- ENTREE de SECOURS -



jeudi 30 mars 2023

L’école d’intelligence artificielle : un tremplin vers l’avenir numérique

Les écoles d’intelligence artificielle (IA) se multiplient, offrant des opportunités de carrière et une expertise de pointe dans le domaine. Découvrez pourquoi il est crucial de se former dans ce secteur en pleine expansion.


Par Jean-Baptiste Giraud

 le 30 mars 2023 à 16h43


Répondre à une demande croissante d'experts en IA

L'intelligence artificielle est un domaine en pleine expansion qui connaît une demande croissante de professionnels qualifiés. Cette technologie révolutionnaire transforme de nombreux secteurs, tels que l'industrie, la santé, l'éducation et les transports. Les entreprises recherchent des experts en IA pour concevoir et développer des solutions innovantes, automatiser les processus et optimiser les systèmes existants. Les écoles d'intelligence artificielle ont été créées pour répondre à cette demande, formant des professionnels compétents qui peuvent combler les lacunes du marché du travail.

Les écoles d'intelligence artificielle proposent des programmes d'études spécialisés, permettant aux étudiants d'acquérir des compétences en programmation, en traitement de données, en apprentissage automatique et en réseaux de neurones. Les étudiants peuvent également se familiariser avec les enjeux éthiques et les questions de responsabilité liées à l'utilisation de l'IA. En suivant une formation dans une école d'intelligence artificielle, les étudiants ont accès à un réseau d'experts et de professionnels du secteur, facilitant ainsi leur insertion professionnelle et leur développement de carrière.

L'importance de la formation en intelligence artificielle pour l'innovation et la compétitivité

Les écoles d'intelligence artificielle jouent un rôle crucial dans le développement de l'innovation et la compétitivité des entreprises. En formant des experts capables de concevoir et de mettre en œuvre des solutions basées sur l'IA, ces établissements contribuent à renforcer la position des entreprises sur le marché. Les compétences acquises permettent aux diplômés d'apporter une valeur ajoutée à leur employeur, en résolvant des problèmes complexes et en développant de nouvelles opportunités d'affaires.

La formation en intelligence artificielle est également essentielle pour assurer une utilisation éthique et responsable de cette technologie. Ces écoles sensibilisent les étudiants aux implications morales et sociales liées au déploiement de l'intelligence artificielle, les préparant à prendre des décisions éclairées et respectueuses des valeurs humaines. En outre, les écoles d'intelligence artificielle encouragent la collaboration entre les disciplines, favorisant ainsi l'émergence d'approches innovantes et interdisciplinaires pour résoudre les défis du monde moderne.

Outre les compétences techniques, les écoles d'intelligence artificielle mettent l'accent sur le développement de compétences en communication, en gestion de projet et en travail d'équipe. Ces compétences transversales sont essentielles pour les professionnels de l'IA, qui doivent souvent collaborer avec des experts d'autres domaines et expliquer des concepts complexes à des non-spécialistes. En maîtrisant ces compétences complémentaires, les diplômés des écoles d'intelligence artificielle sont mieux préparés à s'intégrer dans des environnements professionnels diversifiés et à contribuer efficacement au succès de leurs organisations.

https://www.economiematin.fr/ecole-ia-intelligence-artificielle-tremplin-avenir-numerique

58 commentaires:

  1. L''Intelligence artificielle ne fait rien d'autre que de copier les données rentrées ! Âh bêh merde alors !!

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  2. L’appel des experts de la tech à la mise en pause de l’IA

    Plusieurs milliers d’experts de la tech mondiale, Elon Musk et Steve Wozniak, cofondateur d’Elon Musk en tête, ont appelé à une mise en pause des recherches en matière d’IA, après la sortie de ChatGPT 4.0. Nous reproduisons ici la version traduite depuis la source originale en anglais, à l’aide de… ChatGPT 4.0.


    Par Rédaction
    le 30 mars 2023 à 16h28



    Microsoft a investi 10 milliards de dollars dans ChatGPT

    Nous appelons tous les laboratoires d'IA à mettre immédiatement en pause, pour au moins 6 mois, la formation de systèmes d'IA plus puissants que GPT-4.

    Les systèmes d'IA dotés d'une intelligence compétitive humaine peuvent présenter des risques profonds pour la société et l'humanité, comme le montrent de nombreuses recherches et reconnu par les principaux laboratoires d'IA. Comme indiqué dans les Principes d'IA d'Asilomar largement approuvés, l'IA avancée pourrait représenter un changement profond dans l'histoire de la vie sur Terre et devrait être planifiée et gérée avec un soin et des ressources proportionnés.

    Malheureusement, ce niveau de planification et de gestion ne se produit pas, même si ces derniers mois, les laboratoires d'IA se sont lancés dans une course incontrôlable pour développer et déployer des esprits numériques toujours plus puissants que personne - pas même leurs créateurs - ne peut comprendre, prédire ou contrôler de manière fiable. Les systèmes d'IA contemporains sont désormais compétitifs avec les humains pour des tâches générales et nous devons nous demander : devons-nous laisser les machines inonder nos canaux d'information de propagande et de mensonges ? Devons-nous automatiser tous les emplois, y compris ceux qui sont épanouissants ? Devons-nous développer des esprits non humains qui pourraient éventuellement nous surpasser, nous rendre obsolètes et nous remplacer ? Devons-nous risquer de perdre le contrôle de notre civilisation ?

    De telles décisions ne doivent pas être déléguées à des dirigeants technologiques non élus. Les systèmes d'IA puissants ne devraient être développés que lorsque nous sommes convaincus que leurs effets seront positifs et que leurs risques seront gérables. Cette confiance doit être bien justifiée et augmenter avec l'ampleur des effets potentiels d'un système. La récente déclaration d'OpenAI concernant l'intelligence artificielle générale stipule qu'"à un certain moment, il peut être important d'obtenir un examen indépendant avant de commencer à former de futurs systèmes et pour les efforts les plus avancés de convenir de limiter le taux de croissance du calcul utilisé pour créer de nouveaux modèles". Nous sommes d'accord. Ce moment est maintenant. C'est pourquoi nous appelons tous les laboratoires d'IA à mettre immédiatement en pause, pour au moins 6 mois, la formation de systèmes d'IA plus puissants que GPT-4. Cette pause doit être publique et vérifiable, et inclure tous les acteurs clés. Si une telle pause ne peut être mise en place rapidement, les gouvernements devraient intervenir et instaurer un moratoire. Les laboratoires d'IA et les experts indépendants devraient profiter de cette pause pour élaborer et mettre en œuvre conjointement un ensemble de protocoles de sécurité partagés pour la conception et le développement d'IA avancée, qui doivent être rigoureusement audités et supervisés par des experts indépendants externes. Ces protocoles devraient garantir que les systèmes qui y adhèrent sont sûrs au-delà de tout doute raisonnable. Cela ne signifie pas une pause dans le développement de l'IA en général, mais simplement un recul face à la course dangereuse vers des modèles de boîte noire toujours plus imposants et imprévisibles, dotés de capacités émergentes.

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  3. La recherche et le développement en IA devraient être recentrés sur l'amélioration de la précision, de la sécurité, de l'interprétabilité, de la transparence, de la robustesse, de l'alignement, de la confiance et de la loyauté des systèmes puissants et à la pointe de la technologie d'aujourd'hui.

    En parallèle, les développeurs d'IA doivent travailler avec les décideurs politiques pour accélérer considérablement le développement de systèmes de gouvernance solides en matière d'IA. Ceux-ci devraient inclure, au minimum : de nouvelles autorités réglementaires compétentes dédiées à l'IA ; la supervision et le suivi des systèmes d'IA hautement performants et des grandes capacités de calcul ; des systèmes de provenance et de marquage pour distinguer le réel du synthétique et suivre les fuites de modèles ; un écosystème solide d'audit et de certification ; la responsabilité en cas de préjudice causé par l'IA ; un financement public solide pour la recherche sur la sécurité technique de l'IA ; et des institutions bien dotées pour faire face aux perturbations économiques et politiques (en particulier pour la démocratie) que l'IA provoquera.

    L'humanité peut profiter d'un avenir florissant avec l'IA. Ayant réussi à créer des systèmes d'IA puissants, nous pouvons maintenant profiter d'un "été de l'IA" dans lequel nous récoltons les récompenses, concevons ces systèmes pour le bénéfice évident de tous et donnons à la société une chance de s'adapter. La société a déjà mis en pause d'autres technologies ayant des effets potentiellement catastrophiques sur la société. Nous pouvons le faire ici aussi. Profitons d'un long été de l'IA, plutôt que de nous précipiter sans préparation vers un automne.

    Article initialement pûblié sur Future of Life

    [1] Bender, E. M., Gebru, T., McMillan-Major, A., & Shmitchell, S. (2021, March). On the Dangers of Stochastic Parrots: Can Language Models Be Too Big?🦜. In Proceedings of the 2021 ACM conference on fairness, accountability, and transparency (pp. 610-623).

    Bostrom, N. (2016). Superintelligence. Oxford University Press.

    Bucknall, B. S., & Dori-Hacohen, S. (2022, July). Current and near-term AI as a potential existential risk factor. In Proceedings of the 2022 AAAI/ACM Conference on AI, Ethics, and Society (pp. 119-129).

    Carlsmith, J. (2022). Is Power-Seeking AI an Existential Risk?. arXiv preprint arXiv:2206.13353.

    Christian, B. (2020). The Alignment Problem: Machine Learning and human values. Norton & Company.

    Cohen, M. et al. (2022). Advanced Artificial Agents Intervene in the Provision of Reward. AI Magazine, 43(3) (pp. 282-293).

    Eloundou, T., et al. (2023). GPTs are GPTs: An Early Look at the Labor Market Impact Potential of Large Language Models.

    Hendrycks, D., & Mazeika, M. (2022). X-risk Analysis for AI Research. arXiv preprint arXiv:2206.05862.

    Ngo, R. (2022). The alignment problem from a deep learning perspective. arXiv preprint arXiv:2209.00626.

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  4. Russell, S. (2019). Human Compatible: Artificial Intelligence and the Problem of Control. Viking.

    Tegmark, M. (2017). Life 3.0: Being Human in the Age of Artificial Intelligence. Knopf.

    Weidinger, L. et al (2021). Ethical and social risks of harm from language models. arXiv preprint arXiv:2112.04359.

    [2] Ordonez, V. et al. (2023, March 16). OpenAI CEO Sam Altman says AI will reshape society, acknowledges risks: 'A little bit scared of this'. ABC News.

    Perrigo, B. (2023, January 12). DeepMind CEO Demis Hassabis Urges Caution on AI. Time.

    [3] Bubeck, S. et al. (2023). Sparks of Artificial General Intelligence: Early experiments with GPT-4. arXiv:2303.12712.

    OpenAI (2023). GPT-4 Technical Report. arXiv:2303.08774.

    [4] Ample legal precedent exists – for example, the widely adopted OECD AI Principles require that AI systems "function appropriately and do not pose unreasonable safety risk".

    [5] Examples include human cloning, human germline modification, gain-of-function research, and eugenics.

    https://www.economiematin.fr/appel-experts-intelligence-artificielle-pause-redaction-futureoflife

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    1. L''I.A.' (inintelligence artificelle) n'a pas de tête !! Çà alors !! HAHAHA !

      Tous les programmes à-la-con ne sont construits que... par des cons ! Çà alors !!

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  5. Augmentation des urgences en vol dues à des problèmes cardiaques chez les pilotes


    29 mars 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Un Boeing 737-800 de la compagnie aérienne roumaine TAROM, effectuant le vol RO-7673 de Timisoara (Roumanie) à Hurghada (Egypte) avec 184 passagers à bord, se trouvait au FL370 (environ 11 280 m) dans l'espace aérien bulgare lorsque le premier officier a signalé que le commandant de bord était devenu incapable de piloter et que l'avion devait faire demi-tour et être détournée vers Bucarest. L'avion a atterri en toute sécurité à l'aéroport de Bucarest environ 80 minutes après le départ.

    L'avion est resté au sol pendant environ 90 minutes puis a redécollé. La compagnie aérienne a déclaré qu'une "urgence médicale vécue par un membre de l'équipage de tête" a incité l'équipage à être détourné vers Bucarest.

    Selon les médias bulgares, le capitaine (30 ans) s'est plaint de douleurs à la poitrine et d'une accélération du rythme cardiaque, puis est tombé inconscient. Le capitaine est en voie de guérison.

    Le 27 mars 2023, l'autorité roumaine AIAS a annoncé : « Le 25.03.2023, vers 17h21 heure locale, AIAS a été informée d'un incident d'aviation civile à l'aéroport Henri Coandă, Otopeni, impliquant l'avion Boeing B738, immatriculé YR-BGK , qui a effectué un atterrissage d'urgence. Il n'y a pas de victimes. L'incident fait l'objet d'une enquête par l'AIAS."

    Déjà le 7ème incident pilote en mars 2023
    Voici une liste d'incidents selon le Dr. William Makis MD :

    25 mars 2023 - Le vol TAROM RO-7673 TSR-HRG est détourné vers Bucarest alors que le pilote de 30 ans a ressenti des douleurs à la poitrine puis s'est effondré
    22 mars 2023 - Le vol Southwest WN6013 LAS-CMH est détourné en raison de l'effondrement du pilote peu de temps après le décollage et a été remplacé par un pilote non sud-ouest
    18 mars 2023 – Vol Air Transat TS739 FDF-YUL, premier officier en incapacité à environ 200 NM au sud de Montréal
    13 mars 2023 - Le vol Emirates EK205 MXP-JFK est détourné une heure et demie après le décollage en raison d'une maladie du pilote
    11 mars 2023 - Le vol United Airlines UA2007 GUA-ORD est dérouté car le pilote est malade et souffre de douleurs à la poitrine
    11 mars 2023 ? - Un pilote de British Airways (CAI-LHR) s'effondre dans un hôtel du Caire et décède. L'Airbus A321 devait voler du Caire à Londres
    3 mars 2023 - Le vol Virgin Australia VA-717 ADL-PER d'Adélaïde à Perth a été contraint d'effectuer un atterrissage d'urgence après que le copilote a subi une crise cardiaque 30 minutes après le décollage.

    Réduction des exigences de santé cardiaque pour les pilotes

    La Federal Aviation Administration (FAA) des États-Unis avait déjà eu des ennuis à cause de l'approbation particulière du 737 Max de Boeing. L'inspection avait été en grande partie sous-traitée au producteur. Mais une mesure assez particulière a également été prise dans le cas des personnes vaccinées. Afin de prévenir les problèmes et de pouvoir maintenir les opérations aériennes, les limites auxquelles la navigabilité peut encore être certifiée ont simplement été élargies, comme indiqué ici .

    Le Defender rend également compte de l'impact des vaccins COVID-19 et des réglementations de vaccination sur la sécurité des compagnies aériennes américaines dans une série en deux parties.

    La Federal Aviation Administration (FAA) a délivré un certificat médical de première classe à un pilote ayant des antécédents de "possible" myocardite liée au vaccin, selon une lettre anonyme d'un pilote .

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  6. Cette lettre a été publiée au milieu de récentes révélations selon lesquelles la FAA accorde la priorité à la sécurité des pilotes, des passagers et du public pour les maintenir en l'air.

    Les données de la FAA montrent que les détournements de vols médicaux ont augmenté en 2021 et 2022 par rapport à 2019 et avant.

    D'autres documents montrent qu'en 2021, la FAA a émis une forte recommandation écrite pour que les pilotes reçoivent les vaccins COVID-19 délivrés dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), malgré les propres réglementations de l'agence obligeant les pilotes à prendre des médicaments ou à interdire les thérapeutiques qui ont été sur le marché pendant 12 mois ou moins.

    Les conséquences sont évidemment de plus en plus perceptibles.

    https://tkp.at/2023/03/29/haeufung-von-flug-notfaellen-wegen-herzproblemen-bei-piloten/

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  7. Le Kenya procède à des essais de vaccins contre la tuberculose et s'efforce de réduire la durée du traitement à quatre mois


    29 Mars 2023
    Godfrey Ombogo*


    Le Kenya s'oriente vers un raccourcissement de la période de traitement de la tuberculose (TB) à quatre mois, a déclaré l'Institut de Recherche Médicale du Kenya (KEMRI) à l'occasion de la Journée Mondiale de la Tuberculose.

    Dans un communiqué publié le 24 mars, le KEMRI a déclaré qu'il espérait soutenir le programme national de contrôle de la tuberculose dans le déploiement du nouveau régime de traitement.

    « Alors que des recherches antérieures menées au KEMRI ont permis de réduire la durée du traitement de 18 à six mois, les recherches actuelles sur la tuberculose exploitent la technologie en matière de diagnostic, de médicaments cliniques et de vaccins thérapeutiques pour trouver des solutions meilleures et durables à la tuberculose », a déclaré l'institut, ajoutant que le Kenya s'apprête à raccourcir encore cette période de traitement à quatre mois.

