The Dr. Ardis Show: La vaccination COVID est la plus grande intoxication de masse de l'histoire de l'humanité, déclare le Dr Ben Marble – Brighteon.TV
Mardi 15 novembre 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Le Dr Ben Marble pense que la vaccination contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est le plus grand empoisonnement de masse de l'histoire de l'humanité.
"Nous avons déjà été témoins du plus grand empoisonnement de masse de l'histoire de l'humanité", a-t-il déclaré au chiropraticien Dr Bryan Ardis dans l'émission de ce dernier "The Dr. Ardis Show" sur Brighteon.TV. "Il n'y a jamais eu de moment où cinq milliards de personnes ont pris de l'arsenic ou cinq milliards de personnes ont pris du cyanure, mais nous venons d'assister au plus grand empoisonnement de masse de tous les temps."
Marble, spécialiste en médecine familiale, a cité comme preuve les plus de 30 000 décès officiels parmi les personnes vaccinées enregistrés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Ce nombre, a-t-il ajouté, est beaucoup plus élevé que tous les vrais vaccins sur 30 à 40 ans combinés par un facteur de 10. (En relation: les données du VAERS montrent que les décès par vaccin COVID SURPASSENT ceux causés par d'autres injections.)
Le médecin basé en Floride a déclaré à Ardis qu'il avait dit à tous ceux qu'il connaissait de ne pas prendre les vaccins COVID-19 lorsqu'ils sont sortis en décembre 2020 parce qu'ils étaient du poison. Marble a noté qu'après le déploiement du vaccin, il a commencé à entendre des «histoires d'horreur» de blessures causées par le vaccin dans tout le pays.
Selon Marble, les gens savent que Big Pharma n'a jamais fabriqué de vaccin en moins de quatre ans. Faire un vaccin en neuf mois est très douteux, a-t-il ajouté. Compte tenu de cela, Marble a qualifié l'opération Warp Speed de l'ancien président Donald Trump de "science rapide" - ajoutant que "la science rapide est toujours une mauvaise science".
Le médecin a souligné à Ardis que si un nouveau médicament sort, il ne devrait jamais être prescrit aux patients tant qu'il n'a pas été sur le marché depuis au moins trois à cinq ans, car les gens ne pourraient savoir s'il est dangereux ou non que pendant cette période de temps. Il a ajouté que si 50 personnes meurent après avoir pris un nouveau médicament, celui-ci doit être retiré du marché.
Marble explose le «culte du PC» derrière les vaccins COVID-19
Marble a également souligné que les vaccins COVID-19 poussés par ce qu'il appelle le culte du politiquement correct (PC) ont soit ignoré, soit jeté l'éthique médicale à la poubelle.
"Ce qu'ils font, selon ma conviction personnelle, c'est la mise en œuvre de la grande réinitialisation du Forum économique mondial - qui est une pandémie de génocide de masse utilisant de faux vaccins mortels", a-t-il déclaré.
Selon Marble, plus de six millions de personnes sont mortes depuis le début de la pandémie de COVID-19 en 2020. Il a déclaré que le monde allait voir plus de personnes mourir de manière inattendue à cause des vaccins COVID-19.
Marble, qui a fondé la plateforme de télémédecine MyFreeDoctor en 2020, a déclaré que le culte du PC avait redéfini le mot vaccin pour inclure le poison, l'édition de gènes et la thérapie génique. Dans cette mesure, il est entré en contact avec le dictionnaire Merriam-Webster et a demandé à ses éditeurs de mettre à jour la définition.
Étant donné que beaucoup de gens ne comprennent pas que les vaccins COVID ne sont pas de vrais vaccins, cela a conduit à l'empoisonnement de plus de cinq milliards de personnes dans le monde.
Marble a ajouté que le culte du PC favorise le dépeuplement et c'est la raison pour laquelle ce même groupe fait la promotion de l'homosexualité, du suicide assisté, du contrôle des naissances, de l'avortement et d'autres choses qui peuvent réduire la population.
Suivez VaccineInjurynews.com pour plus d'informations sur les blessures et les décès causés par les vaccins COVID-19.
Regardez l'épisode du 9 novembre de "The Dr. Ardis Show" ci-dessous. "The Dr. Ardis Show" est diffusé tous les mercredis de 10h à 11h et tous les samedis de 11h à 12h. sur Brighteon.TV.
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Dans la prochaine pandémie : Liberté de mouvement uniquement avec un certificat QR
16 novembre 2022 par Thomas Oysmuller
Ceux qui ne sont pas "correctement" vaccinés ou testés ne devraient pas être autorisés à se déplacer librement. Cela devrait être le plan pour la prochaine pandémie. Les négociations pour un certificat QR mondial devraient déjà être à un stade avancé.
Lors de la prochaine pandémie, un certificat QR valable dans le monde entier devrait restreindre la liberté de mouvement des personnes. La «G-réalité» que de grandes parties de l'Europe avaient déjà connue pendant Corona devrait être l'avenir de la pandémie. Du moins si le ministre indonésien de la Santé Budi Gundai Sadikin et le G20 réussissent. Il s'est déclaré assez clairement lors du sommet Business 20 (B20) en marge du sommet du G20 et ses déclarations sont devenues virales depuis. Lors de la prochaine pandémie, au lieu d'arrêter le mouvement des personnes à 100 %, tout devrait être réduit au contrôle QR, donc le souhait. Sakin a dit :
« Nous devrions introduire un certificat de santé numérique reconnu par l'OMS. Si vous avez été correctement vacciné ou testé, vous pouvez vous déplacer librement. Ainsi, au lieu d'interdire à 100 % la libre circulation des personnes lors de la prochaine pandémie, ce qui paralyserait l'économie mondiale, vous pouvez toujours garantir une certaine liberté de mouvement.
Selon Sadikin, il y a déjà des négociations bien avancées au sein des pays du G20 en arrière-plan : « Les pays du G-20 se sont mis d'accord pour créer ce certificat numérique selon les normes de l'OMS et nous le réviserons lors de la prochaine assemblée mondiale à Genève de la communauté internationale. réglementation sanitaire. Nous espérons donc que lors de la prochaine pandémie, nous pourrons encore voir une certaine mobilité des personnes, une certaine mobilité des biens et une certaine mobilité de l'économie.
Cet accord a fait avancer l'Indonésie, a déclaré Sadikin sur scène. "La prochaine pandémie", à laquelle les gens se préparent évidemment déjà avec diligence, devrait alors ressembler à ce qu'elle était pendant Corona. Bien qu'épidémiologiquement même contre-productive, la vaccination était le ticket vers la liberté de mouvement. Ceux qui ne voulaient pas être vaccinés ont été privés de leurs droits fondamentaux. Les nouvelles « pandémies », quelles qu'elles soient, réagiront probablement toujours de cette manière à l'avenir.
En Indonésie, Bill Gates et Klaus Schwab sont également présents. Alors que Gates est en arrière-plan mais continue de financer avec diligence les « objectifs mondiaux », Schwab a également prononcé un discours public. Comme toujours, le patron du WEF s'est exprimé : On est dans une "profonde restructuration systémique et structurelle" qui "va prendre du temps". "Le monde sera différent une fois que nous aurons traversé ce processus de transition."
De nouveaux essais cliniques de Pfizer et Moderna examinent les maladies cardiaques des vaccins COVID-19
16 novembre 2022 du Dr. Peter F. Mayer
Près de deux ans après l'approbation conditionnelle, Pfizer et Moderna lancent des essais cliniques pour enquêter sur les problèmes de santé indésirables associés au vaccin COVID-19, tels que : B. Myocardite – une inflammation du muscle cardiaque. Et seulement après que des milliards de personnes ont été vaccinées, la plupart du temps plusieurs fois. C'est comme le fermier qui ferme la porte de la grange après que la vache se soit échappée.
Pfizer en est encore aux premiers stades des essais cliniques pour déterminer s'il existe des risques pour la santé associés à son vaccin. En partenariat avec le Pediatric Heart Network, l'étude se concentrera sur les vaccinés qui ont eu des problèmes cardiaques après avoir été vaccinés avec le vaccin COVID-19. Dans les essais cliniques, les patients sont suivis pendant cinq ans.
Le recrutement pour l'étude aux États-Unis et au Canada n'a pas encore commencé. selon le docteur Cependant, Dongngan Truong, pédiatre à l'Université de la santé de l'Utah et co-responsable de l'étude Pfizer, l'équipe de recherche a déjà identifié plus de 250 patients atteints de myocardite.
NBC News a rapporté vendredi : "L'équipe comparera également les patients à un sous-ensemble de patients atteints du syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique, également connu sous le nom de MIS-C, associé à une infection au COVID."
Les premiers résultats ne sont pas attendus avant l'année prochaine.
Moderna mènera ses propres études sur les effets secondaires possibles des vaccins COVID dans cinq pays avec le soutien de l'Agence européenne des médicaments. Les données de ces études ne devraient pas être rendues publiques avant l'été prochain.
docteur Paul Burton – médecin-chef de Moderna – a reconnu que les scientifiques ne savent pas ce qui cause les problèmes cardiaques potentiels du vaccin COVID-19. "Nous ne le comprenons pas encore, et il n'y a pas de bon mécanisme pour l'expliquer", a admis Burton à NBC News.
Burton a émis l'hypothèse que la protéine de pointe contenue dans le vaccin pourrait déclencher une réaction indésirable dans le corps pouvant entraîner une inflammation du cœur.
NBC News a rendu compte de la lutte alarmante d'un homme du Michigan qui a souffert de graves problèmes de santé après avoir reçu une injection de COVID.
En octobre 2021, Da'Vion Miller, originaire de Detroit, a été retrouvé inconscient dans la salle de bain de sa maison une semaine après avoir reçu sa première dose de vaccin COVID-19 de Pfizer. Miller, qui n'avait que 22 ans à l'époque, avait des douleurs à la poitrine deux jours après la vaccination. Il souffrait également de fatigue, de vertiges et d'essoufflement.
Miller a été admis à l'hôpital Henry Ford West Bloomfield, où on lui a diagnostiqué une myocardite et une péricardite - une inflammation de la muqueuse du cœur. Le médecin de Miller lui a conseillé de ne pas recevoir la deuxième dose du vaccin COVID.
Un an après avoir reçu un diagnostic de myocardite, Miller souffre toujours de douleurs à la poitrine et a été hospitalisé de temps à autre.
En juillet 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié un rapport indiquant : « Un risque accru de myocardite a été observé chez les vaccinés ARNm COVID-19, en particulier chez les hommes âgés de 12 à 29 ans ».
Le rapport indique: "Le taux de déclaration de myocardite était de 40,6 cas par million de secondes doses de vaccins à ARNm COVID-19 administrés aux hommes de 12 à 29 ans."
Le CDC poursuit : « La myocardite et la péricardite ont été rarement rapportées. Lorsqu'ils ont été signalés, les cas sont survenus principalement chez les adolescents et les jeunes hommes adultes dans les jours suivant la vaccination par l'ARNm COVID-19 (Pfizer-BioNTech ou Moderna).
On prétend à plusieurs reprises que la myocardite ne survient pas plus fréquemment après la vaccination qu'après l'infection, ce qui est faux et nous savons aussi pourquoi il en est ainsi. En avril, une étude israélienne à grande échelle portant sur 196 992 adultes non vaccinés qui avaient été infectés par le COVID-19 n'a trouvé « ni myocardite ni péricardite ».
"Nous n'avons pas observé d'incidence accrue de péricardite ou de myocardite chez les patients adultes se remettant d'une infection au COVID-19", ont écrit les auteurs.
(...) Burton a émis l'hypothèse que la protéine de pointe contenue dans le vaccin pourrait déclencher une réaction indésirable dans le corps pouvant entraîner une inflammation du cœur. (...)
L''hypothèse' est CONFIRMÉE ! Grâce aux analyses scientifiques des docteures Carrie Madej et Astrid Stückelberger des flacons... injectables !!! il a été découvert la présence de: 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (40 000 milliards de nano-particules par injection !) !! en plus des hydres et diverses maladies animales et spikes détruisant TOUT les vaisseaux sanguins
LA DR.MADEJ DÉVOILE LA DÉCOUVERTE D'ÉTRANGES CRÉATURES CONTENUES DANS LES FIOLES DE L'INJECTION DU VACCIN !!!
Vidéo de Stew Peters interview du Dr. Carrie Madej
REVEILLEZ-VOUS IL EST VRAIMENT TEMPS AVANT LA GRANDE TRAGÉDIE DU SIÈCLE
Dans cet interview, la Dr. Carrie Madej décrit les étranges particules ou parasites jamais vus auparavant et qu’elle a pu observer au microscope en analysant le contenu des injections ARNm de Moderna et Johnson & Johnson…
Le résultat est, le moins qu'on puisse dire, très inquiétant…
d'autres scientifiques, entre autres La Dr. Astrid Stuckelberger font les mêmes constats stupéfiants: https://rumble.com/vp0ouj-une-hydre-en-bonus-dans-linjection-la-science-de-satan-viendrait-elle-cherc.html
et également Le DR. FRANC ZALEWSKI lui nous relate également la découverte de ces choses, faite au sujet de ces injections expérimentales: https://rumble.com/vp0oe5-cette-chose-prend-possession-du-corps-de-son-hte...-mais-pour-y-faire-quoi-.html
A QUOI DOIT-ON S'ATTENDRE DANS LES TEMPS QUI ARRIVENT, EN TOUT CAS TOUT CECI NE PARAIT PAS TRÉS CATHOLIQUE !!! EN CONCLUSION IL EST IMPÉRATIF DE N'INJECTER EN AUCUN CAS CETTE CHOSE À UN ÊTRE VIVANT ET ENCORE MOIS À UN ENFANT !!!
Un dirigeant de Bayer admet en public que les ARNm sont des thérapies géniques et que sans la pandémie, personne n'aurait été disposé à se les faire injecter. https://rumble.com/vp0xtv-voil-le-genre-de-monstre-dinsolence-sans-scrupule-qui-dcide-de-la-vie-et-de.html
Source de la vidéo : https://rumble.com/vp0ue9-la-dr.madej-dvoile-la-dcouverte-dtranges-cratures-contenues-dans-les-fioles.html
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 16 novembre 2022
Le matin où l'ouragan Ian a frappé la côte sud-ouest de la Floride, les images dramatiques de la puissance brute de Mère Nature faisant exploser des structures construites par des mains humaines et les emportant dans la mer étaient incroyables.1 Après des heures et des heures de vent, de pluie et une catastrophe catastrophique marée montante qui a laissé une traînée de destruction dans son sillage, j'ai pensé à quel point cette catastrophe naturelle était très différente de celle qui s'est déchaînée sur le monde en 2020 et qui a également laissé une traînée de destruction dans son sillage.
Deux catastrophes, l'une une catastrophe naturelle légalement qualifiée d'« acte de Dieu », et l'autre une catastrophe dont, trois ans plus tard, les gens se demandent encore : était-ce naturel ou causé par l'homme ?2,3
Que le virus SARS-CoV-2 ait ou non sauté spontanément d'une chauve-souris et dans un être humain4 ou ait été créé par des scientifiques dans un laboratoire de biorisque,5,6,7 une chose est claire : la réponse chaotique des experts en charge a été un désastre en soi.8
Et les personnes, dont les vies ont été touchées par ce chaos, ont vécu le même genre de choc soudain, de peur9, de désorientation, d'isolement et d'impuissance que beaucoup de gens, qui subissent un ouragan, un tsunami, une tornade, un tremblement de terre ou un incendie, ressentent lorsque l'inattendu se produit. .
Les politiques de santé publique pandémiques ont généré la peur et l'instabilité
Au milieu de cet ouragan, je me suis demandé pourquoi la peur de l'inconnu10 provoquée par cette situation d'urgence était si familière.
C'était familier parce que nous venions de ressentir la peur de l'inconnu à l'hiver 2020,11 lorsque les responsables de la santé publique nous ont dit qu'un coronavirus étrangement muté était en liberté et nous tuerait si nous ne nous cachions pas dans nos maisons, porter un tissu sur nos visages, couper le contact physique avec notre famille et nos amis, garder nos enfants hors de l'école et arrêter de nous faire couper les cheveux ou d'aller à l'église, de faire de l'exercice dans une salle de sport, d'entrer dans des restaurants ou certains magasins, et être d'accord avec le le gouvernement a qualifié de nombreux travailleurs et entreprises privées de « non essentiels », ce qui a paralysé notre économie et menacé de plonger des familles dans la faillite.12,13,14
Les habitants de Floride confrontés à cette véritable urgence vitale ont soudainement dû faire appel à des réserves émotionnelles et physiques déjà épuisées par le fait d'avoir récemment traversé une autre urgence, au cours de laquelle certains ont perdu la santé ou des êtres chers à cause du virus mutant, ou ont été blessés par désactivant les réactions au vaccin COVID, tandis que d'autres ont perdu leur emploi, leur maison ou leur entreprise pendant le verrouillage de 2020 qui, heureusement, a été écourté en Floride par rapport à de nombreux autres États.
Les vaccins à ARNm COVID sont associés à de nombreux effets secondaires désagréables, en particulier ceux qui compromettent le sang et le cœur et peuvent entraîner la mort. de mettre fin à toutes les conversations sur les réactions graves au vaccin COVID signalées en ligne,58,59,60,61,62 dans la littérature médicale,63 et au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des États-Unis.64,65
Il y a eu plus de 1,3 million d'événements indésirables signalés au VAERS après les vaccinations par ARNm COVID, y compris des lésions cardiaques, cérébrales et du système immunitaire et la mort. Ces 1,3 million de rapports représentent plus de la moitié de toutes les réactions vaccinales signalées pour tous les vaccins depuis que le VAERS est devenu opérationnel en 1990 en vertu de la loi nationale de 1986 sur les blessures causées par les vaccins chez l'enfant,66 tandis que moins de 1 % de toutes les réactions vaccinales sont signalées au VAERS.67
Le vaccin ARNm COVID est le plus réactif jamais distribué aux États-Unis à l'ensemble de la population.
Réactions "bonnes" même lorsque le vaccin n'empêche pas l'infection
Pourtant, dès que les produits d'ARNm COVID ont été lancés en décembre 2020 dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), les responsables de la santé publique ont dit aux gens de célébrer les symptômes de réaction indésirable, essayant de les convaincre que ces symptômes de réaction signifient que le vaccin fait son travail et les empêcherait de tomber malades du COVID.68
Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.69 Ce mensonge a non seulement persuadé les gens d'accepter les réactions au vaccin COVID comme une chose normale et une bonne chose, mais il a persuadé les médecins de considérer les blessures et les décès liés au vaccin COVID comme une simple « coïncidence ».70,71
Ce qui nous amène peut-être au plus gros éléphant de la pièce, et c'est à quel point on a menti de manière flagrante aux gens dès le début sur l'efficacité des vaccins à ARNm COVID, car les responsables gouvernementaux ont laissé croire aux gens que se faire vacciner les protégerait de être infecté par le nouveau coronavirus et le transmettre à d'autres, alors que cela n'a jamais été vrai.
En fait, c'était tellement faux qu'en 2021, les responsables du CDC ont changé la définition séculaire d'un vaccin d'un "produit qui stimule le système immunitaire d'une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique" à "une préparation qui est utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies », et ils ont convaincu le dictionnaire Merriam Webster de faire de même.72,73,74
En effet, la FDA exigeait uniquement des sociétés pharmaceutiques qu'elles démontrent que le vaccin COVID avait une efficacité d'au moins 50 % pour prévenir les symptômes graves de la maladie COVID, plutôt que de prévenir l'infection.75
Il y a une différence entre un produit produisant une immunité qui prévient l'infection et un produit qui stimule une réponse immunitaire mais n'empêche pas l'infection, surtout lorsque vous pouvez être infecté par le coronavirus et ne pas présenter de symptômes.
L'immunité induite par le vaccin étant exclue et les effets indésirables du vaccin étant considérés comme une bonne chose, fin octobre 2022, la campagne mondiale de vaccination de masse avait convaincu environ 70 % de la population mondiale de se faire vacciner au moins contre le COVID.76
L'OMS à la tête de la campagne mondiale de commercialisation des vaccins contre la COVID
La force de vente de la campagne de marketing du vaccin COVID de Big Pharma a son siège à l'Organisation mondiale de la santé des Nations Unies,77,78,79 avec des bureaux satellites de facto dans des agences gouvernementales comme les National Institutes of Health (NIH), Gavi Alliance, le Bill and Melinda Fondation Gates, Forum économique mondial, grandes universités et institutions financières et autres, idéologiquement et politiquement engagées à imposer la « grande réinitialisation » à tous les pays.80
Selon Klaus Schwab, qui a fondé en 1971 une « organisation internationale de coopération public-privé » appelée Forum économique mondial, le monde est en pleine « quatrième révolution industrielle », qui est « caractérisée par une gamme de nouvelles technologies qui fusionnent les mondes physique, numérique et biologique, impactant toutes les disciplines, économies et industries et remettant même en cause les idées sur ce que signifie être humain. »81
En juin 2020, Schwab a proclamé : « Le moment est venu de procéder à une grande réinitialisation » car, a-t-il déclaré, pour que le monde puisse répondre efficacement à la pandémie de COVID-19, les gouvernements « doivent agir rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et économiques, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. »82
L'événement 201 se prépare pour "La grande réinitialisation"
Pour préparer la voie à la grande réinitialisation, le 18 octobre 2019, le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates et l'Université Johns Hopkins ont parrainé un exercice de planification mondiale simulé à New York appelé Event 201.83
Un "Pandemic Emergency Board" a été réuni pour l'événement 201 qui comprenait des représentants des Nations Unies, de la Banque mondiale, de la Central Intelligence Agency des États-Unis, des Centers for Disease Control des États-Unis, des Centers for Disease Control de Chine et des dirigeants du voyage, de la banque, industries pharmaceutiques et de la santé.84
Le virus sélectionné pour être utilisé dans l'exercice de planification de la pandémie mondiale de simulation du « pire scénario » qui s'est tenu trois mois avant que l'Organisation mondiale de la santé ne déclare un coronavirus « urgence de santé publique de portée internationale » était : le coronavirus.85,86
La question lancinante est : était-ce juste une coïncidence ? De toute évidence, il faudra beaucoup de coordination et d'accord entre tous les gouvernements pour réussir une grande réinitialisation mondiale. Trois ans après le début de l'urgence sanitaire mondiale liée au COVID, il semble que l'élite mondiale de la santé publique montre la voie.
La Commission Lancet publie le manifeste COVID des « leçons apprises »
En septembre 2022, la revue médicale autrefois respectée, The Lancet, a publié un rapport de 56 pages intitulé « The Lancet Commission sur les leçons pour l'avenir de la pandémie de COVID-19 ».87
Le premier grand drapeau rouge du rapport est la longue liste de conflits d'intérêts financiers que les auteurs ont avec les sociétés pharmaceutiques ; agences gouvernementales de santé; les Nations Unies et son agence de santé publique, l'Organisation mondiale de la santé ; Fondation Bill et Melinda Gates, Fondation Rockefeller et autres institutions qui financent ou mènent la recherche et le développement de vaccins et promeuvent l'utilisation obligatoire des vaccins.
Autrefois propriété familiale, The Lancet appartient désormais au conglomérat d'édition Elsevier, et des inquiétudes ont été soulevées quant à l'indépendance éditoriale, à la lumière des liens des investisseurs avec de grandes sociétés bancaires, pharmaceutiques et biotechnologiques. Une critique du rapport de la Commission Lancet a été rédigée par un médecin de la santé publique, qui avait précédemment appelé la revue en juillet 2022 pour avoir publié ce qu'il a décrit comme « une opinion faiblement étayée prônant le fascisme médical. »88
Cette opinion, rédigée par des partisans bien connus de la vaccination obligatoire, appelait à une application stricte des mandats de vaccination COVID aux États-Unis, et à la perte d'emploi et d'éducation scolaire pour ceux qui refusent de se conformer.89
La Commission Lancet a été initialement constituée à l'été 2020 en tant que groupe international d '«experts», principalement des médecins et des professeurs d'universités prestigieuses, chargés de lutter contre la pandémie de COVID. L'une de leurs premières tâches a été d'enquêter sur les origines du virus SARS-CoV-2, une entreprise qu'ils ont rapidement abandonnée en raison de ce que les auteurs ont décrit comme un "discussion publique qui divise" et "une attaque et une pression sans précédent" sur les membres de la Commission.
Laissant cette question gênante "d'où vient le virus" sur la table, la Commission Lancet a ensuite publié un manifeste politique auto-agrandissant qui ne parvient pas à analyser honnêtement ce qui n'a pas fonctionné avec la réponse mondiale à la pandémie de COVID et, à la place, appelle essentiellement à faire plus de la même chose plus rapidement à l'avenir.
Dans une étonnante démonstration d'orgueil et de préjugés idéologiques, les membres de la Commission s'éloignent de leurs domaines d'expertise et appellent les gouvernements à dévaluer les droits individuels et à adopter une orientation collectiviste qui oblige les individus à se conformer aux politiques et lois sanitaires multilatérales adoptées par les Nations Unies.
Ils ont déclaré que "tous les gouvernements, régulateurs et institutions doivent être réorientés vers la société dans son ensemble plutôt que vers l'intérêt des individus - un concept que les commissaires appellent prosocialité".
Attaquer les législateurs américains, critiques des échecs de la réponse à la pandémie
Cette réorientation «prosociale» nécessiterait, bien sûr, que beaucoup plus d'argent et de pouvoir soient accordés aux Nations Unies et à l'Organisation mondiale de la santé afin que les populations mondiales puissent être contrôlées par une autorité centrale, en particulier lors des réponses à la pandémie mondiale.
Défendant leur slogan "personne n'est en sécurité tant que tout le monde n'est pas en sécurité", qui, selon eux, "n'est pas une simple rhétorique, ou une vérité morale, mais une réalité épidémiologique", ils attaquent violemment les législateurs américains pour être coupables de "négliger les preuves scientifiques et de risquer inutilement vit en vue de maintenir l'économie ouverte » et pour avoir promu « la rhétorique anti-science et la désinformation sur le COVID 19 ».
Refusant de reconnaître les préoccupations légitimes du public concernant les politiques autoritaires de réponse au COVID qui ont conduit à un chaos social et économique catastrophique et à des dommages à la santé mentale et physique des populations d'enfants et d'adultes, la Commission se plaint que l'Organisation mondiale de la santé et la plupart des gouvernements n'ont pas agi assez rapidement pour tester , identifiez et isolez les personnes infectées tout en mettant simultanément toutes les personnes dans des masques et en les enfermant chez elles - pendant très, très longtemps.
Il n'y a pas d'analyse critique des tests COVID défectueux qui n'ont pas fonctionné;90,91 ou de fausses estimations de décès par COVID qui n'ont pas fait la distinction entre mourir du COVID et mourir avec le COVID;92,93,94,95,96 ou des protocoles de traitement COVID inefficaces dans hôpitaux qui rendaient les gens encore plus malades ou les tuaient lorsqu'ils étaient indûment mis sous respirateur.97,98,99
Tout en louant les «partenariats public-privé» qui ont accéléré le développement des vaccins COVID comme un «triomphe», la Commission Lancet militarise l'échec de la réponse à la pandémie COVID en rejetant la responsabilité des décès liés au COVID sur – vous l'avez deviné – ces indépendants les penseurs que la force de vente de Pharma appelle les "anti-vaxxers".
Furieux que de nombreuses personnes aux États-Unis et en Europe aient remis en question la compétence des responsables de la santé publique et défié leurs ordres de se masquer, de s'isoler pendant des mois et de se faire vacciner contre le COVID, les auteurs de la Commission Lancet ont allégué que les anti-vaxxers - qui, selon Le dictionnaire Webster inclut désormais toute personne qui s'oppose à la vaccination obligatoire100 - a provoqué une "épidémie de désinformation et de désinformation" qui a favorisé une "faible confiance du public" dans les représentants du gouvernement et a persuadé des millions de personnes de descendre dans la rue à plusieurs reprises au Royaume-Uni, en Irlande, aux Pays-Bas et en Italie , la France, l'Allemagne, l'Autriche, le Danemark, la Suède, la Finlande, la Grèce, la Suisse, le Canada, l'Australie, la Bulgarie, la Serbie, la Pologne, la Roumanie et d'autres pays en 2020 et 2021 pour protester contre les confinements et les passeports vaccinaux.101,102,103
Blâmer les décès sur le «mouvement anti-vaccins», les droits individuels
Ils ont déclaré que «la propagande anti-vaccin dans les Amériques» a poussé «des dizaines de millions de personnes à refuser les vaccins et des centaines de milliers à perdre la vie inutilement».
Obsédés par le manque de "solidarité" entre les gouvernements pour forcer tout le monde partout à marcher au rythme du même tambour, ils expriment une haine particulière pour ce qu'ils décrivent comme le "mouvement anti-vaccin hostile et coordonné qui a répandu des informations dangereuses et fausses sur les risques pour la santé des vaccins et a fait campagne contre les mandats des vaccins.
Montant sur de très grands chevaux, les membres de la Commission Lancet mettent dans le même panier les « négationnistes du changement climatique » et les « parents qui refusent ou retardent les vaccinations infantiles de routine ». Ils condamnent à plusieurs reprises les dirigeants politiques et les médias numériques pour la "diffusion délibérée de la désinformation et de la désinformation... qui nourrit la méfiance à l'égard des responsables de la santé et promeut l'idée que les opinions individuelles ont le même poids que les meilleures preuves scientifiques disponibles".
Ils ont appelé à l'application de la «science comportementale» pour convaincre les gens de s'engager dans une «prosocialité» qui conduit à des «comportements optimaux pour le contrôle de la pandémie», soulignant que les personnes vivant dans des sociétés aux normes sociales «serrées» ou collectivistes suivent beaucoup mieux les ordres de santé publique. que les personnes vivant dans des sociétés avec des normes sociales « lâches » ou individualistes qui défendent la liberté de choix individuel.
Ils affirment que les futures pandémies seraient tellement plus faciles à gérer si tout le monde dans le monde pouvait être muselé et enfermé chaque fois que les responsables de la santé du gouvernement arboraient le drapeau utilitaire pour « le plus grand bien » et exigeaient que nous saluions intelligemment et retroussons nos manches.
Leur diatribe contre les sociétés permettant aux individus d'exercer leur liberté de pensée, d'expression, de conscience et d'autonomie serait amusante s'ils n'étaient pas aussi mortellement sérieux sur ce qu'ils veulent faire à ce sujet.
