- ENTREE de SECOURS -



lundi 14 novembre 2022

Un « fact-checking » sur la vaccination Covid – par Kati Schepis

 


120 commentaires:

  1. Un « fact-checking » sur la vaccination Covid – par Kati Schepis


    12.11.2022
    www.kla.tv/24127



    Les vaccins COVID ont-ils vraiment permis d'éviter 14 millions de décès ? C'est la question à laquelle tente de répondre l'organisation « Doctors for COVID Ethics » dans une prise de position fondée. Cela après la publication dans la revue médicale THE LANCET, le 23 juin 2022, d'une étude affirmant que la vaccination COVID-19 avait sauvé des dizaines de millions de vies. L'étude n’était pas seulement dépourvue de tout fondement scientifique, mais également entachée de graves conflits d'intérêts. Afin d’informer le grand public sur les véritables effets des vaccins, Kati Schepis a repris la déclaration de « Doctors for COVID Ethics » dans le cadre de la manifestation Covid du 2 octobre 2022 à Winterthur. Kati Schepis a terminé ses études de pharmacie à l’École polytechnique fédérale de Zurich en 2003 et a travaillé pendant plus de 12 ans dans la filiale suisse d'une entreprise pharmaceutique mondiale. En tant que spécialiste qualifiée, elle a soumis la vaccination contre le COVID à une vérification exhaustive.
    Exposé de Kati Schepis

    Oui, merci beaucoup d'être restés aussi longtemps. Vous voulez encore écouter ?
    [Le public s'exclame : oui, oui !]

    Alors voilà. Comme toujours, on m'a demandé de faire une nouvelle fois une mise à jour sur la prétendue vaccination. C'était en septembre, il y a un an, quand il faisait un peu plus chaud ici - Dieu merci, il ne fait pas vraiment froid aujourd'hui - et que la place était un peu plus remplie, que l’on m'avait demandée de parler de la prétendue vaccination des enfants, et nous étions arrivés à la conclusion que ces prétendus vaccins étaient inutiles, inefficaces et pas sûrs. Qu'est-ce qui a changé depuis à votre avis ? [Voix du public : rien !] Est-ce que quelque chose a changé ? [Public : Non !]
    Eh bien moi, je pense que quelque chose a changé : Nous disposons actuellement de bien plus de données qui montrent que ces injections sont définitivement beaucoup plus inutiles, beaucoup plus inefficaces et beaucoup moins sûres que nous le pensions il y a un an. Pourquoi encore plus inutiles ?

    Si on croit les communications officielles, nous avons actuellement affaire au variant Omicron. En novembre dernier déjà, il était clair, sur la base de données provenant d'Afrique du Sud, qu'Omicron était associé à une réduction de 80 % du taux d'hospitalisation. En janvier, est parue la publication d'un groupe d'ingénieurs chinois. Sur la base de ces données d'Afrique du Sud, ils ont calculé qu'Omicron avait un taux de décès par infection inférieur de 90 % à celui des variants précédents. Si on fait le calcul, on obtient un taux de mortalité par infection - qui indique le pourcentage de personnes infectées qui meurent de cette maladie -, on obtient un taux de mortalité par infection de 0,001 à 0,002 %. Il va de soi que pour une maladie avec un tel taux de mortalité par infection, on n'a pas besoin ni de vaccin ni de traitement spécial.

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  2. Maintenant pour la sécurité. Est-ce que vous le voyez tel que c'est affiché chez moi ? [Public : Oui.] Je ne vais pas vous montrer des chiffres aujourd'hui, mais tout simplement des images. Et ces images devraient être faciles à comprendre pour tout le monde, même pour un enfant, et montrer que ce qu'on nous sert est un mensonge. Je vous montre cette image ici, parce que c’est un instantané du site ALETHEIA, qui a publié une prise de position le 6 septembre. Et cette prise de position est très, très importante. Je vous demande donc, si vous ne l'avez pas encore lue - elle est rédigée en langage simple - d'aller sur le site d'ALETHEIA, 6 septembre 2022, et de la lire. Vous pouvez également trouver cette même prise de position en anglais sur le site de « Doctors for COVID Ethics ». Le lien est également disponible sur ALETHEIA. Et n'hésitez pas à la diffuser, car elle montre que ces vaccins ne sont absolument pas une bonne chose. [Applaudissements et tintement de cloches dans le public]. Et toutes ces images - les trois images que je vais vous montrer°-, vous les trouverez dans cette même prise de position et avec de nombreux intervenants. Ce n'est pas du baratin, car ce n'est pas nous qui baratinons, c'est Swissmedic qui baratine, c'est surtout Swissmedic qui fait des affirmations creuses, qui n'étaye jamais rien en se basant sur des données ou des publications, comme le font d'ailleurs aussi les médias dominants.

    Voici donc la première image. Sur cette image, vous voyez les cas de décès par Covid recensés dans le monde entier depuis le début de la prétendue pandémie. Et vous voyez - j'espère que vous pouvez aussi la voir de plus loin - marqué en rouge, le moment où ces vaccins anti-Covid ont été introduits. Que peut-on voir au premier coup d'œil ? Pour chaque petit enfant, pour chaque personne qui a encore deux neurones en état de fonctionner, c’est visible ! L’introduction des vaccins n'a pas été associée à une réduction significative des décès dus au Covid. Bien entendu, s'il s'agissait vraiment d'une méthode de prévention efficace, on aurait pu s'attendre à ce qu’elle mène à une réduction très importante des cas de Covid.

    Sur cette photo, vous voyez également le nombre de décès par Covid en Australie. On voit simplement que le nombre de décès dus au Covid est resté stable à un niveau très bas pendant très longtemps et qu'il n'a augmenté qu’après l’application du deuxième rappel. Actuellement, l'Australie est confrontée à un nombre de décès par Covid sans précédent, peu importe ce que sont vraiment des décès par Covid. Cela prouve également que ces prétendus vaccins ne servent finalement à rien, du moins pas comme on veut nous le faire croire.

    Sur ce graphique, vous voyez les données pour Israël. Ça semble peut-être un peu compliqué au premier abord. La courbe rouge, c'est la courbe de vaccination. La courbe bleue, c'est la courbe de surmortalité. Peut-être un peu difficile à voir pour ceux qui sont au fond, mais on voit ici que les courbes se recoupent. La courbe de vaccination coïncide avec la courbe de surmortalité. Et la campagne de rappel de fin 2021 a entraîné une au gmentation de la surmortalité d'une ampleur sans précédent. C'est donc une preuve supplémentaire que cette vaccination ne peut pas être une bonne chose !

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  3. Normalement, les entreprises pharmaceutiques mènent des études d’homologation, c'est ce qu'on appelle la « Real-World Evidence », c'est-à-dire les données issues de l'utilisation réelle dans la vie. Les données de ces études pivots confirment – dans le meilleur des cas - que les résultats étaient concluants. Actuellement, il n'en va pas autrement. Et ces données de « Real-World Evidence » confirment ce que les études pivots ont montré, c’est-à-dire que ces vaccins sont totalement inefficaces. Oui, pour moi c'est clair !

    En Suisse aussi, une surmortalité importante a été observée cette année, en particulier pendant les mois d'été . Même les médias grand public l’ont relaté. Mais on est encore un peu consterné devant cela, et on n'a aucune idée de la signification qu'on pourrait en tirer. Il a manifestement fait très chaud cet été. La surmortalité a été très élevée, surtout en juillet. Mais le problème est que, si nous consultons maintenant les données météorologiques des dernières années, nous constatons que… nous l’avons peut-être aussi perçu nous-mêmes, le mois de juillet de cette année n'a pas été particulièrement chaud. Le mois de juillet 2018, par exemple, a été bien plus chaud en Europe centrale. Pourtant, il y a eu bien moins de morts en juillet 2018 qu'en juillet 2022. Si donc quelqu'un prétend que ce sont les températures élevées qui en sont responsables - nous avons également des données provenant d'Islande - il n'a manifestement pas fait de recherches sérieuses.

    Maintenant, pour être sûr : vous voyez ici une capture d'écran de la base de données « OpenVAERS ». Tout le monde n'est peut-être pas au courant de ce qu’est cette base de données.
    La base de données officielle des autorités américaines, c'est la base de données « VAERS », c'est-à-dire la base de données des événements indésirables liés aux vaccins. On a constaté que des cas disparaissaient régulièrement de cette base de données, c’est-à-dire que les données sont manipulées vers le bas. C'est pourquoi la base de données « Open VAERS » a été créée et on y tient les chiffres à jour de manière autonome.

    Vous voyez la situation au 16 septembre de cette année. Dans cette base de données « OpenVAERS », 31 000 décès liés aux vaccins ont été enregistrés. 16 000 paralysies faciales et là, nous savons que les paralysies faciales sont associées au zona. Ici, on a enregistré 5 000 fausses couches et 52 000 cas de myocardite et de péricardite. Près de 60 000 personnes ont été déclarées handicapées à la suite de la vaccination. Ce sont les données des États-Unis.

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  4. En Europe, au 24 septembre 2022, plus de deux millions de cas d'effets secondaires ont été signalés pour les adultes. Près de 600 000 de ces effets secondaires étaient graves, et au 24 septembre, 26 500 décès ont été enregistrés. Pour les enfants, c’est encore bien plus triste : en Europe, 39 000 cas d'effets secondaires ont été signalés, dont 14 000 graves et 230 décès d'enfants liés à la vaccination.
    Vous le savez tous, ces chiffres ne représentent que la pointe de l'iceberg. En se basant sur des calculs officiels aux États-Unis, nous devons probablement les multiplier au moins par 50 pour refléter la réalité.

    En temps normal - notamment parce que les entreprises pharmaceutiques craignaient des frais de justice élevés, en particulier aux États-Unis -, par le passé les médicaments étaient retirés lorsqu'une cinquantaine de cas d'effets secondaires graves se produisaient au niveau mondial.

    Le Lipobay de Bayer a par exemple été retiré en 2001 en raison de 52 décès dans le monde, ou le Vioxx en raison de 41 infarctus du myocarde en 2004. Le fait qu'il ne se passe rien actuellement avec tous ces chiffres montre que les titulaires des autorisations de mise sur le marché de ces prétendus vaccins se sentent en sécurité et sont très bien protégés, et qu'on leur a promis par avance de les préserver de toute action en justice.

    En janvier de cette année - vous l'avez peut-être aperçu dans les médias - l'avocat américain Tom Renz a fait état, lors d'une audition retentissante au Sénat américain, de données issues d'une base de données médicale et épidémiologique de l'armée américaine. L'armée américaine est apparemment la seule au monde à examiner régulièrement ses soldats et à consigner systématiquement les résultats de ces examens dans une telle base de données. Ces données ont été divulguées et rendues publiques. Et elles montrent que, par rapport à la moyenne sur 5 ans, les fausses couches, par exemple, ont augmenté d'environ 300 % chez les femmes soldats. Divers types de cancer se sont multipliés ; les cancers du sein, par exemple, ont augmenté de 290 %. Les malformations à la naissance ont augmenté de 155 %, les crises cardiaques de 270 %, les embolies pulmonaires de près de 500 % et les paralysies faciales de 290 %.

    Nous disposons aujourd'hui de centaines d'études, d'analyses réalisées par des pairs, qui ont clairement démontré un lien entre tous ces effets secondaires graves et les vaccins. Nous savons par exemple qu'il existe un lien évidente en ce qui concerne les événements thromboemboliques, c'est-à-dire les AVC, les thromboses veineuses profondes, les embolies pulmonaires. Et bien que l’évidence soit sans équivoque, ce sont précisément ces effets secondaires qui n'ont pas été inclus dans l'information scientifique jusqu'à présent.

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  5. Ma question à Swissmedic serait la suivante : « Sur quelles données vos décisions actuelles sont-elle basées ? » Le problème est que, si ce n'est pas intégré dans les informations scientifiques, les médecins qui ne s'informent pas sur notre site, mais uniquement auprès des autorités et dans les médias grand public, n'ont pas la moindre idée que ces thromboses veineuses profondes et ces embolies pulmonaires chez leurs patients pourraient fort bien être en lien avec la vaccination.
    Venons-en maintenant à un sujet qui a été largement traité par les médias, surtout au mois d'août : Il s'agit du sujet de la baisse de la natalité. Vous trouverez deux analyses très détaillées à ce sujet sur le site d'ALETHEIA. L'équipe « Hagemann et al ». l'a fait avec beaucoup, beaucoup de soin et, concernant les données suisses on constate que par rapport aux années 2018 à 2021, le taux d’enfants nés vivants a diminué, selon les cantons, de 5 à 30 % entre janvier et mai.

    La baisse de la natalité est corrélée, avec un décalage d'environ neuf mois après la vaccination, à la couverture vaccinale des 20-49 ans. Une forte corrélation négative entre le taux de vaccination des différents cantons et la baisse de leur taux de natalité étaye l'hypothèse selon laquelle ces vaccins Covid sont responsables de la baisse de la natalité. Un lien de causalité n'a pas été démontré. Les médias mainstream n’arrêtent pas de répéter : « Oui, ce n'est pas causal, oui jusqu'à présent personne n'a trouvé une meilleure explication pour cette corrélation évidente. On a pu exclure mathématiquement qu’il y a un lien avec les hospitalisations Covid ou les cas Covid. »

    Le professeur Konstantin Beck de Lucerne a dit ou écrit dans un article de Weltwoche du 26 août : « Est-ce une découverte fortuite ? » Le test statistique pertinent montre qu'il n'y a que 7 chances pour mille qu'il s'agisse d'une coïncidence et que 99,3 % indiquent que la vaccination pose des problèmes au niveau de la reproduction. Ces données n'ont guère été reprises par les médias publics. Peu de temps après - cette analyse a également été réalisée en août, vous trouverez le lien sur le site web d'ALETHEIA - il s'est avéré que la même tendance avait été observée dans différents pays d'Europe, car là également, il y avait une baisse significative des naissances pour le premier semestre 2022 et environ 100 000 bébés en moins. Ici aussi, la baisse des naissances était en corrélation avec le taux de vaccination, comme en Suisse. Plus un pays était vacciné, plus la baisse de la natalité était prononcée.
    Comme vous le savez, ces injections anti-Covid ne sont autorisées que temporairement. En Suisse, il y a une limite de temps. En Europe, on parle parfois d'autorisation conditionnelle, ou d'autorisation d'urgence. Peu importe le terme qu'on utilise. En résumé, il faut bien le dire, ces vaccins ont obtenu leur autorisation de manière frauduleuse, sur la base de données totalement insuffisantes et non comparables à celles d'autres médicaments.

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  6. En Suisse, de tels médicaments ne peuvent être autorisés temporairement que si on en attend un grand bénéfice contre des maladies mortelles ou invalidantes. Il est prouvé que ces critères n'ont été remplis à aucun moment.

    Normalement en Suisse, le développement d'un médicament - ça diffère en partie dans d'autres pays, mais en Suisse, les vaccins sont considérés comme médicaments et donc soumis à la même législation – et normalement, le développement sérieux d'un médicament prend 10 à 15 ans. Comme vous le savez, les vaccins anti-Covid ont été développés en quelques mois seulement. Avant qu'une substance médicamenteuse puisse normalement être testée chez l'homme, elle doit prouver son innocuité dans des études animales. Dans le cas des vaccins Covid, il n’y a eu aucune obligation formelle de réaliser des études animales. Les titulaires de l'autorisation de mise sur le marché se sont référés à une directive de l'OMS de 2004, qui stipule que les études sur les animaux ne sont pas nécessaires pour les vaccins. On peut se demander pourquoi aucune étude animale n'est nécessaire pour les vaccins et pourquoi cette directive vieille de presque 20 ans n'a pas été actualisée pour un projet aussi important ? Car bien évidemment pour une technologie aussi nouvelle des études animales auraient dû être menées. Les quelques études menées, la plupart du temps sur des rats, ont montré - par exemple les études dites de pharmacocinétique où l'on cherche à savoir si une substance médicamenteuse se déplace dans le corps et où elle va -, ces études ont montré que ces nanoparticules lipidiques issues des vaccins ne se trouvent très rapidement plus dans le bras, mais se répartissent dans tout le corps. On a vu qu'elles s'accumulaient dans le foie, dans la rate, en forte concentration dans les ovaires, et on a également vu qu'elles pouvaient franchir la barrière hémato-encéphalique et qu'après peu de temps elles étaient déjà détectables dans le cerveau et dans la moelle osseuse.

    Tout cela était déjà connu avant l'autorisation. On peut donc se demander comment certains représentants de la Commission fédérale pour les vaccinations ont pu affirmer dès le début que ce vaccin est supposé rester dans le bras. Des études ont ensuite été menées sur des animaux pour examiner les effets sur le fœtus. Des expériences ont été menées avec des rats. Dans une étude avec le vaccin Pfizer, il s'est avéré que ce vaccin était lié à un taux de malformation et d'avortement plus élevé chez les rats. Ce n'est pas du verbiage, cela ressort entre autres de la lettre d'autorisation que Swissmedic a elle-même envoyée à Pfizer, lorsqu’elle a accordé l'autorisation.

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  7. Swissmedic n'a manifestement pas la compétence d'examiner les documents d'autorisation, mais doit les soumettre aux conseils d'experts appelés « Human Medicines Expert Committee » (HMEC) où des experts de différentes disciplines les examinent et émettent ensuite des recommandations. Il ressort de cette lettre que, avant d’accorder l’autorisation, le HMEC a attiré l'attention de Swissmedic sur le fait que, selon des études sur les animaux, ce vaccin n'est pas sûr pour les femmes enceintes, que ces études sur l’animal ont montré un risque accru et que cela devrait être mentionné en conséquence dans l'information scientifique. Swissmedic a ignoré cette remarque. Au lieu de cela, elle a ouvert la voie à une large recommandation de vaccination, afin que les femmes enceintes puissent être vaccinées le plus rapidement possible. Vous l'avez peut-être remarqué, hier Swissmedic a publié un communiqué de presse sur son site web dans lequel elle a écrit qu'en collaboration avec les autorités partenaires et sur la base d'une analyse fondée - qu’importe l’origine des données - elle est arrivée à la conclusion que les vaccins Covid n'ont aucune influence sur la fertilité. En fait, ça doit être classé comme de la publicité, parce que toute mesure qui sert à une promotion commerciale est de la publicité. C'est donc de la publicité, et pour la publicité de médicaments soumis à prescription, il faut que toute affirmation soit impérativement étayée par une étude.

    Je me demande : « Quelles études permettent à Swissmedic d'étayer cette affirmation » ? Le point positif est le suivant : Dans le « Blick », un communiqué a été publié sur ce sujet. Les commentaires laissent penser que la population ne sera pas dupe pour longtemps encore. Les commentaires étaient critiques à 99,9 %. [Le public applaudit, tintements de cloches de vaches, cris de bravo !!!] La population a probablement compris que ceux qui agissent au sein des autorités et de la politique n'agissent pas de manière indépendante, qu'ils ne nous veulent probablement pas du bien, et qu'il est donc nécessaire que tous, pas seulement ceux ici sur cette place qui suivent ces événements depuis longtemps, mais vraiment tous, commencent enfin à agir de manière indépendante, à penser de manière indépendante et à s'engager pour une liberté, pour un avenir en bonne santé et pour que nous ayons encore longtemps, surtout nos enfants, une vie qui vaut la peine d'être vécue. Merci de tout cœur.

    de db.
    Sources / Liens :
    Webseite von Kati Schepis
    https://www.katischepis.ch/uebermich

    Stellungnahme von Aletheia – Deutsche Version der Publikation: Haben die „COVID-Impfungen” wirklich 14 Millionen Todesfälle verhindert?
    https://www.aletheia-scimed.ch/de/haben-die-covid-impfungen-wirklich-14-millionen-todesfaelle-verhindert/

    Stellungnahme von «Doctors for COVID Ethics» in Englisch
    https://doctors4covidethics.org/the-watson-et-al-modeling-study-did-covid-vaccinations-really-prevent-14-million-deaths/

    https://www.kla.tv/fr

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  8. Il est temps de s’unir pour sauver la liberté d’expression, enseignants, soignants, médecins, avocats, journalistes, citoyens !


    Par Dre Nicole Delépine
    Mondialisation.ca,
    12 novembre 2022


    Et regardons cette affiche gouvernementale parue en août 2014 :

    Qu’est-ce qui a mal tourné ?

    Soutenons de toutes nos forces le professeur de philosophie René Chiche, comme nous soutenons les médecins poursuivis, des plus célèbres Perronne, Wonner ou Raoult, aux inconnus seulement vénérés par leurs patients qu’ils ont sauvé malgré l’interdiction de les soigner du gouvernement et du ministre Véran. Ils sont poursuivis par l’Ordre, convoqués discrètement parfois au commissariat par dénonciation de l’assurance maladie de leurs ordonnances d’antibiotiques, zinc ou hydroxychloroquine.12 Écoutez le récit du cardiologue Julien Devilleger.

    Sinon, j’aimais beaucoup l’humour grinçant de Rene Chiche :

    « En soutenant Israël, j’ai perdu cinquante abonnés ici. En soutenant Raoult, j’en ai encore perdu cent cinquante. En soutenant Platon, je vais probablement en perdre dix mille. Peu importe, je continuerai à dire ce qui me semble juste et à répondre aux objections significatives. 6:06 PM · 22 mai 2021·Twitter »

    @rene_chiche En réponse à @jchribuisson

    « Déconfinement » est laid.
    Comme vacances apprenantes.
    Comme distanciation sociale.
    Comme gestes barrières.
    Comme impacter.
    Comme cellezéceux. 2:48 PM · 12 mai 2020

    Mon amie, agrégée de mathématiques pures et enseignante par l’amour des jeunes et des mathématiques qu’elle tente de réconcilier, Melle Karen Brandin a attiré notre attention sur l’attaque indigne dont est victime le professeur agrégé de philosophie Mr René Chiche dans son bel article La parole en danger — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca).

    Elle a régulièrement publié des tribunes sur France soir3 ou nouveau-monde.ca et tenté d’éveiller les parents sur le danger de la destruction de l’enseignement des mathématiques qui s’est aggravé encore récemment, sur l’indifférence des jeunes à la perte de la langue si importante tant en littérature qu’en mathématiques et dans la vie courante, pour savoir exprimer ses émotions, son absence conduisant inéluctablement à la sauvagerie et à la violence montante dont nous sommes tous témoins.4 Ici elle attire notre attention sur l’infâme attaque d’un enseignant de philosophie pour « opinions » différentes des autorités, semble-t-il.

    « Par Karen Brandin

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  9. Ils sont médecins, parlementaires, avocats ou bien encore enseignants, et s’ils ne meurent pas tous, tous sont frappés, visés depuis quelques mois au sein d’un régime malheureusement plus vraiment d’exception, un régime pudiquement qualifié de démocratie dégradée, par des procédures-bâillons et autres mesures vexatoires destinées à sanctionner à grand renfort de blâmes iniques, leurs voix simplement engagées et courageuses, mais décrétées dans le “monde d’après”, indésirables, car discordantes. Des voix douces ou fortes, que l’on tente tour à tour de nous les présenter comme irresponsables puis comme carrément “menaçantes” pour notre sécurité, car fleurant bon la dérive sectaire. Bref, voici quelques mois que ces femmes et ces hommes, du simple fait d’une parole libre, se retrouvent marqués du sceau de la lettre écarlate de l’indignité. Et pendant que la libre expression brûle, on regarde ailleurs.

    C’est parce que l’on a attiré mon attention sur la toute récente procédure disciplinaire visant un prof agrégé de philosophie, R. Chiche et certaines réactions de satisfaction qu’ont manifesté sur les réseaux sociaux de courageux… anonymes, que j’ai décidé d’écrire ce simple billet de (mauvaise) humeur. Puissent ces quelques lignes faire office de modeste tremplin et inspirer dans un élan de solidarité nécessaire des collègues aguerris, prompts à produire une tribune de soutien bien plus aboutie à destination de l’ensemble de ces professionnels, héros ordinaires et de ce fait, extraordinaires. »

    Je fus effondrée à la lecture de cet article, puis de quelques tweets du professeur 5 et de ses détracteurs. Me permettra-t-on de faire écho à Karen ou bien me dira-t-on comme au professeur Chiche pour la médecine, que la philosophie ne me concerne pas ? Triste époque dans laquelle des éditorialistes incultes, au moins dans certains domaines qu’ils commentent, successivement virologues de pointe puis géopoliticiens ou spécialistes du climat, ont tous les droits, mais où le citoyen choqué de la « désinstruction nationale »6 n’aurait pas le droit de tenter de défendre les enfants !

    Espérons que d’écho en écho, des universitaires, des professeurs, des chercheurs arrivent à attirer les regards du peuple, des élus, de l’Assemblée nationale et du Sénat, pour que cessent ces chasses aux sorcières.

    René Chiche attira d’abord mon attention par sa défense de la classe de philosophie tellement importante dans la scolarité de TOUS les lycéens. Mais il échoua, isolé probablement soit sur le fond, soit par le sinistre « pas de vagues » tout puissant à l’éducation nationale.

    On a déjà dû lui en vouloir beaucoup avec son livre terrible paru en 2019 :

    « Professeur, j’hérite en Terminale d’élèves qui ne maîtrisent pas l’accord du participe passé, peinent à déchiffrer une phrase complexe et manient leur propre langue comme s’il s’agissait d’une langue étrangère, usant du “donc” et du “parce que” à la façon d’un joueur cherchant à deviner les numéros gagnants d’une loterie. En lisant leurs copies, j’ai trop souvent l’impression de me trouver devant des enfants malnutris, voire dénutris, à qui il faut d’abord donner une bouillie protéinée parce qu’ils ne sont pas en état d’avaler une nourriture plus consistante. Combien sont-ils en ce cas ? Beaucoup trop. (….) »

    MAIS LA CATASTROPHE ALLAIT S’AGGRAVER avec le confinement, les cours en distanciel, en visio, les jeux vidéo remplaçant les discussions entre profs et élèves, l’arrêt de la vie avec ce confinement aveugle et criminel.7

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  10. Les enfants furent sacrifiés par la casse de l’Éducation Nationale et de l’Université, progressivement, en douceur, discrètement depuis les années post soixante-huitardes, comme le démontra René chiche ou avant lui Jean-claude Michéa et quelques autres8. Ce dernier nous avait prévenu, dans L’enseignement de l’ignorance : “ce ne serait plus cette vigilance que l’on attendrait du corps enseignant à l’avenir, mais une soumission résignée, faute d’une soumission heureuse“.

    Au nom d’une pseudo égalité, la civilisation woke nous envahit de plein fouet et détruit trois mille ans d’histoire. Les lecteurs de Voltaire, Molière, Racine, Hugo, Stendhal et tous les autres disparaissent bientôt dans les caves des résistants devenus antisémites, extrême droite, homophobes et toutes sortes de phobes… Il est temps de réagir avec force.

    Les enfants furent en plus dramatiquement sacrifiés par la pseudo-crise covid et le sont encore par les menaces d’injections géniques mortelles, malgré les aveux de Pfizer sur l’efficacité zéro pour éviter la transmission ! Ce qui n’empêche pas une collaboratrice du ministre de la Santé de proclamer sur sud radio il y a quelques jours que le vax protégerait des formes graves et qu’en conséquence les non-vax ne devraient pas être réintégrés… Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… comme aurait dit Goebbels…

    Et certains doyens n’hésitent pas à prévoir de saboter encore cet hiver l’enseignement normal en présence des étudiants au savoureux et délirant prétexte d’économiser le chauffage en raison de la guerre en Ukraine..

    ALORS QUELLE FUT LA FAUTE DE NOTRE PHILOSOPHE ? En parcourant twitter (seulement visible, mais encore interdit de commentaires pour moi) je découvrais quelques remarques :

    Ce doit être très vilain de vouloir défendre un lycée d’exception qui permettait à de jeunes sportifs ou artistes de mener parallèlement leurs doubles études par des horaires aménagés. Mais cela doit choquer le wokisme parisien ambiant qui consacre des millions à des associations douteuses, mais laisse détruire ou fait détruire ce haut lieu de l’enseignement public. Un jeune violoniste ne serait pas à égalité avec un voyou qui traîne dans ce même quartier ? Quelle honte ? Qui va-t-on aider ? Profitons-en pour signer et faire connaître cette pétition. 9

    L’éducation nationale engage une procédure disciplinaire contre moi pour des « propos inappropriés tenus sur Twitter envers des personnalités publiques, sur la politique sanitaire du gouvernement et sur la guerre de la Russie contre l’Ukraine » ! ‬

    Le délit d’opinion est-il rétabli ? 05/11/2022
    @rene_chiche‬

    Je suis allé consulter mon dossier au rectorat pour prendre connaissance des éléments sur la base desquels l’administration engageait une procédure disciplinaire à mon encontre. Comme j’ai trouvé qu’il était vide, j’y ai déposé mon livre sur la désinstruction nationale. À suivre. 08/11/2022
    @rene_chiche‬

    Je suis sidéré par la sanction injuste qui vise en la personne d’@alainhoupert‬ un parlementaire dans l’exercice de sa fonction, fonction qu’il incarne qui plus est avec honneur et droiture. Tout mon respect et mon soutien ferme à vous, cher Monsieur. 08/11/2022
    @rene_chiche‬

    Je n’ose même plus dire que j’aime le pied de cochon de peur d’enfreindre mon devoir de réserve et de loyauté. Oh, et puis tant pis ! Voilà qui est fait ! 09/11/2022 00:15
    René Chiche

    Je ne suis pas surpris qu’un régime politique qui a supprimé la classe de philosophie diligente des poursuites contre un professeur de philosophie qui fait son travail. Non, je ne suis pas surpris, mais cela m’inquiète. Et cela devrait nous inquiéter tous, à vrai dire. 10/11/2022 22:25
    @rene_chiche‬‬

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  11. Si défendre la transmission, c’est être conservateur, je suis conservateur. Si défendre l’égalité, c’est être de gauche, je suis de gauche. Si prendre au sérieux les dégâts causés par l’homme sur le vivant, c’est être écologiste, je suis écologiste. Etc. Vive l’intelligence ! 11/11/2022 14:21

    Voici quelques exemples dont on pourrait écrire un livre, comme de nombreuses autres réflexions intelligentes de twittos récoltées sur twitter ou ailleurs, tant il est vrai que le réveil de l’importance cruciale de la liberté, de la liberté d’expression, de la liberté de chanter, de publier, de rêver, de critiquer commence à réapparaître aux yeux de beaucoup de nos concitoyens. Ces libertés sont inscrites depuis plus de deux siècles dans nos constitutions que nous avons tous cru qu’elles étaient gravées dans le marbre, indestructibles et que les signes de maladie de notre liberté n’étaient que ceux d’une virose passagère…. Mais non la liberté n’est pas une pile Wonder et elle s’use très vite si on ne la protège pas de toutes nos forces

    Nous avons comme d’autres rappelé ces notions fondamentales qui semblent oubliées aujourd’hui et tenté de les défendre y compris en justice10

    La liberté d’expression11

    Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

    « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

    Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

    « C’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

    Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

    Éloge du doute et des débats

    Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés.

    Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

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  12. Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

    Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0 on peut lire ces phrases fondamentales :

    La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

    « La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la “libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

    La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

    L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre “droit de savoir.” De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix.

    Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

    L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

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  13. Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

    La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. “Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception,” a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova. »
    Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

    « C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socio-religieuses de son environnement. »

    C’est bien ce que tente de faire René Chiche et que tant d’autres ont oublié. Défendons-le comme tous les citoyens libres de leurs opinions et prêts à les défendre.

    Dre Nicole Delépine

    Notes :

    1. Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son ITW récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker

    2. l est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

    Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

    3. Profs, parents, élèves, unissez-vous ! | FranceSoir juin 2021

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  14. 4. 19/06/2022 Karen Brandin

    L’objectif de cette tribune est triple. Il s’agit tout d’abord d’une bouteille à la mer comme un encouragement solidaire à l’attention, puisqu’ils existent même s’ils semblent en voie d’extinction, de la poignée d’enseignants de l’éducation nationale que l’on pourrait qualifier de « résistants ». Ces profs exigeants, rigoureux et sincères qui aspirent simplement à pouvoir dispenser un enseignement digne, de qualité, celui dont ils ont parfois eu la chance de bénéficier ou tout simplement, celui dont ils rêvaient. Que mon statut d’indépendante, sa précarité sans doute, mais aussi la liberté de parole qu’il autorise comme celle de transmettre suivant mes convictions, permette de traduire tout haut ces souffrances qui s’expriment tout bas, trop bas.

    Je veux parler « de » et « à » ces profs ordinaires, jeunes ou vieux, mais devenus extraordinaires par la force des choses, car ils ont su conserver chevillés au corps, le devoir, la passion et le désir de transmettre « à leur tour » ou » en retour ».

    Ces mêmes profs qui, ces dernières années (décennies), ont été consciencieusement empêchés dans leur mission, voire dissuadés tant ils ont été stigmatisés, parfois même accusés d’être élitistes ou bien encore réactionnaires. (…) Mathématiques au lycée : un sauvetage en trompe-l’œil — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

    5. Que je ne suis plus depuis longtemps ayant été éjectée de twitter… j’espère que l’ère Elon Musk me permettra de retrouver les échanges utiles d’autrefois… c’est ainsi que j’avais découvert René Chiche et sa défense de la classe sacrifiée de philosophie.

    6. Voir l’excellent livre de René Chiche

    7. Autopsie d’un confinement aveugle n et g Delépine, Fauves éditions, sept 2020

    8. Citons par exemple dès 2005 La fabrique du crétin : La mort programmée de l’école Broché — 22 août 2005

    de Jean-Paul Brighelli (Auteur), Bernard Lecherbonnier (Préface)

    présentation d’Amazon Nos enfants ne savent plus lire, ni compter, ni penser. Le constat est terrible, et ses causes moins obscures qu’on ne veut bien le dire. Un enchaînement de bonnes intentions mal maîtrisées et de calculs intéressés a délité en une trentaine d’années ce qui fut l’un des meilleurs systèmes éducatifs au monde. Faut-il incriminer les politiques, les profs, les parents, les syndicats, les programmes ? En tout cas, la Nouvelle Pédagogie a fait ses « preuves » : l’école a cessé d’être le moteur d’un ascenseur social défaillant. Ceux qui sont nés dans la rue, désormais, y restent. Dès lors, que faire ?

    9. Jaumelina SALARIS Petition à M Pap Ndiaye (ministre de l’Éducation nationale) NON à la fermeture du Lycée général Brassens, Paris XIXe par la Région Île-de-France. Mme Pécresse, Mr Pap Ndiaye, M Kerrerro, Mme Hidalgo

    Nous avons appris que le lycée Brassens serait fermé brutalement dès la rentrée scolaire de septembre 2023 sans aucune concertation préalable.

    Nous, élèves, parents d’élèves, enseignants, habitants de la région Île-de-France, nous nous opposons à cette décision.

    Le lycée Brassens doit continuer à accueillir les élèves à horaires aménagés se destinant à des carrières artistiques et culturelles en musique, danse et chant. Leurs projets en dépendent, les efforts qu’ils fournissent depuis longtemps pour mener de front leur scolarité et une pratique artistique de haut niveau le justifie.

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  15. Les classes à horaires aménagés des lycées parisiens permettent aux élèves sélectionnés au niveau régional, national, voire international de suivre une carrière artistique rigoureuse et déjà professionnalisée grâce à un aménagement du temps scolaire en demi-journées. Ce sont des élèves motivés et travailleurs. Le lycée Brassens jouit d’une excellente réputation. Il brille par sa mixité scolaire, sa capacité à faire cohabiter des élèves d’origines et de milieux divers, par les projets qu’il porte.

    La fermeture du Lycée Brassens aurait pour conséquences :

    – La remise en cause, pour les élèves, de leur premier vœu d’affectation et leur choix de lycée validés par le Rectorat.

    – La remise en cause de leur scolarité en horaires aménagés dans un autre lycée parisien.

    – Une année scolaire marquée par l’incertitude quant à la poursuite de leur activité artistique intensive, quant à la possibilité de poursuivre leurs spécialités pour le baccalauréat.

    – Une augmentation du nombre d’élèves dans les classes des établissements où ils seront affectés.

    – La perte d’un septième lycée parisien en septembre 2023 puisqu’il est prévu que 6 autres lycées de la capitale fermeront leurs portes à la rentrée prochaine.

    – La réaffectation dans différents établissements parisiens des personnels qui y travaillent.

    Nous, élèves, parents d’élèves, enseignants, habitants de la région Île-de-France vous demandons de revenir sur votre décision prise sans concertation de fermer le lycée Brassens dès la prochaine rentrée scolaire. Les élèves du Lycée Brassens ont le droit d’étudier en toute sérénité et de travailler à l’obtention de leur diplôme du Baccalauréat. La communauté éducative doit pouvoir assurer le suivi des élèves jusqu’à la fin du cycle terminal. Les élèves affectés par le Rectorat au Lycée Brassens après avoir réussi leurs examens d’entrée au CRR, au CMA 12, au CNSM et à La Maîtrise populaire de l’Opéra-Comique doivent pouvoir poursuivre leur scolarité en horaires aménagés dans leur établissement d’affectation.

