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dimanche 27 novembre 2022

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60 commentaires:

  1. Explications biologiques du mécanisme des effets indésirables des vaccins anti-COVID-19


    Par Hélène Banoun
    Mondialisation.ca,
    27 novembre 2022


    Dans cette guerre de l’information tant dissymétrique que criminelle voulant pousser à une vaccination prétendument aussi utile que sans risque, voici la contribution de l’AIMSIB à la réflexion de ceux qui ont encore accès à nos textes. Hélène Banoun s’est surpassée dans la qualité des sources pendant qu’Emma Kahn s’appliquait à rendre son propos limpide… Au final, un torrent ininterrompu d’effets indésirables post-vaccinaux graves, rythmé par des articles plus dérangeants que les autres mais que l’industrie des vaccins a réussi à faire supprimer. Voici probablement l’article le plus complet, le plus abouti et le plus accusatoire qu’il ne nous est jamais été donné de publier. Bonne lecture.
    - Emma Kahn

    Ce texte a été présenté initialement le 17 septembre 2022 à l’UER de Villeneuve-Les-Avignons dont nous reproduisons ici le haut de l’affiche, le document complet se situe en bas de l’article)

    Résumé :
    Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent.

    Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.

    La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.

    La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.

    De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COVID-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination.

    Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins.

    Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

    Introduction
    Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
    La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
    La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
    De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

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  2. Principe des vaccins utilisés dans les pays occidentaux

    Les effets toxiques délétères de la spike ont été énoncés dès le printemps 2020 par Jean-Marc Sabatier (2) : il prévoyait des effets délétères de l’infection par SARS-CoV-2 résultant de la fixation de la protéine spike du coronavirus sur le récepteur cellulaire humain ACE2. Les vaccins sont tous fondés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable (si ce n’est l’unique cause) de la pathogénicité du virus SARS-CoV-2 (3)(4)(5)(6)(7), donc les EIs des vaccins vont être en rapport avec la toxicité de la spike. (8)

    Les plus utilisés sont les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna qui injectent le code modifié de la protéine spike de surface du virus et transforment ainsi le vacciné en usine à spike toxique.
    Les vaccins à adénovirus modifié injectent de l’ADN qui est aussi le code de la spike (Astra Zeneca, Janssen)
    Les vaccins inactivés type Valneva contiennent la totalité de l’agent infectieux qui est inactivé chimiquement et donc contiennent la spike ainsi qu’un adjuvant jamais expérimenté.
    Les vaccins dits classiques sont constitués de la protéine spike injectée avec un adjuvant (qui est en général nouveau ou ayant prouvé sa toxicité) : Novavax, Sanofi, Hipra, …
    Donc théoriquement, on injecte une quantité fixe de spike avec ces vaccins « classiques » et on devrait avoir moins d’EI qu’avec l’usine à spike constituée par les vaccins ARN ou ADN mais en fait les mêmes EIs sont détectés et semble-t-il en même quantité, ceci pourrait être dû aux adjuvants qui stimulent exagérément la réaction immunitaire à cette spike déjà capable de déréguler le système Immunitaire ; il se peut qu’intervienne ici le mécanisme des anticorps anti-idiotypes.

    En plus de la toxicité de la spike, il faut aussi signaler les phénomènes de facilitation de l’infection par le vaccin qui sont bien connus et ont été soulignés dès le début 2020 par les experts officiels : ils sont spécialement documentés pour les vaccins anti-coronavirus chez les animaux (au cours d’essai clinique et en utilisation commerciale ; et en post-commercialisation chez l’homme pour d’autres virus, par exemple le vaccin contre la dengue).

    Les EIs du vaccin reproduisent les pathologies associées à la COVID-19
    Risques toxiques comparés de la spike virale et de la spike vaccinale

    Les promoteurs de la vaccination ont tendance à exagérer la pathogénicité du virus pour accroître le bénéfice risque du vaccin : ils oublient que toutes les personnes qui rencontrent le virus ne développent pas de COVID-19 sévère, loin de là, et que, par contre, tous les vaccinés sont susceptibles de fabriquer de grandes quantités de spike toxique à l’intérieur de tout l’organisme, voir la conférence des pathologistes allemands, les Prs Arne Burkhardt et Walter Lang (9). Lors d’une infection COVID-19, les effets systémiques du SARS-CoV-2 ne se manifestent qu’en cas de maladie symptomatique sévère et pas chez les personnes infectées légèrement : celles-ci éliminent le virus au niveau des voies respiratoires supérieures grâce à leur immunité innée et ne permettent pas au virus de se multiplier dans l’organisme et donc d’y répandre la spike toxique.(10)

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  3. Pourquoi les enfants et beaucoup d’adultes ne sont pas atteints par la COVID-19 ? Le rôle de la réponse immunitaire de l’hôte y est prépondérante. (11) Il faut aussi insister sur les différences d’exposition à la spike toxique selon la gravité de l’infection COVD-19, d’une part, et en comparaison avec la vaccination, d’autre part. Et en effet chez les personnes infectées mais n’ayant pas développé de Covid-19 sévère, on n’observe pas les pathologies associées à la COVID-19. Par contre, les vaccins injectent tous soit de la spike, soit l’ARNm de la spike dans l’organisme et tous les vaccinés seront confrontés plus ou moins aux effets toxiques de cette protéine en fonction de la pharmacodynamie du vaccin qui n’a pas été étudiée malheureusement.

    Une étude de cohorte prospective et longitudinale a permis de suivre les jeunes membres des Forces armées suisses (FAS). Elle a permis de quantifier l’impact de l’infection par le SRAS-CoV-2 sur la santé cardiovasculaire, pulmonaire, neurologique, rénale, ophtalmologique, reproductive masculine, psychologique et générale, en plus des paramètres de laboratoire. Il n’y avait pas de différences significatives dans les scores du questionnaire psychosocial, les résultats ophtalmologiques, la qualité ou la motilité des spermatozoïdes entre les témoins et les personnes infectées plus de 6 mois auparavant par le SRAS-CoV-2.

    Conclusions : Les personnes jeunes, auparavant en bonne santé, se remettent largement d’une infection légère et l’impact multi-système de l’infection est moindre que celui observé chez les patients plus âgés ou hospitalisés. Ces résultats peuvent être extrapolés au personnel de santé et à d’autres jeunes adultes en activité. (12)

    Malgré les altérations de la substance blanche du cerveau observées dans une autre étude, une infection légère à modérée par le SRAS-CoV-2 n’était pas associée à une dégradation des fonctions cognitives au cours de la première année suivant la guérison. (13)

    ACE et le SRA

    Le récepteur ACE2 constitue l’un des maillons du système rénine angiotensine (SRA), un système hormonal essentiel à notre organisme. Le SARS2 suractive le SRA. Le SRA est considéré comme l’un des principaux régulateurs de la physiologie cardiovasculaire en contrôlant l’homéostasie du sodium, le remodelage cardiovasculaire, le maintien du tonus vasculaire et la régulation de la pression artérielle.

    En occupant ACE2, le virus de la Covid l’empêcherait de jouer correctement son rôle de régulateur de l’angiotensine 2, un peptide (courte chaine d’acide aminés) qui arriverait ainsi trop massivement sur le récepteur suivant du SRA, AT1R, et pourrait donc susciter des réactions en chaine impactant de nombreux organes, notamment au niveau inflammatoire. La suractivation du SRA provoque également l’induction de signalisations profibrotiques, proapoptotiques et pro-inflammatoires dans les poumons et d’autres organes. Ce mécanisme se caractérise par une tempête massive de cytokines, une hypercoagulation, un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et de multiples lésions organiques ultérieures.

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  4. Le récepteur ACE2 est essentiel pour l’expression des transporteurs d’acides aminés dans l’intestin : il module l’immunité innée et influence la composition du microbiote intestinal.(14) Dans cet article de 2020, JM Sabatier et ses coauteurs avaient ainsi prévu les maladies liées à la Covid et que l’on retrouve en tant qu’EI des vaccins :

    – Hypertension artérielle
    – Athérosclérose
    – Dysfonctionnement, insuffisance et arrêt cardiaque
    – Hypertrophie cardiaque
    – Fibrose cardiaque
    – Maladie rénale chronique
    – Fibrose pulmonaire idiopathique
    – Hypertension artérielle pulmonaire
    – Lésions pulmonaires aiguës
    – Diabète de type 2 / résistance à l’insuline intolérance au glucose / action sur le métabolisme du glucose
    – Anosmie / perte d’odorat
    – Agueusie / perte de goût
    – Inflammation auto-immune du système nerveux central
    – Diarrhée
    – Glaucome / action sur l’humeur aqueuse
    – Thrombose / coagulopathie
    – Lésions cutanées / dermatite
    – Rétinopathie diabétique / action sur l’humeur aqueuse
    – Dysfonctionnement du métabolisme lipidique
    – Dysfonctionnement de l’immunité / différenciation et activation des cellules immunitaires
    – Maladies auto-immunes (par exemples, sclérose-en-plaques, poly-neuropathie inflammatoire démyélinisante chronique, syndrome de Miller-Fisher)
    – Cancer
    – Fibrose hépatique / hypertension portale / cirrhose
    – Lésion testiculaire

    Mise en garde contre l’ADE

    Comme je l’écrivais en mai 2020 (15), tous les experts s’accordaient déjà en 2020 :
    – » Le plus gros problème est la crainte d’un ADE (antibody dependant enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines ».
    – « Un vaccin pourrait potentiellement induire des infections COVID-19 plus graves ».

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  5. L’ADE est un cas particulier de ce qui peut se produire lorsque des taux faibles et non neutralisants d’anticorps spécifiques ou à réaction croisée contre un virus sont présents au moment de l’infection. Ces anticorps peuvent être présents en raison d’une exposition antérieure au virus, d’une exposition à un virus apparenté ou d’une vaccination antérieure contre le virus. Lors d’une réinfection, des anticorps en nombre insuffisant pour neutraliser le virus se lient néanmoins au virus. Ces anticorps se fixent alors au récepteur Fc sur les surfaces cellulaires, facilitant l’entrée du virus dans la cellule et augmentant par la suite l’infectivité du virus.

    On ne peut pas différencier une manifestation d’ADE d’une infection virale sans ADE. Donc, quand des maladies ou de décès se produisent dans un court délai après vaccination, on ne peut pas exclure le vaccin comme cause proximale. L’ADE a été démontré dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1 de 2003 sur les animaux. Les données publiées concernant les vaccins anti-COVID-19 montrent la facilitation et l’aggravation de l’infection juste après l’injection, aussi bien sur les essais cliniques que dans les études observationnelles post-commercialisation et ceci avec tous les types de vaccins (ARN, adenovirus, virus inactivé et vaccin recombinant).

    Le mécanisme biologique de l’ADE après infection par le virus a été démontré : les anticorps facilitants sont trouvés chez les patients atteints de COVID-19 graves. (16) Avec l’évolution du virus et l’apparition successive des variants du SARS-CoV-2, les épitopes facilitants sont conservés et les épitopes neutralisants mutent et permettent l’échappement des variants aux anticorps neutralisants, ceci renforçant la possibilité d’ADE après infection ou vaccination contre la souche originelle. (17) Les vaccins ARNm induisent des anticorps plus fortement capables d’interagir par leur fragments Fc que ceux induits par l’infection naturelle : ces anticorps vaccinaux seraient susceptibles de provoquer l’ADE. (18)

    Il a été montré, par ailleurs, que les sérums de patients vaccinés par le vaccin Pfizer perdent leur activité neutralisante et acquièrent des propriétés facilitant l’infection avec des variants Delta. (19)
    Très récemment, un nouvel article japonais montre que certains sérums provenant de personnes vaccinées avec le vaccin à ARNm ciblant la protéine S ont présenté un potentiel d’ADE contre l’infection par la souche originale. Tous les sérums examinés, y compris les sérums présentant une activité neutralisante contre la souche originale de Wuhan du SRAS-CoV-2, n’ont présenté aucune activité neutralisante contre Omicron. Au contraire, une certaine activité ADE a été observée dans certains sérums. (20) Un article de S Seneff et G Nigh détaillait en 2021 les autres mécanismes biologiques pouvant expliquer les effets indésirables des vaccins à ARNm (21), voir l’analyse en français (22)

    L’ARNm des vaccins a été modifié par rapport à celui du virus : il est plus résistant à la dégradation, il code pour une protéine spike modifiée (stabilisée en conformation de pré-fusion ce qui va augmenter la production d’anticorps anti-spike car celle-ci va rester plus longtemps présente dans l’organisme ; cette stabilisation repose sur une mutation proline mais cette proline augmente sa capacité de liaison à l’ACE2), l’expression de la protéine est augmentée par la proportion augmentée de nucléotides CG dans l’ARN par rapport à un ARN viral classique.

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  6. Anaphylaxie et auto-immunité

    Le PEG qui compose les LNP est capable de provoquer un choc anaphylactique (une proportion notable de la population possède des anticorps anti-PEG).
    Certaines protéines virales possèdent des homologies avec des protéines humaines, en particulier la spike et la NSP3. Parmi ces protéines humaines homologues, 1/3 sont associées au système immunitaire adaptatif et donc des auto-anticorps induits pourraient affaiblir ce système ; d’autres protéines pourraient être associées à la maladie cœliaque, la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques. L’auto-immunité a été rapportée comme séquelle de la Covid mais les asymptomatiques infectés par le virus résistent à la maladie grâce à leur système immunitaire inné et éliminent le virus sans produire beaucoup d’anticorps ; le vaccin outrepasse cette barrière par l’injection IM. Les personnes saines qui échappent à la Covid peuvent, de ce fait, faire des réactions auto-immunes après vaccination par production excessive d’anticorps non nécessaires.

    Des maladies auto-immunes ont aussi été annoncées par d’autres études sur le mimétisme moléculaire : il existe des similitudes entre les protéines du virus SARS-CoV-2 et les protéines humaines. Par exemple, 29 pentapeptides sont communs entre la spike et la protéine cardiaque Titin, dont les altérations sont liées à la mort subite par arrêt cardiaque. (23)

    Des auto-anticorps ont été trouvés chez les patients Covid (anti-nucléaires, anti-coagulant du lupus, anti-IFN, anti-MDA5 associés à la dermatomyosite amyopathique. (24) Le mimétisme moléculaire avec les protéines de choc thermique pourrait expliquer les syndromes de Guillain-Barré (25). Il existe également un mimétisme entre des épitopes de la spike protéine et certaines protéines neuronales humaines qui font craindre des maladies auto-immunes. (26)

    Il existe un mimétisme peptidique massif entre l’homme et la souris, c’est-à-dire des organismes qui subissent des conséquences pathologiques à la suite d’une infection par la COVID-19. Au contraire, aucun peptide commun ou un nombre très faible de peptides communs sont présents chez les mammifères qui n’ont pas de séquelles pathologiques majeures une fois infectés par la COVID-19 (27).

    Pour anticiper les EIs des vaccins, il fallait aussi s’intéresser à la biodistribution des LNP (nanoparticules lipidiques) vectrices de l’ARNm des vaccins. D’après Seneff et Nigh, on savait par des études sur un vaccin expérimental anti-grippe à ARNm que celui-ci se répand dans le muscle, les ganglions, la rate, le foie principalement. D’après le rapport EMA sur Moderna, on détecte de l’ARNm dans le cerveau à un taux de 2% de celui retrouvé dans la circulation sanguine. Pour Pfizer, on le retrouve aussi dans la moelle osseuse, les glandes surrénales et les ovaires. (Les études de pharmacocinétique ont été menées avec une formulation différente du vaccin commercialisé).

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  7. Le Dr Robert W. Malone avait expliqué que cette bio-distribution faisait craindre des problèmes de fertilité et de maladies du sang (28).

    Ovaires
    Deux articles publiés avant la COVID, dont un avec de solides expériences d’immunofluorescence, ont démontré que l’on pouvait s’attendre à ce que les nanoparticules lipidiques (à base de PEG) soient absorbées à des concentrations élevées dans les ovaires. Chez les animaux, la concentration était si élevée que les ovaires étaient « illuminés » au moment de la dissection.

    Testicules
    L’ACE2 est hyper exprimé dans les testicules, la Spike pourrait endommager les testicules. Le vaccin Pfizer diminue la concentration et la mobilité des spermatozoïdes dans le sperme (29) et, contrairement à la conclusion des auteurs, si on se réfère aux résultats du tableau 2 de cette publication, il est clair que cette réduction n’est pas transitoire pour tous les hommes : elle persiste 7 mois après la vaccination.

    Nouvel article de 2022 de JM Sabatier sur l’effet de la spike sur la fertilité (30) :

    L’ACE2 est impliquée dans la régulation des systèmes reproducteurs masculin et féminin, ce qui suggère que l’infection par le SRAS-CoV-2 et le dysfonctionnement associé du SRA pourraient affecter la reproduction.

    Les patients Covid sévères ont des taux d’hormones sexuelles modifiés. Concernant la reproduction chez l’homme, le SRA et l’ACE2 régulent la stéroïdogeneèse, la production de testostérone et la spermatogenèse dans le testicule. L’ACE2 est largement exprimée dans l’ovaire, l’utérus, le vagin et le placenta. L’ACE2 contrôle le développement folliculaire et l’ovulation, ainsi que l’angiogenèse et la dégénérescence lutéale, de même que les altérations du tissu endométrial et le développement de l’embryon. L’ensemble de ces résultats suggère que le système reproducteur féminin, qui exprime l’ACE2, est vulnérable à l’infection par le SRAS-CoV-2, et que la fertilité pourrait donc être affectée. L’expression dynamique du SRA dans les cellules stromales et épithéliales de l’endomètre au cours du cycle pourrait expliquer les modifications du cycle menstruel observées pendant l’infection par le SRAS-CoV-2. La spike vaccinale pourrait reproduire ces altérations du métabolisme reproducteur.

