La prise de pouvoir de Sunak – un putsch de la haute finance ?
08.11.2022 www.kla.tv/24088
Rishi Sunak est depuis quelque temps le nouveau Premier ministre de la Grande-Bretagne. Les médias de ce pays s'enthousiasment déjà pour la version britannique de l’effet Obama. Sunak, le premier Premier ministre britannique non blanc, hindou pratiquant, intelligent, toujours élégamment vêtu. A première vue, un casting de rêve. Mais vraiment un rêve ? Dans cette émission, nous aimerions jeter avec vous un coup d'œil sur Rishi Sunak : Quels sont ses antécédents ? Avec qui est-il en contact et où va-t-il mener le pays ?
Qui est Rishi Sunak ? Rishi Sunak est marié à Akshata Murty. Ils ont deux enfants. Murty est la fille du milliardaire Narayana Murty, cofondateur du géant informatique Infosys, l'une des plus grandes entreprises indiennes, active dans 50 pays à travers le monde et dont le chiffre d'affaires s'élevait à 13,5 milliards de dollars en 2021. Akshata Murty détient également des parts dans l'entreprise. Les Sunak comptent ainsi parmi les familles britanniques les plus riches, leur fortune est estimée à 838 millions d'euros et serait ainsi environ deux fois plus élevée que celle du roi Charles et de son épouse.
Si on regarde les étapes précédentes de la carrière fulgurante de Sunak, on constate une grande proximité avec l'élite financière : - Études dans les universités d'élite d'Oxford et de Stanford. - De 2001 à 2004, analyste pour la banque d'investissement Goldman Sachs. - A partir de 2006, Sunak a travaillé pour le fonds spéculatif TCI, puis a rejoint le fonds spéculatif Thélème.
Brève explication : Les fonds spéculatif sont des fonds d'investissement particulièrement risqués, proposés à un petit cercle d'investisseurs très riches. Ils utilisent une large gamme d'instruments financiers, y compris ceux dont l'utilisation est interdite par la loi aux autres fonds d'investissement, comme les produits dérivés ou les ventes à découvert.
- De 2013 à 2015, Sunak a été directeur de la société d'investissement de son beau-père.
Des pratiques douteuses en tant qu'homme d'affaires et homme politique
Selon le Times, Sunak a gagné 100 millions de livres en 2008 avec d'autres patrons de fonds spéculatifs en faisant un pari boursier qui, selon le journal, a contribué à déclencher la crise financière de 2007/2008. Il est ainsi devenu multimillionnaire à l'âge de 20 ans.
- En tant que ministre des Finances, Sunak a augmenté les impôts, de sorte que les Britanniques doivent désormais supporter la charge fiscale la plus lourde depuis la Seconde Guerre mondiale. Cependant, sa propre femme, se déclarant « non-résident fiscal », a utilisé la réglementation dite « non-dom » pour éviter de payer des impôts. Malgré le fait que son mari occupait l'une des plus hautes fonctions de l'État, elle a déclaré que sa résidence principale n'était pas en Grande-Bretagne. Elle a ainsi pu réaliser des économies d'impôts considérables en payant une taxe relativement dérisoire de 30 000 livres sterling. Selon les estimations, le fisc britannique a ainsi perdu 20 millions de livres.
- Sunak lui-même a fait l'objet de critiques, car on a appris qu'il possédait une carte verte américaine. Celle-ci l'indiquait comme résident américain même lorsqu'il était ministre, ce qui le fait soupçonner de s'être, là encore, octroyé des avantages fiscaux.
- Lorsque le gouvernement Johnson a imposé des règles de sortie strictes à la population pendant la pandémie de Covid, Boris Johnson a notamment célébré sa fameuse fête d'anniversaire avec Sunak, ce qui lui a valu une amende par la suite.
Conclusion intermédiaire : Sunak agit selon la devise : prêcher l'eau, boire le vin. Il impose lui-même des mesures sévères à la collectivité, mais les contourne dès qu'elles le touchent lui-même.
Les fonds spéculatifs ouvrent la voie au pouvoir Si on regarde la carrière politique de Sunak, on peut également se demander si tout s'est passé correctement. Ce n'est qu'en 2014 qu'il a rejoint le parti conservateur Tory, mais en 2015, soit un an plus tard, il était déjà député à la Chambre des communes. On peut se demander comment ce jeune homme, encore inconnu à l'époque, a pu, après seulement un an d'appartenance au parti, obtenir une circonscription sûre, que les Tories ont toujours gagnée depuis plus de 100 ans ? Quelqu'un aurait-il pu l'aider ? Sunak est en effet un collaborateur officiel du Forum économique mondial (FEM), qui est connu pour placer ses collaborateurs aux principaux postes de la politique et de l'économie. Des hommes politiques de premier plan comme Merkel, Trudeau ou Baerbock sont tous issus de l'école des cadres du FEM.
Il n'est donc pas surprenant que Sunak ait lui aussi été nommé au gouvernement par Boris Johnson en 2020 en tant que chancelier de l'Échiquier. Début juillet, suite à divers scandales, Sunak a démissionné de son poste de ministre en même temps que le ministre de la Santé Javid, attaquant violemment Johnson à cette occasion. Leurs démissions remarquées ont largement contribué à la vague d'opposition au sein du Parti conservateur, qui a finalement forcé Johnson à démissionner de son poste de président du parti et de chef du gouvernement.
Sunak voulait alors devenir lui-même chef du gouvernement, mais la base du parti Tories lui a mis des bâtons dans les roues lors de la consultation décisive des membres et a opté pour son adversaire Liz Truss.
Mais la base du parti avait fait le calcul sans l'hôte, à savoir les grands fonds spéculatifs. Ceux-ci ont en effet mis le nouveau gouvernement dans une situation difficile peu de temps après. Lorsque le nouveau ministre des Finances, Kwarteng, a présenté un plan de réduction d'impôts radical, basé sur la dette, qui représentait un revirement complet de la politique financière de son prédécesseur Sunak, les marchés financiers ont connu de fortes turbulences : La livre britannique s'est effondrée massivement et a atteint dans les jours qui ont suivi son plus bas niveau historique. Le marché des obligations d'État britanniques est également devenu incontrôlable, ce qui a conduit de grands fonds de pension britanniques au bord de l'effondrement, car ils avaient fortement investi dans des obligations d'État. Les pensions de retraite de nombreux Britanniques risquaient d'être pulvérisées. L'effondrement des fonds de pension n'a pu être évité que grâce à l'intervention de la Banque d'Angleterre, qui a racheté des milliards d'obligations d'État. Face à ce désastre, Liz Truss a perdu le soutien des députés et s'est vu contrainte de démissionner. La voie était désormais libre pour Sunak. L'ex-banquier d'affaires, qui avait déjà mis en garde contre les projets fiscaux de Truss dans la course, est désormais considéré comme capable de regagner la confiance des marchés.
Cependant la question reste posée de savoir si les mécanismes du marché ont échappé involontairement à tout contrôle ou si ce séisme a été délibérément déclenché. En effet, presque 30 ans auparavant, George Soros avait démontré en 1992, avec son fonds spéculatif « Quantum Funds », comment on pouvait faire chuter massivement une monnaie. En vendant tactiquement des milliards de livres sterling en devises étrangères, Soros et d'autres spéculateurs avaient alors forcé la livre à chuter de 25 % par rapport au dollar. La Grande-Bretagne a alors dû quitter le système monétaire européen. Soros, quant à lui, a réalisé un bénéfice d'un milliard de dollars en pariant contre la livre et en vendant des devises.
Et cette fois encore, les fonds spéculatifs semblent avoir joué un rôle décisif. Selon un article du Times, Liz Truss a rencontré plusieurs gestionnaires de fonds spéculatifs lors d'un dîner peu avant la publication des plans fiscaux. On peut supposer que des informations privilégiées ont été échangées à cette occasion, ce qui a permis de réagir rapidement. Et en effet, quelques minutes seulement après l'annonce des plans fiscaux, la livre a chuté et divers fonds spéculatifs ont réalisé des bénéfices massifs. Mais ce n'est pas tout. Après que Truss a limogé son ministre des Finances, le nouveau ministre des Finances, Jeremy Hunt, qui peut également conserver ce poste sous Sunak, a convoqué un groupe de conseillers. Celui-ci se compose exclusivement de gestionnaires de fonds spéculatifs et de grands banquiers, dont des représentants de Blackrock, Goldman-Sachs, J.P. Morgan et du fonds spéculatif américain « Element Capital ».
Conclusion intermédiaire : jusqu'à présent, ce sont les fonds spéculatifs qui en ont profité à plusieurs reprises. D'une part, ils ont engrangé des bénéfices massifs sur le dos des citoyens, placé l'un des leurs, Sunak, à la tête du pays et se trouvent désormais directement aux manettes du pouvoir en tant que conseillers du gouvernement. La Grande-Bretagne est donc désormais fermement aux mains des fonds spéculatifs. Mais qu'attendent-ils de leur nouvel homme fort ?
Dans quelle direction Sunak va-t-il mener le Royaume-Uni en tant que Premier ministre ?
On peut s'attendre à ce que Sunak poursuive sa politique d'impôts élevés et de coupes sévères dans les dépenses. Le ministre des Finances Hunt a déjà presque entièrement annulé les baisses d'impôts et les paquets d'allègement prévus par le gouvernement précédent. Ainsi, pour les citoyens, l’évolution devrait se poursuivre de manière directe et rigoureuse, conformément à l'agenda du FEM. La maxime est en effet : « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux. »
Sunak est en outre un fervent partisan d'une monnaie numérique de banque centrale. Celle-ci donnerait de vastes instruments dans les mains de l'élite financière. Ainsi, il serait possible d'imposer des taux d'intérêt négatifs sans aucune restriction, puisqu'il n'y aurait plus d'argent liquide que les citoyens pourraient retirer. En outre, le citoyen deviendrait totalement transparent d'un point de vue financier, puisque chaque transaction serait visible pour les banques et pour l'État. Les citoyens qui ne sont pas d'accord avec la politique du gouvernement et qui le font savoir sont particulièrement menacés. Les détracteurs peuvent être totalement exclus de la vie publique en bloquant leurs comptes. Ils ne peuvent alors plus payer leur loyer, acheter de la nourriture ou utiliser les transports publics, comme c'est déjà le cas en Chine.
C'est ici, sur le thème de la monnaie numérique de banque centrale, que la boucle est bouclée avec le beau-père de Rishi Sunak et sa société informatique Infosys. Infosys est - comme Sunak lui-même - partenaire du Forum économique mondial et développe actuellement l'infrastructure technique pour une telle monnaie numérique de banque centrale. Celle-ci pourrait devenir la base du système mondial de crédit social souhaité par le FEM, sur le modèle chinois.
Conclusion : avec Rishi Sunak, c'est manifestement un homme étroitement lié au complexe numérique et financier ainsi qu'au FEM qui a été placé de manière ciblée à la plus haute fonction de la Grande-Bretagne. Il est légitime de craindre que Sunak ne profite de sa position de force pour poser les jalons nécessaires à la grande réinitialisation souhaitée par le FEM et à la société sans argent liquide qui en découle.
de tz. Sources / Liens : Qui est Rishi Sunak? - https://www.nzz.ch/feuilleton/mit-der-wahl-von-rishi-sunak-zum-premierminister-erlebt-grossbritannien-einen-obama-moment-will-das-aber-nicht-wahrhaben-ld.1709271
Des pratiques douteuses en tant qu'homme d'affaires et homme politique : - https://imes.co.uk/article/new-chancellor-rishi-sunak-cashed-in-on-fund-that-helped-break-banks-rb7zgfqkz
Dans quelle direction Sunak va-t-il mener le Royaume-Uni en tant que Premier ministre ? - https://www.n-tv.de/politik/Rishi-Sunak-Neuer-britischer-Premier-wegen-Kabinettsliste-in-Erklaerungsnot-article23676940.html
Vladimir Poutine : « L’hégémonie occidentale touche à sa fin »
Arrêt sur info 31 octobre 2022
Intervention de Vladimir Poutine à la session plénière de la 19ème réunion annuelle du Club Valdaï, 27 octobre 2022
Version intégrale Source : Kremlin
Vladimir Poutine : Chers participants à la session plénière ! Mesdames et Messieurs ! Mes amis !
J’ai eu un petit aperçu des discussions qui ont eu lieu ici les jours précédents – très intéressantes et instructives. J’espère que vous n’avez pas regretté de venir en Russie et de communiquer entre vous.
Je suis heureux de vous voir tous ici.
Au Club Valdaï, nous avons parlé à plusieurs reprises des changements – des changements sérieux et importants – qui se sont déjà produits et qui se produisent dans le monde, des risques associés à la dégradation des institutions mondiales, à l’érosion des principes de sécurité collective, à la substitution du droit international par de soi-disant règles – je veux dire, on comprend qui les a établies, mais ce n’est peut-être pas précis – dont on ne sait généralement pas qui les a établies, quels sont les fondements de ces règles, et ce qu’elles contiennent.
Apparemment, il y a seulement une tentative d’établir une règle afin que ceux qui sont au pouvoir – nous avons parlé aujourd’hui des autorités, je parle du pouvoir mondial – puissent vivre sans aucune règle et être autorisés à faire ce qu’ils veulent, à s’en tirer comme ils veulent. Ce sont, en fait, ces règles que l’on nous répète sans cesse, comme on dit, dont on parle sans cesse.
La valeur des discussions de Valdaï réside dans le fait qu’une variété d’évaluations et de prévisions ont été faites. La vie elle-même, l’examinateur le plus strict et le plus objectif – la vie – montre à quel point elles étaient exactes. Cela montre à quel point nos discussions préparatoires étaient précises les années précédentes.
Hélas, les événements ont jusqu’à présent continué à suivre le scénario négatif dont nous avons parlé de nombreuses fois lors des réunions précédentes. En outre, ces événements se sont transformés en une crise systémique de grande ampleur, non seulement dans la sphère politico-militaire, mais aussi dans les sphères économique et humanitaire.
Ce qu’on appelle l’Occident – conventionnellement, bien sûr, il n’y a pas d’unité là-dedans – il est clair que c’est un conglomérat très complexe, néanmoins disons que cet Occident a fait un certain nombre de pas vers l’aggravation ces dernières années et surtout ces derniers mois. En fait, ils jouent toujours pour aggraver la situation, il n’y a rien de nouveau ici non plus. Il s’agit notamment de l’incitation à la guerre en Ukraine, des provocations autour de Taïwan et de la déstabilisation des marchés alimentaires et énergétiques mondiaux. Ce dernier point, bien sûr, n’a pas été fait exprès, il n’y a aucun doute là-dessus, mais en raison d’un certain nombre d’erreurs systémiques commises précisément par les autorités occidentales que j’ai déjà mentionnées. Et comme nous pouvons le voir maintenant, la destruction des gazoducs paneuropéens s’est également ajoutée à cela. C’est la chose la plus scandaleuse qui soit, mais nous sommes néanmoins témoins de ces tristes événements.
Le pouvoir sur le monde est précisément ce sur quoi l’Occident sus-mentionné a parié. Mais ce jeu est assurément un jeu dangereux, sanglant et, je dirais, sale. Il nie la souveraineté des pays et des peuples, leur identité et leur singularité, et n’accorde aucune valeur aux intérêts des autres États. Du moins si cela n’est pas explicitement déclaré comme un déni, c’est néanmoins ce qui est fait dans la pratique. Personne, à l’exception de ceux qui formulent les règles que j’ai mentionnées, n’a le droit de développer sa propre identité : tous les autres doivent être « passés au peigne fin » en fonction de ces mêmes règles.
Dans ce contexte, je rappelle les propositions de la Russie aux partenaires occidentaux sur l’instauration de la confiance et la construction d’un système de sécurité collective. En décembre de l’année dernière, elles ont une fois de plus été simplement écartées.
Mais dans le monde d’aujourd’hui, rester assis n’est pas une option. Ceux qui sèment le vent récolteront, comme on dit, la tempête. La crise est vraiment devenue mondiale, elle touche tout le monde. Il ne faut pas se faire d’illusions.
L’humanité a maintenant essentiellement deux choix : soit continuer à accumuler les problèmes qui nous anéantiront inévitablement, soit essayer de trouver ensemble des solutions, certes imparfaites, mais réalisables et susceptibles de rendre notre monde plus stable et plus sûr.
Vous savez, j’ai toujours cru et je continue de croire au pouvoir du bon sens. Je suis donc convaincu que, tôt ou tard, les nouveaux centres de l’ordre mondial multipolaire et l’Occident devront commencer à parler d’un avenir commun pour nous, sur un pied d’égalité, et le plus tôt sera le mieux. Dans ce contexte, je voudrais souligner quelques points importants pour nous tous.
Les événements actuels ont éclipsé les questions environnementales – curieusement, c’est par là que je voudrais commencer. Les questions relatives au changement climatique ne sont plus en tête des priorités. Mais ces défis fondamentaux n’ont pas disparu, ils ne vont nulle part, ils ne font que croître.
L’une des conséquences les plus dangereuses du dérèglement écologique est la réduction de la biodiversité dans la nature. Et j’en viens maintenant au sujet principal pour lequel nous sommes tous réunis : l’autre diversité – culturelle, sociale, politique, civilisationnelle – est-elle moins importante ?
Dans le même temps, la réduction, l’effacement de toutes les différences est devenu presque l’essence de l’Occident moderne. Qu’est-ce qui se cache derrière cette réduction ? C’est d’abord la disparition du potentiel créatif de l’Occident lui-même et la volonté de freiner, de bloquer le libre développement des autres civilisations.
Bien sûr, il y a là aussi un intérêt mercantile direct : en imposant leurs valeurs, leurs stéréotypes de consommation, leur uniformisation, nos adversaires – je les appellerai ainsi sans ambages – tentent d’élargir les marchés de leurs produits. Tout est très primitif à la fin sur ce morceau. Ce n’est pas un hasard si l’Occident prétend que sa culture et sa vision du monde doivent être universelles. S’ils ne le disent pas directement – bien qu’ils le disent souvent aussi directement – mais s’ils ne le disent pas directement, ils se comportent et insistent sur le fait que, par le jeu de la vie, leurs politiciens insistent sur le fait que ces mêmes valeurs doivent être acceptées inconditionnellement par tous les autres participants aux interactions internationales.
Voici une citation du célèbre discours d’Alexandre Soljenitsyne à Harvard. En 1978, il notait que l’Occident était caractérisé par un “aveuglement persistant de supériorité” – qui perdure encore aujourd’hui – qui “soutient l’idée que toutes les vastes régions de notre planète devraient se développer et être dominées par les systèmes occidentaux actuels…”. 1978. Rien n’a changé.
Au cours du dernier demi-siècle, cet aveuglement dont parlait Soljenitsyne – de nature ouvertement raciste et néocoloniale – est devenu tout simplement hideux, surtout depuis que le monde dit unipolaire a vu le jour. Que voulez-vous que je réponde à ça ? La confiance en son infaillibilité est un état très dangereux : il n’y a qu’un pas à franchir pour que les « infaillibles » eux-mêmes puissent simplement détruire ceux qu’ils n’aiment pas. Comme on dit, « effacer » – réfléchissons au moins à la signification de ce mot.
Même au plus fort de la guerre froide, au plus fort de la confrontation des systèmes, des idéologies et des rivalités militaires, il n’est venu à l’idée de personne de nier l’existence même de la culture, de l’art et de la science de ses adversaires. Cela n’a effleuré personne ! Oui, certaines restrictions ont été imposées aux relations éducatives, scientifiques, culturelles et, malheureusement, également aux relations sportives. Néanmoins, les dirigeants soviétiques et américains de l’époque ont compris que la sphère humanitaire devait être traitée avec délicatesse, en étudiant et en respectant l’adversaire et en lui empruntant parfois quelque chose afin de préserver, au moins pour l’avenir, une base de relations raisonnables et fructueuses.
Et que se passe-t-il maintenant ? Les nazis en étaient venus à brûler des livres en leur temps, et maintenant, les « libéraux et progressistes » occidentaux en sont arrivés à interdire Dostoïevski et Tchaïkovski. La soi-disant culture de l’effacement, mais qui est en fait – nous en avons déjà parlé à plusieurs reprises – une véritable suppression de la culture, prive de toute vie et de toute créativité et ne permet pas à la libre pensée de se développer dans aucun domaine : ni en économie, ni en politique, ni en culture.
L’idéologie libérale elle-même a changé au point d’être méconnaissable aujourd’hui. Alors que le libéralisme classique comprenait à l’origine la liberté de chacun comme la liberté de dire ce que l’on veut, de faire ce que l’on veut, dès le XXe siècle, les libéraux ont commencé à dire que la société dite ouverte avait des ennemis – il s’avère que la société ouverte a des ennemis – et que la liberté de ces ennemis peut et doit être restreinte, voire abolie. Ils ont maintenant atteint le point d’absurdité où tout point de vue alternatif est déclaré comme de la propagande subversive et une menace pour la démocratie.
Tout ce qui sort de Russie est un « complot du Kremlin ». Mais regardez-vous ! Sommes-nous vraiment si tout-puissants ? Toute critique de nos adversaires – toute ! – est perçu comme un « complot du Kremlin », « la main du Kremlin ». C’est absurde. Qu’est-ce qui vous est arrivé ? Utilisez votre cerveau, exprimez quelque chose de plus intéressant, présentez votre point de vue d’une manière plus conceptuelle. Vous ne pouvez pas tout mettre sur le compte des intrigues du Kremlin.
Tout ceci a été prophétiquement prédit par Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski au XIXe siècle. L’un des personnages de son roman Les Possédés, le nihiliste Chigaliov, a décrit l’avenir radieux qu’il imaginait : « Je quitte une liberté sans limites pour aboutir à un despotisme sans limites », ce qui, soit dit en passant, est ce à quoi nos adversaires occidentaux ont fini par adhérer. L’autre personnage du roman, Piotr Verkhovenski, lui fait écho en déclarant que la trahison, la délation et l’espionnage sont nécessaires partout, que la société n’a pas besoin de talents et de capacités supérieures : « Cicéron a la langue coupée, Copernic a les yeux crevés, Shakespeare est lapidé à mort ». Voilà où en sont nos adversaires occidentaux. Qu’est-ce que c’est, sinon une culture occidentale moderne de l’effacement ?
Les penseurs étaient grands, et je suis reconnaissant, je vais être honnête, à mes assistants qui ont trouvé ces citations.
Que pouvons-nous répondre à cela ? L’histoire remettra sûrement tout à sa place et annulera non pas les plus grandes œuvres des génies universellement reconnus de la culture mondiale, mais ceux qui, aujourd’hui, pour une raison quelconque, ont décidé qu’ils avaient le droit de disposer de cette culture mondiale à leur guise. La vanité de tels personnages est hors norme, comme on dit, mais dans quelques années, personne ne se souviendra de leur nom. Et Dostoïevski survivra, tout comme Tchaïkovski et Pouchkine, n’en déplaise à certains.
Le modèle occidental de mondialisation, néocolonial par essence, était également fondé sur l’unification, sur le monopole financier et technologique, sur l’effacement de toutes les différences. La tâche était claire : renforcer la domination inconditionnelle de l’Occident dans l’économie et la politique mondiales et, pour ce faire, mettre à son service les ressources naturelles et financières, les capacités intellectuelles, humaines et économiques de la planète entière, à la sauce de la soi-disant nouvelle interdépendance mondiale.
Je voudrais ici évoquer un autre philosophe russe – Alexandre Alexandrovitch Zinoviev, dont nous célébrerons le centenaire dans quelques jours à peine, le 29 octobre. Il y a plus de 20 ans, il a déclaré que pour la survie de la civilisation occidentale au niveau atteint par celle-ci, « la planète entière en tant qu’environnement d’existence est nécessaire, toutes les ressources de l’humanité sont nécessaires ». C’est ce à quoi ils prétendent, tout ce qu’il y a.
De plus, dans ce système, l’Occident a d’abord pris une énorme avance, car il a développé ses principes et ses mécanismes – comme aujourd’hui ces principes dont on parle sans cesse et qui sont un incompréhensible « trou noir » : ce qu’il est – personne ne le sait. Mais dès que non pas les pays occidentaux mais d’autres États ont commencé à bénéficier de la mondialisation, et nous parlons bien sûr en premier lieu des grands États asiatiques, l’Occident a immédiatement modifié ou annulé de nombreuses règles. Et les principes dits sacrés du libre-échange, de l’ouverture économique, de l’égalité de concurrence, voire du droit de propriété, ont été soudainement et complètement oubliés. Dès que quelque chose devenait rentable pour eux, ils changeaient les règles à la volée, au fur et à mesure de la partie.
Ou un autre exemple de la substitution de concepts et de significations. Pendant des années, les idéologues et les politiciens occidentaux ont répété au monde entier qu’il n’y avait pas d’alternative à la démocratie. Il est vrai qu’ils parlaient du modèle occidental, dit libéral, de démocratie. Ils ont rejeté toutes les autres variantes et formes de démocratie avec mépris et – je tiens à le noter – du bout des lèvres, avec arrogance. Cette façon de faire s’est structurée depuis longtemps, depuis l’époque coloniale : le reste du monde est considéré comme des personnes de seconde catégorie et seuls eux-mêmes sont exceptionnels. Il en a été ainsi pendant des siècles et cela continue encore aujourd’hui.
Mais aujourd’hui, la grande majorité de la communauté mondiale exige la démocratie dans les affaires internationales et n’accepte aucune forme de diktat autoritaire de pays individuels ou de groupes d’États. Qu’est-ce que c’est, sinon l’application directe des principes de la démocratie au niveau des relations internationales ?
Et quelle est la position de l’Occident “civilisé” – entre guillemets – ? Si vous êtes démocrates, vous devriez apparemment accueillir favorablement ce désir naturel de liberté pour des milliards de personnes – mais non ! L’Occident appelle cela la mise à mal de l’ordre libéral, fondé sur des règles, lance des guerres économiques et commerciales, des sanctions, des boycotts, des révolutions de couleur, prépare et mène toutes sortes de coups d’État.
L’un d’eux a conduit aux conséquences tragiques en Ukraine en 2014 – ils l’ont soutenu, disant même combien d’argent a été dépensé pour le coup d’État. De manière générale, ils sont juste fous, ils n’ont honte de rien. Ils ont tué Soleimani, un général iranien. Vous pouvez traiter Soleimani comme vous voulez, mais c’était un représentant officiel d’un autre pays ! Ils l’ont tué sur le territoire d’un pays tiers et ont dit : oui, nous l’avons fait. De quoi s’agit-il ? Où vivons-nous ?
Washington, comme à son habitude, continue de qualifier l’ordre mondial actuel de libéral américain, mais en fait, chaque jour, ce fameux “ordre” amplifie le chaos et, j’ajouterais, devient de plus en plus intolérant envers les pays occidentaux eux-mêmes, envers leurs tentatives de faire preuve d’une quelconque indépendance. Tout est supprimé jusqu’à la racine, et des sanctions sont imposées à leurs propres alliés – sans honte ! Et ces derniers acceptent tout, la tête baissée.
Par exemple, les propositions des parlementaires hongrois en juillet visant à inscrire dans le traité de l’UE un engagement en faveur des valeurs et de la culture chrétiennes européennes n’ont même pas été perçues comme une fronde, mais comme un sabotage hostile direct. Qu’est-ce que c’est ? Comment le comprendre ? Oui, certains peuvent aimer ça, d’autres non.
En Russie, une culture unique d’interaction entre toutes les religions du monde s’est développée depuis plus de mille ans. Il n’y a pas besoin d’effacer quoi que ce soit : ni les valeurs chrétiennes, ni les valeurs islamiques, ni les valeurs juives. D’autres religions du monde sont présentes dans notre pays. Nous devrions simplement nous traiter mutuellement avec respect. Dans de nombreuses régions de notre pays – je le sais de première main – les gens sortent ensemble, célèbrent les fêtes chrétiennes, islamiques, bouddhistes et juives, et le font avec enthousiasme, se félicitant et se congratulant les uns les autres.
Mais pas ici. Pourquoi pas ? Au moins, on en parlerait. Incroyable !
Tout ceci est sans exagération non pas même une crise systémique mais une crise doctrinale du modèle néo-libéral d’ordre mondial à l’américaine. Ils n’ont aucune idée de création et de développement positif, ils n’ont tout simplement rien à offrir au monde, si ce n’est la préservation de leur domination.
Je suis convaincu que la véritable démocratie dans un monde multipolaire présuppose avant tout la possibilité pour toute nation, je tiens à le souligner, toute société, toute civilisation de choisir sa propre voie, son propre système socio-politique. Si les États-Unis et l’Union européenne ont ce droit, les pays asiatiques, les États islamiques, les monarchies du golfe Persique et les États des autres continents l’ont aussi. Bien sûr, notre pays, la Russie, a également ce droit, et personne ne pourra jamais dicter à notre peuple quel type de société nous devons construire et sur quels principes.
La menace directe pour le monopole politique, économique et idéologique de l’Occident est que des modèles sociaux alternatifs peuvent émerger dans le monde – plus efficaces, je tiens à le souligner, plus efficaces dans le monde d’aujourd’hui, plus brillants, plus attrayants que ce que nous avons. Mais de tels modèles vont se développer – c’est inévitable. D’ailleurs, les politologues américains, les experts, ils écrivent précisément à ce sujet. Il est vrai que les autorités ne les écoutent pas encore beaucoup, même si elles ne peuvent s’empêcher de voir ces idées exprimées dans les pages des revues de sciences politiques et dans les débats.
Le développement doit se faire dans le cadre du dialogue des civilisations, sur la base de valeurs spirituelles et morales. Oui, les différentes civilisations ont une compréhension différente de l’homme, de sa nature – elle n’est souvent différente qu’en apparence, mais toutes reconnaissent la dignité suprême et l’essence spirituelle de l’homme. Et ce qui est extrêmement important, c’est le terrain commun, la base commune sur laquelle nous pouvons certainement construire, et devons construire, notre avenir.
Qu’est-ce que je veux souligner ici ? Les valeurs traditionnelles ne sont pas un ensemble fixe de postulats auxquels tout le monde devrait adhérer. Bien sûr que non. Elles se distinguent des valeurs dites néolibérales en ce qu’elles sont uniques dans chaque cas, car elles sont issues de la tradition d’une société particulière, de sa culture et de son expérience historique. Par conséquent, les valeurs traditionnelles ne peuvent être imposées à quiconque – elles doivent simplement être respectées, en chérissant ce que chaque nation a choisi depuis des siècles.
Telle est notre conception des valeurs traditionnelles, et cette approche est partagée et acceptée par la majorité de l’humanité. Les sociétés traditionnelles d’Orient, d’Amérique latine, d’Afrique et d’Eurasie constituent la base de la civilisation mondiale.
Le respect des spécificités des peuples et des civilisations est dans l’intérêt de tous. En fait, c’est aussi dans l’intérêt de ce que l’on appelle l’Occident. Perdant sa suprématie, il devient rapidement une minorité sur la scène mondiale. Et bien sûr, le droit de cette minorité occidentale à sa propre identité culturelle, bien sûr, je tiens à le souligner, doit être garanti, il doit être traité avec respect, mais, je tiens à le souligner, sur un pied d’égalité avec les droits de tous les autres.
Si les élites occidentales croient qu’elles pourront introduire dans l’esprit de leurs peuples, de leurs sociétés, de nouvelles tendances étranges, à mon avis, comme des dizaines de genres et des défilés de la gay pride, alors qu’il en soit ainsi. Laissez-les faire ce qu’ils veulent ! Mais ce qu’ils n’ont pas le droit de faire, c’est d’exiger que les autres suivent la même direction.
Nous pouvons constater que les pays occidentaux connaissent des processus démographiques, politiques et sociaux complexes. Bien sûr, il s’agit d’une affaire interne pour eux. La Russie n’intervient pas dans ces affaires et n’a pas l’intention de le faire – contrairement à l’Occident, nous ne nous mêlons pas des affaires des autres. Mais nous espérons que le pragmatisme prévaudra et que le dialogue de la Russie avec l’Occident authentique et traditionnel, ainsi qu’avec d’autres centres de développement égalitaire, sera une contribution importante à la construction d’un ordre mondial multipolaire.
Je voudrais ajouter que la multipolarité est une réelle chance, et en fait, la seule chance pour cette même Europe de restaurer sa souveraineté politique et économique. Certes, nous comprenons tous, et c’est ce qu’on dit en Europe : aujourd’hui, la souveraineté juridique de l’Europe est – comment dire gentiment, pour ne froisser personne – sévèrement limitée.
Le monde est intrinsèquement diversifié et les tentatives de l’Occident de faire entrer tout le monde dans un modèle unique sont objectivement vouées à l’échec.
L’aspiration arrogante au leadership mondial, ou en fait au diktat, ou au maintien du leadership par le diktat, entraîne en fait un déclin de l’autorité internationale des dirigeants du monde occidental, y compris les États-Unis, et un manque croissant de confiance dans leur capacité à négocier en général. Un jour ils disent une chose et le lendemain une autre ; ils signent des documents et le lendemain ils refusent de les signer ; ils font ce qu’ils veulent. Il n’y a aucune stabilité dans quoi que ce soit. On ne sait absolument pas comment les documents sont signés, ce qui a été dit, ce que l’on peut espérer.
