Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Par Samuel Eckert Mondialisation.ca, 27 mai 2022
Ce que vous allez lire dans la série d’articles « La confirmation par écrit – Les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène » semble presque inconcevable. Cette série se composera de plusieurs articles, qui seront publiés au fur et à mesure, exclusivement sur Corona_Fakten [1]
La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer. Cet article devrait faire taire tous ceux qui nous reprochaient de créer un nuage de fumée pour ridiculiser les critiques. Car ce n’est pas nous qui soutenons encore et toujours ce narratif, ce sont ceux qui se refusent encore aujourd’hui à remettre l’existence des virus en question.
Mais il semble plutôt que la triste réalité soit que la plupart des critiques, qui considèrent que la question de l’existence des virus est ridicule ou qui l’ignorent intentionnellement, sont tout simplement poussés par la peur d’être mis à l’écart ou d’être catalogués comme des hurluberlus, et peut-être de perdre des « suiveurs ».
Petit conseil pour ces personnes : vous pouvez oublier vos craintes. Nous avions et nous avons les connaissances requises pour traiter ce sujet, pour le proclamer à la face du monde et même pour offrir 1,5 millions d’euros [2] à qui pourra citer une publication conforme aux règles scientifiques.
Il ne peut y avoir qu’une seule raison pour laquelle cet argent n’a pas encore été réclamé — ce montant est d’ailleurs supérieur à celui du prix Nobel : personne ne connaît de publication conforme aux règles prescrites par la science !
Des compagnons de lutte et nous, de Corona_Fakten, avons écrit à différents chercheurs, virologues, biologistes moléculaires, avocats, médias et à d’autres personnes en les priant de nous citer la ou les publications apportant les preuves scientifiques de l’existence d’un coronavirus, y compris les essais de contrôle documentés de toutes les étapes réalisées pour cette démonstration.
Mais jusqu’ici personne n’a manifestement été en mesure de nous répondre, ce qui en dit très long. Et, a contrario, cela signifie que les responsables se reposent aveuglément sur les déclarations de tiers, sans vérifier eux-mêmes ces affirmations et en les acceptant sans la moindre critique comme des faits parfaitement établis.
Ceci est malheureusement notre triste réalité quotidienne !
Pour moi, les raisons de ce dilettantisme sont claires :
Ou bien :
ceux qui étaient censés rédiger les publications nécessaires sont simplement trop paresseux ; ceux qui étaient censés lire ces publications étaient trop « occupés » ; ils ont été si pressés par le temps du fait de la panique provoquée par les médias qu’ils n’ont pas pris le temps d’éliminer l’énorme quantité d’erreurs de leurs publications; ils n’étaient pas en mesure de comprendre la teneur des publications les plus importantes; Ou bien :
ils ont agi de manière délibérée, intentionnellement — ce qui serait la pire de toutes les variantes ! Pourquoi doutons-nous de l’existence du SARS-CoV-2 et de tous les autres prétendus virus pathogènes ? Nous allons essayer de vous expliquer brièvement, chers lecteurs, pourquoi l’existence même des prétendus virus pathogènes est mise en doute, et pourquoi ce fait est le point le plus important de tous ceux qui circulent actuellement parmi les personnes qui doutent des virus.
La raison certainement la plus déterminante est qu’avec la réfutation de l’affirmation de la découverte d’un nouveau virus pathogène, toutes — et réellement toutes — les mesures et restrictions, ainsi que toutes les vaccinations seraient immédiatement balayées d’un revers de la main et ne constitueraient rien d’autre qu’un danger pour la santé et la vie des personnes !
Une autre approche pourrait être que la reconnaissance du fait que cette idée de virus dangereux flottant dans l’air n’est qu’un fantasme permettrait d’ouvrir une nouvelle voie pour une médecine raisonnable pensée pour l’homme, dans laquelle les causes de la « maladie » et les « symptômes » seraient clairs et compréhensibles — ce qui retirerait leurs moyens d’existence à de nombreux secteurs de l’industrie pharmaceutique.
Les discussions sur les tests, les statistiques (nombre de morts, de personnes réellement « malades »), les mesures et autres permettent toujours de dévier sur des argumentations qui à leur tour débouchent sur de nouvelles discussions sans fin…
En d’autres mots : tous ceux qui ne posent pas la question de l’existence des virus soutiennent automatiquement le narratif des virus pathogènes, qui n’a JAMAIS été prouvé de manière scientifique. Ces personnes critiques contribuent ainsi, peut-être inconsciemment, à alimenter en permanence la pandémie.
Pourquoi sommes-nous si sûrs qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’un virus pathogène ? La réponse à cette question est presque trop simple, même si cela semble inconcevable.
En 1998 [3], du fait de falsifications nombreuses, systématiques et importantes dans la recherche sur les infections et le cancer, des « propositions pour la garantie de bonnes pratiques scientifiques » ont été rassemblées et publiées dans un système réglementaire. Elles ont été rédigées en 1997 par une commission internationale à la demande de la Deutsche Forschungsgesellschaft (DFG) et précisées par les universités et la Conférence des Recteurs allemands, publiées en version papier et sur l’Internet, et rendues obligatoires en Allemagne pour toutes les institutions scientifiques d’État et tous les scientifiques. Ces règles et prescriptions font partie du contrat de travail de chaque chercheur.
La science doit être compréhensible par chacun et réfutable.
Malheureusement, ces règles sont ignorées en permanence dans la virologie, ce qui conduit à des comportements anti-scientifiques.
L’autre point est la découverte même d’un virus pathogène.
Différentes étapes sont nécessaires pour permettre une telle affirmation. Si ces étapes ne sont pas réalisées, il n’est pas possible de parler d’une preuve scientifique irréfutable, mais tout au plus d’une spéculation — et il y a un gouffre d’une spéculation à une preuve !
Pour affirmer qu’une structure bien spécifique est responsable de l’apparition de symptômes bien spécifiques, il faut qu’au moins trois étapes aient été réalisées et documentées en intégralité :
Isolation de la prétendue structure La structure doit être isolée à partir des prélèvements d’un patient malade. Elle doit être isolée au sens propre de ce terme, c’est-à-dire séparée de tous les autres constituants du prélèvement. Déjà Luc Montagnier savait cela et l’a confirmé pour le HIV [4]. Cette étape est obligatoire car, dans le cas contraire, il n’est pas possible d’affirmer que les fragments de gènes séquencés qui ont été obtenus font partie d’une seule structure.
Si l’échantillon « isolé » comporte encore un autre matériel génétique, il n’est pas possible d’attribuer les séquences génétiques obtenues. L’affirmation qu’il s’agit ici d’une procédure standard dans la virologie n’améliore en rien cette situation. Au contraire, elle démontre l’aveuglement de la virologie.
Ce genre de séquençage produit de nombreuses séquences génétiques courtes à partir d’un mélange de toutes les possibilités. Il est donc impossible de déterminer le vrai responsable.
Le brin de génome du prétendu virus obtenu doit être unique.
Les séquences génétiques séquencées, ou l’assemblage de celles-ci (alignement de séquences) en une longue séquence génétique présentée ensuite comme le génome viral ne doivent pas :
être trouvées dans l’ARN humain/microbien obtenu par lavage pulmonaire d’une personnes en bonne santé, être trouvées chez une personne souffrant d’une autre affection pulmonaire, être trouvées chez une personne ayant été testée négative au SARS-CoV-2, être trouvées dans de l’ARN issu d’échantillons de contrôle datant de l’époque où le virus du SARS-CoV-2 n’était pas encore connu. Toutes les étapes des expériences de contrôle doivent être réalisées et documentées.
La première expérience de contrôle serait, comme décrit ci-dessus, la construction du génome sur la base d’échantillons d’origines diverses.
La deuxième expérience de contrôle résultant de la logique scientifique est de contrôler de manière approfondie, au moyen de la technique PCR (real-time RT-PCR) développée, si des échantillons cliniques de personnes souffrant d’autres maladies que celles attribuées au virus et des échantillons de personnes, d’animaux et de plantes en bonne santé ne s’avèrent pas eux aussi « positifs » à ce test.
La troisième expérience de contrôle concerne l’effet cytopathique provoqué en laboratoire, dont il est affirmé qu’il est dû à un virus. Ici non plus, aucun groupe de contrôle n’est disponible.
[Voir aussi : ►Démontage de la théorie virale ►VIRUS TUEUR ?? ►Dossier Vaccins et virus et particulièrement : Sur la thérie virale : ►L’enterrement de la théorie virale ►La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins ►La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité ►Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey ►Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie ►Dr Valentina Kiseleva Le virus et autres mythes ►Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg ►Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique ►Fauci et la grande arnaque du SIDA ►Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ? Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus : ►Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments ►Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2 ►Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies ►Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs ►87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais ►Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur ►Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial Sur la contagion : ►Parlons contamination ►La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle ►Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies ►La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus ►Le culte de la virologie – Documentaire ►Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka ►La théorie des germes : Une erreur fatale ►Épidémies et contagions ►Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes ►Ebola : briser les mensonges et la supercherie Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées : 5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone Rayonnements sans fil et ostéoporose Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale 5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G Questions relatives à la 5G Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ? Divers : ►Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS ►Les Racines de nos Maladies ►Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ? ►Graphène et 5G]
Nous avons questionné aussi bien des virologues et des épidémiologistes critiques que des défenseurs des mesures contre le coronavirus, aucun n’a été en mesure de citer une seule publication qui aurait respecté les règles du travail scientifique. Prof. Sucharit Bhakdi & Prof. Karina Reiss Commençons par deux scientifiques respectés opposés aux mesures, dont l’un n’a ensuite plus été sûr si le « premier » SARS-CoV-2 en Chine n’a jamais été isolé… [5]
Après que le Prof. Bhakdi et son épouse, le Prof. Karina Reiss ont clairement répondu oui à la question du public [6]
« si le SARS-CoV-2 avait vraiment été isolé » et prétendaient même s’appuyer sur des expérimentations animales réussies, nous leur avons demandé de manière ciblée s’ils pouvaient nous citer la ou les publications scientifiques, documentant la preuve, c’est-à-dire l’isolation, d’un nouveau coronavirus, avec les expérimentations animales correspondantes.
La première réponse du Prof. Bhakdi a été :
« Merci de télécharger notre article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag (éditions Goldegg). L’information se trouve dans la citation 5. Les souches du SARS-CoV-2 peuvent être obtenues auprès de l’European Virus Archive Global. »
Malheureusement, son message renvoyait simplement à une étude de synthèse et pas à des publications directes, ce qui n’avait que peu d’utilité et renforçait le soupçon qu’aucun des deux ne pouvait citer de publication.
Nous avons alors posé des questions plus concrètes, de manière à éviter toute possibilité d’échappatoire :
Question :
« Pouvez-vous me citer une publication concrète affirmant l’existence d’un SARS-CoV-2 avec des preuves scientifiques et pouvez-vous nous indiquer les passages dans cette publication qui documentent la démonstration ET les expériences de contrôle prouvant que ce sont bien des séquences nucléotidiques virales et non cellulaires qui ont été alignées en un long génome viral. »
Et c’est ici que les choses deviennent intéressantes.
Le Prof. Bhakdi & le Prof. Reiss nous ont cité la publication suivante comme preuve de la démonstration de l’isolation d’un SARS-CoV-2, avec ses expériences de contrôle :
Publication : « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea » [7]
Nous avons demandé à l’auteur de la publication lui-même si les prises de vue au microscope électronique réalisées dans ses expériences in vitro représentaient des virus purifiés, ce que celui-ci a confirmé par écrit [8]
Auteur ayant répondu : Wan Beom Park Date : 19 mars 2020
Réponse : « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. »
« Nous n’avons pas obtenu de prise de vue au microscope électronique montrant le degré de purification. »
[8]
Toute personne examinant les images constate immédiatement qu’il n’y a pas de structures sous forme isolée.
- voir photos sur site -
[7]
Il est affirmé ici qu’une structure virale a été photographiée à l’intérieur de cellules (et non isolée, comme l’auteur de l’étude l’a confirmé en personne). L’affirmation que cette étude démontre un virus sous forme isolée n’est à aucun moment corroborée.
L’attribution d’une pathogénicité à une structure sans avoir isolée celle-ci au préalable, ni réalisé les expérimentations de contrôle nécessaires, ne doit et ne peut pas être qualifiée de scientifique !
Par ailleurs, aucune expérimentation de contrôle n’a été réalisée dans le cadre de cette étude, ce que nous avions cependant mentionné et demandé explicitement, et ce qui constitue une obligation pour tout scientifique.
La question se pose ici de savoir pourquoi le Prof. Bhakdi et le Prof. Karina Reiss ne sont pas, ou ne veulent pas être au courant de ce fait, et pourquoi ils ont malgré tout voulu nous faire accepter cette étude comme preuve.
Ce fait doit être clair pour tout le monde maintenant : aucun des deux n’a fait de vérifications, ou ils ignorent ce fait pour d’autres motifs. Tous deux bafouent ainsi les règles et les obligations de tout scientifique.
Ce qui nous offusque personnellement, c’est que tous deux continuent d’affirmer publiquement que le virus existe, que cela a été prouvé depuis longtemps, qu’ils évitent toute discussion avec nous à ce sujet, mais qu’eux-mêmes ne sont pas en mesure de citer une seule publication.
Après avoir fait remarquer cela au Prof. Reiss et au Prof. Bhakdi, ils nous ont à nouveau renvoyés à leur article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag « citation 5 », avec l’ajout :
« Voici ce que nous pouvons vous proposer. »
En d’autres mots, ils ne peuvent rien proposer, ils n’ont aucune preuve, mais ils persistent à affirmer, comme de rien, que le virus existe.
Et c’est exactement là que se situe le problème de la grande majorité d’entre eux. Ils n’ont rien vérifié, mais ils refusent toujours toute discussion.
Si nous nous résumons concrètement :
La répétition de quelque chose de faux et de mensonger ne rend pas soudain cette chose juste et vraie ! Monsieur Bhakdi, ce que vous proposez est tout à fait non scientifique !
Il est évident et vérifiable par tout un chacun que les auteurs n’ont fait qu’additionner de courtes séquences cellulaires pour obtenir quelque chose de plus long, qu’ils ont alors fait passer pour le génome du virus.
Les expériences de contrôle obligatoires imposées par la science pour exclure tout artefact issu de la cellule n’ont pas été réalisées !
Ce seul fait devrait déjà vous faire comprendre que « votre proposition » est sans valeur.
Cher lecteur, lisez vous-même l’intégralité de la correspondance par courriel [9]
Prof. Marcel Tanner Epidémiologiste, chercheur dans le domaine de la malaria et spécialiste de santé publique suisse. Il est Président de la Fondation R. Geigy, Président des Académies des Sciences suisses et Directeur Emérite de l’Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss TPH) et ancien chef de la task-force Corona.
Après une interview réalisée en commun (Samuel Eckert et l’équipe de Corona_Fakten) du Prof. Tanner (Président des Sciences Académiques), celui-ci a confirmé plusieurs points élémentaires : [10]
que le test du Prof. Drosten n’est pas conforme aux normes scientifiques requises et qu’il génère de nombreux résultats faussement positifs, qui ont mené à cette panique du corona. Le Prof. Tanner a apaisé les choses en déclarant qu’il fallait laisser le passé — c’est-à-dire le déclencheur — en paix, car il n’est pas possible de revenir en arrière. (min. 21:05 à min. 23:00). le Prof. Tanner a également confirmé (à la min. 53:15) qu’il ne suffit pas de réaliser un alignement pour prouver l’existence d’un virus pathogène. (Exactement ce qui a été fait en Chine) La conversation a entre autres porté sur l’existence actuelle d’une publication présentant une isolation du virus du SARS-CoV-2. Le Prof. Tanner nous a renvoyés au Prof. Volker Thiel de l’Institut de Virologie et d’Immunologie de l’Université de Berne. Notre communication par courriel a montré (voir plus bas) qu’ici non plus aucune preuve de cette isolation n’a pu être présentée. Nous pouvons prouver cette déclaration finale par notre correspondance par courriel. Nous sommes ainsi exactement dans la situation que le die Prof. Tanner a décrite de manière étonnamment honnête lors de notre entretien : « Et si l’on arrive alors à la conclusion qu’il n’existe vraiment aucun isolat… Dans ce cas, nous avons un problème ! »
(MIN. 56:14 À MIN. 56:27)
Ce que nous apprécions grandement chez le Prof. Tanner, c’est qu’il n’a jamais hésité à entamer une discussion avec nous.
IVI Suisse — Prof. Thiel, Prof. Schweizer Je résume les points principaux de la correspondance : Notre demande initiale au Prof. Thiel comprenait cinq questions simples :
Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ? Avez-vous publié un article à ce sujet et sinon à quelles publications vous référez-vous ? Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme « isolation » ? Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ? Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante : Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?
Ni Volker Thiel ni personne d’autre de son institut n’a pu présenter de publication propre dans laquelle l’existence d’un nouveau virus pathogène a pu être prouvée conformément aux règles scientifiques. Ils ont confirmé que les virologues n’isolent pas réellement, et ils admettent ainsi que l’origine des séquences génétiques séquencées ne peut pas être attribuée ! Nous avons reçu dans un premier temps seulement des liens Wikipédia et des fiches internes sur les bases de l’isolation des virus. L’IVI a confirmé en complément qu’une simple « isolation » a été réalisée dans un mélange de prélèvements de patients et de cultures cellulaires. L’IVI affirme simplement, sans apporter un seul argument approprié dans ce sens, que ce serait une absurdité de prétendre qu’il n’existe pas de virus du simple fait que l’on ne l’aurait pas purifié… Nous n’avons reçu de réponse à aucune de nos cinq questions. Par exemple : Votre réponse à la question 2 nous renvoie à une fiche de travail qui décrit la procédure pour les profanes. Nous demandions des publications scientifiques auxquelles vous vous référez.
Pour la preuve de l’existence d’un SARS-CoV-2, nous avons demandé une publication de l’Institut même, le Prof. Tanner ayant déclaré que l’IVI avait une publication propre, malheureusement l’IVI nous a renvoyé vers une publication de Munich. Travail de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/)
Nous avions à l’origine écrit au Prof. Thiel et pas à Mr. Schweizer et, comme Mr. Schweizer ne semblait apparemment pas en mesure ou pas disposé à répondre à nos questions, nous avons posé des questions plus concrètes et nous avons insisté de manière explicite pour obtenir une réponse du Prof. Thiel.
Ci-dessous le libellé de notre courriel :
« Monsieur le Professeur Thiel,
Je vous prie de répondre personnellement à nos questions, votre collaborateur Marin Schweizer semblant ne pas être disposé ou en mesure d’y répondre (cf. son courriel précédent).
Nous vous avons contacté vous, et non Mr. Schweizer, au nom du Prof. Tanner, en vous demandant clairement de répondre à cinq questions concrètes issues d’un entretien que nous avons eu avec le Prof. Tanner.
Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ? Avez-vous publié un article à ce sujet et, sinon, à quelles publications vous référez-vous ? Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme “isolation” ? Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ? Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante : Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ? Votre collaborateur Mr. Schweizer prétend dans son deuxième courriel du 17.9.2020, 15h .22, voir ci-dessous, qu’il aurait répondu aux questions 1à 3 en citant les travaux de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/).
La première question vous est adressée à vous, Prof. Thiel, et non à votre collaborateur — qui ne travaille pas sur le SARS-CoV-2 — en vous demandant ce que vous entendez par un isolat pour le SARS-CoV-2.
La seconde question vous demande si vous, Prof. Thiel, avez publié à ce sujet et, que vous ayez publié oui ou non, à quelles publications contenant la preuve scientifique de l’existence du SARS-CoV-2 vous vous référez.
La troisième question demande également une réponse concrète, car Mr. Schweizer a oublié d’indiquer le passage dans lequel l’intégralité du génome du virus a été isolé, représenté et séquencé dans le travail cité par lui de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/), avec lequel il pense avoir répondu aux questions 1 à 3.
Nous avons étudié cette publication et nous arrivons à la conclusion suivante :
Bien que l’abrégé de ce travail soit le suivant : “Infectious virus was readily isolated from samples derived from the throat or lung» (Un virus infectieux aisément été isolé à partir d’échantillons obtenus dans la gorge ou les poumons), il n’y a dans tout le texte aucune preuve de l’isolation d’un virus et de la représentation de son génome.
Si 7,11×10 puissance 8 copies du virus sont effectivement présentes dans un “throat swab” (écouvillon de gorge) et 2,35×10 puissance 9 copies sont présentes par ml de liquide, la représentation directe de l’intégralité du génome viral par électrophorèse sur gel ou par séquençage Nanopore ou au moyen de la technique de la coloration négative en microscopie électronique à l’aide de marqueurs de longueur ne doit pas poser de problèmes, mais cela n’a pas été réalisé.
Le point déterminant de cette publication est que les auteurs, à la page 466, colonne de droite, 5e ligne à partir du bas, affirment avoir séquencé les génomes viraux entiers de tous les patients, mais ne prouvent pas cette affirmation : ni dans le texte, ni dans la section méthodologie, ni dans le supplément.
[Remarque : une analyse un peu plus détaillée de cette étude se trouve dans la source [11]]
Nous vous prions de nous faire parvenir par courriel une publication rédigée par vous ou de m’indiquer celle d’un autre groupe de travail, dans laquelle l’isolation et le séquençage d’un génome du SARS-CoV-2 sont décrits, et qui ne se contente pas d’affirmations.
Au sujet de la question 4 :
Aucune des publications décrivant l’alignement du SARS-CoV-2 dont nous disposons ne mentionne d’expériences de contrôle, qui sont obligatoires dans la recherche scientifique, prouvant que ce sont effectivement de courtes séquences de nucléotides viraux, et non cellulaires, qui ont été additionnées de manière théorique lors de l’alignement pour obtenir un génome viral complet et long.
Nous vous prions de nous citer une publication, de vous ou de quelqu’un d’autre, qui documenterait ces expériences de contrôle essentielles.
L’importance de cette question est corroborée par le fait suivant :
Dans la publication de Fan Wu et al, dans Nature, vol 579 du 3.2.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32015508/), dans laquelle le génome du SARS-CoV-2 est présenté pour la première fois et qui est devenue le modèle de tous les alignements ultérieurs, il a clairement été fait appel à l’intégralité de l’ARN d’un lavage broncho-alvéolaire (BALF) d’un patient, sans qu’il y ait eu au préalable une isolation ou un enrichissement des structures virales ou des acides nucléiques.
Cet ARN a été converti en cDNA et des morceaux d’une longueur de 150 nucléotides ont été séquencés, pour calculer sur cette base le génome d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée pour prouver que l’ARN d’un BALF de personnes saines, de personnes souffrant d’autres maladies, d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore ou d’ADN de cultures cellulaires destinées à des expériences de contrôle ne permet pas de calculer le même génome “viral” lors de l’alignement.
L’affirmation de votre collaborateur Monsieur Schweizer, que la question 4 a reçu une réponse indirecte par le fait que le génome calculé dans l’alignement ne se trouvait pas dans le génome humain, n’est pas défendable pour deux raisons :
Si des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides, il est évident que les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés, que ce soit en intégralité ou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides. Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Votre Monsieur Schweizer ne mentionne pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral, qui en réalité n’existe pas. Comme cette possibilité existe, que nous n’avons pu trouver jusqu’ici aucune expérience de contrôle pour le SARS-Cov-2, que nous supposons de ce fait que ces expériences n’ont pas été réalisées jusqu’ici et que le doute est le devoir le plus important de tout scientifique, la question 5 que nous vous avons posée prend toute son importance :
Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?
Nous vous remercions d’avance pour votre réponse personnelle.
Recevez nos meilleures salutations,
With best regards, »
Après avoir remarqué que cette étude présente exactement les mêmes faiblesses que toutes les autres, on nous a demandé si nous accepterions comme preuve pour le SARS-CoV-2 un clone d’un génome présenté comme suggestion par les Chinois. Savourez cette demande :
Les virologues chinois ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 simplement par un pur calcul, en additionnant des fragments très courts de séquences.
Ils n’ont trouvé ni le génome entier, ni même de grandes parties de celui-ci ! [12]
Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire. Donc, accepteriez-vous un clone d’un modèle informatique comme preuve pour un virus qui aurait prétendument déjà existé de nombreux mois auparavant ?
Ils n’ont fourni aucune expérience de contrôle, mais ils ont affirmé que celles-ci auraient été réalisées indirectement du fait que le génome calculé par l’alignement ne se trouve pas dans le génome humain.
Ceci n’est pas défendable pour deux raisons :
a.) Si des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides,il est évidentque les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés dans la réalité, que ce soit en intégralitéou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides.
b.) Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Les virologues responsables de l’Institut Suisse de Virologie et d’Immunologie ne mentionnent pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral,qui en réalité n’existe pas.
Ci-dessous le libellé de notre courriel :
« Monsieur le Professeur Thiel,
Je comprends votre étonnement devant une telle situation qui émerge soudain du néant et remet en cause votre propre travail.
Le fait que vous répondiez néanmoins en me laissant entrevoir la preuve de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous honore et prouve votre sérieux scientifique.
Je vous prie de respecter aussi mon étonnement, lorsque j’ai lu de mes yeux que le Prof. Christian Drosten de la Charité à Berlin a fait synthétiser les réactifs (Primer) pour le test PCR du virus du SARS-CoV-2 par la société Tib Molbiol avant même que les scientifiques chinois, autour de Fan Wu ont publié en ligne le10.1.2020 leurs suggestions provisoires de séquences pour le virus.
J’ai alors examiné leur publication et j’ai constaté avec horreur que les virologues chinois n’ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 que par calcul, en additionnant des fragments de séquences très courts. Ils n’ont pas trouvé l’intégralité du génome, ni même des parties plus grandes de celui-ci.
Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire.
Point déterminant : les virologues chinois n’ont réalisé aucune expérience de contrôle pour exclure la même addition d’un génome viral à partir de courts fragments d’ARN humain/microbien obtenu par lavage broncho-alvéolaire d’une personne saine, d’une personne souffrant d’une autre maladie pulmonaire, d’une personne textée négative au SARS-CoV-2 ou d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore.
Votre indication qu’il existe de nombreuses études de transcription dans lesquelles aucun gène du SARS-CoV-2 n’est trouvé ne peut pas remplacer les expériences de contrôle logiquement impératives, car l’addition artificielle de quelque chose qui en réalité ne peut pas être trouvé ne peut naturellement pas se trouver ailleurs, ni dans aucune étude de transcription.
Pour cette raison, votre référence aux travaux publiés par votre collègue Marco Binder sur Twitter est sans fondement scientifique.
Comme il serait naturellement possible que je me trompe, et que je m’excuserais publiquement en cas de réfutation de ma position, je vous prie — également au sens des critères scientifiques du DFG — de clarifier cette situation de manière univoque. À ce jour, nous ne disposons pas de publications de ce genre.
Et c’est ici que se pose la question la plus importante :
À laquelle des premières publications des affirmations de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous référez-vous personnellement pour admettre l’existence scientifiquement prouvée du virus du SARS-CoV-2 ?
Si le génome publié du SARS-CoV-2 ou les courtes séquences génétiques qui ont été additionnées pour former le génome sont effectivement issus d’un virus, moi et tous les autres reconnaîtrons naturellement la preuve que vous nous offrez d’une “expérience au cours de laquelle le génome (sous la forme d’ARN avec 30 000 nucléotides) aura été fabriqué artificiellement, et d’où résulte le SARS-Cov-2” comme une preuve de l’existence du virus.
Si la démonstration que vous nous proposez n’est pas univoque ou échoue, je suis sûr que vous serez d’accord pour réaliser les expériences de contrôle afin d’essayer d’obtenir le génome du virus du SARS-CoV-2 à partir de l’ARN de personnes saines, de personnes testées négatives au SARS-CoV-2 et de l’ARN de cultures cellulaires non infectées exactement de la même manière que le font vos collègues ?
Ceci serait un tournant majeur, qui respecterait les prescriptions d’un travail scientifique, car je n’arrive pas à trouver ces expériences de contrôle, qui sont pourtant prescrites, dans l’ensemble de la littérature scientifique relative au virus du SARS-CoV-2. Ici aussi, je vous serais reconnaissant de m’indiquer un lien vers votre publication de référence.
Je vous souhaite une bonne journée et vous remercie beaucoup pour le temps que vous m’avez consacré
Nous n’avons obtenu une réaction à notre courriel que deux semaines plus tard, après deux rappels, bien que le Prof. Tanner eut demandé cette discussion et avait été mis en copie de l’ensemble de la correspondance. La première réaction est venue après deux semaines :
« Cher Monsieur XXX,
Je vous répondrai dès que j’en aurai le temps.
Cordialement,
Volker Thiel »
Après encore plus que deux semaines, nous avons finalement reçu la réponse, par laquelle le Prof. Thiel confirmait exactement ce que nous soupçonnions depuis le début.
L’IVI n’a pas d’isolat propre et s’appuie sur une source qui n’a jamais démontré l’existence d’un virus. Mais lisez vous-même :
Réponse du Prof. Thiel de l’IVI :
Notre réponse ci-dessous montre les erreurs flagrantes présentes dans les hypothèses de l’IVI et, selon toute probabilité, les erreurs des hypothèses de la plupart des autres virologues :
“Cher Prof. Thiel,
Nous vous remercions de votre réponse, qui clarifie les choses.
Je suis maintenant sûr de savoir où se trouve l’erreur centrale de votre hypothèse, et je peux le justifier avec toute la rigueur requise.
Vous écrivez dans votre publication (https://www.nature.com/articles/s41586-020-2294-9) :
“The detection of a new coronavirus in China at the end of 2019 prompted us to test the applicability of our synthetic genomics platform to reconstruct the virus based on the genome sequences released on 10–11 January 2020 (Fig. 2)”
(La détection d’un nouveau coronavirus fin 2019 nous a incités à tester l’applicabilité de notre plateforme génomique synthétique pour reconstruire le virus sur la base des séquences génétiques publiées le 10-11 janvier 2020)
Vous indiquez ainsi clairement la source que nous vous demandions, sur laquelle vous vous basez et à laquelle le monde entier fait confiance en croyant qu’elle donne la preuve scientifique de l’existence du nouveau virus du SARS-CoV-2.
Il s’agit de la publication du Prof. Yong-Zhen Zhang (Fan Wu et al.), à laquelle le Prof. Drosten se réfère également :
Le Prof. Zhang décrit en détail comment il a calculé par juxtaposition de très courtes séquences génétiques le génome du virus désigné aujourd’hui sous le terme « SARS-CoV-2 ».
Il décrit clairement qu’il a prélevé pour cela ces courtes séquences génétiques non sur un virus, mais directement sur le liquide pulmonaire issu d’un lavage broncho-alvéolaire (= BALF) d’une personne souffrant de pneumonie.
Il ne décrit pas d’expériences de contrôle, qui sont exigées par la science pour qu’une affirmation puisse être qualifiée de scientifique. Ces expériences de contrôle, qui résultent également des règles de la logique scientifique — afin d’exclure l’évidence, c’est-à-dire qu’il pourrait être obtenu à partir de courtes séquences génétiques propres à l’organisme humain et aux nombreux microbes connus et surtout inconnus qui colonisent l’homme — n’ont à ce jour pas été réalisées.
Une méthode, comme dans notre cas l’alignement, pour calculer une longue séquence génétique théorique à partir de séquences très courtes, qui n’est pas corroborée par des expériences de contrôle, ne peut pas être qualifiée de scientifique. Le caractère scientifique revendiqué ici n’est ni évident, ni reproductible, ni vérifiable par chacun.
*Le fait que vous vous référiez toujours, pour ces expériences de contrôle, sur des entrées Twitter de Marco Binder, n’est pas scientifique, mais révoltant, car, si quelque chose, qui en réalité n’existe pas, est construit par une procédure d’« alignement » à plusieurs étapes, cette chose ne peut naturellement être trouvée dans aucune base de données publiant des séquences génétiques humaines.
