- ENTREE de SECOURS -



lundi 23 mai 2022

Le « vaccin » anti-covid doit être immédiatement retiré du marché dans le monde entier

 Par Dre Nicole Delépine

Mondialisation.ca, 22 mai 2022


Les politiques et singulièrement les futurs députés ne devraient pas détourner la tête.

Ils ne pourront pas plaider l’ignorance et l’absence d’informations fiables. Leur responsabilité tant éthique, morale que légale sera engagée s’ils votent, comme les précédents des lois conduisant à une obligation d’injection expérimentale pour pouvoir continuer à travailler.

Mme la Première ministre E. Borne qui en tant que ministre du Travail à l’époque, porte une lourde responsabilité dans sa décision de DISCRIMINER les personnels de santé non vax et de plus de les suspendre sans rémunération, sans chômage, les réduisant à la mendicité de fait, et ce sans aucune justification scientifique.

Il serait souhaitable qu’elle-même et son directeur de cabinet se plongent dans les documents PFIZER afin de libérer MAINTENANT les suspendus et que surtout ils ne s’engagent pas dans la prolongation du tout vaccin et singulièrement chez les enfants. Ils ne pourront pas plaider l’ignorance.

Il serait indispensable que tous les citoyens s’informent eux-mêmes à travers ces rapports et surtout donnent ces éléments à toute personne désireuse de représenter le peuple. Lettres, appels téléphoniques, discussion en meetings électoraux, prise de rendez-vous avec les élus et/ou futurs élus potentiels sont des méthodes efficaces et légales que chacun peut tenter plutôt que désespérer dans son coin. À nous tous nous pouvons les informer, sachant qu’à l’assemblée, ils ne le sont essentiellement que par les lobbies de Big Pharma. Il en va de la santé de nos enfants et de la survie de l’humanité.

Les pseudovax anti-covid sont dangereux : Pfizer l’avoue

Depuis son entrée fulgurante dans la vie des Terriens, conduisant à l’injection de milliards d’individus dans le monde, la vérité est criante pour tous ceux qui n’ont pas un masque sur les yeux… INEFFICACITÉ ET DANGEROSITÉ.

Des millions de morts rapidement après la piqûre – près de 70 000 en additionnant seulement les chiffres officiels d’EudraVigilance et du VAERS, et des millions de complications de gravité variable.

« 69 053 décès liés à l’injection de Covid-19 et 10 997 085 blessés pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni combinés pour une population de 830 millions de personnes (à la date d’avril 2022).

Basé sur les cas signalés. Seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le fastidieux processus de notification des décès et des événements indésirables liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales. Sur la base de données historiques (Electronic Support for Public Health – Vaccine Adverse Event Reporting System – ESP:VAERS, p. 6) ».

Nous apprenons que Pfizer SAVAIT d’emblée au fil des nouvelles révélations dont la justice américaine a obtenu la publication. Ces documents déclarés « secrets » par la FDA et dont chaque livraison de pages supplémentaires, apporte son poids de découvertes tragiques1.

L’interview vidéo ci-dessous publiée par mondialisation.ca avec le professeur Michel Chossudovsky détaille ce rapport confidentiel de Pfizer dont la publication a été obtenue par une procédure d’accès à l’information (FOI)2,3 et les conclusions fondamentales qu’il en tire.

Dès février 2021, la FDA disposait déjà de données majeures qui confirmaient que le pseudo vaccin était suivi d’une mortalité quotidienne supérieure à celle de l’évolution naturelle prévue ; le vaccin Pfizer était plus dangereux que le virus. IL AURAIT DÛ ÊTRE RETIRÉ.

Regardez l’ensemble des courbes qui défilent au début de la vidéo du professeur Michel Chossudovsky sur de nombreux pays dont les données sont disponibles.

En Autriche la mortalité post vaccinale observée [en bleu] a été plus forte que celle attendue sans vaccin [en pointillés rouges] :

Mais aussi de manière plus marquée en Équateur :

Comme en Turquie :

Ou en Inde ou le début de la vaccination a été suivie d’une forte poussée de mortalité :

En juin 2021 nous ignorions tout de ce rapport, mais nous avions remarqué, sur les données de l’OMS, une aggravation nette de la mortalité durant environ deux mois suivant les campagnes de vaccination que nous avions qualifiée d’hécatombe post vaccinale4. Mais les dénégations mensongères des médias et de leurs professionnels de la désinformation5 avaient réussi à dissimuler ces faits avérés à la population.

Pfizer a répertorié de très nombreux effets secondaires dans son rapport « confidentiel » bien détaillé. Au vu de ces données, Pfizer aurait dû retirer son vax à cette date et plaider l’homicide involontaire. En poursuivant cette commercialisation, il passe dans le registre du meurtre selon ce professeur.

Ce rapport disponible sur internet, dont les médias ne parlent pas et que les gouvernements veulent ignorer, prouve la responsabilité de Pfizer et de la FDA et démontre sans équivoque que le vax aurait dû être retiré dès février 2021.

« Le rapport est une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1200 déclarations de décès possiblement causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables, dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2000 rapports de troubles cardiaques. …

Ce rapport confidentiel de Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période [au plus deux mois et demi]. …

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ce document confidentiel a été lu par la FDA.

Ces données qui peuvent maintenant être utilisées pour affronter et pour étayer des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias. »

Vidéo : Le rapport « secret » de Pfizer avec Prof. Michel Chossudovsky [cliquez sur ce lien pour voir la vidéo]

« Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma [associées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis] sont irréfutables : parce que ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres. ».

« N’oubliez pas qu’il s’agit de données basées sur des cas signalés et enregistrés, qui constituent un petit pourcentage du nombre réel de décès et d’événements indésirables liés au vaccin.

Il s’agit de facto d’une reconnaissance de la part de Pfizer. Oui c’est un vaccin tueur. »

Il n’y a pas de doute ni d’hésitation justifiée quand c’est un poison. Il faut retirer ce produit et ce n’est pas aux citoyens désinformés « de choisir » alors que l’on ne leur assène que des mensonges sur les ondes.

Selon ce professeur canadien :

« Pfizer était parfaitement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur. 

C’est aussi une reconnaissance et une trahison de la part des agences sanitaires [FDA,E MA] et des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont soudoyés par Big Pharma. »

Mr le PR Chossudovsky rappelle que de plus le labo Pfizer a un dossier criminel aux USA depuis 2009 :

« Ce rapport ne peut pas être traité de fake news. C’est un rapport qui confirme la responsabilité criminelle sous-jacente basée sur les documents de Pfizer lui-même. C’est aux avocats de prendre les choses en main.

Le message aux avocats canadiens : ce rapport est un instrument à utiliser dans les procédures et c’est l’opportunité de mener une action en recours collectif pour les milliers de canadiens à l’endroit de Pfizer et des entités publiques collaborant avec Big Pharma. »

Il nous semble que les avocats du monde entier pourraient également entendre ce conseil.

LES INJECTIONS ANTI-COVID SONT DANGEREUSES

IL FAUT REFUSER TOUTE PIQÛRE OU BOOSTER [car la toxicité est cumulative].

PROTÉGEZ LES ENFANTS ET L’AVENIR EN INFORMANT ENCORE ET ENCORE POUR COMPENSER LA DÉSINFORMATION MÉDIATIQUE MASSIVE.

REGARDEZ SANS ŒILLÈRES LES ACCIDENTS QUI SE MULTIPLIENT AUTOUR DE VOUS.

J’ai publié hier soir un papier montrant la multiplication des rechutes brutales et des nouveaux cancers après vaccin anti-covid. En moins de 24 h j’ai reçu des dizaines de mails de témoignages. Ce n’est pas une hallucination6.

Les pilotes de ligne, les personnels navigants et des organisations commerciales de l’aviation appellent aussi à l’arrêt des vaccinations obligatoires et du déni des effets secondaires. Ils exigent le retour aux mesures de sécurité dans l’aviation7.

REFUSONS ENSEMBLE CES INJECTIONS, LES PASS, LES DISCRIMINATIONS, ET LES CONTRÔLES NUMÉRIQUES. SI LA PEUR DU VIRUS EST REMPLACÉE PAR LA PEUR DU VAX, LE GOUVERNEMENT NE POURRA RIEN IMPOSER. LEUR FORCE NE VIENT QUE DE NOTRE SOUMISSION.

Dre Nicole Delépine

Notes :

1.En intégralité Pfizer’s Documents – Public Health and Medical Professionals for Transparency (phmpt.org). Examiner le rapport de christine cotton « Évaluation des essais Pfizer – Christine Cotton (1ere-page.fr), Audition OPECST – Christine Cotton (1ere-page.fr), Liste des effets secondaires à surveiller-Pfizer-avril 2021 (yetiblog.org)9 pages serrées

2.Vidéo : « Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l’homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier », Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

3.Horizon politique, « Le vaccin covid et le rapport secret de Pfizer », (odysee.com)

4.G. Delépine, Nouveau Monde 6/9/2021, https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale

5.G. Delépine « L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde », https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde

6.« Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers », Nouveau Monde

7.« Global Coalition Statement : Commercial Aviation and Pilot Vaccine Injury », 17/05/22 (substack.com)

https://www.mondialisation.ca/le-vaccin-anti-covid-doit-etre-immediatement-retire-du-marche-dans-le-monde-entier/5668378

60 commentaires:

  1. (...) Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur. (...)

    Pas seulement 'Pfizer' mais aussi 'Moderna', 'Astra-Seneca' et 'Johnson & Johnson'.

    Rappel qu'IL N'EXISTE PAS de 'vaccin' anti-poussières (virus), mais uniquement des remèdes contre les microbes.
    Or, avec le 'Cocovide19TangoCharlieDelta' il s'agit d'une POUSSIÈRE enveloppée. Une nano-particule EMPOISONNÉE à l'oxyde de graphène dont il n'existe jusqu'à présent aucun antidote !

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  2. Tout ce que vous voulez savoir sur la variole du singe, mais que vous n'avez pas osé demander


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 23 MAI 2022 - 04:35


    Avec la pandémie de COVID-19 encore fraîche dans l'esprit des gens du monde entier, il n'est pas surprenant que les récentes épidémies d'un autre virus fassent la une des journaux.

    Des épidémies de monkeypox ont maintenant été signalées dans plusieurs pays et les scientifiques y prêtent une attention particulière. Pour tous les autres, de nombreuses questions surgissent :

    Quelle est la gravité de ce virus ?

    À quel point est-il contagieux ?

    Le Monkeypox pourrait-il se transformer en une nouvelle pandémie ?

    Ci-dessous, Nick Routely et Mark Belan de Visual Capitalist répondent à ces questions et plus encore.

    - voir cadre sur site -
    (Sierra-Leone, Libéria, Côte d'Ivoire, Nigéria, Caméroun, Gabon, Rep. Centre africaine, Congo).

    Qu'est-ce que la Monkeypox ?
    Le monkeypox est un virus du genre Orthopoxvirus qui comprend également le virus de la variole (qui cause la variole) et le virus de la cowpox. Les principaux symptômes comprennent de la fièvre, des ganglions lymphatiques enflés et une éruption cutanée bosselée caractéristique.

    Il existe deux souches majeures du virus qui présentent des risques très différents :

    Souche du bassin du Congo : 1 personne sur 10 infectée par cette souche est décédée

    Souche ouest-africaine : environ 1 personne sur 100 infectée par cette souche est décédée

    Pour le moment, les autorités sanitaires du Royaume-Uni ont indiqué qu'elles voyaient la souche la plus légère chez les patients là-bas.

    D'où vient le Monkeypox ?

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  3. Le virus a été initialement découvert en République démocratique du Congo chez des singes détenus à des fins de recherche (d'où son nom). Finalement, le virus a fait le saut chez l'homme plus d'une décennie après sa découverte en 1958.

    Il est largement admis que la vaccination contre un autre virus similaire, la variole, a contribué à empêcher les épidémies de monkeypox de se produire dans les populations humaines. Ironiquement, l'éradication réussie de la variole et l'arrêt éventuel de ce programme de vaccination ont ouvert la porte à une nouvelle menace virale. Il y a maintenant une population croissante de personnes qui ne sont plus immunisées contre le virus.

    Maintenant que les restrictions de voyage sont levées dans de nombreuses régions du monde, les virus peuvent à nouveau passer d'une nation à l'autre. Au moment de la publication de cet article, une poignée de cas ont été signalés aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni et dans un certain nombre de pays européens.

    En revanche, la recherche des contacts a aidé les autorités à reconstituer la transmission du virus. Alors que les cas sont rares en Europe et en Amérique du Nord, il est considéré comme endémique dans certaines parties de l'Afrique de l'Ouest. Par exemple, l'Organisation mondiale de la santé rapporte que le Nigeria a connu plus de 550 cas signalés de monkeypox de 2017 à aujourd'hui. L'épidémie actuelle au Royaume-Uni provient d'un individu qui est revenu d'un voyage au Nigeria.

    Le Monkeypox pourrait-il devenir une nouvelle pandémie ?
    Monkeypox, qui se propage principalement par interaction animal-humain, n'est pas connu pour se propager facilement entre humains. La plupart des personnes infectées par le monkeypox transmettent le virus à entre zéro et une personne, de sorte que les épidémies s'éteignent généralement. Pour cette raison, le fait que des épidémies se produisent simultanément dans plusieurs pays est préoccupant pour les autorités sanitaires et les organisations qui surveillent la transmission virale. Les experts envisagent la possibilité que le taux de transmission du virus ait augmenté.

    Les images de personnes couvertes de légions de monkeypox sont choquantes et les gens sont naturellement préoccupés par ce virus, mais la bonne nouvelle est que le grand public n'a pas grand-chose à craindre à ce stade.

    Je pense que le risque pour le grand public à ce stade, d'après les informations dont nous disposons, est très, très faible.

    –TOM INGLESBY, DIRECTEUR, CENTRE JOHNS HOPKINS POUR LA SÉCURITÉ SANITAIRE

    Enfin, comme le note l'expert en maladies infectieuses Muge Cevik dans un fil Twitter détaillé, alors que l'épidémie de virus monkeypox (MPX) se poursuit, de nombreuses données émergent en temps réel et sont rapidement diffusées (ainsi que de la désinformation).

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  4. Les cas confirmés et suspects de #MonkeyPox ont maintenant atteint 200 parmi 14 pays avec 20 cas confirmés au Royaume-Uni.

    - voir liste sur site -

    Source : BNO

    La principale préoccupation est qu'il existe des cas non associés aux voyages en Europe, ce qui signifie qu'il y a probablement une transmission communautaire inaperçue.

    Il s'agit de la plus grande épidémie en dehors de l'Afrique, et il y aura d'autres cas à venir. La préoccupation n'est pas nécessairement une pandémie mondiale comme ce que nous avons vu avec les coronavirus ou la grippe. Mais une épidémie croissante et importante de MPX est une préoccupation, surtout si les mesures de PH sont retardées.

    Ainsi, la chose la plus importante est d'informer nos communautés et nos travailleurs de la santé de la présentation clinique, de la période d'incubation, afin que les personnes puissent être diagnostiquées plus tôt, isolées et que les contacts soient protégés. C'est la gamme des lésions cutanées.

    - voir photos sur site -

    En conclusion, le monkeypox n'est pas vraiment une maladie rare et est un problème de santé publique.

    Selon les preuves préliminaires, rien n'indique que l'épidémie actuelle soit due à une nouvelle variante MPX et les données épidémiologiques suggèrent qu'elle a été introduite dans les réseaux sexuels entre hommes, probablement vers la fin avril.

    Nous avons observé des épidémies de MXP dans de nombreux pays principalement en Afrique, c'est la première fois que nous observons une large transmission en Europe. Le MPX reste une maladie émergente sous-reconnue et sous-déclarée. Une bonne prise en charge clinique peut limiter la gravité de la maladie ou le décès.

    Nous sommes dans un territoire inconnu car les personnes qui ont déjà été vaccinées contre la variole ont un certain degré de protection contre la variole du singe, mais nous ne connaissons pas vraiment le degré de protection qu'elle offre aux personnes qui ont été vaccinées 50 ou 60 ans auparavant.

    https://www.zerohedge.com/medical/everything-you-want-know-about-monkeypox-were-afraid-ask

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    1. Encore une fois je rappelle qu'un 'virus' EST UNE POUSSIÈRE ! (inoffensive sauf si radioactive).
      Le 'Monkeypox' est une maladie, donc: un MICROBE ! (car une poussière ne l'est pas !)

