- ENTREE de SECOURS -



vendredi 4 novembre 2022

Arrêter le « Great Reset » en raison de ses conséquences dramatiques pour l'humanité

 

60 commentaires:

  1. Arrêter le « Great Reset » en raison de ses conséquences dramatiques pour l'humanité


    04.11.2022
    www.kla.tv/24051


    Le World Economic Forum (FME) et d'autres organisations créées par des oligarques financiers proclament depuis des années la nécessité d'un « Great Reset ». Celui-ci doit ramener la structure sociale de tous les peuples ainsi que l'économie mondiale et financière à une « nouvelle normalité ». Il s'agirait d'une mesure inévitable au vu des nombreuses crises que traverse le monde aujourd'hui. Mais quelles en seront les conséquences, quel en sera le prix ? – Des archéologues et des historiens démontrent que notre historiographie officielle est pleine de lacunes et d'invraisemblances. Ils mettent en évidence des « resets » historiques qui ont à chaque fois été accompagnés de pertes dramatiques pour l'humanité. D'autres chercheurs mettent en évidence des phénomènes inexpliqués et signalent des technologies géniales, mais tombées dans l'oubli. Et les spécialistes du cerveau considèrent comme avéré le fait que l'humanité actuelle ne peut plus utiliser que 10 % de ses capacités cérébrales réelles. Et si nous étions déjà victimes de « resets », si nous n'étions que des humains génétiquement réduits et le substitut des « humains originels » ? Cette émission un peu exigeante doit inciter à l’analyse, à la réflexion, à la discussion et à l'action. Car elle met en évidence les conséquences extrêmement graves des aménagements prévus pour le « Great Reset », actuellement envisagé par l'oligarchie financière motivée par l'eugénisme.

    Indices d'une civilisation avancée antérieure

    Sur tous les continents, on trouve des bâtiments (églises et dômes, mosquées, bibliothèques ouvragées, bâtiments gouvernementaux) dont le style architectural est remarquablement similaire. En raison de leur perfection technique et artistique et de leur énorme stabilité, ces bâtiments ne correspondent pas du tout à l'époque qui leur a été attribuée, qui ne possédait que des voitures à cheval et aucun moyen technique développé. S'agit-il d'indices d'une civilisation avancée antérieure, qui s'étendait apparemment sur une grande partie de l'Europe, de l'Amérique du Nord et même de l'Asie ? Un événement cataclysmique, dont les traces sont encore visibles aujourd'hui, a-t-il anéanti en grande partie cette civilisation avancée ? Nous ne trouvons rien à ce sujet dans les livres d'histoire officiels. L'humanité est-elle sciemment mise sur une fausse piste en ce qui concerne sa préhistoire ?

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  2. La coulée de boue – un passé enfoui

    Dans le monde entier, on trouve dans presque toutes les grandes villes comme Berlin, Chicago, Moscou, de vieilles maisons qui semblent avoir été enfoncées dans le sol. Des sous-sols avec des fenêtres se révèlent lors de fouilles être d'anciens rez-de-chaussée. Des comparaisons de photos, de cartes et de témoignages indiquent qu'au début du 19e siècle, un événement mondial inexplicable, appelé « coulée de boue », a enseveli des civilisations entières. En outre, la topographie de différents pays, notamment d'Amérique et d'Asie, a considérablement changé à cette époque. Ensuite, selon les documents d'époque restants, de nombreuses villes ont été en grande partie inhabitées pendant environ 30 ans. Il est frappant de constater que l'ère industrielle a ensuite commencé. Des centaines de milliers d'orphelins ont été envoyés dans le monde entier pour travailler dans les usines. Bien que ce cataclysme* d'une ampleur incroyable ne remonte qu'à 200-250 ans, il a été rayé de notre histoire.
    *Catastrophe qui détruit tout

    Effacé de la conscience : Le grand empire de Tartarie

    Au 18e siècle encore, la Tartarie était le plus grand empire du monde avec 3 050 000 miles carrés. Il s'étendait sur une grande partie de l'actuelle Russie, de l'Asie, de l'Europe et de l'Amérique du Nord et possédait une culture ancestrale de haut niveau. Dans l’Encyclopædia Britannica de 1771, ce grand empire était encore décrit en détail et montré sur une carte. Dans l'édition suivante, la Tartarie avait déjà été totalement supprimée de l'encyclopédie. De même, la catastrophe mondiale de la coulée de boue qui a énormément ravagé le grand empire il y a environ 300 ans n'a plus été mentionnée nulle part. Comment cela a-t-il pu se produire ? Les empires européens ont effectué un Great Reset. Elles ont conquis dans le sang tous les pays du monde et ont détruit en profondeur les anciennes cultures. Elles ont ainsi créé leur nouvel ordre mondial. Ils ont également falsifié l'historiographie afin de dissimuler ces crimes.

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  3. Îles disparues, terres et villes transformées

    Sur les anciennes cartes des 16e et 17e siècles, on peut encore voir dans la région du pôle Nord quatre continents et des îles, comme la « Frise », qui ne figurent plus sur aucune carte aujourd'hui. L'Islande, le Groenland et la région polaire sont représentés sans glace et traversés par des fleuves. Des fouilles récentes en Europe centrale suggèrent que l'ancien Berlin, par exemple, était recouvert d'une « couche de tourbe » de 2,5 m de haut. Ici, les bâtiments historiques de plus de 200 ans présentent les signes typiques d'une élévation du niveau du sol. Les ruines d'anciennes villes importantes existent dans le monde entier et témoignent de civilisations autrefois puissantes. Dix des villes englouties ou abandonnées les plus connues sont Runghold, Yonaguni, Machu Piccu, Kuélap, Cappadoce, Teotihuacán, Troie, Angkor, Moenjo daro et la légendaire Atlantide. Tous ces lieux portent les marques évidentes d'une grave transformation et soulèvent la question : Le dépeuplement a-t-il été causé par un grand malheur – et pourquoi en savons-nous si peu ?

    Pôles Sud et Nord – libres de glace et peuplés

    La célèbre carte du monde de l'amiral turc Piri Reis de 1513 montre – avec une précision cartographique étonnante – la côte de l'Antarctique libre de glace, bien qu'il reconnaisse s'être appuyé pour cela sur des cartes des Phéniciens malheureusement disparues. Mais que s'est-il passé pour que - premièrement - la vie y soit anéantie par l'actuelle carapace de glace et que, deuxièmement, la technique de mesure manifestement très précise des Phéniciens soit perdue, voire pour ainsi dire « mise au rebut » ou « confisquée » ? Le pôle Nord, quant à lui, est représenté sur de nombreuses cartes anciennes, remontant jusqu'aux temps modernes (par exemple la carte du monde du célèbre cartographe Mercator de 1569), comme un mini-continent libre de glace et divisé par quatre fleuves. Et en effet : des analyses par sondeur ont pu y déceler des traces claires d'une infrastructure déjà développée. Et là encore, la question se pose : qu'est-ce qui a provoqué leur disparition ou qui l'a provoquée ?

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  4. L'Afrique du Nord – autrefois florissante, aujourd'hui dévastée

    Des cartes de l'Afrique du Nord vieilles de plus de 300 ans ne montrent pas le désert, mais plutôt des dizaines de grandes villes et une végétation luxuriante. Il semblerait que le Sahara n'ait pris sa forme actuelle qu'il y a quelques siècles. Où sont passées ces villes et ces agglomérations ? Il est possible qu'elles aient été détruites par un événement majeur que nous ne retrouvons pas dans nos livres d'histoire. En revanche, on trouve toujours sur le territoire du Sahara des formations rocheuses qui ressemblent à des ruines après de grands incendies ou des bombardements. Dans la partie occidentale du Sahara se trouve également ce qu'on appelle "l'œil de l'Afrique", une formation de plusieurs anneaux rocheux concentriques d'environ 42 kilomètres de diamètre. Officiellement, on attribue cette formation rocheuse à l'impact d'une météorite ou à l'activité volcanique. Cependant, des structures similaires à plus petite échelle sont connues grâce à des expériences de physique des plasmas, suite à des décharges de plasma. Se pourrait-il que ces formations désertiques n'aient pas été créées par le vent et les intempéries, mais par d'énormes décharges électriques ? S'agissait-il d'un phénomène naturel ou d'une utilisation massive d'armes à énergie à l'époque préhistorique ?

    Des villes fondues ?

    En divers endroits du monde, il existe des villes rocheuses dont les pièces, les fenêtres et les passages ont prétendument été taillés dans la pierre par l'homme. Mais à la vue de ces formations rocheuses, on ne peut s'empêcher de penser à des constructions en pierre qui, pour une raison ou une autre, ont été ramollies, déformées puis figées à nouveau. Les soi-disant cheminées de fées en Cappadoce (Turquie) en sont des exemples, où l'on reconnaît même les toits pointus des anciennes maisons, en plus des pièces, des portes et des fenêtres. A Uplistsikhe, en Géorgie, on reconnaît encore un portail d'entrée de style gréco-romain avec une voûte et un plafond à caissons, mais apparemment fondu et donc déformé. Il en va de même pour la ville rocheuse de Petra en Jordanie, ainsi que pour les grottes de Guyaju et de Yungang en Chine. Aucun tailleur de pierre de l'Antiquité n'aurait réalisé une voûte avec autant de négligence. Quelle force était capable de faire fondre des constructions en pierre ? Était-ce un phénomène naturel ou l'utilisation de techniques d'armement avancées ?

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  5. Conclusion

    L'idée que, d'un point de vue historique, l'humanité ne se trouve pas, comme on nous l'a dépeint de manière trompeuse, dans une évolution constante vers le haut et vers le développement, mais dans une spirale descendante répétitive, peut être très décourageante au premier abord. Mais face au « Great Reset » annoncé, il peut ensuite fortement motiver, non seulement pour y faire face avec détermination, mais aussi pour renverser ensemble la vapeur. Souvenons-nous de nos prédispositions : Nous sommes faits pour tout transformer en mieux. Par exemple, que l'humanité retrouve globalement sa spirale ascendante prévue à l'origine et que les dévastateurs tombent dans leur propre fosse. Si ce n'est pas maintenant, alors quand ?


    de hm; bri; gr; ad; ham; juh; nis
    Sources / Liens :
    https://odysee.com/@out_of_the_blue:c/04_Erfundene-Geschichte-Teil-2:f


    Indizien für eine frühere hoch entwickelte Zivilisation
    https://www.youtube.com/watch?v=TyTI9zKPTwI

    https://www.youtube.com/watch?v=uFmiBY9QwZU


    Die Schlammflut – vergrabene Vergangenheit
    https://chnopfloch.ch/?p=705

    www.youtube.com/watch?v=YchoocsAlTE

    www.bing.com/videos/search?q=Kai+brenner+unsere+vergrabene+Vergangenheit&docid=608005573884342913&mid=D4E0C6833D4E7B64B8DAD4E0C6833D4E7B64B8DA&view=detail&FORM=VIRE


    Aus dem Bewusstsein gelöscht: Großreich Tartarien
    https://www.youtube.com/watch?v=uFmiBY9QwZU

    https://www.youtube.com/watch?v=OSSk4uALvec

    https://anti-matrix.com/2022/07/27/warum-verschwand-vor-200-jahren-das-grossreich-tartaria-aus-buechern-und-landkarten/

    https://verborgene-weltgeschichte.de/wp-login.php

    https://coronistan.blogspot.com/2021/12/der-untergang-von-gro-tartarien-als.html


    Verschollene Inseln, verwandelte Landmassen und Städte
    www.youtube.com/watch?v=QQ89XcEP9WE

    www.youtube.com/watch?v=pVVxPwhxOc8

    www.topmania.de/2017/03/26/die-top-10-der-vergessenen-staedte/


    Süd- und Nordpol – eisfrei und besiedelt
    https://www.youtube.com/watch?v=QQ89XcEP9WE

    https://jenikirbyhistory.getarchive.net/de/media/1606-mercator-hondius-map-of-the-arctic-first-map-of-the-north-pole-geographicus-911a59


    Nordafrika – einst blühend, jetzt verwüstet
    https://www.pm-wissen.com/natur/a/was-ist-das-auge-afrikas/9013/

    https://www.youtube.com/watch?v=kzqIQ_NwUBA

    https://viaveto.de/plasmaversum-der-film.html


    Geschmolzene Städte?
    http://entityart.co.uk/our-world-in-ruins-melted-buildings-vitrified-forts-rock-formations-resets-and-genocides-part-6/


    Historische Wolkenkratzer
    https://www.spurensucher.eu/de/2179/bologna-wolkenkratzer-skyline-im-mittelalter.htm

    https://www.youtube.com/watch?v=YK-jSHwIHLU


    Sternstädte – architektonische Schönheiten ohne Sinn?
    https://www.youtube.com/watch?v=qXw8QSPwOyk

    https://www.youtube.com/watch?v=zLsneDNgMFU

    https://www.kla.tv/fr

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  6. L'empreinte génétique révèle l'origine synthétique du SARS-CoV-2


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    4 novembre 2022


    Selon de nouvelles recherches, la probabilité que le SRAS-CoV-2 ait une origine naturelle est inférieure à 1 sur 100 millions1,2. L'article3 a été publié sur le serveur de préimpression BioRxiv le 20 octobre 2022.

    - voir clip sur site -

    L'un de ses auteurs, le biologiste mathématicien Alex Washburne, résume également les travaux dans un article de Substack4, publié le même jour. Les deux autres auteurs sont Valentin Bruttel, immunologiste moléculaire, et Antonius VanDongen, pharmacologue. Il y a deux principaux points à retenir de cet article :

    Le SRAS-CoV-2 a une signature révélatrice du génie génétique, non identifiée auparavant
    Cette empreinte génétique suggère également que le travail de Ralph Baric, Ph.D., a été utilisé dans la création du virus. Il y a une correspondance directe entre les recherches publiées de Baric – dans lesquelles il décrit comment cacher les signes révélateurs du génie génétique – et la génétique trouvée dans le SRAS-CoV-2

    La ligature transparente dissimule la falsification génétique

    En 2002, Baric et trois autres chercheurs ont publié un article5 dans le Journal of Virology intitulé "Systematic Assembly of a Full-Length Infectious cDNA of Mouse Hepatitis Virus Strain A59". Ils y décrivent une technique appelée « ligature sans couture », qui dissimule toute preuve de génie génétique dans des agents pathogènes créés en laboratoire. Le surnom de Baric pour cette technique est la "méthode sans visibilité".

    La recherche a été financée par deux subventions des National Institutes of Health6 - AI 23946, pour des études sur le mécanisme de réplication du MHV (virus de l'hépatite de la souris) et la génétique inverse du SRAS,7 et GM 63228, pour la génétique inverse avec une construction d'ADNc infectieux de coronavirus.8

    La ligature sans couture laisse sa propre signature

    Cependant, alors que la ligature transparente dissimule la falsification humaine des agents pathogènes créés en laboratoire, il s'avère que la méthode laisse sa propre signature dans le code des acides aminés, et c'est la signature que Washburne et ses coauteurs ont découverte dans le SRAS-CoV-2.

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  7. En résumé, la signature révélatrice laissée par la méthode « no-see’m » sont des « orthographes » uniques et étranges dans le « vocabulaire génétique » que vous ne trouvez normalement pas dans le génome d'un virus naturel. Le résumé profane de l'article le décrit ainsi :9

    « Pour construire des variantes synthétiques de coronavirus naturels en laboratoire, les chercheurs utilisent souvent une méthode appelée assemblage du génome in vitro. Cette méthode utilise des enzymes spéciales appelées enzymes de restriction pour générer des blocs de construction d'ADN qui peuvent ensuite être «cousus» ensemble dans le bon ordre du génome viral.

    Pour fabriquer un virus en laboratoire, les chercheurs modifient généralement le génome viral pour ajouter et supprimer des sites de couture, appelés sites de restriction. Les façons dont les chercheurs modifient ces sites peuvent servir d'empreintes digitales de l'assemblage du génome in vitro.