    10. [VIDEO] Debriefing Me Ludot : Dr Delepine, son référé sur la liberté d’expression des médecins | FranceSoir

    11. Liberté d’expression et d’opinion et censures internationales — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

    https://www.mondialisation.ca/l-est-temps-de-sunir-pour-sauver-la-liberte-dexpression-enseignants-soignants-medecins-avocats-journalistes-citoyens/5672698

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  16. Coup de théâtre en France : 900 intellectuels exigent que le Parlement rende publics ses débats sur les effets secondaires


    By Cheikh Dieng
    13 novembre 2022


    En France, la tribune signée en juin dernier par 900 intellectuels (scientifiques, médecins, avocats, chercheurs…) est toujours d’actualité. Ces derniers exigent de l’Officie parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques qu’il rende publics ses débats sur les effets secondaires des vaccins

    Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire la tribune dans sa version intégrale

    Excellente lecture

    “Le 24 mai dernier, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques tenait une audition publique de clôture de ses travaux ‘sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance’. Et son rapport a été rendu public le 9 juin. Derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a en réalité rendu invisibles certaines interventions portant sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19.

    Déjà, en n’auditionnant publiquement que trois ‘voix critiques’ contre onze thuriféraires des vaccins, l’Office indiquait un certain parti pris dans l’organisation même de ses travaux, au cours desquels 9 personnes sur les 49 auditionnées proposaient une analyse différente du discours qui inonde les médias depuis le début de la vaccination de masse ( ‘la vaccination est sans danger, elle protège les personnes vaccinées et protège aussi les autres, c’est sûr à 95%, etc’).

    Mais surtout, alors même que son règlement l’autorisait à les rendre publics, l’Office a choisi de conduire ses travaux sous forme d’auditions privées, un format très contestable s’agissant d’une question majeure touchant à la santé de tous les Français. Ainsi, les auditions qui se sont déroulées de mars à mai 2022 ne seront jamais rendues publiques. Pourquoi ? Certaines auditions gêneraient-elles ? Le public ne serait-il pas en mesure de les entendre ? De les comprendre ? Aucune explication n’est fournie par l’Office.

    Trois personnes dont les auditions ont été ainsi rendues quasi secrètes (Mme Christine Cotton, biostatisticienne, Mme Emmanuelle Darles et M. Vincent Pavan, enseignants-chercheurs des universités de Poitiers et Marseille) ont pourtant demandé à pouvoir faire part de leurs travaux pendant l’audition publique du 24 mai dernier. Peine perdue. Bien qu’elles se soient rendues devant le Sénat, le jour même de l’audition, elles ont trouvé portes closes. La sommation interpellative qu’elles ont fait délivrer au président de l’Office, M. Cédric Villani, fera toutefois date et il ne sera plus possible aux membres de l’Office de prétendre ‘qu’ils ne savaient pas’.

    Pourtant, ce que ces personnes avaient à dire est essentiel pour l’information impartiale du public, sans laquelle on ne saurait parler de ‘consentement libre et éclairé’ à la vaccination. Leurs travaux révèlent en effet des éléments particulièrement alarmants.

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  17. Ils montrent d’abord d’importants problèmes méthodologiques dans les essais cliniques ayant conduit à l’Autorisation d’Urgence dès décembre 2020. Ainsi, les manquements et les biais de l’essai clinique de phase 3 du vaccin Pfizer rendent ses conclusions peu fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, faussant l’évaluation du rapport bénéfice/risque.

    Ils notent ensuite une opacité des données publiques sur les vaccins qui ne sont ouvertes ni au public ni aux chercheurs, un fait inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française. En particulier, la méthode d’imputabilité des effets indésirables utilisée par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ne permet pas l’obtention de données complètes. Il convient, en outre, de garder à l’esprit que seuls entre 1 % et 10 % des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.

    Enfin, des chiffres de mortalité alarmants ressortent des bases de données de pharmacovigilance européennes (EMA) qui font état, à ce jour, d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin. En outre, ces bases de données font état de 1 788 % d’augmentation des troubles de cycles menstruels, 732 % d’augmentation d’AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30 années cumulées tous vaccins confondus, plus de 60 % de ces effets indésirables graves survenant le jour même de la vaccination.

    C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de la santé et professionnels du droit demandons solennellement à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques de rendre publiques l’ensemble des auditions effectuées pendant les travaux de l’Office sur ‘les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance’, par vidéo et par retranscription écrite. C’est à la fois un droit et un devoir en démocratie que de mettre à disposition des citoyens et de leurs élus la totalité de l’information disponible, et non simplement la partie qui arrange le gouvernement.”

    Les 900 premiers signataires

    Laurent Mucchielli, Directeur de recherche au CNRS
    Emmanuelle Darles, Maître de conférences des universités
    Vincent Pavan, Maître de conférences des universités
    Christian Velot, Généticien moléculaire, Université Paris-Saclay
    Elise Carpentier, professeur de droit public à Aix-Marseille Université
    Hélène Bidaut-Palma, Maître de Conférences à Aix-Marseille Université
    Sandra Silvia Negro, PhD Biologie
    Jean Soldini, PhD, HDR, philosophe et historien de l’art
    Alain Mahé, Maître de conférences à l’EHESS, Paris
    René Guénon, Enseignant-chercheur, microbiologie environnementale
    Michel de Lorgeril, Médecin et chercheur au CNRS
    Geneviève Massard-Guilbaud, Directrice d’études à l’EHESS
    Eric Mercier, Professeur des Universités en planétologie et géodynamique
    Marc Henry, Professeur des Universités émérite
    Raoul Huys, chargé de recherche CNRS
    Boris Kolev, Directeur de recherche au CNRS, ENS Paris-Saclay
    Françoise Bloch, Socio-anthropologue CNRS, retraitée

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  18. Olivier Albagli, Chargé de recherche au CNRS
    Thomas Fernique, Chargé de recherche au CNRS
    Claude Roux, Directeur de recherche honoraire au CNRS
    Caroline Petit, Chercheuse au CNRS
    Aurore Schmitt, Directrice de recherche, CNRS
    Nicolas Sembel, Professeur des Universités (70) sociologie de l’éducation
    André Quaderi, Professeur des universités en psychologie
    Arthur Balana, Ingénieur d’études, instrumentation physique, Université de Bordeaux
    Evelyne Fargin, Professeur émérite Université de Bordeaux
    Michèle Crogiez Labarthe, Professeur ordinaire, Université de Berne (Suisse)
    Marianne Bordenave-Jacquemin, Maître de conférences
    Philippe Pognonec, Ph.D., Directeur de Recherche CNRS
    Benoît Brandin, Enseignant, agrégé de philosophie
    Karen Brandin, Enseignante, docteur en théorie algébrique des nombres
    Matthieu Smyth, Professeur des Universités en sciences religieuses
    Frédéric Davesne, Ingénieur de Recherche Université d’Evry, Université Paris-Saclay.
    Ghislaine Fardel, Ingénieure Microbiologiste Universitaire à la retraite
    Xavier Florian, Lorian, Doctorant en travail social, Université de Montréal
    Sylvie Lasserre, Docteur en physique, anthropologue
    Marc Cizeron, Maître de conférences HDR, Université Clermont Auvergne
    Yves Martinez-Maure, Professeur des universités
    Marie-Ange Dat, Enseignante-chercheuse Université de Nantes
    Magali Soulatges, Maître de conférences à l’Université d’Avignon et des pays de Vaucluse
    Bernard Lamizet Amizet, Professeur d’université (à la retraite) à Sciences Po Lyon
    André Bernold, Michigan State University.
    Katja Sontag, Maître de conférences HDR, droit privé et sciences criminelles
    Dr. Isabelle L. Salle, Chercheuse affiliée, Ecole d’Economie d’Amsterdam
    Julie Lioré, Anthropologue et rédactrice scientifique
    Patrick Lawson, ingénieur d’études retraité, sciences humaines
    Pascal Fugier. Maître de conférences en sciences de l’éducation à Cergy Paris Université
    Alain Santacreu, Professeur de lettres
    Claude Depollier, Professeur émérite, Le Mans université
    Gilles Enea, Professeur des universités (ER) en Automatique, Université de Toulon
    Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux
    Catherine Lucquiaud, Ingénieur de recherche, Inria
    Jean-Charles Lévy, Professeur agrégé à l’université du Mans & Psychopraticien
    Jacques Maillard, Physicien, ancien chargé de recherches au CNRS
    Etienne Vernaz, Professeur retraité, ancien Directeur de Recherche au CEA
    Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS

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  19. Colette Anné, Mathématicienne, retraitée du CNRS
    Nathalie Prudhomme, Maître de conférences en psychologie différentielle, Université Aix-Marseille
    Cyrille Dounot, Professeur d’histoire du droit
    Benjamin Thomas, Ancien Ingénieur de Recherche CNRS
    Anthony Boccaletti, Directeur de Recherche CNRS
    Claude Bouville, Directeur de recherche honoraire au CNRS
    Arnaud Rey, Chercheur en psychologie au CNRS
    Brigitte David-Watine Chargé de recherche INSERM
    Jean-Paul Fuchs, Biologiste, Docteur ès Sciences, chercheur retraité du CNRS
    Magali Raymond, Enseignante en mathématiques
    Gisèle Parfait, Ingénieur de recherche, INRAE
    Sophie Amand, Enseignante et doctorante en sociologie à Aix-Marseille Université
    Etienne Fieux, Maître de conférences en mathématiques, IMT, Université Toulouse 3
    Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, Directrice de Recherche Inserm
    Hubert Gallée, Directeur de recherches émérite au CNRS
    Paule Bichi, Docteur en sciences de l’éducation, enseignante retraitée
    Patrice Pattegay, Docteur en sociologie (EHESS)
    Rosolino Lionti, Ingénieur de recherche (retraité)
    Bruno Poucet, Directeur de recherche émérite CNRS, Neurosciences Marseille
    Francisco Cabello Hurtado, Maître de Conférences HDR
    Michel Deshaies, Professeur des universités, Université de Lorraine
    Sandra Parvu, Maître de conférences
    Béatrice Mabilon-Bonfils, Professeure des Universités
    Fabrice Caudron, Maître de conférences, Université de Lille
    Yannick Bruneton, Professeur d’histoire, Université Paris Cité
    Nathalie Leroux, Maîtresse de conférences à l’université Paris Nanterre
    Dominique Labbé, Enseignant-Chercheur retraité, Université de Grenoble-Alpes
    Gilles Tronchet, Maître de conférences retraité (Nantes)
    Philippe Huetz, Docteur en biophysique moléculaire, chercheur
    Juliette Rouchier, directrice de recherche CNRS
    Michel Tauc, Directeur de recherche Inserm
    Jean Baratgin professeur de psychologie cognitive, Université Paris 8
    Johan Hoebeke, Directeur de recherches C.N.R.S. (retraité)
    Denis Rotillon, Enseignant-chercheur retraité, Université de Toulouse

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  20. Anne-Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des universités et médecin expert honoraire près des Tribunaux
    Hubert de Foresta, Chargé de recherche hors classe (retraité)
    Christopher Pollmann, Professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine – Metz
    Gérard Thiriet, Professeur agrégé
    Jean-Guillaume Bellier, Ancien professeur agrégé de géographie, psychopraticien, formateur
    Benjamin Rondeau, Maître de Conférences, Université de Nantes
    Yves Limoge, Ingénieur des Mines, docteur d’État en Physique, directeur de recherches du C.E.A., retraité
    Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1
    Marie-Françoise Barme, Maître de conférences, mathématiques, Université de Lille
    Françoise Gil, Sociologue
    Thomas Noack, Enseignant
    Valérie Lowit, Ingénieur d’études à l’Université Paris Cité
    Fernand Bentolila, Professeur de linguistique à la retraite, Université René Descartes, Paris
    Aude Farinetti, Maître de conférences en droit public
    Chantal Duprez, Maître de conférences retraitée, physique université de Lille
    Marie-France Coquillay, Enseignante chercheuse en sciences pharmaceutiques
    Christophe M. Dubois, Politologue et juriste de formation, ancien assistant etcChercheur au département des sciences politiques et sociales, de l’Université catholique de Louvain (Belgique), ancien attaché de cabinet ministériel, région Wallonne (Belgique).
    Gérald Sawicki, Professeur agrégé et docteur en histoire contemporaine
    Bruno Couderc, Enseignant Université Rennes 2
    Joseph Romano, Sociologue à l’Université de Lorraine, retraité
    Jean-Charles Rafoni, Linguiste, Université de Cergy-Pontoise
    François Migeot, Directeur de recherches honoraire en sciences du langage, Université de Franche-Comté, Besançon
    Olivier Saint-Martin, Maître de conférences en économie, Université de Rouen
    Mael Virat, Chercheur en psychologie
    Patrick Meunier, Enseignant agrégé de biochimie-génie biologique
    Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur émérite, langues et littératures romanes, Université de Bordeaux
    Herve Seligmann, Chercheur en biologie
    Bruno Maurer, Professeur des Universités en Sciences du Langage, Montpellier 3, Professeur ordinaire didactique du FLE, Université de Lausanne
    Denis Lemercier Maître de conférences HDR retraité
    Anne Stein, Médecin et maître de conférences en biochimie retraitée
    Alain Wurtz MD, PhD, Professeur émérite de chirurgie thoracique, Université de Lille
    Fanny Kieffer, Maître de conférences à l’Université de Strasbourg, histoire des sciences
    Régis Chambert, Enseignant-chercheur retraité de Paris 7

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  21. Olivier Merle, Professeur des universités
    Serge Chaumier, Professeur à l’Université d’Artois
    Antoine Marin, Chercheur à l’INRAE
    Jean-Marie Matagne, Professeur agrégé de Philosophie, Docteur d’État
    Guy Chapouillié, Professeur émérite, ENSAV Université de Toulouse Jean Jaurès
    Dominique Harmand, Professeur émérite, Université de Lorraine
    Eléonore Cadou, Maîtresse de conférences en Droit privé
    Gilles Sené, Écologue, Agrégé de l’Université sciences de la vie et de la terre
    Marc Richevaux, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
    Philippe Bensimon, Criminologue Ph. D (Canada)
    Alain Pénoël, Agrégé de mathématiques, docteur en probabilités de Paris VI
    Jean-Marie Seca, Professeur de sociologie, Université de Lorraine
    Marie-France Duval, Professeur d’université retraitée
    Daniel Belet, Professeur honoraire de management
    Alain Deville, Physicien, Professeur émérite, Aix-Marseille Université
    Maryse Esterle, Enseignante chercheure honoraire en sociologie, Université d’Artois
    Georges Herault, Professeur des universités retraité
    Marc-Antoine Kaeser, Professeur à l’Université de Neuchâtel
    Maxime Prévost, Professeur titulaire, département de français, Université d’Ottawa
    Nicolas Bancel, Professeur ordinaire, Université de Lausanne
    Nicolas Bonnet, Professeur des Universités, Université de Bourgogne-Franche-Comté
    Maïté Lascaud, Professeure agrégée, chercheure L-Vis Lyon
    Philippe Schepens, Professeur en sciences du langage, retraité, Université de Franche-Comté
    Damien Gauden, Docteur ès sciences de l’Université de Rennes 1
    Emmanuelle Reulier, Docteur ès sciences économiques de l’Université de Rennes 1
    Jean-Philippe Garnier, Maître de conférences en énergétique, Université de Poitiers
    Olivier Dagnelie, Maître de conférences en économie à l’UPPA
    Rafaëlle Maison, Professeur de droit public, Université Paris-Saclay
    Marie-Line Cal, Maître de conférences en sciences économiques, Université de Bordeaux, collège santé
    Michel Pocchiola, Professeur des universités, Institut de Mathématiques, Université Pierre et Marie Curie
    Lucien Oulahbib (HDR) enseignant et chercheur, Lyon
    Michèle Minet, ancienne enseignante-chercheur en génétique, faculté de Jussieu
    Gaelle Gassin, Maitre de conférences chimie-physique, Université de Montpellier
    Giordano Mastrocola, Chercheur associé en musicologie, Université de Toulouse Jean Jaurès
    Michel Herren, Docteur en philosophie, Lausanne
    Philippe Balcou, Directeur de Recherches
    Stéphane Vautier, Professeur des Universités à l’UT2, Toulouse
    Christian Ghasarian, Ethnologue, Université de Neuchâtel
    Géraldine Victoir, Maître de conférences, université Paul Valéry, Montpellier
    Bertrand Charrier, Professeur des Universités

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  22. Olivier Ozenda, Docteur en mathématiques appliquées chercheur non-permanent INRAE
    Patrizia Cavalli, Maître de conférences en économie et gestion
    Pierre Roche, Docteur HDR en sociologie
    Jean-Luc Peiry, Professeur des universités
    Agnès Boutet, Maître de conférences
    Odile Hélier, Anthropologue
    Marielle Vicet, Docteure en psychanalyse et psychopathologie, Victimologue
    Roger Tardy, Ingénieur Arts et Métiers à la retraite
    François Sanchez, Doctorant Sciences de l’Éducation et de la Formation Université de Haute Alsace (UHA) Mulhouse
    Christine Cazal, Professeur de SVT dans le second degré
    Carolyn Granier-Deferre, Maître de Conférences émérite
    Joel Abadie, (PhD) Ingénieur de recherche CNRS
    Vincent Bertrand, Maître de conférences, Université de Lorraine
    Clément Evain, Maître de Conférences en physique, Université de Lille
    Tony Février, PRAG de maths à l’université Paris-Saclay.
    Jean François Guilhaudis, Professeur honoraire, Université Grenoble Alpes
    Jean-Yves Monnat, Maître de Conférences HC, retraité, Université de Bretagne Occidentale, chercheur en biologie des populations
    David Lepoutre, Professeur de sociologie, université de Paris Nanterre
    Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé Aix-Marseille Université
    Alain Vidal, Professeur consultant, AgroParisTech, membre de l’Académie d’agriculture de France
    Alain Sergent, Enseignant-chercheur Labo SYMME, IUT
    Pierre-Marie Gassin, Enseignant chercheur agrégé à l’ENSCM
    Pascal Bouchez, Maître de conférences, UPHF
    Philippine Bruno-Rey, Professeur agrégé de lettres classiques
    Stéphane Bruno-Rey, Ingénieur Arts et Métiers
    Clémentine Le Guern, Professeur des écoles
    Zuzana Fekiacova-Castanet, chargée de recherche INRAE
    Henri Persat, Docteur ès Sciences, PhD HDR, retraité du CNRS
    Laëtitia Comminges, Maître de conférences, Université Paris Dauphine, statistique mathématique
    Oliver Jourdan, Maître de conférences, UCA
    Clément Bovo, Technicien recherche et formation universitaire
    Christophe Pouzat, Neurophysiologiste et statisticien, CR CNRS
    Laurent Thiery, Maître de Conférences HDR, CNU 62, Université de Franche-Comté
    Alessandro Stella, Directeur de Recherche au CNRS
    Marie-Pierre Baudin- Maurin, Maître de conférences HDR en droit privé
    Florence Poirier, Biochimiste, Ingénieure de recherche à l’Université, Paris 13
    Bruno Dauvier Professeur de Psychologie Aix-Marseille Université
    Edith Galy, Professeure des Universités en Ergonomie
    Jean Happel Agrégé de Lettres classiques
    Dorothée Dussy, Anthropologue, Directrice de recherche au CNRS
    Carole Waldvogel, Ingénieure de recherche et sociologue
    Valérie Saint-Dizier, Professeur d’université
    Franck Waille, Chercheur au sein du LARHRA, Lyon
    Jacqueline Grima Pettenati, DR1 CNRS, retraitée

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  23. Manuelle Peloille, Professeur, Université d’Angers
    Yves André, Docteur en astrophysique
    Marie-José Arnoux, Enseignant-chercheur en chimie à CPE Lyon, retraitée
    Christelle Dumas, Enseignante en activités physiques adaptées
    Marie-Virginie Cambriels, Doctorante en musicologie, Montpellier 3
    Claude Tregnier, Docteur en psychologie, Université Paris-Descartes
    Sophie Le Gal, Maître de conférences en Sciences du Langage
    Agathe Torti Alcayaga, Maître de conférences, Université Sorbonne Paris Nord
    Christine Zimmer, Maître de conférences, Université de Bourgogne
    Pauline Garnier-Géré, PhD, Chercheur en génétique évolutive, INRAE
    Marie-Françoise Petit-Glatron, Chercheuse retraitée du CNRS, Sciences de la Vie
    Cédric Dumas, Enseignant-chercheur au laboratoire des sciences du numérique Nantais (LS2N)
    Rémi Mongruel, Économiste, chercheur à l’IFREMER
    Marianne Bordenave-Jacquemin, Maître de conférences
    Vincent Monfort, Maître de conférences, HDR, Université de Lorraine
    Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR, département d’études italiennes
    Alain Léger, Professeur des universités retraité
    Bernard Boitrel, Directeur de recherche CNRS
    Thierry Oblet Maître de Conférences Sociologie Université de Bordeaux
    Maryse Esterle, Enseignante-chercheure honoraire en sociologie, Université d’Artois
    Henri Eckert, Professeur de sociologie émérite, Université de Poitiers
    Jean-Luc Stigliani, Maître de conférences
    Aubeline Vinay, Professeure des Universités, psychologie clinique du lien social
    Corinne Masson, Sage-femme
    Ariel Prunell, Directeur de Recherche CNRS, spécialité biologie moléculaire retraité
    Isabelle Bordet, Professeure des écoles spécialisée
    Carole Tardif, Professeur, psychologie et psychopathologie du développement, Aix-Marseille Université
    Philippe Fritsch, Professeur des universités retraité, sociologie, Université Lyon 2
    François Réveret, Ingénieur de recherche HDR au CNRS
    Shirin Jindani, Enseignante Université Rennes 2
    Gérard Bodelet, enseignant vacataire à l’Université de Bretagne Sud
    Annie Millot, Enseignante retraitée
    Pol Begasse, Adjoint technique Université de Bordeaux.
    Karine Bénac, Maître de conférences HDR, littérature française
    Philippe Aurier, Professeur de gestion, Université de Montpellier
    Jean Happel, Agrégé de lettres classiques
    Luc Lelièvre, Sociologue, M.A.
    Anne Décoret, anthropologue
    Florence Joulkva, Professeur
    Mylène Bréter, Professeure
    Isabelle Pruvot, Enseignante
    Sandrine Bréjeon, Enseignante
    Denis Guillec, agrégé de philosophie, professeur en CPGE

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  24. Marion Feledziak Docteure en sciences, enseignante en chimie en Haute école (Belgique)
    Boris Bertin, Docteur en droit
    Philippe Morand, Chercheur, retraité du CNRS
    Fabrice Collot, Professeur agrégé d’anglais, chercheur indépendant
    Guillaume Lavoué, Professeur des universités en Informatique
    Gérald Pech, ingénieur de recherche, ancien chercheur dans le spatial
    Anne Salètes, Docteur en physique, MBA
    Virgile Danflous, Professeur certifié de philosophie
    Anne Isla, Maitresse de conférences en économie, Université de Toulouse
    Jacques H. Julliard, Docteur en Chimie, Docteur d’Etat ès sciences physiques
    Françoise Morato Lallemand, Maitre de conférences à l’Université de Montpellier
    Lyu Abe, Astronome-adjoint, observatoire de la Côte d’Azur
    Jean-Christophe Cousin, Maître de conférences, Telecom Paris
    Renaud Gabet, Enseignant-chercheur en physique
    Fabrice Wilhelm, professeur des universités (9e section), université de Franche-Comté (UFC).
    Hubert Gallée, Directeur de Recherches émérite au CNRS, Sciences du Climat et de l’épidémiologie
    Anne-Marie Yim, Docteur en chimie des protéines et juriste
    Marie-Christine Hazaël-Massieux, Professeur des universités, retraitée
    Pierre Couturier, Maître de conférences, laboratoire d’études sociologiques sur la construction et la reproduction sociales (LESCORES)
    Jean-Pierre Meeschaert, Professeur agrégé de lettres, professeur en sciences de l’information et de la communication Université Lille III et Valenciennes, retraité
    Marc Vigneron, Chercheur INSERM CR1, retraité
    Bernhard Elsner, PRAG et docteur en mathématiques à l’Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines
    Jean Roudier, Professeur Aix-Marseille Université et INSERM UMRs1097
    Raymond Barbry, Formateur et chercheur indépendant, membre du CIRET
    Alain Jacquot, Statisticien et économiste
    Jean-Luc Kop, Maître de conférences, Université de Lorraine
    Mariane Borie, Docteur en philosophie
    Pierre Sochala, Docteur ingénieur, chercheur en mathématiques appliquées
    Françoise Clerc, Professeur des universités, retraitée
    Sylvie Blandin, Professeur agrégée de lettres classiques.
    Carolyn Granier-Deferre, Maître de conférences, HDR, Université Paris Cité
    Christine Cotton, Biostatisticienne pour l’industrie pharmaceutique
    Dr Marc Arer, Médecin retraité
    Biarnes Karine, Infirmière libérale
    Cyril Loubradou, Ostéopathe
    Dr Guy Van Hoonacker, Médecin anesthésiste réanimateur
    Dr Serge Berda, Médecin urgentiste
    Fabienne Bonameau, Art-thérapeute
    Elsa Hybertie, Psychologue clinicienne, psychanalyste
    Cohas Stéphane, Aide médico-éducatif
    Jean-Baptiste Tollet, Masseur-kinésithérapeute et ostéopathe

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  25. Dr Benny Cassuto, Médecin généraliste
    Marie-Christine Cudicio, Médecin généraliste à la retraite
    Sophie Pointeau, Sage-femme
    Dr Catherine Raulin, Médecin-ostéopathe
    Dr Martine Mérour, Pneumologue
    Sandra Schmieder, Docteur en Sciences de la vie
    Laurence Meert, Kinésithérapeute
    Hélène Banoun, Pharmacien biologiste, ancienne chargée de recherches INSERM
    Béatrice Vibert, Infirmière puéricultrice
    Anne-Marie Roudot, Orthophoniste
    Thierry Coquet, Aide-soignant en EHPAD
    Anthony Chauvet, Psychologue clinicien
    Rose-Marie Castello, Médecin du travail
    Philippe van Acker, Docteur en Psychologie
    Dr Sophie Bel, Médecin généraliste, homéopathe
    Jean-Claude Richard, Ostéopathe à la retraite
    Dr Anne Nespolo, Médecin retraité
    Jean-Roch Aubertein, Infirmier DE
    Tommaso Cornali, Infirmier
    Marlène Charpentier, Psychologue clinicienne
    Yvonne Lebarbier, Préparatrice en pharmacie à la retraite
    Dr Emilien Colin, Pharmacien
    Florence Pierre, Masseur-kinésithérapeute
    Dr Dominique Lesuisse, Psychiatre
    Dr Caroline Terrenoir, Médecin
    Sophie Fradera-Delaporte, Infirmière anesthésiste
    Michelle Camelin, Médecin
    Linh Hoang Thi, Médecin acupuncteur retraitée
    Virginie Charreau,Ingénieur en nutrition, diététicienne nutritionniste
    Patrick Bruno, Ingénieur hospitalier
    Marie Léon, Psychothérapeute
    Dr Julien Petit, Docteur en Médecine,
    Frédéric Teste, Ostéopathe, auteur.
    Dr Éric Lemle, Chirurgien-dentiste
    Dr Florence Jacquelin, Médecin généraliste spécialisée en soins palliatifs
    Isabelle Côte, Infirmière
    Docteur Daniel Dhaussy, Médecin psychiatre retraité
    Dr Isabelle Laffont
    Dr Magali Delvaux, Psychiatre libéral
    Isabelle Briennon, Docteur en pharmacie
    Gabrielle Seynave, Kinésithérapeute
    Annie Bergere, Aide-soignante
    Dr Jean-Pierre Pilet, Médecin généraliste
    Dr Delphine Rive, Médecin hypnothérapeute
    Nathalie Cornillon, Infirmière de bloc opératoire DE
    Claude Bournas, Médecin généraliste à la retraite
    Anne-Marie Brun, Sage-femme
    Monique Maquik, Médecin du travail en milieu hospitalier (retraitée)

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  26. Dr Carine Van Wolput, Médecin
    Pierre Coiffait, Manipulateur radiologie retraité
    Gérard Nauret, Psychologue clinicien hospitalier
    Idriss Abiola, Infirmier anesthésiste diplômé d’état
    Dr Pacteau, médecin retraité gynécologue obstétrique
    Dr Gaetan Cantineau, Médecin spécialiste (radiologue)
    Stephan Lepetit-Teston, Ostéopathe DO, kinésithérapeute DE
    Dr Philippe Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
    Dr Kump Hanna pédiatre
    Dr Joëlle Thélème, Médecin généraliste à la retraite
    Sandrine Bascoul, Psychologue clinicienne
    Dr Jean Grimberg, Chirurgien orthopédiste
    Corinne Chesnais, Chirurgien-dentiste
    Martine Thomas, Cadre de santé enseignante en IFSI, retraitée
    Dr Eric Gervais, Médecin libéral, spécialiste en psychiatrie
    Nicole Roattino, Pharmacien praticien hospitalier AP-HM
    Dr Frédérique Giacomoni, Psychiatre-psychothérapeute FMH
    Agathe Vastel-Paris, Docteur en pharmacie
    Majdi Najia, Sage-femme
    Dr Vincent Reliquet
    Florence Lair, Radiologue
    Dr Louis Fouché, Médecin anesthésiste-réanimateur
    Dr Richard Defay, Médecin
    Dr Marie Pascual, Médecin du travail
    Dr Philippe Ollivier, Médecin spécialiste en ophtalmologie
    Dr Marie-Elise Hanne, Médecin biologiste retraité
    Dr Jean-Jacques Coulon, Médecin généraliste
    Martine Fargier, Infirmière hospitalière retraitée
    Dr Isabelle Autonne, Médecin retraité
    Yves Labbé, Masseur-kinésithérapeute
    Jean Remy, Médecin retraité
    Benoît Bataille, Médecin anesthésiste-réanimateur
    Sylvie Blasquez, Psychologue clinicienne
    Xavier Gallet, Psychopraticien
    Gabrielle Gothié, Orthophoniste
    Dr Sylvie Imbert, Psychiatre
    Dr Jacques Soufron, Chirurgien viscéral
    Dr Pierre Billon, Médecin généraliste
    Magali Casamatta, Infirmière anesthésiste diplômée d’Etat
    Jean-Marc Casamatta, Infirmier de bloc opératoire diplômé d’Etat
    Céline Arnaud Sage-femme
    Sarah Wauquiez, Psychologue clinique, spécialiste en promotion de la santé
    Dr Nadia Fernandez, Médecin omnipraticien
    Frédéric Pic, Médecin rhumatologue retraité (ex expert auprès des tribunaux)
    Dr Chau Huu Tin, Docteur en médecine
    Eric Mallet, Docteur en Médecine – Pédiatre, DIU infectiologie Pédiatrique
    Gina Chicane, Infirmière
    Dr Christophe Julien, Chirurgien-dentiste
    Veerle Verbeeck, Therapaute psychocorporelle
    Dr Franck Zeiger, Docteur en médecine, spécialiste en Médecine Générale
    Agnès Wauquiez, Infirmière retraitée
    Aude Buche, Infirmière
    Sylvie Duplaix, Psychologue Clinicienne

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  27. Isabelle Riou, Infirmière DE
    Aline Dotto, Infirmière psychiatrique retraitée
    Dr Philippe Fleury, Médecin Radiologiste retraité
    Paul Touboul, Professeur de cardiologie
    Aurélia Philippe, Pharmacien
    Dr Hélène Costamagna, Gynécologue obstétricien
    Marie-Claude Granget, Profession Psychologue clinicienne
    Isabelle Grégoire, Docteur en médecine, médecine générale
    Luc Quintin, Md Phd, anesthésiste réanimateur (retraité)
    Muriele Savigny, Médecin psychiatre
    Jean Louis Rouvillain, Chirurgie orthopédique et traumatologique, traumatologie du sport, expertises médicales, ancien chef de service du CHU de Fort de France
    Marie-Pierre Beaulieu, Psychomotricienne
    Dominique Bourdin docteur en médecine
    Valérie Henry, psychologue clinicienne
    Anne Bastin, Orthophoniste
    Zoé Moutel, Infirmière
    Ariane Bilheran, Normalienne, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie
    Alain Butunaru, Docteur en Médecine
    Catherine Huerta, Infirmière en EHPAD
    Dr Olivier Anne, Médecin Neurologue
    Noëlle Girod, Infirmière, Médecin radiologue
    Dr Boudet Michel, médecin généraliste
    Marie Pasquier, Médecin gériatre
    Françoise Volot, Médecin
    Dr Bruno Barroso, Praticien hospitalier, neurologue
    Dr Parini Michel, ACCAH, Anesthésie-Reanimation, PH retraité
    Dr Jérôme Sainton, médecin & bioéthicien
    Françoise Schmit, Infirmière retraitée
    Martine Migaud, Médecin généraliste à la retraite, Acupunctrice à la retraite
    Françoise Douady, Docteur en médecine
    Nicolas Védrines, Kinésithérapeute
    Igor Redon, Opticien
    Franck Bourges, Diplômé de l’ENSCPB, Ingénieur informatique – Analyse de données
    Dominique Cadoret, Psychologue
    Jean Gabriel Balique chirurgien, PU-PH
    Véronique Pécastaings, Sage-femme
    Dr Michel Jreige, Médecin généraliste, ancien médecin urgentiste-assistant des hôpitaux
    Françoise-Marie Gauthier, Psychomotricienne spécialisée en Eutonie
    Gerda Alexander, thérapie énergétique holistique & champs magnétiques pulsés CMP-
    Sandrine Marasco, Technicienne de laboratoire d’analyses médicales
    Marie-Christine Nivault, Psychologue

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  28. Isabelle Hoehne, Médecin généraliste
    Delphine Bensaïd, Psychologue clinicienne
    Roselyne Charvet Dischly, Psychologue clinicienne en retraite
    Jean-Michel Valentini, Infirmier
    Catherine Prévot, ancienne responsable adjointe de laboratoire CARSO-LSEHL, Laboratoire santé environnement hygiène de Lyon, service chimie des eaux usées, retraitée
    Karen Mareschal, Kinésithérapeute
    Alain Carillon, Médecin généraliste
    Dr Colette Allamel, Médecin généraliste
    Dr Nathalie Péronnet Salaün, Médecin généraliste
    Dr Daniel Salaün, Gastro-enterologue.
    Marie-Agnès Gricourt, IADE, professionnelle de santé
    Marie Février, Ancienne Infirmière Hygiéniste
    Stéphane Cohas, Aide médico-éducatif
    Dr Philippe Bos, Anesthésiste-Réanimateur retraité
    Dr Alain Rousseau, Médecin retraité
    Marie-Christine Faure, Infirmière puéricultrice retraitée
    Patricia Mateo, Infirmière
    Isabelle Lagny, Médecin du travail
    Dominique Lismonde, Psychologue clinicienne, psychothérapeute
    Rémi Joguet, Médecin généraliste hospitalier retraité
    Françoise Ternoy, Psychomotricienne
    Jean-Pierre Gay-Montchamp, PH Pharmacologie-Toxicologie retraité
    Dr Christine Blanc, Médecin généraliste retraitée
    Dr Hélène Chollet, Médecin généraliste
    Dr Daniel Chollet, Pneumologue
    Dr Emmanuel Pichot, Médecin radiologue
    Dr Jean-Claude Fajeau, Docteur en médecine
    Laura Kuster-Besnier, Orthophoniste et docteur vétérinaire
    Dr Patrick Besnier, Vétérinaire
    Dr Yannick Ruel, Docteur vétérinaire
    Dr Valérie Sierra Ludmann, Cardiologue
    Marie-Christine Forest, Psychologue clinicienne hospitalière
    Dr Véronique Ahari, Médecin retraité
    Dr Sylvie Rosset, Médecin généraliste en EMS
    Didier Lambert, Président association de patients, membre du comité scientifique permanent pharmacovigilance de l’ANSM 2019 – 2021
    Gilles Delassasseigne, Psychologue clinicien

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  29. Fabrice Gulbaud, Psychologue clinicien à l’Hôpital public et dans le secteur médico-social
    Alain Lecavelier, Docteur vétérinaire, retraité, ancien Chef de service santé et protection animales
    Fabienne Garcia, Kinésithérapeute
    Nathalie Remillier Longueville, Sage-femme
    Jean-Marie Lupart, Médecin psychiatre
    Dr Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne –Psychothérapeute, Praticien EMDR Europe
    Jean-Marc Rehby, Médecin généraliste
    Line Cabot, Médecin généraliste
    Didier Delaitre, Médecin légiste
    Sophie Plantade, Psychologue clinicienne, AP-HM
    Dr Hélène De Cristoforo, Docteur en médecine
    Marc Naudin, Ostéopathe D.O
    Dr Bernard Fontes, Anesthésiste-réanimateur
    Dr Bruno Bourgeon, néphrologue, épidémiologiste, éthicien, immunologiste
    Béatrice Bobay, Pédicure-podologue
    Joël Carthery, Conseiller en champignons médicinaux auprès des professionnels de santé
    Claire Claudel, Psychologue clinicienne-psychothérapeute
    Anne-Marie Georget, Kinésithérapeute retraitée
    Dr Danielle Vautrin, Médecin
    Thierry Lamothe, Infirmier
    Jacques Le Lann, Médecin généraliste et spécialiste de santé publique, médecine tropicale et gériatre, retraité
    Clarisse Huckert, Masseur-kinésithérapeute, naturopathe réflexologue
    Dr Anne Moro L’Kaissi, Chirurgien infantile
    Fabienne Carbonnel, Masseur-kinésithérapeute
    Jean Cabane, Professeur, interniste
    Dr Claude Murtaza, Médecin
    Maxime Flores Kinésithérapeute
    Anne-Marie Gleize, Cadre de Santé chargée d’enseignement à la retraite
    Anne Gauquelin, Orthophoniste
    Jean-Claude Suignard, Psychologue hospitalier (à la retraite)
    Sebastien Morel, Pharmacien d’officine
    Françoise Castan, Orthophoniste
    Jean-Jacques Devic, Pharmacien retraité
    Dr Jacqueline Guérin, Médecin généraliste retraitée
    Valérie Chénard, Psychologue sociale et du travail
    Bernadette Bonhoure, Pharmacien biologiste à la retraite.
    Patricia Bres, Infirmière
    Elodie Petit-Aguilar, Psychologue clinicienne
    Dr Valérie Papapietro, Gastro-entérologue
    Dr Dominique Rivière, Praticien hospitalier
    Dr Corinne Garcia, Chirurgien-dentiste
    Bernard Vanhoye, Inspecteur général de santé publique vétérinaire (du MAA) à la retraite
    Stéphanie Dor, Pharmacienne