      Ce microbe n'EST PAS DANS L'AIR mais transmissible seulement par contact avec les singes ou personnes qui aurait eu des contacts 'très rapprochés' avec ce type de bestiole.

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  5. Mortalité massive: près de 180 000 sont morts dans les 60 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 – le bureau des statistiques d'Angleterre fait un aveu stupéfiant


    dimanche 22 mai 2022
    par : Belle Carter


    (Natural News) L'Office for National Statistics (ONS) en Angleterre a révélé qu'un total de 69 466 personnes sont décédées dans les 28 jours et 178 874 personnes sont décédées dans les 60 jours suivant l'injection du vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) entre janvier 2021 et mars. 2022.

    L'ONS a publié les données sur les décès par statut vaccinal le 16 mai. Le rapport comprenait un graphique intitulé "Nombre de décès dans les 28 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 en Angleterre".

    Le nombre total de décès a été réparti en 7 953 personnes décédées positives pour le virus et 61 513 personnes décédées pour d'autres causes dans les 28 jours suivant la vaccination. Au cours de la même période, un total de 14 049 personnes sont décédées du coronavirus et un total de 164 825 personnes sont décédées d'autres causes dans les 60 jours suivant la vaccination.

    Les données ont été publiées à la suite de dizaines de demandes d'accès à l'information adressées à diverses institutions gouvernementales demandant de connaître le nombre de personnes décédées après avoir reçu les coups. (Connexe: CDC cache les données COVID au public afin de blanchir le récit COVID malhonnête.)

    De plus, le rapport de surveillance des vaccins de l'Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni a indiqué que 92% de tous les décès liés à la pandémie en Angleterre en mars concernaient la population vaccinée.

    Les gouvernements ont manipulé des données pour intensifier la pandémie de COVID-19
    Le Dr Norman Fenton, professeur de gestion de l'information sur les risques à l'Université Queen Mary de Londres, a critiqué les gouvernements du monde entier pour avoir manipulé les données sur la pandémie de COVID-19 lorsqu'il a participé à "The Defender Podcast".

    "Il était clair dès le départ que la plupart des données publiées par les gouvernements - pas seulement le gouvernement britannique, mais la plupart des gouvernements du monde entier - étaient plutôt trompeuses car elles étaient basées sur des statistiques très facilement manipulables", a déclaré Fenton à l'hôte Robert. F.Kennedy, Jr.

    Tout au long de la pandémie, Fenton a examiné de près et critiqué la manière dont les responsables utilisaient les données pour prendre des décisions concernant les verrouillages, les tests et les vaccins.

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  6. Il a souligné qu'il y avait une ruée immédiate pour tirer des conclusions, qui étaient en quelque sorte basées sur des données trop simplistes sur le nombre de cas et de décès. Le problème était que les données étaient très facilement utilisées par les influenceurs et les décideurs pour s'adapter à des récits particuliers qui exagéraient l'ampleur de la crise.

    L'équipe de Fenton a publié certaines des premières recherches fournissant des estimations plus précises sur le taux d'infection par rapport au taux de mortalité par rapport aux estimations officielles qui, selon lui, étaient basées sur des données erronées. La recherche a montré que le virus était plus répandu que les gens ne le pensaient, mais loin d'être aussi dangereux qu'on le prétendait.

    Plus loin dans l'émission, il a également abordé certaines préoccupations concernant les tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR) défectueux.

    «Nous avons d'abord été amenés à croire que le test PCR était un test de diagnostic précis. Mais plus tard, bien sûr, nous avons découvert que ce n'était pas vrai. Et l'impact de cela a été catastrophique », a-t-il déclaré.

    L'utilisation de tests PCR était également malavisée car les tests sont intrinsèquement frauduleux et n'ont jamais été destinés ou conçus pour fonctionner comme un outil de diagnostic de la maladie.

    Kennedy a accepté, affirmant que l'ampleur de la pandémie était amplifiée énormément et de manière trompeuse par l'utilisation abusive du test PCR. Il a ajouté que les informations concernant les décès après la vaccination ont également été manipulées dans le cadre de l'affirmation officielle selon laquelle le vaccin était le seul moyen d'empêcher les gens de tomber gravement malades et de mourir.

    Les données ajustées pour tenir compte des erreurs de classification montrent un pic de mortalité peu de temps après la vaccination. "Maintenant, bien sûr, il se pourrait bien que ce soient des personnes qui soient en effet gravement immunodéprimées. De plus, la vaccination pourrait simplement annoncer la mort, qui serait de toute façon survenue peu de temps après », a déclaré Kennedy.

    Pourtant, le fait demeure que des centaines de milliers, voire des millions, sont morts peu de temps après avoir reçu une injection du vaccin COVID-19.

    Visitez Pandemic.news pour les dernières mises à jour sur la pandémie de COVID-19.

    Regardez la vidéo ci-dessous sur la décision de l’Angleterre de mettre fin aux masques et passeports COVID.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne zolnareport.com sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
    Dr Robert Malone : Le CDC a caché des données sur les covid et a commis une fraude scientifique massive.

    Les données montrent que les vaccins COVID sont un « échec spectaculaire ».

    Les victimes partagent des histoires de BLESSURES causées par le test COVID PCR.

    Sources include:
    Expose-News.com
    Ons.Gov.uk
    Assets.Publishing.Service.Gov.uk
    ChildrensHealthDefense.org
    Twitter.com

    https://www.naturalnews.com/2022-05-22-70k-died-within-28-days-of-covid-vaccination.html

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    Réponses
    1. (...) Les victimes partagent des histoires de BLESSURES causées par le test COVID PCR. (...)

      Comment tuer des milliers (millions ?) de personnes sans l'injection létale programmée ? Passez le test ! L'écouvillon de la mort !
      En médecine comme en science il est INTERDIT de toucher à la fosse nasale.
      Les criminels le font ! (ils sont payer très cher !)
      C'est facile ! Les handicapés mentaux font la queue devant la porte !!!

      INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
      INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT

      Maintenant c'est l'écouvillon qui va lui-même (avec VOTRE consentement ! "OUI JE VEUX ME FAIRE ENCULER !") apporter en fond de fosse nasale des millions de nano-particules d'oxyde de graphène ! Cà y est ? Vous les avez ? HAHAHAHA !

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  7. Au Sri Lanka, la révolution verte a tourné court


    jeudi 19 mai 2022


    Le gouvernement du Sri Lanka a lancé en mars 2021 une campagne de suppression des engrais chimiques et des pesticides dans l’agriculture de l’île. Le but: être le premier pays au monde à ne produire plus que du bio.

    Pire: le président Gotabaya Rajapaksa a décrété l’état d’urgence au début avril, après des manifestations violentes contre le gouvernement, jugé incapable de résoudre la crise économique.

    Le tourisme a été laminé par la pandémie. L’île manque de devises étrangères et ne peut plus importer les biens de première nécessité. L’inflation est à 18 %.

    « Le gazole était introuvable dans l’intégralité des stations-service de l’île, selon les autorités et les médias. Faute de diesel pour les générateurs, l’État avait dû imposer, jeudi, une coupure d’électricité généralisée pendant 13 heures, la plus longue jamais enregistrée. Plusieurs hôpitaux publics ont cessé les opérations chirurgicales par manque de médicaments. »

    Le 6 mai nouvel état d’urgence après de nouvelles manifestations et un mouvement de grève générale.

    La situation est aggravée par le manque de ressources vivrières.

    « Mais sept mois plus tard, le constat est alarmant. Les rendements agricoles sont en chute libre, les prix des produits de base atteignent des records, le pays s’enfonce inexorablement dans une crise alimentaire et économique. »

    Selon les producteurs le changement as été trop rapide et trop radical, sans accompagnement. Résultat: la production a baissé de façon dramatique.

    Selon Buddhi Marambe, professeur au département de recherche agronomique de l’université de Peradeniy:

    « Convertir un pays comme le Sri Lanka à une agriculture 100 % biologique à court, moyen ou long terme est tout simplement impossible. (…) Passer au tout bio est impossible car nous ne disposons pas de suffisamment d’engrais organiques pour accompagner cette transition. Là est le problème. »

    Pourtant le Bhoutan et le Sikkhim sont passés au 100 % bio. Mais le résultat n’est pas à la hauteur de l’attente:

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  8. « Le Bhoutan ambitionnait de devenir le premier État 100 % bio d’ici 2020. Mais en raison de la baisse de productivité, le pays doit importer 50 % des produits alimentaires pour nourrir sa propre population.

    Le Sikkim, lui, utilisait très peu d’engrais chimiques : le passage à l’agriculture bio était bien plus simple. Mais même cet État importe la majorité de ses aliments de l’extérieur. Les mesures extrêmes ne sont pas la solution. On doit envisager une agriculture intégrée, en combinant ensemble les produits synthétiques et organiques afin de maximiser l’efficacité nutritionnelle et de minimiser les pertes tout en améliorant la qualité des sols »

    Ce que l’on fait dans la précipitation peut produire un résultat contraire à celui recherché. Le décisions autoritaires d’en-haut ne sont pas toujours ce que le terrain réel permet.

    L’exemple, ou plutôt le contre-exemple sri lankais doit nous inciter à la réflexion et à la prudence. La question climatique ne peut être traitée comme un 40 tonnes que l’on veut stopper net en pleine descente.

    Surtout pas.

    Paradoxalement en matière de climat il faut se dépêcher d’aller lentement si l’on ne veut pas faire plus de bêtises ou de dégâts que ce que l’on reproche aux générations précédentes.

    Un article détaille ici les raisons de l’échec du 100% bio là où il a été mis en œuvre. Car plusieurs études montrent l’échec des politique volontaristes et agressives.

    « Nous avons pu montrer que des rendements inférieurs et des besoins en main-d’œuvre plus élevés dans l’agriculture biologique pour remplacer l’utilisation antérieure de pesticides et d’engrais dans l’agriculture conventionnelle ont entraîné une forte contraction de la production agricole, des pertes substantielles de bien-être et des implications négatives pour la sécurité alimentaire. »

    L’agriculture biologique (ou quel que soit son nom et la méthode) permet en particulier de protéger les sols. Mais pas seulement. Des expériences sont conduites depuis des décennies. Par exemple l’expérience DOC, menée depuis 1978, montre que

    « Des terres assolées cultivées en bio à long terme émettent 40 % de gaz à effet de serre par hectare en moins que des sols travaillés de manière conventionnelle. Par tonne de rendement, cette valeur est également plus faible ou – pour les cultures de maïs – identique. »

    Et aussi:

    « A long terme, l’exploitation différenciée des parcelles DOC a durablement influencé les conditions de vie des micro-organismes. Les bactéries, les champignons et les organismes unicellulaires semblent préférer les parcelles fertilisées de façon organique, et la présence d’une communauté microbienne nettement plus diversifiée assure le maintien du cycle des nutriments en période de sécheresse également. »

    Sols mieux protégés, diminution des gaz à effet de serre, nutrition sans résidus chimiques agressifs, l’agriculture bio (ou équivalente) doit être accompagnée pour soutenir les producteurs dans cette transition progressive.

    https://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2022/05/19/au-sri-lanka-la-revolution-verte-a-tourne-court-322448.html

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  9. Le libre-échange, seul rempart face à la montée des périls

    On ne peut attendre que le pire des mesures de restriction aux échanges qui fragmenteraient un peu plus le monde en zones économiques rivales comme ce fut le cas entre les deux conflits mondiaux.


    Pierre Robert
    le 23 mai 2022


    Une crise alimentaire sévère se profile à court terme. Pour certains la planète alimentaire serait même au bord du gouffre.

    Une planète alimentaire au bord du gouffre

    Avant la guerre en Ukraine la situation des marchés agricoles était déjà tendue pour des raisons à la fois climatiques et logistiques. Le conflit à haute intensité qui se déroule sur le sol européen n’a évidemment rien arrangé. Il met aux prises deux puissances dont les exportations cumulées représentaient récemment encore près de 30 % du commerce mondial du blé et qui apportent une contribution décisive à la fourniture d’engrais.

    Or les ports ukrainiens sont désormais totalement paralysés et plus de 20 millions de tonnes de blé sont bloqués dans les silos de ce pays. Une bonne partie de ces stocks a toutes les chances d’y pourrir. De surcroît la récolte à venir non seulement va souffrir des hostilités mais ne pourra pas y être entreposée, ce qui laisse augurer de difficultés encore plus grandes en 2023. Pour l’Égypte, un pays de 100 millions d’habitants dont l’approvisionnement dépend à 80 % de ce qu’il importe de la zone russo-ukrainienne, la situation est grosse de catastrophes avec à la clef des émeutes de la faim aux conséquences politiques imprévisibles. Du fait d’une vague de chaleur particulièrement précoce et étendue, même un pays comme la France est menacé de pénurie pour des commodités aussi essentielles que le blé, l’orge, la betterave et le maïs.

    Les effets contre-productifs de la fermeture

    Dans ces conditions la tentation du chacun pour soi est particulièrement forte comme l’illustre la récente décision des autorités indiennes de suspendre les exportations de grains.

    Partout retentissent des appels à la souveraineté alimentaire qui sont autant de manifestations de repli provoquées par la crainte de ne pas pouvoir répondre aux besoins de la population.

    Cela n’est pas sans rappeler la situation qui prévalait en France au XVIIIe siècle. À l’époque chaque province gardait jalousement sa propre production de grains dont la circulation au sein du territoire était entravée par toutes sortes de règles et de taxes. Au même moment, dans deux régions voisines, l’une pouvait souffrir de disette et de prix très élevés alors que l’autre connaissait un excédent provoquant l’effondrement des cours, ce que Turgot, par un bel oxymore, appelait « la misère de la surabondance ». La solution qui s’imposait était d’établir la liberté de circulation des produits agricoles, ce que le ministre de Louis XVI tenta de faire par un édit de septembre 1774. Mais cette politique se heurta rapidement à une forte hostilité populaire motivée par la crainte des méfaits de l’ accaparement et de la spéculation. En résulta la « guerre des farines », une série d’émeutes violentes qui secouèrent le pays en avril et mai 1775. En 1776 la mesure dut être abrogée.

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  10. En 1787 une nouvelle tentative fut menée pour libéraliser ce commerce mais Necker, hostile aux libéraux, rendit la loi inopérante en 1788 dans un contexte de mauvaises récoltes. On connait la suite.

    Des marchés d’autant plus efficaces qu’ils sont mieux informés

    Ce bref rappel historique souligne l’inanité des mesures de restriction dont on sait que les effets sont toujours contre-productifs. Leur seul avantage à court terme est politique : à une population qui vit dans la crainte de la pénurie, elles donnent une réponse simple et lisible mais trompeuse. Avec ce signal politique on appuie en fait sur le bouton panique sans rien résoudre à moyen terme.

    C’est donc à juste titre que l’OCDE continue à défendre les effets bénéfiques du commerce international et du développement des échanges internationaux dans un cadre de libre-échange.

    Pour donner un ordre de grandeur, 20 % des calories alimentaires consommées dans le monde ont traversé une frontière, 80 % ne l’ont pas fait. Mais pour nombre de pays situés en Afrique et au Moyen-Orient, ces calories importées sont vitales.

    Si le meilleur moyen d’assurer leur sécurité alimentaire passe par le recours aux marchés, il faut tout faire pour assurer leur bon fonctionnement et si possible l’améliorer, ce qui passe par une meilleure circulation de l’information sur les prix et les quantités disponibles.

    C’est précisément ce que permet de faire le système d’information sur les marchés agricoles (ou AMIS) créé en 2011 à l’initiative du G20.

    Il s’agit d’une plateforme regroupant de grandes institutions (comme la FAO, l’OMC, la Banque mondiale et l’OCDE) pour améliorer la transparence des marchés alimentaires et encourager la coordination des politiques internationales en temps de crise.