    Les chercheurs suivent également les progrès d'un autre essai clinique de vaccin de phase III pour les adolescents et les adultes.

    Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la tuberculose est la deuxième maladie infectieuse la plus répandue après la Covid-19, avec 1,6 million de décès en 2021, et l'on s'inquiète de plus en plus de l'augmentation du nombre de cas.

    Le thème de la Journée mondiale de la tuberculose de cette année est « Oui ! Nous pouvons mettre fin à la tuberculose ! »

    Pour y parvenir, le KEMRI a indiqué que, par l'intermédiaire de son Centre de Recherche sur les Maladies Respiratoires (CRDR), il a redoublé d'efforts dans les essais cliniques de deux vaccins prometteurs contre la tuberculose, destinés aux adultes et aux enfants.

    Le premier est un essai de phase III de vaccins recombinants BCG pour les nourrissons dans les comtés de Nairobi et de Siaya, où au moins 1.500 participants ont été recrutés pour le vaccin candidat du Serum Institute of India.

    « En outre, les chercheurs suivent également les progrès d'un autre essai clinique de vaccin de phase III pour les adolescents et les adultes", a déclaré le KEMRI.

    Le président du Kenya, William Ruto, est préoccupé par le fait que l'accès au diagnostic et au traitement de la tuberculose reste limité, ce qui prive de nombreuses personnes des soins dont elles ont besoin.

    « Au Kenya, des estimations récentes montrent que 133.000 personnes ont développé la tuberculose, dont 16.000 enfants. Il s'agit d'une charge énorme pour le système de santé et d'un obstacle majeur au développement économique », a déclaré le président Ruto à l'occasion de la Journée Mondiale de la Tuberculose.

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  8. Il a ajouté qu'à travers le cadre de responsabilité multisectoriel national pour la lutte contre la tuberculose, le gouvernement s'efforce de rassembler toutes les parties prenantes afin de mettre au point des stratégies innovantes qui contribueront à mettre fin à la tuberculose d'ici à 2030.

    La tuberculose sera détectée à partir de types d'échantillons moins invasifs, ce qui contribuera fortement à l'augmentation du nombre de diagnostics chez les enfants.

    Médecins Sans Frontières (MSF) a également appelé les pays à réduire les prix des médicaments et des tests de dépistage de la tuberculose afin de les rendre plus accessibles.

    Le KEMRI a déclaré que ses chercheurs et ses partenaires travaillaient sur une nouvelle technologie pour faciliter le diagnostic de la tuberculose chez les enfants.

    « L'étude permettra de trouver les meilleurs moyens de diagnostiquer la tuberculose chez les enfants à l'aide d'un système capable de confirmer la présence de la tuberculose dans de petites quantités de sang obtenues en vérifiant la présence de vésicules extracellulaires, ainsi que d'accéder à la présence d'ADN acellulaire de la tuberculose dans l'urine et le sang », a déclaré le KEMRI.

    « En cas de succès, la tuberculose sera détectée dans des types d'échantillons moins invasifs, ce qui contribuera fortement à l'augmentation du nombre de diagnostics chez les enfants. »

    On estime que 139.000 personnes sont tombées malades de la tuberculose au Kenya en 2020, mais seulement 71.060 ont été diagnostiquées et notifiées au Programme National de Lutte contre la Tuberculose, la Lèpre et les Maladies Pulmonaires.

    L'institut a indiqué qu'une autre étude portait sur CoughSense, un logiciel capable de distinguer une toux de tuberculose d'une autre toux. « Cela va changer la dynamique du diagnostic d'un patient tuberculeux. »

    Selon le Dr Leyla Abdullahi, analyste principal de la recherche et des politiques à l'African Institute for Development Policy (AFIDEP), on estime à 139.000 le nombre de personnes atteintes de tuberculose au Kenya en 2020, mais seulement 71.060 ont été diagnostiquées et notifiées au Programme National de Lutte contre la Tuberculose, la Lèpre et les Maladies Pulmonaires (NTLD-P).

    « Cela signifie que chaque année, environ 49 % des cas estimés de tuberculose ne sont pas diagnostiqués ou sont diagnostiqués mais ne sont pas notifiés au NTLD-P », a déclaré le Dr Abdullahi.

    L'argent fourni par les donateurs

    Selon elle, le NTLD-P a besoin d'un financement adéquat pour fournir efficacement des services de prévention, de traitement et de soins de la tuberculose à tous les Kényans.

    « Au cours du plan stratégique national 2018-2023 pour la tuberculose, le programme national de lutte contre la tuberculose a fait état d'un déficit budgétaire de 50 %. C'est pourquoi il existe une dépendance malsaine à l'égard des liquidités fournies par les donateurs pour la lutte contre la tuberculose », a déclaré le Dr Abdullahi.

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  9. L'OMS estime que 10,6 millions de personnes ont contracté la tuberculose en 2021, soit une augmentation de 4,5 % par rapport à 2020, tandis que le taux d'incidence a augmenté de 3,6 % entre 2020 et 2021, après des baisses de 2 % par an au cours des deux décennies précédentes.
    ________________

    * Source : Kenya carrying out TB vaccine trials and working to shorten treatment period to four months - Alliance for Science

    https://seppi.over-blog.com/2023/03/le-kenya-procede-a-des-essais-de-vaccins-contre-la-tuberculose-et-s-efforce-de-reduire-la-duree-du-traitement-a-quatre-mois.html

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    1. Reste à savoir si les flacons injectables ont été préalablement analysés en laboratoires indépendants afin de révéler leur véritable composition ! Ce n'est pas tous les jours dans tous les pays qu'on a des Ingrid Stuckelberger ou Carrie Madej sous la main !

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  10. Journée Mondiale de la Tuberculose : il faut rendre le traitement de la tuberculose plus court, plus efficace et moins cher


    29 Mars 2023
    Godfrey Ombogo*


    C'est aujourd'hui [le 24 mars] la Journée Mondiale de la Tuberculose, et le thème de cette année est « Oui ! Nous pouvons mettre fin à la tuberculose ».

    La tuberculose est la maladie infectieuse la plus meurtrière au monde et n'est passée que récemment à la deuxième place, derrière la Covid-19.

    Le traitement de la tuberculose est également coûteux, mais des efforts sont faits pour réduire les coûts de traitement.

    Médecins Sans Frontières (MSF) a lancé deux essais cliniques visant à trouver des traitements plus courts, mieux tolérés et sans injection pour la tuberculose multirésistante (TB-MR).

    Les essais endTB et endTB-Q visent à mettre au point un schéma thérapeutique permettant de traiter la tuberculose multirésistante en six à neuf mois, contre 24 mois actuellement.

    L'essai endTB porte sur la tuberculose multirésistante sensible à la fluoroquinolone, tandis que l'essai endTB-Q porte sur la tuberculose multirésistante résistante à la fluoroquinolone.

    10,6 millions de personnes sont tombées malades de la tuberculose en 2021 – une augmentation de 4,5 % par rapport à 2020 – tandis que le taux d'incidence a augmenté de 3,6 % entre 2020 et 2021, après des baisses de 2 % par an au cours des deux décennies précédentes.

    MSF affirme que les traitements conventionnels de la tuberculose multirésistante sont inefficaces, avec seulement 59 % de succès thérapeutiques rapportés en 2018, et qu'ils provoquent souvent de terribles effets secondaires, notamment des psychoses aiguës et une surdité permanente.

    Pendant tout ce temps, les patients ingèrent jusqu'à 14.000 pilules et certains d'entre eux doivent supporter des mois d'injections quotidiennes douloureuses.

    En outre, le coût, la difficulté et la durée des traitements actuels les rendent difficiles à mettre en œuvre dans de nombreux pays fortement touchés par la maladie.

    En décembre 2022, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a publié de nouvelles directives recommandant aux pays de mettre en place le régime BPaLM, plus sûr et plus court, pour traiter les personnes atteintes de la tuberculose résistante.

    Nous devons avoir un meilleur accès aux tests de diagnostic de la tuberculose et de la résistance aux médicaments utilisés pour traiter la tuberculose afin de pouvoir identifier davantage de personnes qui ont besoin d'un traitement et de déployer les régimes de traitement par voie orale plus courts et plus sûrs.

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  11. M. Stijn Deborggraeve, conseiller en diagnostic à Access Campaign, exhorte maintenant les pays à commencer à déployer le régime BPaLM de six mois et à garantir la disponibilité des tests GeneXpert MTB/RIF ou, si possible, des alternatives recommandées par l'OMS telles que le Truenat MTB/RIF, pour détecter la tuberculose et la résistance à la rifampicine afin que les personnes atteintes de tuberculose résistante puissent recevoir ce traitement sans plus tarder.

    « Nous devons avoir un meilleur accès aux tests de diagnostic de la tuberculose et de la résistance aux médicaments utilisés pour traiter la tuberculose afin de pouvoir identifier davantage de personnes qui ont besoin d'un traitement et de déployer les régimes de traitement par voie orale plus courts et plus sûrs », a déclaré M. Deborggraeve.

    Alors que la Journée Mondiale de la Tuberculose est célébrée aujourd'hui, le 24 mars, on s'inquiète de plus en plus de la recrudescence de cette maladie infectieuse et des efforts concertés nécessaires pour y mettre fin.

    L'OMS estime que 10,6 millions de personnes sont tombées malades de la tuberculose en 2021 – une augmentation de 4,5 % par rapport à 2020 – tandis que le taux d'incidence a augmenté de 3,6 % entre 2020 et 2021, après des baisses de 2 % par an au cours des deux décennies précédentes.

    Le Kenya fait partie des pays où la charge de la tuberculose est élevée et figure sur la liste des 30 pays qui contribuent à 80 % de la charge mondiale de la tuberculose.

    Les statistiques de GlobalData montrent qu'au cours des dix dernières années, 668 essais cliniques pour des traitements contre la tuberculose ont été lancés, dont près de 30 % depuis 2020.

    Les essais menés par MSF sont réalisés en partenariat avec Partners In Health (PIH) et Interactive Research and Development (IRD).

    Les autres partenaires sont Epicentre, la Harvard Medical School, l'Institut de Médecine Tropicale d'Anvers et l'UCSF.

    Un patient atteint de tuberculose en Afrique du Sud tient ses médicaments. Il prend jusqu'à 26 pilules par jour pour traiter la tuberculose ultrarésistante. Ici, il tient sa sélection du matin, qui comprend du delamanid, l'un des médicaments les plus récents contre la tuberculose résistante. [Médecins Sans Frontières]

    L'essai endTB a recruté 754 patients dans huit pays – Géorgie, Inde, Kazakhstan, Lesotho, Pakistan, Pérou et Afrique du Sud – qui ont tous un lourd fardeau de tuberculose, en octobre 2021.

    D'autre part, l'essai clinique endTB-Q devrait recruter 324 patients dans six pays (Inde, Kazakhstan, Lesotho, Pakistan, Pérou et Vietnam) afin de trouver un traitement plus simple, moins toxique et plus court pour la tuberculose multirésistante résistante aux fluoroquinolones.

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  12. Les gouvernements, les donateurs et les sociétés pharmaceutiques doivent agir maintenant pour garantir un approvisionnement abordable de ces tests et traitements essentiels contre la tuberculose, afin que davantage de vies puissent être sauvées.

    En janvier 2023, quelque 294 participants étaient inscrits à l'essai, et le recrutement devrait se terminer au cours du premier trimestre de cette année.

    Alors que les essais se poursuivent, MSF appelle également à la réduction des prix des médicaments et des tests afin de les rendre plus accessibles.

    « Nous demandons une fois de plus à Cepheid de réduire le prix des tests de dépistage de la tuberculose à moins de cinq dollars l'unité, afin que davantage de personnes atteintes de tuberculose résistante aux médicaments puissent être diagnostiquées à temps et se voir proposer des traitements améliorés qui leur sauveront la vie », déclare M. Deborggraeve.

    Selon lui, les programmes nationaux de traitement de la tuberculose devraient proposer des régimes thérapeutiques plus courts à un plus grand nombre de personnes afin d'accroître la demande, et faire en sorte qu'un plus grand nombre de fabricants fournissent des versions génériques abordables de la bédaquiline et du prétomanid. Le prix le plus bas disponible pour ce nouveau traitement contre la tuberculose est de 570 dollars.

    « L'accès à des tests de diagnostic abordables reste un défi majeur en Afghanistan et dans d'autres pays de la région en raison du prix élevé des tests. Les gouvernements, les donateurs et les sociétés pharmaceutiques doivent agir maintenant pour garantir un approvisionnement abordable de ces tests et traitements essentiels contre la tuberculose, afin que davantage de vies puissent être sauvées. »

    Le Kenya a enregistré d'importants progrès dans la lutte contre la maladie et une baisse considérable des décès liés à la tuberculose, qui sont passés de 33.000 en 2019 à 21.000 en 2021.

    Mme Evaline Kibuchi, défenseur de la santé publique et coordinatrice nationale en chef du Partenariat Halte à la Tuberculose-Kenya, affirme que la tuberculose reste une menace pour la santé publique au Kenya.

    « En 2021, environ 1,6 million de personnes sont mortes de la tuberculose dans le monde. Le Kenya fait partie des pays où la charge de la tuberculose est élevée et figure sur la liste des 30 pays qui contribuent à 80 % de la charge mondiale de la tuberculose. »

    « En Afrique, le Kenya se classe au quatrième rang après l'Afrique du Sud, le Nigeria et l'Éthiopie, dans cet ordre. Même avec un tel classement, le Kenya a enregistré de grands progrès dans la lutte contre la maladie et il y a eu une baisse considérable des décès liés à la tuberculose de 33.000 en 2019 à 21.000 en 2021, selon le dernier rapport mondial de l'OMS sur la tuberculose. »

    Mme Kibuchi a déclaré que bien que le Kenya ait fait de grands progrès, environ 50 % de toutes les personnes infectées par la tuberculose ne sont pas diagnostiquées.

    « Cela représente un grand danger, car ces personnes infectent d'autres personnes », ajoute-t-elle.
    ________________

    * Source : World Tuberculosis Day: There is a need to make TB treatment shorter, more effective and cheaper - Alliance for Science

    https://seppi.over-blog.com/2023/03/journee-mondiale-de-la-tuberculose-il-faut-rendre-le-traitement-de-la-tuberculose-plus-court-plus-efficace-et-moins-cher.html

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  13. Un ancien analyste de Wall Street compte le coût réel des vaccins COVID-19.

    Grim Accounting de BlackRock Ed Dowd


    Par John Leake
    Recherche mondiale,
    29 mars 2023


    Chaque jour, le Dr McCullough et moi parlons à des personnes qui ont été blessées - ou dont un membre de la famille a été tué - par l'un des vaccins COVID-19. Presque chaque jour, le Dr McCullough examine une ou plusieurs lésions vaccinales dans sa pratique clinique. Parce qu'il est devenu un médecin de référence pour les personnes qui souffrent de ces blessures, sa vision du problème n'est pas statistique, mais au niveau humain individuel.

    Les États-Unis ont une population recensée de 332 millions d'habitants. Ainsi, si même un petit pourcentage de ces personnes sont blessées ou tuées par les vaccins COVID-19, c'est toujours un nombre effrayant.

    Considérez que 58 000 hommes ont été tués en dix ans de combats au Vietnam. Ce n'était qu'un infime pourcentage des 100 millions d'hommes américains dénombrés lors du recensement de 1968, mais c'était quand même un nombre énorme d'hommes à mourir au début de la vingtaine.

    Hier, l'ancien gestionnaire de portefeuille de BlackRock, Ed Dowd , et ses analystes du cabinet d'études Phinance Technologies, ont publié un rapport sur le coût du programme de vaccination contre le COVID-19 aux États-Unis pour l'année 2022.

    Je sais, grâce à de multiples conversations approfondies avec M. Dowd, qu'il est un analyste conservateur. Homme sérieux et sobre, il est impitoyable pour éliminer les préjugés et les hypothèses farfelues. Lui et son équipe ont concentré leurs recherches sur les 148 millions d'Américains (âgés de 18 à 64 ans) qui travaillent. Le Bureau of Labor Statistics compile de nombreuses données sur cette cohorte, tout comme le secteur de l'assurance-vie, car de nombreuses personnes employées reçoivent des polices dans le cadre de leur rémunération.

    Le rapport de M. Dowd est sombre. Comme il a résumé les résultats dans un tweet :

    - voir doc sur site -

    En tant que véritable auteur de crime, je me concentre toujours sur le coût humain. Je sais que la mort d'un seul jeune peut dévaster une famille et même toute une communauté. 26,6 millions de blessés ; 1,36 million de personnes handicapées ; 300 000 décès supplémentaires . A noter que ce nombre de morts en un an représente 5,2 fois le nombre d'hommes tués en dix ans de combat au Vietnam.

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  14. La chose la plus extraordinaire dans cet état de choses est peut-être que la plupart des Américains ne savent pas que cela se produit. Chaque jour, des jeunes meurent de crises cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux et de convulsions causées par les vaccins COVID-19. La plupart de leurs familles et amis sont amenés à croire qu'ils viennent de mourir - soudainement et de manière inattendue - de maladies aiguës qui étaient extrêmement rares chez les jeunes avant 2021.

