Salaire : le travail des femmes est « gratuit » dès le 4 novembre 2022
Puisque les inégalités salariales entre les hommes et les femmes, à poste et compétences égales, se poursuivent en France, une fois de plus le collectif féministe Les Glorieuses est au rendez-vous.
Par Paolo Garoscio le 8 novembre 2022 à 20h21
L’écart de salaire s’améliore très légèrement en 2022 par rapport à 2021, mais il reste élevé. Et durant près de deux mois, les femmes travaillent « gratuitement ».
Inégalités salariales : le jour où les femmes ne gagnent plus rien
Chaque année, Les Glorieuses met en avant le jour où, du fait des inégalités salariales, le travail des femmes est gratuit jusqu'à la fin de l'année. Une date symbolique, issue d’un calcul mathématique simple, mais qui a le mérite de faire réfléchir. En 2021, c’était le 3 novembre à très précisément 9h22 que les femmes travaillaient « gratuitement ». En 2022, on note une amélioration très légère.
Grâce à un recul de l’écart salarial entre les femmes et les hommes, les inégalités salariales s’amenuisent. L’écart atteignait 16,5% en 2021, il tombe à 15,8% en 2022 selon Les Glorieuses. Une amélioration de 0,7% loin de suffire et qui fait que la date a été repoussée de moins de 24 heures. Le vendredi 4 novembre 2022 à 9h10, les femmes travaillent gratuitement en France jusqu’à la fin de l’année 2022.
D’ailleurs, la France fait partie des mauvais élèves de l’Union européenne : la moyenne, elle, est de 13%.
Une amélioration en trompe-l’œil pour le salaire des femmes Si le recul de 0,7% est une bonne nouvelle, il faut le remettre en perspective. Dans leur communiqué de presse, Les Glorieuses rappellent qu’en réalité l’écart se creuse. En 2016, les femmes gagnaient 15,1% de moins que les hommes pour le même emploi, soit 0,7%… de plus !
La Covid-19, soulignent Les Glorieuses, a conduit d’ailleurs à un recul de près de 25 ans de l’amélioration des inégalités salariales. Et selon le Forum économique mondial, au rythme actuel de l’amélioration, il faudra 132 ans « pour atteindre la parité totale dans le monde ».
Une pétition pour la fin des inégalités salariales
Afin que les pouvoirs publiques prennent la question au sérieux, Les Glorieuses ont lancé une nouvelle pétition avec trois principes majeurs :
- l’obligation d’égalité salariale pour une entreprise pour accéder aux marchés publics, aux subventions et aux prêts étatiques ;
- une revalorisation des salaires dans les métiers à majorité féminins ;
- un congé parental « équivalent » pour les deux parents.
Carte bancaire : 4 Français sur 10 se sont déjà fait dérober de l’argent
39 % des Français ont été, au moins une fois dans leur vie, victimes de fraude à la carte bancaire, révèle un sondage YouGov pour Moneyvox.
Par Anton Kunin le 10 novembre 2022 à 9h04
70% des Français déclarent avoir été informés par leur banque sur les risques d’escroqueries bancaires et les moyens de les éviter.
Les escroqueries à la carte bancaire, c’est surtout du vécu
Les escroqueries à la carte bancaire ne sont pas qu’un risque théorique. Pour beaucoup de personnes, elles relèvent du vécu, comme le met en évidence un nouveau sondage YouGov pour Moneyvox. Le pourcentage peut donner froid dans le dos : on y lit que 30 % des Français se sont fait dérober le solde de leur carte bancaire une fois dans la vie, et 9 % même plusieurs fois.
Il convient néanmoins de relativiser : la question porte sur l’ensemble de la vie, par uniquement sur les derniers 10-15 ans, qui ont vu la sécurité des cartes bancaires se renforcer considérablement (validation des transactions à distance par code SMS, puis via une identification biométrique dans l’application de la banque). Il serait donc une erreur de conclure, à la lecture de cette information, que la sécurité des cartes bancaires et aujourd’hui très mauvaise.
Le phishing et l’ingénierie sociale restent des moyens efficaces de fraude
Toujours est-il que les escrocs déploient un maximum d’efforts pour nous dérober notre argent. Aujourd’hui, ces escroqueries se passent majoritairement par phishing, smishing et ingénierie sociale (au téléphone, un escroc se fait passer pour un autre et vous demande certaines informations personnelles). L’actualité récente nous en fournit de nombreux exemples : CAF, Compte Formation, vignette Crit’air, Carte Vitale, La Poste…
Le même sondage nous apprend que 87 % des Français ont déjà reçu un email ou SMS frauduleux, 27 % en reçoivent même très souvent. Les 35-44 ans apparaissent d’ailleurs comme étant la cible privilégiée puisque 37 % d’entre eux se disent « très fréquemment sollicités ». Dernier enseignement : même si la réglementation est très stricte en matière de remboursement par les banques des sommes fraudées (le remboursement par la banque doit alors être immédiat et total), seuls 81% des personnes interrogées indiquent s’être fait rembourser par leur banque.
En plus des scanners qui captent les ondes émises par votre boîtier vers votre voiture ou votre alarme de maison, les facilités de vider tel ou tel compte bancaire est proposé très bientôt (si ce n'est déjà fait aux vues des républicains aux USA qui ont voté... démocrates !!) le transhumanisme ! Votre cerveau sera piraté, le doute n'est même pas permis !! Si on vous dit de vous mettre à genoux et d'ouvrir la bouche... vous le ferez grâce aux injections salvatrices pour faire d'une personne intelligente la reine des connes ! Youpie !!
La Chine développe un hoverboard de style "retour vers le futur" capable de grimper 10 000 pieds
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 04:00
Un sous-traitant de la défense chinoise se prépare pour le premier vol d'essai humain d'une planche à roulettes propulsée par réaction l'année prochaine, a rapporté le South China Morning Post (SCMP).
Le dispositif de décollage vertical, en forme de Mattel Hoverboard de Retour vers le futur II de Marty McFly, peut soulever une personne pesant jusqu'à 220 livres à une altitude de près de 10 000 pieds. L'opérateur de la planche à roulettes, surnommé "SF-FB-30", peut voler jusqu'à dix minutes à des vitesses allant jusqu'à 93 mph.
Le système de contrôle de vol du SF-FB-30 est alimenté par l'intelligence artificielle, permettant à l'opérateur de manœuvrer la planche volante comme un "skateboard", a écrit le Beijing Institute of Power Machinery, un sous-traitant du programme spatial chinois et des armes hypersoniques, dans une affiche. au Salon international de l'aviation et de l'aérospatiale à Zhuhai, Guangdong, cette semaine.
« C'est en Chine que nous réalisons les progrès les plus rapides. Notre machine est plus simple et plus facile à utiliser que des projets similaires dans d'autres pays », a déclaré à SCMP un représentant de l'Institut des machines électriques de Pékin.
Le représentant a déclaré que l'intelligence artificielle du conseil d'administration pouvait se piloter et transporter des marchandises ou même transporter un passager.
L'institut a déclaré que le conseil avait des applications de défense, telles que son utilisation pour monter à bord d'un porte-conteneurs détourné. Outre l'utilisation militaire, la carte pourrait être utilisée dans le monde civil pour des opérations de recherche et de sauvetage, l'évacuation de bâtiments et le transport urbain.
Pendant ce temps, dans le monde occidental, les soldats britanniques volent dans des jetpacks de style "Iron Man" pour s'entraîner à embarquer sur des navires ennemis ou détournés.
Gravity Industries, une start-up de vol humain basée au Royaume-Uni, a récemment publié des images de ces jetpacks volant autour du port de New York.
Ainsi, outre les armes hypersoniques, les drones IA et les avions de cinquième et bientôt sixième génération, les superpuissances mondiales recherchent des planches à roulettes et des jetpacks propulsés par réaction pour de nouvelles capacités de mobilité sur le champ de bataille moderne.
New York interdit à la plupart des civils de porter des gilets pare-balles !
jeudi 10 novembre 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) La gouverneure de New York, Kathy Hochul, a interdit à la plupart des résidents de l'État d'acheter des gilets pare-balles à usage civil, à quelques exceptions près.
La loi, qui est entrée en vigueur le 6 juillet, interdisait à tous les résidents de l'État "non engagés ou employés dans une profession éligible" d'acheter, de posséder, de vendre, d'échanger, de donner ou d'éliminer personnellement des gilets pare-balles.
Les «professions éligibles» ne comprenaient initialement que les policiers, les agents de la paix et les personnes servant actuellement dans les forces armées des États-Unis ou dans l'armée de l'État de New York ou la garde nationale aérienne.
La loi a été adoptée par l'Assemblée législative de l'État de New York à la suite de la fusillade de masse dans une épicerie à Buffalo en mai qui a tué 10 personnes. Lorsque la loi a été initialement adoptée, elle n'interdisait que les "gilets pare-balles souples", qui auraient pu potentiellement servir d'échappatoire aux civils qui souhaitaient acheter des gilets pare-balles fabriqués avec des plaques d'acier, de céramique ou de polyéthylène.
Notamment, cette échappatoire ne couvre pas le gilet en acier que portait le tireur de Buffalo pendant la fusillade, qui était suffisamment solide pour arrêter une balle tirée par l'arme à feu de l'un des agents de sécurité de l'épicerie.
Le membre de l'Assemblée de l'État démocrate Jonathan Jacobson, le principal parrain du projet de loi, a admis qu'ils ne connaissaient pas la différence entre les différents types de gilets pare-balles lorsqu'ils rédigeaient le projet de loi.
"Je pense que l'important était que nous ayons pris des mesures importantes qui réduisaient la possibilité que des criminels utilisent des gilets pare-balles lors de la commission de crimes", a-t-il affirmé, ajoutant qu'il était prêt à retravailler la législation pour couvrir les gilets pare-balles en acier, en céramique ou plaques de polyéthylène.
« Nous voulions faire avancer les choses le plus rapidement possible et ne pas laisser le parfait se mettre en travers du chemin du bien », a expliqué Jacobson. « Comme toutes les lois de l'État de New York, nous essayons toujours de les améliorer à l'avenir. Bien sûr, nous essaierons d'améliorer cette loi.
Le bureau de Hochul a également pris cette position dans des déclarations publiques sans admettre aucune lacune concernant la compréhension des différents types de gilets pare-balles.
"Gouverneur. Hochul était fière de signer la nouvelle loi révolutionnaire adoptée par la législature pour restreindre les ventes de gilets pare-balles, et travaillera avec la législature pour élargir les définitions de la loi à la première occasion disponible », a déclaré son bureau.
La loi restreint le droit des New-Yorkais à la légitime défense
L'interdiction des gilets pare-balles à New York est la première interdiction généralisée de posséder des gilets pare-balles. À l'échelle nationale, très peu d'États et de juridictions locales ont même des restrictions sur les ventes de gilets pare-balles. Les lois étatiques et fédérales les plus strictes contre la possession et le port de gilets pare-balles ne concernent que les criminels violents.
La loi comparable la plus proche est celle du Connecticut, qui empêchait les gens d'acheter des gilets pare-balles à qui que ce soit, à l'exception des revendeurs agréés, et ils devaient effectuer l'achat en personne et non en ligne ou par correspondance. (Connexe: les résidents de New York achètent des gilets pare-balles en nombre record alors que les démocrates anarchiques financent la police et protègent les criminels violents.)
Brad Pedell, le propriétaire de 221B Tactical, un magasin d'équipements tactiques et de gilets pare-balles à New York, a noté combien de ses clients veulent posséder des gilets pare-balles pour se protéger contre les criminels avec des fusils ou des armes tranchantes.
"C'est décevant parce que les résidents ont juste peur, et ils viennent nous voir parce qu'ils ont peur, et nous offrons une aide qui les rend plus confiants, qu'ils ne seront pas poignardés, blessés ou potentiellement tués", a déclaré Pedell. "Le fait que [les législateurs] enlèvent cela, quel que soit le but qu'ils ont en tête, je trouve cela vraiment triste, inutile et moralement répréhensible."
Les organisations de journalistes de New York ont exhorté Hochul à opposer son veto au projet de loi, invoquant des inquiétudes quant à la loi rendant difficile pour les personnes travaillant dans le journalisme d'acheter, de posséder et de porter des gilets pare-balles.
Au lieu d'opposer son veto au projet de loi, Hochul a travaillé avec les législateurs et les représentants de l'État pour élargir la liste des professions qui permettent aux gens de posséder et de porter des gilets pare-balles. Cette liste comprend désormais les serveurs de processus, les instructeurs d'armes à feu, les agents de sécurité dans les installations nucléaires, les agents de contrôle des animaux, les agents de sécurité des champs de tir et la plupart des types de journalistes, y compris les photographes, les journalistes de télévision et de radio et les équipes de nouvelles.
Regardez ce clip de Next News Network, avec Gary Franchi qui rapporte que les gilets pare-balles à destination de l'Ukraine se sont retrouvés à New York.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
USA Today fait pression pour l'interdiction de la vente d'"équipements tactiques" aux civils avec un article très biaisé qui ne mentionne que les groupes de droite, pas les anarchistes armés de gauche.
Des seins pare-balles ? Les chercheurs affirment que les implants mammaires réduisent les dommages causés par les blessures par balle… sérieusement.
Le démocrate présente un projet de loi fédéral visant à criminaliser la possession par les citoyens de gilets pare-balles protecteurs.
C'est des bugs pour vous et du médaillon de bœuf pour nous : la COP27 est un junket d'hypocrisie
Par Jo Nova November 11th, 2022
Tuer la planète, une convention COP à la fois.
Rien ne dit "croyez-nous" comme faire toutes les choses qu'ils disent que nous devons abandonner. Ils volent dans des jets privés, mangent du steak et boivent dans des bouteilles d'eau en plastique. De toute évidence, s'ils pensaient vraiment que le gaz carbonique était un poison planétaire, ils n'agiraient pas de cette façon. À moins, bien sûr, qu'il s'agisse de seigneurs narcissiques qui pensent que le gaz carbonique est mauvais, mais que les règles ne s'appliquent pas à eux. Il y a ça…
Où est le cricket-burger ?
Hypocrisie de la COP27 : les mondialistes grignotent de la viande alors qu'ils poussent le régime anti-insectes pour les "prolétaires"
Kurt Zindulka, Breitbart
Si vous sauvez le monde, c'est bien d'expédier ce saumon depuis l'Atlantique :
Médaillon de bœuf sauce aux champignons, poitrine de poulet sauce à l'orange et saumon sauce crémeuse et ciboulette sont quelques-unes des options de menu que les dirigeants mondiaux, les diplomates, les bureaucrates et les gros bonnets de l'industrie vont grignoter lors de la réunion COP27 à Sharm El Sheikh, Egypte cette semaine.
L'auteur et commentateur politique écossais Neil Oliver a déclaré: «Ils sont venus nous parler de manger moins de viande pendant qu'ils s'assoient devant des menus comprenant du bœuf, du poulet, du saumon, du bar et des sauces à la crème. Ce n'est pas le leadership que nous voyons maintenant, c'est le désespoir, ça nous traîne les prolétaires à l'échelle galactique.
« Les politiques qu'ils prêchent condamnent des centaines de millions de personnes parmi les plus pauvres du monde à la pauvreté, à la famine, à la mort à l'échelle mondiale et en même temps, dans leur cynisme, ils veillent à ce que les populations de leurs propres pays soient plongées dans le carburant et la pauvreté alimentaire pour la première fois depuis des générations.
Apparemment, il y avait quelques véritables militants végétaliens et animaliers qui ont dit à quel point c'était mauvais. Bien pour eux. Mais le fan-club de l'ONU était probablement trop occupé à profiter d'une heure et demie de cocktails sans fond pour 110 £ chacun.
PS : Mais Angus Beef et champignons à 100$ ? Nous, Australiens, vivons comme des rois.
Dans cet interview du 29 septembre 2021? Carrie Madej décrit les étranges particules jamais vues auparavant et qu’elle a pu observer au microscope en analysant le contenu des injections ARNm de Moderna et Johnson & Johnson… C’est très inquiétant…
« Morts de chaleur, vraiment ? » : désinformation ordinaire
La 27e édition de la mascarade des COP vient de commencer, au milieu du tapage médiatique habituel.
Yves Ronsse le 12 novembre 2022
Il n’est pas facile de toujours rester zen face aux énormités en matière de désinformation que l’on peut constater en faisant le tour des chaînes télé dites d’information en continu.
La 27e édition de la mascarade des COP vient de commencer au milieu du tapage médiatique habituel prédisant l’apocalypse climatique si tous les pays du monde « ne prennent pas des mesures drastiques pour limiter le réchauffement, et c’est urgent, demain il sera trop tard, un point de non-retour sera franchi ! » La première rencontre ayant eu lieu en 1994 sous la présidence de Mme Angela Merkel alors ministre de l’Environnement, cela fait maintenant 27 ans qu’au cours du même cérémonial on crie à l’urgence : demain il sera trop tard.
Hier matin, sur une chaîne que pourtant je considère comme la moins mauvaise pour relayer le politiquement correct, une dame médecin, la madame Santé attitrée de la chaîne, dame qu’en général j’apprécie pour sa capacité à éclairer de façon simple des sujets de santé plus ou moins complexes, n’hésite pas à reprendre de la revue The Lancet l’affirmation suivante : « avec l’augmentation des températures (comprenez le changement climatique), le nombre de personnes dans le monde mortes des suites de la chaleur (les victimes de canicules, j’imagine) a augmenté de 68 % ! »
Or il se trouve que précisément j’ai lu quelques jours auparavant dans le Wall Street Journal un article critique de cette information qui démontre que cette revue commet en l’occurrence une erreur de débutant en matière d’analyse statistique, peut-être involontaire mais plus vraisemblablement délibérée (car comment soupçonner d’incompétence une revue aussi prestigieuse, laquelle a néanmoins dû par le passé déjà battre piteusement en retraite pour des faits analogues ?).
En effet, The Lancet omet de préciser que la population concernée par ce fameux chiffre de 68 %, à savoir les personnes âgées de plus de 65 ans, a elle-même augmenté pendant le même laps de temps de plus de 60 %, donc à peu près dans les mêmes proportions. Une analyse statistique sérieuse qui tiendrait compte de ce fait ramènerait ce fameux chiffre de 68 % à moins de 5 %, ce qui compte tenu des niveaux d’erreurs dans les mesures d’un phénomène multifactoriel, n’est même pas significatif.
Il est évident que ce genre d’information biaisée ne vise qu’à pousser dans l’esprit de l’auditeur lambda non informé l’idée que le changement climatique est une menace existentielle (voyez d’ailleurs le parallèle avec le covid) et qu’il devient de plus en plus urgent de prendre des mesures à la hauteur pour non seulement sauver la planète mais aussi nous sauver nous-mêmes de la mort. Voyez les déclaration ahurissantes du secrétaire général de l’ONU : « … coopérer ou périr… » ou de la présidente de la Commission européenne : « … ne prenons pas l’autoroute pour l’enfer… »
Mais si certains meurent « de chaleur », d’autres meurent « de froid ». Ma curiosité naturelle me pousse alors à m’interroger : quelle est l’amplitude comparée des deux phénomènes dans la même population pendant la même période ? Or il se trouve que la réponse est donnée dans le même article du Wall Street Journal cité plus haut. Par exemple, on constate que de 2000 à 2019, rien qu’au Canada et aux États-Unis, en moyenne annuelle, 20 000 personnes décédaient à cause de la chaleur et plus de 170 000 mouraient de froid, soit 8,5 fois plus. En outre, la modélisation des maladies montre que chez les vieilles personnes l’élévation des températures a réduit les « morts de froid » bien plus qu’elle n’a augmenté les « morts de chaleur », dans un rapport de 30 à 1.
L’auteur de l’article du Wall Street Journal, Bjorn Lomborg, un statisticien renommé qui a étudié à fond les données concernant le réchauffement climatique (il fut directeur de l’Environmental Assessment Institute à Copenhague) conclut en soulignant que le changement climatique est bien réel mais que les médias académiques rendent un très mauvais service à leurs lecteurs et à eux-mêmes en privilégiant l’activisme par rapport à l’investigation scientifique honnête.
Pour en revenir à la COP 27, remarquons d’abord que les pays n’ont aucun moyen réel d’agir sur le climat et que c’est par abus de langage qu’on leur demande de limiter le réchauffement. En fait, concrètement, ce qu’on voudrait leur imposer c’est de réduire les émissions de gaz à effet de serre, principalement le gaz carbonique. Et en pratique, que se passe-t-il lors de cette grand-messe ? Ce n’est même pas un catalogue de mesures précises; non, c’est l’annonce d’objectifs, avec une surenchère sur qui promettra d’en faire le plus, sans aucun égard sur la faisabilité pratique des dits objectifs et sur les conséquences désastreuses qui en résulteraient sur le bien-être de l’humanité si par extraordinaire et contre toute probabilité lesdits objectifs étaient atteints.
Observons que cette année, la COP va mettre l’accent sur le transfert d’argent des pays « riches » vers les pays « pauvres » pour compenser les « fautes » commises dans le passé. Évidemment, les pays africains n’attendent que cela… pour se développer : ils utiliseront davantage d’énergie fossile puisque 81 % de l’énergie utilisée dans le monde est d’origine fossile. Non seulement cette générosité va nous appauvrir, mais elle augmentera les émissions mondiales de gaz carbonique, sans compter l’argent qui reste collé aux mains dans ce genre de transfert.
Comment les responsables politiques – dont une bonne partie souhaite en principe le bien-être de leur peuple, en tous cas dans les pays démocratiques, et notamment dans le monde occidental – en sont-ils arrivés là ?
On a l’impression qu’il n’y a plus d’hommes d’État capables de raisonner objectivement et de peser les risques réels. Certes, l’avenir est par définition inconnu et gorgé de dangers potentiels, mais aussi de promesses et d’évolutions positives.
Dans les sphères dirigeantes aujourd’hui, dans les États-nations et encore plus dans les organisations internationales, il règne un état d’esprit catastrophiste, pas toujours sincère d’ailleurs, mais clairement affiché. Certains y voient simplement leur intérêt mais beaucoup, notamment en Europe, y croient plus ou moins véritablement en se laissant imposer les vues de l’alliance objective des groupes de pression de l’écologisme et du capitalisme de connivence.
Ces derniers agissent par le biais de l’opinion publique : en effet, rien de plus efficace par rapport à des responsables élus démocratiquement que de brandir la menace d’une non-réélection s’ils ne se conforment pas à l’idéologie qu’on aura réussi a inculquer aux masses.
Mais confrontés au dilemme « obéir à la réalité » contre « obéir à l’idéologie », les responsables participant aux COP ont trouvé une solution : on annonce des objectifs de plus en plus ambitieux sans jamais dire comment on y arrivera. Mais cette schizophrénie n’a qu’un temps, car comme on le voit de plus en plus aujourd’hui, les lobbies font monter la pression par tous les moyens possibles, laissant de moins en moins d’échappatoires aux responsables.
Parmi les différentes chapelles de l’écologisme, la plus nocive est certainement celle des tenants de la décroissance malthusienne, promoteurs de solutions simples et radicales, certaines confinant tout simplement au génocide d’une bonne partie de l’humanité.
Il n’y a qu’une voie pour sortir de cette folie : reprendre le contrôle du récit intersubjectif en convainquant les masses que la seule voie de leur bien-être est le progrès scientifique et technologique qui permettra de s’adapter aux situations futures quelles qu’elles soient, et redonner (particulièrement à la jeunesse) confiance dans l’avenir.
Il faut aussi arrêter de prostituer la Science, laquelle doit être indépendante de toute consigne politique et entièrement libre d’étudier la réalité.
(...) Il n’est pas facile de toujours rester zen face aux énormités en matière de désinformation que l’on peut constater en faisant le tour des chaînes télé dites d’information en continu. (...)
Pareil ici pour LE VERT BAVOIR où c'est tous les jours que des articles scientifiques sont censurés et même des vidéos avec ses 60 commentaires de retirées !
L'acharnement vise surtout les docteures Carrie Madej (USA) et Astrid Stückelberger (Suisse) qui ont découvert et fait part de leurs constatations qu'à l'analyse des flacons injectables était révélée la présence d'hydres !! et de nano-particules d'oxyde de graphène de 95 à 99 % de leur composition !
Un médecin australien analyse le contenu de piqûres de covid, trouve de l'oxyde de graphène et des nanocircuits auto-assemblés
Vendredi 11 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Curieux de savoir ce qui est réellement contenu dans ces flacons qu'ils appellent des «vaccins» covid, un médecin basé à Brisbane (Australie) du nom de David Nixon a collecté des échantillons et les a examinés au microscope à côté du sang de «entièrement vaccinés », révélant la présence d'oxyde de graphène et d'autres ingrédients inquiétants.
Alors que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis affirment que tous les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont exempts de «métaux, tels que le fer, le nickel, le cobalt, le lithium et les alliages de terres rares» et de «produits manufacturés tels que micro-électronique, électrodes, nanotubes de carbone et nanofils semi-conducteurs », le fait est que ce n'est tout simplement pas vrai.
La photographie accélérée capturée par Nixon a révélé non seulement la présence d'oxyde de graphène, mais aussi ce qui semblait être "des bras mécaniques assemblant et désassemblant des structures rectangulaires brillantes qui ressemblent à des circuits et des micropuces", pour citer Spectator.
"Ce ne sont pas des" produits manufacturés "selon les termes du CDC car ils se construisent et se déconstruisent mais la formation des cristaux semble être stimulée par le rayonnement électromagnétique et s'arrête lorsque la lame contenant le vaccin est protégée par un sac de Faraday", poursuit le magazine. signalé.
"Les découvertes de Nixon sont similaires à celles d'équipes en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, en Espagne et en Corée du Sud." (En relation: des scientifiques britanniques ont également confirmé la présence d'oxyde de graphène dans des flacons d'injection covid.)
Plus de 94 % du sang vacciné contre le covid contient des cellules « déformées » et des « corps étrangers luminescents » Une autre étude similaire a été menée par un groupe italien dirigé par Riccardo Benzi Cipelli, qui a examiné des échantillons de sang prélevés sur plus de 1 000 personnes qui avaient été injectées pour la grippe chinoise environ un mois auparavant.
Tous les patients en question ont été référés pour analyse parce qu'ils ont signalé un certain degré d'effets secondaires après l'injection. Cipelli et son équipe espéraient comprendre ce qui était arrivé aux corps de ces personnes en examinant de plus près l'état de leur sang.
Les échantillons de sang provenaient de patients âgés de 15 à 85 ans, qui ont tous reçu entre une et trois doses de vaccin contre la grippe Fauci.
Il a été découvert qu'un pourcentage choquant de 94 % des échantillons présentait des "lectures anormales". Cela comprenait des globules rouges déformés, une réduction du nombre de globules sanguins et une agrégation autour de « corps étrangers luminescents qui attiraient également des amas de fibrine ».
"Certains des corps étrangers parsemaient le sang comme une nuit étoilée, certains se sont auto-assemblés en structures cristallines et d'autres en branches et tubes grêles", a ajouté Spectator.
Les scientifiques impliqués pensent que les particules métalliques qu'ils ont observées ressemblent à « de l'oxyde de graphène et peut-être à d'autres composés métalliques ». Ce sont certainement des choses que vous ne voudriez pas voir flotter dans votre sang après avoir pris un prétendu « médicament ».
«Ils pensent que le sang endommagé contribue aux troubles de la coagulation post-vaccinaux, qui à leur tour contribuent à l'augmentation des tumeurs malignes, tandis que les matériaux de la famille des graphènes sont associés au stress oxydatif, aux dommages à l'ADN, à l'inflammation et aux dommages aux parties du système immunitaire qui suppriment les tumeurs. », expliquent en outre les rapports.
Ensuite, nous avons le composant ARN messager (ARNm) des injections, qui a été conçu pour être «masqué» du système immunitaire du receveur. On pense que cette capacité de camouflage réduit la fonctionnalité immunitaire des personnes entièrement piquées, un phénomène également connu sous le nom de SIDA induit par le vaccin ou VAIDS.
Lorsqu'ils sont laissés à température ambiante, les vaccins à ARNm se sont en outre avérés former spontanément des puces et des circuits. Ces objets étrangers ont également été identifiés dans les échantillons de sang prélevés sur les personnes entièrement piquées.
"La situation est d'autant plus alarmante qu'il devrait y avoir moins de décès maintenant, car tant de personnes sont mortes plus tôt dans la pandémie", rapporte Spectator. "Il y a aussi eu une augmentation spectaculaire du nombre de personnes handicapées."
