- ENTREE de SECOURS -



mercredi 29 mars 2023

Habitants d'Oxford : à l'avenir, élevage en enclos avec sorties limitées

https://www.kla.tv/fr

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 LIRE LE RAPPORT de CHRISTINE COTTON (111 pages) :

Évaluation des pratiques méthodologiques mises en œuvre par les essais Pfizer dans le développement de son vaccin ARN-messager contre la covid19 en regard des Bonnes Pratiques Cliniques.

https://christine-cotton.1ere-page.fr/wp-content/uploads/2022/03/Vaccine-expertise-GCP-CCotton-2022-02-28-French-v2_AC.pdf

57 commentaires:

  1. Habitants d'Oxford : à l'avenir, élevage en enclos avec sorties limitées


    28.03.2023
    www.kla.tv/25570


    Dans les romans de science-fiction dystopiques, les villes ou les régions sont parfois divisées en zones que les habitants ne peuvent pas quitter ou seulement sous certaines conditions. Le franchissement non autorisé des limites de ces zones est généralement sanctionné par des peines drastiques. Il s'agit souvent, dans ces fictions, de tenir les ouvriers ou les habitants les plus pauvres à l'écart du territoire des riches et des privilégiés.

    Oxford, la capitale du comté d'Oxfordshire en Angleterre, a été rattrapée par ces fantasmes d'avenir. Ici, on souhaite diviser la ville en six zones de 15 minutes grâce à des « filtres de circulation » et réduire de manière ciblée les déplacements des habitants entre ces zones. L'idée de cette stratégie de circulation provient apparemment du concept de "ville en 15 minutes", présenté en mars 2022 par le Forum économique mondial en raison de la prétendue urgence climatique. Ce concept repose sur les idées du professeur de mathématiques Carlos Moreno, selon lequel toutes les installations importantes doivent être accessibles en 15 minutes maximum, sans voiture. Au lieu de la voiture, c'est désormais le vélo qui doit être mis en avant.

    A première vue, cela semble être une bonne chose, puisque toutes les infrastructures nécessaires à la vie se trouvent à proximité et qu'il n'est pas nécessaire de parcourir de longues distances. Mais de tels concepts deviennent inquiétants lorsque la mobilité des habitants en est réduite. Et c'est précisément ce que prévoient les autorités d'Oxford : à partir de 2024, des caméras spéciales, appelées « Traffic Filter », surveilleront les frontières entre les zones, soi-disant pour réduire le trafic. Si un véhicule passe par le filtre, la caméra lit la plaque d'immatriculation et, s’il n’a pas d’autorisation d'exception ou de séjour, une contravention est envoyée au fauteur. Les bus et les taxis peuvent passer librement, et à pied ou à vélo, le passage de la frontière est encore autorisé sans amende.

    Les habitants de la ville peuvent demander une autorisation spéciale, ce qui leur permet alors de passer plus souvent par les filtres. Les habitants des communes environnantes peuvent, après en avoir fait la demande, passer les filtres jusqu'à 25 jours en toute impunité. La ville s'efforce de minimiser la chose et argumente : « L'objectif est de réduire le volume du trafic et les embouteillages, de rendre les bus plus rapides et plus fiables... »

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  2. Néanmoins, une fois introduites, les autorisations peuvent être retirées à tout moment ou bien le passage totalement interdit. Étant donné que dans les villes de 15 minutes, il n'est officiellement pas nécessaire de parcourir de longues distances, les réglementations spéciales seront par la suite difficiles à justifier pour les habitants.

    Il n'est pas surprenant que les habitants d'Oxford ne soient pas enchantés par ce plan et qu’ils accusent leurs gouvernants de pratiquer l'élevage en enclos avec des sorties limitées.
    De tels concepts ne sont pas seulement promus par les médias grand public. Ainsi, d'autres villes du monde, comme Canterbury, Brisbane et Melbourne, sont également séduites par l'idée. Dans l'espace germanophone, Berlin, Bocholt et Hambourg se sont lancées dans la création d'une ville de 15 minutes.

    S'agit-il vraiment uniquement de limiter le trafic, et de favoriser la durabilité ? Ou est-ce que, sous le prétexte de la protection du climat, on installe ici un État de surveillance qui limite le rayon de déplacement des habitants pour les contrôler ensuite de manière totalitaire ?
    Les expériences de ces dernières années avec les mesures Covid montrent clairement les conséquences dramatiques et les restrictions imposées dans les pays occidentaux pour une prétendue protection contre une infection. Une fois que de tels systèmes de surveillance sont installés, cela ouvre d'autres possibilités et la porte est grand ouverte à toutes sortes d’abus. Ceux qui parlent de villes de 15 minutes devraient donc aussi mentionner tout le potentiel que peut entraîner la mise en œuvre dictatoriale d'une idée qui pourrait sembler bonne en soi.

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  3. de kw SB
    Sources / Liens :
    Erklärung Dystopie
    https://de.wikipedia.org/wiki/Dystopie

    Science Fiktion
    https://www.deutschlandfunkkultur.de/science-fiction-thriller-zone-5-blade-runner-in-koeln-100.html

    https://de.wikipedia.org/wiki/Die_Bestimmung_%E2%80%93_Divergent

    WEF
    https://www.weforum.org/agenda/2022/03/15-minute-city-stickiness/

    Mathematik Professor Carlos Moreno
    https://de.wikipedia.org/wiki/Carlos_J._Moreno

    https://www.innovatorsclub.de/aktuelles/die-15-minuten-stadt/

    Städte nach dem Vorbild Morenos
    https://report24.news/perfekte-dystopie-oxford-teilt-stadt-in-zonen-ein-und-reguliert-bewegungen-der-buerger/

    Stadt Oxford Aufteilung
    https://report24.news/perfekte-dystopie-oxford-teilt-stadt-in-zonen-ein-und-reguliert-bewegungen-der-buerger/

    Deutsche Städte Berlin, Bochold und Hamburg
    https://www.zukunftswaende.de/wohnformen/wohnen-in-der-zukunft/die-15-minuten-stadt/

    https://www.kla.tv/fr

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  4. “En matière de santé et de finance, l’intelligence collective d’un peuple est infiniment supérieure”,


    France-Soir
    le 28 mars 2023 - 14:30
    Guy de la Fortelle, conseiller en investissements.


    L'ENTRETIEN ESSENTIEL - Nous recevons Guy de la Fortelle, conseiller en investissement et éditeur de la lettre d’informations “l'Investisseur sans costume”. Il aborde avec nous tous les sujets brûlants du monde économique.

    Un monde où les autorités de contrôles, censées être les garde-fous du système capitaliste, sont devenues des ferments de la démesure. Schéma qui fait penser aux périls entraînés par les agences administratives de santé durant la crise du Covid.

    Depuis 2008 et la crise des subprimes, le secteur financier “n’a pas été nettoyé”. En 2018, un rapport signé McKinsey indique que “56% des banques sont non viables” et “en faillite potentielle”. Le transfert des dettes de ces dernières vers les banques centrales n’est pas une solution pérenne : elle se traduit aujourd’hui par une fuite en avant, avec une création abondante de liquidités, le recours abusif au Quantitative easing, qui peut provoquer un futur effondrement.

    Autour des problèmes des banques, une sorte de “sarcophage”, à la “Tchernobyl” a été érigé, sans jamais que les pouvoirs politiques ne s’attaquent aux questions de fond : le delta de plus en plus grand entre création de richesse réelle par le travail et la “fiction financière”. “On rajoute du capital pour faire semblant”. Tout cela ne peut finir que “par le bas”, avec un “effondrement” ou par le haut avec de “l’hyper inflation”.

    Guy de la Fortelle évoque toutefois la possibilité d’une sorte de scénario “froid”, à la Orwell : la suppression de la monnaie qui aboutirait à sa version électronique, “un carnet de rationnement géant”.

    Une autre voie sera-t-elle incarnée par “le nouvel ordre économique” en train de se bâtir à l’Est, avec la Russie et la Chine ? Ces deux puissances ont compris tour à tour que les États-Unis avaient “militarisé le dollar”, utilisé comme une arme de domination. Est-il possible de s’en émanciper ?

    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/en-matiere-de-sante-et-de-finance-l-intelligence-collective-d-un

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  5. La grande machine à mensonges Covid-19: Le projet de l’université de Stanford a collaboré avec les autorités fédérales et les médias sociaux pour censurer les « fausses informations »


    Par Michael Nevradakis
    Mondialisation.ca,
    28 mars 2023


    Un projet mené par l’université de Stanford a servi de « galop d’essai» pour le conseil de « désinformation » du président Biden, selon la dernière publication des « dossiers Twitter » du journaliste Matt Taibbi, qu’il a baptisée « The Great Covid-19 Lie Machine: Stanford, the Virality Project, and the Censorship of True Stories » [La grande machine à mensonges Covid-19 : Stanford, le projet Virality et la censure des histoires vraies].

    Selon M. Taibbi, le projet Virality, une initiative de l’Observatoire de l’Internet de Stanford, a appelé à la création d’un conseil de désinformation juste un jour avant que M. Biden n’annonce son intention de mettre en place un conseil de gouvernance de la désinformation géré par le gouvernement.

    M. Taibbi a évoqué les deux principaux enseignements de la publication de ses « dossiers Twitter » le 17 mars dans le cadre du podcast « America This Week », coanimé par le romancier Walter Kirn.

    Selon M. Taibbi :

    « Stanford, avec le soutien d’un certain nombre de partenaires et de quelques agences gouvernementales, avait créé un système de billetterie numérique unique et multiplateforme qui traitait les demandes de censure pour chacun d’entre eux : Facebook, Google, TikTok, YouTube, Pinterest, Medium, Twitter. »

    Par ailleurs, M. Taibbi a indiqué que le projet Virality « définissait les choses vraies comme étant de la désinformation, de la mésinformation ou de la malformation », ce qui, selon lui, signifie « une nouvelle évolution du processus de désinformation, qui ne consiste plus à essayer de déterminer ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, mais à passer directement à la narration politique ».

    M. Taibbi, ainsi que l’auteur Michael Shellenberger, qui a contribué aux précédentes publications des « dossiers Twitter », ont témoigné le 9 mars devant la sous-commission de la Chambre des représentants des États-Unis sur la militarisation du gouvernement fédéral, révélant une partie de ce qu’ils avaient découvert sur le projet Virality.

    M. Taibbi et son équipe de chercheurs ont découvert une série de courriels du projet Virality une heure seulement avant son témoignage prévu à la Chambre des représentants le 9 mars, révélant la surveillance de « milliards de messages sur les médias sociaux par l’université de Stanford, des agences fédérales et une série d’ONG (souvent financées par l’État) [non-governmental organizations] ».

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  6. 1.TWITTER FILES #19
    The Great Covid-19 Lie Machine
    Stanford, the Virality Project, and the Censorship of “True Stories” pic.twitter.com/v41dyC26ZR
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Appel à la mise en place d’un mécanisme gouvernemental de contrôle des rumeurs
    Comme l’a précédemment rapporté The Defender, le projet Virality affirme que son objectif « est de détecter, d’analyser et de répondre aux incidents de récits faux et trompeurs liés aux vaccins contre la COVID-19 dans les écosystèmes en ligne ».

    Anciennement connu sous le nom de « Partenariat pour l’intégrité des élections », il était dirigé par Alex Stamos, directeur de l’Observatoire de l’Internet de Stanford et « expert en cybersécurité », qui a déjà occupé le poste de responsable de la sécurité chez Facebook.

    Le projet indique qu’il fournit « une connaissance de la situation et des capacités de réponse exploitables pour les responsables de la santé publique et les autres partenaires qui sont en première ligne pour fournir au public des informations exactes sur les vaccins ».

    Mais derrière cette rhétorique se cache un vaste réseau d’interactions de haut niveau avec le gouvernement fédéral et les plateformes de médias sociaux – qui comprend des propositions, finalement adoptées, pour que le gouvernement américain établisse son propre conseil de « désinformation ».

    Selon M. Taibbi, le partenariat entre le projet Virality et le gouvernement a véritablement débuté en février 2021, quelques jours après l’entrée en fonction de M. Biden.

    La relation s’est rapidement développée. En l’espace d’un an, le 26 avril 2022, le projet Virality a proposé la mise en place d’un « mécanisme de contrôle des rumeurs » et d’un « centre d’excellence en matière de désinformation et de mésinformation » au niveau fédéral.

    https://t.co/ZJFh45HlyD a chilling irony, the VP ran searches for the term “surveillance state.” As an unaccountable state-partnered bureaucracy secretly searched it out, the idea that “vaccines are part of a surveillance state” won its own thoughtcrime bucket: “conspiracy.” pic.twitter.com/KTJpzIBspx
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Le lendemain, Alejandro Mayorkas, secrétaire du ministère américain de la sécurité intérieure (DHS), a annoncé la création du « Conseil de gouvernance de la désinformation ».

    M. Taibbi a tweeté :

    28.After about a year, on April 26, 2022, the VP issued a report calling for a “rumor-control mechanism to address nationally trending narratives,” and a “Misinformation and Disinformation Center of Excellence” to be housed within CISA, at the Department of Homeland Security. pic.twitter.com/YmWQtZmoL3
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    La proposition de « Centre d’excellence », qui figure toujours sur le site web du projet Virality, stipule ce qui suit :

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  7. « En raison de la menace dynamique que représente la désinformation pour la sécurité nationale, nous recommandons la création d’un centre d’excellence fédéral pour la désinformation hébergé au sein du CISA du ministère de la sécurité intérieure ( [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency]). »

    Le centre serait chargé de poursuivre « trois objectifs principaux » :

    Servir de centre fédéral unique pour l’expertise et les capacités nécessaires pour mener les efforts de résilience et de lutte contre la désinformation ;
    Coordonner les efforts de lutte contre la désinformation au niveau fédéral et soutenir les efforts des gouvernements locaux et des États ainsi que du secteur privé ; et
    Jouer un rôle de premier plan dans le renforcement des capacités au sein des gouvernements, ainsi que dans la société civile et le secteur privé, afin d’accroître la résistance à la mésinformation et désinformation.
    Selon la proposition, « l’évolution des fausses informations et de la désinformation montre que tous les niveaux de gouvernement doivent prendre de nouvelles mesures coordonnées et décisives, en partenariat avec les universités, les organisations à but non lucratif et le secteur privé, pour renforcer la résilience du peuple américain face aux faussetés en ligne ».

    Le rapport final du projet Virality, publié le 18 février 2022, contenait également une proposition de « centre d’excellence ». Il recommande au gouvernement fédéral de « mettre en place un centre d’excellence en matière de désinformation et de mésinformation au sein de l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures ».

    Dans ce même rapport final, il est proposé que le gouvernement « mette en place un mécanisme de contrôle des rumeurs pour traiter les récits à tendance nationale ».

    Un autre document, daté du 18 février 2022, intitulé « White House COVID-19 Vaccine Communication Plan: Analysis and Recommendations » – détaillait également les plans d’un centre d’excellence et d’une « page centralisée de contrôle des rumeurs ».

    La proposition du projet s’inspire des leçons apparemment tirées de l’élection présidentielle américaine de 2020 et demande que les récits pro-vaccins soient adaptés à des communautés spécifiques :

    « Lors des élections de 2020, l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA)] a démontré qu’une page centralisée de contrôle des rumeurs pouvait contrer la désinformation en ligne. Cette page peut être reproduite pour la désinformation sur les vaccins.

    « Les communicateurs locaux en matière de santé peuvent ensuite adapter ce message public centralisé aux besoins de leurs communautés spécifiques. »

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  8. Au moins une agence gouvernementale américaine semble avoir adopté la recommandation du projet Virality concernant la mise en place d’une initiative de « contrôle des rumeurs ».

    Comme The Defender l’a déjà signalé, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a lancé sa propre initiative « Rumor Control » le 5 août 2022, dans le cadre de ses efforts plus larges pour lutter contre la « désinformation » et la « mésinformation ».

    « La propagation croissante de rumeurs, de fausses informations et de désinformations sur la science, la médecine et la FDA met en danger les patients et les consommateurs », selon la page web de la FDA consacrée au contrôle des rumeurs. « Nous sommes ici pour fournir les faits. »

    Sur le site Internet du projet Virality, une page dédiée au « contrôle de la rumeur » indique :

    « Cette approche de la démystification de la désinformation s’appuie sur la littérature qui suggère que la démystification des messages provenant des centres de contrôle des rumeurs peut aider à prévenir la propagation des rumeurs.