    Dans un article du Defender du 21 octobre 2022, Robert F. Kennedy Jr., Jay Couey, Ph.D. et Charles Rixey ont clarifié les conclusions comme suit :10

    « La magie de la technique ‘no-see’m’ de Baric consiste à tisser de manière invisible ces changements ‘d’orthographe’ révélateurs dans la séquence virale entre les gènes pertinents sans altérer la protéine virale. C'est comme changer «l'orthographe» du mot sans changer son sens; l'auditeur occasionnel ne remarquera jamais la différence.

    L'équipe de recherche a utilisé des outils médico-légaux pour approfondir les minuscules «différences orthographiques» dans le génome du SRAS-CoV2 qui trahissent une falsification en laboratoire à l'aide de la technique «no-see'm».

    Considérez comment un Britannique épellerait « couleur », « manœuvre » ou « pédiatrique ». Le choix d'épeler un mot d'une certaine manière peut révéler votre nation d'origine. De même, ces changements presque imperceptibles dans la séquence virale révèlent les origines de laboratoire de ce virus.

    Des sites de coupe régulièrement espacés révèlent la manipulation

    Ils ont pu identifier la signature laissée par une ligature transparente en traçant la distribution des sites de coupe sur le virus SRAS-CoV-2, puis en la comparant à la distribution des sites de coupe sur les virus du SRAS de type sauvage et d'autres virus du SRAS créés en laboratoire.

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  8. Le SRAS-CoV possède l'empreinte digitale du site de restriction typique des virus synthétiques.

    L'empreinte digitale synthétique du SRAS-CoV-2 est anormale dans les coronavirus sauvages et courante dans les virus assemblés en laboratoire. ~ Washburne, Bruttel et VanDongen
    Les virus du SRAS de type sauvage avaient des sites de coupure distribués au hasard. Les virus du SRAS créés en laboratoire, en revanche – et le SRAS-CoV-2 – avaient des sites de coupe régulièrement espacés. Selon les auteurs, c'est une indication claire que le SRAS-CoV-2 a été manipulé en laboratoire à l'aide de la technique sans voir de Baric.

    Un autre signe révélateur de manipulation humaine est la distance entre les sites de coupe. Les segments les plus longs trouvés dans les virus de type sauvage se sont avérés beaucoup plus longs que ceux trouvés dans les virus fabriqués en laboratoire, y compris le SRAS-CoV-2.

    La raison en est que les virus fabriqués en laboratoire sont assemblés à partir de plus petits morceaux, de sorte que les segments génétiques ont tendance à être courts. Dans la nature, cependant, les longueurs des segments sont complètement aléatoires et comprennent à la fois des segments très courts, moyens et très longs.

    Les types de mutations du SRAS-CoV-2 ne correspondaient pas non plus à ce que vous voyez dans les virus de type sauvage naturellement évolués. Ainsi, le SRAS-CoV-2 ressemble à une création de laboratoire à plus d'un titre. Comme indiqué dans leur résumé vulgarisé :11

    «Nous avons découvert que le SRAS-CoV possède l'empreinte digitale du site de restriction typique des virus synthétiques. L'empreinte digitale synthétique du SRAS-CoV-2 est anormale dans les coronavirus sauvages et courante dans les virus assemblés en laboratoire.

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  9. Le type de mutations (mutations synonymes ou silencieuses) qui différencient les sites de restriction dans le SRAS-CoV-2 est caractéristique de l'ingénierie, et il est extrêmement peu probable que la concentration de ces mutations silencieuses dans les sites de restriction soit apparue par évolution aléatoire.

    L'empreinte digitale du site de restriction et le schéma des mutations qui les génèrent sont extrêmement improbables dans les coronavirus sauvages et presque universels dans les virus synthétiques. Nos découvertes proposent fortement une origine synthétique de SARS-CoV-2.

    Les empreintes génétiques pointent directement vers Baric, Fauci et le WIV

    Selon Washburne et ses coauteurs, cet artefact dans le code des acides aminés du SARS-CoV-2 n'a pu apparaître que grâce à l'utilisation de la méthode de ligature transparente de Baric (no see'm).

    C'est une mauvaise nouvelle pour Baric, qui a créé la méthode, et le Dr Anthony Fauci, qui a financé le développement de la technique par l'intermédiaire des National Institutes of Allergy and Infectious Diseases (NIAID). Il incrimine également Shi Zhengli, alias «la dame chauve-souris» de l'Institut de virologie de Wuhan. Tel que rapporté par Kennedy :12

    « Baric a enseigné sa méthode ‘no-see’m’ à… Shi Zhengli en 2016. En retour, Baric a reçu des coronavirus chinois collectés par Shi sur des chauves-souris dans la province du Yunnan. (Les scientifiques ont lié le pedigree du génome du COVID-19 à des chauves-souris étroitement apparentées.)

    Shi et ses collègues de l'Institut de Wuhan ont par la suite démontré leur maîtrise de la technique à haut risque de Baric dans une série d'expériences publiées - et très controversées - de gain de fonction13,14 au laboratoire de Wuhan...

    Les experts disent que les implications de cette nouvelle étude pourraient être considérables. En pointant du doigt Baric, l'étude soulève la possibilité d'une responsabilité potentiellement dévastatrice pour le NIAID et l'Université de Caroline du Nord et d'autres parties...

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  10. Le plus proche parent connu du coronavirus – un coronavirus du laboratoire de Wuhan – est identique à 96,2 %15 au SRAS-CoV-2. Le pic particulier explique presque entièrement la totalité de la différence de 3,8 %. Curieusement, il existe de multiples nouvelles mutations dans la pointe et presque aucune dans le reste du génome.

    On s'attendrait à ce que l'évolution naturelle laisse des mutations réparties uniformément sur le génome. Le fait que pratiquement toutes les mutations se produisent sur le pic a conduit ces scientifiques à soupçonner que ce coronavirus particulier du laboratoire de Wuhan collecté par Shi Zhengli est l'ancêtre direct du SRAS-CoV-2 et que son nouveau pic a été implanté par ingénierie.

    Cependant, les empreintes digitales indubitables de l'ingénierie de laboratoire étaient absentes – laissant de nombreux experts se demander si la technique de Baric a été utilisée pour assembler un nouveau coronavirus avec la pointe d'ingénierie tout en supprimant les preuves de la génération de laboratoire.

    Cette nouvelle étude16 relie les fils d'Ariane biologiques qui relient la recherche financée par le gouvernement fédéral à une pandémie mondiale. Cette piste mène directement à l'UNC et au NIAID… Dans une interview au printemps dernier, Baric lui-même a avoué qu'au moment où la pandémie a commencé, seuls deux ou trois laboratoires dans le monde utilisaient son protocole – y compris son laboratoire UNC et le WIV.

    Un vaste programme de recherche risqué

    Jeffrey Sachs, président de la Commission The Lancet COVID-19, dont le groupe de travail a tenté, sans succès, d'enquêter sur les origines du COVID-19, a commenté ces dernières découvertes :17

    « La technique de Baric a longtemps été controversée. « C'est l'artiste qui ne signe pas son nom sur le tableau ; le virologue qui ne met pas sa signature dans le virus pour nous dire s'il émerge naturellement ou non ou s'il est produit en laboratoire. Tout cela dit… qu'il y avait vraiment un programme de recherche important et très risqué en cours.

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  11. Soit dit en passant, les recherches de Baric ont également servi de base à l'injection d'ARNm de Moderna pour COVID18 et il a également été impliqué dans le développement de médicaments COVID. Comme l’a rapporté The News & Observer19 en décembre 2021, l’équipe de Baric « a mené le développement préclinique du seul médicament antiviral à action directe approuvé, le Remdesivir », et « a étudié le Molnupiravir, qui est la première pilule antivirale montrée pour traiter le COVID-19… »

    Autres preuves incriminantes impliquant une ligature transparente

    Incidemment, la méthode de ligature transparente de Baric a également été détaillée dans la désormais tristement célèbre proposition DEFUSE20 soumise par l'EcoHealth Alliance à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) en 2018. La DARPA a rejeté la proposition, apparemment parce qu'elle présentait « plusieurs faiblesses ».21

    La recherche proposée par EcoHealth Alliance impliquait l'insertion de sites de clivage spécifiques à l'homme dans les coronavirus de chauve-souris liés au SRAS - les mêmes sites de clivage déroutants trouvés dans le SRAS-CoV-2 qui le rendent si bien adapté aux cellules pulmonaires humaines. Comme le dit le Daily Mail :22

    « L'offre de subvention de 14,2 millions de dollars (10,5 millions de livres sterling) a été rejetée. Mais un autre bailleur de fonds a-t-il repris la proposition ? À tout le moins, cela prouve que les chercheurs jouaient précisément avec le genre de science risquée qui aurait pu concocter un virus étrangement similaire à celui à l'origine de la pandémie.

    Y avait-il une intention néfaste derrière la création du SRAS-CoV-2 ?

    Alors que Washburne, Bruttel et VanDongen sont clairs sur le fait que le SRAS-CoV-2 est une création de laboratoire, ils ne veulent pas que les gens supposent qu'il y a quelque chose de néfaste dans le virus. Dans son article Substack, Washburne écrit :23

    "... notre utilisation du mot "synthétique" dérive de "synthèse". Il existe des méthodes pour synthétiser des virus en laboratoire, et nous étudions ces méthodes. En discutant avec des amis et de la famille, j'ai appris que "synthétique" peut avoir une connotation plus néfaste, je tiens donc à préciser que nous ne trouvons aucune preuve de quoi que ce soit de néfaste.

    Nous ne trouvons aucune preuve que le SRAS-CoV-2 soit une arme biologique (au contraire, cela ressemble à un accident) ou un gain de travail fonctionnel. Nous trouvons des preuves suggérant que le SRAS-CoV-2 a peut-être été synthétisé en laboratoire avec des méthodes connues, probablement à des fins de recherche normales avant le COVID.

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  12. Bien que je puisse certainement comprendre leur désir d'éviter la conclusion que le SRAS-CoV-2 est une arme biologique, je ne suis pas d'accord avec leur hypothèse selon laquelle ce n'était pas prévu comme tel. Trop d'agendas géopolitiques indiquent que COVID est intentionnellement utilisé pour le transfert de richesse mondial et la mise en œuvre de la grande réinitialisation.

    Mais même s'il n'y avait aucune intention néfaste derrière sa création, les résultats finaux restent les mêmes. L'économie mondiale s'effondre, la richesse a été volée aux classes inférieures et moyennes, la peur du virus a été utilisée pour nous forcer non seulement à renoncer à nos droits et libertés, mais aussi à nous soumettre à des expérimentations médicales sous la contrainte, et bien plus encore. S'il n'y avait pas eu d'intention malveillante, la réaction des gouvernements au virus aurait probablement été plus sensée.

    Le pistolet fumant

    De plus, même si le virus était conçu comme une arme biologique ou non, et qu'il soit sorti par accident ou par libération intentionnelle, nous devons en premier lieu tenir les gens responsables de sa création. À moins d'interdire la création de virus Frankenstein, nous ne serons jamais en sécurité. Une autre création de laboratoire pourrait se glisser à travers les portes d'un laboratoire n'importe quel jour. Comme l'a noté Kennedy :24

    « Le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV-2 est une création de laboratoire d'ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain.

    Les procureurs et les avocats privés représentant les clients blessés par la pandémie de COVID-19 ont maintenant un pistolet fumant… Les médecins légistes ont maintenant réussi à relever des empreintes digitales faibles mais précises de la poignée et de la gâchette du pistolet mortel. Ces empreintes appartiennent au NIAID et à l'Université de Caroline du Nord...

    Le rôle de l'UNC dans la conduite douteuse [de Baric] a peut-être précipité une pandémie mondiale qui pourrait facilement donner lieu à une responsabilité pour négligence.

    La responsabilité de l'UNC et du NIAID est maintenant claire. Mais avons-nous des preuves positives que le laboratoire de Wuhan a créé la monstruosité qui a causé le COVID-19 ? Les preuves cumulatives suggèrent fortement que le laboratoire de Wuhan a utilisé les méthodologies de Baric pour bricoler le virus chimérique qui a causé la pandémie de COVID-19.

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  13. Mais quelques pièces manquantes du puzzle nous empêchent encore de prouver définitivement que ce projet de construction dangereux a eu lieu au laboratoire de Wuhan. Restez à l'écoute !"

    Enfin, l'utilisateur de Twitter Justin B. Kinney soulève un très bon point :25

    "Les armes biologiques sont plus susceptibles d'être utilisées après le COVID-19, en partie parce que les mauvais acteurs savent maintenant que les virologues et les experts en biosécurité les couvriront en insistant par réflexe sur le fait que l'attaque était un débordement zoonotique."

    Sources and References

    1 Epoch Times October 23, 2022, Updated October 24, 2022
    2, 10, 12, 17, 24 The Defender October 21, 2022
    3, 16 BioRxiv October 20, 2022 DOI: 10.1101/2022.10.18.512756
    4, 23 Alex Washburne Substack October 20, 2022
    5 Journal of Virology November 2002; 76(21): 11065-11078
    6 Journal of Virology November 2002; 76(21): 11065-11078, Acknowledgments
    7 CV Ralph Baric item 25 and 26
    8 CV Ralph Baric item 22
    9, 11 BioRxiv October 20, 2022 DOI: 10.1101/2022.10.18.512756, Lay Summary
    13 Journal of Virology September 2015;89(17):9119-23
    14 Nature Medicine December 2015;21(12):1508-13
    15 Emerging Microbes and Infections December 2021; 10(1): 1507-1514
    18, 19 The News & Observer December 26, 2021 (Archived)
    20 The Intercept September 23, 2021
    21 Newsweek September 22, 2021
    22 Daily Mail October 2, 2021
    25 Twitter Justin Kinney October 25, 2022

    https://www.lewrockwell.com/2022/11/joseph-mercola/genetic-fingerprint-reveals-synthetic-origin-of-sars-cov-2/

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    1. Pourquoi tous ces montages/démontages de preuves incontestables que cette poussière ne peut pas s'échapper, voler à travers le monde toute seule et toucher DES centaines de millions de personnes ?
      Aussi petite soit-elle (nano-technologie) même si elle reste en l'air des heures et des jours, si une personne la respire elle ne pourra pas être contagieuse car il ne s'agit pas d'un microbe.
      De plus, à l'examen minutieux (effectué par les docteures Carrie Madej et Astrid Stückelberger) il apparaît que cette poussière (appelée 'virus') n'est PAS naturelle et donc a été conçue en laboratoires. Son identité révèle qu'il s'agit d'une poussière dite 'intelligente' en tant que nano-particule d'oxyde de graphène.

      (...) Mais avons-nous des preuves positives que le laboratoire de Wuhan a créé la monstruosité qui a causé le COVID-19 ? (...)

      Nul ne peut répondre à la question comme à l'attentat d'un pipeline de gaz russe dernièrement.
      PS: Une poussière NE S’ÉCHAPPE PAS d'un laboratoire ! (en sciant les barreaux de sa cellule ?).

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  14. Maître Jacques Schroeter: Vaccins Covid — Un peuple gravement trompé par ses autorités


    Par Maître Jacques Schroeter
    Mondialisation.ca,
    03 novembre 2022


    Lettre de l’avocat Jacques Schroeter au Conseil fédéral. Il accuse les autorités de déni face aux dégâts des mesures et des vaccins Covid. Et annonce des suites judiciaires possibles – notamment pour lésions corporelles et homicide.

    Voici le texte intégral de la lettre adressée le 25 octobre 2022 au nom de 700 mandants par l’avocat valaisan au gouvernement. Intertitres de Covidhub.

    * * * * *

    Maître Jacques Schroeter

    Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux,

    Dans ma lettre du 24 août 2022, je vous demandais si le fait d’inoculer vos sujets d’une substance expérimentale pour laquelle vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme vous avait causé un cas de conscience et, si oui, ce que vous aviez fait de ce sentiment ?

    A ce jour, je ne connais toujours pas votre point de vue sur le sujet. Mais nous y reviendrons plus loin.

    Votre mensonge des «vaccins efficaces et sûrs à 95 %»

    Dans ma lettre suivante du 8 septembre 2022, je vous demandais si le fait d’avoir affirmé à vos sujets que vos pseudo « vaccins » étaient efficaces et sûrs à 95 %, alors que cela est un mensonge, et même un mensonge d’envergure, vous pose également un cas de conscience et, dans l’affirmative, si vous nourrissez quelques regrets d’avoir trompé vos administrés ?

