- ENTREE de SECOURS -



samedi 26 novembre 2022

Ariane Bilheran - Corruption philosophique et psychologique au cours de la crise Covid

 

(23:30 : (...) "Les virus ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire" (...) 

Effectivement une nano-poussière apporte sa structure à quelque chose (Nous ne sommes que poussières). C'est pourquoi il y a autant de virus dans une cuillère d'eau de mer que d'habitants en Europe.

57 commentaires:

  1. Corruption philosophique et psychologique au cours de la crise Covid


    by Jean-Dominique Michel
    25 novembre 2022


    C’est une nouvelle présentation exceptionnelle que nous avons le plaisir de partager avec vous aujourd’hui. Dans l’insensé de ce qui nous arrive depuis trois ans, deux problèmes majeurs auront en effet été d’une part la corruption du langage et de la logique, et de l’autre le manque collectif de concepts et d’un vocabulaire suffisamment précis […]

    C’est une nouvelle présentation exceptionnelle que nous avons le plaisir de partager avec vous aujourd’hui. Dans l’insensé de ce qui nous arrive depuis trois ans, deux problèmes majeurs auront en effet été d’une part la corruption du langage et de la logique, et de l’autre le manque collectif de concepts et d’un vocabulaire suffisamment précis pour faire cas des phénomènes.
    Que l’on pense par exemple à l’indignation de certains politiciens face à l’usage par des esprits critiques des mots « dictature » ou « tyrannie » sanitaires…

    Pourtant, la dictature est bien depuis la Rome antique cette suspension (normalement temporaire) des droits et libertés habituelles. Un état d’urgence ou d’exception qui court-circuite les processus habituels de la démocratie et de l’état de droit est bien techniquement un régime de dictature.

    Et piloter la soi-disant réponse à un phénomène (présenté de manière fallacieuse comme les présentations précédentes l’ont montré) depuis un « Conseil défense » militaire, protégé par un secret n’ayant aucune raison valable d’exister, relève bel et bien de la tyrannie. Là encore au sens précis du terme, qui décrit la captation du pouvoir exécutif par une personne ou un petit groupe mettant en échec le fonctionnement institutionnel normal.

    Toutes ces réalités -déjà bien problématiques-, il fallait la connaissance et l’expertise d’une personne comme Ariane Bilheran pour nous éclairer à leur sujet.

    Normalienne, philosophe (avec une spécialisation en philosophie politique et morale), Ariane est de surcroît docteur en psychopathologie. Ses thématiques de recherche dans cette discipline ont couvert (en autres) la psychopathologie de l’autorité et de la paranoïa ainsi que les phénomènes de manipulation et d’emprise, à petite comme à large échelle.

    C’est dire si elle possédait en amont de ce qui nous est arrivé toutes les clés de lecture et de compréhension nécessaires à porter une analyse précise et pertinente.

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  2. Elle l’a fait en publiant plusieurs séries d’articles (dont Chroniques du totalitarisme et Psychopathologie du totalitarisme) et différents ouvrages qui feront date (dont bien sûr Le débat interdit, rédigé en tandem avec Vincent Pavan) ainsi qu’en donnant de nombreuses interviews et conférences.

    Car le problème ne s’arrête pas à une question de corruption du régime politique de la république. Nous sommes en effet en outre embarqués dans une dérive de nature totalitaire. Le totalitarisme constitue quant à lui un système, délirant (c’est-à-dire ayant perdu le sens de la réalité) et maltraitant, de nature paranoïaque, visant à prendre le pouvoir sur la société et la population de manière absolue.

    L’obsession d’imposer des règles arbitraires et abusives à la population, la marche forcée vers un gouvernement mondial que personne ne souhaite avec des moyens de contrôle illimités, avec la mise en place annoncée d’une identité et d’une monnaie numériques permettant l’imposition d’un système de crédit social à la chinoise, ne doit nous laisser aucune illusion : il ne s’agit d’un aimable projet pour améliorer nos conditions de vie en protégeant la planète !

    Cette réalité intrinsèquement difficile à penser, nous avons besoin du bon vocabulaire, des bons concepts et des bonnes compréhensions pour les penser. C’est cela qu’Ariane Bilheran nous offre sur un plateau avec des contributions d’une limpidité et d’une lucidité qui forcent l’admiration, mais sont surtout d’une urgente utilité publique !

    Le totalitarisme sous l’angle de la philosophie morale et politique et de la psychopathologie
    par Ariane Bilheran, Lisbonne & Marseille, septembre 2022
    Résumé réalisé par Tatiana Tislenkoff

    La dérive totalitaire – généralités
    Il ne peut y avoir de dérive totalitaire sans endoctrinement des masses.

    L’histoire racontée aux peuples en mars 2020 fut la suivante : « Un ennemi visible ou invisible nous persécute. Nous devons entrer en guerre contre cet ennemi ». Cette fausse justification a permis l’utilisation du harcèlement de la population. Cela s’appelle un délire de persécution qui a pour effet de traumatiser les individus, de les dissocier et de les faire entrer dans une psychose de masse qui les conduit à des comportements nuisibles, haineux et dangereux qu’ils n’auraient pas commis en d’autres circonstances. Dans le système totalitaire, le contenu du délire peut changer (l’ennemi désigné peut changer), mais sa structure reste identique.

    Pour obtenir un endoctrinement des masses, il faut utiliser un harcèlement constant afin d’entretenir un état constant de peur chez l’individu.

    Les pauses apparentes dans le harcèlement font partie de la manipulation, tout comme le bourreau qui propose un verre d’eau et prononce une phrase amicale avant de recommencer.

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  3. La dérive totalitaire – les techniques utilisées dans la « crise covid »
    Le sectarisme

    Les méthodes employées sur les populations sont sectaires. Exemple : « Un virus extrêmement dangereux veut nous tuer ! »

    Les séquestrations

    Atteintes à la liberté de mouvement/à l’égalité devant la loi/aux droits inaliénables naturels en général.

    L’exclusion et la maltraitance généralisée

    Refus de soins, transgression de la vie intime, désorganisation des repaires spatiaux et temporels.

    En particulier, les citoyens à l’esprit critique sont considérés comme mauvais. Certains discours politiques suscitant même des appels au meurtre à leur encontre jusqu’à rétablir les chambres à gaz.

    Le conflit de loyauté

    Qui consiste à obliger les individus à faire de faux choix (choix impossible). Exemple : entre le droit au travail et le droit à l’intégrité corporelle.

    La suggestion hypnotique

    Matraquage d’informations mortifères par les médias.

    L’intimidation, la menace, la censure

    Toutes formes de questionnement, d’esprit critique et donc de désaccord rencontrent calomnies, censures et répressions. Nul n’a le droit de réfuter la narration dogmatique.

    Les chocs traumatiques

    Par le moyen de discours paradoxaux (dire tout et son contraire) destinés à sidérer chaque personne.

    Les anomalies généralisées et faits de corruption.

    Les professionnels non habilités à pratiquer des injections se sont vus accorder cette possibilité moyennant des tarifications juteuses tout en interdisant les professionnels formés à ne plus pouvoir exercer leur métier dans les règles de l’art.

    Le système totalitaire et l’idéologie

    Une idéologie est une croyance délirante qui n’a plus de lien avec la réalité logique ni avec la réalité de l’expérience et qui a besoin de se renouveler sans cesse dans son contenu pour maintenir son pouvoir illégitime.

    Il s’agit de maintenir les populations dans une croyance anxieuse qui excite et inquiète les esprits.

    Un système totalitaire ne peut exister sans idéologie(s)
    Le support de l’idéologie est l’endoctrinement des masses (condition sine qua non).
    L’endoctrinement des masses est une corruption morale, psychique, intellectuelle et émotionnelle.

    L’idéologie ne peut fonctionner sans la participation/l’obéissance de gens de bien dans le système corrompu.

    La corruption – la soumission en toute bonne foi -l’endoctrinement
    La corruption : rappel sémantique

    Le mot corruption vient du latin corrumpere (rompre avec, briser totalement). Pour Cicéron, la corruption est une rupture de ce qui lie les êtres entre eux. Avec la corruption, c’est un gouffre qui s’instaure entre l’autre et moi, entre l’État et son peuple, C’est un gouffre qui divise les familles, les amis, les professions et tout simplement l’humanité.

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  4. De tout temps le pouvoir est lié à la corruption (« Antigone » d’Anouilh)

    Corruption par l’argent individuelle et institutionnelle
    Corruption en haut lieu (laboratoires/institutions/dirigeants) et au sein de certains corps de métiers (professionnels de la santé)
    Des hôpitaux ont reçu des primes pour déclarer des « cas » covid.
    Les faux experts sur les plateaux TV
    La soumission en toute bonne foi
    Des gens de bien se soumettent sans le voir à un système corrompu en toute bonne foi.

    On assiste à une obéissance aveugle, une naïveté, une passivité, une crédulité et une honnêteté sans bornes de tous les acteurs subalternes, qui ne reçoivent pas d’argent du système totalitaire mais qui sont prêts à sacrifier père, mère et enfants au nom de l’idéologie dans laquelle ils sont endoctrinés. En cela consiste la banalité du mal que décrit Hannah Arendt dans « Eichmann à Jérusalem en 1963).

    Eichmann n’était nullement un personnage corrompu mais un fonctionnaire zélé, soumis à l’autorité et qui ne cherchait aucun bénéfice personnel immédiat.
    Les peuples frondeurs où règne une corruption endémique, avec un respect tout relatif pour la loi, où l’on pratique les dessous de table et les petits arrangements sont des peuples où l’air devient plus respirable lorsqu’il y a dérive totalitaire. Ainsi, les peuples qui ont une culture de la corruption résistent beaucoup mieux à la corruption totalitaire (exemple des pays d’Amérique du Sud).

    Au contraire, il était impossible sous le nazisme de graisser la patte d’un fonctionnaire allemand, pays où le respect de la loi se place au-dessus de tout même lorsque cette dernière est devenue déviante.

    De la même manière pour le covid, le patron de restaurant qui s’applique avec zèle de contrôler le « pass sanitaire » n’est nullement corrompu. Au contraire, son intérêt financier aurait consisté à ne pas appliquer la loi.

    Dans le même ordre d’idée, les millions de militants communistes, qui dans le monde soutenaient le pouvoir stalinien n’étaient pas des corrompus mais des idéalistes parfaitement désintéressés.

    Le pouvoir totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu au sommet de la pyramide qui nomme ses experts, ses faux intellectuels et ses dirigeants corrompus et une masse d’individus crédules et obéissants, qui au contraire ne sont pas assez corrompus pour faire valoir leur intérêt personnel au détriment du sacrifice idéologique invoqué par le supposé bien commun.

    L’endoctrinement

    La fraude, le mensonge, la ruse et l’escroquerie sont les leviers de l’endoctrinement des masses.

    Le délire de la psychose de masse qui ne correspond pas à la réalité de l’expérience correspond, sur le plan de la psychologie, au délire paranoïaque.
    Ce délire s’enracine dans des premiers principes qui sont faux ou erronés.
    Il en résulte un discours d’apparence rationnel mais dont les hypothèses de départ prises pour des vérités sont des erreurs logiques.
    Exemple avec le délire de l’idéologie nazie :

    – Les juifs sont des parasites (premier principe majeur) ;
    – Les parasites sont nuisibles ;
    – par conséquent les juifs sont nuisibles.

    Or la majeure du raisonnement est fausse. Les juifs ne sont pas des parasites.

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  5. Si on admet la véracité de cette majeure, le délire paranoïaque commence et entraîne les masses dans des passages à l’acte violents.

    Les conditions de la raison ne sont pas aléatoires. Il existe des règles de langage, de langue et de logique. La recherche de la vérité doit répondre à des principes rigoureux (« Le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan).
    La fraude mathématique

    Dans la narration covid, tout a commencé par un dévoiement des mathématiques. La fraude mathématique entrainant des décisions politiques désastreuses sur les peuples.

    La fraude langagière

    La fraude langagière dans les médias de masse. Le langage totalitaire utilise des euphémismes et des litotes. Le but étant de rendre acceptable une moralité condamnable ou désagréable. Si après tout isoler c’est protéger ; personne ne se formalisera d’abandonner les autres à leur sort ou de les envoyer dans des camps de quarantaine si c’est pour le bien de la personne.

    La langue totalitaire devient un outil de persécution de certains citoyens : Ils ont un mauvais comportement, ils sont irresponsables…

    Dans le même temps, des mots comme soigner, diagnostiquer, guérir, remède, traitements ont disparu.

    D’autres mots comme écouvillon, traçage ont revêtu un sens inattendu.

    Des expressions dénuées de sens sont utilisées : le porteur sain, le malade asymptomatique.

    On assiste à un ensauvagement des mots, comme le souligne Klemperer à propos de la langue du IIIème Reich.
    Des amalgames entre porteurs du virus et testés positif ou négatif, entre malades contagieux et assassins….
    La criminalisation de tout individu qui ne fait pas confiance aveuglément au pouvoir et de tout individu comme potentiellement malade justifie et justifiera de fait une répression sur la base de sanctions exemplaires, de camps d’internement…
    La langue comme outil de sidération en utilisant des paradoxes (France Info le 10.03.21 a titré « confiner sans enfermer ».
    Les mots sont surinvestis (discours de Macron du 31.03.21 où il appelle les citoyens à « se mobiliser tout en restant chez eux »). Or mobiliser vient du latin « movere » qui signifie se mouvoir. Il fallait donc « Se mouvoir dans l’immobilité ».
    L’introduction de néologismes : covidiste, complotiste….
    Les mots savants méconnus du grand public : charge virale, variant, asymptomatique, agent infectieux, cellule hôte….
    La langue n’est plus un outil de relations entre individus mais un outil de séparation et de confusion.
    Le vocabulaire devient volontairement mécaniste et hygiéniste.
    Et par effet de langage, chacun devient médecin de son voisin, épidémiologiste, contrôleur, diagnostiqueur, policier – la santé c’est le contrôle !
    La langue reconstruite par l’idéologie permet d’accomplir la dimension organique et mécanique dans la langue pour mécaniser le vivant (Klemperer). L’objectif est de déshumaniser l’être humain et à humaniser ce qui ne l’est pas.
    « En cas d’urgence caractérisée par l’apparition d’un variant susceptible de présenter un risque de transmissibilité accru ou d’échappement immunitaire, le mécanisme de frein d’urgence sera activé et le pays sera alors classé en liste rouge avec des mesures de rétorsion sur la population » (site du gouvernement français de l’Intérieur sur les déplacements internationaux).

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  6. La répétition de mantra : protégez-vous, protégez les autres ; protégez les jeunes en confinant les vieux ; quand on aime ses proches on ne s’approche pas ; la responsabilité c’est la confiance nous a dit Macron le 31.03.21.
    Le viol politique de la langue est sans doute la fraude la plus dangereuse car la langue trafiquée perd tout une gamme d’émotions dans le but de manipuler, culpabiliser et terroriser.

    Les mots qui ne veulent plus rien dire conduisent aux pires tragédies de l’Histoire. Staline avait appelé la Constitution de 1936 la Constitution la plus démocratique du monde tout en procédant aux rafles arbitraires et aux liquidations sauvages de ses généraux.

    La fraude épistémologique

    L’épistémologie consiste pour la philosophie à étudier les conditions d’exercice de la science.