    « Les psychologues ont conclu que les messagers qui sont perçus comme étant dignes de confiance et experts sont les plus efficaces pour démystifier les faussetés, ce qui signifie qu’une approche de démystification qui rassemble des faits provenant d’experts en la matière de confiance pourrait être idéale. »

    Le projet Virality indique également que « des partenariats solides avec des experts en la matière et des agents de liaison spécifiques à la communauté sont essentiels à ce flux de travail. Les partenaires peuvent être des bureaux gouvernementaux locaux et d’État, des membres de la société civile, des ONG et des organisateurs individuels » qui « seront également les principaux amplificateurs des messages de Rumor Control auprès de chaque public cible ».

    Le fait de cibler les récits de vaccination sur des communautés spécifiques reflète étroitement les efforts d’une initiative de la Fondation Rockefeller et de la National Science Foundation, le Mercury Project.

    Cette initiative permettra d’octroyer des bourses de recherche de trois ans afin d’estimer « l’impact causal de la désinformation sur les résultats en ligne et hors ligne dans le contexte de la pandémie COVID-19 », y compris « les différences d’impact entre les groupes sociodémographiques ».

    Le projet Virality s’est également attaché à cibler des groupes spécifiques. Elle recommande aux communicateurs de la santé publique des stratégies pour vaincre l’hésitation face au vaccin, notamment « travailler avec les leaders communautaires des minorités et des communautés d’immigrés pour les sensibiliser à la manière de se faire vacciner et aux raisons de le faire ».

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  9. La diffusion coordonnée de « fausses informations » sur de multiples plateformes

    Le communiqué de vendredi sur les « dossiers Twitter » a également mis l’accent sur la manière dont le projet Virality a contribué à intégrer plusieurs sites de médias sociaux dans un système de billetterie commun, où les contenus et les utilisateurs peuvent être signalés et ces rapports partagés entre plusieurs plateformes.

    Selon M. Taibbi, le projet Virality « encourage les plateformes à cibler les personnes, et non les messages, en utilisant une « logique pré-criminelle » de type « Minority Report », et décrit des « récidivistes » tels que Robert F. Kennedy, Jr, président et avocat en chef de la Children’s Health Defense (CHD), qui publie un « volume important de contenu qui est presque toujours à signaler ».

    21.VP warned against people “just asking questions,” implying it was a tactic “commonly used by spreaders of misinformation. » It also described a « Worldwide Rally for Freedom planned over Telegram » as a disinformation event. pic.twitter.com/VgOJpTN2Ey
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Ce système « a collaboré avec le gouvernement pour lancer un plan de surveillance pan-industriel des contenus liés à COVID », écrit M. Taibbi.

    « Bien que le projet Virality ait examiné le contenu à grande échelle pour Twitter, Google/YouTube, Facebook/Instagram, Medium, TikTok et Pinterest, il a sciemment ciblé des documents véridiques et des opinions politiques légitimes, tout en étant souvent lui-même erroné sur le plan des faits », a déclaré M. Taibbi.

    En mars 2021, le projet Virality a commencé à « intensifier » ces efforts, offrant une « visibilité » aux « plateformes alternatives telles que Gab, Parler, Telegram et Gettr », dans ce que M. Taibbi a décrit comme une « surveillance quasi-totale du paysage des médias sociaux ».

    S’exprimant vendredi sur le podcast « America This Week », M. Taibbi a comparé ce système à un système de notation sociale, en déclarant :

    « Vous pouvez dire quelque chose et être banni pour cela sur une plateforme, et maintenant toutes les autres plateformes le savent. Ainsi, votre histoire sera introduite dans ce grand ordinateur. C’est un peu comme le système de notation sociale. »

    Selon le rapport final du projet Virality, celui-ci visait à développer un « effort de l’ensemble de la société … dans lequel les parties prenantes établissent des partenariats solides et persistants afin de garantir que les allégations importantes et préjudiciables puissent être traitées dès qu’elles surviennent », en réunissant des instituts de recherche, des « partenaires » de santé publique, des « partenaires » gouvernementaux et des plateformes.

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  10. 5.Just before @ShellenbergerMD and I testified in the House last week, Virality Project emails were found in the #TwitterFiles describing “stories of true vaccine side effects” as actionable content. pic.twitter.com/dKxTnxDc3a
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Dans son podcast, M. Taibbi a suggéré qu’une telle collusion entre le projet Virality et de multiples plateformes de médias sociaux « serait un problème antitrust ». En fait, le 10 janvier, la CHD et d’autres ont intenté un procès à la Trusted News Initiative et à ses fondateurs, dont la BBC, l’Associated Press, Reuters et le Washington Post, pour s’être entendus afin d’exclure les récits liés à la COVID-19 qui n’appartiennent pas à l’établissement.

    Selon le projet Virality, les contenus « à signaler » comprennent même des informations provenant directement d’agences gouvernementales telles que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), sur la base des personnes qui les partagent et du discours politique qu’elles défendent, selon M. Taibbi :

    24.The VP in April 2021 mistakenly described “breakthrough” infections as “extremely rare events” that should not be inferred to mean “vaccines are ineffective.” pic.twitter.com/tlACZeRkU5
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Voici d’autres exemples de contenus de médias sociaux ciblés par le projet Virality et partagés par M. Taibbi :

    « La publication des courriels du printemps 2020 du Dr Anthony Faucia été utilisée pour exacerber la méfiance à l’égard du Dr Fauci. » « La méfiance accrue à l’égard des conseils d’experts du Dr Fauci. »
    « Rapports de personnes vaccinées ayant contracté la COVID-19 de toute façon » ; « immunité naturelle » ; suggestion que ls COVID-19 « a fui d’un laboratoire » ; et même « plaisanteries inquiétantes ».
    Selon M. Taibbi, le projet Virality a contribué à ce que Twitter modifie sa politique en matière de contenu COVID-19 « en partenariat avec les CDC ».

    12. March 2, 2021: « We are beginning to ramp up our notification process to platforms.” In addition to the top-7 platforms, VP soon gained « visibility » to “alternative platforms such as Gab, Parler, Telegram, and Gettr” – near-total surveillance of the social media landscape. pic.twitter.com/HEVXEtxuug
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Le 17 février 2021, Twitter a rejoint le projet Virality, donnant des instructions aux cadres de Twitter, comme Yoel Roth, alors responsable de la confiance et de la sécurité chez Twitter, sur la manière de rejoindre le système de billetterie commun.

    Twitter a également commencé à recevoir des rapports hebdomadaires sur la « désinformation anti-vax » qui, selon M. Taibbi, « contenaient de nombreuses histoires vraies ».

    Le projet Virality a indiqué à Twitter que les « histoires vraies », y compris les « décès de célébrités après un vaccin », pouvaient « alimenter l’hésitation » et devaient être considérées comme des « informations standard sur les vaccins sur votre plateforme ».

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  11. 13.Through July of 2020, Twitter’s internal guidance on Covid-19 required a story be “demonstrably false” or contain an “assertion of fact” to be actioned. But the Virality Project, in partnership with the CDC, pushed different standards. pic.twitter.com/K23SpK9SgJ
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Se référant au « récit du passeport vaccinal », le projet Virality écrit par exemple que les « inquiétudes » suscitées par de telles propositions « ont alimenté un discours anti-vaccination plus large sur la perte des droits et des libertés ».

    Le projet Virality a qualifié ces « préoccupations » de « désinformation », et Twitter semble avoir suivi le mouvement.

    Selon M. Taibbi : « En mars 2021, le personnel de Twitter reprenait le langage du projet Virality [Virality Project], décrivant les « campagnes contre les passeports vaccinaux », la « peur des vaccinations obligatoires » et l’ « utilisation abusive des outils de rapport officiels » comme des « violations potentielles ». »

    14.VP told Twitter that “true stories that could fuel hesitancy,” including things like “celebrity deaths after vaccine” or the closure of a central NY school due to reports of post-vaccine illness, should be considered « Standard Vaccine Misinformation on Your Platform. » pic.twitter.com/nOyuw2r5cH
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Selon M. Taibbi, le projet Virality a également « régulièrement qualifié de désinformation des témoignages réels sur les effets secondaires, allant d’« histoires vraies » de caillots sanguins provoqués par les vaccins d’AstraZeneca à un article du New York Times sur des vaccinés ayant contracté une maladie du sang , la thrombocytopénie ».

    Twitter, en collaboration avec le Global Engagement Center du département d’État américain, a ensuite qualifié de « liés à la Russie » de nombreux comptes qui publiaient des « mises à jour légitimes et précises sur la COVID-19 » mais qui « attaquaient » des politiciens américains et européens.

    Même des politiciens favorables à la restriction de COVID-19, comme l’ancien premier ministre italien Giuseppe Conte, ont été accusés de faire partie de ces réseaux « liés à la Russie ». Selon Politico, M. Conte fait actuellement l’objet d’une enquête en Italie pour n’avoir pas imposé un confinement assez rapidement en mars 2020.

    Le projet Virality a également évalué la « réaction du public » afin de déterminer si les contenus publiés sur les médias sociaux pouvaient être qualifiés de « désinformation » ou non. Dans un exemple :

    19.That same GEC report found in the #TwitterFiles identified former Italian Prime Minister Giuseppe Conte, and former Italian Democratic Party Secretary Nicola Zingaretti (who’s been compared to Bernie Sanders) as “highly connective” accounts in a “Russia-linked” network. pic.twitter.com/be1RvAVFrk
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

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  12. Du point de vue du projet Virality, le simple fait de poser des questions est une tactique « couramment utilisée par les diffuseurs de fausses informations », tandis qu’un « rassemblement mondial pour la liberté planifié sur Telegram » a été qualifié d’ « événement de désinformation ».

    Dans un autre courriel adressé à Twitter au sujet de la « désinformation », le projet Virality a déclaré qu’il souhaitait « cibler » un « récit de plus en plus populaire sur l’immunité naturelle », tout en décrivant les infections « percées » comme des « événements extrêmement rares » qui ne devraient pas être déduits pour signifier que « les vaccins sont inefficaces ».

    Quelques mois plus tard, le projet Virality a toutefois admis que « des cas de percée se produisent

    26.A few months later: “Breakthrough cases are happening.” pic.twitter.com/zDlk8SrW4q
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Toute personne diffusant sur les médias sociaux des contenus suggérant que les vaccins et les passeports vaccinaux sont des éléments d’un « État de surveillance » n’a pas échappé à l’observation du projet Virality. Selon M. Taibbi, l’organisation a effectué des recherches sur le terme « État de surveillance », classant ces contenus dans la catégorie « conspiration ».

    Tout en admettant qu’il y a eu des « percées infectieuses ». Le rapport final du projet Virality a continué à affirmer qu’il s’agissait de « désinformation pour suggérer que le vaccin ne prévient pas la transmission, ou que les gouvernements prévoient d’introduire des passeports pour les vaccins », même si « les deux choses se sont avérées vraies ». M. Taibbi a déclaré :.

    29. The next day, April 27, 2022, DHS Secretary Alejandro Mayorkas announced in a House Appropriations Subcommittee hearing that a “Disinformation Governance Board” had been created, to be headed by the singing censor, Nina Jankowitz. https://t.co/OwWF7PW1Ct
    — Matt Taibbi (@mtaibbi) March 17, 2023

    Le même rapport, modifié dix fois depuis sa publication – la dernière fois le 5 décembre 2022 – était ouvert aux récits personnels, à condition qu’ils soient pro-vaccins. Le rapport suggère que les entités gouvernementales pourraient « mélanger des histoires personnelles sur les avantages du vaccin avec le soutien des données ».

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  13. Pour M. Taibbi, les révélations sur le projet Virality sont importantes pour deux raisons :

    « Premièrement, en tant que preuve de concept orwellienne, le projet Virality a été un succès retentissant. Le gouvernement, les universités et un oligopole d’entreprises concurrentes potentielles se sont rapidement organisés derrière un effort secret et unifié pour contrôler les messages politiques.

    « Deuxièmement, elle a accéléré l’évolution de la censure numérique, la faisant passer d’un jugement de vérité/non-vérité à un nouveau modèle plus effrayant, ouvertement axé sur la narration politique au détriment des faits. »

    Le projet Virality ne reposait pas sur des « affirmations de faits », mais sur la soumission du public à l’autorité, l’acceptation des récits et les déclarations de personnalités telles qu’Anthony Fauci. Le concept central/animateur du projet était « Vous ne pouvez pas gérer la vérité », conclut M. Taibbi.

    Le projet Virality a cherché à « pré-mentir » les récits véridiques mettant en cause les vaccins

    Le projet Virality semble être resté largement inactif depuis la publication de son rapport final en février 2022. Toutefois, son contenu et ses recommandations restent en ligne.

    Dans son « Expectations and Action Plan for Health Communicators » [Attentes et plan d’action pour les communicateurs en matière de santé], par exemple, le projet Virality prévient que « les communautés établies de pseudoscience et d’anti-vaccination continueront à créer, à diffuser et à répéter des récits destinés à dissuader le public de se faire vacciner contre la COVID-19 ».

    « Alors que le déploiement des vaccins contre la COVID-19 se poursuit, il sera essentiel de réduire au minimum l’hésitation du grand public à se faire vacciner pour mettre fin à la pandémie de coronavirus. Selon le modèle des trois C sur l’hésitation vaccinale, les trois facteurs – complaisance, confiance et commodité – jouent un rôle dans la promotion de l’acceptation des vaccins », a ajouté le rapport.

    Le projet Virality poursuit en citant les récits entourant la mort de la légende du baseball Hank Aaron comme exemple de cette « désinformation », affirmant que sa mort était due à des causes naturelles et non à la vaccination contre la COVID-19 – même s’il est décédé deux semaines après avoir reçu sa première dose.

    La Maison Blanche a ciblé un tweet posté par Kennedy le 22 janvier 2021 sur la mort d’Aaron, demandant à Twitter de le supprimer, tandis que le 31 janvier 2021, le tweet de Kennedy a été « vérifié » par le Times, sur la base qu’un médecin légiste a déclaré que la mort d’Aaron n’était pas liée à sa vaccination.

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  14. Des documents ont révélé que l’administration Biden avait reçu des conseils d’un important institut de sondage, Impact Research, sur la manière dont elle pourrait « remporter la victoire sur la COVID-19 ». Bon nombre de ces points de discussion ont été inclus dans le discours sur l’état de l’Union prononcé par Joe Biden en mars 2022.

    M. Taibbi, l’un des principaux éditeurs des révélations sur les « dossiers Twitter », a été attaqué par des parlementaires démocrates lors de son témoignage devant la Chambre des représentants le 9 mars. On lui a notamment demandé de révéler ses sources et on l’a qualifié de « soi-disant journaliste » à la solde du propriétaire et PDG de Twitter, Elon Musk.

    En réponse, M. Musk a tweeté :

    BREAKING: Matt Taibbi refuses to reveal his sources after Democrats try to intimidate him over the Twitter Files.

    Taibbi is an American hero 🇺🇸pic.twitter.com/pAfLuWvNyq
    — Collin Rugg (@CollinRugg) March 9, 2023

    https://www.mondialisation.ca/la-grande-machine-a-mensonges-covid-19-le-projet-de-luniversite-de-stanford-a-collabore-avec-les-autorites-federales-et-les-medias-sociaux-pour-censurer-les-fausses-informations/5676487

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  15. 7 enfants paralysés par le virus de la poliomyélite dérivé du nouveau vaccin contre la poliomyélite financé par la Fondation Gates

    Sept enfants ont été paralysés par une poliomyélite d'origine vaccinale liée au nouveau vaccin antipoliomyélitique nOPV2 mis au point par la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les autorités sanitaires de la République démocratique du Congo et du Burundi et l'Initiative mondiale pour l'éradication de la poliomyélite [Global Polio Eradication Initiative (GPEI)], qui a annoncé la nouvelle jeudi.


    Par Brenda Baletti
    Mondialisation.ca,
    28 mars 2023


    Sept enfants ont été paralysés par une poliomyélite d’origine vaccinale liée au nouveau vaccin antipoliomyélitique nOPV2 mis au point par la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les autorités sanitaires de la République démocratique du Congo et du Burundi et l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite [Global Polio Eradication Initiative (GPEI)], qui a annoncé la nouvelle jeudi.

