffisamment malade pour nécessiter une hospitalisation diminue.
Il s'agit d'une déclaration très problématique, qui est contredite par les informations fournies par le Folkehelseinstituttet . Le tableau suivant se trouve également dans le document de planification lié ci-dessus :
- voir cadre sur site -
Ceci décrit les considérations ou attentes de modélisation du Folkehelseinstituttet , qui montrent que le seuil d'efficacité attendu de 50 % (de réduction du risque relatif) des injections corona est fixé entre 27 et 40 jours après la dernière "vaccination". Cela signifie que la "protection vaccinale" contre l'infection - au 1er octobre 2022 - est comprise entre quatre et sept semaines (en effet, avec de tels calculs, une fois le seuil de 50 % dépassé, il ne peut plus être prouvé qu'une éventuelle Conséquences comme une infection ou dont l'absence a été provoquée par une intervention médicale ou par le système immunitaire).
RépondreSupprimerStatut vaccinal et « effet protecteur »
"Chaque semaine", selon Bergens Tidende , il y a encore des "décès associés au corona" en Norvège, qui résultent des près de 150 hospitalisations par semaine actuellement. Accessoirement, la définition des « décès associés au corona » est problématique, puisqu'aucune distinction n'est faite entre la cause du décès « corona » ou d'autres causes (p. 25) :
Pour les décès liés à la COVID-19, il existe une incertitude quant à la mesure dans laquelle une cause de décès indiquée sur le certificat de décès a réellement contribué au décès signalé.
Les informations contiennent donc à la fois des personnes décédées « de Covid » et « avec Covid » – et sont donc dénuées de sens pour des considérations fondées sur des preuves.
Selon Bergens Tidende, "environ la moitié" des "hospitalisations associées au corona" sont le résultat de Covid, "le reste est amené avec d'autres maladies et a également le corona". Il y a un silence obstiné sur le statut vaccinal des personnes hospitalisées - et cela malgré le fait que les autorités, comme expliqué ci-dessus, sont au courant de chaque "vaccination" administrée.
Le rapport hebdomadaire actuel (n°10, 6-12 mars 2023, p. 17) ne contient que le graphique suivant :
- voir graph sur site -
Cela montre «l'incidence hebdomadaire combinée des nouveaux décès ou hospitalisations dus au Covid-19 comme cause principale». Comme indiqué dans la légende, « To doser » désigne 2 doses (et pas plus de coups), « tre doser » à 3 trois (et pas plus) et « fire doser » à 4 injections (et pas plus). Les vaccinés simplement ne sont pas enregistrés.
Le statut vaccinal par cohorte d'âge se trouve dans un tableau en page 62 ; cela peut également être compris sans connaissance du norvégien - et donc je ne vous donnerai ici "que" les informations suivantes :
Sur les quelque 4,5 millions de personnes âgées de plus de 16 ans en Norvège, 93 % sont célibataires, 92 % sont doublement vaccinées et 65 % sont triplement vaccinées (et 19 % quadruplement).
RépondreSupprimerSur près de 2,5 millions de personnes âgées de plus de 45 ans, 94 % sont célibataires, 93 % sont doublement vaccinées, 83 % sont triplement vaccinées et 34 % sont quadruplement vaccinées.
Sur un peu plus d'un million de personnes âgées de plus de 65 ans, 96 % sont célibataires, 96 % sont doubles, 92 % sont triples et 67 % sont quadruples vaccinées.
L'"efficacité" de la vaccination, qu'Aavitsland évalue à "quelques mois", peut être qualifiée de négligeable, du moins pour les moins de 65 ans, sur la base des informations du tableau 9.
Surmortalité et tentatives d'explication
L'avant-dernière section du bilan Corona est consacrée aux "décès associés au corona" - bien que définis de manière problématique. Depuis le début de la "pandémie" il y a trois ans, un total de 5 230 décès liés au corona ont été enregistrés en Norvège. Selon les informations officielles du Folkehelseinstituttet , "337 décès corona" ont été enregistrés jusqu'à présent en 2023. Concernant Nakstad :
Nous voyons des signes que le taux de mortalité dans la population est probablement plus bas maintenant qu'il ne l'était avant la pandémie. Cela suggère qu'il n'y a actuellement aucune augmentation spectaculaire des infections, ce qui est bien sûr un bon signe.
Il s'agit d'une affirmation très problématique, puisqu'on nous demande à nouveau de donner foi à une évaluation sans preuves ("probable"). Les chiffres officiels d'infection sont probablement plus bas qu'ils ne l'ont été depuis longtemps car pratiquement aucun test n'est effectué en Norvège.
- voir graph sur site -
Accessoirement, depuis le 23 juin 2022, les données de test ne sont également plus mises à jour par « Our World in Data » .
Nakstad souligne que "seuls ceux qui recherchent un traitement médical, sont admis à l'hôpital ou sont ciblés pour un traitement par pilule [Paxlovid, disponible en Norvège depuis le 8 décembre 2022] sont recommandés pour être testés". Les conséquences de cela, selon Nakstad, sont claires :
En conséquence, il est difficile de donner une estimation précise du nombre de personnes actuellement touchées par le coronavirus, même lorsque nous maîtrisons le nombre d'hospitalisations.
Encore une fois, pour rappel : les «chiffres exacts» sur les vaccinations corona administrées sont également connus, mais ne sont pas publiés par les autorités sanitaires. Soit dit en passant : il y a un peu plus de données à ce sujet – dans le rapport hebdomadaire actuel cité, page 20, sur les vaccinations contre la grippe : 47 % des hospitalisations sont « uvaksinées » (non vaccinées), les 53 % restants sont vaccinés, ce qui – fait intéressant – maintenant aussi avec la vaccination contre la grippe avec la fenêtre de temps de 14 jours connue du programme de vaccination corona - y compris tous les problèmes méthodologiques associés - est différenciée de l'injection.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les "chiffres de décès associés au corona" rapportés, il convient également de noter que cette information est problématique :
434 personnes sont décédées du ou avec le Covid jusqu'au 27 décembre 2020 (avant le début de la campagne de vaccination le 27 décembre 2020).
Du 28 décembre 2020 au 2 janvier 2022, il y a eu 487 décès liés au Covid «non vaccinés» et 388 «entièrement vaccinés» en Norvège.
en 2022, il y a eu 2 977 décès « associés à Covid ».
Selon les données officielles ( bilan des semaines 43 et 44/2022, p. 46), la couverture vaccinale pour tous les résidents de plus de 16 ans était de 91 % (1 dose), 87 % (2 doses), 66 % (3 doses) et 16 % (4 doses). La prise de rappels chez les personnes âgées était significativement plus élevée : 92 % de toutes les personnes âgées (65 ans et plus) avaient reçu une troisième dose à ce stade, et 63 % avaient reçu une dose supplémentaire (la 4e).
Dans l'article de Bergens Tidende cité ici , le total officiel est donné à 5 230 de ces « décès associés au corona ». C'est étrange car l'ajout des décès énumérés ci-dessus de 2020, 2021 et 2022 donne un total de 4 286 personnes.
La différence entre ce nombre et les 5 230 mentionnés ci-dessus est de 944, ce qui contraste avec les 337 "décès liés au corona" rapportés dans l'article discuté ici.
En dehors de cela, on peut s'attendre avec une probabilité proche de la certitude qu'en 2023 l'écrasante majorité de ces "décès associés au corona" surviendra également dans les 96% de la population au moins une fois vaccinée parmi les "vaccinés".
Les déclarations sur «l'efficacité» de la «vaccination corona» auraient probablement dû être superflues sur la base de ces indications.
Situation et perspectives des autorités norvégiennes
RépondreSupprimerLes déclarations suivantes sont disponibles auprès de Nakstad :
Nous avons une nouvelle maladie. Indépendamment de la vaccination, elle sera toujours dangereuse pour les personnes les plus âgées et les plus fragiles, par exemple dans les EHPAD. Avec les vaccins d'aujourd'hui, nous ne pouvons pas les protéger complètement. Alors, comme la grippe aujourd'hui, le coronavirus deviendra un tueur assez commun des plus âgés et des plus infirmes .
Cela devrait probablement aussi rendre superflu le « débat » sur d'éventuelles « mesures de protection » pour la société dans son ensemble. "Les vaccins d'aujourd'hui" "ne fonctionnent pas complètement", comme Nakstad - certainement un candidat au titre de "M. Euphémisme 2023 » – admet.
Aavitsland du Folkehelseinstituttet a déclaré :
Bien sûr, il y a un petit risque que le virus change radicalement et devienne encore plus contagieux et provoque des maladies encore plus graves. Ce serait alors plutôt une nouvelle pandémie .
Nakstad adopte un point de vue similaire :
Le virus est en constante mutation et a beaucoup changé au cours de sa phase Omicron. Néanmoins, la proportion de maladies graves n'a cessé de diminuer, ce qui est bon signe... Nous avons beaucoup appris au fil du temps sur la façon de vivre avec un virus pandémique sans que cela n'affecte trop notre quotidien et sans que le système de santé ne s'effondre. Surtout depuis l'introduction du programme de vaccination, nous avons pu mener une vie relativement normale en Norvège.
Cependant, la dernière phrase sur le rôle du "programme de vaccination" est - comme mentionné - problématique. Ceci non seulement à cause des considérations faites, mais aussi parce que les bureaucrates de la santé eux-mêmes (comme cité ci-dessus) n'utilisent pas des mots aussi clairs. Au contraire, et donc la "croyance" des principales autorités et la "probabilité" sans preuves doivent être rappelées ici.
Le chevalier Vaccinationsteel Helms sur
Si la "pandémie" nous a appris quelque chose, c'est que les autorités sanitaires sont pleinement engagées dans le génie génétique des médicaments modRNA. Concernant Nakstad :
La pandémie nous a appris des leçons utiles et fait progresser la recherche sur les vaccins dans la bonne direction. Dans le même temps, il existe encore une grande incertitude concernant les maladies infectieuses pouvant être transmises des animaux aux humains, les soi-disant zoonoses.
La réflexion ou même la perspicacité face à leurs propres données semble différente.