    Les premiers principes ayant entraînés les décisions politiques sur les confinements et autres mesures supprimant nos droits fondamentaux sont des mensonges qui subvertissent la science et trahissent la logique en instrumentalisant les mathématiques.
    La science n’est plus un outil de discernement et de recherche mais devient un instrument politique de contrôle au fonctionnement inquisitorial.
    La science n’est plus le lieu du doute et du débat mais le lieu de la certitude idéologique et du dogme religieux. D’ordinaire la science avance par des hypothèses/paradigmes qui évoluent et que nous appelons des révolutions scientifiques. Cela démontre notre impuissance dans la complexité du monde qui nous entoure.
    Le scientisme, quant à lui, se débarrasse de la complexité et proclame une vérité qui est un dogme et évacue le débat de la controverse.

    La confusion entre la matière morte et la matière vivante. Appliquer des mathématiques au vivant est une fraude. On a oublié dans l’ensemble de l’analyse le paramètre du vivant. Cela conduit logiquement à traiter les êtres vivants comme des matières mortes. Cette imposture intellectuelle est connue dans la philosophie depuis l’Antiquité.
    La confusion entre les sciences opératives et les sciences spéculatives. Nous devons cette distinction au philosophe Boèce au Vème siècle ap. J-C. En effet la médecine opère sur le réel, elle interagit avec le patient et la réalité de son expérience. La médecine ne fonctionne pas comme les sciences spéculatives, qui elles, restent dans le pur concept comme les mathématiques ou la philosophie.
    La fraude a consisté à rester dans le pur concept pour parler de maladie et de santé. Plus généralement on ne peut pas traiter l’humain selon des sciences dures. Ce réductionnisme est une imposture.

    Appuyer la science spéculative au détriment de la science opérative a tout simplement permis de soumettre le politique à la science ou la science à la politique.

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  7. Confondre la médecine avec une science spéculative a permis aussi de s’exonérer de toute boucle rétroactive avec l’expérience, avec les faits.

    Le philosophe italien Giorgio Agamben a rappelé que le dévoiement de la pratique médicale constitue le principe par excellence du totalitarisme.

    Les régimes totalitaires utilisent toujours le scientisme et en particulier la médecine qui permet un contrôle sur les corps pour assoir une pseudo légitimité à leur existence et ils exigent une sorte de ferveur religieuse envers ce scientisme.

    En résumé, il est impossible d’appliquer des concepts scientifiques issus des sciences dures, qui sont des sciences de la matière morte, à l’expérience politique, morale et spirituelle humaine. La démarche scientifique portée au-delà des limites qui sont les siennes est alors utilisée pour tenter de justifier des démarches qui ne sont en réalité ni scientifiques, ni humaines.
    Ces fraudes réductionnistes en cascade ont conduit au réductionnisme de l’individu à un état viral, une unité mathématique, un cas positif, un cas négatif, à un code barre. La définition de la santé s’est insidieusement transformée en « absence de maladie potentielle » ce qui réduit le corps humain à une nature inerte pure qui devrait se défendre contre des virus externes qui eux seraient impurs. Les virus ne sont pas des menaces pour l’être humain dans la mesure où ils servent à renforcer les anticorps.
    Le philosophe G. Canguilhem proposait une tout autre définition de la santé, qui, si elle avait été suivie aurait changé l’orientation politique qui a été prise.

    « La santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. Vivre, pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher ».

    La maladie n’est pas un ennemi à abattre en tant que guerre mais un déséquilibre interne qu’il convient de comprendre pour pouvoir œuvrer à rétablir l’équilibre.

    La fraude politique et juridique

    La philosophie juridique réfléchit aux conditions du pouvoir et du droit. Dans la crise covid, la fraude politique et juridique a très bien été mise en lumière par le philosophe italien G. Agamben et elle consiste dans la problématique suivante : il a fallu légitimer l’état d’exception.

    L’État nazi qu’Hitler promulgua le 28.02.1933 par un décret pour la protection du peuple et de l’État, suspendait les articles de la Constitution de Weimar relatif aux libertés personnelles. Le décret ne fut jamais révoqué, si bien que tout le IIIème Reich peut être considéré d’un point de vue juridique comme un état d’exception qui a duré 12 ans.

    Citation d’Agamben dans « État d’exception » :

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  8. « Le totalitarisme peut être défini en ce sens comme l’instauration, par l’état d’exception, d’une guerre civile légale qui permet l’élimination physique, non seulement des adversaires politiques, mais de catégories entières de citoyens, qui, pour une raison ou une autre semble non intégrable dans le système politique ».

    Dès lors, la création volontaire d’une urgence permanente est devenue l’une des pratiques essentielles des États contemporains. L’urgence sanitaire a justifié la mise en œuvre de cette situation politique extraordinaire qui est l’état d’exception.

    Qu’est-ce que c’est ? c’est le moment qui permet de suspendre l’ordre juridique et où le pouvoir est donné à l’exécutif. Le parlement devient un instrument de l’exécutif qui ratifie les décrets promulgués par le pouvoir exécutif. En clair, c’est la fin de la séparation des pouvoirs qui sont pourtant la règle absolue pour éviter tout glissement vers l’arbitraire (cf Montesquieu).

    Agamben précise qu’une situation où l’urgence est devenue la règle et où la distinction même entre la paix et la guerre, entre paix extérieure et guerre civile mondiale devient impossible.

    C’est exactement ce que nous traversons.

    Deux problématiques à discuter :
    L’invocation de la nécessité justifie-t-elle une transgression de l’ordre juridique et du droit en général ?
    Dante y a répondu dans le « De Monerchia ». Il est impossible d’atteindre l’objectif du droit sans le droit. Quiconque se propose d’atteindre l’objectif du droit doit procéder selon le droit. Donc on ne peut pas invoquer une suspension de l’ordre juridique au motif de la nécessité.

    La nécessité qui a été invoquée dans la crise covid, en était-elle vraiment une ?
    A en croire les études concernant la manipulation des chiffres, le danger a été largement exagéré. Donc l’état de nécessité a été créé artificiellement pour justifier une suspension de l’ordre juridique. D’ordinaire, la loi a une fonction symbolique, qui a travers le Code Pénal pose les bases d’une civilisation, en tant que protection de l’intégrité des individus.

    La fraude juridique a autorisé la suspension de l’ordre juridique pour lui en substituer un autre, soumis à l’urgence, à l’état d’exception.

    En résumé, la loi a été enfreinte pour violer les droits des individus au nom de la loi !

    C’est un tour de passe-passe des systèmes totalitaires qui consiste à transgresser la loi pour en faire un instrument de persécution et d’intimidation.

    Faire valoir ses droits naturels est aujourd’hui une transgression de l’ordre juridique totalitaire.

    La fraude morale

    Elle a consisté à faire admettre aux populations par la manipulation des esprits la légitimité de cet adage politique : « La fin justifie les moyens ».

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  9. Les consciences ont été manipulées par des cabinets influenceurs au nom du bien commun. Au nom de ce bien commun, il est dès lors devenu acceptable :

    De ne pas soigner les gens ;
    D’ostraciser des personnes en leur ôtant leurs moyens d’existence ;
    D’insécuriser les populations ;
    De créer la panique ;
    D’utiliser les chantages et les conflits de loyauté ;
    De ne pas honorer nos devoirs anthropologiques et spirituels envers nos morts ;
    D’abandonner nos anciens ;
    D’euthanasier une partie de la population considérée comme inutile ;
    De faire le tri entre les patients ;
    De maltraiter les enfants et les adolescents ;
    D’arracher les nouveau-nés de leur mère, interdits d’allaitement, mis dans des box fermés au sein de grandes salles déshumanisées.
    « La fin justifie les moyens » signifie qu’il devient acceptable de sacrifier des individus au nom de la quantité et l’individu est dépossédé de ses droits humains.

    Les discours politiques n’ont pas cessé de parler de sacrifice. E. Macron, dans un discours nous a expliqué : « rien n’est obtenu, si rien n’est sacrifié ». Quelle étrange proposition. Est-il raisonnable d’y consentir ? les considérations morales n’entrent plus en ligne de compte dans le discours sauf pour être utilisées en termes de chantage et de manipulation.

    Ce serait pour le bien du groupe que l’individu devrait se sacrifier. Avec cette logique sacrificielle les individus ne comptent plus et peuvent servir d’objets d’expérimentation jusqu’au génocide.

    Il n’y a plus aucune limite juridique ou morale.

    Le citoyen est traité comme un prisonnier sous liberté conditionnelle.

    On nous parle de bracelet électronique….

    https://anthropo-logiques.org/corruption-philosophique-et-psychologique-au-cours-de-la-crise-covid/

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    1. Au fil du temps et des années vécues nous nous apercevons que la dictature se renforce tandis que l'horizon de la Démocratie disparaît sous nos yeux.
      La première des choses qu'ils ont faites et de retirer, d'empêcher toutes personnes instruites à prendre la parole à la télé, radio et colonnes de journaux. Désormais la science passe par la dictature qui s'en fait la découverte et la fabrication d'une nouvelle science !! Les remèdes (d'anciens temps) ne sont plus bons, vive la piqûre létale pour tous !! (8 milliards de personnes à éliminer ! Sacré boulot !). Avec le slogan débilitant "Vous êtes tous asymptomatiques !", "Vous avez tous le virus mortel transmissible aux autres (parents & enfants), donc: VOUS DEVEZ ÊTRE PIQUÉ !"

      Certains crèveront en quelques heures, d'autres en quelques semaines ou quelques mois mais tous les piqués crèveront ! (sauf celles et ceux qui ont reçu un placebo).

      Car, ce que le Peuple ignore (encore aujourd'hui !!) c'est qu'un virus EST UNE POUSSIÈRE ! (VOIR DICTIONNAIRE !) et non un microbe !!
      Une poussière est INOFFENSIVE (sauf les poussières radioactives) tandis que les microbes eux ils transportent des maladies.
      La question est pourquoi des gens meurent d'une poussière ?
      Cette poussière (fabriquée en laboratoires*) N'EST PAS DANS L'AIR !! Elle est UNIQUEMENT disponible en seringues ! "Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort !"

      *nano-particule d'oxyde de graphène. Elles servent de conducteurs-transmetteurs entre le diffuseur (antennes 5G ou 4G) et votre cerveau puisqu'elles circulent dans votre sang. L'objectif est de prendre immédiatement le contrôle de votre cerveau. Ce n'est plus vous qui pensez c'est le dictateur qui vous parle !

      Rappel:

      INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE

      INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE AVANT ET APRÈS PIQÛRE.

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  10. Critique du film Mort subitement: C'est une puissante vitrine des dangers des vaccins - histoire originale RETRACTE avec explication


    vendredi 25 novembre 2022
    par : Mike Adams


    (Natural News) Après avoir publié ici une histoire détaillée sur le film Died Suddenly, je retire le texte intégral original et le remplace par cette courte explication.

    Stew Peters m'a répondu, et nous avons eu une conversation sur ce film, son rôle dans le réveil des gens, et la question de l'importance de sensibiliser à tout cela à une époque où la vie de millions de personnes est en jeu. J'ai également parlé avec le Dr Jane Ruby, et c'est une guérisseuse née qui veut que les gens s'entendent et travaillent ensemble, à son crédit.

    Mon histoire originale faisait l'éloge des efforts du film, soulignait certains des problèmes critiques que d'autres soulevaient avec le film et posait la question de savoir pourquoi le travail du Dr Jane Ruby n'était pas couvert dans ce film. C'était toute mon intention de l'article original.

    Ce que j'ai vu se produire depuis la publication de cette histoire originale, c'est que cela a déclenché une tempête de critiques contre Stew Peters et le film que je n'avais pas prévu ni anticipé. Beaucoup de gens ont mal interprété mon intention à ce sujet, et j'ai commencé à voir que cette histoire était utilisée pour tenter d'attaquer Stew Peters ou pour discréditer le film lui-même, qui, comme je l'ai dit plus tôt, est un film puissant qui porte un message critique pour l'humanité. Je n'ai jamais eu l'intention d'attaquer Stew Peters. J'ai à plusieurs reprises fait la promotion de son travail et de ses vidéos. Nous avons couvert son travail de manière éditoriale à plusieurs reprises. Je suis d'accord avec le message central de ce film, et il doit être vu par des milliards, pas seulement des millions.

    Surtout, je ne souhaite pas que mes questions soient utilisées de quelque manière que ce soit pour discréditer le film. En fait, mon intention était de demander que le crédit soit accordé au Dr Ruby, et rien de plus. J'ai peut-être sous-estimé la portée de cette plate-forme en publiant cette histoire, car cela a déclenché une controverse que je n'avais pas l'intention et qui, je pense, détourne l'attention du film lui-même, qui porte un message critique pour notre époque.

    Je reconnais que toutes les personnes impliquées ici, moi-même, Stew Peters, le Dr Jane Ruby et d'autres, ont tous travaillé sans relâche pour aider à sauver des vies et essayer de donner aux autres les connaissances dont ils ont besoin sur les piqûres expérimentales d'ARNm (et la mort très réelle risques qui lui sont associés).

    Peut-être qu'au lieu de demander ce qui manquait au film, j'aurais dû simplement remercier les personnes qui l'ont monté et qui subissent un déluge de critiques injustes et de mauvaise foi de la part des médias vax-proxénètes. Donc, pour mémoire, je tiens à remercier Stew Peters et son équipe pour la production et le financement de ce film, et je tiens à remercier le Dr Jane Ruby pour tout son travail dans ce domaine. Je dis aussi merci aux médecins et aux embaumeurs qui mettent leur vie et leur carrière en jeu, tendent la tête, risquent tout, juste pour essayer d'avertir le public avec la vérité sur ce qui se passe ici. Tous ceux qui ont participé méritent d'être félicités pour leurs efforts.

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  11. Je veux que la vérité réussisse, et je veux que ceux qui ont le courage de l'exposer réussissent aussi. Je regrette que mon histoire originale ici ait été très mal interprétée, mais il est vrai que les émotions sont vives ces jours-ci, et c'est exactement pourquoi j'ai retiré l'histoire originale et l'ai remplacée par cette explication.

    Je serai plus prudent à l'avenir, en m'efforçant d'anticiper comment mes propos ici pourraient être mal interprétés ou déformés en une attaque que je n'avais pas l'intention de faire. Merci pour votre compréhension.

    https://www.naturalnews.com/2022-11-25-died-suddenly-film-is-a-powerful-showcase-of-vaccine-dangers-where-is-dr-jane-ruby.html

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  12. La censure de la Big Tech sur la vitamine D en tant que traitement covid A TUÉ 116 000 Américains jusqu'à présent, prévient le Health Ranger, qui a été interdit par YouTube, Twitter et Facebook pour avoir dit la VÉRITÉ


    vendredi 25 novembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Dans sa mise à jour de la situation du 21 novembre 2022, le Health Ranger a discuté d'une nouvelle étude publiée dans la revue Scientific Reports qui affirme que 116 000 vies américaines auraient pu être sauvées de la mort du coronavirus de Wuhan (Covid-19) si ces personnes avaient été prises plus de vitamine D stimulant le système immunitaire.

    Non seulement cela, mais quatre autres millions de "cas" de la grippe Fauci auraient pu éviter une hospitalisation ou une blessure si ces personnes avaient su que l'optimisation des niveaux de vitamine D par une exposition régulière au soleil ou une supplémentation est absolument essentielle pour maintenir la santé et le bien-être.

    « La recherche à ce sujet était connue des gens de l’administration Trump, de Biden, de Fauci, du CDC, du NIH, de l’AMA, de l’AAFP et vraiment de la FDA aussi : ils savaient que la vitamine D sauvait des vies et ils ont décidé de la supprimer, ” a expliqué le Health Ranger – regardez ci-dessous.