    La Fondation Bill & Melinda Gates, partenaire de la GPEI, a financé le développement et les essais cliniques du vaccin nOPV2.

    Le Burundi a déclaré une urgence nationale après avoir confirmé huit cas du virus et cinq échantillons provenant de la surveillance environnementale des eaux usées, a déclaré l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un communiqué.

    Le pays prévoit de mettre en œuvre une campagne de vaccination contre la polio dans les semaines à venir, afin de vacciner tous les enfants éligibles, âgés de 0 à 7 ans, contre le virus.

    Les autorités sanitaires du Burundi prévoient également de collaborer avec l’OMS et la GPEI pour évaluer les risques afin de déterminer l’ampleur de l’épidémie du virus dérivé du vaccin.

    Ils renforcent également la surveillance de la polio, les employés de l’OMS collectant des échantillons d’eau supplémentaires et ouvrant éventuellement de nouveaux sites de surveillance de l’environnement.

    « Nous sommes déçus », a déclaré le Dr Ananda Bandyopadhyay, directeur adjoint chargé de la technologie, de la recherche et de l’analyse au sein de l’équipe polio de la Fondation Gates. « Toute épidémie de ce type est décevante », a-t-il déclaré, selon un rapport de Stat News.

    Les épidémies de polio dérivées du vaccin ne sont pas une surprise avec le vaccin nOPV2, a déclaré la GPEI. « Bien que la détection de ces foyers soit une tragédie pour les familles et les communautés touchées, elle n’est pas inattendue dans le cadre d’une utilisation plus large du vaccin », a déclaré l’association sur son site web.

    Les vaccins oraux, administrés dans une grande partie de l’Afrique, du Moyen-Orient et dans certaines régions d’Asie, contiennent une forme vivante mais affaiblie du virus de la polio, modifiée pour minimiser sa capacité à paralyser.

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  16. Les enfants vaccinés avec des vaccins oraux vivants excrètent le virus dans leurs selles, qui finissent par se retrouver dans les eaux usées. En particulier dans les endroits où l’assainissement est insuffisant, le virus peut passer d’un enfant à l’autre, ce qui, selon la GPEI, est en fait le but recherché.

    Les virus peuvent passer d’une personne à l’autre et « contribuent en fait à protéger la communauté », peut-on lire sur le site web de l’association.

    Cependant, en continuant à circuler pendant 12 à 18 mois, le virus atténué des souches vivantes du vaccin oral peut redevenir virulent, circuler, infecter et paralyser « dans les endroits où les taux d’immunisation sont faibles ».

    Ces virus sont appelés poliovirus circulant dérivé d’une souche vaccinale ou cVDPV [circulating vaccine-derived poliovirus].

    L’Afghanistan et le Pakistan signalent désormais plus de cas de paralysie dus à la poliomyélite vaccinale qu’au virus sauvage, et plusieurs épidémies d’infections vaccinales se sont déclarées en Afrique, avec plus de 1 000 enfants paralysés rien qu’en 2020, selon une étude parue dans le BMJ.

    En 2022, 800 enfants ont développé une poliomyélite paralytique à cause des vaccins.

    Pourquoi des vaccins à virus vivants ?
    Les vaccins antipoliomyélitiques oraux (VPO) utilisés dans la plupart des pays en développement sont différents de ceux administrés aux États-Unis et dans certains pays occidentaux, qui utilisent le vaccin antipoliomyélitique inactivé (mort) (VPI) mis au point par le Dr Jonas Salk et utilisé pour la première fois en 1955, lorsque la poliomyélite est devenue un problème mondial.

    Selon l’OMS, ce n’est que dans de « très rares cas » que l’ administration du VPO entraîne une poliomyélite paralytique dérivée du vaccin.

    Outre la poliomyélite paralytique associée au vaccin, les souches vaccinales ont la capacité deprovoquer des maladies du système nerveux et de se transmettre d’une personne à l’autre, entraînant une poliomyélite infectieuse, selon The Defender.

    Les États-Unis ont cessé d’utiliser le VPO en 2000 car il provoquait la polio paralytique.

    Albert Sabin a mis au point le VPO en 1962. La facilité d’administration du vaccin oral en a fait le « candidat idéal pour les campagnes de vaccination de masse », selon l’OMS. Il arrête également la transmission du virus, ce que ne fait pas le vaccin VPI.

    Au fur et à mesure que la campagne mondiale de la GPEI pour l’éradication de la polio, lancée en 1988, progressait, l’utilisation du vaccin oral a donné lieu à de nombreux incidents liés à la propagation des virus dérivés du vaccin.

    Sur les trois souches originales de polio sauvage, les types 2 et 3 ont été déclarés éradiqués et seul le type 1 ne l’a pas été. La partie des vaccins Sabin ciblant les virus de type 2 est à l’origine de la grande majorité des cas de polio d’origine vaccinale.

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  17. Ce problème et le fait que la polio de type 2 n’a pas été observée depuis 1999 ont conduit le programme de lutte contre la polio à cesser d’utiliser des vaccins trivalents (ciblant trois types de polio) dans les 155 pays administrant des vaccins VPO en 2016, et à les remplacer par des VPO bivalents.

    Mais cette décision, appelée « l’échange », a rendu les enfants plus sensibles aux virus de la polio dérivés des vaccins – et le nombre d’enfants infectés par ces virus a commencé à augmenter.

    La GPEI a réagi en créant un nouveau vaccin VPO monovalent qui cible les virus de la polio de type 2 et en l’administrant dans les endroits où le virus circule.

    Au lieu de résoudre le problème, le nombre de polio de type 2 dérivés de vaccins en Afrique a presque triplé entre 2018 et 2019, et la crainte d’épidémies dans le monde entier s’est accrue parce que tant d’enfants n’étaient pas immunisés contre la polio de type 2.

    Simultanément, la GPEI/Gates s’est empressé de développer de nouveaux VPO qui rendraient le virus moins sujet aux mutations à l’origine des problèmes, a rapporté The Defender.

    Le nouveau vaccin nOPV2 à l’origine des récentes épidémies a été inscrit sur la liste des utilisations d’urgence (LUU) par l’OMS en novembre 2020, et le Groupe consultatif stratégique d’experts sur la vaccination (SAGE) a recommandé que le nOPV2 de Gates devienne le « vaccin de choix » pour répondre aux épidémies de polio de type 2 causées par le VPO.

    Mais le nOPV2 est également associé aujourd’hui à des épidémies de polio liées à la vaccination.

    Les vaccins nOPV contre les types 1 et 3 du poliovirus, appelés nOPV1 et nOPV3, font l’objet d’essais cliniques, selon la GPEI.

    Dans un courriel adressé au Defender, le Dr Brian Hooker, Ph.D., P.E., responsable scientifique de la Children’s Health Defense et professeur de biologie à l’université de Simpson, a déclaré :

    « Il est tragique, mais pas inattendu, que l’utilisation des vaccins Sabin à virus vivant entraîne la propagation de la poliomyélite d’origine vaccinale, étant donné la propension de ces virus à muter à l’envers vers leur forme paralytique.

    « Il est d’autant plus alarmant que la forme paralytique circule maintenant dans la population des enfants du Congo et du Burundi. »

    La GPEI a indiqué que 600 millions de doses du nouveau vaccin ont été administrées dans 28 pays depuis mars 2021, et a réaffirmé que le vaccin était « sûr et efficace ».

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  18. M. Fortner a également indiqué que les fonds alloués à la lutte contre la polio par la Fondation Gates ont entraîné une « fuite des cerveaux » au niveau local, les médecins, les chercheurs et les praticiens se consacrant à l’éradication de la maladie au détriment des priorités sanitaires locales et de celles financées par les collectivités locales.

    Même The Lancet a publié une critique similaire de Gates en 2009.

    Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef, a écrit dans un éditorial que « les subventions accordées par la Fondation ne reflètent pas le fardeau des maladies endurées par les personnes les plus pauvres » et qu’il existe « une corrélation alarmante entre le financement de la Fondation et les priorités en matière de maladies infantiles ».

    « D’importants programmes de santé sont faussés par d’importantes subventions de la Fondation Gates », a déclaré M. Horton, ajoutant : « La transparence du fonctionnement de la Fondation suscite également de vives inquiétudes. »

    À la suite du rôle joué par la Fondation Gates dans l’épidémie de COVID-19, de nombreuses personnes expriment aujourd’hui des préoccupations similaires.

    https://www.mondialisation.ca/7-enfants-paralyses-par-le-virus-de-la-poliomyelite-derive-du-nouveau-vaccin-contre-la-poliomyelite-finance-par-la-fondation-gates/5676484

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  19. Des études d'autopsie excluent les maladies cardiaques causées par COVID-19


    29 mars 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Des politiciens comme Karl Lauterbach aiment confondre Long Covid avec des problèmes causés par les vaccinations. Entre autres, on prétend même que la vaccination protège contre le Long Covid ou les problèmes cardiaques. Rien de tout cela n'est vrai. Une revue systématique de 50 études portant sur 548 cœurs examinés ne trouve désormais aucune inflammation cardiaque comme cause significative de décès.

    Des études épidémiologiques basées sur les codes CIM ont suggéré que les patients hospitalisés développaient une myocardite associée à la maladie respiratoire. Aucune de ces études n'a été confirmée par des examens cliniques ou des autopsies.

    Almamlouk et al. ont mené une revue systématique de 50 études d'autopsie et de 548 cœurs de patients décédés de ou avec COVID-19. Il a été publié le 23/03/2023 sous le titre « Pathologie cardiaque associée au COVID-19 lors de l'évaluation post-mortem : une revue systématique collaborative » . Les résultats post-mortem habituels d'œdème tissulaire et de nécrose ont été fréquemment rapportés. Le SRAS-CoV-2 a été détecté dans les tissus d'environ les deux tiers des cœurs. Cependant, une myocardite étendue n'a été identifiée comme cause de décès dans aucun des cœurs.

    En conclusion, cette enquête devrait être la confirmation définitive de l'exclusion de la maladie COVID-19 comme cause de myocardite mortelle. Bien que le virus ait été trouvé dans le tissu cardiaque, il n'a pas provoqué d'inflammation importante. La phrase cruciale est :

    La prévalence médiane signalée des myocardites étendues, focales actives et multifocales était de 0,0 %.

    (La prévalence moyenne rapportée des myocardites étendues, focales actives et multifocales était de 0,0 % chacune.)

    L'augmentation explosive des myocardites mortelles avec arrêt cardiaque inexpliqué doit avoir une explication autre que l'infection par le SRAS-CoV-2. La seule nouvelle cause prouvée de lésions cardiaques dans la population humaine est la vaccination contre le COVID-19. Il a été démontré que les vaccins utilisés dans les pays occidentaux (Pfizer, Moderna, Janssen, Novavax) provoquent des myocardites, comme cela est publié dans la littérature scientifique.

    https://tkp.at/2023/03/29/autopsie-studien-schliessen-durch-covid-19-verursachte-herzkrankheiten-aus/

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  20. Attaques mal placées contre le discours du député Andrew Bridgen sur le vaccin COVID au Parlement britannique

    Pourquoi la BBC et le professeur Sir David Spiegelhalter ont tort.


    Par Norman Fenton , Dr Clare Craig , et al.
    Recherche mondiale,
    28 mars 2023


    Le 17 mars 2023, le député Andrew Bridgen a prononcé un discours important au Parlement britannique demandant aux ministres d'examiner de manière critique les risques ainsi que les avantages des vaccins Covid. Bridgen est l'un des seuls députés à souligner les problèmes de sécurité des vaccins et a été suspendu du Parti conservateur pour des motifs soi-disant sans rapport mais manifestement fallacieux.

    Malheureusement, il n'y avait presque personne dans l'hémicycle pour écouter son discours et il semble que le parti conservateur ou le gouvernement ait veillé à ce que non seulement la grande majorité des députés conservateurs mais aussi travaillistes, libéraux, SNP et autres aient déserté l'hémicycle dès qu'il a pris le plancher. Conformément au protocole, le ministre du gouvernement chargé de la réglementation pharmaceutique, le député Will Quince, était présent pour répondre ; dans ce document, il a déclaré (sans contester aucune des affirmations détaillées de Bridgen) le mantra standard selon lequel le vaccin était efficace et sûr et avait sauvé «des dizaines de milliers de vies» au Royaume-Uni

    - voir clip sur site -

    Inévitablement, au lieu de se concentrer sur les détails du discours – dont la plupart étaient basés sur des données officielles d'agences gouvernementales britanniques ou sur des données d'essais cliniques de vaccins de 2020 – les médias narratifs ont universellement critiqué Bridgen comme un « théoricien du complot » (voir ici , ici et ici ) ou en diffusant des « fausses informations dangereuses » (voir ici , ici et ici ). YouTube a même supprimé la vidéo du discours que Bridgen avait publiée sur sa chaîne (bien qu'il l'ait finalement rétablie, peut-être après avoir réalisé que censurer un discours prononcé au Parlement et pouvant être lu dans le hansard était assez futile ) .

    Vous pouvez voir des extraits et des commentaires sur le discours de M. Bridgen ( ici ) et ce qui semble être une collusion entre les membres du parti opposé au Parlement britannique pour « vider la maison » sur la chaîne YouTube du Dr John Campbell.

    Les attaques contre Bridgen se sont poursuivies et le 23 mars, la BBC a consacré toute une émission de radio d'une heure AntiSocial animée par Adam Fleming sur Radio 4 pour attaquer son discours. Ses invités étaient :

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  21. David Grimes – qui avait déjà déclaré que Bridgen « diffusait de la fiction ».
    Marianna Spring (la «correspondante de la désinformation et des médias sociaux» de la BBC) qui a passé les trois dernières années à promouvoir son rôle adopté de «démystificateur» des informations des sceptiques de Covid, dont une grande partie s'est avérée par la suite vraie, tout en proclamant simultanément sa victimisation aux mains de ce qu'elle appelle les « théoriciens du complot ».
    Brendan O'Neill, présent en tant que défenseur symbolique de la liberté d'expression et non pas là pour défendre ce que Bridgen a dit mais plutôt son droit de le dire. En effet, O'Neill a déclaré (sans aucune tentative d'être précis) qu'une partie de ce que M. Bridgen a dit était « fortement désinformé ».
    le professeur Sir David Spiegelhalter, qui a été un farouche défenseur du récit « officiel » de Covid et a critiqué les affirmations de Bridgen ; cela constituait la majorité du contenu substantiel de l'émission de radio de la BBC.

    Vous pouvez écouter l'émission de radio AntiSocial ici .

    La seule personne qui aurait dû être présente pour se défendre, mais qui s'est curieusement vu refuser l'occasion, était Andrew Bridgen lui-même, qui a tweeté : « J'ai été contacté par AntiSocial de BBC Radio 4 pour une émission qui sort en ce moment. Ils ont décliné mon offre de venir, même si, ou peut-être parce qu'ils parlaient de moi. Je leur ai envoyé cette déclaration à la place.

    Étant donné que la majeure partie de l'émission de radio AntiSocial s'est concentrée sur les critiques du professeur Spiegelhalter à l'égard des données de Bridgen, celles-ci méritent une analyse approfondie et une réfutation, pour la simple raison qu'en entendant le commentaire unilatéral de Spiegelhalter, les membres du public peuvent avoir l'impression que les attaques contre Bridgen étaient entièrement justifiés, alors qu'ils ne l'étaient pas.

    Tout d'abord, bien que Spiegelhalter ait à moitié félicité Bridgen pour avoir souligné la nécessité d'examiner le rapport bénéfice/risque global des vaccins, il n'a fait aucun commentaire sur les données gouvernementales (y compris les coûts économiques énormes des vaccins) que Bridgen cité dans son allocution. De même, et dès le début, la BBC et Spiegelhalter ont fait preuve de partialité en ignorant totalement ces faits et d'autres faits importants et incontestables présentés dans le discours de Bridgen. Non seulement l'épisode entier a complètement évité toute discussion sur les propres données du gouvernement, dont l'existence semble avoir été délibérément ignorée ou censurée dans l'ensemble des médias grand public, bien qu'elles présentent un intérêt évident pour le public.

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  22. Malgré un long monologue, Spiegelhalter a présenté très peu de critiques explicites des données de Bridgen et en ce qui concerne les commentaires qu'il a faits, il est simple de montrer que c'est Spiegelhalter, et non Bridgen, qui a en fait induit le public en erreur.