Alors qu’autrefois seuls quelques pays se permettaient d’argumenter avec l’Amérique et que cela faisait presque sensation, il est désormais courant que divers pays refusent les exigences infondées de Washington, même si celle-ci tente toujours de bousculer tout le monde. Une politique absolument erronée, qui ne mène nulle part, tout simplement. Laissez-les faire, c’est aussi leur choix.
Je suis convaincu que les peuples du monde ne fermeront pas les yeux sur une politique de coercition qui s’est discréditée, et chaque fois que l’Occident tentera de maintenir son hégémonie, il devra payer un prix de plus en plus élevé. Si j’étais ces élites occidentales, je me pencherais sérieusement sur une telle perspective, tout comme certains politologues et politiciens aux États-Unis eux-mêmes l’envisagent, comme je l’ai déjà dit.
Dans le climat actuel de conflit violent, je vais dire certaines choses sans détour. La Russie, en tant que civilisation indépendante et distincte, n’a jamais considéré et ne se considère pas comme un ennemi de l’Occident. L’américanophobie, l’anglophobie, la francophobie, la germanophobie sont des formes de racisme au même titre que la russophobie et l’antisémitisme – de même que toutes les manifestations de xénophobie.
Il faut simplement bien comprendre qu’il y a, comme je l’ai déjà dit, deux Occidents, au moins deux, ou peut-être plus, mais au moins deux : l’Occident des valeurs traditionnelles, tout d’abord chrétiennes, de la liberté, du patriotisme, de la richesse culturelle, et maintenant aussi des valeurs islamiques, parce qu’une partie importante de la population de nombreux pays occidentaux professe l’islam. Cet Occident est proche de nous dans un certain sens, à bien des égards nous avons des racines communes, voire ancestrales. Mais il existe un autre Occident – agressif, cosmopolite, néocolonial, agissant comme un outil pour les élites néolibérales. Bien sûr, la Russie ne supportera jamais les diktats de cet Occident.
En 2000, après mon élection à la présidence, ce à quoi j’ai été confronté, je m’en souviendrai toujours – souvenez-vous du prix que nous avons payé pour détruire le nid de terroristes dans le Caucase du Nord, que l’Occident soutenait presque ouvertement à l’époque. Tous les adultes ici, la plupart d’entre vous présents dans cette salle comprennent ce dont je parle. Nous savons que c’est exactement ce qui s’est passé dans la pratique : soutien financier, politique et informationnel. Nous l’avons tous vécu.
En outre, [l’Occident] a non seulement soutenu activement les terroristes sur le territoire russe, mais a aussi, à bien des égards, entretenu cette menace. Nous le savons. Néanmoins, une fois que la situation s’est stabilisée et que les principales bandes terroristes ont été vaincues, notamment grâce au courage du peuple tchétchène, nous avons décidé de ne pas revenir en arrière, de ne pas jouer les offensés, d’aller de l’avant, de nouer des relations même avec ceux qui travaillaient réellement contre nous, d’établir et de développer des relations avec tous ceux qui le souhaitaient, sur la base d’un bénéfice mutuel et du respect de l’autre.
On pensait que c’était dans l’intérêt commun. La Russie, Dieu merci, a survécu à toutes les difficultés de cette époque, a résisté, s’est renforcée, a fait face au terrorisme interne et externe, a préservé son économie, a commencé à se développer et sa capacité de défense a commencé à s’améliorer. Nous avons essayé d’établir des relations avec les principaux pays occidentaux et avec l’OTAN. Le message était le même : cessons d’être des ennemis, vivons ensemble en tant qu’amis, engageons le dialogue, instaurons la confiance et, partant, construisons la paix. Nous étions absolument sincères, je tiens à le souligner, nous avions bien compris la complexité de ce rapprochement, mais nous nous dirigions vers cela.
Et qu’avons-nous obtenu en réponse ? Nous avons, en somme, reçu un “non” dans tous les principaux domaines de coopération possible. Nous avons reçu une pression toujours plus forte sur nous et la création de foyers de tension près de nos frontières. Et quel est, si je puis me permettre, le but de cette pression ? Qu’est-ce que c’est ? C’est juste pour s’entraîner ? Bien sûr que non. L’objectif est de rendre la Russie plus vulnérable. L’objectif est de faire de la Russie un outil pour atteindre leurs propres objectifs géopolitiques.
En fait, il s’agit d’une règle universelle : chacun est transformé en outil pour utiliser ces outils à ses propres fins. Et ceux qui ne se soumettent pas à cette pression, qui ne veulent pas être un tel outil – des sanctions sont introduites contre eux, toutes sortes de restrictions économiques leur sont imposées et contre eux, des coups d’État sont préparés ou, lorsque c’est possible, réalisés et ainsi de suite. Et au final, si rien ne peut être fait, l’objectif est le même : détruire, rayer de la carte politique. Mais il n’a pas été et ne sera jamais possible de déployer et de mettre en œuvre un tel scénario à l’égard de la Russie.
Que pourrais-je ajouter ? La Russie ne défie pas les élites de l’Occident – elle défend simplement son droit d’exister et de se développer librement. En même temps, nous ne deviendrons pas nous-mêmes un nouvel hégémon. La Russie ne propose pas de remplacer l’unipolarité par la bipolarité, la tripolarité et ainsi de suite, la domination occidentale par la domination de l’Est, du Nord ou du Sud. Cela conduirait inévitablement à une nouvelle impasse.
Et ici, je veux citer les paroles du grand philosophe russe Nikolaï Yakovlevitch Danilevski, qui croyait que le progrès ne consiste pas à aller dans une seule direction, comme certains de nos adversaires nous poussent à le faire – dans ce cas, le progrès cesserait rapidement, dit Danilevski – mais à « parcourir tout le champ, qui constitue le champ d’activité historique de l’humanité, dans toutes les directions ». Et il ajoute qu’aucune civilisation ne peut se vanter de représenter le point le plus élevé du développement.
Je suis convaincu seul le libre développement des pays et des peuples, peut s’opposer à la dictature, que seul l’amour envers l’être humain comme envers le Créateur peut s’opposer à la dégradation des individus, et que seule la complexité épanouie des cultures et des traditions peut s’opposer à l’uniformisation et aux interdits primitifs.
La signification du moment historique d’aujourd’hui est précisément que devant toutes les civilisations, tous les États et leurs associations d’intégration, il existe effectivement des possibilités de développement propre, démocratique et original. Et surtout, nous croyons que le nouvel ordre mondial doit être fondé sur le droit et la loi, être libre, particulier et juste.
Ainsi, l’économie et le commerce mondiaux doivent devenir plus justes et plus ouverts. La Russie considère la formation de nouvelles plates-formes financières internationales comme inévitable, y compris pour les paiements internationaux. Ces plateformes devraient se situer en dehors des juridictions nationales, être sécurisées, dépolitisées, automatisées et ne dépendre d’aucun centre de contrôle unique. Est-ce possible ou non ? Bien sûr que c’est possible. Cela demandera beaucoup d’efforts, les efforts combinés de nombreux pays, mais c’est possible.
Cela éliminerait la possibilité d’abus de la nouvelle infrastructure financière mondiale et permettrait un traitement efficace, rentable et sûr des transactions internationales sans le dollar et les autres monnaies dites de réserve. D’autant plus qu’en utilisant le dollar comme une arme, les Etats-Unis et l’Occident en général ont discrédité l’institution des réserves financières internationales. Elles ont d’abord été dévaluées par l’inflation du dollar et de la zone euro, puis – d’un coup de patte – ils ont fait main basse sur nos réserves internationales.
Le passage aux monnaies nationales va activement gagner du terrain – inévitablement. Cela dépend, bien sûr, de l’état des émetteurs de ces monnaies, de l’état de leurs économies, mais elles vont se renforcer, et ces transactions vont certainement devenir progressivement dominantes. C’est la logique de la politique économique et financière souveraine dans un monde multipolaire.
En outre. Aujourd’hui, les nouveaux centres de développement mondial possèdent déjà des technologies et des développements scientifiques uniques dans toute une série de domaines et, dans de nombreux secteurs, peuvent concurrencer avec succès les entreprises multinationales occidentales.
Il est évident que nous avons un intérêt commun, tout à fait pragmatique, pour un échange scientifique et technologique équitable et ouvert. Ensemble, chacun en profitera davantage que séparément. Les bénéfices devraient revenir à la majorité, et non à des sociétés individuelles super riches.
Comment cela se passe-t-il aujourd’hui ? Si l’Occident vend des médicaments ou des semences de cultures vivrières à d’autres pays, il ordonne de tuer les produits pharmaceutiques et les élevages nationaux, en fait, dans la pratique, tout se résume à cela ; s’il fournit des machines et des équipements, il détruit l’industrie mécanique locale. Lorsque j’étais Premier ministre, je l’ai compris : dès que vous ouvrez le marché pour un certain groupe de produits, c’est fini, le producteur local « coule », et il est presque impossible de relever la tête. C’est ainsi que se construisent les relations. C’est ainsi que les marchés et les ressources sont accaparés, que les pays sont privés de leur potentiel technologique et scientifique. Ce n’est pas un progrès, mais un asservissement, la réduction des économies à un niveau primitif.
Le développement technologique ne doit pas exacerber les inégalités mondiales, mais les réduire. C’est ainsi que la Russie a traditionnellement mis en œuvre sa politique technologique étrangère. Par exemple, en construisant des centrales nucléaires dans d’autres États, nous y créons simultanément des centres de compétence, nous formons du personnel national – nous créons une industrie, nous ne nous contentons pas de construire une entreprise, nous créons une industrie entière. En fait, nous donnons à d’autres pays la possibilité de réaliser une véritable percée dans leur développement scientifique et technologique, de réduire les inégalités et d’amener leur secteur énergétique à un nouveau niveau d’efficacité et de respect de l’environnement.
Permettez-moi de le souligner une fois de plus : la souveraineté, le développement autonome ne signifient en aucun cas l’isolement, l’autarcie, mais au contraire, cela implique une coopération active et mutuellement bénéfique sur des principes justes et équitables.
Si la mondialisation libérale est la dépersonnalisation, l’imposition du modèle occidental au monde entier, l’intégration, au contraire, est le déblocage du potentiel de chaque civilisation au profit de l’ensemble, au profit de tous. Si le mondialisme est un diktat, c’est à cela que tout se résume en fin de compte, l’intégration est le développement conjoint de stratégies communes bénéfiques pour tous.
Dans ce contexte, la Russie estime qu’il est important de lancer activement des mécanismes de création de grands espaces fondés sur l’interaction de pays voisins dont l’économie, le système social, la base de ressources et les infrastructures se complètent. Ces vastes espaces, par essence, constituent la base d’un ordre mondial multipolaire – une base économique. De leur dialogue naît la véritable unité de l’humanité, qui est beaucoup plus complexe, diverse et multidimensionnelle que dans les idées simplistes de certains idéologues occidentaux.
L’unité du genre humain ne se construit pas par le « fais comme moi », « sois comme nous ». Elle est formée en tenant compte et en se fondant sur les opinions de tous, dans le respect de l’identité de chaque société et nation. C’est le principe sur lequel une interaction à long terme dans un monde multipolaire peut se développer.
À cet égard, nous devrions peut-être aussi réfléchir à la manière dont la structure des Nations unies, y compris son Conseil de sécurité, pourrait refléter davantage la diversité des régions du monde. Après tout, le monde de demain dépendra beaucoup plus de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine qu’on ne le croit aujourd’hui, et une telle augmentation de leur influence est sans aucun doute positive.
Permettez-moi de vous rappeler que la civilisation occidentale n’est pas la seule, même dans notre espace eurasien commun. En outre, la majorité de la population est concentrée précisément à l’est de l’Eurasie – où sont apparus les foyers des plus anciennes civilisations de l’humanité.
La valeur et l’importance de l’Eurasie résident dans le fait que ce continent est un complexe autosuffisant qui possède des ressources gigantesques de toutes sortes et un potentiel énorme. Et plus nous nous efforçons d’accroître la connectivité de l’Eurasie, de créer de nouveaux moyens, de nouvelles formes de coopération, plus nous réalisons des progrès impressionnants.
Les activités réussies de l’Union économique eurasienne, la croissance rapide de l’autorité et de l’influence de l’Organisation de Coopération de Shanghai, les initiatives à grande échelle dans le cadre de l’initiative « Une ceinture, une route », les plans de coopération multilatérale pour la mise en œuvre du corridor de transport Nord-Sud et de nombreux autres projets dans cette partie du monde, j’en suis sûr, marquent le début d’une nouvelle ère, d’une nouvelle étape dans le développement de l’Eurasie. Les projets d’intégration ne se contredisent pas, mais se complètent, bien sûr, s’ils sont réalisés par les pays voisins dans leur propre intérêt, plutôt que d’être introduits par des forces extérieures pour diviser l’espace eurasien et le transformer en une zone de confrontation entre blocs.
Une partie intégrante de la Grande Eurasie pourrait être son extrémité occidentale, l’Europe. Cependant, nombre de ses dirigeants sont entravés par la conviction que les Européens sont meilleurs que les autres, qu’ils ne doivent pas participer à des entreprises sur un pied d’égalité avec les autres. Ils ne remarquent même pas qu’ils sont eux-mêmes devenus périphériques et qu’ils sont essentiellement devenus des vassaux, souvent sans droit de vote.
Chers collègues !
L’effondrement de l’Union soviétique a également détruit l’équilibre des forces géopolitiques. L’Occident s’est senti victorieux et a proclamé un ordre mondial unipolaire dans lequel seuls sa volonté, sa culture et ses intérêts avaient le droit d’exister.
La période historique de domination sans partage de l’Occident sur les affaires mondiales touche à sa fin, le monde unipolaire appartient au passé. Nous nous trouvons à un tournant historique. La décennie qui s’ouvre devant nous est peut-être la plus dangereuse, la plus imprévisible et la plus importante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’Occident est incapable de diriger seul l’humanité, mais il tente désespérément de le faire, et la plupart des nations du monde ne sont plus disposées à le supporter. C’est la contradiction majeure de la nouvelle ère. La situation est quelque peu révolutionnaire : les classes supérieures ne peuvent plus et les classes inférieures ne veulent plus vivre ainsi, selon les termes du classique.
Cet état de fait est lourd de conflits mondiaux ou d’une chaîne de conflits, ce qui constitue une menace pour l’humanité, y compris l’Occident lui-même. Résoudre de manière constructive cette contradiction est la tâche historique principale aujourd’hui.
Un changement de cap est un processus douloureux mais naturel et inévitable. Le futur ordre mondial prend forme sous nos yeux. Et dans cet ordre mondial, nous devons écouter tout le monde, tenir compte de tous les points de vue, de toutes les nations, de toutes les sociétés, de toutes les cultures, de tous les systèmes de visions du monde, d’idées et de croyances religieuses, sans imposer une seule vérité à quiconque, et seulement sur cette base, en comprenant notre responsabilité vis-à-vis du destin – le destin des peuples, de la planète – construire une symphonie de la civilisation humaine.
Je voudrais terminer ici en vous remerciant de la patience dont vous avez fait preuve en écoutant mon message.
Par Edward Snowden Arrêt sur info 02 novembre 2022
En 2013, un jeune homme de 29 ans, Edward Snowden, surprend le monde entier en révélant que le gouvernement des États-Unis poursuivait le projet secret de collecter toutes nos conversations téléphoniques, nos textos et nos emails. Afin de construire un système sans précédent de surveillance de masse capable de s’infiltrer dans la vie privée de chaque personne sur la planète. Six ans plus tard, Snowden révèle pour la première fois comment il a participé à la construction de ce système et ce qui l’a conduit à le dénoncer dans son autobiographie Mémoires vives.
Mémoires vives – Edward Snowden Les Éditions du Seuil publient, simultanément avec 20 autres éditeurs dans le monde, Mémoires vives, l’édition française du livre d’Edward J Snowden, Permanent record. L’ouvrage original est publié par Metropolitan books (Macmillan) aux Etats-Unis le 17 septembre 2019.
En 2013, un jeune homme de 29 ans surprend le monde entier en quittant la communauté du renseignement et en révélant que le gouvernement des États-Unis poursuit le projet secret de collecter toutes nos conversations téléphoniques, nos textos et nos emails. Ils veulent établir un système de surveillance de masse sans précédent, capable de s’infiltrer dans la vie privée de chaque personne sur la planète.
Il révèle pour la première fois dans ce livre son histoire, comment il a participé à la mise en place de ce système et la crise de conscience qui l’a conduit à la révéler au public.
« Edward J Snowden a décidé à l’âge de 29 ans de sacrifier son avenir personnel pour le bien de son pays, déclare John Sargent, président de Macmillan USA. Il a témoigné ainsi d’un courage immense, et, qu’on le veuille ou non c’est une fabuleuse histoire américaine. Il n’y a aucun doute que le monde est plus sûr et respectueux grâce à ce qu’il a fait. C’est une immense fierté pour Macmillan de publier Permanent record. »
Porté par une passion sans faille pour la vérité et une inébranlable sincérité, Mémoires vives est un témoignage exceptionnel, appelé à devenir un classique de notre temps.
Traduit par : Etienne Menanteau et Aurélien Blanchard
CAMECO SIGNE UN ACCORD D’APPROVISIONNEMENT EN URANIUM AVEC CHINA NUCLEAR INTERNATIONAL CORPORATION
par Business Wire Nov 8, 2022
SASKATOON, Saskatchewan--(BUSINESS WIRE)--Cameco (TSX: CCO; NYSE: CCJ) annonce avoir signé un accord d'approvisionnement en uranium avec la China Nuclear International Corporation, une filiale de la China National Nuclear Corporation (CNNC), un des plus grands exploitants d'énergie nucléaire du pays.
Finalisé plus tôt dans l'année, le contrat s'est inscrit dans le cadre de la China International Import Expo 2022.
"La Chine projette que l'énergie nucléaire jouera un rôle majeur dans son engagement à atteindre le zéro émission nette, et CNNC occupe une place grandissante dans cet effort", déclare Tim Gitzel, président et CEO de Cameco. "Cameco est ravi de continuer à renforcer sa contribution à la concrétisation des objectifs climatiques de la Chine."
Les clauses de l'accord d'approvisionnement sont commercialement confidentielles et ne seront pas divulguées publiquement. Les volumes contractuels comprennent une partie des 50 millions de livres que Cameco a ajoutés à son portefeuille de contrats d'uranium à long terme depuis le début de 2022.
Profil
Cameco est un des plus grands fournisseurs mondiaux de combustible d'uranium nécessaire pour alimenter en énergie un monde à l'air pur. Notre position concurrentielle se base sur le fait que nous détenons le contrôle des plus grandes réserves à haute teneur au monde, avec des opérations à faible coût. Les services publics du monde entier comptent sur nos produits de combustible nucléaire pour produire une énergie nucléaire sûre, fiable et zéro carbone. Nos actions sont négociées à la bourse de Toronto et à la bourse de New York. Notre siège social est situé à Saskatoon, dans la Saskatchewan.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts Demandes des investisseurs: Rachelle Girard 306-956-6403 rachelle_girard@cameco.com
Demandes des médias: Veronica Baker 306-385-5541 veronica_baker@cameco.com
Les pétroliers connaîtront la plus forte augmentation de la demande depuis des décennies
PAR TYLER DURDEN JEUDI 10 NOVEMBRE 2022 - 09:30 Par Julianne Geiger de OilPrice.com
Selon une nouvelle étude de Clarkson Research Services, Ltd., citée par Bloomberg, la demande de pétroliers transportant des produits pétroliers devrait grimper l'année prochaine à des niveaux jamais vus depuis trois décennies.
L'organisme de recherche prévoit que le nombre de tonnes-milles augmentera l'année prochaine de 9,5 %, la plus forte augmentation annuelle depuis 1993.
Tonnes-miles - le volume de fret multiplié par la distance parcourue par le fret - est une jauge courante utilisée par l'industrie du transport maritime.
Une partie de la raison de l'augmentation prévue de la demande de tonnes-miles de produits pétroliers est le changement d'itinéraires en raison des prochaines restrictions russes sur les exportations. La Russie devra rediriger les flux de produits bruts vers des acheteurs non impliqués dans le plafonnement des prix ou les sanctions, comme l'Asie, mais ce réacheminement devrait augmenter la distance parcourue par les cargaisons russes.
"Cela pourrait facilement être cinq ou six fois la distance et cela signifie que vous aurez besoin de beaucoup plus de navires pour transporter le même volume que vous avez importé auparavant", a déclaré Anders Redigh Karlsen, analyste chez Kepler Cheuvreux, à Bloomberg.
"Cela va stimuler la demande de camions-citernes."
En septembre, la compagnie maritime danoise Torm a déclaré à Bloomberg que "l'interdiction par l'UE des produits pétroliers russes à partir de février 2023 déclenchera un recalibrage de l'écosystème du commerce pétrolier. Une partie de ce recalibrage commercial a déjà commencé.
Un autre facteur concerne les nouvelles raffineries en Asie et au Moyen-Orient, qui devraient commencer à exporter.
Le marché des pétroliers connaît déjà une bonne année en termes de bénéfices, car les taux de transport de carburants raffinés sur les voyages à moyenne distance augmentent à des niveaux jamais vus depuis 2008.
La demande de pétroliers est en hausse depuis que l'UE a sanctionné la Russie, et les compagnies maritimes se sont démenées pour mettre la main sur des pétroliers de classe glace avant l'embargo. Peu de pétroliers ont été construits au cours des dernières années, et comme ce n'est pas quelque chose que l'industrie peut inverser du jour au lendemain, l'offre restera probablement limitée, ce qui augmentera le coût du transport du pétrole et des carburants.
La France forcée d'accepter le bateau de migrants d'une ONG après que le Premier ministre italien Meloni a refusé de reculer lors d'un appel avec Macron
PAR TYLER DURDEN JEUDI 10 NOVEMBRE 2022 - 08:00 Écrit par Thomas Brooke via Remix News,
Les 234 personnes à bord du navire Ocean Viking ont obtenu l'autorisation de débarquer à Marseille...
Un navire humanitaire d'une ONG transportant des centaines de migrants récupérés en Méditerranée a été autorisé à accoster dans le port français de Marseille après que le gouvernement italien nouvellement élu lui a refusé à plusieurs reprises l'autorisation de débarquer des passagers en Sicile.
Un appel a eu lieu mardi entre le Premier ministre italien Giorgia Meloni et le président français Emmanuel Macron, au cours duquel le premier a souligné l'approche intransigeante du gouvernement italien en matière d'immigration en des termes non équivoques ; cela a poussé le président français à autoriser l'amarrage de l'Ocean Viking, opéré par l'ONG SOS Méditerranée, en France.
Il y a actuellement 234 migrants à bord du navire, qui est ancré au large des côtes italiennes depuis plus de deux semaines en attendant un endroit sûr pour accoster.
Le gouvernement italien a autorisé ces derniers jours l'amarrage de navires humanitaires dans les ports italiens afin de permettre aux personnes vulnérables, à savoir les femmes, les enfants et les personnes souffrant de problèmes de santé, de débarquer. Les autorités italiennes ont alors ordonné aux capitaines de quitter le territoire italien avec un certain nombre d'hommes adultes toujours à bord, exhortant les navires à se rendre dans les pays responsables de l'exploitation des navires, dont l'Allemagne et la Norvège.
Dans un communiqué mardi, l'ONG SOS Méditerranée a critiqué la nouvelle approche du gouvernement italien, affirmant que "les lois maritimes et humanitaires ont été violées de manière flagrante en Sicile, avec la mise en place de processus de débarquement sélectifs et discriminatoires des personnes secourues par les navires des ONG Humanity 1 et Geo". Barents.
"Une telle mesure n'est pas conforme aux dispositions énoncées dans les conventions et résolutions maritimes et humanitaires internationales applicables", a déclaré Nicola Stalla, coordinateur de la recherche et du sauvetage à bord de l'Ocean Viking.
Meloni, cependant, ne s'est pas excusé dans un message Facebook publié tard mardi.
"En termes de sécurité et de lutte contre l'immigration clandestine, les Italiens se sont exprimés dans les urnes, choisissant notre programme et notre vision", a écrit le Premier ministre italien.
« Notre objectif est de défendre la légalité, la sécurité et la dignité de chaque personne. C'est pourquoi nous voulons mettre un terme à l'immigration clandestine, prévenir de nouveaux décès en mer et lutter contre les trafiquants d'êtres humains. Les citoyens nous ont demandé de défendre les frontières de l'Italie, et ce gouvernement ne trahira pas sa promesse », a-t-elle ajouté.
Des conversations ont eu lieu entre Meloni et Macron, ainsi qu'entre le ministre français de l'Intérieur Gérald Darmanin et son homologue italien Matteo Piantedosi, au cours desquelles "l'Italie est restée ferme sur sa position", selon l'agence de presse Ansa.
Selon la chaîne de télévision française BFMTV, Paris a dénoncé ce qu'il percevait comme un "comportement inacceptable" de la part des autorités italiennes et a finalement proposé le port de Marseille au navire de l'ONG pour décharger les personnes à bord.
Le plan du Forum économique mondial pour l'humanité et ce qui vient ensuite
Par Doug Casey Homme international 10 novembre 2022
International Man : Le Forum économique mondial (WEF) décrit sa mission comme « l'organisation internationale de coopération public-privé ».
Que pensez-vous du WEF et du pouvoir qu'il exerce ?
Doug Casey : « Organisation internationale de coopération public-privé » est une expression de code pour le fascisme économique, c'est-à-dire la fusion main dans la main du pouvoir politique de l'État avec le pouvoir économique des entreprises.
Des choses comme le WEF et d'autres ONG (organisations non gouvernementales), instituts et groupes de réflexion ont proliféré ces dernières années. Ce sont presque tous des parasites destructeurs de la société productive.
Presque tous sont d'orientation gauchiste, étatiste et collectiviste. Ils sont généralement peuplés d'intellectuels et d'universitaires et financés par des fondations exonérées d'impôt, généralement créées par des bienfaiteurs âgés intéressés à laisser un « héritage ».
Le WEF est de loin le plus réussi de la race. Au lieu de simplement verser des dons pour que les intellectuels puissent traîner et paraître prestigieux, en 1971, Klaus Schwab a formé un club où les riches et les puissants pouvaient discuter d'idées avec d'autres membres de la classe des seigneurs. Les types politiques et financiers pourraient trouver un foyer philosophique, déguisant la quête de l'argent et du pouvoir avec une patine de bienveillance. C'est devenu une organisation incroyablement grande et puissante. Ils comptent environ 800 employés à temps plein, dont la plupart sont très bien rémunérés. Ils disposent d'un budget annuel de plus de 300 millions de dollars. Leur bilan indique que le WEF vaut plus d'un milliard de dollars, financé par de grandes entreprises qui lui donnent des millions de dollars, tout comme divers gouvernements. La plupart des dirigeants politiques et des entreprises du monde en sont membres.
Schwab a été très intelligent pour avoir mis sur pied une organisation où les personnes les plus riches, les plus puissantes et les plus influentes du monde doivent payer des sommes énormes pour se présenter les unes aux autres et discuter de la façon dont elles peuvent devenir encore plus riches, plus puissantes et plus influentes. .
Il semble clair que les membres du WEF doivent suivre la ligne du parti ou être désinvités. Personne ne veut être excommunié du WEF ou coupé de toute association avec d'autres personnes riches et puissantes. Il est sûr de dire que les membres du WEF partagent une philosophie commune, qui est conforme à la weltanschauung de Schwab.
FWIW, je pense qu'il est mal que les entreprises publiques fassent des contributions politiques, caritatives ou autres. La raison d'être d'une société est de générer de l'argent pour ses actionnaires, pas de permettre à la direction de jouer les gros bonnets. Les dirigeants aiment souvent donner l'argent des actionnaires ; cela ne leur coûte rien, mais ils récoltent le prestige du don. Mieux vaut que l'argent soit distribué aux actionnaires pour qu'ils puissent en disposer comme ils l'entendent. Si tel était le cas, des groupes comme le WEF auraient beaucoup moins d'argent et de pouvoir. Et ne serait pas en mesure de promouvoir les idées pernicieuses qu'il fait.
Par exemple, il semblerait que Klaus Schwab soit à l'origine, ou du moins vulgarise, du terme « partie prenante ». Les parties prenantes croient que les entreprises sont tenues de traiter les employés, les clients, les résidents locaux et toute personne qui prétend être affectée par les affaires comme si elles avaient un droit sur ce qu'une entreprise produit. Les personnes qui s'identifient comme des parties prenantes se transforment facilement en moches et en sangsues. Schwab a également été l'un des premiers partisans des mouvements ESG (environnement, social et gouvernance) et DEI (diversité, équité et inclusion). Et le politiquement correct en général.
Avec autant d'argent, de pouvoir et d'influence que le WEF a, il est facile pour eux de préparer les nouveaux arrivants. Ils ont créé plusieurs sous-organisations pour les personnes de moins de 40 ans - où elles peuvent renforcer leur conviction que le monde devrait aller d'une certaine manière - sous la direction de personnes de type WEF.
Schwab doit être félicité pour avoir construit le WEF à partir de rien et s'être imposé comme l'une des personnes les plus puissantes au monde. Mais le WEF est une organisation dangereuse et méprisable. C'est essentiellement ce qu'on appelle un cornet de crème glacée auto-léchant - il ne sert à rien d'autre que de se perpétuer et de perpétuer ses membres.
International Man : Yuval Noah Harari est un conseiller clé du WEF.
Il est devenu célèbre lorsque les critiques et les éditeurs l'ont désigné comme un intellectuel public.
Quelle est votre opinion sur la montée de Harari ?
Doug Casey : Harari est un exemple parfait de la façon dont, lorsqu'une organisation comme le WEF s'immisce dans le dos de quelqu'un, elle peut le rendre riche, célèbre et influent. Ces gens se nourrissent tous et se grattent le dos.
International Man: Harari a fait plusieurs déclarations troublantes, notamment :
« Le Covid est critique car c'est ce qui convainc les gens d'accepter, de légitimer, la surveillance biométrique totale.
Nous voulons stopper cette pandémie. Nous ne devons pas seulement surveiller les gens, nous devons surveiller ce qui se passe sous leur peau.
Les gouvernements ne veulent pas seulement savoir où nous allons ou qui nous rencontrons. Ils veulent avant tout savoir ce qui se passe sous notre peau.
Doug Casey: Eh bien, il veut vraiment transformer le monde, et c'est plutôt intelligent la façon dont il propose de le faire.
Son livre Sapiens, que j'ai lu il y a environ 10 ans, est un résumé assez compétent de la façon dont les humains ont évolué au cours du Pléistocène au cours des 2,5 derniers millions d'années. Il ne fait aucune percée cosmique mais raconte une histoire fondamentalement correcte. Il explique comment la technologie a commencé à prendre vie et comment nous avons changé le monde. Et comment la technologie nous change maintenant au rythme de la loi de Moore. Assez juste.
Le problème réside dans ses projections sur comment et où les humains évolueront au cours des années à venir. En particulier, qui guidera cette évolution. Et si les choses continuent d'avancer au rythme où elles sont, il est probable que les machines s'intégreront aux humains.
Je n'y vois aucun problème. Si vous voulez volontairement remplacer des parties du corps par des pièces mécaniques - un nouveau genou, un nouveau cœur, être un homme à 6 millions de dollars - c'est merveilleux. En allant un peu plus loin, si vous pouvez mettre une puce dans votre cerveau et accéder instantanément à toutes les connaissances sur Internet sans passer par un ordinateur, cela pourrait être encore plus merveilleux, à l'exception du fait que le système de crédit social et les pirates auront accès à votre puce.
Le problème est que les gens du WEF pensent qu'ils savent ce qui est le mieux pour le reste de l'humanité. Et ils estiment que c'est pour le bien de tous qu'ils soient étroitement surveillés, contrôlés et guidés. Ils ont fait des déclarations selon lesquelles la plupart des gens sont des "mangeurs inutiles", ce qui est probablement vrai à ce stade. Ou ce sera le cas une fois que tout le monde recevra un revenu annuel garanti, suffisant pour les rassasier de toasts à l'avocat et de lattes à la vanille pendant qu'ils regardent des vidéos de chats au Starbucks local. Ils aimeraient vraiment se passer d'humains superflus et laisser l'élite prendre les rênes. Les humains qui resteraient équivaudraient à des serfs. Le WEF a dit: "Vous ne posséderez rien et serez heureux." Ils sont très audacieux.
C'est très troublant de voir comment ils parlent de guider l'avancée vers la prochaine étape de l'évolution humaine. Aussi pessimiste que je sois quant à l'état actuel du monde et à son évolution, je crois toujours en L'Ascension de l'Homme, mais je crois que cela ne peut se produire que si la liberté individuelle est maximisée. Du point de vue de la liberté personnelle, Harari parle en fait de régresser à l'époque féodale. Bien qu'une version plus gentille et plus douce, où des solons sages comme Klaus et Yuval sont aux commandes.
Autant que je sache, ses valeurs sont antithétiques à celles de la civilisation occidentale. Mais il est un porte-parole efficace pour convaincre les hoi polloi que leurs dirigeants ont à cœur leurs meilleurs intérêts. Et je suppose qu'ils le font. Au moins la façon dont un agriculteur a à cœur les meilleurs intérêts de son bétail laitier ou de boucherie.
