La moitié des réacteurs nucléaires français sont à l'arrêt en raison de la crise énergétique
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 01 MAI 2022 - 14:45
La moitié des centrales nucléaires françaises sont hors ligne en raison de "maintenance ou de défauts", ce qui arrive à un moment précaire pour les marchés de l'énergie et de l'électricité à travers l'Europe alors que les prix montent en flèche en raison du conflit en Ukraine.
Bloomberg rapporte que le fournisseur d'énergie Electricité de France (EDF) est aux prises avec des pannes généralisées après que 28 des 56 réacteurs du pays sont hors ligne en raison d'un entretien de routine ou de défauts.
Les centrales nucléaires françaises fournissent plus de 66 % de sa production totale d'électricité. L'indignation a fait que la production d'énergie nucléaire a atteint le niveau saisonnier le plus bas depuis au moins une décennie.
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Le marché français de l'électricité a connu une tendance à la hausse en termes de prix, jusqu'à 30 % de plus que son voisin allemand qui s'appuie principalement sur les combustibles fossiles pour alimenter ses centrales. Les prix de l'électricité en France sont quatre fois plus élevés qu'à la même période en 2021, car le déclin de l'énergie nucléaire a exercé une pression accrue sur les autres sources de production d'électricité, déclenchant ainsi une crise de l'approvisionnement.
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Emeric de Vigan, directeur général de la société française d'analyse énergétique COR-e, a déclaré à Bloomberg que les prix élevés de l'électricité resteront probablement parce que les problèmes d'énergie nucléaire du pays « vont durer au-delà de cette année et probablement jusqu'à l'année suivante ».
Mercredi, JPMorgan Chase & Co. s'est demandé si davantage de réacteurs nucléaires devant être arrêtés cette année pouvaient être repoussés à 2023 "compte tenu de l'offre/demande extraordinairement serrée et du contexte géopolitique".
Bloomberg a noté que la combinaison des pannes nucléaires et des mesures gouvernementales visant à plafonner les prix de l'électricité entraînerait une perte de revenus massive de 26,2 milliards d'euros (28,3 milliards de dollars) pour EDF cette année.
La France est le premier exportateur net d'électricité en Europe. Les outrages continus des réacteurs nucléaires feront monter les prix de l'électricité et mettront de plus en plus à rude épreuve le continent frappé par la crise, car la Russie exige désormais des roubles en échange de combustibles fossiles.
FOLIE MÉDICALE : Bill Gates développe un nouveau vaccin qui prétend prévenir la poliomyélite causée par les vaccins antipoliomyélitiques
Samedi 30 avril 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Ce n'était qu'une question de temps avant que l'eugéniste milliardaire Bill Gates découvre qu'il pouvait capitaliser sur le financement de nouveaux "vaccins" pour les maladies qu'il avait lui-même causées en premier lieu avec ses injections précédentes.
La maladie qu'il s'attaque maintenant est la poliomyélite - la poliomyélite causée par le vaccin, pour être clair - et son "remède" est une autre nouvelle injection actuellement en développement.
Afin d'éradiquer le fléau de la poliomyélite induite par injection dans le tiers monde, qu'il a largement déclenché en vaccinant en masse les pauvres avec des vaccins contre la polio au cours des 15 dernières années, Gates finance la création d'un autre qui est censé inverser ces dommages.
Des milliards de dollars ont déjà été dépensés pour « éradiquer » la poliomyélite dans le monde en développement, et maintenant des milliards supplémentaires sont dépensés pour éradiquer leurs effets secondaires, qui, ironiquement, incluent la poliomyélite elle-même.
Un rapport de NPR attribue la montée de la poliomyélite aux vaccins oraux contenant le virus vivant. Aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux, un virus inactivé est utilisé.
L'affirmation est que les vaccins oraux contenant le virus vivant sont peu coûteux et confèrent une immunité à vie. Mais comment cela peut-il être le cas alors que les injections elles-mêmes amènent les gens à contracter la poliomyélite ? Voici la réponse de NPR :
«Ceux qui ont été immunisés contre le virus vivant peuvent le répandre dans leurs selles, qui peuvent ensuite se propager par les égouts dans des endroits où l'assainissement est médiocre. Si le virus reste faible, il peut exposer les personnes non vaccinées à la poliomyélite et leur donner une immunité. Mais s'il mute et regagne en virulence, quelqu'un qui n'est pas vacciné peut contracter la poliomyélite dérivée du vaccin après avoir été en contact avec les eaux usées contaminées.
Le nouveau vaccin antipoliomyélitique de Gates a reçu une autorisation d'utilisation d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé
Il y a actuellement 25 pays différents signalant des cas de poliomyélite causée par le vaccin, et les responsables de la santé publique refusent de reconnaître le lien avec les piqûres. Au lieu de cela, ils poussent plus de vaccins, bien que ceux-ci soient modifiés pour soi-disant rendre la réactivation moins probable.
Ananda Bandyopadhyay, directrice adjointe pour la poliomyélite à la Fondation Bill & Melinda Gates, affirme que trois "modifications indépendantes" ont été apportées au vaccin pour le rendre plus sûr et moins susceptible de provoquer la poliomyélite.
"Les chercheurs ont modifié le virus afin qu'il doive accumuler plus de mutations pour devenir virulent et ait plus de mal à accumuler ces mutations", écrit Baxter Dmitry pour Newspunch.
"Par exemple, ils ont modifié la polymérase, l'une des enzymes clés responsables de l'introduction de mutations, réduisant sa capacité à mélanger et assortir les gènes de différents virus."
Le nouveau vaccin de Gates est déjà disponible sous autorisation d'utilisation d'urgence par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Il n'a tout simplement pas encore reçu l'approbation complète, tout comme les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), ce qui signifie qu'il est encore techniquement en développement.
Depuis mars 2021, 265 millions de doses ont été administrées à des enfants dans 14 pays, la plupart en Afrique. La poliomyélite causée par les vaccins sévit dans toute l'Afrique parce que c'est là que Gates a concentré une grande partie de son attention au fil des ans.
"Le troll fou de pouvoir ne s'arrêtera tout simplement pas", a écrit quelqu'un à Newspunch à propos de l'obsession malsaine de Gates pour l'injection de personnes. "J'ai hâte de lire le titre qu'il est mort."
"Le petit Billy Gates colporte son poison au nom de la" santé mondiale "", a écrit un autre. "Ce qui est triste, c'est que les gens y adhèrent encore."
Dans Natural News, quelqu'un a souligné que les vaccins contre la poliomyélite de toutes sortes n'ont jamais été le remède miracle qu'ils étaient censés être.
"Tout cela n'était qu'un mensonge propagé par Julian Huxley et l'UNESCO", a ajouté cette personne. "Le frère de Julian Huxley, Aldus, a écrit sur le plan d'empoisonner l'humanité avec des" médicaments … Un meilleur des mondes, je me demande d'où il a eu l'idée?
Plus d'informations sur Bill Gates et ses efforts en matière de vaccins peuvent être trouvées sur Genocide.news.
Les «vaccins» Covid provoquent une hépatite auto-immune sévère chez les enfants
Vendredi 29 avril 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le Journal of Hepatology a publié une nouvelle étude confirmant que les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) déclenchent en fait une hépatite auto-immune sévère chez les enfants.
Les vaccins contre la grippe Fauci provoquent une hépatite à médiation immunitaire à dominante cellulaire T distincte, également connue sous le nom d'inflammation du foie, grâce à un mécanisme pathologique unique associé à une immunité tissulaire induite par injection, spécifique à l'antigène et nécessitant une immunosuppression systémique.
Intitulée « La vaccination contre le SRAS-CoV-2 peut provoquer une hépatite à cellules T CD8 dominantes », l'étude a été publiée quelques jours seulement après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une « alerte mondiale » concernant les épidémies d'hépatite chez les enfants.
Le gouvernement du Royaume-Uni a également annoncé qu'il lançait une enquête urgente sur une épidémie d'hépatite chez des enfants britanniques. Les responsables disent que la maladie n'est liée à aucun des virus courants qui provoquent normalement une inflammation du foie, ce qui ne laisse en réalité qu'une seule autre explication : les injections de covid.
"Le 15 avril 2022, l'Organisation mondiale de la santé a émis une alerte mondiale concernant une nouvelle forme d'hépatite aiguë sévère d'étiologie (cause) inconnue affectant des enfants auparavant en bonne santé au Royaume-Uni au cours du mois dernier", a rapporté le Daily Exposé.
« Des cas ont également été notifiés en Espagne et en Irlande. Les tests ont exclu tous les virus de l'hépatite connus auparavant.
Au 25 avril, le même type d'hépatite chez les enfants avait été identifié dans au moins 12 pays différents, la majorité des cas se produisant au Royaume-Uni.
"Au moins 169 cas avaient été signalés à cette date, et 17 enfants avaient nécessité une greffe du foie", a révélé l'Exposé. "Malheureusement, au 25 avril, 1 enfant avait malheureusement perdu la vie."
Injecter vos enfants pour covid est une forme de maltraitance des enfants Encore une fois, il existe de nombreuses raisons pour lesquelles l'hépatite se forme, y compris plusieurs infections virales courantes chez les enfants. Mais toutes ces autres raisons ont été écartées, ce qui ne laisse que le « vaccin » comme coupable.
Une étude antérieure a également confirmé que l'injection de Pfizer-BioNTech est, en fait, à l'origine de l'hépatite. Cela montre en outre que les épidémies sont le produit des tirs et non autre chose.
Si ces enfants n'avaient jamais été injectés ou «boostés», ils n'auraient pas maintenant d'hépatite, en d'autres termes. Leurs mauvais résultats en matière de santé sont le résultat direct de se faire piquer, ce qui, selon leurs parents, les protégerait contre la maladie.
Contrairement à ce que les « experts » ont longtemps affirmé, le contenu des injections ne reste pas localisé au site d'injection. Ils se sont propagés à toutes les parties du corps pendant au moins 48 heures, et probablement beaucoup plus longtemps, causant des dommages incalculables aux systèmes du corps.
La plus grande concentration d'injection covid de Pfizer a été observée dans le foie, avec 16% de la dose administrée qui y reste après deux jours complets.
"Chez les animaux ayant reçu l'injection de BNT162b2, des effets hépatiques réversibles ont été observés, notamment une hypertrophie du foie, une vacuolisation, une augmentation des niveaux de gamma-glutamyl transférase (?GT) et une augmentation des niveaux d'aspartate transaminase (AST) et de phosphatase alcaline", révèle en outre l'exposé. sur le tir d'ARNm (ARN messager) de Pfizer.
"Selon les chercheurs, des effets hépatiques transitoires induits par les systèmes de délivrance de LNP ont été signalés précédemment."
Dans la nouvelle étude, un homme de 52 ans qui a reçu une injection de Pfizer a présenté des épisodes bimodaux d'hépatite aiguë, chacun survenant 2 à 3 semaines après l'injection. Une cytométrie de masse par imagerie pour un profilage immunitaire spécial a été réalisée sur un tissu de biopsie hépatique, et une cytométrie en flux a été réalisée pour disséquer les phénotypes des lymphocytes T CD8 afin d'identifier longitudinalement les lymphocytes T spécifiques au covid et spécifiques à l'EBV.
"En termes simples, ce que les scientifiques ont découvert, c'est qu'une inflammation du foie (hépatite) peut survenir chez certains individus après la vaccination et partage certaines caractéristiques typiques avec une maladie hépatique auto-immune", explique l'Exposé.
"Cela est causé par des cellules T hautement activées (également appelées lymphocytes T, un type de leucocyte [globule blanc] qui est une partie essentielle du système immunitaire) qui s'accumulent dans les différentes zones du foie."
Les dernières nouvelles sur les injections covid peuvent être trouvées sur Vaccines.news.
Scott Schara: L'homicide à l'hôpital via des traitements COVID fait partie d'un programme GÉNOCIDE
Vendredi 29 avril 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) Scott Schara, un résident du Wisconsin, pense que l'homicide à l'hôpital au moyen des protocoles de décès du coronavirus de Wuhan (COVID-19) déguisés en traitements fait partie d'un programme génocidaire. Il a de bonnes raisons de le croire puisque sa fille de 19 ans, Grace, en a été victime.
Schara a déclaré à LifeSiteNews qu'il avait consacré plus de 500 heures de recherche à enquêter sur la mort de sa fille alors qu'elle était hospitalisée pour COVID-19. "Au moins 100 médecins et professionnels de la santé ont qualifié sa mort de meurtre", a-t-il déclaré.
Le père endeuillé a affirmé qu'un "cocktail de la mort" de trois médicaments sédatifs administré à Grace le 13 octobre 2021 avait entraîné sa mort. Elle avait déjà reçu des doses maximales du médicament sédatif Precedex lorsqu'on lui a administré du lorazépam deux fois, une le matin et une autre juste avant le soir. Pour aggraver les choses, Grace a reçu deux milligrammes de morphine par voie intraveineuse.
Le lorazépam « peut augmenter le risque de problèmes respiratoires graves ou potentiellement mortels, de sédation ou de coma s'il est utilisé avec d'autres médicaments sédatifs. Pendant ce temps, la notice de la morphine avertit qu'elle "peut ralentir ou arrêter la respiration entraînant la mort, en particulier lorsqu'elle est associée à d'autres médicaments sédatifs".
Selon un médecin anonyme qui a analysé le cas de Grace, "chacun de ces [médicaments] pris isolément - Precedex, lorazépam et morphine - présente un risque accru de problèmes respiratoires graves ou potentiellement mortels et d'arrêt cardiaque, et il y a un effet additif lorsqu'il est utilisé en combinaison." Le médecin a ajouté: "Les utiliser comme ils l'ont fait chez une personne ayant reçu un diagnostic de détresse respiratoire aiguë est au-delà de l'intention crédible."
En outre, Schara a affirmé qu'une prétendue ordonnance de ne pas réanimer (DNR) avait été utilisée par le personnel de l'hôpital comme excuse pour ne pas inverser la dose de morphine. En vertu de la loi de l'État, les ordonnances DNR doivent être signées par écrit par la famille et un bracelet remis au patient DNR. La loi permet également aux tuteurs des patients DNR d'annuler l'ordonnance en informant le personnel hospitalier de réanimer le patient.
Schara a insisté catégoriquement sur le fait qu'ils "n'avaient jamais signé de déclaration concernant Grace étant DNR" et qu'elle ne portait aucun bracelet DNR.
«La première fois que nous avons su que Grace était étiquetée DNR, c'était lorsque nous criions pour que les infirmières fassent quelque chose et annulent la morphine qui lui était administrée. Leur réponse, "Elle est DNR", était leur excuse pour ne pas l'aider. Ils se tenaient devant sa porte à la place; il y avait aussi un garde armé à l'extérieur de la pièce », a-t-il raconté. (Connexe: le Dr Ardis révèle le «protocole de mort» COVID des hôpitaux à Jeff et Shady – Brighteon.TV.)
L'hôpital qui a tué Grace refuse d'admettre ses erreurs
Selon Schara, le personnel hospitalier de l'hôpital St. Elizabeth à Appleton, dans le Wisconsin – où Grace est décédée – a refusé de rencontrer les Schara pour discuter de l'évaluation de sa mort par la famille.
«Avant de rendre public, la famille a soumis un résumé détaillé, avec des recherches à l'appui, à l'hôpital avec une demande de rencontre avec le PDG et le médecin impliqué. La réponse de l'hôpital a été un refus de se rencontrer », a-t-il écrit.
Schara soupçonne que la mort de Grace a finalement été motivée par le profit de l'hôpital. Le matin de sa mort, le médecin qui la soignait avait insisté pour qu'elle soit mise sous ventilateur pour la cinquième fois, ce qu'il avait refusé. À ce stade, Schara a déclaré que l'hôpital avait décidé de "se débarrasser" d'elle en faveur de "patients mieux rémunérés".
En outre, il postule que si un patient âgé ou handicapé refuse la ventilation, l'administration de « médicaments de fin de vie » est une procédure standard. Les hôpitaux recevant des «prestations de décès» COVID-19 de 13 000 $ par patient semblaient renforcer la demande de Schara.
Mais sous la surface, Schara voit la possibilité que l'hôpital St. Elizabeth tue Grace - qui a le syndrome de Down - dans le cadre d'un programme génocidaire plus vaste. Le père endeuillé a demandé: "Les hôpitaux exterminent-ils les handicapés et les personnes âgées sur instruction du gouvernement, car les membres non cotisants de la société coûtent cher à garder?"
Il a en outre approfondi cette affirmation sur son site Web d'hommage à Grace, citant plusieurs cas au cours de leur séjour à l'hôpital. Vingt des 22 rapports de médecins sur Grace mentionnaient le syndrome de Down avec des "commentaires littéraux spécifiques" inclus. Schara a ajouté qu'un seul médecin a interagi avec Grace, les autres pensant apparemment qu'elle était "stupide".
Schara a conclu: "Ces mesures ont-elles été prises par commodité pour le personnel hospitalier ou dans le cadre d'un programme plus large ?"
HospitalHomicide.com a plus d'histoires sur les protocoles hospitaliers COVID-19 tuant des patients.
Regardez Scott Schara partager son expérience avec l'avocat et animateur de Brighteon.TV Tom Renz sur "Lawfare with Tom Renz".
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Cette vidéo provient de la chaîne BrighteonTV sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Père forcé de quitter l'hôpital, témoin de la mort de sa fille sur FaceTime… tout cela en raison de restrictions scandaleuses de covid.
Un père en deuil révèle comment les protocoles COVID de l'hôpital ont conduit à la maltraitance et à la mort de sa fille handicapée.
Dr Jane Ruby : Les infirmières qui sont restées dans les hôpitaux ont autorisé le maintien du protocole de décès COVID – Brighteon.TV.
Homicide à l'hôpital : l'établissement médical du Wisconsin A REFUSÉ de réanimer le patient malgré les instructions en ce sens.
Le gouvernement déclarera une crise climatique pour remettre les gens en confinement
vendredi 29 avril 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Maintenant que les gens ne sont plus disposés à accepter d'être remis en confinement en raison du coronavirus de Wuhan (COVID-19), les mondialistes envisagent d'utiliser d'autres excuses - y compris la soi-disant crise climatique.
C'est selon Greg Reese d'InfoWars, qui a mis en garde contre cette possibilité lors d'un épisode de son segment, "Reese Report".
Reese a affirmé qu'avant que les gens ne soient obligés de rester chez eux, le gouvernement adoptera probablement une variété de mesures pour faire de l'aventure un fardeau. Cela inclut la possibilité d'instituer une taxe sur le carbone, ce qui rendrait l'utilisation d'un véhicule fonctionnant aux carburants fossiles beaucoup plus coûteuse. (Connexe: Voici les VERROUILLAGES CLIMATIQUES: L'agence mondiale exige le verrouillage des villes pour atteindre les «objectifs climatiques».)
Le gouvernement pourrait même essayer de forcer les gens à se confiner en utilisant l'Organisation mondiale de la santé, qui est sur le point de recevoir une autorité internationale sur la réponse à la pandémie. Reese a expliqué que cela signifie qu'il ne se contentera plus de donner aux gouvernements des recommandations édentées sur la façon de faire face aux épidémies. Si la proposition est adoptée, il pourrait avoir le plein pouvoir exécutif pour faire ce qu'il veut sous couvert de contrôle de la pandémie.
"Ils savent que nous ignorerons leur destruction de l'Amérique tant qu'ils nous nourriront de distractions pour ruminer sur les réseaux sociaux, tout comme ils le font actuellement", a averti Reese. "Ils veulent vous faire rester à l'intérieur de votre maison et mourir tranquillement, paisiblement, là où personne ne le remarque."
"Beaucoup d'entre vous doutent peut-être qu'ils s'en tireront, mais nos actions disent le contraire", a-t-il poursuivi. "Nos actions suggèrent qu'ils peuvent recommencer."
Reese a conclu en avertissant que tant que le gouvernement fournira aux gens des débouchés légaux à partir desquels ils pourront exprimer leurs frustrations, comme les plateformes de médias sociaux, le gouvernement sera en mesure d'enfermer facilement les gens chez eux.
Les blocages climatiques une possibilité croissante
De toutes les excuses possibles que Reese a mentionnées que le gouvernement pourrait utiliser, l'une des plus probables est la crise climatique.
Les signes que le gouvernement pourrait utiliser une soi-disant urgence climatique pour instituer un verrouillage climatique étaient déjà présents dès 2020.
"L'idée nocive est que nous sommes à - encore un autre - point de basculement, et qu'à moins que le gouvernement ne prenne radicalement le contrôle centralisé de l'économie, ce sera le temps de la fermeture", a écrit Wesley J. Smith pour le National Review en septembre 2020, expliquant la justification potentielle d'un verrouillage climatique.
Dans le cadre d'un tel verrouillage climatique, le gouvernement s'accorderait la possibilité de limiter - ou d'interdire carrément - l'utilisation des véhicules privés et la consommation de viande rouge, les considérant comme les principaux responsables des émissions nocives.
En février 2022, Kristin Tate, écrivant pour The Hill, a noté que les appels à l'adoption de mesures gouvernementales extrêmes au nom de la sauvegarde de l'environnement "sont déjà dans le langage d'organisations et de personnalités influentes".
"En novembre 2020, la Croix-Rouge a proclamé que le changement climatique est une menace plus grande que COVID et devrait être confronté à" la même urgence "", a écrit Tate. «Bill Gates a récemment exigé des mesures dramatiques pour prévenir le changement climatique, affirmant qu'il sera pire que la pandémie. Bien que des millions de personnes soient mortes du COVID, l'ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre Mark Carney a prédit l'année dernière que les décès climatiques éclipseront ceux de la pandémie.
Plus récemment, le 26 avril, l'Agence internationale de l'énergie a appelé les gouvernements du monde à imposer des confinements et à interdire temporairement l'utilisation des voitures privées dans les villes pour réduire la consommation de pétrole afin qu'ils puissent atteindre leurs objectifs climatiques.
"Les dirigeants politiques ont appris que la peur incite le public à accepter une restriction dramatique des libertés pour de vagues promesses de sécurité - ils doivent réaliser l'incroyable pouvoir à portée de main", a écrit Tate. "COVID a donné un cookie à la souris du gouvernement, et les fonctionnaires et bureaucrates avides de pouvoir peuvent utiliser les précédents des deux dernières années pour instaurer un verrouillage beaucoup plus long et plus complet."
En savoir plus sur les tentatives alarmistes d'effrayer les gens avec la soi-disant crise climatique sur ClimateAlarmism.news.
Regardez ce clip du "Rapport Reese" alors que l'hôte Greg Reese parle des prochaines taxes sur le carbone et des blocages climatiques.
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Des éco-terroristes brisent des pompes à essence et prétendent de manière absurde que trop de pétrole et de gaz causeront la famine mondiale et de mauvaises récoltes
Vendredi 29 avril 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Il faut beaucoup de combustibles fossiles pour produire la quantité de nourriture nécessaire pour nourrir le monde dans sa structure industrialisée actuelle. Mais selon un groupe éco-terroriste appelé "Just Stop Oil", le pétrole et le gaz doivent être détruits afin d'éviter les mauvaises récoltes et la famine mondiale.
Un groupe itinérant composé principalement de femmes du groupe s'est récemment lancé dans une frénésie de destruction au Royaume-Uni, brisant des pompes à essence tout en hurlant sur la façon dont l'utilisation du carburant va détruire leur avenir.
"Bonjour, je m'appelle Louise, j'ai 23 ans et je fais cela parce qu'actuellement, le gouvernement se fiche de notre manque d'avenir que l'inaction face à l'urgence, qui est la crise climatique, va littéralement détruire vit dans les 10 à 20 prochaines années », a déclaré une fille alors qu'elle était filmée dans le cadre de ce qui semblait être un reportage médiatique sur la « manifestation ».
"Ce sera une mauvaise récolte massive, une sécheresse massive, une famine massive - et parce qu'ils ne font rien, nous sommes obligés de provoquer des destructions pour qu'ils écoutent", a poursuivi la jeune fille.
Elle et d'autres comme elle sont apparues dans deux stations-service différentes au Royaume-Uni : l'une dans le Surrey et l'autre dans le Kent. Ils sont venus équipés de petits outils métalliques pour détruire les écrans de la pompe, ainsi que de peinture en aérosol pour détruire les écrans.
Cette destruction contre les stations-service privées était censée se venger du gouvernement britannique pour ne pas avoir immédiatement interdit tous les combustibles fossiles parce que certains adolescents confus trouvent leur utilisation bouleversante.
Sans pétrole et gaz, des milliards de personnes mourraient
La réalité, bien sûr, est que sans pétrole et gaz, Louise et ses amis seraient déjà morts à cause du manque de nourriture et de la famine. Elle ne sait pas que les combustibles fossiles sont nécessaires pour produire des engrais, qui sont ensuite appliqués aux cultures vivrières afin de les faire pousser.
Bien sûr, la nourriture peut être cultivée sans ces choses, mais pas dans les quantités actuellement nécessaires pour nourrir la population mondiale. Il faudrait un changement majeur de l'agriculture industrielle à grande échelle vers une agriculture à plus petite échelle et même de basse-cour, un peu comme ce qui existe dans certaines parties de l'Europe et ailleurs.
Interdire le pétrole et le gaz comme le demande Louise affamerait des milliards de personnes en quelques semaines, voire quelques jours. Elle n'a clairement aucune idée du fonctionnement du système alimentaire.
Non seulement cela, interdire le pétrole et le gaz laisserait également le logement de Louise sans aucune chaleur. Bonne chance pour essayer de survivre l'hiver prochain sans cette ressource importante.
La raison pour laquelle ces enfants ont été autorisés à détruire des biens privés alors qu'ils étaient filmés en train de le faire – et alors que les policiers se tenaient là sans rien faire – est suspecte. C'est presque comme si de tels incidents étaient mis en scène dans un but inavoué.
"Découvrez qui sont leurs parents et ne les laissez pas acheter de l'huile pour leurs voitures ou leurs maisons", a écrit un commentateur.
"C'est une bonne chose qu'ils aient eu leurs voitures pour y conduire et s'enfuir", a écrit un autre, faisant un excellent point sur l'idiotie exposée (en supposant qu'elle était authentique).
"Ils portent des gilets haute visibilité à base d'essence", a suggéré un autre, pointant encore plus d'hypocrisie. "Sans parler de tous les autres biens qui sont fabriqués avec des produits pétroliers."
"Les imbéciles soumis au lavage de cerveau continuent de parler de 1,5 degré Celsius comme point de basculement. C'est anecdotique, mais il a été en moyenne de 5 degrés Celsius inférieur à la normale là où je vis en avril. Nous sommes actuellement dans un minimum solaire, et s'il continue pendant un autre cycle solaire, les latitudes supérieures à 50 auront du mal à faire pousser des cultures.
Plus de nouvelles connexes peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 01 MAI 2022 - 20:00 Via la sous-pile Doomberg,
"Gouverner une grande nation, c'est comme cuisiner un petit poisson - trop de manipulation le gâchera." – Lao Tseu
Les mots comestibles et mangeables sont souvent utilisés de manière interchangeable, mais intégré dans leurs définitions respectives est une distinction qui fait une différence importante. Comestible signifie «sûr à manger», tandis que mangeable signifie «agréable à manger». Une variante du mot mangeable est délicieuse, communément définie comme « très agréable à manger ». Délicieux semble certainement plus attrayant que très mangeable, une expression que personne n'utiliserait pour compléter un repas exquis préparé par un chef professionnel. Nous trouvons ces nuances linguistiques agréables.
Que l'équilibre des calories qu'une personne consomme soit comestible, mangeable ou délicieuse dépend de l'endroit où elle se situe dans la hiérarchie des besoins de Maslow, un concept que nous avons longuement couvert dans un article que nous avons écrit en juillet dernier intitulé Pourquoi les vaches sont-elles sacrées ? Pour ceux à la base de la pyramide, la lutte pour consommer suffisamment de nourriture comestible juste pour voir un autre lever de soleil définit une grande partie de leur existence. Au sommet de la pyramide se trouvent les âmes chanceuses qui peuvent se permettre de cuisiner de délicieux repas avec des ingrédients frais, de manger dans de bons restaurants ou même d'engager un chef personnel pour s'occuper de toutes leurs indulgences alimentaires.
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Au niveau moléculaire, la distinction entre comestible et non comestible peut être subtile. Le réarrangement de quelques atomes au sein d'une structure chimique par ailleurs similaire peut faire la différence entre la satiété et un voyage aux urgences. Avant l'avènement des industries chimiques et énergétiques modernes, l'humanité utilisait les sous-produits animaux et végétaux pour créer de nombreux matériaux fonctionnels utilisés dans la vie quotidienne, rendant le compromis entre la nourriture et les autres besoins plus viscéral qu'il ne l'est aujourd'hui. Les parties comestibles ont été mangées et les choses non comestibles - vraisemblablement identifiées grâce à une série malheureuse d'expériences d'essais et d'erreurs - ont été converties en d'autres choses utiles ou brûlées pour créer de l'énergie.
Armés de la maîtrise de la chimie par l'humanité, nous pouvons désormais réorganiser les atomes avec une spécificité étonnante à une échelle inimaginable, poussant des milliards de personnes plus haut dans la hiérarchie de Maslow qu'elles ne le seraient autrement. En plus d'utiliser des combustibles fossiles pour créer la plupart des matériaux qui nous entourent, nous les exploitons pour produire des engrais, des herbicides, des fongicides et d'autres intrants dans le processus agricole, augmentant ainsi les rendements des cultures à des niveaux autrefois considérés comme impossibles. Nous synthétisons également des montagnes d'ingrédients comestibles directement à partir du pétrole et du gaz. Visiter une usine moderne de transformation des aliments semblerait presque impossible à distinguer d'une usine de produits chimiques spécialisés, principalement parce qu'ils ne sont pas si différents.