En utilisant cet argument que les expériences de contrôle sont réalisées par le fait que cette séquence virale n’est pas trouvée dans les bases de données génétiques humaines, vous vous référez à une littérature de troisième classe trouvée dans les média sociaux, en oubliant de nombreux points :
Personne n’a jusqu’ici vérifié, pour cette procédure d’alignement, si les séquences génétiques utilisées pour calculer le génome du virus du SARS-CoV-2 ne viennent pas de séquences génétiques générées par le métabolisme de microbes qui colonisent l’homme et les cultures cellulaires. Le génome de seulement environ 5 % des microbes existants a été séquencé. Ce fait impose la réalisation immédiate d’expériences de contrôle, car il est manifeste que le génome du virus a été calculé intégralement ou en partie par plusieurs étapes d’« alignement » à partir des séquences inconnues de ces microbes. Il est connu depuis longtemps que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques génèrent en permanence de nouvelles séquences génétiques entre autres par le mécanisme du « Template-Switching », qui ne peuvent être enregistrées dans aucune base de données, et que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques de l’ARN le font aussi sans modèle génétique. Ceci signifie que de nouvelles séquences génétiques, qui n’ont pas été enregistrées par les méthodes utilisées jusqu’ici, apparaissent constamment. Ce seul fait impose l’obligation de réaliser immédiatement des expériences de contrôle, car il est évident que le génome du SARS-CoV-2 a été construit par calcul, intégralement ou en partie, au moyen de telles séquences non spécifiques. Vous ne pouvez pas, dans cette situation spécifique, apporter la preuve de l’existence du virus par le fait que vous ayez fabriqué de manière synthétique le génome du virus à partir de la séquence présentée par le Prof. Zhang et que vous l’utilisiez pour vos expériences. Il s’agit ici d’un raisonnement circulaire scientifiquement inadmissible. Le Prof. Zhang mentionne expressément dans cette publication qu’il n’a pas respecté les postulats de Koch, les règles pour la preuve de l’existence d’un virus. Pas même le premier postulat, l’isolation du virus.
Le Prof. Zhang indique expressément qu’il n’existe qu’une corrélation entre la « preuve » par calcul de ce virus et une pneumonie réelle, mais pas de preuve que sa « découverte » soit à l’origine de cette maladie.
Pour votre information, si cela devait vous avoir échappé :
Il est prouvé que le Prof. Drosten a — déjà avant de disposer de la séquence du Prof. Zhang — fait synthétiser les séquences amorces pour le virus du « SARS-CoV-2 » et les a fait envoyer, le jour même de la publication des données, dans la nuit du « 10-11 January 2020 », aux endroits où des voyageurs de retour de Wuhan ont été testés pour le virus du « SARS-CoV-2 » au moyen de son test. Il a ainsi apparemment été prouvé que le supposé virus était à présent quand même transmissible d’homme à homme.
Jusqu’au 20.1.2020, les autorités de santé et le gouvernement chinois avaient démontré qu’il n’y avait manifestement pas transmission d’homme à homme. Tous les parents et l’ensemble du personnel hospitalier qui était et est en contact avec les personnes souffrant de pneumonie atypique — que, du fait de la définition « atypique », l’on attribuait à un virus inconnu — sont restés en bonne santé. De ce fait, le gouvernement pouvait, en toute honnêteté, renoncer aux mesures de confinement.
Le 20.1.2020, le célèbre médecin du « SRAS », le Dr Zhong Nanshan, âgé de 84 ans, est arrivé à Wuhan. Il avait voyagé depuis la Chine du Sud de sa propre initiative et à ses propres frais. Il a répandu à Wuhan la nouvelle du résultat « positif » de la procédure de test PCR Drosten, qui selon lui permettait et imposait d’affirmer que la transmission d’homme à homme du supposé nouveau virus était prouvée.
Cette information a d’abord semé la panique à Wuhan, et le soir même dans toute la Chine, lorsqu’il annonça aux informations du soir que la transmission d’homme à homme avait été confirmée. Comme nous le savons, la panique a rapidement gagné population mondiale.
Dans cette affaire, en tant qu’homme, et notamment en tant que scientifique, avec votre fonction centrale de Directeur de l’IVI, vous avez le devoir et la responsabilité, vis-à-vis du peuple suisse et de la population mondiale, de communiquer IMMÉDIATEMENT ces contradictions et ces réfutations au public.
Afin d’éviter que principalement des enfants, des personnes âgées, des malades et l’économie n’étouffent au sens propre du terme et ne meurent du fait de conclusions non justifiables scientifiquement et qui ont été réfutées, et des mesures qui en résultent, je vous prie d’agir immédiatement.
Le Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire de clarifier si un virus a effectivement été isolé au sens du terme « Isolation ».
Vous avouez maintenant par votre référence centrale et exclusive à la publication du Prof. Zhang qu’aucun virus n’a été isolé, mais que, manifestement et sans aucun doute, des séquences génétiques très courtes de l’homme, de microbes connus et inconnus et probablement de séquences génétiques créées par la biochimie ont été réunies uniquement par calcul, c’est-à-dire purement théoriquement, pour créer un génome viral qui en réalité n’existe pas.
Vous ne pourrez pas non plus à l’avenir faire valoir — pour continuer à vous dérober à votre responsabilité centrale et globale — que l’alignement théorique des courtes séquences génétique en un génome viral « complet » a été réalisé sur la base d’un autre coronavirus. Ce prétendu modèle de séquence virale a lui aussi été obtenu par calcul à partir de très courtes séquences virales, dont il est certain qu’elles n’ont pas été isolées à partir d’un virus, mais qu’elles sont issues de courtes séquences génétiques de l’homme, d’animaux, de microbes et possiblement synthétisées par la biochimie.
Le Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire (et il y veille) à la réalisation des expériences de contrôle, qui sont la condition pour considérer l’affirmation de l’existence d’un virus comme scientifique.
Votre argument que ces expériences de contrôle sont réalisées indirectement par le fait que des tiers, et pas vous, prétendent sur Twitter qu’ils ne trouvent pas le génome calculé du virus dans les bases de données génétiques humaines, est réfuté par le fait que quelque chose de calculé (laborieusement) ne pourra logiquement ni être trouvé dans une base de données ni démontré en laboratoire.
C’est pourquoi je vous prie à nouveau de réaliser et de documenter conjointement avec moi les expériences de contrôle qui confirmeront ou infirmeront le fait que les très courtes séquences génétiques disposées en un long génome par calcul, c’est-à-dire théoriquement, lors de l’« alignement », au moyen de différents programmes de retraitement, ne viennent pas de l’homme lui-même ou des nombreux microbes et phages qui colonisent l’homme, tout particulièrement en cas de maladie ou de pneumonie. Ou si celles-ci sont issues en partie de séquences génétiques purement créées par la biochimie, ou si elles ont été en partie inventées par les programmes utilisés pour l’alignement pour combler les lacunes (gaps) du génome qui ne pouvaient pas se combler au moyen des courtes séquences génétiques disponibles. Ces programmes sont mentionnés dans la section méthodologique du Prof. Zhang, mais celle-ci n’indique pas quelle est la proportion du « génome viral » complet qui a été « comblée » par ces programmes de « Gap filling ».
Nous vous offrons à nouveau de financer ces essais de contrôle. Le Prof. Tanner ne vous a demandé de présenter et de documenter ces essais de contrôle que pour des raisons scientifiques et humaines. Il n’y a aucune raison de ne pas réaliser ces essais ou de continuer à les repousser.
La détresse due à la crise du corona est immense et n’admet aucune raison de protéger par exemple votre profession ou sa réputation. Cette détresse augmente de jour en jour, et il existe le risque que notre société, dans une hystérie collective sans aucune justification scientifique, s’inflige des dommages toujours plus graves. J’ai également demandé à d’autres virologues de réaliser avec moi les expérimentations de contrôle. Aucun n’a répondu à ce jour.
Vous avez la possibilité de clarifier ce problème, le Prof. Tanner m’ayant renvoyé à vous pour la clarification de cette question essentielle.
Je vous prie de vous décider et d’agir sur le champ, et de ne pas laisser passer à nouveau plus de deux semaines avant de me répondre.
Recevez mes meilleures salutations,
Samuel Eckert
Texte source en allemand : https://samueleckert.net
Pourquoi ne peut-il exister de virus pathogènes ? Parce qu'un virus est UNE POUSSIÈRE ! (à ne PAS confondre avec un microbe qui lui apporte des maladies). Notre magma expulse des milliards de tonnes de poussières (appelées 'corona') dans les mers & océans. Elles remontent à la surface par les émissions de gaz produites par cette masse ferrique incandescente. TOUS les poissons en consomment et n'en meurent pas ! Il existe des poussières de terre, de sable, de ciments, de talc, mais n'ont aucune nocivité.
Oui mais on parle de virus (poussières) qui tuent ! C'est exact, celles-là ne sortent pas du magma mais de laboratoires. Ce sont des nano-particules (0,1 à 0,5µ pour la 'cocovide19' etc) d'oxyde de graphène (poison mortel violent) qui sont enveloppées. Elles représentent 95 à 99 % du contenu d'une seringue au nombre de 40 000 milliards de nano-particules !
Comment çà se passe ? Cette poussière (virus) n'est PAS DANS L'AIR ! mais UNIQUEMENT distribuée en flacons injectables ! Si t'es piqué tu l'as ! Et, si tu l'as: t'es mort !
Le 'cocovide19' appelé ensuite AlphaOmégaDeltaOmicron, etc est un poison. C'est pourquoi il n'est PAS pathogène (transmissible uniquement par baiser sur la bouche ou acte sexuel).
Oui mais, lors de tests 'RT-PCR' ils découvrent ce virus ! FAUX ! FAUX et ARCHI-FAUX ! Ils ne peuvent RIEN voir ! 1 èrement, le virus 'machin-truc-chose' n'a PAS été isolé !! (depuis plus de 2 ans ! Hahaha !), donc, 2 èmement ce que les laboratoires disent alors sont des mensonges, des escroqueries !
A savoir que: TOUS les masques contiennent des nano-particules d'oxyde de graphène ! comme les gels hydroalcoolique, les écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien-sûr les injections d'expérimentations génique d'essais (criminellement appelées 'vaccins' !).
Enfin pour finir je regrette que le mot virus soit employé injustement pour n'importe quoi ! 'Virus de la grippe, virus de l'ordinateur, virus de la pêche, de la chasse, de la bonne bouffe', etc, etc !
Il n'y a PAS de 'virus de la grippe' mais UN MICROBE de la grippe ! Un microbe c'est VIVANT, çà transmet des maladies qui peuvent être contagieuses.
"Personne ne les veut": Moderna lance 30 millions de doses de vaccin, déclare le PDG + Plus
Le Defender’s COVID NewsWatch fournit un tour d’horizon des derniers titres liés au virus SARS CoV-2, y compris ses origines et les vaccins COVID.
Défense de la santé des enfants 28 mai 2022
«Personne ne les veut»: Moderna lance 30 millions de doses de vaccin, déclare le PDG
Le Daily Wire a rapporté :
Après deux ans et demi de COVID-19, nous passons tous à autre chose. Bien sûr, le virus est toujours là, bien que généralement moins dangereux avec la variante Omicron, mais de nombreux Américains ne portent plus de masques et la vie normale est pour la plupart revenue. Toute cette histoire de « passer à autre chose » a un effet sérieux sur les fabricants de vaccins.
"C'est triste à dire, je suis en train de jeter 30 millions de doses à la poubelle parce que personne n'en veut", a déclaré cette semaine le PDG de Moderna, Stéphane Bancel. "Nous avons un gros problème de demande."
S'adressant à un auditoire du Forum économique mondial, Bancel a également déclaré que les efforts pour contacter divers gouvernements avaient échoué. «Nous avons actuellement des gouvernements – nous avons essayé de contacter… via les ambassades à Washington. Tous les pays, et personne ne veut les prendre », a-t-il déclaré. "Le problème dans de nombreux pays est que les gens ne veulent pas de vaccins", a-t-il ajouté.
L'annonce de Bancel intervient juste après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis un avertissement sévère : la pandémie de COVID-19 n'est « très certainement pas terminée », a averti le chef de l'OMS, Tedros Ghebreyesus.
Le risque de syndrome de Guillain-Barré après la vaccination J&J COVID
Le conseiller en neurologie a rapporté :
L'incidence du syndrome de Guillain-Barré (SGB) a été élevée après la vaccination avec le vaccin Janssen COVID-19 Ad.26.COV2.5, selon les résultats de l'étude publiés dans JAMA Network Open.
Aux États-Unis, il existe 3 vaccins COVID-19 disponibles, le vaccin à vecteur adénoviral incompétent pour la réplication Ad.26.COV2.5 ou les vaccins à ARNm BNT162b2 de Pfizer-BioNTech et ARNm-1273 de Moderna.
En avril 2021, l'utilisation de l'Ad.26.COV2.5 a été suspendue en raison de préoccupations concernant la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie et en juillet 2021, un rapport du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a soulevé des inquiétudes concernant le SGB après l'Ad.26.COV2 .5.
Les chercheurs ont cherché à évaluer le taux de GBS après avoir reçu un vaccin COVID-19. Les données proviennent du Vaccine Safety Datalink, qui comprenait les dossiers de 10 158 003 personnes aux États-Unis en novembre 2021. Les taux d'incidence du SGB jusqu'à 84 jours après la vaccination ont été évalués pour chacun des 3 vaccins.
Novavax a raté son Moonshot mondial mais cherche à gagner les transfuges de l'ARNm
Kaiser Health News a rapporté:
Novavax a attelé son wagon à la pandémie mondiale de coronavirus. Avant que la plupart des Américains ne saisissent vraiment l'ampleur du danger, la petite startup biotechnologique du Maryland avait obtenu 1,6 milliard de dollars de financement américain pour son vaccin COVID. Son objectif lunaire : livrer 2 milliards de clichés au monde d'ici mi-2021.
Bien que l'engagement des États-Unis ait finalement atteint 1,8 milliard de dollars, pratiquement aucun tir de Novavax n'a trouvé d'armes en raison de problèmes de fabrication, et la majeure partie du monde a évolué. L'action Novavax a chuté de 290 $ par action en février 2021 à environ 50 $ récemment.
Cependant, la FDA semble enfin sur le point d'autoriser le vaccin de la société. Si c'est le cas, Novavax ciblerait les dizaines de millions d'Américains qui ne sont pas vaccinés contre le COVID-19 ou qui bénéficieraient de rappels mais qui ont évité les vaccins à ARNm en raison de problèmes de santé ou de théories du complot sur leurs dangers.
Réticence à l'égard des vaccins COVID en Afrique du Sud en raison des craintes d'effets secondaires - Enquête
Reuters a rapporté :
Les craintes concernant les effets secondaires possibles et l'efficacité des vaccins COVID-19 ont été les principaux moteurs de l'hésitation parmi des milliers de Sud-Africains, a révélé jeudi une enquête en ligne soutenue par le gouvernement.
Il a, comme de nombreux pays d'Afrique et d'autres continents, eu du mal à convaincre les sceptiques de se faire vacciner.
Parmi le groupe d'âge 18-34 ans, l'hésitation était la plus élevée, à 39%, selon l'enquête réalisée en octobre et novembre, la population blanche étant le groupe racial le plus susceptible d'éviter le vaccin, à 48% des répondants.
"Ce que cette analyse a démontré, c'est que la majorité de ceux qui expriment des hésitations à prendre le vaccin ne sont pas anti-science, mais expriment des doutes rationnels et légitimes", a déclaré une présentation sur les résultats de l'enquête.
Le mutant dominant du coronavirus contient le fantôme du passé pandémique
Associated Press rapporte :
Le mutant du coronavirus qui est maintenant dominant aux États-Unis est un membre de la famille Omicron, mais les scientifiques disent qu'il se propage plus rapidement que ses prédécesseurs Omicron, est apte à échapper à l'immunité et pourrait éventuellement causer une maladie plus grave.
Pourquoi? Parce qu'il combine les propriétés d'Omicron et de Delta, la variante dominante du pays au milieu de l'année dernière.
Un trait génétique qui rappelle le passé de la pandémie, connu sous le nom de "mutation delta", semble permettre au virus "d'échapper à l'immunité préexistante de la vaccination et de l'infection antérieure, surtout si vous avez été infecté par la vague Omicron", a déclaré le Dr. Wesley Long, pathologiste au Houston Methodist au Texas. C'est parce que la souche originale d'Omicron qui a balayé le monde n'avait pas la mutation.
La «sous-variante» d'Omicron qui gagne du terrain aux États-Unis - connue sous le nom de BA.2.12.1 et responsable de 58% des cas de COVID-19 aux États-Unis la semaine dernière - n'est pas la seule affectée par la mutation Delta. Le changement génétique est également présent chez les parents d'Omicron qui dominent ensemble en Afrique du Sud, connus sous le nom de BA.4 et BA.5. Ceux-ci ont exactement la même mutation que Delta, tandis que BA.2.12.1 en a une qui est presque identique.
OMS : les cas de COVID chutent pour la plupart, sauf pour les Amériques
Associated Press rapporte :
Le nombre de nouveaux cas de coronavirus et de décès continue de baisser dans le monde après avoir culminé en janvier, a déclaré l'Organisation mondiale de la santé.
Les cas de COVID-19 n'ont augmenté que dans deux régions du monde : les Amériques et le Pacifique occidental.
L'OMS a déclaré qu'elle suivait toutes les sous-variantes d'Omicron en tant que "variantes préoccupantes". Il a noté que les pays qui avaient une vague importante de maladies causées par la sous-variante BA.2 d'Omicron semblaient être moins affectés par d'autres sous-variantes comme BA.4 et BA.5, qui étaient responsables de la dernière vague de maladies en Afrique du Sud.
Les États-Unis rendent le médicament antiviral COVID plus disponible sur les sites de test
Associated Press rapporte :
La Maison Blanche a annoncé jeudi de nouvelles mesures pour rendre le traitement antiviral Paxlovid plus accessible à travers les États-Unis, car elle prévoit que les infections au COVID-19 continueront de se propager au cours de la saison estivale des voyages.
Le premier site de test pour traiter soutenu par le gouvernement fédéral ouvre ses portes jeudi dans le Rhode Island, offrant aux patients un accès immédiat au médicament une fois qu'ils sont positifs. D'autres sites soutenus par le gouvernement fédéral devraient ouvrir dans les prochaines semaines dans le Massachusetts et à New York, tous deux touchés par une augmentation marquée des infections.
Rebound COVID n'est que le début des mystères de Paxlovid
L'Atlantique a rapporté:
Les premières données sur Paxlovid, publiées en novembre dernier, laissaient entendre que l'antiviral COVID réduirait le risque d'hospitalisation et de décès de 89%. Les experts ont qualifié le médicament de « percée monstrueuse », de « miraculeuse » et de « la plus grande avancée dans la pandémie depuis les vaccins ».
Maintenant, enfin, le jeu est en train d'être changé. Le gouvernement a commandé 20 millions de cours de Paxlovid, engageant la moitié des 10 milliards de dollars de financement COVID supplémentaire qui est en cours de négociation au Sénat ; et Pfizer affirme que le nombre de patients prenant le médicament a été multiplié par 10 entre la mi-février et la fin avril.
Mais à mesure que le traitement se répand, il en va de même pour la confusion quant à son efficacité et ses effets secondaires. Les patients se sont plaints d'un goût amer et métallique, ou d'un jus de pamplemousse mélangé à du savon, tout le temps qu'ils prenaient le médicament. Plus inquiétant, certains ont déclaré avoir ressenti une deuxième série de symptômes et être revenus à un test positif, lorsque les pilules ont été prises, un phénomène connu sous le nom de "rebond Paxlovid".
Pendant ce temps, Pfizer n'a jamais publié de données définitives sur l'utilisation du médicament par les patients vaccinés, laissant aux professionnels de la santé peu d'informations sur le fonctionnement du médicament pour les personnes qui ont reçu leurs vaccins - c'est-à-dire la plupart de la population adulte du NOUS.
La dernière vague de COVID du pays est largement cachée, selon les experts de la santé
ABC News a rapporté :
Les cas actuels de COVID-19 ne représentent qu'une fraction de ce qu'ils étaient au plus fort de la vague Omicron. Mais de nombreuses personnes dans le pays peuvent remarquer ce qui semble être un flot de cas dans leurs cercles sociaux.
Les experts de la santé disent que ces preuves anecdotiques ne sont peut-être pas simplement une coïncidence, car les États-Unis pourraient être dans une vague «cachée» – une vague beaucoup plus importante que ne le suggèrent les données rapportées.
Cela est dû en partie aux changements dans la collecte et la communication des données et à la prolifération des tests à domicile. Certains responsables de l'État rapportent que les services de santé et les établissements de santé ont également mis fin au suivi traditionnel des patients COVID-19, ce qui, selon les épidémiologistes, rend plus difficile de savoir combien de patients entrent dans les hôpitaux et ont besoin de soins.
Le nombre d'hospitalisations a augmenté ces dernières semaines, mais pas à un rythme aussi important que les infections.
Avec l'échec de la prise de vue COVID qui traîne toujours sur les revenus, CureVac tente de tourner la page vers la technologie d'ARNm de nouvelle génération
Fierce Biotech a rapporté:
Le vaccin COVID de première génération de CureVac – un vaccin qui n'a pas atteint la barre d'efficacité élevée fixée par ses rivaux – continue de peser sur les bénéfices de la biotechnologie allemande et devrait avoir un impact négatif sur les ventes pour le reste de l'année.
Mais la société se tourne vers son avenir, pointant vers un vaccin COVID-19 de nouvelle génération et un programme contre la grippe en développement avec GlaxoSmithKline, ainsi qu'un nouvel accent sur l'oncologie grâce à un accord fraîchement signé avec myNEO.
Les finances de la société ont continué d'être entachées par des "engagements antérieurs" liés au vaccin CVnCoV, a déclaré le directeur financier Pierre Kemula dans un rapport sur les résultats du premier trimestre publié mercredi. Ces impacts se poursuivront tout au long de l'année, mais commenceront à s'estomper.
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Le responsable australien de la sécurité en ligne appelle à un « recalibrage » de la « liberté d’expression » avant le Forum économique mondial
Vendredi 27 mai 2022 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) La commissaire australienne à la sécurité électronique, Julie Inman Grant, a déclaré aux membres du Forum économique mondial que la société devait subir un "recalibrage" de la "liberté d'expression" et de "toute une gamme d'autres droits de l'homme".
(Article de Jack Bingham republié de LifeSiteNews.com)
"Nous nous retrouvons dans un endroit où nous avons une polarisation croissante partout, et tout semble binaire alors que ce n'est pas nécessaire, donc je pense que nous allons devoir réfléchir à un recalibrage de toute une gamme de droits de l'homme qui se déroulent en ligne », a déclaré Grant lors d'un panel lors du sommet annuel du Forum économique mondial lundi.
"De la liberté d'expression à la liberté... d'être à l'abri de la violence en ligne, ou du droit à la protection des données au droit [à] la dignité de l'enfant", a déclaré la commissaire "eSafety", indiquant quels droits, selon elle, ont besoin d'un "recalibrage".
Le clip, qui a été rapporté pour la première fois par le média conservateur canadien True North Centre, est devenu «viral» sur les réseaux sociaux au cours des 48 dernières heures, des personnes et des groupes du monde entier suggérant qu'un «recalibrage» des «droits de l'homme» est un euphémisme pour l'éradication de ces droits.
"Le grand recalibrage de la liberté d'expression", a répondu le journaliste d'investigation et rédacteur en chef de The GrayZone, Max Blumenthal, faisant référence au programme "Great Reset" du WEF qui vise à "réinitialiser" le capitalisme en faveur du socialisme mondial.
"Non", a ajouté le Comité judiciaire de la Maison républicaine sur son compte Twitter officiel.
Selon la biographie de Grant publiée par le Forum économique mondial, elle « dirige la première agence de réglementation gouvernementale au monde engagée à assurer la sécurité de ses citoyens en ligne », et sa carrière a commencé à « Washington DC, travaillant au Congrès américain et dans le secteur à but non lucratif avant de prendre sur un poste chez Microsoft.
Pendant son séjour chez Microsoft pro-censure, Grant a passé 17 ans à servir "comme l'un des premiers et des plus anciens professionnels des relations gouvernementales de l'entreprise", tout en effectuant un travail similaire pour le géant des médias sociaux Twitter.
Comme le rapporte LifeSiteNews, le WEF a suscité une controverse croissante depuis le début de COVID-19 en partie à cause du dévoilement de l'agenda socialiste radical du WEF "Great Reset", qui envisage une vie dans laquelle la propriété privée et la vie privée sont largement abolies, ce qui semble inclure de nombreux aspects du système de crédit social chinois.
En fait, les membres du groupe Alibaba, l'organisation à l'origine des éléments clés du système de crédit social du Parti communiste chinois, sont actuellement à Davos pour la réunion annuelle du WEF.
Le WEF a annoncé son intention de s'attaquer à "la reprise pandémique, le changement climatique, l'avenir du travail, l'accélération du capitalisme des parties prenantes et l'exploitation des nouvelles technologies" lors de la réunion de Davos de cette année, avec des séminaires particuliers sur "Les systèmes alimentaires en crise", "Transition vers un Moyen-Orient vert » et « La révolution biotechnologique ».
Le WEF a également adopté des mesures de sécurité massives pour sa réunion de 2022, dont 5 000 militaires et une zone d'exclusion aérienne strictement appliquée.
Lundi, le journaliste conservateur Jack Posobiec a été détenu par ledit personnel, qui arborait des badges "Police du Forum économique mondial", pendant environ une heure alors qu'il filmait à l'extérieur de la réunion secrète de Davos.
Le groupe de défense des armes à feu prévoit des manifestations à l'échelle nationale après la fusillade dans une école au Texas
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 28 MAI 2022 - 01:00 Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times
Un groupe de défense des armes à feu dirigé par des étudiants prévoit des manifestations à l'échelle nationale à la suite de la fusillade dans une école primaire du Texas qui a coûté la vie à 19 enfants cette semaine.
Selon son site Web, March for Our Lives prévoit de descendre dans les rues de Washington, D.C. le 11 juin. Le groupe a également plusieurs autres marches prévues dans diverses régions du pays, de San Francisco et du Michigan à la Caroline du Sud, sur un nombre de dates.
Il y aura également une manifestation au centre des congrès où la National Rifle Association (NRA) organise une conférence à Houston, au Texas, le 27 mai. Le centre des congrès se trouve à environ 300 miles du lieu de la fusillade meurtrière dans une école primaire à Uvalde. , Texas, le 24 mai.
Les organisateurs appellent également les militants à les rejoindre à Capitol Hill du 7 au 10 juin, où ils discuteront avec les législateurs d'une pression pour une vérification universelle des antécédents des acheteurs d'armes à feu.
Un projet de loi les obligeant, intitulé Bipartisan Background Checks Act of 2021, ou H.R. 8, a été adopté par la Chambre en mars 2021, mais le Sénat contrôlé par les républicains ne l'a pas repris.
« Notre message et notre demande sont simples : nous ne serons plus pris en otage par nos législateurs et nous ne tolérerons plus de nous sentir en danger dans nos communautés », a écrit le groupe sur le site Web.
« Quel que soit le parti que vous représentez, si vous ne soutenez pas des mesures vitales telles que la vérification universelle des antécédents, nous nous engageons à voter contre vous cet automne et lors des prochaines élections. ”
March for Our Lives a été fondée en 2018 à la suite de la fusillade à l'école secondaire Marjory Stoneman Douglas à Parkland, en Floride, au cours de laquelle un homme armé a tué 17 personnes.
Le groupe a organisé l'une des plus grandes manifestations contre la violence armée de l'histoire des États-Unis.
March for Our Lives dit croire que la violence armée à travers le pays est le résultat de la glorification des armes à feu, de l'apathie politique, de la pauvreté, de la suprématie armée et d'une crise de santé mentale à l'échelle nationale.
Le groupe propose de s'attaquer de manière proactive à ces problèmes tout en interdisant les armes d'assaut, les chargeurs de grande capacité et d'autres armes ; et responsabiliser davantage l'industrie des armes à feu et les lobbyistes. Il préconise également des politiques visant à désarmer les propriétaires d'armes à feu qui présentent un risque de préjudice, et un programme national de rachat d'armes à feu pour réduire d'au moins 30 % les 265 à 393 millions d'armes à feu en circulation.
"Le président [Joe] Biden et tous nos élus doivent agir avec une urgence féroce pour appeler cette crise ce qu'elle est : une urgence nationale de santé publique", déclare le groupe sur son site Internet.
Biden a condamné les lois sur les armes à feu en Amérique dans un discours à la Maison Blanche mercredi après la fusillade dans une école du Texas, tout en plaidant pour des limitations des droits des armes à feu protégés par la Constitution et pour que les législateurs « tiennent tête à un lobby des armes à feu très puissant ».
"Quand, au nom de Dieu, ferons-nous ce qui doit être fait pour, sinon arrêter complètement, changer fondamentalement l'ampleur du carnage qui se déroule dans ce pays?" Biden a dit.
«Bien qu'ils n'empêcheront clairement pas toutes les tragédies, nous savons que certaines auront un impact significatif et n'auront aucun impact négatif sur le deuxième amendement. Le deuxième amendement n'est pas absolu », a-t-il ajouté. "Quand il a été adopté, vous ne pouviez pas posséder… un canon, vous ne pouviez pas posséder certains types d'armes."
Salvador Ramos, 18 ans, aurait tiré sur sa grand-mère le 24 mai avant de se diriger vers l'école élémentaire Robb à Uvalde et d'ouvrir le feu sur le campus, tuant 19 enfants et deux adultes.
Le tireur a été tué par balle par les forces de l'ordre.
L'Amérique est devenue un spectacle dysfonctionnel sans rôles réalisables dans lesquels les enfants peuvent se projeter de manière réaliste….
Le trope le plus phonétique de la vie américaine va comme ceci : nous devons trouver la cause de X pour que cela ne se reproduise plus jamais. Bien sûr, cela se reproduira. Nous prétendons seulement que la cause est un mystère. Comptons les façons dont les massacres scolaires se produisent.
Les écoles américaines sont des endroits incroyablement déprimants. Ils sont conçus pour ressembler à des prisons à sécurité moyenne et à des usines d'insecticides. Ils envoient le message : Entrez ici et soyez psychologiquement brutalisé. Ils sont trop grands, extrêmement aliénants, laids, dépourvus de symbolisme visible signalant la valeur de l'être humain. Les intérieurs des écoles sont conçus pour le confort des concierges, des surfaces dures de carrelage et de linoléum qui peuvent être arrosées facilement comme les quartiers des animaux de zoo. Les enfants agissent en conséquence.
Les « installations », comme nous les appelons, se déploient dans le paysage illisible d'un derby de démolition, séparées de toutes les autres activités de la vie quotidienne, elles-mêmes parvenues à un état culminant d'absurdité : grandes surfaces, installations alimentaires franchisées de chaînes nationales. , des centres commerciaux aux vitrines vides, des friches de parking, rien qui puisse exciter l'imagination d'un enfant avec des émotions autres que la perplexité, l'anxiété et l'aversion.
L'« enseignement » qui se passe soi-disant dans les écoles est un vestige brisé de la préparation à une économie qui n'existe plus. Nous ne sommes plus une société de gens qui font des choses, mais plutôt une société de gens à qui des choses sont faites, dont beaucoup sont nuisibles, humiliantes et arbitraires. Le corps enseignant démoralisé de l'Amérique est tellement déséquilibré par sa propre anomie qu'il a recours à l'imposition de fantasmes sadiques aux enfants dont il a la charge.
