- ENTREE de SECOURS -



jeudi 24 novembre 2022

Coup de tonnerre aux États-Unis : les personnes vaccinées représentent 58 % des décès Covid depuis août

By Cheikh Dieng

24 novembre 2022


Dans un article publié ce 22 novembre, le Washington Post, média basé aux États-Unis, citant des données de la Center For Disease Control (CDC), révèle que les personnes vaccinées représentent depuis août 58 % des décès liés au Covid

Une information qui ne plaira pas aux défenseurs invétérés du vaccin pour lutter contre la pandémie à Coronavirus. Et l’info ne vient pas d’un média complotiste, mais plutôt du Washington Post, média qui a déjà mené des interviews avec des personnalités politiques de premier plan.

En effet, dans un article publié ce 22 novembre sur son site, le média américain reprend la conclusion d’une récente étude de la CDC (Center For Disease Control) concernant la mortalité liée au vaccin contre la Covid. Et là, les résultats risquent ne ne pas plaire à nos autorités sanitaires.

D’après les données obtenues par le Washington Post, en août dernier, 58 % des personnes mortes de Covid étaient vaccinées ou avaient pris une dose de rappel. A en croire la même source, c’est d’autant plus troublant que le taux de mortalité chez les personnes vaccinées n’a cessé de grimper ces derniers mois.

Et chiffres à l’appui, le Washington Post explique tout. “C’est la suite d’une tendance inquiétante qui prend forme depuis l’année dernière. Alors que les taux de vaccination ont augmenté et que de nouveaux variants font leur apparition, la part de décès de personnes vaccinées augmente considérablement”, note le média américain.

Et d’ajouter : “en septembre 2021, les personnes vaccinées représentaient 23 % des décès dus au Coronavirus. En janvier et février de cette année, il (le nombre de décès chez les vaccinés, ndlr) a atteint les 42 %”. Un constat alarmant qui fait dire à Cynthia Cox, vice-présidente de la Fondation Kaiser Family : “nous ne pouvons plus dire que c’est la pandémie des non-vaccinés”.

Dans l’article intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com, le média américain Washington Post reconnaît que le fait ne pas être vacciné représente certes un grand danger, mais souligne, en se basant sur une étude du CDC, que l’effacité des doses de vaccin anti-Covid diminue avec le temps.

A peine révélée, l’info fait déjà réagir sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter où les avis ont été nombreux.

https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-tonnerre-aux-etats-unis-les-personnes-vaccinees-representent-58-des-deces-covid-depuis-aout/

58 commentaires:

  1. Le gouvernement canadien propose littéralement l'exécution par l'État de bébés vivants


    PAR TDB
    MARDI 22 NOVEMBRE 2022 - 19:08
    de Ben Bartee via The Daily Bell


    Les médias d'entreprise ont une réputation établie de promotion du suicide comme solution au changement climatique, entre autres problèmes politiques à la mode.

    Les ingénieurs sociaux rebaptisent par euphémisme le suicide facilité par l'État en « aide médicale à mourir » (AMM). Le gouvernement canadien produit même des « livres d'activités » éducatifs pour endoctriner tôt les enfants dans le nouveau paradigme, comme celui-ci par Canadian Virtual Hospice :

    Hospice virtuel canadien

    Les partisans de la pratique considèrent le suicide facilité par l'État comme une forme particulière d'autonomisation, reprenant le droit de mettre fin à vos jours selon vos propres conditions plutôt que « quelqu'un d'autre » :

    « De la Suisse qui a adopté la première fois à l'Australie la plus récente, de plus en plus de pays légalisent la pratique. Il est désormais disponible pour plus de 280 millions de personnes dans 11 pays à travers le monde. Il a été offert à ma mère, qui a récemment (et avec gratitude) utilisé la législation canadienne pour orchestrer sa propre mort sage… Si nous ne revendiquons pas la conception de notre propre mort, il est probable que quelqu'un d'autre le fera… »

    Tous les programmes d'ingénierie sociale sont des pentes glissantes, passant de manière prévisible des arguments les plus raisonnables et attrayants basés sur la rationalité aux arguments les plus extrêmes et idéologiques.

    Dans ce cas, l'argument le plus raisonnable du suicide du gouvernement commence avec des personnes âgées en fin de vie, dans une angoisse physique insupportable due à une maladie ou à une autre. C'est comme ça qu'il est initialement vendu.

    Puis, en 2021, le projet de loi C-7 a modifié le Code criminel canadien pour «abroger la disposition selon laquelle la mort naturelle d'une personne doit être raisonnablement prévisible pour qu'elle soit admissible à l'AMM». En conséquence, les paramètres selon lesquels un patient peut légalement demander à l'État de le tuer ont été élargis pour inclure la maladie mentale.

    Le récit «tue-toi parce que tu es déprimé» est une reconnaissance tacite de l'échec de la profession psychiatrique.

    Depuis les années 80, l'industrie médicale a pompé des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine "antidépresseurs" dans des dizaines de millions de circulations sanguines d'Américains. Toute la prémisse pharmacologique de ces médicaments, à savoir que la dépression est causée par un déséquilibre neurochimique, a été récemment démystifiée. Ils gagnaient des milliards tandis que la dépression empirait.

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  2. Ensuite, nous avons des benzodiazépines "anti-anxiété" comme le Valium et le Xanax qui, en fait, envoient un fusil de chasse neurochimique dans votre cerveau et font de vous un zombie émotionnel pendant 10 heures. Ceux-ci n'ont pas non plus fonctionné pour améliorer les résultats de santé mentale à long terme.

    Alors ils lèvent maintenant les mains en l'air: "Merde, tue-toi."

    Ce n'est pas théorique. Le gouvernement belge a déjà tué cette année un jeune de 23 ans par ailleurs en bonne santé physique pour des raisons de santé mentale :

    « Une femme de 23 ans qui avait survécu à une attaque terroriste alors qu'elle était adolescente est décédée après avoir choisi d'être euthanasiée… Bien que Shanti ait échappé à l'explosion physiquement indemne, elle a souffert mentalement tous les jours depuis… Shanti a demandé l'aide d'un établissement psychiatrique à elle. ville natale d'Anvers et a même été mis sous antidépresseurs. Cependant, le traumatisme psychologique était trop lourd et elle a tenté de se suicider à deux reprises ; une fois en 2018 et une fois en 2020. Enfin, en mai de cette année, elle a choisi d'être euthanasiée.

    Maintenant, après avoir franchi la frontière de la santé mentale, comme cela était prévu dès le départ, l'ordre du jour passe au Saint Graal : tuer des enfants. Nous arrivons donc au traité de la Société canadienne de pédiatrie (acronyme à juste titre de SCP) sur le sujet, « L'aide médicale à mourir : une perspective pédiatrique » :

    « Veiller à ce que les nouveau-nés, les enfants et les jeunes reçoivent les meilleurs soins possibles au moment de leur décès est un privilège et une responsabilité pour les médecins et les professionnels paramédicaux. Apporter une approche réfléchie, respectueuse et personnelle à chaque situation de fin de vie est un devoir de diligence essentiel et évolutif, et le processus doit répondre aux besoins sociaux, culturels et spirituels uniques de chaque patient (et de sa famille).

    Ainsi, le système médical obtient l'autorisation officielle des autorités de Santé publique© (le CPS étant la principale autorité en matière de médecine infantile) pour tuer des enfants… tant que leur prise de décision est « respectueuse » envers « les besoins sociaux, culturels et spirituels ».

    La Société canadienne de pédiatrie désigne les enfants qu'elle vise à tuer par pitié comme des « mineurs matures », un terme orwellien visant apparemment à signifier qu'ils sont suffisamment développés intellectuellement pour décider de se suicider :

    Mais déjà, le CPS ouvre la porte au meurtre d'enfants de tous âges, invoquant "la nécessité d'examiner les demandes et les attitudes autour de l'AMM pour les mineurs de tous âges".

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  3. Cela inclut, étonnamment, les nourrissons :

    « Les professionnels de la santé canadiens sont de plus en plus approchés par les parents de nourrissons et d'enfants "jamais compétents", y compris ceux qui sont trop jeunes pour prendre une décision éclairée, et par les jeunes eux-mêmes, pour discuter de questions liées à l'AMM. Les résultats d'un sondage du Programme canadien de surveillance pédiatrique (PCSP), discutés ci-dessous, indiquent que les parents soulèvent de telles questions avec les pédiatres plus souvent que les mineurs…

    Dans un avenir prévisible, les parents pourraient contester les décisions en matière de soins de santé devant les tribunaux au motif que la poursuite de la vie, telle que vécue par leur enfant mourant ou profondément handicapé, n'est pas dans l'intérêt supérieur de cet enfant.

    (À son crédit, au moins un haut fonctionnaire canadien, le ministre du Handicap, a repoussé la proposition de tuer un bébé – pour le moment.)

    * * * * *

    L'État n'a pas le pouvoir fonctionnel, et ne devrait peut-être pas, empêcher le suicide, même si c'est techniquement illégal. Ce à quoi l'État ne devrait pas participer, c'est de faciliter activement le suicide.

    Comme nous l'avons vu, l'inertie poussera l'État à s'arroger de plus en plus le pouvoir de tuer.

    À moins d'une réaction populaire efficace, voici ce qui s'en vient ensuite : à mesure que l'implosion conçue de la civilisation occidentale par une cabale de technocrates multinationaux (dirigée par le WEF) s'accélère, les ressources vont diminuer.

    Il n'y aura pas assez d'eau ou de nourriture pour tout le monde, et les conflits autour de l'accès à ces précieux matériaux vont exploser.

    Se présentant comme des administrateurs publics responsables, les gouvernements mettront en place des conseils consultatifs pour décider quelles personnes doivent être épargnées des traumatismes de la privation – pour leur propre bien, remarquez.

    Ayant déterminé que la mort est le résultat le plus humain, l'État les libérera de leur fardeau céleste par l'euthanasie - un meurtre par pitié.

    https://www.zerohedge.com/news/2022-11-22/canadian-government-literally-proposes-state-execution-living-babies

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  4. La supernova financière de Pfizer et l'art des très gros mensonges


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    23 novembre 2022


    La pandémie de COVID manufacturée a été une poule aux oeufs d'or proverbiale pour Pfizer. Son chiffre d'affaires annuel devrait atteindre 101,3 milliards de dollars en 20221, grâce à son jab COVID, qui n'empêche pas l'infection ou la propagation, et Paxlovid, un antiviral COVID inefficace et dangereux qui provoque un rebond. Ce serait comique si ce n'était pas si flagrant.

    Et, les coffres de Pfizer sont plus ou moins assurés de continuer à être remplis à ras bord, car le comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis a maintenant ajouté des injections de COVID-19 aux calendriers de vaccination des enfants, des adolescents et des adultes aux États-Unis. .2

    Avec cette action, le CDC a sécurisé le bouclier de responsabilité permanent de Pfizer (et de Moderna) afin que personne ne puisse les poursuivre en dommages-intérêts pour blessures et décès survenus à la suite des tirs. Cela ouvre également la porte aux États pour imposer le jab aux écoliers, ce qui garantit un flux de revenus continu.

    Ce flux de revenus peut même dépasser les bénéfices précédents, car Pfizer a augmenté le prix de son injection COVID d'environ 400 %3, passant de 304 $ par injection à quelque part entre 110 $ et 130 $, le même jour que l'ACIP a voté pour ajouter le vaccin au calendrier des vaccins. Cette hausse de prix entrera en vigueur une fois que le programme d'achat américain actuel expirera.

    Pfizer à la recherche du prochain blockbuster

    Comme le rapporte Kaiser Health News (KHN)5, « une fortune amassée lors de la pandémie de COVID ouvre désormais la voie au nirvana pharmaceutique : une pilule amaigrissante valant probablement des centaines de milliards ». Pfizer espère également développer des médicaments phares pour le diabète, les migraines, la colite ulcéreuse, le cancer de la prostate et la drépanocytose, et engloutit les petites sociétés pharmaceutiques avec des portefeuilles de produits prometteurs.

    Un médicament à succès peut rapporter des milliards, mais cela ne signifie pas qu'il s'agit d'un médicament à succès dans le sens où il est efficace, comme nous l'avons vu avec Paxlovid et le vaccin ARNm COVID. Pfizer contourne ce problème en grande partie en étant une «machine de marketing remarquable», pour citer Timothy Calkins, professeur de marketing à la Kellogg School of Management de la Northwestern University.6

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  5. Non seulement Pfizer dépense beaucoup d'argent en publicité éclaboussante, mais il travaille également avec des sociétés de recherche sous contrat comme ICON, qui effectuent des essais de recherche médicale pour les sociétés pharmaceutiques et les agences fédérales, donnant ainsi aux sociétés pharmaceutiques la voie interne sur les approbations de médicaments.7,8

    Pfizer reçoit également beaucoup d'aide gratuite du gouvernement fédéral qui, dans le cas du COVID, a contraint des millions de personnes menacées de perte d'emploi à se faire vacciner, et a mis en place des règles garantissant que les hôpitaux et les pharmacies ne prescriront que certains médicaments COVID, Paxlovid étant l'un d'entre eux. .

    L'art des gros mensonges

    Dans un article du 4 novembre 20229, le médecin clinicien et de santé publique, le Dr David Bell, discute de l'art - et du prix - du mensonge, notant que plus un mensonge est éloigné de la réalité, plus il a de chances de réussir, grâce à les caprices de la nature humaine et de la psychologie normale :

    "Dans un ancien rôle, j'avais un patron qui mentait beaucoup. Les mensonges étaient de la pure fantaisie, mais de portée massive et livrés avec sincérité. Ils ont eu beaucoup de succès.

    Ce succès était fondé sur la réticence de la plupart des gens à considérer qu'une personne en position d'autorité dans une organisation humanitaire ignorerait complètement tout semblant de réalité. Les gens ont supposé que les affirmations devaient être vraies, car fabriquer des informations dans cette mesure dans ces circonstances semblait défier la logique.

    Le principe de Really Big Lies est basé sur le fait que les mensonges sont si éloignés de la réalité que l'auditeur supposera que sa propre perception doit être erronée, plutôt que de douter des affirmations de la personne qui ment. Seule une personne folle ou ridicule ferait de telles déclarations farfelues, et une institution crédible n'emploierait pas une telle personne.

    Par conséquent, étant donné que l'institution est apparemment crédible, les déclarations doivent également être crédibles, et la perception préalable de la réalité par l'auditeur était donc faussée. Les petits mensonges, en revanche, sont susceptibles d'être perçus comme suffisamment proches de la réalité connue pour être manifestement faux. Inventer la vérité peut être plus efficace que de la déformer.

    Je crois que c'est précisément la stratégie employée par Big Pharma, les agences de santé, les responsables gouvernementaux et la branche de propagande de l'État profond au cours des trois dernières années. Leurs affirmations sont si éloignées de tout semblant de réalité que toute personne au courant des faits se sent plus qu'un peu folle.

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  6. Malheureusement, alors que la plupart des humains ont une boussole morale et éthique, peu finissent par la suivre lorsqu'ils sont confrontés à des psychopathes en autorité et à la pression des pairs pour se conformer. Comme l'a noté Bell, les bons joueurs d'équipe finissent presque toujours par soutenir de faux récits, et ceux qui refusent d'accepter ce qui est clairement des mensonges ont tendance à n'être qu'une infime minorité.