International Man : Harari a souvent décrit un avenir totalitaire high-tech où une petite élite ayant accès aux dernières technologies évolue en différents êtres. Dans le même temps, la drogue et les jeux vidéo pacifient les masses jusqu'à leur éventuelle extinction.
Que pensez-vous de ce futur dystopique ? Est-ce inévitable ?
Doug Casey : Harari projette une certaine inévitabilité dans l'évolution de la technologie, et il a peut-être raison.
Cela ne me dérange pas de changer. Le progrès technologique rapide s'est accéléré au cours des 10 000 dernières années et, avec un peu de chance, deviendra hyperbolique avec l'évolution de la nanotechnologie, des ordinateurs, de la biotechnologie, de l'exploration spatiale, de la robotique et de l'intelligence artificielle. Ce sont toutes de bonnes choses.
La question est de savoir si ces choses seront imposées à l'humanité ou seront-elles quelque chose que les individus pourront adopter ou non à leur guise ? Pour moi, c'est la question éthique et morale essentielle.
Harari, et d'ailleurs, le reste de ces personnes du WEF, n'examinent jamais les questions éthiques ou morales.
Par exemple, Harari est très attaché au transgenre, dont il semble vouloir faire un cheval de bataille politique - où ce n'est pas seulement accepté comme une aberration psychologique, mais presque imposé à la société, que cela vous plaise ou non.
Il est végétalien. Je n'ai aucun problème à être végétalien. C'est juste qu'il veut imposer son point de vue sur la bonne façon de traiter les animaux (y compris absolument les humains) à tout le monde. Il est certain qu'il sait ce qui est le mieux pour tout le monde.
J'ai longtemps cru à l'arrivée de la Singularité, dont Ray Kurzweil a parlé en détail. Je pense que c'est une bonne chose. Le progrès technologique a toujours été une bonne chose, qu'il s'agisse de l'invention de la poudre à canon qui a permis à l'homme moyen de renverser ses dirigeants médiévaux, ou de l'imprimerie, qui a permis aux paysans d'accéder au savoir des classes dirigeantes.
Mais le problème est que les méchants prennent généralement le contrôle de la technologie en premier. Les pouvoirs en place utilisent la technologie pour imposer leur volonté aux petites gens jusqu'à ce que le chat sorte du sac.
Je suis tout à fait pour l'évolution rapide de la technologie, même si c'est très dangereux parce que les marchands de pouvoir, les méchants et les sbires de l'État l'obtiennent généralement en premier.
Du bon côté, je soupçonne que sous l'influence de Schwab et de son muchacho de mantequilla Harari, le WEF s'effondrera. Les serpents dans la fosse aux serpents finiront par se retourner. L'optimisme est justifié parce que les idées stupides sont toujours allées et venues à travers l'histoire. Le mal est généralement vaincu sur le long terme.
Le WEF promeut des idées destructrices à une époque dangereuse. Si vous appréciez la libre pensée, les esprits libres et les marchés libres, reconnaissez le WEF comme un ennemi.
(...) Le problème réside dans ses projections sur comment et où les humains évolueront au cours des années à venir. En particulier, qui guidera cette évolution. Et si les choses continuent d'avancer au rythme où elles sont, il est probable que les machines s'intégreront aux humains. (...)
Ceci est le mal, le point final à l'espèce humaine avec déjà l'inoculation (sur les plus cons du système) de nano-particules d'oxyde de graphène permettant un contrôle total du cerveau.
D'où les changements d'opinions politiques à venir où les inoculés se tourneront à 180 ° !
L'impérialisme américain créera-t-il intentionnellement une autre guerre mondiale ?
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 10 novembre 2022
Au cours des derniers mois, les États-Unis ont versé des milliards de dollars d'impôts à l'Ukraine, apparemment pour aider l'Ukraine à lutter pour la liberté et à préserver la démocratie. Ceci malgré le fait que l'Ukraine a longtemps été considérée comme l'un des pays les plus corrompus au monde, et le fait que personne ne sait où va réellement tout cet argent. En bref, toute l'opération semble être une couverture pour le blanchiment d'argent.
Mais l'ingérence de l'Amérique dans le conflit ukrainien révèle également qu'elle n'est pas disposée à renoncer à ses tendances impérialistes. Comme l'a noté l'animatrice du podcast "Bad Faith" Briahna Joy Gray dans la vidéo ci-dessus, l'administration Biden a déclaré à plusieurs reprises que notre mission est d'affaiblir la Russie, ce qui n'est PAS la même chose que d'aider l'Ukraine.
Curieusement, la gauche politique, historiquement anti-guerre, y est désormais totalement favorable. Dans son segment, Gray discute des attaques surprenantes des libéraux contre ceux qui appellent à la diplomatie. Gray, un démocrate, n'est pas satisfait des arguments de la gauche expliquant pourquoi les États-Unis devraient s'impliquer dans le conflit ukrainien.
Un argument avancé est que 500 enfants ukrainiens ont été expédiés en Russie – un crime humanitaire qui ne peut rester impuni. Mais il y a des enfants en grave danger partout dans le monde.
Jusqu'à ce que quelqu'un puisse expliquer de manière cohérente pourquoi les enfants ukrainiens sont plus importants que les enfants de toute autre région, Gray soupçonne que ce n'est qu'une autre excuse fragile pour cacher le fait que notre implication en Ukraine n'est rien de plus qu'une autre opération militaire pour faire avancer l'impérialisme américain.
La montée de l'impérialisme américain
Alors que les États-Unis ont été un phare d'espoir et de liberté depuis leur création, au fil du temps, un côté plus sombre et plus néfaste s'est également épanoui en cours de route.
Comme expliqué dans le rapport « Democracy Now ! vidéo ci-dessous, intitulée "Overthrow: 100 Years of U.S. Meddling and Regime Change", les États-Unis ont une longue histoire d'ingérence dans les affaires d'autres pays - contre la volonté des populations mêmes que nous prétendons avoir "sauvées".
Comme indiqué dans cette vidéo, "D'un point de vue, les États-Unis sont intervenus dans plus de 80 élections étrangères entre 1946 et 2000. Et cela ne compte pas les coups d'État et les invasions soutenus par les États-Unis."
L'ingérence des Amériques dans les élections étrangères a longtemps été rationalisée comme étant « pour une bonne cause », mais est-ce vraiment vrai ? Comment une nation qui prétend valoriser les processus démocratiques peut-elle saper ces mêmes processus dans d'autres pays et l'appeler la défense de la démocratie ?
L'Amérique ne paie que du bout des lèvres à la démocratie
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Hawaï, Cuba, les Philippines, le Nicaragua, Haïti, la République dominicaine, l'Iran, le Guatemala, l'Indonésie, le Congo, l'Irak et le Honduras ne sont que quelques exemples de pays qui ont été victimes de l'impérialisme américain. À plusieurs reprises, les États-Unis ont orchestré des coups d'État pour destituer des dirigeants démocratiquement élus – tout cela au nom de la « défense de la démocratie ».
Dans la vidéo, « Démocratie maintenant ! » interviewe l'ancien journaliste du New York Times Stephen Kinzer, auteur de plusieurs livres, dont "Overthrow: America's Century of Regime Change From Hawaii to Iraq" et "The True Flag".
Kinzer commence par décrire les circonstances entourant le renversement du Premier ministre iranien démocratiquement élu Mohammad Mossadegh en 1953. Mossadegh, dit Kinzer, voulait faire passer les intérêts de l'Iran et de son peuple avant les intérêts des États-Unis, et c'est ce qui a conduit à son enlèvement.
Surtout, avec le renversement réussi de Mossadegh, les États-Unis ne se sont pas seulement débarrassés de ce dirigeant démocratiquement élu. Il a définitivement détruit le processus démocratique en Iran. Comme l'a noté Kinzer :
"Ce n'était pas seulement une attaque contre une personne mais une attaque contre la démocratie, et la raison pour laquelle nous avons attaqué cette démocratie est que la démocratie a produit la mauvaise personne. Nous aimons les élections et les processus démocratiques, mais ils doivent produire les candidats que nous aimons. Sinon, notre approbation disparaît.
Surtout, Kinzer souligne que les «opérations d'influence» américaines dans d'autres pays, au fil du temps, non seulement finissent par détruire le pays cible, mais finissent également par nuire à la sécurité nationale des États-Unis eux-mêmes. Ainsi, l'impérialisme américain a eu un effet incroyablement négatif, dans l'ensemble, dans le monde entier - dont le moindre n'est pas la montée des dictatures à travers le monde.
L'ascension et la chute de la Ligue anti-impérialiste américaine
Dans le livre de Kinzer "The True Flag", il décrit l'histoire de la façon dont les États-Unis en sont venus à embrasser l'impérialisme, malgré son opposition aux valeurs américaines. En 1898, l'Anti-Imperialist League1 est fondée et devient une force majeure de la politique américaine. Il a fait pression contre l'impérialisme américain et l'intervention étrangère.
Son principal argument était que l'impérialisme violait les principes fondamentaux inhérents à un gouvernement républicain juste et, en tant que tel, nécessitait l'abandon des idéaux sur lesquels les États-Unis étaient fondés. Malheureusement, l'opinion publique majoritaire finit par se ranger du côté des impérialistes et la Ligue anti-impérialiste fut dissoute en 1920.
Contrôle de l'esprit et drogues d'assassinat introuvables
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La vidéo ci-dessus présente à nouveau Kinzer, cette fois parlant de son livre "Poisoner in Chief : Sidney Gottlieb and the CIA Search for Mind Control", qui décrit une autre partie peu connue et plus sombre que d'habitude de l'histoire des États-Unis.
Gottlieb a été décrit comme un "chimiste visionnaire" qui a travaillé pour la CIA - un "maître magicien et tortionnaire au cœur doux, l'"empoisonneur en chef" de l'agence". Gottlieb a dirigé le désormais tristement célèbre projet de contrôle mental MK-ULTRA de la CIA, qui comprenait " des expériences brutales dans des prisons secrètes sur trois continents. La principale base d'attache, cependant, était Fort Detrick.
Comme l'a expliqué Kinzer, l'objectif principal de MK-Ultra était de découvrir le secret du contrôle de l'esprit. Le travail de Gottlieb était si secret que très peu de personnes au sein de la CIA connaissaient même son existence, sans parler de ce sur quoi il travaillait.
Les sérums de vérité, les médicaments amnésiques et les potions conçus pour amener une personne à agir après avoir été programmé pour une tâche et avoir effacé la mémoire de la programmation faisaient tous partie de la boîte à outils que Gottlieb cherchait à développer.
L'initiateur de l'idée derrière MK-Ultra était alors le directeur adjoint de la CIA, Allen Dulles, qui a embauché Gottlieb en 1951.2 Dulles est devenu le premier directeur civil de la CIA, poste qu'il a occupé de 1953 à 1961.
Gottlieb a également développé une variété de médicaments utilisés par la CIA qui pourraient tuer ou mutiler sans laisser de trace. Ici, les cibles visées étaient les dirigeants étrangers désignés pour assassinat. En 2015, The Intercept a publié un article3,4 sur le comportement pathologique de Dulles et ses liens avec l'état profond.
La conférence de Kinzer est beaucoup trop longue pour être couverte ici, je vous encourage donc à l'écouter. C'est fascinant, bien qu'un peu en retrait du sujet principal de l'impérialisme américain. Mais je veux résumer deux des principales découvertes que Gottlieb a découvertes après une décennie des séances de torture les plus intenses et les plus grotesques jamais menées - avec l'approbation du gouvernement américain, rien de moins.
Premièrement, oui, il est possible de briser l'esprit humain. Et deuxièmement, non, il n'est pas possible d'insérer un nouvel esprit dans l'esprit que vous avez brisé. Dans le même ordre d'idées, il a conclu que vous ne pouvez pas programmer une personne pour assassiner quelqu'un et ensuite oublier qu'il l'a fait. En fin de compte, Gottlieb a conclu que le véritable contrôle de l'esprit est un mythe. Le fait que des personnes puissent être tuées à l'aide de drogues sans trace reste cependant un fait.
Les États-Unis cherchent-ils à intensifier la guerre en Ukraine ?
De nos jours, les États-Unis déploient toujours leurs muscles impérialistes, cette fois en cherchant apparemment à intensifier le conflit entre la Russie et l'Ukraine. Jeffrey Sachs, professeur à l'Université de Columbia5, économiste, analyste des politiques publiques et directeur du Centre pour le développement durable, dit avoir supplié la Maison Blanche de négocier la paix et de décourager l'Ukraine de rejoindre l'OTAN (voir la vidéo ci-dessus).
Ils ont refusé, disant que n'importe qui a le droit de rejoindre l'OTAN s'il le souhaite. Mais comme l'a astucieusement noté Sachs, il ne s'agit pas du « droit » de l'Ukraine à rejoindre l'OTAN, il s'agit de la menace qui fait peser sur ses voisins, la Russie en particulier.
La Russie a longtemps été très claire sur le fait qu'elle ne permettra pas à l'Ukraine de rejoindre l'OTAN, pour le simple fait qu'elle placerait une présence militaire de l'OTAN juste à sa frontière. La Russie veut que l'Ukraine reste une « zone tampon » indépendante entre elle et les pays de l'OTAN.
Les États-Unis accepteraient-ils que le Mexique forme une alliance militaire avec la Chine, installant des militaires chinois à notre frontière sud ? Sachs s'interroge. C'est hautement improbable, mais c'est pourtant ce qu'ils poursuivent en Ukraine.
Depuis l'entrée de la Russie en Ukraine, les États-Unis n'ont fait que pousser à l'escalade du conflit, au point que nous entendons maintenant des prédictions de guerre nucléaire. Pourquoi prendrions-nous de tels risques ? Prendre position pour le « droit » de l'Ukraine à rejoindre l'OTAN ? C'est au-delà de l'irrationnel, mais c'est là où nous en sommes.
La Russie accuse maintenant les gouvernements britannique et américain d'avoir intentionnellement fait exploser ses pipelines Nordstream 1 et 2, soi-disant sur la base d'informations trouvées par des pirates russes sur l'iPhone de l'ancienne Première ministre Liz Truss. Le Département d'État américain a nié ces allégations, les qualifiant de « sans fondement ». 6
Cependant, quelqu'un a fait sauter les pipelines - et ce n'était pas la faute de la Russie - ce qui est encore un autre effort intentionnel pour aggraver le conflit. De l'autre côté, il semble certainement que les États-Unis souhaitent une escalade nucléaire, et nous devrions être reconnaissants que Vladimir Poutine ait jusqu'à présent agi avec une extrême retenue en réponse à des actes de guerre non déclarés.
Nous avons besoin d'un nouveau leadership plus sain
Dans un discours liminaire à la conférence The American Conservative « Up From Chaos » fin mars 2022, l'entrepreneur et investisseur David Sacks a noté :7
« Nous sommes confrontés à la situation la plus dangereuse de la politique étrangère américaine depuis la crise des missiles de Cuba. Les Russes ont mis leur arsenal nucléaire en état d'alerte maximale et nous ont avertis de rester en dehors de leur invasion de l'Ukraine. Nos « experts » du gouvernement et des médias nous fournissent un flux d'informations oscillant entre la peur et l'arrogance pleine d'espoir :
Ils ne se soucient évidemment pas de maintenir leurs populations en vie et en bonne santé. Ils semblent plutôt vouloir se débarrasser du plus grand nombre de personnes possible, et une guerre dévastatrice accomplirait cela bien mieux que les tirs de COVID, qui laissent des preuves d'actes criminels et de soupçons dans leur sillage.
Les impérialistes - américains et autres - sont prêts à tout risquer pour faire naître leur dictature mondiale, et c'est ce qui les rend si dangereux. Comme Sachs, nous, le peuple, devons faire pression pour changer de cap. Une façon d'y parvenir est d'appeler nos représentants politiques à se battre pour des négociations de paix et à mettre fin aux tactiques d'escalade.
Sources and References
1 Loc.gov Anti-Imperialist League 2 Politico September 15, 2019 3 The Intercept November 2, 2015 4 The Intercept November 2, 2015 (Archived) 5 Twitter Sarah Abdallah October 3, 2022 6 Daily Mail November 1, 2022 7 The American Conservative April 8, 2022 8 The Last American Vagabond March 2, 2022 9 AIER February 17, 2022
Les puits du sud-ouest s'assèchent en raison de la sécheresse ; fermes appartenant à des étrangers utilisant l'eau des États-Unis pour nourrir le bétail destiné à l'exportation
Jeudi 10 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) La pire sécheresse en 1 200 ans fait rage dans le sud-ouest américain, qui est en proie à une surexploitation des eaux souterraines qui entraîne l'assèchement des puits.
Non seulement cela, mais les entreprises étrangères aspirent ce qui reste pour hydrater les champs qui font pousser des cultures pour le bétail à l'étranger, en laissant de moins en moins aux vrais Américains. (En relation: La crise ferroviaire cause également des problèmes pour l'agriculture dans le sud-ouest très sec.)
Par exemple, Al Dahra, basée aux Émirats arabes unis (EAU), possède des terres à Wenden, en Arizona, qui cultivent de la luzerne. L'entreprise extrait rapidement de l'eau d'un aquifère dans la zone qui est normalement immobile, mais qui se déplace maintenant en raison du volume d'eau extrait.
"Les gars du puits et moi n'avions jamais rien vu de tel auparavant", déclare Gary Saiter, un résident de longue date de la région et responsable du district d'amélioration de l'eau de Wenden. La ferme d'Al Dahra, dit-il, "pompe et aspire l'eau à travers l'aquifère".
Si le Sud-Ouest ne réprime pas les pays étrangers (principalement au Moyen-Orient) qui aspirent toute l'eau, tout va disparaître Selon le géohydrologue de l'Arizona Marvin Glotfelty, un expert en forage de puits, il est illégal de prélever de l'eau de l'Arizona et de l'exporter hors de l'État. Cependant, il existe des failles qui sont exploitées.
"Vous pouvez prendre de l'eau" virtuelle "et l'exporter : luzerne, coton, électricité ou tout ce qui est créé en partie à partir de l'utilisation de l'eau", dit-il.
Tant qu'une entreprise possède ou même loue simplement une propriété pour forer des puits en Arizona, l'eau peut être forée en quantités illimitées. Il n'y a que dans environ 20 % de l'État des lois pour réglementer cela d'une manière ou d'une autre - les 80 % restants sont un jeu pour tous.
Les aquifères plus profonds fonctionnent toujours bien, mais ce sont les puits moins profonds de certaines municipalités qui s'assèchent. À Salmone, par exemple, un service d'eau local qui dessert environ 200 clients, dont des écoles locales, « approche de la fin de sa vie utile ».
Wenden voit aussi des problèmes. La profondeur de l'eau, c'est-à-dire la profondeur sous la surface du dessus de la nappe phréatique, est passée d'environ 100 pieds à la fin des années 1950 à 540 pieds aujourd'hui. Le puits résidentiel moyen ne peut plus l'atteindre.
Les puits de la ville sont plus profonds et peuvent toujours accéder à cette eau, mais cela aussi devient de plus en plus problématique avec le temps. A terme, il ne sera pas non plus possible pour ceux-ci de puiser de l'eau.
Selon Holly Irwin, la superviseure du comté de La Paz, cela a été une bataille « frustrante » de plusieurs années pour tenter de limiter la surutilisation de l'eau dans toute la région. Elle dit que de nombreux habitants de la région se sentent "oubliés" car les entreprises agricoles du Moyen-Orient "ont épuisé leur [eau]".
"C'est ce qui irrite le plus les gens", aurait déclaré Irwin. "Nous devrions prendre soin des nôtres, et nous leur permettons simplement d'entrer, d'acheter une propriété et de continuer à percer des trous dans le sol."
Gardez à l'esprit que certains pays du Moyen-Orient, dont l'Arabie saoudite, n'autorisent même pas la culture de cultures gourmandes en eau comme la luzerne et le foin dans leur pays en raison de problèmes d'épuisement de l'eau. Ce pays et d'autres exploitent plutôt nos ressources parce qu'ils le peuvent.
Les entreprises saoudiennes posséderaient des milliers d'acres de terres en Arizona, en Californie et ailleurs qui sont utilisées pour cultiver des cultures pour nourrir les vaches laitières à la maison. Aucune de leurs opérations ne profite aux Américains de quelque manière que ce soit, à l'exception des propriétaires fonciers privés à qui leurs terres ont été achetées.
Bien que rien de tout cela ne soit techniquement illégal, cela est certainement préoccupant et mérite une enquête plus approfondie pour peut-être le rendre illégal dans l'intérêt de protéger les ressources naturelles de notre pays contre cette exploitation flagrante - en particulier dans des conditions de sécheresse record.
Des nouvelles plus connexes peuvent être trouvées sur WaterWars.news.
"Ce sont des dérogations pour les biens essentiels, donc pas exactement la même chose que la levée des sanctions", a noté un commentateur sur le fait qu'il reste encore un long chemin à parcourir pour sortir l'Occident du gâchis que l'OTAN et les États-Unis ont créé.
"Le reste de l'Europe ferait mieux de descendre du wagon de guerre UE / ONU", a ajouté un autre. "L'Allemagne en a terriblement besoin. BASF va probablement fermer. Trop cher à faire fonctionner. Les Allemands aiment les vraies voitures avec de vrais moteurs. Il est peu probable qu'ils adoptent les véhicules électriques et le nouveau pacte vert vole la merde.
Quelqu'un d'autre a souligné que les Pays-Bas ont toujours le problème de l'agenda «vert», qui détruit rapidement son secteur agricole autrefois florissant.
"Leurs fermes sont détruites pour que les populations immigrées prennent possession des terres, alors que le cheval blanc de l'ONU et des États-Unis déstabilise les nations pauvres pour inaugurer pleinement le MAINTENANT", a écrit cette personne. "Les Pays-Bas, l'Europe, les États-Unis et le Japon connaissent de graves problèmes à venir et actuels."
Enfin, un dernier commentateur a célébré ces premiers pas de la Hollande pour rétablir un commerce sain avec la Russie, encourageant le reste du monde à emboîter le pas.
"Tout le monde doit faire la même chose et dire aux néo-libéraux et aux néo-conservateurs aux États-Unis de le bousculer."
Les dernières nouvelles sur la résistance croissante contre la tyrannie mondialiste peuvent être trouvées sur Resist.news.
La moitié des centrales nucléaires françaises sont hors ligne à l'approche de l'hiver sombre
jeudi 10 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) La «maintenance de routine» des 56 réacteurs nucléaires vieillissants qui recouvrent le paysage français aggrave la crise énergétique alors que l'Europe se dirige directement vers un hiver sombre et sans chaleur.
Le géant français des services publics d'électricité Electricité de France SA (EDF) a annoncé dans une nouvelle mise à jour que les perspectives de production d'énergie nucléaire cet hiver étaient réduites, déclenchant davantage de chaos sur les marchés de l'énergie.
EDF serait le plus grand propriétaire de centrales nucléaires au monde. Son parc de réacteurs génère normalement entre 280 et 300 térawattheures (TWh) d'électricité par an, mais cette année cette fourchette sera réduite à entre 275 et 285 TWh.
Les grèves ouvrières contribuent à la fermeture prolongée de nombreuses centrales nucléaires françaises qui nécessitent un entretien normal. Divers autres «problèmes techniques» étouffent également la production d'énergie nucléaire, nous dit-on. (Connexe: le fabricant de verre français Duralex arrête ses opérations indéfiniment en raison de la flambée des prix de l'énergie.)
"La situation a radicalement changé cette année, lorsque la France est passée de l'un des plus grands exportateurs d'électricité d'Europe à un importateur net en raison de problèmes avec ses réacteurs", rapporte Bloomberg.
"Les pannes ont inquiété les responsables du fait que la France et l'ensemble de la région pourraient manquer d'électricité en hiver, lorsque la demande d'électricité en Europe culmine."
Les marchés de l'énergie continuent de s'hypergonfler dans un contexte d'escalade des problèmes énergétiques Sur les marchés de l'énergie, les contrats d'électricité français ont atteint des sommets sans précédent en réponse à la nouvelle. Certains ont grimpé en flèche jusqu'à 24%, selon les rapports.
Une vague de chaleur européenne serait la raison pour laquelle les contrats à terme sur le gaz naturel néerlandais, qui représentent la référence européenne, ont grimpé puis glissé après l'annonce d'EDF.f
Au début de cette vague de chaleur, certains médias ont émis l'hypothèse que l'Europe allait peut-être grincer cet hiver avec une baisse de la demande de chaleur. Ces espoirs ont cependant été anéantis lorsqu'il a été signalé que la vague de chaleur était sur le point de se terminer.
Tout ce qu'il faut maintenant, c'est que quelques vagues de froid apparaissent, ce qui commencera à épuiser les stocks de gaz naturel de l'Union européenne (UE). Une fois que ceux-ci commenceront à baisser, l'hyperinflation énergétique pourrait commencer à devenir une réalité.
"Par conséquent, nous ne voyons aucune raison pour que les prix du gaz au comptant n'augmentent pas à nouveau, car l'Europe devra rivaliser pour les cargaisons et les approvisionnements en GNL disponibles contre l'Asie, en particulier avec la réouverture de la Chine à l'avenir", ont annoncé les analystes de Sanford C. Bernstein & Co. dans une note aux clients de l'entreprise.
Dans les commentaires, quelqu'un a émis l'hypothèse qu'une fois que tout cela éclaterait et commencerait vraiment à affecter la classe ouvrière et ses familles, une révolution à part entière suivrait.
"Les freaks de Davos doivent avoir peur car ils ne se rencontrent pas en personne cette année", a ajouté cette personne. "Ils savent que ça arrive."
"Leur sécurité, leurs valets et leurs pilotes privés auront également des familles et des êtres chers affamés", a répondu un autre sur la façon dont les hordes en colère incluront les personnes mêmes qui soutiennent les milliardaires mondialistes qui ont vidé le monde de ses ressources.
Un autre a expliqué que l'équipe au sol des jets privés des mondialistes est sûre de connaître au moins une personne dans leur entourage qui est décédée des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), qui sont également un produit des mondialistes milliardaires et de leur dépopulation. schème.
"Si je comptais sur eux pour entretenir mon jet et que j'étais un WEF (Forum économique mondial), j'aurais un peu peur", a ajouté cette personne.
Quelqu'un d'autre a déploré que le président russe Vladimir Poutine "ait raté sa chance de rayer Davos de la carte et 90% de l'origine des problèmes du monde l'année dernière" lorsque la cabale s'est rencontrée en personne - probablement pour la dernière fois.
Les dernières nouvelles sur l'implosion de l'économie mondiale globaliste peuvent être trouvées sur Collapse.news.
L'éruption du volcan sous-marin a provoqué une « obscurcissement » global qui a privé les cultures de la lumière du soleil ; plus de famine et de famine à venir
Jeudi 10 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) En janvier, un volcan sous-marin dans le Pacifique Sud appelé Hunga Tonga-Hunga Ha'apai est entré en éruption, envoyant un énorme panache de cendres dans le ciel où il a atteint 187 000 pieds. Le résultat a été un nuage de ténèbres qui a créé un effet global de "diminution" qui se fera probablement sentir pendant des années avec des rendements agricoles réduits.
Vous voyez, les cultures ont besoin d'une lumière solaire sans entrave pour atteindre leur plein potentiel. Et toute cette cendre persistante et cette vapeur d'eau laissées par l'éruption ont empêché la lumière du soleil d'atteindre la surface de la terre.
L'éruption Hunga Tonga-Hunga Ha'apai serait la première jamais enregistrée à avoir traversé la troisième couche de l'atmosphère, appelée mésosphère. (En relation: Des centaines de climatologues ont appelé à l'arrêt immédiat des projets de «gradation du soleil» de Bill Gates.)
"C'est un résultat extraordinaire car nous n'avons jamais vu un nuage d'une telle taille auparavant", a déclaré le Dr Simon Proud, auteur d'une étude sur l'éruption.
"De plus, la capacité d'estimer la hauteur comme nous l'avons fait, en utilisant la méthode de la parallaxe, n'est possible que maintenant que nous avons une bonne couverture satellite. Cela n'aurait pas été possible il y a une dizaine d'années. »
Les volcans contribuent beaucoup plus au «réchauffement climatique» que l'activité humaine Plus d'énergie que le Tsar Bomba, la bombe nucléaire la plus puissante jamais explosée, a été libérée par Hunga Tonga-Hunga Ha'apai, qui a fait exploser l'eau de 20 000 piscines olympiques directement dans la stratosphère.
Cette rivière atmosphérique massive, pour ainsi dire, recouvrait des parties de la terre d'humidité bloquant le soleil, sans parler de toutes les cendres et autres débris particulaires qui montaient en flèche.
"En raison de la couche d'ozone absorbant le rayonnement ultraviolet solaire, les températures dans la stratosphère et la mésosphère augmentent en fait avec l'altitude", expliquent les rapports sur le phénomène qui s'est produit.
Il a été dit qu'une seule éruption volcanique propulse plus de produits chimiques "réchauffants" dans l'air que plusieurs années d'humains conduisant des véhicules. Cela fait des volcans la première cause du « réchauffement climatique ».
Les éruptions volcaniques sont également une cause majeure du changement climatique qui détruit les cultures, semble-t-il, car elles interfèrent avec la lumière naturelle du soleil atteignant la surface de la terre comme prévu.
Il est important de le souligner car trop de fanatiques du climat sont inconscients du fait que la nature elle-même s'engage dans un comportement destructeur du climat - alors devrions-nous interdire la nature et la forcer à devenir «verte»?
Une telle question n'a bien sûr aucun sens, mais elle met en perspective toute la folie climatique qui passe pour de la "science" de nos jours - une folie qui se paie avec vos impôts, soit dit en passant.
L'éruption de Hunga Tonga et de Hunga Ha'apai aurait recouvert le royaume insulaire des Tonga de cendres toxiques qui ont empoisonné les réserves d'eau potable locales et anéanti au moins deux villages. Les récoltes ont également été détruites en grande quantité.
Les vagues océaniques de l'éruption ont également déclenché une catastrophe environnementale lors du déchargement d'un pétrolier près de Lima, au Pérou, qui a généré une énorme nappe de pétrole le long de la côte.
"Il suffit de penser à tout ce CO2 libéré", a noté un commentateur sur les gaz à effet de serre émis par l'éruption de Hunga Tonga et Hunga Ha'apai. "Cela met vraiment en perspective les minuscules contributions des humains par rapport à la nature."
"Personne n'a dit au volcan qu'il devait payer une charge d'impôt s'il voulait faire ça ?" a plaisanté une autre personne.
"Tout cela contribue aux changements climatiques naturels et nous ne pouvons rien y faire", a noté quelqu'un d'autre. "C'est ridicule de penser que nous pouvons empêcher le climat de changer tout seul. Nous devons simplement l'accepter.
La dernière couverture de l'actualité liée au climat peut être trouvée sur Climate.news.
Le rapport Zelenko : Michael Khoury révèle que les entreprises de télécommunications ont reçu carte blanche pour surveiller les Américains – Brighteon.TV
jeudi 10 novembre 2022 par : Belle Carter
(Natural News) Le journaliste d'investigation Michael Khoury a révélé à la coprésidente de la Zelenko Freedom Foundation, Ann Vandersteel, que les entreprises de télécommunications avaient carte blanche pour surveiller les Américains.
Il a fait cette révélation lors de l'épisode du 4 novembre de "The Zelenko Report" sur Brighteon.TV. Khoury a déclaré à Vandersteel que ce partenariat public-privé (PPP) trouve son origine dans la loi sur les télécommunications de 1996 signée par l'ancien président Bill Clinton. La loi, qui a révisé la législation sur les télécommunications en plus de six décennies, visait à promouvoir la concurrence et à réduire la réglementation afin de garantir des prix plus bas et des services de meilleure qualité pour les consommateurs américains et d'encourager le déploiement rapide de nouvelles technologies.
La carte blanche est un document vierge signé au préalable par une partie et remis à une autre, avec autorisation de remplir des conditions ultérieurement. Les entreprises de télécommunications ont obtenu ces documents, selon Khoury. Ces documents permettaient aux entreprises de surveiller les abonnés en les reliant aux communautés mondiales du renseignement.
L'une de ces sociétés est Neustar, basée à Sterling, en Virginie, qui gère la complexité croissante du secteur grâce à son infrastructure système dans des centres de données géographiquement dispersés.
"De toute évidence, c'était quelque chose qui a été conçu en arrière-plan", a déclaré Khoury. Il a noté que Neustar et d'autres entreprises de télécommunications "ont abusé de l'aspect "tiers de confiance" du quatrième amendement" lorsqu'elles ont fait carte blanche. (Connexe : Un technicien d'AT&T déclare que la société a donné aux autorités fédérales un accès complet au téléphone et au trafic Web.)
Selon le journaliste d'investigation, les entreprises de télécommunications ont pu accéder à des documents appartenant à l'ancien président Donald Trump - y compris ses dossiers médicaux et commerciaux. Cela devrait être alarmant, a fait remarquer Khoury, car les gens "n'ont aucun contrôle" sur ce que ces entreprises écoutent ou sur les informations qu'elles peuvent obtenir.
