A peine avons-nous échappé aux manipulations génétiques forcées du Covid que ces mêmes Frankenstein nous ont déjà choisis comme cobayes expérimentaux. Leurs entreprises ont déjà obtenu les premières autorisations pour leur prochaine expérience humaine insensée. Tu dois désormais absorber leurs substances expérimentales très dangereuses dans ton alimentation quotidienne. Et ce, par le biais d'énormes quantités de vermine finement moulue dans tes pâtisseries, soupes, sauces, pâtes, etc. Le nouveau principe de la souris de laboratoire oblige également ces Frankenstein à tester leur nourriture sur eux-mêmes pendant au moins 20 ans... Vous trouverez l'intégralité de l'appel au réveil des nations lancé par le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, sur www.kla.tv/25284
1. En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d'abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM, ainsi que sur toutes les puissances d'arrière-plan qui parient certainement sur lui, comme BlackRock, Vanguard et Cie.
2. Nous nous laissons toujours guider et déterminer par des politiciens et des responsables qui n'ont aucunement prouvé par leur propre corps et leur vie que leurs nobles théories et idéaux politiques fonctionnent
3. …dire désormais « oui » à tous les vaccins commandés par l'industrie pharmaceutique, y compris ceux de la MNRA, mais à la seule condition que nous testions au préalable tous ces produits pendant au moins 20 ans sur leurs propres fabricants, ainsi que sur tous les politiciens qui soutiennent de telles actions expérimentales. Mais le test de 20 ans doit également être mené à bien sur tous les complices et collaborateurs des services de santé et autres.
4. La démocratie mondiale teste d'abord la pertinence du Great Reset proclamé sur les 1% de super-riches qui possèdent justement plus d'argent que les 99% restants de la population mondiale. En tant que démocratie mondiale, nous décidons que la satisfaction durable de tous les multimilliardaires et multi-billionnaires de ce monde doit être prouvée sur une période d'au moins 20 ans avant que ce Great Reset souhaité puisse être appliqué au reste de l'humanité - mais pas avant !
5. C'est pourquoi je propose que nous disions même « oui » à la surveillance totale prévue, ainsi qu'à l'abolition de l'argent liquide - mais uniquement à la condition que l'ensemble de la population mondiale puisse surveiller pendant au moins 20 ans toutes les élites susmentionnées avec leurs propres technologies. En tant que démocratie mondiale, nous inversons les rôles et ordonnons une sorte de Truman Show géant.
6. Nous sommes en train d'unir nos forces pour prendre des décisions fondamentales pour le monde. C'est ce dont nous traitons ici dans cette émission.
L’Inde, désormais plus peuplée que la Chine, pourrait-elle faire contrepoids ?
le 31 mars 2023 Yves Montenay
L’Occident est fâché contre la Chine dont il craint la démarche totalitaire et dominatrice. Et réciproquement, la Chine est fâchée contre l’Occident qui, après l’avoir considérablement aidée, fait tout pour l’entraver. L’Inde, désormais plus peuplée que la Chine, pourrait-elle faire contrepoids ?
Quelques données de base sur la Chine et l’Inde
La Chine et l’Inde sont les deux nations les plus peuplées au monde avec 1,4 milliard d’habitants.
Militairement, la Chine est loin devant et grignote une partie du territoire indien de l’Himalaya, qui est peuplé de Tibétains. Ces derniers font partie de l’empire chinois pour Pékin, et sont tout ce qui reste d’un Tibet libre pour les Occidentaux et l’Inde. Et elle attire les États de l’Himalaya, Népal et Bhoutan, jusqu’à présent très liés à l’Inde, ce qui affaiblirait considérablement la frontière nord de l’Inde.
Dans le reste du monde, la Chine s’implante militairement petit à petit, annexant de fait toutes les îles de la mer de Chine du Sud et en multipliant ailleurs dans le monde les bases militaires (Djibouti) ou des ports, y compris en Europe, qui pourraient le devenir.
L’Inde commence à réagir et à se soucier de son environnement stratégique. Bien qu’étant au départ anti-impérialiste et socialiste, donc un vieil allié de l’URSS et (un peu moins) de la Russie, cela devrait la pousser dans le camp occidental.
Économiquement, la Chine a également une avance considérable, avec un PIB par personne de quatre fois celui de l’Inde. Ce développement a été possible parce qu’elle s’est libéralisée plus tôt et s’est développée ainsi grâce à un secteur privé qui représente maintenant 50 % de son économie. Mais ce mouvement s’est inversé avec la reprise en main des entreprises chinoises et étrangères par le parti.
Les premiers gouvernements de l’Inde étaient socialistes et ont donc raté le développement, mais le virage vers le privé des années 1990 est maintenant bien avancé. Et nous verrons que la divergence démographique peut accentuer cette remontée indienne.
D’un côté, il y a la Chine communiste mais aussi confucéenne, avec une morale qui demande le respect de la hiérarchie et des anciens : jadis l’empereur, maintenant les dirigeant du Parti communiste chinois.
De l’autre, l’Inde, où la pensée hindouiste à la fois religieuse et nationaliste, se fonde sur quatre principes – Kâma, le désir, Artha, la prospérité matérielle, Dharma, le devoir et Moksha, la délivrance finale – tout à fait compatibles avec le développement économique et politique du pays.
Diversité indienne contre uniformité chinoise
La Chine est une dictature communiste avec une économie largement dirigée et une société que l’on veut uniformiser à tout prix. Par exemple même les églises et les mosquées doivent être construites en style chinois. Les activités économiques privées ont été autorisées à la fin du XXe siècle, elles ont pris un développement considérable mais sont de nouveau sous le contrôle du parti. Bref la Chine est à mon avis en train de tuer la poule aux œufs d’or.
Par contre l’Inde est la plus grande démocratie du monde, elle s’appuie sur une économie libéralisée depuis 30 ans. C’est un État fédéral avec 22 langues officielles et 1600 langues locales, plus l’anglais, langue commune à partir d’un certain niveau dans l’administration et donc apprise pour faire carrière.
Avec des dizaines, voire des centaines de millions de locuteurs pour les principales langues, il y a des médias de masse dans chacune et Bollywood serait le premier centre mondial de la créativité cinématographique, ou du moins un des trois premiers.
La grande complication de la religion hindoue ajoute à la diversité et la complique par une stratification par castes, en principe interdites, mais en pratique toujours présentes. Tout cela est exalté par le parti national religieux au pouvoir. À cette extrême complexité de la religion hindoue s’ajoute sa cohabitation avec le christianisme et l’islam.
N’oublions pas que l’Inde est le troisième pays musulman du monde même si ses plus de 180 millions de croyants ne font que 15 % de la population. Si l’on ajoute cette diversité religieuse à la diversité linguistique, on voit qu’on est à l’opposé de l’uniformisation chinoise que je crois stérilisante.
Cette diversité culturelle engendre une grande créativité qui se constate déjà dans le domaine des nouvelles technologies.
Certes, la démocratie indienne est imparfaite. La presse d’opposition est sous pression, la majorité hindoue a un comportement agressif envers la minorité musulmane et parfois envers la beaucoup plus faible minorité chrétienne. Tout cela est dénoncé par le Parti du Congrès, socialiste, qui a longtemps gouverné et est maintenant dans l’opposition : « L’Inde n’est plus une véritable démocratie. Le Parlement, les médias, le milieu des affaires, les régulateurs, la justice : tous sont contrôlés par un seul et même parti. »
Par ailleurs, la fierté est omniprésente en Inde en ce moment avec la nomination d’un Premier ministre britannique d’ascendance indienne Rishi Sunak, une première absolue dans l’histoire, qui apparaît nettement plus « sérieux », que ses deux prédécesseurs, Boris Johnson ou Liz Truss, qui a démissionné après seulement 45 jours en poste.
Le paradoxe de la situation présente est que l’Inde est devenue tout à la fois un modèle et un contre modèle. Elle exploite avec talent les cartes qui sont les siennes dans le monde mais elle les dilapide sur la scène intérieure en laissant prospérer la haine entre ses communautés à un niveau inégalé depuis la partition sanglante du sous-continent en 1947.
Sur la scène internationale, on vante les succès de l’Inde. Mais se pourrait-il qu’elle bénéficie davantage des erreurs ou des faiblesses de ses rivaux et partenaires que de ses mérites propres ?
Malgré tout, l’Inde reste quand même à des années-lumière du régime chinois en matière de liberté.
La démographie pèse en faveur de l’Inde
La Chine va se trouver handicapée par la baisse de sa population active, ce qui pèsera sur son poids économique alors que l’Inde est plutôt dans sa période de « dividende démographique », avec beaucoup d’adultes, relativement peu de personnes âgées et de moins en moins d’enfants, la fécondité restant néanmoins très au-dessus du niveau chinois, avec une fécondité de 2,1 enfants par femme contre 1,15 enfant par femme en Chine.
En Chine, les classes creuses gagnent du terrain chaque année : les moins de 33 ans sont déjà moins nombreux que leurs parents, et en 2030 ce sera les moins de 40 ans, en 2050 les moins de 50 ans.
C’est l’inverse en Inde : même si la fécondité décroît, le nombre de parents continue à augmenter.
De plus, Pékin sera bientôt confronté au problème majeur des retraites qui pourrait nuire à sa richesse nouvellement acquise, laissant le champ libre à l’Inde.
À ce propos, je vous invite à écouter la récente émission de France Inter : « La Chine sera vieille avant d’être riche donc la réforme des retraites s’y annonce drastique » qui décrit bien ce phénomène.
Si les deux pays divergent sur de nombreux points, ils ont suivi deux chemins de développement grossièrement parallèles.
D’abord des expériences socialistes calamiteuses pour l’Inde et catastrophiques pour la Chine, puis une libéralisation économique, dont les bénéfices ont été partiellement réinvestis en infrastructures.
Mais il y a aujourd’hui un oubli des conditions politiques de cette libéralisation, avec le poids du parti en Chine et le déclin de la liberté des oppositions en Inde, qui s’ajoute à la création de monopoles de connivence.
La libéralisation économique
Je ne reviens pas sur la résurrection de la Chine après Mao grâce à sa libéralisation économique, et notamment l’autorisation du secteur privé. J’ai développé ce sujet dans mes précédents articles sur la Chine.
En résumé, j’y décris le cercle vertueux qui a permis l’enrichissement d’une classe moyenne et supérieure, résultant en partie de l’exploitation des migrants ruraux, classe moyenne simultanément transformée en gigantesque marché qui a attiré les investissements du monde entier.
La même étape apparaît en Inde, mais seulement depuis quelques années.
Le marché intérieur a été récemment matérialisé par une taxe uniforme sur les biens et services (GST) remplaçant les très nombreuses taxes locales qui faisaient obstacle à ce marché national.
Et, comme en Chine, la numérisation débloque l’économie en permettant l’arrivée à qui de droit de l’argent public comme privé, en évitant une partie de la corruption et des détournements. Et cette numérisation sécurisante s’appuie également sur l’attribution à tous les Indiens d’une carte d’identité biométrique.
Et, comme en Chine, surtout au début de son développement, mais encore un peu aujourd’hui, le réservoir des campagnes souvent misérables donne une réserve de main-d’œuvre bon marché aux conglomérats indiens.
Les infrastructures
Dans les deux cas les gouvernements se sont à juste titre soucié des infrastructures, souci qui est allé jusqu’au gâchis en Chine, qui s’est couverte de TGV et d’autoroutes… échange probable de bons procédés entre grands entrepreneurs et administration.
Le fait qu’une partie des infrastructures semble sous-employée laisse supposer d’importantes dettes plus ou moins cachées et une surestimation de la croissance passée du PIB. Cela devient évident notamment pour les logements qui ne trouvent plus preneurs.
L’Inde, de son côté est encore en retard côté infrastructures malgré le progrès des routes, du réseau électrique, de l’assainissement, de l’éducation et de la capacité numérique. Il est remarquable que le pays se soit équipé en dépensant beaucoup moins d’argent qu’en Chine.
On déplore par ailleurs dans ces deux pays l’apparition d’un capitalisme de connivence. À côté des énormes entreprises privées chinoises, l’Inde a ses « champions nationaux », conglomérats oligopolistiques privés, dont le plus connu est le groupe Tata, qui contrôlent des pans importants de l’économie.
Comme en Chine, ils ont un niveau de compétitivité mondiale, mais cette connivence sera un frein à l’avenir.
En effet, on constate qu’ils diminuent la concurrence et donc la créativité en rachetant systématiquement des start-ups et en remportant les appels d’offres publics par copinage.
L’actualité du mois de février 2023 a mis en évidence le conglomérat indien Adani, accusé de doper son cours de bourse de manière frauduleuse par la société américaine d’investissement Silène Hindenburg Research, ce qui a amené des enquêtes sur sa croissance ultrarapide et sa proximité avec le premier ministre.
Mais si ça passionne la planète boursière, l’opinion indienne est indifférente avec la popularité du Premier ministre, qui s’appuie sur une affirmation nationale et religieuse.
À l’inverse de ce qui se passe en Chine, les « champions » indiens ont orienté la politique. L’innovation et les start-ups sont souvent éliminées, on est tombé dans le protectionniste avec substitution des importations par des productions nationales subventionnées.
Et l’Inde n’adhère d’ailleurs pas aux accords commerciaux régionaux ou mondiaux.
Cette évolution indienne rappelle les réussites de la Chine sous Hu Jintao (2002-2012) et celle de la Corée du Sud dans les années 1990 avec ses grands chaebols dont le pays était fier.
Il faut souhaiter que le gouvernement indien ne soit pas trop lié à ces champions nationaux qui financent largement ses campagnes électorales…
Et l’avenir ?
La Chine voudrait passer de « l’atelier du monde », au « laboratoire du monde », passant d’une économie de production industrielle à celle de création technique et technologique.
Son atout principal est un marché intérieur important avec une classe moyenne relativement riche, mais son handicap pour y parvenir est le manque de liberté intellectuelle.
Inversement, une Inde plus diverse et nettement plus libre parait mieux armée dans ce domaine, ce qui devrait se constater au fur et à mesure de la diminution de la pauvreté de sa population. Ce qui n’empêche pas l’Inde d’être par ailleurs un nouvel « atelier du monde » du fait de ses bas salaires actuels, comme elle est d’ailleurs actuellement pour le textile.
Pour l’instant, le retard indien est tel que les forces de rattrapage suffisent pour assurer sa croissance, et le protectionnisme ne fait qu’atténuer le phénomène. Mais il est dangereux pour l’avenir.
L’Inde et la Chine seront au cœur des préoccupations du reste du monde dans les années à venir. La Chine est théoriquement l’alliée de la Russie et l’a assurée de son amitié éternelle mais elle craint des sanctions économiques occidentales dont elle a été menacée si elle vend des armes à sa voisine.
En tant qu’ancien pays socialiste, l’Inde a gardé des liens étroits avec l’URSS puis la Russie qui est son fournisseur principal d’armes. Les Rafales qu’elle nous a achetés sont un pas vers une diversification, mais en attendant elle offre à la Russie un débouché pour son pétrole, moyennant d’importants rabais.
Bref l’Inde et la Chine jouent d’abord pour elles-mêmes.
Théoriquement, la Chine pourrait profiter de sa supériorité actuelle pour régler son compte à ce concurrent qu’est l’Inde. Mais elle risque alors de renvoyer l’Inde vers l’Occident, alors que le souci premier de la Chine est d’envahir Taïwan. On ne peut pas tout faire en même temps.
La Chine garde néanmoins un levier contre l’Inde : son alliance avec le Pakistan musulman, ennemi historique de Dehli.
Par ailleurs l’Inde et la Chine émettent une forte partie du gaz carbonique mondial ainsi que des pollutions de toute nature et notamment du plastique.
Officiellement elles ont toutes les deux décidé la décarbonation de leurs économies… du moins tant que ça ne freine pas leur développement !
L’Inde et la Chine s’alignent pour ne pas soutenir l’Ukraine mais cela n’a rien d’un front commun, comme l’illustrent des manœuvres militaires communes entre l’Inde et le Japon.
En conclusion : le choc de deux hubris
Le nationalisme, l’orgueil et le tempérament dominateur de la Chine sont maintenant des données de base de la géopolitique, même pour des pays neutres ou sympathisants.
Le nationalisme et l’orgueil indien identitaire et religieux est moins agressif à l’extérieur comme à l’intérieur, où il est freiné par le fédéralisme, la démocratie et une grande diversité culturelle. Il n’en demeure pas moins en dehors des clous par rapport aux principes occidentaux.
Mais tant l’Inde que l’Occident n’ont pas d’autre choix que de s’entendre face à la Chine, surtout si cette dernière vassalise la Russie et met de fait la main sur ses matières premières.
Face a cette démarche totalitaire et dominatrice, l’Occident a donc découvert l’Inde dont nous avons vu les atouts. Et logiquement l’Inde devrait constater qu’elle a besoin de l’Occident, tant face à la Chine que pour accélérer son développement. Lequel développement indien est aussi dans l’intérêt de l’Occident…
Cet intérêt réciproque devrait logiquement l’emporter sur les divergences en matière démocratique, de droit des minorités et de gestion d’environnement et conduire à un rapprochement entre l’Inde et l’Occident.
Taïwan est un peu le 'Monaco' chinois. Les taïwanais se disent chinois. Où est le problème ? L'Inde c'est 1 milliard 500 000 cons, et la Chine c'est 1 milliard 500 000 intelligents. Là est la différence. En Inde les femmes sont traitées moins que des chiens. L'Inde est un pays arriéré aux côtés de la Chine mille fois plus avancée que n'importe quel pays au monde !
(...) Par contre l’Inde est la plus grande démocratie du monde, (...)
Ce qui est FAUX puisqu'elle est une dictature impitoyable ! (et pourtant Yves Montenay est suisse !). La Démocratie c'est : 'Par le Peuple, Pour le Peuple'. En Suisse les suisses proposent LEURS lois et votent eux-mêmes LEURS lois. Pas en Inde !
RTE nous a préparé une économie anorexique pour 2050
Bruxelles continue de vouloir une paupérisation de l’UE ne disant pas son nom, que RTE n’a pas hésité à planifier.
le 31 mars 2023 André Pellen
Bruxelles continue de vouloir une paupérisation de l’UE ne disant pas son nom, que RTE n’a pas hésité à planifier. Et si le dévoiement de la taxonomie européenne ne suffisait pas à neutraliser le principal obstacle à ce projet, exclure le nucléaire du plan REPowerEU à 210 milliards d’euros ne devrait pas manquer d’y parvenir.
Deux dirigeants de grandes entreprises, soudain épouvantés par la révélation que « Futurs énergétiques 2050 » nous prépare un pays technologiquement incapable de satisfaire avec sécurité les besoins d’électricité prévus, qui risque fort de manquer d’énergie en 2050 ou même avant, et dont la souveraineté énergétique aura été considérablement affaiblie, viennent de confier un peu tardivement leur désarroi au journal Le Monde.
En exhortant benoitement notre « gouvernement de prendre conscience du désastre annoncé par « Futurs énergétiques 2050 » et en proposant une PPE 2023 fondée sur des schémas très différents, nos deux capitaines d’industries ne mesurent manifestement pas la gageure que représente désormais la reconstitution des marges énergétiques de notre pays, ni de la conjuration qui y sévit depuis plus de 25 ans.
Renouveler notre parc de production : la promesse de l’intenable
Interrogés par les auteurs du Rapport RTE 2050 dont il est ici question, les représentants de la filière électronucléaire française affirmèrent que l’industrie nucléaire française n’est pas en mesure de construire un parc de plus de 50 GW à l’horizon 2050.
Selon lesdits auteurs, construire un tel parc représenterait par ailleurs « un défi industriel avec de fortes incertitudes sur sa réussite. »
Citons ces représentants de RTE :
« La France n’est dans tous les cas pas en capacité à la date actuelle de construire des réacteurs nucléaires au même rythme que dans les années 80. Le rythme de construction actuel […] ressort nettement en dessous de celui du programme nucléaire historique […] cette différence […] a fait l’objet de discussions passionnées […] mettant l’accent tantôt sur le caractère exceptionnel du programme nucléaire civil français des années 1980, tantôt sur la perte de compétence industrielle du pays depuis. »
À toutes fins utiles, il convient de rappeler que le parc actuel est encore de plus de 60 GW, en tenant compte de l’arrêt de Fessenheim.
La France des années 2020 n’est en effet plus celle de 1980. Parvenir à mettre 50 GW sur le réseau en 2050 implique selon RTE un scénario de ré-industrialisation profonde visant une part de l’industrie manufacturière représentant 12 à 13 % du PIB à l’échéance 2050.
Certes, mais alors de combien devrait être cette part – de 20 % en 1980 – sans ré-industrialisation profonde ? Moins de 10 % ? À l’évidence, la concertation de RTE menée il y a deux ans avec nos industriels et nos acteurs du nucléaire décrit une France durablement atteinte de désindustrialisation, incapable de maintenir un parc de centrales de la puissance de celui actuellement exploité… sans parler de l’exportation.
Et dire qu’il n’y a pas si longtemps, EDF et ses partenaires réussissaient non seulement à mettre en service 59 réacteurs en tout juste 25 ans, Superphénix compris, mais à participer lourdement à la mise en service des deux réacteurs de Daya Bay en Chine et de ceux de Corée du Sud et d’Afrique du Sud. Pour la seule année 1982, EDF-production se vit remettre les clefs de huit réacteurs, soit un toutes les six semaines ; 1984 étant l’année du couplage des quatre tranches de Cruas.
Hélas, à l’absence de chantier et de transmission des compétences durant 15 ans s’est ajoutée l’ignorance de présidents d’EDF politiques parachutés qui ne connaissaient rien à l’organisation du programme nucléaire. Comment s’étonner ensuite que la Cour des comptes ait dénoncé le fait que des appels d’offres furent lancés pour le chantier EPR de Flamanville alors que les études correspondantes n’étaient pas terminées !… C’était là le fruit de la dissolution d’une direction de l’Équipement EDF dont l’auteur n’avait pas compris le rôle central.
Le drame est que Framatome-Areva n’a pas non plus réussi à transmettre ses compétences et surtout que 40 % de ses sous-traitants ont mis la clef sous la porte.
Spéculations
Si l’on songe que, à défaut de prolonger le parc actuel à 80 ans, ce dernier arrivera à obsolescence entre 2050 et 2060, est-il bien raisonnable de continuer à engloutir de 20 à 40 milliards d’euros par décennie dans un éolien dont on a pourtant un large retour d’expérience du piètre service qu’il est capable de rendre ?
Est-il seulement honnête de prétendre conjurer un « effet falaise » menaçant d’amputer dramatiquement notre capacité de production en programmant de diviser par deux la consommation énergétique nationale des années 1970 et en comptant sur la mise en service de six EPR2 et de quelques SMR encore à l’étude ?… Sachant que l’on peut compter sur l’intouchable ASN pour allonger à discrétion la mise au point des deux prototypes et plus encore les délais de couplage au réseau des premières unités de production.
Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu’Emmanuel Macron a argué du déclassement technique et industriel de l’opérateur historique pour justifier de confier la construction des six EPR2 à un consortium dans lequel EDF ne jouira probablement pas de prérogative particulière et duquel il n’est sûr que l’industrie française tire la part du lion. En tout cas, l’opérateur historique peut d’ores et déjà tirer un trait sur l’ambition de recouvrer un jour sa fonction d’architecte industriel, de maître d’œuvre et de maître d’ouvrage.
Tout ceci n’augure rien de bon, ce dont n’est plus dupe depuis des années la communauté industrielle et scientifique internationale.
Ainsi, pouvait-on déjà lire ceci dans le Nuclear Engineering International du 8 octobre 2011 :
« L’annonce par EDF du retard de l’EPR de Flamanville n’est une surprise pour quiconque au sein de l’industrie nucléaire [mondiale]… certains des problèmes maintenant rencontrés en France semblent les mêmes… qu’en Finlande ».
Pour décrire ces derniers problèmes, l’article cite le Régulateur finlandais :
« Une autre leçon [du chantier de l’EPR finlandais] est que le savoir-faire du constructeur est la clef du problème ».
On ne doit pas oublier non plus que, en quelques années, « RTE SA à directoire » est discrètement passé du statut d’héritier du Service des Mouvement d’Énergie d’EDF à celui de courtier énergétique exclusif. Bien entendu, un courtier courtisé comme il se doit et par la force des choses guère désintéressé, ainsi qu’en témoigne sa fonction de maître d’ouvrage du gigantesque projet de parc éolien offshore de l’île d’Oléron et Sainte-Marie-de-Ré : 500 à 1000 MW répartis sur 300 km2. Le même RTE qui, à l’annonce du déplacement à 2035 de la date butoir de la limitation de notre production nucléaire à 50 %, n’avait rien jugé de mieux que recourir à 20 centrales à gaz supplémentaires, dès 2025. De qui doivent émaner les conclusions suivantes, eu égard au fait que la situation énergétique de la France n’est guère différente de celle de 1973 ?
Le pire pour notre pays serait de continuer de ne voir dans le nucléaire de troisième génération que ce que le pouvoir politique oblige sa population à voir : une énergie et un marché de transition. Non seulement les Français doivent rapidement se convaincre que la thèse d’une production EnR définitivement durable est une ruineuse supercherie, mais que l’aboutissement bien plus profitable du développement nucléaire est la filière dite « rapide » des réacteurs de quatrième génération. Là se trouve réellement le marché durable de surcroît mondial dans lequel la France peut encore occuper une place importante et surtout puiser les moyens d’une authentique réindustrialisation.
Miser sur une flexibilité et un niveau de production requis des EnR obtenus par l’illusoire stockage de l’électricité et/ou par une production d’hydrogène à jamais non rentable, quelle qu’en soit la source, ne tardera pas à se révéler une suicidaire fuite en avant.
On adjure donc nos compatriotes de prendre connaissance de ce communiqué du gouvernement anglais daté d’octobre 2021, intitulé New finance model to cut cost of new nuclear power stations, disant mieux que quiconque tout le bien que nos amis Anglais pensent du nucléaire.
Cela étant, l’honnêteté et la lucidité du constat de la situation énergétique de la France font le devoir de considérer que la reconstitution de marges d’exploitation trop dangereusement épuisées ne va pouvoir transitoirement se faire qu’au prix de la construction en urgence de quelques centrales à charbon de dernières générations, c’est-à-dire plus performantes que jamais en termes de propreté.
Pourquoi tous les ministres, chefs de l’État et journalistes (HAHAHA !) sont des GROS CONS ? Parce qu'ils ne sont PAS des scientifiques et ne demandent pas aux scientifiques de leur expliquer ce qu'est la science !
C'est pourquoi ils sont cons et parlent tous les jours que 'La mer va monter' ! HAHAHAHA ! Ils ne savent pas que depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés (et se déversent encore aujourd'hui !) dans les mers et océans ... sans qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !! Et ne savent expliquer le pourquoi ! Pareil pour les gaz dans notre atmosphère, ils ne savent pas que TOUS les gaz se recyclent continuellement et immédiatement sans quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue ! Ils ne savent pas, ne cherchent pas, ne demandent pas, ils sont cons, depuis toujours.
La tarification progressive de l’eau bientôt partout en France
Si une dizaine d’agglomérations le font déjà, la tarification progressive de l’eau sera bientôt généralisée à l’ensemble du territoire, a annoncé Emmanuel Macron le 30 mars 2023.
Par Anton Kunin le 31 mars 2023 à 7h54
À Dunkerque, qui applique la tarification progressive de l’eau depuis plusieurs années, la consommation est inférieure de 16 % à la moyenne nationale.
La tarification progressive de l’eau est déjà en place dans une dizaine d’agglomérations Les ménages doivent prendre l’habitude d’économiser l’eau… ou la payer très cher. En présentant le Plan Eau du gouvernement le 30 mars 2023, Emmanuel Macron a annoncé que la tarification progressive de l’eau sera bientôt généralisée. « Les premiers mètres cubes sont facturés à un prix modeste, proche du prix coûtant », et « ensuite, au-delà d'un certain niveau, le prix du mètre cube sera plus élevé », a expliqué le chef de l’État.
La mairie de Montpellier applique déjà ce principe depuis le 1er janvier 2023 : le tarif est modulé en fonction de la consommation. Cette dernière comporte quatre tranches. La première va de 0 à 15 m3, soit le strict nécessaire pour se laver, laver la vaisselle, les vêtements et faire le ménage. Si la consommation d’une famille est supérieure à 15 m3, c’est la deuxième tranche qui s’active, avec un tarif sensiblement supérieur. Et ainsi de suite jusqu’à la quatrième tranche (qui équivaut à une consommation supérieure à 240 m3). Cela, alors que l'eau coûte déjà plus cher en 2023.
L’État aidera financièrement les gestionnaires des réseaux d’eau pour qu’ils éliminent les fuites Autre nouvelle qui intéressera les ménages : le gouvernement mettra prochainement en place un « Ecowatt de l'eau ». Calqué sur le modèle de l’« Ecowatt » qui existe déjà pour connaître la disponibilité de l’électricité, cet « Ecowatt de l'eau » rediffusera les consignes des préfectures concernant les restrictions de l’usage de l’eau actuellement en vigueur localement ainsi que les écogestes recommandés au regard de la situation hydrique locale.
Autre mesure phare : l’État s’est enfin résolu à octroyer des aides aux gestionnaires des réseaux d’eau afin qu’ils remplacent les vieux tuyaux, à l’origine de nombreuses fuites à travers le territoire. Ces fuites représentent 20 % des volumes d'eau potable et peuvent monter à 50 % dans certaines communes. « Pour accompagner les territoires les plus vulnérables, on a débloqué en urgence 180 millions d'euros, renouvelés chaque année », a déclaré à ce propos Emmanuel Macron.
Alors que L'EAU EST GRATUITE ! Il n'y a PAS UNE GOUTTE D'EAU en plus ou en moins sur Terre depuis DES milliards d'années ! L'eau ne manque pas ET NE MANQUERA JAMAIS !
Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés (et se déversent encore aujourd'hui !) dans les mers et océans ... sans qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !!
L'eau des bassins s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers maritimes et océaniques vers le magma. La masse ferrique incandescente chauffe/brûle cette eau qui repart sous forme de vapeurs en galeries souterraines pour ressortir (d'où elle est venue ! pour 78 %) sous terre pour 22 %. Elle ressort aux sources de montagnes et alimente les nappes phréatiques. C'est pourquoi cette eau bouillie est pure, sans goût, sans couleur, sans odeur et sans bactérie.
Faire payer l'eau est UNE ESCROQUERIE comme de faire payer l'air que l'on ose respirer !
Méthodes éducatives encourageant la pensée critique versus méthodes secrètes pour inciter à l'obéissance à «l'autorité»
Par Carla Stea Recherche mondiale, 31 mars 2023
Le lieu de SXSW EDU 2023 était gargantuesque et la liste prévue des sujets et des conférenciers était écrasante. Sans aucun doute, la grande attraction de la conférence de cette année a été les « Superstar Siblings », Doreen Nelson et son frère, l'architecte de renommée mondiale, Frank Gehry , les conférenciers principaux du 7 mars, présentant « Design-based Learning Unwrapped: Build Our Avenir."
Doreen est récipiendaire de plusieurs distinctions récompensant son approche innovante de l'éducation, "basée sur l'apprentissage par la pratique dans le domaine spatial, permettant aux étudiants de créer des artefacts physiques et de concevoir des solutions aux problèmes liés au contenu, favorisant des capacités de réflexion de niveau supérieur, une prise de décision agile , et la capacité d'appliquer des concepts à travers le programme grâce à l'expression de soi.
Doreen et son frère Frank ont ébloui le vaste public avec leur rejet intrépide des approches dogmatiques et leur courageux « défi à l'autorité ».
Bien qu'au départ, l'approche novatrice de Doreen en matière d'éducation ait consterné les autorités « d'éducation » du statu quo, que Doreen a courageusement dénoncées pour leurs méthodes d'enseignement abrutissantes (elles ont riposté par des attaques personnelles contre Doreen elle-même), elle était infatigable et sa nouvelle approche de la pédagogie a finalement été adopté et, en fait, internationalement honoré.
Frank Gehry a eu une trajectoire de carrière similaire, avec ses premières œuvres architecturales enfreignant les règles traditionnelles et suscitant de nombreuses controverses, mais il est resté intrépide et a acquis une renommée mondiale pour sa création d'un nouveau style d'architecture, brisant les moules traditionnels décrépits et libérant l'ensemble du monde. profession de l'enfermement dogmatique écrasant. Doreen et Frank étaient tous deux totalement sans prétention et audacieusement intrépides dans leur défi inspirant à l'autorité, leur permettant à la fois de créer de nouvelles approches cruciales de l'éducation et de l'architecture.
En revanche, une autre des réunions les plus importantes et les plus provocatrices du 6 mars était une table ronde intitulée : « Les téléphones intelligents sont-ils la prochaine crise de la toxicomanie chez les adolescents ? », mettant en vedette le Dr Jim Winston, le Dr Kelley Brill et le Dr Rosa Li .
Le Dr Winston a traité de multiples formes de dépendance, notamment l'alcoolisme, la toxicomanie, etc., et il a décrit l'obsession actuelle des « smartphones » comme une dépendance qui nuit en fait au développement du cerveau chez les très jeunes enfants et les adolescents. Le plus alarmant est le processus par lequel la dépendance au «smartphone» détruit la capacité de réflexion et de jugement critique du jeune cerveau, empêchant le développement de la fonction cérébrale du cortex préfrontal, la partie du cerveau qui détermine la capacité de jugement et de pensée critique. De manière significative, le Dr Winston a déclaré qu'il n'autorisait pas ses jeunes enfants à utiliser ces «smartphones».
La conséquence inévitable de cette destruction de zones cruciales du développement cérébral chez les très jeunes enfants et adolescents garantit une personnalité docile, soumise et obéissante chez l'adulte, ce qui se traduit par une population adulte d'une vulnérabilité alarmante au contrôle par les concepteurs de ces programmes "smartphones", qui sont également conçus pour transmettre les messages que les concepteurs veulent faire accepter par le plus grand nombre, imposant en réalité subtilement la conformité à une population involontaire.
Le Dr Winston a également souligné qu'il y a un grand profit financier engrangé par les concepteurs de ces programmes, alors que les consommateurs sont virtuellement victimes d'une forme de contrôle dont ils restent pour l'essentiel inconscients. Bien que de nombreux oligarques et soi-disant « philanthropes » aient parlé avec extase des opportunités que la distribution mondiale de ces téléphones offrira aux personnes dans les régions les plus démunies du monde, en particulier en Afrique, en Asie et en Amérique latine, cachées dans cet enthousiaste " l'accueil « philanthropique » des smartphones sont les opportunités de contrôler ces populations démunies en les rendant réellement psychologiquement et physiquement dépendantes de ces téléphones, et de tous les « messages » (ou propagande) diffusés par les concepteurs des programmes des smartphones. Ces conceptions sont destinées à promouvoir les intérêts de l'oligarchie qui les commande, et non l'intérêt des utilisateurs autrement démunis de ces dispositifs addictifs. Cette dépendance aux smartphones rend finalement possible, voire inévitable, le contrôle des processus de pensée et du comportement réels de l'utilisateur dépendant.
Les implications de cette méthode secrète de contrôle de la population, en induisant une dépendance à ces smartphones, de l'enfance à l'âge adulte, sont terrifiantes.
De Bill Gates à « The Great Refusal » : les agriculteurs en première ligne
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 30 mars 2023
Avant la révolution industrielle, la plupart des humains travaillaient dans l'agriculture. Notre relation avec la nature a été immédiate. En quelques générations, cependant, pour de nombreuses personnes à travers le monde, leur lien avec la terre a été rompu.
Les aliments arrivent désormais préemballés (souvent précuits), conservés avec des produits chimiques et contiennent des pesticides nocifs, des microplastiques, des hormones et/ou divers autres contaminants. On nous sert également un menu plus restreint d'aliments riches en calories et à faible teneur en nutriments.
Il est clair qu'il y a quelque chose de fondamentalement faux dans la façon dont la nourriture moderne est produite.
Bien qu'il existe différentes étapes entre la ferme et la fourchette, notamment les pratiques modernes de transformation des aliments, ce qui est une histoire en soi, une partie essentielle du problème réside dans l'agriculture.
Aujourd'hui, de nombreux agriculteurs sont piégés sur des tapis roulants chimiques et biotechnologiques. Ils ont été encouragés et contraints d'utiliser une gamme d'intrants non agricoles coûteux, allant des engrais synthétiques et des semences fabriquées par les entreprises à un large éventail de désherbants et de pesticides.
Avec l'industrialisation de l'agriculture, de nombreux petits exploitants agricoles pauvres ont été déqualifiés et placés dans des positions vulnérables. Les connaissances traditionnelles ont été sapées, submergées ou n'ont survécu que par fragments.
Écrivant dans le Journal of South Asian Studies en 2017, Marika Vicziany et Jagjit Plahein affirment que les agriculteurs ont depuis des millénaires pris des mesures pour gérer la sécheresse, cultiver des céréales à longues tiges pouvant être utilisées comme fourrage, s'engager dans des pratiques culturales qui favorisent la biodiversité, l'ethno- concevoir la conservation des sols et de l'eau et utiliser des systèmes de partage collectifs.
Les agriculteurs connaissaient leur micro-environnement, ils pouvaient donc planter des cultures qui mûrissent à des moments différents, facilitant ainsi une rotation plus rapide des cultures sans épuiser le sol.
L'expérimentation et l'innovation étaient essentielles. Deux termes que revendiquent les entreprises modernes d'agritech/agrobusiness, mais quelque chose que les agriculteurs font depuis des générations.
De nombreux agriculteurs ont également utilisé «l'équilibre des insectes» et leur connaissance des insectes qui tuent les ravageurs prédateurs des cultures. L'analyste alimentaire et politique Devinder Sharma dit avoir rencontré des femmes en Inde qui peuvent identifier 110 insectes non végétariens et 60 insectes végétariens.
Des systèmes de savoirs traditionnels complexes et hautement bénéfiques et des pratiques écologiques à la ferme sont érodés à mesure que les agriculteurs perdent le contrôle de leurs moyens de production et deviennent dépendants de produits exclusifs, y compris des connaissances d'entreprise marchandisées.
Les agriculteurs dans des endroits comme les Pays-Bas sont maintenant accusés de nuire à l'environnement en raison des émissions de dioxyde de carbone et d'oxyde nitreux. Bien que les agriculteurs néerlandais soient critiqués, nous assistons également à une attaque contre les grands producteurs d'aliments pour animaux et de viande. Il n'y a plus beaucoup de petites fermes aux Pays-Bas et la plupart des fermes d'élevage sont des opérations d'alimentation concentrées.
Le secteur agricole des Pays-Bas est très intensif en élevage et il semble y avoir une politique visant à réduire la taille de l'industrie de la viande dans ce pays. On a dit aux agriculteurs de cesser l'agriculture ou de se tourner vers la culture de cultures.
Au lieu que les autorités facilitent une transition progressive vers une agriculture biologique et agroécologique et attirent une nouvelle génération dans le secteur, les agriculteurs risquent d'être déplacés.
Mais les agriculteurs néerlandais ne sont pas les seuls sur la ligne de mire. Les agriculteurs d'autres pays européens protestent également parce que diverses politiques leur rendent de plus en plus difficile de gagner leur vie.
Il semble y avoir un effort concerté pour rendre l'agriculture financièrement non viable pour de nombreux agriculteurs et les expulser de leurs terres. Les protestations des agriculteurs en Europe font suite à la résistance massive des agriculteurs indiens contre une législation soutenue par les entreprises qui aurait vu une accélération de la campagne visant à pousser de nombreux agriculteurs déjà en difficulté financière à quitter l'agriculture.
Il reste à voir à quel point les laboratoires de viande synthétique économes en énergie, respectueux de l'environnement et respectueux de la santé sont une fois mis à l'échelle industrielle.
Dans le même temps, l'agriculture industrielle utilisera les nouvelles technologies - moins les agriculteurs - et continuera de s'appuyer sur et de stimuler l'utilisation de produits agrochimiques dépendant des combustibles fossiles (avec tous les problèmes sanitaires et environnementaux associés) et restera concentrée sur les chaînes d'approvisionnement à long terme , expédiant inutilement de la nourriture dans le monde entier.
Un système à haute énergie dépendant du pétrole et du gaz qui a alimenté la colonisation du système alimentaire ("mondialisation") par des conglomérats agro-industriels. De plus, les nouvelles technologies sans humain à la ferme seront énergivores pour fonctionner et dépendront de l'extraction destructrice de l'environnement pour les ressources finies comme le lithium, le cobalt et d'autres éléments de terres rares à produire.
Les approches agroécologiques à faible consommation d'énergie basées sur les principes et les pratiques de localisation, les marchés locaux, une agriculture régénérative authentique et une bonne gestion des sols (qui garantissent un stockage efficace et écologiquement rationnel de l'azote et du carbone) sont essentielles pour assurer une véritable durabilité à long terme de la production alimentaire.
Beaucoup de ceux qui appartiennent au lobby de l'agro-industrie ont attiré l'attention sur le Sri Lanka pour tenter de montrer que l'agriculture biologique ne peut que conduire au désastre. Une transition vers l'agriculture biologique doit être progressive, notamment parce que la régénération du sol ne peut pas se faire du jour au lendemain. Quoi qu'il en soit, l'article ' Le Sri Lanka fait face à une crise alimentaire - Non, ce n'est pas dû à l'agriculture biologique ' qui est récemment paru sur le site Web de The Quint révèle pourquoi ce pays s'est vraiment dirigé vers la crise.
Le programme néolibéral qui a pris racine dans les années 1980 est maintenant dans une impasse inflationniste gonflée par la dette. En réponse, le capitalisme s'est lancé dans une « grande remise à zéro » avec une technologie transformatrice très en avant sous le couvert d'une « 4 e révolution industrielle », promettant un avenir courageux pour tous.
Cependant, il existe des inquiétudes profondes quant à la manière dont cette technologie pourrait être utilisée pour surveiller et contrôler des populations entières, d'autant plus que nous assistons à une restructuration économique brutale et à une répression croissante des libertés individuelles. Si le néolibéralisme a promu l'individualisme, la « nouvelle normalité » exige un respect strict – la liberté individuelle est considérée comme une menace pour la « sécurité nationale », la « santé publique » ou la « sécurité ».
L'effondrement économique, la guerre et l'exposition d'un système alimentaire aux chocs des prix de l'énergie, aux ruptures de la chaîne d'approvisionnement et à la spéculation sur les marchés des produits de base suscitent également des inquiétudes.
Au Mali en 2015, Nyeleni - le mouvement international pour la souveraineté alimentaire - a publié la Déclaration du Forum international pour l'agroécologie.
La déclaration déclarait :
« Les ressources naturelles essentielles ont été marchandisées et la hausse des coûts de production nous éloigne de la terre. Les semences des agriculteurs nous sont volées et revendues à des prix exorbitants, sélectionnées en tant que variétés qui dépendent de produits agrochimiques coûteux et contaminants.
Il a ajouté :
« L'agroécologie est politique ; cela nous oblige à remettre en question et à transformer les structures de pouvoir dans la société. Nous devons remettre le contrôle des semences, de la biodiversité, des terres et des territoires, des eaux, des savoirs, de la culture et des biens communs entre les mains des peuples qui nourrissent le monde.
La Déclaration indiquait clairement que le système alimentaire capitaliste dominant devait être défié et surmonté.
En analysant le potentiel de contestation de l'ordre capitaliste, Herbert Marcuse a déclaré ce qui suit dans son célèbre livre de 1964 "One-Dimensional Man":
"Une non-liberté confortable, douce, raisonnable et démocratique prévaut dans la civilisation industrielle avancée, gage de progrès technique."
Aujourd'hui, pourrions-nous dire, une non-liberté inconfortable, irrégulière, déraisonnable et antidémocratique prévaut, signe d'une techno-dystopie émergente.
Marcuse a estimé que la culture de masse d'après-guerre avait rendu les gens réprimés et non critiques. Ils étaient le reflet d'un système unidimensionnel basé sur la consommation de marchandises et les effets de la culture et de la technologie modernes qui ont servi à atténuer la dissidence.
La nature dominante de la technologie imprègne tous les aspects de la vie aujourd'hui. Mais qu'il s'agisse de manifestations d'agriculteurs en Europe et en Inde, de l'avancement d'une agroécologie politique, de camionneurs qui descendent dans la rue au Canada ou de gens ordinaires qui protestent contre l'autoritarisme qui progresse rapidement dans les sociétés occidentales, de nombreuses personnes à travers le monde savent que quelque chose ne va vraiment pas.
Pour emprunter à Marcuse, on assiste à un « grand refus » – des gens qui disent « non » aux multiples formes de répression et de domination – tentacules d'un système économique en crise.
John Kerry déclare que de nouveaux décrets sur le changement climatique arrivent
PAR TYLER DURDEN JEUDI 30 MARS 2023 - 01:40 Écrit par Ryan Morgan via The Epoch Times
Le président Joe Biden prépare une série de nouveaux décrets pour lutter contre le changement climatique, selon les récents commentaires de son envoyé spécial sur les questions liées au climat, John Kerry.
Vendredi, Kerry a discuté des plans de l'administration Biden pour réduire les émissions américaines lors d'un entretien avec le rédacteur en chef de Yahoo News sur le climat, Ben Adler.
Adler a noté que la loi sur la réduction de l'inflation (IRA) défendue par l'administration Biden devrait réduire les émissions américaines d'environ 40%, malgré l'objectif fixé par l'administration de réduire d'environ 50% les émissions américaines d'ici la fin de la décennie. .
"Nous faisons bien plus que simplement l'IRA", a répondu Kerry. "L'IRA est un package qui en soi peut obtenir les 40 %. Mais en plus de cela, le président émet des décrets exécutifs. Il y aura des changements dans l'automobile, les camions légers, les camions lourds, les poids lourds - un certain nombre d'initiatives qui sont prises par les États, les collectivités territoriales et les villes. Ils nous ont vraiment maintenus dans le jeu, franchement, pendant l'administration Trump lorsqu'il s'est retiré de [l'Accord de Paris sur le climat].
Kerry n'a pas fourni beaucoup de détails sur les nouveaux décrets exécutifs qui pourraient arriver ou sur la manière dont ils pourraient avoir un impact spécifique sur les entreprises et les industries.
"Nous avons beaucoup d'autres options, des outils, si vous voulez, dans la boîte à outils en plus de l'IRA", a déclaré Kerry. "L'IRA est un énorme bond en avant, et il a déjà un impact majeur."
Que se passe-t-il si les républicains gagnent en 2024 ?
Adler a demandé à Kerry comment les objectifs de l'administration Biden en matière de réduction des émissions pourraient être affectés si Donald Trump ou un autre candidat républicain remporte le contrôle de la Maison Blanche en 2024 et abroge certains mandats et initiatives de réduction des émissions.
"Eh bien, je pense que ce qu'il est important que tout le monde note, c'est que la réalisation de notre objectif ne dépend pas exclusivement de ce que dit ou fait le gouvernement fédéral", a déclaré Kerry. "C'est critique, mais pas entièrement dépendant."
Les républicains et les conservateurs ont largement défendu les combustibles fossiles comme un élément clé de l'économie américaine actuelle, tout en affirmant que la transition vers les énergies renouvelables serait moins abordable ou moins fiable. Au cours de sa présidence, Trump s'est retiré de l'Accord de Paris sur le climat, qualifiant le cadre international de réduction des émissions de "catastrophe totale" pour l'économie américaine.
Kerry a ensuite déclaré que 75 % de la nouvelle production électrique qui s'est produite aux États-Unis pendant le mandat du président Donald Trump provenait d'une ressource d'énergie renouvelable ou d'une autre. Il a noté que d'autres entités commerciales poursuivaient indépendamment leurs propres objectifs de réduction des émissions.
Kerry défend Biden autorisant de nouveaux forages pétroliers
Alors que Kerry a fait allusion à un nouveau rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat et a souligné que les États-Unis devraient faire plus pour contrer le changement climatique, il a également défendu une récente décision de Biden d'approuver un nouveau projet de forage pétrolier en Alaska.
"Vous avez mentionné le bilan du président Biden, y compris la gestion de l'utilisation des terres. Mais il a également fait des choses qui ont augmenté la production de combustibles fossiles, la récente approbation du projet Willow en Alaska », a déclaré Adler.
"Pour le moment," répondit Kerry. "Rappelez-vous, nous avons sept ans avant l'objectif de 2030. Et le président est déterminé à ce que nous restions sur cet objectif. Mais dans l'immédiat, pendant que nous effectuons la transition, vous ne voulez pas faire planter toute votre économie.
Kerry a également défendu l'exportation américaine de gaz naturel liquéfié vers l'Europe, affirmant que cette décision est "essentielle pour l'économie de l'Europe", tandis que les États-Unis et leurs alliés de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord soutiennent l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie.
Kerry a également rejeté les allégations selon lesquelles il aurait volé dans des jets privés, qui peuvent produire des tonnes d'émissions de carbone à chaque vol. Kerry a déclaré qu'il n'avait pas voyagé à bord de jets privés au cours de son travail d'envoyé présidentiel pour le climat, et que les personnes fortunées qui utilisent des jets privés tout en voyageant pour promouvoir des politiques de réduction des émissions mondiales peuvent se permettre de compenser leurs émissions personnelles "et ils travaillent plus difficile que la plupart des gens que je connais pour pouvoir essayer d'effectuer cette transition.
Kerry vante les projets d'énergie renouvelable de la Chine, dit que le charbon reste un problème Kerry a attribué à la Chine le mérite d'être devenue le "plus grand déployeur de panneaux solaires".
"En Chine, ils ont déployé beaucoup plus d'énergie renouvelable que nous ou que l'Europe", a déclaré Kerry.
Les législateurs républicains ont récemment critiqué la secrétaire américaine à l'Énergie, Jennifer Granholm, pour avoir déclaré "nous pouvons tous apprendre de ce que fait la Chine" pour réduire son empreinte carbone et avoir qualifié les initiatives d'énergie propre de la Chine d'"encourageantes".
Les législateurs ont déclaré que la Chine continue "d'être l'un des pires pollueurs du monde" et que les commentaires de Granholm "soulèvent de sérieuses questions" sur son jugement.
Kerry a exprimé certaines inquiétudes quant à la forte dépendance continue de la Chine au charbon. La Chine est le premier pays producteur de charbon et, comme l'a rapporté EcoWatch, le pays a produit un record de 4,496 milliards de tonnes métriques de charbon en 2022.
Au contraire de la Démocratie où chaque citoyen peut suivre au centime près où va son argent, la dictature a toujours été une politique qui utilise de l'argent qui ne lui appartient pas. Et, de plus, ne sachant trop quoi en foutre vu leur QI, ils le gaspillent en des fêtes somptuaires où sont invités tous les trisomiques du coin.
L'invraisemblance d'un avenir énergétique net zéro carbone est maintenant évidente
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 29 MARS 2023 - 20:45 Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
L'Allemagne s'est heurtée à un mur de briques en matière d'énergie propre, reportant l'interdiction des moteurs automobiles à combustion interne. Commençons par là...
L'UE prépare un plan pour autoriser les voitures à moteur à combustion électrique Reuters rapporte que l'UE projette un plan pour autoriser les voitures à moteur à combustion électrique
La Commission européenne a élaboré un plan pour autoriser les ventes de voitures neuves à moteur à combustion interne après 2035 si elles ne fonctionnent qu'avec des e-carburants climatiquement neutres, alors qu'elle tente de résoudre un différend avec l'Allemagne sur les mesures visant à éliminer progressivement les voitures à moteur à combustion.
Le projet de proposition, vu par Reuters mardi, suggère de créer un nouveau type de catégorie de véhicules dans l'Union européenne pour les voitures qui ne peuvent fonctionner qu'avec des carburants neutres en carbone.
Ces véhicules devraient utiliser une technologie qui les empêcherait de conduire si d'autres carburants sont utilisés, selon le projet.
La proposition pourrait offrir aux constructeurs automobiles une voie pour continuer à vendre des véhicules à moteur à combustion après 2035, date à laquelle un projet de loi européenne devrait interdire la vente de voitures neuves émettant du gaz carbonique.
Hypothèses absurdes sur le carburant électrique Eurointelligence commente les hypothèses E-Fuel.
La télévision allemande ARD rapporte une étude de l'institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact climatique, qui révèle le manque total de réalité dans le débat allemand sur les e-carburants. Même dans le meilleur des cas, l'Allemagne aura du mal à obtenir suffisamment d'e-carburants pour répondre à sa demande indispensable, provenant de la navigation, du transport aérien et de l'industrie chimique. Ceux-ci auront tous encore besoin d'hydrocarbures liquides comme source d'énergie. En d'autres termes, il n'y aura plus rien pour les voitures. Tout le débat du FDP sur l'exemption pour les voitures électriques à carburant électrique après 2035 est un écran de fumée.
La politique de ceci est que le FDP essaie d'arrêter son déclin politique en faisant appel aux électeurs ruraux, qui dépendent de l'automobile pour le transport. Un récent sondage en Allemagne a montré qu'environ les deux tiers de la population s'opposent à la fin de la voiture à essence.
Les carburants électriques sont basés sur l'extraction de l'hydrogène de l'eau par un processus appelé électrolyse. Dans une deuxième étape, l'hydrogène se combine ensuite avec le gaz carbonique pour produire des hydrocarbures. L'idée est d'utiliser l'énergie verte pour la production d'e-carburants, à utiliser par les navires et les avions. Il en va de même pour certaines parties de l'industrie chimique. Ensemble, ils représentent 40 % de la demande totale d'hydrocarbures liquides de l'Allemagne. La simulation de l'institut part de l'hypothèse relativement optimiste selon laquelle le transport aérien reste aux niveaux actuels.
Un scénario beaucoup plus probable est qu'il n'y aura pas assez d'e-carburants même pour satisfaire la demande indispensable. Jusqu'à présent, seules 60 installations de production sont actuellement en projet dans le monde. Parmi ceux-ci, seule une petite fraction est financée. Même s'ils sont tous financés, ils ne produiront qu'une infime partie de ce que l'Allemagne elle-même exige. L'idée qu'il en reste assez pour les voitures est complètement irréaliste.
Ce que cela nous dit, au-delà de la politique mesquine du FDP, c'est que les Allemands se battent bec et ongles pour insérer les derniers hydrocarbures dans leurs voitures, plutôt que de se concentrer sur les technologies de la prochaine génération. Tout cela pour quelques points de pourcentage dans les sondages.
C'est la stratégie classique des perdants.
L'Europe revient sur son interdiction des voitures à essence Le WSJ rapporte que l'Europe fait marche arrière sur son interdiction des voitures à essence
L'invraisemblance d'un avenir énergétique à zéro carbone net devient si évidente que même les Européens commencent à le remarquer. En témoigne la décision du week-end de revenir sur l'interdiction des moteurs automobiles à combustion interne que l'Union européenne avait l'intention de mettre en œuvre d'ici 2035.
Les eurocrates de Bruxelles avaient formulé l'interdiction dans le cadre de leur plan visant à atteindre zéro émission nette de gaz carbonique d'ici 2050. Mais ce que les régulateurs imaginent pour remplacer les moteurs conventionnels reste un mystère. Les technologies de batterie n'existent pas pour remplacer les combustibles fossiles en termes de distance parcourue ou de facilité de ravitaillement, et personne ne peut dire si ou quand de telles batteries se matérialiseront.
Les véhicules électriques nécessitent également des minéraux de terres rares provenant souvent de mines sales en Chine. Ils ne sont aussi écologiques et abordables que l'électricité utilisée pour les recharger. En Europe, cela signifie une énergie au charbon pour laquelle les consommateurs paient un prix énorme en raison des coûts liés à l'intégration forcée des énergies renouvelables intermittentes telles que l'éolien et le solaire dans le réseau.
La résistance de Berlin et de plusieurs autres gouvernements européens a contraint Bruxelles à renoncer à son interdiction des moteurs.
Les consommateurs seront autorisés à acheter des voitures à combustion interne tant que ces voitures peuvent fonctionner avec des carburants synthétiques, qui sont des carburants fabriqués à partir de carbone capturé ou d'énergie renouvelable. Bruxelles semble toujours espérer que ces voitures ne rouleront qu'avec de tels "e-carburants" d'ici cette échéance. Mais les doutes sur la faisabilité technologique de cet engagement peuvent expliquer pourquoi les groupes environnementaux ont été consternés par la décision du week-end.
Aucun pays n'est prêt Les voitures électriques arrivent, qu'on le veuille ou non. Personne nulle part n'y est préparé.
L'Allemagne intrigue des moyens absurdes de carburant électronique pour le faire paraître fonctionner. Eurointelligence reprend ce point mais passe à côté de la vue d'ensemble.
On ne peut pas fixer une date et la forcer si la science ne correspond pas.
Aux États-Unis, Biden oblige les véhicules électriques, que l'infrastructure soit prête ou non. Et il est évident que l'infrastructure n'est pas prête et ne le sera probablement pas.
Néanmoins, la Californie, l'Oregon et l'État de Washington ont toujours des interdictions de moteurs à combustion interne prévues pour 2035.
Un gros gâchis vert en Allemagne avec du charbon, un superbe 31 % d'électricité En attendant, veuillez noter A Big Green Mess in Germany With Coal a Stunning 31 Percent of Electricity
L'Allemagne a réussi à éviter un hiver rigoureux grâce à la réduction de l'approvisionnement en gaz naturel de la Russie.