    Le constat de départ est que « le manque d’informations fiables et à jour sur l’offre et la demande de cultures et la disponibilité des exportations » ainsi que « la transparence insuffisante du marché à tous les niveaux, y compris en ce qui concerne les marchés à terme » sont les principaux moteurs de perturbations des marchés alimentaires mondiaux. Simultanément il faut assurer un meilleur « suivi des intentions de plantation, du développement des cultures et des informations sur le marché intérieur ».

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  11. L’objectif d’AMIS est donc d’identifier les meilleurs moyens de gérer et d’atténuer les risques de volatilité des prix alimentaires sans fausser les marchés. Cela passe par le recueil et le traitement de données fiables permettant d’identifier les facteurs de risque et d’y répondre non par le repli qui est synonyme de guerre économique mais par la coopération et la facilitation des échanges. On rejoint là un des fondements les plus robustes de l’analyse économique : la qualité de l’information est une condition sine qua non du bon fonctionnement des marchés.

    Atténuer la fébrilité ambiante

    Face aux tensions croissantes qui se manifestent aujourd’hui, il faut aller plus loin et multiplier les outils pour atténuer la fébrilité des transactions agricoles. C’est le but que poursuit l’initiative Food and Agriculture Résilience Mission (FARM). Portée par l’Union européenne, chapeautée par la France qui en assure la présidence et prise en concertation avec l’Union Africaine, elle a pour objectif de prévenir l’impact sur la sécurité alimentaire mondiale de la guerre menée par la Russie en Ukraine, un impact désastreux mais qu’on espère transitoire. Il s’agit de faire en sorte que les produits agricoles ne deviennent pas une arme de guerre servant des buts géopolitiques et à cette fin de maintenir l’offre alimentaire mondiale à un prix abordable. Cela passe par des mécanismes de solidarité entre les États. Mais cela repose aussi et surtout sur une double action pour d’une part renforcer les capacités agricoles (ce qui suppose que les mesures malthusiennes mises en place au sein de L’UE soient levées) et d’autre part lutter contre les barrières commerciales injustifiées.

    On voit que face à une crise d’une ampleur exceptionnelle, les réponses appropriées sont d’ordre libéral. L’objectif est bel et bien de rendre les marchés agricoles plus efficaces à l’échelle mondiale et non d’attendre le salut d’une hypothétique souveraineté alimentaire qui n’est que l’autre nom de l’égoïsme et du repli sur soi.

    L’alternative au libre-échange, c’est le lebensraum

    On peut étendre le raisonnement à l’ensemble du commerce mondial. On ne peut attendre que le pire des mesures de restriction aux échanges qui fragmenteraient un peu plus le monde en zones économiques rivales comme ce fut le cas entre les deux conflits mondiaux. En pensant que des mesures protectionnistes sévères permettraient de surmonter la dépression initiée par le krach de 1929, les grandes puissances de l’époque se sont livré une guerre économique qui n’a pas tardé à dégénérer en guerre tout court.

    Il faut aujourd’hui tout faire pour éviter la vertigineuse contraction des flux commerciaux internationaux survenue au début des années 1930 en se souvenant des ravages qui ont suivi. Céder à la tentation de la fermeture c’est remettre au goût du jour la conquête par la force de territoires de pays voisins riches en ressources dont le pays agresseur ne dispose pas sur son sol. L’alternative au libre-échange, ce fut dans le passé le lebensraum, la prise de contrôle par les nazis des champs de pétrole roumains, l’accaparement des blés ukrainiens. Sous nos yeux incrédules ce sont les destructions que la Russie inflige à la malheureuse Ukraine.

    https://www.contrepoints.org/2022/05/23/427956-le-libre-echange-seul-rempart-face-a-la-montee-des-perils

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    1. Actuellement l'Europe et les USA (Bruxelles & l'OTAN) refusent, empêchent le blé, l'engrais d'arriver chez eux alors qu'ils voient la pénurie. Ils font tout pour que le Peuple se ruine et crève !

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  12. L'effet coup de fouet se termine en beauté : pourquoi les prix sont sur le point de tomber d'une falaise


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 23 MAI 2022 - 03:45


    C'était il y a exactement un an, lorsque le stratège de la Deutsche Bank, Luke Templeman, a déclaré qu'au milieu de la ruée paniquée des grossistes américains pour s'approvisionner en stocks rares en raison de chaînes d'approvisionnement enchevêtrées, ce n'était qu'une question de temps avant que l'économie américaine ne soit bouleversée par un effet "coup de fouet" (ou coup de fouet).

    Quelques précisions pour ceux qui ne connaissent pas ce concept : l'effet coup de fouet se produit lorsqu'une baisse de la demande des clients amène les détaillants à sous-stocker. À leur tour, les grossistes réagissent à un manque de commandes au détail en se sous-stockant. Cela amène alors les fabricants à ralentir la production. Finalement, l'inverse se produit. À mesure que la demande des clients revient, les détaillants commandent rapidement plus de marchandises, souvent trop, et les grossistes et les usines sont pris de court. Des pénuries se produisent, les prix augmentent. Finalement, la production augmente à des niveaux bien au-delà des niveaux d'équilibre et cela se répercute sur la chaîne. Ces fluctuations violentes de la disponibilité des biens se poursuivent ensuite dans les deux sens jusqu'à ce qu'un équilibre soit finalement établi.

    En mai dernier, le début de l'effet coup de fouet s'est manifesté dans la manière dont les détaillants et les grossistes ont géré leurs niveaux de stocks depuis l'épidémie de covid. Plus précisément, les détaillants ont maintenu une offre de stocks à un niveau relativement constant, supérieur à celui des grossistes. Lorsque le covid a frappé, les chaînes d'approvisionnement en provenance d'Asie ont été coupées, ce qui a fait peur aux détaillants occidentaux qui ont immédiatement commencé à passer des commandes pour plus de stocks. Beaucoup plus. Les fermetures ultérieures ont vu la demande chuter et les stocks avec elle. Dans les deux cas, les actions des grossistes ont suivi celles des détaillants d'environ un mois.

    Dans le contexte d'un début d'effet coup de fouet, la conclusion de Templeman était exacte : "Alors que les niveaux des stocks sont tombés à des niveaux bas depuis plusieurs décennies chez les détaillants, il y a probablement de nombreuses entreprises qui n'auront pas suffisamment de stocks pour satisfaire les clients à mesure que les économies se redressent et que la demande refoulée C'est d'autant plus vrai que les détaillants dépendent beaucoup plus des chaînes d'approvisionnement juste-à-temps qu'ils ne l'étaient au cours des dernières décennies.

    Entre autres choses, c'est aussi la raison pour laquelle en mai dernier, une poussée d'inflation historique s'est déclenchée (qu'aucun économiste de carrière ou responsable de la Fed n'avait correctement prédit), car l'effondrement des stocks et le manque de réapprovisionnement par des chaînes d'approvisionnement bloquées signifiaient que les prix des biens continuerait à monter et à monter et à monter. Et ils l'ont fait.

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  13. Bien sûr, pendant une grande partie de l'année écoulée, la grande histoire a été la congestion dans les ports de la côte ouest en raison de facteurs externes (épidémies de covid en Chine, fermetures de ports, modification de la législation) et internes (manque de travailleurs portuaires, blocages de l'approvisionnement en aval, y compris le camionnage et trains, etc.) mais cela a maintenant changé et comme le montre le dernier rapport Supply Chain Congestion Monitor de JPMorgan (disponible pour les abonnés pro à l'endroit habituel), le nombre de navires au mouillage et à l'approche de L.A. et de Long Beach s'est effondré depuis le Le sommet de janvier est revenu aux niveaux observés pour la première fois au début de la pandémie de covid.

    - voir graph sur site -

    Pourquoi est-ce important ? Eh bien, pour une raison simple mais essentielle : s'il y a un an, nous avons vu le début hyperinflationniste de l'effet coup de fouet, nous sommes entrés dans la phase terminale de l'« effet coup de fouet », où la chute des ratios stocks/ventes s'inverse violemment à la hausse, où l'offre les chaînes se désengorgent soudainement et rapidement au milieu d'un refroidissement soudain de l'économie, et où les prix des biens dits "essentiels" s'effondrent presque du jour au lendemain, alors même que les prix non essentiels (alimentation et énergie) explosent encore plus haut.

    C'est ainsi que Freight Waves a discuté de cet effet vendredi en commentant les récents bénéfices (et perspectives) désastreux des plus grands détaillants américains tels que Walmart et Target, qui ont vu leurs prix s'effondrer alors que la direction a averti que l'inflation paralysait désormais la demande et étouffait les marges bénéficiaires. :

    "Les meubles, les articles d'ameublement et les appareils électroménagers, les matériaux de construction et l'équipement de jardin, et une catégorie connue sous le nom d'"autres marchandises générales", qui comprend Walmart et Target, entre autres, ont signalé des ratios stocks/ventes plus élevés, selon les données gouvernementales analysées par le Michigan. État."

    Combien plus haut ? Un rapide coup d'œil aux dernières données révèle l'étonnant graphique suivant du ratio des stocks aux ventes dans les Walmarts du monde au plus haut niveau depuis juste avant le flashbang déflationniste qu'a été la crise financière mondiale :

    - voir graph sur site -

    Pensez : des liquidations d'inventaire généralisées.

    Alors que Freight Waves continue, "le changement s'est produit rapidement, selon Jason Miller, professeur de logistique au Eli Broad College of Business de MSU. En novembre, les ratios stocks/ventes étaient aux niveaux d'avant COVID, a déclaré Miller. Ils ont depuis Miller a déclaré qu'il s'attend à un "refroidissement" des volumes de commandes des détaillants, même si les ventes corrigées de l'inflation restent constantes, car les détaillants cherchent à réduire leur stock existant.

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  14. Et voici la conclusion : Miller « s'attend également à ce que les détaillants lancent d'importants programmes de rabais pour accélérer la combustion des stocks ».

    En bref : nous sommes sur le point de voir la mère de toutes les liquidations alors que les détaillants se bousculent pour décharger leurs stocks en période de destruction effrénée de la demande. Le résultat immédiat est la récession du fret qui a été initialement (correctement) prévue par le PDG de FreightWaves Craig Fuller à la fin du mois de mars et qui se réalise maintenant comme l'a démontré l'effondrement du cours des actions d'innombrables camionneurs et autres stocks de fret. Un peu plus à ce sujet :

    des niveaux de stocks élevés sont un événement attendu et devraient être accueillis favorablement. Dans une note de mardi, Amit Mehrotra, analyste des transports à la Deutsche Bank, a déclaré que l'augmentation du stock tampon fait partie du désir des détaillants d'avoir des marchandises disponibles lorsque les consommateurs scannent les étagères. Mehrotra a toutefois ajouté que les points de données se traduisent par un ralentissement probable des flux de fret dans les mois et trimestres à venir.

    Il a déclaré qu'une récession est déjà intégrée dans la plupart des actions de transport, notant que les actions de la plupart des entreprises de camionnage ont augmenté au cours des 30 derniers jours, tandis que le marché au sens large est inférieur d'environ 7 %.

    Les dernières données confirment également ce que Fuller de FreightWaves a dit dans un article ultérieur lorsqu'il s'est demandé si "la déflation était la prochaine" car "le Bullwhip était sur le point de faire le travail de la Fed sur l'inflation".

    Certes, tous les produits ne verront pas leur prix baisser : les matières premières, dont l'effet coup de fouet met beaucoup plus de temps à se manifester, s'étalant généralement sur plusieurs années dans les deux sens, commencent tout juste à voir leur cycle de prix plus haut. Cependant, d'autres produits - comme ceux proposés par les Walmarts et Targets du monde - sont sur le point de connaître une chute déflationniste comme nous n'en avons pas vu depuis la crise financière mondiale alors que les détaillants entament une vague de déstockage volontaire dont les goûts n'ont pas vu depuis plus d'une décennie.

    https://www.zerohedge.com/markets/bullwhip-effect-ends-bang-why-prices-are-about-fall-cliff

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  15. Les Américains ont perdu 20 000 milliards de dollars depuis le début de 2022


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 23 MAI 2022 - 12:55


    Citant des estimations de JPMorgan, au cours du week-end, Bloomberg a écrit que, grâce à une administration Biden terrifiée par ce que la flambée de l'inflation signifierait pour les démocrates à moyen terme, et une Fed qui est déterminée à faire n'importe quoi - même écraser le marché et déclencher une récession - pour Dans le cadre de l'appel d'offres "tuer l'inflation" de Joe Biden, les États-Unis sont confrontés à une nouvelle menace effrayante : une chute de la richesse que JPM estime à au moins 5 000 milliards de dollars, et qui pourrait atteindre 9 000 milliards de dollars d'ici la fin de l'année.

    En bref, la nation la plus riche du monde se réveille avec une sensation désagréable et inconnue : elle s'appauvrit... et pire que tout, elle s'appauvrit à la demande de ses propres dirigeants.

    Depuis le début de l'année, l'indice S&P 500 est en baisse de 18%, le Nasdaq 100 a perdu 27% et un indice Bloomberg des crypto-monnaies a plongé de 48%. Tout cela équivaut à "un choc de richesse qui devrait freiner la croissance au cours de l'année à venir", ont écrit les économistes de JPMorgan dirigés par Michael Feroli dans une note vendredi.

    Bien sûr, ce n'est pas nouveau pour les lecteurs réguliers qui connaissent cet effet secondaire désagréable de la phobie de Biden pour des prix plus élevés : nous l'avons souligné il y a près de deux semaines.

    Nous ne sommes cependant pas d'accord avec JPMorgan sur le fait que "seulement" 5 000 milliards de dollars ont été perdus jusqu'à présent : comme le montre le graphique suivant, la valeur nette des ménages américains - qui se compose presque entièrement d'actifs financiers (et d'une poignée de biens immobiliers) - suit le S&P avec un presque 1.000 corrélation. Eh bien, cela signifie qu'avec le S&P entrant brièvement dans un marché baissier vendredi et glissant d'environ 20% par rapport à son sommet historique, atteint quelques jours seulement en 2022 lorsque la valeur nette américaine a atteint 150 billions de dollars, cela signifie que les ménages américains ont vu environ 20 $ milliards de dollars de valeur nette disparaissent en 2022 sous Joe Biden, une perte bien plus importante que sous tout autre président américain de l'histoire.

    - voir graph sur site -

    L'une des raisons pour lesquelles Biden n'a pas paniqué à cause de ce crash record de la valeur nette des ménages américains, c'est que jusqu'à présent, les Américains les plus riches en ont fait les frais, avec des fortunes de milliardaires américains en baisse de 800 milliards de dollars depuis leur apogée au milieu des fortes pertes en actions, crypto et autres actifs financiers.

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  16. Les milliardaires ont été les plus grands gagnants de 2020 et 2021. Maintenant, ils perdent plus que presque tout le monde. L'indice Bloomberg Billionaires, une mesure quotidienne de la richesse des 500 personnes les plus riches du monde, a chuté de 1,6 billion de dollars depuis son sommet en novembre.

    En tête, les Américains de l'indice, qui ont perdu 797 milliards de dollars depuis leur apogée. Peut-être que la personne la plus humiliée par tout cela est la personne la plus riche du monde, Elon Musk. Il a perdu 139,1 milliards de dollars, soit 41% de sa richesse, depuis novembre, lorsque sa valeur nette a brièvement dépassé 340 milliards de dollars. Le fondateur d'Amazon.com Inc., Jeff Bezos, la deuxième personne la plus riche, a perdu 82,7 milliards de dollars, soit 39 % de sa richesse maximale.

    Mais ce n'est que le début, et la flambée des taux d'intérêt commence également à ébranler le marché du logement, où les familles de la classe moyenne et ouvrière détiennent l'essentiel de leur richesse.

    Tout cela s'ajoute à la suppression soudaine d'un pilier majeur de la confiance : des pécules toujours plus gros, ce qui est bien sûr exprès : dans ses tentatives d'éradiquer l'inflation la plus élevée depuis des décennies, la Fed a besoin que les Américains limitent leurs dépenses, même s'il faut un ralentissement économique pour y arriver. Cependant, on ne sait toujours pas exactement comment la Fed espère étouffer l'inflation du côté de l'offre sur laquelle les actions de la Fed n'ont aucun contrôle.