Obama a utilisé PPP pour empêcher les demandes FOIA sur les données de son administration Le journaliste d'investigation a cité l'action de l'ancien président Barack Obama en 2014 pour transférer les enregistrements téléphoniques américains à une entreprise privée. Il a chargé l'ancien chef de cabinet de la Maison Blanche, John Podesta, qui a servi sous Obama en tant que consultant, de cette tâche.
Des lois sur la cybersécurité ont ensuite été adoptées pour donner essentiellement aux institutions privées un accès aux terminaux et un accès carte blanche aux données. Parallèlement, la société technologique basée au Texas CrowdStrike est venue installer des serveurs sur toutes les bases de données sous le soleil.
"Nous essayons de donner aux gens un regard de haut niveau ici", a déclaré Vandersteel. « Nous avons tous entendu parler du gouvernement fantôme. Donner aux gens un vrai aperçu de ce que signifie un gouvernement fantôme et de la façon dont il a fonctionné revient au fait qu'Obama a une adresse e-mail distincte. Ladite adresse e-mail était liée à l'ancienne société Ameritech, désormais nommée AT&T Teleholdings.
Khoury a commenté : « Ainsi, grâce à la recherche open source dans les serveurs de noms DNS et à l'utilisation de multigo, ainsi que d'autres outils de ressources open source, vous êtes en mesure de faire des traces. Et plus vous explorez cette adresse e-mail, elle finit par revenir à Obamalibrary@nara.gov. Le truc, c'est qu'Obama étant lié à Ameritech, vous avez la propriété intellectuelle et c'est privé.
Cela, a-t-il expliqué, a empêché toute divulgation découlant des demandes de la Freedom of Information Act.
Vandersteel a ajouté: "Je veux lier quelque chose ici parce que vous savez, le fait qu'Obama a créé un gouvernement fantôme en utilisant une organisation à but non lucratif à la National Archives and Records Administration en utilisant une adresse e-mail nara.gov. Il a essentiellement déplacé toutes les données dans cette adresse IP créée. Il a essentiellement reclassé les données parce qu'il les a retirées du contrôle du gouvernement et les a placées dans sa propre liste de contrôle privée.
Rendez-vous sur Surveillance.news pour plus d'histoires sur les Américains surveillés.
Regardez l'épisode complet du 3 novembre de "The Zelenko Report" avec Ann Vandersteel et Michael Khoury ci-dessous. Regardez de nouveaux épisodes du programme tous les jours de la semaine à 13h-14h. sur Brighteon.TV.
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Les syndicats médicaux en Australie repoussent un amendement qui vise à punir les médecins qui contestent les récits du gouvernement
mercredi 09 novembre 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Les syndicats médicaux australiens qui ne sont pas liés au plus grand établissement repoussent le dernier amendement à la loi nationale sur la réglementation des praticiens de la santé (HPRNL) du pays. Ledit amendement habiliterait les autorités du Land Down Under à punir les médecins qui "présentent un risque pour les patients ou le grand public".
Dans une déclaration au Parlement du Queensland, l'Australian Medical Professionals Society (AMPS) et l'Association professionnelle des infirmières d'Australie (NPAA) ont fustigé le nouvel amendement. Ils ont fait remarquer qu'il incluait un langage trop large et ont mis en garde contre son potentiel à être utilisé pour supprimer les "voix d'experts qui souhaitent corriger les autorités sanitaires".
"L'idée que le non-respect des décrets gouvernementaux pose un risque immédiat pour la sécurité des patients est dangereuse pour les soins aux patients fondés sur des preuves", ont déclaré les deux syndicats. "Nous ne pensons pas que les notes explicatives fournissent des éclaircissements concernant l'approche basée sur les risques à utiliser pour interpréter" la santé publique, la sécurité et la confiance "."
La déclaration a également souligné que l'AMPS ne peut pas soutenir la pratique consistant à nommer publiquement et à humilier les praticiens qui présentent un risque pour la sécurité publique, sans définir comment le risque doit être interprété. Il a également mentionné que les professionnels de la santé pourraient subir des dommages financiers et de réputation à la suite d'une enquête. Le nouvel amendement à la HPRNL inscrit effectivement cette pratique dans la loi.
Le nouvel amendement – qui entrera en vigueur dans tous les États d'Australie – conférera aux régulateurs des pouvoirs supplémentaires pour répondre aux «risques pour la sécurité publique» et prendre des mesures contre les personnes qui contredisent les lois sur la protection du public, comme indiqué dans les notes explicatives du projet de loi.
De plus, les employeurs seront obligés d'informer leur organisme de santé compétent si un praticien s'est livré à une conduite réputée «présenter un risque pour les patients ou le public» et si la personne a été pénalisée. Ces sanctions impliquent « le retrait ou la restriction des privilèges cliniques du praticien dans un hôpital parce que l'employeur croit raisonnablement que le public risque de subir un préjudice parce que le praticien s'est considérablement écarté des normes professionnelles acceptées ». (Connexe: TYRANNIE médicale: Si vous remettez en question les vaccins en Australie, vous pourriez être jeté en prison pendant 10 ANS.)
Le HPRNL a été utilisé pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) pour pénaliser les médecins praticiens pour avoir rejeté les verrouillages ou les mandats soutenus par le gouvernement.
L'adoption de l'amendement marque "la fin de la médecine et la mort de la science" Selon les deux syndicats, la «nature large et discrétionnaire» d'une terminologie telle que «sécurité et confiance publiques» est déjà un outil utilisé pour obliger les professionnels de la santé à suivre les mandats du gouvernement.
Tous les praticiens de la santé du Land Down Under sont administrés par 15 conseils nationaux. Ces conseils rendent ensuite compte et travaillent avec l'Agence australienne de réglementation des praticiens de la santé (AHPRA), qui est le principal organisme d'accréditation.
L'AHPRA et les conseils qui en dépendent ont fait la une des journaux au début de la pandémie pour avoir suspendu de nombreux professionnels de la santé qui ont contesté les restrictions soutenues par le gouvernement, les mandats de vaccination et l'efficacité des injections de COVID-19. Le Dr Paul Oosterhuis est l'un de ces professionnels qui s'est retrouvé suspendu en septembre 2021 à la suite de deux "plaintes anonymes" concernant son activité sur les réseaux sociaux. L'anesthésiste de 30 ans a admis avoir publié du contenu sur les premiers traitements COVID-19 et le scepticisme à l'égard des tests PCR et des verrouillages.
Dans un article pour Spectator Australia, la secrétaire de l'AMPS, Kara Thomas, a critiqué l'amendement pour avoir permis aux bureaucrates de nommer et de faire honte aux médecins. Si l'amendement devient loi, elle a averti qu'il légiférera sur la censure médicale nationale comme moyen d'assurer la confiance du public dans les services de santé gouvernementaux.
« Si ce projet de loi est adopté à l'échelle nationale et que le gouvernement devient l'autorité unique pour tous les conseils de santé, alors la conformité inconditionnelle devient la nouvelle norme acceptée de bonne pratique médicale. C'est la fin de la médecine et la mort de la science », a expliqué Thomas. « Le ministère de la Vérité de George Orwell est arrivé. La confiance du public dans les politiciens et leurs bureaucrates ne devrait jamais se faire au détriment du droit des gens à un accès complet, libre et sans entrave aux preuves scientifiques et aux données émergentes.
Suivez HealthFreedom.news pour plus d'informations sur la lutte contre la tyrannie médicale.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la tyrannie médicale qui sévit en Australie.
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Cette vidéo provient de la chaîne The Kokoda Kid sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Un médecin de l'Oregon intente une action en diffamation de 35 millions de dollars contre des membres du conseil médical de l'État.
Les médecins contestent la loi californienne autorisant le conseil médical de l'État à révoquer les licences de ceux qui contestent le récit du COVID-19.
ÉTUDE : Les médecins sceptiques quant à la sécurité des vaccins sont confrontés à la suppression et à la discrimination dans tous les domaines médicaux.
États-Unis: un laboratoire envisage de créer une souche hybride de variole du singe plus mortelle que celle qui circule actuellement
le 09 novembre 2022 - 18:15
Dans le cadre des recherches du National Institute of Allergy and Infectious Disease (NIAID), un laboratoire gouvernemental du Maryland projette de créer une souche hybride de la variole du singe. Celle-ci serait plus mortelle que celle qui se propage actuellement aux États-Unis.
Cette information publiée par le Daily Mail le 24 octobre 2022 intervient alors que les États-Unis ont déjà enregistré plus de 26 000 cas de variole du singe sur leur territoire.
Le virus de la variole du singe
La variole du singe ou virus monkeypox est à distinguer de la variole, responsable de millions de morts jusqu’au 20ᵉ siècle. Ce virus qui avait dévasté l’humanité pendant plus de 3 000 ans, faisant encore 300 millions de morts au siècle dernier, a été déclaré éradiqué le 8 mai 1980 lors de la 33ᵉ Assemblée mondiale de la santé, après qu'une stratégie de surveillance combinée à une campagne de vaccination massive décidée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a permis d’en venir à bout.
Il n’en va pas de même pour la variole du singe dont on retrouve des cas principalement sur le continent africain et qui se distingue de la variole par sa transmission de l’animal à l’homme et par sa capacité à avoir un réservoir animal (zoonose). Si le virus a été isolé la première fois sur un singe, en 1958, au Danemark, son réservoir principal se trouve cependant chez les rongeurs et chez les écureuils.
Avant mai 2022, des rares cas de varioles du singe détectés aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Israël ou à Singapour, étaient survenus chez des personnes revenues du Nigéria. Dans l’hémisphère nord, ces cas étaient, jusqu’à présent, toujours restés isolés et circonscrits.
Depuis le début du mois de mai, la situation a quelque peu évolué, puisque plusieurs cas ont été détectés dans de nombreux pays européens, mais également en Amérique du Nord, en Israël et en Australie.
En Afrique, le taux de létalité provoqué par la variole du singe varie de 1 à 10% selon la souche. Il existe deux souches du virus : une souche peu létale (1%) qui circule en Afrique de l’Ouest et une beaucoup dangereuse en Afrique centrale, principalement dans le bassin du Congo.
En Europe et aux États-Unis, c’est la souche peu létale qui circule et à l’exception des personnes fragiles ou immunodéprimées, les patients qui contractent ce virus, guérissent spontanément.
Le projet du laboratoire du Maryland
Le laboratoire du Maryland prévoit d'élaborer une souche hybride du virus de la variole du singe qui circule actuellement aux États-Unis. L’expérimentation menée par l’équipe du Maryland serait dirigée par Bernard Moss, un scientifique rattaché au NIAID. Elle consisterait à échanger des gènes entre deux souches de variole du singe. Les chercheurs en charge de l’expérimentation travailleraient sur le clade (groupe de taxons ayant une origine phylétique. Unité de base dans la classification phylogénétique des espèces, le clade contient l’ancêtre commun et la totalité des descendants) dominant (clade 2), afin de le rendre plus létal et susceptible d’infecter les souris. La raison de cette expérience serait la recherche de nouveaux médicaments pour l’homme.
Dans le détail, l'expérimentation consisterait à « extraire des dizaines de gènes du virus de la variole du singe de clade 1, plus grave, et à les introduire dans le virus de clade 2, plus bénin. » Une fois créée, la nouvelle souche hybride serait testée sur les souris tandis que les chercheurs surveilleraient l’évolution de la maladie.
Pour parer à toute critique sur la recherche de gain de fonction, les scientifiques du Maryland ont expliqué que leurs travaux ne consistaient pas à « améliorer » un agent pathogène. En effet, l’expérimentation consisterait à échanger les mutations naturelles, mais pas à en créer de nouvelles. Par conséquent, l’hybride créé ne pourrait pas être plus mortel que les clades existants.
En 2018, le laboratoire du Maryland avait déjà mené des travaux sur la variole du singe. À l’époque, l’équipe avait tenté l’inverse de ce que les chercheurs projettent de faire aujourd’hui ; ils avaient échangé des gènes du clade 2 qui est le moins virulent et les avaient introduits dans le clade 1 pour le rendre moins dangereux. L’expérience avait été exemptée de tout contrôle, car les personnes en charge de la surveillance génomique des agents pathogènes avaient estimé que le virus de la variole du singe ne pouvait pas se propager de manière incontrôlée ; il n’atteignait pas le seuil critique qui puisse le faire qualifier d'agent pathogène à potentiel pandémique. De plus, le virus était à cette époque circonscrit à l’Afrique et n’avait touché le continent européen et américain que de manière sporadique. Ces manipulations destinées à rendre le virus moins mortel s'étaient cependant soldées par un échec.
Ce nouveau projet d'expérimentation qui intervient dans un contexte d’inquiétude croissante est loin de réjouir l’ensemble de la communauté scientifique. Pour le Dr Richard Ebright, microbiologiste à l'université Rutgers du New Jersey, cette recherche « présente un risque exceptionnellement élevé » si un accident de laboratoire se produisait, laissant le virus s’échapper.
Vaccins contre la COVID et premières crises d’épilepsie: Y a-t-il un lien ?
Si une personne de votre entourage a reçu un diagnostic d'épilepsie ou de nouvelles crises au cours des dernières années, sans source évidente (traumatisme crânien, neurochirurgie, radiations, méningite, etc.), demandez-lui si elle a reçu l'un des vaccins contre la COVID-19.
Par Peter McCullough et John Leake Mondialisation.ca, 10 novembre 2022
Un entrepreneur en toiture de 56 ans, ami de la famille, a eu sa toute première crise d’épilepsie alors qu’il travaillait sur le toit d’un hôtel.
Son collègue a utilisé toutes ses forces pour sauver l’homme impuissant qui était en train de convulser et l’empêcher de tomber encore plusieurs étages plus bas à sa mort.
À la suite de cet événement neurologique, le contractant a subi une commotion grave et prolongée, des côtes cassées et d’innombrables radiographies et scanners au cours d’une hospitalisation et de visites de suivi en clinique.
Il a été mis en invalidité temporaire et sa petite entreprise a été fermée. Quelques mois plus tard, il avait du mal à contrôler son hypertension et se sentait faible et étourdi.
Après une évaluation diagnostique exhaustive, il n’y avait aucune explication pour la crise.
Il a demandé, « est-ce que ça pourrait avoir été causé par mon vaccin contre la COVID-19 ? »
Au début de l’année, dans une étude de cas publiée dans la National Library of Medicine, des chercheurs de Taïwan ont fait état d’un homme de 22 ans qui a eu sa première crise six jours après la deuxième injection de Moderna.
Des tests complets, y compris des ponctions lombaires répétées, ont démontré la présence indirecte de la protéine de pointe produite par le vaccin ARNm dans le cerveau.
Ils ont trouvé des IgG dirigées contre le domaine de liaison du récepteur de la protéine de pointe dans le liquide céphalo-rachidien et au fil du temps, les concentrations de cet anticorps étaient discordantes avec les niveaux sériques, ce qui suggère que la protéine de pointe se trouvait effectivement dans le cerveau, où l’on s’attendrait à ce qu’elle provoque une inflammation et déclenche une crise.
Le Dr Shitiz Sriwastava et ses collègues, du département de neurologie, de l’Institut Rockefeller des neurosciences et de l’Université de West Virginia, ont estimé dans un article de synthèse que les crises d’épilepsie faisaient partie des effets secondaires neurologiques des vaccins contre la COVID-19.
Christian Kaculini et al, de l’Université du Centre des sciences de la santé du Texas à San Antonio, ont écrit dans une revue historique de 2021 :
« L’épilepsie est une maladie ancienne, qui a fasciné et effrayé les scientifiques et les profanes. Avant la connaissance pratique du système nerveux central, les crises d’épilepsie étaient entourées de mystère. Dans l’Antiquité, cette maladie était attribuée aux dieux et à la possession démoniaque, ce qui faisait que les personnes épileptiques étaient craintes et isolées.
« Les patients épileptiques ont continué à subir des discriminations jusqu’au milieu du 20e siècle. Cette discrimination va du manque d’accès à l’assurance maladie, de l’emploi et l’égalité du mariage aux stérilisations forcées. Malgré les progrès accomplis, de nombreuses idées fausses circulent encore sur l’épilepsie dans le monde.
« Des études montrent que les patients épileptiques vivant dans des communautés qui comprennent la pathologie et la cause des crises ont généralement plus de succès dans les environnements sociaux et éducatifs. »
Par conséquent, si une personne de votre entourage a reçu un diagnostic d’épilepsie ou de crises d’épilepsie d’apparition récente au cours des dernières années, sans source évidente (traumatisme crânien, neurochirurgie, radiations, méningite, etc.), demandez-lui si elle a reçu l’un des vaccins contre la COVID-19.
La vaccination peut être rapidement écartée si la réponse est « non ».
Cependant, si la vaccination contre la COVID-19 figure dans le dossier médical, il faut envisager cette étiologie possible pour les crises et prendre les mesures appropriées.
Les médecins des salles d’urgence et les neurologues doivent être alertés des convulsions induites par le vaccin contre la COVID-19 lors de la présentation initiale.
Bien que le pronostic soit inconnu étant donné la nouveauté de ces produits génétiques, à condition de ne plus recevoir d’injections, je m’attendrais à ce que les crises soient progressivement moins fréquentes, mieux contrôlées et potentiellement résolues avec suffisamment de temps.
Que cela serve de leçon, le matériel génétique chargé sur des nanoparticules lipidiques est un concept terrible pour un vaccin, car il se répandra partout dans le corps, y compris dans le cerveau, où il peut provoquer des lésions inflammatoires, des handicaps et malheureusement, chez certaines victimes, la mort.
Publié à l’origine sur la page Substack du discours courageux [Courageous Discourse Substack} du Dr Peter McCullough et de John Leake.
De Walter E. Block Rapport Ron Paul Liberty 10 novembre 2022
Supposons que les experts A affirment que la théorie A est correcte et que les experts B affirment que la théorie B est correcte. Nous, les gens, non spécialistes, ne savons rien de A ou de B. Il s'agit d'un domaine que nous ne connaissons pas. Peut-être la physique ou les mathématiques ou l'astronomie ou le changement de température global ou la virologie ou un autre domaine ésotérique.
Cependant, il y a une différence entre eux : les A accusent les B d'être des « négationnistes » (on sait tous d'où cela vient) de répandre de la « désinformation ». Ils tentent non seulement de faire annuler les B des médias et de les renvoyer de leur travail, mais aussi, honteusement, de les mettre en prison ! C'est exactement le résultat de l'adoption de lois qui interdisent de « nier » et de diffuser de la « désinformation ».
Je serais enclin à penser que B était plus correct que A. Mon raisonnement serait que si les A avaient vraiment un meilleur accès à la vérité que les B, ils n'auraient pas à recourir à des tactiques aussi néfastes. L'essence de la science, après tout, est l'enquête ouverte. Les B adhèrent à la science ; les A ne le sont pas.
Selon John Stuart Mill :
« Même en philosophie naturelle, il y a toujours une autre explication possible des mêmes faits ; une théorie géocentrique au lieu d'héliocentrique, un phlogistique au lieu d'oxygène ; et il faut montrer pourquoi cette autre théorie ne peut pas être la vraie : et jusqu'à ce que cela soit démontré, et jusqu'à ce que nous sachions comment cela est démontré, nous ne comprenons pas les fondements de notre opinion. Mais quand on passe à des sujets infiniment plus compliqués, à la morale, à la religion, à la politique, aux relations sociales et aux affaires de la vie, les trois quarts des arguments de toute opinion contestée consistent à dissiper les apparences qui favorisent une opinion différente d'elle. Le plus grand orateur, sauf un, de l'antiquité, a écrit qu'il étudiait toujours le cas de son adversaire avec une intensité aussi grande, sinon plus grande encore, que la sienne. Ce que Cicéron pratiquait comme moyen de succès médico-légal exige d'être imité par tous ceux qui étudient n'importe quel sujet afin d'arriver à la vérité. Celui qui ne connaît que sa propre version de l'affaire en sait peu. Ses raisons peuvent être bonnes, et personne n'a pu les réfuter. Mais s'il est également incapable de réfuter les raisons du côté opposé ; s'il ne sait même pas ce qu'ils sont, il n'a aucune raison de préférer l'une ou l'autre opinion.
« Les nouvelles sous-variantes du COVID-19 qui deviennent dominantes dans le monde entier ne sont pas seulement plus contagieuses que les variantes et sous-variantes précédentes, elles peuvent également provoquer une maladie plus grave. C'est un signe inquiétant si, comme le prédisent les experts, il y a une nouvelle vague mondiale de COVID dans les mois à venir. C'est une chose de résister à une augmentation des infections qui se traduit principalement par une maladie bénigne. Les cas augmentent, mais pas les hospitalisations et les décès. Mais une augmentation des maladies graves pourrait également entraîner une augmentation des hospitalisations et des décès. Cela pourrait être comme 2020 ou 2021, encore une fois. La grande différence est que nous avons maintenant un accès facile à des vaccins sûrs et efficaces. Et les vaccins fonctionnent toujours, même contre les nouvelles sous-variantes.
La grande question est, bien sûr, qu'en pensent les autres scientifiques et médecins, ceux qui ont trop peur pour parler ? La réponse est, nous ne le saurons jamais. Ils ont été muselés, annulés. Nous n'avons pas accompli autre chose de cette manière : la découverte de l'électricité, l'avion, le vaccin Salk contre la poliomyélite. Entendre d'un seul côté n'est pas une façon d'exploiter un chemin de fer.
C'est scientifique ? Si nous voulons les avantages de la science, nous devons permettre à la science de fonctionner. Il semblerait que nous soyons maintenant plus dépendants de la science que bien des fois par le passé. Dommage qu'il ne soit pas maintenant autorisé à fonctionner, pour notre bénéfice, par les A.
Reprinted with the author’s permission.
This originally appeared on Ron Paul Liberty Report.
Il a examiné les rapports sur le système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du CDC de décembre 2020 au 5 août 2022. Au cours de cette période de 20 mois, il y a eu 2 579 événements indésirables liés au cancer.
En revanche, les données du VAERS pour tous les autres vaccins entre 2008 et 2020 n'ont enregistré que 791 événements indésirables liés au cancer. Il n'y a eu que 64 effets indésirables liés au cancer causés par le vaccin contre la grippe pour cette même période.
Le média a également pris en compte le nombre de doses utilisées pour calculer la fréquence des cas de cancer par dose. Ce qu'il a découvert, c'est que la vaccination contre le COVID-19 est 1 432,33 fois (143 233 %) plus susceptible de provoquer un cancer que la vaccination contre la grippe.
Sigurdson a également cité une étude de septembre 2022 publiée dans l'International Journal of Molecular Sciences, à laquelle Hirschhorn a également fait référence. L'article de chercheurs italiens a abordé la pharmacologie des vaccins à ARNm COVID-19. «Les vaccins à ARNm COVID-19 sont en fait des médicaments pharmaceutiques. Par conséquent, leur pharmacocinétique et leur pharmacodynamique, et éventuellement aussi leur pharmacogénétique, doivent être correctement caractérisées pour fournir un solide bagage de connaissances pour leur utilisation rationnelle et ciblée », ont écrit les auteurs de l'étude.
"Une évaluation correcte, rigoureuse et complète des vaccins à ARNm COVID-19 sera d'une importance cruciale pour rassurer le public quant à leur utilisation sûre et efficace."
Sigurdson a finalement conclu que les gens n'avaient pas vu une justice appropriée être rendue pour le coup de feu COVID. et ils doivent appliquer les bonnes solutions pour sauver l'humanité de la guerre totale contre eux.
Suivez VaccineDamage.news pour plus d'informations sur les maladies causées par les vaccins COVID.
Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi les cas de cancer ont explosé après le déploiement du vaccin COVID-19.
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Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
Le Dr Judy Mikovits tire la sonnette d'alarme sur l'EXPLOSION des taux de cancer grâce aux vaccins COVID.
Les lanceurs d'alerte militaires disent que le cancer, les fausses couches et les maladies cardiaques ont tous augmenté de 300% à la suite des mandats d'injection de covid.
Les patients cancéreux qui se sont rétablis mais ont ensuite été «vaccinés» contre le covid voient maintenant le cancer revenir avec vengeance.
La vaccination de masse contre le COVID-19 est une politique mortelle et non scientifique qui entraînera une augmentation des taux de cancer, prévient le pathologiste.
Les protéines de pointe du "vaccin" Covid détruisent les voies de réparation de l'ADN, ouvrant la voie à la croissance et à la propagation du CANCER.
Des centaines de milliers d'enfants paralysés par les vaccins contre la poliomyélite grâce au programme de vaccination de la Fondation Gates
jeudi 10 novembre 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Les gens se méfient de la poliomyélite après avoir vu des photos d'enfants en fauteuil roulant ou se promenant avec des béquilles et des appareils orthodontiques. Big Pharma en a profité pour inciter les gens à se faire vacciner contre la poliomyélite.
Bien que la polio soit vraiment effrayante, la vérité est que de nombreux enfants ont déjà été exposés au virus de la polio sans le savoir et ont développé une immunité au cours du processus. Autrement dit, le vaccin contre la poliomyélite n'est plus nécessaire.
La clinique Mayo a déclaré sur son site Web que « bien que la poliomyélite puisse provoquer la paralysie et la mort, la majorité des personnes infectées par le virus ne tombent pas malades et ne savent pas qu'elles ont été infectées ». Il a ajouté qu'"aux États-Unis, les adultes ne sont pas systématiquement vaccinés contre la polio car la plupart sont déjà immunisés et que les risques de contracter la polio sont minimes".
Cela signifie que les Américains sont déjà immunisés contre la poliomyélite parce qu'ils ont déjà contracté le virus, sont devenus immunisés et n'en sont même pas conscients. Mais la poliomyélite est encore répandue dans le monde où l'assainissement de la nourriture et de l'eau est un problème commun.
Bill Gates a essayé de faire quelque chose à ce sujet. Mais plutôt que d'améliorer l'assainissement pour empêcher la voie de transmission, Gates a décidé de s'occuper du virus lui-même. Gates a lancé une campagne pour éradiquer la poliomyélite du monde en 1988 et l'a appelée l'Initiative mondiale pour l'éradication de la poliomyélite.
La Fondation Bill et Melinda Gates a jusqu'à présent promis plus de 5 milliards de dollars à cette initiative qui était censée éliminer la poliomyélite d'ici l'an 2000. Cela ne s'est pas produit, alors il a mis des millions d'enfants en Inde sous diverses doses de vaccin antipoliomyélitique oral (VPO). de 2000 à 2017.
Le résultat a été désastreux. Selon des rapports, des centaines de milliers d'enfants sont devenus paralysés à cause de la poliomyélite induite par le vaccin. Mais au lieu d'arrêter le programme, Gates a promis 1,5 milliard de dollars supplémentaires pour le prolonger jusqu'en 2026. (Connexe: l'OMS recommande un nouveau vaccin contre la polio financé par Gates pour lutter contre l'épidémie de polio dérivée du vaccin au Royaume-Uni.)
La poliomyélite est toujours présente et se trouve principalement dans des endroits où une vaccination agressive a lieu.
Les gens ont en fait été avertis qu'ils seraient exposés au virus de la poliomyélite s'ils voyageaient dans des pays où le VPO est utilisé. Et c'est parce que le VPO comprend le virus complet qui se copiera et se transmettra entre humains.
Les virus se transmettent toujours entre humains, et c'est naturel et ne peut être évité. Le fait qu'un individu présente des symptômes ou non est entièrement déterminé par l'état de son système immunitaire.
Quatre stades de la poliomyélite
Il y a quatre stades de la poliomyélite et la progression d'une personne dans ces stades dépend de l'état de son système immunitaire.
Le stade asymptomatique, qui est le premier stade, survient environ 70 % du temps. Les gens traverseront cette étape sans même le savoir et développeront une immunité naturelle à vie dans le processus.
La deuxième étape, qui est l'étape avortée, se produit environ 24 % du temps. Cette étape implique des symptômes pseudo-grippaux sans paralysie, ce qui entraîne une immunité naturelle à vie.
La troisième étape, qui est non paralytique, se produit de 1 à 5 % du temps et les symptômes sont graves, aseptiques, comme une méningite, y compris des douleurs et des raideurs musculaires. Les symptômes dureront environ 10 jours et entraîneront une immunité naturelle complète à vie.
La quatrième étape est la phase paralytique, qui est la plus rare avec moins d'un pour cent de chance de se produire et peut entraîner une invalidité permanente. Cela peut se produire chez les personnes gravement immunodéprimées. Cependant, il est important de savoir que certaines de ces conditions paralytiques ne durent pas et se résolvent d'elles-mêmes.
Comme pour toutes les maladies transmissibles, la voie de transmission est la plus importante à considérer.
Pour le virus de la poliomyélite, la voie est soit orale/orale soit orale/fécale. Il doit être ingéré, et cela se produit soit par contact salive-salive, soit par ingestion d'aliments ou d'eau contaminés.
Dans une infection naturelle, les particules virales doivent pénétrer dans la circulation sanguine après avoir été ingérées. Cela se produira si le virus est répliqué dans les cellules épithéliales tapissant l'intestin et libéré dans le sang ou la lymphe.
Si le virus atteint les cellules du système nerveux central, la dévastation des motoneurones peut se produire et provoquer une paralysie douce.
Suivez VaccineInjurynews.com pour plus d'informations sur les effets indésirables du vaccin contre la poliomyélite.
Regardez la vidéo ci-dessous sur les vaccins contre la poliomyélite de Bill Gates qui paralysent les enfants en Inde et en Afrique.
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En 1955, un vaccin antipoliomyélitique « salvateur » a rendu malade et paralysé mortellement d'innombrables enfants après avoir été déclaré « sûr et efficace ».
FOLIE MÉDICALE : Bill Gates développe un nouveau vaccin qui prétend prévenir la poliomyélite causée par les vaccins antipoliomyélitiques.
La prise de pouvoir de Sunak – un putsch de la haute finance ?
RépondreSupprimer08.11.2022
www.kla.tv/24088
Rishi Sunak est depuis quelque temps le nouveau Premier ministre de la Grande-Bretagne. Les médias de ce pays s'enthousiasment déjà pour la version britannique de l’effet Obama. Sunak, le premier Premier ministre britannique non blanc, hindou pratiquant, intelligent, toujours élégamment vêtu. A première vue, un casting de rêve. Mais vraiment un rêve ? Dans cette émission, nous aimerions jeter avec vous un coup d'œil sur Rishi Sunak : Quels sont ses antécédents ? Avec qui est-il en contact et où va-t-il mener le pays ?
Qui est Rishi Sunak ?
Rishi Sunak est marié à Akshata Murty. Ils ont deux enfants. Murty est la fille du milliardaire Narayana Murty, cofondateur du géant informatique Infosys, l'une des plus grandes entreprises indiennes, active dans 50 pays à travers le monde et dont le chiffre d'affaires s'élevait à 13,5 milliards de dollars en 2021. Akshata Murty détient également des parts dans l'entreprise. Les Sunak comptent ainsi parmi les familles britanniques les plus riches, leur fortune est estimée à 838 millions d'euros et serait ainsi environ deux fois plus élevée que celle du roi Charles et de son épouse.
Si on regarde les étapes précédentes de la carrière fulgurante de Sunak, on constate une grande proximité avec l'élite financière :
- Études dans les universités d'élite d'Oxford et de Stanford.
- De 2001 à 2004, analyste pour la banque d'investissement Goldman Sachs.
- A partir de 2006, Sunak a travaillé pour le fonds spéculatif TCI, puis a rejoint le fonds spéculatif Thélème.
Brève explication : Les fonds spéculatif sont des fonds d'investissement particulièrement risqués, proposés à un petit cercle d'investisseurs très riches. Ils utilisent une large gamme d'instruments financiers, y compris ceux dont l'utilisation est interdite par la loi aux autres fonds d'investissement, comme les produits dérivés ou les ventes à découvert.
- De 2013 à 2015, Sunak a été directeur de la société d'investissement de son beau-père.
Des pratiques douteuses en tant qu'homme d'affaires et homme politique
Selon le Times, Sunak a gagné 100 millions de livres en 2008 avec d'autres patrons de fonds spéculatifs en faisant un pari boursier qui, selon le journal, a contribué à déclencher la crise financière de 2007/2008. Il est ainsi devenu multimillionnaire à l'âge de 20 ans.
- En tant que ministre des Finances, Sunak a augmenté les impôts, de sorte que les Britanniques doivent désormais supporter la charge fiscale la plus lourde depuis la Seconde Guerre mondiale. Cependant, sa propre femme, se déclarant « non-résident fiscal », a utilisé la réglementation dite « non-dom » pour éviter de payer des impôts. Malgré le fait que son mari occupait l'une des plus hautes fonctions de l'État, elle a déclaré que sa résidence principale n'était pas en Grande-Bretagne. Elle a ainsi pu réaliser des économies d'impôts considérables en payant une taxe relativement dérisoire de 30 000 livres sterling. Selon les estimations, le fisc britannique a ainsi perdu 20 millions de livres.
RépondreSupprimer- Sunak lui-même a fait l'objet de critiques, car on a appris qu'il possédait une carte verte américaine. Celle-ci l'indiquait comme résident américain même lorsqu'il était ministre, ce qui le fait soupçonner de s'être, là encore, octroyé des avantages fiscaux.
- Lorsque le gouvernement Johnson a imposé des règles de sortie strictes à la population pendant la pandémie de Covid, Boris Johnson a notamment célébré sa fameuse fête d'anniversaire avec Sunak, ce qui lui a valu une amende par la suite.