Il l'a fait en augmentant l'utilisation du charbon. Ironiquement, les Verts ont soutenu cette politique.
Hutte du jour En référence à la Californie, à l'Oregon et à Washington, la conclusion du WSJ est ma huée du jour : "Vous savez que la capitale de votre État a pris un mauvais virage alors que vos législateurs feraient bien d'apprendre une leçon de Bruxelles."
Et au cas où vous l'auriez manqué, veuillez noter que les mandats de politique énergétique de Biden provoquent une grave pénurie d'acier électrique et de transformateurs
Le nouveau rapport de l'IRS donne un aperçu fascinant de votre "part équitable"
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 29 MARS 2023 - 17:25 Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,
Chaque année, l'IRS publie un rapport détaillé sur les impôts qu'il perçoit. Et les statistiques sont VRAIMENT intéressantes.
Il y a quelques semaines, l'agence a publié son dernier rapport. Il s'agit donc des informations les plus objectives et les plus récentes qui existent sur les impôts en Amérique.
C'est important, car, de nos jours, il est courant d'entendre des politiciens progressistes et des gangsters réveillés demander aux personnes à revenu élevé et aux Américains les plus riches de payer leur « juste part » d'impôts.
Mais ce rapport, directement de l'agence américaine dont le travail consiste à taxer les Américains, montre la vérité :
Les 1 % des contribuables américains les plus riches ont payé 48 % du total des impôts sur le revenu aux États-Unis.
Et c'est juste au niveau fédéral, sans même compter le montant des impôts locaux et étatiques que les riches ont payé.
De plus, les 10 % les plus riches ont payé près de 72 % du total des impôts sur le revenu.
Pendant ce temps, les 40 % inférieurs des déclarants américains n'ont payé aucun impôt sur le revenu net. Et le groupe suivant, ceux qui gagnent entre 30 et 50 000 dollars par an, ont payé un taux effectif de seulement 1,9 %.
(Encore une fois, ce n'est pas une théorie du complot sauvage ; ces chiffres proviennent directement des données de l'IRS.)
Mais le fait que 10 % des contribuables paient près des trois quarts de la facture fiscale n'est toujours pas suffisant pour la foule progressiste. Ils en veulent encore plus.
Le gars qui serre la main à la légère, par exemple, a récemment annoncé qu'il voulait introduire une nouvelle loi qui créerait un impôt minimum de 25 % sur les revenus les plus élevés.
Mais les propres statistiques du gouvernement montrent que les personnes aux revenus les plus élevés en Amérique - ceux qui gagnent plus de 10 millions de dollars par an - ont payé un taux d'imposition moyen de 25,5 %. C'est plus que le minimum de 25% de M. Biden.
Il propose donc essentiellement une solution inutile à la recherche d'un problème.
J'en parle parce que chaque fois que vous entendez les bolcheviks de gauche au gouvernement et dans les médias parler de «part équitable», ils omettent toujours ce qu'est exactement la «part équitable».
Les 1 % les plus riches paient déjà près de la moitié des impôts. Exactement, combien de plus suffira-t-il ?
Les 1 % les plus riches devraient-ils payer 60 % de tous les impôts ? 80 % ? A quel moment cela suffira-t-il ?
Ils ne disent jamais. Ils ne s'engageront jamais sur un chiffre. Ils ne cessent d'élargir leur champ de pensée.
Elizabeth Warren, par exemple, a cessé de parler du «top 1%» et a commencé à se plaindre du «top 5%». Et puis les "top 10 %".
Elle a déjà décidé que les 5% des ménages les plus riches ne devraient pas être éligibles à l'annulation des prêts étudiants ou à Medicare.
Et lorsqu'elle parle de «capitalisme responsable» sur son site Web, Warren dénonce les 10 % les plus riches pour avoir trop de richesse, par rapport au reste des ménages.
Bientôt, ce seront les "top 25 %" qui seront le vrai problème...
Honnêtement, toute cette façon de penser me rappelle la logique pandémique d'Anthony "the Science" Fauci sur les verrouillages et les mandats de masque.
Vous vous souvenez probablement comment les journalistes demandaient toujours à « la science » quand la vie pourrait revenir à la normale… et il a toujours répondu que cela dépendait de la vaccination, c'est-à-dire chaque fois que suffisamment d'Américains étaient vaccinés.
Mais ensuite, il a continué à déplacer les poteaux de but. 50 %. 60 %. 70 %. Ce n'était jamais assez. Et il n'y a jamais eu de réponse concrète.
Cette même logique s'applique à ce que les « experts » considèrent comme la « juste part » des impôts que le pourcentage le plus élevé devrait payer.
Ils ne diront jamais réellement quelle est la juste part. Mais je suppose qu'ils ne s'arrêteront pas tant que 100 % des impôts ne seront pas payés par les 10 % les plus riches... et que les autres 100 % des impôts ne seront pas payés par les 90 % restants.
Alors que le riche cherche toujours à être plus riche qu'avant, l’État leur fait la chasse pour leur voler ce qu'ils ont osé gagner honnêtement. Inadmissible ! Si un riche n'investit pas son argent c'est qu'il y a un piège en dessous, une sorte de voleur qui s'y cache. Effectivement si une entreprise est créée et que l’État envoie une facture au directeur pour le punir d'avoir osé donner du travail à quelqu'un, l'investisseur va y réfléchir à deux fois ! Car, il faut savoir que le riche dépense des milliers de fois plus qu'un pauvre. Alors que l’État (tonneau des Danaïdes) a créé la dette pour y faire disparaître dedans tout l'argent volé aux contribuables !
22 à 23 % d’inflation dans les 18 mois selon Leclerc !
Et oui, de partout les prix explosent, et parler d’une inflation à deux chiffres en 2021 suffisait à vous faire passer pour un affreux Cassandre, pourtant, nous y sommes et ce n’est pas terminé comme l’annonce Michel-Edouard Leclerc le patron des centres commerciaux éponymes.
Par Charles Sannat le 31 mars 2023 à 7h43
En 2022, l'inflation a atteint 5,9 % en France.
Sur l’alimentaire et les produits de grande consommation c’est plus de 20 % de hausse des prix qui sont attendus.
Pendant ce temps les prix de l’énergie sont de plus en plus élevés, et produire de tout coûte toujours plus cher.
Pendant ce temps au 1er Juillet il faudra tous basculer sur des prix de marché libre pour le gaz.
Pendant ce temps la fiscalité augmente de partout.
Pendant ce temps se chauffer, manger, se déplacer coûte toujours plus cher avec des salaires qui ne suivent pas, imparfaitement, ou toujours avec un temps de retard important.
L’inflation ruine les gens quand les salaires ne sont pas indexés sur la hausse des prix et que l’inflation est durable.
Vous imaginez ?
Deux ou trois ans d’inflation ne serait-ce qu’à 10 % avec des salaires globalement constants ? C’est 20 % de baisse de pouvoir d’achat et d’appauvrissement.
Inflation : les prix alimentaires continuent d’augmenter malgré un ralentissement global
L’inflation en France a ralenti en mars à 5,6%, mais les prix alimentaires continuent de grimper. La crainte d’un « mars rouge » sur les produits du quotidien tend à se vérifier.
Par Cédric Bonnefoy le 31 mars 2023 à 13h34
L'inflation ralentit en France en mars 2023
Selon les derniers chiffres de l'INSEE, l'inflation en France a ralenti en mars 2023 pour atteindre 5,6 % sur un an selon la dernière publication de l’INSEE. Bien que cela représente une baisse par rapport à février où elle avait atteint 6,3%, l'inflation reste élevée. La spirale inflationniste continue de contracter les porte-monnaie des ménages.
Si l’inflation augmente moins vite en mars 2023 c’est surtout à cause des prix de l’énergie. La hausse est moins rapide, elle avoisine les 5 % contre 30% entre mars 2021 et mars 2022 juste après le déclenchement de la guerre en Ukraine. Malgré tout, cette nouvelle hausse de l’inflation provoque des inquiétudes chez les consommateurs et les experts économiques.
Les prix alimentaires continuent de grimper en France
Malgré un ralentissement global de l'inflation en France, les prix alimentaires ont continué de grimper, augmentant de 1,1% en mars 2023. Ainsi, ils atteignent 15,8 % sur un an. Cette hausse a été principalement due à l'augmentation des prix des produits frais, des fruits et légumes ainsi que de la viande. La cause principale de cette tendance reste l'augmentation des coûts de production. Les agriculteurs et les producteurs ont dû faire face à des conditions climatiques défavorables. Mais aussi, des coûts de main-d'œuvre plus élevés. Cette situation a eu un impact direct sur les prix de vente, entraînant une hausse des prix pour les consommateurs.
Cependant, il est important de souligner que les prix alimentaires ne sont pas les seuls à avoir augmenté. Les prix de l'énergie ont également augmenté, de même que ceux des produits manufacturés et des services. Cette tendance peut avoir des conséquences sur la capacité d'achat des ménages. Ces derniers peuvent être contraints de réduire leur consommation en raison de prix plus élevés.
Avoir de l’argent liquide à domicile : une pratique légalement limitée ?
De plus en plus de Français choisissent de conserver de l’argent en espèces à leur domicile. Si cette pratique n’est pas interdite, elle est encadrée par certaines règles et comporte des risques à ne pas négliger.
Par Benoit Vrignaud le 31 mars 2023 à 9h26
Les limites légales de l'argent liquide à domicile
La thésaurisation en France connaît une hausse significative, avec de nombreux Français préférant conserver leur argent chez eux plutôt que de le placer dans des livrets d'épargne. Il n'existe en réalité aucune limite légale spécifique sur la quantité d'argent liquide que vous pouvez conserver à votre domicile en France.
Si aucun montant exact n'est légiféré, certaines règles régissent l'utilisation de l'argent liquide. Pour voyager avec plus de 10.000 euros en espèces, une déclaration à la douane doit être réalisée. Concernant les paiements en espèces, aucune limite n'est imposée entre particuliers, à condition de réaliser un écrit prouvant les versements au-delà de 1.500 euros. Avec un professionnel, un plafond de 1.000 euros est imposé.
La popularité grandissante de la thésaurisation et les risques encourus
Selon le rapport 2021 de la Banque de France, le montant de l'argent liquide détenu par les particuliers français est passé de 132,5 milliards d'euros en 2012 à 225 milliards d'euros en juin 2020, soit environ 3.360 euros par personne. Toutefois, 78% des foyers ne détiendraient pas plus de 1.000 euros en espèces, d'après une étude menée par la Banque centrale européenne.
Malgré cette tendance croissante, thésauriser comporte des risques. Le risque de cambriolage est le plus évident, avec l'argent liquide et les bijoux étant les biens les plus recherchés par les malfaiteurs. En outre, la détention de grosses sommes d'argent en espèces à domicile peut attirer l'attention des autorités et de l'administration fiscale, qui surveillent étroitement la circulation des espèces sur le territoire. Les sommes importantes d'argent liquide peuvent être associées à des activités illégales, telles que la fraude fiscale, le travail dissimulé ou le trafic de drogue, et pourraient conduire à des justifications auprès des administrations.
Prochain coup contre le dollar : la Chine et le Brésil commerceront désormais en yuan et en réal
30 mars 2023 par Thomas Oysmuller
Le prochain accord a été annoncé mercredi, échangeant le dollar comme monnaie d'échange bilatérale. La Chine et le Brésil ont convenu de négocier dans leur propre monnaie à l'avenir.
C'était "la dernière salve de Pékin contre le tout-puissant billet vert", écrit l'agence de presse AFP. Au lieu de faire le détour par le dollar américain, les futures transactions commerciales et financières entre les deux pays BRICS seront réglées en yuan et en réal. Le volume des transactions entre les États en 2022 était de plus de 150 milliards de dollars américains. La Chine est le premier partenaire commercial du Brésil depuis 2009. Jusque-là, c'était les États-Unis.
Volume de transactions massif
"Cela devrait réduire les coûts, encourager davantage le commerce bilatéral et faciliter les investissements ", a déclaré l'Agence brésilienne de promotion du commerce et des investissements (ApexBrasil) dans un communiqué. Les Brésiliens sont donc très satisfaits. La Banque industrielle et commerciale de Chine et la Banque des communications BBM effectueront les transactions, ont indiqué des responsables. L'accord, qui fait suite à un accord de principe en janvier, a été annoncé après un forum économique sino-brésilien de haut niveau à Pékin.
La Chine a acheté mercredi du gaz naturel liquéfié aux Émirats arabes unis avec des yuans pour la première fois. 65 000 tonnes de GNL ont été achetées aux Émirats arabes unis. Il a été annoncé aujourd'hui, jeudi, que l'Arabie saoudite rejoindra le groupe d'États BRICS+ cet été. L'allié le plus fidèle des États-Unis dans la région aurait finalement pris ses distances avec Washington.
TKP a rapporté plus tôt cette semaine que le Kenya ne faisait plus non plus de commerce avec la Chine en dollars américains. Le rythme de la « dé-dollarification » de l'économie mondiale semble s'accélérer.
graves conséquences
Les médias occidentaux ignorent presque complètement cette évolution. Samedi, l'ancienne secrétaire adjointe du département du Trésor américain aux affaires publiques, Monica Crowley, a mis en garde contre les conséquences "catastrophiques" , plus récemment sur FOX News . Si le dollar perdait son statut de monnaie mondiale, cela signifierait « la fin du dollar américain ». Elle a prédit une "implosion complète du système économique mondial". Plus loin:
« Si cela devait arriver, le système économique mondial, mais certainement le système économique américain, imploserait complètement. Et si cela devait se produire, nous serions confrontés à une inflation vertigineuse, une inflation à la Weimar. Si vous pensez que l'inflation est déjà mauvaise, attendez et voyez. Mais plus important encore, nous perdrions notre suprématie économique et notre statut de superpuissance.
La Chine et la Russie semblent disposées - déclenchées par la politique de sanctions occidentales - à franchir cette étape maintenant. Et les pays du Sud sont prêts à participer.
La France achète 65 000 tonnes de gaz naturel liquéfié libellé en yuans
le 30 mars 2023
La Chine vient d’achever sa première transaction internationale de gaz naturel liquéfié (GNL) libellée en yuans destiné à la France selon un communiqué du Shanghai Petroleum and Natural Gas Exchange de ce mardi 28 mars 2023.
Le géant chinois du pétrole et du gaz CNOOC (China National Offshore Oil Corp) et TotalEnergies ont conclu le premier marché de GNL sur la bourse de Shanghai libellé en monnaie chinoise (Reuters). La transaction concernait environ 65 000 tonnes de GNL importées des Émirats arabes unis (UAE), a ajouté le Shanghai Petroleum and Natural Gas Exchange. La « supermajor » française, l’un des plus grands négociants de GNL au monde, a confirmé à Reuters que le commerce concernait du GNL importé des Émirats arabes unis, mais a refusé de commenter l’accord.
La Chine cherche depuis des années à conclure plus d’accords commerciaux en yuans afin d’accroître la pertinence de sa monnaie sur les marchés mondiaux et de remettre en question la domination du dollar américain dans le commerce international, y compris dans le commerce de l’énergie.
Lors d’une visite historique à Riyad en décembre, le président chinois Xi Jinping a déclaré que la Chine et les pays arabes du Golfe (GCC, Gulf Country Council) devraient utiliser le Shanghai Petroleum and National Gas Exchange comme plate-forme pour effectuer le règlement en yuan du commerce du pétrole et du gaz.
« La Chine continuera d’importer de grandes quantités de pétrole brut des pays du GCC, d’accroître les importations de gaz naturel liquéfié, de renforcer la coopération dans l’exploitation pétrolière et gazière en amont, les services d’ingénierie, le stockage, le transport et le raffinage. et utiliser pleinement le Shanghai Petroleum and National Gas Exchange comme plate-forme pour effectuer le règlement yuan du commerce du pétrole et du gaz », a déclaré Xi en décembre, comme l’a indiqué Reuters.
Bien que la monnaie chinoise ait fait des percées dans le commerce mondial, le yuan ne représente que 2,7 % du marché, comparativement à 41 % pour le dollar américain.
Au cours de la dernière année, la Russie s’est tournée vers le commerce libellé en yuan à la suite des sanctions occidentales sur ses exportations, ses importations et son commerce de l’énergie, car la monnaie chinoise est devenue la seule solution de rechange de Poutine pour réduire l’exposition au dollar américain et à l’euro. Source : https://oilprice.com/Latest-Energy-News/World-News/China-Settles-First-LNG-Trade-In-Yuan.html
Note. TotalEnergies est le premier opérateur en Russie dans le domaine de l’exploration et de l’exploitation des gisements pétroliers et gaziers. Cette entreprise a développé un étroit partenariat avec Gasprom. En collaboration avec Air Liquide TotalEnergies récupère l’hélium présent dans le gaz naturel sibérien. Ces deux entreprises de droit français sont les rares fleurons industriels encore existant en France. Ces deux entreprises échappent aux sanctions imposées par les Américains en commerçant avec la Russie via le rouble et le yuan.
L’Europe a décidé d’interdire la vente de voitures à propulsion par combustion interne, essence, diesel y compris hybrides en 2035. Près de 15 millions de personnes se retrouveront sans emploi. Les grandes sociétés européennes de construction automobile tentent de se reconvertir aux véhicules électriques. Le problème que la Commission européenne infectée de manière incurable par l’idéologie écologiste n’a pas pris en compte le fait que la Chine est le leader mondial de la production de voitures « tout électrique », pas des modèles coûteux comme les Tesla mais des voitures à la portée de la classe moyenne. Le retard n’est pas rattrapable.
La décision de la Commission européenne a été avalisée par le Parlement européen avec une majorité écrasante, à croire qu’il n’y a que des écologistes dans cette assemblée qui ne sert à rien.
Mais il y a autre chose qui a échappé tant à la Commission mais également au Parlement, c’est la disponibilité en matières premières pour produire ces véhicules électriques, depuis le cuivre et les terres rares mais aussi et surtout le lithium, le graphite et le cobalt. Une seule personne a lancé une alerte à ce sujet, il s’agit d’Aurore Stéphant, une géologue spécialisée dans les ressource minières.
J’ai réécouté son long exposé sur le site Thinkerview aujourd’hui même par hasard (je l’avais déjà visionné il y a environ 2 mois lors de sa sortie sur la toile) et j’ai définitivement compris à l’issue de la décision européenne que tant la Commission européenne que le Parlement, qui avalise des décisions irréalistes de ce « machin » sans se poser de question, étaient hors sol et n’œuvraient que pour le malheur de tous les Européens, c’est très grave. Avec la crise financière qui se profile, alors les Européens vont vraiment souffrir … Tout va mal et pour paraphraser les conclusions de H16 pour tous ses billets relatifs à la France « Cette Europe est foutue ! »
"Face à des preuves évidentes de péril" dans un pays de mensonges
Par Edouard Curtin EdwardCurtin.com 31 mars 2023
"Au cours de mes plus de soixante-dix ans, de 1946 à aujourd'hui, le chœur des conneries alarmistes n'a jamais cessé - il n'a fait que s'intensifier. Etre les dindons de la farce. Hahaha." – Oliver Stone, À la poursuite de la lumière
Le silence est peut-être la meilleure réponse à l'interminable cavalcade de mensonges officiels qui caractérise l'histoire des États-Unis. L'Internet et la technologie numérique ont permis à ces mensonges d'augmenter de façon exponentielle en nombre et en fréquence, avec pour résultat que l'esprit des gens est devenu comme des magasins 7-Eleven, ouverts 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour des "nouvelles" de merde.
Mais une fois que vous devenez conscient qu'il ment nuit et jour, cela vous fait tourner la tête et plonge votre âme dans les profondeurs du désespoir. Vous êtes tenté de vous retirer de ces connaissances et de parler d'arbres et de futilités. Mais vous avez honte de votre pays. C'est dur de rire. Vous avez l'impression de vous noyer. Vous pataugez et manquez d'air. Vous regardez autour de vous et vous vous demandez pourquoi la plupart des gens sont capables de suivre leur petit bonhomme de chemin en croyant les mensonges et en sifflant dans le noir. Nation de la presse indésirable, en effet.
Oui, il y a des voix alternatives qui disent la vérité, mais leur audience et leur soutien financier sont très faibles ou inexistants par rapport aux médias grand public et à ceux qui crient et hurlent sur Internet alors qu'ils reçoivent beaucoup d'argent de la part d'adeptes naïfs. . Les récentes révélations sur la richesse d'Alex Jones ne dérangent probablement pas ses fans inconditionnels, mais ils devraient le faire. De même, les sources de financement des sites Web et des écrivains de diverses tendances sont importantes à connaître, car elles révèlent d'éventuels biais dans leur travail. Les vendeurs d'huile de serpent sont monnaie courante et de nombreux clients naïfs font la queue pour leurs marchandises.
La richesse et le pouvoir sont les principaux moteurs de la chicanerie médiatique qui a captivé tant d'esprits. Les écrivains, bien sûr, devraient être équitablement payés pour leur travail, mais à l'ère d'Internet, la plupart ne le sont pas. Comme pour les films et l'édition de livres, l'écart de revenus entre les grands noms - les célébrités - et les écrivains moins connus, même si leur travail est excellent, est énorme.
Certains sites et écrivains gagnent beaucoup d'argent, mais qui ils sont est un jeu de devinettes. Personne ne parle. Certains disent régulièrement à leurs lecteurs que s'ils ne reçoivent pas suffisamment de contributions, ils ne pourront pas continuer à écrire ou à publier, même lorsque les sites ne rémunèrent pas leurs contributeurs. Qu'il s'agisse d'un bon marketing ou d'un revenu par menace, c'est à gagner. Quoi qu'il en soit, cela semble fonctionner, pour autant que je sache, car ces écrivains et sites Web ne disparaissent pas.
L'argent est le sale secret de toutes les nouvelles et de tous les commentaires. Pour paraphraser quelqu'un : il est très difficile d'obtenir la vérité d'écrivains dont les revenus dépendent de la satisfaction de ceux qui les financent.
Vous avez peut-être remarqué combien d'anciens officiers militaires, agents de la CIA, journalistes grand public, dirigeants de sociétés pharmaceutiques et divers autres gros bonnets du gouvernement et des entreprises apparaissent dans les médias traditionnels et alternatifs pour soutenir ou s'opposer aux politiques gouvernementales. Les plus dominants font la propagande qu'ils ont toujours faite, tandis que les autres apparaissent comme des convertis à la foi dissidente. Personne n'explique jamais comment et par qui ces personnes sont financées ni comment leurs retraites lucratives affectent leur conscience. "Ancien" est un drôle de mot. Hahaha.
Les « hommes » de confiance sont de toutes formes et de toutes tailles, sans que personne ne parle d'argent.
Alors laissez-moi avouer. J'ai reçu environ 200 $ de soutien l'année dernière pour edwardcurtin.com, mon site Web. Rien avant cela et pas un centime au cours des 5-6 dernières années pour plusieurs centaines d'articles qui sont apparus très largement sur Internet. Avant Internet, les publications payaient le travail, le mien et les autres. Pas maintenant, du moins pour moi. Combien d'argent les écrivains reçoivent et qui soutient leurs sites est un sujet tabou.
J'envisage donc de vendre des tasses sur mon site avec mon nom et ma photo dessus et une gamme de suppléments qui augmenteront la testostérone et l'œstrogène dans une mesure égale pour s'assurer que personne ne s'offusque en cette ère de sentiments délicats. Hahaha. Oui, la blague est sur nous. Je m'identifie comme un homme puisque j'en suis un. Ne soyez pas offensé.
Blague à part, alors que Leonard Cohen chantait :
"Oh, comme un oiseau sur le fil Comme un ivrogne dans une chorale de minuit J'ai essayé à ma façon d'être libre"
Si vous êtes assez têtu et que vous avez la chance de vous inspirer de ces braves dissidents qui nous ont précédés et de ceux qui continuent de nous conduire, vous réalisez que le silence est une trahison et qu'il faut parler, même si tout semble parfois sans espoir. Même lorsque personne ne vous paie, ou peut-être plus précisément, parce que personne ne vous paie. Même si c'est sans espoir, même si ce n'est pas le cas. C'est un autre secret. Il y a beaucoup de.
Cela fait vingt ans que les États-Unis ont brutalement envahi l'Irak. Lorsque George W. Bush, lors d'un pseudo-événement mis en scène à Cincinnati le 7 octobre 2002, alors qu'il préparait les Américains à l'invasion de l'Irak en mars 2003, a déclaré : « Face à des preuves évidentes de péril, nous ne pouvons pas attendre la preuve finale, le pistolet fumant, qui pourrait prendre la forme d'un champignon atomique », personne ne l'a ri hors de la maison. Son affirmation était simplement une mauvaise blague qui a été rapportée comme étant la vérité. Tout cela n'était que tromperie prévisible et flagrante. Et les médias ont joué avec une telle absurdité, qui est leur travail et ce qu'ils font toujours. Je l'avais signalé à l'époque dans une chronique de journal, mais qui écoutait un péquenaud écrivain dans un journal régional.
L'Irak n'avait évidemment pas d'armes nucléaires ou la moindre capacité de lancer ne serait-ce qu'un pétard sur les États-Unis. Mais les médias grand public, le sénateur Joe Biden, des politiciens à gogo, des célébrités comme Oprah Winfrey avec son invité, la finalement déshonorée Judith Miller du New York Times, le le méprisable Tony Blair et consorts ont tous soutenu les mensonges flagrants de Bush. Bientôt, Colin Powell, le "héros" de la guerre d'agression du Golfe contre l'Irak de George H. W. Bush en 1991, conçu pour la télévision, ferait son numéro de Pinocchio aux Nations Unies et l'armée américaine était partie chercher Saddam Hussein, le jumeau maléfique d'Oussama ben Laden. , les deux derniers Hitler jusqu'à ce que Vladimir Poutine les remplace. Je suppose que j'ai sauté quelques autres comme Mouammar Kadhafi et Bashar Al-Assad. Les nouveaux Hitler prolifèrent si vite qu'il est difficile de les suivre. Hahaha. Etre les dindons de la farce.
Comme tout le monde le sait, ou devrait le faire, plus d'un million d'Irakiens sont morts à cause de George W. Bush, mais combien s'en sont souciés ? Combien se sont souciés quand une fois Bush parti, Barack Obama, aidé et encouragé par la gloussante Hilary Clinton, a détruit la Libye et déclenché la guerre contre la Syrie ? Vous voulez des exemples ? Il y en a trop pour les nommer ici. Mais qu'on se le dise, ces mensonges couvrent toutes les administrations américaines, que ce soit Bill Clinton bombardant continuellement l'Irak et la Serbie en passant par Trump bombardant la Syrie et la Somalie, jusqu'à aujourd'hui avec Biden attaquant la Russie via l'Ukraine, etc. Tous ces présidents sont des menteurs, mais leur les adeptes les traitent autrement. Biden dit que Jimmy Carter lui a demandé de faire son éloge funèbre. Qu'est-ce que cela vous dit? Allons-nous rire? Chanter?
Sur la compréhension claire Que ce genre de chose peut arriver Allons-nous rire ? Allons-nous rire ? Allons-nous rire ?
Allons-nous rire plus fort si je mentionne la propagande de Covid-19 et tous ces écrivains qui n'ont même pas réussi à l'aborder, car ils n'ont pas remis en question le 11 septembre et d'autres mensonges officiels évidents ? N'est-il pas évident que s'ils le faisaient, leurs flux monétaires pourraient se tarir ? Ici et pas plus loin est une règle répandue, car ils doivent respecter les limites imposées par la « pensée responsable » et les zones « interdites » avec lesquelles ils se lient les mains afin de garder leurs portefeuilles pleins.
Si vous avez de la chance, comme moi, quand vous êtes jeune, vous découvrez à quel point nos autorités institutionnelles ont peur de la libre pensée et sont corrompues. Vous ne passez pas des décennies à vous régaler du butin de ces institutions pour vous «réveiller» une fois que vous avez fait votre nom et sécurisé votre fortune, ce qui semble être la voie de tant de sages sommités de l'ère Internet qui essaient soit de apaiser leur conscience alors qu'ils s'apprêtent à botter le seau ou qu'ils nous mettent peut-être en scène.
Quand j'avais vingt-quatre ans, j'ai accepté mon premier poste d'enseignant dans un petit collège catholique où j'enseignais la théologie. J'avais été formé dans les derniers et meilleurs travaux savants des théologiens internationaux les plus renommés. Plutôt que d'endoctriner mes étudiants avec un apprentissage par cœur, je leur ai appris à lire largement et à réfléchir profondément dans la tradition d'une éducation en arts libéraux. Pour rechercher la meilleure bourse.
Mais cela est rapidement devenu évident pour les autorités du collège et de l'Église qui étaient coincées dans l'ère inquisitoriale de l'obéissance ou autre et aucune pensée n'était autorisée. Bien que mes étudiants aient adoré mes cours et se soient sentis libérés pour la première fois pour réfléchir à leur vie spirituelle, j'ai été harcelé pour corriger mon enseignement hérétique, ce que j'ai bien sûr refusé de faire.
Le sociologue Peter Berger le dit bien dans son petit classique, Invitation à la sociologie, lorsqu'il évoque des expériences qui conduisent à voir à travers la nature théâtrale de la vie sociale :
De telles expériences peuvent conduire à un renversement soudain de la vision de la société - d'une vision impressionnante d'un édifice en granit massif à l'image d'une maison de jouets précairement assemblée avec du papier mâché. Si une telle métamorphose peut déranger des personnes qui avaient jusqu'ici une grande confiance dans la stabilité et la justesse de la société, elle peut aussi avoir un effet très libérateur sur ceux qui sont plus enclins à considérer cette dernière comme un géant assis au-dessus d'eux, et non nécessairement un géant amical à cela. Il est rassurant de découvrir que le géant est atteint d'une tique nerveuse.
Remarquez les yeux claquants du géant George W. Bush alors qu'il livre ses mensonges "face à la preuve évidente du péril" pour l'invasion de l'Irak. Lui et ses bons amis présidentiels sont des personnages de dessins animés en carton dont les yeux révèlent leurs mauvaises intentions. "C'est un monde de Barnum et Bailey / Aussi bidon que possible", mais tout tomberait en morceaux si ce n'était pas pour vous et moi de ne pas voir à travers tous les mauvais acteurs, pas seulement les présidents mais l'ensemble du casting de personnages qui peuplent le Spectacle de l'actualité et de l'opinion.
Les Russes arrivent ! Hahaha. Oui, Oliver, la blague est sur nous.
Mais ce n'est pas vraiment drôle, sauf de la manière la plus sardonique et la plus sombre, car nous sommes maintenant vraiment confrontés à des preuves évidentes de péril à la suite de Biden et de ses prédécesseurs fous qui dirigent la politique étrangère américaine depuis si longtemps. Ils nous ont amenés au bord de la guerre nucléaire avec la Russie en entourant la Russie de bases de l'OTAN et d'armes nucléaires, tout en faisant de même avec la Chine.
Bertolt Brecht avait raison dans son poème « À ceux qui sont nés après » :
Vraiment je vis dans des temps sombres ! Le discours franc est naïf. Un front lisse Suggère l'insensibilité. L'homme qui rit N'a tout simplement pas encore entendu La terrible nouvelle.
Quel genre de temps sont-ils, quand Parler des arbres est presque un crime Parce que cela implique le silence sur tant d'horreurs ? Quand l'homme là-bas traversant calmement la rue Est déjà peut-être hors de portée de ses amis Qui sont dans le besoin ?
Le grand gouvernement et les grandes entreprises s'entendent pour ÉCRASER les petits concurrents
Jeudi 30 mars 2023 par : Belle Carter
(Natural News) Le PDG de ShelfAware, Andrew Johnson, a dénoncé à la fois le gouvernement et les grandes entreprises pour leur collusion visant à écraser les petites entreprises par le biais de réglementations et de taxes.
"Nous avons ce système capitaliste corrompu à ce stade", a-t-il déclaré à l'animateur de "Conversations that Matter", Alex Newman. "Il est devenu tellement corrompu avec notre paysage politique qu'ils font des choix au profit du Big Money et ils sont juste payés pour le faire."
Selon le PDG du fournisseur d'automatisation de la chaîne d'approvisionnement industrielle, les petites entreprises du pays sont extrêmement surtaxées et surréglementées. « Vous prenez tous les risques et vous obtenez très peu de bénéfices. Toutes les politiques de Washington, D.C. viennent de se terminer par un désastre pour les petites entreprises », a déclaré Johnson.
De plus, le PDG de ShelfAware a souligné que le pouvoir est concentré au niveau fédéral sous la forme de «réglementations ironiques» vendues au public américain. Ces réglementations ne nuisent qu'aux petites entreprises en fin de compte, a-t-il souligné. Les remarques de Johnson faisaient référence à la récente décision de la Securities and Exchange Commission obligeant les sociétés cotées en bourse à divulguer comment leurs opérations jouent un rôle dans le «changement climatique». (En relation: Au lieu de sévir contre la corruption réelle de Wall Street, la SEC demande plutôt que les entreprises évaluent l'impact du changement climatique sur elles.)
Johnson a également déconseillé de croire les récits des médias grand public sur le gouvernement et les entreprises.
"Arrêtez de lire uniquement les choses que Fox News, CNN ou BBC ajoutent à votre flux. Plongez plus profondément dans certaines de ces choses et recherchez des sources qui ne sont pas mises en lumière ou étayées par les grands médias, car elles sont toutes organisées. Vous devez trouver des personnes intelligentes qui sont quelque peu confidentielles dans des émissions comme celle-là », a-t-il exhorté les téléspectateurs.
La démondialisation, une énorme opportunité pour le secteur manufacturier américain Au cours de sa conversation avec Newman, Johnson a exprimé son optimisme quant à la possibilité pour le monde de se libérer des chaînes d'approvisionnement mondiales. La pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) a mis en place ces tendances, et elles ne font que s'accélérer à mesure que le système économique mondial s'effondre.
"Cela peut sembler apocalyptique, mais je pense que cela présente en fait une excellente opportunité pour le secteur manufacturier américain, et rechercher de nouveaux investissements auprès d'investisseurs dans nos infrastructures américaines et être plus centrés sur l'Amérique en tant que société", a-t-il déclaré.
Le PDG de ShelfAware a également exprimé son scepticisme quant aux efforts de la sphère politique américaine pour pousser le récit de la prise de contrôle de Taiwan par la Chine, ajoutant qu'il ne craignait pas que cela se produise. En réponse à la question de Newman sur ce qui est actuellement la plus grande menace, Johnson a répondu en un mot : mondialisation.
«Lorsque nous perturbons toutes ces chaînes d'approvisionnement, ce qui représente une grande partie de ce que je fais, c'est comme un travail de première ligne sur la chaîne d'approvisionnement. Vous ne pouvez pas réaligner ces chaînes d'approvisionnement rapidement », a-t-il expliqué.
"Nous avons un système actuel qui fonctionne depuis la Seconde Guerre mondiale - après avoir effectivement tué un grand pourcentage de la population mondiale, rasé des villes [et] réinitialisé l'ensemble de l'infrastructure du monde. Après la Seconde Guerre mondiale, nous avons eu essentiellement une longue période de temps où les États-Unis étaient la seule superpuissance qui surveillait les voies navigables du monde et mettait en place des chaînes d'approvisionnement mondiales.
BigGovernment.news a plus d'histoires sur le gouvernement fédéral qui entrave les petites entreprises.
Regardez la conversation complète entre Alex Newman et le PDG de ShelfAware, Andrew Johnson, sur "Conversations That Matter" ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne New American sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Dictature des agences de réglementation du gouvernement - Comment les agences fédérales américaines sont armées jusqu'aux dents pour la guerre contre les Américains.
Les Américains ont dépensé plus en impôts qu'en nourriture, soins de santé, vêtements et éducation COMBINÉS en 2021.
L'Inflation Reduction Act ne combattra pas l'inflation mais obligera seulement les Américains à payer plus d'impôts.
Par Stephen Lendman StephenLendman.org 31 mars 2023
Les forces obscures américaines poursuivent toutes les ruses extrajudiciaires imaginables dans la poursuite d'un programme diabolique.
Il utilise les soi-disant «journalistes» MSM comme espions et, lorsqu'ils sont pris en flagrant délit, ils nient la réalité.
Le FSB russe a surpris le journaliste du WSJ Evan Gershkovich en flagrant délit d'espionnage.
Au service des forces obscures impériales américaines, il a été surpris en train de collecter des informations secrètes d'État sur une entreprise militaro-industrielle russe.
Faisant partie du bureau du Journal à Moscou, le démenti de lui et de son employeur est réfuté par des preuves irréfutables contre lui.
Selon le FSB russe :
Il « agissait à la demande du » régime de Biden à Ekaterbourg.
En vertu de l'article 276 du Code pénal russe, il a été arrêté pour espionnage au profit de l'empire du mensonge et de guerres éternelles contre des ennemis inventés.
S'il est reconnu coupable de son acte criminel, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
Selon le ministère russe des Affaires étrangères, sa détention "n'avait rien à voir avec le journalisme".
Très probablement, il a été utilisé comme couverture pour l'espionnage.
Maintes et maintes fois, les forces obscures américaines et occidentales ont été prises en flagrant délit.
Ignorant ce qui est indiscutablement vrai, le WSJ "nie (d) les allégations du FSB et demande la libération immédiate de... Evan Gershkovich".
Avec des preuves indiscutables contre lui après avoir été pris en flagrant délit, il sera jugé, condamné et emprisonné à long terme pour ses actes criminels.
En octobre dernier, Vladimir Poutine a autorisé les gouvernements locaux à s'occuper des questions de sécurité.
Cela a été fait pour préserver l'ordre public, aider la production industrielle et protéger les infrastructures vitales.
Hegemon USA et ses vassaux occidentaux sont en guerre contre la Russie par des moyens chauds et autres.
Lorsqu'ils sont pris, les espions américains/occidentaux doivent rendre des comptes, comme l'exige la loi.
Des éléments comme Gershkovich sont des espions pour l'empire des mensonges se faisant passer pour des journalistes.
Une fois attrapés, leurs activités diaboliques sont terminées.
Gershkovich ne verra pas la lumière du jour en dehors de l'emprisonnement pendant des années.
L'US Air Force abandonne le programme d'armes hypersoniques Lockheed après l'échec d'un test
PAR TYLER DURDEN JEUDI 30 MARS 2023 - 02:00
L'US Air Force a annoncé son intention de mettre fin au programme d'armes hypersoniques de Lockheed Martin.
Le secrétaire adjoint de l'armée de l'air pour l'acquisition, Andrew Hunter, a confirmé le développement majeur dans le témoignage donné mercredi à un sous-comité des services armés de la Chambre. Il a déclaré que l'armée de l'air "n'a pas actuellement l'intention de poursuivre l'achat de suivi" de l'arme connue sous le nom d'arme de réponse rapide à lancement aérien AGM-183A (ARRW).
Breaking Defense a rapporté plus tôt que l'ARRW fabriqué par Lockheed Martin pourrait être en danger, citant le secrétaire de l'Air Force Frank Kendall, qui a déclaré au sous-comité de la défense des crédits de la Chambre lors de son témoignage sur la demande de budget pour l'exercice 2024 du service cette semaine que le test du 13 mars n'était "pas un succès."
"Celui que nous venons d'avoir n'a pas été un succès. Nous n'avons pas obtenu les données dont nous avions besoin de ce test … examinant actuellement cela, essayant de comprendre ce qui s'est passé", a déclaré Kendall aux législateurs.
Il faisait référence à la nouvelle vendredi dernier d'un test ARRW par l'Air Force qui n'a atteint que "plusieurs" objectifs mais a omis toute prétention de succès
Des sources proches de Bloomberg ont déclaré que le missile, lancé par un bombardier B-52H au large de la côte sud de la Californie, avait rencontré des problèmes de transmission de liaison de données pendant le vol.
Le témoignage du secrétaire adjoint Hunter n'a pas précisé si l'Air Force abandonne le programme Lockheed en raison de l'échec, ou s'il était déjà sur le billot, mais il est clair que le programme a été troublé.
Kendall avait suggéré que d'éventuels tests supplémentaires pourraient déterminer le sort du programme ARRW. Il a noté que l'autre programme hypersonique de l'Air Force, le missile de croisière d'attaque hypersonique (HACM), a montré des résultats plus prometteurs :
"Nous voyons un rôle précis pour le concept HACM. Il est compatible avec plus de nos avions. Et cela nous donnera plus de capacité de combat dans l'ensemble. Donc, nous sommes plus attachés à HACM à ce stade que nous ne le sommes à ARRW. "
Il est en effet embarrassant que les États-Unis (le plus gros budget militaire au monde) n'aient pas encore déployé de missiles hypersoniques, alors que la Russie a déjà utilisé ses missiles hypersoniques Kinzhal à plusieurs reprises dans le conflit en Ukraine.
Depuis 2019, le ministère de la Défense a investi des milliards de dollars dans des programmes visant à développer des missiles hypersoniques, alors que les responsables de la défense ont averti que la Russie et la Chine progressaient dans ce domaine. Cependant, le récent test de missile hypersonique de l'Air Force s'est soldé par un échec, ce qui soulève des inquiétudes quant à savoir si les États-Unis prennent du retard dans la course aux armements hypersoniques.
Pourquoi les États-Unis sont-ils à la traîne dans la course aux armements hypersoniques ?
Combustion off comme serment de divulgation par l'UE
31 mars 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
J'ai récemment écrit ici à propos de l'interdiction européenne des moteurs à combustion interne. En me référant au Wall Street Journal, j'ai essayé d'exprimer mon espoir que le bon sens prévaudra. Mais maintenant, après consultation avec Berlin, la Commission européenne a prévalu avec une « solution » qui sauve la face (?). Une brève analyse – et de nombreuses questions.
Ceci est un bref article qui peut servir de "mise à jour" à mon article du 29 mars. Par exemple, dans un article de Reuters paru peu de temps après, il est écrit comme suit (je souligne) :
Les pays de l'Union européenne mardi [28. mars 2023] a finalement approuvé une loi historique qui vise à mettre fin à la vente de voitures neuves émettant du gaz carbonique en 2035 après que l'Allemagne a imposé une exemption pour les voitures fonctionnant aux carburants électriques...
La législation européenne exige que toutes les voitures neuves vendues aient zéro émission de gaz carbonique d'ici 2035 et 55 % d'émissions de gaz carbonique en moins d'ici 2030 par rapport à 2021. Les objectifs visent à favoriser la décarbonisation rapide des nouvelles flottes de véhicules en Europe.
Ce n'est pas tout, car à la dernière minute l'Allemagne - probablement sous la pression de l'industrie automobile - ressemblait à un obstacle :
Cependant, la Commission européenne s'est engagée à créer un moyen légal pour la vente de nouvelles voitures uniquement alimentées en carburant électrique après 2035, après que l'Allemagne a demandé cette exemption… Mais l'exemption obtenue par l'Allemagne est une bouée de sauvetage potentielle pour les véhicules conventionnels - même si e- les carburants ne sont pas encore produits à grande échelle...
"La direction est claire : en 2035, les nouvelles voitures et camionnettes doivent être sans émission", a déclaré Frans Timmermans, chef de l'UE pour le climat.
Vous pouvez donc lire ces lignes et – comme moi – deviner un certain nombre d'exceptions.
questions sur questions Et pourtant, au-delà des verrous technologiques et énergétiques, il reste encore un certain nombre de questions qui n'ont pas (encore) trouvé de réponse. A mon avis, une liste non exhaustive de ces aspects comprend au moins les points suivants :
Si la vente ou l'immatriculation de voitures neuves doit être rendue plus difficile ou impossible, la première question se pose quant aux changements obligatoires pour les voitures d'occasion (ici en Norvège, les voitures sont nettement moins chères à partir de la deuxième immatriculation) : la demande et le commerce de ou les voitures d'occasion similaires sont massives). Comment utiliser le réseau existant d'infrastructures de stations-service ? On dit que des bornes de recharge doivent être construites "tous les 60 km" ( TKP rapporte ), même si cela ne peut pas être le cas du jour au lendemain - et sans parler des coûts associés (extension du réseau). En même temps, comme pour tous les projets d'infrastructure, il y aura probablement des régions qui ne seront initialement (?) pas concernées par ces changements. Les politiciens ou les régulateurs choisiront donc des « gagnants » comme des « perdants ». De plus, il y a ce que je considère comme la question la plus importante : à partir de quel moment ou à quel endroit les émissions de gaz carbonique sont-elles enregistrées ?
Ce qui ne fait aucun doute, c'est que toute activité industrielle émet du gaz carbonique et d'autres polluants et provoque une dégradation de l'environnement. Néanmoins : faut-il, par exemple, que les conditions de travail dans les mines de cobalt au Congo (voir Cobalt Red de Siddharta Kara) fassent partie des considérations ?
Quid de l'élimination ou du recyclage des batteries de voitures électriques classées « déchets dangereux » ? Le "Global South" résiste depuis plusieurs années à l'importation de déchets "normaux" et autres en provenance des pays industrialisés - mais à Bruxelles et ailleurs (par exemple au ministère de l'Environnement), les gens aiment garder le silence sur la fin de toutes ces choses jusqu'à , Il faut donc s'attendre à ce que ceux-ci soient probablement aussi attachés au consommateur.
Dans le rapport de Reuters mentionné, le ministre allemand des Transports, Volker Wissing, aurait déclaré que l'accord "offre à la population des options importantes pour une mobilité climatiquement neutre et abordable".
J'entends bien les paroles, mais je manque de foi.
Chocs sur les prix et problèmes d'approvisionnement à venir Indépendamment de toutes les considérations exprimées jusqu'à présent, Wissing indique où le voyage mènera : dans le sens d'une augmentation massive des coûts des transports privés. On peut supposer que les années à venir - indépendamment de ce que "nous" faisons en ce moment.
La "pandémie" a contribué au fait que les chaînes de production et d'approvisionnement sont actuellement assez instables. A cela s'ajoutent le climat international incertain et des marchés financiers et de matières premières massivement déformés : ni le prix du pétrole brut ni celui du cuivre ne correspondent à leurs prix réels, mis à part l'allongement des délais et des investissements.
En parlant d'investissements, l'incertitude politique aide l'industrie pétrolière et gazière à réfléchir sérieusement aux investissements à réaliser qui promettent des bénéfices seulement des années plus tard. Incidemment, c'est le cas depuis longtemps - et les conséquences de cela se font sentir de plein fouet ces jours-ci. En fin de compte, les prochaines années apporteront principalement des sauts de prix et une volatilité accrue, ce qui contribuera à la destruction de la demande.
En dehors de cela : tous les véhicules agricoles et engins de chantier sont alimentés au diesel ; Les engrais artificiels nécessitent du gaz naturel et les pesticides nécessitent du pétrole. Tout changement lié aux « moteurs à combustion interne » entraîne inévitablement des augmentations du prix des produits de base, sans parler des coûts accrus de leur transport par camion.
Sans surprise, ce ne sont là que les faits que St. Greta (Thunberg) ou les politiciens «verts» ne mentionnent pas.
Le président de l'Ifo se complaît dans les contradictions Pour ne rien arranger, les « experts » peinent à trouver les mots justes. De temps en temps, cependant, il y a aussi des gens qui disent des «grands mots» relativement calmement. "Même" dans les "médias de premier plan et de qualité" - comme Deutschlandfunk (c'est moi qui souligne) :
D' autre part , Fuest a décrit la réglementation précédente de la loi sur la protection du climat selon laquelle certains secteurs devaient atteindre des objectifs de réduction de gaz carbonique comme une «économie planifiée». Il vaut mieux économiser plus là où c'est le moins cher. Le marché doit savoir exactement où cela se trouve, c'est à cela que sert le commerce des certificats. Il est important d'inclure le plus rapidement possible les domaines des transports et des bâtiments dans le commerce. Cependant, le prix du gaz carbonique doit augmenter plus rapidement.
Fuest a qualifié l'augmentation prévue du péage pour les camions de "pas si mauvaise solution", 43% du péage seraient payés par des camions étrangers et il n'y avait pas lieu de s'inquiéter qu'il n'y ait pas assez de trafic de camions. L'argent ne suffit pas pour l'expansion du chemin de fer. L'économiste a critiqué le fait que le train était "désorganisé et très souvent en retard".
Laissons de côté d'où viennent les problèmes avec le web (un bon aperçu peut être trouvé ici ) - et notons un instant qui a dit quoi ici. L'initiateur de ce don de mots est le président de l'Institut Ifo de Munich, Clemens Fuest.
Moteur à combustion éteint sous serment de divulgation par la Commission européenne Et chaque géant intellectuel est d'avis que l'augmentation du péage poids lourds en Allemagne est principalement payée par des "camions étrangers".
Si la Commission européenne permet à Berlin de s'en tirer - le non- paiement des péages de l'ancien gouvernement fédéral , qui est indissolublement lié à Andreas Scheuer , sera brièvement évoqué ici -, le marché intérieur commun prendra fin. Dès que cela sera jugé "d'accord", tous les autres pays de l'EEE promulgueront des réglementations similaires, notamment ce serait un très bon argument pour rendre la route du Brenner nettement plus chère pour les camions (et c'est un "bon argument de vote" pour tous factions du Tyrol ").
Au demeurant, cela ne change presque rien au problème supposé en être la cause – comme on peut le voir ici via « Our World in Data » :
- voir graph sur site -
Soit dit en passant, le président de l'Ifo, Fuest, admet également ceci (c'est moi qui souligne) :
Fuest a déclaré que les coûts économiques du réchauffement climatique sont énormes. Mais cela n'a pas grand-chose à voir avec « ce que nous faisons des émissions de gaz carbonique ici en Allemagne ». Les coûts dépendraient uniquement des émissions mondiales, principalement du comportement de la Chine et des États-Unis et de l'abattage ou non de la forêt tropicale par le Brésil. Fuest a vu une influence allemande sur le climat mondial principalement à travers l'exportation de technologies vers d'autres pays. "Il n'y a pas de lien direct entre les émissions de l'Allemagne et le climat mondial."
Reste à savoir si la Commission européenne s'abolira par ces « détours » de « l'activisme climatique » avant 2035.
Diplomate indien: la Russie affronte déjà avec succès l'Occident par elle-même
31 mars 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Il est étonnant de voir à quel point la vision des médias et de la politique occidentale diffère de celle de la majorité du monde. Les commentateurs sont consternés par la manière grossière dont se comportent le président américain Jo Biden et le secrétaire d'État Anthony Blinken. La manière dont les politiciens de haut niveau en Russie et en Chine se traitent, en revanche, est de plus en plus reconnue dans les pays du Sud, tout comme leurs objectifs.
L'une des voix des pays du Sud est l'ancien diplomate indien de haut rang MK Bhadr a kumar. Dans son article le plus récent sur son blog Indian Punchline, il rend compte avec appréciation de la coopération croissante entre la Chine et la Russie. L'Inde entretient de bonnes relations amicales avec la Russie depuis son indépendance en 1948. Par exemple, vous achetez des avions de combat russes et d'autres équipements militaires. Les relations avec la Chine sont cependant troubles depuis un certain temps, mais un rapprochement semble désormais en cours.
Comme l'écrit Bhadra Kumar :
"Les médias russes ont rapporté que le président Vladimir Poutine avait fait un geste extraordinaire lorsque le président Xi Jinping avait quitté le Kremlin après le dîner d'État de la semaine dernière mardi soir, l'accompagnant jusqu'à la limousine et lui disant au revoir.
Se serrant la main en guise d'adieu, Xi aurait répondu : "Ensemble, nous devons conduire ces changements qui ne se sont pas produits depuis 100 ans. Prends soin de toi."
Xi faisait allusion aux 100 dernières années de l'histoire moderne, au cours desquelles les États-Unis sont passés d'un pays situé au nord du Mexique dans l'hémisphère occidental à une superpuissance et à un hégémon mondial.
Le diplomate commente le soutien de Poutine au niveau politique intérieur :
C'était une conclusion appropriée à une visite d'État qui a commencé la nuit précédente avec Xi exprimant sa confiance dans les Russes soutenant Poutine lors de l'élection présidentielle de l'année prochaine. D'un seul coup, Xi a « défait » la diabolisation de Poutine par l'Occident, conscient de l'absurdité de même émettre un mandat d'arrêt contre le chef du Kremlin pour détourner l'attention de ses pourparlers à Moscou.
La Chine s'est abstenue de commenter les politiques intérieures des autres pays. Dans le cas de la situation autour de la Russie, cependant, Xi a fait une exception notable, signalant qu'il apprécie grandement le leadership proactif de Poutine en ces temps turbulents. La majorité de l'opinion mondiale, en particulier dans les pays du Sud, sera d'accord avec lui.
L'analyse selon laquelle le Sud global soutient Poutine provient en réalité d'un pays de 1,4 milliard d'habitants. L'évaluation par l'Indien de la politique étrangère américaine est tout aussi remarquable :
"Le moment choisi pour la visite d'Etat de Xi au milieu de la guerre en Ukraine montre que la Chine attache la plus haute importance aux relations avec la Russie. Cela se fait judicieusement, car la Chine et la Russie sont prises dans une spirale de tensions croissantes avec les États-Unis.
Il y a eu un changement radical d'humeur à Pékin. Le fond a été atteint avec le comportement tapageur du président Biden dans son discours sur l'état de l'Union du 7 février, lorsqu'il s'est écarté du texte et a crié hystériquement : "Nommez-moi un dirigeant mondial qui échangerait sa place avec Xi Jinping".
Dans la culture orientale, une telle grossièreté est considérée comme un comportement scandaleux impardonnable. Dans les semaines qui ont suivi l'abattage par les États-Unis du ballon météo chinois et la frappe internationale contre la Chine, Pékin a démenti plusieurs tentatives de la Maison Blanche pour amener Biden à parler au président Xi au téléphone.
La diplomatie indienne, au moins indirectement, continue de s'en prendre vigoureusement aux États-Unis :
"Pékin en a assez des promesses creuses de Biden d'améliorer les liens tout en renforçant secrètement les alliances à travers l'Asie-Pacifique, en incorporant l'OTAN dans la dynamique de puissance de l'Asie-Pacifique et en envoyant des forces et une puissance de feu supplémentaires dans des endroits comme Guam et les Philippines à partir de l'effort résolu pour affaiblir l'économie chinoise".
La volonté de l'Inde de normaliser ses relations avec la Chine pourrait difficilement être clarifiée. Après tout, la Chine et l'Inde travaillent également ensemble au sein de l'organisation BRICS. La façon dont la Russie et la Chine se traitent semble être du goût des Indiens :
Mais alliance ou pas, le fait est que ce « nouveau modèle de relations entre grands pays, caractérisé par le respect mutuel, la coexistence pacifique et la coopération qui profite à tous » – pour citer Xi Jinping – est tout sauf hiérarchique, c'est bien.
Les professionnels américains ont du mal à comprendre les relations égales entre deux nations souveraines et indépendantes.
L'évaluation de l'évolution du conflit en Ukraine diffère également considérablement de ce que les grands médias occidentaux diffusent :
« Un article paru il y a quelques semaines dans le Global Times de Hu Xijin, ancien rédacteur en chef du quotidien Comité central du Parti communiste chinois, a mis la « vue d'ensemble » en perspective.
Hu a écrit que la guerre en Ukraine « s'est transformée en une guerre d'usure entre la Russie et l'Occident... Bien que l'on dit que l'OTAN est beaucoup plus forte que la Russie, la situation sur le terrain ne semble pas inquiéter l'Occident. "
Hu a tiré des conclusions surprenantes : « Vaincre la Russie est beaucoup plus difficile que prévu pour les États-Unis et l'Occident. Ils savent que la Chine n'a pas fourni d'aide militaire à la Russie, et la question qui les taraude est la suivante : si la Russie seule est si difficile à vaincre, alors que se passera-t-il si la Chine commence vraiment à fournir une aide militaire à la Russie et à ses énormes industriels ? Utilisez des compétences pour la Russie. militaire? La situation sur le champ de bataille ukrainien changerait-elle fondamentalement ? De plus, seule la Russie peut défier tout l'Occident en Ukraine. S'ils forcent vraiment la Chine et la Russie à se serrer la main, qu'est-ce qui changera dans la situation militaire dans le monde ?
Le diplomate résume la direction qui va, qui est apparemment également pleinement soutenue par l'Inde :
"En effet, l'article 5 est l'âme même de la déclaration commune faite à Moscou : "Les deux parties réaffirment leur détermination à protéger le système international centré sur les Nations Unies, l'ordre international fondé sur le droit international et les normes fondamentales des relations internationales, fondées sur les buts et principes de la Charte des Nations Unies, et s'opposent à toutes les formes d'hégémonisme, d'unilatéralisme et de politique de puissance, à la mentalité de guerre froide, à la confrontation entre les camps et à la formation de cliques alignées sur des pays particuliers ».
Il faut être clair sur le fait qu'il ne s'agit pas ici de déposer les États-Unis en tant que dirigeant et de les remplacer par la Chine, mais d'empêcher efficacement les États-Unis d'intimider des États plus petits et plus faibles et ainsi d'inaugurer un nouvel ordre international, qui donne la priorité au développement pacifique et au politiquement correct. et ignore toutes les différences idéologiques.