Bien qu'il y ait eu quelques manifestations publiques ici aux États-Unis, elles n'étaient pas aussi importantes que dans les pays sans Constitution qui assure un équilibre des pouvoirs entre le gouvernement local, étatique et fédéral. Les Américains ont arrêté les mandats de vaccination contre la COVID en 2021 et 2022 parce que les législateurs des États, qui édictent les lois sur la santé publique, ont examiné la science, écouté les préoccupations de leurs électeurs et refusé d'imposer le vaccin.104
Bien que plusieurs gouverneurs américains et maires de villes aient publié des décrets rendant obligatoire le vaccin COVID et que le gouvernement fédéral ait tenté d'imposer le vaccin à tous les employés et sous-traitants fédéraux, aucune législature d'État n'a voté pour rendre obligatoire le vaccin cette année.105
Le portail de plaidoyer NVIC en ligne, lancé en 2010 pour aider les citoyens de chaque État à défendre les droits de consentement éclairé aux vaccins et les exemptions dans les lois sur la santé publique, avait beaucoup à voir avec le fait de retenir les mandats et les passeports des vaccins COVID aux États-Unis lorsque les populations d'autres pays avec une politique centralisée le contrôle ne pouvait pas.106
Public Health Elite veut que les États-Unis deviennent une société collectiviste
Il ne faut pas un doctorat en sciences politiques pour comprendre que ce que réclame l'élite de la santé publique obligerait les Américains à rejeter les valeurs et croyances culturelles et la structure gouvernementale décrites dans la Constitution américaine, qui fournit des freins et contrepoids décentralisés au pouvoir politique. et garantit aux individus des droits naturels donnés par Dieu qui limitent le pouvoir du gouvernement.107,108
L'empire de la santé publique consiste à s'approprier un pouvoir centralisé qui peut être exercé sans responsabilité.
C'est pourquoi la Commission Lancet exige que les États-Unis d'Amérique se "réorientent" vers une société collectiviste, ce qui nécessiterait de déresponsabiliser les gouvernements locaux et étatiques afin que seul le gouvernement fédéral - en "solidarité" avec les Nations Unies, bien sûr - ait le pouvoir. pouvoir d'élaborer des lois sur la santé publique et de dire aux citoyens ce qu'ils doivent penser, croire et faire de leur corps et du corps de leurs enfants.
Le rapport de la Commission du Lancet était accompagné d'un éditorial du Lancet intitulé "COVID-19 : les arguments en faveur de la prosocialité". Et si vous faites une recherche Google en utilisant les mots « prosocialité et communisme », vous trouverez en haut un article publié dans Frontiers in Psychology en septembre 2022 intitulé « Comment les comportements prosociaux sont maintenus en Chine : la relation entre l'autorité communiste et prosocialité. »109
Les auteurs notent comment le comportement prosocial est associé à la croyance religieuse et soutiennent que l'autorité communiste exercée par le Parti communiste chinois au pouvoir a un effet positif sur la promotion des comportements prosociaux dans une société athée laïque. Ils disent que les études montrent que "les fonctions psychologiques des dieux et des gouvernements sont interchangeables".
Merci, Lancet Commission, d'avoir rendu si clairs les objectifs politiques de l'empire de la santé publique.
Vaccination obligatoire : la pointe de la lance dans les guerres culturelles
Je dis depuis de nombreuses années que la vaccination obligatoire est la pointe de la lance dans les guerres culturelles qui se déroulent dans ce pays et dans d'autres au 21e siècle. Parce que si l'État peut étiqueter, traquer et forcer des individus contre leur gré à se faire injecter des produits biologiques de toxicité connue et inconnue aujourd'hui, alors il n'y aura pas de limite aux libertés individuelles que l'État peut supprimer au nom du plus grand bien demain .
Covid19 – Corruption mathématique et épidémiologique
par Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université Aix-Marseille 14 novembre 2022
Résumé de la conférence rédigé par Mme Tatiana Tislenkoff. Retour sur la grippe H1N1 de 2009
- voir clip sur site - (Odysee)
Il est nécessaire de commencer par un rappel de la fraude mathématique lors de la fausse épidémie de H1N1 en 2009-2010, et qui a servi de répétition générale pour le Covid-19.
En 2009, l’OMS déclare l’état de pandémie en se basant sur les simulations mathématiques de Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, ce qui conduit à la promotion de faux médicaments comme ce fut le cas du Tamiflu (vendu pour des milliards d’Euros de commandes par la société Roche alors que celle-ci savait pertinemment que le remède n’était pas indiqué) et à l’obsession d’imposer une vaccination, hâtive et insuffisamment testée, à large échelle.
À l’époque, la mauvaise gestion de la crise H1N1 avait donné lieu à un certain nombre d’enquêtes parlementaires, en France et dans d’autres pays. Ces enquêtes avaient abouti à des conclusions qui permettaient de comprendre ce qu’il fallait éviter à tout prix de reproduire à l’avenir.
Or ces avertissements n’ont pas été suivis en 2020, dont notamment les points particuliers d’une enquête du Sénat en 2010 sur le rôle des mathématiques en situation épidémique. Ce rapport dressait un état lucide des erreurs à ne plus commettre en mettant en lumière les points suivants, je cite :
« L’absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée est frappante. »
« Les auteurs des modèles n’ont pas envisagé l’hypothèse selon laquelle le virus H1N1 pourrait se révéler moins virulent que celui de la grippe saisonnière. »
« Les hypothèses formulées sur la base des modèles n’ont pas de valeur effective. »
Les autorités de santé et les experts devaient pourtant déjà savoir en 2010 que les prédictions épidémiologistes ne valent rien car il est épistémologiquement impossible d’appliquer au vivant des modèles mathématiques. Après la décision d’interroger de manière critique le choix universitaire, les autorités nationales de santé font l’inverse en engageant en 2013, au sein de l’Institut Pasteur, Simon Cauchemez, un ancien élève de N. Ferguson dont la mission est de créer un Institut d’épidémiologie mathématique.
C’est à nouveau l’Imperial College qui sort en mars 2020 le Rapport 9 basé sur les simulations de Neil Ferguson et qui prédit 500’000 morts en Angleterre et 2 millions de morts aux USA si rien n’est fait. Or la seule mesure proposée dans ce rapport est le confinement en attendant le vaccin. Neil Ferguson annonce que ce vaccin pourrait mettre 18 mois à arriver[1] et que des mesures telles que la distanciation sociale, le port du masque, le couvre-feu etc. sont des mesures s à mettre en place en attendant qu’il soit disponible.
Ce Rapport 9 qui est un rapport interne, n’a jamais été relu par les pairs et certainement pas les simulations qui y ont été faites. Ce Rapport 9, qui n’est pas un article scientifique va servir à dicter la politique mondiale et celle de l’OMS ! D’où proviennent les simulations de Neil Ferguson ? Elles sont issues d’un code essentiellement non reproductible avec plus de 930 paramètres.
Dans un premier temps N. Ferguson refusa de transmettre le code utilisé pour la simulation. Il le fera finalement six mois plus tard sous la pression des médias anglais et de la justice.
Il ne livrera toutefois que des parties du code qui ne sont pas les originels. Les ingénieurs en mathématique ne pourront rien faire ressortir de ce code à 930 paramètres.
Il faut savoir que les modèles en physique mathématique n’utilisent pas plus de deux ou trois paramètres dans une équation. Pour vous donner un exemple, l’équation de Boltzmann qui explique toute la mathématique des fluides et toute la thermodynamique, et qui est celle avec laquelle je travaille, ne comporte qu’un seul paramètre.
En mathématique, les conclusions ne valent que ce que valent les hypothèses et il est impossible de prendre au sérieux un code qui comprend 930 paramètres, sachant qu’il faut des milliards d’années pour tester uniquement deux valeurs par paramètre.
Ces simulations sont arbitraires et n’ont rien à voir avec la réalité. Neil Ferguson va transmettre ce rapport à l’OMS ainsi qu’aux gouvernements occidentaux.
En France, c’est Simon Cauchemez, nommé en 2013 pour créer l’Institut d’épidémiologie mathématique au sein de l’Institut Pasteur, qui sera nommé au Conseil Scientifique[2]. Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le Président déclare le confinement.
Le rapport 9 indique clairement que les INP (interventions non-pharmaceutiques) sont la seule solution en attendant les vaccins.
Exemple de INP : confinements, couvre-feu, fermeture des écoles, commerces et/ou restaurants, mesures de « distanciation », masques.
Ces mesures sont reconnues dans la littérature comme n’ayant aucune utilité avérée et donc à éviter, les lourds dommages qu’elles occasionnent étant en revanche certains.
Les meilleures équipes et épidémiologistes (Ioannidis et Bhattacharya à Stanford, Kulldorff à Harvard, S. Gupta à Oxford, Risch à Yale, Hennegan au Center for Evidence-Based Medicine, Toubiana et Perronne en France) ne cesseront de dénoncer la destructivité et le caractère antiscientifique de leur imposition.
Évaluant l’impact des INP en août 2022, Schippers, Ioannidis et Joffe (in Frontiers in Pubvlic Health) confirmeront l’absence d’utilité des INP selon les meilleurs méta-analyses, alors que les études concluant l’inverse sont d’un très faible niveau de preuve scientifique, et fortement biaisées. Les auteurs soulignent les effets catastrophiques des INP pour la population, avec l’émergence d’une pensée unique ne supportant plus la contradiction et s’imposant par des processus de manipulation psychologique exploitant une mauvaise compréhension de la science. Il en aura résulté la stigmatisation de catégories entières de la population (réticentes aux mesures agressives, avec une aggravation systémique des inégalités notamment socio-économiques, éducatives, ethniques et de genre, conduisant à un véritable traumatisme collectif. Les auteurs soulignent que les processus de gestion des urgences (GU) et d’intelligence collective ont été lourdement défaillants.
Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite pourtant les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le Président déclare le confinement.
Dans la stratégie du Rapport 9, appliqué dès mars 2020, ressort un point très important :
« Les confinements ont vocation à être répétés dans le temps jusqu’à la mise à disposition des vaccins ».
Dès lors, les intéressés savent en mars 2020 qu’il y aura des confinements successifs, à l’encontre de toutes les recommandations et connaissances en santé publique. Le rôle du Conseil Scientifique sera de prouver l’efficacité du premier confinement et des mesures afin de convaincre la population de leur maintien dans la durée. Le narratif des autorités ne cessera de parler de « diminution de l’épidémie » après chaque mesure imposée et inversement, afin de maintenir la population dans la croyance en l’efficacité des mesures. L’enjeu est de taille puisque les mesures de confinement, de distanciation et de couvre-feu ont coûté 10 points du PIB soit 250 milliards d’euro. Ceci sans compter le bilan humain, puisque la fermeture de lieux tels que les restaurant a poussé au suicide certains propriétaires en situation de précarité. Il était alors indispensable pour les autorités de maintenir « coûte que coûte » le narratif d’efficacité des mesures. Pour ce faire, Couchemez et Fontanet, tous les deux membres du Conseil Scientifique vont publier en ligne en mai 2020, dans la revue Science, un article sensé démontrer l’efficacité des mesures de confinement.
Cet article publié sous le titre « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » est l’une des plus grandes fraudes scientifiques du XXIème siècle. Cela est d’autant plus grave puisque cet article a eu une portée politique mondiale.
De quelle manière l’étude sur l’efficacité du confinement a été truquée Depuis le début du XXème siècle, on assiste à une succession d’articles qui sont des fraudes scientifiques en particulier dans le domaine de l’épidémiologie.
En 1916, Ronald Ross a ainsi modélisé la transmission du paludisme par les moustiques. Il en a tiré la concept R0 (nombre de cas secondaires), qui est sensé être un paramètre permettant de contrôler la diffusion des épidémies. Ce modèle se fondait sur l’idée que si on souhaitait lutter contre la malaria et le paludisme, on n’avait pas besoin de tuer tous les moustiques car en deçà d’un certain seuil, la diffusion du paludisme disparaissait.
Le modèle de Ross a été utilisé dans le cadre d’un grand programme d’éradication de la malaria entre 1955 et 1969 dans les pays africains et on en a conclu que :
Le modèle n’a rien à voir avec la réalité. L’épidémiologie mathématique ne fait pas sens. Un autre article va servir toute l’épidémiologie mathématique, et en particulier celle qui va être utilisée en 2020, en France, par le Conseil Scientifique. Il s’agit de l’article de Kermack & Mc Kendrick, publié en 1927 et portant sur la transmission des maladies respiratoires contagieuses.
De cet article vont être tirés deux indicateurs fondamentaux qui ont pollué le débat médiatique en 2020.
Premier indicateur : Le nombre basic de reproduction (nombre de cas secondaires qu’une personne est capable de contaminer).
Second indicateur : La théorie de l’immunité collective (si plus de 60% de la population est immunisée, le virus n’est plus contagieux).
Cette théorie est injustifiable d’un point de vue mathématique. Néanmoins elle est utilisée aujourd’hui pour justifier la vaccination et en particulier celle des enfants.
Le narratif consistant à dire que si plus de 70% des gens sont immunisés de façon artificielle ou naturelle, le virus cessera de se propager PARCE QUE les équations mathématiques le disent.
C’est sur la base de ces théories frauduleuses que les décisions politiques en santé publique sont prises avec des effets catastrophiques.
L’article publié dans la revue Science et la justification du confinement L’article « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » a été publié en ligne le 11 mai 2020 alors qu’il a été soumis le 20 avril 2020. Il se passe trois semaines entre la remise du papier à la revue et sa mise en ligne.
Ceci est pour le moins étonnant puisqu’il faut à un mathématicien honnête entre un et deux ans pour écrire un article et tout autant pour une relecture par les pairs.
Mi-novembre 2021 : le parquet de Paris annonce qu’il étudie cette plainte. Janvier 2022 : un nouveau complément de plainte est déposé. 1er trimestre 2022 : le pôle de santé publique de Paris classe l’affaire. Actuellement : continuation de la plainte avec mise en place d’une constitution de partie civile. Toutefois, les dénonciations mathématiques et les diverses actions judiciaires ne sont pas restées sans effet puisqu’à partir de décembre 2021, toutes les études de l’institut Pasteur mentionnent en début de texte l’avertissement suivant :
« Ces scénarios sont faits sur la base de données incomplètes et d’hypothèses incertaines. La propagation du virus Sars-Cov-2 est difficile à anticiper ; et la dynamique de l’épidémie peut changer rapidement. Les trajectoires décrites dépendent des hypothèses faites ; si les hypothèses ne se réalisent pas, la dynamique observée pourra être différente des projections. »
Une nouvelle plainte a été déposée suite à l’introduction de cet avertissement. En effet, la question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire.
Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés.
(cf. présentation de Pierre Chaillot, Covid-19 histoire d’une fraude statistique – une arnaque au comptage, Colloques Corruption et fraude au cours de la crise Covid, Lisbonne et Marseille, 2022)
Et toutes les décisions prises en France, l’ont été sur la base de prédictions mathématiques qui n’ont fait qu’engendrer la peur.
À la vue de l’insertion de cet avertissement, il est clair qu’ils cherchent à se couvrir en cas de procédure pénale.
Un personnage trouble : Cédric Villani Cédric Villani, qui est à la fois scientifique et député, a eu l’honneur d’être le vice-président puis le président de l’OPECST (Office Parlementaire pour l’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques)
Il s’agit de la plus haute instance parlementaire française dont le rôle est de conseiller sur les choix scientifiques et technologiques.
En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani était la personne la mieux placée pour faire obstacle à la fraude mathématique du Conseil Scientifique, qui elle-même provenait des simulations crapuleuses de Neil Ferguson et de l’Imperial College.
D’autant plus qu’il est, tout comme moi, spécialiste des phénomènes de transports or le virus est un phénomène de transport qu’on appelle le transport collision (les gens se déplacent et quand ils se rencontrent, ils peuvent éventuellement changer d’état viral).
L’article pseudo-mathématique qui est mentionné sur la diapositive suivante, et qui a été approuvé par C. Villani en mai 2020, démontre sa compromission dans la diffusion de fausses informations mathématiques à l’égard du gouvernement pour prendre des décisions sur les confinements. Cela explique pourquoi il n’a jamais souhaité me rencontrer malgré mes nombreuses relances.
En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani a fait preuve d’un défaut de vigilance et souhaite clairement échapper à ses responsabilités.
Autres articles avec fraude en mathématiques Un article pseudo-mathématique par Roux, Massonneau, Crepey, déposé le 27 avril 2020[1] alors que le confinement était encore en cours :
Affirme sur la base d’un « modèle mathématique » que le confinement a sauvé… 61’739 vies ! Il s’agit à nouevau d’un pré-print qui n’a jamais été publié ni relu par les pairs mais a reçu une large médiatisation. Il a été dénoncé publiquement par le Pr Jean-François Toussaint comme irrecevable. J’ai démontré qu’il s’agissait aussi d’une pure escroquerie mathématique. Cet article est pourtant cité dans une note présentée par l’OPECST comme preuve de l’efficacité des confinements et approuvée en mai 2020 par Cédric Villani.
L’étude Comcor
Le 15 décembre 2020, le Premier Ministre Castex annonce que sur la base d’une étude scientifique du Pr A. Fontanet (Conseil scientifique), les bars et restaurants sont des lieux à risque pour la transmission du Sars-CoV-2.
Cette « étude scientifique » est une étude statistique type comparaison « malades / non-malades » sur les habitudes des personnes ayant ou non eu le Covid.
Cette étude est une étude dont il est facile de montrer qu’elle est totalement truquée.
Elle pourtant été acceptée pour publication dans le « Lancet Regional Health » le 16 novembre 2021.
Action judiciaire : cette étude a fait l’objet d’un dépôt de plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence. Ayant été rejetée par le parquet, elle actuellement l’objet de la mise en place d’une constitution de partie civile (CPC).
Le 18 janvier 2022, le Conseil d’analyse économique publie une note… d’épidémiologie.
L’étude prétend que le passe sanitaire a permis de gagner des points de vaccination et donc… de sauver des vies. Le pré-print n’est toujours pas publié, 9 mois après avoir été soumis. A partir d’une méthode mathématique totalement arbitraire, les auteurs estiment que 4’000 vies ont été épargnées. En réalité, on peut démontrer mathématiquement, à partir de la méthode retenue par les auteurs, que le passe sanitaire a en réalité coûté… entre 1’500 et 7’000 vies. L’article a été dénoncé publiquement par mes soins comme étant une fraude le 14 février 2022 lors d’une séance publique du Conseil scientifique indépendant.
Conclusions
En France (et dans tous les pays occidentaux) TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques. SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer. Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes. Cédric Villani -pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine- a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires.
[1] D’habitude il faut 10 ans pour développer un vaccin.
[2] Le Conseil Scientifique étant l’organe qui conseille le Président E. Macron dès le début de la crise.
La fin d’un mythe : "Si c’est un virus, pas d’antibiotique ?" Dr Claude Escarguel
Xavier Azalbert et Jean-Luc Duhamel, pour FranceSoir le 14 novembre 2022 - 20:50
« Toute vérité franchit trois étapes : D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence ». Citation apocryphe
ENTRETIEN - La recherche sur l’aide apportée par les bactéries au développement des virus, une sorte de « collaboration » qui permet au virus de se répliquer dans le corps humain, a démarré lorsque le Pr Luc Montagnier découvrit, en 1990, un germe de type Mycoplasme dans une cellule d’un malade séropositif au VIH (germe intracellulaire) (1). Cette coopération entre bactéries et virus est appelée « mécanisme bactériophage-like ».
En 1992, cette découverte fut confirmée in vitro par une équipe de chercheurs français (C. Escarguel, G. Papierok, G. Pautrat) spécialisés dans les germes intracellulaires (2) et fit l’objet d’un brevet n° FR2694022 (A1), le 28 janvier1994.
En 1998, elle fut corroborée par une étude in vivo de l'équipe française de l’Association Biologie et Coopération (C. Escarguel, P. Lepere et C. Pelissier) (3).
D’après les résultats obtenus par de nombreux médecins traitant les patients en ambulatoire précoce et par les publications de C. Escarguel, la pandémie de Covid-19 a offert l’occasion de mettre ce mécanisme en évidence dès le début de l'année 2020, en constatant l’efficacité de certaines familles d'antibiotiques (macrolides, cyclines, clofoctol, rifaximine), ces derniers neutralisant les bactéries « coopérantes » avec le virus.
Aujourd’hui, les observations de l’équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, viennent une nouvelle fois de montrer la justesse de la découverte du Pr Luc Montagnier.
- voir photos sur site -
FranceSoir : En quoi cette nouvelle confirmation par le Dr Carlo Brogna de l’existence des bactéries « coopérantes » à la réplication d’un virus dans le corps humain est-elle déterminante ?
C. Escarguel : Malheureusement, les confirmations, en 1992 et en 1998, de la découverte du Pr Montagnier et les excellents résultats des traitements précoces contre le Covid-19 qui ont sauvé de nombreuses vies, n’ont pas suffi à convaincre la communauté scientifique et les responsables de la gestion de la pandémie de Covid-19 de l’efficacité de ces traitements ainsi que de la nécessité de les généraliser au plus vite.
Dès lors, les observations du Dr Brogna remettent d’importantes questions sur la table :
Pourquoi les responsables de la gestion de cette pandémie ont-ils refusé de prendre sérieusement en considération les découvertes du Pr Montagnier et nos travaux scientifiques de 1992 et de 1998, alors que nous n’avons cessé de les alerter depuis le mois de mars 2020 ? C’est-à-dire depuis les publications de l'IHU de Marseille sur la bithérapie (à base d'hydroxychloroquine et d'azithromicyne) avec qui nous sommes en désaccord sur la molécule efficace. Pourquoi l’information sur la réussite des traitements précoces n’a-t-elle pas été diffusée massivement par les autorités et par l’Ordre des médecins ? Pourquoi les médecins qui soignaient se sont-ils vus interdire l’utilisation des traitements précoces et pourquoi ont-ils fait l’objet de procédures disciplinaires pour les avoir prescrits ? Pourquoi le paracétamol, le rivotril, puis les injections de substances géniques expérimentales ont-ils été préférés aux traitements qui soignaient ? Pourquoi les dizaines de courriels que nous avons envoyés aux autorités sanitaires, à l’Ordre des médecins et au pouvoir politique sont-ils restés lettre morte ? Pourquoi Emmanuel Macron en sa qualité de président de la République française n’a-t-il pas réussi à vaincre « le système » qu’il évoque dans son courriel envoyé à l'ancienne ministre de la Culture Françoise Nyssen, le 5 février 2021 et que celle-ci nous a réexpédié tel quel ? Le : 05 février 2021 à 21:24 (GMT +01:00)
De : "Francoise NYSSEN" f.nyssen@actes-sud.fr
À : xxxxxxxxx
Objet : RE: courrier au Président
Et son retour immédiat
« Formidable. Je crois beaucoup à cela vraiment depuis longtemps mais « le système » y croit trop peu c’est fou
Je m’en saisis. Merci. Je vous embrasse »
Maintenant, il reste à espérer que les observations visuelles par microscopie électronique de l’équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, qui confirment aussi bien la découverte du Pr Montagnier que nos travaux de 1992 et de 1998, ouvriront, dans les prochaines années, la voie à la recherche de la vérité et, donc, à la réponse aux questions qui précèdent.
À la suite des observations du Dr Carlo Brogna, l'autre question importante qui demeure est celle de la réponse à la priorité de l'OMS : « La prévention des chocs septiques des viroses respiratoires (grippe, bronchiolites, coronaviroses, etc.) par le traitement ambulatoire précoce paradoxal » (cf. antibiotique adapté).
FS : En quoi les observations du Dr Carlo Brogna et de ses équipes représentent-elles une confirmation de l’utilité d'un traitement contre les virus de type Covid-19 ?
C. Escarguel : Les récents travaux de l'équipe de recherche du laboratoire CRANIOMED, dirigée par le Dr Carlo Brogna avec qui nous collaborons, confirment la piste des bactéries « coopérantes » (4-5). Cette coopération est illustrée par un mécanisme appelé « bactériophage-like », qui provoque la libération de toxines bactériennes lors de la lyse bactérienne. Ces toxines (6) agissent de façon concomitante à l'action du virus SARS-CoV-2 et de sa protéine Spike sur le SRA (système rénine – angiotensine).
Les photographies réalisées par le laboratoire CRANIOMED avec un microscope à transmission électronique (TEM) illustrent le phénomène :
En A-B et C, on observe diverses bactéries avec parois (bactéries gram+ et gram-) et sans parois (mycoplasme et forme L).
Photo CRANIOMED ABCDE
En D et E, on visualise le SARS-CoV-2 (Covid-19) qui fracture la paroi des bactéries afin de les pénétrer pour se répliquer. Le SARS-CoV-2 fracture la paroi au niveau des flèches rouges.
Photo CRANIOMED FG
En F, on visualise une bactérie sans paroi qui est attaquée par le SARS-CoV-2, afin de l’utiliser pour se multiplier. La pénétration du virus s’effectue au niveau des flèches rouges. Les bactéries sans paroi semblent être une proie plus facile pour le virus (ARN polymérase commune ?).
En G, on visualise deux types de cellules :
celles du bas qui est en train d’être colonisée ; celles du haut qui est en train d’être lysée (éclatement de la bactérie libérant les SARS-CoV-2 dupliqués et les toxines de la bactérie). FS : Ces images de microscopie électronique expliquent donc visuellement la réussite des traitements précoces préconisés par de nombreux médecins dans le traitement du virus Covid-19 ?
C. Escarguel : Oui, en effet. Dans le monde entier, les médecins qui ont utilisé en ambulatoire précoce (dans les cinq premiers jours suivant l'apparition des premiers symptômes) une molécule d'antibiotique des familles suivantes* : macrolides, cyclines, ou Clofoctol (cf. enquête d'ARTE : « le médicament miracle ») ont constaté une chute drastique de la létalité : 0,1% comparée aux 2,3% des patients laissés sous Doliprane. Ces résultats ont été publiés (7) et la comparaison des courbes de mortalité et de circulation du virus, en 2020 (8), présente un fort décrochage de la mortalité jusqu'à ce que les autorités de santé interdisent l'hydroxychloroquine aux médecins de ville, tout en préconisant de ne pas traiter aux antibiotiques : étonnant !
Inversement, toute autre antibiothérapie, notamment celle à large spectre, destinée à la prévention des surinfections (qui ne se manifestent que si l'antibiotique adapté n'a pas été prescrit en ambulatoire précoce), ne pourra être que contreproductive (9) en altérant le microbiote intestinal et, donc, en favorisant l'inflammation, le risque de diarrhées mortelles à Clostridium difficile et, surtout, en permettant la translocation des bactéries résistantes aux antibiotiques de la sphère digestive vers le sang du patient avec des bactériémies mortelles.
Ces molécules d'antibiotiques « efficaces » sont connues pour être actives sur les germes suspects de « coopérer » avec le virus (mycoplasmes, intracellulaires, germes de parodontites), dont la population augmente lors de dysbioses locales : pulmonaires, buccales ou digestives. Ces germes « coopérants » sont tous colonisés par le virus dès l'incubation de la coronavirose.
Ils amplifient, selon le brevet cité ci-dessus, la réplication virale selon l'effet « bactériophage-like ». L'efficacité de ces antibiotiques, actifs sur ces germes « coopérants », s'explique par le blocage de l'amplification de la réplication du virus dans les bactéries « coopérantes » : c'est l'effet « virostatique ». Ces bactéries « coopérantes » sont présentes chez certains malades dont les comorbidités entrainent des dysbioses. Cette preuve thérapeutique indirecte valide la piste ouverte, dès 1990, par Luc Montagnier. C'est cette amplification qui, avec le potentiel immunitaire du sujet, explique la virulence variable d'un individu à l'autre. Dans le cas de germes ou de virus peu pathogènes (c'est le cas du SARS-CoV-2 avec 50% d'asymptomatiques), c'est l'effet inoculum associé à une immunodépression éventuelle qui est responsable de la virulence constatée (10). Le mécanisme amplificateur est supposé être, d'après notre hypothèse, une « mutualisation » de l'activité des ARN polymérases entre la bactérie et le virus, d'où l'importance d'associer le zinc à l'antibiotique du fait de sa propre activité sur les ARN polymérases du SARS-CoV-2) (11).
FS : En 2020 et 2021, de nombreuses infections au Covid-19 dégénéraient en détresses respiratoires a priori à cause de l'absence de traitements précoces. Comment expliquer que ce ne soit plus le cas aujourd’hui alors que la plupart des malades ne bénéficient toujours pas de ces traitements ?
C. Escarguel : La disparition, fin 2021, de la bactérie pulmonaire Mycoplasma Pneumoniae (MP), dans les centres de surveillance du monde entier, constatée par l'équipe des Pr Grueb et Bebear et publiée par P. Meyer Sauteur (12) au congrès des intracellulaires de Lausanne (août 2022), pourrait expliquer la disparition des syndromes de détresse respiratoire, en 2022 : syndromes liés à la toxine CARD du MP et à la phospholipase A2 des mycoplasmes : (13-14). Ce génocide bactérien lié au SARS-CoV-2 sera-t-il durable ou 2023, verra-t-il une réapparition des formes pulmonaires avec le retour du MP (cf. (15) : Pr Tcherakian ) ? La question reste posée.
Les études du Pr Lina montrent que les pics viraux des viroses respiratoires sont corrélés avec le pic de la bactérie pulmonaire Mycoplasma pneumoniae laissant supposer le rôle amplificateur de cette dernière, non seulement pour le SARS-CoV-2 mais également pour les grippes et les bronchiolites. En d’autres termes, la réapparition de cette bactérie pourrait faire resurgir des détresses respiratoires causées par le SARS-CoV-2 ou éventuellement par les grippes et les bronchiolites (16).
FS : Quelle est votre analyse en ce qui concerne le « covid long » ?
C. Escarguel : Les micro-caillots résistant à la fibrinolyse entrainant une hypoxie périphérique, signes cognitifs secondaires aux substances amyloïdes, auto-anticorps anti-idiotypes, endotheliopathie, inflammation chronique et asthénie secondaire à une mauvaise oxygénation des tissus, sont les signes majeurs des syndromes post-infectieux et du covid long, avec des variables liées aux toxines impliquées. Toutefois, le traitement du covid long, comme celui des syndromes post-infectieux, ne doit pas se limiter aux traitements des symptômes (neurologiques, endothelites, micro-caillots, liés aux auto-anticorps, asthénies, dysbioses), mais il doit surtout associer de façon alternative les traitements symptomatiques au traitement préconisé par notre étude prenant en compte « la coopération bactérie/virus ».
Pour cela, nous proposons aux autorités sanitaires, en partenariat avec les adhérents volontaires de notre association de malades, tous souffrant de covid long, de participer à un travail de recherche thérapeutique fondé sur nos hypothèses, dans le cadre d'un CPP, selon le protocole exposé dans le document de synthèse établi pour notre future participation au congrès de la SPIL (Société de Pathologie Infectieuse de Langue française). Ce congrès se déroulera à Nancy le 8 décembre prochain et je joins le document en téléchargement ici.
FS : Ne craignez-vous pas que l’utilisation de votre antibiothérapie préventive vous soit reprochée dans la cadre de la lutte contre les résistances aux antibiotiques ?
C. Escarguel : Je répondrai tout d’abord que sauver une vie par l’utilisation d’un antibiotique n’autorise pas cette question ! De surcroît, ce traitement ambulatoire précoce, en permettant d'éviter l’hospitalisation de 15% des malades positifs au Covid, dispense de ce fait de traiter les surinfections hospitalières. Ces dernières, grandes consommatrices d’antibiotiques à large spectre, entraînent de nombreuses résistances. Un petit extincteur d’antibiotique préventif génère moins de résistance qu’un "canadair d'antibiotique curatif".