    Interaction de la spike avec les récepteurs aux œstrogènes
    Des données de bioinformatique ainsi que l’étude de hamsters infectés ont montré que la spike se lie au récepteur des œstrogènes. Les œstrogènes sont responsables de la maturation et du fonctionnement du système reproducteur féminin mais jouent aussi un rôle immunitaire, en particulier dans les voies de signalement utilisées par les macrophages (intervenant dans l’immunité innée anti-infectieuse).

    Ceci pourrait aussi expliquer la prédominance de la maladie COVID-19 chez les hommes et l’effet protecteur rapporté d’un traitement anti-oestrogénique sur la prévalence de COVID-19 chez les femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire ou du sein. (31)

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  8. Covid et grossesse, rappel
    Aucune des complications obstétriques, n’a montré de différence statistiquement significative entre les femmes enceintes SARS-CoV-2-positives et SARS-CoV-2-négatives admises à l’accouchement. notamment l’anémie, le diabète gestationnel, l’hypertension gravidique, la cholestase intrahépatique, l’hémorragie ante-partum et l’hémorragie post-partum. (32)

    À propos de la question de la vaccination des femmes enceintes contre la Covid-19, des chercheurs néo-zélandais ont réinterprété les données d’un article du CDC et montré que l’incidence cumulée des avortements spontanés chez les femmes vaccinées avant 20 semaines de gestation est 7 à 8 fois supérieure à la moyenne habituellement observée, mais ils ont dû retirer leur article sous la pression (33).

    Moelle osseuse : leucémies, anémies
    Le deuxième organe où la concentration augmente et où cela est inquiétant c’est la moelle osseuse d’où des risques de leucémie et anémies en particulier. Il y a aussi passage dans les ganglions, donc risque de lymphomes.

    Purpura thrombopénique
    Les LNPs se concentrent dans la rate qui est le principal réservoir de plaquettes et le lieu de leur élimination et aussi un organe lymphoïde important. Le PTI (purpura thrombopénie idiopathique) est une complication de la Covid, on peut le retrouver après élimination du virus suggérant un phénomène auto-immun. La migration de l’ARNm vaccinal dans la rate peut générer des cellules B produisant IgG anti-spike : même après élimination de ces IgG on peut trouver un PTI par défaut de production de plaquettes (destruction des mégacaryocytes -cellules souches des plaquettes- par autophagie). Les plaquettes jouent aussi un rôle dans l’élimination du virus par phagocytose.

    Maladies à prion

    S Seneff alertait également sur le lien possible avec les maladies neurodégénératives dues au prion, ce sont des maladies provoquées par un mauvais repliement des protéines humaines.

    La S contient 5 motifs GxxxG (glycine) favorables au repliement en feuillet β des hélices α comme la protéine prion qui en contient seulement 4. La S vaccinale a deux résidus proline pour empêcher la fusion membranaire qui la rendent encore plus capable de se transformer en prion. Dans le vaccin, il peut y avoir des fragments d’ARNm induisant la synthèse d’une S incomplète de structure imprévisible et d’impact physiologique inconnu.

    L’EMA avait noté qu’il y avait plus d’ARNm fragmentaire dans le produit commercialisé que dans celui ayant servi aux essais cliniques ; le fabricant suppose que ces fragments ont une courte durée de vie, sans plus de preuves. (34)

    Diabète
    Le mécanisme biologique par lequel la spike interagit avec le métabolisme glucidique a été étudié. (35)
    Les trois principaux mécanismes qui influencent la manifestation de la maladie COVID-19 chez les diabétiques sont les suivants :

    (a) l’entrée du virus par les récepteurs ACE-2
    (b) l’action par la Dipeptidyl-peptidase-4, et
    (c) l’élévation de la concentration de glucose dans les voies respiratoires par une glycémie élevée.
    L’ACE-2 est exprimé dans les cellules épithéliales alvéolaires, le cœur, les épithéliums rénaux-tubulaires et intestinaux et le pancréas. La S-Glycoprotéine à la surface du SRAS-CoV-2 se lie à cette ACE-2 et subit un changement de conformation. Cela permet sa digestion protéolytique par les protéases des cellules hôtes TMPRSS2 et Furin, ce qui entraîne l’internalisation du virus. L’entrée du virus dans les cellules déclenche une réponse inflammatoire des cellules T auxiliaires et, parfois, une « tempête de cytokines », entraînant des lésions organiques.

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  9. Le vaccin Covid exacerbe l’hyperglycémie chez les diabétiques, d’après une étude de cas et ce serait dû à l’inflammation induite par le vaccin. (36)

    Le vaccin provoque des modifications métaboliques chez des sujets sains et jeunes ne se manifestant pas cliniquement : « La vaccination a influencé divers indicateurs de santé dont ceux liés au diabète, au dysfonctionnement rénal, au métabolisme du cholestérol, aux problèmes de coagulation, au déséquilibre électrolytique, de la même manière que si les volontaires avaient subi une infection. » [Liu et al., 2021, p. 9], des altérations cohérentes de l’hémoglobine A1c, des taux sériques de sodium et de potassium, des profils de coagulation et des fonctions rénales ont été notées chez des volontaires sains après la vaccination avec un vaccin inactivé contre le SRAS-CoV-2. Des changements similaires avaient également été signalés chez les patients atteints de l’infection COVID-19, suggérant que la vaccination imitait une infection. » ([Liu et al., 2021, p. 1] (37)

    Manifestations gastro-intestinales, neurologiques, hépatiques
    Les récepteurs de l’ACE2 sont surexprimés dans la paroi intestinale, ce qui entraîne une forte perméabilité intestinale aux agents pathogènes étrangers. Une interconnexion entre les poumons, le cerveau et le tractus gastro-intestinal lors d’un COVID-19 sévère a été mentionnée. (38) De nombreux chercheurs ont fait état de troubles intestinaux et neuraux induits par le SRAS-CoV-2. Certains symptômes, notamment les vomissements et les nausées, pourraient être des signes de troubles du système digestif ou du système nerveux. Le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes du système nerveux central et périphérique, tels que l’hyposmie/anosmie, les céphalées, les nausées, les vomissements et les symptômes psychiatriques et psychologiques, chez un pourcentage élevé de patients atteints de COVID-19.

    Effet de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 sur les cellules endothéliales et la barrière hémato-encéphalique
    La spike du SRAS-CoV-2 stimule une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau qui peut avoir un effet négatif sur l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et perturber sa fonction. L’altération de la fonction de la barrière hémato-encéphalique augmente considérablement la possibilité d’une invasion neurologique par ce virus, offrant une explication au risque de dommages neurologiques chez les patients atteints de COVID-19. L’une des raisons des complications neurologiques observées chez les patients atteints du COVID-19 est une interaction de la protéine spike ou, plus précisément, du domaine de liaison du récepteur de la protéine spike S1 (SARS-CoV-2 S1 RBD), avec des protéines amyloïdogènes dans le cerveau. Il a récemment été démontré par docking moléculaire que ce domaine peut interagir avec le peptide β-amyloïde, l’α-synucléine, la protéine tau et la protéine prion.

    Cancer et spike
    Il existe des similitudes cliniques et moléculaires entre le cancer et le COVID-19 : les quatre principales voies de signalisation à l’intersection du COVID-19 et du cancer sont la signalisation des cytokines, de l’interféron de type I (IFN-I), du récepteur des androgènes (AR) et des points de contrôle immunitaire. (39)

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  10. Interaction de spike avec les systèmes de réparation de l’ADN humain :
    La sous-unité S2 de spike interagit in vitro avec des protéines anti-tumorales comme p53 et BRCA, selon une analyse bioinformatique pour étudier l’interaction de la protéine de la sous-unité S2 du SARS-nCoV-2 avec les protéines suppresseuses de tumeurs p53 et BRCA-1/2. (40)

    Angiogenèse
    D’après des autopsies de patients décédés de COVID-19 sévère, la spike favoriserait l’angiogenèse (la prolifération de vaisseaux sanguins). Cette angiogenèse est indispensable à l’oxygénation et à la prolifération des tumeurs malignes. (41)

    Analyse de quelques publications d’effets indésirables dûs au vaccin
    Cancer

    Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué : (42)
    – Âge – L’âge moyen des échantillons a chuté, avec une augmentation du nombre d’échantillons de personnes âgées de 30 à 50 ans.
    – Taille – Habituellement, il était rare de trouver une tumeur de 3 cm. Dans ce nouvel environnement, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois de 12 cm, elle a trouvé une tumeur de 16 cm qui prenait un sein entier.
    – Tumeurs multiples se développent en même temps dans les 2 seins et même dans plusieurs organes. On avait des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons quelques mois après avoir été vacciné.
    – Récidive – Il y a eu une augmentation du nombre de patients qui sont en rémission de leur cancer depuis de nombreuses années, ayant soudainement une récidive agressive de leur cancer peu de temps après la vaccination.

    Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées (43), un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également (44)

    Dérèglement immunitaire induit par le vaccin
    1) Suppression immunitaire non spécifique

    Dans la maladie- COVID-19, une importante lymphopénie est trouvée chez de nombreux patients atteints de Covid sévère. Avec une perte pouvant aller jusqu’à 80% des cellules T du sang, concomitante avec une prolifération intense du pool de CD8+, cellules T. (45) On a noté une réactivation d’herpès post vaccination Pfizer en Israël chez des patients avec une maladie inflammatoire rhumatologique (cf Seneff et Nigh). Au printemps 2022, la varicelle (due aussi au virus herpès-zona) a connu un pic jamais atteint en France (46).

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  11. Les vaccins ARNm induisent la production d’anticorps anti-IFN I (anti-interféron). L’interféron participe à l’activité anti-virale du système immunitaire (47)
    Les vaccins ARNm induisent une chute du taux de lymphocytes cytotoxiques CD8 (48)
    Dérèglement de l’immunité adaptative (génération aléatoire des parties variables des Ig)
    Un article gênant a été retiré (sous le prétexte d’une expérience mal conduite).

    Il montrait que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative. La protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, au site des lésions. Ce serait un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et occasionner des EIs potentiels des vaccins à base de spike pleine longueur. (49)

    Décès par tempête cytokinique après vaccination. (50) Dans 4 cas de décès suivant une seconde dose de vaccin Covid à ARNm, le sang des victimes a été prélevé dans les 24h après la mort et a montré une augmentation de l’expression des gènes liés à l’hyperinflammation : les victimes seraient décédées d’une tempête cytokinique. La fonction immunitaire avait été sensibilisée par la première vaccination et la seconde a pu provoquer un SIRS (Syndrome de réponse inflammatoire systémique)
    Dérèglement immunitaire induit par les nanoparticules lipidiques (LNPs). Le composant synthétique lipidique et ionisable des LNPs est hautement inflammatoire. Il est connu que certains vaccins et infections peuvent affecter à long terme la réponse innée en augmentant ou diminuant l’activation des cellules effectrices. Une étude sur les souris montre que les LNP d’un vaccin ARNm inhibent les réponses anticorps et augmentent la réponse innée. Le composant lipidique des LNPs Pfizer a une demi-vie de 20 à 30 jours in vivo. L’exposition primaire à des LNPs vides d’ARNm ou codant pour une protéine quelconque inhibe la réponse anticorps lors d’une seconde injection de LNPs vectrices d’un ARNm codant pour l’hémagglutinine du virus grippal. Les niveaux d’anticorps, ainsi que le nombre de centres germinaux de cellules B, sont diminués par cette première sensibilisation. Par contre, la pré-exposition à des LNPs portant un ARNm de protéine sans intérêt augmentent la protection contre une infection grippale ou à Candida chez les souris : les LNPs-ARNm augmenteraient la réponse innée ?
    On ne sait pas dans quelle mesure les vaccinations réitérées peuvent aggraver cette dégradation de l’immunité immune. Les données sont contradictoires. Le dérèglement non spécifique de l’immunité induit par les LNP-ARNm est transmissible à la progéniture des souris, sans doute par un phénomène épi-génétique. (51)

    2) Dérèglement immunitaire spécifique

    Ce sont les conséquences de l’immunosuppression et de l’ADE (elles sont alors immédiates : Covid post injection). On retrouve de nombreux exemples (essai cliniques et études observationnelles post commercialisation)

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  12. Suppression immunitaire spécifique par le vaccin : en 2021, il avait été montré qu’après une infection par le variant alpha chez un vacciné, la prévalence d’anticorps anti-N détectable est inférieure à celle des non vaccinés. Pour le variant delta, on n’observait pas cette réduction de prévalence mais les taux d’anti-N étaient réduits chez les vaccinés 1 ou 2 doses infectés par les variants alpha et delta par rapport aux taux d’anti-N observés chez les non vaccinés convalescents. (52) Déjà en 2021, Allen et al. avaient noté que chez les vaccinés, après une infection Covid, les taux d’ac anti-N étaient soit nuls, soit inférieurs à ceux des non vaccinés ; cependant cette étude ne concernait que 23 infections post-vaccinales. (53) En octobre 2021, un rapport du gouvernement du Royaume Uni avait aussi noté cette diminution d’anti-N chez les vaccinés infectés. (54)
    Les chercheurs du gouvernement britannique affirmaient (p. 23) que leurs tests sérologiques sous-estimaient le nombre de personnes ayant une infection antérieure en raison des « observations récentes des données de surveillance de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) selon lesquelles les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination ». Pour info, les « experts » avaient traité de désinformateurs ceux qui avaient remarqué ces données en prétendant que l’absence d’anti-N était due à l’absence de réplication du virus (55) voir ci-dessous, essai Moderna. À nouveau en 2022, une publication d’avril 2022 du NIH et de Moderna vient confirmer ces données dans l’essai clinique Moderna donc avec la souche de Wuhan. (56)

    La réponse est orientée vers la spike chez les vaccinés et moins vers la N qui est pourtant moins susceptible de muter et confère une bonne immunité. Les spikes des variants successifs, s’éloignant de plus en plus de la spike originelle de Wuhan sur laquelle sont fondés les vaccins, il aurait été fort utile que les vaccinés développent des anti-N aux mêmes taux (ou plus) que les non-vaccinés. Il se produit l’inverse.

    Les auteurs ont analysé « les données de 1 789 participants (1 298 receveurs du placebo et 491 receveurs du vaccin) atteints d’une infection par le SRAS-CoV-2 pendant la phase en aveugle (jusqu’en mars 2021). Parmi les participants présentant une maladie de type Covid-19 confirmée par PCR, une séroconversion vers des anticorps anti-N au cours d’un suivi médian de 53 jours après le diagnostic est survenue chez 21/52 (40 %) des personnes ayant reçu le vaccin mRNA-1273 contre 605/648 (93 %) des personnes ayant reçu le placebo (p < 0,001). » Les participants infectés après avoir été vaccinés par le Moderna sont plus de 2 fois moins susceptibles de présenter une réponse anti-N que les non vaccinés. Et ceci n’est pas dû à une moindre réplication du virus chez les vaccinés car à charge virale équivalente, les vaccinés produisent moins d’anti-N.

    Chez les personnes infectées avant d’avoir été vaccinées, les taux d’anti-N étaient comparables à ceux des non vaccinés. La protéine N peut générer une réponse cellulaire T robuste, elle est bien conservée et ne se recombine pas fréquemment. L’immunité anti-N est probablement importante. On ne sait pas si les tendances sont les mêmes avec l’omicron ou avec d’autres vaccins COVID.

    Le vaccin pourrait empêcher l’acquisition d’une immunité contre la protéine nucléocapside du virus.

    L’implication de cette étude serait que plus on vaccine, plus on efface l’immunité naturelle, de sorte que non seulement on attrape toujours le virus, mais qu’on continuera à l’attraper parce qu’on ne peut jamais atteindre une immunité complète, comme on pourrait le faire avec une infection naturelle, sans avoir été inoculé par une thérapie génique qui pousse l’organisme à réagir de manière inappropriée. Il s’agit d’une injection qui empêche l’immunité collective !

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  13. La réduction de la capacité à produire des anti-N a été observée après la dose 2 seulement, et non après la dose 1. Que se passe-t-il donc après les doses 3 et 4 ? L’émoussement est-il maintenu, accru ?
    Il semble bien que plus on injecte la thérapie génique à ARNm aux gens, plus le virus circule et plus ils sont infectés. Toutes les données provenant du Royaume-Uni (57) semblent indiquer que plus on vaccine, plus on est infecté (les non vaccinés sont plus testés que les vaccinés, sans doute car les employeurs exigent plus de tests chez eux).

    Les vaccinés sont plus à risque d’être testés positifs alors qu’ils sont moins testés !
    Figure tirée de : https://www.walgreens.com/businesssolutions/covid-19-index.jsp (Walgreens est une entreprise qui vend des tests Covid).