    Je n’ai pas plus de réponse de votre part à ce sujet.

    L’absence de réponse serait-elle à mettre en rapport avec celle de la bonne conscience ? La question peut pour l’instant rester ouverte.

    Comment avez-vous pu vous laisser embarquer… ?

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  15. Mais aujourd’hui, je me demande comment vous n’avez pas pu voir la réalité des choses ? Comment le Conseil fédéral et les autorités cantonales ont pu se faire embarquer dans ce grand mensonge qu’est l’épidémie Covid ? Comment les autorités ont pu se laisser amener à instaurer toutes les mesures insensées prises au détriment du peuple ? Avec au final, l’espoir de voir ces autorités sortir de leur torpeur, prendre conscience de la gravité de la situation, changer de cap, œuvrer pour le bien des citoyens et assumer les responsabilités qui sont les leurs.

    Et si je devais me tromper sur le fait que les autorités ont été manipulées et s’il devait s’avérer que c’est sciemment qu’elles ont agi, alors là, la situation atteindrait un niveau de gravité tel que ces autorités s’inscriraient malheureusement à jamais dans les pages les plus sombres de notre histoire.

    Bref rappel historique

    Mars 2020, l’épidémie Covid 19 débute en Europe. C’est la panique générale. Une campagne médiatique de peur hors du commun se met en place. Médias et gouvernements s’allient, probablement poussés par les entreprises pharmaceutiques aux mains des grands financiers de ce monde, pour faire passer à longueur de journée et sans relâche des images chocs et tenir des propos terrorisant la population et lui laissant croire que nous allions tous mourir.

    Ce fut le point de départ d’une véritable dystopie. Des mesures exceptionnelles furent prises dans la précipitation, fermeture des commerces, fermeture des écoles, confinement, port du masque… mesures dont on n’a pas fini de payer le prix sur les plans économiques, psychologiques, sociétaux, médicaux etc., tout cela en balayant d’un revers de manche tous les droits fondamentaux des citoyens.

    Climat anxiogène savamment entretenu

    Le premier élément surprenant fut de voir gouvernants et responsables paniquer et perdre leur sang froid, contribuant ainsi fortement au climat de peur alors qu’il eût été de leur rôle de conserver calme et réflexion.

    En effet, déjà à l’époque, soit en avril 2020, de nombreux spécialistes indiquaient que l’épidémie COVID 19 ne présentait pas de préoccupation particulière. Ce fut notamment le cas du Professeur John P. A. loannidis de l’université de Standford, considéré comme l’un des plus éminents scientifiques actuels dans le domaine médical. D’autres éminents spécialistes se sont exprimés en ce sens.

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  16. Mais toutes ces voix discordantes ont été tues au profit d’un climat anxiogène savamment entretenu, une terreur qui allait finalement permettre la mise en place d’une campagne mondiale de vaccination sans précédent. Par là, je fais référence à la censure des opinions divergentes, censure à l’encontre de laquelle vous n’avez malheureusement rien fait, permettant ainsi un grave déficit de démocratie.

    Médicaments efficaces et bon marché interdits

    Devant la maladie, les médecins se sont immédiatement mis à faire ce pourquoi ils avaient été formés, à savoir soigner les gens. Pour cela, ils ont utilisé les médicaments qu’ils connaissaient de longue date, tels que l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, médicaments bien connus, bons marchés et sûrs. Et ça fonctionnait… Mais soudain, ô surprise, ces médicaments ont été interdits ! Du jour au lendemain, ils furent déclarés dangereux.

    La corruption était passée par là et nous verrons pourquoi plus loin. Les acteurs de cette corruption ont même réussi à faire publier dans le Lancet , la célèbre «bible scientifique à comité de lecture», un article affirmant que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux à ne pas utiliser, article se disant fondé sur des rapports scientifiques alors qu’il n’en était rien, article même contresigné par un professeur d’université de Zürich.

    La corruption dans le domaine médical

    Cet article, donc parfaitement mensonger puisque ne se reposant sur rien, donnera bien lieu à des excuses du Lancet, excuses dont les médias « mainstream » se sont bien gardés de faire état. Et pour cause, il fallait surtout ne rien changer au discrédit jeté sur le médicament bon marché et utile. Et le professeur d’université zurichoise de continuer sans souci à dispenser son bon savoir à ses braves étudiants…

    A l’époque, personnellement surpris de constater que la corruption dans le domaine médical pouvait aller jusqu’à publier de fausses études dans un magazine aussi prestigieux que le Lancet, j’avais moi-même questionné un ami pharmacien sur la question de la dangerosité de l’hydroxychloroquine.

    Sa réponse fut textuellement la suivante « Jacques, si tu avales une boîte entière d’hydroxychloroquine tu ne meurs pas, mais si tu avales une boîte entière de Dafalgan, tu meurs, c’est ça la dangerosité de l’hydroxychloroquine… ». Voilà ce que tout pharmacien et tout médecin savait, et ce qui était à la portée du savoir de tout individu quelque peu désireux de se renseigner !

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  17. Pourquoi a-t-on laissé mourir des gens ?

    Pourquoi donc ces médicaments bon marché ont-ils été subitement interdits ou mis au ban ? Pourquoi a-t-on dit aux gens malades de rester chez eux et de ne venir à l’hôpital qu’en présence de détresse respiratoire ? Pourquoi n’a-t-on pas soigné les gens comme on aurait pu le faire avec les médicaments existants ? Pourquoi tant de gens non correctement soignés sont décédés seuls chez eux ? Pourquoi a-t-on laissé mourir tant de personnes âgées seules dans leur chambre en EMS, sans même la visite d’un proche ?

    On le sait aujourd’hui. C’était pour permettre l’arrivée du « graal », les vaccins, présentés comme les sauveurs du monde. Les grands laboratoires pharmaceutiques avaient en effet flairé la bonne affaire. Ils sont arrivés sur le marché avec ce qu’ils annonçaient être «vaccins» mais qui en fait sont des produits expérimentaux de manipulation génique.

    Des produits expérimentaux non testés correctement

    Ces produits, fabriqués dans la précipitation et sans avoir passé tous les tests, furent autorisés au motif qu’il n’existait pas de médicaments. On comprend dès lors pourquoi les médicaments existants et sûrs devaient être soigneusement et préalablement discrédités !

    Sont ainsi arrivés sur le marché (juteux) les vaccins, substances présentées par vous comme sûres et efficaces, vaccins dont les 2 fonctions ordinaires et essentielles auraient dû être :

    de protéger l’individu
    et d’empêcher la propagation de la maladie
    Et c’est là que le déni de réalité a pris une ampleur considérable.

    Le «vaccin Covid» comme protection de l’individu
    Il est aujourd’hui clairement admis que le « vaccin Covid » ne protège pas de la maladie. C’est indiscutable. Tout un chacun a pu constater dans son entourage que les personnes vaccinées ont tout de même contracté la maladie.

    Vous rétorquerez, et c’est votre « roue de secours actuelle », que le « vaccin Covid » protège contre les formes graves. C’est amusant de constater que par ces mots, vous reconnaissez tout d’abord expressément que le vaccin ne protège pas contre la maladie !

    Ce fait avéré et reconnu devrait à lui seul vous faire stopper la vaccination, ce d’autant plus que vous ne savez rien sur les conséquences à long terme de cette dernière, conséquences qui sont de plus en plus catastrophiques comme nous le verrons plus loin.

    Protection contre les formes graves ? C’est faux !

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  18. Mais ensuite, l’assertion selon laquelle le vaccin protégerait contre les formes graves est totalement fausse. Il n’existe aucun rapport sérieux le démontrant. Du reste, en toute logique, comment pourrait-on affirmer qu’une personne vaccinée tombant malade aurait eu une forme grave sans le vaccin puisqu’il n’est pas possible de lui ôter le vaccin pour voir quel en aurait été l’effet ?

    Or, les dernières études indépendantes démontrent exactement le contraire, à savoir que les personnes vaccinées développent plus de formes graves que les personnes non vaccinées, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. Les chiffres de septembre 2022 de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) du gouvernement français indiquent clairement que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

    Merveilleux monde que celui dans lequel on vaccine des personnes qui deviennent ainsi plus susceptibles de contracter la maladie et de mourir que les personnes non vaccinées !

    Les pays les plus vaccinés comme Israël ont eu des pics d’infections

    Très rapidement, il fut possible de se rendre compte que la protection annoncée n’existait pas.

    Dès juillet 2021, vous pouviez constater que dans les pays qui avaient vacciné le plus, notamment Israël et d’autres encore, non seulement le vaccin n’avait pas stoppé la maladie, mais que c’était dans ces pays-là que l’on enregistrait les plus gros pics de personnes infectées, des pics encore plus forts que ceux enregistrés avant le vaccin !

    Et vous pouviez également constater que la situation était bien meilleure dans les pays qui vaccinaient le moins ou qui n’avaient pas accès au vaccin. C’était visible par tout un chacun. De nombreux spécialistes l’ont relevé, spécialistes malheureusement immédiatement censurés et discrédités. Je vous avais moi-même rendus attentifs à cela dans mes premiers courriers. Cela fait donc longtemps que le vaccin n’avait déjà plus de sens. Du reste, on peut même raisonnablement se demander s’il en a eu un à un certain moment ?

    Toujours est-il qu’aujourd’hui il est acquis que le « vaccin Covid » ne protège pas contre la maladie.

    Le vaccin comme obstacle à la propagation

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  19. La 2ème qualité essentielle d’un vaccin est celle de faire obstacle à la propagation du virus et donc de casser les chaînes de transmission. Vous vous souvenez du slogan « tous vaccinés, tous protégés » et l’abondante propagande médiatique qui s’en est suivie, propagande à laquelle les gouvernements ont généreusement participé. Et bien cela est également un mensonge d’Etat.

    Sauf à vouloir encore ignorer la réalité des choses, vous avez certainement vu ou entendu le récent témoignage devant la commission européenne de Mme J. Small, assistante de M. Bourla, PDG de Pfizer (qui s’était fait porter pâle et pour cause), laquelle a reconnu qu’il n’y avait pas d’études faites concernant la protection du vaccin contre la transmission du virus.

    Cette audition parlementaire fait actuellement grand bruit, malgré la censure. Vous avez bien saisi, la question de la protection sociale du vaccin ou son effet collectif n’a tout simplement jamais été examinée. Et vous autorités, qu’avez-vous dit à votre population ? « Vaccine-toi pour protéger grand-mère », vaccine-toi par altruisme… alors que vous n’en saviez rien !

    Certificat de la honte

    Ce mensonge a permis au Conseil fédéral de mettre sur pied le certificat Covid, certificat qui a privé les citoyens non-vaccinés de leurs droits fondamentaux les plus élémentaires. Les parias non-vaccinés, citoyens irresponsables, n’ont eu ainsi qu’à rester chez eux. Ils ne méritaient pas d’accéder aux restaurants, aux cinémas, concerts, etc…

    Par contre, il était juste de réserver ces agréments aux dociles citoyens trompés et soumis. Quelle belle réussite pour un gouvernement que celle de promouvoir un certificat qui discrimine une partie de sa population !

    Obligation vaccinale déguisée

    Par ce certificat Covid, le Conseil fédéral a mis en place une obligation vaccinale déguisée, obligation totalement interdite par différentes législations. Vous avez organisé à grands frais des concerts pour promouvoir le vaccin auprès de la jeunesse du pays et amener cette jeunesse à accepter une thérapie dont vous ne saviez rien sur ses conséquences à long terme.

    Vous avez même été jusqu’au point d’envisager de payer les citoyens qui en amèneraient d’autres à se faire inoculer cette substance inutile et dangereuse. Comment ne pas avoir honte d’une idée aussi répugnante ?

    «Vaccinés = altruistes, non vaccinés = égoïstes»

    Pire encore, le Conseil fédéral a fait passer au sein de sa population le message selon lequel les vaccinés étaient des citoyens responsables et altruistes, au contraire des non-vaccinés qui eux étaient des citoyens égoïstes.

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  20. Vous avez ainsi créé au sein de votre population une scission entre les « bons » et les « mauvais » citoyens. Des familles se sont déchirées. Des amitiés se sont défaites. La peur de l’autre s’est installée au sein de votre population. Comment avez-vous pu mettre en place un terreau de division et de peur alors que l’histoire a si souvent montré les ravages et les exactions d’une telle chose ?

    Le pire des maux : un gouvernement qui divise son peuple

    Je vous pose la question : pensez-vous qu’il est possible pour un gouvernement de faire plus mal que de diviser son peuple ? Qui plus est sur la base d’arguments inexistants ? J’ai moi-même entendu un homme d’Etat valaisan dire de façon totalement irréfléchie qu’il n’était pas normal que l’économie soit l’otage de quelques irresponsables non-vaccinés. Et j’ai moi-même entendu dans mon entourage quelqu’un de très instruit dire qu’un non vacciné ne devait pas être soigné s’il tombait malade. C’est cela le résultat social de votre action politique : dissension et haine.

    Je pourrai encore m’étendre sur l’ampleur des dégâts économiques, sociaux et psychiques de ces mesures, notamment sur notre jeunesse. Je m’arrête là pour ne pas allonger en vous signalant que vous trouverez la liste de ces dégâts et leurs détails auprès des différents spécialistes indépendants des domaines concernés. Je vous y renvoie.

    Les effets indésirables du vaccin
    Nous avons vu que le « vaccin Covid » ne protégeait pas l’individu contre la maladie et n’empêchait pas la transmission de la maladie, et donc qu’il ne remplissait aucune des 2 fonctions essentielles d’un vaccin. Au concours des mesures inutiles, ce vaccin occuperait donc une place de choix !

    Si seulement l’inutilité était son seul défaut, ce ne serait pas trop dramatique. A cette inutilité s’ajoute cependant et malheureusement des effets indésirables nombreux et graves. Parmi ces effets indésirables figurent non seulement des maladies, mais également la mort.

    Nous avons déjà vu plus avant sur la base des chiffres de septembre 2022 de la DREES que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

    On n’a jamais vu autant d’effets secondaires

    Selon les rapports du VAERS (système américain de suivi des effets secondaires des vaccins), on n’a jamais vu autant d’effets indésirables à la suite d’un vaccin. Nombre de vaccins ont été interdits avec des effets secondaires bien moins nombreux. Ces effets indésirables sont plus nombreux en proportion que n’importe quel autre vaccin, ceci dans un rapport conséquent de 1 à 100, voire de 1 à 200.

    Selon les données américaines, le 99 % des signalements d’effets indésirables en 2021 et 2022 concernent les « vaccins Covid ». Il y a 1 myocardite toutes les 1 000 injections, une hospitalisation toutes les 1 000 injections et un décès toutes les 5 000 injections.

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  21. Les jeunes paient le prix fort

    Selon les données européennes, 800 000 effets indésirables ont été signalés et 26 000 décès. Chez les 12-17 ans, on enregistre 15 000 effets graves déclarés, et chez les 5-11 ans 1 700 effets graves déclarés.

    Ceci au sein d’une population qui ne meurt pas du Covid et que vos mentors veulent aujourd’hui vacciner. Chez les ados, on enregistre plus de 250 jeunes filles victimes d’aménorrhée, plus de 2 000 myocardites dont 900 avec hospitalisation, 45 thromboses, 25 arrêts cardiaques et environ 50 cécités et 1 myocardite tous les 1 500 vaccinés. Des jeunes en bonne santé et sans antécédents meurent.

    Beaucoup de décès

    Toutes classes d’âges confondues, c’est 1 effet grave tous les 100 vaccinés et 1 décès tous les 3000 vaccinés. Et il est statistiquement prouvé qu’au mieux seul le 10 % des effets indésirables remonte jusqu’aux agences de recensement. Vous pouvez imaginer la catastrophe.

    Le risque de décéder du vaccin en cas de survenance d’un effet secondaire est plus grand que celui de décéder du Covid 19 en cas de symptômes, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. C’est cela la balance bénéfice/risque, balance bien négative.