Vous voulez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des vaccins ? Assurez-vous de consulter Vaccines.news.
La stagflation nous menace-t-elle à nouveau comme le suggérait récemment la Banque Mondiale ?
le 12 novembre 2022 Par Julien Pillot.
À mesure que des questions de société émergent et que de nouveaux défis s’imposent aux sciences et technologies, notre vocabulaire s’étoffe, s’adapte. Des termes qu’on croyait déjà bien connaître s’enrichissent de significations inédites, des mots récemment créés entrent dans le dictionnaire. D’où viennent-ils ? En quoi nous permettent-ils de bien saisir les nuances d’un monde qui se transforme ? De « validisme » à « silencier », de « bifurquer » à « dégenrer », les chercheurs de The Conversation s’arrêtent deux fois par mois sur l’un de ces néologismes pour nous aider à mieux les comprendre et donc de mieux participer au débat public.
En ces temps d’incertitudes économiques, le terme « stagflation » revient avec insistance dans l’actualité. Revient, car ce mot, contraction de stagnation et d’inflation, ne date pas d’hier. Attribué au politicien Iain N. Macleod pour décrire la situation économique de la Grande-Bretagne au milieu des années 1960, il a été repris par les économistes pour dépeindre celle de nombre de pays développés suite au choc pétrolier de 1973.
À l’époque, la hausse du prix du baril (de 4 dollars à 16 dollars) avait plongé l’ensemble des marchés dans une longue période de stagnation – voire de récession – du PIB, de forte inflation (soit l’augmentation de l’indice général des prix) et de hausse du chômage. Pour la France, voilà qui mit un point final aux Trente Glorieuses, période marquée par un grand dynamisme industriel et une forte augmentation du niveau de vie.
D’abord, les chercheurs en travaux économiques se sont évertués à mettre en évidence les deux principales causes de l’apparition d’une stagflation.
D’une part, l’augmentation du coût de l’énergie et/ou des intrants (les matières premières ou la force de travail, par exemple) induit une forte hausse des coûts de production qui concourt à la hausse des prix, au ralentissement de la consommation, et à celle de la production, du fait de perspectives de rentabilité dégradées.
D’autre part, les situations prolongées de surliquidité (soit la masse monétaire en circulation en excédent) finissent par dégrader la valeur de la monnaie.
Confrontés à l’inflation et l’érosion de leur pouvoir d’achat, les employés sont alors fondés à réclamer des hausses de salaire… qui finissent par soutenir la hausse de prix sous l’augmentation conjointe des coûts de production et de la demande. Une telle boucle prix/salaire se révèle donc néfaste à l’industrie dont les capacités de production et de création d’emplois sont durablement altérées.
Les deux effets conjugués conduisent à la hausse des prix, au ralentissement économique et à une augmentation du chômage, c’est-à-dire précisément une stagflation :
- voir croquis sur site -
Dans les années 1970, la stagflation avait mis un coup d’arrêt aux politiques keynésiennes alors largement poursuivies dans les pays développés. Celles-ci reposaient sur la croyance erronée en une relation inverse entre le chômage et l’inflation (la fameuse courbe de Phillips) et un important interventionnisme de l’État. Les gouvernements menaient alors des politiques budgétaires et monétaires dites expansionnistes, via les dépenses publiques et la baisse des taux d’intérêt directeurs, pour soutenir l’économie.
Le caractère inopérant de ces politiques en situation de stagflation a ouvert la voie aux thèses monétaristes (portées notamment par Milton Friedman ou Edmund Phelps) selon lesquelles les agents économiques, anticipant une inflation future, négocient des hausses de salaire. Nous retrouvons alors la fameuse boucle prix/salaire, fruit d’anticipations qui valident une sorte de prophétie autoréalisatrice. Dès lors, en situation de stagflation, il convient de substituer aux politiques de soutien à la demande des politiques orientées vers l’offre (pour lutter contre le chômage), et d’adopter des politiques de rigueur (de façon à réduire l’inflation).
La stagflation nous menace-t-elle à nouveau comme le suggérait récemment la Banque Mondiale ? Il est vrai que certaines similitudes sont troublantes, comme la hausse du prix de l’énergie ou les difficultés d’approvisionnement. De leur côté, les banques centrales relèvent certes progressivement leurs taux directeurs, mais les taux réels restent pour l’heure trop bas pour corriger l’inflation.
Pour autant, s’il semble acquis que l’économie mondiale va connaître une période de récession, et que l’inflation pourrait s’installer durablement, le retour de la stagflation reste peu probable pour l’heure. Les tensions sur le marché du travail ne devraient pas alimenter de boucle prix/salaire, tandis que les investissements dans une industrie plus souveraine et la transition écologique offrent une perspective de soutien à l’économie. Reste que le retour de ce mot résonne comme la réminiscence d’un trauma collectif que les économies développées entendent bien ne pas revivre.
Julien Pillot, Enseignant-Chercheur en Economie (Inseec) / Pr. associé (U. Paris Saclay) / Chercheur associé (CNRS), INSEEC Grande École
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
À l’époque, la hausse du prix du baril (de 4 dollars à 16 dollars) avait plongé l’ensemble des marchés dans une longue période de stagnation (...)
Rappel que durant la 'guerre du Golfe' (1990/1991) l'Irak du cher Saddam Hussein vendait son pétrole à la pompe à Bagdad à... 1 franc les 200 litres !! soit 15 centimes d'euro pour 200 litres !! ce qui -même quadruplé - s'affiche 60 centimes d'euro les 200 litres, ce qui nous donne 0,3 centime le litre !! ou 10 litres pour 3 centimes d'euro ! C'est çà qui est appelé 'le choc pétrolier' !!
Les prévisions apocalyptiques malthusiennes dont s’inspirent les partisans de la décroissance sont sans fondement.
le 12 novembre 2022 Par Germain Belzile et Alexandre Moreau, depuis le Canada. Un article de l’Institut économique de Montréal
Récemment, une série de capsules vidéo sur la « décroissance économique » et ses bienfaits a enflammé la toile québécoise. Cette série, produite par Radio-Canada, suggère que nous vivons sur une planète de moins en moins propre, plus pauvre, mal nourrie et que la santé des humains diminue.
Il n’y aurait qu’une minorité de riches qui tirent profit de la situation actuelle et ceux-ci alimentent une croissance effrénée qui nous pousse à demander à la Terre davantage que ce qu’elle est capable d’offrir. En somme, notre existence est actuellement insoutenable et seule la décroissance permettrait de vivre en harmonie avec notre planète.
Le triomphe de Malthus
Ce discours alarmiste repose sur les idées de Thomas Malthus, un démographe anglais du XVIIIe siècle. Malthus affirmait que la croissance de la population et celle de la production étaient insoutenables et que les ressources de la planète seraient bientôt épuisées. Ultimement, il prédisait des famines, une croissance importante de la pauvreté et rien moins que la fin de l’humanité,= si rien n’était fait pour contrôler l’augmentation de la population.
En agriculture, les rendements ont tellement augmenté que l’on peut nourrir un nombre croissant de personnes avec une superficie équivalente : la production mondiale de céréales a presque quadruplé en 50 ans alors que la superficie des terres cultivées est demeurée relativement stable. Pourquoi ? La recherche du profit a incité les agriculteurs à augmenter leur productivité, les fournisseurs de machinerie et de semences à offrir des produits améliorant l’efficience du travail et le rendement des céréales.
Une décroissance aux prévisions sans fondements
Dans la logique malthusienne, pour quadrupler la production, il aurait fallu quadrupler la superficie des terres cultivées, ce qui aurait accru la déforestation. Au contraire, l’innovation a permis de la réduire alors même que le niveau de développement économique augmente. C’est d’ailleurs principalement dans les pays moins développés que l’on observe une diminution du couvert forestier.
Les prévisions apocalyptiques malthusiennes sont sans fondement. L’idée de la décroissance peut paraître séduisante à première vue ici, dans l’une des sociétés les plus riches au monde, mais elle ne ferait certainement pas consensus dans les pays en développement, aux économies peu productives, et où les gens vivent malgré eux selon l’idéal des disciples de Malthus.
Pourquoi ? Parce que plus un pays s’enrichit, plus le taux de mortalité infantile diminue, plus le travail effectué par des enfants diminue, plus le niveau de pauvreté absolue diminue (il est passé de plus de 80 à seulement 10 % en deux siècles), plus le nombre d’heures travaillées diminue, plus les inégalités entre les hommes et les femmes diminuent, plus le taux de mortalité lié à la malnutrition diminue, plus l’espérance de vie augmente, etc.
La théorie économique explique ces relations par la division et la spécialisation du travail qui sont rendues possibles par les échanges commerciaux
Un meilleur environnement
Au bout du compte, grâce à la hausse du niveau de vie nous avons davantage de temps pour notre famille et nos loisirs tout en ayant une meilleure qualité de vie, ce qui serait impossible dans un monde où les idées malthusiennes triompheraient.
Et l’environnement ? La croissance économique nous permet de consacrer davantage de ressources à la recherche afin d’innover, et cette innovation nous permet d’en faire plus avec moins. Dans une société plus riche, où les besoins de base sont couverts, l’environnement devient une plus grande source de préoccupation, favorisant ainsi le développement d’un cadre réglementaire minimal qui protège à la fois la propriété privée et nos écosystèmes. Ainsi, une entreprise qui pollue doit rendre des comptes, ce qui contribue à la protection de nos cours d’eau et de nos forêts.
Ce cadre réglementaire est souvent absent dans les pays moins développés. Dans cette perspective, on est moins surpris d’apprendre que plus de la moitié des déchets polluant nos océans proviennent de cinq pays où la propriété privée et le niveau de développement économique sont relativement faibles (Chine, Indonésie, Philippines, Vietnam et Sri Lanka).
Tout cela ne signifie pas que nous ne devons pas faire d’efforts supplémentaires pour être plus écologiques dans notre consommation et réduire la quantité de déchets que nous produisons. Par contre, il va de soi que les solutions proposées par des entrepreneurs seront beaucoup plus utiles que des prévisions apocalyptiques qui proposent un système contraignant et appauvrissant.
(...) la production mondiale de céréales a presque quadruplé en 50 ans alors que la superficie des terres cultivées est demeurée relativement stable. (...)
Sans que la population n'est été multipliée par 4 !
Crise énergétique maison ? Une autre raffinerie, propriété de Chevron, prend feu – sabotage des infrastructures pétrolières ?
Vendredi 11 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) La nuit des élections de mi-mandat, une autre raffinerie de pétrole, celle-ci appartenant à Chevron et située à El Segundo, en Californie, a pris feu dans des circonstances mystérieuses.
Les pompiers ont été appelés sur les lieux, qui ont été décrits comme un "incendie massif" – voir la vidéo ci-dessous. Les responsables disent qu'ils n'ont aucune idée de la façon dont l'incendie a commencé.
?#BREAKING : Une raffinerie de pétrole Chevron est engloutie par les flammes
?#ElSegundo l #Californie
À l'heure actuelle, plusieurs pompiers luttent contre un incendie massif dans une partie d'une raffinerie de pétrole Chevron à el segundo Les responsables californiens disent qu'il n'est pas clair sur la façon dont l'incendie s'est déclenché alors que le feu se propage pic.twitter.com/9gLgPJlZl0
– R A W S A L E R T S (@rawsalerts) 9 novembre 2022
Le lendemain, Reuters a rapporté que «l'incendie isolé» s'était produit à l'intérieur de la raffinerie de Chevron de 269 000 barils par jour (bpj) et qu'il était maintenant éteint.
Aucune des "unités de traitement majeures" de l'installation n'a été affectée, selon le même rapport. (En relation: En septembre, de nombreuses raffineries de pétrole de l'Ohio ont mystérieusement pris feu et ont dû être fermées.)
Les pompiers ont pu éteindre complètement le feu vers 20h35. PST peu de temps après la fermeture des bureaux de vote et le dépouillement des votes.
Un porte-parole de la société Chevron affirme que l'incendie n'a pas eu d'impact sur la capacité de la raffinerie à fournir des produits pétroliers aux clients de toute la région de la Californie du Sud.
L'installation Chevron où un incendie s'est produit produit 20% du carburant des véhicules et 40% du carburéacteur dans le sud de la Californie Le feu s'est déclaré peu avant 18h13. lorsque l'expédition a été appelée. Il a été considéré comme une "alarme à deux niveaux" affectant El Segundo, ainsi que Manhattan Beach, Redondo Beach et le comté de Lose Angeles.
Selon le site Web de Chevron, la raffinerie d'El Segundo en question fournit 20% de tout le carburant pour véhicules à moteur dans le sud de la Californie. Il fournit également 40% de tout le carburéacteur consommé dans le sud.
L'incident s'est produit à un moment où les prix de l'essence en Californie grimpent à 6 $ le gallon et au-delà. Ils ont légèrement baissé avant les élections de mi-mandat, mais devraient maintenant augmenter d'un autre dollar par gallon en décembre.
Pendant ce temps, des « travaux planifiés » seraient programmés dans deux raffineries concurrentes proches de la raffinerie de Chevron. Il s'agit notamment de la raffinerie de 363 000 b/j de Marathon à Los Angeles et de la raffinerie de 145 000 b/j de Valero à San Francisco.
Est-ce tout simplement une coïncidence, ou ces incendies et événements de « travaux planifiés » sont-ils coordonnés pour réduire davantage les approvisionnements en combustibles fossiles de l'Amérique, et donc l'indépendance énergétique de notre pays ?
Gardez à l'esprit que de nombreuses autres raffineries ont également été touchées par de mystérieux incendies ces derniers mois, tout comme une série d'installations de production alimentaire dans tout le pays. Est-ce que cet écoterrorisme et ce dépeuplement sont à l'œuvre ?
"Joe a dit plus de pétrole", a écrit un commentateur à ce sujet, faisant référence, bien sûr, au faux président Joe Biden et à son programme anti-carburants fossiles. « C'était d'abord l'approvisionnement alimentaire ; maintenant, ils recherchent des capacités de carburant.
Un autre a écrit qu'"ils font cela chaque fois qu'ils ont besoin d'une excuse pour augmenter encore les prix".
"Cela fait partie de leur livre de jeu", a ajouté cette personne.
Si tout cela est planifié comme beaucoup le pensent, alors le pays, et vraisemblablement le monde, est sur le point de subir une transformation massive de désindustrialisation, ce qui signifie également beaucoup de dépeuplement.
"Le mouvement" vert "nous ramènera à l'âge de pierre", a lancé un autre commentateur. "Il n'y a pas de "réchauffement climatique". Même le terme "combustibles fossiles" est un terme impropre. La terre produit toute l'énergie dont nous avons besoin.
"Cela affectera négativement les prix que les consommateurs californiens paient à la pompe", a ajouté un autre à la conversation – bien que beaucoup soutiennent que le reste du pays souffrira également.
"La seule chose est que pendant que l'incendie de la raffinerie Chevron sera local en Californie, l'arrêt du pétrole brut de SPR (réserves stratégiques de pétrole) aura un effet national."
Le secteur américain de l'énergie fossile est attaqué. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Terrorism.news.
TOUS les modèles climatiques officiels surestiment radicalement le réchauffement, révèle une analyse
Vendredi 11 novembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le climatologue bien connu, le Dr Roy Spencer, a récemment publié un article qui expose que tous les modèles climatiques sont complètement faux en ce qui concerne l'état de «réchauffement» sur la planète Terre.
Les lectures réelles de la température par satellite montrent que la planète se réchauffe à peine - et même le réchauffement observé pourrait n'être qu'une anomalie statistique car il est vraiment si petit. Mais vous ne le sauriez jamais à partir des modèles climatiques officiels.
« Comment est-il possible que CHAQUE MODÈLE CLIMATIQUE prédise un réchauffement supérieur à celui observé ? » demande le blog No Consensus. (Connexe : Des scientifiques indépendants ont confirmé qu'il n'y a pas d'urgence climatique.)
« La science du climat est l'un des domaines les plus financés gratuitement de l'histoire de la science. Ils obtiennent des satellites, des vols, des conférences, toute une division MASSIVE des Nations Unies, des bâtiments, des départements universitaires, des superordinateurs, des chèques de paie ridicules, des récompenses monétaires insensées, une reconnaissance internationale, des publicités télévisées… des câlins de filles sexy… encore et encore.
Non, la planète ne se réchauffe PAS
Toutes ces bêtises sont payées avec vos impôts, soit dit en passant. Aucune de ces folies climatiques ne serait possible si ce n'était pour des dizaines de millions de personnes qui versent un pourcentage important de leur salaire aux psychopathes en charge.
La seule raison pour laquelle ils continuent de s'en tirer en trompant le monde et en escroquant la société du véritable succès et de la prospérité, c'est parce que Nous, le peuple, leur permettons de le faire.
La science est claire : la planète ne se réchauffe pas. Si quoi que ce soit, elle se refroidit en ce moment. Et à un moment donné dans le futur, il recommencera à se réchauffer parce que c'est ainsi que fonctionne le climat.
Le monde est certainement sur une trajectoire accélérée vers le désastre, mais pas parce que les humains conduisent des voitures et mangent de la viande. Non, la vraie raison est que les psychopathes gouvernent le monde et le détruisent avec leur fiction climatique sans fin.
La vérité est que chaque modèle climatique sur la planète Terre est frauduleux en ce sens qu'ils sur-prédisent tous massivement l'état du temps. Si quoi que ce soit, les choses sont toujours les mêmes qu'elles l'ont toujours été, malgré la révolution industrielle.
"Cela doit être crié sur les toits", a écrit un commentateur. "Il y a des milliards de dollars d'incitations, payés par les contribuables, distribués pour de mauvaises informations sachant que ce sont de mauvaises informations mais acceptant le faux récit, et les bonnes informations sont censurées."
Soit dit en passant, le Dr Spencer a récemment fait censurer sa chaîne YouTube pour avoir trop révélé sur la fraude climatique qui est transmise comme «vérité» par les mondialistes. Ils ne peuvent tout simplement pas tolérer des points de vue opposés, c'est ainsi que vous savez que leur dogme est faux.
"Lorsque vous vivez dans un monde qui rejette la réalité et met le fantasme à sa place, puis exige que vous soyez d'accord avec le fantasme ou que vous subissiez des conséquences douloureuses, il devient de votre devoir de CRIER que le fantasme est un mensonge", a écrit un autre commentateur.
Quelqu'un d'autre a souligné que la foule du réchauffement climatique ignore délibérément le fait que l'Antarctique a connu une accumulation record de froid, de neige et de glace au cours des dernières décennies. En d'autres termes, les choses ne se réchaufferont certainement pas dans cette partie du monde.
"Même au cours des dernières années, le froid, la neige et la glace de l'Antarctique ont atteint un nombre record", a ajouté cette personne.
« Le nombre d'ouragans et de tornades catastrophiques a diminué au cours des deux dernières décennies. Les océans n'ont pas augmenté de manière appréciable autre que le cirage et le déclin normaux des cycles de fonte et d'évaporation des glaces. De plus, les sécheresses, les coups de froid et les conditions météorologiques extrêmes sont la règle tout au long de l'histoire enregistrée. Il existe des archives claires remontant aux années 1400 confirmant ce fait.
Les dernières nouvelles liées au climat peuvent être trouvées sur Climate.news.
Des fermes appartenant à des étrangers drainent les aquifères du sud-ouest pour nourrir le bétail à l'étranger
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 12 NOVEMBRE 2022 - 01:20
Alors que le sud-ouest américain souffre d'une aggravation des conditions de sécheresse, les fermes étrangères ont siphonné l'eau des aquifères souterrains pour cultiver des cultures assoiffées d'eau comme la luzerne, qui finissent par se retrouver à l'étranger pour nourrir le bétail et d'autres animaux étrangers.
"Vous ne pouvez pas prendre de l'eau et l'exporter hors de l'État, il y a des lois à ce sujet", a déclaré le géohydrologue de l'Arizona Marvin Glotfelty à CNN. "Mais vous pouvez prendre de l'eau "virtuelle" et l'exporter ; de la luzerne, du coton, de l'électricité ou tout ce qui est créé en partie à partir de l'utilisation de l'eau."
Les résidents du comté de La Paz, en Arizona, sont particulièrement frustrés par les « immenses fermes appartenant à des étrangers » de la région qui profitent des lois laxistes sur les eaux souterraines qui donnent le dessus à l'utilisation agricole, permettant aux fermes de pomper de l'eau illimitée sous les propriétés qu'elles possèdent ou louent.
La superviseure du comté, Holly Irwin, a déclaré à CNN qu'amener l'État à agir, ou même à reconnaître, la diminution de l'approvisionnement en eau de l'État s'est avéré un exercice «frustrant» et futile.
Selon Irwin, les entreprises agricoles du Moyen-Orient "ont épuisé leur [eau], c'est pourquoi elles sont ici", ajoutant "C'est ce qui irrite le plus les gens. Nous devrions prendre soin des nôtres, et nous leur permettons simplement d'entrer, acheter une propriété et continuer à percer des trous dans le sol."
En fait, 80% de l'Arizona n'a pas de lois régissant la quantité d'eau pouvant être drainée par les mégafermes d'entreprise, ni aucun moyen de la suivre, selon le rapport.
"Les gars du puits et moi n'avons jamais rien vu de tel auparavant", a déclaré Gary Saiter, résident de longue date de Wenden, en Arizona, qui a déclaré qu'une société basée aux Émirats arabes unis, Al Dahra, avait puisé dans un réservoir souterrain qui stocke l'eau accumulée au-dessus. des milliers d'années.
[L]es communautés rurales du comté de La Paz savent que l'eau disparaît sous leurs pieds.
Les puits résidentiels peu profonds du comté ont commencé à s'assécher en 2015, selon les responsables locaux, et les niveaux des puits municipaux plus profonds ont régulièrement diminué. À Salomé, le propriétaire du service d'eau local, Bill Farr, a déclaré à CNN que son puits - qui alimente en eau plus de 200 clients, y compris les écoles locales - approche de la fin de sa durée de vie utile. -CNN
Selon Saiter, l'eau du puits de la ville a chuté - la profondeur de l'eau passant d'environ 100 pieds sous la surface dans les années 1950 à environ 540 pieds en 2022 - bien au-delà de ce qu'un puits résidentiel moyen peut atteindre.
L'expansion du Moyen-Orient frappée par la sécheresse dans le sud-ouest des États-Unis s'est accélérée après une interdiction saoudienne en 2018 de cultiver des cultures assoiffées d'eau comme la luzerne et le foin pour nourrir le bétail et le bétail, mais ils ont une «fierté nationale» au Moyen-Orient en ce qui concerne leurs vastes exploitations laitières.
"Ils ont toutes leurs vaches là-bas et ils ont besoin de nourriture. Cette matière première vient de l'étranger", a déclaré à CNN Eckart Woertz, directeur de l'Institut GIGA pour les études sur le Moyen-Orient, basé en Allemagne.
Par exemple, la société Almarai, qui possède environ 10 000 acres de terres agricoles en Arizona sous la filiale Fondomonte, est l'une des plus grandes sociétés d'approvisionnement en produits laitiers du Moyen-Orient. Il possède également environ 3 500 acres dans le sud de la Californie qui utilisent l'eau du fleuve Colorado pour irriguer les cultures.
Woertz a déclaré que si la plupart des aliments pour bétail de l'entreprise sont achetés sur le marché libre, Alamarai a franchi une étape supplémentaire en achetant des terres agricoles à l'étranger, dans le cadre d'une tendance croissante aux terres agricoles appartenant à des étrangers aux États-Unis. Les terres agricoles appartenant à des étrangers dans l'Ouest sont passées d'environ 1,25 million d'acres en 2010 à près de trois millions d'acres en 2020, selon les données du département américain de l'Agriculture. Dans le Midwest, les terres agricoles appartenant à des étrangers ont presque quadruplé.
...
Dans le haut désert de l'Arizona, des champs vert émeraude s'étendent sur des kilomètres aux côtés de tumbleweeds secs et de cactus Saguaro.
Le Vicksburg Ranch, propriété de Fondomonte, près de Salomé, est immense. La société a dépensé 47,5 millions de dollars pour y acheter près de 10 000 acres (4046 ha) de terrain en 2014, et elle loue des terres agricoles supplémentaires à l'État. -CNN
"Cela vous donne l'impression d'être plus proche de la source", a déclaré Woertz. "Le sentiment que vous possédez ou louez des terres ailleurs et que vous avez un accès bilatéral direct [à l'eau] vous donne peut-être un sentiment de fausse sécurité."
Comme Regina Cobb, membre sortante de la State House, a demandé à CNN : "Pourquoi permettons-nous à une entreprise étrangère d'entrer en Arizona - qui est frappé par la sécheresse en ce moment - et d'avoir un accord de faveur [sur les baux], alors que nous essayons de conserver autant d'eau comme nous pouvons ?"
Comme il en est pour le pétrole où les nappes se reremplissent en une dizaine d'années il en est pour l'eau. Mais, s'il en est pour l'or noir sorti aux derricks, l'eau est plus conflictuelle en ce qu'il est du domaine des irrigations fournissant la nourriture. La proportion d'eau accessible est - certes - mille fois plus que l'arrivée du pétrole abiotique. Car, depuis ses infiltrations sous maritimes & océaniques elle abonde en sous-sols. Mais, la quantité consommée est aussi mille fois plus intense. D'où le problème dû au refroidissement planétaire qui réduit les évaporations maritimes & océaniques sur notre globe et qui appartient au pouvoir magmatique qui s'avère être en insuffisance ces derniers temps ! La désalinisation des eaux (de mers & d'océans) appartient à l'énergie nécessaire pour en faire disparaître les impuretés. SCHEMA: Prendre une boite d'eau (sale, urine, eau noire, etc) et la poser sur une poêle posée sur le feu. Recouvrir ladite boite centrale avec une plus grande boite retournée dessus-dessous dans la poêle. La combustion entraînera une évaporation qui s'établira dans la grande boite et qui s'écoulera vers la poêle. Cette eau sera pure ! Sans couleur, ni odeur ni bactérie. C'est ce qui se passe continuellement avec les infiltrations vers la masse ferrique incandescente sous nos pieds et qui apporte l'eau propre aux sources
L'embargo de l'UE sur le pétrole russe sera une aubaine pour l'OPEP
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 20:43 Rédigé par Haley Zaremba via OilPrice.com,
Le climat actuel du marché pétrolier est complexe, c'est le moins qu'on puisse dire.
L'Europe se prépare à décréter son embargo sur le pétrole russe et les raffineurs se bousculent pour trouver des alternatives.
De nombreuses personnes à la recherche de nouvelles sources de brut ont atterri sur les producteurs du Moyen-Orient comme alternative potentielle.
Alors que le monde a imposé une grande variété de sanctions à la Russie à la suite de l'invasion 'illégale' et de l'annexion partielle de l'Ukraine par Vladimir Poutine, la plupart d'entre elles ont été relativement impuissantes. Pour frapper la Russie là où ça fait mal, le monde doit cesser d'acheter de l'énergie au titan du pétrole et du gaz. Mais imposer des sanctions énergétiques au Kremlin alors que l'Europe dépendait du pétrole et du gaz russes pour garder les lumières allumées aurait été au mieux une victoire à la Pyrrhus.
Enfin, l'Europe est en mesure de commencer à prendre au sérieux les sanctions énergétiques, mais assurer un approvisionnement énergétique supplémentaire suffisant pour remplacer les importations russes ne sera pas une mince affaire.
En effet, alors que l'Europe s'est rapprochée d'un allégement de sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie et a progressivement renforcé ses sanctions contre l'énergie russe, le Kremlin a riposté durement et les marchés européens sont toujours sous le choc. Début septembre, lorsque les pays du G7 ont convenu d'imposer un plafonnement des prix du pétrole russe, la Russie a réagi en coupant complètement le flux de gaz via le gazoduc Nord Stream 1 en quelques heures, invoquant une maintenance suspecte.
Alors que cette perte du jour au lendemain d'approvisionnements énergétiques cruciaux a aggravé une crise énergétique déjà grave en Europe, elle a également galvanisé le développement de nouvelles sources d'énergie et de nouveaux partenaires commerciaux. En fait, bien que la crise énergétique en Europe reste grave, elle n'a pas été aussi dévastatrice que de nombreux experts l'avaient prédit. La demande d'énergie a chuté en réponse à la flambée des prix, et les énergies alternatives se sont montrées à la hauteur. Dans le cadre de l'effort visant à remplacer les importations énergétiques russes, 18 des 27 pays de l'Union européenne ont établi de nouveaux records de production d'énergie solaire cette année. Dans le sillage de ces développements, l'Europe est prête à jeter le gant. Dans moins d'un mois, les pays de l'Union européenne ne seront plus légalement autorisés à acheter du fret maritime à la Russie alors que le bloc continue d'intensifier les sanctions contre le Kremlin.