    De toute façon, ni les riches ni les pauvres ne sont heureux :

    "C'est douloureux de revenir à la normale après avoir vraiment été dans un monde imaginaire l'année dernière", a déclaré John Norris, économiste en chef à Oakworth Capital Bank. "Ça va être bien pire que ça ne l'est en réalité."

    Peut-être, mais c'est déjà assez terrible pour la plupart, et selon le dernier sondage d'approbation Biden, les choses n'ont jamais été pires, avec près de 70% disant que l'économie va mal, que le président sénile est "lent à réagir lorsque des problèmes surviennent", et que l'état du pays est "inquiétant" et "préoccupant".

    Tout ce que nous pouvons ajouter ici, c'est : attendez encore 2,5 ans de règne de Biden.

    Et bien que les pertes de richesse parmi les 0,001% les plus riches réduisent en fait les inégalités, cela ne réconfortera pas beaucoup la plupart des gens qui s'inquiètent des disparités croissantes aux États-Unis, en particulier ceux qui font semblant de s'inquiéter - comme la plupart des démocrates socialistes - alors que en réalité, espérant devenir eux-mêmes ultra riches en étant des politiciens de carrière qui ne réalisent jamais rien mais se contentent d'en parler (et dans le cas de Nancy Pelosi, en faisant des métiers assez rentables).

    "Dans un sens relatif, cela va réduire un peu l'iniquité – mais dans un sens absolu, tout le monde souffre", a déclaré Reena Aggarwal, directrice du Psaros Center for Financial Markets and Policy de l'Université de Georgetown.

    Comme beaucoup, Aggarwal craint que la chute des marchés ne crée des problèmes pour l'ensemble de l'économie. "Certaines corrections étaient nécessaires, mais c'est une correction assez énorme, et ça ne s'arrête pas."

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  17. Et si les riches sont peut-être un peu moins riches, ils survivront certainement. Le problème, c'est quand la douleur du ruissellement frappe la classe moyenne : un ralentissement du logement - rendu probable par une flambée des taux hypothécaires au plus haut depuis 2009, comme nous l'avons décrit dans "Is The Housing Crash Starting ?") - menace des répercussions plus larges. Au cours de la dernière décennie, le marché immobilier robuste a ajouté 18 billions de dollars en valeur marchande aux évaluations des maisons occupées par leur propriétaire.

    Pendant ce temps, les dépenses américaines ont été augmentées ces dernières années par les propriétaires qui exploitent la valeur de leurs maisons contre de l'argent, grâce aux HELOC. Comme prévu, la pratique de l'extraction de la valeur nette du logement s'est probablement arrêtée brutalement cette année après que plus de 40 % des refinancements au cours du dernier trimestre de l'année dernière aient vu les propriétaires retirer de l'argent de leur maison.

    - voir graph sur site -

    Et puisque l'immobilier est réparti plus uniformément que la richesse financière - alors que les 1% les plus riches possèdent plus de la moitié des avoirs américains en actions et en fonds communs de placement, dans l'immobilier, les 90% les plus pauvres possèdent plus de la moitié du total, tandis que les 1% les plus riches détient moins de 14% - la douleur du crash immobilier à venir se fera sentir bien plus largement que celle des FAAMG.

    "La hausse des prix des maisons et la forte hausse des taux hypothécaires ont réduit l'activité des acheteurs", a déclaré jeudi Lawrence Yun, économiste en chef de la National Association of Realtors. "Il semble que d'autres baisses soient imminentes dans les mois à venir."

    Pire encore, en raison du décalage des prix des maisons, il pourrait s'écouler un certain temps avant que les Américains ne réalisent que leurs gains pandémiques sur les prix des maisons se sont évaporés. Même la vente massive du marché boursier pourrait prendre un certain temps pour se traduire en dépenses d'une manière qui pourrait faire basculer les États-Unis dans la récession.

    "Une vente générale sur le marché boursier peut avoir un effet modérateur", a déclaré Chris Gaffney, président des marchés mondiaux à la TIAA Bank, mais il y a un décalage pour les investisseurs. "Ils consultent leurs relevés de compte tous les trimestres et tout d'un coup ils se disent : 'Oh mon Dieu, mon portefeuille boursier est en baisse de 20 %, peut-être que je ne devrais pas prendre ces vacances' ou 'Peut-être que je ne devrais pas achetez ce téléviseur plus grand ou une nouvelle voiture.

    https://www.zerohedge.com/markets/americans-have-lost-20-trillion-start-2022

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  18. Une vraie relance du nucléaire pour éviter la catastrophe cet hiver

    Décarboner de façon compétitive et résiliente l’économie française nécessite de disposer à cette échéance d’une puissance nucléaire complétée par un développement d’ENR compétitives.


    le 23 mai 2022
    François Henimann


    Cet article montre que la stratégie énergétique 2050 annoncée par le Président de la République nouvellement élu relance insuffisamment le nucléaire (14 EPR, 35 à 40 % du mix électrique), et laisse la France en grande fragilité pour la sécurité et l’indépendance de son approvisionnement électrique en hiver, malgré un appel massif à l’éolien maritime ruineux.

    Décarboner de façon compétitive et résiliente l’économie française à l’horizon 2050 nécessite de disposer à cette échéance d’une puissance installée nucléaire de l’ordre de 85 GW (60 à 65 % du mix électrique), complété par un développement des ENR compétitives dans le respect de l’environnement et du cadre de vie des Français.

    Dans un deuxième article, nous examinerons comment financer et organiser la réalisation d’un tel programme.

    Le revirement d’Emmanuel Macron sur le nucléaire est très insuffisant
    Lors de son discours prononcé le 10 février dernier à Belfort, le Président de la République a demandé à EDF d’entamer un programme de prolongation des réacteurs existants au-delà de 50 ans, en liaison avec l’Autorité de sûreté du Nucléaire (ASN).

    C’est un virage à 180° par rapport à la loi énergie-climat promulguée en 2019 et la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) décrétée en avril 2020, visant à fermer 14 réacteurs nucléaires d’ici 2035 pour réduire la part du nucléaire dans le mix électrique à 50 %, la fermeture des deux réacteurs de Fessenheim étant intervenue en 2020.

    Le Président a aussi demandé à EDF d’engager la construction de 6 réacteurs EPR2, avec un début de chantier en 2028, ainsi que l’étude d’une série complémentaire de 8 réacteurs, soit 14 EPR2 au total en service à l’horizon 2050.

    Un développement des SMR (petits réacteurs modulables) est également engagé, avec un budget de un milliard d’euros, dont 500 millions pour le projet porté par EDF (NUWARD).

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  19. Pour la partie nucléaire du mix électrique, cette annonce correspond au scénario n03 proposé par RTE dans son rapport « Futurs énergétiques 2050 » (voir figure 1), soit une puissance installée nucléaire maximum de 51 GW, contre 61,4 GW actuellement en service :

    23 GW correspondant aux 14 réacteurs EPR2
    24 GW correspondant aux réacteurs historiques ; dont EPR Flamanville, et 8 GW de réacteurs prolongés au-delà de 60 ans, ce qui est aléatoire
    4 GW correspondant à des SMR ; soit une douzaine de réacteurs de type NUWARD

    Par contre, Emmanuel Macron ayant enfin pris conscience que les besoins en électricité à l’horizon de la neutralité carbone ont été très sous-estimés dans sa politique énergétique (645 TWh, pour un besoin réel estimé à environ 800 TWh, qu’il a reconnu en citant le chiffre d’une production d’électricité supérieure de 60 % par rapport à la production actuelle), a annoncé des objectifs d’électricité renouvelable très supérieurs à ceux du scénario N03 de RTE, pour l’éolien maritime (40 GW contre 22 GW), et pour le solaire (100 GW, contre 70 GW) :

    - voir cadre sur site -

    Dans cette stratégie :

    Le recours massif à l’éolien maritime génère un niveau de subvention et de raccordement au réseau de l’ordre de 130 milliards d’euros sur 20 ans. En effet, le potentiel de l’éolien posé le long des côtes françaises étant limité (16 GW indiqué dans la PPE), il faudra 25 GW d’éolien flottant avec un coût de l’ordre de 150 €/MWh (raccordement compris), soit un surcoût de 80 €/MWh par rapport aux autres ENR et au nouveau nucléaire (voir Éolien maritime : quel potentiel pour la France).
    Renoncer à ce choix ruineux permettrait de financer la construction de 16 EPR supplémentaires qui produiraient avec la même puissance installée deux fois plus d’électricité, sans dépendre de la météo, et cela pendant 60 ou 80 ans, alors que la durabilité des éoliennes au large est bien inférieure.
    La capacité pilotable disponible en 2050 pour assurer la fourniture lors des vagues de froid hivernales ne dépassera pas 80 GW (dont 12 GW de capacités gaz), ce qui laissera la France entièrement dépendante d’importations onéreuses et carbonées, et surtout non garanties, face à des pointes de consommation qui pourront atteindre 110 GW (hors eau chaude, recharge des batteries de véhicules et production d’hydrogène), contre 100 GW actuellement. Ou alors, il faudra construire 30 GW de capacités supplémentaires en gaz, avec un risque majeur de dépendance géopolitique et de coût très élevé pour l’approvisionnement du combustible, comme le met en lumière la guerre en Ukraine.

    Enfin, le développement du programme de surgénérateur Astrid a été arrêté, alors qu’il est plus stratégique pour l’avenir en France que les SMR, dont le domaine d’application se situe principalement à l’exportation, notamment pour remplacer des centrales charbon ou contribuer au développement décarboné des pays émergents.

    L’avenir dépendra aussi de l’aboutissement des développements engagés par de nombreuses sociétés dans la fusion nucléaire, qui espèrent mettre au point des réacteurs commercialement exploitables lors de la prochaine décennie (voir article dans la revue « pour la science » avril 2022).

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  20. Pour une programmation énergétique intégrant une vraie relance du nucléaire
    Pour décarboner notre économie, c’est-à-dire nous affranchir de notre dépendance au pétrole et réduire sensiblement la consommation de gaz, un recours accru à l’électricité sera indispensable : les évaluations de différentes études intégrant une réindustrialisation de la France convergent vers une consommation de l’ordre de 800 TWh, pour une production de l’ordre de 860 TWh, compte tenu des pertes en réseau et du maintien souhaitable d’une capacité exportatrice (475 TWh en 2019, pour une production de 540 TWh).

    Le dimensionnement du parc de production dépend aussi, pour assurer la sécurité d’approvisionnement sans dépendre des importations des pays limitrophes, de la nécessité de disposer d’une capacité de production pilotable de l’ordre de 110 GW, les parcs éoliens n’offrant qu’une contribution marginale, et le solaire aucune contribution, lors des pointes de consommation hivernales, sous un régime météo anticyclonique.

    Hors nucléaire, l’hydraulique et les centrales bioénergies représentent environ 18 GW de capacité mobilisable, et il sera prudent de maintenir la capacité existante de 12 GW en cycles combinés gaz et turbines à combustion.

    Ces deux paramètres dimensionnants conduisent à prévoir à terme un parc nucléaire d’une capacité de l’ordre de 85 GW, soit 50 réacteurs EPR2 en 2060, quand seul l’EPR de Flamanville restera en service, parmi le parc actuel ou en construction. La capacité de production annuelle de ce parc nucléaire sera de l’ordre de 530 TWh, représentant environ 62 % du mix.

    Quelques SMR pourront se substituer à un ou deux EPR dans des zones géographiques isolées où un site EPR ne pourra être considéré (par exemple la Bretagne).

    S’agissant du site de Fessenheim, il serait souhaitable de le maintenir comme site nucléaire, en engageant une étude comparative entre la réactivation des deux réacteurs mis à l’arrêt (avec les investissements nécessaires), et la construction d’un EPR2.

    Il s’agit donc d’un programme de relance du nucléaire d’une ampleur et d’une ambition sans commune mesure avec celle annoncée par Emmanuel Macron, avec l’objectif de construire 35 à 40 EPR2 à l’horizon 2050 (selon les possibilités de prolongation des réacteurs existants), au lieu de 14, qui est considéré par la filière comme un maximum en fonction de ses capacités industrielles et en compétences actuelles : voir rapport.

    Il faudra donc être volontariste et retrouver l’esprit pionnier des années 1970 pour reconstituer une ingénierie et une filière industrielle à la hauteur de l’enjeu. Il y a eu à l’époque des recrutements massifs d’ingénieurs et de techniciens destinés au nucléaire qui sont montés progressivement en puissance, la construction des deux premières centrales (Fessenheim et le Bugey) servant de pépinière.

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  21. Pour illustrer cet esprit pionner, on pourra se reporter à la tribune publiée par Jean Bergougnoux, ex directeur général d’EDF, dans La revue de l’énergie n°660, à l’occasion des 100 ans de Marcel Boiteux, emblématique patron d’EDF de 1967 à 1987. Dans cette tribune relatant l’engagement du programme électronucléaire décidé par le gouvernement Messmer en réaction au premier choc pétrolier de 1973, on lit que Marcel Boiteux a répondu en moins d’une journée au gouvernement qu’EDF serait capable d’engager jusqu’à 6 ou 7 tranches nucléaires par an… ce qui fût décidé sur le champ, avec 58 réacteurs réalisés à l’an 2000 !

    Sur le plan de la faisabilité des sites existants, EDF a déjà sélectionné les sites de Penly, Gravelines, Tricastin et Bugey pour chacun une paire de réacteurs : il est donc possible de porter la première série à 8 réacteurs. Compte tenu des délais pour les études de finalisation du design et des procédures administratives préparatoires, et de délais de construction réalistes, l’objectif serait de mettre en service la paire tête de série en 2034 et 2035, et ensuite d’accélérer la cadence pour mettre en service les 3 autres paires entre 2036 et 2039.

    Pour la suite, le rythme d’engagement nécessaire est de trois EPR2 par an à partir de 2027, mais il faudra rapidement identifier le potentiel de construction sur les sites existants et sélectionner de nouveaux sites si nécessaire.

    En complément des parcs nucléaires, hydraulique et biomasse, une capacité en ENR intermittente sera nécessaire pour atteindre le volume de production nécessaire : de l’ordre de 210 TWh (25 % de la production), son intégration dans le réseau ne représentera pas d’investissements en réseau significativement supérieurs à la situation actuelle (le coût réseau représente en moyenne 8 €/MWh).

    Il sera fait appel modérément à l’éolien en mer, avec de l’éolien posé, pour autant que les inconvénients sur l’environnement, la faune animale et l’activité des pêcheurs soient jugés supportables.

    Le développement des ENR ne demandera que peu ou pas de subventions au-delà des contrats en cours, à l’exception des 6 premiers parcs éoliens en mer (3 GW), qui sont engagés à un coût élevé (175 €/MWh raccordement compris).

    Le solaire peut être en partie auto-consommé sur place (installations sur toiture des bâtiments), ou économisé ou reconstitué par pompage de précieuses ressources hydrauliques dans les barrages, et l’éolien peut être l’outil principal de la production d’hydrogène bas carbone, en auto-consommant sur place plus de 90 % de la production, avec un complément par le nucléaire quand le vent manque pour assurer une continuité de production (en-dehors des heures de pointe).

    - voir cadre sur site -

    https://www.contrepoints.org/2022/05/23/427760-une-vraie-relance-du-nucleaire-pour-eviter-la-catastrophe-cet-hiver

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    1. Tant qu'il y aura des ATTARDÉS-MENTAUX aux commandes à vouloir 'décarbonner' l'air !!!!! ou comme 'Ordre de vider les mers avant qu'elles ne montent !' C'est du trisomique, du moins que rien, du sortie d'écoles de cons.

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  22. EDF : RETARD SUPPLÉMENTAIRE POUR L'EPR DE HINKLEY POINT


    par OLIVIER SANCERRE
    21/05/2022


    L'EPR Hinkley Point C devrait coûter 26 milliards de livres sterling.

    Les EPR ont décidément bien du mal à respecter les promesses faites par EDF. L'énergéticien français a annoncé un nouveau report de la mise en route de l'EPR de Hinkley Point, en Angleterre. La facture des travaux s'alourdit.