    "Et cela montre que le Dr Eric Nepute a raison, et il est poursuivi pour un demi-billion de dollars par le DoJ à ce sujet."

    Nepute, au cas où vous l'auriez manqué, fait face à des accusations fédérales pour avoir vendu des suppléments de son entreprise de chiropratique contenant de la vitamine D, ainsi que d'autres nutriments stimulant le système immunitaire tels que le zinc. Plus d'informations à ce sujet sont disponibles dans notre couverture précédente.

    Combien d'Américains tombent inutilement malades et meurent parce qu'ils manquent de vitamine D ?
    Il est vraiment dommage que le gouvernement ait caché la vérité sur la vitamine D au public américain tout au long de l'arnaque. Beaucoup de gens le savent déjà, mais beaucoup d'autres ne le savent pas - et s'ils l'avaient su, ils auraient pu éviter le pire.

    Non seulement cela, mais les plateformes Big Tech comme Facebook et Twitter ont activement censuré les comptes qui ont attiré l'attention sur la vitamine D en tant que remède viable contre la grippe Fauci. Le Health Ranger en fait partie, bien que Natural News soit banni des réseaux sociaux depuis de nombreuses années maintenant.

    "La censure de personnes comme moi et d'autres comme le Dr Joseph Mercola a coûté la vie à 116 000 Américains que nous connaissons jusqu'à présent", a déclaré le Health Ranger. "Parce que sans censure, nous aurions très bien réussi à faire passer le message sur la vitamine D et le zinc et la quercétine et l'ivermectine."

    « Organiquement, nous aurions atteint la moitié du pays. Nous aurions pu éviter à des millions de personnes d'être hospitalisées ou blessées et beaucoup, probablement des centaines de milliers, de mourir, car je pense que ce nombre de 116 000 personnes est faible.

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  13. Si vous lisez notre site depuis un certain temps maintenant, vous savez probablement déjà que le gouvernement est introuvable lorsqu'il s'agit d'aider réellement les Américains ordinaires à rester en bonne santé. En fait, les agences gouvernementales font des heures supplémentaires pour cacher la vérité tout en poursuivant et en persécutant ceux qui osent la partager.

    Heureusement, cette nouvelle étude publiée dans Scientific Reports parle d'elle-même. C'est de la science, après tout, et du genre évalué par des pairs - ce qui signifie qu'il est tout aussi bon que toute autre «science» que le gouvernement colporte pour promouvoir les médicaments pharmaceutiques au lieu des remèdes naturels.

    Selon l'étude, environ la moitié du pays a actuellement des niveaux sériques «sous-optimaux» de vitamine D. Si tout le monde était stimulé dans la plage optimale grâce à l'exposition naturelle au soleil ou à la supplémentation, imaginez à quel point les maladies chroniques et les décès précoces seraient moins fréquents !

    "Les fédéraux vont faire de Nepute un exemple", a écrit un commentateur de Natural News à propos de la chasse aux sorcières de la Federal Trade Commission (FTC) contre ce défenseur de la vitamine D.

    "Il n'y a rien de tel qu'un gouvernement tordu pour vous montrer à quel point le mal produit ses mauvais résultats", a écrit un autre.

    Si vous souhaitez en savoir plus sur la façon dont la vitamine D peut vous aider, vous et votre famille, à rester en bonne santé et dynamiques cet hiver, assurez-vous de visiter VitaminD.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Brighteon.com
    HealthyThinking.substack.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-25-censorship-vitamind-covid-killed-116000-americans.html

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  14. COMMENT FTX a joué un rôle dans la suppression de l'utilisation de médicaments génériques bon marché pour promouvoir les vaccins COVID


    vendredi 25 novembre 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Dans mon livre Pandemic Blunder, j'ai été l'un des premiers à blâmer le maléfique Fauci pour avoir bloqué une large utilisation de médicaments génériques prouvés sûrs et efficaces pour lutter contre le COVID et, à la place, pousser la population (taille unique) vaccins . Maintenant, il a été révélé que l'entreprise FTX, désormais honteuse et criminelle, a fourni beaucoup d'argent pour faire en sorte que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine semblent (faussement) inefficaces et pour pousser des actions horribles et inefficaces comme les confinements.

    Vous trouverez ci-dessous un article pour fournir le compte rendu récent et le meilleur des nouvelles du fiasco FTX, y compris ce qui a été fait pour pousser les vaccins sur les génériques bon marché.

    (Article de Joel S Hirschhorn republié de JoelSHirschhorn.Substack.com)

    La connexion Covid/Crypto : la sombre saga de FTX et Sam Bankman-Fried

    Par Jeffrey A. Tucker 18 novembre 2022

    La source

    Une série de textes et de tweets révélateurs de Sam Bankman-Fried, le PDG en disgrâce de FTX, l'échange de crypto autrefois de haut vol mais maintenant ventre en l'air, avait ce qui suit à dire sur son image de bienfaiteur : c'est un " jeu stupide auquel nous avons réveillé les occidentaux jouer où nous disons tous les bons shibboleths et donc tout le monde nous aime.

    Très intéressant. Il avait tout le jeu en marche : un végétalien inquiet du changement climatique, soutient toutes les formes de justice (raciale, sociale, environnementale) sauf celle qui vient pour lui, et débourse des millions à des œuvres caritatives dignes associées à la gauche. Il a également acheté beaucoup d'accès et de protection à D.C. ; assez pour faire de sa compagnie louche le toast de la ville.

    Dans le cadre du mélange, il y a ce qu'on appelle la planification en cas de pandémie. Nous devrions savoir ce que c'est maintenant : cela signifie que vous ne pouvez pas être en charge de votre vie car il existe de mauvais virus. Aussi bizarre que cela puisse paraître, et pour des raisons qui ne sont pas encore tout à fait claires, favoriser les confinements, les masques et les passeports vaccinaux est devenu une partie du ragoût idéologique réveillé.

    C'est particulièrement étrange car il a été prouvé à maintes reprises que les restrictions covid nuisent à tous les groupes dont l'idéologie éveillée prétend se soucier si profondément. Cela inclut même les droits des animaux : qui peut oublier le massacre de visons danois de 2020 ?

    Peu importe, c'est juste vrai. Le masquage est devenu un symbole d'être une bonne personne, tout comme la vaccination, le véganisme et les crises de panique en un clin d'œil sur le changement climatique. Rien de tout cela n'a grand-chose à voir avec la science ou la réalité. C'est tout le symbolisme tribal au nom de la solidarité politique du groupe. Et FTX était plutôt bon dans ce domaine, lançant des centaines de millions pour prouver la loyauté de l'entreprise à toutes les bonnes causes.

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  15. Les projets soutenus par FTX allaient de 12 millions de dollars pour défendre une initiative de vote californienne visant à renforcer les programmes de santé publique et à détecter les menaces virales émergentes (au milieu d'un soutien terne, la mesure a été repoussée à 2024), à investir plus de 11 millions de dollars dans la campagne primaire infructueuse du Congrès de un expert en biosécurité de l'Oregon, et même une subvention de 150 000 $ pour aider Moncef Slaoui, conseiller scientifique de l'accélérateur de vaccins «Operation Warp Speed» de l'administration Trump, à rédiger ses mémoires.

    Les dirigeants du FTX Future Fund, une fondation dérivée qui a engagé plus de 25 millions de dollars dans la prévention des risques biologiques, ont démissionné dans une lettre ouverte jeudi dernier, reconnaissant que certains dons de l'organisation sont suspendus.

    Et pire :

    Les engagements du FTX Future Fund comprenaient 10 millions de dollars à HelixNano, une start-up biotechnologique cherchant à développer un vaccin contre le coronavirus de nouvelle génération; 250 000 $ à un scientifique de l'Université d'Ottawa qui étudie comment éradiquer les virus des surfaces en plastique; et 175 000 $ pour soutenir le travail d'un récent diplômé de la faculté de droit au Johns Hopkins Center for Health Security. "Dans l'ensemble, le Future Fund était une force pour le bien", a déclaré Tom Inglesby, qui dirige le centre Johns Hopkins, déplorant l'effondrement du fonds. «Le travail qu'ils faisaient essayait vraiment d'amener les gens à penser à long terme… pour se préparer à une pandémie, pour diminuer les risques de menaces biologiques.»

    Suite:

    Guarding Against Pandemics a dépensé plus d'un million de dollars pour faire pression sur Capitol Hill et la Maison Blanche au cours de l'année écoulée, a embauché au moins 26 lobbyistes pour plaider en faveur d'un plan de pandémie bipartisan toujours en attente au Congrès et sur d'autres questions, et a diffusé des publicités soutenant la législation qui comprenait la pandémie -le financement de la préparation. Protect Our Future, un comité d'action politique soutenu par les frères Bankman-Fried, a dépensé environ 28 millions de dollars au cours de ce cycle du Congrès pour des candidats démocrates "qui seront les champions de la prévention de la pandémie", selon la page Web du groupe.

    Je pense que vous avez compris l'idée. Tout cela est un racket. FTX, fondée en 2019 à la suite de l'annonce par Biden de sa candidature à la présidence, par le fils du co-fondateur d'un important comité d'action politique du Parti démocrate appelé Mind the Gap, n'était rien d'autre qu'un système de Ponzi magique. Il a saisi les blocages pour une couverture politique, médiatique et académique. Sa justification économique était aussi inexistante que ses livres. Le premier auditeur à y jeter un œil a écrit :

    "Jamais dans ma carrière je n'ai vu un échec aussi complet des contrôles d'entreprise et une absence aussi complète d'informations financières fiables comme cela s'est produit ici. De l'intégrité compromise des systèmes et de la surveillance réglementaire défectueuse à l'étranger, à la concentration du contrôle entre les mains d'un très petit groupe d'individus inexpérimentés, peu sophistiqués et potentiellement compromis, cette situation est sans précédent.

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  16. C'était le pire exemple d'une fausse machine à mouvement perpétuel : un jeton pour soutenir une entreprise qui était elle-même soutenue par le jeton, qui à son tour n'était soutenu que par la mode politique et a réveillé l'idéologie qui a enfilé Larry David, Tom Brady, Katy Perry, Tony Blair et Bill Clinton pour fournir un manteau de légitimité.

    Et vous ne pouvez plus inventer ce genre de choses : FTX entretenait une relation étroite avec le Forum économique mondial et était l'échange crypto préféré du gouvernement ukrainien. Cela ressemble pour le monde entier à l'opération de blanchiment d'argent du Comité national démocrate et à tout le lobby du verrouillage.

    Read more at: JoelSHirschhorn.Substack.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-25-how-ftx-played-role-suppressing-cheap-medicines.html

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  17. L'opération dirigée par des journalistes et liée au renseignement qui a déformé la politique britannique en cas de pandémie


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 NOVEMBRE 2022 - 13:00
    Écrit par Kit Klarenberg via TheGrayZone.com,


    Présenté comme une voix indépendante pour des conseils scientifiques «impartiaux», iSAGE a fourni un canal aux spinmeisters des médias, aux espions et aux spécialistes des opérations psychologiques pour influencer la politique britannique en matière de pandémie sans responsabilité. Les e-mails internes divulgués montrent que les membres s'inquiètent de ses méthodes contraires à l'éthique.

    Tout au long de la réponse de la Grande-Bretagne à la crise du COVID-19, un groupe de pression connu sous le nom de Groupe consultatif scientifique indépendant pour les urgences (iSAGE) a servi de moteur clé derrière les politiques de verrouillage les plus draconiennes du gouvernement.

    Bien qu'il se présente comme une organisation non gouvernementale composée d'experts de la santé avant-gardistes, The Grayzone peut révéler qu'iSAGE entretient non seulement un éventail de liens avec l'État de sécurité britannique, tout en s'appuyant largement sur des considérations politiques plutôt que scientifiques lors de l'élaboration de recommandations politiques.

    Avec l'hiver à venir en Europe et les appels à la réimposition des restrictions COVID-19 qui se multiplient à nouveau - notamment de la part d'iSAGE lui-même - les efforts de l'équipe offrent un regard inquiétant sur le rôle de l'État de sécurité et des médias grand public dans la corruption de la politique de santé publique britannique.

    Près de trois ans après que le monde a entendu parler du COVID-19 pour la première fois, les sociétés du monde entier sont encore sous le choc des fermetures prolongées et des restrictions sociales sévères, que de nombreux gouvernements ont mises en place pour soi-disant « stopper la propagation » du virus. La Grande-Bretagne ne fait pas exception, et bien que l'impact à long terme de ces mesures reste inconnu, certains effets exténuants sont déjà douloureusement apparents.

    Les patients recevant des soins pour le cancer, les maladies cardiovasculaires et respiratoires ont été empêchés d'accéder à un traitement de routine ; les taux de dépression clinique et de dépendance au téléphone portable chez les étudiants universitaires ont monté en flèche ; les adultes de tous âges ont signalé une aggravation de leur état de santé mentale ; et le nombre de Britanniques cherchant de l'aide pour toxicomanie a augmenté de 81 % entre 2020 et 2021.

    Pendant ce temps, les fermetures d'écoles ont exposé les jeunes britanniques à l'insécurité alimentaire et à une probabilité accrue d'être victime de violence domestique, tandis que la numérisation rapide de l'éducation a encore creusé les écarts d'apprentissage entre les étudiants riches et les étudiants à faible revenu dans le pays.

    « Nous avons été hypnotisés par l'ampleur de l'urgence une fois par siècle et n'avons réussi qu'à aggraver une crise. Bref, on a paniqué", déplorait en janvier 2022 le professeur Mark Woolhouse, épidémiologiste de l'université d'Edimbourg.

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  18. Comme pour de nombreux critiques contemporains de la stratégie initiale «Zero COVID» du gouvernement britannique, Woolhouse a fait valoir qu'une réponse ciblée pour protéger les membres les plus vulnérables de la société, tels que les personnes âgées, aurait fait plus pour réduire le nombre de morts en Grande-Bretagne que des fermetures générales à l'échelle nationale.

    "C'était une épidémie qui réclamait une approche de santé publique de précision et elle a eu le contraire", a-t-il expliqué.

    Derrière certaines des politiques pandémiques les plus destructrices sur le plan social mises en œuvre par le gouvernement britannique se trouvait iSAGE, une organisation louche fondée par un expert du Guardian obsédé par la Russie et conseillée par des espions, des psychologues du comportement et des influenceurs des médias sans formation scientifique ou médicale.

    Fondé en mai 2020 par David King, ancien conseiller scientifique en chef des premiers ministres travaillistes Tony Blair et Gordon Brown, iSAGE a initialement entrepris de militer pour une plus grande transparence autour de la politique de santé de l'État, tout en fournissant des "conseils solides et impartiaux" au public et au gouvernement. Pourtant, il s'est rapidement transformé en un groupe de pression puissant et totalement irresponsable, faisant pression de manière agressive pour des mesures "Zéro COVID".

    Pendant près de deux ans, les membres d'iSAGE ont fait la une des médias britanniques et internationaux. De hauts responsables politiques et des experts ont approuvé avec effusion les déclarations du groupe sur la pandémie, et ses briefings hebdomadaires sur YouTube ont accumulé des dizaines de milliers de vues. Ses représentants ont utilisé leurs plates-formes populaires pour demander des mesures de contrôle et de suppression étendues, notamment la recherche des contacts, des tests de masse, des quarantaines aux frontières, des verrouillages et la mise en œuvre de logiciels d'atténuation afin d'arrêter la transmission de COVID-19.