    Un élément de données spécifique a formé la poussée du défi de Spiegelhalter. C'était l'affirmation de Bridgen selon laquelle il y avait un événement indésirable grave (EIG) pour 800 personnes vaccinées. Spiegelhalter a déclaré que ce chiffre provenait d'un article "qui avait fait l'objet de nombreuses critiques", suggérant au public que l'article était défectueux, sans vraiment indiquer quels étaient ces défauts.

    Dans le milieu universitaire, chaque grand article est (à juste titre) sujet à la critique. C'est à cela que sert l'examen par les pairs. Cependant, Bridgen citait le chiffre de 1 sur 800 de Fraiman et al. , un article évalué par des pairs dont l'auteur principal est le Dr Peter Doshi, rédacteur en chef du BMJ , et a été publié dans la prestigieuse revue Vaccine(dont nous ne pouvons que supposer qu'il connaît probablement quelque chose sur les vaccins). L'article a montré que les participants vaccinés ont signalé plus d'EIG que les participants au placebo - en moyenne 12,5 EIG de plus pour 10 000 participants, ce qui équivaut au chiffre de 1 sur 800. Ainsi, le chiffre n'a pas été imaginé par un auteur aveugle ou un journal "louche" diffusant de la désinformation. Et les données utilisées dans le document étaient celles des essais cliniques randomisés de phase 3 contrôlés par placebo de Pfizer et Moderna.

    Nous soupçonnons fortement que les « critiques » auxquelles Spiegelhalter fait référence proviennent en grande partie d'une source peu fiable, plutôt que des nombreuses sources distinctes suggérées par son utilisation de l'expression « beaucoup de critiques ». Cette source est le Dr Susan Oliver, dont le supposé démontage de Fraiman et al. nous avons précédemment réfuté en détail ici .

    La critique de Spiegelhalter de la revendication 1 sur 800 est extrêmement faible. Il a déclaré que le chiffre était trompeur car il comptait "le nombre total d'événements plutôt que le nombre de personnes subissant au moins un événement", certaines personnes signalant plusieurs événements. Sa critique n'est pas fondée car les auteurs en avaient déjà tenu compte dans l'article, dans lequel ils décrivent (gras ajouté) :

    Troisièmement, sans données individuelles sur les participants, nous ne pouvions comparer que le nombre de personnes hospitalisées pour COVID-19 avec le nombre d'événements graves d'AESI, et non le nombre de participants souffrant d'AESI graves. Certaines personnes ont subi plusieurs EIG alors que les participants hospitalisés au COVID-19 n'ont probablement été hospitalisés qu'une seule fois, ce qui a biaisé l'analyse en faveur d'un préjudice net. Pour évaluer l'ampleur de ce biais, nous avons considéré qu'il y avait 20 % (Pfizer) et 34 % (Moderna) de plus d'EIG que de participants ayant subi un EIG.

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  23. Comme nous pouvons le voir, Fraiman et al. avait déjà pris en compte la possibilité que certaines personnes signalent plusieurs événements en supposant, pour le vaccin Pfizer, qu'il y avait 20% plus d'EIG signalés que de personnes signalant, et ils supposaient 34 % de plus pour Moderna. Ainsi, la première critique de Spiegelhalter ne tient pas la route.

    Il existe d'autres raisons de contester l'affirmation de Spiegelhalter selon laquelle le chiffre de 1 sur 800 est exagéré. L'article de Fraiman n'a examiné que les données qui couvraient les deux doses primaires de chaque vaccin. S'il y a 1 chance sur 800 qu'une personne ayant reçu deux doses souffre d'au moins un EIG, il est raisonnable de conclure qu'il y a environ 1 chance sur 400 qu'une personne qui a reçu quatre doses souffre d'au moins un EIG. . Le risque augmente à chaque dose supplémentaire. En fait, les propres données du gouvernement montrent que les taux d'effets indésirables s'aggravent avec les rappels, ce qui rend la situation potentiellement pire qu'une simple multiplication par le nombre de doses. Le discours de Bridgen portait sur le risque de boosters supplémentaires ; bon nombre des personnes ciblées pour ceux-ci auront déjà reçu quatre doses.

    Il est également important de noter que les données de l'article Fraiman proviennent des essais cliniques Pfizer et Moderna de 2020 qui ont été menés sur une population jeune et généralement en bonne santé, et non sur ceux qui présentent réellement un risque important de maladie grave due au SRAS-CoV-2 (le personnes âgées et infirmes, ayant été jugées inadmissibles à participer). Il est généralement admis que la fréquence et la gamme des événements indésirables liés aux médicaments sont toujours plus élevées chez les personnes âgées et fragiles. Ainsi, étant donné ces taux élevés d'EIG chez les jeunes et en bonne santé, il est raisonnable de déduire que le taux d'EIG chez les personnes âgées et plus infirmes, qui sont éligibles aux rappels, sera nettement plus élevé. Donc, encore une fois, cela indique un risque actuel encore plus grand que 1 sur 800.

    Spiegelhalter a également cherché à rejeter le nombre d'EIG rapportés dans le bras vaccin de l'étude Pfizer comme n'étant pas significativement différent du nombre rapporté dans le bras placebo. En effet, le nombre total d'EIG dans l'essai était assez faible, ce qui signifie que certains des intervalles de confiance (IC) à 95 % avaient des limites inférieures inférieures à un, comme les auteurs l'ont clairement indiqué :

    Dans l'essai Pfizer, 52 ESSI graves (27,7 pour 10 000) ont été signalés dans le groupe vacciné et 33 (17,6 pour 10 000) dans le groupe placebo. Cette différence correspond à un risque plus élevé de 57 % d'AESI graves (RR 1,57 IC à 95 % 0,98 à 2,54) et à une différence de risque de 10,1 EIAS graves pour 10 000 participants vaccinés (IC à 95 % -0,4 à 20,6). Dans l'essai Moderna, 87 AESI graves (57,3 pour 10 000) ont été signalés dans le groupe vacciné et 64 (42,2 pour 10 000) dans le groupe placebo. Cette différence correspond à un risque plus élevé de 36 % d'AESI graves (RR 1,36 IC à 95 % 0,93 à 1,99) et à une différence de risque de 15,1 EIAS graves pour 10 000 participants vaccinés (IC à 95 % -3,6 à 33,8). En combinant les essais, il y avait un risque 43 % plus élevé d'AESI grave (RR 1,43 ; IC à 95 % 1,07 à 1,92) et une différence de risque de 12,5 EAGI graves pour 10 000 participants vaccinés (IC à 95 % 2.

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  24. Dans notre propre analyse (bayésienne) de ces données , nous avons montré qu'il y avait une probabilité de 96 % que le taux d'EIG pour les vaccins Covid combinés soit supérieur au taux d'EIG pour ceux avec le placebo et une probabilité de 99,7 % que des événements indésirables graves d'ordre spécial l'intérêt était plus élevé pour les vaccins covid combinés. Il y a une probabilité de 90 % que la différence soit supérieure à 1 sur 2 500.

    En résumé, et contrairement à ce que prétend Spiegelhalter, le chiffre de 1 sur 800 pour le risque de réaction indésirable grave pour les personnes ciblées par le rappel est, le cas échéant, plus que probablement une sous-estimation.

    L'inquiétude de Spiegelhalter concernant le chiffre de 1 sur 800 était également à la base de sa critique de l'affirmation de Bridgen concernant le nombre nécessaire pour vacciner (NNV). Cependant, les chiffres NNV cités par Bridgen étaient entièrement basés sur la présentation de l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) au Comité mixte sur la vaccination et l'immunisation (JCVI) le 25 octobre 2022, publiée le 25 janvier 2023 . Par exemple, Bridgen a déclaré :

    Les propres données du gouvernement montrent que, chez les adultes en bonne santé âgés de 50 à 59 ans, il a fallu administrer 256 400 rappels pour éviter une seule hospitalisation grave… Pour les 40 à 49 ans en bonne santé, ce nombre passe à 932 500 qui avaient besoin d'être boostés. pour garder un patient Covid hors d'une unité de thérapie intensive… Et pour les 30 à 39 ans en bonne santé, personne ne connaît la réponse au nombre qu'il faut augmenter pour éviter une hospitalisation grave car les propres données du gouvernement disent qu'il n'y a jamais eu été un tel cas de ce groupe d'âge étant placé en soins intensifs en raison de la variante actuelle de COVID-19.

    L'animateur de l'émission de radio, Adam Fleming, a suggéré à Spiegelhalter que l'utilisation par Bridgen des chiffres NNV était "un crime contre les statistiques" sans expliquer la base de ce commentaire. Ignorant les chiffres NNV du gouvernement que Bridgen a correctement déclarés, Spiegelhalter a plutôt laissé entendre que ce chiffre était erroné parce que Bridgen avait également utilisé l'estimation de 1 sur 800 SAE de l'article Fraiman pour comparer le nombre de personnes qui seraient hospitalisées à cause du vaccin au nombre sauvé. de l'hospitalisation par le vaccin. C'est en effet ce que Bridgen a fait, mais c'était une approche appropriée et non défectueuse. Par exemple, il a dit (gras ajouté) :

    Les propres données du gouvernement montrent que, chez des adultes en bonne santé âgés de 50 à 59 ans, il a été nécessaire d'administrer 256 400 piqûres de rappel pour éviter une seule hospitalisation grave, entraînant 321 personnes hospitalisées avec un effet secondaire grave du rappel, qui comprend, évidemment, risque de mort .

    Les 256 400 sont le chiffre du gouvernement pour le nombre de personnes de 50 à 59 ans «non à risque» qui devraient être vaccinées pour éviter une hospitalisation grave. Pour obtenir le chiffre de 321, tout ce que Bridgen a fait est de diviser 256 400 par 800 (le taux d'événements indésirables graves) ! Un calcul tout à fait rationnel, puisqu'il est raisonnable d'assimiler un effet indésirable grave à une hospitalisation.

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  25. Malgré la présence de Brendan O'Neill, dont les opinions écrites, en particulier en ce qui concerne les verrouillages, sembleraient être directement en contradiction avec celles du professeur Sir David Spiegelhalter, à aucun moment un membre du panel n'a présenté une opinion dissidente sur la position selon laquelle Le discours de M. Bridgen était de la désinformation. L'épisode entier d' AntiSocial était essentiellement la constitution d'un esprit ou d'une opinion unique.

    Au cours de l'émission, il a été remarquable qu'en réponse à un commentaire sur un tweet de Greta Thunberg, l'hôte, Adam Fleming, ait interrompu la conversation en disant qu'il est inapproprié de se prononcer sur ses tweets car elle n'était pas présente pour expliquer ses commentaires. Il est donc extrêmement ironique que Fleming ait mis de côté tout son programme d'une heure pour procéder à une dissection unilatérale et à une discussion du discours prononcé par un député en exercice, Andrew Bridgen, tout en lui refusant la possibilité d'être présent pour se défendre.

    L'absence d'impartialité dans l'émission de radio de Fleming est évidemment une violation flagrante de la charte de la BBC. Peut-être que les payeurs de licence de la BBC seront si consternés par cela qu'ils pourraient envisager de se plaindre de ce dernier abus de leur redevance.

    Stop Press : Certains détails révélateurs non sans rapport sur les antécédents du professeur Spiegelhalter sont présentés dans le bulletin d'information sur le droit, la santé et la technologie , qui vaut la peine d'être lu .

    https://www.globalresearch.ca/the-misplaced-attacks-on-bridgens-speech-to-the-uk-parliament/5813850

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  26. Psychose de masse : quand allons-nous nous libérer de la propagande toxique, si ce n'est maintenant ?


    Par Mark Taliano
    Recherche mondiale,
    28 mars 2023


    Si la psychose de masse implique un détachement de la réalité , alors les Occidentaux en particulier souffrent de psychose de masse sur une myriade de problèmes. Maintenant plus que jamais.

    En termes de politiques gouvernementales, cette maladie fabriquée est bien planifiée et délibérée. Les médias, en étroite collaboration avec le gouvernement, sont détenus et contrôlés par des cartels médiatiques (1). La dissidence politique acceptable reste encadrée, pour la plupart, dans les paramètres de Big Lies, le plus récent, expansif et criminel étant les COVID Lies. (2)

    Si les mesures et les piqûres du COVID sont une manifestation intérieure de la guerre du gouvernement contre son propre peuple, et que les taux de mortalité excessifs suggèrent qu'ils le sont (3), alors l'impérialisme serait une manifestation extérieure de la guerre contre d'autres peuples. Les gouvernements fabriquent un soutien pour ces «guerres» par des mensonges et des tromperies massifs générateurs de psychose.

    Toutes les guerres post-11 septembre en particulier servent de modèle pour comprendre la guerre en Ukraine. Comment ? Parce qu'ils ont tous été vendus à des populations occidentales incrédules par le biais de Big Lies. Aucune des guerres n'était ou n'est à propos d'activités humanitaires, de démocratie, de liberté ou de lutte contre le terrorisme. Plutôt l'inverse.

    La vérité s'est infiltrée pour les guerres "passées" dans la mesure où de nombreux Occidentaux acceptent maintenant que l'Irak n'avait pas d'ADM, que la Libye (4) avant l'invasion occidentale était un bien meilleur endroit (tout comme l'Irak), et que loin d' être dictateur brutal, le gouvernement syrien élu dirigé par le président Assad est infiniment supérieur aux terroristes soutenus par l'Occident d'Al-Qaïda, ISIS. (5)

    Alors pourquoi l'acceptation apparemment générale des récits officiels de l'Ukraine ? Les populations occidentales n'ont-elles rien appris des guerres précédentes et des mensonges fabriqués qui les ont déclenchées et entretenues ?

    Les mensonges de guerre sur l'Ukraine sont cohérents avec les mensonges de guerre sur les pays susmentionnés.

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  27. La guerre n'a rien à voir avec la démocratie, la liberté ou l'humanitarisme, et le président russe Vladimir Poutine n'est pas un « dictateur brutal ». Cela ne devrait pas être une surprise. Pour être succinct, il s'agit d'une guerre par procuration destinée à saigner la Russie même si cela signifie que les Ukrainiens se battent jusqu'à la « dernière personne ». (6) En termes de saignement de la Russie, il est peu probable que l'objectif soit atteint puisque la Russie est sans doute plus forte que jamais, malgré (ou peut-être à cause) des sanctions économiques et de la guerre.

    En termes de combats « jusqu'à la dernière personne (ukrainienne) », comme l'a exprimé le sénateur Lindsay Graham, ce sombre résultat peut se manifester tant que des pays comme le Canada continueront de soutenir et d'envoyer des armes à ce qui est essentiellement un régime nazi installé par l'Occident.

    George Eliason décrit les actes et l'idéologie fondamentale des banderites ressuscités de Kiev. Il décrit comment la dernière chose que les victimes de l'holocauste ont vue était les brassards bleus et jaunes du SS Totenkopf.

    Pourtant, les Occidentaux soutenant les drapeaux bleus et jaunes représentatifs du régime actuel de Kiev, produit d'un coup d'État en cours à Washington, semblent parfaitement inconscients de ce qu'ils soutiennent réellement.

    Les complexes bellicistes impériaux occidentaux ne pourraient pas être plus heureux, alors même que cette «psychose» fabriquée prolonge la guerre, la dévastation et le massacre massif d'Ukrainiens. Les impérialistes ne veulent pas la paix.

    Quand, sinon maintenant, les masses occidentales se libéreront-elles de leurs illusions fabriquées ? Quand sinon maintenant est-il temps pour la vérité, la paix et la justice ?

    *

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    Mark Taliano est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG) et auteur de Voices from Syria , Global Research Publishers, 2017. Il écrit sur son site Web où cet article a été initialement publié.

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  28. Remarques

    (1) Dr Joseph Mercola, "Les mêmes personnes louches possèdent Big Pharma et les médias." Mercola, 15 juin 2021. ( The Same Shady People Own Big Pharma and the Media – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 27 mars 2023

    (2) Kit Knightly, « 40 faits que vous DEVEZ savoir : la VRAIE histoire de « Covid ». » offGuardian, 24 mars 2023. ( 40 faits que vous DEVEZ savoir : La VRAIE histoire de « Covid » – OffGuardian (off-guardian.org) ) Consulté le 27 mars 2023.

    (3) Alexandra Bruce, "Vidéo : résultats choquants dans les données du CDC sur la surmortalité : Edward Dowd." Global Research, 15 mars 2022. ( Vidéo : Shocking Findings in the CDC Data on Excess Mortality : Edward Dowd – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 27 mars 2023.