    Bénéfice par tromperie

    Pendant des décennies, les soins de santé centrés sur le patient ont été la norme, et les patients avaient non seulement le droit, mais le devoir, de participer à la planification et à la mise en œuvre de leurs soins. Cela a été inscrit dans la Déclaration d'Alma Ata de 197810 - une déclaration adoptée par l'Organisation mondiale de la santé "comme la clé pour atteindre un niveau de santé acceptable dans le monde entier".

    Cependant, comme l'a noté Bell, les soins de santé descendants centralisés sont beaucoup plus attrayants pour les investisseurs de Big Pharma. Le principal obstacle à la corporatisation et à la monétisation de la santé publique était la vérité, et cet obstacle a finalement (et formidablement) été surmonté pendant la pandémie de COVID. Bell explique :11

    « Le COVID-19 a prouvé que même cet obstacle au progrès peut être éliminé par des mensonges constants et la diffamation des diseurs de vérité, soutenus par une campagne de psychologie comportementale bien gérée.

    Cette réponse à la pandémie a fourni un modèle non seulement pour une augmentation considérable des revenus des entreprises, mais aussi pour la sécurité d'emploi et l'élargissement des opportunités pour l'armée de bureaucrates et de professionnels de la santé, principalement occidentaux, qui remplissent les bureaux, les salles de réunion et les sièges de classe affaires de ses organisations de mise en œuvre. Le COVID-19 a rendu le colonialisme des entreprises à nouveau respectable.

    Superficiellement, le COVID-19 apparaît comme un mauvais choix de maladie pour faciliter une réinitialisation sociétale fondamentale.

    La mort est fortement concentrée dans la vieillesse… Les cas graves sont généralement confinés à ceux dont l'espérance de vie est déjà raccourcie par des maladies métaboliques… Les pays qui n'ont pas mis en œuvre de mesures pour restreindre et appauvrir leur population… ont eu des résultats COVID-19 similaires à ceux qui ont opté pour le confinement et autres signes extérieurs du fascisme médical.

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  7. Le nombre moyen d'admissions à l'hôpital au Royaume-Uni et aux États-Unis a diminué pendant la pandémie, ce qui n'est pas ce à quoi le public s'attend lorsqu'un agent pathogène fait des ravages. Les confinements ont dévasté les économies… Les vaccins COVID ont également été inutiles car les taux de vaccination élevés n'ont pas eu d'impact notable sur l'infection et la transmission…

    Ainsi, COVID-19 a fourni un seau de faits difficiles à gérer, mais ce n'est que la situation dans laquelle Really Big Lies peut fonctionner. Celles-ci étaient nécessaires à la fois pour tromper le public et pour fournir une structure au sein de laquelle les professionnels de la santé pourraient mettre en œuvre la politique.

    En grande partie en jouant sur la peur, en dissociant les données du contexte et en diffusant largement et sans cesse de fausses informations, un tout nouveau système de croyances a été construit en santé publique pour remplacer l'orthodoxie fondée sur des preuves des années précédentes.

    La réalité a été remplacée par un dogme si éloigné de toute base en fait qu'il est plus facile de suivre la propagande que de faire face à la dissonance qui en résulterait autrement.

    Les nouveaux dogmes basés sur la fantaisie

    Les nouvelles croyances fondées sur le fantasme que les travailleurs de la santé, les patients, les chercheurs, les universitaires et les employés de la santé publique sont maintenant obligés d'adopter comprennent les suivantes, citées dans l'article de Bell :12

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  8. La charge de morbidité doit être mesurée en termes de mortalité brute et ne pas inclure de paramètres tels que les années de vie perdues. Ainsi, un homme de 85 ans mourant d'un virus respiratoire équivaut à un enfant de 5 ans mourant du paludisme en termes de fardeau et d'urgence ;
    Les dommages à moyen et long terme dus à la pauvreté et à l'accès réduit aux soins de santé ne doivent pas être pris en compte lors de l'évaluation de la valeur d'une intervention. Un effet modélisé sur l'agent pathogène cible est la seule mesure pertinente ;
    Il convient de désinformer le public sur le risque lié à l'âge et la charge de morbidité relative et de mieux instiller la peur afin de se conformer aux directives de santé publique ;
    La croissance de la transmission virale dans une communauté suit une courbe exponentielle, plutôt qu'une décélération constante (par exemple, courbe de Gompertz) à mesure que la proportion de personnes récupérées (immunisées) s'accumule ;
    Interdire l'école aux élèves pendant un an protège les personnes âgées, sans enfermer la pauvreté générationnelle ;
    Les masques en tissu et chirurgicaux arrêtent la transmission du virus en aérosol, et toutes les méta-analyses d'essais contrôlés randomisés (qui montrent un effet minimal ou nul) doivent être ignorées ;
    On s'attend à ce que l'immunité post-infection aux virus respiratoires soit faible et de courte durée, tandis que les vaccins contre une seule protéine virale produiront d'une manière ou d'une autre une immunité beaucoup plus forte;
    L'immunité contre les virus est mieux mesurée par les concentrations d'anticorps plutôt que par la réponse des lymphocytes T ou les résultats cliniques ;
    Le consentement éclairé pour la vaccination ne doit pas inclure d'informations sur les risques démontrés, car cela pourrait favoriser une « réticence à la vaccination » ;
    Il est approprié de donner une nouvelle classe pharmaceutique basée sur les gènes pendant la grossesse qui traverse le placenta sans aucune donnée d'essai sur la grossesse, d'études toxicologiques ou de données sur les résultats à long terme (chez n'importe qui);
    Indépendamment de la Convention relative aux droits de l'enfant "Dans toutes les actions concernant les enfants... l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale", il convient d'injecter aux enfants des drogues pour lesquelles il manque des données de sécurité à long terme afin de protéger les personnes âgées ;
    Les pandémies sont de plus en plus fréquentes et meurtrières, malgré le bilan historique, et les progrès de la médecine moderne, indiquant bien le contraire.
    Refuser les faux récits a de réelles conséquences

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  9. Comme Bell le souligne à juste titre, ces nouvelles positions de santé publique ne sont pas seulement légèrement incorrectes. Ils sont tous "soit contraires à l'éthique, soit clairement absurdes, contredits par l'orthodoxie antérieure de la santé publique". En effet, la plupart sont du double langage orwellien classique et à 180 degrés de la vérité.

    Mais c'est la rupture nette avec la réalité factuelle qui rend impossible de les remettre en question car, si vous le faites, vous remettez maintenant en question "l'ensemble de la hiérarchie actuelle de la santé publique", dit Bell.

    Pour citer le Dr Anthony Fauci, vous ne l'attaquez pas lorsque vous remettez en question sa volte-face irrationnelle, vous remettez en question la science elle-même. Si vous remettez en question l'une de ces croyances fondées sur la fantaisie, vous êtes maintenant un négationniste de la science et vous mettez votre emploi et votre réputation en danger. Malheureusement, ces risques ne sont pas imaginaires.

    La solution consiste simplement à refuser de mentir ou à couvrir les mensonges des autres… [La] vérité rattrapera, un jour, ceux qui ne le font pas… Il vaut bien mieux partir tôt et vivre dans la dignité. ~ Dr David Bell
    La punition pour avoir refusé ces faux récits est bien réelle et très sévère. De nombreux médecins et scientifiques dont la réputation et les contributions à la santé publique sont irréprochables depuis des décennies ont été dépouillés de leur licence médicale et ont perdu leur emploi pour avoir dénoncé ces erreurs COVID.

    Alors, où allons-nous partir d'ici ? Comment mettre fin à la folie et revenir à une santé publique basée sur la réalité ?

    « Tout en augmentant les finances de leur industrie, les professionnels de la santé publique se dégradent et trahissent la société », écrit Bell.13 « La trahison, basée sur des mensonges incessants, est quelque chose pour laquelle ils subiront inévitablement des conséquences…

    Finalement, même les adeptes les plus dévoués commenceront à remettre en question le sens de mettre un masque à la porte d'un restaurant pour le retirer 10 étapes plus tard, ou de vacciner de vastes populations contre une maladie à laquelle ils sont déjà immunisés alors qu'ils meurent d'une autre maladie facilement évitable. maladies.

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  10. La solution consiste simplement à refuser de mentir ou à couvrir les mensonges des autres… [La] vérité rattrapera, un jour, ceux qui ne le font pas… Il vaut bien mieux partir tôt et vivre dignement. ”

    Evil Genius : Créer le marché

    Si vous êtes attentif, vous avez sans doute remarqué que de nombreuses sociétés pharmaceutiques, Pfizer en particulier, s'emploient à créer leurs propres marchés. Pfizer a publié un vaccin COVID qui ne protège ni contre l'infection ni n'empêche la propagation, nécessitant ainsi plusieurs rappels. Son médicament antiviral COVID Paxlovid provoque un rebond, nécessitant plusieurs doses.

    Maintenant, nous constatons que les piqûres COVID sont également associées à des taux accrus d'infection par le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les enfants, et comme sur des roulettes, Pfizer et Moderna commencent à travailler sur les piqûres VRS. Le CDC aide également en recommandant aux enfants de recevoir des injections COVID supplémentaires. C'est un racket ou quoi !?

    L'Informed Consent Action Network (ICAN) demande maintenant des réponses au CDC sur le pic hors saison des taux de VRS14, qui s'est mystérieusement produit à la suite d'injections dans l'enfance contre le COVID.

    L’essai pédiatrique de jab COVID de Moderna a montré que ceux qui avaient reçu le jab avaient des taux de VRS plus élevés que le groupe placebo. Le VRS était également l'un des principaux effets secondaires graves dans l'essai pédiatrique de Pfizer. Maintenant, tout à coup, nous voyons des pics de VRS hors saison chez les enfants. Hasard? Faites-leur le prouver. Dans une mise à jour juridique, ICAN rapporte :

    "Le problème est si grave que même le comité des vaccins de la FDA, VRBPAC, qui encourage normalement même le vaccin le plus dangereux, a noté la corrélation et" a souligné l'importance d'une surveillance continue de la sécurité post-autorisation, en particulier pour … certaines infections respiratoires (RSV et pneumonie) dans le groupe d'âge le plus jeune …'15

    Malgré l'importance notée de surveiller le VRS après l'autorisation, personne au CDC ou à la FDA ne semble établir de lien entre l'augmentation du VRS et les vaccins COVID-19 administrés aux enfants.

    Incroyablement, le CDC vient de publier un « avis de santé officiel »16 sur l'augmentation des cas de VRS et de virus respiratoires et, dans celui-ci, le CDC recommande à tous les individus de 6 mois et plus de recevoir un vaccin contre la grippe et un vaccin contre le COVID-19 !

    Sans surprise, la presse a également raté le coche. Bien qu'il existe de nombreux articles détaillant l'augmentation inquiétante du nombre d'enfants malades, aucun ne fait référence à la vaccination contre le COVID-19 malgré les données des essais des fabricants.

    Pour aller au fond des choses, le 26 octobre 2022, les avocats de l'ICAN ont envoyé une lettre17 au CDC observant les données des essais cliniques montrant une corrélation entre l'augmentation des cas de VRS et la réception d'un vaccin COVID-19. La lettre de l'ICAN demandait de connaître le pourcentage d'enfants testés positifs pour le VRS et qui avaient reçu un vaccin COVID-19 avant leur diagnostic de VRS.

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  11. Une étude appelle à la réévaluation des campagnes Piqûres

    Dans l'actualité connexe, nous avons également une étude de novembre 202218 dans Nature Communications, qui remet en question le bien-fondé des campagnes de rappel actuelles. Selon les auteurs :

    « Un aspect important de l'efficacité des vaccins est son impact sur la transmissibilité des agents pathogènes, ce qui a des implications majeures pour les politiques de santé publique. Comme la charge virale est un facteur important affectant l'infectiosité, son substitut de laboratoire, le seuil du cycle qRT-PCR (Ct), peut être utilisé pour étudier la composante liée à l'infectiosité de l'efficacité du vaccin…

    En analysant les résultats de plus de 460 000 personnes, nous montrons que si la vaccination récente réduit la charge virale d'Omicron, son effet diminue rapidement. En revanche, un taux de déclin significativement plus lent est démontré pour les individus COVID-19 récupérés.

    Ainsi, bien que le vaccin soit efficace pour réduire la morbidité et la mortalité, son effet relativement faible sur la transmissibilité d'Omicron (mesurée ici par Ct) et son déclin rapide appellent à une réévaluation des futures campagnes de rappel.

    Considérant que la protection théorique de ces injections ne dure que 70 jours (selon cette étude), les risques associés aux injections en valent-ils vraiment la peine ? Jusqu'à présent, plusieurs analyses risques-avantages ont toutes abouti à la conclusion que les risques l'emportent de loin sur tout avantage potentiel.

    Malheureusement, il semble que nous devions compter sur des scientifiques en dehors des États-Unis pour faire ce genre de science de laboratoire, car tout ce que nous semblons obtenir des institutions de recherche américaines sont des analyses sur la façon d'amener les «anti-vaxxers» à acheter le faux récit et à enrouler leur manches.

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  12. La grande majorité des décès de covid se produisent maintenant dans le pays entièrement piqué… après que Biden et le CDC ont frauduleusement prétendu que les vaccins arrêtent la transmission


    Mercredi 23 novembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Nous pensions que ce jour ne viendrait jamais, mais les médias contrôlés par les entreprises – en particulier le Washington Post – admettent maintenant que « la grande majorité des Américains mourant du coronavirus ont reçu au moins la première série du vaccin ».

    Depuis tout ce temps, on nous dit que les non-vaccinés sont responsables de décès covid. Le faux président Joe Biden l'a tristement qualifié de "pandémie de non vaccinés", et pourtant nous savons maintenant directement de la bouche du cheval que tout cela n'était qu'un mensonge.

    Les dernières données d'août 2022 montrent que 58% de ce qu'ils appellent les décès par covid surviennent chez des personnes qui ont reçu au moins une injection pour la grippe Fauci. Plus une personne reçoit d'injections, plus son risque d'infection ou de décès est élevé.

    "Sur la base des chiffres passés et des tendances actuelles, nous pouvons raisonnablement estimer que le nombre de décès vaccinés / boostés par COVID-19 ne fera qu'augmenter", rapporte "Techno Fog" sur The Reactionary Substack.

    « En septembre 2021, les vaccinés représentaient 23 % des décès dus au COVID-19 ; en janvier/février 2022, les vaccinés étaient 42%.” (Connexe: Vous vous souvenez quand le gouvernement de l'Alberta a été surpris en train de supprimer des données montrant qu'une grande partie des décès « covid » se produisent à un moment donné dans les nouveaux cas ?)

    La FDA a menti en affirmant que les piqûres de covid sont efficaces à plus de 90 % - efficaces dans quoi ?
    Que tout cela soit maintenant ouvertement admis est choquant, mais pas vraiment si l'on considère le fait que les criminels derrière ce génocide de masse continuent de marcher et ne subiront probablement jamais aucune forme de punition.

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  13. Ils le savent, c'est pourquoi ils permettent à leurs sources médiatiques contrôlées d'admettre la vérité. Ils se moquent du grand public et disent : oui, nous vous assassinons, et non, vous ne pouvez rien y faire.