Renforcement de la coopération militaire entre la Russie et la Chine
Pendant ce temps, le porte-parole du ministère chinois de la Défense, Tan Kenfei , a expliqué comment la coopération entre les deux pays se développe, ont rapporté divers médias asiatiques .
La Chine est prête à renforcer sa coopération avec l'armée russe pour défendre ensemble la justice, la paix et la sécurité internationales, a déclaré jeudi le porte-parole du ministère chinois de la Défense, Tan Kefei.
Selon M. Tan, la Chine est prête à travailler avec l'armée russe pour mettre pleinement en œuvre l'important consensus auquel sont parvenus les deux dirigeants. Cela comprend le renforcement de la communication et de la coordination stratégiques, a-t-il ajouté.
Le diplomate a expliqué que les deux nations prévoyaient d'organiser régulièrement des patrouilles maritimes et aériennes conjointes, ainsi que d'organiser des exercices d'entraînement et de renforcer divers autres domaines de coopération. L'objectif, a déclaré Tan, est d'approfondir la confiance militaire mutuelle avec la Russie pour assurer la justice internationale et apporter de nouvelles contributions à la sécurité internationale et régionale. Cela « servirait à construire une communauté avec un avenir commun pour l'humanité », a-t-il expliqué.
Tan a souligné les liens de plus en plus étroits entre Moscou et Pékin, mais a souligné que ceux-ci ne constituaient pas une alliance militaro-politique de style guerre froide. Selon le porte-parole, la relation "va au-delà de ce modèle de relations étatiques" et a le caractère de " non alignés, non conflictuels et non ciblant les pays tiers" .
Et comme indiqué hier , le Brésil a accepté de négocier dans sa monnaie nationale au lieu de dollars. Le président brésilien Lula effectue une visite d'Etat de cinq jours en Chine.
L'UE pousse à la "criminalisation" de l'argent physique avec une nouvelle loi anti-blanchiment
Par Peter Caddle Recherche mondiale, 31 mars 2023
L'Union européenne risque de "criminaliser" l'utilisation d'argent liquide avec ses nouvelles lois anti-blanchiment, a averti un député européen.
Le Dr Gunnar Beck , un représentant du parti populiste Alternative pour l'Allemagne (AfD), a averti que l'UE semble pousser à la "criminalisation" de l'utilisation de l'argent liquide avec ses nouvelles lois anti-blanchiment d'argent (AML).
Les politiciens bruxellois réfléchissent depuis longtemps à une limite légale supérieure à la valeur des transactions en espèces au sein du bloc, les législateurs détaillant les plans visant à interdire aux Européens de dépenser plus de 10 000 € en offres physiques dans le cadre d'une seule transaction.
Le Parlement européen a cependant voté pour qu'une telle limite proposée soit abaissée à 7 000 € seulement dans le cadre des efforts visant à lutter contre le blanchiment d'argent et l'évasion fiscale au sein du bloc, les responsables votant également pour voir les transactions de crypto-monnaie payer pour les marchandises et les services d'une valeur supérieure à 1 000 € à interdire.
De nombreux membres du parlement semblent justifier ces décisions comme étant une étape importante dans la réduction de la criminalité en Europe, bien que le Dr Beck avertisse que les limites sur les paiements en espèces semblent maintenant être allées trop loin.
Dans une déclaration à Breitbart Europe, Beck a souligné que si l'AfD saluait les efforts supplémentaires pour lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, elle rejetait l'appel du Parlement à la réduction des transactions en espèces.
"Alors que nous devrions nous concentrer sur le blanchiment d'argent par le crime organisé et les terroristes islamistes, l'UE choisit de renforcer sa surveillance des transactions des épargnants et des retraités allemands", a fait remarquer le Dr Beck. "C'est une erreur."
Il a poursuivi en affirmant que l'AfD était désormais le "seul parti défendant la liberté de l'argent liquide" en Allemagne, les membres d'autres partis supposés de droite du pays votant prétendument en faveur des restrictions en matière d'argent liquide, malgré la critique de la mise en œuvre de mesures similaires. à la maison.
Le représentant populiste s'est également inquiété de la nature des mesures que Bruxelles cherche à adopter, avec le fait que les eurocrates auraient décidé d'opter "pour un règlement au lieu d'une directive", ce qui signifie que les États-nations individuels ne pourront pas éviter d'avoir à mettre en œuvre les réformes anti-cash, même s'ils veulent protéger l'utilisation du cours légal physique dans leur propre pays.
Le Dr Beck a cependant noté que les choses pourraient être bien pires, les parlementaires européens ayant rejeté une limite encore plus basse pour les transactions en espèces avant d'arriver au chiffre de 7 000 €.
"Heureusement, la proposition initiale des rapporteurs de 3 000 € a été augmentée de manière significative, également grâce à la pression de l'AfD dans le processus de négociation", a déclaré le représentant allemand, tout en ajoutant que lui et son parti auraient préféré que la limite suggérée reste à 10 000 €.
La décision de restreindre les transactions en espèces au sein du bloc semble faire partie d'une tendance plus large en Europe et en Occident plus largement, l'Australie étant l'une des premières nations à déclarer qu'elle mettait en œuvre une interdiction des transactions en espèces de 10 000 AUD (~ 6 600 $ ) ou plus .
Bien que la nation de l'hémisphère sud ait par la suite perdu tout intérêt à mettre en œuvre la politique, les nations européennes ont semblé beaucoup plus désireuses de réduire les liquidités, les politiciens allemands se disputant actuellement pour savoir si une limite légale à ces transactions est une bonne idée ou non.
D'autres pays européens ont déjà mis en place de telles mesures, les Pays-Bas interdisant les transactions en espèces de plus de 3 000 €.
Les choses sont encore plus strictes en France, où il est légalement interdit aux résidents du pays de payer des biens ou des services en espèces lorsque la transaction s'élèverait à plus de 1 000 € , un chiffre qui dépasse même le prix de nombreux appareils électroniques modernes, tels que les ordinateurs portables et les smartphones.
Le 11 septembre et le canular de la COVID-19 dans la transition vers la gouvernance par des « mesures d'urgence »
Par le professeur Anthony J. Hall Recherche mondiale, 31 mars 2023
Au Congrès américain , le sénateur Rand Paul a proposé un amendement visant à supprimer la disposition sur les mesures d'urgence qui est devenue loi une semaine après les événements du 11 septembre 2001. 86 des 100 sénateurs du Congrès américain ont voté contre l'initiative de Paul d'abandonner la loi publique 107. -40 22 ans après son invocation. La loi post-11 septembre "autorisait l'utilisation des forces armées américaines contre les responsables des récentes attaques lancées contre les États-Unis".
Le chèque en blanc donné par le Congrès en 2001 aux forces armées américaines et à son commandant en chef a contribué à faire avancer l'agenda qui a placé en 2019 le ministère de la Défense en charge d'une guerre biologique contre l'humanité toujours en cours.
Jusqu'à présent, l'arme principale de cette guerre est un appareil militaire encore présenté de manière spécieuse au public comme des vaccins pharmaceutiques promus comme remèdes contre le COVID-19.
- voir clip sur site -
La loi publique 107-40 a été imposée au public en septembre 2001 sans aucune enquête systématique sur la scène du crime et sur l'éventail des coupables possibles qui auraient pu contribuer à la débâcle. Le saut à l'action en 2001 avant que des enquêtes appropriées ne puissent avoir lieu a été réitéré dans le canular COVID-19.
Moins d'un mois après le 11 septembre, les forces armées américaines ont atterri en Afghanistan, où elles sont entrées en guerre principalement pour mettre en œuvre un changement de régime.
Puis, en 2020-2021, un supposé remède a été précipité dans la production, puis planté dans les bras de plusieurs milliards d'humains. Ces coups expérimentaux ont été poussés dans les veines sanguines avant que les tests appropriés n'aient eu lieu et sans l'application de contrôles de qualité.
Cette approche consistant à agir d'abord et à laisser les enquêtes à plus tard devient apparemment un aspect essentiel de la nouvelle normalité. Même dans le système de justice pénale de plus en plus dysfonctionnel, où le principe juridique fondamental exige la présomption d'innocence jusqu'à ce que la culpabilité soit prouvée, les anciennes règles semblent ne plus s'appliquer . Habituellement, l'ancienne règle n'est invoquée que pour fournir des protections supplémentaires aux puissants afin de les rendre encore plus invulnérables aux récriminations des lanceurs d'alerte, des journalistes d'investigation et autres.
L'histoire officielle qui couvre l'opération sous fausse bannière connue sous le nom de 9/11 est composée de mensonges et de tromperies scandaleux tout aussi évidents pour les véritables chercheurs de vérité que le complexe d'escroqueries COVID facilitant la prise de pouvoir massive actuellement en cours.
Les événements déformés du fiasco du 11 septembre ont inauguré un complexe complexe et continu de «mesures d'urgence» conçues pour concentrer l'autorité exécutive arbitraire tout en mettant de côté l'État de droit, les protections constitutionnelles, les freins et contrepoids, etc., etc. un rôle énorme dans la pose des fondements psychologiques et pseudo-lois de notre dilemme actuel dans la crise de tout émergeant de la crise du COVID manufacturé.
Alors que l'exploitation des dispositions des mesures d'urgence pour faire avancer les prises de pouvoir et les objectifs politiques douteux n'a rien de nouveau dans l'histoire, l'hystérie publique générée notamment par la pulvérisation des trois tours du World Trade Center à Manhattan a ouvert la porte à de nouvelles frontières. Le sentiment de panique et d'insécurité qui prévalait a été rapidement exploité pour justifier une activité policière accrue, des invasions militaires ainsi que la quasi-déclaration de la loi martiale au niveau national.
Tours jumelles
La vitesse des transitions du gouvernement vers une position de temps de guerre en 2001 a été remarquable.
Ces transitions incluent l'invasion quasi instantanée de l'Afghanistan par les États-Unis, la publication et la ratification rapides de l'énorme Patriot Act et la réorganisation rapide des aéroports pour annoncer la transformation des citoyens détenteurs de droits en suspects de terrorisme.
Tous ces exemples suggèrent fortement la préparation d'initiés aux événements du 11 septembre avant qu'ils ne se produisent réellement. Les preuves indiquent une connaissance et une préparation préalables par les véritables instigateurs du 11 septembre de la même manière que l'événement 201 en octobre 2019 a signalé l'identité des organisateurs essentiels responsables de la pandémie sous fausse bannière à venir.
Le fait que le Sénat américain ne soit toujours pas disposé à suspendre la première mesure d'urgence du 11 septembre est instructif. À partir du début de 2020, le recours aux pseudo-lois édictées par les mesures d'urgence est toujours opérationnel dans de nombreux pays et aux différents niveaux de juridiction que ces pays contiennent. Surtout avec le mandat des contre-mesures militaires déguisées en vaccins, l'approche des mesures d'urgence a été absorbée dans la gouvernance, par exemple, des hôpitaux, des écoles, des entreprises, des syndicats, des associations professionnelles, etc.
L'industrie pharmaceutique a réclamé les indemnisations découlant des autorisations d'utilisation d'urgence adoptées par les gouvernements de la plupart des pays du monde. Au Canada, le Premier ministre Justin Trudeau a invoqué la version canadienne de la loi martiale avec l'invocation par son gouvernement d'une autre loi d'urgence. Trudeau a utilisé ses nouveaux pouvoirs pour ordonner aux banques canadiennes de saisir les comptes de son opposition politique la plus efficace, à savoir les membres et les partisans du mouvement Truckers Freedom Convoy.
Les mensonges continus et les crimes protégés des coupables du 11 septembre
Il existe un grand nombre d'ouvrages bien documentés qui illustrent qu'il n'y a pas un seul aspect du mythe officiellement sanctionné du 11 septembre qui corresponde à des preuves du domaine public éclairant ce qui s'est réellement passé. Les 11 livres du professeur David Ray Griffin sur divers aspects des crimes du 11 septembre constituent un excellent point d'entrée dans l'affaire fondée sur des preuves étayant la conclusion selon laquelle l'histoire officielle du 11 septembre est une foutaise insultante pour les nuls.
La simulation du 11 septembre qui a été mise en ligne peut être considérée comme un art de la performance meurtrier créé pour préparer le terrain de l'opinion publique au meurtre de masse de civils, en particulier dans les pays à majorité musulmane. La production théâtrale a été conçue par ses producteurs pour vulgariser la haine des musulmans, des perses, des arabes et surtout des palestiniens. Comme les livres analytiques sur le 11 septembre écrits par, par exemple, Zwicker, Bollyn, Tarpley, Macqueen et Meyssan, les tomes savants de DRG éclairent plutôt qu'obscurcissent les événements du 11 septembre.
Les cerveaux du mouvement 9/11 Truth ont dirigé leurs enquêtes d'une manière qui s'éloignait des fraudes grossières et extravagantes présentées par Philip Zelikow ainsi que par d'autres agents et agents de premier plan de la Maison Blanche Bush-Cheney. Le professeur Zelikow est le véritable architecte et auteur de l'étude de l'administration Bush visant à dissimuler la vérité sur ce qui s'est réellement passé le 11 septembre. À cet égard, la Commission Zelikow sur le 11 septembre est similaire à la Commission Warren qui a étudié le meurtre de John F. Kennedy. Les deux enquêtes ont été créées pour cacher plutôt qu'éclairer la vérité sur ce qui s'était réellement passé.
Le professeur Zelikow était un initié de la Maison Blanche dont le domaine de recherche impliquait l'étude de mythes populaires tels que ceux nécessaires pour inciter des masses de gens à haïr les musulmans et à aimer l'idée d'une guerre contre le terrorisme menée par Bush. La persistance de la dissimulation du 11 septembre, même face au grand nombre d'interprétations d'experts exposant l'étendue des mensonges et des crimes du 11 septembre, a été extrêmement influente pour nous faire tomber dans notre pépin actuel. Le contrôle continu du Grand mensonge du 11 septembre montre aux principaux coupables, à leurs complices et à leurs cercles d'amis qu'avec le soutien d'une collaboration bien orchestrée entre le gouvernement et les médias, de puissants saboteurs de la société civile peuvent s'en tirer avec d'énormes crimes qui transforment le monde.
Les crimes peuvent donner l'impression qu'ils ont disparu dans les airs tant que la majorité silencieuse somnolente reste sous le charme de lieux médiatiques complètement corrompus qui présentent uniformément les fantasmes du 11 septembre comme la matière de l'histoire authentique. Une horreur concoctée mais réelle a été conçue dans l'opération psy élaborée du 11 septembre. L'un des principaux objectifs de traumatiser le public était de mobiliser la monnaie politique de la peur de masse à la veille des invasions répétées des pays à majorité musulmane dans tout le Moyen-Orient.
De toute évidence, les principaux auteurs des canulars COVID progressent vers un contrôle plus bio-numérique des survivants des bio-agents de dépopulation injectés. Vingt-deux ans après le 11 septembre, les principaux criminels du COVID sont dotés de nombreuses connaissances fondées sur des preuves exposant la stupidité et/ou la corruption de la grande majorité des faiseurs d'opinion dans le soi-disant « Occident » et ses extensions mondiales.
Il semble qu'il y ait beaucoup de chevauchement et de coopération entre les différents centres de pouvoir qui, jusqu'à présent du moins, n'ont pas été tenus pour responsables des assassinats de Kennedy, du 11 septembre et des crimes contre l'humanité toujours en cours, facilités par les masses de mensonges qui convergent dans la crise du COVID. L'ampleur du meurtre et du chaos exploités par les auteurs constamment habilités semble croître de façon exponentielle à chaque événement. Et ensuite ?
9/11, Fauci et les dommages causés par l'AZT et les injections d'ARNm induisant une modification génétique Dans son célèbre livre, Robert F. Kennedy Jr . présente un cas puissant selon lequel la fraude et les abus tourbillonnant autour du rôle d'Anthony Fauci dans le fiasco du VIH/SIDA/AZT au cours des dernières années du XXe siècle offrent une clé pour comprendre le canular COVID-19 actuel. Alors que Dick Cheney était l'agent clé de la saga du faux drapeau le jour du 11 septembre, Anthony Fauci a joué un rôle similaire dans le faux drapeau médical qui a déclenché la crise de tout qui nous submerge actuellement.
De toute évidence, Robert Kennedy s'est largement inspiré du travail d'enquête de Celia Farber pour développer sa propre compréhension du rôle de Fauci en tant qu'agent fédéral interne de la communauté gay qui a accueilli le faux remède de l'AZT. Au fil du temps, il est devenu de plus en plus clair que l'AZT était extrêmement toxique et mortel. Les similitudes sont troublantes entre le rôle de Fauci dans la direction des tests appropriés de l'AZT et son rôle pour éviter les tests appropriés des procédures d'ARNm pour la modification génétique. Dans les deux cas, le but des prétendus remèdes semble sans rapport avec l'objectif d'arrêter la transmission des infections virales.
Le rôle de Fauci en tant qu'agent secret de l'establishment militaire américain du bioterrorisme remonte aux opérations dirigées par Dick Cheney à la suite des événements déformés du 11 septembre. Cette histoire doit être davantage dévoilée en tant qu'aspect clé du phénomène selon lequel de nombreux pays du monde sont devenus des foyers pour des gouvernements bioterroristes qui mènent une guerre biologique contre leur propre peuple.
L'échec jusqu'à présent des citoyens consciencieux à obtenir une certaine responsabilité pour le canular COVID-19 a des racines importantes dans notre incapacité à parvenir à une sorte de prise en compte par la société des mensonges et des crimes audacieux du 11 septembre.
Après les avions-virus vus uniquement à la télé le 11 Septembre est arrivé la seringue-virus qui s'est chargé (hors télés) de faire disparaître des centaines de millions de tours jumelles dans le monde !
SUISSE: Il porte un flyer anti-masque, le Parlement vote pour qu’il le retire
Un dépliant dépassant de la poche d’un élu UDC a donné lieu à une étonnante scène au Parlement cantonal d’Appenzell Rhodes-Extérieures.
par Jonathan Zalts 31 mars 2023, 06:58
Les élus cantonaux ont fait grand cas d’un prospectus sur le port du masque cette semaine au Grand Conseil d’Appenzell Rhodes-Extérieures. Dépassant de la poche de l’UDC Reto Sonderegger, le flyer est carrément devenu un objet politique soumis au vote.
C’est le député Hans Koller (PLR) qui a dénoncé le dépliant. «Le conseiller cantonal UDC a ouvertement montré le flyer», explique-t-il à «20 Minuten». Au Parlement cantonal, on parle, on n’a pas de flyers avec soi.»
L’élu a donc déposé une motion d’ordre pour le faire retirer. Motion qui a été adoptée par le Grand Conseil, et Reto Sonderegger a donc dû s’exécuter. «Je trouve amusant que le flyer soit devenu un tel sujet», confie ce dernier au quotidien alémanique. «Il est probable que personne ne l’aurait remarqué sans la motion d’ordre.»
Mesures sanitaires
Reto Sonderegger est membre du comité d’initiative «Pour la protection de l’enfance». Cette dernière conteste plusieurs mesures sanitaires telles que l’obligation de porter le masque dans les écoles, la distanciation sociale ou encore la vaccination des enfants. «Le conseiller cantonal UDC s’était déjà fait remarquer à l’époque du corona […] Il continue de le faire», souligne Hans Koller auprès de «20 Minuten».
Si de telles motions d’ordre sont plutôt rares, elles peuvent être déposées pour toute sorte de motifs et chaque député de Grand Conseil en a la possibilité. Relayée sur les réseaux sociaux, celle de Hans Koller aura en tout cas fait sourire des internautes, certains se demandant si les députés n’auraient pas d’«autres problèmes» plus importants à débattre.
Avec l'obligation non-scientifique de porter un masque ! a fait de la Suisse une Démocratie passée en dictature ! Pire: Un papier dépassant d'une poche ! demain une amende ou prison pour porter un t-shirt marqué 'Non aux masques' ?
Le Parti Libéral Radical (socialiste) a dénoncé le papier imprimé qui dépassait d'une poche ! Demain un tatouage ?
"Comment les vaccins à ARNm pourraient tout cibler, du cancer à la peste": ils ne s'arrêteront jamais, même si les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna COVID-19 étaient un échec complet
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 31 mars 2023
«Imaginez que vous rendiez visite à votre médecin pour un examen de routine et, en plus des injections habituelles – le vaccin annuel contre la grippe ou le COVID – votre médecin vous demande si vous souhaitez être vacciné contre le cancer. Tous les cancers – poumon, peau, côlon, etc. – avec un seul coup légèrement inconfortable dans le bras.
C'est ainsi que commence un article du New York Post du 25 mars 2023. ( cliquez ici )
«Ce scénario, qui ressemble à quelque chose de science-fiction, pourrait être plus proche que vous ne le pensez . Et c'est principalement grâce au vaccin COVID - qui en quelques années est devenu le plus en vue de la famille de plus en plus influente connue sous le nom de vaccins à ARNm.
« Anna Blakney, chercheuse en ARN à l' Université de la Colombie-Britannique , dit que nous sommes actuellement au milieu d'une « renaissance de l'ARNm ». ”
Ces médicaments « vont changer la donne dans les années à venir » dit-elle.
Plus personne ne veut de vaccins à ARNm défaillants… Les gens en ont peut-être fini avec le COVID-19 et les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna COVID-19 qui ont échoué, mais les élites n'en ont pas fini avec nous.
Seulement 22,4 % des Canadiens continuent de prendre religieusement ces produits toxiques défaillants , après avoir pris une injection de rappel au cours des 6 derniers mois, malgré les preuves de plus en plus nombreuses que ces produits pharmaceutiques défaillants ont blessé des millions de personnes.
«Le vaccin à deux doses utilise la même technologie d'ARNm que celle utilisée pour fabriquer les vaccins COVID-19 , sauf que cette fois, il a délivré de petites particules contenant les instructions pour transformer les protéines d'hémagglutinine trouvées à la surface du virus de la grippe dans les cellules. Les cellules commencent à fabriquer ces protéines, déclenchant une réponse immunitaire.
"La vraie question est maintenant de savoir à quelle vitesse ces vaccins pourraient être étendus en cas de pandémie."
Ma prise… Une pandémie de grippe H5N1 avec un taux de mortalité allant jusqu'à 50% serait la nouvelle pandémie idéale pour effrayer les gens et les inciter à accepter un nouveau vaccin à ARNm H5N1 qui sera décrit comme "sûr et efficace" et sera une tentative de réhabilitation de la plate-forme d'ARNm .
Le PDG de Moderna a déjà affirmé qu'il pouvait produire n'importe quel nouveau vaccin à ARNm en moins de 6 mois.
S'ils trompent suffisamment de gens, ils peuvent alors libérer rapidement d'autres vaccins à ARNm : VRS, CMV, VIH, etc.
Ils ont investi beaucoup trop d'argent dans l'ARNm pour même envisager d'arrêter maintenant.
Des centaines de citoyens français souffrent d'événements cardiaques après des rappels bivalents La fenêtre réglementaire de 30 jours capture les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les caillots sanguins
Par le Dr Peter McCullough Recherche mondiale, 31 mars 2023
J'ai siégé ou présidé deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des données pour des essais randomisés de nouveaux médicaments ou dispositifs expérimentaux. Je peux vous dire de première main que pour les vaccins COVID-19, une fenêtre réglementaire de 30 jours après l'injection est un jeu équitable pour l'attribution d'événements de santé au produit lorsque les événements indésirables d'intérêt sont connus pour être causés par la protéine Wuhan Spike induite par l'ARNm.
Jabagi et al, NEJM, ont rapporté du Système national des données de santé français lié à la base de données nationale de vaccination COVID-19 révélant des événements cardiovasculaires après des rappels bivalents d'ARNm BA4/BA5. Toutes les personnes âgées de 50 ans ou plus et ayant reçu une dose de rappel entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022 ont été incluses dans l'étude. Le composite AVC ischémique/hémorragique, infarctus du myocarde ou pulmonaire s'est produit chez 335 personnes malheureuses. Les auteurs commettent l'erreur de diviser par les cas par le nombre total de vaccinés et de comparer les taux aux rappels monovalents. Aucune de ces opérations n'est valide car la saisie des événements est incomplète et la comparaison n'a pas été faite avec un placebo ou un groupe témoin.
Jabagi MJ, Bertrand M, Botton J, Le Vu S, Weill A, Dray-Spira R, Zureik M. Accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde et embolie pulmonaire après rappel bivalent. N Engl J Méd. 29 mars 2023. doi : 10.1056/NEJMc2302134. Epub avant impression. PMID : 36988584.
Ces données suggèrent qu'un grand nombre d'événements de sécurité bien caractérisés, graves et potentiellement mortels se produisent dans les 21 jours suivant les rappels d'ARNm bivalents.
Tous ces événements doivent être considérés comme graves et directement attribuables à la vaccination contre la COVID-19, et à l'inverse, si les injections n'étaient pas reçues, ces personnes seraient selon toute probabilité vivantes et indemnes de ces complications aujourd'hui.
Coronavirus : Médicaments toxiques, pas de responsabilité pour Pharma
Par Jon Rappoport Blog de Jon Rappoport 31 mars 2023
Suite de mes articles sur les « plus grands succès COVID ». Pour lire mon introduction à cette série en cours, rendez-vous ici. Pour soutenir mon travail et en avoir pour son argent, commandez My Matrix Collections ici et abonnez-vous à ma sous-pile ici.
22 mars 2020 [L'Amérique en "confinement": Jour 10.]
Premièrement, nous avons ceci, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) : "Il n'existe aucun médicament spécifique pour prévenir ou traiter la maladie à coronavirus (COVID-19)."
Néanmoins, les médecins du monde entier, souvent avec l'approbation de leurs gouvernements nationaux, traitent de nombreux patients avec des médicaments antiviraux expérimentaux ou « hors AMM ».
Voici quelques noms de médicaments : Chloroquine, Remdesivir, Ribavirine, favipiravir, lopinavir ; ritonavir, hydroxychloroquine, sofosbuvir, corticoïdes, oseltamivir, zanamivir.
Ils ont tous des effets indésirables.
Ce qu'il faut faire ?
Réponse : décider qu'aucune personne blessée par la drogue ne peut porter plainte.
En Amérique : terminé.
Tiré de druganddevicelawblog.com, 18 mars 2020, « Nous avons enfin quelque chose à dire sur le COVID-19 » :
"Le 17 mars 2020, le département américain de la Santé et des Services sociaux ("HHS") a publié dans le Federal Register un" avis de déclaration "conférant une immunité étendue contre les litiges délictuels (y compris la responsabilité du fait des produits) pour ceux qui se livrent à des" activités liés aux contre-mesures médicales contre le COVID-19." Cette déclaration est maintenant publiée à 85 Fed. Rég. 15198 (HHS 17 mars 2020). »
« Le HHS confère une immunité délictuelle… L'immunité s'étend à « toute réclamation pour perte causée par, découlant de, liée à ou résultant de la fabrication, de la distribution, de l'administration ou de l'utilisation de contre-mesures médicales »… L'immunité s'étend non seulement au COVID -19-médicaments de lutte, mais aussi aux "produits ou technologies destinés à améliorer l'utilisation ou l'effet d'un médicament, d'un produit biologique [vaccin] ou d'un dispositif utilisé contre la pandémie"... La seule exception concerne les "fautes volontaires".
"L'immunité conférée écarte les autres lois fédérales et prévaut sur la loi de l'État."
Et ça s'occupe de ça.
Un patient reçoit un médicament antiviral et meurt ? Aucune action en justice ne peut être intentée. Toute personne associée au médicament, du fabricant au médecin prescripteur, est exonérée de toute responsabilité.
Prenons un exemple de médicament, la chloroquine. Il est approuvé pour le traitement du paludisme, et maintenant certains médecins l'utilisent sur leurs patients COVID. Depuis webmd.com, voici la section "effets secondaires" (note : une fois la page chargée, cliquez ensuite sur l'onglet "Effets secondaires" en haut de la page) :
* "Une vision floue, des nausées, des vomissements, des crampes abdominales, des maux de tête et de la diarrhée peuvent survenir. Si l'un de ces effets persiste ou s'aggrave, informez-en immédiatement votre médecin ou votre pharmacien.
* "N'oubliez pas que votre médecin vous a prescrit ce médicament car il a jugé que le bénéfice pour vous est supérieur au risque d'effets secondaires. De nombreuses personnes utilisant ce médicament n'ont pas d'effets secondaires graves.
* "Dites immédiatement à votre médecin si vous avez des effets secondaires graves, y compris : décoloration de la couleur des cheveux, perte de cheveux, changements mentaux/d'humeur (tels que confusion, changements de personnalité, pensées/comportements inhabituels, dépression), changements auditifs (tels que bourdonnements dans les oreilles, perte auditive), assombrissement de la peau/des tissus à l'intérieur de la bouche, aggravation d'affections cutanées (telles que dermatite, psoriasis), signes d'infection grave (tels qu'une forte fièvre, des frissons sévères, un mal de gorge persistant), fatigue inhabituelle , gonflement des jambes/chevilles, essoufflement, pâleur des lèvres/ongles/peau, signes de maladie du foie (tels que douleurs abdominales/abdominales sévères, jaunissement des yeux/de la peau, urine foncée), ecchymoses/saignements faciles, faiblesse musculaire, effets indésirables/incontrôlés mouvements (y compris les contractions de la langue et du visage).
* "Ce médicament peut rarement provoquer une hypoglycémie (hypoglycémie). Informez immédiatement votre médecin si vous développez des symptômes d'hypoglycémie, tels que transpiration soudaine, tremblements, faim, vision floue, étourdissements ou fourmillements dans les mains/pieds. Si vous êtes diabétique, assurez-vous de vérifier régulièrement votre glycémie. Votre médecin devra peut-être ajuster votre traitement contre le diabète.
* "Consultez immédiatement un médecin si vous ressentez des effets secondaires très graves, notamment : des étourdissements graves, des évanouissements, un rythme cardiaque rapide/lent/irrégulier, des convulsions."
* « Ce médicament peut causer de graves problèmes oculaires/de vision. Le risque de ces effets secondaires est accru avec l'utilisation à long terme de ce médicament (sur des semaines à des années) et avec la prise de ce médicament à fortes doses. Consultez immédiatement un médecin si vous présentez des symptômes de problèmes oculaires graves, notamment : des changements de vision graves (tels que des éclairs/rayures de lumière, des difficultés à lire, une cécité complète).
* « Une réaction allergique très grave à ce médicament est rare. Cependant, consultez immédiatement un médecin si vous remarquez des symptômes d'une réaction allergique grave, notamment : éruption cutanée, démangeaisons/gonflement (en particulier du visage/de la langue/de la gorge), étourdissements graves, difficulté à respirer. »
* "Ceci n'est pas une liste complète des effets secondaires possibles. Si vous remarquez d'autres effets non mentionnés ci-dessus, contactez votre médecin ou votre pharmacien.
Aucune responsabilité. Pas de procès. Aucun problème.
Sauf pour le patient.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s Blog.
Depuis que COVID-19 est entré en scène pour la première fois, l'échange d'idées est pratiquement interdit. En partageant mes opinions et celles de divers experts tout au long de la pandémie sur les traitements COVID et les coups expérimentaux COVID, je suis devenu une cible principale de la Maison Blanche, de l'establishment politique et de la cabale mondiale.
La propagande et la censure omniprésente ont été déployées pour prendre le contrôle de chaque aspect de votre vie, y compris votre santé, vos finances et votre approvisionnement alimentaire. Les principaux médias sont des acteurs clés et ont contribué à créer et à alimenter la peur.
Je republie cet article dans sa forme originale afin que vous puissiez voir comment la progression s'est déroulée.
Publié initialement : 15 mai 2021
Comment commercialiser et mettre en œuvre un système financier dont personne ne voudrait s'il comprenait toutes ses ramifications - un changement si énorme qu'il signifierait non seulement la fin de la monnaie telle que nous la connaissons, mais une révision totale de la souveraineté et des droits individuels ?
Dans l'interview ci-dessus, qui fait partie du documentaire complet "Planet Lockdown",1 Michael Yeadon, Ph.D., chercheur en sciences de la vie et ancien vice-président et scientifique en chef de la recherche sur les allergies et les voies respiratoires chez Pfizer, partage son opinions sur la pandémie de COVID-19, les « vaccins » COVID-19 accélérés, la question des variantes de virus mutés et le besoin de rappels, et comment cette crise fabriquée est utilisée pour nous priver de nos libertés civiles.
Yeadon est titulaire d'un diplôme en biochimie et toxicologie et d'un doctorat axé sur la recherche. en pharmacologie respiratoire. Il a passé 32 ans de sa carrière au sein de grandes sociétés pharmaceutiques et 10 ans dans le secteur des biotechnologies.
"Je suis favorable à tous les modes de nouveaux traitements médicaux, qu'ils soient biologiques ou vaccinaux, petites molécules, crèmes, sprays, pommades, peu importe, mais je suis farouchement contre les médicaments dangereux ou utilisés dans un contexte inapproprié", dit Yeadon.
"Certaines des choses que je vais dire ne sont pas favorables à la récolte actuelle de vaccins génétiques et c'est [parce] qu'ils sont utilisés de manière inappropriée. Je ne pense pas qu'ils aient un profil d'innocuité suffisant pour être utilisés comme une sorte de prophylactique de santé publique à large spectre...
Quelques éléments m'ont permis, je pense, de repérer ce qui se passe dans le monde en ce moment. Premièrement, j'aime la biologie depuis que je suis petit. J'ai continué à apprendre et à appliquer la biologie au sens large, qu'il s'agisse de pharmacologie, de biochimie, de biologie moléculaire [ou] de toxicologie. J'ai une connaissance très large de tout ce qui touche aux sciences de la vie, en termes de santé et de maladie.
[Secondly], l'un de mes anciens superviseurs a déclaré que j'avais une facilité remarquable qui se démarquait du genre de choses ordinaires que vous auriez à faire pour être vice-président ou PDG. Il a dit que j'étais capable de repérer des modèles dans des données éparses plus tôt que mes pairs. Ainsi, lorsqu'il n'y a pas suffisamment de données pour que la plupart des gens puissent juger de ce qui se passe, je suis souvent en mesure de le voir.
Je pouvais voir une tendance se former lorsqu'il n'y avait pas assez d'informations… À cette occasion, cela m'a permis, assez rapidement, de comprendre que ce qu'on nous disait sur ce virus et ce que nous devions faire pour rester en sécurité était tout simplement pas vrai.
Une fraude massive a été perpétrée
Yeadon commence par souligner les "énormes changements" apportés à l'attribution des causes de décès par le Royaume-Uni. Si vous décédez dans les 28 jours suivant un test positif pour le SRAS-CoV-2, vous êtes compté comme un décès par COVID-19, quelles que soient les autres conditions sous-jacentes. La même chose a été faite aux États-Unis. Comme l'a noté Yeadon :
«Nous n'avons jamais rien eu d'aussi absurde que la règle qui est maintenant utilisée. Ce n'est pas seulement une question de désaccord professionnel. C'est juste un non-sens complet.
La fermeture des entreprises et l'obligation pour les personnes en bonne santé de s'isoler n'ont également aucun sens. Yeadon souligne que seules les personnes malades, qui présentent des symptômes perceptibles d'une infection respiratoire, présentent un risque pour la santé des autres :
« Pour être une bonne source efficace d'infection, vous devez avoir beaucoup de virus. Et si vous avez beaucoup de virus qui vous attaquent, vous ripostez. Ce processus produit inévitablement des symptômes, pas seulement occasionnellement. Cela doit toujours arriver…
Et ces personnes ne sont pas des personnes qui se promènent dans la communauté, car si vous êtes plein de virus et symptomatique, vous êtes également malade, et les personnes malades ont tendance à rester à la maison ou au lit.
La propagation asymptomatique, qui n'a aucune base solide, a été utilisée pour justifier des verrouillages, qui n'ont jamais eu de base factuelle ou scientifique non plus. Les confinements ont été mis en place pour de toutes autres raisons, à savoir pour vous habituer à renoncer à vos libertés et à votre mode de vie normal, et pour vous rendre psychologiquement dépendant d'une source extérieure vous disant quand il est bon de faire quoi.
Yeadon note à juste titre que tout ce que nous savions sur la virologie et les maladies infectieuses a été bouleversé pendant cette pandémie. Aucune des réponses standard connues pour protéger les personnes contre les maladies infectieuses n'a été suivie. Normalement, vous mettez les malades en quarantaine pour contenir l'infection.
Verrouiller des sociétés entières n'a jamais été fait et n'a aucun fondement scientifique ou historique du contrôle des épidémies. De même, tester en masse des personnes sans symptômes est sans précédent. Ce n'est tout simplement pas fait, et pour cause. C'est un gaspillage de ressources car, comme Yeadon l'a expliqué plus tôt, nous savons comment les virus se propagent. Ce n'est pas notre premier rodéo. Nous avons déjà fait face à des épidémies infectieuses.
Nous savons comment les virus fonctionnent dans le corps. Lorsque vous avez une infection active, vous développez des symptômes au fur et à mesure que votre corps monte sa défense. Sans symptômes, votre charge virale est trop faible pour constituer une menace, que ce soit pour vous ou pour les autres. Le mythe de la propagation asymptomatique a été une tactique de peur.
L'immunité des lymphocytes T est bien plus importante que les anticorps
Yeadon poursuit en examinant comment nous avons été induits en erreur sur l'immunité et comment votre corps combat les virus. Vous avez probablement entendu dire que ce qui vous confère une immunité contre le SARS-CoV-2, ce sont les anticorps spécifiques au SARS-CoV-2.
Toute la campagne de vaccination est construite autour du principe qu'en injectant un morceau synthétique d'ARN viral dans vos cellules, votre corps commencera à produire la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, en réponse à laquelle votre corps produira des anticorps spécifiques qui reconnaissent cette protéine. . Ceci est également connu sous le nom d'immunité humorale.
Cependant, bien que les anticorps soient importants, en particulier dans les infections bactériennes, les anticorps ne sont pas la seule partie de votre immunité. Plus important encore, l'immunité contre les virus - par opposition aux bactéries - ne dépend en fait pas des anticorps. Yeadon explique :
"Les virus sont vraiment minuscules, et leur rôle est de pénétrer aussi rapidement que possible dans vos cellules. Ainsi, ils se lient à un récepteur à la surface et s'injectent dans votre cellule. Donc, ils sont à l'intérieur. Les anticorps sont de grosses molécules et ils sont généralement en dehors de vos cellules.
Alors pensez-y un instant. Les anticorps et les virus sont dans des compartiments séparés. Le virus est à l'intérieur de la cellule, les anticorps à l'extérieur de la cellule. Je ne dis pas que les anticorps n'ont aucun rôle, mais ils ne sont vraiment pas très importants. Cela a été prouvé. Il y a des gens chez qui une expérience naturelle s'est produite.
Ils ont un défaut et ils ne fabriquent en fait pas d'anticorps, mais ils sont capables de combattre assez bien le COVID-19, le virus SARS-CoV-2. La façon dont ils le font, c'est qu'ils ont une immunité cellulaire T, une immunité cellulaire. Les [cellules T] sont des cellules entraînées à détecter les cellules infectées par le virus et à tuer ces cellules. C'est ainsi que vous vous défendez contre un virus.
Donc, toutes ces mentions de niveaux d'anticorps, c'est juste de la foutaise. Ce n'est pas une bonne mesure pour savoir si vous êtes immunisé ou non. Cela prouve que vous avez été infecté, mais leur persistance n'est pas importante pour savoir si vous avez une immunité…
Nous le savons depuis des décennies. Nous connaissons les lymphocytes T depuis des décennies. Ils étaient clairement dans mes manuels de premier cycle. Et nous connaissons leur importance pour vous défendre contre les virus respiratoires depuis probablement les années 1970, certainement les années 1980. Alors, ne croyez rien là où les gens vous suggèrent que leur rôle est incertain. Nous savons depuis très longtemps qu'ils sont absolument centraux.
Les anticorps ne sont pas la réponse aux variantes
Le rôle central de l'immunité des lymphocytes T, ou immunité cellulaire, devient particulièrement pertinent lorsqu'il s'agit de discuter de la menace des variantes, des formes mutées du SRAS-CoV-2. Comme mentionné, votre système immunitaire est un système à multiples facettes qui permet à votre corps de monter des défenses contre toutes sortes de menaces. Les parasites, les champignons, les bactéries et les virus sont les principales catégories de menaces.
Chacun d'entre eux vous envahit et vous menace de manière complètement différente, et votre système immunitaire a des moyens de faire face à chacun d'eux, en utilisant une variété de mécanismes.
"Vous avez quatre ou cinq bras différents du système immunitaire : l'immunité innée, les muqueuses, les anticorps, les lymphocytes T et les systèmes complémentaires", explique Yeadon.
«Il existe tous ces différents systèmes merveilleux qui se sont intégrés les uns aux autres, car ils doivent vous défendre contre toutes sortes de menaces différentes dans l'environnement. Ce que je vous dis, c'est que l'accent mis sur les anticorps en ce qui concerne les infections virales respiratoires est faux, et vous pouvez l'établir assez facilement en faisant quelques recherches.
Essentiellement, ce que Yeadon dit, c'est que le fait que vous soyez sensible aux variantes a très peu à voir avec le fait que vous ayez ou non des anticorps contre le SRAS-CoV-2, car les anticorps ne sont pas votre principale défense contre les virus. Vos lymphocytes T sont ceux qui font le gros du travail.
Ce que cela signifie alors, c'est qu'obtenir des injections de rappel pour différentes variantes ne vous aidera pas. Cela ne résoudra pas le problème, car ces injections ne renforcent pas votre immunité des lymphocytes T.
Repensez soigneusement le besoin de doses de rappel
De tous les mensonges qui nous ont été racontés au cours de l'année écoulée, ceux qui inquiètent et effraient le plus Yeadon sont les mensonges sur les variantes de virus et les injections de rappel. En fait, il pense que ne pas croire à ces mensonges peut être la clé de votre survie, et voici pourquoi :
« Il est tout à fait normal que des virus à ARN comme le SRAS-CoV-2, lorsqu'ils se répliquent, fassent des erreurs typographiques. Il a un très bon système de détection et de correction des erreurs, donc il ne fait pas trop de fautes de frappe, mais il en fait quelques-unes, et celles-ci sont appelées «variantes».
Il est vraiment important de savoir que si vous trouvez la variante la plus différente de la séquence identifiée à Wuhan, cette variance… n'est différente que de 0,3 % de la séquence d'origine.
Je vais le dire d'une autre manière. Si vous trouvez la variance la plus différente, elle est identique à 99,7 % à celle d'origine, et je peux vous assurer... que cette quantité de différence n'est absolument PAS en mesure de se représenter pour vous comme un virus différent.
Il explique comment, plus tôt dans la pandémie, les scientifiques ont obtenu du sang de patients atteints du virus du SRAS il y a 17 ou 18 ans. Le SRAS-CoV-1, responsable de cette épidémie de SRAS, est similaire à 80 % au SRAS-CoV-2.
Ils voulaient savoir si le système immunitaire de ces patients serait capable de reconnaître le SARS-CoV-2. Ils l'ont fait. Ils avaient toujours des cellules T mémoire contre le SRAS-CoV-1, et ces cellules ont également reconnu le SRAS-CoV-2, bien qu'elles ne soient similaires qu'à 80 %. Maintenant, si une différence de 20 % n'était pas suffisante pour contourner le système immunitaire de ces patients, pourquoi devriez-vous vous inquiéter d'une variante qui diffère d'au plus 0,3 % du SARS-CoV-2 d'origine ?
« Lorsque les scientifiques de votre gouvernement vous disent qu'une variante différente de 0,3 % du SRAS-CoV-2 pourrait se faire passer pour un nouveau virus et constituer une menace pour votre santé, vous devez savoir, et je vous le dis, ils mentent », dit Yeadon.
"S'ils mentent, et ils le font, pourquoi l'industrie pharmaceutique fabrique-t-elle des vaccins [de rappel] complémentaires ? Vous devriez être terrifié à ce stade, comme moi, car il n'y a absolument aucune justification possible pour leur fabrication. Et les régulateurs mondiaux des médicaments ont déclaré : "Parce qu'ils sont assez similaires aux vaccins originaux... nous ne leur demanderons pas de faire des études cliniques de sécurité".
Sommes-nous en train d'assister à un programme de dépopulation massive en action ?
Yeadon souligne que les variantes ne sont tout simplement pas assez différentes pour représenter une menace, c'est pourquoi vous n'avez pas besoin d'un ou plusieurs rappels. Pourtant, ils sont déjà en cours de fabrication et les régulateurs leur donnent un laissez-passer gratuit en ce qui concerne les études d'innocuité et d'efficacité.
"J'ai très peur de ça. Il n'y a pas d'interprétation bénigne possible de cela », dit Yeadon. « Je crois qu'ils vont être utilisés pour nuire à votre santé et peut-être vous tuer. Sérieusement. Je ne vois pas d'autre interprétation sensée qu'une tentative sérieuse de dépopulation massive.
Cela fournira les outils pour le faire et un déni plausible. Ils créeront une autre histoire sur une sorte de menace biologique et vous ferez la queue pour obtenir vos vaccins complémentaires, et quelques mois ou un an environ plus tard, vous mourrez d'un syndrome inexplicable particulier. Et ils ne pourront pas l'associer aux vaccins.
2. Le vaccin à ARNm de Pfizer contient du polyéthylène glycol (PEG) et des études ont montré que 70 % des personnes développent des anticorps contre cette substance. Cela suggère que le PEG peut déclencher des réactions allergiques mortelles chez de nombreuses personnes qui reçoivent le vaccin.
En effet, quelques jours après la sortie du vaccin, des rapports ont commencé à arriver sur des personnes ayant des réactions anaphylactiques potentiellement mortelles,5 conduisant à des avertissements indiquant que les personnes souffrant d'allergies connues ne devraient pas prendre le vaccin Pfizer.6 Depuis lors, des réactions anaphylactiques ont été signalées par des receveurs de également le vaccin à ARNm Moderna.7
3. Le vaccin à ARNm incite votre corps à produire des anticorps contre la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, et les protéines de pointe contiennent à leur tour des protéines homologues à la syncytine qui sont essentielles à la formation du placenta. Si le système immunitaire d'une femme commence à réagir contre la syncytine-1, il est alors possible qu'elle devienne stérile.
C'est un problème qu'aucune des études sur les vaccins n'aborde spécifiquement. La vaccination massive des femmes en âge de procréer contre le COVID-19 pourrait avoir la conséquence dévastatrice de provoquer une infertilité de masse si le vaccin déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1.
4. Les études sont beaucoup trop brèves pour permettre une estimation réaliste des effets secondaires. Selon ce que ces effets finissent par être, des millions de personnes peuvent être exposées à un risque inacceptable en échange d'un avantage très mineur.
La liberté de la santé minée au nom de «l'urgence»
Plus fondamental encore que toute préoccupation particulière en matière de sécurité est le fait qu'une campagne de vaccination de cette ampleur, utilisant une technologie entièrement nouvelle, crée un précédent des plus dangereux pour la santé publique. En provoquant une panique inutile, beaucoup sont maintenant prêts à renoncer à toute forme de liberté au nom de la réponse à une urgence sanitaire mondiale.
L'une de ces libertés fondamentales est votre droit de refuser une procédure médicale expérimentale. Cette liberté a été reconnue dans le Code de Nuremberg de 19478 et consacrée dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui stipule que « nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérimentation médicale ou scientifique. »9
Pourtant, malgré cela, et malgré le fait que les essais cliniques de vaccins sont encore à deux ans d'être terminés, les gouvernements du monde entier parlent de rendre ces vaccinations obligatoires ou de faire chanter les gens pour qu'ils les prennent contre leur gré en encourageant les entreprises privées à restreindre l'accès à vaccinés uniquement.
Comme l'ont noté Yeadon et bien d'autres, la mise en œuvre des passeports vaccinaux n'a rien à voir avec la protection de la santé publique et tout à voir avec la mise en place d'un mécanisme de surveillance, de suivi et de contrôle qui peut facilement être étendu à tous les autres domaines de la vie, contrôlant ainsi chacun de vos mouvements.
"[Les passeports de vaccination] ne sont pas du tout nécessaires", déclare Yeadon. «Ce qu'ils fournissent, cependant, c'est un contrôle complet de vos mouvements à quiconque contrôle la base de données à laquelle votre statut vaccinal est connecté. J'espère que vous comprenez cela parce que ce n'est pas facultatif.
C'est ce qui va prendre le dessus sur votre vie d'une manière dont George Orwell en 1984 n'avait même pas rêvé. Imaginez que vous avez été vacciné et que vous avez obtenu un passeport vaccinal sur une application. Ce sera la première base de données au monde contenant votre nom, un identifiant numérique unique au même format que tout le monde sur la planète sur la même base de données.
Il aura comme un drapeau modifiable lié à la santé qui indiquera [si] vous avez été vacciné. Si vous ne l'avez pas été, l'algorithme qui régit ce que vous pouvez faire… C'est ce qui va contrôler le reste de votre vie jusqu'à votre mort.
Le passeport vaccinal est un billet pour la tyrannie, ou pire
En effet, j'ai écrit plusieurs articles détaillant comment le suivi du statut vaccinal inaugurera un appareil de surveillance plus grand que tout ce que nous avons connu auparavant.
Le précédent qui se crée en ce moment est celui qui, à l'avenir, accordera aux autorités sanitaires le «droit» de nous imposer un certain nombre de médicaments expérimentaux, de vaccins et de technologies au nom de la santé publique. Si le droit de refuser une procédure médicale expérimentale n'est pas respecté maintenant, toute la population de la terre sera disponible pour l'expérimentation sans recours.
Je suis absolument terrifié à l'idée que la combinaison des passeports vaccinaux et des vaccins complémentaires conduira à un dépeuplement massif, à une exécution délibérée, potentiellement de milliards de personnes. ~ Michael Yeadon, Ph.D. Mais ce n'est pas tout. Ce système initial de surveillance des vaccins sera finalement lié à d'autres systèmes numériques, tels que tous les autres dossiers médicaux, l'identification biométrique et un système bancaire entièrement numérique.
La mise en place d'un système de crédit social basé sur Google, similaire à celui mis en place en Chine en 2018, est également très probable. Dans un système de crédit social, des points sont attribués ou soustraits pour certains types de comportement. Lorsque votre score tombe en dessous d'un certain point, une sanction est infligée sous la forme de restrictions de voyage ou de l'impossibilité d'obtenir un prêt, par exemple.
"Ne laissez pas leur système entrer en vigueur", dit Yeadon. « Il va être utilisé pour vous contraindre. Je crois que si vous autorisez l'entrée en vigueur d'un passeport vaccinal, vous serez cinglé un jour et il vous conseillera d'aller au centre médical pour avoir votre vaccin complémentaire.
Si vous choisissez de ne pas vous faire vacciner, la validité de votre passeport expirera, ce qui signifie que vous ne pourrez pas entrer dans un magasin. Vous ne pourrez peut-être pas utiliser votre carte bancaire. Tout ce que quelqu'un doit faire, c'est établir une règle qui dit "Après une date donnée, avant qu'une carte bancaire puisse être utilisée, un passeport vaccinal doit être [validé]...
Je suis absolument terrifié à l'idée que la combinaison des passeports vaccinaux et des vaccins complémentaires conduira à un dépeuplement massif, à une exécution délibérée, potentiellement de milliards de personnes.
Vous pouvez l'arrêter une fois que vous avez entendu ce que je dis. Même si vous aimez l'idée des passeports vaccinaux, mettez la chose en place en utilisant des enregistrements écrits ou quelque chose comme ça... mais ne permettez pas qu'elle soit sur une base de données mondiale interopérable à format fixe, car ce sera la fin des libertés humaines. Et je ne vois tout simplement aucun moyen de m'en remettre.
1 Planet Lockdown 2, 3 Wodarg, Wolfgang and Michael Yeadon, Petition/Motion for Administrative/Regulatory Action Regarding […], 2020 4 C-span Hotez Coronavirus Vaccine Safety Testimony May 4, 2020 5 New York Post December 19, 2020 6 The Conversation December 10, 2020 7 New York Post December 25, 2020 8 Nuremberg Code of 1947 9 Corbett Report Episode 392, The Future of Vaccines Transcript
La FDA dit qu'elle était au courant d'une contamination bactérienne mortelle dans une usine de préparations pour bébés MOIS avant le rappel du produit
Jeudi 30 mars 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) Environ cinq mois avant la publication d'un rappel officiel, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis était déjà bien au courant d'un problème de contamination bactérienne présumé à l'usine de production de préparations pour nourrissons de Mead Johnson à Zeeland, dans le Michigan.
L'agence l'a récemment admis, révélant que l'installation, qui fabrique la préparation pour nourrissons à base de plantes Enfamil ProSobee Simply, avait été identifiée comme contenant la bactérie Cronobacter.
Un premier lot de lait maternisé a été détruit à ce moment-là, mais 145 000 autres canettes de ce produit ont été mises sur le marché à la connaissance de la FDA. Un rappel officiel a été émis cinq mois plus tard, et aucune des canettes rappelées ne contenait de Cronobacter, selon la FDA.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis affirment que Cronobacter "peut être mortel pour les jeunes nourrissons". Les symptômes chez les bébés comprennent une mauvaise alimentation, de la fièvre, un manque d'énergie, des pleurs excessifs, des convulsions, un gonflement de la colonne vertébrale et des infections du sang.
"Dans le cadre de la surveillance de la FDA pour garantir des préparations pour nourrissons sûres et nutritives, les engagements plus récents de l'agence avec les fabricants par le biais d'inspections et de réunions en cours ont limité la portée de ces rappels et minimisé les perturbations du marché", a déclaré un porte-parole de la FDA à propos du rappel.
(En relation: Alors que les mères américaines avaient du mal à trouver du lait maternisé à peine disponible, le faux président Joe Biden envoyait le peu qu'il y avait à la frontière sud pour que les illégaux puissent l'avoir.)
Comment se fait-il que Cronobacter soit devenu un tel problème pendant la « pandémie » de coronavirus ? Dans une déclaration ultérieure, la FDA a fait une comparaison avec le rappel plus connu d'Abbott, suggérant que celui de Johnson Mead et d'autres "ont une portée beaucoup plus étroite, n'affectant que quelques semaines de produit sans fermetures d'installations supplémentaires".
"En vertu de la loi actuelle, Mead Johnson n'était pas tenu d'alerter la FDA du test positif et de choisir [sic] de ne pas alerter la FDA du test positif", a également déclaré l'agence à Fox News.
La FDA a également indiqué qu'elle demandait au Congrès une plus grande autorité pour exiger que les entreprises signalent ce genre de choses à l'avenir afin d'éviter que de tels rappels ne se produisent.
"Ce n'est que lors d'une inspection indépendante de la société que la FDA a découvert le test positif et a été informée que l'analyse de la cause était en cours", a ajouté un porte-parole de la FDA dans un communiqué à Fox Digital.
"La FDA a examiné les conditions lors des récentes inspections des fabricants de préparations en poudre pour nourrissons, y compris les inspections de surveillance de routine, les inspections motivées pour suivre les plaintes des consommateurs et d'autres interactions avec les fabricants."
Comme vous vous en souvenez peut-être, 2021 a été une très mauvaise année pour la disponibilité des préparations pour nourrissons en raison de plusieurs rappels, dont un autre impliquant Cronobacter dans une usine Abbott Nutrition au Michigan. Dans ce cas, au moins quatre nourrissons sont tombés malades à cause du produit et deux seraient décédés.
La FDA a compilé et publié un rapport de 10 pages à la suite de la pénurie de préparations pour nourrissons qui s'en est suivie, expliquant qu'un lanceur d'alerte s'était plaint de problèmes dans l'établissement.
La même année, les républicains de la Chambre ont lancé une enquête sur la gestion de la pénurie par la FDA, appelant le commissaire de la FDA, Robert Califf, à fournir de plus amples détails sur la "mauvaise réponse" de l'agence à la situation.
La FDA a depuis annoncé qu'elle ne licencierait aucun de ses employés pour la mauvaise gestion du fiasco des préparations pour nourrissons. Au lieu de cela, l'agence « subira une refonte », selon Fox News, qui inclura une « nouvelle vision transformatrice », a ajouté Califf.
L'autorité de réglementation de la FDA sera consolidée dans le cadre d'un nouveau plan de sécurité alimentaire appelé "Human Foods Program". La manière dont ce nouveau programme empêchera des situations telles que le rappel de préparations pour nourrissons de se reproduire reste inconnue, car la FDA n'a pas encore produit de détails spécifiques sur le plan.
La FDA est corrompue jusqu'à la moelle. Pour en savoir plus, visitez FDA.news.
Se faire vacciner contre la grippe avec le rappel COVID-19 de Pfizer augmente le RISQUE D'AVC
Jeudi 30 mars 2023 par : Zoey Sky
(Natural News) Selon les données, une personne vivant aux États-Unis subit un accident vasculaire cérébral une fois toutes les 40 secondes et quelqu'un en meurt une fois toutes les trois minutes.
Dans l'ensemble, les accidents vasculaires cérébraux coûtent aux États-Unis plus de 53 millions de dollars par an en frais de santé. Les accidents vasculaires cérébraux sont la principale cause d'invalidité à long terme et ils entraînent des limitations de la mobilité et des troubles cognitifs.