Bien qu'il soit parfaitement logique de tirer parti de notre abondance de combustibles fossiles et de notre capacité à les manipuler au niveau moléculaire pour augmenter l'abondance alimentaire mondiale, faire l'effort de cultiver des aliments uniquement pour les retourner et les brûler pour produire de l'énergie semble loin d'être idéal. Dans un article controversé que nous avons écrit en janvier et intitulé "Éloge de l'éthanol de maïs", nous avons avancé une théorie selon laquelle l'adoption de l'éthanol de maïs comme additif obligatoire à l'essence était un stratagème visant à dissimuler l'un des plus grands scandales environnementaux du siècle dernier : l'utilisation du plomb tétraéthyle comme agent antidétonant. Alors que certains lecteurs ont interprété notre article comme soutenant cette politique - sans doute à cause du titre - notre objectif principal était de mettre en évidence l'histoire laide qui nous a amenés à la situation actuelle, et comment il s'agissait principalement d'un sale compromis politique. Avec le recul, "Pourquoi l'éthanol de maïs est une chose" aurait pu être un meilleur titre.
Aucun compromis de ce type ne sous-tend la décision d'utiliser des denrées alimentaires en remplacement du diesel, une politique qui aggravera considérablement la crise alimentaire mondiale en cours si elle n'est pas rapidement renversée.
Lorsqu'un baril de pétrole est raffiné, il est séparé en différents produits en utilisant les différents points d'ébullition de ses composants. L'essence bout à une température plus basse que le diesel et représente environ 43 % de chaque baril de pétrole. Le diesel représente environ 27 %, les 30 % restants étant destinés à devenir du mazout, du carburéacteur, de l'asphalte et d'autres matériaux importants. En raison de sa densité énergétique plus élevée par gallon et de l'efficacité des moteurs conçus pour l'utiliser, le diesel est un carburant souhaitable, en particulier pour le camionnage longue distance.
Malheureusement pour ceux qui se trouvent près du bas de la pyramide de Maslow, de nombreuses huiles de cuisson - graisse liquide isolée de diverses cultures largement utilisées dans la friture, la cuisson au four et d'autres types de préparation alimentaire partout dans le monde - ont une structure moléculaire assez similaire à celle du diesel. Il ne faut pas beaucoup de magie chimique pour transformer des huiles de cuisson auparavant comestibles en substituts utilisables du précieux combustible. Maintenant que le lobby environnemental a convaincu les responsables gouvernementaux du monde entier que la "teneur en carbone renouvelable" est à première vue une chose souhaitable - une erreur qui mérite son propre article sur Doomberg - divers mandats existent pour littéralement retirer la nourriture de la bouche des affamés et la pomper dans nos camions à brûler. Pour la planète, et ainsi de suite.
La première incarnation commercialement pertinente d'un substitut de diesel dérivé de cultures est un produit connu sous le nom de biodiesel. Les huiles dérivées de palme, de tournesol, de soja, de colza et de ricin sont utilisées comme intrants, pour n'en nommer que quelques-unes, et elles sont mises à réagir avec du méthanol (dérivé de combustibles fossiles) dans un processus chimique connu sous le nom de transestérification. La transestérification génère un produit avec une teneur en oxygène plus élevée que le diesel standard. Cela présente certains défis, notamment des performances médiocres à basse température, une croissance microbienne accrue, la corrosion des pièces du moteur et des coûts d'expédition plus élevés (le biodiesel ne peut pas tirer parti des pipelines existants qui sont utilisés pour transporter le diesel ordinaire). Tout comme l'éthanol de maïs, le biodiesel est mélangé avec du diesel ordinaire à des concentrations comprises entre 2 et 20 % avant d'être commercialisé. Malgré ces limitations, les mandats gouvernementaux ont motivé les agriculteurs du monde entier à rediriger une part importante de leurs récoltes de l'épicerie vers la station-service.
Presque tous les défis liés au biodiesel ont été surmontés grâce au développement récent du diesel renouvelable, un matériau synthétisé par hydrotraitement des huiles de cuisson. Voici comment l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) décrit les différences:
« Le diesel renouvelable est un carburant diesel à base de biomasse similaire au biodiesel, mais avec des différences importantes. Contrairement au biodiesel, le diesel renouvelable est un hydrocarbure chimiquement équivalent au diesel pétrolier et peut être utilisé comme biocarburant de remplacement qui ne nécessite pas de mélange avec du diesel pétrolier pour être utilisé…
Étant donné que le diesel renouvelable est un carburant de remplacement, il répond à la spécification ASTM D975 pour le diesel pétrolier et peut être mélangé, transporté et même co-traité avec du diesel pétrolier de manière transparente.
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Pour les camionneurs contraints de respecter les mandats de teneur en carbone renouvelable, le diesel renouvelable est une aubaine. Il ne nécessite aucun changement de leur part, ne se distingue pas du diesel ordinaire et leur permet de proclamer fièrement leur bonafides vertes. Pour les entreprises qui le produisent, le diesel renouvelable est une mine d'or financière mandatée par le gouvernement. L'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) émet de précieux numéros d'identification renouvelables (RIN) pour suivre la conformité aux divers mandats et pour stimuler la production. Il existe également un crédit d'impôt national de 1 $ par gallon pour inciter davantage les producteurs.
Bien que le soutien au niveau fédéral ait été important, le véritable moteur de l'adoption du diesel renouvelable a été l'État de Californie. Grâce à son programme de normes de carburant à faible teneur en carbone (LCFS), des crédits actuellement négociés à 115 $ par tonne de carbone sont émis, et le diesel renouvelable est désormais la plus grande source de crédits supplémentaires. C'est avant que la capacité réelle de production de diesel renouvelable ne soit mise en ligne.
D'où viendra tout ce diesel renouvelable ? Aux États-Unis, les huiles de soja sont le principal intrant, et il n'est pas surprenant que les stratégies de plantation soient rapidement modifiées pour en produire davantage. Cette citation d'un consultant de l'industrie décrit bien l'ampleur de la perturbation à venir :
"Le développement spectaculaire de l'industrie américaine du diesel renouvelable est similaire à la façon dont l'éthanol a changé l'industrie américaine du maïs de 2007 à 2010", déclare Dan Basse, président d'AgResource Company. Mais il pense que le diesel renouvelable pourrait être plus perturbateur.
"Nous réclamons 90,5 millions d'acres de soja en 2022 contre 87 millions cette année, et cela nous permet de commencer à répondre à la demande de diesel renouvelable", dit-il. « Ensuite, nous aurions besoin d'augmenter les acres de soja de 5 à 7 millions chaque année. Nous devons couvrir 120 millions d'acres (48 562 277 ha) de soja pour répondre à la demande croissante de diesel renouvelable. »
Avec la force du pouce du gouvernement sur l'ampleur de la demande qui aggrave les pressions inflationnistes préexistantes qui frappent les agriculteurs, le prix du soja a atteint de nouveaux sommets sans précédent. Au moment d'écrire ces lignes, le soja se négocie à 17 $ le boisseau, soit plus du double du prix d'il y a à peine deux ans. À moins que ces politiques ne soient levées, il est difficile d'imaginer un scénario où la dynamique positive des prix s'estompe.
Dans un article que nous avons écrit en octobre dernier et intitulé Starvation Diet, nous avons averti que la crise énergétique en cours déclencherait une famine mondiale, un processus qui serait exacerbé par le protectionnisme. Voici un passage clé :
«Nous avons beaucoup écrit sur la façon dont le marché de l'énergie en Europe a éclaté et comment les effets d'entraînement se feront sentir à travers nos délicates chaînes d'approvisionnement comme un fouet. Lorsque l'approvisionnement en biens essentiels se fait rare, les pays mettent en œuvre des politiques protectionnistes dans une vaine tentative de minimiser l'impact chez eux. Une série de mesures de représailles en cascade s'ensuit généralement, conduisant à un bouchon de vapeur économique. Nous voyons ce modèle se jouer maintenant dans l'agriculture.
Bien que nous ne soyons pas heureux d'avoir raison à cet égard, d'autres preuves de notre prescience sont apparues la semaine dernière lorsque l'Indonésie a choqué le monde en interdisant toutes les exportations d'huile de palme. Les huiles de cuisson peuvent être substituées les unes aux autres et les pressions sur les prix d'une huile placent inévitablement une offre au-dessous des autres. Voici comment The Guardian décrit la situation :
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"Le prix des huiles comestibles telles que l'huile de soja, l'huile de tournesol et l'huile de colza devrait augmenter après que l'Indonésie a annoncé une interdiction surprise d'exporter l'huile de palme, ont averti les experts.
Les principales huiles comestibles sont déjà rares en raison des conditions météorologiques défavorables et de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. La décision de l'Indonésie de suspendre les exportations exercera une pression supplémentaire sur les consommateurs sensibles aux coûts en Asie et en Afrique, touchés par la hausse des prix du carburant et des denrées alimentaires.
L'ampleur de cette interdiction ne peut être surestimée. Selon les données de Statista, l'huile de palme représentait 35 % de toute l'huile de cuisson produite l'année dernière. L'Indonésie est responsable d'un stupéfiant 60 % de la production mondiale d'huile de palme. Les ondes de souffle émanant de ce mouvement explosif seront ressenties dans le monde entier, plus intensément par ceux qui sont déjà au bord du gouffre et qui peuvent le moins se permettre de réagir. Franchement, les gens vont mourir de faim.
Face à la crise énergétique mondiale, à la guerre en Ukraine, aux pénuries alimentaires et à l'inflation galopante, est-il logique de rediriger tant d'hectares de terres cultivées précieuses pour fabriquer du diesel renouvelable, un carburant que nous pouvons facilement et directement forer au niveau national ? Nos décideurs politiques comprennent-ils la nature interconnectée de ces marchés et comment forcer un lien fort entre le diesel et le soja crée un tunnel à travers lequel la contagion de la crise sur un marché se répercute directement sur l'autre ? Imaginez à quel point ce spectacle doit paraître grotesque aux plus vulnérables d'entre nous. Alors qu'ils se bousculent pour obtenir suffisamment de nourriture comestible pour survivre, nos élites qui savent tout se gavent des hors-d'œuvre les plus délicieux que le circuit des cocktails puisse offrir. Par une ignorance choquante ou une indifférence impitoyable, ils se convainquent qu'ils sauvent la planète.
Sauver la planète pour qui, exactement ? Les citoyens les plus pauvres de la Terre ? Non.
L'éthanol casse tous les moteurs ('préparés' ou non), l'objectif étant de ne plus voir de véhicules à combustion ! Mais l'électrique ne sera JAMAIS à la hauteur (pareil pour les éoliennes ou panneaux solaires). Ce qu'ils veulent c'est RUINER la population avec d'un côté des très riches et de l'autre des très pauvres ! On s'y dirige !
Le marché du diesel monte en flèche et les prix de l'essence se rattraperont cet été
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 01 MAI 2022 - 16:30 Par Ryan Fitzmaurice, stratège principal des matières premières chez Rabobank
Résumé Les prix du pétrole se sont fermement redressés au-dessus de 100 dollars le baril cette semaine malgré les conditions de verrouillage strictes et continues en Chine et un dollar américain très fort
La demande de carburants à faible teneur en carbone a entraîné une hausse des prix à la pompe
Le marché du diesel s'est envolé récemment mais les prix de l'essence pourraient rattraper cet été
Saison de conduite
Ce fut une semaine agitée pour les marchés pétroliers, mais dans l'état actuel des choses, les prix se dirigent vers mai avec une dynamique positive. Les prix du pétrole sont revenus au-dessus de leurs moyennes mobiles respectives sur 20 jours cette semaine malgré les blocages chinois en cours et un dollar américain très fort. Sur cette note, les mesures très restrictives dans la mégapole chinoise de Shanghai sont en place depuis plus d'un mois maintenant et se sont même étendues à d'autres villes clés.
Dans le même temps, l'indice du dollar américain a atteint des sommets de plusieurs décennies. Donc, étant donné que le plus grand importateur de pétrole au monde est effectivement fermé, couplé aux pressions monétaires, la récente vigueur du pétrole est notable. Cela témoigne de l'étroitesse de l'approvisionnement mondial en pétrole et de la probabilité d'une nouvelle baisse de la production pétrolière russe, alors que l'Occident repousse les importations russes. Cela signale également que les prix du pétrole pourraient trouver un bon soutien avant les mois d'été à forte demande qui approchent à grands pas.
En tant que tel, nous considérons la dynamique du côté de l'offre comme plus percutante et durable, tandis que les blocages chinois sont de nature temporaire. De plus, l'inévitable assouplissement de ces mesures strictes en Chine pourrait libérer une importante demande refoulée dans les semaines et les mois à venir.
Nous sommes également à moins de cinq semaines des vacances du Memorial Day américain, qui est le début officieux de la saison de conduite estivale aux États-Unis. Il est important de noter que ce sont vraiment les marchés du diesel qui ont pris le leadership du complexe pétrolier ces dernières semaines, alors que l'histoire fondamentale devient de plus en plus haussière pour les carburants finis.
En fait, les prix au comptant du diesel ont déjà atteint des sommets historiques dans de nombreux endroits clés et cela malgré la chute des prix du pétrole brut depuis le début de la guerre en Ukraine. Au contraire, les prix du diesel ont atteint de nouveaux sommets à mesure que les pénuries se développaient, ce qui a entraîné des écarts de craquage nettement plus élevés et un recul record des courbes à terme.
À notre avis, le resserrement des produits raffinés devrait persister pendant des mois, voire des années, et toute panne imprévue cet été pourrait faire grimper les prix de l'essence avec le diesel.
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Dynamique du raffinage du pétrole
Comme beaucoup le savent, le secteur du raffinage est le moteur de la demande de pétrole brut et la principale source des carburants finis que nous consommons tous régulièrement. En tant que tel, il s'agit d'une industrie clé à comprendre, et en particulier pour ceux qui négocient activement sur les marchés mondiaux de l'énergie, que ce soit à des fins de couverture ou de spéculation.
À cette fin, la saison des résultats aux États-Unis est à nos portes et, avec cela, les analystes et les commerçants ont un aperçu du fonctionnement interne de l'industrie du raffinage du pétrole lors des appels trimestriels sur les résultats et ont fourni une perspective générale des tendances des carburants finis. Cette semaine, nous avons entendu certains des plus grands raffineurs américains et il y avait des thèmes clairs tout au long :
La demande de carburant est robuste et devrait atteindre des niveaux record cet été
L'approvisionnement en carburants finis est limité compte tenu de la réduction de capacité qui s'est produite au début de la pandémie
Les stocks de carburants distillés sont extrêmement faibles dans les régions clés et seront difficiles à reconstituer
Les crédits de carbone et les exigences de mélange de biocarburants augmentent les prix à la pompe
Le coût exorbitant du gaz naturel en Europe augmente les coûts de raffinage du diesel d'hydrocraquage
Les raffineurs américains maximisent les rendements du diesel par rapport à l'essence pour saisir la large diffusion
La perte de matières premières secondaires russes sera un problème clé qui aura un impact sur les rendements des produits À notre avis, ces tendances de l'industrie sont des pépites d'informations précieuses et signalent que l'industrie américaine du raffinage se prépare pour une demande record cet été, mais avec beaucoup moins de capacité qu'avant la pandémie . Ce manque de capacité est également apparent lorsque l'on regarde les marges diesel extrêmement attrayantes ces derniers temps. Cette dynamique a conduit les raffineurs à maximiser la production de diesel au détriment de l'essence étant donné que l'écart entre les deux carburants s'est effondré à des niveaux historiques.
En fait, la répartition essence-diesel s'est considérablement modifiée, le diesel occupant une place importante depuis le début de la guerre en Ukraine. Cependant, cet écart historiquement large pourrait se réduire à mesure que nous entrons dans la saison de conduite et la raison est liée au dernier thème ci-dessus, la perte de matières premières russes telles que le Vacuum Gasoil (VGO). Cette matière première est généralement traitée par les principales raffineries américaines et est utilisée pour remplir les unités de traitement secondaire telles que les hydrocraqueurs qui augmentent le rendement des carburants finis. Cette perte de VGO russe obligera désormais les raffineurs à décider si les barils supplémentaires sont transformés en diesel via un hydrocraqueur ou en essence via un cat-cracker (FCC). Cette concurrence pourrait entraîner une inversion moyenne de l'écart notoirement volatil essence-diesel, l'essence gagnant du terrain pour garantir que les raffineurs produisent suffisamment d'essence.
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Avoir hâte de
Pour l'avenir, nous continuons à voir plus de risques à la hausse qu'à la baisse en ce qui concerne les prix du pétrole brut et considérons que le resserrement croissant des carburants finis fournit un solide soutien sous-jacent à l'approche de la saison de conduite. De plus, le manque de capacité de raffinage inutilisée dans l'Ouest augmentera la sensibilité et la réaction des prix en cas d'interruptions majeures imprévues cet été, tandis que la perte de VGO russe plafonnera probablement les taux d'utilisation des raffineries.
Des villes en banqueroute, des services publics qui ferment, des citoyens qui refusent de payer plus d’impôts et qui décident de remplacer eux-mêmes les fonctionnaires : ce n’est pas une fiction mais une réalité aux États-Unis.
Et si cela nous arrivait aussi ?
Reportage dans ces villes qui vivent la faillite au quotidien et où les habitants remplacent parfois les policiers, les éboueurs, les jardiniers…
Central Falls
La ville de Central Falls est située dans le comté de Providence, dans l’État du Rhode Island, aux États-Unis. Fondée en 1730, la ville fut séparée administrativement de Lincoln en 1895.
Ici, la faillite est déjà déclarée, et cela se voit. A Central Falls, petite ville de 19.000 habitants juste au nord de la mal nommée Providence, la capitale de l’Etat de Rhode Island, tout a l’air fatigué. Les routes ne sont pas complètement pourries, mais craquelées, bosselées et sales. Les maisons, de trois étages le plus souvent, pour superposer trois familles, ont oublié d’être entretenues. Beaucoup ont été saisies, les fenêtres sont murées de planches, et les ronces reprennent le contrôle des jardins. Beaucoup d’habitants sont aussi en faillite. A la vue d’un étranger, certains tentent leur dernière chance : « Z’auriez pas un dollar ? »
Lundi dernier, au moment même où le pouvoir fédéral à Washington évitait – de justesse – le défaut de paiement, Central Falls s’est déclaré en faillite, sous le régime du chapitre 9, qui protège temporairement la municipalité de ses créanciers. Une démarche encore rare pour une ville, mais qui risque de devenir plus fréquente, redoute-t-on ici.
« Sur un budget de moins de 17 millions de dollars [11,9 millions d’euros, ndlr] cette année, nous avons un déficit de 5,6 millions. Avec aussi 80 millions d’engagements qui n’ont pas été provisionnés pour payer les retraites », explique le juge Robert Flanders, chargé depuis quelques mois de rééquilibrer les finances de la ville, et adepte de mesures radicales. « Ce n’était plus tenable. »
Dans les rues de Central Falls, les habitants se disent « choqués » et « peinés pour la ville », mais avouent aussi qu’ils s’attendaient un peu à cette faillite.
« Ça fait longtemps qu’on n’est plus Chocolateville », résume Jerauld Adams, un jeune agent immobilier qui tente de maintenir en vie la bibliothèque.
Au 18ème siècle, la rivière locale avait attiré l’un des premiers fabricants américains de chocolat, qui avait donné ce surnom de « Chocolateville ». Des dizaines de fabriques textiles avaient suivi, qu’on devine encore aux grands entrepôts de brique rouge, à l’abandon ou reconvertis. Dans l’une de ces fabriques, où l’on tissait des chaussettes, puis des bandages, jusqu’à ce que la production se délocalise au Mexique, Gary Reedy tente de faire survivre un petit atelier de couture, spécialisé dans les costumes de danse sur mesure :
« Le problème est qu’on a tout laissé partir. D’abord les usines sont parties à l’étranger, puis maintenant les services. Les seules activités qui restent dans notre pays, c’est l’éducation et la santé, ou des tout petits business, comme le mien. »
Ce matin, sur sa dizaine de machines à coudre, trois ouvrières seulement assemblent tutus et rubans.
« J’ai dû réduire mes effectifs, soupire encore le patron. La reprise, je ne l’ai pas vue ici, en tout cas pas pour moi : ces deux dernières années n’ont vraiment pas été bonnes. Et je pense qu’on n’a pas encore touché le fond. »
Corruption
La dernière récession a « exacerbé » les problèmes à Central Falls, mais les racines du mal sont « profondes », explique Robert Flanders, le juge redresseur des comptes municipaux.
« Le problème central est que la ville a conclu avec ses employés des contrats qu’elle ne peut plus se permettre », expose-t-il. « D’autant moins que les fonds prévus n’ont pas été alloués comme ils le devaient. »
Le maire, démocrate comme il est de tradition à Central Falls, est le sujet de plusieurs enquêtes pour corruption. Il reste en fonction, mais dépossédé de tous ses pouvoirs.
« Je ne sais pas ce qu’il fait, peut-être est-il en train de jouer au golf », nous a répondu son frère, promettant de transmettre notre demande d’interview…
L’État de Rhode Island, qui a longtemps bouché les trous du budget municipal, acceptant même de financer les écoles de la ville depuis les années 90, est à bout de souffle et a nommé le juge Flanders pour trancher dans le vif. Tandis qu’au niveau national le compromis entre démocrates et républicains repousse la nécessaire révision des prestations sociales, à Central Falls le juge Flanders veut imposer des coupes immédiates. Le 1er juillet, il a fermé la bibliothèque municipale et a licencié ses six employés. Idem avec le centre communautaire, qui venait d’être rénové. « C’est très triste », glisse une habituée de 91 ans, rencontrée sur le chemin du Dunkin’Donuts : au lieu du repas qu’elle prenait au centre pour 3 dollars, elle s’offrira ce jour-là tout juste un café.
« Ceux qui prennent ces décisions financières auraient quand même pu penser aux enfants, qui pouvaient faire du sport ici et qui n’auront plus rien d’autre à faire que traîner dans la rue ou rester enfermés à la maison », s’indigne David, un des rares étudiants du quartier. « C’est la prochaine génération qu’on est en train de sacrifier. »
« Drames »
Mais ce n’est pas tout : la déclaration de faillite a permis au juge Flanders de modifier les contrats de tous les employés et retraités de la ville. Pompiers et policiers, qui pouvaient se retirer après vingt ans de service et toucher 50 % de leur dernier salaire, ne recevront plus que la moitié de leurs pensions, a décidé le juge (en graduant toutefois les coupes, un peu moins raides pour les plus âgés et les plus pauvres).
« On oublie que les policiers ne touchent pas de bonus comme dans le secteur privé, même si je fais 100 arrestations, mon salaire n’augmente pas ! », grommelle le colonel Joseph Moran, chef de la police de Central Falls.
« Vingt ans de service dans la police, pour les gens qui ne connaissent pas notre travail, cela peut paraître peu », poursuit le colonel, qui aligne vingt-huit années de maison et aurait pu – jusqu’au 1er août – faire valoir ses droits à une retraite non amputée. « On sous-estime les risques psychologiques de notre métier, le fait d’être sans cesse confronté à tous les drames des habitants. »
A la caserne des pompiers, l’indignation est la même :
« Notre régime de retraite peut paraître généreux, mais il avait été accordé en échange d’autres concessions, comme de moindres hausses de salaire », rappelle John Garvey, le chef des pompiers. « En même temps, on nous demande aussi de payer plus pour notre assurance maladie, il y a des gens qui n’y arriveront pas ! »
Tout le monde n’est pourtant pas mécontent de ce coup de massue asséné aux flics et autres « fonctionnaires ».
« C’est pas ça qui va nous faire pleurer », synthétise Brian, 13 ans, dont la famille, originaire de Porto Rico, maîtrise mal l’anglais. « S’il y a moins de flics après ça, tant mieux, on sera peut-être un peu plus tranquilles. En ce moment, comme ils ont besoin d’argent, ils nous mettent des amendes pour un oui ou un non, soi-disant qu’on n’est pas assis du bon côté de la route ou que les poubelles sont pas au bon endroit. »
A 31 ans, Edward Hernandez a également l’impression que la ville dans laquelle il a grandi est tombée sur la tête : « Tout est devenu complètement étrange », fronce-t-il, tandis qu’il s’accorde une pause avec ses compagnons, employés pour l’été au nettoyage d’une école. « Les flics qui ont travaillé toute leur vie dans l’espoir d’une retraite découvrent soudain qu’ils ne toucheront que la moitié de ce qu’on leur avait promis. Et nous qui travaillons, nous gagnons souvent moins que ceux qui vivent de l’aide sociale. »
La moitié des familles de Central Falls vivent des différentes subventions de l’Etat, allocations chômage, pensions d’invalidité ou coupons alimentaires, maugréent Edward et ses deux collègues :
« Et on les voit au supermarché : nous, on a juste les moyens de remplir un sac de courses, et eux, ils en remplissent deux ! »
Quelques maisons plus loin, Joan Facha, corpulente grand-mère de 53 ans, n’a plus de dents pour répondre avec le mordant qui s’imposerait :
« Dans mon cas, je peux dire quand même que je gagnais plus quand je travaillais chez Taco Bell [une chaîne de restauration rapide, ndlr]. Je touchais 300 à 400 dollars par semaine, contre 700 dollars par mois maintenant avec ma pension d’invalidité. »
Avec cette allocation, celle d’une de ses filles et des coupons d’aide alimentaire, Joan fait vivre sous son toit une demi-douzaine de personnes.
« Aucun de mes quatre enfants ne travaille », avoue-t-elle. « Ils ne trouvent rien, ou rien qui leur convient. »
« Emprunt »
Pourtant à Central Falls, parmi ceux qui ont le plus souffert de la crise, on rencontre aussi l’espoir et la volonté, très forte, de se tirer de cette mauvaise passe.
« Je fais des pertes sur les trois maisons que j’ai achetées », confie Jaime Rua, gestionnaire immobilier, arrivé de Colombie à 8 ans avec ses parents qui avaient trouvé à s’employer dans le textile. « Pour l’une de mes maisons, j’ai pris un emprunt de 150 000 dollars, et elle ne vaut plus que 80 000. Pour les deux autres, pareil. Mais je tiens le coup, en prenant des locataires dont le loyer est subventionné par le gouvernement. Tant que ces programmes fédéraux continuent, ça va, je suis assuré de toucher mes loyers. »
Jaime sourit, un peu forcé : « Et d’ailleurs, j’ai bien envie d’acheter une nouvelle maison. On peut en acheter aujourd’hui à 30 000 ou 40 000 dollars. C’est le moment d’investir ! »
L'élection d'un maire en fait un fonctionnaire, c'est-à-dire quelqu'un qui va balancer en l'air de l'argent qu'il n'a pas ! Il emprunte ! Il va refaire regoudronner des routes qui n'en ont pas besoin ! Faire des ronds-points ! Des ronds-points de partout ! Partout !
Un nouveau projet de loi COVID inflige des amendes aux parents pour les enfants non infectés et double les impôts sur le revenu
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 01 MAI 2022 - 19:25
Un projet de loi absurde sur le COVID-19 du sénateur radical de gauche de Road Island, Samuel W. Bell, déclare que les résidents qui refusent le vaccin et ses rappels sont passibles d'amendes et paient plus d'impôt sur le revenu à moins qu'ils ne bénéficient d'une exemption.
Bell a présenté le projet de loi S2552 du Sénat du Rhode Island le 1er mars. La semaine dernière, le projet de loi n'avait pas été adopté et est actuellement examiné par le comité sénatorial de la santé et des services sociaux.
S2552 stipule que les résidents éligibles du Rhode Island devraient être vaccinés contre le COVID. S'ils refusent, ils pourraient faire face à une amende mensuelle de 50 $ et payer le double de l'impôt sur le revenu de l'État. Il existe également des amendes pour les enfants non vaccinés de moins de 16 ans qui seraient imposées aux parents. Le texte du projet de loi se lit comme suit :
Cette loi obligerait tous les résidents de seize (16) ans ou plus à être vaccinés contre la COVID-19. Si un résident a moins de seize (16) ans, il devra être immunisé contre la COVID-19, la responsabilité d'assurer la conformité incombant à tous les parents ou tuteurs ayant des pouvoirs de consentement médical.
De plus, toute personne qui enfreint ce chapitre serait tenue de payer une amende civile mensuelle de cinquante dollars (50,00 $) et devrait deux fois le montant de l'impôt sur le revenu des particuliers.
Parlant de la facture, Bell a déclaré au Boston Globe :
"La raison pour laquelle j'ai présenté le projet de loi est que nous avons une crise avec la pandémie.
"Des milliers d'habitants du Rhode Island sont morts. J'ai reçu des appels vraiment douloureux d'électeurs qui ne peuvent pas se rendre au magasin parce qu'ils sont immunodéprimés, qui ont perdu des êtres chers à cause de cette pandémie, qui sont vraiment malades et pas complètement rétablis , souffrant d'effets à long terme."
Bell a fait face à de sévères critiques pour l'introduction du projet de loi. Il a tweeté cet e-mail qu'il a reçu d'un Rhode Islander en colère.
- voir doc sur site -
Soumettre les adultes à des amendes et à davantage d'impôts pour ne pas avoir été vaxxés ou même pour leurs enfants non vaxxés est un dépassement important de la part du gouvernement. De plus, le vaccin n'est pas sans risque, surtout pour les enfants.