    (4) Garikai Chengu, « Libye : de la démocratie la plus riche d'Afrique sous Kadhafi, au paradis des terroristes parrainé par les États-Unis et l'OTAN. » Global Research, 19 octobre 2015. ( Libye : De la démocratie la plus riche d'Afrique sous Kadhafi, à l'US-NATO Sponsored Terrorist Haven – Global ResearchGlobal Research – Centre de recherche sur la mondialisation ) Consulté le 27 mars 2023.

    (5) Mark Taliano, « Unité 1 : Enseignez les voix de la Syrie ». marktaliano.net ( Unité 1 : Enseigner des voix de Syrie. – Mark Taliano ) Consulté le 27 mars 2023.

    https://www.globalresearch.ca/when-will-we-free-ourselves-from-toxic-propaganda-if-not-now/5813771

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  29. Blessures du vaccin COVID-19 au foie


    Une mère courageuse de l'Ontario partage l'histoire d'un jeune garçon blessé par un vaccin; Une jeune femme de 22 ans dans la Garde nationale de l'armée développe une maladie du foie trois semaines après le vaccin Pfizer


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    28 mars 2023


    La protéine Spike du vaccin COVID-19 attaque le foie

    - voir sur site -

    Source des images : ( cliquez ici )

    « Ma fille de 22 ans, Diana, a reçu un diagnostic de maladie du foie en mars 2022, trois semaines après avoir reçu le vaccin Pfizer. Elle était une jeune femme dynamique et en bonne santé dans la Garde nationale de l'armée jusqu'à ce qu'elle tombe gravement malade. » ( cliquez ici )

    Elle a été hospitalisée à plusieurs reprises à Fargo, Sioux Falls, Watertown et Rochester MN. L'équipe médicale de la clinique Mayo a déclaré que les médicaments n'aidaient pas et qu'elle avait finalement besoin d'une greffe de foie. Au cours de son hospitalisation à Mayo, ils ont également découvert qu'elle souffrait d'une insuffisance cardiaque droite qui devait également être traitée .

    Diana a actuellement des saignements gastro-intestinaux et a besoin de transfusions sanguines environ toutes les 2 à 3 semaines pour maintenir un niveau normal. Elle est incapable de travailler et fonctionne à un rythme lent et suit un régime strict à faible teneur en sodium.

    Les rendez-vous commencent le 3 avril où elle verra le cardiologue, le pneumologue et l'hépatologue pour commencer les tests afin d'obtenir l'autorisation d'être inscrite sur la liste des greffes .

    Je vais prendre un congé du travail pour être avec elle à travers tous ces rendez-vous car on nous a dit que ce serait des semaines de tests. Je suis le seul fournisseur pour elle et je la conduis à tous ses rendez-vous et je suis connue comme sa «personne de soutien» avec tous ses médecins.

    Un cas d'hépatotoxicité après avoir reçu un vaccin COVID-19

    « Une jeune fille de 14 ans, dont on ne sait pas qu'elle souffre de maladies chroniques, s'est présentée aux urgences avec des douleurs épigastriques, de la diarrhée, des nausées et des vomissements au cours des quatre derniers jours. Trois jours avant sa présentation actuelle, la patiente a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer/BioNTech BNT162b2 ARNm COVID-19 . » ( cliquez ici )

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  30. Il y a eu trois rapports de patients souffrant d'insuffisance hépatique, dont un cas aigu, après avoir reçu le vaccin à ARNm Pfizer/BioNTech BNT162b2 au Royaume-Uni entre le 12 septembre 2020 et le 4 septembre 2021. De plus, 17 cas de lésion hépatique

    "les effets secondaires possibles des vaccins COVID-19 sur le foie ne se limitent pas à un type"

    Ma prise…
    Je fais une tournée de conférences en ce moment avec le Dr Paul Alexander, donc je ne peux pas commenter longuement, mais s'il vous plaît, lisez attentivement ces histoires. Ces histoires tragiques sont si importantes et les parents courageux doivent être soutenus lorsqu'ils se présentent pour nous parler de leurs enfants blessés par le vaccin COVID-19.

    Les maladies auto-immunes post-vaccin COVID-19 sont très courantes et affectent divers organes, y compris le foie, où la protéine de pointe COVID-19 s'accumule également.

    https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccine-injury-liver-brave-ontario-mother-shares-story-vaccine-injured-young-boy-22-year-old-young-woman-army-national-guard-develops-liver-disease-3-weeks-after-pfizer-vaccine/5813775

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  31. Italie Coronavirus : Nouvelles informations explosives


    Par Jon Rappoport
    Blog de Jon Rappoport
    29 mars 2023


    Suite de mes articles sur les « plus grands succès COVID ». Pour lire mon introduction à cette série en cours, rendez-vous ici. Pour soutenir mon travail et en avoir pour son argent, commandez My Matrix Collections ici et abonnez-vous à ma sous-pile ici.

    19 mars 2020 [L'Amérique en "confinement": Jour 7.]

    Une très brève mise à jour. Lisez ceci attentivement. De nombreuses personnes qui ont été diagnostiquées comme «cas de coronavirus» en Italie, puis sont décédées, ont presque certainement été mises sous antiviraux. Comme vous le verrez ci-dessous, un pourcentage important de ces personnes avaient des problèmes cardiaques antérieurs ou de l'hypertension artérielle. Mais au moins un des médicaments antiviraux, appelé ribavirine, porte cet avertissement TRÈS PERTINENT, de cardiosmart.org : « La ribavirine peut diminuer le nombre de globules rouges dans votre corps. C'est ce qu'on appelle l'anémie et cela peut mettre la vie en danger chez les personnes souffrant de maladies cardiaques ou de problèmes de circulation. L'hypertension artérielle est un problème circulatoire. Comprendre? Trouver? DANGEREUX. Alors, combien de patients atteints de coronavirus ont été tués par l'administration de ribavirine ?

    Et avec CELA, sautons dans… parce qu'il y a plus. Beaucoup plus.

    Pour ceux qui croient au coronavirus…

    Voici la situation de base : les agences de santé italiennes signalent une escalade des décès par COV - une grande histoire de peur à l'avant…

    Mais en arrière-plan, d'autres chercheurs du gouvernement italien parcourent les dossiers des patients, pour regarder de plus près… pour voir si des personnes meurent du virus ou d'autres causes plus évidentes.

    Les gens meurent-ils par coïncidence AVEC le virus, ou À CAUSE DU virus ? Le virus n'est-il qu'un simple passager inoffensif dans l'organisme ou en est-il la force motrice ?

    Les résultats italiens sont étonnants, pour le sous-estimer d'un mile.

    Bloomberg News a l'histoire : 3/18, « 99 % de ceux qui sont morts du virus avaient une autre maladie, dit l'Italie » :

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  32. "Plus de 99 % [!] des décès par coronavirus en Italie étaient des personnes qui souffraient de conditions médicales antérieures, selon une étude de l'autorité sanitaire nationale du pays."

    «L'institut basé à Rome a examiné les dossiers médicaux d'environ 18% des décès dus au coronavirus dans le pays [jusqu'à présent, car c'est un travail lent], constatant que seulement trois victimes [!!], soit 0,8% du total, n'avaient aucune pathologie antérieure [maladie]. Près de la moitié des victimes souffraient d'au moins trois maladies antérieures et environ un quart avaient une ou deux conditions antérieures.

    "Plus de 75% souffraient d'hypertension artérielle, environ 35% souffraient de diabète et un tiers souffraient de maladies cardiaques."

    "L'âge moyen de ceux qui sont morts du virus en Italie est de 79,5 ans [!!!]. Au 17 mars, 17 personnes de moins de 50 ans étaient décédées de la maladie. Toutes les victimes italiennes de moins de 40 ans étaient des hommes souffrant de graves problèmes de santé.

    CLAQUER.

    Âge moyen des personnes décédées : 79,5 ans. Est-ce que vous plaisantez? Beaucoup de conditions médicales antérieures, un système immunitaire affaibli et ce que cette étude émergente ne dit pas : toutes ces personnes avaient manifestement été traitées pour ces conditions antérieures avec des médicaments toxiques. De plus, une fois qu'ils ont été diagnostiqués avec un coronavirus, il y a de fortes chances que beaucoup d'entre eux aient été mis sous médicaments antiviraux hautement toxiques. Donnant ainsi le coup de grâce.

    Imaginer que le coronavirus était la CAUSE de la mort serait un fantasme ridicule. Mais ces personnes sont comptées comme des « décès par coronavirus » par les autres agences d'information italiennes, qui font grimper les chiffres.

    Cela vous rappelle-t-il d'autres rapports que j'ai détaillés ? Les personnes âgées atteintes de maladies antérieures évidentes qui sont décédées en Australie ; et les personnes âgées qui ont été diagnostiquées comme des cas de coronavirus dans l'État de Washington, toutes vivant dans une maison de soins infirmiers de longue durée ?

    Obtenir l'image ? Ce nombre de décès con - en plus de dissimuler les véritables causes de décès, y compris MEDICAL - est la lance avant utilisée pour justifier le verrouillage et la destruction des économies partout dans le monde en ce moment, et cela signifie attaquer les gens de quelque manière que ce soit liée à ces économies qui doivent travailler pour gagner leur vie.

    Il y a des vampires statistiques au travail, utilisant les personnes âgées, malades et mourantes pour fournir des chiffres aux agences de santé de la planète. Ces agences exploitent leurs contacts avec la presse, et des rapports d'horreur émergent, et le public sans méfiance, dans les blocages économiques, s'assoit devant le tube et regarde ces rapports, et inhale la peur inventée.

    Tournez votre esprit vers le réglage le plus élevé, car rien ne dépend de tout cela, sauf l'avenir immédiat de l'humanité.

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  33. Et encore une fois, cardiosmart.org : « La ribavirine peut diminuer le nombre de globules rouges dans votre corps. C'est ce qu'on appelle l'anémie et cela peut mettre la vie en danger chez les personnes souffrant de maladies cardiaques ou de problèmes de circulation.

    Reproduit avec la permission du blog de Jon Rappoport.

    https://www.lewrockwell.com/2023/03/jon-rappoport/italy-coronavirus-new-explosive-information/

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  34. Il s'avère qu'Ebola a probablement également fui d'un laboratoire


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    29 mars 2023


    En décembre 2013, la fièvre hémorragique d'Ebola du Zaïre a éclaté en Guinée et, au cours des trois années suivantes, s'est propagée à travers l'Afrique de l'Ouest, tuant finalement 11 323 personnes.1 Alors que les épidémies d'Ebola se produisent sur une base quasi annuelle, c'était la plus importante et la plus meurtrière de l'histoire.2

    Des cinq virus Ebola connus pour causer des maladies chez l'homme, le virus Ebola du Zaïre, identifié pour la première fois au Zaïre en 1976, est le plus dangereux, avec un taux de mortalité variant entre 53 % et 88 %,3 selon la variante.

    Le virus entraîne une immunosuppression sévère, mais la plupart des décès sont attribués à la déshydratation causée par des problèmes gastriques. Les premiers signes d'infection comprennent des symptômes pseudo-grippaux non spécifiques et l'apparition soudaine de fièvre, de diarrhée, de maux de tête, de douleurs musculaires, de vomissements et de douleurs abdominales. D'autres symptômes moins courants comprennent les maux de gorge, les éruptions cutanées et les saignements internes/externes.

    Au fur et à mesure que l'infection s'installe, un choc, un œdème cérébral (liquide sur le cerveau), des troubles de la coagulation et des infections bactériennes secondaires peuvent survenir. Les hémorragies ont tendance à commencer quatre à cinq jours après l'apparition des premiers symptômes, qui comprennent des saignements dans la gorge, les gencives, les lèvres et le vagin. Des vomissements de sang, l'excrétion d'excréments ressemblant à du goudron indiquant une hémorragie gastro-intestinale et une insuffisance hépatique et/ou multiviscérale peuvent également survenir.

    Le chasseur de virus qui a attribué l'origine zoonotique

    Selon un article4 publié fin décembre 2014, l'épidémie d'Ebola aurait été attribuée à un garçon de 2 ans à Meliandou, en Guinée, nommé Emile Ouamouno. Soi-disant, le garçon était entré en contact avec une chauve-souris frugivore infectée dans un arbre évidé.

    Ceci, même si aucun ARN d'Ebolavirus n'a jamais été détecté dans aucun des échantillons de chauves-souris prélevés dans la région. Chose intéressante, l'auteur principal de cet article était Fabian Leendertz, un chasseur de virus renommé de l'Institut Robert Koch en Allemagne.

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  35. Leendertz était également membre de l'équipe de l'Organisation mondiale de la santé qui a enquêté sur l'origine du COVID-19.5 Comme vous vous en souvenez peut-être, ils ont également conclu, sans preuve, que le SRAS-CoV-2 était très probablement d'origine zoonotique et ont rejeté la théorie des fuites de laboratoire comme pas digne d'être examinée plus avant.

    Fuite de laboratoire suspectée depuis le début

    Cependant, tout comme pour le SRAS-CoV-2, les soupçons et les rumeurs selon lesquels l'épidémie d'Ebola était le résultat d'une fuite de laboratoire étaient présents dès le départ. Certains scientifiques ont même soupçonné que le virus pourrait être une forme militarisée d'Ebola. Comme indiqué dans un article de 2014 du Journal of Molecular Biochemistry :6

    « Un autre sujet qui peut provoquer une pléthore d'arguments est que ce virus peut être un virus généré en laboratoire… Il existe une conjecture selon laquelle le virus est transmis aux humains par des animaux sauvages. Cependant, en raison de la mortalité élevée parmi eux, il est impossible que ces animaux soient l'hôte réservoir de la MVE.

    Fin octobre 2022, Sam Husseini et Jonathan Latham, Ph.D., ont publié une nouvelle analyse7,8,9 dans Independent Science News, dans laquelle ils ont exposé les preuves indiquant une fuite de laboratoire. Ils ont également disséqué le rapport Leendertz de décembre 2014, soulignant les trous dans le récit de l'origine zoonotique. En fait, il existe des preuves suggérant que l'épidémie de Meliandou n'était pas du tout Ebola. Husseini et Latham écrivent :10

    « Chernoh Bah, un journaliste indépendant de la Sierra Leone, a écrit un livre sur l'épidémie d'Ebola de 2014 et s'est rendu à Meliandou. Bah a constaté que : "Les agents de santé locaux pensent toujours que le paludisme peut avoir été la cause réelle de sa mort [d'Emile]".

    Pendant son séjour à Meliandou, Chernoh Bah a également interviewé le père d'Emile. Selon Bah, l'équipe de Leendertz (qui n'a jamais prétendu avoir interrogé le père) a commis une erreur cruciale : "L'enfant avait en fait 18 mois lorsqu'il est décédé"… La question de l'âge, il faut le noter, est cruciale pour toute l'épidémie. récit. Comme le père d'Emile l'a dit à Reuters :

    « Emile était trop jeune pour manger des chauves-souris, et il était trop petit pour jouer seul dans la brousse. Il était toujours avec sa mère. » Bah a également identifié une autre erreur apparente : qu'Emile avait quatre frères et sœurs qui ne sont jamais tombés malades. Ces frères et sœurs ne sont mentionnés nulle part dans la littérature scientifique…

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  36. De plus, bien que certaines chauves-souris semblent porteuses d'anticorps contre les virus Ebola, seul le Bombali Ebola intact (une autre espèce de virus du genre Ebola) a jamais été isolé d'une chauve-souris, malgré des recherches intensives... Bombali est une espèce d'Ebola qui n'infecte pas les humains .

    Pris ensemble, cela suggère que les chauves-souris sont rarement porteuses du virus Ebola et lorsqu'elles le font, c'est en petites quantités. Ce contexte rend quelque peu surprenant que Saéz et al. a attribué l'épidémie de 2014 (sans preuves à l'appui) au contact avec des chauves-souris.

    En effet, Fabian Leendertz doute désormais que les chauves-souris soient de véritables réservoirs de virus Ebola.11 Étant donné le manque général de preuves, on se demande par quel processus exact des affirmations aussi mal étayées ont pu faire la une des journaux internationaux.

    Ebola a-t-il été expérimenté avant l'épidémie ?