    Les dernières données de Walgreens concernent les résultats de 66 000 tests effectués dans tout le pays pendant la semaine du 17 avril 2022. Bien que les personnes non vaccinées aient été soumises au plus grand nombre de tests de toutes les cohortes (probablement en raison des obligations de test des employeurs), elles représentent la plus faible part des résultats positifs hebdomadaires. Il semble que la situation s’aggrave à mesure que l’on augmente les doses et la durée d’exposition à la dose !
    Article des CDC de 2022 : Dosage des anticorps-anti-N (dus à infection et pas vaccination) :

    Les vaccinés séroconvertissent moins : c’est sans doute dû au péché originel antigénique et non à une quelconque protection. (58)

    Quelques exemples d’effets indésirables trouvés dans les publications scientifiques
    Hépatites : réactivation de virus HBC (59)
    Hépatite auto-immune, nbx cas, Modification paramètres hépatiques
    Anémie (60)
    Aggravation diabète (61)
    Apparition diabète type 1
    Myopathie immune nécrosante (62)
    Thrombose coronarienne (63)
    AVC (64)
    Vascularite rénale auto-immune (65)
    Vascularite nécrosante (66)
    Thrombose cérébrale veineuse (67)
    Guillain Barré
    Hépatite auto-immune
    Hypertension artérielle
    Suppression de moëlle osseuse
    Pemphigoïde bulleux
    polyneuropathie
    Altération du sperme
    Thrombocytopénie (68)
    Encephalite, épilepsie (69)
    Myocardites
    Zona (70)
    Manifestations oculaires, auditives, neurologiques
    SEP
    Venous sinus thrombosis
    Thyroïdite subaigüe , auto-immune
    Réaction amyloïde, CJD
    Défaut du contrôle de la coagulation chez patients sous anti-coagulants AVK
    Inflammation généralisée

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  14. Comparaison des EIG entre vaccins anti-Covid et anti-grippaux : Les risques absolus les plus importants ont été observés pour les réactions allergiques, constitutionnelles, dermatologiques, gastro-intestinales, neurologiques et les douleurs localisées et non localisées. Les risques relatifs les plus importants entre COVID-19 et les vaccins antigrippaux ont été observés pour les réactions allergiques, l’arythmie, les événements cardiovasculaires généraux, la coagulation, les hémorragies, les réactions gastro-intestinales, oculaires, des organes sexuels et la thrombose. (71)

    Hélène Banoun
    Octobre 2022

    Notes et sources
    (1) https://uflf88.fr/universite-dete-resistante/
    https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/Conf_univ_j2:3
    (2) Sabatier Cao, Wu, 2020 Zhijian Cao, Yingliang Wu, Emmanuelle Faucon, Jean-Marc Sabatier. SARS-CoV-2 & Covid-19: Key-Roles of the ‘Renin-Angiotensin’ System / Vitamin D Impacting Drug and Vaccine Developments. Infectious Disorders – Drug Targets, Bentham Science Publishers, 2020, 20 (3), pp.348-349. ⟨10.2174/1871526520999200505174704⟩. ⟨hal-03357861⟩
    (3) Moghaddar M, Radman R, Macreadie I. Severity, Pathogenicity and Transmissibility of Delta and Lambda Variants of SARS-CoV-2, Toxicity of Spike Protein and Possibilities for Future Prevention of COVID-19. Microorganisms. 2021; 9(10):2167. https://doi.org/10.3390/microorganisms9102167
    (4) Almehdi, A.M., Khoder, G., Alchakee, A.S. et al. SARS-CoV-2 spike protein: pathogenesis, vaccines, and potential therapies. Infection 49, 855–876 (2021). https://doi.org/10.1007/s15010-021-01677-8
    SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2
    (5) Yuyang Lei, Jiao Zhang, Cara R. Schiavon, Ming He, Lili Chen, Hui Shen, Yichi Zhang, Qian Yin, Yoshitake Cho, Leonardo Andrade, Gerald S. Shadel, Mark Hepokoski, Ting Lei, Hongliang Wang, Jin Zhang, Jason X.-J. Yuan, Atul Malhotra, Uri Manor, Shengpeng Wang, Zu-Yi Yuan, John Y-J. Shyy
    (6) Letarov, A.V., Babenko, V.V. & Kulikov, E.E. Free SARS-CoV-2 Spike Protein S1 Particles May Play a Role in the Pathogenesis of COVID-19 Infection. Biochemistry Moscow 86, 257–261 (2021). https://doi.org/10.1134/S0006297921030032
    (7)Gao X, Zhang S, Gou J, Wen Y, Fan L, Zhou J, Zhou G, Xu G, Zhang Z. Spike-mediated ACE2 down-regulation was involved in the pathogenesis of SARS-CoV-2 infection. J Infect. 2022 Oct;85(4):418-427. doi: 10.1016/j.jinf.2022.06.030. Epub 2022 Jul 3. PMID: 35793758; PMCID: PMC9250808.)
    (8) (Trougakos IP, Terpos E, Alexopoulos H, Politou M, Paraskevis D, Scorilas A, Kastritis E, Andreakos E, Dimopoulos MA. Adverse effects of COVID-19 mRNA vaccines: the spike hypothesis. Trends Mol Med. 2022 Jul;28(7):542-554. doi: 10.1016/j.molmed.2022.04.007. Epub 2022 Apr 21. PMID: 35537987; PMCID: PMC9021367
    (9) https://pathologie-konferenz.de
    https://odysee.com/@fr:d/press-conference-death-by-vaccination-undeclared-components-of-COVID-19-vaccines:b
    https://pathologie-konferenz.de/Tod_nach_COVID-19-Impfung_www_pathologie-konferenz_de.pdf
    (10) Trougakos et al., Trougakos IP, Terpos E, Alexopoulos H, Politou M, Paraskevis D, Scorilas A, Kastritis E, Andreakos E, Dimopoulos MA. Adverse effects of COVID-19 mRNA vaccines: the spike hypothesis. Trends Mol Med. 2022 Jul;28(7):542-554. doi: 10.1016/j.molmed.2022.04.007. Epub 2022 Apr 21. PMID: 35537987; PMCID: PMC9021367

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  15. (11) https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03762891 : traduction de Why are children and many adults not affected by COVID-19? Role of the host immune response Banoun H. Infect Dis Res. 2022;3(3):18. doi:10.53388/IDR20220825018 https://www.tmrjournals.com/article.html?J_num=4&a_id=2275
    (12) Deuel JW, Lauria E, Lovey T, Zweifel S, Meier MI, Züst R, Gültekin N, Stettbacher A, Schlagenhauf P. Persistence, prevalence, and polymorphism of sequelae after COVID-19 in unvaccinated, young adults of the Swiss Armed Forces: a longitudinal, cohort study (LoCoMo). Lancet Infect Dis. 2022 Aug 25:S1473-3099(22)00449-2. doi: 10.1016/S1473-3099(22)00449-2. Epub ahead of print. PMID: 36030795; PMCID: PMC9411260.
    (13) Petersen M et al., Brain imaging and neuropsychological assessment of individuals recovered from mild COVID-19, medRxiv 2022.07.08.22277420; doi: https://doi.org/10.1101/2022.07.08.22277420
    (14) Cao et al., 2020
    (15) https://www.aimsib.org/2020/05/03/vaccin-anti-covid-19-et-immunite-de-groupe-cest-non-et-encore-non/
    (16) Okuya K, Hattori T, Saito T, Takadate Y, Sasaki M, Furuyama W, Marzi A, Ohiro Y, Konno S, Hattori T, Takada A. Multiple Routes of Antibody-Dependent Enhancement of SARS-CoV-2 Infection. Microbiol Spectr. 2022 Apr 27;10(2):e0155321. doi: 10.1128/spectrum.01553-21. Epub 2022 Mar 23. PMID: 35319248; PMCID: PMC9045191
    (17) Guérin, P.; Yahi, N.; Azzaz, F.; Chahinian, H.; Sabatier, J.-M.; Fantini, J. Structural Dynamics of the SARS-CoV-2 Spike Protein: A 2-Year Retrospective Analysis of SARS-CoV-2 Variants (from Alpha to Omicron) Reveals an Early Divergence between Conserved and Variable Epitopes. Molecules 2022, 27, 3851. https://doi.org/10.3390/molecules27123851
    (18) Subtle immunological differences in mRNA-1273 and BNT162b2 COVID-19 vaccine induced Fc-functional profiles Paulina Kaplonek, Deniz Cizmeci, Stephanie Fischinger, Ai-ris Collier, Todd Suscovich, Caitlyn Linde, Thomas Broge, Colin Mann, Fatima Amanat, Diana Dayal, Justin Rhee, Michael de St. Aubin, Eric J. Nilles, Elon R. Musk, Anil S. Menon, Erica Ollmann Saphire, Florian Krammer, Douglas A. Lauffenburger, Dan H. Barouch, Galit Alter bioRxiv 2021.08.31.458247; doi: https://doi.org/10.1101/2021.08.31.458247
    (19) The SARS-CoV-2 Delta variant is poised to acquire complete resistance to wild-type spike vaccines, Yafei Liu, Noriko Arase, Junchi Kishikawa, Mika Hirose, Songling Li, Asa Tada, SumikoMatsuoka, Akemi Arakawa, Kanako Akamatsu, Chikako Ono, Hui Jin, Kazuki Kishida, Wataru Nakai, Masako Kohyama, Atsushi Nakagawa, Yoshiaki Yamagishi, HironoriNakagami, Atsushi Kumanogoh, Yoshiharu Matsuura, Daron M. Standley, TakayukiKato, Masato Okada, Manabu Fujimoto, Hisashi Arase, bioRxiv 2021.08.22.457114; doi: https://doi.org/10.1101/2021.08.22.457114

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  16. (31) Solis O, Beccari AR, Iaconis D, Talarico C, Ruiz-Bedoya CA, Nwachukwu JC, Cimini A, Castelli V, Bertini R, Montopoli M, Cocetta V, Borocci S, Prandi IG, Flavahan K, Bahr M, Napiorkowski A, Chillemi G, Ooka M, Yang X, Zhang S, Xia M, Zheng W, Bonaventura J, Pomper MG, Hooper JE, Morales M, Rosenberg AZ, Nettles KW, Jain SK, Allegretti M, Michaelides M. The SARS-CoV-2 spike protein binds and modulates estrogen receptors. bioRxiv [Preprint]. 2022 May 23:2022.05.21.492920. doi: 10.1101/2022.05.21.492920. PMID: 35665018; PMCID: PMC9164441.
    (32) https://www.aimsib.org/2021/05/09/vacciner-les-femmes-enceintes-contre-la-covid-19/
    (33) https://retractionwatch.com/2021/11/16/co-author-of-paper-claiming-covid-19-vaccines-linked-to-miscarriage-says-hes-retracting-it/ https://cf5e727d-d02d-4d71-89ff-9fe2d3ad957f.filesusr.com/ugd/adf864_2bd97450072f4364a65e5cf1d7384dd4.pdf Spontaneous Abortions and Policies on COVID-19 mRNA Vaccine Use During Pregnancy
    Aleisha R. Brock, Simon Thornley)
    (34) Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021; 5(1): 1-3. (Prion-disease-risk)
    (35) CS, N. ., Shaikh, S. B. ., & NU, S. . (2022). “Elucidation of the Shared Pathophysiology between Diabetes and COVID-19”. Bangladesh Journal of Medical Science, 21(1), 19–23. https://doi.org/10.3329/bjms.v21i1.56323
    (36) (Mishra A, Ghosh A, Dutta K, Tyagi K, Misra A. Exacerbation of hyperglycemia in patients with type 2 diabetes after vaccination for COVID19: Report of three cases. Diabetes Metab Syndr. 2021 Jul-Aug;15(4):102151. doi: 10.1016/j.dsx.2021.05.024. Epub 2021 May 25. PMID: 34186339; PMCID: PMC8143905. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8143905/
    (37) Liu, J., Wang, J., Xu, J. et al. Comprehensive investigations revealed consistent pathophysiological alterations after vaccination with COVID-19 vaccines. Cell Discov7, 99 (2021). https://doi.org/10.1038/s41421-021-00329-3
    (38) Rahban,M.;Stanek,A.; Hooshmand, A.; Khamineh, Y.; Ahi, S.; Kazim, S.N.; Ahmad, F.; Muronetz, V.; Samy Abousenna, M.; Zolghadri, S.; et al. Infection of Human Cells by SARS-CoV-2 and Molecular Overview of Gastrointestinal, Neurological, and Hepatic Problems in COVID-19 Patients. J. Clin. Med. 2021,10,4802. https://doi.org/10.3390/jcm10214802
    (39) Zong, Z., Wei, Y., Ren, J. et al. The intersection of COVID-19 and cancer: signaling pathways and treatment implications. Mol Cancer 20, 76 (2021). https://doi.org/10.1186/s12943-021-01363-1
    (40) Singh N, Bharara Singh A. S2 subunit of SARS-nCoV-2 interacts with tumor suppressor protein p53 and BRCA: an in silico study. Transl Oncol. 2020 Oct;13(10):100814. doi: 10.1016/j.tranon.2020.100814. Epub 2020 Jun 30. PMID: 32619819; PMCID: PMC7324311.

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  17. (41) Pérez-Mies B, Gómez-Rojo M, Carretero-Barrio I, Bardi T, Benito A, García-Cosío M, Caballero Á, de Pablo R, Galán JC, Pestaña D, Palacios J. Pulmonary vascular proliferation in patients with severe COVID-19: an autopsy study. Thorax. 2021 Oct;76(10):1044-1046. doi: 10.1136/thoraxjnl-2020-216714. Epub 2021 Mar 23. PMID: 33758071; PMCID: PMC7992389.
    (42) https://rumble.com/v1do1rb-covid-vaccination-and-turbo-cancer-pathological-evidence-with-english-subti.html
    (43) https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fmed.2021.798095
    (44) PMID: 34007835,PMCID: PMC8117802, PMID: 34451859 PMCID: PMC8401863
    (45) Moss, P. The T cell immune response against SARS-CoV-2. Nat Immunol 23, 186–193 (2022). https://doi.org/10.1038/s41590-021-01122-w, voir aussi https://contre-pouvoir.info/2022/09/vaccins-les-nanoparticules-darnm-modifient-la-reponse-immunitaire/
    (46) https://www.legeneraliste.fr/actu-pro/en-consultation/la-varicelle-depasse-son-pic-record-de-2015
    (47) COVID-19 mRNA vaccine BNT162b2 induces autoantibodies against type I interferons in a healthy woman https://doi.org/10.1016/j.jaut.2022.102896
    (48) Voir Figure 6, tableau D de Goel RR et al . mRNA vaccines induce durable immune memory to SARS-CoV-2 and variants of concern. Science. 2021 Dec 3;374(6572):abm0829. doi: 10.1126/science.abm0829. Epub 2021 Dec 3. PMID: 34648302; PMCID: PMC9284784.
    (49) Jiang,H.;Mei,Y.-F. SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro. Viruses 2021, 13,2056. https://doi.org/10.3390/ v13102056
    (50) Murata K, Nakao N, Ishiuchi N, Fukui T, Katsuya N, Fukumoto W, Oka H, Yoshikawa N, Nagao T, Namera A, Kakimoto N, Oue N, Awai K, Yoshimoto K and Nagao M (2022) Four cases of cytokine storm after COVID-19 vaccination: Case report. Front. Immunol. 13:967226. doi: 10.3389/fimmu.2022.967226
    (51) Pre-exposure to mRNA-LNP inhibits adaptive immune responses and alters innate immune fitness in an inheritable fashion Zhen Qin, Aurélie Bouteau, Christopher Herbst, Botond Z. Igyártó bioRxiv 2022.03.16.484616; doi: https://doi.org/10.1101/2022.03.16.484616
    (52) Nucleocapsid antibody positivity as a marker of past SARS-CoV-2 infection in population serosurveillance studies: impact of variant, vaccination, and choice of assay cut-off Heather J Whitaker, Charlotte Gower, Ashley D Otter, Ruth Simmons, Freja Kirsebom, Louise Letley, Catherine Quinot, Georgina Ireland, Ezra Linley, Sonia Ribeiro, Shamez Ladhani, Jamie Lopez-Bernal, Gayatri Amirthalingam, Mary E Ramsay, Kevin E Brown medRxiv 2021.10.25.21264964; doi: https://doi.org/10.1101/2021.10.25.21264964
    (53) Allen N, Brady M, Carrion Martin AI, et al. Serological markers of SARS-CoV-2 infection; anti-nucleocapsid antibody positivity may not be the ideal marker of natural infection in vaccinated individuals. J Infect. 2021;83(4):e9-e10. doi:10.1016/j.jinf.2021.08.012
    (54) Public Health England https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1027511/Vaccine-surveillance-report-week-42.pdf

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  18. (55) https://www.reuters.com/article/factcheck-coronavirus-britain-idUSL1N2SE1TC
    (56) Anti-nucleocapsid antibodies following SARS-CoV-2 infection in the blinded phase of the mRNA-1273 Covid-19 vaccine efficacy clinical trial Dean Follmann, Holly E. Janes, Olive D. Buhule, Honghong Zhou, Bethany Girard, Kristen Marks, Karen Kotloff, Michaël Desjardins, Lawrence Corey, Kathleen M. Neuzil, Jacqueline M. Miller, Hana M. El Sahly, Lindsey R. Baden doi: https://doi.org/10.1101/2022.04.18.22271936
    (57) https://www.theblaze.com/op-ed/horowitz-record-infections-in-super-vaxxed-uk-seniors-as-double-vaxxed-show-negative-efficacy-against-covid-death, de la Nouvelle-Zélande et de l’entreprise Walgreens https://www.theblaze.com/op-ed/horowitz-walgreens-recorded-who-tested-positive-for-covid-and-the-results-might-surprise-you#toggle-gdpr
    (58) Morbidity and Mortality Weekly Report Seroprevalence of Infection-Induced SARS-CoV-2 Antibodies — United States, September 2021–February 2022 Kristie E.N. Clarke, MD1; Jefferson M. Jones, MD1; Yangyang Deng, MS2; Elise Nycz, MHS1; Adam Lee, MS2; Ronaldo Iachan, PhD2; Adi V. Gundlapalli, MD, PhD1; Aron J. Hall, DVM1; Adam MacNeil, PhD1 https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/71/wr/mm7117e3.htm
    (59) https://www.dovepress.com/hepatitis-c-virus-reactivation-following-covid-19-vaccination—a-case–peer-reviewed-fulltext-article-IMCRJ
    (60) https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/bjh.17947, DOI 10.1111/ced.14858
    (61) https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fendo.2022.840580, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8143905/
    (62) https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/mus.27531
    (63) https://www.jacc.org/doi/10.1016/j.jcin.2021.03.003
    (64) https://www.jns-journal.com/article/S0022-510X(22)00189-7/fulltext
    (65) DOI 10.1053/j.ajkd.2021.06.016
    (66) https://doi.org/10.1093/ckj/sfab285
    (67) https://www.mdpi.com/2076-393X/10/5/799
    (68)Différentes altérations consistent alterations in hemoglobin A1c, serum sodium and potassium levels, coagulation profiles, and renal functions in healthy volunteers after vaccination with an inactivated SARS-CoV-2 vaccine. Similar changes had also been reported in COVID-19 patients, suggesting that vaccination mimicked an infection. https://www.nature.com/articles/s41421-021-00329-3 https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/andr.13209
    (69) https://doi.org/10.1093/qjmed/hcab335
    (70) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8242810/
    (71) https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fpubh.2021.756633

    https://www.mondialisation.ca/explications-biologiques-du-mecanisme-des-effets-indesirables-des-vaccins-anti-covid-19/5673031

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    1. (...) Par contre, les vaccins injectent tous soit de la spike, soit l’ARNm de la spike dans l’organisme et tous les vaccinés seront confrontés plus ou moins aux effets toxiques de cette protéine en fonction de la pharmacodynamie du vaccin qui n’a pas été étudiée malheureusement. (...)