    En Angleterre et aux USA, des embaumeurs chargés de préparer les corps affirment avoir trouvé des caillots fibreux et caoutchouteux de grande taille à l’intérieur des cadavres. Le même cas m’a été rapporté de France.

    La plus grande erreur médicale, la plus grande attaque contre la démocratie

    Se basant sur des études israéliennes et américaines avec des données claires et précises, le célèbre cardiologue Assem Malhotra affirme qu’il y a une augmentation de 25 % des crises cardiaques et d’arrêts cardiaques associée au vaccin et non au Covid, que le vaccin est plus susceptible de causer des problèmes que de protéger, même pour les personnes au-delà de 60 ans, et qu’il faut arrêter immédiatement la vaccination.

    Il est persuadé qu’avec le recul une enquête sera finalement menée afin de déterminer les responsables de ce qui constitue probablement la plus grande erreur de la science médicale jamais commise, la plus grande attaque contre la démocratie, dommage à la santé de la population et perte de confiance dans le système de santé. Il faut arrêter cela immédiatement pour éviter plus de dommages encore.

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  22. Tout cela n’est finalement pas étonnant si l’on sait que les fabricants de vaccins ont arrêté leurs tests sur les rats, après qu’ils soient tous morts, ceci pour faire les tests directement sur les hommes. Profits et rapidité obligent.

    En conclusion, nous sommes en présence de vaccins qui ne protègent pas de la maladie, n’empêchent pas sa transmission et qui, de surcroît, entraînent de graves effets indésirables, dont la mort.

    Les conséquences juridiques
    Je reviens sur la seule chose que vous ayez reconnue jusqu’à maintenant, à savoir que vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme des « vaccins » Covid, ignorance qui, comme nous l’avons vu, n’a pas empêché un soutien massif de la campagne de vaccination.

    Poussons maintenant le raisonnement un peu plus loin. Admettre que l’on ne connaît pas les conséquences d’une thérapie, c’est admettre en toute logique qu’elle puisse avoir du bon, mais également du mauvais.

    Une thérapie génique autorisée sur la base d’études bâclées

    Et si l’on sait que la thérapie en question est une thérapie génique nouvelle (ARNm) différente des vaccins ordinaires, qu’elle a été mise sur le marché dans la précipitation, sans passer par toutes les phases ordinaires de tests, qu’elle a été autorisée sur la base d’études bâclées faites uniquement par les fabricants du produit, fabricants plusieurs fois condamnés pour malversations et fraudes, si l’on sait également que ce pseudo-vaccin introduit dans le corps humain des éléments pour le moins surprenants (graphène,…) et dont la nature exacte n’a volontairement pas été révélée par lesdits fabricants, il était à la portée de toute personne sensée et non servile d’envisager que la substance en question puisse avoir des effets secondaires néfastes, notamment entraîner des maladies, des handicaps, et même la mort.

    Effets à long terme: le Conseil fédéral aurait dû nous informer de son ignorance

    Ceci d’autant plus lorsque l’on est dans l’ignorance des conséquences à long terme du produit ! La plus grande prudence s’imposait donc de toute évidence, prudence qui a fait défaut ! Le Conseil fédéral aurait dû informer la population de son ignorance et s’assurer de lui faire signer des consentements éclairés, consentements d’autant plus essentiels qu’il était concrètement demandé aux citoyens de participer à une expérience médicale.

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  23. Vous savez parfaitement qu’en possession de cette information cruciale, nombre de citoyens ne vous auraient pas suivis. Mais en lieu et place d’une information correcte, le citoyen s’est retrouvé confronté à une publicité unidirectionnelle vers le vaccin. Vous avez soutenu une campagne vaccinale sans précédent, campagne menée avec les deniers publics, finalement au profit des bénéfices records des entreprises pharmaceutiques et de leurs actionnaires.

    Infraction pénale

    Ces rappels et précisions ne sont pas sans conséquences sur le plan juridique. En effet, une infraction pénale est commise non seulement lorsque son auteur a la volonté de commettre le résultat (causer des lésions corporelles, donner la mort etc.), mais aussi lorsque, sans vouloir directement le résultat délictuel (lésions corporelles, mort), une personne admet que ce résultat puisse survenir à la suite de ses actes, et que cette personne agit malgré tout.

    C’est ce que le droit qualifie de « dol éventuel ». Le reproche qui est fait à l’auteur de tels actes c’est d’agir tout de même malgré qu’il ait connaissance du fait que ses actes puissent avoir des conséquences dommageables, et qu’il s’en accommode.

    Autorités coupables de lésions corporelles et d’homicide

    Ainsi, dans la mesure où les autorités sanitaires suisses avaient reconnu ne rien savoir sur les conséquences à long terme des vaccins et que ces autorités ne pouvaient pas exclure, compte tenu du fait qu’il s’agissait de toucher ni plus ni moins à l’intégrité physique des citoyens, que ces conséquences pouvaient être des lésions corporelles, voire la mort, et qu’elles ont agi malgré tout, elles se sont rendues coupables de lésions corporelles (art. 122 ss CP) et d’homicide (art. 111 CP) par dol éventuel.

    Ainsi, toute personne ayant subi des conséquences du fait des vaccins Covid est en droit de réclamer justice et réparation de la part de toute autorité ayant activement participé à la campagne de vaccination Covid expérimentale. Les homicides et les lésions corporelles graves étant des infractions poursuivies d’office, les autorités pénales auraient même l’obligation d’ouvrir des enquêtes.

    Je rappelle en outre que ce ne sont pas là les seules dispositions légales qui ont été enfreintes. Sur le plan constitutionnel, les dispositions suivantes ont été violées :

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  24. Huit violations de la Constitution

    l’article 8 Cst qui garantit l’interdiction de discrimination des individus
    l’article 10 Cst qui garantit à tout individu le droit à la liberté personnelle, notamment l’intégrité physique et psychique et à la liberté de mouvement
    l’article 11 Cst qui garantit aux enfants et aux jeunes une protection particulière de leur intégrité
    l’article 13 Cst qui garantit la sphère privée de toute personne, notamment la protection de ses données personnelles
    l’article 19 Cst qui garantit la liberté d’enseignement
    l’article 22 Cst qui garantit la liberté de réunion
    l’article 27 Cst qui garantit la liberté économique, notamment le libre accès à une activité économique lucrative privée et son libre exercice
    l’article 35 Cst qui garantit la réalisation des droits fondamentaux dans l’ensemble de l’ordre juridique
    Sur le plan pénal, en plus des dispositions évoquées plus haut, les dispositions suivantes ont été enfreintes :

    l’article 181 CP qui interdit la contrainte : contrainte de vaccination et contrainte des non-vaccinés privés des différentes libertés
    l’article 258 CP qui interdit les menaces alarmant la population : c’est sans cesse, et même lorsque l’état sanitaire était bon, que la population a été apeurée et maintenue dans cet état
    l’article 312 CP qui interdit l’abus d’autorité et l’abus de pouvoir : sous le couvert d’éléments scientifiques totalement absents, la population a été victime de graves atteintes aux libertés et maintenue dans une peur généralisée, notamment de l’autre, en procurant aux entreprises pharmaceutiques des profits colossaux, profits qui n’avaient pas de raison d’être.
    Enfin, par rapport aux conventions internationales, les textes suivants ont été violés:

    la résolution 2361 du Conseil de l’Europe qui interdit la vaccination obligatoire et qui interdit toute pression sociale, politique ou autre amenant une personne à se faire vacciner
    La CEDH, Convention européenne des droits de l’homme, notamment son article 8 qui garantit le droit au respect de la vie privée et familiale et son article 14 qui interdit toute discrimination
    le Code de Nuremberg qui prévoit les conditions précises et minimales à remplir pour la conduite de la recherche sur des sujets humains, leur information complète et objective, leur liberté d’acceptation, et l’interdiction de la contrainte ou de la coercition
    la Déclaration d’Helsinki, qui impose le respect des normes éthiques dans la recherche médicale
    l’article 7 du Pacte international de droits civils et politiques qui interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre consentement éclairé
    l’article 5 de la Convention d’Oviedo de 1997 qui en fait de même et interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre et éclairé consentement

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  25. Epilogue

    Je vous ai présenté sans détour la réalité des faits et leurs conséquences dans l’espoir, comme indiqué initialement, de vous voir prendre conscience de l’extrême gravité de la situation dans laquelle nous nous trouvons tous du fait de la corruption à grande échelle de la science médicale, et dans l’espoir également de vous voir enfin prendre des chemins résultant de vos réflexions personnelles, chemins uniquement dictés par le bien-être de vos citoyens et par la cohésion sociale, ce pourquoi vous avez été élus.

    Je souhaiterais vous voir sortir de la servitude imposée par le monde des puissants dont le seul objectif est de maximiser ses profits, même si cela doit se faire au prix de sacrifices humains.

    A défaut, il vous appartiendra, tôt ou tard selon l’éveil des populations, de répondre des différentes dispositions légales enfreintes.

    Corruption du monde médical : renseignez-vous !

    Vous doutez encore de la corruption généralisée du monde médical ? Renseignez-vous. Elle existe depuis de nombreuses années. Des bibliothèques entières regorgent de livres sur le sujet. Et puis, posez-vous simplement la question usuelle dans de tels cas : « à qui profite le crime » ? Aux entreprises pharmaceutiques et à leurs actionnaires. Ils sont faciles à trouver puisqu’ils sont partout et non loin de vous.

    Les privilèges colossaux de GAVI

    Examinez notamment l’accord passé avec GAVI le 1er janvier 2009. Ne trouvez-vous pas étonnant que GAVI, entité créée par la famille Gates, ait reçu de la Confédération une série colossale d’avantages — inviolabilité des locaux — liberté totale d’action sur le territoire — exonération fiscale — inviolabilité des archives — immunité de juridiction — privilèges douaniers – droits de commercer toute valeur — immunité d’arrestation et de juridiction de ses membres etc., sans aucune contrepartie. GAVI pourrait même blanchir tout argent que la Confédération s’est interdite par avance de sanctionner. Et quel est le but de GAVI ? La promotion des vaccins et la vaccination du monde entier.

    L’OMS derrière laquelle vous vous retranchez souvent a elle aussi pour objectif de vacciner le monde entier. Elle ne s’en cache pas et elle fait le forcing actuellement pour promouvoir les vaccins Covid. Et qui trouve-t-on parmi les principaux financiers privés de l’OMS ? La fondation Bill et Melinda Gates ainsi que GAVI.

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  26. L’opacité des commandes de vaccins par l’UE

    Autre exemple récent : Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la Commission européenne, a pris l’initiative de passer dans la plus grande opacité des commandes pour 4,5 milliards de doses de « vaccins Covid » pour le montant colossal de 71 milliards d’euros, chacune des doses ayant subitement passé de 4,50 euros, prix payés jusqu’ici, à 19,50 euros ! Cet accord généreux prévoit encore d’exonérer les pharmas de toute responsabilité pour leurs produits : il est même prévu que les frais et honoraires des avocats de ces pharmas soient à la charge des Etats acheteurs. L’opacité est telle (les courriels auraient subitement disparus !) qu’une plainte a été déposée par le procureur européen contre Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la commission européenne.

    Si vous ne voyez aucun mal à tout cela, il vous faut, comme l’a récemment dit un complotiste éclairé, « retourner au pied du sapin en attendant que le père Noël vous fasse des cadeaux ».

    La vérité va bientôt apparaître

    La corruption et la vérité font peu à peu surface, ceci malgré la censure et les efforts colossaux faits pour les occulter. La vérité finira cependant par apparaître, c’est certain. Vos actions seront alors appréciées à l’aune de cette réalité. A vous donc de choisir maintenant dans quel camp vous souhaitez apparaître ? La première ministre de l’Alberta l’a bien compris, elle qui vient de présenter ses excuses à ses citoyens pour les discriminations infligées.

    Si rien ne change nous n’éviterons pas que, dans quelques années et lorsque la vérité apparaîtra au grand jour, les citoyens de ce monde se demanderont comment une telle folie a pu s’installer, en disant jamais plus ça, de la même manière que récemment encore, nous nous posions la même question et émettions le même vœu lorsque nous examinions les éléments de la dernière guerre.

    Je vous prie de croire, Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux, à l’expression de ma considération distinguée.

    Jacques Schroeter, avocat

    Le 25 octobre 2022

    https://www.mondialisation.ca/maitre-jacques-schroeter-vaccins-covid-un-peuple-gravement-trompe-par-ses-autorites/5672431

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    Réponses
    1. Les prisons (comme les ministères) du monde entier sont remplies de criminels qui se disent innocents.

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  27. Lettre ouverte de médecins, scientifiques, pharmaciens, etc. concernant l’information à laquelle les parents ont droit afin d’autoriser ou non l’injection pour leur enfant d’un produit génique à base d’ARN-m en Phase III d’expérimentation

    Lettre ouverte au Collège des médecins du Québec et à la Direction générale de la santé publique du Québec


    Par Collectif et Réinfo Covid Québec
    Mondialisation.ca,
    03 novembre 2022


    Le 19 octobre 2022

    À :

    Dr Luc Boileau, Directeur National de Santé Publique du Québec

    Dr Mauril Gaudreault, Président du Collège des Médecins du Québec

    Dr Marie-Claude Roy, Présidente de l’Association des pédiatres du Québec

    Pierre-Gerlier Forest, PDG de l’INSPQ
    Christian Dubé, ministre de la Santé du Québec

    Lettre ouverte au Collège des médecins du Québec
    et à la Direction générale de la santé publique du Québec concernant l’information à laquelle les parents ont droit
    afin d’autoriser ou non l’injection pour leur enfant
    d’un produit génique à base d’ARN-m en Phase III d’expérimentation
    Les informations contenues dans ce texte sont vérifiables et proviennent des Centers for Disease Control (CDC), de la U.S. Food and Drug Administration (FDA) ainsi que des fabricants Pfizer et Moderna. Les principes à la base de ce texte sont ceux qu’on trouve dans le Code Civil du Québec, articles 10 et 11 et du Canada ainsi que le code de déontologie des médecins du Québec. Certains relèvent du Code de Nuremberg.

    Le devoir personnel et incontournable du médecin, inscrit dans son code de déontologie, et auquel il ne peut se soustraire, lui impose de s’assurer qu’un consentement libre et éclairé soit obtenu de la part du patient. Libre signifie sans menace ni contrainte et, dans le cas d’un produit pharmaceutique expérimental, sans promotion aucune. Éclairé veut dire que le patient reçoit une information véridique, factuelle, complète et clairement exprimée. Le médecin a aussi le devoir déontologique de signaler des situations de santé publique à propos desquelles il juge que le public est mal protégé et/ou mal informé (articles 39 et 40 du code de déontologie des médecins).

    Force est de constater que le public est mal servi à cet égard dans le contexte de la pandémie. On a présenté un produit expérimental de manipulation génique comme un « vaccin comme les autres ». On a présenté ce produit comme un « vaccin sûr et efficace ». On a répandu des messages non validés par la science, empreints d’une violence inouïe, faisant peser sur les fragiles épaules des enfants une responsabilité lors de la maladie ou du décès éventuel d’un de leurs parents ou grands-parents. On a dressé les citoyens les uns contre les autres, toujours à l’encontre de la science, en répandant les idées fallacieuses de contamination asymptomatique et de « pandémie des non-vaccinés » pour ne citer que celles-là.

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  28. Les médias ont comblé le vide d’information et se sont proclamés détenteurs et défenseurs de la vérité. Des journalistes souvent peu qualifiés ont présenté des vérités établies comme étant de la « désinformation » et des informations totalement fausses comme étant des dogmes scientifiques. Les médias ont stigmatisé tous ceux qui se sont questionnés sur les « vaccins » expérimentaux en leur accolant des épithètes dégradantes : anti-vaxx, complotistes, irresponsables, coucous, anti-science etc.

    Si nous sollicitons l’appui des institutions que sont la Direction de la santé publique et le Collège des médecins du Québec (CMQ), c’est afin de permettre aux parents du Québec de prendre des décisions libres et éclairées ; décisions qui, il faut le mentionner, ont un caractère d’irréversibilité. Indirectement, cette lettre est adressée aux parents et le langage est volontairement simplifié, comme l’exige la loi qui encadre le « consentement libre et éclairé ».