RépondreSupprimerNakstad dit ce qui suit à propos de la gestion de crise :
Les leçons que nous avons apprises s'appliquent également à d'autres types de gestion de crise, et il est important de garder cela à l'esprit.
Ce n'est rien de plus qu'une menace ouverte, même dans le cas d'"autres types" d'incidents, qu'ils soient factuellement vérifiables - voir le non-test depuis l'été dernier, qui a été utilisé au début de la "pandémie" pour sa "justification" - ou revendiqué.
Cependant, comme le montre le rapport de la Commission norvégienne Corona (p. 445, également dans ma traduction et avec mon emphase), qui a été présenté fin avril de l'année dernière, ces faits ne jouent guère de rôle :
La population norvégienne se distingue dans le contexte international en ce que nous avons un haut niveau de confiance les uns envers les autres et envers les autorités ... Nous pensons que ce haut niveau de confiance a contribué au soutien de la population aux mesures de contrôle des infections et qu'ils ont généralement suivies, qu'elles soient émises sous forme de mandats ou de recommandations. Le niveau élevé de confiance a également contribué à la couverture vaccinale élevée de la population. Le niveau de conflit lié à la gestion de la pandémie a toujours été faible en Norvège, alors même que la crise s'est prolongée et que les nombreuses mesures ont fait des ravages sur la population .
Tout au long de la pandémie, le public a exprimé sa confiance dans la gestion de la situation par les autorités. Dans les enquêtes, les deux tiers de la population ont toujours déclaré qu'ils faisaient confiance aux autorités pour avoir pris les mesures nécessaires pour contrôler l'infection, et une proportion égale a déclaré faire confiance aux informations qu'ils avaient reçues des autorités sanitaires. La longue pandémie ne semble pas avoir ébranlé la confiance fondamentale qui caractérise la société norvégienne
Ces passages datent d'environ un an - et compte tenu du bilan Corona de cette année, ils me choquent beaucoup, mis à part les comparaisons directes avec ce que les politiciens autrichiens, les "experts" et leurs porteurs d'eau en disent dans les "médias de premier plan et de qualité ". .
Si vous regardez ce rapport de la Commission Corona à la lumière du bilan Corona dressé par les autorités sanitaires norvégiennes ces jours-ci, il est difficile de ne pas en tirer la conclusion suivante.
Des mesures plus dures - comme en Allemagne ou en Autriche - pourraient être évitées car 2/3 de la population faisait plus ou moins aveuglément confiance aux autorités et aux "experts". Si le taux de vaccination en Norvège - qui, soit dit en passant, ne diffère pas des taux en Allemagne ou en Autriche, bien que ces derniers aient été "achetés" avec beaucoup plus de coercition - a été atteint sans ces mesures coercitives et cette propagande massive, deux conclusions s'imposent :
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
1 - Les Allemands et les Autrichiens, qui ont résisté pendant des années aux pressions massives, inconstitutionnelles et largement dépourvues de preuves des politiciens, des "experts" et de leurs exécuteurs volontaires dans les "médias de premier plan et de qualité", ont manifestement appris beaucoup "plus" de "l'histoire" que leurs compagnons norvégiens.
2 - Si la couverture vaccinale en Norvège avait été différente, les politiciens, les "experts" et leurs exécuteurs volontaires dans les "médias de premier plan et de qualité" seraient certainement passés à attaquer la population et seraient probablement allés ici aussi pour "voir les rênes resserré " ( Alexander Schallenberg)
Toutes ces choses se sont déjà produites – et il est extrêmement important de faire passer le mot pour que les conséquences ne se révèlent pas être ce que le ministre de la Santé Kjerkol, entre autres, dit « afin que nous soyons bien préparés pour l'avenir » :
La préparation est une partie importante du travail du gouvernement et nous en ferons le suivi à la fois dans le rapport de santé publique qui doit être publié le 31 mars et dans le rapport de préparation sur la santé qui doit être publié à l'automne.
« Passeports verts », identification numérique et contrôles de consommation et d'accès resteront donc avec nous – et les autorités partout et à l'unisson disent que les « leçons de la pandémie » devraient bientôt être appliquées à d'autres contextes.
Il est donc grand temps de se préparer aux conséquences attendues : résister aux débuts.
https://tkp.at/2023/03/17/corona-bilanz-in-norwegen-dominiert-von-halbwahrheiten-und-revisionismus/
(...) Il est donc grand temps de se préparer aux conséquences attendues : résister aux débuts. (...)
SupprimerEncore eut-il fallut que le public sache ce qu'est un virus ! Mais, les trop gros cons pour ouvrir dictionnaire ou chercher sur le net en sont donc restés plantés/scotchés devant leur télé-merde, radio-merde et journaux pour se torcher le cul !
Pourtant... la vérité était là dès le début ! Les merdias l'ont annoncé "C'est un virus !" et non "C'est un microbe !"
Et, comme un virus est une poussière et que toutes les poussières sont inoffensives (sauf les poussières radioactives), donc y a pas à paniquer.
Or, il existe des milliers de laboratoires dans le monde qui analysent l'air tous les jours. Et, AUCUN de ces laboratoires d'analyses n'a trouvé de 'cocovide19' !! Çà alors !!
Mais alors... où est-ce qu'il est-il ??
Il est... il est... il est dans la seringue ! EH OUI ! Vous ne l'attendiez pas ! Et bêh VOUS L'AVEZ ! HAHAHAHA !
"T'es piqué tu l'as, tu l'as t'es mort !"
Pas belle la vie ?
Moins de cons sur Terre.
Associations médicales en Autriche : composition de la commission disciplinaire inconstitutionnelle
RépondreSupprimer18 mars 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Une décision récente de la VFGH a également été déclenchée par la liste de l'association médicale "Nous sommes des médecins et non des chambres". La Cour constitutionnelle a abrogé la disposition de la loi sur les médecins selon laquelle le comité de discipline de l'Ordre des médecins est nommé sur proposition du ministère de la Santé.
Les associations médicales et surtout leurs commissions de discipline ont joué un rôle douteux ces trois dernières années. Des verdicts disciplinaires ont été rendus pour des motifs contraires à la preuve et les médecins de la commission n'avaient apparemment aucune idée de la façon de citer correctement. Par exemple, il était simplement écrit qu'il y avait des études sur www.medRxiv.com . Cependant, ils peuvent dire exactement le contraire de ce que soupçonnait le commissaire disciplinaire.
Avec des arguments qui étaient et sont contra lege artis, la liberté de choix du traitement pour les patients a été massivement restreinte, non seulement par les commissions disciplinaires, mais par les responsables politiques des chambres.
Tribunal politique
Comme on le sait, de nombreux médecins qui ont objectivement critiqué les mesures gouvernementales et se sont opposés à la réglementation dans l'intérêt de leurs patients ont fait l'objet de rapports disciplinaires arbitraires et existentiels pendant la crise de Corona. Les commissions fermées de l'association médicale avaient souvent l'apparence d'un simulacre de procès, comme dans les États autoritaires où la condamnation était prédéterminée.
En conséquence, de nombreux médecins critiques ont également été condamnés. Non seulement des amendes sensibles et parfois existentiellement menaçantes ont été infligées, mais parfois même la licence du médecin a été révoquée.
Sur quoi DDr. Christian Fiala, porte-parole de la liste "Nous sommes médecins et non chambres" et d'autres médecins ont porté plainte auprès du tribunal administratif de l'Etat et se sont notamment plaints de la composition inconstitutionnelle de ce "tribunal" interne à la chambre. La Cour administrative s'est alors tournée vers la Cour constitutionnelle.
Y aura-t-il maintenant des demandes de dommages-intérêts ?
RépondreSupprimerLa critique de la liste des médecins du comité de discipline s'avère aujourd'hui justifiée : en témoignent également la surmortalité désormais manifeste liée à la vaccination, la chute massive des naissances 9 mois après la campagne de vaccination, ainsi que la volonté déterminée inefficacité de la protection de la bouche et du nez.« Nous avons toujours critiqué l'arbitraire de cette commission de chambre et son inconstitutionnalité. Beaucoup de nos collègues ont été intimidés, réduits au silence et menacés existentiellement. Je m'attends maintenant à ce que, sur la base de cette décision, de nombreux collègues déposent des demandes de dommages-intérêts contre l'ordre médical, mais aussi contre les personnes qui ont servi cette justice politique et intimidé les médecins avec l'aide de ces commissions - désormais officiellement inconstitutionnelles - - au moins, nous soutiendrons dans ce différend juridique.
Faible impact
Comme l'explique l'avocat Georg Prchlik, la Cour constitutionnelle a accordé au législateur un très long délai jusqu'au 30 septembre 2024 (!) pour réparer la loi. Les dispositions n'expireront que le 30 septembre 2024 et devront être appliquées jusque-là. (Ils ne sont pas utilisés dans la procédure sur laquelle la contestation était fondée, c'est-à-dire dans la procédure pendante devant le tribunal administratif dans laquelle le tribunal administratif a arrêté la procédure et a récusé la Cour constitutionnelle.)
La décision VfGH n'a aucun effet sur les procédures qui ont déjà été définitivement conclues; en particulier, aucune sanction disciplinaire imposée par la loi ne sera levée.
Cependant, la Cour constitutionnelle a la possibilité d'une influence inadmissible de la politique (du ministre) sur le Conseil de discipline et, par conséquent, la preuve du contrôle politique des décisions du Conseil de discipline pourrait être facilitée.
Mais surtout, le système des associations médicales sera préservé. Différent en Hongrie. Depuis, un parlement soucieux des intérêts des médecins en activité et de leurs patients a levé l'obligation d'adhésion aux associations médicales.