Le Dr Robert Malone, virologue et immunologiste qui a contribué à la technologie des vaccins à ARNm, a récemment déclaré : « Réfléchissez-y à deux fois avant de vacciner vos enfants. voulez un refaire. ""
Alors que les expérimentations géniques d'essais (FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelées 'vaccins') ont fait mourir des millions de personnes, ces piqûres létales voire handicapantes sont sur le point d'être rendues obligatoires !!
Ils veulent créer des transhumanisés pour tuer la population (objectif Bill Gates : 500 000 personnes sur Terre !).
Avec l’intelligence artificielle, arrive l’ère du travailleur augmenté
À force de se concentrer uniquement sur les risques, sans une vision réaliste et ambitieuse, il est probable que nous passerons à côté des perspectives positives offertes par l’IA et de l’ère du « travailleur augmenté ».
le 1 mai 2022 Yann-Mael Larher
Nous sommes à l’aube d’une nouvelle rupture technologique qui pourrait, à terme, bouleverser le marché de l’emploi. Le développement des solutions d’intelligence artificielle sur des pans entiers du marché de l’emploi aura des externalités positives indéniables, encore trop mal perçues des travailleurs.
Des transformations structurelles sans destruction massive
Selon le rapport de référence « Automatisation, numérisation et emploi » du Conseil d’orientation pour l’emploi (janvier 2017), moins de 10 % des emplois existants seront menacés par l’intelligence artificielle. Comme toutes les économies tertiarisées, l’économie française reste globalement peu à risque d’une substitualité élevée des travailleurs par les robots. Les pouvoirs publics doivent, dès maintenant, identifier ces postes pour engager une politique de formation et d’évolution de carrière des travailleurs touchés afin de limiter les risques de casse sociale sur des publics déjà faiblement formés et précarisés.
En revanche, 50 % de nos emplois existants sont susceptibles d’évoluer de façon significative. Tous ces métiers sont ainsi appelés à connaître une évolution substantielle. Dans le marketing, le recours à l’intelligence artificielle améliore la connaissance du marché et des utilisateurs d’un produit ou service pour ouvrir des contenus personnalisés aux consommateurs, envoyés au moment adéquat et sur le canal pertinent.
Dans le domaine de la maintenance ferroviaire, il est possible de mieux sécuriser les installations en anticipant les travaux comme le fait par exemple la société américaine Remark Holdings, l’un des leaders du marché américain, sur les voies de la compagnie Brightline Rail en Floride. La mortalité sur la ligne, l’une des plus accidentogènes du pays, a été quasiment réduite à néant, par rapport à la période où la surveillance était attribuée à des seuls humains et des caméras classiques.
Enfin, en matière de santé, la possibilité d’exploiter de gigantesques volumes de données nourrit des espoirs immenses pour mieux dépister et guérir le cancer. Avec parfois des résultats quasi-équivalent à ceux des spécialistes et des interventions humaines, comme en témoigne une étude récente publiée par la Harvard Medical School.
Mettre en avant les externalités positives attendues pour en renforcer l’acceptabilité sociale Selon une étude menée par PwC, une personne sur trois considère l’automatisation des tâches permises par les IA comme une menace pour l’emploi. C’est une erreur, sauf si on laisse les autres économies le faire à notre place. Il faut appuyer sur les externalités positives attendues par les études prospectives pour en renforcer l’acceptabilité sociale et ainsi abaisser les freins au changement, notamment sur deux d’entre elles.
Les deux plus grandes externalités positives attendues sont ainsi :
– l’amélioration de la productivité des salariés. Pour les entreprises qui l’implémentent, l’intelligence artificielle accroît la rentabilité de 38% en moyenne, selon les données d’Accenture Research, du fait de l’automatisation d’une partie des tâches.
– l’amélioration à terme du bien-être au travail, dont son pendant négatif, le mal-être en milieu professionnel, aurait un coût social estimé entre 2 et 3 milliards d’euros par an, selon les données 2017 de l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS).
Là encore, les processus d’automatisation des tâches amènent mécaniquement une montée en qualité du travail.
La France doit se préparer à ce bouleversement systémique du marché de l’emploi pour en tirer le meilleur Plus que jamais, il faut positionner la France et l’Europe à l’avant-garde de cette révolution naissante. De l’agriculture aux usines, l’intelligence artificielle peut aider les Français et plus largement les Européens à lutter à armes égales pour gagner la bataille de la compétitivité sans rogner nos standards en matière de droit du travail. Au-delà des diplômes et des formations qu’il faut encourager tout au long de la vie, il faut comprendre que le numérique nécessite d’adopter un état d’esprit agile. Les technologies évoluant en permanence, il faut donc sans cesse se remettre en cause et acquérir de nouveaux savoirs.
Les politiques ont aussi un rôle majeur pour démystifier les technologies auprès de la société et sur l’importance de se maintenir dans la course à l’IA. Si l’on souhaite défendre les citoyens français et les emplois européens, on fera plus en soutenant la recherche européenne qu’en développant des circulaires qui complexifient le travail des chercheurs et ralentissent l’émergence de nouveaux champions tricolores. De façon contre-intuitive, avec une législation de plus en plus complexe, nous renforçons les fleurons chinois qui ont déjà une longueur d’avance.
À force de se concentrer uniquement sur les risques, sans une vision réaliste et ambitieuse, il est probable que nous passerons à côté des perspectives positives offertes par l’IA et de l’ère du « travailleur augmenté ».
L'erreur commise par celles et ceux qui lisent est de penser qu'il serait bien de transposer la machine à l'être humain. Or, ce que les ordures criminelles au pouvoir essaient de faire ce n'est rien d'autre que l'effacement de l'être humain, la mort du 'trop de ces gens' par l'arrivée de piqûres prétextant une poussière fantôme de zombie affamé qui serait dans l'air !
Car, remettons les choses en place: y a 2 ans est arrivé un 'nouveau virus' (comprenez: une 'nouvelle poussière'), mais, comme ce n'est pas un microbe qui apporte des maladies, que cache donc cette nouvelle poussière et premièrement: Pourquoi serait-elle nouvelle ?
Depuis DES milliards d'années notre magma expulse des milliards de milliards de milliards de poussières chaque seconde en fonds de mers et océans. Elle font donc partie des courants, des lames de fond et, remontent aussi à la surface par les productions continuelles de gaz de cette masse ferrique incandescente. C'est ainsi que l'eau de mers est composée de 86 % d'oxygène expulsé depuis le centre de notre planète et qui, arrivé à la surface, compose donc notre atmosphère.
Ces poussières (microscopiques/nanoscopiques) on les connaît. Elles sont appelées 'corona' pour leur forme de couronne (et pourquoi pas 'ballonna' pour leur forme sphérique ?). Bref, ces poussières (aussi appelées 'virus') sont PARFAITEMENT INOFFENSIVES et nous en respirons DES milliards chaque jour et des montagnes de milliards depuis notre naissance.
Alors, que faut-il entendre par 'nouvelle' poussière ? Il faut entendre que ces poussières ne sont pas - en tant que telles - issues du magma mais de laboratoires où elles ont été 'retravaillées'.
Et, si je vous parle de ces poussières (qui je le rappelle sont aussi appelées 'virus', comme pour faire 'intelligent le gaz carbonique n'est plus appelé gaz carbonique mais 'CO2' !! ou aussi: 'dioxyde de carbone' ou 'anhydride carbonique' !) c'est parce qu'elles sont intéressantes surtout mises sous microscope a balayage électronique. Révélation des docteurs Astrid Stuckelberger et Carrie Madej elles s'appellent réellement des nano-particules d'oxyde de graphène. (Houlala !). Voila qu'arrive un poison mortel violent ? Oui et non. Oui parce qu'elles sont proposées et non parce qu'elles sont enveloppées. D'où donc leur passage en laboratoires.
Mais je vous rassure, ces poussières NE SONT PAS DANS L'AIR (Ouf !) mais UNIQUEMENT commercialisées sous la forme de flacons injectables FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT intitulées (c'est marqué sur l'étiquette:) 'VACCIN' !!
Est-ce un gag ? Pourquoi peut-il exister un vaccin anti-poussières ? Parce que, ces 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène sont inoculées aux être humains sans défense, sans connaissance au QI proche du zéro ! Disons le mot: DES CONS ! Voila, c'est dit. L'astuce est de faire croire aux attardés mentaux désireux de se faire inoculer qu'une méchante poussière (de type 'gloutons' ou 'pac-man' ?) est dans l'air et est prête à vous dévorer ! Aïe-aïe-aïe ! D'où la répondante solution de vous injecter l'anti-poussière anti-terroriste anti-extraterrestre qui vous sauvera.
Or, il s'est très vite avéré que SEULES les personnes qui s'étaient faites inoculer profond (et qui en plus en redemandaient !) étaient porteuses de problèmes très douloureux (douleurs torrides, invalidité, paralysie, retard mental, etc) tandis que d'autres en mourraient ! SEULS les chanceux, les veinards, les personnes intelligentes ou simplement piquées avec du sérum phy n'avaient aucun problème !
Là, vous commencez à découvrir la différence entre le transhumanisé et la personne normale.
Transhumanisé car c'est de cela qu'il s'agit ! Ces nano-particules d'oxyde de graphène ne sont pas seulement là pour vous torturer et vous faire crever mais pour vous guider !! HOULA ! Bêh ouais, faut le dire, les personnes qui ont reçu la piqûre d'expérimentation génique d'essais FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin', reçoivent de l'extérieur des ondes basses fréquences qui sont envoyées à votre cerveau grâce aux 'tours-relais' oxyde de graphène qui transmettent l'information ! Si on vous dit ''Lève-toi et marche !" vous vous levez et vous marchez. Si on vous dit de prendre un couteau ou marteau et d'aller assassiner vos voisins ou votre famille, VOUS LE FAITES ! Vous n'avez plus de libre-arbitre ! Vous n'avez plus VOTRE conscience mais uniquement celle qui vous est envoyée ! C'est ce qu'ils essaient de faire de vous ! Vous devenez une machine ! Vous devenez un robot ! Un ordinateur sur pattes ! ou plutôt un GROS CONS D’ATTARDÉ MENTAL qui se promène. L'esclave, le chien, la larve, bref: une merde !
Gaz, blé, armes… Comment les États-Unis profitent de la guerre en Ukraine
Daphnée Caravaca, Journaliste Figaro Live Publié par Aphadolie 30/04/2022
Chapitres :
0:00 : Introduction.
0:36 : Énergie / le gaz.
3:34 : Alimentation / le blé.
4:32 : Défense / les armes.
5:40 : Influence / le soft power.
Synopsis vidéo :
Avec l’aggravation de la situation en Ukraine et les multiples sanctions imposées à la Russie de Vladimir Poutine, l’Europe s’est retrouvée face à une réalité :
« Notre dépendance au pétrole et au gaz russe passe là aussi par une diversification de nos achats », comme souligné par Emmanuel Macron.
Un pays pourrait tirer son épingle du jeu dans cette crise : les États-Unis.
On vous explique dans « Factu » comment les Américains pourraient bénéficier de la guerre en Ukraine avec Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste BDO France et Cyrille Bret, enseignant à Sciences Po Paris.
Les clés pour comprendre comment l’Amérique profite de la guerre en Ukraine
1 : Vendre un gaz plus cher à l’Europe
Joe Biden n’a pas fait le voyage pour rien. Le 25 mars dernier, en sa présence, la Commission européenne s’est engagée à lui acheter 15 milliards de m3 (Gm3) de gaz naturel liquéfié (GNL) supplémentaires en 2022. Ce n’est qu’un début. À terme, l’objectif est de remplacer totalement les 155 Gm3 de gaz russe représentant 30 % de la consommation de l’UE. Issu de la fracturation hydraulique (technique prohibée en France car jugée trop polluante), ce « gaz de schiste » sera transporté par méthanier avant d’être regazéifié à son arrivée sur le continent. Pour ce faire, l’Allemagne (qui avait tout parié sur le gazoduc russe Nord Stream 2) devra construire deux terminaux adaptés à cette opération. Aux États-Unis, les producteurs de GNL se frottent les mains et accentuent la pression sur le gouvernement Biden afin d’obtenir de nouvelles concessions. Leur modèle économique est le mégachamp Golden Pass qui sera mis en service par ExxonMobil et Qatar Energy dans l’État du Texas en 2024. Un investissement de 10 milliards de dollars dont la rentabilité est désormais garantie par… la clientèle
La guerre russo-ukrainienne a également convaincu (à juste titre, mais dans l’urgence) les Européens de renforcer leurs armées. Le chancelier Olaf Scholz entend ainsi consacrer 100 milliards d’euros à la modernisation de la Bundeswehr. Sa première décision ne plaide pas en faveur de l’Europe de la Défense : Berlin va acheter 35 avions furtifs F-35 du constructeur américain Lockheed Martin pour remplacer sa flotte de Tornado. Tant pis pour l’avion de chasse européen Scaf (Système de combat aérien du futur), que l’Europe développe pourtant avec Paris et Madrid. L’armée française se retrouve aussi en position délicate. Elle dépendait intégralement des gros-porteurs ukrainiens Antonov 124, dont la flotte a été partiellement détruite par les Russes. L’Airbus A400M ayant une capacité d’emport six fois inférieure, il est probable qu’elle se tourne vers le C-17 américain de chez McDonnell Douglas ! Quant au groupe Airbus, maître d’œuvre du projet Eurodrone (drone européen de moyenne altitude et de longue endurance), il vient d’annoncer qu’il équiperait son prototype d’un moteur fabriqué par une filiale de General Electric !
3 : Jackpot pour les fermiers du Midwest
La Russie et l’Ukraine, respectivement premiers et cinquièmes exportateurs de blé, fournissaient 25 % de la demande mondiale avant le conflit. Le blé ukrainien est en train de pourrir dans les ports de la mer Noire. Soumis aux sanctions, le blé russe est devenu invendable, ce qui fait grimper les cours, la tonne étant passée de 275 euros en janvier à 350 euros en mars. Les agriculteurs américains, massivement subventionnés par l’administration Biden (27 milliards de dollars dans le cadre de l’American Rescue Plan Act, le plan de relance démocrate adopté en 2021 pour booster l’économie nationale), ne peuvent être que les grands vainqueurs de cette redistribution alimentaire à grande échelle. L’année 2021 leur avait déjà été particulièrement favorable puisque le secteur agricole avait pulvérisé ses records à l’exportation : 177 milliards de denrées vendues à l’étranger, soit une hausse de 18 % par rapport à 2020 et 14,6 % de plus que le précédent record en 2014.
Si les hostilités devaient continuer, nul doute que le Midwest ravira à la Russie et à l’Ukraine le titre envié de « grenier à blé » de la planète.
Non, ce ne sont pas 'que les États-Unis' qui profitent de la guerre mais TOUS les pays qui soutiennent l'armée nazie qui est au pouvoir en Ukraine. La dictature tend à priver la France de gaz, de pétrole et de charbon voire de toutes matières importées depuis la Russie ! La Russie se régale ! Poutine se tord de rire de voir en face de si grands cons ! La Russie vend son pétrole, gaz, charbon, etc à la Chine, l'Inde, Brésil etc !
L'Empire du Mensonge est impatient de recevoir la carte de visite de M. Sarmat
Pepe Escobar 30 avr. 2022
Au milieu de la démence propagandiste et de la dissonance cognitive aiguë qui sévissent dans toute la sphère de l'OTAN, le seul antidote est constitué par les rares voix de la raison, qui se trouvent être russes, donc réduites au silence et/ou écartées.
En particulier, depuis le début de la Guerre mondiale contre le Terrorisme (GWOT) au début du millénaire, personne n'a jamais perdu d'argent en pariant contre le mélange toxique d'orgueil, d'arrogance et d'ignorance déployé en série par l'Empire du Chaos et du Mensonge.
Ce qui passe pour une « analyse » dans la vaste zone d'exclusion aérienne intellectuelle connue sous le nom de « Think Tankland » des États-Unis comprend des balbutiements de vœux pieux tels que Pékin « croyant » que Moscou jouerait un rôle de soutien dans le siècle chinois, juste pour voir la Russie, maintenant, dans le siège du conducteur géopolitique.
Il s'agit là d'un bon exemple non seulement de paranoïa russophobe/sinophobe pure et simple concernant l'émergence de concurrents pairs en Eurasie - le premier cauchemar anglo-américain - mais aussi d'ignorance crasse des détails du complexe partenariat stratégique global Russie-Chine.
Alors que l'Opération Z entre méthodiquement dans sa phase 2, les Américains - avec vengeance - se sont également lancés dans leur phase 2 symétrique, qui se traduit de facto par une escalade pure et simple vers la Totalen Krieg, des nuances de l'hybride à l'incandescent, le tout bien sûr par procuration. Le célèbre vendeur d'armes Raytheon reconverti en chef du Pentagone, Lloyd Austin, a dévoilé le jeu à Kiev :
« Nous voulons voir la Russie affaiblie au point qu'elle ne puisse plus faire le genre de choses qu'elle a faites en envahissant l'Ukraine ».
Alors ça y est : l'Empire veut anéantir la Russie. La frénésie de War Inc. se traduit par l'envoi de cargaisons d'armes illimitées sur l'Ukraine, dont l'écrasante majorité sera dûment éviscérée par les frappes de précision russes. Les Américains partagent avec Kiev des informations 24/7, non seulement sur le Donbass et la Crimée, mais aussi sur le territoire russe. La Totalen Krieg se déroule parallèlement à la démolition contrôlée de l'économie de l'UE, la Commission européenne agissant joyeusement comme une sorte de bras de l'OTAN pour les relations publiques.
Au milieu de la démence propagandiste et de la dissonance cognitive aiguë qui sévissent dans toute la sphère de l'OTAN, le seul antidote est constitué par les rares voix de la raison, qui se trouvent être russes et qui sont donc réduites au silence et/ou écartées. L'Occident les ignore à son propre péril collectif.
Patrouchev la joue Triple-X déchaîné
Commençons par le discours du président Poutine devant le Conseil des législateurs à Saint-Pétersbourg pour célébrer la Journée du parlementarisme russe.
Poutine a démontré comment une « arme géopolitique » à peine nouvelle, s'appuyant sur la « russophobie et les néonazis », couplée à des efforts d'« étranglement économique », non seulement n'a pas réussi à étouffer la Russie, mais a imprégné dans l'inconscient collectif le sentiment d'un conflit existentiel : une « Seconde Grande Guerre Patriotique ».
Avec une hystérie hors normes sur tout le spectre, un message pour un Empire qui refuse toujours d'écouter, et qui ne comprend même pas le sens de « l'indivisibilité de la sécurité », devait être inévitable : « Je voudrais souligner une fois de plus que si quelqu'un a l'intention d'interférer dans les événements qui se déroulent depuis l'extérieur et crée des menaces de nature stratégique inacceptables pour la Russie, il doit savoir que nos frappes de représailles seront rapides comme l'éclair. Nous disposons de tous les outils nécessaires à cet effet. Tels que personne ne peut s'en vanter aujourd'hui. Et nous ne nous vanterons pas. Nous les utiliserons si nécessaire. Et je veux que tout le monde le sache - nous avons pris toutes les décisions à ce sujet ». Traduction : les provocations incessantes peuvent conduire M. Kinjal, M. Zircon et M. Sarmat à être contraints de présenter leurs cartes de visite sous certaines latitudes occidentales, même sans invitation officielle.
Sans doute pour la première fois depuis le début de l'Opération Z, Poutine a fait une distinction entre les opérations militaires dans le Donbass et le reste de l'Ukraine. Cette distinction est directement liée à l'intégration en cours de Kherson, Zaporijia et Kharkiv, et implique que les forces armées russes continueront d'aller de l'avant, en établissant la souveraineté non seulement dans les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, mais aussi sur Kherson, Zaporijia, et plus loin, de la mer d'Azov à la mer Noire, jusqu'à établir le contrôle total de Mykolaïv et Odessa.
La formule est claire comme de l'eau de roche : « La Russie ne peut pas permettre la création de territoires anti-russes autour du pays ».
Passons maintenant à une interview extrêmement détaillée du secrétaire du Conseil de sécurité, Nikolaï Patrouchev, à Rossiyskaya Gazeta, où Patrouchev l'a joué Triple-X déchaîné.
Le point essentiel à retenir est peut-être ici : « L'effondrement du monde américano-centré est une réalité dans laquelle il faut vivre et construire une ligne de comportement optimale ». La « ligne de conduite optimale » de la Russie - à la grande colère de l'hégémon universaliste et unilatéraliste - se caractérise par « la souveraineté, l'identité culturelle et spirituelle et la mémoire historique ». Patrouchev montre comment « les scénarios tragiques des crises mondiales, tant dans les années passées qu'aujourd'hui, sont imposés par Washington dans sa volonté de consolider son hégémonie, en résistant à l'effondrement du monde unipolaire ». Les États-Unis ne reculent devant rien « pour s'assurer que les autres centres du monde multipolaire n'osent même pas lever la tête, et notre pays non seulement a osé, mais a déclaré publiquement qu'il ne jouerait pas selon les règles imposées ».
Patrouchev n'a pas pu s'empêcher de souligner à quel point War Inc. fait littéralement un carnage en Ukraine : « Le complexe militaro-industriel américain et européen jubile, car grâce à la crise en Ukraine, il n'a aucun répit à l'ordre. Il n'est pas surprenant que, contrairement à la Russie, qui est intéressée par l'achèvement rapide d'une opération militaire spéciale et la minimisation des pertes de toutes parts, l'Occident soit déterminé à la retarder au moins jusqu'au dernier Ukrainien ». Et cela reflète la psyché des élites américaines : « Vous parlez d'un pays dont l'élite n'est pas capable d'apprécier la vie des autres. Les Américains sont habitués à marcher sur une terre brûlée. Depuis la Seconde Guerre mondiale, des villes entières ont été rasées par les bombardements, notamment des bombardements nucléaires. Ils ont inondé la jungle vietnamienne de poison, bombardé les Serbes avec des munitions radioactives, brûlé vifs les Irakiens avec du phosphore blanc, aidé les terroristes à empoisonner les Syriens avec du chlore (...) Comme l'histoire le montre, l'OTAN n'a jamais été non plus une alliance défensive, seulement une alliance offensive ». Auparavant, dans une interview accordée à l'émission The Great Game, délicieusement nommée, de la télévision russe, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait une nouvelle fois détaillé comment les Américains « n'insistent plus sur l'application du droit international, mais sur le respect de « l'ordre mondial fondé sur des règles ». Ces « règles » ne sont en aucun cas décryptées. Ils disent que maintenant il y a peu de règles. Pour nous, elles n'existent pas du tout. Il y a le droit international. Nous le respectons, tout comme la Charte des Nations unies. La disposition clé, le grand principe est l'égalité souveraine des États. Les États-Unis violent de manière flagrante leurs obligations au titre de la Charte des Nations unies lorsqu'ils promeuvent leurs « règles ». Lavrov a dû souligner, une fois de plus, que la situation incandescente actuelle peut être comparée à la crise des missiles de Cuba : « À l'époque, il y avait un canal de communication auquel les deux dirigeants faisaient confiance. Aujourd'hui, ce canal n'existe pas. Personne n'essaie de le créer ».
L'Empire du mensonge, dans son état actuel, ne fait pas de diplomatie.
Le rythme du jeu dans le nouvel échiquier
Dans une référence subtile aux travaux de Sergey Glazyev, comme l'a expliqué le ministre chargé de l'Intégration et de la Macroéconomie de l'Union économique eurasiatique dans notre récente interview, Patrouchev a touché le cœur du jeu géoéconomique actuel, la Russie s'orientant désormais activement vers un étalon-or : « Les experts travaillent sur un projet proposé par la communauté scientifique pour créer un système monétaire et financier à deux circuits. En particulier, il est proposé de déterminer la valeur du rouble, qui devrait être garantie à la fois par l'or et par un groupe de biens qui sont des valeurs monétaires, afin de mettre le taux de change du rouble en conformité avec la parité réelle du pouvoir d'achat ». C'était inévitable après le vol pur et simple de plus de 300 milliards de dollars de réserves étrangères russes. Il a peut-être fallu quelques jours pour que Moscou soit pleinement certifié qu'il était confronté à la Totalen Krieg. Le corollaire est que l'Occident collectif a perdu tout pouvoir d'influencer les décisions russes. Le rythme du jeu sur le nouvel échiquier est fixé par la Russie.
Plus tôt dans la semaine, lors de sa rencontre avec le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, Poutine est allé jusqu'à déclarer qu'il serait plus que disposé à négocier - à quelques conditions seulement : la neutralité de l'Ukraine et un statut d'autonomie pour le Donbass. Pourtant, tout le monde sait maintenant qu'il est trop tard. Pour un Washington en mode Totalen Krieg, la négociation est un anathème - et c'est le cas depuis le lendemain de la réunion Russie-Ukraine à Istanbul fin mars.
Jusqu'à présent, dans le cadre de l'Opération Z, les forces armées russes n'ont utilisé que 12% de leurs soldats, 10% de leurs avions de chasse, 7% de leurs chars, 5% de leurs missiles et 4% de leur artillerie. Le cadran de la douleur va augmenter considérablement - et avec la libération totale de Marioupol et la résolution d'une manière ou d'une autre du chaudron du Donbass, il n'y a rien que le combo hystérie/propagande/armement déployé par l'Occident collectif puisse faire pour modifier les faits sur le terrain.
Cela inclut des manœuvres désespérées telles que celle découverte par le SVR - le service russe de renseignement extérieur, qui se trompe très rarement. Le SVR a découvert que l'axe Empire du mensonge/Guerre Inc. pousse non seulement à une invasion polonaise de facto pour annexer l'Ukraine occidentale, sous la bannière de la « réunification historique », mais aussi à une invasion conjointe roumaine/ukrainienne de la Moldavie/Transnistrie, les « soldats de la paix » roumains s'entassant déjà près de la frontière moldave.
Washington, comme l'affirme le SVR, prépare la manœuvre polonaise depuis plus d'un mois maintenant. Il « dirigerait en coulisses » (vous vous souvenez de la Libye ?), « encourageant » un « groupe de pays » à occuper l'Ukraine occidentale. La partition est donc déjà dans les cartons. Si cela devait se concrétiser un jour, il serait fascinant de parier sur les endroits où M. Sarmat serait enclin à distribuer sa carte de visite.
Pénuries alimentaires en six mois - Les mondialistes nous disent ce qui se passera ensuite
PAR TYLER DURDEN LUNDI 02 MAI 2022 - 04:10 Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Au milieu de 2007, la Banque des règlements internationaux (la banque centrale des banques centrales) a publié une déclaration prédisant une « Grande Dépression » imminente causée par une implosion du marché du crédit. La même année, le Fonds monétaire international a également publié des avertissements sur les «malheurs des subprimes» conduisant à des conflits économiques plus larges. J'ai commencé à écrire une analyse économique alternative seulement un an plus tôt en 2006 et j'ai immédiatement pensé qu'il était étrange que ces institutions mondialistes massives avec une influence considérable sur le monde financier commencent soudainement à ressembler beaucoup à celles d'entre nous dans le mouvement pour la liberté.
C'était il y a 16 ans, tant de gens qui lisent ceci ne s'en souviennent peut-être même pas, mais en 2007, les médias alternatifs avaient déjà mis en garde contre un crash déflationniste imminent sur les marchés américains et le logement depuis un certain temps. Et, sans surprise, les médias grand public ont toujours été là pour nier toutes nos préoccupations en tant que « pessimiste » et « théorie du complot ». Moins d'un an plus tard, les premières entreprises inondées de produits dérivés ont commencé à annoncer qu'elles étaient au bord de la faillite et tout a sombré.
La réponse des médias ? Ils ont fait simultanément deux affirmations très bizarres : "Personne n'aurait pu le voir venir" et "Nous avons vu cela venir à un kilomètre". Les journalistes grand public se sont efforcés de se positionner comme les devins du jour comme s'ils disaient depuis le début que l'accident était imminent, mais il n'y avait qu'une poignée de personnes qui l'ont réellement appelé et aucun d'entre eux n'était dans le MSM. Le fait que la BRI et le FMI avaient publié leurs propres « prédictions » bien avant le krach a également été ignoré ; les médias ont fait comme s'ils n'existaient pas.
Dans les médias alternatifs, nous surveillons TRÈS attentivement les déclarations et les aveux ouverts des mondialistes parce qu'ils ne sont pas dans le domaine de l'analyse des menaces ; ils sont plutôt dans le domaine de la synthèse des menaces. C'est-à-dire que si quelque chose va très mal dans le monde sur le plan économique, les banquiers centraux et les élites monétaires aspirant à une seule autorité économique centralisée pour le monde sont TOUJOURS impliqués dans ce désastre.
Pour une raison quelconque, ils aiment nous dire ce qu'ils s'apprêtent à faire avant de le faire.
L'idée que les mondialistes créent artificiellement des événements d'effondrement économique sera bien sûr critiquée comme une "théorie du complot", mais c'est un FAIT. Pour plus d'informations sur la réalité du sabotage financier délibéré et sur l'idéologie de "l'ordre hors du chaos" des globalistes, veuillez lire mes articles "Fed One Meeting Away From Creating A Doomsday Sinkhole" et "What Is The Great Reset And What Do The Globalists Really Want" ?'
L'agenda de la grande réinitialisation proposé par le chef du WEF, Klaus Schwab, n'est qu'un exemple des nombreuses discussions cachées à la vue des mondialistes concernant leurs projets d'utiliser le déclin économique et social comme une "opportunité" pour établir rapidement un nouveau système mondial basé sur le socialisme et technocratie.
Le principal problème pour discerner ce que les globalistes planifient n'est pas de découvrir des agendas secrets - Ils ont tendance à discuter ouvertement de leurs agendas si vous savez où chercher. Non, le problème est de séparer les aveux de la désinformation, les mensonges de la vérité. Cela nécessite de faire correspondre les livres blancs et les déclarations mondialistes aux faits et aux preuves disponibles dans le monde réel.