    Cliquez ici pour lire le rapport complet de Phinance Technologies :

    https://www.globalresearch.ca/ed-dowd-grim-accounting-former-wall-street-analyst-counts-true-cost-covid-19-vaccines/5813997

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  15. Plus de preuves indiquent une fraude scientifique covid soutenue par Fauci


    Mercredi 29 mars 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une nouvelle étude «bombe» qui est annoncée comme «la preuve la plus solide à ce jour» que le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a émergé naturellement a déjà été démystifiée comme une pile frauduleuse de hockey à cheval.

    Publié lundi, le rapport affirme que l'ADN prélevé sur des chiens viverrins au même endroit que le tristement célèbre marché humide de Wuhan, où le matériel génétique du SRAS-CoV-2 aurait été "regroupé" en 2019, est censé montrer que le virus chinois provenait d'animaux.

    L'article conclut en déclarant que ses découvertes ont "contribué au grand nombre de preuves soutenant une origine naturelle". La vérité, cependant, est que le document est truffé d'omissions d'informations clés qui sapent ses prétendues conclusions.

    L'Atlantique a été le premier à rendre compte de l'article frauduleux, le qualifiant de "preuve la plus solide à ce jour qu'un animal a déclenché la pandémie". Ce que The Atlantic a omis de mentionner, c'est le fait que tous les échantillons d'ADN prélevés sur des chiens viverrins ont été testés «négatifs» pour la grippe Fauci à l'aide d'un test PCR standard.

    (Connexe: Le CDC est également complice d'exagération et de mensonge à propos de covid.)

    Fauci a poussé les chercheurs à mentir sur les origines de covid pour se protéger et protéger sa femme
    Selon le Dr Steven Quay, un microbiologiste basé à Seattle, le nouvel article montre une « volonté manifeste de mentir ». Quay a passé les deux dernières années à enquêter sur les véritables origines du covid, et il n'est pas convaincu des conclusions de l'article.

    "Vous êtes censé le signaler", a ajouté le Dr Simon Clarke, microbiologiste de l'Université de Reading au Royaume-Uni, à propos de l'omission manifeste du journal des résultats négatifs des tests des chiens viverrins.

    "Je ne dis pas qu'il y a quoi que ce soit de louche là-dedans, mais cela aurait dû être mis en évidence. C'est une mauvaise pratique et il n'y a aucun moyen qu'ils [les chercheurs] obtiennent cela au-delà d'un journal de bonne qualité [pendant le processus d'examen par les pairs] - ils seraient obligés de le mettre dans leur section limitations et discussions.

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  16. Si les auteurs du rapport étaient prêts à être sournois et trompeurs à ce sujet, sur quoi d'autre ont-ils menti ou induit en erreur tout au long de l'étude ? C'est ce que beaucoup veulent savoir, d'autant plus que l'objectif de l'article était de «démystifier» la théorie des fuites de laboratoire sur le covid.

    Ce n'est pas la première fois qu'une étude scientifique est publiée avec des omissions et des mensonges pour pousser la théorie de l'origine animale. Le Dr Kristian Andersen, biologiste de l'évolution au Scripps Research Institute de La Jolla, en Californie, a rédigé un article de février 2020 qui était ouvertement conçu pour «démystifier» la théorie des fuites de laboratoire.

    Nous avons appris depuis qu'Andersen a été poussé par l'ancien directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), Tony Fauci, à le publier, mensonges et tout, afin de détourner tous les yeux et l'attention de la vérité.

    Le dernier article vantant la théorie de l'origine animale n'a pas encore été évalué par des pairs. Et s'il reste une certaine intégrité dans le processus d'examen par les pairs, il ne sera pas publié de manière crédible.

    Pourtant, les données utilisées dans l'étude, qui ont été téléchargées et rapidement supprimées, ont déjà été ajoutées à une base de données appelée Global Initiative on Sharing Avian Influenza Data (GISAID), un référentiel international d'informations sur la génétique des virus.

    C'est malheureux, étant donné que l'article dont proviennent les données est "complètement malhonnête", selon Quay. Depuis leur collecte, ces données ont été intentionnellement gardées secrètes par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

    "Nous n'avons pas de spécimen environnemental qui semble positif pour l'infection", a ajouté Quay à propos des échantillons de chiens viverrins qui ont été collectés.

    Les dernières nouvelles sur le démantèlement en cours de Fauci et de ses copains covid peuvent être trouvées sur FauciTruth.com.

    Les sources de cet article incluent :

    DailyMail.co.uk
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-29-evidence-fauci-covid-science-fraud-lies.html

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  17. L'hystérie corona serait-elle possible sans la "connaissance" de la peste et du choléra


    30 mars 2023
    par Gerd et Renate Reuther


    Peu de gens auraient pris une épidémie sans nouveaux symptômes pour argent comptant si la peste, le choléra et la grippe espagnole n'étaient pas ancrés dans la mémoire collective. Mais sur quoi repose réellement notre prétendue connaissance ?

    En fait, les preuves sur les pandémies en Europe sont ténues. Il n'y a pratiquement pas de documents de contemporains authentiques et crédibles. Les historiens continuent de citer les mêmes sources sans aucune preuve. Pendant des siècles, les écrivains italiens et les prétendus « chroniqueurs » tels que Boccace et Pétrarque ont été les principaux témoins de la première grande peste de 1347. Cependant, aucun d'eux n'était là.

    La grande peste de Londres de 1665 est également portée à notre attention partout dans le supposé journal de l'agent des services secrets et auteur de Robinson Crusoé, Daniel Defoe. Mais au moment des faits, il n'avait pas cinq ans. L'histoire de la peste est-elle « un paquet de mensonges sur des événements qui ne se sont jamais produits, racontés par ceux qui n'étaient pas là » (George Santayana, 1863-1952) ?

    La recherche sur les événements soi-disant bien connus vaut la peine. Alors que la peste à Londres en 1665 aurait tué 70 à 80 % des quelque 100 000 habitants malades, dans la ville portuaire de Bristol, à 150 kilomètres avec ses 15 000 habitants, seulement 100 personnes sont mortes de la même maladie - 0,6 %. Ces faits ne peuvent être conciliés avec une maladie infectieuse mortelle inévitable.

    Et comment sait-on qu'au moins un tiers de la population européenne est morte dans la première grande peste vers 1350, alors qu'il n'y a que des chroniques de villes, mais que 90 % des gens vivaient à la campagne ? Pourquoi n'a-t-on guère trouvé de fosses communes suggérant la mort par épidémie ?

    Beaucoup de choses ne vont pas ensemble. L'historien Ottokar Lorenz (1832-1904) se plaignait il y a 150 ans que "l'écriture de l'histoire ne s'élève pas trop au-dessus de l'écriture, à savoir la copie au vrai sens du terme" trop peu interrogé. Les documents écrits étaient souvent plus de la propagande que des chroniques dans les siècles passés. Quiconque considère à tort les écrits et les images préservés comme des faits garantis a tout autant tort que quelqu'un qui reconstruit les événements des trois dernières années à partir des médias contrôlés d'aujourd'hui.

    Une liste incomplète des événements européens de "peste" a dépassé la barre des 6 000 pendant 550 ans il y a déjà 100 ans. ii Les fièvres épidémiques faisaient partie de la vie quotidienne. Cela dépendait de la sensibilité respective et des divers intérêts quant au nombre de maladies et de décès au-dessus duquel l'état d'urgence normal était déclaré. Tout comme en Allemagne la saison hivernale 2017/18 aurait été une épidémie de grippe plus crédible que les années 2020 à 2023. Le décompte des décès estimés sur plusieurs années avait déjà un fâcheux précurseur à la fin de la Première Guerre mondiale avec la grippe espagnole.

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  18. Quiconque n'a jusqu'ici pas reconnu que l'histoire rime définitivement ne pourra plus le nier face aux événements entourant les épidémies. Les pestes étaient censées toujours être des envahisseurs de l'extérieur. Principalement de l'est. Le choléra du Bengale, la peste de la steppe eurasienne et la grippe de Russie ou de Chine. Seule la syphilis, probablement réellement importée du Nouveau Monde, est venue d'Occident. Elle a ensuite été imputée aux Français, même si elle s'est d'abord installée en Espagne. L'importation supposée d'un virus de Wuhan a une longue tradition.

    Pendant 700 ans, on a cherché en vain le soi-disant "patient 0" qui aurait apporté la maladie - que ce soit dans l'ignorance des microbes ou scientifiquement armé. Lorsque le coupable ou les suspects présumés étaient «identifiés», le sang était généralement versé. Les Juifs ont dû payer pour cela pendant des siècles. Souvent avant même qu'une épidémie ne se produise.

    Les épidémies ont toujours été exploitées et souvent même déclenchées. Même sans maladie, la peur des épidémies était souhaitée et avait des effets. Le médecin personnel d'un roi de Bohême savait il y a 700 ans que "la simple peur de la peste, l'imagination et le fait d'en parler peuvent sans aucun doute rendre les gens malades de la peste." iii

    Les maladies épidémiques n'ont jamais été des phénomènes naturels fatals. Les conditions sociales nécessaires étaient faites maison. Et ce n'était pas que de la négligence. Encore et encore, il y a des documents isolés qui montrent des calculs. L'ecclésiastique et économiste Thomas Robert Malthus (1766-1834) écrivait clairement en 1826 : « Nous devrions faciliter les processus de la nature qui produisent cette mortalité, plutôt que de nous efforcer bêtement et en vain de les entraver ; et si nous redoutons les afflictions trop fréquentes de la forme épouvantable de la famine, nous devrions promouvoir avec zèle les autres formes de destruction auxquelles nous forçons la nature. Dans nos villes, nous devrions rétrécir les rues, entasser plus de gens dans les maisons et encourager le retour de la peste. » iv

    Un regard nouveau et frais sur les épidémies antérieures ou sur ce qui a été transmis comme tel vaut la peine ("Main thing: panic"; Engeldorfer Verlag; ISBN 978-3-96940-485-0). Il est essentiel pour cette seule raison, afin de ne pas se faire prendre à nouveau lors de la prochaine mise en scène de la pandémie.

    je Lorenz O (1832-1904); extrait de : Höniger R : La peste noire en Allemagne. page 4 ; Eugène Grosser; Berlin 1882

    ii Autocollant G : Traités sur l'histoire de la peste et la science de la peste. Tome 1 : La Peste. Alfred Topelmann; Gissen 1908

    iii Albich S : Régime tempore pestilentiae. Prague 1348; extrait de : Bergdolt K : The Black Death. 4e édition ; page 25 ; CH Beck; Munich 2017

    iv Malthus T : Essai sur le principe de population. Tome II; 6e éd .; John Murray; Londres 1826

    https://tkp.at/2023/03/30/waere-die-corona-hysterie-ohne-das-wissen-um-pest-und-cholera-moeglich/

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  19. La grande machine à mensonges Covid-19: Le projet de l’université de Stanford a collaboré avec les autorités fédérales et les médias sociaux pour censurer les « fausses informations »

    Un projet mené par l'université de Stanford a servi de « galop d'essai » pour le conseil de « désinformation » du président Biden, selon la dernière publication des « dossiers Twitter » du journaliste Matt Taibbi, qu'il a baptisée « The Great Covid-19 Lie Machine: Stanford, the Virality Project, and the Censorship of True Stories » [La grande machine à mensonges Covid-19 : Stanford, le projet Virality et la censure des histoires vraies].


    Par Michael Nevradakis
    Mondialisation.ca,
    28 mars 2023


    Un projet mené par l’université de Stanford a servi de « galop d’essai» pour le conseil de « désinformation » du président Biden, selon la dernière publication des « dossiers Twitter » du journaliste Matt Taibbi, qu’il a baptisée « The Great Covid-19 Lie Machine: Stanford, the Virality Project, and the Censorship of True Stories » [La grande machine à mensonges Covid-19 : Stanford, le projet Virality et la censure des histoires vraies].

    Selon M. Taibbi, le projet Virality, une initiative de l’Observatoire de l’Internet de Stanford, a appelé à la création d’un conseil de désinformation juste un jour avant que M. Biden n’annonce son intention de mettre en place un conseil de gouvernance de la désinformation géré par le gouvernement.

    M. Taibbi a évoqué les deux principaux enseignements de la publication de ses « dossiers Twitter » le 17 mars dans le cadre du podcast « America This Week », coanimé par le romancier Walter Kirn.

    Selon M. Taibbi :

    « Stanford, avec le soutien d’un certain nombre de partenaires et de quelques agences gouvernementales, avait créé un système de billetterie numérique unique et multiplateforme qui traitait les demandes de censure pour chacun d’entre eux : Facebook, Google, TikTok, YouTube, Pinterest, Medium, Twitter. »

    Par ailleurs, M. Taibbi a indiqué que le projet Virality « définissait les choses vraies comme étant de la désinformation, de la mésinformation ou de la malformation », ce qui, selon lui, signifie « une nouvelle évolution du processus de désinformation, qui ne consiste plus à essayer de déterminer ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, mais à passer directement à la narration politique ».

    M. Taibbi, ainsi que l’auteur Michael Shellenberger, qui a contribué aux précédentes publications des « dossiers Twitter », ont témoigné le 9 mars devant la sous-commission de la Chambre des représentants des États-Unis sur la militarisation du gouvernement fédéral, révélant une partie de ce qu’ils avaient découvert sur le projet Virality.

    M. Taibbi et son équipe de chercheurs ont découvert une série de courriels du projet Virality une heure seulement avant son témoignage prévu à la Chambre des représentants le 9 mars, révélant la surveillance de « milliards de messages sur les médias sociaux par l’université de Stanford, des agences fédérales et une série d’ONG (souvent financées par l’État) [non-governmental organizations] ».

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  20. Appel à la mise en place d’un mécanisme gouvernemental de contrôle des rumeurs
    Comme l’a précédemment rapporté The Defender, le projet Virality affirme que son objectif « est de détecter, d’analyser et de répondre aux incidents de récits faux et trompeurs liés aux vaccins contre la COVID-19 dans les écosystèmes en ligne ».

    Anciennement connu sous le nom de « Partenariat pour l’intégrité des élections », il était dirigé par Alex Stamos, directeur de l’Observatoire de l’Internet de Stanford et « expert en cybersécurité », qui a déjà occupé le poste de responsable de la sécurité chez Facebook.

    Le projet indique qu’il fournit « une connaissance de la situation et des capacités de réponse exploitables pour les responsables de la santé publique et les autres partenaires qui sont en première ligne pour fournir au public des informations exactes sur les vaccins ».

    Mais derrière cette rhétorique se cache un vaste réseau d’interactions de haut niveau avec le gouvernement fédéral et les plateformes de médias sociaux – qui comprend des propositions, finalement adoptées, pour que le gouvernement américain établisse son propre conseil de « désinformation ».

    Selon M. Taibbi, le partenariat entre le projet Virality et le gouvernement a véritablement débuté en février 2021, quelques jours après l’entrée en fonction de M. Biden.

    La relation s’est rapidement développée. En l’espace d’un an, le 26 avril 2022, le projet Virality a proposé la mise en place d’un « mécanisme de contrôle des rumeurs » et d’un « centre d’excellence en matière de désinformation et de mésinformation » au niveau fédéral.

    - voir doc sur site -

    Le lendemain, Alejandro Mayorkas, secrétaire du ministère américain de la sécurité intérieure (DHS), a annoncé la création du « Conseil de gouvernance de la désinformation ».

    M. Taibbi a tweeté :

    - voir doc sur site -

    La proposition de « Centre d’excellence », qui figure toujours sur le site web du projet Virality, stipule ce qui suit :

    « En raison de la menace dynamique que représente la désinformation pour la sécurité nationale, nous recommandons la création d’un centre d’excellence fédéral pour la désinformation hébergé au sein du CISA du ministère de la sécurité intérieure ( [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency]). »

    Le centre serait chargé de poursuivre « trois objectifs principaux » :

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  21. Servir de centre fédéral unique pour l’expertise et les capacités nécessaires pour mener les efforts de résilience et de lutte contre la désinformation ;
    Coordonner les efforts de lutte contre la désinformation au niveau fédéral et soutenir les efforts des gouvernements locaux et des États ainsi que du secteur privé ; et
    Jouer un rôle de premier plan dans le renforcement des capacités au sein des gouvernements, ainsi que dans la société civile et le secteur privé, afin d’accroître la résistance à la mésinformation et désinformation.
    Selon la proposition, « l’évolution des fausses informations et de la désinformation montre que tous les niveaux de gouvernement doivent prendre de nouvelles mesures coordonnées et décisives, en partenariat avec les universités, les organisations à but non lucratif et le secteur privé, pour renforcer la résilience du peuple américain face aux faussetés en ligne ».

    Le rapport final du projet Virality, publié le 18 février 2022, contenait également une proposition de « centre d’excellence ». Il recommande au gouvernement fédéral de « mettre en place un centre d’excellence en matière de désinformation et de mésinformation au sein de l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures ».