    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a bien sûr également joué un rôle à cet égard, affirmant à tort dès le début que les vaccins contre la grippe Fauci sont à 91% et 93% «efficaces», se référant à l'ARNm de Pfizer-BioNTech et Moderna (messager ARN) injections, respectivement.

    "Au moment des approbations officielles, Pfizer et Moderna n'avaient soumis aucun type de chiffres à long terme sur l'efficacité", révèle Techno Fog. "Leurs essais ont été pollués par la levée de l'aveugle des participants et leurs études de sécurité sont" en cours "."

    "Maintenant, nous constatons que les chiffres d'efficacité chutent quelques mois après la vaccination. La pandémie est celle des vaccinés. Les boosters ? Ils profitent à l'establishment médical et aux sociétés pharmaceutiques, car ils masquent les vrais problèmes des vaccins à deux injections.

    Bien qu'il ait presque terminé son mandat de plusieurs décennies en siphonnant l'argent des contribuables américains tout en occupant le siège le mieux payé du gouvernement fédéral, Tony Fauci continue à ce jour de pousser les coups, affirmant à tort que les données "montrent de manière écrasante l'efficacité des vaccins". .”

    Encore une fois, ce que nous voulons savoir, c'est : efficace dans quoi ? Si le dépeuplement était l'objectif depuis le début, alors bien sûr - les coups sont très efficaces. Notez que Fauci n'a jamais dit une seule fois ce que ces tirs sont efficaces pour faire exactement.

    Il n'y a presque aucune chance que Fauci ou toute autre personne impliquée dans la perpétration de ce canular mondial soit jamais tenue responsable, du moins à l'ère actuelle. Peut-être finiront-ils par faire face à une sorte de siège de jugement surnaturel, comme le croient certaines religions.

    "Rien de tout cela n'est dû à un échec ou à une incompétence", a souligné un commentateur à propos de l'arnaque. "Tout est intentionnel et par conception."

    "C'est le cadeau de mort de Little Mengele pour nous de lui et de ses collègues meurtriers de Big Pharma", a écrit un autre à propos des déclarations sortantes de Fauci sur la façon dont les coups de covid sont soutenus par des "données".

    La dernière couverture médiatique sur les injections de virus chinois peut être trouvée sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Technofog.substack.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-23-vast-majority-covid-deaths-occurring-fully-jabbed.html

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  14. Les vaccins COVID-19 sont la principale cause de surmortalité dans le monde, a déclaré Edward Dowd à Mike Adams


    mercredi 23 novembre 2022
    par : Kevin Hughes


    (Natural News) L'analyste financier Edward Dowd a récemment déclaré au Health Ranger Mike Adams que les vaccins prétendument "sûrs et efficaces" contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont la principale cause de surmortalité en Amérique et dans le monde. Il a fait cette affirmation lors d'un épisode du "Health Ranger Report" d'Adams.

    Selon le site Web « They Lied, People Died », un projet de Dowd, sa carrière « a été consacrée à analyser des entreprises et à gagner des milliards pour les fonds spéculatifs. Au début de 2020, [il] a fait des prédictions célèbres sur Twitter. Un an plus tard, Dowd a confirmé ses prédictions avec des données d'agences gouvernementales, ce qui a conduit à son interdiction de la plate-forme de médias sociaux.

    Dowd a raconté au fondateur de Natural News et de Brighteon.com qu'il avait commencé à entendre des anecdotes sur des personnes décédées et blessées à cause des soi-disant vaccins en mars et avril 2021. Cela l'a amené à examiner les données des compagnies d'assurance et des salons funéraires. Lorsque sa renommée a grandi et qu'une équipe s'est réunie autour de lui, Dowd a décidé de s'associer à deux physiciens au Portugal pour lancer le projet Humanity - qui décrivait tous les décès causés par les vaccins COVID-19 par pays.

    "Ils m'ont contacté pour m'aider dans le projet. Ils ont essentiellement pris les données américaines, les données britanniques et les données européennes. C'est une analyse assez dévastatrice qui va pays par pays », a-t-il déclaré.

    Dowd, un ancien directeur général de BlackRock, a ajouté que lui et ses partenaires avaient élaboré un document méthodologique sur la manière de déterminer avec précision la surmortalité due aux vaccins COVID-19. Selon l'analyste, cela pourrait être publié dans une revue à comité de lecture et ses conclusions utilisées dans de futures affaires judiciaires.

    Décès quotidiens dus au vaccin presque à la même échelle que les décès du 11 septembre
    En réponse à la question du Health Ranger sur le niveau de surmortalité attendu après l'introduction des vaccins, Dowd a déclaré que la population générale des États-Unis avait un taux de surmortalité de 32% en 2021. Cette mortalité se poursuivra en 2022, a-t-il ajouté, mais légèrement plonger car les gens ne sont pas enthousiastes à l'idée de prendre des rappels.

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  15. Selon Adams, cette surmortalité de 32 % équivaut à plus de 2 400 personnes qui meurent chaque jour. Ceci, a-t-il ajouté, est presque de la même ampleur que les attentats du 11 septembre. (Connexe : EXCÈS DE MORTALITÉ : Plus de 2400 Américains MEURENT chaque jour suite aux mandats de vaccination… Ed Dowd dévoile des données alarmantes et fondées sur des preuves.)

    L’ancien dirigeant de BlackRock a averti que cela aura de graves conséquences pour l’économie pour les années à venir, ajoutant qu’être employé en 2021 et 2022 était préjudiciable à la santé d’une personne.

    Il a cité que le nombre de travailleurs employés aux États-Unis, s'élevant entre 98 et 100 millions, a signalé une augmentation de 26% de leur taux d'invalidité. Depuis 2021, entre 3,5 millions et quatre millions ont été handicapés par les vaccins. La population générale, quant à elle, a vu les taux d'invalidité augmenter de 11 %.

    De plus, les données du Bureau of Labor Statistics cinq ans avant la pandémie montraient qu'environ 29 à 30 millions d'Américains étaient handicapés. Cela n'a pas augmenté en 2021, et a même chuté, car les blocages du COVID-19 ont empêché les incapacités ou les blessures accidentelles. Mais en mai 2021, le taux d'invalidité a décollé "comme un graphique boursier de croissance qui a rompu sa tendance".

    Suivez VaccineDeaths.com pour plus d'histoires sur les décès causés par les injections de COVID-19.

    Regardez la conversation complète entre Edward Dowd et Mike Adams ci-dessous.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    COVID JAB FALLOUT: Les personnes d'âge moyen sont décédées à DEUX FOIS le taux prévu l'été dernier, selon les données de l'assurance-vie.

    L'ancien conseiller de BlackRock a déclaré que Pfizer était de connivence avec la FDA pour cacher les données qui montrent que les essais cliniques de « vaccins » COVID ont ÉCHOUÉ.

    Les données du CDC montrent que les décès de la génération Y ont SURGÉ de 84 % après le mandat du vaccin COVID-19.

    L'Amérique en guerre: les décès excessifs augmentent après le déploiement du vaccin COVID-19, les mandats.

    The Dr. Ardis Show: La vaccination COVID est la plus grande intoxication de masse de l'histoire de l'humanité, déclare le Dr Ben Marble - Brighteon.TV.

    Les sources comprennent :

    Brighteon.com
    TheyLiedPeopleDied.com

    https://www.naturalnews.com/2022-11-23-covid-vaccines-main-cause-of-excess-mortality.html

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  16. La vaccination en population générale avec les vaccins bivalents a commencé en Europe, aux États-Unis, au Canada ou encore en Australie alors même que l’Organisation mondiale de la Santé estime ne pas avoir "de données disponibles suffisantes" pour recommander les vaccins bivalents plutôt que les monovalents.

    Lire aussi : Covid-19 : l’OMS estime ne pas avoir de données suffisantes pour recommander les vaccins bivalents

    Le déroulement de l’étude

    Effectuée sur 76 travailleurs de la santé, cette étude montre que 48,7% d’entre eux ont reçu en quatrième dose ou deuxième rappel, le vaccin monovalent tandis que 51,3 % ont reçu le vaccin bivalent qui contient la séquence ARN de Wuhan et celle des sous-lignages BA.4 et BA.5. Pour ce faire, quelques précautions ont été prises : les participants à l'étude ayant reçu un vaccin bivalent contre le Covid-19 différent de celui qui contient les souches BA.4 et BA.5 en deuxième rappel ont été exclus de l'étude ainsi que les personnes qui ont reçu une vaccination contre le covid et contre la grippe simultanément. Cette dernière précaution a été adoptée, car l’administration des deux vaccins en même temps pouvait changer les chiffres sur l’immunogénicité et les effets secondaires. Le protocole de l'étude a été approuvé par le comité d'éthique de l'Université de Wuertzburg, conformément à la Déclaration d'Helsinki.

    Les résultats de l’étude

    Les résultats de l’étude portant sur la comparaison entre le vaccin monovalent et le vaccin bivalent correspondant sont sans appel : le taux d’effets indésirables déclarés pour la seconde dose de rappel est significativement plus élevé chez les participants ayant reçu le vaccin bivalent (84,6 %) par rapport au vaccin monovalent (51,4 %). Les participants vaccinés ont signalé des douleurs corporelles, de la fièvre et des frissons, des réactions locales et de la fatigue. Cependant, les soignants vaccinés avec le bivalent ont dû recourir plus fréquemment que les participants vaccinés avec le monovalent aux médicaments PRN comme l'ibuprofène, le paracétamol ou encore des glucocorticoïdes. Par ailleurs, 25 % des professionnels de santé qui ont reçu le bivalent ont été en incapacité de se rendre à leur travail dans les jours suivant leurs injections, un pourcentage d'absentéisme deux fois plus élevé que celui constaté chez les vaccinés avec le monovalent.

    Effets secondaires; comparaison monovalent / bivalent

    Cette étude rétrospective non randomisée est intéressante en ce qu’elle donne des indications sur la sécurité et la réactogénicité des vaccins bivalents. Et, en l’absence d’essai thérapeutique sur ces vaccins de nouvelle génération, ces premiers résultats peuvent aider la prise de décision clinique entre les vaccins monovalents ou bivalents, mais également conduire au choix de ne pas recourir à un nouveau rappel.

    Il faut néanmoins rester prudent sur les résultats puisque ce document est en pre-print, ce qui signifie qu’il n’a pas encore été validé par les pairs. Par ailleurs, confirmer, infirmer ou affiner ces résultats demandera certainement d’entreprendre des études sur des cohortes plus importantes de patients vaccinés.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-une-etude-montre-qu-un-professionnel-de-sante-sur-quatre-incapables-d-aller

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    Réponses
    1. (...) Covid: un professionnel de santé sur quatre en incapacité de travail après une injection de vaccin bivalent, selon une étude (...)

      Ils ne seraient que 25 % à être victime de douleur après injection mais cela ne dit rien des 75 % restant qui n'ont peut-être pas été inoculés de placebos !

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  17. Mortalité selon le statut vaccinal : la réponse hallucinante de la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA)


    Pr Christian Perronne et Pierre Chaillot, pour FranceSoir
    le 22 novembre 2022 - 09:00


    TRIBUNE - Hospitalisation et mortalité des vaccinés et des non-vaccinés : le ministère de la Santé ne veut pas savoir.

    Dès le début de la campagne vaccinale, en janvier 2021, des questions légitimes sont posées sur l’efficacité et la sécurité des nouveaux vaccins à ARNm. Ceux-ci ont été administrés à très grande échelle, sans recul sur d’éventuels effets indésirables et sur la base des seules études réalisées par les laboratoires pharmaceutiques produisant les vaccins. La suite des événements a montré que les résultats promis étaient pour le moins optimistes, voire douteux, alors que, dans le même temps, un nombre inédit d’effets indésirables étaient remontés auprès des centres de pharmacovigilance français, européens et américains. Face au mutisme des autorités, seule une étude scientifique indépendante est de nature à répondre aux inquiétudes. Dans ce but, Laurent Toubiana a sollicité auprès du ministère de la Santé l’accès aux statistiques d’hospitalisations et de décès toutes causes appariées au statut vaccinal Covid. Le silence persistant des autorités l’a conduit à saisir la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA). Suite à cette demande, la CADA s’est contentée de lui transmettre la réponse étonnante du ministère de la Santé.

    Les statistiques des personnes décédées ou hospitalisées depuis décembre 2020 selon leur statut vaccinal anti-Covid n’existent pas ! Telle est la réponse stupéfiante faite, il y a quelques jours, par le ministère de la Santé à Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Directeur de l’équipe SCEPID (Système complexes et épidémiologie) et de l’IRSAN (Institut pour la valorisation des données de santé), Laurent Toubiana demandait depuis maintenant plus d’un an à avoir accès à ces chiffres dans le cadre de l’étude SurViVax menée dans le cadre du SCEPID. En effet, dès le début de la campagne vaccinale, en janvier 2021, des débats ont eu lieu autour de l’efficacité des nouveaux vaccins à ARNm. Des interrogations légitimes ont rapidement vu le jour dans la population, dans la mesure où le vaccin devait être administré à très grande échelle et sans recul sur d’éventuels effets indésirables.

    Les seules études disponibles sur l’efficacité de ces vaccins, en amont de leur large distribution dans la population, sont celles publiées par les laboratoires pharmaceutiques qui produisent les vaccins. Or, la suite des événements a montré que ces études étaient particulièrement optimistes, voire douteuses au regard des résultats constatés (on rappelle les 95 % d'efficacité promis). De fait, sans validation externe et indépendante, nous sommes devant un cas typique de conflits d’intérêts mais, étonnamment, les autorités sanitaires n’ont pas semblé s’en inquiéter. Au contraire, le principe de précaution, assurément applicable en l’espèce, a été bafoué alors qu’il a été brandi avec force lorsqu’il s’agissait d’enfermer toute la population dans le cadre des confinements et autres mesures pharaoniques mises en place au cours de deux années de crise.

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  18. Dès le début des campagnes de vaccination, jamais autant d’effets indésirables n’ont été déclarés pour des injections vaccinales auprès des centres de pharmacovigilance français, européens et américains. Les autorités répondent que corrélation n’est pas causalité et que ces effets indésirables peuvent être le fruit du hasard, sans lien avec la vaccination, sans toutefois produire les documents nécessaires à une analyse indépendante. L’immensité du nombre d’effets indésirables graves et de décès déclarés depuis le lancement de la campagne vaccinale Covid, comparée au nombre habituel d’effets déclarés pour tous les vaccins habituels (non Covid) depuis des décennies, balaye pourtant cet argument.

    C'est la réponse à cette interrogation essentielle pour les Français que visent les travaux du SCEPID sur le sujet. Les statistiques d’hospitalisations et de décès toutes causes en fonction du statut vaccinal peuvent éclairer scientifiquement cette question. Or pour y répondre, il est nécessaire d’obtenir ces données qui, bien entendu, existent. Même si des données de ce type ne sont habituellement pas disponibles pour le grand public, la loi a prévu que la CADA devait les fournir à la demande des citoyens, a fortiori s’il s’agit de chercheurs voulant se saisir de cette question.

    À titre d’exemple, l’Office for National Statistics (ONS) anglais fournit des statistiques des décès toutes causes confondues selon le statut vaccinal. Ces données devraient donc également être publiées en France.