      Chaque laboratoire propose sa soupe 'Bouillon d'onze heures' car il n'y a PAS une piqûre létale mais diverses façons d'y parvenir. Ce sont donc chez tous le même résultat observé: la mort de l'inoculé à court ou moyen terme.

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  19. Les vaccinés non vaccinés pour falsifier l'efficacité des vaccins


    26 novembre 2022
    du Dr. Peter F. Mayer


    Depuis la première publication de chiffres sur l'efficacité présumée de la nouvelle technologie vaccinale du génie génétique en novembre 2020, des travaux ont été menés en omettant des données clairement contradictoires. L'astuce est relativement simple. Vous recherchez une période où les vaccinés ont moins de maladies que les non vaccinés et vous sautez les périodes où l'inverse est le cas.
    Dans une étude danoise récente, le truc est ouvertement expliqué avec cette phrase :

    "La période entre la réception de la première dose de vaccin et 13 jours après la réception de la deuxième dose a été exclue des analyses."

    Pourquoi devez-vous faire cela ? Tout simplement : le système immunitaire est massivement surchargé et supprimé par les nanoparticules lipidiques pulvérisées et les instructions de construction d'ARNm qu'elles contiennent et les protéines de pointe produites à partir de celles-ci. Cela augmente le risque d'infections que le système immunitaire affaibli ne peut pas combattre, entraînant le Covid et des effets secondaires parfois graves.

    Il s'agit d'une période d'au moins 5, mais généralement plutôt de 8 semaines, car il devrait y avoir au moins trois semaines entre la première et la deuxième injection.

    L'étude danoise est au moins à moitié honnête et révèle que toutes les infections et maladies sont ignorées pendant la période de vaccination. Cependant, il n'est pas mentionné qu'en cas d'infections, l'immunité naturelle plus protectrice s'est développée, ce qui donne même aux vaccinés un avantage attribué à tort à la vaccination.

    Mais tous n'ignorent pas ces infections et maladies et agissent encore plus malhonnêtement en les attribuant aux non vaccinés. Le 14 octobre 2021, j'ai signalé la falsification des données lors de l'évaluation de la publication de l'AGES autrichien et du RKI allemand :

    «Mais le RKI ne rapporte pas correctement non plus. Seules les personnes à partir du jour 15 après la deuxième dose (ou après la première dose pour Janssen) sont considérées comme vaccinées.

    Toutes les personnes vaccinées depuis la première vaccination jusqu'à deux semaines après la dernière dose sont faussement comptées parmi les non vaccinés. Nous savons par l'étude d'approbation de Pfizer et de nombreuses autres études que le système immunitaire est gravement affaibli par la vaccination, ce qui a été documenté par la chute massive du nombre de lymphocytes. Par conséquent, on est particulièrement sensible aux infections après la vaccination, comme l'a montré une étude au Danemark. "

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  20. Apparemment, cela s'est également produit dans les études d'approbation.

    Dans l'étude pivot de Pfizer, environ 4 000 personnes ont été soit exclues, soit leurs infections et maladies ignorées. Comme indiqué en janvier 2021, le co-rédacteur en chef du British Medical Journal a directement nommé les contrefaçons dans un article du 4 janvier 2021.

    Voici à nouveau les passages les plus importants :

    "Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer, il y avait" un total de 3 410 cas suspects mais non confirmés de Covid-19 dans la population totale de l'étude, 1 594 survenus dans le groupe vaccin contre 1 816 dans le groupe placebo ".

    Et plus loin sur les cas observés immédiatement après la vaccination :

    "Même après soustraction des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 pour le vaccin Pfizer contre 287 pour le placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité à court terme du vaccin,..."

    Et l'exclusion des personnes :

    "371 sujets exclus de l'analyse d'efficacité en raison de" déviations majeures du protocole au jour 7 ou avant après la dose 2. " Ce qui est inquiétant, c'est la disparité entre les groupes randomisés dans le nombre d'exclus : 311 du groupe vaccin contre 60 sous placebo.

    C'est incroyable que les compagnies pharmaceutiques puissent s'en tirer avec une telle malversité. Pourquoi les médias grand public n'ont-ils jamais révélé cela, ou du moins remis en question ? La collusion ou même la collaboration est à portée de main pour vendre les doses de vaccin inefficaces mais nocives aux personnes qui ont fait confiance aux politiciens, aux experts et aux médias.

    https://tkp.at/2022/11/26/die-geimpften-ungeimpften-zur-faelschung-der-wirksamkeit-der-impfstoffe/

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    1. Finie la hache de l'ancien temps détrônée par l'arrivée des tronçonneuses, voici qu'entre les mains du bourreau surgit le canif ! OUAIP ! Un coup çà fait mal mais t'es pas mort (quoi que !), puis arrive LE second coup ! Whôaw ! LA seconde piqûre ! Puis, la dictature qui pense faire çà pour votre bien exige que l'on supprime la douleur ! BRAVO ! Le troisième, le coup fatal est porté. Et le mort ne porte pas plainte. Félicitation. Du boulot de pro. Clap de fin.

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  21. Une autre étude révèle que l'inflammation cardiaque est plus élevée après la vaccination Moderna par rapport à Pfizer


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 27 NOVEMBRE 2022 - 14:10
    Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times


    Selon une nouvelle étude, les cas d'inflammation cardiaque après la vaccination contre le COVID-19 étaient plus fréquents chez les bénéficiaires de Moderna que chez ceux qui ont reçu le vaccin de Pfizer.

    Des chercheurs canadiens ont analysé une base de données et identifié 141 cas de myocardite, une forme d'inflammation cardiaque, dans les 21 jours suivant une dose du vaccin Pfizer ou Moderna, qui utilisent tous deux la technologie de l'ARN messager (ARNm).

    Cela a été comparé à un nombre prévu de seulement 20 cas.

    Les cas étaient beaucoup plus élevés chez les jeunes hommes, comme l'ont montré des études précédentes, mais étaient encore plus élevés après la réception d'une deuxième dose du vaccin Moderna par rapport à une deuxième dose du vaccin Pfizer.

    L'incidence, cependant, était plus élevée après la réception d'une troisième dose du vaccin Pfizer.

    "Dans cette étude de cohorte basée sur la population, les taux observés d'admissions à l'hôpital ou de visites aux urgences pour myocardite après la vaccination par l'ARNm pour le SRAS-CoV-2 étaient plus élevés que prévu sur la base des taux de fond historiques, en particulier après la deuxième dose, parmi ceux qui ont reçu le vaccin ARNm-1273 (Moderna), chez les hommes et chez les patients plus jeunes (18 à 29 ans) », ont écrit le Dr Zaeema Naveed et d'autres chercheurs de l'Université de la Colombie-Britannique et du Centre de contrôle des maladies de la Colombie-Britannique.

    L'article a été publié dans le Journal de l'Association médicale canadienne le 21 novembre.

    Moderna et Pfizer n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.

    Dernier à trouver Moderna Higher
    Des recherches remontant à la mi-2021 montrent que l'incidence de l'inflammation cardiaque est plus élevée après une deuxième dose de Moderna chez les jeunes hommes par rapport à une deuxième dose de Pfizer.

    Les deux vaccins sont recommandés en primovaccination en deux doses.

    Le Dr Anish Koka, un cardiologue basé aux États-Unis, a déclaré sur Twitter que la nouvelle étude met en évidence le manque d'action des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, qui continuent de recommander que les jeunes hommes reçoivent l'un ou l'autre des vaccins.

    "Les taux de Moderna sont vraiment beaucoup plus élevés pour la dose 2 chez les jeunes hommes", a déclaré le Dr Walid Gellad, professeur de médecine à l'Université de Pittsburgh. "Je reste perplexe quant à la raison pour laquelle les États-Unis n'ont jamais agi sur la base de ces informations, connues depuis un an."

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  22. Certains autres pays ont suspendu l'administration du vaccin de Moderna - ou des deux vaccins - pour les jeunes en raison des effets secondaires du vaccin et du fait que les jeunes en bonne santé courent peu de risques de COVID-19.

    Le CDC a également détecté plus de cas de myocardite (pdf) après réception d'une deuxième dose de Moderna dans les populations les plus à risque, en utilisant des données de surveillance.

    Les autorités américaines ont ajouté la myocardite comme effet secondaire possible pour les deux vaccins en 2021, mais n'ont pas modifié leurs recommandations, qui appellent à pratiquement toutes les personnes à recevoir non seulement une série primaire, mais au moins un rappel.

    Les autorités américaines ont déclaré que les avantages des vaccins - principalement la protection contre les maladies graves - l'emportent sur les risques.

    Les chercheurs canadiens l'ont dit, même si leur seule citation concernait un article du CDC non évalué par des pairs de juin 2021.

    Depuis lors, d'autres études ont conclu que les risques l'emportent sur les avantages pour une ou plusieurs populations, en particulier les jeunes hommes. Le calcul a basculé en raison des preuves croissantes d'effets secondaires comme la myocardite et de la moins bonne performance des vaccins contre la variante du virus Omicron et ses sous-variantes, selon certains experts.

    En savoir plus sur le nouveau papier
    Les chercheurs canadiens ont analysé les informations d'une plateforme de surveillance de la Colombie-Britannique qui contient des données telles que des tests de laboratoire et des admissions à l'hôpital. Ils ont examiné les données du 15 décembre 2020 au 10 mars 2022.

    Ils ont découvert que 105 hommes et 36 femmes souffraient de myocardite et se rendaient à l'hôpital ou aux urgences dans les 21 jours suivant une injection.

    Environ 60 % des cas sont survenus après une piqûre de Pfizer, mais l'ensemble de données global comprenait un niveau plus élevé d'administration de Pfizer que l'administration de Moderna.

    Les chercheurs ont calculé un taux global de 1,37 cas de myocardite pour 100 000 doses de vaccin à ARNm, supérieur au taux attendu de 0,39 cas pour 100 000 habitants. Le taux attendu a été tiré de l'incidence de la myocardite dans la population générale avant la pandémie.

    Les taux étaient beaucoup plus élevés après une deuxième dose et chez les jeunes hommes.

    Pour les hommes âgés de 18 à 29 ans après une deuxième dose, le taux était de 23 pour 100 000 après une injection de Moderna et de 5,8 pour 100 000 après une injection de Pfizer.

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  23. Pour les hommes âgés de 30 à 39 ans après une deuxième dose, le taux était de 7 pour 100 000 après une injection de Moderna et de 1,3 pour 100 000 après une injection de Pfizer.

    Pour les hommes âgés de 40 à 49 ans après une deuxième dose, le taux était de 1,3 pour 100 000 après une injection de Moderna et de 1,1 pour 100 000 après une injection de Pfizer.

    Les chercheurs ont calculé le taux dans les 21 jours comme étant de 6,7 pour 100 000 secondes doses du vaccin de Pfizer pour les hommes âgés de 12 à 17 ans, mais n'ont pas été en mesure de calculer le chiffre pour ce groupe d'âge pour le vaccin de Moderna parce que le vaccin n'était pas disponible au Canada pour ce groupe au cours de la période qui a été analysée.

    Selon la dose, les taux étaient plus élevés pour le vaccin de Pfizer.

    Alors que les taux étaient plus élevés après le deuxième coup de Moderna pour les hommes et les femmes âgés de 18 à 39 ans, par exemple, les taux étaient plus élevés après le premier coup de Pfizer pour les hommes et les femmes âgés de 29 à 40 ans.

    Les taux étaient également plus élevés après la réception d'une troisième dose de Pfizer qu'une troisième dose de Moderna pour certains groupes d'âge, y compris les hommes âgés de 18 à 29 ans. C'était également le cas avec les données de surveillance du CDC. Une troisième dose, ou un rappel, est devenue largement acceptée car les vaccins fonctionnent moins bien contre les nouvelles variantes et la protection qu'ils confèrent diminue rapidement.

    https://www.theepochtimes.com/another-study-finds-heart-inflammation-higher-after-moderna-vaccination-versus-pfizer_4883651.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  24. Les réacteurs nucléaires américains parmi les plus anciens du monde


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 27 NOVEMBRE 2022 - 04:00


    Les 92 réacteurs nucléaires actuellement en service aux États-Unis ont un âge moyen de 41,6 ans, le troisième plus ancien au monde.

    Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, les seuls parcs nucléaires qui sont plus anciens sont ceux de la Suisse (46,3 ans) et de la Belgique (42,3 ans). Les réacteurs singuliers utilisés en Arménie et aux Pays-Bas sont également plus anciens.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Les réacteurs nucléaires américains parmi les plus anciens du monde | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Les États-Unis ont été parmi les premiers à adopter commercialement l'énergie nucléaire dans les années 1950, ce qui explique le nombre de réacteurs vieillissants aujourd'hui. Un boom de la construction entre les années 1960 et 1970 a créé les centrales nucléaires d'aujourd'hui aux États-Unis. Les cinq réacteurs achevés dans les années 1990 et celui achevé en 2016 étaient tous des vestiges de projets de construction retardés des années 1970, confrontés à des barrages routiers en raison de problèmes réglementaires et d'une opposition croissante à l'énergie nucléaire. La date de début de construction la plus récente d'un réacteur américain achevé aujourd'hui est 1978 - un an avant l'accident nucléaire de Three Mile Island, qui a encore renforcé le rejet de l'énergie nucléaire par le public et les défis de la mise à jour de l'infrastructure du réacteur nucléaire aujourd'hui. Cependant, deux réacteurs démarrés à la centrale électrique de Vogtle en Géorgie en 2013 rejoindront bientôt le réseau en tant que nouveaux ajouts à la flotte américaine. Eux aussi ont connu de nombreux retards réglementaires et autres, aboutissant à la faillite de l'entreprise de construction du réacteur. Le gouvernement américain est intervenu avec un prêt afin que le projet puisse maintenant être terminé près de 17 ans après sa proposition initiale.

    Les États-Unis sont aujourd'hui l'un des 15 pays que le rapport sur l'état de l'industrie nucléaire mondiale énumère comme poursuivant activement l'énergie nucléaire. Cela comprend de nouveaux programmes nucléaires aux Émirats arabes unis, en Biélorussie et en Iran qui ont été lancés au cours de la dernière décennie seulement, ainsi qu'un programme plus récent en Chine qui a commencé à produire de l'électricité en 1991 et dont l'âge moyen du parc de réacteurs n'est que de neuf ans. L'Inde, qui gère un programme d'énergie nucléaire depuis 1969, a néanmoins connu une construction beaucoup plus récente que les États-Unis, atteignant un âge moyen actuel des réacteurs de 24,2 ans. De nombreux pays européens qui ont été les premiers à adopter la technologie mettent entre-temps fin à leurs programmes, parfois avant la fin de la durée de vie prévue des réacteurs.

    Suite à l'invasion russe de l'Ukraine et à la crise énergétique qui a suivi, l'intérêt pour l'énergie nucléaire a été renouvelé dans de nombreux pays, mais les défis pour la construction de réacteurs nucléaires persistent aujourd'hui. Une solution pourrait être un pivot vers de petits réacteurs comme ceux que la société NuScale devrait construire dans l'Idaho d'ici 2030 en utilisant une nouvelle technologie modulaire.

    https://www.zerohedge.com/energy/us-nuclear-reactors-among-oldest-world

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    1. RAPPORT POUR LE NOMBRE D'HABITANTS:

      LA SUISSE: 8,7 millions d'hab. = 4 réacteurs pour 2 175 000 hab.
      BELGIQUE: 11,6 millions d'hab. = 7 réacteurs pour 1 657 142
      USA: 332 millions d'habitants = 92 réacteurs pour 3 608 695
      CANADA : 38,2 millions d'hab. = 17 réacteurs pour 2 257 058
      FRANCE : 67,5 millions d'hab. = 56 réacteurs pour 1 205 357
      ALLEMAGNE: 83 millions d'hab. = 3 réacteurs pour 27 666 666
      UKRAINE: 43,8 millions d'hab. = 15 réacteurs pour 2 920 000
      JAPON : 125,7 millions d'hab. = 10 réacteurs pour 12 570 000
      INDE : 1,4 milliard d'habitants = 19 réacteurs pour 73 684 210
      CHINE: 1,4 milliard d'habitants = 55 réacteurs pour 25 454 545

      Ainsi l'Inde se retrouve avec un réacteur pour 73,684 millions d'habitants
      tandis qu'à l'extrême la France en a un pour 1,200 million habitants !

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  25. Où va tout le pétrole - Partie 2


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 27 NOVEMBRE 2022 - 15:20
    Rédigé par Russell Clark de la sous-pile Flux de capitaux et marchés d'actifs ;


    La première partie se trouve ici

    La chute du prix du pétrole cette année s'est accompagnée d'une chute véritablement historique des stocks de pétrole aux États-Unis.

    En règle générale, les stocks qui s'effondrent sont considérés comme haussiers, car ils doivent normalement être réapprovisionnés, mais je suis à peu près sûr que le SPR ne sera jamais réapprovisionné.