Bien que l'essor de l'énergie solaire soit une bonne nouvelle pour l'Europe et pour le climat, cette capacité de production supplémentaire ne couvrira qu'une fraction de l'énergie nécessaire pour combler le vide massif laissé par la Russie sur les marchés énergétiques occidentaux. Alors que le résultat sera un ralentissement économique pour l'Union européenne et la Russie, il y aura un grand gagnant : le Moyen-Orient.
Déjà, les raffineries de pétrole du monde entier se précipitent pour conclure des accords et garantir l'approvisionnement en pétrole brut du Moyen-Orient pour l'année à venir.
Cependant, certaines des raffineries qui se démènent pour obtenir des contrats à terme pourraient se voir refuser leurs demandes, car l'OPEP+ a déjà accepté d'imposer une réduction majeure de la production, au grand désarroi de l'Occident. À partir de ce mois-ci, l'OPEP+ réduira les quotas de production de deux millions de barils par jour. Alors que les États-Unis ont publiquement condamné cette décision, affirmant que le cartel du pétrole soutenait la Russie, les pays de l'OPEP avaient un intérêt économique légitime à soutenir les prix du pétrole. Craignant qu'une récession mondiale à venir et des blocages continus en Chine ne réduisent la demande de pétrole, les pays membres de l'OPEP tentent de se protéger des pertes potentielles de l'année prochaine.
En conséquence, les pays importateurs de pétrole ont devant eux un tableau complexe : d'une part, la demande mondiale de pétrole pourrait chuter considérablement au cours de l'année à venir ; d'un autre côté, si l'Europe commence à s'emparer du brut du Moyen-Orient, cela pourrait conduire à "une intensification de la concurrence pour les cargaisons spot en provenance des États-Unis, de la mer du Nord et même du golfe Persique". C'est selon World Oil, qui rapporte que l'intérêt soudain de l'Europe pour le pétrole non russe pourrait entraîner des difficultés pour les importateurs asiatiques. Selon ce rapport, "les cargaisons en provenance de la mer du Nord et du Kazakhstan sont également de plus en plus récupérées par les Européens, laissant moins d'options aux raffineurs asiatiques qui ont évité les barils russes".
Tout cela pour dire que les perspectives des marchés pétroliers en 2023 sont pour le moins complexes. En effet, l'économie actuelle lance toutes sortes de messages contradictoires et d'indicateurs déroutants qui ont même des experts de haut niveau confus quant à la direction dans laquelle les vents soufflent. Avec toute cette incertitude dans l'air, le climat est difficile pour les grandes décisions énergétiques.
Les dirigeants de l'UE accusent les producteurs américains de gaz naturel de profiter
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 12:30 Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,
Les dirigeants européens sont mécontents des prix du gaz naturel.
Certains dirigeants insistent pour que l'UE impose un plafond de prix sur toutes les importations de gaz naturel, quelle qu'en soit l'origine.
Le GNL américain a été plus cher que le gazoduc provenant de Russie en termes réels.
Le mois dernier, le président français Emmanuel Macron a accusé les États-Unis de «double standard» en raison de la différence entre le prix auquel le gaz naturel liquéfié produit aux États-Unis se vend en Europe et le prix auquel le gaz naturel se vend aux États-Unis.
"L'économie nord-américaine fait des choix par souci d'attractivité, ce que je respecte, mais ils créent un double standard", a déclaré Macron, ajoutant également qu'"ils autorisent des aides d'État allant jusqu'à 80% sur certains secteurs alors que c'est interdit ici". – vous obtenez un double standard.
Il n'était pas le seul parmi les dirigeants nationaux européens à être mécontent des prix de l'essence.
En fait, jusqu'à 15 dirigeants étaient mécontents et ils ont insisté pour que l'UE impose un plafond de prix sur toutes les importations de gaz naturel, quelle que soit leur origine.
L'idée faisait suite à de délicates tentatives pour convaincre la Norvège de vendre son gaz à prix réduit et à des tentatives tout aussi délicates pour convaincre les producteurs américains de la même chose.
Maintenant, les États-Unis répliquent aux accusations.
"Ce qui se passe, ce sont les entreprises qui détiennent ces contrats à long terme avec les producteurs américains de GNL, elles marquent cela et gagnent cette marge sur le marché européen", a déclaré Brian Crabtree, secrétaire adjoint au ministère de l'Énergie, au Financial Times. .
"Ce n'est pas la société américaine de GNL, ce sont essentiellement des sociétés pétrolières et des négociants internationaux dont le siège est en Europe."
En effet, les producteurs de gaz naturel liquéfié ne vendent pas systématiquement leur produit directement au consommateur, face à un pays d'Europe par exemple. Ils travaillent avec des majors de matières premières telles que Vitol et Trafigura, ou les supermajors, dont BP et Shell.
Prenez Cheniere Energy, le plus grand producteur de GNL aux États-Unis. Plus tôt cette année, Cheniere a signé un accord de vente et d'achat à long terme pour son GNL avec Chevron. Dans le cadre de l'accord, Chevron achètera 2 millions de GNL à Chevron par an, puis le revendra au prix qu'il jugera juste.
Cette année également, Cheniere a également conclu un autre accord de vente et d'achat avec le norvégien Equinor, cette fois pour un volume annuel de 1,75 million de tonnes de GNL. Ces 1,75 million de tonnes seront également vendues à un prix fixé par Equinor, et non par Cheniere.
Il faut brûler encore plus de charbon et de résidus pétroliers pour sauver le climat !
le 11 novembre 2022
Il ne faut pas oublier aussi et surtout les résidus des raffineries de pétrole riches en soufre, de haute viscosité à la température ambiante qui ne peuvent être valorisés. En effet, selon la provenance du pétrole ces résidus sont présents en quantités variables mais tous les pétroles conduisent à des résidus comme les goudrons utilisés pour les revêtements routiers et les HFO (High Fuel Oils) visqueux à température ambiante comme mentionné ci-dessus, propriété physique réduisant les risques d’inflammation quand ils sont stockés dans les soutes des grands navires. De plus, par unité de volume ces HFO représentent une quantité d’énergie supérieure à celle du diesel léger utilisé par les véhicules routiers. Leur seule voie de valorisation est donc le transport maritime équipé de moteurs de propulsion deux-temps de cylindrée conséquente, jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de litres pour les plus imposants qui comptent jusqu’à 14 cylindres en ligne. La teneur élevée en dérivés soufrés de ces résidus de pétrole ne représente pas de danger notoire pour ces moteurs deux-temps gigantesques.
Le transport maritime fait régulièrement la une des environnementalistes qui accusent ce mode de transport de tous les maux en particulier de contribuer largement au réchauffement du climat. Voilà le problème qui agite les écologistes de salon qui n’ont aucune idée claire des arguments qu’ils avancent d’autant plus que de nombreuses évidences indiquent que la flotte commerciale maritime est la seul issue de valorisation de ces résidus HFO. Les régulations internationales relatives à la navigation dans l’Océan Arctique restreint l’usage des HFO. C’est la raison invoquée pour construire des brise-glaces à propulsion nucléaire, une technologie réservée à des pays comme la Russie dont la façade maritime arctique est considérable.
Venons-en aux récriminations injustifiées des écologistes de salon. Ils ne se sont jamais rendus dans l’immense salle des machines d’un gros transporteur de containers de 300 mètres de long. Certes les fumées sont malodorantes et chargées en particules de carbone mais ont-elles un si perturbateur effet sur le climat ? Voilà une question. La combustion des HFO par la marine marchande dégage des quantités importantes d’aérosols en particulier soufrés, les oxydes de soufre, et azotés, les oxydes d’azote qu’un moteur diesel produit fatalement et leur élimination est un problème technologique qui ne peut pas être résolu à bord d’un bateau de transport maritime. La réduction des émissions de ces aérosols est largement obligatoire dans les installations industrielles, usines de production d’électricité, incinérateurs et industrie chimique, les régulations environnementales étant devenues de plus en plus strictes depuis le début des années 2010. Ces régulations ont été mises en place également dans les transports terrestres utilisant du carburant diesel. Depuis le début des années 2010 on a assisté à une réduction de la teneur en ces aérosols dans l’atmosphère conduisant à une diminution de la réflexion par les hautes couches de l’atmosphère des radiation infra-rouges provenant du Soleil.
Cette réflexion du rayonnement infra-rouge solaire est provoquée par la couche nuageuse dont la formation est très dépendante des aérosols qui servent de points de condensation de la vapeur d’eau dans les hautes couches de l’atmosphère. Par voie de conséquence la diminution des émissions d’aérosols dans l’atmosphère contribue directement à l’échauffement moyen global de la Terre au niveau du sol. Ce échauffement était en moyenne de 0,18 °C par décade au cours de l’intervalle 2000-2009 pour atteindre 0,35 °C par décade au cours des 10 années suivantes correspondant à une diminution constante des émissions d’aérosols consécutive aux mesure législatives prises dans la plupart des pays développés et également la Chine qui a mis en place un contrôle strict des émissions de ces aérosols pour les usines d’électricité utilisant du charbon. Si on compare l’effet du gaz carbonique sur les températures moyennes de surface, avec un accroissement de la teneur de ce gaz de 22 ppm en dix ans, l’effet dit de serre du gaz carbonique est largement négligeable par rapport à l’effet de la réduction de la couverture nuageuse due à la diminution des aérosols, au point d’être éclipsé par cet l’effet de la diminution de la couverture nuageuse.
Ces derniers résultats (liens en fin de billet) confirment le fait que la science du climat est toujours en évolution et que rien n’est acquis définitivement. Les tenants de la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique, dont en particulier l’IPCC, ont simplement oublié le rôle des nuages dans les variations du climat, ils devront revoir leur copie …
Note. La relation entre l’irradiance exprimée en W/m², une donnée factuelle, et la température globale moyenne – ne peut pas faire de moyennes de températures – n’a aucune signification physique puisque la température est un paramètre physique actif. Les deux articles cités en lien doivent être décorrélés mais n’enlève rien au fait que la diminution de la teneur en aérosols, en particulier dans la haute atmosphère, contribue à l’échauffement au sol, ce qui n’a rien à voir avec le supposé effet de serre.
Billet inspiré d’un article de Pierre Gosselin paru sur son site :https://notrickszone.com/2022/11/10/now-its-claimed-anthropogenic-global-warming-is-driven-by-aerosol-emissions-reductions-not-co2/
Liens: https://doi.org/10.1175/JCLI-D-22-0081.1 et https://doi.org/10.1029/2020JDO33590
(...) Si on compare l’effet du gaz carbonique sur les températures moyennes de surface, avec un accroissement de la teneur de ce gaz de 22 ppm en dix ans, l’effet dit de serre du gaz carbonique est largement négligeable par rapport à l’effet de la réduction de la couverture nuageuse due à la diminution des aérosols, au point d’être éclipsé par cet l’effet de la diminution de la couverture nuageuse. (...)
Rien ne dit sur la provenance !! car, le magma émet des millions de fois de gaz plus que tous véhicules terrestres, aérien ou maritimes et industries. Alors quoi ? Alors depuis toujours TOUS les gaz atmosphériques se recyclent immédiatement sans quoi la vie sur Terre n'aurait jamais apparue.
Le plus grand réacteur nucléaire de l’UE, en Suède, arrêté en urgence victime d’une panne de turbine Que se passe-t-il d'inquiétant sur le réacteur
Par Coordination anti-nucléaire Sud-Est Mondialisation.ca, 11 novembre 2022
Mercredi 9 novembre 2022 le plus grand réacteur nucléaire d’un pays de l’Union Européenne – Oskarshamn en Suède – a été découplé en urgence du réseau suite à une panne de turbine. C’est le troisième incident survenu cette année dans la centrale nucléaire du sud du pays dont une fuite de carburant en février et un autre incident en juillet dernier. Les deux autres réacteurs de la centrale nucléaire sont en arrêt définitif depuis les années 2010 __
Le plus grand réacteur nucléaire d’un pays de l’UE a été arrêté en urgence ce mercredi 9 novembre 2022 suite à une panne de turbine. Ce réacteur atomique est implanté dans la centrale d’Oskarshamn en Suède. C’est le troisième incident survenu cette année dans la centrale nucléaire située dans le sud du pays. La porte-parole de l’opérateur nucléariste OKG, Desiree Liljevall, a déclaré : “Nous savons ce qui s’est passé, mais nous ne pouvons pas le commenter”. On se croirait en France…
L’installation d’Oskarshamn est l’une des trois centrales nucléaires actives du pays. Son réacteur est le plus grand producteur d’électricité de Suède situé face à la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie et la Pologne. Le réacteur nucléaire avait déjà été arrêté pendant une semaine en février en raison d’une « fuite de carburant », puis arrêté pendant une journée en juillet. Les deux autres réacteurs de la centrale ont cessé de fonctionner dans les années 2010.
Le nucléaire suédois est dépendant à 100% de l’étranger
La Suède achète la totalité de son uranium (environ 2 000 tonnes par an) sur le marché international notamment en Australie et au Canada. Les services d’enrichissement sont achetés principalement à la France (Areva-Orano), aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. Le pays dispose d’une usine de production d’assemblages de produits de fission (combustibles) à Västerås. Les déchets nucléaires sont stockés pendant 30 à 40 ans dans une installation provisoire située depuis 1985 à Oskarshamn et, tout comme ailleurs, les exploitants nucléaristes n’ayant pas de solution pour la gestion de leurs déchets radioactifs mortels, la structure officielle de gestion de la mort radioactive (SKB) construit une poubelle nucléaire sous terre à Forsmark.
L’énergie en Suède
La Suède à une consommation d’énergie 2,5 fois plus élevée que la moyenne mondiale, supérieure de 33 % à celles de la France et de 35 % à celle de l’Allemagne, en partie à cause du climat froid et en partie de son industrie très développée et très consommatrice en énergie. Cependant, les émissions de gaz carbonique liées à l’énergie de la Suède étaient « seulement » de 3,27 tonnes par habitant en 2019, un des taux les plus bas parmi les pays développés, inférieur de 26 % à la moyenne mondiale, de 25 % à celui de la France et de 58 % à celui de l’Allemagne. Notamment grâce aux énergies renouvelables qui fournissent 67,5 % (hydroélectricité : 44,2 %, éolien : 16,9 %, biomasse : 4,7 %, déchets : 1,1 %, solaire : 0,6 %), un système de chauffage urbain fondé sur des réseaux de chaleur alimentés par des centrales de cogénération utilisant 81,5 % d’énergies renouvelables (biomasse : 47 %, déchets : 15 %). Ce système couvre près de 60 % des besoins de chauffage du pays.
La Suède se situait au premier rang parmi les pays de l’UE en 2018 pour la part des énergies renouvelables dans la consommation brute d’énergie finale : 54,6 %, devant la Finlande : 41,2 %. Elle se classait en 2018 au 11e rang mondial pour sa production hydroélectrique et au 10e rang mondial pour sa production d’électricité éolienne.
Tout comme pour son voisin le Danemark (1), les côtes suédoises ont un important potentiel éolien. Par exemple, la côte ouest suédoise (Bohuslän, Västergötland et Halland), la Scanie et l’île de Gotland possèdent un potentiel énergétique de plus de 300 W m. C’est aussi au niveau des côtes au sud du pays que se trouve le plus important potentiel solaire. Ainsi, la Scanie, l’île de Gotland et toute une zone située autour de Stockholm bénéficient d’un ensoleillement annuel allant jusqu’à 1 200 kWh/m, comparable à celui du nord de la France malgré une latitude supérieure.
(1) En 2015, le Danemark a réussi à répondre à 140 % de ses besoins en énergie grâce à l’éolien, exportant une partie de sa production à ses pays voisins comme l’Allemagne, la Suède ou la Norvège.
(...) La Suède se situait au premier rang parmi les pays de l’UE en 2018 pour la part des énergies renouvelables dans la consommation brute d’énergie finale (...)
De par l'excentricité de notre globe terrestre (à l'équateur) les terres près du pôle présentent plus de geysers (appelés 'sources chaudes' lorsqu'elles sont sous-marines ou sous-océaniques) qu'à tout autre endroit gràce à leur proximité de la masse ferrique incandescente. D'où l'exploitation de ces ressources énergétiques chaudes pour les convertir en électricité.
Une étude révèle que les lasers peuvent aveugler les voitures autonomes et les faire s'écraser sur des objets ou des piétons
vendredi 11 novembre 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Une étude a révélé qu'un laser visant le système de guidage d'une voiture autonome peut perturber ses capteurs et l'amener à ne pas voir un piéton ou un autre obstacle sur son chemin.
Dans une étude pré-imprimée, des chercheurs des États-Unis et du Japon ont réussi à tromper une voiture autonome - le "véhicule victime", comme ils l'appelaient - pour qu'elle ne voie pas un obstacle devant elle en pointant un laser sur son LIDAR. (Connexe : les voitures autonomes provoquent des incidents de circulation dans tout San Francisco.)
LIDAR signifie "Détection et télémétrie de la lumière". C'est une technologie de capteur qui peut créer une carte de l'environnement qui l'entoure. Les capteurs LIDAR envoient des ondes de lumière infrarouge autour de l'environnement de la voiture et mesurent le temps nécessaire à la lumière pour rebondir sur les objets et revenir au capteur, créant ainsi une carte en trois dimensions à partir des données.
Le "hack" fonctionne car un laser parfaitement synchronisé dirigé directement sur un LIDAR peut créer un angle mort suffisamment grand pour que les capteurs infrarouges ne voient pas un objet ou un piéton devant le véhicule autonome.
"Nous imitons les réflexions du LIDAR avec notre laser pour que le capteur ignore les autres réflexions provenant d'obstacles réels", a noté Sara Rampazzi, chercheuse et professeure en cybersécurité à l'Université de Floride. Cette « suppression » de données crée une fausse impression pour la voiture autonome que la route peut progresser en toute sécurité, plaçant la voiture et l'obstacle sur une trajectoire de collision potentiellement dangereuse.
"Le LIDAR reçoit toujours des données authentiques de l'obstacle, mais les données sont automatiquement rejetées car nos faux reflets sont les seuls perçus par le capteur", a-t-elle poursuivi.
Des équipements plus sophistiqués pourraient rendre les hacks laser des voitures autonomes plus répandus Lors du test, Rampazzi et ses collègues ont effectué «l'attaque au laser» depuis le bord de la route, à moins de 15 pieds du véhicule. Ils pourraient également reproduire les résultats jusqu'à 10 mètres (32 pieds) de la voiture. Mais Rampazzi a noté que l'appareil utilisé dans le piratage devait être parfaitement chronométré et qu'il devait suivre le rythme des mouvements de la voiture pour pouvoir garder le laser pointé au bon endroit.
Il est possible de produire des résultats similaires à partir d'une attaque laser plus éloignée en utilisant un équipement plus sophistiqué que celui déployé par les chercheurs dans l'expérience.
La technologie requise pour une telle attaque à distance est "assez basique", mais le moment requis pour réussir l'attaque rend une telle attaque peu susceptible de se produire pour le moment.
Mais si une telle attaque devait réussir, ses conséquences sont potentiellement horribles, car elle pourrait entraîner la mort de conducteurs, de passagers de voitures et de piétons.
Les chercheurs ont déjà approché les fabricants de véhicules autonomes pour les avertir de cette possibilité et ont suggéré des modifications au logiciel LIDAR pour minimiser ce problème.
"Révéler cette responsabilité nous permet de construire un système plus fiable [pour les voitures autonomes]", a noté Yulong Cao, informaticien de l'Université du Michigan et premier auteur de l'étude. « Dans notre article, nous démontrons que les stratégies de défense précédentes ne suffisent pas, et nous proposons des modifications qui devraient remédier à cette faiblesse.
L'une des suggestions proposées par les chercheurs serait de changer radicalement la façon dont le LIDAR interprète les données brutes. Une autre suggestion implique que les fabricants apprennent à leur logiciel LIDAR à rechercher les signatures révélatrices d'une attaque laser, notamment en distinguant les réflexions falsifiées causées par les lasers.
Lisez plus de nouvelles sur les hoquets technologiques sur Glitch.news.
Regardez ce clip de « The David Knight Show » expliquant comment les voitures autonomes d'entreprises comme Tesla et Waymo se bloquent dangereusement et deviennent une menace pour les conducteurs et les piétons.
Cette vidéo provient de la chaîne The David Knight Show sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : La technologie laser utilisée dans les voitures autonomes peut endommager les caméras et les yeux humains.
Des véhicules autonomes pour s'arrêter, baisser les vitres et déverrouiller les portes pour les forces de l'ordre.
Le taxi autonome Waymo devient un voyou en Arizona, bloquant la circulation et échappant à l'équipe de secours.
La législation sur les véhicules autonomes est bloquée par la question de savoir qui blâmer en cas d'accident.
C'est un "non" aux voitures sans conducteur : les Américains préfèrent se rendre au travail en voiture plutôt que de compter sur des véhicules autonomes.
Les caméras s'éteignent à l'installation de dépouillement des votes dans le comté clé du Nevada
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 16:50 Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times
Les caméras du centre de dépouillement des votes dans un comté du Nevada comptant toujours les votes des élections de mi-mandat ont cessé de diffuser du jour au lendemain, ont déclaré des responsables le 10 novembre.
L'application informatique de diffusion en direct qui fournit les flux "a perdu la connexion avec" les caméras à 23h24. mercredi, selon Bethany Drysdale, porte-parole du comté de Washoe.
Tous les membres du personnel sont partis pour la nuit environ une heure avant le problème et aucun n'est revenu avant 7 heures du matin jeudi matin, ont déclaré des responsables du comté.
La connexion a été rétablie juste avant 8 heures du matin le 10 novembre.
L'administrateur de la sécurité du comté de Washoe aurait examiné les caméras de sécurité du bâtiment, qui fonctionnent sur un système différent. Les caméras ont montré que personne n'est entré dans la salle de vote ou le bureau du registraire pendant que les flux en direct étaient coupés.
Le personnel de sécurité s'efforce de rendre ces images publiques.
Un examen des badges du personnel a également indiqué que personne n'est entré dans la salle de vote ou le bureau.
"À l'avenir, nous chercherons une solution qui empêcherait les perturbations logicielles ou n'offrirait tout simplement pas de flux en direct de courtoisie", a déclaré Drysdale dans un communiqué. «Le comté de Washoe a été à l'avant-garde des tentatives d'innovation en matière de transparence électorale, mais nous sommes passés d'une soirée électorale à une période électorale beaucoup plus longue. La technologie que nous utilisons pour fournir ce livestream ne peut pas répondre à ces demandes. Nous suggérons d'améliorer la transparence avec des caméras de sécurité plutôt que des caméras de courtoisie en direct lors des futures élections.
Le comté de Washoe fait partie des nombreux comtés du Nevada qui n'ont pas encore terminé le décompte des mi-sessions, même si les sondages ont été fermés mardi soir.
Quelque 100 000 bulletins de vote, tous déposés par courrier, n'étaient toujours pas comptés jeudi après-midi, a rapporté le Reno Gazette Journal. Cela comprenait plus de 50 000 bulletins de vote dans le comté de Clark.
La loi de l'État exige que les responsables électoraux comptent les bulletins de vote par correspondance tant qu'ils ont été oblitérés le jour du scrutin et reçus le dimanche.
Dans la dernière tranche de votes, rapportée jeudi par le comté de Washoe et d'autres juridictions, la sénatrice démocrate Catherine Cortez Masto (D-Nev.) et l'espoir du secrétaire d'État du Nevada Francisco Aguilar ont obtenu plus de voix que leurs rivaux, l'ancien procureur général du Nevada Adam Laxalt et Le républicain Jim Marchant, selon KOLO-TV.
Laxalt mène toujours Cortez Masto par environ 9 000 voix tandis qu'Aguilar a environ 5 350 voix de plus que Marchant, selon les résultats publiés par le bureau du secrétaire d'État du Nevada.
Laxalt et le sénateur ont chacun déclaré qu'ils étaient convaincus qu'ils seraient le vainqueur lorsque le décompte des voix serait enfin terminé.
Cette course pourrait finir par déterminer quel parti contrôle le Sénat, qui est actuellement divisé à 50-50. Les démocrates peuvent rompre les liens par l'intermédiaire du vice-président Kamala Harris, président de la chambre haute.
Deux autres courses - Arizona et Géorgie, cette dernière se dirigeant vers un second tour - restent non appelées. La course en Alaska n'est pas appelée, mais les républicains ont les deux meilleurs votants.
Le FBI devrait avoir 14 jours, et non 66 ans, pour produire des informations riches sur Seth : avocat
Par Zachary Stieber 11 novembre 2022
Le FBI ne devrait avoir que 14 jours, et non 66 ans, pour produire des informations à partir de l'ordinateur portable de Seth Rich, a fait valoir un avocat dans un nouveau dossier judiciaire.
Après qu'un juge américain a ordonné au FBI de produire les informations, le bureau a déclaré qu'il ne devrait pas être tenu de les remettre en raison d'exemptions à la loi sur la liberté d'information (FOIA). Et si le bureau devait encore produire les informations, les avocats du gouvernement ont déclaré qu'il devrait avoir 66 ans car il doit examiner les informations et expurger certaines informations.
Ty Clevenger, l'avocat représentant Brian Huddleston, l'homme du Texas qui a poursuivi le FBI pour ces informations, n'était pas d'accord.
Il a déclaré au juge dans le nouveau dossier que le FBI n'avait pas informé les exemptions qu'il réclamait maintenant après que le juge avait rejeté une tentative de protéger les informations en raison de problèmes de confidentialité pour les proches de Rich. Cet échec signifie que le FBI ne peut plus compter sur les exemptions, a déclaré Clevenger.
"Ayant omis de soulever une question ou de la consigner dans une requête en jugement sommaire, le demandeur ne peut alors pas sauver la question en la soulevant dans une requête en réexamen", a-t-il déclaré, citant des affaires judiciaires antérieures. "En d'autres termes, le déménageur n'obtient pas de Mulligan en réexamen, ce qui est exactement ce que le FBI recherche ici."
Le bureau affirme que l'exemption FOIA 7 (D) -3, qui permet de protéger les informations d'identification du personnel chargé de l'application de la loi et les informations fournies par le personnel, lui permet de continuer à retenir les informations sur l'ordinateur portable de Rich à Huddleston.
"En bref, le disque compact contenant les images de l'ordinateur personnel de Seth Rich a été fourni au FBI par un organisme local d'application de la loi sous des garanties implicites de confidentialité, et donc le FBI a correctement retenu le disque compact dans son intégralité conformément à l'exemption 7 (D )-3 », ont déclaré les avocats du gouvernement au tribunal.
Une autre exemption, 7(E)-6, permet à l'agence de garder l'information secrète, ont déclaré les avocats. Cette exemption permet la rétention d'informations qui révéleraient les méthodes utilisées par les forces de l'ordre dans les enquêtes.
Clevenger, cependant, a déclaré qu'aucune des exemptions ne s'appliquait.
La première ne l'est pas parce que le FBI n'a jamais fourni la preuve que la source de l'information a reçu l'assurance de la confidentialité, a-t-il déclaré. La seconde ne l'est pas parce que le bureau affirme qu'il n'a jamais examiné les informations sur l'ordinateur portable.
"Si cela est vrai, alors comment les techniques d'enquête ou d'analyse du FBI pourraient-elles être compromises en révélant le contenu d'un ordinateur portable qu'il n'a jamais enquêté ou analysé?" Clevenger a dit au juge.
Compte tenu de l'absence d'information sur les exemptions et sur la manière dont elles ne s'appliquent pas dans l'affaire, "la Cour ne devrait pas donner au FBI plus de 14 jours pour produire ce qu'il aurait dû produire il y a cinq ans", a-t-il ajouté.
Le nouveau dossier était une réponse à la requête du FBI pour le réexamen d'une décision en septembre selon laquelle le FBI transmettait les informations dans les 14 jours.
Le juge de district américain Amos Mazzant, nommé par Obama, a rendu la décision et supervise l'affaire, qui découle d'une demande FOIA de Huddleston que le FBI a refusé de remplir.
Rich était un employé du Comité national démocrate lorsqu'il a été abattu dans une rue de Washington au petit matin. L'affaire n'a jamais été résolue.
Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a suggéré que Rich a divulgué des fichiers du comité à WikiLeaks, qui a publié une mine de ces fichiers. L'ancien avocat spécial Robert Mueller a déclaré que des pirates informatiques russes avaient piraté les fichiers entre le 25 mai et le 1er juin 2016, mais CrowdStrike a déclaré plus tard à Epoch Times que les systèmes du comité n'avaient pas été piratés pendant cette période.
La « taxe sur les manoirs » de LA peut-elle débloquer des logements abordables dans toute la Californie ?
Les électeurs de Los Angeles semblent susceptibles d'adopter la mesure ULA, qui pourrait générer 900 millions de dollars par an pour les subventions au logement et la protection des locataires. Mais les critiques craignent que les frais ne se retournent contre eux.
Les maisons de LA qui se vendent pour plus de 5 millions de dollars se verraient imposer des frais de 4 % en vertu de la mesure ULA.& nbsp
10 novembre 2022, 20h12 UTC+1
Mardi, des milliers d'électeurs de Los Angeles ont tiré le levier de Measure ULA, une initiative de vote qui vise à financer des logements abordables et la protection des locataires en appliquant une taxe sur les ventes immobilières de plus de 5 millions de dollars. Ce n'est que le début de ce que cette mesure peut faire.
Soutenue par la coalition de plaidoyer United to House LA et largement connue sous le nom de «taxe sur les manoirs», la mesure est en avance de 8 points au 10 novembre, mais les résultats finaux pourraient ne pas être connus avant des jours. S'il est adopté, les revenus qu'il génère promettent de faire ce que la législation précédente et un défilé de politiciens de Los Angeles n'ont jusqu'à présent pas réussi à accomplir : accélérer les nouvelles constructions et offrir une issue à la spirale de la crise des sans-abrisme dans la ville. L'initiative devrait générer quelque 900 millions de dollars par an pour subventionner le logement, préserver les logements abordables, garantir l'avocat des locataires devant le tribunal d'expulsion et subventionner d'autres priorités progressistes.
Au-delà de ces impacts directs, une victoire pourrait être conséquente pour d'autres villes californiennes : Measure ULA montre un moyen de contourner les vastes restrictions de l'État sur les augmentations d'impôts, ce qui en fait un modèle potentiel.
Mais les critiques avertissent que Measure ULA pourrait finir par augmenter les loyers en augmentant les coûts pour les promoteurs et en déprimant les nouvelles constructions. Ils soulignent également les résultats médiocres d'une obligation de 2016 pour construire des logements avec services de soutien pour les sans-abri comme un récit édifiant.
La mesure est simple : la taxe de transfert actuelle de 0,45 % pour toutes les propriétés passerait à 4 % pour les ventes de plus de 5 millions de dollars, tandis que les transactions supérieures à 10 millions de dollars entraîneraient une taxe de 5,5 %. Il s'agit d'une taxe spéciale, ce qui signifie que les revenus ne vont pas dans le fonds général de la ville, mais plutôt dans un porte-monnaie dédié. Il y a une réserve de 8 % des revenus pour un inspecteur général et un personnel de surveillance ; le reste va au logement. La répartition de ces fonds est de 70 % pour le logement abordable (construction, subventions et préservation) et de 30 % pour la prévention de l'itinérance (diverses mesures et protections des locataires).
«Nous voulons nous assurer qu'une fois cette étape franchie, les experts en logement, les organismes communautaires, les dirigeants communautaires et les personnes qui font ce travail depuis de nombreuses années sont à l'avant-garde de la mise en œuvre», déclare Raymond.
Le fonds de production de logements – la grosse tranche de 70 % – est divisé d'une manière qui montre une forte inclinaison vers les fournisseurs de logements alternatifs. Par exemple, environ un quart de ce fonds subventionnera la construction par des promoteurs qui utilisent les crédits d'impôt étatiques ou fédéraux pour les logements à faible revenu pour construire. C'est ainsi que se déroule la grande majorité des nouvelles constructions de logements abordables aux États-Unis. Cependant, une part égale du fonds de LA ira à des projets d'autres entités, dans ce cas un mélange d'organismes publics de logement, de fiducies foncières communautaires, de coopératives d'habitation et de promoteurs à but non lucratif. Cette priorité n'est peut-être pas une coïncidence, étant donné que United to House LA est composé d'une coalition diversifiée de quelque 230 organisations, agences, groupes de défense et organisations à but non lucratif.
Les constructeurs de logements abordables bénéficieraient d'une aubaine. Une analyse fournie par la ville estime que Measure ULA générera entre 600 millions de dollars et 1,1 milliard de dollars par an – une énorme augmentation des subventions pour la construction de logements abordables. Bien que les partisans pro-locataires de la mesure la décrivent comme une taxe sur les hôtels particuliers, c'est quelque peu cynique : en utilisant les chiffres des ventes de l'exercice 2021-2022 comme base, la plupart des revenus générés par la taxe de transfert proviendraient de ventes supérieures à 10 millions de dollars, et à À ce niveau, une plus grande partie des ventes provient de propriétés multifamiliales et commerciales que de maisons unifamiliales, selon un livre blanc publié en septembre par des chercheurs de l'Université de Californie à Los Angeles, de l'Université de Californie du Sud et de l'Occidental College.
La «taxe sur les manoirs» est un raccourci populaire, mais ce n'est pas injuste, dit Raymond: «Nous parlons d'individus très, très riches, mais encore plus de grandes sociétés immobilières qui, honnêtement, n'ont pas payé leur juste part, et ont fait un massacre sur ce marché du logement tel qu'il est maintenant.
Parce qu'une grande partie des revenus provient de la vente d'immeubles d'appartements par opposition aux ventes de méga-manoirs – plus à ce sujet dans un instant – les critiques craignent que Measure ULA ne dissuade les développeurs de construire à Los Angeles. Cela saperait doublement les objectifs des partisans, puisque la construction au prix du marché est nécessaire à la fois pour atténuer la pression sur le marché du logement et pour fournir les ventes qui génèrent tous les revenus de ces subventions.
Un directeur immobilier nommé Moses Kagan a décrit un scénario plausible dans un tweet : si un promoteur construit un complexe d'appartements pour 7 millions de dollars et le vend pour 10 millions de dollars, réalisant un bénéfice d'environ 2,3 millions de dollars après coûts, alors une taxe de transfert de 5,5 % fonctionnerait. à 550 000 $ (mes calculs, pas les siens). Cela représente environ 24 % du bénéfice. Étant donné qu'une répartition typique sur un accord s'élève à 80 % pour les investisseurs et à 20 % pour les développeurs, cette taxe devrait tuer l'accord.
Mais les chercheurs de l'UCLA affirment que les inquiétudes concernant les mesures dissuasives sont exagérées. La douleur atterrira ailleurs le long de la chaîne, selon Shane Phillips, chef de projet de l'initiative de logement pour le UCLA Lewis Center for Regional Policy Studies et co-auteur d'une série d'études axées sur la mesure ULA et les taxes de transfert. « Cet argent doit venir de quelque part. Cela ne viendra pas de l'acheteur ou du locataire », dit-il. "Donc, l'endroit d'où il va venir est le propriétaire du terrain à qui le promoteur achète la propriété."
Certes, la taxe sur les manoirs pourrait encore décourager le développement en abaissant le prix que les promoteurs peuvent offrir à un prix auquel les propriétaires fonciers seraient imprudents de vendre. Dans un rapport d'octobre avec l'étudiante diplômée Maya Ofek, Phillips décrit un scénario du monde réel : 570 N. Normandie Avenue, une maison de 3 350 pieds carrés à East Hollywood qui s'est vendue à un promoteur pour 1,55 million de dollars en septembre 2021. Le promoteur prévoit de le remplacer par un nouvel immeuble de 16 logements. En supposant que le promoteur visait à vendre le nouveau bâtiment après son achèvement (à 8 millions de dollars selon les calculs de Phillips), le promoteur n'aurait pas à payer plus de 1,3 million de dollars pour le 570 N. Normandie pour tenir compte des droits de mutation. Ce chien ne chassera pas : Le propriétaire gagnerait plus en le vendant à quelqu'un qui voulait juste faire du manoir sa maison.
La question cruciale est donc de savoir combien de maisons appartiennent à la même bande de propriétés potentiellement à risque que 570 N. Normandie. Selon Phillips, pas beaucoup : seule une petite partie des unités (10 à 20 %) construites dans des zones à densité modérée entre 2013 et 2016 avaient été vendues en 2022. "La plupart d'entre elles ne se vendent tout simplement pas, et si vous' ne vendez pas, vous ne payez pas la taxe », dit-il. "Si quelqu'un n'a pas vraiment l'intention de vendre sa propriété dans cinq ou 10 ans, cette taxe n'affectera tout simplement pas autant son processus décisionnel." En marge, les dizaines d'unités potentiellement perdues dans ce scénario sont compensées par les milliers d'unités facilitées par la taxe.
Bien que Phillips soutienne la mesure, il dit qu'elle présente certains inconvénients. Le seuil de 5 millions de dollars est trop élevé : quelqu'un qui paie 2 millions de dollars pour une maison devrait contribuer au bien commun. Et la taxe de transfert n'est pas marginale, ce qui signifie que quelqu'un qui achète une propriété pour 4,99 millions de dollars ne paie rien tandis que quelqu'un qui paie 5,01 millions de dollars paie le taux plein sur chaque dollar. Un taux marginal avec un seuil inférieur aurait pu générer plus pour Los Angeles, peut-être avec moins de friction, bien que Phillips concède que les taux marginaux sont généralement mal compris par les gens, même en ce qui concerne leurs impôts sur le revenu.
Bloomberg peut m'envoyer des offres et des promotions.
En soumettant mes informations, j'accepte la politique de confidentialité et les conditions d'utilisation. Bien que les taxes de transfert ne soient pas nouvelles, elles atteignent récemment les registraires californiens via des plébiscites publics – ce qui est nouveau. Culver City a adopté une taxe de transfert par scrutin en 2020 (avec un taux marginal inférieur) qui se classe déjà au troisième rang des sources de revenus de la ville. Cette année seulement, la taxe a déjà permis de récolter des dizaines de millions de dollars, principalement grâce à une poignée de ventes immobilières à neuf chiffres. Phillips appelle les taxes de transfert une « troisième meilleure option », après les taxes sur la valeur foncière, que pratiquement aucune municipalité américaine n'utilise, et les taxes foncières, que la Californie a strictement limitées en vertu de la proposition 13 depuis 1978.
Une chose distingue la poussée de Los Angeles d'autres initiatives similaires en matière de taxe de transfert progressive : la mesure ULA n'a besoin que d'une majorité simple pour être adoptée. Les taxes spéciales ont historiquement requis une majorité des deux tiers, mais dans une décision de 2016, une cour d'appel de l'État de Californie a conclu que cela une barre plus élevée pour une taxe spéciale ne s'applique qu'aux mesures de vote parrainées par les législateurs - membres du conseil municipal, superviseurs de comté, membres de l'assemblée d'État, etc. La mesure de vote présentée par les citoyens qui ont augmenté des impôts dédiés pourrait être adoptée à la majorité simple, a déclaré le tribunal. Cette décision a ouvert la voie à un autre type de mesure de vote. Les initiatives antérieures en matière de taxes de transfert progressives ont été adoptées à Santa Monica, Culver City et la région de la baie, toutes les recettes directes vers le fonds général, car elles étaient dirigées par des législateurs.
Ainsi, Measure ULA, si elle est adoptée, accomplira quelque chose que les législateurs locaux n'ont pas pu ou n'ont pas fait – et en effet, ses partisans ont diffusé le fait que la mesure a été rédigée par des organisateurs, et non par des politiciens. Ni Karen Bass ni Rick Caruso, les deux candidats bloqués dans la course à la mairie encore indécise de LA, n'ont pesé sur la mesure. C'est peut-être une vertu, dit Raymond.
« Dans le passé, nous avons eu des politiciens qui ont soutenu une solution. À l'heure actuelle, nous considérons que la criminalisation de l'itinérance est une préoccupation majeure. C'est là qu'ils ont consacré une grande partie de leur énergie au cours des deux dernières années, balayant les rues », dit-elle. "C'est très différent de ce type d'approche."
Saviez-vous que l'Internet que vous connaissez ne représente que 10 % du total des données qui composent le World Wide Web ?
Comme le détaille Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, le reste du Web est caché à la vue de tous et nécessite un accès spécial pour être visualisé. C'est ce qu'on appelle le Deep Web, et niché au fond de celui-ci se trouve un endroit sombre, parfois dangereux, connu sous le nom de darknet ou Dark Web.
Ce graphique d'Enrique Mendoza nous donne un aperçu de cette partie cachée d'Internet, nous montrant certains des articles courants qui y sont vendus et combien ils coûtent généralement.
- voir graph sur site -
Une brève introduction au Dark Web
Avant de plonger, il vaut la peine d'expliquer rapidement ce qu'est le Dark Web et comment les gens y accèdent généralement.
Contrairement au Web ordinaire (également connu sous le nom de Surface Web), le Dark Web n'est pas accessible via un navigateur standard tel que Chrome ou Safari. Les utilisateurs doivent plutôt y accéder de manière anonyme via un navigateur Tor.
Tor, qui est l'abréviation de "The Onion Router", est un portail spécial qui connecte les utilisateurs aux sites Web du Dark Web d'une manière compliquée qui protège finalement l'identité de l'utilisateur. Cela signifie que les utilisateurs peuvent accéder aux sites Web de manière anonyme.
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Le Dark Web peut être un terrain fertile pour les activités illégales, où les gens peuvent acheter des choses comme des meurtres à forfait, de la drogue, des logiciels malveillants et les informations personnelles d'autres personnes.
Ventilation des prix des produits
Combien valent vos informations personnelles sur le Dark Web ? Ce graphique utilise les données de l'indice des prix des produits du Dark Web 2022 pour le savoir et plus encore.
Ce rapport annuel de privacyaffairs.com donne un aperçu de certains des produits les plus populaires en vente sur le Dark Web, tels que les données de carte de crédit, les documents falsifiés et les informations piratées, et répertorie le prix moyen de chaque produit.
Bien que cette liste soit loin d'être exhaustive et ne soit pas la seule mesure des prix du Dark Web, le rapport nous donne un aperçu d'un territoire en ligne caché qui est extrêmement inconnu pour beaucoup d'entre nous. Voici le top 10 des objets les plus précieux...
- voir liste sur site -
L'un des éléments les plus chers inclus dans l'ensemble de données est le malware premium, qui coûte environ 5 500 $ pour 1 000 installations. Bien que le coût des logiciels malveillants premium soit élevé, des milliards d'attaques de logiciels malveillants se produisent chaque année, causant d'énormes dommages monétaires.
À l'autre extrémité du spectre se trouvent les détails du compte Paypal, les identifiants Netflix ou les détails de la carte de crédit volée (avec un CVV), tous disponibles pour moins de 20 $.
Comment protéger vos informations personnelles
Alors que la frontière entre le domaine numérique et physique devient de plus en plus floue, il est plus important que jamais de vous assurer que vous vous protégez, ainsi que vos informations personnelles, contre le vol d'identité.
Selon Privacy Affairs, il existe plusieurs mesures proactives que vous pouvez prendre pour réduire vos risques de piratage. Cela inclut l'utilisation d'un VPN chaque fois que vous accédez au Wi-Fi public, l'utilisation de mots de passe différents pour différents comptes en ligne et l'investissement dans un logiciel anti-malware pour lutter contre les visiteurs indésirables.
La maladie la plus meurtrière connue de l'homme est l'ignorance !
De Gary D. Barnett 12 novembre 2022
"Un homme sage prend ses propres décisions, mais un homme ignorant suit la foule sans réfléchir." ~ Proverbe chinois
Nous vivons dans un monde de mensonges, de tromperie, de propagande, de récits mis en scène, et parce que cette tromperie a été largement acceptée par la foule, l'ignorance de masse en a été le résultat. Cette ignorance universelle ne peut être imputée uniquement au gouvernement, aux centres d'endoctrinement appelés écoles «publiques», aux politiciens ou aux médias, sauf que ces entités avancent toutes les formes de mensonges possibles afin de tromper les gens pour qu'ils acceptent des fables légendaires les menant vers l'esclavage. Et comme cela devrait être évident à ce stade du jeu, les gens ont été complètement dupés et ont avalé l'hameçon, la ligne et le plomb, tous les mensonges éhontés imaginables. Le résultat recherché et obtenu par l'État peut être mis en évidence par la soumission totale et l'obéissance grossière à cette classe dirigeante odieuse et politisée de monstres psychopathes.
Cette maladie appelée ignorance, consomme maintenant l'esprit de la plupart de cette population et ronge entièrement la capacité de considérer les faits, de réaliser la vérité, de pratiquer la logique, de raisonner et de rassembler toute capacité à penser de manière critique en tant qu'individu. . Cet état d'être est le fil conducteur de cette population et d'autres depuis longtemps, mais le mensonge complet d'une fausse maladie appelée « covid » a révélé que l'ignorance de masse est non seulement bien vivante, mais a infecté presque à un l'homme, toute cette société et le monde. Il n'y a pas de maladie prouvée appelée « covid », il n'y a aucune véritable preuve scientifique de « covid » ou de quelque « virus » que ce soit, mais quelle que soit cette vérité, le monde entier est tombé à genoux dans une démonstration de masse et de crédulité pathétique. scandaleux au point d'être insultant pour tout individu pensant.
Tout cela se résume à la fausse croyance très peu scientifique en la théorie des germes et à la négation complète de la théorie du terrain ; une erreur de proportion d'époque. Il n'y a aucune raison pour l'un contre l'autre, mais seulement l'évaluation honnête de la réalité qu'est le corps humain. Même Louis Pasteur, le soi-disant père de l'idiotie de la théorie des germes, aurait admis sur son lit de mort que "l'agent pathogène n'est rien, le terrain est tout". Mais à ce jour, la vraie médecine est ignorée au profit de médicaments sur ordonnance très nocifs vendus par d'énormes sociétés pharmaceutiques, et de la chirurgie, comme seul traitement «légitime» pour toute maladie. Pas de prévention ou de guérison, mais un traitement constant et éternel et la mort ; un traitement qui rapporte chaque année des centaines de milliards de dollars à ce que l'on appelle maintenant à tort la médecine moderne et les "soins de santé" administrés par des putains d'État.
Considérant seulement les trois dernières années, la question fondamentale devrait se concentrer sur l'existence ou non de ce soi-disant virus "covid", et une fois qu'il est établi qu'aucune procédure scientifique valide n'a été accomplie pour prouver sans aucun doute que ce virus existe réellement , alors il est impératif de discuter de l'affirmation selon laquelle un virus existe, car aucun n'a jamais été correctement isolé ou identifié. Il est également important d'examiner attentivement tous ceux qui profitent à des niveaux extrêmes en raison du mensonge du « covid ». Certains d'entre eux incluraient l'intégralité du domaine médical, les sociétés pharmaceutiques, les politiciens et toute la classe dirigeante qui désire le contrôle, les les grandes entreprises qui acquièrent plus de monopole en raison de la destruction délibérée des capacités économiques des classes inférieures et moyennes, et les propriétaires de tout par les grandes banques et les maisons d'investissement qui gagnent des billions en raison de l'impression massive d'argent basée sur ce mensonge « covid ».
Il y en a encore beaucoup qui revendiquent les deux côtés de cet argument, et cela a grandement contribué à l'expansion des mensonges, car ce qui pourrait être des gens qui remettraient normalement en question le récit de l'État, sont devenus des partisans de ce même récit. C'est très déroutant pour ceux qui ont placé leur confiance en ces hypocrites qui agissent délibérément comme une opposition contrôlée ou qui ignorent réellement la vérité évidente. Ces personnes se contredisent certainement, qu'elles le fassent intentionnellement ou non. Beaucoup de ceux qui adoptent ce qui est considéré comme une approche «libertaire», acceptent simplement les deux côtés de l'argument en affirmant que «le SRAS-CoV-2 («covid-19») est réel et est un virus, et une menace massive pour humanité. Ils sont d'accord avec le faux récit de l'État et, en même temps, prétendent être contre l'injection de "vaccin" par arme biologique. Vous savez qui sont ces personnes, mais doutez-vous de leur prétendue sincérité ? Je pense que, du moins dans la plupart des cas, vous ne le faites pas. Ceci n'est qu'une recette pour plus de confusion, et la confusion ramène directement à l'ignorance.
La soi-disant « science » qui prône un traitement perpétuel, des « vaccins » perpétuels et la création perpétuelle de richesses pour ses trafiquants de drogue, est le charlatanisme étiqueté virologie. Bien sûr, comme on pouvait s'y attendre, c'est la "science" des virus, mais puisqu'aucun virus dans l'histoire n'a jamais été séparé, complètement isolé ou identifié, comment une telle "science" peut-elle exister ? S'il n'y a pas de virus, comment peut-il y avoir de la virologie ? On pourrait aussi demander; s'il n'y a pas de menace directe, comment peut-il y avoir une guerre médicale légitime contre le peuple ? Dans les deux cas, il n'y a pas de légitimité dans la virologie ou une "guerre sanitaire", mais il existe un argument valable et justifiable selon lequel la virologie est aussi une guerre contre nous ; une guerre contre l'humanité, car elle est utilisée pour simplement enrichir les auteurs de cette fraude, pour empoisonner les masses, et pour prendre le pouvoir et le contrôle sur tout.
Les fraudes « covid » et « vaccins » ont été largement exposées, bien que le grand public, et ceux des médias alternatifs également, qui continuent de pousser le mensonge selon lequel « covid » est réel, ont été produits dans un laboratoire, et accidentellement ou délibérément diffusés sur le monde, perdent du terrain. Leur prochain mouvement évident était de créer le mensonge des variantes ; variantes qui provenaient d'un virus inexistant, et serait le prochain tueur. Cela a nécessité des injections encore plus toxiques et des rappels de « vaccins ». Mais ces menaces ne se sont jamais révélées bien sûr, alors d'autres menaces ont été inventées, telles que la mise en scène de la guerre en Ukraine, le mensonge du «changement climatique» d'origine humaine, puis la menace d'anéantissement nucléaire. Maintenant, la marée est revenue à une autre «maladie virale» faussement prétendue dangereuse appelée virus respiratoire syncytial, ou VRS; une soi-disant maladie qui ressemble à un rhume léger, mais selon l'establishment médical du trafic de drogue, elle nécessite encore un autre "vaccin" mortel. Le premier "vaccin" toxique utilisé pour "combattre" cette même affection revendiquée, était en fait utilisé et rendu malade et tué des enfants dans les années 1960 dont on disait qu'ils avaient exactement la même « maladie » du VRS. Vous ne pouvez tout simplement pas compenser ce degré de folie.
Il existe une quantité massive de preuves disponibles pour écarter la virologie et exposer complètement la notion ridicule de la théorie des germes, mais changer les esprits de toute la population après de nombreuses générations de mensonges et de lavage de cerveau est une tâche difficile à accomplir. Cela nécessite une réflexion individuelle et un examen minutieux de la politique « médicale » atroce de l'État qui a consumé le public. Il suffit de comprendre qui profite de la fraude, et quelles entreprises et quels individus contrôlent le domaine médical, pour se rendre compte que de puissants éléments criminels sont impliqués.
Alors que l'idiotie sans fin de la virologie continue de régner, le chef de Pfizer se vante auprès des investisseurs que la fraude "covid" continuera d'être une franchise de plusieurs milliards de dollars pendant de nombreuses années à venir ; et s'attend à ce que les profits massifs se poursuivent. C'est le processus de pensée de ceux qui profitent de la campagne de peur du « virus » sous fausse bannière qui souhaitent détruire l'humanité pour de l'argent, du pouvoir et du contrôle ; ceci alors qu'ils augmentent le prix de cette injection d'arme biologique toxique par des quantités astronomiques, tout en sachant les dommages mortels causés par ce tueur toxique.
Ouvrez votre esprit, faites vos propres recherches, comprenez l'horreur de l'establishment médical américain et de ses maîtres pharmaceutiques, et prenez soin de votre santé au lieu de laisser le système criminel vous nuire. Détournez-vous de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et de toutes les autres sociétés pharmaceutiques qui vendent de la drogue, assumez la responsabilité de vous-même et de votre propre santé au lieu de vous fier aux récits pervers de l'État qui ne sont que des mensonges. N'acceptez pas l'ignorance comme position de repli ; et informez-vous plutôt sur la terreur de l'État. L'élection sans valeur est terminée, rien ne changera, sauf que les choses vont probablement s'aggraver, alors abandonnez et niez cet état pervers au lieu de vous cacher de la vérité.
"L'ignorance de l'opprimé est la force de l'oppresseur." ~ A.R. Bernard
(...) La soi-disant « science » qui prône un traitement perpétuel, des « vaccins » perpétuels et la création perpétuelle de richesses pour ses trafiquants de drogue, est le charlatanisme étiqueté virologie. Bien sûr, comme on pouvait s'y attendre, c'est la "science" des virus, mais puisqu'aucun virus dans l'histoire n'a jamais été séparé, complètement isolé ou identifié, comment une telle "science" peut-elle exister ? S'il n'y a pas de virus, comment peut-il y avoir de la virologie ? (...)
Effectivement le virus (voir dictionnaire) est une POUSSIÈRE et non un microbe. C'est toute la différence entre un corps sans danger (sauf poussières radioactives) et un vivant qui transporte des maladies (microbe). Or, de microbe il n'y a. Demeure donc la poussière. Cette poussière nouvelle (sortie 'voire "échappée' !! HAHAHA ! de laboratoires), cette poussière s'appelle NANO PARTICULE D'OXYDE DE GRAPHÈNE (95 à 99 % du contenu d'un flacon injectable !!) et est additionnée d'hydres ! + diverses maladies animales ! Elles composent toutes les seringues destinées à être inoculées aux faibles d'esprit.
Salaire : le travail des femmes est « gratuit » dès le 4 novembre 2022
RépondreSupprimerPuisque les inégalités salariales entre les hommes et les femmes, à poste et compétences égales, se poursuivent en France, une fois de plus le collectif féministe Les Glorieuses est au rendez-vous.
Par Paolo Garoscio
le 8 novembre 2022 à 20h21
L’écart de salaire s’améliore très légèrement en 2022 par rapport à 2021, mais il reste élevé. Et durant près de deux mois, les femmes travaillent « gratuitement ».
Inégalités salariales : le jour où les femmes ne gagnent plus rien
Chaque année, Les Glorieuses met en avant le jour où, du fait des inégalités salariales, le travail des femmes est gratuit jusqu'à la fin de l'année. Une date symbolique, issue d’un calcul mathématique simple, mais qui a le mérite de faire réfléchir. En 2021, c’était le 3 novembre à très précisément 9h22 que les femmes travaillaient « gratuitement ». En 2022, on note une amélioration très légère.
Grâce à un recul de l’écart salarial entre les femmes et les hommes, les inégalités salariales s’amenuisent. L’écart atteignait 16,5% en 2021, il tombe à 15,8% en 2022 selon Les Glorieuses. Une amélioration de 0,7% loin de suffire et qui fait que la date a été repoussée de moins de 24 heures. Le vendredi 4 novembre 2022 à 9h10, les femmes travaillent gratuitement en France jusqu’à la fin de l’année 2022.
D’ailleurs, la France fait partie des mauvais élèves de l’Union européenne : la moyenne, elle, est de 13%.
Une amélioration en trompe-l’œil pour le salaire des femmes
Si le recul de 0,7% est une bonne nouvelle, il faut le remettre en perspective. Dans leur communiqué de presse, Les Glorieuses rappellent qu’en réalité l’écart se creuse. En 2016, les femmes gagnaient 15,1% de moins que les hommes pour le même emploi, soit 0,7%… de plus !
La Covid-19, soulignent Les Glorieuses, a conduit d’ailleurs à un recul de près de 25 ans de l’amélioration des inégalités salariales. Et selon le Forum économique mondial, au rythme actuel de l’amélioration, il faudra 132 ans « pour atteindre la parité totale dans le monde ».
Une pétition pour la fin des inégalités salariales
Afin que les pouvoirs publiques prennent la question au sérieux, Les Glorieuses ont lancé une nouvelle pétition avec trois principes majeurs :
- l’obligation d’égalité salariale pour une entreprise pour accéder aux marchés publics, aux subventions et aux prêts étatiques ;
- une revalorisation des salaires dans les métiers à majorité féminins ;
- un congé parental « équivalent » pour les deux parents.
https://www.economiematin.fr/inegalites-salariales-travail-gratuit-femme-4-novembre-2022
Carte bancaire : 4 Français sur 10 se sont déjà fait dérober de l’argent
RépondreSupprimer39 % des Français ont été, au moins une fois dans leur vie, victimes de fraude à la carte bancaire, révèle un sondage YouGov pour Moneyvox.