Conclusion intermédiaire : Sunak agit selon la devise : prêcher l'eau, boire le vin. Il impose lui-même des mesures sévères à la collectivité, mais les contourne dès qu'elles le touchent lui-même.
Les fonds spéculatifs ouvrent la voie au pouvoir
Si on regarde la carrière politique de Sunak, on peut également se demander si tout s'est passé correctement. Ce n'est qu'en 2014 qu'il a rejoint le parti conservateur Tory, mais en 2015, soit un an plus tard, il était déjà député à la Chambre des communes. On peut se demander comment ce jeune homme, encore inconnu à l'époque, a pu, après seulement un an d'appartenance au parti, obtenir une circonscription sûre, que les Tories ont toujours gagnée depuis plus de 100 ans ? Quelqu'un aurait-il pu l'aider ? Sunak est en effet un collaborateur officiel du Forum économique mondial (FEM), qui est connu pour placer ses collaborateurs aux principaux postes de la politique et de l'économie. Des hommes politiques de premier plan comme Merkel, Trudeau ou Baerbock sont tous issus de l'école des cadres du FEM.
Il n'est donc pas surprenant que Sunak ait lui aussi été nommé au gouvernement par Boris Johnson en 2020 en tant que chancelier de l'Échiquier. Début juillet, suite à divers scandales, Sunak a démissionné de son poste de ministre en même temps que le ministre de la Santé Javid, attaquant violemment Johnson à cette occasion. Leurs démissions remarquées ont largement contribué à la vague d'opposition au sein du Parti conservateur, qui a finalement forcé Johnson à démissionner de son poste de président du parti et de chef du gouvernement.
Sunak voulait alors devenir lui-même chef du gouvernement, mais la base du parti Tories lui a mis des bâtons dans les roues lors de la consultation décisive des membres et a opté pour son adversaire Liz Truss.
Mais la base du parti avait fait le calcul sans l'hôte, à savoir les grands fonds spéculatifs. Ceux-ci ont en effet mis le nouveau gouvernement dans une situation difficile peu de temps après. Lorsque le nouveau ministre des Finances, Kwarteng, a présenté un plan de réduction d'impôts radical, basé sur la dette, qui représentait un revirement complet de la politique financière de son prédécesseur Sunak, les marchés financiers ont connu de fortes turbulences : La livre britannique s'est effondrée massivement et a atteint dans les jours qui ont suivi son plus bas niveau historique. Le marché des obligations d'État britanniques est également devenu incontrôlable, ce qui a conduit de grands fonds de pension britanniques au bord de l'effondrement, car ils avaient fortement investi dans des obligations d'État. Les pensions de retraite de nombreux Britanniques risquaient d'être pulvérisées. L'effondrement des fonds de pension n'a pu être évité que grâce à l'intervention de la Banque d'Angleterre, qui a racheté des milliards d'obligations d'État. Face à ce désastre, Liz Truss a perdu le soutien des députés et s'est vu contrainte de démissionner. La voie était désormais libre pour Sunak. L'ex-banquier d'affaires, qui avait déjà mis en garde contre les projets fiscaux de Truss dans la course, est désormais considéré comme capable de regagner la confiance des marchés.
RépondreSupprimerCependant la question reste posée de savoir si les mécanismes du marché ont échappé involontairement à tout contrôle ou si ce séisme a été délibérément déclenché. En effet, presque 30 ans auparavant, George Soros avait démontré en 1992, avec son fonds spéculatif « Quantum Funds », comment on pouvait faire chuter massivement une monnaie. En vendant tactiquement des milliards de livres sterling en devises étrangères, Soros et d'autres spéculateurs avaient alors forcé la livre à chuter de 25 % par rapport au dollar. La Grande-Bretagne a alors dû quitter le système monétaire européen. Soros, quant à lui, a réalisé un bénéfice d'un milliard de dollars en pariant contre la livre et en vendant des devises.
Et cette fois encore, les fonds spéculatifs semblent avoir joué un rôle décisif. Selon un article du Times, Liz Truss a rencontré plusieurs gestionnaires de fonds spéculatifs lors d'un dîner peu avant la publication des plans fiscaux. On peut supposer que des informations privilégiées ont été échangées à cette occasion, ce qui a permis de réagir rapidement. Et en effet, quelques minutes seulement après l'annonce des plans fiscaux, la livre a chuté et divers fonds spéculatifs ont réalisé des bénéfices massifs. Mais ce n'est pas tout. Après que Truss a limogé son ministre des Finances, le nouveau ministre des Finances, Jeremy Hunt, qui peut également conserver ce poste sous Sunak, a convoqué un groupe de conseillers. Celui-ci se compose exclusivement de gestionnaires de fonds spéculatifs et de grands banquiers, dont des représentants de Blackrock, Goldman-Sachs, J.P. Morgan et du fonds spéculatif américain « Element Capital ».
Conclusion intermédiaire : jusqu'à présent, ce sont les fonds spéculatifs qui en ont profité à plusieurs reprises. D'une part, ils ont engrangé des bénéfices massifs sur le dos des citoyens, placé l'un des leurs, Sunak, à la tête du pays et se trouvent désormais directement aux manettes du pouvoir en tant que conseillers du gouvernement. La Grande-Bretagne est donc désormais fermement aux mains des fonds spéculatifs. Mais qu'attendent-ils de leur nouvel homme fort ?
Dans quelle direction Sunak va-t-il mener le Royaume-Uni en tant que Premier ministre ?
RépondreSupprimerOn peut s'attendre à ce que Sunak poursuive sa politique d'impôts élevés et de coupes sévères dans les dépenses. Le ministre des Finances Hunt a déjà presque entièrement annulé les baisses d'impôts et les paquets d'allègement prévus par le gouvernement précédent. Ainsi, pour les citoyens, l’évolution devrait se poursuivre de manière directe et rigoureuse, conformément à l'agenda du FEM. La maxime est en effet : « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux. »
Sunak est en outre un fervent partisan d'une monnaie numérique de banque centrale. Celle-ci donnerait de vastes instruments dans les mains de l'élite financière. Ainsi, il serait possible d'imposer des taux d'intérêt négatifs sans aucune restriction, puisqu'il n'y aurait plus d'argent liquide que les citoyens pourraient retirer. En outre, le citoyen deviendrait totalement transparent d'un point de vue financier, puisque chaque transaction serait visible pour les banques et pour l'État. Les citoyens qui ne sont pas d'accord avec la politique du gouvernement et qui le font savoir sont particulièrement menacés. Les détracteurs peuvent être totalement exclus de la vie publique en bloquant leurs comptes. Ils ne peuvent alors plus payer leur loyer, acheter de la nourriture ou utiliser les transports publics, comme c'est déjà le cas en Chine.
C'est ici, sur le thème de la monnaie numérique de banque centrale, que la boucle est bouclée avec le beau-père de Rishi Sunak et sa société informatique Infosys. Infosys est - comme Sunak lui-même - partenaire du Forum économique mondial et développe actuellement l'infrastructure technique pour une telle monnaie numérique de banque centrale. Celle-ci pourrait devenir la base du système mondial de crédit social souhaité par le FEM, sur le modèle chinois.
Conclusion : avec Rishi Sunak, c'est manifestement un homme étroitement lié au complexe numérique et financier ainsi qu'au FEM qui a été placé de manière ciblée à la plus haute fonction de la Grande-Bretagne.
Il est légitime de craindre que Sunak ne profite de sa position de force pour poser les jalons nécessaires à la grande réinitialisation souhaitée par le FEM et à la société sans argent liquide qui en découle.
de tz.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Qui est Rishi Sunak?
- https://www.nzz.ch/feuilleton/mit-der-wahl-von-rishi-sunak-zum-premierminister-erlebt-grossbritannien-einen-obama-moment-will-das-aber-nicht-wahrhaben-ld.1709271
- https://de.wikipedia.org/wiki/Rishi_Sunak
- https://www.stern.de/politik/ausland/akshata-murthy--das-ist-die-superreiche-frau-des-briten-premiers-sunak-32850626.html
- https://www.boerse.de/fundamental-analyse/Infosys-ADR-Aktie/US4567881085
- https://www.infosys.com/de/ueberuns.html
- https://www.stern.de/politik/ausland/rishi-sunak--woher-hat-der-multimillionaer-sein-vermoegen---32574028.html
https://de.wikipedia.org/wiki/Hedgefonds
Des pratiques douteuses en tant qu'homme d'affaires et homme politique :
- https://imes.co.uk/article/new-chancellor-rishi-sunak-cashed-in-on-fund-that-helped-break-banks-rb7zgfqkz
- https://www.express.co.uk/news/uk/1687662/rishi-sunak-fortune-prime-minister-700million-wife-tax-spt
- https://www.wiwo.de/politik/ausland/rishi-sunak-rishi-sunak-und-der-steuerskandal/28764836-2.html
- https://www.stern.de/politik/ausland/akshata-murthy--das-ist-die-superreiche-frau-des-briten-premiers-sunak-32850626.html
- https://www.stern.de/news/regierung--bussgelder-gegen-premier-johnson-und-minister-sunak-wegen-corona-verstoessen-31776804.html
Comment Sunak est arrivé au pouvoir ?
- https://de.wikipedia.org/wiki/Rishi_Sunak
- https://www.britannica.com/biography/Rishi-Sunak
- https://www.capital.de/wirtschaft-politik/grossbritannien--beinahe-crash-am-anleihemarkt-wegen-pensionsfonds-32811838.html
- https://de.wikipedia.org/wiki/Quantum_Funds
- https://de.wikipedia.org/wiki/Schwarzer_Mittwoch
- https://fortune.com/2022/09/26/short-the-pound-uk-government-liz-truss-kwarteng-budget-hedge-funds-george-soros/
- https://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/grossbritannien-steuern-liz-truss-1.5668487
- https://finanzmarktwelt.de/pfund-crasht-auf-allzeittief-die-gruende-246964/
- https://www.jungewelt.de/artikel/435591.finanzpolitik-wetten-gegen-das-pfund.html
- https://www.institutional-money.com/news/maerkte/headline/crispin-odeys-hedgefonds-verdient-an-britischen-turbulenzen-kolossal-218998/
- https://www.wiwo.de/my/politik/europa/oekonomie-fuer-anfaenger-englands-angeschlagene-regierung-sucht-rat-bei-hedgefonds/28756912.html?ticket=ST-1051229-Y53YjPkw3v1mXhlNdiDa-cas01.example.org
Dans quelle direction Sunak va-t-il mener le Royaume-Uni en tant que Premier ministre ?
- https://www.n-tv.de/politik/Rishi-Sunak-Neuer-britischer-Premier-wegen-Kabinettsliste-in-Erklaerungsnot-article23676940.html
- https://www.weforum.org/partners#I
- https://www.weforum.org/people/rishi-sunak
- https://uncutnews.ch/familie-des-neuen-britischen-premierministers-rishi-sunak-leitet-ein-mit-china-verbundenes-unternehmen-das-partner-des-wef-ist-und-digitale-id-und-sozialkredit-scores-vorantreibt/
- https://www.freiewelt.net/nachricht/farage-rishi-sunak-ist-ein-waschechter-globalist-des-wef-10091185/
- https://www.youtube.com/watch?v=AqB6TFDLYS8&t=442s
-https://www.infosys.com/services/engineering-services/service-offerings/sdn-5g.html
- https://www.youtube.com/watch?v=pyWhjfRMwyI
- https://www.unlock-bc.com/92353/new-uk-prime-minister-rishi-sunak-pushes-heavily-to-introduce-a-cbdc/
- https://tkp.at/2022/10/25/neuer-britischer-premier-rishi-sunak-milliardaer-wef-mann-und-goldman-sachs-banker/
https://www.kla.tv/fr
Vladimir Poutine : « L’hégémonie occidentale touche à sa fin »
RépondreSupprimerArrêt sur info
31 octobre 2022
Intervention de Vladimir Poutine à la session plénière de la 19ème réunion annuelle du Club Valdaï, 27 octobre 2022
Version intégrale
Source : Kremlin
Vladimir Poutine : Chers participants à la session plénière ! Mesdames et Messieurs ! Mes amis !
J’ai eu un petit aperçu des discussions qui ont eu lieu ici les jours précédents – très intéressantes et instructives. J’espère que vous n’avez pas regretté de venir en Russie et de communiquer entre vous.
Je suis heureux de vous voir tous ici.
Au Club Valdaï, nous avons parlé à plusieurs reprises des changements – des changements sérieux et importants – qui se sont déjà produits et qui se produisent dans le monde, des risques associés à la dégradation des institutions mondiales, à l’érosion des principes de sécurité collective, à la substitution du droit international par de soi-disant règles – je veux dire, on comprend qui les a établies, mais ce n’est peut-être pas précis – dont on ne sait généralement pas qui les a établies, quels sont les fondements de ces règles, et ce qu’elles contiennent.
Apparemment, il y a seulement une tentative d’établir une règle afin que ceux qui sont au pouvoir – nous avons parlé aujourd’hui des autorités, je parle du pouvoir mondial – puissent vivre sans aucune règle et être autorisés à faire ce qu’ils veulent, à s’en tirer comme ils veulent. Ce sont, en fait, ces règles que l’on nous répète sans cesse, comme on dit, dont on parle sans cesse.
La valeur des discussions de Valdaï réside dans le fait qu’une variété d’évaluations et de prévisions ont été faites. La vie elle-même, l’examinateur le plus strict et le plus objectif – la vie – montre à quel point elles étaient exactes. Cela montre à quel point nos discussions préparatoires étaient précises les années précédentes.
Hélas, les événements ont jusqu’à présent continué à suivre le scénario négatif dont nous avons parlé de nombreuses fois lors des réunions précédentes. En outre, ces événements se sont transformés en une crise systémique de grande ampleur, non seulement dans la sphère politico-militaire, mais aussi dans les sphères économique et humanitaire.
Ce qu’on appelle l’Occident – conventionnellement, bien sûr, il n’y a pas d’unité là-dedans – il est clair que c’est un conglomérat très complexe, néanmoins disons que cet Occident a fait un certain nombre de pas vers l’aggravation ces dernières années et surtout ces derniers mois. En fait, ils jouent toujours pour aggraver la situation, il n’y a rien de nouveau ici non plus. Il s’agit notamment de l’incitation à la guerre en Ukraine, des provocations autour de Taïwan et de la déstabilisation des marchés alimentaires et énergétiques mondiaux. Ce dernier point, bien sûr, n’a pas été fait exprès, il n’y a aucun doute là-dessus, mais en raison d’un certain nombre d’erreurs systémiques commises précisément par les autorités occidentales que j’ai déjà mentionnées. Et comme nous pouvons le voir maintenant, la destruction des gazoducs paneuropéens s’est également ajoutée à cela. C’est la chose la plus scandaleuse qui soit, mais nous sommes néanmoins témoins de ces tristes événements.
Le pouvoir sur le monde est précisément ce sur quoi l’Occident sus-mentionné a parié. Mais ce jeu est assurément un jeu dangereux, sanglant et, je dirais, sale. Il nie la souveraineté des pays et des peuples, leur identité et leur singularité, et n’accorde aucune valeur aux intérêts des autres États. Du moins si cela n’est pas explicitement déclaré comme un déni, c’est néanmoins ce qui est fait dans la pratique. Personne, à l’exception de ceux qui formulent les règles que j’ai mentionnées, n’a le droit de développer sa propre identité : tous les autres doivent être « passés au peigne fin » en fonction de ces mêmes règles.
RépondreSupprimerDans ce contexte, je rappelle les propositions de la Russie aux partenaires occidentaux sur l’instauration de la confiance et la construction d’un système de sécurité collective. En décembre de l’année dernière, elles ont une fois de plus été simplement écartées.
Mais dans le monde d’aujourd’hui, rester assis n’est pas une option. Ceux qui sèment le vent récolteront, comme on dit, la tempête. La crise est vraiment devenue mondiale, elle touche tout le monde. Il ne faut pas se faire d’illusions.
L’humanité a maintenant essentiellement deux choix : soit continuer à accumuler les problèmes qui nous anéantiront inévitablement, soit essayer de trouver ensemble des solutions, certes imparfaites, mais réalisables et susceptibles de rendre notre monde plus stable et plus sûr.
Vous savez, j’ai toujours cru et je continue de croire au pouvoir du bon sens. Je suis donc convaincu que, tôt ou tard, les nouveaux centres de l’ordre mondial multipolaire et l’Occident devront commencer à parler d’un avenir commun pour nous, sur un pied d’égalité, et le plus tôt sera le mieux. Dans ce contexte, je voudrais souligner quelques points importants pour nous tous.
Les événements actuels ont éclipsé les questions environnementales – curieusement, c’est par là que je voudrais commencer. Les questions relatives au changement climatique ne sont plus en tête des priorités. Mais ces défis fondamentaux n’ont pas disparu, ils ne vont nulle part, ils ne font que croître.
L’une des conséquences les plus dangereuses du dérèglement écologique est la réduction de la biodiversité dans la nature. Et j’en viens maintenant au sujet principal pour lequel nous sommes tous réunis : l’autre diversité – culturelle, sociale, politique, civilisationnelle – est-elle moins importante ?
Dans le même temps, la réduction, l’effacement de toutes les différences est devenu presque l’essence de l’Occident moderne. Qu’est-ce qui se cache derrière cette réduction ? C’est d’abord la disparition du potentiel créatif de l’Occident lui-même et la volonté de freiner, de bloquer le libre développement des autres civilisations.
Bien sûr, il y a là aussi un intérêt mercantile direct : en imposant leurs valeurs, leurs stéréotypes de consommation, leur uniformisation, nos adversaires – je les appellerai ainsi sans ambages – tentent d’élargir les marchés de leurs produits. Tout est très primitif à la fin sur ce morceau. Ce n’est pas un hasard si l’Occident prétend que sa culture et sa vision du monde doivent être universelles. S’ils ne le disent pas directement – bien qu’ils le disent souvent aussi directement – mais s’ils ne le disent pas directement, ils se comportent et insistent sur le fait que, par le jeu de la vie, leurs politiciens insistent sur le fait que ces mêmes valeurs doivent être acceptées inconditionnellement par tous les autres participants aux interactions internationales.
Voici une citation du célèbre discours d’Alexandre Soljenitsyne à Harvard. En 1978, il notait que l’Occident était caractérisé par un “aveuglement persistant de supériorité” – qui perdure encore aujourd’hui – qui “soutient l’idée que toutes les vastes régions de notre planète devraient se développer et être dominées par les systèmes occidentaux actuels…”. 1978. Rien n’a changé.
RépondreSupprimerAu cours du dernier demi-siècle, cet aveuglement dont parlait Soljenitsyne – de nature ouvertement raciste et néocoloniale – est devenu tout simplement hideux, surtout depuis que le monde dit unipolaire a vu le jour. Que voulez-vous que je réponde à ça ? La confiance en son infaillibilité est un état très dangereux : il n’y a qu’un pas à franchir pour que les « infaillibles » eux-mêmes puissent simplement détruire ceux qu’ils n’aiment pas. Comme on dit, « effacer » – réfléchissons au moins à la signification de ce mot.
Même au plus fort de la guerre froide, au plus fort de la confrontation des systèmes, des idéologies et des rivalités militaires, il n’est venu à l’idée de personne de nier l’existence même de la culture, de l’art et de la science de ses adversaires. Cela n’a effleuré personne ! Oui, certaines restrictions ont été imposées aux relations éducatives, scientifiques, culturelles et, malheureusement, également aux relations sportives. Néanmoins, les dirigeants soviétiques et américains de l’époque ont compris que la sphère humanitaire devait être traitée avec délicatesse, en étudiant et en respectant l’adversaire et en lui empruntant parfois quelque chose afin de préserver, au moins pour l’avenir, une base de relations raisonnables et fructueuses.
Et que se passe-t-il maintenant ? Les nazis en étaient venus à brûler des livres en leur temps, et maintenant, les « libéraux et progressistes » occidentaux en sont arrivés à interdire Dostoïevski et Tchaïkovski. La soi-disant culture de l’effacement, mais qui est en fait – nous en avons déjà parlé à plusieurs reprises – une véritable suppression de la culture, prive de toute vie et de toute créativité et ne permet pas à la libre pensée de se développer dans aucun domaine : ni en économie, ni en politique, ni en culture.
L’idéologie libérale elle-même a changé au point d’être méconnaissable aujourd’hui. Alors que le libéralisme classique comprenait à l’origine la liberté de chacun comme la liberté de dire ce que l’on veut, de faire ce que l’on veut, dès le XXe siècle, les libéraux ont commencé à dire que la société dite ouverte avait des ennemis – il s’avère que la société ouverte a des ennemis – et que la liberté de ces ennemis peut et doit être restreinte, voire abolie. Ils ont maintenant atteint le point d’absurdité où tout point de vue alternatif est déclaré comme de la propagande subversive et une menace pour la démocratie.
Tout ce qui sort de Russie est un « complot du Kremlin ». Mais regardez-vous ! Sommes-nous vraiment si tout-puissants ? Toute critique de nos adversaires – toute ! – est perçu comme un « complot du Kremlin », « la main du Kremlin ». C’est absurde. Qu’est-ce qui vous est arrivé ? Utilisez votre cerveau, exprimez quelque chose de plus intéressant, présentez votre point de vue d’une manière plus conceptuelle. Vous ne pouvez pas tout mettre sur le compte des intrigues du Kremlin.
Tout ceci a été prophétiquement prédit par Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski au XIXe siècle. L’un des personnages de son roman Les Possédés, le nihiliste Chigaliov, a décrit l’avenir radieux qu’il imaginait : « Je quitte une liberté sans limites pour aboutir à un despotisme sans limites », ce qui, soit dit en passant, est ce à quoi nos adversaires occidentaux ont fini par adhérer. L’autre personnage du roman, Piotr Verkhovenski, lui fait écho en déclarant que la trahison, la délation et l’espionnage sont nécessaires partout, que la société n’a pas besoin de talents et de capacités supérieures : « Cicéron a la langue coupée, Copernic a les yeux crevés, Shakespeare est lapidé à mort ». Voilà où en sont nos adversaires occidentaux. Qu’est-ce que c’est, sinon une culture occidentale moderne de l’effacement ?
RépondreSupprimerLes penseurs étaient grands, et je suis reconnaissant, je vais être honnête, à mes assistants qui ont trouvé ces citations.
Que pouvons-nous répondre à cela ? L’histoire remettra sûrement tout à sa place et annulera non pas les plus grandes œuvres des génies universellement reconnus de la culture mondiale, mais ceux qui, aujourd’hui, pour une raison quelconque, ont décidé qu’ils avaient le droit de disposer de cette culture mondiale à leur guise. La vanité de tels personnages est hors norme, comme on dit, mais dans quelques années, personne ne se souviendra de leur nom. Et Dostoïevski survivra, tout comme Tchaïkovski et Pouchkine, n’en déplaise à certains.
Le modèle occidental de mondialisation, néocolonial par essence, était également fondé sur l’unification, sur le monopole financier et technologique, sur l’effacement de toutes les différences. La tâche était claire : renforcer la domination inconditionnelle de l’Occident dans l’économie et la politique mondiales et, pour ce faire, mettre à son service les ressources naturelles et financières, les capacités intellectuelles, humaines et économiques de la planète entière, à la sauce de la soi-disant nouvelle interdépendance mondiale.
Je voudrais ici évoquer un autre philosophe russe – Alexandre Alexandrovitch Zinoviev, dont nous célébrerons le centenaire dans quelques jours à peine, le 29 octobre. Il y a plus de 20 ans, il a déclaré que pour la survie de la civilisation occidentale au niveau atteint par celle-ci, « la planète entière en tant qu’environnement d’existence est nécessaire, toutes les ressources de l’humanité sont nécessaires ». C’est ce à quoi ils prétendent, tout ce qu’il y a.
De plus, dans ce système, l’Occident a d’abord pris une énorme avance, car il a développé ses principes et ses mécanismes – comme aujourd’hui ces principes dont on parle sans cesse et qui sont un incompréhensible « trou noir » : ce qu’il est – personne ne le sait. Mais dès que non pas les pays occidentaux mais d’autres États ont commencé à bénéficier de la mondialisation, et nous parlons bien sûr en premier lieu des grands États asiatiques, l’Occident a immédiatement modifié ou annulé de nombreuses règles. Et les principes dits sacrés du libre-échange, de l’ouverture économique, de l’égalité de concurrence, voire du droit de propriété, ont été soudainement et complètement oubliés. Dès que quelque chose devenait rentable pour eux, ils changeaient les règles à la volée, au fur et à mesure de la partie.
Ou un autre exemple de la substitution de concepts et de significations. Pendant des années, les idéologues et les politiciens occidentaux ont répété au monde entier qu’il n’y avait pas d’alternative à la démocratie. Il est vrai qu’ils parlaient du modèle occidental, dit libéral, de démocratie. Ils ont rejeté toutes les autres variantes et formes de démocratie avec mépris et – je tiens à le noter – du bout des lèvres, avec arrogance. Cette façon de faire s’est structurée depuis longtemps, depuis l’époque coloniale : le reste du monde est considéré comme des personnes de seconde catégorie et seuls eux-mêmes sont exceptionnels. Il en a été ainsi pendant des siècles et cela continue encore aujourd’hui.
Mais aujourd’hui, la grande majorité de la communauté mondiale exige la démocratie dans les affaires internationales et n’accepte aucune forme de diktat autoritaire de pays individuels ou de groupes d’États. Qu’est-ce que c’est, sinon l’application directe des principes de la démocratie au niveau des relations internationales ?
RépondreSupprimerEt quelle est la position de l’Occident “civilisé” – entre guillemets – ? Si vous êtes démocrates, vous devriez apparemment accueillir favorablement ce désir naturel de liberté pour des milliards de personnes – mais non ! L’Occident appelle cela la mise à mal de l’ordre libéral, fondé sur des règles, lance des guerres économiques et commerciales, des sanctions, des boycotts, des révolutions de couleur, prépare et mène toutes sortes de coups d’État.
L’un d’eux a conduit aux conséquences tragiques en Ukraine en 2014 – ils l’ont soutenu, disant même combien d’argent a été dépensé pour le coup d’État. De manière générale, ils sont juste fous, ils n’ont honte de rien. Ils ont tué Soleimani, un général iranien. Vous pouvez traiter Soleimani comme vous voulez, mais c’était un représentant officiel d’un autre pays ! Ils l’ont tué sur le territoire d’un pays tiers et ont dit : oui, nous l’avons fait. De quoi s’agit-il ? Où vivons-nous ?
Washington, comme à son habitude, continue de qualifier l’ordre mondial actuel de libéral américain, mais en fait, chaque jour, ce fameux “ordre” amplifie le chaos et, j’ajouterais, devient de plus en plus intolérant envers les pays occidentaux eux-mêmes, envers leurs tentatives de faire preuve d’une quelconque indépendance. Tout est supprimé jusqu’à la racine, et des sanctions sont imposées à leurs propres alliés – sans honte ! Et ces derniers acceptent tout, la tête baissée.
Par exemple, les propositions des parlementaires hongrois en juillet visant à inscrire dans le traité de l’UE un engagement en faveur des valeurs et de la culture chrétiennes européennes n’ont même pas été perçues comme une fronde, mais comme un sabotage hostile direct. Qu’est-ce que c’est ? Comment le comprendre ? Oui, certains peuvent aimer ça, d’autres non.
En Russie, une culture unique d’interaction entre toutes les religions du monde s’est développée depuis plus de mille ans. Il n’y a pas besoin d’effacer quoi que ce soit : ni les valeurs chrétiennes, ni les valeurs islamiques, ni les valeurs juives. D’autres religions du monde sont présentes dans notre pays. Nous devrions simplement nous traiter mutuellement avec respect. Dans de nombreuses régions de notre pays – je le sais de première main – les gens sortent ensemble, célèbrent les fêtes chrétiennes, islamiques, bouddhistes et juives, et le font avec enthousiasme, se félicitant et se congratulant les uns les autres.
Mais pas ici. Pourquoi pas ? Au moins, on en parlerait. Incroyable !
Tout ceci est sans exagération non pas même une crise systémique mais une crise doctrinale du modèle néo-libéral d’ordre mondial à l’américaine. Ils n’ont aucune idée de création et de développement positif, ils n’ont tout simplement rien à offrir au monde, si ce n’est la préservation de leur domination.
Je suis convaincu que la véritable démocratie dans un monde multipolaire présuppose avant tout la possibilité pour toute nation, je tiens à le souligner, toute société, toute civilisation de choisir sa propre voie, son propre système socio-politique. Si les États-Unis et l’Union européenne ont ce droit, les pays asiatiques, les États islamiques, les monarchies du golfe Persique et les États des autres continents l’ont aussi. Bien sûr, notre pays, la Russie, a également ce droit, et personne ne pourra jamais dicter à notre peuple quel type de société nous devons construire et sur quels principes.
RépondreSupprimerLa menace directe pour le monopole politique, économique et idéologique de l’Occident est que des modèles sociaux alternatifs peuvent émerger dans le monde – plus efficaces, je tiens à le souligner, plus efficaces dans le monde d’aujourd’hui, plus brillants, plus attrayants que ce que nous avons. Mais de tels modèles vont se développer – c’est inévitable. D’ailleurs, les politologues américains, les experts, ils écrivent précisément à ce sujet. Il est vrai que les autorités ne les écoutent pas encore beaucoup, même si elles ne peuvent s’empêcher de voir ces idées exprimées dans les pages des revues de sciences politiques et dans les débats.
Le développement doit se faire dans le cadre du dialogue des civilisations, sur la base de valeurs spirituelles et morales. Oui, les différentes civilisations ont une compréhension différente de l’homme, de sa nature – elle n’est souvent différente qu’en apparence, mais toutes reconnaissent la dignité suprême et l’essence spirituelle de l’homme. Et ce qui est extrêmement important, c’est le terrain commun, la base commune sur laquelle nous pouvons certainement construire, et devons construire, notre avenir.
Qu’est-ce que je veux souligner ici ? Les valeurs traditionnelles ne sont pas un ensemble fixe de postulats auxquels tout le monde devrait adhérer. Bien sûr que non. Elles se distinguent des valeurs dites néolibérales en ce qu’elles sont uniques dans chaque cas, car elles sont issues de la tradition d’une société particulière, de sa culture et de son expérience historique. Par conséquent, les valeurs traditionnelles ne peuvent être imposées à quiconque – elles doivent simplement être respectées, en chérissant ce que chaque nation a choisi depuis des siècles.
Telle est notre conception des valeurs traditionnelles, et cette approche est partagée et acceptée par la majorité de l’humanité. Les sociétés traditionnelles d’Orient, d’Amérique latine, d’Afrique et d’Eurasie constituent la base de la civilisation mondiale.
Le respect des spécificités des peuples et des civilisations est dans l’intérêt de tous. En fait, c’est aussi dans l’intérêt de ce que l’on appelle l’Occident. Perdant sa suprématie, il devient rapidement une minorité sur la scène mondiale. Et bien sûr, le droit de cette minorité occidentale à sa propre identité culturelle, bien sûr, je tiens à le souligner, doit être garanti, il doit être traité avec respect, mais, je tiens à le souligner, sur un pied d’égalité avec les droits de tous les autres.
Si les élites occidentales croient qu’elles pourront introduire dans l’esprit de leurs peuples, de leurs sociétés, de nouvelles tendances étranges, à mon avis, comme des dizaines de genres et des défilés de la gay pride, alors qu’il en soit ainsi. Laissez-les faire ce qu’ils veulent ! Mais ce qu’ils n’ont pas le droit de faire, c’est d’exiger que les autres suivent la même direction.
RépondreSupprimerNous pouvons constater que les pays occidentaux connaissent des processus démographiques, politiques et sociaux complexes. Bien sûr, il s’agit d’une affaire interne pour eux. La Russie n’intervient pas dans ces affaires et n’a pas l’intention de le faire – contrairement à l’Occident, nous ne nous mêlons pas des affaires des autres. Mais nous espérons que le pragmatisme prévaudra et que le dialogue de la Russie avec l’Occident authentique et traditionnel, ainsi qu’avec d’autres centres de développement égalitaire, sera une contribution importante à la construction d’un ordre mondial multipolaire.
Je voudrais ajouter que la multipolarité est une réelle chance, et en fait, la seule chance pour cette même Europe de restaurer sa souveraineté politique et économique. Certes, nous comprenons tous, et c’est ce qu’on dit en Europe : aujourd’hui, la souveraineté juridique de l’Europe est – comment dire gentiment, pour ne froisser personne – sévèrement limitée.
Le monde est intrinsèquement diversifié et les tentatives de l’Occident de faire entrer tout le monde dans un modèle unique sont objectivement vouées à l’échec.
L’aspiration arrogante au leadership mondial, ou en fait au diktat, ou au maintien du leadership par le diktat, entraîne en fait un déclin de l’autorité internationale des dirigeants du monde occidental, y compris les États-Unis, et un manque croissant de confiance dans leur capacité à négocier en général. Un jour ils disent une chose et le lendemain une autre ; ils signent des documents et le lendemain ils refusent de les signer ; ils font ce qu’ils veulent. Il n’y a aucune stabilité dans quoi que ce soit. On ne sait absolument pas comment les documents sont signés, ce qui a été dit, ce que l’on peut espérer.