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  30. Dr Catherine Rossi Chirurgien-dentiste
    Valérie Vigne Chazaud, Sage-femme libérale
    Dr Françoise Giorgetti D’Esclercs, Médecin ORL
    Dr Sébastien Lagorce, Médecin généraliste
    Florence Pichot, Psychologue psychothérapeute
    Nadine Roux, Art-thérapeute
    Yvette Klein Wurtz, Psychologue clinicienne et Psychothérapeute
    Gaëlle Saliou, Docteur en pharmacie, artiste-auteure
    Sylvie Laval, psychiatre
    Dr Marie-Hélène Lottin, Psychiatre retraitée
    Beatrice Guillaume Friedmann, IDE spécialisée en addictologie, retraitée
    Dr Marie-Paule Cabrol
    Dr Thierry Gibergues, Chirurgien-dentiste
    Dr Eric Beeth, Docteur en Médecine
    Dr Stéphanie Courbon, Chirurgien-dentiste
    Dr Jean-Luc Lebrun, Gynécologue-Obstétricien, ex-praticien hospitalier
    Michel Ternoy, Psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, docteur d’Etat ès Lettres et Sciences Humaines
    Dr Arnaud Huboud-Peron, Chirurgien orthopédiste, praticien hospitalier
    Isabelle Bernard, Ergothérapeute
    Dr Catherine Deshays psychiatre en centre hospitalier
    Sandrine Mastier, psychologue clinicienne
    Isabelle Laffont, Psychiatre
    Dr Claire Chanu, Chirurgien-dentiste
    Dr Donavine Nimubona, Médecin santé publique
    Marie Boutrolle, Psychologue clinicienne
    Dimitri Jacques, Biologiste, psychothérapeute, journaliste scientifique
    Nathalie Devaucoup, Infirmière
    Dr Caroline Durolek, Médecin généraliste
    Jean Christian Prévost, Ostéopathe
    Frédérique Pegeot, Pharmacien
    Myriam de Arriba, Assistante sociale
    Dr Eric Menat, Docteur en Médecine
    Anne Levry Champion, Pharmacien
    Dr Evelyne Rougier Rougeaux, Médecine générale
    Dr Sandra Jasmin, Docteur en médecine générale
    Dr Bénédicte Dassonville, Médecin
    Dr Elise Gérard, Médecin généraliste
    Séverine Guitton, Cadre de santé
    Alain-Philippe Maniette, Médecin généraliste
    Nicola Mirko Villani, Thérapeute en médecine holistique
    Joke Panneels, docteur en médecine
    Docteur Pierre Pennamen, Médecin généraliste
    Eric Portes, Médecin généraliste
    Emeline Bastide épouse Charlet, Infirmière Diplômée d’Etat
    Catherine Nicoud, Infirmière
    Gilles Rochette, Psychologue retraité
    Dr Jean Emsallem, Médecin vasculaire (angéiologue)
    Dr Anne-Marie Monjo, Médecin anesthésiste-réanimateur retraitée
    Dr Denis Ribbe, Praticien hospitalier urgentiste et gériatre, ex-chef de service, retraité
    Dr Claude Chiche, Médecin généraliste

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  31. Valérie Vie, Psychanalyste
    Dr Françoise Rometti, Psychiatre retraitée
    Dr Laura Giusti, Psychiatre des hôpitaux retraitée
    Dr Geneviève Fribourg-Blanc, Médecin retraitée
    Christelle Chaillou, Psychologue
    Dr Claire Forrat-Moinet, Docteur en médecine
    Alexandra Wendel, Infirmière
    Dr Paul Polis, Médecin vétérinaire
    ‌Barbara Leguy, Aide-soignante
    Cynthia Garderet, Diététicienne-Nutritionniste
    Aldjia Moulai, Acupuntrice, militante des droits humains
    Magali Weil, Médecin MPR
    Dr Alain Le Guen, Médecin généraliste et gériatre en retraite
    Thierry Bataille, Kinésithérapeute libéral
    Christine Catala, Attachée de recherche clinique
    Jean-Luc Amouretti, Médecin généraliste
    Florence Bosse, Psychologue de l’éducation nationale
    Deniz Sevim, Infirmière
    Sandrine Bourgeteau, Orthophoniste
    Gwénaëlle Gaudicheau, Chirurgien-dentiste
    Philippe Vernet, Chirurgien Orthopédiste retraité
    Romuald Caquière, Psychologue psychothérapeute
    Dr Charles Pellissier
    Khadidja Meziani, Infirmière diplômée d’État
    Dr Benjamin Guy, Médecin hospitalier
    Dr Franck Olivier De Winne, Médecin anesthésiste
    Nolwenn Battistini, Infirmière anesthésiste
    Nicole Chaudiere, Pharmacienne retraitée
    Dominique Chazal, Médecin
    Laetitia Barsotti, Psychomotricienne
    Marilyne Denéchaud, Infirmière
    Nathalie Allain, Docteur en médecine
    Hugo Patourel, Infirmier
    Dupin Delphine, Docteur en pharmacie
    Marc Heinrich, Infirmier D.E.
    Dr Armelle Blanchard, Médecin généraliste gériatre
    Solène Charon, Masseur-kinésithérapeute DE, ostéopathe DO
    Adèle Macrez, Cadre de santé à la retraite
    Véronique Beranger, Médecin généraliste
    Dr Olivier Jaquet
    Philippe Cliquet, Docteur en médecine
    Richard Faitg, Médecin anesthésiste-réanimateur
    Dr Sylvie Descriaud, Chirurgien-dentiste
    Dr Hélène Skolka, Médecin généraliste retraitée
    Dr Daniel Fagnano, Médecin hospitalier

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  32. Dr Victor Dupuis
    Yoanna Micoud, Psychologue
    Pascale Fouratier, Docteur en pharmacie
    Elisabeth Charriau, Psychologue hospitalière
    Daniel Houdot, Cadre préparateur en pharmacie retraité
    Michel Fonters, Directeur d’hôpital honoraire
    Théodore Rottier, psychologue
    Patricia Bacquet, Infirmière
    Dr Meignan Bernadette, Médecin généraliste
    Dr Françoise Riedlinger, Médecin généraliste
    Dr Hélène Godefroi, Médecin généraliste
    nCaroline Collin-Blondel, Psychologue clinicienne et ancienne attachée de recherche clinique
    Dr Marie-Jacques Poncet, Gynécologue
    Hanna Diounou, PhD Pathologie, toxicologie génétique et nutrition
    Dr Stéphane Darteyre, MD, PhD, neuropédiatre, docteur en recherche clinique, santé publique, innovation technologique
    Anne-Claire Monfroy masseur-kinésithérapeute
    Marie-Christine Pouliquen, Psychologue clinicienne hospitalière retraitée
    Dr Pascal Henriot, Psychiatre
    Raphaël Sendrez, Masseur-kinésithérapeute et ostéopathe,
    Martine Blanc-Aupée, Médecin de santé publique retraitée
    Ghislaine Le Corre, Kinésithérapeute D.E.
    Virginie Airiau, Docteur en Médecine
    Corinne Charton, Psychothérapeute
    Noëlle Vial, Infirmière en retraite
    Dr Elisabeth Sambian Noël, Médecin généraliste retraitée
    Sylvie Maillard, Médecin gériatre hospitalier
    Laurence Texier, Infirmière
    Richard Laffont, Aide-Soignant
    Evelyne Rodriguez, Infirmière
    Dr Gerard Maudrux, Ancien président de la caisse maladie des professions libérales et de la Caisse de retraite des médecins, membre de l’Académie de chirurgie.
    Annelore Raveneau, Médecin généraliste homéopathe
    Laurence Duboc-Lecocq, Docteur en médecine vétérinaire
    Cristina Sans, Thérapeute de famille, de couple et en individuel
    Dr Dominique Eraud
    Denise Peyrat-Colonna, Chirurgien-dentiste
    Valérie Scotto, Cadre pédagogique en travail social
    Jocelyn Astier, Psychologue clinicien retraité
    Dr Sandra L’Eplattenier
    Dr Laurence Borgogno, Vétérinaire
    Yvette Laugier, Infirmière retraitée
    Odile Durupt, Aide-Soignante retraitée
    Jean Stevens, Médecin interniste/cardiologue retraité
    Monique Lars, Infirmière
    Lorys Elmayan, Ancienne conseillère auprès de l’industrie pharmaceutique, diplômée et experte en VIH
    Dr Mathilde Lecellier, Psychiatre au CH de Novillars

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  33. Dr Francine Barouch, Medecin Généraliste
    Serge Angiolini, Médecin radiologue, praticien hospitalier
    Julie Chatelet, Psychologue
    Florence Amat, Psychologue clinicienne
    Dr Françoise Hemeret, Médecin retraitée
    Karine Godefroy, Cadre de santé FPH
    Dr Judith Rémy, Cardiologue
    Daisy Gallet, Médecin psychiatre
    Claudette Barallier, Sage-femme
    Dr Emmanuel Odet
    Dr Guy Londechamp, Docteur en médecine retraité
    Dr Nicole Delépine Pédiatre cancérologue
    Dr Gérard Delépine Chirurgien oncologue et statisticien
    Natacha Galet, Psychologue clinicienne
    Bruno Gougeon, Médiateur, coach
    Dr Marie-Carol Fleury-Munier, Rhumatologue retraitée
    Christian Rugraff, Psychologue clinicien hospitalier
    Marie-Laure Pignier, Masseur-kinésithérapeute
    Myriam Guedj, Sage-femme
    Marie-Anne Février, Infirmière puéricultrice
    Dr Didier Tarte, Médecin retraité
    Dr Dominique Ricci Cagnol, ORL Retraitée
    Emmanuelle Portha, Ostéopathe D.O
    Anne Bonhomme, Infirmière retraitée
    Hervé Bardou, Psychiatre
    Dr Corinne Navarro-Comas, Médecin généraliste
    Dr. Sophie Sabatier
    Christine Marescaux, Art thérapeute
    Régine Hochard, Aide-soignante
    Dr Gérard Monnier-Besombes, Docteur spécialisé en écotoxicologie
    Christine Regazzi, Sage-femme
    Dr Elisabeth Wissler-Koenig, Médecin généraliste
    Marie-José Desachy, Infirmière
    Pascale Laurant, Psychologue
    Catherine Camaret, Médecin retraité
    Daniel Bigot, Psychologue clinicien retraité
    Shanti Rouvier, Docteur en psychologie clinique et psychopathologie
    Dr Geneviève Chereau Lazdunski, Pédiatre retraitée
    Dr Corinne Constantin, Médecin
    Marie-Laure Rémézy, Docteur en pharmacie
    Lucia Martinez Anglet, Aide médico-psychologique en EHPAD
    Dr Véronique Helmlinger, Médecin psychiatre
    Dr Olivier Soulier, médecin
    Dr Louise Riguet, Médecin psychiatre
    Cristian Ionescu, Masseur-kinésithérapeute
    Dr Bénédicte Herbez, Chirurgien-dentiste
    Jean Gouézo, Médecin généraliste retraité
    Marie Radigois, Médecin psychiatre
    Dr Annie, Logli-Poumerol, Médecin généraliste
    Florence Belasco, Psychologue clinicienne
    Dr Xavier Le Grégam, Généraliste homéopathe retraité
    Isabelle Rousset, Infirmière de Santé au travail

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  34. Anne Mouries, Orthophoniste
    Sofia Cotta, dermatologue
    Françoise Ferir, Masseur kinésithérapeute
    Mauricette Bersac, Infirmière retraitée, psychanalyste
    Emmanuelle Colson, Orthophoniste
    Dr Pierre Maillard, Docteur en chirurgie dentaire retraité
    Anne-Christine Frégnac, Orthophoniste
    Dr Monique Bourdais, Médecin généraliste retraitée
    Dr Dominique Jaulmes, Médecin retraitée
    Dr Véronique Aymes, Docteur en chirurgie dentaire, certifiée en mathématiques retraitée
    Dr Joël Gord, Rhumatologue
    Valérie Franco, Infirmière libérale
    Marie-Claude Durel, Infirmière libérale
    Dr Anne Atchade, Médecin généraliste
    Jean-Pierre Gicquel Infirmier DE et Diplomé DEA en sociologie
    Nadine Maillet, Infirmière
    Catherine Bayet-Moricet, Cytotechnicienne
    Vincent Béja, Anciennement statisticien à l’observatoire régional de la santé de Provence Alpes Côte d’Azur (ORS PACA), gestalt psychothérapeute, formateur & superviseur
    Lydie Bourgeon, Infirmière
    Pierre Matthieu, Médecin généraliste retraité
    Dr Valérie Mach-Alingrin
    Dr François Le Corre, Médecin généraliste retraité
    Viviane Defrance, Infirmière éducation nationale retraitée
    Christiane Renard, Médecin généraliste
    Daniel Robinson, Médecin retraité
    Dr Nicole Verdier, Médecin du travail
    Fatima Jriri, Aide-soignante
    Dr Nathalie Avril, Gériatre
    Dr Isabelle Donot, Médecin généraliste libérale
    Fabienne Chesnais, Infirmière
    Karin Tessier Weiss, Aide aux enfants en situation de handicap
    Aline Gosset-Rage, Psychologue clinicienne
    Dr Aurore Hamelin, Vétérinaire
    Dr Robert Boisselet, Médecin généraliste
    Dr Pascal Martin, Médecin généraliste
    Anne-Marie Bonnand Reilly, Ancienne biostatisticienne et ancienne assistante de recherche clinique à l’INSERM
    Donald Archer, Médecin généraliste retraité
    Dr Marie-Laure Batard, Médecin dermatologue
    Dr Alain Berthier, Médecin généraliste
    Nadine Dumont, Psychothérapeute
    Jacques Guillet, Masseur-kinésithérapeute libéral
    Pierre Clavandier, Masseur-kinésithérapeute
    Sylvie Berton, Médecin à l’éducation nationale

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  35. Dr Gilles Spagnolo, Médecin gynécologue-obstétricien
    Dr Kathia Cadinouche, Médecin généraliste
    Murielle Bauchet, économiste et consultante en santé publique
    Dominique Marteau, Pharmacienne
    Lena Le Flem, Pharmacien, biologiste médical, Dr ès sciences
    Isabelle Charrier, Infirmière
    Claire Soulas, Infirmière diplômée d’État
    Minh Nguyen, psychologue
    Dr Annick Harlin, Médecin
    Dr France Komminoth, Médecine physique et réadaptation
    Dr Martine Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire, DU d’occlusodontie
    Dr Pierre Olivier, Médecin généraliste
    Anne Olivier, Sage-femme
    Valérie Météier, Psychologue
    Claire Michelotti, Infirmière diplômée d’État
    Anne Meriglier, Psychologue clinicienne hospitalière
    Caroline Bidault, Pharmacienne
    Pascale Vidal, Psychologue
    Dr Bruno Bourgeon, Néphrologue, épidémiologiste
    Anne Frouin, Infirmière diplômée d’État
    Elisabeth Vadaine, Diététicienne
    Patrick Sigwalt, Psychanalyste
    Dr Claire Lauffenburger, Médecin psychiatre retraitée
    Carole Jensen, Aide aux enfants en situation de handicap
    Dr Elisabeth Delorme, Médecin généraliste orientation acupuncture
    Dr Vincent Bendera, Médecin généraliste
    Margot Schnell, Infirmière anesthésiste diplômée d’Etat
    Philippe Chambatte, Ancien Médecin des hôpitaux
    Pierre Chaillot, Statisticien
    Nancy Trinquier, kinésithérapeute
    Olivier Boumendil, médecin, radiologue
    Valérie Oliviéro, Infirmière
    Brigitte Baldeschi, Infirmière aide-anesthésiste retraitée
    Dr Nathalie Pejanovic, Docteur vétérinaire
    Dr Anne Marie Pillon, Médecin
    Guillaume Alacoque Ostéopathe D.O.
    Dr Virginie Thomas-Haag, Médecin urgentiste
    Véronique Macle, Psychologue clinicienne, service de pédopsychiatrie
    Marie-Christine Mathey, Psychopraticienne et enseignante de yoga
    Dr Jean-François Bertholon, MCU-PH retraité
    Emmanuelle Oudin, Sage-femme
    Alexis Remini, Infirmier
    Marie Feuillassier, Infirmière DE
    Véronique Cagnard, Responsable technique de 2 services d’IRM retraitée
    Patrick Rattin, Ostéopathe
    Dr Bellier Patrick, Pneumologue
    Arnaud Bozek, Infirmier diplômé d’État
    Hélène Brevet, Infirmière
    Dr Nathalie Elbaz, Docteur en médecine hospitalière publique
    Dr Pascale Delechenault, Gastroentérologue

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  36. Elena Mateo, Masseur-kinésithérapeute libérale
    Amandine Rongieras, Pédicure podologue
    Virginie Brevard, Docteur en pharmacie
    Laetitia Bouvier, Rédactrice médicale, biologiste de formation
    Jean-Baptiste Tollet, Masseur-kinésithérapeute ostéopathe
    Pierre Louis Allée, Masseur-kinésithérapeute
    Hélène Le Gal, Technicienne de laboratoire
    Dr Vincent Chazalnoël, Médecin généraliste
    Dr Yves Lepennetier, Docteur en médecine générale
    Didier Poquin, Psychiatre, salarié en institution du secteur médico-social
    Marceline Bogaert-Desfilles, Masseur-kinésithérapeute
    Guillaume Ageorges, Intervenant en prévention
    Émilie Menard, Sage-femme
    Lyne Furco, Infirmière
    Gaël Puget, Orthophoniste
    Sophie Ronsin, Psychologue clinicienne
    Aude Lambert, Sage-femme
    Élisabeth Prima, sage-femme
    Brigitte Berton, Infirmière
    Martine Cabédo, Cadre de santé ide et sophrologue
    Dr Myriam Lenoël, Médecin généraliste
    Dr Bellier Patrick, Pneumologue
    Martine Poilvert, Educatrice spécialisée IME
    Nathalie Vigat, Infirmière.
    Geneviève Soulas, Médecin dermatologue retraitée
    Sylvain Bruyat, Infirmier
    Hélène Skolka, Médecin généraliste
    Dr Lionel Reisdorffer, Vétérinaire
    Dr Jean-Christophe Labarthe, Pédiatre
    Dr Pierre-Laurent Vidal, Médecin généraliste
    Dr Claire Paris, Médecin généraliste retraitée
    Sarah Xercavins, Chargée d’application informatique à l’AP-HP
    Dr Anne Damais-Cepitelli, Médecin biologiste
    Arlette Fétat, Infirmière retraitée
    Dr Lucie Massart-Chauvet, Vétérinaire
    Claire Bisson, Masseur kinésithérapeute DE
    Dr Jean-Pierre Vaudaine, Chirurgie plastique reconstructrice en retraite
    Jacques Bouaud, Chargé de valorisation de la recherche, AP-HP
    Françoise Ternoy, Psychomotricienne
    Isabelle Sternotte, Ostéopathe DO et sage-femme indépendante
    Catherine Tran, Orthophoniste
    Dany Delporte, Psychiatre
    Marc Maine, Médecin généraliste retraité
    Dr Françoise Douady, Médecin généraliste exerçant en nutrition et micronutrition
    Christine Quélier, Sociologue et psychologue
    Richard Laffont, Aide-soignant
    Dr Fernand Kimmel, Orthodontiste
    Thomas Sochala, Psychologue hospitalier
    Dr Martine Sochala, Médecin généraliste à la retraite

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  37. Marie-Dominique Simonetti, Infirmière à la retraite
    Dr Annie Aubin, Médecin gynécologue
    Dr Bernard Fauchère, Anesthésiste réanimateur
    Elizabeth Oster, Avocat, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris
    Virginie de Araujo-Recchia, Avocat
    Flore Lelache, Avocate à Versailles
    Arnaud Durand, Avocat au Barreau de Paris
    Laurent Frénéhard, Avocat à la Cour
    Françoise Matheu, Avocat.
    Damien Lorcy, Avocat
    Ariane Bourgeois, Avocat
    Linda Simonet, Avocat à la Cour
    Joëlle Verbrugge, Avocate au Barreau de Bayonne
    Christine Weil, Avocate
    Catherine Kratz, Avocate
    Marc Gotti, Juriste d’entreprise
    Éloi Buat-Ménard, Magistrat
    Magali Sappa, Avocat au Barreau de Compiègne
    B‌enoît Nicolardot, Avocat au barreau de Lyon
    Isabelle Petricic-Welschen, Avocat à la Cour​
    Jérôme Duphil, Avocat associé
    Prisque Navin, Avocate
    Bernard Viguié, Ancien avocat à la Cour
    Isabelle Tribou, magistrat honoraire (de l’ordre judiciaire)
    Jean-Luc Duhamel, Juriste
    Sendegul Aras, Avocat
    Stéphane Vacca, Avocat

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-en-france-900-intellectuels-exigent-que-le-parlement-rende-publics-ses-debats-sur-les-effets-secondaires/

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  38. Légalisation de l’euthanasie et pulsion de mort de notre société


    Par Dre Nicole Delépine
    Mondialisation.ca,
    14 novembre 2022


    La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort1.

    Et le maître de nos sociétés et mentor du président Macron :

    « L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. » (Jacques Attali, 1981)Lui, qui a 79 ans, ne recourt pas à l’euthanasie qu’il prône pour les « inutiles ».Et c’est encore lui qu’on écoute, qu’on invite sur le sévice public… C’est une obsession, et une nouvelle fois, ce chantier est imposé !

    « Ce devrait être l’un des chantiers du quinquennat. Une grande concertation a été lancée cet automne sur la fin de vie. Pilotée par le Conseil économique social et environnemental (CESE), elle associera un panel de citoyens avec l’objectif d’aboutir au printemps prochain »2.

    Ne nous laissons pas instrumentaliser une énième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

    « La Belgique porte et portera toujours, d’une manière indélébile, cette tâche morale, ce péché de mensonges, cette trahison par omission qui, par effet de contagion, a déteint sur les autres pays européens.

    Elle porte une immense responsabilité d’aveuglement collectif.

    Elle s’est crevé les yeux – comme dans une tragédie grecque et je pense en particulier à Œdipe qui se crève les yeux quand il comprend qu’il a tué son père. Elle a cassé les indicateurs, les baromètres, les cadrans de vitesse et de surveillance préférant laisser l’euthanasie en roue libre, livrée à ses promoteurs et surveillée par ses thuriféraires »3.

    Alors que les élections américaines se terminaient en ce soir du 9 novembre 2022, nous eussions aimé des commentaires pertinents sur les machines à voter, permettant l’élection d’un député démocrate mort depuis le 9 octobre4, sur les conséquences du changement de majorité au moins à la chambre des représentants, tant le pouvoir américain nous concerne, la France comme l’UE étant suiviste.

    Curieusement ce fut l’annonce par le président Macron d’une nouvelle tentative d’imposer une légalisation de l’euthanasie pour faire plaisir à Line Renaud, semble-t-il, qui occupa l’antenne… Problème de l’heure, manifestement ou nouvelle diversion pour faire oublier le grotesque de la nouvelle COP sur le climat qui réunit les mêmes que les futurs spectateurs de la coupe du monde dans un stade climatisé en plein désert, ou l’accumulation des vrais problèmes des Français en ce nouveau jour de grève avec l’inflation, la pauvreté galopante dont témoignent les queues des étudiants aux distributions de repas, etc.. Non le sujet du jour est comment aider à mourir.

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  39. Et mensonge indigne des sondages au service du pouvoir
    Neuf Français sur dix seraient d’accord avec une légalisation de l’euthanasie ! Ceci est faux, complètement faux, tout dépend de la façon de poser la question et évidemment la poser à un bien portant qui ne peut se projeter de fait dans sa mort imminente n’a rien n’a voir avec l’avis du mourant qui, lui, supplie souvent de lui préserver encore quelques jours, voire quelques instants pour écouter sa chanson préférée ou revoir le parent venu d’Afrique ou d’Asie… Que de mensonges sincères ou manipulatoires, comme souvent en cette période de déni de la réalité.

    DISCOURS INDIGNE SUR LA DIGNITÉ !

    Serait-ce indigne d’être malade, d’être blessé, d’être souffrant ? Un patient bien pris en charge dans son lit avec l’aide de soignants et de parents aimants qui l’accompagnent est-il indigne ? Impossible à regarder ? Seul est indigne ce regard méprisant sur un être qui souffre. Ce cinéma de la dignité bafouée, de la fausse compassion qui conduirait à faire disparaître un malade qui souffre alors qu’on peut le soulager par des médicaments à doses suffisantes est honteux. Il traduit seulement le désir parfois inconscient d’oublier notre condition humaine qui se termine constamment par la mort.

    L’indignité est de laisser la malade abandonnée dans son lit, voire par terre avec des couches insuffisamment changées, des repas traînant sur la table de nuit, des vêtements sales non lavés ni changés.

    L’INDIGNITÉ N’EST JAMAIS LE MALADE, MAIS SON ABANDON par le décadent système de soins qui n’effectue pas ce pour quoi il coûte encore 13 % du PIB. Pour ne pas voir cette indignité majeure qui conduit à découvrir aux urgences un malade mort sur une chaise, doit-on TUER les patients en perte d’autonomie pour éviter qu’ils ne nous infligent ce spectacle insoutenable ? Notre société est moribonde, agonisante, devons-nous l’euthanasier ou tenter de la réanimer ?

    Euthanasie : signifie faciliter la mort et donc provoquer la mort.

    Dans une société dans laquelle le président ne cesse de répéter que nous sommes en guerre, et de le prouver en envoyant les quelques canons qui nous restent et des milliards d’euros en Ukraine, dans une société morte de peur depuis trois ans avec la terreur d’un virus assez inoffensif qui a conduit à la fermeture des écoles, et de tant de faillites, dans une société où la bizarre « mort subite » touche les jeunes, que les AVC et les Alzheimer se multiplient comme des petits pains, que les cancers flambent après les injections toxiques, le problème de l’heure est pour nos gouvernants l’euthanas

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  40. Alors que des patients meurent à l’hôpital aux urgences sur des brancards sans un mot et sans un verre d’eau pendant des heures et qu’une malade en attente de prise en charge d’une fracture de fémur pendant six jours meurt littéralement de faim, alors que des soignants suspendus se suicident ou abandonnent définitivement les carrières de soin, et que le nouveau ministre de la Santé s’enferme dans une posture intenable5, l’obsession du peuple serait le suicide assisté ou même la mort donnée par un soignant, légalisée ! L’obsession pour trop de Français est de fuir ce pays moribond et toxique et non de tuer ses ressortissants.

    Est-ce vraiment l’urgence de bloquer des commentateurs sur ce sujet mille fois rediscuté, pesé, sous pesé, depuis vingt ans avec la succession de « l’amélioration » des lois Leonetti, puis Clays Leonetti, qui de fait donnent le feu vert (trop facilement) aux médecins pour donner la mort sans ennui médicolégal, par pose d’une perfusion létale prolongée sans réveil possible de l’endormi.

    Culte de la mort d’une société décadente et agonisante

    Alors pourquoi ce culte obsessionnel de nos « élites » de la mort ? Quelques illuminés écologistes pensent que la diminution du nombre d’humains sur terre, émettant comme les vaches trop de gaz carbonique, limiterait le réchauffement climatique et préserverait la planète bleue. Quelle prétention ! La terre a vécu avant nous et nous survivra et de vrais humains feraient mieux de s’occuper du bien être des vivants que d’un monde qui nous dépasse.

    Nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises le danger inhérent (et peut-être caché) à la légalisation de l’euthanasie, particulièrement dans une société de violence, de pauvreté, de pertes de repères, d’ensauvagement comme la nôtre depuis quelques décennies6,7.

    Aider un patient à mourir a toujours été vrai, mais dans le secret de la chambre du malade
    Le seul rapport valable entre un malade et un médecin est le colloque singulier, sans témoin, qui a de tout temps permis à un médecin de famille de soulager un patient, quitte à accélérer le décès, mais dans la communion réelle entre le désir du malade et l’aide du médecin.

    Mais la marchandisation de la mort avec renfort de publicité comme les cliniques suisses d’euthanasie n’a rien à voir avec la compassion, mais bien avec la manipulation de personnes fragiles et de leurs proches pour certains compatissants, pour d’autres complices.

    Nous écrivions en mai 20228 que depuis des lustres et comme pédiatre oncologue et toute l’équipe, nous nous battions CONTRE cette nouvelle « théorie » qui consiste à éliminer les malades considérés comme incurables (par qui ?) et en particulier les enfants cancéreux qui furent probablement le terrain d’essai social de cette pratique immonde dès les années 2000.

    Les propositions d’essais thérapeutiques usées, les familles se voient expliquer que la compassion de ces médecins chercheurs pour votre enfant les conduit à les « endormir » puisqu’on ne peut plus rien pour eux. En tous cas, ces équipes-là…

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  41. Ce fut ma première révolte évoquée dans la publication de « neuf petits lits au fond du couloir »9 en 2000, relatant quelques exemples d’enfants condamnés par les soi-disant sachant et auxquels la médecine classique individualisée avait finalement pu donner quelques mois ou années de survie en bonnes conditions, voire la guérison et un avenir professionnel et familial pour d’autres. Mais ils avaient dû quitter (grâce à leurs familles) le chemin déjà consensuel de la « recherche clinique » prioritaire et devenue toute puissante via la corruption de Big Pharma et l’hégémonie du plan cancer depuis les années 200010.

    L’explication économique fut une des premières évoquées dans la période récente11.

    « 3,1% des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8% des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2% seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient, selon l’INED »12.

    Mais ne nous y trompons pas, l’explication seulement financière était probablement naïve, vu l’évolution actuelle de la société occidentale, du Canada à la Belgique…

    Elle doit être « progressiste » cette théorie qui consiste à « liquider des êtres embarrassants, inutiles et pesants », dirait Attali (toujours là, jamais suicidé malgré son âge avancé — ça ne vaut que pour les gueux), soit par leur grand âge, soit par leurs handicaps.

    « La prescription du Rivotril a contribué à la Solution létale »

    Le drame a de nouveau explosé avec le scandale du Rivotril et les fameuses instructions aux médecins en mars 2020 puis le décret du 28 mars 2020 permettant aux médecins d’injecter du Rivotril aux patients susceptibles d’être atteints du covid13.

    L’euthanasie devenue une habitude pour certains

    L’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse « surmortalité » de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France » dans la zone d’action de ces fameux groupes d’intervention rapide.

    « L’euthanasie prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »14

    L’euthanasie comme moyen de réguler le coût des retraites et le grand âge redevient un sujet d’intérêt médiatique dans la mesure où le président réélu remet sur les rails une loi sur la fin de vie pour le début 2023.

    L’euthanasie devient une « proposition sociale »

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  42. « Une liste de « choses concrètes » qui débute par « l’évocation d’une prime à l’adaptation de l’habitat, alignée non pas sur la prime à la casse, mais c’est plus délicat sur Ma Prime Rénov, pour la rénovation énergétique », ironise Erwan Le Morhedec dans son article du figaro.

    « Puis, après d’autres propositions aussi peu ambitieuses et inventives les unes que les autres, vient l’euthanasie, souligne-t-il. Pour être concrète, l’euthanasie sera concrète, pour qui la subira ». Ainsi, « voilà l’euthanasie qui, dans les mentalités, prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »

    « Voilà que cette euthanasie — qui doit être demandée et que nul n’est jamais censé proposer — devient une proposition sociale ». « C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts »15.

    Conditionnement et culpabilisation des personnes âgées et/ou handicapées

    Alors on conditionne les gens âgés pour qu’ils se sentent de plus en plus surnuméraires d’autant que le mythe de notre responsabilité dans les changements du climat les conditionne à vouloir disparaître pour ne pas ruiner la sécu et sauver la planète !

    Quelle vantardise, quelle prétention de croire que les pauvres humains vont interférer avec les périodes glaciaires ou chaudes ! Quoi que nous fassions, la planète survivra ! Seules les espèces vivantes, dont la nôtre, peuvent disparaître.

    Depuis plusieurs décennies, les associations pour la « mort dans la dignité » ont fait un lobbying important auprès des politiques pour ancrer dans la population la notion de suicide assisté, voire d’euthanasie. Comme médecin cancérologue, pendant ces longues années, on a vu les demandes des familles augmenter alors que celles des patients restaient proches de zéro comme l’avait bien expliqué le Pr Lucien Israël dans « la vie jusqu’au bout » il y a plus de vingt ans.

    Et le nouveau quinquennat devrait à nouveau tenter de faire passer une loi pour l’euthanasie, pour la culture de la mort et de la diversion. L’Ukraine, la variole du singe et le covid ne feraient-ils plus recette ?

    « Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que « l’on meurt mal en France ». Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même. »

    « Un contexte juridique nouveau » et ils reviennent encore et encore sur ce sujet morbide et malsain, et pourtant les Français n’en veulent pas16

    Contrairement à leurs mensonges répétitifs sur radio pouvoir !

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  43. En 2005, la loi Leonetti a autorisé « l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient ». En 2016, la loi Claeys-Leonetti y a associé « systématiquement » une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Ce fut déjà une terrible escroquerie, sédation continue dont on ne vous réveille pas !! Qu’est-ce d’autre qu’une euthanasie sans l’accord véritable du patient ou de sa famille, une fantastique hypocrisie qui dure des toujours !

    Et quand l’on sait que certains patients dans le coma « pensent » au moins par moments, par bribes, comme tant de survivants l’ont raconté dans des livres ou directement ! Combien d’entre eux se sont-ils sentis abandonnés et pendant combien de jours ? Pire qu’une euthanasie « habituelle » en quelques heures maximum. Une torture sûrement parfois.

    Ce « contexte juridique nouveau » « a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielle d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie », dénonce Jean-Marie Le Méné.

    Ces lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé une véritable rupture avec la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs.

    La loi Leonetti constitue le terreau qui permettra, demain, de légaliser le droit de se donner la mort, par injection/administration d’une substance létale avec l’aide du corps médical. Les pièges de cette loi sont multiples comme le souligne Emmanuel Hirsch en octobre 202017.

    « Le parcours chaotique de M. Vincent Lambert dans les dédales médico-juridiques est exemplaire d’une déroute éthique et politique qui interroge nos valeurs de sollicitude et de solidarité ». « M. Vincent Lambert, dans sa mort même, nous interroge sur ce qu’est l’esprit de notre démocratie ».

    Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti, votée dix ans après la loi Leonetti, l’a associé systématiquement à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette pratique vise incontestablement à accélérer voire à provoquer la mort du patient.

    LA TRANSGRESSION DUE AU SERMENT D’HIPPOCRATE – « JE NE PROVOQUERAI JAMAIS LA MORT DÉLIBÉRÉMENT » est consommée. Il ne reste plus qu’à débattre de la méthode : une injection par le médecin ? Un comprimé à prendre soi-même ?

    De surcroît, le médecin reste impliqué dans le processus, car il devra établir la recevabilité de la demande de suicide faite par son patient. Comment concilier cette perspective avec le délit de non-assistance à personne en danger, prévu et réprimé par l’article 223-6 du Code pénal ?

    Rappelons-nous que « le médecin est fait pour se battre contre la mort. Il ne peut subitement changer de camp et se mettre du côté de la mort » (Dr Jérôme Lejeune).

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  44. Pour Jean-Marie Le Méné, « la seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins ». Pour « rompre un continuum inexorable ». Les hommes politiques n’ont pas à imposer aux soignants « la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art »18.

    « IL Y AURAIT POURTANT TANT À FAIRE, TANT À INVENTER POUR MIEUX S’OCCUPER DE NOS PARENTS ».

    Alors « comment notre société et les « progressistes » ont-ils pu perdre ce réalisme et ce simple humanisme en l’espace de trente ans ?, interroge Erwan Le Morhedec. Parce que l’euthanasie répondrait au mouvement perpétuel d’émancipation qu’ils vénèrent ? » « Qu’ils réalisent donc qu’à terme, l’émancipation a pour nom isolement et solitude, interpelle l’avocat. C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts. Alors réveillons-nous, il y a tout un pays à remettre sur ses pieds, pour remettre la personne au centre »19 de nos préoccupations.