Ainsi, tous les programmes inappropriés autour des préoccupations sexuelles des adultes, comme la Drag Queen Story Hour, pour laquelle des hommes souffrant de troubles mentaux sont invités à imiter des femmes-monstres pour des jeunes dont on ne peut pas s'attendre à ce qu'ils fassent sens du spectacle. (Je soupçonne que même les enfants de six ans, câblés pour fonctionner comme des animaux qui réussissent dans ce monde, le comprennent comme une sorte d'affront à la réalité.) Sinon, les enseignants américains sont à court d'idées et sont eux-mêmes endommagés par le même forces de la culture qu'on leur demande maintenant de diriger.
L'Amérique est devenue un spectacle dysfonctionnel sans rôles réalisables dans lesquels les enfants peuvent se projeter de manière réaliste. Quel enfant de dix ans rêve de devenir le chef de la friture de Burger King avec un tablier marron et une couronne en carton stupide ? Au contraire, ils sont incités à aspirer à devenir des millionnaires vedettes du sport, dont il y a peut-être moins de 5 000 postes dans un pays de 340 millions. À douze ans, ils comprennent probablement l'improbabilité de ce résultat, ou de devenir le prochain Kardashian… ou Spiderman. (Les super-héros sont fournis par les cartels du divertissement pour occuper le domaine imaginatif des enfants, car la culture américaine est dépourvue de rôles basés sur la réalité auxquels il vaut la peine d'aspirer.)
Dans ce tumulte d'appauvrissement culturel, la grandiosité psychotique s'insinue. Soyez grand si vous ne pouvez pas être autre chose. Par conséquent, un rôle réalisable pour les jeunes dans la vie américaine est celui de meurtrier de masse. C'est une façon de devenir important, d'avoir un effet sur les autres et sur la société en général. Votre nom sera peut-être oublié, mais l'acte lui-même restera gravé dans la mémoire collective d'un peuple. Ce sera une sorte de marque dans l'histoire, encore mieux mémorisée, peut-être, que celui qui a joué au troisième but pour les Braves d'Atlanta en 1994… ou la femme qui a une fois gambadé sur le tapis rouge aux Oscars dans une robe façonnée sur un abattu cygne.
Le chaos déclenché par une fusillade dans une école n'est que l'essence rectifiée des multiples dérangements de notre vie nationale. Tout est détraqué, y compris notre perception de ce qui se passe et de ce que cela signifie. Il ne reste presque plus rien de l'enfance dans ce pays, à la manière de jeunes créatures informes assistées par des adultes qui les aiment dans un avenir qui en vaut la peine. Nous avons oublié comment être reconnaissants d'être venus dans ce monde, nous laissant indignes d'être ici. La qualité de vertu, signifiant que certaines choses et certaines actions sont manifestement meilleures que d'autres, a été trompeusement remplacée par l'équité selon laquelle rien n'est autorisé à être meilleur qu'autre chose. La vérité et la beauté sont devenues hors-la-loi. La mauvaise foi et la méchanceté règnent, dirigées par un Parti du Chaos. Alors, vraiment, qu'attendez-vous ? Et que mérites-tu ?
(Natural News) Si j'avais personnellement le pouvoir de les libérer, je le ferais. Nonobstant le fait que j'ai eu au moins un membre de ma famille tué dans un camp de concentration nazi par de vrais nazis. Mais malheureusement, tout ce que j'ai pour les soutenir, ce sont mes mots.
(Article republié de Expose-News.com)
Mais les mots sont la seule chose que les opposants au régime russe actuel se voient refuser. C'est donc pour moi un grand plaisir d'utiliser ma liberté d'expression dans cette publication au nom de chaque journaliste russe réduit au silence, vrai patriote russe et vrai patriote ukrainien, tout comme je l'ai fait au nom de ceux qui se sont vu refuser une voix sur les vaccins contre l'empoisonnement génétique et la fraude électorale américaine. et la perversion d'enfants pour la gratification sexuelle d'adultes immoraux. Tant de groupes dans ce monde se voient refuser une voix. Malheureusement, je n'ai pas les milliards ni la crédibilité pour sauver Twitter des mondialistes et que Dieu bénisse celui qui l'a. Mais The Expose me donne la richesse de l'expression de soi qui est ce pour quoi les Asovstallers se battent et ce que nous, en Occident, tenons trop souvent pour acquis.
Les fonctionnaires, décrits par Sir Winston comme n'étant plus civils et n'étant plus des fonctionnaires, se servent d'abord, que ce soit en fournissant des soins de santé aux malades et aux mourants dans ce pays ou en fournissant des visas à ceux qui fuient la mort et la destruction. en Ukraine Alors que les Asovstallers servent leurs familles, leur pays, la Pologne, la Roumanie, les États baltes, l'UE, les Scandinaves, les Américains et les Britanniques et Irlandais qui ont tous deux été menacés d'une expédition rapide dans le casier radioactif de Davy Jones par une torpille à propulsion nucléaire supercavitante russe avec une grosse ogive nucléaire.
Ils nous servent en retardant, en contrecarrant et en bloquant l'offensive russe en Ukraine, ce qui nous fait gagner du temps pour mieux préparer nos défenses contre les charmantes menaces russes de nous anéantir tous par diverses technologies machiavéliques qu'ils ont conçues pendant leur temps libre dans ce but précis.
Pour moi, les caractéristiques déterminantes des nazis étaient et sont
1. Accaparements de terres par Blitzkrieg 2. Déplacements forcés et camps de concentration pour ceux qui s'y opposent politiquement ou militairement ou philosophiquement ou religieusement, en fait de quelque manière que ce soit 3. Représailles civiles pour ceux qui infligent des dommages militaires à leur machine de guerre 4. Contrôle total des informations d'état 5. L'invention de nouveaux types de missiles intercontinentaux (V1, V2 etc.) 6. Le désir de devenir la nouvelle superpuissance mondiale. 7. La croyance qu'ils sont la race des maîtres et des menaces incessantes pour toutes les races qui leur sont inférieures - c'est-à-dire toutes les autres races.
En traduisant cela en russe à l'aide de Ruble Translate, nous obtenons…
1. Accaparements de terres par Blitzkrieg en Géorgie et en Ukraine 2. Déplacements forcés, filtration et camps de travail pour ceux qui s'y opposent politiquement ou militairement ou philosophiquement ou religieusement, en fait de quelque manière que ce soit 3. Kiev a été bombardée en représailles civiles pour avoir coulé le Moskva. 4. Contrôle total des informations d'état 5. L'invention de nouveaux types de missiles intercontinentaux (missiles nucléaires hypersoniques et torpilles nucléaires supercavitantes) 6. L'opération militaire spéciale en Ukraine est conçue pour mettre fin à la domination américaine selon les mots de Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères. Donc PAS simplement pour démilitariser l'Ukraine. 7. Dmitri Rogozine, le chef de l'agence spatiale russe, a averti que la Russie pourrait détruire l'OTAN en 30 minutes avec des armes nucléaires sur sa chaîne Telegram.
Alors, comment se comporter comme un Hitler hypersonique ou un Staline supersonique et s'en tirer au 21ème siècle ?
Hypocrisie accusatrice
On utilise la méthode éprouvée de l'hypocrisie proactive, de l'accusation préventive et de l'hypocrisie accusatoire. On accuse son ennemi d'être ou de faire ce qu'on va être ou faire soi-même. Parce que, comme l'a dit Sir Winston : Un mensonge fait le tour du monde avant que la vérité n'ait la chance de mettre son pantalon. Donc, si vous voulez vous en sortir avec un Blitzkrieg nazi sans être traité de nazi, vous devez d'abord accuser vos victimes d'être des nazis. Ou mieux encore, vous présentez tout votre effort de guerre comme une attaque contre le nazisme. Alors vous pourrez mener votre impérialisme nazi en toute impunité.
Les démocrates aux États-Unis le font avec "Notre démocratie", qui est bien sûr leur dictature. Ils attaquent la démocratie en truquant les élections de toutes les manières imaginables, du contrôle des médias au contrôle de la loi électorale en passant par le contrôle du décompte des voix, la récolte des bulletins de vote avec 2000 mules, la persécution, la poursuite et le harcèlement des candidats et des présidents des campagnes politiques opposées, etc. Mais ils le font sous le couvert du récit qu'ils défendent la démocratie – dont la couverture est conçue pour tromper leurs adversaires.
De même, Poutine mène une Blitzkrieg nazie contre l'Ukraine sous le prétexte qu'il libère l'Ukraine d'un régime sympathisant avec les nazis. C'est la même technique du même livre de jeu démoniaque.
Bill Gates et Tony Fauci sont passés maîtres dans l'hypocrisie accusatrice. Ils se présentent comme les sauveurs d'une pandémie qu'ils ont eux-mêmes financée. Ils nous forcent à recevoir des thérapies qu'ils ont financées ou créées, qui sont en fait plus meurtrières que la pandémie elle-même. La vraie maladie ici est le désir de pouvoir des mauvais acteurs derrière la pandémie et les vaccins. La pandémie et les vaccins ne sont que des dispositifs pour leur fournir le pouvoir dont ils ont besoin.
Aucun homme n'a un plus grand amour que celui-ci, qu'il donne sa vie pour ses amis, est la devise de mon collège d'Oxford et étaient les paroles de Jésus dans Jean 15:13.
Eh bien, les Asovstallers ont fait mieux que ça. Ils ont sacrifié et sont toujours en train de sacrifier leur vie, non seulement pour leurs amis, mais en fait pour ceux qui les appellent des nazis.
Les nazis qui ont un plus grand amour pour les gens de ce pays que n'importe quel mandarin de Whitehall peuvent actuellement le démontrer depuis son fauteuil à la maison.
J'encourage le gouvernement à secourir ces amoureux de la liberté au cœur d'acier et à leur donner tous des emplois à Whitehall.
Le silence de Snowden sur l'Ukraine
Snowden Feb18 : Cette possibilité est franchement si terrible pour moi qu'il est même difficile de l'envisager. Je me souviens encore des cicatrices rouges dans les rues de Sarajevo, la « Sarajevska ruža » en souvenir de ceux qui ont été tués par des tirs de mortier.
Kyiv est plus grande que Sarajevo. Que Grozny. Que Fallujah.
Impensable.
Snowden 27 février : Je ne suis pas suspendu au plafond au-dessus d'un baril d'acide par une corde qui brûle un peu plus vite à chaque fois que je tweete, vous êtes des goules qui traînent. Je viens de perdre toute confiance que j'avais que partager ma réflexion sur ce sujet particulier continue d'être utile, parce que je l'ai mal appelé.
Depuis le 27 février, Snowden n'a plus publié de tweets sur l'Ukraine.
Nous ne devons pas isoler Poutine Par peur d'énoncer l'évidence - Plus la guerre en Ukraine se prolonge, plus il y a de chances qu'elle dégénère en WW3. Alors que nous devons soutenir le droit de tout pays à se défendre contre la colonisation par une plus grande fédération de nations, d'autant plus que la Grande-Bretagne était elle-même un tel agresseur. Et d'autant plus que le Royaume-Uni, les États-Unis et, ironiquement, la Russie sont également liés par le mémorandum de Budapest de 1994 le 5 décembre pour défendre l'Ukraine en échange de leur accord de renoncer à leurs armes nucléaires (ils étaient autrefois la 3e plus grande puissance nucléaire au monde), les deux premiers paragraphes dont l'accord stipule.
1. La Fédération de Russie, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et les États-Unis d'Amérique réaffirment leur engagement envers l'Ukraine, conformément aux principes de l'Acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe, de respecter l'indépendance et la souveraineté et les frontières existantes de l'Ukraine.
2. La Fédération de Russie, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et les États-Unis d'Amérique réaffirment leur obligation de s'abstenir de recourir à la menace ou à l'emploi de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique de l'Ukraine, et qu'aucune de leurs armes ne sera jamais être utilisé contre l'Ukraine, sauf en cas de légitime défense ou autrement, conformément à la Charte des Nations Unies.
Nous sommes maintenant dans une situation où la Russie a complètement rompu ses engagements de 1994. Alors que les États-Unis et le Royaume-Uni respectent leurs engagements dans le cadre du mémo. Mais nous devons tous nous rappeler que le but du mémorandum de 1994 était d'éviter une guerre nucléaire impliquant des armes nucléaires ukrainiennes. Ce n'était pas pour risquer une guerre nucléaire contre l'Ukraine !
Ainsi, plutôt que de sanctionner les oligarques russes et les personnalités sportives russes et en particulier les oligarques sportifs russes alors qu'ils tentent de négocier des accords de paix, nous devrions jeter des ponts vers Poutine par l'intermédiaire de ces personnes. Parce que la note de service de 1994 promet également que toutes les parties resteront en communication étroite. À l'ère nucléaire, c'est d'une importance cruciale. Nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir de mauvaises relations avec Poutine, aussi éloignées soient-elles.
Ce qu'il faut ici, c'est un personnage semblable à Trump pour avoir un homme à homme avec Poutine et le traiter avec le respect qu'il mérite pour avoir fait un très bon travail sur l'économie russe et pour ramener la Russie au statut de superpuissance. Pour être franc, il a besoin de reconnaissance. Il a besoin d'un Oscar de l'Académie des nations occidentales et ce que nous lui avons donné était une gifle.
Poutine a déclaré que la seule raison pour laquelle les États-Unis s'intéressaient aux relations avec Moscou était que la Russie était le seul pays capable de détruire l'Amérique en une demi-heure ou moins. Ce sont les mots d'un homme avec une estime de soi absurdement faible. Il y a de très nombreuses raisons d'entretenir de bonnes relations avec la Russie. Ce sont des gens incroyablement compétents sur le plan technologique et très créatifs et super logiques. Ce sont de brillants stratèges. La pire chose que nous puissions faire est de les diaboliser.
Si nous l'excluons, il ne fera que devenir plus rancunier. Et les guerres, pour toutes les justifications insignifiantes qui sont avancées en leur nom (espace respiratoire, zone tampon, etc.) sont en réalité une question de fierté, d'ambition, de cupidité, de peur et de toutes les autres émotions humaines chez les dirigeants des parties belligérantes. Ils ne sont pas différents et pas moins destructeurs qu'une dispute avec sa meilleure moitié. De tels arguments portent sur l'émotion, sur le sentiment d'être valorisé ou apprécié ou désiré ou aimé, ou important. Je le sais parce que j'ai perdu beaucoup de ces arguments en croyant à tort qu'ils portaient sur le sujet de l'argument.
Vladimir Poutine est un être humain plein de ressources, comme en témoigne son amoureux de la gymnastique. Nous devons être tout aussi ingénieux et tout aussi gymnastes dans nos efforts pour l'inclure, voire même le courtiser. Parce qu'il n'y a pas d'alternative. Et il sait qu'il n'y a pas d'alternative.
Mais nous avons fait exactement le contraire avec lui et il a mal réagi à notre exclusion et à son traitement comme le parent pauvre du jeu de pouvoir du grand garçon. En ce sens, son comportement nazi est en partie de notre faute. Nous ne pouvons pas lui demander de modifier son comportement si nous ne sommes pas prêts à modifier notre propre comportement. Il y a un sens réel dans lequel plus il fait mal en Ukraine, moins le monde devient stable.
Poutine cherche à être accepté. Nous lui avons refusé l'entrée au club. Alors il a fait sauter le club. Si nous parvenons maintenant à l'expulser de la partie du club où il s'est écrasé, il peut réagir en détruisant tout le club. C'est en fait ce que veulent les mondialistes. Pour qu'ils puissent mieux reconstruire par la suite. Mais ce n'est pas ce que veut tout être humain doté d'un cœur ou d'une conscience, y compris Poutine.
Je recommanderais donc l'accord suivant : libérez les Asovstallers et autorisez les expéditions de céréales d'Odessa pour le tiers monde, et en retour, nous levons les sanctions contre tous les sportifs et oligarques russes. Nous sanctionnons l'administration, mais pas n'importe quel ancien Russe de haut niveau. Nous construisons un pont avec notre humanité. Nous faisons une offre d'amitié. Nous commençons à l'inclure. Nous lui offrons l'opportunité de faire quelque chose d'héroïque pour le 3ème monde. Nous le traitons avec la dignité que son pouvoir et sa puissance méritent. C'est une situation difficile et éprouvante. Mais la solution est plus émotionnelle que stratégique ou tactique je crois.
Même maintenant, proposer à la Russie de rejoindre l'OTAN si elle quitte l'Ukraine serait une bonne idée à mon humble avis. Parce que l'OTAN ne peut pas se permettre d'être ennemie de la Russie et que la Russie ne peut pas non plus se permettre d'être ennemie de l'OTAN. La Finlande et la Suède envisagent de rejoindre l'OTAN et cela a été présenté comme une grande victoire contre Poutine. Je pense que c'est un grand désastre pour la sécurité mondiale. Le videur du club ayant rejeté Poutine admet maintenant deux femmes (vu que quelques fois auparavant). En quoi cela aide-t-il à calmer les choses ?
Que diriez-vous de ce scénario : Invitons chaque pays du monde entier à rejoindre l'OTAN, à l'exception de la Russie, d'accord ? Parce que cela semble maintenant être le but de l'OTAN. Il s'est transformé en un club conçu pour exclure, contrarier et aliéner une superpuissance nucléaire. Comment cela rend-il le monde plus sûr ?
Voici donc ma dernière suggestion. L'OTAN ne peut pas sauver l'Ukraine. Mais détruire l'OTAN pourrait bien la sauver et l'Occident avec elle. Je ne suis pas surpris que Poutine veuille que l'Ukraine soit exclue de l'OTAN comme il l'est. Quelqu'un doit tenir compagnie au gars pendant qu'il traîne à l'extérieur du club !
Je n'aime pas les gangs et pour citer à tort Groucho Marx : je ne veux pas faire partie d'un club qui n'aurait pas la Russie comme membre.
Ici, en Occident, les politiciens se plient en quatre pour être inclusifs envers tous les groupes de personnes qui pourraient se sentir exclus. Tous les groupes, c'est-à-dire, sauf les Russes, qui sont aujourd'hui exclus non seulement de l'OTAN mais de tout ce que l'Occident a à offrir. Oui, notre réponse à leur déclenchement d'une guerre parce qu'ils sont exclus de l'OTAN, a été de les exclure également de tout ce que nous avons à offrir.
La raison pour laquelle l'Occident légifère sur l'inclusivité est d'empêcher l'aliénation de certaines parties de la société du courant dominant. Parce qu'une telle aliénation peut être préjudiciable à la société. Pourquoi alors ne pouvons-nous pas appliquer le même principe à notre voisin nucléaire, la Russie ? L'OTAN est devenue un anachronisme excluant qui aurait dû être renversé avec le mur de Berlin. Cette exclusion nous a, à mon avis, conduit à la guerre en Ukraine. Si nous ne faisons pas attention, cela nous mènera plus loin dans la troisième guerre mondiale qui sera entre l'OTAN et la Russie,
Voici donc ma suggestion pour éviter une guerre entre l'OTAN et la Russie. Abolissez l'OTAN, alors il n'y aura pas de troisième guerre mondiale. L'OTAN est l'apartheid nucléaire. Ce qui est évidemment beaucoup plus dangereux et imprudent que l'apartheid racial.
Les Noirs ont aujourd'hui les mêmes droits à la prospérité économique et sociale que les Blancs. Les Russes ne devraient-ils pas avoir les mêmes droits à la sécurité nucléaire que les Occidentaux ?
C'est cette insécurité qui a conduit au missile nucléaire Kinzhal Hypersonic et à la torpille nucléaire Poséidon. Ce ne sont pas les créations d'une nation qui se sent en sécurité !
Nous avons vraiment deux choix ici : Inviter la Russie à rejoindre l'OTAN ou abolir cet anachronisme d'apartheid si aucune invitation n'est possible.
Nous devrions faire confiance à chaque membre de l'OTAN pour faire ce qu'il faut pour la sécurité mondiale et nationale telle qu'il la voit, sans se lier les mains dans un accord centralisé. Car les événements commencent à le prouver…
La plus grande menace pour la sécurité transatlantique est l'OTAN La plus grande menace pour la prospérité européenne est l'UE La plus grande menace pour la santé mondiale est l'OMS
Et la plus grande menace pour l'humanité est la centralisation du pouvoir et les mondialistes qui tentent de mettre en place cette centralisation.
Les merdias (télés, radios, journaux) n'ont JAMAIS représenté le Peuple (7 milliards) mais uniquement le nano-groupuscule de dictateurs au pouvoir.
Le SEUL espoir/pouvoir de s'en sortir est d'appliquer la Démocratie et rayer les monarchies, républiques et empires où la doctrine est "Peuple, ferme ta gueule !"
Ce texte a été écrit il y a quelque temps par M. Ulrich Knippenberg, agriculteur en Westphalie. Il s'agit de savoir si, au vu de la situation actuelle, tous les plans actuels doivent être maintenus en l'état.
Hier, dimanche 27 février 2022, notre chancelier fédéral a parlé à plusieurs reprises d'une césure, d'un changement d'époque, lors de la séance plénière convoquée en session extraordinaire. L'impensable s'est produit, ce que personne ne croyait possible il y a quinze jours :
Nous sommes en guerre en Europe !
Dans ce contexte, les chiffres et les évolutions suivants m'inquiètent encore plus qu'auparavant : en l'espace de deux ans seulement, notre taux d'auto-approvisionnement en denrées alimentaires est passé de 88% à 80% (source).
Il est urgent de remettre en question les décisions qui continuent d'alimenter massivement ce phénomène, et nous en avons plus qu'assez ! La prochaine réforme de la PAC (politique agricole commune) exige de toutes les exploitations une jachère obligatoire sur au moins 4 % de leurs terres arables. Nous laissons 4 % de nos terres fertiles en jachère au milieu des consommateurs, et nous importons à la place encore plus de denrées alimentaires.
80 % - 4 % de « jachère forcée » = 76 % [ma note : les calculs ne sont pas justes, mais l'essentiel est dans l'exposé de la situation]
Dans le jeu de dés concernant les zones rouges, thème du règlement sur la fertilisation, la faiblesse de notre système fédéral en collaboration avec les technocrates de l'UE se révèle sans ménagement. Dans la réforme à venir de la réforme de la réforme de l'ordonnance sur la fertilisation de 2017 – personne n'y comprend plus rien, chacun se sent pointé du doigt et personne ne veut assumer la responsabilité du problème central, à savoir le manque de professionnalisme, de traçabilité et de base de données –, on part du principe que les « zones rouges » en Rhénanie-du-Nord-Westphalie vont à peu près doubler. Dans ces zones, la fertilisation doit être inférieure de 20 % aux besoins calculés de la culture concernée, soi-disant pour protéger les eaux souterraines. Une évaluation de TOUS LES AUTRES apports n'a pas encore été réalisée à ce jour ! Les sols peuvent peut-être encore compenser en partie les baisses de rendement, mais ils se dégradent naturellement à court et moyen terme.
Il n'est pas non plus improbable qu'en raison des sanctions en vigueur, les engrais azotés les plus courants, qui sont jusqu'à présent produits à 60 % en Russie et doivent être importés de ce pays, ne soient plus disponibles dans un avenir proche.
76 % - 10 % « règlement sur les engrais » + « embargo » = 66 %
Dans le cadre du Green Deal européen et de l'accord de coalition actuel, un objectif clair a été défini : 30 % d'agriculture biologique et une réduction de 50 % des produits phytosanitaires utilisés.
Avec une part actuelle de 9,6 % d'agriculture biologique, qui s'est progressivement développée en fonction de la demande, on veut maintenant pousser 20,4 % des exploitations vers un autre mode d'exploitation. En agriculture biologique, on récolte sur la même surface, non extensible, environ la moitié de ce qui est récolté en agriculture conventionnelle...
66 % - 10,2 % de « bio forcé » = 55,8 %
Sur la surface restante, les traitements phytosanitaires doivent être réduits de 50 %. Depuis de nombreuses années déjà, les praticiens n'utilisent que le strict minimum de produits phytosanitaires, non seulement en raison des lois en vigueur, mais aussi, logiquement, pour des raisons économiques. Qui voudrait encourir des dépenses inutiles en période de marges réduites ? Le niveau de formation et la technique disponible dans ce domaine peuvent être classés au top niveau mondial. Les effets attendus sont difficiles à évaluer ; selon la culture et l'année, cela peut aller d'une légère dépression du rendement à la perte totale de la culture, et certaines cultures disparaîtront probablement d'Allemagne pour être produites dans d'autres parties du monde.
55,8 % - 10 % de « renoncement aux PPP » = 40,8 %
Si l'on considère en outre que chaque jour en Allemagne, près de 60 ha de terres agricoles fertiles disparaissent à jamais sous le béton et l'asphalte, je pense qu'il est tout à fait réaliste de penser que dans un avenir pas si lointain, avec 83,24 millions d'habitants, nous serons dépendants de denrées alimentaires importées pour près de 50 millions de personnes, au lieu de « seulement » 15 millions aujourd'hui.
Un regard extérieur fait d'ailleurs le même constat.
Depuis quelques jours, on voit plus que clairement où nous mène une trop grande dépendance aux importations dans le domaine de la politique énergétique – nos arguments sont faibles, nous sommes soumis au chantage. En tant qu'entreprise agricole, cela nous est égal de produire des aliments ou de l'énergie, ou encore des surfaces fleuries.
L'idée que nous nous faisions autrefois de la sécurité de l'approvisionnement de notre population s'est noyée, après des années d'instructions sur ce que nous devions faire et ne pas faire, dans un maquis d'obligations techniques à peine défendables et dans un océan d'obligations de documentation. Avec des marges réduites, nous le disons désormais sans émotion : on fait ce qui vaut la peine !
Nous avons essayé pendant longtemps de discuter des conséquences possibles et nous nous heurtons depuis des années à l'hostilité des médias, de la politique et d'une partie de la société.
Peut-être – car comme chacun sait, l'espoir meurt en dernier – pouvons-nous encore changer quelque chose à cette dystopie.
Peut-être est-il temps que des professionnels bien formés puissent à nouveau vivre sur leurs terres comme des entrepreneurs, au lieu de se faire expliquer leur travail par des personnes qui ne savent pas distinguer le seigle du blé.
Peut-être pourrons-nous arrêter de raconter des histoires idéologiques sur l'alimentation végétalienne, si respectueuse du climat, et expliquer aux gens qu'une grande partie de l'agriculture ne peut pas fonctionner sans bétail, car les céréales fourragères sont et restent des céréales fourragères et que de nombreux sols ne permettent pas de produire autre chose.
Peut-être pourrons-nous commencer à parler de protection des plantes au lieu de parler de « pesticides » et mettre en relation les avantages et les dommages potentiels sans aucun préjugé.
Peut-être pourrons-nous laisser aux exploitations biologiques existantes la possibilité de servir leur clientèle croissante, au lieu d'être confrontés tout à coup à une offre triplée.
Peut-être parlerons-nous d'une fertilisation correcte au lieu d'évoquer un quelconque problème de nitrates dans les nappes phréatiques, sans même chercher à comprendre d'où vient le problème.
Peut-être... Le texte reflète l'opinion de l'auteur. _____________
La pénurie de moutarde est liée à la fermeture des économies qui a interrompu les habitudes et comportements.
le 29 mai 2022 Henry Bonner
La Russie vient en aide au Sri Lanka, selon Bloomberg :
Le Sri Lanka reçoit du pétrole brut de Russie, qui lui permettra de produire les carburants dont a besoin ce pays en situation de faillite, qui fait face à des pénuries de gasoil et d’essence. Le pétrole [russe] permettra de redémarrer pour la première fois en deux mois [son unique raffinerie,] à Sapugaskanda. Le Sri Lanka fait face à la pire crise financière de son histoire en tant que pays indépendant, avec des pénuries allant du pétrole à la nourriture. Les réserves de carburant sont si faibles que le gouvernement demande aux citoyens de cesser de faire la queue devant les stations-essence.
Les Russes ont-ils plus de sympathie pour les gens que les dirigeants européens ?
Peut-être pas, mais la Russie continue de fournir l’or noir dont ils ont besoin pour vivre.
Cela génère davantage de richesse, de confort, et de prospérité dans le monde.
À l’inverse, lorsque vous entravez le commerce, et créez de l’argent de toute pièce, vous créez des dislocations… et donc la pauvreté.
La faute de la Nature
Les consommateurs constatent des pénuries dans les rayons de leurs magasins ces temps-ci.
Par exemple, vous ne pouvez plus trouver de la moutarde…
Actu.fr rapporte que selon la Confrérie des producteurs de moutarde, 80 % des grains proviennent du Canada, qui souffre de sécheresse.
L’explication laisse un peu sur sa faim… Après tout, les pénuries surgissent de toutes parts en ce moment, pas juste pour la moutarde.
La sécheresse n’a pas causé le manque de production de voitures, ni la pénurie de carton pour les colis. Bookseller rapporte que le coût d’impression d’un livre a augmenté de 40 % l’an dernier.
Vous ne pouvez pas mettre cela sur le compte de la guerre ni des émissions de carbone.
Non, cela provient de la création de monnaie sans précédent des autorités… et avec la mise à l’arrêt de l’activité des entreprises.
Les prix des grains de moutarde ont commencé leur ascension dans le seconde moitié de 2020… comme le reste des matières premières. Il a presque doublé depuis janvier 2020.
Selon les agriculteurs, la sécheresse a réduit de 41 % la production des champs par rapport à leurs attentes.
Mais quand vous regardez les statistiques, vous voyez qu’ils avaient planté 35 % de semences en moins en 2020.
Un haut rendement cette année-là avait permis de compenser, mais en 2021, face à une mauvaise récolte, un déficit s’est déclaré.
Perte de savoir
La fermeture des économies a interrompu les habitudes et comportements.
Mais les grandes exploitations agricoles ou encore les champs de pétrole et de gaz avaient pris des années d’investissement et d’adaptation. À présent, les marchés doivent prendre en compte la possibilité de fermetures, restrictions sur les déplacements, ou épisodes d’inflation des prix.
Dans un marché, les prix reflètent l’accumulation de savoir (par l’expérience) des participants, et vous ne pouvez pas remonter en arrière et rayer les événements des deux dernières années.
Les soucis de production et les hausses de prix vont continuer parce que les économies vivent avec une épée de Damoclès au-dessus d’elles.
À tout moment peut avoir lieu un retour en arrière, vers les restrictions, la création de centaines de milliards d’euros ex nihilo, ou, comme nous en avertissons, une dévaluation de la monnaie.
Économie, chômage, sécurité : en finir avec la méthode Coué
Tout l’art de la méthode Coué consiste à faire croire que tout va bien, voire très bien alors que la situation est catastrophique. Notre gouvernement est adepte de cette méthode.
le 29 mai 2022 Claude Goudron
Tout l’art de la méthode Coué consiste à faire croire que tout va bien, voire très bien alors que la situation est catastrophique.
Notre gouvernement est adepte de cette méthode dans tous les domaines et pour lesquels nous avons droit à l’autosatisfaction de la majorité de ses acteurs.
Économie
À la tête d’un ministère très étendu Bruno Le Maire est le champion.
L’industrie
Pour lui, elle se relève grâce aux mesures que le gouvernement à engager durant ce quinquennat.
Il s’agit plutôt de mesurettes qui vont certes dans le bon sens mais qui sont largement insuffisantes et n’ont pas permis d’inverser la descente aux enfers du tissu industriel manufacturier puisque sa part dans le PIB a encore baissé, elle est passée en dessous des 10 %.
En 2021 la production industrielle a diminué de 4,5 % par rapport à février 2020 et a encore perdu 0,9% en février 2022 !
Pire, la valeur ajoutée créée qui permet à une entreprise d’investir est passée de 250 milliards d’euros en 2000 à 275 milliards en 2018 soit + 10 %. Pendant le même temps l’Allemagne passait de 480 milliards en 2000 à 770 milliards en 2018 soit + 60 %.
Le déficit
La maîtrise du déficit du pays ne semble pas inquiéter notre ministre, malgré l’affirmation d’un retour de celui-ci en dessous de 3 % en 2027, il est encore de 161 milliards en 2021 soit 6,5 % du PIB. Chacun sait qu’il ne devrait pas baisser significativement avec les dépenses supplémentaires générées par les aides au maintien du pouvoir d’achat et surtout à l’engagement du pays dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Le gouvernement sait pertinemment que l’objectif de 4,8 % cette année, basé sur une croissance de 4%, est impossible à atteindre.