    Dans ce même rapport final, il est proposé que le gouvernement « mette en place un mécanisme de contrôle des rumeurs pour traiter les récits à tendance nationale ».

    Un autre document, daté du 18 février 2022, intitulé « White House COVID-19 Vaccine Communication Plan: Analysis and Recommendations » – détaillait également les plans d’un centre d’excellence et d’une « page centralisée de contrôle des rumeurs ».

    La proposition du projet s’inspire des leçons apparemment tirées de l’élection présidentielle américaine de 2020 et demande que les récits pro-vaccins soient adaptés à des communautés spécifiques :

    « Lors des élections de 2020, l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA)] a démontré qu’une page centralisée de contrôle des rumeurs pouvait contrer la désinformation en ligne. Cette page peut être reproduite pour la désinformation sur les vaccins.

    « Les communicateurs locaux en matière de santé peuvent ensuite adapter ce message public centralisé aux besoins de leurs communautés spécifiques. »

    Au moins une agence gouvernementale américaine semble avoir adopté la recommandation du projet Virality concernant la mise en place d’une initiative de « contrôle des rumeurs ».

    Comme The Defender l’a déjà signalé, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a lancé sa propre initiative « Rumor Control » le 5 août 2022, dans le cadre de ses efforts plus larges pour lutter contre la « désinformation » et la « mésinformation ».

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  22. « La propagation croissante de rumeurs, de fausses informations et de désinformations sur la science, la médecine et la FDA met en danger les patients et les consommateurs », selon la page web de la FDA consacrée au contrôle des rumeurs. « Nous sommes ici pour fournir les faits. »

    Sur le site Internet du projet Virality, une page dédiée au « contrôle de la rumeur » indique :

    « Cette approche de la démystification de la désinformation s’appuie sur la littérature qui suggère que la démystification des messages provenant des centres de contrôle des rumeurs peut aider à prévenir la propagation des rumeurs.

    « Les psychologues ont conclu que les messagers qui sont perçus comme étant dignes de confiance et experts sont les plus efficaces pour démystifier les faussetés, ce qui signifie qu’une approche de démystification qui rassemble des faits provenant d’experts en la matière de confiance pourrait être idéale. »

    Le projet Virality indique également que « des partenariats solides avec des experts en la matière et des agents de liaison spécifiques à la communauté sont essentiels à ce flux de travail. Les partenaires peuvent être des bureaux gouvernementaux locaux et d’État, des membres de la société civile, des ONG et des organisateurs individuels » qui « seront également les principaux amplificateurs des messages de Rumor Control auprès de chaque public cible ».

    Le fait de cibler les récits de vaccination sur des communautés spécifiques reflète étroitement les efforts d’une initiative de la Fondation Rockefeller et de la National Science Foundation, le Mercury Project.

    Cette initiative permettra d’octroyer des bourses de recherche de trois ans afin d’estimer « l’impact causal de la désinformation sur les résultats en ligne et hors ligne dans le contexte de la pandémie COVID-19 », y compris « les différences d’impact entre les groupes sociodémographiques ».

    Le projet Virality s’est également attaché à cibler des groupes spécifiques. Elle recommande aux communicateurs de la santé publique des stratégies pour vaincre l’hésitation face au vaccin, notamment « travailler avec les leaders communautaires des minorités et des communautés d’immigrés pour les sensibiliser à la manière de se faire vacciner et aux raisons de le faire ».

    La diffusion coordonnée de « fausses informations » sur de multiples plateformes

    Le communiqué de vendredi sur les « dossiers Twitter » a également mis l’accent sur la manière dont le projet Virality a contribué à intégrer plusieurs sites de médias sociaux dans un système de billetterie commun, où les contenus et les utilisateurs peuvent être signalés et ces rapports partagés entre plusieurs plateformes.

    Selon M. Taibbi, le projet Virality « encourage les plateformes à cibler les personnes, et non les messages, en utilisant une « logique pré-criminelle » de type « Minority Report », et décrit des « récidivistes » tels que Robert F. Kennedy, Jr, président et avocat en chef de la Children’s Health Defense (CHD), qui publie un « volume important de contenu qui est presque toujours à signaler ».

    - voir doc sur site -

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  23. Ce système « a collaboré avec le gouvernement pour lancer un plan de surveillance pan-industriel des contenus liés à COVID », écrit M. Taibbi.

    « Bien que le projet Virality ait examiné le contenu à grande échelle pour Twitter, Google/YouTube, Facebook/Instagram, Medium, TikTok et Pinterest, il a sciemment ciblé des documents véridiques et des opinions politiques légitimes, tout en étant souvent lui-même erroné sur le plan des faits », a déclaré M. Taibbi.

    En mars 2021, le projet Virality a commencé à « intensifier » ces efforts, offrant une « visibilité » aux « plateformes alternatives telles que Gab, Parler, Telegram et Gettr », dans ce que M. Taibbi a décrit comme une « surveillance quasi-totale du paysage des médias sociaux ».

    S’exprimant vendredi sur le podcast « America This Week », M. Taibbi a comparé ce système à un système de notation sociale, en déclarant :

    « Vous pouvez dire quelque chose et être banni pour cela sur une plateforme, et maintenant toutes les autres plateformes le savent. Ainsi, votre histoire sera introduite dans ce grand ordinateur. C’est un peu comme le système de notation sociale. »

    Selon le rapport final du projet Virality, celui-ci visait à développer un « effort de l’ensemble de la société … dans lequel les parties prenantes établissent des partenariats solides et persistants afin de garantir que les allégations importantes et préjudiciables puissent être traitées dès qu’elles surviennent », en réunissant des instituts de recherche, des « partenaires » de santé publique, des « partenaires » gouvernementaux et des plateformes.

    - voir doc sur site -

    Dans son podcast, M. Taibbi a suggéré qu’une telle collusion entre le projet Virality et de multiples plateformes de médias sociaux « serait un problème antitrust ». En fait, le 10 janvier, la CHD et d’autres ont intenté un procès à la Trusted News Initiative et à ses fondateurs, dont la BBC, l’Associated Press, Reuters et le Washington Post, pour s’être entendus afin d’exclure les récits liés à la COVID-19 qui n’appartiennent pas à l’établissement.

    Selon le projet Virality, les contenus « à signaler » comprennent même des informations provenant directement d’agences gouvernementales telles que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), sur la base des personnes qui les partagent et du discours politique qu’elles défendent, selon M. Taibbi :

    - voir doc sur site -

    Voici d’autres exemples de contenus de médias sociaux ciblés par le projet Virality et partagés par M. Taibbi :

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  24. « La publication des courriels du printemps 2020 du Dr Anthony Faucia été utilisée pour exacerber la méfiance à l’égard du Dr Fauci. » « La méfiance accrue à l’égard des conseils d’experts du Dr Fauci. »
    « Rapports de personnes vaccinées ayant contracté la COVID-19 de toute façon » ; « immunité naturelle » ; suggestion que ls COVID-19 « a fui d’un laboratoire » ; et même « plaisanteries inquiétantes ».
    Selon M. Taibbi, le projet Virality a contribué à ce que Twitter modifie sa politique en matière de contenu COVID-19 « en partenariat avec les CDC ».

    - voir doc sur site -

    Le 17 février 2021, Twitter a rejoint le projet Virality, donnant des instructions aux cadres de Twitter, comme Yoel Roth, alors responsable de la confiance et de la sécurité chez Twitter, sur la manière de rejoindre le système de billetterie commun.

    Twitter a également commencé à recevoir des rapports hebdomadaires sur la « désinformation anti-vax » qui, selon M. Taibbi, « contenaient de nombreuses histoires vraies ».

    Le projet Virality a indiqué à Twitter que les « histoires vraies », y compris les « décès de célébrités après un vaccin », pouvaient « alimenter l’hésitation » et devaient être considérées comme des « informations standard sur les vaccins sur votre plateforme ».

    - voir doc sur site -

    Se référant au « récit du passeport vaccinal », le projet Virality écrit par exemple que les « inquiétudes » suscitées par de telles propositions « ont alimenté un discours anti-vaccination plus large sur la perte des droits et des libertés ».

    Le projet Virality a qualifié ces « préoccupations » de « désinformation », et Twitter semble avoir suivi le mouvement.

    Selon M. Taibbi : « En mars 2021, le personnel de Twitter reprenait le langage du projet Virality [Virality Project], décrivant les « campagnes contre les passeports vaccinaux », la « peur des vaccinations obligatoires » et l’ « utilisation abusive des outils de rapport officiels » comme des « violations potentielles ». »

    Selon M. Taibbi, le projet Virality a également « régulièrement qualifié de désinformation des témoignages réels sur les effets secondaires, allant d’« histoires vraies » de caillots sanguins provoqués par les vaccins d’AstraZeneca à un article du New York Times sur des vaccinés ayant contracté une maladie du sang , la thrombocytopénie ».

    Twitter, en collaboration avec le Global Engagement Center du département d’État américain, a ensuite qualifié de « liés à la Russie » de nombreux comptes qui publiaient des « mises à jour légitimes et précises sur la COVID-19 » mais qui « attaquaient » des politiciens américains et européens.

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  25. Même des politiciens favorables à la restriction de COVID-19, comme l’ancien premier ministre italien Giuseppe Conte, ont été accusés de faire partie de ces réseaux « liés à la Russie ». Selon Politico, M. Conte fait actuellement l’objet d’une enquête en Italie pour n’avoir pas imposé un confinement assez rapidement en mars 2020.

    Le projet Virality a également évalué la « réaction du public » afin de déterminer si les contenus publiés sur les médias sociaux pouvaient être qualifiés de « désinformation » ou non. Dans un exemple :

    - voir doc sur site -

    Du point de vue du projet Virality, le simple fait de poser des questions est une tactique « couramment utilisée par les diffuseurs de fausses informations », tandis qu’un « rassemblement mondial pour la liberté planifié sur Telegram » a été qualifié d’ « événement de désinformation ».

    Dans un autre courriel adressé à Twitter au sujet de la « désinformation », le projet Virality a déclaré qu’il souhaitait « cibler » un « récit de plus en plus populaire sur l’immunité naturelle », tout en décrivant les infections « percées » comme des « événements extrêmement rares » qui ne devraient pas être déduits pour signifier que « les vaccins sont inefficaces ».

    Quelques mois plus tard, le projet Virality a toutefois admis que « des cas de percée se produisent

    - voir doc sur site -

    Toute personne diffusant sur les médias sociaux des contenus suggérant que les vaccins et les passeports vaccinaux sont des éléments d’un « État de surveillance » n’a pas échappé à l’observation du projet Virality. Selon M. Taibbi, l’organisation a effectué des recherches sur le terme « État de surveillance », classant ces contenus dans la catégorie « conspiration ».

    Tout en admettant qu’il y a eu des « percées infectieuses ». Le rapport final du projet Virality a continué à affirmer qu’il s’agissait de « désinformation pour suggérer que le vaccin ne prévient pas la transmission, ou que les gouvernements prévoient d’introduire des passeports pour les vaccins », même si « les deux choses se sont avérées vraies ». M. Taibbi a déclaré :.

    - voir doc sur site -

    Le même rapport, modifié dix fois depuis sa publication – la dernière fois le 5 décembre 2022 – était ouvert aux récits personnels, à condition qu’ils soient pro-vaccins. Le rapport suggère que les entités gouvernementales pourraient « mélanger des histoires personnelles sur les avantages du vaccin avec le soutien des données ».

    Pour M. Taibbi, les révélations sur le projet Virality sont importantes pour deux raisons :

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  26. « Premièrement, en tant que preuve de concept orwellienne, le projet Virality a été un succès retentissant. Le gouvernement, les universités et un oligopole d’entreprises concurrentes potentielles se sont rapidement organisés derrière un effort secret et unifié pour contrôler les messages politiques.

    « Deuxièmement, elle a accéléré l’évolution de la censure numérique, la faisant passer d’un jugement de vérité/non-vérité à un nouveau modèle plus effrayant, ouvertement axé sur la narration politique au détriment des faits. »

    Le projet Virality ne reposait pas sur des « affirmations de faits », mais sur la soumission du public à l’autorité, l’acceptation des récits et les déclarations de personnalités telles qu’Anthony Fauci. Le concept central/animateur du projet était « Vous ne pouvez pas gérer la vérité », conclut M. Taibbi.

    Le projet Virality a cherché à « pré-mentir » les récits véridiques mettant en cause les vaccins

    Le projet Virality semble être resté largement inactif depuis la publication de son rapport final en février 2022. Toutefois, son contenu et ses recommandations restent en ligne.

    Dans son « Expectations and Action Plan for Health Communicators » [Attentes et plan d’action pour les communicateurs en matière de santé], par exemple, le projet Virality prévient que « les communautés établies de pseudoscience et d’anti-vaccination continueront à créer, à diffuser et à répéter des récits destinés à dissuader le public de se faire vacciner contre la COVID-19 ».

    « Alors que le déploiement des vaccins contre la COVID-19 se poursuit, il sera essentiel de réduire au minimum l’hésitation du grand public à se faire vacciner pour mettre fin à la pandémie de coronavirus. Selon le modèle des trois C sur l’hésitation vaccinale, les trois facteurs – complaisance, confiance et commodité – jouent un rôle dans la promotion de l’acceptation des vaccins », a ajouté le rapport.

    Le projet Virality poursuit en citant les récits entourant la mort de la légende du baseball Hank Aaron comme exemple de cette « désinformation », affirmant que sa mort était due à des causes naturelles et non à la vaccination contre la COVID-19 – même s’il est décédé deux semaines après avoir reçu sa première dose.

    La Maison Blanche a ciblé un tweet posté par Kennedy le 22 janvier 2021 sur la mort d’Aaron, demandant à Twitter de le supprimer, tandis que le 31 janvier 2021, le tweet de Kennedy a été « vérifié » par le Times, sur la base qu’un médecin légiste a déclaré que la mort d’Aaron n’était pas liée à sa vaccination.

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  27. Cependant, M. Kennedy a déclaré que lors d’une conversation qu’il a eue avec le médecin légiste du comté de Fulton après la publication de cet article, celui-ci a affirmé qu’il n’avait jamais examiné le corps de Hank Aaron. Une lettre ultérieure que M. Kennedy a écrite au Times n’a jamais été publiée.

    Affirmant que « les militants anti-vaccins et les influenceurs hostiles aux vaccins s’appuient sur l’incertitude concernant l’effet des vaccins contre la COVID-19 sur la transmission … pour affirmer que le vaccin est inefficace » et « utilisent des rapports trompeurs sur des personnes vaccinées ayant contracté la COVID-19, tentant ainsi d’accroître le scepticisme quant à l’efficacité du vaccin », le projet Virality a également appelé à des stratégies de « pré-mensonge » contre ce type de contenu.

    Le « pré-mensonge » a pour but d’avertir le public des prétendues « fausses informations » avant qu’elles ne se répandent.

    Dans le cadre de cet apparent pré-mensonge, un document du projet Virality du 17 avril 2021, publié quatre jours après la suspension du vaccin contre la COVID-19 de Johnson & Johnson par les CDC et la FDA, indiquait que le nombre d’incidents de « type[s] rare[s] et grave[s] de caillot[s] sanguin[s] » (six) était « très faible ».

    Suggérant que la suspension du vaccin de Johnson & Johnson peut « susciter l’hésitation », l’article propose des stratégies pour tenter de contrer les efforts de ceux qui mettent en doute la sécurité des vaccins contre la COVID-19 et qui utilisent cette suspension comme un argument à l’appui d’un tel récit.

    Dans un document daté du 11 février 2021, le projet Virality a également évalué les politiques de contenu liées à la COVID-19 de neuf plateformes de médias sociaux, appelant à « la clarté et la transparence des politiques » et à « des interventions et des contre-récits », parmi d’autres suggestions.

    Le projet Virality a également mis en garde contre les dangers de la « circulation mondiale » qui prolonge « la longévité de la désinformation », contre les tentatives de la Russie et de la Chine d’ « influencer les conversations sur les vaccins aux États-Unis » et contre la façon dont les récits des médias sociaux remettant en question les vaccins contre la COVID-19 « sapent les sources de santé faisant autorité ».

    La collaboration de l’administration Biden avec le projet Virality n’est pas la première fois que l’on découvre qu’elle utilise des éléments de discussion liés à la COVID-19 provenant d’acteurs privés.

    Des documents ont révélé que l’administration Biden avait reçu des conseils d’un important institut de sondage, Impact Research, sur la manière dont elle pourrait « remporter la victoire sur la COVID-19 ». Bon nombre de ces points de discussion ont été inclus dans le discours sur l’état de l’Union prononcé par Joe Biden en mars 2022.

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  28. M. Taibbi, l’un des principaux éditeurs des révélations sur les « dossiers Twitter », a été attaqué par des parlementaires démocrates lors de son témoignage devant la Chambre des représentants le 9 mars. On lui a notamment demandé de révéler ses sources et on l’a qualifié de « soi-disant journaliste » à la solde du propriétaire et PDG de Twitter, Elon Musk.