    Avis préliminaire : Les informations contenues dans ces pages sont rigoureusement conformes à des connaissances scientifiques reconnues et accessibles. Nous sommes conscients qu’elles pourront heurter le lecteur qui en prendra connaissance pour la première fois.

    Une information complète, qui inclut tous les dangers d’un produit pharmaceutique, est une obligation éthique incontournable. Ce que nous avons trouvé comme information communiquée aux parents dans le contexte des vaccins anticovid est éthiquement et scientifiquement insuffisant d’où ce texte, qui, vise à mieux les informer. Des universitaires et scientifiques renommés du Québec et du monde entier ont été congédiés pour s’être exprimés publiquement et avoir émis des réserves pourtant tout à fait justifiées au sujet des injections anticovid. La censure qui prive les parents d’informations indispensables à une prise de décision éclairée, est inadmissible.

    Ce texte sera également envoyé aux médias. Il se peut que des journalistes ou « décrypteurs » veuillent commenter ces informations. Libres à eux de le faire. Nous leur demandons toutefois de dévoiler leurs sources et leurs possibles conflits d’intérêts et d’exiger la même chose de tous les spécialistes qu’ils appelleront à s’exprimer publiquement ainsi que l’exige le code de déontologie journalistique. Il n’en va de rien de moins que de la vie et de la santé des enfants du Québec.

    Soulignons que tous les professionnels ayant signé cette lettre, déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêts. Mentionnons finalement que les principales références sont immédiatement accessibles en cliquant sur les hyperliens (texte souligné).

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  29. Obligation d’information, Consentement éclairé
    Avant de prescrire ou de donner un traitement ou un médicament, le médecin, le gouvernement ou la Santé publique, en l’occurrence, a l’obligation éthique et légale de fournir à la personne toutes les informations relatives au produit concerné. Il s’agit d’un devoir incontournable des médecins et il s’agit également d’une obligation légale inscrite au Code civil du Québec articles 10 à 25. Cette obligation s’inspire du principe d’« inviolabilité de la personne » et de son « droit à la vérité ».

    Liberté de choix

    La personne doit avoir l’entière liberté d’accepter ou de refuser tout produit pharmaceutique sans être récompensée, ni pénalisée par son choix. Cela est valable autant pour les adultes que pour les enfants.[1] Comme le vaccin génique contre la COVID-19 est un produit expérimental non homologué mais autorisé sous le couvert de l’urgence sanitaire et qui, de plus, n’a pas été adéquatement testé chez les animaux, il ne devrait y avoir aucune promotion de ce produit, et, surtout, il ne devrait y avoir aucune conséquence fâcheuse pour quiconque refuse. Aucune pression ne devrait être exercée sur la personne.[2] (Voir section 9).

    Choix éclairé : aucune information ne doit être cachée

    Pour que le choix soit éclairé, il faut que toutes les informations disponibles (avantages et inconvénients potentiels, risques, incertitudes) soient fournies et transmises dans un langage compréhensible. Or les plus hautes autorités (Dre Rochelle Walensky, CDC) ont affirmé que les informations sur le vaccin génique ne sauraient être toutes divulguées. De plus, les fabricants des injections à ARNm refusent toujours, même si leurs produits sont déployés à l’échelle de la planète, d’en dévoiler la composition exacte alléguant qu’il s’agit d’un secret commercial. Les autorités concernées, l’Organisation mondiale de la Santé, la Santé publique du Québec, Santé Canada, le Collège des médecins du Québec (CMQ), nos gouvernements (fédéral et provincial) n’ont pas exigé des compagnies pharmaceutiques qu’elles dévoilent la composition exacte de leurs produits. En conséquence il y a impossibilité d’un consentement vraiment éclairé, ce qui contrevient aux principes fondamentaux du CMQ.

    En dépit de ces difficultés, nous devons tout mettre en œuvre pour partager les informations connues et émergentes concernant ce vaccin génique. Qu’elles proviennent des fabricants eux-mêmes, de la FDA ou des CDC, du VAERS, du V-Safe américain du système Eudravigilance européen, ces informations sont toutes vérifiables.

    Consentement et responsabilités du parent

    Jamais un produit expérimental n’a été administré aux êtres humains sans expérimentation animale complète depuis les tragiques médicaments qu’ont été la thalidomide[3] et le DES[4] administrés aux femmes enceintes. L’application du « principe de précaution » n’est pourtant jamais aussi capitale que lorsqu’il s’agit d’enfants et de fœtus.

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  30. Les enfants ne sont pas en mesure de comprendre les informations transmises pour qu’un consentement soit considéré comme vraiment « éclairé ».

    Ainsi, le parent qui donne son autorisation au nom de son enfant doit comprendre

    qu’il s’agit d’une intervention irréversible dont les conséquences à court et moyen terme sont méconnues et souvent sous-estimées, et dont les retombées à long terme (y compris le risque d’infertilité) sont inconnues du fait de l’absence de recul ;
    qu’il prend une décision au nom de son enfant, considéré inapte à décider pour lui-même, et qu’il s’agit d’une responsabilité au long cours;
    que cette injection à ARN-m est un produit qui n’a jamais été utilisé à grande échelle chez les humains et est totalement différent de tous les vaccins auxquels on nous a habitués. Il est faux de prétendre que cette injection est un « vaccin comme les autres ».

    Balance risques/bénéfices

    On doit toujours se demander si le produit comporte plus d’avantages ou plus d’inconvénients (risques). On doit aussi tenir compte de l’âge et des particularités de l’enfant concerné.

    Les études effectuées chez les enfants par les fabricants n’ont pas rempli les critères minimaux de validité (nécessité, efficacité et sécurité). Ces études sont scientifiquement insuffisantes et insatisfaisantes. Elles ont néanmoins été acceptées par la FDA et par Santé Canada.

    Il faut d’abord savoir que la vaste majorité des enfants ont déjà acquis une immunité naturelle contre la COVID-19 et ensuite que les enfants sont très rarement gravement affectés par la maladie. De plus, c’est maintenant reconnu par le CDC, depuis le 6 août 2021, que cette vaccination n’empêche ni de contracter la maladie ni de la transmettre. Finalement, comme les personnes triplement vaccinées occupent dans une grande proportion les lits d’hôpitaux et de soins intensifs, la pertinence de la vaccination est de plus en plus remise en question, particulièrement chez les personnes saines âgées de moins de 60 ans. Elle est dorénavant interdite au Danemark chez les moins de 18 ans, et ce, depuis le 1er septembre 2022.

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  31. Les risques de myocardite sont, eux, indéniables et la substance injectée peut causer divers dommages au cœur et à tous les organes où la protéine Spike, toxique, peut se loger. Les avantages de ce produit pour nos enfants n’ont pas été expliqués de façon satisfaisante et encore moins démontrés par la Santé publique ou par le gouvernement du Québec.

    Il y a donc des avantages non démontrés, mais les risques, eux, sont indiscutables et parfois irrémédiables, soumettant ainsi les enfants à un danger inutile et injustifié.

    Myocardite
    Les myocardites affectent principalement les adolescents et les jeunes hommes.

    Selon Pfizer, le risque de myocardite peut être aussi élevé qu’un enfant sur mille «vaccinés». Selon une étude thaïlandaise basée sur une surveillance active de jeunes vaccinés, près de 30% des jeunes avaient des marqueurs d’atteinte cardiaque. La question qui s’impose est: « Pourquoi exposer des enfants sains à une substance (protéine Spike) bien connue pour être potentiellement toxique pour le cœur ? »

    Certains ont dit que la myocardite était « rare et bénigne ». Elle n’est ni aussi rare ni aussi banale qu’on nous le laisse entendre. Une maladie du cœur avec un risque de séquelles graves à moyen et long terme ne peut certainement pas être qualifiée de bénigne.

    Effets indésirables à long terme

    La protéine S, que les cellules du corps humain produisent à la suite du vaccin génique à ARNm, se répand dans tout le corps, d’où le risque d’inflammation (ex. : caillots et thromboses)[5] et de dommage aux organes incluant le cerveau. Les dommages causés par cette substance pourraient apparaître des années après la « vaccination ». Ainsi on ne peut pas connaître précisément la balance risques/bénéfices. En revanche, il faudrait que les avantages de cette injection soient majeurs et indéniables pour faire pencher favorablement cette balance risques/bénéfices, ce qui n’est pas le cas. C’est pourquoi le Danemark a interdit la vaccination des enfants sains.

    Dommages potentiels au système immunitaire de l’enfant

    Le Dr Paul Offit, directeur du comité aviseur sur les vaccins à la FDA, a déclaré qu’il y avait un risque réel que le produit à ARNm administré à l’enfant puisse affaiblir durablement son système immunitaire, ce qui le rendrait plus vulnérable à des infections futures que s’il n’était pas vacciné (7). Récemment il ajoutait qu’il fallait être particulièrement prudent face aux injections bivalentes, celles-ci ayant été mises sur le marché sans aucune expérimentation humaine préalable.

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  32. Produit non testé chez les animaux ?

    Pour qu’un produit médicamenteux soit approuvé, il doit d’abord avoir été testé chez les animaux (souris, rats, et lapins des deux sexes et animaux gestants). Dans le climat d’urgence ayant entouré cette pandémie et dans la hâte de fabriquer un « vaccin », le fabricant a considérablement abrégé l’étape cruciale qu’est l’expérimentation sur les animaux, laquelle aurait nécessité plusieurs années pour que toutes les phases soient complétées. Ont également été négligées les études complètes de bio-distribution et de toxicité normalement exigibles. Les exemples funestes plus haut de la Thalidomide et du DES qui ont causé malformations fœtales, infertilité et cancers vaginaux auraient pourtant dû nous inciter à plus de prudence. Il est important de mentionner que les vaccins à ARNm novateurs, expérimentaux et, dont le profil risques/bénéfices est défavorable pour les jeunes et les enfants en bonne santé, profitent d’une autorisation de mise en marché en vertu d’un arrêté d’urgence, et ce, alors qu’il n’y a jamais eu d’urgence dans la population pédiatrique.

    En cas de dommages, aucun recours légal possible envers le fabricant

    En cas de dommages, c’est-à-dire, d’effets indésirables causés par ce vaccin génique (myocardites et ses séquelles, mort, allergie au PEG[6] et anaphylaxie, désordres immunitaires, troubles neurologiques etc.), le fabricant ne saurait être tenu légalement responsable pour deux raisons :

    Les fabricants ont posé comme condition à la vente de leurs produits aux pays concernés la signature d’un contrat de non-imputabilité à leur égard. Ces contrats conclus avec nos gouvernements sont strictement confidentiels.

    L’utilisation de ce vaccin génique est rendue possible grâce à une clause dite : autorisation d’utilisation en cas d’urgence. Pour que cette clause soit évoquée, aucun autre produit efficace ne doit être disponible et il doit y avoir une urgence sanitaire. Dans ce cas, il ne peut y avoir de recours judiciaire[7].

    Le produit à ARN messager est-il un vaccin ? « Un vaccin comme les autres » ?

    Normalement, un vaccin est considéré efficace s’il empêche la personne de contracter la maladie ET s’il prévient la transmission du virus. Or, nous savons actuellement que ce produit n’empêche la personne ni de contracter la COVID-19, ni de la transmettre et ce, avec le même degré de contagiosité.

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  33. Voilà qui ne répond pas aux critères d’un vaccin efficace. La raison pour laquelle les injections contre la COVID-19 ont été présentées comme des vaccins était de favoriser leur acceptation dans un habile plan de marketing.

    Affirmer qu’il s’agit de « vaccins comme les autres » est mensonger. C’est de la désinformation. Aucun vaccin traditionnel n’utilise une technologie génique à ARNm. Ces “vaccins” sont entièrement différents de tous les vaccins que l’on connaît. Leurs effets secondaires connus et répertoriés sont multiples, différents, plus fréquents et parfois graves.

    Est-ce un produit « sûr et efficace » ?

    Un produit sûr ? Non, puisque la compagnie Pfizer a identifié 1 291 effets secondaires pouvant résulter de son produit. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) qui est système d’auto-rapport des effets secondaires par la population américaine, dont chacun peut consulter les données, mentionne, en date du 16 septembre 2022, 1,418,220 rapports d’effets secondaires dans tous les groupes d’âge, incluant plus de 31,000 décès et près de 260,000 dommages sérieux. De plus, on considère, selon une analyse commandée par la FDA, que la fréquence réelle devrait être multipliée par 10 ou 100.

    Efficace ? Actuellement les autorités ne s’expliquent pas certaines statistiques officielles dont les nombreux décès par COVID chez les doublement ou triplement vaccinés, les décès subits chez les athlètes ainsi que les statistiques de surmortalité; voilà qui soulève de légitimes questions. L’efficacité des « vaccins » chez des personnes saines a-t-elle vraiment été démontrée ? [8]

    Dommage aux ovaires et infertilité ?

    Qu’en est-il de la seule étude de bio-distribution animale effectuée par Pfizer ? Il s’agit d’une étude japonaise découverte par un virologue et immunologue de l’Ontario, Dr Byram Bridle, qui l’a fait traduire. On a injecté de l’ARNm à des rats et étudié où le produit (nanoparticules lipidiques) se distribuait. On a noté que ce produit toxique se retrouvait dans plusieurs organes et en quantité très importante dans les ovaires. Cette étude a été faite en 2012. Malheureusement le fabricant n’a pas réalisé d’études complémentaires pour documenter cette information pour le moins inquiétante. Cette information, associée à la découverte par Pfizer d’anticorps anti-sperme et à d’autres études montrant une diminution transitoire du sperme des hommes injectés, nous autorise à nous demander si les injections à ARNm peuvent nuire à la fertilité future de nos enfants. Le fardeau de la preuve, puisqu’il s’agit de produits expérimentaux, repose sur les épaules du fabricant et de ceux qui en font la promotion. Cette question, malgré une étude préliminaire du fabricant pour le moins inquiétante, demeure sans réponse les études animales ou humaines complémentaires n’ayant pas été faites. Quel parent, en toute connaissance de cause, est prêt à faire courir ce risque à son enfant ?

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  34. Éthique : vacciner les enfants pour protéger les adultes ???

    L’INSPQ affirme dans son rapport destiné au gouvernement du Québec qu’il peut être éthique de vacciner les enfants pour protéger les personnes âgées et vulnérables.

    Cette logique de l’INSPQ est d’autant plus questionnable que :

    (1) Ce ne sont pas les enfants qui transmettent le COVID aux personnes âgées, mais les adultes qui la transmettent aux enfants.

    (2) La « vaccination » n’empêche ni de contracter la maladie, ni de la transmettre, et ce, avec la même intensité.

    Une autre publication par un groupe de professeurs d’éthique d’Oxford et des Pays-Bas s’oppose à ce principe et propose une longue et pertinente réflexion.

    Les parents qui décident au nom de leur enfant sont les seuls juges en la matière. La question est la suivante : « Le parent accepte-t-il le risque de compromettre la santé de son enfant dans l’espoir de prolonger la vie de personnes très âgées et vulnérables ? Accepte-t-il que son enfant serve en quelque sorte de bouclier ?

    Le parent seul doit décider de ce qui est éthique dans ces circonstances. Comme le CMQ n’a pas aboli le principe de précaution ni le principe d’un consentement libre et éclairé, ces principes devraient s’appliquer pour des produits, toujours en investigation, non testés suffisamment sur les animaux, lorsqu’il est question de les administrer aux enfants, une population déjà largement immunisée naturellement dans un contexte, pour eux de non-urgence.

    Produit expérimental de manipulation génique destiné à être inclus sous le couvert d’une fausse représentation dans le calendrier vaccinal des enfants : méfiance vaccinale accrue ?

    Le fabricant et les autorités sanitaires envisagent une « mise à jour » régulière de la vaccination chez les adultes, possiblement conjuguée à une vaccination anti-influenza.