FS : Alors qu’il ne semble plus possible de nier que les traitements précoces fonctionnent, qu’en est-il de l’autorisation conditionnelle des « vaccins » qui était subordonnée à l’absence de traitement de la maladie du Covid-19 ?
C. Escarguel : Si j’en crois les juristes que j’ai consultés à ce sujet, l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché des vaccins était subordonnée à l’absence de traitement de la maladie ou, selon les termes du Règlement du 31 mars 2004 qui a servi de fondement aux autorisations, à l’existence d’un « besoin médical non satisfait ».
Le principe, pour la délivrance d’une AMM traditionnelle, est que le médicament a fait « l’objet d’études approfondies visant à assurer sa sécurité, sa qualité et l’efficacité de son utilisation » (Règl. n°507/2006 de la Commission du 29 mars 2006, relatif à l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de médicaments à usage humain relevant du règlement n°726/2004 du Parlement européen et du Conseil).
De façon exceptionnelle, une AMM, dite AMM conditionnelle, peut être délivrée avant que des données cliniques exhaustives aient été communiquées aux autorités sanitaires, « afin de répondre à des besoins médicaux non satisfaits de patients », c’est-à-dire lorsque, pour une maladie donnée, « il n’existe pas de traitement autorisé ou, même si un tel traitement existe, « le médicament concerné apportera un avantage thérapeutique majeur aux malades ». Cette possibilité dérogatoire est soumise à la condition que « le bénéfice que représente la disponibilité immédiate du médicament sur le marché l’emporte sur les risques inhérents au fait que des données supplémentaires restent à apporter » (Règl. n° 726/2004 du Parlement européen et du Conseil européen du 31 mars 2004, établissant des procédures communautaires pour l'autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire).
En l’état actuel des connaissances et des certitudes thérapeutiques issues de nos travaux, la validité des AMM conditionnelles des vaccins peut être clairement questionnée.
C'est pour cette raison que nous nous opposons avec vigueur aux adeptes de la religion « la vaccination pour tous » et nous la limiterions aux cas à risque. Leur publicité bombardée actuellement sur toutes les télévisions : « Alors on continue ! » qui, s'appuyant sur la peur, souhaiterait faire « vacciner » tout le monde et même les enfants, ne résulte pas de données scientifiques factuelles « Errare humanum est, perseverare diabolicum » !
L'étude sur le mécanisme bactériophage en microscopie électronique est disponible ici.
(1) Montagnier Pursues the Mycoplasma-AIDS - Science.org
(2) Procédé d'amplification des agents infectieux en diagnostic 'in vitro' sur cultures cellulaires
(3) Cahiers d'études et de recherches francophones / Santé
(4) Pulmonary clearance of Mycoplasma pulmonis in rats with respiratory viral infections or of susceptible genotype
(5) Synergistic effect of Sendai virus on Mycoplasma pulmonis infection in mice. Saito M, Nakagawa M, Suzuki E, Kinoshita K, Imaizumi K.
(6) Pre-infection of pigs with Mycoplasma hyopneumoniae .. .https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov ›
(7) Virus interactions with bacteria: Partners in the infectious dance https://www.ncbi.nlm.nih.gov
(8) Modeling SARS-CoV-2 viral kinetics and association ... - PNAS inoculum-S’intéresser à la charge virale pour comprendre l’évolution vers des formes graves de Covid-19 INSERM
(9) Type I and Type III Interferons - Induction, Signaling, Evasion ... https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov ›
(11) Blood clotting may be the root cause of Long COVID ... https://www.sciencedaily.com ›
(12) Can Early Home administration of Azithromycin with Zinc Help Prevent Severe COVID-19 Disease Progression and Long-COVID?
(13) La molécule miracle : chronologie d'un espoir - myCANAL
(14) Les virus géants et l’origine des ARN polymérases des eucaryotes
(15) Un quart des formes sévères de Covid-19 s’expliquent par une anomalie génétique ou immunologique - INSERM
3 à 4% des formes sévères ont une origine génétique, tandis que 10 à 11% s’expliquent par la présence d’auto-anticorps dirigés contre IFN 1 et qui bloquent leur action antivirale.
Afin de mieux comprendre la distribution de ces auto-anticorps dans la population générale non infectée et notamment l’influence de l’âge (l’essentiel des cas de formes sévères de Covid-19 concernent les plus de 65 ans), les auteurs ont comparé plus de 34 000 individus sains, classés par sexe et tranche d’âge, ils ont ainsi fait une découverte inattendue : la présence d’auto-anticorps.
TYRANT : Le juge ultra-gauchiste de la Cour suprême Sotomayor condamne les employés de la ville de New York à MORT par des injections mortelles d'ARNm
Mardi 15 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Les employés de la ville de la Big Apple ont été condamnés à mort par la juge de la Cour suprême Sonia Sotomayor, qui a jeté à la poubelle une application d'urgence qui aurait protégé les pompiers, les policiers et d'autres employés du gouvernement de New York contre les obligations obligatoires. « Vaccination » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Les employés de la ville étaient presque sur la ligne d'arrivée pour remporter une victoire pour la liberté de la santé lorsque Sotomayor est arrivé à la 11e heure et a annulé leurs tentatives de rester exemptés de piqûres forcées pour des motifs religieux.
L'Alliance Defending Freedom (ADF), un cabinet d'avocats d'intérêt public spécialisé dans les affaires de liberté religieuse, a fait valoir dans la demande, déposée le 2 novembre, qu'il est injuste que les artistes et les athlètes soient exemptés du mandat de piqûre mais pas les travailleurs municipaux non vaccinés. , qui ont été licenciés de leurs postes.
Étant donné que la demande a été soumise en vertu de l'état d'urgence, Sotomayor a été autorisée à trancher l'affaire par elle-même sans avoir à la saisir devant la Cour suprême au complet. Par conséquent, les employés de la ville de New York se sont vu refuser leur droit de ne pas être injectés de force avec des poisons chimiques et biologiques.
Dans sa décision, Sotomayor n'a fourni aucun motif pour le rejet. Nous ne pouvons que supposer qu'elle est fermement convaincue que tout le monde devrait être forcé par le gouvernement à se faire injecter pour la grippe Fauci - ceci étant une forme de viol médical. (En relation: Sotomayor a indiqué à plusieurs reprises qu'elle soutenait pleinement le viol médical contre le peuple américain.)
Sotomayor pense que les Américains devraient être pénétrés de force avec des produits chimiques Big Pharma par le biais d'un viol médical sanctionné par le gouvernement L'affaire ADF fait valoir que les employés privés de leurs droits "souffrent de la perte des droits du premier amendement, sont confrontés à des délais pour quitter les maisons en saisie ou avec des loyers en souffrance, souffrent de problèmes de santé en raison de la perte de leur assurance maladie municipale et du stress de n'avoir aucun revenu régulier et de recourir aux coupons alimentaires et à Medicaid juste pour maintenir leur famille à flot.
Cependant, rien de tout cela ne concerne Sotomayor, qui depuis sa tour d'ivoire a brisé le marteau contre eux avec un sourire. Sotomayor ne croit pas à la liberté de la santé, y compris le droit de ne pas être pénétré de force avec des aiguilles Big Pharma contre sa volonté.
"Ces héros de la ville ont consacré leur vie à servir leurs voisins et à assurer le fonctionnement sûr et efficace de leur ville, mais les responsables de la ville de New York les ont suspendus et licenciés parce qu'ils ne peuvent pas prendre le vaccin COVID-19 sans violer leurs croyances religieuses sincères", a déclaré John Bursch. , avocat principal et vice-président du plaidoyer en appel chez ADF.
"Mais pour les athlètes, les artistes et les strip-teaseuses, la ville a trouvé un moyen d'assouplir son mandat."
Dans la section des commentaires, beaucoup ont écrit que Sotomayor devrait être immédiatement démis de ses fonctions et punie pour ses crimes contre l'humanité (et la Constitution). Les injections de Covid sont, après tout, une forme de génocide qui a lancé un plan de dépopulation mondiale massive qui a mis de nombreuses années à se préparer.
« Des employés du gouvernement qui tuent des employés du gouvernement – légalement avec le vaccin ! Merci, votre honneur », a écrit l'un d'eux en plaisantant.
Un autre a écrit que si Sotomayor devait être renvoyée, sa remplaçante, Ketanji Brown Jackson, ne ferait guère mieux.
"Bimbo gauchiste Sotomayor fait toujours le contraire du raisonnement constitutionnel", a écrit un autre.
«Avec chaque nouvelle décision que Sotomayor prend, elle confirme notre conviction de longue date qu'elle a été nommée par un président démocrate apaisant pour la couleur de sa peau plutôt que pour sa compétence intellectuelle», a déclaré un autre. "Sotomayor est une honte et une tache indélébile sur le système judiciaire américain."
"Elle est une gêne pour le pays et la cour", a déclaré quelqu'un d'autre.
Pour en savoir plus sur les dernières nouvelles sur les injections de virus chinois, rendez-vous sur ChemicalViolence.com.
Le test des élections à mi-mandat a été décisif, peut-on oui ou non influencer/diriger/compromettre n'importe qui n'importe quand et n'importe où ? La réponse en forme de couperet est tombée: OUI ! Quiconque votait républicain jusqu'alors a voté démocrate contre sa conviction ! C'est ce qui s'est passé ! Tout ordre envoyé et reçu sur le portable (même éteint) est transmis à votre cerveau via les nano-particules d'oxyde de graphène inoculées qui voyagent dans le sang. C'est LE transhumanisme. LE plus grand danger pour un pays d'être entouré d'assassins près à tuer n'importe qui, n'importe quand, n'importe où !
Effets négatifs de la vaccination corona sur les grossesses
16 novembre 2022 du Dr. Peter F. Mayer
Une nette baisse du nombre de naissances environ 9 mois depuis le début des tranches d'âge éligibles à la grossesse est désormais avérée pour la quasi-totalité des pays. Également un nombre accru de mortinaissances, de malformations congénitales et de protéines de pointe dans le lait des mères vaccinées. Une étude chinoise a examiné les résultats de la fécondation in vitro (FIV) chez les femmes vaccinées.
L'étude de Wehhao Shi et al est apparue sur Jama Network intitulée Association Between Time Interval from COVID-19 Vaccination to In Vitro Fertilization and Pregnancy Rate After Fresh Embryo Transfer (fécondation in vitro et taux de grossesse après transfert d'embryon frais). Elle devrait formuler des recommandations sur le délai d'attente pour la FIV après la vaccination, car il n'y a eu jusqu'à présent que des recommandations contradictoires. En tout cas, l'étude prouve un effet clairement négatif de la vaccination sur la possibilité de tomber enceinte et prouve donc également l'influence négative de la campagne de vaccination sur le taux de natalité.
Il existe des points de vue divergents sur la façon dont le vaccin COVID-19 affecte la conception et sur la durée pendant laquelle les couples vaccinés doivent attendre pour concevoir. Des directives telles que celles du groupe de travail sur le coronavirus / COVID-19 de l'American Society for Reproductive Medicine et les Centers for Disease Control and Prevention recommandent que les personnes qui envisagent de devenir enceintes conçoivent le plus tôt possible après avoir reçu le vaccin ARNm COVID-19.
Cependant, la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie conseille de retarder la conception d'au moins quelques jours après la fin de la vaccination contre le COVID-19 (c'est-à-dire après la deuxième dose) et de retarder le début du traitement par technologie de procréation assistée jusqu'à deux mois. Le groupe d'experts du Centre de technologie de procréation assistée par l'homme de Pékin pour le contrôle et l'amélioration de la qualité recommande de retarder la grossesse d'un mois après la vaccination contre le COVID-19.
Taux de grossesse significativement plus faible en FIV après la vaccination
Dans cette étude de cohorte de 3052 patientes sous traitement de FIV, un taux de grossesse significativement plus faible a été observé chez celles qui avaient été vaccinées contre le SRAS-CoV-2 30 jours ou moins et 31 à 60 jours avant le traitement de FIV. Un taux légèrement inférieur, mais non statistiquement significatif, a été observé chez les patientes vaccinées 61 à 90 jours avant le traitement de FIV, et ce n'est que dans le sous-groupe vacciné 91 jours ou plus avant qu'aucune réduction du risque de grossesse en cours n'a été identifiée.
Les résultats de cette étude suggèrent que le traitement de FIV avec un transfert d'embryon frais devrait être reporté jusqu'à au moins 61 jours après la vaccination contre le COVID-19.
Au total, 667 patients ayant reçu le vaccin chinois inactivé et 2 385 non vaccinés ont participé à l'étude. Ainsi même avec ce vaccin classique, une réduction significative des grossesses a été observée plus de deux mois après la vaccination.
Suisse : des victimes de la vaccination et d'autres personnes portent plainte contre Swissmedic et les vaccinateurs
16 novembre 2022 du Dr. Peter F. Mayer
Six personnes blessées par des vaccinations par ARNm et d'autres personnes ont signalé lundi leur plainte pénale contre l'autorité suisse de délivrance des licences Swissmedic et les médecins vaccinateurs. Ils sont représentés par l'avocat zurichois Philipp Kruse.
Comme le cabinet d'avocats dans une déclaration aux médias, la plainte pénale publiée hier, y compris les preuves scientifiques ("Evidence Report"), est le résultat du travail le plus intensif et le plus persistant d'une petite équipe de base très motivée. De nombreux experts bien connus dans le pays et à l'étranger y ont apporté une contribution significative avec leurs innombrables références à des sources, des explications, des suggestions d'amélioration et des textes élaborés.
Procédure ouverte contre les médecins
«Les informations trompeuses données au public par Swissmedic sur les bénéfices et les risques pèsent particulièrement lourd. Le procureur cantonal saisi a déjà ouvert une procédure contre les médecins vaccinateurs encore inconnus. » La présomption d'innocence s'applique à toutes les personnes impliquées.
Lors d'une conférence de presse lundi après-midi, les personnes impliquées ont fourni des informations sur le contexte médical et scientifique de la plainte pénale.
Un objectif commun est déclaré :
Nous voulons aider les personnes touchées par les dommages causés par l'injection d'ARNm à faire valoir leurs droits (reconnaissance des causes ; aide ; indemnisation), et nous voulons éviter que d'autres personnes n'aient à souffrir de ces injections d'ARNm dangereuses et inutiles.
Les faits sont parfaitement clairs sur la table.
Au plus tard avec les connaissances présentées hier, tous les médias et la société dans son ensemble ont maintenant entre les mains pour enfin faire le pas en avant attendu : affronter les faits et enfin mettre fin à la grande tromperie et au paternalisme des gens.
Selon l'annonce, les parties impliquées ont "documenté les graves lacunes des études d'enregistrement et, à l'aide d'études rétrospectives et de données statistiques, ont montré les risques et les dommages associés à la vaccination par ARNm pour les individus et la santé publique".
fauteuil roulant en conséquence
Lors de la conférence de presse, les victimes de la vaccination ont également décrit comment leur vie professionnelle et privée avait changé depuis la vaccination. Parmi ces personnes figure Mai T.J., 45 ans, qui a dû être hospitalisé immédiatement après la troisième vaccination.
Peu de temps après, le diagnostic était : polyarthrite rhumatoïde sévère, accompagnée d'autres symptômes. L'employé de formation est depuis dépendant d'un fauteuil roulant.
Plus d'informations sur la plainte pénale peuvent être trouvées sur ce site.
L'association entre l'infection par le VRS chez les enfants et la vaccination par l'ARNm-C19
13 novembre 2022 du Dr. Peter F. Mayer
Une vague d'infections par le virus respiratoire syncytial (VRS) traverse actuellement les États-Unis ainsi que certains pays européens. Les enfants sont particulièrement touchés, comme nous l'avons récemment signalé. Dans certaines régions des États-Unis, les hôpitaux pour enfants seraient devenus tellement débordés qu'ils auraient même dû faire appel à la Garde nationale pour obtenir de l'aide. Récemment, The HighWire a rapporté que le nombre de cas signalés de VRS chez les enfants a augmenté à un rythme alarmant. Ce virus pseudo-grippal peut être particulièrement dangereux chez les très jeunes enfants et est généralement plus répandu pendant les mois d'hiver. La poussée actuelle est particulièrement alarmante car elle se produit hors saison.
Dans l'épisode HighWire, Del Bigtree est allé au fond des choses, notant que dans l'essai clinique du vaccin pédiatrique Covid-19 de Moderna, les enfants qui ont reçu le vaccin avaient des taux de VRS plus élevés que ceux qui avaient reçu un placebo. Toujours dans l'étude sur le vaccin pédiatrique Covid-19 de Pfizer, le VRS a été répertorié comme l'un des effets indésirables graves chez les enfants ayant reçu ce vaccin.
Le problème est si grave que même le comité des vaccins de la FDA, VRBPAC, qui salue normalement même les vaccins les plus dangereux, a fait le lien et « a souligné l'importance d'une surveillance continue de la sécurité post-approbation, en particulier pour ... certaines infections respiratoires (VRS et pneumonie) dans le groupe d'âge le plus jeune pour lequel des déséquilibres d'importance clinique incertaine ont été observés dans l'étude clinique."
Malgré l'importance notée de la surveillance post-approbation du VRS, personne au CDC ou à la FDA ne semble lier l'augmentation du VRS aux vaccins Covid-19 administrés aux enfants. Incroyablement, le CDC vient de publier un "avis de santé officiel" sur l'augmentation des cas de VRS et de virus respiratoires, et dans celui-ci, le CDC recommande les vaccins contre la grippe et les vaccins Covid-19 pour toute personne de 6 mois et plus, selon l'ICAN dans un communiqué de presse .
Comme d'habitude, les médias grand public ne comprennent pas ce qui se passe. Si de nombreux articles décrivent l'augmentation inquiétante des enfants malades, aucun ne mentionne la vaccination contre le Covid-19, malgré les données des études des fabricants.
Pour aller au fond des choses, les avocats d'ICAN ont envoyé une lettre au CDC le 26 octobre 2022, citant des données d'études cliniques montrant une association entre l'augmentation des cas de VRS et l'administration du vaccin Covid-19-Prove. Dans sa lettre, l'ICAN a demandé le pourcentage d'enfants testés positifs pour le VRS et qui avaient reçu une vaccination contre le Covid-19 avant leur diagnostic de VRS.
Depuis janvier 2021, des scientifiques réputés déclarent que l'augmentation des autres infections virales chez les personnes vaccinées sera catastrophique.
Pfizer et Moderna ont tous deux démontré des infections à VRS statistiquement significatives chez les enfants recevant leurs vaccins Covid 19 par rapport au placebo, et pourtant les cliniciens ne se plaignent que des salles pour enfants remplies d'enfants à VRS mais continuent de prétendre "sûrs et efficaces".
Il est bien connu que le VRS est favorisé par les vaccins.
Reuters a rapporté le 23 décembre 2008 :
Des chercheurs de l'Université Johns Hopkins ont résolu le mystère vieux de plusieurs décennies de savoir pourquoi un vaccin conçu pour prévenir une infection virale infantile courante rendait les enfants malades.
Les résultats fournissent des orientations importantes pour le développement d'un vaccin sûr et efficace contre le virus respiratoire syncytial (VRS), la principale cause d'hospitalisations hivernales chez les nourrissons et les jeunes enfants dans le monde, a déclaré le Dr. Fernando P. Polack, chercheur principal de l'étude, a déclaré à Reuters Health.
"Une préoccupation majeure des scientifiques travaillant sur le développement d'un vaccin contre le VRS est de s'assurer qu'une telle situation ne se reproduise plus", a déclaré Polack, qui est également impliqué dans la Fondation INFANT à Buenos Aires.
Ce qui est particulièrement original, c'est que le Dr. Fernando P. Polack est l'auteur principal de l'étude pivot du composé d'ARNm C19 de Pfizer qui a trouvé le chiffre étonnant de 95 % d'efficacité contre Covid. TKP a rapporté ici les incidents étranges lors du recrutement du plus grand nombre de participants par la Fondation INFANT de Polack à Buenos Aires seulement.
Un an de "confinement pour les non vaccinés" - Petit rappel des scandaleux
15 novembre 2022 par Thomas Oysmuller
Cela fait exactement un an que le "confinement pour les non vaccinés" s'est appliqué pour la première fois en Autriche. Les "non solidaires" ont été mis sous pression psychologique et devraient être poussés vers un traitement par ARNm. La politique a culminé ce jour-là il y a un an.
C'était le comble de la stigmatisation et de la persécution des « non vaccinés ». Ce pic a été atteint en Autriche : il y a exactement un an, le 15 novembre 2021, était le premier jour où un « verrouillage pour les non vaccinés » s'appliquait en Autriche. Cet état de fait devrait perdurer en 2022.
Lutte contre les non vaccinés
Les personnes sans certificat de vaccination (ou avis de guérison) n'étaient autorisées à quitter la maison que pour quelques raisons précises. Ils n'étaient autorisés à travailler qu'avec un certificat de test valide. Mais pour pouvoir organiser le temps libre à mi-chemin, le certificat de test n'était à nouveau pas suffisant. Une pression sans précédent a été exercée sur ces personnes qui avaient insisté sur leur droit à l'intégrité physique.
Ce n'est pas seulement la politique qui a décrété le pas, mais aussi de nombreuses personnes qui l'ont soutenu. Cette courte enquête de rue du Vorarlberg donne une idée de l'ambiance en Autriche. Il deviendra un document contemporain :
Le chancelier à court terme Alexander Schallenberg était le principal instigateur contre les non vaccinés. Comme d'habitude en politique, il ne s'est jamais excusé et est actuellement à nouveau ministre des Affaires étrangères. Il n'a pas caché non plus qu'il "a resserré les rênes sur les non vaccinés" afin de créer une "incitation" à la vaccination. Vous vouliez conduire les gens dans la seringue. Cela a également été dit très franchement. "Nous étions trop nombreux" à avoir fait preuve de "manque de solidarité", avait alors déclaré Schallenberg. Non seulement les médias et les journalistes n'ont pas remis en cause les démarches du gouvernement, mais ils les ont même saluées et soutenues dans certains cas.
Le groupe "Les Verts contre la vaccination obligatoire et la 2G" tente de créer une culture offensive de commémoration sur le premier anniversaire avec un sujet. Le sujet peut et doit être diffusé davantage.
Il est urgent de le rappeler, car le mainstream reste muet sur l'événement, comme si cette rupture radicale n'avait pas existé il y a un an. Quelques fondamentalistes corona défendent même encore la politique. C'était tout à fait correct, car "Delta" était endémique. Le fait qu'aucun autre pays ne considère cette étape nécessaire n'est pas pertinent.
Au vu de telles opinions, qui semblent toujours être socialement acceptables en Autriche, Omicron devait être un cadeau presque céleste. Si la variante significativement plus douce n'était pas apparue, la chasse aux non-vaccinés aurait continué. Ce n'était probablement qu'une question de temps avant que de nouvelles ruptures de civilisation ne se produisent.
Avec le recul, les historiens trouveront devant eux un journal du déraillement de novembre 2021. L'historien et auteur du TKP, Stephan Sander-Faes, écrivait sur son blog Substack à l'époque : « Est-ce encore de l'hypocrisie ? J'ai bien peur que nous ne parlions ici d'autre chose : de la tyrannie.
Aujourd'hui, il commente son texte de l'année dernière en ajoutant : "Pas encore d'excuses, donc je reproduirai ici la chronique de l'année dernière, mais j'ajouterai la paraphrase très libérale de l'Enfer de Dante : les endroits les plus chauds de l'enfer sont pour ceux qui sont réservés, qui maintiennent leur neutralité en temps de crise morale.
Le commentaire vidéo sur le premier anniversaire du Youtuber autrichien "Neue Normalität" vaut également le détour :
- voir clip sur site -
Mais vous pouvez terminer avec quelque chose de positif : malgré la politique sans précédent contre les « non vaccinés » en Autriche, plus de 20 % de la population est restée inébranlable. Ils sont toujours sans traitement par ARNm et ont pu résister à la pression massive. Maintenant, ils sont et resteront le groupe de contrôle.
Les données de Vsafe sur les effets secondaires de la vaccination montrent qu'une personne sur 55 a été vaccinée à l'hôpital - vidéo de Florian Schilling
15 novembre 2022 du Dr. Peter F. Mayer
L'autorité américaine CDC recueille également des données sur les effets secondaires et les dommages causés par les vaccinations corona. Ils voulaient d'abord le garder secret, mais doivent maintenant le divulguer par décision de justice. Et ces données montrent un profil de sécurité catastrophique, comme l'explique Florian Schilling dans une courte vidéo.
Vsafe est un système de notification actif aux États-Unis, où les personnes qui ont été vaccinées sont rappelées par SMS pour remplir des questionnaires. Le CDC n'a pas voulu publier ces données. L'ICAN a résumé les données dans un tableau de bord.
En revanche, il existe des systèmes de signalement passifs qui dépendent d'une personne qui signale activement et indépendamment un effet indésirable, une blessure. Cependant, ces systèmes, qui sont également utilisés en Allemagne, souffrent d'une sous-déclaration importante d'un facteur de 15 à 40. Ainsi, seuls 2 à 7 % environ des effets secondaires qui se produisent réellement sont signalés.
10,1 millions de vaccinés ont participé à Vsafe et parmi eux, 3,35 millions ont signalé près de 6,5 millions de problèmes de santé. Ainsi, une personne sur trois vaccinée a signalé des problèmes de santé.
La gravité des problèmes signalés est intéressante : environ 1,2 million sont confrontés à des limitations dans la vie quotidienne, 1,3 million ont provoqué des arrêts maladie et 0,8 million ont nécessité une aide médicale.
- voir graph sur site -
Cette aide est détaillée. Étonnamment, il existe une évaluation pour le groupe d'âge des moins de 3 ans - et il est complètement absurde que dans ce groupe, qui n'est pas menacé par Corona, des problèmes nécessitant des soins médicaux se soient posés. 15 % se sont retrouvés aux urgences et près de 10 % ont été hospitalisés. Des enfants de moins de 3 ans ont également été hospitalisés en raison des effets secondaires de la vaccination.
En conséquence, 1 sur 13 a nécessité des soins médicaux, 1 sur 90 était aux urgences et 1 sur 142 a été hospitalisé. Au total, 1 personne sur 55 a été hospitalisée. Lauterbach appelle cela "la vaccination sans effets secondaires".
En Allemagne, en revanche, l'Institut Paul Ehrlich (PEI) affirme qu'il n'y a que 0,3 signalement d'effets secondaires graves pour 1000 vaccinations, soit 1 sur 3300 contre 1 sur 55 avec un signalement actif aux États-Unis.
Peter F. Mayer et Thomas Oysmüller discutent des développements politiques et scientifiques les plus importants de ces derniers jours et donnent un aperçu de la nouvelle semaine.
Quelles sont les choses importantes de la semaine dernière qui ne se trouvent pas dans le courant dominant ? Qu'est-ce qui sera important cette semaine ? Peter F. Mayer et Thomas Oysmüller parlent des développements politiques et des découvertes scientifiques en 20 minutes environ. "La semaine au TKP" est publiée tous les mardis à 6h du matin en format audio et vidéo. Cette semaine:
Critique fondamentale de la gynécologie Le nouveau type criminel "Dr. médical." Crise Security Act en Autriche Tests d'antigènes toxiques Écouter:
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Regarder:
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Articles discutés cette semaine :
La plus grande catastrophe médicale : la vaccination par ARNm des femmes enceintes
Egalement représenté en Suisse et en Autriche : Le nouveau type de criminel « Dr. médical."
Bâtonnets toxiques dans les tests antigéniques
Crise par décret : le gouvernement a présenté une nouvelle loi sur la sécurité
Federal Crisis Security Act = PATRIOT ACT autrichien, ou : Le meurtre (suicide) de la démocratie autrichienne
Ensemble de précédents - Un médecin est exécuté en vertu du code de Nuremberg - Pour avoir administré un Covid Vax
Par Alexandra Bruce La télé du savoir interdit 16 novembre 2022
Activiste et médecin anti-Death Shot, le Dr Elizabeth "Betsy" Eads dit qu'un médecin a été exécuté pour avoir injecté à un patient l'arme biologique COVID-19, ce qui a entraîné la mort de son patient.
- voir clip sur site -
Le Dr Eads exhorte tous les professionnels de la santé qui écoutent à cesser immédiatement d'injecter cette arme biologique, s'ils veulent espérer ne pas subir le même sort.
Elle dit: «Vous savez que des gens meurent à cause des vaxxines à arme biologique. Vous devez arrêter ce que vous faites. Si vous devez quitter ce travail et partir, partez. Ce sont des crimes contre l'humanité. Vous ne pouvez pas courir, vous ne pouvez pas vous cacher. Vous ne pourrez pas marcher dans la rue.
« Des tribunaux de type Nuremberg ont commencé. Que vous soyez médecin, infirmier, pharmacien, CNA, technicien de laboratoire, quiconque participe à l'administration de ces injections d'armes biologiques tue un patient.
« Cela inclut les directeurs d'école. Cela inclut les directeurs, cela inclut partout où quelqu'un a été forcé de prendre un médicament expérimental sans consentement éclairé ou un cocktail CDC, y compris la ventilation ou le CDC sans consentement. Consentement approprié. Je ne parle pas de consentement écrit. Je parle d'un consentement médical approprié, y compris quels ingrédients sont donnés, quels sont les effets secondaires du produit et quelles études ont été faites pour prouver l'efficacité du produit.
« Parce que nous savons que les vaxxines sont des armes biologiques. Ce sont des nano lipides ; nanotubes ou nano spot Qdot, oxyde de graphène, qui tuent des patients.
«Nous savons que le remdesevir a tué 53 % des patients de l'étude Ebola. Tout cela est facilement accessible aux infirmières, médecins, pharmaciens et travailleurs de la santé du monde entier.
"Il n'y a aucune excuse pour continuer à pousser les tirs d'armes biologiques remdesivir et la ventilation sur les gens. Il n'y a aucune raison de pousser un test d'antigène PCR frauduleux, qui ne fait que collecter du matériel génétique à transmettre pour le clonage.
« S'il vous plaît, je vous implore de cesser et de vous abstenir de faire ce que vous faites, infirmières, pharmaciens. Éloignez-vous si vous devez vous éloigner. Se repentir. Demander le pardon.
"Parce que si vous ne le faites pas, Dieu vous trouvera et vous subirez la même mort que ce médecin malaisien a subie et vous le mériterez.
Bill Gates prévient que les terroristes essaieront d'utiliser la variole comme arme biologique alors qu'il offre des milliards de financement pour prévenir de futures pandémies
Le fondateur de Microsoft a plaidé hier lors d'une conférence Policy Exchange
Il a appelé à la formation d'un «groupe de travail sur la pandémie» avec des milliards de financement Gates a suggéré de développer des «jeux de germes» pour se préparer aux futures pandémies C'est arrivé quelques jours après sa participation à la conférence sur le climat COP26 à Glasgow
Par DAVID AVERRE POUR MAILONLINE le 4 novembre 2021
Bill Gates a appelé les gouvernements à donner des milliards de dollars en financement de la recherche et du développement pour prévenir de futures pandémies et le « bioterrorisme ».