Alors qu’autrefois seuls quelques pays se permettaient d’argumenter avec l’Amérique et que cela faisait presque sensation, il est désormais courant que divers pays refusent les exigences infondées de Washington, même si celle-ci tente toujours de bousculer tout le monde. Une politique absolument erronée, qui ne mène nulle part, tout simplement. Laissez-les faire, c’est aussi leur choix.
Je suis convaincu que les peuples du monde ne fermeront pas les yeux sur une politique de coercition qui s’est discréditée, et chaque fois que l’Occident tentera de maintenir son hégémonie, il devra payer un prix de plus en plus élevé. Si j’étais ces élites occidentales, je me pencherais sérieusement sur une telle perspective, tout comme certains politologues et politiciens aux États-Unis eux-mêmes l’envisagent, comme je l’ai déjà dit.
Dans le climat actuel de conflit violent, je vais dire certaines choses sans détour. La Russie, en tant que civilisation indépendante et distincte, n’a jamais considéré et ne se considère pas comme un ennemi de l’Occident. L’américanophobie, l’anglophobie, la francophobie, la germanophobie sont des formes de racisme au même titre que la russophobie et l’antisémitisme – de même que toutes les manifestations de xénophobie.
RépondreSupprimerIl faut simplement bien comprendre qu’il y a, comme je l’ai déjà dit, deux Occidents, au moins deux, ou peut-être plus, mais au moins deux : l’Occident des valeurs traditionnelles, tout d’abord chrétiennes, de la liberté, du patriotisme, de la richesse culturelle, et maintenant aussi des valeurs islamiques, parce qu’une partie importante de la population de nombreux pays occidentaux professe l’islam. Cet Occident est proche de nous dans un certain sens, à bien des égards nous avons des racines communes, voire ancestrales. Mais il existe un autre Occident – agressif, cosmopolite, néocolonial, agissant comme un outil pour les élites néolibérales. Bien sûr, la Russie ne supportera jamais les diktats de cet Occident.
En 2000, après mon élection à la présidence, ce à quoi j’ai été confronté, je m’en souviendrai toujours – souvenez-vous du prix que nous avons payé pour détruire le nid de terroristes dans le Caucase du Nord, que l’Occident soutenait presque ouvertement à l’époque. Tous les adultes ici, la plupart d’entre vous présents dans cette salle comprennent ce dont je parle. Nous savons que c’est exactement ce qui s’est passé dans la pratique : soutien financier, politique et informationnel. Nous l’avons tous vécu.
En outre, [l’Occident] a non seulement soutenu activement les terroristes sur le territoire russe, mais a aussi, à bien des égards, entretenu cette menace. Nous le savons. Néanmoins, une fois que la situation s’est stabilisée et que les principales bandes terroristes ont été vaincues, notamment grâce au courage du peuple tchétchène, nous avons décidé de ne pas revenir en arrière, de ne pas jouer les offensés, d’aller de l’avant, de nouer des relations même avec ceux qui travaillaient réellement contre nous, d’établir et de développer des relations avec tous ceux qui le souhaitaient, sur la base d’un bénéfice mutuel et du respect de l’autre.
On pensait que c’était dans l’intérêt commun. La Russie, Dieu merci, a survécu à toutes les difficultés de cette époque, a résisté, s’est renforcée, a fait face au terrorisme interne et externe, a préservé son économie, a commencé à se développer et sa capacité de défense a commencé à s’améliorer. Nous avons essayé d’établir des relations avec les principaux pays occidentaux et avec l’OTAN. Le message était le même : cessons d’être des ennemis, vivons ensemble en tant qu’amis, engageons le dialogue, instaurons la confiance et, partant, construisons la paix. Nous étions absolument sincères, je tiens à le souligner, nous avions bien compris la complexité de ce rapprochement, mais nous nous dirigions vers cela.
Et qu’avons-nous obtenu en réponse ? Nous avons, en somme, reçu un “non” dans tous les principaux domaines de coopération possible. Nous avons reçu une pression toujours plus forte sur nous et la création de foyers de tension près de nos frontières. Et quel est, si je puis me permettre, le but de cette pression ? Qu’est-ce que c’est ? C’est juste pour s’entraîner ? Bien sûr que non. L’objectif est de rendre la Russie plus vulnérable. L’objectif est de faire de la Russie un outil pour atteindre leurs propres objectifs géopolitiques.
En fait, il s’agit d’une règle universelle : chacun est transformé en outil pour utiliser ces outils à ses propres fins. Et ceux qui ne se soumettent pas à cette pression, qui ne veulent pas être un tel outil – des sanctions sont introduites contre eux, toutes sortes de restrictions économiques leur sont imposées et contre eux, des coups d’État sont préparés ou, lorsque c’est possible, réalisés et ainsi de suite. Et au final, si rien ne peut être fait, l’objectif est le même : détruire, rayer de la carte politique. Mais il n’a pas été et ne sera jamais possible de déployer et de mettre en œuvre un tel scénario à l’égard de la Russie.
RépondreSupprimerQue pourrais-je ajouter ? La Russie ne défie pas les élites de l’Occident – elle défend simplement son droit d’exister et de se développer librement. En même temps, nous ne deviendrons pas nous-mêmes un nouvel hégémon. La Russie ne propose pas de remplacer l’unipolarité par la bipolarité, la tripolarité et ainsi de suite, la domination occidentale par la domination de l’Est, du Nord ou du Sud. Cela conduirait inévitablement à une nouvelle impasse.
Et ici, je veux citer les paroles du grand philosophe russe Nikolaï Yakovlevitch Danilevski, qui croyait que le progrès ne consiste pas à aller dans une seule direction, comme certains de nos adversaires nous poussent à le faire – dans ce cas, le progrès cesserait rapidement, dit Danilevski – mais à « parcourir tout le champ, qui constitue le champ d’activité historique de l’humanité, dans toutes les directions ». Et il ajoute qu’aucune civilisation ne peut se vanter de représenter le point le plus élevé du développement.
Je suis convaincu seul le libre développement des pays et des peuples, peut s’opposer à la dictature, que seul l’amour envers l’être humain comme envers le Créateur peut s’opposer à la dégradation des individus, et que seule la complexité épanouie des cultures et des traditions peut s’opposer à l’uniformisation et aux interdits primitifs.
La signification du moment historique d’aujourd’hui est précisément que devant toutes les civilisations, tous les États et leurs associations d’intégration, il existe effectivement des possibilités de développement propre, démocratique et original. Et surtout, nous croyons que le nouvel ordre mondial doit être fondé sur le droit et la loi, être libre, particulier et juste.
Ainsi, l’économie et le commerce mondiaux doivent devenir plus justes et plus ouverts. La Russie considère la formation de nouvelles plates-formes financières internationales comme inévitable, y compris pour les paiements internationaux. Ces plateformes devraient se situer en dehors des juridictions nationales, être sécurisées, dépolitisées, automatisées et ne dépendre d’aucun centre de contrôle unique. Est-ce possible ou non ? Bien sûr que c’est possible. Cela demandera beaucoup d’efforts, les efforts combinés de nombreux pays, mais c’est possible.
Cela éliminerait la possibilité d’abus de la nouvelle infrastructure financière mondiale et permettrait un traitement efficace, rentable et sûr des transactions internationales sans le dollar et les autres monnaies dites de réserve. D’autant plus qu’en utilisant le dollar comme une arme, les Etats-Unis et l’Occident en général ont discrédité l’institution des réserves financières internationales. Elles ont d’abord été dévaluées par l’inflation du dollar et de la zone euro, puis – d’un coup de patte – ils ont fait main basse sur nos réserves internationales.
Le passage aux monnaies nationales va activement gagner du terrain – inévitablement. Cela dépend, bien sûr, de l’état des émetteurs de ces monnaies, de l’état de leurs économies, mais elles vont se renforcer, et ces transactions vont certainement devenir progressivement dominantes. C’est la logique de la politique économique et financière souveraine dans un monde multipolaire.
RépondreSupprimerEn outre. Aujourd’hui, les nouveaux centres de développement mondial possèdent déjà des technologies et des développements scientifiques uniques dans toute une série de domaines et, dans de nombreux secteurs, peuvent concurrencer avec succès les entreprises multinationales occidentales.
Il est évident que nous avons un intérêt commun, tout à fait pragmatique, pour un échange scientifique et technologique équitable et ouvert. Ensemble, chacun en profitera davantage que séparément. Les bénéfices devraient revenir à la majorité, et non à des sociétés individuelles super riches.
Comment cela se passe-t-il aujourd’hui ? Si l’Occident vend des médicaments ou des semences de cultures vivrières à d’autres pays, il ordonne de tuer les produits pharmaceutiques et les élevages nationaux, en fait, dans la pratique, tout se résume à cela ; s’il fournit des machines et des équipements, il détruit l’industrie mécanique locale. Lorsque j’étais Premier ministre, je l’ai compris : dès que vous ouvrez le marché pour un certain groupe de produits, c’est fini, le producteur local « coule », et il est presque impossible de relever la tête. C’est ainsi que se construisent les relations. C’est ainsi que les marchés et les ressources sont accaparés, que les pays sont privés de leur potentiel technologique et scientifique. Ce n’est pas un progrès, mais un asservissement, la réduction des économies à un niveau primitif.
Le développement technologique ne doit pas exacerber les inégalités mondiales, mais les réduire. C’est ainsi que la Russie a traditionnellement mis en œuvre sa politique technologique étrangère. Par exemple, en construisant des centrales nucléaires dans d’autres États, nous y créons simultanément des centres de compétence, nous formons du personnel national – nous créons une industrie, nous ne nous contentons pas de construire une entreprise, nous créons une industrie entière. En fait, nous donnons à d’autres pays la possibilité de réaliser une véritable percée dans leur développement scientifique et technologique, de réduire les inégalités et d’amener leur secteur énergétique à un nouveau niveau d’efficacité et de respect de l’environnement.
Permettez-moi de le souligner une fois de plus : la souveraineté, le développement autonome ne signifient en aucun cas l’isolement, l’autarcie, mais au contraire, cela implique une coopération active et mutuellement bénéfique sur des principes justes et équitables.
Si la mondialisation libérale est la dépersonnalisation, l’imposition du modèle occidental au monde entier, l’intégration, au contraire, est le déblocage du potentiel de chaque civilisation au profit de l’ensemble, au profit de tous. Si le mondialisme est un diktat, c’est à cela que tout se résume en fin de compte, l’intégration est le développement conjoint de stratégies communes bénéfiques pour tous.
Dans ce contexte, la Russie estime qu’il est important de lancer activement des mécanismes de création de grands espaces fondés sur l’interaction de pays voisins dont l’économie, le système social, la base de ressources et les infrastructures se complètent. Ces vastes espaces, par essence, constituent la base d’un ordre mondial multipolaire – une base économique. De leur dialogue naît la véritable unité de l’humanité, qui est beaucoup plus complexe, diverse et multidimensionnelle que dans les idées simplistes de certains idéologues occidentaux.
RépondreSupprimerL’unité du genre humain ne se construit pas par le « fais comme moi », « sois comme nous ». Elle est formée en tenant compte et en se fondant sur les opinions de tous, dans le respect de l’identité de chaque société et nation. C’est le principe sur lequel une interaction à long terme dans un monde multipolaire peut se développer.
À cet égard, nous devrions peut-être aussi réfléchir à la manière dont la structure des Nations unies, y compris son Conseil de sécurité, pourrait refléter davantage la diversité des régions du monde. Après tout, le monde de demain dépendra beaucoup plus de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine qu’on ne le croit aujourd’hui, et une telle augmentation de leur influence est sans aucun doute positive.
Permettez-moi de vous rappeler que la civilisation occidentale n’est pas la seule, même dans notre espace eurasien commun. En outre, la majorité de la population est concentrée précisément à l’est de l’Eurasie – où sont apparus les foyers des plus anciennes civilisations de l’humanité.
La valeur et l’importance de l’Eurasie résident dans le fait que ce continent est un complexe autosuffisant qui possède des ressources gigantesques de toutes sortes et un potentiel énorme. Et plus nous nous efforçons d’accroître la connectivité de l’Eurasie, de créer de nouveaux moyens, de nouvelles formes de coopération, plus nous réalisons des progrès impressionnants.
Les activités réussies de l’Union économique eurasienne, la croissance rapide de l’autorité et de l’influence de l’Organisation de Coopération de Shanghai, les initiatives à grande échelle dans le cadre de l’initiative « Une ceinture, une route », les plans de coopération multilatérale pour la mise en œuvre du corridor de transport Nord-Sud et de nombreux autres projets dans cette partie du monde, j’en suis sûr, marquent le début d’une nouvelle ère, d’une nouvelle étape dans le développement de l’Eurasie. Les projets d’intégration ne se contredisent pas, mais se complètent, bien sûr, s’ils sont réalisés par les pays voisins dans leur propre intérêt, plutôt que d’être introduits par des forces extérieures pour diviser l’espace eurasien et le transformer en une zone de confrontation entre blocs.
Une partie intégrante de la Grande Eurasie pourrait être son extrémité occidentale, l’Europe. Cependant, nombre de ses dirigeants sont entravés par la conviction que les Européens sont meilleurs que les autres, qu’ils ne doivent pas participer à des entreprises sur un pied d’égalité avec les autres. Ils ne remarquent même pas qu’ils sont eux-mêmes devenus périphériques et qu’ils sont essentiellement devenus des vassaux, souvent sans droit de vote.
RépondreSupprimerChers collègues !
L’effondrement de l’Union soviétique a également détruit l’équilibre des forces géopolitiques. L’Occident s’est senti victorieux et a proclamé un ordre mondial unipolaire dans lequel seuls sa volonté, sa culture et ses intérêts avaient le droit d’exister.
La période historique de domination sans partage de l’Occident sur les affaires mondiales touche à sa fin, le monde unipolaire appartient au passé. Nous nous trouvons à un tournant historique. La décennie qui s’ouvre devant nous est peut-être la plus dangereuse, la plus imprévisible et la plus importante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’Occident est incapable de diriger seul l’humanité, mais il tente désespérément de le faire, et la plupart des nations du monde ne sont plus disposées à le supporter. C’est la contradiction majeure de la nouvelle ère. La situation est quelque peu révolutionnaire : les classes supérieures ne peuvent plus et les classes inférieures ne veulent plus vivre ainsi, selon les termes du classique.
Cet état de fait est lourd de conflits mondiaux ou d’une chaîne de conflits, ce qui constitue une menace pour l’humanité, y compris l’Occident lui-même. Résoudre de manière constructive cette contradiction est la tâche historique principale aujourd’hui.
Un changement de cap est un processus douloureux mais naturel et inévitable. Le futur ordre mondial prend forme sous nos yeux. Et dans cet ordre mondial, nous devons écouter tout le monde, tenir compte de tous les points de vue, de toutes les nations, de toutes les sociétés, de toutes les cultures, de tous les systèmes de visions du monde, d’idées et de croyances religieuses, sans imposer une seule vérité à quiconque, et seulement sur cette base, en comprenant notre responsabilité vis-à-vis du destin – le destin des peuples, de la planète – construire une symphonie de la civilisation humaine.
Je voudrais terminer ici en vous remerciant de la patience dont vous avez fait preuve en écoutant mon message.
Merci beaucoup.
https://arretsurinfo.ch/vladimir-poutine-lhegemonie-occidentale-touche-a-sa-fin/
Mémoires vives – Edward Snowden
RépondreSupprimerPar Edward Snowden
Arrêt sur info
02 novembre 2022
En 2013, un jeune homme de 29 ans, Edward Snowden, surprend le monde entier en révélant que le gouvernement des États-Unis poursuivait le projet secret de collecter toutes nos conversations téléphoniques, nos textos et nos emails. Afin de construire un système sans précédent de surveillance de masse capable de s’infiltrer dans la vie privée de chaque personne sur la planète. Six ans plus tard, Snowden révèle pour la première fois comment il a participé à la construction de ce système et ce qui l’a conduit à le dénoncer dans son autobiographie Mémoires vives.
Mémoires vives – Edward Snowden
Les Éditions du Seuil publient, simultanément avec 20 autres éditeurs dans le monde, Mémoires vives, l’édition française du livre d’Edward J Snowden, Permanent record. L’ouvrage original est publié par Metropolitan books (Macmillan) aux Etats-Unis le 17 septembre 2019.
En 2013, un jeune homme de 29 ans surprend le monde entier en quittant la communauté du renseignement et en révélant que le gouvernement des États-Unis poursuit le projet secret de collecter toutes nos conversations téléphoniques, nos textos et nos emails. Ils veulent établir un système de surveillance de masse sans précédent, capable de s’infiltrer dans la vie privée de chaque personne sur la planète.
Il révèle pour la première fois dans ce livre son histoire, comment il a participé à la mise en place de ce système et la crise de conscience qui l’a conduit à la révéler au public.
« Edward J Snowden a décidé à l’âge de 29 ans de sacrifier son avenir personnel pour le bien de son pays, déclare John Sargent, président de Macmillan USA. Il a témoigné ainsi d’un courage immense, et, qu’on le veuille ou non c’est une fabuleuse histoire américaine. Il n’y a aucun doute que le monde est plus sûr et respectueux grâce à ce qu’il a fait. C’est une immense fierté pour Macmillan de publier Permanent record. »
Porté par une passion sans faille pour la vérité et une inébranlable sincérité, Mémoires vives est un témoignage exceptionnel, appelé à devenir un classique de notre temps.
Traduit par : Etienne Menanteau et Aurélien Blanchard
Source: https://www.seuil.com/ouvrage/memoires-vives-edward-snowden
https://arretsurinfo.ch/memoires-vives-edward-snowden/
CAMECO SIGNE UN ACCORD D’APPROVISIONNEMENT EN URANIUM AVEC CHINA NUCLEAR INTERNATIONAL CORPORATION
RépondreSupprimerpar Business Wire
Nov 8, 2022
SASKATOON, Saskatchewan--(BUSINESS WIRE)--Cameco (TSX: CCO; NYSE: CCJ) annonce avoir signé un accord d'approvisionnement en uranium avec la China Nuclear International Corporation, une filiale de la China National Nuclear Corporation (CNNC), un des plus grands exploitants d'énergie nucléaire du pays.
Finalisé plus tôt dans l'année, le contrat s'est inscrit dans le cadre de la China International Import Expo 2022.
"La Chine projette que l'énergie nucléaire jouera un rôle majeur dans son engagement à atteindre le zéro émission nette, et CNNC occupe une place grandissante dans cet effort", déclare Tim Gitzel, président et CEO de Cameco. "Cameco est ravi de continuer à renforcer sa contribution à la concrétisation des objectifs climatiques de la Chine."
Les clauses de l'accord d'approvisionnement sont commercialement confidentielles et ne seront pas divulguées publiquement. Les volumes contractuels comprennent une partie des 50 millions de livres que Cameco a ajoutés à son portefeuille de contrats d'uranium à long terme depuis le début de 2022.
Profil
Cameco est un des plus grands fournisseurs mondiaux de combustible d'uranium nécessaire pour alimenter en énergie un monde à l'air pur. Notre position concurrentielle se base sur le fait que nous détenons le contrôle des plus grandes réserves à haute teneur au monde, avec des opérations à faible coût. Les services publics du monde entier comptent sur nos produits de combustible nucléaire pour produire une énergie nucléaire sûre, fiable et zéro carbone. Nos actions sont négociées à la bourse de Toronto et à la bourse de New York. Notre siège social est situé à Saskatoon, dans la Saskatchewan.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Demandes des investisseurs:
Rachelle Girard
306-956-6403
rachelle_girard@cameco.com
Demandes des médias:
Veronica Baker
306-385-5541
veronica_baker@cameco.com
https://www.chine-magazine.com/cameco-signe-un-accord-dapprovisionnement-en-uranium-avec-china-nuclear-international-corporation/
Les pétroliers connaîtront la plus forte augmentation de la demande depuis des décennies
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 10 NOVEMBRE 2022 - 09:30
Par Julianne Geiger de OilPrice.com
Selon une nouvelle étude de Clarkson Research Services, Ltd., citée par Bloomberg, la demande de pétroliers transportant des produits pétroliers devrait grimper l'année prochaine à des niveaux jamais vus depuis trois décennies.
L'organisme de recherche prévoit que le nombre de tonnes-milles augmentera l'année prochaine de 9,5 %, la plus forte augmentation annuelle depuis 1993.
Tonnes-miles - le volume de fret multiplié par la distance parcourue par le fret - est une jauge courante utilisée par l'industrie du transport maritime.
Une partie de la raison de l'augmentation prévue de la demande de tonnes-miles de produits pétroliers est le changement d'itinéraires en raison des prochaines restrictions russes sur les exportations. La Russie devra rediriger les flux de produits bruts vers des acheteurs non impliqués dans le plafonnement des prix ou les sanctions, comme l'Asie, mais ce réacheminement devrait augmenter la distance parcourue par les cargaisons russes.
"Cela pourrait facilement être cinq ou six fois la distance et cela signifie que vous aurez besoin de beaucoup plus de navires pour transporter le même volume que vous avez importé auparavant", a déclaré Anders Redigh Karlsen, analyste chez Kepler Cheuvreux, à Bloomberg.
"Cela va stimuler la demande de camions-citernes."
En septembre, la compagnie maritime danoise Torm a déclaré à Bloomberg que "l'interdiction par l'UE des produits pétroliers russes à partir de février 2023 déclenchera un recalibrage de l'écosystème du commerce pétrolier. Une partie de ce recalibrage commercial a déjà commencé.
Un autre facteur concerne les nouvelles raffineries en Asie et au Moyen-Orient, qui devraient commencer à exporter.
Le marché des pétroliers connaît déjà une bonne année en termes de bénéfices, car les taux de transport de carburants raffinés sur les voyages à moyenne distance augmentent à des niveaux jamais vus depuis 2008.
RépondreSupprimerLa demande de pétroliers est en hausse depuis que l'UE a sanctionné la Russie, et les compagnies maritimes se sont démenées pour mettre la main sur des pétroliers de classe glace avant l'embargo. Peu de pétroliers ont été construits au cours des dernières années, et comme ce n'est pas quelque chose que l'industrie peut inverser du jour au lendemain, l'offre restera probablement limitée, ce qui augmentera le coût du transport du pétrole et des carburants.
https://www.zerohedge.com/commodities/oil-tankers-see-biggest-demand-surge-decades
La France forcée d'accepter le bateau de migrants d'une ONG après que le Premier ministre italien Meloni a refusé de reculer lors d'un appel avec Macron
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 10 NOVEMBRE 2022 - 08:00
Écrit par Thomas Brooke via Remix News,
Les 234 personnes à bord du navire Ocean Viking ont obtenu l'autorisation de débarquer à Marseille...
Un navire humanitaire d'une ONG transportant des centaines de migrants récupérés en Méditerranée a été autorisé à accoster dans le port français de Marseille après que le gouvernement italien nouvellement élu lui a refusé à plusieurs reprises l'autorisation de débarquer des passagers en Sicile.
Un appel a eu lieu mardi entre le Premier ministre italien Giorgia Meloni et le président français Emmanuel Macron, au cours duquel le premier a souligné l'approche intransigeante du gouvernement italien en matière d'immigration en des termes non équivoques ; cela a poussé le président français à autoriser l'amarrage de l'Ocean Viking, opéré par l'ONG SOS Méditerranée, en France.
Il y a actuellement 234 migrants à bord du navire, qui est ancré au large des côtes italiennes depuis plus de deux semaines en attendant un endroit sûr pour accoster.
Le gouvernement italien a autorisé ces derniers jours l'amarrage de navires humanitaires dans les ports italiens afin de permettre aux personnes vulnérables, à savoir les femmes, les enfants et les personnes souffrant de problèmes de santé, de débarquer. Les autorités italiennes ont alors ordonné aux capitaines de quitter le territoire italien avec un certain nombre d'hommes adultes toujours à bord, exhortant les navires à se rendre dans les pays responsables de l'exploitation des navires, dont l'Allemagne et la Norvège.
Dans un communiqué mardi, l'ONG SOS Méditerranée a critiqué la nouvelle approche du gouvernement italien, affirmant que "les lois maritimes et humanitaires ont été violées de manière flagrante en Sicile, avec la mise en place de processus de débarquement sélectifs et discriminatoires des personnes secourues par les navires des ONG Humanity 1 et Geo". Barents.
"Une telle mesure n'est pas conforme aux dispositions énoncées dans les conventions et résolutions maritimes et humanitaires internationales applicables", a déclaré Nicola Stalla, coordinateur de la recherche et du sauvetage à bord de l'Ocean Viking.
Meloni, cependant, ne s'est pas excusé dans un message Facebook publié tard mardi.
"En termes de sécurité et de lutte contre l'immigration clandestine, les Italiens se sont exprimés dans les urnes, choisissant notre programme et notre vision", a écrit le Premier ministre italien.
RépondreSupprimer« Notre objectif est de défendre la légalité, la sécurité et la dignité de chaque personne. C'est pourquoi nous voulons mettre un terme à l'immigration clandestine, prévenir de nouveaux décès en mer et lutter contre les trafiquants d'êtres humains. Les citoyens nous ont demandé de défendre les frontières de l'Italie, et ce gouvernement ne trahira pas sa promesse », a-t-elle ajouté.
Des conversations ont eu lieu entre Meloni et Macron, ainsi qu'entre le ministre français de l'Intérieur Gérald Darmanin et son homologue italien Matteo Piantedosi, au cours desquelles "l'Italie est restée ferme sur sa position", selon l'agence de presse Ansa.
Selon la chaîne de télévision française BFMTV, Paris a dénoncé ce qu'il percevait comme un "comportement inacceptable" de la part des autorités italiennes et a finalement proposé le port de Marseille au navire de l'ONG pour décharger les personnes à bord.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/france-forced-accept-ngo-migrant-boat-after-italian-pm-meloni-refuses-back-down-call
Le plan du Forum économique mondial pour l'humanité et ce qui vient ensuite
RépondreSupprimerPar Doug Casey
Homme international
10 novembre 2022
International Man : Le Forum économique mondial (WEF) décrit sa mission comme « l'organisation internationale de coopération public-privé ».
Que pensez-vous du WEF et du pouvoir qu'il exerce ?
Doug Casey : « Organisation internationale de coopération public-privé » est une expression de code pour le fascisme économique, c'est-à-dire la fusion main dans la main du pouvoir politique de l'État avec le pouvoir économique des entreprises.
Des choses comme le WEF et d'autres ONG (organisations non gouvernementales), instituts et groupes de réflexion ont proliféré ces dernières années. Ce sont presque tous des parasites destructeurs de la société productive.
Presque tous sont d'orientation gauchiste, étatiste et collectiviste. Ils sont généralement peuplés d'intellectuels et d'universitaires et financés par des fondations exonérées d'impôt, généralement créées par des bienfaiteurs âgés intéressés à laisser un « héritage ».
Le WEF est de loin le plus réussi de la race. Au lieu de simplement verser des dons pour que les intellectuels puissent traîner et paraître prestigieux, en 1971, Klaus Schwab a formé un club où les riches et les puissants pouvaient discuter d'idées avec d'autres membres de la classe des seigneurs. Les types politiques et financiers pourraient trouver un foyer philosophique, déguisant la quête de l'argent et du pouvoir avec une patine de bienveillance. C'est devenu une organisation incroyablement grande et puissante. Ils comptent environ 800 employés à temps plein, dont la plupart sont très bien rémunérés. Ils disposent d'un budget annuel de plus de 300 millions de dollars. Leur bilan indique que le WEF vaut plus d'un milliard de dollars, financé par de grandes entreprises qui lui donnent des millions de dollars, tout comme divers gouvernements. La plupart des dirigeants politiques et des entreprises du monde en sont membres.
Schwab a été très intelligent pour avoir mis sur pied une organisation où les personnes les plus riches, les plus puissantes et les plus influentes du monde doivent payer des sommes énormes pour se présenter les unes aux autres et discuter de la façon dont elles peuvent devenir encore plus riches, plus puissantes et plus influentes. .
Il semble clair que les membres du WEF doivent suivre la ligne du parti ou être désinvités. Personne ne veut être excommunié du WEF ou coupé de toute association avec d'autres personnes riches et puissantes. Il est sûr de dire que les membres du WEF partagent une philosophie commune, qui est conforme à la weltanschauung de Schwab.
FWIW, je pense qu'il est mal que les entreprises publiques fassent des contributions politiques, caritatives ou autres. La raison d'être d'une société est de générer de l'argent pour ses actionnaires, pas de permettre à la direction de jouer les gros bonnets. Les dirigeants aiment souvent donner l'argent des actionnaires ; cela ne leur coûte rien, mais ils récoltent le prestige du don. Mieux vaut que l'argent soit distribué aux actionnaires pour qu'ils puissent en disposer comme ils l'entendent. Si tel était le cas, des groupes comme le WEF auraient beaucoup moins d'argent et de pouvoir. Et ne serait pas en mesure de promouvoir les idées pernicieuses qu'il fait.
RépondreSupprimerPar exemple, il semblerait que Klaus Schwab soit à l'origine, ou du moins vulgarise, du terme « partie prenante ». Les parties prenantes croient que les entreprises sont tenues de traiter les employés, les clients, les résidents locaux et toute personne qui prétend être affectée par les affaires comme si elles avaient un droit sur ce qu'une entreprise produit. Les personnes qui s'identifient comme des parties prenantes se transforment facilement en moches et en sangsues. Schwab a également été l'un des premiers partisans des mouvements ESG (environnement, social et gouvernance) et DEI (diversité, équité et inclusion). Et le politiquement correct en général.
Avec autant d'argent, de pouvoir et d'influence que le WEF a, il est facile pour eux de préparer les nouveaux arrivants. Ils ont créé plusieurs sous-organisations pour les personnes de moins de 40 ans - où elles peuvent renforcer leur conviction que le monde devrait aller d'une certaine manière - sous la direction de personnes de type WEF.
Schwab doit être félicité pour avoir construit le WEF à partir de rien et s'être imposé comme l'une des personnes les plus puissantes au monde. Mais le WEF est une organisation dangereuse et méprisable. C'est essentiellement ce qu'on appelle un cornet de crème glacée auto-léchant - il ne sert à rien d'autre que de se perpétuer et de perpétuer ses membres.
International Man : Yuval Noah Harari est un conseiller clé du WEF.
Il est devenu célèbre lorsque les critiques et les éditeurs l'ont désigné comme un intellectuel public.
Quelle est votre opinion sur la montée de Harari ?
Doug Casey : Harari est un exemple parfait de la façon dont, lorsqu'une organisation comme le WEF s'immisce dans le dos de quelqu'un, elle peut le rendre riche, célèbre et influent. Ces gens se nourrissent tous et se grattent le dos.
International Man: Harari a fait plusieurs déclarations troublantes, notamment :
« Le Covid est critique car c'est ce qui convainc les gens d'accepter, de légitimer, la surveillance biométrique totale.
Nous voulons stopper cette pandémie. Nous ne devons pas seulement surveiller les gens, nous devons surveiller ce qui se passe sous leur peau.
Les gouvernements ne veulent pas seulement savoir où nous allons ou qui nous rencontrons. Ils veulent avant tout savoir ce qui se passe sous notre peau.
Que penses-tu de cela ?
RépondreSupprimerDoug Casey: Eh bien, il veut vraiment transformer le monde, et c'est plutôt intelligent la façon dont il propose de le faire.
Son livre Sapiens, que j'ai lu il y a environ 10 ans, est un résumé assez compétent de la façon dont les humains ont évolué au cours du Pléistocène au cours des 2,5 derniers millions d'années. Il ne fait aucune percée cosmique mais raconte une histoire fondamentalement correcte. Il explique comment la technologie a commencé à prendre vie et comment nous avons changé le monde. Et comment la technologie nous change maintenant au rythme de la loi de Moore. Assez juste.
Le problème réside dans ses projections sur comment et où les humains évolueront au cours des années à venir. En particulier, qui guidera cette évolution. Et si les choses continuent d'avancer au rythme où elles sont, il est probable que les machines s'intégreront aux humains.
Je n'y vois aucun problème. Si vous voulez volontairement remplacer des parties du corps par des pièces mécaniques - un nouveau genou, un nouveau cœur, être un homme à 6 millions de dollars - c'est merveilleux. En allant un peu plus loin, si vous pouvez mettre une puce dans votre cerveau et accéder instantanément à toutes les connaissances sur Internet sans passer par un ordinateur, cela pourrait être encore plus merveilleux, à l'exception du fait que le système de crédit social et les pirates auront accès à votre puce.
Le problème est que les gens du WEF pensent qu'ils savent ce qui est le mieux pour le reste de l'humanité. Et ils estiment que c'est pour le bien de tous qu'ils soient étroitement surveillés, contrôlés et guidés. Ils ont fait des déclarations selon lesquelles la plupart des gens sont des "mangeurs inutiles", ce qui est probablement vrai à ce stade. Ou ce sera le cas une fois que tout le monde recevra un revenu annuel garanti, suffisant pour les rassasier de toasts à l'avocat et de lattes à la vanille pendant qu'ils regardent des vidéos de chats au Starbucks local. Ils aimeraient vraiment se passer d'humains superflus et laisser l'élite prendre les rênes. Les humains qui resteraient équivaudraient à des serfs. Le WEF a dit: "Vous ne posséderez rien et serez heureux." Ils sont très audacieux.