    En réponse, M. Musk a tweeté :

    - voir doc sur site :

    https://www.mondialisation.ca/la-grande-machine-a-mensonges-covid-19-le-projet-de-luniversite-de-stanford-a-collabore-avec-les-autorites-federales-et-les-medias-sociaux-pour-censurer-les-fausses-informations/5676487

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  29. ZOMBIE DRUG "Tranq" secrètement mélangé avec du fentanyl ROTS tissu humain, entraînant une amputation et davantage de décès par surdose dans 48 États américains


    Wednesday, March 29, 2023
    by: S.D. Wells


    (Natural News) Comme si la crise du fentanyl ne pouvait pas s'aggraver, elle l'a fait. La DEA découvre un tranquillisant vétérinaire populaire appelé xylazine, censé être utilisé uniquement pour endormir les animaux en vue d'une intervention chirurgicale, utilisé par les trafiquants de drogue comme agent de coupe pour le fentanyl. La "coupe", c'est quand un trafiquant de drogue augmente la quantité d'une drogue en ajoutant un agent bon marché qui lui ressemble, mais la "tranq dope" est encore PLUS mortelle que le fentanyl, car il n'y a pas d'antidote en cas de surdose d'utilisateurs sans méfiance. Les personnes qui font une surdose de fentanyl peuvent être sauvées pendant les premières minutes si on leur administre le médicament inversant la surdose de naloxone, également connu sous le nom de Narcan (se présente sous forme de vaporisateur nasal), mais cela ne fonctionne pas pour la drogue zombie tranq.

    Médicament vétérinaire décomposant la peau "tranq" zombifiant les humains qui pensent qu'ils ne font que prendre du fentanyl ou de la cocaïne
    La DEA a émis une alerte de sécurité publique dans les 50 États américains mettant en garde contre l'agent de coupe bon marché contenu dans le fentanyl qui fait pourrir la chair humaine et se transforme en gangrène. Le sédatif animal et relaxant musculaire se trouve dans tout le pays, grâce à la politique d'ouverture des frontières de Pékin Biden et aux cartels de la drogue chinois et mexicains qui poussent des drogues encore plus mortelles sur tout le continent américain.

    Comme si le fentanyl n'était pas assez mortel, la majeure partie contient désormais de la "dope tranquillisante" qui déprime la respiration et fait pourrir la chair. La nécrose est désormais un « effet secondaire » de l'utilisation du fentanyl, car la plupart des drogues illicites contiennent désormais des doses aléatoires de xylazine, entraînant la pourriture de la chair, l'amputation et une surdose irréversible. La DEA rapporte que l'année dernière, au moins un quart de tout le fentanyl saisi contenait de la xylazine. Même les pilules opioïdes sur ordonnance vendues dans la rue contiennent maintenant la drogue zombifiante, tuant plus de 300 Américains chaque jour.

    La drogue zombie fait durer le fentanyl high plus longtemps, tout en pourrissant la chair au site d'injection et sur les jambes, les pieds, les mains, les bras et le visage des utilisateurs. Les toxicomanes ressemblent désormais littéralement à des zombies. Ce nouveau mélange se trouve dans 48 des 50 États américains, dans toutes les villes métropolitaines, et grâce à la politique d'ouverture des frontières du régime Biden, où la circulation de la drogue aux États-Unis est plus facile que la vente de malbouffe lors d'un carnaval.

    La drogue zombie Tranq trouvée dans des pilules, de la poudre et des glassines d'héroïne et de crack vendues dans la rue dans toutes les grandes villes américaines
    Les jours sont révolus où un toxicomane ou un adolescent qui expérimente des drogues peut simplement acheter une certaine drogue, l'essayer et vivre pour en parler. Aujourd'hui, les enfants, les adolescents, les jeunes adultes et les toxicomanes toxicomanes font des overdoses à peu près n'importe quoi, car maintenant presque toutes les drogues peuvent facilement être mélangées avec du fentanyl et du tranquillisant, et personne ne le sait, sauf le trafiquant de drogue, jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Des médicaments pour le TDAH aux mollies, en passant par les gens dans les bars qui laissent tomber du fentanyl dans les boissons des gens, c'est comme la roulette russe et le "pistolet" est chargé.

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  30. La xylazine est extrêmement bon marché à l'achat, donc les trafiquants de drogue adorent l'utiliser. Ils se moquent bien du nombre de personnes qui font une overdose ou qui ont la peau pourrie, et le gouvernement américain, dirigé par des tyrans démocrates trafiquants de drogue, eh bien, ils s'en fichent non plus. Vous avez des ulcères cutanés ? C'est probablement l'effet tranquillisant.

    Selon le CDC, plus de 100 000 Américains sont morts d'août 2020 à août 2021 d'EMPOISONNEMENTS à la drogue, et les deux tiers d'entre eux impliquaient des opioïdes synthétiques. Philadelphie et New York sont à l'épicentre de l'apocalypse zombie, où plus de 90 % des échantillons de drogue testés en laboratoire contiennent la xylazine, une drogue zombie. Répétons cela. Presque tous les échantillons de dope testés en laboratoire contiennent le médicament mangeur de chair et surdosant pour les humains qui est censé être uniquement destiné à endormir les animaux pour une intervention chirurgicale. Où sont les autorités fédérales et la DEA pour régner sur la fabrication, la distribution et les ventes illégales de ce médicament ?

    Réglez votre ligne Internet sur NaturalMedicine.news pour obtenir des conseils sur la façon d'utiliser des remèdes naturels pour guérir des dépendances et ramener le corps à son état naturel.

    Les sources de cet article incluent :

    NYpost.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-29-zombie-drug-tranq-secretly-mixed-with-fentanyl.html

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  31. Vidéo : Dr. McCullough Sénat américain : Pour sauver des vies, retirez les 'vaccins' COVID-19 du marché


    Par le Dr Peter McCullough
    Recherche mondiale,
    30 mars 2023


    Pour éviter davantage de dommages, les 'vaccins' COVID-19 doivent être retirés du marché. Le sénateur américain Ron Johnson (R-Wis.) a dirigé une table ronde le 7 décembre 2022, Les vaccins COVID-19 : ce qu'ils sont, comment ils fonctionnent et les causes possibles des blessures, pour faire la lumière sur l'état actuel des connaissances entourant le vaccin et la voie à suivre. Des experts médicaux et des médecins spécialisés dans la recherche et le traitement du vaccin COVID-19 ont rejoint le sénateur Johnson lors de la table ronde.

    - voir clip (Rumble) sur site :

    https://www.globalresearch.ca/video-dr-mccullough-us-senate-save-lives-pull-covid-19-vaccines-off-market/5814101

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  32. Comment le projet de viralité menace notre liberté


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    30 mars 2023


    Comme détaillé dans « La propagande et la censure dominent la guerre de l'information », nous avons maintenant la preuve, grâce aux fichiers Twitter, que la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) du Département américain de la sécurité intérieure (DHS) s'est associée à un consortium de censure appelé Election Integrity Partnership (EIP) pour censurer les Américains.1

    Dans une interview au Conseil de l'Atlantique, le directeur de l'EIP, Alex Stamos, a également admis que le partenariat entre l'EIP et le DHS avait été mis en place pour externaliser la censure, ce que le gouvernement ne pouvait pas faire en raison du "manque d'autorisation légale".2

    Stamos, ancien chef de la sécurité chez Facebook, est également directeur de l'Observatoire Internet de Stanford - l'une des quatre organisations qui composent l'EIP - et est partenaire de la société de conseil en cyber Krebs Stamos Group avec l'ancien directeur de CISA Chris Krebs.

    Le projet de viralité est renommé EIP

    Au cours du cycle électoral de 2020, l'EIP et la CISA ont travaillé avec le Centre d'engagement mondial (GEC) du Département d'État et le Centre de partage et d'analyse des informations sur les infrastructures électorales (ISAC) soutenu par le DHS pour contrôler les idées fausses politiques sur les réseaux sociaux. L'EIP a coordonné le retrait des contenus indésirables à l'aide d'une application de chat en temps réel que partagent tous le DHS, l'EIP et les sociétés de médias sociaux.3

    En février 2021, l'EIP s'est rebaptisé Virality Project et a continué à censurer les récits du COVID-19 au nom du gouvernement de la même manière que l'EIP a censuré les récits électoraux au nom de la gauche politique.4

    Selon le journaliste indépendant Matt Taibbi, le projet de viralité était essentiellement une course à vide pour le Conseil fédéral de gouvernance de la désinformation du président Biden.5 En fait, le projet de viralité a proposé un « centre d'excellence sur la désinformation et la désinformation » fédéral juste un jour avant que le président Biden n'annonce le plan. pour cette tenue orwellienne.

    La réaction du public a forcé Biden à reconsidérer, mais tout cela signifie que le gouvernement a choisi de ne pas officialiser sa censure inconstitutionnelle des Américains. Ils le font toujours grâce à des partenariats avec le projet EIP/Virality et d'autres tiers.

    Projet de viralité Vérité censurée

    Dans un rapport du 20 mars 2023 (vidéo ci-dessus), l'hôte de The Hill, Robby Soave, a détaillé les objectifs du projet de viralité, qui « étaient avant tout de protéger l'intégrité perçue de la bureaucratie fédérale de la santé, des fabricants de vaccins et des décideurs gouvernementaux en matière de vaccins, et pour faire avancer les récits et les intérêts de l'establishment en général.

    Comme l'a noté Soave, le Virality Project a fréquemment fait pression sur les entreprises de médias sociaux pour qu'elles censurent les informations liées au COVID-19 et/ou les qualifient de "désinformation" - même si l'information était vraie.

    "Cette coalition, qui travaillait avec des agences gouvernementales, des ONG et les entreprises de médias sociaux elles-mêmes, a adopté la position que même une information vraie pouvait être considérée comme une désinformation dangereuse si son effet était d'encourager une politique qui se heurtait au consensus des experts...

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  33. Si nous apprécions toujours le premier amendement, nous devons résister à ces appels pernicieux à la censure. Un appel qui vient d'une coalition sordide de "tsars de la vérité" et d'activistes idéologiques se faisant passer pour des vérificateurs de faits", a déclaré Soave.

    La simple possibilité de provoquer un « scepticisme vis-à-vis des vaccins » ou une « hésitation vis-à-vis des vaccins » était une justification suffisante pour censurer les informations sur les injections mortelles de COVID, par exemple, même si les informations étaient véridiques et nécessaires pour prendre une décision éclairée.

    Cela comprenait même de vrais récits de première main de graves blessures par coup COVID, qui auraient pu sauver des vies si elles avaient été autorisées à être partagées. Comme l'a noté Andrew Lowenthal, co-fondateur d'EngageMedia et auteur au Brownstone Institute :6

    «Plutôt que d'écouter les signaux de sécurité pour protéger le public, les leaders dans le domaine« anti-désinformation »ont couvert pour protéger Big Pharma, salissant et censurant les critiques.

    La dépravation morale est stupéfiante et très probablement criminelle… [En] supprimant les «histoires de véritables effets secondaires des vaccins», le projet Virality a mis les gens en danger. Plutôt que d'assurer la sécurité des gens, ils nous ont exposés aux déprédations de Big Pharma.

    Logique de guerre

    L'auteur à succès John Leake7 a également commenté la censure des informations véridiques par le Virality Project, en disant :8

    "Cela m'a rappelé notre récent voyage en Australie au cours duquel nous avons appris que l'Australian Therapeutic Goods Administration (TGA) dirigée par le Dr John Skerritt, MD, PhD, avait pris la décision de supprimer les rapports précis sur la myocardite induite par le vaccin chez les jeunes, car une telle les rapports pourraient provoquer une «hésitation à la vaccination».

    De l'avis de ces décideurs et régulateurs, l'incidence des effets secondaires graves et mortels est suffisamment rare pour justifier la censure de TOUT signalement à leur sujet, car un tel signalement pourrait causer le plus grand préjudice de "l'hésitation à la vaccination".

    Selon leur calcul, les blessures graves et les décès causés par les vaccins COVID-19 sont le prix que nous, en tant que société, devons payer pour le nombre prétendument plus élevé de vies sauvées grâce aux vaccins.

    Jamais dans l'histoire de la médecine ce calcul n'a été utilisé pour évaluer le bénéfice d'un produit médical. Ce n'est que dans un contexte militaire - c'est-à-dire que les commandants sur le terrain doivent accepter un certain nombre de pertes afin d'obtenir le plus grand avantage de vaincre l'ennemi - que cette logique a été appliquée.

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  34. Aucune inquiétude, blague ou question autorisée

    Le projet de viralité a également ciblé les messages qui exprimaient des craintes au sujet des passeports vaccinaux – parce que le fait d'être contre les passeports vaccinaux était une «passerelle pour être anti-vax» – et censuré les blagues et les mèmes satiriques au motif qu'ils pourraient «exacerber la méfiance» envers ceux ciblés comme le bout de la blague.

    Le Dr Anthony Fauci est un exemple de responsable de la santé publique dont la réputation a été protégée de cette manière. Ils ont même fait de poser des questions un événement punissable, car poser des questions est une tactique « couramment utilisée par les diffuseurs de désinformation ». 9

    Avez-vous entendu parler du pré-bunking ?

    Le Virality Project a également inventé des stratégies de « pre-bunking » pour « avertir » le public de la prétendue désinformation avant qu'elle n'ait eu le temps de se propager.

    Par exemple, lorsque le jab Johnson & Johnson COVID a été temporairement suspendu par la Food and Drug Administration et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis en avril 2021, le Virality Project a publié une déclaration de réponse rapide10 indiquant le nombre d'incidents de types rares et graves de les caillots sanguins étaient "très petits", surtout compte tenu des millions de doses administrées.

    Ils ont également analysé les récits avancés «concernant la suspension de J&J au sein des groupes anti-vaccins sur les plateformes de médias sociaux» et dans les médias étrangers et internationaux, et comment ces récits pourraient affecter «l'hésitation à la vaccination», et ont proposé des stratégies pour contrer les efforts visant à utiliser la suspension. comme support pour les arguments de jab anti-COVID.

    Les fichiers Twitter incluent des appels pour me censurer

    Comme prévu, les fichiers Twitter contiennent également de la correspondance avec des sociétés de médias sociaux concernant la vôtre. Taibbi souligne que les fichiers Twitter « montrent à plusieurs reprises des médias agissant comme mandataires »11 pour les ONG du réseau de censure.

    À titre d'exemple, il a publié l'e-mail ci-dessous12, dans lequel le Financial Times a utilisé le rapport fabriqué par l'ONG louche Center for Countering Digital Hate "Misinformation Dozen" pour faire pression sur Twitter afin qu'il me bannisse, moi, Robert F. Kennedy Jr, et les autres sur son site liste.

    La campagne de censure du gouvernement est financée par les contribuables

    Comme l'a noté Taibbi dans un fil Twitter du 9 mars 2023 :13

    « Eh bien, dis-tu, et alors ? Pourquoi les organisations de la société civile et les journalistes ne devraient-ils pas travailler ensemble pour boycotter la « désinformation » ? N'est-ce pas là un simple exercice de liberté d'expression, mais une forme particulièrement éclairée de celle-ci ?

    La différence est que ces campagnes sont financées par les contribuables. Bien que l'État soit censé rester à l'écart de la propagande nationale, l'Aspen Institute, Graphika, le DFRLab de l'Atlantic Council, New America et d'autres laboratoires « anti-désinformation » reçoivent d'énormes récompenses publiques.

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  35. Certaines ONG, comme le Global Disinformation Index financé par le GEC ou le NewsGuard financé par le DOD, non seulement recherchent la modération du contenu, mais appliquent des scores subjectifs de « risque » ou de « fiabilité » aux médias, ce qui peut entraîner une réduction des revenus. Voulons-nous que le gouvernement assume ce rôle? …

    C'est le complexe censure-industriel dans son essence : une bureaucratie prête à sacrifier la vérité factuelle au service d'objectifs narratifs plus larges. C'est tout le contraire de ce que fait une presse libre...

    Ceci, en fin de compte, est le problème le plus grave avec le Complexe Censure-Industriel. Présenté comme un rempart contre les mensonges et les faussetés, il est lui-même souvent une source majeure de désinformation, les contribuables américains finançant leur propre éloignement de la réalité.

    Censure Chérie au passé trouble

    Vous pouvez en savoir plus sur le travail de Taibbi sur les fichiers Twitter dans la vidéo ci-dessus. Dans son fil Twitter Files No. 19, Taibbi met également en lumière certains des personnages les plus sombres de ce complexe industriel de la censure, comme Renée DiResta, responsable de la recherche technique à l'Observatoire Internet de Stanford (qui, encore une fois, fait partie du projet EIP and Virality) :14

    "Les profils dépeignent DiResta comme un guerrier contre les robots russes et la désinformation, mais les journalistes ne se renseignent jamais sur le travail avec la DARPA, le GEC et d'autres agences. Dans la vidéo ci-dessous… Stamos la présente comme ayant "travaillé pour la CIA".