Le milliardaire fondateur de Microsoft a averti que les dirigeants mondiaux doivent se préparer à des catastrophes telles que des "attaques terroristes contre la variole" quel qu'en soit le prix, et a appelé à la formation d'un nouveau groupe de travail sur la pandémie de l' Organisation mondiale de la santé d'un milliard de dollars.
Il a donné l'avertissement et a fait une offre de fonds lors d'un entretien avec le président du comité de sélection de la santé et l'ancien secrétaire britannique à la santé Jeremy Hunt hier.
Bien que la recherche puisse être coûteuse, il a déclaré qu'elle pourrait également conduire à d'autres innovations, telles que l'éradication de la grippe et du rhume.
Il a déclaré que des pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni doivent dépenser « des dizaines de milliards » pour financer la recherche.
" J'espère que dans cinq ans, je pourrai écrire un livre intitulé " Nous sommes prêts pour la prochaine pandémie ", mais cela prendra des dizaines de milliards de dollars en R&D – les États-Unis et le Royaume-Uni en feront partie ", il mentionné.
Bill Gates a appelé les gouvernements à donner des milliards de dollars en financement de la recherche et du développement pour prévenir les futures pandémies et le « bioterrorisme » lors d'une discussion du groupe de réflexion Policy Exchange avec l'ancien secrétaire britannique à la Santé Jeremy Hunt hier
Le milliardaire fondateur de Microsoft a averti que les dirigeants mondiaux doivent se préparer à des catastrophes telles que les "attaques terroristes contre la variole" quel qu'en soit le prix, et a appelé à la formation d'un nouveau groupe de travail sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé d'un milliard de dollars pour accélérer la recherche et le développement
"Il faudra probablement environ un milliard par an pour un groupe de travail sur la pandémie au niveau de l'OMS, qui effectue la surveillance et fait en fait ce que j'appelle" des jeux de germes "où vous pratiquez."
Gates a suggéré que les « jeux de germes » pourraient inclure la préparation d'actes de bioterrorisme tels que les attaques de variole contre les aéroports, les comparant à des « jeux de guerre » utilisés par les militaires pour s'entraîner aux conflits dans le monde entier.
« Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ?' dit Gates.
"Il y a des épidémies d'origine naturelle et des épidémies de bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd'hui."
AVANT 2030 LES ÊTRES HUMAINS SERONT TOUS DES ESCLAVES NUMÉRISÉS ET CONNECTÉS
3:15 - voir clip sur site -
11 Novembre 2021
Ceci, nous démontre, que tous les hommes sur cette terre quelle que soit la couleur de peau, tous les êtres humains seront des esclaves et soumis à la servitude pendant un certain temps jusqu'à la fin totale de ce système humain.
On le voit bien, le toboggan est bien en train d'être mis en place, on est donc à deux doigts de la puce électronique sous la peau.
Au départ on aura un papier avec un QR code, mais les restaurateurs les policiers vont se fatiguer rapidement pour le contrôler.
Ensuite on aura des bornes et ce sera plus facile.
Ces bornes liront votre identité ou votre statut sanitaire sur un bracelet, une montre, sur un petit objet que vous porterez dans un sac à main, sur un code tatouage ou alors comme je l'ai dit sous la peau et les portes s'ouvriront.
Et vous pourrez pays facilement. Vous passerez à toute allure aux caisses et tout le monde trouvera " Super " de payer sans avoir l'air finalement de payer.
L'identité numérique c'est un saut quantique. Il n'y a aura pas de retour en arrière possible. Tout comme le pass sanitaire. Le marché des objets numériques connectés est considérable. Pour conforter la mise en place de l'identité numérique on nous dit : " on est déjà tracés par nos mobiles " non, le GPS ce n'est pas assez précis, entre 1 et 10 mètres.
On ne peut pas dire exactement qui on a rencontré ni où on est allé. Et surtout, le portable on peut le laisser à la maison ou sinon l'éteindre.
Avec l'identité numérique, la 5G et les objets connectés, nos conversations, notre santé, nos ordonnances comme vous l'avez dit, nos pensées, notre intimité, notre espérance de vie, tout sera exposé, exposable, vendable, revendable.
Et là, je vous parle de mon ancienne vie où j'étais dans une compagnie d'assurance. Leur rêve c'était de savoir l'espérance de vie des gens pour leur offrir une garantie adéquate.
Ce qui veut dire exclure des maladies, c'est une crainte qu'il faut prendre en considération. D'ailleurs la Commission utilise le mot de " portefeuille d'identité numérique ".
Est-ce la fin de nos libertés ?
Ce sera vraiment un élément à prendre en compte pour ce règlement.
Va-t-on vers un capitalisme de contrôle ?
Une autre question ,ce lundi, une Commissaire de Bruxelles a interdit à tous les fonctionnaires d'utiliser dans tous ses discours et publications les mots " mesdames ets messieurs ", pour ne pas exclure ni rendre les personnes intersexes invisibles. C'est pas intéressant de noter que la Commission veut que l'identité numérique soit constante toute la vie, mais finalement pas l'identité sexuelle.
Nota :
Ceci, nous démontre, que tous les hommes sur cette terre quelle que soit la couleur de peau, tous les êtres humains seront des esclaves et soumis à la servitude pendant un certain temps jusqu'à la fin totale de ce système humain.
PERSONNE :
Et [La bête], elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six [06 06 06].
A PARTAGER AU MAXIMUM ET DONNER LEUR LA LUMIERE AUX AUTRES
Les données montrent une surmortalité dans le monde entier due aux «vaccins» contre le covid
L'été 2021 à l'approche de l'automne 2021 connaît une augmentation fulgurante de la mortalité toutes causes confondues par rapport à celle de la même période en 2020. Qu'est-ce qui a changé ? Les injections "Opération Warp Speed" qu'ils appellent "vaccins" ont été déployées dans le monde entier.
Tous les pays où l'adoption du jab est élevée, y compris l' Écosse , Israël, le Danemark et les États-Unis, connaissent une augmentation massive du nombre de décès dus à des choses autres que le « covid ». Le coupable évident est les jabs, bien sûr.
L'Unz Review a réalisé une analyse approfondie des données disponibles, qui montre clairement que la mortalité toutes causes confondues est « lunaire », pour ainsi dire. Les records sont battus en termes de nombre de morts, en particulier dans les régions du monde où un grand nombre de personnes ont reçu les injections.
En Écosse, par exemple, le gouvernement a récemment enregistré la 20e semaine consécutive au cours de laquelle les décès excessifs dans tout le pays ont dépassé la moyenne quinquennale. C'est dans un pays avec un taux de conformité de 87 pour cent jusqu'à présent.
"Même en excluant les décès de Covid, ils étaient près de 20% au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse", a relayé Alex Berenson sur son Substack.
L'Allemagne est dans un bourbier similaire avec près de 78 000 décès supplémentaires signalés, un chiffre de 10 % supérieur à ce qui était prévu.
"Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10 % au-dessus de la médiane des années précédentes", a ajouté Berenson.
Plus de jeunes meurent de coups de covid que de personnes âgées Au Danemark, en Finlande et en Norvège, les décès "mystères" de covid sont actuellement plus élevés que jamais, même pendant la "pire" de la plandémie . Les décès ont vraiment commencé à augmenter dans ces trois pays immédiatement après le déploiement du « vaccin ».
Pendant cinq mois consécutifs, le Danemark a battu le record de 10 ans de décès de "toutes causes". Pendant ce temps, il n'y a eu pratiquement aucun décès causé par « covid » pendant cette période.
L'Irlande, le Royaume-Uni et Israël affichent tous des chiffres alarmants similaires. Et il se trouve que ces trois pays ont des taux de « vaccination » extrêmement élevés.
« Régime coercitif » – Le vrai visage du nouvel ordre mondial
10:18 - voir clip sur site -
04.11.2021 www.kla.tv/20436
Le monde vit actuellement une transformation historique alors que notre système financier et économique menace de s'effondrer. L'élite financière fait donc tout ce qui est en son pouvoir pour établir un nouvel ordre mondial en sa faveur. Cependant, sa véritable nature semble être tout sauf prometteuse…
Le monde est actuellement soumis à un processus irréversible de changement historique qui, selon l’expert financier Ernst Wolff, ne peut être inversé. La raison en est que notre système financier et économique menace de s’effondrer et ne peut pas survivre sous sa forme actuelle. C’est pourquoi l’élite financière fait actuellement tout ce qui est en son pouvoir pour établir un nouvel ordre mondial économique en sa faveur. Celui-ci est actuellement préparé de multiples façons, les mêmes noms apparaissant continuellement : Le Forum économique mondial FEM, la Fondation Rockefeller et la Fondation Bill & Melinda Gates. Les Banques centrales du monde entier jouent également un rôle important. La réorganisation est présentée sous la forme d’un programme prometteur tel que la « grande réinitialisation » ou l’« Agenda 2030 ». Cette émission met en lumière diverses caractéristiques qui montrent que leur caractère réel est tout sauf prometteur.
CBDC : le système monétaire obligatoire qui se profile
En réponse à l’effondrement imminent du secteur financier, toutes les grandes Banques centrales du monde travaillent actuellement d’arrache-pied pour introduire un nouveau système monétaire : la monnaie numérique de Banque centrale ou CBDC (Central Bank Digital Currency). Ce système doit exister exclusivement sous forme numérique et être géré de manière centralisée via des comptes auprès d’une Banque centrale. Il n’y aura plus de véritable choix entre les différentes banques ou entre le paiement en espèces ou par carte. Ce système monétaire centralisé et sans alternative sera alors en mesure d’identifier les personnes à tous égards. Par exemple, cet argent peut être doté d’une date d’expiration ou doit être dépensé à des fins spécifiques. Il sera également possible à la Banque de refuser des versements ou des transferts en cas de mauvaise conduite, ou de bloquer complètement le compte. Étant donné que les paiements du futur seront effectués par contact avec un téléphone portable ou en scannant un QR code, ce contrôle ne sera pas effectué par l’État seul, mais de plus en plus par les grands groupes informatiques. Les gouvernements sont donc partiellement privés de leur pouvoir, tandis que les grands groupes informatiques et l’élite financière qui se cache derrière eux continuent de gagner en influence.
Compte tenu des risques d’une monnaie numérique de Banque centrale, la plupart des gens n’accepteraient pas une telle monnaie dans des circonstances normales. Mais que se passerait-il si, à la suite des mesures prises face au Covid, l’économie était mise à genoux et que des entreprises, principalement de taille moyenne, faisaient faillite en série, détruisant ainsi des emplois sur une grande échelle ? Que se passerait-il si les caisses de l’État étaient pillées et que les États étaient désespérément surendettés, si le versement des aides était retardé et que le chaos total menaçait ? Si on proposait alors à la population un nouveau système monétaire, combiné à un revenu de base universel, en guise de salut et de nouveau départ, elle l’accepterait très probablement. Les graves dommages économiques et sociaux causés par les confinements pourraient ainsi être habilement utilisés pour mettre en place ce système monétaire obligatoire.
Soudan – Contrôle au moyen du revenu de base universel
Depuis 2017, l’idée d’un revenu de base universel a été promue entre autres par le Forum économique mondial FEM, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates. L’un des objectifs déclarés est « l’inclusion financière » (permettre à tous d’avoir accès aux services financiers). Il ne s’agit toutefois pas de la possibilité d’avoir un compte bancaire individuel, mais d’amener tout le monde « dans le système », comme le définissait déjà en 2015 le responsable de Paypal, Dan Schulman. On peut observer ce que cela signifie avec l’exemple du Soudan. Dans ce pays, avec un revenu de base universel de cinq dollars par mois, on tente de mettre en laisse avec le numérique une population partiellement rebelle et fondamentaliste de 32 millions de personnes. La condition préalable à ce revenu de base est l’enregistrement biométrique de chaque bénéficiaire et le paiement par téléphone portable. De cette manière, la population doit être entièrement enregistrée et ensuite contrôlée par téléphone portable. En retirant l’aumône numérique en cas de comportement irrégulier, on peut alors également « l’éduquer » à sa guise. Ainsi, ce qui se cache derrière la façade prometteuse d’un revenu de base universel, ce n’est pas un programme visant à améliorer le monde, mais un plan perfide pour surveiller et contrôler l’ensemble de la population mondiale.
Selon les plans de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, tous les citoyens de l’UE vont recevoir une identité numérique. Elle servira à tout faire dans tous les pays de l’UE sans frais supplémentaires ni bureaucratie, du paiement des impôts à la location d’un appartement. À cette fin, des informations telles que la vaccination et la situation financière, mais aussi des données provenant de Facebook ou du smartphone seront enregistrées. Les données biométriques telles que les empreintes digitales ou les visages serviront de « cartes d’identité », permettant même de voyager sans passeport. Ce qui est présenté à la population au nom du progrès et de la sécurité est cependant la mise en œuvre exacte de l’agenda de la « grande réinitialisation » et de la « quatrième révolution industrielle » du Forum économique mondial FEM. Selon ce document, l’ensemble de l’humanité devra recevoir une identité numérique uniforme dans le cadre de l’initiative ID2020. Ce qui est dangereux dans tout cela, c’est la création de bases de données centrales supranationales. Grâce à elles, les multinationales de l’informatique, les services secrets et les autorités policières pourront enregistrer tous les faits et gestes des personnes dans le monde entier et identifier facilement toutes les personnes dont les données seront stockées. ID2020 s’avère donc être un pas de géant vers la surveillance et le contrôle total de l’humanité.
Passeport : une autorité mondiale privée en préparation
Afin qu’on puisse à nouveau voyager sans problèmes dans le contexte de la pandémie du Covid-19, la « Commons Project Foundation » soutenue par la Fondation Rockefeller, a annoncé en octobre 2020 le lancement du nouveau « CommonPass », en partenariat avec le FEM. Ce passeport n’est pas un document physique et n’est pas une application au sens propre. C’est comme une méta-application sur un smartphone ; elle utilise toutes les applications des compagnies aériennes, des agences de voyage et des institutions gouvernementales du monde entier pour stocker et vérifier les données des voyageurs de manière standardisée. En d’autres termes, c’est le « CommonPass » qui vérifiera à l’avenir de manière indépendante si les conditions d’entrée sont remplies, et non plus les différents États. En outre, toutes les données telles que les pièces d’identité, l’historique des voyages, les données bancaires ou la reconnaissance faciale et vocale peuvent être intégrées dans le « CommonPass ». Ainsi, le smartphone deviendra à l’avenir un « passeport » extrêmement complet et fonctionnant à l’échelle mondiale, dont l’utilisation pourra être étendue à tous les domaines de la vie. De cette façon, les gouvernements nationaux seront contournés et privés de leur pouvoir, tandis que les grands groupes informatiques qui développent et gèrent le CommonPass deviendront, en quelque sorte, une autorité mondiale privée en matière de passeports. Ainsi, avec ce projet également, la crise du Covid est habilement utilisée pour préparer le nouvel ordre mondial centraliste.
Les habitudes de navigation sur le Web détermineront-elles bientôt la solvabilité ?
Les prêts traditionnels sont déterminés sur la base de la solvabilité (capacité de rembourser les dettes). Sous le prétexte d’aider les immigrants et les jeunes entrepreneurs, le Fonds monétaire international (FMI) envisagerait maintenant de modifier les critères d’octroi des prêts. Étant donné que, selon les experts du FMI, des critères tels que le revenu, le temps d’emploi et le patrimoine ne sont plus représentatifs, la solvabilité sera également évaluée à l’avenir en fonction des activités sur Internet. Il s’agit notamment des sites Web visités, des contacts sur les médias sociaux et des achats en ligne. Ainsi, l’« empreinte numérique » de chaque emprunteur pourrait bientôt être analysée et évaluée au moyen de l’intelligence artificielle. Ne s’agit-il pas d’une nouvelle étape vers un État de surveillance totale si l’octroi de services financiers dépend des pages que l’on a consultées sur Internet ?
Inde : le vrai visage de l'Agenda 2030
En novembre 2020, une grève générale nationale a débuté en Inde, à laquelle environ 250 millions de personnes ont participé. La grève a été provoquée par les lois agricoles radicales adoptées par le gouvernement de Narenda Modi. Ces lois permettront aux multinationales d’acheter des terres, d’accumuler des matières premières et de faire des affaires directement avec les agriculteurs. Cela court-circuite les marchés régionaux et met les agriculteurs à la merci des entreprises, qui dicteront les prix à l’avenir. Cela devrait conduire à la ruine d’environ 10 millions de petits agriculteurs et de petits commerçants et à la prise de contrôle de la production alimentaire de l’Inde par les multinationales. Il est significatif que ces lois radicales ont été rédigées par le FEM (Forum économique mondial) et la Fondation Bill & Melinda Gates et qu’elles sont conformes à l’Agenda 2030 et au Great Reset. Leur objectif officiel est de créer une économie mondiale « durable ». Cependant, compte tenu de ces contextes, il s’agit clairement d’établir une dictature corporative pure et dure qui exploitera le monde impitoyablement et le transformera en un État esclave. Voici ce qu’a dit un jour l'homme d'État américain Benjamin Franklin : « Toute société qui renonce à un peu de liberté pour gagner un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et perd les deux. »
Compte tenu des développements décrits dans cette émission, il est particulièrement important aujourd’hui de décider si l’on est prêt à abandonner sa liberté petit à petit pour plus de confort et une prétendue sécurité. C’est pourquoi il appartient maintenant à chaque individu de devenir actif et de gagner sa liberté.
La population mondiale a franchi la barre des 8 milliards le 15 novembre, selon l'ONU
Mercredi 16 novembre 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) L'Organisation des Nations Unies (ONU) a annoncé que la population mondiale a atteint huit milliards, estimant que la barre a été franchie le 15 novembre.
Les spécialistes de la population ont noté qu'il a fallu peut-être plus de 200 000 ans d'histoire humaine pour que le monde atteigne la barre du milliard, ce qu'il a fait quelque temps en 1804. Mais il n'a fallu que 12 ans pour que le monde passe d'une population de sept milliards à huit.
Grâce à un ralentissement de la croissance de la population mondiale, l'ONU estime qu'il faudra environ 15 ans – jusqu'en 2037 – pour que la population mondiale franchisse la barre des 9 milliards. (En relation: Yuval Noah Harari du WEF pense que le monde n'a pas besoin d'autant de monde.)
"Il s'agit d'une approximation grossière qui relève davantage d'une découverte symbolique", a déclaré Patrick Gerland, responsable des travaux démographiques à la Division de la population de l'ONU à New York. "Nous l'avons peut-être dépassé, ou peut-être un peu plus tard, mais c'est à peu près à cette époque que l'humanité atteint les huit milliards."
Selon la Division de la population, l'Inde dépassera la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde d'ici l'année prochaine.
La croissance démographique mondiale ralentit rapidement La dernière mise à jour démographique de l'ONU, publiée plus tôt cette année, a également modifié la projection à long terme de l'organisation concernant la croissance démographique. L'ONU estime désormais que la population mondiale pourrait franchir la barre des 8,5 milliards d'ici 2030 et atteindre 9,7 milliards d'ici 2050.
L'ONU estime également que la population mondiale culminera à environ 10,4 milliards au cours des années 2080 et restera à ce niveau au tournant du 22e siècle. C'est en baisse par rapport aux estimations précédentes selon lesquelles la population mondiale sera de 11 milliards d'ici l'an 2100.
La croissance démographique plus faible montre que l'ONU estime que la croissance démographique de l'humanité ralentit rapidement. Les analyses des tendances démographiques mondiales indiquent que des baisses massives de la fécondité dans le monde sont responsables de ce déclin de la croissance démographique.
La population mondiale croît actuellement à son rythme le plus lent depuis 1950, la population mondiale augmentant de moins de 1 % en 2020.
Les taux de fécondité aident à prédire – ou à bouleverser – les modèles de croissance démographique Les prévisions de l'ONU reposent sur les taux de fécondité actuels et sur la manière dont ils devraient évoluer. La différence dans les taux de fécondité supposés est à l'origine du modèle précédent de l'ONU qui prévoyait une population mondiale plus importante d'ici l'an 2100. Le plus grand changement - la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) de 2020 et l'afflux de vaccins nuisibles à la fertilité - a maintenant bouleversé ces anciens modèles.
"Si vous faites des ajustements même relativement petits dans ces trajectoires de taux de fécondité, cela s'accumule, et soudain un grand pays peut avoir 100 millions d'habitants de plus dans 80 ans", a déclaré Tomas Sobotka, chercheur en population à l'Institut de démographie de Vienne en Autriche. .
Les facteurs qui affectent les taux de fécondité comprennent les crises humanitaires et les conflits - comme ce qui se passe en Somalie, en Syrie et au Yémen - et les politiques de contrôle de la population imposées par l'État comme l'ancienne politique de l'enfant unique en Chine, qui n'a pris fin qu'en 2015.
Les données montrent qu'environ les deux tiers de la population mondiale vivent dans un pays ou un territoire où la fécondité au cours de la vie est inférieure à 2,1 naissances par femme, ce qui est le niveau nécessaire à l'absence de croissance à long terme pour une population au taux de mortalité relativement faible.
Plus de la moitié de la croissance démographique mondiale prévue jusqu'en 2050 sera contenue dans seulement huit pays ayant des taux de fécondité plus élevés : la République démocratique du Congo, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Inde, le Nigéria, le Pakistan, les Philippines et la Tanzanie.
Apprenez-en plus sur la population mondiale - et les efforts déployés par certains groupes pour contrôler ou limiter sa croissance - sur PopulationCollapse.com.
Regardez ce clip avec le rédacteur en chef de The New American Alex Newman et le microbiologiste Dr Sucharit Bhakdi avertissant que les vaccins vont décimer la population mondiale.
Ceci provient de la chaîne End Time Evangelist sur Brighteon.com.
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L'agenda LGBT a toujours été axé sur le contrôle de la population, révèle une note de service divulguée en 1969.
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Dr Rima Laibow : Les élites mondiales éliminent 90 % de la population mondiale pour accéder au pouvoir.
Le Forum économique mondial recherche un contrôle absolu sur les populations mondiales, exige la consolidation du pouvoir.
Reuters veut que DEPOPULATION réalise la «justice climatique» – dit qu'il y a tout simplement trop de personnes en vie
Mercredi 16 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Les médias contrôlés par les grandes entreprises rapportent que la population mondiale totale a maintenant dépassé les huit milliards de personnes, ce qui, selon Reuters, est trop pour maintenir la «justice climatique».
Afin d'arrêter le « réchauffement de la planète » et le « changement climatique » dans leur élan, affirme Gloria Dickie, beaucoup de ces personnes – mais pas elle-même, bien sûr – doivent partir pour que le climat puisse guérir.
Si le dépeuplement n'est pas atteint, selon Dickie, alors il y aura "plus de difficultés" pour "les régions déjà confrontées à la pénurie de ressources en raison du changement climatique". (Connexe : le changement climatique provoqué par l'homme est un mythe - il n'y a pas d'urgence climatique !)
La philosophie de Dickie est celle de nul autre que l'éco-extrémiste Dr Paul Ehrlich, qui a écrit un livre intitulé "The Population Bomb" qui promeut essentiellement le génocide de masse comme remède au changement climatique.
Gardez à l'esprit que le livre d'Ehrlich a été publié pour la première fois en 1968. Même à cette époque, les extrémistes du climat se faisaient peur et faisaient peur aux autres en leur faisant croire que le monde était extrêmement surpeuplé et avait besoin d'être abattu.
Dickie cite en fait « The Population Bomb », écrivant que la croissance rapide de la population combinée au changement climatique « est susceptible de provoquer des migrations massives et des conflits dans les décennies à venir ».
Le Smithsonian Magazine affirme que la propagande anti-croissance démographique d'Ehrlich a entraîné "des violations des droits de l'homme dans le monde" Si vous avez déjà vu ou entendu le terme « migrants climatiques » utilisé à la place d'immigrants illégaux ou d'étrangers illégaux, vous devez remercier des gens comme Ehrlich et Dickie car ils perpétuent la fausse idée que les illégaux inondent les États-Unis parce que le « climat » dans leur pays d'origine est dégradant.
"La propagande de Reuters ressemblait à une scène de l'enfer du réalisateur hollywoodien Ron Howard (2016) lorsque l'antagoniste Bertrand Zobrist s'est insurgé contre la surpopulation dans une conférence de type TED Talk", écrit Joseph Vazquez pour Newsbusters.
"Zobrist s'est avéré justement être dépeint en intimidant les participants sur la population de la planète qui approche les '8 milliards maintenant.'"
Une autre chose qui mérite d'être mentionnée est que dans "The Population Bomb", Ehrlich a prédit que le monde deviendrait tellement surpeuplé qu'il finirait par s'effondrer... dans les années 1970. Évidemment, cela ne s'est jamais produit, ce qui fait du livre d'Ehrlich une œuvre de fiction.
Que quelqu'un le cite encore en dit long sur la dévotion du culte du climat, qui continue de ressasser ses principes en tant que vérité scientifique. Les famines provoquées par le climat promises par Ehrlich qui conduiraient à la mort de « centaines de millions de personnes » ne se sont jamais matérialisées, évidemment.
Ehrlich a également prédit que les enfants nés dans les années 70 et au-delà "hériteraient d'un monde totalement différent, un monde dans lequel les normes, la politique et l'économie des années 60 [sic] sont mortes".
Il y avait un média, Smithsonian Magazine, qui a osé appeler Ehrlich pour ses bêtises. Un article publié là-bas expliquait que la propagande anti-croissance démographique d'Ehrlich "a alimenté une croisade ... qui a conduit à des violations des droits de l'homme dans le monde entier".
« Reuters a-t-il troublé la mémoire de ce factoïde lorsqu'il a décidé de publier un article faisant écho à l'alarmisme d'Ehrlich ? demande Vazquez.
"Bien sûr, Reuters n'a fait aucune tentative pour se distancier d'Ehrlich. En fait, le point de vente n'a même pas mentionné Ehrlich du tout dans l'article. En fait, Reuters a semblé canaliser Ehrlich et créer sa propre version édulcorée de "The Population Bomb".
Dans cette version édulcorée, Dickie soutient que les décideurs politiques doivent prendre des mesures drastiques pour empêcher la surconsommation de la nature alors que les gens « rivalisent avec la faune pour l'eau, la nourriture et l'espace ».
À son avis, les législateurs peuvent pousser et promulguer des projets de loi anti-croissance démographique, y compris des mandats qui conduisent à un « changement des habitudes de consommation ». C'est encore une fois "La bombe démographique" en utilisant les mêmes tactiques de peur fatiguées qui, bien sûr, ne se concrétisent jamais.
Vous voulez en savoir plus sur la tromperie entourant le canular du réchauffement climatique ? Vous pouvez le faire sur Climate.news.
The Dr. Ardis Show: La vaccination COVID est la plus grande intoxication de masse de l'histoire de l'humanité, déclare le Dr Ben Marble – Brighteon.TV
RépondreSupprimerMardi 15 novembre 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Le Dr Ben Marble pense que la vaccination contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est le plus grand empoisonnement de masse de l'histoire de l'humanité.
"Nous avons déjà été témoins du plus grand empoisonnement de masse de l'histoire de l'humanité", a-t-il déclaré au chiropraticien Dr Bryan Ardis dans l'émission de ce dernier "The Dr. Ardis Show" sur Brighteon.TV. "Il n'y a jamais eu de moment où cinq milliards de personnes ont pris de l'arsenic ou cinq milliards de personnes ont pris du cyanure, mais nous venons d'assister au plus grand empoisonnement de masse de tous les temps."
Marble, spécialiste en médecine familiale, a cité comme preuve les plus de 30 000 décès officiels parmi les personnes vaccinées enregistrés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Ce nombre, a-t-il ajouté, est beaucoup plus élevé que tous les vrais vaccins sur 30 à 40 ans combinés par un facteur de 10. (En relation: les données du VAERS montrent que les décès par vaccin COVID SURPASSENT ceux causés par d'autres injections.)
Le médecin basé en Floride a déclaré à Ardis qu'il avait dit à tous ceux qu'il connaissait de ne pas prendre les vaccins COVID-19 lorsqu'ils sont sortis en décembre 2020 parce qu'ils étaient du poison. Marble a noté qu'après le déploiement du vaccin, il a commencé à entendre des «histoires d'horreur» de blessures causées par le vaccin dans tout le pays.
Selon Marble, les gens savent que Big Pharma n'a jamais fabriqué de vaccin en moins de quatre ans. Faire un vaccin en neuf mois est très douteux, a-t-il ajouté. Compte tenu de cela, Marble a qualifié l'opération Warp Speed de l'ancien président Donald Trump de "science rapide" - ajoutant que "la science rapide est toujours une mauvaise science".
Le médecin a souligné à Ardis que si un nouveau médicament sort, il ne devrait jamais être prescrit aux patients tant qu'il n'a pas été sur le marché depuis au moins trois à cinq ans, car les gens ne pourraient savoir s'il est dangereux ou non que pendant cette période de temps. Il a ajouté que si 50 personnes meurent après avoir pris un nouveau médicament, celui-ci doit être retiré du marché.
Marble explose le «culte du PC» derrière les vaccins COVID-19
Marble a également souligné que les vaccins COVID-19 poussés par ce qu'il appelle le culte du politiquement correct (PC) ont soit ignoré, soit jeté l'éthique médicale à la poubelle.
"Ce qu'ils font, selon ma conviction personnelle, c'est la mise en œuvre de la grande réinitialisation du Forum économique mondial - qui est une pandémie de génocide de masse utilisant de faux vaccins mortels", a-t-il déclaré.
Selon Marble, plus de six millions de personnes sont mortes depuis le début de la pandémie de COVID-19 en 2020. Il a déclaré que le monde allait voir plus de personnes mourir de manière inattendue à cause des vaccins COVID-19.
Marble, qui a fondé la plateforme de télémédecine MyFreeDoctor en 2020, a déclaré que le culte du PC avait redéfini le mot vaccin pour inclure le poison, l'édition de gènes et la thérapie génique. Dans cette mesure, il est entré en contact avec le dictionnaire Merriam-Webster et a demandé à ses éditeurs de mettre à jour la définition.
Étant donné que beaucoup de gens ne comprennent pas que les vaccins COVID ne sont pas de vrais vaccins, cela a conduit à l'empoisonnement de plus de cinq milliards de personnes dans le monde.
RépondreSupprimerMarble a ajouté que le culte du PC favorise le dépeuplement et c'est la raison pour laquelle ce même groupe fait la promotion de l'homosexualité, du suicide assisté, du contrôle des naissances, de l'avortement et d'autres choses qui peuvent réduire la population.
Suivez VaccineInjurynews.com pour plus d'informations sur les blessures et les décès causés par les vaccins COVID-19.