Malgré les problèmes causés par les accidents vasculaires cérébraux, Big Pharma aggrave le problème en forçant le public à se procurer des rappels bivalents contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et des vaccins contre la grippe.
Malgré les affirmations de Big Pharma et des médias grand public selon lesquelles les vaccins COVID-19 sont sûrs, de nombreux rapports ont montré qu'ils sont liés à de nombreux effets secondaires négatifs et à des décès.
Même la FDA a admis que le fait de se faire vacciner contre la grippe chaque année ou presque en même temps qu'une piqûre de rappel COVID-19 augmente le risque d'un "accident vasculaire cérébral potentiellement mortel".
L'étude officielle qui a révélé les dangers de la prise du rappel bivalent COVID-19 de Pfizer avec le vaccin annuel contre la grippe est petite, mais elle est très importante dans le contexte de la santé humaine.
En décembre 2022, la FDA a officiellement reconnu que le vaccin Pfizer COVID-19 était lié aux caillots sanguins chez les patients âgés après avoir examiné les résultats d'une étude importante sur les personnes âgées de 65 ans et plus.
En janvier 2023, la FDA et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont déclaré qu'ils examineraient de plus près les liens présumés entre les injections de rappel de coronavirus de Pfizer et les accidents vasculaires cérébraux de type ischémique chez les personnes âgées.
Selon la déclaration officielle publiée par le CDC, l'utilisation du rappel mis à jour du coronavirus de Pfizer, lorsqu'elle est analysée dans le contexte du vax Safety Datalink, révèle qu'il existe «une raison suffisante pour une analyse supplémentaire afin de déterminer si un AVC ischémique est beaucoup plus probable survenir chez les patients âgés de 65 ans et plus après avoir reçu le rappel bivalent et le vaccin antigrippal annuel.
La déclaration du CDC a également détaillé comment les personnes âgées qui ont reçu le rappel bivalent sont plus susceptibles de subir un accident vasculaire cérébral ischémique trois semaines après l'injection. L'agence a également affirmé que les chances d'un tel accident vasculaire cérébral diminuent considérablement après la marque de trois semaines à partir du moment où le patient a reçu le rappel COVID-19 et le vaccin annuel contre la grippe. (Connexe: Étude: L'immunité naturelle offre une meilleure protection contre l'omicron que les injections COVID.)
Pfizer dément les allégations du CDC
Suite à la publication de la déclaration du CDC, Pfizer a répondu et a nié les allégations.
Un porte-parole de Pfizer a affirmé qu'il n'y avait aucune preuve établissant un lien entre les accidents vasculaires cérébraux ischémiques et l'injection de son vaccin de rappel bivalent COVID-19 au même moment ou à peu près au même moment que l'injection du vaccin annuel contre la grippe.
Mais ceux qui se consacrent à faire connaître la vérité au public ont contré le récit de Pfizer avec l'admission de la FDA selon laquelle de nombreux patients qui ont subi un accident vasculaire cérébral ont également reçu leur vaccin contre la grippe le même jour qu'ils ont reçu leur rappel bivalent COVID-19.
Avec les données du CDC et l'admission de la FDA, il y a de grandes chances que le vaccin contre la grippe le jour même ou presque le même jour que le rappel bivalent Pfizer COVID-19 puisse être un facteur contributif à l'AVC ischémique ultérieur.
Le coordinateur de la réponse COVID-19 de la Maison Blanche, le Dr Ashish Jha, a fait pression pour que les citoyens américains reçoivent à la fois le vaccin annuel contre la grippe et le rappel bivalent COVID-19, mais ne les a pas informés du moment potentiellement mortel de ces injections.
Comment réduire le risque d'AVC
Si vous êtes bien avancé depuis des années et que vous vous inquiétez de votre risque d'AVC, suivez les conseils ci-dessous pour prévenir les AVC et améliorer votre bien-être général.
Abaissez votre tension artérielle
L'hypertension artérielle est un facteur important. Lorsqu'il n'est pas contrôlé, il peut doubler ou quadrupler votre risque d'AVC.
L'hypertension artérielle est le principal facteur de risque d'AVC chez les hommes et les femmes. Surveiller la tension artérielle et la traiter si elle est élevée pourrait aider à améliorer votre santé vasculaire.
Tout d'abord, votre objectif idéal devrait être de maintenir une tension artérielle inférieure à 120/80.
Cependant, dans certains cas, il peut y avoir de bonnes raisons pour lesquelles vous et votre médecin ne souhaitez pas que vos lectures soient aussi basses. Pour certains, un objectif moins agressif, comme pas plus de 140/90, peut être plus approprié.
Abaissez votre tension artérielle en :
Assurez-vous de manger au moins quatre à cinq tasses de fruits et légumes chaque jour. Vous devriez également manger une portion de poisson deux à trois fois par semaine et plusieurs portions quotidiennes de grains entiers et de produits laitiers faibles en gras. Limitez votre consommation de sel à pas plus de 1 500 milligrammes ou une demi-cuillère à café par jour. Éviter les aliments riches en cholestérol comme les hamburgers et la crème glacée. Exercice régulier. Faites au moins 30 minutes d'activité physique par jour. Si vous fumez, arrêtez de fumer. Perdre du poids et maintenir un poids santé L'obésité et les nombreuses complications qui y sont liées, telles que le diabète et l'hypertension artérielle, peuvent également augmenter le risque d'AVC. Si vous êtes en surpoids, perdre seulement 10 livres peut aider à réduire votre risque d'AVC.
Il est idéal d'avoir un indice de masse corporelle (IMC) de 25 ou moins, mais cela peut ne pas être réaliste pour tout le monde. Consultez votre médecin pour créer une stratégie personnelle de perte de poids.
Vous pouvez commencer votre parcours de perte de poids en ne consommant pas plus de 1 500 à 2 000 calories par jour. Mais cela dépendra de votre niveau d'activité et de votre IMC actuel.
Vous pouvez également augmenter la quantité d'exercice que vous faites avec des activités amusantes comme la marche ou le tennis. Pour de meilleurs résultats, essayez de pratiquer quotidiennement vos activités préférées.
Faites plus d'exercice
L'exercice aide principalement à favoriser la perte de poids et à abaisser la tension artérielle, mais c'est aussi un réducteur d'AVC fiable.
Améliorez votre bien-être en faisant de l'exercice à intensité modérée au moins cinq jours par semaine. Si vous n'avez pas l'habitude de faire de l'exercice, commencez par vous promener dans votre quartier tous les matins après le petit-déjeuner.
Lorsque vous faites de l'exercice, essayez d'atteindre le niveau auquel vous respirez fort, mais vous pouvez toujours parler à quelqu'un d'autre.
Si vous allez travailler, prenez les escaliers au lieu de l'ascenseur. Si vous ne disposez pas de 30 minutes consécutives pour faire de l'exercice, divisez-le en séances de 10 à 15 minutes par jour.
Visitez Vaccines.news pour plus d'informations sur les effets secondaires indésirables des vaccins contre la grippe et le COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la façon dont les vaccins COVID-19 affectent la santé reproductive.
Cette vidéo provient de la chaîne AMPNews sur Brighteon.com.
RAPPORT: les «vaccins» Covid ont causé des dizaines de millions de blessures et d'invalidités, 147 milliards de dollars de dommages économiques
Jeudi 30 mars 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) Phinance Technologies, une société de recherche cofondée et coopérée par l'ancien gestionnaire de portefeuille de BlackRock, Ed Dowd, a découvert que les dommages économiques infligés par le déclenchement des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) dépassaient 147 milliards de dollars en 2022.
Un rapport publié par la firme estime également que 26,6 millions de personnes ont été blessées par les coups ; 1,36 million sont restés handicapés ; et 300 000 personnes ont été tuées par les coups cette même année.
Avec l'aide de leurs collègues, l'équipe de Dowd a pu répartir les coûts humains infligés par les vaccins contre la grippe Fauci en quatre grandes catégories :
1) Ceux qui n'ont ressenti aucun effet ou qui semblaient asymptomatiques 2) Ceux qui ont subi des blessures légères à modérées 3) Ceux qui ont subi une invalidité grave 4) Ceux qui sont morts des coups de feu
Toutes les données utilisées dans le rapport proviennent directement du Bureau of Labor Statistics (BLS), tandis que les chiffres de décès en excès ont été calculés à partir d'autres chiffres officiels en utilisant deux méthodologies différentes.
Une chose que l'analyse n'a pas prise en compte, ce sont les personnes qui ont commencé dans une catégorie en 2022 et se sont retrouvées dans une autre plus tard cette année-là, c'est-à-dire les personnes asymptomatiques ou peut-être légèrement blessées qui ont fini par mourir subitement.
"Nous devons nous rappeler que non seulement ces regroupements sont une tentative de caractériser différents niveaux de dommages causés par les inoculations, mais ils ne sont pas statiques et pourraient interagir les uns avec les autres", indique le rapport. "Par exemple, il pourrait y avoir des individus qui n'ont eu aucun effet visible après la vaccination, mais qui pourraient néanmoins être touchés."
"Les personnes légèrement blessées par les inoculations pourraient, avec le temps, développer des blessures graves au point d'être invalides, ou un résultat extrême tel que la mort."
(En relation: Il y a un peu plus d'un an, Dowd a déclaré à Steve Bannon que la bulle mondiale de la dette était sur le point d'éclater: "nous sommes à la fin".)
Le véritable coût économique des piqûres de covid est probablement beaucoup plus élevé en raison des «effets multiplicateurs», déclare Dowd En ce qui concerne les coûts économiques des injections de covid, la société de Dowd a utilisé l'excédent absolu de temps de travail perdu pour calculer le coût économique direct des blessures causées par les vaccins. Cela s'élevait à 79,5 milliards de dollars en 2022, ainsi qu'à 52,2 milliards de dollars de plus pour ceux qui ont développé des handicaps graves.
Pour calculer le nombre de décès causés par les vaccins contre la grippe Fauci, Phinance a utilisé l'augmentation annuelle moyenne absolue des décès en excès depuis 2021, lorsque les injections ont vraiment commencé à pénétrer dans les bras des gens. De 2021 à 2022, les décès excédentaires ont augmenté de 0,05 % pour les 25 à 64 ans, ce qui représente une perte de productivité de 5,6 milliards de dollars.
Pour toute l'année 2022, Phinance a estimé le «coût économique» total parmi toutes les catégories à près de 150 milliards de dollars. Vous pouvez consulter le rapport vous-même ci-dessous :
Rapport sur les coûts économiques estimés : https://t.co/wN7lKeXi5T pic.twitter.com/B3ws6BHBCe – Edward Dowd (@DowdEdward) 28 mars 2023
Gardez à l'esprit que les données et les chiffres contenus dans le rapport Phinance sont basés uniquement sur ce qui peut être actuellement mesuré.
"Les répercussions sur les effets tels que la perte de productivité due à la présence d'un travailleur mais travaillant à, disons, 50 % à 75 % de la capacité sont manquées, ainsi que l'épuisement professionnel de ceux qui prennent le relais", a expliqué Dowd. "Les effets multiplicateurs sont énormes."
Une autre chose à garder à l'esprit est que ces chiffres ne couvrent que les États-Unis. Imaginez l'impact économique mondial du covid, et au cours de l'ensemble de la pandémie par opposition à la seule année 2022.
"Le fait que des millions de personnes aient été confrontées à des pertes d'emploi s'ils ne recevaient pas une injection médicale EXPÉRIMENTALE vous montre comment nos "dirigeants" ont été achetés et payés par Big Pharma", a écrit quelqu'un dans les commentaires sur le génocide national qui s'est produit depuis le mandats. "Les gens doivent aller en prison."
Les dernières nouvelles sur les blessures et le nombre de morts causées par les injections de virus chinois peuvent être trouvées sur Genocide.news.
Les anticorps comme preuve de l'efficacité de la vaccination, mais les mesures privées ne sont pas souhaitables
31 mars 2023 du Dr. Peter F. Mayer
A l'instar de Fifi Brindacier, l'industrie pharmaceutique s'approprie le monde. Parfois les anticorps sont la preuve de l'efficacité de la vaccination, parfois il ne faut pas les mesurer car ils ne prouvent rien. Dans les études, ils sont utilisés comme argument selon lequel la vaccination aide, mais vous ne devriez pas faire déterminer vous-même les anticorps.
Un article du Medical Tribune déconseille de se faire mesurer soi-même ses anticorps. Cependant, l'argument n'est pas très convaincant. Tout d'abord, on précise que la commission de vaccination ne recommande pas STIKO, un argument assez peu surprenant mais très faible.
Une autre raison invoquée est la " probabilité élevée de protection individuelle connue des études d'approbation et de nombreuses années d'utilisation" . Ensuite, la protection par détour sert d'argument : « Si l'individu n'est pas directement protégé, il bénéficie d'un risque d'exposition réduit », explique le Pr Dr. Ulrich Heininger de la Commission pour les maladies infectieuses et les questions de vaccination, Alliance pour la santé de l'enfant et de l'adolescent. » Dans le cas des maladies infectieuses, cette affirmation est généralement tout simplement absurde. La vaccination dans la partie supérieure du bras ne produit pas d'immunité stérile et c'est précisément ce " risque réduit d'exposition" pas atteignable. La série de vaccins Covid n'a pas généré d'immunité collective ni de protection contre les autres. L'obligation de vacciner et l'obligation de vacciner étaient donc à la fois juridiquement et éthiquement erronées.
En dehors de cela, d'innombrables études qui justifient l'efficacité présumée des vaccinations et ont obtenu l'approbation étaient basées uniquement sur les titres d'anticorps. Voici un exemple. Comme indiqué , une étude réalisée par des virologues d'Innsbruck a déclaré :
" Ici, nous avons analysé des échantillons de convalescents BA.1 (Omicron) avec différentes constellations d'immunité SARS-CoV-2 précédente concernant la vaccination et l'infection précédente avec une variante non-Omicron et des titres d'anticorps neutralisants contre différentes variantes SARS-CoV-2 (D614G , Alpha, Bêta, Delta, Gamma, Omicron).
Nous avons trouvé des titres d'anticorps neutralisants élevés contre toutes les variantes chez les individus vaccinés après une infection percée par BA.1 ou chez des individus infectés par une variante pré-omicron suivie d'une infection par BA.1.
L'étude médiatisée publiquement par d'autres virologues comme Isabella Eckerle était l'une des nombreuses études indésirables qui n'ont rien prouvé. Par ailleurs, un problème était commun à toutes ces études, à savoir l'absence de détermination des sous-types. Personne n'a donc été en mesure de démontrer si les anticorps produits étaient protecteurs ou nocifs si le sous-type IgG4 constituait une proportion plus élevée.
- voir graph sur site -
Aussi originale est la déclaration « De plus, la défense cellulaire joue un rôle important dans le SRAS-CoV-2. "
Cependant, c'est précisément ce qui n'a pas été examiné dans les études d'approbation. Un effet protecteur de la défense cellulaire a également toujours été contesté, car il intervient de manière très complète dans une infection naturelle, souvent sans formation d'anticorps. Ce qui, par exemple, est déformé dans le tweet d'Eckerle.
On tord laborieusement les faits pour justifier les vaccinations. La propagande vaccinale se poursuit sans relâche. Bien que les titres d'anticorps soient utilisés comme preuve d'efficacité, les personnes vaccinées ne doivent pas les faire déterminer, sinon les titres ne prouveraient rien. Double pensée orwellienne en médecine d'entreprise.
Une nouvelle analyse montre comment le CDC a diffusé de fausses informations qui ont exagéré la gravité de COVID-19
Par Arjun Walia Recherche mondiale, 31 mars 2023
Les agences de santé publique devraient être tenues à des normes élevées, mais elles s'en sortent en diffusant de fausses informations et en accusant d'autres personnes qui ont publié des informations factuelles de faire de même.
Des universitaires de l'Université de Californie à San Francisco ont publié un nouvel article intitulé "Erreurs statistiques et numériques commises par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis pendant la pandémie de COVID-19".
Le document décrit 25 cas où le CDC a signalé des erreurs statistiques ou numériques. Vingt (80 %) de ces cas, selon les chercheurs, « ont exagéré la gravité de la situation du COVID-19 ».
Ils expliquent également comment le CDC a été informé des erreurs dans 16 cas (64 %) et a ensuite corrigé les erreurs, au moins partiellement, dans 13 cas (52 %).
Comme le souligne l'article, il est assez ironique que des étiquettes "informations inexactes et trompeuses" aient été apposées sur divers articles scientifiques, des publications d'experts dans le domaine, et plus encore tout au long de la pandémie, mais les CDC eux-mêmes ont été dénoncés à plusieurs reprises pour avoir diffusé des informations erronées.
En fait, l' administration Biden a collaboré avec Big Tech pour censurer activement et mettre des étiquettes sur le contenu qu'ils savaient, certes, être du « vrai contenu » avec une armée de censeurs fédéraux.
«De nombreuses entités comptent sur le CDC pour obtenir des informations fiables, tout comme le grand public. Par exemple, YouTube renvoie au site Web du CDC sur toutes les vidéos traitant de COVID-19, soutenant les positions politiques du CDC. Spotify relie également certains épisodes de podcast au site Web du CDC. De nombreuses universités, établissements de santé, garderies, églises, entreprises, écoles, programmes sportifs et camps s'en remettent aux directives du CDC pour les précautions contre le COVID-19. Pour cette raison, il est impératif que le CDC évite les erreurs dans ses déclarations ou, si des erreurs sont commises, qu'elles soient rapidement corrigées. Nous avons entrepris d'identifier les erreurs numériques ou les déclarations objectivement fausses faites par le CDC.
Comme vous pouvez l'imaginer, c'était une tâche ardue. Les agences fédérales américaines ont publié une pléthore d'informations sur leurs sites Web, leurs comptes de médias sociaux, leurs publications scientifiques, leurs communiqués de presse, leurs e-mails, etc. Les auteurs ont cherché à compiler les erreurs qu'ils avaient précédemment identifiées, ou les erreurs portées à leur attention par d'autres observateurs.
Toutes les erreurs ont été présentées lors d'une réunion avec tous les auteurs présents. Les erreurs ont été discutées, examinées et acceptées uniquement si trois auteurs estimaient tous que les erreurs étaient clairement fausses. Un quatrième auteur, non impliqué dans la collecte, a déterminé en dernier ressort si les erreurs incluses étaient fausses.
Plusieurs erreurs sont liées aux données démographiques complètement inexactes de Data Tracker; certains sont liés à l'utilisation abusive d'une préimpression défectueuse pour revendiquer le COVID comme l'une des «5 principales causes de décès chez les enfants», et d'autres sont des problèmes avec les données d'hospitalisation pédiatrique, les pourcentages de variantes et d'autres problèmes.
« Ces erreurs ont été commises à plusieurs reprises et ont probablement affecté la discussion sur les politiques en cas de pandémie. Au cours des années où les erreurs se sont produites, les directives du CDC ont demandé à plusieurs reprises que des restrictions soient imposées aux enfants, y compris des fermetures d'écoles, des mandats de masque et de fortes recommandations pour les vaccinations et les rappels multiples, même parmi les enfants qui se sont remis du virus.
Bien que la tendance à exagérer les risques soit pire avec les enfants, 80 % des erreurs totales ont surestimé les risques pour la population en général. S'attendre à ce que le CDC rapporte à la fois avec précision et sans propension à induire la peur est quelque chose que nous devrions tous vouloir et n'est pas une théorie du complot de droite.
Tout au long de la pandémie, il y a eu des chiffres contradictoires en ce qui concerne les enfants. Maintenant que cette analyse est sortie, tout cela a du sens pour moi, car mes recherches ont montré des récits complètement opposés de divers pays concernant les enfants. Dans de nombreux pays, au plus fort de la pandémie, aucun enfant n'est mort.
Par exemple, au début de la pandémie, Jonas F. Ludvigsson, pédiatre à l'hôpital universitaire d'Örebro et professeur d'épidémiologie clinique à l'Institut Karolinska, a publié des recherches montrant que sur près de 2 millions d'écoliers, aucun n'est mort du COVID malgré l'absence de confinement, l'école fermetures ou mandats de masques lors de la première vague de la pandémie.
Selon un rapport de mars 2022 publié par le Murdoch Children's Research Institute, la Finlande a montré qu'il n'y a eu aucun décès par COVID chez les jeunes tout au long de la pandémie. Seuls 26 % des enfants âgés de 5 à 11 ans et 80 % des enfants âgés de 12 à 17 ans à ce moment-là ont reçu au moins une dose d'un vaccin COVID. Les enfants de moins de 12 ans n'étaient jamais masqués et seuls 9 % des enfants âgés de 5 à 11 ans étaient complètement vaccinés.
Je me suis dit, comment cela peut-il être vrai si COVID était prétendu être extrêmement dangereux pour les enfants ici en Amérique du Nord ?
Ces types d'erreurs et de messages trompeurs des agences fédérales de réglementation de la santé ont en fait été signalés tout au long de la pandémie par des centaines d'universitaires. Il existe de nombreux exemples parmi lesquels choisir.
Par exemple, en février 2022, plusieurs chercheurs de diverses institutions universitaires du Royaume-Uni, des États-Unis et du Canada ont publié un article intitulé « Les conséquences involontaires de la politique de vaccination contre la COVID-19 : pourquoi les mandats, les passeports et les verrouillages séparés peuvent causer plus de préjudices » que Bien.
Les auteurs soulignent les messages trompeurs entourant les vaccins COVID des autorités sanitaires et des médias traditionnels. Ils passent par l'efficacité des vaccins, le risque de COVID-19, les mandats de masque, les verrouillages, la capacité des vaccins à arrêter la transmission via des études de charge virale et bien plus encore.
"La rhétorique politique s'est transformée en langage moralisateur, bouc émissaire, blâmant et condescendant en utilisant des termes péjoratifs et en promouvant activement la stigmatisation et la discrimination comme outils pour augmenter la vaccination."
L'un des auteurs de la nouvelle analyse, Tracey Beth Hoeg, MD, PhD, avec Marty Makary, MD, MPH, professeur Johns Hopkins, chirurgien et chercheur en politique publique, a publié un article dans The Free Press en juillet 2022 expliquant comment certains Les scientifiques du CDC, de la FDA et du NIH sont gênés par le manque de science guidant la politique de vaccination contre le COVID.
« Un autre scientifique du CDC nous a dit : « Avant, j'étais fier de dire aux gens que je travaillais au CDC. Maintenant, je suis gêné. Pourquoi sont-ils gênés ? Bref, mauvaise science. La réponse la plus longue: que les chefs de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d'une importance cruciale. Que de telles décisions soient motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l'administration Biden. Et qu'ils se concentrent myope sur un virus plutôt que sur la santé globale.
Ils ont exprimé que les médecins et les scientifiques aux plus hauts niveaux du NIH, de la FDA et du CDC sont "frustrés, exaspérés et alarmés par la direction des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière".
"C'est comme un film d'horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux", leur a dit un haut responsable de la FDA. "Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire."
Comme vous pouvez le voir, la nouvelle analyse récemment publiée n'est pas une grande surprise, et il y a plus d'exemples parmi lesquels choisir tout au long de la pandémie qui ont été soulignés par d'autres universitaires.
La question suivante devient, ces erreurs étaient-elles intentionnelles ou non ? Nous ne connaîtrons peut-être jamais la réponse à cette question, mais nous savons que les scientifiques de ces agences soulèvent des inquiétudes depuis des années. Ce n'est que pendant la pandémie que plus d'experts dans le domaine et plus de profanes en ont pris conscience.
Un exemple que j'ai souvent utilisé pour illustrer ce point implique un groupe de scientifiques de haut niveau au sein du CDC se faisant appeler, CDC Scientists Preserving Integrity, Diligence and Ethics in Research , ou CDC SPIDER.
Ils ont publié une liste de plaintes éthiques dans une lettre au chef de cabinet du CDC concernant le comportement du CDC en 2016. Ils ont fourni une copie de la lettre à l'organisation de surveillance publique US Right to Know (USRTK) . Les membres du groupe ont choisi de déposer la plainte de manière anonyme par crainte de représailles.
«Il semble que notre mission soit influencée et façonnée par des parties extérieures et des intérêts voyous… et l'intention du Congrès pour notre agence est contournée par certains de nos dirigeants. Ce qui nous préoccupe le plus, c'est que cela devient la norme et non la rare exception . Certains hauts responsables du CDC sont clairement conscients et même tolèrent ces comportements. D'autres le voient et se détournent. Certains membres du personnel sont intimidés et pressés de faire des choses qu'ils savent ne pas bien. Nous avons des représentants de toute l'agence qui sont témoins de ce comportement inacceptable. Cela se produit à tous les niveaux et dans toutes nos unités respectives. Ces pratiques douteuses et contraires à l'éthique menacent de saper notre crédibilité et notre réputation en tant que leader de confiance en matière de santé publique.
C'est dommage que les agences chargées de nous protéger fassent exactement le contraire. Il est presque impossible de compter sur eux pour obtenir des informations, des conseils et des données précis en matière de santé.
Si les médecins et les responsables de la santé publique aux États-Unis restent silencieux et n'admettent pas les erreurs du passé, des politiques néfastes persisteront ou resurgiront lors de la prochaine pandémie. Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Sans que nous définissions ce qui n'allait pas ou que nous créions un cadre éthique pour éviter les mêmes erreurs, pourquoi s'arrêteraient-ils ?
Une étude montre à nouveau: les boosters rendent Covid plus difficile et favorisent le cancer
1 avril 2023 du Dr. Peter F. Mayer
L'OMS a désormais au moins retiré sa recommandation générale de vaccination permanente contre le Covid. Néanmoins, la vaccination doit continuer, après tout, les milliards de doses achetées doivent être éliminées. Essentiellement, seules les personnes âgées et les groupes à risque devraient recevoir un rappel. Cependant, quiconque connaît l'effet des vaccinations répétées se demande à quoi cela sert. Protection contre la maladie apparemment pas.
TKP a rapporté à plusieurs reprises ( ici , ici et ici ) des études qui ont démontré la présence d'anticorps de sous-type IgG4 après la deuxième injection d'ARNm. Avec d'autres doses, la concentration augmente. Ce sous-type d'anticorps a un certain nombre de propriétés désagréables : ils ralentissent la réaction du système immunitaire, le rendent plus tolérant aux virus, qui peuvent donc se propager sans entrave et rendre la personne infectée vraiment malade pendant longtemps.
Pour aggraver les choses, les IgG4 provoquent des maladies telles que la MPOC, le cancer, des problèmes cardiaques ou diverses maladies auto-immunes. Une étude récente l'a prouvé.
Le 27 mars 2023, une étude préimprimée de Vladimir N. Uversky et al intitulée « IgG4 Antibodies Induced by mRNA Vaccines Generate Immune Tolerance to SARS-CoV-2'spike Protein by Suppressing the Immune System » a été publiée. Les auteurs arrivent à une conclusion complètement différente du récit officiel de l'OMS, des gouvernements et de leurs experts naïfs :
« Dans l'ensemble, les preuves suggèrent que l'augmentation rapportée des niveaux d'IgG4 observée après une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm n'est pas un mécanisme de protection ; il pourrait plutôt faire partie du mécanisme de tolérance immunitaire à la protéine de pointe qui pourrait favoriser une infection et une réplication sans entrave du SRAS-CoV2 en supprimant les réponses antivirales naturelles. La suppression du système immunitaire induite par les IgG4 par des vaccinations répétées peut également provoquer des maladies auto-immunes, favoriser la croissance du cancer et induire une myocardite auto-immune chez les individus sensibles."
Dans les différentes études d'approbation, seuls les anticorps ont été mesurés globalement, mais les sous-types n'ont jamais été déterminés. Les études sont donc inutiles, scientifiquement sans valeur et ne permettent aucune déclaration sur l'efficacité et le potentiel de dommages. Néanmoins, ils sont acclamés par des virologues qui manquent apparemment des connaissances de base nécessaires.
Voici un exemple :
Était également impliquée la virologue allemande Dorothee von Laer de la MedUni Innsbruck, qui était d'accord avec la recommandation de l'OMS sur la manière de désinhiber les médias : « Quiconque a déjà eu une maladie comme le diabète, une déficience immunitaire comme le VIH, ou qui a plus de 60 ans ans est : Une vaccination de rappel est encore très recommandée à ces personnes, déclare la virologue Dorothee von Laer "
Pourquoi les virologues et l'OMS ne s'en tiennent-ils pas à leur propre mantra de « suivre la science » ? Ne savent-ils pas ? Les auteurs précisent au point 3.1. Les leçons tirées de l'étude sur le vaccin contre le VIH indiquent que la formation d'IgG4 après plusieurs vaccinations est connue depuis longtemps :
" Dans une étude de Chung et al. ont comparé l'immunisation répétée avec des vaccins anti-VIH similaires dans un scénario d'essai de vaccin anti-VIH. La protection (31,2 %) par un vaccin (RV144) était associée par les auteurs à la production d'anticorps IgG1 et IgG3, tandis que la protection par l'autre vaccin (VAX003) était négligeable et associée à la production d'anticorps IgG4 après plusieurs vaccinations [99]. Parce que le vaccin VAX003 a augmenté les niveaux d'IgG4, qui ont historiquement été associés à une diminution de l'efficacité immunologique,..."
La nocivité des IgG4 peut même être lue sur Wikipédia et d'autres sites Web pertinents .
Encore la question : Quelle était l'intention derrière l'inclusion de la troisième dose dans la « vaccination de base » ? Et pourquoi les boosters et les « refreshers » sont-ils spécifiquement recommandés pour les populations qui grèvent l'assurance maladie et le système de retraite ?
La légende du vaccin. Falsification des données et des chiffres
Par Jean-Yves Jézéquel Mondialisation.ca, 31 mars 2023
Cet article est le septième volet de dix articles.
10.3 – Falsification des données et des chiffres Le chercheur de l’INSERM, Laurent Toubiana, nous explique encore comment avec de vrais chiffres on arrive à donner de fausses informations ! Il s’agit d’une manipulation sémantique à propos de ce qu’est un « cas » détecté par « test ». Normalement, un scientifique regarde quel est le nombre de malades réels. Pour la Covid-19, on a regardé le nombre de « cas positifs », ce qui n’est pas du tout la même chose !
Voilà pourquoi, lorsqu’un chiffre ne convenait pas à la doxa gouvernementale, on changeait tout simplement les indicateurs d’analyse pour obtenir un changement sur les chiffres ! C’est tout ce qu’on veut sauf de la science…
Il est donc important de saisir que les chiffres n’ont pas été changés directement mais les indicateurs qui avaient une incidence directe sur les chiffres. Ici, on se souvient que, en France, le Dr Salomon, dans sa litanie quotidienne des morts, énumérait des chiffres cumulés. Or, ces chiffres cumulés ne pouvaient que croître et dès lors n’avaient d’utilité que celle de fomenter la peur !
La science ne fait jamais ce genre de chose, elle utilise toujours des indicateurs fiables et stables dans la durée, et ici, l’indicateur fiable était le nombre de malades vus en médecine de ville, afin d’en calculer le taux hebdomadaire pour 100.000 habitants.
En France, le réseau Sentinelle date de 40 ans : il portait un autre nom dans ses débuts. Ce réseau officiel comptabilisait en janvier 2022, 68 malades par semaine pour 100.000 habitants. Ce chiffre démontre, sans ambiguïté, que la Covid-19 est un phénomène insignifiant.
Il est bon de savoir, parole de scientifique, que la moyenne habituelle pour les épidémies de grippe (qui ont disparu !), était de 500 à 600 malades par semaine pour 100.000 habitants.
Or, dans la semaine du 23 au 29 mars 2020, au moment du pic le plus élevé de la « pandémie », les données scientifiques réelles disent qu’il y avait en France 140 malades par semaine pour 100.000 habitants, sachant que ce chiffre n’a jamais été dépassé depuis lors, dit Laurent Toubiana à partir des données de la DREES et de Sentinelle –
Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
A partir de là, on peut donc honnêtement se poser la question : Qu’est-ce qui a piqué les autorités, pour qu’elles aient déclenché ce délire covidiste (confinement, masques, distanciation sociale, « vaccins » non obligatoires mais obligatoires quand même, commerces fermés, réunions interdites, produits efficaces interdits à la vente, contrainte des pass successifs, couvre-feux …etc) alors qu’on a toujours été objectivement très loin des chiffres d’une grippe normale ?!
Les données scientifiques de l’ATIH, (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation) à la disposition des chercheurs, disent : quand il y avait 40 malades par semaine pour 100.000 habitants, l’hôpital en prenait 13 en charge. En janvier 2022 nous sommes autour de 17 par semaine pour 100.000 habitants. Pour 100.000 habitants, il y a un parc de 580 lits d’hospitalisation. Cela veut donc dire qu’il y a 580 lits pour 17 malades ayant besoin d’une prise en charge. Finalement, on comprend pourquoi Macron a continué de supprimer des lits !
Malgré la réalité et l’objectivité des chiffres non contestables, Martin Hirsch, le Président de l’APHP, a pourtant déprogrammé massivement des interventions dans les hôpitaux sous prétexte « pandémique » ! Pour quelle raison réelle, compte tenu de la vraie situation ?
Les données scientifiques à la disposition des chercheurs de l’INSERM disent que c’est 2% de l’activité médicale hospitalière qui ont été consacrés à la Covid-19 pendant l’année 2020, selon un rapport de l’ATIH sorti en décembre 2021. Or, ce sont ces 2% de l’activité médicale consacrée à la Covid-19 qui ont justifié le confinement et toutes les autres mesures invraisemblables de la « crise sanitaire ». Pour réaliser cette folie, les autorités se sont appuyées sur le « danger de saturation de l’hôpital » !
Que chacun se demande en lui-même : pourquoi un tel mensonge ? Quel en était l’objectif ? Comment pouvait-on craindre une « saturation de l’hôpital » tout en supprimant des lits à la pelle mécanique ?!
L’INSERM a examiné en détail les chiffres réels et l’Institut National Scientifique de la Recherche Médicale et s’est aperçu qu’au moment le plus fort de la « crise » (lorsqu’on transportait par TGV, avions, bâteaux, bus, des malades vers les hôpitaux des régions moins « saturées », tout cela comme un spectacle pour les caméras de télévisions) l’activité médicale réelle en France représentait alors un pic maximum de 5% ! Les soignants en nombre largement insuffisant et mobilisés à outrance doivent savoir qu’on s’est moqué d’eux en long, en large et en travers…
Les autorités au pouvoir ont donc volontairement baissé l’activité médicale pendant toute cette période-là, sans aucun motif sérieux !
Des mesures avaient été prises soi-disant pour consacrer des lits aux malades potentiels de la Covid-19 qui allaient envahir les hôpitaux. Aucune évaluation n’avait été mise en place au moment des mesures prises afin de contrôler ces mesures et ainsi pouvoir éventuellement modifier leur impact négatif sur l’activité globale hospitalière. Résultat, ce fut un fiasco complet pour la France !
Les professionnels compétents comme les chercheurs de l’INSERM, prenant la parole pour dire que les analyses faites par leurs moyens scientifiques, démontraient l’inanité des mesures prises par les dirigeants, étaient aussitôt censurés, interdits de parole dans les médias. Des articles publiés par leurs soins ont été déclarés par les autorités et par les médias inféodés, « fakes news » ! Comment expliquer cela rationnellement ?
Les médias inféodés disent et répètent que 70% des hospitalisations aujourd’hui sont des « non vaccinés » ! Si l’on regarde les chiffres de la DREES nous voyons que les « non vaccinés » représentent plus ou moins 40% des hospitalisations et les « vaccinés » autour de 60% des hospitalisations.
Avant la « vaccination », il y avait en France 37% de gens hospitalisés et 8% en soins critiques. Après la « vaccination », on retrouve exactement les mêmes chiffres. Conclusion : que ce soit avant ou après, le résultat est le même ! Il faut donc admettre et dire clairement que ces « vaccins » ne servent à rien, ils sont parfaitement inutiles pour l’objectif annoncé. Ils sont probablement utiles pour un tout autre objectif, celui du profit évident monstrueux pour Big Pharma et celui qui est expliqué dans le programme du « Great Reset ». La maladie de la Covid-19, quant à elle vit son bonhomme de chemin et va devenir une simple grippe comme les autres, une maladie endémique avec laquelle il nous faudra vivre. D’ailleurs c’est en substance ce qu’avait déclaré précisément Pedro Sanchez le Chef du Gouvernement espagnol, indiquant que toutes les mesures de « l’état d’alerte sanitaire » seraient levées dès le mois de février 2022.
Il est plus que temps d’abandonner la légende selon laquelle les injections, appelées à tort vaccins, préserveraient des formes graves de la covid-19, souligne Laurent Toubiana. Cette légende est fantaisiste, elle est totalement bidon et elle est aussi faite pour bercer les naïfs et les moutons conduits à l’abattoir par des loups.
On parle de « vagues de cas » mais pas de « vagues de malades ». C’est un artefact, on a changé la valeur des mots en parlant de « cas positifs » comme s’il s’agissait de malades !
Fergusson est un épidémiologiste qui propose des modélisations mathématiques prévisionnelles sur les maladies, comme on l’a déjà dit. Or, les modèles sont faits pour comprendre des phénomènes d’épidémies, mais en aucun cas pour prendre des décisions graves en termes de santé publique, comme confiner l’intégralité d’une population, en disant « si nous ne le faisons pas il y aura 500.000 morts supplémentaires dans le pays » ! C’est une aberration gigantesque et pourtant c’est ce que Macron a osé déclarer solennellement dans un communiqué aux français !
On aura tout vu et tout entendu dans cet épisode désastreux de la République française !
Selon Laurent Toubiana, il est impossible actuellement de publier une étude scientifique digne de ce nom sur la Covid-19. Si le discours n’est pas celui de la doxa convenue, il est aussitôt censuré, introuvable, inaccessible. Les menaces pleuvent également sur la personne qui ose publier une étude scientifique sérieuse. Toute étude bidon qui conforte la doxa convenue est autorisée… C’est un fait relevé par le collectif des chercheurs réunis à l’initiative de Laurent Mucchielli. De même, c’est également le témoignage de plusieurs chercheurs de l’INSERM qui ont refusé de se faire « vacciner » parce que c’était leur droit, mais qui ont été malgré cela sanctionnés, suspendus, évincés par Martin Hirsch et qui se retrouvent sans travail, sans salaire, dans une situation grave de précarité…
Concernant les mesures du gouvernement, il est clair que les évaluations n’ont pas été faites, puisqu’elles devaient être assurées par ceux-là même qui avaient décidé les mesures prises ! Si celui qui prend des mesures doit aussi les évaluer, il y a de fortes chances qu’il n’ira pas critiquer son initiative…
Sur le plan scientifique, les « états d’urgence sanitaire » sont des aberrations injustifiées parce qu’ils ne sont pas évalués.
Enfin, pour achever ce chapitre, saviez-vous que les scientifiques suspendus, comme le personnel soignant suspendu, n’ont pas le droit de chercher un travail quel qu’il soit ; ils n’ont même pas le droit de se présenter aux « Resto du Cœur », sans un pass vaccinal ?! Saviez-vous que la milice du gouvernement vichyste du dictateur Macron convoque les « suspendus » afin de vérifier leurs comptes en banque pour s’assurer qu’ils n’ont effectivement aucune source de revenus leur permettant de survivre ?! Le saviez-vous ? Saviez-vous à quel point ces ordures au pouvoir ont poussé la criminalité en toute impunité ? D’où vient ce fanatisme criminel ?
10.4 – La peur et le néo-obscurantisme Pourquoi les autorités se sont-elles amusées à faire peur aux gens ? Pourquoi persister dans l’irrationnel ? Où voulaient-elles en venir ?
Pourquoi un tel mensonge délirant dès le début de cette fausse pandémie car les chiffres sont là et ils sont têtus, même si la mise en scène des chinois était particulièrement efficace pour flanquer la trouille au reste du monde !?
Une personne rationnelle pense naturellement qu’on ne peut pas se baser sur un cas particulier pour imposer au monde entier des mesures disproportionnées et catastrophiques dans leurs effets destructeurs qui sont rapidement devenus pires que le mal qu’elles prétendaient combattre au point de départ.
On nous serinait alors avec un culot inouï, qu’il fallait peser l’enjeu, le fameux « Primum non nocere », d’abord ne pas nuire !
On sait aujourd’hui qu’il y a des pays comme la Suède qui n’ont absolument pas joué ce jeu pervers et qui n’ont pas eu à déplorer le désastre qui a sévi dans ceux qui se sont livrés à ce délire covidiste.
La peur n’est jamais bonne conseillère dit-on, mais dans ce cas, elle a été pire qu’une mauvaise conseillère, elle a permis le désastre en règle de tout ce qui est humain pour le remplacer sans doute par ce qui est annoncé comme le transhumanisme à venir, dans le programme du FEM de Davos.
Aujourd’hui, le crime ne s’est pas limité à provoquer le désastre et la mort de bien des personnes innocentes, il est allé encore plus loin en déclarant que ceux qui ont respecté leur liberté de ne pas se faire injecter des produits expérimentaux, encore insuffisamment testés et connus, peuvent infecter et faire mourir ceux qui se sont faits injecter ces produits ! Là on est en plein irrationnel, dans un néo-obscurantisme : on s’est retrouvé dans les mêmes genres d’accusations, faites contre les Juifs, au moment de la peste qui sévissait en Europe en 1348. C’est le n’importe quoi, du moment qu’on saccage et qu’on détruise l’unité du peuple.
Ceux qui disent que les « non vaccinés » vont infecter les « vaccinés » et les mettre en danger, souligne le chercheur Laurent Toubiana, prouvent qu’ils n’ont aucune connaissance en épidémiologie et que tout cela est dramatiquement peu sérieux ! Chacun d’entre nous a entendu les hurlements de la meute des « idiots utiles » faite de médecins connus, de certains artistes, de quelques acteurs de cinéma, de chanteurs, de personnalités publiques occupant le paysage audio-visuel, de journalistes des médias inféodés… Tous ces gens-là ne peuvent que susciter notre sidération et notre pitié ou notre indifférence !
Tous ceux qui tiennent ce discours culpabilisateur et accusateur sont gravement irresponsables, d’authentiques criminels ou des inconscients dont l’inconscience prépare d’autres catastrophes prochaines à venir…
La déclaration de Macron voulant désormais consacrer sa présidence à « emmerder » les français qui refusent de se soumettre à sa tyrannie covidiste, en faisant simplement valoir leur droit à ne pas se faire injecter ces produits en phase de test jusqu’en 2023, est parfaitement sidérante et stupide. Déjà la manipulation sémantique devient insupportable lorsque cet homme, qui aurait pu être le président de tous les français s’il avait été légitime à l’Elysée, affirme sans scrupules que ces français récalcitrants sont des « anti vaxx ». Ceux qui refusent les injections de produits à ARNm en phase de test, ne sont pas forcément des opposants aux vaccins, ce sont simplement des gens qui veulent donner leur « consentement libre et éclairé ». Il faut reconnaître que pour le moment un consentement n’est ni libre ni éclairé puisque les laboratoires ont refusé de fournir les études scientifiques sur le contenu des injections anti-covid, comme le rappelait le Monsieur Vaccin français successeur du Dr Salomon, dans son discours d’entrée en fonctions.
Rappelons également que les députés européens n’ont pas été autorisés à prendre connaissance, dans le détail, des contrats signés avec les laboratoires pharmaceutiques engageant pourtant des milliards d’euros d’argent public. Pourquoi donc ?
Ceux qui disent la vérité sont aussitôt menacés du Goulag. Ceux qui alimentent le mensonge de la narration covidiste au nom de « l’objectivité scientifique » sont décorés de la Légion d’Honneur !
Qu’on le sache bien : aucun scientifique n’est actuellement autorisé à publier des informations réellement scientifiques sur les questions qui gravitent autour de la Covid-19. Les Etats collaborateurs et gardiens attitrés de la précieuse « fenêtre d’opportunité », qu’est la fausse pandémie, veillent à l’extermination de tout chercheur qui oserait faire voir la vérité scientifique tournant autour de la fumisterie mondialiste sur le corona-circus.
Tout cela nous indique clairement qu’on est loin des motifs sanitaires annoncés et que le véritable motif est soigneusement occulté, jusqu’à ce que le nombre des injectés soit suffisamment élevé.
Pourquoi vouloir « emmerder » ses concitoyens au motif que ceux-ci refusent de se soumettre à une injection dont on ne sait rien et, de surcroît, à une campagne mensongère, manipulatrice qui s’acharne contre un droit sacré et inaliénable, celui de la liberté vaccinale qui protège le corps des individus considérés par la loi comme inviolable. Si vous regardez de près tous les chiffres officiels du Gouvernement français, vous allez découvrir que c’est 46% des français qui ne sont pas « vaccinés », sans compter ceux qui ont refusé la troisième dose et qui sont venus grossir les rangs des non « vaccinés », ainsi que tous ceux qui ont allègrement pratiqué le faux « pass sanitaire » puis « vaccinal »… Dans l’état actuel du programme de vaccination, c’est 90% des Français qui sont devenus « antivax » !
10.5 – Le contenu des injections à ARNm et les effets secondaires Nous savons aujourd’hui, grâce notamment à des chercheurs espagnols, japonais, Argentins, américains, que des lots d’injections à ARNm ont révélé la présence d’oxyde de graphène.
Les démonstrations scientifiques ont été publiées, vérifiées et confirmées selon les règles convenues par les éditions scientifiques. Nous avons donné dans des articles publiés sur mondialisation.ca les références de ces publications.
Ces confirmations ont aussitôt été niées par les autorités qui se sont contentées d’accuser comme d’habitude de « fakes news » ou de « complotisme », ces études scientifiques misérablement décrédibilisées, sans l’apport d’aucune argumentation contradictoire documentée !
Une simple évaluation sur les injections démontre qu’elles ne fonctionnent pas pour le motif imploré (anti-covid-19), puisque les produits injectés ne protègent pas des infections et ne protègent pas du risque d’infecter les autres.
Mais il y a pire encore : toutes les agences de pharmacovigilance occidentales et l’ANSM elle-même en France ont relevé un très grand nombre de manifestations d’effets secondaires gravissimes :
Double pneumonie surtout par inhalation. Effondrement du système immunitaire naturel, inné et acquis. Goût métallique dans la bouche. Inflammations multiples. Inflammations des muqueuses. Milliers de mini caillots circulant dans le sang. Mouvements incontrôlables. Myocardites et péricardites possiblement irréversibles. Perte de l’odorat et du goût. Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entraîner : Aphasie, AVC, Cécité d’un œil ou des deux, Embolie cardiaque, Embolie pulmonaire, Paralysies, Surdité d’une oreille ou des deux…
Pourtant, malgré ces observations objectives, Macron veut « emmerder » ceux qui refusent de se faire injecter ces produits présentant un tel danger ! « Primum non nocere »
Il est désormais possible de se rendre compte que l’objectif recherché est bel et bien celui expliqué dans l’idéologie néo-féodaliste du « Great Reset » de Klaus Schwab fondateur du Forum Economique Mondial de Davos qui vente la nouvelle ère du transhumanisme. Je renvoie le lecteur à l’analyse qui a été faite sur le contenu de la publication du « Great Reset », dans l’article de mondialisation.ca du 3 janvier 2022.
Si l’industrie pharmaceutique française a été tellement absente de cette histoire de « vaccins », c’est précisément parce qu’il ne s’agissait même pas de vaccins. S’il avait été vraiment question de vaccins anti-covid-19, l’industrie pharmaceutique française avec l’Institut Pasteur, auraient tous les deux, été présents dans la bataille.
Dans cette affaire du covidisme, la communauté scientifique internationale a été maltraitée et humiliée, car elle a perdu pour longtemps sa crédibilité gravement mise à mal par une classe de responsables assoiffée d’argent et de pouvoir…
10.6 – Vaccins et explosion des cancers Laurence Secchi – Santé Corps Esprit, écrivait le 9 septembre 2022 :
« Dr Ute Krueger, une médecin suédoise (1), est catastrophée, car ce qu’elle découvre depuis 2021 est vraiment très inquiétant. »
Depuis plus de 25 ans, cette anatomopathologiste (2) analyse des échantillons de tissus pour identifier des tumeurs de cancers du sein. (3)
Mais depuis plusieurs mois, elle constate des changements étranges :
Les tumeurs concernent des personnes de plus en plus jeunes, entre 30 et 50 ans ; Elles sont plus agressives (4) ; elle évoque le cas d’un homme de 30 ans qui avait reçu 2 doses de vaccin et qui déclenche un syndrome de Guillain Barré (5) – un effet secondaire grave directement lié à la vaccination.
Cas après cas, elle constate un nombre affolant de myocardites, de vascularites, d’hémorragies sur des personnes décédées et vaccinées.
Pourtant, ses confrères n’avaient pas établi de lien entre le décès et la vaccination.
Comment expliquer ce décalage ?
Elle y voit au moins 2 raisons :
Les dossiers des patients semblent mal remplis : pour certains, il n’est pas indiqué que le patient avait été vacciné, alors qu’il l’était !
Les autopsies sont souvent « bâclées », car superficielles : contrairement à ses collègues, elle a cherché la fameuse protéine Spike, responsable d’une inflammation, notamment au niveau du cœur.
C’en est trop ! Elle décidait alors d’alerter ses confrères. Elle contacte la Food and drugs administration (FDA), le gendarme des produits de santé, qui ignore purement et simplement sa demande, car il s’agit d’une trahison effective, volontaire, mais ignorée par les médecins de terrain.
Elle en parle lors d’un congrès médical en Allemagne… Mais elle reçoit peu de retours. La mort dans l’âme, se sentant bien isolée, elle ne peut que déplorer :
« J’ai étudié la médecine parce que je voulais aider les gens. Maintenant, j’ai l’impression de regarder des gens se faire tuer et de ne rien pouvoir faire. »
Pourtant, elle est loin d’être la seule à avoir fait ce constat inquiétant !
Dès le mois de juillet, dans la revue Santé Libre, la pédiatre Nicole Delépine, spécialiste des cancers, tirait, elle aussi la sonnette d’alarme en demandant : avec l’ARN messager, faut-il craindre une épidémie de cancers ? Chaque semaine, elle recevait des mails de parents affolés, comme celui-ci :
« Docteur Delépine, mon fils de 11 ans est atteint d’ostéosarcome. En juin, il est déclaré en rémission complète, mais en septembre, il présente des métastases pulmonaires bilatérales en lâcher de ballon… puis en janvier des métastases cérébrales et on me dit qu’il est fichu… Il a été « vacciné » en juillet. Cela a-t-il un rapport ? »
Cancérologue depuis plus de 40 ans, elle sait pertinemment qu’un cancer est toujours multifactoriel.
Mais aussi que des récidives aussi violentes et rapides, ou des apparitions de tumeurs aussi agressives, ce n’est pas normal, surtout après une vaccination. Minutieusement, elle enquête aussi, recoupe les témoignages et épluche les dossiers de patients. Ses 3 conclusions, publiées dans Santé Libre, sont éloquents :
Des cancers apparaissent rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et sont très évolutifs chez des personnes jusque-là indemnes de pathologies carcinologiques connues.
Certains cancers reprennent et évoluent chez des patients en rémission complète depuis plusieurs mois ou années. Le plus souvent, ils résistent aux traitements antérieurement efficaces ; Certains cancers évoluent très rapidement, « explosent » et deviennent « incontrôlables ». Il a suffi de quelques recherches pour conforter son hypothèse : la vaccination affaiblissait le système immunitaire. On retrouve encore le même constat que celui qui avait été fait dès l’origine de l’aventure des vaccins.
Plus précisément, les vaccins anti-Covid bloqueraient une protéine déterminante dans la lutte contre les tumeurs.
Pour faire simple, cette protéine anti-oncogène, la P53 (6), sert à éviter que des cellules endommagées ne se transforment en cellules cancéreuses. Soit elle les répare, soit les cellules se suicident (par apoptose).
Or, la fameuse protéine Spike vaccinale, pourrait se lier à cette protéine et l’empêcher de faire correctement son travail de « suppresseur de tumeurs ».
Ce phénomène n’est pas nouveau : la scientifique américaine Theresa Parks l’avait elle aussi déjà identifié dès août 2021, nous explique le Dr Delépine dans son article remarquable.
Enfin, un autre anatomopathologiste (comme la Dr Krueger), le Dr Ryan Cole, avait même témoigné devant le Sénat américain en janvier 2022 et livré les mêmes tristes informations. (7)
1. Ancienne chef du service de pathologie à Växjö (Suède), elle exerce actuellement à l’hôpital de Kalmar. Elle est experte des cancers du sein et travaille en lien avec le département d’oncologie de l’université de Lund en Suède.
2. L’anatomopathologiste a pour rôle d’analyser les prélèvements biologiques d’un patient : cellules, tissus et organes.
3. Même le directeur de l’OMS en Europe, Dr Hans Kluge, l’avait déploré début 2022 : “La façon dont la pandémie retarde les soins aux personnes atteintes de cancer et crée des retards accumulés dans les services de santé, est une interaction mortelle.” https://unric.org/fr/la-covid-19-a-un-impact-catastrophique-sur-le-cancer/
4. Elle a raconté cela fin juillet 2022, à l’organisation Doctors For Covids Ethics: https://rumble.com/v1do1rb-covid-vaccination-and-turbo-cancer-pathological-evidence-with-english-subti.html (sous-titré en anglais)
Le nouveau principe de la souris de laboratoire
RépondreSupprimer30.03.2023
www.kla.tv/25587
A peine avons-nous échappé aux manipulations génétiques forcées du Covid que ces mêmes Frankenstein nous ont déjà choisis comme cobayes expérimentaux. Leurs entreprises ont déjà obtenu les premières autorisations pour leur prochaine expérience humaine insensée. Tu dois désormais absorber leurs substances expérimentales très dangereuses dans ton alimentation quotidienne. Et ce, par le biais d'énormes quantités de vermine finement moulue dans tes pâtisseries, soupes, sauces, pâtes, etc. Le nouveau principe de la souris de laboratoire oblige également ces Frankenstein à tester leur nourriture sur eux-mêmes pendant au moins 20 ans...
Vous trouverez l'intégralité de l'appel au réveil des nations lancé par le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, sur www.kla.tv/25284
1. En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d'abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM, ainsi que sur toutes les puissances d'arrière-plan qui parient certainement sur lui, comme BlackRock, Vanguard et Cie.
2. Nous nous laissons toujours guider et déterminer par des politiciens et des responsables qui n'ont aucunement prouvé par leur propre corps et leur vie que leurs nobles théories et idéaux politiques fonctionnent
3. …dire désormais « oui » à tous les vaccins commandés par l'industrie pharmaceutique, y compris ceux de la MNRA, mais à la seule condition que nous testions au préalable tous ces produits pendant au moins 20 ans sur leurs propres fabricants, ainsi que sur tous les politiciens qui soutiennent de telles actions expérimentales. Mais le test de 20 ans doit également être mené à bien sur tous les complices et collaborateurs des services de santé et autres.
4. La démocratie mondiale teste d'abord la pertinence du Great Reset proclamé sur les 1% de super-riches qui possèdent justement plus d'argent que les 99% restants de la population mondiale. En tant que démocratie mondiale, nous décidons que la satisfaction durable de tous les multimilliardaires et multi-billionnaires de ce monde doit être prouvée sur une période d'au moins 20 ans avant que ce Great Reset souhaité puisse être appliqué au reste de l'humanité - mais pas avant !
5. C'est pourquoi je propose que nous disions même « oui » à la surveillance totale prévue, ainsi qu'à l'abolition de l'argent liquide - mais uniquement à la condition que l'ensemble de la population mondiale puisse surveiller pendant au moins 20 ans toutes les élites susmentionnées avec leurs propres technologies. En tant que démocratie mondiale, nous inversons les rôles et ordonnons une sorte de Truman Show géant.
6. Nous sommes en train d'unir nos forces pour prendre des décisions fondamentales pour le monde. C'est ce dont nous traitons ici dans cette émission.
de is.
Sources / Liens :
https://www.kla.tv/fr
Chine et Inde : un duel de géants
RépondreSupprimerL’Inde, désormais plus peuplée que la Chine, pourrait-elle faire contrepoids ?
le 31 mars 2023
Yves Montenay
L’Occident est fâché contre la Chine dont il craint la démarche totalitaire et dominatrice. Et réciproquement, la Chine est fâchée contre l’Occident qui, après l’avoir considérablement aidée, fait tout pour l’entraver. L’Inde, désormais plus peuplée que la Chine, pourrait-elle faire contrepoids ?
Quelques données de base sur la Chine et l’Inde
La Chine et l’Inde sont les deux nations les plus peuplées au monde avec 1,4 milliard d’habitants.
Militairement, la Chine est loin devant et grignote une partie du territoire indien de l’Himalaya, qui est peuplé de Tibétains. Ces derniers font partie de l’empire chinois pour Pékin, et sont tout ce qui reste d’un Tibet libre pour les Occidentaux et l’Inde. Et elle attire les États de l’Himalaya, Népal et Bhoutan, jusqu’à présent très liés à l’Inde, ce qui affaiblirait considérablement la frontière nord de l’Inde.
Dans le reste du monde, la Chine s’implante militairement petit à petit, annexant de fait toutes les îles de la mer de Chine du Sud et en multipliant ailleurs dans le monde les bases militaires (Djibouti) ou des ports, y compris en Europe, qui pourraient le devenir.