Le secrétaire à la Santé, Péter Takács, a expliqué que l'Association médicale menaçait la sécurité des patients en abusant de son pouvoir et en faisant pression sur les médecins qui, comme ils l' ont juré dans leur serment, veulent juste travailler et guérir. « Avec l'amendement à la loi qui vient d'être voté, nous avons retiré cet instrument des mains de la Chambre. Nous protégeons ainsi nos propres confrères, les médecins, qui peuvent désormais travailler sans être membre de la Chambre » , a déclaré le secrétaire d'État début mars 2023 .
https://tkp.at/2023/03/18/aerztekammern-in-oesterreich-zusammensetzung-der-disziplinarkommission-verfassungswidrig/
La crise du nouvel ordre mondial et « la reproduction de la vraie vie » : nourriture, eau et énergie. Trois nécessités fondamentales de la vie en péril
RépondreSupprimerUne guerre ouverte contre toute l'humanité : les 8 milliards d'habitants de la planète
Par le Pr Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
18 mars 2023
Introduction
L'ampleur et la complexité de la crise économique et sociale mondiale de 2020-2023 dépassent de loin toutes les « dépressions » précédentes, y compris la récession de 2007-2009 , qui a été classée comme la crise économique la plus grave depuis la Grande Dépression de 1929.
Nous sommes actuellement au carrefour de la plus grave crise économique et sociale de l'histoire mondiale. C'est une guerre pure et simple contre toute l'humanité : les 8 milliards d'habitants de la Planète.
La crise mondiale actuelle (2020-2023) – qui se poursuit – a littéralement perturbé et détruit la vie des gens dans le monde entier au cours des trois dernières années.
Tout est lié :
la pandémie de Covid, le vaccin ARNm,
la déstabilisation incessante de l'économie mondiale entraînant une pauvreté de masse, des famines,
la déstabilisation de l'État-nation, la destruction de la démocratie,
la guerre en Ukraine,
l'effondrement artificiel de la production,
la hausse des prix de l'énergie et de l'alimentation,
fraude financière, gouvernements corrompus,
désinformation médiatique,
la disparition de la diplomatie internationale, la menace d'une guerre nucléaire.
L'article ci-dessous a été écrit il y a quinze ans en juin 2008 au plus fort de la crise économique de 2007-2009.
L'accent est mis sur « la nourriture, l'eau et le carburant. Trois nécessités fondamentales de la vie en péril ». Inutile de dire que ces concepts ont une incidence directe sur notre compréhension de la crise économique et sociale 2020-2023 en cours.
L'accès à la nourriture, à l'eau et à l'énergie relève de la « reproduction de la vie réelle » qui est la base même de la civilisation humaine .
La « reproduction de la vie réelle » ne se limite pas aux « besoins humains fondamentaux » ( par exemple, la privatisation de l'eau, la reproduction du cycle agricole ). Il concerne également la reproduction simultanée des institutions de la société civile, y compris les écoles et les universités, la science, la connaissance, les relations sociales et familiales, les structures de l'État-nation, la justice, la culture, l'histoire, les relations internationales, qui sont actuellement menacées .
L'agenda démographique américain .
RépondreSupprimerL'article se concentre également sur le programme américain de contrôle de la population tel qu'il figure dans le National Security Study Memorandum 200 (NSSSM 200) formulé sous l'administration Nixon.
Le Congrès américain a créé une commission sur « la croissance démographique et l'avenir américain ». (Voir Centre de recherche sur la population et la sécurité) .
Sous la direction d' Henry Kissinger, l'objectif tacite de la Commission était de réduire la population mondiale en vue de servir les intérêts stratégiques et de sécurité nationale des États-Unis.
Il convient de noter que le NSSSM 200 a été la source d'inspiration de Klaus Schwab, et al dans la formulation du programme de dépopulation du Forum économique mondial.
Ce qui est en jeu est un projet formulé par les élites financières pour saper la "Reproduction de la Vraie Vie" , par laquelle de larges secteurs de la population mondiale seront précipités dans une pauvreté et un désespoir abyssaux.
Michel Chossudovsky, Global Research, 17 mars 2023
* * *
La crise mondiale : nourriture, eau et carburant.
Trois nécessités fondamentales de la vie en péril
de Michel Chossudovsky
Recherche mondiale, 05 juin 2008
(légère modification par l'auteur)
* * *
Les balles enrobées de sucre du "marché libre" tuent nos enfants. L'acte de tuer est instrumenté de manière détachée par le commerce de programmes informatiques sur les bourses commerciales de New York et de Chicago, où les prix mondiaux du riz, du blé et du maïs sont décidés.
La pauvreté n'est pas uniquement le résultat d'échecs politiques au niveau national. Les habitants de différents pays s'appauvrissent simultanément en raison d'un mécanisme de marché mondial. Un petit nombre d'institutions financières et de sociétés mondiales ont la capacité de déterminer, par la manipulation du marché, le niveau de vie de millions de personnes dans le monde.
Nous sommes au carrefour de la plus grave crise économique et sociale de l'histoire moderne. Le processus d'appauvrissement mondial déclenché au début de la crise de la dette des années 1980 a atteint un tournant majeur, conduisant à l' apparition simultanée de famines dans toutes les grandes régions du monde en développement.
De nombreuses caractéristiques complexes sous-tendent la crise économique mondiale concernant les marchés financiers, le déclin de la production, l'effondrement des institutions de l'État et le développement rapide d'une économie de guerre axée sur le profit . Ce qui est rarement mentionné dans cette analyse, c'est la façon dont cette restructuration économique mondiale empiète de manière forcée sur trois nécessités fondamentales de la vie : la nourriture, l'eau et le carburant.
RépondreSupprimerL'approvisionnement en nourriture, en eau et en carburant est une condition préalable à une société civilisée : ce sont des facteurs nécessaires à la survie de l'espèce humaine. Ces dernières années, les prix de ces trois variables ont augmenté de façon spectaculaire au niveau mondial, avec des conséquences économiques et sociales dévastatrices.
Ces trois biens ou marchandises essentiels, qui déterminent dans un sens réel la reproduction de la vie économique et sociale sur la planète terre , sont sous le contrôle d'un petit nombre d'entreprises mondiales et d'institutions financières.
Tant l'État que l'ensemble des organisations internationales – souvent appelées la « communauté internationale » – servent les intérêts absolus du capitalisme mondial. Les principaux organismes intergouvernementaux, dont les Nations Unies, les institutions de Bretton Woods et l'Organisation mondiale du commerce (OMC), ont approuvé le Nouvel Ordre mondial au nom de leurs sponsors. Les gouvernements des pays développés et en développement ont abandonné leur rôle historique de régulation des variables économiques clés ainsi que d'assurer un minimum de subsistance à leur population.
Des mouvements de protestation dirigés contre la hausse des prix des denrées alimentaires et de l'essence ont éclaté simultanément dans différentes régions du monde. Les conditions sont particulièrement critiques en Haïti, au Nicaragua, au Guatemala, en Inde, au Bangladesh. La flambée des prix des denrées alimentaires et du carburant en Somalie a précipité le pays tout entier dans une situation de famine massive, associée à de graves pénuries d'eau. Une situation similaire et tout aussi grave prévaut en Éthiopie.
Parmi les autres pays touchés par la flambée des prix des denrées alimentaires figurent l'Indonésie, les Philippines, le Libéria, l'Égypte, le Soudan, le Mozambique, le Zimbabwe, le Kenya, l'Érythrée, une longue liste de pays pauvres…, sans parler de ceux sous occupation militaire étrangère, notamment l'Irak, l'Afghanistan et la Palestine.
La plupart de ces ouvriers de Kurigram ont faim au cours de ces trois mois à cause du chômage et de la hausse du prix des produits de première nécessité
Déréglementation
RépondreSupprimerL'approvisionnement en vivres, en eau et en carburant ne fait plus l'objet d'une réglementation ou d'une intervention gouvernementale ou intergouvernementale, en vue de réduire la pauvreté ou d'éviter le déclenchement de famines.
Le sort de millions d'êtres humains est géré à huis clos dans les salles de réunion des entreprises dans le cadre d'un programme axé sur le profit.
Et parce que ces puissants acteurs économiques opèrent à travers un mécanisme de marché apparemment neutre et "invisible", les impacts sociaux dévastateurs des hausses artificielles des prix des aliments, du carburant et de l'eau sont ignorés avec désinvolture en raison de considérations d'offre et de demande.
Nature de la crise économique et sociale mondiale
Largement occultées par les rapports officiels et médiatiques, la « crise alimentaire » comme la « crise pétrolière » sont le résultat de la manipulation spéculative des valeurs marchandes par de puissants acteurs économiques.
Nous n'avons pas affaire à des « crises » alimentaires, énergétiques et hydriques distinctes et séparées, mais à un processus mondial de restructuration économique et sociale.
La flambée des prix de ces trois produits essentiels n'est pas fortuite. Les trois variables, y compris les prix des aliments de base, l'eau pour la production et la consommation et le carburant font l'objet d'un processus de manipulation délibérée et simultanée du marché.
Au cœur de la crise alimentaire se trouve la hausse des prix des denrées alimentaires de base couplée à une augmentation spectaculaire du prix du carburant.
Parallèlement, le prix de l'eau qui est un intrant essentiel à la production agricole et industrielle, aux infrastructures sociales, à l'assainissement public et à la consommation des ménages a augmenté brutalement à la suite d'un mouvement mondial de privatisation des ressources en eau.
Nous avons affaire à un bouleversement économique et social majeur, une crise mondiale sans précédent, caractérisée par la relation triangulaire entre l'eau, la nourriture et le carburant : trois variables fondamentales, qui ensemble affectent les moyens mêmes de survie humaine.
Concrètement, ces hausses de prix appauvrissent et détruisent la vie des gens. De plus, l'effondrement mondial du niveau de vie se produit en temps de guerre. Elle est intimement liée à l'agenda militaire. La guerre au Moyen-Orient est directement liée au contrôle des réserves de pétrole et d'eau.
Si l'eau n'est pas aujourd'hui une marchandise faisant l'objet d'échanges internationaux au même titre que le pétrole et les denrées alimentaires de base, elle fait aussi l'objet de manipulations de marché à travers la privatisation de l'eau.