    Rappelons une nouvelle fois À SITUATION EXCEPTIONNELLE SOLUTION PARTICULIÈRE, MAIS PAS DE LOI ! Cet article, pas plus que les précédents n’est pas un papier souhaitant interdire de soulager un malade en fin de vie qui n’en peut vraiment plus et ne peut pas se suicider lui-même. Ces situations exceptionnelles ont, du temps où la vraie médecine existait, et n’était pas polluée par les dérives médicolégales, médiatiques et autres, toujours été résolues dans le secret du cabinet en liaison par le colloque singulier médecin-patient20.

    Mais légiférer est une aberration qui permet toutes les dérives

    Le professeur Léon Schwarzenberg qui avait promu l’euthanasie CHOISIE pour les cancéreux au bout du rouleau et que j’ai connu dans les années 80 dans le service du Pr Mathé à Villejuif insistait beaucoup sur ce danger. Il nous disait se mettre en avant sur ce sujet pour protéger les médecins anonymes qui auraient « aidé » leur patient des poursuites juridiques qui commençaient à apparaître.

    Rien n’est simple, mais il faut se garder de la manipulation médiatique de sujets aussi graves, par des personnes même bien intentionnées, mais loin des patients et du tragique du vécu des derniers moments, utilisés par des idéologues de la vie et de la mort et de la manipulation de certains espérant un poste ou quelques voix.

    L’expérience du scandale du Rivotril a démontré que, même sans loi, les dérives sont rapides.

    Ne jamais légiférer
    Et si, par malheur l’autorisation de donner la mort devenait légale, comme l’ont fait en leur temps les nazis par l’aktion T421 je conseille à tous, mais surtout à ceux qui ont des ennemis où dont le patrimoine pourrait susciter des convoitises de bien choisir leur personne de confiance…

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  45. Une prudence complémentaire discutable, mise en cause de fait par l’avis du Conseil constitutionnel, les directives anticipées
    Certains avaient l’illusion de leur propre protection par des « directives anticipées » dont néanmoins nous nous méfions beaucoup. La demande des « bien portants » qui donnent des directives anticipées ne correspond pas toujours au vécu du grand malade quand il arrive devant l’échéance. Ces directives anticipées sont aussi le plus souvent une manipulation psychique de celui auquel on fait signer « un papier » abstrait, administratif, sans lien avec la réalité qu’il aura à subir. Préparation aux documents qu’on signera bientôt aux assurances privées pour savoir si on veut la réa ou non comme aux USA (en cas de refus programmé de réa, vous bénéficiez d’une ristourne sur la prime d’assurance). Et le jour venu, on vous refusera l’entrée en réa ou la grosse opération, car votre prime d’assurance ne le prévoyait pas !

    Damien Le Guay le résume très bien dans son Interview :

    « Les Directives Anticipées (D.A.) deviennent de plus en plus indispensables dans les dispositifs législatifs. Les politiques les demandent. Les lois aussi. La solution, disent-ils tous, viendra de cette expression par avance des volontés. Or, cette expression est tout à fait impossible face à une situation inimaginable par avance. Nous ne savons pas ce que nous réserve l’avenir. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie tant que nous n’y sommes pas. Penser est une chose, vivre en est une autre. Le sens de l’histoire, fait de ces D.A. des indications non contraignantes qui vont vite devenir contraignantes, qui restent encore à apprécier par les médecins et qui seront vite opposables au tiers. Or, les D.A. vont être, de plus en plus, la porte d’entrée de l’euthanasie. Et plus elles vont devenir contraignantes, plus elles vont mettre au grand jour leurs injonctions aussi contradictoires qu’impossibles. Plus elles vont solliciter des qualités morales qui auront été affaiblies par la « passion de l’égalité » et plus elles produiront des « volontés » qui seront soumises à l’opinion dominante. »

    Mais finalement le médecin a le droit de ne pas respecter ces directives ! Avis du 10 novembre 20200

    Et si on pensait être protégé par les fameuses directives anticipées, une décision du Conseil constitutionnel vient de tomber :

    « Un médecin n’est pas contraint de respecter les directives anticipées (DA) d’un patient sur son maintien en vie, lorsqu’il les juge « manifestement inappropriées ou non conformes » à sa situation médicale. Et cela est bien conforme à la Constitution, notamment aux principes de sauvegarde de la dignité de la personne et de la liberté personnelle », confirme le Conseil constitutionnel dans une décision rendue ce 10 novembre »22.

    Dre Nicole Delépine

    Pour aller plus loin :

    L’euthanasie bientôt légalisée comme mesure progressiste? Dérive humaine et sociétale
    Par Dre Nicole Delépine, 18 mai 2022

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  46. Notes :

    1.N’oubliez pas que « l’avortement » d’un bébé viable de 9 mois est maintenant autorisé par la loi dite de bioéthique…

    2.« France – Pourquoi le gouvernement pousse-t-il à l’euthanasie ? », Nouveau Monde

    3.Entretien Damien Le Guay : Quand l’euthanasie sera là…, publié aux éditions Salvator. Entretien avec l’auteur.

    4.« Bien que nous soyons incroyablement attristés par la perte du représentant Tony DeLuca, nous sommes fiers de voir les électeurs continuer à lui témoigner leur confiance et leur engagement envers les valeurs démocrates en le réélisant à titre posthume », ont déclaré les démocrates de Pennsylvanie dans un tweet. » « Tony DeLuca : Le défunt législateur de Pennsylvanie est réélu un mois après sa mort », meaww.com

    5.Di vizio et réintégration des soignants

    6.« La pandémie d’euthanasie médico-économique (1/2) », Les 7 du Québec

    7.« La pandémie d’euthanasie médico-économique (2/2) », Nouveau Monde

    8.« L’euthanasie bientôt légalisée comme mesure progressiste ? Dérive humaine et sociétale », Nouveau Monde

    9.Éditions Michalon N. Delépine 2000

    10.« Le cancer, un fléau qui rapporte », éd Michalon, N. Delépine, 2013

    11.« L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé », Nicole Delépine, publié sur Économie Matin

    12.« Aide à l’euthanasie pour les pauvres au Canada. Vite la dépopulation ! », Nouveau Monde

    13.« Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? », Nouveau Monde, publié le 6 avril 2020 dans Agoravox. Tout le monde savait, tous pouvaient savoir et refuser, tant médecins que citoyens… Mais quel silence !

    14.« Nous avons ouvert la voie à une euthanasie qui virera sans le dire à la modalité de gestion du grand âge », Genethique

    15.« Le glissement de la sédation profonde vers l’euthanasie est en marche, inéluctable », La Croix

    16.ibid. 15

    17.Emmanuel Hirsch : « L’affaire Vincent Lambert, « un échouement éthique et politique dont nous devrions tirer quelques leçons », Genethique. « Vincent Lambert, une mort exemplaire ? », publié aux éditions du Cerf, Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale de l’Université Paris-Saclay, rassemble cinq années de chroniques (2014-2019) qui retracent les étapes d’une procédure qui a pris le pas sur l’humain, sur la rencontre de l’autre tel qu’il est, dans ses limites et sa fragilité. Il répond aux questions de Gènéthique. La marche inexorable vers la légalisation de l’euthanasie. Publié le 7 avril 2022

    18.sources : Le Figaro, Erwan Le Morhedec (18/03/2022) ; Le Monde, Béatrice Jérôme (18/03/2022)

    19.https://www.lefigaro.fr/2022/03/18/erwan-le-morhedec-si-l-euthanasie-est-legalisee-elle-risque-de-devenir-un-outil-de-gestion-du-grand-age

    20.Confidence d’un proche « Comme chirurgien cancérologue j’ai aidé, avec Léon Schwarzenberg, quelques malades en phase terminale à mourir dans un colloque singulier ou ils avaient plusieurs fois exprimé leur volonté irréversible et les raisons qui la motivaient ».

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  47. 21.https://www.geo.fr/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles

    22.« Le Conseil constitutionnel a été saisi par la famille d’un patient de 43 ans, plongé dans le coma depuis mai après un accident – patient qui, en juin 2020, avait rédigé des DA, précisant souhaiter être maintenu en vie « même artificiellement » en cas de coma.Deux mois après son arrivée au service de réanimation de l’hôpital de Valenciennes (Nord), et après des examens approfondis et la consultation de réanimateurs extérieurs à l’équipe comme le veut la procédure collégiale prévue par la loi Leonetti-Claeys de 2016, les médecins ont estimé « inutile et même disproportionnée » la poursuite des traitements de maintien artificiel de la vie. La décision d’arrêt des soins – une ventilation mécanique, avec nutrition et hydratation artificielles – est prise le 15 juillet. L’hôpital se réfère à l’article L. 1111-11 du Code de la santé publique, dont l’alinéa 3 prévoit que les directives anticipées s’imposent au médecin sauf lorsqu’elles « apparaissent manifestement inappropriées ou non conformes à la situation médicale » – pour passer outre la volonté du patient ». « Fin de vie : le médecin a bien une marge de manœuvre dans l’application des directives anticipées, confirme le Conseil constitutionnel », Le Quotidien du Médecin

    https://www.mondialisation.ca/legalisation-de-leuthanasie-et-pulsion-de-mort-de-notre-societe/5672736

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    Réponses
    1. N'oublions pas qu'en 3 ans ce n'est pas moins de 2 milliards de personnes qui aurait choisit de se faire euthanasier (on appelle çà 'expérimentation génique d'essais' !).

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  48. Myocardite et décès après l’administration des vaccins contre la COVID : Le risque est-il plus élevé que ce que prétendent les responsables de la santé publique ?

    Si les taux stupéfiants de lésions myocardiques révélés par de nombreuses études ont un lien de causalité avec la mort cardiaque subite, les conséquences peuvent être catastrophiques. Au minimum, le lien de causalité devrait faire l'objet d'une enquête approfondie.


    Par Sanjay Verma
    Mondialisation.ca,
    13 novembre 2022


    Faits saillants

    Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) continuent de nier les décès survenus après la vaccination contre la COVID-19.

    Les CDC affirment que les cas de myocardite après la vaccination contre la COVID-19 sont généralement bénins.

    Les CDC/la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ont refusé de communiquer les informations relatives aux autopsies malgré une demande de The Epoch Times au titre de la loi sur l’accès à l’information.

    Une étude britannique en circulation a fait état de 100 décès par myocardite.
    Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) fait état de 32 000 décès.

    Preuve anecdotique : augmentation des rapports de « mort subite » presque quotidiennement.
    Une nouvelle étude pré-imprimée réalisée au Japon révèle une augmentation des décès dus à la myocardite dans tous les groupes d’âge.
    Trois études ont démontré une augmentation de la troponine (lésion myocardique) après la vaccination.

    La protéine de pointe est connue pour être toxique pour le cœur et les vaisseaux sanguins.
    Le risque de myocardite et de décès après la vaccination contre la COVID-19 est peut-être beaucoup plus important que ne le concèdent les responsables de la santé publique.
    Les dommages évitables obligatoires sont immoraux.

    Les refrains perfides et fallacieux de « sûr et efficace », « effets secondaires rares » et « généralement bénins » sont présentés par les responsables de la santé publique comme des truismes indiscutables sur les vaccins contre la COVID-19, ne nécessitant aucune donnée scientifique pour les justifier.

    Dans le suivi à moyen terme (minimum 90 jours) des rapports de myocardite dans le VAERS publié le 21 septembre dans The Lancet, les CDC rapportent : « À notre connaissance, aucun décès n’est survenu pendant le suivi parmi les patients éligibles pour l’enquête. »

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  49. Dans son témoignage public devant le Congrès (à 1:51:52) concernant les décès consécutifs à la vaccination contre la COVID-19 signalés dans le VAERS, la directrice des CDC, le Dr Rochelle Walensky, a déclaré : « Chacun de ces [deaths] est jugé. »

    Dans la présentation du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du 19 octobre, les CDC se sont une fois de plus appuyés sur les seules données du VAERS (dont on sait qu’elles sous-estiment de 3 à 4 fois le risque de myocardite), déclarant que le risque de myocardite était « rare ».

    En utilisant d’anciennes données de sa présentation de février pour la réunion du 19 octobre, l’ACIP a déclaré : « La plupart des personnes atteintes de myocardite/péricardite se sont complètement rétablies lors du suivi. »

    Toutefois, dans sa propre analyse formelle des rapports VAERS sur la myocardite, publiée dans The Lancet le mois dernier, les CDC ont indiqué que 50 % d’entre eux présentaient encore des symptômes persistants après un suivi médian de 143 jours. En outre, environ un tiers des patients avaient encore des restrictions d’activité au moment du suivi.

    Malgré les affirmations des CDC selon lesquelles les cas de myocardite après la vaccination contre la COVID-19 sont « généralement bénins », des cas de décès par myocardite prouvés par autopsie ont été signalés après la vaccination contre la COVID-19.

    George, un étudiant de 24 ans, s’est effondré et est mort le 27 octobre 2021. Un rapport d’autopsie du bureau du coroner du comté de Bradford montre que George est mort d’une « myocardite liée au vaccin contre la COVID-19 ».

    Il existe plusieurs autres rapports publiés de décès par myocardite après la vaccination contre la COVID-19.

    Par exemple, un homme de 22 ans qui a développé des douleurs thoraciques cinq jours après la première dose du vaccin à ARNm BNT162b2 est décédé sept heures plus tard. L’examen histologique du cœur a révélé une myocardite auriculaire isolée, avec une prédominance de neutrophiles et d’histiocytes. La coloration immunohistochimique du C4d a révélé une nécrose unicellulaire éparse des myocytes, qui n’était pas accompagnée d’infiltrats inflammatoires. La cause principale du décès a été déterminée comme étant une myocardite, associée de manière causale au vaccin BNT162b2.

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  50. Les résultats des autopsies de deux adolescents retrouvés morts au lit trois et quatre jours après avoir reçu la deuxième dose du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech sont également publiés dans un article revu par des pairs.

    Dans son analyse initiale des rapports de myocardite provenant du VAERS (publiée en janvier 2022 dans le JAMA), les CDC signalent que « au moment de l’examen des données, deux rapports de décès chez des personnes de moins de 30 ans ayant potentiellement contracté une myocardite font toujours l’objet d’une enquête et ne sont pas inclus dans le décompte des affaires. »

    Il y a 31 569 rapports de décès dans le VAERS, la plupart dans les 7 jours suivant la vaccination :

    - voir graph sur site -

    Il est intéressant de noter que le pic du nombre de décès signalés dans le VAERS correspond au pic des doses d’administration du vaccin (avril 2021) :

    - voir graph sur site -

    Bien qu’ils aient assuré au Congrès que tous les décès sont « jugés » (une affirmation de Walenskyà 1:51:52), les CDC n’ont jusqu’à présent jamais publié de données résumant et expliquant leur analyse des rapports de décès dans VAERS. En fait, les CDC et la FDA ont refusé de publier les rapports d’autopsie malgré une demande d’accès à l’information de The Epoch Times.

    Si les décès ne sont pas liés de manière causale à la myocardite et à la vaccination contre la COVID-19, alors pourquoi les responsables de la santé publique n’ont-ils jamais publié les conclusions de l’autopsie ?

    Des preuves de plus en plus nombreuses dans le monde entier de lésions cardiaques induites par les vaccins

    Dans une vaste étude sur la myocardite après la vaccination contre la COVID-19 au Royaume-Uni(publiée dans Circulation septembre 2022), les auteurs ont observé 140 et 90 patients qui ont été hospitalisés ou sont décédés d’une myocardite après une première et une deuxième dose du vaccin AstraZeneca ChAdOx1-S/nCoV-19, respectivement. Parmi eux, 40 (28,6 %) et 11 (12,2 %), respectivement, sont décédés d’une myocardite ou dans les 28 jours suivant l’admission à l’hôpital.

    De même, 124, 119 et 85 patients ont été admis à l’hôpital ou sont décédés d’une myocardite après une première, deuxième et troisième dose du vaccin de Pfizer-BioNTech BNT162b2, respectivement. Parmi eux, 22 (17,7 %), 14 (11,8 %) et 13 (15,3 %) patients sont décédés d’une myocardite ou dans les 28 jours suivant leur admission à l’hôpital.

    Enfin, 11, 40 et huit patients ont été admis à l’hôpital pour une myocardite après, respectivement, une première, une deuxième et une troisième dose du vaccin mRNA-1273 de Moderna. Aucun de ces patients n’est décédé d’une myocardite ou dans les 28 jours suivant l’admission à l’hôpital pour une myocardite. (Il est important de noter que le vaccin mRNA-1273 est plus largement utilisé aux États-Unis qu’au Royaume-Uni).

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  51. Les pourcentages de personnes décédées à la suite d’une myocardite sont stupéfiants et réfutent clairement les allégations de « généralement bénignes ». Les décès dus à une myocardite après la vaccination contre la COVID-19 ne sont donc pas inconnus de la communauté scientifique et médicale.

    Toute personne active sur les médias sociaux est très certainement en train de lire une augmentation des rapports sur les personnes qui sont « mortes subitement ». Beaucoup d’entre eux sont des adolescents, de jeunes adultes et des athlètes. Ces rapports anecdotiques sont rencontrés presque quotidiennement.

    Le statut vaccinal de la personne décédée est manifestement absent de la plupart de ces rapports. Si la vaccination contre la COVID-19 n’a pas de lien de causalité avec la mort tragique et prématurée, alors le statut vaccinal ne doit pas être caché dans les reportages.

    Avant la pandémie de COVID-19, on estime que 65 à 75 athlètes mouraient chaque année de mort subite d’origine cardiaque. Rien que cette année, des rapports officieux font état de plus de 500 décès parmi les athlètes.

    Ces décès sont-ils dus à une myocardite ou à d’autres complications cardiovasculaires de la protéine de pointe présente dans les vaccins contre la COVID-19 ?

    Une étude antérieure réalisée en Israël et publiée dans Nature en avril 2022 donne un indice sur le risque accru de mortalité après la vaccination contre la COVID-19. Cette étude a évalué l’association entre le volume d’appels au service d’aide médicale urgente pour des arrêts cardiaques et des syndromes coronariens aigus (SCA) dans la population âgée de 16 à 39 ans et les facteurs potentiels, notamment l’infection par la COVID-19 et les taux de vaccination.

    Le SCA survient lorsqu’un patient fait une crise cardiaque. Une augmentation de plus de 25 % a été détectée dans les deux types d’appels pendant la période janvier-mai 2021, par rapport aux années 2019-2020. Notamment, le taux a augmenté même par rapport à 2020, lorsque la pandémie de COVID-19 était déjà répandue.

    L’étude israélienne a révélé que le nombre d’appels d’urgence hebdomadaires était significativement associé aux taux de première et deuxième doses de vaccin administrées à ce groupe d’âge. Cependant, ces taux n’étaient pas associés aux taux d’infection par la COVID-19.

    Les auteurs ont noté :

    « Bien qu’ils n’établissent pas de relation de cause à effet, ces résultats suscitent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés induits par les vaccins et soulignent la relation de cause à effet déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente d’arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes individus. »

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  52. (Il convient de mentionner que la publication de cette étude scientifique évaluée par des pairs sur Facebook entraîne la restriction du compte, car Facebook considère qu’il s’agit de désinformation).

    Une étude japonaise basée sur la population (récemment publiée sous forme de pré-impression, pas encore examinée par des pairs) a évalué les « ratios de taux de mortalité par myocardite (MMRR) après avoir reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2 par rapport à ceux de la population de référence (3 années précédentes) ».

    La population vaccinée était composée de 99 834 543 personnes âgées de 12 ans et plus qui avaient reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2 une ou deux fois avant le 14 février. La population de référence a été définie comme les personnes âgées de 10 ans et plus de 2017 à 2019.

    Bien que le BNT-162B2 (Pfizer), le mRNA-1273 (Moderna) et le ChAdOx1 nCoV-19 (AstraZeneca) aient tous été évalués, il est important de noter que 95 % des participants à l’étude ont reçu la vaccination contre la COVID-19 à ARNm BNT162b2.

    Des études antérieures ont démontré que le risque de myocardite chez les jeunes hommes après la vaccination contre la COVID-19 est nettement plus élevé avec mRNA-1273 que BNT162b2.

    L’étude a révélé que les « taux [of myocarditis mortality] étaient significativement plus élevés non seulement chez les jeunes adultes (plus élevés dans la trentaine avec un RMM de 6,69) mais aussi chez les personnes âgées ».

    Dans les autres groupes d’âge, il y avait une tendance à un risque plus élevé de mortalité par myocardite, mais cela n’était pas statistiquement significatif. Les auteurs ont conclu que « sur la base de cette étude, le risque de myocardite après la vaccination contre le SRAS-CoV-2 pourrait être plus grave que celui signalé précédemment ».

    Le Dr Joseph Ladapo, chirurgien général de l’État de Floride, recommande désormais de ne pas administrer le vaccin à ARNm contre la COVID-19 aux hommes âgés de 18 à 38 ans. Cette recommandation actualisée était fondée sur une analyse de séries de cas auto-contrôlées, une méthode de recherche établie pour évaluer la sécurité des vaccins.

    « Cette analyse a révélé qu’il existe une augmentation de 84 % de l’incidence relative des décès d’origine cardiaque chez les hommes âgés de 18 à 39 ans dans les 28 jours suivant la vaccination à ARNm », selon la mise à jour du Guidance for mRNA COVID-19 Vaccines (7 octobre 2022).

    Le mécanisme potentiel qui sous-tend la myocardite, les décès par myocardite, le syndrome coronarien aigu et l’arrêt cardiaque peut être expliqué au niveau moléculaire.

    La protéine de pointe (présente à la fois dans le virus du SRAS-CoV2 et dans les vaccins contre la COVID-19) pénètre dans les cellules tissulaires via les récepteurs ACE2 (médiés par la molécule TMPSSR2). Les récepteurs ACE2 ne sont pas seulement situés dans les poumons, mais on les trouve aussi en abondance dans le système cardiovasculaire.

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  53. Bien que le mécanisme moléculaire précis soit encore à l’étude, on sait que la protéine de pointe est toxique pour le myocarde (muscle cardiaque) et le tissu endovasculaire (paroi des vaisseaux sanguins).

    Il n’est donc pas surprenant que la protéine de pointe ait une prédilection pour le myocarde et les artères coronaires (vaisseaux sanguins du cœur), provoquant une myocardite, un SCA ou un arrêt cardiaque, qui peuvent tous être mortels.

    Le risque de myocardite subclinique est important
    Alors que de nombreuses études internationales font état d’un taux de myocardite clinique(personnes présentant des symptômes) d’environ 300 par million (soit 1 personne sur environ 3 333), trois études distinctes ont révélé que le nombre de personnes pouvant présenter des lésions myocardiques subcliniques (c’est-à-dire asymptomatiques) est plus élevé que ce qui est actuellement rapporté.

    Les lésions myocardiques peuvent être évaluées en vérifiant les taux sanguins d’un biomarqueur appelé troponine. Une étude portant sur des adolescents en Thaïlande a révélé que 1,3 % (1 sur 76) des adolescents présentaient une troponine élevée après la vaccination BNT162b2.

    Dans une enquête prospective menée dans deux hôpitaux israéliens, une élévation de la troponine a été constatée chez 0,62 % (1 sur 162) des travailleurs de la santé en bonne santé ayant reçu le vaccin BNT162b2.

    Un résumé présenté lors du congrès de 2022 de la Société européenne de cardiologie fait état d’un taux élevé de troponine chez 2,8 % (1 sur 35) des employés de l’hôpital universitaire de Bâle, en Suisse, qui ont reçu une vaccination mRNA-1273.

    S’il est important de noter qu’une élévation asymptomatique de la troponine (en l’absence de résultats corroborants d’inflammation à l’IRM cardiaque) ne permet pas en soi de diagnostiquer une myocardite, ces trois études prises ensemble suggèrent fortement que le taux de lésions myocardiques après la vaccination contre la COVID-19 pourrait être bien plus élevé que ce que rapportent actuellement les responsables de la santé publique.

    La durée du risque lié à la protéine de pointe n’est pas encore totalement comprise. Au départ, les responsables de la santé publique ont insisté sur le fait que l’ARNm ne produisait une protéine de pointe au site d’injection que pendant quelques heures (ou tout au plus quelques jours).

    Cependant, la protéine de pointe a été signalée 28 jours après l’injection et quatre mois après l’injection. De plus, l’ARNm du vaccin peut être détecté dans le sang 15 jours après la vaccination.

    Les effets toxiques de la protéine de pointe peuvent donc persister pendant des semaines ou des mois après la vaccination. Alors que les dernières recommandations des CDC stipulent que tout le monde devrait recevoir des rappels répétés (y compris le nouveau rappel bivalent), aucune étude n’a été menée pour évaluer de manière approfondie l’effet toxique cumulatif potentiel des rappels répétés.

    La myocardite clinique (symptomatique), le syndrome coronarien aigu et l’arrêt cardiaque sont tous des complications des effets toxiques de la protéine de pointe sur le système cardiovasculaire. Les études démontrent maintenant que le taux de lésion myocardique subclinique (tel que démontré par l’évaluation de la troponine de surveillance) a été rapporté dans trois études différentes à des taux de 1 sur 35 à 1 sur 162.

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  54. Si ces taux ahurissants et stupéfiants de lésions myocardiques sont liés à la mort cardiaque subite, les conséquences peuvent être catastrophiques. Bien qu’il soit peut-être trop tôt pour établir un lien de causalité avec une certitude définitive, cela justifie très certainement une évaluation méthodique approfondie avec autopsie et biopsie avec des techniques spécifiques pour évaluer la présence de la protéine de pointe dans le cœur et les principaux vaisseaux sanguins.

    Enfin, comme il a été prouvé à plusieurs reprises que la maladie COVID-19 comporte un très faible risque d’hospitalisation et de décès chez les enfants et les jeunes adultes en bonne santé, les mandats des écoles et des collèges devraient cesser immédiatement.

    Les préjudices évitables obligatoires sont un affront à l’éthique médicale et équivalent à des crimes contre l’humanité, quelle que soit la « rareté » des effets secondaires graves et mortels, selon les affirmations répétées des CDC.

    - voir graph sur site -

    Crédit : Sanjay Verma, M.D., FACCThe Defender
    Sanjay Verma, M.D., FACC

    https://www.mondialisation.ca/myocardite-et-deces-apres-ladministration-des-vaccins-contre-la-covid-le-risque-est-il-plus-eleve-que-ce-que-pretendent-les-responsables-de-la-sante-publique/5672714

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  55. Le Dr Peter McCullough vient de revenir en arrière


    Par Tom Woods
    14 novembre 2022


    Extrait de la lettre de Tom Woods :

    Pratiquement tous ceux qui ont suivi le fiasco de Covid connaissent le nom du Dr Peter McCullough, un cardiologue de renom qui fait partie des chercheurs médicaux les plus publiés au monde.

    J'ai signalé il y a quelques semaines que les fous essayaient de lui retirer ses certifications du conseil d'administration à cause de ses avertissements concernant des problèmes cardiaques liés aux injections de Covid.

    Depuis lors, il y a eu de bonnes et inattendues nouvelles : le Dr McCullough est directeur scientifique d'une toute nouvelle société de soins de santé appelée The Wellness Company, où vous pouvez obtenir des services de télésanté auprès de médecins qui ne sont pas des zombies de Big Pharma.

    J'en ai discuté avec lui il y a quelques jours au Tom Woods Show, et cela donne de l'espoir à l'écoute du dimanche :

    https://tomwoods.com/ep-2234-dr-peter-mcculloughs-dissident-health-company/

    https://www.lewrockwell.com/2022/11/thomas-woods/dr-peter-mccullough-just-struck-back/

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  56. On estime que 50 % des Américains remettent désormais en question la sécurité des vaccins


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    14 novembre 2022


    Assaut de blessures par balle COVID

    Inutile de dire que ces deux années ont été difficiles en termes de défense du droit humain à l'autonomie et à la liberté médicale. Les mandats de tir COVID inconstitutionnels et dangereux ont entraîné la plus grande avalanche de blessures d'origine médicale jamais vue. Comme l'explique Fisher :

    «Ce sont les parents d'enfants blessés par le vaccin DTC [who] qui ont lancé le mouvement pour la sécurité des vaccins et le consentement éclairé dans ce pays - le mouvement moderne pour la sécurité des vaccins et le consentement éclairé - parce que, vraiment, nous avons une dette de gratitude envers les parents, les médecins et les scientifiques des années 1800 et du début des années 1900 [who] ont sonné la première sonnette d'alarme sur les risques associés au vaccin contre la variole - l'un des vaccins les plus réactifs jamais utilisés - jusqu'aux injections de COVID.

    Les statistiques du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) sur MedAlerts, qui fonctionne depuis 2003… ont enregistré plus de 1,4 million d'événements indésirables associés aux injections de COVID-19 et plus de 30 000 décès. Environ 15 000 de ces rapports de décès proviennent des États-Unis, car le système VAER accepte également les rapports de pays étrangers qui utilisent des vaccins américains.

    Il n'y a jamais eu de vaccin qui ait généré ce genre de signalement d'événements indésirables… du moins depuis 1990, lorsqu'ils ont commencé [operating] VAERS. Le système VAER a été créé en vertu de la loi [1986] National Childhood Vaccine Injury Act.

    Le système VAER a été une contribution unique que nous [parents d'enfants blessés par le vaccin] avons apportée. Nous avons insisté [sur] un système centralisé de notification des événements indésirables liés aux vaccins qui était ouvert au public de manière transparente, accessible au public, et que le public pouvait signaler les réactions [à], pas seulement aux médecins.

    Les 1,4 million d'événements indésirables associés aux «vaccins» COVID sont le nombre le plus élevé jamais signalé pour un vaccin depuis 1990, et représentent environ la moitié de tous les rapports qui ont été faits au VAERS depuis 1990. C'est une statistique étonnante.

    C'est quelque chose qu'ils ne peuvent pas nier, même s'ils essaient de dire: "Eh bien, tout ce qui est rapporté n'est pas causalement associé aux vaccins." Bien sûr, ils ne savent pas combien le sont ou non. Le fait que plus de la moitié des rapports dans VAERS ont été faits pour les «vaccins» COVID-19 est quelque chose qui ne peut être nié.

    Mensonges et dissimulations

    Bien que les dommages soient indéniables, sur la base des statistiques, les autorités sanitaires font toujours ce qu'elles peuvent pour nier les risques associés aux injections de COVID. Par exemple, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis se sont battus pendant 15 mois pour éviter de publier les données V-Safe.1,2 Ils ont finalement perdu le combat et les données confirment ce que nous voyons dans le VAERS.

    La Food and Drug Administration des États-Unis refuse également de publier des rapports d'autopsie,3 même si ces rapports peuvent être anonymisés. Ils ne divulgueront pas non plus d'informations anonymisées sur la myocardite, qui est fortement associée aux injections COVID.

    "Quand je repense aux trois dernières années de cette pandémie de COVID, tout ce que je vois, ce sont des mensonges et des dissimulations", déclare Fisher. "Ça me brise le cœur. Nous avons essayé pendant de très nombreuses décennies, nous avons présenté [des informations] aux législatures des États, au gouvernement fédéral, au CDC, au NIH [National Institutes of Health], à la FDA.

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  57. J'ai siégé à des comités consultatifs gouvernementaux sur les vaccins, les suppliant de faire la science, le travail sur les mécanismes biologiques qui informerait les décideurs politiques de ce qui se passe dans le corps lorsque les vaccins sont injectés. Ils ont refusé de faire ce travail afin de pouvoir identifier les personnes génétiquement, biologiquement et écologiquement à haut risque d'avoir une réaction vaccinale.

    Ils ont refusé de réformer le système qui retirerait le mécanisme de surveillance de la sécurité des vaccins du HHS [Health and Human Services], qui a la responsabilité légale de développer des vaccins, de réglementer les vaccins, d'élaborer des politiques pour les vaccins, et a également le mécanisme de surveillance de la sécurité .

    Il y a tellement de corruption maintenant dans ce système de vaccination de masse – parce qu'il a été détourné par Pharma et parce que le Congrès a refusé de surveiller l'ensemble du programme de vaccination. Ils ont permis à la Pharma de détourner le système… Il y a eu des échecs tout du long, pendant 40 ans, des échecs à régler le problème des conflits d'intérêts au sein du programme de vaccination de masse…

    Quand j'ai finalement réalisé après plusieurs décennies qu'ils n'avaient absolument aucune intention de réparer quoi que ce soit, ou d'apprendre, ou d'essayer d'éliminer les gens, qu'ils ne se souciaient pas [des blessures] - c'est là que j'ai réalisé que c'était un problème beaucoup plus important que je ne l'avais pensé à l'origine lorsque nous examinions uniquement le vaccin DTC…

    Ces partenariats public-privé qui se sont développés et ont été autorisés par le Congrès ont corrompu le système. Vous ne pouvez pas avoir les mêmes personnes qui profitent du produit en charge de l'élaboration des politiques, de la réglementation et [de la conduite] de la surveillance de la sécurité du produit.

    Le sacrifice de soi obéissant est la nouvelle vertu

    Fisher cite le rapport de la Commission The Lancet sur « Lessons for the Future of the COVID-19 Pandemic »4 et un éditorial qui l'accompagne, « COVID-19 : The Case for Prosociality »5, tous deux publiés le 8 octobre 2022, numéro du Lancet. Le rapport de la Commission politise la réponse à la pandémie de COVID et tant celui-ci que l'éditorial tentent de plaider en faveur de ce que les auteurs appellent la "prosocialité".

    "Ce qu'ils veulent, c'est que tous les pays adoptent une philosophie collectiviste et s'éloignent de la focalisation sur l'individu", explique Fisher. "Les guerres culturelles qui se déroulent dans le monde concernent vraiment le collectivisme contre l'individualisme. Les États-Unis d'Amérique ont été fondés sur le concept de base selon lequel l'individu a des droits qui limitent le pouvoir de l'État.

    C'est pourquoi nous avons une Déclaration des droits dans la Constitution des États-Unis, et pourquoi nous avons eu dans ce pays le respect de la liberté de pensée, d'expression, de conscience, de croyance religieuse et d'assemblée - toutes ces choses dans la Déclaration des droits qui permettent à l'individu de limiter le pouvoir de l'État.

    Ces gens, et je parle essentiellement de l'Organisation mondiale de la santé, ces gens veulent une réorganisation majeure et un recentrage sur l'idéologie collectiviste, ce qui veut dire que l'individu est moins important que l'État. Ce qu'ils demandent, c'est plus de pouvoir et plus d'argent à donner à l'OMS afin que les futures pandémies puissent être mieux gérées.

    L'une des principales choses sur lesquelles ils se concentrent est le fait que dans les sociétés qui sont plus individualistes - comme les États-Unis et l'Europe, [et] ont plus de libertés civiles, plus de respect pour l'individu - il y avait de la désobéissance. Les gens ont protesté, les gens n'accepteraient pas uniformément le masquage, le confinement et la vaccination.

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  58. Ils veulent plus de pouvoir et plus d'argent pour créer essentiellement un gouvernement quasi mondial dirigé par l'OMS, par des responsables de la santé publique. En lisant ce rapport, je ne pouvais pas croire qu'ils pensent pouvoir s'en tirer comme ça. C'est complètement politique. Ce n'est ni scientifique ni médical.

    Ils blâment tout le monde sauf eux-mêmes pour la réponse à la pandémie qui a ruiné les économies, qui a affecté la santé mentale et le statut éducatif des enfants et des adultes, et a causé une telle dévastation…

    Nous ferions mieux de commencer à réaliser que ce qui s'est passé avec COVID avait autant à voir avec la politique et l'idéologie qu'avec un virus. Si vous regardez le Forum économique mondial (WEF), qui a appelé à la grande réinitialisation de la société, c'est la même chose qui a été dite dans ce rapport de la Commission Lancet.

    Ils [les auteurs du rapport] parlent d'embaucher plus de psychologues du comportement et d'autres personnes pour persuader les gens d'être plus obéissants la prochaine fois. C'est vraiment choquant.

    Une politique saine basée sur de fausses suppositions et des mensonges

    Les enquêtes montrent maintenant que la confiance dans les responsables de la santé publique est en déclin, ce qui ne devrait pas surprendre compte tenu de la façon dont ils ont fait volte-face sur leurs politiques et nié des faits facilement prouvables. L'un des plus gros mensonges perpétués était que les injections de COVID empêcheraient l'infection et la transmission.

    Tout le monde a supposé que c'était le cas, car tous les autres vaccins ont été promus comme un moyen de prévenir l'infection et la transmission. Seuls ceux qui ont réellement lu le document d'information de la FDA publié au tout début, comme Fisher et moi l'avons fait, ont vu que les fabricants n'étaient tenus de prouver qu'une efficacité de 50 % dans la prévention des maladies COVID graves - et non dans la prévention de l'infection et de la transmission.

    "Ce n'est que si vous regardiez cela que vous réaliseriez, dès le départ, qu'ils savaient que les vaccins n'allaient pas prévenir l'infection et la transmission", dit Fisher.

    Ils ne l'ont jamais testé, et sans test, aucune réclamation ne peut être faite. Et pourtant c'est ce qu'ils ont fait. Ils ont affirmé que les injections arrêteraient le COVID, que vous ne tomberiez pas malade ou ne le propageriez pas aux autres. C'était la seule prémisse derrière les passeports vaccinaux. La vaccination était censée être un moyen de vous rendre « en sécurité ». Ils ont poussé ce mensonge pour tout ce qu'il valait, sachant qu'ils n'avaient pas de base scientifique sur laquelle se tenir.