C'est très troublant de voir comment ils parlent de guider l'avancée vers la prochaine étape de l'évolution humaine. Aussi pessimiste que je sois quant à l'état actuel du monde et à son évolution, je crois toujours en L'Ascension de l'Homme, mais je crois que cela ne peut se produire que si la liberté individuelle est maximisée. Du point de vue de la liberté personnelle, Harari parle en fait de régresser à l'époque féodale. Bien qu'une version plus gentille et plus douce, où des solons sages comme Klaus et Yuval sont aux commandes.
Autant que je sache, ses valeurs sont antithétiques à celles de la civilisation occidentale. Mais il est un porte-parole efficace pour convaincre les hoi polloi que leurs dirigeants ont à cœur leurs meilleurs intérêts. Et je suppose qu'ils le font. Au moins la façon dont un agriculteur a à cœur les meilleurs intérêts de son bétail laitier ou de boucherie.
International Man : Harari a souvent décrit un avenir totalitaire high-tech où une petite élite ayant accès aux dernières technologies évolue en différents êtres. Dans le même temps, la drogue et les jeux vidéo pacifient les masses jusqu'à leur éventuelle extinction.
Que pensez-vous de ce futur dystopique ? Est-ce inévitable ?
RépondreSupprimerDoug Casey : Harari projette une certaine inévitabilité dans l'évolution de la technologie, et il a peut-être raison.
Cela ne me dérange pas de changer. Le progrès technologique rapide s'est accéléré au cours des 10 000 dernières années et, avec un peu de chance, deviendra hyperbolique avec l'évolution de la nanotechnologie, des ordinateurs, de la biotechnologie, de l'exploration spatiale, de la robotique et de l'intelligence artificielle. Ce sont toutes de bonnes choses.
La question est de savoir si ces choses seront imposées à l'humanité ou seront-elles quelque chose que les individus pourront adopter ou non à leur guise ? Pour moi, c'est la question éthique et morale essentielle.
Harari, et d'ailleurs, le reste de ces personnes du WEF, n'examinent jamais les questions éthiques ou morales.
Par exemple, Harari est très attaché au transgenre, dont il semble vouloir faire un cheval de bataille politique - où ce n'est pas seulement accepté comme une aberration psychologique, mais presque imposé à la société, que cela vous plaise ou non.
Il est végétalien. Je n'ai aucun problème à être végétalien. C'est juste qu'il veut imposer son point de vue sur la bonne façon de traiter les animaux (y compris absolument les humains) à tout le monde. Il est certain qu'il sait ce qui est le mieux pour tout le monde.
J'ai longtemps cru à l'arrivée de la Singularité, dont Ray Kurzweil a parlé en détail. Je pense que c'est une bonne chose. Le progrès technologique a toujours été une bonne chose, qu'il s'agisse de l'invention de la poudre à canon qui a permis à l'homme moyen de renverser ses dirigeants médiévaux, ou de l'imprimerie, qui a permis aux paysans d'accéder au savoir des classes dirigeantes.
Mais le problème est que les méchants prennent généralement le contrôle de la technologie en premier. Les pouvoirs en place utilisent la technologie pour imposer leur volonté aux petites gens jusqu'à ce que le chat sorte du sac.
Je suis tout à fait pour l'évolution rapide de la technologie, même si c'est très dangereux parce que les marchands de pouvoir, les méchants et les sbires de l'État l'obtiennent généralement en premier.
Du bon côté, je soupçonne que sous l'influence de Schwab et de son muchacho de mantequilla Harari, le WEF s'effondrera. Les serpents dans la fosse aux serpents finiront par se retourner. L'optimisme est justifié parce que les idées stupides sont toujours allées et venues à travers l'histoire. Le mal est généralement vaincu sur le long terme.
Le WEF promeut des idées destructrices à une époque dangereuse. Si vous appréciez la libre pensée, les esprits libres et les marchés libres, reconnaissez le WEF comme un ennemi.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2022/11/doug-casey/world-economic-forums-plan-for-mankind-and-what-comes-next/
(...) Le problème réside dans ses projections sur comment et où les humains évolueront au cours des années à venir. En particulier, qui guidera cette évolution. Et si les choses continuent d'avancer au rythme où elles sont, il est probable que les machines s'intégreront aux humains. (...)
SupprimerCeci est le mal, le point final à l'espèce humaine avec déjà l'inoculation (sur les plus cons du système) de nano-particules d'oxyde de graphène permettant un contrôle total du cerveau.
D'où les changements d'opinions politiques à venir où les inoculés se tourneront à 180 ° !
L'impérialisme américain créera-t-il intentionnellement une autre guerre mondiale ?
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
10 novembre 2022
Au cours des derniers mois, les États-Unis ont versé des milliards de dollars d'impôts à l'Ukraine, apparemment pour aider l'Ukraine à lutter pour la liberté et à préserver la démocratie. Ceci malgré le fait que l'Ukraine a longtemps été considérée comme l'un des pays les plus corrompus au monde, et le fait que personne ne sait où va réellement tout cet argent. En bref, toute l'opération semble être une couverture pour le blanchiment d'argent.
Mais l'ingérence de l'Amérique dans le conflit ukrainien révèle également qu'elle n'est pas disposée à renoncer à ses tendances impérialistes. Comme l'a noté l'animatrice du podcast "Bad Faith" Briahna Joy Gray dans la vidéo ci-dessus, l'administration Biden a déclaré à plusieurs reprises que notre mission est d'affaiblir la Russie, ce qui n'est PAS la même chose que d'aider l'Ukraine.
Curieusement, la gauche politique, historiquement anti-guerre, y est désormais totalement favorable. Dans son segment, Gray discute des attaques surprenantes des libéraux contre ceux qui appellent à la diplomatie. Gray, un démocrate, n'est pas satisfait des arguments de la gauche expliquant pourquoi les États-Unis devraient s'impliquer dans le conflit ukrainien.
Un argument avancé est que 500 enfants ukrainiens ont été expédiés en Russie – un crime humanitaire qui ne peut rester impuni. Mais il y a des enfants en grave danger partout dans le monde.
Jusqu'à ce que quelqu'un puisse expliquer de manière cohérente pourquoi les enfants ukrainiens sont plus importants que les enfants de toute autre région, Gray soupçonne que ce n'est qu'une autre excuse fragile pour cacher le fait que notre implication en Ukraine n'est rien de plus qu'une autre opération militaire pour faire avancer l'impérialisme américain.
La montée de l'impérialisme américain
Alors que les États-Unis ont été un phare d'espoir et de liberté depuis leur création, au fil du temps, un côté plus sombre et plus néfaste s'est également épanoui en cours de route.
Comme expliqué dans le rapport « Democracy Now ! vidéo ci-dessous, intitulée "Overthrow: 100 Years of U.S. Meddling and Regime Change", les États-Unis ont une longue histoire d'ingérence dans les affaires d'autres pays - contre la volonté des populations mêmes que nous prétendons avoir "sauvées".
Comme indiqué dans cette vidéo, "D'un point de vue, les États-Unis sont intervenus dans plus de 80 élections étrangères entre 1946 et 2000. Et cela ne compte pas les coups d'État et les invasions soutenus par les États-Unis."
L'ingérence des Amériques dans les élections étrangères a longtemps été rationalisée comme étant « pour une bonne cause », mais est-ce vraiment vrai ? Comment une nation qui prétend valoriser les processus démocratiques peut-elle saper ces mêmes processus dans d'autres pays et l'appeler la défense de la démocratie ?
L'Amérique ne paie que du bout des lèvres à la démocratie
RépondreSupprimer- voir sur site -
Hawaï, Cuba, les Philippines, le Nicaragua, Haïti, la République dominicaine, l'Iran, le Guatemala, l'Indonésie, le Congo, l'Irak et le Honduras ne sont que quelques exemples de pays qui ont été victimes de l'impérialisme américain. À plusieurs reprises, les États-Unis ont orchestré des coups d'État pour destituer des dirigeants démocratiquement élus – tout cela au nom de la « défense de la démocratie ».
Dans la vidéo, « Démocratie maintenant ! » interviewe l'ancien journaliste du New York Times Stephen Kinzer, auteur de plusieurs livres, dont "Overthrow: America's Century of Regime Change From Hawaii to Iraq" et "The True Flag".
Kinzer commence par décrire les circonstances entourant le renversement du Premier ministre iranien démocratiquement élu Mohammad Mossadegh en 1953. Mossadegh, dit Kinzer, voulait faire passer les intérêts de l'Iran et de son peuple avant les intérêts des États-Unis, et c'est ce qui a conduit à son enlèvement.
Surtout, avec le renversement réussi de Mossadegh, les États-Unis ne se sont pas seulement débarrassés de ce dirigeant démocratiquement élu. Il a définitivement détruit le processus démocratique en Iran. Comme l'a noté Kinzer :
"Ce n'était pas seulement une attaque contre une personne mais une attaque contre la démocratie, et la raison pour laquelle nous avons attaqué cette démocratie est que la démocratie a produit la mauvaise personne. Nous aimons les élections et les processus démocratiques, mais ils doivent produire les candidats que nous aimons. Sinon, notre approbation disparaît.
Surtout, Kinzer souligne que les «opérations d'influence» américaines dans d'autres pays, au fil du temps, non seulement finissent par détruire le pays cible, mais finissent également par nuire à la sécurité nationale des États-Unis eux-mêmes. Ainsi, l'impérialisme américain a eu un effet incroyablement négatif, dans l'ensemble, dans le monde entier - dont le moindre n'est pas la montée des dictatures à travers le monde.
L'ascension et la chute de la Ligue anti-impérialiste américaine
Dans le livre de Kinzer "The True Flag", il décrit l'histoire de la façon dont les États-Unis en sont venus à embrasser l'impérialisme, malgré son opposition aux valeurs américaines. En 1898, l'Anti-Imperialist League1 est fondée et devient une force majeure de la politique américaine. Il a fait pression contre l'impérialisme américain et l'intervention étrangère.
Son principal argument était que l'impérialisme violait les principes fondamentaux inhérents à un gouvernement républicain juste et, en tant que tel, nécessitait l'abandon des idéaux sur lesquels les États-Unis étaient fondés. Malheureusement, l'opinion publique majoritaire finit par se ranger du côté des impérialistes et la Ligue anti-impérialiste fut dissoute en 1920.
Contrôle de l'esprit et drogues d'assassinat introuvables
- voir sur site -
La vidéo ci-dessus présente à nouveau Kinzer, cette fois parlant de son livre "Poisoner in Chief : Sidney Gottlieb and the CIA Search for Mind Control", qui décrit une autre partie peu connue et plus sombre que d'habitude de l'histoire des États-Unis.
Gottlieb a été décrit comme un "chimiste visionnaire" qui a travaillé pour la CIA - un "maître magicien et tortionnaire au cœur doux, l'"empoisonneur en chef" de l'agence". Gottlieb a dirigé le désormais tristement célèbre projet de contrôle mental MK-ULTRA de la CIA, qui comprenait " des expériences brutales dans des prisons secrètes sur trois continents. La principale base d'attache, cependant, était Fort Detrick.
RépondreSupprimerComme l'a expliqué Kinzer, l'objectif principal de MK-Ultra était de découvrir le secret du contrôle de l'esprit. Le travail de Gottlieb était si secret que très peu de personnes au sein de la CIA connaissaient même son existence, sans parler de ce sur quoi il travaillait.
Les sérums de vérité, les médicaments amnésiques et les potions conçus pour amener une personne à agir après avoir été programmé pour une tâche et avoir effacé la mémoire de la programmation faisaient tous partie de la boîte à outils que Gottlieb cherchait à développer.
L'initiateur de l'idée derrière MK-Ultra était alors le directeur adjoint de la CIA, Allen Dulles, qui a embauché Gottlieb en 1951.2 Dulles est devenu le premier directeur civil de la CIA, poste qu'il a occupé de 1953 à 1961.
Gottlieb a également développé une variété de médicaments utilisés par la CIA qui pourraient tuer ou mutiler sans laisser de trace. Ici, les cibles visées étaient les dirigeants étrangers désignés pour assassinat. En 2015, The Intercept a publié un article3,4 sur le comportement pathologique de Dulles et ses liens avec l'état profond.
La conférence de Kinzer est beaucoup trop longue pour être couverte ici, je vous encourage donc à l'écouter. C'est fascinant, bien qu'un peu en retrait du sujet principal de l'impérialisme américain. Mais je veux résumer deux des principales découvertes que Gottlieb a découvertes après une décennie des séances de torture les plus intenses et les plus grotesques jamais menées - avec l'approbation du gouvernement américain, rien de moins.
Premièrement, oui, il est possible de briser l'esprit humain. Et deuxièmement, non, il n'est pas possible d'insérer un nouvel esprit dans l'esprit que vous avez brisé. Dans le même ordre d'idées, il a conclu que vous ne pouvez pas programmer une personne pour assassiner quelqu'un et ensuite oublier qu'il l'a fait. En fin de compte, Gottlieb a conclu que le véritable contrôle de l'esprit est un mythe. Le fait que des personnes puissent être tuées à l'aide de drogues sans trace reste cependant un fait.
Les États-Unis cherchent-ils à intensifier la guerre en Ukraine ?
De nos jours, les États-Unis déploient toujours leurs muscles impérialistes, cette fois en cherchant apparemment à intensifier le conflit entre la Russie et l'Ukraine. Jeffrey Sachs, professeur à l'Université de Columbia5, économiste, analyste des politiques publiques et directeur du Centre pour le développement durable, dit avoir supplié la Maison Blanche de négocier la paix et de décourager l'Ukraine de rejoindre l'OTAN (voir la vidéo ci-dessus).
Ils ont refusé, disant que n'importe qui a le droit de rejoindre l'OTAN s'il le souhaite. Mais comme l'a astucieusement noté Sachs, il ne s'agit pas du « droit » de l'Ukraine à rejoindre l'OTAN, il s'agit de la menace qui fait peser sur ses voisins, la Russie en particulier.
La Russie a longtemps été très claire sur le fait qu'elle ne permettra pas à l'Ukraine de rejoindre l'OTAN, pour le simple fait qu'elle placerait une présence militaire de l'OTAN juste à sa frontière. La Russie veut que l'Ukraine reste une « zone tampon » indépendante entre elle et les pays de l'OTAN.
RépondreSupprimerLes États-Unis accepteraient-ils que le Mexique forme une alliance militaire avec la Chine, installant des militaires chinois à notre frontière sud ? Sachs s'interroge. C'est hautement improbable, mais c'est pourtant ce qu'ils poursuivent en Ukraine.
Depuis l'entrée de la Russie en Ukraine, les États-Unis n'ont fait que pousser à l'escalade du conflit, au point que nous entendons maintenant des prédictions de guerre nucléaire. Pourquoi prendrions-nous de tels risques ? Prendre position pour le « droit » de l'Ukraine à rejoindre l'OTAN ? C'est au-delà de l'irrationnel, mais c'est là où nous en sommes.
La Russie accuse maintenant les gouvernements britannique et américain d'avoir intentionnellement fait exploser ses pipelines Nordstream 1 et 2, soi-disant sur la base d'informations trouvées par des pirates russes sur l'iPhone de l'ancienne Première ministre Liz Truss. Le Département d'État américain a nié ces allégations, les qualifiant de « sans fondement ». 6
Cependant, quelqu'un a fait sauter les pipelines - et ce n'était pas la faute de la Russie - ce qui est encore un autre effort intentionnel pour aggraver le conflit. De l'autre côté, il semble certainement que les États-Unis souhaitent une escalade nucléaire, et nous devrions être reconnaissants que Vladimir Poutine ait jusqu'à présent agi avec une extrême retenue en réponse à des actes de guerre non déclarés.
Nous avons besoin d'un nouveau leadership plus sain
Dans un discours liminaire à la conférence The American Conservative « Up From Chaos » fin mars 2022, l'entrepreneur et investisseur David Sacks a noté :7
« Nous sommes confrontés à la situation la plus dangereuse de la politique étrangère américaine depuis la crise des missiles de Cuba. Les Russes ont mis leur arsenal nucléaire en état d'alerte maximale et nous ont avertis de rester en dehors de leur invasion de l'Ukraine. Nos « experts » du gouvernement et des médias nous fournissent un flux d'informations oscillant entre la peur et l'arrogance pleine d'espoir :
Ils ne se soucient évidemment pas de maintenir leurs populations en vie et en bonne santé. Ils semblent plutôt vouloir se débarrasser du plus grand nombre de personnes possible, et une guerre dévastatrice accomplirait cela bien mieux que les tirs de COVID, qui laissent des preuves d'actes criminels et de soupçons dans leur sillage.
RépondreSupprimerLes impérialistes - américains et autres - sont prêts à tout risquer pour faire naître leur dictature mondiale, et c'est ce qui les rend si dangereux. Comme Sachs, nous, le peuple, devons faire pression pour changer de cap. Une façon d'y parvenir est d'appeler nos représentants politiques à se battre pour des négociations de paix et à mettre fin aux tactiques d'escalade.
Sources and References
1 Loc.gov Anti-Imperialist League
2 Politico September 15, 2019
3 The Intercept November 2, 2015
4 The Intercept November 2, 2015 (Archived)
5 Twitter Sarah Abdallah October 3, 2022
6 Daily Mail November 1, 2022
7 The American Conservative April 8, 2022
8 The Last American Vagabond March 2, 2022
9 AIER February 17, 2022
https://www.lewrockwell.com/2022/11/joseph-mercola/will-us-imperialism-intentionally-create-another-world-war/
Les puits du sud-ouest s'assèchent en raison de la sécheresse ; fermes appartenant à des étrangers utilisant l'eau des États-Unis pour nourrir le bétail destiné à l'exportation
RépondreSupprimerJeudi 10 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) La pire sécheresse en 1 200 ans fait rage dans le sud-ouest américain, qui est en proie à une surexploitation des eaux souterraines qui entraîne l'assèchement des puits.
Non seulement cela, mais les entreprises étrangères aspirent ce qui reste pour hydrater les champs qui font pousser des cultures pour le bétail à l'étranger, en laissant de moins en moins aux vrais Américains. (En relation: La crise ferroviaire cause également des problèmes pour l'agriculture dans le sud-ouest très sec.)
Par exemple, Al Dahra, basée aux Émirats arabes unis (EAU), possède des terres à Wenden, en Arizona, qui cultivent de la luzerne. L'entreprise extrait rapidement de l'eau d'un aquifère dans la zone qui est normalement immobile, mais qui se déplace maintenant en raison du volume d'eau extrait.
"Les gars du puits et moi n'avions jamais rien vu de tel auparavant", déclare Gary Saiter, un résident de longue date de la région et responsable du district d'amélioration de l'eau de Wenden. La ferme d'Al Dahra, dit-il, "pompe et aspire l'eau à travers l'aquifère".
Si le Sud-Ouest ne réprime pas les pays étrangers (principalement au Moyen-Orient) qui aspirent toute l'eau, tout va disparaître
Selon le géohydrologue de l'Arizona Marvin Glotfelty, un expert en forage de puits, il est illégal de prélever de l'eau de l'Arizona et de l'exporter hors de l'État. Cependant, il existe des failles qui sont exploitées.
"Vous pouvez prendre de l'eau" virtuelle "et l'exporter : luzerne, coton, électricité ou tout ce qui est créé en partie à partir de l'utilisation de l'eau", dit-il.
Tant qu'une entreprise possède ou même loue simplement une propriété pour forer des puits en Arizona, l'eau peut être forée en quantités illimitées. Il n'y a que dans environ 20 % de l'État des lois pour réglementer cela d'une manière ou d'une autre - les 80 % restants sont un jeu pour tous.
Les aquifères plus profonds fonctionnent toujours bien, mais ce sont les puits moins profonds de certaines municipalités qui s'assèchent. À Salmone, par exemple, un service d'eau local qui dessert environ 200 clients, dont des écoles locales, « approche de la fin de sa vie utile ».
Wenden voit aussi des problèmes. La profondeur de l'eau, c'est-à-dire la profondeur sous la surface du dessus de la nappe phréatique, est passée d'environ 100 pieds à la fin des années 1950 à 540 pieds aujourd'hui. Le puits résidentiel moyen ne peut plus l'atteindre.
Les puits de la ville sont plus profonds et peuvent toujours accéder à cette eau, mais cela aussi devient de plus en plus problématique avec le temps. A terme, il ne sera pas non plus possible pour ceux-ci de puiser de l'eau.
Selon Holly Irwin, la superviseure du comté de La Paz, cela a été une bataille « frustrante » de plusieurs années pour tenter de limiter la surutilisation de l'eau dans toute la région. Elle dit que de nombreux habitants de la région se sentent "oubliés" car les entreprises agricoles du Moyen-Orient "ont épuisé leur [eau]".
RépondreSupprimer"C'est ce qui irrite le plus les gens", aurait déclaré Irwin. "Nous devrions prendre soin des nôtres, et nous leur permettons simplement d'entrer, d'acheter une propriété et de continuer à percer des trous dans le sol."
Gardez à l'esprit que certains pays du Moyen-Orient, dont l'Arabie saoudite, n'autorisent même pas la culture de cultures gourmandes en eau comme la luzerne et le foin dans leur pays en raison de problèmes d'épuisement de l'eau. Ce pays et d'autres exploitent plutôt nos ressources parce qu'ils le peuvent.
Les entreprises saoudiennes posséderaient des milliers d'acres de terres en Arizona, en Californie et ailleurs qui sont utilisées pour cultiver des cultures pour nourrir les vaches laitières à la maison. Aucune de leurs opérations ne profite aux Américains de quelque manière que ce soit, à l'exception des propriétaires fonciers privés à qui leurs terres ont été achetées.
Bien que rien de tout cela ne soit techniquement illégal, cela est certainement préoccupant et mérite une enquête plus approfondie pour peut-être le rendre illégal dans l'intérêt de protéger les ressources naturelles de notre pays contre cette exploitation flagrante - en particulier dans des conditions de sécheresse record.
Des nouvelles plus connexes peuvent être trouvées sur WaterWars.news.
Les sources de cet article incluent :
MSN.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-southwest-wells-dry-drought-farms-water-cattle.html
"Ce sont des dérogations pour les biens essentiels, donc pas exactement la même chose que la levée des sanctions", a noté un commentateur sur le fait qu'il reste encore un long chemin à parcourir pour sortir l'Occident du gâchis que l'OTAN et les États-Unis ont créé.
RépondreSupprimer"Le reste de l'Europe ferait mieux de descendre du wagon de guerre UE / ONU", a ajouté un autre. "L'Allemagne en a terriblement besoin. BASF va probablement fermer. Trop cher à faire fonctionner. Les Allemands aiment les vraies voitures avec de vrais moteurs. Il est peu probable qu'ils adoptent les véhicules électriques et le nouveau pacte vert vole la merde.
Quelqu'un d'autre a souligné que les Pays-Bas ont toujours le problème de l'agenda «vert», qui détruit rapidement son secteur agricole autrefois florissant.
"Leurs fermes sont détruites pour que les populations immigrées prennent possession des terres, alors que le cheval blanc de l'ONU et des États-Unis déstabilise les nations pauvres pour inaugurer pleinement le MAINTENANT", a écrit cette personne. "Les Pays-Bas, l'Europe, les États-Unis et le Japon connaissent de graves problèmes à venir et actuels."
Enfin, un dernier commentateur a célébré ces premiers pas de la Hollande pour rétablir un commerce sain avec la Russie, encourageant le reste du monde à emboîter le pas.
"Tout le monde doit faire la même chose et dire aux néo-libéraux et aux néo-conservateurs aux États-Unis de le bousculer."
Les dernières nouvelles sur la résistance croissante contre la tyrannie mondialiste peuvent être trouvées sur Resist.news.
Les sources de cet article incluent :
StrangeSounds.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-holland-first-european-nation-withdraw-sanctions-russia.html
La moitié des centrales nucléaires françaises sont hors ligne à l'approche de l'hiver sombre
RépondreSupprimerjeudi 10 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) La «maintenance de routine» des 56 réacteurs nucléaires vieillissants qui recouvrent le paysage français aggrave la crise énergétique alors que l'Europe se dirige directement vers un hiver sombre et sans chaleur.
Le géant français des services publics d'électricité Electricité de France SA (EDF) a annoncé dans une nouvelle mise à jour que les perspectives de production d'énergie nucléaire cet hiver étaient réduites, déclenchant davantage de chaos sur les marchés de l'énergie.
EDF serait le plus grand propriétaire de centrales nucléaires au monde. Son parc de réacteurs génère normalement entre 280 et 300 térawattheures (TWh) d'électricité par an, mais cette année cette fourchette sera réduite à entre 275 et 285 TWh.
Les grèves ouvrières contribuent à la fermeture prolongée de nombreuses centrales nucléaires françaises qui nécessitent un entretien normal. Divers autres «problèmes techniques» étouffent également la production d'énergie nucléaire, nous dit-on. (Connexe: le fabricant de verre français Duralex arrête ses opérations indéfiniment en raison de la flambée des prix de l'énergie.)
"La situation a radicalement changé cette année, lorsque la France est passée de l'un des plus grands exportateurs d'électricité d'Europe à un importateur net en raison de problèmes avec ses réacteurs", rapporte Bloomberg.
"Les pannes ont inquiété les responsables du fait que la France et l'ensemble de la région pourraient manquer d'électricité en hiver, lorsque la demande d'électricité en Europe culmine."
Les marchés de l'énergie continuent de s'hypergonfler dans un contexte d'escalade des problèmes énergétiques
Sur les marchés de l'énergie, les contrats d'électricité français ont atteint des sommets sans précédent en réponse à la nouvelle. Certains ont grimpé en flèche jusqu'à 24%, selon les rapports.
Une vague de chaleur européenne serait la raison pour laquelle les contrats à terme sur le gaz naturel néerlandais, qui représentent la référence européenne, ont grimpé puis glissé après l'annonce d'EDF.f
Au début de cette vague de chaleur, certains médias ont émis l'hypothèse que l'Europe allait peut-être grincer cet hiver avec une baisse de la demande de chaleur. Ces espoirs ont cependant été anéantis lorsqu'il a été signalé que la vague de chaleur était sur le point de se terminer.
Tout ce qu'il faut maintenant, c'est que quelques vagues de froid apparaissent, ce qui commencera à épuiser les stocks de gaz naturel de l'Union européenne (UE). Une fois que ceux-ci commenceront à baisser, l'hyperinflation énergétique pourrait commencer à devenir une réalité.
"Par conséquent, nous ne voyons aucune raison pour que les prix du gaz au comptant n'augmentent pas à nouveau, car l'Europe devra rivaliser pour les cargaisons et les approvisionnements en GNL disponibles contre l'Asie, en particulier avec la réouverture de la Chine à l'avenir", ont annoncé les analystes de Sanford C. Bernstein & Co. dans une note aux clients de l'entreprise.
Dans les commentaires, quelqu'un a émis l'hypothèse qu'une fois que tout cela éclaterait et commencerait vraiment à affecter la classe ouvrière et ses familles, une révolution à part entière suivrait.
RépondreSupprimer"Les freaks de Davos doivent avoir peur car ils ne se rencontrent pas en personne cette année", a ajouté cette personne. "Ils savent que ça arrive."
"Leur sécurité, leurs valets et leurs pilotes privés auront également des familles et des êtres chers affamés", a répondu un autre sur la façon dont les hordes en colère incluront les personnes mêmes qui soutiennent les milliardaires mondialistes qui ont vidé le monde de ses ressources.
Un autre a expliqué que l'équipe au sol des jets privés des mondialistes est sûre de connaître au moins une personne dans leur entourage qui est décédée des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), qui sont également un produit des mondialistes milliardaires et de leur dépopulation. schème.
"Si je comptais sur eux pour entretenir mon jet et que j'étais un WEF (Forum économique mondial), j'aurais un peu peur", a ajouté cette personne.
Quelqu'un d'autre a déploré que le président russe Vladimir Poutine "ait raté sa chance de rayer Davos de la carte et 90% de l'origine des problèmes du monde l'année dernière" lorsque la cabale s'est rencontrée en personne - probablement pour la dernière fois.
Les dernières nouvelles sur l'implosion de l'économie mondiale globaliste peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-half-france-nuclear-plants-offline-dark-winter.html
L'éruption du volcan sous-marin a provoqué une « obscurcissement » global qui a privé les cultures de la lumière du soleil ; plus de famine et de famine à venir
RépondreSupprimerJeudi 10 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) En janvier, un volcan sous-marin dans le Pacifique Sud appelé Hunga Tonga-Hunga Ha'apai est entré en éruption, envoyant un énorme panache de cendres dans le ciel où il a atteint 187 000 pieds. Le résultat a été un nuage de ténèbres qui a créé un effet global de "diminution" qui se fera probablement sentir pendant des années avec des rendements agricoles réduits.
Vous voyez, les cultures ont besoin d'une lumière solaire sans entrave pour atteindre leur plein potentiel. Et toute cette cendre persistante et cette vapeur d'eau laissées par l'éruption ont empêché la lumière du soleil d'atteindre la surface de la terre.
L'éruption Hunga Tonga-Hunga Ha'apai serait la première jamais enregistrée à avoir traversé la troisième couche de l'atmosphère, appelée mésosphère. (En relation: Des centaines de climatologues ont appelé à l'arrêt immédiat des projets de «gradation du soleil» de Bill Gates.)
"C'est un résultat extraordinaire car nous n'avons jamais vu un nuage d'une telle taille auparavant", a déclaré le Dr Simon Proud, auteur d'une étude sur l'éruption.
"De plus, la capacité d'estimer la hauteur comme nous l'avons fait, en utilisant la méthode de la parallaxe, n'est possible que maintenant que nous avons une bonne couverture satellite. Cela n'aurait pas été possible il y a une dizaine d'années. »
Les volcans contribuent beaucoup plus au «réchauffement climatique» que l'activité humaine
Plus d'énergie que le Tsar Bomba, la bombe nucléaire la plus puissante jamais explosée, a été libérée par Hunga Tonga-Hunga Ha'apai, qui a fait exploser l'eau de 20 000 piscines olympiques directement dans la stratosphère.
Cette rivière atmosphérique massive, pour ainsi dire, recouvrait des parties de la terre d'humidité bloquant le soleil, sans parler de toutes les cendres et autres débris particulaires qui montaient en flèche.
"En raison de la couche d'ozone absorbant le rayonnement ultraviolet solaire, les températures dans la stratosphère et la mésosphère augmentent en fait avec l'altitude", expliquent les rapports sur le phénomène qui s'est produit.
Il a été dit qu'une seule éruption volcanique propulse plus de produits chimiques "réchauffants" dans l'air que plusieurs années d'humains conduisant des véhicules. Cela fait des volcans la première cause du « réchauffement climatique ».
Les éruptions volcaniques sont également une cause majeure du changement climatique qui détruit les cultures, semble-t-il, car elles interfèrent avec la lumière naturelle du soleil atteignant la surface de la terre comme prévu.
Il est important de le souligner car trop de fanatiques du climat sont inconscients du fait que la nature elle-même s'engage dans un comportement destructeur du climat - alors devrions-nous interdire la nature et la forcer à devenir «verte»?
RépondreSupprimerUne telle question n'a bien sûr aucun sens, mais elle met en perspective toute la folie climatique qui passe pour de la "science" de nos jours - une folie qui se paie avec vos impôts, soit dit en passant.
L'éruption de Hunga Tonga et de Hunga Ha'apai aurait recouvert le royaume insulaire des Tonga de cendres toxiques qui ont empoisonné les réserves d'eau potable locales et anéanti au moins deux villages. Les récoltes ont également été détruites en grande quantité.
Les vagues océaniques de l'éruption ont également déclenché une catastrophe environnementale lors du déchargement d'un pétrolier près de Lima, au Pérou, qui a généré une énorme nappe de pétrole le long de la côte.
"Il suffit de penser à tout ce CO2 libéré", a noté un commentateur sur les gaz à effet de serre émis par l'éruption de Hunga Tonga et Hunga Ha'apai. "Cela met vraiment en perspective les minuscules contributions des humains par rapport à la nature."
"Personne n'a dit au volcan qu'il devait payer une charge d'impôt s'il voulait faire ça ?" a plaisanté une autre personne.
"Tout cela contribue aux changements climatiques naturels et nous ne pouvons rien y faire", a noté quelqu'un d'autre. "C'est ridicule de penser que nous pouvons empêcher le climat de changer tout seul. Nous devons simplement l'accepter.
La dernière couverture de l'actualité liée au climat peut être trouvée sur Climate.news.
Les sources de cet article incluent :
DailyMail.co.uk
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-volcano-eruption-global-dimming-crops-sunlight-famine.html
Le rapport Zelenko : Michael Khoury révèle que les entreprises de télécommunications ont reçu carte blanche pour surveiller les Américains – Brighteon.TV
RépondreSupprimerjeudi 10 novembre 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Le journaliste d'investigation Michael Khoury a révélé à la coprésidente de la Zelenko Freedom Foundation, Ann Vandersteel, que les entreprises de télécommunications avaient carte blanche pour surveiller les Américains.
Il a fait cette révélation lors de l'épisode du 4 novembre de "The Zelenko Report" sur Brighteon.TV. Khoury a déclaré à Vandersteel que ce partenariat public-privé (PPP) trouve son origine dans la loi sur les télécommunications de 1996 signée par l'ancien président Bill Clinton. La loi, qui a révisé la législation sur les télécommunications en plus de six décennies, visait à promouvoir la concurrence et à réduire la réglementation afin de garantir des prix plus bas et des services de meilleure qualité pour les consommateurs américains et d'encourager le déploiement rapide de nouvelles technologies.