Regardez l'épisode du 9 novembre de "The Dr. Ardis Show" ci-dessous. "The Dr. Ardis Show" est diffusé tous les mercredis de 10h à 11h et tous les samedis de 11h à 12h. sur Brighteon.TV.
Plus d'histoires liées :
Dr Marble : Les mensonges du COVID étant exposés, les mondialistes promeuvent maintenant la GUERRE MONDIALE pour dépeupler le monde.
Les médecins partagent LEURS PROPRES histoires d'horreur sur les blessures causées par les vaccins, révélant que les vaccins dévastent la profession médicale.
BOMBE À RETARDEMENT : Une étude suédoise présente des preuves que les «vaccins» COVID à ARNm augmentent progressivement le risque d'hospitalisation et de décès au fil du temps.
Le CDC a surpris en train de retirer les rapports de blessures du vaccin Covid du VAERS.
Truth for Health Foundation lance un nouveau système mondial de notification des vaccins pour suivre les blessures par piqûre de covid.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
MyFreeDoctor.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-15-covid-vaccination-greatest-mass-poisoning-human-history.html
Dans la prochaine pandémie : Liberté de mouvement uniquement avec un certificat QR
RépondreSupprimer16 novembre 2022
par Thomas Oysmuller
Ceux qui ne sont pas "correctement" vaccinés ou testés ne devraient pas être autorisés à se déplacer librement. Cela devrait être le plan pour la prochaine pandémie. Les négociations pour un certificat QR mondial devraient déjà être à un stade avancé.
Lors de la prochaine pandémie, un certificat QR valable dans le monde entier devrait restreindre la liberté de mouvement des personnes. La «G-réalité» que de grandes parties de l'Europe avaient déjà connue pendant Corona devrait être l'avenir de la pandémie. Du moins si le ministre indonésien de la Santé Budi Gundai Sadikin et le G20 réussissent. Il s'est déclaré assez clairement lors du sommet Business 20 (B20) en marge du sommet du G20 et ses déclarations sont devenues virales depuis. Lors de la prochaine pandémie, au lieu d'arrêter le mouvement des personnes à 100 %, tout devrait être réduit au contrôle QR, donc le souhait. Sakin a dit :
« Nous devrions introduire un certificat de santé numérique reconnu par l'OMS. Si vous avez été correctement vacciné ou testé, vous pouvez vous déplacer librement. Ainsi, au lieu d'interdire à 100 % la libre circulation des personnes lors de la prochaine pandémie, ce qui paralyserait l'économie mondiale, vous pouvez toujours garantir une certaine liberté de mouvement.
Selon Sadikin, il y a déjà des négociations bien avancées au sein des pays du G20 en arrière-plan : « Les pays du G-20 se sont mis d'accord pour créer ce certificat numérique selon les normes de l'OMS et nous le réviserons lors de la prochaine assemblée mondiale à Genève de la communauté internationale. réglementation sanitaire. Nous espérons donc que lors de la prochaine pandémie, nous pourrons encore voir une certaine mobilité des personnes, une certaine mobilité des biens et une certaine mobilité de l'économie.
Cet accord a fait avancer l'Indonésie, a déclaré Sadikin sur scène. "La prochaine pandémie", à laquelle les gens se préparent évidemment déjà avec diligence, devrait alors ressembler à ce qu'elle était pendant Corona. Bien qu'épidémiologiquement même contre-productive, la vaccination était le ticket vers la liberté de mouvement. Ceux qui ne voulaient pas être vaccinés ont été privés de leurs droits fondamentaux. Les nouvelles « pandémies », quelles qu'elles soient, réagiront probablement toujours de cette manière à l'avenir.
RépondreSupprimerEn Indonésie, Bill Gates et Klaus Schwab sont également présents. Alors que Gates est en arrière-plan mais continue de financer avec diligence les « objectifs mondiaux », Schwab a également prononcé un discours public. Comme toujours, le patron du WEF s'est exprimé : On est dans une "profonde restructuration systémique et structurelle" qui "va prendre du temps". "Le monde sera différent une fois que nous aurons traversé ce processus de transition."
https://tkp.at/2022/11/16/bei-naechster-pandemie-bewegungsfreiheit-nur-mit-qr-zertifikat/
De nouveaux essais cliniques de Pfizer et Moderna examinent les maladies cardiaques des vaccins COVID-19
RépondreSupprimer16 novembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
Près de deux ans après l'approbation conditionnelle, Pfizer et Moderna lancent des essais cliniques pour enquêter sur les problèmes de santé indésirables associés au vaccin COVID-19, tels que : B. Myocardite – une inflammation du muscle cardiaque. Et seulement après que des milliards de personnes ont été vaccinées, la plupart du temps plusieurs fois. C'est comme le fermier qui ferme la porte de la grange après que la vache se soit échappée.
Pfizer en est encore aux premiers stades des essais cliniques pour déterminer s'il existe des risques pour la santé associés à son vaccin. En partenariat avec le Pediatric Heart Network, l'étude se concentrera sur les vaccinés qui ont eu des problèmes cardiaques après avoir été vaccinés avec le vaccin COVID-19. Dans les essais cliniques, les patients sont suivis pendant cinq ans.
Le recrutement pour l'étude aux États-Unis et au Canada n'a pas encore commencé. selon le docteur Cependant, Dongngan Truong, pédiatre à l'Université de la santé de l'Utah et co-responsable de l'étude Pfizer, l'équipe de recherche a déjà identifié plus de 250 patients atteints de myocardite.
NBC News a rapporté vendredi : "L'équipe comparera également les patients à un sous-ensemble de patients atteints du syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique, également connu sous le nom de MIS-C, associé à une infection au COVID."
Les premiers résultats ne sont pas attendus avant l'année prochaine.
Moderna mènera ses propres études sur les effets secondaires possibles des vaccins COVID dans cinq pays avec le soutien de l'Agence européenne des médicaments. Les données de ces études ne devraient pas être rendues publiques avant l'été prochain.
docteur Paul Burton – médecin-chef de Moderna – a reconnu que les scientifiques ne savent pas ce qui cause les problèmes cardiaques potentiels du vaccin COVID-19. "Nous ne le comprenons pas encore, et il n'y a pas de bon mécanisme pour l'expliquer", a admis Burton à NBC News.
Burton a émis l'hypothèse que la protéine de pointe contenue dans le vaccin pourrait déclencher une réaction indésirable dans le corps pouvant entraîner une inflammation du cœur.
NBC News a rendu compte de la lutte alarmante d'un homme du Michigan qui a souffert de graves problèmes de santé après avoir reçu une injection de COVID.
En octobre 2021, Da'Vion Miller, originaire de Detroit, a été retrouvé inconscient dans la salle de bain de sa maison une semaine après avoir reçu sa première dose de vaccin COVID-19 de Pfizer. Miller, qui n'avait que 22 ans à l'époque, avait des douleurs à la poitrine deux jours après la vaccination. Il souffrait également de fatigue, de vertiges et d'essoufflement.
Miller a été admis à l'hôpital Henry Ford West Bloomfield, où on lui a diagnostiqué une myocardite et une péricardite - une inflammation de la muqueuse du cœur. Le médecin de Miller lui a conseillé de ne pas recevoir la deuxième dose du vaccin COVID.
RépondreSupprimerUn an après avoir reçu un diagnostic de myocardite, Miller souffre toujours de douleurs à la poitrine et a été hospitalisé de temps à autre.
En juillet 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié un rapport indiquant : « Un risque accru de myocardite a été observé chez les vaccinés ARNm COVID-19, en particulier chez les hommes âgés de 12 à 29 ans ».
Le rapport indique: "Le taux de déclaration de myocardite était de 40,6 cas par million de secondes doses de vaccins à ARNm COVID-19 administrés aux hommes de 12 à 29 ans."
Le CDC poursuit : « La myocardite et la péricardite ont été rarement rapportées. Lorsqu'ils ont été signalés, les cas sont survenus principalement chez les adolescents et les jeunes hommes adultes dans les jours suivant la vaccination par l'ARNm COVID-19 (Pfizer-BioNTech ou Moderna).
On prétend à plusieurs reprises que la myocardite ne survient pas plus fréquemment après la vaccination qu'après l'infection, ce qui est faux et nous savons aussi pourquoi il en est ainsi. En avril, une étude israélienne à grande échelle portant sur 196 992 adultes non vaccinés qui avaient été infectés par le COVID-19 n'a trouvé « ni myocardite ni péricardite ».
"Nous n'avons pas observé d'incidence accrue de péricardite ou de myocardite chez les patients adultes se remettant d'une infection au COVID-19", ont écrit les auteurs.
https://tkp.at/2022/11/16/neue-klinische-versuche-von-pfizer-und-moderna-untersuchen-herzkrankheiten-
(...) Burton a émis l'hypothèse que la protéine de pointe contenue dans le vaccin pourrait déclencher une réaction indésirable dans le corps pouvant entraîner une inflammation du cœur. (...)
SupprimerL''hypothèse' est CONFIRMÉE !
Grâce aux analyses scientifiques des docteures Carrie Madej et Astrid Stückelberger des flacons... injectables !!! il a été découvert la présence de: 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (40 000 milliards de nano-particules par injection !) !! en plus des hydres et diverses maladies animales et spikes détruisant TOUT les vaisseaux sanguins
LA DR.MADEJ DÉVOILE LA DÉCOUVERTE D'ÉTRANGES CRÉATURES CONTENUES DANS LES FIOLES DE L'INJECTION DU VACCIN !!!
RépondreSupprimerVidéo de Stew Peters interview du Dr. Carrie Madej
REVEILLEZ-VOUS IL EST VRAIMENT TEMPS AVANT LA GRANDE TRAGÉDIE DU SIÈCLE
Dans cet interview, la Dr. Carrie Madej décrit les étranges particules ou parasites jamais vus auparavant et qu’elle a pu observer au microscope en analysant le contenu des injections ARNm de Moderna et Johnson & Johnson…
Le résultat est, le moins qu'on puisse dire, très inquiétant…
d'autres scientifiques, entre autres La Dr. Astrid Stuckelberger font les mêmes constats stupéfiants:
https://rumble.com/vp0ouj-une-hydre-en-bonus-dans-linjection-la-science-de-satan-viendrait-elle-cherc.html
et également Le DR. FRANC ZALEWSKI lui nous relate également la découverte de ces choses, faite au sujet de ces injections expérimentales:
https://rumble.com/vp0oe5-cette-chose-prend-possession-du-corps-de-son-hte...-mais-pour-y-faire-quoi-.html
A QUOI DOIT-ON S'ATTENDRE DANS LES TEMPS QUI ARRIVENT, EN TOUT CAS TOUT CECI NE PARAIT PAS TRÉS CATHOLIQUE !!!
EN CONCLUSION IL EST IMPÉRATIF DE N'INJECTER EN AUCUN CAS CETTE CHOSE À UN ÊTRE VIVANT ET ENCORE MOIS À UN ENFANT !!!
https://www.web2klik.com/des-particules-inconnues-observees-dans-les-flacons-des-injections-arnm/
Un dirigeant de Bayer admet en public que les ARNm sont des thérapies géniques et que sans la pandémie, personne n'aurait été disposé à se les faire injecter.
https://rumble.com/vp0xtv-voil-le-genre-de-monstre-dinsolence-sans-scrupule-qui-dcide-de-la-vie-et-de.html
Source de la vidéo : https://rumble.com/vp0ue9-la-dr.madej-dvoile-la-dcouverte-dtranges-cratures-contenues-dans-les-fioles.html
RépondreSupprimerArmer Covid pour promouvoir le collectivisme
Par le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
16 novembre 2022
Le matin où l'ouragan Ian a frappé la côte sud-ouest de la Floride, les images dramatiques de la puissance brute de Mère Nature faisant exploser des structures construites par des mains humaines et les emportant dans la mer étaient incroyables.1 Après des heures et des heures de vent, de pluie et une catastrophe catastrophique marée montante qui a laissé une traînée de destruction dans son sillage, j'ai pensé à quel point cette catastrophe naturelle était très différente de celle qui s'est déchaînée sur le monde en 2020 et qui a également laissé une traînée de destruction dans son sillage.
Deux catastrophes, l'une une catastrophe naturelle légalement qualifiée d'« acte de Dieu », et l'autre une catastrophe dont, trois ans plus tard, les gens se demandent encore : était-ce naturel ou causé par l'homme ?2,3
Que le virus SARS-CoV-2 ait ou non sauté spontanément d'une chauve-souris et dans un être humain4 ou ait été créé par des scientifiques dans un laboratoire de biorisque,5,6,7 une chose est claire : la réponse chaotique des experts en charge a été un désastre en soi.8
Et les personnes, dont les vies ont été touchées par ce chaos, ont vécu le même genre de choc soudain, de peur9, de désorientation, d'isolement et d'impuissance que beaucoup de gens, qui subissent un ouragan, un tsunami, une tornade, un tremblement de terre ou un incendie, ressentent lorsque l'inattendu se produit. .
Les politiques de santé publique pandémiques ont généré la peur et l'instabilité
Au milieu de cet ouragan, je me suis demandé pourquoi la peur de l'inconnu10 provoquée par cette situation d'urgence était si familière.
C'était familier parce que nous venions de ressentir la peur de l'inconnu à l'hiver 2020,11 lorsque les responsables de la santé publique nous ont dit qu'un coronavirus étrangement muté était en liberté et nous tuerait si nous ne nous cachions pas dans nos maisons, porter un tissu sur nos visages, couper le contact physique avec notre famille et nos amis, garder nos enfants hors de l'école et arrêter de nous faire couper les cheveux ou d'aller à l'église, de faire de l'exercice dans une salle de sport, d'entrer dans des restaurants ou certains magasins, et être d'accord avec le le gouvernement a qualifié de nombreux travailleurs et entreprises privées de « non essentiels », ce qui a paralysé notre économie et menacé de plonger des familles dans la faillite.12,13,14
Les habitants de Floride confrontés à cette véritable urgence vitale ont soudainement dû faire appel à des réserves émotionnelles et physiques déjà épuisées par le fait d'avoir récemment traversé une autre urgence, au cours de laquelle certains ont perdu la santé ou des êtres chers à cause du virus mutant, ou ont été blessés par désactivant les réactions au vaccin COVID, tandis que d'autres ont perdu leur emploi, leur maison ou leur entreprise pendant le verrouillage de 2020 qui, heureusement, a été écourté en Floride par rapport à de nombreux autres États.
Les vaccins à ARNm COVID sont associés à de nombreux effets secondaires désagréables, en particulier ceux qui compromettent le sang et le cœur et peuvent entraîner la mort. de mettre fin à toutes les conversations sur les réactions graves au vaccin COVID signalées en ligne,58,59,60,61,62 dans la littérature médicale,63 et au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des États-Unis.64,65
RépondreSupprimerIl y a eu plus de 1,3 million d'événements indésirables signalés au VAERS après les vaccinations par ARNm COVID, y compris des lésions cardiaques, cérébrales et du système immunitaire et la mort. Ces 1,3 million de rapports représentent plus de la moitié de toutes les réactions vaccinales signalées pour tous les vaccins depuis que le VAERS est devenu opérationnel en 1990 en vertu de la loi nationale de 1986 sur les blessures causées par les vaccins chez l'enfant,66 tandis que moins de 1 % de toutes les réactions vaccinales sont signalées au VAERS.67
Le vaccin ARNm COVID est le plus réactif jamais distribué aux États-Unis à l'ensemble de la population.
Réactions "bonnes" même lorsque le vaccin n'empêche pas l'infection
Pourtant, dès que les produits d'ARNm COVID ont été lancés en décembre 2020 dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), les responsables de la santé publique ont dit aux gens de célébrer les symptômes de réaction indésirable, essayant de les convaincre que ces symptômes de réaction signifient que le vaccin fait son travail et les empêcherait de tomber malades du COVID.68
Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.69 Ce mensonge a non seulement persuadé les gens d'accepter les réactions au vaccin COVID comme une chose normale et une bonne chose, mais il a persuadé les médecins de considérer les blessures et les décès liés au vaccin COVID comme une simple « coïncidence ».70,71
Ce qui nous amène peut-être au plus gros éléphant de la pièce, et c'est à quel point on a menti de manière flagrante aux gens dès le début sur l'efficacité des vaccins à ARNm COVID, car les responsables gouvernementaux ont laissé croire aux gens que se faire vacciner les protégerait de être infecté par le nouveau coronavirus et le transmettre à d'autres, alors que cela n'a jamais été vrai.
En fait, c'était tellement faux qu'en 2021, les responsables du CDC ont changé la définition séculaire d'un vaccin d'un "produit qui stimule le système immunitaire d'une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique" à "une préparation qui est utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies », et ils ont convaincu le dictionnaire Merriam Webster de faire de même.72,73,74
RépondreSupprimerEn effet, la FDA exigeait uniquement des sociétés pharmaceutiques qu'elles démontrent que le vaccin COVID avait une efficacité d'au moins 50 % pour prévenir les symptômes graves de la maladie COVID, plutôt que de prévenir l'infection.75
Il y a une différence entre un produit produisant une immunité qui prévient l'infection et un produit qui stimule une réponse immunitaire mais n'empêche pas l'infection, surtout lorsque vous pouvez être infecté par le coronavirus et ne pas présenter de symptômes.
L'immunité induite par le vaccin étant exclue et les effets indésirables du vaccin étant considérés comme une bonne chose, fin octobre 2022, la campagne mondiale de vaccination de masse avait convaincu environ 70 % de la population mondiale de se faire vacciner au moins contre le COVID.76
L'OMS à la tête de la campagne mondiale de commercialisation des vaccins contre la COVID
La force de vente de la campagne de marketing du vaccin COVID de Big Pharma a son siège à l'Organisation mondiale de la santé des Nations Unies,77,78,79 avec des bureaux satellites de facto dans des agences gouvernementales comme les National Institutes of Health (NIH), Gavi Alliance, le Bill and Melinda Fondation Gates, Forum économique mondial, grandes universités et institutions financières et autres, idéologiquement et politiquement engagées à imposer la « grande réinitialisation » à tous les pays.80
Selon Klaus Schwab, qui a fondé en 1971 une « organisation internationale de coopération public-privé » appelée Forum économique mondial, le monde est en pleine « quatrième révolution industrielle », qui est « caractérisée par une gamme de nouvelles technologies qui fusionnent les mondes physique, numérique et biologique, impactant toutes les disciplines, économies et industries et remettant même en cause les idées sur ce que signifie être humain. »81
En juin 2020, Schwab a proclamé : « Le moment est venu de procéder à une grande réinitialisation » car, a-t-il déclaré, pour que le monde puisse répondre efficacement à la pandémie de COVID-19, les gouvernements « doivent agir rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et économiques, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. »82
L'événement 201 se prépare pour "La grande réinitialisation"
Pour préparer la voie à la grande réinitialisation, le 18 octobre 2019, le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates et l'Université Johns Hopkins ont parrainé un exercice de planification mondiale simulé à New York appelé Event 201.83
Un "Pandemic Emergency Board" a été réuni pour l'événement 201 qui comprenait des représentants des Nations Unies, de la Banque mondiale, de la Central Intelligence Agency des États-Unis, des Centers for Disease Control des États-Unis, des Centers for Disease Control de Chine et des dirigeants du voyage, de la banque, industries pharmaceutiques et de la santé.84
Le virus sélectionné pour être utilisé dans l'exercice de planification de la pandémie mondiale de simulation du « pire scénario » qui s'est tenu trois mois avant que l'Organisation mondiale de la santé ne déclare un coronavirus « urgence de santé publique de portée internationale » était : le coronavirus.85,86
RépondreSupprimerLa question lancinante est : était-ce juste une coïncidence ? De toute évidence, il faudra beaucoup de coordination et d'accord entre tous les gouvernements pour réussir une grande réinitialisation mondiale. Trois ans après le début de l'urgence sanitaire mondiale liée au COVID, il semble que l'élite mondiale de la santé publique montre la voie.
La Commission Lancet publie le manifeste COVID des « leçons apprises »
En septembre 2022, la revue médicale autrefois respectée, The Lancet, a publié un rapport de 56 pages intitulé « The Lancet Commission sur les leçons pour l'avenir de la pandémie de COVID-19 ».87
Le premier grand drapeau rouge du rapport est la longue liste de conflits d'intérêts financiers que les auteurs ont avec les sociétés pharmaceutiques ; agences gouvernementales de santé; les Nations Unies et son agence de santé publique, l'Organisation mondiale de la santé ; Fondation Bill et Melinda Gates, Fondation Rockefeller et autres institutions qui financent ou mènent la recherche et le développement de vaccins et promeuvent l'utilisation obligatoire des vaccins.
Autrefois propriété familiale, The Lancet appartient désormais au conglomérat d'édition Elsevier, et des inquiétudes ont été soulevées quant à l'indépendance éditoriale, à la lumière des liens des investisseurs avec de grandes sociétés bancaires, pharmaceutiques et biotechnologiques. Une critique du rapport de la Commission Lancet a été rédigée par un médecin de la santé publique, qui avait précédemment appelé la revue en juillet 2022 pour avoir publié ce qu'il a décrit comme « une opinion faiblement étayée prônant le fascisme médical. »88
Cette opinion, rédigée par des partisans bien connus de la vaccination obligatoire, appelait à une application stricte des mandats de vaccination COVID aux États-Unis, et à la perte d'emploi et d'éducation scolaire pour ceux qui refusent de se conformer.89
La Commission Lancet a été initialement constituée à l'été 2020 en tant que groupe international d '«experts», principalement des médecins et des professeurs d'universités prestigieuses, chargés de lutter contre la pandémie de COVID. L'une de leurs premières tâches a été d'enquêter sur les origines du virus SARS-CoV-2, une entreprise qu'ils ont rapidement abandonnée en raison de ce que les auteurs ont décrit comme un "discussion publique qui divise" et "une attaque et une pression sans précédent" sur les membres de la Commission.
Laissant cette question gênante "d'où vient le virus" sur la table, la Commission Lancet a ensuite publié un manifeste politique auto-agrandissant qui ne parvient pas à analyser honnêtement ce qui n'a pas fonctionné avec la réponse mondiale à la pandémie de COVID et, à la place, appelle essentiellement à faire plus de la même chose plus rapidement à l'avenir.
Dans une étonnante démonstration d'orgueil et de préjugés idéologiques, les membres de la Commission s'éloignent de leurs domaines d'expertise et appellent les gouvernements à dévaluer les droits individuels et à adopter une orientation collectiviste qui oblige les individus à se conformer aux politiques et lois sanitaires multilatérales adoptées par les Nations Unies.
Ils ont déclaré que "tous les gouvernements, régulateurs et institutions doivent être réorientés vers la société dans son ensemble plutôt que vers l'intérêt des individus - un concept que les commissaires appellent prosocialité".
RépondreSupprimerAttaquer les législateurs américains, critiques des échecs de la réponse à la pandémie
Cette réorientation «prosociale» nécessiterait, bien sûr, que beaucoup plus d'argent et de pouvoir soient accordés aux Nations Unies et à l'Organisation mondiale de la santé afin que les populations mondiales puissent être contrôlées par une autorité centrale, en particulier lors des réponses à la pandémie mondiale.
Défendant leur slogan "personne n'est en sécurité tant que tout le monde n'est pas en sécurité", qui, selon eux, "n'est pas une simple rhétorique, ou une vérité morale, mais une réalité épidémiologique", ils attaquent violemment les législateurs américains pour être coupables de "négliger les preuves scientifiques et de risquer inutilement vit en vue de maintenir l'économie ouverte » et pour avoir promu « la rhétorique anti-science et la désinformation sur le COVID 19 ».
Refusant de reconnaître les préoccupations légitimes du public concernant les politiques autoritaires de réponse au COVID qui ont conduit à un chaos social et économique catastrophique et à des dommages à la santé mentale et physique des populations d'enfants et d'adultes, la Commission se plaint que l'Organisation mondiale de la santé et la plupart des gouvernements n'ont pas agi assez rapidement pour tester , identifiez et isolez les personnes infectées tout en mettant simultanément toutes les personnes dans des masques et en les enfermant chez elles - pendant très, très longtemps.
Il n'y a pas d'analyse critique des tests COVID défectueux qui n'ont pas fonctionné;90,91 ou de fausses estimations de décès par COVID qui n'ont pas fait la distinction entre mourir du COVID et mourir avec le COVID;92,93,94,95,96 ou des protocoles de traitement COVID inefficaces dans hôpitaux qui rendaient les gens encore plus malades ou les tuaient lorsqu'ils étaient indûment mis sous respirateur.97,98,99
Tout en louant les «partenariats public-privé» qui ont accéléré le développement des vaccins COVID comme un «triomphe», la Commission Lancet militarise l'échec de la réponse à la pandémie COVID en rejetant la responsabilité des décès liés au COVID sur – vous l'avez deviné – ces indépendants les penseurs que la force de vente de Pharma appelle les "anti-vaxxers".
Furieux que de nombreuses personnes aux États-Unis et en Europe aient remis en question la compétence des responsables de la santé publique et défié leurs ordres de se masquer, de s'isoler pendant des mois et de se faire vacciner contre le COVID, les auteurs de la Commission Lancet ont allégué que les anti-vaxxers - qui, selon Le dictionnaire Webster inclut désormais toute personne qui s'oppose à la vaccination obligatoire100 - a provoqué une "épidémie de désinformation et de désinformation" qui a favorisé une "faible confiance du public" dans les représentants du gouvernement et a persuadé des millions de personnes de descendre dans la rue à plusieurs reprises au Royaume-Uni, en Irlande, aux Pays-Bas et en Italie , la France, l'Allemagne, l'Autriche, le Danemark, la Suède, la Finlande, la Grèce, la Suisse, le Canada, l'Australie, la Bulgarie, la Serbie, la Pologne, la Roumanie et d'autres pays en 2020 et 2021 pour protester contre les confinements et les passeports vaccinaux.101,102,103
Blâmer les décès sur le «mouvement anti-vaccins», les droits individuels
RépondreSupprimerIls ont déclaré que «la propagande anti-vaccin dans les Amériques» a poussé «des dizaines de millions de personnes à refuser les vaccins et des centaines de milliers à perdre la vie inutilement».
Obsédés par le manque de "solidarité" entre les gouvernements pour forcer tout le monde partout à marcher au rythme du même tambour, ils expriment une haine particulière pour ce qu'ils décrivent comme le "mouvement anti-vaccin hostile et coordonné qui a répandu des informations dangereuses et fausses sur les risques pour la santé des vaccins et a fait campagne contre les mandats des vaccins.
Montant sur de très grands chevaux, les membres de la Commission Lancet mettent dans le même panier les « négationnistes du changement climatique » et les « parents qui refusent ou retardent les vaccinations infantiles de routine ». Ils condamnent à plusieurs reprises les dirigeants politiques et les médias numériques pour la "diffusion délibérée de la désinformation et de la désinformation... qui nourrit la méfiance à l'égard des responsables de la santé et promeut l'idée que les opinions individuelles ont le même poids que les meilleures preuves scientifiques disponibles".
Ils ont appelé à l'application de la «science comportementale» pour convaincre les gens de s'engager dans une «prosocialité» qui conduit à des «comportements optimaux pour le contrôle de la pandémie», soulignant que les personnes vivant dans des sociétés aux normes sociales «serrées» ou collectivistes suivent beaucoup mieux les ordres de santé publique. que les personnes vivant dans des sociétés avec des normes sociales « lâches » ou individualistes qui défendent la liberté de choix individuel.
Ils affirment que les futures pandémies seraient tellement plus faciles à gérer si tout le monde dans le monde pouvait être muselé et enfermé chaque fois que les responsables de la santé du gouvernement arboraient le drapeau utilitaire pour « le plus grand bien » et exigeaient que nous saluions intelligemment et retroussons nos manches.
Leur diatribe contre les sociétés permettant aux individus d'exercer leur liberté de pensée, d'expression, de conscience et d'autonomie serait amusante s'ils n'étaient pas aussi mortellement sérieux sur ce qu'ils veulent faire à ce sujet.
Bien qu'il y ait eu quelques manifestations publiques ici aux États-Unis, elles n'étaient pas aussi importantes que dans les pays sans Constitution qui assure un équilibre des pouvoirs entre le gouvernement local, étatique et fédéral. Les Américains ont arrêté les mandats de vaccination contre la COVID en 2021 et 2022 parce que les législateurs des États, qui édictent les lois sur la santé publique, ont examiné la science, écouté les préoccupations de leurs électeurs et refusé d'imposer le vaccin.104
Bien que plusieurs gouverneurs américains et maires de villes aient publié des décrets rendant obligatoire le vaccin COVID et que le gouvernement fédéral ait tenté d'imposer le vaccin à tous les employés et sous-traitants fédéraux, aucune législature d'État n'a voté pour rendre obligatoire le vaccin cette année.105
Le portail de plaidoyer NVIC en ligne, lancé en 2010 pour aider les citoyens de chaque État à défendre les droits de consentement éclairé aux vaccins et les exemptions dans les lois sur la santé publique, avait beaucoup à voir avec le fait de retenir les mandats et les passeports des vaccins COVID aux États-Unis lorsque les populations d'autres pays avec une politique centralisée le contrôle ne pouvait pas.106
Public Health Elite veut que les États-Unis deviennent une société collectiviste
RépondreSupprimerIl ne faut pas un doctorat en sciences politiques pour comprendre que ce que réclame l'élite de la santé publique obligerait les Américains à rejeter les valeurs et croyances culturelles et la structure gouvernementale décrites dans la Constitution américaine, qui fournit des freins et contrepoids décentralisés au pouvoir politique. et garantit aux individus des droits naturels donnés par Dieu qui limitent le pouvoir du gouvernement.107,108
L'empire de la santé publique consiste à s'approprier un pouvoir centralisé qui peut être exercé sans responsabilité.
C'est pourquoi la Commission Lancet exige que les États-Unis d'Amérique se "réorientent" vers une société collectiviste, ce qui nécessiterait de déresponsabiliser les gouvernements locaux et étatiques afin que seul le gouvernement fédéral - en "solidarité" avec les Nations Unies, bien sûr - ait le pouvoir. pouvoir d'élaborer des lois sur la santé publique et de dire aux citoyens ce qu'ils doivent penser, croire et faire de leur corps et du corps de leurs enfants.
Le rapport de la Commission du Lancet était accompagné d'un éditorial du Lancet intitulé "COVID-19 : les arguments en faveur de la prosocialité". Et si vous faites une recherche Google en utilisant les mots « prosocialité et communisme », vous trouverez en haut un article publié dans Frontiers in Psychology en septembre 2022 intitulé « Comment les comportements prosociaux sont maintenus en Chine : la relation entre l'autorité communiste et prosocialité. »109
Les auteurs notent comment le comportement prosocial est associé à la croyance religieuse et soutiennent que l'autorité communiste exercée par le Parti communiste chinois au pouvoir a un effet positif sur la promotion des comportements prosociaux dans une société athée laïque. Ils disent que les études montrent que "les fonctions psychologiques des dieux et des gouvernements sont interchangeables".