    Nouvelle déconvenue pour un EPR. Cette fois, c'est de Hinkley Point C, en Angleterre, qui connait un nouveau retard à l'allumage. Le premier réacteur de la centrale nucléaire de nouvelle génération, qui devait entrer en activité en juin 2026 (ce qui était déjà un report, la date originale étant 2025), est finalement reporté en juin 2027. Pour les deux unités de cet EPR basé dans le Somerset, dans le sud-ouest de l'Angleterre, le risque de retard est évalué à 15 mois. EDF explique que la pandémie a retardé les travaux, tandis que les études de génie civil se sont accumulées.

    Un coût faramineux

    La nouvelle fenêtre de mise en route est sous réserve d'autres conséquences de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine, prévient EDF. Le chantier, débuté en 2016, voit sa facture s'alourdir : à l'origine, elle était d'un montant de 18 milliards de livres sterling. Avec ce retard, elle pourrait atteindre les 26 milliards… Du côté du gouvernement britannique, on calme le jeu en assurant vouloir continuer à travailler avec EDF pour finaliser Hinkley Point C. Mais pour l'EPR, cet énième report est une mauvaise nouvelle de plus.

    L'EPR de Flamanville prévu pour 2023
    Sur les six modèles dans le monde, trois sont terminés : les deux en Chine ont démarré leur production en 2018 et 2019, mais un d'entre eux est en maintenance depuis l'an dernier. Olkiluoto-3, l'EPR finlandais, a 12 ans de retard au compteur mais il a finalement été lancé en mars 2022. Celui de Flamanville, dans la Manche, enchaîne report sur report : le chargement du combustible est désormais prévu pour le deuxième trimestre 2023 et son coût est de près de 13 milliards d'euros. C'est quatre fois plus cher que ce qui avait été annoncé en 2016.

    http://www.economiematin.fr/news-edf-retard-supplementaire-pour-l-epr-de-hinkley-point

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  23. LES CAHIERS VONT COÛTER PLUS CHER À LA RENTRÉE


    par CÉDRIC BONNEFOY
    23/05/2022


    À cause de l'augmentation du prix des matières premières, les cahiers coûteront au minimum 20% plus cher à la rentrée.

    C’est encore une des conséquences de la guerre en Ukraine et de l’augmentation des matières premières, les prix des cahiers vont augmenter lors de la prochaine rentrée scolaire.

    les cahiers, 20 à 25% plus chers

    Le conflit en Ukraine n’en finit plus d’impacter le porte-monnaie des Français. Après l’essence, le blé ou encore les denrées alimentaires, cette fois ce sont les cahiers pour l’école qui sont touchés. Alors que l’année scolaire n’est pas encore terminée, les parents se projettent sur celle de septembre. Comme chaque année à cette période, chaque foyer prévoit un budget fourniture scolaire. En septembre, il sera en hausse.

    Première fourniture touchée par l’explosion des prix : les cahiers. Le leader européen Oxford prévient déjà : à la rentrée, ils couteront entre 20 et 25% plus cher. Les raisons : la guerre et l’envolée des prix des matières premières pour les fabriquer. Une mauvaise nouvelle pour les foyers les plus modestes. Le mois de septembre est généralement un mois de dépenses avec le retour sur les bancs de l’école des enfants.

    Une hausse généralisée des matières premières

    La production des cahiers qui seront disponibles dans les magasins dès le début de l’été est actuellement en cours dans le site de production d’Oxford. Il explique cette hausse annoncée par l’envolée du prix du papier depuis plusieurs mois. Selon le fabricant, son coût est multiplié par deux par rapport à l’année dernière. En plus de ce coup supplémentaire, la colle, le fil d’agrafe et les couvertures voient aussi leur prix monter en flèche. Ils atteignent des niveaux rarement atteints jusqu’à présent.

    Si Oxford peut supporter une partie des coups, il est aussi obligé d’en répercuter une partie, c’est ce qui explique cette hausse. Face à l’incertitude des semaines à venir, le fabricant n’exclut pas de nouvelles augmentations.

    http://www.economiematin.fr/news-cahier-hausse-prix-rentree-scolaire

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  24. CARBURANTS : L'ALLEMAGNE LANCE SA RISTOURNE DEUX FOIS PLUS ÉLEVÉE QU'EN FRANCE


    par PAOLO GAROSCIO
    23/05/2022


    Début mai 2022, le prix des carburants en France a frôlé les 2 euros le litre malgré la mesure gouvernementale.

    Les habitants des départements frontaliers avec l’Allemagne vont potentiellement connaître une inversion des flux de trafic au niveau des stations-essence. Dès juin 2022, l’Allemagne va lancer sa propre version de la ristourne à la pompe sur les carburants… et elle s’annonce très intéressante, surtout sur l’essence.
    L’Allemagne va baisser les prix de l’essence de 30 centimes d’euro le litre

    Alors que le gouvernement allemand n’avait, jusqu’à présent, pas encore pris de mesure pour le pouvoir d’achat des automobilistes, c’est chose faite : le 1er juin 2022, une mesure comme celle lancée en France ou encore en Italie est prévue. L’Allemagne aura sa ristourne à la pompe.

    Celle-ci est toutefois un peu différente que celle en vigueur en France depuis le 1er avril 2022 : la ristourne allemande sera plus de deux fois plus intéressante pour les automobilistes qui roulent à l’essence que pour ceux qui roulent au diesel. Le prix au litre de l’essence sera en effet baissé de 30 centimes d’euro le litre, contre seulement 14 centimes d’euro pour le diesel.

    Acheter le diesel en France, l’essence en Allemagne

    Au niveau des plus de 400 kilomètres de frontière entre l’Allemagne et la France, les automobilistes devront donc choisir : où faire le plein ? De quelle ristourne profiter ?

    Si le prix à la pompe sera de toute manière au centre de ce choix stratégique qui peut permettre d’économiser quelques euros sur son plein, la tendance devrait être la suivante :

    - les automobilistes qui roulent à l’essence auront tout intérêt à acheter leur carburant en Allemagne pour profiter des 30 centimes d’euro le litre, contre seulement 18 centimes en France ;

    - les automobilistes qui roulent au diesel devront faire plus attention car si, sur le papier, la ristourne française est plus intéressante (18 centimes contre 14 centimes le litre), le prix réel pourrait en décider autrement.

    http://www.economiematin.fr/news-carburant-ristourne-prix-pompe-allemagne-diesel-essence

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  25. Sénateur : La frontière sud des États-Unis ressemble à une « zone de guerre »


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 23 MAI 2022 - 16:09
    Écrit par Steve Watson via Summit News,


    Le sénateur du Kansas GOP, Roger Marshall, a déclaré dimanche à Fox News que la frontière sud ressemblait à une «zone de guerre» et que Joe Biden devrait jeter un coup d'œil en personne à la «crise insoutenable» à laquelle sont confrontés les agents frontaliers chaque nuit.

    S'exprimant au bord de la rivière Rio Grande au Texas, Marshall a déclaré "c'est une tragédie humaine ici", ajoutant "La nuit, cela ressemble à une zone de guerre. Il y a une mer de crises humanitaires ici chaque soir. Et chaque jour, ça se vit aussi.

    Le sénateur a poursuivi: «Je veux juste crier aux agents de la patrouille frontalière. Ils font un travail incroyable, le ministère de la Sécurité publique ici au Texas. Toutes ces personnes font de leur mieux, mais elles sont tout simplement dépassées.

    "C'est une crise insoutenable. C'est une zone de guerre tous les soirs », a réitéré Marshall, ajoutant« J'appelle Joe Biden à venir ici et à voir cela par lui-même. Et je ne veux pas dire faire un arrêt aérien à l'aéroport ici à McAllen. Il doit descendre; passer du temps sur la rivière.

    "Il doit pêcher les gens hors de cette rivière Rio Grande derrière moi après qu'ils aient parcouru des milliers de kilomètres", a affirmé Marshall, ajoutant que Biden devrait "remonter l'autoroute ici à 60 miles et récupérer les personnes qui voyagent depuis deux ou trois jours sans eau dans le désert ici aussi.

    « Il doit accompagner les agriculteurs et les éleveurs qui trouvent maintenant des cadavres dans leurs ranchs. Presque tous les jours maintenant, ils trouvent des cadavres », a poursuivi le sénateur.

    Regarder:

    - voir clip sur site -

    Breitbart News a rapporté dimanche que les migrants qui attendaient la levée du titre 42 par l'administration Biden se sont lassés et ont commencé à franchir la frontière.

    Selon une source opérant au sein des douanes et de la protection des frontières des États-Unis, 3 600 migrants ont été appréhendés en traversant la frontière ce week-end, dépassant le décompte du week-end dernier d'environ 2 800 arrestations dans le secteur de Del Rio.

    Une source d'application de la loi au sein du CBP a également suggéré qu'entre le 1er avril et le 15 mai, environ 513 000 migrants ont traversé illégalement la frontière sud-ouest avec le Mexique.

    https://www.zerohedge.com/political/senator-southern-us-border-resembles-war-zone

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  26. INÉGALITÉS : LES MILLIARDAIRES DÉTIENNENT PRÈS DE 5 FOIS LE PIB FRANÇAIS


    par PAOLO GAROSCIO
    24/05/2022


    La richesse des milliardaires en 2021 représente 13,9% du PIB mondial.

    L’explosion de la fortune des milliardaires durant la pandémie de Covid-19 a été fortement commentée, et l’ONG Oxfam en rajoute une couche. Elle souligne notamment que le nombre de milliardaires dans le monde a fortement augmenté, alors que plus de 250 millions de personnes tomberont dans la pauvreté extrême en 2022.

    573 milliardaires de plus dans le monde depuis 2020

    En se basant sur les données du classement des milliardaires de Forbes publié au premier trimestre 2022, l’ONG Oxfam a fait les calculs dont elle a l’habitude pour démontrer que les inégalités de richesse se sont creusées. Depuis 2020, 573 personnes de plus ont dépassé le seuil symbolique du milliard de dollars de fortune. Fin 2021, le nombre de milliardaires a ainsi atteint le record de 2.668 personnes.

    Oxfam souligne que cette augmentation du nombre d’ultra-riche représente tout simplement la création d’un nouveau milliardaire toutes les 30 heures durant les deux ans de pandémie.

    Et, bien évidemment, la fortune globale de ces derniers a explosé : elle a grimpé, sur la période, de 3.780 milliards de dollars, soit plus que l’équivalent du PIB français qui est d’environ 2.600 milliards de dollars.

    Cumulée, la fortune des 2.668 hommes et femmes les plus riches du monde représente 12.700 milliards de dollars, en hausse de 42% sur deux ans et l’équivalent de plus de 4,5 fois le PIB de la France (ou près de la moitié du PIB des États-Unis).

    La crise de la Covid-19 a durement touché les plus pauvres

    Alors que les plus riches ont vu leur fortune exploser au point que désormais, selon Oxfam, les 10 personnes les plus riches du monde détiennent autant de richesse que les 40% les plus pauvres de l’ensemble de la planète (soit environ 3 milliards de personnes), les plus pauvres ont fortement souffert.

    « Les revenus de 99 % de l’humanité ont baissé à cause de la COVID-19 », écrit l’ONG dans son rapport publié le 23 mai 2022. Tout particulièrement, les 40% les plus pauvres ont vu leurs revenus baisser, s’établissant à 6,7% de moins que les « projections pré-pandémie ».

    http://www.economiematin.fr/news-inegalites-milliardaires-richesse-rapport-oxfam-covid

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  27. La « guerre du blé » mondiale est imminente


    Arrêt sur info
    22 mai 2022


    L’Occident pourrait être contraint de demander des céréales à la Russie en échange de la levée des sanctions.

    RT.com – 18 Mai, 2022

    Les prix du blé ont atteint des niveaux record au cours des deux derniers mois, les principaux producteurs comme la Russie, le Kazakhstan et l’Inde ayant supprimé les exportations pour protéger leurs marchés intérieurs. Cette situation a suscité des craintes d’insécurité alimentaire et de famine dans le monde entier.

    Selon des experts qui se sont entretenus avec le journal russe Izvestia, le prix du blé a augmenté de plus de 60 % depuis le début de l’année. Ils affirment que cette flambée a été causée par le conflit entre la Russie et l’Ukraine, qui fournissent près d’un tiers des exportations de blé de la planète.

    Au cours de la saison 2021-2022 qui a débuté en juillet dernier, les fournisseurs russes représentaient 16 % des exportations mondiales de blé, et les producteurs ukrainiens 10 %. Mais en raison du conflit, les deux pays ont interdit les exportations de blé. En février, la Russie a restreint l’exportation de toutes les céréales (blé, seigle, orge et maïs) en dehors de l’Union économique eurasienne (UEE) jusqu’au 30 juin. Pendant ce temps, l’Ukraine a fermé son seul port restant, à Odessa.

    Les sanctions anti-russes ont contraint les entreprises internationales à rompre des liens commerciaux de longue date et à quitter la Russie, ce qui a provoqué des ruptures d’approvisionnement. À titre d’exemple, l’UE a récemment interdit toute coopération avec le port commercial de Novorossiysk sur la mer Noire, par lequel transite plus de la moitié des céréales exportées.

    En outre, après la décision de Moscou d’interdire les exportations, le Kazakhstan a fait de même avec ses propres restrictions, tandis qu’au début du mois, l’Inde a également supprimé l’exportation de blé, déclarant que « la sécurité alimentaire de l’Inde, des pays voisins et d’autres pays vulnérables est en danger. »

    À la suite de la nouvelle en provenance de New Delhi, les prix à terme du blé à Chicago ont bondi de 6 % pour atteindre 12,47 dollars le boisseau, leur valeur la plus élevée en deux mois. Et le prix du blé en Europe a atteint un sommet historique d’environ 461 dollars la tonne.

    La crise des céréales se fait sentir dans le monde entier, mais surtout en Afrique, qui dépend des exportations de la région de la mer Noire pour 90 % de ses besoins. Le mois dernier, le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a averti qu’un cinquième de l’humanité était menacé par la pauvreté et la faim en raison de la situation actuelle sur le marché du blé.

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  28. Les États occidentaux ont accusé la Russie de déclencher une « guerre du blé », rejetant la responsabilité de la crise actuelle sur Moscou, mais les experts affirment que la Russie n’est pas la seule responsable de l’aggravation de la crise, ou si elle l’est, elle ne l’est pas volontairement. La Russie n’a pas interdit les exportations mais a introduit des droits et des quotas temporaires pour protéger le marché intérieur. Quant à l’Ukraine, ses céréales sont activement retirées du stockage sous couvert de l’aide de l’UE. Le plus haut diplomate de l’Union européenne, Josep Borrell, a récemment déclaré que « l’Ukraine devrait être aidée à continuer de produire et d’exporter des céréales et du blé » et que, les installations de stockage ukrainiennes étant désormais pleines, elles « doivent être vidées pour faire de la place à une nouvelle récolte ».

    Citant des experts, Izvestia note que la Russie et l’Ukraine ne sont pas les seuls grands exportateurs mondiaux de blé. D’autres producteurs pourraient sauver le marché mondial de la crise, par exemple les États-Unis et le Canada, qui exportent respectivement 26 et 25 millions de tonnes de blé, soit environ 25 % des exportations mondiales. Les autres grands producteurs occidentaux sont la France (19 millions de tonnes) et l’Allemagne (9,2 millions de tonnes). Toutefois, selon les analystes, il est peu probable que ces pays partagent leurs céréales avec les personnes dans le besoin, donnant la priorité à leur propre sécurité alimentaire.

    « Les pays producteurs auront leurs propres difficultés, principalement liées aux prix de l’énergie, aux coûts de production et à l’inflation. Il est donc probable qu’ils seront tout simplement trop occupés pour s’occuper des pays qui seront contraints de mourir de faim », a déclaré Nikolai Vavilov, spécialiste de la recherche stratégique chez Total Research.

    Selon un autre expert, Daria Akimova, chef du département d’analyse de la société de recherche NTech, ces pays voudraient conserver leurs matières premières pour protéger leurs économies contre de nouvelles poussées d’inflation.