    La confusion concernant le nom d'iSAGE, compte tenu de sa similitude évidente avec le groupe consultatif scientifique officiel du gouvernement britannique pour les urgences (SAGE), n'a fait qu'accroître la notoriété du groupe. Très rapidement après son lancement, iSAGE a commencé non seulement à travailler en parallèle avec son homonyme gouvernemental, mais aussi à le supplanter dans l'esprit du public.

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  19. Malgré son énorme influence, iSAGE et ses membres ont largement évité l'examen public. On sait peu de choses sur les forces qui guident et façonnent ses activités, ou si ses représentants avancent un programme inavoué en contradiction avec leur engagement déclaré à fournir des avis scientifiques «impartiaux».

    iSAGE pousse les verrouillages "sans expertise scientifique suffisante ni preuves scientifiques pour l'informer"

    C'est à la date de lancement officiel d'iSAGE en mai 2020 que son objectif fondateur de sécuriser la publication des identités de SAGE et de ses articles a été atteint. Auparavant, la composition de l'organe et les preuves à l'appui de ses décisions étaient entièrement cachées à la vue du public, ce qui a alimenté une controverse importante, en particulier compte tenu de son retard initial sur la mise en œuvre des mesures de protection contre le COVID-19.

    Enhardie par ce succès immédiat, l'ancienne membre d'iSAGE, Allyson Pollock, affirme que le groupe "s'est rapidement éloigné" de son programme de transparence initial "pour vouloir faire de la politique" lui-même. Inconnue du public à l'époque, la transformation d'iSAGE du projet de surveillance du gouvernement en premier groupe d'activistes responsables de l'élaboration des politiques de santé publique a provoqué une révolte interne.

    "Souvent, [iSAGE] a fini par préconiser des choses alors qu'il n'avait pas suffisamment réfléchi aux incertitudes dans les preuves et au potentiel de préjudice", affirme Pollock, qui a travaillé comme professeur clinicien de santé publique à l'Université de Newcastle. Elle cite «les verrouillages prolongés, les fermetures d'écoles et les tests de masse», comme exemples des recommandations erronées d'iSAGE.

    Selon Pollock, le groupe a offert des conseils politiques "parfois sans expertise scientifique suffisante ou preuves scientifiques pour l'informer". Elle a exprimé une opposition véhémente lorsque le groupe a officiellement adopté sa position «Zéro COVID» en juillet 2020, estimant qu'elle manquait de toute base scientifique. Deux mois plus tard, le groupe a refusé de renouveler son adhésion.

    La poussée d'iSAGE pour Zero COVID semblait étrangement chronométrée, et le groupe lui-même a reconnu que l'éradication totale d'une maladie n'avait été réalisée qu'une seule fois dans l'histoire, dans le cas de la variole. La Grande-Bretagne commençait à ce moment-là à rouvrir après un verrouillage de quatre mois, conformément aux conseils du SAGE. En théorie cependant, comme iSAGE était une entité entièrement distincte de SAGE, il était libre de défendre les stratégies d'atténuation qu'il jugeait appropriées.

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  20. Dans la pratique cependant, un chevauchement dans la composition des deux organes ainsi que leurs noms pratiquement identiques ont brouillé les frontières entre les deux groupes. Le conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique, Patrick Vallance, affirme qu'il a explicitement mis en garde le fondateur d'iSAGE, David King, contre l'utilisation de toute dérivation de "SAGE" pour le titre de son nouveau groupe, estimant que cela dérouterait et induirait le public en erreur.

    Bien qu'il se soit apparemment engagé à ne pas imiter le nom, King l'a fait quand même. Le préfixe "Indépendant" était encore plus problématique, car il impliquait clairement que SAGE n'était pas une organisation fiable et autonome, tandis que iSAGE émettait des conseils impartiaux et plus crédibles en revanche.

    iSAGE rassemble son influence en alimentant la confusion

    Comme prévu, les noms en double des deux groupes ont brouillé les eaux sur les messages publics et gouvernementaux autour de COVID-19, entraînant de nombreuses gaffes troublantes – sinon carrément dangereuses – de la part des journalistes, des experts et des législateurs élus.

    Ian Boyd, membre du SAGE, affirme qu'un tel chaos était intentionnel. En octobre 2021, il a déclaré au British Medical Journal que les noms des deux groupes "créaient de la confusion et étaient un dispositif utilisé par ceux qui organisaient [iSAGE] pour créer des frictions inutiles". Dans le même article, un autre universitaire a suggéré que le titre d'iSAGE impliquait que le corps était "d'une manière ou d'une autre plus autoritaire qu'il ne l'est en réalité".

    La désorientation du public a été aggravée par le fait que plusieurs membres de SAGE ont également travaillé au clair de lune en tant qu'experts iSAGE. Prenons l'exemple de Susan Michie, une militante politique de gauche et soi-disant experte en « changement de comportement » qui a servi à la fois avec iSAGE et SAGE, conseillant le conseil gouvernemental secret SPI-B de psychologues comportementaux qui ont incité le public à se conformer à politique officielle en cas de pandémie. Les reportages des médias sur Michie la qualifiaient presque universellement de «scientifique SAGE», donnant l'impression que ses commentaires représentaient la position officielle du gouvernement britannique.

    Michie est devenue un symbole du plaidoyer d'iSAGE pour un état de sécurité biomédicale permanent. Lors d'une interview en juin 2021, elle a fait valoir que la distanciation sociale et les mandats de masque devraient "continuer pour toujours".

    À aucun moment, les grands médias britanniques n'ont reconnu que les antécédents de Michie ne la qualifiaient pas nécessairement pour recommander une politique en cas de crise de santé publique. Au contraire, un psychologue clinicien représentait précisément le type de personnage qui pourrait être appelé à manipuler le public pour qu'il accepte des confinements extrêmes.

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  21. Michie n'était pas le seul représentant d'iSAGE que les médias présentaient comme un "scientifique" malgré un manque apparent de références pertinentes en épidémiologie, en virologie ou en gestion de la santé publique. Christina Pagel, mathématicienne de l'iSAGE, a été promue comme une experte crédible malgré ses lectures erronées et sa représentation erronée des données.

    D'un autre côté, les médias grand public ont qualifié à tort les membres d'iSAGE qui ne faisaient pas partie de SAGE de représentants de ce dernier à de nombreuses reprises. De même, la presse a présenté à tort les recommandations iSAGE comme des conseils officiels SAGE plus d'une fois.

    En mai 2020, la chef adjointe du parti travailliste, Angela Rayner, a déclaré à tort que le SAGE avait mis en garde contre la réouverture prévue des écoles le 1er juin comme «trop tôt», ce qui implique que le gouvernement britannique ignorait imprudemment les recommandations de ses propres conseillers scientifiques internes. Elle faisait en fait référence à un rapport produit par iSAGE, et non par SAGE.

    À l'inverse, les propres recherches de SAGE ont averti que les fermetures générales d'écoles entraîneraient pour les enfants «un choc dans leur éducation qui persistera et affectera leurs résultats scolaires et professionnels pour le reste de leur vie». Il a prédit que des périodes prolongées d'apprentissage à domicile aggraveraient gravement les inégalités entre les élèves et laisseraient l'apprentissage précoce et les troubles du comportement non détectés.

    Comme prévu, l'Angleterre a commencé à rouvrir les écoles en septembre 2020, bien qu'elles aient été à nouveau fermées en décembre. Les représentants indépendants du SAGE se sont ensuite fermement opposés aux réouvertures massives au printemps 2021 et ont régulièrement critiqué cette décision pendant des mois par la suite.

    En octobre de la même année, un rapport des Nations Unies a conclu que d'innombrables enfants dans le monde avaient été durement touchés émotionnellement et psychologiquement par les fermetures d'écoles, entraînant une augmentation considérable de «la peur et du stress, de l'anxiété, de la dépression, de la colère, de l'irritabilité, de l'inattention» ainsi qu'une «activité physique irrégulière». et les habitudes de sommeil. Une confirmation totale des avertissements initiaux du SAGE contre les fermetures générales d'écoles.

    Le jugement cinglant de l'ONU peut expliquer pourquoi les représentants d'iSAGE ont depuis supprimé les publications sur les réseaux sociaux dans lesquelles ils préconisaient agressivement de garder les enfants hors des salles de classe jusqu'à ce que le COVID-19 soit complètement éradiqué. Pourtant, certaines preuves de leur plaidoyer subsistent aujourd'hui, y compris un flux en direct de juillet 2020 sur les mandats de masque présentés comme une «consultation publique».

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  22. « Je ne pense pas que les écoles devraient être ouvertes tant que nous n’aurons pas approché Zero COVID. C'est un grand défi », a déclaré David King lors de cette discussion. «Cela signifie, au gouvernement,« s'il vous plaît, enfermez-nous, gérez la maladie, ramenez-la à environ un niveau d'une personne sur un million », et nous parviendrons à ouvrir des écoles de manière beaucoup plus sûre.

    SAGE pas si indépendant criblé de conflits d'intérêts

    Ce n'est qu'en juillet 2021 que les médias britanniques ont commencé à sonder le collectif scientifique avec un examen critique. Ce mois-là, le Daily Telegraph a révélé qu'une tenue obscure appelée The Citizens était responsable de la création d'iSAGE.

    The Citizens était lui-même dirigé par Carole Cadwalladr, la chroniqueuse du Guardian obsédée par la Russie qui a remporté une série de prix prestigieux pour ses reportages affirmant que la société de données SCL-Cambridge Analytica avait servi de canal à l'ingérence russe dans le vote sur le Brexit. Comme Alex Rubinstein l'a rapporté pour The Grayzone, les reportages de Cadwalladr ont été complètement discrédités par un rapport parlementaire britannique de 2020 qui n'a trouvé aucune preuve de l'implication de la Russie dans le Brexit.

    En réponse à la révélation que The Citizens avait engendré iSAGE, Cadwalladr a insisté sur le fait que le lien entre The Citizens et le groupe avait été déclaré publiquement sur le site Web d'iSAGE depuis son lancement. Bien que sa demande soit techniquement exacte, le lien n'a jamais été reconnu dans les apparitions médiatiques par les membres d'iSAGE, et encore moins par Cadwalladr elle-même. De plus, le passage pertinent sur le site Web d'iSAGE fait simplement référence à The Citizens comme une "petite équipe de soutien... aidant Independent SAGE avec ses événements publics et ses activités médiatiques".

    Cette caractérisation minimise considérablement l'ampleur et la nature de la relation entre The Citizens et iSAGE. C'est à peu près au moment de l'exposé du Telegraph que Cadwalladr a mis à jour son propre profil Twitter pour se décrire comme une « cofondatrice » de The Citizens, la « mère » d'iSAGE. Pendant ce temps, le Twitter des citoyens se caractérise comme le «fondateur et producteur» d'iSAGE.

    Les comptes rendus officiels d'une réunion de juin 2020 du «groupe consultatif sur le comportement» d'iSAGE montrent que l'organisation a reçu une direction et une assistance importantes d'une autre source non reconnue. Zack King, représentant de la société de relations publiques Firstlight Group, a joué un rôle de premier plan dans les débats, présentant "le travail de SAGE indépendant à ce jour" et menant une discussion dédiée sur les relations avec la presse.

    En cours de route, King a souligné que lui et Cadwalladr "s'occupaient des problèmes de presse" et qu'iSAGE "pouvait les utiliser tous les deux" si les scientifiques du comportement de l'organisation voulaient "impliquer" les médias dans ses activités.

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  23. En juin, The Citizens a lancé un crowdfunder dédié pour iSAGE qui a levé 60 000 £. Un texte de présentation d'accompagnement était vague sur la façon dont les dons seraient dépensés, déclarant simplement que cela aiderait l'organisation à "continuer à suivre la science". Aucune mention n'a été faite du financement d'un blitz médiatique de grande envergure, gracieuseté du fils du fondateur d'iSAGE.

    The Citizens récolte les dons d'Omidyar, candidat au changement de régime

    La décision d'iSage de lancer une campagne de financement alors que le public britannique souffrait d'un chômage, de difficultés et d'une incertitude financière généralisés - et malgré une dissidence interne tout à fait raisonnable et légitime - est rendue d'autant plus perverse que The Citizens a reçu des centaines de milliers de dollars de Luminate.

    Comme l'a documenté Max Blumenthal, rédacteur en chef de Grayzone, dans une enquête avec Alex Rubinstein, Luminate fait partie intégrante du réseau mondial de propagande et de changement de régime de l'oligarque américain lié au renseignement Pierre Omidyar.

    En 2020, Luminate a offert aux Citizens 150 000 $ pour développer le "Real Facebook Oversight Board", et 300 000 $ apparemment pour produire "un journalisme d'impact pour obliger le gouvernement et les grandes technologies à rendre des comptes". Cadwalladr affirme également que la Fondation Ford, connectée à la CIA, a fourni un certain soutien, bien qu'aucune trace du don ne soit enregistrée sur le site Web de la Fondation.

    Un rapport de 2016 sur les activités du réseau Omidyar en Afrique de l'Ouest souligne comment les actifs médiatiques du milliardaire sont utilisés pour promouvoir ses intérêts commerciaux. Un passage fait référence à « la conversion des lecteurs passifs en citoyens actifs » en parrainant la publication de contenus « politiquement opportunistes » afin de « motiver les citoyens et le gouvernement à agir ». Le rapport poursuit en citant les "récents succès majeurs" dont le réseau du milliardaire a bénéficié au Nigeria, où Omidyar détient effectivement le secteur technologique local.

    "Avec le spectre d'une éventuelle mobilisation citoyenne qui plane dans l'esprit des politiciens, les médias ont également le potentiel d'obtenir directement une réponse du gouvernement", se vante le rapport. « Dans certains cas… le gouvernement était motivé à agir afin d'empêcher l'action des citoyens, plutôt qu'en réponse à celle-ci. »

    Entre mars et juillet 2020, la richesse personnelle d'Omidyar a augmenté de 9 milliards de dollars, en grande partie grâce aux intérêts commerciaux «à l'épreuve du Covid» qu'il avait encouragés dans le monde entier. Il s'agissait notamment d'investissements considérables dans les technologies de l'éducation, la santé numérique et le contenu en ligne, qui sont devenus des secteurs de croissance majeurs en raison des politiques de verrouillage.

    En revanche, il est difficile d'identifier comment The Citizens a mis ses somptueuses subventions Luminate au travail. Omidyar était clairement satisfait des résultats, cependant, donnant à l'organisation 300 000 $ supplémentaires en 2021.

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  24. Aujourd'hui, le Real Facebook Oversight Board consiste en un blog Medium rarement mis à jour avec 225 abonnés. Il n'y a aucun signe non plus de "journalisme d'impact" de la part de The Citizens, à l'exception d'une sous-stack longtemps inactive, et d'une action en justice contre le gouvernement britannique pour son prétendu échec à enquêter sur l'ingérence russe dans les élections.

    Malgré leur financement somptueux d'Omidyar, le groupe de Cadwalladr s'est de nouveau tourné vers le financement participatif pour cet effort, levant des dizaines de milliers de personnes auprès du public avant que sa poussée juridique ne soit rejetée par un juge de la Haute Cour, car l'affaire était "incontestable".

    Christopher Steele, ancien agent discrédité du MI6, conseille iSAGE

    Le site Web des citoyens, qui a été "en construction" pendant la majeure partie de son existence, présentait autrefois un profil dédié de l'ancien espion du MI6 en disgrâce et ancien entrepreneur du FBI, Christopher Steele. Et le fondateur de The Citizens, Cadwalladr, a été un fervent promoteur du colporteur du renseignement, le vantant malgré le fait que son dossier "Trump-Russie" ait été complètement exposé comme une fraude compilée avec des rumeurs et des contes qui lui ont été fournis par une seule source douteuse d'argent.