Merci, Lancet Commission, d'avoir rendu si clairs les objectifs politiques de l'empire de la santé publique.
Vaccination obligatoire : la pointe de la lance dans les guerres culturelles
Je dis depuis de nombreuses années que la vaccination obligatoire est la pointe de la lance dans les guerres culturelles qui se déroulent dans ce pays et dans d'autres au 21e siècle. Parce que si l'État peut étiqueter, traquer et forcer des individus contre leur gré à se faire injecter des produits biologiques de toxicité connue et inconnue aujourd'hui, alors il n'y aura pas de limite aux libertés individuelles que l'État peut supprimer au nom du plus grand bien demain .
Sources and References
1 See all references
https://www.lewrockwell.com/2022/11/joseph-mercola/weaponizing-covid-to-promote-collectivism/
Covid19 – Corruption mathématique et épidémiologique
RépondreSupprimerpar Vincent Pavan,
docteur en mathématiques, enseignant à l’Université Aix-Marseille
14 novembre 2022
Résumé de la conférence rédigé par Mme Tatiana Tislenkoff.
Retour sur la grippe H1N1 de 2009
- voir clip sur site - (Odysee)
Il est nécessaire de commencer par un rappel de la fraude mathématique lors de la fausse épidémie de H1N1 en 2009-2010, et qui a servi de répétition générale pour le Covid-19.
En 2009, l’OMS déclare l’état de pandémie en se basant sur les simulations mathématiques de Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, ce qui conduit à la promotion de faux médicaments comme ce fut le cas du Tamiflu (vendu pour des milliards d’Euros de commandes par la société Roche alors que celle-ci savait pertinemment que le remède n’était pas indiqué) et à l’obsession d’imposer une vaccination, hâtive et insuffisamment testée, à large échelle.
À l’époque, la mauvaise gestion de la crise H1N1 avait donné lieu à un certain nombre d’enquêtes parlementaires, en France et dans d’autres pays. Ces enquêtes avaient abouti à des conclusions qui permettaient de comprendre ce qu’il fallait éviter à tout prix de reproduire à l’avenir.
Or ces avertissements n’ont pas été suivis en 2020, dont notamment les points particuliers d’une enquête du Sénat en 2010 sur le rôle des mathématiques en situation épidémique. Ce rapport dressait un état lucide des erreurs à ne plus commettre en mettant en lumière les points suivants, je cite :
« L’absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée est frappante. »
« Les auteurs des modèles n’ont pas envisagé l’hypothèse selon laquelle le virus H1N1 pourrait se révéler moins virulent que celui de la grippe saisonnière. »
« Les hypothèses formulées sur la base des modèles n’ont pas de valeur effective. »
Les autorités de santé et les experts devaient pourtant déjà savoir en 2010 que les prédictions épidémiologistes ne valent rien car il est épistémologiquement impossible d’appliquer au vivant des modèles mathématiques.
Après la décision d’interroger de manière critique le choix universitaire, les autorités nationales de santé font l’inverse en engageant en 2013, au sein de l’Institut Pasteur, Simon Cauchemez, un ancien élève de N. Ferguson dont la mission est de créer un Institut d’épidémiologie mathématique.
Le loup est ainsi introduit dans la bergerie !
Les mathématiques durant le covid19
C’est à nouveau l’Imperial College qui sort en mars 2020 le Rapport 9 basé sur les simulations de Neil Ferguson et qui prédit 500’000 morts en Angleterre et 2 millions de morts aux USA si rien n’est fait. Or la seule mesure proposée dans ce rapport est le confinement en attendant le vaccin. Neil Ferguson annonce que ce vaccin pourrait mettre 18 mois à arriver[1] et que des mesures telles que la distanciation sociale, le port du masque, le couvre-feu etc. sont des mesures s à mettre en place en attendant qu’il soit disponible.
RépondreSupprimerCe Rapport 9 qui est un rapport interne, n’a jamais été relu par les pairs et certainement pas les simulations qui y ont été faites.
Ce Rapport 9, qui n’est pas un article scientifique va servir à dicter la politique mondiale et celle de l’OMS !
D’où proviennent les simulations de Neil Ferguson ? Elles sont issues d’un code essentiellement non reproductible avec plus de 930 paramètres.
Dans un premier temps N. Ferguson refusa de transmettre le code utilisé pour la simulation. Il le fera finalement six mois plus tard sous la pression des médias anglais et de la justice.
Il ne livrera toutefois que des parties du code qui ne sont pas les originels. Les ingénieurs en mathématique ne pourront rien faire ressortir de ce code à 930 paramètres.
Il faut savoir que les modèles en physique mathématique n’utilisent pas plus de deux ou trois paramètres dans une équation. Pour vous donner un exemple, l’équation de Boltzmann qui explique toute la mathématique des fluides et toute la thermodynamique, et qui est celle avec laquelle je travaille, ne comporte qu’un seul paramètre.
En mathématique, les conclusions ne valent que ce que valent les hypothèses et il est impossible de prendre au sérieux un code qui comprend 930 paramètres, sachant qu’il faut des milliards d’années pour tester uniquement deux valeurs par paramètre.
Ces simulations sont arbitraires et n’ont rien à voir avec la réalité.
Neil Ferguson va transmettre ce rapport à l’OMS ainsi qu’aux gouvernements occidentaux.
En France, c’est Simon Cauchemez, nommé en 2013 pour créer l’Institut d’épidémiologie mathématique au sein de l’Institut Pasteur, qui sera nommé au Conseil Scientifique[2]. Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le Président déclare le confinement.
Le rapport 9 indique clairement que les INP (interventions non-pharmaceutiques) sont la seule solution en attendant les vaccins.
Exemple de INP : confinements, couvre-feu, fermeture des écoles, commerces et/ou restaurants, mesures de « distanciation », masques.
Ces mesures sont reconnues dans la littérature comme n’ayant aucune utilité avérée et donc à éviter, les lourds dommages qu’elles occasionnent étant en revanche certains.
Les meilleures équipes et épidémiologistes (Ioannidis et Bhattacharya à Stanford, Kulldorff à Harvard, S. Gupta à Oxford, Risch à Yale, Hennegan au Center for Evidence-Based Medicine, Toubiana et Perronne en France) ne cesseront de dénoncer la destructivité et le caractère antiscientifique de leur imposition.
Évaluant l’impact des INP en août 2022, Schippers, Ioannidis et Joffe (in Frontiers in Pubvlic Health) confirmeront l’absence d’utilité des INP selon les meilleurs méta-analyses, alors que les études concluant l’inverse sont d’un très faible niveau de preuve scientifique, et fortement biaisées. Les auteurs soulignent les effets catastrophiques des INP pour la population, avec l’émergence d’une pensée unique ne supportant plus la contradiction et s’imposant par des processus de manipulation psychologique exploitant une mauvaise compréhension de la science. Il en aura résulté la stigmatisation de catégories entières de la population (réticentes aux mesures agressives, avec une aggravation systémique des inégalités notamment socio-économiques, éducatives, ethniques et de genre, conduisant à un véritable traumatisme collectif. Les auteurs soulignent que les processus de gestion des urgences (GU) et d’intelligence collective ont été lourdement défaillants.
RépondreSupprimerPar l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite pourtant les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le Président déclare le confinement.
Dans la stratégie du Rapport 9, appliqué dès mars 2020, ressort un point très important :
« Les confinements ont vocation à être répétés dans le temps jusqu’à la mise à disposition des vaccins ».
Dès lors, les intéressés savent en mars 2020 qu’il y aura des confinements successifs, à l’encontre de toutes les recommandations et connaissances en santé publique. Le rôle du Conseil Scientifique sera de prouver l’efficacité du premier confinement et des mesures afin de convaincre la population de leur maintien dans la durée.
Le narratif des autorités ne cessera de parler de « diminution de l’épidémie » après chaque mesure imposée et inversement, afin de maintenir la population dans la croyance en l’efficacité des mesures. L’enjeu est de taille puisque les mesures de confinement, de distanciation et de couvre-feu ont coûté 10 points du PIB soit 250 milliards d’euro. Ceci sans compter le bilan humain, puisque la fermeture de lieux tels que les restaurant a poussé au suicide certains propriétaires en situation de précarité. Il était alors indispensable pour les autorités de maintenir « coûte que coûte » le narratif d’efficacité des mesures.
Pour ce faire, Couchemez et Fontanet, tous les deux membres du Conseil Scientifique vont publier en ligne en mai 2020, dans la revue Science, un article sensé démontrer l’efficacité des mesures de confinement.
Cet article publié sous le titre « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » est l’une des plus grandes fraudes scientifiques du XXIème siècle. Cela est d’autant plus grave puisque cet article a eu une portée politique mondiale.
De quelle manière l’étude sur l’efficacité du confinement a été truquée
RépondreSupprimerDepuis le début du XXème siècle, on assiste à une succession d’articles qui sont des fraudes scientifiques en particulier dans le domaine de l’épidémiologie.
En 1916, Ronald Ross a ainsi modélisé la transmission du paludisme par les moustiques. Il en a tiré la concept R0 (nombre de cas secondaires), qui est sensé être un paramètre permettant de contrôler la diffusion des épidémies. Ce modèle se fondait sur l’idée que si on souhaitait lutter contre la malaria et le paludisme, on n’avait pas besoin de tuer tous les moustiques car en deçà d’un certain seuil, la diffusion du paludisme disparaissait.
Le modèle de Ross a été utilisé dans le cadre d’un grand programme d’éradication de la malaria entre 1955 et 1969 dans les pays africains et on en a conclu que :
Le modèle n’a rien à voir avec la réalité.
L’épidémiologie mathématique ne fait pas sens.
Un autre article va servir toute l’épidémiologie mathématique, et en particulier celle qui va être utilisée en 2020, en France, par le Conseil Scientifique. Il s’agit de l’article de Kermack & Mc Kendrick, publié en 1927 et portant sur la transmission des maladies respiratoires contagieuses.
De cet article vont être tirés deux indicateurs fondamentaux qui ont pollué le débat médiatique en 2020.
Premier indicateur : Le nombre basic de reproduction (nombre de cas secondaires qu’une personne est capable de contaminer).
Second indicateur : La théorie de l’immunité collective (si plus de 60% de la population est immunisée, le virus n’est plus contagieux).
Cette théorie est injustifiable d’un point de vue mathématique. Néanmoins elle est utilisée aujourd’hui pour justifier la vaccination et en particulier celle des enfants.
Le narratif consistant à dire que si plus de 70% des gens sont immunisés de façon artificielle ou naturelle, le virus cessera de se propager PARCE QUE les équations mathématiques le disent.
C’est sur la base de ces théories frauduleuses que les décisions politiques en santé publique sont prises avec des effets catastrophiques.
L’article publié dans la revue Science et la justification du confinement
L’article « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » a été publié en ligne le 11 mai 2020 alors qu’il a été soumis le 20 avril 2020. Il se passe trois semaines entre la remise du papier à la revue et sa mise en ligne.
Ceci est pour le moins étonnant puisqu’il faut à un mathématicien honnête entre un et deux ans pour écrire un article et tout autant pour une relecture par les pairs.
Mi-novembre 2021 : le parquet de Paris annonce qu’il étudie cette plainte.
RépondreSupprimerJanvier 2022 : un nouveau complément de plainte est déposé.
1er trimestre 2022 : le pôle de santé publique de Paris classe l’affaire.
Actuellement : continuation de la plainte avec mise en place d’une constitution de partie civile.
Toutefois, les dénonciations mathématiques et les diverses actions judiciaires ne sont pas restées sans effet puisqu’à partir de décembre 2021, toutes les études de l’institut Pasteur mentionnent en début de texte l’avertissement suivant :
« Ces scénarios sont faits sur la base de données incomplètes et d’hypothèses incertaines. La propagation du virus Sars-Cov-2 est difficile à anticiper ; et la dynamique de l’épidémie peut changer rapidement. Les trajectoires décrites dépendent des hypothèses faites ; si les hypothèses ne se réalisent pas, la dynamique observée pourra être différente des projections. »
Une nouvelle plainte a été déposée suite à l’introduction de cet avertissement. En effet, la question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire.
Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés.
(cf. présentation de Pierre Chaillot, Covid-19 histoire d’une fraude statistique – une arnaque au comptage, Colloques Corruption et fraude au cours de la crise Covid, Lisbonne et Marseille, 2022)
Et toutes les décisions prises en France, l’ont été sur la base de prédictions mathématiques qui n’ont fait qu’engendrer la peur.
À la vue de l’insertion de cet avertissement, il est clair qu’ils cherchent à se couvrir en cas de procédure pénale.
Un personnage trouble : Cédric Villani
Cédric Villani, qui est à la fois scientifique et député, a eu l’honneur d’être le vice-président puis le président de l’OPECST (Office Parlementaire pour l’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques)
Il s’agit de la plus haute instance parlementaire française dont le rôle est de conseiller sur les choix scientifiques et technologiques.
En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani était la personne la mieux placée pour faire obstacle à la fraude mathématique du Conseil Scientifique, qui elle-même provenait des simulations crapuleuses de Neil Ferguson et de l’Imperial College.
D’autant plus qu’il est, tout comme moi, spécialiste des phénomènes de transports or le virus est un phénomène de transport qu’on appelle le transport collision (les gens se déplacent et quand ils se rencontrent, ils peuvent éventuellement changer d’état viral).
L’article pseudo-mathématique qui est mentionné sur la diapositive suivante, et qui a été approuvé par C. Villani en mai 2020, démontre sa compromission dans la diffusion de fausses informations mathématiques à l’égard du gouvernement pour prendre des décisions sur les confinements. Cela explique pourquoi il n’a jamais souhaité me rencontrer malgré mes nombreuses relances.
En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani a fait preuve d’un défaut de vigilance et souhaite clairement échapper à ses responsabilités.
RépondreSupprimerAutres articles avec fraude en mathématiques
Un article pseudo-mathématique par Roux, Massonneau, Crepey, déposé le 27 avril 2020[1] alors que le confinement était encore en cours :
Affirme sur la base d’un « modèle mathématique » que le confinement a sauvé… 61’739 vies !
Il s’agit à nouevau d’un pré-print qui n’a jamais été publié ni relu par les pairs mais a reçu une large médiatisation.
Il a été dénoncé publiquement par le Pr Jean-François Toussaint comme irrecevable.
J’ai démontré qu’il s’agissait aussi d’une pure escroquerie mathématique.
Cet article est pourtant cité dans une note présentée par l’OPECST comme preuve de l’efficacité des confinements et approuvée en mai 2020 par Cédric Villani.
L’étude Comcor
Le 15 décembre 2020, le Premier Ministre Castex annonce que sur la base d’une étude scientifique du Pr A. Fontanet (Conseil scientifique), les bars et restaurants sont des lieux à risque pour la transmission du Sars-CoV-2.
Cette « étude scientifique » est une étude statistique type comparaison « malades / non-malades » sur les habitudes des personnes ayant ou non eu le Covid.
Cette étude est une étude dont il est facile de montrer qu’elle est totalement truquée.
Elle pourtant été acceptée pour publication dans le « Lancet Regional Health » le 16 novembre 2021.
Action judiciaire : cette étude a fait l’objet d’un dépôt de plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence. Ayant été rejetée par le parquet, elle actuellement l’objet de la mise en place d’une constitution de partie civile (CPC).
Le 18 janvier 2022, le Conseil d’analyse économique publie une note… d’épidémiologie.
L’étude prétend que le passe sanitaire a permis de gagner des points de vaccination et donc… de sauver des vies.
Le pré-print n’est toujours pas publié, 9 mois après avoir été soumis.
A partir d’une méthode mathématique totalement arbitraire, les auteurs estiment que 4’000 vies ont été épargnées.
En réalité, on peut démontrer mathématiquement, à partir de la méthode retenue par les auteurs, que le passe sanitaire a en réalité coûté… entre 1’500 et 7’000 vies.
L’article a été dénoncé publiquement par mes soins comme étant une fraude le 14 février 2022 lors d’une séance publique du Conseil scientifique indépendant.
Conclusions
En France (et dans tous les pays occidentaux) TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques.
SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer.
Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes.
Cédric Villani -pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine- a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires.
[1] D’habitude il faut 10 ans pour développer un vaccin.
[2] Le Conseil Scientifique étant l’organe qui conseille le Président E. Macron dès le début de la crise.
[1] medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.22.20075705v1.full.pdf
https://anthropo-logiques.org/les-politiques-sanitaires-ont-ete-imposees-a-partir-de-fraudes-scientifiques/
La fin d’un mythe : "Si c’est un virus, pas d’antibiotique ?" Dr Claude Escarguel
RépondreSupprimerXavier Azalbert et Jean-Luc Duhamel,
pour FranceSoir
le 14 novembre 2022 - 20:50
« Toute vérité franchit trois étapes : D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence ». Citation apocryphe
ENTRETIEN - La recherche sur l’aide apportée par les bactéries au développement des virus, une sorte de « collaboration » qui permet au virus de se répliquer dans le corps humain, a démarré lorsque le Pr Luc Montagnier découvrit, en 1990, un germe de type Mycoplasme dans une cellule d’un malade séropositif au VIH (germe intracellulaire) (1). Cette coopération entre bactéries et virus est appelée « mécanisme bactériophage-like ».
En 1992, cette découverte fut confirmée in vitro par une équipe de chercheurs français (C. Escarguel, G. Papierok, G. Pautrat) spécialisés dans les germes intracellulaires (2) et fit l’objet d’un brevet n° FR2694022 (A1), le 28 janvier1994.
En 1998, elle fut corroborée par une étude in vivo de l'équipe française de l’Association Biologie et Coopération (C. Escarguel, P. Lepere et C. Pelissier) (3).
D’après les résultats obtenus par de nombreux médecins traitant les patients en ambulatoire précoce et par les publications de C. Escarguel, la pandémie de Covid-19 a offert l’occasion de mettre ce mécanisme en évidence dès le début de l'année 2020, en constatant l’efficacité de certaines familles d'antibiotiques (macrolides, cyclines, clofoctol, rifaximine), ces derniers neutralisant les bactéries « coopérantes » avec le virus.
Aujourd’hui, les observations de l’équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, viennent une nouvelle fois de montrer la justesse de la découverte du Pr Luc Montagnier.
- voir photos sur site -
FranceSoir : En quoi cette nouvelle confirmation par le Dr Carlo Brogna de l’existence des bactéries « coopérantes » à la réplication d’un virus dans le corps humain est-elle déterminante ?
C. Escarguel : Malheureusement, les confirmations, en 1992 et en 1998, de la découverte du Pr Montagnier et les excellents résultats des traitements précoces contre le Covid-19 qui ont sauvé de nombreuses vies, n’ont pas suffi à convaincre la communauté scientifique et les responsables de la gestion de la pandémie de Covid-19 de l’efficacité de ces traitements ainsi que de la nécessité de les généraliser au plus vite.
Dès lors, les observations du Dr Brogna remettent d’importantes questions sur la table :
RépondreSupprimerPourquoi les responsables de la gestion de cette pandémie ont-ils refusé de prendre sérieusement en considération les découvertes du Pr Montagnier et nos travaux scientifiques de 1992 et de 1998, alors que nous n’avons cessé de les alerter depuis le mois de mars 2020 ? C’est-à-dire depuis les publications de l'IHU de Marseille sur la bithérapie (à base d'hydroxychloroquine et d'azithromicyne) avec qui nous sommes en désaccord sur la molécule efficace.
Pourquoi l’information sur la réussite des traitements précoces n’a-t-elle pas été diffusée massivement par les autorités et par l’Ordre des médecins ?
Pourquoi les médecins qui soignaient se sont-ils vus interdire l’utilisation des traitements précoces et pourquoi ont-ils fait l’objet de procédures disciplinaires pour les avoir prescrits ?
Pourquoi le paracétamol, le rivotril, puis les injections de substances géniques expérimentales ont-ils été préférés aux traitements qui soignaient ?
Pourquoi les dizaines de courriels que nous avons envoyés aux autorités sanitaires, à l’Ordre des médecins et au pouvoir politique sont-ils restés lettre morte ?
Pourquoi Emmanuel Macron en sa qualité de président de la République française n’a-t-il pas réussi à vaincre « le système » qu’il évoque dans son courriel envoyé à l'ancienne ministre de la Culture Françoise Nyssen, le 5 février 2021 et que celle-ci nous a réexpédié tel quel ?
Le : 05 février 2021 à 21:24 (GMT +01:00)
De : "Francoise NYSSEN" f.nyssen@actes-sud.fr
À : xxxxxxxxx
Objet : RE: courrier au Président
Et son retour immédiat
« Formidable. Je crois beaucoup à cela vraiment depuis longtemps mais « le système » y croit trop peu c’est fou
Je m’en saisis. Merci. Je vous embrasse »
Maintenant, il reste à espérer que les observations visuelles par microscopie électronique de l’équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, qui confirment aussi bien la découverte du Pr Montagnier que nos travaux de 1992 et de 1998, ouvriront, dans les prochaines années, la voie à la recherche de la vérité et, donc, à la réponse aux questions qui précèdent.
À la suite des observations du Dr Carlo Brogna, l'autre question importante qui demeure est celle de la réponse à la priorité de l'OMS : « La prévention des chocs septiques des viroses respiratoires (grippe, bronchiolites, coronaviroses, etc.) par le traitement ambulatoire précoce paradoxal » (cf. antibiotique adapté).
FS : En quoi les observations du Dr Carlo Brogna et de ses équipes représentent-elles une confirmation de l’utilité d'un traitement contre les virus de type Covid-19 ?
C. Escarguel : Les récents travaux de l'équipe de recherche du laboratoire CRANIOMED, dirigée par le Dr Carlo Brogna avec qui nous collaborons, confirment la piste des bactéries « coopérantes » (4-5). Cette coopération est illustrée par un mécanisme appelé « bactériophage-like », qui provoque la libération de toxines bactériennes lors de la lyse bactérienne. Ces toxines (6) agissent de façon concomitante à l'action du virus SARS-CoV-2 et de sa protéine Spike sur le SRA (système rénine – angiotensine).
RépondreSupprimerLes photographies réalisées par le laboratoire CRANIOMED avec un microscope à transmission électronique (TEM) illustrent le phénomène :
En A-B et C, on observe diverses bactéries avec parois (bactéries gram+ et gram-) et sans parois (mycoplasme et forme L).
Photo CRANIOMED ABCDE
En D et E, on visualise le SARS-CoV-2 (Covid-19) qui fracture la paroi des bactéries afin de les pénétrer pour se répliquer. Le SARS-CoV-2 fracture la paroi au niveau des flèches rouges.
Photo CRANIOMED FG
En F, on visualise une bactérie sans paroi qui est attaquée par le SARS-CoV-2, afin de l’utiliser pour se multiplier. La pénétration du virus s’effectue au niveau des flèches rouges. Les bactéries sans paroi semblent être une proie plus facile pour le virus (ARN polymérase commune ?).
En G, on visualise deux types de cellules :
celles du bas qui est en train d’être colonisée ;
celles du haut qui est en train d’être lysée (éclatement de la bactérie libérant les SARS-CoV-2 dupliqués et les toxines de la bactérie).
FS : Ces images de microscopie électronique expliquent donc visuellement la réussite des traitements précoces préconisés par de nombreux médecins dans le traitement du virus Covid-19 ?
C. Escarguel : Oui, en effet. Dans le monde entier, les médecins qui ont utilisé en ambulatoire précoce (dans les cinq premiers jours suivant l'apparition des premiers symptômes) une molécule d'antibiotique des familles suivantes* : macrolides, cyclines, ou Clofoctol (cf. enquête d'ARTE : « le médicament miracle ») ont constaté une chute drastique de la létalité : 0,1% comparée aux 2,3% des patients laissés sous Doliprane. Ces résultats ont été publiés (7) et la comparaison des courbes de mortalité et de circulation du virus, en 2020 (8), présente un fort décrochage de la mortalité jusqu'à ce que les autorités de santé interdisent l'hydroxychloroquine aux médecins de ville, tout en préconisant de ne pas traiter aux antibiotiques : étonnant !
Inversement, toute autre antibiothérapie, notamment celle à large spectre, destinée à la prévention des surinfections (qui ne se manifestent que si l'antibiotique adapté n'a pas été prescrit en ambulatoire précoce), ne pourra être que contreproductive (9) en altérant le microbiote intestinal et, donc, en favorisant l'inflammation, le risque de diarrhées mortelles à Clostridium difficile et, surtout, en permettant la translocation des bactéries résistantes aux antibiotiques de la sphère digestive vers le sang du patient avec des bactériémies mortelles.
Ces molécules d'antibiotiques « efficaces » sont connues pour être actives sur les germes suspects de « coopérer » avec le virus (mycoplasmes, intracellulaires, germes de parodontites), dont la population augmente lors de dysbioses locales : pulmonaires, buccales ou digestives. Ces germes « coopérants » sont tous colonisés par le virus dès l'incubation de la coronavirose.
RépondreSupprimerIls amplifient, selon le brevet cité ci-dessus, la réplication virale selon l'effet « bactériophage-like ». L'efficacité de ces antibiotiques, actifs sur ces germes « coopérants », s'explique par le blocage de l'amplification de la réplication du virus dans les bactéries « coopérantes » : c'est l'effet « virostatique ». Ces bactéries « coopérantes » sont présentes chez certains malades dont les comorbidités entrainent des dysbioses. Cette preuve thérapeutique indirecte valide la piste ouverte, dès 1990, par Luc Montagnier. C'est cette amplification qui, avec le potentiel immunitaire du sujet, explique la virulence variable d'un individu à l'autre. Dans le cas de germes ou de virus peu pathogènes (c'est le cas du SARS-CoV-2 avec 50% d'asymptomatiques), c'est l'effet inoculum associé à une immunodépression éventuelle qui est responsable de la virulence constatée (10). Le mécanisme amplificateur est supposé être, d'après notre hypothèse, une « mutualisation » de l'activité des ARN polymérases entre la bactérie et le virus, d'où l'importance d'associer le zinc à l'antibiotique du fait de sa propre activité sur les ARN polymérases du SARS-CoV-2) (11).
FS : En 2020 et 2021, de nombreuses infections au Covid-19 dégénéraient en détresses respiratoires a priori à cause de l'absence de traitements précoces. Comment expliquer que ce ne soit plus le cas aujourd’hui alors que la plupart des malades ne bénéficient toujours pas de ces traitements ?
C. Escarguel : La disparition, fin 2021, de la bactérie pulmonaire Mycoplasma Pneumoniae (MP), dans les centres de surveillance du monde entier, constatée par l'équipe des Pr Grueb et Bebear et publiée par P. Meyer Sauteur (12) au congrès des intracellulaires de Lausanne (août 2022), pourrait expliquer la disparition des syndromes de détresse respiratoire, en 2022 : syndromes liés à la toxine CARD du MP et à la phospholipase A2 des mycoplasmes : (13-14). Ce génocide bactérien lié au SARS-CoV-2 sera-t-il durable ou 2023, verra-t-il une réapparition des formes pulmonaires avec le retour du MP (cf. (15) : Pr Tcherakian ) ? La question reste posée.
Les études du Pr Lina montrent que les pics viraux des viroses respiratoires sont corrélés avec le pic de la bactérie pulmonaire Mycoplasma pneumoniae laissant supposer le rôle amplificateur de cette dernière, non seulement pour le SARS-CoV-2 mais également pour les grippes et les bronchiolites. En d’autres termes, la réapparition de cette bactérie pourrait faire resurgir des détresses respiratoires causées par le SARS-CoV-2 ou éventuellement par les grippes et les bronchiolites (16).
FS : Quelle est votre analyse en ce qui concerne le « covid long » ?
RépondreSupprimerC. Escarguel : Les micro-caillots résistant à la fibrinolyse entrainant une hypoxie périphérique, signes cognitifs secondaires aux substances amyloïdes, auto-anticorps anti-idiotypes, endotheliopathie, inflammation chronique et asthénie secondaire à une mauvaise oxygénation des tissus, sont les signes majeurs des syndromes post-infectieux et du covid long, avec des variables liées aux toxines impliquées. Toutefois, le traitement du covid long, comme celui des syndromes post-infectieux, ne doit pas se limiter aux traitements des symptômes (neurologiques, endothelites, micro-caillots, liés aux auto-anticorps, asthénies, dysbioses), mais il doit surtout associer de façon alternative les traitements symptomatiques au traitement préconisé par notre étude prenant en compte « la coopération bactérie/virus ».
Pour cela, nous proposons aux autorités sanitaires, en partenariat avec les adhérents volontaires de notre association de malades, tous souffrant de covid long, de participer à un travail de recherche thérapeutique fondé sur nos hypothèses, dans le cadre d'un CPP, selon le protocole exposé dans le document de synthèse établi pour notre future participation au congrès de la SPIL (Société de Pathologie Infectieuse de Langue française). Ce congrès se déroulera à Nancy le 8 décembre prochain et je joins le document en téléchargement ici.
FS : Ne craignez-vous pas que l’utilisation de votre antibiothérapie préventive vous soit reprochée dans la cadre de la lutte contre les résistances aux antibiotiques ?
C. Escarguel : Je répondrai tout d’abord que sauver une vie par l’utilisation d’un antibiotique n’autorise pas cette question ! De surcroît, ce traitement ambulatoire précoce, en permettant d'éviter l’hospitalisation de 15% des malades positifs au Covid, dispense de ce fait de traiter les surinfections hospitalières. Ces dernières, grandes consommatrices d’antibiotiques à large spectre, entraînent de nombreuses résistances. Un petit extincteur d’antibiotique préventif génère moins de résistance qu’un "canadair d'antibiotique curatif".
FS : Alors qu’il ne semble plus possible de nier que les traitements précoces fonctionnent, qu’en est-il de l’autorisation conditionnelle des « vaccins » qui était subordonnée à l’absence de traitement de la maladie du Covid-19 ?
C. Escarguel : Si j’en crois les juristes que j’ai consultés à ce sujet, l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché des vaccins était subordonnée à l’absence de traitement de la maladie ou, selon les termes du Règlement du 31 mars 2004 qui a servi de fondement aux autorisations, à l’existence d’un « besoin médical non satisfait ».
RépondreSupprimerLe principe, pour la délivrance d’une AMM traditionnelle, est que le médicament a fait « l’objet d’études approfondies visant à assurer sa sécurité, sa qualité et l’efficacité de son utilisation » (Règl. n°507/2006 de la Commission du 29 mars 2006, relatif à l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de médicaments à usage humain relevant du règlement n°726/2004 du Parlement européen et du Conseil).
De façon exceptionnelle, une AMM, dite AMM conditionnelle, peut être délivrée avant que des données cliniques exhaustives aient été communiquées aux autorités sanitaires, « afin de répondre à des besoins médicaux non satisfaits de patients », c’est-à-dire lorsque, pour une maladie donnée, « il n’existe pas de traitement autorisé ou, même si un tel traitement existe, « le médicament concerné apportera un avantage thérapeutique majeur aux malades ». Cette possibilité dérogatoire est soumise à la condition que « le bénéfice que représente la disponibilité immédiate du médicament sur le marché l’emporte sur les risques inhérents au fait que des données supplémentaires restent à apporter » (Règl. n° 726/2004 du Parlement européen et du Conseil européen du 31 mars 2004, établissant des procédures communautaires pour l'autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire).