    Ainsi, face au silence des autorités sanitaires, Laurent Toubiana déposait, le 19 février 2022, une pétition sur le site e-pétitions du Sénat. Elle demandait à ce que soit intégrée dans les travaux à venir de l’Office une analyse de la mortalité toutes causes confondues en France, pour 2020-2021, en fonction du statut vaccinal des personnes. Selon la pétition, « nous observons une surmortalité anormale concomitante aux campagnes de vaccination (…). Cette observation faite en France est aussi observable au niveau des pays d’Europe (…). Les éléments statistiques inquiétants (relevés) rendent nécessaire une étude de la mortalité toutes causes confondues post-injection par des chercheurs indépendants ».

    Après avoir été mise en attente pour « validation technique », la pétition fut rejetée par la Conférence des présidents du Sénat. Il s’ensuivit une tribune signée par plus de 600 chercheurs, universitaires, médecins ou professionnels du droit, pour le moins perplexes face à ce refus et dont les termes méritent d’être rappelés, car ils ramènent au cœur de la question d’aujourd’hui.

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  19. Selon eux, « cette analyse des décès toutes causes confondues est cruciale au regard de l’objet de cette commission d’enquête. Or, la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions reçues a refusé cette demande de transparence sur les données, et l’a fait de surcroît sans en donner aucune justification. La motivation des décisions administratives constitue pourtant une obligation légale traduisant un droit essentiel des citoyens et une forme de protection contre l’arbitraire du pouvoir politique. C’est une exigence démocratique évidente. C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de santé et professionnels du droit, demandons d’urgence au Sénat de reconsidérer sa décision et d’assurer sur ce sujet la transparence totale sans laquelle il ne peut pas prétendre "répondre aux inquiétudes" des citoyens de ce pays comme il s’y est engagé ».

    Face à l’impossibilité d’obtenir ces données, le Dr Laurent Toubiana saisit la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) de sa demande. La procédure a d’abord consisté à saisir officiellement Madame la ministre de la Santé (à l’époque, Mme Bourguignon) de la demande. Elle n’a jamais répondu. La CADA a ensuite été saisie de la même demande, charge à elle de s’adresser elle-même à la ministre de la Santé et, dans le cas d’un silence ou d’une réponse négative, de statuer sur le bien-fondé du refus.

    En effet, la CADA, qui a été créée par une loi d’une grande importance, la loi du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d'amélioration des relations entre l'administration et le public et diverses dispositions d'ordre administratif, social et fiscal, a précisément pour mission de permettre l’accès des citoyens (les administrés) aux documents produits par l’administration (donc payés par l’impôt) et sur lesquels l’État et les collectivités territoriales fondent leurs politiques publiques. La loi de 1978 est aujourd’hui codifiée au code des relations entre le public et l'administration (articles L. 300-1 à L. 351-1). Dès lors qu’un document peut être qualifié de “document administratif”, les citoyens sont en droit d’en obtenir une copie.

    Cette loi a marqué un tournant, en ce qu’elle constituait une avancée décisive dans les droits des citoyens, en leur garantissant le droit de connaître les travaux sur lesquels l’administration fonde les politiques qui s’appliquent à eux, et un réel effort de démocratie et de transparence. Pourtant, depuis plus de deux ans maintenant, la CADA semble vouloir revenir sur cet acquis. Elle a, en effet, rendu des décisions qui, dans l’ensemble, sont défavorables aux administrés, leur déniant l’accès aux divers documents administratifs produits dans le contexte de la « crise sanitaire ».

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  20. Pour mener à bien des analyses indépendantes sur la sécurité de toutes les vaccinations mises en œuvre, nous demandons l'accès aux statistiques hebdomadaires des décès et des hospitalisations toutes causes confondues, par tranche d’âge de 5 ans, selon le statut vaccinal anti-Covid-19 depuis décembre 2020 et selon le statut vaccinal antigrippal depuis décembre 2010. Le détail de la demande se trouve en annexe 1.

    La réponse de la CADA

    Après avoir été saisie du silence de la ministre de la Santé par le Dr Laurent Toubiana, la CADA est elle-même restée silencieuse pendant le délai d’un mois prévu par les textes pour statuer sur les demandes qui lui sont soumises. Ce délai n’est pas impératif, selon le Conseil d’État, puisque la CADA ne rend qu’un avis qui n’est pas obligatoire, mais il est à noter qu’elle ne le dépasse qu’exceptionnellement, comme il se doit d’une administration de cette importance. Puis, contre toute attente, le 1er novembre dernier, soit plus de deux mois après le dépôt de la demande, la CADA lui a fait parvenir l’avis suivant :

    La lettre complète est disponible en annexe 2.

    Pourquoi le ministre de la Santé se moque de nous

    Plusieurs éléments laissent cependant à penser que la réponse faite par le ministère de la Santé à la CADA, à savoir que les documents demandés n’existent pas, n’est pas sérieuse, voire qu’elle n’est pas crédible.

    Nous détaillons en annexe 3 tous les éléments montrant que la totalité des données nécessaires à l’élaboration des statistiques demandées sont accessibles sans difficulté pour les statisticiens du ministère de la Santé.

    En résumé :

    - les dates de vaccination sont connues de l’Assurance Maladie et du ministère de la Santé. Celles des vaccinations anti-Covid ont même transité informatiquement partout avec le passe sanitaire ;

    - les dates de décès de tous les Français sont publiques et déjà en ligne. Chacun peut les consulter et les télécharger. De plus, l’Assurance Maladie les récupère forcément pour mettre à jour les dossiers des assurés ;

    - les données des hospitalisations sont traitées informatiquement depuis très longtemps. L’ATIH met en ligne des statistiques et réalise régulièrement des analyses à partir de ces dernières ;

    - des études partielles utilisant toutes ces données ont déjà été réalisées par la DREES, l’ATIH ou le groupement Epi-Phare. Il est donc tout à fait possible de les compléter comme il se doit sans difficulté technique supplémentaire.

    Donc, de deux choses l’une :

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  21. - Soit les statistiques appariant les décès toutes confondues avec le statut vaccinal Covid et celles appariant les hospitalisations avec le statut vaccinal Covid n’existent pas et les conclusions en termes de politiques de santé publique que le ministère de la Santé prétendait tirer de données inexistantes sont purement et simplement fausses et infondées scientifiquement (effet protecteur de la vaccination contre les formes graves de Covid-19, effet protecteur du « booster », engorgement des services hospitaliers par les non-vaccinés, etc.) ;

    - Soit de telles statistiques existent bel et bien, mais, pour des motifs que le ministère de la Santé n’a pas dévoilés, cette dernière en refuse la communication à un chercheur dont les travaux relèvent de la recherche publique.

    L’obligation de nous fournir une réponse

    Les statistiques demandées par Laurent Toubiana ont, sans que le doute ne soit permis, le caractère de documents administratifs communicables.

    - A titre de comparaison, la CADA donne accès aux assureurs-vie à des fichiers de décès comprenant le nom de famille et les prénoms ; le sexe ; la date de naissance ; le code du lieu de naissance ; la localité de naissance en clair (pour les personnes nées en France ou dans les DOM/TOM/COM) ; le libellé du pays de naissance en clair pour les personnes nées à l’étranger ; la date du décès ; le code du lieu de décès ; le numéro d'acte de décès… (Avis n°20185412, 17 mai 2019, relatif à l’accès permanent et libre réutilisation du « fichier décès » tel que prévu par la licence d'usage final n° 2013 0017004 modifiée, conclue entre l'INSEE et sa cliente)

    Pour sa part, Laurent Toubiana ne demande que des données anonymes…

    - Par ailleurs, le Conseil d’État a reconnu, par le passé, que :

    - la circonstance que l’administration sollicitée ne soit pas l'auteur des documents demandés ne saurait faire obstacle à son obligation de les communiquer, dès lors qu’ils répondent, compte tenu de leur lien avec ses missions de service public, à la définition de document administratif (CE, 27 mai 2005, n°268564 ) ;

    - si les documents demandés par le requérant n’existent pas en l’état, il appartient à l'administration de réunir les éléments nécessaires par simple extraction des bases de données dont il dispose, cela ne pouvant pas faire peser sur lui une charge de travail déraisonnable (CE, 13 nov. 2020, n°432832).

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  22. Donc, en temps normal, l’obligation qui pèse sur l’administration est lourde et clairement définie : elle doit tout mettre en œuvre, dans les limites du raisonnable, pour donner satisfaction au demandeur.

    L’importance d’avoir une réponse

    Le fait que le ministère de la Santé prétende qu’il n'existe pas de statistiques concernant le statut vaccinal de toutes les personnes décédées n’est donc pas une raison suffisante pour refuser l’accès à cette statistique, puisqu’il a tous les éléments pour répondre aux 4 premiers items.

    Il est extrêmement grave de constater que la DREES n’a jamais eu la “curiosité” de faire cette vérification :

    S’il y a une épidémie grave due à un virus ET que le vaccin protège, ALORS les non-vaccinés auront NÉCESSAIREMENT un taux de mortalité SUPÉRIEUR aux vaccinés. Il est absolument nécessaire de le vérifier pour déterminer si la balance bénéfice-risque peut être considérée comme positive.

    Nous ne pouvons que déplorer que la DREES se soit cantonnée à réaliser des appariements complexes et douteux (de son propre avis) de façon à promouvoir la vaccination, en utilisant les résultats des tests et des admissions hospitalières prétendument “pour Covid-19”, sans jamais avoir étudié les possibles biais de ces déclarations.

    Seules des statistiques de taux de mortalité TOUTES CAUSES CONFONDUES, selon le statut vaccinal peuvent permettre de savoir si la vaccination a le moindre intérêt concernant pour les Français.

    Un recours est porté devant le tribunal administratif par Me Baheux, parce que les Français ont le droit de savoir.

    Annexe 1 : Notre demande détaillée

    1) Les statistiques hebdomadaires des décès toutes causes confondues depuis décembre 2020 par tranche d’âge de 5 ans et selon le statut vaccinal anti-Covid-19 (une dose, 2 doses, 3 doses).

    Ces statistiques permettent de vérifier que la vaccination ne porte pas un risque supérieur au bénéfice. Il est nécessaire pour la promouvoir dans le cadre d’une politique de santé publique que les vaccinés aient un taux de mortalité inférieur aux non-vaccinés.

    2) Les statistiques hebdomadaires des décès toutes causes confondues depuis décembre 2020 par tranche d’âge de 5 ans et selon l’antériorité de la dernière dose de vaccin anti-Covid-19.

    Il convient ici de vérifier que la date de vaccination n’a bien aucun lien avec la date du décès. Cette vérification est la première à réaliser pour s’assurer de la sécurité de la vaccination.

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  23. 3) Les statistiques hebdomadaires des hospitalisations toutes causes confondues depuis décembre 2020 par tranche d’âge de 5 ans et selon le statut vaccinal anti-Covid-19 (une dose, 2 doses, 3 doses).

    De la même manière que les décès, il convient de vérifier que les vaccinés ont moins été hospitalisés que les non-vaccinés. Le ministère s’est cantonné à n’étudier QUE les statistiques des hospitalisations estampillées “Covid-19”, mais si les vaccinés venus à l'hôpital ont été enregistrés dans une autre catégorie (pneumonie par exemple pour les infections respiratoires, ou problème cardiaque suite à la vaccination), alors l’efficacité vaccinale n’est finalement qu’un biais de comptage administratif.

    4) Les statistiques hebdomadaires des hospitalisations toutes causes confondues depuis décembre 2020 par tranche d’âge de 5 ans et selon l’antériorité de la dernière dose de vaccin anti-Covid-19.

    Tout comme pour les décès, il faut vérifier que la vaccination n’est pas suivie par un nombre significatif d’hospitalisations, quelle qu’en soit la cause.

    5) Les statistiques hebdomadaires des décès toutes causes confondues depuis décembre 2010 par tranche d’âge de 5 ans et selon le statut vaccinal antigrippal de l’année en cours.

    6) Les statistiques hebdomadaires des décès toutes causes confondues depuis décembre 2010 par tranche d’âge de 5 ans et selon l’antériorité de la dernière dose de vaccin antigrippal de l’année en cours.

    7) Les statistiques hebdomadaires des hospitalisations toutes causes confondues depuis décembre 2010 par tranche d’âge de 5 ans et selon le statut vaccinal antigrippal de l’année en cours.

    8) Les statistiques hebdomadaires des hospitalisations toutes causes confondues depuis décembre 2010 par tranche d’âge de 5 ans et selon l’antériorité de la dernière dose de vaccin antigrippal de l’année en cours.

    Il s’agit ici de vérifier les balances bénéfices risques des vaccinations antigrippales avec le même procédé que celle des vaccinations anti-Covid, ainsi que de comparer entre elles ces deux types de vaccination.

    Annexe 2 : la réponse de la CADA

    Annexe 3 : détail des preuves montrant que le ministère de la Santé dispose de toutes les informations nécessaires à l’élaboration des statistiques

    Concernant les documents sollicités aux points 1 et 2

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  24. En effet, d’une part, l’Assurance Maladie connaît le statut vaccinal de tous les vaccinés inscrits. Cette donnée est dématérialisée et facilement accessible, puisqu’elle a transité partout pour servir à la mise en œuvre du passe sanitaire.

    Pour mémoire, le passe n’était valide pour chaque individu que pendant une période déterminée suivant la vaccination. Les dates de vaccination ont donc bien transité informatiquement.

    D’autre part, l’Assurance Maladie connaît la date de décès des assurés. Il est donc facile d’interroger les bases de l’Assurance Maladie pour répondre aux points 1 et 2.

    De plus, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) exploite déjà les statuts vaccinaux des Français depuis la base VAC-SI. Cette base est appariée aux bases SI-DEP (résultats de tests) et SI-VIC (hospitalisations déclarées “pour Covid”). Le résultat de cet appariement est consultable en ligne.

    La Drees a réalisé différents travaux pour améliorer les appariements entre les 3 bases et a publié les résultats de ses investigations (cette étude montre d’ailleurs que les données concernant les tests ne sont pas de bonnes qualités et ont en permanence surestimé les tests positifs chez les non-vaccinés).

    Donc, la Drees est parfaitement capable d’apparier la base VAC-SI avec le fichier des personnes décédées qui est public et accessible à tous en ligne.

    La Drees vient également de publier une analyse concernant les difficultés à estimer le nombre de personnes vaccinées en France.

    Cette étude démontre que les accès aux données des personnes vaccinées existent bien. Il suffit donc de rajouter la date de décès des personnes décédées pour obtenir ce que l’on souhaite.

    Dans le diaporama de la réunion d’experts du 20 mai 2021, le groupement Epi-Phare indique clairement son intention d’étudier la mortalité toutes causes confondues suite aux vaccinations. Ce travail est parfaitement possible. On se demande aujourd'hui pourquoi il n’a pas abouti à une publication.

    En d’autres termes, réaliser ce travail d’appariement demandé au ministère de la Santé par Laurent Toubiana ne pose pas de difficulté technique pour la Drees. Ce constat a son importance, dans la mesure où, même si les statistiques n’existent pas encore, le ministère doit tout de même les fournir.

    Concernant les documents sollicités aux point 5 et 6

    Contrairement à la Covid-19, il n’y a pas eu de dispositif spécifique pour les vaccins antigrippaux. Le travail est donc un peu plus complexe. Il est possible qu’aucun travail statistique n’ait jamais été engagé sur le sujet, auquel cas, il serait urgent de démarrer un tel travail, comme cela avait été demandé dans le rapport du Sénat concernant la grippe H1N1 :

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  25. « L'efficacité clinique des vaccins antigrippaux est, au mieux, considérée comme incertaine.