Les acteurs économiques et financiers opérant à huis clos :
RépondreSupprimer– les principales banques et sociétés financières de Wall Street, y compris les spéculateurs institutionnels qui jouent un rôle direct sur les marchés des matières premières, y compris les marchés pétrolier et alimentaire
-Les géants anglo-américains du pétrole et de l'énergie, dont British Petroleum (BP), ExxonMobil, Chevron-Texaco, Royal Dutch Shell
– Les conglomérats biotech-agro-industriels, qui détiennent les droits de propriété intellectuelle sur les semences et les intrants agricoles . Les sociétés de biotechnologie sont également des acteurs majeurs sur les bourses marchandes de New York et de Chicago.
– Les géants de l'eau dont Suez, Veolia et Bechtel-United Utilities , impliqués dans la vaste privatisation des ressources mondiales en eau.
– Le complexe militaro-industriel anglo-américain qui comprend les cinq grands entrepreneurs de défense américains (Lockheed Martin, Raytheon, Northrop Grunman, Boeing et General Dynamics) en alliance avec British Aerospace Systems Corporation (BAES) constitue une puissante force imbriquée, étroitement alignée sur Wall Street, les géants pétroliers et les conglomérats agro-biotechnologiques.
La bulle des prix du pétrole
Le mouvement des prix mondiaux sur les bourses commerciales de New York et de Chicago n'a aucun rapport avec les coûts de production du pétrole. La flambée des prix du pétrole brut n'est pas le résultat d'une pénurie de pétrole. On estime que le coût du baril de pétrole au Moyen-Orient ne dépasse pas 15 dollars. Le coût d'un baril de pétrole extrait des sables bitumineux de l'Alberta, au Canada, est de l'ordre de 30 $ (Antoine Ayoub, Radio Canada, mai 2008)
Le prix du pétrole brut dépasse actuellement les 120 dollars le baril. Ce prix de marché est en grande partie le résultat de l'assaut spéculatif.
- voir graph sur site -
Source : NYMEX
Le carburant entre dans la production de pratiquement tous les domaines de l'industrie manufacturière, de l'agriculture et de l'économie des services.
Les hausses des prix du carburant ont contribué, dans toutes les grandes régions du monde, à précipiter des dizaines de milliers de petites et moyennes entreprises dans la faillite ainsi qu'à saper et potentiellement paralyser les canaux du commerce intérieur et international.
L'augmentation du coût de l'essence au niveau de la vente au détail entraîne la disparition des économies locales, une concentration industrielle accrue et une centralisation massive du pouvoir économique entre les mains d'un petit nombre de sociétés mondiales. À leur tour, les hausses de carburant se répercutent sur le système de transport urbain, les écoles et les hôpitaux, l'industrie du camionnage, le transport maritime intercontinental, le transport aérien, le tourisme, les loisirs et la plupart des services publics.
Inflation
RépondreSupprimerLa hausse des prix du carburant déclenche un processus inflationniste plus large qui se traduit par une compression du pouvoir d'achat réel et par conséquent une baisse mondiale de la demande des consommateurs. Tous les grands secteurs de la société, y compris les classes moyennes des pays développés, sont touchés.
Ces mouvements de prix sont dictés par les marchés des matières premières. Ils sont le résultat d'échanges spéculatifs sur des fonds indiciels, des contrats à terme et des options sur les principaux marchés de matières premières, notamment l'ICE de Londres, les bourses commerciales de New York et de Chicago.
Les hausses spectaculaires des prix ne sont pas le résultat d'une pénurie de carburant, de nourriture ou d'eau.
Ce bouleversement de l'économie mondiale est délibéré. Les politiques économiques et financières de l'État sont contrôlées par des intérêts corporatifs privés. Le commerce spéculatif ne fait pas l'objet de politiques réglementaires. La dépression économique contribue à la formation de richesses, au renforcement du pouvoir d'une poignée d'entreprises mondiales
Selon William Engdahl;
« … Au moins 60 % des 128 prix du baril de pétrole brut proviennent de spéculations à terme non réglementées par des fonds spéculatifs, des banques et des groupes financiers utilisant les bourses à terme de Londres ICE et de New York NYMEX et des échanges interbancaires ou de gré à gré non contrôlés. commerce pour éviter un examen minutieux. Les règles de marge américaines de la Commodity Futures Trading Commission du gouvernement permettent aux spéculateurs d'acheter un contrat à terme sur le pétrole brut sur le Nymex, en ne payant que 6% de la valeur du contrat.
Au prix actuel de 128 dollars le baril, cela signifie qu'un trader à terme n'a qu'à mettre environ 8 dollars pour chaque baril. Il emprunte les 120 $ restants. Cet « effet de levier » extrême de 16 contre 1 contribue à faire grimper les prix à des niveaux totalement irréalistes et à compenser les pertes des banques dans les subprimes et autres catastrophes aux dépens de l'ensemble de la population. (Voir En savoir plus sur la véritable raison des prix élevés du pétrole , Global Research, mai 2008)
Parmi les principaux acteurs du marché spéculatif du pétrole brut figurent Goldman Sachs, Morgan Stanley, British Petroleum (BP), le conglomérat bancaire français Société Générale, Bank of America, la plus grande banque des États-Unis, et la suisse Mercuria. (Voir Miguel Angel Blanco, La Clave, Madrid, juin 2008)
British Petroleum contrôle l'International Petroleum Exchange (IPE) basé à Londres, qui est l'une des plus grandes bourses d'options et de contrats à terme sur l'énergie au monde. Parmi les principaux actionnaires d'IPE figurent Goldman Sachs et Morgan Stanley.
RépondreSupprimerSelon Der Spiegel , Morgan Stanley est l'un des principaux acteurs institutionnels du marché pétrolier spéculatif (IPE) basé à Londres. Selon Le Monde, la Société Générale française ainsi que Bank of America et Deutsche Bank ont été impliquées dans la diffusion de rumeurs visant à faire grimper le prix du pétrole brut. (Voir Miguel Angel Blanco, La Clave, Madrid, juin 2008)
Montée en flèche des prix alimentaires
La crise alimentaire mondiale, caractérisée par des hausses importantes des prix des denrées alimentaires de base, a conduit des millions de personnes dans le monde à la famine et à la privation chronique.
Selon la FAO, le prix des céréales de base a augmenté de 88 % depuis mars 2007. Le prix du blé a augmenté de 181 % sur une période de trois ans. Le prix du riz a augmenté de 50 % au cours des trois derniers mois (Voir Ian Angus, Crise alimentaire : « La plus grande démonstration de l'échec historique du modèle capitaliste » , Global Research, avril 2008) :
Le prix du riz a triplé en cinq ans, passant d'environ 600$ la tonne en 2003 à plus de 1800$ la tonne en mai 2008. (voir graphique ci-dessous)
« Le grade de riz thaïlandais le plus populaire se vendait 198 dollars la tonne il y a cinq ans et 323 dollars la tonne il y a un an. En avril 2008, le prix a atteint 1 000 $. Les augmentations sont encore plus importantes sur les marchés locaux — en Haïti, le prix du marché d'un sac de riz de 50 kilos a doublé en une semaine fin mars 2008. Ces augmentations sont catastrophiques pour les 2,6 milliards de personnes dans le monde qui vivent avec moins que les États-Unis. 2 $ par jour et consacrent 60 à 80 % de leurs revenus à l'alimentation. Des centaines de millions de personnes n'ont pas les moyens de manger » (Ibid)
Les principaux acteurs du marché des céréales sont Cargill et Archer Daniels Midland (ADM). Ces deux géants contrôlent une part importante du marché mondial des céréales. Ils sont également impliqués dans des transactions spéculatives sur des contrats à terme et des options sur le NYMEX et le Chicago Board of Trade (CBOT). Aux États-Unis, "le plus grand producteur mondial de cultures GM, Cargill, ADM et son concurrent Zen Noh contrôlent à eux seuls 81 % de toutes les exportations de maïs et 65 % de toutes les exportations de soja". ( Greg Muttitt, Control Freaks, Cargill et ADM, The Ecologist, mars 2001 )
Pendant ce temps, les prix à la ferme au niveau local couvrent à peine les coûts de production, entraînant la faillite de l'économie paysanne.
RépondreSupprimerLa privatisation de l'eau
Selon des sources de l'ONU, qui sous-estiment largement la gravité de la crise de l'eau, un milliard de personnes dans le monde (15 % de la population mondiale) n'ont pas accès à l'eau potable "et 6 000 enfants meurent chaque jour à cause d'infections liées à l'eau insalubre" ( BBC Actualités, 24 mars 2004 )
Une poignée d'entreprises mondiales, dont Suez, Veolia, Bechtel-United Utilities, Thames Water et l'allemand RWE-AG, acquièrent le contrôle et la propriété des services publics d'eau et de gestion des déchets. Suez et Veolia détiennent environ 70 % des systèmes d'eau privatisés dans le monde.
La privatisation de l'eau sous l'égide de la Banque mondiale se nourrit de l'effondrement du système public de distribution d'eau potable du robinet :
"La Banque mondiale sert les intérêts des compagnies des eaux à la fois par le biais de ses programmes de prêts réguliers aux gouvernements, qui sont souvent assortis de conditions exigeant explicitement la privatisation de l'approvisionnement en eau…" ( Maude Barlow et Tony Clarke, Water Privatization: The World Bank's Latest Market Fantasy , Institut Polaris, Ottawa, 2004 )
"Le modus operandi [en Inde] est clair - négliger le développement des ressources en eau [dans le cadre des mesures d'austérité budgétaire de la Banque mondiale], revendiquer une " pénurie de ressources " et laisser les systèmes existants se détériorer. " ( Ann Ninan, Private Water, Public Misery, India Resource Centre, 16 avril 2003 )
Pendant ce temps, les marchés de l'eau en bouteille ont été appropriés par une poignée d'entreprises, dont Coca-Cola, Danone, Nestlé et PepsiCo. Ces entreprises ne travaillent pas seulement main dans la main avec les sociétés de distribution d'eau, elles sont également liées aux entreprises agro-industrielles et biotechnologiques impliquées dans l'industrie alimentaire.