    Dans des échanges de courriels avec The Grayzone, Zack King, l'agent de relations publiques et fils du fondateur d'iSAGE, a d'abord affirmé que The Citizens "s'appuyait sur une collection large et diversifiée de conseillers non rémunérés avant son lancement". Christopher Steele était parmi eux, bien que selon King, il "n'ait jamais joué de rôle actif ou autre" dans The Citizens ou iSAGE.

    Les demandes de détails sur les services fournis par Steele pour The Citizens avant son inauguration publique ont été ignorées. Lorsqu'on lui a demandé pourquoi le site Web du groupe présentait son profil s'il n'était plus impliqué à quelque titre que ce soit, King a révélé que Steele faisait en fait partie d'un "réseau de conseillers bénévoles auxquels nous pouvons faire appel au besoin". Il a donc laissé entendre que l'ancien fantôme pourrait fournir un soutien indéterminé à tout moment à The Citizens, et peut-être aussi à iSage.

    L'implication intime mais mystérieuse de Steele avec une tenue influente qui a façonné la politique gouvernementale et les perceptions du public sur COVID-19 est troublante, étant donné la prise de pouvoir que les services de sécurité et de renseignement britanniques ont effectuée sous couvert de prévention de la pandémie.

    L’État de sécurité britannique fusionne avec le secteur de la santé publique sous couvert de suivi de Covid

    En mai 2020, le même mois de lancement d'iSAGE, Londres a lancé une initiative appelée Joint Biosecurity Centre (JBC). Le JBC a été présenté comme un système à la pointe de la technologie qui fournissait «une analyse objective fondée sur des preuves pour éclairer la prise de décision locale et nationale en réponse aux épidémies de COVID19». Soi-disant suivi de la propagation du virus en temps réel, son "niveau d'alerte" de coronavirus a été directement calqué sur le système de "feux de signalisation" du Centre conjoint d'analyse du terrorisme, créé en 2003.

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  25. JBC a d'abord été dirigé par Tom Hurd, un vétéran du renseignement qui, des mois plus tôt, avait été présenté comme le prochain chef probable du MI6. Cependant, Hurd est rapidement revenu à la gestion de la lutte contre le terrorisme pour le ministère de l'Intérieur et a été remplacé par Clare Gardiner, agent principal du GCHQ. Sa nomination serait intervenue à la demande du secrétaire du Cabinet Simon Case, ancien directeur de la stratégie du GCHQ.

    À l'époque, les inquiétudes montaient quant au rôle croissant du personnel des services de renseignement dans la gestion de la pandémie, en particulier compte tenu de leur échec lamentable à sonner l'alarme sur le COVID-19 avant qu'il ne circule parmi le grand public. Mais toute résistance à l'intégration de l'État de sécurité avec le secteur de la santé publique a été complètement écartée, lorsque le gouvernement britannique a remplacé Public Health England par la Health Security Agency, dont la JBC est devenue une subdivision.

    Malgré la puissance énorme et en constante expansion du corps, le JBC opaque a entièrement échappé à l'examen des médias britanniques depuis son lancement. Sa composition, les procès-verbaux de ses réunions, ses données, ses analyses et ses arguments restent secrets, tout en conservant le pouvoir d'imposer des restrictions, voire des verrouillages purs et simples sans explication ni avertissement à tout moment.

    En octobre 2020, alors que la Grande-Bretagne se dirigeait vers une deuxième fermeture nationale, les parlementaires ont exigé la publication des délibérations de JBC, des sources de preuves et du personnel clé. Sur chaque point, ils ont été fermés par le gouvernement. Pour justifier son refus de divulguer l'identité des membres, Downing Street a affirmé que le Centre était "en grande partie composé de fonctionnaires", ce qui signifie qu'il n'était "pas approprié" de les nommer.

    Étant donné que l'espionne vétéran du GCHQ, Clare Gardiner, était simplement qualifiée de « haut fonctionnaire » dans un communiqué de presse officiel annonçant sa nomination à la tête de JBC, la question doit être posée : le centre est-il « en grande partie doté » d'agents du renseignement ?

    Gardiner a quitté son poste à la mi-juin 2021 sans aucune annonce officielle, et le poste est vacant depuis. Au moins, aucun remplaçant n'a été publiquement mentionné, et personne n'a demandé de clarté aux responsables. Compte tenu de l'énorme influence exercée par l'organisme à ce jour, il est stupéfiant qu'aucun journaliste ou militant n'ait exigé de réponses.

    En effet, contrairement à leur engagement déclaré et de principe en faveur de la transparence scientifique et à leurs appels initiaux à briser le mur du silence officiel entourant la composition et la réflexion du groupe consultatif scientifique du gouvernement britannique, iSAGE et The Citizens n'ont fait aucune tentative pour faire pression sur le gouvernement afin qu'il divulgue tout informations sur le JBC ou l'Agence de Sécurité Sanitaire.

    Comme nous le verrons dans d'autres épisodes de cette enquête, les e-mails divulgués démystifient absolument l'engagement déclaré d'iSAGE et de The Citizens à "suivre la science".

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/journalist-run-intelligence-linked-operation-warped-british-pandemic-policy

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    1. (...) Bien qu'il se présente comme une organisation non gouvernementale composée d'experts de la santé avant-gardistes, The Grayzone peut révéler qu'iSAGE entretient non seulement un éventail de liens avec l'État de sécurité britannique, tout en s'appuyant largement sur des considérations politiques plutôt que scientifiques lors de l'élaboration de recommandations politiques. (...)

      (...) iSAGE pousse les verrouillages "sans expertise scientifique suffisante ni preuves scientifiques pour l'informer" (...)

      Acte II: Ces 'avant-gardistes' ne sont PAS des scientifiques et ne connaissent RIEN de ce qu'ils parlent. Un virus est une poussière. Cette poussière n'est PAS DANS L'AIR, donc: Zéro confinement ni besoin de porter un masque (qui ne sert à rien puisqu'il n'existe pas au monde de masque anti virus ou anti microbes !).
      De plus, les travaux de recherche et d'examen des flacons injectables ont permis aux docteures Carrie Madej et Astrid Stückelberger de montrer leurs compositions ! Nano-particules d'oxyde de graphène !! + hydres !! + spiques !! + maladies de divers animaux !! Ce qui rend les flacons létaux à 100 % !

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  26. Le docteur qui peut reconstruire la confiance : Joseph Ladapo


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 25 NOVEMBRE 2022 - 22:00
    Rédigé par Jeffrey Tucker via The Brownstone Institute,


    Si vous êtes comme moi, vous en avez marre des mensonges. Chaque jour semble apporter de nouvelles révélations sur la façon dont nos vies ont été bouleversées. Les liens deviennent de plus en plus clairs entre la réponse à la pandémie et la crise économique croissante, la dette gonflée, la croissance de l'État de surveillance, la corruption et les escroqueries, l'absence effrayante d'intégrité dans la vie publique et, avec l'échec de FTX, la manière dont qu'une véritable escroquerie financière faisait partie intégrante de la calamité.

    En attendant de nouvelles révélations, dépositions, dissimulations, demandes d'amnistie et mauvaises nouvelles économiques, à qui pouvons-nous faire confiance ? Est-ce que quelqu'un dit la vérité ?

    Aujourd'hui était la dernière conférence de presse d'Anthony Fauci à la Maison Blanche, et il a parlé comme si la vie était normale et que tout allait bien. C'est comme si tout le désastre n'avait jamais eu lieu. Il n'a jamais enfermé personne, dit-il. Il se réjouit de toute enquête, dit-il, car il n'a rien à cacher. Et puis il a terminé avec une dernière poussée pour que tout le monde obtienne le rappel n ° 5 ou n'importe quel numéro sur lequel nous nous trouvons.

    C'est comme si nous vivions dans deux univers : notre propre vie dans laquelle nous lisons des choses vraies à certains endroits, et la vie officielle, dans laquelle les complices et les publicistes répètent sans cesse les mêmes bêtises sans broncher ni fournir quoi que ce soit qui ressemble à un récit honnête de ces dernières trois ans.

    Peut-être pour cette raison - et aussi parce que, selon toute norme historique, il s'agit d'une formidable autobiographie - la lecture de Transcend Fear du Dr Joseph Ladapo est un soulagement bienvenu de l'absurdité de notre époque. C'est brutalement honnête. C'est affectif. Il est prudent et précis mais aussi profondément radical dans ses observations. Si ce qu'on appelle le «monde de la santé publique» a perdu le contact avec le public et la santé, ce livre propose une voie pour le restaurer. Bref, c'est une belle et inspirante expérience.

    Le Dr Ladapo est le chirurgien général de l'État de Floride, choisi par le gouverneur Ron DeSantis pour forger et expliquer les décisions et les priorités de l'État en matière de santé au public au milieu d'une grave crise. Il a affronté la presse nationale maintes et maintes fois avec une sagesse zen. Il semble émotionnellement imperturbable tout en s'en tenant à la science telle qu'il la comprend. Il est le seul responsable de la santé publique du pays qui a été franc sur les limites des vaccins et a averti les jeunes en bonne santé qu'ils n'en avaient pas besoin.

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  27. Ce que nous apprenons de ce livre, c'est qu'il a été un guerrier contre la pseudoscience depuis le tout début de cette pandémie et de la réponse du gouvernement. Après les fermetures, la plupart des scientifiques et des professionnels de la santé se sont tus, craignant une perte de réputation et financière. Le Dr Ladapo était différent, le 24 mars 2020, toujours dans la fenêtre de « 15 jours pour aplatir la courbe », a-t-il écrit dans USA Today :

    Nous nous inquiétons et nous fulminons. En tant que pays, nous avons été pris au dépourvu après avoir reçu des avertissements sur ce qui nous attendait lorsque des cas de Covid-19 ont commencé à exploser à Wuhan, en Chine. Les messages des dirigeants locaux et étatiques sur la manière de répondre à la pandémie changent presque quotidiennement - un signe certain qu'ils n'ont aucune idée de ce qu'ils font. Des fermetures se produisent ici en Californie et à New York, et se propageront probablement au reste de la nation….

    Voici le problème : en raison de la peur et de l'hystérie (compréhensibles) du moment, peu de dirigeants américains parlent sérieusement de la fin de la partie. Les modèles épidémiologiques que j'ai vus indiquent que les fermetures et les fermetures d'écoles ralentiront temporairement la propagation du virus, mais lorsqu'elles seront levées, nous reviendrons essentiellement là où nous avons commencé. Et, soit dit en passant, quoi qu'il arrive, nos hôpitaux seront toujours débordés. Il y a déjà eu trop de propagation communautaire pour empêcher cette inévitabilité.

    Nous n'avons pas de gouvernement totalitaire comme la Chine, et nous accordons trop d'importance à nos libertés civiles pour prendre les mesures (c'est-à-dire un confinement total) qui seraient nécessaires pour réduire rapidement le taux d'infection à zéro. Cela signifie que, même avec des arrêts, le virus se propagera toujours. Malheureusement, cela signifie également que les taux d'« immunité communautaire », souvent appelée « immunité collective », vont ralentir. En conséquence, nous serons toujours vulnérables à la propagation rapide du virus dès que les mesures de fermeture seront levées, à moins qu'elles ne soient immédiatement réappliquées, encore et encore.

    A-t-il été la première voix post-confinement de la santé publique à s'opposer profondément dans un forum public de cette ampleur ? Peut-être ainsi. Considérez la bravoure et la présence d'esprit qu'il a fallu pour écrire ces phrases. Le pays tout entier était sur le pied de guerre avec des horreurs sans précédent qui se déroulaient. Les médias criaient « Courez pour sauver votre vie », mais la plupart d'entre nous n'étaient même pas autorisés à sortir de chez nous pour le faire.

    C'était une époque complètement folle. Le monde entier devenait fou. Et pourtant, cet homme a gardé son sang-froid.

    Ce livre explique d'où vient son sang-froid. Vous voyez, il est le fils d'un immigrant du Nigeria, né en 1979. Un génie des mathématiques et des sciences, il a fréquenté Wake Forest, puis est entré à la Harvard Medical School. Alors qu'il était impliqué dans ses études, il a noté l'existence de la Kennedy School of Government et s'y est également inscrit. Le jour de la remise des diplômes, il a obtenu un doctorat en médecine et un doctorat en politique publique. Donc essentiellement: les plus hautes références dans deux domaines que ce pays offre. Il est devenu professeur de médecine à l'Université de New York puis à l'Université de Californie à Los Angeles.

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  28. J'écris alors que le Dr Fauci vient de terminer sa dernière conférence de presse sans offrir le moindre soupçon d'excuses pour ce qui s'est passé. Pendant ce temps, je suis sûr que le Dr Ladapo s'occupe de son travail en Floride où il a été chargé de traiter la politique de santé publique avec honnêteté, vérité et sagesse. Je sais qui obtient mon vote pour le héros de la pandémie.

    https://www.zerohedge.com/political/doctor-who-can-rebuild-trust-joseph-ladapo

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  29. Professeur anti-confinement de Stanford : "La liberté académique est morte"


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 25 NOVEMBRE 2022 - 20:15
    Écrit par Steve Watson via Summit News,


    Un professeur de Stanford qui a contesté l'orthodoxie des confinements a averti que "la liberté académique est morte" et que tous ceux qui ont résisté au récit du régime sont désormais confrontés à "un environnement de travail profondément hostile".

    Le Dr Jay Bhattacharya, auteur de la déclaration de Great Barrington dans laquelle des milliers de scientifiques ont appelé à une politique d'immunité collective contre les confinements, a averti que « lorsque vous prenez une position qui est en contradiction avec le clergé scientifique, votre vie devient un enfer vivant ». .”

    S'exprimant récemment lors de la conférence sur la liberté académique à la Graduate School of Business de Stanford, Bhattacharya, qui a précédemment décrit les verrouillages comme la politique la plus catastrophiquement nuisible de "toute l'histoire" et "la pire erreur de santé publique des 100 dernières années", a noté " nous avons un haut clergé qui déclare d'en haut ce qui est vrai et ce qui n'est pas vrai.

    Regardez:

    - voir clip sur site -

    Ce week-end, je participerai avec le professeur John Ioannidis à une conférence sur la liberté académique à Stanford. Les organisateurs de la conférence ont invité les professeurs qui n'étaient pas d'accord avec nous à participer à la session, mais ils ont refusé.
    1/3
    – Jay Bhattacharya (@DrJBhattacharya) 3 novembre 2022

    La conférence sera diffusée publiquement en direct. Je ne comprends pas pourquoi il y a des journalistes et des professeurs de Stanford qui s'opposent à la liberté d'expression sur le campus sur des questions d'intérêt public. Chacun est libre d'être en désaccord.
    3/3https://t.co/dnfGVwXA3k
    – Jay Bhattacharya (@DrJBhattacharya) 3 novembre 2022

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  30. Dans une autre interview avec Fox News, Bhattacharya a noté: «Le principe de base est que si vous n'avez pas de protection et de liberté académique dans les cas difficiles, lorsqu'un membre du corps professoral a une idée impopulaire parmi certains autres professeurs - faculté puissante, ou même l'administration… S'ils ne le protègent pas dans ce cas, alors vous n'avez pas du tout la liberté académique.

    Bhattacharya et des milliers d'autres universitaires et scientifiques ont été initialement vilipendés pour des fermetures accablantes, mais ont depuis été justifiés car le bilan sociétal et médical des fermetures a été révélé.