    - voir graph sur site -

    Dans ma note originale, je me demandais où allait toute l'huile. En utilisant les données de l'OCDE, qui examinent non seulement les stocks de pétrole brut, mais aussi les stocks de produits, nous pouvons voir que la baisse des ventes dans le SPR a largement augmenté à l'étranger.

    - voir graph sur site -

    S'il est facile de caractériser la vente à la baisse de la SPR comme motivée par des raisons politiques, il y a de bonnes raisons économiques à cela. Ces dernières années, la croissance de la production pétrolière américaine a entraîné une chute des importations nettes, d'un pic de 10 millions de barils par jour à environ 2 millions actuellement.

    - voir graph sur site -

    La réserve stratégique de pétrole (SPR) a été constituée par le gouvernement américain afin que les États-Unis disposent toujours de 90 jours d'importations nettes de pétrole brut. C'est le nombre que l'AIE suggère que tous ses membres détiennent comme inventaire de pétrole. Le secteur commercial américain ne détenait pas autant de stocks entre 1980 et 2010, le SPR était donc nécessaire. Cependant, comme les importations nettes des États-Unis ont chuté, le besoin de SPR a disparu. Je pense qu'il est très peu probable que les États-Unis remplissent un jour le SPR.

    - voir graph sur site -

    Aucun des autres pays de l'AIE n'a connu une forte augmentation de la production de pétrole comme les États-Unis, donc aucun autre pays n'est en mesure de réduire ses stocks comme les États-Unis.

    - voir cadre sur site -

    Comme les États-Unis sont un plus gros producteur de pétrole, ils ont besoin de moins de réserves stratégiques, c'est assez évident. Mais les problèmes pour le SPR sont plus importants que cela. Le SPR est entreposé au Texas et en Louisiane. La raison en est que c'est là que les États-Unis ont importé la majeure partie de leur pétrole pour ensuite le distribuer aux raffineurs du Midwest et d'ailleurs. Le problème est que la grande croissance de la production de schiste a été localisée au Texas et dans ses environs, de sorte que très peu de pétrole est désormais importé. Cela signifie que même lorsque la SPR a libéré du pétrole, il y avait très peu de demande intérieure pour cela. Dès 2016, le ministère de l'Énergie s'est rendu compte que le SPR n'était plus pratique et avait prévu de vendre lentement du pétrole sur le marché pour générer le capital nécessaire à la modernisation de l'ensemble du système SPR.

    - voir cadre sur site -

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  26. Dans le même rapport, US SPR Long Term Strategic Review, ils ont également examiné un scénario où le pétrole russe deviendrait indisponible. Dans ce scénario, le plan était de libérer 1,8 million de barils par jour. La réalité est que SPR a vendu du pétrole à un rythme plus lent que ce plan, ce qui, encore une fois, a montré que ce plan était probable car la capacité de transport était limitée.

    - voir cadre sur site -

    À certains égards, l'invasion russe de l'Ukraine a rendu service au SPR. Cela leur a permis de réduire la taille des réserves qui ressemblaient de plus en plus à un actif échoué. Les rapports indiquent que le prix d'achat moyen du pétrole SPR est de 30 USD le baril. La vente du SPR aurait généré un profit de 10 milliards de dollars jusqu'à présent. La chute du SPR achève également la domination de la Chine sur les marchés des matières premières. Le Japon a la réserve stratégique signalée la plus élevée à 511 millions de barils, mais les rapports chinois indiquent que la Chine a atteint 90 jours de couverture des importations, ce qui conduit à environ 1 milliard de barils de réserves au taux d'importation actuel de 12 millions de barils par jour.

    - voir graph sur site -

    Le gros avantage pour moi est que le numéro SPR n'est plus important. Il continuera de baisser tant que les prix du pétrole resteront élevés. Le minimum opérationnel est de 10 % de la capacité totale, ce qui signifie 70 millions de barils, mais avec le temps, cela pourrait tomber à zéro. Cela signifie également que la demande chinoise est désormais beaucoup plus importante pour le marché pétrolier, en particulier une fois la vente du SPR terminée. Malheureusement, il est difficile d'obtenir de bonnes données sur la demande chinoise. Tout ce que je sais, c'est que lorsque je regarde le marché du GNL en Asie, cela indique toujours que l'approvisionnement énergétique est tendu.

    - voir graph sur site -

    Selon une ancienne règle empirique, le pétrole devrait s'échanger 10 fois le prix du gaz naturel, de sorte que les prix actuels du GNL en Asie impliquent des prix du pétrole de 300 USD le baril en Asie. Mais là encore, les prix ont été faibles cette année, bien que le gaz naturel soit un marché très saisonnier. Un marché de l'énergie auquel je fais confiance est le marché à terme américain du gaz naturel. Il a réussi à mettre en évidence l'offre excédentaire du marché de l'énergie à partir de 2011 et a correctement prévu l'étroitesse du marché en 2021 et 2022. Les prix actuels ne montrent pas la faiblesse que montre le pétrole au comptant, ce qui me fait penser que le marché de l'énergie est toujours tendu.

    - voir graph sur site -

    En conclusion, la vente de SPR devrait se poursuivre pendant encore 12 à 18 mois, tant qu'ils pourront réaliser un bon prix pour le pétrole. Cela est probable tant que l'invasion russe de l'Ukraine se poursuivra. Cela pourrait limiter les prix du pétrole, mais tous les investisseurs doivent commencer à se concentrer beaucoup plus sur la Chine pour obtenir des orientations sur le marché pétrolier.

    https://www.zerohedge.com/commodities/where-all-oil-going-part-2

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  27. L'Allemagne met en place une taxe exceptionnelle sur l'énergie solaire et éolienne


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 27 NOVEMBRE 2022 - 14:45


    Ah oui. La douce odeur de sauver la planète avec de l'énergie "verte" tout en gagnant encore plus d'impôts... rien de tel que d'avoir votre gâteau de signalement de vertu de gauche et de le manger aussi.

    C'est le cas en Allemagne, où le pays s'apprête à "déposer un plafond de 130 € par mégawattheure sur les revenus des générateurs éoliens, solaires et nucléaires", selon ReNews, citant Bloomberg.

    Le projet de loi indique que le gouvernement allemand prévoit de "récupérer" une partie des bénéfices appartenant aux compagnies d'électricité afin de "financer un ensemble d'aides aux consommateurs de 54 milliards d'euros" qui ne serait probablement pas nécessaire si le réseau électrique allemand était indépendant du get- aller.

    Au lieu de cela, le pays - qui s'appuie sur la Russie pour l'énergie et a évité la plupart des projets de centrales nucléaires dans un avenir prévisible - espère apparemment stimuler davantage l'offre en réduisant les bénéfices des sociétés énergétiques... et oui - même les sociétés générant l'électricité par des moyens "verts".

    "C'est une stratégie audacieuse, Cotton. Voyons si cela leur rapporte..."

    La nouvelle loi "devrait être adoptée par la chambre haute du Parlement allemand le 16 décembre et entrer en vigueur le 1er janvier", indique le rapport. Il s'appliquera pendant 10 mois et sera antidaté à début septembre 2022.

    "L'Allemagne rejoint un nombre croissant de pays européens qui se préparent à fixer leurs propres plafonds nationaux sur les revenus des énergies renouvelables qui sont inférieurs au prélèvement suggéré par la Commission européenne de 180 €/MWh", a écrit ReNews.

    Alors que les mesures ne sont censées durer que jusqu'en juin 2023, le rapport note qu'elles "pourraient être" prolongées jusqu'à la fin de 2024 - ce qui, comme nous le savons tous très bien, est le discours du gouvernement "sera probablement prolongé indéfiniment et augmenté chaque année..."

    https://www.zerohedge.com/markets/germany-tees-windfall-tax-solar-and-wind

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  28. Les pays de l’UE se disputent le pétrole russe déjà interdit


    Par Philippe Rosenthal
    Mondialisation.ca,
    27 novembre 2022


    Les États de l’UE et le G7 se débattent actuellement sur le plafond mondial des prix du pétrole russe pour savoir à quoi il devrait ressembler. Ils doivent se décider rapidement car son succès dépend alors de la capacité des Etats à faire respecter la nouvelle sanction. Pour Die Welt, l’Occident n’a pas les moyens de le faire.

    Les Etats-Unis, l’UE, le G7, sous pression. Avant même que Washington n’arrête en grande partie de travailler cette semaine de Thanksgiving, les pays du G7 devraient s’entendre sur le plafond mondial des prix du pétrole russe afin qu’il puisse entrer en vigueur début décembre. Ce mercredi, le G7, les Etats de l’UE et l’Australie ont envisagé la sanction pétrolière dans toute une série de réunions. Le niveau du plafond, qui vise à remplir trois objectifs, a été un point de discorde jusqu’à la fin des discussions. Le pétrole russe doit continuer d’être échangé sur le marché mondial afin que l’offre mondiale de pétrole reste élevée et que les pénuries ne fassent pas monter les prix. Dans le même temps, le plafond vise à garantir que la Russie tire le moins possible de l’activité pétrolière afin qu’elle ne puisse pas utiliser les recettes pour financer la guerre en Ukraine. «Sur la question du montant de ce plafond, les pays de l’UE et du G7 n’ont pas pu donner une réponse, préférant se disputer sur la mesure», fait savoir Die Welt.

    Les économistes supposent que la production de pétrole russe est économiquement intéressante à un prix de 30 dollars le baril, de sorte que les producteurs russes ne subissent aucune perte avec la production et la vente de pétrole. En fait, Die Welt précise que le budget de l’État russe est conçu pour un prix du pétrole de 50 à 60 dollars le baril. Un prix inférieur signifierait un choc massif pour le budget national et aussi pour l’économie russe. Selon les experts, Vladimir Poutine aurait des difficultés considérables à financer sa guerre en Ukraine – notamment parce qu’il doit également payer pour les centaines de milliers de réservistes qui viennent d’être appelés.

    Un certain nombre de pays de l’UE ont, donc, fait pression pour obtenir le prix le plus bas possible dans les négociations, juste au-dessus des coûts de production, rapporte le média allemand: «Un diplomate d’Europe de l’Est a parlé de 20 dollars. La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, avait déjà évoqué, il y a quelques semaines un prix beaucoup plus élevé de 60 dollars. Plus récemment, les Etats de l’UE auraient discuté d’une valeur de 65 à 70 dollars».

    Doutes sur la capacité de plafonner le prix du pétrole russe. Même si le G7, l’Australie et l’UE veulent parvenir à un accord très prochainement, les experts estiment qu’ il n’est pas certain de voir les nouvelles sanctions mondiales être vraiment appliquées. Ils ont des doutes considérables. «Nous sommes très sceptiques quant à la possibilité d’appliquer ces règles compliquées», déclare Louis Wilson de l’organisation non gouvernementale Global Witness. «Il s’agit de l’une des sanctions les plus compliquées de tous les temps et plus une sanction est compliquée, plus il est difficile de surveiller et de faire respecter la conformité», rajoute-t-il.

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  29. «En fait, les Etats-Unis tentent de concilier les sanctions et leurs propres intérêts avec le plafonnement des prix», affirme Die Welt qui précise qu’à partir du 5 décembre, les sanctions de l’UE interdiront le transport, l’assurance et le financement des expéditions de pétrole russe. L’interdiction des assurances est particulièrement douloureuse pour la Russie: selon Global Witness, 80 % des livraisons de pétroliers russes sont actuellement couvertes par des compagnies d’assurance à Londres, au Luxembourg, en Suède et en Norvège.

    L’interdiction d’assurance aurait dans un premier temps largement paralysé le commerce du pétrole russe. «Cependant, le gouvernement américain», signale Die Welt, ne veut pas de ce blocus du commerce pétrolier russe car il craint une hausse des prix du pétrole et de l’essence dans le monde si l’approvisionnement russe sur le marché mondial n’est plus présent. Au lieu de cela, les Etats-Unis s’appuient sur le plafonnement des prix du pétrole et ils se sont ainsi imposés à Bruxelles.

    Une mesure impossible à tenir. Il est désormais prévu que les livraisons de pétrole russe ne pourront à l’avenir être transportées, assurées et financées dans le monde entier que si le prix reste inférieur au plafond. La mesure affecterait les entreprises de l’UE, des pays du G7 et de l’Australie, et toucherait aussi aux livraisons dans le monde entier, avertit Die Welt. En outre, Il faudrait que les producteurs russes, les intermédiaires et les compagnies d’assurance en Europe, les assureurs alternatifs en Turquie et à Dubaï acceptent le plafonnement des prix. «Aucun de ces trois groupes n’a intérêt à respecter ces règles. Si un seul de ces groupes ne joue pas le jeu, tout le système s’effondre», affirme Louis Wilson.

    Les Etats de l’UE, en particulier, n’ont pas la capacité de surveiller les règles. L’UE laisse le contrôle et l’application des sanctions en grande partie aux Etats membres. «Les Etats-Unis appliqueront correctement le plafond des prix du pétrole, ainsi que d’autres sanctions, mais les institutions de l’UE ne sont pas aussi puissantes que celles des Etats-Unis», expliquent-ils. Le succès du plafonnement des prix dépend de la volonté des Etats-Unis d’imposer des sanctions aux entreprises des pays tiers. La question est de savoir si les Etats-Unis pourraient imposer des sanctions aux clients pétroliers, aux compagnies maritimes et aux assureurs en Chine ou en Inde. C’est un défi politique. Aussi, il sera intéressant de voir jusqu’où les Etats-Unis et d’autres gouvernements seront prêts à aller.

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  30. Observateur Continental titrait tout récemment: «L’Europe et les Etats-Unis se dirigent vers une guerre commerciale». Les Etats-Unis ont besoin du pétrole russe pour garder une certaine stabilité dans l’offre et la demande de cette matière première, ne voulant pas voir les prix grimper à des sommets catastrophiques qui, par retour, provoqueraient une crise chez eux alors qu’ils ont voté en août dernier la loi sur la réduction de l’inflation de 2022 (The Inflation Reduction Act of 2022 (IRA) pour freiner l’inflation en réduisant le déficit, en abaissant les prix des médicaments sur ordonnance et en investissant dans la production d’énergie nationale tout en promouvant l’énergie propre, tout en créant des emplois.

    Indépendamment du plafond mondial des prix du pétrole, l’UE ne veut plus importer de pétrole russe par bateau à partir de début décembre. Des exceptions sont possibles pour le pétrole qui entre dans l’UE via des oléoducs, ce que veulent surtout revendiquer les pays d’Europe centrale et orientale sans accès à la mer. Pour les autres produits pétroliers des raffineries russes, encore plus difficiles à remplacer que le pétrole brut de Russie, l’interdiction d’importer n’entrera en vigueur que début février 2023.

    A partir du 5 décembre, les entreprises de l’UE ne seront également plus autorisées à transporter du pétrole russe vers des pays hors de l’UE, ni à assurer ou à financer les livraisons correspondantes – à moins que la cargaison ne soit conforme aux spécifications du plafond de prix du G7. Ces sanctions devenant un défi, elles risquent tout simplement ne pas être appliquées, surtout que l’Europe et les Etats-Unis se dirigent vers une guerre commerciale.

    https://www.mondialisation.ca/les-pays-de-lue-se-disputent-le-petrole-russe-deja-interdit/5673027

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    1. LA débilité internationale !! Imposer un prix plafond sur un produit d'un seul pays ! HAHAHAHAHA !
      Assurément la Russie y répondra par un bras d'honneur car ce n'est pas un marché de quelque trois centaines de millions d'habitants qui va rivaliser avec celui offert et ouvert que sont la Chine, l'Inde et autres pays du monde.

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  31. Les passions contradictoires sur l’immigration

    Il n’y a pas un monstre qui s’appelle « immigration ». Il y a des individus, les meilleurs et les pires.


    Yves Montenay
    le 27 novembre 2022


    Les premières discussions ont commencé autour d’une nouvelle loi sur l’immigration.

    C’est un sujet empoisonné, tellement des images contradictoires sont enracinées dans les états-majors des partis, images à mon avis largement fausses, tant à droite qu’à gauche.

    Droite et gauche ?

    Bien sûr, dire « droite » et « gauche » est commode mais il ne faut pas oublier que la réalité est plus complexe : du côté des droites extrêmes, on s’inquiète pour l’identité nationale et la sécurité et du côté des gauches extrêmes, on défend « les communautés victimes de la colonisation et du racisme ». Mais il y a une gauche qui met d’abord l’accent sur la laïcité, souci partagé au centre et à droite, en même temps que les questions identitaires et sécuritaires.

    Il y a aussi les libéraux, que les Français classent à droite par ignorance et qui mettent l’accent sur les individus, leurs capacités et leurs responsabilités et les employeurs qui pensent surtout au manque de candidats.

    Donc que mes amis sérieux de droite et de gauche ne se sentent pas stigmatisés par ce qui suit. J’emploierai ces mots par pure commodité en sachant qu’en pratique la distinction n’est nette qu’aux deux extrémités… et encore !

    Par ailleurs, le mot immigration ne signifie pas la même chose pour les uns ou les autres.

    Immigration : parlons-nous de la même chose ?

    Le sens exact du mot immigration est « le nombre de personnes entrant chaque année en France alors qu’elle était domiciliée ailleurs auparavant ».

    Mais personne ne l’emploie dans ce sens-là, à part des spécialistes.

    Pour une certaine droite le sens courant est plutôt « des gens dont on ne veut pas », ou en termes plus polis « ceux qui menacent notre identité ». Pour une certaine gauche, le sens courant est plutôt « des minorités brimées à protéger ».

    Dans les deux cas, les limites statistiques des populations concernées ne sont pas définies : on ne pense pas aux mêmes personnes, d’où une grande confusion sur les groupes dont on parle ainsi que sur leur importance.