L'eau du robinet est achetée par Coca-Cola à une installation d'eau municipale, puis revendue au détail. On estime qu'aux États-Unis, 40 % de l'eau en bouteille est de l'eau du robinet. (Voir, Jared Blumenfeld, Susan Leal Le coût réel de l'eau en bouteille, San Francisco Chronicle, 18 février 2007 )
En Inde, Coca-Cola a contribué à l'épuisement des nappes phréatiques au détriment des communautés locales :
« Les communautés à travers l'Inde vivant autour des usines d'embouteillage de Coca-Cola connaissent de graves pénuries d'eau, directement en raison de l'extraction massive d'eau par Coca-Cola de la ressource commune d'eau souterraine . Les puits se sont asséchés et les pompes à eau manuelles ne fonctionnent plus. Des études, dont une réalisée par le Central Ground Water Board en Inde , ont confirmé l'important épuisement de la nappe phréatique.
Lorsque l'eau est extraite de la ressource souterraine commune en creusant plus profondément, l'eau a une odeur et un goût étranges. Coca-Cola a déversé sans distinction ses eaux usées dans les champs autour de son usine et parfois dans les rivières, y compris le Gange, dans la région. Le résultat a été que les eaux souterraines ont été polluées ainsi que le sol. Les autorités de santé publique ont affiché des panneaux autour des puits et des pompes manuelles informant la communauté que l'eau est impropre à la consommation humaine….
RépondreSupprimerDes tests effectués par diverses agences, y compris le gouvernement indien, ont confirmé que les produits Coca-Cola contenaient des niveaux élevés de pesticides et, par conséquent, le Parlement indien a interdit la vente de Coca-Cola dans sa cafétéria . Cependant, Coca-Cola continue non seulement à vendre des boissons empoisonnées en Inde (qui ne pourraient jamais être vendues aux États-Unis et dans l'UE), mais introduit également de nouveaux produits sur le marché indien. Et comme si vendre des boissons contenant du DDT et d'autres pesticides aux Indiens ne suffisait pas, l'une des dernières installations d'embouteillage de Coca-Cola à ouvrir en Inde, à Ballia, est située dans une zone où la nappe phréatique est fortement contaminée par l' arsenic . Resource Center, Coca-Cola Crisis in India, sans date )
Dans les pays en développement, la hausse des prix des carburants a augmenté les coûts de l'eau du robinet bouillie par les ménages, ce qui a favorisé la privatisation des ressources en eau.
Dans la phase la plus avancée de la privatisation de l'eau, la propriété effective des lacs et des rivières par des sociétés privées est envisagée. La Mésopotamie n'a pas seulement été envahie pour ses vastes ressources pétrolières, la vallée des deux fleuves (Tigre et Euphrate) possède d'importantes réserves d'eau.
Remarques finales
Nous avons affaire à une constellation complexe et centralisée de pouvoir économique dans laquelle les instruments de manipulation du marché ont une incidence directe sur la vie de millions de personnes.
Les prix de la nourriture, de l'eau, du carburant sont déterminés au niveau mondial, hors de portée des politiques gouvernementales nationales . Les hausses de prix de ces trois matières premières essentielles constituent un instrument de « guerre économique », menée à travers le « marché libre » sur les marchés à terme et d'options.
Ces hausses des prix de la nourriture, de l'eau et du carburant contribuent dans un sens très réel à "l'élimination des pauvres" à travers les "morts de faim" .
Les balles enrobées de sucre du "marché libre" tuent nos enfants. L'acte de tuer est instrumenté de manière détachée par le commerce de programmes informatiques sur les bourses de marchandises, où les prix mondiaux du riz, du blé et du maïs sont décidés.
"La Commission sur la croissance démographique et l'avenir américain"
Mais il ne s'agit pas uniquement de concepts de marché. L'apparition de famines dans différentes parties du monde, résultant de la flambée des prix des denrées alimentaires et du carburant, a de vastes implications stratégiques et géopolitiques.
Le président Richard Nixon au début de son mandat en 1969 a affirmé
RépondreSupprimer« sa conviction que la surpopulation menace gravement la paix et la stabilité mondiales ».
Henry Kissinger , qui à l'époque était le conseiller de Nixon pour la sécurité nationale, a ordonné à diverses agences gouvernementales d'entreprendre conjointement "une étude de l'impact de la croissance démographique mondiale sur la sécurité américaine et les intérêts étrangers".
En mars 1970, le Congrès américain a créé une Commission sur la croissance démographique et l'avenir américain. (Voir Centre de recherche sur la population et la sécurité) .
La Commission n'était pas un groupe de travail ordinaire. Il a intégré des représentants de l'USAID, du Département d'Etat et du Département de l'Agriculture avec des responsables de la CIA et du Pentagone. Son objectif n'était pas d'aider les pays en développement mais plutôt de réduire la population mondiale en vue de servir les intérêts stratégiques et de sécurité nationale des États-Unis. La Commission considérait également le contrôle de la population comme un moyen d'assurer un environnement stable et sûr pour les investisseurs américains ainsi que de prendre le contrôle des ressources minérales et pétrolières des pays en développement.
Cette Commission termina ses travaux en décembre 1974 et diffusa un document classifié intitulé
National Security Study Memorandum 200 : Implications of Worldwide Population Growth for US Security and Overseas Interests »
aux « secrétaires désignés et chefs d'agence pour leur examen et leurs commentaires ».
En novembre 1975, le rapport et ses recommandations ont été approuvés par le président Gerald Ford.
Le rapport se concentre strictement sur le contrôle de la population. La question du dépeuplement n'est pas formellement abordée.
Le National Security Study Memorandum 200 (NSSSM 200) laisse cependant entrevoir ceci : que dans certains pays une récurrence des mines affamées, des maladies et des guerres pourrait constituer un instrument de facto de contrôle de la population.
"En conséquence, les pays où la faim et la malnutrition à grande échelle sont déjà présentes sont confrontés à la sombre perspective d'une amélioration minime, voire inexistante, de l'apport alimentaire dans les années à venir, à moins d'un important programme d'aide alimentaire financière étrangère, d'une expansion plus rapide de la production alimentaire nationale. , une croissance démographique réduite ou une combinaison des trois. Pire encore, une série de catastrophes agricoles pourrait transformer certaines d'entre elles en cas malthusiens classiques avec des famines impliquant des millions de personnes.
Alors que l'aide étrangère continuera probablement d'être fournie pour faire face à des situations d'urgence à court terme comme la menace d'une famine massive, il est plus douteux que les pays donateurs soient prêts à fournir le type d'aide alimentaire massive qu'exigent les projections d'importations sur la planète. une base continue à long terme.
Des taux de croissance démographique réduits pourraient clairement apporter un soulagement significatif à plus long terme…..
RépondreSupprimerDans les cas extrêmes où les pressions démographiques conduisent à la famine endémique, aux émeutes de la faim et à l'effondrement de l'ordre social, ces conditions ne sont guère propices à l'exploration systématique des gisements miniers ou aux investissements à long terme nécessaires à leur exploitation.
Sauf famine, à moins qu'un minimum d'aspirations populaires à l'amélioration matérielle ne puisse être satisfaite, et à moins que les conditions d'accès et d'exploitation ne persuadent les gouvernements et les peuples que cet aspect de l'ordre économique international a « quelque chose pour eux », des concessions aux compagnies étrangères sont susceptibles d'être expropriés ou soumis à une intervention arbitraire.
Que ce soit par l'action du gouvernement, les conflits de travail, le sabotage ou les troubles civils, la circulation fluide des matériaux nécessaires sera compromise.
Bien que la pression démographique ne soit évidemment pas le seul facteur en cause, ces types de frustrations sont beaucoup moins probables dans des conditions de croissance démographique lente ou nulle.
( 1974 National Security Study Memorandum 200: Implications of Worldwide Population Growth for US Security and Overseas Interests". (soulignement ajouté)
Le rapport se termine par quelques questions clés concernant le rôle de la nourriture en tant qu'"instrument de pouvoir national", qui pourrait être utilisé dans la poursuite des intérêts stratégiques américains.
« Sur quelle base ces ressources alimentaires devraient-elles alors être fournies ? La nourriture serait-elle considérée comme un instrument du pouvoir national ? Serons-nous obligés de faire des choix quant à qui nous pouvons raisonnablement aider, et si oui, les efforts de population devraient-ils être un critère pour une telle aide ?
Les États-Unis sont-ils prêts à accepter le rationnement alimentaire pour aider les personnes qui ne peuvent pas/ne veulent pas contrôler leur croissance démographique ? » (Ibid, nous soulignons)
Selon les mots d'Henri Kissinger :
« Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations ; contrôlez la nourriture et vous contrôlez les gens.
ANNEXE
RépondreSupprimerActeurs corporatifs mis en évidence dans cet article (parmi de nombreux autres acteurs corporatifs importants)
Commerce spéculatif du pétrole brut : Goldman Sachs, Morgan Stanley, British Petroleum (BP), Deutsche Bank, Société Générale, Bank of America, Mercuria en Suisse.
Privatisation de l'eau
Infrastructures hydrauliques : Suez, Veolia, Bechtel-United Utilities, Thames Water et l'allemand RWE-AG
Distribution au détail d'eau potable : Coca-Cola, Danone, Nestlé et PepsiCo
Prix des denrées alimentaires et semences génétiquement modifiées
Monsanto, Syngenta, Aventis, DuPont, Dow Chemical, Cargill, Arch Daniel Midland.
Complexe militaro-industriel
Lockheed Martin, Raytheon, Northrop Grunman, Boeing, General Dynamics, British Aerospace Systems Corporation (BAES)
https://www.globalresearch.ca/the-global-crisis-food-water-and-fuel-three-fundamental-necessities-of-life-in-jeopardy-2/5446025
Pandémie de SARS-CoV-2 : la conclusion, et après ?