    Comme l'ont détaillé Husseini et Latham,12 "des rumeurs persistantes dans la région ont lié l'épidémie à un laboratoire de recherche américain à Kenema, en Sierra Leone.13 Cette installation étudie les maladies hémorragiques virales, dont Ebola fait partie".

    Le laboratoire de Kenema, qui est géré par le Viral Hemorrhagic Fever Consortium (VHFC) basé aux États-Unis depuis 2010, est situé à environ 80 km du village de Guinée où l'épidémie d'Ebola est apparue pour la première fois.14

    Le fondateur et président du VHFC est Robert (Bob) Garry, qui faisait également partie du groupe de virologues qui, dans les premiers jours de la pandémie de COVID-19, ont concocté l'article « L'origine proximale du SRAS-CoV-2 »15 dans lequel ils a rejeté la théorie des fuites de laboratoire et a insisté sur le fait que l'origine zoonotique était la plus plausible, malgré le manque de preuves.16

    Pas plus tard qu'en novembre 2022, Garry insistait toujours sur le fait que le SRAS-CoV-2 "est apparu via le commerce d'espèces sauvages". laboratoire, parce que "nous n'avions pas d'EBOV [ebolavirus] dans notre laboratoire et n'aurions donc pas pu le libérer ou le fabriquer".

    Selon Garry, les épidémies d'Ebola et de SRAS-CoV-2 sont toutes deux victimes de "culpabilité par proximité". Cependant, dans une interview du 11 mars 2023 sur le podcast Decoding the Gurus, Kristian Andersen, vice-président du laboratoire Kenema du VHFC18 et un autre auteur de "Proximal Origin", a clairement réfuté l'affirmation de Garry :19

    « Le problème, c'est que les gens voient ces coïncidences. L'une des nouvelles est la fuite du laboratoire Ebola, qui nous est également imputée, car nous avions étudié Ebola à Kenema en Sierra Leone, et voilà qu'Ebola est apparu à quelques kilomètres de là en 2014 », a déclaré Andersen.

    Alors, qu'est-ce qu'on en fait ? Garry affirme que le laboratoire de Kenema n'avait pas de virus Ebola et Andersen dit que oui. Tous deux sont des cadres supérieurs du laboratoire et devraient savoir ce qui a été étudié et ce qui ne l'a pas été. Alors, qui dit la vérité ?

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  37. Kenema Lab a-t-il été impliqué dans le travail de guerre biologique ?

    Selon Husseini et Latham,20 il y a de bonnes raisons de croire que le laboratoire de Kenema travaillait avec Ebola avant l'épidémie en Guinée, à environ 80 km du laboratoire. Pour commencer, l'épidémie de Guinée était la première fois que Zaïre Ebola est apparu en Afrique de l'Ouest. Toutes les épidémies précédentes de cette souche la plus meurtrière d'Ebola se sont produites dans le bassin du Congo, dans la zone équatoriale d'Afrique centrale, à quelque 3 000 kilomètres (environ 1 864 miles) de la Guinée.

    "Par conséquent, l'apparition d'Ebola au Zaïre en Afrique de l'Ouest a été un développement frappant et très inattendu", écrivent-ils. Comment en est-il arrivé là ? Ebola n'est pas très contagieux car la transmission nécessite généralement un contact direct.

    Il n'y a pas eu d'épidémies entre le bassin du Congo et la Guinée, ce à quoi on s'attendrait s'il se propageait naturellement d'une personne à l'autre. Tout aussi mystérieux est le fait que le séquençage du génome et l'analyse phylogénétique n'ont montré qu'un seul saut de l'animal à l'humain. Husseini et Latham expliquent :21

    « Les épidémies zoonotiques, y compris la plupart des épidémies d'Ebola passées, comportent généralement plusieurs sauts vers l'homme à partir d'une source animale. Les sauts simples, cependant, sont cohérents avec les origines du laboratoire et sont souvent considérés comme un drapeau rouge pour cette possibilité.

    La raison en est que les chercheurs travaillent souvent avec un seul isolat, peut-être celui qu'ils ont trouvé particulièrement facile à reproduire en laboratoire, alors que les populations naturelles sont généralement diverses. Cette différence fournit un signal génétique pour distinguer les origines naturelles des origines de laboratoire.

    Zaïre Ebola est également l'espèce préférée utilisée par les laboratoires de recherche qui étudient les virus de type Ebola, car c'est la plus mortelle et a donc le plus grand potentiel de guerre biologique. Husseini et Latham continuent :

    « Notant l'écart entre la faiblesse du récit de Leendertz sur l'origine de l'épidémie… et la force avec laquelle le récit d'Emile a été affirmé par les scientifiques occidentaux et les médias occidentaux, [la journaliste Chernoh Bah] a écrit :

    'il est difficile de ne pas interpréter le récit de 'l'origine zoonotique de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest' avancé par Fabian Leendertz et son équipe dans le cadre d'une dissimulation ou d'une dissimulation de la chaîne réelle d'événements qui a jeté les bases de l'Ebola en Afrique de l'Ouest épidémie' …

    En 2011, trois ans avant l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest, Reuters a longuement décrit la recherche à Kenema. dans les dépenses de biodéfense… [D'ici] l'exercice 2007, le NIH demandait plus de 1,9 milliard de dollars.» Reuters a conclu que la part des laboratoires de Kenema dans cette allocation était de 40 millions de dollars.

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  38. Le 25 août 2013, quelques mois seulement avant l'épidémie d'Ebola, le VHFC a publié sur son site Web un article intitulé : "Les chercheurs de l'Institut de recherche Scripps font des progrès majeurs dans la lutte contre le virus Ebola." Cet article a ensuite été supprimé, mais son existence est vérifiable à l'aide de la WayBackMachine.

    Néanmoins, le titre à lui seul soulève quelques questions clés : pourquoi le VHFC a-t-il publié un article sur Ebola s'il ne fonctionnait pas dessus à l'époque ? En particulier, quelle variante d'Ebola était étudiée ? Quelle était la nature des expériences ? Pourquoi supprimer la publication ? …

    Nous savons qu'Ebola était important pour le VHFC et ses partenaires et un intérêt primordial pour au moins certains de ses membres.

    En effet, tous les principaux chercheurs américains du VHFC, Robert Garry, Kristian Andersen, Erica Ollmann Saphire et Pardis Sabeti ont publié plusieurs articles de recherche originaux sur le virus Ebola.23,24,25,26,27,28 s’accorde avec les priorités de recherche américaines en biosécurité sous les auspices desquelles le laboratoire de Kenema est largement financé…

    En 2013, Robert Garry a co-écrit un article29 sur un nouveau traitement contre Ebola au Zaïre. Les onze autres auteurs étaient de l'USAMRIID, alias Fort Detrick. Ce site est la plus grande installation de «biodéfense» au monde et la société de Garry, Zalgen, est située à proximité.

    Plus de connexions de guerre biologique et d'essais Ebola

    Husseini et Latham soulignent qu'en 2014, lorsque l'épidémie d'Ebola s'est produite, Metabiota était un partenaire VHFC. Comme détaillé dans «Preuves de dissimulation de pandémie et d'armes biologiques», Metabiota a été embauché par l'OMS et le gouvernement local de la Sierra Leone pour surveiller la propagation de l'épidémie d'Ebola, mais n'était clairement pas à la hauteur de la tâche. Un rapport de CBS News de 2016 a détaillé la réponse bâclée de Metabiota.30

    2014 a également été l'année où Metabiota s'est vu confier les opérations des laboratoires de recherche biologique américains en Ukraine, avec un financement de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) et :31,32

    Pilot Growth Management, cofondé par Neil Callahan. Callahan est également cofondateur de Rosemont Seneca Technology Partners et siège au conseil consultatif de Metabiota.
    In-Q-Tel, une société de capital-risque de la CIA spécialisée dans les investissements de haute technologie qui soutiennent ou profitent à la capacité de renseignement des agences de renseignement américaines
    Rosemont Seneca33, un fonds d'investissement cogéré par Hunter Biden34
    Le fondateur de Metabiota, Nathan Wolfe, est également lié au président d'EcoHealth Peter Daszak, Ph.D., un suspect principal dans la pandémie de COVID qui a travaillé en étroite collaboration avec l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) en Chine, où le SRAS-CoV-2 est suspecté d'avoir pris naissance. Wolfe a également reçu plus de 20 millions de dollars en subventions de recherche de Google, du NIH et de la Fondation Bill & Melinda Gates, pour n'en nommer que quelques-uns.

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  39. De tous les scientifiques, entreprises et organisations impliqués dans ce type de recherche à travers le monde, comment se fait-il que la même courte liste de noms apparaisse à la fois dans l'affaire Ebola en Guinée et dans le COVID-19 ?
    Outre les liens évidents de guerre biologique du laboratoire de Kenema et la possibilité qu'Ebola y soit expérimenté, plusieurs essais de traitement d'Ebola avaient également lieu à Port Loko, en Sierra Leone, à environ 190 km (118 miles) de Kenema, à peu près au même moment que Ebola a éclaté en Guinée.

    "D'après les descriptions limitées disponibles, l'un de ces essais correspond au moment requis pour qu'il ait déclenché l'épidémie d'Ebola de 2014, mais aucun d'entre eux ne correspond à l'emplacement", écrivent Latham et Husseini.35

    « Cependant, les données sont incomplètes ; pour son livre, Constantine Nana a correspondu avec le chercheur principal de l'essai de phase II de Port Loko, le Dr Peter Horby de l'Université d'Oxford. Horby a dit à Nana "qu'il n'avait aucune information sur les résultats de l'essai de phase I". Diriger un essai de phase II et ne rien savoir de l'essai de phase I de ce produit est en effet mystérieux et plutôt étrange.

    La biosécurité est laxiste au laboratoire Kenema

    Latham et Husseini examinent également l'approche nonchalante de la biosécurité au laboratoire de Kenema, malgré le travail avec des agents pathogènes extrêmement dangereux :36

    "Aux États-Unis, l'utilisation de filovirus vivants nécessite des installations de niveau de biosécurité quatre (BSL-4), où les chercheurs portent des" combinaisons spatiales "à pression positive. Mais à Kenema… selon Reuters, les mesures de biosécurité" comprennent des lunettes, des gants et des masques. " L'article a cité Matt Boisen, membre du VHFC, un scientifique américain de Tulane, maintenant avec Zalgen : « Certes, nous avons moins de sécurité, moins de confinement, mais nous avons la capacité de faire beaucoup plus dans le même laps de temps »…

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  40. D'autres ont corroboré ce laxisme. Lors de l'épidémie de 2014, le premier intervenant d'urgence a été l'organisation médicale à but non lucratif Médecins sans frontières (MSF), qui a été appelée pour sa vaste expérience d'Ebola. La coordinatrice de la réponse d'urgence de MSF était Anja Wolz. Elle était très critique des mesures de biosécurité utilisées par Metabiota à Kenema.

    Après avoir vu comment ils ont visité des cas suspects d'Ebola, elle a déclaré à AP: "Je ne suis pas entrée dans le laboratoire Metabiota … J'ai refusé parce que j'en avais déjà assez vu." Un responsable du CDC, Austin Demby, envoyé plus tard pour enquêter, est parvenu à des conclusions similaires.

    Dans un e-mail sur le laboratoire de Kenema, il a écrit : « Le potentiel de contamination croisée est énorme et franchement inacceptable. » Ainsi, il semble y avoir eu à Kenema un schéma de procédures de biosécurité laxistes avant et pendant l'épidémie.

    Une autre bizarrerie qui ne correspond pas à la nature d'une épidémie naturelle était le fait que les points chauds étaient largement répartis. Il n'y avait pas d'épicentre. De plus, selon le coordinateur Ebola de l'OMS, Philippe Barboza, les membres du personnel de Metabiota "entravaient systématiquement toute tentative d'amélioration du système de surveillance existant". MSF s'est également plaint de ne pas avoir obtenu la coopération de Kenema.

    « Compte tenu de l'intentionnalité imputée par nombre de ces témoins aux manquements en Sierra Leone, étaient-ils délibérés ? Si oui, étaient-ils destinés à détourner l'attention du laboratoire de Kenema ? » Latham et Husseini demandent.

    Tests génomiques

    Latham et Husseini se penchent ensuite sur les résultats des tests génomiques, qui suggèrent qu'il y a eu une épidémie "cachée" ou non signalée en Sierra Leone, qui ne s'est propagée que plus tard en Guinée. Cela ne prouve pas qu'il soit sorti d'un laboratoire en Sierra Leone, cependant. Mais les caractéristiques uniques de la souche Makona d'Ebola qui a provoqué l'épidémie de Guinée suggèrent que le virus a peut-être subi une forme de manipulation. Latham et Husseini expliquent :

    « La souche Makona d'Ebola n'est pas une souche standard ou connue, et elle n'est pas non plus similaire à une souche publiée. Il est nouveau, ayant environ 400 mutations qui ne se trouvent dans aucune souche d'Ebola connue auparavant. Ainsi, pour que l'épidémie d'Ebola de 2014 ait commencé dans un laboratoire, la souche Makona doit soit représenter l'évasion d'une souche non publiée, peut-être une souche collectée lors d'un travail de terrain en Afrique centrale.

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  41. Alternativement, Makona pourrait être un dérivé radicalement manipulé d'une souche connue, soit par génie génétique, soit par passage. Une combinaison de ces deux possibilités devrait également être envisagée.

    De ces deux alternatives, nous savons qu'Ebola et d'autres virus étaient alors recherchés chez les animaux sauvages du bassin du Congo dans le cadre du projet PREDICT de l'USAID. Les principaux acteurs en étaient la Wildlife Conservation Society (WCS) et Metabiota, qui, à l'époque, était à l'époque partenaire du VHFC…

    [Une] possibilité est que Metabiota, ou d'autres collecteurs, aient utilisé le laboratoire VHFC de Kenema dans le cadre d'une chaîne du froid pour la conservation d'échantillons apportés du bassin du Congo...

    Le laboratoire de Kenema peut également avoir été utilisé pour le dépistage initial ou les tests de ces échantillons. Une troisième possibilité est le partage formel ou informel d'échantillons ou de souches avec des contacts VHFC ou des collègues de Kenema, peut-être pour aider au développement de traitements commerciaux ou d'outils de diagnostic…

    Compte tenu de ces potentialités, il est remarquable de découvrir qu'en juillet 2014, pendant l'épidémie, le VHFC a rédigé un bref rapport dans lequel ils accusaient Metabiota d'une activité qui serait encore plus risquée.

    Le VHFC a accusé le personnel de Metabiota à Kenema de cultiver des cellules de patients atteints d'Ebola, ce qui, selon eux, était dangereux et devrait "être arrêté immédiatement".

    Metabiota a émis un démenti qualifié, mais l'allégation est hautement crédible puisque les deux organisations partageaient le même site ; d'ailleurs ses implications sont très grandes. Cela suggère, premièrement, que Metabiota avait un intérêt à cultiver de nouvelles souches d'Ebola, deuxièmement, qu'ils avaient la capacité technique et le personnel compétent pour le faire à Kenema, et troisièmement, qu'ils étaient prêts à prendre des risques exceptionnels...

    L'allégation soulève donc, de manière très concrète, la question de ce que Metabiota aurait pu faire à Kenema avant l'épidémie… étant donné les intérêts de recherche et les capacités du laboratoire VHFC de Kenema et de ses collaborateurs, c'est une question relativement simple. de théoriser comment une nouvelle souche d'Ebola, comme Makona, aurait pu atteindre Kenema puis s'y être répandue lors d'activités de recherche de routine.

    Intéressant aussi est le double rôle de Metabiota. Outre la collecte d'échantillons dans la nature, Metabiota était également l'entreprise qui, du moins selon MSF et l'OMS, a entravé ou mal géré les tests et le diagnostic à Kenema et que Sylvia Blyden a alléguée "a gâché toute la région".

    Si une erreur de recherche de la part de Metabiota était à l'origine de la souche (et l'incompétence de Metabiota a été largement alléguée37), ou même soupçonnée de l'être, ils auraient été fortement incités à "bâcler" également l'identification des premiers cas et donc obscurcir l'origine.

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  42. La recherche pathogène doit être maîtrisée

    Bien que l'argument selon lequel la pire épidémie d'Ebola de l'histoire soit le résultat d'une fuite de laboratoire repose toujours sur des preuves circonstancielles, ces preuves sont convaincantes, et encore plus par l'absence de preuves d'une origine zoonotique. La même chose peut être dite pour le SARS-CoV-2.