En l’état actuel des connaissances et des certitudes thérapeutiques issues de nos travaux, la validité des AMM conditionnelles des vaccins peut être clairement questionnée.
C'est pour cette raison que nous nous opposons avec vigueur aux adeptes de la religion « la vaccination pour tous » et nous la limiterions aux cas à risque. Leur publicité bombardée actuellement sur toutes les télévisions : « Alors on continue ! » qui, s'appuyant sur la peur, souhaiterait faire « vacciner » tout le monde et même les enfants, ne résulte pas de données scientifiques factuelles « Errare humanum est, perseverare diabolicum » !
L'étude sur le mécanisme bactériophage en microscopie électronique est disponible ici.
Bibliographie :
RépondreSupprimer(1) Montagnier Pursues the Mycoplasma-AIDS - Science.org
(2) Procédé d'amplification des agents infectieux en diagnostic 'in vitro' sur cultures cellulaires
(3) Cahiers d'études et de recherches francophones / Santé
(4) Pulmonary clearance of Mycoplasma pulmonis in rats with respiratory viral infections or of susceptible genotype
(5) Synergistic effect of Sendai virus on Mycoplasma pulmonis infection in mice. Saito M, Nakagawa M, Suzuki E, Kinoshita K, Imaizumi K.
(6) Pre-infection of pigs with Mycoplasma hyopneumoniae .. .https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov ›
(7) Virus interactions with bacteria: Partners in the infectious dance https://www.ncbi.nlm.nih.gov
(8) Modeling SARS-CoV-2 viral kinetics and association ... - PNAS inoculum-S’intéresser à la charge virale pour comprendre l’évolution vers des formes graves de Covid-19 INSERM
(9) Type I and Type III Interferons - Induction, Signaling, Evasion ... https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov ›
(10) Incidence of Upper Respiratory Tract Mycoplasma ... - NCBI https://www.ncbi.nlm.nih.gov › pmc
(11) Blood clotting may be the root cause of Long COVID ... https://www.sciencedaily.com ›
(12) Can Early Home administration of Azithromycin with Zinc Help Prevent Severe COVID-19 Disease Progression and Long-COVID?
(13) La molécule miracle : chronologie d'un espoir - myCANAL
(14) Les virus géants et l’origine des ARN polymérases des eucaryotes
(15) Un quart des formes sévères de Covid-19 s’expliquent par une anomalie génétique ou immunologique - INSERM
3 à 4% des formes sévères ont une origine génétique, tandis que 10 à 11% s’expliquent par la présence d’auto-anticorps dirigés contre IFN 1 et qui bloquent leur action antivirale.
Afin de mieux comprendre la distribution de ces auto-anticorps dans la population générale non infectée et notamment l’influence de l’âge (l’essentiel des cas de formes sévères de Covid-19 concernent les plus de 65 ans), les auteurs ont comparé plus de 34 000 individus sains, classés par sexe et tranche d’âge, ils ont ainsi fait une découverte inattendue : la présence d’auto-anticorps.
(16) Incidence of Upper Respiratory Tract Mycoplasma ... – NCBI-https://www.ncbi.nlm.nih.gov ›
https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel
TYRANT : Le juge ultra-gauchiste de la Cour suprême Sotomayor condamne les employés de la ville de New York à MORT par des injections mortelles d'ARNm
RépondreSupprimerMardi 15 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Les employés de la ville de la Big Apple ont été condamnés à mort par la juge de la Cour suprême Sonia Sotomayor, qui a jeté à la poubelle une application d'urgence qui aurait protégé les pompiers, les policiers et d'autres employés du gouvernement de New York contre les obligations obligatoires. « Vaccination » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Les employés de la ville étaient presque sur la ligne d'arrivée pour remporter une victoire pour la liberté de la santé lorsque Sotomayor est arrivé à la 11e heure et a annulé leurs tentatives de rester exemptés de piqûres forcées pour des motifs religieux.
L'Alliance Defending Freedom (ADF), un cabinet d'avocats d'intérêt public spécialisé dans les affaires de liberté religieuse, a fait valoir dans la demande, déposée le 2 novembre, qu'il est injuste que les artistes et les athlètes soient exemptés du mandat de piqûre mais pas les travailleurs municipaux non vaccinés. , qui ont été licenciés de leurs postes.
Étant donné que la demande a été soumise en vertu de l'état d'urgence, Sotomayor a été autorisée à trancher l'affaire par elle-même sans avoir à la saisir devant la Cour suprême au complet. Par conséquent, les employés de la ville de New York se sont vu refuser leur droit de ne pas être injectés de force avec des poisons chimiques et biologiques.
Dans sa décision, Sotomayor n'a fourni aucun motif pour le rejet. Nous ne pouvons que supposer qu'elle est fermement convaincue que tout le monde devrait être forcé par le gouvernement à se faire injecter pour la grippe Fauci - ceci étant une forme de viol médical. (En relation: Sotomayor a indiqué à plusieurs reprises qu'elle soutenait pleinement le viol médical contre le peuple américain.)
Sotomayor pense que les Américains devraient être pénétrés de force avec des produits chimiques Big Pharma par le biais d'un viol médical sanctionné par le gouvernement
L'affaire ADF fait valoir que les employés privés de leurs droits "souffrent de la perte des droits du premier amendement, sont confrontés à des délais pour quitter les maisons en saisie ou avec des loyers en souffrance, souffrent de problèmes de santé en raison de la perte de leur assurance maladie municipale et du stress de n'avoir aucun revenu régulier et de recourir aux coupons alimentaires et à Medicaid juste pour maintenir leur famille à flot.
Cependant, rien de tout cela ne concerne Sotomayor, qui depuis sa tour d'ivoire a brisé le marteau contre eux avec un sourire. Sotomayor ne croit pas à la liberté de la santé, y compris le droit de ne pas être pénétré de force avec des aiguilles Big Pharma contre sa volonté.
RépondreSupprimer"Ces héros de la ville ont consacré leur vie à servir leurs voisins et à assurer le fonctionnement sûr et efficace de leur ville, mais les responsables de la ville de New York les ont suspendus et licenciés parce qu'ils ne peuvent pas prendre le vaccin COVID-19 sans violer leurs croyances religieuses sincères", a déclaré John Bursch. , avocat principal et vice-président du plaidoyer en appel chez ADF.
"Mais pour les athlètes, les artistes et les strip-teaseuses, la ville a trouvé un moyen d'assouplir son mandat."
Dans la section des commentaires, beaucoup ont écrit que Sotomayor devrait être immédiatement démis de ses fonctions et punie pour ses crimes contre l'humanité (et la Constitution). Les injections de Covid sont, après tout, une forme de génocide qui a lancé un plan de dépopulation mondiale massive qui a mis de nombreuses années à se préparer.
« Des employés du gouvernement qui tuent des employés du gouvernement – légalement avec le vaccin ! Merci, votre honneur », a écrit l'un d'eux en plaisantant.
Un autre a écrit que si Sotomayor devait être renvoyée, sa remplaçante, Ketanji Brown Jackson, ne ferait guère mieux.
"Bimbo gauchiste Sotomayor fait toujours le contraire du raisonnement constitutionnel", a écrit un autre.
«Avec chaque nouvelle décision que Sotomayor prend, elle confirme notre conviction de longue date qu'elle a été nommée par un président démocrate apaisant pour la couleur de sa peau plutôt que pour sa compétence intellectuelle», a déclaré un autre. "Sotomayor est une honte et une tache indélébile sur le système judiciaire américain."
"Elle est une gêne pour le pays et la cour", a déclaré quelqu'un d'autre.
Pour en savoir plus sur les dernières nouvelles sur les injections de virus chinois, rendez-vous sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-15-sotomayor-condemns-nyc-employees-death-mrna-injection.html
Le test des élections à mi-mandat a été décisif, peut-on oui ou non influencer/diriger/compromettre n'importe qui n'importe quand et n'importe où ? La réponse en forme de couperet est tombée: OUI !
SupprimerQuiconque votait républicain jusqu'alors a voté démocrate contre sa conviction !
C'est ce qui s'est passé ! Tout ordre envoyé et reçu sur le portable (même éteint) est transmis à votre cerveau via les nano-particules d'oxyde de graphène inoculées qui voyagent dans le sang.
C'est LE transhumanisme. LE plus grand danger pour un pays d'être entouré d'assassins près à tuer n'importe qui, n'importe quand, n'importe où !
Effets négatifs de la vaccination corona sur les grossesses
RépondreSupprimer16 novembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
Une nette baisse du nombre de naissances environ 9 mois depuis le début des tranches d'âge éligibles à la grossesse est désormais avérée pour la quasi-totalité des pays. Également un nombre accru de mortinaissances, de malformations congénitales et de protéines de pointe dans le lait des mères vaccinées. Une étude chinoise a examiné les résultats de la fécondation in vitro (FIV) chez les femmes vaccinées.
L'étude de Wehhao Shi et al est apparue sur Jama Network intitulée Association Between Time Interval from COVID-19 Vaccination to In Vitro Fertilization and Pregnancy Rate After Fresh Embryo Transfer (fécondation in vitro et taux de grossesse après transfert d'embryon frais). Elle devrait formuler des recommandations sur le délai d'attente pour la FIV après la vaccination, car il n'y a eu jusqu'à présent que des recommandations contradictoires. En tout cas, l'étude prouve un effet clairement négatif de la vaccination sur la possibilité de tomber enceinte et prouve donc également l'influence négative de la campagne de vaccination sur le taux de natalité.
Il existe des points de vue divergents sur la façon dont le vaccin COVID-19 affecte la conception et sur la durée pendant laquelle les couples vaccinés doivent attendre pour concevoir. Des directives telles que celles du groupe de travail sur le coronavirus / COVID-19 de l'American Society for Reproductive Medicine et les Centers for Disease Control and Prevention recommandent que les personnes qui envisagent de devenir enceintes conçoivent le plus tôt possible après avoir reçu le vaccin ARNm COVID-19.
Cependant, la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie conseille de retarder la conception d'au moins quelques jours après la fin de la vaccination contre le COVID-19 (c'est-à-dire après la deuxième dose) et de retarder le début du traitement par technologie de procréation assistée jusqu'à deux mois. Le groupe d'experts du Centre de technologie de procréation assistée par l'homme de Pékin pour le contrôle et l'amélioration de la qualité recommande de retarder la grossesse d'un mois après la vaccination contre le COVID-19.
Taux de grossesse significativement plus faible en FIV après la vaccination
RépondreSupprimerDans cette étude de cohorte de 3052 patientes sous traitement de FIV, un taux de grossesse significativement plus faible a été observé chez celles qui avaient été vaccinées contre le SRAS-CoV-2 30 jours ou moins et 31 à 60 jours avant le traitement de FIV. Un taux légèrement inférieur, mais non statistiquement significatif, a été observé chez les patientes vaccinées 61 à 90 jours avant le traitement de FIV, et ce n'est que dans le sous-groupe vacciné 91 jours ou plus avant qu'aucune réduction du risque de grossesse en cours n'a été identifiée.
Les résultats de cette étude suggèrent que le traitement de FIV avec un transfert d'embryon frais devrait être reporté jusqu'à au moins 61 jours après la vaccination contre le COVID-19.
Au total, 667 patients ayant reçu le vaccin chinois inactivé et 2 385 non vaccinés ont participé à l'étude. Ainsi même avec ce vaccin classique, une réduction significative des grossesses a été observée plus de deux mois après la vaccination.
https://tkp.at/2022/11/16/negative-auswirkung-der-corona-impfung-auf-schwangerschaften/
Suisse : des victimes de la vaccination et d'autres personnes portent plainte contre Swissmedic et les vaccinateurs
RépondreSupprimer16 novembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
Six personnes blessées par des vaccinations par ARNm et d'autres personnes ont signalé lundi leur plainte pénale contre l'autorité suisse de délivrance des licences Swissmedic et les médecins vaccinateurs. Ils sont représentés par l'avocat zurichois Philipp Kruse.
Comme le cabinet d'avocats dans une déclaration aux médias, la plainte pénale publiée hier, y compris les preuves scientifiques ("Evidence Report"), est le résultat du travail le plus intensif et le plus persistant d'une petite équipe de base très motivée. De nombreux experts bien connus dans le pays et à l'étranger y ont apporté une contribution significative avec leurs innombrables références à des sources, des explications, des suggestions d'amélioration et des textes élaborés.
Procédure ouverte contre les médecins
«Les informations trompeuses données au public par Swissmedic sur les bénéfices et les risques pèsent particulièrement lourd. Le procureur cantonal saisi a déjà ouvert une procédure contre les médecins vaccinateurs encore inconnus. » La présomption d'innocence s'applique à toutes les personnes impliquées.
Lors d'une conférence de presse lundi après-midi, les personnes impliquées ont fourni des informations sur le contexte médical et scientifique de la plainte pénale.
Un objectif commun est déclaré :
Nous voulons aider les personnes touchées par les dommages causés par l'injection d'ARNm à faire valoir leurs droits (reconnaissance des causes ; aide ; indemnisation), et nous voulons éviter que d'autres personnes n'aient à souffrir de ces injections d'ARNm dangereuses et inutiles.
Les faits sont parfaitement clairs sur la table.
Au plus tard avec les connaissances présentées hier, tous les médias et la société dans son ensemble ont maintenant entre les mains pour enfin faire le pas en avant attendu : affronter les faits et enfin mettre fin à la grande tromperie et au paternalisme des gens.
Selon l'annonce, les parties impliquées ont "documenté les graves lacunes des études d'enregistrement et, à l'aide d'études rétrospectives et de données statistiques, ont montré les risques et les dommages associés à la vaccination par ARNm pour les individus et la santé publique".
RépondreSupprimerfauteuil roulant en conséquence
Lors de la conférence de presse, les victimes de la vaccination ont également décrit comment leur vie professionnelle et privée avait changé depuis la vaccination. Parmi ces personnes figure Mai T.J., 45 ans, qui a dû être hospitalisé immédiatement après la troisième vaccination.
Peu de temps après, le diagnostic était : polyarthrite rhumatoïde sévère, accompagnée d'autres symptômes. L'employé de formation est depuis dépendant d'un fauteuil roulant.
Plus d'informations sur la plainte pénale peuvent être trouvées sur ce site.
Voici le résumé allemand de la plainte pénale :
FR_Executive-Summary_v1.0
Et voici la version longue de 318 pages :
DE_Strafanzeige-Swissmedic_v1.0
https://tkp.at/2022/11/16/schweiz-impfopfer-und-weitere-personen-erstatten-strafanzeige-gegen-swissmedic-und-impfaerzte/
L'association entre l'infection par le VRS chez les enfants et la vaccination par l'ARNm-C19
RépondreSupprimer13 novembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
Une vague d'infections par le virus respiratoire syncytial (VRS) traverse actuellement les États-Unis ainsi que certains pays européens. Les enfants sont particulièrement touchés, comme nous l'avons récemment signalé. Dans certaines régions des États-Unis, les hôpitaux pour enfants seraient devenus tellement débordés qu'ils auraient même dû faire appel à la Garde nationale pour obtenir de l'aide.
Récemment, The HighWire a rapporté que le nombre de cas signalés de VRS chez les enfants a augmenté à un rythme alarmant. Ce virus pseudo-grippal peut être particulièrement dangereux chez les très jeunes enfants et est généralement plus répandu pendant les mois d'hiver. La poussée actuelle est particulièrement alarmante car elle se produit hors saison.
Dans l'épisode HighWire, Del Bigtree est allé au fond des choses, notant que dans l'essai clinique du vaccin pédiatrique Covid-19 de Moderna, les enfants qui ont reçu le vaccin avaient des taux de VRS plus élevés que ceux qui avaient reçu un placebo. Toujours dans l'étude sur le vaccin pédiatrique Covid-19 de Pfizer, le VRS a été répertorié comme l'un des effets indésirables graves chez les enfants ayant reçu ce vaccin.
Le problème est si grave que même le comité des vaccins de la FDA, VRBPAC, qui salue normalement même les vaccins les plus dangereux, a fait le lien et « a souligné l'importance d'une surveillance continue de la sécurité post-approbation, en particulier pour ... certaines infections respiratoires (VRS et pneumonie) dans le groupe d'âge le plus jeune pour lequel des déséquilibres d'importance clinique incertaine ont été observés dans l'étude clinique."
Malgré l'importance notée de la surveillance post-approbation du VRS, personne au CDC ou à la FDA ne semble lier l'augmentation du VRS aux vaccins Covid-19 administrés aux enfants. Incroyablement, le CDC vient de publier un "avis de santé officiel" sur l'augmentation des cas de VRS et de virus respiratoires, et dans celui-ci, le CDC recommande les vaccins contre la grippe et les vaccins Covid-19 pour toute personne de 6 mois et plus, selon l'ICAN dans un communiqué de presse .
Comme d'habitude, les médias grand public ne comprennent pas ce qui se passe. Si de nombreux articles décrivent l'augmentation inquiétante des enfants malades, aucun ne mentionne la vaccination contre le Covid-19, malgré les données des études des fabricants.
Pour aller au fond des choses, les avocats d'ICAN ont envoyé une lettre au CDC le 26 octobre 2022, citant des données d'études cliniques montrant une association entre l'augmentation des cas de VRS et l'administration du vaccin Covid-19-Prove. Dans sa lettre, l'ICAN a demandé le pourcentage d'enfants testés positifs pour le VRS et qui avaient reçu une vaccination contre le Covid-19 avant leur diagnostic de VRS.
RépondreSupprimerDepuis janvier 2021, des scientifiques réputés déclarent que l'augmentation des autres infections virales chez les personnes vaccinées sera catastrophique.
Pfizer et Moderna ont tous deux démontré des infections à VRS statistiquement significatives chez les enfants recevant leurs vaccins Covid 19 par rapport au placebo, et pourtant les cliniciens ne se plaignent que des salles pour enfants remplies d'enfants à VRS mais continuent de prétendre "sûrs et efficaces".
Il est bien connu que le VRS est favorisé par les vaccins.
Reuters a rapporté le 23 décembre 2008 :
Des chercheurs de l'Université Johns Hopkins ont résolu le mystère vieux de plusieurs décennies de savoir pourquoi un vaccin conçu pour prévenir une infection virale infantile courante rendait les enfants malades.
Les résultats fournissent des orientations importantes pour le développement d'un vaccin sûr et efficace contre le virus respiratoire syncytial (VRS), la principale cause d'hospitalisations hivernales chez les nourrissons et les jeunes enfants dans le monde, a déclaré le Dr. Fernando P. Polack, chercheur principal de l'étude, a déclaré à Reuters Health.
"Une préoccupation majeure des scientifiques travaillant sur le développement d'un vaccin contre le VRS est de s'assurer qu'une telle situation ne se reproduise plus", a déclaré Polack, qui est également impliqué dans la Fondation INFANT à Buenos Aires.
Ce qui est particulièrement original, c'est que le Dr. Fernando P. Polack est l'auteur principal de l'étude pivot du composé d'ARNm C19 de Pfizer qui a trouvé le chiffre étonnant de 95 % d'efficacité contre Covid. TKP a rapporté ici les incidents étranges lors du recrutement du plus grand nombre de participants par la Fondation INFANT de Polack à Buenos Aires seulement.
Image parOpenClipart-Vectors sur Pixabay
https://tkp.at/2022/11/13/zusammenhang-zwischen-rsv-infektionen-bei-kindern-und-der-mrna-c19-impfung/
Un an de "confinement pour les non vaccinés" - Petit rappel des scandaleux
RépondreSupprimer15 novembre 2022
par Thomas Oysmuller
Cela fait exactement un an que le "confinement pour les non vaccinés" s'est appliqué pour la première fois en Autriche. Les "non solidaires" ont été mis sous pression psychologique et devraient être poussés vers un traitement par ARNm. La politique a culminé ce jour-là il y a un an.
C'était le comble de la stigmatisation et de la persécution des « non vaccinés ». Ce pic a été atteint en Autriche : il y a exactement un an, le 15 novembre 2021, était le premier jour où un « verrouillage pour les non vaccinés » s'appliquait en Autriche. Cet état de fait devrait perdurer en 2022.
Lutte contre les non vaccinés
Les personnes sans certificat de vaccination (ou avis de guérison) n'étaient autorisées à quitter la maison que pour quelques raisons précises. Ils n'étaient autorisés à travailler qu'avec un certificat de test valide. Mais pour pouvoir organiser le temps libre à mi-chemin, le certificat de test n'était à nouveau pas suffisant. Une pression sans précédent a été exercée sur ces personnes qui avaient insisté sur leur droit à l'intégrité physique.
Ce n'est pas seulement la politique qui a décrété le pas, mais aussi de nombreuses personnes qui l'ont soutenu. Cette courte enquête de rue du Vorarlberg donne une idée de l'ambiance en Autriche. Il deviendra un document contemporain :
Le chancelier à court terme Alexander Schallenberg était le principal instigateur contre les non vaccinés. Comme d'habitude en politique, il ne s'est jamais excusé et est actuellement à nouveau ministre des Affaires étrangères. Il n'a pas caché non plus qu'il "a resserré les rênes sur les non vaccinés" afin de créer une "incitation" à la vaccination. Vous vouliez conduire les gens dans la seringue. Cela a également été dit très franchement. "Nous étions trop nombreux" à avoir fait preuve de "manque de solidarité", avait alors déclaré Schallenberg. Non seulement les médias et les journalistes n'ont pas remis en cause les démarches du gouvernement, mais ils les ont même saluées et soutenues dans certains cas.
Le groupe "Les Verts contre la vaccination obligatoire et la 2G" tente de créer une culture offensive de commémoration sur le premier anniversaire avec un sujet. Le sujet peut et doit être diffusé davantage.
Il est urgent de le rappeler, car le mainstream reste muet sur l'événement, comme si cette rupture radicale n'avait pas existé il y a un an. Quelques fondamentalistes corona défendent même encore la politique. C'était tout à fait correct, car "Delta" était endémique. Le fait qu'aucun autre pays ne considère cette étape nécessaire n'est pas pertinent.
RépondreSupprimerAu vu de telles opinions, qui semblent toujours être socialement acceptables en Autriche, Omicron devait être un cadeau presque céleste. Si la variante significativement plus douce n'était pas apparue, la chasse aux non-vaccinés aurait continué. Ce n'était probablement qu'une question de temps avant que de nouvelles ruptures de civilisation ne se produisent.
Avec le recul, les historiens trouveront devant eux un journal du déraillement de novembre 2021. L'historien et auteur du TKP, Stephan Sander-Faes, écrivait sur son blog Substack à l'époque : « Est-ce encore de l'hypocrisie ? J'ai bien peur que nous ne parlions ici d'autre chose : de la tyrannie.
Aujourd'hui, il commente son texte de l'année dernière en ajoutant : "Pas encore d'excuses, donc je reproduirai ici la chronique de l'année dernière, mais j'ajouterai la paraphrase très libérale de l'Enfer de Dante : les endroits les plus chauds de l'enfer sont pour ceux qui sont réservés, qui maintiennent leur neutralité en temps de crise morale.
Le commentaire vidéo sur le premier anniversaire du Youtuber autrichien "Neue Normalität" vaut également le détour :
- voir clip sur site -
Mais vous pouvez terminer avec quelque chose de positif : malgré la politique sans précédent contre les « non vaccinés » en Autriche, plus de 20 % de la population est restée inébranlable. Ils sont toujours sans traitement par ARNm et ont pu résister à la pression massive. Maintenant, ils sont et resteront le groupe de contrôle.
https://tkp.at/2022/11/15/ein-jahr-lockdown-fuer-ungeimpfte-kleine-erinnerung-an-das-ungeheuerliche/
Les données de Vsafe sur les effets secondaires de la vaccination montrent qu'une personne sur 55 a été vaccinée à l'hôpital - vidéo de Florian Schilling
RépondreSupprimer15 novembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
L'autorité américaine CDC recueille également des données sur les effets secondaires et les dommages causés par les vaccinations corona. Ils voulaient d'abord le garder secret, mais doivent maintenant le divulguer par décision de justice. Et ces données montrent un profil de sécurité catastrophique, comme l'explique Florian Schilling dans une courte vidéo.
Vsafe est un système de notification actif aux États-Unis, où les personnes qui ont été vaccinées sont rappelées par SMS pour remplir des questionnaires. Le CDC n'a pas voulu publier ces données. L'ICAN a résumé les données dans un tableau de bord.
En revanche, il existe des systèmes de signalement passifs qui dépendent d'une personne qui signale activement et indépendamment un effet indésirable, une blessure. Cependant, ces systèmes, qui sont également utilisés en Allemagne, souffrent d'une sous-déclaration importante d'un facteur de 15 à 40. Ainsi, seuls 2 à 7 % environ des effets secondaires qui se produisent réellement sont signalés.
10,1 millions de vaccinés ont participé à Vsafe et parmi eux, 3,35 millions ont signalé près de 6,5 millions de problèmes de santé. Ainsi, une personne sur trois vaccinée a signalé des problèmes de santé.
La gravité des problèmes signalés est intéressante : environ 1,2 million sont confrontés à des limitations dans la vie quotidienne, 1,3 million ont provoqué des arrêts maladie et 0,8 million ont nécessité une aide médicale.
- voir graph sur site -
Cette aide est détaillée. Étonnamment, il existe une évaluation pour le groupe d'âge des moins de 3 ans - et il est complètement absurde que dans ce groupe, qui n'est pas menacé par Corona, des problèmes nécessitant des soins médicaux se soient posés. 15 % se sont retrouvés aux urgences et près de 10 % ont été hospitalisés. Des enfants de moins de 3 ans ont également été hospitalisés en raison des effets secondaires de la vaccination.
En conséquence, 1 sur 13 a nécessité des soins médicaux, 1 sur 90 était aux urgences et 1 sur 142 a été hospitalisé. Au total, 1 personne sur 55 a été hospitalisée. Lauterbach appelle cela "la vaccination sans effets secondaires".
En Allemagne, en revanche, l'Institut Paul Ehrlich (PEI) affirme qu'il n'y a que 0,3 signalement d'effets secondaires graves pour 1000 vaccinations, soit 1 sur 3300 contre 1 sur 55 avec un signalement actif aux États-Unis.
RépondreSupprimer- voir clip sur site - (rumble)
https://tkp.at/2022/11/15/vsafe-daten-ueber-impfnebenwirkungen-zeigen-1-von-55-impflingen-im-spital-video-von-florian-schilling/
Le Podcast : La semaine au TKP #5
RépondreSupprimer15 novembre 2022
par Thomas Oysmuller
Peter F. Mayer et Thomas Oysmüller discutent des développements politiques et scientifiques les plus importants de ces derniers jours et donnent un aperçu de la nouvelle semaine.
Quelles sont les choses importantes de la semaine dernière qui ne se trouvent pas dans le courant dominant ? Qu'est-ce qui sera important cette semaine ? Peter F. Mayer et Thomas Oysmüller parlent des développements politiques et des découvertes scientifiques en 20 minutes environ. "La semaine au TKP" est publiée tous les mardis à 6h du matin en format audio et vidéo. Cette semaine:
Critique fondamentale de la gynécologie
Le nouveau type criminel "Dr. médical."
Crise Security Act en Autriche
Tests d'antigènes toxiques
Écouter:
- voir sur site -
Regarder:
- voir sur site - (rumble)
Articles discutés cette semaine :
La plus grande catastrophe médicale : la vaccination par ARNm des femmes enceintes
Egalement représenté en Suisse et en Autriche : Le nouveau type de criminel « Dr. médical."
Bâtonnets toxiques dans les tests antigéniques
Crise par décret : le gouvernement a présenté une nouvelle loi sur la sécurité
Federal Crisis Security Act = PATRIOT ACT autrichien, ou : Le meurtre (suicide) de la démocratie autrichienne
https://tkp.at/2022/11/15/der-podcast-die-woche-bei-tkp-5/
Ensemble de précédents - Un médecin est exécuté en vertu du code de Nuremberg - Pour avoir administré un Covid Vax
RépondreSupprimerPar Alexandra Bruce
La télé du savoir interdit
16 novembre 2022
Activiste et médecin anti-Death Shot, le Dr Elizabeth "Betsy" Eads dit qu'un médecin a été exécuté pour avoir injecté à un patient l'arme biologique COVID-19, ce qui a entraîné la mort de son patient.
- voir clip sur site -
Le Dr Eads exhorte tous les professionnels de la santé qui écoutent à cesser immédiatement d'injecter cette arme biologique, s'ils veulent espérer ne pas subir le même sort.
Elle dit: «Vous savez que des gens meurent à cause des vaxxines à arme biologique. Vous devez arrêter ce que vous faites. Si vous devez quitter ce travail et partir, partez. Ce sont des crimes contre l'humanité. Vous ne pouvez pas courir, vous ne pouvez pas vous cacher. Vous ne pourrez pas marcher dans la rue.
« Des tribunaux de type Nuremberg ont commencé. Que vous soyez médecin, infirmier, pharmacien, CNA, technicien de laboratoire, quiconque participe à l'administration de ces injections d'armes biologiques tue un patient.
« Cela inclut les directeurs d'école. Cela inclut les directeurs, cela inclut partout où quelqu'un a été forcé de prendre un médicament expérimental sans consentement éclairé ou un cocktail CDC, y compris la ventilation ou le CDC sans consentement. Consentement approprié. Je ne parle pas de consentement écrit. Je parle d'un consentement médical approprié, y compris quels ingrédients sont donnés, quels sont les effets secondaires du produit et quelles études ont été faites pour prouver l'efficacité du produit.
« Parce que nous savons que les vaxxines sont des armes biologiques. Ce sont des nano lipides ; nanotubes ou nano spot Qdot, oxyde de graphène, qui tuent des patients.
«Nous savons que le remdesevir a tué 53 % des patients de l'étude Ebola. Tout cela est facilement accessible aux infirmières, médecins, pharmaciens et travailleurs de la santé du monde entier.
"Il n'y a aucune excuse pour continuer à pousser les tirs d'armes biologiques remdesivir et la ventilation sur les gens. Il n'y a aucune raison de pousser un test d'antigène PCR frauduleux, qui ne fait que collecter du matériel génétique à transmettre pour le clonage.
« S'il vous plaît, je vous implore de cesser et de vous abstenir de faire ce que vous faites, infirmières, pharmaciens. Éloignez-vous si vous devez vous éloigner. Se repentir. Demander le pardon.
"Parce que si vous ne le faites pas, Dieu vous trouvera et vous subirez la même mort que ce médecin malaisien a subie et vous le mériterez.
"Allez bénir tout le monde."