    Une autre façon par laquelle les autorités sanitaires ont trompé le public en lui faisant croire que les vaccins fonctionneraient comme un vaccin traditionnel était de changer la définition même d'un vaccin. Un "vaccin" n'est plus quelque chose qui empêche réellement l'infection et la transmission de maladies. Au contraire, il est maintenant défini comme quelque chose qui déclenche une «réponse immunitaire», qui peut ou non prévenir la maladie.

    De toute évidence, ils savaient ce qu'ils faisaient et ils ont développé une stratégie pour tromper le public de différentes manières.

    Ils ont également induit les gens en erreur en leur faisant croire que les tirs étaient beaucoup plus efficaces qu'ils ne l'étaient en confondant le risque relatif et le risque absolu. Alors que la réduction du risque relatif était d'environ 95 %, la réduction du risque absolu était inférieure à 1 %.

    Sacrifice d'enfant des temps modernes

    Les États-Unis sont l’un des rares pays au monde à avoir poussé ces injections COVID mortelles et complètement inutiles sur de jeunes enfants. Heureusement, l'adoption dans ce groupe d'âge a été faible. Au 20 juillet 2022, seulement 2,8 % des enfants de moins de 5 ans avaient reçu au moins une dose7.

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  59. Cependant, cela pourrait bientôt changer, car le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du CDC a voté à l'unanimité, le 20 octobre 2022, pour ajouter le vaccin COVID aux calendriers de vaccination recommandés par le CDC pour les enfants et les adultes.8

    On estime que 50% de la population américaine remet désormais en question la vaccination, et pas seulement les injections COVID. La méfiance se répand également dans d'autres vaccins.
    La veille, le 19 octobre, l'ACIP a également recommandé que les vaccins fassent partie du programme de vaccins pour enfants (VFC) du CDC, un programme fédéral qui paie les vaccins pour les enfants qui n'ont pas d'assurance. Donc, clairement, la FDA et le CDC n'ont pas l'intention de dire clairement les dangers de ces injections.

    Cependant, ils ont peut-être mal calculé leur capacité à maintenir les gens en état de lavage de cerveau. Fisher estime qu'environ la moitié de la population américaine remet désormais en question la vaccination, et pas seulement les injections de COVID. La méfiance se répand également dans d'autres vaccins.

    La censure a eu des conséquences mortelles

    La vérité serait encore plus répandue si les Big Tech ne censuraient pas les conversations publiques sur le COVID et les coups de COVID qui critiquent les politiques et les lois du gouvernement en matière de santé publique. Oui, il est illégal et inconstitutionnel pour les responsables gouvernementaux de violer la liberté d'expression et de censurer par procuration, en utilisant des entreprises privées pour faire leur sale boulot, mais ils le font quand même. Fisher continue :

    «L'une des raisons pour lesquelles ils ont réussi aussi ces trois dernières années est qu'ils ont fermé toutes [les voix dissidentes]… Il y avait un article publié dans The Lancet en mars 2021, parlant de la façon dont ces groupes anti-vaccins, ces groupes critiquant le Le vaccin COVID, comment ils étaient responsables du fait que [les responsables de la santé publique] n'ont pas pu amener tout le monde à faire la queue et à prendre ce vaccin.

    NVIC a été déplatformé en mars 2021 par Facebook et Instagram. Ensuite, nous avons été déformés par Twitter. Ensuite, nous avons été déformés par YouTube. Tous mes commentaires depuis plus d'une décennie ont complètement disparu.

    Puis PayPal, en décembre 2021… au milieu de notre campagne de financement de fin d'année – sans avertissement, une nuit a bloqué tous les dons à NVIC, stoppant complètement notre campagne de financement.

    Nous avons été complètement retirés des médias sociaux en 2021. Cela entrave la capacité des personnes qui ont une histoire, qui ont des connaissances, qui ont quelque chose à dire de pouvoir communiquer sur la place publique. L'accès en ligne est la nouvelle place publique du XXIe siècle. Nous sommes complètement empêchés de communiquer avec la majorité des gens ici ou dans d'autres pays.

    Partout dans le monde, les gens défendent la liberté de la santé

    Mais malgré la censure sévère, les gens du monde entier se rendent encore compte de ce qui se passe. De plus en plus de gens commencent à se rendre compte que la pandémie de COVID ne visait pas tant à répondre aux maladies infectieuses qu'à manipuler les gens pour qu'ils acceptent un nouvel ordre mondial.

    "Ce qui a réjoui mon cœur ces dernières années, c'est de voir les millions de personnes qui se sont levées sur les places publiques physiques de Londres, Berlin, Rome et Amsterdam. Dans tant d'endroits dans le monde, y compris au Canada, des gens se sont levés pour leur liberté, pour leur droit de pouvoir se réunir, de pouvoir s'exprimer librement et de pouvoir dire non à un vaccin qu'ils jugeaient trop dangereux.

    Vous pouvez voir des rapports, ces [COVID] rapports sur les leçons apprises, qui sortent des grandes universités, ces médecins sont furieux qu'une partie importante du public ait osé se lever en public et se battre pour leur liberté. C'est un bon signe pour nous. Cela signifie que l'esprit de liberté qui vit dans le cœur de tant de personnes dans le monde n'est pas mort. Il n'est pas parti.

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  60. C'est quelque chose sur lequel nous pouvons nous appuyer, car tout ce que nous demandons, c'est le droit d'avoir des informations complètes sur ces produits pharmaceutiques et de pouvoir prendre une décision éclairée et volontaire. Personne ne dit aux gens de ne pas le faire. Personne ne dit aux gens qu'il ne faut pas fabriquer de vaccins.

    Je crois au système de marché libre et je crois qu'un produit doit être soumis aux forces du marché. Cela ne devrait être imposé à personne. Si les gens veulent le produit, c'est leur choix.

    Mais ils ne devraient pas forcer les gens à faire quelque chose qui est contre leur conscience, contre leur analyse intellectuelle du produit… Les gens ne devraient pas être forcés de mettre leur santé physique en danger s'ils croient qu'ils vont en être blessés. C'est de la tyrannie...

    Nous recevons des lettres de personnes qui étaient chefs de famille, qui étaient chargées de nourrir et de loger leur famille. On leur a fait faire ce choix faustien entre mettre leur santé en danger en se faisant vacciner… ou perdre leur emploi et ne pas pouvoir subvenir aux besoins de leur famille. Littéralement, les familles ont fait faillite.

    En plus de toute cette tromperie et de cette dissimulation, ils veulent museler quiconque soulève ces questions. Si vous n'apprenez pas de votre expérience, vous allez la répéter. C'est pourquoi des rapports comme celui de la Commission Lancet sont si dangereux. Tout ce qu'ils veulent faire, c'est plus la même chose, la prochaine fois, et forcer plus de gens à saluer intelligemment.

    Bonnes nouvelles du champ de bataille législatif

    Cette mise à jour n'est pas tout à fait sombre, cependant. Fisher apporte également de bonnes nouvelles. Tout au long de la pandémie, le NVIC a joué un rôle déterminant pour alerter les gens sur la législation proposée relative au vaccin COVID aux États-Unis – à la fois bonne et mauvaise – via le portail de plaidoyer NVIC. Lorsque vous vous inscrivez au portail, qui est gratuit, vous recevez des informations sur les factures liées aux vaccins en mouvement dans votre état.

    Souvent, le NVIC publie des documents de position et des points de discussion que vous pouvez utiliser lorsque vous discutez de projets de loi avec les législateurs de votre État. Depuis que le NVIC a lancé le portail de plaidoyer en 2010, son personnel et ses bénévoles travaillent avec les familles et éduquent les législateurs des États sur la nécessité de protéger les droits de consentement éclairé dans les lois sur la santé publique en matière de vaccination.

    En 2021, pas une seule législature d'État n'a adopté avec succès un mandat de vaccin COVID. "C'est énorme. Je veux dire que c'est vraiment énorme compte tenu du nombre d'autres pays qui l'ont fait », déclare Fisher.

    Pour la session législative de 2022, le NVIC a analysé environ 900 projets de loi liés aux vaccins pour le portail, et le nombre de projets de loi soutenus par le NVIC était plus du double du nombre auquel ils s'opposaient. C'est un nombre record de projets de loi positifs, affirmant la liberté.

    Ils comprenaient des projets de loi interdisant les mandats de piqûre COVID pour les étudiants, les employés et les patients. Certaines exemptions devaient être disponibles pour les mandats de vaccination contre la COVID-19 des employeurs. D'autres ont interdit la discrimination sur le statut de vaccination COVID-19.

    «Nous sommes vraiment fiers de notre bilan aux États-Unis parce que les lois sur les vaccins sont des lois d'État. Je suis un grand croyant que vous devez participer au gouvernement.

    Ce n'est qu'en se présentant aux urnes et en votant pour des personnes qui affirmeront les droits naturels, les droits de l'homme, les libertés civiles qui figurent dans la Déclaration des droits, ce n'est qu'en élisant ce genre de personnes que nous pourrons fonctionner dans la société et la protéger de devenir une société collectiviste où l'État est suprême et où les individus sont dévalorisés et les droits individuels sont éliminés.

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  61. Je ne crois pas qu'il faille renoncer au gouvernement. Je crois que la seule chose qui va nous sauver est d'être impliqué dans le système et d'adopter des lois qui nous régissent et que nous pouvons soutenir.

    L'intégralité du « Rapport annuel 2022 du NVIC sur la législation des États-Unis sur les vaccins » sera publiée le jeudi 17 novembre 2022 sur Mercola.com et NVIC.org pendant cette semaine de sensibilisation aux vaccins.

    Sources and References

    1 Steve Kirsch Substack October 5, 2022
    2 ICANdecide.org V-Safe Database
    3 The Vaccine Reaction October 9, 2022
    4 The Lancet October 8, 2022; 400(10359): 1224-1280
    5 The Lancet October 8, 2022; 400(10359): 1171
    6 The BMJ Opinion November 26, 2020
    7 KFF July 22, 2022
    8 Reuters October 20, 2022
    9 Meryl Nass Substack October 19, 2022

    https://www.lewrockwell.com/2022/11/joseph-mercola/estimated-50-of-americans-now-question-vaccine-safety/

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  62. Visualiser la croissance démographique de l'Inde de 2022 à 2100


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 13 NOVEMBRE 2022 - 03:50


    Depuis des années, l'Inde est en passe de dépasser la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde.

    En fait, nous avons couvert ce phénomène dans des articles précédents, à l'époque où l'Inde devait dépasser la population chinoise d'ici la fin de la décennie.

    Cependant, comme le note Carmen Ang de Visual Capitalist, selon les dernières perspectives démographiques de l'ONU, cette prise de contrôle devrait se produire plus tôt que prévu, dès l'année prochaine.

    Ce graphique de Pablo Alvarez fournit un tableau à jour des projections de croissance démographique de l'Inde par rapport à d'autres pays. Les données de projection de Our World in Data vont de 1800 à 2100.

    - voir graph sur site -

    Un peu de contexte historique
    Pendant plus de trois siècles, la Chine a eu la plus grande population de tous les pays du monde.

    Dans les années 1800, la population de la Chine était d'environ 322 millions d'habitants, soit près du double de celle de l'Inde à l'époque. Et jusqu'au milieu du XXe siècle, les populations des deux pays sont restées relativement stables.

    Cependant, en 1949, la population chinoise a commencé à connaître une croissance spectaculaire. Cela s'est produit après la guerre civile chinoise, lorsque la République populaire de Chine a été créée.

    À peu près à la même époque, la population indienne a également commencé à augmenter. Étant donné que les deux pays connaissaient des booms démographiques, le statu quo est resté le même et la Chine a conservé sa position de pays le plus peuplé du monde.

    Le baby-boom chinois a duré deux décennies. Mais à la fin des années 1970, le gouvernement chinois a mis en place une politique de l'enfant unique dans le but de ralentir les choses et de contrôler la croissance démographique, de peur que la Chine ne devienne surpeuplée.

    Le plan a fonctionné - selon le porte-parole de la Commission nationale chinoise de la santé et de la planification familiale, Mao Qunan, les efforts du gouvernement ont fini par réduire le nombre de naissances au fil des ans d'environ 400 millions.

    La population chinoise vieillit plus vite que celle de l'Inde

    De nos jours, la Chine a l'une des populations qui vieillissent le plus rapidement au monde. D'ici 2040, on prévoit que 28 % de la population du pays aura plus de 60 ans.

    En revanche, la population indienne est relativement jeune : la moitié de sa population a moins de 30 ans et seulement un huitième a plus de 60 ans.

    Cela signifie-t-il que le PIB de l'Inde finira par dépasser celui de la Chine ? Pas nécessairement.

    Comme cité dans un article publié dans Business Standard, Madan Sabnavis, économiste en chef de la Banque de Baroda, déclare que l'Inde doit accroître sa participation au marché du travail, ainsi que l'accès général à l'éducation, afin de récolter les bénéfices de son âge de travailler croissant. population.

    En 2022, le taux de participation à la main-d'œuvre indienne était de 46 %, contre 68 % en Chine. Comment cela va-t-il changer à l'avenir ?

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-indias-population-growth-2022-2100

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    1. L'Inde est un des rares pays au monde où les femmes sont traitées moins que des chiens ! Et, généralement, les filles sont tuées à la naissance !
      Les femmes devenues des putains à vie ne font qu'accoucher.

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  63. Un hiver froid pour l'Europe : blâmer l'aveuglement stratégique


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 13 NOVEMBRE 2022 - 13:00
    Écrit par Burak Bekdil via The Gatestone Institute,


    En 2008, le « démocrate sans faille » Poutine a envahi la Géorgie. L'Occident a été choqué. Les détracteurs de Poutine... ont été choqués que l'Occident soit choqué. En 2014, Poutine a envahi la péninsule de Crimée, territoire ukrainien souverain. L'Occident est resté choqué. En février 2022, Poutine a envahi l'Ukraine et annexé des parties de l'État souverain. L'Occident était-il encore sous le choc ? Cela n'aurait pas dû l'être.

    Apparemment, le « démocrate sans faille » Poutine espère militariser l'hiver et forcer l'Europe à se rendre, mais céder au Kremlin serait désastreux.

    Le projet de gazoduc EastMed a été conçu pour améliorer la sécurité énergétique de l'Europe en diversifiant ses itinéraires et ses sources et en assurant une interconnexion directe avec les champs de production tout en réduisant la dépendance vis-à-vis de l'approvisionnement en gaz russe. un coût stratégique : apaiser la Turquie pro-Poutine, alliée à temps partiel de l'OTAN et mettre en péril la sécurité énergétique de l'Europe.

    Quelques semaines seulement avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine en février, Biden a surpris les partenaires d'EastMed en retirant brusquement le soutien américain au gazoduc, tuant ainsi le projet, empêchant un approvisionnement énergétique diversifié en Europe et assurant davantage le chantage énergétique de Poutine contre l'Europe.

    La Maison Blanche a déclaré que le projet de 6,7 milliards de dollars était contraire à ses "objectifs climatiques". Biden espère vraisemblablement que personne n'utilisera encore de combustibles fossiles d'ici 2025, date de l'achèvement prévu du pipeline EastMed. L'administration Biden a également évoqué un supposé manque de viabilité économique et commerciale, même si une étude de 2019 financée par l'UE a confirmé que "le projet EastMed est techniquement réalisable, économiquement viable et commercialement compétitif".

    Si les Européens gèlent cet hiver ou doivent payer des factures exorbitantes, ils devraient porter un toast à Schroeder et Biden.

    L'histoire remonte au début des années 2000 lorsque le chancelier allemand Gerhard Schroeder a décidé de développer des relations stratégiques entre Berlin et Moscou. Il est allé jusqu'à proposer un partenariat à la Russie dans EADS, une multinationale européenne de la défense et de l'aérospatiale. En novembre 2004, Schroeder a qualifié le président russe Vladimir Poutine de « démocrate sans faille ». Sans surprise, en 2004, Schroeder a salué l'autocrate islamiste turc, alors Premier ministre (aujourd'hui président) Recep Tayyip Erdoğan comme un "grand réformateur".

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  64. Le soir du 9 décembre 2005, dix-sept jours après que Schroeder a quitté ses fonctions de chancelier, il a reçu un appel de son ami Poutine. Depuis qu'il a quitté ses fonctions publiques, Schroeder a travaillé pour des sociétés énergétiques publiques russes, notamment Nord Stream AG, Rosneft et Gazprom, pour un salaire de 1 million de dollars par an. Le 8 mars 2022, le procureur général allemand a engagé une procédure liée aux accusations portées contre Schroeder de complicité de crimes contre l'humanité en raison de son rôle dans des sociétés d'État russes.

    En 2008, le « démocrate sans faille » Poutine a envahi la Géorgie. L'Occident a été choqué. Les critiques de Poutine, y compris cet auteur, ont été choqués que l'Occident soit choqué. En 2014, Poutine a envahi la péninsule de Crimée, territoire ukrainien souverain. L'Occident est resté choqué.

    En février 2022, Poutine a envahi l'Ukraine et annexé des parties de l'État souverain. L'Occident était-il encore sous le choc ? Cela n'aurait pas dû l'être.

    En 1972, les exportations de gaz naturel de l'Union soviétique représentaient environ 4 % de la consommation européenne de gaz. En 2021, la Russie fournissait près de 40 % du gaz européen. Au fur et à mesure que la part de marché de Moscou a augmenté, sa capacité à manipuler les prix et à déclencher des crises a également augmenté. La plupart des Européens reconnaissent désormais que cette dépendance vis-à-vis de la Russie représente une erreur stratégique majeure. Trop tard. La « transition énergétique verte » de l'Europe présente un défaut majeur : elle repose sur les importations de gaz russe.

    Retour vers le futur. Ce sera un hiver extrêmement difficile pour tous les Européens, qu'ils soient confrontés à des pannes d'électricité ou à des problèmes de chauffage et à des factures énergétiques exorbitantes. Apparemment, le « démocrate sans faille » Poutine espère militariser l'hiver et forcer l'Europe à se rendre, mais céder au Kremlin serait désastreux.

    Retour au passé. En 2017, les gouvernements italien, grec, chypriote et israélien ont signé une déclaration confirmant leur soutien au développement du gazoduc de la Méditerranée orientale (EastMed), un projet de gazoduc de 6,7 milliards de dollars et de 1 900 km pour relier les réserves de gaz d'Israël. et Chypre vers la Grèce et ensuite vers l'Europe. Le gazoduc aurait une capacité initiale de transport de 10 milliards de mètres cubes par an (bcm/an) de gaz vers la Grèce, l'Italie et d'autres pays d'Europe du Sud-Est. La capacité serait ensuite augmentée jusqu'à un maximum de 20 bcm/an dans la deuxième phase. Le projet a été confirmé comme "Projet d'Intérêt Commun" (PIC) par les gouvernements européens.

    Le projet de gazoduc EastMed a été conçu pour améliorer la sécurité énergétique de l'Europe en diversifiant ses itinéraires et ses sources et en assurant une interconnexion directe avec les champs de production tout en réduisant la dépendance vis-à-vis de l'approvisionnement en gaz russe. un coût stratégique : apaiser la Turquie pro-Poutine, alliée à temps partiel de l'OTAN et mettre en péril la sécurité énergétique de l'Europe.

    Quelques semaines seulement avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine en février, Biden a surpris les partenaires d'EastMed en retirant brusquement le soutien américain au gazoduc, tuant ainsi le projet, empêchant un approvisionnement énergétique diversifié en Europe et assurant davantage le chantage énergétique de Poutine contre l'Europe.

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  65. La Maison Blanche a déclaré que le projet de 6,7 milliards de dollars était contraire à ses "objectifs climatiques". Biden espère vraisemblablement que personne n'utilisera encore de combustibles fossiles d'ici 2025, date de l'achèvement prévu du pipeline EastMed. L'administration Biden a également évoqué un supposé manque de viabilité économique et commerciale, même si une étude de 2019 financée par l'UE a confirmé que "le projet EastMed est techniquement réalisable, économiquement viable et commercialement compétitif".

    Si les Européens gèlent cet hiver ou doivent payer des factures exorbitantes, ils devraient porter un toast à Schroeder et Biden.

    L'histoire remonte au début des années 2000 lorsque le chancelier allemand Gerhard Schroeder a décidé de développer des relations stratégiques entre Berlin et Moscou. Il est allé jusqu'à proposer un partenariat à la Russie dans EADS, une multinationale européenne de la défense et de l'aérospatiale. En novembre 2004, Schroeder a qualifié le président russe Vladimir Poutine de « démocrate sans faille ». Sans surprise, en 2004, Schroeder a salué l'autocrate islamiste turc, alors Premier ministre (aujourd'hui président) Recep Tayyip Erdoğan comme un "grand réformateur".

    Le soir du 9 décembre 2005, dix-sept jours après que Schroeder a quitté ses fonctions de chancelier, il a reçu un appel de son ami Poutine. Depuis qu'il a quitté ses fonctions publiques, Schroeder a travaillé pour des sociétés énergétiques publiques russes, notamment Nord Stream AG, Rosneft et Gazprom, pour un salaire de 1 million de dollars par an. Le 8 mars 2022, le procureur général allemand a engagé une procédure liée aux accusations portées contre Schroeder de complicité de crimes contre l'humanité en raison de son rôle dans des sociétés d'État russes.

    En 2008, le « démocrate sans faille » Poutine a envahi la Géorgie. L'Occident a été choqué. Les critiques de Poutine, y compris cet auteur, ont été choqués que l'Occident soit choqué. En 2014, Poutine a envahi la péninsule de Crimée, territoire ukrainien souverain. L'Occident est resté choqué.

    En février 2022, Poutine a envahi l'Ukraine et annexé des parties de l'État souverain. L'Occident était-il encore sous le choc ? Cela n'aurait pas dû l'être.

    En 1972, les exportations de gaz naturel de l'Union soviétique représentaient environ 4 % de la consommation européenne de gaz. En 2021, la Russie fournissait près de 40 % du gaz européen. Au fur et à mesure que la part de marché de Moscou a augmenté, sa capacité à manipuler les prix et à déclencher des crises a également augmenté. La plupart des Européens reconnaissent désormais que cette dépendance vis-à-vis de la Russie représente une erreur stratégique majeure. Trop tard. La « transition énergétique verte » de l'Europe présente un défaut majeur : elle repose sur les importations de gaz russe.

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  66. Retour vers le futur. Ce sera un hiver extrêmement difficile pour tous les Européens, qu'ils soient confrontés à des pannes d'électricité ou à des problèmes de chauffage et à des factures énergétiques exorbitantes. Apparemment, le « démocrate sans faille » Poutine espère militariser l'hiver et forcer l'Europe à se rendre, mais céder au Kremlin serait désastreux.

    Retour au passé. En 2017, les gouvernements italien, grec, chypriote et israélien ont signé une déclaration confirmant leur soutien au développement du gazoduc de la Méditerranée orientale (EastMed), un projet de gazoduc de 6,7 milliards de dollars et de 1 900 km pour relier les réserves de gaz d'Israël. et Chypre vers la Grèce et ensuite vers l'Europe. Le gazoduc aurait une capacité initiale de transport de 10 milliards de mètres cubes par an (bcm/an) de gaz vers la Grèce, l'Italie et d'autres pays d'Europe du Sud-Est. La capacité serait ensuite augmentée jusqu'à un maximum de 20 bcm/an dans la deuxième phase. Le projet a été confirmé comme "Projet d'Intérêt Commun" (PIC) par les gouvernements européens.

    Le projet de gazoduc EastMed a été conçu pour améliorer la sécurité énergétique de l'Europe en diversifiant ses itinéraires et ses sources et en assurant une interconnexion directe avec les champs de production tout en réduisant la dépendance à l'approvisionnement en gaz russe. Cela permettrait à Chypre, État membre de l'Union européenne, de se connecter au réseau gazier européen, ce qui améliorerait encore le commerce du gaz dans le sud-est de l'Europe.

    La Turquie, après un isolement international éprouvant à la suite de plusieurs crises diplomatiques avec Israël, a menacé militairement de défier EastMed. En revanche, d'autres pays de la région tels que l'Égypte, la Jordanie, le Liban et les États du Golfe ont soutenu ce qui est devenu plus tard le groupe EastMed, également favorisé par l'UE et les États-Unis. Jusqu'ici tout va bien. Mais attendez.

    Alors que ces dernières années ont vu la Méditerranée orientale se transformer en une bombe à retardement à fusée lente reposant sur de riches hydrocarbures revendiqués de manière douteuse par la Turquie en tant que force régionale autonome, par opposition à une alliance de la Grèce, de Chypre et d'Israël, le président américain Joe Biden est intervenu avec une erreur de calcul stratégique historique qui a eu un coût stratégique : apaiser la Turquie pro-Poutine, alliée à temps partiel de l'OTAN et mettre en péril la sécurité énergétique de l'Europe.

    Quelques semaines seulement avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine en février, Biden a surpris les partenaires d'EastMed en retirant brusquement le soutien américain au gazoduc, tuant ainsi le projet, empêchant un approvisionnement énergétique diversifié en Europe et assurant davantage le chantage énergétique de Poutine contre l'Europe.

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  67. La Maison Blanche a déclaré que le projet de 6,7 milliards de dollars était contraire à ses "objectifs climatiques". Biden espère vraisemblablement que personne n'utilisera encore de combustibles fossiles d'ici 2025, date de l'achèvement prévu du pipeline EastMed. L'administration Biden a également évoqué un supposé manque de viabilité économique et commerciale, même si une étude de 2019 financée par l'UE a confirmé que "le projet EastMed est techniquement réalisable, économiquement viable et commercialement compétitif".

    L'erreur de calcul de Biden a dû provoquer beaucoup de rires et une consommation substantielle de champagne au Kremlin. "Bienvenue dans le meilleur des mondes où les Européens vont très bientôt payer 2 000 € pour 1 000 mètres cubes de gaz naturel !" a tweeté Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité russe et ancien président et premier ministre du pays, le 22 février 2022.

    Même si Poutine hésitait à faire de l'Ukraine son nouveau théâtre de guerre en janvier, l'erreur de Biden lui a assuré qu'il était sur la bonne voie. Si les Européens gèlent cet hiver ou doivent payer des factures exorbitantes, ils devraient porter un toast à Schroeder et Biden.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/cold-winter-europe-blame-strategic-blindness

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  68. Scandale France : 23 membres du gouvernement ont occupé des logements de fonction, totalement gratuits


    By Cheikh Dieng
    12 novembre 2022


    Une information révélée en 2021 mais qui mérite d’être remise à la disposition du grand public compte tenu du contexte social extrêmement tendu marqué par une inflation record et où des membres du gouvernement (logés, blanchis, nourris) demandent aux braves citoyens français de resserrer la ceinture.

    Pourtant, en 2021, il a été révélé par le média Capital.fr que 23 des 42 ministres du gouvernement de Jean Castex occupaient des logements de fonction aux frais de la République. Une injustice sociale à dénoncer avec la plus grande fermeté.

    Excellente lecture

    “23 des 42 membres du gouvernement Caste occupent des logements de fonction aux frais de la République, révèle Capital.fr

    Le nombre de ministres occupant un logement de fonction aux frais de la République a connu une hausse de 45% entre mai 2019 et septembre 2020. La révélation, faite par le média Capital.fr, risque de susciter une vive polémique en France où de nombreux citoyens n’ont cessé de dénoncer le train de vie des élus de la République.

    En tout cas, d’après Capital.fr, 23 des 42 membres du gouvernement de Jean Castex résident dans des logements de fonction alors que seuls 16 sur 29 ministres avaient ce privilège sous Edouard Philippe. “Cela représente une hausse de 45%”, relève la source qui cité la députée LREM Aude Bono-Vandorme, auteure de plusieurs questions au gouvernement, ainsi que d’une note sur le sujet dont Capital a pris connaissance.

    Mais, détail très important à souligner : les ministres ne sont pas logés à titre gracieux sans aucune condition. Sur ce point précis, Capital.fr précise : “s’ils sont logés à titre gratuit, les ministres ont l’obligation de déclarer l’avantage en nature correspondant à la valeur locative du logement qu’ils occupent dans leur déclaration de revenus. Ils doivent également s’acquitter de la taxe d’habitation et de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères.”

    Parmi les ministres concernés, figure Jean Castex qui vit dans un 186 mètres carrés Rue de Varenne. Et il n’est pas le seul. A en croire une note, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili occupe un appartement de 167 m², tandis que Marlène Schiappa, ministre délégué à la citoyenneté se “contente” de 127 m². Curieusement, c’est le ministre délégué en charge des Comptes publics, Olivier Dussopt, qui habite le plus grand logement de fonction du gouvernement (210 m²). “Il a déménagé entre 2019 et 2020, car, au premier mai 2019, il avait un logement de 58 m²”, souligne l’auteure de la note.

    Dans le gouvernement Castex, 6 ministres n’occupent pas de logement de fonction. “Il s’agit de Bruno Le Maire (n°4 dans l’ordre protocolaire), Florence Parly (n°5), Elisabeth Borne (n°7), Roselyne Bachelot (n°10), Julien Denormandie (n°14) et Amélie de Montchalin (n°15)”, indique la source. Et d’ajouter : “les ministres qui ne disposent pas d’un logement de fonction ou qui ne sont pas propriétaires d’un pied à terre à Paris logent dans le parc privé et assument le loyer sur leurs deniers propres”.

    https://lecourrier-du-soir.com/scandale-france-23-membres-du-gouvernement-ont-occupe-des-logements-de-fonction-totalement-gratuits/

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  69. Les patrons des industries d’armement françaises, ce sont les Arabes


    Francis Gruzelle
    le 08.11.2022


    Si le conflit russo-ukrainien se produisait en France (via l’attaque d’un autre pays contre notre patrie), Macron et ses sbires, à bout de souffle, seraient obligés de solliciter le Qatar et les émirats arabes unis, qui ont racheté la quasi-totalité des industries d’armement français. Vous imaginez un instant le scénario ?

    Un an après l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, le fabricant de machines de munitions Manurhin, ex-fleuron de l’armement français, a été cédé au groupe de défense des Emirats Arabes Unis Edic (Emirates Defense Industries Company).

    Mulhouse : Manurhin repris par un groupe de défense des Emirats …
    Dès l’annonce, après que d’autres entreprises soient tombées dans l’escarcelle des monarchies arabes les plus radicales, qui financent la construction de mosquées intégristes en France, la rédaction de Riposte Laïque a dénoncé ce scandale mettant en péril la sécurité nationale de notre pays.

    Nous insistions à l’époque sur les défaillances de l’état, car aucun autre grand pays, de la Russie eux Etats-Unis n’auraient permis une telle mainmise sur un fleuron essentiel de notre armement, sur une entreprise stratégique qui fabrique les munitions flèches. Ce fut un coup dur pour l’industrie d’armement française ! Pire : un scandale. En plein mois d’août, alors que les deux tiers du pays sont en vacances, la chambre commerciale du tribunal de grande instance de Mulhouse (Haut-Rhin) a décidé « que le fabricant de machines de munitions Manurhin, ex-fleuron de l’armement français, fabricant historique des pistolets de la Police, sera repris par le groupe de défense des Emirats arabes unis Edic (Emirates Defense Industries Company) », selon le greffe de la juridiction joint ce 16 août par téléphone. Alors que plusieurs repreneurs français solides ou européens étaient sur les rangs. Fondé en 1919, Manurhin s’était rendu célèbre avec la fabrication des revolvers de la police nationale, activité aujourd’hui abandonnée au profit de la production de machines de cartoucherie. L’offre de reprise de l’émirati Edic prévoit de conserver 104 des 145 employés que comptait l’entreprise au moment de la mise en redressement judiciaire.

    Bien sûr, cette entreprise connaissait de grosses difficultés financières depuis trois ans. Société stratégique travaillant pour la Défense Nationale, Manurhin aurait dû être repris par l’État. Du moins, c’est ce qui se passe dans n’importe quel grand pays de l’Ouest, de l’Est ou du continent américain. Car, jusqu’à présent, Manurhin avait un actionnariat 100 % français.

    Les ateliers d’armement Manurhin à Mulhouse à l’époque où des salariés français fabriquaient sur place le fameux pistolet, les munitions pour nos mitrailleuses et nos chars. Repris par les Emirats arabes unis, suite à une décision du tribunal de Mulhouse, les fabrications ont été transférées dans le Golfe Persique.

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  70. Le made in France résiste aux pétrodollars
    Le made in France résiste sur le terrain dans de très nombreux secteurs et s’ouvre petit à petit à des budgets plus raisonnables.

    Bien plus qu’une tendance, c’est un état d’esprit et la volonté de défendre ou de maintenir un savoir-faire français qui ont motivé les entreprises à s’implanter, à rester ou à relocaliser leurs productions en France.

    En matière d’armement, la société stéphanoise VERNEY-CARRON est l’une des rares entreprises de ce secteur à avoir résisté à la « mainmise » de l’étranger. La société stéphanoise VERNEY-CARRON, faiseur de fusils d’excellence depuis 1820, dont les actions sont admises aux négociations sur le marché Euronext Access à Paris a réussi à se protéger des ingérences étrangères. Son secret ? Une multitude de petits actionnaires français, souvent des chasseurs, et un capital réparti en 444 366 actions avec 856 090 droits de vote.

    Contacté par téléphone, un cadre dirigeant de Verney-Carron SA, qui préfère conserver l’anonymat, lâche, «Le scénario de Manurhin est inimaginable chez Verney-Carron, créée en 1820 par le quadrisaïeul du dirigeant actuel. La société Verney-Carron est une société française implantée à Saint-Étienne, capitale de l’armurerie française. Outre son activité pluriséculaire de fabrication d’armes de chasse par L’Atelier Verney-Carron (armes de chasse artisanales de luxe réalisées sur mesure) et La Manufacture Verney-Carron (large gamme de fusils et carabines de chasse fabriqués en série), Verney-Carron SA a su se diversifier pour proposer une solution globale à la létalité atténuée autour du Flash-Ball avec Verney-Carron Security et pour s’adresser aux marchés militaire et policier avec des armes précises et efficaces avec VCD (Verney-Carron Defense). »

    Dans les secteurs non militaires, en Alsace, les scientifiques mulhousiens de la biotech Cellprothera ont une longueur d’avance. En effet, ils ont mis au point une solution médicale révolutionnaire permettant de régénérer des tissus du cœur endommagés par un infarctus, grâce à l’injection de cellules souches récupérées via une simple prise de sang du patient (Actuellement en cours d’essai clinique phase 2). Une 1ere mondiale et Made in France pour laquelle il a fallu développer un automate permettant de démultiplier les cellules souches récoltées. C’est chose faite en collaboration avec différents partenaires français qui font de cette technologie et cette solution, une prouesse 100% française. Plus d’information ICI

    Dans le centre Val de Loire, à Saint Jean de la Ruelle, à côté d’Orléans, une entreprise fondée en 1931 innove sans relâche pour le confort thermique des maisons. Faisant évoluer ses gammes de produits au gré de l’évolution des styles de vie, les ingénieurs de l’entreprise Thermor conçoivent plus de 500 références design et connectées à consommation intelligente.

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  71. En 2019, la marque presque centenaire, sort son dernier modèle de radiateur électrique nommé « Equateur 4 », labélisé d’Origine France Garantie. Une fierté pour le constructeur et ses équipes. Un savoir-faire bien français. Plus d’information ICI

    Enfin au bord du Rhône, depuis 1993, AST Groupe s’est construit dans l’objectif de devenir l’un des leaders de la construction en ossature bois. Pour cela ils ont développé une activité de promotion immobilière et de création de maisons neuves et d’appartements neufs dans toute la France. « Troisième constructeur de maison de l’hexagone, AST Groupe bénéficie désormais d’un rayonnement national au travers de ses 9 marques de maisons individuelles et d’une marque de studio de jardin / d’agrandissement de la maison et de bientôt 60 établissements franchisés. Son usine POBI à La Charité-sur-Loire (Nièvre, 58) est unique, les maisons en ossatures bois y sont construites et assemblées, ce qui est rare dans ce secteur. Elle symbolise l’innovation made in France au service de la construction » nous précise Antoine Monnier de l’Agence Médiatiser.TV . Plus d’informations ICI

    On l’a compris, à la lumière des explications passionnées fournies, les prédateurs de tout poil s’acharnent pour dépecer la France. Heureusement, certaines entreprises résistent.

    https://lesobservateurs.ch/2022/11/08/les-patrons-des-industries-darmement-francaises-ce-sont-les-arabes/

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  72. Comment transformer les artistes ratés en salariés « engagés »


    le 09.11.2022
    Forum - Présenté par Coraline Pauchard du 5 nov. 2022


    Comment éviter la précarité des artistes: débat entre Yaniv Benhamou, Béatrice Graf, Marie-Thérèse Bonadonna

    Résumé: La précarisation vient aussi du fait que trop d'artistes sont formés. Des Hautes écoles de musique il sort 8500 diplômés par année, qui coûtent des centaines de millions à la collectivité, à raison d'environ 50'000 francs par personne et par année de formation. Et on leur dit de faire la manche à la sortie, ce qui est scandaleux !
    D'autre part, il manque de soignants, qui sont aussi formés dans des Hautes écoles. Et qui dit Haute école dit droit aux barèmes de salaires selon les conventions.