L’Inde commence à réagir et à se soucier de son environnement stratégique. Bien qu’étant au départ anti-impérialiste et socialiste, donc un vieil allié de l’URSS et (un peu moins) de la Russie, cela devrait la pousser dans le camp occidental.
Économiquement, la Chine a également une avance considérable, avec un PIB par personne de quatre fois celui de l’Inde. Ce développement a été possible parce qu’elle s’est libéralisée plus tôt et s’est développée ainsi grâce à un secteur privé qui représente maintenant 50 % de son économie. Mais ce mouvement s’est inversé avec la reprise en main des entreprises chinoises et étrangères par le parti.
Les premiers gouvernements de l’Inde étaient socialistes et ont donc raté le développement, mais le virage vers le privé des années 1990 est maintenant bien avancé. Et nous verrons que la divergence démographique peut accentuer cette remontée indienne.
Des cultures traditionnelles différentes
RépondreSupprimerD’un côté, il y a la Chine communiste mais aussi confucéenne, avec une morale qui demande le respect de la hiérarchie et des anciens : jadis l’empereur, maintenant les dirigeant du Parti communiste chinois.
De l’autre, l’Inde, où la pensée hindouiste à la fois religieuse et nationaliste, se fonde sur quatre principes – Kâma, le désir, Artha, la prospérité matérielle, Dharma, le devoir et Moksha, la délivrance finale – tout à fait compatibles avec le développement économique et politique du pays.
Diversité indienne contre uniformité chinoise
La Chine est une dictature communiste avec une économie largement dirigée et une société que l’on veut uniformiser à tout prix. Par exemple même les églises et les mosquées doivent être construites en style chinois. Les activités économiques privées ont été autorisées à la fin du XXe siècle, elles ont pris un développement considérable mais sont de nouveau sous le contrôle du parti. Bref la Chine est à mon avis en train de tuer la poule aux œufs d’or.
Par contre l’Inde est la plus grande démocratie du monde, elle s’appuie sur une économie libéralisée depuis 30 ans. C’est un État fédéral avec 22 langues officielles et 1600 langues locales, plus l’anglais, langue commune à partir d’un certain niveau dans l’administration et donc apprise pour faire carrière.
Avec des dizaines, voire des centaines de millions de locuteurs pour les principales langues, il y a des médias de masse dans chacune et Bollywood serait le premier centre mondial de la créativité cinématographique, ou du moins un des trois premiers.
La grande complication de la religion hindoue ajoute à la diversité et la complique par une stratification par castes, en principe interdites, mais en pratique toujours présentes. Tout cela est exalté par le parti national religieux au pouvoir. À cette extrême complexité de la religion hindoue s’ajoute sa cohabitation avec le christianisme et l’islam.
N’oublions pas que l’Inde est le troisième pays musulman du monde même si ses plus de 180 millions de croyants ne font que 15 % de la population. Si l’on ajoute cette diversité religieuse à la diversité linguistique, on voit qu’on est à l’opposé de l’uniformisation chinoise que je crois stérilisante.
Cette diversité culturelle engendre une grande créativité qui se constate déjà dans le domaine des nouvelles technologies.
Certes, la démocratie indienne est imparfaite. La presse d’opposition est sous pression, la majorité hindoue a un comportement agressif envers la minorité musulmane et parfois envers la beaucoup plus faible minorité chrétienne. Tout cela est dénoncé par le Parti du Congrès, socialiste, qui a longtemps gouverné et est maintenant dans l’opposition : « L’Inde n’est plus une véritable démocratie. Le Parlement, les médias, le milieu des affaires, les régulateurs, la justice : tous sont contrôlés par un seul et même parti. »
RépondreSupprimerPar ailleurs, la fierté est omniprésente en Inde en ce moment avec la nomination d’un Premier ministre britannique d’ascendance indienne Rishi Sunak, une première absolue dans l’histoire, qui apparaît nettement plus « sérieux », que ses deux prédécesseurs, Boris Johnson ou Liz Truss, qui a démissionné après seulement 45 jours en poste.
Le paradoxe de la situation présente est que l’Inde est devenue tout à la fois un modèle et un contre modèle. Elle exploite avec talent les cartes qui sont les siennes dans le monde mais elle les dilapide sur la scène intérieure en laissant prospérer la haine entre ses communautés à un niveau inégalé depuis la partition sanglante du sous-continent en 1947.
Sur la scène internationale, on vante les succès de l’Inde. Mais se pourrait-il qu’elle bénéficie davantage des erreurs ou des faiblesses de ses rivaux et partenaires que de ses mérites propres ?
Malgré tout, l’Inde reste quand même à des années-lumière du régime chinois en matière de liberté.
La démographie pèse en faveur de l’Inde
La Chine va se trouver handicapée par la baisse de sa population active, ce qui pèsera sur son poids économique alors que l’Inde est plutôt dans sa période de « dividende démographique », avec beaucoup d’adultes, relativement peu de personnes âgées et de moins en moins d’enfants, la fécondité restant néanmoins très au-dessus du niveau chinois, avec une fécondité de 2,1 enfants par femme contre 1,15 enfant par femme en Chine.
En Chine, les classes creuses gagnent du terrain chaque année : les moins de 33 ans sont déjà moins nombreux que leurs parents, et en 2030 ce sera les moins de 40 ans, en 2050 les moins de 50 ans.
C’est l’inverse en Inde : même si la fécondité décroît, le nombre de parents continue à augmenter.
De plus, Pékin sera bientôt confronté au problème majeur des retraites qui pourrait nuire à sa richesse nouvellement acquise, laissant le champ libre à l’Inde.
À ce propos, je vous invite à écouter la récente émission de France Inter : « La Chine sera vieille avant d’être riche donc la réforme des retraites s’y annonce drastique » qui décrit bien ce phénomène.
Un développement récent similaire
RépondreSupprimerSi les deux pays divergent sur de nombreux points, ils ont suivi deux chemins de développement grossièrement parallèles.
D’abord des expériences socialistes calamiteuses pour l’Inde et catastrophiques pour la Chine, puis une libéralisation économique, dont les bénéfices ont été partiellement réinvestis en infrastructures.
Mais il y a aujourd’hui un oubli des conditions politiques de cette libéralisation, avec le poids du parti en Chine et le déclin de la liberté des oppositions en Inde, qui s’ajoute à la création de monopoles de connivence.
La libéralisation économique
Je ne reviens pas sur la résurrection de la Chine après Mao grâce à sa libéralisation économique, et notamment l’autorisation du secteur privé. J’ai développé ce sujet dans mes précédents articles sur la Chine.
En résumé, j’y décris le cercle vertueux qui a permis l’enrichissement d’une classe moyenne et supérieure, résultant en partie de l’exploitation des migrants ruraux, classe moyenne simultanément transformée en gigantesque marché qui a attiré les investissements du monde entier.
La même étape apparaît en Inde, mais seulement depuis quelques années.
Le marché intérieur a été récemment matérialisé par une taxe uniforme sur les biens et services (GST) remplaçant les très nombreuses taxes locales qui faisaient obstacle à ce marché national.
Et, comme en Chine, la numérisation débloque l’économie en permettant l’arrivée à qui de droit de l’argent public comme privé, en évitant une partie de la corruption et des détournements. Et cette numérisation sécurisante s’appuie également sur l’attribution à tous les Indiens d’une carte d’identité biométrique.
Et, comme en Chine, surtout au début de son développement, mais encore un peu aujourd’hui, le réservoir des campagnes souvent misérables donne une réserve de main-d’œuvre bon marché aux conglomérats indiens.
Les infrastructures
Dans les deux cas les gouvernements se sont à juste titre soucié des infrastructures, souci qui est allé jusqu’au gâchis en Chine, qui s’est couverte de TGV et d’autoroutes… échange probable de bons procédés entre grands entrepreneurs et administration.
Le fait qu’une partie des infrastructures semble sous-employée laisse supposer d’importantes dettes plus ou moins cachées et une surestimation de la croissance passée du PIB. Cela devient évident notamment pour les logements qui ne trouvent plus preneurs.
L’Inde, de son côté est encore en retard côté infrastructures malgré le progrès des routes, du réseau électrique, de l’assainissement, de l’éducation et de la capacité numérique. Il est remarquable que le pays se soit équipé en dépensant beaucoup moins d’argent qu’en Chine.
Un capitalisme de connivence
RépondreSupprimerOn déplore par ailleurs dans ces deux pays l’apparition d’un capitalisme de connivence. À côté des énormes entreprises privées chinoises, l’Inde a ses « champions nationaux », conglomérats oligopolistiques privés, dont le plus connu est le groupe Tata, qui contrôlent des pans importants de l’économie.
Comme en Chine, ils ont un niveau de compétitivité mondiale, mais cette connivence sera un frein à l’avenir.
En effet, on constate qu’ils diminuent la concurrence et donc la créativité en rachetant systématiquement des start-ups et en remportant les appels d’offres publics par copinage.
L’actualité du mois de février 2023 a mis en évidence le conglomérat indien Adani, accusé de doper son cours de bourse de manière frauduleuse par la société américaine d’investissement Silène Hindenburg Research, ce qui a amené des enquêtes sur sa croissance ultrarapide et sa proximité avec le premier ministre.
Mais si ça passionne la planète boursière, l’opinion indienne est indifférente avec la popularité du Premier ministre, qui s’appuie sur une affirmation nationale et religieuse.
À l’inverse de ce qui se passe en Chine, les « champions » indiens ont orienté la politique. L’innovation et les start-ups sont souvent éliminées, on est tombé dans le protectionniste avec substitution des importations par des productions nationales subventionnées.
Et l’Inde n’adhère d’ailleurs pas aux accords commerciaux régionaux ou mondiaux.
Cette évolution indienne rappelle les réussites de la Chine sous Hu Jintao (2002-2012) et celle de la Corée du Sud dans les années 1990 avec ses grands chaebols dont le pays était fier.
Il faut souhaiter que le gouvernement indien ne soit pas trop lié à ces champions nationaux qui financent largement ses campagnes électorales…
Et l’avenir ?
La Chine voudrait passer de « l’atelier du monde », au « laboratoire du monde », passant d’une économie de production industrielle à celle de création technique et technologique.
Son atout principal est un marché intérieur important avec une classe moyenne relativement riche, mais son handicap pour y parvenir est le manque de liberté intellectuelle.
Inversement, une Inde plus diverse et nettement plus libre parait mieux armée dans ce domaine, ce qui devrait se constater au fur et à mesure de la diminution de la pauvreté de sa population. Ce qui n’empêche pas l’Inde d’être par ailleurs un nouvel « atelier du monde » du fait de ses bas salaires actuels, comme elle est d’ailleurs actuellement pour le textile.
Pour l’instant, le retard indien est tel que les forces de rattrapage suffisent pour assurer sa croissance, et le protectionnisme ne fait qu’atténuer le phénomène. Mais il est dangereux pour l’avenir.
Un tour d’horizon géopolitique
RépondreSupprimerL’Inde et la Chine seront au cœur des préoccupations du reste du monde dans les années à venir. La Chine est théoriquement l’alliée de la Russie et l’a assurée de son amitié éternelle mais elle craint des sanctions économiques occidentales dont elle a été menacée si elle vend des armes à sa voisine.
En tant qu’ancien pays socialiste, l’Inde a gardé des liens étroits avec l’URSS puis la Russie qui est son fournisseur principal d’armes. Les Rafales qu’elle nous a achetés sont un pas vers une diversification, mais en attendant elle offre à la Russie un débouché pour son pétrole, moyennant d’importants rabais.
Bref l’Inde et la Chine jouent d’abord pour elles-mêmes.
Théoriquement, la Chine pourrait profiter de sa supériorité actuelle pour régler son compte à ce concurrent qu’est l’Inde. Mais elle risque alors de renvoyer l’Inde vers l’Occident, alors que le souci premier de la Chine est d’envahir Taïwan. On ne peut pas tout faire en même temps.
La Chine garde néanmoins un levier contre l’Inde : son alliance avec le Pakistan musulman, ennemi historique de Dehli.
Par ailleurs l’Inde et la Chine émettent une forte partie du gaz carbonique mondial ainsi que des pollutions de toute nature et notamment du plastique.
Officiellement elles ont toutes les deux décidé la décarbonation de leurs économies… du moins tant que ça ne freine pas leur développement !
L’Inde et la Chine s’alignent pour ne pas soutenir l’Ukraine mais cela n’a rien d’un front commun, comme l’illustrent des manœuvres militaires communes entre l’Inde et le Japon.
En conclusion : le choc de deux hubris
Le nationalisme, l’orgueil et le tempérament dominateur de la Chine sont maintenant des données de base de la géopolitique, même pour des pays neutres ou sympathisants.
Le nationalisme et l’orgueil indien identitaire et religieux est moins agressif à l’extérieur comme à l’intérieur, où il est freiné par le fédéralisme, la démocratie et une grande diversité culturelle. Il n’en demeure pas moins en dehors des clous par rapport aux principes occidentaux.
Mais tant l’Inde que l’Occident n’ont pas d’autre choix que de s’entendre face à la Chine, surtout si cette dernière vassalise la Russie et met de fait la main sur ses matières premières.
Face a cette démarche totalitaire et dominatrice, l’Occident a donc découvert l’Inde dont nous avons vu les atouts. Et logiquement l’Inde devrait constater qu’elle a besoin de l’Occident, tant face à la Chine que pour accélérer son développement. Lequel développement indien est aussi dans l’intérêt de l’Occident…
Cet intérêt réciproque devrait logiquement l’emporter sur les divergences en matière démocratique, de droit des minorités et de gestion d’environnement et conduire à un rapprochement entre l’Inde et l’Occident.
https://www.contrepoints.org/2023/03/31/453465-chine-et-inde-un-duel-de-geants
Taïwan est un peu le 'Monaco' chinois. Les taïwanais se disent chinois. Où est le problème ?
SupprimerL'Inde c'est 1 milliard 500 000 cons, et la Chine c'est 1 milliard 500 000 intelligents. Là est la différence. En Inde les femmes sont traitées moins que des chiens. L'Inde est un pays arriéré aux côtés de la Chine mille fois plus avancée que n'importe quel pays au monde !
(...) Par contre l’Inde est la plus grande démocratie du monde, (...)
Ce qui est FAUX puisqu'elle est une dictature impitoyable ! (et pourtant Yves Montenay est suisse !). La Démocratie c'est : 'Par le Peuple, Pour le Peuple'. En Suisse les suisses proposent LEURS lois et votent eux-mêmes LEURS lois. Pas en Inde !
RTE nous a préparé une économie anorexique pour 2050
RépondreSupprimerBruxelles continue de vouloir une paupérisation de l’UE ne disant pas son nom, que RTE n’a pas hésité à planifier.
le 31 mars 2023
André Pellen
Bruxelles continue de vouloir une paupérisation de l’UE ne disant pas son nom, que RTE n’a pas hésité à planifier. Et si le dévoiement de la taxonomie européenne ne suffisait pas à neutraliser le principal obstacle à ce projet, exclure le nucléaire du plan REPowerEU à 210 milliards d’euros ne devrait pas manquer d’y parvenir.
Deux dirigeants de grandes entreprises, soudain épouvantés par la révélation que « Futurs énergétiques 2050 » nous prépare un pays technologiquement incapable de satisfaire avec sécurité les besoins d’électricité prévus, qui risque fort de manquer d’énergie en 2050 ou même avant, et dont la souveraineté énergétique aura été considérablement affaiblie, viennent de confier un peu tardivement leur désarroi au journal Le Monde.
En exhortant benoitement notre « gouvernement de prendre conscience du désastre annoncé par « Futurs énergétiques 2050 » et en proposant une PPE 2023 fondée sur des schémas très différents, nos deux capitaines d’industries ne mesurent manifestement pas la gageure que représente désormais la reconstitution des marges énergétiques de notre pays, ni de la conjuration qui y sévit depuis plus de 25 ans.
Renouveler notre parc de production : la promesse de l’intenable
Interrogés par les auteurs du Rapport RTE 2050 dont il est ici question, les représentants de la filière électronucléaire française affirmèrent que l’industrie nucléaire française n’est pas en mesure de construire un parc de plus de 50 GW à l’horizon 2050.
Selon lesdits auteurs, construire un tel parc représenterait par ailleurs « un défi industriel avec de fortes incertitudes sur sa réussite. »
Citons ces représentants de RTE :
« La France n’est dans tous les cas pas en capacité à la date actuelle de construire des réacteurs nucléaires au même rythme que dans les années 80. Le rythme de construction actuel […] ressort nettement en dessous de celui du programme nucléaire historique […] cette différence […] a fait l’objet de discussions passionnées […] mettant l’accent tantôt sur le caractère exceptionnel du programme nucléaire civil français des années 1980, tantôt sur la perte de compétence industrielle du pays depuis. »
À toutes fins utiles, il convient de rappeler que le parc actuel est encore de plus de 60 GW, en tenant compte de l’arrêt de Fessenheim.
Commentaires
RépondreSupprimerLa France des années 2020 n’est en effet plus celle de 1980. Parvenir à mettre 50 GW sur le réseau en 2050 implique selon RTE un scénario de ré-industrialisation profonde visant une part de l’industrie manufacturière représentant 12 à 13 % du PIB à l’échéance 2050.
Certes, mais alors de combien devrait être cette part – de 20 % en 1980 – sans ré-industrialisation profonde ? Moins de 10 % ? À l’évidence, la concertation de RTE menée il y a deux ans avec nos industriels et nos acteurs du nucléaire décrit une France durablement atteinte de désindustrialisation, incapable de maintenir un parc de centrales de la puissance de celui actuellement exploité… sans parler de l’exportation.
Et dire qu’il n’y a pas si longtemps, EDF et ses partenaires réussissaient non seulement à mettre en service 59 réacteurs en tout juste 25 ans, Superphénix compris, mais à participer lourdement à la mise en service des deux réacteurs de Daya Bay en Chine et de ceux de Corée du Sud et d’Afrique du Sud. Pour la seule année 1982, EDF-production se vit remettre les clefs de huit réacteurs, soit un toutes les six semaines ; 1984 étant l’année du couplage des quatre tranches de Cruas.
Hélas, à l’absence de chantier et de transmission des compétences durant 15 ans s’est ajoutée l’ignorance de présidents d’EDF politiques parachutés qui ne connaissaient rien à l’organisation du programme nucléaire. Comment s’étonner ensuite que la Cour des comptes ait dénoncé le fait que des appels d’offres furent lancés pour le chantier EPR de Flamanville alors que les études correspondantes n’étaient pas terminées !… C’était là le fruit de la dissolution d’une direction de l’Équipement EDF dont l’auteur n’avait pas compris le rôle central.
Le drame est que Framatome-Areva n’a pas non plus réussi à transmettre ses compétences et surtout que 40 % de ses sous-traitants ont mis la clef sous la porte.
Spéculations
Si l’on songe que, à défaut de prolonger le parc actuel à 80 ans, ce dernier arrivera à obsolescence entre 2050 et 2060, est-il bien raisonnable de continuer à engloutir de 20 à 40 milliards d’euros par décennie dans un éolien dont on a pourtant un large retour d’expérience du piètre service qu’il est capable de rendre ?
Est-il seulement honnête de prétendre conjurer un « effet falaise » menaçant d’amputer dramatiquement notre capacité de production en programmant de diviser par deux la consommation énergétique nationale des années 1970 et en comptant sur la mise en service de six EPR2 et de quelques SMR encore à l’étude ?… Sachant que l’on peut compter sur l’intouchable ASN pour allonger à discrétion la mise au point des deux prototypes et plus encore les délais de couplage au réseau des premières unités de production.
Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu’Emmanuel Macron a argué du déclassement technique et industriel de l’opérateur historique pour justifier de confier la construction des six EPR2 à un consortium dans lequel EDF ne jouira probablement pas de prérogative particulière et duquel il n’est sûr que l’industrie française tire la part du lion. En tout cas, l’opérateur historique peut d’ores et déjà tirer un trait sur l’ambition de recouvrer un jour sa fonction d’architecte industriel, de maître d’œuvre et de maître d’ouvrage.
RépondreSupprimerTout ceci n’augure rien de bon, ce dont n’est plus dupe depuis des années la communauté industrielle et scientifique internationale.
Ainsi, pouvait-on déjà lire ceci dans le Nuclear Engineering International du 8 octobre 2011 :
« L’annonce par EDF du retard de l’EPR de Flamanville n’est une surprise pour quiconque au sein de l’industrie nucléaire [mondiale]… certains des problèmes maintenant rencontrés en France semblent les mêmes… qu’en Finlande ».
Pour décrire ces derniers problèmes, l’article cite le Régulateur finlandais :
« Une autre leçon [du chantier de l’EPR finlandais] est que le savoir-faire du constructeur est la clef du problème ».
On ne doit pas oublier non plus que, en quelques années, « RTE SA à directoire » est discrètement passé du statut d’héritier du Service des Mouvement d’Énergie d’EDF à celui de courtier énergétique exclusif. Bien entendu, un courtier courtisé comme il se doit et par la force des choses guère désintéressé, ainsi qu’en témoigne sa fonction de maître d’ouvrage du gigantesque projet de parc éolien offshore de l’île d’Oléron et Sainte-Marie-de-Ré : 500 à 1000 MW répartis sur 300 km2. Le même RTE qui, à l’annonce du déplacement à 2035 de la date butoir de la limitation de notre production nucléaire à 50 %, n’avait rien jugé de mieux que recourir à 20 centrales à gaz supplémentaires, dès 2025.
De qui doivent émaner les conclusions suivantes, eu égard au fait que la situation énergétique de la France n’est guère différente de celle de 1973 ?
Le pire pour notre pays serait de continuer de ne voir dans le nucléaire de troisième génération que ce que le pouvoir politique oblige sa population à voir : une énergie et un marché de transition. Non seulement les Français doivent rapidement se convaincre que la thèse d’une production EnR définitivement durable est une ruineuse supercherie, mais que l’aboutissement bien plus profitable du développement nucléaire est la filière dite « rapide » des réacteurs de quatrième génération. Là se trouve réellement le marché durable de surcroît mondial dans lequel la France peut encore occuper une place importante et surtout puiser les moyens d’une authentique réindustrialisation.
Miser sur une flexibilité et un niveau de production requis des EnR obtenus par l’illusoire stockage de l’électricité et/ou par une production d’hydrogène à jamais non rentable, quelle qu’en soit la source, ne tardera pas à se révéler une suicidaire fuite en avant.
RépondreSupprimerOn adjure donc nos compatriotes de prendre connaissance de ce communiqué du gouvernement anglais daté d’octobre 2021, intitulé New finance model to cut cost of new nuclear power stations, disant mieux que quiconque tout le bien que nos amis Anglais pensent du nucléaire.
Cela étant, l’honnêteté et la lucidité du constat de la situation énergétique de la France font le devoir de considérer que la reconstitution de marges d’exploitation trop dangereusement épuisées ne va pouvoir transitoirement se faire qu’au prix de la construction en urgence de quelques centrales à charbon de dernières générations, c’est-à-dire plus performantes que jamais en termes de propreté.
https://www.contrepoints.org/2023/03/31/453582-rte-nous-a-prepare-une-economie-anorexique-pour-2050
Pourquoi tous les ministres, chefs de l’État et journalistes (HAHAHA !) sont des GROS CONS ? Parce qu'ils ne sont PAS des scientifiques et ne demandent pas aux scientifiques de leur expliquer ce qu'est la science !
SupprimerC'est pourquoi ils sont cons et parlent tous les jours que 'La mer va monter' ! HAHAHAHA !
Ils ne savent pas que depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés (et se déversent encore aujourd'hui !) dans les mers et océans ... sans qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !! Et ne savent expliquer le pourquoi !
Pareil pour les gaz dans notre atmosphère, ils ne savent pas que TOUS les gaz se recyclent continuellement et immédiatement sans quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue !
Ils ne savent pas, ne cherchent pas, ne demandent pas, ils sont cons, depuis toujours.
La tarification progressive de l’eau bientôt partout en France
RépondreSupprimerSi une dizaine d’agglomérations le font déjà, la tarification progressive de l’eau sera bientôt généralisée à l’ensemble du territoire, a annoncé Emmanuel Macron le 30 mars 2023.
Par Anton Kunin
le 31 mars 2023 à 7h54
À Dunkerque, qui applique la tarification progressive de l’eau depuis plusieurs années, la consommation est inférieure de 16 % à la moyenne nationale.
La tarification progressive de l’eau est déjà en place dans une dizaine d’agglomérations
Les ménages doivent prendre l’habitude d’économiser l’eau… ou la payer très cher. En présentant le Plan Eau du gouvernement le 30 mars 2023, Emmanuel Macron a annoncé que la tarification progressive de l’eau sera bientôt généralisée. « Les premiers mètres cubes sont facturés à un prix modeste, proche du prix coûtant », et « ensuite, au-delà d'un certain niveau, le prix du mètre cube sera plus élevé », a expliqué le chef de l’État.
La mairie de Montpellier applique déjà ce principe depuis le 1er janvier 2023 : le tarif est modulé en fonction de la consommation. Cette dernière comporte quatre tranches. La première va de 0 à 15 m3, soit le strict nécessaire pour se laver, laver la vaisselle, les vêtements et faire le ménage. Si la consommation d’une famille est supérieure à 15 m3, c’est la deuxième tranche qui s’active, avec un tarif sensiblement supérieur. Et ainsi de suite jusqu’à la quatrième tranche (qui équivaut à une consommation supérieure à 240 m3). Cela, alors que l'eau coûte déjà plus cher en 2023.
L’État aidera financièrement les gestionnaires des réseaux d’eau pour qu’ils éliminent les fuites
Autre nouvelle qui intéressera les ménages : le gouvernement mettra prochainement en place un « Ecowatt de l'eau ». Calqué sur le modèle de l’« Ecowatt » qui existe déjà pour connaître la disponibilité de l’électricité, cet « Ecowatt de l'eau » rediffusera les consignes des préfectures concernant les restrictions de l’usage de l’eau actuellement en vigueur localement ainsi que les écogestes recommandés au regard de la situation hydrique locale.
Autre mesure phare : l’État s’est enfin résolu à octroyer des aides aux gestionnaires des réseaux d’eau afin qu’ils remplacent les vieux tuyaux, à l’origine de nombreuses fuites à travers le territoire. Ces fuites représentent 20 % des volumes d'eau potable et peuvent monter à 50 % dans certaines communes. « Pour accompagner les territoires les plus vulnérables, on a débloqué en urgence 180 millions d'euros, renouvelés chaque année », a déclaré à ce propos Emmanuel Macron.
https://www.economiematin.fr/tarification-progressive-eau-partout-france-annonce
Alors que L'EAU EST GRATUITE ! Il n'y a PAS UNE GOUTTE D'EAU en plus ou en moins sur Terre depuis DES milliards d'années ! L'eau ne manque pas ET NE MANQUERA JAMAIS !
SupprimerDepuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés (et se déversent encore aujourd'hui !) dans les mers et océans ... sans qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !!
L'eau des bassins s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers maritimes et océaniques vers le magma. La masse ferrique incandescente chauffe/brûle cette eau qui repart sous forme de vapeurs en galeries souterraines pour ressortir (d'où elle est venue ! pour 78 %) sous terre pour 22 %. Elle ressort aux sources de montagnes et alimente les nappes phréatiques. C'est pourquoi cette eau bouillie est pure, sans goût, sans couleur, sans odeur et sans bactérie.
Faire payer l'eau est UNE ESCROQUERIE comme de faire payer l'air que l'on ose respirer !
Méthodes éducatives encourageant la pensée critique versus méthodes secrètes pour inciter à l'obéissance à «l'autorité»
RépondreSupprimerPar Carla Stea
Recherche mondiale,
31 mars 2023
Le lieu de SXSW EDU 2023 était gargantuesque et la liste prévue des sujets et des conférenciers était écrasante. Sans aucun doute, la grande attraction de la conférence de cette année a été les « Superstar Siblings », Doreen Nelson et son frère, l'architecte de renommée mondiale, Frank Gehry , les conférenciers principaux du 7 mars, présentant « Design-based Learning Unwrapped: Build Our Avenir."
Doreen est récipiendaire de plusieurs distinctions récompensant son approche innovante de l'éducation, "basée sur l'apprentissage par la pratique dans le domaine spatial, permettant aux étudiants de créer des artefacts physiques et de concevoir des solutions aux problèmes liés au contenu, favorisant des capacités de réflexion de niveau supérieur, une prise de décision agile , et la capacité d'appliquer des concepts à travers le programme grâce à l'expression de soi.
Doreen et son frère Frank ont ébloui le vaste public avec leur rejet intrépide des approches dogmatiques et leur courageux « défi à l'autorité ».
Bien qu'au départ, l'approche novatrice de Doreen en matière d'éducation ait consterné les autorités « d'éducation » du statu quo, que Doreen a courageusement dénoncées pour leurs méthodes d'enseignement abrutissantes (elles ont riposté par des attaques personnelles contre Doreen elle-même), elle était infatigable et sa nouvelle approche de la pédagogie a finalement été adopté et, en fait, internationalement honoré.
Frank Gehry a eu une trajectoire de carrière similaire, avec ses premières œuvres architecturales enfreignant les règles traditionnelles et suscitant de nombreuses controverses, mais il est resté intrépide et a acquis une renommée mondiale pour sa création d'un nouveau style d'architecture, brisant les moules traditionnels décrépits et libérant l'ensemble du monde. profession de l'enfermement dogmatique écrasant. Doreen et Frank étaient tous deux totalement sans prétention et audacieusement intrépides dans leur défi inspirant à l'autorité, leur permettant à la fois de créer de nouvelles approches cruciales de l'éducation et de l'architecture.
En revanche, une autre des réunions les plus importantes et les plus provocatrices du 6 mars était une table ronde intitulée : « Les téléphones intelligents sont-ils la prochaine crise de la toxicomanie chez les adolescents ? », mettant en vedette le Dr Jim Winston, le Dr Kelley Brill et le Dr Rosa Li .
Le Dr Winston a traité de multiples formes de dépendance, notamment l'alcoolisme, la toxicomanie, etc., et il a décrit l'obsession actuelle des « smartphones » comme une dépendance qui nuit en fait au développement du cerveau chez les très jeunes enfants et les adolescents. Le plus alarmant est le processus par lequel la dépendance au «smartphone» détruit la capacité de réflexion et de jugement critique du jeune cerveau, empêchant le développement de la fonction cérébrale du cortex préfrontal, la partie du cerveau qui détermine la capacité de jugement et de pensée critique. De manière significative, le Dr Winston a déclaré qu'il n'autorisait pas ses jeunes enfants à utiliser ces «smartphones».
RépondreSupprimerLa conséquence inévitable de cette destruction de zones cruciales du développement cérébral chez les très jeunes enfants et adolescents garantit une personnalité docile, soumise et obéissante chez l'adulte, ce qui se traduit par une population adulte d'une vulnérabilité alarmante au contrôle par les concepteurs de ces programmes "smartphones", qui sont également conçus pour transmettre les messages que les concepteurs veulent faire accepter par le plus grand nombre, imposant en réalité subtilement la conformité à une population involontaire.
Le Dr Winston a également souligné qu'il y a un grand profit financier engrangé par les concepteurs de ces programmes, alors que les consommateurs sont virtuellement victimes d'une forme de contrôle dont ils restent pour l'essentiel inconscients. Bien que de nombreux oligarques et soi-disant « philanthropes » aient parlé avec extase des opportunités que la distribution mondiale de ces téléphones offrira aux personnes dans les régions les plus démunies du monde, en particulier en Afrique, en Asie et en Amérique latine, cachées dans cet enthousiaste " l'accueil « philanthropique » des smartphones sont les opportunités de contrôler ces populations démunies en les rendant réellement psychologiquement et physiquement dépendantes de ces téléphones, et de tous les « messages » (ou propagande) diffusés par les concepteurs des programmes des smartphones. Ces conceptions sont destinées à promouvoir les intérêts de l'oligarchie qui les commande, et non l'intérêt des utilisateurs autrement démunis de ces dispositifs addictifs. Cette dépendance aux smartphones rend finalement possible, voire inévitable, le contrôle des processus de pensée et du comportement réels de l'utilisateur dépendant.
Les implications de cette méthode secrète de contrôle de la population, en induisant une dépendance à ces smartphones, de l'enfance à l'âge adulte, sont terrifiantes.
https://www.globalresearch.ca/educational-methods-encouraging-critical-thinking-versus-covert-methods-of-inducing-obedience-to-authority/5814277
De Bill Gates à « The Great Refusal » : les agriculteurs en première ligne
RépondreSupprimerPar Colin Todhunter
Recherche mondiale,
30 mars 2023
Avant la révolution industrielle, la plupart des humains travaillaient dans l'agriculture. Notre relation avec la nature a été immédiate. En quelques générations, cependant, pour de nombreuses personnes à travers le monde, leur lien avec la terre a été rompu.
Les aliments arrivent désormais préemballés (souvent précuits), conservés avec des produits chimiques et contiennent des pesticides nocifs, des microplastiques, des hormones et/ou divers autres contaminants. On nous sert également un menu plus restreint d'aliments riches en calories et à faible teneur en nutriments.
Il est clair qu'il y a quelque chose de fondamentalement faux dans la façon dont la nourriture moderne est produite.
Bien qu'il existe différentes étapes entre la ferme et la fourchette, notamment les pratiques modernes de transformation des aliments, ce qui est une histoire en soi, une partie essentielle du problème réside dans l'agriculture.
Aujourd'hui, de nombreux agriculteurs sont piégés sur des tapis roulants chimiques et biotechnologiques. Ils ont été encouragés et contraints d'utiliser une gamme d'intrants non agricoles coûteux, allant des engrais synthétiques et des semences fabriquées par les entreprises à un large éventail de désherbants et de pesticides.
Avec l'industrialisation de l'agriculture, de nombreux petits exploitants agricoles pauvres ont été déqualifiés et placés dans des positions vulnérables. Les connaissances traditionnelles ont été sapées, submergées ou n'ont survécu que par fragments.
Écrivant dans le Journal of South Asian Studies en 2017, Marika Vicziany et Jagjit Plahein affirment que les agriculteurs ont depuis des millénaires pris des mesures pour gérer la sécheresse, cultiver des céréales à longues tiges pouvant être utilisées comme fourrage, s'engager dans des pratiques culturales qui favorisent la biodiversité, l'ethno- concevoir la conservation des sols et de l'eau et utiliser des systèmes de partage collectifs.
Les agriculteurs connaissaient leur micro-environnement, ils pouvaient donc planter des cultures qui mûrissent à des moments différents, facilitant ainsi une rotation plus rapide des cultures sans épuiser le sol.
RépondreSupprimerL'expérimentation et l'innovation étaient essentielles. Deux termes que revendiquent les entreprises modernes d'agritech/agrobusiness, mais quelque chose que les agriculteurs font depuis des générations.
De nombreux agriculteurs ont également utilisé «l'équilibre des insectes» et leur connaissance des insectes qui tuent les ravageurs prédateurs des cultures. L'analyste alimentaire et politique Devinder Sharma dit avoir rencontré des femmes en Inde qui peuvent identifier 110 insectes non végétariens et 60 insectes végétariens.
Des systèmes de savoirs traditionnels complexes et hautement bénéfiques et des pratiques écologiques à la ferme sont érodés à mesure que les agriculteurs perdent le contrôle de leurs moyens de production et deviennent dépendants de produits exclusifs, y compris des connaissances d'entreprise marchandisées.
Les agriculteurs dans des endroits comme les Pays-Bas sont maintenant accusés de nuire à l'environnement en raison des émissions de dioxyde de carbone et d'oxyde nitreux. Bien que les agriculteurs néerlandais soient critiqués, nous assistons également à une attaque contre les grands producteurs d'aliments pour animaux et de viande. Il n'y a plus beaucoup de petites fermes aux Pays-Bas et la plupart des fermes d'élevage sont des opérations d'alimentation concentrées.
Le secteur agricole des Pays-Bas est très intensif en élevage et il semble y avoir une politique visant à réduire la taille de l'industrie de la viande dans ce pays. On a dit aux agriculteurs de cesser l'agriculture ou de se tourner vers la culture de cultures.
Au lieu que les autorités facilitent une transition progressive vers une agriculture biologique et agroécologique et attirent une nouvelle génération dans le secteur, les agriculteurs risquent d'être déplacés.
Mais les agriculteurs néerlandais ne sont pas les seuls sur la ligne de mire. Les agriculteurs d'autres pays européens protestent également parce que diverses politiques leur rendent de plus en plus difficile de gagner leur vie.
Il semble y avoir un effort concerté pour rendre l'agriculture financièrement non viable pour de nombreux agriculteurs et les expulser de leurs terres. Les protestations des agriculteurs en Europe font suite à la résistance massive des agriculteurs indiens contre une législation soutenue par les entreprises qui aurait vu une accélération de la campagne visant à pousser de nombreux agriculteurs déjà en difficulté financière à quitter l'agriculture.
Il reste à voir à quel point les laboratoires de viande synthétique économes en énergie, respectueux de l'environnement et respectueux de la santé sont une fois mis à l'échelle industrielle.
RépondreSupprimerDans le même temps, l'agriculture industrielle utilisera les nouvelles technologies - moins les agriculteurs - et continuera de s'appuyer sur et de stimuler l'utilisation de produits agrochimiques dépendant des combustibles fossiles (avec tous les problèmes sanitaires et environnementaux associés) et restera concentrée sur les chaînes d'approvisionnement à long terme , expédiant inutilement de la nourriture dans le monde entier.
Un système à haute énergie dépendant du pétrole et du gaz qui a alimenté la colonisation du système alimentaire ("mondialisation") par des conglomérats agro-industriels. De plus, les nouvelles technologies sans humain à la ferme seront énergivores pour fonctionner et dépendront de l'extraction destructrice de l'environnement pour les ressources finies comme le lithium, le cobalt et d'autres éléments de terres rares à produire.
Les approches agroécologiques à faible consommation d'énergie basées sur les principes et les pratiques de localisation, les marchés locaux, une agriculture régénérative authentique et une bonne gestion des sols (qui garantissent un stockage efficace et écologiquement rationnel de l'azote et du carbone) sont essentielles pour assurer une véritable durabilité à long terme de la production alimentaire.
Beaucoup de ceux qui appartiennent au lobby de l'agro-industrie ont attiré l'attention sur le Sri Lanka pour tenter de montrer que l'agriculture biologique ne peut que conduire au désastre. Une transition vers l'agriculture biologique doit être progressive, notamment parce que la régénération du sol ne peut pas se faire du jour au lendemain. Quoi qu'il en soit, l'article ' Le Sri Lanka fait face à une crise alimentaire - Non, ce n'est pas dû à l'agriculture biologique ' qui est récemment paru sur le site Web de The Quint révèle pourquoi ce pays s'est vraiment dirigé vers la crise.
Grand refus
RépondreSupprimerLe programme néolibéral qui a pris racine dans les années 1980 est maintenant dans une impasse inflationniste gonflée par la dette. En réponse, le capitalisme s'est lancé dans une « grande remise à zéro » avec une technologie transformatrice très en avant sous le couvert d'une « 4 e révolution industrielle », promettant un avenir courageux pour tous.
Cependant, il existe des inquiétudes profondes quant à la manière dont cette technologie pourrait être utilisée pour surveiller et contrôler des populations entières, d'autant plus que nous assistons à une restructuration économique brutale et à une répression croissante des libertés individuelles. Si le néolibéralisme a promu l'individualisme, la « nouvelle normalité » exige un respect strict – la liberté individuelle est considérée comme une menace pour la « sécurité nationale », la « santé publique » ou la « sécurité ».
L'effondrement économique, la guerre et l'exposition d'un système alimentaire aux chocs des prix de l'énergie, aux ruptures de la chaîne d'approvisionnement et à la spéculation sur les marchés des produits de base suscitent également des inquiétudes.
Au Mali en 2015, Nyeleni - le mouvement international pour la souveraineté alimentaire - a publié la Déclaration du Forum international pour l'agroécologie.
La déclaration déclarait :
« Les ressources naturelles essentielles ont été marchandisées et la hausse des coûts de production nous éloigne de la terre. Les semences des agriculteurs nous sont volées et revendues à des prix exorbitants, sélectionnées en tant que variétés qui dépendent de produits agrochimiques coûteux et contaminants.
Il a ajouté :
« L'agroécologie est politique ; cela nous oblige à remettre en question et à transformer les structures de pouvoir dans la société. Nous devons remettre le contrôle des semences, de la biodiversité, des terres et des territoires, des eaux, des savoirs, de la culture et des biens communs entre les mains des peuples qui nourrissent le monde.
La Déclaration indiquait clairement que le système alimentaire capitaliste dominant devait être défié et surmonté.
En analysant le potentiel de contestation de l'ordre capitaliste, Herbert Marcuse a déclaré ce qui suit dans son célèbre livre de 1964 "One-Dimensional Man":
RépondreSupprimer"Une non-liberté confortable, douce, raisonnable et démocratique prévaut dans la civilisation industrielle avancée, gage de progrès technique."
Aujourd'hui, pourrions-nous dire, une non-liberté inconfortable, irrégulière, déraisonnable et antidémocratique prévaut, signe d'une techno-dystopie émergente.
Marcuse a estimé que la culture de masse d'après-guerre avait rendu les gens réprimés et non critiques. Ils étaient le reflet d'un système unidimensionnel basé sur la consommation de marchandises et les effets de la culture et de la technologie modernes qui ont servi à atténuer la dissidence.
La nature dominante de la technologie imprègne tous les aspects de la vie aujourd'hui. Mais qu'il s'agisse de manifestations d'agriculteurs en Europe et en Inde, de l'avancement d'une agroécologie politique, de camionneurs qui descendent dans la rue au Canada ou de gens ordinaires qui protestent contre l'autoritarisme qui progresse rapidement dans les sociétés occidentales, de nombreuses personnes à travers le monde savent que quelque chose ne va vraiment pas.
Pour emprunter à Marcuse, on assiste à un « grand refus » – des gens qui disent « non » aux multiples formes de répression et de domination – tentacules d'un système économique en crise.
https://www.globalresearch.ca/from-bill-gates-great-refusal-farmers-frontline/5788011
John Kerry déclare que de nouveaux décrets sur le changement climatique arrivent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 30 MARS 2023 - 01:40
Écrit par Ryan Morgan via The Epoch Times
Le président Joe Biden prépare une série de nouveaux décrets pour lutter contre le changement climatique, selon les récents commentaires de son envoyé spécial sur les questions liées au climat, John Kerry.
Vendredi, Kerry a discuté des plans de l'administration Biden pour réduire les émissions américaines lors d'un entretien avec le rédacteur en chef de Yahoo News sur le climat, Ben Adler.
Adler a noté que la loi sur la réduction de l'inflation (IRA) défendue par l'administration Biden devrait réduire les émissions américaines d'environ 40%, malgré l'objectif fixé par l'administration de réduire d'environ 50% les émissions américaines d'ici la fin de la décennie. .
"Nous faisons bien plus que simplement l'IRA", a répondu Kerry. "L'IRA est un package qui en soi peut obtenir les 40 %. Mais en plus de cela, le président émet des décrets exécutifs. Il y aura des changements dans l'automobile, les camions légers, les camions lourds, les poids lourds - un certain nombre d'initiatives qui sont prises par les États, les collectivités territoriales et les villes. Ils nous ont vraiment maintenus dans le jeu, franchement, pendant l'administration Trump lorsqu'il s'est retiré de [l'Accord de Paris sur le climat].
Kerry n'a pas fourni beaucoup de détails sur les nouveaux décrets exécutifs qui pourraient arriver ou sur la manière dont ils pourraient avoir un impact spécifique sur les entreprises et les industries.
"Nous avons beaucoup d'autres options, des outils, si vous voulez, dans la boîte à outils en plus de l'IRA", a déclaré Kerry. "L'IRA est un énorme bond en avant, et il a déjà un impact majeur."
Que se passe-t-il si les républicains gagnent en 2024 ?
Adler a demandé à Kerry comment les objectifs de l'administration Biden en matière de réduction des émissions pourraient être affectés si Donald Trump ou un autre candidat républicain remporte le contrôle de la Maison Blanche en 2024 et abroge certains mandats et initiatives de réduction des émissions.
"Eh bien, je pense que ce qu'il est important que tout le monde note, c'est que la réalisation de notre objectif ne dépend pas exclusivement de ce que dit ou fait le gouvernement fédéral", a déclaré Kerry. "C'est critique, mais pas entièrement dépendant."
RépondreSupprimerLes républicains et les conservateurs ont largement défendu les combustibles fossiles comme un élément clé de l'économie américaine actuelle, tout en affirmant que la transition vers les énergies renouvelables serait moins abordable ou moins fiable. Au cours de sa présidence, Trump s'est retiré de l'Accord de Paris sur le climat, qualifiant le cadre international de réduction des émissions de "catastrophe totale" pour l'économie américaine.
Kerry a ensuite déclaré que 75 % de la nouvelle production électrique qui s'est produite aux États-Unis pendant le mandat du président Donald Trump provenait d'une ressource d'énergie renouvelable ou d'une autre. Il a noté que d'autres entités commerciales poursuivaient indépendamment leurs propres objectifs de réduction des émissions.
Kerry défend Biden autorisant de nouveaux forages pétroliers
Alors que Kerry a fait allusion à un nouveau rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat et a souligné que les États-Unis devraient faire plus pour contrer le changement climatique, il a également défendu une récente décision de Biden d'approuver un nouveau projet de forage pétrolier en Alaska.
"Vous avez mentionné le bilan du président Biden, y compris la gestion de l'utilisation des terres. Mais il a également fait des choses qui ont augmenté la production de combustibles fossiles, la récente approbation du projet Willow en Alaska », a déclaré Adler.
"Pour le moment," répondit Kerry. "Rappelez-vous, nous avons sept ans avant l'objectif de 2030. Et le président est déterminé à ce que nous restions sur cet objectif. Mais dans l'immédiat, pendant que nous effectuons la transition, vous ne voulez pas faire planter toute votre économie.
Kerry a également défendu l'exportation américaine de gaz naturel liquéfié vers l'Europe, affirmant que cette décision est "essentielle pour l'économie de l'Europe", tandis que les États-Unis et leurs alliés de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord soutiennent l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie.
RépondreSupprimerKerry a également rejeté les allégations selon lesquelles il aurait volé dans des jets privés, qui peuvent produire des tonnes d'émissions de carbone à chaque vol. Kerry a déclaré qu'il n'avait pas voyagé à bord de jets privés au cours de son travail d'envoyé présidentiel pour le climat, et que les personnes fortunées qui utilisent des jets privés tout en voyageant pour promouvoir des politiques de réduction des émissions mondiales peuvent se permettre de compenser leurs émissions personnelles "et ils travaillent plus difficile que la plupart des gens que je connais pour pouvoir essayer d'effectuer cette transition.
Kerry vante les projets d'énergie renouvelable de la Chine, dit que le charbon reste un problème
Kerry a attribué à la Chine le mérite d'être devenue le "plus grand déployeur de panneaux solaires".
"En Chine, ils ont déployé beaucoup plus d'énergie renouvelable que nous ou que l'Europe", a déclaré Kerry.
Les législateurs républicains ont récemment critiqué la secrétaire américaine à l'Énergie, Jennifer Granholm, pour avoir déclaré "nous pouvons tous apprendre de ce que fait la Chine" pour réduire son empreinte carbone et avoir qualifié les initiatives d'énergie propre de la Chine d'"encourageantes".
Les législateurs ont déclaré que la Chine continue "d'être l'un des pires pollueurs du monde" et que les commentaires de Granholm "soulèvent de sérieuses questions" sur son jugement.
Kerry a exprimé certaines inquiétudes quant à la forte dépendance continue de la Chine au charbon. La Chine est le premier pays producteur de charbon et, comme l'a rapporté EcoWatch, le pays a produit un record de 4,496 milliards de tonnes métriques de charbon en 2022.
https://www.zerohedge.com/political/john-kerry-says-new-climate-change-executive-orders-are-coming
Au contraire de la Démocratie où chaque citoyen peut suivre au centime près où va son argent, la dictature a toujours été une politique qui utilise de l'argent qui ne lui appartient pas. Et, de plus, ne sachant trop quoi en foutre vu leur QI, ils le gaspillent en des fêtes somptuaires où sont invités tous les trisomiques du coin.
SupprimerL'invraisemblance d'un avenir énergétique net zéro carbone est maintenant évidente
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 29 MARS 2023 - 20:45
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
L'Allemagne s'est heurtée à un mur de briques en matière d'énergie propre, reportant l'interdiction des moteurs automobiles à combustion interne. Commençons par là...
L'UE prépare un plan pour autoriser les voitures à moteur à combustion électrique
Reuters rapporte que l'UE projette un plan pour autoriser les voitures à moteur à combustion électrique
La Commission européenne a élaboré un plan pour autoriser les ventes de voitures neuves à moteur à combustion interne après 2035 si elles ne fonctionnent qu'avec des e-carburants climatiquement neutres, alors qu'elle tente de résoudre un différend avec l'Allemagne sur les mesures visant à éliminer progressivement les voitures à moteur à combustion.
Le projet de proposition, vu par Reuters mardi, suggère de créer un nouveau type de catégorie de véhicules dans l'Union européenne pour les voitures qui ne peuvent fonctionner qu'avec des carburants neutres en carbone.
Ces véhicules devraient utiliser une technologie qui les empêcherait de conduire si d'autres carburants sont utilisés, selon le projet.
La proposition pourrait offrir aux constructeurs automobiles une voie pour continuer à vendre des véhicules à moteur à combustion après 2035, date à laquelle un projet de loi européenne devrait interdire la vente de voitures neuves émettant du gaz carbonique.
Hypothèses absurdes sur le carburant électrique
Eurointelligence commente les hypothèses E-Fuel.
La télévision allemande ARD rapporte une étude de l'institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact climatique, qui révèle le manque total de réalité dans le débat allemand sur les e-carburants. Même dans le meilleur des cas, l'Allemagne aura du mal à obtenir suffisamment d'e-carburants pour répondre à sa demande indispensable, provenant de la navigation, du transport aérien et de l'industrie chimique. Ceux-ci auront tous encore besoin d'hydrocarbures liquides comme source d'énergie. En d'autres termes, il n'y aura plus rien pour les voitures. Tout le débat du FDP sur l'exemption pour les voitures électriques à carburant électrique après 2035 est un écran de fumée.
La politique de ceci est que le FDP essaie d'arrêter son déclin politique en faisant appel aux électeurs ruraux, qui dépendent de l'automobile pour le transport. Un récent sondage en Allemagne a montré qu'environ les deux tiers de la population s'opposent à la fin de la voiture à essence.
RépondreSupprimerLes carburants électriques sont basés sur l'extraction de l'hydrogène de l'eau par un processus appelé électrolyse. Dans une deuxième étape, l'hydrogène se combine ensuite avec le gaz carbonique pour produire des hydrocarbures. L'idée est d'utiliser l'énergie verte pour la production d'e-carburants, à utiliser par les navires et les avions. Il en va de même pour certaines parties de l'industrie chimique. Ensemble, ils représentent 40 % de la demande totale d'hydrocarbures liquides de l'Allemagne. La simulation de l'institut part de l'hypothèse relativement optimiste selon laquelle le transport aérien reste aux niveaux actuels.
Un scénario beaucoup plus probable est qu'il n'y aura pas assez d'e-carburants même pour satisfaire la demande indispensable. Jusqu'à présent, seules 60 installations de production sont actuellement en projet dans le monde. Parmi ceux-ci, seule une petite fraction est financée. Même s'ils sont tous financés, ils ne produiront qu'une infime partie de ce que l'Allemagne elle-même exige. L'idée qu'il en reste assez pour les voitures est complètement irréaliste.
Ce que cela nous dit, au-delà de la politique mesquine du FDP, c'est que les Allemands se battent bec et ongles pour insérer les derniers hydrocarbures dans leurs voitures, plutôt que de se concentrer sur les technologies de la prochaine génération. Tout cela pour quelques points de pourcentage dans les sondages.
C'est la stratégie classique des perdants.
L'Europe revient sur son interdiction des voitures à essence
Le WSJ rapporte que l'Europe fait marche arrière sur son interdiction des voitures à essence
L'invraisemblance d'un avenir énergétique à zéro carbone net devient si évidente que même les Européens commencent à le remarquer. En témoigne la décision du week-end de revenir sur l'interdiction des moteurs automobiles à combustion interne que l'Union européenne avait l'intention de mettre en œuvre d'ici 2035.
Les eurocrates de Bruxelles avaient formulé l'interdiction dans le cadre de leur plan visant à atteindre zéro émission nette de gaz carbonique d'ici 2050. Mais ce que les régulateurs imaginent pour remplacer les moteurs conventionnels reste un mystère. Les technologies de batterie n'existent pas pour remplacer les combustibles fossiles en termes de distance parcourue ou de facilité de ravitaillement, et personne ne peut dire si ou quand de telles batteries se matérialiseront.
RépondreSupprimerLes véhicules électriques nécessitent également des minéraux de terres rares provenant souvent de mines sales en Chine. Ils ne sont aussi écologiques et abordables que l'électricité utilisée pour les recharger. En Europe, cela signifie une énergie au charbon pour laquelle les consommateurs paient un prix énorme en raison des coûts liés à l'intégration forcée des énergies renouvelables intermittentes telles que l'éolien et le solaire dans le réseau.
La résistance de Berlin et de plusieurs autres gouvernements européens a contraint Bruxelles à renoncer à son interdiction des moteurs.
Les consommateurs seront autorisés à acheter des voitures à combustion interne tant que ces voitures peuvent fonctionner avec des carburants synthétiques, qui sont des carburants fabriqués à partir de carbone capturé ou d'énergie renouvelable. Bruxelles semble toujours espérer que ces voitures ne rouleront qu'avec de tels "e-carburants" d'ici cette échéance. Mais les doutes sur la faisabilité technologique de cet engagement peuvent expliquer pourquoi les groupes environnementaux ont été consternés par la décision du week-end.
Aucun pays n'est prêt
Les voitures électriques arrivent, qu'on le veuille ou non. Personne nulle part n'y est préparé.
L'Allemagne intrigue des moyens absurdes de carburant électronique pour le faire paraître fonctionner. Eurointelligence reprend ce point mais passe à côté de la vue d'ensemble.
On ne peut pas fixer une date et la forcer si la science ne correspond pas.
Aux États-Unis, Biden oblige les véhicules électriques, que l'infrastructure soit prête ou non. Et il est évident que l'infrastructure n'est pas prête et ne le sera probablement pas.
Néanmoins, la Californie, l'Oregon et l'État de Washington ont toujours des interdictions de moteurs à combustion interne prévues pour 2035.
Un gros gâchis vert en Allemagne avec du charbon, un superbe 31 % d'électricité
En attendant, veuillez noter A Big Green Mess in Germany With Coal a Stunning 31 Percent of Electricity
L'Allemagne a réussi à éviter un hiver rigoureux grâce à la réduction de l'approvisionnement en gaz naturel de la Russie.
Il l'a fait en augmentant l'utilisation du charbon. Ironiquement, les Verts ont soutenu cette politique.
Hutte du jour
RépondreSupprimerEn référence à la Californie, à l'Oregon et à Washington, la conclusion du WSJ est ma huée du jour : "Vous savez que la capitale de votre État a pris un mauvais virage alors que vos législateurs feraient bien d'apprendre une leçon de Bruxelles."
Et au cas où vous l'auriez manqué, veuillez noter que les mandats de politique énergétique de Biden provoquent une grave pénurie d'acier électrique et de transformateurs
https://www.zerohedge.com/political/implausibility-net-zero-carbon-energy-future-now-obvious
Le nouveau rapport de l'IRS donne un aperçu fascinant de votre "part équitable"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 29 MARS 2023 - 17:25
Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,
Chaque année, l'IRS publie un rapport détaillé sur les impôts qu'il perçoit. Et les statistiques sont VRAIMENT intéressantes.
Il y a quelques semaines, l'agence a publié son dernier rapport. Il s'agit donc des informations les plus objectives et les plus récentes qui existent sur les impôts en Amérique.
C'est important, car, de nos jours, il est courant d'entendre des politiciens progressistes et des gangsters réveillés demander aux personnes à revenu élevé et aux Américains les plus riches de payer leur « juste part » d'impôts.
Mais ce rapport, directement de l'agence américaine dont le travail consiste à taxer les Américains, montre la vérité :
Les 1 % des contribuables américains les plus riches ont payé 48 % du total des impôts sur le revenu aux États-Unis.
Et c'est juste au niveau fédéral, sans même compter le montant des impôts locaux et étatiques que les riches ont payé.
De plus, les 10 % les plus riches ont payé près de 72 % du total des impôts sur le revenu.
Pendant ce temps, les 40 % inférieurs des déclarants américains n'ont payé aucun impôt sur le revenu net. Et le groupe suivant, ceux qui gagnent entre 30 et 50 000 dollars par an, ont payé un taux effectif de seulement 1,9 %.
(Encore une fois, ce n'est pas une théorie du complot sauvage ; ces chiffres proviennent directement des données de l'IRS.)
Mais le fait que 10 % des contribuables paient près des trois quarts de la facture fiscale n'est toujours pas suffisant pour la foule progressiste. Ils en veulent encore plus.