    Bhattacharya a déclaré à propos de la déclaration: "Le but du document d'une page visait à dire au public qu'il n'y avait pas de consensus scientifique en faveur du verrouillage, qu'en fait de nombreux épidémiologistes, de nombreux médecins, de nombreuses autres personnes - des personnalités importantes - n'étaient pas d'accord avec le consensus.

    Le professeur a ensuite décrit comment les partisans de la déclaration étaient systématiquement exclus des discussions et des débats.

    "Si Stanford était vraiment vraiment attaché à la liberté académique, ils auraient… travaillé pour s'assurer qu'il y avait des débats et des discussions, des séminaires, où ces idées étaient discutées entre les professeurs", a-t-il exhorté, ajoutant que "le pouvoir a remplacé l'idée de vérité comme le phare. »

    "Vous avez donc quelqu'un comme Tony Fauci qui dit sans ironie que si vous m'interrogez, vous n'interrogez pas simplement un homme, vous interrogez la science elle-même", a ajouté Bhattacharya, ajoutant "C'est un exercice de pouvoir brut, où il se place effectivement comme le pape de la science plutôt que comme un véritable désir d'apprendre la vérité.

    "Ils ont systématiquement essayé de donner l'impression que tout le monde était d'accord avec leurs idées sur la politique COVID, alors qu'en fait il y avait un profond désaccord entre les scientifiques et les épidémiologistes sur la bonne stratégie", a affirmé le professeur.

    Bhattacharya a également appelé le nouveau propriétaire de Twitter, Elon Musk, à « exposer le régime de censure du gouvernement » :

    La mesure la plus importante que Twitter pourrait prendre pour promouvoir la liberté d'expression est de divulguer toute la correspondance entre les censeurs de Twitter et les représentants du gouvernement au cours des 3 dernières années. Exposez le régime de censure du gouvernement, @elonmusk ! https://t.co/HI33P6vtYx
    – Jay Bhattacharya (@DrJBhattacharya) 24 novembre 2022

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  31. Les commentaires de Bhattacharya interviennent alors qu'une nouvelle analyse des données fédérales et étatiques a révélé que pour la première fois, une majorité d'Américains mourant du COVID étaient au moins partiellement vaccinés.

    "Cinquante-huit pour cent des décès par coronavirus en août étaient des personnes vaccinées ou boostées", rapporte le Washington Post dans un article intitulé "Covid n'est plus principalement une pandémie de non vaccinés".

    - voir clip sur site -

    https://www.zerohedge.com/political/anti-lockdown-stanford-professor-academic-freedom-dead

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  32. Peut-être aurons-nous la vérité une fois que les républicains prendront le pouvoir. Fauci a promis de coopérer, mais soyez assuré qu'il continuera d'être le petit médecin glissant. Ensuite, il y a le procès contre l'administration Biden où Fauci est déposé aujourd'hui. Il est un peu plus difficile d'échapper aux questions des avocats chevronnés qui vous ont pendant huit heures.

    Quoi qu'il en soit, demain à table, alors que vous contemplez vos bénédictions et lorgnez la dinde, remerciez particulièrement du fond du cœur que ce petit mégalomane ne maudira plus le public de sa présence.

    Subscribe to The Reactionary

    https://www.zerohedge.com/covid-19/vaccinated-now-account-majority-covid-deaths

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  33. Coup de théâtre en France : en seulement 5 mois, l’Etat a versé 9,56 millions d’euros au cabinet McKinsey


    By Cheikh Dieng
    25 novembre 2022


    Macron est dans de beaux draps. En effet, ce 24 novembre, plusieurs médias ont relayé l’enquête du PNF (Parquet National Financier) sur des soupçons de financement illégal de la campagne d’Emmanuel Macron en 2017. La justice se penchera surtout sur les relations entre le cabinet américain McKinsey (qui s’est vu octroyer d’importants contrats publics) et le chef de l’État. Une information confirmée par le PNF dans un communiqué publié ce 24 novembre.

    Mais, il faut dire que cette décision, annoncée il y a quelques mois dans la presse, est le résultat d’une forte pression politique exercée par des élus et des juristes qui se disent choqués de l’influence de plus en plus grandissante d’un cabinet de conseil étranger sur le pouvoir français.

    Pour vous donner une idée de l’emprise de McKinsey sur l’Elysée, Lecourrier-du-soir.com a ainsi décidé de republier un article daté 30 septembre 2021 révélant que McKinsey a touché 9,56 millions d’euros de l’Etat français en 5 mois. La révélation avait été faite par le média Consultor, spécialisé dans les relations entre Etat et cabinets de conseil

    Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire l’article dans sa version intégrale

    Excellente lecture

    “En 5 mois, entre décembre 2020 et mai 2021, l’Etat français, dirigé par Emmanuel Macron, a versé 9,56 millions d’euros au cabinet de conseil américain, McKinsey, qui gère la campagne de vaccination contre le Covid

    Une nouvelle révélation qui risque de provoquer un vif tollé en France. En effet, en pleine crise sanitaire, l’implication du très puissant cabinet de conseil américain McKinsey est, une nouvelle fois, au cœur du débat. Et pour cause ! L’entreprise américaine à qui l’État français a confié la gestion de la campagne de vaccination a ramassé un pognon de dingue dans une mission qui aurait peut-être pu être confiée à des fonctionnaires d’Etat.

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  34. En tout cas, les chiffres présentés par le média Consultor.fr vont déclencher une énorme polémique. C’est du moins l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 29 septembre. D’après la source, entre décembre 2020 et mai 2021 (en 5 mois), le cabinet américain a facturé 9,56 millions d’euros à l’État français.

    Sur ce, Consultor dira : “cinq paiements de décembre 2020 à mai 2021 pour un total de 9,56 millions d’euros : tel est le total des honoraires acquittés par le ministère de la Santé à McKinsey pour l’accompagnement fourni au ministère pour le déploiement de la vaccination covid-19 selon des documents obtenus par l’association Anticor et consultés par Consultor.”

    Détaillant les différentes factures, le média renseigne : “une première, facturée 3,2 millions d’euros, est notifiée au cabinet le 8 décembre 2020. Elle porte sur l’accompagnement de l’équipe interministérielle dans la définition d’une stratégie cible visant à doter l’ensemble du territoire français des doses de vaccins. Une deuxième, facturée 169 000 euros, est notifiée au cabinet le 23 décembre. McKinsey doit notamment assurer la coordination entre Santé Publique France (SPF), l’agence sous tutelle du ministère de la Santé, notamment chargée du suivi épidémiologique, et le ministère de la Santé. Une troisième, facturée 605 000 euros et notifiée à McKinsey le 14 janvier 2021, avait, elle, trait à la mise en place d’une « tour de contrôle » stratégique auprès de SPF.”

    Mais, ce n’est pas tout, car la source ajoutera : “quatre millions d’euros donc. Une facture qui s’est sensiblement alourdie depuis. Selon des documents communiqués par la direction générale de la Santé à Anticor, deux autres factures ont suivi sur l’accompagnement de McKinsey auprès du ministère. Une de 2,6 millions d’euros pour un bon de commande en date du 9 mars. Puis une facture de 2,9 millions d’euros pour un bon de commande en date du 18 mai.”

    Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois que le cabinet américain McKinsey attise la curiosité des médias en France. En effet, en décembre 2020, alors que la campagne de vaccination venait de démarrer, son nom a été très largement cité dans la presse en raison des rémunérations colossales qu’il reçoit de l’Etat français.

    Et il n’est pas le seul. D’autres cabinets de conseil ont aussi été cités. D’ailleurs, dans une révélation faite en juin 2021 par Le Nouvel Obs, en trois ans, 500 commandes ont été passées avec des cabinets de conseil pour un montant de 43 milliards d’euros.”

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-en-france-en-seulement-5-mois-letat-a-verse-956-millions-deuros-au-cabinet-mckinsey/

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    1. "Ce n'est pas vous qui payez c'est le gouvernement !" (F.H.)

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  35. Scandale en France : Macron décrète la fin de l’abondance, mais le budget 2023 de l’Elysée atteindra 110,5 millions d’euros


    By Cheikh Dieng
    26 novembre 2022


    “Fin de l’abondance”, prévenait Macron. Mais, pour qui ? Telle est la question.

    En tout cas, dans un contexte de guerre en Ukraine marquée par une forte inflation qui plombe les ménages, l’Elysée voit ses dépenses pour l’année 2023 monter en flèche. C’est du moins ce qui ressort d’un rapport du Sénat français relayé, ce 25 novembre, par le média PublicSénat.fr.

    “Rares sont les lignes dans le projet de loi de finances pour 2023 à ne pas être revalorisées, dans le contexte d’inflation élevée que la France traverse. La dotation demandée par l’Élysée n’y échappe pas. Le budget de la présidence de la République augmentera de 4,9 % pour attendre 110,5 millions d’euros. Principalement sous l’effet de la revalorisation du point d’indice de la fonction publique (les dépenses de personnels représentent les deux tiers du budget de l’Élysée), et la reprise d’une activité soutenue, notamment de déplacements à l’étranger”, renseigne la source.

    Et d’ajouter : “une partie significative de la hausse est surtout portée par l’évolution des dépenses de fonctionnement. Celles-ci progressent en 2023 de 12,6 %, soit le double de l’inflation mesurée actuellement. D’après le rapport sénatorial, la présidence de la République justifie cette augmentation par l’inflation, la poursuite des travaux « visant à garantir la sécurité des emprises » (réseaux électriques) ou encore l’évolution des outils numériques”.

    Parmi les dépenses, on note le poste de la sécurité qui a connu une hausse de 54,1 % sur un an. “Une augmentation ‘bien fondée'”, selon le média qui cite un sénateur. “Le fait que l’on protège l’Élysée contre les cyberattaques m’apparaît nécessaire”, admet Jean-Pierre Sueur, sénateur socialiste.

    https://lecourrier-du-soir.com/scandale-en-france-macron-decrete-la-fin-de-labondance-mais-le-budget-2023-de-lelysee-atteindra-1105-millions-deuros/

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  36. Biden alloue 1,1 milliard de dollars pour maintenir la centrale nucléaire de Californie en activité


    Par Jill McLaughlin
    22 novembre 2022


    La dernière centrale nucléaire en activité de Californie a reçu une nouvelle augmentation de financement le 21 novembre alors que les opérateurs cherchent à la maintenir en activité pendant encore huit ans.

    Le département américain de l'énergie a accordé à la centrale nucléaire de Diablo Canyon, située dans le centre de la Californie près de San Luis Obispo, 1,1 milliard de dollars du programme de crédit nucléaire civil financé par un projet de loi sur les infrastructures adopté par le Congrès en 2021.

    "Il s'agit d'une étape cruciale pour garantir que notre parc nucléaire national continuera de fournir une électricité fiable et abordable aux Américains en tant que plus grande source d'électricité propre du pays", a déclaré la secrétaire américaine à l'Énergie, Jennifer Granholm, dans un communiqué le 21 novembre.

    L'énergie nucléaire fournit la moitié de l'électricité sans carbone du pays, selon l'agence. Depuis 2013, 13 réacteurs à travers les États-Unis ont fermé.

    Les conditions définitives du financement devront être finalisées par le ministère de l'Énergie, ont indiqué des responsables. L'usine produit environ 15 % de l'énergie renouvelable de la Californie.

    Il a produit environ 9 % de l'énergie de l'État l'année dernière, selon la commission de l'énergie de l'État.

    Les politiciens ont applaudi le financement qui aidera à prolonger la durée de vie de la centrale électrique autrefois condamnée.

    "Cet investissement ouvre la voie à une extension à durée limitée de la centrale électrique de Diablo Canyon afin de soutenir la fiabilité dans tout l'État et de fournir une rampe de lancement pour que davantage de projets d'énergie propre soient mis en ligne", a déclaré le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, dans un communiqué.

    Newsom a signé une loi le 1er septembre pour annuler les plans de fermeture de l'usine, qui devait fermer en 2025.

    Le projet de loi était essentiel pour empêcher les pannes de courant et l'augmentation des prix de l'électricité en Californie, selon l'auteur, le sénateur Bill Dodd (D-Napa). Il permet à Pacific Gas & Electric (PG&E) de continuer à exploiter l'usine jusqu'en 2030. Il a également autorisé un prêt-subvention de 1,4 milliard de dollars de l'État pour aider à prolonger les opérations.

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  37. PG&E a accepté il y a six ans de fermer l'usine sous la pression des groupes environnementaux et de la communauté locale.

    La sénatrice Dianne Feinstein (D-Californie) a déclaré dans un communiqué qu'elle se félicitait de la nouvelle.

    "Cette prolongation à court terme est nécessaire si la Californie veut atteindre ses objectifs ambitieux en matière d'énergie propre tout en continuant à fournir une énergie fiable", a écrit Feinstein. "Ceci est particulièrement critique car le réseau électrique californien a été confronté à des défis croissants liés à des événements météorologiques extrêmes alimentés par le climat."

    Le mois dernier, PG&E a demandé une nouvelle licence d'exploitation à la Nuclear Regulatory Commission, selon le bureau de Feinstein.

    Plusieurs groupes environnementaux se sont opposés au renouvellement du permis. Mothers for Peace, Friends of the Earth, Environmental Working Group et Committee to Bridge the Gap ont envoyé une lettre à la U.S. Nuclear Regulatory Commission demandant aux membres de ne pas ressusciter la demande de renouvellement.

    Un avocat du groupe anti-nucléaire Mothers for Peace, basé à San Luis Obispo, a affirmé dans la lettre qu'un accident radiologique dans les réacteurs vulnérables aux tremblements de terre pourrait avoir des impacts catastrophiques sur la santé publique, l'économie et l'environnement.

    Suite à l'annonce du financement, la Fondation Samuel Lawrence, une organisation à but non lucratif anti-déchets nucléaires basée à San Diego, a été déçue par l'allocation de financement fédéral, selon un article sur Twitter.

    « Nous sommes déçus que notre gouvernement soutienne l'extension de Diablo Canyon [N]uclear [P]ower [P]lant. Comment pouvons-nous passer à une énergie propre et durable tout en privilégiant le nucléaire à l'éolien et au solaire ? Sans parler de la menace que représentent les déchets ! écrit la fondation.

    https://www.theepochtimes.com/biden-allocates-1-1-billion-to-keep-californias-nuclear-power-plant-operating_4878011.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  38. La radicalisation rampante du militantisme climatique

    Le militantisme climatique franchit la ligne de la violence. Heureusement, la dure réalité semble finalement s’imposer aux États membres de l’UE.


    le 26 novembre 2022
    Pieter Cleppe


    Cet automne, dans toute l’Europe, les soi-disant activistes climatiques ont mené des actions qui non seulement ont enfreint la loi mais ont également consisté en des actes de vandalisme et de violence physique.

    À la National Gallery de Londres, deux femmes ont jeté de la soupe sur un tableau de Vincent Van Gogh ; dans un musée allemand, d’autres activistes ont badigeonné un tableau de Claude Monet avec de la purée de pommes de terre ; et bien sûr l’activiste belge Wouter Mouton a sévi l’été dernier à la fois à Bruges, sur une œuvre de Van Eyck, ainsi qu’à à La Haye, où la cible était le chef-d’œuvre de Vermeer La jeune fille à la perle. En Belgique, il s’en est tiré avec une facture de 1000 euros mais aux Pays-Bas il a été condamné à un mois de prison ferme. En réponse à cette dernière, Extinction Rebellion, l’un des groupes d’action pour le climat, a menacé de lancer une « vague d’actions ».