    Pour les enfants, on étudie la possibilité d’introduire ce produit dans leur calendrier vaccinal. Ce produit s’introduirait en douce sous une fausse représentation

    d’« autorisation en cas d’urgence ». À cet égard, il appartient à la Direction de la santé publique et au Collège des médecins du Québec d’être vigilants et de remplir leur mission première de protection du public. Les enfants sont notre richesse et représentent l’avenir du Québec.

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  35. Si ces vaccins bivalents ou polyvalents étaient acceptés, ils pourraient alimenter une méfiance grandissante envers tous les vaccins en général, incluant ceux dont l’efficacité et la sécurité sont présentement reconnus. La responsabilité de nos institutions s’en trouve accrue.

    En guise de conclusion :

    Nous nous sommes attachés à l’obligation de vérité et à la nature et l’étendue des informations qui doivent être transmises aux parents et qui sont indispensables à une prise de décision éclairée concernant l’inoculation de leur enfant avec un produit expérimental à base d’ARN messager. Comme mentionné, un consentement tout à fait éclairé n’est pas possible, dans la situation actuelle, étant donné le manque de recul face à ce nouveau produit et la décision de la FDA et du fabricant de ne pas diffuser toutes les informations nécessaires à une prise de décision.

    D’autre part, nous croyons que le Collège des médecins du Québec et la Direction de la santé publique pourraient faciliter la prise d’une décision plus éclairée en produisant un document qui ne soit ni promotionnel, ni propagandiste et qui inclurait les informations contenues dans la présente.

    Pour l’instant, les risques du vaccin contre la COVID-19 pour un enfant normal nous apparaissent de toute évidence supérieurs aux bénéfices. Il y a également nécessité d’obtenir des avis légaux et éthiques totalement indépendants. Ces avis font cruellement défaut.

    En somme, nous les signataires, demandons à nos indispensables institutions de réglementation que sont la Direction de la santé publique et le Collège des médecins du Québec de remettre la science à l’ordre du jour concernant la vaccination des enfants. On ne peut pas laisser les médias et les « décrypteurs » bien intentionnés mais non habilités à décortiquer les études scientifiques, à comprendre les mécanismes d’action d’une thérapie génique ou à saisir les subtilités de la science, être de facto les instances qui dictent aux parents ce qu’il convient de faire concernant la vaccination de leur enfant.

    Où est le choix libre et éclairé lorsqu’on défend bec et ongles une vaccination expérimentale chez des enfants qui n’en ont pas besoin, lorsqu’on censure les opinions différentes, et les scientifiques qui osent évoquer l’existence d’effets secondaires pourtant graves, nombreux et bien documentés par la FDA et les CDC eux-mêmes ?

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  36. Nous demandons instamment à nos institutions d’intervenir et de reprendre la place qui leur revient dans cette question de la vaccination des enfants.

    La présente constitue également un avis formel en respect de l’article 39 du code de déontologie des médecins concernant le signalement d’une situation qui met en péril la population, en l’occurrence les enfants du Québec. Si ce qui précède est conforme, une interdiction complète et immédiate de la vaccination des enfants du Québec contre la COVID-19 s’impose, ne serait-ce qu’en vertu du principe de précaution (« D’abord, ne pas nuire »).

    Dans l’attente d’une réponse expresse de votre part, nous vous prions d’accepter nos sincères salutations.

    Collectif de médecins et de scientifiques

    En partenariat avec Réinfo Covid Québec
    www.reinfocovid.ca
    reinfo@reinfocovid.ca
    Membre d’un collectif international de 4000 médecins et 80,000 adhérents

    Quelques signataires et cosignataires – Médecins, scientifiques, pharmaciens, etc.

    Dr René Lavigueur, MD
    Dr Robert Béliveau, médecin à la retraite
    Dr Danielle Fisch, MD
    Dr Alain Roux, MD
    Dre Snezana Stanojlovic, MD
    Simon Ruelland, MD
    Bernard Massie, PhD en microbiologie U. de M. Vecteurs de génomique et thérapie génique, carrière à l’INRS, Québec, Canada
    Patrick Provost, PhD, Biochimiste et chercheur, Université Laval
    Christian Linard, PhD
    Dr Gaetan Brouillard, MD
    Dr Andrée Mathieu Serra, MD
    Dr Robert Flood, MDCM
    Dr David Barbeau, MD, Msc
    Dr Jane Omer, MD
    Dr Jacqueline Magny, MD
    Jean-Yves Dionne, BPharm
    Mario Labrie, BPharm
    Barry Breger, médecin à la retraite
    Pierre Larose, Dentiste

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  37. ANNEXE 1

    Quelques questions au Collège des médecins du Québec
    et à la Direction de la santé publique du Québec

    Est-il scientifiquement justifié d’affirmer à la population que l’inoculation à ARN messager contre la COVID-19 est un « vaccin comme les autres » ?
    Le principe de précaution (Primum, non nocere) et l’obligation d’un consentement libre et éclairé sans menace, ni contrainte, ni promotion aucune ont-ils été suspendus en vertu de la loi de l’urgence sanitaire qui a entouré la pandémie COVID-19 ? Si oui, précisez.
    Est-il scientifiquement justifié de s’inquiéter des nombreux effets secondaires avérés ou potentiels de ce produit pharmaceutique génique expérimental ? De s’inquiéter notamment de la fertilité future de nos enfants inoculés avec ce produit compte tenu des études de diminution du sperme des hommes inoculés, de la découverte d’anticorps anti-sperme par la compagnie Pfizer, et de la découverte d’une concentration exceptionnellement abondante de la protéine « S », toxique, dans les ovaires de rats, sans qu’aucun suivi soit effectué ou qu’aucune étude complémentaire soit menée ?
    Est-il scientifiquement permis dans le contexte d’un produit expérimental toujours en investigation et dans un contexte de non-urgence pour les enfants, de se questionner sur les risques de dommages irréparables à leur système immunitaire ? Rappelons que le Dr Paul Offit, pédiatre membre du comité aviseur de la FDA sur les vaccins s’inquiète spécifiquement de cette question.
    Que pensez-vous des cas du Danemark et du Royaume-Uni qui ont non seulement abandonné, mais interdit la vaccination des enfants sains ? Quels seraient leurs motifs ? Pourquoi est-ce différent ici ? Quelle leçon peut-on en tirer ?
    Nous faisons le constat de beaucoup de désinformation de la part des médias de masse. Plusieurs médecins ayant d’importants conflits d’intérêts s’expriment publiquement sans déclarer ces conflits et sans divulguer leurs sources, contrevenant ainsi à leur code de déontologie. Le CMQ pourrait-il intervenir sur ce plan ?
    Peut-on parler d’un consentement libre dans le contexte de l’annonce, au printemps 2021, d’un pourcentage de vaccination à atteindre par l’école secondaire pour que les activités parascolaires aient lieu à la rentrée ? Tout cela étant, de toute évidence, associé à une intense pression de groupe par les pairs et les enseignants, sans que les médecins de famille ne puissent s’exprimer librement ?
    Comment justifiez-vous, sur le plan sanitaire, l’imposition d’un passeport vaccinal pour tous les adolescents ?
    Que pensez-vous de l’analyse critique rédigée par le comité consultatif médical et scientifique du CCCA (Canadian Covid Care Alliance) récemment mis en ligne sur le site du CCCA, qui analyse et réfute point par point les recommandations du comité canadien de vaccination (NACI) ? Comme toute la justification de la vaccination y est remise en cause, avec nombreuses sources à l’appui, un dialogue ne devrait-il pas être initié ?

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  38. ANNEXE 2

    Sources et références

    Australia has quietly stopped recommending more Covid vaccines for almost everyone under 50, and Norway under 65.

    Étude japonnaise. Haute concentration dans les ovaires et la moelle osseuse. Byram Bridle :

    Protéine S : Distribution du vaccin et de la protéine spike : (Étude japonnaise et du Dr Byram Bridle :

    British Medical Journal

    Efficacité négative. Plus de mal que de bien avec la « vaccination » obligatoire contre COVID :

    « Whatever teenagers and families decide, their views must be heard and respected”.

    Considérer avec soin la vaccination des enfants. Vaccination enfants à risque.

    CCCA : Contre-arguments NACI guidelines

    CDC: Nouvelles orientations de la CDC qui renie des affirmations précédentes.

    Directrice CDC Rochelle Wolensky: “what they can’t do anymore is prevent transmission.” (2 octobre 2021) –

    CDC: Non-vaccinés = vaccinés. CDC Quietly Ends Differentiation on Covid Vaccination Status

    COVID-19. Transmission and children: The child is not to blame.

    Contrats secrets et inaccessibles aux citoyens de la CEE

    Exemption de vaccination : Usurpation du droit du médecin d’exercer son jugement.Contrindications à la vaccination selon une directive gouvernementale : Un « choix libre et éclairé » devient-il une obligation?

    Documents piliers :

    Stephanie Seneff : Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines– https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/23
    Dr Byram Bridle, PhD, Associate Professor of Viral Immunology – COVID-19 Vaccines and Children:
    Bernard Massie : L’absence de fondement scientifique de l’obligation vaccinale pour la COVID-19 :
    COVID-19 Vaccines and Informed Consent

    Kennedy, Robert F. Livre; A letter to liberals, Censorship and COVID: An Attack on Science and American Ideals’
    Russel L. Blaylock nous offre un résumé pluridisciplinaire de cette pandémie :
    Dr Aseem Malhotra, Royaume Uni. Exposé magistral.
    European journal of Epidemiology : Les pays les plus vaccinés ont le plus de nouveaux cas de COVID :

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  39. Harvard : Étude de 68 pays : L’augmentation des cas COVID n’a aucun lien avec le taux de vaccination :

    Effets secondaires de la vaccination. 1 366 références pour l’ensemble des effets secondaires rapportés. Par Dr K.E. Thorp :

    Effets indésirables au nombre de 1,291, dévoilés par ordre de cour via documents Pfizer : 03-2022

    Infections augmentées post inoculation. Risque infectieux. Virology journal. NIH. Pubmed.gov

    Israel : Pays le plus vacciné au monde : Le plus de cas et Atteinte de l’immunité.

    JAMA

    Myocardite post vaccination. Fréquence :

    Guillain Barré et inoculation mARN :

    Lancet. Transmissibility of SARS-COV-2 among fully vaccinated individuals. Vaccinés et contagieux:

    Liberté d’expression. Patrick Provost, professeur universitaire congédié pour s’être exprimé :

    Marketing : Appellation « vaccin » = Stratégie de marketing du dirigeant de Bayer : Reconnait que ce produit n’est pas un vaccin.

    McCullough, Dr Peter Cardiologue épidémiologiste, conseillé au Congrès américain

    Myocardites : Reconnaissance par Moderna d’un lien de causalité entre la protéine S et la survenue de myocardites :

    Peter Doshi du BMJ: More harm than good:

    Peter Doshi : Vaccination enfants. University of Maryland. COVID-19 vaccines in children: be careful.

    Myocardite post Covid shots in adolescents. Thailand: ‘Stunning’ Link Between Pfizer Vaccine and Myocarditis in Teens, Study Shows

    Young Pfizer covid vaccine recipients suffered heart effects

    New England journal of medicine

    NEJM-Efficacité négative. Triples vaccinés ont un COVID plus sévère et plus contagieux (Canada (Manitoba), UK, Israël. Canada : Manitoba : les vaccinés sont plus susceptibles d’être infectés et de mourir que les non-vaccinés :

    NEJM : A study published in the prestigious New England Journal of Medicine found that individuals fully vaccinated and boosted against COVID-19 actually recover markedly more slowly from the illness and remain five times more contagious 10 days after infection.

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  40. BMJ – BRITISH MEDICAL JOURNAL

    Pfizer: BMJ. Falsification de données de recherche COVID-19 :

    Prasad, Vinay. How could they have done this to our children:

    Pfizer: Aucune étude de toxicité, de tératogénicité, de carcinogénicité selon documents officiels

    Pfizer Contrats secrets – Pfizer accused of holding Brazil ‘to ransom’ over vaccine contract demands

    Pfizer documents : Bio distribution : What Pfizer, J&J COVID Vaccine Animal Trials Reveal About Shots’ Potential Impact on Major Organs

    Pfizer BMJ. Falsification de données COViD-19

    Pfizer. Documents secrets. Dissimulation des informations par la FDA et Pfizer concernant les fœtus des femmes enceintes vaccinées :

    Plateforme ARNm et comment un produit insuffisamment testé peut devenir la norme. Risque de miner la confiance du public (Méfiance vaccinale).

    Risque relatif versus absolu pour étude Pfizer :

    Suède Elle cesse de recommander la vaccination des 12-17 ans :

    Thalidomide – ICI RADIO-CANADA – ARCHIVES

    Uruguay : Un juge fait cesser l’inoculation des moins de 13 ans et demande l’obtention des contrats secrets avec Pfizer.

    Vaccinés et contagieux Revue Nature

    Comment les personnes vaccinées répandent le variant Delta ? Revue nature.

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  41. Annexe 3

    Quelques auteurs dissidents et/ou censurés

    Censure et absence de débat sur un sujet éminemment scientifique.

    Liste non exhaustive de médecins et spécialistes du Québec, du Canada, internationaux dont plusieurs ont été censurés ou empêchés de travailler pour avoir jeté un éclairage nouveau ou différent sur la pandémie COVID-19.

    Alexander, Dr Paul E. PhD, McMaster University, Oxford University, épidémiologiste, ancien conseiller à la Maison Blanche, Ontario, Canada.
    Bhakdi, Sucharit, microbiologiste retraité, Thai-Allemand, Ordre du Mérite Rhineland, Allemagne.
    Bilheran, Ariane, docteure en psychopathologie, France.
    Bridle, Dr Byram immunologiste viral, chercheur et professeur, McMaster et Guelph Universities, Ontario, Canada.
    Christian, Dr Francis chirurgien, humaniste,congédié, Saskatchewan, Canada.
    Cole, Ryan, pathologiste, USA
    Cotton, Christine Étude sur documents déclassifiés Pfizer, France.
    Derome, Nicolas Ph D., Université Laval, Québec, Canada.
    Desbiolles, Dr Alice, épidémiologiste, Santé Publique, France.
    Desmet, Mattias. Ph D. en psychologie et maîtrise en statistiques, psychologie de masse, Ghent University, Belgique.
    Doshi, Peter, éditeur adjoint, BMJ, Pharmacologie, Université Maryland, USA
    Fouché, Dr Louis anesthésiste-réanimateur, co-fondateur Réinfocovid, France.
    Henrion-Claude, Alexandra Généticienne PhD généticienne, France.
    Hoffe, Dr Charles Douglas médecin de famille, Colombie Britannique, Canada.
    Ioannidis, Dr John P.A., statistiques, épidémiologie, Santé publique, Université Stanford, USA.
    Kulldorff, Martin PhD Harvard Medical School, biostastiticien, Déclaration de Great Barrington, USA
    Lawrie, Dr Tess MBBCh, PhD, directrice EBM, Fondatrice A Better Way to Health, Bath, Royaume Uni.
    Malone, Robert biochimiste, médecin, co-inventeur technologie mRNA, USA.
    Martin, Dr David E. spécialiste des brevets mRNA, USA
    Massie, Bernard PhD en microbiologie U. de M. Vecteurs de génomique et thérapie génique, carrière à l’INRS, Québec, Canada.
    Mc Cullough, Dr Peter Cardiologue, MPH, célèbre spécialiste qui a conseillé le sénateur Ron Johnson en matière de pandémie ; très nombreuses publications scientifiques, Texas, USA.
    Montagnier, Dr Jean-Luc, virologue, décédé 2022, prix Nobel de médecine en 2008, co-découvreur du virus du SIDA, Institut Pasteur, France.
    Payne, Dr Eric, pédiatre, neurologue, Alberta, Canada.
    Perronne, Dr Christian Médecin infectiologue, spécialiste des maladies infectieuses émergentes, France.
    Ponesse, Dr Julie PhD en philosophie et maîtrise en Bioéthique, congédiée de son poste d’enseignante d’éthique, Ontario, Canada.
    Prasad, Dr.Vinay Hémato-oncologue, Épidémiologiste et biostastisticien, Université de Californie à San Francisco, Californie, USA.
    Provost, Patrick Biochimiste, Université Laval, biogénèse et function de l’ARN, suspendu 8 semaines sans salaire » pour avoir exprimé son avis contre la vaccination expérimentale chez les enfants, Québec, Canada.
    Risch, Dr. Harvey, Md PhD. MPH, Yale School of Public Health, conseiller au Sénat américain, USA.
    Rose, Jessica PhD en biologie, 2 post-Doc, maîtrise en immunologie, chercheure, Terre-Neuve, Canada.
    Seneff, Stéphanie, MIT, intelligence artificielle, Mass, USA
    Vanden Bossche, Dr Geert PhD en virologie, expert mondial des vaccins, Belgique.
    Yeadon, Dr Myke Ex V.P. Pfizer, lanceur d’alerte, Royaume Uni.
    Zelenko, Vladimir Dr humaniste, médecin de famille, décédé 2022, USA.