RépondreSupprimerle 18 mars 2023
Je cite de mémoire cette pensée de Michel Maffesoli : « Je te fais peur, je te protège, mais tu te soumets ». Il est probable que cette citation soit inspirée de Machiavel mais je n’ai pas réussi à prouver cette allégation. Ce que l’on sait est que Lénine s’est inspiré du concept défini par la citation de Maffesoli. Pour Lénine il suffit de faire peur aux individus pour les dominer. À l’exception des Suédois, tous les peuples européens en ont subi les conséquences lors de l’épidémie de coronavirus. L’État a alimenté la peur, il a ensuite protégé ses administrés, quelles que fut la justification des décisions prises pour cette protection et finalement comme on put le constater les peuples se sont soumis sans discuter, persuadés que l’État les avait protégés à bon escient. Enfin Goebbels a appliqué à grande échelle ce concept machiavélique en assurant aux Allemands que les ethnies germaniques représentaient les « vrais hommes » à l’exclusion de toutes les autres ethnies, en particulier les juifs, les tziganes ou encore les slaves et qu’ils étaient par nature dangereux pour les aryens pure souche. Il est inutile de rappeler ici ce que furent les conséquences de cette propagande de Goebbels.
Les conséquences de la manipulation de la peur sont multiples et variées. Par exemple l’application du principe de précaution, un autre concept adossé à la peur, remonte à l’idéologie de Goebbels : il faut se méfier des Juifs, par exemple … Cette idéologie antisémite développée par Hitler fut le fondement de la politique du parti nazi allemand. Il faut tout de même rappeler un fait que les historiens ont tous occulté. Hitler souffrait des symptômes d’une syphilis au stade tertiaire. Il est vrai, à sa décharge, que durant la première moitié du vingtième siècle, alors que les antibiotiques n’existaient pas, cette maladie était beaucoup plus répandue qu’on ne le croit encore aujourd’hui. Il n’existait aucun traitement pour endiguer la progression de ce mal dont l’évolution détruisait le psychisme et les facultés cognitives des personnes en souffrant. Hitler était tout simplement atteint de démence.
Le principe de précaution a conduit et conduit toujours à des manifestations de peur surprenantes. Pour ne citer que quelques exemples caricaturaux, la peur du changement du climat, la peur des plantes génétiquement modifiées, la peur de la dégradation de l’environnement, la peur de l’énergie nucléaire, bref, toutes sortes de phobies entretenues à dessein par le pouvoir politique qui n’oublie aucune occasion pour dire à son peuple qu’il est là pour le protéger. C’est tellement facile de se comporter ainsi. Curieusement la technologie récente de pseudo-vaccins à ARN messager afin de combattre le SARS-CoV-2 qui n’a jamais fait ses preuves depuis plus de 20 ans n’a fait l’objet d’aucune opposition de la part des comités d’éthique ni de peur et pour cause : les gouvernements occidentaux ont alimenté la peur du coronavirus et selon l’adage cité plus haut et qui fait l’objet de ce billet : « Vous avez peur du coronavirus, l’Etat vous protège avec ce « vaccin ! » ». Cette machination machiavélique a autorisé ainsi les gouvernements à piétiner l’ensemble des dix articles du Code de Nuremberg, il fallait faire très fort : « l’Etat vous protège, mais vous devez vous soumettre ». Et dans le cas de la thérapie génique basée sur des ARNs messagers synthétiques « Vous devez vous soumettre puisque l’Etat vous protège ». Les 10 articles du Code de Nuremberg sont consultables ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg
RépondreSupprimerIl est très intéressant de passer en revue ces articles et de les replacer dans le contexte de l’épidémie de coronavirus et la mise en place des campagnes de « vaccination ». Le premier article présente le consentement éclairé du sujet soumis à des expérimentations. L’a-t-on demandé aux personnes désirant être « vaccinées » ? Non, et cette opération a été imposée par le pouvoir politique. L’article 2 stipule qu’une telle approche expérimentale ne doit être choisie que s’il n’existe pas d’autres alternatives thérapeutiques, or l’efficacité de l’HCQ avait été démontrée près de 20 ans plus tôt avec le SRAS puis le MERS et cette observation avait fait l’objet d’une publication dans un journal d’audience internationale, L’effet très largement protecteur de l’Ivermectine aurait, selon le Code de Nuremberg, mettre fin à cette campagne de « vaccination » internationale puisque l’efficacité de cette thérapie génique a vite été mise en doute avec l’apparition de nouveaux virus mutants. L’article 3 précise que les expérimentations sur les animaux dont les résultats sont négatifs doivent mettre fin aux essais, or autant les hamsters que les petits primates de laboratoires sont morts après injection de l’ARN messager synthétique supposé être la panacée pour combattre le coronavirus, selon des divulgations des rapports de Pfizer et Moderna.
L’article 4 du Code de Nuremberg précise que l’expérimentation ne doit conduire à aucune souffrance, y compris la mort, or cette thérapie, que l’on sache, est toujours considérée comme expérimentale et ce jusqu’à la fin de l’année 2023. En regard du comptage morbide des divers effets secondaires et des décès d’adultes en parfaite santé, enfants morts-nés et fausses-couches, cet article a été tout simplement violé.L’article 5 est éloquent : si l’expérimentation englobe également les médecins impliqués dans les essais, ceux-ci étant responsables, ils courent le même risque que les sujets soumis à cette expérimentations. Combien de médecins et de pharmaciens de Pfizer ou Moderna ont eux-mêmes participé à ces essais, il serait intéressant de disposer d’informations à ce sujet. L’article 6 précise le rapport bénéfice/risque sans le nommer. Les documents qu’a obtenu le Professeur Chossudovsky et figurant dans le lien en fin de billet du 5 mars 2023 sur ce blog sont également éloquents : ce rapport bénéfice/risque est tout simplement catastrophique et jamais cette thérapie génique n’aurait du être ni commercialisée ni par conséquent utilisée à grande échelle. L’article 7 revient sur les effets secondaires. Quant à l’application de l’article 8 de ce Code à l’évidence les évaluateurs des principaux laboratoires acteurs de la « Vaccination » étaient incompétents ou, sur ordre, ont dissimulé leurs observations. L’article 9 est à peine documenté dans le rapport de Pfizer : pour des raisons inconnues ou dissimulées, un nombre significatif de participants à l’expérimentation n’ont pas répondu aux questionnaire qui leur était demandé dans le cadre du contrat les liant aux laboratoires ou ont abandonné les essais pour des raisons non précisées dissimulant peut-être des effets secondaires délétères. Enfin l’article 10 précise la responsabilité des personnels compétents ayant suivi l’essai. On ne peut qu’exprimer un doute sérieux à ce sujet.
RépondreSupprimerLe caractère d’urgence de cette vaccination a servi d’alibi aux décideurs politiques et ils sont responsables devant la loi pour avoir provoqué des morts et des invalidités, les laboratoires pharmaceutiques ayant pris le soin de se décharger de toute responsabilité pénale en raison de ce caractère d’urgence. Ne jouons pas sur les mots : toute cette histoire sent à en être suffoqué la corruption généralisée du monde politique sans oublier les traficotages éhontés des laboratoires pharmaceutiques. Il s’agit d’un crime contre l’humanité toute entière et non pas des évènements localisés comme ceux qu’on avance au sujet du conflit ukrainien ou des enfant yéménites qui meurent de faim. Et l’organisation de ce crime trouve ses racines dans la soif de profit des grandes firmes pharmaceutiques et le grand dessein du monde politique de financiariser la santé. Je ne citerai qu’un exemple révoltant de cette « financiarisation » du corps humain et de la santé. Il s’agit du projet d’utilisation de l’utérus de jeunes femmes en état de mort cérébrale pour servir de mères porteuses contre monnaie sonnante et trébuchantes, cela va de soi. Quoi qu’il en soit cette pandémie de SARS-CoV-2 a laissé des traces et devra être conclue par un grand procès à l’encontre des laboratoires pharmaceutiques et d’un nombre incalculable de décideurs politiques … Enfin j’aitrouvé une piste pour tenter de citer les propos de Michel Maffesoli. Il mentionne cet adage au cours d’une causerie organisée par Radio Courtoisie ( https://www.youtube.com/watch?v=sC6bHPZDo6Q ). Illustration : SARS-CoV-2 avec les spiculeshttps://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.02.972927v1.full.pdf
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/18/pandemie-de-sars-cov-2-la-conclusion-et-apres/
Surmortalité en Allemagne – à la recherche d'indices dans la carte thermique pour 2022 (Partie III)
RépondreSupprimer18 mars 2023
par Ulf Lorre
Dans cette série en trois parties, une carte thermique illustre les décès en Allemagne. Des régularités générales et de nombreuses anomalies dans la période 2021 - 2022 deviennent visibles.
Dans cette troisième partie, nous examinons l'année 2022. Dans l'ensemble, elle a largement dépassé 2021 en termes de surmortalité, ce qui se traduit dans la carte thermique par une accumulation de nuances de couleur rouge et orange.
- voir graph sur site -
Fig. 1 : Carte thermique du ratio de risque (taux de mortalité 2021-2022), DE
L'année avait commencé de manière assez banale. A partir de la semaine 6, le "second booster" est entré en jeu. Par rapport aux fréquences de vaccination en 2021, le nombre de doses était cette fois bien inférieur, mais là encore ce sont surtout les personnes âgées qui ont pris l'aiguille, là où les risques éventuels pèsent naturellement plus lourd. Les chiffres de la dose 4 ont atteint un premier maximum au cours de la semaine 14.
- voir graph sur site -
Fig. 2 : Évolution de la vaccination après les doses. Source : Suivi vaccinal du RKI.
La carte thermique montre-t-elle une décoloration liée à cela ? La réponse est oui.
- voir graph sur site -
Fig. 3 : Grappe de « second boosters »
Certes, ce signal de couleur ne semble pas trop spectaculaire. Pourtant, à cette période de l'année, et surtout après la précédente vague de décès, les nuances de vert devraient nettement prédominer, et ce n'est pas le cas. Enfin et surtout, il faut tenir compte du fait que la période d'évaluation 2021 - 2022 était globalement surmortelle, c'est-à-dire que le milieu de l'échelle de couleurs représente la surmortalité moyenne de cette période.
Au second semestre 2022, la situation semble sur le point de changer. Les nuances de vert n'apparaissent qu'occasionnellement, nulle part en grappes.
- voir graph sur site -
Fig. 4 : Situation à partir de la semaine 24 en 2022.