    - voir sur site -

    « DiResta est devenue le visage public du Complexe Censure-Industriel, un nom promu partout comme une autorité incontestée sur la vérité, les faits et l'hygiène d'Internet, même si son ancienne entreprise, New Knowledge, a été impliquée dans deux scandales majeurs de désinformation…

    Les nouvelles connaissances de DiResta ont aidé à concevoir le projet Hamilton 68 exposé dans les fichiers Twitter. Bien qu'il ait prétendu suivre «l'influence russe», Hamilton a vraiment suivi les Américains [conservateurs]… Hamilton 68 a été financé par l'Alliance pour la sécurisation de la démocratie, qui à son tour a été financée par le German Marshall Fund, qui à son tour est financé en partie par - le Département d'État.

    Le scandale bien pire a été Project Birmingham, dans lequel des milliers de faux comptes Twitter russes ont été créés pour suivre le républicain de l'Alabama Roy Moore dans sa course de 2017 au Sénat américain. Les journaux ont rapporté que la Russie semblait s'intéresser à la course, favorisant Moore.

    Bien qu'au moins un journaliste d'un grand journal américain ait participé à une réunion en septembre 2018 lorsque New Knowledge a planifié l'étrange campagne de robots et de diffamation, l'histoire n'a éclaté qu'en décembre, deux jours après que DiResta a publié un rapport sur l'ingérence russe dans le Sénat …

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  36. L'incident a souligné l'extrême dangerosité du complexe censure-industriel. Sans véritables mécanismes de contrôle, rien n'empêche ces avant-gardes de l'information surpuissantes de déformer la vérité à leurs propres fins.

    À titre de preuve, aucune grande organisation de presse n'a réexaminé les affirmations audacieuses de DiResta / New Knowledge faites au Sénat - par exemple. que les publicités russes "ont atteint 126 millions de personnes" en 2016 – tout en dissimulant les fraudes à Hamilton et en Alabama.

    Le gouvernement américain construit un vaste Web de suppression de la parole

    Aussi mauvaises que soient les choses, elles sont sur le point de s'aggraver à moins que le Congrès n'y mette un terme. Dans un article du 21 mars 202315, la correspondante juridique principale de The Federalist, Margot Cleveland, détaille les subventions montrant que le gouvernement américain « construit un vaste réseau de surveillance et de suppression de la parole autour de chaque Américain ».

    « Notre gouvernement se prépare à surveiller chaque mot que les Américains disent sur Internet – le discours des journalistes, des politiciens, des organisations religieuses, des groupes de défense et même des citoyens privés. Si ces conversations entrent en conflit avec le point de vue du gouvernement sur ce qui est dans le meilleur intérêt de notre pays et de ses citoyens, ce discours sera réduit au silence », écrit-elle.16

    «Alors que les« fichiers Twitter »offrent un aperçu des efforts du gouvernement pour censurer les points de vue défavorisés, ce que nous avons vu n'est rien comparé à ce qui est prévu, car les détails de centaines de récompenses fédérales sont dévoilés.

    Les recherches de The Federalist révèlent que nos impôts financent le développement de technologies d'intelligence artificielle (IA) et d'apprentissage automatique (ML) qui permettront au gouvernement de découvrir facilement les discours « problématiques » et de suivre les Américains qui lisent ou participent à de telles conversations.

    Ensuite, en partenariat avec Big Tech, Big Business et les médias, le gouvernement veillera à ce que le discours soit censuré, sous prétexte de lutter contre la "désinformation" et la "désinformation".

    Au cours des trois dernières années seulement, le gouvernement fédéral a accordé plus de 500 contrats et/ou subventions visant à lutter contre la « désinformation » et la « désinformation ». Le ministère de la Défense lui-même se concentre également sur la recherche impliquant des technologies d'IA et de ML capables de surveiller les conversations sur Internet à la recherche de points de vue répréhensibles et de déployer des contre-mesures avant qu'elles ne deviennent virales.

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  37. Un attrape-22

    Malheureusement, beaucoup de ceux qui ont le plus grand pouvoir d'informer le public sur ce qui se passe, et ceux qui ont le pouvoir de nous protéger en mettant fin à ce cauchemar dystopique, ne veulent pas le faire parce qu'ils ont quelque chose à y gagner, ou crois qu'ils le font. Comme l'a noté Cleveland :17

    « La menace est encore plus grande parce que ceux qui ont le pouvoir d'avertir le public et d'exiger que le gouvernement cesse de faire taire le discours des Américains sont complices.

    Avec les démocrates, les médias hérités et de nombreux républicains impliqués dans les efforts du gouvernement pour censurer la désinformation et la désinformation, il sera extrêmement difficile pour le public de reconnaître les risques auxquels la liberté d'expression est confrontée - d'autant plus que ceux qui tentent de sonner l'alarme ont déjà été faussement fournisseurs de marque de désinformation.

    Il reste cependant une chance qu'un nombre suffisant d'Américains ordinaires entendent le message avant qu'il ne soit trop tard et demandent au Congrès de fermer le complexe industriel et de censure.

    Où allons-nous à partir d'ici?

    Taibbi, dans la vidéo ci-dessus, dit que les révélations sur le Virality Project nous disent deux choses :18

    «Premièrement, en tant que preuve de concept orwellienne, le projet de viralité a été un succès retentissant. Le gouvernement, le milieu universitaire et un oligopole d'entreprises concurrentes potentielles se sont rapidement organisés derrière un effort secret et unifié pour contrôler les messages politiques.

    Deuxièmement, cela a accéléré l'évolution de la censure numérique, la faisant passer du jugement de la vérité/du mensonge à un nouveau modèle plus effrayant, ouvertement axé sur le récit politique au détriment des faits.

    Ceci est profondément problématique et étranglera la démocratie et mettra fin à la république qu'est les États-Unis si elle est autorisée à continuer. Pour citer Lowenthal :19

    « La liberté d'expression et d'expression nous protège des acteurs les plus puissants de la planète, les entreprises, l'État et une pléthore croissante d'organismes internationaux. En fin de compte, nous avons besoin de médias sociaux radicalement décentralisés, plus à l'abri de leur capture. Notre sécurité en dépend. »

    La décentralisation des médias sociaux n'est cependant qu'une tactique de défense nécessaire. Nous devons également exiger du Congrès qu'il agisse rapidement pour définancer et démanteler le "complexe censure-industriel" qui utilise l'argent de nos impôts pour nous tromper et cacher la vérité. Rien de moins ne suffira. Nous ne pouvons pas inventer suffisamment de lois sur la confidentialité pour nous protéger de ce qui s'en vient.

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  38. Pendant un certain temps, beaucoup d'entre nous ont soupçonné que ce système massif de surveillance et de contrôle était principalement financé et construit par des intérêts privés, mais nous constatons maintenant que le financement gouvernemental est derrière une grande partie, et peut-être la plus grande partie.

    Le Congrès a, pendant de nombreuses années, voire des décennies, approuvé le financement de programmes destinés à détruire nos droits constitutionnels. Maintenant, ils doivent tous les définancer. Ils doivent également définancer tous les départements ou équipes des agences gouvernementales impliquées dans le réseau de censure fédéral, et cela inclut le FBI, la CIA et le DHS.

    Sources and References

    1, 13, 14 Twitter Matt Taibbi March 9, 2023
    2, 4 Foundation for Freedom Online November 9, 2022
    3 Twitter Lee Fang October 31, 2022
    5, 9, 18 The Defender March 20, 2023
    6, 19 Brownstone Institute March 19, 2023
    7 The Defender John Leake Bio
    8 Peter McCullough Substack March 12, 2023
    10 Virality Project April 17, 2021
    11, 12 Twitter Matt Taibbi March 9, 2023 Image
    15, 16, 17 The Federalist March 21, 2023

    https://www.lewrockwell.com/2023/03/joseph-mercola/how-the-virality-project-threatens-our-freedom/

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  39. Le complot mortel de la « vaccination » contre le SARS-CoV-2


    le 29 mars 2023


    Les statistiques officielles indiquent que la pandémie SARS-CoV-2 a provoqué la mort de 6 597 328 personnes dûment répertoriées comme étant mortes des conséquences de l’infection par le virus. Pourtant l’Association Internationale pour la protection contre les Rayonnements Ionisants (AIPRI) a indiqué que les Nations-Unies avaient noté une surmortalité de 23,4 millions de personnes durant la période de trois années 2020-2022 couvrant la pandémie de coronavirus. Cette estimation tient compte de l’augmentation du nombre total de décès en raison de l’augmentation de la population mondiale comme l’indique la figure ci-dessous.

    - voir graph sur site -

    En tenant compte de cette augmentation extrapolée sur la période 2020-2022 il apparaît que la surmortalité observée est donc de 23 603 454 en tenant compte de l’augmentation « naturelle » du nombre de morts chaque année. Comme le nombre officiel de morts par coronavirus est de 6 697 328 quelles sont les causes permettant d’expliquer l’excédent de décès enregistré par les instances onusiennes de 16 906 126 ? Selon L’ONU durant les années 2021 et 2022, « années vaccinales », l’excédent de mortalité inexplicable a atteint 14 298 932.

    - voir graph sur site -

    Rapprocher la politique « vaccinale » massive décidée par les pouvoirs politiques de cet excédent de décès relèverait-il du complot ? Il faut constater que l’extrême complexité qu’ont rencontré les médecins traitants pour faire remonter vers les instances officielles les effets adverses et les décès « par vaccin », complexité mise en place à dessein pour très largement sous-estimer ces effets indésirables y compris les décès a eu pour conséquence bien identifiée que moins de 1 % des « morts par vaccin » ont été comptabilisés, alors on peut se poser quelques questions. De plus il y eut une quasi impossibilité de réaliser des autopsies pour déterminer les causes d’un décès pour des raisons législatives dans de nombreux pays à la suite de « morts après vaccin ». S’il y a eu complot celui-ci a été organisé par les pouvoirs politiques à la demande des laboratoires pharmaceutiques fournisseurs de ces « vaccins ». Le nombre de morts « par vaccin » est donc plus du double de celui « par virus ». Pour être honnête il faudrait enfin ajouter à ce nombre de morts ceux provoqués par les anticorps facilitant une nouvelle infection par le virus ou une deuxième infection car il s’agit également d’une conséquence de la « vaccination ». En somme il faudrait envisager non pas quelques 14 millions de morts mais plus probablement une quarantaine de millions voire beaucoup plus, l’équivalent de la population d’un pays comme l’Argentine ! Note. L’ADE (antibody dependent enhancement) a été observé par le passé avec des vaccins expérimentaux contre la dengue et observée très tôt pour le coronavirus ( doi : 10.1016/j.ijid.2020.09.015 ) dès l’année 2010 et pourtant la campagne massive de « vaccination » n’a pas été arrêtée comme cela aurait du être décidé par l’OMS. Il y a donc bien eu un complot criminel. Une autre fausse pandémie avec un autre virus manipulé en laboratoire et un « vaccin » déjà au point pour tuer et non pas protéger apparaîtra-t-elle pour tuer cette fois un gros milliard d’être humains afin de satisfaire à l’agenda des malthusiens qui veulent gouverner le monde ? Source : https://aipri.blogspot.com/2023/03/lonu-annonce-une-surmortalite-de-236.html

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/29/le-complot-mortel-de-la-vaccination-contre-le-sars-cov-2/

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  40. 5ème/6ème Vaccination à venir en Norvège : dates ? Ce qui n'est pas noirci n'est pas convaincant


    30 mars 2023
    par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes


    Il y a deux semaines, les bureaucrates norvégiens de la santé, avec l'aide des médias, ont commencé à réécrire "l'histoire de la pandémie". Beaucoup de choses se sont passées dans le nord depuis lors : des épisodes apparaissent encore et encore qui décrivent des dommages présumés liés à la vaccination, mais le mot "vaccination" est recherché en vain. Et puis il y a la "recommandation" des autorités selon laquelle les groupes à risque et les seniors devraient désormais recevoir une 5e injection et à l'automne une 6e injection. Données ? Aucune ! Les problèmes de sécurité dans le document ont été expurgés. Bref : rien de nouveau dans le nord.

    Quelque chose est pourri dans l'état de Norvège. Il y a seulement deux semaines, TKP a rendu compte de la propagande de l'anniversaire dans les "médias de premier plan et de qualité" . Peu de temps après cette intervention dans le révisionnisme, les autorités sanitaires norvégiennes ont recommandé aux personnes de 75 ans et plus une 5e dose au printemps et une 6e dose avec les agents « bivalents » ( ici et dans ce qui suit toutes les traductions et accents sont les miens) :

    Le gouvernement a décidé de suivre la recommandation du Folkehelseinstituttet [FHI, Institut de santé publique] et d'administrer une nouvelle dose de rappel du vaccin contre le coronavirus aux personnes âgées de 75 ans et plus et aux résidents des maisons de retraite s'il s'est écoulé plus de six mois depuis la dernière dose sont.

    Bien que l'évolution des infections au printemps et en été soit incertaine, le FHI estime qu'il est probable que les infections augmenteront dans les mois à venir. Pour protéger les personnes les plus touchées par une éventuelle nouvelle vague d'infections, la FHI recommande une dose de rappel.

    Pour les connaisseurs non norvégiens ou ceux qui veulent le devenir : le mot « recommandation » (norvégien anbefaling) semble sympathique (hyggelig), mais n'est guère plus qu'un ordre ou un règlement. Cela ne veut pas dire que la plupart des habitants ne suivent pas ces "recommandations" sans y réfléchir à deux fois.

    Bilan hebdomadaire Covid sur l'état de la "pandémie"

    Fait intéressant, le FHI déclare ce qui suit simultanément dans le rapport hebdomadaire n° 10 (pp. 3-4) :

    L'épidémie de COVID-19 reste à un niveau bas . Une forte baisse des infections et des nouvelles hospitalisations au début de l'année a été suivie d' une période de stabilité de l'incidence . Au cours des dernières semaines, il y a eu une augmentation constante du SRAS-CoV-2 dans les eaux usées, tandis que le nombre de nouvelles admissions à l'hôpital est relativement stable...

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  41. Le nombre de nouvelles admissions à l'hôpital avec COVID-19 confirmé en laboratoire (quel que soit le motif de l'admission) était de 159 à la semaine 10, contre 154 à la semaine 9. Le nombre de nouvelles admissions aux soins intensifs correspond à une nouvelle admission à la semaine 9 et constamment bas . [pause insérée]

    Le nombre de décès associés au COVID-19 (13 à la semaine 10, après 17 à la semaine 9 et 10 à la semaine 8) est resté relativement stable et faible au cours des dernières semaines ...

    Il ne peut être exclu que l'augmentation du SARS-CoV-2 dans les eaux usées observée depuis plusieurs semaines soit un signe avant-coureur d'une nouvelle vague. La sous-variante Omikron BA.2 XBB.1.5 est désormais la variante la plus courante en Norvège. Le virus BA.2 a remplacé le virus BA.5, dominant depuis l'été 2022. Le variant XBB se développe rapidement en Norvège et dans d'autres pays européens, où il représente désormais plus de 50 % des échantillons séquencés. Comme il est plus efficace pour échapper à l'immunité que d'autres variantes , il a également entraîné une augmentation des infections dans les pays où il est répandu. Cependant, aucune augmentation majeure des infections ou des maladies plus graves n'est attendue en Norvège .

    Alors pourquoi une 5ème dose au printemps ?

    Are S. Berg, directeur de département au Folkehelseinstituttet , donne la justification suivante :

    Étant donné que l'effet du vaccin Corona contre les maladies graves diminue quelque peu avec le temps, nous pensons qu'il est logique d'offrir aux personnes âgées et aux résidents des maisons de retraite qui ont reçu la quatrième dose l'été dernier et au début de l'automne une nouvelle [5.] Dose de rappel recommandée.

    Le FHI considère qu'il est probable que le même groupe d'âge aura également besoin d'une nouvelle [6.] dose de rappel à l'automne avant la saison d'hiver 2023-24.

    Sûr et efficace, et tellement "bon" que vous n'avez pas "besoin" d'une (3e) ou d'une autre (4e) injection de rappel, mais de deux de plus. Parce que « l'effet… s'estompe un peu avec le temps ».

    À quelle heure ? Des modèles de calculs du FHI sont disponibles à cet effet dès l'automne :

    - voir doc sur site -

    Vous voyez bien : le FHI lui-même a supposé pendant moins de six mois que « l'effet » (sic) des injections de Covid tomberait en dessous de 50 % après 27 à 40 jours. La « protection » de la – alors 4e – injection serait indiscernable du hasard au bout de quelques semaines.