    Pour une grande partie de l’opinion, il s’agit de personnes au départ étrangères, ce qui exclut les Pieds-noirs et autres Français nés à l’étranger. On ajoute souvent la deuxième génération, voire les suivantes. Certains disent plus directement « les musulmans » (français ou non) ou « les Noirs et les Arabes », ce qui exclut par exemple les Asiatiques, mais inclut certains Français d’Outre-mer.

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  32. Bref, dès que l’on creuse on s’aperçoit qu’on ne parle souvent pas de la même chose et donc pas du même nombre de personnes concernées : suivant la définition qu’on lui donne, « l’immigration » peut ainsi regrouper cinq millions de personnes ou quinze millions, voire davantage.

    Et comme les statistiques officielles partent de la définition stricte de ce terme, dont l’ordre de grandeur est de 200 000 par an, on les accuse d’être délibérément minorées « pour masquer le problème ». Une théorie du complot s’ajoute à la confusion statistique.

    En conclusion, il n’y a pas de terme neutre : je vais donc employer le terme « les autres » dans ce qui suit, pour bien rappeler à chaque fois qu’il s’agit d’un ensemble mal défini.

    Pour la gauche, des minorités à protéger

    Pour une certaine gauche, l’immigration, c’est-à-dire les immigrés et leurs descendants, sont des groupes culturels, les musulmans de tel pays par exemple, dont le « séparatisme » est légitime, et qui sont soumis à un « génocide culturel » par la tradition assimilatrice de la France.

    Autrement dit, pour cette gauche, l’assimilation n’est pas souhaitable, car c’est une violence culturelle qui vise à détruire une communauté. Les militants de ce multiculturalisme peuvent être sincères ou simplement opportunistes, usant de cet argument « pour casser la société capitaliste ».

    Certes, l’accueil des nouveaux venus par la diaspora est dans un premier temps utile pour accueillir ceux qui connaissent mal le français et nos habitudes. Mais cela devrait être une simple transition et non une occasion de créer des ghettos.

    Pour l’éviter, il faut une fermeté sur le plan scolaire et des déplacements faciles pour trouver du travail et d’autres contacts. Les métros du Grand Paris pourraient y contribuer en Île-de-France mais plus généralement il faut considérer que les transports en commun ne sont pas seulement un coût mais aussi un vecteur d’intégration.

    Bien entendu, cette gauche multiculturaliste est distincte de la gauche laïque.

    Je suis personnellement partisan de notre tradition assimilatrice.

    Et je constate l’échec du multiculturalisme au Liban où chaque communauté religieuse a ses propres lois. Le pays s’est effondré après une guerre civile féroce et la société ultra capitaliste du Liban n’a pas été détruite pour autant.

    Pour la droite, des indésirables

    Une certaine droite aborde la question migratoire de façon identitaire. L’identité est certes une question importante (rappelez-vous que je suis assimilationniste) bien qu’il s’agisse d’un sentiment personnel très difficile à définir.

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  33. Le problème est que cette approche identitaire s’appuie sur des affirmations biaisées ou carrément fausses. Par exemple :

    « On remplace des bac+5 par des bacs -5 » : s’il est exact qu’il y a une émigration des Français bac+5 assez catastrophique, « les autres » sont loin d’être des « bac-5 » : il faut un certain niveau intellectuel et financier pour venir en France légalement ou clandestinement,

    On décrit des « assistés » pesant lourdement sur les finances nationales. Il y a des querelles de chiffres à ce sujet, dont beaucoup mettent l’accent sur les charges supportées par la France, y compris le coût de l’enseignement tandis que les plus sérieuses prennent aussi en compte les cotisations versées. Mais, à mon avis, le chiffrage en argent est secondaire par rapport au fait de contribuer largement à la production nationale qui serait paralysée en l’absence des intéressés, que les métiers soient qualifiés (soignants) ou non. Cette contribution sera développée plus bas.

    On se moque de la formule « pas d’amalgame », c’est-à-dire que, comme à gauche, on raisonne en termes de communautés, alors que pour les libéraux (considérés à tort ou à raison comme une partie de la droite), il n’y a que des individus.

    On proclame : « ils ne sont pas assimilables ». Il s’agit à mon avis d’une ignorance, feinte ou non, qui confond assimilation et intégration. En deux mots, rares sont les nouveaux venus qui s’assimilent, c’est-à-dire qui deviennent semblables aux autres Français. C’est un processus qui touche les descendants et qui est en général terminé à la troisième génération.

    Par contre l’intégration est le fait de respecter les règles du pays, le plus souvent via l’emploi. Elle se fait en général spontanément dès la première génération mais l’assistanat peut la repousser à la deuxième génération, voire à la troisième, voire éternellement, comme c’est le cas de groupes « de souche » du nord de la France, souvent étudiés pour être chômeurs de père en fils.

    Le problème n’est pas alors l’immigration mais un assistanat mal géré.

    L’actuel projet de loi comprend la possibilité d’accorder à des sans-papiers un droit de résidence s’ils exercent « un métier en tension », ce qui me semble excellent à la fois pour l’intégration des intéressés et l’économie française et n’est d’ailleurs pas très différent des dispositifs actuels de régularisation.

    Bien entendu, c’est dénoncé à droite comme un moyen de régularisation d’une immigration sauvage qui risquerait d’aggraver le problème, et dénoncé à gauche pour fournir de la « chair à canon aux patrons » (synthèse personnelle des propos que j’ai recueillis).

    On remarque que la droite et la gauche, ou du moins les parties que j’en ai visé ici, se rejoignent sur plusieurs points et notamment celui du communautarisme : d’après eux, « les immigrés » sont structurés en communautés auxquelles ils ne peuvent, ou il n’est pas souhaitable qu’ils échappent. Ce ne sont pas des individus. Cela pour les dénoncer à droite et pour les flatter à gauche.

    Dans les deux cas, l’intention est d’abord électorale : biaiser un problème pour avoir des voix s’appelle de la démagogie.

    Au contraire, dans ce qui va suivre, ces « autres » sont des individus, dont tel ou tel métier a besoin.

    Pour la France, des producteurs indispensables

    La pandémie a mis en valeur les métiers tenus par des tiers et indispensables à la vie quotidienne : on peut notamment citer les livreurs, caissières, employés de l’hôtellerie et des restaurants, soignants, de la femme de ménage au médecin…

    Parallèlement, le manque de candidats est général : on ne trouve plus de volontaires pour devenir enseignant, informaticien, conducteur à la RATP etc.

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  34. Beaucoup de ces métiers ne nécessitent pas une formation très longue, et les candidats, notamment d’Afrique, sont très nombreux. Par contre, les plus qualifiés sont très demandés dans le monde entier.

    Nous avons la chance d’avoir une langue qui est parlée en Afrique et donc dirige vers nous des Africains, qualifiés ou non, et facilite leur intégration. Mais la compétition internationale est dure et les États-Unis aspirent aussi les francophones.

    Un point assez complet de cette question est fourni par un récent article du journal Les Échos :

    « Immigration : briser les tabous pour atteindre le plein-emploi », que je vais résumer et citer ci-dessous :

    « Le nombre d’emplois vacants s’élève aujourd’hui à 362 800 selon l’enquête trimestrielle de la Dares. C’est dans la santé et l’action sociale que le déficit de compétences est le plus élevé : 65 030 postes ne trouvent pas preneurs […] Suivent les industries manufacturières (56 200 emplois manquants), le commerce et la réparation d’automobiles (48 800), l’information et la communication (39 500) puis l’hébergement et la restauration (29 100) […] Les emplois peu qualifiés ou aux conditions de travail jugées difficiles (travail de nuit ou du dimanche) ou pénibles ne sont plus désirés : aide à domicile ou ménagère, agent d’entretien de locaux, serveurs, conducteurs de bus, ouvriers de l’emballage et manutentionnaires. Ces métiers en tension aujourd’hui correspondent d’ailleurs à ceux qui offriront le plus de postes d’ici 2030. »

    Le 2 novembre dernier les ministres de l’Intérieur et du Travail ont donc proposé de créer un titre de séjour spécifique permettant de régulariser les « sans-papiers » qui seraient embauchés dans ces métiers.

    Cette idée devrait être reprise dans le projet de Loi immigration qui doit être examiné début 2023. Cela étendrait quelque peu les régularisations déjà possibles des « sans-papiers » pour la pratique d’un emploi permanent ou à compétences particulières.

    Ce projet a déclenché un tollé à droite.

    Même problème en Europe orientale, en Allemagne, au Canada…
    Si l’immigration est économiquement nécessaire en France, elle l’est encore plus dans tout l’Occident et même en Russie et en Extrême-Orient. La baisse de la fécondité depuis des décennies y est plus forte qu’en France et on y manque cruellement d’actifs.

    L’accueil des Ukrainiens en Europe et en Amérique du Nord s’est fait à bras ouverts. Les employeurs polonais, tchèques et hongrois emploient immédiatement les Ukrainiennes sans leur demander de commencer par apprendre la langue, tellement le manque de main-d’œuvre est aigu.

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  35. Remarquons que dans les trois premiers pays, la langue parlée est relativement voisine de l’ukrainien, même si les alphabets sont différents et qu’il s’agit de voisins européens.

    Remarquons également qu’il s’agit de pays théoriquement opposés à l’immigration pour des raisons identitaires. Mais la réalité l’a emporté et au-delà de l’accueil des Ukrainiens les patrons vont chercher de la main-d’œuvre dans le monde entier, d’autant que leur propre main-d’œuvre émigre pour travailler en Allemagne (nous sommes dans l’espace Schengen) où les salaires sont très supérieurs. L’Italie est dans le même cas.

    En Allemagne, justement, la pénurie est massive malgré cet apport d’Européens de l’est et du sud, succédant à l’arrivée de centaines de milliers de Syriens en 2015, à l’arrivée des Russes d’origine allemande après la chute du mur et de celle de 3,5 millions de Turcs, descendants compris, dont 1,6 million ont gardé la nationalité de leur pays de départ.

    Et malgré la montée d’un parti anti-immigration, l’Allemagne rêve d’être le Canada, autre pays à faible fécondité mais qui a une politique volontariste d’immigration maximum et tous azimuts malgré les réticences du Québec qui voudrait se concentrer sur l’immigration francophone.

    Cette pénurie de main-d’œuvre découle largement de la forte baisse de la fécondité dans les pays plus ou moins développés (Occident, Chine…).

    L’existence même de certains pays est en danger, ce qui devrait faire réfléchir les identitaires : il faut que le renfort humain arrive pendant qu’il y a encore suffisamment de population de souche pour l’encadrer et l’assimiler.

    Et les chômeurs ?

    Une objection répandue est celle du chômage : pourquoi l’immigration, alors qu’il y a des chômeurs ?

    D’une part le chômage est bas un peu partout, y compris en France, d’autre part et surtout une partie des chômeurs refuse les offres d’emploi.

    Les raisons sont multiples : certains ne sont pas physiquement aptes (station debout difficile dans la restauration) ou ne sont pas mobiles par exemple du fait de l’emploi de leur conjoint. Ou tout simplement parce que le travail proposé ne leur convient pas : « je ne veux pas m’occuper des vieux en EHPAD » (j’ai adouci une expression plus crue).

    D’où le nouveau projet de loi sur l’assurance chômage en préparation disant que l’on ne peut plus bénéficier des allocations chômage si l’on refuse plusieurs CDI dans les métiers voisins de l’ancien.

    Le cas des musulmans
    Pour la droite, les musulmans sont inassimilables, pour la gauche, ils sont des victimes du colonialisme et de la discrimination. Dans les deux cas, il s’agit d’un amalgame très abusif.

    La droite oublie pour commencer il n’y a pas de gène de l’islam : ce n’est pas parce que l’on vient d’un pays musulman que l’on est forcément musulman (c’est même de moins en moins vrai), et il y a une probabilité importante pour des descendants ne soient plus musulmans.

    Et ceux qui restent musulmans sont extrêmement variés : cela va du sympathisant djihadiste au vaguement déiste en passant par les traditionalistes ou les militants par exemple des frères musulmans, etc. De plus il existe des différences géographiques : l’islam confrérique du Sénégal est extrêmement différent de l’islam des étudiants passés par l’université islamique de Riyad en Arabie.

    Nous avons tous des voisins, des collègues, des clients, des fournisseurs originaires de pays musulmans mais qui, soit ne sont plus croyants, soit le sont d’une manière qui ne perturbe personne.

    Par contre dans tel ou tel endroit sensible, ce ne sera pas le cas, quoique les témoignages insistent sur le fait qu’il suffit d’un petit nombre de voyous (pas tous musulmans d’ailleurs) pour perturber un lieu où la majorité est pacifique, ce qui nous renvoie à la question sécuritaire exposée plus bas.

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  36. On retrouve la fausse opposition droite-gauche : la droite évoque les musulmans comme un bloc hostile, rétrograde et inassimilable… la gauche évoque des victimes venant de pays anciennement colonisés, en général par la France, à qui nous devrions quelque chose de ce fait. Je dis « une fausse opposition » car dans les deux cas, c’est nier leur existence en tant qu’individus.

    Ma conclusion

    Droite et gauche se rejoignent sur le communautarisme. Or c’est une prison pour les intéressés : « les autres » sont des individus et non des communautés à traiter globalement. Certes le communautarisme et le séparatisme existent, mais ce sont des adversaires de mon point de vue.

    En tant que démographe, je constate qu’au rythme actuel « le grand remplacement » est non seulement très lointain mais surtout suppose qu’il n’y ait aucune assimilation, ce qui est contraire à l’analyse statistique et à l’observation quotidienne. Je suis par ailleurs soucieux de l’avenir des retraités qui auront besoin de soignants.

    Je tiens à l’unité nationale et à l’assimilation linguistique et sociale, ce qui comprend la laïcité, éventuellement le pluriculturalisme (connaître la culture de l’autre) mais non le multiculturalisme, à savoir la légalisation de cultures différentes, qui enchaîne chacun à une communauté.

    Il est certain que l’immigration est un problème important, tant positivement, du fait du besoin de main-d’œuvre et de financement des retraites, que négativement, par des difficultés très réelles qu’elle entraîne, dont la pression croissante des fondamentalistes musulmans sur les enseignants.

    Mais ces difficultés, c’est à nous de les résoudre puisqu’elles ont lieu en France.

    Je suis pour le respect du droit et estime donc que, pour ce qui concerne l’ordre public, la sécurité et l’assistanat, une grande sévérité est indispensable y compris pour la tranquillité des autres immigrés.

    La qualité du système scolaire est également notre problème et concerne d’ailleurs l’ensemble de la population. Je suis moins inquiet concernant des entreprises car l’intérêt réciproque est que tout se passe bien.

    Il n’y a pas un monstre qui s’appelle « immigration ». Il y a des individus, les meilleurs et les pires, islamistes dogmatiques, trafiquants violents, caissières consciencieuses, soignants dévoués, ingénieurs compétents. Sans ces derniers, le pays s’effondrerait. Quant aux premiers il faut leur appliquer la loi et davantage de rigueur est nécessaire.

    https://www.contrepoints.org/2022/11/27/444306-les-passions-contradictoires-sur-limmigration

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    1. Premièrement il y a distinction entre les nouveaux arrivants. Il y a les touristes, eux viennent par choix de passer de bonnes vacances, de s'instruire et de s'amuser. Puis il y a les arrivants respectueux qui cherchent du travail en pays étranger, ceux-là étaient des espagnols, des italiens ou portugais qui étaient en quête d'emplois à la fin de la guerre avant l'arrivée des 'pieds-noirs'. Mais aujourd'hui la situation 'se corse' avec l'invasion d'étrangers qui refusent de quitter leur pays et y sont arrachés de force, conduits en trains, autocars ou bateaux et sont donc expulsés de chez eux vers des pays qu'ils refusent de connaître et de reconnaître. Ainsi s'installe la division dans la communauté du pays d'accueil. (il s'habillent comme chez eux, mangent comme chez eux et parlent comme chez eux en plus de détester les gens des pays qui se seraient ouverts à toutes délinquances !!).
      Notons qu'en des pays où les femmes sont détestées et traitées comme des chiennes (ou moins que çà !), les hommes ne peuvent avoir un bon œil de la société d'où le pourquoi des guerres continuelles chez eux, des meurtres au quotidien faute d'être instruits qu'ils reproduisent donc en 'pays d'accueil'

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  37. La politique migratoire de l'Allemagne vient "de l'asile de fous", déclare le chef adjoint du FDP à propos de son propre gouvernement de coalition


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 27 NOVEMBRE 2022 - 13:00
    Écrit par John Cody via Remix News,


    Bien que les démocrates libres (FDP) fassent partie de la coalition gouvernementale allemande des feux de circulation, le parti est de plus en plus en désaccord avec ses propres partenaires sur des questions telles que l'immigration clandestine, la politique énergétique et les projets de distribution d'énormes sommes d'argent aux citoyens.

    A la tête de ces critiques se trouve le chef adjoint du FDP, Wolfgang Kubicki, qui a lancé une nouvelle attaque contre les deux autres partis, les Verts et les Sociaux-démocrates (SPD), qui composent la coalition.

    Le vice-président du Bundestag, âgé de 70 ans, a décrit la politique migratoire comme "un morceau absolu de la maison de fous". Le gouvernement fédéral finance désormais "au nom de l'État un navire de réfugiés en Méditerranée pour le sauvetage en mer privé". C'est complètement contre les intérêts des « pays du sud de l'UE et aussi contre les nôtres », a-t-il déclaré.

    Alors que l'Allemagne est aux prises avec plus de 1,2 million de migrants en moins d'un an au milieu d'une crise d'inflation qui fait rage, une majorité de la population pense que le pays en accepte trop. Malgré les critiques de Kubicki, le FDP lui-même encourage depuis longtemps l'immigration de masse, notamment en proposant d'augmenter le nombre de migrants acceptés à 500 000 par an pour satisfaire les demandes des grandes entreprises. Cependant, l'humeur aigri des Allemands à l'égard de l'immigration pourrait contribuer à la décision du FDP de critiquer son propre gouvernement de coalition sur la question.