    Les militants affirment ne pas recourir à la violence. Mais salir une œuvre d’art, quand bien même elle elle est protégée par une vitre, relève désormais du vandalisme, indépendamment des nuisances occasionnées. Ainsi, dans une déclaration commune, des dizaines de directeurs de grands musées du monde entier, dont le Louvre à Paris, le Prado à Madrid, le Guggenheim à New York et les Uffizi à Florence, ont appelé les vandales du climat à cesser leurs agissements. Ils se disent « profondément choqués par ces actions qui mettent en danger l’art » et ajoutent que « les activistes sous-estiment la fragilité de ces objets irremplaçables ».

    Franchir la ligne de la violence

    Entretemps, la ligne de la violence a déjà été franchie.

    Au Portugal, des fanatiques du climat ont pris d’assaut un bâtiment gouvernemental et exigé en hurlant la démission du ministre de l’Économie qui a dû fuir le bâtiment. Dans les médias allemands, l’extrémiste climatique d’extrême gauche Tadzio Müller a ouvertement déclaré qu’il était de « notre satané devoir » de faire sauter les pipelines, prônant le terrorisme vert, affirmant que le meurtre était « politiquement contre-productif ».

    Son homologue suédois Andreas Malm, professeur émérite à l’université de Lund, en « écologie humaine », a même rédigé un manuel intitulé « Comment faire sauter un pipeline », qui prescrit :

    « Endommagez et détruisez les nouveaux appareils qui émettent du gaz carbonique. Mettez-les hors service, démontez-les, démolissez-les, brûlez-les, faites-les sauter. Faites savoir aux capitalistes qui continuent à investir dans le feu que leurs biens seront détruits. »

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  39. Malm n’est pas seule. Luisa Neubauer, l’équivalent allemand de Greta Thunberg, a récemment posté sur Instagram comment elle et ses alliés prévoyaient de « faire sauter des pipelines » , ce qu’elle a ensuite essayé de minimiser en évoquant une blague.

    À la suite de l’action d’un manifestant de Just Stop Oil, un autre de ces groupes notoires, un camion a provoqué un accident sur une autoroute britannique, blessant un policier peu de temps après qu’un accident sur place dû à un embouteillage provoqué par des « blocages climatiques » a déjà coûté la vie à deux femmes dont un médecin de 40 ans. Toujours à Berlin, une ambulance en route pour s’occuper d’un cycliste gravement blessé s’est retrouvée coincée dans les embouteillages provoqués par l’obstruction de la voie publique.

    Malgré tout cela, l’action climatique continue de bénéficier du soutien de certains médias. En Allemagne, la chaîne de télévision WDR, financée par le gouvernement, a même énuméré les avantages et les inconvénients du vandalisme artistique, la liste des avantages étant deux fois plus longue.

    Greenpeace soutient ouvertement les actions, paie les frais de justice après coup et fournit également locaux, matériel et savoir-faire. Le financement direct provient du « Climate Energy Fund » (CEF) américain, qui a déjà dépensé 5 millions de dollars cette année.

    Soutien politique au militantisme climatique

    Les actions bénéficient également d’un soutien au niveau politique.

    La coprésidente des Verts flamands, Nadia Naji, a vivement fustigé la critique timide des actions récentes formulée par le Premier ministre belge lors de son discours à la COP27 en Égypte.

    L’alarmisme climatique a profondément pénétré les plus hauts niveaux politiques en Europe.

    Par exemple, le chef de cabinet du commissaire européen chargé de la politique climatique, Frans Timmermans, est issu de l’écurie de Greenpeace. Diederik Samsom a reconnu avoir été lui-même arrêté dix fois par la police dans le passé et ne pas le regretter.

    La ministre belge de l’Énergie, Tinne Van der Straeten, a également donné une interview particulièrement alarmiste depuis l’Égypte. Elle a déclaré :

    « C’est la dernière décennie pour agir contre le changement climatique. Nous sommes en enfer climatique et nous ne devrions pas nous contenter de le dire pendant les deux semaines de la conférence sur le climat. »

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  40. Outre le fait que ce type d’hystérie climatique est probablement plutôt contre-productif pour la cause des militants du climat et que 2000 scientifiques ont déjà déclaré en 2007 qu’il restait « dix ans pour éviter la catastrophe », les rapports officiels n’indiquent pas non plus qu’il y a urgence.

    C’est du moins ce qu’affirme le professeur Gerard Govers, vice-recteur du département des sciences de la KU Leuven, se référant aux nouvelles projections sur le réchauffement de la planète de l’agence des Nations unies pour l’environnement et de l’Agence internationale de l’énergie :

    « Les scénarios climatiques apocalyptiques sont désormais abandonnés en masse. »

    Selon le célèbre chercheur danois Bjorn Lomborg, le changement climatique est effectivement un défi mais l’hystérie est injustifiée :

    « Nous recevons des rapports incessants sur les catastrophes, qu’il s’agisse de la dernière vague de chaleur, d’une inondation, d’un feu de forêt ou d’une tempête. Pourtant, les données montrent de manière écrasante qu’au cours du siècle dernier le monde est beaucoup plus en sécurité face à tous ces phénomènes météorologiques. »

    Le publiciste Andrew Hammel prévient qu’il est important de tirer les leçons des actions terroristes d’extrême gauche allemande des années 1970, dont les militants n’ont alors « jamais bénéficié du soutien du grand public, mais ont été aidés par un réseau clandestin de sympathisants, généralement des journalistes, des militants, des avocats et des professeurs d’extrême gauche », ce qui était vital pour leur radicalisation.

    Les politiciens ou faiseurs d’opinion qui ne condamnent pas le vandalisme climatique antidémocratique portent donc une grande responsabilité.

    Réparations pour les dommages climatiques

    Pendant ce temps, les politiques climatiques actuelles ne font que se resserrer.

    Par exemple, lors de la COP27 en Égypte, plusieurs pays industrialisés, dont la Belgique, l’Allemagne, le Danemark et l’Autriche, ont même accepté l’idée de réparations pour les « dommages climatiques ». La Belgique s’est déjà engagée à verser 25 millions d’euros au Mozambique au moment même où le premier navire-citerne quittait le pays africain avec du gaz GNL – un combustible fossile, donc – destiné à aider à résoudre la pénurie de gaz en Europe. L’hypocrisie climatique ne connaît vraiment aucune limite.

    Il ne faut pas non plus s’étonner que la Commission européenne soutienne pleinement un nouveau durcissement de la politique climatique. Lors de la CO27 le commissaire chargé du climat, M. Timmermans, a annoncé que les objectifs climatiques de l’UE d’ici 2030 « peuvent désormais être portés à 57 % », et ce alors que le système européen d’échange de quotas d’émission ETS – en fait une taxe climatique européenne – est étendu à de plus en plus de secteurs.

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  41. Heureusement, la dure réalité semble finalement s’imposer aux États membres de l’UE. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est lancée sur la voie de l’alarmisme et de la religion lors de la COP27, en déclarant : « Ne prenons pas l’autoroute de l’enfer […] mais gagnons notre billet propre pour le Paradis ».

    La présidence tchèque du Conseil de l’UE a adopté un ton très différent par l’intermédiaire de Jozef Síkela, le ministre tchèque de l’Énergie, qui a préconisé de « considérer les choses du point de vue de l’industrie », qui est justement aujourd’hui soumise à une forte pression en Europe en raison d’une pénurie de combustibles fossiles, conséquence directe des politiques de l’UE et des États membres visant à les éliminer progressivement.

    Le reste du monde, lui aussi, semble ignorer de plus en plus l’ambition prohibitive des zélateurs européens du climat de parvenir à un zéro net, c’est-à-dire de ne pas ajouter à l’atmosphère plus de gaz à effet de serre que nous n’en aurons éliminé d’ici à 2050. Selon le chef de la délégation de l’UE à la COP27, Jacob Werksman, les négociateurs de l’UE ont été déçus que les autres pays n’aient « pas présenté de stratégies plus convaincantes pour atteindre le net zéro d’ici le milieu du siècle ».

    Peut-être que le froid hivernal et les factures d’énergie qui l’accompagnent pourraient refroidir les activistes climatiques surchauffés et leurs larbins politiques.

    https://www.contrepoints.org/2022/11/26/444198-la-radicalisation-rampante-du-militantisme-climatique

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    1. Bien-sûr ce nano-groupuscule d'extrémistes verts trisomiques ne sont pas des scientifiques ! sans quoi ils seraient intelligents, mais, mais ils sont soutenus par les gouvernement de merde et tous merdias confondus dans la même casserole, ils ou elles se vantent des exploits que peuvent faire des terroristes en herbes (aux côtés de ceux importés sous l'étiquette 'réfugiés climatiques' !!).

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  42. Nucléaire : à l’origine était Superphénix, puis vint le déclin avec Jospin

    L’abandon de Superphénix fut plus qu’une erreur technique, humaine et financière, ce fut une faute grave contre la France.


    Michel Gay
    le 26 novembre 2022
    Un article de Conflits


    L’origine de la décision politique de l’arrêt définitif du réacteur nucléaire surgénérateur Superphénix par le gouvernement de Lionel Jospin le 2 février 1998 s’apparente au fameux « effet papillon » : le battement de l’aile d’un papillon au Brésil peut aboutir à la formation d’un cyclone au Texas ou en Indonésie. Le résultat de cette décision annoncée (elle figurait dans son programme pour se faire élire avec les voix des Verts) fut un désastre technique (abandon d’une filière d’avenir), humain (pertes de compétences) et financier (pertes de milliards d’euros).

    Pour illustrer l’impuissance de l’homme à prédire le comportement des systèmes complexes, le mathématicien Lorentz avait pris l’exemple des phénomènes météorologiques en disant qu’il « suffisait du battement de l’aile d’un papillon au Brésil pour aboutir dix jours plus tard à la formation d’un cyclone quelque part en Indonésie » (Georges Charpak et Rolland Omnès dans Soyez savants, devenez prophètes).

    Le battement d’aile du papillon

    Ainsi, un incident mineur (le battement d’aile du papillon) dans la centrale de Superphénix le 3 juillet 1990 fut à l’origine d’un incroyable enchaînement de crises « administratives » entièrement créées par un nombre réduit d’acteurs antinucléaires. Ces derniers ont su habilement exploiter les recours juridiques et l’émotion populaire pour finalement aboutir à la fermeture de cette centrale en 1998.

    Au mois de juin 1990, ce réacteur fonctionnait normalement à 90 % de sa puissance nominale lorsque des mesures de surveillance montrent une lente oxydation du sodium du réacteur. Ce défaut détecté reste toutefois largement inférieur aux limites admissibles spécifiées par les critères de sûreté.

    Il est cependant décidé d’arrêter momentanément le réacteur le 3 juillet 1998 afin d’en déterminer l’origine. Elle se révèlera être une petite membrane en néoprène (quelques centimètres de diamètre) dans le compresseur d’un circuit auxiliaire qui, déchirée, laisse entrer un peu d’air.

    Ce sera « le battement d’aile du papillon »

    Une membrane en néoprène…

    Cette membrane sera le prétexte saisi qui conduira de fil en aiguille à la fermeture du réacteur Superphénix huit ans plus tard à cause d’un mélange de malveillances d’opposants et de lâchetés politiques.

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  43. La tourmente judiciaire et une volonté politique du gouvernement Jospin pour conserver les rênes du pouvoir avec l’appui des Verts (Dominique Voynet) conduira à tuer (assassiner ?) cette formidable réalisation commune de la France, de l’Italie et de l’Allemagne.

    Injustement discrédité par les médias, ce remarquable réacteur, alors unique au monde, sera finalement sacrifié sur l’autel de l’éphémère « majorité plurielle » arrivée au pouvoir en juin 1997 avec Lionel Jospin comme Premier ministre. Il était cent fois plus efficace et économe en combustible uranium que les réacteurs « classiques » précédents.

    L’année précédente (1996), la centrale électrique Superphénix, dont la mise au point était terminée, avait eu un excellent taux de disponibilité (96 % de temps de fonctionnement dans l’année).

    L’investissement était totalement réalisé et le combustible déjà fabriqué était encore capable de produire 30 milliards de kWh (30 TWh). Il ne restait donc plus qu’à recueillir le fruit de tous les efforts humains et financiers consentis depuis 10 ans en exploitant cette source de richesses.

    Superphénix aurait pu participer « en même temps » et à peu de frais à la recherche sur la transmutation des déchets radioactifs de haute activité et à longue durée prévue par la loi de décembre 1991.

    Une faute majeure

    Près de 25 ans plus tard, la triple faute de Lionel Jospin (qui s’en défend) apparaît au grand jour :

    1) Une faute scientifique et technologique qui a entraîné la perte d’un capital humain considérable de savoir et d’expérience. Et ce n’est pas l’abandon du projet de démonstrateur de réacteur surgénérateur de quatrième génération ASTRID en janvier 2020 par le président Macron qui va améliorer les compétences françaises dans ce domaine.

    2) Une faute économique et une gabegie financière (plusieurs milliards d’euros) dont ni la centrale, ni ses concepteurs, ni son exploitant ne portent la responsabilité. Cette décision politique a conduit au démantèlement des installations de recherche et à la dissolution du tissu industriel spécifique dédiés à cette technologie des réacteurs surgénérateurs dits « à neutrons rapides » (RNR).

    3) Une faute sur le plan de l’emploi et de la production massive pilotable et durable d’une électricité pour le soutien de l’industrie.

    Le réacteur RNR Phénix (qui avait précédé Superphénix) a été mis en service en 1973 et exploité pendant 36 ans jusqu’en février 2010 pour acquérir une expérience destinée à compléter les connaissances sur la filière des réacteurs à neutrons rapides (RNR) au sodium.

    Mais à qui serviront ces connaissances si aucun réacteur de ce type n’est construit avant le départ en retraite et le décès de tous ces ingénieurs et techniciens ?

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  44. Comment a-t-on pu en arriver là ?

    Les raisons de la décision de Lionel Jospin de fermeture définitive de Superphénix annoncée le 2 février 1998 se trouvent dans une réponse étonnante au député Michel Terrot le 9 mars 1998.

    Il y est reconnu que : « Superphénix représente une technologie très riche, développée par des personnels particulièrement motivés et performants qui ont montré que la France savait mettre au point des équipements technologiques innovants de très haut niveau […] Il faudra tirer profit de l’expérience accumulée et poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme ».

    De qui se moque-t-on ?

    Cette réponse surréaliste n’aide pas à comprendre le cheminement intellectuel des auteurs de ce vibrant hommage à Superphénix qui les conduit à cette terrifiante conclusion : puisque cette « technologie très riche » est remarquable, il faut l’abandonner et perdre l’expérience de ces « personnels particulièrement motivés et performants ».

    Et en même temps, malgré cet arrêt, « tirer profit de l’expérience accumulée », et surtout « poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme ».

    Quelle hypocrisie !

    Ce prétendu hommage en forme d’oraison funèbre sonne faux. Il est d’autant plus insoutenable qu’il émane des tueurs eux-mêmes dont le magazine Le Point dresse une liste non exhaustive le 26 octobre 2022.

    Aucune vision à long terme

    Quelle inconséquence vis-à-vis de l’avenir de la France et quelle perte pour la recherche et la technologie !

    L’abandon de Superphénix fut plus qu’une erreur technique, humaine et financière, ce fut une faute grave contre la France, ce dont personne ne semble aujourd’hui responsable devant les Français pourtant favorables à 75 % à l’énergie nucléaire !

    La France continuera longtemps encore à payer le prix de cette trahison nationale alors que nos concurrents progressent dans la voie des RNR de quatrième génération (États-Unis, Russie, Chine, Inde).