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  42. [1][1] Une gratification sous forme de crème glacée aux enfants ou de loto serait ainsi contraire à l’éthique.

    [2] 9 (1) No person shall label, package, treat, process, sell or advertise any drug in a manner that is false, misleading or deceptive or is likely to create an erroneous impression regarding its character, value, quantity, composition, merit or safety

    [3] 1960 : Produit tératogène causant notamment des malformations foetales, prescrit aux femmes enceintes sans expérimentation animale préalable et ayant causé une tragédie mondiale.

    [4] DES = Diethylstilbestrol : Produit prescrit aux femmes enceintes entre 1940-1971 sans expérimentation animale préalable et ayant causé des cancers vaginaux et des problèmes de stérilité chez les filles avant qu’on interdise sa commercialisation 30 ans après sa mise en marché en 1938.

    [5] Les nanoparticules ainsi que le Polyéthylèneglycol (PEG) et l’ARNm qu’elles contiennent sont aussi toxiques

    [6] PolyÉthylèneGlycol

    [7] Sauf en cas de fraude du fabricant. Pfizer est la compagnie la plus sanctionnée au monde pour fraude.

    [8] Les taux d’efficacité annoncés de « 95% » sont des taux basés sur la réduction du risque relatif. La seule donnée acceptée en science est la réduction du risque absolu (RRA). En l’occurrence pour cette étude Pfizer la RRA est de 0,7%.

    https://www.mondialisation.ca/lettre-ouverte-de-medecins-scientifiques-pharmaciens-etc-concernant-linformation-a-laquelle-les-parents-ont-droit-afin-dautoriser-ou-non-linjection-pour-leur-enfant-d/5672449

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  43. Les chercheurs trouvent des dizaines de peptides de venin dans le plasma sanguin et les échantillons fécaux de patients atteints de COVID-19, CONFIRMANT le lien entre les toxines et le covid


    Jeudi 03 novembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Des chercheurs européens ont confirmé que le plasma, l'urine et les matières fécales des personnes testées "positives" pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) contiennent des "peptides de type toxine" qui sont "presque identiques" à ceux trouvés chez le serpent et d'autres venins d'animaux.

    Des échantillons de chacun de ces fluides ont été prélevés sur des soi-disant «patients covid» et testés pour leur composition. L'objectif déclaré de la recherche était d'identifier le mécanisme d'infection du virus chinois, qui reste encore largement un mystère.

    Pour les tests sur plasma, les chercheurs ont utilisé une procédure de préparation par précipitation des protéines pour éliminer les protéines de haut poids moléculaire tout en solubilisant efficacement la fraction peptidique. Pour les matières fécales et l'urine, ils ont utilisé une méthode de solubilisation directe des peptides.

    Après enquête, il a été déterminé que les échantillons contenaient divers niveaux de composants de venin tels que des conotoxines, des phospholipases, des phosphodiestérases, des protéinases de zinc métal et des bradykinines.

    "La présence de peptides de type toxine pourrait potentiellement être liée à l'infection par le SRAS-CoV-2", explique l'étude.

    "Leur présence suggère une association possible entre la maladie COVID-19 et la libération dans l'organisme de (oligo-)peptides presque identiques aux composants toxiques des venins d'animaux."

    Les chercheurs ont poursuivi en expliquant que ces toxines sont associées à "un large ensemble de manifestations cliniques extra-pulmonaires hétérogènes du COVID-19", y compris des "neurologiques" ainsi qu'hémorragiques et thrombotiques.

    "Bien que la présence de chaque symptôme individuel ne soit pas sélective de la maladie, leur combinaison pourrait être liée au COVID-19 par la coexistence du panel de peptides de type toxine détectés ici", conclut l'étude.

    "La présence de ces peptides ouvre de nouveaux scénarios sur [l'étiologie] des symptômes cliniques du COVID-19 observés jusqu'à présent, y compris les manifestations neurologiques."

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  44. Ils ont d'abord lancé des armes biologiques à base de venin synthétique; maintenant, ils créent de nouveaux médicaments pour traiter les dommages à la santé qui en résultent
    Comme d'habitude, l'objectif déclaré de l'étude est de développer de nouvelles "stratégies thérapeutiques pour tous les systèmes d'organes impliqués", ce qui signifie que davantage de médicaments pharmaceutiques et de "vaccins" sont bientôt en route.

    Comme il reste encore beaucoup de profits à réaliser, en d'autres termes, la science est en train de proposer de nouvelles stratégies pharmaceutiques pour lutter contre la morsure de serpent.

    Nous savons, grâce à des recherches antérieures, que les peptides de venin de serpent peuvent être synthétisés, ce qui signifie qu'ils sont créés artificiellement en tant qu'arme biologique.

    Le Forum économique mondial (WEF) mondialiste a célébré cette technologie en raison de son potentiel de développement et de déploiement de nouveaux médicaments à base de venin, ce qui est précisément ce que cette nouvelle étude vise à accomplir.

    Tout cela a été fait avant l'émergence de l'escroquerie covid fin 2019 et début 2020. C'était en fait l'année 2018, lorsque le WEF a fait la fête sur le développement de peptides de venin de serpent synthétisés, ce qui élargira considérablement le portefeuille d'offres de Big Pharma en l'avenir.

    "Pourquoi voyons-nous tout à coup toutes ces informations sur de nombreuses entreprises qui font des recherches sur le venin de serpent comme médicament pour un large éventail de maladies?" a demandé un lecteur curieux de Natural News.

    « Est-ce que cet exposé sur » In the Water « a provoqué cette ruée vers l’information immédiate, ou est-ce que COVID était un terrain d’essai réel pour le venin de serpent, et maintenant le feu vert est donné pour aller de l’avant ? J'ai aussi un vrai problème avec tout l'argent dépensé pour l'anti-venin. Les morsures de serpent ne sont-elles pas en bas du classement mondial des problèmes de santé / décès ? Pourquoi tant d'argent là-dedans ? Un drapeau rouge pour moi !

    Ce sont des questions importantes qui méritent des réponses, n'est-ce pas ? Rien dans ce monde ne se fait sans une sorte de programme d'eugénisme à but lucratif qui s'y rattache. S'il n'y avait pas d'argent et de dépopulation à tirer de toute cette recherche sur le venin, alors vous pouvez être sûr que cela ne se produirait pas.

    Les dernières nouvelles sur le virus chinois peuvent être trouvées sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ncbi.nlm.nih.gov
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-03-venom-peptides-blood-plasma-fecal-covid.html

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    1. Rappelez-vous de la virologue chinoise Li-Meng Yan qui avait découverte de nouveaux poisons en poussant les cycles de 50 à 80 ! C'est le menu 'à la carte' où chaque labo, chaque pays ou région a reçu des lots différents de piqûres létales, pour voir ! Çà y est, c'est vu !

      Donc, que des docteures scientifiques comme Carrie Madej aux USA ou Astrid Stückelberger (Suisse) découvrent à l’œil nu (sous microscopes a balayage électronique) des hydres et des nano-particules d'oxyde de graphène (qui composent de 95 à 99 % des flacons injectables et qu'après le 'professeur' Christian Perronne insinue qu"Aujourd'hui, personne ne connaît réellement la composition du vaccin." !!! HAHAHAHAHAHA !
      Et là je ne parlerai pas des docteurs-putes qui ont fait les couvertures des merdias

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  45. Covid-19 : l’OMS estime ne pas avoir des données suffisantes pour recommander les vaccins bivalents


    le 03 novembre 2022 - 16:10


    Le 11 octobre 2022, les experts de l’OMS ont déclaré ne pas être en mesure de recommander les nouveaux vaccins bivalents ciblant spécifiquement le variant Omicron. La raison de ce refus est simple : « Les données actuellement disponibles ne sont pas suffisantes ».

    Le Strategic Advisory Group of Experts (SAGE), groupe d’experts chargés de conseiller l'OMS sur les politiques et stratégies vaccinales mondiales, a déclaré :

    « Quatre vaccins bivalents à ARN messager contenant soit la souche du variant BA.1 soit la souche BA.4.et BA.5 en combinaison avec la souche du virus ancestral ont été autorisés pour être utilisés comme doses de rappel. Le SAGE a examiné et approuvé une déclaration de bonnes pratiques indiquant que les données actuellement disponibles ne sont pas suffisantes pour soutenir la publication d'une recommandation préférentielle des rappels avec les vaccins bivalents contenant les souches des variants par rapport aux rappels de vaccins contenant la souche du virus ancestral uniquement ».

    L'OMS ne recommande pas les vaccins bivalents

    Pourquoi l’OMS affirme-t-elle qu’il n’existe pas encore de données suffisantes pour recommander les vaccins bivalents ? Il est possible que la « prudence » des experts de l’OMS soit due à l’absence d’essais cliniques terminés ou même commencés.

    En effet, comme l'explique le pharmacien biologiste Jean-Jacques Devic, dans le cadre des deux nouveaux candidats vaccins bivalents ciblant le BA.1 : « Quelques fabricants sont en train de "tester", ou ont déjà testé cliniquement la réponse immunogène humorale des vaccins modifiés contenant Wuhan + Omicron BA.1 ». Ces études effectuées rapidement ont été réalisées pour contrôler essentiellement le niveau d'anticorps et « ne peuvent pas être démonstratives ni garantes d'une sécurité d'emploi pour tout nouveau variant », alors même que « cette souche BA.1, disparue depuis février 2022, est relativement éloignée au niveau phylogenèse de BA.4 et 5 ». Par conséquent, ces études ont essentiellement servi au Comité d'évaluation des vaccins de la FDA Vaccines and Related Biological Products Advisory (VRBPAC), le 28 juin dernier, pour faire « accepter » par l'agence américaine le vaccin génique bivalent (souche sauvage de Wuhan + souche Omicron BA.1).

    Par ailleurs, comme on peut le vérifier en allant sur le site clinicaltrials.gov, deux études thérapeutiques sur ces nouveaux vaccins ont été mis en ligne. Les deux études concernent les thérapies géniques ciblant le variant BA.1. L'examen du document de Pfizer / BioNTech montre que l'étude n'aurait pas commencé puisqu'il est indiqué que la firme « cherche de nouveaux participants âgés de 18 à 55 ans, en bonne santé (qui peuvent avoir une maladie préexistante si elle est stable) ». Quant à celui de Moderna, il aurait démarré en juin 2022 avec une petite cohorte de 150 personnes. Randomisé et en double aveugle, les résultats définitifs ne seraient pas attendus avant le mois de juin 2023.

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  46. Aucun projet d'étude clinique n'a été trouvé pour le candidat vaccin de Pfizer / BioNTech destiné à cibler les sous-lignages BA.4 et BA.5.

    Par conséquent, l’administration de ces nouveaux vaccins a été ouverte en population générale pour les plus de 60 ans et les personnes atteintes de comorbidités sans qu'aucune information en matière d'efficacité sur le moyen et long terme, ou même de toxicité, ait fait l'objet d'une quelconque évaluation des résultats au regard des bonnes pratiques cliniques.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/covid-19-l-oms-estime-ne-pas-avoir-des-donnees-suffisantes-pour-recommander-pas-les

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    Réponses
    1. Quand une 'organisation' (ONG ?) déclare et valide une piqûre létale face à l'absence constatée de virus (poussières) aériens, on ne peut que douter de son accréditation à continuer dans l'hégémonie gouvernementale.

      Aujourd'hui, si vous rentrez à l'hôpital: vous mourez !
      Vous allez au docteur: Vous mourez !
      Vous entrez en pharmacie: Vous mourez !
      Vous...: Vous mourez !

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  47. L'audio obtenu à partir de l'annonce du lancement de l'événement 201 en 2019 révèle que covid est une simulation de jeux de guerre parrainée par le WEF


    vendredi 04 novembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Un clip audio supprimé depuis longtemps mais récemment déterré du rassemblement "Event 201" d'octobre 2019 à Davos révèle que le coronavirus de Wuhan (Covid-19) était, en fait, un jeu de guerre parrainé par le Forum économique mondial (WEF) simulation qui a eu lieu en préparation de la psy-op mondiale qui a suivi quelques mois plus tard.

    Le dossier a pu récupérer le fichier, qui a été effacé d'Internet pour des raisons probablement liées au fait que son contenu expose l'escroquerie comme un exercice mondial en direct qui est toujours utilisé par les globalistes pour inaugurer un "Grand". Réinitialiser l'événement.

    Le thème de Davos en 2019 était « Mondialisation 4.0 : façonner une architecture mondiale à l'ère de la quatrième révolution industrielle ». Cela a coïncidé presque parfaitement avec la libération de la grippe Fauci quelques mois plus tard, qui a entraîné une nouvelle destruction de la liberté et de la richesse aux mains des tyrans plandémiques.

    Comme l'explique The Dossier, les parties prenantes qui ont parrainé et participé à l'événement 201 ont toutes énormément bénéficié de l'escroquerie mondiale, qui a détruit les petites entreprises et stimulé massivement les flux de profit des personnes déjà incroyablement riches.

    Les mondialistes savaient que le covid arrivait parce qu'ils avaient prévu son dévoilement et sa sortie
    La première annonce concernant l'événement 201 a eu lieu le 23 janvier 2019. Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec la Fondation Bill & Melinda Gates et le WEF, ont tous dirigé l'événement.

    Inglesby deviendra plus tard conseiller principal à la Maison Blanche de Biden, qui, à la suite du déclenchement de l'opération Warp Speed ​​par Donald Trump, a infligé des mandats de masque et de «vaccin» à des dizaines de millions d'Américains contre leur volonté.

    La première personne à retweeter l'annonce d'Inglesby a été Ron Klain, qui allait également travailler plus tard à la Maison Blanche de Biden en tant que chef de cabinet.

    Inglesby a annoncé l'événement 201 lors d'un panel de Davos 2019 intitulé "Agir contre un risque que les entreprises ne peuvent ignorer", qui fait partie des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies.

    Des hauts dirigeants de Johnson & Johnson (J&J) et de Merck, ainsi que le directeur exécutif du Fonds mondial contrôlé par Bill Gates et le président de la Fondation UPS, ont tous comparu et ont été présentés lors de l'événement. Voici l'une des citations intéressantes issues de la réunion :

    « Maintenant, imaginez que dans l'année à venir, avec 200 événements épidémiques mettant déjà à rude épreuve les ressources dans le monde, nous ayons un événement deux cent un. Événement 201. Mais cet événement est la grave pandémie à laquelle nous nous sommes tous préparés et que nous avons tous travaillé pour éviter et atténuer.

    Cette déclaration à elle seule suggère que ces mondialistes savaient exactement ce qui allait arriver parce qu'ils avaient prévu que cela se produise. Ils voulaient une escroquerie mondiale afin de pouvoir priver We the People d'encore plus de nos droits tout en sapant nos comptes bancaires à sec.

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  48. Voici une autre citation :

    "L'exercice s'appellera Event 201 en l'honneur de la, euh, pandémie potentielle. Il impliquera des chefs d'entreprise mondiaux, des responsables de gouvernements nationaux et d'organisations internationales.

    Cela aussi indique un acte criminel grave, car cela ne pouvait tout simplement pas être une coïncidence qu'une véritable pandémie – du moins c'est ce qu'ils disent – ​​se produise quelques semaines seulement après la fin de l'événement 201.