Par Anton Kunin
le 10 novembre 2022 à 9h04
70% des Français déclarent avoir été informés par leur banque sur les risques d’escroqueries bancaires et les moyens de les éviter.
Les escroqueries à la carte bancaire, c’est surtout du vécu
Les escroqueries à la carte bancaire ne sont pas qu’un risque théorique. Pour beaucoup de personnes, elles relèvent du vécu, comme le met en évidence un nouveau sondage YouGov pour Moneyvox. Le pourcentage peut donner froid dans le dos : on y lit que 30 % des Français se sont fait dérober le solde de leur carte bancaire une fois dans la vie, et 9 % même plusieurs fois.
Il convient néanmoins de relativiser : la question porte sur l’ensemble de la vie, par uniquement sur les derniers 10-15 ans, qui ont vu la sécurité des cartes bancaires se renforcer considérablement (validation des transactions à distance par code SMS, puis via une identification biométrique dans l’application de la banque). Il serait donc une erreur de conclure, à la lecture de cette information, que la sécurité des cartes bancaires et aujourd’hui très mauvaise.
Le phishing et l’ingénierie sociale restent des moyens efficaces de fraude
Toujours est-il que les escrocs déploient un maximum d’efforts pour nous dérober notre argent. Aujourd’hui, ces escroqueries se passent majoritairement par phishing, smishing et ingénierie sociale (au téléphone, un escroc se fait passer pour un autre et vous demande certaines informations personnelles). L’actualité récente nous en fournit de nombreux exemples : CAF, Compte Formation, vignette Crit’air, Carte Vitale, La Poste…
Le même sondage nous apprend que 87 % des Français ont déjà reçu un email ou SMS frauduleux, 27 % en reçoivent même très souvent. Les 35-44 ans apparaissent d’ailleurs comme étant la cible privilégiée puisque 37 % d’entre eux se disent « très fréquemment sollicités ». Dernier enseignement : même si la réglementation est très stricte en matière de remboursement par les banques des sommes fraudées (le remboursement par la banque doit alors être immédiat et total), seuls 81% des personnes interrogées indiquent s’être fait rembourser par leur banque.
https://www.economiematin.fr/carte-bancaire-fraude-vol-argent-sondage
En plus des scanners qui captent les ondes émises par votre boîtier vers votre voiture ou votre alarme de maison, les facilités de vider tel ou tel compte bancaire est proposé très bientôt (si ce n'est déjà fait aux vues des républicains aux USA qui ont voté... démocrates !!) le transhumanisme !
SupprimerVotre cerveau sera piraté, le doute n'est même pas permis !! Si on vous dit de vous mettre à genoux et d'ouvrir la bouche... vous le ferez grâce aux injections salvatrices pour faire d'une personne intelligente la reine des connes ! Youpie !!
La Chine développe un hoverboard de style "retour vers le futur" capable de grimper 10 000 pieds
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 04:00
Un sous-traitant de la défense chinoise se prépare pour le premier vol d'essai humain d'une planche à roulettes propulsée par réaction l'année prochaine, a rapporté le South China Morning Post (SCMP).
Le dispositif de décollage vertical, en forme de Mattel Hoverboard de Retour vers le futur II de Marty McFly, peut soulever une personne pesant jusqu'à 220 livres à une altitude de près de 10 000 pieds. L'opérateur de la planche à roulettes, surnommé "SF-FB-30", peut voler jusqu'à dix minutes à des vitesses allant jusqu'à 93 mph.
Le système de contrôle de vol du SF-FB-30 est alimenté par l'intelligence artificielle, permettant à l'opérateur de manœuvrer la planche volante comme un "skateboard", a écrit le Beijing Institute of Power Machinery, un sous-traitant du programme spatial chinois et des armes hypersoniques, dans une affiche. au Salon international de l'aviation et de l'aérospatiale à Zhuhai, Guangdong, cette semaine.
« C'est en Chine que nous réalisons les progrès les plus rapides. Notre machine est plus simple et plus facile à utiliser que des projets similaires dans d'autres pays », a déclaré à SCMP un représentant de l'Institut des machines électriques de Pékin.
Le représentant a déclaré que l'intelligence artificielle du conseil d'administration pouvait se piloter et transporter des marchandises ou même transporter un passager.
L'institut a déclaré que le conseil avait des applications de défense, telles que son utilisation pour monter à bord d'un porte-conteneurs détourné. Outre l'utilisation militaire, la carte pourrait être utilisée dans le monde civil pour des opérations de recherche et de sauvetage, l'évacuation de bâtiments et le transport urbain.
Pendant ce temps, dans le monde occidental, les soldats britanniques volent dans des jetpacks de style "Iron Man" pour s'entraîner à embarquer sur des navires ennemis ou détournés.
Gravity Industries, une start-up de vol humain basée au Royaume-Uni, a récemment publié des images de ces jetpacks volant autour du port de New York.
Ainsi, outre les armes hypersoniques, les drones IA et les avions de cinquième et bientôt sixième génération, les superpuissances mondiales recherchent des planches à roulettes et des jetpacks propulsés par réaction pour de nouvelles capacités de mobilité sur le champ de bataille moderne.
https://www.zerohedge.com/technology/china-develops-back-future-style-hoverboard-able-climb-10000-feet
"Nom de Zeus !"
SupprimerNew York interdit à la plupart des civils de porter des gilets pare-balles !
RépondreSupprimerjeudi 10 novembre 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) La gouverneure de New York, Kathy Hochul, a interdit à la plupart des résidents de l'État d'acheter des gilets pare-balles à usage civil, à quelques exceptions près.
La loi, qui est entrée en vigueur le 6 juillet, interdisait à tous les résidents de l'État "non engagés ou employés dans une profession éligible" d'acheter, de posséder, de vendre, d'échanger, de donner ou d'éliminer personnellement des gilets pare-balles.
Les «professions éligibles» ne comprenaient initialement que les policiers, les agents de la paix et les personnes servant actuellement dans les forces armées des États-Unis ou dans l'armée de l'État de New York ou la garde nationale aérienne.
La loi a été adoptée par l'Assemblée législative de l'État de New York à la suite de la fusillade de masse dans une épicerie à Buffalo en mai qui a tué 10 personnes. Lorsque la loi a été initialement adoptée, elle n'interdisait que les "gilets pare-balles souples", qui auraient pu potentiellement servir d'échappatoire aux civils qui souhaitaient acheter des gilets pare-balles fabriqués avec des plaques d'acier, de céramique ou de polyéthylène.
Notamment, cette échappatoire ne couvre pas le gilet en acier que portait le tireur de Buffalo pendant la fusillade, qui était suffisamment solide pour arrêter une balle tirée par l'arme à feu de l'un des agents de sécurité de l'épicerie.
Le membre de l'Assemblée de l'État démocrate Jonathan Jacobson, le principal parrain du projet de loi, a admis qu'ils ne connaissaient pas la différence entre les différents types de gilets pare-balles lorsqu'ils rédigeaient le projet de loi.
"Je pense que l'important était que nous ayons pris des mesures importantes qui réduisaient la possibilité que des criminels utilisent des gilets pare-balles lors de la commission de crimes", a-t-il affirmé, ajoutant qu'il était prêt à retravailler la législation pour couvrir les gilets pare-balles en acier, en céramique ou plaques de polyéthylène.
« Nous voulions faire avancer les choses le plus rapidement possible et ne pas laisser le parfait se mettre en travers du chemin du bien », a expliqué Jacobson. « Comme toutes les lois de l'État de New York, nous essayons toujours de les améliorer à l'avenir. Bien sûr, nous essaierons d'améliorer cette loi.
Le bureau de Hochul a également pris cette position dans des déclarations publiques sans admettre aucune lacune concernant la compréhension des différents types de gilets pare-balles.
"Gouverneur. Hochul était fière de signer la nouvelle loi révolutionnaire adoptée par la législature pour restreindre les ventes de gilets pare-balles, et travaillera avec la législature pour élargir les définitions de la loi à la première occasion disponible », a déclaré son bureau.
La loi restreint le droit des New-Yorkais à la légitime défense
L'interdiction des gilets pare-balles à New York est la première interdiction généralisée de posséder des gilets pare-balles. À l'échelle nationale, très peu d'États et de juridictions locales ont même des restrictions sur les ventes de gilets pare-balles. Les lois étatiques et fédérales les plus strictes contre la possession et le port de gilets pare-balles ne concernent que les criminels violents.
La loi comparable la plus proche est celle du Connecticut, qui empêchait les gens d'acheter des gilets pare-balles à qui que ce soit, à l'exception des revendeurs agréés, et ils devaient effectuer l'achat en personne et non en ligne ou par correspondance. (Connexe: les résidents de New York achètent des gilets pare-balles en nombre record alors que les démocrates anarchiques financent la police et protègent les criminels violents.)
Brad Pedell, le propriétaire de 221B Tactical, un magasin d'équipements tactiques et de gilets pare-balles à New York, a noté combien de ses clients veulent posséder des gilets pare-balles pour se protéger contre les criminels avec des fusils ou des armes tranchantes.
RépondreSupprimer"C'est décevant parce que les résidents ont juste peur, et ils viennent nous voir parce qu'ils ont peur, et nous offrons une aide qui les rend plus confiants, qu'ils ne seront pas poignardés, blessés ou potentiellement tués", a déclaré Pedell. "Le fait que [les législateurs] enlèvent cela, quel que soit le but qu'ils ont en tête, je trouve cela vraiment triste, inutile et moralement répréhensible."
Les organisations de journalistes de New York ont exhorté Hochul à opposer son veto au projet de loi, invoquant des inquiétudes quant à la loi rendant difficile pour les personnes travaillant dans le journalisme d'acheter, de posséder et de porter des gilets pare-balles.
Au lieu d'opposer son veto au projet de loi, Hochul a travaillé avec les législateurs et les représentants de l'État pour élargir la liste des professions qui permettent aux gens de posséder et de porter des gilets pare-balles. Cette liste comprend désormais les serveurs de processus, les instructeurs d'armes à feu, les agents de sécurité dans les installations nucléaires, les agents de contrôle des animaux, les agents de sécurité des champs de tir et la plupart des types de journalistes, y compris les photographes, les journalistes de télévision et de radio et les équipes de nouvelles.
Regardez ce clip de Next News Network, avec Gary Franchi qui rapporte que les gilets pare-balles à destination de l'Ukraine se sont retrouvés à New York.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
USA Today fait pression pour l'interdiction de la vente d'"équipements tactiques" aux civils avec un article très biaisé qui ne mentionne que les groupes de droite, pas les anarchistes armés de gauche.
Des seins pare-balles ? Les chercheurs affirment que les implants mammaires réduisent les dommages causés par les blessures par balle… sérieusement.
Le démocrate présente un projet de loi fédéral visant à criminaliser la possession par les citoyens de gilets pare-balles protecteurs.
Sources include:
LawEnforcementToday.com
WYRK.com
APNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-10-new-york-bans-wearing-bulletproof-vests.html
C'est des bugs pour vous et du médaillon de bœuf pour nous : la COP27 est un junket d'hypocrisie
RépondreSupprimerPar Jo Nova
November 11th, 2022
Tuer la planète, une convention COP à la fois.
Rien ne dit "croyez-nous" comme faire toutes les choses qu'ils disent que nous devons abandonner. Ils volent dans des jets privés, mangent du steak et boivent dans des bouteilles d'eau en plastique. De toute évidence, s'ils pensaient vraiment que le gaz carbonique était un poison planétaire, ils n'agiraient pas de cette façon. À moins, bien sûr, qu'il s'agisse de seigneurs narcissiques qui pensent que le gaz carbonique est mauvais, mais que les règles ne s'appliquent pas à eux. Il y a ça…
Où est le cricket-burger ?
Hypocrisie de la COP27 : les mondialistes grignotent de la viande alors qu'ils poussent le régime anti-insectes pour les "prolétaires"
Kurt Zindulka, Breitbart
Si vous sauvez le monde, c'est bien d'expédier ce saumon depuis l'Atlantique :
Médaillon de bœuf sauce aux champignons, poitrine de poulet sauce à l'orange et saumon sauce crémeuse et ciboulette sont quelques-unes des options de menu que les dirigeants mondiaux, les diplomates, les bureaucrates et les gros bonnets de l'industrie vont grignoter lors de la réunion COP27 à Sharm El Sheikh, Egypte cette semaine.
L'auteur et commentateur politique écossais Neil Oliver a déclaré: «Ils sont venus nous parler de manger moins de viande pendant qu'ils s'assoient devant des menus comprenant du bœuf, du poulet, du saumon, du bar et des sauces à la crème. Ce n'est pas le leadership que nous voyons maintenant, c'est le désespoir, ça nous traîne les prolétaires à l'échelle galactique.
« Les politiques qu'ils prêchent condamnent des centaines de millions de personnes parmi les plus pauvres du monde à la pauvreté, à la famine, à la mort à l'échelle mondiale et en même temps, dans leur cynisme, ils veillent à ce que les populations de leurs propres pays soient plongées dans le carburant et la pauvreté alimentaire pour la première fois depuis des générations.
Apparemment, il y avait quelques véritables militants végétaliens et animaliers qui ont dit à quel point c'était mauvais. Bien pour eux. Mais le fan-club de l'ONU était probablement trop occupé à profiter d'une heure et demie de cocktails sans fond pour 110 £ chacun.
PS : Mais Angus Beef et champignons à 100$ ? Nous, Australiens, vivons comme des rois.
h/t John Connor II
https://joannenova.com.au/2022/11/its-bugs-for-you-and-beef-medallion-for-us-cop27-is-a-hypocrisy-junket/
Des particules inconnues observées dans les flacons des injections ARNm
RépondreSupprimer10/10/2021 –
11:47 mn → Vidéo – 74Mo
Source : On Ne Nous Dit Pas Tout
Lien vers la vidéo d’origine : ugetube.com/…
Un lanceur d’alerte découvre les analyses du vaccin pfizer faites par le Dr John B début octobre
09/10/2021 –
15:09 mn → Vidéo – 248Mo
Source : Neuf de Coeur
Lien vers la vidéo d’origine : bitchute.com/…
Dans cet interview du 29 septembre 2021? Carrie Madej décrit les étranges particules jamais vues auparavant et qu’elle a pu observer au microscope en analysant le contenu des injections ARNm de Moderna et Johnson & Johnson…
C’est très inquiétant…
https://www.web2klik.com/des-particules-inconnues-observees-dans-les-flacons-des-injections-arnm/
VOUS NE DEVEZ PAS SAVOIR CE QUE LA SERINGUE LÉTALE CONTIENT !!
RépondreSupprimerLa vidéo a été censurée (avec 60 commentaires publiés !) le 26 Octobre
« Morts de chaleur, vraiment ? » : désinformation ordinaire
RépondreSupprimerLa 27e édition de la mascarade des COP vient de commencer, au milieu du tapage médiatique habituel.
Yves Ronsse
le 12 novembre 2022
Il n’est pas facile de toujours rester zen face aux énormités en matière de désinformation que l’on peut constater en faisant le tour des chaînes télé dites d’information en continu.
La 27e édition de la mascarade des COP vient de commencer au milieu du tapage médiatique habituel prédisant l’apocalypse climatique si tous les pays du monde « ne prennent pas des mesures drastiques pour limiter le réchauffement, et c’est urgent, demain il sera trop tard, un point de non-retour sera franchi ! » La première rencontre ayant eu lieu en 1994 sous la présidence de Mme Angela Merkel alors ministre de l’Environnement, cela fait maintenant 27 ans qu’au cours du même cérémonial on crie à l’urgence : demain il sera trop tard.
Hier matin, sur une chaîne que pourtant je considère comme la moins mauvaise pour relayer le politiquement correct, une dame médecin, la madame Santé attitrée de la chaîne, dame qu’en général j’apprécie pour sa capacité à éclairer de façon simple des sujets de santé plus ou moins complexes, n’hésite pas à reprendre de la revue The Lancet l’affirmation suivante : « avec l’augmentation des températures (comprenez le changement climatique), le nombre de personnes dans le monde mortes des suites de la chaleur (les victimes de canicules, j’imagine) a augmenté de 68 % ! »
Or il se trouve que précisément j’ai lu quelques jours auparavant dans le Wall Street Journal un article critique de cette information qui démontre que cette revue commet en l’occurrence une erreur de débutant en matière d’analyse statistique, peut-être involontaire mais plus vraisemblablement délibérée (car comment soupçonner d’incompétence une revue aussi prestigieuse, laquelle a néanmoins dû par le passé déjà battre piteusement en retraite pour des faits analogues ?).
En effet, The Lancet omet de préciser que la population concernée par ce fameux chiffre de 68 %, à savoir les personnes âgées de plus de 65 ans, a elle-même augmenté pendant le même laps de temps de plus de 60 %, donc à peu près dans les mêmes proportions. Une analyse statistique sérieuse qui tiendrait compte de ce fait ramènerait ce fameux chiffre de 68 % à moins de 5 %, ce qui compte tenu des niveaux d’erreurs dans les mesures d’un phénomène multifactoriel, n’est même pas significatif.
Il est évident que ce genre d’information biaisée ne vise qu’à pousser dans l’esprit de l’auditeur lambda non informé l’idée que le changement climatique est une menace existentielle (voyez d’ailleurs le parallèle avec le covid) et qu’il devient de plus en plus urgent de prendre des mesures à la hauteur pour non seulement sauver la planète mais aussi nous sauver nous-mêmes de la mort. Voyez les déclaration ahurissantes du secrétaire général de l’ONU : « … coopérer ou périr… » ou de la présidente de la Commission européenne : « … ne prenons pas l’autoroute pour l’enfer… »
Mais si certains meurent « de chaleur », d’autres meurent « de froid ». Ma curiosité naturelle me pousse alors à m’interroger : quelle est l’amplitude comparée des deux phénomènes dans la même population pendant la même période ? Or il se trouve que la réponse est donnée dans le même article du Wall Street Journal cité plus haut. Par exemple, on constate que de 2000 à 2019, rien qu’au Canada et aux États-Unis, en moyenne annuelle, 20 000 personnes décédaient à cause de la chaleur et plus de 170 000 mouraient de froid, soit 8,5 fois plus. En outre, la modélisation des maladies montre que chez les vieilles personnes l’élévation des températures a réduit les « morts de froid » bien plus qu’elle n’a augmenté les « morts de chaleur », dans un rapport de 30 à 1.
L’auteur de l’article du Wall Street Journal, Bjorn Lomborg, un statisticien renommé qui a étudié à fond les données concernant le réchauffement climatique (il fut directeur de l’Environmental Assessment Institute à Copenhague) conclut en soulignant que le changement climatique est bien réel mais que les médias académiques rendent un très mauvais service à leurs lecteurs et à eux-mêmes en privilégiant l’activisme par rapport à l’investigation scientifique honnête.
RépondreSupprimerPour en revenir à la COP 27, remarquons d’abord que les pays n’ont aucun moyen réel d’agir sur le climat et que c’est par abus de langage qu’on leur demande de limiter le réchauffement. En fait, concrètement, ce qu’on voudrait leur imposer c’est de réduire les émissions de gaz à effet de serre, principalement le gaz carbonique. Et en pratique, que se passe-t-il lors de cette grand-messe ? Ce n’est même pas un catalogue de mesures précises; non, c’est l’annonce d’objectifs, avec une surenchère sur qui promettra d’en faire le plus, sans aucun égard sur la faisabilité pratique des dits objectifs et sur les conséquences désastreuses qui en résulteraient sur le bien-être de l’humanité si par extraordinaire et contre toute probabilité lesdits objectifs étaient atteints.
Observons que cette année, la COP va mettre l’accent sur le transfert d’argent des pays « riches » vers les pays « pauvres » pour compenser les « fautes » commises dans le passé. Évidemment, les pays africains n’attendent que cela… pour se développer : ils utiliseront davantage d’énergie fossile puisque 81 % de l’énergie utilisée dans le monde est d’origine fossile. Non seulement cette générosité va nous appauvrir, mais elle augmentera les émissions mondiales de gaz carbonique, sans compter l’argent qui reste collé aux mains dans ce genre de transfert.
Comment les responsables politiques – dont une bonne partie souhaite en principe le bien-être de leur peuple, en tous cas dans les pays démocratiques, et notamment dans le monde occidental – en sont-ils arrivés là ?
On a l’impression qu’il n’y a plus d’hommes d’État capables de raisonner objectivement et de peser les risques réels. Certes, l’avenir est par définition inconnu et gorgé de dangers potentiels, mais aussi de promesses et d’évolutions positives.
Dans les sphères dirigeantes aujourd’hui, dans les États-nations et encore plus dans les organisations internationales, il règne un état d’esprit catastrophiste, pas toujours sincère d’ailleurs, mais clairement affiché. Certains y voient simplement leur intérêt mais beaucoup, notamment en Europe, y croient plus ou moins véritablement en se laissant imposer les vues de l’alliance objective des groupes de pression de l’écologisme et du capitalisme de connivence.
Ces derniers agissent par le biais de l’opinion publique : en effet, rien de plus efficace par rapport à des responsables élus démocratiquement que de brandir la menace d’une non-réélection s’ils ne se conforment pas à l’idéologie qu’on aura réussi a inculquer aux masses.
RépondreSupprimerMais confrontés au dilemme « obéir à la réalité » contre « obéir à l’idéologie », les responsables participant aux COP ont trouvé une solution : on annonce des objectifs de plus en plus ambitieux sans jamais dire comment on y arrivera. Mais cette schizophrénie n’a qu’un temps, car comme on le voit de plus en plus aujourd’hui, les lobbies font monter la pression par tous les moyens possibles, laissant de moins en moins d’échappatoires aux responsables.
Parmi les différentes chapelles de l’écologisme, la plus nocive est certainement celle des tenants de la décroissance malthusienne, promoteurs de solutions simples et radicales, certaines confinant tout simplement au génocide d’une bonne partie de l’humanité.
Il n’y a qu’une voie pour sortir de cette folie : reprendre le contrôle du récit intersubjectif en convainquant les masses que la seule voie de leur bien-être est le progrès scientifique et technologique qui permettra de s’adapter aux situations futures quelles qu’elles soient, et redonner (particulièrement à la jeunesse) confiance dans l’avenir.
Il faut aussi arrêter de prostituer la Science, laquelle doit être indépendante de toute consigne politique et entièrement libre d’étudier la réalité.
https://www.contrepoints.org/2022/11/12/442836-morts-de-chaleur-vraiment-desinformation-ordinaire
(...) Il n’est pas facile de toujours rester zen face aux énormités en matière de désinformation que l’on peut constater en faisant le tour des chaînes télé dites d’information en continu. (...)
SupprimerPareil ici pour LE VERT BAVOIR où c'est tous les jours que des articles scientifiques sont censurés et même des vidéos avec ses 60 commentaires de retirées !
L'acharnement vise surtout les docteures Carrie Madej (USA) et Astrid Stückelberger (Suisse) qui ont découvert et fait part de leurs constatations qu'à l'analyse des flacons injectables était révélée la présence d'hydres !! et de nano-particules d'oxyde de graphène de 95 à 99 % de leur composition !
https://www.web2klik.com/des-particules-inconnues-observees-dans-les-flacons-des-injections-arnm/
https://vk.com/@ongomdmedald-la-drmadej-dvoile-la-dcouverte-dtranges-cratures-contenues-d
mais, ces observations scientifiques révélées sont INTERDITES sur Google entr'autres !
Un médecin australien analyse le contenu de piqûres de covid, trouve de l'oxyde de graphène et des nanocircuits auto-assemblés
RépondreSupprimerVendredi 11 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Curieux de savoir ce qui est réellement contenu dans ces flacons qu'ils appellent des «vaccins» covid, un médecin basé à Brisbane (Australie) du nom de David Nixon a collecté des échantillons et les a examinés au microscope à côté du sang de «entièrement vaccinés », révélant la présence d'oxyde de graphène et d'autres ingrédients inquiétants.
Alors que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis affirment que tous les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont exempts de «métaux, tels que le fer, le nickel, le cobalt, le lithium et les alliages de terres rares» et de «produits manufacturés tels que micro-électronique, électrodes, nanotubes de carbone et nanofils semi-conducteurs », le fait est que ce n'est tout simplement pas vrai.
La photographie accélérée capturée par Nixon a révélé non seulement la présence d'oxyde de graphène, mais aussi ce qui semblait être "des bras mécaniques assemblant et désassemblant des structures rectangulaires brillantes qui ressemblent à des circuits et des micropuces", pour citer Spectator.
"Ce ne sont pas des" produits manufacturés "selon les termes du CDC car ils se construisent et se déconstruisent mais la formation des cristaux semble être stimulée par le rayonnement électromagnétique et s'arrête lorsque la lame contenant le vaccin est protégée par un sac de Faraday", poursuit le magazine. signalé.
"Les découvertes de Nixon sont similaires à celles d'équipes en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, en Espagne et en Corée du Sud." (En relation: des scientifiques britanniques ont également confirmé la présence d'oxyde de graphène dans des flacons d'injection covid.)
Plus de 94 % du sang vacciné contre le covid contient des cellules « déformées » et des « corps étrangers luminescents »
Une autre étude similaire a été menée par un groupe italien dirigé par Riccardo Benzi Cipelli, qui a examiné des échantillons de sang prélevés sur plus de 1 000 personnes qui avaient été injectées pour la grippe chinoise environ un mois auparavant.
Tous les patients en question ont été référés pour analyse parce qu'ils ont signalé un certain degré d'effets secondaires après l'injection. Cipelli et son équipe espéraient comprendre ce qui était arrivé aux corps de ces personnes en examinant de plus près l'état de leur sang.
Les échantillons de sang provenaient de patients âgés de 15 à 85 ans, qui ont tous reçu entre une et trois doses de vaccin contre la grippe Fauci.
Il a été découvert qu'un pourcentage choquant de 94 % des échantillons présentait des "lectures anormales". Cela comprenait des globules rouges déformés, une réduction du nombre de globules sanguins et une agrégation autour de « corps étrangers luminescents qui attiraient également des amas de fibrine ».
RépondreSupprimer"Certains des corps étrangers parsemaient le sang comme une nuit étoilée, certains se sont auto-assemblés en structures cristallines et d'autres en branches et tubes grêles", a ajouté Spectator.
Les scientifiques impliqués pensent que les particules métalliques qu'ils ont observées ressemblent à « de l'oxyde de graphène et peut-être à d'autres composés métalliques ». Ce sont certainement des choses que vous ne voudriez pas voir flotter dans votre sang après avoir pris un prétendu « médicament ».
«Ils pensent que le sang endommagé contribue aux troubles de la coagulation post-vaccinaux, qui à leur tour contribuent à l'augmentation des tumeurs malignes, tandis que les matériaux de la famille des graphènes sont associés au stress oxydatif, aux dommages à l'ADN, à l'inflammation et aux dommages aux parties du système immunitaire qui suppriment les tumeurs. », expliquent en outre les rapports.
Ensuite, nous avons le composant ARN messager (ARNm) des injections, qui a été conçu pour être «masqué» du système immunitaire du receveur. On pense que cette capacité de camouflage réduit la fonctionnalité immunitaire des personnes entièrement piquées, un phénomène également connu sous le nom de SIDA induit par le vaccin ou VAIDS.
Lorsqu'ils sont laissés à température ambiante, les vaccins à ARNm se sont en outre avérés former spontanément des puces et des circuits. Ces objets étrangers ont également été identifiés dans les échantillons de sang prélevés sur les personnes entièrement piquées.
"La situation est d'autant plus alarmante qu'il devrait y avoir moins de décès maintenant, car tant de personnes sont mortes plus tôt dans la pandémie", rapporte Spectator. "Il y a aussi eu une augmentation spectaculaire du nombre de personnes handicapées."
Vous voulez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des vaccins ? Assurez-vous de consulter Vaccines.news.
Les sources de cet article incluent :
Spectator.com.au
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-11-physician-analyzes-covid-jabs-graphene-oxide-nanocircuits.html
Rappel qu'il y a aussi le danger mortel en cas d'accident de se faire transfuser du sang... contaminé !! donc: mort certaine !
Supprimer« L’envers des mots » : stagflation
RépondreSupprimerLa stagflation nous menace-t-elle à nouveau comme le suggérait récemment la Banque Mondiale ?
le 12 novembre 2022
Par Julien Pillot.