    Une des propositions: il faudrait une "relocalisation", un "rééquilibrage", car 80-90% des étudiants des hautes écoles d'arts sont non-résidents suisses! (13:55)

    En France voisine, la précarité des artistes est résolue par le nouveau statut d'artiste intermittent. Il faut que la société se rende compte que la précarité est un mauvais signe, on incarne 20% de la population.
    Il faut créer les conditions cadres, ce qui nécessite plus d'argent ou une répartition des études plus équitable. Moins d'étudiants formés, pour être cohérent pour l'employabilité. "La Manufacture", la Haute école de Théâtre de Lausanne a déjà été créée pour réduire les effectifs (sic!) des étudiants à former au niveau romand.

    * * * * *

    Carla Montet: Les participants au débat ne se posent pas de question sur cette anomalie qui frise le délire, à savoir que les contribuables forment pour des centaines de millions des artistes à 80-90% étrangers, qui font ensuite la manche chez nous. Non, le problème qui est posé est le suivant: pourquoi dépensons-nous autant d'argent pour dire aux gens à la sortie qu'ils doivent aller faire la manche ou changer de métier.

    Le projet du revenu minimal pour tous entre ici par la petite porte. Un revenu régulier à tous ceux qui veulent vivre de leur art, ils deviendraient ainsi des fonctionnaires, entretenus par les contribuables.
    C'est un projet néocommuniste, qui converge vers les plans de Klaus Schwab du WEF, selon lequel "nous ne posséderons rien mais nous serons tous heureux", car chacun aura droit à une mangeoire réglementée.

    Des milliards de subventions sont devenus insuffisants pour le monde artistique, il y en a encore qui ont de la peine à susciter un intérêt dans un public quelconque. Pour que les artistes mal compris aient aussi de quoi vivre de leurs arts, il faut établir des standards, appliquer les conventions en cours sur les tarifs et les salaires, par soucis d'égalité. L'art ne doit plus répondre à un besoin mais, quoiqu'il offre, s'il est engagé, déconstructionniste, il doit être rémunéré.

    Ainsi, à la masse des diplômés en idéologies vont se rajouter encore des artistes ratés que nous devrions entretenir, ces derniers s'ajoutant à la masse des ONGs, d'associations progressistes, des assistés issus du droit d'asile, des assistés de la libre circulation, des fonctionnaires et politicards payés à ne rien faire d'utile, et tout cela dans un contexte de crise économique majeure, amenant un chômage massif, des entreprises ruinées, l'inflation, un déclin irréversible.

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  73. La culture dominante, qui a le mot de durabilité à la bouche à tout bout de champ, n'amène en réalité de durable que l'appauvrissement, le déclin, la crétinisation et au final, l'écroulement inévitable.

    Bien entendu, dans le monde de la normalité, pour vivre de son art, il faut que le talent soit reconnu par un bon nombre, qu'il y ait une réelle demande pour le travail de l'artiste.
    Dans un monde normal, les peintres du dimanche, les mauvais acteurs, les chanteurs de salle de bain peuvent pratiquer leur art comme bon leur semble, mais ce n'est pas aux contribuables de porter le poids de leur douleur de n'être que des artistes ratés.

    Hélas, le monde de la normalité est révolu. Désormais, si l'on se sent une femme sans l'être, un homme sans l'être, ou un sans-genre, un artiste ou que sais-je, la collectivité post-normale offre toutes les finances publiques nécessaires pour la réalisation de ces fantasmes.
    Beaucoup de ceux qui tiennent des discours sur la durabilité, méprisent les éléments constants de la réalité, car ce sont eux qui ont le pouvoir.
    Ils veulent profiter de leurs privilèges tant que ça dure pour étoffer au mieux leurs coussins de sécurité, tout en sachant parfaitement que:
    - l'argent ne pousse pas sur les arbres,
    - aucune dette ne peut monter jusqu'au ciel,
    - qu' ils n'auront des comptes à rendre à personne,
    - car après eux viendra le déluge...

    * * * * *

    Dans le même Forum du 5 novembre 2022: Le navire Ocean Viking est toujours en mer avec 234 rescapés à bord - interview de Caroline Abu Sa'Da. (4:57) - nerfs fragiles s'abstenir!

    Le monde de la durabilité nous a imposé un deuxième volet mortifère, l'immigration de masse illimitée. Autrement dit, c'est l'importation des masses de personnes inemployables, hostiles à notre civilisation, la plupart en âge militaire, constituant une armée de conquérants que nous sommes arrivés jusqu'ici à contenir en nous endettant, en nous appauvrissant pour leur entretien. La censure des médias corrompus par le camp de la "durabilité" permet d'éviter de confronter la population à la réalité horrible que nous annonce cette armée qui ne dit pas son nom.

    https://lesobservateurs.ch/2022/11/09/comment-transformer-les-artistes-rates-en-salaries-engages/

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  74. Résister au rideau de fer numérique qui s’abat sur l’Europe !


    Cédric d’Ajaccio,
    pour FranceSoir
    le 10 novembre 2022 - 14:40


    "Quand on a fait un pas dans le crime, on se persuade qu’il est impossible de reculer et l’on s’abandonne à la fatalité du mal." — Chateaubriand, Les Natchez.

    TRIBUNE - Le rideau de fer numérique qui tombe sur les peuples européens présente de multiples facettes. Et, c'est toujours « pour leur plus grand bien », et sous prétexte de sécurité, dont « l’esclavage est le comble » (selon une remarquable formule qui a échappé à Jacques Attali, commentant dans l’émission Apostrophes la sortie de son ouvrage "L’ordre cannibale"), que la privation de liberté s’opère. Il a récemment pris la forme du passe sanitaire, potentiellement remis en vigueur jusqu’en juin 2023 dans l’espace de l’Union européenne, sans discussion au sein du Parlement européen.

    Nous nous concentrerons ici exclusivement sur la facette de la légalisation en cours de la police de l’information et de la censure numérique de toute voix dissonante, qui sont factuellement tombées comme jamais sur les peuples de l’Union européenne et français en particulier, à l’occasion de la gestion abracadabrantesque de la « crise sanitaire du Covid-19 », sous la férule de docteurs Jekyll soudainement transformés en plein jour en Misters Hyde – une « pandémie » selon une définition mise au goût du jour par l’OMS, dont toutes les métriques pertinentes font apparaître a posteriori la gravité toute relative (on peut recommander à ce sujet le livre de l’épidémiologiste Laurent Toubiana « COVID-19 : Une autre vision de l’épidémie », qui se permet de discuter des chiffres et les remet en perspective par rapport aux conventions standard de mesure des épidémies jusqu’à ce que le ciel de la démesure nous tombe sur la tête).

    On retiendra de cette mise au point factuelle ce chiffre officiel déterminant d’un pic de taux d’incidence de 140 malades du Covid atteint en mars 2020 à comparer aux pics des grippes saisonnières de 2014 à 2019 qui ont atteint des niveaux de 600 à 800, avec une gravité de pathologie comparable). On aurait pu espérer que les gouvernements et la Commission européenne, prenant enfin conscience de la démesure de leurs agissements ponctuels, notamment en matière d’information où les atteintes à l’objectivité et à la pluralité des opinions, académiques tout particulièrement, sont parvenues à des niveaux inégalés, fassent profil bas après un accès de fièvre aigüe, et ambitionnent de se faire pardonner leurs abus en revenant au statu quo ante, où le concept de vérité officielle restait en principe l’apanage des régimes autoritaires de tout poil. Que nenni !

    Lire aussi : "Le camp de la déraison".

    Cette prise en main de l’opinion publique par la peur et la désinformation officielle des grands médias, ne serait-ce que par la sélection et la pondération des informations systématiquement orientées dans le sens de la dramatisation (et pourquoi donc puisque, usuellement, les nuages radioactifs s’arrêtent à l’aplomb des Vosges ?) ainsi que la chasse aux sorcières de toute dissonance sur les réseaux sociaux et les grands moteurs de recherche et la réactivation des réflexes obscurantistes du bouc émissaire, ont donné des résultats globaux si satisfaisants pour les pouvoirs installés qu’ils les invitent à enfoncer le clou.

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  75. Ainsi la stupéfiante priorité numéro un de l’après crise est de consolider cet abus de pouvoir manifeste en légalisant le contrôle de l’information dans l’espace numérique et en institutionnalisant, en cas de « crise » (mais y a-t-il un seul moment où nous ne serions pas en crise ?) un pouvoir de censure ad libitum de ce qui pourra s’y exprimer. C’est pour résister à cette mainmise insolente et décomplexée des pouvoirs publics sur l’espace numérique et à cette tombée d’un rideau de fer d’un nouveau type qu’est la cybercensure, sous couvert en novlangue 2022 de « lutte contre la désinformation », que nous avons lancé en septembre dernier sur AVAAZ une pétition internationale non partisane.

    Nous développons ici les raisons de cet appel in extremis aux peuples, aux forces vives et aux « clercs » des nations européennes, en les informant de ce qui se passe sous nos yeux sans que les assujettis semblent le voir et en prendre une conscience à la mesure de la gravité de l’atteinte à nos libertés, puisque la « liberté d’expression les résume toutes », selon la belle formule de Chateaubriand. Il est vrai que cette atteinte se fait sous le prétexte de protéger les citoyens – ces incorrigibles enfants – contre la désinformation, car « le mensonge est l’hommage du vice à la vertu ». Sous le lénifiant couvert de « législation européenne sur les services numériques », c’est bien le pilier fondamental du régime démocratique sans lequel la liberté de choix éclairé du citoyen est tout bonnement vidée de son sens, qui est mis en cause par les Raminagrobis qui cherchent à nous prendre au collet pour nous mener droit dans l’ère post-démocratique à laquelle aspirent si funestement ces émules occidentaux des tyrans orientaux.

    Le ver de l’atteinte à la liberté d’expression s’introduit dans le fruit de la législation européenne sur les services numériques (Digital Services Act ou DSA) au nom de « la lutte contre la désinformation », dont les pouvoirs publics et les organismes internationaux seraient, par postulat, les seuls exempts.

    Le 4 octobre 2022, le Conseil de l’Union européenne a formellement adopté le règlement européen sur les services numériques (Digital Services Act ou DSA) déjà approuvé définitivement par le Parlement européen le 5 juillet 2022 (Loi parallèle à celle du Digital Markets Act qui vise à règlementer et soumettre au droit de la concurrence européen les grandes plates-formes en ligne et à promouvoir un level playing field entre les grands acteurs du numérique et avec les acteurs historiques du commerce). Cette « loi européenne », directement applicable sans la souplesse de transposition propre aux directives, vise « à rendre illégal en ligne ce qui l’est hors ligne », en adaptant aux grandes plates-formes et grands moteurs de recherche principalement états-uniens le droit européen de la concurrence dans l’espace numérique, jusqu’alors constitué par la directive européenne sur l'e-commerce du 8 juin 2000, aujourd’hui dépassée par les réalités invasives du numérique.

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  76. La visée originaire, et la plus grande partie de cette règlementation européenne, sont donc parfaitement légitimes et louables à l’heure où l’Europe veut affirmer une souveraineté économique et technologique dont elle vient de mesurer la fragilité. Tout aussi louable et légitime est le souci d’empêcher les contenus illicites d’ordre public comme la diffamation, les appels à la haine, l’incitation au crime et à la violence, la pédopornographie, la fraude ou la contrefaçon. Il n’est bien entendu pas question de contester cela. Il s’agit seulement de distinguer l’ivraie du bon grain qui transite sous ce pavillon officiel présentable de défense de la souveraineté économique de l’Europe contre les GAFAM. Car, c’est dans l’appendice récemment surajouté à cette législation que l’attentat contre la liberté d’information et d’opinion se commet sous des dehors très convenables. Regardons de plus près comment le législateur européen s’y prend pour atteindre le dernier objectif chronologiquement, mais premier en termes de priorité politique du DSA, à savoir « atténuer des risques systémiques, tels que la manipulation de l'information ou la désinformation », selon le site officiel de la République française « vie publique ».

    À cette fin est mis en place un arsenal institutionnel à deux étages, national et européen, de lutte contre « les contenus illicites ». Au premier niveau, cette lutte est en pratique déléguée aux grandes plates-formes numériques et aux grands moteurs de recherche, comme ce fut le cas lors de la « crise sanitaire ». Au-delà de cette délégation de police générale de l’information sur la toile selon des directives qui ne sont pas clairement énoncées et autorisent toute dérive arbitraire, le législateur européen prévoit « un mécanisme spécial de réactions aux crises touchant à la santé et à la sécurité » en vertu duquel la Commission pourra « imposer à ces grands acteurs, pendant un temps limité (un « certain temps ! ») des mesures d’urgence…

    La crise ukrainienne » étant retenue explicitement comme exemple… Pour piloter cet arsenal à deux niveaux, un « coordinateur des services numériques, autorité indépendante désignée par chaque État-membre, sera mis en place ». En France, c’est l’ARCOM, ex CSA, qui en tiendra lieu. « Les 27 coordinateurs coopéreront au sein d’un Comité européen des Services Numériques. En cas de non-respect du DSA, les coordinateurs des services numériques et la Commission pourront prononcer des astreintes et des sanctions. Pour les très grandes plateformes et les très grands moteurs de recherche, la Commission pourra infliger des amendes pouvant aller jusqu'à 6% de leur chiffre d'affaires mondial. En cas de violations graves et répétées au règlement, les plateformes pourront se voir interdire leurs activités sur le marché européen. » À vrai dire, les plateformes n’ont rien à craindre des États ou des organismes internationaux comme l’OMS avec qui elles collaborent spontanément pour accéder aux marchés nationaux et avec qui coïncident largement leur propre agenda d’autocensure d’inspiration oligopolistique.

    En bref, après que les citoyens des États-Nations « libres » de l’Europe viennent de vivre une manipulation systématique et inégalée, à une telle échelle en temps de paix, de l’information par les pouvoirs publics et des médias dominants au garde à vous, l’espace numérique qui a servi vaille que vaille de refuge à la liberté d’expression bafouée dans l’espace médiatique, doit aussi légalement être placé sous contrôle politique. Seule l’information « correcte » a désormais plein droit de cité, c’est explicitement avoué si l’on se réfère, pour apprécier cette légalisation européenne, à la censure factuelle mise en place lors de la « crise sanitaire » sur la plate-forme privée YouTube, filiale de Google, docilement instituée à la demande du gouvernement français et malheureusement sans contestation devant les tribunaux par ses utilisateurs.

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  77. Elle a osé prendre la forme d’un « règlement concernant les informations médicales incorrectes sur la maladie de la COVID-19 ». En vertu de ce « règlement » : ont été réputées « informations incorrectes » (sic !) concernant le traitement » de cette maladie (qu’il est donc interdit de publier sous peine de radiation après rappel à l’ordre de la plate-forme à la chaîne concernée) les « contenus qui affirment qu’il existe des remèdes à l’efficacité garantie contre la COVID-19 ; contenus qui recommandent l’utilisation de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine pour le traitement de la COVID-19 ; contenus qui affirment que l’hydroxychloroquine constitue un traitement efficace contre la COVID-19 : contenus qui affirment catégoriquement que l’ivermectine constitue un traitement efficace contre la COVID-19… ».

    On voit au passage la logique liberticide à l’œuvre : la remise en cause, à peine croyable, de la liberté de prescription médicale (y compris de la « médecine libérale ») par les autorités sanitaires françaises appelait derrière elle comme une suite logique la censure de l’information sur la richesse de la pharmacopée ! Ainsi, à doctrine de l’infaillibilité renaît de ses cendres au 21e siècle à l’initiative des États laïques sans coup férir. Les questions de fait ne sont plus à vérifier par les citoyens au vu de la totalité des points de vue et des données disponibles : l’ancien régime de l’imprimatur est tout bonnement remis en place.

    Adjectifs et adverbes vont donc pouvoir désormais faire la loi comme on vient de le voir… Ainsi ne devrait plus régner sur internet également que la vérité moliéresque sur la panacée vaccinale et l’absence d’immunité naturelle… ou l’angélisme ukrainien ! Car la loi sous-entend comme une évidence qu’aucun « contenu officiel » ne pourrait être « illicite », parce que manipulatoire ou désinformateur. Dans le monde où toute contestation est ostracisée sous le libellé infamant de complotisme, les puissances publiques européennes sont supposées a contrario vierges de tout conflit d’intérêt et de toute tentation manipulatoire, comme en « témoigne » le refus d’informer les parlementaires et citoyens européens sur le contenu des contrats passés avec les fabricants de vaccins du troisième type, dont la mise sur le marché a fait fi de l’étape obligatoire de l’expérimentation sur l’animal.

    Toute méfiance vis-à-vis d’un « pouvoir qui rend fou, et d’un pouvoir absolu qui rend absolument fou » (selon Lord Acton) est désormais « inappropriée et incongrue » dans l’ère post-démocratique qui s’élabore avec persévérance dans l’État profond, où sommeille de longue date la défiance à l’égard des peuples. Machiavel, Marx, Orwell, Huxley sont officiellement disqualifiés. Dénoncer le machiavélisme des Princes qui nous gouvernent est en soi conspirationniste. CQFD.

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  78. Énoncer est ici dénoncer. C’est pourquoi nous en appelons depuis septembre, en écho à la Révolution de juillet née de la réinstauration de la censure de la presse par Charles X, à la Résistance contre ce « coup d'État » légal contre la liberté d’expression au nom de « la lutte contre la désinformation » !

    Cet appel vise à redonner le pouvoir aux peuples et à tous les sachants dans les divers domaines de la vie sociale et les disciplines académiques en maintenant des espaces de libre expression sur cette législation liberticide et en appelant au soutien citoyen dans le cadre des États-Nations, seul cadre démocratique existant en l’absence de toute véritable agora et de toute citoyenneté européennes.

    En résistant par la voie judiciaire le cas échéant à partir des principes généraux du droit aux atteintes aux libertés fondamentales dues à tout être humain en régime démocratique. Les bêtises et les inepties qui ont circulé de tout temps et sévissent sur la toile sont homéopathiquement auto-curatives : seules les limites de l’ordre public dont les débordements peuvent être sanctionnés par la justice doivent prévaloir.

    Mais, cet appel vise également, pour lui donner toute la portée politique et médiatique que mérite le sujet fondamental de la liberté d’expression, consubstantielle à l’idéal et à la pratique démocratique, à soumettre partout où cela est possible à référendum d’initiative populaire ou mixte, c’est-à-dire aux peuples souverains, cet inacceptable et illégitime asservissement par la légalisation d’une police systématique de l’information « incorrecte » et de cybercensure.

    Les Français ont pu toucher du doigt l’arbitraire d’une créativité juridique déréglée qui a permis à un grand pays démocratique de vivre en perpétuel état d’urgence et d’exception pendant plus de deux ans, malgré les oppositions populaires manifestes et persévérantes, médiatiquement vilipendées, à l’aide d’un Parlement aux ordres et sous la menace d’une science biaisée par des conflits d’intérêt, malgré le démenti systématique des assertions officielles aussi péremptoires que changeantes par les faits, seul fondement objectif de toute véritable science expérimentale, de toute scientificité. Ils ont touché du doigt le contrepoint liberticide de cette caporalisation de la société en matière d’expression d’opinions divergentes des positions officielles par la police de l’information sur les réseaux sociaux et la censure numérique.

    La pérennisation d’une gestion de crise sous de nouveau avatars opportuns, comme celui de l’économie de guerre pour justifier des pénuries endémiques issues de mauvaises politiques ou d’un péril écologique opportunément instrumentale, est à l’ordre du jour pour justifier les restrictions de toute nature et le maintien parallèle de la mise entre parenthèses de tous les garde-fous démocratiques et de la liberté de parole qui y décèlerait une nouvelle faillite du commandement et, en fait, le renoncement de plus en plus avéré des Gouvernants à procurer une vie décente à l’ensemble des citoyens, notamment les moins bien lotis, à l’aide de politiques avouables.

    En relayant cet appel à la résistance et en signant cette pétition, chacun signale aux apprentis dictateurs de l’ouest qu’il prend toute la mesure de l’asservissement irréversible qui s’institue. Emportés par un grand vent paradoxal venu de l’est, trente ans après la chute du Mur de Berlin, ils ne savent sans doute pas tous bien ce qu’ils sont en train de faire. Il est bon que les peuples les rappellent à l’ordre de la démocratie et d’une république authentique où l’intérêt général est le guide et la liberté d’expression le fondement de toute vie démocratique consistante et digne.

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  79. Les millenials qui se détournent par lassitude et sentiment d’impuissance de la vie démocratique, tout en se passionnant pour la liberté et la justice dans la saga Star Wars, devraient dans l’urgence tourner leurs yeux vers le dernier et crucial épisode de soumission actuellement en cours sur la planète Terre, tragique épilogue dans lequel la « République européenne » bascule, avec d’autres, dans « l’Empire » sous la baguette d’apprentis Palpatine avides de transformer les peuples souverains en droïdes lobotomisés par la cybercensure et l’information calibrée. Puisse cet appel à la résistance parvenir à dessiller leurs yeux et susciter parmi eux, ici et maintenant, une nouvelle génération de Jedi !

    Cette tribune avait fait l'objet d'une première publication dans le Courrier des Stratèges.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/resister-au-rideau-de-fer-numerique-qui-s-abat-sur-l-europe

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  80. Énergie : l’Allemagne attaque la France et menace l’Union européenne

    OPINION : l’Allemagne s’est attelée à détériorer méthodiquement la compétitivité énergétique et industrielle de ses voisins européens, et notamment celle de la France, son partenaire privilégié.


    le 14 novembre 2022
    Par Christian Harbulot et Michel Gay1.


    Un excellent document de l’École de guerre économique, publié en mai 2021, révèle les manipulations révoltantes de l’Allemagne à Bruxelles pour défendre ses choix énergétiques douteux et ses intérêts industriels aux dépens de l’Union européenne (UE), et notamment de la France.

    Ce texte décortique clairement comment l’Allemagne tente d’affaiblir durablement la France et l’UE dans le domaine de la production d’énergie en s’opposant au nucléaire et en imposant des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) ainsi que le gaz.

    Bravo l’Allemagne !
    L’Allemagne a su brillamment faire prévaloir ses intérêts aux dépens de certains États membres de l’UE en instrumentalisant des acteurs de la société civile investis dans le débat sur l’environnement et en manipulant les esprits derrière une moralisation de façade sous couvert de transition écologique ou énergétique.

    Joschka Fischer, ancien Vice-Chancelier et ministre des Affaires étrangères allemand entre 1998 et 2005, déclarait en 2008 au magazine allemand Der Spiegel :

    Jusqu’à présent l’Europe était le projet central de la politique étrangère allemande – ce qui était bon pour l’Europe, était également bon pour l’Allemagne, et vice-versa. Mais les gouvernants actuels voient de plus en plus l’Europe comme une simple fonction de la politique de défense des intérêts allemands. Il y a là un risque qui n’est pas mince pour l’Europe, mais aussi avant tout pour l’Allemagne.

    L’Allemagne qui tente vainement de tenir ses engagements sur la réduction de ses émissions de gaz carbonique sans le nucléaire, a décidé de faire cavalier seul. Elle s’est attelée à détériorer méthodiquement la compétitivité énergétique et industrielle de ses voisins européens et notamment celle de la France, son partenaire privilégié.

    En effet, son choix de développer massivement des EnRI, notamment éoliennes et solaires, met en péril sa propre compétitivité et son approvisionnement énergétique indispensables au bon fonctionnement de son économie.

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  81. Les EnRI sont peu réactives face aux variations de la demande allemande et entraînent un risque de black-out. L’Allemagne veut compenser cette situation risquée en ciblant l’importation du gaz russe, bien que polluant et émetteur de gaz carbonique, pour alimenter ses centrales à gaz (ce qui n’est pas bon pour le climat) afin de remplacer ses centrales nucléaires et à charbon.

    Heureusement pour elle, ses voisins sont encore capables d’absorber ses brusques variations de productions fatales d’électricité renouvelables éoliennes et solaires.

    Mais pour combien de temps ?

    Le lobbying allemand
    L’Allemagne exerce donc une pression sur la politique européenne afin d’assurer la pérennité de son modèle foireux sur lequel les autres pays seraient en retard, en noyautant la Commission, le Parlement européen et les autres institutions de l’UE.

    Elle a également verrouillé les quatre présidences pivots de l’UE : la Commission européenne, la Banque centrale, le Parlement, et le Conseil grâce à un discret mais puissant réseau constitué de personnalités influentes qui a fait ses preuves.

    Un document de 2015 recense ainsi plus de vingt syndicats et associations représentant les EnRI allemandes (solaire, éolien, biogaz, etc.). Même des fabricants allemands d’éoliennes se trouvent jusque dans les institutions de l’UE.

    En revanche, pas un seul groupement ne défend les intérêts de la filière nucléaire.

    Cette omniprésence allemande menace les intérêts français et ceux des autres pays producteurs d’énergie nucléaire de l’UE : Hongrie, Pologne, République tchèque, Roumanie, Slovaquie et Slovénie.

    Il est grand temps pour la France de construire un mouvement de contre-attaque en dénonçant les agissements allemands contraires à l’intérêt supérieur de l’UE et de reprendre l’initiative en proposant avec ardeur un plan de décarbonation de l’Europe fondé sur l’énergie nucléaire décarbonée bon marché et pilotable.

    La « politique européenne » de l’Allemagne sert avant tout le développement de son industrie au détriment du nucléaire bas-carbone français, dernier obstacle à son hégémonie et à sa compétitivité industrielle en Europe.

    Il faut sauver l’industrie allemande !
    La transition énergétique de l’Allemagne (Energiewende) est devenue un outil de leadership industriel et commercial au cœur de sa volonté de puissance.

    En 1998, une coalition entre les sociaux-démocrates et les verts allemands dirigée par Gerhard Schröder adopte deux lois visant à éliminer l’énergie nucléaire en favorisant l’investissement dans les énergies renouvelables.

    Après son mandat de chancelier, Gerhard Schröder est engagé en 2005 par la société russe Gazprom au sein de laquelle il préside le conseil de surveillance du consortium germano-russe chargé de la construction et de l’exploitation du gazoduc Nord Stream 2.

    De plus, il est aussi président depuis 2017 du conseil d’administration de Rosneft, un autre géant Russe du pétrole et du gaz.

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  82. Et cela ne choque personne à Bruxelles ?

    Cette reconversion professionnelle dans un secteur en concurrence directe avec le nucléaire de ce haut responsable politique allemand et ses liens avec la Russie ne semblent avoir éveillé aucun soupçon de conflit d’intérêt à la chancellerie allemande. Ses actions ont même été accélérées (notamment la validation du projet de gazoduc Nord Stream 2) juste avant la fin de son mandat sans émouvoir personne à la Commission européenne !

    En 2000, la loi sur les énergies renouvelables (EEG) a permis de garantir un prix de vente élevé permettant de favoriser la filière des EnRI au détriment des particuliers allemands dont la facture d’électricité explose, tout en limitant l’augmentation pour l’industrie allemande afin qu’elle reste compétitive.

    L’égoïsme stratégique pour assurer le succès de l’Allemagne

    Les États voisins de l’Allemagne constituent donc une soupape de sécurité de son Energiewende en absorbant ses brusques variations afin de réguler l’instabilité de la production d’électricité allemande de plus en plus issue de ses EnRI.

    Cette politique dangereuse ne fonctionne que grâce à ce déséquilibre en faveur de l’Allemagne et pourrait aboutir à une pénurie, voire à une panne généralisée (black-out) comme le souligne Dominique Finon (CNRS) :

    Pour le moment, les pays européens contrebalancent en exportant/important de l’électricité de leurs voisins, mais le jour où l’un de ceux-ci connaît une baisse subite de production, c’est l’ensemble de l’UE qui risque le black-out.

    Les États voisins sont condamnés à subir cette politique énergétique allemande qui nécessite de modeler l’Europe de l’énergie pour défendre les intérêts allemands.

    Or, la politique européenne de l’énergie est une compétence partagée entre l’UE et les États membres qui disposent in fine du dernier mot concernant leur mix énergétique (article 194, alinéa 2 du Traité de Lisbonne de 2007).

    Cependant, les États doivent respecter l’engagement de l’UE de parvenir à la neutralité carbone d’ici 2050. Dans cet objectif, l’Allemagne a donc fait le choix d’influencer les institutions européennes selon ses intérêts en se posant comme leader, via trois orientations :

    Soutenir le développement des interconnexions électriques entre États européens

    L’Allemagne doit pouvoir exporter son électricité et compter sur ses voisins pour assurer sa propre consommation les soirs sans vent afin de garantir la prospérité de son industrie.

    La libéralisation du marché européen de l’énergie doit favoriser la suprématie du modèle allemand

    Celui-ci compte principalement quatre énergéticiens (E.ON, RWE, EnBW et le suédois Vattenfall) et met en danger celui de ses partenaires. Cette orientation plus favorable aux petits acteurs affaiblit la position dominante des grands énergéticiens étrangers comme EDF. Le principal argument avancé en faveur de cette libéralisation (baisse des prix de l’électricité), s’est finalement révélé faux : le prix de l’électricité a connu une augmentation importante pour le consommateur européen qui subventionne les éoliennes et les panneaux photovoltaïques par milliards d’euros.

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  83. La vampirisation des fonds européens

    L’Allemagne bénéficie de subventions de la Banque Européenne d’Investissement (BEI) sur les énergies reconnues comme vertes par Bruxelles. L’énergie nucléaire n’émettant que peu de gaz carbonique, elle permettrait à l’UE d’atteindre son objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050.

    Donc la France, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie avaient souhaité que l’atome bénéficie également de cette fiscalité avantageuse.

    Mais Berlin s’est s’empressé de tuer dans l’œuf cette demande en arguant de l’absence de risque zéro en matière de gestion des déchets nucléaires. L’Allemagne favorise ainsi son modèle de production électrique fondé sur l’éolien et le solaire en excluant des subventions ses « partenaires » européens ayant choisi le nucléaire. L’Allemagne est le premier bénéficiaire des finances de l’UE pour les projets consistant à assurer un « approvisionnement énergétique sûr, propre et efficace ».

    Habilement, l’Allemagne parvient ainsi à financer sa recherche et développement (R&D) en matière d’énergies renouvelables en recevant des aides de l’UE et en empruntant à bon compte pour son industrie auprès de la BEI.

    Les entreprises allemandes ayant une activité liée au secteur de l’énergie sont donc favorisées par rapport à leurs homologues français et européens.

    Ainsi, des champions français de l’énergie comme EDF et Total ont reçu à eux deux en 2019 moins de la moitié de la somme reçue par la seule entreprise allemande SIEMENS.

    La taxonomie verte européenne

    Lancée en 2018 dans le cadre de son plan d’action intitulé « Financer la Croissance durable », la taxonomie européenne a pour objectif de pousser les acteurs de la finance vers des investissements dits durables. Elle orienterait ainsi les capitaux (privés et publics) vers des produits financiers verts, mais le nucléaire pourrait en être exclu.

    Elle aurait déjà dû être actée mais sous la pression du redoutable forcing allemand, une véritable guerre d’influence se déroule à Bruxelles entre les États membres disposant d’un parc nucléaire et ceux ralliés à la cause allemande. Le principal point de tension est : quelles énergies seront jugées vertes et in fine éligibles aux subventions européennes ?

    La réponse est désormais attendue pour 2022.

    Dans cette bataille, la filière nucléaire française est menacée tandis que le gaz russe importé par les Allemands pourrait se retrouver qualifié « d’énergie verte de transition » ! Bravo l’Allemagne !

    La France a tenté de réagir par l’intermédiaire du ministre de l’Économie Bruno Le Maire, du Haut-commissaire au Plan François Bayrou, et du président Emmanuel Macron.

    La France, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie en vinrent à écrire une lettre commune à la Commission européenne en mars 2021 afin de défendre le choix du nucléaire comme énergie éligible à la taxonomie verte, tandis que le même mois, le Centre Commun de Recherche de la Commission européenne rendait un rapport recommandant de labelliser le nucléaire comme « activité verte ».

    L’Allemagne possède trois entreprises dans le secteur éolien (Siemens, Enercon, Nordex) qui figurent parmi les onze premières du classement mondial 2015 des fabricants d’éoliennes.

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  84. Elle a donc tout intérêt à imposer cette source d’énergie et à affaiblir le nucléaire duquel elle s’est désinvestie. En conséquence, le lobbying allemand est actuellement sollicité dans les négociations sur la répartition de l’argent du Green Deal européen, et plus particulièrement sur la taxonomie verte.

    En voulant imposer sa propre définition cynique des énergies vertes, l’Allemagne fausse intentionnellement le débat afin de conserver sa mainmise sur les finances.

    Le Parlement européen avait déjà choisi d’exclure le nucléaire sous la pression de l’Allemagne en mars 2019.

    En octobre 2019, le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire déclarait :

    Le nucléaire doit être maintenu dans cette taxonomie européenne et être considéré comme une énergie indispensable à la lutte contre le réchauffement climatique.

    Un mois plus tard, l’eurodéputé Vert allemand Sven Giegold réagissait :

    La France ne doit pas nuire à la crédibilité de la future taxonomie en poussant à l’inclusion du nucléaire.

    En résumé, est considéré comme vert uniquement ce qui arrange l’Allemagne pour assurer sa mainmise sur les subventions européennes.

    L’Allemagne et le gaz : talon d’Achille ou instrument de puissance ?

    Pendant ce temps, les lobbyistes allemands travaillent à labelliser le gaz naturel en tant qu’énergie verte « de transition », bien qu’il soit au moins 40 fois plus polluant (490 ggaz carbonique/kWh) que le nucléaire (12 ggaz carbonique/kWh) selon l'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change). Et c’est même seulement 6 ggaz carbonique/kWh en France.

    De plus, favoriser cette source d’énergie (le méthane) fortement émettrice de gaz carbonique menace l’indépendance énergétique de l’UE en raison de son importation de Russie et de Turquie par gazoduc, et aussi des États-Unis par bateaux méthaniers avec du gaz naturel liquéfié (GNL).

    L’Allemagne dont le gaz provient déjà actuellement pour environ un tiers de Russie a mis en place un deuxième gazoduc (Nord Stream 2) dont l’objectif est de la relier directement par la mer à la Russie sans passer par un autre pays (l’Ukraine).

    Le gaz représente aujourd’hui déjà une grande partie de la production d’électricité en Europe dont l’Allemagne souhaite devenir l’acteur économique indispensable hub gazier qui distribuerait le gaz russe sur le continent. Cette exclusivité lui permettrait d’imposer des taxes au passage sur son sol, remettant en cause le principe de sécurité de l’approvisionnement en énergie inscrit dans les traités européens.

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  85. L’Allemagne saborde l’Europe à son profit

    Ainsi, l’Allemagne saborde les perspectives d’un nucléaire européen capable de répondre en même temps à l’objectif de neutralité carbone de l’UE d’ici 2050 et d’améliorer son indépendance énergétique pour la conduire vers une dépendance accrue au gaz russe, américain et turc. Ce comportement hallucinant constitue un grave danger pour l’indépendance stratégique de l’Europe et notamment pour la France dont l’électricité provient à environ 70 % du nucléaire.

    Piégée dans une folle fuite en avant par son refus du nucléaire, l’Allemagne sacrifie cyniquement l’idéal européen en se donnant hypocritement une image verte, en diminuant l’indépendance et la sécurité énergétique de l’UE. Les pays possédant une vision divergente de l’Allemagne sur la question du nucléaire, et donc susceptible de concurrencer sa puissance, sont systématiquement attaqués.

    La France, historiquement en faveur d’une énergie nucléaire bon marché, pilotable et faiblement émettrice de gaz carbonique, semble apathique dans ce combat, tant la relation avec le partenaire allemand se révèle déséquilibrée.

    Pour se sortir des contradictions de sa politique énergétique interne et maintenir la compétitivité de son industrie, l’Allemagne nuit gravement aux intérêts de l’UE, et notamment de la France, en affaiblissant durablement la production vitale d’énergie, et aussi le potentiel industriel des autres États membres.

    L’Allemagne semble avoir détourné la devise des Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas en « un pour tous, tous pour moi ! »

    Article publié initialement le 17 juin 2021.

    Synthèse adaptée du dossier « J’attaque » de mai 2021 de l’École de guerre économique et intitulé « Comment l’Allemagne tente d’affaiblir durablement la France sur la question de l’énergie ». ↩

    https://www.contrepoints.org/2022/11/14/399712-energie-lallemagne-attaque-la-france-et-menace-lunion-europeenne

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    1. Rappelez-vous: en 2001 (11 Septembre) PAS UN chef d’État au monde n'a eu l'honnêteté et le courage de dénoncer l'escroquerie sur les avions qui pénétreraient dans des bâtiments aux colonnes vertébrales d'acier (UPN verticaux de 80 cm !) et pourraient les couper avec ses ailes d'aluminium !! HAHAHAHA ! Bien sûr là TOUS les avionneurs du monde ainsi que TOUS les pilotes du monde ont immédiatement dénoncé cette escroquerie de montage-télé, mais aucun criminel dirigeant les États n'a bronché !

      Pareil pour le 'Global Warming' et pour le 'Nouveau virus extraterrestre fabriqué en laboratoires et disponible UNIQUEMENT en seringues !' (Idem aussi pour 'les hommes sur la lune' (en 1969) sans parler de la ceinture de Van Allen).

      Donc, parler que le gaz carbonique n'est pas nocif et n'a aucun pouvoir calorifique et que TOUS les gaz de l'atmosphère se recyclent continuellement serait de faire du scientifisme. Donc, comme tous les scientifiques sont exclus des débats et sont même censurés sur Internet !! (voir tous les jours sur LE VERT BAVOIR !!) le public n'a droit qu'aux mensonges d’États et escroqueries merdiatiques !