Le gars qui serre la main à la légère, par exemple, a récemment annoncé qu'il voulait introduire une nouvelle loi qui créerait un impôt minimum de 25 % sur les revenus les plus élevés.
Mais les propres statistiques du gouvernement montrent que les personnes aux revenus les plus élevés en Amérique - ceux qui gagnent plus de 10 millions de dollars par an - ont payé un taux d'imposition moyen de 25,5 %. C'est plus que le minimum de 25% de M. Biden.
RépondreSupprimerIl propose donc essentiellement une solution inutile à la recherche d'un problème.
J'en parle parce que chaque fois que vous entendez les bolcheviks de gauche au gouvernement et dans les médias parler de «part équitable», ils omettent toujours ce qu'est exactement la «part équitable».
Les 1 % les plus riches paient déjà près de la moitié des impôts. Exactement, combien de plus suffira-t-il ?
Les 1 % les plus riches devraient-ils payer 60 % de tous les impôts ? 80 % ? A quel moment cela suffira-t-il ?
Ils ne disent jamais. Ils ne s'engageront jamais sur un chiffre. Ils ne cessent d'élargir leur champ de pensée.
Elizabeth Warren, par exemple, a cessé de parler du «top 1%» et a commencé à se plaindre du «top 5%». Et puis les "top 10 %".
Elle a déjà décidé que les 5% des ménages les plus riches ne devraient pas être éligibles à l'annulation des prêts étudiants ou à Medicare.
Et lorsqu'elle parle de «capitalisme responsable» sur son site Web, Warren dénonce les 10 % les plus riches pour avoir trop de richesse, par rapport au reste des ménages.
Bientôt, ce seront les "top 25 %" qui seront le vrai problème...
Honnêtement, toute cette façon de penser me rappelle la logique pandémique d'Anthony "the Science" Fauci sur les verrouillages et les mandats de masque.
Vous vous souvenez probablement comment les journalistes demandaient toujours à « la science » quand la vie pourrait revenir à la normale… et il a toujours répondu que cela dépendait de la vaccination, c'est-à-dire chaque fois que suffisamment d'Américains étaient vaccinés.
Mais ensuite, il a continué à déplacer les poteaux de but. 50 %. 60 %. 70 %. Ce n'était jamais assez. Et il n'y a jamais eu de réponse concrète.
RépondreSupprimerCette même logique s'applique à ce que les « experts » considèrent comme la « juste part » des impôts que le pourcentage le plus élevé devrait payer.
Ils ne diront jamais réellement quelle est la juste part. Mais je suppose qu'ils ne s'arrêteront pas tant que 100 % des impôts ne seront pas payés par les 10 % les plus riches... et que les autres 100 % des impôts ne seront pas payés par les 90 % restants.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/new-irs-report-provides-fascinating-glimpse-your-fair-share
Alors que le riche cherche toujours à être plus riche qu'avant, l’État leur fait la chasse pour leur voler ce qu'ils ont osé gagner honnêtement. Inadmissible ! Si un riche n'investit pas son argent c'est qu'il y a un piège en dessous, une sorte de voleur qui s'y cache. Effectivement si une entreprise est créée et que l’État envoie une facture au directeur pour le punir d'avoir osé donner du travail à quelqu'un, l'investisseur va y réfléchir à deux fois ! Car, il faut savoir que le riche dépense des milliers de fois plus qu'un pauvre. Alors que l’État (tonneau des Danaïdes) a créé la dette pour y faire disparaître dedans tout l'argent volé aux contribuables !
Supprimer22 à 23 % d’inflation dans les 18 mois selon Leclerc !
RépondreSupprimerEt oui, de partout les prix explosent, et parler d’une inflation à deux chiffres en 2021 suffisait à vous faire passer pour un affreux Cassandre, pourtant, nous y sommes et ce n’est pas terminé comme l’annonce Michel-Edouard Leclerc le patron des centres commerciaux éponymes.
Par Charles Sannat
le 31 mars 2023 à 7h43
En 2022, l'inflation a atteint 5,9 % en France.
Sur l’alimentaire et les produits de grande consommation c’est plus de 20 % de hausse des prix qui sont attendus.
Pendant ce temps les prix de l’énergie sont de plus en plus élevés, et produire de tout coûte toujours plus cher.
Pendant ce temps au 1er Juillet il faudra tous basculer sur des prix de marché libre pour le gaz.
Pendant ce temps la fiscalité augmente de partout.
Pendant ce temps se chauffer, manger, se déplacer coûte toujours plus cher avec des salaires qui ne suivent pas, imparfaitement, ou toujours avec un temps de retard important.
L’inflation ruine les gens quand les salaires ne sont pas indexés sur la hausse des prix et que l’inflation est durable.
Vous imaginez ?
Deux ou trois ans d’inflation ne serait-ce qu’à 10 % avec des salaires globalement constants ? C’est 20 % de baisse de pouvoir d’achat et d’appauvrissement.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/inflation-prevision-argent-cout-prix-leclerc-sannat
Inflation : les prix alimentaires continuent d’augmenter malgré un ralentissement global
RépondreSupprimerL’inflation en France a ralenti en mars à 5,6%, mais les prix alimentaires continuent de grimper. La crainte d’un « mars rouge » sur les produits du quotidien tend à se vérifier.
Par Cédric Bonnefoy
le 31 mars 2023 à 13h34
L'inflation ralentit en France en mars 2023
Selon les derniers chiffres de l'INSEE, l'inflation en France a ralenti en mars 2023 pour atteindre 5,6 % sur un an selon la dernière publication de l’INSEE. Bien que cela représente une baisse par rapport à février où elle avait atteint 6,3%, l'inflation reste élevée. La spirale inflationniste continue de contracter les porte-monnaie des ménages.
Si l’inflation augmente moins vite en mars 2023 c’est surtout à cause des prix de l’énergie. La hausse est moins rapide, elle avoisine les 5 % contre 30% entre mars 2021 et mars 2022 juste après le déclenchement de la guerre en Ukraine. Malgré tout, cette nouvelle hausse de l’inflation provoque des inquiétudes chez les consommateurs et les experts économiques.
Les prix alimentaires continuent de grimper en France
Malgré un ralentissement global de l'inflation en France, les prix alimentaires ont continué de grimper, augmentant de 1,1% en mars 2023. Ainsi, ils atteignent 15,8 % sur un an. Cette hausse a été principalement due à l'augmentation des prix des produits frais, des fruits et légumes ainsi que de la viande. La cause principale de cette tendance reste l'augmentation des coûts de production. Les agriculteurs et les producteurs ont dû faire face à des conditions climatiques défavorables. Mais aussi, des coûts de main-d'œuvre plus élevés. Cette situation a eu un impact direct sur les prix de vente, entraînant une hausse des prix pour les consommateurs.
Cependant, il est important de souligner que les prix alimentaires ne sont pas les seuls à avoir augmenté. Les prix de l'énergie ont également augmenté, de même que ceux des produits manufacturés et des services. Cette tendance peut avoir des conséquences sur la capacité d'achat des ménages. Ces derniers peuvent être contraints de réduire leur consommation en raison de prix plus élevés.
https://www.economiematin.fr/inflation-les-prix-alimentaires-continuent-daugmenter-malgre-un-ralentissement-global
Avoir de l’argent liquide à domicile : une pratique légalement limitée ?
RépondreSupprimerDe plus en plus de Français choisissent de conserver de l’argent en espèces à leur domicile. Si cette pratique n’est pas interdite, elle est encadrée par certaines règles et comporte des risques à ne pas négliger.
Par Benoit Vrignaud
le 31 mars 2023 à 9h26
Les limites légales de l'argent liquide à domicile
La thésaurisation en France connaît une hausse significative, avec de nombreux Français préférant conserver leur argent chez eux plutôt que de le placer dans des livrets d'épargne. Il n'existe en réalité aucune limite légale spécifique sur la quantité d'argent liquide que vous pouvez conserver à votre domicile en France.
Si aucun montant exact n'est légiféré, certaines règles régissent l'utilisation de l'argent liquide. Pour voyager avec plus de 10.000 euros en espèces, une déclaration à la douane doit être réalisée. Concernant les paiements en espèces, aucune limite n'est imposée entre particuliers, à condition de réaliser un écrit prouvant les versements au-delà de 1.500 euros. Avec un professionnel, un plafond de 1.000 euros est imposé.
La popularité grandissante de la thésaurisation et les risques encourus
Selon le rapport 2021 de la Banque de France, le montant de l'argent liquide détenu par les particuliers français est passé de 132,5 milliards d'euros en 2012 à 225 milliards d'euros en juin 2020, soit environ 3.360 euros par personne. Toutefois, 78% des foyers ne détiendraient pas plus de 1.000 euros en espèces, d'après une étude menée par la Banque centrale européenne.
Malgré cette tendance croissante, thésauriser comporte des risques. Le risque de cambriolage est le plus évident, avec l'argent liquide et les bijoux étant les biens les plus recherchés par les malfaiteurs. En outre, la détention de grosses sommes d'argent en espèces à domicile peut attirer l'attention des autorités et de l'administration fiscale, qui surveillent étroitement la circulation des espèces sur le territoire. Les sommes importantes d'argent liquide peuvent être associées à des activités illégales, telles que la fraude fiscale, le travail dissimulé ou le trafic de drogue, et pourraient conduire à des justifications auprès des administrations.
https://www.economiematin.fr/argent-liquide-a-domicile-pratique-loi-autorisee-limitee
Prochain coup contre le dollar : la Chine et le Brésil commerceront désormais en yuan et en réal
RépondreSupprimer30 mars 2023
par Thomas Oysmuller
Le prochain accord a été annoncé mercredi, échangeant le dollar comme monnaie d'échange bilatérale. La Chine et le Brésil ont convenu de négocier dans leur propre monnaie à l'avenir.
C'était "la dernière salve de Pékin contre le tout-puissant billet vert", écrit l'agence de presse AFP. Au lieu de faire le détour par le dollar américain, les futures transactions commerciales et financières entre les deux pays BRICS seront réglées en yuan et en réal. Le volume des transactions entre les États en 2022 était de plus de 150 milliards de dollars américains. La Chine est le premier partenaire commercial du Brésil depuis 2009. Jusque-là, c'était les États-Unis.
Volume de transactions massif
"Cela devrait réduire les coûts, encourager davantage le commerce bilatéral et faciliter les investissements ", a déclaré l'Agence brésilienne de promotion du commerce et des investissements (ApexBrasil) dans un communiqué. Les Brésiliens sont donc très satisfaits. La Banque industrielle et commerciale de Chine et la Banque des communications BBM effectueront les transactions, ont indiqué des responsables. L'accord, qui fait suite à un accord de principe en janvier, a été annoncé après un forum économique sino-brésilien de haut niveau à Pékin.
La Chine a acheté mercredi du gaz naturel liquéfié aux Émirats arabes unis avec des yuans pour la première fois. 65 000 tonnes de GNL ont été achetées aux Émirats arabes unis. Il a été annoncé aujourd'hui, jeudi, que l'Arabie saoudite rejoindra le groupe d'États BRICS+ cet été. L'allié le plus fidèle des États-Unis dans la région aurait finalement pris ses distances avec Washington.
TKP a rapporté plus tôt cette semaine que le Kenya ne faisait plus non plus de commerce avec la Chine en dollars américains. Le rythme de la « dé-dollarification » de l'économie mondiale semble s'accélérer.
graves conséquences
Les médias occidentaux ignorent presque complètement cette évolution. Samedi, l'ancienne secrétaire adjointe du département du Trésor américain aux affaires publiques, Monica Crowley, a mis en garde contre les conséquences "catastrophiques" , plus récemment sur FOX News . Si le dollar perdait son statut de monnaie mondiale, cela signifierait « la fin du dollar américain ». Elle a prédit une "implosion complète du système économique mondial". Plus loin:
« Si cela devait arriver, le système économique mondial, mais certainement le système économique américain, imploserait complètement. Et si cela devait se produire, nous serions confrontés à une inflation vertigineuse, une inflation à la Weimar. Si vous pensez que l'inflation est déjà mauvaise, attendez et voyez. Mais plus important encore, nous perdrions notre suprématie économique et notre statut de superpuissance.
La Chine et la Russie semblent disposées - déclenchées par la politique de sanctions occidentales - à franchir cette étape maintenant. Et les pays du Sud sont prêts à participer.
https://tkp.at/2023/03/30/naechster-schlag-gegen-dollar-china-und-brasilien-handeln-kuenftig-in-yuan-und-real/
La France achète 65 000 tonnes de gaz naturel liquéfié libellé en yuans
RépondreSupprimerle 30 mars 2023
La Chine vient d’achever sa première transaction internationale de gaz naturel liquéfié (GNL) libellée en yuans destiné à la France selon un communiqué du Shanghai Petroleum and Natural Gas Exchange de ce mardi 28 mars 2023.
Le géant chinois du pétrole et du gaz CNOOC (China National Offshore Oil Corp) et TotalEnergies ont conclu le premier marché de GNL sur la bourse de Shanghai libellé en monnaie chinoise (Reuters). La transaction concernait environ 65 000 tonnes de GNL importées des Émirats arabes unis (UAE), a ajouté le Shanghai Petroleum and Natural Gas Exchange. La « supermajor » française, l’un des plus grands négociants de GNL au monde, a confirmé à Reuters que le commerce concernait du GNL importé des Émirats arabes unis, mais a refusé de commenter l’accord.
La Chine cherche depuis des années à conclure plus d’accords commerciaux en yuans afin d’accroître la pertinence de sa monnaie sur les marchés mondiaux et de remettre en question la domination du dollar américain dans le commerce international, y compris dans le commerce de l’énergie.
Lors d’une visite historique à Riyad en décembre, le président chinois Xi Jinping a déclaré que la Chine et les pays arabes du Golfe (GCC, Gulf Country Council) devraient utiliser le Shanghai Petroleum and National Gas Exchange comme plate-forme pour effectuer le règlement en yuan du commerce du pétrole et du gaz.
« La Chine continuera d’importer de grandes quantités de pétrole brut des pays du GCC, d’accroître les importations de gaz naturel liquéfié, de renforcer la coopération dans l’exploitation pétrolière et gazière en amont, les services d’ingénierie, le stockage, le transport et le raffinage. et utiliser pleinement le Shanghai Petroleum and National Gas Exchange comme plate-forme pour effectuer le règlement yuan du commerce du pétrole et du gaz », a déclaré Xi en décembre, comme l’a indiqué Reuters.
Bien que la monnaie chinoise ait fait des percées dans le commerce mondial, le yuan ne représente que 2,7 % du marché, comparativement à 41 % pour le dollar américain.
Au cours de la dernière année, la Russie s’est tournée vers le commerce libellé en yuan à la suite des sanctions occidentales sur ses exportations, ses importations et son commerce de l’énergie, car la monnaie chinoise est devenue la seule solution de rechange de Poutine pour réduire l’exposition au dollar américain et à l’euro. Source : https://oilprice.com/Latest-Energy-News/World-News/China-Settles-First-LNG-Trade-In-Yuan.html
Note. TotalEnergies est le premier opérateur en Russie dans le domaine de l’exploration et de l’exploitation des gisements pétroliers et gaziers. Cette entreprise a développé un étroit partenariat avec Gasprom. En collaboration avec Air Liquide TotalEnergies récupère l’hélium présent dans le gaz naturel sibérien. Ces deux entreprises de droit français sont les rares fleurons industriels encore existant en France. Ces deux entreprises échappent aux sanctions imposées par les Américains en commerçant avec la Russie via le rouble et le yuan.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/30/la-france-achete-65000-tonnes-de-gaz-naturel-liquefie-libelle-en-yuans/
Cette Europe est foutue …
RépondreSupprimerle 31 mars 2023
L’Europe a décidé d’interdire la vente de voitures à propulsion par combustion interne, essence, diesel y compris hybrides en 2035. Près de 15 millions de personnes se retrouveront sans emploi. Les grandes sociétés européennes de construction automobile tentent de se reconvertir aux véhicules électriques. Le problème que la Commission européenne infectée de manière incurable par l’idéologie écologiste n’a pas pris en compte le fait que la Chine est le leader mondial de la production de voitures « tout électrique », pas des modèles coûteux comme les Tesla mais des voitures à la portée de la classe moyenne. Le retard n’est pas rattrapable.
La décision de la Commission européenne a été avalisée par le Parlement européen avec une majorité écrasante, à croire qu’il n’y a que des écologistes dans cette assemblée qui ne sert à rien.
Mais il y a autre chose qui a échappé tant à la Commission mais également au Parlement, c’est la disponibilité en matières premières pour produire ces véhicules électriques, depuis le cuivre et les terres rares mais aussi et surtout le lithium, le graphite et le cobalt. Une seule personne a lancé une alerte à ce sujet, il s’agit d’Aurore Stéphant, une géologue spécialisée dans les ressource minières.
J’ai réécouté son long exposé sur le site Thinkerview aujourd’hui même par hasard (je l’avais déjà visionné il y a environ 2 mois lors de sa sortie sur la toile) et j’ai définitivement compris à l’issue de la décision européenne que tant la Commission européenne que le Parlement, qui avalise des décisions irréalistes de ce « machin » sans se poser de question, étaient hors sol et n’œuvraient que pour le malheur de tous les Européens, c’est très grave. Avec la crise financière qui se profile, alors les Européens vont vraiment souffrir … Tout va mal et pour paraphraser les conclusions de H16 pour tous ses billets relatifs à la France « Cette Europe est foutue ! »
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=xx3PsG2mr-Y
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/31/cette-europe-est-foutue/
"Face à des preuves évidentes de péril" dans un pays de mensonges
RépondreSupprimerPar Edouard Curtin
EdwardCurtin.com
31 mars 2023
"Au cours de mes plus de soixante-dix ans, de 1946 à aujourd'hui, le chœur des conneries alarmistes n'a jamais cessé - il n'a fait que s'intensifier. Etre les dindons de la farce. Hahaha."
– Oliver Stone, À la poursuite de la lumière
Le silence est peut-être la meilleure réponse à l'interminable cavalcade de mensonges officiels qui caractérise l'histoire des États-Unis. L'Internet et la technologie numérique ont permis à ces mensonges d'augmenter de façon exponentielle en nombre et en fréquence, avec pour résultat que l'esprit des gens est devenu comme des magasins 7-Eleven, ouverts 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour des "nouvelles" de merde.
Mais une fois que vous devenez conscient qu'il ment nuit et jour, cela vous fait tourner la tête et plonge votre âme dans les profondeurs du désespoir. Vous êtes tenté de vous retirer de ces connaissances et de parler d'arbres et de futilités. Mais vous avez honte de votre pays. C'est dur de rire. Vous avez l'impression de vous noyer. Vous pataugez et manquez d'air. Vous regardez autour de vous et vous vous demandez pourquoi la plupart des gens sont capables de suivre leur petit bonhomme de chemin en croyant les mensonges et en sifflant dans le noir. Nation de la presse indésirable, en effet.
Oui, il y a des voix alternatives qui disent la vérité, mais leur audience et leur soutien financier sont très faibles ou inexistants par rapport aux médias grand public et à ceux qui crient et hurlent sur Internet alors qu'ils reçoivent beaucoup d'argent de la part d'adeptes naïfs. . Les récentes révélations sur la richesse d'Alex Jones ne dérangent probablement pas ses fans inconditionnels, mais ils devraient le faire. De même, les sources de financement des sites Web et des écrivains de diverses tendances sont importantes à connaître, car elles révèlent d'éventuels biais dans leur travail. Les vendeurs d'huile de serpent sont monnaie courante et de nombreux clients naïfs font la queue pour leurs marchandises.
RépondreSupprimerLa richesse et le pouvoir sont les principaux moteurs de la chicanerie médiatique qui a captivé tant d'esprits. Les écrivains, bien sûr, devraient être équitablement payés pour leur travail, mais à l'ère d'Internet, la plupart ne le sont pas. Comme pour les films et l'édition de livres, l'écart de revenus entre les grands noms - les célébrités - et les écrivains moins connus, même si leur travail est excellent, est énorme.
Certains sites et écrivains gagnent beaucoup d'argent, mais qui ils sont est un jeu de devinettes. Personne ne parle. Certains disent régulièrement à leurs lecteurs que s'ils ne reçoivent pas suffisamment de contributions, ils ne pourront pas continuer à écrire ou à publier, même lorsque les sites ne rémunèrent pas leurs contributeurs. Qu'il s'agisse d'un bon marketing ou d'un revenu par menace, c'est à gagner. Quoi qu'il en soit, cela semble fonctionner, pour autant que je sache, car ces écrivains et sites Web ne disparaissent pas.
L'argent est le sale secret de toutes les nouvelles et de tous les commentaires. Pour paraphraser quelqu'un : il est très difficile d'obtenir la vérité d'écrivains dont les revenus dépendent de la satisfaction de ceux qui les financent.
Vous avez peut-être remarqué combien d'anciens officiers militaires, agents de la CIA, journalistes grand public, dirigeants de sociétés pharmaceutiques et divers autres gros bonnets du gouvernement et des entreprises apparaissent dans les médias traditionnels et alternatifs pour soutenir ou s'opposer aux politiques gouvernementales. Les plus dominants font la propagande qu'ils ont toujours faite, tandis que les autres apparaissent comme des convertis à la foi dissidente. Personne n'explique jamais comment et par qui ces personnes sont financées ni comment leurs retraites lucratives affectent leur conscience. "Ancien" est un drôle de mot. Hahaha.
Les « hommes » de confiance sont de toutes formes et de toutes tailles, sans que personne ne parle d'argent.
RépondreSupprimerAlors laissez-moi avouer. J'ai reçu environ 200 $ de soutien l'année dernière pour edwardcurtin.com, mon site Web. Rien avant cela et pas un centime au cours des 5-6 dernières années pour plusieurs centaines d'articles qui sont apparus très largement sur Internet. Avant Internet, les publications payaient le travail, le mien et les autres. Pas maintenant, du moins pour moi. Combien d'argent les écrivains reçoivent et qui soutient leurs sites est un sujet tabou.
J'envisage donc de vendre des tasses sur mon site avec mon nom et ma photo dessus et une gamme de suppléments qui augmenteront la testostérone et l'œstrogène dans une mesure égale pour s'assurer que personne ne s'offusque en cette ère de sentiments délicats. Hahaha. Oui, la blague est sur nous. Je m'identifie comme un homme puisque j'en suis un. Ne soyez pas offensé.
Blague à part, alors que Leonard Cohen chantait :
"Oh, comme un oiseau sur le fil
Comme un ivrogne dans une chorale de minuit
J'ai essayé à ma façon d'être libre"
Si vous êtes assez têtu et que vous avez la chance de vous inspirer de ces braves dissidents qui nous ont précédés et de ceux qui continuent de nous conduire, vous réalisez que le silence est une trahison et qu'il faut parler, même si tout semble parfois sans espoir. Même lorsque personne ne vous paie, ou peut-être plus précisément, parce que personne ne vous paie. Même si c'est sans espoir, même si ce n'est pas le cas. C'est un autre secret. Il y a beaucoup de.
Cela fait vingt ans que les États-Unis ont brutalement envahi l'Irak. Lorsque George W. Bush, lors d'un pseudo-événement mis en scène à Cincinnati le 7 octobre 2002, alors qu'il préparait les Américains à l'invasion de l'Irak en mars 2003, a déclaré : « Face à des preuves évidentes de péril, nous ne pouvons pas attendre la preuve finale, le pistolet fumant, qui pourrait prendre la forme d'un champignon atomique », personne ne l'a ri hors de la maison. Son affirmation était simplement une mauvaise blague qui a été rapportée comme étant la vérité. Tout cela n'était que tromperie prévisible et flagrante. Et les médias ont joué avec une telle absurdité, qui est leur travail et ce qu'ils font toujours. Je l'avais signalé à l'époque dans une chronique de journal, mais qui écoutait un péquenaud écrivain dans un journal régional.
L'Irak n'avait évidemment pas d'armes nucléaires ou la moindre capacité de lancer ne serait-ce qu'un pétard sur les États-Unis. Mais les médias grand public, le sénateur Joe Biden, des politiciens à gogo, des célébrités comme Oprah Winfrey avec son invité, la finalement déshonorée Judith Miller du New York Times, le le méprisable Tony Blair et consorts ont tous soutenu les mensonges flagrants de Bush. Bientôt, Colin Powell, le "héros" de la guerre d'agression du Golfe contre l'Irak de George H. W. Bush en 1991, conçu pour la télévision, ferait son numéro de Pinocchio aux Nations Unies et l'armée américaine était partie chercher Saddam Hussein, le jumeau maléfique d'Oussama ben Laden. , les deux derniers Hitler jusqu'à ce que Vladimir Poutine les remplace. Je suppose que j'ai sauté quelques autres comme Mouammar Kadhafi et Bashar Al-Assad. Les nouveaux Hitler prolifèrent si vite qu'il est difficile de les suivre. Hahaha. Etre les dindons de la farce.
Comme tout le monde le sait, ou devrait le faire, plus d'un million d'Irakiens sont morts à cause de George W. Bush, mais combien s'en sont souciés ? Combien se sont souciés quand une fois Bush parti, Barack Obama, aidé et encouragé par la gloussante Hilary Clinton, a détruit la Libye et déclenché la guerre contre la Syrie ? Vous voulez des exemples ? Il y en a trop pour les nommer ici. Mais qu'on se le dise, ces mensonges couvrent toutes les administrations américaines, que ce soit Bill Clinton bombardant continuellement l'Irak et la Serbie en passant par Trump bombardant la Syrie et la Somalie, jusqu'à aujourd'hui avec Biden attaquant la Russie via l'Ukraine, etc. Tous ces présidents sont des menteurs, mais leur les adeptes les traitent autrement. Biden dit que Jimmy Carter lui a demandé de faire son éloge funèbre. Qu'est-ce que cela vous dit? Allons-nous rire? Chanter?
RépondreSupprimerSur la compréhension claire
Que ce genre de chose peut arriver
Allons-nous rire ?
Allons-nous rire ?
Allons-nous rire ?
Allons-nous rire plus fort si je mentionne la propagande de Covid-19 et tous ces écrivains qui n'ont même pas réussi à l'aborder, car ils n'ont pas remis en question le 11 septembre et d'autres mensonges officiels évidents ? N'est-il pas évident que s'ils le faisaient, leurs flux monétaires pourraient se tarir ? Ici et pas plus loin est une règle répandue, car ils doivent respecter les limites imposées par la « pensée responsable » et les zones « interdites » avec lesquelles ils se lient les mains afin de garder leurs portefeuilles pleins.
Si vous avez de la chance, comme moi, quand vous êtes jeune, vous découvrez à quel point nos autorités institutionnelles ont peur de la libre pensée et sont corrompues. Vous ne passez pas des décennies à vous régaler du butin de ces institutions pour vous «réveiller» une fois que vous avez fait votre nom et sécurisé votre fortune, ce qui semble être la voie de tant de sages sommités de l'ère Internet qui essaient soit de apaiser leur conscience alors qu'ils s'apprêtent à botter le seau ou qu'ils nous mettent peut-être en scène.
Quand j'avais vingt-quatre ans, j'ai accepté mon premier poste d'enseignant dans un petit collège catholique où j'enseignais la théologie. J'avais été formé dans les derniers et meilleurs travaux savants des théologiens internationaux les plus renommés. Plutôt que d'endoctriner mes étudiants avec un apprentissage par cœur, je leur ai appris à lire largement et à réfléchir profondément dans la tradition d'une éducation en arts libéraux. Pour rechercher la meilleure bourse.
Mais cela est rapidement devenu évident pour les autorités du collège et de l'Église qui étaient coincées dans l'ère inquisitoriale de l'obéissance ou autre et aucune pensée n'était autorisée. Bien que mes étudiants aient adoré mes cours et se soient sentis libérés pour la première fois pour réfléchir à leur vie spirituelle, j'ai été harcelé pour corriger mon enseignement hérétique, ce que j'ai bien sûr refusé de faire.
Le sociologue Peter Berger le dit bien dans son petit classique, Invitation à la sociologie, lorsqu'il évoque des expériences qui conduisent à voir à travers la nature théâtrale de la vie sociale :
RépondreSupprimerDe telles expériences peuvent conduire à un renversement soudain de la vision de la société - d'une vision impressionnante d'un édifice en granit massif à l'image d'une maison de jouets précairement assemblée avec du papier mâché. Si une telle métamorphose peut déranger des personnes qui avaient jusqu'ici une grande confiance dans la stabilité et la justesse de la société, elle peut aussi avoir un effet très libérateur sur ceux qui sont plus enclins à considérer cette dernière comme un géant assis au-dessus d'eux, et non nécessairement un géant amical à cela. Il est rassurant de découvrir que le géant est atteint d'une tique nerveuse.
Remarquez les yeux claquants du géant George W. Bush alors qu'il livre ses mensonges "face à la preuve évidente du péril" pour l'invasion de l'Irak. Lui et ses bons amis présidentiels sont des personnages de dessins animés en carton dont les yeux révèlent leurs mauvaises intentions. "C'est un monde de Barnum et Bailey / Aussi bidon que possible", mais tout tomberait en morceaux si ce n'était pas pour vous et moi de ne pas voir à travers tous les mauvais acteurs, pas seulement les présidents mais l'ensemble du casting de personnages qui peuplent le Spectacle de l'actualité et de l'opinion.
Les Russes arrivent ! Hahaha. Oui, Oliver, la blague est sur nous.
Mais ce n'est pas vraiment drôle, sauf de la manière la plus sardonique et la plus sombre, car nous sommes maintenant vraiment confrontés à des preuves évidentes de péril à la suite de Biden et de ses prédécesseurs fous qui dirigent la politique étrangère américaine depuis si longtemps. Ils nous ont amenés au bord de la guerre nucléaire avec la Russie en entourant la Russie de bases de l'OTAN et d'armes nucléaires, tout en faisant de même avec la Chine.
Bertolt Brecht avait raison dans son poème « À ceux qui sont nés après » :
Vraiment je vis dans des temps sombres !
Le discours franc est naïf. Un front lisse
Suggère l'insensibilité. L'homme qui rit
N'a tout simplement pas encore entendu
La terrible nouvelle.
Quel genre de temps sont-ils, quand
Parler des arbres est presque un crime
Parce que cela implique le silence sur tant d'horreurs ?
Quand l'homme là-bas traversant calmement la rue
Est déjà peut-être hors de portée de ses amis
Qui sont dans le besoin ?
Reprinted with the author’s permission
https://www.lewrockwell.com/2023/03/edward-curtin/facing-clear-evidence-of-peril-in-a-country-of-lies/
Le grand gouvernement et les grandes entreprises s'entendent pour ÉCRASER les petits concurrents
RépondreSupprimerJeudi 30 mars 2023
par : Belle Carter
(Natural News) Le PDG de ShelfAware, Andrew Johnson, a dénoncé à la fois le gouvernement et les grandes entreprises pour leur collusion visant à écraser les petites entreprises par le biais de réglementations et de taxes.
"Nous avons ce système capitaliste corrompu à ce stade", a-t-il déclaré à l'animateur de "Conversations that Matter", Alex Newman. "Il est devenu tellement corrompu avec notre paysage politique qu'ils font des choix au profit du Big Money et ils sont juste payés pour le faire."
Selon le PDG du fournisseur d'automatisation de la chaîne d'approvisionnement industrielle, les petites entreprises du pays sont extrêmement surtaxées et surréglementées. « Vous prenez tous les risques et vous obtenez très peu de bénéfices. Toutes les politiques de Washington, D.C. viennent de se terminer par un désastre pour les petites entreprises », a déclaré Johnson.
De plus, le PDG de ShelfAware a souligné que le pouvoir est concentré au niveau fédéral sous la forme de «réglementations ironiques» vendues au public américain. Ces réglementations ne nuisent qu'aux petites entreprises en fin de compte, a-t-il souligné. Les remarques de Johnson faisaient référence à la récente décision de la Securities and Exchange Commission obligeant les sociétés cotées en bourse à divulguer comment leurs opérations jouent un rôle dans le «changement climatique». (En relation: Au lieu de sévir contre la corruption réelle de Wall Street, la SEC demande plutôt que les entreprises évaluent l'impact du changement climatique sur elles.)
Johnson a également déconseillé de croire les récits des médias grand public sur le gouvernement et les entreprises.
"Arrêtez de lire uniquement les choses que Fox News, CNN ou BBC ajoutent à votre flux. Plongez plus profondément dans certaines de ces choses et recherchez des sources qui ne sont pas mises en lumière ou étayées par les grands médias, car elles sont toutes organisées. Vous devez trouver des personnes intelligentes qui sont quelque peu confidentielles dans des émissions comme celle-là », a-t-il exhorté les téléspectateurs.
La démondialisation, une énorme opportunité pour le secteur manufacturier américain
RépondreSupprimerAu cours de sa conversation avec Newman, Johnson a exprimé son optimisme quant à la possibilité pour le monde de se libérer des chaînes d'approvisionnement mondiales. La pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) a mis en place ces tendances, et elles ne font que s'accélérer à mesure que le système économique mondial s'effondre.
"Cela peut sembler apocalyptique, mais je pense que cela présente en fait une excellente opportunité pour le secteur manufacturier américain, et rechercher de nouveaux investissements auprès d'investisseurs dans nos infrastructures américaines et être plus centrés sur l'Amérique en tant que société", a-t-il déclaré.
Le PDG de ShelfAware a également exprimé son scepticisme quant aux efforts de la sphère politique américaine pour pousser le récit de la prise de contrôle de Taiwan par la Chine, ajoutant qu'il ne craignait pas que cela se produise. En réponse à la question de Newman sur ce qui est actuellement la plus grande menace, Johnson a répondu en un mot : mondialisation.
«Lorsque nous perturbons toutes ces chaînes d'approvisionnement, ce qui représente une grande partie de ce que je fais, c'est comme un travail de première ligne sur la chaîne d'approvisionnement. Vous ne pouvez pas réaligner ces chaînes d'approvisionnement rapidement », a-t-il expliqué.
"Nous avons un système actuel qui fonctionne depuis la Seconde Guerre mondiale - après avoir effectivement tué un grand pourcentage de la population mondiale, rasé des villes [et] réinitialisé l'ensemble de l'infrastructure du monde. Après la Seconde Guerre mondiale, nous avons eu essentiellement une longue période de temps où les États-Unis étaient la seule superpuissance qui surveillait les voies navigables du monde et mettait en place des chaînes d'approvisionnement mondiales.
BigGovernment.news a plus d'histoires sur le gouvernement fédéral qui entrave les petites entreprises.
Regardez la conversation complète entre Alex Newman et le PDG de ShelfAware, Andrew Johnson, sur "Conversations That Matter" ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne New American sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Dictature des agences de réglementation du gouvernement - Comment les agences fédérales américaines sont armées jusqu'aux dents pour la guerre contre les Américains.
Les Américains ont dépensé plus en impôts qu'en nourriture, soins de santé, vêtements et éducation COMBINÉS en 2021.
L'Inflation Reduction Act ne combattra pas l'inflation mais obligera seulement les Américains à payer plus d'impôts.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
CNBC.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-30-big-govt-business-colluding-crush-smaller-competitors.html
Comment fonctionne l'empire des mensonges
RépondreSupprimerPar Stephen Lendman
StephenLendman.org
31 mars 2023
Les forces obscures américaines poursuivent toutes les ruses extrajudiciaires imaginables dans la poursuite d'un programme diabolique.
Il utilise les soi-disant «journalistes» MSM comme espions et, lorsqu'ils sont pris en flagrant délit, ils nient la réalité.
Le FSB russe a surpris le journaliste du WSJ Evan Gershkovich en flagrant délit d'espionnage.
Au service des forces obscures impériales américaines, il a été surpris en train de collecter des informations secrètes d'État sur une entreprise militaro-industrielle russe.
Faisant partie du bureau du Journal à Moscou, le démenti de lui et de son employeur est réfuté par des preuves irréfutables contre lui.
Selon le FSB russe :
Il « agissait à la demande du » régime de Biden à Ekaterbourg.
En vertu de l'article 276 du Code pénal russe, il a été arrêté pour espionnage au profit de l'empire du mensonge et de guerres éternelles contre des ennemis inventés.
S'il est reconnu coupable de son acte criminel, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
Selon le ministère russe des Affaires étrangères, sa détention "n'avait rien à voir avec le journalisme".
Très probablement, il a été utilisé comme couverture pour l'espionnage.
Maintes et maintes fois, les forces obscures américaines et occidentales ont été prises en flagrant délit.
Ignorant ce qui est indiscutablement vrai, le WSJ "nie (d) les allégations du FSB et demande la libération immédiate de... Evan Gershkovich".
Avec des preuves indiscutables contre lui après avoir été pris en flagrant délit, il sera jugé, condamné et emprisonné à long terme pour ses actes criminels.
En octobre dernier, Vladimir Poutine a autorisé les gouvernements locaux à s'occuper des questions de sécurité.
Cela a été fait pour préserver l'ordre public, aider la production industrielle et protéger les infrastructures vitales.
Hegemon USA et ses vassaux occidentaux sont en guerre contre la Russie par des moyens chauds et autres.
Lorsqu'ils sont pris, les espions américains/occidentaux doivent rendre des comptes, comme l'exige la loi.
Des éléments comme Gershkovich sont des espions pour l'empire des mensonges se faisant passer pour des journalistes.
Une fois attrapés, leurs activités diaboliques sont terminées.
Gershkovich ne verra pas la lumière du jour en dehors de l'emprisonnement pendant des années.
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2023/03/stephen-lendman/how-the-empire-of-lies-operates/
L'US Air Force abandonne le programme d'armes hypersoniques Lockheed après l'échec d'un test
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 30 MARS 2023 - 02:00
L'US Air Force a annoncé son intention de mettre fin au programme d'armes hypersoniques de Lockheed Martin.
Le secrétaire adjoint de l'armée de l'air pour l'acquisition, Andrew Hunter, a confirmé le développement majeur dans le témoignage donné mercredi à un sous-comité des services armés de la Chambre. Il a déclaré que l'armée de l'air "n'a pas actuellement l'intention de poursuivre l'achat de suivi" de l'arme connue sous le nom d'arme de réponse rapide à lancement aérien AGM-183A (ARRW).
Breaking Defense a rapporté plus tôt que l'ARRW fabriqué par Lockheed Martin pourrait être en danger, citant le secrétaire de l'Air Force Frank Kendall, qui a déclaré au sous-comité de la défense des crédits de la Chambre lors de son témoignage sur la demande de budget pour l'exercice 2024 du service cette semaine que le test du 13 mars n'était "pas un succès."
"Celui que nous venons d'avoir n'a pas été un succès. Nous n'avons pas obtenu les données dont nous avions besoin de ce test … examinant actuellement cela, essayant de comprendre ce qui s'est passé", a déclaré Kendall aux législateurs.
Il faisait référence à la nouvelle vendredi dernier d'un test ARRW par l'Air Force qui n'a atteint que "plusieurs" objectifs mais a omis toute prétention de succès
Des sources proches de Bloomberg ont déclaré que le missile, lancé par un bombardier B-52H au large de la côte sud de la Californie, avait rencontré des problèmes de transmission de liaison de données pendant le vol.
Le témoignage du secrétaire adjoint Hunter n'a pas précisé si l'Air Force abandonne le programme Lockheed en raison de l'échec, ou s'il était déjà sur le billot, mais il est clair que le programme a été troublé.
Kendall avait suggéré que d'éventuels tests supplémentaires pourraient déterminer le sort du programme ARRW. Il a noté que l'autre programme hypersonique de l'Air Force, le missile de croisière d'attaque hypersonique (HACM), a montré des résultats plus prometteurs :
"Nous voyons un rôle précis pour le concept HACM. Il est compatible avec plus de nos avions. Et cela nous donnera plus de capacité de combat dans l'ensemble. Donc, nous sommes plus attachés à HACM à ce stade que nous ne le sommes à ARRW. "
Il est en effet embarrassant que les États-Unis (le plus gros budget militaire au monde) n'aient pas encore déployé de missiles hypersoniques, alors que la Russie a déjà utilisé ses missiles hypersoniques Kinzhal à plusieurs reprises dans le conflit en Ukraine.
Depuis 2019, le ministère de la Défense a investi des milliards de dollars dans des programmes visant à développer des missiles hypersoniques, alors que les responsables de la défense ont averti que la Russie et la Chine progressaient dans ce domaine. Cependant, le récent test de missile hypersonique de l'Air Force s'est soldé par un échec, ce qui soulève des inquiétudes quant à savoir si les États-Unis prennent du retard dans la course aux armements hypersoniques.
Pourquoi les États-Unis sont-ils à la traîne dans la course aux armements hypersoniques ?
https://www.zerohedge.com/military/usaf-admits-hypersonic-missile-test-failed
Combustion off comme serment de divulgation par l'UE
RépondreSupprimer31 mars 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
J'ai récemment écrit ici à propos de l'interdiction européenne des moteurs à combustion interne. En me référant au Wall Street Journal, j'ai essayé d'exprimer mon espoir que le bon sens prévaudra. Mais maintenant, après consultation avec Berlin, la Commission européenne a prévalu avec une « solution » qui sauve la face (?). Une brève analyse – et de nombreuses questions.
Ceci est un bref article qui peut servir de "mise à jour" à mon article du 29 mars. Par exemple, dans un article de Reuters paru peu de temps après, il est écrit comme suit (je souligne) :
Les pays de l'Union européenne mardi [28. mars 2023] a finalement approuvé une loi historique qui vise à mettre fin à la vente de voitures neuves émettant du gaz carbonique en 2035 après que l'Allemagne a imposé une exemption pour les voitures fonctionnant aux carburants électriques...
La législation européenne exige que toutes les voitures neuves vendues aient zéro émission de gaz carbonique d'ici 2035 et 55 % d'émissions de gaz carbonique en moins d'ici 2030 par rapport à 2021. Les objectifs visent à favoriser la décarbonisation rapide des nouvelles flottes de véhicules en Europe.
Ce n'est pas tout, car à la dernière minute l'Allemagne - probablement sous la pression de l'industrie automobile - ressemblait à un obstacle :
Cependant, la Commission européenne s'est engagée à créer un moyen légal pour la vente de nouvelles voitures uniquement alimentées en carburant électrique après 2035, après que l'Allemagne a demandé cette exemption… Mais l'exemption obtenue par l'Allemagne est une bouée de sauvetage potentielle pour les véhicules conventionnels - même si e- les carburants ne sont pas encore produits à grande échelle...
"La direction est claire : en 2035, les nouvelles voitures et camionnettes doivent être sans émission", a déclaré Frans Timmermans, chef de l'UE pour le climat.
Vous pouvez donc lire ces lignes et – comme moi – deviner un certain nombre d'exceptions.
questions sur questions
Et pourtant, au-delà des verrous technologiques et énergétiques, il reste encore un certain nombre de questions qui n'ont pas (encore) trouvé de réponse. A mon avis, une liste non exhaustive de ces aspects comprend au moins les points suivants :
Si la vente ou l'immatriculation de voitures neuves doit être rendue plus difficile ou impossible, la première question se pose quant aux changements obligatoires pour les voitures d'occasion (ici en Norvège, les voitures sont nettement moins chères à partir de la deuxième immatriculation) : la demande et le commerce de ou les voitures d'occasion similaires sont massives).
RépondreSupprimerComment utiliser le réseau existant d'infrastructures de stations-service ? On dit que des bornes de recharge doivent être construites "tous les 60 km" ( TKP rapporte ), même si cela ne peut pas être le cas du jour au lendemain - et sans parler des coûts associés (extension du réseau).
En même temps, comme pour tous les projets d'infrastructure, il y aura probablement des régions qui ne seront initialement (?) pas concernées par ces changements. Les politiciens ou les régulateurs choisiront donc des « gagnants » comme des « perdants ».
De plus, il y a ce que je considère comme la question la plus importante : à partir de quel moment ou à quel endroit les émissions de gaz carbonique sont-elles enregistrées ?
Ce qui ne fait aucun doute, c'est que toute activité industrielle émet du gaz carbonique et d'autres polluants et provoque une dégradation de l'environnement. Néanmoins : faut-il, par exemple, que les conditions de travail dans les mines de cobalt au Congo (voir Cobalt Red de Siddharta Kara) fassent partie des considérations ?
Quid de l'élimination ou du recyclage des batteries de voitures électriques classées « déchets dangereux » ? Le "Global South" résiste depuis plusieurs années à l'importation de déchets "normaux" et autres en provenance des pays industrialisés - mais à Bruxelles et ailleurs (par exemple au ministère de l'Environnement), les gens aiment garder le silence sur la fin de toutes ces choses jusqu'à , Il faut donc s'attendre à ce que ceux-ci soient probablement aussi attachés au consommateur.
Dans le rapport de Reuters mentionné, le ministre allemand des Transports, Volker Wissing, aurait déclaré que l'accord "offre à la population des options importantes pour une mobilité climatiquement neutre et abordable".
J'entends bien les paroles, mais je manque de foi.
Chocs sur les prix et problèmes d'approvisionnement à venir
Indépendamment de toutes les considérations exprimées jusqu'à présent, Wissing indique où le voyage mènera : dans le sens d'une augmentation massive des coûts des transports privés. On peut supposer que les années à venir - indépendamment de ce que "nous" faisons en ce moment.
La "pandémie" a contribué au fait que les chaînes de production et d'approvisionnement sont actuellement assez instables. A cela s'ajoutent le climat international incertain et des marchés financiers et de matières premières massivement déformés : ni le prix du pétrole brut ni celui du cuivre ne correspondent à leurs prix réels, mis à part l'allongement des délais et des investissements.
En parlant d'investissements, l'incertitude politique aide l'industrie pétrolière et gazière à réfléchir sérieusement aux investissements à réaliser qui promettent des bénéfices seulement des années plus tard. Incidemment, c'est le cas depuis longtemps - et les conséquences de cela se font sentir de plein fouet ces jours-ci. En fin de compte, les prochaines années apporteront principalement des sauts de prix et une volatilité accrue, ce qui contribuera à la destruction de la demande.
RépondreSupprimerEn dehors de cela : tous les véhicules agricoles et engins de chantier sont alimentés au diesel ; Les engrais artificiels nécessitent du gaz naturel et les pesticides nécessitent du pétrole. Tout changement lié aux « moteurs à combustion interne » entraîne inévitablement des augmentations du prix des produits de base, sans parler des coûts accrus de leur transport par camion.
Sans surprise, ce ne sont là que les faits que St. Greta (Thunberg) ou les politiciens «verts» ne mentionnent pas.
Le président de l'Ifo se complaît dans les contradictions
Pour ne rien arranger, les « experts » peinent à trouver les mots justes. De temps en temps, cependant, il y a aussi des gens qui disent des «grands mots» relativement calmement. "Même" dans les "médias de premier plan et de qualité" - comme Deutschlandfunk (c'est moi qui souligne) :
D' autre part , Fuest a décrit la réglementation précédente de la loi sur la protection du climat selon laquelle certains secteurs devaient atteindre des objectifs de réduction de gaz carbonique comme une «économie planifiée». Il vaut mieux économiser plus là où c'est le moins cher. Le marché doit savoir exactement où cela se trouve, c'est à cela que sert le commerce des certificats. Il est important d'inclure le plus rapidement possible les domaines des transports et des bâtiments dans le commerce. Cependant, le prix du gaz carbonique doit augmenter plus rapidement.
Fuest a qualifié l'augmentation prévue du péage pour les camions de "pas si mauvaise solution", 43% du péage seraient payés par des camions étrangers et il n'y avait pas lieu de s'inquiéter qu'il n'y ait pas assez de trafic de camions. L'argent ne suffit pas pour l'expansion du chemin de fer. L'économiste a critiqué le fait que le train était "désorganisé et très souvent en retard".
Laissons de côté d'où viennent les problèmes avec le web (un bon aperçu peut être trouvé ici ) - et notons un instant qui a dit quoi ici. L'initiateur de ce don de mots est le président de l'Institut Ifo de Munich, Clemens Fuest.
Moteur à combustion éteint sous serment de divulgation par la Commission européenne
Et chaque géant intellectuel est d'avis que l'augmentation du péage poids lourds en Allemagne est principalement payée par des "camions étrangers".
Si la Commission européenne permet à Berlin de s'en tirer - le non- paiement des péages de l'ancien gouvernement fédéral , qui est indissolublement lié à Andreas Scheuer , sera brièvement évoqué ici -, le marché intérieur commun prendra fin. Dès que cela sera jugé "d'accord", tous les autres pays de l'EEE promulgueront des réglementations similaires, notamment ce serait un très bon argument pour rendre la route du Brenner nettement plus chère pour les camions (et c'est un "bon argument de vote" pour tous factions du Tyrol ").
RépondreSupprimerAu demeurant, cela ne change presque rien au problème supposé en être la cause – comme on peut le voir ici via « Our World in Data » :
- voir graph sur site -
Soit dit en passant, le président de l'Ifo, Fuest, admet également ceci (c'est moi qui souligne) :
Fuest a déclaré que les coûts économiques du réchauffement climatique sont énormes. Mais cela n'a pas grand-chose à voir avec « ce que nous faisons des émissions de gaz carbonique ici en Allemagne ». Les coûts dépendraient uniquement des émissions mondiales, principalement du comportement de la Chine et des États-Unis et de l'abattage ou non de la forêt tropicale par le Brésil. Fuest a vu une influence allemande sur le climat mondial principalement à travers l'exportation de technologies vers d'autres pays. "Il n'y a pas de lien direct entre les émissions de l'Allemagne et le climat mondial."
Reste à savoir si la Commission européenne s'abolira par ces « détours » de « l'activisme climatique » avant 2035.
https://tkp.at/2023/03/31/verbrenner-aus-als-offenbarungseid-der-eu/
Diplomate indien: la Russie affronte déjà avec succès l'Occident par elle-même
RépondreSupprimer31 mars 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Il est étonnant de voir à quel point la vision des médias et de la politique occidentale diffère de celle de la majorité du monde. Les commentateurs sont consternés par la manière grossière dont se comportent le président américain Jo Biden et le secrétaire d'État Anthony Blinken. La manière dont les politiciens de haut niveau en Russie et en Chine se traitent, en revanche, est de plus en plus reconnue dans les pays du Sud, tout comme leurs objectifs.
L'une des voix des pays du Sud est l'ancien diplomate indien de haut rang MK Bhadr a kumar. Dans son article le plus récent sur son blog Indian Punchline, il rend compte avec appréciation de la coopération croissante entre la Chine et la Russie. L'Inde entretient de bonnes relations amicales avec la Russie depuis son indépendance en 1948. Par exemple, vous achetez des avions de combat russes et d'autres équipements militaires. Les relations avec la Chine sont cependant troubles depuis un certain temps, mais un rapprochement semble désormais en cours.
Comme l'écrit Bhadra Kumar :
"Les médias russes ont rapporté que le président Vladimir Poutine avait fait un geste extraordinaire lorsque le président Xi Jinping avait quitté le Kremlin après le dîner d'État de la semaine dernière mardi soir, l'accompagnant jusqu'à la limousine et lui disant au revoir.
Se serrant la main en guise d'adieu, Xi aurait répondu : "Ensemble, nous devons conduire ces changements qui ne se sont pas produits depuis 100 ans. Prends soin de toi."
Xi faisait allusion aux 100 dernières années de l'histoire moderne, au cours desquelles les États-Unis sont passés d'un pays situé au nord du Mexique dans l'hémisphère occidental à une superpuissance et à un hégémon mondial.
Le diplomate commente le soutien de Poutine au niveau politique intérieur :
C'était une conclusion appropriée à une visite d'État qui a commencé la nuit précédente avec Xi exprimant sa confiance dans les Russes soutenant Poutine lors de l'élection présidentielle de l'année prochaine. D'un seul coup, Xi a « défait » la diabolisation de Poutine par l'Occident, conscient de l'absurdité de même émettre un mandat d'arrêt contre le chef du Kremlin pour détourner l'attention de ses pourparlers à Moscou.
La Chine s'est abstenue de commenter les politiques intérieures des autres pays. Dans le cas de la situation autour de la Russie, cependant, Xi a fait une exception notable, signalant qu'il apprécie grandement le leadership proactif de Poutine en ces temps turbulents. La majorité de l'opinion mondiale, en particulier dans les pays du Sud, sera d'accord avec lui.
L'analyse selon laquelle le Sud global soutient Poutine provient en réalité d'un pays de 1,4 milliard d'habitants. L'évaluation par l'Indien de la politique étrangère américaine est tout aussi remarquable :
RépondreSupprimer"Le moment choisi pour la visite d'Etat de Xi au milieu de la guerre en Ukraine montre que la Chine attache la plus haute importance aux relations avec la Russie. Cela se fait judicieusement, car la Chine et la Russie sont prises dans une spirale de tensions croissantes avec les États-Unis.
Il y a eu un changement radical d'humeur à Pékin. Le fond a été atteint avec le comportement tapageur du président Biden dans son discours sur l'état de l'Union du 7 février, lorsqu'il s'est écarté du texte et a crié hystériquement : "Nommez-moi un dirigeant mondial qui échangerait sa place avec Xi Jinping".
Dans la culture orientale, une telle grossièreté est considérée comme un comportement scandaleux impardonnable. Dans les semaines qui ont suivi l'abattage par les États-Unis du ballon météo chinois et la frappe internationale contre la Chine, Pékin a démenti plusieurs tentatives de la Maison Blanche pour amener Biden à parler au président Xi au téléphone.
La diplomatie indienne, au moins indirectement, continue de s'en prendre vigoureusement aux États-Unis :
"Pékin en a assez des promesses creuses de Biden d'améliorer les liens tout en renforçant secrètement les alliances à travers l'Asie-Pacifique, en incorporant l'OTAN dans la dynamique de puissance de l'Asie-Pacifique et en envoyant des forces et une puissance de feu supplémentaires dans des endroits comme Guam et les Philippines à partir de l'effort résolu pour affaiblir l'économie chinoise".
La volonté de l'Inde de normaliser ses relations avec la Chine pourrait difficilement être clarifiée. Après tout, la Chine et l'Inde travaillent également ensemble au sein de l'organisation BRICS. La façon dont la Russie et la Chine se traitent semble être du goût des Indiens :
Mais alliance ou pas, le fait est que ce « nouveau modèle de relations entre grands pays, caractérisé par le respect mutuel, la coexistence pacifique et la coopération qui profite à tous » – pour citer Xi Jinping – est tout sauf hiérarchique, c'est bien.
Les professionnels américains ont du mal à comprendre les relations égales entre deux nations souveraines et indépendantes.
L'évaluation de l'évolution du conflit en Ukraine diffère également considérablement de ce que les grands médias occidentaux diffusent :
« Un article paru il y a quelques semaines dans le Global Times de Hu Xijin, ancien rédacteur en chef du quotidien Comité central du Parti communiste chinois, a mis la « vue d'ensemble » en perspective.
Hu a écrit que la guerre en Ukraine « s'est transformée en une guerre d'usure entre la Russie et l'Occident... Bien que l'on dit que l'OTAN est beaucoup plus forte que la Russie, la situation sur le terrain ne semble pas inquiéter l'Occident. "
Hu a tiré des conclusions surprenantes : « Vaincre la Russie est beaucoup plus difficile que prévu pour les États-Unis et l'Occident. Ils savent que la Chine n'a pas fourni d'aide militaire à la Russie, et la question qui les taraude est la suivante : si la Russie seule est si difficile à vaincre, alors que se passera-t-il si la Chine commence vraiment à fournir une aide militaire à la Russie et à ses énormes industriels ? Utilisez des compétences pour la Russie. militaire? La situation sur le champ de bataille ukrainien changerait-elle fondamentalement ? De plus, seule la Russie peut défier tout l'Occident en Ukraine. S'ils forcent vraiment la Chine et la Russie à se serrer la main, qu'est-ce qui changera dans la situation militaire dans le monde ?
RépondreSupprimerLe diplomate résume la direction qui va, qui est apparemment également pleinement soutenue par l'Inde :
"En effet, l'article 5 est l'âme même de la déclaration commune faite à Moscou : "Les deux parties réaffirment leur détermination à protéger le système international centré sur les Nations Unies, l'ordre international fondé sur le droit international et les normes fondamentales des relations internationales, fondées sur les buts et principes de la Charte des Nations Unies, et s'opposent à toutes les formes d'hégémonisme, d'unilatéralisme et de politique de puissance, à la mentalité de guerre froide, à la confrontation entre les camps et à la formation de cliques alignées sur des pays particuliers ».
Il faut être clair sur le fait qu'il ne s'agit pas ici de déposer les États-Unis en tant que dirigeant et de les remplacer par la Chine, mais d'empêcher efficacement les États-Unis d'intimider des États plus petits et plus faibles et ainsi d'inaugurer un nouvel ordre international, qui donne la priorité au développement pacifique et au politiquement correct. et ignore toutes les différences idéologiques.
Renforcement de la coopération militaire entre la Russie et la Chine
RépondreSupprimerPendant ce temps, le porte-parole du ministère chinois de la Défense, Tan Kenfei , a expliqué comment la coopération entre les deux pays se développe, ont rapporté divers médias asiatiques .
La Chine est prête à renforcer sa coopération avec l'armée russe pour défendre ensemble la justice, la paix et la sécurité internationales, a déclaré jeudi le porte-parole du ministère chinois de la Défense, Tan Kefei.