    De plus, parmi tous les scientifiques, entreprises et organisations impliqués dans ce type de recherche à travers le monde, comment se fait-il que la même courte liste de noms apparaisse à la fois dans le cas Ebola en Guinée et dans le COVID-19 ?

    Le message à retenir ici est qu'il n'y a aucun moyen de garantir le confinement des virus dans aucun de ces laboratoires, pas même les laboratoires de niveau 4 de biosécurité. Et un agent pathogène n'a pas besoin d'être développé comme une arme biologique pour agir comme tel.

    Si la recherche sur le gain de fonction sur les virus mortels est autorisée à se poursuivre, le monde entier restera à risque, et je ne pense pas qu'il soit hyperbolique de dire que la recherche sur le gain de fonction constitue une menace existentielle pour l'humanité. Jusqu'à présent, nous avons eu de la chance dans la mesure où les agents pathogènes échappés (suspectés ou confirmés) n'ont pas décimé la population mondiale, mais notre chance pourrait un jour s'épuiser.

    Sources and References

    1, 8 Daily Mail November 3, 2022
    2, 7, 10, 12, 20, 21, 35, 36 Independent Science News October 25, 2022
    3, 6 J. Mol Biochem 2014; (3): 72-76
    4 EMBO Molecular Medicine 2015; 7: 17-23
    5 WHO Origins of the SARS-CoV-2 Virus
    9 USA Daily Brief November 4, 2022
    11 EcoHealth 2016; 13: 18-25
    13 Anthropological Quarterly January 2017
    14, 17 PNAS November 10, 2022
    15 Nature Medicine 2020; 26: 450-452
    16 Select Subcommittee on the Coronavirus Pandemic Memorandum, March 5, 2023
    18 VHFC Leadership
    19 Twitter Nicholson Baker March 12, 2023
    22 Reuters February 14, 2011
    23 Nature 2008; 454: 177-182
    24, 29 PLOS September 12, 2013
    25 PNAS November 17, 2014; 111(48): 17182-17187
    26 Cell February 19, 2018
    27 Cell Host & Microbe August 8, 2018; 24(2): 221-233.e5
    28 Nature Communications August 17, 2020; 11 article number 4131
    30 CBS News March 7, 2016
    31 Medicalexperiments.news March 31, 2022
    32 The Daily Expose March 20, 2022
    33 Rosemont Seneca Investments
    34 Rosemont Seneca Team
    37 USRTK May 19, 2022

    https://www.lewrockwell.com/2023/03/joseph-mercola/turns-out-ebola-likely-leaked-from-a-lab-as-well/

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  43. Le ministre allemand de la Santé admet que les piqûres COVID peuvent causer des «handicaps permanents», contredisant les déclarations passées

    L'Allemagne est en tête de tous les pays occidentaux en termes de décès excessifs depuis le déploiement des vaccins COVID, avec une augmentation de 44% enregistrée en janvier 2023.
    L'image sélectionnée


    Andréas Wailzer
    28 lun 27 mars 2023 - 14 h 25 HAE


    Au delà des mots
    (LifeSiteNews) – Le ministre allemand de la Santé a admis que les injections de COVID-19 peuvent causer des incapacités permanentes après avoir précédemment affirmé que les injections étaient sans effets secondaires.

    Dans une interview accordée au média d'État allemand ZDF le 12 mars 2023, le ministre de la Santé Karl Lauterbach a été confronté à des cas de personnes blessées par les coups de COVID, dont un gymnaste de 17 ans qui a été hospitalisé et a failli mourir après avoir reçu l'injection BioNTech COVID.

    "Ces destins sont absolument consternants, et chaque destin est un de trop", a déclaré Lauterbach.

    "Ce sont des handicaps graves, et certains d'entre eux seront permanents, donc c'est difficile", a-t-il ajouté.

    Lauterbach a appelé à "un processus plus rapide de reconnaissance des lésions vaccinales" et a affirmé que "des lésions vaccinales graves" se produisent dans "moins de 1 vaccination sur 10 000, selon les données du Paul-Ehrlich-Institut (PEI)".

    Le présentateur de nouvelles Christian Sievers a confronté Lauterbach avec ses déclarations précédentes concernant la sécurité des vaccins. Dans un tweet d'août 2021, Lauterbach a écrit :

    Vrai. Et en plus, c'est pourquoi une minorité de la société ne veut pas d'un vaccin sans effets secondaires, même s'il est gratuit et peut sauver leur vie et celle de beaucoup d'autres. Par conséquent, je suis pessimiste quant aux sacrifices volontaires pour la protection du climat. [soulignement ajouté]

    "Eh bien, c'était une exagération que j'ai faite une fois dans un tweet bâclé. Mais ce n'était pas fondamentalement mon attitude", a déclaré le ministre allemand de la Santé.

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  44. LIS: Le ministre allemand de la Santé déclare que "de nouvelles pandémies sont certaines" après avoir rencontré Bill Gates, directeur de l'OMS

    Sievers a repoussé Lauterbach, affirmant que le ministre de la Santé avait "toujours donné l'impression que la question des effets secondaires [des vaccins] n'est pas vraiment un problème du tout".

    "Non, ce n'est pas vrai", a répondu Lauterbach. "Je viens de vous le dire, j'ai toujours connu les chiffres. Ils sont également restés relativement stables. Ces vaccins sont utilisés dans le monde entier. 1 sur 10 000. Donc, vous pouvez dire que c'est beaucoup ou vous pouvez dire que ce n'est pas tellement.

    "Il s'agit, en fait, d'un vaccin qui protège contre une maladie très grave et, soit dit en passant, réduit très souvent le risque" Long COVID "", a-t-il poursuivi.

    "Les avantages l'emportent sur les risques, mais c'est vrai, 1 sur 10 000, c'est l'incidence des effets secondaires graves."

    Le directeur exécutif de la Vaccine Safety Research Foundation, Steve Kirsch, n'était pas d'accord avec l'évaluation des risques de Lauterbach.

    Il existe de nombreuses preuves que les effets secondaires graves, y compris la mort, des injections de COVID, se produisent beaucoup plus fréquemment que ne le prétend Lauterbach. Une récente enquête menée par un institut de sondage en Allemagne a révélé que 23 % des participants ont déclaré avoir subi des « effets indésirables graves » après avoir reçu des injections de COVID-19. De plus, l'Allemagne est en tête des pays occidentaux en termes de décès excessifs depuis le déploiement des vaccins COVID, avec une augmentation de 44% enregistrée en janvier 2023.

    Un autre fait préoccupant est la baisse significative des naissances vivantes neuf mois après le déploiement du jab COVID. L'Institut fédéral allemand de recherche sur la population a mené une étude qui a montré "de fortes associations entre le début des programmes de vaccination et la baisse de la fécondité neuf mois après ce début".

    Big Pharma exclu de toute responsabilité

    Dans leurs contrats avec l'Union européenne (UE), les sociétés pharmaceutiques telles que Pfizer et BioNTech ont été exonérées de toute responsabilité, ce qui rend presque impossible pour les victimes de leurs injections d'ARNm de poursuivre avec succès ces sociétés en dommages-intérêts.

    Dans son entretien avec Lauterbach, Sievers a mentionné qu'en raison des contrats de l'UE exonérant les géants pharmaceutiques de toute responsabilité, l'État allemand est donc responsable et doit traiter les demandes de dommages-intérêts des personnes blessées par les injections d'ARNm.

    Le ministre allemand de la Santé a déclaré que puisque les sociétés pharmaceutiques généraient des "bénéfices exorbitants", il s'attend à ce qu'elles fassent des "contributions volontaires" pour payer les frais médicaux encourus par les personnes blessées par les vaccins.

    https://www.lifesitenews.com/news/german-health-minister-admits-covid-jabs-can-cause-permanent-disabilities-contradicting-past-statements/?utm_source=popular

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  45. EXCLUSIF: Le CDC a trouvé des signaux de sécurité des vaccins COVID-19 des mois plus tôt que prévu, les fichiers montrent


    Zachary Stieber, journaliste
    28 mars 2023


    La principale agence de santé publique américaine a identifié des centaines de signaux de sécurité pour les vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 des mois plus tôt que prévu, selon des fichiers obtenus par The Epoch Times.

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont trouvé plus de 700 signaux indiquant que les vaccins pourraient provoquer des événements indésirables, notamment une insuffisance cardiaque aiguë et la mort, en mai 2022, selon les fichiers.

    Le CDC a détecté bon nombre des mêmes signaux en juillet 2022, avait précédemment rapporté Epoch Times. Les nouveaux fichiers montrent que la première fois que le CDC a calculé un rapport de déclaration proportionnel (PRR) sur les rapports de blessures par vaccin, des signaux ont été identifiés.

    L'analyse a porté sur les rapports déposés entre le 14 décembre 2020 et le 6 mai 2022.

    Le CDC a initialement affirmé qu'il n'avait pas exécuté le PRR, une méthode d'exploration de données, sur les rapports de blessures transmis au système de notification des événements indésirables des vaccins. Le CDC a affirmé plus tard qu'il avait commencé la méthode en février 2021, peu de temps après le déploiement des vaccins. Ces deux affirmations étaient fausses, a finalement déclaré le CDC, ajoutant qu'il n'avait commencé qu'en mars 2022.

    Lorsque les premières analyses ont été effectuées ce mois-là, les employés du CDC ont identifié plus de 200 signaux pour le vaccin de Pfizer et 93 signaux pour le vaccin de Moderna, selon les fichiers. Ces analyses comparent les événements logés après avoir reçu un vaccin avec les événements logés après en avoir reçu un autre, ou plusieurs autres.

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  46. Epoch Times a obtenu les fichiers grâce aux demandes de la loi sur la liberté d'information.

    L'analyse la plus solide consiste à comparer les rapports déposés après la vaccination avec les vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 avec les rapports déposés après la vaccination avec tous les vaccins non COVID-19. L'analyse est contenue dans des fichiers intitulés "Tableau 5".

    Selon les fichiers fournis par le CDC, l'agence n'a commencé cette analyse qu'en mai 2022.

    « Le personnel du programme indique que ‘le tableau 5 n’a été créé que du 6 mai 2022 au 31 juillet 2022’ », a déclaré un responsable du traitement du CDC Freedom of Information Act à Epoch Times par e-mail.

    Le CDC n'a pas répondu à une demande d'informations complémentaires.

    «Les agences fédérales de santé ont ignoré les alarmes clignotantes de leurs propres systèmes de surveillance de la sécurité depuis le début de 2021. Elles ont ignoré mes lettres de surveillance et ont menti sur les analyses qu'elles ont effectuées. Il est grand temps que le public américain sache la vérité », a déclaré le sénateur Ron Johnson (R-Wis.), le plus haut républicain du sous-comité permanent des enquêtes, à Epoch Times par e-mail.

    Procédures d'exploitation

    Le CDC et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis gèrent conjointement le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins, qui accepte les rapports de n'importe qui, mais est principalement utilisé par les agents de santé. Les rapports au système sont analysés et vérifiés par les responsables de la santé et les sous-traitants.

    Dans les documents de procédure de fonctionnement, les agences ont déclaré que les responsables surveilleraient le système pour identifier « de nouveaux problèmes de sécurité potentiels pour les vaccins COVID-19 ». La FDA effectuerait un type d'analyse, appelé exploration de données bayésienne empirique, tandis que le CDC effectuerait l'exploration de données PRR.

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  47. Le PRR déclenche un signal lorsque trois seuils sont atteints, selon le CDC : un rapport de déclaration d'au moins deux, une statistique du chi carré (un indicateur de la relation entre les variables) d'au moins quatre et trois cas ou plus de l'événement suivant la réception du ou des vaccins en cours d'analyse. Les responsables de la santé disent qu'il faut plus de preuves que de signaux pour établir la causalité.

    Les agences ont décrit l'exploitation minière empirique bayésienne (EB) comme plus forte. Les responsables ont déclaré que le CDC avait entrepris PRR "pour corroborer les résultats de l'exploration de données EB".

    "Les résultats du PRR étaient généralement cohérents avec l'exploration de données EB, ne révélant aucun signal de sécurité supplémentaire inattendu. Étant donné qu'il s'agit d'une technique d'exploration de données plus robuste, le CDC continuera à s'appuyer sur l'exploration de données EB pour le moment », a précédemment déclaré un porte-parole du CDC à Epoch Times.

    La FDA a refusé de publier les résultats de l'exploitation minière EB, bien que les employés de l'agence les aient décrits dans certaines études et présentations.

    Le CDC a souligné qu'il avait enquêté sur certains des signaux, en confirmant une poignée et en excluant d'autres. Il n'a pas fourni la preuve qu'il a enquêté sur chaque signal. L'agence a également refusé de répondre à ce qu'elle voulait dire lorsqu'elle a déclaré qu'elle s'attendait à des signaux tels que le cancer du sein féminin, la maladie de Crohn et la paralysie de Bell.

    Kim Witczak, défenseur de la sécurité des médicaments et fondateur de Woody Matters, a déclaré à Epoch Times par e-mail : « Il ne semble pas y avoir de cohérence dans le processus de collecte et de publication des données, quand et comment. Le CDC dit une chose, et les données récemment publiées montrent autre chose. C'est pourquoi la transparence est nécessaire et pourquoi nous avons besoin de parties d'enquête extérieures sans peau dans le jeu pour analyser et examiner les données.

    Probabilité "Essentiellement nulle"
    Norman Fenton, professeur de gestion des risques à l'Université Queen Mary de Londres, a passé en revue les signaux.

    Fenton a déclaré que pour de nombreux événements indésirables signalés, le chi carré était si élevé que la probabilité que «le taux réel des [événements indésirables] des vaccins COVID ne soit pas supérieur à celui des vaccins non COVID est essentiellement nul .”

    Il a ajouté: «Il incombe aux régulateurs de trouver une autre explication causale de cette différence s'ils souhaitent affirmer que la probabilité qu'un vaccin COVID [événement indésirable] entraîne la mort n'est pas significativement plus élevée que celle des autres vaccins.

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  48. Download the files below.

    Table 3 Prr Of Pts For Covid 19 Pfizer Compared To Moderna March 25 2022

    Table 4 Prr Of Pts For Covid 19 Moderna Compared To Pfizer March 25 2022

    Table 5 Prr Of Pts For Covid 19 Mrna Compared To 2009_2022 Non-covid 19 May 6 2022

    https://www.theepochtimes.com/exclusive-cdc-found-covid-19-vaccine-safety-signals-months-earlier-than-previously-known-files-show_5151506.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  49. 14 000 Australiens sont morts de quelque chose de mystérieux l'année dernière et personne ne veut le rechercher


    Par Jo Nova
    March 29th, 2023


    Le sénateur Alex Antic est en feu en demandant pourquoi personne ne semble s'intéresser aux 14 062 personnes décédées de façon inattendue de janvier à novembre de l'année dernière. En une année complète, ce sont 15 300 familles qui ont perdu un être cher. 15 000 vies écourtées. C’est près de deux fois la taille du péage covid.

    Où sont le ministère de la Santé, le CSIRO, l'ABC, la TGA, la SBS, l'APRHA, nos universités, la plupart des journaux et la télévision gratuite ? Les vies australiennes comptent-elles ?

    @SenatorAntic : Quelque chose de catastrophique est en train de se produire et le gouvernement et les médias sont indifférents.

    Les quatre précédentes publications de données australiennes sur les statistiques provisoires de mortalité de l'ABS révèlent des augmentations de 15,1 %, 16,0 %, 17,0 % et 17,3 % des décès en excès par rapport à la moyenne de référence. Des tendances similaires, sinon pires, se produisent partout dans le monde occidental. De toute évidence, quelque chose de grave, je dirais catastrophique, est en train de se produire, mais étrangement, les politiciens et le complexe industriel de la censure sont presque totalement indifférents à l'enquêter. Ils ne veulent pas que vous sachiez ce qui motive cela, mais nous savons tous ce qui en est la cause.

    h/t Kevin a

    - voir clip (Rumble) sur site -

    Les dernières données du Bureau australien des statistiques (ABS) montrent que les décès mystérieux étaient bien plus élevés que les décès de Covid au cours des derniers mois de 2021.

    ABS : Décès excédentaires provisoires.

    - voir graph sur site -

    Décès excessifs australiens, 2022, statistiques provisoires de mortalité, graphique.