Examinons spécifiquement le problème de la pénurie alimentaire en détail…
Pénuries alimentaires en six mois
Il y a une semaine, il y a eu un torrent de communiqués de presse d'institutions mondiales mentionnant tous exactement la même préoccupation : des pénuries alimentaires dans les 3 à 6 prochains mois. Ces déclarations correspondent très étroitement à mes propres estimations, car j'ai régulièrement mis en garde contre les dangers imminents de l'inflation conduisant à un rationnement alimentaire et à des perturbations de la chaîne d'approvisionnement.
Le FMI, la BRI, la Banque mondiale, l'ONU, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial, Bank of America et même Biden lui-même prédisent tous une crise alimentaire majeure à court terme, et ce n'est pas une coïncidence si les politiques de ces mêmes institutions et les actions des politiciens fantoches qui travaillent avec elles sont à l'origine de la crise qu'elles prédisent maintenant. C'est-à-dire qu'il est facile de prédire une catastrophe lorsque vous l'avez créée.
L'affirmation est que l'invasion de l'Ukraine par la Russie en est la principale cause, mais c'est une distraction par rapport au vrai problème. Oui, les sanctions contre la Russie finiront par réduire l'approvisionnement alimentaire, mais les mondialistes et les médias ignorent délibérément la plus grande menace, qui est la dévaluation de la monnaie et l'inflation des prix créées par les banques centrales qui injectent des dizaines de billions de dollars dans des plans de relance pour soutenir entreprises partenaires « trop grandes pour échouer ».
Rien qu'en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a lâchés dans l'économie par le biais de programmes de protection sociale. Ajoutez cela aux nombreux milliers de milliards de dollars que la Fed a imprimés depuis le krach du crédit en 2008 - Cela a été une fête de destruction du dollar sans escale et maintenant le public commence à en ressentir les conséquences. Heureusement pour les banquiers centraux que le covid a frappé et que la Russie a envahi l'Ukraine, car ils peuvent désormais rejeter tout le blâme pour la calamité inflationniste qu'ils ont conçue sur la pandémie et sur Poutine.
L'inflation a atteint des sommets en 40 ans aux États-Unis bien avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine, mais considérons les ramifications de cette guerre et comment elle affecte l'approvisionnement alimentaire.
L'invasion russe perturbe certainement la production céréalière ukrainienne, qui représente environ 11 % du marché mondial total du blé. La Russie conserve également une part de marché de 17 % et, ensemble, ces deux pays alimentent une grande partie des pays du tiers monde et de certaines parties de l'Europe avec 30 % des exportations de blé et d'orge, 19 % des exportations de maïs, 23 % des exportations de canola et 78 % du tournesol. exportations.
Ce sont les sanctions contre la Russie qui posent problème bien au-delà de l'Ukraine, car la Russie produit également environ 20 % de l'ammoniac mondial et 20 % de l'approvisionnement mondial en potasse. Ce sont des ingrédients clés des engrais utilisés dans l'agriculture industrielle à grande échelle. Les agriculteurs estiment une flambée des prix globale d'environ 10 % sur les marchés alimentaires, mais je pense que c'est très prudent. Je vois déjà des augmentations de prix globales d'au moins 20 % par rapport à il y a six mois, et je m'attends à ce qu'il y ait encore 30 % de hausses de prix avant la fin de cette année. En d'autres termes, nous envisageons une augmentation moyenne de 50 % en 2022.
Les données officielles sur l'inflation du gouvernement et l'IPC ne sont pas fiables. Doublez les chiffres qu'ils donnent et vous serez beaucoup plus proche de la vérité. Le taux d'inflation utilisé par Shadowstats.com, calculé à l'aide de méthodes autrefois appliquées par le gouvernement américain dans les années 1980 avant qu'il « ajuste » ses modèles pour masquer les données, soutient ma position jusqu'à présent.
Les experts agricoles américains s'attendent à ce que la Chine comble le vide là où les approvisionnements russes disparaissent, mais c'est une erreur de faire cette hypothèse.
Quelque chose de bizarre se passe en Chine
La répression de la Chine contre les infections à covid a atteint des niveaux si bizarres que je dois poser la question : leurs confinements concernent-ils vraiment le covid, ou cachent-ils autre chose ?
Le taux de mortalité du covid en Chine est impossible à calculer avec précision car ils n'ont jamais publié de données appropriées pouvant être confirmées. Cependant, presque partout ailleurs dans le monde, nous constatons un taux médian de mortalité par infection de 0,27 % pour le covid ; ce qui signifie que plus de 99,7 % des personnes dans le monde en moyenne n'ont rien à craindre de mourir du virus. Mais en Chine, le PCC agit comme s'il s'occupait de la peste noire. Pourquoi ?
Les fermetures ont entraîné des pénuries alimentaires dans tout le pays, car les chaînes d'approvisionnement se sont tendues et la fabrication reste fermée dans de nombreux cas. L'histoire dont beaucoup d'occidentaux n'entendent pas grand-chose, cependant, est le fait que les exportations chinoises ont essentiellement été gelées. C'est très important, donc je pense qu'il faut y mettre l'accent - Plus de 1 porte-conteneurs SUR 5 DANS LE MONDE sont désormais bloqués dans les ports chinois en raison de leurs fermetures covid. C'est incroyable.
Pourquoi la Chine ferait-elle cela à cause d'un virus dont nous savons tous qu'il n'est pas dangereux pour la grande majorité des gens ? Pourquoi instituer le pire confinement du pays à ce jour et affamer leur propre peuple alors que la majorité des gouvernements occidentaux ont maintenant renoncé à leur campagne de peur pandémique et au programme de vaccination forcée ?
Je suggérerais la possibilité que la Chine soit déjà engagée dans une guerre économique dont de nombreux Américains et Européens ne se rendent même pas compte. Cela peut être un test bêta pour un arrêt des exportations vers les États-Unis et l'Europe, ou il s'agit d'un arrêt progressif qui est censé devenir permanent. Le goulot d'étranglement sur le commerce peut également être un précurseur d'une invasion chinoise de Taiwan.
Taïwan est en fait plus dépendant et étroitement lié à l'économie chinoise que beaucoup de gens ne le savent. La Chine est le plus gros acheteur des exportations de Taïwan et ces exportations représentent 10 % du PIB de Taïwan. Taïwan compte des centaines de milliers de travailleurs et d'hommes d'affaires qui se rendent régulièrement en Chine pour travailler, un autre facteur économique qui est désormais mis à rude épreuve par les fermetures. De plus, Taïwan compte plusieurs sociétés qui exploitent leurs usines en Chine continentale, qui pourraient toutes être fermées en raison des fermetures de covid.
Tout ce que je dis, c'est que si j'étais la Chine qui prévoyait d'envahir Taïwan dans un avenir proche, je pourrais envisager d'utiliser le covid comme couverture pour endommager d'abord leur économie et perturber leur modèle d'exportation. Les communistes voient la population comme une utilité qui peut être sacrifiée si nécessaire, et la Chine est parfaitement disposée à causer des souffrances à court terme à son peuple si cela signifie des gains à long terme pour le parti. Au-delà de cela, si je devais m'engager secrètement dans une guerre économique avec l'Occident, quel meilleur moyen que d'immobiliser 20 % des cargos du monde et de perturber les chaînes d'approvisionnement au nom de la protection du pays contre une "pandémie ?"
La ligne du bas ? Ne comptez pas sur la Chine pour répondre aux besoins d'exportation d'ingrédients d'engrais ou de quoi que ce soit d'autre alors que les sanctions contre la Russie se poursuivent.
Inflation contre offre contre contrôle
Ce ne sont pas seulement les organisations mondialistes qui parlent des pénuries alimentaires entrantes ; le PDG de la société alimentaire internationale Goya a également récemment averti que nous étions au bord d'une crise alimentaire. Comme je l'ai noté dans le passé, l'inflation conduit au contrôle des prix par le gouvernement, le contrôle des prix conduit à un manque d'incitations à la production (profits), le manque de profits conduit à une perte de production, la perte de production conduit à des pénuries et les pénuries conduisent à un rationnement gouvernemental ( contrôle sur toutes les grandes sources de nourriture).
Comme nous l'avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l'histoire moderne, le contrôle de l'approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n'est dépassé en tant que préoccupation stratégique que par le contrôle de l'énergie (dont nous verrons également des pénuries dès que l'Europe sanctionnera le pétrole et le gaz russes et commencera à manger les approvisionnements d'autres exportateurs). Le problème alimentaire touche plus près de chez nous parce que nous pouvons voir les effets immédiatement sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n'y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim.
Les médias grand public ignorent une fois de plus toute menace économique potentielle, en particulier ils nient la notion de pénurie alimentaire comme une source d'inquiétude. Je dis, pourquoi écouter un groupe de personnes qui se trompent toujours sur ce genre d'événements ? Si quoi que ce soit, je prendrais au moins au sérieux les paroles des globalistes en ce qui concerne l'effondrement économique ; après tout, ce sont eux qui profitent le plus de ces catastrophes et qui ont aussi le plus d'influence lorsqu'il s'agit de déclencher une crise.
La préparation d'aujourd'hui ne coûte rien demain. Le manque de préparation aujourd'hui coûte TOUT demain. Le choix pour quiconque a un cerveau est simple - Préparez-vous à la fin de la nourriture abordable et facilement disponible avant la fin de cette année.
Des signes alarmants que les agriculteurs réduisent les engrais peuvent nuire aux rendements des cultures
PAR TYLER DURDEN LUNDI 02 MAI 2022 - 00:05
Selon Bloomberg, les agriculteurs du monde entier craignent de plus en plus de réduire les engrais chimiques, ce qui pourrait menacer les rendements au moment des récoltes. Les répercussions pourraient être énormes : la baisse des rendements pourrait exacerber la crise alimentaire.
Il y a des signes alarmants que les agriculteurs commerciaux des principales régions productrices du monde réduisent l'utilisation des nutriments essentiels - azote, phosphore et potassium.
Révélé la semaine dernière, SLC Agricola SA, l'une des plus grandes exploitations agricoles du Brésil, gérant des champs de soja, de maïs et de coton dans une zone plus grande que l'État du Delaware, réduira l'utilisation d'engrais de 20 % et 25 %.
Les caféiculteurs du Brésil, du Nicaragua, du Guatemala et du Costa Rica, certains des plus grands pays producteurs de café, devraient épandre moins d'engrais en raison des coûts élevés et des pénuries. Une coopérative de café représentant 1 200 agriculteurs au Costa Rica prévoit que la production de café pourrait chuter de 15 % l'année prochaine en raison de la flambée des prix des engrais.
Le Centre international de développement des engrais (IFDC) a averti qu'une réduction de l'utilisation des engrais réduirait les rendements du riz et du maïs au moment de la récolte. Les agriculteurs de Chine, d'Inde, du Bangladesh, d'Indonésie et du Vietnam - les plus grands pays producteurs de riz - épandent moins d'engrais et peuvent entraîner une réduction de 10 % de la production, ce qui équivaut à environ 36 millions de tonnes de riz, soit suffisamment de nourriture pour nourrir un demi-milliard de personnes.
Plus d'engrais équivaut à plus de production alimentaire; Moins d'engrais équivaut à une production alimentaire moindre. C'est un concept simple à comprendre et peut suggérer qu'une crise alimentaire encore plus importante se profile à l'horizon.
Les États-Unis ne seront pas épargnés. Le président de la Kansas Wheat Commission, Gary Millershaski, a déclaré que sa "plus grande crainte" ce printemps est que les agriculteurs d'Amérique du Nord évitent d'appliquer de l'azote aux plantations de blé. Il a dit que si les agriculteurs le faisaient, cela pourrait suggérer que les récoltes seraient une "classe inférieure de blé".
En mars, Tony Will, directeur général de la plus grande société d'engrais azotés au monde, CF Industries Holdings Inc., a averti : "Ma plus grande préoccupation est que nous nous retrouvions avec une très grave pénurie de nourriture dans certaines régions du monde".
Le président de la Fondation Rockefeller, Rajiv Shah, a fourni à David Westin de Bloomberg Television une chronologie du début de la "crise alimentaire massive et immédiate". Il a dit, "dans les six prochains mois."
Il est certain que si vous vous réduisez votre propre consommation ou ne faites qu'un petit repas par jour vous allez maigrir et n'aurez guère de force pour travailler ! C'est ce qui se passe pour les plantes ! Çà alors ! (HAHAHA !) Privées d'eau elles meurent ! Çà alors ! Privée de nourriture elles meurent ! Çà alors !
« Wirtschaft warnt vor „einer der größten Hungersnöte der Menschheitsgeschichte“ » (les milieux économiques mettent en garde contre « l'une des plus grandes famines de l'histoire de l'humanité »).
Quelques extraits :
« Contrairement à d'autres crises, la catastrophe imminente se déploie insidieusement. De nombreux agriculteurs disposent encore de stocks résiduels, car les commandes d'engrais sont généralement passées avec un peu d'avance. Mais ces réserves devraient être définitivement épuisées après la prochaine période de récolte en été. Après, les récoltes risquent d'être nettement plus maigres, notamment pour la culture de plantes comme le riz ou les céréales, qui dépendent fortement de l'apport d'engrais.
Le groupe minier allemand K+S de Kassel fait partie des bénéficiaires de la forte demande d'engrais. Pour 2022, le groupe s'attend au meilleur résultat de son histoire. Le président du directoire Burkhard Lohr met néanmoins en garde contre les conséquences de la crise et d'une éventuelle pénurie mondiale de denrées alimentaires qui en résulterait.
"On parle beaucoup en ce moment des prix de l'énergie et de la sécurité énergétique. Je pense que nous devons au moins autant nous préoccuper de la production agricole et, par conséquent, de l'approvisionnement mondial en denrées alimentaires", a-t-il récemment déclaré lors de la présentation des chiffres du bilan.
Le manager pense déjà aux conséquences possibles : "Je crains que si la communauté mondiale n'apporte pas son aide dans ce domaine, surtout en Afrique, nous aurons une famine tout à fait terrible et donc un nouveau mouvement de réfugiés."
L'ancien politicien des Verts Berninger critique le fait que les Etats ne se soient pas suffisamment préparés à une telle crise des engrais. "L'Europe en particulier a perdu de vue l'importance de l'agriculture au cours des dernières années."
Certes, cela va probablement changer. "Après la crise, nous soutiendrons tous les agriculteurs comme nous avons applaudi les infirmières à l'époque de la Covid", prédit-il. Mais il est désormais important que les politiques agissent de manière cohérente. "Nous avons besoin d'un plan directeur pour cette crise. Cela implique une réserve nationale d'engrais et une solution européenne, voire mondiale", explique M. Berninger. »
Ce à quoi je ne crois personnellement pas : que les agriculteurs soient applaudis... ni à un plan directeur pour la crise... M. Özdemir a ouvert l'Anuga [Allgemeine Nahrungs- und Genussmittel-Ausstellung, la plus grande et la plus importante foire alimentaire et des boissons du monde qui se tient à Cologne]:
J'ai vu cette statistique récemment et elle m'a vraiment frappée. C'est peut-être parce que les produits laitiers font partie de mon alimentation quotidienne. Peut-être parce que je connais des exploitations familiales qui ont fait faillite. Peut-être parce que notre système agricole tout entier se sent soudain beaucoup plus vulnérable. En fait, depuis 2006, les États-Unis ont perdu la moitié de leurs exploitations laitières.
Il n'y a pourtant aucune raison de paniquer au sujet de l'offre : pendant cette même période, la production de lait a augmenté de 24 % et le lait par vache, de 20 %. _______________
* Source : Fewer Than 30,000 Dairy Farms - The Farmer's Daughter USA (thefarmersdaughterusa.com)
La Californie étend Medi-Cal aux adultes de 50 ans et plus, quel que soit leur statut d'immigration
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 01 MAI 2022 - 23:30 Écrit par Vanessa Serna via The Epoch Times
La Californie étendra la couverture des soins de santé Medi-Cal à plus de 185 000 résidents de 50 ans et plus, quel que soit leur statut d'immigration à partir du 1er mai.
Des bénévoles de la Lestonnac Free Clinic guident les patients tout au long du processus de vaccination contre le COVID-19 à Orange, en Californie, le 9 mars 2021. (John Fredricks/The Epoch Times) "Il s'agit d'un investissement dans notre peuple, notre économie et notre avenir", a déclaré le gouverneur Gavin Newsom dans un communiqué du 29 avril.
Cette extension de la couverture Medi-Cal faisait partie du projet de loi 133 de l'Assemblée, qui a été voté en juillet 2021, à la suite de la proposition de Newsom d'étendre les soins de santé aux résidents à faible revenu et de remédier aux «disparités et inégalités en matière de santé, en particulier parmi les populations de couleur» pendant la pandémie de COVID-19, selon le communiqué.
Medi-Cal fournit actuellement aux personnes à faible revenu de moins de 25 ans ou de plus de 65 ans, aux femmes enceintes et aux personnes handicapées des soins médicaux et dentaires gratuits ou à faible coût.
Jusqu'à récemment, Medi-Cal n'était disponible que pour les citoyens américains dans l'État, à l'exception des réfugiés séjournant temporairement dans le pays.
"Nous livrons des résultats concrets aux Californiens, continuons à tenir la promesse d'une Californie saine pour tous, et j'encourage tous ceux qui sont éligibles à profiter de ces services de santé essentiels", a déclaré Newsom.
Pour l'avenir, Newsom a également proposé d'étendre la couverture Medi-Cal à environ 700 000 personnes âgées de 26 à 49 ans, quel que soit leur statut d'immigration d'ici janvier 2024.
Au fil des jours et des années le cartel Gavin Newsom s'étend, se répand, inonde, envahit tous les États de drogues mexicaines et tue des milliers d'américains chaque jours. Les hommes de main du nouveau 'Pablo Escobar' avancent et tuent, avancent et tuent, avancent et tuent !
"Nous reprenons notre rue" - Un homme de Sacramento barricade la rue pour arrêter le crime incontrôlable
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 01 MAI 2022 - 21:45
Les gens en ont assez de l'expérience socialiste utopique urbaine en Californie. Un propriétaire d'entreprise a barricadé une rue publique à Sacramento pour empêcher une nouvelle propagation de la criminalité dans d'autres régions.
"Le jeu est terminé. Nous reprenons nos rues", a déclaré le propriétaire de l'entreprise Rich Eaton à FOX40. Il a barricadé une partie de Railroad Drive pour empêcher la zone commerciale de cambriolages de voitures supplémentaires, de vols de bâtiments endémiques, de prostitution et de campements de sans-abri.
"Le manquement à l'obligation de la ville vient d'atteindre un point d'ébullition et je ne fais que demander de l'aide", a déclaré Eaton, ajoutant qu'il s'était plaint du crime incontrôlable auprès du maire. Pour l'instant, il n'a reçu aucune réponse.
"J'ai payé de l'argent à des sans-abri pour qu'ils partent. Je les ai nourris, je me suis occupé d'eux et je les ai aidés et quand Railroad Drive a été nettoyé. J'ai mis des barrières", a déclaré Eaton.
Une personne qui ne voulait pas être identifiée et qui travaille pour une entreprise dans la rue a déclaré aux informations locales: "C'était comme traverser un laboratoire de méthamphétamine en activité pour se rendre au travail."
"Il y a des jours où ils seront garés sur trois de large dans la rue et nous pouvons à peine passer. Ils ont eu nos portes complètement bloquées. Je me suis arrêté et j'ai eu des employés qui attendaient pour entrer parce qu'ils avaient peur de sortir de leur portail et tapez le code.
"Il y a littéralement une semaine, de cet endroit à là, tout en bas et au coin de la rue, il y avait 57 camping-cars et remorques garés", a déclaré l'employé.
Eaton a déclaré que quelqu'un avait escaladé son immeuble la semaine dernière et volé ses caméras de surveillance sur le toit.
"La prostitution, les voitures volées, les gens se réunissant dans la rue à 3 heures du matin", a déclaré Eaton, c'est juste le chaos, a-t-il ajouté.
Sacramento a répondu à la barricade d'Eaton avec l'ordre d'arrêter de bloquer la rue.
Les propriétaires d'entreprise qui agissent alors que les gouvernements municipaux semblent insensibles sont une nouvelle tendance émergente. L'année dernière, des dizaines d'entreprises de la ville de Baltimore se sont regroupées. Ils ont collectivement menacé le maire de ne pas payer d'impôts parce qu'ils en avaient assez et étaient frustrés "de l'explosion de violence".
Le gouverneur du Texas menace de déclarer une "invasion" alors que l'immigration illégale devrait monter en flèche
PAR TYLER DURDEN LUNDI 02 MAI 2022 - 02:25
Le gouverneur du Texas, Greg Abbott (Rep.), envisage d'invoquer les pouvoirs de guerre pour étendre l'autorité de l'État à gérer la frontière sud en déclarant officiellement une "invasion" - un verbiage qui serait conforme à une clause de la Constitution américaine interdisant aux États de s'engager dans la guerre sauf lorsqu'il est "réellement envahi".
Les meilleurs avocats de M. Abbott et du procureur général du Texas, Ken Paxton, se sont réunis ce mois-ci pour débattre de cette décision, qui mettrait l'État dans une collision frontale avec le gouvernement fédéral en permettant à la police d'État d'arrêter et d'expulser les migrants, selon à deux personnes familières avec les discussions. M. Abbott dit qu'il reste ouvert à l'approche, mais il s'est dit préoccupé par les conséquences imprévues. -NYT
"Si nous utilisons cette stratégie, cela pourrait exposer les forces de l'ordre de l'État du Texas à des poursuites", a déclaré Abbott lors d'une récente conférence de presse. "Est-ce quelque chose que nous examinons? Oui", a-t-il ajouté.
Abbott a déjà mobilisé des milliers de soldats de la Garde nationale pour patrouiller à la frontière et ordonné des inspections de sécurité des camions entrants en provenance du Mexique – un programme de courte durée après avoir provoqué un embouteillage massif et perturbé le commerce international. Il a également supervisé la construction d'environ 20 miles de nouvelles clôtures frontalières dans des zones clés. De plus, Abbott a réaffecté plusieurs prisons d'État pour détenir des migrants accusés d'intrusion.
Peut-être le plus célèbre, Abbott a récemment commencé à transporter des migrants du Texas à Washington DC.
Le New York Times fait écho à l'administration Biden, qui a qualifié la politique d'immigration d'Abbott de rien de plus qu'un coup politique, écrivant que sa "posture agressive n'a pas fait grand-chose pour endiguer la marée et l'a également exposé à de vives critiques selon lesquelles il utilise son autorité pour se mêler d'un domaine politique qui appartient au gouvernement fédéral », mais ils reconnaissent que ses tentatives pour renforcer la sécurité aux frontières le long de la frontière de 1 254 milles de l'État l'ont aidé à repousser les challengers politiques.
Les agents fédéraux ont enregistré près de 129 000 passages au Texas en mars, soit environ 11 000 de plus qu'au cours du même mois l'année dernière, lorsque M. Abbott a lancé l'effort connu sous le nom d'Opération Lone Star. La plus forte augmentation s'est produite dans une zone de la frontière qui comprend Eagle Pass, une ville décolorée par le soleil de 28 000 habitants, de nombreux chats et chiens errants et peu de ressources à revendre.
Les coûts ont augmenté. Le simple maintien du déploiement de la Garde nationale pendant l'été nécessitera 531 millions de dollars supplémentaires, ont déclaré des responsables de l'État ce mois-ci. Un soldat de 22 ans affecté à la mission s'est noyé la semaine dernière alors qu'il tentait de secourir deux migrants en eau vive. -NYT
ENTRANT
Alors que les niveaux d'immigration ont été incontrôlables ces dernières années, les responsables du Texas se préparent à un afflux encore plus important d'immigrants illégaux lorsque l'administration Biden met fin à une politique de l'ère Trump connue sous le nom de Titre 42 – qui a utilisé la pandémie pour justifier le renvoi de hordes chercheurs d'asile.
L'afflux actuel de migrants a débuté avec l'élection du président Biden, qui a été considérée comme un feu vert virtuel pour inonder le pays sans le même niveau de sécurité aux frontières que celui employé par l'ancien président Donald Trump.
Maintenant, Abbott est sous pression pour en faire plus alors que Biden se retire.
"Lone Star n'a pas bougé l'aiguille d'un iota pour la simple raison qu'ils ne renvoient pas les gens au Mexique", a déclaré l'ancien responsable du DHS de Trump, Ken Cuccinelli, un ardent partisan de déclarer une invasion.
La Maison Blanche a repoussé le Texas, l'attachée de presse Jen Psaki déclarant que l'État "n'a pas besoin de remplacer le C.B.P. à la frontière sud", faisant référence à l'Agence fédérale des douanes et de la protection des frontières.
Nous nous demandons quel parti politique les immigrés soutiendront, devraient-ils être amnistiés à un moment donné dans le futur ?
CARBURANT : TOTALENERGIES PROPOSE 10 CENTIMES DE RÉDUCTION CET ÉTÉ
par PAOLO GAROSCIO 02/05/2022
Les prix des carburants fin avril 2022 restent au-dessus de 1,70 euro le litre.
Fortement critiquée pour le maintien de ses activités en Russie après le début de la guerre en Ukraine, TotalEnergies a commencé à changer de positionnement mercredi 27 avril 2022 : le groupe semble commencer à quitter le pays. Et pour attirer des clients dans ses stations-service autoroutières cet été, il a décidé de jouer la carte du prix d’appel avec une ristourne sur les prix à la pompe.
Fin de la ristourne dans toutes les stations TotalEnergies le 15 mai 2022
Les automobilistes qui avaient pris l’habitude de prendre de l’essence et du gazole dans les stations-essence TotalEnergie en France font avoir une mauvaise surprise le 15 mai 2022 : la ristourne s’arrête. TotalEnergies avait en effet annoncé baisser de 10 centimes d’euro le litre ses prix, baisse qui s’ajoutait à celle décidée par le gouvernement de 18 centimes d’euro.
Or, cette mesure spéciale de TotalEnergies s’appliquait dans toutes les stations-service de France. De quoi réaliser quelques économies, environ 6 euros sur un plein. Mais le groupe ne va pas la prolonger : Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, a confirmé au journal La Dépêche que la ristourne de 10 centimes d’euro s’arrêtera le 15 mai 2022.
La ristourne de retour cet été… dans les stations-essence sur les autoroutes
Les automobilistes devront patienter pour pouvoir faire de nouveau quelques économies en optant pour une station-service TotalEnergies plutôt que ses concurrents. Le PDG de l’énergéticien a annoncé, le 29 avril 2022, le retour de la baisse des prix à la pompe… mais uniquement sur les stations-essence qui se trouve sur les autoroutes.
L’opération devrait concerner la période de juillet et août 2022, donc les vacances d’été, sans toutefois qu’une date de début de l’opération n’ait été annoncée. Mais attention : malgré les 10 centimes de réduction supplémentaires, les prix des carburants sur les aires d’autoroute resteront plus élevés qu’en-dehors. Les automobilistes ont donc tout intérêt à faire le plein en-dehors des autoroutes, dès qu’ils le peuvent.
La moitié des réacteurs nucléaires français sont à l'arrêt en raison de la crise énergétique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 01 MAI 2022 - 14:45
La moitié des centrales nucléaires françaises sont hors ligne en raison de "maintenance ou de défauts", ce qui arrive à un moment précaire pour les marchés de l'énergie et de l'électricité à travers l'Europe alors que les prix montent en flèche en raison du conflit en Ukraine.
Bloomberg rapporte que le fournisseur d'énergie Electricité de France (EDF) est aux prises avec des pannes généralisées après que 28 des 56 réacteurs du pays sont hors ligne en raison d'un entretien de routine ou de défauts.
Les centrales nucléaires françaises fournissent plus de 66 % de sa production totale d'électricité. L'indignation a fait que la production d'énergie nucléaire a atteint le niveau saisonnier le plus bas depuis au moins une décennie.
- voir graph sur site -
Le marché français de l'électricité a connu une tendance à la hausse en termes de prix, jusqu'à 30 % de plus que son voisin allemand qui s'appuie principalement sur les combustibles fossiles pour alimenter ses centrales. Les prix de l'électricité en France sont quatre fois plus élevés qu'à la même période en 2021, car le déclin de l'énergie nucléaire a exercé une pression accrue sur les autres sources de production d'électricité, déclenchant ainsi une crise de l'approvisionnement.
- voir graph sur site -
Emeric de Vigan, directeur général de la société française d'analyse énergétique COR-e, a déclaré à Bloomberg que les prix élevés de l'électricité resteront probablement parce que les problèmes d'énergie nucléaire du pays « vont durer au-delà de cette année et probablement jusqu'à l'année suivante ».
Mercredi, JPMorgan Chase & Co. s'est demandé si davantage de réacteurs nucléaires devant être arrêtés cette année pouvaient être repoussés à 2023 "compte tenu de l'offre/demande extraordinairement serrée et du contexte géopolitique".
RépondreSupprimerBloomberg a noté que la combinaison des pannes nucléaires et des mesures gouvernementales visant à plafonner les prix de l'électricité entraînerait une perte de revenus massive de 26,2 milliards d'euros (28,3 milliards de dollars) pour EDF cette année.
La France est le premier exportateur net d'électricité en Europe. Les outrages continus des réacteurs nucléaires feront monter les prix de l'électricité et mettront de plus en plus à rude épreuve le continent frappé par la crise, car la Russie exige désormais des roubles en échange de combustibles fossiles.
https://www.zerohedge.com/commodities/half-frances-nuclear-reactors-are-shutdown-amid-energy-crisis
FOLIE MÉDICALE : Bill Gates développe un nouveau vaccin qui prétend prévenir la poliomyélite causée par les vaccins antipoliomyélitiques
RépondreSupprimerSamedi 30 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Ce n'était qu'une question de temps avant que l'eugéniste milliardaire Bill Gates découvre qu'il pouvait capitaliser sur le financement de nouveaux "vaccins" pour les maladies qu'il avait lui-même causées en premier lieu avec ses injections précédentes.