La dette
Elle est le résultat de plus de quarante ans de déficit, atteint déjà des sommets avec 2813 milliards en 2021 soit une hausse de 165 milliards par rapport à l’année précédente.
Compte tenu de la conjoncture difficile nous devrions atteindre les 3000 milliards en fin d’année. Là aussi le retour aux 60 % annoncés relève purement du fantasme.
Bruno Le Maire affirme qu’ils diminuent, mais pourquoi les prélèvements obligatoires sont-ils passés de 43,8 % en 2019 (source Insee) à 44,5 % en 2021 ?
Baisser les impôts d’un côté pour les augmenter ailleurs est de la tromperie !
Balance commerciale
Malgré la volonté du ministre de retrouver une balance commerciale positive d’ici 10 ans, celle-ci a atteint un déficit historique de 84,7 milliards en 2021. Les prévisions pour 2022 sont supérieures à 100 milliards.
Chômage
Élisabeth Borne nommée Premier ministre du second mandat de M. Macron, a été sa ministre du Travail, de l’emploi et de l’insertion.
Baisse historique du chômage à 7,3 % contre 8 % en 2020 : dans le principe on ne peut qu’applaudir, mais en regardant dans le détail la réalité est tout autre.
En effet, le nombre de chômeurs inscrits a baissé de 4 % sur un an (du premier trimestre 2021 au premier trimestre 2022 source « journaledunet.com «) passant de 2 844 900 à 2 721 300 soit 123 600 inscrits en moins.
Pendant la même période l’augmentation du nombre de personnes en formation, qui sortent d’office des statistiques chômage, a été de 190 000 (718 000 en 2021 en augmentation de 36 % par rapport à 2020).
La réalité est donc que le chômage n’a pas diminué en 2021 mais augmenté de 66 400 !
Ceci sans compter les 50 000 fonctionnaires supplémentaires embauchés en 2021.
Sécurité et justice
Selon le ministre de l’Intérieur, « la délinquance générale a baissé ». Il s’agit des sources de l’année 2020 donc avec le confinement. Depuis, les statistiques sont nettement à la hausse contredisant ses affirmations.
Évolution de la délinquance en 2021 :
Violence sexuelle…………….. + 33 % Escroqueries…………………… + 15 % Trafic de stupéfiant………….. + 13 % Atteinte aux personnes…….. + 12 % Atteinte aux biens……………. + 5 %
La justice française est devenue de plus en plus laxiste, les peines sont trop souvent inappliquées par faute de place dans les prisons… à cause du non-respect des engagements du gouvernement à ce sujet.
Éducation
Les trois priorités du mandat de Jean-Michel Blanquer rappelées lors de sa passation de pouvoir au nouveau ministre de l’éducation : bonheur, excellence, République.
Force est de constater un échec : le bonheur des élèves est contestable, l’excellence est contredite par les tests PISA et la République a été malmenée (décapitation et agressions de professeurs et grandes écoles sous influence)
La pandémie a mis en lumière un système de santé publique à bout de souffle, gangréné par une administration hors sol et contre-productive, mettant ainsi fin à notre certitude d’avoir le meilleur système de santé au monde, formule encore et toujours rabâchée.
Conclusion
Dormez bien, l’État s’occupe de tout et surtout croyez nos dirigeants sur parole lorsqu’ils vous l’affirment.
Mais les faits sont là et ne sont malheureusement pas encourageants : faiblesse économique endémique, lâcheté devant l’héritage financier laissé à nos enfants, obstination à vouloir travailler toujours moins sans en assumer les conséquences, défense sacrifiée à notre bien-être.
Une femme de Virginie-Occidentale respectueuse des lois avec une arme à feu dissimulée arrête une fusillade de masse
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 28 MAI 2022 - 14:45
Au lieu d'attendre l'arrivée de la police, une femme avec un permis de transport dissimulé en Virginie-Occidentale a agi rapidement pour arrêter un homme fou avec un fusil de style AR-15 qui était sur le point de tuer des dizaines de personnes lors d'une fête de remise des diplômes.
"Au lieu de fuir la menace, elle s'est engagée dans la menace et a sauvé plusieurs vies la nuit dernière", a déclaré le chef des détectives du département de police de Charleston, Tony Hazelett, aux informations locales WCHSTV.
L'incident s'est produit mercredi lorsque Dennis Butler, 37 ans, a été irrité par un groupe de personnes organisant une fête de remise des diplômes qui lui ont dit de ralentir dans un complexe d'appartements à Charleston. Il est revenu 30 minutes plus tard, a garé son véhicule, a sauté sur la banquette arrière et a déchargé son arme vers le groupe de 30 à 40 personnes.
À l'insu du tireur, une citoyenne respectueuse des lois avec un CCW se trouvait dans le groupe et a rapidement sorti son arme et a engagé Bulter avec un tir direct, le blessant mortellement.
"Il y avait une fête de remise des diplômes, une fête avec des enfants", a déclaré Hazelett lors d'une conférence de presse. "Donc, évidemment, quelqu'un vient d'obtenir son diplôme d'études secondaires et une autre fête d'anniversaire. Nous aurions pu avoir une victime en train de tirer là-bas." Il a estimé qu'entre 30 et 40 personnes ont assisté aux fêtes.
Aucun blessé n'a été signalé en dehors du tireur. La police n'a pas encore dévoilé le nom de la femme, bien qu'elle ait déclaré qu'elle ne faisait pas partie des forces de l'ordre et qu'elle n'était qu'une citoyenne respectueuse des lois.
La police de Charleston discute de l'incident.
Ainsi, une bonne femme avec une arme à feu empêche une mauvaise personne avec de mauvaises intentions et un casier judiciaire chargé de commettre une fusillade de masse. La société devrait-elle la considérer comme une héroïne pour avoir sauvé la vie de dizaines de personnes ?
La Californie s'apprête à adopter un «projet de loi sur la désinformation médicale» ciblant des protocoles alternatifs COVID-19
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 29 MAI 2022 - 02:30 Écrit par Patricia Tolson via The Epoch Times
La législature de Californie est sur le point d'adopter le projet de loi 2098 de l'Assemblée, décrit comme un "projet de loi sur la désinformation médicale". Si elle est adoptée, la nouvelle loi interdirait aux médecins de fournir librement des conseils médicaux et de traiter leurs patients si ces pratiques vont à l'encontre de la position officielle sanctionnée par l'État.
En avril 2020, le Département de la consommation de l'État de Californie, le Conseil de la pharmacie de l'État de Californie et le Conseil médical de Californie ont publié une déclaration (pdf) concernant la «prescription inappropriée de médicaments liés au traitement du nouveau coronavirus», comme l'hydroxychloroquine , avertissant que "la prescription ou la distribution inappropriée de médicaments constitue une conduite non professionnelle en Californie".
Le 29 juin 2021, la Fédération des conseils médicaux d'État a émis un avertissement, déclarant que « les médecins qui génèrent et propagent la désinformation ou la désinformation sur le vaccin COVID-19 risquent des mesures disciplinaires de la part des conseils médicaux d'État, y compris la suspension ou la révocation de leur licence médicale. ”
En août 2021, le Dr Anthony Fauci a déclaré qu'il n'y avait aucune preuve que l'ivermectine fonctionne et qu'elle est plus susceptible de causer des dommages. En décembre 2021, la Food and Drug Administration a publié un avertissement intitulé "Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l'ivermectine pour traiter ou prévenir le COVID-19". Dans un rapport mis à jour le 29 avril 2022, le groupe d'experts sur les directives de traitement du COVID-19 a déclaré qu'il "recommande de ne pas utiliser l'ivermectine pour le traitement du COVID-19, sauf dans les essais cliniques".
Si l'AB 2098 devenait loi, les médecins qui prescrivent des médicaments non approuvés par l'État ou qui prétendent que des médicaments non autorisés sont efficaces verraient leurs licences révoquées et s'exposeraient à des sanctions sévères et à des mesures disciplinaires de la part du Medical Board of California.
En bref, l'AB 2098 désignerait la diffusion d'informations non approuvées par l'État concernant le coronavirus SARS-CoV-2, qui cause le « COVID-19 », comme de la désinformation ou de la désinformation, ce qui constitue une conduite non professionnelle.
Un médecin, le Dr Syed Haider, a déjà été signalé à quatre conseils médicaux d'État par des pharmaciens qui, selon lui, "n'aiment pas remplir les ordonnances d'ivermectine". Il a également été contraint de retenir les services d'un avocat pour protéger sa licence médicale.
Depuis décembre 2020, après avoir réalisé que les États-Unis avaient délocalisé presque toute la fabrication de médicaments sur ordonnance vers des pays hostiles comme la Chine, Haider s'est concentré sur la prévention et le traitement du virus du PCC (Parti communiste chinois) par le biais de son initiative en ligne mygotodoc.com, en fournissant un accès en ligne facile aux prescriptions hors AMM telles que l'ivermectine, l'hydroxychloroquine, le budésonide et les protocoles pour le COVID, le long COVID et les blessures vaccinales.
« Il y avait une telle demande pour cela, cela a pris le dessus sur ma vie », a déclaré Haider, qui était « un médecin hospitalier », à Epoch Times. "Puis, la pandémie a frappé."
Début février 2020, Haider a contracté le virus du PCC dans un hôpital dans lequel il travaillait. Son travail de médecin itinérant temporaire dans de nombreux cabinets médicaux et hôpitaux touchait à sa fin et il pensait qu'avec l'épidémie de pandémie, il y aurait être beaucoup de travail. Cependant, bien qu'il ait postulé pour un poste dans un hôpital de New York, Haider avait commencé à entendre parler de prescription en ligne et il a commencé à travailler par l'intermédiaire d'un fournisseur de télémédecine en ligne anonyme aux États-Unis.
"Une fois que j'ai entendu parler de l'ivermectine et de la prescription hors AMM, les gens se présentaient sur le site Web en ligne pour demander de l'aide avec COVID et j'essayais de leur parler des médicaments hors AMM", se souvient Haider. «Et ils me lançaient simplement un regard vide. À part l'hydroxychloroquine, ils n'avaient jamais entendu parler de médicaments comme l'ivermectine. Ils pensaient que j'étais fou. Je pense que la pensée était: "Si ce truc fonctionne, pourquoi n'en ai-je pas entendu parler sur CNN, Fox News ou MSNBC ?"
Selon Haider, ce qui a vraiment changé les choses pour lui, c'est quand il a vu le 8 décembre 2020, le témoignage du Dr Pierre Kory (pdf) devant le sénateur Ron Johnson et la réunion du comité de la sécurité intérieure concernant le traitement précoce du COVID-19, " non seulement en tant que médecin individuel », mais aussi au nom de son organisation à but non lucratif, la Front-Line COVID-19 Critical Care Alliance.
"Bien que, comme beaucoup, nous soyons extrêmement encouragés par les succès apparents dans le développement de vaccins efficaces", a déclaré Kory, "nous sommes également consternés par l'absence presque totale de conseils et de recherche sur des options de traitement précoce, à domicile ou préventif efficaces à part des vaccins – une réalité que nous trouvons inadmissible.
C'est "avec une grande fierté et un optimisme significatif" que Kory a rapporté que son groupe, "dirigé par le professeur Paul E. Marik", avait "développé un protocole très efficace pour la prévention et le traitement précoce du COVID-19", et que " publications émergentes » avaient fourni « des données concluantes sur l'efficacité profonde de l'antiparasitaire, médicament antiviral, agent anti-inflammatoire appelé ivermectine à tous les stades de la maladie ».
"C'était très clair sur son visage et dans son comportement qu'il était vraiment contrarié et très sincère et c'est devenu viral sur Internet", se souvient Haider. "Ensuite, les gens ont commencé à entendre de la famille et des amis qu'ils avaient utilisé l'ivermectine et que cela a fait une différence pour eux, et les gens sont allés en ligne pour trouver des médecins qui le prescriraient. À ce moment-là, les choses sont devenues très occupées et j'ai dû créer mon propre site Web et le prescrire en ligne aux patients. Au cours de l'année et demie suivante, les choses se sont vraiment intensifiées. De plus en plus de gens avaient commencé à entendre parler de l'ivermectine, donc de plus en plus de gens la recherchaient.
Selon le site Web, "mygotodoc facilite la protection de vous et de votre famille, en répondant à trois besoins importants que la communauté médicale au sens large a tendance à ignorer : (1) des antibiotiques d'urgence à avoir sous la main en cas de catastrophe et les médicaments sur ordonnance ne sont pas disponibles, (2 ) des fournitures de secours d'un mois de vos médicaments habituels et (3) des protocoles COVID hors AMM sûrs conçus pour la prévention et le traitement.
"Moi-même et d'autres médecins du monde entier ont obtenu des résultats incroyables avec des protocoles hors AMM, notamment l'ivermectine, l'hydroxychloroquine, le budésonide et un certain nombre d'autres protocoles", a expliqué Haider. « Ce que vous entendez sans cesse parler du traitement réussi de 5 000, 7 000 ou 10 000 patients et peut-être d'un décès. Ce sont des chiffres choquants par rapport à ce que vous entendez avec les traitements conventionnels recommandés par le CDC ou la FDA et à ce que font les hôpitaux et autres médecins qui n'utilisent pas de protocoles non conformes.
Personnellement, Haider a traité plus de 50 000 patients liés au COVID, dont beaucoup de personnes âgées. Il a déclaré que parmi ses patients, il n'y a eu aucun décès et seulement cinq hospitalisations. Malgré son succès, en vertu du projet de loi AB 2098 proposé par la Californie, l'utilisation de méthodes similaires par les médecins obligerait l'État à interférer et à les persécuter pour avoir fourni des soins indépendants.
"Comme beaucoup d'autres médecins à travers le monde, j'ai juste essayé de sensibiliser à cela", a expliqué Haider. "Mais, comme beaucoup de médecins en Amérique, j'ai reçu des lettres de l'American Medical Association, le Federal State Medical Board m'avertissant que ma licence est en danger si je parle des vaccins ou si je répands de fausses informations ou si je prescris l'ivermectine. J'ai été repoussé par des pharmaciens, des compagnies d'assurance, des conseils médicaux de plusieurs États, qui m'ont envoyé des plaintes et m'ont demandé d'expliquer pourquoi je menais des essais expérimentaux sur des patients et pourquoi je prescrivais de l'ivermectine.
Avant tout cela, Haider avait travaillé pendant plus de 10 ans en tant que médecin hospitalier formé en médecine interne et n'avait "jamais eu une seule plainte de qui que ce soit sur quoi que ce soit".
"Donc, ce fut une expérience très étrange au cours des deux dernières années de voir ce qui est arrivé aux prestataires de soins médicaux, y compris les pharmaciens", a expliqué Haider. « Les pharmaciens nous repoussaient parce qu'ils recevaient des lettres de leurs conseils de pharmaciens les avertissant de ne pas le distribuer. ”
Selon Haider, les voix dissidentes ont été muselées et censurées dès le début de la pandémie et elles sont maintenant menacées de perdre leurs licences médicales. Pour cette raison, Haider a dû retenir les services d'un avocat.
"C'est très stressant de devoir répondre à une commission médicale", a-t-il expliqué, ajoutant qu'il s'agissait d'un "processus très opaque".
« Vous ne savez pas qui va le voir ou le revoir. Vous ne savez pas s'ils sont favorables ou non à ce que vous faites ou s'ils ne sont pas d'accord avec ce que vous faites, et ce n'est pas comme un tribunal où vous pouvez faire venir des témoins pour votre défense. Ils prennent juste une décision et parfois ils ne vous expliquent même pas la raison derrière cela.
Pire que cela, Haider a déclaré que son expérience lui donnait l'impression qu'ils essayaient d'amener des médecins comme lui à "se faire trébucher et à dire les mauvaises choses" et à s'incriminer.
"L'une des commissions médicales m'a accusé de mener des essais médicaux expérimentaux", a-t-il déclaré. "Ce n'est pas comme s'ils ne savaient pas que je prescrivais hors AMM. Nous faisons tout le temps des prescriptions hors AMM en médecine. Environ 40 % des prescriptions sont hors AMM et ne relèvent pas de la catégorie "expérience". Il ne s'agit pas d'un essai médical expérimental non autorisé. Mais ils utilisent cette formulation pour essayer de me faire me défendre contre cette attaque. Si je leur avais bêtement répondu et essayé de me défendre contre leur terminologie, je me serais incriminé parce que je ne peux pas mener une expérience sans avoir un comité d'examen, une autorisation et des formulaires de consentement spécifiques pour les essais expérimentaux de médicaments.
Haider a expliqué comment, au cours de la tendance actuelle à vilipender l'ivermectine, "tout le monde semble oublier qu'au cours des six derniers mois, ils ont eu les mêmes problèmes avec la prescription d'hydroxychloroquine".
"Je peux envoyer une ordonnance d'hydroxychloroquine à n'importe quel pharmacien et ils la rempliront sans poser de questions", a-t-il déclaré. "Mais maintenant, ils ne rempliront pas d'ivermectine. Cela semble presque politique plutôt que médical. Ce n'est pas scientifique. Il se passe autre chose et c'est très étrange. On peut désormais prescrire des choses par l'intermédiaire des pharmacies qu'ils vilipendaient. Mais parce que tout notre établissement médical a maintenant décidé que l'ivermectine devait être tuée, les pharmaciens ont maintenant un problème avec l'ivermectine.
Selon Haider, le but de ce qu'il a décrit comme le "projet de loi sur la désinformation médicale" devant l'Assemblée législative de Californie est d'empêcher les médecins de dire des choses que l'État considère comme de la désinformation. « Cela, dit-il, soulève la question de savoir qui décide quelle est la vérité ? »
Le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, témoigne lors d'une audience du Comité sénatorial de la santé, de l'éducation, du travail et des pensions à Capitol Hill le 11 janvier 2022 (Shawn Thew/Getty Images) "Dans n'importe quel domaine ou entreprise scientifique, il n'y a pas de vérité absolue", a-t-il expliqué, affirmant que "Dr. Fauci n'est pas une science, comme il prétend l'être.
« Il n'a pas le dernier mot sur ce qu'est la vérité scientifique. Nous nous rapprochons toujours de la vérité, mais nous ne sommes jamais arrivés à une vérité définitive en médecine. Il faut donc toujours qu'il y ait place au débat. Les médecins doivent être capables de prendre plusieurs côtés différents d'un argument. Les médecins doivent donc être capables de se débrouiller entre eux et de prescrire des médicaments hors AMM. Vous ne pouvez pas isoler une maladie et dire : "Ce n'est pas permis compte tenu de la façon dont nous avons pratiqué la médecine au cours des 100 dernières années." Les patients doivent pouvoir consulter leur médecin, discuter des traitements et des risques et prendre des décisions sans l'ingérence du gouvernement.
"Dans presque tous les hôpitaux et cliniques aux États-Unis en ce moment, il est considéré comme une forme de désinformation ou de désinformation de dire autre chose que les vaccins sont sûrs et efficaces", a noté Haider. "Dire qu'il y a des risques associés aux vaccins est prétendu être de la désinformation ou de la désinformation, et la définition de travail de la désinformation ou de la désinformation semble être tout ce qui empêcherait quelqu'un de se soumettre ou de douter des directives et recommandations de la FDA et du CDC."
Ce projet de loi affecterait tout médecin agréé en Californie, y compris Haider.
Si l'AB 2098 devient loi, tout médecin prescrivant de l'ivermectine, même à la demande de son patient, peut perdre sa licence d'exercice de la médecine en Californie.
«Une fois que vous perdez votre licence dans un État et que vous avez des licences pour pratiquer dans d'autres États, vous devez signaler que vous avez perdu votre licence en Californie à tous les autres États dans lesquels vous êtes autorisé, puis chaque commission médicale commencera à poser des questions comme, 'Pourquoi avez-vous perdu votre licence en Californie.' Une fois que la boule de neige commence à rouler, selon ce que le conseil médical pense du raisonnement derrière la perte de votre licence en Californie, vous pouvez perdre toutes vos licences.
À la suite de la pandémie, Haider a noté comment le pays a été encore plus compromis par des retards sans précédent dans les lignes d'approvisionnement. Nous n'avons plus de fabrication nationale de presque tous les médicaments, y compris et surtout les antibiotiques. En fait, la Chine a capturé plus de 97 % du marché américain des antibiotiques. Dans le contexte d'une inflation galopante, de pénuries alimentaires et de la flambée des prix de l'essence, il est facile d'imaginer une Amérique où les étagères des pharmacies sont vides, ou avec des stocks limités et d'énormes augmentations de prix.
Si AB 2098 devient loi, le précédent qui serait établi est que la Californie devienne le terrain d'essai d'une nouvelle législation, non seulement en médecine, mais dans tout, a déclaré Haider.
"Une fois que vous avez fait cette incursion en violation de l'autonomie des médecins sur la façon de traiter le COVID pour leurs patients, cela pourrait n'être que le début", a averti Haider. « Et après ça ? Allez-vous après la capacité d'un médecin à prescrire quoi que ce soit hors AMM ? Devons-nous être limités à ce qui a été approuvé par la FDA pour une indication ? Que se passe-t-il lorsque nous n'avons pas de médicament sur l'étiquette pour le traitement d'une indication ? Quoi alors ? Comment traitons-nous nos patients alors ?
Epoch Times a contacté le membre de l'Assemblée californienne Evan Low (D-Cupertino), parrain de la version de l'Assemblée du projet de loi, ainsi que le Conseil médical de Californie.
La pandémie de COVID-19 n'a jamais été ce qu'ils prétendaient, mais la pandémie de vaccin est RÉELLE
vendredi 27 mai 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le coronavirus de Wuhan (COVID-19) n'a jamais provoqué de pandémie. Mais les soi-disant vaccins créés pour répondre au COVID-19 l'ont fait.
C'est selon le Dr Reiner Fuellmich, un avocat plaidant allemand qui a remporté avec succès des procès contre des mégacorporations. Dans son pays d'origine, Fuellmich dirige la commission d'enquête extraparlementaire sur le coronavirus, une organisation à l'avant-garde de la lutte contre les restrictions et les vaccinations liées au COVID-19 et qui travaille à la tenue d'un procès de type Nuremberg contre les nations et les entreprises qui ont commis des crimes contre l'humanité au cours de la pandémie. (En relation: Un rapport choquant suggère que les vaccins COVID-19 ont causé des millions de décès dans le monde.)
"Nous n'avons de problème avec aucune pandémie, nous n'avons de problème avec aucun virus", a déclaré Fuellmich lors d'une interview avec Alex Jones d'InfoWars. "Nous n'avons de problème qu'avec les tactiques alarmistes conçues pour nous pousser à accepter des tirs qui causeront alors le vrai problème. C'est la vraie pandémie. C'est… le système immunitaire compromis. Ce sont des maladies thrombotiques induites par les vaccins.
Il a ajouté que la vraie pandémie est les complications de santé causées par les vaccins COVID-19. "Rien de ce que nous voyons n'est réel, à l'exception des dommages que les vaccins - les soi-disant vaccins - induisent."
Fuellmich mène la lutte pour tenir les instigateurs de la pandémie responsables
Fuellmich dirige également une organisation appelée le Tribunal populaire de l'opinion publique. Ce groupe a publié plusieurs rapports détaillant les nombreuses violations des droits humains infligées par des politiciens, des scientifiques et des dirigeants d'entreprises du monde entier pendant la pandémie de COVID-19.
Au cours d'une audience publique en février, qui a été convoquée pour galvaniser le soutien du public à intenter des poursuites judiciaires contre les principales entités et organisations criminelles, Fuellmich a expliqué en détail comment la pandémie causée par le coronavirus a été conçue.
"Premièrement, il n'y a pas de pandémie corona, mais seulement un test PCR" plandémique "alimenté par une opération psychologique élaborée conçue pour créer un état de panique constant parmi la population mondiale", a-t-il expliqué. "Ce programme a été planifié de longue date."
Fuellmich fait référence aux tests de réaction en chaîne par polymérase largement reconnus comme étant le moyen le plus précis pour les gens de savoir s'ils ont ou non le COVID-19. Mais comme Ben Armstrong l'a noté lors de son émission, "The Ben Armstrong Show", les tests étaient défectueux dès le début.
«Vous deviez passer ces tests qui s'allument pour tout type de coronavirus et étaient conçus pour être extrêmement sensibles de sorte que même si vous n'étiez pas malade et qu'ils étaient juste, disons, un faux positif… eh bien, vous allumez positif, », a déclaré Amstrong.
La plupart de ceux qui ont été testés positifs ont été informés qu'il s'agissait de cas asymptomatiques. Mais, comme Armstrong l'a noté, en réalité, ils étaient tous de faux positifs.
"Tu sais que c'est une arnaque. Il n'y a rien de tel », a-t-il déclaré. "Si vous êtes asymptomatique, cela signifie que vous n'êtes pas malade. [Vous ne pouvez pas] infecter d'autres personnes tant que vous n'avez aucun symptôme. Non, cela n'arrive pas. Si vous êtes malade et que vous êtes contagieux et que vous pouvez infecter d'autres personnes, vous aurez toujours des symptômes. Il y aura des symptômes. »
Fuellmich a noté que les conspirateurs responsables de la pandémie ont également joué un rôle déterminant dans la promotion de l'utilisation des "injections expérimentales létales" et dans la diabolisation et le rejet de l'utilisation de traitements efficaces comme les régimes de vitamines C et D et de zinc, l'ivermectine et l'hydroxychloroquine.
L'objectif final de la pandémie, selon Fuellmich, est la mise en place d'un gouvernement mondial unique qui utilise une monnaie unique.
"Cela implique un contrôle de la population qui, à leur avis, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l'ADN de la population restante à l'aide d'injections expérimentales d'ARNm", a déclaré Fuellmich.
Regardez cet épisode de "The Ben Armstrong Show" du New American alors que l'animateur Ben Armstrong explique comment les vaccins COVID-19 ont provoqué la véritable pandémie.
- voir clip sur site -
Cette vidéo peut être trouvée dans la chaîne The New American sur Brighteon.com.
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Plus de preuves émergent prouvant que Pfizer a commis une fraude lors de l'essai du vaccin COVID-19.
L'excrétion du vaccin COVID-19 peut nuire aux personnes non vaccinées et causer de graves problèmes de santé comme des caillots sanguins de la taille d'un poing.
La vaccination de masse contre le COVID-19 est une politique mortelle et non scientifique qui entraînera une augmentation des taux de cancer, prévient le pathologiste.
Un scientifique avertit : les vaccins à ARNm continueront de tuer des gens, et ceux qui survivront seront des marionnettes du NWO – Brighteon.TV.
Les municipalités françaises distribuent des chèques alimentaires pour faire face à l'inflation alimentaire
vendredi 27 mai 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Partout en France, des municipalités ont commencé à fournir à leurs habitants des bons alimentaires pour aider les familles à faire face à la spirale de l'inflation alimentaire.
Les bons sont distribués par de nombreuses municipalités. Ils peuvent être encaissés dans les supermarchés et se déclinent en coupures de 5, 20 et 30 euros. (En relation: Près des deux tiers des Américains vivent désormais d'un chèque de paie à l'autre dans un contexte de crise de l'inflation.)
"Tout a augmenté de prix, tout, même les pâtes", a déclaré Bernadette Chacornac en français dans une interview à France 2. Chacornac est une retraitée vivant dans une communauté agricole en France. Elle compte sur une pension de 900 euros (964,7 $) par mois pour l'aider à payer les biens et services essentiels. En raison de l'inflation, cette maigre pension ne suffit plus.
"J'ai mon partenaire, j'ai mon fils, donc tous les trois ensemble, [c'est cher]", a-t-elle déclaré.
Lionel Buchet, maire de la commune de Saint-Arcos-de-Barges, dans le centre-sud de la France, a déclaré à France 2 que le prix des denrées alimentaires avait "terriblement bondi" au cours des derniers mois et s'est dit préoccupé par le fait que l'inflation alimentaire continuerait d'augmenter.
Selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), l'office national des statistiques français, le taux d'inflation en avril était de 4,8 %. L'institut pense que le taux d'inflation atteindra six pour cent ou plus en juin.
L'inflation en France a été tirée par la hausse de 25 % des prix du carburant et la hausse de 6 % des prix des aliments, les produits alimentaires les plus durement touchés étant les fruits, les légumes, les produits de boulangerie, les pâtes, l'huile de cuisson et la volaille.
L'Insee s'attend à ce que l'inflation continue d'augmenter au-delà de juin. Le bureau prédit que de nouvelles hausses "resteront dépendantes des développements géopolitiques autour de la Russie", se référant au conflit en cours en Ukraine et aux retombées économiques que subit l'Occident suite à l'imposition de sanctions.
Avant que la France ne suive ses alliés en sanctionnant Moscou, elle dépendait de la Russie pour environ 17 % de ses besoins en gaz et 9 % de ses besoins en pétrole.
Les administrations municipales auraient dépensé environ 37 millions d'euros (39,5 millions de dollars) en bons alimentaires.
Macron promet de donner plus de bons alimentaires plutôt que de contrôler l'inflation Le président récemment réélu Emmanuel Macron s'est engagé à augmenter les prestations sociales et à émettre davantage de bons alimentaires pour les ménages les plus pauvres du pays. Il veut faire cela au lieu de contrôler l'inflation.
Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a noté que le ministère des Finances a déjà préparé un budget révisé qui comprend une série de mesures pour couvrir les promesses de campagne pré et post-électorales du président. Cela comprend l'extension des plafonds de prix de l'énergie jusqu'à la fin de 2022, l'introduction de plus de bons alimentaires, le ciblage des subventions sur les carburants et la réduction des frais de licence de télévision et des taxes sur les primes pour les travailleurs à faible revenu.
Tous ces postes de dépenses sociales sont encore sujets à révision, d'autant plus que, comme l'a noté Attal, le gouvernement doit tenir compte de l'inflation. Le gouvernement n'a fait aucune déclaration reconnaissant qu'il prend en compte combien d'euros supplémentaires les contribuables français devront payer pour financer intégralement l'expansion de l'État-providence français.
Cette décision de fournir plus d'avantages tels que des bons alimentaires plutôt que de lutter directement contre l'inflation pourrait être un moyen de courtiser davantage d'électeurs dépendants de l'aide sociale avant les élections législatives de juin. La coalition gouvernementale de Marcon n'est que légèrement en avance dans les récents sondages et il risque de perdre sa majorité et de le laisser ainsi avec une législature hostile, ce qui pourrait entraver la volonté de Macron d'aller de l'avant avec des réformes économiques qui incluent des plans de maîtrise des dépenses sociales et de retraite.
Le principal rival du président pour obtenir la majorité à la législature est une coalition de gauche dirigée par le candidat à la troisième place, Jean-Luc Mélenchon. Cette alliance a fait des promesses plus radicales aux électeurs français qui maintiennent cette coalition électorale populaire quelle que soit la probabilité que ces politiques dévastent l'économie française.
En savoir plus sur la flambée des prix alimentaires dans le monde sur FoodInflation.news.
Regardez cette interview avec le Health Ranger Mike Adams alors qu'il explique comment la crise de la pénurie alimentaire s'avère être le plus grand choc de toute une vie.
Étude : Les albatros peuvent plonger jusqu'à 62 pieds sous l'eau pour chasser des proies, plus de deux fois plus profondément qu'on ne le pensait auparavant
Vendredi 27 mai 2022 par : Zoey Sky
(Natural News) Une étude a révélé que les albatros à sourcils noirs peuvent plonger jusqu'à 19 mètres dans la mer pour chasser des proies, soit plus du double de la profondeur que l'on pensait auparavant.
L'étude, qui a été publiée dans la revue Current Biology, a été dirigée par le zoologiste Oliver Padget de l'Université d'Oxford et ses collègues chercheurs de l'Université de Lisbonne et du British Geological Survey.