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  42. La "base de données" des bureaucrates de la santé

    La base de la décision est également liée dans le communiqué de presse lié au début. Sous le titre « Bilan d'une nouvelle vaccination de rappel pour les seniors de 75 ans et plus », on peut lire, entre autres, ce qui suit (le document n'a pas de numéro de page) :

    La protection contre une évolution sévère du COVID-19 est généralement élevée dans la population norvégienne car la couverture vaccinale est élevée et beaucoup ont déjà été infectés par le SRAS-CoV-2. Cependant, les données norvégiennes montrent que la protection contre les maladies graves ou le décès par COVID-19 diminue avec le temps chez les personnes de plus de 75 ans après la quatrième dose . L'immunité hybride (immunité suite à une combinaison d'immunité suite à une combinaison d'infection et de vaccination) offre une meilleure protection qui dure plus longtemps et le besoin d'une dose supplémentaire est donc moins fréquent chez les personnes qui ont eu une infection en plus de la vaccination maintenant moins...

    Il n'y a actuellement aucune preuve d'une saisonnalité claire du virus SARS-CoV-2 comme la grippe. Il est probable qu'il y aura une nouvelle vague dans les mois à venir. mois à venir. Étant donné que les personnes âgées sont les plus à risque de développer une maladie grave et que les données suggèrent que l'effet de la 4e dose s'estompe quelque peu avec le temps, le FHI estime qu'il est prudent d'attribuer une nouvelle dose aux personnes âgées de 75 ans et plus. Cela les met mieux préparés à un éventuel nouveau pic dans la période précédant la campagne de vaccination d'automne prévue avant la prochaine saison d'hiver . Il y a peu de raisons de croire que la dose de rappel supplémentaire entraînera des effets secondaires autres que ceux précédemment connus.

    Pour les personnes âgées fragiles, tous les effets secondaires du vaccin sont plus que compensés par un risque réduit de développer une maladie grave due au COVID-19. Cependant, chez les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers du vaccin peuvent avoir de graves conséquences, et pour ceux qui ont de toute façon une espérance de vie très courte, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents. Par conséquent , chez les patients très fragiles (par exemple, score de fragilité clinique de 8 ou plus) et chez les patients en phase terminale, il est recommandé d'examiner attentivement les avantages et les inconvénients de la vaccination .

    Et voici la recommandation du FHI :

    Recommandation d'une nouvelle dose de rappel en mars-avril pour les personnes de 75 ans et plus et les résidents en EHPAD de moins de 75 ans si plus de 6 mois se sont écoulés depuis la dernière dose. Une autre dose de rappel est particulièrement importante pour ceux qui n'ont pas encore eu d'infection par le SRAS-CoV-2 ou qui présentent d'autres facteurs de risque en plus de l'âge avancé .

    Résumée dans une liste, cette pesée du « pour et du contre » est la suivante :

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  43. Avantages : La nouvelle dose du vaccin bivalent (Wuhan + BA.4-5) fournit une réponse immunitaire légèrement plus large qui peut avoir un impact sur l'infection avec les variantes actuellement en circulation.
    Une nouvelle dose offre une protection légèrement accrue contre les maladies graves, en particulier pour ceux qui n'ont pas encore été infectés par le COVID-19.
    Inconvénients : La fatigue liée à la vaccination peut augmenter, ce qui pourrait affecter la préparation à la campagne de vaccination d'automne.
    L' effet contre les nouvelles infections variantes est incertain et de courte durée [notez la contradiction avec le « bénéfice » ci-dessus].
    Recommander une nouvelle dose maintenant peut sembler inutile s'il n'y a pas de vague printemps/été. [Je ne sais pas quoi dire à ce sujet].
    Vaccination, mais formation d'anticorps ≠ protection contre le Covid-19
    Un peu plus bas dans le document on lit ceci :

    Plusieurs études ont montré qu'un niveau élevé de protection (~90 %) contre les principales maladies est maintenu au fil du temps chez les personnes à la fois vaccinées et déjà malades . Une grande partie de la population a été infectée par le SRAS-CoV-2, mais la proportion de personnes âgées déjà atteintes de la maladie est probablement inférieure à celle des groupes d'âge plus jeunes. Dans une enquête menée auprès de la cohorte senior de FHI, 54% ont déclaré avoir été testés positifs pour le SRAS-CoV-2 au moins une fois depuis le début de la pandémie.

    Vous ne savez vraiment rien sur "l'immunité naturelle", mais vous pouvez continuer à vacciner, n'est-ce pas ? Cependant, les avantages des injections supplémentaires ne sont pas si clairs (faites particulièrement attention aux mots comme "croire" ou "opinion") :

    Une autre dose de rappel ce printemps (dose 5) avec un vaccin mis à jour entraînera une augmentation du nombre de réponses d'anticorps neutralisants contre le virus original de Wuhan et BA.4-5. Des études immunologiques montrent que ces anticorps peuvent également neutraliser les variants BQ.1.1 et XBB, mais la quantité d'anticorps neutralisants est beaucoup plus faible contre les nouveaux variants que contre Wuhan et BA.4-5 .Comme aucun corrélat immunologique n'a été identifié, on ne sait pas dans quelle mesure ces anticorps offrent une protection accrue contre l'infection et une infection bénigne contre les nouvelles variantes, ou contribuent à la protection contre une maladie grave. La durée de protection accrue sera dans tous les cas relativement courte et correspond à l'augmentation et à la durée qui surviennent entre la 2ème et la 3ème dose et la 3ème et la 4ème dose.

    N'hésitez pas à relire ça.

    Des anticorps neutralisants peuvent ou non être formés, "mais la quantité... est beaucoup plus faible contre les nouvelles variantes que contre Wuhan et BA.4/5". Combien plus bas ?

    Ici, le FHI admet que quelle que soit la quantité d'anticorps produits après une autre vaccination, on ne sait pas si ces anticorps font réellement quelque chose.

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  44. Questions sur l'efficacité et la sécurité - documents expurgés
    Cependant, ces questions fondamentales ne trouvent presque jamais de réponse dans la même « Recommandation ». Les pages 12-13, qui ne traitent que de l'efficacité, ressemblent à ceci :

    - voir doc sur site -

    Vous avez bien compris : une note de bas de page sur "l'efficacité des vaccins contre les maladies bénignes" renvoyant à un article relatif à juillet-novembre. 2022 et est peu pertinente en raison des variants qui ne circulent plus ou des principes actifs qui ont été vaccinés depuis lors.

    - voir doc sur site -

    À la page 13, il est écrit au sujet des « infections bénignes » :

    Globalement, dans la tranche d'âge 65-80 ans (participants de la cohorte senior) une bonne réponse immunitaire (réponse cellulaire et anticorps) est observée après trois doses de vaccin. Cela suggère qu'en tant que groupe, ils sont bien protégés contre les maladies graves. Les niveaux d'anticorps augmentent après la 4e dose et restent relativement élevés pendant une période plus longue (mesurée jusqu'à 200 jours). Les participants de la cohorte senior sont principalement des personnes âgées ayant un faible niveau de fonctionnement. La moitié des participants ont une ou plusieurs maladies chroniques, 19 % sont considérés comme préfragiles (selon le phénotype de fragilité de Fried≥), 4 % sont définis comme fragiles et 11 % ont un niveau de fonctionnement réduit (selon le Global Activity Limitation Indice).

    C'est après avoir précédemment souligné que ces réponses immunitaires ne peuvent rien dire sur la protection contre les infections ou les maladies.

    Ibid il est question de "protection contre l'évolution sévère" - et l'éviter est l'objectif des doses 5 et 6 - mais sans un seul commentaire :

    Le FHI surveille l'effet du vaccin dans la population norvégienne en utilisant les données du registre de préparation. Les résultats d'une analyse de régression de Cox après vaccination avec la troisième dose montrent que la protection diminue avec le temps. Une quatrième dose offre une bonne protection, mais comme après la troisième dose, un effet légèrement décroissant est observé après la semaine 10 . [pause insérée]

    Cependant, les calculs de l'efficacité de la vaccination sont soumis à une grande incertitude, car le groupe de comparaison des personnes non vaccinées est un petit groupe dans lequel beaucoup ont construit une protection même après l'infection. Il est donc difficile de donner une bonne estimation de la protection réelle contre les maladies graves après les 3e et 4e doses sur la base de ces seuls calculs. Les données nationales et internationales indiquent que l'augmentation et la diminution relatives de l'efficacité du vaccin après une dose de rappel ne changent pas de manière significative avec le nombre de nouvelles doses .

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  45. Par souci d'exhaustivité, je tiens à souligner une fois de plus que la FHI n'a aucune preuve que les réactions à ces principes actifs prouvent réellement une fonction protectrice des injections Covid.

    Questions pour le FHI - et quelques réponses
    Sur la base des documents ci-dessus, j'ai de nouveau contacté le Folkehelseinstitutteet pour obtenir de plus amples informations sur ces déclarations.

    - voir doc sur site -

    La recommandation du 5/6 La dose pour les groupes à risque et les personnes âgées est basée sur « l'attente » (nous nous attendons à) que tout effet protecteur de l'injection et/ou de l'infection est déjà trop faible.

    En outre, FHI s'attend à ce que ces 5./6. La dose "peut être sur le point" de protéger les groupes à haut risque et les personnes âgées jusqu'à l'hiver prochain.

    Selon le Dr. Preben Aavitsland, l'un des directeurs de FHI.

    « Au fait » : Almamlouk et al. (2022), dans l'article "COVID-19-Pathologie cardiaque associée à l'évaluation post-mortem : une revue systématique collaborative" ( Clin Microbiol Infect., août ; 28(8) : 1066-75 ; doi : 10.1016/j.cmi. 2022.03.021) ont systématiquement analysé 50 études avec un total de 548 autopsies et ont constaté que le Covid-19 n'est pas associé à l'insuffisance cardiaque comme cause de décès.

    docteur Peter McCullough a commenté cela comme suit :

    Les résultats post-mortem habituels d'œdème tissulaire et de nécrose ont été fréquemment rapportés. Le SRAS-CoV-2 a été détecté dans les tissus d'environ les deux tiers des cœurs. Cependant, aucun des cœurs n'avait de myocardite étendue comme cause de décès… Cette étude a été conçue pour représenter le point final pour affirmer que la maladie COVID-19 a été exclue comme cause de myocardite mortelle. [saut de ligne inséré]

    Bien que le virus ait été trouvé dans le tissu cardiaque, il n'a pas provoqué d'inflammation importante. L'augmentation explosive des myocardites mortelles dues à des arrêts cardiaques inexpliqués après des autopsies montre qu'il doit y avoir une explication autre que l'infection par le SRAS-CoV-2. La seule nouvelle cause prouvée de lésions cardiaques dans la population humaine est la vaccination contre le COVID-19.

    Épilogue : questions ouvertes mais pas de réponses de FHI
    J'ai ensuite posé à Preben Aavitsland les questions supplémentaires suivantes :

    - voir doc sur site -

    Si, contrairement aux attentes, je reçois encore des réponses, je les partagerai avec vous.

    Que faut-il – peut-on – dire d'autre à ce sujet ?

    Après tout, la volonté de se soumettre à d'autres «vaccins» diminue également en Norvège.

    La liste des questions ouvertes peut probablement être allongée presque indéfiniment, notamment en raison des sections noircies sur "l'efficacité" des ingrédients actifs du modRNA.

    Aussi, la négation de toute considération des conséquences possibles des injections répétées est pour le moins préoccupante.

    Je peux entendre les mots, mais je n'ai pas confiance – dans la sincérité des autorités, leur volonté de répondre aux critiques et finalement de faire « la bonne chose ».

    https://tkp.at/2023/03/30/5-6-impfung-kommt-in-norwegen-daten-was-nicht-geschwaerzt-ist-ist-wenig-ueberzeugend/

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    1. Si l'idiot n'est pas mort à la 4 ème c'est quu'il a eu beaucoup de chance ! Donc: 5 ème ET 6 ème ! Allez hop !

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  46. Le risque de décès cardiaque a triplé pour les jeunes femmes après la vaccination contre le COVID-19 par AstraZeneca : étude


    Lily Zhou
    28 mars 2023


    Le risque de mort cardiaque subite chez les jeunes femmes a plus que triplé suite à une injection d'AstraZeneca COVID-19, selon une étude utilisant les données officielles de l'Angleterre publiée lundi.

    Vahé Nafilyan, statisticien principal à l'Office des statistiques nationales (ONS), a déclaré que les chercheurs ont découvert que "la réception d'une première dose d'un vaccin sans ARNm était associée à un risque accru de décès cardiaque chez les jeunes femmes".

    Il n'y avait aucune preuve que le risque de décès chez les jeunes augmentait après la vaccination avec des injections d'ARNm, telles que celles produites par Pfizer-BioNTech et Moderna.

    L'ONS a comparé les décès de personnes âgées de 12 à 29 ans survenus dans les 12 semaines suivant la vaccination contre le COVID-19 - la soi-disant période à risque - à ceux survenus à tout moment après la période à risque, pour estimer le risque de décès après la vaccination.

    Après avoir recoupé les décès avec les dossiers de vaccination contre le COVID-19 et les résultats des tests, l'ONS a déclaré qu'il n'y avait eu "aucune augmentation significative de la mortalité cardiaque ou toutes causes confondues" dans les 12 semaines suivant la réception des vaccins contre le COVID-19.

    Cependant, une ventilation des données a montré que le risque de décès cardiaque chez les jeunes femmes était trois fois plus élevé dans les 12 semaines suivant toute dose de vaccination sans ARNm, par rapport au risque à plus long terme.

    Lorsque seule la première dose était incluse, le risque de décès cardiaque chez les jeunes femmes devenait 3,5 fois plus élevé dans les 12 semaines suivant la vaccination.

    Mais l'ONS a également noté que le sous-groupe qui a reçu des vaccins sans ARNm "était plus susceptible d'être cliniquement vulnérable et peut être plus à risque d'événements indésirables après la vaccination que la population générale".

    Il a également déclaré que le nombre absolu de décès était faible.

    « Selon le modèle statistique, 11 des 15 décès cardiaques chez les jeunes femmes survenus dans les 12 semaines suivant une première dose d'un vaccin sans ARNm étaient susceptibles d'être liés au vaccin ; cela correspond à 6 décès d'origine cardiaque pour 100 000 femmes vaccinées avec au moins une première dose d'un vaccin sans ARNm », a déclaré l'ONS.

    L'étude a également examiné l'effet du COVID-19 sur les jeunes, concluant qu'un test positif était associé à une augmentation de la mortalité cardiaque et toutes causes confondues et que le risque était plus élevé chez ceux qui n'étaient pas vaccinés au moment du test que chez ceux qui l'étaient. vacciné.

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  47. Une étude menée en Floride l'année dernière (pdf) qui a utilisé la même méthode a révélé que la vaccination par l'ARNm pouvait entraîner un risque accru de décès d'origine cardiaque chez les hommes âgés de 18 à 39 ans, ce qui a incité l'État à recommander de ne pas administrer de vaccins à ARNm contre le COVID-19. le groupe.

    Les chercheurs de l'ONS ont déclaré que l'étude de Floride avait introduit un biais en combinant les décès après la première et la deuxième dose tout en prolongeant le suivi au-delà de l'intervalle entre les doses.

    La marque des vaccins et les intervalles entre les doses au Royaume-Uni et aux États-Unis sont également différents.

    Le vaccin COVID-19 de Johnson & Johnson, qui n'était pas disponible au Royaume-Uni, était le principal vaccin sans ARNm aux États-Unis.

    En termes de vaccins à ARNm, le Royaume-Uni a utilisé davantage de vaccins Pfizer-BioNTech tandis que les États-Unis en avaient davantage de Moderna. Le temps d'attente entre les deux doses était également plus court qu'au Royaume-Uni.

    https://www.theepochtimes.com/risk-of-cardiac-death-tripled-for-young-women-following-astrazeneca-covid-19-vaccination-study_5067350.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  48. RAPPORT: les «vaccins» Covid ont causé des dizaines de millions de blessures et d'invalidités, 147 milliards de dollars de dommages économiques


    Jeudi 30 mars 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Phinance Technologies, une société de recherche cofondée et coopérée par l'ancien gestionnaire de portefeuille de BlackRock, Ed Dowd, a découvert que les dommages économiques infligés par le déclenchement des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) dépassaient 147 milliards de dollars en 2022.

    Un rapport publié par la firme estime également que 26,6 millions de personnes ont été blessées par les coups ; 1,36 million sont restés handicapés; et 300 000 personnes ont été tuées par les coups cette même année.

    Avec l'aide de leurs collègues, l'équipe de Dowd a pu répartir les coûts humains infligés par les vaccins contre la grippe Fauci en quatre grandes catégories :

    1) Ceux qui n'ont ressenti aucun effet ou qui semblaient asymptomatiques
    2) Ceux qui ont subi des blessures légères à modérées
    3) Ceux qui ont subi une invalidité grave
    4) Ceux qui sont morts des coups de feu

    Toutes les données utilisées dans le rapport proviennent directement du Bureau of Labor Statistics (BLS), tandis que les chiffres de décès en excès ont été calculés à partir d'autres chiffres officiels en utilisant deux méthodologies différentes.