    « Afin de se protéger de la faim à l’intérieur du pays et de réduire leur propre inflation, les pays producteurs tentent de conserver les matières premières. Car en cas d’instabilité monétaire, et en fait de toute instabilité, il est toujours plus rentable d’avoir des matières premières que des liquidités : elles ne se déprécient pas aussi vite que les devises », rapporte le journal en citant Mme Akimova.

    Les experts ne parviennent pas à prédire comment la situation du marché du blé va évoluer. D’une part, selon Viktor Tunev, analyste en chef d’Ingosstrakh Investments, les problèmes d’approvisionnement d’une denrée aussi largement produite que le blé seront très probablement résolus par la nouvelle récolte, ainsi que par le rétablissement des approvisionnements en provenance d’Ukraine et de Russie une fois le conflit résolu.

    D’un autre côté, on ne sait pas exactement combien de temps il faudra pour résoudre le conflit. Certains experts affirment que les États occidentaux seraient contraints, à un moment donné, de demander à la Russie de partager ses approvisionnements en échange de la levée des sanctions.

    Source: https://www.rt.com/business/555679-grain-crisis-russia-sanctions

    Traduction Arretsurinfo.ch

    https://arretsurinfo.ch/la-guerre-du-ble-mondiale-est-imminente/?utm_source=feedly&utm_medium=rss&utm_campaign=la-guerre-du-ble-mondiale-est-imminente

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  29. Cinq défis majeurs auxquels est confrontée l'industrie de l'énergie


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 24 MAI 2022 - 03:40
    Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,


    Des prix record à la pompe, une pénurie imminente de diesel au début de la saison estivale et une OPEP peu coopérative sont probablement les raisons de nombreux maux de tête parmi les responsables gouvernementaux du monde entier.

    Pourtant, ce sont, en fait, des manifestations de problèmes plus profonds dans l'industrie de l'énergie.

    Sous-investissement

    Au cours de la dernière décennie, l'Europe et, dans une moindre mesure mais non moins importante, l'Amérique du Nord, se sont donné pour mission de réduire leur dépendance aux combustibles fossiles et d'accroître leur dépendance aux énergies renouvelables.

    Cela a stimulé un exode des investisseurs du pétrole et du gaz et l'émergence de la soi-disant tendance d'investissement ESG. L'argent pour les nouveaux développements pétroliers et gaziers est devenu plus difficile à exploiter à mesure que les banques rejoignent le mouvement ESG et que les entreprises ont dû réduire leurs dépenses.

    Le ministre saoudien du pétrole a averti que le sous-investissement dans le pétrole et le gaz aurait un effet boomerang sur les consommateurs plus tôt cette année, et il n'est pas le seul. De nombreux responsables de l'OPEP ont lancé le même avertissement mais, apparemment, en vain. Après tout, nul autre que l'Agence internationale de l'énergie a déclaré l'année dernière que le monde n'avait pas besoin de nouvelles explorations pétrolières et gazières, car nous n'aurons plus besoin de nouveaux approvisionnements en pétrole ou en gaz.

    Bien sûr, ce n'est que quelques mois plus tard que l'AIE a changé de ton, appelant l'OPEP à relancer la production, et elle a démontré l'une des dures réalités de l'industrie énergétique : on ne peut pas inverser un processus qui dure depuis des années dans une question de mois.

    Faibles taux de découverte

    Sujet dont on parle peu, le taux moyen de nouvelles découvertes pétrolières et gazières est en quelque sorte comparable au taux de conversion moyen des panneaux solaires : il est bien inférieur à 30 %.

    Bloomberg a récemment rapporté que trois puits que Shell avait forés au large du Brésil s'étaient asséchés. Le supermajor avait payé 1 milliard de dollars pour les droits de forage dans la région et avait passé trois ans à forer pour arriver les mains vides. Exxon n'avait pas non plus exploité de réserves de pétrole importantes dans ses blocs brésiliens, ce qui lui a coûté 1,6 milliard de dollars.

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  30. La nouvelle met en évidence la nature risquée de l'exploration pétrolière et gazière, même dans des endroits comme le Brésil, qui a été présenté comme le prochain point chaud de l'industrie, probablement aux côtés de la Guyane. Le Brésil est devenu un aimant pour les supermajors en raison de sa zone présalifère prolifique, mais, comme l'a dit un consultant local en énergie à Bloomberg, les grandes découvertes ont déjà été faites, à l'époque où le taux de découverte était proche de 100 %.

    Le taux moyen de découvertes réussies pour l'industrie pétrolière et gazière est cependant bien inférieur à cela, à 24,8%, selon Bloomberg. Et il y a de moins en moins de grandes découvertes à faire.

    Inflation des coûts de production

    Les tendances générales de l'inflation, en grande partie dues à la flambée des coûts de l'énergie, n'ont pas dépassé l'industrie de l'énergie elle-même. Dans la zone de schiste aux États-Unis, les coûts de production ont augmenté d'environ 20 %. Deux sociétés ont récemment averti qu'elles feraient état de coûts plus élevés pour leur deuxième trimestre, Continental Resources et Hess Corp, et elles sont loin d'être les seules à subir ces coûts plus élevés.

    Les pénuries de matières premières telles que le sable de fracturation et, plus tôt cette année, la tuyauterie en acier pour les puits, sont l'une des raisons de l'inflation des coûts de production, non seulement dans la zone de schiste, mais partout où ces matières premières sont utilisées dans les champs pétrolifères. La pénurie de main-d'œuvre est également un problème particulier pour la zone de schiste aux États-Unis, ce qui contribue à faire grimper les coûts de production. Les problèmes persistants de la chaîne d'approvisionnement dus à la pandémie sont également dans le mélange.

    Le plus gros problème est que l'industrie ne s'attend pas non plus à un répit dans les mois à venir, comme l'a récemment rapporté Argus, citant des dirigeants du secteur pétrolier et gazier. La compression des coûts de production survient à un moment où le gouvernement fédéral a vraiment besoin de plus de pétrole et de gaz, ce qui est probablement le pire moment possible car il a encore découragé les foreurs de dépenser davantage pour de nouveaux forages.

    Cyber-attaques

    La cybersécurité est devenue une source de préoccupation dans le secteur de l'énergie au cours des dernières années, les cyberattaques se multipliant considérablement. Le piratage du Colonial Pipeline a vraiment aidé à mettre les choses en perspective sur le front de la cybersécurité, mais peu d'actions ont suivi, semble-t-il.

    Une toute nouvelle enquête menée par DNV, le cabinet norvégien de conseil en évaluation des risques et en assurance qualité, a révélé cette semaine que l'industrie est assez mal à l'aise face aux cybermenaces et, pire encore, pas vraiment préparée à les gérer.

    Selon l'étude, 84 % des dirigeants s'attendent à ce que les cyberattaques entraînent des dommages physiques aux actifs énergétiques, tandis que plus de la moitié (54 %) s'attendent à ce que les cyberattaques entraînent la perte de vies humaines. Quelque 74 % des personnes interrogées s'attendent à des dommages environnementaux à la suite d'une cyberattaque. Et seulement 30 % savent quoi faire si leur entreprise devient la cible d'une telle attaque.

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  31. Géopolitique

    Risque le plus chronique de l'industrie de l'énergie, la géopolitique n'est jamais loin lorsque les prix commencent à osciller sauvagement ou, comme c'est le cas en ce moment, restent obstinément élevés. La perspective d'un embargo pétrolier de l'UE sur la Russie, bien que s'estompant ces derniers jours, est un facteur haussier important pour les prix du pétrole. L'absence de progrès dans les pourparlers sur le nucléaire iranien en est un autre. Et puis il y a, bien sûr, la réticence évidente de l'OPEP à répondre aux appels de l'Occident pour plus de pétrole.

    La Russie elle-même ne semble pas du tout gênée par les perspectives d'embargo. "Le même pétrole qu'ils [les pays de l'UE] nous ont acheté devra être acheté ailleurs, et ils paieront plus, car les prix vont certainement augmenter ; et une fois que le coût de la livraison et du fret augmentera, il faudra investir dans la construction de l'infrastructure correspondante », a déclaré cette semaine le vice-Premier ministre Alexander Novak.

    L'Iran augmente quant à lui ses exportations de pétrole, qui vont presque exclusivement vers la Chine. Le pays a signalé qu'il n'accepterait pas un accord avec les États-Unis à moins que les États-Unis ne répondent à leurs demandes, et il semble que la balle soit maintenant dans le camp de Washington. En attendant, la Chine aura du pétrole iranien, mais personne d'autre n'en aura.

    Pour les États-Unis, le problème des prix est devenu si grave que le président Biden cherche maintenant à rencontrer le prince héritier saoudien Mohammed, avec qui il a toujours refusé de communiquer, communiquant plutôt avec son père, le roi Salmane. Biden a également ouvertement critiqué MbS pour son rôle présumé dans le meurtre d'un journaliste saoudien dissident, qualifiant le Royaume de "paria" sans "aucune valeur sociale rédemptrice". La géopolitique peut être délicate.

    https://www.zerohedge.com/energy/five-major-challenges-facing-energy-industry

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    1. (...) combustibles fossiles et d'accroître leur dépendance aux énergies renouvelables. (...)

      Le gaz, le pétrole et le charbon font partie des énergies renouvelables puisqu'ils sont abiotiques (éternels comme l'air et l'eau).

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  32. "J'ai besoin de sortir le foutre de cette voiture": deux Teslas distinctes se sont allumées la semaine dernière, un conducteur piégeant, un siège d'auto pour enfant en feu


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 24 MAI 2022 - 01:20


    Éruptions solaires ? L'alignement des planètes ? Une qualité de production tout simplement horrible ? Quelle explication possible pourrait-il y avoir pour que deux Teslas distinctes prennent feu à quelques jours d'intervalle ce week-end ?

    En fait, les incidents en question se sont déroulés si près les uns des autres, que nous n'avons même pas pu finir d'écrire sur l'une des histoires avant que l'autre ne se brise - nous les avons donc combinés en un seul morceau.

    Tout d'abord, il a été signalé à la fin de la semaine dernière qu'un incendie en Californie avait été déclenché par une Tesla Model 3 2019.

    Le propriétaire Ediel Ruiz a déclaré qu'après avoir fait un voyage dans le véhicule, il a été accueilli par une notification sur son téléphone indiquant que l'alarme de sa voiture se déclenchait. Lorsqu'il a regardé la voiture à l'extérieur, elle était remplie de fumée et de flammes.

    Ruiz a déclaré que la première chose à fondre était le siège auto de son enfant de 4 mois, selon KBAK.

    "Honnêtement, je ne savais pas comment réagir, je veux dire que c'est juste arrivé", a-t-il déclaré. «Nous avions ça, la poussette, la formule, [son partenaire] venait juste d'obtenir son diplôme de l'USC la veille. Toutes ses affaires de fin d'études ont brûlé.

    « Nous devions aller à Bakersfield pour aller manger au Texas Roadhouse. Heureusement, pour une raison quelconque, ses grands-parents ont annulé et nous n'y sommes pas allés. Cela ne s'est pas produit pendant que nous conduisions.

    Il a appelé le service d'incendie de la ville de Californie pour aider à retirer le véhicule après l'incendie : « J'ai essayé de faire comprendre que la voiture avait complètement disparu. Je ne pense pas qu'ils aient compris à quel point l'incendie était grave. Alors quand il s'est présenté, il a dit: "Je ne suis pas préparé ou équipé pour enlever ça, je ne peux pas conduire ça sur l'autoroute ou les cendres iront partout."

    Puis, lundi matin, electrek a rapporté qu'un modèle Y presque neuf avait pris feu après s'être éteint pendant la conduite. L'incident s'est produit vendredi dernier, lorsque le propriétaire a déclaré que la voiture "a envoyé une notification d'erreur puis s'est éteinte" avant que la cabine ne commence à se remplir de fumée.

    Il a dit aux pompiers: "J'ai dû briser la vitre pour sortir de la voiture. J'ai donné un coup de pied à travers la vitre. Tout s'arrête. L'électricité n'a pas fonctionné. La porte ne s'est pas ouverte. Les vitres ne se sont pas baissées, alors je pense que je dois foutre le camp de cette voiture, alors j'ai lancé."
    "Oh putain, il y a le feu", peut-on entendre quelqu'un dire sur la vidéo. "Je jure devant Dieu, tout d'un coup ma voiture vient de s'arrêter, elle a juste dit 'erreur, erreur, erreur', et puis tout d'un coup la batterie a commencé à fumer..."

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  33. "Il va être intéressant de voir les résultats de cette enquête", a écrit electrek. A quoi on demande, quelle enquête ?

    Voici la vidéo de l'incident, où vous pouvez voir clairement comment le conducteur a dû ouvrir la fenêtre :

    - voir sur site -

    https://www.zerohedge.com/markets/i-need-get-fck-out-car-two-separate-teslas-ignite-last-week-one-trapping-driver

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    1. Et, à dire aussi qu'en cas d'incendie... ce n'est pas UN camion de pompier qu'il faut (car ce n'est pas un feu d'essence ou gas-oil) mais DIX camions ! (because batterie !).

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  34. Collapsifornie : le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, imposera le rationnement de l'eau, de la nourriture et de l'énergie


    Lundi 23 mai 2022
    par : Mary Villareal


    (Natural News) Le gouverneur Gavin Newsom a fait pression pour la conservation lors de sa récente visite dans une installation de recyclage de l'eau du sud de la Californie. Le gouvernement est sur le point d'imposer des rations d'eau, de nourriture et d'énergie, laissant les Californiens incapables de chauffer ou de refroidir leurs maisons tout au long de l'année.

    Ils ont déjà fait ce rationnement en Californie, mais on ne sait pas à quel point ça va aller cette fois. De plus, les prix du gaz ont de nouveau grimpé en flèche et les États-Unis ont déjà atteint une moyenne nationale record.

    Cependant, toutes ces pénuries sont intentionnelles. L'hôte d'InfoWars, Owen Shroyer, a noté que les États-Unis avaient la technologie pour faire pleuvoir. Par exemple, le Texas a un programme de modification du temps administré par le Texas Department of Licensing and Regulation (TDLR).

    Selon le site Web de l'agence, ce programme concentre les efforts pour produire des précipitations supplémentaires en utilisant l'ensemencement des nuages. C'est une technique de modification du temps qui utilise de l'iodure d'argent pour lier les gouttelettes de nuages ​​​​pour former des cristaux de glace, qui se transforment en flocons de neige et tombent sous forme de pluie.

    Ceci est largement utilisé dans l'ouest et le sud du Texas pendant la saison de croissance, s'étendant du printemps à l'automne chaque année. Cette technologie d'ensemencement des nuages ​​couvre environ un sixième de la superficie de l'État et est principalement utilisée pour améliorer les précipitations à l'aide d'aéronefs et de données radar météorologiques sophistiquées.

    Les décisions de déploiement d'avions et de dispersion de matériel d'ensemencement sont prises par des météorologues spécialement formés par le TDLR pour la modification du temps.

    Si le Texas peut faire pleuvoir, pourquoi la Californie ne peut-elle pas faire la même chose ?

    US Drought Monitor : la Californie dans des conditions extrêmement sèches
    La Californie est dans des conditions extrêmement sèches, selon le U.S. Drought Monitor. C'est pourquoi les agences de l'eau du sud de la Californie et au-delà tentent de tirer davantage d'eau des tempêtes.

    En mars, le U.S. Drought Monitor a montré que 40% de l'Ouest est classé comme étant en "sécheresse exceptionnelle", qui est la plus grave de tous les niveaux.

    "Nous n'avons pas eu beaucoup de pluie ou de neige en hiver, ce qui est préoccupant, car nous espérons mettre un gros coup dans la sécheresse", a déclaré Brian Fuchs, climatologue au National Drought Mitigation Center. « On dirait que ça va être une année très difficile. Nous examinons probablement des dangers d'incendie accrus, des restrictions d'eau et également des impacts sur les écosystèmes, tels que les petites rivières et ruisseaux et la faune qui y vit.

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  35. Les contraintes de la sécheresse affectent l'approvisionnement en eau potable et l'approvisionnement des vastes systèmes agricoles de l'Ouest, incitant huit États à envisager d'utiliser l'ensemencement des nuages ​​pour augmenter les risques de précipitations. (Connexe: avec l'eau qui s'épuise, la Californie fait face à un été sombre de chaleur dangereuse et de sécheresse extrême.)