Pour l'étude, les chercheurs ont utilisé des accéléromètres, des capteurs de profondeur et un GPS pour étudier la population d'albatros à sourcils noirs sur New Island dans les Malouines. Ils ont surveillé les oiseaux alors qu'ils volaient vers la côte sud-américaine.
Faits sur l'albatros à sourcils noirs Un albatros à sourcils noirs est principalement blanc avec des pieds palmés orange jaunâtre, des reflets gris sur la tête et les ailes et un bec jaune vif. Un sourcil noir distinct leur donne leur nom.
Parmi les 24 espèces d'albatros, l'albatros à sourcils noirs est l'une des plus petites. Un oiseau adulte ne peut atteindre que 80 à 95 cm de long, avec une envergure de 210 à 250 cm et un poids de trois à cinq kilogrammes.
Les oiseaux volent assez bas et se nourrissent à la surface de la mer ou juste en dessous. Parfois, les albatros à sourcils noirs plongent d'une hauteur pouvant atteindre neuf mètres.
Les albatros à sourcils noirs se nourrissent principalement de krill et de poissons, avec quelques céphalopodes et méduses. Les oiseaux se nourrissent également de salpes, qui ressemblent à des méduses mais font partie des Tunicata, un groupe d'animaux également appelés ascidies.
Les albatros à sourcils noirs peuvent parcourir de longues distances pour trouver de la nourriture, et les voyages de recherche de nourriture peuvent prendre plusieurs jours et leur faire parcourir des centaines de kilomètres.
Selon des recherches antérieures, les mollymawks (le nom donné aux albatros de taille moyenne comme les albatros à sourcils noirs) ne plongent qu'à environ 20 à 30 pieds (six à neuf mètres).
Mais au cours de l'étude, les chercheurs ont découvert qu'au moins 50% des albatros à sourcils noirs étudiés pouvaient plonger à plus de 33 pieds (10 mètres). Certains oiseaux atteignent même près du double de cette profondeur.
Comprendre les comportements non observés, clé de la conservation Padget a indiqué qu'une meilleure compréhension du comportement non observé de l'albatros à sourcils noirs et d'autres oiseaux de mer en voie de disparition est importante pour les efforts de conservation.
Les chercheurs ont rapporté qu'au moins 15 des 22 espèces d'albatros sont actuellement menacées d'extinction. Au cours des dernières décennies, les populations ont également chuté.
L'un des principaux moteurs du déclin des espèces d'albatros est la façon dont les oiseaux de mer sont souvent capturés dans les palangres de pêche à crochet et appâtées utilisées pour attraper de gros poissons océaniques comme le thon.
Auparavant, les albatros étaient considérés uniquement comme des nourrisseurs de surface. (Connexe: les pétrels antarctiques (oiseaux) disparaissent mystérieusement de la montagne Svarthamaren.)
Avec les données de la récente étude sur les albatros à sourcils noirs montrant que les oiseaux sont physiquement capables de plonger beaucoup plus profondément, les experts doivent désormais également tenir compte de leurs capacités de plongée lorsqu'ils réfléchissent à «l'efficacité des stratégies d'atténuation qui reposent sur la limitation de l'espèce à la surface."
L'équipe a également ajouté que les albatros à sourcils noirs ne plongent pas la nuit. ce qui implique que les oiseaux se fient à leur vision pour cibler les bancs de poissons en profondeur. Padget a suggéré que les palangres pélagiques pourraient être installées la nuit lorsque les albatros pourraient être moins susceptibles de chasser les appâts et de se faire prendre.
Tim Guilford, auteur de l'étude et expert en comportement animal de l'Université d'Oxford, a suggéré que la plongée parmi les albatros à sourcils noirs pourrait être le résultat d'une flexibilité comportementale inédite.
"Les résultats de l'étude peuvent avoir des conséquences importantes sur la façon dont les gens considèrent les risques pour les espèces menacées et sur la façon dont ils pourraient réagir au changement", a conclu Guilford.
Visitez Ecology.news pour lire plus d'articles sur des exploits d'animaux inhabituels et impressionnants.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur certains faits intéressants sur les oiseaux sauvages.
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne KC-Sunbeam sur Brighteon.com.
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Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
RépondreSupprimerPar Samuel Eckert
Mondialisation.ca, 27 mai 2022
Ce que vous allez lire dans la série d’articles « La confirmation par écrit – Les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène » semble presque inconcevable. Cette série se composera de plusieurs articles, qui seront publiés au fur et à mesure, exclusivement sur Corona_Fakten [1]
La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.
Cet article devrait faire taire tous ceux qui nous reprochaient de créer un nuage de fumée pour ridiculiser les critiques. Car ce n’est pas nous qui soutenons encore et toujours ce narratif, ce sont ceux qui se refusent encore aujourd’hui à remettre l’existence des virus en question.
Mais il semble plutôt que la triste réalité soit que la plupart des critiques, qui considèrent que la question de l’existence des virus est ridicule ou qui l’ignorent intentionnellement, sont tout simplement poussés par la peur d’être mis à l’écart ou d’être catalogués comme des hurluberlus, et peut-être de perdre des « suiveurs ».
Petit conseil pour ces personnes : vous pouvez oublier vos craintes. Nous avions et nous avons les connaissances requises pour traiter ce sujet, pour le proclamer à la face du monde et même pour offrir 1,5 millions d’euros [2] à qui pourra citer une publication conforme aux règles scientifiques.
Il ne peut y avoir qu’une seule raison pour laquelle cet argent n’a pas encore été réclamé — ce montant est d’ailleurs supérieur à celui du prix Nobel : personne ne connaît de publication conforme aux règles prescrites par la science !
Des compagnons de lutte et nous, de Corona_Fakten, avons écrit à différents chercheurs, virologues, biologistes moléculaires, avocats, médias et à d’autres personnes en les priant de nous citer la ou les publications apportant les preuves scientifiques de l’existence d’un coronavirus, y compris les essais de contrôle documentés de toutes les étapes réalisées pour cette démonstration.
Mais jusqu’ici personne n’a manifestement été en mesure de nous répondre, ce qui en dit très long. Et, a contrario, cela signifie que les responsables se reposent aveuglément sur les déclarations de tiers, sans vérifier eux-mêmes ces affirmations et en les acceptant sans la moindre critique comme des faits parfaitement établis.
Ceci est malheureusement notre triste réalité quotidienne !
Pour moi, les raisons de ce dilettantisme sont claires :
Ou bien :
ceux qui étaient censés rédiger les publications nécessaires sont simplement trop paresseux ;
ceux qui étaient censés lire ces publications étaient trop « occupés » ;
ils ont été si pressés par le temps du fait de la panique provoquée par les médias qu’ils n’ont pas pris le temps d’éliminer l’énorme quantité d’erreurs de leurs publications;
ils n’étaient pas en mesure de comprendre la teneur des publications les plus importantes;
Ou bien :
ils ont agi de manière délibérée, intentionnellement — ce qui serait la pire de toutes les variantes !
RépondreSupprimerPourquoi doutons-nous de l’existence du SARS-CoV-2 et de tous les autres prétendus virus pathogènes ?
Nous allons essayer de vous expliquer brièvement, chers lecteurs, pourquoi l’existence même des prétendus virus pathogènes est mise en doute, et pourquoi ce fait est le point le plus important de tous ceux qui circulent actuellement parmi les personnes qui doutent des virus.
La raison certainement la plus déterminante est qu’avec la réfutation de l’affirmation de la découverte d’un nouveau virus pathogène, toutes — et réellement toutes — les mesures et restrictions, ainsi que toutes les vaccinations seraient immédiatement balayées d’un revers de la main et ne constitueraient rien d’autre qu’un danger pour la santé et la vie des personnes !
Une autre approche pourrait être que la reconnaissance du fait que cette idée de virus dangereux flottant dans l’air n’est qu’un fantasme permettrait d’ouvrir une nouvelle voie pour une médecine raisonnable pensée pour l’homme, dans laquelle les causes de la « maladie » et les « symptômes » seraient clairs et compréhensibles — ce qui retirerait leurs moyens d’existence à de nombreux secteurs de l’industrie pharmaceutique.
Les discussions sur les tests, les statistiques (nombre de morts, de personnes réellement « malades »), les mesures et autres permettent toujours de dévier sur des argumentations qui à leur tour débouchent sur de nouvelles discussions sans fin…
En d’autres mots : tous ceux qui ne posent pas la question de l’existence des virus soutiennent automatiquement le narratif des virus pathogènes, qui n’a JAMAIS été prouvé de manière scientifique. Ces personnes critiques contribuent ainsi, peut-être inconsciemment, à alimenter en permanence la pandémie.
Pourquoi sommes-nous si sûrs qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’un virus pathogène ?
La réponse à cette question est presque trop simple, même si cela semble inconcevable.
En 1998 [3], du fait de falsifications nombreuses, systématiques et importantes dans la recherche sur les infections et le cancer, des « propositions pour la garantie de bonnes pratiques scientifiques » ont été rassemblées et publiées dans un système réglementaire. Elles ont été rédigées en 1997 par une commission internationale à la demande de la Deutsche Forschungsgesellschaft (DFG) et précisées par les universités et la Conférence des Recteurs allemands, publiées en version papier et sur l’Internet, et rendues obligatoires en Allemagne pour toutes les institutions scientifiques d’État et tous les scientifiques. Ces règles et prescriptions font partie du contrat de travail de chaque chercheur.
La science doit être compréhensible par chacun et réfutable.
RépondreSupprimerMalheureusement, ces règles sont ignorées en permanence dans la virologie, ce qui conduit à des comportements anti-scientifiques.
L’autre point est la découverte même d’un virus pathogène.
Différentes étapes sont nécessaires pour permettre une telle affirmation. Si ces étapes ne sont pas réalisées, il n’est pas possible de parler d’une preuve scientifique irréfutable, mais tout au plus d’une spéculation — et il y a un gouffre d’une spéculation à une preuve !
Pour affirmer qu’une structure bien spécifique est responsable de l’apparition de symptômes bien spécifiques, il faut qu’au moins trois étapes aient été réalisées et documentées en intégralité :
Isolation de la prétendue structure
La structure doit être isolée à partir des prélèvements d’un patient malade. Elle doit être isolée au sens propre de ce terme, c’est-à-dire séparée de tous les autres constituants du prélèvement. Déjà Luc Montagnier savait cela et l’a confirmé pour le HIV [4]. Cette étape est obligatoire car, dans le cas contraire, il n’est pas possible d’affirmer que les fragments de gènes séquencés qui ont été obtenus font partie d’une seule structure.
Si l’échantillon « isolé » comporte encore un autre matériel génétique, il n’est pas possible d’attribuer les séquences génétiques obtenues. L’affirmation qu’il s’agit ici d’une procédure standard dans la virologie n’améliore en rien cette situation. Au contraire, elle démontre l’aveuglement de la virologie.
Ce genre de séquençage produit de nombreuses séquences génétiques courtes à partir d’un mélange de toutes les possibilités. Il est donc impossible de déterminer le vrai responsable.
Le brin de génome du prétendu virus obtenu doit être unique.
Les séquences génétiques séquencées, ou l’assemblage de celles-ci (alignement de séquences) en une longue séquence génétique présentée ensuite comme le génome viral ne doivent pas :
être trouvées dans l’ARN humain/microbien obtenu par lavage pulmonaire d’une personnes en bonne santé,
être trouvées chez une personne souffrant d’une autre affection pulmonaire,
être trouvées chez une personne ayant été testée négative au SARS-CoV-2,
être trouvées dans de l’ARN issu d’échantillons de contrôle datant de l’époque où le virus du SARS-CoV-2 n’était pas encore connu.
Toutes les étapes des expériences de contrôle doivent être réalisées et documentées.
La première expérience de contrôle serait, comme décrit ci-dessus, la construction du génome sur la base d’échantillons d’origines diverses.
La deuxième expérience de contrôle résultant de la logique scientifique est de contrôler de manière approfondie, au moyen de la technique PCR (real-time RT-PCR) développée, si des échantillons cliniques de personnes souffrant d’autres maladies que celles attribuées au virus et des échantillons de personnes, d’animaux et de plantes en bonne santé ne s’avèrent pas eux aussi « positifs » à ce test.
RépondreSupprimerLa troisième expérience de contrôle concerne l’effet cytopathique provoqué en laboratoire, dont il est affirmé qu’il est dû à un virus. Ici non plus, aucun groupe de contrôle n’est disponible.
[Voir aussi :
►Démontage de la théorie virale
►VIRUS TUEUR ??
►Dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
►L’enterrement de la théorie virale
►La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
►La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
►Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
►Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
►Dr Valentina Kiseleva Le virus et autres mythes
►Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
►Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
►Fauci et la grande arnaque du SIDA
►Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
►Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
►Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
►Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
►Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
►87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
►Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
►Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
►Parlons contamination
►La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
►Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
►La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
►Le culte de la virologie – Documentaire
►Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
►La théorie des germes : Une erreur fatale
►Épidémies et contagions
►Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
►Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
►Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
►Les Racines de nos Maladies
►Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
►Graphène et 5G]
Nous avons questionné aussi bien des virologues et des épidémiologistes critiques que des défenseurs des mesures contre le coronavirus, aucun n’a été en mesure de citer une seule publication qui aurait respecté les règles du travail scientifique.
RépondreSupprimerProf. Sucharit Bhakdi & Prof. Karina Reiss
Commençons par deux scientifiques respectés opposés aux mesures, dont l’un n’a ensuite plus été sûr si le « premier » SARS-CoV-2 en Chine n’a jamais été isolé… [5]
Après que le Prof. Bhakdi et son épouse, le Prof. Karina Reiss ont clairement répondu oui à la question du public [6]
« si le SARS-CoV-2 avait vraiment été isolé » et prétendaient même s’appuyer sur des expérimentations animales réussies, nous leur avons demandé de manière ciblée s’ils pouvaient nous citer la ou les publications scientifiques, documentant la preuve, c’est-à-dire l’isolation, d’un nouveau coronavirus, avec les expérimentations animales correspondantes.
La première réponse du Prof. Bhakdi a été :
« Merci de télécharger notre article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag (éditions Goldegg). L’information se trouve dans la citation 5. Les souches du SARS-CoV-2 peuvent être obtenues auprès de l’European Virus Archive Global. »
Malheureusement, son message renvoyait simplement à une étude de synthèse et pas à des publications directes, ce qui n’avait que peu d’utilité et renforçait le soupçon qu’aucun des deux ne pouvait citer de publication.
Nous avons alors posé des questions plus concrètes, de manière à éviter toute possibilité d’échappatoire :
Question :
« Pouvez-vous me citer une publication concrète affirmant l’existence d’un SARS-CoV-2 avec des preuves scientifiques et pouvez-vous nous indiquer les passages dans cette publication qui documentent la démonstration ET les expériences de contrôle prouvant que ce sont bien des séquences nucléotidiques virales et non cellulaires qui ont été alignées en un long génome viral. »
Et c’est ici que les choses deviennent intéressantes.
Le Prof. Bhakdi & le Prof. Reiss nous ont cité la publication suivante comme preuve de la démonstration de l’isolation d’un SARS-CoV-2, avec ses expériences de contrôle :
Publication : « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea » [7]
Nous avons demandé à l’auteur de la publication lui-même si les prises de vue au microscope électronique réalisées dans ses expériences in vitro représentaient des virus purifiés, ce que celui-ci a confirmé par écrit [8]
Auteur ayant répondu : Wan Beom Park
Date : 19 mars 2020
Réponse : « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. »
Traduction :
RépondreSupprimer« Nous n’avons pas obtenu de prise de vue au microscope électronique montrant le degré de purification. »
[8]
Toute personne examinant les images constate immédiatement qu’il n’y a pas de structures sous forme isolée.
- voir photos sur site -
[7]
Il est affirmé ici qu’une structure virale a été photographiée à l’intérieur de cellules (et non isolée, comme l’auteur de l’étude l’a confirmé en personne). L’affirmation que cette étude démontre un virus sous forme isolée n’est à aucun moment corroborée.
L’attribution d’une pathogénicité à une structure sans avoir isolée celle-ci au préalable, ni réalisé les expérimentations de contrôle nécessaires, ne doit et ne peut pas être qualifiée de scientifique !
Par ailleurs, aucune expérimentation de contrôle n’a été réalisée dans le cadre de cette étude, ce que nous avions cependant mentionné et demandé explicitement, et ce qui constitue une obligation pour tout scientifique.
La question se pose ici de savoir pourquoi le Prof. Bhakdi et le Prof. Karina Reiss ne sont pas, ou ne veulent pas être au courant de ce fait, et pourquoi ils ont malgré tout voulu nous faire accepter cette étude comme preuve.
Ce fait doit être clair pour tout le monde maintenant : aucun des deux n’a fait de vérifications, ou ils ignorent ce fait pour d’autres motifs. Tous deux bafouent ainsi les règles et les obligations de tout scientifique.
Ce qui nous offusque personnellement, c’est que tous deux continuent d’affirmer publiquement que le virus existe, que cela a été prouvé depuis longtemps, qu’ils évitent toute discussion avec nous à ce sujet, mais qu’eux-mêmes ne sont pas en mesure de citer une seule publication.
Après avoir fait remarquer cela au Prof. Reiss et au Prof. Bhakdi, ils nous ont à nouveau renvoyés à leur article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag « citation 5 », avec l’ajout :
« Voici ce que nous pouvons vous proposer. »
En d’autres mots, ils ne peuvent rien proposer, ils n’ont aucune preuve, mais ils persistent à affirmer, comme de rien, que le virus existe.
Et c’est exactement là que se situe le problème de la grande majorité d’entre eux. Ils n’ont rien vérifié, mais ils refusent toujours toute discussion.
Si nous nous résumons concrètement :
La répétition de quelque chose de faux et de mensonger ne rend pas soudain cette chose juste et vraie !
Monsieur Bhakdi, ce que vous proposez est tout à fait non scientifique !
Il est évident et vérifiable par tout un chacun que les auteurs n’ont fait qu’additionner de courtes séquences cellulaires pour obtenir quelque chose de plus long, qu’ils ont alors fait passer pour le génome du virus.
Les expériences de contrôle obligatoires imposées par la science pour exclure tout artefact issu de la cellule n’ont pas été réalisées !
Ce seul fait devrait déjà vous faire comprendre que « votre proposition » est sans valeur.
Cher lecteur, lisez vous-même l’intégralité de la correspondance par courriel [9]
Prof. Marcel Tanner
Epidémiologiste, chercheur dans le domaine de la malaria et spécialiste de santé publique suisse. Il est Président de la Fondation R. Geigy, Président des Académies des Sciences suisses et Directeur Emérite de l’Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss TPH) et ancien chef de la task-force Corona.
Après une interview réalisée en commun (Samuel Eckert et l’équipe de Corona_Fakten) du Prof. Tanner (Président des Sciences Académiques), celui-ci a confirmé plusieurs points élémentaires : [10]
que le test du Prof. Drosten n’est pas conforme aux normes scientifiques requises et qu’il génère de nombreux résultats faussement positifs, qui ont mené à cette panique du corona. Le Prof. Tanner a apaisé les choses en déclarant qu’il fallait laisser le passé — c’est-à-dire le déclencheur — en paix, car il n’est pas possible de revenir en arrière. (min. 21:05 à min. 23:00).
RépondreSupprimerle Prof. Tanner a également confirmé (à la min. 53:15) qu’il ne suffit pas de réaliser un alignement pour prouver l’existence d’un virus pathogène. (Exactement ce qui a été fait en Chine)
La conversation a entre autres porté sur l’existence actuelle d’une publication présentant une isolation du virus du SARS-CoV-2. Le Prof. Tanner nous a renvoyés au Prof. Volker Thiel de l’Institut de Virologie et d’Immunologie de l’Université de Berne. Notre communication par courriel a montré (voir plus bas) qu’ici non plus aucune preuve de cette isolation n’a pu être présentée. Nous pouvons prouver cette déclaration finale par notre correspondance par courriel. Nous sommes ainsi exactement dans la situation que le die Prof. Tanner a décrite de manière étonnamment honnête lors de notre entretien :
« Et si l’on arrive alors à la conclusion qu’il n’existe vraiment aucun isolat… Dans ce cas, nous avons un problème ! »
(MIN. 56:14 À MIN. 56:27)
Ce que nous apprécions grandement chez le Prof. Tanner, c’est qu’il n’a jamais hésité à entamer une discussion avec nous.
IVI Suisse — Prof. Thiel, Prof. Schweizer
Je résume les points principaux de la correspondance :
Notre demande initiale au Prof. Thiel comprenait cinq questions simples :
Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ?
Avez-vous publié un article à ce sujet et sinon à quelles publications vous référez-vous ?
Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme « isolation » ?
Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ?
Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante :
Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?
Ni Volker Thiel ni personne d’autre de son institut n’a pu présenter de publication propre dans laquelle l’existence d’un nouveau virus pathogène a pu être prouvée conformément aux règles scientifiques.
Ils ont confirmé que les virologues n’isolent pas réellement, et ils admettent ainsi que l’origine des séquences génétiques séquencées ne peut pas être attribuée !
Nous avons reçu dans un premier temps seulement des liens Wikipédia et des fiches internes sur les bases de l’isolation des virus.
L’IVI a confirmé en complément qu’une simple « isolation » a été réalisée dans un mélange de prélèvements de patients et de cultures cellulaires.
L’IVI affirme simplement, sans apporter un seul argument approprié dans ce sens, que ce serait une absurdité de prétendre qu’il n’existe pas de virus du simple fait que l’on ne l’aurait pas purifié…
Nous n’avons reçu de réponse à aucune de nos cinq questions. Par exemple :
Votre réponse à la question 2 nous renvoie à une fiche de travail qui décrit la procédure pour les profanes. Nous demandions des publications scientifiques auxquelles vous vous référez.
Pour la preuve de l’existence d’un SARS-CoV-2, nous avons demandé une publication de l’Institut même, le Prof. Tanner ayant déclaré que l’IVI avait une publication propre, malheureusement l’IVI nous a renvoyé vers une publication de Munich. Travail de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/)
RépondreSupprimerNous avions à l’origine écrit au Prof. Thiel et pas à Mr. Schweizer et, comme Mr. Schweizer ne semblait apparemment pas en mesure ou pas disposé à répondre à nos questions, nous avons posé des questions plus concrètes et nous avons insisté de manière explicite pour obtenir une réponse du Prof. Thiel.
Ci-dessous le libellé de notre courriel :
« Monsieur le Professeur Thiel,
Je vous prie de répondre personnellement à nos questions, votre collaborateur Marin Schweizer semblant ne pas être disposé ou en mesure d’y répondre (cf. son courriel précédent).
Nous vous avons contacté vous, et non Mr. Schweizer, au nom du Prof. Tanner, en vous demandant clairement de répondre à cinq questions concrètes issues d’un entretien que nous avons eu avec le Prof. Tanner.
Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ?
Avez-vous publié un article à ce sujet et, sinon, à quelles publications vous référez-vous ?
Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme “isolation” ?
Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ?
Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante : Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?
Votre collaborateur Mr. Schweizer prétend dans son deuxième courriel du 17.9.2020, 15h .22, voir ci-dessous, qu’il aurait répondu aux questions 1à 3 en citant les travaux de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/).
La première question vous est adressée à vous, Prof. Thiel, et non à votre collaborateur — qui ne travaille pas sur le SARS-CoV-2 — en vous demandant ce que vous entendez par un isolat pour le SARS-CoV-2.
La seconde question vous demande si vous, Prof. Thiel, avez publié à ce sujet et, que vous ayez publié oui ou non, à quelles publications contenant la preuve scientifique de l’existence du SARS-CoV-2 vous vous référez.
La troisième question demande également une réponse concrète, car Mr. Schweizer a oublié d’indiquer le passage dans lequel l’intégralité du génome du virus a été isolé, représenté et séquencé dans le travail cité par lui de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/), avec lequel il pense avoir répondu aux questions 1 à 3.
Nous avons étudié cette publication et nous arrivons à la conclusion suivante :
RépondreSupprimerBien que l’abrégé de ce travail soit le suivant : “Infectious virus was readily isolated from samples derived from the throat or lung» (Un virus infectieux aisément été isolé à partir d’échantillons obtenus dans la gorge ou les poumons), il n’y a dans tout le texte aucune preuve de l’isolation d’un virus et de la représentation de son génome.
Si 7,11×10 puissance 8 copies du virus sont effectivement présentes dans un “throat swab” (écouvillon de gorge) et 2,35×10 puissance 9 copies sont présentes par ml de liquide, la représentation directe de l’intégralité du génome viral par électrophorèse sur gel ou par séquençage Nanopore ou au moyen de la technique de la coloration négative en microscopie électronique à l’aide de marqueurs de longueur ne doit pas poser de problèmes, mais cela n’a pas été réalisé.
Le point déterminant de cette publication est que les auteurs, à la page 466, colonne de droite, 5e ligne à partir du bas, affirment avoir séquencé les génomes viraux entiers de tous les patients, mais ne prouvent pas cette affirmation : ni dans le texte, ni dans la section méthodologie, ni dans le supplément.
[Remarque : une analyse un peu plus détaillée de cette étude se trouve dans la source [11]]
Nous vous prions de nous faire parvenir par courriel une publication rédigée par vous ou de m’indiquer celle d’un autre groupe de travail, dans laquelle l’isolation et le séquençage d’un génome du SARS-CoV-2 sont décrits, et qui ne se contente pas d’affirmations.
Au sujet de la question 4 :
Aucune des publications décrivant l’alignement du SARS-CoV-2 dont nous disposons ne mentionne d’expériences de contrôle, qui sont obligatoires dans la recherche scientifique, prouvant que ce sont effectivement de courtes séquences de nucléotides viraux, et non cellulaires, qui ont été additionnées de manière théorique lors de l’alignement pour obtenir un génome viral complet et long.
Nous vous prions de nous citer une publication, de vous ou de quelqu’un d’autre, qui documenterait ces expériences de contrôle essentielles.
L’importance de cette question est corroborée par le fait suivant :
Dans la publication de Fan Wu et al, dans Nature, vol 579 du 3.2.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32015508/), dans laquelle le génome du SARS-CoV-2 est présenté pour la première fois et qui est devenue le modèle de tous les alignements ultérieurs, il a clairement été fait appel à l’intégralité de l’ARN d’un lavage broncho-alvéolaire (BALF) d’un patient, sans qu’il y ait eu au préalable une isolation ou un enrichissement des structures virales ou des acides nucléiques.
Cet ARN a été converti en cDNA et des morceaux d’une longueur de 150 nucléotides ont été séquencés, pour calculer sur cette base le génome d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée pour prouver que l’ARN d’un BALF de personnes saines, de personnes souffrant d’autres maladies, d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore ou d’ADN de cultures cellulaires destinées à des expériences de contrôle ne permet pas de calculer le même génome “viral” lors de l’alignement.
L’affirmation de votre collaborateur Monsieur Schweizer, que la question 4 a reçu une réponse indirecte par le fait que le génome calculé dans l’alignement ne se trouvait pas dans le génome humain, n’est pas défendable pour deux raisons :
RépondreSupprimerSi des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides, il est évident que les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés, que ce soit en intégralité ou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides.
Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Votre Monsieur Schweizer ne mentionne pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral, qui en réalité n’existe pas.
Comme cette possibilité existe, que nous n’avons pu trouver jusqu’ici aucune expérience de contrôle pour le SARS-Cov-2, que nous supposons de ce fait que ces expériences n’ont pas été réalisées jusqu’ici et que le doute est le devoir le plus important de tout scientifique, la question 5 que nous vous avons posée prend toute son importance :
Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?
Nous vous remercions d’avance pour votre réponse personnelle.
Recevez nos meilleures salutations,
With best regards, »
Après avoir remarqué que cette étude présente exactement les mêmes faiblesses que toutes les autres, on nous a demandé si nous accepterions comme preuve pour le SARS-CoV-2 un clone d’un génome présenté comme suggestion par les Chinois. Savourez cette demande :
Les virologues chinois ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 simplement par un pur calcul, en additionnant des fragments très courts de séquences.
Ils n’ont trouvé ni le génome entier, ni même de grandes parties de celui-ci ! [12]
Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire. Donc, accepteriez-vous un clone d’un modèle informatique comme preuve pour un virus qui aurait prétendument déjà existé de nombreux mois auparavant ?
Ils n’ont fourni aucune expérience de contrôle, mais ils ont affirmé que celles-ci auraient été réalisées indirectement du fait que le génome calculé par l’alignement ne se trouve pas dans le génome humain.
RépondreSupprimerCeci n’est pas défendable pour deux raisons :
a.) Si des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides,il est évidentque les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés dans la réalité, que ce soit en intégralitéou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides.
b.) Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Les virologues responsables de l’Institut Suisse de Virologie et d’Immunologie ne mentionnent pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral,qui en réalité n’existe pas.
Ci-dessous le libellé de notre courriel :
« Monsieur le Professeur Thiel,
Je comprends votre étonnement devant une telle situation qui émerge soudain du néant et remet en cause votre propre travail.
Le fait que vous répondiez néanmoins en me laissant entrevoir la preuve de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous honore et prouve votre sérieux scientifique.
Je vous prie de respecter aussi mon étonnement, lorsque j’ai lu de mes yeux que le Prof. Christian Drosten de la Charité à Berlin a fait synthétiser les réactifs (Primer) pour le test PCR du virus du SARS-CoV-2 par la société Tib Molbiol avant même que les scientifiques chinois, autour de Fan Wu ont publié en ligne le10.1.2020 leurs suggestions provisoires de séquences pour le virus.
J’ai alors examiné leur publication et j’ai constaté avec horreur que les virologues chinois n’ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 que par calcul, en additionnant des fragments de séquences très courts. Ils n’ont pas trouvé l’intégralité du génome, ni même des parties plus grandes de celui-ci.
Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire.
Point déterminant : les virologues chinois n’ont réalisé aucune expérience de contrôle pour exclure la même addition d’un génome viral à partir de courts fragments d’ARN humain/microbien obtenu par lavage broncho-alvéolaire d’une personne saine, d’une personne souffrant d’une autre maladie pulmonaire, d’une personne textée négative au SARS-CoV-2 ou d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore.
Votre indication qu’il existe de nombreuses études de transcription dans lesquelles aucun gène du SARS-CoV-2 n’est trouvé ne peut pas remplacer les expériences de contrôle logiquement impératives, car l’addition artificielle de quelque chose qui en réalité ne peut pas être trouvé ne peut naturellement pas se trouver ailleurs, ni dans aucune étude de transcription.
RépondreSupprimerPour cette raison, votre référence aux travaux publiés par votre collègue Marco Binder sur Twitter est sans fondement scientifique.
Comme il serait naturellement possible que je me trompe, et que je m’excuserais publiquement en cas de réfutation de ma position, je vous prie — également au sens des critères scientifiques du DFG — de clarifier cette situation de manière univoque. À ce jour, nous ne disposons pas de publications de ce genre.
Et c’est ici que se pose la question la plus importante :
À laquelle des premières publications des affirmations de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous référez-vous personnellement pour admettre l’existence scientifiquement prouvée du virus du SARS-CoV-2 ?
Si le génome publié du SARS-CoV-2 ou les courtes séquences génétiques qui ont été additionnées pour former le génome sont effectivement issus d’un virus, moi et tous les autres reconnaîtrons naturellement la preuve que vous nous offrez d’une “expérience au cours de laquelle le génome (sous la forme d’ARN avec 30 000 nucléotides) aura été fabriqué artificiellement, et d’où résulte le SARS-Cov-2” comme une preuve de l’existence du virus.
Si la démonstration que vous nous proposez n’est pas univoque ou échoue, je suis sûr que vous serez d’accord pour réaliser les expériences de contrôle afin d’essayer d’obtenir le génome du virus du SARS-CoV-2 à partir de l’ARN de personnes saines, de personnes testées négatives au SARS-CoV-2 et de l’ARN de cultures cellulaires non infectées exactement de la même manière que le font vos collègues ?