    En 2005, l’Inde a entrepris la construction d’un réacteur à neutrons rapides du même type que Superphénix… avec l’aide de techniciens français, tandis que déjà 5 RNR fonctionnent ou sont sur le point de démarrer dans le monde (Russie, Chine, Inde).

    En France, avec le rendez-vous manqué du démonstrateur Astrid et la future quatrième génération de réacteurs nucléaires, nos enfants assisteront peut-être au-delà de 2050 au développement d’un nouveau Phénix ou d’un Superphénix renaissant de leurs cendres… Mais ils seront construits par les Américains, les Russes, les Indiens ou… les Chinois dont les Français seront, avec un peu de chance, les sous-traitants, alors qu’ils avaient 20 ans d’avance il y a 25 ans.

    Décidément, la France manque cruellement d’hommes politiques dignes de ce nom ayant une vision claire et à long terme de l’intérêt général car malheureusement les successeurs de Jospin, animés aussi par leur soif du pouvoir, n’ont pas fait mieux.

    https://www.contrepoints.org/2022/11/26/444068-nucleaire-a-lorigine-etait-superphenix-puis-vint-le-declin-avec-jospin

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  45. Impact écologique : moins d’avion, plus de train, tous responsables

    Faire attention à son bilan carbone et à l’impact écologique de ses déplacements semble être l’intention des Français pour 2023.


    Par Benoit Vrignaud
    le 25 novembre 2022 à 15h14


    Les voyageurs sondés par VoyagePirates.fr livrent leur intention de faire attention à l'impact écologique de leurs voyages pour 60% d'entre eux.

    Voyager responsable et prendre en compte l’impact écologique, une préoccupation grandissante
    Un sondage du site VoyagesPirates.fr révèle l’intention des Européens : ils soigneront en 2023 le bilan carbone et l’impact écologique de leurs voyages. Bonne volonté pour le début d’année ou réelle prise de conscience, c’est aussi ce que détermine le sondage. Le site au moyen de son enquête recueille les réponses de 6.700 utilisateurs de sa plateforme, aussi bien au Royaume Uni, en France en Allemagne ou en Italie.

    Il est ainsi dévoilé que 42 % des particuliers interrogés ont fait attention à l’aspect écologique de leurs voyages en 2022. Et 2023 sera l’année du voyage écologique puisque 60 % des sondés vont prendre en compte ce paramètre au moyen de choisir, réserver ou payer leur déplacement. 15 % des Français sont même prêts à payer plus cher un éventuel billet d’avion si celui-ci comporte une empreinte carbone plus raisonnable qu’un billet moins cher mais plus polluant.

    Plus de train, moins d’avion voire compenser ailleurs

    L’organisation du temps de voyage rentre aussi en compte dans les intentions de voyage écologique. Ainsi 53 % des sondés révèlent être restés plus longtemps sur place afin de limiter l’impact écologique de leurs déplacements de vacances. Le train gagne des parts sur l’avion au moment de choisir le mode de transport. 27 % des voyageurs l’ont privilégié. Mais la difficulté du transport en train est encore un frein pour beaucoup. Aussi 78 % des sondés prendrait plus encore le train si plus de trajets directs, sans changements, étaient proposés.

    Parmi les 58 % qui déclarent n’avoir pas donné à leur voyages une attention quant à l’écologie, 37 % estiment qu’il ne s’agit pas encore d’une priorité, 34 % disent manquer d’information au moment de la préparation pour vraiment inclure la dimension écologique dans leurs paramètres de choix et 29 % trouvent les alternatives éco-responsables encore trop chères pour être envisagées dans leur budget. Cependant, l’écologie étant un état d’esprit, les voyageurs attestent renforcer leur bilan carbone d’une autre manière pour compenser l’émission due à un voyage. Ils ont pour cela recourt à par exemple pour 65 % d’entre eux à un soutien plus actif des commerces locaux.

    https://www.economiematin.fr/impact-ecologique-moins-avion-plus-train-tous-responsables

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    1. Encore plus de cons que prévu ! Comment faire pour augmenter le prix du billet (réservé aux riches) sans que les passagers ne contestent ? Faire appel aux piqués ! Ouaiiiiis !

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  46. Grève à GRDF : des clients sans eau chaude, ni chauffage

    Le distributeur de gaz GRDF fait face à une grève depuis plusieurs semaines maintenant. La situation se tend. De plus en plus de clients se retrouvent sans eau chaude, ni chauffage.


    Par Cédric Bonnefoy
    le 25 novembre 2022 à 8h24


    L’Île-de-France particulièrement impactée par la grève

    Le torchon brûle à GRDF. Depuis plusieurs semaines, les salariés du distributeur de gaz débrayent. Ils entendent demander des hausses de salaires pérennes dans le temps pour compenser les effets de l’inflation. Depuis plus de deux mois, la grève dure et s’enlise. Les négociations n’avancent pas. Conséquence : des rendez-vous clients pas honorés, les délais d’intervention des techniciens s’allongent. Au final, les particuliers trinquent.

    GRDF annonce que bon nombre de clients n’ont plus accès à l’eau chaude ni au chauffage désormais. Parmi les plus impactés par ce mouvement social, les habitants de la région Île-de-France. Ainsi, 80% des foyers ayant souscrit un contrat avec le distributeur sont concernés par ces coupures.

    La CGT relativise les chiffres de GRDF

    De son côté, la CGT temporise. Un accord sur les salaires a déjà été signé par les autres syndicats de l’entreprise. Il prévoit une hausse des revalorisations de l’ordre de 6,5 %. Insuffisant pour la Confédération Générale du Travail. En plus, cette dernière demande 2,3 % d’augmentation supplémentaire. Concernant les coupures, le syndicat avance d’autres arguments. Il n’y a pas de coupures à proprement parlées. Les activités de mise en service ou de raccordement sont le plus impactées par la grève.

    La CGT affirme que les interventions d’urgence sont effectuées normalement. Ainsi, cette situation pourrait durer. Le syndicat réfractaire n’entend pas lâcher. Par ailleurs, il n’exclut pas d’appeler à la grève après le 02 décembre, date de la fin du préavis actuel. Par conséquent, les négociations vont se poursuivent dans les prochains jours. Néanmoins, elles s’annoncent d’ores-et-déjà serrées et tendues.

    https://www.economiematin.fr/greve-a-grdf-des-clients-sans-eau-chaude-ni-chauffage

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    1. La nazional-socialiste vous propose un grillage (ou fil de fer barbelé) pour vous protéger du vent ! Avec passage au four pour les récalcitrants !

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  47. Chut ! Malgré un trimestre de bain de sang pour les prix de l'électricité, le charbon brun détesté se vend toujours à seulement 4c par KWh


    Par Jo Nova
    November 26th, 2022


    Nous n'avons jamais eu un autre troisième trimestre aussi cher

    Malgré l'établissement de records de prix - en moyenne 200 $ / MWh sur tout le trimestre pour l'ensemble du marché national de l'énergie des cinq États, il y a comme un cône de silence autour du prix du lignite. L'ABC est heureux d'évangéliser environ 30 minutes de "records sur les énergies renouvelables", mais ils ne mentionnent pas que les coûts totaux du système sur trois mois ont explosé comme une bombe.

    D'une manière ou d'une autre, l'Australie a toute cette énergie verte gratuite et bon marché et pourtant les prix de gros ont explosé. Le système est tombé en panne :

    - voir graph sur site -

    AEMO, Q3, 2022, rapport, graphique.
    Aucun autre Q3 n'a jamais été aussi cher.

    Mais un type de carburant innommable était encore bon marché
    Le prix de gros moyen pour tous les générateurs au dernier trimestre était de 20 cents le kilowattheure (ou 200 $ le mégawattheure), mais les générateurs de charbon brun étaient toujours en mesure de fournir pendant ce même trimestre incendiaire pour seulement 4c le KWh. C'était l'« enchère gagnante » moyenne. Ainsi, le dernier trimestre, le charbon brun était un cinquième du prix du charbon noir et un sixième du prix du gaz ou de l'électricité, et personne n'en parle.

    - voir graph sur site -

    AEMO, Q3, 2022, rapport, graphique.
    Les prix les moins chers étaient ceux du lignite. (Extrème droite)

    Imaginez si l'Australie avait un marché libre de l'électricité ?

    Réfléchissez un instant, si les ménages étaient autorisés à choisir le générateur auprès duquel ils veulent acheter de l'électricité ? Imaginez s'il y avait une entreprise qui vendait de l'énergie de lignite directement aux clients ?

    De toute évidence, le gouvernement devrait l'interdire ou le réglementer, sinon tout le monde l'achèterait. Si neuf ménages sur dix voulaient simplement de l'électricité fiable et bon marché, et qu'ils pouvaient l'obtenir, le réseau du marché libre serait plein de centrales au charbon. Si les centrales solaires et éoliennes devaient payer les lignes de transmission supplémentaires, les batteries et les générateurs de secours en un seul paquet, il y aurait un petit marché de niche pour les riches hipsters et les show-offs Gucci-grid.

    Le lignite ou beau lignite, est à l'abri de la crise internationale des valeurs énergétiques. Il ne peut pas être chargé sur des porte-conteneurs (il brûle spontanément). C'est notre assurance, notre électricité de base la moins chère, notre secours en temps de guerre ou d'inflation.

    Et il nous reste encore 300 ans de charbon à brûler (de la substance brune et noire). Si nous commencions maintenant, nous pourrions avoir de l'électricité bon marché dans moins de dix ans.

    RÉFÉRENCES
    Rapports AEMO

    Dynamique énergétique trimestrielle du 3e trimestre 2022, PDF

    Clean Energy Regulator 2022, Certificats de technologie à petite échelle

    https://joannenova.com.au/2022/11/shh-despite-a-bloodbath-quarter-for-electricity-prices-hated-brown-coal-still-sells-at-just-4c-per-kwh/#more-87326

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  48. La Californie interdit toutes les flottes de camions à essence et diesel


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 NOVEMBRE 2022 - 00:30


    L'Air Resources Board de Californie a élaboré un plan visant à interdire tous les camions à moteur diesel qui provoqueraient des ondulations inflationnistes dans l'ensemble de l'économie.

    Le plan exigerait que tous les nouveaux camions circulant autour des chemins de fer et des ports très fréquentés soient des véhicules à zéro émission d'ici 2024 - tandis que tous les camions diesel seraient progressivement supprimés d'ici 2035, et finalement, bannissant chaque flotte de camions et d'autobus des routes californiennes d'ici 2045, si possible, selon SFGATE.

    Le règlement proposé Advance Clean Fleets cible d'abord les zones de camionnage les plus fréquentées de l'État - autour des entrepôts, des ports maritimes et des chemins de fer. Le conseil affirme que la pollution dans ces zones affecte les communautés de manière disproportionnée.

    "De nombreux quartiers californiens, en particulier les communautés noires et brunes, à faible revenu et vulnérables, vivent, travaillent, jouent et fréquentent des écoles adjacentes aux ports, aux gares de triage, aux centres de distribution et aux corridors de fret et connaissent le trafic de camions le plus lourd", a écrit le conseil, qui affirme que ce type de pollution crée des risques pour la santé de ces communautés.

    Les représentants des industries du camionnage et de la construction étaient livides lors d'une récente audience sur la question – où plus de 150 commentateurs publics ont exprimé leurs opinions allant du réseau terriblement inadéquat de l'État à un manque général de capacité de charge pour gérer un passage massif aux véhicules à zéro émission si rapidement (dont l'électricité serait en partie produite par le charbon).

    "L'infrastructure ne peut pas être établie dans les délais impartis", a déclaré Mike Tunnell, représentant de l'American Trucking Association. "Les flottes devront déployer des camions qui ne peuvent pas faire le même travail que leurs camions actuels."

    Un autre orateur, le PDG de l'entreprise de construction Jamie Angus, a souligné les problèmes logistiques liés à la recharge des véhicules électriques.

    "Cela nous causera des dommages. Nous ne comprenons pas vraiment comment recharger ces véhicules", a-t-il dit, ajoutant "Ces équipements rentrent chez eux avec ces hommes tous les jours, ils devront donc être rechargés depuis chez eux ? Comment indemnisez-vous cette personne pour cela ?"

    De l'autre côté de la clôture, les écologistes - dont le Sierra Club, ont plaidé en faveur d'un calendrier accéléré pour débarrasser le plus rapidement possible les routes californiennes des moteurs à combustion interne.

    Peut-être qu'ils peuvent aussi trouver comment résoudre les énormes problèmes logistiques et économiques qui s'ensuivraient sûrement, ainsi que quoi faire avec tout ce lithium lorsque les batteries finissent par se détériorer ?

    https://www.zerohedge.com/economics/california-mulls-ban-all-gas-and-diesel-truck-fleets

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  49. Emballages jetables : grand remplacement par le réutilisable

    Les emballages jetables sont en voie de disparition. Ils doivent disparaître des enseignes de restauration à partir du 1er janvier 2023 pour correspondre à l’application de la loi anti-gaspillage.


    Par Benoit Vrignaud
    le 25 novembre 2022 à 12h10


    L'amende en cas de non respect de remplacement des emballages jetables est une amende de 5ème classe, soit un montant de 1.500 euros.

    La fin des emballages jetables est actée, place au réutilisable

    Finis les emballages jetables en carton ou en papier à partir du 1er janvier 2023, la réglementation change. Plus de barquettes de frites en carton, plus d’emballages en papier, la restauration devra remplacer la vaisselle jetable par des solutions durables pour tout service à table, quelle que soit l’enseigne. Ce changement intervient suite à la loi anti-gaspillage qui date de janvier 2020.

    Sans surprise, c’est sur les fast food que les changements vont être majeurs. Les géants de la restauration rapide ne semblent d’ailleurs pas encore prêts au changement à seulement un mois de l’échéance. Plusieurs d’entre eux affirment cependant que les dispositions seront prises et les magasins équipés à temps. Les fast food ne sont pas les seuls concernés, dans la mesure ou les cantines, les chaînes de cafés, les cafétérias et les points de restaurations de plus de 20 places assises sont concernés

    De nombreuses habitudes à changer, une transition qui s’annonce progressive

    Le passage à la vaisselle réutilisable se profile mais il est loin d’être acquis. Une seule exception est autorisée. L’emballage papier immédiatement au contact de l’aliment sera le dernier survivant d’un système de consommation qui engendrait jusqu’à 180.000 tonnes d’emballages par an. Plusieurs restaurants des enseignes comme McDonald’s ou Burger King ont déjà commencé à mettre en application les mesures nécessaire et la circulation des emballages réutilisables aux couleurs des enseignes apparaît dans certains restaurants.

    Une inquiétude persiste cependant concernant la propension des clients à répéter des gestes machinaux et à ainsi jeter les contenant réutilisables comme ils l’ont toujours fait avec les emballages jetables. Des tests ont été réalisés dans ce sens par l’enseigne Burger King. Ils ont conclu que la quantité de vaisselle jetée diminue avec le temps à mesure que les habitudes se perdent. Ce changement de réglementation représente aussi pour les enseignes de restaurations un investissement supplémentaire, notamment de matériel de nettoyage et de remise en service de la vaisselle réutilisable. Certains groupes pourraient avoir recours à des prestataires externes pour prendre en charge le nettoyage.

    https://www.economiematin.fr/emballages-jetables-grand-remplacement-par-le-reutilisable

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    1. Fini les repas en assiettes ! La soupe sera versée sur la table ! "Tu veux un café ? Ouvre ta gueule !" PAF ! "Avec un ou deux sucres ?"
      Après on passe au pq réutilisable !

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  50. ENCORE DEUX COMMENTAIRES DE CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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