La carte blanche est un document vierge signé au préalable par une partie et remis à une autre, avec autorisation de remplir des conditions ultérieurement. Les entreprises de télécommunications ont obtenu ces documents, selon Khoury. Ces documents permettaient aux entreprises de surveiller les abonnés en les reliant aux communautés mondiales du renseignement.
L'une de ces sociétés est Neustar, basée à Sterling, en Virginie, qui gère la complexité croissante du secteur grâce à son infrastructure système dans des centres de données géographiquement dispersés.
"De toute évidence, c'était quelque chose qui a été conçu en arrière-plan", a déclaré Khoury. Il a noté que Neustar et d'autres entreprises de télécommunications "ont abusé de l'aspect "tiers de confiance" du quatrième amendement" lorsqu'elles ont fait carte blanche. (Connexe : Un technicien d'AT&T déclare que la société a donné aux autorités fédérales un accès complet au téléphone et au trafic Web.)
Selon le journaliste d'investigation, les entreprises de télécommunications ont pu accéder à des documents appartenant à l'ancien président Donald Trump - y compris ses dossiers médicaux et commerciaux. Cela devrait être alarmant, a fait remarquer Khoury, car les gens "n'ont aucun contrôle" sur ce que ces entreprises écoutent ou sur les informations qu'elles peuvent obtenir.
Obama a utilisé PPP pour empêcher les demandes FOIA sur les données de son administration
Le journaliste d'investigation a cité l'action de l'ancien président Barack Obama en 2014 pour transférer les enregistrements téléphoniques américains à une entreprise privée. Il a chargé l'ancien chef de cabinet de la Maison Blanche, John Podesta, qui a servi sous Obama en tant que consultant, de cette tâche.
Des lois sur la cybersécurité ont ensuite été adoptées pour donner essentiellement aux institutions privées un accès aux terminaux et un accès carte blanche aux données. Parallèlement, la société technologique basée au Texas CrowdStrike est venue installer des serveurs sur toutes les bases de données sous le soleil.
"Nous essayons de donner aux gens un regard de haut niveau ici", a déclaré Vandersteel. « Nous avons tous entendu parler du gouvernement fantôme. Donner aux gens un vrai aperçu de ce que signifie un gouvernement fantôme et de la façon dont il a fonctionné revient au fait qu'Obama a une adresse e-mail distincte. Ladite adresse e-mail était liée à l'ancienne société Ameritech, désormais nommée AT&T Teleholdings.
RépondreSupprimerKhoury a commenté : « Ainsi, grâce à la recherche open source dans les serveurs de noms DNS et à l'utilisation de multigo, ainsi que d'autres outils de ressources open source, vous êtes en mesure de faire des traces. Et plus vous explorez cette adresse e-mail, elle finit par revenir à Obamalibrary@nara.gov. Le truc, c'est qu'Obama étant lié à Ameritech, vous avez la propriété intellectuelle et c'est privé.
Cela, a-t-il expliqué, a empêché toute divulgation découlant des demandes de la Freedom of Information Act.
Vandersteel a ajouté: "Je veux lier quelque chose ici parce que vous savez, le fait qu'Obama a créé un gouvernement fantôme en utilisant une organisation à but non lucratif à la National Archives and Records Administration en utilisant une adresse e-mail nara.gov. Il a essentiellement déplacé toutes les données dans cette adresse IP créée. Il a essentiellement reclassé les données parce qu'il les a retirées du contrôle du gouvernement et les a placées dans sa propre liste de contrôle privée.
Rendez-vous sur Surveillance.news pour plus d'histoires sur les Américains surveillés.
Regardez l'épisode complet du 3 novembre de "The Zelenko Report" avec Ann Vandersteel et Michael Khoury ci-dessous. Regardez de nouveaux épisodes du programme tous les jours de la semaine à 13h-14h. sur Brighteon.TV.
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Sources include:
Brighteon.com
FCC.gov
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-telecommunication-companies-given-carte-blanche-surveil-americans.html
Les syndicats médicaux en Australie repoussent un amendement qui vise à punir les médecins qui contestent les récits du gouvernement
RépondreSupprimermercredi 09 novembre 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Les syndicats médicaux australiens qui ne sont pas liés au plus grand établissement repoussent le dernier amendement à la loi nationale sur la réglementation des praticiens de la santé (HPRNL) du pays. Ledit amendement habiliterait les autorités du Land Down Under à punir les médecins qui "présentent un risque pour les patients ou le grand public".
Dans une déclaration au Parlement du Queensland, l'Australian Medical Professionals Society (AMPS) et l'Association professionnelle des infirmières d'Australie (NPAA) ont fustigé le nouvel amendement. Ils ont fait remarquer qu'il incluait un langage trop large et ont mis en garde contre son potentiel à être utilisé pour supprimer les "voix d'experts qui souhaitent corriger les autorités sanitaires".
"L'idée que le non-respect des décrets gouvernementaux pose un risque immédiat pour la sécurité des patients est dangereuse pour les soins aux patients fondés sur des preuves", ont déclaré les deux syndicats. "Nous ne pensons pas que les notes explicatives fournissent des éclaircissements concernant l'approche basée sur les risques à utiliser pour interpréter" la santé publique, la sécurité et la confiance "."
La déclaration a également souligné que l'AMPS ne peut pas soutenir la pratique consistant à nommer publiquement et à humilier les praticiens qui présentent un risque pour la sécurité publique, sans définir comment le risque doit être interprété. Il a également mentionné que les professionnels de la santé pourraient subir des dommages financiers et de réputation à la suite d'une enquête. Le nouvel amendement à la HPRNL inscrit effectivement cette pratique dans la loi.
Le nouvel amendement – qui entrera en vigueur dans tous les États d'Australie – conférera aux régulateurs des pouvoirs supplémentaires pour répondre aux «risques pour la sécurité publique» et prendre des mesures contre les personnes qui contredisent les lois sur la protection du public, comme indiqué dans les notes explicatives du projet de loi.
De plus, les employeurs seront obligés d'informer leur organisme de santé compétent si un praticien s'est livré à une conduite réputée «présenter un risque pour les patients ou le public» et si la personne a été pénalisée. Ces sanctions impliquent « le retrait ou la restriction des privilèges cliniques du praticien dans un hôpital parce que l'employeur croit raisonnablement que le public risque de subir un préjudice parce que le praticien s'est considérablement écarté des normes professionnelles acceptées ». (Connexe: TYRANNIE médicale: Si vous remettez en question les vaccins en Australie, vous pourriez être jeté en prison pendant 10 ANS.)
RépondreSupprimerLe HPRNL a été utilisé pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) pour pénaliser les médecins praticiens pour avoir rejeté les verrouillages ou les mandats soutenus par le gouvernement.
L'adoption de l'amendement marque "la fin de la médecine et la mort de la science"
Selon les deux syndicats, la «nature large et discrétionnaire» d'une terminologie telle que «sécurité et confiance publiques» est déjà un outil utilisé pour obliger les professionnels de la santé à suivre les mandats du gouvernement.
Tous les praticiens de la santé du Land Down Under sont administrés par 15 conseils nationaux. Ces conseils rendent ensuite compte et travaillent avec l'Agence australienne de réglementation des praticiens de la santé (AHPRA), qui est le principal organisme d'accréditation.
L'AHPRA et les conseils qui en dépendent ont fait la une des journaux au début de la pandémie pour avoir suspendu de nombreux professionnels de la santé qui ont contesté les restrictions soutenues par le gouvernement, les mandats de vaccination et l'efficacité des injections de COVID-19. Le Dr Paul Oosterhuis est l'un de ces professionnels qui s'est retrouvé suspendu en septembre 2021 à la suite de deux "plaintes anonymes" concernant son activité sur les réseaux sociaux. L'anesthésiste de 30 ans a admis avoir publié du contenu sur les premiers traitements COVID-19 et le scepticisme à l'égard des tests PCR et des verrouillages.
Dans un article pour Spectator Australia, la secrétaire de l'AMPS, Kara Thomas, a critiqué l'amendement pour avoir permis aux bureaucrates de nommer et de faire honte aux médecins. Si l'amendement devient loi, elle a averti qu'il légiférera sur la censure médicale nationale comme moyen d'assurer la confiance du public dans les services de santé gouvernementaux.
« Si ce projet de loi est adopté à l'échelle nationale et que le gouvernement devient l'autorité unique pour tous les conseils de santé, alors la conformité inconditionnelle devient la nouvelle norme acceptée de bonne pratique médicale. C'est la fin de la médecine et la mort de la science », a expliqué Thomas. « Le ministère de la Vérité de George Orwell est arrivé. La confiance du public dans les politiciens et leurs bureaucrates ne devrait jamais se faire au détriment du droit des gens à un accès complet, libre et sans entrave aux preuves scientifiques et aux données émergentes.
Suivez HealthFreedom.news pour plus d'informations sur la lutte contre la tyrannie médicale.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la tyrannie médicale qui sévit en Australie.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne The Kokoda Kid sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Un médecin de l'Oregon intente une action en diffamation de 35 millions de dollars contre des membres du conseil médical de l'État.
Les médecins contestent la loi californienne autorisant le conseil médical de l'État à révoquer les licences de ceux qui contestent le récit du COVID-19.
ÉTUDE : Les médecins sceptiques quant à la sécurité des vaccins sont confrontés à la suppression et à la discrimination dans tous les domaines médicaux.
Sources include:
TheEpochTimes.com
Spectator.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-09-medical-unions-australia-push-back-hprnl-amendment.html
Dr Astrid Stuckelberger - BOOM ! Les vaccinés sont pucés et détectables par Bluetooth + 5G
Supprimerhttps://odysee.com/@cQfd:7/BOOM-!-Les-vaccin%C3%A9s-sont-puc%C3%A9s-et-d%C3%A9tectables-par-Bluetooth:a
États-Unis: un laboratoire envisage de créer une souche hybride de variole du singe plus mortelle que celle qui circule actuellement
RépondreSupprimerle 09 novembre 2022 - 18:15
Dans le cadre des recherches du National Institute of Allergy and Infectious Disease (NIAID), un laboratoire gouvernemental du Maryland projette de créer une souche hybride de la variole du singe. Celle-ci serait plus mortelle que celle qui se propage actuellement aux États-Unis.
Cette information publiée par le Daily Mail le 24 octobre 2022 intervient alors que les États-Unis ont déjà enregistré plus de 26 000 cas de variole du singe sur leur territoire.
Le virus de la variole du singe
La variole du singe ou virus monkeypox est à distinguer de la variole, responsable de millions de morts jusqu’au 20ᵉ siècle. Ce virus qui avait dévasté l’humanité pendant plus de 3 000 ans, faisant encore 300 millions de morts au siècle dernier, a été déclaré éradiqué le 8 mai 1980 lors de la 33ᵉ Assemblée mondiale de la santé, après qu'une stratégie de surveillance combinée à une campagne de vaccination massive décidée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a permis d’en venir à bout.
Il n’en va pas de même pour la variole du singe dont on retrouve des cas principalement sur le continent africain et qui se distingue de la variole par sa transmission de l’animal à l’homme et par sa capacité à avoir un réservoir animal (zoonose). Si le virus a été isolé la première fois sur un singe, en 1958, au Danemark, son réservoir principal se trouve cependant chez les rongeurs et chez les écureuils.
Avant mai 2022, des rares cas de varioles du singe détectés aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Israël ou à Singapour, étaient survenus chez des personnes revenues du Nigéria. Dans l’hémisphère nord, ces cas étaient, jusqu’à présent, toujours restés isolés et circonscrits.
Depuis le début du mois de mai, la situation a quelque peu évolué, puisque plusieurs cas ont été détectés dans de nombreux pays européens, mais également en Amérique du Nord, en Israël et en Australie.
En Afrique, le taux de létalité provoqué par la variole du singe varie de 1 à 10% selon la souche. Il existe deux souches du virus : une souche peu létale (1%) qui circule en Afrique de l’Ouest et une beaucoup dangereuse en Afrique centrale, principalement dans le bassin du Congo.
En Europe et aux États-Unis, c’est la souche peu létale qui circule et à l’exception des personnes fragiles ou immunodéprimées, les patients qui contractent ce virus, guérissent spontanément.
RépondreSupprimerLe projet du laboratoire du Maryland
Le laboratoire du Maryland prévoit d'élaborer une souche hybride du virus de la variole du singe qui circule actuellement aux États-Unis. L’expérimentation menée par l’équipe du Maryland serait dirigée par Bernard Moss, un scientifique rattaché au NIAID. Elle consisterait à échanger des gènes entre deux souches de variole du singe. Les chercheurs en charge de l’expérimentation travailleraient sur le clade (groupe de taxons ayant une origine phylétique. Unité de base dans la classification phylogénétique des espèces, le clade contient l’ancêtre commun et la totalité des descendants) dominant (clade 2), afin de le rendre plus létal et susceptible d’infecter les souris. La raison de cette expérience serait la recherche de nouveaux médicaments pour l’homme.
Dans le détail, l'expérimentation consisterait à « extraire des dizaines de gènes du virus de la variole du singe de clade 1, plus grave, et à les introduire dans le virus de clade 2, plus bénin. » Une fois créée, la nouvelle souche hybride serait testée sur les souris tandis que les chercheurs surveilleraient l’évolution de la maladie.
Pour parer à toute critique sur la recherche de gain de fonction, les scientifiques du Maryland ont expliqué que leurs travaux ne consistaient pas à « améliorer » un agent pathogène. En effet, l’expérimentation consisterait à échanger les mutations naturelles, mais pas à en créer de nouvelles. Par conséquent, l’hybride créé ne pourrait pas être plus mortel que les clades existants.
En 2018, le laboratoire du Maryland avait déjà mené des travaux sur la variole du singe. À l’époque, l’équipe avait tenté l’inverse de ce que les chercheurs projettent de faire aujourd’hui ; ils avaient échangé des gènes du clade 2 qui est le moins virulent et les avaient introduits dans le clade 1 pour le rendre moins dangereux. L’expérience avait été exemptée de tout contrôle, car les personnes en charge de la surveillance génomique des agents pathogènes avaient estimé que le virus de la variole du singe ne pouvait pas se propager de manière incontrôlée ; il n’atteignait pas le seuil critique qui puisse le faire qualifier d'agent pathogène à potentiel pandémique. De plus, le virus était à cette époque circonscrit à l’Afrique et n’avait touché le continent européen et américain que de manière sporadique. Ces manipulations destinées à rendre le virus moins mortel s'étaient cependant soldées par un échec.
Ce nouveau projet d'expérimentation qui intervient dans un contexte d’inquiétude croissante est loin de réjouir l’ensemble de la communauté scientifique. Pour le Dr Richard Ebright, microbiologiste à l'université Rutgers du New Jersey, cette recherche « présente un risque exceptionnellement élevé » si un accident de laboratoire se produisait, laissant le virus s’échapper.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/etats-unis-un-laboratoire-du-maryland-envisage-une-souche-de-variole
Vaccins contre la COVID et premières crises d’épilepsie: Y a-t-il un lien ?
RépondreSupprimerSi une personne de votre entourage a reçu un diagnostic d'épilepsie ou de nouvelles crises au cours des dernières années, sans source évidente (traumatisme crânien, neurochirurgie, radiations, méningite, etc.), demandez-lui si elle a reçu l'un des vaccins contre la COVID-19.
Par Peter McCullough et John Leake
Mondialisation.ca,
10 novembre 2022
Un entrepreneur en toiture de 56 ans, ami de la famille, a eu sa toute première crise d’épilepsie alors qu’il travaillait sur le toit d’un hôtel.
Son collègue a utilisé toutes ses forces pour sauver l’homme impuissant qui était en train de convulser et l’empêcher de tomber encore plusieurs étages plus bas à sa mort.
À la suite de cet événement neurologique, le contractant a subi une commotion grave et prolongée, des côtes cassées et d’innombrables radiographies et scanners au cours d’une hospitalisation et de visites de suivi en clinique.
Il a été mis en invalidité temporaire et sa petite entreprise a été fermée. Quelques mois plus tard, il avait du mal à contrôler son hypertension et se sentait faible et étourdi.
Après une évaluation diagnostique exhaustive, il n’y avait aucune explication pour la crise.
Il a demandé, « est-ce que ça pourrait avoir été causé par mon vaccin contre la COVID-19 ? »
Au début de l’année, dans une étude de cas publiée dans la National Library of Medicine, des chercheurs de Taïwan ont fait état d’un homme de 22 ans qui a eu sa première crise six jours après la deuxième injection de Moderna.
Des tests complets, y compris des ponctions lombaires répétées, ont démontré la présence indirecte de la protéine de pointe produite par le vaccin ARNm dans le cerveau.
Ils ont trouvé des IgG dirigées contre le domaine de liaison du récepteur de la protéine de pointe dans le liquide céphalo-rachidien et au fil du temps, les concentrations de cet anticorps étaient discordantes avec les niveaux sériques, ce qui suggère que la protéine de pointe se trouvait effectivement dans le cerveau, où l’on s’attendrait à ce qu’elle provoque une inflammation et déclenche une crise.
Le Dr Shitiz Sriwastava et ses collègues, du département de neurologie, de l’Institut Rockefeller des neurosciences et de l’Université de West Virginia, ont estimé dans un article de synthèse que les crises d’épilepsie faisaient partie des effets secondaires neurologiques des vaccins contre la COVID-19.
Christian Kaculini et al, de l’Université du Centre des sciences de la santé du Texas à San Antonio, ont écrit dans une revue historique de 2021 :
« L’épilepsie est une maladie ancienne, qui a fasciné et effrayé les scientifiques et les profanes. Avant la connaissance pratique du système nerveux central, les crises d’épilepsie étaient entourées de mystère. Dans l’Antiquité, cette maladie était attribuée aux dieux et à la possession démoniaque, ce qui faisait que les personnes épileptiques étaient craintes et isolées.
RépondreSupprimer« Les patients épileptiques ont continué à subir des discriminations jusqu’au milieu du 20e siècle. Cette discrimination va du manque d’accès à l’assurance maladie, de l’emploi et l’égalité du mariage aux stérilisations forcées. Malgré les progrès accomplis, de nombreuses idées fausses circulent encore sur l’épilepsie dans le monde.
« Des études montrent que les patients épileptiques vivant dans des communautés qui comprennent la pathologie et la cause des crises ont généralement plus de succès dans les environnements sociaux et éducatifs. »
Par conséquent, si une personne de votre entourage a reçu un diagnostic d’épilepsie ou de crises d’épilepsie d’apparition récente au cours des dernières années, sans source évidente (traumatisme crânien, neurochirurgie, radiations, méningite, etc.), demandez-lui si elle a reçu l’un des vaccins contre la COVID-19.
La vaccination peut être rapidement écartée si la réponse est « non ».
Cependant, si la vaccination contre la COVID-19 figure dans le dossier médical, il faut envisager cette étiologie possible pour les crises et prendre les mesures appropriées.
Les médecins des salles d’urgence et les neurologues doivent être alertés des convulsions induites par le vaccin contre la COVID-19 lors de la présentation initiale.
Bien que le pronostic soit inconnu étant donné la nouveauté de ces produits génétiques, à condition de ne plus recevoir d’injections, je m’attendrais à ce que les crises soient progressivement moins fréquentes, mieux contrôlées et potentiellement résolues avec suffisamment de temps.
Que cela serve de leçon, le matériel génétique chargé sur des nanoparticules lipidiques est un concept terrible pour un vaccin, car il se répandra partout dans le corps, y compris dans le cerveau, où il peut provoquer des lésions inflammatoires, des handicaps et malheureusement, chez certaines victimes, la mort.
Publié à l’origine sur la page Substack du discours courageux [Courageous Discourse Substack} du Dr Peter McCullough et de John Leake.
https://www.mondialisation.ca/vaccins-contre-la-covid-et-premieres-crises-depilepsie-y-a-t-il-un-lien/5672631
Covid Science "Négateurs"
RépondreSupprimerDe Walter E. Block
Rapport Ron Paul Liberty
10 novembre 2022
Supposons que les experts A affirment que la théorie A est correcte et que les experts B affirment que la théorie B est correcte. Nous, les gens, non spécialistes, ne savons rien de A ou de B. Il s'agit d'un domaine que nous ne connaissons pas. Peut-être la physique ou les mathématiques ou l'astronomie ou le changement de température global ou la virologie ou un autre domaine ésotérique.
Cependant, il y a une différence entre eux : les A accusent les B d'être des « négationnistes » (on sait tous d'où cela vient) de répandre de la « désinformation ». Ils tentent non seulement de faire annuler les B des médias et de les renvoyer de leur travail, mais aussi, honteusement, de les mettre en prison ! C'est exactement le résultat de l'adoption de lois qui interdisent de « nier » et de diffuser de la « désinformation ».
Je serais enclin à penser que B était plus correct que A. Mon raisonnement serait que si les A avaient vraiment un meilleur accès à la vérité que les B, ils n'auraient pas à recourir à des tactiques aussi néfastes. L'essence de la science, après tout, est l'enquête ouverte. Les B adhèrent à la science ; les A ne le sont pas.
Selon John Stuart Mill :
« Même en philosophie naturelle, il y a toujours une autre explication possible des mêmes faits ; une théorie géocentrique au lieu d'héliocentrique, un phlogistique au lieu d'oxygène ; et il faut montrer pourquoi cette autre théorie ne peut pas être la vraie : et jusqu'à ce que cela soit démontré, et jusqu'à ce que nous sachions comment cela est démontré, nous ne comprenons pas les fondements de notre opinion. Mais quand on passe à des sujets infiniment plus compliqués, à la morale, à la religion, à la politique, aux relations sociales et aux affaires de la vie, les trois quarts des arguments de toute opinion contestée consistent à dissiper les apparences qui favorisent une opinion différente d'elle. Le plus grand orateur, sauf un, de l'antiquité, a écrit qu'il étudiait toujours le cas de son adversaire avec une intensité aussi grande, sinon plus grande encore, que la sienne. Ce que Cicéron pratiquait comme moyen de succès médico-légal exige d'être imité par tous ceux qui étudient n'importe quel sujet afin d'arriver à la vérité. Celui qui ne connaît que sa propre version de l'affaire en sait peu. Ses raisons peuvent être bonnes, et personne n'a pu les réfuter. Mais s'il est également incapable de réfuter les raisons du côté opposé ; s'il ne sait même pas ce qu'ils sont, il n'a aucune raison de préférer l'une ou l'autre opinion.
« Les nouvelles sous-variantes du COVID-19 qui deviennent dominantes dans le monde entier ne sont pas seulement plus contagieuses que les variantes et sous-variantes précédentes, elles peuvent également provoquer une maladie plus grave. C'est un signe inquiétant si, comme le prédisent les experts, il y a une nouvelle vague mondiale de COVID dans les mois à venir. C'est une chose de résister à une augmentation des infections qui se traduit principalement par une maladie bénigne. Les cas augmentent, mais pas les hospitalisations et les décès. Mais une augmentation des maladies graves pourrait également entraîner une augmentation des hospitalisations et des décès. Cela pourrait être comme 2020 ou 2021, encore une fois. La grande différence est que nous avons maintenant un accès facile à des vaccins sûrs et efficaces. Et les vaccins fonctionnent toujours, même contre les nouvelles sous-variantes.
RépondreSupprimerLa grande question est, bien sûr, qu'en pensent les autres scientifiques et médecins, ceux qui ont trop peur pour parler ? La réponse est, nous ne le saurons jamais. Ils ont été muselés, annulés. Nous n'avons pas accompli autre chose de cette manière : la découverte de l'électricité, l'avion, le vaccin Salk contre la poliomyélite. Entendre d'un seul côté n'est pas une façon d'exploiter un chemin de fer.
C'est scientifique ? Si nous voulons les avantages de la science, nous devons permettre à la science de fonctionner. Il semblerait que nous soyons maintenant plus dépendants de la science que bien des fois par le passé. Dommage qu'il ne soit pas maintenant autorisé à fonctionner, pour notre bénéfice, par les A.
Reprinted with the author’s permission.
This originally appeared on Ron Paul Liberty Report.
https://www.lewrockwell.com/2022/11/walter-e-block/covid-science-deniers/
Il a examiné les rapports sur le système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du CDC de décembre 2020 au 5 août 2022. Au cours de cette période de 20 mois, il y a eu 2 579 événements indésirables liés au cancer.
RépondreSupprimerEn revanche, les données du VAERS pour tous les autres vaccins entre 2008 et 2020 n'ont enregistré que 791 événements indésirables liés au cancer. Il n'y a eu que 64 effets indésirables liés au cancer causés par le vaccin contre la grippe pour cette même période.
Le média a également pris en compte le nombre de doses utilisées pour calculer la fréquence des cas de cancer par dose. Ce qu'il a découvert, c'est que la vaccination contre le COVID-19 est 1 432,33 fois (143 233 %) plus susceptible de provoquer un cancer que la vaccination contre la grippe.
Sigurdson a également cité une étude de septembre 2022 publiée dans l'International Journal of Molecular Sciences, à laquelle Hirschhorn a également fait référence. L'article de chercheurs italiens a abordé la pharmacologie des vaccins à ARNm COVID-19.
«Les vaccins à ARNm COVID-19 sont en fait des médicaments pharmaceutiques. Par conséquent, leur pharmacocinétique et leur pharmacodynamique, et éventuellement aussi leur pharmacogénétique, doivent être correctement caractérisées pour fournir un solide bagage de connaissances pour leur utilisation rationnelle et ciblée », ont écrit les auteurs de l'étude.
"Une évaluation correcte, rigoureuse et complète des vaccins à ARNm COVID-19 sera d'une importance cruciale pour rassurer le public quant à leur utilisation sûre et efficace."
Sigurdson a finalement conclu que les gens n'avaient pas vu une justice appropriée être rendue pour le coup de feu COVID. et ils doivent appliquer les bonnes solutions pour sauver l'humanité de la guerre totale contre eux.
Suivez VaccineDamage.news pour plus d'informations sur les maladies causées par les vaccins COVID.
Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi les cas de cancer ont explosé après le déploiement du vaccin COVID-19.
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Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
RépondreSupprimerLe Dr Judy Mikovits tire la sonnette d'alarme sur l'EXPLOSION des taux de cancer grâce aux vaccins COVID.
Les lanceurs d'alerte militaires disent que le cancer, les fausses couches et les maladies cardiaques ont tous augmenté de 300% à la suite des mandats d'injection de covid.
Les patients cancéreux qui se sont rétablis mais ont ensuite été «vaccinés» contre le covid voient maintenant le cancer revenir avec vengeance.
La vaccination de masse contre le COVID-19 est une politique mortelle et non scientifique qui entraînera une augmentation des taux de cancer, prévient le pathologiste.
Les protéines de pointe du "vaccin" Covid détruisent les voies de réparation de l'ADN, ouvrant la voie à la croissance et à la propagation du CANCER.
Sources include:
Brighteon.com
AllNewsPipeLine.com
Expose-News.com
MDPI.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-covid-vaccines-causing-cancer-rates-to-skyrocket.html
Des centaines de milliers d'enfants paralysés par les vaccins contre la poliomyélite grâce au programme de vaccination de la Fondation Gates
RépondreSupprimerjeudi 10 novembre 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Les gens se méfient de la poliomyélite après avoir vu des photos d'enfants en fauteuil roulant ou se promenant avec des béquilles et des appareils orthodontiques. Big Pharma en a profité pour inciter les gens à se faire vacciner contre la poliomyélite.
Bien que la polio soit vraiment effrayante, la vérité est que de nombreux enfants ont déjà été exposés au virus de la polio sans le savoir et ont développé une immunité au cours du processus. Autrement dit, le vaccin contre la poliomyélite n'est plus nécessaire.
La clinique Mayo a déclaré sur son site Web que « bien que la poliomyélite puisse provoquer la paralysie et la mort, la majorité des personnes infectées par le virus ne tombent pas malades et ne savent pas qu'elles ont été infectées ». Il a ajouté qu'"aux États-Unis, les adultes ne sont pas systématiquement vaccinés contre la polio car la plupart sont déjà immunisés et que les risques de contracter la polio sont minimes".
Cela signifie que les Américains sont déjà immunisés contre la poliomyélite parce qu'ils ont déjà contracté le virus, sont devenus immunisés et n'en sont même pas conscients. Mais la poliomyélite est encore répandue dans le monde où l'assainissement de la nourriture et de l'eau est un problème commun.
Bill Gates a essayé de faire quelque chose à ce sujet. Mais plutôt que d'améliorer l'assainissement pour empêcher la voie de transmission, Gates a décidé de s'occuper du virus lui-même. Gates a lancé une campagne pour éradiquer la poliomyélite du monde en 1988 et l'a appelée l'Initiative mondiale pour l'éradication de la poliomyélite.
La Fondation Bill et Melinda Gates a jusqu'à présent promis plus de 5 milliards de dollars à cette initiative qui était censée éliminer la poliomyélite d'ici l'an 2000. Cela ne s'est pas produit, alors il a mis des millions d'enfants en Inde sous diverses doses de vaccin antipoliomyélitique oral (VPO). de 2000 à 2017.
Le résultat a été désastreux. Selon des rapports, des centaines de milliers d'enfants sont devenus paralysés à cause de la poliomyélite induite par le vaccin. Mais au lieu d'arrêter le programme, Gates a promis 1,5 milliard de dollars supplémentaires pour le prolonger jusqu'en 2026. (Connexe: l'OMS recommande un nouveau vaccin contre la polio financé par Gates pour lutter contre l'épidémie de polio dérivée du vaccin au Royaume-Uni.)
La poliomyélite est toujours présente et se trouve principalement dans des endroits où une vaccination agressive a lieu.
Les gens ont en fait été avertis qu'ils seraient exposés au virus de la poliomyélite s'ils voyageaient dans des pays où le VPO est utilisé. Et c'est parce que le VPO comprend le virus complet qui se copiera et se transmettra entre humains.
Les virus se transmettent toujours entre humains, et c'est naturel et ne peut être évité. Le fait qu'un individu présente des symptômes ou non est entièrement déterminé par l'état de son système immunitaire.
RépondreSupprimerQuatre stades de la poliomyélite
Il y a quatre stades de la poliomyélite et la progression d'une personne dans ces stades dépend de l'état de son système immunitaire.
Le stade asymptomatique, qui est le premier stade, survient environ 70 % du temps. Les gens traverseront cette étape sans même le savoir et développeront une immunité naturelle à vie dans le processus.
La deuxième étape, qui est l'étape avortée, se produit environ 24 % du temps. Cette étape implique des symptômes pseudo-grippaux sans paralysie, ce qui entraîne une immunité naturelle à vie.
La troisième étape, qui est non paralytique, se produit de 1 à 5 % du temps et les symptômes sont graves, aseptiques, comme une méningite, y compris des douleurs et des raideurs musculaires. Les symptômes dureront environ 10 jours et entraîneront une immunité naturelle complète à vie.
La quatrième étape est la phase paralytique, qui est la plus rare avec moins d'un pour cent de chance de se produire et peut entraîner une invalidité permanente. Cela peut se produire chez les personnes gravement immunodéprimées. Cependant, il est important de savoir que certaines de ces conditions paralytiques ne durent pas et se résolvent d'elles-mêmes.
Comme pour toutes les maladies transmissibles, la voie de transmission est la plus importante à considérer.
Pour le virus de la poliomyélite, la voie est soit orale/orale soit orale/fécale. Il doit être ingéré, et cela se produit soit par contact salive-salive, soit par ingestion d'aliments ou d'eau contaminés.
Dans une infection naturelle, les particules virales doivent pénétrer dans la circulation sanguine après avoir été ingérées. Cela se produira si le virus est répliqué dans les cellules épithéliales tapissant l'intestin et libéré dans le sang ou la lymphe.
Si le virus atteint les cellules du système nerveux central, la dévastation des motoneurones peut se produire et provoquer une paralysie douce.
Suivez VaccineInjurynews.com pour plus d'informations sur les effets indésirables du vaccin contre la poliomyélite.
Regardez la vidéo ci-dessous sur les vaccins contre la poliomyélite de Bill Gates qui paralysent les enfants en Inde et en Afrique.
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Cette vidéo provient de la chaîne de télévision 1TRUTH REAL sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Nouvelle épidémie de poliomyélite en Afrique causée par le vaccin antipoliomyélitique oral de l'OMS.
Si le vaccin contre la poliomyélite était vraiment une « percée miracle » pour la santé publique, pourquoi continue-t-il d'amener les gens à contracter la poliomyélite ?
Le vaccin antipoliomyélitique de Sanofi ne sera plus fabriqué à partir de lignées cellulaires fœtales avortées (bébés humains avortés).
En 1955, un vaccin antipoliomyélitique « salvateur » a rendu malade et paralysé mortellement d'innombrables enfants après avoir été déclaré « sûr et efficace ».
FOLIE MÉDICALE : Bill Gates développe un nouveau vaccin qui prétend prévenir la poliomyélite causée par les vaccins antipoliomyélitiques.
Sources include:
Expose-News.com
Fortune.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-hundreds-of-thousands-children-paralyzed-polio-vaccines.html
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