    Pendant ce temps, la plus grande étude sur le vaccin et la longue étude sur les covids en Australie est prématurément arrêtée…

    Il y a un an, il a été claironné comme une étude de cinq ans portant sur 10 000 personnes, ce qui a vraisemblablement permis aux gens de se sentir plus en sécurité quant à la sensibilisation du gouvernement à la sécurité. On a dit aux habitants du Queensland qu'ils étaient «parfaits» pour cette étude historique.

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  50. Nous savons que si ces résultats montraient que les vaccins étaient sûrs et que la longue covid était un problème, le financement serait doublé. Apparemment, les résultats sont déjà trop toxiques pour lui permettre de continuer, et les résultats doivent être interrompus immédiatement. Cela les enterrera, en effet, et détruira peut-être des données rares et précieuses sur l'effet des vaccins sur une population qui n'a pas eu de covid. Certaines de ces données ne pourraient même pas être récupérées si le projet était recommencé à zéro.

    Le gouvernement australien a dépensé 17 milliards de dollars pour le vaccin australien et le traitement de Covid 19, mais il n’en dépensera pas 0,5 % pour découvrir si les vaccins étaient sûrs. Priorités, n'est-ce pas ? !

    Ne supprimez pas QoVax
    Une biobanque inestimable avec les réponses au long Covid est menacée de destruction

    Rebecca Weisser, le spectateur
    L'équipe QoVax ne s'est pas contentée de collecter les données standard. Les participants ont fourni des informations sur les déterminants environnementaux et sociaux de la santé et les échantillons biologiques de sang et de salive qui ont été utilisés pour dériver des ensembles de données génomiques, transcriptomiques et protéomiques qui éclaireront l'impact des nouveaux vaccins sur le système immunitaire.

    La biobanque sécurisée numériquement intégrée compte 120 000 biospécimens : sérum, salive et cellules mononucléaires du sang périphérique, dans trois congélateurs à -80 degrés Celsius et trois dewars à azote liquide. Le référentiel de données liées compte quatre millions de points de données liés et plus de 500 génomes entiers.

    De plus, la biobanque a accès aux dossiers médicaux électroniques en temps réel. Avec 70% des hôpitaux du Queensland stockant les dossiers médicaux par voie électronique, l'étude visait à permettre une surveillance numérique à long terme des résultats de santé liés aux vaccinations Covid-19 et des intersections entre les réponses vaccinales et l'infection au Sars-CoV-2.

    Pire encore, la biobanque, qui devrait être une ressource pour le monde, est menacée de destruction. Ses précieuses ressources seront détruites en douze mois pour économiser une somme d'argent dérisoire. L'ensemble du projet n'a coûté que 20 millions de dollars.

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  51. Il est évident que la plupart des cas de Covid n'ont commencé à se produire qu'après le 15 décembre 2021.

    - voir graph sur site -

    Cas et décès de Covid en Australie, graphique de John Hopkins.
    Source : John Hopkins

    Dans une mise à jour, l'Australien a demandé ce qu'il adviendrait des données, et un porte-parole de QoVax a déclaré que les données seraient stockées et archivées. Mais ensuite, il y a six mois, ils ont déclaré qu'il s'agirait d'un programme de cinq ans jouant «un rôle fondamental dans la recherche future en santé et biomédicale». Alors, ça vaut combien ?

    Je ne croirai rien jusqu'à ce que toutes les données anonymisées soient accessibles au public. "Suivez la science" disent-ils, jusqu'à ce qu'ils la détruisent.

    Queensland Health retire le financement de l'étude QoVAX Covid-19
    L'Australie, le 29 mars 2023

    L’étude QoVAX, la plus grande du genre en Australie, examine comment le système immunitaire des gens réagit aux vaccins et au virus lui-même et est considérée comme une recherche importante dans le monde réel pour aider à gérer les futures variantes de Covid.

    En réponse aux questions, un porte-parole de QoVAX a déclaré qu'en l'absence de financement après le 30 juin, les données et les échantillons de recherche QoVAX seraient archivés et stockés en toute sécurité jusqu'à ce que des ressources suffisantes soient disponibles pour poursuivre la recherche.

    Pour le moment du moins, ils promettent de publier un rapport avant la fermeture. Cela arrivera-t-il ?

    Le site Web de QoVAX indique que l'équipe de recherche travaille toujours pour "intégrer et analyser le grand nombre de données". Les résultats seront communiqués aux participants, au public et via des recherches évaluées par des pairs et un résumé sera terminé avant le 30 juin, date à laquelle le financement cessera.

    Les Australiens doivent se battre pour ces données et pour que l'étude se poursuive. Où est Anthony Albanese, le gouvernement fédéral pourrait prendre le relais…

    https://joannenova.com.au/2023/03/14000-australians-died-of-something-mysterious-last-year-and-no-one-wants-to-research-it/#more-90335

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  52. De la guerre contre Corona à la guerre contre la Russie


    29 mars 2023
    par Thomas Fazi


    Une nouvelle anthologie de Hannes Hofbauer et Stefan Kraft se concentre sur les conséquences de la guerre en Ukraine. Des articles rédigés par un large éventail d'auteurs, tels que Florian Warweg, Andrea Komlosy et Olga Baysha, évaluent le contexte du conflit. TKP publie une version abrégée de la contribution de Thomas Fazi, qui analyse le virage autoritaire en Occident.

    Depuis une vingtaine d'années, l'Occident est en état de crise quasi permanent : la crise terroriste mondiale après le 11 septembre 2001, la crise financière et économique post-2008, la crise pandémique et, tout comme cette dernière semblait de s'atténuer, la crise militaire en Ukraine – et tout cela dans le contexte d'une crise climatique et environnementale imminente. Je parle spécifiquement de l'Occident et non du monde dans son ensemble. Il ne s'agit pas d'ignorer les expériences des parties non occidentales du monde - qui ont souvent beaucoup plus souffert de ces crises que leurs homologues occidentaux. Les exemples les plus évidents sont les pays ciblés par la soi-disant « guerre mondiale contre le terrorisme » de l'Occident, et maintenant, bien sûr, l'Ukraine elle-même. Mais le récit de la crise perpétuelle est une expérience spécifiquement occidentale. En outre, bon nombre des crises en question étaient beaucoup moins « globales » qu'on ne le pense souvent : la Chine, par exemple, est sortie de la crise financière en grande partie indemne.

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  53. La nouvelle normalité de la crise en cours

    En fait, la « crise » est devenue une caractéristique tellement omniprésente et globale de nos vies (bien qu'avec, bien sûr, des différences importantes entre les pays) que l'on peut légitimement se demander s'il ne s'agit pas simplement du résultat d'une série d'événements malheureux. il y a plus en jeu ici. Pierre Dardot et Christian Laval, par exemple, ont soutenu que dans le néolibéralisme, la crise est devenue une « méthode de gouvernement » dans laquelle « chaque catastrophe naturelle, chaque crise économique, chaque conflit militaire et chaque attaque terroriste est systématiquement exploitée par les gouvernements néolibéraux pour transformer les économies », pour radicaliser et accélérer les systèmes sociaux et les appareils d'État ». [1]Plus connus sont les mots de Naomi Klein, qui a exploré l'idée de "capitalisme de catastrophe" dans son livre de 2007 The Shock Doctrine. [2] Sa thèse centrale est qu'il est plus facile de transformer les sociétés dans les moments de peur et de désorientation du public. Des changements spectaculaires dans l'ordre économique existant, qui seraient normalement politiquement inacceptables, sont mis en œuvre en succession rapide avant que le public ne puisse y réagir.

    Aujourd'hui, cependant, il serait peut-être plus approprié de parler d'un "capitalisme de crise" - où le capitalisme occidental ne peut fonctionner qu'en créant un état d'urgence permanent par l'exploitation (ou la construction) d'une série sans fin de "crises". Dans un tel système, la « crise » n'est plus une déviation de la norme ; c'est la norme, le point de départ fondamental de toute politique. Ceci, bien sûr, soulève un paradoxe. Dans son livre Anti-Crisis, l'anthropologue Janet Roitman précise que « l'évocation d'une crise suppose une référence à une norme car elle requiert un état de jugement comparatif : crise versus quoi ? »[3 ] Cependant, l'usage actuel du terme implique un état sans fin dans lequel la crise elle-même est devenue la norme. Roitman demande : « Peut-on parler d'un état de crise perpétuelle ? N'est-ce pas un oxymore ?"  [4]

    Nous n'en sommes pas arrivés là d'un coup : c'était un processus lent, dans lequel chaque crise a été utilisée pour restreindre nos droits économiques, sociaux, démocratiques et individuels, mais aussi, et peut-être le plus important, notre imagination s'écartant lentement de la « normalité » .

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  54. Quelles sont donc les principales caractéristiques de cette « nouvelle normalité » de la crise en cours ? D'abord et avant tout, une acceptation générale de l'idée que nous ne pouvons plus nous permettre d'organiser nos sociétés autour d'un ensemble plus ou moins stable de règles, de normes et de lois ; le flux constant de nouvelles menaces - terrorisme, maladie, guerre, catastrophes naturelles - signifie que nous devons constamment être prêts à nous adapter à un scénario en constante évolution d'instabilité permanente. Et que nous ne pouvons plus nous permettre les débats publics nuancés et les complexités de la politique parlementaire normalement associées aux démocraties libérales occidentales ; les gouvernements doivent être en mesure d'appliquer les décisions rapidement et efficacement.

    Cet état de fait signifie également que toute forme de planification à moyen terme, toute vision d'avenir - que ce soit au niveau individuel ou collectif, ce dernier étant historiquement le principal moteur du progrès social - n'a pas de sens : dans une crise permanente nous sommes coincé dans un présent permanent où toutes les énergies sont concentrées sur la lutte contre « l'ennemi » du moment : le terrorisme islamique, l'instabilité financière, le changement climatique, le Covid - et maintenant la Russie (et la Chine ?). De plus, la réalité, nous dit-on, est tout simplement trop complexe et imprévisible pour espérer la façonner selon une quelconque forme de volonté collective. Loin d'être une réponse rationnelle à une réalité objective,

    Hégémonie perdue

    Au niveau national, le néolibéralisme a conduit à des niveaux obscènes et toujours croissants d'inégalité et de concentration du capital, qui à leur tour ont de graves implications politiques. Le fait qu'une petite minorité soit autorisée à amasser des quantités indécentes de richesse leur donne une influence et un pouvoir disproportionnés, et leur permet de détourner le processus politique et législatif et d'appliquer des lois qui renforcent leur pouvoir et leur influence. Comme l'écrit l'économiste Branko Milanović, plus l'inégalité est grande, plus nous avons de chances de « nous éloigner de la démocratie vers la ploutocratie ». [5]Bref, inégalité extrême et démocratie sont fondamentalement incompatibles. En fait, le système dans lequel nous vivons aujourd'hui ressemble plus à une ploutocratie ou à une corporatocratie. Cette érosion de la démocratie de l'intérieur a été exacerbée par la dénationalisation en cours de la politique, transférant les pouvoirs de décision des niveaux national et international, où les citoyens peuvent théoriquement exercer une certaine influence sur la politique, vers le niveau supranational (l'Union européenne est la plus évidente exemple  [6] ) pour "vacciner le capitalisme contre la menace de la démocratie."  [7]

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  55. L'oligarchisation du capitalisme occidental et la lutte de plusieurs décennies des élites occidentales pour protéger l'ordre politico-économique dominant des défis démocratiques populaires signifient que le néolibéralisme n'est plus en mesure de surmonter ses tendances polarisantes inhérentes et de créer un consensus social ou de créer l'hégémonie. (matériel ou idéologique). Dans le même temps, l'hégémonie occidentale est de plus en plus menacée à l'échelle internationale par la montée de nouvelles puissances régionales, notamment la Chine. En conséquence, les élites occidentales sont obligées de recourir à des mesures de plus en plus autoritaires, répressives et militaristes - tant au niveau national qu'international - pour rester au pouvoir et réprimer toute menace à leur autorité, comme B le contre-mouvement « populiste » qui déferle sur l'Occident à la fin des années 2010. D'où la nécessité d'un état de crise plus ou moins permanent susceptible de justifier de telles mesures, ou d'une « guerre » qui, on le verra, n'est pas nécessairement à prendre au sens littéral. Comme l'écrit le politologue néerlandais Kees van der Pijl, « les élites capitalistes occidentales ont perdu la capacité d'engager leurs peuples respectifs dans un contrat social juste et se sont tournées vers l'incitation à la peur […] pour endiguer les protestations et maintenir leur pouvoir ». une « guerre » qui n'est pas forcément à prendre au sens littéral, comme nous le verrons. Comme l'écrit le politologue néerlandais Kees van der Pijl, « les élites capitalistes occidentales ont perdu la capacité d'engager leurs peuples respectifs dans un contrat social juste et se sont tournées vers l'incitation à la peur […] pour endiguer les protestations et maintenir leur pouvoir ». une « guerre » qui n'est pas forcément à prendre au sens littéral, comme nous le verrons. Comme l'écrit le politologue néerlandais Kees van der Pijl, « les élites capitalistes occidentales ont perdu la capacité d'engager leurs peuples respectifs dans un contrat social juste et se sont tournées vers l'incitation à la peur […] pour endiguer les protestations et maintenir leur pouvoir ».[8ème]

    Comme déjà mentionné, ce processus dure depuis un certain temps ; à bien des égards, la « guerre contre le terrorisme » après le 11 septembre – qui a conduit à l'abolition des libertés civiles et à des appareils d'État de plus en plus puissants et expansifs – a servi de modèle à cette gestion autoritaire des sociétés occidentales. Cependant, la pandémie de Covid-19 et maintenant la guerre en Ukraine ont considérablement accéléré la tendance vers des formes de pouvoir de plus en plus concentrées, oligarchiques et autoritaires.

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  56. [1] Pierre Dardot/Christian Laval, Neverending Nightmare : The Neoliberal Assault on Democracy (Londres : Verso, 2019).
    [2] Naomi Klein, La doctrine du choc. Londres 2007.
    [3] Janet Roitman, Anti-Crisis. Durham 2013.
    [4] Un oxymore est la contraction de deux termes contradictoires
    [5] Branko Milanović, « The Higher the Inequality, the More Likely We Are to Move Away from Democracy », Guardian, 2 mai 2017. [6
    ] Zum Pousser vers le supranationalisme : William Mitchell et Thomas Fazi, Reclaiming the State : A Progressive Vision of Sovereignty for a Post-Neoliberal World. Londres 2017.
    [7] Quinn Slobodian, Mondialistes : la fin de l'empire et la naissance du néolibéralisme. Cambridge MA 2018
    [8] Kees van der Pijl, États d'urgence : garder la population mondiale sous contrôle. Atlanta, Géorgie 2022.

    Extrait de : Hannes Hofbauer/Stefan Kraft (éd.) : Consequences of the War. Comment la lutte pour l'Ukraine change le monde
    ISBN 978-3-85371-511-6, 256 pages, 23 euros. Voir plus ici : https://mediashop.at/buecher/kriegsfallen/

    https://tkp.at/2023/03/29/vom-krieg-gegen-corona-zum-krieg-gegen-russland/

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    1. Bon, des crises, il y en a depuis '10 000 ans' ! Les cons changent de noms et hop !
      Les affaires (import-export) n'ont pas changé ! Et, de plus, aujourd'hui, il y a les calculettes de poches et les ordinateurs (plus une 'intelligence artificielle' pour les trop cons) en plus du téléphone !
      Alors ??! Que faut-il ajouter ??!
      Il faut ajouter ce qui manque aux dirigeants ! La cervelle ! 10 millions d'habitants ? 10 millions de cerveaux. 100 millions d'habitants ? 100 millions de cerveaux... de plus que le dirigeant !

      Ce n'est pas plus compliqué que çà ! Hier les choses étaient cachées, aujourd'hui elles sont exposées. Plus il y a d'habitants, plus il y a de cerveaux ! Çà alors !! Et quand il y a 8 milliards de cervelles sur une planète face à un nano-groupuscule de trisomiques au pouvoir... c'est sûr: çà va barder !
      On sent qu'on va en chier avec cette politique de merde de 'Great Reset' ! où tous les piqués (les cons les plus dangereux) obéiront aux ordres reçus via l'implantation de nano-particules d'oxyde de graphène (sous couverture cocovide19) et seront donc susceptibles de tuer et de passer à l'acte instantanément.

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