    Il conviendrait donc de lancer des recherches sur l'efficacité des vaccins antigrippaux, notamment en suivant des cohortes de personnes vaccinées. Il semble en effet inutile de lancer des campagnes de vaccination qui n'apporteraient pas de protection réelle contre la maladie, et pourraient de surcroît inciter à négliger les mesures d'hygiène qui demeurent nécessaires ».

    Le schéma présenté plus haut montre qu’il est tout à fait possible d’obtenir les données de vaccination antigrippale. Il suffit de créer une requête depuis le système d’information de l’Assurance Maladie. Si cela n’a pas été fait, ce n’est qu’une question de volonté et non d’impossibilité technique.

    Concernant les documents sollicités aux point 3, 4, 7 et 8

    La demande de Laurent Toubiana portait sur les statistiques d’hospitalisations toutes causes confondues selon le statut vaccinal. Or, les hospitalisations ont fait l’objet d’une communication forte et répétée pendant de longs mois de la part des médias comme Le Monde, Le Parisien, prenant appui sur des communiqués de presse de la Drees :

    « Entre le 25 et le 31 octobre 2021, le nombre de tests RT-PCR positifs pour 100 000 habitants de 20 ans ou plus continue d’augmenter. Il s’élève à 155 pour 100 000 habitants non vaccinés (contre 133 la semaine précédente), et 38 pour 100 000 habitants vaccinés de 20 ans ou plus (contre 31). Il y a ainsi 4 fois plus de tests positifs parmi les personnes non vaccinées que parmi celles complètement vaccinées de 20 ans ou plus, à taille de population comparable. (...)

    Les résultats présentés ici sont issus de l’exploitation des appariements entre les données de :

    - SI-VIC, base de données sur les hospitalisations conventionnelles ou en soins critiques (réanimation, soins intensifs et soins continus) de patients, hospitalisés pour ou positifs au test Covid-19.

    - SI-DEP, base de données sur les résultats des tests de dépistage du virus SARS-CoV-2 causant la Covid-19,

    - VAC-SI, base de données sur les vaccinations Covid-19 ».

    Toutes ces campagnes s'appuient sur les travaux de la DREES appariant VAC-SI et Si-VIC. Si-VIC ne contient que les patients déclarés comme “malades du Covid-19”.

    D’une part, la communication sur les hospitalisations Covid était trompeuse. D’autre part, cela ne montre en rien une saturation hospitalière par les non-vaccinés. Par exemple, si les vaccinés sont hospitalisés pour une autre raison (pneumonie ou problème cardiaque lié à la vaccination par exemple), ils n'apparaîtront pas dans SI-VIC, rendant impossible toute comparaison.

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  26. Or, l’Agence technique de l‘information sur l’hospitalisation (ATIH) exploite les données hospitalières de toutes les causes d’hospitalisation pour réaliser ses rapports. Elle analyse donc déjà les hospitalisations toutes causes confondues. Nous demandons simplement à ce que soient ajoutées aux analyses de l’ATIH, le statut vaccinal des patients disponible dans VAC-SI pour les vaccins anti-Covid ou, directement depuis l’Assurance Maladie, pour les vaccins antigrippaux.

    Précisons que le groupement Epi-phare a déjà réalisé des analyses concernant des évènements hospitaliers selon la période suivant la vaccination contre le Covid-19. On peut lire dans la partie “METHODES” :

    « Le Système National des Données de Santé (SNDS) est un ensemble de bases de données strictement anonymes, comprenant l’ensemble des données provenant du traitement des remboursements des soins de santé et des données d’hospitalisation (PMSI) pour l’intégralité de la population française (8- 9). Cette base de données a été reliée à la Base de données nationale de vaccination anti-COVID-19 (VAC-SI), qui comprend le type de vaccin, le rang de la dose et la date d'injection pour toutes les personnes vaccinées en France ».

    Il est donc tout à fait possible d’obtenir les statistiques de l’ensemble des hospitalisations, détaillées par causes selon le statut vaccinal, cela a même déjà été en partie réalisé.

    Médecin, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de Garches pendant 15 ans, conseiller de nombre de gouvernements, le Pr Christian Perronne a notamment présidé jusqu’en 2016 la Commission maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) et tenu des responsabilités dans des groupes de travail à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Pierre Chaillot est statisticien.

    Annexe

    Avis CADA suite à la demande de Laurent Toubiana

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/mortalite-selon-le-statut-vaccinal-la-reponse-hallucinante-de-la-cada

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    1. Le 'vaccin anti-poussières' (virus) N'EXISTE PAS et n'a JAMAIS EXISTÉ et, tout-au-plus un vaccin anti-microbes. Mais de nos jours (depuis près de 3 ans) il n'a été proposé qu'une expérimentation génique d'essais (frauduleusement et criminellement appelée 'vaccin' !) contre la poussière (nano-particule d'oxyde de graphène) fabriquée en laboratoires nazis. Cela est compréhensiblement une atteinte à l'intelligence humaine dans la mesure où une poussière est par définition inoffensive (sauf poussières radioactives).

      Cette poussière a été conçue pour servir de relais en tant que 'poussière intelligente' entre l'émetteur extérieur et le cerveau dont le sang en artères empoisonnées y circulent. Il n'existe Pas de 'variants' ou de 'mutants' chez les poussières.

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  27. Le chaos éclate alors que les journalistes interrogent Fauci sur les origines de COVID


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 NOVEMBRE 2022 - 10:40


    Le chaos a éclaté mardi dans la salle de presse de la Maison Blanche, après que plusieurs journalistes ont posé des questions à Anthony Fauci sur les origines de Covid-19 et les enquêtes connexes.

    Alors que les journalistes commençaient à poser des questions, l'attachée de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a tenté de mettre un terme à la discussion.

    "Nous avons un processus ici, je n'appelle pas les gens qui crient, et vous manquez de respect à vos collègues et vous manquez de respect à nos invités", a-t-elle dit, grondant les journalistes. "Je ne vous appellerai pas si vous criez, et aussi vous prenez du temps parce que le Dr Fauci doit partir dans quelques minutes."

    "Vous devez appeler les gens de l'autre côté de la pièce ! Elle a une question valable, elle est interrogée sur l'origine du COVID", a répliqué un journaliste d'Africa Today.

    Fauci n'a fini par répondre qu'à trois questions – dont une sur les républicains de la Chambre prenant la majorité au Congrès et enquêtant potentiellement sur lui.

    Plusieurs législateurs du GOP ont signalé qu'ils l'appelleraient pour témoigner sur les origines du virus COVID-19 et son agence ayant fourni un financement à un tiers pour mener des recherches controversées à Wuhan, en Chine.

    Le fonctionnaire fédéral de longue date a déclaré qu'il avait témoigné "des centaines de fois" et qu'il se conformerait aux républicains si on le lui demandait. Concernant les questions sur l'origine du COVID-19, Fauci n'a pas répondu mardi. -Epoch Times

    "Je laisserai les autres juger de la valeur ou non de mes réalisations, mais j'aimerais que les gens se souviennent de ce que j'ai fait, c'est que chaque jour pendant toutes ces années, j'ai donné tout ce que j'ai et je "Je n'ai jamais rien laissé sur le terrain", a déclaré Fauci.

    Il a ensuite appelé les gens à obtenir des injections de rappel COVID-19 mises à jour.

    "Que vous soyez un républicain d'extrême droite ou un démocrate d'extrême gauche, cela ne fait aucune différence pour moi", a-t-il déclaré. "Je le vois de la même manière que je l'ai fait dans la salle d'urgence du centre de New York lorsque je prenais soin de tous ceux qui venaient de la rue."

    Plus via The Epoch Times;

    Fauci a été ciblé par les responsables du GOP et les conservateurs pour les prédictions souvent désastreuses qu'il a faites sur la trajectoire du COVID-19 et pour avoir publiquement soutenu les ordres d'arrêt du COVID-19, les mandats de masque et les mandats de vaccin. Certains, comme le gouverneur républicain de Floride Ron DeSantis, ont déclaré que Fauci et d'autres responsables fédéraux avaient tenté de semer la panique à propos du virus.

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  28. En août, DeSantis a déclaré au podcasteur Dan Bongino que Fauci avait tenté de "semer la peur dans la population et effrayé de nombreux parents" lorsqu'il a appelé à la fermeture des écoles au profit de l'apprentissage en personne. "Nous ne pourrons jamais emprunter cette voie", a déclaré DeSantis.

    À partir du début de 2020, Fauci est devenu essentiellement le visage public de la réponse du gouvernement fédéral à la pandémie, faisant des centaines d'apparitions dans les médias et donnant de nombreuses interviews.

    Dans la déclaration annonçant le déménagement en juillet, Fauci a déclaré qu'il "ne prend pas sa retraite" et travaillera sur "la science et la santé publique et pour inspirer et encadrer la prochaine génération de leaders scientifiques alors qu'ils aident à préparer le monde à faire face aux futures menaces de maladies infectieuses. ”

    Enquêtes

    Le NIAID a fourni des fonds à EcoHealth Alliance, qui a mené des recherches sur le coronavirus des chauves-souris à l'Institut de virologie de Wuhan en Chine avant l'épidémie de COVID-19 à Wuhan. Les responsables du Parti communiste chinois ont officiellement déclaré que le virus est apparu sur un marché humide, mais certains responsables du renseignement américain pensent qu'il est apparu au laboratoire de Wuhan.

    Les législateurs républicains qui ont enquêté sur la théorie de l'origine des fuites de laboratoire veulent approfondir la question de savoir si le NIAID ou Fauci ont joué un rôle dans la distribution de fonds à EcoHealth.

    Le procureur général du Missouri, Eric Schmitt, également républicain, et le procureur général de la Louisiane, Jeff Landry, devraient témoigner contre Fauci dans le cadre d'un procès. Dans un procès en mai, les deux responsables ont allégué que l'agence de Fauci et d'autres responsables fédéraux étaient de connivence avec des entreprises de médias sociaux pour censurer les discours.

    "Pendant COVID, nous savons que des responsables de haut rang de Facebook envoyaient des SMS au chirurgien général des États-Unis en disant:" Hé, nous avons supprimé cela, que pouvons-nous faire de plus ? " Nous savons également qu'un portail spécial a été créé pour Big Tech avec le gouvernement pour abattre les gens et les faire retirer de la plate-forme », a déclaré Schmitt à Fox News plus tôt cette semaine à propos de la poursuite.

    Outre Fauci, ils ont tenté de déposer l'ancienne attachée de presse de la Maison Blanche Jen Psaki, le chirurgien général Vivek Murthy, la directrice de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency Jen Easterly et des responsables du FBI. L'administration Biden a fait appel de leur action en justice, bien qu'un juge ait rejeté le 2 novembre la demande du gouvernement.

    https://www.zerohedge.com/political/chaos-breaks-out-when-reporter-asks-fauci-about-covid-origins

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  29. ZeroCovid et des taux de vaccination élevés entraînent une forte surmortalité en Nouvelle-Zélande et en Australie - mais pas en Suède


    23 novembre 2022
    du Dr. Peter F. Mayer


    L'Australie et la Nouvelle-Zélande ont profité de leur insularité au début de la "pandémie", s'enfermant et essayant d'éviter toute infection par des confinements rigoureux, le confinement des personnes et la quarantaine. On espérait seulement qu'une campagne de vaccination massive préviendrait les infections, les maladies et les décès. Cela a lamentablement échoué.

    Le TKP a signalé à plusieurs reprises que des épidémies massives et des hôpitaux surpeuplés ont été signalés dans les deux pays pendant l'hiver austral. Une comparaison entre les vaccinés et les non vaccinés montre clairement que les vaccinés avaient une proportion plus élevée d'infections, de maladies et de décès.

    Le graphique suivant, utilisant les données de la base de données sur la mortalité humaine, montre la surmortalité annuelle de 2019 à 2022 en Suède, en Nouvelle-Zélande et en Australie, telle que rapportée par l'Université de Californie à Berkeley. Une surmortalité est indiquée par rapport aux années précédentes, avec une mortalité totale toutes causes confondues. Il s'agit de la monnaie la plus solide pour évaluer les interventions de santé au niveau de la population.

    - voir graph sur site -

    La Suède avait une mortalité légèrement inférieure en 2019 par rapport aux années précédentes, qui est généralement compensée par une surmortalité l'année suivante, mais qui a apparemment été surcompensée en 2020. Il est bien connu que des erreurs ont été commises dans les maisons de retraite. Cependant, en 2021 et 2022, il n'y a pas eu de surmortalité malgré un taux de vaccination de 74% de la population totale. Les Suédois ont une espérance de vie relativement élevée d'environ 82,5 ans et, surtout, une espérance de vie en bonne santé supérieure d'environ 5 à 8 ans à la nôtre.

    La situation en Nouvelle-Zélande et en Australie est très différente. La surmortalité de 2019 dans les deux pays aurait dû être compensée par la sous-mortalité de 2020, ce qui ne s'est produit dans aucun des deux pays. Depuis le début de la vaccination, la surmortalité a littéralement explosé à 18% et 21% pour 2022, apparemment d'autant plus que les gens ont été vaccinés. Les taux de vaccination sont également nettement plus élevés, à 83 % en Nouvelle-Zélande et 86 % en Australie.

    Plusieurs facteurs semblent se conjuguer en Nouvelle-Zélande et en Australie. La peur et la panique se sont propagées depuis trois ans maintenant pour garder les gens en ligne. Cela conduit à un affaiblissement biochimiquement détectable avec précision du système immunitaire, surtout s'il est maintenu sur une plus longue période de temps.

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  30. Nous savons également par la psychoneuroimmunologie que la réduction des contacts interpersonnels conduit également à un affaiblissement du système immunitaire. Cela aussi était pratiqué de manière excessive dans les deux pays. Masques obligatoires, enfermement, tests constants font le reste pour attaquer la santé. Si le système immunitaire inné est également affaibli par la campagne de vaccination excessive, davantage de personnes meurent tout simplement plus tôt que la normale.

    Conclusion : Zéro Covid, mesures rigoureuses et campagnes de vaccination sauvages sont meurtrières. La Suède a prouvé que le fait d'éviter largement le confinement, les masques, le confinement, les fermetures d'écoles et d'entreprises était et est la voie médicalement correcte. Le zéro Covid et les vaccinations de masse, en revanche, provoquent une catastrophe médicale. Les politiciens et l'OMS ont réalisé exactement le contraire de ce qu'ils avaient prévu de faire.

    https://tkp.at/2022/11/23/zerocovid-und-hohe-impfquote-fuehren-in-neuseeland-und-australien-zu-hoher-uebersterblichkeit-schweden-jedoch-ohne/

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    1. Certains pays ont eut droit à des placebos et d'autres pas.

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  31. SARS-CoV-2 ou ARN messager : que choisir ?


    le 24 novembre 2022


    Selon les dernières statistiques disponibles il y aurait eu dans le monde entier 6 millions de morts provoquées par l’infection avec le coronavirus. Cette estimation globale comprend toutes les souches mutantes qui se sont succédées au cours de cette pandémie, soit un taux de mortalité global conforme aux premières prévisions des épidémiologistes de l’ordre de 0,075 % ou 1 décès pour 1350 personnes ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_deaths ). Pour l’ensemble de l’Europe, Turquie et Russie comprises, le nombre de décès a atteint 1,77 million ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_in_Europe ).