À mesure que des questions de société émergent et que de nouveaux défis s’imposent aux sciences et technologies, notre vocabulaire s’étoffe, s’adapte. Des termes qu’on croyait déjà bien connaître s’enrichissent de significations inédites, des mots récemment créés entrent dans le dictionnaire. D’où viennent-ils ? En quoi nous permettent-ils de bien saisir les nuances d’un monde qui se transforme ? De « validisme » à « silencier », de « bifurquer » à « dégenrer », les chercheurs de The Conversation s’arrêtent deux fois par mois sur l’un de ces néologismes pour nous aider à mieux les comprendre et donc de mieux participer au débat public.
En ces temps d’incertitudes économiques, le terme « stagflation » revient avec insistance dans l’actualité. Revient, car ce mot, contraction de stagnation et d’inflation, ne date pas d’hier. Attribué au politicien Iain N. Macleod pour décrire la situation économique de la Grande-Bretagne au milieu des années 1960, il a été repris par les économistes pour dépeindre celle de nombre de pays développés suite au choc pétrolier de 1973.
À l’époque, la hausse du prix du baril (de 4 dollars à 16 dollars) avait plongé l’ensemble des marchés dans une longue période de stagnation – voire de récession – du PIB, de forte inflation (soit l’augmentation de l’indice général des prix) et de hausse du chômage. Pour la France, voilà qui mit un point final aux Trente Glorieuses, période marquée par un grand dynamisme industriel et une forte augmentation du niveau de vie.
D’abord, les chercheurs en travaux économiques se sont évertués à mettre en évidence les deux principales causes de l’apparition d’une stagflation.
D’une part, l’augmentation du coût de l’énergie et/ou des intrants (les matières premières ou la force de travail, par exemple) induit une forte hausse des coûts de production qui concourt à la hausse des prix, au ralentissement de la consommation, et à celle de la production, du fait de perspectives de rentabilité dégradées.
D’autre part, les situations prolongées de surliquidité (soit la masse monétaire en circulation en excédent) finissent par dégrader la valeur de la monnaie.
Confrontés à l’inflation et l’érosion de leur pouvoir d’achat, les employés sont alors fondés à réclamer des hausses de salaire… qui finissent par soutenir la hausse de prix sous l’augmentation conjointe des coûts de production et de la demande. Une telle boucle prix/salaire se révèle donc néfaste à l’industrie dont les capacités de production et de création d’emplois sont durablement altérées.
Les deux effets conjugués conduisent à la hausse des prix, au ralentissement économique et à une augmentation du chômage, c’est-à-dire précisément une stagflation :
RépondreSupprimer- voir croquis sur site -
Dans les années 1970, la stagflation avait mis un coup d’arrêt aux politiques keynésiennes alors largement poursuivies dans les pays développés. Celles-ci reposaient sur la croyance erronée en une relation inverse entre le chômage et l’inflation (la fameuse courbe de Phillips) et un important interventionnisme de l’État. Les gouvernements menaient alors des politiques budgétaires et monétaires dites expansionnistes, via les dépenses publiques et la baisse des taux d’intérêt directeurs, pour soutenir l’économie.
Le caractère inopérant de ces politiques en situation de stagflation a ouvert la voie aux thèses monétaristes (portées notamment par Milton Friedman ou Edmund Phelps) selon lesquelles les agents économiques, anticipant une inflation future, négocient des hausses de salaire. Nous retrouvons alors la fameuse boucle prix/salaire, fruit d’anticipations qui valident une sorte de prophétie autoréalisatrice. Dès lors, en situation de stagflation, il convient de substituer aux politiques de soutien à la demande des politiques orientées vers l’offre (pour lutter contre le chômage), et d’adopter des politiques de rigueur (de façon à réduire l’inflation).
La stagflation nous menace-t-elle à nouveau comme le suggérait récemment la Banque Mondiale ? Il est vrai que certaines similitudes sont troublantes, comme la hausse du prix de l’énergie ou les difficultés d’approvisionnement. De leur côté, les banques centrales relèvent certes progressivement leurs taux directeurs, mais les taux réels restent pour l’heure trop bas pour corriger l’inflation.
Pour autant, s’il semble acquis que l’économie mondiale va connaître une période de récession, et que l’inflation pourrait s’installer durablement, le retour de la stagflation reste peu probable pour l’heure. Les tensions sur le marché du travail ne devraient pas alimenter de boucle prix/salaire, tandis que les investissements dans une industrie plus souveraine et la transition écologique offrent une perspective de soutien à l’économie. Reste que le retour de ce mot résonne comme la réminiscence d’un trauma collectif que les économies développées entendent bien ne pas revivre.
Julien Pillot, Enseignant-Chercheur en Economie (Inseec) / Pr. associé (U. Paris Saclay) / Chercheur associé (CNRS), INSEEC Grande École
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
https://www.contrepoints.org/2022/11/12/442607-lenvers-des-mots-stagflation
(...) suite au choc pétrolier de 1973.
SupprimerÀ l’époque, la hausse du prix du baril (de 4 dollars à 16 dollars) avait plongé l’ensemble des marchés dans une longue période de stagnation (...)
Rappel que durant la 'guerre du Golfe' (1990/1991) l'Irak du cher Saddam Hussein vendait son pétrole à la pompe à Bagdad à... 1 franc les 200 litres !! soit 15 centimes d'euro pour 200 litres !! ce qui -même quadruplé - s'affiche 60 centimes d'euro les 200 litres, ce qui nous donne 0,3 centime le litre !! ou 10 litres pour 3 centimes d'euro ! C'est çà qui est appelé 'le choc pétrolier' !!
La fausse bonne idée de la décroissance
RépondreSupprimerLes prévisions apocalyptiques malthusiennes dont s’inspirent les partisans de la décroissance sont sans fondement.
le 12 novembre 2022
Par Germain Belzile et Alexandre Moreau, depuis le Canada.
Un article de l’Institut économique de Montréal
Récemment, une série de capsules vidéo sur la « décroissance économique » et ses bienfaits a enflammé la toile québécoise. Cette série, produite par Radio-Canada, suggère que nous vivons sur une planète de moins en moins propre, plus pauvre, mal nourrie et que la santé des humains diminue.
Il n’y aurait qu’une minorité de riches qui tirent profit de la situation actuelle et ceux-ci alimentent une croissance effrénée qui nous pousse à demander à la Terre davantage que ce qu’elle est capable d’offrir. En somme, notre existence est actuellement insoutenable et seule la décroissance permettrait de vivre en harmonie avec notre planète.
Le triomphe de Malthus
Ce discours alarmiste repose sur les idées de Thomas Malthus, un démographe anglais du XVIIIe siècle. Malthus affirmait que la croissance de la population et celle de la production étaient insoutenables et que les ressources de la planète seraient bientôt épuisées. Ultimement, il prédisait des famines, une croissance importante de la pauvreté et rien moins que la fin de l’humanité,= si rien n’était fait pour contrôler l’augmentation de la population.
En agriculture, les rendements ont tellement augmenté que l’on peut nourrir un nombre croissant de personnes avec une superficie équivalente : la production mondiale de céréales a presque quadruplé en 50 ans alors que la superficie des terres cultivées est demeurée relativement stable. Pourquoi ? La recherche du profit a incité les agriculteurs à augmenter leur productivité, les fournisseurs de machinerie et de semences à offrir des produits améliorant l’efficience du travail et le rendement des céréales.
Une décroissance aux prévisions sans fondements
Dans la logique malthusienne, pour quadrupler la production, il aurait fallu quadrupler la superficie des terres cultivées, ce qui aurait accru la déforestation. Au contraire, l’innovation a permis de la réduire alors même que le niveau de développement économique augmente. C’est d’ailleurs principalement dans les pays moins développés que l’on observe une diminution du couvert forestier.
Les prévisions apocalyptiques malthusiennes sont sans fondement. L’idée de la décroissance peut paraître séduisante à première vue ici, dans l’une des sociétés les plus riches au monde, mais elle ne ferait certainement pas consensus dans les pays en développement, aux économies peu productives, et où les gens vivent malgré eux selon l’idéal des disciples de Malthus.
RépondreSupprimerPourquoi ? Parce que plus un pays s’enrichit, plus le taux de mortalité infantile diminue, plus le travail effectué par des enfants diminue, plus le niveau de pauvreté absolue diminue (il est passé de plus de 80 à seulement 10 % en deux siècles), plus le nombre d’heures travaillées diminue, plus les inégalités entre les hommes et les femmes diminuent, plus le taux de mortalité lié à la malnutrition diminue, plus l’espérance de vie augmente, etc.
La théorie économique explique ces relations par la division et la spécialisation du travail qui sont rendues possibles par les échanges commerciaux
Un meilleur environnement
Au bout du compte, grâce à la hausse du niveau de vie nous avons davantage de temps pour notre famille et nos loisirs tout en ayant une meilleure qualité de vie, ce qui serait impossible dans un monde où les idées malthusiennes triompheraient.
Et l’environnement ? La croissance économique nous permet de consacrer davantage de ressources à la recherche afin d’innover, et cette innovation nous permet d’en faire plus avec moins. Dans une société plus riche, où les besoins de base sont couverts, l’environnement devient une plus grande source de préoccupation, favorisant ainsi le développement d’un cadre réglementaire minimal qui protège à la fois la propriété privée et nos écosystèmes. Ainsi, une entreprise qui pollue doit rendre des comptes, ce qui contribue à la protection de nos cours d’eau et de nos forêts.
Ce cadre réglementaire est souvent absent dans les pays moins développés. Dans cette perspective, on est moins surpris d’apprendre que plus de la moitié des déchets polluant nos océans proviennent de cinq pays où la propriété privée et le niveau de développement économique sont relativement faibles (Chine, Indonésie, Philippines, Vietnam et Sri Lanka).
Tout cela ne signifie pas que nous ne devons pas faire d’efforts supplémentaires pour être plus écologiques dans notre consommation et réduire la quantité de déchets que nous produisons. Par contre, il va de soi que les solutions proposées par des entrepreneurs seront beaucoup plus utiles que des prévisions apocalyptiques qui proposent un système contraignant et appauvrissant.
https://www.contrepoints.org/2022/11/12/323768-la-fausse-bonne-idee-de-la-decroissance
(...) la production mondiale de céréales a presque quadruplé en 50 ans alors que la superficie des terres cultivées est demeurée relativement stable. (...)
SupprimerSans que la population n'est été multipliée par 4 !
Crise énergétique maison ? Une autre raffinerie, propriété de Chevron, prend feu – sabotage des infrastructures pétrolières ?
RépondreSupprimerVendredi 11 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) La nuit des élections de mi-mandat, une autre raffinerie de pétrole, celle-ci appartenant à Chevron et située à El Segundo, en Californie, a pris feu dans des circonstances mystérieuses.
Les pompiers ont été appelés sur les lieux, qui ont été décrits comme un "incendie massif" – voir la vidéo ci-dessous. Les responsables disent qu'ils n'ont aucune idée de la façon dont l'incendie a commencé.
?#BREAKING : Une raffinerie de pétrole Chevron est engloutie par les flammes
?#ElSegundo l #Californie
À l'heure actuelle, plusieurs pompiers luttent contre un incendie massif dans une partie d'une raffinerie de pétrole Chevron à el segundo Les responsables californiens disent qu'il n'est pas clair sur la façon dont l'incendie s'est déclenché alors que le feu se propage pic.twitter.com/9gLgPJlZl0
– R A W S A L E R T S (@rawsalerts) 9 novembre 2022
Le lendemain, Reuters a rapporté que «l'incendie isolé» s'était produit à l'intérieur de la raffinerie de Chevron de 269 000 barils par jour (bpj) et qu'il était maintenant éteint.
Aucune des "unités de traitement majeures" de l'installation n'a été affectée, selon le même rapport. (En relation: En septembre, de nombreuses raffineries de pétrole de l'Ohio ont mystérieusement pris feu et ont dû être fermées.)
Les pompiers ont pu éteindre complètement le feu vers 20h35. PST peu de temps après la fermeture des bureaux de vote et le dépouillement des votes.
Un porte-parole de la société Chevron affirme que l'incendie n'a pas eu d'impact sur la capacité de la raffinerie à fournir des produits pétroliers aux clients de toute la région de la Californie du Sud.
L'installation Chevron où un incendie s'est produit produit 20% du carburant des véhicules et 40% du carburéacteur dans le sud de la Californie
Le feu s'est déclaré peu avant 18h13. lorsque l'expédition a été appelée. Il a été considéré comme une "alarme à deux niveaux" affectant El Segundo, ainsi que Manhattan Beach, Redondo Beach et le comté de Lose Angeles.
Selon le site Web de Chevron, la raffinerie d'El Segundo en question fournit 20% de tout le carburant pour véhicules à moteur dans le sud de la Californie. Il fournit également 40% de tout le carburéacteur consommé dans le sud.
L'incident s'est produit à un moment où les prix de l'essence en Californie grimpent à 6 $ le gallon et au-delà. Ils ont légèrement baissé avant les élections de mi-mandat, mais devraient maintenant augmenter d'un autre dollar par gallon en décembre.
Pendant ce temps, des « travaux planifiés » seraient programmés dans deux raffineries concurrentes proches de la raffinerie de Chevron. Il s'agit notamment de la raffinerie de 363 000 b/j de Marathon à Los Angeles et de la raffinerie de 145 000 b/j de Valero à San Francisco.
Est-ce tout simplement une coïncidence, ou ces incendies et événements de « travaux planifiés » sont-ils coordonnés pour réduire davantage les approvisionnements en combustibles fossiles de l'Amérique, et donc l'indépendance énergétique de notre pays ?
RépondreSupprimerGardez à l'esprit que de nombreuses autres raffineries ont également été touchées par de mystérieux incendies ces derniers mois, tout comme une série d'installations de production alimentaire dans tout le pays. Est-ce que cet écoterrorisme et ce dépeuplement sont à l'œuvre ?
"Joe a dit plus de pétrole", a écrit un commentateur à ce sujet, faisant référence, bien sûr, au faux président Joe Biden et à son programme anti-carburants fossiles. « C'était d'abord l'approvisionnement alimentaire ; maintenant, ils recherchent des capacités de carburant.
Un autre a écrit qu'"ils font cela chaque fois qu'ils ont besoin d'une excuse pour augmenter encore les prix".
"Cela fait partie de leur livre de jeu", a ajouté cette personne.
Si tout cela est planifié comme beaucoup le pensent, alors le pays, et vraisemblablement le monde, est sur le point de subir une transformation massive de désindustrialisation, ce qui signifie également beaucoup de dépeuplement.
"Le mouvement" vert "nous ramènera à l'âge de pierre", a lancé un autre commentateur. "Il n'y a pas de "réchauffement climatique". Même le terme "combustibles fossiles" est un terme impropre. La terre produit toute l'énergie dont nous avons besoin.
"Cela affectera négativement les prix que les consommateurs californiens paient à la pompe", a ajouté un autre à la conversation – bien que beaucoup soutiennent que le reste du pays souffrira également.
"La seule chose est que pendant que l'incendie de la raffinerie Chevron sera local en Californie, l'arrêt du pétrole brut de SPR (réserves stratégiques de pétrole) aura un effet national."
Le secteur américain de l'énergie fossile est attaqué. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Terrorism.news.
Les sources de cet article incluent :
Twitter.com
Reuters.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-11-chevron-refinery-fire-flames-sabotage-oil-infrastructure.html
TOUS les modèles climatiques officiels surestiment radicalement le réchauffement, révèle une analyse
RépondreSupprimerVendredi 11 novembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le climatologue bien connu, le Dr Roy Spencer, a récemment publié un article qui expose que tous les modèles climatiques sont complètement faux en ce qui concerne l'état de «réchauffement» sur la planète Terre.
Les lectures réelles de la température par satellite montrent que la planète se réchauffe à peine - et même le réchauffement observé pourrait n'être qu'une anomalie statistique car il est vraiment si petit. Mais vous ne le sauriez jamais à partir des modèles climatiques officiels.
« Comment est-il possible que CHAQUE MODÈLE CLIMATIQUE prédise un réchauffement supérieur à celui observé ? » demande le blog No Consensus. (Connexe : Des scientifiques indépendants ont confirmé qu'il n'y a pas d'urgence climatique.)
« La science du climat est l'un des domaines les plus financés gratuitement de l'histoire de la science. Ils obtiennent des satellites, des vols, des conférences, toute une division MASSIVE des Nations Unies, des bâtiments, des départements universitaires, des superordinateurs, des chèques de paie ridicules, des récompenses monétaires insensées, une reconnaissance internationale, des publicités télévisées… des câlins de filles sexy… encore et encore.
Non, la planète ne se réchauffe PAS
Toutes ces bêtises sont payées avec vos impôts, soit dit en passant. Aucune de ces folies climatiques ne serait possible si ce n'était pour des dizaines de millions de personnes qui versent un pourcentage important de leur salaire aux psychopathes en charge.
La seule raison pour laquelle ils continuent de s'en tirer en trompant le monde et en escroquant la société du véritable succès et de la prospérité, c'est parce que Nous, le peuple, leur permettons de le faire.
La science est claire : la planète ne se réchauffe pas. Si quoi que ce soit, elle se refroidit en ce moment. Et à un moment donné dans le futur, il recommencera à se réchauffer parce que c'est ainsi que fonctionne le climat.
Le monde est certainement sur une trajectoire accélérée vers le désastre, mais pas parce que les humains conduisent des voitures et mangent de la viande. Non, la vraie raison est que les psychopathes gouvernent le monde et le détruisent avec leur fiction climatique sans fin.
RépondreSupprimerLa vérité est que chaque modèle climatique sur la planète Terre est frauduleux en ce sens qu'ils sur-prédisent tous massivement l'état du temps. Si quoi que ce soit, les choses sont toujours les mêmes qu'elles l'ont toujours été, malgré la révolution industrielle.
"Cela doit être crié sur les toits", a écrit un commentateur. "Il y a des milliards de dollars d'incitations, payés par les contribuables, distribués pour de mauvaises informations sachant que ce sont de mauvaises informations mais acceptant le faux récit, et les bonnes informations sont censurées."
Soit dit en passant, le Dr Spencer a récemment fait censurer sa chaîne YouTube pour avoir trop révélé sur la fraude climatique qui est transmise comme «vérité» par les mondialistes. Ils ne peuvent tout simplement pas tolérer des points de vue opposés, c'est ainsi que vous savez que leur dogme est faux.
"Lorsque vous vivez dans un monde qui rejette la réalité et met le fantasme à sa place, puis exige que vous soyez d'accord avec le fantasme ou que vous subissiez des conséquences douloureuses, il devient de votre devoir de CRIER que le fantasme est un mensonge", a écrit un autre commentateur.
Quelqu'un d'autre a souligné que la foule du réchauffement climatique ignore délibérément le fait que l'Antarctique a connu une accumulation record de froid, de neige et de glace au cours des dernières décennies. En d'autres termes, les choses ne se réchaufferont certainement pas dans cette partie du monde.
"Même au cours des dernières années, le froid, la neige et la glace de l'Antarctique ont atteint un nombre record", a ajouté cette personne.
« Le nombre d'ouragans et de tornades catastrophiques a diminué au cours des deux dernières décennies. Les océans n'ont pas augmenté de manière appréciable autre que le cirage et le déclin normaux des cycles de fonte et d'évaporation des glaces. De plus, les sécheresses, les coups de froid et les conditions météorologiques extrêmes sont la règle tout au long de l'histoire enregistrée. Il existe des archives claires remontant aux années 1400 confirmant ce fait.
Les dernières nouvelles liées au climat peuvent être trouvées sur Climate.news.
Les sources de cet article incluent :
Pas de consensus.Wordpress.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-11-all-climate-models-overpredict-warming-analysis.html
Des fermes appartenant à des étrangers drainent les aquifères du sud-ouest pour nourrir le bétail à l'étranger
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 12 NOVEMBRE 2022 - 01:20
Alors que le sud-ouest américain souffre d'une aggravation des conditions de sécheresse, les fermes étrangères ont siphonné l'eau des aquifères souterrains pour cultiver des cultures assoiffées d'eau comme la luzerne, qui finissent par se retrouver à l'étranger pour nourrir le bétail et d'autres animaux étrangers.
"Vous ne pouvez pas prendre de l'eau et l'exporter hors de l'État, il y a des lois à ce sujet", a déclaré le géohydrologue de l'Arizona Marvin Glotfelty à CNN. "Mais vous pouvez prendre de l'eau "virtuelle" et l'exporter ; de la luzerne, du coton, de l'électricité ou tout ce qui est créé en partie à partir de l'utilisation de l'eau."
Les résidents du comté de La Paz, en Arizona, sont particulièrement frustrés par les « immenses fermes appartenant à des étrangers » de la région qui profitent des lois laxistes sur les eaux souterraines qui donnent le dessus à l'utilisation agricole, permettant aux fermes de pomper de l'eau illimitée sous les propriétés qu'elles possèdent ou louent.
La superviseure du comté, Holly Irwin, a déclaré à CNN qu'amener l'État à agir, ou même à reconnaître, la diminution de l'approvisionnement en eau de l'État s'est avéré un exercice «frustrant» et futile.
Selon Irwin, les entreprises agricoles du Moyen-Orient "ont épuisé leur [eau], c'est pourquoi elles sont ici", ajoutant "C'est ce qui irrite le plus les gens. Nous devrions prendre soin des nôtres, et nous leur permettons simplement d'entrer, acheter une propriété et continuer à percer des trous dans le sol."
En fait, 80% de l'Arizona n'a pas de lois régissant la quantité d'eau pouvant être drainée par les mégafermes d'entreprise, ni aucun moyen de la suivre, selon le rapport.
"Les gars du puits et moi n'avons jamais rien vu de tel auparavant", a déclaré Gary Saiter, résident de longue date de Wenden, en Arizona, qui a déclaré qu'une société basée aux Émirats arabes unis, Al Dahra, avait puisé dans un réservoir souterrain qui stocke l'eau accumulée au-dessus. des milliers d'années.
[L]es communautés rurales du comté de La Paz savent que l'eau disparaît sous leurs pieds.
Les puits résidentiels peu profonds du comté ont commencé à s'assécher en 2015, selon les responsables locaux, et les niveaux des puits municipaux plus profonds ont régulièrement diminué. À Salomé, le propriétaire du service d'eau local, Bill Farr, a déclaré à CNN que son puits - qui alimente en eau plus de 200 clients, y compris les écoles locales - approche de la fin de sa durée de vie utile. -CNN
Selon Saiter, l'eau du puits de la ville a chuté - la profondeur de l'eau passant d'environ 100 pieds sous la surface dans les années 1950 à environ 540 pieds en 2022 - bien au-delà de ce qu'un puits résidentiel moyen peut atteindre.
L'expansion du Moyen-Orient frappée par la sécheresse dans le sud-ouest des États-Unis s'est accélérée après une interdiction saoudienne en 2018 de cultiver des cultures assoiffées d'eau comme la luzerne et le foin pour nourrir le bétail et le bétail, mais ils ont une «fierté nationale» au Moyen-Orient en ce qui concerne leurs vastes exploitations laitières.
RépondreSupprimer"Ils ont toutes leurs vaches là-bas et ils ont besoin de nourriture. Cette matière première vient de l'étranger", a déclaré à CNN Eckart Woertz, directeur de l'Institut GIGA pour les études sur le Moyen-Orient, basé en Allemagne.
Par exemple, la société Almarai, qui possède environ 10 000 acres de terres agricoles en Arizona sous la filiale Fondomonte, est l'une des plus grandes sociétés d'approvisionnement en produits laitiers du Moyen-Orient. Il possède également environ 3 500 acres dans le sud de la Californie qui utilisent l'eau du fleuve Colorado pour irriguer les cultures.
Woertz a déclaré que si la plupart des aliments pour bétail de l'entreprise sont achetés sur le marché libre, Alamarai a franchi une étape supplémentaire en achetant des terres agricoles à l'étranger, dans le cadre d'une tendance croissante aux terres agricoles appartenant à des étrangers aux États-Unis. Les terres agricoles appartenant à des étrangers dans l'Ouest sont passées d'environ 1,25 million d'acres en 2010 à près de trois millions d'acres en 2020, selon les données du département américain de l'Agriculture. Dans le Midwest, les terres agricoles appartenant à des étrangers ont presque quadruplé.
...
Dans le haut désert de l'Arizona, des champs vert émeraude s'étendent sur des kilomètres aux côtés de tumbleweeds secs et de cactus Saguaro.
Le Vicksburg Ranch, propriété de Fondomonte, près de Salomé, est immense. La société a dépensé 47,5 millions de dollars pour y acheter près de 10 000 acres (4046 ha) de terrain en 2014, et elle loue des terres agricoles supplémentaires à l'État. -CNN
"Cela vous donne l'impression d'être plus proche de la source", a déclaré Woertz. "Le sentiment que vous possédez ou louez des terres ailleurs et que vous avez un accès bilatéral direct [à l'eau] vous donne peut-être un sentiment de fausse sécurité."
Comme Regina Cobb, membre sortante de la State House, a demandé à CNN : "Pourquoi permettons-nous à une entreprise étrangère d'entrer en Arizona - qui est frappé par la sécheresse en ce moment - et d'avoir un accord de faveur [sur les baux], alors que nous essayons de conserver autant d'eau comme nous pouvons ?"
"Cela me dépasse."
https://www.zerohedge.com/commodities/foreign-owned-farms-draining-southwest-aquifers-feed-cattle-overseas
Comme il en est pour le pétrole où les nappes se reremplissent en une dizaine d'années il en est pour l'eau.
SupprimerMais, s'il en est pour l'or noir sorti aux derricks, l'eau est plus conflictuelle en ce qu'il est du domaine des irrigations fournissant la nourriture.
La proportion d'eau accessible est - certes - mille fois plus que l'arrivée du pétrole abiotique. Car, depuis ses infiltrations sous maritimes & océaniques elle abonde en sous-sols. Mais, la quantité consommée est aussi mille fois plus intense. D'où le problème dû au refroidissement planétaire qui réduit les évaporations maritimes & océaniques sur notre globe et qui appartient au pouvoir magmatique qui s'avère être en insuffisance ces derniers temps !
La désalinisation des eaux (de mers & d'océans) appartient à l'énergie nécessaire pour en faire disparaître les impuretés.
SCHEMA: Prendre une boite d'eau (sale, urine, eau noire, etc) et la poser sur une poêle posée sur le feu. Recouvrir ladite boite centrale avec une plus grande boite retournée dessus-dessous dans la poêle. La combustion entraînera une évaporation qui s'établira dans la grande boite et qui s'écoulera vers la poêle. Cette eau sera pure ! Sans couleur, ni odeur ni bactérie.
C'est ce qui se passe continuellement avec les infiltrations vers la masse ferrique incandescente sous nos pieds et qui apporte l'eau propre aux sources
L'embargo de l'UE sur le pétrole russe sera une aubaine pour l'OPEP
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 20:43
Rédigé par Haley Zaremba via OilPrice.com,
Le climat actuel du marché pétrolier est complexe, c'est le moins qu'on puisse dire.
L'Europe se prépare à décréter son embargo sur le pétrole russe et les raffineurs se bousculent pour trouver des alternatives.
De nombreuses personnes à la recherche de nouvelles sources de brut ont atterri sur les producteurs du Moyen-Orient comme alternative potentielle.
Alors que le monde a imposé une grande variété de sanctions à la Russie à la suite de l'invasion 'illégale' et de l'annexion partielle de l'Ukraine par Vladimir Poutine, la plupart d'entre elles ont été relativement impuissantes. Pour frapper la Russie là où ça fait mal, le monde doit cesser d'acheter de l'énergie au titan du pétrole et du gaz. Mais imposer des sanctions énergétiques au Kremlin alors que l'Europe dépendait du pétrole et du gaz russes pour garder les lumières allumées aurait été au mieux une victoire à la Pyrrhus.
Enfin, l'Europe est en mesure de commencer à prendre au sérieux les sanctions énergétiques, mais assurer un approvisionnement énergétique supplémentaire suffisant pour remplacer les importations russes ne sera pas une mince affaire.
En effet, alors que l'Europe s'est rapprochée d'un allégement de sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie et a progressivement renforcé ses sanctions contre l'énergie russe, le Kremlin a riposté durement et les marchés européens sont toujours sous le choc. Début septembre, lorsque les pays du G7 ont convenu d'imposer un plafonnement des prix du pétrole russe, la Russie a réagi en coupant complètement le flux de gaz via le gazoduc Nord Stream 1 en quelques heures, invoquant une maintenance suspecte.