La maladie qu'il s'attaque maintenant est la poliomyélite - la poliomyélite causée par le vaccin, pour être clair - et son "remède" est une autre nouvelle injection actuellement en développement.
Afin d'éradiquer le fléau de la poliomyélite induite par injection dans le tiers monde, qu'il a largement déclenché en vaccinant en masse les pauvres avec des vaccins contre la polio au cours des 15 dernières années, Gates finance la création d'un autre qui est censé inverser ces dommages.
Des milliards de dollars ont déjà été dépensés pour « éradiquer » la poliomyélite dans le monde en développement, et maintenant des milliards supplémentaires sont dépensés pour éradiquer leurs effets secondaires, qui, ironiquement, incluent la poliomyélite elle-même.
Un rapport de NPR attribue la montée de la poliomyélite aux vaccins oraux contenant le virus vivant. Aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux, un virus inactivé est utilisé.
L'affirmation est que les vaccins oraux contenant le virus vivant sont peu coûteux et confèrent une immunité à vie. Mais comment cela peut-il être le cas alors que les injections elles-mêmes amènent les gens à contracter la poliomyélite ? Voici la réponse de NPR :
«Ceux qui ont été immunisés contre le virus vivant peuvent le répandre dans leurs selles, qui peuvent ensuite se propager par les égouts dans des endroits où l'assainissement est médiocre. Si le virus reste faible, il peut exposer les personnes non vaccinées à la poliomyélite et leur donner une immunité. Mais s'il mute et regagne en virulence, quelqu'un qui n'est pas vacciné peut contracter la poliomyélite dérivée du vaccin après avoir été en contact avec les eaux usées contaminées.
Le nouveau vaccin antipoliomyélitique de Gates a reçu une autorisation d'utilisation d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé
RépondreSupprimerIl y a actuellement 25 pays différents signalant des cas de poliomyélite causée par le vaccin, et les responsables de la santé publique refusent de reconnaître le lien avec les piqûres. Au lieu de cela, ils poussent plus de vaccins, bien que ceux-ci soient modifiés pour soi-disant rendre la réactivation moins probable.
Ananda Bandyopadhyay, directrice adjointe pour la poliomyélite à la Fondation Bill & Melinda Gates, affirme que trois "modifications indépendantes" ont été apportées au vaccin pour le rendre plus sûr et moins susceptible de provoquer la poliomyélite.
"Les chercheurs ont modifié le virus afin qu'il doive accumuler plus de mutations pour devenir virulent et ait plus de mal à accumuler ces mutations", écrit Baxter Dmitry pour Newspunch.
"Par exemple, ils ont modifié la polymérase, l'une des enzymes clés responsables de l'introduction de mutations, réduisant sa capacité à mélanger et assortir les gènes de différents virus."
Le nouveau vaccin de Gates est déjà disponible sous autorisation d'utilisation d'urgence par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Il n'a tout simplement pas encore reçu l'approbation complète, tout comme les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), ce qui signifie qu'il est encore techniquement en développement.
Depuis mars 2021, 265 millions de doses ont été administrées à des enfants dans 14 pays, la plupart en Afrique. La poliomyélite causée par les vaccins sévit dans toute l'Afrique parce que c'est là que Gates a concentré une grande partie de son attention au fil des ans.
"Le troll fou de pouvoir ne s'arrêtera tout simplement pas", a écrit quelqu'un à Newspunch à propos de l'obsession malsaine de Gates pour l'injection de personnes. "J'ai hâte de lire le titre qu'il est mort."
"Le petit Billy Gates colporte son poison au nom de la" santé mondiale "", a écrit un autre. "Ce qui est triste, c'est que les gens y adhèrent encore."
Dans Natural News, quelqu'un a souligné que les vaccins contre la poliomyélite de toutes sortes n'ont jamais été le remède miracle qu'ils étaient censés être.
"Tout cela n'était qu'un mensonge propagé par Julian Huxley et l'UNESCO", a ajouté cette personne. "Le frère de Julian Huxley, Aldus, a écrit sur le plan d'empoisonner l'humanité avec des" médicaments … Un meilleur des mondes, je me demande d'où il a eu l'idée?
Plus d'informations sur Bill Gates et ses efforts en matière de vaccins peuvent être trouvées sur Genocide.news.
Les sources comprennent :
Newspunch.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-30-bill-gates-developing-new-vaccine-against-polio-caused-by-vaccines.html
Les «vaccins» Covid provoquent une hépatite auto-immune sévère chez les enfants
RépondreSupprimerVendredi 29 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le Journal of Hepatology a publié une nouvelle étude confirmant que les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) déclenchent en fait une hépatite auto-immune sévère chez les enfants.
Les vaccins contre la grippe Fauci provoquent une hépatite à médiation immunitaire à dominante cellulaire T distincte, également connue sous le nom d'inflammation du foie, grâce à un mécanisme pathologique unique associé à une immunité tissulaire induite par injection, spécifique à l'antigène et nécessitant une immunosuppression systémique.
Intitulée « La vaccination contre le SRAS-CoV-2 peut provoquer une hépatite à cellules T CD8 dominantes », l'étude a été publiée quelques jours seulement après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une « alerte mondiale » concernant les épidémies d'hépatite chez les enfants.
Le gouvernement du Royaume-Uni a également annoncé qu'il lançait une enquête urgente sur une épidémie d'hépatite chez des enfants britanniques. Les responsables disent que la maladie n'est liée à aucun des virus courants qui provoquent normalement une inflammation du foie, ce qui ne laisse en réalité qu'une seule autre explication : les injections de covid.
"Le 15 avril 2022, l'Organisation mondiale de la santé a émis une alerte mondiale concernant une nouvelle forme d'hépatite aiguë sévère d'étiologie (cause) inconnue affectant des enfants auparavant en bonne santé au Royaume-Uni au cours du mois dernier", a rapporté le Daily Exposé.
« Des cas ont également été notifiés en Espagne et en Irlande. Les tests ont exclu tous les virus de l'hépatite connus auparavant.
Au 25 avril, le même type d'hépatite chez les enfants avait été identifié dans au moins 12 pays différents, la majorité des cas se produisant au Royaume-Uni.
"Au moins 169 cas avaient été signalés à cette date, et 17 enfants avaient nécessité une greffe du foie", a révélé l'Exposé. "Malheureusement, au 25 avril, 1 enfant avait malheureusement perdu la vie."
Injecter vos enfants pour covid est une forme de maltraitance des enfants
RépondreSupprimerEncore une fois, il existe de nombreuses raisons pour lesquelles l'hépatite se forme, y compris plusieurs infections virales courantes chez les enfants. Mais toutes ces autres raisons ont été écartées, ce qui ne laisse que le « vaccin » comme coupable.
Une étude antérieure a également confirmé que l'injection de Pfizer-BioNTech est, en fait, à l'origine de l'hépatite. Cela montre en outre que les épidémies sont le produit des tirs et non autre chose.
Si ces enfants n'avaient jamais été injectés ou «boostés», ils n'auraient pas maintenant d'hépatite, en d'autres termes. Leurs mauvais résultats en matière de santé sont le résultat direct de se faire piquer, ce qui, selon leurs parents, les protégerait contre la maladie.
Contrairement à ce que les « experts » ont longtemps affirmé, le contenu des injections ne reste pas localisé au site d'injection. Ils se sont propagés à toutes les parties du corps pendant au moins 48 heures, et probablement beaucoup plus longtemps, causant des dommages incalculables aux systèmes du corps.
La plus grande concentration d'injection covid de Pfizer a été observée dans le foie, avec 16% de la dose administrée qui y reste après deux jours complets.
"Chez les animaux ayant reçu l'injection de BNT162b2, des effets hépatiques réversibles ont été observés, notamment une hypertrophie du foie, une vacuolisation, une augmentation des niveaux de gamma-glutamyl transférase (?GT) et une augmentation des niveaux d'aspartate transaminase (AST) et de phosphatase alcaline", révèle en outre l'exposé. sur le tir d'ARNm (ARN messager) de Pfizer.
"Selon les chercheurs, des effets hépatiques transitoires induits par les systèmes de délivrance de LNP ont été signalés précédemment."
Dans la nouvelle étude, un homme de 52 ans qui a reçu une injection de Pfizer a présenté des épisodes bimodaux d'hépatite aiguë, chacun survenant 2 à 3 semaines après l'injection. Une cytométrie de masse par imagerie pour un profilage immunitaire spécial a été réalisée sur un tissu de biopsie hépatique, et une cytométrie en flux a été réalisée pour disséquer les phénotypes des lymphocytes T CD8 afin d'identifier longitudinalement les lymphocytes T spécifiques au covid et spécifiques à l'EBV.
"En termes simples, ce que les scientifiques ont découvert, c'est qu'une inflammation du foie (hépatite) peut survenir chez certains individus après la vaccination et partage certaines caractéristiques typiques avec une maladie hépatique auto-immune", explique l'Exposé.
RépondreSupprimer"Cela est causé par des cellules T hautement activées (également appelées lymphocytes T, un type de leucocyte [globule blanc] qui est une partie essentielle du système immunitaire) qui s'accumulent dans les différentes zones du foie."
Les dernières nouvelles sur les injections covid peuvent être trouvées sur Vaccines.news.
Les sources de cet article incluent :
DailyExpose.fr
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-29-covid-vaccines-cause-severe-autoimmune-hepatitis-children.html
Scott Schara: L'homicide à l'hôpital via des traitements COVID fait partie d'un programme GÉNOCIDE
RépondreSupprimerVendredi 29 avril 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Scott Schara, un résident du Wisconsin, pense que l'homicide à l'hôpital au moyen des protocoles de décès du coronavirus de Wuhan (COVID-19) déguisés en traitements fait partie d'un programme génocidaire. Il a de bonnes raisons de le croire puisque sa fille de 19 ans, Grace, en a été victime.
Schara a déclaré à LifeSiteNews qu'il avait consacré plus de 500 heures de recherche à enquêter sur la mort de sa fille alors qu'elle était hospitalisée pour COVID-19. "Au moins 100 médecins et professionnels de la santé ont qualifié sa mort de meurtre", a-t-il déclaré.
Le père endeuillé a affirmé qu'un "cocktail de la mort" de trois médicaments sédatifs administré à Grace le 13 octobre 2021 avait entraîné sa mort. Elle avait déjà reçu des doses maximales du médicament sédatif Precedex lorsqu'on lui a administré du lorazépam deux fois, une le matin et une autre juste avant le soir. Pour aggraver les choses, Grace a reçu deux milligrammes de morphine par voie intraveineuse.
Le lorazépam « peut augmenter le risque de problèmes respiratoires graves ou potentiellement mortels, de sédation ou de coma s'il est utilisé avec d'autres médicaments sédatifs. Pendant ce temps, la notice de la morphine avertit qu'elle "peut ralentir ou arrêter la respiration entraînant la mort, en particulier lorsqu'elle est associée à d'autres médicaments sédatifs".
Selon un médecin anonyme qui a analysé le cas de Grace, "chacun de ces [médicaments] pris isolément - Precedex, lorazépam et morphine - présente un risque accru de problèmes respiratoires graves ou potentiellement mortels et d'arrêt cardiaque, et il y a un effet additif lorsqu'il est utilisé en combinaison." Le médecin a ajouté: "Les utiliser comme ils l'ont fait chez une personne ayant reçu un diagnostic de détresse respiratoire aiguë est au-delà de l'intention crédible."
En outre, Schara a affirmé qu'une prétendue ordonnance de ne pas réanimer (DNR) avait été utilisée par le personnel de l'hôpital comme excuse pour ne pas inverser la dose de morphine. En vertu de la loi de l'État, les ordonnances DNR doivent être signées par écrit par la famille et un bracelet remis au patient DNR. La loi permet également aux tuteurs des patients DNR d'annuler l'ordonnance en informant le personnel hospitalier de réanimer le patient.
Schara a insisté catégoriquement sur le fait qu'ils "n'avaient jamais signé de déclaration concernant Grace étant DNR" et qu'elle ne portait aucun bracelet DNR.
RépondreSupprimer«La première fois que nous avons su que Grace était étiquetée DNR, c'était lorsque nous criions pour que les infirmières fassent quelque chose et annulent la morphine qui lui était administrée. Leur réponse, "Elle est DNR", était leur excuse pour ne pas l'aider. Ils se tenaient devant sa porte à la place; il y avait aussi un garde armé à l'extérieur de la pièce », a-t-il raconté. (Connexe: le Dr Ardis révèle le «protocole de mort» COVID des hôpitaux à Jeff et Shady – Brighteon.TV.)
L'hôpital qui a tué Grace refuse d'admettre ses erreurs
Selon Schara, le personnel hospitalier de l'hôpital St. Elizabeth à Appleton, dans le Wisconsin – où Grace est décédée – a refusé de rencontrer les Schara pour discuter de l'évaluation de sa mort par la famille.
«Avant de rendre public, la famille a soumis un résumé détaillé, avec des recherches à l'appui, à l'hôpital avec une demande de rencontre avec le PDG et le médecin impliqué. La réponse de l'hôpital a été un refus de se rencontrer », a-t-il écrit.
Schara soupçonne que la mort de Grace a finalement été motivée par le profit de l'hôpital. Le matin de sa mort, le médecin qui la soignait avait insisté pour qu'elle soit mise sous ventilateur pour la cinquième fois, ce qu'il avait refusé. À ce stade, Schara a déclaré que l'hôpital avait décidé de "se débarrasser" d'elle en faveur de "patients mieux rémunérés".
En outre, il postule que si un patient âgé ou handicapé refuse la ventilation, l'administration de « médicaments de fin de vie » est une procédure standard. Les hôpitaux recevant des «prestations de décès» COVID-19 de 13 000 $ par patient semblaient renforcer la demande de Schara.
Mais sous la surface, Schara voit la possibilité que l'hôpital St. Elizabeth tue Grace - qui a le syndrome de Down - dans le cadre d'un programme génocidaire plus vaste. Le père endeuillé a demandé: "Les hôpitaux exterminent-ils les handicapés et les personnes âgées sur instruction du gouvernement, car les membres non cotisants de la société coûtent cher à garder?"
Il a en outre approfondi cette affirmation sur son site Web d'hommage à Grace, citant plusieurs cas au cours de leur séjour à l'hôpital. Vingt des 22 rapports de médecins sur Grace mentionnaient le syndrome de Down avec des "commentaires littéraux spécifiques" inclus. Schara a ajouté qu'un seul médecin a interagi avec Grace, les autres pensant apparemment qu'elle était "stupide".
Schara a conclu: "Ces mesures ont-elles été prises par commodité pour le personnel hospitalier ou dans le cadre d'un programme plus large ?"
RépondreSupprimerHospitalHomicide.com a plus d'histoires sur les protocoles hospitaliers COVID-19 tuant des patients.
Regardez Scott Schara partager son expérience avec l'avocat et animateur de Brighteon.TV Tom Renz sur "Lawfare with Tom Renz".
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne BrighteonTV sur Brighteon.com.
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Un père en deuil révèle comment les protocoles COVID de l'hôpital ont conduit à la maltraitance et à la mort de sa fille handicapée.
Dr Jane Ruby : Les infirmières qui sont restées dans les hôpitaux ont autorisé le maintien du protocole de décès COVID – Brighteon.TV.
Homicide à l'hôpital : l'établissement médical du Wisconsin A REFUSÉ de réanimer le patient malgré les instructions en ce sens.
Sources include:
LifeSiteNews.com
OurAmazingGrace.net
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-29-scott-schara-genocidal-agenda-behind-hospital-homicide.html
Le gouvernement déclarera une crise climatique pour remettre les gens en confinement
RépondreSupprimervendredi 29 avril 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Maintenant que les gens ne sont plus disposés à accepter d'être remis en confinement en raison du coronavirus de Wuhan (COVID-19), les mondialistes envisagent d'utiliser d'autres excuses - y compris la soi-disant crise climatique.
C'est selon Greg Reese d'InfoWars, qui a mis en garde contre cette possibilité lors d'un épisode de son segment, "Reese Report".
Reese a affirmé qu'avant que les gens ne soient obligés de rester chez eux, le gouvernement adoptera probablement une variété de mesures pour faire de l'aventure un fardeau. Cela inclut la possibilité d'instituer une taxe sur le carbone, ce qui rendrait l'utilisation d'un véhicule fonctionnant aux carburants fossiles beaucoup plus coûteuse. (Connexe: Voici les VERROUILLAGES CLIMATIQUES: L'agence mondiale exige le verrouillage des villes pour atteindre les «objectifs climatiques».)
Le gouvernement pourrait même essayer de forcer les gens à se confiner en utilisant l'Organisation mondiale de la santé, qui est sur le point de recevoir une autorité internationale sur la réponse à la pandémie. Reese a expliqué que cela signifie qu'il ne se contentera plus de donner aux gouvernements des recommandations édentées sur la façon de faire face aux épidémies. Si la proposition est adoptée, il pourrait avoir le plein pouvoir exécutif pour faire ce qu'il veut sous couvert de contrôle de la pandémie.
"Ils savent que nous ignorerons leur destruction de l'Amérique tant qu'ils nous nourriront de distractions pour ruminer sur les réseaux sociaux, tout comme ils le font actuellement", a averti Reese. "Ils veulent vous faire rester à l'intérieur de votre maison et mourir tranquillement, paisiblement, là où personne ne le remarque."
"Beaucoup d'entre vous doutent peut-être qu'ils s'en tireront, mais nos actions disent le contraire", a-t-il poursuivi. "Nos actions suggèrent qu'ils peuvent recommencer."
Reese a conclu en avertissant que tant que le gouvernement fournira aux gens des débouchés légaux à partir desquels ils pourront exprimer leurs frustrations, comme les plateformes de médias sociaux, le gouvernement sera en mesure d'enfermer facilement les gens chez eux.
Les blocages climatiques une possibilité croissante
RépondreSupprimerDe toutes les excuses possibles que Reese a mentionnées que le gouvernement pourrait utiliser, l'une des plus probables est la crise climatique.
Les signes que le gouvernement pourrait utiliser une soi-disant urgence climatique pour instituer un verrouillage climatique étaient déjà présents dès 2020.
"L'idée nocive est que nous sommes à - encore un autre - point de basculement, et qu'à moins que le gouvernement ne prenne radicalement le contrôle centralisé de l'économie, ce sera le temps de la fermeture", a écrit Wesley J. Smith pour le National Review en septembre 2020, expliquant la justification potentielle d'un verrouillage climatique.
Dans le cadre d'un tel verrouillage climatique, le gouvernement s'accorderait la possibilité de limiter - ou d'interdire carrément - l'utilisation des véhicules privés et la consommation de viande rouge, les considérant comme les principaux responsables des émissions nocives.
En février 2022, Kristin Tate, écrivant pour The Hill, a noté que les appels à l'adoption de mesures gouvernementales extrêmes au nom de la sauvegarde de l'environnement "sont déjà dans le langage d'organisations et de personnalités influentes".
"En novembre 2020, la Croix-Rouge a proclamé que le changement climatique est une menace plus grande que COVID et devrait être confronté à" la même urgence "", a écrit Tate. «Bill Gates a récemment exigé des mesures dramatiques pour prévenir le changement climatique, affirmant qu'il sera pire que la pandémie. Bien que des millions de personnes soient mortes du COVID, l'ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre Mark Carney a prédit l'année dernière que les décès climatiques éclipseront ceux de la pandémie.
Plus récemment, le 26 avril, l'Agence internationale de l'énergie a appelé les gouvernements du monde à imposer des confinements et à interdire temporairement l'utilisation des voitures privées dans les villes pour réduire la consommation de pétrole afin qu'ils puissent atteindre leurs objectifs climatiques.
"Les dirigeants politiques ont appris que la peur incite le public à accepter une restriction dramatique des libertés pour de vagues promesses de sécurité - ils doivent réaliser l'incroyable pouvoir à portée de main", a écrit Tate. "COVID a donné un cookie à la souris du gouvernement, et les fonctionnaires et bureaucrates avides de pouvoir peuvent utiliser les précédents des deux dernières années pour instaurer un verrouillage beaucoup plus long et plus complet."
En savoir plus sur les tentatives alarmistes d'effrayer les gens avec la soi-disant crise climatique sur ClimateAlarmism.news.
RépondreSupprimerRegardez ce clip du "Rapport Reese" alors que l'hôte Greg Reese parle des prochaines taxes sur le carbone et des blocages climatiques.
This video is from the Excellent Podcasts & Real News channel on Brighteon.com.
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Kennedy Hall: Climate change and COVID pandemic are “tools of control” by global elites.
Climate lockdown: UCL professor advocating lockdowns to combat “climate change.”
Sources include:
Brighteon.com
NationalReview.com
TheHill.com
NeonNettle.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-29-government-other-excuses-climate-change-people-lockdown.html
Des éco-terroristes brisent des pompes à essence et prétendent de manière absurde que trop de pétrole et de gaz causeront la famine mondiale et de mauvaises récoltes
RépondreSupprimerVendredi 29 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Il faut beaucoup de combustibles fossiles pour produire la quantité de nourriture nécessaire pour nourrir le monde dans sa structure industrialisée actuelle. Mais selon un groupe éco-terroriste appelé "Just Stop Oil", le pétrole et le gaz doivent être détruits afin d'éviter les mauvaises récoltes et la famine mondiale.
Un groupe itinérant composé principalement de femmes du groupe s'est récemment lancé dans une frénésie de destruction au Royaume-Uni, brisant des pompes à essence tout en hurlant sur la façon dont l'utilisation du carburant va détruire leur avenir.
"Bonjour, je m'appelle Louise, j'ai 23 ans et je fais cela parce qu'actuellement, le gouvernement se fiche de notre manque d'avenir que l'inaction face à l'urgence, qui est la crise climatique, va littéralement détruire vit dans les 10 à 20 prochaines années », a déclaré une fille alors qu'elle était filmée dans le cadre de ce qui semblait être un reportage médiatique sur la « manifestation ».
"Ce sera une mauvaise récolte massive, une sécheresse massive, une famine massive - et parce qu'ils ne font rien, nous sommes obligés de provoquer des destructions pour qu'ils écoutent", a poursuivi la jeune fille.
Elle et d'autres comme elle sont apparues dans deux stations-service différentes au Royaume-Uni : l'une dans le Surrey et l'autre dans le Kent. Ils sont venus équipés de petits outils métalliques pour détruire les écrans de la pompe, ainsi que de peinture en aérosol pour détruire les écrans.
Cette destruction contre les stations-service privées était censée se venger du gouvernement britannique pour ne pas avoir immédiatement interdit tous les combustibles fossiles parce que certains adolescents confus trouvent leur utilisation bouleversante.
Sans pétrole et gaz, des milliards de personnes mourraient
La réalité, bien sûr, est que sans pétrole et gaz, Louise et ses amis seraient déjà morts à cause du manque de nourriture et de la famine. Elle ne sait pas que les combustibles fossiles sont nécessaires pour produire des engrais, qui sont ensuite appliqués aux cultures vivrières afin de les faire pousser.
Bien sûr, la nourriture peut être cultivée sans ces choses, mais pas dans les quantités actuellement nécessaires pour nourrir la population mondiale. Il faudrait un changement majeur de l'agriculture industrielle à grande échelle vers une agriculture à plus petite échelle et même de basse-cour, un peu comme ce qui existe dans certaines parties de l'Europe et ailleurs.
RépondreSupprimerInterdire le pétrole et le gaz comme le demande Louise affamerait des milliards de personnes en quelques semaines, voire quelques jours. Elle n'a clairement aucune idée du fonctionnement du système alimentaire.
Non seulement cela, interdire le pétrole et le gaz laisserait également le logement de Louise sans aucune chaleur. Bonne chance pour essayer de survivre l'hiver prochain sans cette ressource importante.
La raison pour laquelle ces enfants ont été autorisés à détruire des biens privés alors qu'ils étaient filmés en train de le faire – et alors que les policiers se tenaient là sans rien faire – est suspecte. C'est presque comme si de tels incidents étaient mis en scène dans un but inavoué.
"Découvrez qui sont leurs parents et ne les laissez pas acheter de l'huile pour leurs voitures ou leurs maisons", a écrit un commentateur.
"C'est une bonne chose qu'ils aient eu leurs voitures pour y conduire et s'enfuir", a écrit un autre, faisant un excellent point sur l'idiotie exposée (en supposant qu'elle était authentique).
"Ils portent des gilets haute visibilité à base d'essence", a suggéré un autre, pointant encore plus d'hypocrisie. "Sans parler de tous les autres biens qui sont fabriqués avec des produits pétroliers."
"Les imbéciles soumis au lavage de cerveau continuent de parler de 1,5 degré Celsius comme point de basculement. C'est anecdotique, mais il a été en moyenne de 5 degrés Celsius inférieur à la normale là où je vis en avril. Nous sommes actuellement dans un minimum solaire, et s'il continue pendant un autre cycle solaire, les latitudes supérieures à 50 auront du mal à faire pousser des cultures.
Plus de nouvelles connexes peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
Les sources comprennent :
CitizenFreePress.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-29-eco-terrorists-smash-gas-pumps-oil-starvation.html
Diesel pour le dîner
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 01 MAI 2022 - 20:00
Via la sous-pile Doomberg,
"Gouverner une grande nation, c'est comme cuisiner un petit poisson - trop de manipulation le gâchera." – Lao Tseu
Les mots comestibles et mangeables sont souvent utilisés de manière interchangeable, mais intégré dans leurs définitions respectives est une distinction qui fait une différence importante. Comestible signifie «sûr à manger», tandis que mangeable signifie «agréable à manger». Une variante du mot mangeable est délicieuse, communément définie comme « très agréable à manger ». Délicieux semble certainement plus attrayant que très mangeable, une expression que personne n'utiliserait pour compléter un repas exquis préparé par un chef professionnel. Nous trouvons ces nuances linguistiques agréables.
Que l'équilibre des calories qu'une personne consomme soit comestible, mangeable ou délicieuse dépend de l'endroit où elle se situe dans la hiérarchie des besoins de Maslow, un concept que nous avons longuement couvert dans un article que nous avons écrit en juillet dernier intitulé Pourquoi les vaches sont-elles sacrées ? Pour ceux à la base de la pyramide, la lutte pour consommer suffisamment de nourriture comestible juste pour voir un autre lever de soleil définit une grande partie de leur existence. Au sommet de la pyramide se trouvent les âmes chanceuses qui peuvent se permettre de cuisiner de délicieux repas avec des ingrédients frais, de manger dans de bons restaurants ou même d'engager un chef personnel pour s'occuper de toutes leurs indulgences alimentaires.
- voir graph sur site -
Au niveau moléculaire, la distinction entre comestible et non comestible peut être subtile. Le réarrangement de quelques atomes au sein d'une structure chimique par ailleurs similaire peut faire la différence entre la satiété et un voyage aux urgences. Avant l'avènement des industries chimiques et énergétiques modernes, l'humanité utilisait les sous-produits animaux et végétaux pour créer de nombreux matériaux fonctionnels utilisés dans la vie quotidienne, rendant le compromis entre la nourriture et les autres besoins plus viscéral qu'il ne l'est aujourd'hui. Les parties comestibles ont été mangées et les choses non comestibles - vraisemblablement identifiées grâce à une série malheureuse d'expériences d'essais et d'erreurs - ont été converties en d'autres choses utiles ou brûlées pour créer de l'énergie.
Armés de la maîtrise de la chimie par l'humanité, nous pouvons désormais réorganiser les atomes avec une spécificité étonnante à une échelle inimaginable, poussant des milliards de personnes plus haut dans la hiérarchie de Maslow qu'elles ne le seraient autrement. En plus d'utiliser des combustibles fossiles pour créer la plupart des matériaux qui nous entourent, nous les exploitons pour produire des engrais, des herbicides, des fongicides et d'autres intrants dans le processus agricole, augmentant ainsi les rendements des cultures à des niveaux autrefois considérés comme impossibles. Nous synthétisons également des montagnes d'ingrédients comestibles directement à partir du pétrole et du gaz. Visiter une usine moderne de transformation des aliments semblerait presque impossible à distinguer d'une usine de produits chimiques spécialisés, principalement parce qu'ils ne sont pas si différents.
- voir graph sur site -
RépondreSupprimerBien qu'il soit parfaitement logique de tirer parti de notre abondance de combustibles fossiles et de notre capacité à les manipuler au niveau moléculaire pour augmenter l'abondance alimentaire mondiale, faire l'effort de cultiver des aliments uniquement pour les retourner et les brûler pour produire de l'énergie semble loin d'être idéal. Dans un article controversé que nous avons écrit en janvier et intitulé "Éloge de l'éthanol de maïs", nous avons avancé une théorie selon laquelle l'adoption de l'éthanol de maïs comme additif obligatoire à l'essence était un stratagème visant à dissimuler l'un des plus grands scandales environnementaux du siècle dernier : l'utilisation du plomb tétraéthyle comme agent antidétonant. Alors que certains lecteurs ont interprété notre article comme soutenant cette politique - sans doute à cause du titre - notre objectif principal était de mettre en évidence l'histoire laide qui nous a amenés à la situation actuelle, et comment il s'agissait principalement d'un sale compromis politique. Avec le recul, "Pourquoi l'éthanol de maïs est une chose" aurait pu être un meilleur titre.