Ceci serait un tournant majeur, qui respecterait les prescriptions d’un travail scientifique, car je n’arrive pas à trouver ces expériences de contrôle, qui sont pourtant prescrites, dans l’ensemble de la littérature scientifique relative au virus du SARS-CoV-2. Ici aussi, je vous serais reconnaissant de m’indiquer un lien vers votre publication de référence.
Je vous souhaite une bonne journée et vous remercie beaucoup pour le temps que vous m’avez consacré
Recevez mes meilleures salutations
Nous n’avons obtenu une réaction à notre courriel que deux semaines plus tard, après deux rappels, bien que le Prof. Tanner eut demandé cette discussion et avait été mis en copie de l’ensemble de la correspondance. La première réaction est venue après deux semaines :
RépondreSupprimer« Cher Monsieur XXX,
Je vous répondrai dès que j’en aurai le temps.
Cordialement,
Volker Thiel »
Après encore plus que deux semaines, nous avons finalement reçu la réponse, par laquelle le Prof. Thiel confirmait exactement ce que nous soupçonnions depuis le début.
L’IVI n’a pas d’isolat propre et s’appuie sur une source qui n’a jamais démontré l’existence d’un virus. Mais lisez vous-même :
Réponse du Prof. Thiel de l’IVI :
Notre réponse ci-dessous montre les erreurs flagrantes présentes dans les hypothèses de l’IVI et, selon toute probabilité, les erreurs des hypothèses de la plupart des autres virologues :
“Cher Prof. Thiel,
Nous vous remercions de votre réponse, qui clarifie les choses.
Je suis maintenant sûr de savoir où se trouve l’erreur centrale de votre hypothèse, et je peux le justifier avec toute la rigueur requise.
Vous écrivez dans votre publication (https://www.nature.com/articles/s41586-020-2294-9) :
“The detection of a new coronavirus in China at the end of 2019 prompted us to test the applicability of our synthetic genomics platform to reconstruct the virus based on the genome sequences released on 10–11 January 2020 (Fig. 2)”
(La détection d’un nouveau coronavirus fin 2019 nous a incités à tester l’applicabilité de notre plateforme génomique synthétique pour reconstruire le virus sur la base des séquences génétiques publiées le 10-11 janvier 2020)
Vous indiquez ainsi clairement la source que nous vous demandions, sur laquelle vous vous basez et à laquelle le monde entier fait confiance en croyant qu’elle donne la preuve scientifique de l’existence du nouveau virus du SARS-CoV-2.
Il s’agit de la publication du Prof. Yong-Zhen Zhang (Fan Wu et al.), à laquelle le Prof. Drosten se réfère également :
Le Prof. Zhang décrit en détail comment il a calculé par juxtaposition de très courtes séquences génétiques le génome du virus désigné aujourd’hui sous le terme « SARS-CoV-2 ».
Il décrit clairement qu’il a prélevé pour cela ces courtes séquences génétiques non sur un virus, mais directement sur le liquide pulmonaire issu d’un lavage broncho-alvéolaire (= BALF) d’une personne souffrant de pneumonie.
Il ne décrit pas d’expériences de contrôle, qui sont exigées par la science pour qu’une affirmation puisse être qualifiée de scientifique. Ces expériences de contrôle, qui résultent également des règles de la logique scientifique — afin d’exclure l’évidence, c’est-à-dire qu’il pourrait être obtenu à partir de courtes séquences génétiques propres à l’organisme humain et aux nombreux microbes connus et surtout inconnus qui colonisent l’homme — n’ont à ce jour pas été réalisées.
RépondreSupprimerUne méthode, comme dans notre cas l’alignement, pour calculer une longue séquence génétique théorique à partir de séquences très courtes, qui n’est pas corroborée par des expériences de contrôle, ne peut pas être qualifiée de scientifique. Le caractère scientifique revendiqué ici n’est ni évident, ni reproductible, ni vérifiable par chacun.
*Le fait que vous vous référiez toujours, pour ces expériences de contrôle, sur des entrées Twitter de Marco Binder, n’est pas scientifique, mais révoltant, car, si quelque chose, qui en réalité n’existe pas, est construit par une procédure d’« alignement » à plusieurs étapes, cette chose ne peut naturellement être trouvée dans aucune base de données publiant des séquences génétiques humaines.
En utilisant cet argument que les expériences de contrôle sont réalisées par le fait que cette séquence virale n’est pas trouvée dans les bases de données génétiques humaines, vous vous référez à une littérature de troisième classe trouvée dans les média sociaux, en oubliant de nombreux points :
Personne n’a jusqu’ici vérifié, pour cette procédure d’alignement, si les séquences génétiques utilisées pour calculer le génome du virus du SARS-CoV-2 ne viennent pas de séquences génétiques générées par le métabolisme de microbes qui colonisent l’homme et les cultures cellulaires.
Le génome de seulement environ 5 % des microbes existants a été séquencé. Ce fait impose la réalisation immédiate d’expériences de contrôle, car il est manifeste que le génome du virus a été calculé intégralement ou en partie par plusieurs étapes d’« alignement » à partir des séquences inconnues de ces microbes.
Il est connu depuis longtemps que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques génèrent en permanence de nouvelles séquences génétiques entre autres par le mécanisme du « Template-Switching », qui ne peuvent être enregistrées dans aucune base de données, et que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques de l’ARN le font aussi sans modèle génétique. Ceci signifie que de nouvelles séquences génétiques, qui n’ont pas été enregistrées par les méthodes utilisées jusqu’ici, apparaissent constamment. Ce seul fait impose l’obligation de réaliser immédiatement des expériences de contrôle, car il est évident que le génome du SARS-CoV-2 a été construit par calcul, intégralement ou en partie, au moyen de telles séquences non spécifiques.
Vous ne pouvez pas, dans cette situation spécifique, apporter la preuve de l’existence du virus par le fait que vous ayez fabriqué de manière synthétique le génome du virus à partir de la séquence présentée par le Prof. Zhang et que vous l’utilisiez pour vos expériences. Il s’agit ici d’un raisonnement circulaire scientifiquement inadmissible.
Le Prof. Zhang mentionne expressément dans cette publication qu’il n’a pas respecté les postulats de Koch, les règles pour la preuve de l’existence d’un virus. Pas même le premier postulat, l’isolation du virus.
Le Prof. Zhang indique expressément qu’il n’existe qu’une corrélation entre la « preuve » par calcul de ce virus et une pneumonie réelle, mais pas de preuve que sa « découverte » soit à l’origine de cette maladie.
RépondreSupprimerPour votre information, si cela devait vous avoir échappé :
Il est prouvé que le Prof. Drosten a — déjà avant de disposer de la séquence du Prof. Zhang — fait synthétiser les séquences amorces pour le virus du « SARS-CoV-2 » et les a fait envoyer, le jour même de la publication des données, dans la nuit du « 10-11 January 2020 », aux endroits où des voyageurs de retour de Wuhan ont été testés pour le virus du « SARS-CoV-2 » au moyen de son test. Il a ainsi apparemment été prouvé que le supposé virus était à présent quand même transmissible d’homme à homme.
Jusqu’au 20.1.2020, les autorités de santé et le gouvernement chinois avaient démontré qu’il n’y avait manifestement pas transmission d’homme à homme. Tous les parents et l’ensemble du personnel hospitalier qui était et est en contact avec les personnes souffrant de pneumonie atypique — que, du fait de la définition « atypique », l’on attribuait à un virus inconnu — sont restés en bonne santé. De ce fait, le gouvernement pouvait, en toute honnêteté, renoncer aux mesures de confinement.
Le 20.1.2020, le célèbre médecin du « SRAS », le Dr Zhong Nanshan, âgé de 84 ans, est arrivé à Wuhan. Il avait voyagé depuis la Chine du Sud de sa propre initiative et à ses propres frais. Il a répandu à Wuhan la nouvelle du résultat « positif » de la procédure de test PCR Drosten, qui selon lui permettait et imposait d’affirmer que la transmission d’homme à homme du supposé nouveau virus était prouvée.
Cette information a d’abord semé la panique à Wuhan, et le soir même dans toute la Chine, lorsqu’il annonça aux informations du soir que la transmission d’homme à homme avait été confirmée. Comme nous le savons, la panique a rapidement gagné population mondiale.
Dans cette affaire, en tant qu’homme, et notamment en tant que scientifique, avec votre fonction centrale de Directeur de l’IVI, vous avez le devoir et la responsabilité, vis-à-vis du peuple suisse et de la population mondiale, de communiquer IMMÉDIATEMENT ces contradictions et ces réfutations au public.
Afin d’éviter que principalement des enfants, des personnes âgées, des malades et l’économie n’étouffent au sens propre du terme et ne meurent du fait de conclusions non justifiables scientifiquement et qui ont été réfutées, et des mesures qui en résultent, je vous prie d’agir immédiatement.
Le Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire de clarifier si un virus a effectivement été isolé au sens du terme « Isolation ».
Vous avouez maintenant par votre référence centrale et exclusive à la publication du Prof. Zhang qu’aucun virus n’a été isolé, mais que, manifestement et sans aucun doute, des séquences génétiques très courtes de l’homme, de microbes connus et inconnus et probablement de séquences génétiques créées par la biochimie ont été réunies uniquement par calcul, c’est-à-dire purement théoriquement, pour créer un génome viral qui en réalité n’existe pas.
Vous ne pourrez pas non plus à l’avenir faire valoir — pour continuer à vous dérober à votre responsabilité centrale et globale — que l’alignement théorique des courtes séquences génétique en un génome viral « complet » a été réalisé sur la base d’un autre coronavirus. Ce prétendu modèle de séquence virale a lui aussi été obtenu par calcul à partir de très courtes séquences virales, dont il est certain qu’elles n’ont pas été isolées à partir d’un virus, mais qu’elles sont issues de courtes séquences génétiques de l’homme, d’animaux, de microbes et possiblement synthétisées par la biochimie.
RépondreSupprimerLe Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire (et il y veille) à la réalisation des expériences de contrôle, qui sont la condition pour considérer l’affirmation de l’existence d’un virus comme scientifique.
Votre argument que ces expériences de contrôle sont réalisées indirectement par le fait que des tiers, et pas vous, prétendent sur Twitter qu’ils ne trouvent pas le génome calculé du virus dans les bases de données génétiques humaines, est réfuté par le fait que quelque chose de calculé (laborieusement) ne pourra logiquement ni être trouvé dans une base de données ni démontré en laboratoire.
C’est pourquoi je vous prie à nouveau de réaliser et de documenter conjointement avec moi les expériences de contrôle qui confirmeront ou infirmeront le fait que les très courtes séquences génétiques disposées en un long génome par calcul, c’est-à-dire théoriquement, lors de l’« alignement », au moyen de différents programmes de retraitement, ne viennent pas de l’homme lui-même ou des nombreux microbes et phages qui colonisent l’homme, tout particulièrement en cas de maladie ou de pneumonie. Ou si celles-ci sont issues en partie de séquences génétiques purement créées par la biochimie, ou si elles ont été en partie inventées par les programmes utilisés pour l’alignement pour combler les lacunes (gaps) du génome qui ne pouvaient pas se combler au moyen des courtes séquences génétiques disponibles. Ces programmes sont mentionnés dans la section méthodologique du Prof. Zhang, mais celle-ci n’indique pas quelle est la proportion du « génome viral » complet qui a été « comblée » par ces programmes de « Gap filling ».
Nous vous offrons à nouveau de financer ces essais de contrôle. Le Prof. Tanner ne vous a demandé de présenter et de documenter ces essais de contrôle que pour des raisons scientifiques et humaines. Il n’y a aucune raison de ne pas réaliser ces essais ou de continuer à les repousser.
La détresse due à la crise du corona est immense et n’admet aucune raison de protéger par exemple votre profession ou sa réputation. Cette détresse augmente de jour en jour, et il existe le risque que notre société, dans une hystérie collective sans aucune justification scientifique, s’inflige des dommages toujours plus graves. J’ai également demandé à d’autres virologues de réaliser avec moi les expérimentations de contrôle. Aucun n’a répondu à ce jour.
Vous avez la possibilité de clarifier ce problème, le Prof. Tanner m’ayant renvoyé à vous pour la clarification de cette question essentielle.
Je vous prie de vous décider et d’agir sur le champ, et de ne pas laisser passer à nouveau plus de deux semaines avant de me répondre.
Recevez mes meilleures salutations,
Samuel Eckert
Texte source en allemand : https://samueleckert.net
https://www.mondialisation.ca/confirmation-ecrite-les-scientifiques-ne-peuvent-apporter-aucune-preuve-de-lexistence-dun-virus-pathogene/5668483
Pourquoi ne peut-il exister de virus pathogènes ? Parce qu'un virus est UNE POUSSIÈRE ! (à ne PAS confondre avec un microbe qui lui apporte des maladies).
SupprimerNotre magma expulse des milliards de tonnes de poussières (appelées 'corona') dans les mers & océans. Elles remontent à la surface par les émissions de gaz produites par cette masse ferrique incandescente. TOUS les poissons en consomment et n'en meurent pas !
Il existe des poussières de terre, de sable, de ciments, de talc, mais n'ont aucune nocivité.
Oui mais on parle de virus (poussières) qui tuent ! C'est exact, celles-là ne sortent pas du magma mais de laboratoires. Ce sont des nano-particules (0,1 à 0,5µ pour la 'cocovide19' etc) d'oxyde de graphène (poison mortel violent) qui sont enveloppées. Elles représentent 95 à 99 % du contenu d'une seringue au nombre de 40 000 milliards de nano-particules !
Comment çà se passe ?
Cette poussière (virus) n'est PAS DANS L'AIR ! mais UNIQUEMENT distribuée en flacons injectables ! Si t'es piqué tu l'as ! Et, si tu l'as: t'es mort !
Le 'cocovide19' appelé ensuite AlphaOmégaDeltaOmicron, etc est un poison. C'est pourquoi il n'est PAS pathogène (transmissible uniquement par baiser sur la bouche ou acte sexuel).
Oui mais, lors de tests 'RT-PCR' ils découvrent ce virus ! FAUX ! FAUX et ARCHI-FAUX ! Ils ne peuvent RIEN voir ! 1 èrement, le virus 'machin-truc-chose' n'a PAS été isolé !! (depuis plus de 2 ans ! Hahaha !), donc, 2 èmement ce que les laboratoires disent alors sont des mensonges, des escroqueries !
A savoir que: TOUS les masques contiennent des nano-particules d'oxyde de graphène ! comme les gels hydroalcoolique, les écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' et bien-sûr les injections d'expérimentations génique d'essais (criminellement appelées 'vaccins' !).
Enfin pour finir je regrette que le mot virus soit employé injustement pour n'importe quoi ! 'Virus de la grippe, virus de l'ordinateur, virus de la pêche, de la chasse, de la bonne bouffe', etc, etc !
Il n'y a PAS de 'virus de la grippe' mais UN MICROBE de la grippe ! Un microbe c'est VIVANT, çà transmet des maladies qui peuvent être contagieuses.
"Personne ne les veut": Moderna lance 30 millions de doses de vaccin, déclare le PDG + Plus
RépondreSupprimerLe Defender’s COVID NewsWatch fournit un tour d’horizon des derniers titres liés au virus SARS CoV-2, y compris ses origines et les vaccins COVID.
Défense de la santé des enfants
28 mai 2022
«Personne ne les veut»: Moderna lance 30 millions de doses de vaccin, déclare le PDG
Le Daily Wire a rapporté :
Après deux ans et demi de COVID-19, nous passons tous à autre chose. Bien sûr, le virus est toujours là, bien que généralement moins dangereux avec la variante Omicron, mais de nombreux Américains ne portent plus de masques et la vie normale est pour la plupart revenue. Toute cette histoire de « passer à autre chose » a un effet sérieux sur les fabricants de vaccins.
"C'est triste à dire, je suis en train de jeter 30 millions de doses à la poubelle parce que personne n'en veut", a déclaré cette semaine le PDG de Moderna, Stéphane Bancel. "Nous avons un gros problème de demande."
S'adressant à un auditoire du Forum économique mondial, Bancel a également déclaré que les efforts pour contacter divers gouvernements avaient échoué. «Nous avons actuellement des gouvernements – nous avons essayé de contacter… via les ambassades à Washington. Tous les pays, et personne ne veut les prendre », a-t-il déclaré. "Le problème dans de nombreux pays est que les gens ne veulent pas de vaccins", a-t-il ajouté.
L'annonce de Bancel intervient juste après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis un avertissement sévère : la pandémie de COVID-19 n'est « très certainement pas terminée », a averti le chef de l'OMS, Tedros Ghebreyesus.
Le risque de syndrome de Guillain-Barré après la vaccination J&J COVID
Le conseiller en neurologie a rapporté :
L'incidence du syndrome de Guillain-Barré (SGB) a été élevée après la vaccination avec le vaccin Janssen COVID-19 Ad.26.COV2.5, selon les résultats de l'étude publiés dans JAMA Network Open.
Aux États-Unis, il existe 3 vaccins COVID-19 disponibles, le vaccin à vecteur adénoviral incompétent pour la réplication Ad.26.COV2.5 ou les vaccins à ARNm BNT162b2 de Pfizer-BioNTech et ARNm-1273 de Moderna.
En avril 2021, l'utilisation de l'Ad.26.COV2.5 a été suspendue en raison de préoccupations concernant la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie et en juillet 2021, un rapport du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a soulevé des inquiétudes concernant le SGB après l'Ad.26.COV2 .5.
Les chercheurs ont cherché à évaluer le taux de GBS après avoir reçu un vaccin COVID-19. Les données proviennent du Vaccine Safety Datalink, qui comprenait les dossiers de 10 158 003 personnes aux États-Unis en novembre 2021. Les taux d'incidence du SGB jusqu'à 84 jours après la vaccination ont été évalués pour chacun des 3 vaccins.
RépondreSupprimerNovavax a raté son Moonshot mondial mais cherche à gagner les transfuges de l'ARNm
Kaiser Health News a rapporté:
Novavax a attelé son wagon à la pandémie mondiale de coronavirus. Avant que la plupart des Américains ne saisissent vraiment l'ampleur du danger, la petite startup biotechnologique du Maryland avait obtenu 1,6 milliard de dollars de financement américain pour son vaccin COVID. Son objectif lunaire : livrer 2 milliards de clichés au monde d'ici mi-2021.
Bien que l'engagement des États-Unis ait finalement atteint 1,8 milliard de dollars, pratiquement aucun tir de Novavax n'a trouvé d'armes en raison de problèmes de fabrication, et la majeure partie du monde a évolué. L'action Novavax a chuté de 290 $ par action en février 2021 à environ 50 $ récemment.
Cependant, la FDA semble enfin sur le point d'autoriser le vaccin de la société. Si c'est le cas, Novavax ciblerait les dizaines de millions d'Américains qui ne sont pas vaccinés contre le COVID-19 ou qui bénéficieraient de rappels mais qui ont évité les vaccins à ARNm en raison de problèmes de santé ou de théories du complot sur leurs dangers.
Réticence à l'égard des vaccins COVID en Afrique du Sud en raison des craintes d'effets secondaires - Enquête
Reuters a rapporté :
Les craintes concernant les effets secondaires possibles et l'efficacité des vaccins COVID-19 ont été les principaux moteurs de l'hésitation parmi des milliers de Sud-Africains, a révélé jeudi une enquête en ligne soutenue par le gouvernement.
Il a, comme de nombreux pays d'Afrique et d'autres continents, eu du mal à convaincre les sceptiques de se faire vacciner.
Parmi le groupe d'âge 18-34 ans, l'hésitation était la plus élevée, à 39%, selon l'enquête réalisée en octobre et novembre, la population blanche étant le groupe racial le plus susceptible d'éviter le vaccin, à 48% des répondants.
"Ce que cette analyse a démontré, c'est que la majorité de ceux qui expriment des hésitations à prendre le vaccin ne sont pas anti-science, mais expriment des doutes rationnels et légitimes", a déclaré une présentation sur les résultats de l'enquête.
RépondreSupprimerLe mutant dominant du coronavirus contient le fantôme du passé pandémique
Associated Press rapporte :
Le mutant du coronavirus qui est maintenant dominant aux États-Unis est un membre de la famille Omicron, mais les scientifiques disent qu'il se propage plus rapidement que ses prédécesseurs Omicron, est apte à échapper à l'immunité et pourrait éventuellement causer une maladie plus grave.
Pourquoi? Parce qu'il combine les propriétés d'Omicron et de Delta, la variante dominante du pays au milieu de l'année dernière.
Un trait génétique qui rappelle le passé de la pandémie, connu sous le nom de "mutation delta", semble permettre au virus "d'échapper à l'immunité préexistante de la vaccination et de l'infection antérieure, surtout si vous avez été infecté par la vague Omicron", a déclaré le Dr. Wesley Long, pathologiste au Houston Methodist au Texas. C'est parce que la souche originale d'Omicron qui a balayé le monde n'avait pas la mutation.
La «sous-variante» d'Omicron qui gagne du terrain aux États-Unis - connue sous le nom de BA.2.12.1 et responsable de 58% des cas de COVID-19 aux États-Unis la semaine dernière - n'est pas la seule affectée par la mutation Delta. Le changement génétique est également présent chez les parents d'Omicron qui dominent ensemble en Afrique du Sud, connus sous le nom de BA.4 et BA.5. Ceux-ci ont exactement la même mutation que Delta, tandis que BA.2.12.1 en a une qui est presque identique.
OMS : les cas de COVID chutent pour la plupart, sauf pour les Amériques
Associated Press rapporte :
Le nombre de nouveaux cas de coronavirus et de décès continue de baisser dans le monde après avoir culminé en janvier, a déclaré l'Organisation mondiale de la santé.
Les cas de COVID-19 n'ont augmenté que dans deux régions du monde : les Amériques et le Pacifique occidental.
L'OMS a déclaré qu'elle suivait toutes les sous-variantes d'Omicron en tant que "variantes préoccupantes". Il a noté que les pays qui avaient une vague importante de maladies causées par la sous-variante BA.2 d'Omicron semblaient être moins affectés par d'autres sous-variantes comme BA.4 et BA.5, qui étaient responsables de la dernière vague de maladies en Afrique du Sud.
RépondreSupprimerLes États-Unis rendent le médicament antiviral COVID plus disponible sur les sites de test
Associated Press rapporte :
La Maison Blanche a annoncé jeudi de nouvelles mesures pour rendre le traitement antiviral Paxlovid plus accessible à travers les États-Unis, car elle prévoit que les infections au COVID-19 continueront de se propager au cours de la saison estivale des voyages.
Le premier site de test pour traiter soutenu par le gouvernement fédéral ouvre ses portes jeudi dans le Rhode Island, offrant aux patients un accès immédiat au médicament une fois qu'ils sont positifs. D'autres sites soutenus par le gouvernement fédéral devraient ouvrir dans les prochaines semaines dans le Massachusetts et à New York, tous deux touchés par une augmentation marquée des infections.
Rebound COVID n'est que le début des mystères de Paxlovid
L'Atlantique a rapporté:
Les premières données sur Paxlovid, publiées en novembre dernier, laissaient entendre que l'antiviral COVID réduirait le risque d'hospitalisation et de décès de 89%. Les experts ont qualifié le médicament de « percée monstrueuse », de « miraculeuse » et de « la plus grande avancée dans la pandémie depuis les vaccins ».
Maintenant, enfin, le jeu est en train d'être changé. Le gouvernement a commandé 20 millions de cours de Paxlovid, engageant la moitié des 10 milliards de dollars de financement COVID supplémentaire qui est en cours de négociation au Sénat ; et Pfizer affirme que le nombre de patients prenant le médicament a été multiplié par 10 entre la mi-février et la fin avril.
Mais à mesure que le traitement se répand, il en va de même pour la confusion quant à son efficacité et ses effets secondaires. Les patients se sont plaints d'un goût amer et métallique, ou d'un jus de pamplemousse mélangé à du savon, tout le temps qu'ils prenaient le médicament. Plus inquiétant, certains ont déclaré avoir ressenti une deuxième série de symptômes et être revenus à un test positif, lorsque les pilules ont été prises, un phénomène connu sous le nom de "rebond Paxlovid".
Pendant ce temps, Pfizer n'a jamais publié de données définitives sur l'utilisation du médicament par les patients vaccinés, laissant aux professionnels de la santé peu d'informations sur le fonctionnement du médicament pour les personnes qui ont reçu leurs vaccins - c'est-à-dire la plupart de la population adulte du NOUS.
La dernière vague de COVID du pays est largement cachée, selon les experts de la santé
RépondreSupprimerABC News a rapporté :
Les cas actuels de COVID-19 ne représentent qu'une fraction de ce qu'ils étaient au plus fort de la vague Omicron. Mais de nombreuses personnes dans le pays peuvent remarquer ce qui semble être un flot de cas dans leurs cercles sociaux.
Les experts de la santé disent que ces preuves anecdotiques ne sont peut-être pas simplement une coïncidence, car les États-Unis pourraient être dans une vague «cachée» – une vague beaucoup plus importante que ne le suggèrent les données rapportées.
Cela est dû en partie aux changements dans la collecte et la communication des données et à la prolifération des tests à domicile. Certains responsables de l'État rapportent que les services de santé et les établissements de santé ont également mis fin au suivi traditionnel des patients COVID-19, ce qui, selon les épidémiologistes, rend plus difficile de savoir combien de patients entrent dans les hôpitaux et ont besoin de soins.
Le nombre d'hospitalisations a augmenté ces dernières semaines, mais pas à un rythme aussi important que les infections.
Avec l'échec de la prise de vue COVID qui traîne toujours sur les revenus, CureVac tente de tourner la page vers la technologie d'ARNm de nouvelle génération
Fierce Biotech a rapporté:
Le vaccin COVID de première génération de CureVac – un vaccin qui n'a pas atteint la barre d'efficacité élevée fixée par ses rivaux – continue de peser sur les bénéfices de la biotechnologie allemande et devrait avoir un impact négatif sur les ventes pour le reste de l'année.
Mais la société se tourne vers son avenir, pointant vers un vaccin COVID-19 de nouvelle génération et un programme contre la grippe en développement avec GlaxoSmithKline, ainsi qu'un nouvel accent sur l'oncologie grâce à un accord fraîchement signé avec myNEO.
Les finances de la société ont continué d'être entachées par des "engagements antérieurs" liés au vaccin CVnCoV, a déclaré le directeur financier Pierre Kemula dans un rapport sur les résultats du premier trimestre publié mercredi. Ces impacts se poursuivront tout au long de l'année, mais commenceront à s'estomper.
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https://www.lewrockwell.com/2022/05/no_author/nobody-wants-them-moderna-throwing-out-30-million-vaccine-doses-ceo-says-more/
Le responsable australien de la sécurité en ligne appelle à un « recalibrage » de la « liberté d’expression » avant le Forum économique mondial
RépondreSupprimerVendredi 27 mai 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) La commissaire australienne à la sécurité électronique, Julie Inman Grant, a déclaré aux membres du Forum économique mondial que la société devait subir un "recalibrage" de la "liberté d'expression" et de "toute une gamme d'autres droits de l'homme".
(Article de Jack Bingham republié de LifeSiteNews.com)
"Nous nous retrouvons dans un endroit où nous avons une polarisation croissante partout, et tout semble binaire alors que ce n'est pas nécessaire, donc je pense que nous allons devoir réfléchir à un recalibrage de toute une gamme de droits de l'homme qui se déroulent en ligne », a déclaré Grant lors d'un panel lors du sommet annuel du Forum économique mondial lundi.
"De la liberté d'expression à la liberté... d'être à l'abri de la violence en ligne, ou du droit à la protection des données au droit [à] la dignité de l'enfant", a déclaré la commissaire "eSafety", indiquant quels droits, selon elle, ont besoin d'un "recalibrage".
Le clip, qui a été rapporté pour la première fois par le média conservateur canadien True North Centre, est devenu «viral» sur les réseaux sociaux au cours des 48 dernières heures, des personnes et des groupes du monde entier suggérant qu'un «recalibrage» des «droits de l'homme» est un euphémisme pour l'éradication de ces droits.
"Le grand recalibrage de la liberté d'expression", a répondu le journaliste d'investigation et rédacteur en chef de The GrayZone, Max Blumenthal, faisant référence au programme "Great Reset" du WEF qui vise à "réinitialiser" le capitalisme en faveur du socialisme mondial.
"Non", a ajouté le Comité judiciaire de la Maison républicaine sur son compte Twitter officiel.
Selon la biographie de Grant publiée par le Forum économique mondial, elle « dirige la première agence de réglementation gouvernementale au monde engagée à assurer la sécurité de ses citoyens en ligne », et sa carrière a commencé à « Washington DC, travaillant au Congrès américain et dans le secteur à but non lucratif avant de prendre sur un poste chez Microsoft.
Pendant son séjour chez Microsoft pro-censure, Grant a passé 17 ans à servir "comme l'un des premiers et des plus anciens professionnels des relations gouvernementales de l'entreprise", tout en effectuant un travail similaire pour le géant des médias sociaux Twitter.
Comme le rapporte LifeSiteNews, le WEF a suscité une controverse croissante depuis le début de COVID-19 en partie à cause du dévoilement de l'agenda socialiste radical du WEF "Great Reset", qui envisage une vie dans laquelle la propriété privée et la vie privée sont largement abolies, ce qui semble inclure de nombreux aspects du système de crédit social chinois.
RépondreSupprimerEn fait, les membres du groupe Alibaba, l'organisation à l'origine des éléments clés du système de crédit social du Parti communiste chinois, sont actuellement à Davos pour la réunion annuelle du WEF.
Le WEF a annoncé son intention de s'attaquer à "la reprise pandémique, le changement climatique, l'avenir du travail, l'accélération du capitalisme des parties prenantes et l'exploitation des nouvelles technologies" lors de la réunion de Davos de cette année, avec des séminaires particuliers sur "Les systèmes alimentaires en crise", "Transition vers un Moyen-Orient vert » et « La révolution biotechnologique ».
Le WEF a également adopté des mesures de sécurité massives pour sa réunion de 2022, dont 5 000 militaires et une zone d'exclusion aérienne strictement appliquée.
Lundi, le journaliste conservateur Jack Posobiec a été détenu par ledit personnel, qui arborait des badges "Police du Forum économique mondial", pendant environ une heure alors qu'il filmait à l'extérieur de la réunion secrète de Davos.
En savoir plus sur : LifeSiteNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-27-australia-head-online-safety-recalibration-free-speech.html
Le groupe de défense des armes à feu prévoit des manifestations à l'échelle nationale après la fusillade dans une école au Texas
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 28 MAI 2022 - 01:00
Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times
Un groupe de défense des armes à feu dirigé par des étudiants prévoit des manifestations à l'échelle nationale à la suite de la fusillade dans une école primaire du Texas qui a coûté la vie à 19 enfants cette semaine.
Selon son site Web, March for Our Lives prévoit de descendre dans les rues de Washington, D.C. le 11 juin. Le groupe a également plusieurs autres marches prévues dans diverses régions du pays, de San Francisco et du Michigan à la Caroline du Sud, sur un nombre de dates.
Il y aura également une manifestation au centre des congrès où la National Rifle Association (NRA) organise une conférence à Houston, au Texas, le 27 mai. Le centre des congrès se trouve à environ 300 miles du lieu de la fusillade meurtrière dans une école primaire à Uvalde. , Texas, le 24 mai.
Les organisateurs appellent également les militants à les rejoindre à Capitol Hill du 7 au 10 juin, où ils discuteront avec les législateurs d'une pression pour une vérification universelle des antécédents des acheteurs d'armes à feu.
Un projet de loi les obligeant, intitulé Bipartisan Background Checks Act of 2021, ou H.R. 8, a été adopté par la Chambre en mars 2021, mais le Sénat contrôlé par les républicains ne l'a pas repris.
« Notre message et notre demande sont simples : nous ne serons plus pris en otage par nos législateurs et nous ne tolérerons plus de nous sentir en danger dans nos communautés », a écrit le groupe sur le site Web.