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2022/11/no_author/precedent-set-a-doctor-is-executed-under-the-nuremburg-code-for-administering-a-covid-vax/
Bill Gates prévient que les terroristes essaieront d'utiliser la variole comme arme biologique alors qu'il offre des milliards de financement pour prévenir de futures pandémies
RépondreSupprimerLe fondateur de Microsoft a plaidé hier lors d'une conférence Policy Exchange
Il a appelé à la formation d'un «groupe de travail sur la pandémie» avec des milliards de financement
Gates a suggéré de développer des «jeux de germes» pour se préparer aux futures pandémies
C'est arrivé quelques jours après sa participation à la conférence sur le climat COP26 à Glasgow
Par DAVID AVERRE
POUR MAILONLINE
le 4 novembre 2021
Bill Gates a appelé les gouvernements à donner des milliards de dollars en financement de la recherche et du développement pour prévenir de futures pandémies et le « bioterrorisme ».
Le milliardaire fondateur de Microsoft a averti que les dirigeants mondiaux doivent se préparer à des catastrophes telles que des "attaques terroristes contre la variole" quel qu'en soit le prix, et a appelé à la formation d'un nouveau groupe de travail sur la pandémie de l' Organisation mondiale de la santé d'un milliard de dollars.
Il a donné l'avertissement et a fait une offre de fonds lors d'un entretien avec le président du comité de sélection de la santé et l'ancien secrétaire britannique à la santé Jeremy Hunt hier.
Bien que la recherche puisse être coûteuse, il a déclaré qu'elle pourrait également conduire à d'autres innovations, telles que l'éradication de la grippe et du rhume.
Il a déclaré que des pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni doivent dépenser « des dizaines de milliards » pour financer la recherche.
" J'espère que dans cinq ans, je pourrai écrire un livre intitulé " Nous sommes prêts pour la prochaine pandémie ", mais cela prendra des dizaines de milliards de dollars en R&D – les États-Unis et le Royaume-Uni en feront partie ", il mentionné.
Bill Gates a appelé les gouvernements à donner des milliards de dollars en financement de la recherche et du développement pour prévenir les futures pandémies et le « bioterrorisme » lors d'une discussion du groupe de réflexion Policy Exchange avec l'ancien secrétaire britannique à la Santé Jeremy Hunt hier
Le milliardaire fondateur de Microsoft a averti que les dirigeants mondiaux doivent se préparer à des catastrophes telles que les "attaques terroristes contre la variole" quel qu'en soit le prix, et a appelé à la formation d'un nouveau groupe de travail sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé d'un milliard de dollars pour accélérer la recherche et le développement
"Il faudra probablement environ un milliard par an pour un groupe de travail sur la pandémie au niveau de l'OMS, qui effectue la surveillance et fait en fait ce que j'appelle" des jeux de germes "où vous pratiquez."
Gates a suggéré que les « jeux de germes » pourraient inclure la préparation d'actes de bioterrorisme tels que les attaques de variole contre les aéroports, les comparant à des « jeux de guerre » utilisés par les militaires pour s'entraîner aux conflits dans le monde entier.
« Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ?' dit Gates.
"Il y a des épidémies d'origine naturelle et des épidémies de bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd'hui."
https://vk.com/@ongomdmedald-bill-gates-prvient-que-les-terroristes-essaieront-dutiliser
AVANT 2030 LES ÊTRES HUMAINS SERONT TOUS DES ESCLAVES NUMÉRISÉS ET CONNECTÉS
RépondreSupprimer3:15 - voir clip sur site -
11 Novembre 2021
Ceci, nous démontre, que tous les hommes sur cette terre quelle que soit la couleur de peau, tous les êtres humains seront des esclaves et soumis à la servitude pendant un certain temps jusqu'à la fin totale de ce système humain.
On le voit bien, le toboggan est bien en train d'être mis en place, on est donc à deux doigts de la puce électronique sous la peau.
Au départ on aura un papier avec un QR code, mais les restaurateurs les policiers vont se fatiguer rapidement pour le contrôler.
Ensuite on aura des bornes et ce sera plus facile.
Ces bornes liront votre identité ou votre statut sanitaire sur un bracelet, une montre, sur un petit objet que vous porterez dans un sac à main, sur un code tatouage ou alors comme je l'ai dit sous la peau et les portes s'ouvriront.
Et vous pourrez pays facilement. Vous passerez à toute allure aux caisses et tout le monde trouvera " Super " de payer sans avoir l'air finalement de payer.
L'identité numérique c'est un saut quantique. Il n'y a aura pas de retour en arrière possible. Tout comme le pass sanitaire. Le marché des objets numériques connectés est considérable. Pour conforter la mise en place de l'identité numérique on nous dit : " on est déjà tracés par nos mobiles " non, le GPS ce n'est pas assez précis, entre 1 et 10 mètres.
On ne peut pas dire exactement qui on a rencontré ni où on est allé. Et surtout, le portable on peut le laisser à la maison ou sinon l'éteindre.
Avec l'identité numérique, la 5G et les objets connectés, nos conversations, notre santé, nos ordonnances comme vous l'avez dit, nos pensées, notre intimité, notre espérance de vie, tout sera exposé, exposable, vendable, revendable.
Et là, je vous parle de mon ancienne vie où j'étais dans une compagnie d'assurance. Leur rêve c'était de savoir l'espérance de vie des gens pour leur offrir une garantie adéquate.
Ce qui veut dire exclure des maladies, c'est une crainte qu'il faut prendre en considération. D'ailleurs la Commission utilise le mot de " portefeuille d'identité numérique ".
Est-ce la fin de nos libertés ?
Ce sera vraiment un élément à prendre en compte pour ce règlement.
Va-t-on vers un capitalisme de contrôle ?
Une autre question ,ce lundi, une Commissaire de Bruxelles a interdit à tous les fonctionnaires d'utiliser dans tous ses discours et publications les mots " mesdames ets messieurs ", pour ne pas exclure ni rendre les personnes intersexes invisibles. C'est pas intéressant de noter que la Commission veut que l'identité numérique soit constante toute la vie, mais finalement pas l'identité sexuelle.
Nota :
Ceci, nous démontre, que tous les hommes sur cette terre quelle que soit la couleur de peau, tous les êtres humains seront des esclaves et soumis à la servitude pendant un certain temps jusqu'à la fin totale de ce système humain.
PERSONNE :
Et [La bête], elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six [06 06 06].
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Les données montrent une surmortalité dans le monde entier due aux «vaccins» contre le covid
RépondreSupprimerL'été 2021 à l'approche de l'automne 2021 connaît une augmentation fulgurante de la mortalité toutes causes confondues par rapport à celle de la même période en 2020. Qu'est-ce qui a changé ? Les injections "Opération Warp Speed" qu'ils appellent "vaccins" ont été déployées dans le monde entier.
Tous les pays où l'adoption du jab est élevée, y compris l' Écosse , Israël, le Danemark et les États-Unis, connaissent une augmentation massive du nombre de décès dus à des choses autres que le « covid ». Le coupable évident est les jabs, bien sûr.
L'Unz Review a réalisé une analyse approfondie des données disponibles, qui montre clairement que la mortalité toutes causes confondues est « lunaire », pour ainsi dire. Les records sont battus en termes de nombre de morts, en particulier dans les régions du monde où un grand nombre de personnes ont reçu les injections.
En Écosse, par exemple, le gouvernement a récemment enregistré la 20e semaine consécutive au cours de laquelle les décès excessifs dans tout le pays ont dépassé la moyenne quinquennale. C'est dans un pays avec un taux de conformité de 87 pour cent jusqu'à présent.
"Même en excluant les décès de Covid, ils étaient près de 20% au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse", a relayé Alex Berenson sur son Substack.
L'Allemagne est dans un bourbier similaire avec près de 78 000 décès supplémentaires signalés, un chiffre de 10 % supérieur à ce qui était prévu.
"Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10 % au-dessus de la médiane des années précédentes", a ajouté Berenson.
Plus de jeunes meurent de coups de covid que de personnes âgées
Au Danemark, en Finlande et en Norvège, les décès "mystères" de covid sont actuellement plus élevés que jamais, même pendant la "pire" de la plandémie . Les décès ont vraiment commencé à augmenter dans ces trois pays immédiatement après le déploiement du « vaccin ».
Pendant cinq mois consécutifs, le Danemark a battu le record de 10 ans de décès de "toutes causes". Pendant ce temps, il n'y a eu pratiquement aucun décès causé par « covid » pendant cette période.
L'Irlande, le Royaume-Uni et Israël affichent tous des chiffres alarmants similaires. Et il se trouve que ces trois pays ont des taux de « vaccination » extrêmement élevés.
Lire la suite :
https://www-naturalnews-com.translate.goog/2021-11-11-data-shows-excess-mortality-covid-vaccines.html?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui,sc
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Les données montrent une surmortalité dans le monde entier due aux «vaccins» contre le covid, image №2
https://vk.com/@ongomdmedald-les-donnes-montrent-une-surmortalit-dans-le-monde-entier-due
« Régime coercitif » – Le vrai visage du nouvel ordre mondial
RépondreSupprimer10:18 - voir clip sur site -
04.11.2021
www.kla.tv/20436
Le monde vit actuellement une transformation historique alors que notre système financier et économique menace de s'effondrer. L'élite financière fait donc tout ce qui est en son pouvoir pour établir un nouvel ordre mondial en sa faveur. Cependant, sa véritable nature semble être tout sauf prometteuse…
Le monde est actuellement soumis à un processus irréversible de changement historique qui, selon l’expert financier Ernst Wolff, ne peut être inversé. La raison en est que notre système financier et économique menace de s’effondrer et ne peut pas survivre sous sa forme actuelle. C’est pourquoi l’élite financière fait actuellement tout ce qui est en son pouvoir pour établir un nouvel ordre mondial économique en sa faveur. Celui-ci est actuellement préparé de multiples façons, les mêmes noms apparaissant continuellement : Le Forum économique mondial FEM, la Fondation Rockefeller et la Fondation Bill & Melinda Gates. Les Banques centrales du monde entier jouent également un rôle important. La réorganisation est présentée sous la forme d’un programme prometteur tel que la « grande réinitialisation » ou l’« Agenda 2030 ». Cette émission met en lumière diverses caractéristiques qui montrent que leur caractère réel est tout sauf prometteur.
CBDC : le système monétaire obligatoire qui se profile
En réponse à l’effondrement imminent du secteur financier, toutes les grandes Banques centrales du monde travaillent actuellement d’arrache-pied pour introduire un nouveau système monétaire : la monnaie numérique de Banque centrale ou CBDC (Central Bank Digital Currency). Ce système doit exister exclusivement sous forme numérique et être géré de manière centralisée via des comptes auprès d’une Banque centrale. Il n’y aura plus de véritable choix entre les différentes banques ou entre le paiement en espèces ou par carte. Ce système monétaire centralisé et sans alternative sera alors en mesure d’identifier les personnes à tous égards. Par exemple, cet argent peut être doté d’une date d’expiration ou doit être dépensé à des fins spécifiques. Il sera également possible à la Banque de refuser des versements ou des transferts en cas de mauvaise conduite, ou de bloquer complètement le compte. Étant donné que les paiements du futur seront effectués par contact avec un téléphone portable ou en scannant un QR code, ce contrôle ne sera pas effectué par l’État seul, mais de plus en plus par les grands groupes informatiques. Les gouvernements sont donc partiellement privés de leur pouvoir, tandis que les grands groupes informatiques et l’élite financière qui se cache derrière eux continuent de gagner en influence.
Compte tenu des risques d’une monnaie numérique de Banque centrale, la plupart des gens n’accepteraient pas une telle monnaie dans des circonstances normales. Mais que se passerait-il si, à la suite des mesures prises face au Covid, l’économie était mise à genoux et que des entreprises, principalement de taille moyenne, faisaient faillite en série, détruisant ainsi des emplois sur une grande échelle ? Que se passerait-il si les caisses de l’État étaient pillées et que les États étaient désespérément surendettés, si le versement des aides était retardé et que le chaos total menaçait ? Si on proposait alors à la population un nouveau système monétaire, combiné à un revenu de base universel, en guise de salut et de nouveau départ, elle l’accepterait très probablement. Les graves dommages économiques et sociaux causés par les confinements pourraient ainsi être habilement utilisés pour mettre en place ce système monétaire obligatoire.
RépondreSupprimer Soudan – Contrôle au moyen du revenu de base universel
Depuis 2017, l’idée d’un revenu de base universel a été promue entre autres par le Forum économique mondial FEM, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates. L’un des objectifs déclarés est « l’inclusion financière » (permettre à tous d’avoir accès aux services financiers). Il ne s’agit toutefois pas de la possibilité d’avoir un compte bancaire individuel, mais d’amener tout le monde « dans le système », comme le définissait déjà en 2015 le responsable de Paypal, Dan Schulman. On peut observer ce que cela signifie avec l’exemple du Soudan. Dans ce pays, avec un revenu de base universel de cinq dollars par mois, on tente de mettre en laisse avec le numérique une population partiellement rebelle et fondamentaliste de 32 millions de personnes. La condition préalable à ce revenu de base est l’enregistrement biométrique de chaque bénéficiaire et le paiement par téléphone portable. De cette manière, la population doit être entièrement enregistrée et ensuite contrôlée par téléphone portable. En retirant l’aumône numérique en cas de comportement irrégulier, on peut alors également « l’éduquer » à sa guise. Ainsi, ce qui se cache derrière la façade prometteuse d’un revenu de base universel, ce n’est pas un programme visant à améliorer le monde, mais un plan perfide pour surveiller et contrôler l’ensemble de la population mondiale.
ID2020 - Le plan pour une surveillance totale
RépondreSupprimerSelon les plans de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, tous les citoyens de l’UE vont recevoir une identité numérique. Elle servira à tout faire dans tous les pays de l’UE sans frais supplémentaires ni bureaucratie, du paiement des impôts à la location d’un appartement. À cette fin, des informations telles que la vaccination et la situation financière, mais aussi des données provenant de Facebook ou du smartphone seront enregistrées. Les données biométriques telles que les empreintes digitales ou les visages serviront de « cartes d’identité », permettant même de voyager sans passeport. Ce qui est présenté à la population au nom du progrès et de la sécurité est cependant la mise en œuvre exacte de l’agenda de la « grande réinitialisation » et de la « quatrième révolution industrielle » du Forum économique mondial FEM. Selon ce document, l’ensemble de l’humanité devra recevoir une identité numérique uniforme dans le cadre de l’initiative ID2020. Ce qui est dangereux dans tout cela, c’est la création de bases de données centrales supranationales. Grâce à elles, les multinationales de l’informatique, les services secrets et les autorités policières pourront enregistrer tous les faits et gestes des personnes dans le monde entier et identifier facilement toutes les personnes dont les données seront stockées. ID2020 s’avère donc être un pas de géant vers la surveillance et le contrôle total de l’humanité.
Passeport : une autorité mondiale privée en préparation
Afin qu’on puisse à nouveau voyager sans problèmes dans le contexte de la pandémie du Covid-19, la « Commons Project Foundation » soutenue par la Fondation Rockefeller, a annoncé en octobre 2020 le lancement du nouveau « CommonPass », en partenariat avec le FEM. Ce passeport n’est pas un document physique et n’est pas une application au sens propre. C’est comme une méta-application sur un smartphone ; elle utilise toutes les applications des compagnies aériennes, des agences de voyage et des institutions gouvernementales du monde entier pour stocker et vérifier les données des voyageurs de manière standardisée. En d’autres termes, c’est le « CommonPass » qui vérifiera à l’avenir de manière indépendante si les conditions d’entrée sont remplies, et non plus les différents États. En outre, toutes les données telles que les pièces d’identité, l’historique des voyages, les données bancaires ou la reconnaissance faciale et vocale peuvent être intégrées dans le « CommonPass ». Ainsi, le smartphone deviendra à l’avenir un « passeport » extrêmement complet et fonctionnant à l’échelle mondiale, dont l’utilisation pourra être étendue à tous les domaines de la vie. De cette façon, les gouvernements nationaux seront contournés et privés de leur pouvoir, tandis que les grands groupes informatiques qui développent et gèrent le CommonPass deviendront, en quelque sorte, une autorité mondiale privée en matière de passeports. Ainsi, avec ce projet également, la crise du Covid est habilement utilisée pour préparer le nouvel ordre mondial centraliste.
Les habitudes de navigation sur le Web détermineront-elles bientôt la solvabilité ?
RépondreSupprimerLes prêts traditionnels sont déterminés sur la base de la solvabilité (capacité de rembourser les dettes). Sous le prétexte d’aider les immigrants et les jeunes entrepreneurs, le Fonds monétaire international (FMI) envisagerait maintenant de modifier les critères d’octroi des prêts. Étant donné que, selon les experts du FMI, des critères tels que le revenu, le temps d’emploi et le patrimoine ne sont plus représentatifs, la solvabilité sera également évaluée à l’avenir en fonction des activités sur Internet. Il s’agit notamment des sites Web visités, des contacts sur les médias sociaux et des achats en ligne. Ainsi, l’« empreinte numérique » de chaque emprunteur pourrait bientôt être analysée et évaluée au moyen de l’intelligence artificielle. Ne s’agit-il pas d’une nouvelle étape vers un État de surveillance totale si l’octroi de services financiers dépend des pages que l’on a consultées sur Internet ?
Inde : le vrai visage de l'Agenda 2030
En novembre 2020, une grève générale nationale a débuté en Inde, à laquelle environ 250 millions de personnes ont participé. La grève a été provoquée par les lois agricoles radicales adoptées par le gouvernement de Narenda Modi. Ces lois permettront aux multinationales d’acheter des terres, d’accumuler des matières premières et de faire des affaires directement avec les agriculteurs. Cela court-circuite les marchés régionaux et met les agriculteurs à la merci des entreprises, qui dicteront les prix à l’avenir. Cela devrait conduire à la ruine d’environ 10 millions de petits agriculteurs et de petits commerçants et à la prise de contrôle de la production alimentaire de l’Inde par les multinationales. Il est significatif que ces lois radicales ont été rédigées par le FEM (Forum économique mondial) et la Fondation Bill & Melinda Gates et qu’elles sont conformes à l’Agenda 2030 et au Great Reset. Leur objectif officiel est de créer une économie mondiale « durable ». Cependant, compte tenu de ces contextes, il s’agit clairement d’établir une dictature corporative pure et dure qui exploitera le monde impitoyablement et le transformera en un État esclave. Voici ce qu’a dit un jour l'homme d'État américain Benjamin Franklin : « Toute société qui renonce à un peu de liberté pour gagner un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et perd les deux. »
Compte tenu des développements décrits dans cette émission, il est particulièrement important aujourd’hui de décider si l’on est prêt à abandonner sa liberté petit à petit pour plus de confort et une prétendue sécurité. C’est pourquoi il appartient maintenant à chaque individu de devenir actif et de gagner sa liberté.
de hag/rh/joh/jmr
RépondreSupprimerSources / Liens :
CBDC – Zwangsgeldsystem
https://kenfm.de/the-wolff-of-wall-street-spezial-das-drohende-zwangsgeldsystem/
www.rubikon.news/artikel/raubzug-im-schatten-2
https://kenfm.de/was-sie-alles-ueber-den-digitalen-euro-wissen-sollten-um-sich-davor-zu-fuerchten-von-norbert-haering/?format=pdf
www.rubikon.news/artikel/das-bedrohliche-projekt
https://norberthaering.de/kryptowaehrungen/ezb-digitales-zentralbankgeld/
https://norberthaering.de/kryptowaehrungen/digitaler-euro
Sudan – Kontrolle mittels universellem Grundeinkommen
https://norberthaering.de/die-regenten-der-welt/sudans-grundeinkommen-2
https://norberthaering.de/die-regenten-der-welt/sudan
https://linkezeitung.de/2020/07/02/das-universelle-grundeinkommen-der-feuchte-traum-des-weltwirtschaftsforums
ID2020 – Der Plan zur Totalüberwachung
https://norberthaering.de/die-regenten-der-welt/digitale-eu-identitaet
www.epochtimes.de/politik/analyse-politik/weltwirtschaftsforum-der-digitale-mensch-das-sozialkredit-system-und-die-schoene-neue-welt-a3450575.html
https://ec.europa.eu/germany/news/20210603-digitale-identitaet_de
Private Weltpassbehörde in Vorbereitung
www.altersdiskriminierung.de/themen/artikel.php?id=11998
https://free21.org/die-private-weltpass-behoerde
https://norberthaering.de/die-regenten-der-welt/id2020-ktdi-apple-google
Bestimmt das Surfverhalten bald die Kreditwürdigkeit?
https://der-dritte-weg.info/2021/01/iwf-will-kreditwuerdigkeit-am-online-verhalten-bemessen
www.epochtimes.de/politik/ausland/wird-die-kredit-wuerdigkeit-kuenftig-nach-online-gewohnheiten-bestimmt-iwf-entdeckt-big-data-a3408498.html
www.imf.org/en/Publications/WP/Issues/2020/08/07/Financial-Intermediation-and-Technology-Whats-Old-Whats-New-49624
Indien – das wahre Gesicht der Agenda 2030
www.konjunktion.info/2021/02/bauernproteste-in-indien-die-agenda-des-wef-steckt-hinter-modis-reformen
www.dw.com/de/indien-bauern-protestieren-mit-hungerstreik-gegen-reformen/a-55936217
https://vk.com/@ongomdmedald-rgime-coercitif-le-vrai-visage-du-nouvel-ordre-mondial
La population mondiale a franchi la barre des 8 milliards le 15 novembre, selon l'ONU
RépondreSupprimerMercredi 16 novembre 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) L'Organisation des Nations Unies (ONU) a annoncé que la population mondiale a atteint huit milliards, estimant que la barre a été franchie le 15 novembre.
Les spécialistes de la population ont noté qu'il a fallu peut-être plus de 200 000 ans d'histoire humaine pour que le monde atteigne la barre du milliard, ce qu'il a fait quelque temps en 1804. Mais il n'a fallu que 12 ans pour que le monde passe d'une population de sept milliards à huit.
Grâce à un ralentissement de la croissance de la population mondiale, l'ONU estime qu'il faudra environ 15 ans – jusqu'en 2037 – pour que la population mondiale franchisse la barre des 9 milliards. (En relation: Yuval Noah Harari du WEF pense que le monde n'a pas besoin d'autant de monde.)
"Il s'agit d'une approximation grossière qui relève davantage d'une découverte symbolique", a déclaré Patrick Gerland, responsable des travaux démographiques à la Division de la population de l'ONU à New York. "Nous l'avons peut-être dépassé, ou peut-être un peu plus tard, mais c'est à peu près à cette époque que l'humanité atteint les huit milliards."
Selon la Division de la population, l'Inde dépassera la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde d'ici l'année prochaine.
La croissance démographique mondiale ralentit rapidement
La dernière mise à jour démographique de l'ONU, publiée plus tôt cette année, a également modifié la projection à long terme de l'organisation concernant la croissance démographique. L'ONU estime désormais que la population mondiale pourrait franchir la barre des 8,5 milliards d'ici 2030 et atteindre 9,7 milliards d'ici 2050.
L'ONU estime également que la population mondiale culminera à environ 10,4 milliards au cours des années 2080 et restera à ce niveau au tournant du 22e siècle. C'est en baisse par rapport aux estimations précédentes selon lesquelles la population mondiale sera de 11 milliards d'ici l'an 2100.
La croissance démographique plus faible montre que l'ONU estime que la croissance démographique de l'humanité ralentit rapidement. Les analyses des tendances démographiques mondiales indiquent que des baisses massives de la fécondité dans le monde sont responsables de ce déclin de la croissance démographique.
La population mondiale croît actuellement à son rythme le plus lent depuis 1950, la population mondiale augmentant de moins de 1 % en 2020.
Les taux de fécondité aident à prédire – ou à bouleverser – les modèles de croissance démographique
Les prévisions de l'ONU reposent sur les taux de fécondité actuels et sur la manière dont ils devraient évoluer. La différence dans les taux de fécondité supposés est à l'origine du modèle précédent de l'ONU qui prévoyait une population mondiale plus importante d'ici l'an 2100. Le plus grand changement - la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) de 2020 et l'afflux de vaccins nuisibles à la fertilité - a maintenant bouleversé ces anciens modèles.
"Si vous faites des ajustements même relativement petits dans ces trajectoires de taux de fécondité, cela s'accumule, et soudain un grand pays peut avoir 100 millions d'habitants de plus dans 80 ans", a déclaré Tomas Sobotka, chercheur en population à l'Institut de démographie de Vienne en Autriche. .
RépondreSupprimerLes facteurs qui affectent les taux de fécondité comprennent les crises humanitaires et les conflits - comme ce qui se passe en Somalie, en Syrie et au Yémen - et les politiques de contrôle de la population imposées par l'État comme l'ancienne politique de l'enfant unique en Chine, qui n'a pris fin qu'en 2015.
Les données montrent qu'environ les deux tiers de la population mondiale vivent dans un pays ou un territoire où la fécondité au cours de la vie est inférieure à 2,1 naissances par femme, ce qui est le niveau nécessaire à l'absence de croissance à long terme pour une population au taux de mortalité relativement faible.
Plus de la moitié de la croissance démographique mondiale prévue jusqu'en 2050 sera contenue dans seulement huit pays ayant des taux de fécondité plus élevés : la République démocratique du Congo, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Inde, le Nigéria, le Pakistan, les Philippines et la Tanzanie.
Apprenez-en plus sur la population mondiale - et les efforts déployés par certains groupes pour contrôler ou limiter sa croissance - sur PopulationCollapse.com.
Regardez ce clip avec le rédacteur en chef de The New American Alex Newman et le microbiologiste Dr Sucharit Bhakdi avertissant que les vaccins vont décimer la population mondiale.
Ceci provient de la chaîne End Time Evangelist sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
L'agenda LGBT a toujours été axé sur le contrôle de la population, révèle une note de service divulguée en 1969.
L'abattage massif du TROUPEAU HUMAIN est maintenant en cours... voici exactement comment il est accompli pour parvenir à l'extermination massive.
Dr Rima Laibow : Les élites mondiales éliminent 90 % de la population mondiale pour accéder au pouvoir.
Le Forum économique mondial recherche un contrôle absolu sur les populations mondiales, exige la consolidation du pouvoir.
Sources include:
DailyMail.co.uk
ScientificAmerican.com
CBSNews.com
ABCNews.go.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-16-world-population-breached-8-billion-mark.html
Reuters veut que DEPOPULATION réalise la «justice climatique» – dit qu'il y a tout simplement trop de personnes en vie
RépondreSupprimerMercredi 16 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Les médias contrôlés par les grandes entreprises rapportent que la population mondiale totale a maintenant dépassé les huit milliards de personnes, ce qui, selon Reuters, est trop pour maintenir la «justice climatique».
Afin d'arrêter le « réchauffement de la planète » et le « changement climatique » dans leur élan, affirme Gloria Dickie, beaucoup de ces personnes – mais pas elle-même, bien sûr – doivent partir pour que le climat puisse guérir.
Si le dépeuplement n'est pas atteint, selon Dickie, alors il y aura "plus de difficultés" pour "les régions déjà confrontées à la pénurie de ressources en raison du changement climatique". (Connexe : le changement climatique provoqué par l'homme est un mythe - il n'y a pas d'urgence climatique !)
La philosophie de Dickie est celle de nul autre que l'éco-extrémiste Dr Paul Ehrlich, qui a écrit un livre intitulé "The Population Bomb" qui promeut essentiellement le génocide de masse comme remède au changement climatique.
Gardez à l'esprit que le livre d'Ehrlich a été publié pour la première fois en 1968. Même à cette époque, les extrémistes du climat se faisaient peur et faisaient peur aux autres en leur faisant croire que le monde était extrêmement surpeuplé et avait besoin d'être abattu.
Dickie cite en fait « The Population Bomb », écrivant que la croissance rapide de la population combinée au changement climatique « est susceptible de provoquer des migrations massives et des conflits dans les décennies à venir ».
Le Smithsonian Magazine affirme que la propagande anti-croissance démographique d'Ehrlich a entraîné "des violations des droits de l'homme dans le monde"
Si vous avez déjà vu ou entendu le terme « migrants climatiques » utilisé à la place d'immigrants illégaux ou d'étrangers illégaux, vous devez remercier des gens comme Ehrlich et Dickie car ils perpétuent la fausse idée que les illégaux inondent les États-Unis parce que le « climat » dans leur pays d'origine est dégradant.
"La propagande de Reuters ressemblait à une scène de l'enfer du réalisateur hollywoodien Ron Howard (2016) lorsque l'antagoniste Bertrand Zobrist s'est insurgé contre la surpopulation dans une conférence de type TED Talk", écrit Joseph Vazquez pour Newsbusters.
"Zobrist s'est avéré justement être dépeint en intimidant les participants sur la population de la planète qui approche les '8 milliards maintenant.'"
Une autre chose qui mérite d'être mentionnée est que dans "The Population Bomb", Ehrlich a prédit que le monde deviendrait tellement surpeuplé qu'il finirait par s'effondrer... dans les années 1970. Évidemment, cela ne s'est jamais produit, ce qui fait du livre d'Ehrlich une œuvre de fiction.
Que quelqu'un le cite encore en dit long sur la dévotion du culte du climat, qui continue de ressasser ses principes en tant que vérité scientifique. Les famines provoquées par le climat promises par Ehrlich qui conduiraient à la mort de « centaines de millions de personnes » ne se sont jamais matérialisées, évidemment.
Ehrlich a également prédit que les enfants nés dans les années 70 et au-delà "hériteraient d'un monde totalement différent, un monde dans lequel les normes, la politique et l'économie des années 60 [sic] sont mortes".
Il y avait un média, Smithsonian Magazine, qui a osé appeler Ehrlich pour ses bêtises. Un article publié là-bas expliquait que la propagande anti-croissance démographique d'Ehrlich "a alimenté une croisade ... qui a conduit à des violations des droits de l'homme dans le monde entier".
« Reuters a-t-il troublé la mémoire de ce factoïde lorsqu'il a décidé de publier un article faisant écho à l'alarmisme d'Ehrlich ? demande Vazquez.
"Bien sûr, Reuters n'a fait aucune tentative pour se distancier d'Ehrlich. En fait, le point de vente n'a même pas mentionné Ehrlich du tout dans l'article. En fait, Reuters a semblé canaliser Ehrlich et créer sa propre version édulcorée de "The Population Bomb".
RépondreSupprimerDans cette version édulcorée, Dickie soutient que les décideurs politiques doivent prendre des mesures drastiques pour empêcher la surconsommation de la nature alors que les gens « rivalisent avec la faune pour l'eau, la nourriture et l'espace ».
À son avis, les législateurs peuvent pousser et promulguer des projets de loi anti-croissance démographique, y compris des mandats qui conduisent à un « changement des habitudes de consommation ». C'est encore une fois "La bombe démographique" en utilisant les mêmes tactiques de peur fatiguées qui, bien sûr, ne se concrétisent jamais.
Vous voulez en savoir plus sur la tromperie entourant le canular du réchauffement climatique ? Vous pouvez le faire sur Climate.news.
Les sources de cet article incluent :
Newsbusters.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-16-reuters-depopulation-climate-justice-too-many-alive.html