    Alors que l'ensemencement des nuages ​​existe depuis des décennies et a gagné en popularité ces dernières années, une étude de 2020 a révélé que l'ensemencement des nuages ​​ne peut extraire qu'environ 3 à 5 % de pluie en plus des nuages.

    En raison de cette faible quantité, certains scientifiques sont sceptiques quant à l'efficacité de l'ensemencement des nuages. Daniel Swain, climatologue à l'UCLA et au National Center for Atmospheric Research, a déclaré qu'il y a une longue histoire de personnes faisant des déclarations audacieuses sur la capacité de manipuler le temps, et à maintes reprises, la science n'a pas réussi à démontrer que ces tentatives ont effectivement donné des fruits.

    Swain a déclaré que les expériences scientifiques traditionnelles comparent une variable à un groupe témoin, mais qu'il est impossible de le faire dans le cas de l'ensemencement des nuages. Même si l'ensemencement des nuages ​​peut extraire trois à cinq pour cent de pluie en plus des nuages, il a déclaré que ce n'était pas suffisant pour aider à mettre fin à la sécheresse ou être un contributeur majeur à l'approvisionnement en eau.

    Cela soulève également une autre préoccupation, qui est l'équité en matière d'eau. (Connexe: le manteau neigeux de la Sierra tombe à l'un des niveaux les plus bas en 72 ans, perpétuant la sécheresse californienne.)

    "Dans la mesure où cela peut fonctionner, et cela peut extraire cinq pour cent plus d'eau des nuages ​​dans certaines conditions, faites-vous cela au détriment de la quantité de pluie ou de neige dans une région adjacente, qui pourrait également connaître le la même sécheresse que votre bassin versant ? » il a dit.

    Katja Friedrich, une chercheuse de l'Université du Colorado qui a étudié la question, estime également que l'ensemencement des nuages ​​ne peut pas résoudre entièrement le problème. "Cela doit faire partie d'un plan d'eau plus large qui implique une conservation efficace de l'eau, nous ne pouvons pas nous concentrer sur une seule chose", a-t-elle déclaré. "De plus, il y a une question de savoir si vous serez capable de le faire dans un climat changeant - vous avez besoin de températures froides et une fois qu'il fait trop chaud, vous n'êtes pas en mesure de faire l'ensemencement des nuages."

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  36. Cela signifie que malgré sa popularité croissante et son succès mesuré, l'ensemencement des nuages ​​n'est pas la solution au problème de la sécheresse en Californie.

    Visitez CaliforniaCollapse.news pour en savoir plus sur la sécheresse en cours en Californie.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour plus de commentaires d'Owen Shroyer sur le programme de changement climatique de Gavin Newsom.

    - voir clip sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
    Les conditions de sécheresse provoquent une flambée des prix du coton, faisant craindre que les vêtements ne deviennent plus chers.

    USDA : 69 % de la production totale de blé d'hiver des États-Unis actuellement dans des zones de sécheresse… une forte baisse des rendements au coin de la rue.

    Avec l'épuisement de l'eau, la Californie fait face à un été sombre de chaleur dangereuse et de sécheresse extrême.

    Une grave sécheresse et des «conditions de bol de poussière» menacent de créer une récolte de blé d'hiver désastreuse aux États-Unis.

    La récolte de blé d'hiver s'effondre dans un contexte de grave sécheresse persistante alors que les « conditions de bol de poussière » persistent.

    Sources include:

    Brighteon.com
    TDLR.Texas.gov
    KCRW.com
    HCN.org

    https://www.naturalnews.com/2022-05-23-california-to-mandate-water-food-energy-rationing.html

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    1. Depuis qu'ont été entreprises des fracturations pour capter le gaz de shiste, les galeries souterraines d'eau venues de l'océan vers les sources sont bouchées (ou presque toutes !), et donc, il n'arrive qu'un filet d'eau au Colorado !
      Mais les psychopathes au pouvoir ne s'arrêtent pas là ! Ils vont jusqu'à interdire les barrages sur le fleuve !!! De sorte que le peu d'eau qui coule gratuitement va se perdre dans l'océan Pacifique en Basse-Californie sans qu'elle ne puisse profiter aux agriculteurs pour irriguer les cultures qui nourrissent des millions de personnes !

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  37. Alors ça commence - Les combats contre les pénuries alimentaires ont commencé en Amérique : imaginez les émeutes de la faim quand tout s'épuise


    lundi 23 mai 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Avec des tensions déjà tendues sur l'inflation, des prix record de l'essence, des augmentations massives des prix des denrées alimentaires, ainsi que des pénuries, avec des experts avertissant de nouvelles pénuries à venir, nous voyons les "combats" sur les préparations pour nourrissons manquantes ont commencé.

    (Article de Susan Duclos republié de AllNewsPipeline.com)

    La courte vidéo ci-dessous montre une femme qui en prend une autre pour s'approvisionner en lait maternisé, nettoyer les étagères et remplir son chariot. Ce n'est que le début, car les gens sont de plus en plus en colère de ne pas pouvoir trouver de lait maternisé pour nourrir leurs nourrissons alors que le régime de Biden stocke le produit à la frontière pour que les mères étrangères illégales puissent nourrir leurs bébés.

    - voir clip sur site -

    Cette confrontation était verbale, mais comme nous l'avons tous vu en voyant les émeutes de la faim dans d'autres pays, une situation que l'on observe actuellement au Sri Lanka, avec des émeutiers attaquant la police et incendiant les maisons des politiciens, en raison des prix extrêmement élevés de la nourriture et des gaz, avec de graves pénuries alimentaires, quand les gens ont faim, quand ils ne peuvent pas nourrir leur famille, les choses deviennent très moche, très vite.

    Via Fox News :

    Les médias d'État iraniens n'ont pas publiquement abordé les manifestations, mais elles ont été couvertes par le Conseil national de la résistance iranienne, un groupe d'opposition. Des images partagées par le CNRI montrent des manifestants incendiant une base militaire Basij à Jooneghan, une ville du district central du comté de Jooneghan.

    Suite:

    L'Iran a brusquement augmenté les prix jusqu'à 300% pour une variété de produits de base tels que l'huile de cuisson, le poulet, les œufs et le lait jeudi. Des dizaines d'Iraniens alarmés ont fait la queue pour récupérer des paquets de nourriture et ont vidé les rayons des supermarchés à travers le pays dans les heures qui ont précédé l'entrée en vigueur de la hausse des prix.

    Quiconque pense que "ça ne peut pas arriver ici" est délibérément ignorant, car cela commence par des confrontations verbales, puis se transforme en allumettes, bousculades, avant de se battre carrément pour des produits, ce que nous avons vu maintes et maintes fois avec les bagarres du "vendredi noir". dans plusieurs états, différents magasins, presque chaque année.

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  38. Ce type de comportement concerne les cadeaux de Noël, pas même la nourriture, et pourtant les images, les vidéos du chaos, sont un avertissement de la gravité de la situation lorsque la nourriture et les produits de première nécessité sont inabordables et complètement indisponibles.

    La vidéo ci-dessous est une compilation d'environ 2016 de la folie du Black Friday, l'une des rares à ne pas avoir un accès "limité par l'âge", ce qui signifie que vous devrez vous rendre sur YouTube pour la regarder.

    Ceci est juste un rappel de la façon dont les gens fous se contentent de cadeaux, vous pouvez donc simplement imaginer le chaos qui s'ensuivra quand il s'agira de nourriture et de survie en jeu.

    CROISSANCE DES PÉNURIES ALIMENTAIRES EN AMÉRIQUE

    L'un de nos lecteurs qui nous a souvent envoyé des images de différents magasins dans le sud de l'AP et dans le nord du MD, nous a récemment envoyé une autre série d'images de Giant in Red Lion PA, qui seront présentées ci-dessous, et le message suivant a été inclus.

    Bonjour !

    Je vous ai envoyé des photos d'étagères dans les magasins Giant locaux et les clubs Sam's dans le nord du Maryland et le sud de la Pennsylvanie. J'ai été choqué aujourd'hui lorsque je suis allé au Giant à Red Lion, juste au sud-est de York, en Pennsylvanie. Il y avait tellement d'étagères vides Je ne pouvais pas commencer à vous envoyer toutes les photos que j'ai prises. J'ai remarqué de nombreuses étagères inférieures complètement vides où le stock était simplement déplacé vers le haut pour donner l'impression qu'il y avait plus de produit. Voici une liste des articles qui avaient un inventaire très faible. J'enverrai autant de photos que possible depuis mon téléphone, mais consultez cette liste. Giant est généralement bien approvisionné, sauf pour les articles où il y a des pénuries partout. J'avais l'impression d'être dans un pays du tiers monde.

    Eau de Javel
    Savon à lessive
    Du sucre
    Farine
    Fruits en conserve
    Compote de pommes
    Huile de cuisson
    Sauce pour pâtes
    Pâtes
    Mayonnaise
    Vinaigre
    Cornichons
    Légumes surgelés – [Lien vers lyophilisé – SD]
    Snacks (chips, party mix)
    Catsup et moutarde
    Jus réfrigérés
    Lait [Lien vers lait en poudre – DD]
    Crémier [Lien vers le crémier en poudre – SD]
    du jus d'orange
    Fromage Frais
    Chapelure
    Des œufs
    Yaourt
    Gelée et Confiture
    Aliments congelés pour le petit-déjeuner
    Glace
    Formule bébé
    Lingettes pour bébés
    La nourriture pour animaux
    Litière pour chat

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  39. Parce que la liste est longue, je suis allé de l'avant et j'ai lié les pages de recherche en ligne et les ai hyperliées au texte de son e-mail, avec juste quelques-unes des images qu'elle a envoyées jointes ci-dessous.

    Penser ici que commander de la crème glacée en ligne n'est peut-être pas la meilleure des idées, alors pourquoi ne pas apprendre à la fabriquer nous-mêmes.

    Sorbetières
    Livres:
    Le livre de recettes de crème glacée maison : des friandises américaines à l'ancienne pour votre sorbetière

    La cuillère parfaite, revue et mise à jour : 200 recettes de glaces, sorbets, gelatos, granités et accompagnements sucrés

    Read more at: AllNewsPipeline.com

    https://www.naturalnews.com/2022-05-23-fights-over-food-shortages-have-started-america.html

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    1. L'important en cas de guerre est d'avoir un FLINGUE !

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  40. Les marins de la marine américaine désertent à un rythme "étourdissant" au milieu d'une crise de santé mentale


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 24 MAI 2022 - 05:20


    Une nouvelle statistique troublante montre que les désertions de la marine américaine montent en flèche et pourraient indiquer un problème encore plus important d'une crise de santé mentale émergente dans le service.

    NBC News rapporte que la Marine compte 342 000 marins actifs. En 2021, il y avait 157 déserteurs, contre 98 en 2020 et 63 en 2019. Le nombre total de déserteurs toujours en fuite l'année dernière est passé à 166 contre 119 en 2019. La plupart d'entre eux avaient moins de 25 ans.

    Un expert qui a examiné les statistiques fédérales obtenues par NBC a décrit la tendance comme choquante.

    "C'est stupéfiant", a déclaré Benjamin Gold, un avocat de la défense des militaires américains.

    Les responsables de la marine n'ont pas pu expliquer ce qui faisait monter en flèche le taux de désertion. Ils ont souligné "de nombreux facteurs de stress différents" dans le service.

    D'autres branches militaires n'ont pas observé de désertions croissantes au cours des dernières années. En fait, les désertions dans l'armée et le corps des marines ont diminué. La Garde côtière n'en avait pas.

    L'âge moyen d'enrôlement en service actif était de 21,6 ans. Beaucoup à ce stade de la vie ne planifient pas trop loin et ne s'attendent pas à des conditions difficiles en rejoignant l'armée. En fait, les militaires signent un contrat pluriannuel qu'il est presque impossible de rompre. Pour un jeune qui a rejoint l'armée et dont les attentes ont été immédiatement déçues, il est presque impossible de partir.

    "Il est difficile pour un jeune de cet âge de saisir le pouvoir et le contrôle que son employeur a sur sa vie", a déclaré Rick Jahnkow, un organisateur du National Network Opposing the Militarization of Youth, un groupe à but non lucratif. "Ils ne comprennent pas l'engagement."

    L'augmentation des désertions fait suite à une série de décès, dont beaucoup sont des suicides présumés, décrivant l'augmentation des problèmes de santé mentale qui affligent le service.

    Au cours de la dernière année, sept membres d'équipage du porte-avions USS George Washington sont morts, dont quatre par suicide.

    Tout cela suggère que les jeunes qui se sont enrôlés dans l'armée sont enfermés dans des contrats incassables que certains craignent d'être piégés si les choses ne se passent pas comme ils l'espéraient. Cela peut les amener à devenir des déserteurs ou, dans des circonstances extrêmes, à se suicider.

    https://www.zerohedge.com/markets/us-navy-sailors-deserting-staggering-rate-amid-mental-health-crisis

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    1. Il n'y a pas que des pilotes d'avions dans la marine !

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  41. Le CDC recommande désormais les tests COVID pour tous les voyages aériens intérieurs, y compris les vaccinés


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 23 MAI 2022 - 23:40
    Écrit par Jack Phillips via The Epoch Times,


    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) recommandent à tous les voyageurs nationaux de subir un test COVID-19 avant et après leur voyage, quel que soit leur statut vaccinal.

    Dans une mise à jour sur le site Web de l'agence, toute personne voyageant aux États-Unis peut envisager de "se faire tester le plus près possible de l'heure de départ", et pas plus de trois jours avant un vol. Auparavant, il ne recommandait de tester que les personnes qui n'avaient pas reçu de vaccins COVID-19 ou de rappels à jour.

    La mise à jour du CDC recommande également que les gens passent un test avant ou après un voyage s'ils se rendent dans des espaces surpeuplés "sans porter de masque ou de respirateur bien ajusté".

    En avril, un juge fédéral de Floride a annulé le mandat du CDC qui obligeait les gens à porter des masques dans les aéroports ou dans les avions. Les responsables du ministère de la Justice ont signalé qu'ils contesteraient la règle, mise en œuvre après l'entrée en fonction du président Joe Biden au début de 2021, devant les tribunaux.

    Un porte-parole de l'agence a déclaré à AFAR Magazine le 19 mai que «les vaccins COVID-19 sont efficaces pour prévenir les maladies graves et la mort», mais a ajouté: «puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100% pour prévenir l'infection, certaines personnes qui sont à jour peuvent attrape toujours le COVID-19.

    "Les personnes qui sont à jour avec leurs vaccins COVID-19 peuvent se sentir bien et ne pas avoir de symptômes, mais peuvent toujours être infectées et transmettre le virus à d'autres", a déclaré le porte-parole.

    En janvier de cette année, le CDC a également mis en œuvre une modification de sa règle de voyage international, exigeant que les passagers d'avion âgés de 2 ans et plus présentent un test COVID-19 négatif pas plus d'un jour avant l'embarquement sur un vol ou une preuve de récupération de COVID- 19 dans les 90 jours précédents. Les ressortissants étrangers doivent également présenter une preuve de vaccination contre le COVID-19.

    Ni le CDC ni la Maison Blanche n'ont donné d'indication publique sur le moment où la règle de test obligatoire pour les voyageurs internationaux sera assouplie. Les groupes de voyage ont fait pression pour que cette règle soit supprimée depuis des mois maintenant.

    Dans une lettre à la Maison Blanche, un groupe représentant plus de 250 organisations a appelé à la fin de la règle, affirmant qu'elle n'a causé qu'une "lente reprise économique des secteurs des affaires et des voyages internationaux".

    Après que l'ordonnance du juge fédéral a été rendue le mois dernier, le CDC a émis une nouvelle recommandation selon laquelle les personnes à l'intérieur des aéroports et des avions portent des masques, bien que presque tous les principaux avions de ligne aient abandonné l'application de la loi.