Selon M. Tan, la Chine est prête à travailler avec l'armée russe pour mettre pleinement en œuvre l'important consensus auquel sont parvenus les deux dirigeants. Cela comprend le renforcement de la communication et de la coordination stratégiques, a-t-il ajouté.
Le diplomate a expliqué que les deux nations prévoyaient d'organiser régulièrement des patrouilles maritimes et aériennes conjointes, ainsi que d'organiser des exercices d'entraînement et de renforcer divers autres domaines de coopération. L'objectif, a déclaré Tan, est d'approfondir la confiance militaire mutuelle avec la Russie pour assurer la justice internationale et apporter de nouvelles contributions à la sécurité internationale et régionale. Cela « servirait à construire une communauté avec un avenir commun pour l'humanité », a-t-il expliqué.
Tan a souligné les liens de plus en plus étroits entre Moscou et Pékin, mais a souligné que ceux-ci ne constituaient pas une alliance militaro-politique de style guerre froide. Selon le porte-parole, la relation "va au-delà de ce modèle de relations étatiques" et a le caractère de " non alignés, non conflictuels et non ciblant les pays tiers" .
Et comme indiqué hier , le Brésil a accepté de négocier dans sa monnaie nationale au lieu de dollars. Le président brésilien Lula effectue une visite d'Etat de cinq jours en Chine.
https://tkp.at/2023/03/31/indischer-diplomat-russland-konfrontiert-bereits-alleine-erfolgreich-den-westen/
L'UE pousse à la "criminalisation" de l'argent physique avec une nouvelle loi anti-blanchiment
RépondreSupprimerPar Peter Caddle
Recherche mondiale,
31 mars 2023
L'Union européenne risque de "criminaliser" l'utilisation d'argent liquide avec ses nouvelles lois anti-blanchiment, a averti un député européen.
Le Dr Gunnar Beck , un représentant du parti populiste Alternative pour l'Allemagne (AfD), a averti que l'UE semble pousser à la "criminalisation" de l'utilisation de l'argent liquide avec ses nouvelles lois anti-blanchiment d'argent (AML).
Les politiciens bruxellois réfléchissent depuis longtemps à une limite légale supérieure à la valeur des transactions en espèces au sein du bloc, les législateurs détaillant les plans visant à interdire aux Européens de dépenser plus de 10 000 € en offres physiques dans le cadre d'une seule transaction.
Le Parlement européen a cependant voté pour qu'une telle limite proposée soit abaissée à 7 000 € seulement dans le cadre des efforts visant à lutter contre le blanchiment d'argent et l'évasion fiscale au sein du bloc, les responsables votant également pour voir les transactions de crypto-monnaie payer pour les marchandises et les services d'une valeur supérieure à 1 000 € à interdire.
De nombreux membres du parlement semblent justifier ces décisions comme étant une étape importante dans la réduction de la criminalité en Europe, bien que le Dr Beck avertisse que les limites sur les paiements en espèces semblent maintenant être allées trop loin.
Dans une déclaration à Breitbart Europe, Beck a souligné que si l'AfD saluait les efforts supplémentaires pour lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, elle rejetait l'appel du Parlement à la réduction des transactions en espèces.
"Alors que nous devrions nous concentrer sur le blanchiment d'argent par le crime organisé et les terroristes islamistes, l'UE choisit de renforcer sa surveillance des transactions des épargnants et des retraités allemands", a fait remarquer le Dr Beck. "C'est une erreur."
Il a poursuivi en affirmant que l'AfD était désormais le "seul parti défendant la liberté de l'argent liquide" en Allemagne, les membres d'autres partis supposés de droite du pays votant prétendument en faveur des restrictions en matière d'argent liquide, malgré la critique de la mise en œuvre de mesures similaires. à la maison.
Le représentant populiste s'est également inquiété de la nature des mesures que Bruxelles cherche à adopter, avec le fait que les eurocrates auraient décidé d'opter "pour un règlement au lieu d'une directive", ce qui signifie que les États-nations individuels ne pourront pas éviter d'avoir à mettre en œuvre les réformes anti-cash, même s'ils veulent protéger l'utilisation du cours légal physique dans leur propre pays.
RépondreSupprimerLe Dr Beck a cependant noté que les choses pourraient être bien pires, les parlementaires européens ayant rejeté une limite encore plus basse pour les transactions en espèces avant d'arriver au chiffre de 7 000 €.
"Heureusement, la proposition initiale des rapporteurs de 3 000 € a été augmentée de manière significative, également grâce à la pression de l'AfD dans le processus de négociation", a déclaré le représentant allemand, tout en ajoutant que lui et son parti auraient préféré que la limite suggérée reste à 10 000 €.
La décision de restreindre les transactions en espèces au sein du bloc semble faire partie d'une tendance plus large en Europe et en Occident plus largement, l'Australie étant l'une des premières nations à déclarer qu'elle mettait en œuvre une interdiction des transactions en espèces de 10 000 AUD (~ 6 600 $ ) ou plus .
Bien que la nation de l'hémisphère sud ait par la suite perdu tout intérêt à mettre en œuvre la politique, les nations européennes ont semblé beaucoup plus désireuses de réduire les liquidités, les politiciens allemands se disputant actuellement pour savoir si une limite légale à ces transactions est une bonne idée ou non.
D'autres pays européens ont déjà mis en place de telles mesures, les Pays-Bas interdisant les transactions en espèces de plus de 3 000 €.
Les choses sont encore plus strictes en France, où il est légalement interdit aux résidents du pays de payer des biens ou des services en espèces lorsque la transaction s'élèverait à plus de 1 000 € , un chiffre qui dépasse même le prix de nombreux appareils électroniques modernes, tels que les ordinateurs portables et les smartphones.
https://www.globalresearch.ca/eu-pushing-criminalisation-physical-cash-new-anti-money-laundering-law/5814355
Le 11 septembre et le canular de la COVID-19 dans la transition vers la gouvernance par des « mesures d'urgence »
RépondreSupprimerPar le professeur Anthony J. Hall
Recherche mondiale,
31 mars 2023
Au Congrès américain , le sénateur Rand Paul a proposé un amendement visant à supprimer la disposition sur les mesures d'urgence qui est devenue loi une semaine après les événements du 11 septembre 2001. 86 des 100 sénateurs du Congrès américain ont voté contre l'initiative de Paul d'abandonner la loi publique 107. -40 22 ans après son invocation. La loi post-11 septembre "autorisait l'utilisation des forces armées américaines contre les responsables des récentes attaques lancées contre les États-Unis".
Le chèque en blanc donné par le Congrès en 2001 aux forces armées américaines et à son commandant en chef a contribué à faire avancer l'agenda qui a placé en 2019 le ministère de la Défense en charge d'une guerre biologique contre l'humanité toujours en cours.
Jusqu'à présent, l'arme principale de cette guerre est un appareil militaire encore présenté de manière spécieuse au public comme des vaccins pharmaceutiques promus comme remèdes contre le COVID-19.
- voir clip sur site -
La loi publique 107-40 a été imposée au public en septembre 2001 sans aucune enquête systématique sur la scène du crime et sur l'éventail des coupables possibles qui auraient pu contribuer à la débâcle. Le saut à l'action en 2001 avant que des enquêtes appropriées ne puissent avoir lieu a été réitéré dans le canular COVID-19.
Moins d'un mois après le 11 septembre, les forces armées américaines ont atterri en Afghanistan, où elles sont entrées en guerre principalement pour mettre en œuvre un changement de régime.
Puis, en 2020-2021, un supposé remède a été précipité dans la production, puis planté dans les bras de plusieurs milliards d'humains. Ces coups expérimentaux ont été poussés dans les veines sanguines avant que les tests appropriés n'aient eu lieu et sans l'application de contrôles de qualité.
Cette approche consistant à agir d'abord et à laisser les enquêtes à plus tard devient apparemment un aspect essentiel de la nouvelle normalité. Même dans le système de justice pénale de plus en plus dysfonctionnel, où le principe juridique fondamental exige la présomption d'innocence jusqu'à ce que la culpabilité soit prouvée, les anciennes règles semblent ne plus s'appliquer . Habituellement, l'ancienne règle n'est invoquée que pour fournir des protections supplémentaires aux puissants afin de les rendre encore plus invulnérables aux récriminations des lanceurs d'alerte, des journalistes d'investigation et autres.
Le 11 septembre utilisé comme cheval de Troie
RépondreSupprimerL'histoire officielle qui couvre l'opération sous fausse bannière connue sous le nom de 9/11 est composée de mensonges et de tromperies scandaleux tout aussi évidents pour les véritables chercheurs de vérité que le complexe d'escroqueries COVID facilitant la prise de pouvoir massive actuellement en cours.
Les événements déformés du fiasco du 11 septembre ont inauguré un complexe complexe et continu de «mesures d'urgence» conçues pour concentrer l'autorité exécutive arbitraire tout en mettant de côté l'État de droit, les protections constitutionnelles, les freins et contrepoids, etc., etc. un rôle énorme dans la pose des fondements psychologiques et pseudo-lois de notre dilemme actuel dans la crise de tout émergeant de la crise du COVID manufacturé.
Alors que l'exploitation des dispositions des mesures d'urgence pour faire avancer les prises de pouvoir et les objectifs politiques douteux n'a rien de nouveau dans l'histoire, l'hystérie publique générée notamment par la pulvérisation des trois tours du World Trade Center à Manhattan a ouvert la porte à de nouvelles frontières. Le sentiment de panique et d'insécurité qui prévalait a été rapidement exploité pour justifier une activité policière accrue, des invasions militaires ainsi que la quasi-déclaration de la loi martiale au niveau national.
Tours jumelles
La vitesse des transitions du gouvernement vers une position de temps de guerre en 2001 a été remarquable.
Ces transitions incluent l'invasion quasi instantanée de l'Afghanistan par les États-Unis, la publication et la ratification rapides de l'énorme Patriot Act et la réorganisation rapide des aéroports pour annoncer la transformation des citoyens détenteurs de droits en suspects de terrorisme.
Tous ces exemples suggèrent fortement la préparation d'initiés aux événements du 11 septembre avant qu'ils ne se produisent réellement. Les preuves indiquent une connaissance et une préparation préalables par les véritables instigateurs du 11 septembre de la même manière que l'événement 201 en octobre 2019 a signalé l'identité des organisateurs essentiels responsables de la pandémie sous fausse bannière à venir.
Le fait que le Sénat américain ne soit toujours pas disposé à suspendre la première mesure d'urgence du 11 septembre est instructif. À partir du début de 2020, le recours aux pseudo-lois édictées par les mesures d'urgence est toujours opérationnel dans de nombreux pays et aux différents niveaux de juridiction que ces pays contiennent. Surtout avec le mandat des contre-mesures militaires déguisées en vaccins, l'approche des mesures d'urgence a été absorbée dans la gouvernance, par exemple, des hôpitaux, des écoles, des entreprises, des syndicats, des associations professionnelles, etc.
RépondreSupprimerL'industrie pharmaceutique a réclamé les indemnisations découlant des autorisations d'utilisation d'urgence adoptées par les gouvernements de la plupart des pays du monde. Au Canada, le Premier ministre Justin Trudeau a invoqué la version canadienne de la loi martiale avec l'invocation par son gouvernement d'une autre loi d'urgence. Trudeau a utilisé ses nouveaux pouvoirs pour ordonner aux banques canadiennes de saisir les comptes de son opposition politique la plus efficace, à savoir les membres et les partisans du mouvement Truckers Freedom Convoy.
Les mensonges continus et les crimes protégés des coupables du 11 septembre
Il existe un grand nombre d'ouvrages bien documentés qui illustrent qu'il n'y a pas un seul aspect du mythe officiellement sanctionné du 11 septembre qui corresponde à des preuves du domaine public éclairant ce qui s'est réellement passé. Les 11 livres du professeur David Ray Griffin sur divers aspects des crimes du 11 septembre constituent un excellent point d'entrée dans l'affaire fondée sur des preuves étayant la conclusion selon laquelle l'histoire officielle du 11 septembre est une foutaise insultante pour les nuls.
La simulation du 11 septembre qui a été mise en ligne peut être considérée comme un art de la performance meurtrier créé pour préparer le terrain de l'opinion publique au meurtre de masse de civils, en particulier dans les pays à majorité musulmane. La production théâtrale a été conçue par ses producteurs pour vulgariser la haine des musulmans, des perses, des arabes et surtout des palestiniens. Comme les livres analytiques sur le 11 septembre écrits par, par exemple, Zwicker, Bollyn, Tarpley, Macqueen et Meyssan, les tomes savants de DRG éclairent plutôt qu'obscurcissent les événements du 11 septembre.
Les cerveaux du mouvement 9/11 Truth ont dirigé leurs enquêtes d'une manière qui s'éloignait des fraudes grossières et extravagantes présentées par Philip Zelikow ainsi que par d'autres agents et agents de premier plan de la Maison Blanche Bush-Cheney. Le professeur Zelikow est le véritable architecte et auteur de l'étude de l'administration Bush visant à dissimuler la vérité sur ce qui s'est réellement passé le 11 septembre. À cet égard, la Commission Zelikow sur le 11 septembre est similaire à la Commission Warren qui a étudié le meurtre de John F. Kennedy. Les deux enquêtes ont été créées pour cacher plutôt qu'éclairer la vérité sur ce qui s'était réellement passé.
Le professeur Zelikow était un initié de la Maison Blanche dont le domaine de recherche impliquait l'étude de mythes populaires tels que ceux nécessaires pour inciter des masses de gens à haïr les musulmans et à aimer l'idée d'une guerre contre le terrorisme menée par Bush. La persistance de la dissimulation du 11 septembre, même face au grand nombre d'interprétations d'experts exposant l'étendue des mensonges et des crimes du 11 septembre, a été extrêmement influente pour nous faire tomber dans notre pépin actuel. Le contrôle continu du Grand mensonge du 11 septembre montre aux principaux coupables, à leurs complices et à leurs cercles d'amis qu'avec le soutien d'une collaboration bien orchestrée entre le gouvernement et les médias, de puissants saboteurs de la société civile peuvent s'en tirer avec d'énormes crimes qui transforment le monde.
RépondreSupprimerLes crimes peuvent donner l'impression qu'ils ont disparu dans les airs tant que la majorité silencieuse somnolente reste sous le charme de lieux médiatiques complètement corrompus qui présentent uniformément les fantasmes du 11 septembre comme la matière de l'histoire authentique. Une horreur concoctée mais réelle a été conçue dans l'opération psy élaborée du 11 septembre. L'un des principaux objectifs de traumatiser le public était de mobiliser la monnaie politique de la peur de masse à la veille des invasions répétées des pays à majorité musulmane dans tout le Moyen-Orient.
De toute évidence, les principaux auteurs des canulars COVID progressent vers un contrôle plus bio-numérique des survivants des bio-agents de dépopulation injectés. Vingt-deux ans après le 11 septembre, les principaux criminels du COVID sont dotés de nombreuses connaissances fondées sur des preuves exposant la stupidité et/ou la corruption de la grande majorité des faiseurs d'opinion dans le soi-disant « Occident » et ses extensions mondiales.
Il semble qu'il y ait beaucoup de chevauchement et de coopération entre les différents centres de pouvoir qui, jusqu'à présent du moins, n'ont pas été tenus pour responsables des assassinats de Kennedy, du 11 septembre et des crimes contre l'humanité toujours en cours, facilités par les masses de mensonges qui convergent dans la crise du COVID. L'ampleur du meurtre et du chaos exploités par les auteurs constamment habilités semble croître de façon exponentielle à chaque événement. Et ensuite ?
9/11, Fauci et les dommages causés par l'AZT et les injections d'ARNm induisant une modification génétique
Dans son célèbre livre, Robert F. Kennedy Jr . présente un cas puissant selon lequel la fraude et les abus tourbillonnant autour du rôle d'Anthony Fauci dans le fiasco du VIH/SIDA/AZT au cours des dernières années du XXe siècle offrent une clé pour comprendre le canular COVID-19 actuel. Alors que Dick Cheney était l'agent clé de la saga du faux drapeau le jour du 11 septembre, Anthony Fauci a joué un rôle similaire dans le faux drapeau médical qui a déclenché la crise de tout qui nous submerge actuellement.
De toute évidence, Robert Kennedy s'est largement inspiré du travail d'enquête de Celia Farber pour développer sa propre compréhension du rôle de Fauci en tant qu'agent fédéral interne de la communauté gay qui a accueilli le faux remède de l'AZT. Au fil du temps, il est devenu de plus en plus clair que l'AZT était extrêmement toxique et mortel. Les similitudes sont troublantes entre le rôle de Fauci dans la direction des tests appropriés de l'AZT et son rôle pour éviter les tests appropriés des procédures d'ARNm pour la modification génétique. Dans les deux cas, le but des prétendus remèdes semble sans rapport avec l'objectif d'arrêter la transmission des infections virales.
RépondreSupprimerLe rôle de Fauci en tant qu'agent secret de l'establishment militaire américain du bioterrorisme remonte aux opérations dirigées par Dick Cheney à la suite des événements déformés du 11 septembre. Cette histoire doit être davantage dévoilée en tant qu'aspect clé du phénomène selon lequel de nombreux pays du monde sont devenus des foyers pour des gouvernements bioterroristes qui mènent une guerre biologique contre leur propre peuple.
L'échec jusqu'à présent des citoyens consciencieux à obtenir une certaine responsabilité pour le canular COVID-19 a des racines importantes dans notre incapacité à parvenir à une sorte de prise en compte par la société des mensonges et des crimes audacieux du 11 septembre.
https://www.globalresearch.ca/911-covid-19-hoax-transition-governance-emergency-measures/5813759
Après les avions-virus vus uniquement à la télé le 11 Septembre est arrivé la seringue-virus qui s'est chargé (hors télés) de faire disparaître des centaines de millions de tours jumelles dans le monde !
SupprimerSUISSE: Il porte un flyer anti-masque, le Parlement vote pour qu’il le retire
RépondreSupprimerUn dépliant dépassant de la poche d’un élu UDC a donné lieu à une étonnante scène au Parlement cantonal d’Appenzell Rhodes-Extérieures.
par Jonathan Zalts
31 mars 2023, 06:58
Les élus cantonaux ont fait grand cas d’un prospectus sur le port du masque cette semaine au Grand Conseil d’Appenzell Rhodes-Extérieures. Dépassant de la poche de l’UDC Reto Sonderegger, le flyer est carrément devenu un objet politique soumis au vote.
C’est le député Hans Koller (PLR) qui a dénoncé le dépliant. «Le conseiller cantonal UDC a ouvertement montré le flyer», explique-t-il à «20 Minuten». Au Parlement cantonal, on parle, on n’a pas de flyers avec soi.»
L’élu a donc déposé une motion d’ordre pour le faire retirer. Motion qui a été adoptée par le Grand Conseil, et Reto Sonderegger a donc dû s’exécuter. «Je trouve amusant que le flyer soit devenu un tel sujet», confie ce dernier au quotidien alémanique. «Il est probable que personne ne l’aurait remarqué sans la motion d’ordre.»
Mesures sanitaires
Reto Sonderegger est membre du comité d’initiative «Pour la protection de l’enfance». Cette dernière conteste plusieurs mesures sanitaires telles que l’obligation de porter le masque dans les écoles, la distanciation sociale ou encore la vaccination des enfants. «Le conseiller cantonal UDC s’était déjà fait remarquer à l’époque du corona […] Il continue de le faire», souligne Hans Koller auprès de «20 Minuten».
Si de telles motions d’ordre sont plutôt rares, elles peuvent être déposées pour toute sorte de motifs et chaque député de Grand Conseil en a la possibilité. Relayée sur les réseaux sociaux, celle de Hans Koller aura en tout cas fait sourire des internautes, certains se demandant si les députés n’auraient pas d’«autres problèmes» plus importants à débattre.
https://www.lematin.ch/story/il-porte-un-flyer-anti-masque-le-parlement-vote-pour-quil-le-retire-836198934447
Avec l'obligation non-scientifique de porter un masque ! a fait de la Suisse une Démocratie passée en dictature ! Pire: Un papier dépassant d'une poche ! demain une amende ou prison pour porter un t-shirt marqué 'Non aux masques' ?
SupprimerLe Parti Libéral Radical (socialiste) a dénoncé le papier imprimé qui dépassait d'une poche ! Demain un tatouage ?
"Comment les vaccins à ARNm pourraient tout cibler, du cancer à la peste": ils ne s'arrêteront jamais, même si les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna COVID-19 étaient un échec complet
RépondreSupprimerPar le Dr William Makis
Recherche mondiale,
31 mars 2023
«Imaginez que vous rendiez visite à votre médecin pour un examen de routine et, en plus des injections habituelles – le vaccin annuel contre la grippe ou le COVID – votre médecin vous demande si vous souhaitez être vacciné contre le cancer. Tous les cancers – poumon, peau, côlon, etc. – avec un seul coup légèrement inconfortable dans le bras.
C'est ainsi que commence un article du New York Post du 25 mars 2023. ( cliquez ici )
«Ce scénario, qui ressemble à quelque chose de science-fiction, pourrait être plus proche que vous ne le pensez . Et c'est principalement grâce au vaccin COVID - qui en quelques années est devenu le plus en vue de la famille de plus en plus influente connue sous le nom de vaccins à ARNm.
« Anna Blakney, chercheuse en ARN à l' Université de la Colombie-Britannique , dit que nous sommes actuellement au milieu d'une « renaissance de l'ARNm ». ”
Ces médicaments « vont changer la donne dans les années à venir » dit-elle.
Plus personne ne veut de vaccins à ARNm défaillants…
Les gens en ont peut-être fini avec le COVID-19 et les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna COVID-19 qui ont échoué, mais les élites n'en ont pas fini avec nous.
Seulement 22,4 % des Canadiens continuent de prendre religieusement ces produits toxiques défaillants , après avoir pris une injection de rappel au cours des 6 derniers mois, malgré les preuves de plus en plus nombreuses que ces produits pharmaceutiques défaillants ont blessé des millions de personnes.
- voir cadre sur site -
«Le vaccin à deux doses utilise la même technologie d'ARNm que celle utilisée pour fabriquer les vaccins COVID-19 , sauf que cette fois, il a délivré de petites particules contenant les instructions pour transformer les protéines d'hémagglutinine trouvées à la surface du virus de la grippe dans les cellules. Les cellules commencent à fabriquer ces protéines, déclenchant une réponse immunitaire.
RépondreSupprimer"La vraie question est maintenant de savoir à quelle vitesse ces vaccins pourraient être étendus en cas de pandémie."
Ma prise…
Une pandémie de grippe H5N1 avec un taux de mortalité allant jusqu'à 50% serait la nouvelle pandémie idéale pour effrayer les gens et les inciter à accepter un nouveau vaccin à ARNm H5N1 qui sera décrit comme "sûr et efficace" et sera une tentative de réhabilitation de la plate-forme d'ARNm .
Le PDG de Moderna a déjà affirmé qu'il pouvait produire n'importe quel nouveau vaccin à ARNm en moins de 6 mois.
S'ils trompent suffisamment de gens, ils peuvent alors libérer rapidement d'autres vaccins à ARNm : VRS, CMV, VIH, etc.
Ils ont investi beaucoup trop d'argent dans l'ARNm pour même envisager d'arrêter maintenant.
https://www.globalresearch.ca/how-mrna-vaccines-could-target-everything-from-cancer-plague-they-will-never-stop-even-pfizer-moderna-covid-19-mrna-vaccines-were-complete-failure/5814105
Des centaines de citoyens français souffrent d'événements cardiaques après des rappels bivalents
RépondreSupprimerLa fenêtre réglementaire de 30 jours capture les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les caillots sanguins
Par le Dr Peter McCullough
Recherche mondiale,
31 mars 2023
J'ai siégé ou présidé deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des données pour des essais randomisés de nouveaux médicaments ou dispositifs expérimentaux. Je peux vous dire de première main que pour les vaccins COVID-19, une fenêtre réglementaire de 30 jours après l'injection est un jeu équitable pour l'attribution d'événements de santé au produit lorsque les événements indésirables d'intérêt sont connus pour être causés par la protéine Wuhan Spike induite par l'ARNm.
Jabagi et al, NEJM, ont rapporté du Système national des données de santé français lié à la base de données nationale de vaccination COVID-19 révélant des événements cardiovasculaires après des rappels bivalents d'ARNm BA4/BA5. Toutes les personnes âgées de 50 ans ou plus et ayant reçu une dose de rappel entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022 ont été incluses dans l'étude. Le composite AVC ischémique/hémorragique, infarctus du myocarde ou pulmonaire s'est produit chez 335 personnes malheureuses. Les auteurs commettent l'erreur de diviser par les cas par le nombre total de vaccinés et de comparer les taux aux rappels monovalents. Aucune de ces opérations n'est valide car la saisie des événements est incomplète et la comparaison n'a pas été faite avec un placebo ou un groupe témoin.
- voir cadre sur site -
Jabagi MJ, Bertrand M, Botton J, Le Vu S, Weill A, Dray-Spira R, Zureik M. Accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde et embolie pulmonaire après rappel bivalent. N Engl J Méd. 29 mars 2023. doi : 10.1056/NEJMc2302134. Epub avant impression. PMID : 36988584.
RépondreSupprimerCes données suggèrent qu'un grand nombre d'événements de sécurité bien caractérisés, graves et potentiellement mortels se produisent dans les 21 jours suivant les rappels d'ARNm bivalents.
Tous ces événements doivent être considérés comme graves et directement attribuables à la vaccination contre la COVID-19, et à l'inverse, si les injections n'étaient pas reçues, ces personnes seraient selon toute probabilité vivantes et indemnes de ces complications aujourd'hui.
https://www.globalresearch.ca/hundreds-french-citizens-suffer-cardiac-events-after-bivalent-boosters/5814178
Coronavirus : Médicaments toxiques, pas de responsabilité pour Pharma
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Blog de Jon Rappoport
31 mars 2023
Suite de mes articles sur les « plus grands succès COVID ». Pour lire mon introduction à cette série en cours, rendez-vous ici. Pour soutenir mon travail et en avoir pour son argent, commandez My Matrix Collections ici et abonnez-vous à ma sous-pile ici.
22 mars 2020 [L'Amérique en "confinement": Jour 10.]
Premièrement, nous avons ceci, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) : "Il n'existe aucun médicament spécifique pour prévenir ou traiter la maladie à coronavirus (COVID-19)."
Néanmoins, les médecins du monde entier, souvent avec l'approbation de leurs gouvernements nationaux, traitent de nombreux patients avec des médicaments antiviraux expérimentaux ou « hors AMM ».
Voici quelques noms de médicaments : Chloroquine, Remdesivir, Ribavirine, favipiravir, lopinavir ; ritonavir, hydroxychloroquine, sofosbuvir, corticoïdes, oseltamivir, zanamivir.
Ils ont tous des effets indésirables.
Ce qu'il faut faire ?
Réponse : décider qu'aucune personne blessée par la drogue ne peut porter plainte.
En Amérique : terminé.
Tiré de druganddevicelawblog.com, 18 mars 2020, « Nous avons enfin quelque chose à dire sur le COVID-19 » :
"Le 17 mars 2020, le département américain de la Santé et des Services sociaux ("HHS") a publié dans le Federal Register un" avis de déclaration "conférant une immunité étendue contre les litiges délictuels (y compris la responsabilité du fait des produits) pour ceux qui se livrent à des" activités liés aux contre-mesures médicales contre le COVID-19." Cette déclaration est maintenant publiée à 85 Fed. Rég. 15198 (HHS 17 mars 2020). »
RépondreSupprimer« Le HHS confère une immunité délictuelle… L'immunité s'étend à « toute réclamation pour perte causée par, découlant de, liée à ou résultant de la fabrication, de la distribution, de l'administration ou de l'utilisation de contre-mesures médicales »… L'immunité s'étend non seulement au COVID -19-médicaments de lutte, mais aussi aux "produits ou technologies destinés à améliorer l'utilisation ou l'effet d'un médicament, d'un produit biologique [vaccin] ou d'un dispositif utilisé contre la pandémie"... La seule exception concerne les "fautes volontaires".
"L'immunité conférée écarte les autres lois fédérales et prévaut sur la loi de l'État."
Et ça s'occupe de ça.
Un patient reçoit un médicament antiviral et meurt ? Aucune action en justice ne peut être intentée. Toute personne associée au médicament, du fabricant au médecin prescripteur, est exonérée de toute responsabilité.
Prenons un exemple de médicament, la chloroquine. Il est approuvé pour le traitement du paludisme, et maintenant certains médecins l'utilisent sur leurs patients COVID. Depuis webmd.com, voici la section "effets secondaires" (note : une fois la page chargée, cliquez ensuite sur l'onglet "Effets secondaires" en haut de la page) :
* "Une vision floue, des nausées, des vomissements, des crampes abdominales, des maux de tête et de la diarrhée peuvent survenir. Si l'un de ces effets persiste ou s'aggrave, informez-en immédiatement votre médecin ou votre pharmacien.
* "N'oubliez pas que votre médecin vous a prescrit ce médicament car il a jugé que le bénéfice pour vous est supérieur au risque d'effets secondaires. De nombreuses personnes utilisant ce médicament n'ont pas d'effets secondaires graves.
* "Dites immédiatement à votre médecin si vous avez des effets secondaires graves, y compris : décoloration de la couleur des cheveux, perte de cheveux, changements mentaux/d'humeur (tels que confusion, changements de personnalité, pensées/comportements inhabituels, dépression), changements auditifs (tels que bourdonnements dans les oreilles, perte auditive), assombrissement de la peau/des tissus à l'intérieur de la bouche, aggravation d'affections cutanées (telles que dermatite, psoriasis), signes d'infection grave (tels qu'une forte fièvre, des frissons sévères, un mal de gorge persistant), fatigue inhabituelle , gonflement des jambes/chevilles, essoufflement, pâleur des lèvres/ongles/peau, signes de maladie du foie (tels que douleurs abdominales/abdominales sévères, jaunissement des yeux/de la peau, urine foncée), ecchymoses/saignements faciles, faiblesse musculaire, effets indésirables/incontrôlés mouvements (y compris les contractions de la langue et du visage).
RépondreSupprimer* "Ce médicament peut rarement provoquer une hypoglycémie (hypoglycémie). Informez immédiatement votre médecin si vous développez des symptômes d'hypoglycémie, tels que transpiration soudaine, tremblements, faim, vision floue, étourdissements ou fourmillements dans les mains/pieds. Si vous êtes diabétique, assurez-vous de vérifier régulièrement votre glycémie. Votre médecin devra peut-être ajuster votre traitement contre le diabète.
* "Consultez immédiatement un médecin si vous ressentez des effets secondaires très graves, notamment : des étourdissements graves, des évanouissements, un rythme cardiaque rapide/lent/irrégulier, des convulsions."
* « Ce médicament peut causer de graves problèmes oculaires/de vision. Le risque de ces effets secondaires est accru avec l'utilisation à long terme de ce médicament (sur des semaines à des années) et avec la prise de ce médicament à fortes doses. Consultez immédiatement un médecin si vous présentez des symptômes de problèmes oculaires graves, notamment : des changements de vision graves (tels que des éclairs/rayures de lumière, des difficultés à lire, une cécité complète).
* « Une réaction allergique très grave à ce médicament est rare. Cependant, consultez immédiatement un médecin si vous remarquez des symptômes d'une réaction allergique grave, notamment : éruption cutanée, démangeaisons/gonflement (en particulier du visage/de la langue/de la gorge), étourdissements graves, difficulté à respirer. »
* "Ceci n'est pas une liste complète des effets secondaires possibles. Si vous remarquez d'autres effets non mentionnés ci-dessus, contactez votre médecin ou votre pharmacien.
RépondreSupprimerAucune responsabilité. Pas de procès. Aucun problème.
Sauf pour le patient.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s Blog.
https://www.lewrockwell.com/2023/03/jon-rappoport/coronavirus-toxic-drugs-no-liability-for-pharma/
Sommes-nous préparés à un dépeuplement de masse ?
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
31 mars 2023
- voir clip su site -
Du Dr Joseph Mercola
Depuis que COVID-19 est entré en scène pour la première fois, l'échange d'idées est pratiquement interdit. En partageant mes opinions et celles de divers experts tout au long de la pandémie sur les traitements COVID et les coups expérimentaux COVID, je suis devenu une cible principale de la Maison Blanche, de l'establishment politique et de la cabale mondiale.
La propagande et la censure omniprésente ont été déployées pour prendre le contrôle de chaque aspect de votre vie, y compris votre santé, vos finances et votre approvisionnement alimentaire. Les principaux médias sont des acteurs clés et ont contribué à créer et à alimenter la peur.
Je republie cet article dans sa forme originale afin que vous puissiez voir comment la progression s'est déroulée.
Publié initialement : 15 mai 2021
Comment commercialiser et mettre en œuvre un système financier dont personne ne voudrait s'il comprenait toutes ses ramifications - un changement si énorme qu'il signifierait non seulement la fin de la monnaie telle que nous la connaissons, mais une révision totale de la souveraineté et des droits individuels ?
Dans l'interview ci-dessus, qui fait partie du documentaire complet "Planet Lockdown",1 Michael Yeadon, Ph.D., chercheur en sciences de la vie et ancien vice-président et scientifique en chef de la recherche sur les allergies et les voies respiratoires chez Pfizer, partage son opinions sur la pandémie de COVID-19, les « vaccins » COVID-19 accélérés, la question des variantes de virus mutés et le besoin de rappels, et comment cette crise fabriquée est utilisée pour nous priver de nos libertés civiles.
Assemblez-vous les morceaux ?
RépondreSupprimerYeadon est titulaire d'un diplôme en biochimie et toxicologie et d'un doctorat axé sur la recherche. en pharmacologie respiratoire. Il a passé 32 ans de sa carrière au sein de grandes sociétés pharmaceutiques et 10 ans dans le secteur des biotechnologies.
"Je suis favorable à tous les modes de nouveaux traitements médicaux, qu'ils soient biologiques ou vaccinaux, petites molécules, crèmes, sprays, pommades, peu importe, mais je suis farouchement contre les médicaments dangereux ou utilisés dans un contexte inapproprié", dit Yeadon.
"Certaines des choses que je vais dire ne sont pas favorables à la récolte actuelle de vaccins génétiques et c'est [parce] qu'ils sont utilisés de manière inappropriée. Je ne pense pas qu'ils aient un profil d'innocuité suffisant pour être utilisés comme une sorte de prophylactique de santé publique à large spectre...
Quelques éléments m'ont permis, je pense, de repérer ce qui se passe dans le monde en ce moment. Premièrement, j'aime la biologie depuis que je suis petit. J'ai continué à apprendre et à appliquer la biologie au sens large, qu'il s'agisse de pharmacologie, de biochimie, de biologie moléculaire [ou] de toxicologie. J'ai une connaissance très large de tout ce qui touche aux sciences de la vie, en termes de santé et de maladie.
[Secondly], l'un de mes anciens superviseurs a déclaré que j'avais une facilité remarquable qui se démarquait du genre de choses ordinaires que vous auriez à faire pour être vice-président ou PDG. Il a dit que j'étais capable de repérer des modèles dans des données éparses plus tôt que mes pairs. Ainsi, lorsqu'il n'y a pas suffisamment de données pour que la plupart des gens puissent juger de ce qui se passe, je suis souvent en mesure de le voir.
Je pouvais voir une tendance se former lorsqu'il n'y avait pas assez d'informations… À cette occasion, cela m'a permis, assez rapidement, de comprendre que ce qu'on nous disait sur ce virus et ce que nous devions faire pour rester en sécurité était tout simplement pas vrai.
RépondreSupprimerUne fraude massive a été perpétrée
Yeadon commence par souligner les "énormes changements" apportés à l'attribution des causes de décès par le Royaume-Uni. Si vous décédez dans les 28 jours suivant un test positif pour le SRAS-CoV-2, vous êtes compté comme un décès par COVID-19, quelles que soient les autres conditions sous-jacentes. La même chose a été faite aux États-Unis. Comme l'a noté Yeadon :
«Nous n'avons jamais rien eu d'aussi absurde que la règle qui est maintenant utilisée. Ce n'est pas seulement une question de désaccord professionnel. C'est juste un non-sens complet.
La fermeture des entreprises et l'obligation pour les personnes en bonne santé de s'isoler n'ont également aucun sens. Yeadon souligne que seules les personnes malades, qui présentent des symptômes perceptibles d'une infection respiratoire, présentent un risque pour la santé des autres :
« Pour être une bonne source efficace d'infection, vous devez avoir beaucoup de virus. Et si vous avez beaucoup de virus qui vous attaquent, vous ripostez. Ce processus produit inévitablement des symptômes, pas seulement occasionnellement. Cela doit toujours arriver…
Et ces personnes ne sont pas des personnes qui se promènent dans la communauté, car si vous êtes plein de virus et symptomatique, vous êtes également malade, et les personnes malades ont tendance à rester à la maison ou au lit.
La propagation asymptomatique, qui n'a aucune base solide, a été utilisée pour justifier des verrouillages, qui n'ont jamais eu de base factuelle ou scientifique non plus. Les confinements ont été mis en place pour de toutes autres raisons, à savoir pour vous habituer à renoncer à vos libertés et à votre mode de vie normal, et pour vous rendre psychologiquement dépendant d'une source extérieure vous disant quand il est bon de faire quoi.
La science a été bouleversée
RépondreSupprimerYeadon note à juste titre que tout ce que nous savions sur la virologie et les maladies infectieuses a été bouleversé pendant cette pandémie. Aucune des réponses standard connues pour protéger les personnes contre les maladies infectieuses n'a été suivie. Normalement, vous mettez les malades en quarantaine pour contenir l'infection.
Verrouiller des sociétés entières n'a jamais été fait et n'a aucun fondement scientifique ou historique du contrôle des épidémies. De même, tester en masse des personnes sans symptômes est sans précédent. Ce n'est tout simplement pas fait, et pour cause. C'est un gaspillage de ressources car, comme Yeadon l'a expliqué plus tôt, nous savons comment les virus se propagent. Ce n'est pas notre premier rodéo. Nous avons déjà fait face à des épidémies infectieuses.
Nous savons comment les virus fonctionnent dans le corps. Lorsque vous avez une infection active, vous développez des symptômes au fur et à mesure que votre corps monte sa défense. Sans symptômes, votre charge virale est trop faible pour constituer une menace, que ce soit pour vous ou pour les autres. Le mythe de la propagation asymptomatique a été une tactique de peur.
L'immunité des lymphocytes T est bien plus importante que les anticorps
Yeadon poursuit en examinant comment nous avons été induits en erreur sur l'immunité et comment votre corps combat les virus. Vous avez probablement entendu dire que ce qui vous confère une immunité contre le SARS-CoV-2, ce sont les anticorps spécifiques au SARS-CoV-2.
Toute la campagne de vaccination est construite autour du principe qu'en injectant un morceau synthétique d'ARN viral dans vos cellules, votre corps commencera à produire la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, en réponse à laquelle votre corps produira des anticorps spécifiques qui reconnaissent cette protéine. . Ceci est également connu sous le nom d'immunité humorale.
Cependant, bien que les anticorps soient importants, en particulier dans les infections bactériennes, les anticorps ne sont pas la seule partie de votre immunité. Plus important encore, l'immunité contre les virus - par opposition aux bactéries - ne dépend en fait pas des anticorps. Yeadon explique :
"Les virus sont vraiment minuscules, et leur rôle est de pénétrer aussi rapidement que possible dans vos cellules. Ainsi, ils se lient à un récepteur à la surface et s'injectent dans votre cellule. Donc, ils sont à l'intérieur. Les anticorps sont de grosses molécules et ils sont généralement en dehors de vos cellules.
Alors pensez-y un instant. Les anticorps et les virus sont dans des compartiments séparés. Le virus est à l'intérieur de la cellule, les anticorps à l'extérieur de la cellule. Je ne dis pas que les anticorps n'ont aucun rôle, mais ils ne sont vraiment pas très importants. Cela a été prouvé. Il y a des gens chez qui une expérience naturelle s'est produite.
RépondreSupprimerIls ont un défaut et ils ne fabriquent en fait pas d'anticorps, mais ils sont capables de combattre assez bien le COVID-19, le virus SARS-CoV-2. La façon dont ils le font, c'est qu'ils ont une immunité cellulaire T, une immunité cellulaire. Les [cellules T] sont des cellules entraînées à détecter les cellules infectées par le virus et à tuer ces cellules. C'est ainsi que vous vous défendez contre un virus.
Donc, toutes ces mentions de niveaux d'anticorps, c'est juste de la foutaise. Ce n'est pas une bonne mesure pour savoir si vous êtes immunisé ou non. Cela prouve que vous avez été infecté, mais leur persistance n'est pas importante pour savoir si vous avez une immunité…
Nous le savons depuis des décennies. Nous connaissons les lymphocytes T depuis des décennies. Ils étaient clairement dans mes manuels de premier cycle. Et nous connaissons leur importance pour vous défendre contre les virus respiratoires depuis probablement les années 1970, certainement les années 1980. Alors, ne croyez rien là où les gens vous suggèrent que leur rôle est incertain. Nous savons depuis très longtemps qu'ils sont absolument centraux.
Les anticorps ne sont pas la réponse aux variantes
Le rôle central de l'immunité des lymphocytes T, ou immunité cellulaire, devient particulièrement pertinent lorsqu'il s'agit de discuter de la menace des variantes, des formes mutées du SRAS-CoV-2. Comme mentionné, votre système immunitaire est un système à multiples facettes qui permet à votre corps de monter des défenses contre toutes sortes de menaces. Les parasites, les champignons, les bactéries et les virus sont les principales catégories de menaces.
Chacun d'entre eux vous envahit et vous menace de manière complètement différente, et votre système immunitaire a des moyens de faire face à chacun d'eux, en utilisant une variété de mécanismes.
"Vous avez quatre ou cinq bras différents du système immunitaire : l'immunité innée, les muqueuses, les anticorps, les lymphocytes T et les systèmes complémentaires", explique Yeadon.
«Il existe tous ces différents systèmes merveilleux qui se sont intégrés les uns aux autres, car ils doivent vous défendre contre toutes sortes de menaces différentes dans l'environnement. Ce que je vous dis, c'est que l'accent mis sur les anticorps en ce qui concerne les infections virales respiratoires est faux, et vous pouvez l'établir assez facilement en faisant quelques recherches.
RépondreSupprimerEssentiellement, ce que Yeadon dit, c'est que le fait que vous soyez sensible aux variantes a très peu à voir avec le fait que vous ayez ou non des anticorps contre le SRAS-CoV-2, car les anticorps ne sont pas votre principale défense contre les virus. Vos lymphocytes T sont ceux qui font le gros du travail.
Ce que cela signifie alors, c'est qu'obtenir des injections de rappel pour différentes variantes ne vous aidera pas. Cela ne résoudra pas le problème, car ces injections ne renforcent pas votre immunité des lymphocytes T.
Repensez soigneusement le besoin de doses de rappel
De tous les mensonges qui nous ont été racontés au cours de l'année écoulée, ceux qui inquiètent et effraient le plus Yeadon sont les mensonges sur les variantes de virus et les injections de rappel. En fait, il pense que ne pas croire à ces mensonges peut être la clé de votre survie, et voici pourquoi :
« Il est tout à fait normal que des virus à ARN comme le SRAS-CoV-2, lorsqu'ils se répliquent, fassent des erreurs typographiques. Il a un très bon système de détection et de correction des erreurs, donc il ne fait pas trop de fautes de frappe, mais il en fait quelques-unes, et celles-ci sont appelées «variantes».
Il est vraiment important de savoir que si vous trouvez la variante la plus différente de la séquence identifiée à Wuhan, cette variance… n'est différente que de 0,3 % de la séquence d'origine.
Je vais le dire d'une autre manière. Si vous trouvez la variance la plus différente, elle est identique à 99,7 % à celle d'origine, et je peux vous assurer... que cette quantité de différence n'est absolument PAS en mesure de se représenter pour vous comme un virus différent.
Il explique comment, plus tôt dans la pandémie, les scientifiques ont obtenu du sang de patients atteints du virus du SRAS il y a 17 ou 18 ans. Le SRAS-CoV-1, responsable de cette épidémie de SRAS, est similaire à 80 % au SRAS-CoV-2.
Ils voulaient savoir si le système immunitaire de ces patients serait capable de reconnaître le SARS-CoV-2. Ils l'ont fait. Ils avaient toujours des cellules T mémoire contre le SRAS-CoV-1, et ces cellules ont également reconnu le SRAS-CoV-2, bien qu'elles ne soient similaires qu'à 80 %. Maintenant, si une différence de 20 % n'était pas suffisante pour contourner le système immunitaire de ces patients, pourquoi devriez-vous vous inquiéter d'une variante qui diffère d'au plus 0,3 % du SARS-CoV-2 d'origine ?
RépondreSupprimer« Lorsque les scientifiques de votre gouvernement vous disent qu'une variante différente de 0,3 % du SRAS-CoV-2 pourrait se faire passer pour un nouveau virus et constituer une menace pour votre santé, vous devez savoir, et je vous le dis, ils mentent », dit Yeadon.
"S'ils mentent, et ils le font, pourquoi l'industrie pharmaceutique fabrique-t-elle des vaccins [de rappel] complémentaires ? Vous devriez être terrifié à ce stade, comme moi, car il n'y a absolument aucune justification possible pour leur fabrication. Et les régulateurs mondiaux des médicaments ont déclaré : "Parce qu'ils sont assez similaires aux vaccins originaux... nous ne leur demanderons pas de faire des études cliniques de sécurité".
Sommes-nous en train d'assister à un programme de dépopulation massive en action ?
Yeadon souligne que les variantes ne sont tout simplement pas assez différentes pour représenter une menace, c'est pourquoi vous n'avez pas besoin d'un ou plusieurs rappels. Pourtant, ils sont déjà en cours de fabrication et les régulateurs leur donnent un laissez-passer gratuit en ce qui concerne les études d'innocuité et d'efficacité.
"J'ai très peur de ça. Il n'y a pas d'interprétation bénigne possible de cela », dit Yeadon. « Je crois qu'ils vont être utilisés pour nuire à votre santé et peut-être vous tuer. Sérieusement. Je ne vois pas d'autre interprétation sensée qu'une tentative sérieuse de dépopulation massive.
Cela fournira les outils pour le faire et un déni plausible. Ils créeront une autre histoire sur une sorte de menace biologique et vous ferez la queue pour obtenir vos vaccins complémentaires, et quelques mois ou un an environ plus tard, vous mourrez d'un syndrome inexplicable particulier. Et ils ne pourront pas l'associer aux vaccins.
2. Le vaccin à ARNm de Pfizer contient du polyéthylène glycol (PEG) et des études ont montré que 70 % des personnes développent des anticorps contre cette substance. Cela suggère que le PEG peut déclencher des réactions allergiques mortelles chez de nombreuses personnes qui reçoivent le vaccin.
RépondreSupprimerEn effet, quelques jours après la sortie du vaccin, des rapports ont commencé à arriver sur des personnes ayant des réactions anaphylactiques potentiellement mortelles,5 conduisant à des avertissements indiquant que les personnes souffrant d'allergies connues ne devraient pas prendre le vaccin Pfizer.6 Depuis lors, des réactions anaphylactiques ont été signalées par des receveurs de également le vaccin à ARNm Moderna.7
3. Le vaccin à ARNm incite votre corps à produire des anticorps contre la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, et les protéines de pointe contiennent à leur tour des protéines homologues à la syncytine qui sont essentielles à la formation du placenta. Si le système immunitaire d'une femme commence à réagir contre la syncytine-1, il est alors possible qu'elle devienne stérile.
C'est un problème qu'aucune des études sur les vaccins n'aborde spécifiquement. La vaccination massive des femmes en âge de procréer contre le COVID-19 pourrait avoir la conséquence dévastatrice de provoquer une infertilité de masse si le vaccin déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1.
4. Les études sont beaucoup trop brèves pour permettre une estimation réaliste des effets secondaires. Selon ce que ces effets finissent par être, des millions de personnes peuvent être exposées à un risque inacceptable en échange d'un avantage très mineur.
La liberté de la santé minée au nom de «l'urgence»
Plus fondamental encore que toute préoccupation particulière en matière de sécurité est le fait qu'une campagne de vaccination de cette ampleur, utilisant une technologie entièrement nouvelle, crée un précédent des plus dangereux pour la santé publique. En provoquant une panique inutile, beaucoup sont maintenant prêts à renoncer à toute forme de liberté au nom de la réponse à une urgence sanitaire mondiale.
L'une de ces libertés fondamentales est votre droit de refuser une procédure médicale expérimentale. Cette liberté a été reconnue dans le Code de Nuremberg de 19478 et consacrée dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui stipule que « nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérimentation médicale ou scientifique. »9
Pourtant, malgré cela, et malgré le fait que les essais cliniques de vaccins sont encore à deux ans d'être terminés, les gouvernements du monde entier parlent de rendre ces vaccinations obligatoires ou de faire chanter les gens pour qu'ils les prennent contre leur gré en encourageant les entreprises privées à restreindre l'accès à vaccinés uniquement.
RépondreSupprimerComme l'ont noté Yeadon et bien d'autres, la mise en œuvre des passeports vaccinaux n'a rien à voir avec la protection de la santé publique et tout à voir avec la mise en place d'un mécanisme de surveillance, de suivi et de contrôle qui peut facilement être étendu à tous les autres domaines de la vie, contrôlant ainsi chacun de vos mouvements.
"[Les passeports de vaccination] ne sont pas du tout nécessaires", déclare Yeadon. «Ce qu'ils fournissent, cependant, c'est un contrôle complet de vos mouvements à quiconque contrôle la base de données à laquelle votre statut vaccinal est connecté. J'espère que vous comprenez cela parce que ce n'est pas facultatif.
C'est ce qui va prendre le dessus sur votre vie d'une manière dont George Orwell en 1984 n'avait même pas rêvé. Imaginez que vous avez été vacciné et que vous avez obtenu un passeport vaccinal sur une application. Ce sera la première base de données au monde contenant votre nom, un identifiant numérique unique au même format que tout le monde sur la planète sur la même base de données.
Il aura comme un drapeau modifiable lié à la santé qui indiquera [si] vous avez été vacciné. Si vous ne l'avez pas été, l'algorithme qui régit ce que vous pouvez faire… C'est ce qui va contrôler le reste de votre vie jusqu'à votre mort.
Le passeport vaccinal est un billet pour la tyrannie, ou pire
En effet, j'ai écrit plusieurs articles détaillant comment le suivi du statut vaccinal inaugurera un appareil de surveillance plus grand que tout ce que nous avons connu auparavant.
Le précédent qui se crée en ce moment est celui qui, à l'avenir, accordera aux autorités sanitaires le «droit» de nous imposer un certain nombre de médicaments expérimentaux, de vaccins et de technologies au nom de la santé publique. Si le droit de refuser une procédure médicale expérimentale n'est pas respecté maintenant, toute la population de la terre sera disponible pour l'expérimentation sans recours.
Je suis absolument terrifié à l'idée que la combinaison des passeports vaccinaux et des vaccins complémentaires conduira à un dépeuplement massif, à une exécution délibérée, potentiellement de milliards de personnes. ~ Michael Yeadon, Ph.D.
RépondreSupprimerMais ce n'est pas tout. Ce système initial de surveillance des vaccins sera finalement lié à d'autres systèmes numériques, tels que tous les autres dossiers médicaux, l'identification biométrique et un système bancaire entièrement numérique.
La mise en place d'un système de crédit social basé sur Google, similaire à celui mis en place en Chine en 2018, est également très probable. Dans un système de crédit social, des points sont attribués ou soustraits pour certains types de comportement. Lorsque votre score tombe en dessous d'un certain point, une sanction est infligée sous la forme de restrictions de voyage ou de l'impossibilité d'obtenir un prêt, par exemple.
"Ne laissez pas leur système entrer en vigueur", dit Yeadon. « Il va être utilisé pour vous contraindre. Je crois que si vous autorisez l'entrée en vigueur d'un passeport vaccinal, vous serez cinglé un jour et il vous conseillera d'aller au centre médical pour avoir votre vaccin complémentaire.
Si vous choisissez de ne pas vous faire vacciner, la validité de votre passeport expirera, ce qui signifie que vous ne pourrez pas entrer dans un magasin. Vous ne pourrez peut-être pas utiliser votre carte bancaire. Tout ce que quelqu'un doit faire, c'est établir une règle qui dit "Après une date donnée, avant qu'une carte bancaire puisse être utilisée, un passeport vaccinal doit être [validé]...
Je suis absolument terrifié à l'idée que la combinaison des passeports vaccinaux et des vaccins complémentaires conduira à un dépeuplement massif, à une exécution délibérée, potentiellement de milliards de personnes.
Vous pouvez l'arrêter une fois que vous avez entendu ce que je dis. Même si vous aimez l'idée des passeports vaccinaux, mettez la chose en place en utilisant des enregistrements écrits ou quelque chose comme ça... mais ne permettez pas qu'elle soit sur une base de données mondiale interopérable à format fixe, car ce sera la fin des libertés humaines. Et je ne vois tout simplement aucun moyen de m'en remettre.
Sources and References
RépondreSupprimer1 Planet Lockdown
2, 3 Wodarg, Wolfgang and Michael Yeadon, Petition/Motion for Administrative/Regulatory Action Regarding […], 2020
4 C-span Hotez Coronavirus Vaccine Safety Testimony May 4, 2020
5 New York Post December 19, 2020
6 The Conversation December 10, 2020
7 New York Post December 25, 2020
8 Nuremberg Code of 1947
9 Corbett Report Episode 392, The Future of Vaccines Transcript
https://www.lewrockwell.com/2023/03/joseph-mercola/are-we-being-set-up-for-mass-depopulation/
La FDA dit qu'elle était au courant d'une contamination bactérienne mortelle dans une usine de préparations pour bébés MOIS avant le rappel du produit
RépondreSupprimerJeudi 30 mars 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Environ cinq mois avant la publication d'un rappel officiel, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis était déjà bien au courant d'un problème de contamination bactérienne présumé à l'usine de production de préparations pour nourrissons de Mead Johnson à Zeeland, dans le Michigan.
L'agence l'a récemment admis, révélant que l'installation, qui fabrique la préparation pour nourrissons à base de plantes Enfamil ProSobee Simply, avait été identifiée comme contenant la bactérie Cronobacter.
Un premier lot de lait maternisé a été détruit à ce moment-là, mais 145 000 autres canettes de ce produit ont été mises sur le marché à la connaissance de la FDA. Un rappel officiel a été émis cinq mois plus tard, et aucune des canettes rappelées ne contenait de Cronobacter, selon la FDA.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis affirment que Cronobacter "peut être mortel pour les jeunes nourrissons". Les symptômes chez les bébés comprennent une mauvaise alimentation, de la fièvre, un manque d'énergie, des pleurs excessifs, des convulsions, un gonflement de la colonne vertébrale et des infections du sang.
"Dans le cadre de la surveillance de la FDA pour garantir des préparations pour nourrissons sûres et nutritives, les engagements plus récents de l'agence avec les fabricants par le biais d'inspections et de réunions en cours ont limité la portée de ces rappels et minimisé les perturbations du marché", a déclaré un porte-parole de la FDA à propos du rappel.
(En relation: Alors que les mères américaines avaient du mal à trouver du lait maternisé à peine disponible, le faux président Joe Biden envoyait le peu qu'il y avait à la frontière sud pour que les illégaux puissent l'avoir.)
Comment se fait-il que Cronobacter soit devenu un tel problème pendant la « pandémie » de coronavirus ?
Dans une déclaration ultérieure, la FDA a fait une comparaison avec le rappel plus connu d'Abbott, suggérant que celui de Johnson Mead et d'autres "ont une portée beaucoup plus étroite, n'affectant que quelques semaines de produit sans fermetures d'installations supplémentaires".
"En vertu de la loi actuelle, Mead Johnson n'était pas tenu d'alerter la FDA du test positif et de choisir [sic] de ne pas alerter la FDA du test positif", a également déclaré l'agence à Fox News.
RépondreSupprimerLa FDA a également indiqué qu'elle demandait au Congrès une plus grande autorité pour exiger que les entreprises signalent ce genre de choses à l'avenir afin d'éviter que de tels rappels ne se produisent.
"Ce n'est que lors d'une inspection indépendante de la société que la FDA a découvert le test positif et a été informée que l'analyse de la cause était en cours", a ajouté un porte-parole de la FDA dans un communiqué à Fox Digital.
"La FDA a examiné les conditions lors des récentes inspections des fabricants de préparations en poudre pour nourrissons, y compris les inspections de surveillance de routine, les inspections motivées pour suivre les plaintes des consommateurs et d'autres interactions avec les fabricants."
Comme vous vous en souvenez peut-être, 2021 a été une très mauvaise année pour la disponibilité des préparations pour nourrissons en raison de plusieurs rappels, dont un autre impliquant Cronobacter dans une usine Abbott Nutrition au Michigan. Dans ce cas, au moins quatre nourrissons sont tombés malades à cause du produit et deux seraient décédés.
La FDA a compilé et publié un rapport de 10 pages à la suite de la pénurie de préparations pour nourrissons qui s'en est suivie, expliquant qu'un lanceur d'alerte s'était plaint de problèmes dans l'établissement.
La même année, les républicains de la Chambre ont lancé une enquête sur la gestion de la pénurie par la FDA, appelant le commissaire de la FDA, Robert Califf, à fournir de plus amples détails sur la "mauvaise réponse" de l'agence à la situation.