Aucun compromis de ce type ne sous-tend la décision d'utiliser des denrées alimentaires en remplacement du diesel, une politique qui aggravera considérablement la crise alimentaire mondiale en cours si elle n'est pas rapidement renversée.
Lorsqu'un baril de pétrole est raffiné, il est séparé en différents produits en utilisant les différents points d'ébullition de ses composants. L'essence bout à une température plus basse que le diesel et représente environ 43 % de chaque baril de pétrole. Le diesel représente environ 27 %, les 30 % restants étant destinés à devenir du mazout, du carburéacteur, de l'asphalte et d'autres matériaux importants. En raison de sa densité énergétique plus élevée par gallon et de l'efficacité des moteurs conçus pour l'utiliser, le diesel est un carburant souhaitable, en particulier pour le camionnage longue distance.
Malheureusement pour ceux qui se trouvent près du bas de la pyramide de Maslow, de nombreuses huiles de cuisson - graisse liquide isolée de diverses cultures largement utilisées dans la friture, la cuisson au four et d'autres types de préparation alimentaire partout dans le monde - ont une structure moléculaire assez similaire à celle du diesel. Il ne faut pas beaucoup de magie chimique pour transformer des huiles de cuisson auparavant comestibles en substituts utilisables du précieux combustible. Maintenant que le lobby environnemental a convaincu les responsables gouvernementaux du monde entier que la "teneur en carbone renouvelable" est à première vue une chose souhaitable - une erreur qui mérite son propre article sur Doomberg - divers mandats existent pour littéralement retirer la nourriture de la bouche des affamés et la pomper dans nos camions à brûler. Pour la planète, et ainsi de suite.
La première incarnation commercialement pertinente d'un substitut de diesel dérivé de cultures est un produit connu sous le nom de biodiesel. Les huiles dérivées de palme, de tournesol, de soja, de colza et de ricin sont utilisées comme intrants, pour n'en nommer que quelques-unes, et elles sont mises à réagir avec du méthanol (dérivé de combustibles fossiles) dans un processus chimique connu sous le nom de transestérification. La transestérification génère un produit avec une teneur en oxygène plus élevée que le diesel standard. Cela présente certains défis, notamment des performances médiocres à basse température, une croissance microbienne accrue, la corrosion des pièces du moteur et des coûts d'expédition plus élevés (le biodiesel ne peut pas tirer parti des pipelines existants qui sont utilisés pour transporter le diesel ordinaire). Tout comme l'éthanol de maïs, le biodiesel est mélangé avec du diesel ordinaire à des concentrations comprises entre 2 et 20 % avant d'être commercialisé. Malgré ces limitations, les mandats gouvernementaux ont motivé les agriculteurs du monde entier à rediriger une part importante de leurs récoltes de l'épicerie vers la station-service.
RépondreSupprimerPresque tous les défis liés au biodiesel ont été surmontés grâce au développement récent du diesel renouvelable, un matériau synthétisé par hydrotraitement des huiles de cuisson. Voici comment l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) décrit les différences:
« Le diesel renouvelable est un carburant diesel à base de biomasse similaire au biodiesel, mais avec des différences importantes. Contrairement au biodiesel, le diesel renouvelable est un hydrocarbure chimiquement équivalent au diesel pétrolier et peut être utilisé comme biocarburant de remplacement qui ne nécessite pas de mélange avec du diesel pétrolier pour être utilisé…
Étant donné que le diesel renouvelable est un carburant de remplacement, il répond à la spécification ASTM D975 pour le diesel pétrolier et peut être mélangé, transporté et même co-traité avec du diesel pétrolier de manière transparente.
- voir tableau sur site -
Pour les camionneurs contraints de respecter les mandats de teneur en carbone renouvelable, le diesel renouvelable est une aubaine. Il ne nécessite aucun changement de leur part, ne se distingue pas du diesel ordinaire et leur permet de proclamer fièrement leur bonafides vertes. Pour les entreprises qui le produisent, le diesel renouvelable est une mine d'or financière mandatée par le gouvernement. L'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) émet de précieux numéros d'identification renouvelables (RIN) pour suivre la conformité aux divers mandats et pour stimuler la production. Il existe également un crédit d'impôt national de 1 $ par gallon pour inciter davantage les producteurs.
Bien que le soutien au niveau fédéral ait été important, le véritable moteur de l'adoption du diesel renouvelable a été l'État de Californie. Grâce à son programme de normes de carburant à faible teneur en carbone (LCFS), des crédits actuellement négociés à 115 $ par tonne de carbone sont émis, et le diesel renouvelable est désormais la plus grande source de crédits supplémentaires. C'est avant que la capacité réelle de production de diesel renouvelable ne soit mise en ligne.
RépondreSupprimerD'où viendra tout ce diesel renouvelable ? Aux États-Unis, les huiles de soja sont le principal intrant, et il n'est pas surprenant que les stratégies de plantation soient rapidement modifiées pour en produire davantage. Cette citation d'un consultant de l'industrie décrit bien l'ampleur de la perturbation à venir :
"Le développement spectaculaire de l'industrie américaine du diesel renouvelable est similaire à la façon dont l'éthanol a changé l'industrie américaine du maïs de 2007 à 2010", déclare Dan Basse, président d'AgResource Company. Mais il pense que le diesel renouvelable pourrait être plus perturbateur.
"Nous réclamons 90,5 millions d'acres de soja en 2022 contre 87 millions cette année, et cela nous permet de commencer à répondre à la demande de diesel renouvelable", dit-il. « Ensuite, nous aurions besoin d'augmenter les acres de soja de 5 à 7 millions chaque année. Nous devons couvrir 120 millions d'acres (48 562 277 ha) de soja pour répondre à la demande croissante de diesel renouvelable. »
Avec la force du pouce du gouvernement sur l'ampleur de la demande qui aggrave les pressions inflationnistes préexistantes qui frappent les agriculteurs, le prix du soja a atteint de nouveaux sommets sans précédent. Au moment d'écrire ces lignes, le soja se négocie à 17 $ le boisseau, soit plus du double du prix d'il y a à peine deux ans. À moins que ces politiques ne soient levées, il est difficile d'imaginer un scénario où la dynamique positive des prix s'estompe.
Dans un article que nous avons écrit en octobre dernier et intitulé Starvation Diet, nous avons averti que la crise énergétique en cours déclencherait une famine mondiale, un processus qui serait exacerbé par le protectionnisme. Voici un passage clé :
«Nous avons beaucoup écrit sur la façon dont le marché de l'énergie en Europe a éclaté et comment les effets d'entraînement se feront sentir à travers nos délicates chaînes d'approvisionnement comme un fouet. Lorsque l'approvisionnement en biens essentiels se fait rare, les pays mettent en œuvre des politiques protectionnistes dans une vaine tentative de minimiser l'impact chez eux. Une série de mesures de représailles en cascade s'ensuit généralement, conduisant à un bouchon de vapeur économique. Nous voyons ce modèle se jouer maintenant dans l'agriculture.
Bien que nous ne soyons pas heureux d'avoir raison à cet égard, d'autres preuves de notre prescience sont apparues la semaine dernière lorsque l'Indonésie a choqué le monde en interdisant toutes les exportations d'huile de palme. Les huiles de cuisson peuvent être substituées les unes aux autres et les pressions sur les prix d'une huile placent inévitablement une offre au-dessous des autres. Voici comment The Guardian décrit la situation :
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
"Le prix des huiles comestibles telles que l'huile de soja, l'huile de tournesol et l'huile de colza devrait augmenter après que l'Indonésie a annoncé une interdiction surprise d'exporter l'huile de palme, ont averti les experts.
Les principales huiles comestibles sont déjà rares en raison des conditions météorologiques défavorables et de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. La décision de l'Indonésie de suspendre les exportations exercera une pression supplémentaire sur les consommateurs sensibles aux coûts en Asie et en Afrique, touchés par la hausse des prix du carburant et des denrées alimentaires.
L'ampleur de cette interdiction ne peut être surestimée. Selon les données de Statista, l'huile de palme représentait 35 % de toute l'huile de cuisson produite l'année dernière. L'Indonésie est responsable d'un stupéfiant 60 % de la production mondiale d'huile de palme. Les ondes de souffle émanant de ce mouvement explosif seront ressenties dans le monde entier, plus intensément par ceux qui sont déjà au bord du gouffre et qui peuvent le moins se permettre de réagir. Franchement, les gens vont mourir de faim.
Face à la crise énergétique mondiale, à la guerre en Ukraine, aux pénuries alimentaires et à l'inflation galopante, est-il logique de rediriger tant d'hectares de terres cultivées précieuses pour fabriquer du diesel renouvelable, un carburant que nous pouvons facilement et directement forer au niveau national ? Nos décideurs politiques comprennent-ils la nature interconnectée de ces marchés et comment forcer un lien fort entre le diesel et le soja crée un tunnel à travers lequel la contagion de la crise sur un marché se répercute directement sur l'autre ? Imaginez à quel point ce spectacle doit paraître grotesque aux plus vulnérables d'entre nous. Alors qu'ils se bousculent pour obtenir suffisamment de nourriture comestible pour survivre, nos élites qui savent tout se gavent des hors-d'œuvre les plus délicieux que le circuit des cocktails puisse offrir. Par une ignorance choquante ou une indifférence impitoyable, ils se convainquent qu'ils sauvent la planète.
Sauver la planète pour qui, exactement ? Les citoyens les plus pauvres de la Terre ? Non.
Qu'ils mangent du diesel.
https://www.zerohedge.com/markets/diesel-dinner
L'éthanol casse tous les moteurs ('préparés' ou non), l'objectif étant de ne plus voir de véhicules à combustion ! Mais l'électrique ne sera JAMAIS à la hauteur (pareil pour les éoliennes ou panneaux solaires). Ce qu'ils veulent c'est RUINER la population avec d'un côté des très riches et de l'autre des très pauvres ! On s'y dirige !
SupprimerLe marché du diesel monte en flèche et les prix de l'essence se rattraperont cet été
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 01 MAI 2022 - 16:30
Par Ryan Fitzmaurice, stratège principal des matières premières chez Rabobank
Résumé
Les prix du pétrole se sont fermement redressés au-dessus de 100 dollars le baril cette semaine malgré les conditions de verrouillage strictes et continues en Chine et un dollar américain très fort
La demande de carburants à faible teneur en carbone a entraîné une hausse des prix à la pompe
Le marché du diesel s'est envolé récemment mais les prix de l'essence pourraient rattraper cet été
Saison de conduite
Ce fut une semaine agitée pour les marchés pétroliers, mais dans l'état actuel des choses, les prix se dirigent vers mai avec une dynamique positive. Les prix du pétrole sont revenus au-dessus de leurs moyennes mobiles respectives sur 20 jours cette semaine malgré les blocages chinois en cours et un dollar américain très fort. Sur cette note, les mesures très restrictives dans la mégapole chinoise de Shanghai sont en place depuis plus d'un mois maintenant et se sont même étendues à d'autres villes clés.
Dans le même temps, l'indice du dollar américain a atteint des sommets de plusieurs décennies. Donc, étant donné que le plus grand importateur de pétrole au monde est effectivement fermé, couplé aux pressions monétaires, la récente vigueur du pétrole est notable. Cela témoigne de l'étroitesse de l'approvisionnement mondial en pétrole et de la probabilité d'une nouvelle baisse de la production pétrolière russe, alors que l'Occident repousse les importations russes. Cela signale également que les prix du pétrole pourraient trouver un bon soutien avant les mois d'été à forte demande qui approchent à grands pas.
En tant que tel, nous considérons la dynamique du côté de l'offre comme plus percutante et durable, tandis que les blocages chinois sont de nature temporaire. De plus, l'inévitable assouplissement de ces mesures strictes en Chine pourrait libérer une importante demande refoulée dans les semaines et les mois à venir.
Nous sommes également à moins de cinq semaines des vacances du Memorial Day américain, qui est le début officieux de la saison de conduite estivale aux États-Unis. Il est important de noter que ce sont vraiment les marchés du diesel qui ont pris le leadership du complexe pétrolier ces dernières semaines, alors que l'histoire fondamentale devient de plus en plus haussière pour les carburants finis.
En fait, les prix au comptant du diesel ont déjà atteint des sommets historiques dans de nombreux endroits clés et cela malgré la chute des prix du pétrole brut depuis le début de la guerre en Ukraine. Au contraire, les prix du diesel ont atteint de nouveaux sommets à mesure que les pénuries se développaient, ce qui a entraîné des écarts de craquage nettement plus élevés et un recul record des courbes à terme.
À notre avis, le resserrement des produits raffinés devrait persister pendant des mois, voire des années, et toute panne imprévue cet été pourrait faire grimper les prix de l'essence avec le diesel.
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Dynamique du raffinage du pétrole
Comme beaucoup le savent, le secteur du raffinage est le moteur de la demande de pétrole brut et la principale source des carburants finis que nous consommons tous régulièrement. En tant que tel, il s'agit d'une industrie clé à comprendre, et en particulier pour ceux qui négocient activement sur les marchés mondiaux de l'énergie, que ce soit à des fins de couverture ou de spéculation.
À cette fin, la saison des résultats aux États-Unis est à nos portes et, avec cela, les analystes et les commerçants ont un aperçu du fonctionnement interne de l'industrie du raffinage du pétrole lors des appels trimestriels sur les résultats et ont fourni une perspective générale des tendances des carburants finis. Cette semaine, nous avons entendu certains des plus grands raffineurs américains et il y avait des thèmes clairs tout au long :
La demande de carburant est robuste et devrait atteindre des niveaux record cet été
L'approvisionnement en carburants finis est limité compte tenu de la réduction de capacité qui s'est produite au début de la pandémie
Les stocks de carburants distillés sont extrêmement faibles dans les régions clés et seront difficiles à reconstituer
Les crédits de carbone et les exigences de mélange de biocarburants augmentent les prix à la pompe
Le coût exorbitant du gaz naturel en Europe augmente les coûts de raffinage du diesel d'hydrocraquage
Les raffineurs américains maximisent les rendements du diesel par rapport à l'essence pour saisir la large diffusion
La perte de matières premières secondaires russes sera un problème clé qui aura un impact sur les rendements des produits À notre avis, ces tendances de l'industrie sont des pépites d'informations précieuses et signalent que l'industrie américaine du raffinage se prépare pour une demande record cet été, mais avec beaucoup moins de capacité qu'avant la pandémie . Ce manque de capacité est également apparent lorsque l'on regarde les marges diesel extrêmement attrayantes ces derniers temps. Cette dynamique a conduit les raffineurs à maximiser la production de diesel au détriment de l'essence étant donné que l'écart entre les deux carburants s'est effondré à des niveaux historiques.
En fait, la répartition essence-diesel s'est considérablement modifiée, le diesel occupant une place importante depuis le début de la guerre en Ukraine. Cependant, cet écart historiquement large pourrait se réduire à mesure que nous entrons dans la saison de conduite et la raison est liée au dernier thème ci-dessus, la perte de matières premières russes telles que le Vacuum Gasoil (VGO). Cette matière première est généralement traitée par les principales raffineries américaines et est utilisée pour remplir les unités de traitement secondaire telles que les hydrocraqueurs qui augmentent le rendement des carburants finis. Cette perte de VGO russe obligera désormais les raffineurs à décider si les barils supplémentaires sont transformés en diesel via un hydrocraqueur ou en essence via un cat-cracker (FCC). Cette concurrence pourrait entraîner une inversion moyenne de l'écart notoirement volatil essence-diesel, l'essence gagnant du terrain pour garantir que les raffineurs produisent suffisamment d'essence.
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Avoir hâte de
Pour l'avenir, nous continuons à voir plus de risques à la hausse qu'à la baisse en ce qui concerne les prix du pétrole brut et considérons que le resserrement croissant des carburants finis fournit un solide soutien sous-jacent à l'approche de la saison de conduite. De plus, le manque de capacité de raffinage inutilisée dans l'Ouest augmentera la sensibilité et la réaction des prix en cas d'interruptions majeures imprévues cet été, tandis que la perte de VGO russe plafonnera probablement les taux d'utilisation des raffineries.
https://www.zerohedge.com/markets/diesel-market-soaring-and-gasoline-prices-will-catch-summer
Ville en faillite : la vie sans fonctionnaire
RépondreSupprimerpar Aphadolie
30/04/2022
Synopsis vidéo :
Des villes en banqueroute, des services publics qui ferment, des citoyens qui refusent de payer plus d’impôts et qui décident de remplacer eux-mêmes les fonctionnaires : ce n’est pas une fiction mais une réalité aux États-Unis.
Et si cela nous arrivait aussi ?
Reportage dans ces villes qui vivent la faillite au quotidien et où les habitants remplacent parfois les policiers, les éboueurs, les jardiniers…
Central Falls
La ville de Central Falls est située dans le comté de Providence, dans l’État du Rhode Island, aux États-Unis. Fondée en 1730, la ville fut séparée administrativement de Lincoln en 1895.
Ici, la faillite est déjà déclarée, et cela se voit. A Central Falls, petite ville de 19.000 habitants juste au nord de la mal nommée Providence, la capitale de l’Etat de Rhode Island, tout a l’air fatigué. Les routes ne sont pas complètement pourries, mais craquelées, bosselées et sales. Les maisons, de trois étages le plus souvent, pour superposer trois familles, ont oublié d’être entretenues. Beaucoup ont été saisies, les fenêtres sont murées de planches, et les ronces reprennent le contrôle des jardins. Beaucoup d’habitants sont aussi en faillite. A la vue d’un étranger, certains tentent leur dernière chance : « Z’auriez pas un dollar ? »
Lundi dernier, au moment même où le pouvoir fédéral à Washington évitait – de justesse – le défaut de paiement, Central Falls s’est déclaré en faillite, sous le régime du chapitre 9, qui protège temporairement la municipalité de ses créanciers. Une démarche encore rare pour une ville, mais qui risque de devenir plus fréquente, redoute-t-on ici.
« Sur un budget de moins de 17 millions de dollars [11,9 millions d’euros, ndlr] cette année, nous avons un déficit de 5,6 millions. Avec aussi 80 millions d’engagements qui n’ont pas été provisionnés pour payer les retraites », explique le juge Robert Flanders, chargé depuis quelques mois de rééquilibrer les finances de la ville, et adepte de mesures radicales. « Ce n’était plus tenable. »
Dans les rues de Central Falls, les habitants se disent « choqués » et « peinés pour la ville », mais avouent aussi qu’ils s’attendaient un peu à cette faillite.
RépondreSupprimer« Ça fait longtemps qu’on n’est plus Chocolateville », résume Jerauld Adams, un jeune agent immobilier qui tente de maintenir en vie la bibliothèque.
Au 18ème siècle, la rivière locale avait attiré l’un des premiers fabricants américains de chocolat, qui avait donné ce surnom de « Chocolateville ». Des dizaines de fabriques textiles avaient suivi, qu’on devine encore aux grands entrepôts de brique rouge, à l’abandon ou reconvertis. Dans l’une de ces fabriques, où l’on tissait des chaussettes, puis des bandages, jusqu’à ce que la production se délocalise au Mexique, Gary Reedy tente de faire survivre un petit atelier de couture, spécialisé dans les costumes de danse sur mesure :
« Le problème est qu’on a tout laissé partir. D’abord les usines sont parties à l’étranger, puis maintenant les services. Les seules activités qui restent dans notre pays, c’est l’éducation et la santé, ou des tout petits business, comme le mien. »
Ce matin, sur sa dizaine de machines à coudre, trois ouvrières seulement assemblent tutus et rubans.
« J’ai dû réduire mes effectifs, soupire encore le patron. La reprise, je ne l’ai pas vue ici, en tout cas pas pour moi : ces deux dernières années n’ont vraiment pas été bonnes. Et je pense qu’on n’a pas encore touché le fond. »
Corruption
La dernière récession a « exacerbé » les problèmes à Central Falls, mais les racines du mal sont « profondes », explique Robert Flanders, le juge redresseur des comptes municipaux.
« Le problème central est que la ville a conclu avec ses employés des contrats qu’elle ne peut plus se permettre », expose-t-il. « D’autant moins que les fonds prévus n’ont pas été alloués comme ils le devaient. »
Le maire, démocrate comme il est de tradition à Central Falls, est le sujet de plusieurs enquêtes pour corruption. Il reste en fonction, mais dépossédé de tous ses pouvoirs.
« Je ne sais pas ce qu’il fait, peut-être est-il en train de jouer au golf », nous a répondu son frère, promettant de transmettre notre demande d’interview…
RépondreSupprimerL’État de Rhode Island, qui a longtemps bouché les trous du budget municipal, acceptant même de financer les écoles de la ville depuis les années 90, est à bout de souffle et a nommé le juge Flanders pour trancher dans le vif. Tandis qu’au niveau national le compromis entre démocrates et républicains repousse la nécessaire révision des prestations sociales, à Central Falls le juge Flanders veut imposer des coupes immédiates. Le 1er juillet, il a fermé la bibliothèque municipale et a licencié ses six employés. Idem avec le centre communautaire, qui venait d’être rénové. « C’est très triste », glisse une habituée de 91 ans, rencontrée sur le chemin du Dunkin’Donuts : au lieu du repas qu’elle prenait au centre pour 3 dollars, elle s’offrira ce jour-là tout juste un café.
« Ceux qui prennent ces décisions financières auraient quand même pu penser aux enfants, qui pouvaient faire du sport ici et qui n’auront plus rien d’autre à faire que traîner dans la rue ou rester enfermés à la maison », s’indigne David, un des rares étudiants du quartier. « C’est la prochaine génération qu’on est en train de sacrifier. »
« Drames »
Mais ce n’est pas tout : la déclaration de faillite a permis au juge Flanders de modifier les contrats de tous les employés et retraités de la ville. Pompiers et policiers, qui pouvaient se retirer après vingt ans de service et toucher 50 % de leur dernier salaire, ne recevront plus que la moitié de leurs pensions, a décidé le juge (en graduant toutefois les coupes, un peu moins raides pour les plus âgés et les plus pauvres).
« On oublie que les policiers ne touchent pas de bonus comme dans le secteur privé, même si je fais 100 arrestations, mon salaire n’augmente pas ! », grommelle le colonel Joseph Moran, chef de la police de Central Falls.
« Vingt ans de service dans la police, pour les gens qui ne connaissent pas notre travail, cela peut paraître peu », poursuit le colonel, qui aligne vingt-huit années de maison et aurait pu – jusqu’au 1er août – faire valoir ses droits à une retraite non amputée. « On sous-estime les risques psychologiques de notre métier, le fait d’être sans cesse confronté à tous les drames des habitants. »
A la caserne des pompiers, l’indignation est la même :
RépondreSupprimer« Notre régime de retraite peut paraître généreux, mais il avait été accordé en échange d’autres concessions, comme de moindres hausses de salaire », rappelle John Garvey, le chef des pompiers. « En même temps, on nous demande aussi de payer plus pour notre assurance maladie, il y a des gens qui n’y arriveront pas ! »
Tout le monde n’est pourtant pas mécontent de ce coup de massue asséné aux flics et autres « fonctionnaires ».
« C’est pas ça qui va nous faire pleurer », synthétise Brian, 13 ans, dont la famille, originaire de Porto Rico, maîtrise mal l’anglais. « S’il y a moins de flics après ça, tant mieux, on sera peut-être un peu plus tranquilles. En ce moment, comme ils ont besoin d’argent, ils nous mettent des amendes pour un oui ou un non, soi-disant qu’on n’est pas assis du bon côté de la route ou que les poubelles sont pas au bon endroit. »
A 31 ans, Edward Hernandez a également l’impression que la ville dans laquelle il a grandi est tombée sur la tête : « Tout est devenu complètement étrange », fronce-t-il, tandis qu’il s’accorde une pause avec ses compagnons, employés pour l’été au nettoyage d’une école. « Les flics qui ont travaillé toute leur vie dans l’espoir d’une retraite découvrent soudain qu’ils ne toucheront que la moitié de ce qu’on leur avait promis. Et nous qui travaillons, nous gagnons souvent moins que ceux qui vivent de l’aide sociale. »
La moitié des familles de Central Falls vivent des différentes subventions de l’Etat, allocations chômage, pensions d’invalidité ou coupons alimentaires, maugréent Edward et ses deux collègues :
« Et on les voit au supermarché : nous, on a juste les moyens de remplir un sac de courses, et eux, ils en remplissent deux ! »
Quelques maisons plus loin, Joan Facha, corpulente grand-mère de 53 ans, n’a plus de dents pour répondre avec le mordant qui s’imposerait :
« Dans mon cas, je peux dire quand même que je gagnais plus quand je travaillais chez Taco Bell [une chaîne de restauration rapide, ndlr]. Je touchais 300 à 400 dollars par semaine, contre 700 dollars par mois maintenant avec ma pension d’invalidité. »
Avec cette allocation, celle d’une de ses filles et des coupons d’aide alimentaire, Joan fait vivre sous son toit une demi-douzaine de personnes.
« Aucun de mes quatre enfants ne travaille », avoue-t-elle. « Ils ne trouvent rien, ou rien qui leur convient. »
RépondreSupprimer« Emprunt »
Pourtant à Central Falls, parmi ceux qui ont le plus souffert de la crise, on rencontre aussi l’espoir et la volonté, très forte, de se tirer de cette mauvaise passe.
« Je fais des pertes sur les trois maisons que j’ai achetées », confie Jaime Rua, gestionnaire immobilier, arrivé de Colombie à 8 ans avec ses parents qui avaient trouvé à s’employer dans le textile. « Pour l’une de mes maisons, j’ai pris un emprunt de 150 000 dollars, et elle ne vaut plus que 80 000. Pour les deux autres, pareil. Mais je tiens le coup, en prenant des locataires dont le loyer est subventionné par le gouvernement. Tant que ces programmes fédéraux continuent, ça va, je suis assuré de toucher mes loyers. »
Jaime sourit, un peu forcé : « Et d’ailleurs, j’ai bien envie d’acheter une nouvelle maison. On peut en acheter aujourd’hui à 30 000 ou 40 000 dollars. C’est le moment d’investir ! »
Source :
https://en.wikipedia.org/wiki/Central_Falls,_Rhode_Island
https://www.liberation.fr/futurs/2011/08/08/a-central-falls-plus-dure-est-la-chute_753803/
Article :
Lorraine Millot, Envoyée spéciale à Central Falls / Libération
Publié le 8 août 2011
https://aphadolie.com/2022/04/30/ville-en-faillite-la-vie-sans-fonctionnaire/
L'élection d'un maire en fait un fonctionnaire, c'est-à-dire quelqu'un qui va balancer en l'air de l'argent qu'il n'a pas ! Il emprunte ! Il va refaire regoudronner des routes qui n'en ont pas besoin ! Faire des ronds-points ! Des ronds-points de partout ! Partout !
SupprimerUn nouveau projet de loi COVID inflige des amendes aux parents pour les enfants non infectés et double les impôts sur le revenu
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 01 MAI 2022 - 19:25
Un projet de loi absurde sur le COVID-19 du sénateur radical de gauche de Road Island, Samuel W. Bell, déclare que les résidents qui refusent le vaccin et ses rappels sont passibles d'amendes et paient plus d'impôt sur le revenu à moins qu'ils ne bénéficient d'une exemption.
Bell a présenté le projet de loi S2552 du Sénat du Rhode Island le 1er mars. La semaine dernière, le projet de loi n'avait pas été adopté et est actuellement examiné par le comité sénatorial de la santé et des services sociaux.
S2552 stipule que les résidents éligibles du Rhode Island devraient être vaccinés contre le COVID. S'ils refusent, ils pourraient faire face à une amende mensuelle de 50 $ et payer le double de l'impôt sur le revenu de l'État. Il existe également des amendes pour les enfants non vaccinés de moins de 16 ans qui seraient imposées aux parents. Le texte du projet de loi se lit comme suit :
Cette loi obligerait tous les résidents de seize (16) ans ou plus à être vaccinés contre la COVID-19. Si un résident a moins de seize (16) ans, il devra être immunisé contre la COVID-19, la responsabilité d'assurer la conformité incombant à tous les parents ou tuteurs ayant des pouvoirs de consentement médical.
De plus, toute personne qui enfreint ce chapitre serait tenue de payer une amende civile mensuelle de cinquante dollars (50,00 $) et devrait deux fois le montant de l'impôt sur le revenu des particuliers.
Parlant de la facture, Bell a déclaré au Boston Globe :
"La raison pour laquelle j'ai présenté le projet de loi est que nous avons une crise avec la pandémie.
RépondreSupprimer"Des milliers d'habitants du Rhode Island sont morts. J'ai reçu des appels vraiment douloureux d'électeurs qui ne peuvent pas se rendre au magasin parce qu'ils sont immunodéprimés, qui ont perdu des êtres chers à cause de cette pandémie, qui sont vraiment malades et pas complètement rétablis , souffrant d'effets à long terme."
Bell a fait face à de sévères critiques pour l'introduction du projet de loi. Il a tweeté cet e-mail qu'il a reçu d'un Rhode Islander en colère.
- voir doc sur site -
Soumettre les adultes à des amendes et à davantage d'impôts pour ne pas avoir été vaxxés ou même pour leurs enfants non vaxxés est un dépassement important de la part du gouvernement. De plus, le vaccin n'est pas sans risque, surtout pour les enfants.
Le Dr Robert Malone, virologue et immunologiste qui a contribué à la technologie des vaccins à ARNm, a récemment déclaré : « Réfléchissez-y à deux fois avant de vacciner vos enfants. voulez un refaire. ""
https://www.zerohedge.com/political/new-covid-bill-fines-parents-unvaxxed-kids-and-doubles-income-taxes
Alors que les expérimentations géniques d'essais (FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelées 'vaccins') ont fait mourir des millions de personnes, ces piqûres létales voire handicapantes sont sur le point d'être rendues obligatoires !!