Alors que cette perte du jour au lendemain d'approvisionnements énergétiques cruciaux a aggravé une crise énergétique déjà grave en Europe, elle a également galvanisé le développement de nouvelles sources d'énergie et de nouveaux partenaires commerciaux. En fait, bien que la crise énergétique en Europe reste grave, elle n'a pas été aussi dévastatrice que de nombreux experts l'avaient prédit. La demande d'énergie a chuté en réponse à la flambée des prix, et les énergies alternatives se sont montrées à la hauteur. Dans le cadre de l'effort visant à remplacer les importations énergétiques russes, 18 des 27 pays de l'Union européenne ont établi de nouveaux records de production d'énergie solaire cette année. Dans le sillage de ces développements, l'Europe est prête à jeter le gant. Dans moins d'un mois, les pays de l'Union européenne ne seront plus légalement autorisés à acheter du fret maritime à la Russie alors que le bloc continue d'intensifier les sanctions contre le Kremlin.
Bien que l'essor de l'énergie solaire soit une bonne nouvelle pour l'Europe et pour le climat, cette capacité de production supplémentaire ne couvrira qu'une fraction de l'énergie nécessaire pour combler le vide massif laissé par la Russie sur les marchés énergétiques occidentaux. Alors que le résultat sera un ralentissement économique pour l'Union européenne et la Russie, il y aura un grand gagnant : le Moyen-Orient.
Déjà, les raffineries de pétrole du monde entier se précipitent pour conclure des accords et garantir l'approvisionnement en pétrole brut du Moyen-Orient pour l'année à venir.
Cependant, certaines des raffineries qui se démènent pour obtenir des contrats à terme pourraient se voir refuser leurs demandes, car l'OPEP+ a déjà accepté d'imposer une réduction majeure de la production, au grand désarroi de l'Occident. À partir de ce mois-ci, l'OPEP+ réduira les quotas de production de deux millions de barils par jour. Alors que les États-Unis ont publiquement condamné cette décision, affirmant que le cartel du pétrole soutenait la Russie, les pays de l'OPEP avaient un intérêt économique légitime à soutenir les prix du pétrole. Craignant qu'une récession mondiale à venir et des blocages continus en Chine ne réduisent la demande de pétrole, les pays membres de l'OPEP tentent de se protéger des pertes potentielles de l'année prochaine.
RépondreSupprimerEn conséquence, les pays importateurs de pétrole ont devant eux un tableau complexe : d'une part, la demande mondiale de pétrole pourrait chuter considérablement au cours de l'année à venir ; d'un autre côté, si l'Europe commence à s'emparer du brut du Moyen-Orient, cela pourrait conduire à "une intensification de la concurrence pour les cargaisons spot en provenance des États-Unis, de la mer du Nord et même du golfe Persique". C'est selon World Oil, qui rapporte que l'intérêt soudain de l'Europe pour le pétrole non russe pourrait entraîner des difficultés pour les importateurs asiatiques. Selon ce rapport, "les cargaisons en provenance de la mer du Nord et du Kazakhstan sont également de plus en plus récupérées par les Européens, laissant moins d'options aux raffineurs asiatiques qui ont évité les barils russes".
Tout cela pour dire que les perspectives des marchés pétroliers en 2023 sont pour le moins complexes. En effet, l'économie actuelle lance toutes sortes de messages contradictoires et d'indicateurs déroutants qui ont même des experts de haut niveau confus quant à la direction dans laquelle les vents soufflent. Avec toute cette incertitude dans l'air, le climat est difficile pour les grandes décisions énergétiques.
https://www.zerohedge.com/energy/eus-embargo-russian-oil-will-be-boon-opec
Les dirigeants de l'UE accusent les producteurs américains de gaz naturel de profiter
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 12:30
Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,
Les dirigeants européens sont mécontents des prix du gaz naturel.
Certains dirigeants insistent pour que l'UE impose un plafond de prix sur toutes les importations de gaz naturel, quelle qu'en soit l'origine.
Le GNL américain a été plus cher que le gazoduc provenant de Russie en termes réels.
Le mois dernier, le président français Emmanuel Macron a accusé les États-Unis de «double standard» en raison de la différence entre le prix auquel le gaz naturel liquéfié produit aux États-Unis se vend en Europe et le prix auquel le gaz naturel se vend aux États-Unis.
"L'économie nord-américaine fait des choix par souci d'attractivité, ce que je respecte, mais ils créent un double standard", a déclaré Macron, ajoutant également qu'"ils autorisent des aides d'État allant jusqu'à 80% sur certains secteurs alors que c'est interdit ici". – vous obtenez un double standard.
Il n'était pas le seul parmi les dirigeants nationaux européens à être mécontent des prix de l'essence.
En fait, jusqu'à 15 dirigeants étaient mécontents et ils ont insisté pour que l'UE impose un plafond de prix sur toutes les importations de gaz naturel, quelle que soit leur origine.
L'idée faisait suite à de délicates tentatives pour convaincre la Norvège de vendre son gaz à prix réduit et à des tentatives tout aussi délicates pour convaincre les producteurs américains de la même chose.
Maintenant, les États-Unis répliquent aux accusations.
"Ce qui se passe, ce sont les entreprises qui détiennent ces contrats à long terme avec les producteurs américains de GNL, elles marquent cela et gagnent cette marge sur le marché européen", a déclaré Brian Crabtree, secrétaire adjoint au ministère de l'Énergie, au Financial Times. .
"Ce n'est pas la société américaine de GNL, ce sont essentiellement des sociétés pétrolières et des négociants internationaux dont le siège est en Europe."
En effet, les producteurs de gaz naturel liquéfié ne vendent pas systématiquement leur produit directement au consommateur, face à un pays d'Europe par exemple. Ils travaillent avec des majors de matières premières telles que Vitol et Trafigura, ou les supermajors, dont BP et Shell.
Prenez Cheniere Energy, le plus grand producteur de GNL aux États-Unis. Plus tôt cette année, Cheniere a signé un accord de vente et d'achat à long terme pour son GNL avec Chevron. Dans le cadre de l'accord, Chevron achètera 2 millions de GNL à Chevron par an, puis le revendra au prix qu'il jugera juste.
Cette année également, Cheniere a également conclu un autre accord de vente et d'achat avec le norvégien Equinor, cette fois pour un volume annuel de 1,75 million de tonnes de GNL. Ces 1,75 million de tonnes seront également vendues à un prix fixé par Equinor, et non par Cheniere.
Il faut brûler encore plus de charbon et de résidus pétroliers pour sauver le climat !
RépondreSupprimerle 11 novembre 2022
Il ne faut pas oublier aussi et surtout les résidus des raffineries de pétrole riches en soufre, de haute viscosité à la température ambiante qui ne peuvent être valorisés. En effet, selon la provenance du pétrole ces résidus sont présents en quantités variables mais tous les pétroles conduisent à des résidus comme les goudrons utilisés pour les revêtements routiers et les HFO (High Fuel Oils) visqueux à température ambiante comme mentionné ci-dessus, propriété physique réduisant les risques d’inflammation quand ils sont stockés dans les soutes des grands navires. De plus, par unité de volume ces HFO représentent une quantité d’énergie supérieure à celle du diesel léger utilisé par les véhicules routiers. Leur seule voie de valorisation est donc le transport maritime équipé de moteurs de propulsion deux-temps de cylindrée conséquente, jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de litres pour les plus imposants qui comptent jusqu’à 14 cylindres en ligne. La teneur élevée en dérivés soufrés de ces résidus de pétrole ne représente pas de danger notoire pour ces moteurs deux-temps gigantesques.
Le transport maritime fait régulièrement la une des environnementalistes qui accusent ce mode de transport de tous les maux en particulier de contribuer largement au réchauffement du climat. Voilà le problème qui agite les écologistes de salon qui n’ont aucune idée claire des arguments qu’ils avancent d’autant plus que de nombreuses évidences indiquent que la flotte commerciale maritime est la seul issue de valorisation de ces résidus HFO. Les régulations internationales relatives à la navigation dans l’Océan Arctique restreint l’usage des HFO. C’est la raison invoquée pour construire des brise-glaces à propulsion nucléaire, une technologie réservée à des pays comme la Russie dont la façade maritime arctique est considérable.
Venons-en aux récriminations injustifiées des écologistes de salon. Ils ne se sont jamais rendus dans l’immense salle des machines d’un gros transporteur de containers de 300 mètres de long. Certes les fumées sont malodorantes et chargées en particules de carbone mais ont-elles un si perturbateur effet sur le climat ? Voilà une question. La combustion des HFO par la marine marchande dégage des quantités importantes d’aérosols en particulier soufrés, les oxydes de soufre, et azotés, les oxydes d’azote qu’un moteur diesel produit fatalement et leur élimination est un problème technologique qui ne peut pas être résolu à bord d’un bateau de transport maritime. La réduction des émissions de ces aérosols est largement obligatoire dans les installations industrielles, usines de production d’électricité, incinérateurs et industrie chimique, les régulations environnementales étant devenues de plus en plus strictes depuis le début des années 2010. Ces régulations ont été mises en place également dans les transports terrestres utilisant du carburant diesel. Depuis le début des années 2010 on a assisté à une réduction de la teneur en ces aérosols dans l’atmosphère conduisant à une diminution de la réflexion par les hautes couches de l’atmosphère des radiation infra-rouges provenant du Soleil.
Cette réflexion du rayonnement infra-rouge solaire est provoquée par la couche nuageuse dont la formation est très dépendante des aérosols qui servent de points de condensation de la vapeur d’eau dans les hautes couches de l’atmosphère. Par voie de conséquence la diminution des émissions d’aérosols dans l’atmosphère contribue directement à l’échauffement moyen global de la Terre au niveau du sol. Ce échauffement était en moyenne de 0,18 °C par décade au cours de l’intervalle 2000-2009 pour atteindre 0,35 °C par décade au cours des 10 années suivantes correspondant à une diminution constante des émissions d’aérosols consécutive aux mesure législatives prises dans la plupart des pays développés et également la Chine qui a mis en place un contrôle strict des émissions de ces aérosols pour les usines d’électricité utilisant du charbon. Si on compare l’effet du gaz carbonique sur les températures moyennes de surface, avec un accroissement de la teneur de ce gaz de 22 ppm en dix ans, l’effet dit de serre du gaz carbonique est largement négligeable par rapport à l’effet de la réduction de la couverture nuageuse due à la diminution des aérosols, au point d’être éclipsé par cet l’effet de la diminution de la couverture nuageuse.
RépondreSupprimerCes derniers résultats (liens en fin de billet) confirment le fait que la science du climat est toujours en évolution et que rien n’est acquis définitivement. Les tenants de la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique, dont en particulier l’IPCC, ont simplement oublié le rôle des nuages dans les variations du climat, ils devront revoir leur copie …
Note. La relation entre l’irradiance exprimée en W/m², une donnée factuelle, et la température globale moyenne – ne peut pas faire de moyennes de températures – n’a aucune signification physique puisque la température est un paramètre physique actif. Les deux articles cités en lien doivent être décorrélés mais n’enlève rien au fait que la diminution de la teneur en aérosols, en particulier dans la haute atmosphère, contribue à l’échauffement au sol, ce qui n’a rien à voir avec le supposé effet de serre.
Billet inspiré d’un article de Pierre Gosselin paru sur son site :https://notrickszone.com/2022/11/10/now-its-claimed-anthropogenic-global-warming-is-driven-by-aerosol-emissions-reductions-not-co2/
Liens: https://doi.org/10.1175/JCLI-D-22-0081.1 et https://doi.org/10.1029/2020JDO33590
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/11/11/il-faut-bruler-encore-plus-de-charbon-et-de-residus-petroliers-pour-sauver-le-climat/
(...) Si on compare l’effet du gaz carbonique sur les températures moyennes de surface, avec un accroissement de la teneur de ce gaz de 22 ppm en dix ans, l’effet dit de serre du gaz carbonique est largement négligeable par rapport à l’effet de la réduction de la couverture nuageuse due à la diminution des aérosols, au point d’être éclipsé par cet l’effet de la diminution de la couverture nuageuse. (...)
SupprimerRien ne dit sur la provenance !! car, le magma émet des millions de fois de gaz plus que tous véhicules terrestres, aérien ou maritimes et industries. Alors quoi ? Alors depuis toujours TOUS les gaz atmosphériques se recyclent immédiatement sans quoi la vie sur Terre n'aurait jamais apparue.
Le plus grand réacteur nucléaire de l’UE, en Suède, arrêté en urgence victime d’une panne de turbine
RépondreSupprimerQue se passe-t-il d'inquiétant sur le réacteur
Par Coordination anti-nucléaire Sud-Est
Mondialisation.ca,
11 novembre 2022
Mercredi 9 novembre 2022 le plus grand réacteur nucléaire d’un pays de l’Union Européenne – Oskarshamn en Suède – a été découplé en urgence du réseau suite à une panne de turbine. C’est le troisième incident survenu cette année dans la centrale nucléaire du sud du pays dont une fuite de carburant en février et un autre incident en juillet dernier. Les deux autres réacteurs de la centrale nucléaire sont en arrêt définitif depuis les années 2010
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Le plus grand réacteur nucléaire d’un pays de l’UE a été arrêté en urgence ce mercredi 9 novembre 2022 suite à une panne de turbine. Ce réacteur atomique est implanté dans la centrale d’Oskarshamn en Suède. C’est le troisième incident survenu cette année dans la centrale nucléaire située dans le sud du pays. La porte-parole de l’opérateur nucléariste OKG, Desiree Liljevall, a déclaré : “Nous savons ce qui s’est passé, mais nous ne pouvons pas le commenter”. On se croirait en France…
2022-11-10_Oskarshamn_Suede_face-Letonie-Pologne-Lituanie-Estonie.jpg
L’installation d’Oskarshamn est l’une des trois centrales nucléaires actives du pays. Son réacteur est le plus grand producteur d’électricité de Suède situé face à la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie et la Pologne. Le réacteur nucléaire avait déjà été arrêté pendant une semaine en février en raison d’une « fuite de carburant », puis arrêté pendant une journée en juillet. Les deux autres réacteurs de la centrale ont cessé de fonctionner dans les années 2010.
Le nucléaire suédois est dépendant à 100% de l’étranger
La Suède achète la totalité de son uranium (environ 2 000 tonnes par an) sur le marché international notamment en Australie et au Canada. Les services d’enrichissement sont achetés principalement à la France (Areva-Orano), aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. Le pays dispose d’une usine de production d’assemblages de produits de fission (combustibles) à Västerås. Les déchets nucléaires sont stockés pendant 30 à 40 ans dans une installation provisoire située depuis 1985 à Oskarshamn et, tout comme ailleurs, les exploitants nucléaristes n’ayant pas de solution pour la gestion de leurs déchets radioactifs mortels, la structure officielle de gestion de la mort radioactive (SKB) construit une poubelle nucléaire sous terre à Forsmark.
L’énergie en Suède
La Suède à une consommation d’énergie 2,5 fois plus élevée que la moyenne mondiale, supérieure de 33 % à celles de la France et de 35 % à celle de l’Allemagne, en partie à cause du climat froid et en partie de son industrie très développée et très consommatrice en énergie. Cependant, les émissions de gaz carbonique liées à l’énergie de la Suède étaient « seulement » de 3,27 tonnes par habitant en 2019, un des taux les plus bas parmi les pays développés, inférieur de 26 % à la moyenne mondiale, de 25 % à celui de la France et de 58 % à celui de l’Allemagne. Notamment grâce aux énergies renouvelables qui fournissent 67,5 % (hydroélectricité : 44,2 %, éolien : 16,9 %, biomasse : 4,7 %, déchets : 1,1 %, solaire : 0,6 %), un système de chauffage urbain fondé sur des réseaux de chaleur alimentés par des centrales de cogénération utilisant 81,5 % d’énergies renouvelables (biomasse : 47 %, déchets : 15 %). Ce système couvre près de 60 % des besoins de chauffage du pays.
La Suède se situait au premier rang parmi les pays de l’UE en 2018 pour la part des énergies renouvelables dans la consommation brute d’énergie finale : 54,6 %, devant la Finlande : 41,2 %. Elle se classait en 2018 au 11e rang mondial pour sa production hydroélectrique et au 10e rang mondial pour sa production d’électricité éolienne.
RépondreSupprimerTout comme pour son voisin le Danemark (1), les côtes suédoises ont un important potentiel éolien. Par exemple, la côte ouest suédoise (Bohuslän, Västergötland et Halland), la Scanie et l’île de Gotland possèdent un potentiel énergétique de plus de 300 W m. C’est aussi au niveau des côtes au sud du pays que se trouve le plus important potentiel solaire. Ainsi, la Scanie, l’île de Gotland et toute une zone située autour de Stockholm bénéficient d’un ensoleillement annuel allant jusqu’à 1 200 kWh/m, comparable à celui du nord de la France malgré une latitude supérieure.
(1) En 2015, le Danemark a réussi à répondre à 140 % de ses besoins en énergie grâce à l’éolien, exportant une partie de sa production à ses pays voisins comme l’Allemagne, la Suède ou la Norvège.
https://www.mondialisation.ca/le-plus-grand-reacteur-nucleaire-de-lue-en-suede-arrete-en-urgence-victime-dune-panne-de-turbine/5672677
(...) La Suède se situait au premier rang parmi les pays de l’UE en 2018 pour la part des énergies renouvelables dans la consommation brute d’énergie finale (...)
SupprimerDe par l'excentricité de notre globe terrestre (à l'équateur) les terres près du pôle présentent plus de geysers (appelés 'sources chaudes' lorsqu'elles sont sous-marines ou sous-océaniques) qu'à tout autre endroit gràce à leur proximité de la masse ferrique incandescente.
D'où l'exploitation de ces ressources énergétiques chaudes pour les convertir en électricité.
Une étude révèle que les lasers peuvent aveugler les voitures autonomes et les faire s'écraser sur des objets ou des piétons
RépondreSupprimervendredi 11 novembre 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Une étude a révélé qu'un laser visant le système de guidage d'une voiture autonome peut perturber ses capteurs et l'amener à ne pas voir un piéton ou un autre obstacle sur son chemin.
Dans une étude pré-imprimée, des chercheurs des États-Unis et du Japon ont réussi à tromper une voiture autonome - le "véhicule victime", comme ils l'appelaient - pour qu'elle ne voie pas un obstacle devant elle en pointant un laser sur son LIDAR. (Connexe : les voitures autonomes provoquent des incidents de circulation dans tout San Francisco.)
LIDAR signifie "Détection et télémétrie de la lumière". C'est une technologie de capteur qui peut créer une carte de l'environnement qui l'entoure. Les capteurs LIDAR envoient des ondes de lumière infrarouge autour de l'environnement de la voiture et mesurent le temps nécessaire à la lumière pour rebondir sur les objets et revenir au capteur, créant ainsi une carte en trois dimensions à partir des données.
Le "hack" fonctionne car un laser parfaitement synchronisé dirigé directement sur un LIDAR peut créer un angle mort suffisamment grand pour que les capteurs infrarouges ne voient pas un objet ou un piéton devant le véhicule autonome.
"Nous imitons les réflexions du LIDAR avec notre laser pour que le capteur ignore les autres réflexions provenant d'obstacles réels", a noté Sara Rampazzi, chercheuse et professeure en cybersécurité à l'Université de Floride. Cette « suppression » de données crée une fausse impression pour la voiture autonome que la route peut progresser en toute sécurité, plaçant la voiture et l'obstacle sur une trajectoire de collision potentiellement dangereuse.
"Le LIDAR reçoit toujours des données authentiques de l'obstacle, mais les données sont automatiquement rejetées car nos faux reflets sont les seuls perçus par le capteur", a-t-elle poursuivi.
Des équipements plus sophistiqués pourraient rendre les hacks laser des voitures autonomes plus répandus
Lors du test, Rampazzi et ses collègues ont effectué «l'attaque au laser» depuis le bord de la route, à moins de 15 pieds du véhicule. Ils pourraient également reproduire les résultats jusqu'à 10 mètres (32 pieds) de la voiture. Mais Rampazzi a noté que l'appareil utilisé dans le piratage devait être parfaitement chronométré et qu'il devait suivre le rythme des mouvements de la voiture pour pouvoir garder le laser pointé au bon endroit.
Il est possible de produire des résultats similaires à partir d'une attaque laser plus éloignée en utilisant un équipement plus sophistiqué que celui déployé par les chercheurs dans l'expérience.
La technologie requise pour une telle attaque à distance est "assez basique", mais le moment requis pour réussir l'attaque rend une telle attaque peu susceptible de se produire pour le moment.
RépondreSupprimerMais si une telle attaque devait réussir, ses conséquences sont potentiellement horribles, car elle pourrait entraîner la mort de conducteurs, de passagers de voitures et de piétons.
Les chercheurs ont déjà approché les fabricants de véhicules autonomes pour les avertir de cette possibilité et ont suggéré des modifications au logiciel LIDAR pour minimiser ce problème.
"Révéler cette responsabilité nous permet de construire un système plus fiable [pour les voitures autonomes]", a noté Yulong Cao, informaticien de l'Université du Michigan et premier auteur de l'étude. « Dans notre article, nous démontrons que les stratégies de défense précédentes ne suffisent pas, et nous proposons des modifications qui devraient remédier à cette faiblesse.
L'une des suggestions proposées par les chercheurs serait de changer radicalement la façon dont le LIDAR interprète les données brutes. Une autre suggestion implique que les fabricants apprennent à leur logiciel LIDAR à rechercher les signatures révélatrices d'une attaque laser, notamment en distinguant les réflexions falsifiées causées par les lasers.
Lisez plus de nouvelles sur les hoquets technologiques sur Glitch.news.
Regardez ce clip de « The David Knight Show » expliquant comment les voitures autonomes d'entreprises comme Tesla et Waymo se bloquent dangereusement et deviennent une menace pour les conducteurs et les piétons.
Cette vidéo provient de la chaîne The David Knight Show sur Brighteon.com.
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Des véhicules autonomes pour s'arrêter, baisser les vitres et déverrouiller les portes pour les forces de l'ordre.
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La législation sur les véhicules autonomes est bloquée par la question de savoir qui blâmer en cas d'accident.
C'est un "non" aux voitures sans conducteur : les Américains préfèrent se rendre au travail en voiture plutôt que de compter sur des véhicules autonomes.
Sources include:
ZeroHedge.com
CosmosMagazine.com
Driving.ca
IOTWorldToday.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-11-11-study-lasers-can-blind-self-driving-cars.html
Les caméras s'éteignent à l'installation de dépouillement des votes dans le comté clé du Nevada
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022 - 16:50
Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times
Les caméras du centre de dépouillement des votes dans un comté du Nevada comptant toujours les votes des élections de mi-mandat ont cessé de diffuser du jour au lendemain, ont déclaré des responsables le 10 novembre.
L'application informatique de diffusion en direct qui fournit les flux "a perdu la connexion avec" les caméras à 23h24. mercredi, selon Bethany Drysdale, porte-parole du comté de Washoe.
Tous les membres du personnel sont partis pour la nuit environ une heure avant le problème et aucun n'est revenu avant 7 heures du matin jeudi matin, ont déclaré des responsables du comté.
La connexion a été rétablie juste avant 8 heures du matin le 10 novembre.
L'administrateur de la sécurité du comté de Washoe aurait examiné les caméras de sécurité du bâtiment, qui fonctionnent sur un système différent. Les caméras ont montré que personne n'est entré dans la salle de vote ou le bureau du registraire pendant que les flux en direct étaient coupés.
Le personnel de sécurité s'efforce de rendre ces images publiques.
Un examen des badges du personnel a également indiqué que personne n'est entré dans la salle de vote ou le bureau.
"À l'avenir, nous chercherons une solution qui empêcherait les perturbations logicielles ou n'offrirait tout simplement pas de flux en direct de courtoisie", a déclaré Drysdale dans un communiqué. «Le comté de Washoe a été à l'avant-garde des tentatives d'innovation en matière de transparence électorale, mais nous sommes passés d'une soirée électorale à une période électorale beaucoup plus longue. La technologie que nous utilisons pour fournir ce livestream ne peut pas répondre à ces demandes. Nous suggérons d'améliorer la transparence avec des caméras de sécurité plutôt que des caméras de courtoisie en direct lors des futures élections.
Le comté de Washoe fait partie des nombreux comtés du Nevada qui n'ont pas encore terminé le décompte des mi-sessions, même si les sondages ont été fermés mardi soir.
Quelque 100 000 bulletins de vote, tous déposés par courrier, n'étaient toujours pas comptés jeudi après-midi, a rapporté le Reno Gazette Journal. Cela comprenait plus de 50 000 bulletins de vote dans le comté de Clark.
RépondreSupprimerLa loi de l'État exige que les responsables électoraux comptent les bulletins de vote par correspondance tant qu'ils ont été oblitérés le jour du scrutin et reçus le dimanche.
Dans la dernière tranche de votes, rapportée jeudi par le comté de Washoe et d'autres juridictions, la sénatrice démocrate Catherine Cortez Masto (D-Nev.) et l'espoir du secrétaire d'État du Nevada Francisco Aguilar ont obtenu plus de voix que leurs rivaux, l'ancien procureur général du Nevada Adam Laxalt et Le républicain Jim Marchant, selon KOLO-TV.
Laxalt mène toujours Cortez Masto par environ 9 000 voix tandis qu'Aguilar a environ 5 350 voix de plus que Marchant, selon les résultats publiés par le bureau du secrétaire d'État du Nevada.
Laxalt et le sénateur ont chacun déclaré qu'ils étaient convaincus qu'ils seraient le vainqueur lorsque le décompte des voix serait enfin terminé.
Cette course pourrait finir par déterminer quel parti contrôle le Sénat, qui est actuellement divisé à 50-50. Les démocrates peuvent rompre les liens par l'intermédiaire du vice-président Kamala Harris, président de la chambre haute.
Deux autres courses - Arizona et Géorgie, cette dernière se dirigeant vers un second tour - restent non appelées. La course en Alaska n'est pas appelée, mais les républicains ont les deux meilleurs votants.
https://www.zerohedge.com/markets/cameras-go-dark-vote-counting-facility-key-nevada-county
Le FBI devrait avoir 14 jours, et non 66 ans, pour produire des informations riches sur Seth : avocat
RépondreSupprimerPar Zachary Stieber
11 novembre 2022
Le FBI ne devrait avoir que 14 jours, et non 66 ans, pour produire des informations à partir de l'ordinateur portable de Seth Rich, a fait valoir un avocat dans un nouveau dossier judiciaire.
Après qu'un juge américain a ordonné au FBI de produire les informations, le bureau a déclaré qu'il ne devrait pas être tenu de les remettre en raison d'exemptions à la loi sur la liberté d'information (FOIA). Et si le bureau devait encore produire les informations, les avocats du gouvernement ont déclaré qu'il devrait avoir 66 ans car il doit examiner les informations et expurger certaines informations.
Ty Clevenger, l'avocat représentant Brian Huddleston, l'homme du Texas qui a poursuivi le FBI pour ces informations, n'était pas d'accord.
Il a déclaré au juge dans le nouveau dossier que le FBI n'avait pas informé les exemptions qu'il réclamait maintenant après que le juge avait rejeté une tentative de protéger les informations en raison de problèmes de confidentialité pour les proches de Rich. Cet échec signifie que le FBI ne peut plus compter sur les exemptions, a déclaré Clevenger.
"Ayant omis de soulever une question ou de la consigner dans une requête en jugement sommaire, le demandeur ne peut alors pas sauver la question en la soulevant dans une requête en réexamen", a-t-il déclaré, citant des affaires judiciaires antérieures. "En d'autres termes, le déménageur n'obtient pas de Mulligan en réexamen, ce qui est exactement ce que le FBI recherche ici."
Le bureau affirme que l'exemption FOIA 7 (D) -3, qui permet de protéger les informations d'identification du personnel chargé de l'application de la loi et les informations fournies par le personnel, lui permet de continuer à retenir les informations sur l'ordinateur portable de Rich à Huddleston.
"En bref, le disque compact contenant les images de l'ordinateur personnel de Seth Rich a été fourni au FBI par un organisme local d'application de la loi sous des garanties implicites de confidentialité, et donc le FBI a correctement retenu le disque compact dans son intégralité conformément à l'exemption 7 (D )-3 », ont déclaré les avocats du gouvernement au tribunal.
Une autre exemption, 7(E)-6, permet à l'agence de garder l'information secrète, ont déclaré les avocats. Cette exemption permet la rétention d'informations qui révéleraient les méthodes utilisées par les forces de l'ordre dans les enquêtes.