    Comparons ces données, au moins pour l’Europe, au nombre d’effets secondaires de la thérapie génique par ARN messager synthétique abusivement appelée vaccin. Malgré une très grande incertitude entourant cette estimation, le chiffre de 5 millions de personnes souffrant d’effets secondaires temporairement invalidant a été avancé. Toutes les études relatives à ces effets secondaires sont entachées d’erreurs dont la source se situe à deux niveaux. D’une part les autorités de santé des divers pays refusent d’admettre une relation directe de cause à effet entre cette thérapie génique et les effets secondaires observés et péniblement reportés dans les statistiques nationales. D’autre part le nombre de décès liés à cette thérapie est tout simplement ignoré voire nié par ces mêmes autorités. Toutes sortes de dispositions législatives ont été mises en place pour faire obstruction à cette remontée des données fournies par les médecins traitants. Menaces, interdictions de pratiquer des autopsies, falsification des causes de la mort dans les certificats de décès, … ont contraint les médecins à ne plus faire remonter l’information auprès des autorités de santé. Tant aux USA avec le système de veille VAERS qu’en Europe avec le système mis en place par l’Agence européenne du médicament, cette collecte des données est très largement sous-estimée. On estime que les statistiques disponibles sont sous-estimées d’un facteur maximal de 25 correspondant à une prise en compte de seulement 4 % des déclarations des médecins traitants.

    Pourtant, par d’autres biais on a pu faire une estimation de ce nombre de décès en analysant les informations produites par les compagnies d’assurance et aussi, aussi curieusement que cela puisse paraître, des compagnies de pompes funèbres. De mémoire (j’ai malencontreusement égaré la référence) il y aurait eu en Europe, non comprises la Russie et la Turquie, depuis le début de la mise en place de la thérapie génique supposée protéger la population contre l’infection par le coronavirus, entre 100 000 et 250 000 décès directement attribuables à cette thérapie malgré les dénégations des autorités de santé nationales et européennes. Il s’agit de l’estimation brute obtenue en interrogeant également plusieurs milliers de médecins traitants choisis au hasard dans divers pays européens sous couvert d’anonymat.

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  32. Si on rapproche cette estimation non officielle de la grave sous-estimation des statistiques gouvernementales et européennes, dans l’hypothèse médiane on arrive alors à un nombre de décès consécutifs à cette thérapie génique de 100 000 x (25/2) = 1,25 million de morts dont la cause suspectée est liée à celle thérapie. L’obligation « vaccinale » mise en place par les décideurs politiques de divers pays européens est donc clairement criminelle. La planification d’une nouvelle campagne de « vaccination » à l’aide d’un mélange d’ARNs codant pour la souche originelle dite de Wuhan et pour le dernier en date des mutants de la souche générique omicron s’avère déjà dévastatrice sur le plan des effets secondaires. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il soit mis un terme à toute cette mascarade ? J’utilise le terme mascarade à dessein car les décisions politiques prises tant par la Commission européenne que par les gouvernements nationaux dissimule l’objectif de diminution de la population décidé par des pouvoirs obscurs comme de WEF, le Club de Bilderberg et d’autres instances supranationales reprenant les théories malthusiennes du Club de Rome. Il n’est pas fortuit que l’on fasse en ce moment même grand cas d’une population mondiale qui aurait atteint 8 milliards de personnes. Cette information constitue un alibi pour justifier une nouvelle campagne de « vaccination ». Bienvenue dans un monde meilleur sans surpopulation, sans pollution urbaine, sans changement climatique, sans guerres !

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/11/24/sars-cov-2-ou-arn-messager-que-choisir/

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  33. Gouverneur DeSantis, bannissez les piqûres !

    Une lettre ouverte au gouverneur DeSantis et au chirurgien général Dr. Ladapo


    Par le Dr Joseph Sansone
    L'esprit compte et tout le reste
    24 novembre 2022


    Cher Gouverneur DeSantis et Surgeon General Dr. Ladapo,

    Vous devez agir de manière décisive et interdire les injections de thérapie génique Covid et les injections d'ARNm dans l'État de Floride. Les données cliniques du 28 février 2021 semblent avoir démontré que les injections de Covid étaient à la fois inefficaces pour arrêter la transmission, tout en posant un risque pour ceux qui recevaient des injections de Covid et leur entourage. Les données de Pfizer ont révélé que les ingrédients des injections pouvaient être transmis par contact respiratoire et cutané et présentaient même un risque pour les femmes enceintes faisant une fausse couche après un contact cutané avec une personne récemment injectée. Il y a eu plus de 42 000 cas indésirables et 158 ​​000 incidents indésirables, 1 223 décès et plus de 1 000 effets secondaires au cours de cet essai clinique. Bien que l'étude affirme que les décès ne sont pas dus aux injections de Covid, le temps a certainement accru les soupçons sur la validité de cette affirmation. Cette information selon laquelle les coups de Covid étaient dangereux et inefficaces était à la disposition des agences gouvernementales et cachée au public. Cela constitue une fraude de la part du gouvernement fédéral.

    En tant que gouverneur et chirurgien général, vous avez la responsabilité fiduciaire de protéger le public contre les agents biologiques dangereux. Les ingrédients de ces shots sont inconnus et gardés secrets. Cependant, des médecins et des chercheurs du monde entier ont signalé ce qui semble être des nanoparticules auto-assemblées utilisant apparemment l'intelligence artificielle et des circuits informatiques, ainsi que des matériaux inconnus dans ces clichés.

    Les taux de natalité sont en baisse et les fausses couches sont en hausse. Les gens tombent littéralement morts et le syndrome de mort subite de l'adulte (SADS) devient monnaie courante. La recherche montre que les injections de thérapie génique Covid peuvent altérer l'ADN humain. Il n'y a aucun moyen de mesurer l'impact à long terme que cela aura sur la race humaine. Les médecins ont déclaré qu'il est possible que s'il s'agit d'un programme d'édition de gènes, la race humaine puisse disparaître dans quelques générations.

    Les décès évidents peuvent être signalés, mais ceux qui meurent de maladies pouvant être attribuées aux protéines de pointe des injections ne sont pas considérés comme des décès potentiels par balle de Covid. La mortalité toutes causes continue d'augmenter. De plus en plus, il semble y avoir une corrélation entre la vaccination et une augmentation de la mortalité toutes causes confondues.

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  34. Des médecins du monde entier ont averti que le cancer, les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques résultent de ces injections. Les données du DOD obtenues par la loi de Renz ont montré une augmentation de ces maladies, et d'autres, parmi les militaires, et ont été rapportées lors de l'audience du sénateur Ron Johnson plus tôt cette année.

    Un récent article évalué par des pairs d'une autopsie a démontré des lésions cérébrales et cardiaques causées par le tir de C19. Les embaumeurs signalent des caillots sanguins qui n'ont jamais été vus auparavant et des médecins de renommée mondiale signalent que ces caillots sanguins semblent semi-synthétiques et que le programme de vaccination Covid pourrait être un programme DARPA. En tant que gouverneur, vous devez immédiatement ordonner aux médecins légistes de tout l'État d'effectuer des autopsies sur toute personne décédée qui a déjà reçu une injection de Covid 19. Sans doute, la loi l'exige.

    Vous devez également commencer une étude longitudinale, en examinant les résultats de santé des groupes vaccinés et non vaccinés, en faisant correspondre les groupes par âge et par sexe. Cette étude doit surveiller la mortalité toutes causes confondues et diverses maladies telles que le cancer, les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, les troubles neurologiques, les maladies auto-immunes, etc.

    Les données du VAERS montrent que les injections de Covid 19 sont responsables de plus de décès et de blessures que tous les vaccins précédents combinés. Les données de VSAFE, qui était un programme volontaire de 10 millions de participants, montrent également qu'il y a un nombre énorme de blessures dues aux coups de Covid. Environ 7,7% ont eu besoin de soins médicaux après avoir reçu les vaccins, 25% ont manqué le travail ou l'école et 40% ont eu des douleurs articulaires, ce qui est un signal auto-immun préoccupant. Il n'y a aucun moyen de connaître les effets à long terme.

    Il est difficile d'estimer le nombre réel de décès. Si nous nous fions aux données du VAERS et au facteur précédent de seulement 1 % signalé, nous envisageons la mort d'environ un million et demi d'Américains. Cependant, le nombre est potentiellement beaucoup plus élevé. Seuls les cas évidents seront signalés. Une personne atteinte d'un cancer ou d'une crise cardiaque un an ou deux après les injections ne sera probablement pas associée aux injections.

    En mai de cette année, lors du Global Covid Summit, 17 000 des plus grands scientifiques et médecins du monde ont demandé que les injections d'ARNm de thérapie génique Covid soient retirées du marché car elles présentent un risque pour la santé publique. Il a été déclaré que les tirs de Covid sont en violation du Code de Nuremberg et constituent des crimes contre l'humanité.

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  35. Il ne suffit pas que l'État de Floride déconseille simplement ces injections. Ils doivent être interdits. Ils représentent un danger pour ceux qui se font vacciner, mais aussi pour ceux qui les entourent. Cette déclaration est basée sur les données cliniques de Pfizer affirmant la transmission matérielle des vaccinés aux non vaccinés, et la preuve que les personnes qui reçoivent des injections de Covid reçoivent de l'oxyde de graphène dans leur sang, et le fait que ceux qui n'ont pas reçu ces injections montrent maintenant souvent oxyde de graphène dans leur sang. Un phénomène jamais vu avant le déploiement de ces thérapies géniques par ARNm.

    (...)

    https://www.lewrockwell.com/2022/11/no_author/governor-desantis-ban-the-jab/

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    1. Encore un con qui parle sans savoir !

      Depuis un an et demi ont été examiné le contenu des flacons injectables et 'le Dr Joseph Sansone' devrait savoir ce que les docteures scientifiques Carrie Madej et Astrid Stückelberger ont découverte !!
      Par contre, bizarrement, il parle de la présence (seulement) de nano-particules d'oxyde de graphène ! Çà alors !! Comment le sait-il qu'il y en a ?! Hahaha !
      Bref, il rejoint la cohorte qui se joint à la mafia qui les dirige.

      Les sorciers du premier rang et les fées secondaires.

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  36. Nous apprenons seulement aujourd’hui que l’ensemble des chiffres « officiels » liés aux hospitalisations et décès durant la période #COVID19 étaient bidonnés car… inexistants ! Des chiffres ayant pourtant mené aux pires dérives.


    24 novembre 2022


    Nous apprenons seulement aujourd’hui que l’ensemble des chiffres « officiels » liés aux hospitalisations et décès durant la période COVID19 étaient bidonnés car… inexistants !

    - voir cadre sur site -

    En réponse à la demande qui lui a été adressée, le ministre de la santé et de la prévention a informé la commission de ce que les documents sollicités aux points 1) à 4) n’existent pas dans la mesure où il n’existe aucune statistique relative au statut vaccinal de toutes les personnes décédées, ni aucune statistique relative aux hospitalisations selon le statut vaccinal.

    - voir cadre sur site -

    De même, le ministre de la santé et de la prévention a informé la commission de ce que les documents sollicités aux points 5) et 8) n’existent pas dans la mesure où il n’existe aucune données recensant le statut vaccinal antigrippal.

    La commission ne peut, dès lors, que déclarer la demande d’avis sans objet.

    Source : JIPP

    https://www.profession-gendarme.com/nous-apprenons-seulement-aujourdhui-que-lensemble-des-chiffres-officiels-lies-aux-hospitalisations-et-deces-durant-la-periode-covid19-etaient-bidonnes-car-inexistants-des-chiffres-ayant/

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  37. L'Oregon corrige les fausses informations sur les taux d'hospitalisation des enfants pour COVID-19


    INFORMATIONS DE SANTÉ PUBLIQUE
    Zachary Stieber
    22 novembre 2022


    Un rapport promu par l'Oregon Health Authority (OHA) a été corrigé après avoir prétendu à tort que près de 50 % des enfants âgés de 12 à 17 ans qui avaient contracté le COVID-19 nécessitaient un traitement hospitalier.

    Le groupe Rede, qui a créé le rapport pour l'autorité, a reconnu la désinformation dans un mémorandum obtenu par Epoch Times.

    « Il y avait un problème avec le numérateur des hospitalisations dans la figure 40 à la page 180. Lorsque nous avons calculé le pourcentage d'hospitalisations pour chaque groupe d'âge, nous avons pensé à tort que les données d'hospitalisation hebdomadaires de l'OHA étaient uniques ; ils ne le sont pas », a déclaré Danna Drum du groupe Rede à l'OHA dans le mémo. "Nous aurions dû le remarquer plus tôt et nous excuser pour l'erreur. La figure 40 a été corrigée dans la version 1.1 du rapport en utilisant les données fournies directement par l'OHA.

    "Merci de l'attention que vous portez à la question et nous nous excusons à nouveau pour cette erreur", a ajouté Drum.

    L'ancienne version du rapport affirmait que 47,4 % des enfants âgés de 12 à 17 ans qui avaient contracté le COVID-19 nécessitaient des soins hospitaliers.

    Selon les données de l'OHA, ce pourcentage est en fait égal ou inférieur à 1 %.

    Le rapport affirmait également que les taux d'hospitalisation pour tous les groupes d'âge étaient égaux ou supérieurs à 30 % et dépeignaient les taux d'hospitalisation des enfants comme étant plus élevés que ceux des personnes âgées.

    La nouvelle version du rapport (pdf) présente des taux nettement inférieurs.

    Il n'y avait aucune indication dans le rapport qu'il avait été mis à jour en dehors de l'ajout de "(corrigé)" au titre du graphique.

    Epoch Times a interrogé l'OHA sur la fausse affirmation, ce qui a conduit l'OHA à demander au groupe Rede d'examiner l'article.

    « Le rapport a été mis à jour avec les données correctes et il a été republié. Vous pouvez trouver la nouvelle version du rapport sur le même lien qu'auparavant », a déclaré un porte-parole de l'OHA à Epoch Times par e-mail.

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  38. Le groupe Rede n'a pas répondu à une demande de commentaire sur la correction.

    Le sénateur d'État Dennis Linthicum, un républicain, a déclaré à Epoch Times dans un e-mail que les fausses informations montraient une "analyse statistique médiocre" et faisaient partie d'un schéma "d'utilisation de l'argent public pour attiser de grandes quantités de statistiques, de données et d'informations dénuées de sens". des factoïdes qui voilent les malversations et exhibent le mépris que nos élites bureaucratiques manifestent envers les Oregoniens et les personnes vivant aux États-Unis.

    - voir graph sur site -

    Un graphique publié par l'Oregon Health Authority qui contenait de fausses informations sur les taux d'hospitalisation liés au COVID-19. (OHA via Epoch Times)

    - voir graph sur site -

    Le graphique corrigé sur les taux d'hospitalisation pour COVID-19 dans l'Oregon. (OHA via Epoch Times)
    Le sénateur de l'État s'est opposé au projet de loi

    Un projet de loi adopté par les législateurs de l'État et promulgué par la gouverneure démocrate Kate Brown en mars a ordonné à l'OHA d'étudier comment les fonctionnaires de l'Oregon ont répondu à la pandémie de COVID-19 et de produire trois rapports analysant la réponse.