« Quel que soit le parti que vous représentez, si vous ne soutenez pas des mesures vitales telles que la vérification universelle des antécédents, nous nous engageons à voter contre vous cet automne et lors des prochaines élections. ”
March for Our Lives a été fondée en 2018 à la suite de la fusillade à l'école secondaire Marjory Stoneman Douglas à Parkland, en Floride, au cours de laquelle un homme armé a tué 17 personnes.
Le groupe a organisé l'une des plus grandes manifestations contre la violence armée de l'histoire des États-Unis.
March for Our Lives dit croire que la violence armée à travers le pays est le résultat de la glorification des armes à feu, de l'apathie politique, de la pauvreté, de la suprématie armée et d'une crise de santé mentale à l'échelle nationale.
Le groupe propose de s'attaquer de manière proactive à ces problèmes tout en interdisant les armes d'assaut, les chargeurs de grande capacité et d'autres armes ; et responsabiliser davantage l'industrie des armes à feu et les lobbyistes. Il préconise également des politiques visant à désarmer les propriétaires d'armes à feu qui présentent un risque de préjudice, et un programme national de rachat d'armes à feu pour réduire d'au moins 30 % les 265 à 393 millions d'armes à feu en circulation.
"Le président [Joe] Biden et tous nos élus doivent agir avec une urgence féroce pour appeler cette crise ce qu'elle est : une urgence nationale de santé publique", déclare le groupe sur son site Internet.
Biden a condamné les lois sur les armes à feu en Amérique dans un discours à la Maison Blanche mercredi après la fusillade dans une école du Texas, tout en plaidant pour des limitations des droits des armes à feu protégés par la Constitution et pour que les législateurs « tiennent tête à un lobby des armes à feu très puissant ».
"Quand, au nom de Dieu, ferons-nous ce qui doit être fait pour, sinon arrêter complètement, changer fondamentalement l'ampleur du carnage qui se déroule dans ce pays?" Biden a dit.
RépondreSupprimer«Bien qu'ils n'empêcheront clairement pas toutes les tragédies, nous savons que certaines auront un impact significatif et n'auront aucun impact négatif sur le deuxième amendement. Le deuxième amendement n'est pas absolu », a-t-il ajouté. "Quand il a été adopté, vous ne pouviez pas posséder… un canon, vous ne pouviez pas posséder certains types d'armes."
Salvador Ramos, 18 ans, aurait tiré sur sa grand-mère le 24 mai avant de se diriger vers l'école élémentaire Robb à Uvalde et d'ouvrir le feu sur le campus, tuant 19 enfants et deux adultes.
Le tireur a été tué par balle par les forces de l'ordre.
https://www.zerohedge.com/political/gun-control-advocacy-group-plans-nationwide-protests-after-texas-school-shooting
Fin d'enfance
RépondreSupprimerDe James Howard Kunstler
Kunstler.com
28 mai 2022
L'Amérique est devenue un spectacle dysfonctionnel sans rôles réalisables dans lesquels les enfants peuvent se projeter de manière réaliste….
Le trope le plus phonétique de la vie américaine va comme ceci : nous devons trouver la cause de X pour que cela ne se reproduise plus jamais. Bien sûr, cela se reproduira. Nous prétendons seulement que la cause est un mystère. Comptons les façons dont les massacres scolaires se produisent.
Les écoles américaines sont des endroits incroyablement déprimants. Ils sont conçus pour ressembler à des prisons à sécurité moyenne et à des usines d'insecticides. Ils envoient le message : Entrez ici et soyez psychologiquement brutalisé. Ils sont trop grands, extrêmement aliénants, laids, dépourvus de symbolisme visible signalant la valeur de l'être humain. Les intérieurs des écoles sont conçus pour le confort des concierges, des surfaces dures de carrelage et de linoléum qui peuvent être arrosées facilement comme les quartiers des animaux de zoo. Les enfants agissent en conséquence.
Les « installations », comme nous les appelons, se déploient dans le paysage illisible d'un derby de démolition, séparées de toutes les autres activités de la vie quotidienne, elles-mêmes parvenues à un état culminant d'absurdité : grandes surfaces, installations alimentaires franchisées de chaînes nationales. , des centres commerciaux aux vitrines vides, des friches de parking, rien qui puisse exciter l'imagination d'un enfant avec des émotions autres que la perplexité, l'anxiété et l'aversion.
L'« enseignement » qui se passe soi-disant dans les écoles est un vestige brisé de la préparation à une économie qui n'existe plus. Nous ne sommes plus une société de gens qui font des choses, mais plutôt une société de gens à qui des choses sont faites, dont beaucoup sont nuisibles, humiliantes et arbitraires. Le corps enseignant démoralisé de l'Amérique est tellement déséquilibré par sa propre anomie qu'il a recours à l'imposition de fantasmes sadiques aux enfants dont il a la charge.
Ainsi, tous les programmes inappropriés autour des préoccupations sexuelles des adultes, comme la Drag Queen Story Hour, pour laquelle des hommes souffrant de troubles mentaux sont invités à imiter des femmes-monstres pour des jeunes dont on ne peut pas s'attendre à ce qu'ils fassent sens du spectacle. (Je soupçonne que même les enfants de six ans, câblés pour fonctionner comme des animaux qui réussissent dans ce monde, le comprennent comme une sorte d'affront à la réalité.) Sinon, les enseignants américains sont à court d'idées et sont eux-mêmes endommagés par le même forces de la culture qu'on leur demande maintenant de diriger.
L'Amérique est devenue un spectacle dysfonctionnel sans rôles réalisables dans lesquels les enfants peuvent se projeter de manière réaliste. Quel enfant de dix ans rêve de devenir le chef de la friture de Burger King avec un tablier marron et une couronne en carton stupide ? Au contraire, ils sont incités à aspirer à devenir des millionnaires vedettes du sport, dont il y a peut-être moins de 5 000 postes dans un pays de 340 millions. À douze ans, ils comprennent probablement l'improbabilité de ce résultat, ou de devenir le prochain Kardashian… ou Spiderman. (Les super-héros sont fournis par les cartels du divertissement pour occuper le domaine imaginatif des enfants, car la culture américaine est dépourvue de rôles basés sur la réalité auxquels il vaut la peine d'aspirer.)
RépondreSupprimerDans ce tumulte d'appauvrissement culturel, la grandiosité psychotique s'insinue. Soyez grand si vous ne pouvez pas être autre chose. Par conséquent, un rôle réalisable pour les jeunes dans la vie américaine est celui de meurtrier de masse. C'est une façon de devenir important, d'avoir un effet sur les autres et sur la société en général. Votre nom sera peut-être oublié, mais l'acte lui-même restera gravé dans la mémoire collective d'un peuple. Ce sera une sorte de marque dans l'histoire, encore mieux mémorisée, peut-être, que celui qui a joué au troisième but pour les Braves d'Atlanta en 1994… ou la femme qui a une fois gambadé sur le tapis rouge aux Oscars dans une robe façonnée sur un abattu cygne.
Le chaos déclenché par une fusillade dans une école n'est que l'essence rectifiée des multiples dérangements de notre vie nationale. Tout est détraqué, y compris notre perception de ce qui se passe et de ce que cela signifie. Il ne reste presque plus rien de l'enfance dans ce pays, à la manière de jeunes créatures informes assistées par des adultes qui les aiment dans un avenir qui en vaut la peine. Nous avons oublié comment être reconnaissants d'être venus dans ce monde, nous laissant indignes d'être ici. La qualité de vertu, signifiant que certaines choses et certaines actions sont manifestement meilleures que d'autres, a été trompeusement remplacée par l'équité selon laquelle rien n'est autorisé à être meilleur qu'autre chose. La vérité et la beauté sont devenues hors-la-loi. La mauvaise foi et la méchanceté règnent, dirigées par un Parti du Chaos. Alors, vraiment, qu'attendez-vous ? Et que mérites-tu ?
Réimprimé avec la permission de Kunstler.com.
https://www.lewrockwell.com/2022/05/james-howard-kunstler/childhoods-end/
Opinion: L'OTAN est l'apartheid nucléaire
RépondreSupprimervendredi 27 mai 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Si j'avais personnellement le pouvoir de les libérer, je le ferais. Nonobstant le fait que j'ai eu au moins un membre de ma famille tué dans un camp de concentration nazi par de vrais nazis. Mais malheureusement, tout ce que j'ai pour les soutenir, ce sont mes mots.
(Article republié de Expose-News.com)
Mais les mots sont la seule chose que les opposants au régime russe actuel se voient refuser. C'est donc pour moi un grand plaisir d'utiliser ma liberté d'expression dans cette publication au nom de chaque journaliste russe réduit au silence, vrai patriote russe et vrai patriote ukrainien, tout comme je l'ai fait au nom de ceux qui se sont vu refuser une voix sur les vaccins contre l'empoisonnement génétique et la fraude électorale américaine. et la perversion d'enfants pour la gratification sexuelle d'adultes immoraux. Tant de groupes dans ce monde se voient refuser une voix. Malheureusement, je n'ai pas les milliards ni la crédibilité pour sauver Twitter des mondialistes et que Dieu bénisse celui qui l'a. Mais The Expose me donne la richesse de l'expression de soi qui est ce pour quoi les Asovstallers se battent et ce que nous, en Occident, tenons trop souvent pour acquis.
Les fonctionnaires, décrits par Sir Winston comme n'étant plus civils et n'étant plus des fonctionnaires, se servent d'abord, que ce soit en fournissant des soins de santé aux malades et aux mourants dans ce pays ou en fournissant des visas à ceux qui fuient la mort et la destruction. en Ukraine Alors que les Asovstallers servent leurs familles, leur pays, la Pologne, la Roumanie, les États baltes, l'UE, les Scandinaves, les Américains et les Britanniques et Irlandais qui ont tous deux été menacés d'une expédition rapide dans le casier radioactif de Davy Jones par une torpille à propulsion nucléaire supercavitante russe avec une grosse ogive nucléaire.
Ils nous servent en retardant, en contrecarrant et en bloquant l'offensive russe en Ukraine, ce qui nous fait gagner du temps pour mieux préparer nos défenses contre les charmantes menaces russes de nous anéantir tous par diverses technologies machiavéliques qu'ils ont conçues pendant leur temps libre dans ce but précis.
Pour moi, les caractéristiques déterminantes des nazis étaient et sont
1. Accaparements de terres par Blitzkrieg
RépondreSupprimer2. Déplacements forcés et camps de concentration pour ceux qui s'y opposent politiquement ou militairement ou philosophiquement ou religieusement, en fait de quelque manière que ce soit
3. Représailles civiles pour ceux qui infligent des dommages militaires à leur machine de guerre
4. Contrôle total des informations d'état
5. L'invention de nouveaux types de missiles intercontinentaux (V1, V2 etc.)
6. Le désir de devenir la nouvelle superpuissance mondiale.
7. La croyance qu'ils sont la race des maîtres et des menaces incessantes pour toutes les races qui leur sont inférieures - c'est-à-dire toutes les autres races.
En traduisant cela en russe à l'aide de Ruble Translate, nous obtenons…
1. Accaparements de terres par Blitzkrieg en Géorgie et en Ukraine
2. Déplacements forcés, filtration et camps de travail pour ceux qui s'y opposent politiquement ou militairement ou philosophiquement ou religieusement, en fait de quelque manière que ce soit
3. Kiev a été bombardée en représailles civiles pour avoir coulé le Moskva.
4. Contrôle total des informations d'état
5. L'invention de nouveaux types de missiles intercontinentaux (missiles nucléaires hypersoniques et torpilles nucléaires supercavitantes)
6. L'opération militaire spéciale en Ukraine est conçue pour mettre fin à la domination américaine selon les mots de Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères. Donc PAS simplement pour démilitariser l'Ukraine.
7. Dmitri Rogozine, le chef de l'agence spatiale russe, a averti que la Russie pourrait détruire l'OTAN en 30 minutes avec des armes nucléaires sur sa chaîne Telegram.
Alors, comment se comporter comme un Hitler hypersonique ou un Staline supersonique et s'en tirer au 21ème siècle ?
Hypocrisie accusatrice
On utilise la méthode éprouvée de l'hypocrisie proactive, de l'accusation préventive et de l'hypocrisie accusatoire. On accuse son ennemi d'être ou de faire ce qu'on va être ou faire soi-même. Parce que, comme l'a dit Sir Winston : Un mensonge fait le tour du monde avant que la vérité n'ait la chance de mettre son pantalon. Donc, si vous voulez vous en sortir avec un Blitzkrieg nazi sans être traité de nazi, vous devez d'abord accuser vos victimes d'être des nazis. Ou mieux encore, vous présentez tout votre effort de guerre comme une attaque contre le nazisme. Alors vous pourrez mener votre impérialisme nazi en toute impunité.
Les démocrates aux États-Unis le font avec "Notre démocratie", qui est bien sûr leur dictature. Ils attaquent la démocratie en truquant les élections de toutes les manières imaginables, du contrôle des médias au contrôle de la loi électorale en passant par le contrôle du décompte des voix, la récolte des bulletins de vote avec 2000 mules, la persécution, la poursuite et le harcèlement des candidats et des présidents des campagnes politiques opposées, etc. Mais ils le font sous le couvert du récit qu'ils défendent la démocratie – dont la couverture est conçue pour tromper leurs adversaires.
RépondreSupprimerDe même, Poutine mène une Blitzkrieg nazie contre l'Ukraine sous le prétexte qu'il libère l'Ukraine d'un régime sympathisant avec les nazis. C'est la même technique du même livre de jeu démoniaque.
Bill Gates et Tony Fauci sont passés maîtres dans l'hypocrisie accusatrice. Ils se présentent comme les sauveurs d'une pandémie qu'ils ont eux-mêmes financée. Ils nous forcent à recevoir des thérapies qu'ils ont financées ou créées, qui sont en fait plus meurtrières que la pandémie elle-même. La vraie maladie ici est le désir de pouvoir des mauvais acteurs derrière la pandémie et les vaccins. La pandémie et les vaccins ne sont que des dispositifs pour leur fournir le pouvoir dont ils ont besoin.
Aucun homme n'a un plus grand amour que celui-ci, qu'il donne sa vie pour ses amis, est la devise de mon collège d'Oxford et étaient les paroles de Jésus dans Jean 15:13.
Eh bien, les Asovstallers ont fait mieux que ça. Ils ont sacrifié et sont toujours en train de sacrifier leur vie, non seulement pour leurs amis, mais en fait pour ceux qui les appellent des nazis.
Les nazis qui ont un plus grand amour pour les gens de ce pays que n'importe quel mandarin de Whitehall peuvent actuellement le démontrer depuis son fauteuil à la maison.
J'encourage le gouvernement à secourir ces amoureux de la liberté au cœur d'acier et à leur donner tous des emplois à Whitehall.
Le silence de Snowden sur l'Ukraine
Snowden Feb18 : Cette possibilité est franchement si terrible pour moi qu'il est même difficile de l'envisager. Je me souviens encore des cicatrices rouges dans les rues de Sarajevo, la « Sarajevska ruža » en souvenir de ceux qui ont été tués par des tirs de mortier.
Kyiv est plus grande que Sarajevo. Que Grozny. Que Fallujah.
Impensable.
Snowden 27 février : Je ne suis pas suspendu au plafond au-dessus d'un baril d'acide par une corde qui brûle un peu plus vite à chaque fois que je tweete, vous êtes des goules qui traînent. Je viens de perdre toute confiance que j'avais que partager ma réflexion sur ce sujet particulier continue d'être utile, parce que je l'ai mal appelé.
Depuis le 27 février, Snowden n'a plus publié de tweets sur l'Ukraine.
Nous ne devons pas isoler Poutine
RépondreSupprimerPar peur d'énoncer l'évidence - Plus la guerre en Ukraine se prolonge, plus il y a de chances qu'elle dégénère en WW3. Alors que nous devons soutenir le droit de tout pays à se défendre contre la colonisation par une plus grande fédération de nations, d'autant plus que la Grande-Bretagne était elle-même un tel agresseur. Et d'autant plus que le Royaume-Uni, les États-Unis et, ironiquement, la Russie sont également liés par le mémorandum de Budapest de 1994 le 5 décembre pour défendre l'Ukraine en échange de leur accord de renoncer à leurs armes nucléaires (ils étaient autrefois la 3e plus grande puissance nucléaire au monde), les deux premiers paragraphes dont l'accord stipule.
1. La Fédération de Russie, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et les États-Unis d'Amérique réaffirment leur engagement envers l'Ukraine, conformément aux principes de l'Acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe, de respecter l'indépendance et la souveraineté et les frontières existantes de l'Ukraine.
2. La Fédération de Russie, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et les États-Unis d'Amérique réaffirment leur obligation de s'abstenir de recourir à la menace ou à l'emploi de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique de l'Ukraine, et qu'aucune de leurs armes ne sera jamais être utilisé contre l'Ukraine, sauf en cas de légitime défense ou autrement, conformément à la Charte des Nations Unies.
Nous sommes maintenant dans une situation où la Russie a complètement rompu ses engagements de 1994. Alors que les États-Unis et le Royaume-Uni respectent leurs engagements dans le cadre du mémo. Mais nous devons tous nous rappeler que le but du mémorandum de 1994 était d'éviter une guerre nucléaire impliquant des armes nucléaires ukrainiennes. Ce n'était pas pour risquer une guerre nucléaire contre l'Ukraine !
Ainsi, plutôt que de sanctionner les oligarques russes et les personnalités sportives russes et en particulier les oligarques sportifs russes alors qu'ils tentent de négocier des accords de paix, nous devrions jeter des ponts vers Poutine par l'intermédiaire de ces personnes. Parce que la note de service de 1994 promet également que toutes les parties resteront en communication étroite. À l'ère nucléaire, c'est d'une importance cruciale. Nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir de mauvaises relations avec Poutine, aussi éloignées soient-elles.
Ce qu'il faut ici, c'est un personnage semblable à Trump pour avoir un homme à homme avec Poutine et le traiter avec le respect qu'il mérite pour avoir fait un très bon travail sur l'économie russe et pour ramener la Russie au statut de superpuissance. Pour être franc, il a besoin de reconnaissance. Il a besoin d'un Oscar de l'Académie des nations occidentales et ce que nous lui avons donné était une gifle.
Poutine a déclaré que la seule raison pour laquelle les États-Unis s'intéressaient aux relations avec Moscou était que la Russie était le seul pays capable de détruire l'Amérique en une demi-heure ou moins. Ce sont les mots d'un homme avec une estime de soi absurdement faible. Il y a de très nombreuses raisons d'entretenir de bonnes relations avec la Russie. Ce sont des gens incroyablement compétents sur le plan technologique et très créatifs et super logiques. Ce sont de brillants stratèges. La pire chose que nous puissions faire est de les diaboliser.
Si nous l'excluons, il ne fera que devenir plus rancunier. Et les guerres, pour toutes les justifications insignifiantes qui sont avancées en leur nom (espace respiratoire, zone tampon, etc.) sont en réalité une question de fierté, d'ambition, de cupidité, de peur et de toutes les autres émotions humaines chez les dirigeants des parties belligérantes. Ils ne sont pas différents et pas moins destructeurs qu'une dispute avec sa meilleure moitié. De tels arguments portent sur l'émotion, sur le sentiment d'être valorisé ou apprécié ou désiré ou aimé, ou important. Je le sais parce que j'ai perdu beaucoup de ces arguments en croyant à tort qu'ils portaient sur le sujet de l'argument.
RépondreSupprimerVladimir Poutine est un être humain plein de ressources, comme en témoigne son amoureux de la gymnastique. Nous devons être tout aussi ingénieux et tout aussi gymnastes dans nos efforts pour l'inclure, voire même le courtiser. Parce qu'il n'y a pas d'alternative. Et il sait qu'il n'y a pas d'alternative.
Mais nous avons fait exactement le contraire avec lui et il a mal réagi à notre exclusion et à son traitement comme le parent pauvre du jeu de pouvoir du grand garçon. En ce sens, son comportement nazi est en partie de notre faute. Nous ne pouvons pas lui demander de modifier son comportement si nous ne sommes pas prêts à modifier notre propre comportement. Il y a un sens réel dans lequel plus il fait mal en Ukraine, moins le monde devient stable.
Poutine cherche à être accepté. Nous lui avons refusé l'entrée au club. Alors il a fait sauter le club. Si nous parvenons maintenant à l'expulser de la partie du club où il s'est écrasé, il peut réagir en détruisant tout le club. C'est en fait ce que veulent les mondialistes. Pour qu'ils puissent mieux reconstruire par la suite. Mais ce n'est pas ce que veut tout être humain doté d'un cœur ou d'une conscience, y compris Poutine.
Je recommanderais donc l'accord suivant : libérez les Asovstallers et autorisez les expéditions de céréales d'Odessa pour le tiers monde, et en retour, nous levons les sanctions contre tous les sportifs et oligarques russes. Nous sanctionnons l'administration, mais pas n'importe quel ancien Russe de haut niveau. Nous construisons un pont avec notre humanité. Nous faisons une offre d'amitié. Nous commençons à l'inclure. Nous lui offrons l'opportunité de faire quelque chose d'héroïque pour le 3ème monde. Nous le traitons avec la dignité que son pouvoir et sa puissance méritent. C'est une situation difficile et éprouvante. Mais la solution est plus émotionnelle que stratégique ou tactique je crois.
Apartheid nucléaire
RépondreSupprimerMême maintenant, proposer à la Russie de rejoindre l'OTAN si elle quitte l'Ukraine serait une bonne idée à mon humble avis. Parce que l'OTAN ne peut pas se permettre d'être ennemie de la Russie et que la Russie ne peut pas non plus se permettre d'être ennemie de l'OTAN. La Finlande et la Suède envisagent de rejoindre l'OTAN et cela a été présenté comme une grande victoire contre Poutine. Je pense que c'est un grand désastre pour la sécurité mondiale. Le videur du club ayant rejeté Poutine admet maintenant deux femmes (vu que quelques fois auparavant). En quoi cela aide-t-il à calmer les choses ?
Que diriez-vous de ce scénario : Invitons chaque pays du monde entier à rejoindre l'OTAN, à l'exception de la Russie, d'accord ? Parce que cela semble maintenant être le but de l'OTAN. Il s'est transformé en un club conçu pour exclure, contrarier et aliéner une superpuissance nucléaire. Comment cela rend-il le monde plus sûr ?
Voici donc ma dernière suggestion. L'OTAN ne peut pas sauver l'Ukraine. Mais détruire l'OTAN pourrait bien la sauver et l'Occident avec elle. Je ne suis pas surpris que Poutine veuille que l'Ukraine soit exclue de l'OTAN comme il l'est. Quelqu'un doit tenir compagnie au gars pendant qu'il traîne à l'extérieur du club !
Je n'aime pas les gangs et pour citer à tort Groucho Marx : je ne veux pas faire partie d'un club qui n'aurait pas la Russie comme membre.
Ici, en Occident, les politiciens se plient en quatre pour être inclusifs envers tous les groupes de personnes qui pourraient se sentir exclus. Tous les groupes, c'est-à-dire, sauf les Russes, qui sont aujourd'hui exclus non seulement de l'OTAN mais de tout ce que l'Occident a à offrir. Oui, notre réponse à leur déclenchement d'une guerre parce qu'ils sont exclus de l'OTAN, a été de les exclure également de tout ce que nous avons à offrir.
La raison pour laquelle l'Occident légifère sur l'inclusivité est d'empêcher l'aliénation de certaines parties de la société du courant dominant. Parce qu'une telle aliénation peut être préjudiciable à la société. Pourquoi alors ne pouvons-nous pas appliquer le même principe à notre voisin nucléaire, la Russie ? L'OTAN est devenue un anachronisme excluant qui aurait dû être renversé avec le mur de Berlin. Cette exclusion nous a, à mon avis, conduit à la guerre en Ukraine. Si nous ne faisons pas attention, cela nous mènera plus loin dans la troisième guerre mondiale qui sera entre l'OTAN et la Russie,
Voici donc ma suggestion pour éviter une guerre entre l'OTAN et la Russie. Abolissez l'OTAN, alors il n'y aura pas de troisième guerre mondiale. L'OTAN est l'apartheid nucléaire. Ce qui est évidemment beaucoup plus dangereux et imprudent que l'apartheid racial.
Les Noirs ont aujourd'hui les mêmes droits à la prospérité économique et sociale que les Blancs. Les Russes ne devraient-ils pas avoir les mêmes droits à la sécurité nucléaire que les Occidentaux ?
C'est cette insécurité qui a conduit au missile nucléaire Kinzhal Hypersonic et à la torpille nucléaire Poséidon. Ce ne sont pas les créations d'une nation qui se sent en sécurité !
RépondreSupprimerNous avons vraiment deux choix ici : Inviter la Russie à rejoindre l'OTAN ou abolir cet anachronisme d'apartheid si aucune invitation n'est possible.
Nous devrions faire confiance à chaque membre de l'OTAN pour faire ce qu'il faut pour la sécurité mondiale et nationale telle qu'il la voit, sans se lier les mains dans un accord centralisé. Car les événements commencent à le prouver…
La plus grande menace pour la sécurité transatlantique est l'OTAN
La plus grande menace pour la prospérité européenne est l'UE
La plus grande menace pour la santé mondiale est l'OMS
Et la plus grande menace pour l'humanité est la centralisation du pouvoir et les mondialistes qui tentent de mettre en place cette centralisation.
Read more at: Expose-News.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-27-opinion-nato-is-nuclear-apartheid.html
Les merdias (télés, radios, journaux) n'ont JAMAIS représenté le Peuple (7 milliards) mais uniquement le nano-groupuscule de dictateurs au pouvoir.
SupprimerLe SEUL espoir/pouvoir de s'en sortir est d'appliquer la Démocratie et rayer les monarchies, républiques et empires où la doctrine est "Peuple, ferme ta gueule !"
Un changement d'époque...
RépondreSupprimer27 Mai 2022
Willi l'agriculteur*
Ce texte a été écrit il y a quelque temps par M. Ulrich Knippenberg, agriculteur en Westphalie. Il s'agit de savoir si, au vu de la situation actuelle, tous les plans actuels doivent être maintenus en l'état.
Hier, dimanche 27 février 2022, notre chancelier fédéral a parlé à plusieurs reprises d'une césure, d'un changement d'époque, lors de la séance plénière convoquée en session extraordinaire. L'impensable s'est produit, ce que personne ne croyait possible il y a quinze jours :
Nous sommes en guerre en Europe !
Dans ce contexte, les chiffres et les évolutions suivants m'inquiètent encore plus qu'auparavant : en l'espace de deux ans seulement, notre taux d'auto-approvisionnement en denrées alimentaires est passé de 88% à 80% (source).
Il est urgent de remettre en question les décisions qui continuent d'alimenter massivement ce phénomène, et nous en avons plus qu'assez ! La prochaine réforme de la PAC (politique agricole commune) exige de toutes les exploitations une jachère obligatoire sur au moins 4 % de leurs terres arables. Nous laissons 4 % de nos terres fertiles en jachère au milieu des consommateurs, et nous importons à la place encore plus de denrées alimentaires.
80 % - 4 % de « jachère forcée » = 76 % [ma note : les calculs ne sont pas justes, mais l'essentiel est dans l'exposé de la situation]
Dans le jeu de dés concernant les zones rouges, thème du règlement sur la fertilisation, la faiblesse de notre système fédéral en collaboration avec les technocrates de l'UE se révèle sans ménagement. Dans la réforme à venir de la réforme de la réforme de l'ordonnance sur la fertilisation de 2017 – personne n'y comprend plus rien, chacun se sent pointé du doigt et personne ne veut assumer la responsabilité du problème central, à savoir le manque de professionnalisme, de traçabilité et de base de données –, on part du principe que les « zones rouges » en Rhénanie-du-Nord-Westphalie vont à peu près doubler. Dans ces zones, la fertilisation doit être inférieure de 20 % aux besoins calculés de la culture concernée, soi-disant pour protéger les eaux souterraines. Une évaluation de TOUS LES AUTRES apports n'a pas encore été réalisée à ce jour ! Les sols peuvent peut-être encore compenser en partie les baisses de rendement, mais ils se dégradent naturellement à court et moyen terme.
Il n'est pas non plus improbable qu'en raison des sanctions en vigueur, les engrais azotés les plus courants, qui sont jusqu'à présent produits à 60 % en Russie et doivent être importés de ce pays, ne soient plus disponibles dans un avenir proche.
RépondreSupprimer76 % - 10 % « règlement sur les engrais » + « embargo » = 66 %
Dans le cadre du Green Deal européen et de l'accord de coalition actuel, un objectif clair a été défini : 30 % d'agriculture biologique et une réduction de 50 % des produits phytosanitaires utilisés.
Avec une part actuelle de 9,6 % d'agriculture biologique, qui s'est progressivement développée en fonction de la demande, on veut maintenant pousser 20,4 % des exploitations vers un autre mode d'exploitation. En agriculture biologique, on récolte sur la même surface, non extensible, environ la moitié de ce qui est récolté en agriculture conventionnelle...
66 % - 10,2 % de « bio forcé » = 55,8 %
Sur la surface restante, les traitements phytosanitaires doivent être réduits de 50 %. Depuis de nombreuses années déjà, les praticiens n'utilisent que le strict minimum de produits phytosanitaires, non seulement en raison des lois en vigueur, mais aussi, logiquement, pour des raisons économiques. Qui voudrait encourir des dépenses inutiles en période de marges réduites ? Le niveau de formation et la technique disponible dans ce domaine peuvent être classés au top niveau mondial. Les effets attendus sont difficiles à évaluer ; selon la culture et l'année, cela peut aller d'une légère dépression du rendement à la perte totale de la culture, et certaines cultures disparaîtront probablement d'Allemagne pour être produites dans d'autres parties du monde.
55,8 % - 10 % de « renoncement aux PPP » = 40,8 %
Si l'on considère en outre que chaque jour en Allemagne, près de 60 ha de terres agricoles fertiles disparaissent à jamais sous le béton et l'asphalte, je pense qu'il est tout à fait réaliste de penser que dans un avenir pas si lointain, avec 83,24 millions d'habitants, nous serons dépendants de denrées alimentaires importées pour près de 50 millions de personnes, au lieu de « seulement » 15 millions aujourd'hui.
Un regard extérieur fait d'ailleurs le même constat.
Depuis quelques jours, on voit plus que clairement où nous mène une trop grande dépendance aux importations dans le domaine de la politique énergétique – nos arguments sont faibles, nous sommes soumis au chantage. En tant qu'entreprise agricole, cela nous est égal de produire des aliments ou de l'énergie, ou encore des surfaces fleuries.
L'idée que nous nous faisions autrefois de la sécurité de l'approvisionnement de notre population s'est noyée, après des années d'instructions sur ce que nous devions faire et ne pas faire, dans un maquis d'obligations techniques à peine défendables et dans un océan d'obligations de documentation. Avec des marges réduites, nous le disons désormais sans émotion : on fait ce qui vaut la peine !
RépondreSupprimerNous avons essayé pendant longtemps de discuter des conséquences possibles et nous nous heurtons depuis des années à l'hostilité des médias, de la politique et d'une partie de la société.
Peut-être – car comme chacun sait, l'espoir meurt en dernier – pouvons-nous encore changer quelque chose à cette dystopie.
Peut-être est-il temps que des professionnels bien formés puissent à nouveau vivre sur leurs terres comme des entrepreneurs, au lieu de se faire expliquer leur travail par des personnes qui ne savent pas distinguer le seigle du blé.
Peut-être pourrons-nous arrêter de raconter des histoires idéologiques sur l'alimentation végétalienne, si respectueuse du climat, et expliquer aux gens qu'une grande partie de l'agriculture ne peut pas fonctionner sans bétail, car les céréales fourragères sont et restent des céréales fourragères et que de nombreux sols ne permettent pas de produire autre chose.