Trois vagues rouges sont visibles dans la partie supérieure. Le premier implique la vague de chaleur KW29 discutée dans la partie I, mais elle traîne un panache orange de plusieurs semaines. Dans ce contexte, notez la dose 4, dont l'administration n'est nullement tombée à zéro en milieu d'année. Une deuxième vague, concentrée autour de la semaine 41, a touché les personnes de plus de 60 ans. Ici aussi, un lien avec les vaccinations peut être démontré. Les courbes de vaccination de la figure 2 montrent une coïncidence dans le temps des signaux des doses 4, 5 et 6 dans les semaines de fin d'été et d'automne. Cette onde est d'autant plus claire dans l'espace - aucune autre cause ne peut expliquer cet amas bien délimité en termes d'âge et de temps.
RépondreSupprimerLes bandes rouge foncé sur le bord droit marquent la fin fatale de l'année 2022. Bien qu'elles ne puissent plus être directement liées aux signaux des courbes de vaccination, elles s'intègrent dans le tableau d'ensemble dans la mesure où les dommages à la santé durent également plus longtemps de temps et s'accumule d'une dose à l'autre, ce qui est le plus évident pendant les périodes de forte incidence de maladies respiratoires aiguës.
Jusqu'à présent, je n'ai pas reçu de réponse importante. Les nuances de couleur évaluées illustrent les fluctuations relatives du risque. Dans les statistiques, se pose alors la question de la « taille de l'effet ». En termes de décès supérieurs aux attentes, les années 2021 et 2022 ont cumulé 105 000 décès, si l'on compte prudemment. Dans ce cas, conservateur signifie que les valeurs attendues ont été déterminées à partir d'une époque de référence qui tend à générer des tendances apparentes positives dans les risques de mortalité par cohorte, comme c'est le cas avec la fenêtre temporelle 2016 - 2020 utilisée. Avec l'époque de référence 2015 – 2019, par exemple, c'est l'inverse qui se produit ; vous obtenez une surmortalité de 155 000 morts. La valeur la plus probable se situe entre ces deux énoncés.
Avec le recul, devenu entre-temps presque historique, il est intéressant de noter à quel moment une menace pour la santé publique est apparue à partir des chiffres purement démographiques. En semant dans la vague de décès de l'hiver 2020/21, des décès supplémentaires, quelle qu'en soit l'origine, avaient été masqués pendant un certain temps. Mais cela ne peut plus s'appliquer au groupe de décès de personnes d'âge moyen décrit dans la partie II au printemps 2021. Le problème se reflétait également dans l'âge moyen au décès et l'espérance de vie, c'est-à-dire les variables statistiques standard. Jusque-là, la surmortalité cumulée restait dans des limites. Les plus de 100 000 décès décrits ci-dessus sont en grande partie le résultat du temps qui a suivi. Certes, beaucoup seraient encore vivants si l'on avait regardé au bon endroit.
Être conscient de sa propre capacité à refuser la connaissance, bref détourner délibérément le regard, correspond au « péché contre le Saint-Esprit » de la théologie morale chrétienne. Matthieu dit que chaque péché sera pardonné, mais pas celui-ci, que ce soit dans cet âge ou dans l'âge à venir. L'ex-ministre d'un parti C qui avait très tôt revendiqué la nécessité de « se pardonner » aurait dû y penser. Dans l'histoire de cette pandémie, il y a beaucoup à voir avec le fait délibéré, ou plutôt organisé, de ne pas regarder.
*
Ulf Lorré est ingénieur en génie biomédical et écrit sous un pseudonyme.
https://tkp.at/2023/03/18/uebersterblichkeit-in-deutschland-auf-spurensuche-in-der-heatmap-fuer-2022-teil-iii/
Des e-mails déterrés de 2020 prouvent que le test PCR covid est une arnaque
RépondreSupprimervendredi 17 mars 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Les tests PCR que le gouvernement a imposés aux masses lors de la «pandémie» du coronavirus de Wuhan (Covid-19) ne sont rien de plus qu'une arnaque, comme le montrent des e-mails déterrés.
Le professeur Martin Neil a reçu en septembre 2020 une poignée de courriels anonymes qui prouvent sans équivoque la nature frauduleuse des tests PCR, qui n'ont jamais été conçus pour détecter les virus.
"Certaines des séquences [de test] se trouvent dans le génome humain lui-même", lit-on dans l'un des e-mails.
De plus, le seuil de cycle des kits de test PCR était presque uniformément fixé à un niveau trop élevé, ce qui entraînait de nombreux faux positifs. Et ces kits ont-ils même été approuvés ou certifiés pour de tels tests en premier lieu ? Absolument pas.
L'un des plus gros pistolets fumants est le séquençage génétique que le Dr Christian Drosten a utilisé dans son système de test covid, qui s'est répandu dans le monde entier. Drosten, le gars crédité d'avoir inventé le système de dépistage du covid, n'a jamais isolé le virus ni même eu accès à celui-ci.
"Au lieu de cela, il a téléchargé la séquence d'ARN du virus à partir d'une base de données chinoise", expliquent les rapports. "Drosten a ensuite créé le premier kit de dépistage RT-PCR disponible dans le commerce basé sur ce génome."
"Les chercheurs chinois ont affirmé plus tard que l'échantillon de virus isolé était devenu inutilisable peu de temps après le téléchargement de la séquence, ils ont donc détruit tous les restes."
(En relation: Comment les tests PCR peuvent-ils tester le covid si le covid n'a même jamais été isolé et prouvé qu'il existe ?)
Les tests PCR sont faux, tout comme le covid
Sans accès au virus isolé, comment Drosten a-t-il pu obtenir le génome complet du virus lors de la sélection de ses séquences d'amorces ? Et pourquoi personne d'autre ne pose cette question, sans parler d'essayer d'y répondre ?
Les e-mails anonymes expliquent qu'en plus de certaines des séquences d'amorces provenant du génome humain lui-même, d'autres parties de celui-ci proviennent d'une source inconnue dans l'eau de mer.
Tout cela signifie que les tests covid étaient faux – et le virus lui-même semble également avoir été faux. Le tout était une opération psychologique conçue pour instiller la peur, la paranoïa et l'obéissance au gouvernement.
Il y a environ deux ans et demi, lorsque Neil a reçu ces e-mails pour la première fois, cela aurait été un bon moment pour en parler au monde – mais malheureusement, personne ne l'a fait. La vérité est qu'il n'y a pas de coronavirus nouveau et mortel, et il n'y en a jamais eu, sur la base de cette preuve irréfutable.
Au lieu de révéler la vérité, les pouvoirs en place l'ont gardé secret et ont continué à pousser leur escroquerie frauduleuse de tests de virus. Les gouvernements ont semé la peur au sujet de nouvelles « vagues » du virus, ainsi que de nouvelles « variantes » que ces mêmes tests détectaient d'une manière ou d'une autre, même si aucune des variantes n'a jamais été isolée non plus.
RépondreSupprimerAjoutez à cela le fait que les laboratoires évaluant les résultats des tests covid ont complètement abandonné les directives standard de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour identifier un résultat de test positif et il devient tout à fait évident que toute la mascarade était une arnaque dans tous les sens du terme.
"Cette preuve a de nouveau souligné la réactivité croisée et la non-spécificité du test PCR", écrit Rhoda Wilson pour The Exposé à propos de ce que les e-mails ont révélé. "Il semblait être conçu pour détecter, eh bien, tout ce que vous voudriez qu'il détecte."
« Ainsi, plutôt que de trouver des résidus de fragments de virus SARS-CoV2, il semblait peut-être assez brillant pour trouver n'importe quel coronavirus. Par conséquent, peut-être que le test a parfaitement bien fonctionné, mais pas dans le but, ou de la manière dont ils nous ont dit que cela fonctionnait.
Gardez à l'esprit que le rhume est un coronavirus, ce qui signifie que les tests ne faisaient probablement que détecter les reniflements saisonniers, qui ont ensuite été utilisés pour effrayer et contraindre les gens à se «vacciner», ce qui était clairement le plan depuis le début.
Covid est sans doute la plus grande arnaque jamais perpétrée dans le monde par les mondialistes. Pour en savoir plus, visitez Plague.info.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-17-unearthed-emails-prove-covid-pcr-test-scam.html
Des métaux comme le cuivre et l'or peuvent aider à mettre fin à la pandémie de COVID-19, selon des chercheurs
RépondreSupprimerVendredi 17 mars 2023
par : Zoey Sky
(Natural News) Une étude fascinante a révélé que le remède à la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) pourrait être quelque chose d'improbable : des métaux comme le cuivre et l'or.
Les détails de l'étude ont été publiés dans la revue Chemical Science.
L'étude a été menée par des scientifiques australiens, qui ont découvert que les protéines de pointe du SRAS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, adhèrent à des éléments comme l'or, le cuivre et le silicium.
Une fois piégés, les résultats ont révélé que le coronavirus est électriquement détectable et vulnérable aux impulsions électriques.
Protéines de pointe, métaux et impulsions électriques
Les protéines de pointe permettent aux coronavirus d'envahir les cellules voisines et de provoquer des infections. Mais lorsque ces protéines entrent en contact avec des substances comme le cuivre, cela provoque une réaction qui crée une forte liaison chimique.
La liaison attache la protéine de pointe à leurs surfaces, ce qui la rend très difficile à éliminer.
Mais les scientifiques ont découvert que les champs électriques peuvent aider à détruire les protéines de pointe et éventuellement tuer le virus après qu'il ait perdu sa capacité à provoquer des infections.
Essam Dief, co-auteur de l'étude et chercheur à l'Université Curtin, a expliqué que les impulsions électriques aident à modifier la structure de la protéine de pointe. À certaines intensités, ces impulsions peuvent également éliminer la protéine et désactiver le coronavirus. (Connexe: le Dr Zelenko partage comment le MSM l'a sali pour avoir révélé le remède au COVID - Brighteon.TV.)