Clevenger, cependant, a déclaré qu'aucune des exemptions ne s'appliquait.
La première ne l'est pas parce que le FBI n'a jamais fourni la preuve que la source de l'information a reçu l'assurance de la confidentialité, a-t-il déclaré. La seconde ne l'est pas parce que le bureau affirme qu'il n'a jamais examiné les informations sur l'ordinateur portable.
"Si cela est vrai, alors comment les techniques d'enquête ou d'analyse du FBI pourraient-elles être compromises en révélant le contenu d'un ordinateur portable qu'il n'a jamais enquêté ou analysé?" Clevenger a dit au juge.
RépondreSupprimerCompte tenu de l'absence d'information sur les exemptions et sur la manière dont elles ne s'appliquent pas dans l'affaire, "la Cour ne devrait pas donner au FBI plus de 14 jours pour produire ce qu'il aurait dû produire il y a cinq ans", a-t-il ajouté.
Le nouveau dossier était une réponse à la requête du FBI pour le réexamen d'une décision en septembre selon laquelle le FBI transmettait les informations dans les 14 jours.
Le juge de district américain Amos Mazzant, nommé par Obama, a rendu la décision et supervise l'affaire, qui découle d'une demande FOIA de Huddleston que le FBI a refusé de remplir.
Rich était un employé du Comité national démocrate lorsqu'il a été abattu dans une rue de Washington au petit matin. L'affaire n'a jamais été résolue.
Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a suggéré que Rich a divulgué des fichiers du comité à WikiLeaks, qui a publié une mine de ces fichiers. L'ancien avocat spécial Robert Mueller a déclaré que des pirates informatiques russes avaient piraté les fichiers entre le 25 mai et le 1er juin 2016, mais CrowdStrike a déclaré plus tard à Epoch Times que les systèmes du comité n'avaient pas été piratés pendant cette période.
https://www.theepochtimes.com/fbi-should-have-14-days-not-66-years-to-produce-seth-rich-information-lawyer_4857250.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
La « taxe sur les manoirs » de LA peut-elle débloquer des logements abordables dans toute la Californie ?
RépondreSupprimerLes électeurs de Los Angeles semblent susceptibles d'adopter la mesure ULA, qui pourrait générer 900 millions de dollars par an pour les subventions au logement et la protection des locataires. Mais les critiques craignent que les frais ne se retournent contre eux.
Les maisons de LA qui se vendent pour plus de 5 millions de dollars se verraient imposer des frais de 4 % en vertu de la mesure ULA.& nbsp
10 novembre 2022, 20h12 UTC+1
Mardi, des milliers d'électeurs de Los Angeles ont tiré le levier de Measure ULA, une initiative de vote qui vise à financer des logements abordables et la protection des locataires en appliquant une taxe sur les ventes immobilières de plus de 5 millions de dollars. Ce n'est que le début de ce que cette mesure peut faire.
Soutenue par la coalition de plaidoyer United to House LA et largement connue sous le nom de «taxe sur les manoirs», la mesure est en avance de 8 points au 10 novembre, mais les résultats finaux pourraient ne pas être connus avant des jours. S'il est adopté, les revenus qu'il génère promettent de faire ce que la législation précédente et un défilé de politiciens de Los Angeles n'ont jusqu'à présent pas réussi à accomplir : accélérer les nouvelles constructions et offrir une issue à la spirale de la crise des sans-abrisme dans la ville. L'initiative devrait générer quelque 900 millions de dollars par an pour subventionner le logement, préserver les logements abordables, garantir l'avocat des locataires devant le tribunal d'expulsion et subventionner d'autres priorités progressistes.
Au-delà de ces impacts directs, une victoire pourrait être conséquente pour d'autres villes californiennes : Measure ULA montre un moyen de contourner les vastes restrictions de l'État sur les augmentations d'impôts, ce qui en fait un modèle potentiel.
Mais les critiques avertissent que Measure ULA pourrait finir par augmenter les loyers en augmentant les coûts pour les promoteurs et en déprimant les nouvelles constructions. Ils soulignent également les résultats médiocres d'une obligation de 2016 pour construire des logements avec services de soutien pour les sans-abri comme un récit édifiant.
La mesure est simple : la taxe de transfert actuelle de 0,45 % pour toutes les propriétés passerait à 4 % pour les ventes de plus de 5 millions de dollars, tandis que les transactions supérieures à 10 millions de dollars entraîneraient une taxe de 5,5 %. Il s'agit d'une taxe spéciale, ce qui signifie que les revenus ne vont pas dans le fonds général de la ville, mais plutôt dans un porte-monnaie dédié. Il y a une réserve de 8 % des revenus pour un inspecteur général et un personnel de surveillance ; le reste va au logement. La répartition de ces fonds est de 70 % pour le logement abordable (construction, subventions et préservation) et de 30 % pour la prévention de l'itinérance (diverses mesures et protections des locataires).
«Nous voulons nous assurer qu'une fois cette étape franchie, les experts en logement, les organismes communautaires, les dirigeants communautaires et les personnes qui font ce travail depuis de nombreuses années sont à l'avant-garde de la mise en œuvre», déclare Raymond.
RépondreSupprimerLe fonds de production de logements – la grosse tranche de 70 % – est divisé d'une manière qui montre une forte inclinaison vers les fournisseurs de logements alternatifs. Par exemple, environ un quart de ce fonds subventionnera la construction par des promoteurs qui utilisent les crédits d'impôt étatiques ou fédéraux pour les logements à faible revenu pour construire. C'est ainsi que se déroule la grande majorité des nouvelles constructions de logements abordables aux États-Unis. Cependant, une part égale du fonds de LA ira à des projets d'autres entités, dans ce cas un mélange d'organismes publics de logement, de fiducies foncières communautaires, de coopératives d'habitation et de promoteurs à but non lucratif. Cette priorité n'est peut-être pas une coïncidence, étant donné que United to House LA est composé d'une coalition diversifiée de quelque 230 organisations, agences, groupes de défense et organisations à but non lucratif.
Les constructeurs de logements abordables bénéficieraient d'une aubaine. Une analyse fournie par la ville estime que Measure ULA générera entre 600 millions de dollars et 1,1 milliard de dollars par an – une énorme augmentation des subventions pour la construction de logements abordables. Bien que les partisans pro-locataires de la mesure la décrivent comme une taxe sur les hôtels particuliers, c'est quelque peu cynique : en utilisant les chiffres des ventes de l'exercice 2021-2022 comme base, la plupart des revenus générés par la taxe de transfert proviendraient de ventes supérieures à 10 millions de dollars, et à À ce niveau, une plus grande partie des ventes provient de propriétés multifamiliales et commerciales que de maisons unifamiliales, selon un livre blanc publié en septembre par des chercheurs de l'Université de Californie à Los Angeles, de l'Université de Californie du Sud et de l'Occidental College.
La «taxe sur les manoirs» est un raccourci populaire, mais ce n'est pas injuste, dit Raymond: «Nous parlons d'individus très, très riches, mais encore plus de grandes sociétés immobilières qui, honnêtement, n'ont pas payé leur juste part, et ont fait un massacre sur ce marché du logement tel qu'il est maintenant.
Parce qu'une grande partie des revenus provient de la vente d'immeubles d'appartements par opposition aux ventes de méga-manoirs – plus à ce sujet dans un instant – les critiques craignent que Measure ULA ne dissuade les développeurs de construire à Los Angeles. Cela saperait doublement les objectifs des partisans, puisque la construction au prix du marché est nécessaire à la fois pour atténuer la pression sur le marché du logement et pour fournir les ventes qui génèrent tous les revenus de ces subventions.
Un directeur immobilier nommé Moses Kagan a décrit un scénario plausible dans un tweet : si un promoteur construit un complexe d'appartements pour 7 millions de dollars et le vend pour 10 millions de dollars, réalisant un bénéfice d'environ 2,3 millions de dollars après coûts, alors une taxe de transfert de 5,5 % fonctionnerait. à 550 000 $ (mes calculs, pas les siens). Cela représente environ 24 % du bénéfice. Étant donné qu'une répartition typique sur un accord s'élève à 80 % pour les investisseurs et à 20 % pour les développeurs, cette taxe devrait tuer l'accord.
RépondreSupprimerMais les chercheurs de l'UCLA affirment que les inquiétudes concernant les mesures dissuasives sont exagérées. La douleur atterrira ailleurs le long de la chaîne, selon Shane Phillips, chef de projet de l'initiative de logement pour le UCLA Lewis Center for Regional Policy Studies et co-auteur d'une série d'études axées sur la mesure ULA et les taxes de transfert. « Cet argent doit venir de quelque part. Cela ne viendra pas de l'acheteur ou du locataire », dit-il. "Donc, l'endroit d'où il va venir est le propriétaire du terrain à qui le promoteur achète la propriété."
Certes, la taxe sur les manoirs pourrait encore décourager le développement en abaissant le prix que les promoteurs peuvent offrir à un prix auquel les propriétaires fonciers seraient imprudents de vendre. Dans un rapport d'octobre avec l'étudiante diplômée Maya Ofek, Phillips décrit un scénario du monde réel : 570 N. Normandie Avenue, une maison de 3 350 pieds carrés à East Hollywood qui s'est vendue à un promoteur pour 1,55 million de dollars en septembre 2021. Le promoteur prévoit de le remplacer par un nouvel immeuble de 16 logements. En supposant que le promoteur visait à vendre le nouveau bâtiment après son achèvement (à 8 millions de dollars selon les calculs de Phillips), le promoteur n'aurait pas à payer plus de 1,3 million de dollars pour le 570 N. Normandie pour tenir compte des droits de mutation. Ce chien ne chassera pas : Le propriétaire gagnerait plus en le vendant à quelqu'un qui voulait juste faire du manoir sa maison.
La question cruciale est donc de savoir combien de maisons appartiennent à la même bande de propriétés potentiellement à risque que 570 N. Normandie. Selon Phillips, pas beaucoup : seule une petite partie des unités (10 à 20 %) construites dans des zones à densité modérée entre 2013 et 2016 avaient été vendues en 2022. "La plupart d'entre elles ne se vendent tout simplement pas, et si vous' ne vendez pas, vous ne payez pas la taxe », dit-il. "Si quelqu'un n'a pas vraiment l'intention de vendre sa propriété dans cinq ou 10 ans, cette taxe n'affectera tout simplement pas autant son processus décisionnel." En marge, les dizaines d'unités potentiellement perdues dans ce scénario sont compensées par les milliers d'unités facilitées par la taxe.
Bien que Phillips soutienne la mesure, il dit qu'elle présente certains inconvénients. Le seuil de 5 millions de dollars est trop élevé : quelqu'un qui paie 2 millions de dollars pour une maison devrait contribuer au bien commun. Et la taxe de transfert n'est pas marginale, ce qui signifie que quelqu'un qui achète une propriété pour 4,99 millions de dollars ne paie rien tandis que quelqu'un qui paie 5,01 millions de dollars paie le taux plein sur chaque dollar. Un taux marginal avec un seuil inférieur aurait pu générer plus pour Los Angeles, peut-être avec moins de friction, bien que Phillips concède que les taux marginaux sont généralement mal compris par les gens, même en ce qui concerne leurs impôts sur le revenu.
Bloomberg peut m'envoyer des offres et des promotions.
RépondreSupprimerEn soumettant mes informations, j'accepte la politique de confidentialité et les conditions d'utilisation.
Bien que les taxes de transfert ne soient pas nouvelles, elles atteignent récemment les registraires californiens via des plébiscites publics – ce qui est nouveau. Culver City a adopté une taxe de transfert par scrutin en 2020 (avec un taux marginal inférieur) qui se classe déjà au troisième rang des sources de revenus de la ville. Cette année seulement, la taxe a déjà permis de récolter des dizaines de millions de dollars, principalement grâce à une poignée de ventes immobilières à neuf chiffres. Phillips appelle les taxes de transfert une « troisième meilleure option », après les taxes sur la valeur foncière, que pratiquement aucune municipalité américaine n'utilise, et les taxes foncières, que la Californie a strictement limitées en vertu de la proposition 13 depuis 1978.
Une chose distingue la poussée de Los Angeles d'autres initiatives similaires en matière de taxe de transfert progressive : la mesure ULA n'a besoin que d'une majorité simple pour être adoptée. Les taxes spéciales ont historiquement requis une majorité des deux tiers, mais dans une décision de 2016, une cour d'appel de l'État de Californie a conclu que cela une barre plus élevée pour une taxe spéciale ne s'applique qu'aux mesures de vote parrainées par les législateurs - membres du conseil municipal, superviseurs de comté, membres de l'assemblée d'État, etc. La mesure de vote présentée par les citoyens qui ont augmenté des impôts dédiés pourrait être adoptée à la majorité simple, a déclaré le tribunal. Cette décision a ouvert la voie à un autre type de mesure de vote. Les initiatives antérieures en matière de taxes de transfert progressives ont été adoptées à Santa Monica, Culver City et la région de la baie, toutes les recettes directes vers le fonds général, car elles étaient dirigées par des législateurs.
Ainsi, Measure ULA, si elle est adoptée, accomplira quelque chose que les législateurs locaux n'ont pas pu ou n'ont pas fait – et en effet, ses partisans ont diffusé le fait que la mesure a été rédigée par des organisateurs, et non par des politiciens. Ni Karen Bass ni Rick Caruso, les deux candidats bloqués dans la course à la mairie encore indécise de LA, n'ont pesé sur la mesure. C'est peut-être une vertu, dit Raymond.
« Dans le passé, nous avons eu des politiciens qui ont soutenu une solution. À l'heure actuelle, nous considérons que la criminalisation de l'itinérance est une préoccupation majeure. C'est là qu'ils ont consacré une grande partie de leur énergie au cours des deux dernières années, balayant les rues », dit-elle. "C'est très différent de ce type d'approche."
https://www.bloomberg.com/news/articles/2022-11-10/measure-ula-how-la-s-mansion-tax-aims-to-rein-in-housing-costs
L'indice des prix du dark web 2022
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 12 NOVEMBRE 2022 - 04:00
Saviez-vous que l'Internet que vous connaissez ne représente que 10 % du total des données qui composent le World Wide Web ?
Comme le détaille Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, le reste du Web est caché à la vue de tous et nécessite un accès spécial pour être visualisé. C'est ce qu'on appelle le Deep Web, et niché au fond de celui-ci se trouve un endroit sombre, parfois dangereux, connu sous le nom de darknet ou Dark Web.
Ce graphique d'Enrique Mendoza nous donne un aperçu de cette partie cachée d'Internet, nous montrant certains des articles courants qui y sont vendus et combien ils coûtent généralement.
- voir graph sur site -
Une brève introduction au Dark Web
Avant de plonger, il vaut la peine d'expliquer rapidement ce qu'est le Dark Web et comment les gens y accèdent généralement.
Contrairement au Web ordinaire (également connu sous le nom de Surface Web), le Dark Web n'est pas accessible via un navigateur standard tel que Chrome ou Safari. Les utilisateurs doivent plutôt y accéder de manière anonyme via un navigateur Tor.
Tor, qui est l'abréviation de "The Onion Router", est un portail spécial qui connecte les utilisateurs aux sites Web du Dark Web d'une manière compliquée qui protège finalement l'identité de l'utilisateur. Cela signifie que les utilisateurs peuvent accéder aux sites Web de manière anonyme.
- voir schéma sur site -
Le Dark Web peut être un terrain fertile pour les activités illégales, où les gens peuvent acheter des choses comme des meurtres à forfait, de la drogue, des logiciels malveillants et les informations personnelles d'autres personnes.
Ventilation des prix des produits
Combien valent vos informations personnelles sur le Dark Web ? Ce graphique utilise les données de l'indice des prix des produits du Dark Web 2022 pour le savoir et plus encore.
Ce rapport annuel de privacyaffairs.com donne un aperçu de certains des produits les plus populaires en vente sur le Dark Web, tels que les données de carte de crédit, les documents falsifiés et les informations piratées, et répertorie le prix moyen de chaque produit.
RépondreSupprimerBien que cette liste soit loin d'être exhaustive et ne soit pas la seule mesure des prix du Dark Web, le rapport nous donne un aperçu d'un territoire en ligne caché qui est extrêmement inconnu pour beaucoup d'entre nous. Voici le top 10 des objets les plus précieux...
- voir liste sur site -
L'un des éléments les plus chers inclus dans l'ensemble de données est le malware premium, qui coûte environ 5 500 $ pour 1 000 installations. Bien que le coût des logiciels malveillants premium soit élevé, des milliards d'attaques de logiciels malveillants se produisent chaque année, causant d'énormes dommages monétaires.
À l'autre extrémité du spectre se trouvent les détails du compte Paypal, les identifiants Netflix ou les détails de la carte de crédit volée (avec un CVV), tous disponibles pour moins de 20 $.
Comment protéger vos informations personnelles
Alors que la frontière entre le domaine numérique et physique devient de plus en plus floue, il est plus important que jamais de vous assurer que vous vous protégez, ainsi que vos informations personnelles, contre le vol d'identité.
Selon Privacy Affairs, il existe plusieurs mesures proactives que vous pouvez prendre pour réduire vos risques de piratage. Cela inclut l'utilisation d'un VPN chaque fois que vous accédez au Wi-Fi public, l'utilisation de mots de passe différents pour différents comptes en ligne et l'investissement dans un logiciel anti-malware pour lutter contre les visiteurs indésirables.
https://www.zerohedge.com/technology/dark-web-price-index-2022
La maladie la plus meurtrière connue de l'homme est l'ignorance !
RépondreSupprimerDe Gary D. Barnett
12 novembre 2022
"Un homme sage prend ses propres décisions, mais un homme ignorant suit la foule sans réfléchir."
~ Proverbe chinois
Nous vivons dans un monde de mensonges, de tromperie, de propagande, de récits mis en scène, et parce que cette tromperie a été largement acceptée par la foule, l'ignorance de masse en a été le résultat. Cette ignorance universelle ne peut être imputée uniquement au gouvernement, aux centres d'endoctrinement appelés écoles «publiques», aux politiciens ou aux médias, sauf que ces entités avancent toutes les formes de mensonges possibles afin de tromper les gens pour qu'ils acceptent des fables légendaires les menant vers l'esclavage. Et comme cela devrait être évident à ce stade du jeu, les gens ont été complètement dupés et ont avalé l'hameçon, la ligne et le plomb, tous les mensonges éhontés imaginables. Le résultat recherché et obtenu par l'État peut être mis en évidence par la soumission totale et l'obéissance grossière à cette classe dirigeante odieuse et politisée de monstres psychopathes.
Cette maladie appelée ignorance, consomme maintenant l'esprit de la plupart de cette population et ronge entièrement la capacité de considérer les faits, de réaliser la vérité, de pratiquer la logique, de raisonner et de rassembler toute capacité à penser de manière critique en tant qu'individu. . Cet état d'être est le fil conducteur de cette population et d'autres depuis longtemps, mais le mensonge complet d'une fausse maladie appelée « covid » a révélé que l'ignorance de masse est non seulement bien vivante, mais a infecté presque à un l'homme, toute cette société et le monde. Il n'y a pas de maladie prouvée appelée « covid », il n'y a aucune véritable preuve scientifique de « covid » ou de quelque « virus » que ce soit, mais quelle que soit cette vérité, le monde entier est tombé à genoux dans une démonstration de masse et de crédulité pathétique. scandaleux au point d'être insultant pour tout individu pensant.
Tout cela se résume à la fausse croyance très peu scientifique en la théorie des germes et à la négation complète de la théorie du terrain ; une erreur de proportion d'époque. Il n'y a aucune raison pour l'un contre l'autre, mais seulement l'évaluation honnête de la réalité qu'est le corps humain. Même Louis Pasteur, le soi-disant père de l'idiotie de la théorie des germes, aurait admis sur son lit de mort que "l'agent pathogène n'est rien, le terrain est tout". Mais à ce jour, la vraie médecine est ignorée au profit de médicaments sur ordonnance très nocifs vendus par d'énormes sociétés pharmaceutiques, et de la chirurgie, comme seul traitement «légitime» pour toute maladie. Pas de prévention ou de guérison, mais un traitement constant et éternel et la mort ; un traitement qui rapporte chaque année des centaines de milliards de dollars à ce que l'on appelle maintenant à tort la médecine moderne et les "soins de santé" administrés par des putains d'État.
Considérant seulement les trois dernières années, la question fondamentale devrait se concentrer sur l'existence ou non de ce soi-disant virus "covid", et une fois qu'il est établi qu'aucune procédure scientifique valide n'a été accomplie pour prouver sans aucun doute que ce virus existe réellement , alors il est impératif de discuter de l'affirmation selon laquelle un virus existe, car aucun n'a jamais été correctement isolé ou identifié. Il est également important d'examiner attentivement tous ceux qui profitent à des niveaux extrêmes en raison du mensonge du « covid ». Certains d'entre eux incluraient l'intégralité du domaine médical, les sociétés pharmaceutiques, les politiciens et toute la classe dirigeante qui désire le contrôle, les les grandes entreprises qui acquièrent plus de monopole en raison de la destruction délibérée des capacités économiques des classes inférieures et moyennes, et les propriétaires de tout par les grandes banques et les maisons d'investissement qui gagnent des billions en raison de l'impression massive d'argent basée sur ce mensonge « covid ».
RépondreSupprimerIl y en a encore beaucoup qui revendiquent les deux côtés de cet argument, et cela a grandement contribué à l'expansion des mensonges, car ce qui pourrait être des gens qui remettraient normalement en question le récit de l'État, sont devenus des partisans de ce même récit. C'est très déroutant pour ceux qui ont placé leur confiance en ces hypocrites qui agissent délibérément comme une opposition contrôlée ou qui ignorent réellement la vérité évidente. Ces personnes se contredisent certainement, qu'elles le fassent intentionnellement ou non. Beaucoup de ceux qui adoptent ce qui est considéré comme une approche «libertaire», acceptent simplement les deux côtés de l'argument en affirmant que «le SRAS-CoV-2 («covid-19») est réel et est un virus, et une menace massive pour humanité. Ils sont d'accord avec le faux récit de l'État et, en même temps, prétendent être contre l'injection de "vaccin" par arme biologique. Vous savez qui sont ces personnes, mais doutez-vous de leur prétendue sincérité ? Je pense que, du moins dans la plupart des cas, vous ne le faites pas. Ceci n'est qu'une recette pour plus de confusion, et la confusion ramène directement à l'ignorance.
La soi-disant « science » qui prône un traitement perpétuel, des « vaccins » perpétuels et la création perpétuelle de richesses pour ses trafiquants de drogue, est le charlatanisme étiqueté virologie. Bien sûr, comme on pouvait s'y attendre, c'est la "science" des virus, mais puisqu'aucun virus dans l'histoire n'a jamais été séparé, complètement isolé ou identifié, comment une telle "science" peut-elle exister ? S'il n'y a pas de virus, comment peut-il y avoir de la virologie ? On pourrait aussi demander; s'il n'y a pas de menace directe, comment peut-il y avoir une guerre médicale légitime contre le peuple ? Dans les deux cas, il n'y a pas de légitimité dans la virologie ou une "guerre sanitaire", mais il existe un argument valable et justifiable selon lequel la virologie est aussi une guerre contre nous ; une guerre contre l'humanité, car elle est utilisée pour simplement enrichir les auteurs de cette fraude, pour empoisonner les masses, et pour prendre le pouvoir et le contrôle sur tout.
RépondreSupprimerLes fraudes « covid » et « vaccins » ont été largement exposées, bien que le grand public, et ceux des médias alternatifs également, qui continuent de pousser le mensonge selon lequel « covid » est réel, ont été produits dans un laboratoire, et accidentellement ou délibérément diffusés sur le monde, perdent du terrain. Leur prochain mouvement évident était de créer le mensonge des variantes ; variantes qui provenaient d'un virus inexistant, et serait le prochain tueur. Cela a nécessité des injections encore plus toxiques et des rappels de « vaccins ». Mais ces menaces ne se sont jamais révélées bien sûr, alors d'autres menaces ont été inventées, telles que la mise en scène de la guerre en Ukraine, le mensonge du «changement climatique» d'origine humaine, puis la menace d'anéantissement nucléaire. Maintenant, la marée est revenue à une autre «maladie virale» faussement prétendue dangereuse appelée virus respiratoire syncytial, ou VRS; une soi-disant maladie qui ressemble à un rhume léger, mais selon l'establishment médical du trafic de drogue, elle nécessite encore un autre "vaccin" mortel. Le premier "vaccin" toxique utilisé pour "combattre" cette même affection revendiquée, était en fait utilisé et rendu malade et tué des enfants dans les années 1960 dont on disait qu'ils avaient exactement la même « maladie » du VRS. Vous ne pouvez tout simplement pas compenser ce degré de folie.
Il existe une quantité massive de preuves disponibles pour écarter la virologie et exposer complètement la notion ridicule de la théorie des germes, mais changer les esprits de toute la population après de nombreuses générations de mensonges et de lavage de cerveau est une tâche difficile à accomplir. Cela nécessite une réflexion individuelle et un examen minutieux de la politique « médicale » atroce de l'État qui a consumé le public. Il suffit de comprendre qui profite de la fraude, et quelles entreprises et quels individus contrôlent le domaine médical, pour se rendre compte que de puissants éléments criminels sont impliqués.
RépondreSupprimerAlors que l'idiotie sans fin de la virologie continue de régner, le chef de Pfizer se vante auprès des investisseurs que la fraude "covid" continuera d'être une franchise de plusieurs milliards de dollars pendant de nombreuses années à venir ; et s'attend à ce que les profits massifs se poursuivent. C'est le processus de pensée de ceux qui profitent de la campagne de peur du « virus » sous fausse bannière qui souhaitent détruire l'humanité pour de l'argent, du pouvoir et du contrôle ; ceci alors qu'ils augmentent le prix de cette injection d'arme biologique toxique par des quantités astronomiques, tout en sachant les dommages mortels causés par ce tueur toxique.
Ouvrez votre esprit, faites vos propres recherches, comprenez l'horreur de l'establishment médical américain et de ses maîtres pharmaceutiques, et prenez soin de votre santé au lieu de laisser le système criminel vous nuire. Détournez-vous de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et de toutes les autres sociétés pharmaceutiques qui vendent de la drogue, assumez la responsabilité de vous-même et de votre propre santé au lieu de vous fier aux récits pervers de l'État qui ne sont que des mensonges. N'acceptez pas l'ignorance comme position de repli ; et informez-vous plutôt sur la terreur de l'État. L'élection sans valeur est terminée, rien ne changera, sauf que les choses vont probablement s'aggraver, alors abandonnez et niez cet état pervers au lieu de vous cacher de la vérité.
"L'ignorance de l'opprimé est la force de l'oppresseur."
~ A.R. Bernard
Liens de référence :
RépondreSupprimerTerrain versus théorie des germes
L'existence d'aucun virus n'a jamais été prouvée
Virologie et prétendants
Le virus qui n'existe pas
L'histoire perdue de la médecine
Manquer les virus non prouvés
Guide de l'idiot sur la théorie des germes - Pasteur et Bechamp
Bechamp a touché à la magie de la vie
Le chef de Pfizer se vante que "covid" est sa franchise de plusieurs milliards de dollars
https://www.lewrockwell.com/2022/11/gary-d-barnett/the-deadliest-disease-known-to-man-is-ignorance/
(...) La soi-disant « science » qui prône un traitement perpétuel, des « vaccins » perpétuels et la création perpétuelle de richesses pour ses trafiquants de drogue, est le charlatanisme étiqueté virologie. Bien sûr, comme on pouvait s'y attendre, c'est la "science" des virus, mais puisqu'aucun virus dans l'histoire n'a jamais été séparé, complètement isolé ou identifié, comment une telle "science" peut-elle exister ? S'il n'y a pas de virus, comment peut-il y avoir de la virologie ? (...)
SupprimerEffectivement le virus (voir dictionnaire) est une POUSSIÈRE et non un microbe. C'est toute la différence entre un corps sans danger (sauf poussières radioactives) et un vivant qui transporte des maladies (microbe).
SupprimerOr, de microbe il n'y a. Demeure donc la poussière. Cette poussière nouvelle (sortie 'voire "échappée' !! HAHAHA ! de laboratoires), cette poussière s'appelle NANO PARTICULE D'OXYDE DE GRAPHÈNE (95 à 99 % du contenu d'un flacon injectable !!) et est additionnée d'hydres ! + diverses maladies animales ! Elles composent toutes les seringues destinées à être inoculées aux faibles d'esprit.
ENCORE UN COMMENTAIRE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)
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