    Et lors d'une conférence de presse la semaine dernière, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, qui a été critiquée pour les messages de son agence pendant la pandémie de COVID-19, a déclaré que les personnes vivant dans des comtés que l'agence considère comme ayant une transmission élevée de COVID-19 devraient porter des masques à l'intérieur. réglages.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/cdc-now-recommends-covid-testing-all-domestic-air-travel-including-vaccinated

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    1. Des millions d'idiots, d'attardés mentaux ou de trisomiques ont dès les premiers jours porté le masque de merde imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène puis ont utilisé les gels hydroalcooliques à l'oxyde de graphène, puis sont allés se faire inoculer profond des (40 000 milliards !) nano-particules d'oxyde de graphène et, pour ceux qui voudraient voyager, il y a maintenant l'obligation de passer aux faux tests 'RT-PCR' où il est IMPOSSIBLE de voir le 'cocovide19' au microscope à balayage électronique parce qu'IL N'EXISTE PAS !
      IL N'EXISTE PAS ! IL N'EST PAS DANS L'AIR ! IL EST EXCLUSIVEMENT DISPONIBLE EN SERINGUE ! SI TU TE FAIS INOCULER TU L'ES ! ET TU L'AS ! HAHAHAHAHA !

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  42. Les compagnies aériennes cherchant à CUT ont exigé des heures de formation pour les nouveaux pilotes en raison d'une pénurie désespérée de pilotes… qu'ils ont tués avec des vaccins covid, bien sûr


    Lundi 23 mai 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une pénurie de pilotes à l'échelle nationale en grande partie causée par les mandats de «vaccin» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) amène de nombreuses compagnies aériennes à envisager une diminution des normes de formation comme solution.

    Parce que de nombreux pilotes chevronnés ont été blessés ou sont maintenant morts à cause des injections – ou ont pris leur retraite tôt pour éviter d'être obligés de les prendre – l'industrie du transport aérien manque désormais d'employés pour piloter des avions. Par conséquent, le secteur des transports veut permettre aux nouveaux pilotes d'obtenir leur licence plus rapidement avec moins d'heures de formation.

    Cela menace la sécurité des passagers, bien sûr, mais c'est le prix que le grand public devra peut-être payer pour que les transporteurs aériens restent en activité, sinon l'industrie pourrait s'effondrer.

    Selon les rapports, le nombre d'heures de vol nécessaires pour devenir pilote de ligne commercial serait divisé par deux. C'est ce qu'on appelle couper les coins ronds, et cela pourrait arriver à une compagnie aérienne près de chez vous.

    "La pénurie de pilotes pour l'industrie est réelle, et la plupart des compagnies aériennes ne pourront tout simplement pas réaliser leurs plans de capacité car il n'y a tout simplement pas assez de pilotes, du moins pas pour les cinq prochaines années", a déclaré le PDG d'United Airlines. Scott Kirby lors de la récente conférence téléphonique sur les résultats trimestriels de la société.

    Le PDG d'Alaska Airlines, Ben Minicucci, a déclaré à peu près la même chose dans une récente vidéo YouTube, s'excusant auprès du public d'avoir dû annuler de nombreux vols ces derniers mois en raison de la pénurie de pilotes.

    "Nous avions 63 pilotes de moins que ce que nous avions prévu lorsque nous avons établi notre calendrier", a déclaré Minicucci, ajoutant que cela a provoqué un "effet d'entraînement" dans toute l'entreprise qui nécessite des mesures de réponse plus extrêmes.

    "Au moment où nous avons détecté cette erreur, les horaires d'avril et de mai avaient été proposés par nos pilotes et nos agents de bord, ce qui rendait impossible d'ajuster suffisamment les horaires pour éviter les annulations."

    Lindsey Graham de Caroline du Sud veut augmenter l'âge de la retraite des pilotes de 65 à 67 ans
    En plus de permettre à n'importe quel Joe au hasard d'obtenir plus facilement une licence de pilote avec moins d'heures, certains dans l'industrie du transport aérien abandonnent également l'exigence de longue date selon laquelle les pilotes ont un diplôme universitaire pour piloter des avions.

    Le sénateur Lindsey Graham (R-S.C.) souhaite également augmenter l'âge de la retraite des pilotes de 65 à 67 ans, ce qui maintiendrait les pilotes plus âgés en l'air pendant plusieurs années de plus que ce qui est actuellement autorisé.

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  43. Delta Airlines a annoncé en janvier qu'elle augmentait le salaire des pilotes et offrait d'importantes primes de signature aux nouveaux pilotes. La société supprime également l'exigence selon laquelle les pilotes doivent détenir un diplôme universitaire de quatre ans.

    "Bien que nous soyons plus convaincus que jamais de l'importance de l'éducation, il existe des candidats hautement qualifiés - des personnes que nous voudrions accueillir dans notre famille Delta - qui ont acquis plus que l'équivalent d'une formation universitaire au cours de leurs années d'expérience de vie et de leadership. ", a annoncé la société.

    "Faire de l'exigence de quatre ans un diplôme préféré supprime les obstacles involontaires à nos postes de pilotage Delta."

    Pendant ce temps, certaines des familles de passagers décédés dans des accidents d'avion se prononcent contre les changements, avertissant qu'ils pourraient entraîner davantage d'accidents dans les airs qui coûteraient plus de vies.

    Le crash de Colgan Air 3407 en 2009, par exemple, est la raison pour laquelle le nombre d'heures de vol requises pour devenir pilote est passé à 1 500 heures en premier lieu. Désormais, plusieurs transporteurs, dont Delta, American, United et le transporteur régional Republic Airways, souhaitent réduire de moitié ce nombre à seulement 750 heures.

    "Bien que n'importe qui puisse demander une exemption, cela ne signifie pas qu'elle sera accordée", a déclaré la Federal Aviation Administration (FAA) dans un communiqué suite à une demande de Republic de réduire de moitié l'exigence actuelle d'heures de vol.

    Pour suivre les dernières nouvelles sur l'implosion de l'économie mondiale, assurez-vous de visiter Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    DailyWire.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-05-23-airlines-cut-training-hours-pilots-shortage-vaccines.html

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    1. Pourquoi seuls les pilotes de lignes sont-ils exemptés de piqûre létale ? Parce qu'ils risquent la vie des passagers ! HAHAHAHA !
      Les passagers (obligatoirement inoculés profond) risque de mourir en altitude mais eux ON S'EN FOUT !

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  44. L'épidémie de monkeypox en Espagne se propage par le biais de rencontres homosexuelles entre hommes


    Lundi 23 mai 2022
    par : JD Heyes


    (Natural News) Une fois de plus, les médias de gauche ont été pris dans un acte flagrant de propagande et avec quelque chose d'aussi grave que la variole du singe.

    Un rapport dans The Guardian note qu'il y a une épidémie de virus en Espagne et que jusqu'à présent, près de deux douzaines de «personnes» ont présenté des symptômes.

    Le rapport note :

    Les autorités sanitaires espagnoles ont émis une alerte concernant une éventuelle épidémie de monkeypox après que 23 personnes ont présenté des symptômes compatibles avec l'infection virale, qui a déjà été détectée au Royaume-Uni et au Portugal.

    Le ministère de la Santé a averti que les cas suspects – tous dans la région de Madrid – n'avaient pas encore été confirmés, mais a déclaré qu'une alerte nationale avait été émise "pour garantir une réponse rapide, coordonnée et rapide".

    Le département régional de la santé de la capitale Madrid a déclaré que les cas suspects étaient en cours d'analyse par le Centre national de microbiologie afin d'établir un diagnostic officiel.

    « D'une manière générale, le monkeypox se transmet par transmission respiratoire, mais les caractéristiques des 23 cas suspects indiquent une transmission par le mucus lors des relations sexuelles », a noté le département de la santé dans un communiqué.

    "Les personnes impliquées vont bien et s'isolent chez elles, mais elles sont surveillées de près au cas où elles auraient besoin d'être hospitalisées."

    Ok, jusqu'ici, tout va bien, n'est-ce pas ?

    Les autorités sanitaires estiment qu'environ 23 "personnes" sont infectées, elles se portent bien, s'isolent à la maison, et tous les cas connus jusqu'à présent se sont propagés via le mucus lors de relations sexuelles.

    Plus loin dans l'article, The Guardian souligne un détail très important mais sans aucun contexte ni lien :

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  45. Fernando Simón, un épidémiologiste qui dirige le centre d'urgence sanitaire espagnol, a déclaré qu'il était peu probable que la variole du singe se propage de manière significative, "cela ne peut être exclu".

    Les autorités portugaises ont confirmé cinq cas et enquêtent sur 15 autres cas suspects. Dans un communiqué publié mercredi, le ministère portugais de la Santé a déclaré que les cas qu'il avait détectés – tous dans la région de Lisbonne et de la vallée du Tage – concernaient tous des hommes dont les symptômes comprenaient des lésions ulcéreuses.

    Donc, cela nous amène à croire que la variole du singe se propage principalement par le biais de rencontres homosexuelles masculines, d'où l'utilisation par les médias (et les responsables de la santé) du descripteur non spécifique «personnes» plutôt que des hommes.

    Cela semble être un détail assez important, n'êtes-vous pas d'accord ?

    "Le Royaume-Uni a signalé des cas similaires de lésions ulcéreuses, avec une infection confirmée par le virus de la variole du singe", a ajouté le ministère portugais de la Santé. "Nous surveillons la situation au [a] niveau national et en collaboration avec les institutions européennes."

    Un autre détail important qui aurait dû être plus important dans l'histoire est l'endroit d'où les autorités sanitaires pensent que le virus vient : l'Afrique.

    "Le premier des sept cas enregistrés au Royaume-Uni impliquait une personne qui s'était récemment rendue au Nigeria", a poursuivi The Guardian, "où on pense qu'elle a contracté l'infection".

    Donc, parce que nous n'avons pas le droit de blâmer quoi que ce soit sur les Noirs et les homosexuels, ces deux détails importants ont été laissés de côté - jusqu'à présent.

    "Selon l'Agence britannique de sécurité sanitaire, les quatre cas les plus récents sont des hommes qui s'identifient comme homosexuels ou bisexuels ou d'autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes", a finalement admis The Guardian.

    L'agence de santé britannique demande à ces groupes de personnes "d'être attentifs" aux symptômes potentiels qui incluent le développement d'éruptions cutanées et/ou de lésions sur n'importe quelle partie de leur corps, mais surtout sur leurs organes génitaux, et de contacter les responsables de la santé si de tels symptômes apparaissent.

    En fait, la grande majorité des gens ne sont pas racistes et ne sont pas des fanatiques. Les gens traitent les autres généralement comme ils sont traités ; seule la gauche se soucie de ce que deux personnes font dans une chambre et de la couleur de leur peau.

    Mais le fait est que s'il s'agit d'une maladie venue d'Afrique et répandue chez les hommes homosexuels, ce n'est pas raciste ou sectaire de le dire et de le mettre en évidence.

    Les sources comprennent :

    TheGuardian.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-05-23-monkeypox-outbreak-spain-spread-through-homosexual-encounters.html

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    1. Dès lors que les pédérastes s'adonnent à se faire enculer par des singes ou vice-versa, ils attrapent la maladie du singe ! BRAVO ! Il a attrapé le pompon ! HAHAHAHAHA !

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  46. RIGGED: Le gouvernement dépense 119 millions de dollars pour les vaccins contre la variole du singe après UN cas confirmé aux États-Unis


    lundi 23 mai 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) En réponse à un cas confirmé de monkeypox aux États-Unis, le gouvernement fédéral a commandé pour 119 millions de dollars de vaccin à une société danoise.

    L'épidémie actuelle de monkeypox a commencé au Royaume-Uni au début du mois de mai et s'est lentement propagée à d'autres pays d'Europe occidentale et finalement au Canada. L'épidémie est encore faible, avec environ 80 cas suspects, dont un cas confirmé et un cas suspect et six autres personnes surveillées pour les symptômes aux États-Unis.

    Le ministère de la Santé publique du Massachusetts et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont confirmé mercredi 18 mai qu'un homme qui avait récemment voyagé au Canada était infecté par le virus de la variole du singe.

    L'agence d'État a déclaré qu'elle travaillait avec le CDC et les conseils de santé locaux pour effectuer la recherche des contacts afin d'essayer de mettre la main sur l'épidémie, ajoutant que "le cas ne présente aucun risque pour le public et que l'individu est hospitalisé et en bon état". ” (Connexe : les États-Unis développent de nouveaux virus mortels génétiquement modifiés, y compris MOUSEPOX et MONKEYPOX… seront-ils utilisés pour exiger PLUS DE JABS au nom de la « sécurité publique ? »)

    Monkeypox a une période d'incubation d'environ deux semaines. Il peut provoquer de la fièvre, des courbatures, une hypertrophie des ganglions lymphatiques et éventuellement la «vérole», ou des cloques douloureuses et remplies de liquide sur les mains, les pieds et le visage.

    Certaines versions du monkeypox peuvent être exceptionnellement mortelles et tuer jusqu'à 10 % des personnes qu'elles infectent. Mais la souche actuelle circulant en Europe occidentale et en Amérique du Nord est considérablement plus douce, avec un taux de mortalité inférieur à 1 %. Les cas se résolvent généralement en deux à quatre semaines.

    L'Amérique pourrait être inondée de plus de 13 millions de nouveaux vaccins

    Suite à la confirmation du seul cas de monkeypox aux États-Unis, le gouvernement a commandé des millions de doses du vaccin contre la variole, qui est censé être efficace à environ 85 % contre le monkeypox.

    Mais les scientifiques ont averti que se fier à la variole pour inoculer les gens contre la variole du singe peut soulever des problèmes de sécurité.

    "C'est un virus vivant", a déclaré Jay Hooper de l'Institut de recherche médicale de l'armée américaine sur les maladies infectieuses, faisant référence au vaccin contre la variole. "Cela peut provoquer une infection mortelle chez les personnes dont le système immunitaire est gravement compromis."

    Bavarian Nordic, une société de biotechnologie danoise qui produit des vaccins contre la variole, a récemment annoncé qu'elle avait remporté le contrat de 119 millions de dollars du gouvernement fédéral pour les vaccins. Ce contrat comprend une option d'achat supplémentaire de 180 millions de dollars de vaccins.

    Si cette deuxième option était exercée, le gouvernement achèterait environ 13 millions de doses de vaccins contre la variole. L'ordre demande à Bavarian Nordic de convertir les vaccins contre la variole en vaccins contre la variole du singe en les lyophilisant, ce qui leur donnera une durée de conservation plus longue. Les vaccins convertis seront fabriqués en 2023 et 2024.

    Bavarian Nordic est le principal fournisseur gouvernemental de vaccins contre la variole, ayant travaillé avec le gouvernement fédéral depuis 2003 pour les développer et les fabriquer. À ce jour, Bavarian Nordic a fourni au ministère de la Santé et des Services sociaux près de 30 millions de doses, sans compter la récente commande passée par le gouvernement.

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  47. La société de biotechnologie a également été engagée par un autre pays européen pour des vaccins contre la variole.

    "Alors que toutes les circonstances entourant les cas actuels de monkeypox en Europe restent à élucider, la vitesse à laquelle ceux-ci ont évolué, combinée au potentiel d'infections, au-delà du cas initial non détecté, appelle une approche rapide et coordonnée des autorités sanitaires. , et nous sommes heureux d'aider dans cette situation d'urgence », a déclaré le président et chef de la direction de Bavarian Nordic, Paul Chaplin, dans un communiqué.

    En savoir plus sur les épidémies aux États-Unis sur Outbreak.news.

    Regardez ce clip du "Stew Peters Show" alors que l'animateur Stew Peters et l'invitée Dr Jane Ruby expliquent comment l'épidémie de monkeypox est la nouvelle mine d'or du Dr Anthony Fauci.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
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    Quoi de neuf? Fauci affirme que les États-Unis sont «hors de la phase pandémique», puis revient en arrière quelques heures plus tard.

    VRAI objectif du programme de vaccination : affaiblir la population.

    Sources include:

    SHTFPlan.com

    NPR.org
    Reuters.com
    Fortune.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-05-23-government-spending-millions-monkeypox-vaccine-after-one-case.html

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    1. (...) En réponse à un cas confirmé de monkeypox aux États-Unis, le gouvernement fédéral a commandé pour 119 millions de dollars de vaccin à une société danoise. (...)

      Il pensait que l'Amérique comptait plus de 300 millions de gouines et de pédérastes !

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