    Et voici une autre citation qui montre le modèle de profit qui a été intégré à Covid :

    «Bill Gates a souligné à maintes reprises dans ses annonces publiques à quel point il est important que la sécurité soit alignée sur le gouvernement national et la santé publique dans un événement pandémique comme celui-ci. Cela a même conduit au développement de nouveaux vaccins et au stockage de vaccins, et une législation majeure en a résulté.

    Alors voilà, les amis. La pandémie de covid consistait à rendre les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Il n'a jamais été question de "sauver des vies".

    Les dernières nouvelles sur la plandémie covid peuvent être trouvées sur Plague.info.

    Les sources de cet article incluent :

    Dossier.substack.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-04-event-201-audio-reveals-covid-war-simulation.html

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  49. Le modèle commercial de Pfizer consiste à créer la maladie et à vendre le « remède »


    Vendredi 04 novembre 2022
    par : Ethan Huff



    (Natural News) Pour assurer un flux de bénéfices indéfini de plusieurs milliards de dollars dans le futur, le géant pharmaceutique Pfizer rend intentionnellement les gens malades afin d'en faire des accros pharmaceutiques à vie qui ont constamment besoin d'être «guéris» de leurs maladies induites par la drogue en plus de médicaments Pfizer.

    Comme vous le savez peut-être, le « vaccin » contre le coronavirus de Wuhan à ARNm (ARN messager) de Pfizer rend malade et tue des millions de personnes. Ceux qui survivent se font dire que pour continuer à survivre, ils doivent continuer à se faire injecter de nouveaux «rappels» à intervalles réguliers, un peu comme les vaccins contre la grippe saisonnière ou les vaccins contre la grippe.

    Étant donné que les piqûres d'ARNm à double dose de Pfizer provoquent la dégradation et le négatif du système immunitaire d'une personne, la multinationale conseille à ses clients de continuer à être boostés afin de se sentir juste assez bien pour continuer à travailler pour nourrir la bête, mais jamais assez bien vivre réellement avec un système immunitaire normal, sain et robuste comme celui des non-vaccinés.

    Tout comme les accros à l'héroïne, les toxicomanes de la grippe Fauci doivent continuer à se soigner pour éviter une mort prématurée. Cela signifie un flux de trésorerie hypothétiquement sans fin pour Pfizer, qui continue d'afficher des bénéfices records trimestre après trimestre. (En relation: Pfizer a bâtardi l'ivermectine en la rendant plus dangereuse et en la reconditionnant sous le nom de "Paxlovid" afin de générer des milliards de nouveaux bénéfices.)

    Pfizer transforme les piqûres covid en un modèle d'ABONNEMENT : des injections à vie
    Pfizer est si confiant dans son modèle de maladie à but lucratif qu'il introduit maintenant une sorte de service d'abonnement qui permet aux clients de recevoir leurs médicaments et leurs injections selon un calendrier régulier.

    Lorsque ces médicaments et solutions d'injection causent plus de problèmes de santé, Pfizer est prêt à distribuer encore plus de médicaments en tant que nouveaux «remèdes». Et lorsque ces "remèdes" créent encore plus de problèmes de santé, Pfizer a encore plus de médicaments prêts à être distribués - et ainsi de suite pour toujours.

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  50. En plus de Paxlovid, que la société commercialise désormais en tant que médicament « rebond » pour ses clients « entièrement vaccinés » afin d'éviter d'être continuellement testé « positif » pour le virus chinois, Pfizer propose également d'autres médicaments disponibles pour traiter les effets secondaires mortels causés par ses vaccins contre la grippe Fauci.

    Vyndaqel, par exemple, est un médicament de Pfizer qui traite la cardiomyopathie, une maladie cardiaque causée par la myocardite, l'un des effets secondaires les plus connus des injections de la grippe Wuhan de Pfizer. Au dernier trimestre, Pfizer a récolté 602 millions de dollars de Vyndaqel, dont les ventes ont augmenté de 29 % par rapport à l'année dernière.

    « Pourquoi tant de gens achètent-ils ce médicament ? » demande Jordan Schachtel sur son blog The Dossier Substack. "Cette question à elle seule devrait soulever des sourcils."

    Ensuite, nous avons Eliquis, un médicament Pfizer commercialisé pour traiter les caillots sanguins, qui se trouvent être un autre effet secondaire courant des vaccins contre la grippe Fauci de la société. Les ventes de cet anticoagulant ont augmenté de 15% par rapport à l'année dernière, ayant généré 1,46 milliard de dollars pour l'entreprise au dernier trimestre.

    "Pfizer est l'exemple parfait d'une entreprise qui a été rendue totalement irresponsable grâce à son partenariat avec le gouvernement américain", prévient Schachtel.

    "Les dirigeants de l'entreprise mentent régulièrement en toute impunité et savent qu'ils ne seront pas tenus responsables de leurs propres paroles, sans parler des innombrables blessures causées par les vaccins que leurs produits ont causées."

    Il est clair que Pfizer ne se soucie pas moins de la santé des gens. En fait, la société préférerait que nous soyons tous juste assez malades pour avoir besoin de plus de ses médicaments, mais jamais assez en bonne santé pour lutter contre sa tyrannie pharmaceutique implacable.

    "Ils sont la mafia", a écrit un commentateur sur le gouvernement et les sociétés pharmaceutiques comme Pfizer. "Seulement" légal "et" élu ". C'est un gigantesque racket de protection. "

    Vous trouverez plus d'informations sur les dernières nouvelles concernant Pfizer et le reste de l'industrie pharmaceutique sur Evil.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Dossier.substack.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-04-pfizer-business-model-create-sickness-sell-cure.html

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  51. DES CENTAINES d'accidents se sont produits dans des biolabs américains mais n'ont jamais été signalés


    vendredi 04 novembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une autre révélation explosive a fait surface, révélant que des centaines d '«accidents» d'armes biologiques se sont produits aux États-Unis au cours des près de deux décennies - et très peu ont été signalés.

    The Intercept a intercepté quelque 5 500 pages de documents des National Institutes of Health (NIH) révélant une «litanie d'incidents» avec des armes biologiques fabriquées aux États-Unis, y compris plusieurs cas impliquant des «virus mortels ou débilitants».

    Certains des incidents étaient prétendument inoffensifs tandis que d'autres ont rendu malades le public ou les scientifiques impliqués dans la recherche. Fait troublant, certains des virus avec lesquels ils ont altéré sont du type qui entraînent potentiellement des plandémies.

    Dans un cas, une chercheuse diplômée de l'Université de Washington à Saint-Louis traitait une souris infectée par le virus Chikungunya lorsque l'aiguille qu'elle utilisait a glissé et l'a poignardée à travers les gants et la peau.

    Aucun sang n'est sorti, ce qui a amené la femme à ne rien penser de ce qui s'était passé. Dans les jours qui ont suivi, cependant, elle est tombée malade et l'université a été obligée de faire face au fait qu'une arme biologique avait infecté par inadvertance un étudiant. (En relation: L'Ukraine est un foyer de recherche sur les armes biologiques pour l'État profond américain.)

    Dans de nombreux autres cas, des animaux infectés lors d'expériences similaires se sont échappés et ont couru autour du bâtiment, infectant d'autres travailleurs. Il y a également eu des incidents de tubes à essai où des béchers en verre et d'autres articles de laboratoire sont tombés et se sont cassés, libérant l'intégralité de leur contenu.

    Même les laboratoires les plus "sécurisés" déclenchent des bombes à retardement pour un "accident" entraînant une évasion biologique
    Gardez à l'esprit que la plupart des installations où ces incidents se sont produits sont considérées comme hautement sécurisées. Ils sont censés avoir été équipés de manière à empêcher les armes biologiques de s'échapper.

    Le fait que la biosécurité ne soit pas vraiment une réalité préoccupe beaucoup de ceux qui reconnaissent les dangers d'une telle recherche. Même dans les laboratoires de biosécurité de niveau 3 qui utilisent des mesures de sécurité telles qu'un «périmètre complètement scellé, un flux d'air directionnel et un équipement de protection individuelle complet», des accidents se produisent.

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  52. Aux États-Unis, les normes de biosécurité sont au mieux un « patchwork ». Il existe de nombreuses pratiques non conformes aux normes qui exposent la société à un risque sérieux d'épidémie ou même d'une autre pandémie.

    "Les biolabs traitant la plupart des agents pathogènes ne sont pas tenus de s'enregistrer auprès du gouvernement, ce qui signifie que les entreprises privées sont essentiellement libres d'entreprendre des expériences comme elles l'entendent", rapporte The Post Millennial.

    "La possibilité que Covid-19 ait pu se produire via un laboratoire biologique a conduit de nombreux politiciens, principalement des républicains, à appeler à une plus grande surveillance concernant la pratique de la lutte contre les agents pathogènes dangereux."

    En septembre dernier, le gouvernement fédéral a demandé au ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) et au ministère de la Sécurité intérieure (DHS) d'élaborer de nouveaux plans visant à prévenir «les dommages accidentels ou délibérés aux personnes, aux animaux ou à l'environnement».

    Malgré ces appels, peu de choses se sont passées depuis, alors même que les biolabs du Maryland, par exemple, sont en train de bricoler ce qu'on appelle le «monkeypox» pour en faire une version plus pathogène que la précédente, qui s'est rapidement éteinte malgré le les meilleures tentatives des médias pour semer une nouvelle vague de peur dans le cœur des Américains.

    "Ces biolabs mondialistes sont un énorme problème qui va bien au-delà de l'Ukraine et des États-Unis", a écrit un commentateur de Natural News.

    « Quelqu'un se souvient-il de la peste pulmonaire en Ukraine ? La poussée au début des années 2000 était d'avoir un biolab de niveau 3 à 4 à presque tous les coins de rue comme une pharmacie CVS. J'en ai conclu que les mondialistes prétendraient qu'« en raison des virus plandémiques émergents, ces laboratoires seraient nécessaires pour combattre le virus de la semaine ».

    Vous trouverez plus d'informations sur les dernières nouvelles sur la recherche et le développement des armes biologiques aux États-Unis sur Bioterrorism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ThePostMillennial.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-04-hundreds-accidents-us-biolabs-never-reported.html

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  53. Guerre biologique imminente ? La Russie identifie des véhicules aériens sans pilote au-dessus de la ville portuaire ukrainienne de Kherson équipés de conteneurs capables de pulvériser des AGENTS BIOLOGIQUES


    vendredi 04 novembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Des preuves sont apparues suggérant que des opérations d'armes biologiques dirigées par les États-Unis et l'OTAN se déroulent en fait en Ukraine et autour, et que les efforts de la Russie visent à démanteler cette menace biologique pour le monde.

    Le représentant permanent de la Russie auprès des Nations unies, Vassily Nebenzia, a révélé des informations troublantes dans un discours récent sur ce qu'il a décrit comme "des véhicules aériens sans pilote équipés de conteneurs de 30 litres et d'équipements pouvant être utilisés pour pulvériser des bioagents".

    Trois de ces véhicules ont été identifiés le 9 mars dans la région portuaire de Kherson en Ukraine. Environ un mois plus tard, 10 autres de ces mêmes drones aériens sans pilote ont été repérés dans la région de Kakhovka.

    "Ces faits revêtent une importance particulière compte tenu d'une demande confirmée de la partie ukrainienne au fabricant de drones Bayraktar concernant la charge utile maximale des drones Bayraktar Akinci (portée de vol jusqu'à 300 km) et la possibilité de l'équiper d'un système de génération d'aérosols avec un 20 + capacité en litres », a expliqué Nebenzia.

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  54. Il s'avère qu'au 3 mars 2015, il existe un brevet américain, n° 8 967 029 B1, lié à ces armes étranges qui pourraient potentiellement transporter des armes biologiques en Ukraine.

    Le brevet en question parle de "lâcher aérien des moustiques infectés, c'est-à-dire pour un dispositif (unité) conçu pour être appliqué comme moyen technique de livraison et d'utilisation d'une arme biologique".

    Ces armes biologiques comprennent « des agents immunobiologiques, des bactéries et des virus », y compris des variétés « hautement contagieuses » de chacun d'entre eux « qui pourraient anéantir 100 % des troupes ennemies ».

    En d'autres termes, il semble que les États-Unis essaient de larguer des armes biologiques aéroportées sur les troupes russes pour les tuer et empêcher «l'opération spéciale» de Vladimir Poutine en Ukraine d'atteindre la victoire. (Connexe : la guerre russe en Ukraine entraînera-t-elle la fin de la civilisation occidentale telle que nous la connaissons actuellement ?)

    "Selon la description, un tel UAV transporte un conteneur abritant un grand nombre de moustiques transmetteurs d'infections pour les relâcher dans une zone désignée", a expliqué Nebenzia. "Les personnes attaquées sont infectées par des maladies hautement contagieuses via des piqûres de moustiques."

    "La description indique clairement qu'un militaire infecté ne sera pas en mesure de remplir la mission assignée, donc" la maladie peut être un outil militaire plus précieux que les armes et équipements militaires les plus récents ". Il est indiqué que "infecter la main-d'œuvre de l'ennemi de cette manière aurait un effet militaire significatif.

    L'Ukraine a caché ces systèmes d'armes biologiques à la vue du public

    La législation américaine exige que tout brevet délivré soit accompagné d'une description complète de l'assemblage réel de la machine tel qu'il est utilisé. Cela suggérerait que les États-Unis ont, en fait, créé et maintenant potentiellement déclenché un système de véhicule aérien délivrant des bioagents à utiliser comme arme contre la Russie.

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  55. L'Ukraine a commodément omis de mentionner cette activité ou les recherches couvrant ces programmes et projets, qui remontent à 2016. Cela inclut également l'utilisation des technologies UP-4, Flu-Flyway et P-781.

    L'Ukraine n'a pas non plus déclaré les financements qu'elle a reçus de départements militaires d'États étrangers, qui sont nécessaires "afin de prévenir ou de réduire l'apparition d'ambiguïtés, de doutes et de soupçons".

    "Cela soulève la question d'une violation des obligations politiques concernant la soumission de données sur les mesures de confiance adoptées par les États parties à la BTWC", a déclaré Nebenzia.

    « Les rapports américains manquent également des données sur les programmes et projets mis en œuvre en dehors du territoire national américain, ou sur leur financement. Nos appels répétés à la partie américaine pour qu'elle fournisse des explications exhaustives sur ces activités restent essentiellement sans retour d'information. Un tel secret et une telle négligence des revendications russes par les États-Unis mais confirment leur validité.

    La section spécifique de la BTWC que l'Ukraine et les États-Unis semblent enfreindre comprend les articles 1 et 4.

    Les rapports d'analyse du Département de Kherson du Service de sécurité de l'Ukraine datés du 30 juin 2016 et du 28 février 2017, confirment encore ces violations, liant également Black & Veatch Special Projects Corp. à l'acquisition de laboratoires microbiologiques à travers l'État profond. territoire ukrainien occupé.

    La Russie continue de soutenir que ces laboratoires financés par les États-Unis en Ukraine sont utilisés pour mener des recherches sur les agents pathogènes des maladies infectieuses « qui peuvent être utilisées pour créer ou moderniser des armes biologiques ».

    "Il est indiqué que le fait que les projets soient subordonnés au département militaire d'un État étranger a créé des conditions préalables pour que les spécialistes étrangers pénètrent dans les biolaboratoires régionaux et se familiarisent avec les développements stratégiques", a expliqué Nebenzia dans son discours.

    À cause de tout cela, la Russie a présenté un projet de résolution au Conseil de sécurité demandant qu'une commission enquête sur ses allégations contre les États-Unis et l'Ukraine concernant ces questions.

    "Pour le moment, le projet est en cours de discussion au niveau des experts, et nous comptons sur son approbation et son adoption rapides", a ajouté Nebenzia.

    Les dernières nouvelles sur la guerre en Ukraine peuvent être trouvées sur Chaos.news.

    Sources for this article include:

    RussiaUN.ru
    Patents.Google.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-04-russia-identifies-drones-ukraine-kherson-spraying-bioagents.html

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  56. ENCORE UN COMMENTAIRE CENSURÉE ! (60 - 1 = 59)

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