La FDA a depuis annoncé qu'elle ne licencierait aucun de ses employés pour la mauvaise gestion du fiasco des préparations pour nourrissons. Au lieu de cela, l'agence « subira une refonte », selon Fox News, qui inclura une « nouvelle vision transformatrice », a ajouté Califf.
L'autorité de réglementation de la FDA sera consolidée dans le cadre d'un nouveau plan de sécurité alimentaire appelé "Human Foods Program". La manière dont ce nouveau programme empêchera des situations telles que le rappel de préparations pour nourrissons de se reproduire reste inconnue, car la FDA n'a pas encore produit de détails spécifiques sur le plan.
RépondreSupprimerLa FDA est corrompue jusqu'à la moelle. Pour en savoir plus, visitez FDA.news.
Les sources de cet article incluent :
FoxNews.com
NaturalNews.com
FoxNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-30-fda-knew-deadly-bacterial-contamination-baby-formula.html
Se faire vacciner contre la grippe avec le rappel COVID-19 de Pfizer augmente le RISQUE D'AVC
RépondreSupprimerJeudi 30 mars 2023
par : Zoey Sky
(Natural News) Selon les données, une personne vivant aux États-Unis subit un accident vasculaire cérébral une fois toutes les 40 secondes et quelqu'un en meurt une fois toutes les trois minutes.
Dans l'ensemble, les accidents vasculaires cérébraux coûtent aux États-Unis plus de 53 millions de dollars par an en frais de santé. Les accidents vasculaires cérébraux sont la principale cause d'invalidité à long terme et ils entraînent des limitations de la mobilité et des troubles cognitifs.
Malgré les problèmes causés par les accidents vasculaires cérébraux, Big Pharma aggrave le problème en forçant le public à se procurer des rappels bivalents contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et des vaccins contre la grippe.
Malgré les affirmations de Big Pharma et des médias grand public selon lesquelles les vaccins COVID-19 sont sûrs, de nombreux rapports ont montré qu'ils sont liés à de nombreux effets secondaires négatifs et à des décès.
Même la FDA a admis que le fait de se faire vacciner contre la grippe chaque année ou presque en même temps qu'une piqûre de rappel COVID-19 augmente le risque d'un "accident vasculaire cérébral potentiellement mortel".
L'étude officielle qui a révélé les dangers de la prise du rappel bivalent COVID-19 de Pfizer avec le vaccin annuel contre la grippe est petite, mais elle est très importante dans le contexte de la santé humaine.
En décembre 2022, la FDA a officiellement reconnu que le vaccin Pfizer COVID-19 était lié aux caillots sanguins chez les patients âgés après avoir examiné les résultats d'une étude importante sur les personnes âgées de 65 ans et plus.
En janvier 2023, la FDA et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont déclaré qu'ils examineraient de plus près les liens présumés entre les injections de rappel de coronavirus de Pfizer et les accidents vasculaires cérébraux de type ischémique chez les personnes âgées.
RépondreSupprimerSelon la déclaration officielle publiée par le CDC, l'utilisation du rappel mis à jour du coronavirus de Pfizer, lorsqu'elle est analysée dans le contexte du vax Safety Datalink, révèle qu'il existe «une raison suffisante pour une analyse supplémentaire afin de déterminer si un AVC ischémique est beaucoup plus probable survenir chez les patients âgés de 65 ans et plus après avoir reçu le rappel bivalent et le vaccin antigrippal annuel.
La déclaration du CDC a également détaillé comment les personnes âgées qui ont reçu le rappel bivalent sont plus susceptibles de subir un accident vasculaire cérébral ischémique trois semaines après l'injection. L'agence a également affirmé que les chances d'un tel accident vasculaire cérébral diminuent considérablement après la marque de trois semaines à partir du moment où le patient a reçu le rappel COVID-19 et le vaccin annuel contre la grippe. (Connexe: Étude: L'immunité naturelle offre une meilleure protection contre l'omicron que les injections COVID.)
Pfizer dément les allégations du CDC
Suite à la publication de la déclaration du CDC, Pfizer a répondu et a nié les allégations.
Un porte-parole de Pfizer a affirmé qu'il n'y avait aucune preuve établissant un lien entre les accidents vasculaires cérébraux ischémiques et l'injection de son vaccin de rappel bivalent COVID-19 au même moment ou à peu près au même moment que l'injection du vaccin annuel contre la grippe.
Mais ceux qui se consacrent à faire connaître la vérité au public ont contré le récit de Pfizer avec l'admission de la FDA selon laquelle de nombreux patients qui ont subi un accident vasculaire cérébral ont également reçu leur vaccin contre la grippe le même jour qu'ils ont reçu leur rappel bivalent COVID-19.
Avec les données du CDC et l'admission de la FDA, il y a de grandes chances que le vaccin contre la grippe le jour même ou presque le même jour que le rappel bivalent Pfizer COVID-19 puisse être un facteur contributif à l'AVC ischémique ultérieur.
Le coordinateur de la réponse COVID-19 de la Maison Blanche, le Dr Ashish Jha, a fait pression pour que les citoyens américains reçoivent à la fois le vaccin annuel contre la grippe et le rappel bivalent COVID-19, mais ne les a pas informés du moment potentiellement mortel de ces injections.
RépondreSupprimerComment réduire le risque d'AVC
Si vous êtes bien avancé depuis des années et que vous vous inquiétez de votre risque d'AVC, suivez les conseils ci-dessous pour prévenir les AVC et améliorer votre bien-être général.
Abaissez votre tension artérielle
L'hypertension artérielle est un facteur important. Lorsqu'il n'est pas contrôlé, il peut doubler ou quadrupler votre risque d'AVC.
L'hypertension artérielle est le principal facteur de risque d'AVC chez les hommes et les femmes. Surveiller la tension artérielle et la traiter si elle est élevée pourrait aider à améliorer votre santé vasculaire.
Tout d'abord, votre objectif idéal devrait être de maintenir une tension artérielle inférieure à 120/80.
Cependant, dans certains cas, il peut y avoir de bonnes raisons pour lesquelles vous et votre médecin ne souhaitez pas que vos lectures soient aussi basses. Pour certains, un objectif moins agressif, comme pas plus de 140/90, peut être plus approprié.
Abaissez votre tension artérielle en :
Assurez-vous de manger au moins quatre à cinq tasses de fruits et légumes chaque jour. Vous devriez également manger une portion de poisson deux à trois fois par semaine et plusieurs portions quotidiennes de grains entiers et de produits laitiers faibles en gras.
Limitez votre consommation de sel à pas plus de 1 500 milligrammes ou une demi-cuillère à café par jour.
Éviter les aliments riches en cholestérol comme les hamburgers et la crème glacée.
Exercice régulier. Faites au moins 30 minutes d'activité physique par jour.
Si vous fumez, arrêtez de fumer.
Perdre du poids et maintenir un poids santé
L'obésité et les nombreuses complications qui y sont liées, telles que le diabète et l'hypertension artérielle, peuvent également augmenter le risque d'AVC. Si vous êtes en surpoids, perdre seulement 10 livres peut aider à réduire votre risque d'AVC.
Il est idéal d'avoir un indice de masse corporelle (IMC) de 25 ou moins, mais cela peut ne pas être réaliste pour tout le monde. Consultez votre médecin pour créer une stratégie personnelle de perte de poids.
RépondreSupprimerVous pouvez commencer votre parcours de perte de poids en ne consommant pas plus de 1 500 à 2 000 calories par jour. Mais cela dépendra de votre niveau d'activité et de votre IMC actuel.
Vous pouvez également augmenter la quantité d'exercice que vous faites avec des activités amusantes comme la marche ou le tennis. Pour de meilleurs résultats, essayez de pratiquer quotidiennement vos activités préférées.
Faites plus d'exercice
L'exercice aide principalement à favoriser la perte de poids et à abaisser la tension artérielle, mais c'est aussi un réducteur d'AVC fiable.
Améliorez votre bien-être en faisant de l'exercice à intensité modérée au moins cinq jours par semaine. Si vous n'avez pas l'habitude de faire de l'exercice, commencez par vous promener dans votre quartier tous les matins après le petit-déjeuner.
Lorsque vous faites de l'exercice, essayez d'atteindre le niveau auquel vous respirez fort, mais vous pouvez toujours parler à quelqu'un d'autre.
Si vous allez travailler, prenez les escaliers au lieu de l'ascenseur. Si vous ne disposez pas de 30 minutes consécutives pour faire de l'exercice, divisez-le en séances de 10 à 15 minutes par jour.
Visitez Vaccines.news pour plus d'informations sur les effets secondaires indésirables des vaccins contre la grippe et le COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la façon dont les vaccins COVID-19 affectent la santé reproductive.
Cette vidéo provient de la chaîne AMPNews sur Brighteon.com.
More related stories:
RépondreSupprimerFauci still promoting COVID boosters despite clear evidence of serious adverse effects.
Colorado EXTENDS COVID-19 state of emergency, AMENDS scope to include flu, RSV and other respiratory illnesses.
Over-the-counter flu and cold medicine shortage continues across the world.
Sources include:
NaturalHealth365.com
Health.Harvard.edu
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-30-flu-vaccine-covid-booster-increase-stroke-risk.html
RAPPORT: les «vaccins» Covid ont causé des dizaines de millions de blessures et d'invalidités, 147 milliards de dollars de dommages économiques
RépondreSupprimerJeudi 30 mars 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Phinance Technologies, une société de recherche cofondée et coopérée par l'ancien gestionnaire de portefeuille de BlackRock, Ed Dowd, a découvert que les dommages économiques infligés par le déclenchement des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) dépassaient 147 milliards de dollars en 2022.
Un rapport publié par la firme estime également que 26,6 millions de personnes ont été blessées par les coups ; 1,36 million sont restés handicapés ; et 300 000 personnes ont été tuées par les coups cette même année.
Avec l'aide de leurs collègues, l'équipe de Dowd a pu répartir les coûts humains infligés par les vaccins contre la grippe Fauci en quatre grandes catégories :
1) Ceux qui n'ont ressenti aucun effet ou qui semblaient asymptomatiques
2) Ceux qui ont subi des blessures légères à modérées
3) Ceux qui ont subi une invalidité grave
4) Ceux qui sont morts des coups de feu
Toutes les données utilisées dans le rapport proviennent directement du Bureau of Labor Statistics (BLS), tandis que les chiffres de décès en excès ont été calculés à partir d'autres chiffres officiels en utilisant deux méthodologies différentes.
Une chose que l'analyse n'a pas prise en compte, ce sont les personnes qui ont commencé dans une catégorie en 2022 et se sont retrouvées dans une autre plus tard cette année-là, c'est-à-dire les personnes asymptomatiques ou peut-être légèrement blessées qui ont fini par mourir subitement.
"Nous devons nous rappeler que non seulement ces regroupements sont une tentative de caractériser différents niveaux de dommages causés par les inoculations, mais ils ne sont pas statiques et pourraient interagir les uns avec les autres", indique le rapport. "Par exemple, il pourrait y avoir des individus qui n'ont eu aucun effet visible après la vaccination, mais qui pourraient néanmoins être touchés."
"Les personnes légèrement blessées par les inoculations pourraient, avec le temps, développer des blessures graves au point d'être invalides, ou un résultat extrême tel que la mort."
(En relation: Il y a un peu plus d'un an, Dowd a déclaré à Steve Bannon que la bulle mondiale de la dette était sur le point d'éclater: "nous sommes à la fin".)
RépondreSupprimerLe véritable coût économique des piqûres de covid est probablement beaucoup plus élevé en raison des «effets multiplicateurs», déclare Dowd
En ce qui concerne les coûts économiques des injections de covid, la société de Dowd a utilisé l'excédent absolu de temps de travail perdu pour calculer le coût économique direct des blessures causées par les vaccins. Cela s'élevait à 79,5 milliards de dollars en 2022, ainsi qu'à 52,2 milliards de dollars de plus pour ceux qui ont développé des handicaps graves.
Pour calculer le nombre de décès causés par les vaccins contre la grippe Fauci, Phinance a utilisé l'augmentation annuelle moyenne absolue des décès en excès depuis 2021, lorsque les injections ont vraiment commencé à pénétrer dans les bras des gens. De 2021 à 2022, les décès excédentaires ont augmenté de 0,05 % pour les 25 à 64 ans, ce qui représente une perte de productivité de 5,6 milliards de dollars.
Pour toute l'année 2022, Phinance a estimé le «coût économique» total parmi toutes les catégories à près de 150 milliards de dollars. Vous pouvez consulter le rapport vous-même ci-dessous :
Rapport sur les coûts économiques estimés : https://t.co/wN7lKeXi5T pic.twitter.com/B3ws6BHBCe
– Edward Dowd (@DowdEdward) 28 mars 2023
Gardez à l'esprit que les données et les chiffres contenus dans le rapport Phinance sont basés uniquement sur ce qui peut être actuellement mesuré.
"Les répercussions sur les effets tels que la perte de productivité due à la présence d'un travailleur mais travaillant à, disons, 50 % à 75 % de la capacité sont manquées, ainsi que l'épuisement professionnel de ceux qui prennent le relais", a expliqué Dowd. "Les effets multiplicateurs sont énormes."
Une autre chose à garder à l'esprit est que ces chiffres ne couvrent que les États-Unis. Imaginez l'impact économique mondial du covid, et au cours de l'ensemble de la pandémie par opposition à la seule année 2022.
RépondreSupprimer"Le fait que des millions de personnes aient été confrontées à des pertes d'emploi s'ils ne recevaient pas une injection médicale EXPÉRIMENTALE vous montre comment nos "dirigeants" ont été achetés et payés par Big Pharma", a écrit quelqu'un dans les commentaires sur le génocide national qui s'est produit depuis le mandats. "Les gens doivent aller en prison."
Les dernières nouvelles sur les blessures et le nombre de morts causées par les injections de virus chinois peuvent être trouvées sur Genocide.news.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-30-covid-vaccines-injuries-disabilities-147billion-economic-damage.html
Les anticorps comme preuve de l'efficacité de la vaccination, mais les mesures privées ne sont pas souhaitables
RépondreSupprimer31 mars 2023
du Dr. Peter F. Mayer
A l'instar de Fifi Brindacier, l'industrie pharmaceutique s'approprie le monde. Parfois les anticorps sont la preuve de l'efficacité de la vaccination, parfois il ne faut pas les mesurer car ils ne prouvent rien. Dans les études, ils sont utilisés comme argument selon lequel la vaccination aide, mais vous ne devriez pas faire déterminer vous-même les anticorps.
Un article du Medical Tribune déconseille de se faire mesurer soi-même ses anticorps. Cependant, l'argument n'est pas très convaincant. Tout d'abord, on précise que la commission de vaccination ne recommande pas STIKO, un argument assez peu surprenant mais très faible.
Une autre raison invoquée est la " probabilité élevée de protection individuelle connue des études d'approbation et de nombreuses années d'utilisation" . Ensuite, la protection par détour sert d'argument : « Si l'individu n'est pas directement protégé, il bénéficie d'un risque d'exposition réduit », explique le Pr Dr. Ulrich Heininger de la Commission pour les maladies infectieuses et les questions de vaccination, Alliance pour la santé de l'enfant et de l'adolescent. » Dans le cas des maladies infectieuses, cette affirmation est généralement tout simplement absurde. La vaccination dans la partie supérieure du bras ne produit pas d'immunité stérile et c'est précisément ce " risque réduit d'exposition" pas atteignable. La série de vaccins Covid n'a pas généré d'immunité collective ni de protection contre les autres. L'obligation de vacciner et l'obligation de vacciner étaient donc à la fois juridiquement et éthiquement erronées.
En dehors de cela, d'innombrables études qui justifient l'efficacité présumée des vaccinations et ont obtenu l'approbation étaient basées uniquement sur les titres d'anticorps. Voici un exemple. Comme indiqué , une étude réalisée par des virologues d'Innsbruck a déclaré :
" Ici, nous avons analysé des échantillons de convalescents BA.1 (Omicron) avec différentes constellations d'immunité SARS-CoV-2 précédente concernant la vaccination et l'infection précédente avec une variante non-Omicron et des titres d'anticorps neutralisants contre différentes variantes SARS-CoV-2 (D614G , Alpha, Bêta, Delta, Gamma, Omicron).
RépondreSupprimerNous avons trouvé des titres d'anticorps neutralisants élevés contre toutes les variantes chez les individus vaccinés après une infection percée par BA.1 ou chez des individus infectés par une variante pré-omicron suivie d'une infection par BA.1.
L'étude médiatisée publiquement par d'autres virologues comme Isabella Eckerle était l'une des nombreuses études indésirables qui n'ont rien prouvé. Par ailleurs, un problème était commun à toutes ces études, à savoir l'absence de détermination des sous-types. Personne n'a donc été en mesure de démontrer si les anticorps produits étaient protecteurs ou nocifs si le sous-type IgG4 constituait une proportion plus élevée.
- voir graph sur site -
Aussi originale est la déclaration « De plus, la défense cellulaire joue un rôle important dans le SRAS-CoV-2. "
Cependant, c'est précisément ce qui n'a pas été examiné dans les études d'approbation. Un effet protecteur de la défense cellulaire a également toujours été contesté, car il intervient de manière très complète dans une infection naturelle, souvent sans formation d'anticorps. Ce qui, par exemple, est déformé dans le tweet d'Eckerle.
On tord laborieusement les faits pour justifier les vaccinations. La propagande vaccinale se poursuit sans relâche. Bien que les titres d'anticorps soient utilisés comme preuve d'efficacité, les personnes vaccinées ne doivent pas les faire déterminer, sinon les titres ne prouveraient rien. Double pensée orwellienne en médecine d'entreprise.
https://tkp.at/2023/03/31/antikoerper-als-beweis-wirksamkeit-der-impfung-aber-private-messung-unerwuenscht/
Une nouvelle analyse montre comment le CDC a diffusé de fausses informations qui ont exagéré la gravité de COVID-19
RépondreSupprimerPar Arjun Walia
Recherche mondiale,
31 mars 2023
Les agences de santé publique devraient être tenues à des normes élevées, mais elles s'en sortent en diffusant de fausses informations et en accusant d'autres personnes qui ont publié des informations factuelles de faire de même.
Des universitaires de l'Université de Californie à San Francisco ont publié un nouvel article intitulé "Erreurs statistiques et numériques commises par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis pendant la pandémie de COVID-19".
Le document décrit 25 cas où le CDC a signalé des erreurs statistiques ou numériques. Vingt (80 %) de ces cas, selon les chercheurs, « ont exagéré la gravité de la situation du COVID-19 ».
Ils expliquent également comment le CDC a été informé des erreurs dans 16 cas (64 %) et a ensuite corrigé les erreurs, au moins partiellement, dans 13 cas (52 %).
Comme le souligne l'article, il est assez ironique que des étiquettes "informations inexactes et trompeuses" aient été apposées sur divers articles scientifiques, des publications d'experts dans le domaine, et plus encore tout au long de la pandémie, mais les CDC eux-mêmes ont été dénoncés à plusieurs reprises pour avoir diffusé des informations erronées.
En fait, l' administration Biden a collaboré avec Big Tech pour censurer activement et mettre des étiquettes sur le contenu qu'ils savaient, certes, être du « vrai contenu » avec une armée de censeurs fédéraux.
Les chercheurs expliquent,
RépondreSupprimer«De nombreuses entités comptent sur le CDC pour obtenir des informations fiables, tout comme le grand public. Par exemple, YouTube renvoie au site Web du CDC sur toutes les vidéos traitant de COVID-19, soutenant les positions politiques du CDC. Spotify relie également certains épisodes de podcast au site Web du CDC. De nombreuses universités, établissements de santé, garderies, églises, entreprises, écoles, programmes sportifs et camps s'en remettent aux directives du CDC pour les précautions contre le COVID-19. Pour cette raison, il est impératif que le CDC évite les erreurs dans ses déclarations ou, si des erreurs sont commises, qu'elles soient rapidement corrigées. Nous avons entrepris d'identifier les erreurs numériques ou les déclarations objectivement fausses faites par le CDC.
Comme vous pouvez l'imaginer, c'était une tâche ardue. Les agences fédérales américaines ont publié une pléthore d'informations sur leurs sites Web, leurs comptes de médias sociaux, leurs publications scientifiques, leurs communiqués de presse, leurs e-mails, etc. Les auteurs ont cherché à compiler les erreurs qu'ils avaient précédemment identifiées, ou les erreurs portées à leur attention par d'autres observateurs.
Toutes les erreurs ont été présentées lors d'une réunion avec tous les auteurs présents. Les erreurs ont été discutées, examinées et acceptées uniquement si trois auteurs estimaient tous que les erreurs étaient clairement fausses. Un quatrième auteur, non impliqué dans la collecte, a déterminé en dernier ressort si les erreurs incluses étaient fausses.
Plusieurs erreurs sont liées aux données démographiques complètement inexactes de Data Tracker; certains sont liés à l'utilisation abusive d'une préimpression défectueuse pour revendiquer le COVID comme l'une des «5 principales causes de décès chez les enfants», et d'autres sont des problèmes avec les données d'hospitalisation pédiatrique, les pourcentages de variantes et d'autres problèmes.
« Ces erreurs ont été commises à plusieurs reprises et ont probablement affecté la discussion sur les politiques en cas de pandémie. Au cours des années où les erreurs se sont produites, les directives du CDC ont demandé à plusieurs reprises que des restrictions soient imposées aux enfants, y compris des fermetures d'écoles, des mandats de masque et de fortes recommandations pour les vaccinations et les rappels multiples, même parmi les enfants qui se sont remis du virus.
Bien que la tendance à exagérer les risques soit pire avec les enfants, 80 % des erreurs totales ont surestimé les risques pour la population en général. S'attendre à ce que le CDC rapporte à la fois avec précision et sans propension à induire la peur est quelque chose que nous devrions tous vouloir et n'est pas une théorie du complot de droite.
Tout au long de la pandémie, il y a eu des chiffres contradictoires en ce qui concerne les enfants. Maintenant que cette analyse est sortie, tout cela a du sens pour moi, car mes recherches ont montré des récits complètement opposés de divers pays concernant les enfants. Dans de nombreux pays, au plus fort de la pandémie, aucun enfant n'est mort.
RépondreSupprimerPar exemple, au début de la pandémie, Jonas F. Ludvigsson, pédiatre à l'hôpital universitaire d'Örebro et professeur d'épidémiologie clinique à l'Institut Karolinska, a publié des recherches montrant que sur près de 2 millions d'écoliers, aucun n'est mort du COVID malgré l'absence de confinement, l'école fermetures ou mandats de masques lors de la première vague de la pandémie.
Selon un rapport de mars 2022 publié par le Murdoch Children's Research Institute, la Finlande a montré qu'il n'y a eu aucun décès par COVID chez les jeunes tout au long de la pandémie. Seuls 26 % des enfants âgés de 5 à 11 ans et 80 % des enfants âgés de 12 à 17 ans à ce moment-là ont reçu au moins une dose d'un vaccin COVID. Les enfants de moins de 12 ans n'étaient jamais masqués et seuls 9 % des enfants âgés de 5 à 11 ans étaient complètement vaccinés.
Je me suis dit, comment cela peut-il être vrai si COVID était prétendu être extrêmement dangereux pour les enfants ici en Amérique du Nord ?
Ces types d'erreurs et de messages trompeurs des agences fédérales de réglementation de la santé ont en fait été signalés tout au long de la pandémie par des centaines d'universitaires. Il existe de nombreux exemples parmi lesquels choisir.
Par exemple, en février 2022, plusieurs chercheurs de diverses institutions universitaires du Royaume-Uni, des États-Unis et du Canada ont publié un article intitulé « Les conséquences involontaires de la politique de vaccination contre la COVID-19 : pourquoi les mandats, les passeports et les verrouillages séparés peuvent causer plus de préjudices » que Bien.
Les auteurs soulignent les messages trompeurs entourant les vaccins COVID des autorités sanitaires et des médias traditionnels. Ils passent par l'efficacité des vaccins, le risque de COVID-19, les mandats de masque, les verrouillages, la capacité des vaccins à arrêter la transmission via des études de charge virale et bien plus encore.
"La rhétorique politique s'est transformée en langage moralisateur, bouc émissaire, blâmant et condescendant en utilisant des termes péjoratifs et en promouvant activement la stigmatisation et la discrimination comme outils pour augmenter la vaccination."
RépondreSupprimerL'un des auteurs de la nouvelle analyse, Tracey Beth Hoeg, MD, PhD, avec Marty Makary, MD, MPH, professeur Johns Hopkins, chirurgien et chercheur en politique publique, a publié un article dans The Free Press en juillet 2022 expliquant comment certains Les scientifiques du CDC, de la FDA et du NIH sont gênés par le manque de science guidant la politique de vaccination contre le COVID.
« Un autre scientifique du CDC nous a dit : « Avant, j'étais fier de dire aux gens que je travaillais au CDC. Maintenant, je suis gêné. Pourquoi sont-ils gênés ? Bref, mauvaise science. La réponse la plus longue: que les chefs de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d'une importance cruciale. Que de telles décisions soient motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l'administration Biden. Et qu'ils se concentrent myope sur un virus plutôt que sur la santé globale.
Ils ont exprimé que les médecins et les scientifiques aux plus hauts niveaux du NIH, de la FDA et du CDC sont "frustrés, exaspérés et alarmés par la direction des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière".
"C'est comme un film d'horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux", leur a dit un haut responsable de la FDA. "Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire."
Comme vous pouvez le voir, la nouvelle analyse récemment publiée n'est pas une grande surprise, et il y a plus d'exemples parmi lesquels choisir tout au long de la pandémie qui ont été soulignés par d'autres universitaires.
La question suivante devient, ces erreurs étaient-elles intentionnelles ou non ? Nous ne connaîtrons peut-être jamais la réponse à cette question, mais nous savons que les scientifiques de ces agences soulèvent des inquiétudes depuis des années. Ce n'est que pendant la pandémie que plus d'experts dans le domaine et plus de profanes en ont pris conscience.
Un exemple que j'ai souvent utilisé pour illustrer ce point implique un groupe de scientifiques de haut niveau au sein du CDC se faisant appeler, CDC Scientists Preserving Integrity, Diligence and Ethics in Research , ou CDC SPIDER.
Ils ont publié une liste de plaintes éthiques dans une lettre au chef de cabinet du CDC concernant le comportement du CDC en 2016. Ils ont fourni une copie de la lettre à l'organisation de surveillance publique US Right to Know (USRTK) . Les membres du groupe ont choisi de déposer la plainte de manière anonyme par crainte de représailles.
RépondreSupprimer«Il semble que notre mission soit influencée et façonnée par des parties extérieures et des intérêts voyous… et l'intention du Congrès pour notre agence est contournée par certains de nos dirigeants. Ce qui nous préoccupe le plus, c'est que cela devient la norme et non la rare exception . Certains hauts responsables du CDC sont clairement conscients et même tolèrent ces comportements. D'autres le voient et se détournent. Certains membres du personnel sont intimidés et pressés de faire des choses qu'ils savent ne pas bien. Nous avons des représentants de toute l'agence qui sont témoins de ce comportement inacceptable. Cela se produit à tous les niveaux et dans toutes nos unités respectives. Ces pratiques douteuses et contraires à l'éthique menacent de saper notre crédibilité et notre réputation en tant que leader de confiance en matière de santé publique.
C'est dommage que les agences chargées de nous protéger fassent exactement le contraire. Il est presque impossible de compter sur eux pour obtenir des informations, des conseils et des données précis en matière de santé.
Si les médecins et les responsables de la santé publique aux États-Unis restent silencieux et n'admettent pas les erreurs du passé, des politiques néfastes persisteront ou resurgiront lors de la prochaine pandémie. Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Sans que nous définissions ce qui n'allait pas ou que nous créions un cadre éthique pour éviter les mêmes erreurs, pourquoi s'arrêteraient-ils ?
https://www.globalresearch.ca/new-analysis-shows-how-cdc-spread-false-information-that-exaggerated-severity-covid-19/5814363
Une étude montre à nouveau: les boosters rendent Covid plus difficile et favorisent le cancer
RépondreSupprimer1 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
L'OMS a désormais au moins retiré sa recommandation générale de vaccination permanente contre le Covid. Néanmoins, la vaccination doit continuer, après tout, les milliards de doses achetées doivent être éliminées. Essentiellement, seules les personnes âgées et les groupes à risque devraient recevoir un rappel. Cependant, quiconque connaît l'effet des vaccinations répétées se demande à quoi cela sert. Protection contre la maladie apparemment pas.
TKP a rapporté à plusieurs reprises ( ici , ici et ici ) des études qui ont démontré la présence d'anticorps de sous-type IgG4 après la deuxième injection d'ARNm. Avec d'autres doses, la concentration augmente. Ce sous-type d'anticorps a un certain nombre de propriétés désagréables : ils ralentissent la réaction du système immunitaire, le rendent plus tolérant aux virus, qui peuvent donc se propager sans entrave et rendre la personne infectée vraiment malade pendant longtemps.
Pour aggraver les choses, les IgG4 provoquent des maladies telles que la MPOC, le cancer, des problèmes cardiaques ou diverses maladies auto-immunes. Une étude récente l'a prouvé.
Le 27 mars 2023, une étude préimprimée de Vladimir N. Uversky et al intitulée « IgG4 Antibodies Induced by mRNA Vaccines Generate Immune Tolerance to SARS-CoV-2'spike Protein by Suppressing the Immune System » a été publiée. Les auteurs arrivent à une conclusion complètement différente du récit officiel de l'OMS, des gouvernements et de leurs experts naïfs :
« Dans l'ensemble, les preuves suggèrent que l'augmentation rapportée des niveaux d'IgG4 observée après une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm n'est pas un mécanisme de protection ; il pourrait plutôt faire partie du mécanisme de tolérance immunitaire à la protéine de pointe qui pourrait favoriser une infection et une réplication sans entrave du SRAS-CoV2 en supprimant les réponses antivirales naturelles. La suppression du système immunitaire induite par les IgG4 par des vaccinations répétées peut également provoquer des maladies auto-immunes, favoriser la croissance du cancer et induire une myocardite auto-immune chez les individus sensibles."
Dans les différentes études d'approbation, seuls les anticorps ont été mesurés globalement, mais les sous-types n'ont jamais été déterminés. Les études sont donc inutiles, scientifiquement sans valeur et ne permettent aucune déclaration sur l'efficacité et le potentiel de dommages. Néanmoins, ils sont acclamés par des virologues qui manquent apparemment des connaissances de base nécessaires.
RépondreSupprimerVoici un exemple :
Était également impliquée la virologue allemande Dorothee von Laer de la MedUni Innsbruck, qui était d'accord avec la recommandation de l'OMS sur la manière de désinhiber les médias : « Quiconque a déjà eu une maladie comme le diabète, une déficience immunitaire comme le VIH, ou qui a plus de 60 ans ans est : Une vaccination de rappel est encore très recommandée à ces personnes, déclare la virologue Dorothee von Laer "
Pourquoi les virologues et l'OMS ne s'en tiennent-ils pas à leur propre mantra de « suivre la science » ? Ne savent-ils pas ? Les auteurs précisent au point 3.1. Les leçons tirées de l'étude sur le vaccin contre le VIH indiquent que la formation d'IgG4 après plusieurs vaccinations est connue depuis longtemps :
" Dans une étude de Chung et al. ont comparé l'immunisation répétée avec des vaccins anti-VIH similaires dans un scénario d'essai de vaccin anti-VIH. La protection (31,2 %) par un vaccin (RV144) était associée par les auteurs à la production d'anticorps IgG1 et IgG3, tandis que la protection par l'autre vaccin (VAX003) était négligeable et associée à la production d'anticorps IgG4 après plusieurs vaccinations [99]. Parce que le vaccin VAX003 a augmenté les niveaux d'IgG4, qui ont historiquement été associés à une diminution de l'efficacité immunologique,..."
La nocivité des IgG4 peut même être lue sur Wikipédia et d'autres sites Web pertinents .
Encore la question : Quelle était l'intention derrière l'inclusion de la troisième dose dans la « vaccination de base » ? Et pourquoi les boosters et les « refreshers » sont-ils spécifiquement recommandés pour les populations qui grèvent l'assurance maladie et le système de retraite ?
https://tkp.at/2023/04/01/studie-zeigt-neuerlich-booster-machen-covid-schwerer-und-foerdern-krebs/
La légende du vaccin. Falsification des données et des chiffres
RépondreSupprimerPar Jean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca,
31 mars 2023
Cet article est le septième volet de dix articles.
10.3 – Falsification des données et des chiffres
Le chercheur de l’INSERM, Laurent Toubiana, nous explique encore comment avec de vrais chiffres on arrive à donner de fausses informations ! Il s’agit d’une manipulation sémantique à propos de ce qu’est un « cas » détecté par « test ». Normalement, un scientifique regarde quel est le nombre de malades réels. Pour la Covid-19, on a regardé le nombre de « cas positifs », ce qui n’est pas du tout la même chose !
Voilà pourquoi, lorsqu’un chiffre ne convenait pas à la doxa gouvernementale, on changeait tout simplement les indicateurs d’analyse pour obtenir un changement sur les chiffres ! C’est tout ce qu’on veut sauf de la science…
Il est donc important de saisir que les chiffres n’ont pas été changés directement mais les indicateurs qui avaient une incidence directe sur les chiffres. Ici, on se souvient que, en France, le Dr Salomon, dans sa litanie quotidienne des morts, énumérait des chiffres cumulés. Or, ces chiffres cumulés ne pouvaient que croître et dès lors n’avaient d’utilité que celle de fomenter la peur !
La science ne fait jamais ce genre de chose, elle utilise toujours des indicateurs fiables et stables dans la durée, et ici, l’indicateur fiable était le nombre de malades vus en médecine de ville, afin d’en calculer le taux hebdomadaire pour 100.000 habitants.
En France, le réseau Sentinelle date de 40 ans : il portait un autre nom dans ses débuts. Ce réseau officiel comptabilisait en janvier 2022, 68 malades par semaine pour 100.000 habitants. Ce chiffre démontre, sans ambiguïté, que la Covid-19 est un phénomène insignifiant.
Il est bon de savoir, parole de scientifique, que la moyenne habituelle pour les épidémies de grippe (qui ont disparu !), était de 500 à 600 malades par semaine pour 100.000 habitants.
Or, dans la semaine du 23 au 29 mars 2020, au moment du pic le plus élevé de la « pandémie », les données scientifiques réelles disent qu’il y avait en France 140 malades par semaine pour 100.000 habitants, sachant que ce chiffre n’a jamais été dépassé depuis lors, dit Laurent Toubiana à partir des données de la DREES et de Sentinelle –
Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
RépondreSupprimerA partir de là, on peut donc honnêtement se poser la question : Qu’est-ce qui a piqué les autorités, pour qu’elles aient déclenché ce délire covidiste (confinement, masques, distanciation sociale, « vaccins » non obligatoires mais obligatoires quand même, commerces fermés, réunions interdites, produits efficaces interdits à la vente, contrainte des pass successifs, couvre-feux …etc) alors qu’on a toujours été objectivement très loin des chiffres d’une grippe normale ?!
Les données scientifiques de l’ATIH, (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation) à la disposition des chercheurs, disent : quand il y avait 40 malades par semaine pour 100.000 habitants, l’hôpital en prenait 13 en charge. En janvier 2022 nous sommes autour de 17 par semaine pour 100.000 habitants. Pour 100.000 habitants, il y a un parc de 580 lits d’hospitalisation. Cela veut donc dire qu’il y a 580 lits pour 17 malades ayant besoin d’une prise en charge. Finalement, on comprend pourquoi Macron a continué de supprimer des lits !
Malgré la réalité et l’objectivité des chiffres non contestables, Martin Hirsch, le Président de l’APHP, a pourtant déprogrammé massivement des interventions dans les hôpitaux sous prétexte « pandémique » ! Pour quelle raison réelle, compte tenu de la vraie situation ?
Les données scientifiques à la disposition des chercheurs de l’INSERM disent que c’est 2% de l’activité médicale hospitalière qui ont été consacrés à la Covid-19 pendant l’année 2020, selon un rapport de l’ATIH sorti en décembre 2021. Or, ce sont ces 2% de l’activité médicale consacrée à la Covid-19 qui ont justifié le confinement et toutes les autres mesures invraisemblables de la « crise sanitaire ». Pour réaliser cette folie, les autorités se sont appuyées sur le « danger de saturation de l’hôpital » !
Que chacun se demande en lui-même : pourquoi un tel mensonge ? Quel en était l’objectif ? Comment pouvait-on craindre une « saturation de l’hôpital » tout en supprimant des lits à la pelle mécanique ?!
L’INSERM a examiné en détail les chiffres réels et l’Institut National Scientifique de la Recherche Médicale et s’est aperçu qu’au moment le plus fort de la « crise » (lorsqu’on transportait par TGV, avions, bâteaux, bus, des malades vers les hôpitaux des régions moins « saturées », tout cela comme un spectacle pour les caméras de télévisions) l’activité médicale réelle en France représentait alors un pic maximum de 5% ! Les soignants en nombre largement insuffisant et mobilisés à outrance doivent savoir qu’on s’est moqué d’eux en long, en large et en travers…
Les autorités au pouvoir ont donc volontairement baissé l’activité médicale pendant toute cette période-là, sans aucun motif sérieux !
RépondreSupprimerDes mesures avaient été prises soi-disant pour consacrer des lits aux malades potentiels de la Covid-19 qui allaient envahir les hôpitaux. Aucune évaluation n’avait été mise en place au moment des mesures prises afin de contrôler ces mesures et ainsi pouvoir éventuellement modifier leur impact négatif sur l’activité globale hospitalière. Résultat, ce fut un fiasco complet pour la France !
Les professionnels compétents comme les chercheurs de l’INSERM, prenant la parole pour dire que les analyses faites par leurs moyens scientifiques, démontraient l’inanité des mesures prises par les dirigeants, étaient aussitôt censurés, interdits de parole dans les médias. Des articles publiés par leurs soins ont été déclarés par les autorités et par les médias inféodés, « fakes news » ! Comment expliquer cela rationnellement ?
Les médias inféodés disent et répètent que 70% des hospitalisations aujourd’hui sont des « non vaccinés » ! Si l’on regarde les chiffres de la DREES nous voyons que les « non vaccinés » représentent plus ou moins 40% des hospitalisations et les « vaccinés » autour de 60% des hospitalisations.
Avant la « vaccination », il y avait en France 37% de gens hospitalisés et 8% en soins critiques. Après la « vaccination », on retrouve exactement les mêmes chiffres. Conclusion : que ce soit avant ou après, le résultat est le même ! Il faut donc admettre et dire clairement que ces « vaccins » ne servent à rien, ils sont parfaitement inutiles pour l’objectif annoncé. Ils sont probablement utiles pour un tout autre objectif, celui du profit évident monstrueux pour Big Pharma et celui qui est expliqué dans le programme du « Great Reset ». La maladie de la Covid-19, quant à elle vit son bonhomme de chemin et va devenir une simple grippe comme les autres, une maladie endémique avec laquelle il nous faudra vivre. D’ailleurs c’est en substance ce qu’avait déclaré précisément Pedro Sanchez le Chef du Gouvernement espagnol, indiquant que toutes les mesures de « l’état d’alerte sanitaire » seraient levées dès le mois de février 2022.
Il est plus que temps d’abandonner la légende selon laquelle les injections, appelées à tort vaccins, préserveraient des formes graves de la covid-19, souligne Laurent Toubiana. Cette légende est fantaisiste, elle est totalement bidon et elle est aussi faite pour bercer les naïfs et les moutons conduits à l’abattoir par des loups.
On parle de « vagues de cas » mais pas de « vagues de malades ». C’est un artefact, on a changé la valeur des mots en parlant de « cas positifs » comme s’il s’agissait de malades !
Fergusson est un épidémiologiste qui propose des modélisations mathématiques prévisionnelles sur les maladies, comme on l’a déjà dit. Or, les modèles sont faits pour comprendre des phénomènes d’épidémies, mais en aucun cas pour prendre des décisions graves en termes de santé publique, comme confiner l’intégralité d’une population, en disant « si nous ne le faisons pas il y aura 500.000 morts supplémentaires dans le pays » ! C’est une aberration gigantesque et pourtant c’est ce que Macron a osé déclarer solennellement dans un communiqué aux français !
RépondreSupprimerOn aura tout vu et tout entendu dans cet épisode désastreux de la République française !
Selon Laurent Toubiana, il est impossible actuellement de publier une étude scientifique digne de ce nom sur la Covid-19. Si le discours n’est pas celui de la doxa convenue, il est aussitôt censuré, introuvable, inaccessible. Les menaces pleuvent également sur la personne qui ose publier une étude scientifique sérieuse. Toute étude bidon qui conforte la doxa convenue est autorisée… C’est un fait relevé par le collectif des chercheurs réunis à l’initiative de Laurent Mucchielli. De même, c’est également le témoignage de plusieurs chercheurs de l’INSERM qui ont refusé de se faire « vacciner » parce que c’était leur droit, mais qui ont été malgré cela sanctionnés, suspendus, évincés par Martin Hirsch et qui se retrouvent sans travail, sans salaire, dans une situation grave de précarité…
Concernant les mesures du gouvernement, il est clair que les évaluations n’ont pas été faites, puisqu’elles devaient être assurées par ceux-là même qui avaient décidé les mesures prises ! Si celui qui prend des mesures doit aussi les évaluer, il y a de fortes chances qu’il n’ira pas critiquer son initiative…
Sur le plan scientifique, les « états d’urgence sanitaire » sont des aberrations injustifiées parce qu’ils ne sont pas évalués.
Enfin, pour achever ce chapitre, saviez-vous que les scientifiques suspendus, comme le personnel soignant suspendu, n’ont pas le droit de chercher un travail quel qu’il soit ; ils n’ont même pas le droit de se présenter aux « Resto du Cœur », sans un pass vaccinal ?! Saviez-vous que la milice du gouvernement vichyste du dictateur Macron convoque les « suspendus » afin de vérifier leurs comptes en banque pour s’assurer qu’ils n’ont effectivement aucune source de revenus leur permettant de survivre ?! Le saviez-vous ? Saviez-vous à quel point ces ordures au pouvoir ont poussé la criminalité en toute impunité ? D’où vient ce fanatisme criminel ?
10.4 – La peur et le néo-obscurantisme
RépondreSupprimerPourquoi les autorités se sont-elles amusées à faire peur aux gens ? Pourquoi persister dans l’irrationnel ? Où voulaient-elles en venir ?
Pourquoi un tel mensonge délirant dès le début de cette fausse pandémie car les chiffres sont là et ils sont têtus, même si la mise en scène des chinois était particulièrement efficace pour flanquer la trouille au reste du monde !?
Une personne rationnelle pense naturellement qu’on ne peut pas se baser sur un cas particulier pour imposer au monde entier des mesures disproportionnées et catastrophiques dans leurs effets destructeurs qui sont rapidement devenus pires que le mal qu’elles prétendaient combattre au point de départ.
On nous serinait alors avec un culot inouï, qu’il fallait peser l’enjeu, le fameux « Primum non nocere », d’abord ne pas nuire !
On sait aujourd’hui qu’il y a des pays comme la Suède qui n’ont absolument pas joué ce jeu pervers et qui n’ont pas eu à déplorer le désastre qui a sévi dans ceux qui se sont livrés à ce délire covidiste.
La peur n’est jamais bonne conseillère dit-on, mais dans ce cas, elle a été pire qu’une mauvaise conseillère, elle a permis le désastre en règle de tout ce qui est humain pour le remplacer sans doute par ce qui est annoncé comme le transhumanisme à venir, dans le programme du FEM de Davos.
Aujourd’hui, le crime ne s’est pas limité à provoquer le désastre et la mort de bien des personnes innocentes, il est allé encore plus loin en déclarant que ceux qui ont respecté leur liberté de ne pas se faire injecter des produits expérimentaux, encore insuffisamment testés et connus, peuvent infecter et faire mourir ceux qui se sont faits injecter ces produits ! Là on est en plein irrationnel, dans un néo-obscurantisme : on s’est retrouvé dans les mêmes genres d’accusations, faites contre les Juifs, au moment de la peste qui sévissait en Europe en 1348. C’est le n’importe quoi, du moment qu’on saccage et qu’on détruise l’unité du peuple.
Ceux qui disent que les « non vaccinés » vont infecter les « vaccinés » et les mettre en danger, souligne le chercheur Laurent Toubiana, prouvent qu’ils n’ont aucune connaissance en épidémiologie et que tout cela est dramatiquement peu sérieux ! Chacun d’entre nous a entendu les hurlements de la meute des « idiots utiles » faite de médecins connus, de certains artistes, de quelques acteurs de cinéma, de chanteurs, de personnalités publiques occupant le paysage audio-visuel, de journalistes des médias inféodés… Tous ces gens-là ne peuvent que susciter notre sidération et notre pitié ou notre indifférence !
Tous ceux qui tiennent ce discours culpabilisateur et accusateur sont gravement irresponsables, d’authentiques criminels ou des inconscients dont l’inconscience prépare d’autres catastrophes prochaines à venir…
La déclaration de Macron voulant désormais consacrer sa présidence à « emmerder » les français qui refusent de se soumettre à sa tyrannie covidiste, en faisant simplement valoir leur droit à ne pas se faire injecter ces produits en phase de test jusqu’en 2023, est parfaitement sidérante et stupide. Déjà la manipulation sémantique devient insupportable lorsque cet homme, qui aurait pu être le président de tous les français s’il avait été légitime à l’Elysée, affirme sans scrupules que ces français récalcitrants sont des « anti vaxx ». Ceux qui refusent les injections de produits à ARNm en phase de test, ne sont pas forcément des opposants aux vaccins, ce sont simplement des gens qui veulent donner leur « consentement libre et éclairé ». Il faut reconnaître que pour le moment un consentement n’est ni libre ni éclairé puisque les laboratoires ont refusé de fournir les études scientifiques sur le contenu des injections anti-covid, comme le rappelait le Monsieur Vaccin français successeur du Dr Salomon, dans son discours d’entrée en fonctions.
RépondreSupprimerRappelons également que les députés européens n’ont pas été autorisés à prendre connaissance, dans le détail, des contrats signés avec les laboratoires pharmaceutiques engageant pourtant des milliards d’euros d’argent public. Pourquoi donc ?
Ceux qui disent la vérité sont aussitôt menacés du Goulag. Ceux qui alimentent le mensonge de la narration covidiste au nom de « l’objectivité scientifique » sont décorés de la Légion d’Honneur !
Qu’on le sache bien : aucun scientifique n’est actuellement autorisé à publier des informations réellement scientifiques sur les questions qui gravitent autour de la Covid-19. Les Etats collaborateurs et gardiens attitrés de la précieuse « fenêtre d’opportunité », qu’est la fausse pandémie, veillent à l’extermination de tout chercheur qui oserait faire voir la vérité scientifique tournant autour de la fumisterie mondialiste sur le corona-circus.
Tout cela nous indique clairement qu’on est loin des motifs sanitaires annoncés et que le véritable motif est soigneusement occulté, jusqu’à ce que le nombre des injectés soit suffisamment élevé.
Pourquoi vouloir « emmerder » ses concitoyens au motif que ceux-ci refusent de se soumettre à une injection dont on ne sait rien et, de surcroît, à une campagne mensongère, manipulatrice qui s’acharne contre un droit sacré et inaliénable, celui de la liberté vaccinale qui protège le corps des individus considérés par la loi comme inviolable. Si vous regardez de près tous les chiffres officiels du Gouvernement français, vous allez découvrir que c’est 46% des français qui ne sont pas « vaccinés », sans compter ceux qui ont refusé la troisième dose et qui sont venus grossir les rangs des non « vaccinés », ainsi que tous ceux qui ont allègrement pratiqué le faux « pass sanitaire » puis « vaccinal »… Dans l’état actuel du programme de vaccination, c’est 90% des Français qui sont devenus « antivax » !
10.5 – Le contenu des injections à ARNm et les effets secondaires
Nous savons aujourd’hui, grâce notamment à des chercheurs espagnols, japonais, Argentins, américains, que des lots d’injections à ARNm ont révélé la présence d’oxyde de graphène.
Les démonstrations scientifiques ont été publiées, vérifiées et confirmées selon les règles convenues par les éditions scientifiques. Nous avons donné dans des articles publiés sur mondialisation.ca les références de ces publications.
Ces confirmations ont aussitôt été niées par les autorités qui se sont contentées d’accuser comme d’habitude de « fakes news » ou de « complotisme », ces études scientifiques misérablement décrédibilisées, sans l’apport d’aucune argumentation contradictoire documentée !
Une simple évaluation sur les injections démontre qu’elles ne fonctionnent pas pour le motif imploré (anti-covid-19), puisque les produits injectés ne protègent pas des infections et ne protègent pas du risque d’infecter les autres.
Mais il y a pire encore : toutes les agences de pharmacovigilance occidentales et l’ANSM elle-même en France ont relevé un très grand nombre de manifestations d’effets secondaires gravissimes :
RépondreSupprimerDouble pneumonie surtout par inhalation.
Effondrement du système immunitaire naturel, inné et acquis.
Goût métallique dans la bouche.
Inflammations multiples.
Inflammations des muqueuses.
Milliers de mini caillots circulant dans le sang.
Mouvements incontrôlables.
Myocardites et péricardites possiblement irréversibles.
Perte de l’odorat et du goût.
Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entraîner :
Aphasie,
AVC,
Cécité d’un œil ou des deux,
Embolie cardiaque,
Embolie pulmonaire,
Paralysies,
Surdité d’une oreille ou des deux…
https://www.lefigaro.fr/sciences/pfizergate-le-vaccin-anti-covid-du-laboratoire-americain-est-il-au-coeur-d-un-scandale-sanitaire-20211105
Pourtant, malgré ces observations objectives, Macron veut « emmerder » ceux qui refusent de se faire injecter ces produits présentant un tel danger ! « Primum non nocere »
Il est désormais possible de se rendre compte que l’objectif recherché est bel et bien celui expliqué dans l’idéologie néo-féodaliste du « Great Reset » de Klaus Schwab fondateur du Forum Economique Mondial de Davos qui vente la nouvelle ère du transhumanisme. Je renvoie le lecteur à l’analyse qui a été faite sur le contenu de la publication du « Great Reset », dans l’article de mondialisation.ca du 3 janvier 2022.
Si l’industrie pharmaceutique française a été tellement absente de cette histoire de « vaccins », c’est précisément parce qu’il ne s’agissait même pas de vaccins. S’il avait été vraiment question de vaccins anti-covid-19, l’industrie pharmaceutique française avec l’Institut Pasteur, auraient tous les deux, été présents dans la bataille.
Dans cette affaire du covidisme, la communauté scientifique internationale a été maltraitée et humiliée, car elle a perdu pour longtemps sa crédibilité gravement mise à mal par une classe de responsables assoiffée d’argent et de pouvoir…
10.6 – Vaccins et explosion des cancers
Laurence Secchi – Santé Corps Esprit, écrivait le 9 septembre 2022 :
« Dr Ute Krueger, une médecin suédoise (1), est catastrophée, car ce qu’elle découvre depuis 2021 est vraiment très inquiétant. »
Depuis plus de 25 ans, cette anatomopathologiste (2) analyse des échantillons de tissus pour identifier des tumeurs de cancers du sein. (3)
Mais depuis plusieurs mois, elle constate des changements étranges :
Les tumeurs concernent des personnes de plus en plus jeunes, entre 30 et 50 ans ; Elles sont plus agressives (4) ; elle évoque le cas d’un homme de 30 ans qui avait reçu 2 doses de vaccin et qui déclenche un syndrome de Guillain Barré (5) – un effet secondaire grave directement lié à la vaccination.
Cas après cas, elle constate un nombre affolant de myocardites, de vascularites, d’hémorragies sur des personnes décédées et vaccinées.
Pourtant, ses confrères n’avaient pas établi de lien entre le décès et la vaccination.
Comment expliquer ce décalage ?
Elle y voit au moins 2 raisons :
Les dossiers des patients semblent mal remplis : pour certains, il n’est pas indiqué que le patient avait été vacciné, alors qu’il l’était !
Les autopsies sont souvent « bâclées », car superficielles : contrairement à ses collègues, elle a cherché la fameuse protéine Spike, responsable d’une inflammation, notamment au niveau du cœur.
C’en est trop ! Elle décidait alors d’alerter ses confrères. Elle contacte la Food and drugs administration (FDA), le gendarme des produits de santé, qui ignore purement et simplement sa demande, car il s’agit d’une trahison effective, volontaire, mais ignorée par les médecins de terrain.
Elle en parle lors d’un congrès médical en Allemagne… Mais elle reçoit peu de retours. La mort dans l’âme, se sentant bien isolée, elle ne peut que déplorer :
RépondreSupprimer« J’ai étudié la médecine parce que je voulais aider les gens. Maintenant, j’ai l’impression de regarder des gens se faire tuer et de ne rien pouvoir faire. »
Pourtant, elle est loin d’être la seule à avoir fait ce constat inquiétant !
Dès le mois de juillet, dans la revue Santé Libre, la pédiatre Nicole Delépine, spécialiste des cancers, tirait, elle aussi la sonnette d’alarme en demandant : avec l’ARN messager, faut-il craindre une épidémie de cancers ? Chaque semaine, elle recevait des mails de parents affolés, comme celui-ci :
« Docteur Delépine, mon fils de 11 ans est atteint d’ostéosarcome. En juin, il est déclaré en rémission complète, mais en septembre, il présente des métastases pulmonaires bilatérales en lâcher de ballon… puis en janvier des métastases cérébrales et on me dit qu’il est fichu… Il a été « vacciné » en juillet. Cela a-t-il un rapport ? »
Cancérologue depuis plus de 40 ans, elle sait pertinemment qu’un cancer est toujours multifactoriel.
Mais aussi que des récidives aussi violentes et rapides, ou des apparitions de tumeurs aussi agressives, ce n’est pas normal, surtout après une vaccination.
Minutieusement, elle enquête aussi, recoupe les témoignages et épluche les dossiers de patients. Ses 3 conclusions, publiées dans Santé Libre, sont éloquents :
Des cancers apparaissent rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et sont très évolutifs chez des personnes jusque-là indemnes de pathologies carcinologiques connues.
Certains cancers reprennent et évoluent chez des patients en rémission complète depuis plusieurs mois ou années. Le plus souvent, ils résistent aux traitements antérieurement efficaces ; Certains cancers évoluent très rapidement, « explosent » et deviennent « incontrôlables ». Il a suffi de quelques recherches pour conforter son hypothèse : la vaccination affaiblissait le système immunitaire. On retrouve encore le même constat que celui qui avait été fait dès l’origine de l’aventure des vaccins.
Plus précisément, les vaccins anti-Covid bloqueraient une protéine déterminante dans la lutte contre les tumeurs.
Pour faire simple, cette protéine anti-oncogène, la P53 (6), sert à éviter que des cellules endommagées ne se transforment en cellules cancéreuses. Soit elle les répare, soit les cellules se suicident (par apoptose).
Or, la fameuse protéine Spike vaccinale, pourrait se lier à cette protéine et l’empêcher de faire correctement son travail de « suppresseur de tumeurs ».
Ce phénomène n’est pas nouveau : la scientifique américaine Theresa Parks l’avait elle aussi déjà identifié dès août 2021, nous explique le Dr Delépine dans son article remarquable.
Enfin, un autre anatomopathologiste (comme la Dr Krueger), le Dr Ryan Cole, avait même témoigné devant le Sénat américain en janvier 2022 et livré les mêmes tristes informations. (7)
A suivre …
Jean-Yves Jézéquel
*
RépondreSupprimerSources
1. Ancienne chef du service de pathologie à Växjö (Suède), elle exerce actuellement à l’hôpital de Kalmar. Elle est experte des cancers du sein et travaille en lien avec le département d’oncologie de l’université de Lund en Suède.
2. L’anatomopathologiste a pour rôle d’analyser les prélèvements biologiques d’un patient : cellules, tissus et organes.
3. Même le directeur de l’OMS en Europe, Dr Hans Kluge, l’avait déploré début 2022 : “La façon dont la pandémie retarde les soins aux personnes atteintes de cancer et crée des retards accumulés dans les services de santé, est une interaction mortelle.” https://unric.org/fr/la-covid-19-a-un-impact-catastrophique-sur-le-cancer/
4. Elle a raconté cela fin juillet 2022, à l’organisation Doctors For Covids Ethics: https://rumble.com/v1do1rb-covid-vaccination-and-turbo-cancer-pathological-evidence-with-english-subti.html (sous-titré en anglais)
5. https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/guillain-barr%C3%A9-syndrome
6. http://acces.enslyon.fr/acces/thematiques/evolution/logiciels/anagene/programmes-de-1ere-s-2011/variabilite-genetique-et-sante/perturbation-du-genome-et-cancerisation/genes-suppresseurs-de-tumeurs/le-gene-p53/le-gene-p53-un-proto-oncogene- ou-un-gene-suppresseur-de-tumeur
7. https://www.ronjohnson.senate.gov/2022/1/video-release-sen-ron-johnson-covid-19-a-second-opinion-panel-garners-over- 800-000-views-in-24-hours
https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin-falsification-des-donnees-et-des-chiffres/5676538