    Une chose que l'analyse n'a pas prise en compte, ce sont les personnes qui ont commencé dans une catégorie en 2022 et se sont retrouvées dans une autre plus tard cette année-là, c'est-à-dire les personnes asymptomatiques ou peut-être légèrement blessées qui ont fini par mourir subitement.

    "Nous devons nous rappeler que non seulement ces regroupements sont une tentative de caractériser différents niveaux de dommages causés par les inoculations, mais ils ne sont pas statiques et pourraient interagir les uns avec les autres", indique le rapport. "Par exemple, il pourrait y avoir des individus qui n'ont eu aucun effet visible après la vaccination, mais qui pourraient néanmoins être touchés."

    "Les personnes légèrement blessées par les inoculations pourraient, avec le temps, développer des blessures graves au point d'être invalides, ou un résultat extrême tel que la mort."

    (En relation: Il y a un peu plus d'un an, Dowd a déclaré à Steve Bannon que la bulle mondiale de la dette était sur le point d'éclater: "nous sommes à la fin".)

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  49. Le véritable coût économique des piqûres de covid est probablement beaucoup plus élevé en raison des «effets multiplicateurs», déclare Dowd
    En ce qui concerne les coûts économiques des injections de covid, la société de Dowd a utilisé l'excédent absolu de temps de travail perdu pour calculer le coût économique direct des blessures causées par les vaccins. Cela s'élevait à 79,5 milliards de dollars en 2022, ainsi qu'à 52,2 milliards de dollars de plus pour ceux qui ont développé des handicaps graves.

    Pour calculer le nombre de décès causés par les vaccins contre la grippe Fauci, Phinance a utilisé l'augmentation annuelle moyenne absolue des décès en excès depuis 2021, lorsque les injections ont vraiment commencé à pénétrer dans les bras des gens. De 2021 à 2022, les décès excédentaires ont augmenté de 0,05 % pour les 25 à 64 ans, ce qui représente une perte de productivité de 5,6 milliards de dollars.

    Pour toute l'année 2022, Phinance a estimé le «coût économique» total parmi toutes les catégories à près de 150 milliards de dollars. Vous pouvez consulter le rapport vous-même ci-dessous :

    Rapport sur les coûts économiques estimés : https://t.co/wN7lKeXi5T pic.twitter.com/B3ws6BHBCe
    – Edward Dowd (@DowdEdward) 28 mars 2023

    Gardez à l'esprit que les données et les chiffres contenus dans le rapport Phinance sont basés uniquement sur ce qui peut être actuellement mesuré.

    "Les répercussions sur les effets tels que la perte de productivité due à la présence d'un travailleur mais travaillant à, disons, 50 % à 75 % de la capacité sont manquées, ainsi que l'épuisement professionnel de ceux qui prennent le relais", a expliqué Dowd. "Les effets multiplicateurs sont énormes."

    Une autre chose à garder à l'esprit est que ces chiffres ne couvrent que les États-Unis. Imaginez l'impact économique mondial du covid, et au cours de l'ensemble de la pandémie par opposition à la seule année 2022.

    "Le fait que des millions de personnes aient été confrontées à des pertes d'emploi s'ils ne recevaient pas une injection médicale EXPÉRIMENTALE vous montre comment nos "dirigeants" ont été achetés et payés par Big Pharma", a écrit quelqu'un dans les commentaires sur le génocide national qui s'est produit depuis le mandats. "Les gens doivent aller en prison."

    Les dernières nouvelles sur les blessures et le nombre de morts causées par les injections de virus chinois peuvent être trouvées sur Genocide.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ZeroHedge.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-30-covid-vaccines-injuries-disabilities-147billion-economic-damage.html

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  50. Moderna a versé 400 millions de dollars au gouvernement américain pour sa participation payante à l'opération Warp Speed


    Jeudi 30 mars 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Avant son inclusion dans le programme Operation Warp Speed ​​de l'administration Trump pour le déploiement rapide des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), Moderna a accepté de payer 400 millions de dollars aux National Institutes of Health (NIH) des États-Unis pour licencier le technologie de protéine de pointe que la société a utilisée dans ses injections de covid d'ARNm (ARN messager).

    Un contrat récemment divulgué montre que Moderna s'est engagée dans un type d'arrangement de paiement à l'acte avec le gouvernement fédéral, qui détient apparemment le brevet pour les protéines de pointe covid qui étaient au centre de l'attention depuis le début de 2020 lorsque la «pandémie» a commencé jusqu'à maintenant .

    Pendant des années, les dirigeants de Moderna ont nié tout type de relation avec les bureaucrates de Washington, D.C., mais ont changé d'histoire fin 2021. La société a également révélé l'existence du contrat en question lors d'un appel aux résultats qu'elle a tenu le 23 février.

    Selon la société, les 400 millions de dollars qu'elle a versés au NIH n'étaient qu'un «paiement de rattrapage» versé spécifiquement au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), une division du NIH qui, à l'époque, était dirigée par nul autre que le charlatan médical déshonoré Tony Fauci.

    Le contrat stipule que Moderna paierait au NIH une "royauté non créditable et non remboursable d'un montant de quatre cents millions de dollars" pour les droits d'utilisation de sa technologie de protéine de pointe dans les vaccins de la société. C'est beaucoup plus d'argent que les "faibles redevances à un chiffre" qui ont été initialement confirmées par Moderna, mais plus tard expurgées.

    (En relation: Il n'y a aucune science pour soutenir les vaccins contre la grippe Moderna ou Fauci de Pfizer.)

    Pourquoi le gouvernement essaie-t-il de cacher son accord de redevances avec Moderna ?
    Le contrat de 34 pages a été obtenu via une demande de la Freedom of Information Act (FOIA), bien que, encore une fois, de nombreuses parties de celui-ci qui concernent spécifiquement les paiements de redevances soient expurgées.

    "Le titulaire de licence s'engage à payer au NIAID les redevances gagnées sur les ventes nettes... comme suit", lit-on dans une de ces sections sur les redevances, dont le reste est complètement masqué à la vue du public.

    La raison pour laquelle ces sections sont expurgées, selon le NIH, est que l'agence a le droit de retenir "les secrets commerciaux et les informations commerciales ou financières obtenus d'une personne et privilégiées ou confidentielles".

    "Ils ont expurgé les redevances, même s'il y a eu des communiqués de presse sur les redevances", a expliqué James Love, directeur du groupe à but non lucratif Knowledge Ecology International. "Il est courant mais [juron] de supprimer les redevances sur une licence négociée sur un brevet gouvernemental."

    Ce que nous savons des parties non expurgées du contrat, c'est que Moderna avait, en fait, accepté de commencer à payer les redevances du NIH avant que l'accord n'entre en vigueur à la fin de 2022, ainsi que la « redevance annuelle minimale », les « redevances gagnées » et « redevances de référence.

    Le contrat a été signé le 14 décembre 2022 par Michael Mowatt, directeur du bureau du transfert de technologie et de la propriété intellectuelle du NIAID, et Shannon Klinger, directrice juridique de Moderna.

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  51. Les paiements qui y étaient spécifiés devaient inclure une redevance dans les 60 jours suivant la fourniture par les responsables gouvernementaux d'une "déclaration écrite détaillée raisonnable et d'une demande" pour un montant "équivalent à une part au prorata des dépenses de brevet non remboursées précédemment payées par le NIAID".

    Jusqu'à présent, Moderna a récolté près de 37 milliards de dollars grâce à la vente de ses injections de virus chinois. En 2023, la société prévoit de rapporter 5 milliards de dollars supplémentaires, tout cela grâce aux accords contractuels lucratifs que la société a conclus avec les bureaucraties gouvernementales.

    "Le NIH partage la propriété de la technologie des protéines de pointe avec des chercheurs du Scripps Research Institute et de la Geisel School of Medicine de l'Université de Dartmouth", expliquent les rapports. "Les deux sont nommés partenaires dans le contrat."

    Vous voulez vous tenir au courant des dernières nouvelles sur l'escroquerie du «vaccin» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), ainsi que sur l'implication du gouvernement? Vous pouvez le faire sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    TheEpochTimes.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-30-moderna-government-400million-participation-operation-warp-speed.html

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  52. Les responsables de l'administration Biden ont fait pression sur Meta pour censurer les messages WhatsApp privés des sceptiques du vaccin COVID-19


    Jeudi 30 mars 2023
    par : Cassie B.


    (Natural News) De nouveaux e-mails ont révélé comment l'administration Biden a fait pression sur Facebook pour censurer les messages privés des sceptiques des vaccins sur leur service de messagerie WhatsApp.

    Les e-mails, qui ont été obtenus en découverte dans le cadre d'un procès multi-États accusant l'administration de collusion avec des entreprises technologiques pour supprimer les droits des personnes au premier amendement, ont montré comment le directeur de la stratégie numérique de Biden, Rob Flaherty, a tenté de convaincre les dirigeants de Facebook de censurer le discours des Américains. Sur la plateforme.

    En réponse à la pression de Flaherty, un représentant de Meta, la société propriétaire de Facebook et WhatsApp, a déclaré à la Maison Blanche qu'elle avait pris des mesures pour limiter la viralité sur WhatsApp dans son ensemble, ce qui, selon lui, devrait empêcher la soi-disant désinformation de se propager. un public plus large. Ils ont expliqué qu'ils utilisaient des approches telles que l'étiquetage des messages transmis et leur limitation en se basant sur la conviction que les messages qui ne proviennent pas des contacts proches d'une personne sont plus susceptibles de contenir des informations erronées.

    Ce n'était apparemment pas suffisant pour Flaherty, qui a poursuivi sa tentative pour les amener à arrêter ce qu'il a appelé « contenu sceptique vis-à-vis des vaccins ».

    Il a écrit: «Je me soucie surtout des actions et des changements que vous apportez pour vous assurer que vous n'aggravez pas le problème d'hésitation à la vaccination de notre pays.

    "Je n'ai toujours pas de bonne réponse empirique sur l'efficacité avec laquelle vous avez réduit la propagation du contenu sceptique vis-à-vis des vaccins et de la désinformation aux personnes qui s'occupent de la clôture des vaccins."

    Flaherty a ajouté qu'ils avaient besoin d'une "bonne souricière" pour observer le contenu crypté partagé par les utilisateurs sur la plate-forme.

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  53. L'administration Biden semblait désespérée d'empêcher les gens d'exprimer leurs inquiétudes concernant les vaccins
    On ne sait pas si Facebook a cédé à ces demandes, mais l'échange illustre les efforts extrêmes que l'administration Biden était prête à faire pour censurer les messages privés des gens. Il est à noter que censurer les messages privés des Américains nécessiterait également de les surveiller.

    Ce ne serait pas la première fois que Meta/Facebook cèderait à la pression gouvernementale ; leur service WhatsApp a interdit plus de 100 000 comptes à l'approche de l'élection présidentielle brésilienne de 2018 en réponse à des histoires selon lesquelles les partisans du candidat populiste Jair Bolsonaro l'utilisaient pour diffuser de la "désinformation".

    WhatsApp est une plate-forme de messagerie directe cryptée, et neuf messages sur dix sont envoyés entre deux personnes ; les groupes sur la plateforme comptent généralement moins de 10 personnes. Un cadre de Meta a expliqué à Flaherty qu'il ne pouvait pas voir le contenu des messages sur la plate-forme, mais a décrit les mesures qu'ils avaient prises pour aider à endiguer la propagation de la désinformation.

    « Les étiquettes (« transféré » ; et « transféré plusieurs fois » si le message a été transmis cinq fois ou plus) sont destinées à inciter les gens à s'arrêter et à réfléchir lorsqu'ils lisent un message et avant de transmettre quelque chose, qui peut ne pas être précis. Les limites de transfert (pas plus de cinq chats à la fois ; un chat à la fois pour les messages fortement transférés) visent à réduire leur propagation », a-t-il noté.

    L'exécutif a ajouté qu'après avoir introduit ces limites au début de la pandémie, les messages hautement transférés ont diminué de 70% à l'échelle mondiale. Cependant, il a déclaré que tous les attaquants ne contiennent pas de fausses informations.

    Flaherty et un conseiller de la Maison Blanche Covid-19, Andrew Slavitt, avaient fait pression sur les dirigeants de Meta pour qu'ils agissent contre ce qu'ils prétendaient être de la désinformation sur le COVID-19 au motif que cela pourrait conduire à une hésitation face aux vaccins – même si ce que les personnes impliquées disaient était en fait vrai. De nombreux Américains ont repoussé les tactiques agressives utilisées par l'administration Biden pour les forcer à se faire vacciner, notamment par le biais de mandats. Maintenant, il est plus clair que jamais que l'administration Biden cherchait désespérément à forcer les Américains à se faire vacciner, même si cela signifiait violer des libertés protégées.

    Les sources de cet article incluent :

    Breitbart.com
    FoxNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-30-biden-officials-pressured-censor-vaccine-skeptics.html

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  54. Plus de preuves indiquent une fraude scientifique covid soutenue par Fauci


    Mercredi 29 mars 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une nouvelle étude «bombe» qui est annoncée comme «la preuve la plus solide à ce jour» que le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a émergé naturellement a déjà été démystifiée comme une pile frauduleuse de hockey à cheval.

    Publié lundi, le rapport affirme que l'ADN prélevé sur des chiens viverrins au même endroit que le tristement célèbre marché humide de Wuhan, où le matériel génétique du SRAS-CoV-2 aurait été "regroupé" en 2019, est censé montrer que le virus chinois provenait d'animaux. .

    L'article conclut en déclarant que ses découvertes ont "contribué au grand nombre de preuves soutenant une origine naturelle". La vérité, cependant, est que le document est truffé d'omissions d'informations clés qui sapent ses prétendues conclusions.

    L'Atlantique a été le premier à rendre compte de l'article frauduleux, le qualifiant de "preuve la plus solide à ce jour qu'un animal a déclenché la pandémie". Ce que The Atlantic a omis de mentionner, c'est le fait que tous les échantillons d'ADN prélevés sur des chiens viverrins ont été testés «négatifs» pour la grippe Fauci à l'aide d'un test PCR standard.

    (Connexe: Le CDC est également complice d'exagération et de mensonge à propos de covid.)

    Fauci a poussé les chercheurs à mentir sur les origines de covid pour se protéger et protéger sa femme
    Selon le Dr Steven Quay, un microbiologiste basé à Seattle, le nouvel article montre une « volonté manifeste de mentir ». Quay a passé les deux dernières années à enquêter sur les véritables origines du covid, et il n'est pas convaincu des conclusions de l'article.

    "Vous êtes censé le signaler", a ajouté le Dr Simon Clarke, microbiologiste de l'Université de Reading au Royaume-Uni, à propos de l'omission manifeste du journal des résultats négatifs des tests des chiens viverrins.

    "Je ne dis pas qu'il y a quoi que ce soit de louche là-dedans, mais cela aurait dû être mis en évidence. C'est une mauvaise pratique et il n'y a aucun moyen qu'ils [les chercheurs] obtiennent cela au-delà d'un journal de bonne qualité [pendant le processus d'examen par les pairs] - ils seraient obligés de le mettre dans leur section limitations et discussions.

    Si les auteurs du rapport étaient prêts à être sournois et trompeurs à ce sujet, sur quoi d'autre ont-ils menti ou induit en erreur tout au long de l'étude ? C'est ce que beaucoup veulent savoir, d'autant plus que l'objectif de l'article était de «démystifier» la théorie des fuites de laboratoire sur le covid.

    Ce n'est pas la première fois qu'une étude scientifique est publiée avec des omissions et des mensonges pour pousser la théorie de l'origine animale. Le Dr Kristian Andersen, biologiste de l'évolution au Scripps Research Institute de La Jolla, en Californie, a rédigé un article de février 2020 qui était ouvertement conçu pour «démystifier» la théorie des fuites de laboratoire.

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  55. Nous avons appris depuis qu'Andersen a été poussé par l'ancien directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), Tony Fauci, à le publier, mensonges et tout, afin de détourner tous les yeux et l'attention de la vérité.

    Le dernier article vantant la théorie de l'origine animale n'a pas encore été évalué par des pairs. Et s'il reste une certaine intégrité dans le processus d'examen par les pairs, il ne sera pas publié de manière crédible.

    Pourtant, les données utilisées dans l'étude, qui ont été téléchargées et rapidement supprimées, ont déjà été ajoutées à une base de données appelée Global Initiative on Sharing Avian Influenza Data (GISAID), un référentiel international d'informations sur la génétique des virus.

    C'est malheureux, étant donné que l'article dont proviennent les données est "complètement malhonnête", selon Quay. Depuis leur collecte, ces données ont été intentionnellement gardées secrètes par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

    "Nous n'avons pas de spécimen environnemental qui semble positif pour l'infection", a ajouté Quay à propos des échantillons de chiens viverrins qui ont été collectés.

    Les dernières nouvelles sur le démantèlement en cours de Fauci et de ses copains covid peuvent être trouvées sur FauciTruth.com.

    Les sources de cet article incluent :

    DailyMail.co.uk
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-03-29-evidence-fauci-covid-science-fraud-lies.html

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