    Kubicki a également critiqué les projets du gouvernement de distribuer plus d'argent gratuit connu sous le nom d'"argent des citoyens", selon le journal allemand Bild. Il a admis que le parti rejette l'argent des citoyens tout en le défendant auprès du public.

    «En tant que FDP, nous défendons actuellement le revenu du citoyen – même si cela va complètement à contre-courant: nous éliminons l'incitation à travailler à temps plein si nous permettons des opportunités de revenu supplémentaire élevées avec le revenu du citoyen. Le travail ne vaut plus la peine », a déclaré Kubicki.

    En matière de politique énergétique, Kubicki n'est pas non plus d'accord avec le gouvernement fédéral. Le fait que les centrales nucléaires ne continueront pas à fonctionner jusqu'à la mi-2024 est "le plus gros crapaud que nous, FDP, ayons avalé". Cela l'agace aussi «à mort que nous ne voulions soudainement plus produire de gaz en mer du Nord parce que le ministre du Climat et de l'Énergie, Robert Habeck, n'en veut plus».

    https://www.zerohedge.com/political/germanys-migration-policy-madhouse-says-fdp-deputy-leader-about-his-own-coalition-govt

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  38. L’Allemagne coule et l’Europe avec. Bruno Le Maire ne s’en rend absolument pas compte.

    Pour une fois, l’Allemagne ne s’en sort pas mieux que les autres et peut-être même au contraire.


    le 25 novembre 2022


    Tiens, voilà qu’une Große Katastrophe se profile sur l’horizon teuton : on apprend qu’Uniper, la principale société allemande de vente de gaz et premier distributeur de l’entreprise russe Gazprom, doit faire appel à l’État allemand à hauteur de 55 milliards d’euros suite à une perte nette kolossale établie à 40 milliards d’euros depuis le début de l’année.

    Un milliard d’euros par-ci, un milliard d’euros par-là et rapidement on commence à parler gros sous. En tout cas, à 55 milliards d’euros, voilà une somme rondelette qui va peut-être faire réfléchir Olaf Scholz sur les choix énergétiques opérés ces dernières années par l’Allemagne : manifestement, multiplier les efforts sur les énergies renouvelables revient un peu trop à multiplier aussi les approvisionnements en gaz et à se retrouver en fâcheuse posture lorsque la conjoncture internationale change un tantinet.

    Et s’il y a bien transition énergétique, ce n’est pas exactement vers de nouvelles formes d’énergies mais plutôt vers pas d’énergie du tout : en somme, tout ne se passe vraiment pas comme prévu en Europe : en quelques mois, des choix très politiques se sont traduits par des conséquences quasi-immédiates aussi économiques que palpables, avec des grosses faillites à la clé.

    Pour une fois, l’Allemagne ne s’en sort pas mieux que les autres et peut-être même au contraire : ces faillites se multiplient à un rythme réellement inquiétant. Ainsi, le fabricant de meubles allemand Hülsta est insolvable, 80 ans après sa fondation. La chaîne de boulangeries Thilmann atteint le même point 85 ans après ses débuts. Pour Wolff Hoch und Ingenieurbau, entreprise de construction, il aura fallu 125 ans, alors que Bodeta, le fabricant de confiseries, aura tenu 130 ans. Borgers, l’équipementier automobile, ferme ses portes après 156 ans et Kappus, le fabricant de savon, après 170.

    Ces quelques exemples étalés en quelques jours seulement donnent à réfléchir : ces entreprises ont survécu à deux guerres mondiales, des changements politiques et sociaux majeurs, pour finalement toutes mourir en 2022 parce qu’essentiellement, les Allemands ont cru dur comme fer que les moulins à vent et les miroirs magiques, tous doublés de turbines à gaz russe, allaient leur éviter de taper dans le charbon, le pétrole et le nucléaire.

    Au bilan, les Allemands ont maintenant davantage de faillites que de gaz, des miroirs et des moulins sous-productifs à ne plus savoir qu’en faire et doivent malgré tout exploiter le charbon, le pétrole et le nucléaire. C’est un échec épique (et ce n’est que le début).

    Peut-être est-ce à cause de ce vent glacial venu de l’est que notre Bruneau de Bercy national a récemment déployé quelques signes clairs de changement de tactique dans sa fine gestion du budget de l’État français : alors qu’en février dernier il était entendu que toute sa puissance intellectuelle serait dédiée à faire plier la Russie, le locataire de Bercy commence à revoir ses objectifs. Avec la souplesse légendaire de ce grand fauve de la République bondissant sans merci sur l’aphorisme et la petite phrase facile, le voilà qui déclare « Fini le royaume du Koikilenkouth », ou quasiment :

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  39. Nous avons arrêté le quoi qu’il en coûte et nous ciblons à présent les entreprises qui en ont le plus besoin.

    Charge maintenant aux entreprises de se faire aussi discrètes que possible sur leurs difficultés économiques pour ne surtout pas recevoir l’aide du ministre qui équivaut sans mal au baiser de la mort.

    Indépendamment de cet aspect, on appréciera à sa juste valeur, dans les déclarations du minustre, les fantasmagories sur les performances de la France dont l’économie se redresserait alors qu’en Europe tous les autres pays s’enfoncent assez vite dans un marasme sans équivalent historique. Eh oui : comme de précédents billets le mentionnaient déjà en mars et en avril, les sanctions contre la Russie ont été absolument dévastatrices… pour l’Europe.

    Et alors même que ces Européens sont justement en train de contourner discrètement ces sanctions dès qu’ils le peuvent, le même Bruno, jamais en panne d’une contradiction, admet multiplier les boucliers tarifaires et autres guichets spéciaux pour aider les particuliers et les entreprises (celles qui résistent si bien en France, disait-il) à surmonter la crise (qui est quasiment invisible dans le pays selon les chiffres officiels), crise qu’on mettra de surcroît sur le dos (de plus en plus large) de la guerre en Ukraine.

    Bref : fini le Koikilenkouth mais tout va bien car les chiffres sont bons mais les entreprises ont besoin d’aides et la guerre est un drame économique pour nous mais la France s’en sort bien mais mettez un pull tout de même.

    On oscille entre la consternation et l’interrogation de plus en plus lancinante sur le déni de réalité des élites qui semblent s’être auto-intoxiquées à cette réalité alternative qu’ils continuent de brosser pour les masses.

    Parce que malgré les saillies inquiétantes d’incohérence globale du ministre de l’Économie, les évidences semblent difficiles à évacuer : ce qui met l’Allemagne dans une telle panade ne peut pas se traduire par une simple gêne économique en France, au contraire. Parce qu’on sait déjà que l’année 2023 affichera un nombre record de faillites dans le pays. Et parce que l’hiver qui vient sera rude, quoi qu’on en dise et même s’il n’y a aucune coupure (ce qui semble de moins en moins évitable).

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  40. Les indicateurs économiques ne trompent que ceux qui ont intérêt à l’être : on peut pérorer comme le font certains habitués de plateaux médiatiques sur un taux de chômage faible voire sur ce qui est présenté maintenant comme un quasi « plein emploi » – ce qui dénote d’une vision de la réalité réellement alternative – il n’en reste pas moins qu’un nombre croissant de Français a faim : jamais les Restos du Cœur n’ont autant aidé de personnes dans le besoin – avec des taux d’augmentation à deux chiffres par rapport aux années précédentes.

    Rassurez-vous : selon Bruno et les services de Bercy, ces gens n’auront pas de problème à trouver de l’emploi (pensez donc, la France est presque en surchauffe, qu’ils nous disent !) ce qui tend à montrer que dans ce pays, l’emploi ne permet plus de manger à sa faim et qu’il faut travailler le ventre vide.

    Déni, pipeautage, incohérence et fariboles… Tout ceci va forcément très bien se terminer.

    https://www.contrepoints.org/2022/11/25/444314-lallemagne-coule-leurope-avec-et-bruno-le-maire-ne-sen-rend-absolument-pas-compte

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  41. Quand on cherche « Le capitalisme combat le racisme » sur Google

    Nous sommes amenés à croire que le marché libre est responsable d’une grande partie de l’injustice, du racisme et de l’inégalité observés dans le monde moderne. Mais est-ce vrai ?


    le 27 novembre 2022
    Par Connor Vasile.
    Foundation for Economic Education


    Si vous cherchez « le capitalisme combat le racisme » dans Google, les premiers résultats de recherche seront des articles comme : « Le capitalisme est-il raciste ? » ; « Le capitalisme sans racisme : Science ou fiction » ; « L’essor du capitalisme et l’émergence du racisme ».

    À la lecture de ces titres, on pourrait croire que le modèle économique le plus triomphant que le monde ait jamais connu est enraciné dans un environnement raciste et hégémonique destiné à profiter aux seigneurs de la société. C’est une bonne chose d’avoir Google pour nous ouvrir les yeux sur ce système inhumain.

    Au-delà de la facétie, la société occidentale (post)moderne considère le capitalisme comme l’éléphant le plus laid de la pièce ; elle ne veut pas admettre qu’il s’agit d’un rouage essentiel au fonctionnement de la civilisation et préfère contempler des chimères comme le socialisme à travers des lunettes fortement teintées de rose.

    Nous sommes incités à croire que le marché libre est responsable d’une grande partie de l’injustice, du racisme et de l’inégalité observés dans le monde moderne. Mais est-ce vrai ?

    Les bienfaits du capitalisme

    Le fait est que le capitalisme en tant que système a toujours été une force du bien, y compris dans l’histoire tumultueuse des États-Unis. Même pendant les périodes de la reconstruction et de Jim Crow au cours desquelles les communautés noires ont été victimes de violations flagrantes des droits civiques, le capitalisme a été la force salvatrice qui a aidé les gens à surmonter leur situation, l’adversité à laquelle ils étaient confrontés au sein d’une culture encore sous le choc des effets de la guerre civile.

    Comme Milton Friedman l’a déclaré dans son livre Capitalisme et liberté :

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  42. C’est un fait historique frappant que le développement du capitalisme s’est accompagné d’une réduction majeure des discriminations économiques infligées à des groupes religieux, raciaux ou sociaux particuliers.

    Avec la puissance des médias, des réseaux sociaux et du gouvernement qui travaillent à saper l’idée que le capitalisme est une force promouvant la liberté individuelle, il est important de revisiter quelques histoires sur la façon dont le marché libre a sorti les individus de la pauvreté et a combattu le racisme.

    Le père d’Harlem

    Philip A. Payton (1876-1917) était un promoteur immobilier noir du XXe siècle originaire de Harlem à New York. À l’époque, la ségrégation de fait était encore une réalité dans les villes américaines. Manhattan ne fait pas exception. En acquérant des maisons en grès brun après le départ d’un certain nombre de familles blanches, Payton a contribué à fournir davantage de logements aux locataires noirs de l’Upper West Side. Compte tenu des tensions raciales de l’époque, on peut dire que les propriétaires n’étaient pas très contents.

    La Hudson Realty Company visait à de nouveau procéder à une ségrégation dans le quartier en rachetant les logements appartenant à des Noirs et en expulsant les locataires. Payton renvoie l’ascenseur en proposant aux locataires noirs précédemment expulsés des logements appartenant à des Blancs. Payton l’emporte finalement et la Hudson Reality renonce à son objectif d’une nouvelle ségrégation. Des tentatives ultérieures ont été menées par des sociétés immobilières qui utilisaient des critères raciaux pour empêcher les familles noires d’accéder à une location, mais elles ont également été battues à plate couture par Payton et d’autres entrepreneurs noirs qui s’inspiraient de son exemple.

    L‘Afro-American Realty Company de Payton a atteint un million de dollars d’actifs et a aidé de nombreuses familles noires à s’installer dans les quartiers où elles voulaient vivre et pas seulement là où la ville les reléguait. Il a utilisé le marché libre et la demande de meilleurs logements pour rendre service à sa communauté. Il l’a emporté malgré les obstacles raciaux, car en fin de compte il a compris que la discrimination n’est pas de taille face à la volonté du peuple.

    Comme il l’a énoncé un jour :

    « Le préjugé qui jusqu’ici a joué contre nous peut être retourné et utilisé à notre profit. »

    La reine de la cosmétique

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  43. Sarah Breedlove est née en Louisiane, quatre ans seulement après la signature de la proclamation d’émancipation par le président Abraham Lincoln. Orpheline à l’âge de sept ans et contrainte à la servitude domestique pour survivre, elle développe très tôt une vision pessimiste de sa vie. Elle se rappellera plus tard qu’étant orpheline de père et de mère elle n’avait que peu ou pas d’opportunités quand elle a débuté.

    Malgré cela, Breedlove a continué à travailler dur et a fini par développer sa propre ligne de soins capillaires. Le marché afro-américain étant largement négligé à l’époque, Breedlove a saisi l’occasion pour répondre aux besoins d’une population en croissance et a commencé à vendre ses propres produits capillaires.

    C’est après avoir épousé Charles Walker en 1906 qu’elle se fait connaître sous le nom de madame C.J. Walker. Comme le pétrole fraîchement exploité, son entreprise se développe rapidement, trouvant un écho dans les communautés noires du pays. La petite entreprise s’est développée avec une usine, une école de beauté et un salon de coiffure. C.J. Walker était connue pour embaucher des femmes à des postes de direction et de personnel, ce qui était inconcevable à l’époque. À l’apogée de l’entreprise, on note que plusieurs milliers de femmes étaient employées comme vendeuses et d’innombrables autres formées aux soins capillaires.

    L’entreprise de madame Walker vaudrait aujourd’hui environ 10 millions de dollars. Elle est la première femme millionnaire autodidacte recensée dans l’histoire américaine. C’est en soi un exploit incroyable, mais il est encore plus étonnant si l’on tient compte du fait qu’elle a vécu à une époque où les Noirs étaient encore considérés comme des citoyens de seconde zone. Mme Walker s’est servie de l’adversité qu’elle a connue pour bâtir une entreprise en partant littéralement de zéro. Sans la culture sous-jacente de l’esprit d’entreprise et du système de marché libre, qui sait si son entreprise aurait même été créée ?

    La vente par correspondance a combattu Jim Crow

    La marche vers la liberté ayant abouti à la loi sur les droits civils de 1964 évoque des images de marches, de sit-in et le célèbre discours de Martin Luther King sur le National Mall.

    Un aspect moins connu est l’essor des marchés alternatifs qui ont contribué à repousser les politiques économiques racistes qui cherchaient en fin de compte à limiter et non à promouvoir les marchés. Sous le régime Jim Crow, les communautés noires étaient limitées dans leurs options d’achats. La fréquentation de certains magasins, restaurants et lieux publics leur était interdite. Si elles parvenaient à accéder à un magasin appartenant à des Blancs, elles étaient confrontées à des remarques racistes, des tons condescendants et même des prix exhorbitants.

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  44. Sears a révolutionné l’acte d’achat grâce aux catalogues qui ont permis aux consommateurs de commander par courrier à partir de leur domicile. Cela a donné à l’entreprise un avantage énorme en élargissant son marché, en servant des milliers de clients par rapport à un magasin traditionnel. Considérée comme allant de soi aujourd’hui, l’idée de commander et de recevoir un produit sans quitter son domicile était une invention inédite – et potentiellement salvatrice – pour les ménages du XXe siècle.

    Cette innovation a permis aux Noirs du Sud de commander des articles indisponibles dans leurs magasins ségrégués. Avec la vente par correspondance, les clients noirs n’avaient pas non plus à subir le racisme et l’inhumanité dont ils étaient victimes lors de certaines sorties publiques ; ils pouvaient commander ce qu’ils voulaient quand ils le voulaient, tout comme le Blanc moyen de l’époque. L’innovation capitaliste n’a pas seulement profité aux entreprises concernées, elle a également servi à apporter de la valeur à diverses communautés ; dans ce cas, elle a servi d’échappatoire à tant de consommateurs noirs contraints par les lois Jim Crow.

    Quelque chose à retenir

    Ce ne sont là que quelques exemples de la façon dont le capitalisme a pu aider des personnes à faire face au racisme.

    L’héritage de madame Walker, de Philip Payton et de nombreux autres entrepreneurs noirs du XXe siècle est toujours présent aujourd’hui. Avec des multimillionnaires et des milliardaires comme Rihanna, Beyonce, Kanye West, Drake, Oprah Winfrey, Tyler Perry, Jay Z ou Michael Jordan, il est clair que le capitalisme est une force socio-économique qui permet d’innover pour s’améliorer et améliorer sa communauté, au lieu d’être le pourvoyeur du racisme et de l’injustice modernes, comme Google voudrait vous le faire croire.

    https://www.contrepoints.org/2022/11/27/444124-quand-on-cherche-le-capitalisme-combat-le-racisme-sur-google

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    1. Aussi con que l'écologie le racisme s'impose grâce aux merdias alors qu'il aurait dû disparaître avec l'arrivée de l'internet et son élévation exponentielle dû Q.I. de chacun.
      Comment en l'an 2022 peut-on encore croire qu'il existe DES races ??!
      L'être humain est apparu sur Terre sitôt la glace fondue au niveau de l'équateur qui progressa peu à peu vers les tropiques jusqu'à faire son chemin vers les pôles. Ainsi, les premières personnes étaient nues et étaient bronzées. Bronzées au fil des générations jusqu'à s'inclure dans les gènes et faire des enfants qui l'étaient déjà. Puis, les êtres humains s'éloignant des chaudes latitudes perdirent peu à peu leur bronzage.
      Il n'existe donc pas de race chez les humains comme il en existent chez les animaux (labrador, teckel, setters irlandais, basset, st Bernard, chien-loup, etc, etc).
      Donc, il ne peut y avoir de racisme et donc encore moins pour 'propos racistes' ! et de condamnation pour ce qui n'existe pas. Or, que s'aperçoit-on ? des tribunaux condamnent des propos racistes !! c'est-à-dire que d'après ces tribunaux le racisme existe !! il y aurait donc DES races certifiées par ces mêmes tribunaux !! Prouvant ainsi que les races existent !!!
      Mais... à l'heure où des propos offenseraient des religions !!! des tribunaux seraient là aussi d'admettre que des 'dieux' existent sans qu'ils ne les aient vu, entendu, comme il existe DES races !! HAHAHAHAHAHA !