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  86. Carburant : ruée sur les stations-essence avant le retour des 2 euros le litre

    Si la pénurie de carburant que la France a connue en octobre 2022 était intégralement liée à la grève qui a frappé le secteur pétrolier, les difficultés du week-end du 11 novembre 2022 sont, elles, du seul ressort des automobilistes. La raison ? La fin de la ristourne à la pompe, ou plutôt la baisse de celle-ci, qui va faire bondir le prix d’essence et diesel.


    Par Paolo Garoscio
    le 14 novembre 2022 à 7h10


    Les automobilistes se jettent sur les stations pour faire le plein de carburant

    Le gouvernement a beau avoir prolongé de deux semaines la ristourne de 30 centimes d’euro à la pompe sur essence et diesel, il n’a pas changé son plan. La baisse de prix sur le carburant va bien prendre fin le mercredi 16 novembre 2022. Sans surprise, les automobilistes ont voulu profiter une dernière fois d’un plein à bas prix, ou tout du moins à prix réduit, et se sont rués dans les stations-essence.

    Or, quand il y a une hausse de la demande qui pouvait, certes, être prévisible mais qui reste exceptionnelle, les stations-essence n’ont pas toutes pu anticiper. De nombreuses pénuries ont été signalées tout le long du week-end de trois jours du 11 novembre 2022. Car la demande a explosé, les automobilistes voulant économiser quelques euros.

    Et cette hausse de la demande est venue se cumuler avec une situation malgré tout toujours tendues dans l’approvisionnement des stations-essence. Entre 10 et 15%, en France, n’ont toujours pas retrouvé un rythme de livraison normal après la grève, et connaissaient au moins une rupture.

    Une augmentation de prix conséquente pour essence et diesel

    L’attitude des automobilistes s’explique assez facilement : le 16 novembre 2022, le prix des carburants au litre va tout simplement bondir de 20 centimes d’euro d’un coup. Et pour les habitués du bon plan « maison » de TotalEnergies, qui proposait 20 centimes de ristourne de plus, la hausse sera de 30 centimes le litre. TotalEnergies réduit en effet sa ristourne maison de 10 centimes d’euro le 16 novembre 2022.

    Sur un plein d’environ 40 litres, par exemple, l’augmentation pour le budget est plus que conséquente : il n’y aura plus que 10 centimes d’euro de ristourne du gouvernement, et 10 centimes de plus chez TotalEnergies, soit 20 centimes au maximum et donc 8 euros de baisse de prix. Jusqu’à 15 novembre 2022, cette baisse était de 12 euros et pouvait atteindre 20 euros chez TotalEnergies. Le budget des automobilistes va donc en prendre un sacré coup.

    Carburant : 2 euro le litre de diesel, 1,8 euro pour l’essence, dès 16 novembre 2022 ?

    En prenant les données moyennes des prix des carburants en France, publiées par le ministère de la Transition écologique, il est facile d’anticiper le nouveau prix des carburants à la pompe. En effet, au 4 novembre 2022 (dernières données publiées), il fallait compter sur 1,622 euro pour un litre d’essence SP95-E10 en moyenne en France, et 1,8319 euro le litre pour le diesel. Ces données tenaient compte de la ristourne gouvernementale.

    De fait, dès mercredi 16 novembre 2022, ce sera le retour des 2 euros le litre pour le diesel : le prix au litre va bondir de 20 centimes. Quant à l’essence, elle franchira la barre de 1,8 euro le litre à la hausse.

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  87. BRICS: l’alliance pro-multipolaire face à l’élargissement


    Par Mikhail Gamandiy-Egorov
    Mondialisation.ca,
    13 novembre 2022


    L’élargissement de l’alliance des BRICS semble aller de plus en plus vers la voie de la concrétisation, avec la possibilité d’adhésion de nouveaux membres au sein du bloc pro-multipolaire. Le concept des BRICS+ prend une tournure de plus en plus intéressante.

    Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) devront certainement bientôt se concerter quant à l’adhésion de nouveaux membres au sein du bloc représentant déjà près de la moitié de la population du monde et plus d’un quart du PIB mondial. Après l’Iran, l’Argentine, l’Egypte, l’Arabie saoudite ou encore la Turquie, ayant exprimé leur souhait à se joindre aux BRICS, désormais c’est également l’Algérie qui a officialisé sa demande d’adhésion.

    S’il est encore tôt de connaitre les étapes d’adhésion pour chacun des dossiers, ainsi que le timing nécessaire, le fait est que cela confirme largement le désir de nombreux pays à se joindre au bloc des grandes puissances internationales, n’adhérant pas à la vision occidentale du monde.

    L’autre point important à souligner c’est que tout semble indiquer la bienveillance vis-à-vis des nouvelles adhésions non seulement de la part de la Chine et de la Russie, mais également des trois autres membres composant l’alliance.

    Par ailleurs, et ce qui devient également intéressant, c’est que le bloc des BRICS – conçu au départ comme une alliance économique et qu’il est toujours d’ailleurs, poursuit le renforcement de l’interaction dans d’autres domaines importants. Ainsi, l’annonce de nouveaux exercices militaires navals conjoints entre l’Afrique du Sud, la Russie et la Chine, prévus normalement pour février prochain, inquiète déjà de nombreux représentants occidentaux, ainsi que leurs proxys. Ce seront les seconds exercices du genre depuis 2019.

    A ce titre, l’opposition pro-occidentale n’a pas manqué de critiquer cette décision du leadership politique et militaire sud-africain. Mais fort probablement ne pourra pas y faire grand-chose. Après tout, l’expression du «chien aboie, la caravane passe» y trouve tout son sens. Le déroulement des dits exercices conforte l’idée que les BRICS ne se limitent plus uniquement à collaborer dans l’orientation économique, en qualité d’alternative majeure au système occidental, mais s’ouvrent à de nombreux autres domaines d’intérêt stratégique.

    Un point important concerne le fait que les divers analystes occidentaux avaient prédit durant de longues années que cette alliance n’allait pas durer, tellement les cultures de chacun des membres sont différentes et que tôt ou tard l’alliance implosera. Nombreux étaient également ceux qui avaient espéré un rôle néfaste du Brésil lors de l’arrivée au pouvoir du président Jair Bolsonaro. Cela n’est pas arrivé, Brasilia ayant pleinement respecté ses engagements au sein du bloc et ayant continué à accroitre son interaction économico-commerciale avec les autres membres, dont la Chine et la Russie.

    A ce titre, l’augmentation plus que conséquente des échanges entre le Brésil et la Russie depuis le 24 février dernier ne fait que le confirmer. Pour rappel, une augmentation de 106% sur la base du volume mensuel moyen par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Le retour du président Lula da Silva devrait maintenir le cap, voire le renforcer encore plus, sachant qu’il était l’un des principaux partisans et architectes de l’intégration du Brésil au sein des BRICS. Le tout au grand dam des espoirs occidentaux.

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  88. Quant aux autres pays membres, aucune force interne ne semble être en mesure de pouvoir faire basculer les projets du bloc. Pas même l’opposition sud-africaine, qui malgré toute sa rhétorique hostile ne peut défaire le parti historique de Nelson Mandela et de ses camarades – l’ANC. Une chose est sûre: les prochains mois et années seront intenses en termes de travail pour l’alliance des BRICS, et certainement maintenant bientôt des BRICS+.

    La source originale de cet article est Observateur continental

    https://www.mondialisation.ca/brics-lalliance-pro-multipolaire-face-a-lelargissement/5672733

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  89. Ce que la levée de l'interdiction des OGM signifie pour le Kenya



    13 Novembre 2022
    Gilbert Nakweya, SciDev.Net’s Sub-Saharan Africa English Desk*



    Le Kenya a interdit les aliments génétiquement modifiés en 2012 après qu'une étude controversée a fait un lien entre ces aliments et le cancer.

    Mais au début du mois, le nouveau gouvernement du pays a annulé l'interdiction.

    La levée de l'interdiction « pourrait stimuler la recherche en biotechnologie et contribuer à atténuer l'insécurité alimentaire ».

    [NAIROBI] La décision du Kenya de lever l'interdiction d'importer et de produire des aliments génétiquement modifiés (GM) pourrait stimuler la recherche et le développement dans le domaine des biotechnologies et atténuer l'insécurité alimentaire dans le pays, selon les experts alimentaires.

    Lors d'une réunion du gouvernement au début du mois (3 octobre), le gouvernement kenyan a levé l'interdiction d'importer des aliments génétiquement modifiés qui a duré dix ans, afin de lutter contre le changement climatique et de favoriser la sécurité alimentaire dans un pays frappé par une crise alimentaire mondiale due à des conditions climatiques extrêmes.

    Les aliments génétiquement modifiés sont produits à partir d'organismes dont le matériel génétique a été modifié en introduisant le gène d'un organisme différent par un processus appelé génie génétique.

    En 2012, le gouvernement du Kenya a interdit l'importation de maïs génétiquement modifié à la suite d'une étude controversée menée par le scientifique français Gilles-Éric Séralini, qui établissait un lien entre la consommation d'aliments génétiquement modifiés et le cancer chez les rats. L'étude a ensuite été démentie par d'autres recherches européennes.

    « C'est la bonne décision pour le Kenya en ce qui concerne l'augmentation de la production alimentaire et le renforcement de la sécurité alimentaire. »

    Sylvester Oikeh, Fondation Africaine pour les Technologies Agricoles

    Avec l'aggravation de la crise alimentaire et des niveaux de pauvreté dans le monde et au Kenya, les experts affirment que l'inversion de cette politique vieille de dix ans est un pas dans la bonne direction.

    « C'est la bonne décision pour le Kenya en ce qui concerne l'augmentation de la production alimentaire et le renforcement de la sécurité alimentaire », déclare Sylvester Oikeh, chef de projet pour le maïs économe en eau pour l'Afrique (WEMA – Water Efficient Maize for Africa) à la Fondation Africaine pour les Technologies Agricoles, dont le siège est à Nairobi. « Cela montre que le gouvernement est prêt à aider les agriculteurs à améliorer la productivité alimentaire et à réduire les importations de nourriture. »

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  90. « Nous avons la science et les technologies pour transformer notre agriculture. Ce dont nous avons besoin, c'est de la bonne volonté politique et c'est ce qui s'est passé au Kenya », déclare M. Oikeh à SciDev.Net.

    Selon lui, cette décision pourrait ouvrir la voie à d'autres pays d'Afrique de l'Est pour qu'ils adoptent la biotechnologie afin de stimuler la production agricole.

    Avantages de la levée de l'interdiction

    M. Oikeh estime que cette décision pourrait également mettre le Kenya sur la voie de l'élimination de la faim.

    Selon lui, les variétés de maïs tolérantes à la sécheresse et résistantes aux insectes développées par le projet WEMA sont prêtes à être adoptées par les agriculteurs, mais n'ont pas pu être approuvées au Kenya en raison de l'interdiction.

    « Ces variétés sont susceptibles de doubler les rendements du maïs en utilisant moins de pesticides, ce qui réduit ensuite le coût de production pour les agriculteurs », explique M. Oikeh.

    Il reproche aux croisés anti-OGM de ne pas utiliser la science pour défendre leur cause.

    « Cette technologie est en train de transformer d'autres pays comme l'Afrique du Sud, l'Argentine, le Brésil et les États-Unis. La décision du Kenya va maintenant ouvrir la voie à davantage de recherche et de développement de technologies qui aideront les agriculteurs à lutter contre le changement climatique et à augmenter la production agricole », explique M. Oikeh.

    L'indice de la faim dans le monde 2022 publié conjointement par Concern Worldwide et Welthungerhilfe indique que le niveau de la faim au Kenya est « grave ».

    Selon M. Oikeh, une analyse montre que, chaque année, 14,5 millions de Kényans sont en situation d'insécurité alimentaire [ma note : pour une population de quelque 55 millions].

    En septembre, le gouvernement kenyan a envoyé des vivres de secours aux familles kenyanes des régions du nord et de l'est du pays qui connaissent actuellement de graves sécheresses et la faim.

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  91. Pourquoi la décision a été annulée

    Le gouvernement kenyan affirme avoir annulé l'interdiction après avoir pris en compte des facteurs tels que les directives de l'Autorité Nationale de Biosécurité du Kenya (NBA) et la nécessité de s'adapter au changement climatique et de réduire la dépendance à l'égard de l'agriculture pluviale, selon une dépêche publiée après la réunion du gouvernement du 3 octobre.

    « Le gouvernement a annulé sa décision antérieure du 8 novembre 2012 interdisant la culture en plein champ de plantes génétiquement modifiées et l'importation de cultures vivrières et d'aliments pour animaux produits grâce à des innovations biotechnologiques, levant effectivement l'interdiction des cultures génétiquement modifiées », indique le communiqué. « La culture en plein champ et l'importation de maïs blanc (GM) sont désormais autorisées. »

    Lors de la même réunion, le gouvernement kényan a levé l'embargo sur la commercialisation du cotonnier Bt, un type de cotonnier génétiquement modifié qui résiste au ver de la capsule africain, un insecte ravageur.

    Le président du Kenya, William Ruto, a déclaré dans un tweet ce mois-ci (3 octobre) après la levée de l'interdiction : « Nous adoptons des alternatives émergentes et nouvelles à l'agriculture qui garantiront une maturité précoce et une plus grande production de nourriture pour protéger des millions de Kenyans de la famine perpétuelle. »

    Cependant, Ann Maina, coordinatrice nationale de l'Association Kenyane pour la Biodiversité et la Biosécurité, a critiqué la décision du gouvernement de lever l'interdiction. affirmant qu'il n'y avait pas de preuves suffisantes que la technologie GM aiderait le pays à lutter contre l'insécurité alimentaire et aurait des avantages socio-économiques.

    « Nous n'avons pas non plus les capacités suffisantes pour réglementer les OGM car la NBA est limitée en ressources humaines et financières », déclare Mme Maina à SciDev.Net. Elle a mis au défi le gouvernement d'augmenter les investissements dans la recherche afin de soutenir des institutions telles que la Kenya Agricultural and Livestock Organisation pour qu'elles mènent des recherches qui aideront à développer des innovations et des technologies locales pour stimuler la croissance agricole.
    _____________

    * Source : What lifting GMO ban means for Kenya - Sub-Saharan Africa (scidev.net)

    https://seppi.over-blog.com/2022/11/ce-que-la-levee-de-l-interdiction-des-ogm-signifie-pour-le-kenya.html

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  92. Grand reportage sur les semis en Lettonie : deux jeunes agriculteurs en route


    13 Novembre 2022
    Anneke Struck, AGRARHEUTE*


    Clemens et Lukas partent à l'étranger afin d'acquérir de l'expérience pour leur propre exploitation. En Lettonie, la récolte est terminée, mais il leur reste encore beaucoup à faire.

    Que s'est-il passé ces derniers jours ? Quels étaient les travaux à effectuer et quel travail du sol particulier Clemens et Lukas ont-ils eu l'occasion de faire en Lettonie dans leurs deux exploitations ? Les deux jeunes agriculteurs nous emmènent à nouveau en Lettonie et nous expliquent leurs travaux.

    Moi, Clemens, j'ai commencé le déchaumage avec le déchaumeur à disques Lemken Gigant 10 de 10 mètres de large. Pendant la journée, mon débit de chantier se situait entre 80 et 100 hectares, à une vitesse de 12 à 14 km/h. La vitesse dépend fortement de la praticabilité et varie donc un peu. Pendant ce temps, mon collègue de travail letton mulchait les bordures de champs et les zones vertes. Avant la pluie, nous avons moissonné les 50 à 60 derniers hectares de blé de printemps, achevant ainsi la récolte. Les moissonneuses-batteuses ont ensuite été nettoyées et mises en hivernage. Lorsqu'il a plu plus que prévu, il n'était plus possible de travailler le sol.

    Prélever des échantillons dans les bigbags de semences

    Pendant ce temps, j'ai commencé à prélever des échantillons dans les bigbags, entre autres avec Gerhard Odinga, afin d'avoir une vue d'ensemble et de savoir où sont stockées les différentes qualités dans les tuyaux. Les préparatifs sont maintenant en cours pour travailler en profondeur les voies de passage et les endroits plus humides.

    Une semaine plus tard, les résidus de fermentation ont été épandus sur les chaumes de blé : avec le JCB 8330 et la tonne à lisier Samson de 25 m3. La largeur de travail s'élève à 40 m, répartie sur trois épandeurs mélangeurs sur la rampe. Je travaille immédiatement après avec le Quadtrac 535 et un Simba Sl 700 avec 7 mètres de largeur de travail à 25-30 cm de profondeur. Un collègue letton préparait le lit de semences avec un déchaumeur à disques sur les surfaces déjà profondément labourées par Clemens.

    Lukas sur l'exploitation de la côte ouest

    Moi, Lukas, j'ai passé la dernière semaine d'août à travailler sur le semis direct de colza. Mais avant de pouvoir commencer, il a fallu changer une valve sur le John Deere 750 A, car il n'y avait pas de pression sur les socs de semis et il n'était donc pas possible de garantir une implantation raisonnable. Outre la réparation, il a fallu régler et contrôler la densité de semis. La densité de semis s'élevait à environ 3,5 kg/ha.

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  93. Avec le semis direct, il faut faire des compromis. Un compromis entre la profondeur de semis et l'absence de graines en surface. Ce n'est pas si simple lorsque les conditions du sol changent. L'écartement des socs de semis est de 35 cm en double soc. J'ai adapté la vitesse entre 8 et 10 km/h. Je n'ai pas pu semer une tournière parce qu'elle était trop humide. C'est pourquoi nous avons épandu du colza avec l'épandeur à vis et un pick-up.

    Je suis curieux de voir ce que cela donne. Ensuite, j'ai commencé à semer l'orge en semis direct. La densité de semis était ici de 150 kg/ha. Parallèlement, mes collègues lettons ont continué à épandre de la chaux.

    https://www.instagram.com/accounts/login/?next=%2Fp%2FCh-bzydKnyj%2F

    Dans les deux exploitations, les semis de colza sont maintenant terminés et les préparatifs pour les semis de céréales sont en cours.

    Les nouveaux socs Wide-Edge à l'essai

    En septembre, les semis se sont poursuivis sur la côte ouest, sur l'exploitation de 7.500 ha. Ici, le semoir Horsch Focus Striptill a été transformé, les socs à disques normaux ayant été remplacés par de nouveaux socs Wide-Edge. En raison de l'espacement des dents de 35 cm sur une seule rangée et de la mauvaise répartition de la paille, le système ne fonctionnait que de manière limitée en raison d'un bourrage continu. C'est pourquoi nous avons opté à nouveau pour les socs à disques. Après les difficultés initiales, les semis de blé ont progressé. La densité de semis était de 150 kg/ha. Lors de ma dernière soirée, j'ai encore pu apercevoir deux loups lors du passage de la herse étrille. Après 6 semaines, je suis rentré chez moi pour me consacrer aux semis avant de partir pour l'Australie.
    __________

    * Anneke Struck travaille chez AGRARHEUTE comme rédactrice cross-média dans la rubrique élevage et le spécial bovin.

    Source : Großer Aussaatbericht aus Lettland: Zwei Junglandwirte unterwegs | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2022/11/grand-reportage-sur-les-semis-en-lettonie-deux-jeunes-agriculteurs-en-route.html

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  94. Histoires d'eau – et de publicité alimentaire – sur le HSBC XRIS blog


    14 Novembre 2022
    Glané sur la toile 967


    La COP 27 (la conférence des parties) sur les changements climatiques s'est ouverte à Charm el-Cheikh, au bord de la Mer Rouge, le 6 novembre 2022 et se tiendra jusqu'au 18.

    Dans un message vidéo, le Secrétaire Général des Nations Unies, Antonio Guterres, a fait du Antonio Guterres... ou du Greta Thunberg, si vous voulez. « Nous sommes sur l’autoroute vers l’enfer climatique, avec le pied sur l'accélérateur... » peut-on lire dans la presse (l'ONU n'a semble-t-il pas jugé bon de produire un texte écrit...).

    À l'heure où j'écris, les chefs d'État et de gouvernement (110 en tout) se suivent pour délivrer des discours largement convenus et prévisibles. Nous verrons si M. Emmanuel Macron fera plus historique que le « Notre maison brûle... » de Jacques Chirac...

    « L'avatar ci-[contre] est un hommage à Auguste Landmesser pour qui j'ai une grande admiration Après des études d’histoire, orientées dans le domaine de l’histoire et l’archéologie de l’agriculture et des paysages, j’ai eu une longue carrière professionnelle dans l’histoire, pas celle passée, celle en train de se faire… Ce fut passionnant, je n’en dirais pas plus, je n’aime pas les "has been". [...] »

    C'est l'occasion de signaler qu'une amie a repris du service après une assez longue éclipse. Elle tient le HBSC XRIS blog - à la poursuite du réel, historique et scientifique, parce que 1984, nous y sommes presque. En plus détaillé :

    « Archéologie, Histoire de l'agriculture, de l'élevage, de l'alimentation, des paysages, de la nature. Sols, faunes et flores. Les sciences de la nature contre les pseudos-sciences, contre l'ignorance, contre les croyances, contre les prêcheurs de l’apocalypse. »

    Le 25 août 2022, elle publiait « La pire sécheresse depuis 500 ans ? Références historiques s'il vous plait ? À la recherche du réel... ».

    En voici le début :

    « Je lis peu la presse généraliste qu’elle soit de gauche ou de droite. Sur les sujets que je connais et que je maitrise c’est à 70% bullshit et shitbull.

    Et j’essaye d’éviter de tomber dans le piège de l’amnésie Gell-Mann dont sont frappés beaucoup de lecteurs :

    L’effet d’Amnésie "Gell-Mann" est un concept développé par Michael Crichton (1942-2008), qui fit des études de médecine, avant de devenir écrivain et scénariste de film de science-fiction (Jurassic Park). Murray Gell-Mann (1929-2019) était un grand scientifique, prix Nobel de physique en 1969 avec qui Michael Crichton discuta de ce concept. »

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  95. Vous ai-je suffisamment appâté ? Allez, encore une lampée...

    « Et je ne clique pas sur les articles de la presse généraliste pour les lire, surtout quand ils sont catastrophistes.

    Tout clic sur un titre catastrophiste alimente le catastrophisme puisque les journaux font en sorte de publier en priorité des articles sur lesquels les gens vont cliquer beaucoup, ce qui leur rapporte de l’argent. Et en matière de fric, le catastrophisme est un "must".

    Autant que possible, lorsqu’on lit la presse, il ne faut cliquer que sur des articles positifs, et même cliquer plusieurs fois. »

    On n'est pas encore dans le sujet – qu'on découvrira en allant sur site – mais on apprécie.

    Le 17 septembre 2022, on reparle de météo – c'est-à-dire de climat chez les prêcheurs d'apocalypse quand c'est conforme à leur fonds de commerce (et quand ça ne l'est pas vraiment, il y a toujours moyen...).

    C'est « Le Pakistan, carnage climatique, non catastrophe démographique : de 38 à 235 millions d’habitants en 70 ans ! À la recherche du réel... »

    Le titre est explicite, la démonstration implacable. Et il y a quelques remarques annexes utiles pour la contextualisation.

    Un adepte de Twitter a aussi évoqué cette question dans un fil plus large qui s'ouvre par « crise climatique ou problème de vulnérabilités ? » et un fil plus spécifique sur le Pakistan.

    (Source du premier)

    Entre ces deux articles, il y a eu « Histoire du jus d'orange ou comment vendre de la santé pour remplir son compte en banque. À la recherche du réel... »

    Il n'y est pas question que de jus d'orange et de publicité. C'est passionnant.

    Du reste, si vous lisez entre les lignes, vous comprendrez l'origine de la dénomination de l'équipe de football (américain) de San Francisco...

    Et on retombe dans les questions de climat dans la conclusion :

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  96. « Il ne faut pas s’imaginer que les humains du début XXème siècle étaient particulièrement naïfs…

    Il suffit de regarder avec attention et en les analysant les publicités alimentaires actuelles pour se rendre compte que rien n’a véritablement changé. L’héritage d’Albert Lasker et de ses collaborateurs est omniprésent et même totalement assourdissant.

    Pour convaincre les humains du début XXIème siècle de consommer un aliment ou une boisson quels qu’ils soient, les arguments "santé", "qualité", "nature" et "tradition" sont toujours les meilleurs et abolissent chez un grand nombre de gens toute capacité de jugement objectif.

    Comme il y a un siècle, on sait également insinuer ou exprimer ouvertement que les mêmes aliments non cultivés ou non sélectionnés similairement et vendus dans d’autres enseignes ne présentent pas les mêmes qualités. Et on en appelle à la science et aux médecins comme il y a un siècle, peu importe que ce soit vrai, l’essentiel est que le consommateur le croit.

    Le "bon pour la planète" est aussi à la mode, il s’agit de nous faire consommer… nous… il faut relativiser le nous. Le "bon pour la planète" est en général cher et peu accessible à la majorité des gens…

    Mais pour ceux qui ont les moyens, le "bon pour la planète" permet aux plus aisés de nos sociétés de dépenser allègrement tout en les exonérant de toute culpabilité.

    Un peu comme le commerce des Indulgences, du moyen âge au XVIème siècle, en donnant de l’argent à l’Eglise, on était absout de ses pêchés.

    Quant à ceux qui n’ont pas les moyens, qu’ils se privent et se serrent la ceinture… »

    https://seppi.over-blog.com/2022/11/histoires-d-eau-et-de-publicite-alimentaire-sur-le-hsbc-xris-blog.html

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  97. À voir absolument sur Rumble ou Odyssée avant qu’il ne soit trop tard


    le 13 novembre 2022


    Il paraît que le gouvernement français censure Rumble. Il est vrai que la France n’est plus une démocratie depuis … depuis une demi-douzaine d’années. Elle est gouvernée par une mafia de politiciens constituée d’incompétents qui n’ont qu’un objectif : s’en mettre au maximum dans les poches et en suivant les directives d’Ursula et de Klaus. Dans quelques années seulement la France sera complètement ruinée et les Français seront dans la misère.

    La seule alternative qui reste est la révolution …

    https://rumble.com/v1teoso-librez-linfo-7-avec-xavier-moreau-10.11.22.html

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/11/13/a-voir-absolument-sur-rumble-ou-odyssee-avant-qul-ne-soit-trop-tard/

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    1. (...) Il paraît que le gouvernement français censure Rumble. Il est vrai que la France n’est plus une démocratie depuis … depuis une demi-douzaine d’années. (...)

      La France est une RÉPUBLIQUE (donc: dictature au même titre que les monarchies ou empires) et non une Démocratie.
      La Démocratie c'est: 'Par le Peuple, Pour le Peuple'. C'est-à-dire que ce sont les citoyens qui proposent eux-mêmes leurs lois et votent eux-même leurs lois. En dictatures ce sont des tuteurs (appelés 'députés' ou 'sénateurs') qui proposent et votent eux-mêmes leurs lois sans demander quoi que ce soit au Peuple.

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  98. Population mondiale, un peu plus de 8 milliards et en croissance


    12 NOVEMBRE 2022


    La population mondiale est au bord des huit milliards, avec des compteurs de monde offrant un widget pratique permettant aux utilisateurs de compter jusqu'au moment où 7 999 999 999 atteignent ce nombre magique.

    Selon le service statistique, qui regroupe les données d'organisations nationales et internationales officielles telles que l'ONU, l'OMS et l'OCDE, au moment d'écrire ces lignes, la planète compte actuellement plus de 7 999 507 000 personnes, avec plus de 115,9 millions de personnes nées cette année, dont plus de 280 000 au cours des dernières 24 heures seulement. Plus de 58 millions de personnes sont décédées cette année, plus de 140 000 aujourd'hui, avec une augmentation annuelle nette de la population approchant les 58 millions.

    Les Nations Unies s'attendent à ce que la population mondiale dépasse les 8 milliards le 15 novembre. Dans un rapport publié en juillet, l'agence prévoyait une population de 8,5 milliards d'ici 2030 et de 9,7 d'ici 2050, et un pic de 10,4 milliards dans les années 2080 avant une graduelle le déclin commence.
    La croissance et les projections de croissance diffèrent radicalement selon les pays, l'ONU calculant qu'à l'échelle mondiale, l'augmentation de la population a en fait ralenti à ses niveaux les plus bas depuis 1950 et le début de la révolution verte agricole. De plus, les deux tiers du monde vivent déjà dans un pays où le taux de fécondité par femme est inférieur à 2,1 naissances, ce qui équivaut à une croissance nette zéro. L'ONU prévoit que huit pays seulement : la République démocratique du Congo, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Inde, le Nigéria, le Pakistan, les Philippines et la Tanzanie représenteront plus de 50 % de la croissance démographique mondiale d'ici 2050, l'Inde devant dépasser la Chine en tant que la nation la plus peuplée du monde d'ici 2030.

    Agriculteurs du Zimbabwe - Spoutnik International, 1920, 11.11.2022

    https://www.algora.com/Algora_blog/2022/11/12/world-population-just-over-8-billion-and-growing

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    1. Où est le problème (si pb il y a) ?

      Que la planète compte 8 milliards d'habitants ou 80 milliards il y aura toujours de quoi manger sur Terre et bien-sûr tout autant d'énergie.

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  99. L'attaque par impulsion électromagnétique pour mettre fin à la guerre en Ukraine


    11 NOVEMBRE 2022
    par Gilbert Doctorow via Gilbert Doctorow


    [ . . . ] Voilà pour la Belgique*. Quant à la Russie, ce que je viens de décrire n'est pas très prometteur pour amener un changement de politique en Occident qui hâterait la fin de la guerre en coupant le soutien militaire et financier à Kiev. Cela correspond à l'évaluation réaliste de ce à quoi la Russie est confrontée et qui est diffusée à la télévision d'État avec une fréquence de plus en plus grande. L'édition du matin d'aujourd'hui de l'émission d'actualités et de commentaires "Sixty Minutes" en était un bon exemple. Comme le disaient les panélistes et les animateurs, les résultats des élections d'hier aux États-Unis ne promettent pas un revirement rapide de la politique étrangère de Washington. Et pour sa part, l'Europe occidentale ne semble pas encore s'effondrer économiquement ou politiquement. La conclusion : la guerre ne se terminera que par la victoire de la Russie sur le champ de bataille, et non grâce à des événements extérieurs.

    Alors, comment se passe la guerre sur le terrain ? D'après les panélistes experts de 'Sixty Minutes', les quelque 80 000 soldats russes mobilisés récemment au front ont atteint l'objectif de tenir les lignes, si bien que depuis plusieurs jours elles sont stables, n'avançant guère d'un côté ou de l'autre malgré les Attaques ukrainiennes sur des points donnés. Les assaillants sont repoussés avec de grandes pertes humaines du côté ukrainien, mais sans aucune implication stratégique. Les Russes parlent de 10 000 morts ukrainiens dans la zone de combat de Kherson au cours du mois d'octobre. Dans le même temps, les Russes disent se retirer de la ville de Kherson, ayant jugé qu'actuellement le défi logistique de ravitailler leurs troupes sur les rives occidentales du Dniepr est trop important ; ils continueront le combat de l'autre côté du fleuve, sur les rives orientales. Ils ont déjà évacué 110 000 civils de la ville de Kherson vers l'Est, c'est-à-dire essentiellement vers la Crimée et les régions du sud de la Russie européenne.

    Ainsi, pour le moment, la guerre est dans une impasse. Cela ne changera peut-être que lorsque les quelque 140 000 réservistes supplémentaires termineront leur formation et seront envoyés au combat pour ce qui sera la contre-offensive russe de 2023. Cela peut changer la donne, ou peut-être pas, selon la nouvelle coupe. armes de pointe Washington commence à expédier à Kiev d'ici là.

    Tout ce qui précède m'amène à une question que j'avais rejetée d'emblée… une " frappe nucléaire tactique. " Cependant, un article du Financial Times d'aujourd'hui l'a présentée sous une forme très spécifique, assez différente des armes nucléaires à faible rendement conçues pour utiliser sur le champ de bataille dont les Russes disent ne pas avoir besoin. Ce dont nous parlons est une « frappe à impulsion électromagnétique » pour assommer le potentiel militaire de l'Ukraine d'un seul coup en désactivant tous les équipements électroniques et électriques au sol dans tout le pays et... y compris les satellites dans l'espace au-dessus. Ici, nous avons un engin nucléaire livré par un missile hypersonique et explosé à haute altitude. Il n'y aurait pas de nuage, pas de destruction physique des bâtiments, ni de décès de personnes au sol. Et les Russes auraient déjà testé cela au-dessus de la mer de Barents.

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  100. Cette arme de pointe utilisée par personne jusqu'à présent serait en effet conforme à l'affirmation de Vladimir Poutine au début de la guerre selon laquelle la Russie avait des "moyens techniques militaires" pour l'emporter, une expression que de nombreux analystes occidentaux ont devinée quand elle a été dite. Cela mettrait également dans un contexte approprié la récente mention par Poutine des bombardements américains d'Hiroshima et de Nagasaki. Dans le cas de 1945 comme dans le cas actuel, le motif de ceux qui utilisaient les nouvelles armes était et serait maintenant d'épargner la vie de dizaines de milliers de leurs propres soldats tout en mettant fin rapidement à une guerre. La différence, bien sûr, est que l'utilisation américaine d'armes nucléaires a coûté la vie à des centaines de milliers de civils japonais alors que l'utilisation éventuelle par la Russie d'une impulsion électromagnétique tactique ne coûterait pratiquement rien en vies humaines.

    Je laisse au lecteur le soin de décider si cela reviendrait à ouvrir la boîte de Pandore des horreurs nucléaires comme le laisse entendre Washington.

    Post-scriptum, 10 novembre : Un lecteur a correctement commenté qu'une attaque EPM pourrait également être provoquée à l'aide d'un explosif non nucléaire, que les Russes posséderaient également. Cette question méritera une attention toute particulière. Et je souligne en outre que la possible évolution de la Russie vers des méthodes de guerre totalement nouvelles dans lesquelles elle est, avec les États-Unis, des « leaders » mondiaux ne se produira qu'en réponse à l'escalade des capacités d'armement fournies à l'Ukraine par les États-Unis et l'OTAN. La Russie reste une puissance « réactive ».

    Remarque : Voici la discussion sur la Belgique.

    - voir clip sur site -

    Après ma récente explication de la manière dont la crise énergétique à l'échelle européenne fait tomber chaque mois les finances des ménages de la grande majorité des Belges dans le rouge, et après avoir spéculé sur la question de savoir si et quand cette situation intenable conduira à des troubles civils, je suis tenu rendre compte de la "grève nationale" d'aujourd'hui en Belgique : à savoir quelles étaient les revendications des dirigeants syndicaux qui ont appelé à la grève, quel impact leur action a eu sur la vie quotidienne ici et, surtout, si cela préfigure en quelque sorte des changements par rapport à Soutien belge aux politiques européennes de sanctions contre la Russie et d'aide militaro-financière à l'Ukraine.

    Cela a été appelé une «grève nationale» plutôt qu'une «grève générale» parce que la grève a été déclenchée par les deux plus grands syndicats du pays agissant seuls et représentant plusieurs secteurs économiques clairement définis, le principal étant le transport. Les chemins de fer belges ont failli être fermés, de même que la plupart des réseaux de transports publics municipaux, c'est-à-dire les métros, les tramways et les bus, bien que certaines lignes aient été dotées d'un service fortement réduit. Des deux aéroports nationaux desservant des vols commerciaux, Charleroi a été complètement fermé, tandis que Zaventem en dehors de Bruxelles a annulé 60 % de ses vols. Dans le commerce de détail, les principales chaînes de supermarchés ont été fermées. Les bureaux de poste, les hôpitaux, les prisons et de nombreux autres services publics ont été maintenus à des niveaux minimaux typiques du dimanche. Cependant, les écoles sont restées ouvertes. D'ailleurs, la plupart des magasins, restaurants et autres entreprises privées sont restés ouverts.

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  101. Les patrons syndicaux ont qualifié l'action de la journée de succès. C'était un coup au-dessus de la proue du gouvernement pour alerter sur les revendications que les syndicalistes veulent voir satisfaites dans les semaines à venir. Ces demandes sont strictement économiques, sollicitant l'aide du gouvernement pour plafonner les factures d'énergie des ménages et supprimer les contrôles sur les augmentations de salaire autorisées fixées par la loi, afin que les travailleurs puissent négocier de nouveaux contrats qui augmentent suffisamment les salaires pour compenser la forte inflation actuelle. Pour sa part, le Premier ministre De Croo affirme que les dispositions d'indexation des salaires en place protègent mieux les travailleurs belges que dans la plupart des autres pays et il a appelé le peuple à se serrer les coudes et à éviter la discorde.

    Qu'allons-nous faire de cela ? La conclusion remarquable est que les deux parties à la question ignorent intentionnellement l'éléphant dans la pièce, à savoir les sanctions contre la Russie qui ont fait grimper les coûts de l'énergie de manière si spectaculaire au cours de cette année. Probablement intentionnellement, les syndicats ont décidé de ne pas empiéter sur les prérogatives du gouvernement en faisant des revendications politiques. Ainsi, pour emprunter une ligne aux programmes de BBC Business News, ils ne « font pas le lien » entre la politique étrangère du pays et la hausse du coût de la vie.