    La législation, le projet de loi du Sénat 1554 (pdf), a alloué environ 900 000 $ en argent des contribuables à l'OHA à cette fin.

    Les partisans ont déclaré que la législation aiderait à identifier comment la réponse de santé publique pourrait être améliorée avant les crises futures.

    «En commençant les travaux du rapport après action cette année, nous serons mieux en mesure de soutenir les investissements dans la santé publique et d'ouvrir la voie à une future action législative lors de la session 2023. Nous devons profiter de cette occasion pour apprendre de manière significative de cette expérience grâce à un processus d'amélioration de la qualité partagé et itératif. Nous avons beaucoup à apprendre et nous devons commencer maintenant », a déclaré la sénatrice Elizabeth Steiner Hayward, une démocrate qui a parrainé la législation, dans une déclaration précédente.

    Linthicum faisait partie des sénateurs qui ont voté contre le projet de loi.

    Linthicum a déclaré au Sénat que le rapport devrait inclure une évaluation des répercussions des tests à grande échelle, y compris le test des personnes qui ne présentaient pas de symptômes, et un examen du nombre d'entreprises fermées en raison des mesures restrictives ordonnées par les hauts responsables.

    Linthicum estime que l'ensemble du premier rapport, qui compte 725 pages, visait à renforcer l'État en donnant l'impression que l'État a fait de son mieux pendant la pandémie.

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  39. Le rapport va de pair avec le scénario "qui dit:" oh, nous avions des lacunes, nous avions des domaines à améliorer, mais c'était un bon investissement pour les habitants de l'Oregon et nous avons fait de notre mieux "", a déclaré Linthicum. "Et c'est comme ça que vous quand vous lisez le rapport, et compte tenu de ce que le projet de loi exigeait réellement de cette agence d'information, vous réalisez que c'est juste essayer de mettre du rouge à lèvres sur un cochon."

    Affaire rejetée

    Le législateur tente de réunir un grand jury pour interroger les principaux responsables fédéraux, y compris la directrice des Centers for Disease Control and Prevention, le Dr Rochelle Walensky, pour répondre aux questions sur la façon dont ils ont compté les décès dus au COVID-19 pendant la pandémie et auraient fait pression sur les hôpitaux pour diagnostiquer le COVID- 19 différemment des maladies similaires.

    L'affaire a été rejetée ce mois-ci par un juge qui a conclu que Linthicum et les autres plaignants n'avaient pas qualité pour agir.

    L'un des éléments de l'établissement de la qualité pour agir consiste à montrer une blessure qui doit être traçable à une action d'un défendeur et les plaignants "n'ont pas réussi à établir une blessure", a déclaré le juge de district américain Marco Hernandez, nommé par Obama.

    Les plaignants ont fait appel du jugement.

    "Nous avons fait demi-tour et rempli nos papiers pour essayer de le garder en vie", a déclaré Linthicum.

    https://www.theepochtimes.com/oregon-corrects-false-information-on-child-covid-19-hospitalization-rates_4879130.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  40. Dystopie fabriquée - Les mondialistes n'arrêteront pas de pirater les humains


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    22 novembre 2022


    Identité numérique, jumeaux numériques, monnaie numérique programmable de la banque centrale (CBDC), système de crédit social, augmentation humaine et Internet des corps (IoB). Tout cela fait partie de l'avenir dystopique déployé par la cabale mondialiste en tant que « solutions » aux problèmes du monde.

    Le transhumanisme a longtemps été vendu comme un moyen de nous rendre en meilleure santé et, éventuellement, immortels. Aujourd'hui, il est promu sous la bannière The Great Reset de «l'équité». La propagande est que tout le monde bénéficiera de l'augmentation humaine, des plus riches aux plus pauvres. En réalité, le transhumanisme est un programme d'eugénisme, qui ne diffère que par le nom.

    Le transhumanisme exige le dépeuplement

    Quiconque pense que la cabale mondialiste, les personnes les plus riches de la planète, a l'intention de permettre aux "mangeurs inutiles" qui engloutissent "leurs" ressources de vivre encore plus longtemps que nous, se trompe malheureusement. Ils n'ont pas une telle intention. Tout ce discours sur « l'équité en matière de santé » est un écran de fumée, une carotte, pour inciter les gens à suivre leur plan pour ce qui sera finalement l'extermination de milliards de personnes.

    Certains au sein de cette cabale, le conseiller du Forum économique mondial (WEF) Yuval Noah Harari en étant un exemple notable1, parlent ouvertement du plan de l'élite pour une société post-humaine, et c'est précisément ce à quoi cela ressemble.

    Un monde sans vrais humains. Un monde où tout le monde est augmenté avec (et dans le cas de la classe inférieure, contrôlé par) la technologie. Un monde sans croyance en une puissance supérieure à celle des programmeurs et des inventeurs eux-mêmes.2 Un monde où les robots font la majeure partie du travail, l'intelligence artificielle prend la plupart des décisions et les humains augmentés exécutent la programmation.

    Un monde comme celui-là n'a aucune utilité pour des milliards de personnes. Dans une interview3, Harari a évoqué la quatrième révolution industrielle (un autre terme pour le transhumanisme), notant que nous apprenons maintenant à « produire des corps et des esprits » (c'est-à-dire des corps augmentés et des esprits connectés au cloud et à l'intelligence artificielle) et que l'on L'un des plus grands défis auxquels nous serons confrontés sera de savoir quoi faire de toutes les personnes qui deviendront obsolètes dans le processus.

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  41. La réponse, a proposé Harari, pourrait résider dans "une combinaison de drogues et de jeux informatiques". Je ne le crois pas une seconde. Les drogues et les jeux informatiques ont certainement été des outils pour distraire et contrôler les jeunes générations, mais l'avenir qu'ils envisagent n'a pas de place pour les membres non productifs.

    L'exigence de dépeuplement de l'utopie transhumaniste peut être la raison pour laquelle les nations refusent de s'attaquer à l'extraordinaire létalité des piqûres COVID.

    Je ne vois pas un régime totalitaire mondial accepter la responsabilité de nourrir, loger et fournir un revenu de base universel, des soins de santé et des médicaments à des milliards de personnes qui ne leur sont pas utiles d'une manière ou d'une autre. Non, la solution logique serait d'exterminer les improductifs et de transformer le reste en cyborgs obéissants emprisonnés dans l'écosystème 5G de l'Internet des corps.

    Les piqûres COVID servent un plus grand objectif

    Je crois que l'exigence de dépeuplement de l'utopie transhumaniste est la raison pour laquelle presque toutes les nations de la planète refusent de s'attaquer à l'extraordinaire létalité des piqûres COVID.

    Les réclamations d'assurance invalidité et vie ont explosé. Les taux de natalité ont chuté et les fausses couches et la surmortalité explosent, mais tout le monde continue de pousser les piqûres COVID. Il semble que ces effets soient intentionnels, et la seule façon de donner un sens à cette réalité effrayante est de comprendre que le dépeuplement est un élément nécessaire de l'agenda transhumaniste.

    Il doit y avoir deux classes - la sous-classe augmentée "tout avoir" et la sous-classe contrôlée. L'augmentation de la sous-classe ne servira qu'aux mesures de contrôle, et cela inclura probablement la capacité de mettre fin à la vie de toute personne perçue comme ayant survécu à son utilité au sein du système.

    Nous vivons dans une grande déception

    Ceux qui se sont penchés sur le transhumanisme et The Great Reset peuvent clairement voir à quel point tout ce qui se passe fait partie d'un plan visant à manipuler les masses pour qu'elles acceptent leur système de contrôle envisagé. Ceux qui refusent de regarder ces questions, cependant, ne peuvent pas le voir. De plus, ils ne peuvent même pas imaginer que quelque chose d'aussi diabolique puisse être vrai.

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  42. Dans la vidéo ci-dessus, Max Igan de "The Crowhouse" passe en revue l'histoire de la Grande Déception dans laquelle nous nous trouvons - comment et pourquoi les gens ont été manipulés, pendant des décennies, pour leur faire croire des choses qui n'étaient tout simplement pas vraies - des croyances qui ont façonné le comportement et a permis aux mondialistes de faire avancer lentement et tranquillement leur programme à long terme de domination mondiale.

    Qu'est-ce que l'Internet des corps ?

    Qu'est-ce que l'IoB ? La société Rand le définit comme des appareils dotés de capacités informatiques qui peuvent communiquer avec des appareils ou des réseaux connectés à Internet qui collectent des données biométriques et de santé générées par la personne et/ou peuvent modifier la fonction du corps humain.4

    Le WEF l'a décrit comme un écosystème "d'un nombre sans précédent de capteurs", y compris des capteurs émotionnels, "attachés, implantés ou ingérés dans le corps humain pour surveiller, analyser et... modifier le corps et le comportement humains."5

    Les mots clés de cette phrase incluent l'objectif déclaré de "modifier le comportement humain". Le WEF ne nous dit pas qui sera en charge de ces modifications, mais nous pouvons supposer que ce seront ceux qui auront quelque chose à gagner à contrôler les actions et les comportements des autres.

    La FDA s'apprête à approuver un biocapteur implantable

    Bien que tout cela ressemble à de la pure science-fiction, le Pentagone américain et Profusa Inc. ont déjà développé un biocapteur implantable qui suit les réactions chimiques à l'intérieur de votre corps, apparemment pour détecter une maladie.6 Comme l'explique Defense One, le biocapteur se compose de deux parties7

    «L'un est une chaîne d'hydrogel de 3 mm… Insérée sous la peau avec une seringue, la chaîne comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l'extérieur du corps lorsque le corps commence à combattre une infection.

    L'autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer à un médecin, un site Web, etc. C'est comme un laboratoire de sang sur la peau qui peut capter la réponse du corps à la maladie avant la présence d'autres symptômes, comme la toux.

    Le capteur permet d'examiner la biologie d'une personne à distance via la connectivité d'un smartphone, et Profusa est soutenu par Google, la plus grande société d'exploration de données au monde. Sachant cela, il est difficile d'imaginer que vos données biologiques ne seront pas utilisées pour augmenter les profits de Google et renforcer le contrôle totalitaire grâce à la biosécurité.

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  43. Profusa s'attendait à recevoir l'approbation de la Food and Drug Administration des États-Unis en 2021, mais il ne semble pas encore avoir été approuvé. Cela dit, les rouages ​​du processus d'approbation sont en marche, ce n'est donc qu'une question de temps.

    Intelligence artificielle et Internet des corps

    - voir clip sur site -

    Dans la vidéo ci-dessus, le Wilson Center MAINTENANT interviewe Richard Solash, rédacteur en chef de The Wilson Quarterly, et Eleonore Pauwels, directrice du laboratoire d'intelligence anticipative (IA) avec le programme d'innovation scientifique et technologique du Wilson Center, à propos de l'IoB et du rôle que l'IA jouera jouer dans « l'ère algorithmique » à venir.

    Pauwels précise que l'une des facettes incontournables de l'IoB est que nous serons constamment évalués, "sous mesure de calcul", dans tous les aspects de nos vies, "de ce que vous mangez, avec qui vous sortez, ce que vous achetez, quelle quantité d'énergie vous utilisez » jusqu'à et y compris vos signes vitaux et vos données génétiques.

    Pour expliquer l'idée derrière l'IoB, elle vous propose de commencer par réfléchir au fonctionnement de l'Internet des objets, tous ces appareils intelligents qui sont connectés non seulement les uns aux autres, mais aussi à un réseau plus large, où l'IA peut analyser et optimiser tous ceux Les données.

    Maintenant, ajoutez à ces réseaux des appareils de surveillance de la santé, des appareils portables aux implants, qui partageront vos données les plus privées. L'IA "analysera et optimisera" ensuite ces données également, et bien que Pauwels ne déclare pas qu'une telle optimisation sera effectuée automatiquement, à votre insu, je ne vois aucune raison de supposer que cela fait partie du plan.

    Compte tenu de tout cela, le plus grand défi, selon Pauwels, sera de déterminer comment nous pouvons garder le contrôle de notre propre avenir et nous assurer que l'IA est « façonnée selon nos idéaux ».

    IoB est inséparable de l'agenda eugéniste transhumaniste

    Bien que cet avertissement semble rationnel, de quels idéaux parlons-nous ? Croire que l'humanité en général aura son mot à dire sur la question est naïf. Nous ne pouvons pas penser l'IoB en dehors ou séparément de la Grande Réinitialisation eugéniste transhumaniste.

    Les puissances qui poussent l'IoB vers l'avant sont les mêmes que celles qui poussent pour The Great Reset, et l'objectif de The Great Reset est de créer un gouvernement mondial utilisant le transhumanisme comme plate-forme pour le contrôle de l'esprit et du corps humains.

    Il n'y a aucune circonstance, que je puisse voir, dans laquelle les idéaux de l'IA seront un autre idéal que celui des transhumanistes, des eugénistes et des Grands Resetters.

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  44. La marche vers les CBDC aux États-Unis a commencé la semaine dernière lorsque le centre d'innovation de la Federal Reserve Bank of New York, ou NYIC, a annoncé qu'il lancerait un projet pilote de preuve de concept de 12 semaines pour une monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC .15

    Il est important de réaliser que nous perdrons tout ce qui vaut la peine d'être vécu si nous continuons sur cette voie sans garanties de confidentialité et droits à l'autonomie personnelle en place. Même dans ce cas, c'est un risque, car peu de lois sont infaillibles. Regardez comment la Constitution américaine est piétinée, même si elle est censée être inviolable.

    Tant que l'influence corruptrice des mondialistes subsistera, nous pouvons être sûrs qu'ils poursuivront leurs efforts pour pirater nos corps et nos cerveaux et pour trouver des moyens d'éliminer ceux qui s'opposent à eux.

    Sources and References

    1 The Atlantic February 20, 2017
    2 Facebook Watch June 8, 2022
    3 YouTube Yuval Noah Harari, “Drugs and Computer Games”
    4 EDRM.net January 26, 2021
    5 WEF, Shaping the Future of the Internet of Bodies, July 2020
    6, 7 Defense One March 3, 2020
    8 NZ Herald July 16, 2022
    9 Daily Citizen November 14, 2022
    10, 13 AP August 11, 2022
    11 The Spectator April 30, 2022
    12 Exposing the Darkness Substack April 6, 2022
    14 CTV News August 2, 2018
    15 NY Fed launches 12-week CBDC pilot program with major banks Nov 15, 2022

    https://www.lewrockwell.com/2022/11/joseph-mercola/manufactured-dystopia-globalists-wont-stop-hacking-humans/

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    Réponses
    1. Nous savons que depuis 1929 de l'aluminium a été ajouté aux vaccins et que les laboratoires nazis ont donc constaté qu'il fabriquait l’Alzheimer. Ils l'ont donc laissé dans tous les vaccins !
      Aujourd'hui est proposée une expérimentation génique d'essais létale comprenant de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! + hydres ! + spiques ! + diverses maladies animales ! d'où la question que l'on ne se pose plus quant aux prochains vaccins proposés contre je-ne-sais-quelle-maladie qui se composera de la solution ci-dessus !!