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  45. L'épidémie de grippe aviaire aux États-Unis devient officiellement la pire jamais enregistrée


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 26 NOVEMBRE 2022 - 03:30


    L'épidémie de grippe aviaire ou de grippe aviaire aux États-Unis est désormais la pire jamais enregistrée, avec 50,54 millions d'oiseaux abattus, ont montré jeudi les données du département américain de l'Agriculture.

    Plus tôt cette semaine, l'épidémie dans un élevage commercial de dindes du Dakota du Sud a entraîné l'abattage de dizaines de milliers d'oiseaux pour éviter la propagation. C'était suffisant pour dépasser le précédent record de 50,5 millions d'oiseaux morts lors de l'épidémie de grippe aviaire de 2015.

    Les lecteurs ont été bien informés cette année sur l'épidémie dévastatrice de grippe aviaire qui ravage les fermes avicoles commerciales dans tout le pays. Voici la dernière carte de l'épidémie qui se propage aux États-Unis.

    - voir carte sur site -

    Au début de ce mois, nous avons mis en garde contre la "possibilité d'épidémies supplémentaires" et avons noté avant Thanksgiving que les prix des œufs dans les supermarchés étaient en hyperinflation parce qu'une grande partie des poules pondeuses du pays avait été anéantie.

    - voir graph sur site -

    « Le virus a principalement eu un impact sur les opérations de dinde et d'œufs, faisant grimper les prix à des niveaux sans précédent et contribuant à la flambée de l'inflation alimentaire. Bien que la propagation ait ralenti pendant les mois les plus chauds, elle a continué de s'aggraver et risque maintenant de se propager davantage car les températures de refroidissement incitent davantage d'oiseaux à migrer », a déclaré Bloomberg.

    - voir graph sur site -

    L'épidémie a commencé en février et a jusqu'à présent infecté des troupeaux de volailles et d'oiseaux non volailles dans 46 États.

    "Les oiseaux sauvages continuent de propager l'IAHP dans tout le pays lors de leur migration, il est donc essentiel d'empêcher le contact entre les troupeaux domestiques et les oiseaux sauvages pour protéger la volaille américaine", a déclaré Rosemary Sifford, vétérinaire en chef de l'USDA.

    Certains experts ont averti que la grippe aviaire hautement pathogène pourrait facilement continuer à se propager jusqu'en 2023 et dévaster encore plus de fermes commerciales. Cela ne peut que suggérer que les prix des œufs augmentent.

    https://www.zerohedge.com/commodities/us-bird-flu-outbreak-officially-becomes-worst-record

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    1. Maladie suspecte apportée par drones ou alimentation avicole.

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  46. Nouvelles approches de la gestion de l'eau dans les exploitations agricoles


    25 Novembre 2022
    Jeff Horton, AGDAILY*


    Une majorité d'agriculteurs et d'éleveurs s'accordent à dire que la conservation de l'eau est un objectif louable. Mais à mesure que la technologie de conservation de l'eau progresse, beaucoup considèrent les coûts associés et rechignent à mettre à jour les équipements d'irrigation et les pratiques de gestion de l'eau.

    Le coût est une préoccupation, et pas seulement les dépenses liées à l'achat et à la mise en œuvre de la technologie. Les coûts réels et perçus comprennent également le temps et la frustration liés à l'apprentissage de nouvelles technologies et à l'adaptation à de nouvelles façons de faire, surtout lorsque les méthodes établies produisent des rendements adéquats.

    L'agriculture a également pris du retard dans l'adoption de nouvelles technologies de gestion de l'eau, car le coût de l'utilisation de l'eau dans l'agriculture commerciale est généralement relativement faible par rapport aux autres intrants et dépenses.

    Il se peut que des agriculteurs appliquent déjà des pratiques de conservation de l'eau vieilles de plusieurs décennies, mais certaines de ces méthodes, comme les systèmes d'irrigation automatiques conventionnels, risquent de devenir obsolètes. En effet, l'automatisation seule ne suffit pas. Les recherches suggèrent que les systèmes d'irrigation « économes en eau » qui ne sont pas connectés à l'Internet et gérés par des logiciels peuvent aider les entreprises individuelles en termes d'efficacité et de revenus, mais qu'ils entraînent en fait une utilisation accrue de l'eau dans l'ensemble, les agriculteurs profitant de ces gains pour étendre leurs activités.

    Les technologies de nouvelle génération transforment l'agriculture

    Qu'elles soient prêtes ou non, les technologies nouvelles et innovantes sont sur le point de transformer l'agriculture. Avec l'aggravation de la pénurie d'eau comme préoccupation mondiale, les technologies de « l'agriculture intelligente » sont considérées comme un élément clé de la conservation de l'eau.

    L'application des technologies de nouvelle génération à la conservation de l'eau est un besoin urgent pour l'agriculture. Selon la Banque Mondiale, les opérations agricoles représentent chaque année environ 70 % de la consommation mondiale d'eau douce. Cela représente deux quadrillions (2x1015) de gallons d'eau (9x1015 litres), un chiffre incompréhensible, alors décomposons-le.

    Les bovins élevés pour la viande boivent chacun jusqu'à 30 gallons d'eau (136 litres) par jour, tandis que les bovins laitiers en boivent jusqu'à 50 gallons (227 litres). Ces volumes représentent à peine l'empreinte totale du bétail sur l'eau. Dans le cas d'un élevage dans des zones sujettes à la sécheresse, l'eau potable du bétail ne représente qu'une fraction du total utilisé : l'empreinte globale comprend l'irrigation des pâturages.

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  47. Parallèlement à d'autres innovations « smart ag », l'application de l'Internet des Objets (IoT – Internet of Things) – le concept de connexion d'objets physiques à Internet et à d'autres dispositifs dans le but de capturer et de partager des données – dans l'agriculture est apparue en réponse à la pénurie d'eau, ainsi qu'en prévision d'autres défis à venir. Généralement, ces dispositifs :

    Sont connectés à l'internet ;

    Sont contrôlés par des capteurs ;

    Incorporent une transmission de données ;

    Sont gérés par logiciel ;

    Sont télécommandés.

    Les décisions fondées sur les données sont la clé de l'efficacité des pratiques de gestion de l'eau

    Alors que la révolution de l'agriculture intelligente entre dans sa phase suivante, les données vont apparaître comme une force motrice dans la gestion de l'eau. En effet, là où la technologie de l'agriculture intelligente, comme la mise en œuvre de l'IoT, a été mise en place, la collecte et le traitement continus des données guident les décisions de gestion de l'eau au quotidien, ce qui se traduit par une conservation de l'eau démontrable tout en maintenant la santé et la valeur du bétail et des cultures.

    En ce sens, cette technologie joue un rôle essentiel dans l'avenir de l'agriculture. En ajoutant une combinaison de technologies de surveillance des données sans fil (Wi-Fi, Bluetooth, portable ou satellite) aux « objets » existants, notamment les réservoirs d'eau, les pompes et les abreuvoirs, les opérations agricoles peuvent être rendues plus efficaces, ce qui permet de réduire les coûts de main-d'œuvre et d'augmenter les rendements.

    Si les données sont la force motrice, la connectivité est l'octane, et là où la couverture Wi-Fi et téléphonique fait défaut, l'informatique de périphérie traite les données à la source ou à proximité, ce qui permet aux agriculteurs et aux éleveurs de répondre rapidement aux conditions changeantes ou aux problèmes détectés par des capteurs intelligents et transmis par satellite.

    Ces applications et avantages technologiques vont au-delà de la conservation de l'eau. Ces avancées aident également les gens et la planète et enrichissent l'avenir de l'industrie agricole en attirant des travailleurs plus jeunes et férus de technologies dans les zones agricoles et rurales.

    La recherche de haut niveau sur la gestion de l'eau basée sur l'IoT est naissante mais prometteuse, et le nombre croissant de données et d'études de cas au niveau des entreprises, sans parler des conséquences potentielles de l'inaction, plaident en faveur d'une adoption proactive plutôt que réactive.

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  48. Ne vous y trompez pas : diverses forces poussent les agriculteurs à augmenter les rendements avec moins d'eau et, si la situation se dégrade, les autorités réglementaires chercheront à limiter l'utilisation de l'eau par des droits d'accès ou d'autres obstacles. Les agriculteurs ne veulent pas être pris au dépourvu par des contraintes d'utilisation de l'eau, qu'elles soient législatives ou autres. Ils doivent donc faire ce que leurs ancêtres ont fait depuis des lustres : planifier, entretenir et cultiver en utilisant les outils et les technologies les plus avancés disponibles.
    ______________

    * Jeff Horton est le directeur des recettes de FreeWave Technologies, une société basée dans le Colorado qui vise à équiper les exploitations agricoles d'une vision et d'un contrôle des données en temps réel.

    Source : New approaches to water management in agricultural operations | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2022/11/nouvelles-approches-de-la-gestion-de-l-eau-dans-les-exploitations-agricoles.html

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    1. Premièrement la gestion de l'eau passe par le débit des fleuves & rivières. Il ne devrait pas y avoir un seul litre d'eau douce qui se jette en mer ! Mais, les fonctionnaires au directoire n'ont pas jugé utile d'irriguer les cultures !!!

      Deuxièmement, l'eau ne manque pas et NE MANQUERA JAMAIS !
      78 % de notre planète est recouverte par les mers & océans. L'eau est éternelle. Elle s'infilre continuellement au fond des bassins vers le magma où elle est chauffé/brûlée et ressort au sources de montagnes et nappes phréatiques. Cette eau est propre, pure, sans couleur, sans odeur ni goût ni bactérie.

      Troisièmement, si une vache boit 136 litres d'eau par jour elle... ne grossit pas de 136 kg par jour !! Elle rend (comme nous) à la terre ce qui en sort ! Notre planète (même avec 150 milliards d'habitants) ne pèserait pas un gramme de plus qu'aujourd'hui ! Çà alors !!

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  49. Des chimistes créent un système de « photosynthèse artificielle » dix fois plus efficace que les systèmes existants


    26 Novembre 2022


    Une découverte de l'Université de Chicago permet de créer du méthane à partir du soleil, du gaz carbonique et de l'eau

    Louise Lerner, UChicagoNews*

    - voir photo sur site -

    Illustration artistique de molécules se déplaçant sur la surface d'une feuille.

    Une étude réalisée par six chimistes de l'Université de Chicago décrit un nouveau système innovant de photosynthèse artificielle, dont la productivité est supérieure d'un ordre de grandeur à celle des systèmes artificiels précédents. Ci-dessus, une illustration artistique du processus.

    Illustration de Peter Allen

    Au cours des deux derniers siècles, l'homme a compté sur les combustibles fossiles pour obtenir de l'énergie concentrée ; des centaines de millions d'années de photosynthèse concentrées dans une substance pratique et dense en énergie. Mais ces réserves sont limitées et la consommation de combustibles fossiles a un impact négatif considérable sur le climat de la Terre.

    « Le plus grand défi que beaucoup de gens ne réalisent pas est que même la nature n'a pas de solution pour la quantité d'énergie que nous utilisons », a déclaré Wenbin Lin, chimiste à l'Université de Chicago. Même la photosynthèse n'est pas très efficace, a-t-il ajouté : « Nous devrons faire mieux que la nature, et c'est effrayant. »

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  50. Une option possible que les scientifiques explorent est la « photosynthèse artificielle », c'est-à-dire le remaniement du système d'une plante pour produire nos propres types de carburants. Cependant, l'équipement chimique d'une seule feuille est incroyablement complexe, et il n'est pas si facile de l'utiliser à nos propres fins.

    Une étude publiée dans Nature Catalysis par six chimistes de l'Université de Chicago décrit un nouveau système innovant de photosynthèse artificielle, dont la productivité est supérieure d'un ordre de grandeur à celle des systèmes artificiels précédents. Contrairement à la photosynthèse ordinaire, qui produit des glucides à partir de gaz carbonique et d'eau, la photosynthèse artificielle pourrait produire de l'éthanol, du méthane ou d'autres carburants.

    Bien qu'il reste encore beaucoup de chemin à parcourir avant que cette méthode ne devienne un moyen de faire le plein de votre voiture tous les jours, elle offre aux scientifiques une nouvelle voie à explorer et pourrait être utile à plus court terme pour la production d'autres substances chimiques.

    « Il s'agit d'une amélioration considérable par rapport aux systèmes existants, mais ce qui est tout aussi important, c'est que nous avons été en mesure d'expliquer très clairement le fonctionnement de ce système artificiel au niveau moléculaire, ce qui n'avait jamais été fait auparavant », a déclaré Lin, professeur de chimie James Franck à l'Université de Chicago et auteur principal de l'étude.

    Nous aurons besoin d'autre chose

    « Sans la photosynthèse naturelle, nous ne serions pas là. Elle a produit l'oxygène que nous respirons sur Terre et elle produit la nourriture que nous mangeons », a déclaré Lin. « Mais elle ne sera jamais assez efficace pour fournir le carburant qui nous permet de rouler en voiture ; il nous faudra donc autre chose. »

    Le problème est que la photosynthèse est construite pour créer des hydrates de carbone, qui sont parfaits pour nous alimenter, mais pas pour nos voitures, qui ont besoin d'une énergie beaucoup plus concentrée. Les chercheurs qui cherchent à créer des alternatives aux combustibles fossiles doivent donc réorganiser le processus pour créer des combustibles plus denses en énergie, comme l'éthanol ou le méthane.

    Dans la nature, la photosynthèse est réalisée par plusieurs assemblages très complexes de protéines et de pigments. Ils absorbent de l'eau et du gaz carbonique, dissocient les molécules et réarrangent les atomes pour produire des hydrates de carbone, une longue chaîne de composés hydrogène-oxygène-carbone. Les scientifiques doivent cependant retravailler les réactions pour produire un arrangement différent, où seul l'hydrogène entoure un noyau de carbone juteux (juicy – sic), le CH4, également connu sous le nom de méthane.

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  51. Ce remaniement est beaucoup plus délicat qu'il n'y paraît ; cela fait des dizaines d'années que l'on y travaille, en essayant de se rapprocher de l'efficacité de la nature.

    Lin et son équipe de laboratoire ont pensé qu'ils pourraient essayer d'ajouter quelque chose que les systèmes de photosynthèse artificielle n'ont pas inclus jusqu'à présent : des acides aminés.

    L'équipe a commencé par un type de matériau appelé cadre organométallique ou MOF [metal-organic framework], une classe de composés constitués d'ions métalliques maintenus ensemble par des molécules de liaison organiques. Ils ont ensuite conçu les MOF en une seule couche, afin de fournir une surface maximale pour les réactions chimiques, et ont immergé le tout dans une solution comprenant un composé de cobalt pour faire circuler les électrons. Enfin, ils ont ajouté des acides aminés aux MOF et ont fait des expériences pour déterminer lesquels fonctionnaient le mieux.

    Le plus grand défi que beaucoup de gens ne réalisent pas est que même la nature n'a pas de solution pour la quantité d'énergie que nous utilisons.

    Pr Wenbin Lin

    Ils ont pu apporter des améliorations aux deux moitiés de la réaction : le processus qui décompose l'eau et celui qui ajoute des électrons et des protons au gaz carbonique. Dans les deux cas, les acides aminés ont permis à la réaction de se dérouler plus efficacement.

    Cependant, même avec des performances nettement améliorées, la photosynthèse artificielle a encore un long chemin à parcourir avant de pouvoir produire suffisamment de carburant pour pouvoir être utilisée à grande échelle. « Là où nous en sommes aujourd'hui, il faudrait augmenter le rendement de plusieurs ordres de grandeur pour produire une quantité suffisante de méthane pour notre consommation », a déclaré Lin.

    La percée pourrait également être appliquée largement à d'autres réactions chimiques ; il faut fabriquer beaucoup de carburant pour qu'elle ait un impact, mais des quantités beaucoup plus petites de certaines molécules, comme les matières premières pour fabriquer des produits pharmaceutiques et des nylons, entre autres, pourraient être très utiles.

    « Tant de ces processus fondamentaux sont les mêmes », a déclaré Lin. « Si vous développez de bonnes chimies, elles peuvent être branchées sur de nombreux systèmes. »

    Les scientifiques ont utilisé des ressources de l'Advanced Photon Source, un synchrotron situé au laboratoire national Argonne du Département Américain de l'Énergie, pour caractériser les matériaux.

    Les co-premiers auteurs de l'article sont Guangxu Lan (PhD'20, actuellement à l'Université de Pékin), Yingjie Fan, étudiante diplômée, et Wenjie Shi (étudiant invité, actuellement à l'Université de Technologie de Tianjin). Les autres auteurs de l'article sont Eric You (BS'20, actuellement étudiant diplômé au MIT) et Samuel Veroneau (BS'20, actuellement étudiant en doctorat à l'Université de Harvard).

    Citation : « Biomimetic active sites on monolayered metal–organic frameworks for artificial photosynthesis (sites actifs biomimétiques sur des cadres organométalliques monocouches pour la photosynthèse artificielle). Lan et al, Nature Catalysis, 10 novembre 2022.

    Financement : Université de Chicago, Fondation Nationale des Sciences, Conseil Chinois des Bourses d'Études.
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    * Source : Chemists create an 'artificial photosynthesis' system that is 10 times more efficient than existing systems (uchicago.edu)

    https://seppi.over-blog.com/2022/11/des-chimistes-creent-un-systeme-de-photosynthese-artificielle-dix-fois-plus-efficace-que-les-systemes-existants.html

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