    Le problème ici est que l'indexation ou des augmentations salariales encore plus élevées dans les mois à venir ne feront qu'aggraver l'inflation, la rendant plus insoluble et plus durable. De plus, étant donné qu'un si grand nombre de ceux qui étaient en grève aujourd'hui sont des fonctionnaires, leurs augmentations de salaire dans les mois à venir entraîneront le budget fédéral dans un déficit encore plus important, violant les règles financières de l'UE et risquant des sanctions d'une sorte ou d'une autre. Pendant ce temps, les employeurs privés sont susceptibles de résister à toute augmentation importante des salaires au-delà des niveaux fixés par la loi, car cela ferait grimper les coûts et leurs propres prix de vente à des niveaux non compétitifs sur les marchés mondiaux. Nous pouvons nous attendre à ce que le bras de fer se poursuive pendant un certain temps, engendrant peut-être des grèves sauvages et d'autres troubles sociaux.

    ©Gilbert Doctorow, 2022

    https://www.algora.com/Algora_blog/2022/11/11/the-electromagnetic-pulse-knockout-strike-to-end-the-war-in-ukraine

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    1. Depuis plus de 20 ans la Chine s'est vantée d'avoir l'EMP c'est-à-dire le 'bombe propre' (Impulsion ElectroMagnétique). L'explosion d'une telle bombe pourrait être susceptible d'anéantir tous les réseaux électrique du monde entier. En effet, la bombe exploserait en haute altitude et, l'onde de choc, ferait le tour de notre planète anéantissant toutes les communications ainsi que grillant tous les matériels électrique existant (piles, batteries ou accus).

      Ce serait le monde du silence qui régnerait tout-à-coup où tous les véhicules à moteur s'arrêteraient de fonctionner autant sur terre, que sous la mer ou dans le ciel (sauf, sauf les moteurs de tronçonneuses, tondeuses à gazon (équipés de lanceurs a courroie) ou voitures anciennes démarrant à la manivelle faute de batterie).
      Cela peut-être appelée 'bombe tactique' où l'explosion ne toucherait qu'un endroit précis, une région ou pays.

      Donc, çà serait la fin de la guerre (puisque les missiles se conduisent avec satellites) et aussi... la fin des faux riches à milliards dans le monde puisque leurs 'monnaies' sont purement fictives et inscrites sur ordinateurs.

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  102. La hausse des coûts de l'énergie dans l'UE déclenche le vol de bois
    Certains Estoniens se seraient tournés vers le vol de bois dans les forêts pour chauffer les maisons


    Nouvelles RT
    14 novembre 2022


    Quelque 150 mètres cubes de bois rond d'une valeur de 10 400 € (10 388 $) ont été volés dans les forêts privées estoniennes au cours des dix derniers mois, a rapporté la chaîne de télévision publique ERR cette semaine, citant le Centre de gestion des forêts de l'État (RMK).

    Dans le même temps, près de 126 mètres cubes de sous-bois coupés et empilés d'une valeur de 3 850 € (3 845 $) auraient été volés dans les forêts domaniales.

    Le nombre de vols a augmenté, a déclaré aux médias Toomas Haas, agent forestier en chef de RMK pour la région de Tartu, ajoutant que cela se produit malgré une surveillance accrue parmi les employés de RMK, qui surveillent quotidiennement les zones de coupe et de stockage du bois.

    Le dernier cas de vol signalé dans le comté de Tartu a eu lieu dans une réserve naturelle, ont rapporté lundi les médias locaux, lorsqu'un homme de 43 ans et une femme de 35 ans ont été surpris en train d'abattre des arbres et de voler les bûches.

    Selon Haas, l'augmentation du nombre de vols est liée à l'augmentation des prix de l'énergie.

    Après le lancement de l'opération militaire de Moscou en Ukraine, les pays de l'UE se sont engagés à mettre fin le plus rapidement possible à leur dépendance vis-à-vis de l'approvisionnement énergétique russe. En conséquence, le bloc s'est heurté à une crise énergétique majeure. Les prix du gaz et de l'électricité ont grimpé en flèche, l'inflation dans la région atteignant des records.

    En mai, l'Estonie était en tête du tableau de l'inflation de la zone euro, les prix à la consommation annuels du pays ayant bondi de 20,1 %. Ses voisins baltes, la Lituanie et la Lettonie, ont enregistré les deuxième et troisième augmentations les plus élevées, à 18,5 % et 16,4 %, respectivement.

    Reprinted from RT News.

    https://www.lewrockwell.com/2022/11/no_author/rising-eu-energy-costs-spark-wood-theft/

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    Réponses
    1. (...) 126 mètres cubes de sous-bois coupés et empilés d'une valeur de 3 850 € (3 845 $) auraient été volés dans les forêts domaniales. (...)

      Whôax ! HAHAHAHA ! 'Du bois volé' !! (demain ce sera l'air ou l'eau après la terre ?)

      Rappel que le bois vert ne brûle pas et qu'il faut 3 ans de séchage.

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  103. L'effondrement de FTX expliqué en 99 secondes


    Par Alexandra Bruce
    La télé du savoir interdit
    14 novembre 2022


    Le Gateway Pundit rapporte :

    - voir clip sur site -

    « Le mot est maintenant sorti. Les démocrates ont envoyé des dizaines de milliards en Ukraine, puis ont blanchi cet argent dans les poches et les fonds des démocrates aux États-Unis. Maintenant, la société est en faillite et les fonds sont introuvables.

    Le Daily Caller rapporte :

    Le PDG de Cryptocurrency et donateur démocrate, Sam Bankman-Fried, a financé les campagnes des principaux législateurs supervisant la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), l'agence chargée de réglementer l'industrie de la cryptographie, alors qu'il faisait pression sur la CFTC pour une plus grande surveillance du marché des actifs numériques.
    Bankman-Fried a fait un don au président et membre de rang du Comité sénatorial de l'agriculture, le comité qui a compétence sur la CFTC, ainsi qu'à de nombreux autres membres du Congrès impliqués dans la surveillance de la CFTC.
    Le PDG de FTX a également dépensé des centaines de milliers de dollars pour faire pression sur les législateurs et la CFTC sur une législation qui élargirait la portée du rôle de l'agence dans la réglementation de l'industrie de la cryptographie.
    Le podcast Nobody Special a réalisé cette vidéo de 99 secondes expliquant l'effondrement de l'échange de crypto FTX.

    TRANSCRIPTION

    C'est Sam Bankman-Fried.
    Les gens l'appellent SBF.
    Il est le fondateur de FTX.

    Il contrôle également le fonds spéculatif crypto appelé Alameda Research.
    Mais tout cela est parti maintenant.

    Il veut que vous pensiez qu'il est gentil.
    Il a même fait venir un célèbre YouTuber qui l'a appelé "l'homme le plus généreux du monde".
    Ouais. Cela s'est passé.

    La vérité est que Sam Bankman Freed est un menteur et un escroc.
    Son jeton crypto FTX personnel était essentiellement un schéma de Ponzi caché sous des couches de jargon Moon Bro.
    Il est même allé sur le podcast de Bloomberg et s'en est vanté.
    Ouais. Cela s'est passé.

    Il a utilisé son jeton Ponzi comme garantie pour emprunter des milliards de dollars réels qu'il ne pouvait pas rembourser.
    Il a ensuite utilisé ces vrais dollars pour construire un empire à partir d'entreprises mourantes, comme Voyager et BlockFight.
    Cela a conduit Jim Cramer à l'appeler "Le nouveau JP Morgan!"

    C'est bizarre.

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  104. Ce n'est pas comme Jim Cramer de promouvoir un escroc milliardaire.
    SBF a vendu aux gens des cryptos comme Bitcoin – ou du moins c'est ce qu'ils pensaient.
    Ce qu'ils ont vraiment acheté à SBF était une reconnaissance de dette.
    Mais tant que tout le monde n'encaissait pas sa reconnaissance de dette en même temps, ce jeu fonctionnait.
    Jusqu'à ce que ce ne soit pas le cas.

    Cet autre trou qui déteste SBF est venu et a organisé une course bancaire avec des tweets passifs agressifs.
    Ça a marché.
    SBF n'avait pas assez d'argent pour rembourser tout le monde en une fois et maintenant ses clients ont tout perdu.
    Il sera heureux de savoir que c'est exactement ainsi que fonctionnent toutes les banques du monde.

    Alors, où est passé tout l'argent ?
    Il a détourné 4 milliards de dollars en essayant de sauver son fonds spéculatif défaillant.
    Oups. C'est un crime.

    Il a dépensé 21 millions de dollars en publicités pour le Super Bowl.
    5 millions de dollars pour le Big Guy.
    40 millions de dollars en dons de campagne.

    Je me demande ce qu'il voulait en retour ?

    Et tous ceux qui pointent du doigt cette histoire et disent :
    "C'est exactement pourquoi nous devons réglementer la crypto!"

    Rappelez-vous que SBF a volé des milliards.
    C'est déjà un crime.
    Et il en a dépensé beaucoup pour soudoyer des politiciens.
    Aussi un crime.
    Afin de créer un monopole crypto pour lui-même.

    Les réglementations gouvernementales ne protègent pas les clients.
    Ils protègent les escrocs.
    C'est exactement ce que SBF essayait de faire.

    Reprinted with the author’s permission.

    https://www.lewrockwell.com/2022/11/no_author/the-ftx-collapse-explained-in-99-seconds/

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  105. Tour d'horizon hebdomadaire des nouvelles sur le climat et l'énergie #528


    12 novembre 2022
    Présenté par SEPP (www.SEPP.org)


    Le projet de politique scientifique et environnementale
    Citation de la semaine : Rien dans la vie n'est à craindre, c'est seulement à comprendre. Il est maintenant temps de mieux comprendre, afin que nous ayons moins peur. – Marie Curie [H/t Gordon Fulks]

    Chiffre de la semaine : 3 nanogrammes par litre (ng/L)

    CETTE SEMAINE:

    Par Ken Haapala, président, Projet de politique scientifique et environnementale (SEPP)

    Portée : Le rassemblement international annuel des politiciens, des bureaucrates et des groupes d'intérêts spéciaux réunis dans le Sinaï, pour "sauver l'humanité" pour la 27e fois (COP 27). TWTW mettra l'accent sur ce qui manque - une science physique compétente. Écrivant dans «The Energy Advocate», le physicien atomique, moléculaire et optique (AMO) Howard Hayden montre que dans son sixième rapport d'évaluation (AR6, 2021), the UN Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) affiche un tableau de bilan thermique similaire à ceux du passé. Rapports d'évaluation qui affichent correctement cinq exemples de conservation de l'énergie. Cependant, ils ne présentent pas un graphique similaire pour un seul de leurs scénarios pour l'avenir. S'ils le faisaient, ils découvriraient immédiatement que leurs scénarios violent la loi de la conservation de l'énergie.

    Les physiciens de l'AMO William Happer et William van Wijngaarden ont rejoint le physicien atomique, moléculaire et laser C. A. de Lange et le professeur émérite de médecine vétérinaire J. D. Ferguson pour exposer l'absurdité de la régulation des émissions d'oxyde nitreux sur la fausse affirmation d'un réchauffement climatique dangereux. L'augmentation de l'oxyde nitreux provient de l'utilisation d'engrais artificiels (manufacturés) remplaçant le guano d'oiseau et de chauve-souris et le fumier humain dans l'agriculture.

    Le scientifique atmosphérique Roy Spencer examine le changement de température à Las Vegas et dans une communauté voisine sans urbanisation. Il montre l'énorme différence de changement dans les températures nocturnes d'été. Cela démontre l'absurdité de prétendre que les augmentations des températures de surface sont dues au gaz carbonique, plutôt qu'à l'urbanisation. Les rapports climatiques de l'ONU et des États-Unis sont construits sur ce simple défaut.

    Judith Curry, et d'autres, évoquent à quel point la science climatique de mauvaise qualité de l'ONU et des États-Unis effraie les enfants qui sont de véritables victimes de la propagande malveillante.

    Tout ce qui précède concerne les torts réels causés à l'humanité par la science gouvernementale et les bureaucraties gouvernementales inférieures et leurs promoteurs dans leurs efforts pompeux pour « sauver l'humanité ».

    Jennifer Marohasy produit des preuves photographiques de l'incompétence des "scientifiques marins" australiens à déclarer que la Grande Barrière de Corail est morte ou mourante.

    * * * * *

    Science Missing in Sinai: Extending his essays on Basic Climate Physics, dans le numéro d'octobre de "The Energy Advocate", écrit le physicien de l'AMO Howard Hayden (les graphiques et les références ne sont pas présentés ici.):

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  106. "Emissions de gaz carbonique

    Pour certaines longueurs d'onde, l'infrarouge parcourt moins d'un mètre avant d'être absorbé par le gaz carbonique à notre concentration actuelle d'environ 400 molécules par million de molécules d'air (ppmv). Pour beaucoup plus de longueurs d'onde, l'IR est arrêté avant d'aller à 10 mètres. En conséquence, même avec seulement 1 % de gaz carbonique en plus, le gaz carbonique serait un puissant absorbeur de gaz à effet de serre. Cependant, nous sommes préoccupés par ce qui se passe lorsque la concentration atmosphérique de gaz carbonique passe de 400 ppmv [parties par million en volume] à 800 ppmv, comme cela pourrait se produire au cours du siècle prochain.

    "Les calculs de l'effet de serre pour les cinq gaz à effet de serre les plus abondants ont été effectués par van Wijngaarden et Happer à partir de plus d'un tiers de million de raies spectrales à haute résolution. Les calculs ne concernent pas seulement les concentrations actuelles de GES, mais des concentrations fractionnaires de chacun allant de zéro (f = 0 dans le graphique ci-contre) jusqu'au double de la concentration actuelle (f = 2). Le graphique montre mes lignes verticales ajoutées un huitième, un quart et la moitié de la concentration actuelle.

    "L'axe vertical est ce qu'on appelle le" forçage radiatif "- la différence entre l'effet de serre et le présent. Notez que le forçage radiatif pour le gaz carbonique à une concentration nulle est négatif, pour être précis –30 W/m2 [watts par mètre carré]. J'ai ajouté plusieurs lignes horizontales représentant l'effet de serre du gaz carbonique avec les chiffres rouges à droite en W/m². Remarquez la montée extrêmement abrupte de la courbe rouge du gaz carbonique, suivie d'une courbe de pente toujours décroissante bien avant la moitié de notre concentration actuelle (f = 0,5). Notez que si la concentration double, l'effet de serre du gaz carbonique passera de 30 W/m2 seulement à 33 W/m². L'effet de serre total est d'environ 159 W/m², donc l'augmentation due au doublement du gaz carbonique serait inférieure à 2 %.

    "Croyez-le ou non, cette augmentation minime de 2 % de l'effet de serre due au doublement du gaz carbonique est la source de millions de déclarations ignorantes sur" la crise climatique ", " la catastrophe climatique ", " la législation climatique ", " le contrôle de la climat' et ainsi de suite.

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  107. "La paille finale :

    «L'admission de l'IPCC dans le sixième rapport d'évaluation (AR6) du groupe de travail I (Bases des sciences physiques) que l'effet de serre G est la différence numérique entre le rayonnement de surface et le rayonnement vers l'espace finira par être sa perte. Ils ont fourni des preuves irréfutables que leurs scénarios représentatifs sont physiquement impossibles.

    « Pour comprendre ce qu'ils ont fait, il faut se pencher sur certaines abréviations et normes. Nous examinerons des scénarios (SSP : Shared Socio-economic Pathways) tels que SSP3-7. 0, où le « 3 » fait référence à un scénario particulier et le 7,0 représente le « forçage radiatif » approximatif en W/m2, d'ici 2080-2100, par rapport à la période 1850-1900. Les hausses de température (réelles et prévues) sont également relatives à la période 1850-1900.

    "La seule source de chaleur pour la terre (en ignorant les très petites quantités de chaleur géothermique) est le rayonnement du soleil, et le seul moyen pour la terre d'évacuer la chaleur est le rayonnement infrarouge. Ainsi, l'IPCC utilise le terme « forçage radiatif » pour inclure tout changement dû au flux solaire, à l'albédo ou à l'effet de serre.

    "Nous allons d'abord examiner SSP3-7.0, un scénario dans lequel le forçage radiatif est de 7,0 W/m² par rapport à 1850-1900, comme illustré à droite. Le graphique montre une barre noire (en bas à gauche) indiquant une hausse de température d'environ 1,1º C depuis la période 1850-1900 et une hausse de température totale prévue de 3,6º C d'ici 2080-2100 pour ce scénario.

    « Maintenant, regardons à nouveau l'équation de contrainte climatique. Rappelons qu'il est dérivé du bilan thermique planétaire (applicable à toutes les planètes), de la loi de rayonnement de Stefan-Boltzmann (avec σ = 5,67 × 10–8 W m–2 K-4) et de la compréhension de l'IPCC sur l'effet de serre.

    À l'équilibre, le rayonnement émis par la surface (la constante de Stefan-Boltzmann multipliée par la température de surface à la puissance quatre) doit être égal à la chaleur rayonnée dans l'espace (c'est-à-dire la chaleur absorbée par le soleil) plus l'absorption IR nette par l'atmosphère (c'est-à-dire la effet de serre) [mots remplaçant l'équation].

    « Le chiffre de 7,0 W/m2 pour ce scénario intègre tous les changements se produisant du côté droit de l'équation 1 [articulé immédiatement ci-dessus]. Par conséquent, si l'IPCC réussit, le changement du côté gauche devrait également être de 7,0 W/m². Cependant, si la température augmente de 3,6 °C, le côté gauche augmente de 20,1 W/m². C'est une énorme inégalité.

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  108. "Pour être juste, l'IPCC ne prétend pas que le scénario IPCC3-7.0 pour la période 2080-2100 est un scénario d'équilibre. Regardons la séquence des événements. Une augmentation du gaz carbonique (et d'autres activités humaines néfastes) provoque une augmentation de l'effet de serre, de sorte que la chaleur émise dans l'espace est inférieure à la chaleur absorbée par le soleil. Cela provoque le réchauffement de la surface. Mais comment la surface peut-elle se réchauffer au point que la planète rayonne désormais plus de chaleur qu'elle n'en absorbe du soleil ? Seuls les « scientifiques du climat » de l'IPCC le savent avec certitude. »

    Bref, l'IPCC voudrait nous faire croire qu'en sciences physiques, 7 deviendra 20 dans 60 ans. Voir http://www.sepp.org/science_papers.cfm

    * * * * *

    Mort par la famine : Grâce au gouvernement précédent renversé par la révolte, croyant aux allégations délirantes de l'ONU sur le réchauffement climatique dû aux engrais, le peuple sri-lankais souffre de véritables pénuries alimentaires. Les professeurs C. A. de Lange, J. D. Ferguson, W. Happer et W. A. ​​van Wijngaarden abordent l'absurdité des affirmations de l'ONU selon lesquelles le protoxyde d'azote (N2O) des engrais modernes provoque un réchauffement dangereux. Le résumé de leur article se lit comme suit :

    On s'attend à ce que des concentrations plus élevées d'oxyde nitreux (N2O) atmosphérique réchauffent légèrement la surface de la Terre en raison de l'augmentation du forçage radiatif. Le forçage radiatif est la différence entre le flux net de rayonnement thermique ascendant de la Terre à travers une atmosphère transparente et le rayonnement à travers une atmosphère par ailleurs identique avec des gaz à effet de serre. Le forçage radiatif, normalement mesuré en W m−2, dépend de la latitude, de la longitude et de l'altitude, mais il est souvent cité pour la tropopause, à environ 11 km d'altitude pour les latitudes tempérées, ou pour le sommet de l'atmosphère à environ 90 km. Pour les concentrations actuelles de gaz à effet de serre, le forçage radiatif par molécule de N2O ajoutée est environ 230 fois plus important que le forçage par molécule de gaz carbonique ajoutée. Cela est dû à la forte saturation de la bande d'absorption du gaz à effet de serre relativement abondant, le gaz carbonique, par rapport à la saturation beaucoup plus faible des bandes d'absorption du gaz à effet de serre trace N2O. Mais le taux d'augmentation des molécules de gaz carbonique, d'environ 2,5 ppm/an (ppm = partie par million par mole), est environ 3000 fois supérieur au taux d'augmentation des molécules de N2O, qui s'est maintenu à environ 0,00085 ppm/an depuis la année 1985. Ainsi, la contribution du protoxyde d'azote à l'augmentation annuelle du forçage est de 230/3000 soit environ 1/13 de celle du gaz carbonique. Si les principaux gaz à effet de serre, gaz carbonique, CH4 et N2O ont contribué pour environ 0,1 C/décennie au réchauffement observé au cours des dernières décennies, cela correspondrait à environ 0,00064 K par an ou 0,064 K par siècle de réchauffement du N2O. Les propositions visant à imposer des restrictions sévères aux émissions d'oxyde nitreux en raison des craintes de réchauffement ne sont pas justifiées par ces faits. Des restrictions causeraient de graves dommages, par exemple en mettant en péril les approvisionnements alimentaires mondiaux.

    Après avoir traversé une analyse détaillée montrant que tout réchauffement dû à un doublement de l'oxyde nitreux est insignifiant, dans leurs conclusions, les professeurs écrivent (références omises ici):

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  109. « Étant donné que peu de citoyens se rendent compte que les effets des émissions totales de N2O sur le climat sont négligeables, de nombreux gouvernements sont sous pression pour « faire quelque chose » au sujet des contributions agricoles de N2O. Les mandats gouvernementaux idéologiques sur l'agriculture ont généralement conduit au désastre. Le monde vient d'assister à l'effondrement du secteur agricole autrefois abondant du Sri Lanka à la suite des restrictions gouvernementales sur les engrais minéraux. Un exemple antérieur est la collectivisation de l'agriculture en Union soviétique, lorsque le koulak (le mot péjoratif bolchevique "poing" pour un agriculteur prospère) a été "éliminé en tant que classe". En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim. Les souvenirs populaires du Golodomor (meurtre de la faim) ont joué un rôle non négligeable dans le déclenchement de la guerre actuelle en Ukraine.

    « Malgré cette histoire lamentable, divers gouvernements ont proposé des réglementations contraignantes sur l'agriculture, l'élevage et l'élevage laitier afin de réduire les émissions de N2O. La réglementation va

    n'ont pas d'effet perceptible sur le climat, mais certains d'entre eux nuiront considérablement aux

    productivité et disponibilités alimentaires mondiales. Comme nous l'avons souligné dans la section 6, l'un des principaux

    facteurs de l'abondance sans précédent de nourriture dans le monde ces dernières années a été l'utilisation

    d'engrais minéraux azotés. Il n'est pas possible de maintenir une agriculture hautement productive

    sans engrais azoté.

    « Bien que les émissions agricoles de N2O ne constituent pas une menace pour le climat, elles peuvent conduire à l'eutrophisation des cours d'eau. Ainsi, les engrais azotés doivent être utilisés intelligemment pour maximiser l'efficacité de l'utilisation de l'azote par les cultures. Pour limiter les coûts de production, les grands agriculteurs n'utilisent déjà pas plus d'engrais azotés que nécessaire. Les agriculteurs sont bien mieux qualifiés pour porter ce jugement que les idéologues bureaucratiques.

    « Les mandats visant à réduire le nombre d'animaux et l'utilisation d'engrais réduiront les rendements agricoles. Pour continuer à nourrir la population mondiale croissante sans engrais minéraux et naturels, les zones agricoles devraient augmenter et empiéter sur les habitats indigènes, qui auraient pu rester intacts avec une utilisation rationnelle des engrais. Le résultat serait plus de contraintes environnementales, pas moins.

    Voir les liens sous Challenging the Orthodoxy et https://www.brookings.edu/podcast-episode/why-is-sri-lanka-in-crisis-and-what-comes-next/

    * * * * *

    It Stays in Vegas : En poursuivant ses recherches, le spécialiste de l'atmosphère Roy Spencer écrit :

    "Maintenant que je suis de retour à la recherche du record de température de l'air de surface et de l'effet Urban Heat Island (UHI), j'ai décidé de revoir les températures à Las Vegas, Nevada. Cela fait plus de 8 ans que j'ai posté que Las Vegas était l'affiche de l'effet UHI et j'ai montré quelques calculs de tendance au réchauffement à partir des données de température horaires à l'aéroport international McCarren (maintenant l'aéroport international Harry Reid… sans blague) qui suggéraient qu'une grande partie de le réchauffement y est dû à l'îlot de chaleur urbain, et non au changement climatique mondial.

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  110. En discutant de ses recherches, Spencer déclare [Graphique des résultats non montré ici] :

    «J'ai calculé les tendances sur 50 ans pour Las Vegas et pour une station rurale du Nevada, Winnemucca, à partir de données 24 heures sur 24, ce qui nous permet de voir comment les tendances changent avec l'heure de la journée. Je l'ai fait pendant la moitié la plus chaude de l'année, d'avril à septembre. Le graphique suivant montre une caractéristique remarquable… le fort réchauffement à Las Vegas s'est produit entièrement la nuit. Winnemucca montre le signal climatique de fond, avec des tendances de réchauffement assez uniformes (et faibles) tout au long de la journée. Mais les surfaces imperméables de Vegas - bâtiments, béton, asphalte - absorbent plus de lumière solaire pendant la journée que le désert environnant, puis la nuit libèrent cette chaleur dans l'air.

    "Une partie de la raison pour laquelle cela se produit est que l'albédo de la ville est inférieur à celui du désert environnant (merci à Anthony Watts de me l'avoir rappelé). Mais au moins aussi important est le fait que le béton a une conductivité thermique 9 fois supérieure à celle du sable, donc lorsqu'il est chauffé par le soleil, beaucoup plus d'énergie est stockée dans la chaussée. Le sable serait devenu extrêmement chaud, mais juste à la surface, et l'énergie supplémentaire rayonnerait (infrarouge) et entraînerait une convection atmosphérique (sèche) plus forte qui évacuerait cette chaleur pendant la journée.

    « Pourquoi une telle chose n'apparaîtrait-elle pas aussi bien pendant la journée ? Parce que le mélange turbulent entraîné par un fort taux de déchéance super-adiabatique près de la surface propage la chaleur dans l'atmosphère et de l'air plus frais descend pour la remplacer, refroidissant la ville pendant la journée. Mais la nuit, une inversion de température se forme et les niveaux les plus bas de l'atmosphère n'échangent plus d'énergie par convection avec les altitudes plus élevées. En effet, la forte inversion nocturne qui se produit naturellement dans le désert s'est affaiblie au-dessus de la ville car la chaussée libère l'énergie supplémentaire qu'elle a stockée pendant la journée.

    "Le réchauffement climatique de fond réel au cours des 50 dernières années à Las Vegas (quelle qu'en soit la cause), basé sur le graphique ci-dessus, semble être d'environ 0,25 deg. C/décennie. Cela fait également partie de la raison pour laquelle il est important de surveiller les tendances de la température mondiale avec des mesures satellitaires de la troposphère profonde - cela fournit une mesure plus robuste qui n'est pas aussi influencée par les effets de surface, tels que l'îlot de chaleur urbain, et évite la confusion des La chaleur de Las Vegas avec la « crise climatique ».

    Les recherches de Spencer sur l'UHI démontrent pourquoi l'accent mis par l'ONU et les États-Unis sur les données de température de surface tout en ignorant les données atmosphériques aboutit à des conclusions dénuées de sens. Voir le lien sous Contester l'orthodoxie.

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    Real Harm : Sur son blog, Climate Etc., Judith Curry cite des études universitaires montrant les effets psychologiques du changement climatique sur les enfants et les jeunes adultes :

    … y compris des niveaux élevés d'anxiété, de dépression, de trouble de stress post-traumatique, une incidence accrue de suicide, de toxicomanie, de perturbations sociales, y compris une violence accrue et un sentiment de perte pénible.

    Les blessures psychologiques des enfants associées au changement climatique sont mises en évidence par Our Children’s Trust qui « représente et soutient les jeunes pour garantir leurs droits légaux à un climat sûr ». Ce groupe a parrainé le procès Juliana contre les États-Unis, ainsi que des procès dans pratiquement tous les États américains et dans le monde, y compris aux Pays-Bas et en Colombie. L'une des principales justifications de ces plaintes/poursuites est le préjudice psychologique infligé aux jeunes plaignants. Voici un exemple tiré de la plainte de Juliana :

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  111. « Les accusés ont causé des dommages psychologiques et émotionnels à Kelsey en raison de sa peur du changement climatique, de sa connaissance des impacts qui se produiront au cours de sa vie et de sa connaissance que les accusés continuent de causer des dommages qui menacent sa vie et son bien-être. . En raison des actes et des omissions des défendeurs, Kelsey pense qu'elle ne pourra pas continuer à faire toutes les choses décrites dans cette plainte pour sa vie, sa santé et son plaisir, et qu'elle ne pourra pas un jour partager ces expériences avec ses enfants.

    «Ce n'est en aucun cas la pire déclaration / alarmante des jeunes plaignants que j'ai vue, mais c'est la première que j'ai repérée lors d'une recherche sur la plainte de Juliana.

    "Lise Van Susteren, psychiatre clinicienne, a soumis un rapport d'expert au nom de Juliana et al. De son introduction:

    « ‘La science et la littérature montrent qu’une vaste gamme d’impacts sur la santé, y compris les impacts sur la santé mentale, du changement climatique ont déjà un impact, et devraient avoir un impact de plus en plus néfaste, sur notre population la plus vulnérable, les enfants. Le changement climatique nuit déjà psychologiquement aux enfants, y compris ces jeunes demandeurs, et cette souffrance augmente à mesure que le changement climatique s'aggrave et que le gouvernement fédéral continue d'exacerber les dangers du changement climatique et n'agit pas pour arrêter la crise climatique. Ce rapport se concentre sur les préjudices psychologiques actuels et prévus auxquels sont confrontés les enfants en raison du changement climatique, et les conditions menaçantes qui menacent de nuire à l'avenir, si aucune mesure significative n'est prise par le gouvernement fédéral pour lutter contre le changement climatique. Je discute à la fois des dommages climatiques aigus et chroniques, car le changement de saisons a des effets à court et à long terme sur la santé mentale. Je discute de la façon dont ces dommages sont pires parce que le gouvernement fédéral, y compris ces accusés, causent des dommages et ne répondent pas correctement aux menaces posées par le changement climatique. J'explique également pourquoi les enfants, y compris certains des plaignants dans cette affaire, subissent des dommages disproportionnés et ce que je prévois être des effets sur la santé mentale tout au long de la vie, en raison du changement climatique et du rôle du gouvernement dans sa cause.

    "J'ai personnellement reçu des e-mails d'enfants et de jeunes adultes souffrant de tels effets, qui figuraient dans des articles de blog précédents. J'ai reçu de nombreux e-mails supplémentaires d'adolescents et de jeunes adultes qui sont très sincères et qui communiquent avec moi parce qu'ils saisissent pour des raisons de ne pas être aussi déprimés par ce problème. Ces blessures psychologiques, du moins chez certains individus, me semblent réelles.

    "Il y a peu de fondement dans les évaluations de l'IPCC pour un niveau d'alarme qui induirait de tels effets psychologiques - même dans le contexte des nombreuses hypothèses erronées de l'IPCC et des appels de jugement douteux qui ont été décrits dans mon précédent article de blog. La crise climatique n'est pas ce qu'elle est. utilisé pour être. La rhétorique apocalyptique et trompeuse dans les médias et le discours politique sur le changement climatique est sans doute l'impulsion motrice de ces effets néfastes sur la santé psychologique.

    Curry conclut son essai :

    « Il est difficile d'éviter de conclure que les enfants sont utilisés comme outils dans l'agenda politique des adultes concernant le changement climatique. Cet univers d'outils [utilisant les enfants comme outil ?] a des effets néfastes sur la santé mentale des enfants et des jeunes adultes.

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  112. «Je trouve que le lavage de cerveau de la maternelle à la 12e année par les éducateurs de l'établissement est particulièrement répréhensible. Ne serait-il pas préférable que les enfants apprennent la géologie et la météorologie, les influences des médias sur la politique et la société, et la réflexion critique sur les grands problèmes de société ? Ne serait-il pas formidable de motiver les étudiants à vouloir contribuer à résoudre les problèmes de la société et de leur donner les outils académiques pour profiter des opportunités ?

    «Mais une question plus fondamentale est de savoir comment les enfants sont élevés, de sorte qu'ils manquent de résilience et de robustesse.

    « Et enfin, il y a des implications politiques à court et à long terme. Quelqu'un pense-t-il que jeter de la soupe aux tomates sur les peintures des musées aide la « cause » ? À plus long terme, toute cette propagande et ce lavage de cerveau se retourneront contre lui lorsqu'il deviendra évident, dans une décennie ou deux, qu'il n'y a pas de catastrophe climatique et que les jeunes adultes se rebellent contre "l'establishment".

    Curry laisse l'IPCC s'en aller trop légèrement. L'IPCC de l'ONU et les auteurs des évaluations nationales du climat des États-Unis doivent être conscients du mal qu'ils causent. Leur "science" n'est pas une science physique utilisant l'atmosphère réelle de la Terre. Leur fausse affirmation selon laquelle il s'agit d'une science physique entraîne un préjudice réel pour les enfants. L'utilisation par l'ONU de Greta Thunberg comme porte-parole d'une science que l'ONU ne comprend pas le monde physique n'était qu'un exemple dégoûtant.

    En fin de compte, compte tenu de son inaptitude à répondre à l'invasion russe de l'Ukraine et de sa déformation d'une science physique importante, on doit se demander si l'ONU a une valeur pour l'humanité ? Voir les liens sous Mieux communiquer avec le public – Utiliser la propagande sur les enfants.

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    Dead Corals Reborn : À l'aide de preuves photographiques, Jennifer Marohasy montre que le grand récif corallien n'est pas mort ou mourant dans deux films sur le récif contestant les fausses affirmations de l'Institut australien des sciences marines (AIMS). Une projection de "Bleached Colourful" a lieu à Perth, suivie du film existant "Finding Porites". Comme l'écrit Marohasy :

    «Alors que le montant des fonds publics pour la recherche sur la Grande Barrière de Corail a augmenté de façon exponentielle, la qualité de cette recherche a littéralement disparu. Maintenant, une grande partie de la recherche sur l'état de la Grande Barrière de Corail, et en particulier "la science" qui fait les gros titres des médias, se fait par les hublots des avions.

    Voir les liens sous Défier l'orthodoxie et Changer les mers.

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    La semaine dernière, TWTW a discuté du mémoire «Ami de la Cour» déposé par les professeurs Happer et Lindzen contre la conclusion de mise en danger non scientifique de l'EPA. La semaine prochaine, il discutera de la requête auprès de la Cour d'appel du circuit des États-Unis dans le district de Columbia.

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    Chiffre de la semaine : 3 nanogrammes par litre (ng/L). Le procureur général de Californie a déposé une plainte contre 3M et DuPont pour dissimulation :

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  113. "... les risques pour la santé associés aux substances per- et polyfluoroalkyles (PFAS) du public et ont continué à les produire pour un usage public."

    Bien que le PFAS soit un terme générique pour des milliers de composés, le procès s'applique spécifiquement à sept détectés à des niveaux élevés dans les eaux californiennes : acide perfluorooctanoïque, acide perfluorooctanesulfonique (PFOS), acide perfluorobutanesulfonique, acide perfluorohexanesulfonique, acide perfluorohexanoïque, acide perfluoroheptanoïque et acide perfluorononanoïque.

    Le nom de "produits chimiques éternels" dérive de la résilience et de la résistance des composés à la dégradation dans la nature, et selon les données du State Water Resources Control Board de Californie, ils sont détectables dans 146 systèmes d'eau qui fournissent de l'eau à environ 16 millions d'habitants de l'État. ”

    La notification de la Commission de contrôle des ressources en eau de l'État de Californie indique :

    "Selon la règle de surveillance des contaminants non réglementés 2022-2026 (UCMR 5), les États-Unis

    "La méthode EPA 533 sera utilisée pour analyser le PFHxS dans les échantillons d'eau potable et a un

    niveau de déclaration minimal de 3 ng/L. » « 3 nanogrammes par litre (ng/L) »

    "Paramètre toxicologique : Diminution de l'hormone thyroïdienne totale chez les rats mâles", [Boldface ajouté]

    Par définition, un nanogramme est un milliardième de gramme ou environ un billionième de livre. L'un des produits chimiques les plus toxiques connus de l'homme est l'agent neurotoxique VX, qui est classé par l'ONU comme une arme de destruction massive.

    "Le CDC l'appelle" le plus puissant de tous les agents neurotoxiques ". Il tue rapidement, même après une exposition à des quantités infinitésimales. La mort par VX, qui est un liquide clair semblable à de l'huile de moteur à température ambiante, peut survenir après avoir respiré 25 à 30 milligrammes, ou seulement 10 milligrammes s'il entre en contact avec la peau.

    Il y a 1 000 milligrammes dans un gramme (milli signifiant un millième). Il y a 1 000 000 000 de nanogrammes dans un gramme. Un milligramme a un million (1 000 000) de nanogrammes. Selon le California Water Board, les produits chimiques pour toujours sont un million de fois plus mortels que le VX. Le bureau de l'AG et les régulateurs californiens doivent être infectés par l'innumérisme de masse (analphabétisme numérique).

    See links under California Dreaming and https://www.inverse.com/article/37072-what-is-vx-poison-nerve-agent#:~:text=Death%20by%20VX%2C%20which%20is,into%20contact%20with%20the%20skin.

    https://wattsupwiththat.com/2022/11/14/weekly-climate-and-energy-news-roundup-528/

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