SupprimerIls veulent créer des transhumanisés pour tuer la population (objectif Bill Gates : 500 000 personnes sur Terre !).
Avec l’intelligence artificielle, arrive l’ère du travailleur augmenté
RépondreSupprimerÀ force de se concentrer uniquement sur les risques, sans une vision réaliste et ambitieuse, il est probable que nous passerons à côté des perspectives positives offertes par l’IA et de l’ère du « travailleur augmenté ».
le 1 mai 2022
Yann-Mael Larher
Nous sommes à l’aube d’une nouvelle rupture technologique qui pourrait, à terme, bouleverser le marché de l’emploi. Le développement des solutions d’intelligence artificielle sur des pans entiers du marché de l’emploi aura des externalités positives indéniables, encore trop mal perçues des travailleurs.
Des transformations structurelles sans destruction massive
Selon le rapport de référence « Automatisation, numérisation et emploi » du Conseil d’orientation pour l’emploi (janvier 2017), moins de 10 % des emplois existants seront menacés par l’intelligence artificielle. Comme toutes les économies tertiarisées, l’économie française reste globalement peu à risque d’une substitualité élevée des travailleurs par les robots. Les pouvoirs publics doivent, dès maintenant, identifier ces postes pour engager une politique de formation et d’évolution de carrière des travailleurs touchés afin de limiter les risques de casse sociale sur des publics déjà faiblement formés et précarisés.
En revanche, 50 % de nos emplois existants sont susceptibles d’évoluer de façon significative. Tous ces métiers sont ainsi appelés à connaître une évolution substantielle. Dans le marketing, le recours à l’intelligence artificielle améliore la connaissance du marché et des utilisateurs d’un produit ou service pour ouvrir des contenus personnalisés aux consommateurs, envoyés au moment adéquat et sur le canal pertinent.
Dans le domaine de la maintenance ferroviaire, il est possible de mieux sécuriser les installations en anticipant les travaux comme le fait par exemple la société américaine Remark Holdings, l’un des leaders du marché américain, sur les voies de la compagnie Brightline Rail en Floride. La mortalité sur la ligne, l’une des plus accidentogènes du pays, a été quasiment réduite à néant, par rapport à la période où la surveillance était attribuée à des seuls humains et des caméras classiques.
Enfin, en matière de santé, la possibilité d’exploiter de gigantesques volumes de données nourrit des espoirs immenses pour mieux dépister et guérir le cancer. Avec parfois des résultats quasi-équivalent à ceux des spécialistes et des interventions humaines, comme en témoigne une étude récente publiée par la Harvard Medical School.
Mettre en avant les externalités positives attendues pour en renforcer l’acceptabilité sociale
RépondreSupprimerSelon une étude menée par PwC, une personne sur trois considère l’automatisation des tâches permises par les IA comme une menace pour l’emploi. C’est une erreur, sauf si on laisse les autres économies le faire à notre place. Il faut appuyer sur les externalités positives attendues par les études prospectives pour en renforcer l’acceptabilité sociale et ainsi abaisser les freins au changement, notamment sur deux d’entre elles.
Les deux plus grandes externalités positives attendues sont ainsi :
– l’amélioration de la productivité des salariés. Pour les entreprises qui l’implémentent, l’intelligence artificielle accroît la rentabilité de 38% en moyenne, selon les données d’Accenture Research, du fait de l’automatisation d’une partie des tâches.
– l’amélioration à terme du bien-être au travail, dont son pendant négatif, le mal-être en milieu professionnel, aurait un coût social estimé entre 2 et 3 milliards d’euros par an, selon les données 2017 de l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS).
Là encore, les processus d’automatisation des tâches amènent mécaniquement une montée en qualité du travail.
La France doit se préparer à ce bouleversement systémique du marché de l’emploi pour en tirer le meilleur
Plus que jamais, il faut positionner la France et l’Europe à l’avant-garde de cette révolution naissante. De l’agriculture aux usines, l’intelligence artificielle peut aider les Français et plus largement les Européens à lutter à armes égales pour gagner la bataille de la compétitivité sans rogner nos standards en matière de droit du travail. Au-delà des diplômes et des formations qu’il faut encourager tout au long de la vie, il faut comprendre que le numérique nécessite d’adopter un état d’esprit agile. Les technologies évoluant en permanence, il faut donc sans cesse se remettre en cause et acquérir de nouveaux savoirs.
Les politiques ont aussi un rôle majeur pour démystifier les technologies auprès de la société et sur l’importance de se maintenir dans la course à l’IA. Si l’on souhaite défendre les citoyens français et les emplois européens, on fera plus en soutenant la recherche européenne qu’en développant des circulaires qui complexifient le travail des chercheurs et ralentissent l’émergence de nouveaux champions tricolores. De façon contre-intuitive, avec une législation de plus en plus complexe, nous renforçons les fleurons chinois qui ont déjà une longueur d’avance.
À force de se concentrer uniquement sur les risques, sans une vision réaliste et ambitieuse, il est probable que nous passerons à côté des perspectives positives offertes par l’IA et de l’ère du « travailleur augmenté ».
https://www.contrepoints.org/2022/05/01/426580-avec-l-intelligence-artificielle-arrive-lere-du-travailleur-augmente
L'erreur commise par celles et ceux qui lisent est de penser qu'il serait bien de transposer la machine à l'être humain. Or, ce que les ordures criminelles au pouvoir essaient de faire ce n'est rien d'autre que l'effacement de l'être humain, la mort du 'trop de ces gens' par l'arrivée de piqûres prétextant une poussière fantôme de zombie affamé qui serait dans l'air !
SupprimerCar, remettons les choses en place: y a 2 ans est arrivé un 'nouveau virus' (comprenez: une 'nouvelle poussière'), mais, comme ce n'est pas un microbe qui apporte des maladies, que cache donc cette nouvelle poussière et premièrement: Pourquoi serait-elle nouvelle ?
Depuis DES milliards d'années notre magma expulse des milliards de milliards de milliards de poussières chaque seconde en fonds de mers et océans. Elle font donc partie des courants, des lames de fond et, remontent aussi à la surface par les productions continuelles de gaz de cette masse ferrique incandescente. C'est ainsi que l'eau de mers est composée de 86 % d'oxygène expulsé depuis le centre de notre planète et qui, arrivé à la surface, compose donc notre atmosphère.
Ces poussières (microscopiques/nanoscopiques) on les connaît. Elles sont appelées 'corona' pour leur forme de couronne (et pourquoi pas 'ballonna' pour leur forme sphérique ?). Bref, ces poussières (aussi appelées 'virus') sont PARFAITEMENT INOFFENSIVES et nous en respirons DES milliards chaque jour et des montagnes de milliards depuis notre naissance.
Alors, que faut-il entendre par 'nouvelle' poussière ? Il faut entendre que ces poussières ne sont pas - en tant que telles - issues du magma mais de laboratoires où elles ont été 'retravaillées'.
Et, si je vous parle de ces poussières (qui je le rappelle sont aussi appelées 'virus', comme pour faire 'intelligent le gaz carbonique n'est plus appelé gaz carbonique mais 'CO2' !! ou aussi: 'dioxyde de carbone' ou 'anhydride carbonique' !) c'est parce qu'elles sont intéressantes surtout mises sous microscope a balayage électronique. Révélation des docteurs Astrid Stuckelberger et Carrie Madej elles s'appellent réellement des nano-particules d'oxyde de graphène. (Houlala !). Voila qu'arrive un poison mortel violent ? Oui et non. Oui parce qu'elles sont proposées et non parce qu'elles sont enveloppées. D'où donc leur passage en laboratoires.
Mais je vous rassure, ces poussières NE SONT PAS DANS L'AIR (Ouf !) mais UNIQUEMENT commercialisées sous la forme de flacons injectables FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT intitulées (c'est marqué sur l'étiquette:) 'VACCIN' !!
Est-ce un gag ? Pourquoi peut-il exister un vaccin anti-poussières ? Parce que, ces 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène sont inoculées aux être humains sans défense, sans connaissance au QI proche du zéro ! Disons le mot: DES CONS ! Voila, c'est dit.
SupprimerL'astuce est de faire croire aux attardés mentaux désireux de se faire inoculer qu'une méchante poussière (de type 'gloutons' ou 'pac-man' ?) est dans l'air et est prête à vous dévorer ! Aïe-aïe-aïe ! D'où la répondante solution de vous injecter l'anti-poussière anti-terroriste anti-extraterrestre qui vous sauvera.
Or, il s'est très vite avéré que SEULES les personnes qui s'étaient faites inoculer profond (et qui en plus en redemandaient !) étaient porteuses de problèmes très douloureux (douleurs torrides, invalidité, paralysie, retard mental, etc) tandis que d'autres en mourraient !
SEULS les chanceux, les veinards, les personnes intelligentes ou simplement piquées avec du sérum phy n'avaient aucun problème !
Là, vous commencez à découvrir la différence entre le transhumanisé et la personne normale.
Transhumanisé car c'est de cela qu'il s'agit ! Ces nano-particules d'oxyde de graphène ne sont pas seulement là pour vous torturer et vous faire crever mais pour vous guider !! HOULA ! Bêh ouais, faut le dire, les personnes qui ont reçu la piqûre d'expérimentation génique d'essais FRAUDULEUSEMENT et CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin', reçoivent de l'extérieur des ondes basses fréquences qui sont envoyées à votre cerveau grâce aux 'tours-relais' oxyde de graphène qui transmettent l'information !
Si on vous dit ''Lève-toi et marche !" vous vous levez et vous marchez. Si on vous dit de prendre un couteau ou marteau et d'aller assassiner vos voisins ou votre famille, VOUS LE FAITES ! Vous n'avez plus de libre-arbitre ! Vous n'avez plus VOTRE conscience mais uniquement celle qui vous est envoyée ! C'est ce qu'ils essaient de faire de vous ! Vous devenez une machine ! Vous devenez un robot ! Un ordinateur sur pattes ! ou plutôt un GROS CONS D’ATTARDÉ MENTAL qui se promène. L'esclave, le chien, la larve, bref: une merde !
Gaz, blé, armes… Comment les États-Unis profitent de la guerre en Ukraine
RépondreSupprimerDaphnée Caravaca, Journaliste Figaro Live
Publié par Aphadolie
30/04/2022
Chapitres :
0:00 : Introduction.
0:36 : Énergie / le gaz.
3:34 : Alimentation / le blé.
4:32 : Défense / les armes.
5:40 : Influence / le soft power.
Synopsis vidéo :
Avec l’aggravation de la situation en Ukraine et les multiples sanctions imposées à la Russie de Vladimir Poutine, l’Europe s’est retrouvée face à une réalité :
« Notre dépendance au pétrole et au gaz russe passe là aussi par une diversification de nos achats », comme souligné par Emmanuel Macron.
Un pays pourrait tirer son épingle du jeu dans cette crise : les États-Unis.
On vous explique dans « Factu » comment les Américains pourraient bénéficier de la guerre en Ukraine avec Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste BDO France et Cyrille Bret, enseignant à Sciences Po Paris.
Les clés pour comprendre comment l’Amérique profite de la guerre en Ukraine
1 : Vendre un gaz plus cher à l’Europe
Joe Biden n’a pas fait le voyage pour rien. Le 25 mars dernier, en sa présence, la Commission européenne s’est engagée à lui acheter 15 milliards de m3 (Gm3) de gaz naturel liquéfié (GNL) supplémentaires en 2022. Ce n’est qu’un début. À terme, l’objectif est de remplacer totalement les 155 Gm3 de gaz russe représentant 30 % de la consommation de l’UE. Issu de la fracturation hydraulique (technique prohibée en France car jugée trop polluante), ce « gaz de schiste » sera transporté par méthanier avant d’être regazéifié à son arrivée sur le continent. Pour ce faire, l’Allemagne (qui avait tout parié sur le gazoduc russe Nord Stream 2) devra construire deux terminaux adaptés à cette opération. Aux États-Unis, les producteurs de GNL se frottent les mains et accentuent la pression sur le gouvernement Biden afin d’obtenir de nouvelles concessions. Leur modèle économique est le mégachamp Golden Pass qui sera mis en service par ExxonMobil et Qatar Energy dans l’État du Texas en 2024. Un investissement de 10 milliards de dollars dont la rentabilité est désormais garantie par… la clientèle
2 : Une aubaine pour l’industrie de l’armement
RépondreSupprimerLa guerre russo-ukrainienne a également convaincu (à juste titre, mais dans l’urgence) les Européens de renforcer leurs armées. Le chancelier Olaf Scholz entend ainsi consacrer 100 milliards d’euros à la modernisation de la Bundeswehr. Sa première décision ne plaide pas en faveur de l’Europe de la Défense : Berlin va acheter 35 avions furtifs F-35 du constructeur américain Lockheed Martin pour remplacer sa flotte de Tornado. Tant pis pour l’avion de chasse européen Scaf (Système de combat aérien du futur), que l’Europe développe pourtant avec Paris et Madrid. L’armée française se retrouve aussi en position délicate. Elle dépendait intégralement des gros-porteurs ukrainiens Antonov 124, dont la flotte a été partiellement détruite par les Russes. L’Airbus A400M ayant une capacité d’emport six fois inférieure, il est probable qu’elle se tourne vers le C-17 américain de chez McDonnell Douglas ! Quant au groupe Airbus, maître d’œuvre du projet Eurodrone (drone européen de moyenne altitude et de longue endurance), il vient d’annoncer qu’il équiperait son prototype d’un moteur fabriqué par une filiale de General Electric !
3 : Jackpot pour les fermiers du Midwest
La Russie et l’Ukraine, respectivement premiers et cinquièmes exportateurs de blé, fournissaient 25 % de la demande mondiale avant le conflit. Le blé ukrainien est en train de pourrir dans les ports de la mer Noire. Soumis aux sanctions, le blé russe est devenu invendable, ce qui fait grimper les cours, la tonne étant passée de 275 euros en janvier à 350 euros en mars. Les agriculteurs américains, massivement subventionnés par l’administration Biden (27 milliards de dollars dans le cadre de l’American Rescue Plan Act, le plan de relance démocrate adopté en 2021 pour booster l’économie nationale), ne peuvent être que les grands vainqueurs de cette redistribution alimentaire à grande échelle. L’année 2021 leur avait déjà été particulièrement favorable puisque le secteur agricole avait pulvérisé ses records à l’exportation : 177 milliards de denrées vendues à l’étranger, soit une hausse de 18 % par rapport à 2020 et 14,6 % de plus que le précédent record en 2014.
Si les hostilités devaient continuer, nul doute que le Midwest ravira à la Russie et à l’Ukraine le titre envié de « grenier à blé » de la planète.
Source :
https://www.lefigaro.fr/international/les-cles-pour-comprendre-comment-l-amerique-profite-de-la-guerre-en-ukraine-20220415
https://aphadolie.com/2022/04/30/gaz-ble-armes-comment-les-etats-unis-profitent-de-la-guerre-en-ukraine-daphnee-caravaca-journaliste-figaro-live/
Non, ce ne sont pas 'que les États-Unis' qui profitent de la guerre mais TOUS les pays qui soutiennent l'armée nazie qui est au pouvoir en Ukraine.
SupprimerLa dictature tend à priver la France de gaz, de pétrole et de charbon voire de toutes matières importées depuis la Russie !
La Russie se régale ! Poutine se tord de rire de voir en face de si grands cons !
La Russie vend son pétrole, gaz, charbon, etc à la Chine, l'Inde, Brésil etc !
L'Empire du Mensonge est impatient de recevoir la carte de visite de M. Sarmat
RépondreSupprimerPepe Escobar
30 avr. 2022
Au milieu de la démence propagandiste et de la dissonance cognitive aiguë qui sévissent dans toute la sphère de l'OTAN, le seul antidote est constitué par les rares voix de la raison, qui se trouvent être russes, donc réduites au silence et/ou écartées.
En particulier, depuis le début de la Guerre mondiale contre le Terrorisme (GWOT) au début du millénaire, personne n'a jamais perdu d'argent en pariant contre le mélange toxique d'orgueil, d'arrogance et d'ignorance déployé en série par l'Empire du Chaos et du Mensonge.
Ce qui passe pour une « analyse » dans la vaste zone d'exclusion aérienne intellectuelle connue sous le nom de « Think Tankland » des États-Unis comprend des balbutiements de vœux pieux tels que Pékin « croyant » que Moscou jouerait un rôle de soutien dans le siècle chinois, juste pour voir la Russie, maintenant, dans le siège du conducteur géopolitique.
Il s'agit là d'un bon exemple non seulement de paranoïa russophobe/sinophobe pure et simple concernant l'émergence de concurrents pairs en Eurasie - le premier cauchemar anglo-américain - mais aussi d'ignorance crasse des détails du complexe partenariat stratégique global Russie-Chine.
Alors que l'Opération Z entre méthodiquement dans sa phase 2, les Américains - avec vengeance - se sont également lancés dans leur phase 2 symétrique, qui se traduit de facto par une escalade pure et simple vers la Totalen Krieg, des nuances de l'hybride à l'incandescent, le tout bien sûr par procuration. Le célèbre vendeur d'armes Raytheon reconverti en chef du Pentagone, Lloyd Austin, a dévoilé le jeu à Kiev :
« Nous voulons voir la Russie affaiblie au point qu'elle ne puisse plus faire le genre de choses qu'elle a faites en envahissant l'Ukraine ».
Alors ça y est : l'Empire veut anéantir la Russie. La frénésie de War Inc. se traduit par l'envoi de cargaisons d'armes illimitées sur l'Ukraine, dont l'écrasante majorité sera dûment éviscérée par les frappes de précision russes. Les Américains partagent avec Kiev des informations 24/7, non seulement sur le Donbass et la Crimée, mais aussi sur le territoire russe. La Totalen Krieg se déroule parallèlement à la démolition contrôlée de l'économie de l'UE, la Commission européenne agissant joyeusement comme une sorte de bras de l'OTAN pour les relations publiques.
Au milieu de la démence propagandiste et de la dissonance cognitive aiguë qui sévissent dans toute la sphère de l'OTAN, le seul antidote est constitué par les rares voix de la raison, qui se trouvent être russes et qui sont donc réduites au silence et/ou écartées. L'Occident les ignore à son propre péril collectif.
Patrouchev la joue Triple-X déchaîné
Commençons par le discours du président Poutine devant le Conseil des législateurs à Saint-Pétersbourg pour célébrer la Journée du parlementarisme russe.
Poutine a démontré comment une « arme géopolitique » à peine nouvelle, s'appuyant sur la « russophobie et les néonazis », couplée à des efforts d'« étranglement économique », non seulement n'a pas réussi à étouffer la Russie, mais a imprégné dans l'inconscient collectif le sentiment d'un conflit existentiel : une « Seconde Grande Guerre Patriotique ».
RépondreSupprimerAvec une hystérie hors normes sur tout le spectre, un message pour un Empire qui refuse toujours d'écouter, et qui ne comprend même pas le sens de « l'indivisibilité de la sécurité », devait être inévitable :
« Je voudrais souligner une fois de plus que si quelqu'un a l'intention d'interférer dans les événements qui se déroulent depuis l'extérieur et crée des menaces de nature stratégique inacceptables pour la Russie, il doit savoir que nos frappes de représailles seront rapides comme l'éclair. Nous disposons de tous les outils nécessaires à cet effet. Tels que personne ne peut s'en vanter aujourd'hui. Et nous ne nous vanterons pas. Nous les utiliserons si nécessaire. Et je veux que tout le monde le sache - nous avons pris toutes les décisions à ce sujet ».
Traduction : les provocations incessantes peuvent conduire M. Kinjal, M. Zircon et M. Sarmat à être contraints de présenter leurs cartes de visite sous certaines latitudes occidentales, même sans invitation officielle.
Sans doute pour la première fois depuis le début de l'Opération Z, Poutine a fait une distinction entre les opérations militaires dans le Donbass et le reste de l'Ukraine. Cette distinction est directement liée à l'intégration en cours de Kherson, Zaporijia et Kharkiv, et implique que les forces armées russes continueront d'aller de l'avant, en établissant la souveraineté non seulement dans les Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, mais aussi sur Kherson, Zaporijia, et plus loin, de la mer d'Azov à la mer Noire, jusqu'à établir le contrôle total de Mykolaïv et Odessa.
La formule est claire comme de l'eau de roche : « La Russie ne peut pas permettre la création de territoires anti-russes autour du pays ».
Passons maintenant à une interview extrêmement détaillée du secrétaire du Conseil de sécurité, Nikolaï Patrouchev, à Rossiyskaya Gazeta, où Patrouchev l'a joué Triple-X déchaîné.
Le point essentiel à retenir est peut-être ici :
« L'effondrement du monde américano-centré est une réalité dans laquelle il faut vivre et construire une ligne de comportement optimale ». La « ligne de conduite optimale » de la Russie - à la grande colère de l'hégémon universaliste et unilatéraliste - se caractérise par « la souveraineté, l'identité culturelle et spirituelle et la mémoire historique ».
Patrouchev montre comment « les scénarios tragiques des crises mondiales, tant dans les années passées qu'aujourd'hui, sont imposés par Washington dans sa volonté de consolider son hégémonie, en résistant à l'effondrement du monde unipolaire ». Les États-Unis ne reculent devant rien « pour s'assurer que les autres centres du monde multipolaire n'osent même pas lever la tête, et notre pays non seulement a osé, mais a déclaré publiquement qu'il ne jouerait pas selon les règles imposées ».
Patrouchev n'a pas pu s'empêcher de souligner à quel point War Inc. fait littéralement un carnage en Ukraine :
RépondreSupprimer« Le complexe militaro-industriel américain et européen jubile, car grâce à la crise en Ukraine, il n'a aucun répit à l'ordre. Il n'est pas surprenant que, contrairement à la Russie, qui est intéressée par l'achèvement rapide d'une opération militaire spéciale et la minimisation des pertes de toutes parts, l'Occident soit déterminé à la retarder au moins jusqu'au dernier Ukrainien ».
Et cela reflète la psyché des élites américaines :
« Vous parlez d'un pays dont l'élite n'est pas capable d'apprécier la vie des autres. Les Américains sont habitués à marcher sur une terre brûlée. Depuis la Seconde Guerre mondiale, des villes entières ont été rasées par les bombardements, notamment des bombardements nucléaires. Ils ont inondé la jungle vietnamienne de poison, bombardé les Serbes avec des munitions radioactives, brûlé vifs les Irakiens avec du phosphore blanc, aidé les terroristes à empoisonner les Syriens avec du chlore (...) Comme l'histoire le montre, l'OTAN n'a jamais été non plus une alliance défensive, seulement une alliance offensive ».
Auparavant, dans une interview accordée à l'émission The Great Game, délicieusement nommée, de la télévision russe, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait une nouvelle fois détaillé comment les Américains
« n'insistent plus sur l'application du droit international, mais sur le respect de « l'ordre mondial fondé sur des règles ». Ces « règles » ne sont en aucun cas décryptées. Ils disent que maintenant il y a peu de règles. Pour nous, elles n'existent pas du tout. Il y a le droit international. Nous le respectons, tout comme la Charte des Nations unies. La disposition clé, le grand principe est l'égalité souveraine des États. Les États-Unis violent de manière flagrante leurs obligations au titre de la Charte des Nations unies lorsqu'ils promeuvent leurs « règles ».
Lavrov a dû souligner, une fois de plus, que la situation incandescente actuelle peut être comparée à la crise des missiles de Cuba : « À l'époque, il y avait un canal de communication auquel les deux dirigeants faisaient confiance. Aujourd'hui, ce canal n'existe pas. Personne n'essaie de le créer ».
L'Empire du mensonge, dans son état actuel, ne fait pas de diplomatie.
Le rythme du jeu dans le nouvel échiquier
Dans une référence subtile aux travaux de Sergey Glazyev, comme l'a expliqué le ministre chargé de l'Intégration et de la Macroéconomie de l'Union économique eurasiatique dans notre récente interview, Patrouchev a touché le cœur du jeu géoéconomique actuel, la Russie s'orientant désormais activement vers un étalon-or :
« Les experts travaillent sur un projet proposé par la communauté scientifique pour créer un système monétaire et financier à deux circuits. En particulier, il est proposé de déterminer la valeur du rouble, qui devrait être garantie à la fois par l'or et par un groupe de biens qui sont des valeurs monétaires, afin de mettre le taux de change du rouble en conformité avec la parité réelle du pouvoir d'achat ».
C'était inévitable après le vol pur et simple de plus de 300 milliards de dollars de réserves étrangères russes. Il a peut-être fallu quelques jours pour que Moscou soit pleinement certifié qu'il était confronté à la Totalen Krieg. Le corollaire est que l'Occident collectif a perdu tout pouvoir d'influencer les décisions russes. Le rythme du jeu sur le nouvel échiquier est fixé par la Russie.
Plus tôt dans la semaine, lors de sa rencontre avec le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, Poutine est allé jusqu'à déclarer qu'il serait plus que disposé à négocier - à quelques conditions seulement : la neutralité de l'Ukraine et un statut d'autonomie pour le Donbass. Pourtant, tout le monde sait maintenant qu'il est trop tard. Pour un Washington en mode Totalen Krieg, la négociation est un anathème - et c'est le cas depuis le lendemain de la réunion Russie-Ukraine à Istanbul fin mars.
RépondreSupprimerJusqu'à présent, dans le cadre de l'Opération Z, les forces armées russes n'ont utilisé que 12% de leurs soldats, 10% de leurs avions de chasse, 7% de leurs chars, 5% de leurs missiles et 4% de leur artillerie. Le cadran de la douleur va augmenter considérablement - et avec la libération totale de Marioupol et la résolution d'une manière ou d'une autre du chaudron du Donbass, il n'y a rien que le combo hystérie/propagande/armement déployé par l'Occident collectif puisse faire pour modifier les faits sur le terrain.
Cela inclut des manœuvres désespérées telles que celle découverte par le SVR - le service russe de renseignement extérieur, qui se trompe très rarement. Le SVR a découvert que l'axe Empire du mensonge/Guerre Inc. pousse non seulement à une invasion polonaise de facto pour annexer l'Ukraine occidentale, sous la bannière de la « réunification historique », mais aussi à une invasion conjointe roumaine/ukrainienne de la Moldavie/Transnistrie, les « soldats de la paix » roumains s'entassant déjà près de la frontière moldave.
Washington, comme l'affirme le SVR, prépare la manœuvre polonaise depuis plus d'un mois maintenant. Il « dirigerait en coulisses » (vous vous souvenez de la Libye ?), « encourageant » un « groupe de pays » à occuper l'Ukraine occidentale. La partition est donc déjà dans les cartons. Si cela devait se concrétiser un jour, il serait fascinant de parier sur les endroits où M. Sarmat serait enclin à distribuer sa carte de visite.
source : Strategic Culture Foundation
traduction Réseau International
https://reseauinternational.net/lempire-du-mensonge-est-impatient-de-recevoir-la-carte-de-visite-de-m-sarmat/
Pénuries alimentaires en six mois - Les mondialistes nous disent ce qui se passera ensuite
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 02 MAI 2022 - 04:10
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Au milieu de 2007, la Banque des règlements internationaux (la banque centrale des banques centrales) a publié une déclaration prédisant une « Grande Dépression » imminente causée par une implosion du marché du crédit. La même année, le Fonds monétaire international a également publié des avertissements sur les «malheurs des subprimes» conduisant à des conflits économiques plus larges. J'ai commencé à écrire une analyse économique alternative seulement un an plus tôt en 2006 et j'ai immédiatement pensé qu'il était étrange que ces institutions mondialistes massives avec une influence considérable sur le monde financier commencent soudainement à ressembler beaucoup à celles d'entre nous dans le mouvement pour la liberté.
C'était il y a 16 ans, tant de gens qui lisent ceci ne s'en souviennent peut-être même pas, mais en 2007, les médias alternatifs avaient déjà mis en garde contre un crash déflationniste imminent sur les marchés américains et le logement depuis un certain temps. Et, sans surprise, les médias grand public ont toujours été là pour nier toutes nos préoccupations en tant que « pessimiste » et « théorie du complot ». Moins d'un an plus tard, les premières entreprises inondées de produits dérivés ont commencé à annoncer qu'elles étaient au bord de la faillite et tout a sombré.
La réponse des médias ? Ils ont fait simultanément deux affirmations très bizarres : "Personne n'aurait pu le voir venir" et "Nous avons vu cela venir à un kilomètre". Les journalistes grand public se sont efforcés de se positionner comme les devins du jour comme s'ils disaient depuis le début que l'accident était imminent, mais il n'y avait qu'une poignée de personnes qui l'ont réellement appelé et aucun d'entre eux n'était dans le MSM. Le fait que la BRI et le FMI avaient publié leurs propres « prédictions » bien avant le krach a également été ignoré ; les médias ont fait comme s'ils n'existaient pas.
Dans les médias alternatifs, nous surveillons TRÈS attentivement les déclarations et les aveux ouverts des mondialistes parce qu'ils ne sont pas dans le domaine de l'analyse des menaces ; ils sont plutôt dans le domaine de la synthèse des menaces. C'est-à-dire que si quelque chose va très mal dans le monde sur le plan économique, les banquiers centraux et les élites monétaires aspirant à une seule autorité économique centralisée pour le monde sont TOUJOURS impliqués dans ce désastre.
Pour une raison quelconque, ils aiment nous dire ce qu'ils s'apprêtent à faire avant de le faire.
RépondreSupprimerL'idée que les mondialistes créent artificiellement des événements d'effondrement économique sera bien sûr critiquée comme une "théorie du complot", mais c'est un FAIT. Pour plus d'informations sur la réalité du sabotage financier délibéré et sur l'idéologie de "l'ordre hors du chaos" des globalistes, veuillez lire mes articles "Fed One Meeting Away From Creating A Doomsday Sinkhole" et "What Is The Great Reset And What Do The Globalists Really Want" ?'