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  45. ALERTE ROUGE: Le nouveau traité pandémique de l'OMS en phase finale, annulerait la Constitution américaine et déchaînerait la dictature médicale, prévient le Dr Francis Boyle


    mardi 22 novembre 2022
    par : Mike Adams


    (Natural News) Aujourd'hui, nous vous apportons une interview vraiment explosive et une histoire critique sur le nouveau traité pandémique de l'OMS qui est spécifiquement écrit pour annuler la Constitution des États-Unis et toutes les lois nationales dans chaque nation, dans le monde. Comment le savons nous? Parce que l'expert en matière de traités, le Dr Francis Boyle, a étudié le libellé du traité proposé et l'a tout expliqué dans l'interview percutante d'aujourd'hui (voir ci-dessous). Il est l'auteur de la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989 et un expert en lecture et rédaction de traités. Et aujourd'hui, il lance son avertissement le plus fort jamais rendu public.

    Le Dr Boyle est l'auteur d'un livre récent intitulé «Resisting Medical Tyranny» et, dans l'interview d'aujourd'hui, il avertit ouvertement que ce nouveau traité de l'OMS - surnommé «WHO CA +» - est conçu pour déclencher une dictature médicale mondiale qui annulerait votre médecins, hôpitaux et cliniques locaux, les forçant à suivre les directives de l'OMS sur des choses comme les masques, les quarantaines, la distanciation sociale et les blocages économiques.

    Lisez le traité par vous-même sur ce lien de Keionline.org :
    https://www.keionline.org/wp-content/uploads/ADVANCE_for_16_November_A_INB3_3_E.pdf

    Si ce lien disparaît, nous avons une copie de sauvegarde sur les serveurs NN :
    https://www.naturalnews.com/Files/ADVANCE_for_16_November_A_INB3_3_E.pdf

    Essentiellement, le nouveau traité de l'OMS sur la pandémie transforme le monde entier en un État policier médical à la chinoise où les nations souveraines, les États et les individus eux-mêmes n'ont aucun droit reconnu à la liberté de la santé.

    Autrement dit, si Biden signe ce traité, ce que la Chine a fait à son propre peuple pendant les fermetures de COVID arrivera bientôt en Amérique.

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  46. Joe Biden aurait l'intention de signer ce traité le plus rapidement possible, une fois la langue finale terminée. Et à partir de ce jour, les gouvernements du monde entier n'ont qu'à lâcher leurs propres armes biologiques concoctées sur leur propre peuple pour mettre en œuvre les dispositions de ce traité. Le Dr Boyle m'a spécifiquement dit dans l'interview que les gouvernements déchaînent des "crimes au niveau de Nuremberg contre des civils" et que ce nouveau traité de l'OMS accorde aux gouvernements génocidaires les "dents" dont ils ont besoin pour enfermer, emprisonner ou exterminer leurs propres populations.

    Le Dr Boyle appelle à une alerte mondiale et demande que cette interview soit largement partagée pour aider à tirer la sonnette d'alarme.

    Vous avez notre permission de republier l'interview ci-dessous. Veuillez donner crédit au Dr Boyle et à moi-même sur Brighteon.com.

    Tout est question de pouvoir et de contrôle, de profits pour Big Pharma et de confier à l'OMS dirigée par les communistes la responsabilité des réponses sanitaires locales
    L'article de sous-pile de James Roguski plonge dans le "Conceptual Zero Draft" du traité pandémique de l'OMS, avertissant de ce qui se trouve à l'intérieur. Il partage un aperçu intitulé «Dix choses que tout le monde devrait savoir sur le projet de traité sur la pandémie». Cette vue d'ensemble avertit que le traité pandémique de l'OMS ne mentionne jamais "naturel" ou "vitamines" ou "herbes" mais met l'accent sur les médicaments et les vaccins obligatoires de Big Pharma.

    Pire encore, le traité de l'OMS sur la pandémie appelle à une censure mondiale contre tous ceux qui ne sont pas d'accord avec l'OMS, permettant à l'OMS de dicter quelles voix ou organisations doivent être retirées des plateformes technologiques. En substance, cela fait de l'OMS le «ministère de la vérité».

    Voici une image résumant ce qui a été trouvé dans le texte du traité de l'OMS (jusqu'à présent):

    - voir sur site -

    Regardez l'interview avec le Dr Francis Boyle ici - et republiez-la partout
    Voici l'interview complète du Dr Francis Boyle, enregistrée hier. Il venait de terminer l'étude du traité pandémique de l'OMS CA +, et c'est la première conversation publique qu'il a eue à ce sujet.

    Le Dr Boyle est l'auteur de Resisting Medical Tyranny - Why the Covid-19 Mandates are Criminal. Dans cette interview, il lance un avertissement sévère sur ce qui s'en vient pour l'humanité si nous n'arrêtons pas ce génocide et cette tyrannie médicale mondialiste.

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  47. - Le Dr Francis Boyle met en garde contre les laboratoires d'armes biologiques gérés par le DoD qui créent plus d'agents pathogènes
    – De nouvelles informations qui prolongent les conclusions de son récent livre, « Resisting Medical Tyranny »
    – Un avertissement de "crimes au niveau de Nuremberg contre des civils"
    – Pourquoi le DoD continue de mener des programmes illégaux d'armes biologiques en Ukraine
    – Comment les gouvernements du monde lâchent des armes biologiques sur leurs propres populations civiles
    - Le désir de l'OMS d'être le dictateur mondial, régnant sur toute l'humanité
    – Comment le traité a été spécifiquement écrit pour annuler la souveraineté nationale
    – Comment des « urgences » sanitaires peuvent être créées pour asservir l’humanité
    – La vérité sur Monkey Pox, qui était une arme biologique créée en laboratoire
    – Pourquoi le Dr Boyle a été interdit par les médias grand public et censuré pendant deux décennies

    Brighteon.com/3420c36d-61eb-4343-96f5-b1f8e1949797

    Rumble : Rumble.com/v1whkua-dr.-francis-boyle-issues-urgent-warning-about-who-pandemic-treaty….html

    Bitchute : Bitchute.com/video/2KG7SNqjCtQD/

    Vidéo.bannie : vidéo.bannie/watch?id=637cf73c742e2653edc3df8c

    - voir sur site -

    Écoutez mon analyse complète du podcast dans la mise à jour de la situation d'aujourd'hui
    Je vous donne l'analyse complète (ainsi que d'autres dernières nouvelles) dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui, disponible sur Brighteon et sur plusieurs plateformes :

    – Le traité de l'OMS sur la pandémie remplacerait toutes les lois américaines et la Constitution
    – Mettrait les bureaucrates européens en charge de TOUTES les décisions américaines en matière de santé publique
    – Les citoyens américains pourraient se voir ordonner de se faire vacciner, d'être enfermés ou mis en quarantaine
    – Le traité pousse les médicaments et les vaccins de Big Pharma mais ne dit RIEN sur la nutrition ou les herbes
    – Les gouvernements du monde dirigent le bioterrorisme contre leurs propres citoyens
    - Le Dr Francis Boyle met en garde contre les laboratoires d'armes biologiques gérés par le DoD qui créent plus d'agents pathogènes
    – Le dépeuplement mondial est l'objectif
    – Les « vaccins » sont aussi des armes biologiques de dépopulation, conçues pour mutiler et tuer
    – Le Dr Boyle met en garde contre les « crimes au niveau de Nuremberg contre des civils »
    – Violations flagrantes des droits humains fondamentaux
    – Le vétérinaire de l'armée arrête les piqûres de masse
    – Où sont passés tous les ouvriers ?
    – L'Allemagne avertit les citoyens de s'approvisionner en nourriture et en eau

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  48. Brighteon: Brighteon.com/f6c011ae-e0a1-4693-be9b-60e0ca13ddf5

    Rumble: Rumble.com/v1whgi6-situation-update-nov-22-2022-who-pandemic-treaty-in-final-stages….html

    Bitchute: Bitchute.com/video/NfGlIVBdDNXy/

    Banned.Video: Banned.video/watch?id=637cf124742e2653edc36c95

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  49. Le nombre de spermatozoïdes chez les hommes a chuté de 60 % dans le monde au cours des 45 dernières années : étude


    Katabella Roberts
    21 novembre 2022


    Le nombre de spermatozoïdes dans le monde a diminué de moitié au cours des 45 dernières années, selon une étude publiée le 15 novembre dans la revue Human Reproduction Update.

    L'étude a été menée par une équipe internationale de chercheurs dirigée par le professeur Hagai Levine de l'école de santé publique Hadassah Braun de l'Université hébraïque de Jérusalem.

    Ils visaient à examiner les tendances du nombre de spermatozoïdes chez les hommes de tous les continents et ont analysé 223 études basées sur des échantillons de sperme prélevés sur plus de 57 000 hommes dans 53 pays, dont les États-Unis, l'Europe et l'Australie, entre 1973 et 2018.

    Auparavant, une étude menée en 2017 par la même équipe de chercheurs a examiné les données sur le nombre de spermatozoïdes en Amérique du Nord, en Europe, en Australie et en Nouvelle-Zélande. La nouvelle analyse met à jour cette révision pour inclure des données d'Amérique centrale et du Sud, d'Asie et d'Afrique pour la première fois.

    Les chercheurs de la dernière étude ont constaté une "baisse appréciable" du nombre de spermatozoïdes au cours de cette période.

    Plus précisément, les chercheurs ont découvert que les hommes d'Amérique du Sud, d'Asie et d'Afrique partageaient une baisse similaire du nombre total de spermatozoïdes et de leur concentration, comme cela avait été observé précédemment dans leur étude concentrée sur l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Australie.

    Le nombre de spermatozoïdes tombe à plus de 62 %

    Dans l'ensemble, les résultats ont montré que le nombre moyen de spermatozoïdes a chuté de 51,6 % entre 1973 et 2018 chez les hommes de tous les continents, chutant en moyenne de 1,2 % par an, passant d'environ 101,2 millions par millilitre à 49 millions par millilitre de 1973 à 2018.

    Le nombre total de spermatozoïdes a chuté de 62,3 % au cours de la même période.

    Les hommes sont considérés comme ayant un faible nombre de spermatozoïdes s'ils ont moins de 15 millions de spermatozoïdes par millilitre ou moins de 39 millions de spermatozoïdes au total par éjaculat, selon la Mayo Clinic.

    De plus, ils ont constaté que les données de l'année 2000 montraient une baisse des concentrations de spermatozoïdes de plus de 2,6 % par an, doublant par rapport à la baisse précédente de 1,16 % par an depuis 1972.

    Les chercheurs ont déclaré que «le déclin substantiel et persistant est désormais reconnu comme un problème de santé publique important» et que des recherches supplémentaires sur les causes du déclin sont nécessaires de toute urgence pour éviter de nouvelles perturbations de la santé reproductive masculine.

    "Nous espérons que les nouvelles preuves fournies ici recevront l'attention non seulement des cliniciens et des scientifiques, mais aussi des décideurs et du grand public", ont écrit les chercheurs.

    Les hommes qui souffraient d'infertilité ont été exclus de l'étude.

    Les chercheurs ont toutefois noté les limites de leur étude, notamment la manière dont les données ont été collectées et rapportées, car les normes et les méthodes de comptage des spermatozoïdes ont considérablement changé au fil du temps. Cela rend plus difficile la comparaison des derniers comptages de spermatozoïdes avec les données historiques. De plus, les chercheurs ont noté que l'élimination complète de tous les biais de sélection/recrutement était impossible car ils n'étaient pas en mesure de prélever des échantillons de sperme au hasard.

    "Pas une cause de panique"

    "Je pense que c'est un autre signal que quelque chose ne va pas avec le monde et que nous devons faire quelque chose à ce sujet. Alors oui, je pense que c'est une crise, que nous [devons] mieux affronter maintenant, avant qu'elle n'atteigne un point de basculement qui pourrait ne pas être réversible », a déclaré Levine, l'auteur principal de la recherche, au Guardian.

    "Une telle baisse représente clairement une baisse de la capacité de la population à se reproduire", a-t-il ajouté.

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  50. Cependant, le Dr Scott Lundy, un urologue de la Cleveland Clinic qui n'a pas participé à la recherche, a déclaré à CNN que les résultats de l'étude ne sont "pas une cause de panique", soulignant le fait que le nombre de spermatozoïdes est "dans l'ensemble encore normal". , en moyenne."

    Lundy a cependant reconnu qu'il existe un risque que le nombre de spermatozoïdes devienne anormal à l'avenir et que c'est quelque chose qui doit être étudié plus avant.

    Le nombre de spermatozoïdes n'indique pas seulement la fertilité humaine, mais est également un indicateur de la santé des hommes, un nombre faible ou anormal indiquant un état de santé sous-jacent.

    Bien que les chercheurs ne sachent pas ce qui provoque la baisse du nombre de spermatozoïdes, des facteurs tels que le tabagisme, la consommation d'alcool, la consommation de drogues et l'obésité ont été associés à une réduction du nombre de spermatozoïdes.

    https://www.theepochtimes.com/health/sperm-count-among-men-has-dropped-60-percent-globally-over-past-45-years-study_4876010.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  51. Étude : la fertilité masculine chute de 62 % dans le monde et s'accélère


    BRECCAN F. THIES
    21 nov. 2022490


    L'effondrement des taux de fertilité masculine dans le monde s'accélère, selon la revue Human Reproduction Update.

    Le nombre de spermatozoïdes a chuté de 62 % en moins de 50 ans – une tendance qui dure depuis des décennies et qui s'accélère.

    Un faible nombre de spermatozoïdes peut contribuer à des effets néfastes sur la santé des hommes, notamment «le cancer des testicules, les perturbations hormonales et les malformations congénitales génitales, ainsi que la détérioration de la santé reproductive des femmes».

    Hagai Levine, auteur principal de l'étude, a qualifié le problème de "crise", avertissant que la forte baisse pourrait atteindre un point irréversible.

    "Nous avons un grave problème entre nos mains qui, s'il n'est pas atténué, pourrait menacer la survie de l'humanité", a-t-il ajouté.

    Depuis 2000, il y a eu une baisse annuelle de 2,64 % du nombre de spermatozoïdes par millilitre de sperme, soit plus du double du nombre constaté depuis 1978.

    Bien que cette étude ne traite pas des causes potentielles, d'autres études ont établi un lien entre le faible nombre de spermatozoïdes et l'obésité, les modes de vie sédentaires, le tabagisme et l'exposition à certains produits chimiques et pesticides.

    Beaucoup de ces produits chimiques se trouvent dans des articles de tous les jours largement utilisés, allant des produits de soins personnels aux emballages alimentaires, selon la co-auteure de l'étude, Shanna Swan.

    Ces produits chimiques perturbateurs endocriniens se trouvent couramment sous forme de doublures dans des bouteilles d'eau et des récipients à emporter. Le bisphénol A (BPA) est un autre produit chimique ajouté aux emballages alimentaires lié aux problèmes de fertilité.

    Alors que la population mondiale a récemment atteint huit milliards, les taux de natalité dans le monde sont en baisse constante.

    https://www.breitbart.com/politics/2022/11/21/study-male-fertility-p

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    1. Pénurie d'or blanc !

      Comme nous le savons toutes et tous l’Alzheimer est lié aux 'vaccins' qui contiennent tous de l'aluminium depuis 1929. L'ont-ils arrêté pour autant ? Que non ! Maintenant arrive le problème de la baisse du nombre de spermatozoïdes certainement liés aux chemtrails qui strient le ciel du déversement de produits chimiques et non de 'vapeur d'eau' !!

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    2. ENCORE TROIS COMMENTAIRES DE CENSURÉS ! (60 - 3 = 57)

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