"Nous pensons que ces matériaux peuvent être utilisés pour capturer les coronavirus en étant utilisés dans les filtres à air, comme revêtement pour les bancs, les tables et les murs, ou dans le tissu des chiffons d'essuyage et des masques faciaux", a déclaré Nadim Darwish, chercheur à l'École de Sciences moléculaires et de la vie à l'Université Curtin.
Darwish a ajouté qu'en capturant les coronavirus à l'aide de substances comme le cuivre et l'or, il serait possible de les empêcher "d'atteindre et d'infecter plus de personnes".
Les scientifiques espèrent que les résultats de l'étude pourront également être utilisés pour affiner les tests COVID-19.
Darwish propose de créer une solution pour un prélèvement buccal ou nasal et de la tester avec un minuscule appareil électronique pour détecter la protéine de pointe virale. Il a émis l'hypothèse que cela pourrait aider à créer des résultats de test COVID-19 plus sensibles et plus précis.
Selon Dief, l'incorporation de matériaux comme le cuivre ou le silicium dans les filtres à air peut aider les chercheurs à "potentiellement capturer et par conséquent arrêter la propagation du virus". Dief a ajouté que l'incorporation de champs électriques à travers quelque chose comme des filtres à air peut aider à désactiver le virus.
Comment le COVID-19 est-il testé ?
RépondreSupprimerLes experts de la santé utilisent des tests viraux pour rechercher une infection actuelle par le SRAS-CoV-2. Ces tests nécessitent des échantillons de votre nez ou de votre bouche.
Il existe deux principaux types de tests viraux : les tests d'amplification des acides nucléiques (TAAN) et les tests antigéniques.
Les TAAN, comme les tests basés sur la PCR, sont souvent effectués en laboratoire. Ils sont considérés comme les tests les plus fiables pour les personnes avec ou sans symptômes. Ces tests détectent le matériel génétique viral, qui peut rester dans le corps humain jusqu'à 90 jours après le test positif.
N'utilisez pas de TAAN si vous avez été testé positif au cours des 90 derniers jours.
Les tests antigéniques sont des tests rapides et produisent des résultats en 15 à 30 minutes. Cependant, les tests antigéniques sont moins fiables que les TAAN, surtout si vous ne présentez pas de symptômes. Gardez à l'esprit qu'un seul résultat de test d'antigène négatif n'exclut pas une infection.
Les autotests, également appelés tests à domicile, sont des tests antigéniques qui peuvent être effectués n'importe où sans avoir à se rendre sur un site de test.
Visitez Cures.news pour en savoir plus sur les remèdes potentiels pour COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l'hydroxychloroquine, un autre traitement potentiel du COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne UNPLUG THE MEDIA sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Les chercheurs recherchent des personnes résistantes au COVID dans l'espoir de découvrir un remède naturel.
RIGGED: Twitter a censuré les publications sur l'immunité naturelle et les vaccins après la pression d'un membre du conseil d'administration de Pfizer.
Bill Gates : La prochaine pandémie sera probablement d'origine humaine et pire que la COVID-19.
Les sources comprennent :
StudyFinds.org
Curtin.edu.au
CDC.gov
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-17-copper-gold-can-help-end-covid-pandemic.html
Une nouvelle étude réitère la science fondamentale de l'école primaire, dit que les enfants qui attrapent un rhume sans vaccins développent une immunité naturelle
RépondreSupprimerVendredi 17 mars 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Des chercheurs suédois ont découvert une évidence sur le système immunitaire humain : lorsqu'une personne « attrape » un rhume et se rétablit, elle développe une immunité naturelle durable contre les coronavirus.
Le rhume est un type de coronavirus, au cas où vous ne le sauriez pas. Et si vous avez déjà eu un rhume, surtout enfant, alors votre système immunitaire sait déjà comment combattre les coronavirus, y compris le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Pour leur étude, qui a été publiée dans les Actes de l'Académie nationale des sciences (PNAS), les chercheurs ont examiné 48 échantillons de sang prélevés sur des enfants de deux et six ans, ainsi que 94 échantillons prélevés sur des adultes âgés de 26 et 83. Ils ont également examiné des échantillons de sang prélevés sur 58 personnes qui se sont récemment remises d'une infection covid.
Cela a apparemment été une surprise pour les experts du Karolinska Institutet qui ont piloté l'étude selon laquelle les infections antérieures aux coronavirus entraînent le système immunitaire d'une personne à combattre naturellement les coronavirus - et sans avoir besoin de "vaccins".
Une immunité croisée contre le covid se forme, ont-ils découvert, lorsque des lymphocytes T mémoire générés par des coronavirus plus courants se développent à la suite d'une infection naturelle. Des échantillons de sang prélevés sur des enfants avant le lancement de la « pandémie » montrent que ces lymphocytes T mémoire réagissent en fait aux cellules infectées par le SRAS-CoV-2.
(Connexe: Inversement, une étude du New England Journal of Medicine [NEJM] de l'année dernière a révélé que les «vaccins» covid détruisent cette immunité naturelle.)
L'immunité naturelle contre les coronavirus se développe dès l'âge de deux ans
Il existe quatre coronavirus différents qui sont principalement responsables des systèmes de rhume saisonnier, ont déclaré les chercheurs. Et l'exposition à tous ces coronavirus stimule une réponse immunitaire qui va aussi après le covid.
Même les cellules T qui ont été précédemment activées par le virus OC43, par exemple, réagissent de manière croisée contre le SRAS-CoV-2, démontrant ce que la science au niveau de l'école primaire utilisait pour enseigner aux enfants dès leur plus jeune âge : cette immunité naturelle se développe après une exposition naturelle .
RépondreSupprimer"Ces réactions sont particulièrement fortes au début de la vie et s'affaiblissent beaucoup à mesure que nous vieillissons", a déclaré Annika Karlsson, auteur correspondant de l'étude et chef de groupe de recherche au Département de médecine de laboratoire du Karolinska Institutet.
"Nos résultats montrent comment la réponse des lymphocytes T se développe et change au fil du temps et peuvent guider la surveillance et le développement futurs de vaccins."
La prochaine étape pour ce domaine de recherche particulier consiste à mener des études analogues sur des enfants plus jeunes, des enfants plus âgés, des adolescents et de jeunes adultes afin de suivre de plus près l'évolution de la réponse immunitaire aux coronavirus à chaque étape de la vie, de l'enfance à l'âge adulte.
Une recherche similaire publiée dans The Lancet en février a également révélé que l'infection naturelle et la guérison du covid offrent une protection immunitaire durable contre d'autres infections par le covid.
Les chercheurs ont analysé 65 études différentes sur l'immunité naturelle, constatant que l'efficacité moyenne de l'immunité naturelle est d'au moins 88% contre l'hospitalisation et la mort pendant au moins 10 mois après l'infection par toutes les souches et variantes de covid.
"J'ai eu le covid en 2021", a écrit un commentateur en réponse à ces études. «Je n'ai pas de comorbidités – c'était dur, pire que la grippe. Je me suis soigné et j'allais bien après environ une semaine. Je n'ai jamais eu aucun des vaccins, je ne fais pas de distance sociale, je ne porte pas de masque, je n'utilise pas de désinfectant pour les mains et je travaille avec le public et je sais que j'ai été exposé plusieurs fois aussi tard que la semaine dernière lorsque tout le monde dans mon entourage a été testé positif.
"Je n'ai eu qu'un mal de gorge", a ajouté cette personne. «Je ne peux pas m'empêcher de penser que j'ai une immunité à long terme contre le covid dès le début. Les personnes de mon entourage qui ont eu des cas confirmés dans le passé présentaient également des symptômes plus légers à des degrés divers.
Trouvez plus d'histoires sur l'immunité naturelle sur ImmuneSystem.news.
Les sources de cet article incluent :
StudyFinds.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-17-study-children-catch-cold-develop-natural-immunity.html
(...) Le rhume est un type de coronavirus, au cas où vous ne le sauriez pas. Et si vous avez déjà eu un rhume, surtout enfant, alors votre système immunitaire sait déjà comment combattre les coronavirus, y compris le coronavirus de Wuhan (Covid-19). (...)
SupprimerHOULALA ! A ne pas confondre la poussière (émise par le magma en milliards de milliards de nano-particules dans les océans et consommées par des milliards de poissons chaque heure) et ce que renferment les flacons injectables et seringues !!
Les flacons injectables se composent de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (fabriquées en laboratoires) à quoi sont ajoutées des spikes + des hydres + diverses maladies animales (dont plus de 40 venins de serpents différents !) !
Les représentants du gouvernement ont menti et des gens sont morts
RépondreSupprimerSelon les propres chiffres de l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), 63,4 millions de personnes étaient éligibles à la vaccination rien qu'en Angleterre au 3 juin 2022. En utilisant ces mêmes chiffres, 44,48 millions de personnes ont reçu une seule dose ; 41,8 millions de personnes ont reçu deux doses ; et 32,9 millions de personnes ont reçu trois doses.
Sur la base de ces chiffres, près de 20 millions de Britanniques ont dit non, Jose ! aux coups, qui est un nombre bien plus élevé que celui que Darzi a décidé de choisir au hasard pour donner l'impression que seul un très petit pourcentage de "fanatiques" vient de dire non aux drogues dangereuses.
Bien que rien de tout cela ne choque probablement nos lecteurs, vous devez vous rappeler qu'il y a des millions d'autres personnes qui engloutissent des "nouvelles" comme celles publiées par le Times comme si elles étaient factuelles.
"Ils savent ce qu'ils font", a écrit un commentateur à propos de Darzi et de ses semblables, qui sont des trompeurs de premier ordre. « Louez le SEIGNEUR pour le prochain enlèvement de tous les chrétiens nés de nouveau ! JESUS revient bientôt ! Être prêt!"
Un autre a écrit que les responsables gouvernementaux comme Darzi sont la menace « qui a permis à ce grand génocide de se produire ».
"Nous ne pouvons pas trouver une peine suffisamment sévère à appliquer à ces criminels", a ajouté cette personne.
Vous trouverez plus d'informations sur les vaccins contre la grippe Fauci sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-17-triple-vaccinated-92-percent-covid-deaths-2022.html
ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! 60 - 1 = 59)
RépondreSupprimer