L'agenda de la grande réinitialisation proposé par le chef du WEF, Klaus Schwab, n'est qu'un exemple des nombreuses discussions cachées à la vue des mondialistes concernant leurs projets d'utiliser le déclin économique et social comme une "opportunité" pour établir rapidement un nouveau système mondial basé sur le socialisme et technocratie.
Le principal problème pour discerner ce que les globalistes planifient n'est pas de découvrir des agendas secrets - Ils ont tendance à discuter ouvertement de leurs agendas si vous savez où chercher. Non, le problème est de séparer les aveux de la désinformation, les mensonges de la vérité. Cela nécessite de faire correspondre les livres blancs et les déclarations mondialistes aux faits et aux preuves disponibles dans le monde réel.
Examinons spécifiquement le problème de la pénurie alimentaire en détail…
Pénuries alimentaires en six mois
Il y a une semaine, il y a eu un torrent de communiqués de presse d'institutions mondiales mentionnant tous exactement la même préoccupation : des pénuries alimentaires dans les 3 à 6 prochains mois. Ces déclarations correspondent très étroitement à mes propres estimations, car j'ai régulièrement mis en garde contre les dangers imminents de l'inflation conduisant à un rationnement alimentaire et à des perturbations de la chaîne d'approvisionnement.
Le FMI, la BRI, la Banque mondiale, l'ONU, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial, Bank of America et même Biden lui-même prédisent tous une crise alimentaire majeure à court terme, et ce n'est pas une coïncidence si les politiques de ces mêmes institutions et les actions des politiciens fantoches qui travaillent avec elles sont à l'origine de la crise qu'elles prédisent maintenant. C'est-à-dire qu'il est facile de prédire une catastrophe lorsque vous l'avez créée.
L'affirmation est que l'invasion de l'Ukraine par la Russie en est la principale cause, mais c'est une distraction par rapport au vrai problème. Oui, les sanctions contre la Russie finiront par réduire l'approvisionnement alimentaire, mais les mondialistes et les médias ignorent délibérément la plus grande menace, qui est la dévaluation de la monnaie et l'inflation des prix créées par les banques centrales qui injectent des dizaines de billions de dollars dans des plans de relance pour soutenir entreprises partenaires « trop grandes pour échouer ».
RépondreSupprimerRien qu'en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a lâchés dans l'économie par le biais de programmes de protection sociale. Ajoutez cela aux nombreux milliers de milliards de dollars que la Fed a imprimés depuis le krach du crédit en 2008 - Cela a été une fête de destruction du dollar sans escale et maintenant le public commence à en ressentir les conséquences. Heureusement pour les banquiers centraux que le covid a frappé et que la Russie a envahi l'Ukraine, car ils peuvent désormais rejeter tout le blâme pour la calamité inflationniste qu'ils ont conçue sur la pandémie et sur Poutine.
L'inflation a atteint des sommets en 40 ans aux États-Unis bien avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine, mais considérons les ramifications de cette guerre et comment elle affecte l'approvisionnement alimentaire.
L'invasion russe perturbe certainement la production céréalière ukrainienne, qui représente environ 11 % du marché mondial total du blé. La Russie conserve également une part de marché de 17 % et, ensemble, ces deux pays alimentent une grande partie des pays du tiers monde et de certaines parties de l'Europe avec 30 % des exportations de blé et d'orge, 19 % des exportations de maïs, 23 % des exportations de canola et 78 % du tournesol. exportations.
Ce sont les sanctions contre la Russie qui posent problème bien au-delà de l'Ukraine, car la Russie produit également environ 20 % de l'ammoniac mondial et 20 % de l'approvisionnement mondial en potasse. Ce sont des ingrédients clés des engrais utilisés dans l'agriculture industrielle à grande échelle. Les agriculteurs estiment une flambée des prix globale d'environ 10 % sur les marchés alimentaires, mais je pense que c'est très prudent. Je vois déjà des augmentations de prix globales d'au moins 20 % par rapport à il y a six mois, et je m'attends à ce qu'il y ait encore 30 % de hausses de prix avant la fin de cette année. En d'autres termes, nous envisageons une augmentation moyenne de 50 % en 2022.
Les données officielles sur l'inflation du gouvernement et l'IPC ne sont pas fiables. Doublez les chiffres qu'ils donnent et vous serez beaucoup plus proche de la vérité. Le taux d'inflation utilisé par Shadowstats.com, calculé à l'aide de méthodes autrefois appliquées par le gouvernement américain dans les années 1980 avant qu'il « ajuste » ses modèles pour masquer les données, soutient ma position jusqu'à présent.
Les experts agricoles américains s'attendent à ce que la Chine comble le vide là où les approvisionnements russes disparaissent, mais c'est une erreur de faire cette hypothèse.
RépondreSupprimerQuelque chose de bizarre se passe en Chine
La répression de la Chine contre les infections à covid a atteint des niveaux si bizarres que je dois poser la question : leurs confinements concernent-ils vraiment le covid, ou cachent-ils autre chose ?
Le taux de mortalité du covid en Chine est impossible à calculer avec précision car ils n'ont jamais publié de données appropriées pouvant être confirmées. Cependant, presque partout ailleurs dans le monde, nous constatons un taux médian de mortalité par infection de 0,27 % pour le covid ; ce qui signifie que plus de 99,7 % des personnes dans le monde en moyenne n'ont rien à craindre de mourir du virus. Mais en Chine, le PCC agit comme s'il s'occupait de la peste noire. Pourquoi ?
Les fermetures ont entraîné des pénuries alimentaires dans tout le pays, car les chaînes d'approvisionnement se sont tendues et la fabrication reste fermée dans de nombreux cas. L'histoire dont beaucoup d'occidentaux n'entendent pas grand-chose, cependant, est le fait que les exportations chinoises ont essentiellement été gelées. C'est très important, donc je pense qu'il faut y mettre l'accent - Plus de 1 porte-conteneurs SUR 5 DANS LE MONDE sont désormais bloqués dans les ports chinois en raison de leurs fermetures covid. C'est incroyable.
Pourquoi la Chine ferait-elle cela à cause d'un virus dont nous savons tous qu'il n'est pas dangereux pour la grande majorité des gens ? Pourquoi instituer le pire confinement du pays à ce jour et affamer leur propre peuple alors que la majorité des gouvernements occidentaux ont maintenant renoncé à leur campagne de peur pandémique et au programme de vaccination forcée ?
Je suggérerais la possibilité que la Chine soit déjà engagée dans une guerre économique dont de nombreux Américains et Européens ne se rendent même pas compte. Cela peut être un test bêta pour un arrêt des exportations vers les États-Unis et l'Europe, ou il s'agit d'un arrêt progressif qui est censé devenir permanent. Le goulot d'étranglement sur le commerce peut également être un précurseur d'une invasion chinoise de Taiwan.
Taïwan est en fait plus dépendant et étroitement lié à l'économie chinoise que beaucoup de gens ne le savent. La Chine est le plus gros acheteur des exportations de Taïwan et ces exportations représentent 10 % du PIB de Taïwan. Taïwan compte des centaines de milliers de travailleurs et d'hommes d'affaires qui se rendent régulièrement en Chine pour travailler, un autre facteur économique qui est désormais mis à rude épreuve par les fermetures. De plus, Taïwan compte plusieurs sociétés qui exploitent leurs usines en Chine continentale, qui pourraient toutes être fermées en raison des fermetures de covid.
Tout ce que je dis, c'est que si j'étais la Chine qui prévoyait d'envahir Taïwan dans un avenir proche, je pourrais envisager d'utiliser le covid comme couverture pour endommager d'abord leur économie et perturber leur modèle d'exportation. Les communistes voient la population comme une utilité qui peut être sacrifiée si nécessaire, et la Chine est parfaitement disposée à causer des souffrances à court terme à son peuple si cela signifie des gains à long terme pour le parti. Au-delà de cela, si je devais m'engager secrètement dans une guerre économique avec l'Occident, quel meilleur moyen que d'immobiliser 20 % des cargos du monde et de perturber les chaînes d'approvisionnement au nom de la protection du pays contre une "pandémie ?"
RépondreSupprimerLa ligne du bas ? Ne comptez pas sur la Chine pour répondre aux besoins d'exportation d'ingrédients d'engrais ou de quoi que ce soit d'autre alors que les sanctions contre la Russie se poursuivent.
Inflation contre offre contre contrôle
Ce ne sont pas seulement les organisations mondialistes qui parlent des pénuries alimentaires entrantes ; le PDG de la société alimentaire internationale Goya a également récemment averti que nous étions au bord d'une crise alimentaire. Comme je l'ai noté dans le passé, l'inflation conduit au contrôle des prix par le gouvernement, le contrôle des prix conduit à un manque d'incitations à la production (profits), le manque de profits conduit à une perte de production, la perte de production conduit à des pénuries et les pénuries conduisent à un rationnement gouvernemental ( contrôle sur toutes les grandes sources de nourriture).
Comme nous l'avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l'histoire moderne, le contrôle de l'approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n'est dépassé en tant que préoccupation stratégique que par le contrôle de l'énergie (dont nous verrons également des pénuries dès que l'Europe sanctionnera le pétrole et le gaz russes et commencera à manger les approvisionnements d'autres exportateurs). Le problème alimentaire touche plus près de chez nous parce que nous pouvons voir les effets immédiatement sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n'y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim.
Les médias grand public ignorent une fois de plus toute menace économique potentielle, en particulier ils nient la notion de pénurie alimentaire comme une source d'inquiétude. Je dis, pourquoi écouter un groupe de personnes qui se trompent toujours sur ce genre d'événements ? Si quoi que ce soit, je prendrais au moins au sérieux les paroles des globalistes en ce qui concerne l'effondrement économique ; après tout, ce sont eux qui profitent le plus de ces catastrophes et qui ont aussi le plus d'influence lorsqu'il s'agit de déclencher une crise.
La préparation d'aujourd'hui ne coûte rien demain. Le manque de préparation aujourd'hui coûte TOUT demain. Le choix pour quiconque a un cerveau est simple - Préparez-vous à la fin de la nourriture abordable et facilement disponible avant la fin de cette année.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/food-shortages-six-months-globalists-are-telling-us-what-happens-next
Des signes alarmants que les agriculteurs réduisent les engrais peuvent nuire aux rendements des cultures
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 02 MAI 2022 - 00:05
Selon Bloomberg, les agriculteurs du monde entier craignent de plus en plus de réduire les engrais chimiques, ce qui pourrait menacer les rendements au moment des récoltes. Les répercussions pourraient être énormes : la baisse des rendements pourrait exacerber la crise alimentaire.
Il y a des signes alarmants que les agriculteurs commerciaux des principales régions productrices du monde réduisent l'utilisation des nutriments essentiels - azote, phosphore et potassium.
Révélé la semaine dernière, SLC Agricola SA, l'une des plus grandes exploitations agricoles du Brésil, gérant des champs de soja, de maïs et de coton dans une zone plus grande que l'État du Delaware, réduira l'utilisation d'engrais de 20 % et 25 %.
Les caféiculteurs du Brésil, du Nicaragua, du Guatemala et du Costa Rica, certains des plus grands pays producteurs de café, devraient épandre moins d'engrais en raison des coûts élevés et des pénuries. Une coopérative de café représentant 1 200 agriculteurs au Costa Rica prévoit que la production de café pourrait chuter de 15 % l'année prochaine en raison de la flambée des prix des engrais.
Le Centre international de développement des engrais (IFDC) a averti qu'une réduction de l'utilisation des engrais réduirait les rendements du riz et du maïs au moment de la récolte. Les agriculteurs de Chine, d'Inde, du Bangladesh, d'Indonésie et du Vietnam - les plus grands pays producteurs de riz - épandent moins d'engrais et peuvent entraîner une réduction de 10 % de la production, ce qui équivaut à environ 36 millions de tonnes de riz, soit suffisamment de nourriture pour nourrir un demi-milliard de personnes.
Plus d'engrais équivaut à plus de production alimentaire; Moins d'engrais équivaut à une production alimentaire moindre. C'est un concept simple à comprendre et peut suggérer qu'une crise alimentaire encore plus importante se profile à l'horizon.
Les États-Unis ne seront pas épargnés. Le président de la Kansas Wheat Commission, Gary Millershaski, a déclaré que sa "plus grande crainte" ce printemps est que les agriculteurs d'Amérique du Nord évitent d'appliquer de l'azote aux plantations de blé. Il a dit que si les agriculteurs le faisaient, cela pourrait suggérer que les récoltes seraient une "classe inférieure de blé".
En mars, Tony Will, directeur général de la plus grande société d'engrais azotés au monde, CF Industries Holdings Inc., a averti : "Ma plus grande préoccupation est que nous nous retrouvions avec une très grave pénurie de nourriture dans certaines régions du monde".
Le président de la Fondation Rockefeller, Rajiv Shah, a fourni à David Westin de Bloomberg Television une chronologie du début de la "crise alimentaire massive et immédiate". Il a dit, "dans les six prochains mois."
https://www.zerohedge.com/commodities/alarming-signs-farmers-reduce-fertilizer-may-wreck-crop-yields
Il est certain que si vous vous réduisez votre propre consommation ou ne faites qu'un petit repas par jour vous allez maigrir et n'aurez guère de force pour travailler !
SupprimerC'est ce qui se passe pour les plantes ! Çà alors ! (HAHAHA !) Privées d'eau elles meurent ! Çà alors ! Privée de nourriture elles meurent ! Çà alors !
Prêcher dans le désert
RépondreSupprimer2 Mai 2022
Willi l'agriculteur*
Les médias commencent à comprendre que la pénurie d'engrais a une influence sur la fourniture de nourriture (malheureusement derrière un péage) :
https://www.welt.de/wirtschaft/plus238340881/Ukraine-Krieg-Duenger-Abhaengigkeit-von-Russland-eine-Hungersnot-droht.html
Le titre est le suivant :
« Wirtschaft warnt vor „einer der größten Hungersnöte der Menschheitsgeschichte“ » (les milieux économiques mettent en garde contre « l'une des plus grandes famines de l'histoire de l'humanité »).
Quelques extraits :
« Contrairement à d'autres crises, la catastrophe imminente se déploie insidieusement. De nombreux agriculteurs disposent encore de stocks résiduels, car les commandes d'engrais sont généralement passées avec un peu d'avance. Mais ces réserves devraient être définitivement épuisées après la prochaine période de récolte en été. Après, les récoltes risquent d'être nettement plus maigres, notamment pour la culture de plantes comme le riz ou les céréales, qui dépendent fortement de l'apport d'engrais.
Le groupe minier allemand K+S de Kassel fait partie des bénéficiaires de la forte demande d'engrais. Pour 2022, le groupe s'attend au meilleur résultat de son histoire. Le président du directoire Burkhard Lohr met néanmoins en garde contre les conséquences de la crise et d'une éventuelle pénurie mondiale de denrées alimentaires qui en résulterait.
"On parle beaucoup en ce moment des prix de l'énergie et de la sécurité énergétique. Je pense que nous devons au moins autant nous préoccuper de la production agricole et, par conséquent, de l'approvisionnement mondial en denrées alimentaires", a-t-il récemment déclaré lors de la présentation des chiffres du bilan.
Le manager pense déjà aux conséquences possibles : "Je crains que si la communauté mondiale n'apporte pas son aide dans ce domaine, surtout en Afrique, nous aurons une famine tout à fait terrible et donc un nouveau mouvement de réfugiés."
L'ancien politicien des Verts Berninger critique le fait que les Etats ne se soient pas suffisamment préparés à une telle crise des engrais. "L'Europe en particulier a perdu de vue l'importance de l'agriculture au cours des dernières années."
Certes, cela va probablement changer. "Après la crise, nous soutiendrons tous les agriculteurs comme nous avons applaudi les infirmières à l'époque de la Covid", prédit-il. Mais il est désormais important que les politiques agissent de manière cohérente. "Nous avons besoin d'un plan directeur pour cette crise. Cela implique une réserve nationale d'engrais et une solution européenne, voire mondiale", explique M. Berninger. »
RépondreSupprimerCe à quoi je ne crois personnellement pas : que les agriculteurs soient applaudis... ni à un plan directeur pour la crise... M. Özdemir a ouvert l'Anuga [Allgemeine Nahrungs- und Genussmittel-Ausstellung, la plus grande et la plus importante foire alimentaire et des boissons du monde qui se tient à Cologne]:
https://www.bmel.de/SharedDocs/Pressemitteilungen/DE/2022/48-oezdemir-anuga.html**
https://www.ksta.de/wirtschaft/-doppelt-so-viel-wie-empfohlen-minister-oezdemir-fordert-in-koeln-weniger-fleischkonsum-39654892?cb=1650997325592&***
https://seppi.over-blog.com/2022/05/precher-dans-le-desert.html
Moins de 30 000 fermes laitières aux USA
RépondreSupprimer1 Mai 2022
Amanda Zaluckyj*
J'ai vu cette statistique récemment et elle m'a vraiment frappée. C'est peut-être parce que les produits laitiers font partie de mon alimentation quotidienne. Peut-être parce que je connais des exploitations familiales qui ont fait faillite. Peut-être parce que notre système agricole tout entier se sent soudain beaucoup plus vulnérable. En fait, depuis 2006, les États-Unis ont perdu la moitié de leurs exploitations laitières.
Il n'y a pourtant aucune raison de paniquer au sujet de l'offre : pendant cette même période, la production de lait a augmenté de 24 % et le lait par vache, de 20 %.
_______________
* Source : Fewer Than 30,000 Dairy Farms - The Farmer's Daughter USA (thefarmersdaughterusa.com)
https://seppi.over-blog.com/2022/05/moins-de-30-000-fermes-laitieres-aux-usa.html
La Californie étend Medi-Cal aux adultes de 50 ans et plus, quel que soit leur statut d'immigration
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 01 MAI 2022 - 23:30
Écrit par Vanessa Serna via The Epoch Times
La Californie étendra la couverture des soins de santé Medi-Cal à plus de 185 000 résidents de 50 ans et plus, quel que soit leur statut d'immigration à partir du 1er mai.
Des bénévoles de la Lestonnac Free Clinic guident les patients tout au long du processus de vaccination contre le COVID-19 à Orange, en Californie, le 9 mars 2021. (John Fredricks/The Epoch Times)
"Il s'agit d'un investissement dans notre peuple, notre économie et notre avenir", a déclaré le gouverneur Gavin Newsom dans un communiqué du 29 avril.
Cette extension de la couverture Medi-Cal faisait partie du projet de loi 133 de l'Assemblée, qui a été voté en juillet 2021, à la suite de la proposition de Newsom d'étendre les soins de santé aux résidents à faible revenu et de remédier aux «disparités et inégalités en matière de santé, en particulier parmi les populations de couleur» pendant la pandémie de COVID-19, selon le communiqué.
Medi-Cal fournit actuellement aux personnes à faible revenu de moins de 25 ans ou de plus de 65 ans, aux femmes enceintes et aux personnes handicapées des soins médicaux et dentaires gratuits ou à faible coût.
Jusqu'à récemment, Medi-Cal n'était disponible que pour les citoyens américains dans l'État, à l'exception des réfugiés séjournant temporairement dans le pays.
"Nous livrons des résultats concrets aux Californiens, continuons à tenir la promesse d'une Californie saine pour tous, et j'encourage tous ceux qui sont éligibles à profiter de ces services de santé essentiels", a déclaré Newsom.
Pour l'avenir, Newsom a également proposé d'étendre la couverture Medi-Cal à environ 700 000 personnes âgées de 26 à 49 ans, quel que soit leur statut d'immigration d'ici janvier 2024.
https://www.zerohedge.com/political/california-expands-medi-cal-adults-50-and-older-regardless-immigration-status
Au fil des jours et des années le cartel Gavin Newsom s'étend, se répand, inonde, envahit tous les États de drogues mexicaines et tue des milliers d'américains chaque jours. Les hommes de main du nouveau 'Pablo Escobar' avancent et tuent, avancent et tuent, avancent et tuent !
Supprimer"Nous reprenons notre rue" - Un homme de Sacramento barricade la rue pour arrêter le crime incontrôlable
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 01 MAI 2022 - 21:45
Les gens en ont assez de l'expérience socialiste utopique urbaine en Californie. Un propriétaire d'entreprise a barricadé une rue publique à Sacramento pour empêcher une nouvelle propagation de la criminalité dans d'autres régions.
"Le jeu est terminé. Nous reprenons nos rues", a déclaré le propriétaire de l'entreprise Rich Eaton à FOX40. Il a barricadé une partie de Railroad Drive pour empêcher la zone commerciale de cambriolages de voitures supplémentaires, de vols de bâtiments endémiques, de prostitution et de campements de sans-abri.
"Le manquement à l'obligation de la ville vient d'atteindre un point d'ébullition et je ne fais que demander de l'aide", a déclaré Eaton, ajoutant qu'il s'était plaint du crime incontrôlable auprès du maire. Pour l'instant, il n'a reçu aucune réponse.
"J'ai payé de l'argent à des sans-abri pour qu'ils partent. Je les ai nourris, je me suis occupé d'eux et je les ai aidés et quand Railroad Drive a été nettoyé. J'ai mis des barrières", a déclaré Eaton.
Une personne qui ne voulait pas être identifiée et qui travaille pour une entreprise dans la rue a déclaré aux informations locales: "C'était comme traverser un laboratoire de méthamphétamine en activité pour se rendre au travail."
"Il y a des jours où ils seront garés sur trois de large dans la rue et nous pouvons à peine passer. Ils ont eu nos portes complètement bloquées. Je me suis arrêté et j'ai eu des employés qui attendaient pour entrer parce qu'ils avaient peur de sortir de leur portail et tapez le code.
"Il y a littéralement une semaine, de cet endroit à là, tout en bas et au coin de la rue, il y avait 57 camping-cars et remorques garés", a déclaré l'employé.
Eaton a déclaré que quelqu'un avait escaladé son immeuble la semaine dernière et volé ses caméras de surveillance sur le toit.
"La prostitution, les voitures volées, les gens se réunissant dans la rue à 3 heures du matin", a déclaré Eaton, c'est juste le chaos, a-t-il ajouté.
Sacramento a répondu à la barricade d'Eaton avec l'ordre d'arrêter de bloquer la rue.
Les propriétaires d'entreprise qui agissent alors que les gouvernements municipaux semblent insensibles sont une nouvelle tendance émergente. L'année dernière, des dizaines d'entreprises de la ville de Baltimore se sont regroupées. Ils ont collectivement menacé le maire de ne pas payer d'impôts parce qu'ils en avaient assez et étaient frustrés "de l'explosion de violence".
https://www.zerohedge.com/political/were-taking-back-our-street-sacramento-man-barricades-street-stop-out-control-crime
Le gouverneur du Texas menace de déclarer une "invasion" alors que l'immigration illégale devrait monter en flèche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 02 MAI 2022 - 02:25
Le gouverneur du Texas, Greg Abbott (Rep.), envisage d'invoquer les pouvoirs de guerre pour étendre l'autorité de l'État à gérer la frontière sud en déclarant officiellement une "invasion" - un verbiage qui serait conforme à une clause de la Constitution américaine interdisant aux États de s'engager dans la guerre sauf lorsqu'il est "réellement envahi".
Les meilleurs avocats de M. Abbott et du procureur général du Texas, Ken Paxton, se sont réunis ce mois-ci pour débattre de cette décision, qui mettrait l'État dans une collision frontale avec le gouvernement fédéral en permettant à la police d'État d'arrêter et d'expulser les migrants, selon à deux personnes familières avec les discussions. M. Abbott dit qu'il reste ouvert à l'approche, mais il s'est dit préoccupé par les conséquences imprévues. -NYT
"Si nous utilisons cette stratégie, cela pourrait exposer les forces de l'ordre de l'État du Texas à des poursuites", a déclaré Abbott lors d'une récente conférence de presse. "Est-ce quelque chose que nous examinons? Oui", a-t-il ajouté.
Abbott a déjà mobilisé des milliers de soldats de la Garde nationale pour patrouiller à la frontière et ordonné des inspections de sécurité des camions entrants en provenance du Mexique – un programme de courte durée après avoir provoqué un embouteillage massif et perturbé le commerce international. Il a également supervisé la construction d'environ 20 miles de nouvelles clôtures frontalières dans des zones clés. De plus, Abbott a réaffecté plusieurs prisons d'État pour détenir des migrants accusés d'intrusion.
Peut-être le plus célèbre, Abbott a récemment commencé à transporter des migrants du Texas à Washington DC.
Le New York Times fait écho à l'administration Biden, qui a qualifié la politique d'immigration d'Abbott de rien de plus qu'un coup politique, écrivant que sa "posture agressive n'a pas fait grand-chose pour endiguer la marée et l'a également exposé à de vives critiques selon lesquelles il utilise son autorité pour se mêler d'un domaine politique qui appartient au gouvernement fédéral », mais ils reconnaissent que ses tentatives pour renforcer la sécurité aux frontières le long de la frontière de 1 254 milles de l'État l'ont aidé à repousser les challengers politiques.
Les agents fédéraux ont enregistré près de 129 000 passages au Texas en mars, soit environ 11 000 de plus qu'au cours du même mois l'année dernière, lorsque M. Abbott a lancé l'effort connu sous le nom d'Opération Lone Star. La plus forte augmentation s'est produite dans une zone de la frontière qui comprend Eagle Pass, une ville décolorée par le soleil de 28 000 habitants, de nombreux chats et chiens errants et peu de ressources à revendre.
Les coûts ont augmenté. Le simple maintien du déploiement de la Garde nationale pendant l'été nécessitera 531 millions de dollars supplémentaires, ont déclaré des responsables de l'État ce mois-ci. Un soldat de 22 ans affecté à la mission s'est noyé la semaine dernière alors qu'il tentait de secourir deux migrants en eau vive. -NYT
RépondreSupprimerENTRANT
Alors que les niveaux d'immigration ont été incontrôlables ces dernières années, les responsables du Texas se préparent à un afflux encore plus important d'immigrants illégaux lorsque l'administration Biden met fin à une politique de l'ère Trump connue sous le nom de Titre 42 – qui a utilisé la pandémie pour justifier le renvoi de hordes chercheurs d'asile.
L'afflux actuel de migrants a débuté avec l'élection du président Biden, qui a été considérée comme un feu vert virtuel pour inonder le pays sans le même niveau de sécurité aux frontières que celui employé par l'ancien président Donald Trump.
Maintenant, Abbott est sous pression pour en faire plus alors que Biden se retire.
"Lone Star n'a pas bougé l'aiguille d'un iota pour la simple raison qu'ils ne renvoient pas les gens au Mexique", a déclaré l'ancien responsable du DHS de Trump, Ken Cuccinelli, un ardent partisan de déclarer une invasion.
La Maison Blanche a repoussé le Texas, l'attachée de presse Jen Psaki déclarant que l'État "n'a pas besoin de remplacer le C.B.P. à la frontière sud", faisant référence à l'Agence fédérale des douanes et de la protection des frontières.
Nous nous demandons quel parti politique les immigrés soutiendront, devraient-ils être amnistiés à un moment donné dans le futur ?
https://www.zerohedge.com/political/texas-gov-threatens-declare-invasion-illegal-immigration-set-surge-higher
CARBURANT : TOTALENERGIES PROPOSE 10 CENTIMES DE RÉDUCTION CET ÉTÉ
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
02/05/2022
Les prix des carburants fin avril 2022 restent au-dessus de 1,70 euro le litre.
Fortement critiquée pour le maintien de ses activités en Russie après le début de la guerre en Ukraine, TotalEnergies a commencé à changer de positionnement mercredi 27 avril 2022 : le groupe semble commencer à quitter le pays. Et pour attirer des clients dans ses stations-service autoroutières cet été, il a décidé de jouer la carte du prix d’appel avec une ristourne sur les prix à la pompe.
Fin de la ristourne dans toutes les stations TotalEnergies le 15 mai 2022
Les automobilistes qui avaient pris l’habitude de prendre de l’essence et du gazole dans les stations-essence TotalEnergie en France font avoir une mauvaise surprise le 15 mai 2022 : la ristourne s’arrête. TotalEnergies avait en effet annoncé baisser de 10 centimes d’euro le litre ses prix, baisse qui s’ajoutait à celle décidée par le gouvernement de 18 centimes d’euro.
Or, cette mesure spéciale de TotalEnergies s’appliquait dans toutes les stations-service de France. De quoi réaliser quelques économies, environ 6 euros sur un plein. Mais le groupe ne va pas la prolonger : Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, a confirmé au journal La Dépêche que la ristourne de 10 centimes d’euro s’arrêtera le 15 mai 2022.
La ristourne de retour cet été… dans les stations-essence sur les autoroutes
Les automobilistes devront patienter pour pouvoir faire de nouveau quelques économies en optant pour une station-service TotalEnergies plutôt que ses concurrents. Le PDG de l’énergéticien a annoncé, le 29 avril 2022, le retour de la baisse des prix à la pompe… mais uniquement sur les stations-essence qui se trouve sur les autoroutes.
L’opération devrait concerner la période de juillet et août 2022, donc les vacances d’été, sans toutefois qu’une date de début de l’opération n’ait été annoncée. Mais attention : malgré les 10 centimes de réduction supplémentaires, les prix des carburants sur les aires d’autoroute resteront plus élevés qu’en-dehors. Les automobilistes ont donc tout intérêt à faire le plein en-dehors des autoroutes, dès qu’ils le peuvent.
http://www.economiematin.fr/news-carburant-reduction-total-prix-autoroute-budget