Peut-être pourrons-nous commencer à parler de protection des plantes au lieu de parler de « pesticides » et mettre en relation les avantages et les dommages potentiels sans aucun préjugé.
Peut-être pourrons-nous laisser aux exploitations biologiques existantes la possibilité de servir leur clientèle croissante, au lieu d'être confrontés tout à coup à une offre triplée.
Peut-être parlerons-nous d'une fertilisation correcte au lieu d'évoquer un quelconque problème de nitrates dans les nappes phréatiques, sans même chercher à comprendre d'où vient le problème.
Peut-être...
Le texte reflète l'opinion de l'auteur.
_____________
* Source : Zeitenwende... - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2022/05/un-changement-d-epoque.html
Pénurie de moutarde : pas la faute du climat
RépondreSupprimerLa pénurie de moutarde est liée à la fermeture des économies qui a interrompu les habitudes et comportements.
le 29 mai 2022
Henry Bonner
La Russie vient en aide au Sri Lanka, selon Bloomberg :
Le Sri Lanka reçoit du pétrole brut de Russie, qui lui permettra de produire les carburants dont a besoin ce pays en situation de faillite, qui fait face à des pénuries de gasoil et d’essence. Le pétrole [russe] permettra de redémarrer pour la première fois en deux mois [son unique raffinerie,] à Sapugaskanda. Le Sri Lanka fait face à la pire crise financière de son histoire en tant que pays indépendant, avec des pénuries allant du pétrole à la nourriture. Les réserves de carburant sont si faibles que le gouvernement demande aux citoyens de cesser de faire la queue devant les stations-essence.
Les Russes ont-ils plus de sympathie pour les gens que les dirigeants européens ?
Peut-être pas, mais la Russie continue de fournir l’or noir dont ils ont besoin pour vivre.
Cela génère davantage de richesse, de confort, et de prospérité dans le monde.
À l’inverse, lorsque vous entravez le commerce, et créez de l’argent de toute pièce, vous créez des dislocations… et donc la pauvreté.
La faute de la Nature
Les consommateurs constatent des pénuries dans les rayons de leurs magasins ces temps-ci.
Par exemple, vous ne pouvez plus trouver de la moutarde…
Actu.fr rapporte que selon la Confrérie des producteurs de moutarde, 80 % des grains proviennent du Canada, qui souffre de sécheresse.
L’explication laisse un peu sur sa faim… Après tout, les pénuries surgissent de toutes parts en ce moment, pas juste pour la moutarde.
La sécheresse n’a pas causé le manque de production de voitures, ni la pénurie de carton pour les colis. Bookseller rapporte que le coût d’impression d’un livre a augmenté de 40 % l’an dernier.
Vous ne pouvez pas mettre cela sur le compte de la guerre ni des émissions de carbone.
Non, cela provient de la création de monnaie sans précédent des autorités… et avec la mise à l’arrêt de l’activité des entreprises.
Les prix des grains de moutarde ont commencé leur ascension dans le seconde moitié de 2020… comme le reste des matières premières. Il a presque doublé depuis janvier 2020.
Selon les agriculteurs, la sécheresse a réduit de 41 % la production des champs par rapport à leurs attentes.
Mais quand vous regardez les statistiques, vous voyez qu’ils avaient planté 35 % de semences en moins en 2020.
RépondreSupprimerUn haut rendement cette année-là avait permis de compenser, mais en 2021, face à une mauvaise récolte, un déficit s’est déclaré.
Perte de savoir
La fermeture des économies a interrompu les habitudes et comportements.
Mais les grandes exploitations agricoles ou encore les champs de pétrole et de gaz avaient pris des années d’investissement et d’adaptation. À présent, les marchés doivent prendre en compte la possibilité de fermetures, restrictions sur les déplacements, ou épisodes d’inflation des prix.
Dans un marché, les prix reflètent l’accumulation de savoir (par l’expérience) des participants, et vous ne pouvez pas remonter en arrière et rayer les événements des deux dernières années.
Les soucis de production et les hausses de prix vont continuer parce que les économies vivent avec une épée de Damoclès au-dessus d’elles.
À tout moment peut avoir lieu un retour en arrière, vers les restrictions, la création de centaines de milliards d’euros ex nihilo, ou, comme nous en avertissons, une dévaluation de la monnaie.
https://www.contrepoints.org/2022/05/29/428485-penurie-de-moutarde-pas-la-faute-du-climat
Sri Lanka: 65 610 km², (presque la superficie de la région 'Auvergne Rhône-Alpes'), 23 millions d'habitants.
SupprimerÉconomie, chômage, sécurité : en finir avec la méthode Coué
RépondreSupprimerTout l’art de la méthode Coué consiste à faire croire que tout va bien, voire très bien alors que la situation est catastrophique. Notre gouvernement est adepte de cette méthode.
le 29 mai 2022
Claude Goudron
Tout l’art de la méthode Coué consiste à faire croire que tout va bien, voire très bien alors que la situation est catastrophique.
Notre gouvernement est adepte de cette méthode dans tous les domaines et pour lesquels nous avons droit à l’autosatisfaction de la majorité de ses acteurs.
Économie
À la tête d’un ministère très étendu Bruno Le Maire est le champion.
L’industrie
Pour lui, elle se relève grâce aux mesures que le gouvernement à engager durant ce quinquennat.
Il s’agit plutôt de mesurettes qui vont certes dans le bon sens mais qui sont largement insuffisantes et n’ont pas permis d’inverser la descente aux enfers du tissu industriel manufacturier puisque sa part dans le PIB a encore baissé, elle est passée en dessous des 10 %.
En 2021 la production industrielle a diminué de 4,5 % par rapport à février 2020 et a encore perdu 0,9% en février 2022 !
Pire, la valeur ajoutée créée qui permet à une entreprise d’investir est passée de 250 milliards d’euros en 2000 à 275 milliards en 2018 soit + 10 %. Pendant le même temps l’Allemagne passait de 480 milliards en 2000 à 770 milliards en 2018 soit + 60 %.
Le déficit
La maîtrise du déficit du pays ne semble pas inquiéter notre ministre, malgré l’affirmation d’un retour de celui-ci en dessous de 3 % en 2027, il est encore de 161 milliards en 2021 soit 6,5 % du PIB. Chacun sait qu’il ne devrait pas baisser significativement avec les dépenses supplémentaires générées par les aides au maintien du pouvoir d’achat et surtout à l’engagement du pays dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Le gouvernement sait pertinemment que l’objectif de 4,8 % cette année, basé sur une croissance de 4%, est impossible à atteindre.
La dette
Elle est le résultat de plus de quarante ans de déficit, atteint déjà des sommets avec 2813 milliards en 2021 soit une hausse de 165 milliards par rapport à l’année précédente.
Compte tenu de la conjoncture difficile nous devrions atteindre les 3000 milliards en fin d’année. Là aussi le retour aux 60 % annoncés relève purement du fantasme.
Les impôts
RépondreSupprimerBruno Le Maire affirme qu’ils diminuent, mais pourquoi les prélèvements obligatoires sont-ils passés de 43,8 % en 2019 (source Insee) à 44,5 % en 2021 ?
Baisser les impôts d’un côté pour les augmenter ailleurs est de la tromperie !
Balance commerciale
Malgré la volonté du ministre de retrouver une balance commerciale positive d’ici 10 ans, celle-ci a atteint un déficit historique de 84,7 milliards en 2021. Les prévisions pour 2022 sont supérieures à 100 milliards.
Chômage
Élisabeth Borne nommée Premier ministre du second mandat de M. Macron, a été sa ministre du Travail, de l’emploi et de l’insertion.
Baisse historique du chômage à 7,3 % contre 8 % en 2020 : dans le principe on ne peut qu’applaudir, mais en regardant dans le détail la réalité est tout autre.
En effet, le nombre de chômeurs inscrits a baissé de 4 % sur un an (du premier trimestre 2021 au premier trimestre 2022 source « journaledunet.com «) passant de 2 844 900 à 2 721 300 soit 123 600 inscrits en moins.
Pendant la même période l’augmentation du nombre de personnes en formation, qui sortent d’office des statistiques chômage, a été de 190 000 (718 000 en 2021 en augmentation de 36 % par rapport à 2020).
La réalité est donc que le chômage n’a pas diminué en 2021 mais augmenté de 66 400 !
Ceci sans compter les 50 000 fonctionnaires supplémentaires embauchés en 2021.
Sécurité et justice
Selon le ministre de l’Intérieur, « la délinquance générale a baissé ». Il s’agit des sources de l’année 2020 donc avec le confinement. Depuis, les statistiques sont nettement à la hausse contredisant ses affirmations.
Évolution de la délinquance en 2021 :
Violence sexuelle…………….. + 33 %
Escroqueries…………………… + 15 %
Trafic de stupéfiant………….. + 13 %
Atteinte aux personnes…….. + 12 %
Atteinte aux biens……………. + 5 %
La justice française est devenue de plus en plus laxiste, les peines sont trop souvent inappliquées par faute de place dans les prisons… à cause du non-respect des engagements du gouvernement à ce sujet.
Éducation
Les trois priorités du mandat de Jean-Michel Blanquer rappelées lors de sa passation de pouvoir au nouveau ministre de l’éducation : bonheur, excellence, République.
Force est de constater un échec : le bonheur des élèves est contestable, l’excellence est contredite par les tests PISA et la République a été malmenée (décapitation et agressions de professeurs et grandes écoles sous influence)
Santé
RépondreSupprimerLa pandémie a mis en lumière un système de santé publique à bout de souffle, gangréné par une administration hors sol et contre-productive, mettant ainsi fin à notre certitude d’avoir le meilleur système de santé au monde, formule encore et toujours rabâchée.
Conclusion
Dormez bien, l’État s’occupe de tout et surtout croyez nos dirigeants sur parole lorsqu’ils vous l’affirment.
Mais les faits sont là et ne sont malheureusement pas encourageants : faiblesse économique endémique, lâcheté devant l’héritage financier laissé à nos enfants, obstination à vouloir travailler toujours moins sans en assumer les conséquences, défense sacrifiée à notre bien-être.
https://www.contrepoints.org/2022/05/29/428126-economie-chomage-securite-en-finir-avec-la-methode-coue
Une femme de Virginie-Occidentale respectueuse des lois avec une arme à feu dissimulée arrête une fusillade de masse
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 28 MAI 2022 - 14:45
Au lieu d'attendre l'arrivée de la police, une femme avec un permis de transport dissimulé en Virginie-Occidentale a agi rapidement pour arrêter un homme fou avec un fusil de style AR-15 qui était sur le point de tuer des dizaines de personnes lors d'une fête de remise des diplômes.
"Au lieu de fuir la menace, elle s'est engagée dans la menace et a sauvé plusieurs vies la nuit dernière", a déclaré le chef des détectives du département de police de Charleston, Tony Hazelett, aux informations locales WCHSTV.
L'incident s'est produit mercredi lorsque Dennis Butler, 37 ans, a été irrité par un groupe de personnes organisant une fête de remise des diplômes qui lui ont dit de ralentir dans un complexe d'appartements à Charleston. Il est revenu 30 minutes plus tard, a garé son véhicule, a sauté sur la banquette arrière et a déchargé son arme vers le groupe de 30 à 40 personnes.
À l'insu du tireur, une citoyenne respectueuse des lois avec un CCW se trouvait dans le groupe et a rapidement sorti son arme et a engagé Bulter avec un tir direct, le blessant mortellement.
"Il y avait une fête de remise des diplômes, une fête avec des enfants", a déclaré Hazelett lors d'une conférence de presse. "Donc, évidemment, quelqu'un vient d'obtenir son diplôme d'études secondaires et une autre fête d'anniversaire. Nous aurions pu avoir une victime en train de tirer là-bas." Il a estimé qu'entre 30 et 40 personnes ont assisté aux fêtes.
Aucun blessé n'a été signalé en dehors du tireur. La police n'a pas encore dévoilé le nom de la femme, bien qu'elle ait déclaré qu'elle ne faisait pas partie des forces de l'ordre et qu'elle n'était qu'une citoyenne respectueuse des lois.
La police de Charleston discute de l'incident.
Ainsi, une bonne femme avec une arme à feu empêche une mauvaise personne avec de mauvaises intentions et un casier judiciaire chargé de commettre une fusillade de masse. La société devrait-elle la considérer comme une héroïne pour avoir sauvé la vie de dizaines de personnes ?
https://www.zerohedge.com/political/law-abiding-west-virginia-woman-concealed-firearm-stops-mass-shooting
La Californie s'apprête à adopter un «projet de loi sur la désinformation médicale» ciblant des protocoles alternatifs COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 29 MAI 2022 - 02:30
Écrit par Patricia Tolson via The Epoch Times
La législature de Californie est sur le point d'adopter le projet de loi 2098 de l'Assemblée, décrit comme un "projet de loi sur la désinformation médicale". Si elle est adoptée, la nouvelle loi interdirait aux médecins de fournir librement des conseils médicaux et de traiter leurs patients si ces pratiques vont à l'encontre de la position officielle sanctionnée par l'État.
En avril 2020, le Département de la consommation de l'État de Californie, le Conseil de la pharmacie de l'État de Californie et le Conseil médical de Californie ont publié une déclaration (pdf) concernant la «prescription inappropriée de médicaments liés au traitement du nouveau coronavirus», comme l'hydroxychloroquine , avertissant que "la prescription ou la distribution inappropriée de médicaments constitue une conduite non professionnelle en Californie".
Le 29 juin 2021, la Fédération des conseils médicaux d'État a émis un avertissement, déclarant que « les médecins qui génèrent et propagent la désinformation ou la désinformation sur le vaccin COVID-19 risquent des mesures disciplinaires de la part des conseils médicaux d'État, y compris la suspension ou la révocation de leur licence médicale. ”
En août 2021, le Dr Anthony Fauci a déclaré qu'il n'y avait aucune preuve que l'ivermectine fonctionne et qu'elle est plus susceptible de causer des dommages. En décembre 2021, la Food and Drug Administration a publié un avertissement intitulé "Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l'ivermectine pour traiter ou prévenir le COVID-19". Dans un rapport mis à jour le 29 avril 2022, le groupe d'experts sur les directives de traitement du COVID-19 a déclaré qu'il "recommande de ne pas utiliser l'ivermectine pour le traitement du COVID-19, sauf dans les essais cliniques".
Si l'AB 2098 devenait loi, les médecins qui prescrivent des médicaments non approuvés par l'État ou qui prétendent que des médicaments non autorisés sont efficaces verraient leurs licences révoquées et s'exposeraient à des sanctions sévères et à des mesures disciplinaires de la part du Medical Board of California.
RépondreSupprimerEn bref, l'AB 2098 désignerait la diffusion d'informations non approuvées par l'État concernant le coronavirus SARS-CoV-2, qui cause le « COVID-19 », comme de la désinformation ou de la désinformation, ce qui constitue une conduite non professionnelle.
Un médecin, le Dr Syed Haider, a déjà été signalé à quatre conseils médicaux d'État par des pharmaciens qui, selon lui, "n'aiment pas remplir les ordonnances d'ivermectine". Il a également été contraint de retenir les services d'un avocat pour protéger sa licence médicale.
Depuis décembre 2020, après avoir réalisé que les États-Unis avaient délocalisé presque toute la fabrication de médicaments sur ordonnance vers des pays hostiles comme la Chine, Haider s'est concentré sur la prévention et le traitement du virus du PCC (Parti communiste chinois) par le biais de son initiative en ligne mygotodoc.com, en fournissant un accès en ligne facile aux prescriptions hors AMM telles que l'ivermectine, l'hydroxychloroquine, le budésonide et les protocoles pour le COVID, le long COVID et les blessures vaccinales.
« Il y avait une telle demande pour cela, cela a pris le dessus sur ma vie », a déclaré Haider, qui était « un médecin hospitalier », à Epoch Times. "Puis, la pandémie a frappé."
Début février 2020, Haider a contracté le virus du PCC dans un hôpital dans lequel il travaillait. Son travail de médecin itinérant temporaire dans de nombreux cabinets médicaux et hôpitaux touchait à sa fin et il pensait qu'avec l'épidémie de pandémie, il y aurait être beaucoup de travail. Cependant, bien qu'il ait postulé pour un poste dans un hôpital de New York, Haider avait commencé à entendre parler de prescription en ligne et il a commencé à travailler par l'intermédiaire d'un fournisseur de télémédecine en ligne anonyme aux États-Unis.
"Une fois que j'ai entendu parler de l'ivermectine et de la prescription hors AMM, les gens se présentaient sur le site Web en ligne pour demander de l'aide avec COVID et j'essayais de leur parler des médicaments hors AMM", se souvient Haider. «Et ils me lançaient simplement un regard vide. À part l'hydroxychloroquine, ils n'avaient jamais entendu parler de médicaments comme l'ivermectine. Ils pensaient que j'étais fou. Je pense que la pensée était: "Si ce truc fonctionne, pourquoi n'en ai-je pas entendu parler sur CNN, Fox News ou MSNBC ?"
Selon Haider, ce qui a vraiment changé les choses pour lui, c'est quand il a vu le 8 décembre 2020, le témoignage du Dr Pierre Kory (pdf) devant le sénateur Ron Johnson et la réunion du comité de la sécurité intérieure concernant le traitement précoce du COVID-19, " non seulement en tant que médecin individuel », mais aussi au nom de son organisation à but non lucratif, la Front-Line COVID-19 Critical Care Alliance.
RépondreSupprimer"Bien que, comme beaucoup, nous soyons extrêmement encouragés par les succès apparents dans le développement de vaccins efficaces", a déclaré Kory, "nous sommes également consternés par l'absence presque totale de conseils et de recherche sur des options de traitement précoce, à domicile ou préventif efficaces à part des vaccins – une réalité que nous trouvons inadmissible.
C'est "avec une grande fierté et un optimisme significatif" que Kory a rapporté que son groupe, "dirigé par le professeur Paul E. Marik", avait "développé un protocole très efficace pour la prévention et le traitement précoce du COVID-19", et que " publications émergentes » avaient fourni « des données concluantes sur l'efficacité profonde de l'antiparasitaire, médicament antiviral, agent anti-inflammatoire appelé ivermectine à tous les stades de la maladie ».
"C'était très clair sur son visage et dans son comportement qu'il était vraiment contrarié et très sincère et c'est devenu viral sur Internet", se souvient Haider. "Ensuite, les gens ont commencé à entendre de la famille et des amis qu'ils avaient utilisé l'ivermectine et que cela a fait une différence pour eux, et les gens sont allés en ligne pour trouver des médecins qui le prescriraient. À ce moment-là, les choses sont devenues très occupées et j'ai dû créer mon propre site Web et le prescrire en ligne aux patients. Au cours de l'année et demie suivante, les choses se sont vraiment intensifiées. De plus en plus de gens avaient commencé à entendre parler de l'ivermectine, donc de plus en plus de gens la recherchaient.
Selon le site Web, "mygotodoc facilite la protection de vous et de votre famille, en répondant à trois besoins importants que la communauté médicale au sens large a tendance à ignorer : (1) des antibiotiques d'urgence à avoir sous la main en cas de catastrophe et les médicaments sur ordonnance ne sont pas disponibles, (2 ) des fournitures de secours d'un mois de vos médicaments habituels et (3) des protocoles COVID hors AMM sûrs conçus pour la prévention et le traitement.
"Moi-même et d'autres médecins du monde entier ont obtenu des résultats incroyables avec des protocoles hors AMM, notamment l'ivermectine, l'hydroxychloroquine, le budésonide et un certain nombre d'autres protocoles", a expliqué Haider. « Ce que vous entendez sans cesse parler du traitement réussi de 5 000, 7 000 ou 10 000 patients et peut-être d'un décès. Ce sont des chiffres choquants par rapport à ce que vous entendez avec les traitements conventionnels recommandés par le CDC ou la FDA et à ce que font les hôpitaux et autres médecins qui n'utilisent pas de protocoles non conformes.
Personnellement, Haider a traité plus de 50 000 patients liés au COVID, dont beaucoup de personnes âgées. Il a déclaré que parmi ses patients, il n'y a eu aucun décès et seulement cinq hospitalisations. Malgré son succès, en vertu du projet de loi AB 2098 proposé par la Californie, l'utilisation de méthodes similaires par les médecins obligerait l'État à interférer et à les persécuter pour avoir fourni des soins indépendants.
RépondreSupprimer"Comme beaucoup d'autres médecins à travers le monde, j'ai juste essayé de sensibiliser à cela", a expliqué Haider. "Mais, comme beaucoup de médecins en Amérique, j'ai reçu des lettres de l'American Medical Association, le Federal State Medical Board m'avertissant que ma licence est en danger si je parle des vaccins ou si je répands de fausses informations ou si je prescris l'ivermectine. J'ai été repoussé par des pharmaciens, des compagnies d'assurance, des conseils médicaux de plusieurs États, qui m'ont envoyé des plaintes et m'ont demandé d'expliquer pourquoi je menais des essais expérimentaux sur des patients et pourquoi je prescrivais de l'ivermectine.
Avant tout cela, Haider avait travaillé pendant plus de 10 ans en tant que médecin hospitalier formé en médecine interne et n'avait "jamais eu une seule plainte de qui que ce soit sur quoi que ce soit".
"Donc, ce fut une expérience très étrange au cours des deux dernières années de voir ce qui est arrivé aux prestataires de soins médicaux, y compris les pharmaciens", a expliqué Haider. « Les pharmaciens nous repoussaient parce qu'ils recevaient des lettres de leurs conseils de pharmaciens les avertissant de ne pas le distribuer. ”
Selon Haider, les voix dissidentes ont été muselées et censurées dès le début de la pandémie et elles sont maintenant menacées de perdre leurs licences médicales. Pour cette raison, Haider a dû retenir les services d'un avocat.
"C'est très stressant de devoir répondre à une commission médicale", a-t-il expliqué, ajoutant qu'il s'agissait d'un "processus très opaque".
« Vous ne savez pas qui va le voir ou le revoir. Vous ne savez pas s'ils sont favorables ou non à ce que vous faites ou s'ils ne sont pas d'accord avec ce que vous faites, et ce n'est pas comme un tribunal où vous pouvez faire venir des témoins pour votre défense. Ils prennent juste une décision et parfois ils ne vous expliquent même pas la raison derrière cela.
Pire que cela, Haider a déclaré que son expérience lui donnait l'impression qu'ils essayaient d'amener des médecins comme lui à "se faire trébucher et à dire les mauvaises choses" et à s'incriminer.
"L'une des commissions médicales m'a accusé de mener des essais médicaux expérimentaux", a-t-il déclaré. "Ce n'est pas comme s'ils ne savaient pas que je prescrivais hors AMM. Nous faisons tout le temps des prescriptions hors AMM en médecine. Environ 40 % des prescriptions sont hors AMM et ne relèvent pas de la catégorie "expérience". Il ne s'agit pas d'un essai médical expérimental non autorisé. Mais ils utilisent cette formulation pour essayer de me faire me défendre contre cette attaque. Si je leur avais bêtement répondu et essayé de me défendre contre leur terminologie, je me serais incriminé parce que je ne peux pas mener une expérience sans avoir un comité d'examen, une autorisation et des formulaires de consentement spécifiques pour les essais expérimentaux de médicaments.
RépondreSupprimerHaider a expliqué comment, au cours de la tendance actuelle à vilipender l'ivermectine, "tout le monde semble oublier qu'au cours des six derniers mois, ils ont eu les mêmes problèmes avec la prescription d'hydroxychloroquine".
"Je peux envoyer une ordonnance d'hydroxychloroquine à n'importe quel pharmacien et ils la rempliront sans poser de questions", a-t-il déclaré. "Mais maintenant, ils ne rempliront pas d'ivermectine. Cela semble presque politique plutôt que médical. Ce n'est pas scientifique. Il se passe autre chose et c'est très étrange. On peut désormais prescrire des choses par l'intermédiaire des pharmacies qu'ils vilipendaient. Mais parce que tout notre établissement médical a maintenant décidé que l'ivermectine devait être tuée, les pharmaciens ont maintenant un problème avec l'ivermectine.
Selon Haider, le but de ce qu'il a décrit comme le "projet de loi sur la désinformation médicale" devant l'Assemblée législative de Californie est d'empêcher les médecins de dire des choses que l'État considère comme de la désinformation. « Cela, dit-il, soulève la question de savoir qui décide quelle est la vérité ? »
Le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, témoigne lors d'une audience du Comité sénatorial de la santé, de l'éducation, du travail et des pensions à Capitol Hill le 11 janvier 2022 (Shawn Thew/Getty Images)
"Dans n'importe quel domaine ou entreprise scientifique, il n'y a pas de vérité absolue", a-t-il expliqué, affirmant que "Dr. Fauci n'est pas une science, comme il prétend l'être.
« Il n'a pas le dernier mot sur ce qu'est la vérité scientifique. Nous nous rapprochons toujours de la vérité, mais nous ne sommes jamais arrivés à une vérité définitive en médecine. Il faut donc toujours qu'il y ait place au débat. Les médecins doivent être capables de prendre plusieurs côtés différents d'un argument. Les médecins doivent donc être capables de se débrouiller entre eux et de prescrire des médicaments hors AMM. Vous ne pouvez pas isoler une maladie et dire : "Ce n'est pas permis compte tenu de la façon dont nous avons pratiqué la médecine au cours des 100 dernières années." Les patients doivent pouvoir consulter leur médecin, discuter des traitements et des risques et prendre des décisions sans l'ingérence du gouvernement.
"Dans presque tous les hôpitaux et cliniques aux États-Unis en ce moment, il est considéré comme une forme de désinformation ou de désinformation de dire autre chose que les vaccins sont sûrs et efficaces", a noté Haider. "Dire qu'il y a des risques associés aux vaccins est prétendu être de la désinformation ou de la désinformation, et la définition de travail de la désinformation ou de la désinformation semble être tout ce qui empêcherait quelqu'un de se soumettre ou de douter des directives et recommandations de la FDA et du CDC."
RépondreSupprimerCe projet de loi affecterait tout médecin agréé en Californie, y compris Haider.
Si l'AB 2098 devient loi, tout médecin prescrivant de l'ivermectine, même à la demande de son patient, peut perdre sa licence d'exercice de la médecine en Californie.
«Une fois que vous perdez votre licence dans un État et que vous avez des licences pour pratiquer dans d'autres États, vous devez signaler que vous avez perdu votre licence en Californie à tous les autres États dans lesquels vous êtes autorisé, puis chaque commission médicale commencera à poser des questions comme, 'Pourquoi avez-vous perdu votre licence en Californie.' Une fois que la boule de neige commence à rouler, selon ce que le conseil médical pense du raisonnement derrière la perte de votre licence en Californie, vous pouvez perdre toutes vos licences.
À la suite de la pandémie, Haider a noté comment le pays a été encore plus compromis par des retards sans précédent dans les lignes d'approvisionnement. Nous n'avons plus de fabrication nationale de presque tous les médicaments, y compris et surtout les antibiotiques. En fait, la Chine a capturé plus de 97 % du marché américain des antibiotiques. Dans le contexte d'une inflation galopante, de pénuries alimentaires et de la flambée des prix de l'essence, il est facile d'imaginer une Amérique où les étagères des pharmacies sont vides, ou avec des stocks limités et d'énormes augmentations de prix.
Si AB 2098 devient loi, le précédent qui serait établi est que la Californie devienne le terrain d'essai d'une nouvelle législation, non seulement en médecine, mais dans tout, a déclaré Haider.
"Une fois que vous avez fait cette incursion en violation de l'autonomie des médecins sur la façon de traiter le COVID pour leurs patients, cela pourrait n'être que le début", a averti Haider. « Et après ça ? Allez-vous après la capacité d'un médecin à prescrire quoi que ce soit hors AMM ? Devons-nous être limités à ce qui a été approuvé par la FDA pour une indication ? Que se passe-t-il lorsque nous n'avons pas de médicament sur l'étiquette pour le traitement d'une indication ? Quoi alors ? Comment traitons-nous nos patients alors ?
Epoch Times a contacté le membre de l'Assemblée californienne Evan Low (D-Cupertino), parrain de la version de l'Assemblée du projet de loi, ainsi que le Conseil médical de Californie.
https://www.zerohedge.com/political/california-poised-adopt-medical-misinformation-bill-targeting-alternative-covid-19
La pandémie de COVID-19 n'a jamais été ce qu'ils prétendaient, mais la pandémie de vaccin est RÉELLE
RépondreSupprimervendredi 27 mai 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le coronavirus de Wuhan (COVID-19) n'a jamais provoqué de pandémie. Mais les soi-disant vaccins créés pour répondre au COVID-19 l'ont fait.
C'est selon le Dr Reiner Fuellmich, un avocat plaidant allemand qui a remporté avec succès des procès contre des mégacorporations. Dans son pays d'origine, Fuellmich dirige la commission d'enquête extraparlementaire sur le coronavirus, une organisation à l'avant-garde de la lutte contre les restrictions et les vaccinations liées au COVID-19 et qui travaille à la tenue d'un procès de type Nuremberg contre les nations et les entreprises qui ont commis des crimes contre l'humanité au cours de la pandémie. (En relation: Un rapport choquant suggère que les vaccins COVID-19 ont causé des millions de décès dans le monde.)
"Nous n'avons de problème avec aucune pandémie, nous n'avons de problème avec aucun virus", a déclaré Fuellmich lors d'une interview avec Alex Jones d'InfoWars. "Nous n'avons de problème qu'avec les tactiques alarmistes conçues pour nous pousser à accepter des tirs qui causeront alors le vrai problème. C'est la vraie pandémie. C'est… le système immunitaire compromis. Ce sont des maladies thrombotiques induites par les vaccins.
Il a ajouté que la vraie pandémie est les complications de santé causées par les vaccins COVID-19. "Rien de ce que nous voyons n'est réel, à l'exception des dommages que les vaccins - les soi-disant vaccins - induisent."
Fuellmich mène la lutte pour tenir les instigateurs de la pandémie responsables
Fuellmich dirige également une organisation appelée le Tribunal populaire de l'opinion publique. Ce groupe a publié plusieurs rapports détaillant les nombreuses violations des droits humains infligées par des politiciens, des scientifiques et des dirigeants d'entreprises du monde entier pendant la pandémie de COVID-19.
Au cours d'une audience publique en février, qui a été convoquée pour galvaniser le soutien du public à intenter des poursuites judiciaires contre les principales entités et organisations criminelles, Fuellmich a expliqué en détail comment la pandémie causée par le coronavirus a été conçue.
"Premièrement, il n'y a pas de pandémie corona, mais seulement un test PCR" plandémique "alimenté par une opération psychologique élaborée conçue pour créer un état de panique constant parmi la population mondiale", a-t-il expliqué. "Ce programme a été planifié de longue date."
Fuellmich fait référence aux tests de réaction en chaîne par polymérase largement reconnus comme étant le moyen le plus précis pour les gens de savoir s'ils ont ou non le COVID-19. Mais comme Ben Armstrong l'a noté lors de son émission, "The Ben Armstrong Show", les tests étaient défectueux dès le début.
«Vous deviez passer ces tests qui s'allument pour tout type de coronavirus et étaient conçus pour être extrêmement sensibles de sorte que même si vous n'étiez pas malade et qu'ils étaient juste, disons, un faux positif… eh bien, vous allumez positif, », a déclaré Amstrong.
La plupart de ceux qui ont été testés positifs ont été informés qu'il s'agissait de cas asymptomatiques. Mais, comme Armstrong l'a noté, en réalité, ils étaient tous de faux positifs.
RépondreSupprimer"Tu sais que c'est une arnaque. Il n'y a rien de tel », a-t-il déclaré. "Si vous êtes asymptomatique, cela signifie que vous n'êtes pas malade. [Vous ne pouvez pas] infecter d'autres personnes tant que vous n'avez aucun symptôme. Non, cela n'arrive pas. Si vous êtes malade et que vous êtes contagieux et que vous pouvez infecter d'autres personnes, vous aurez toujours des symptômes. Il y aura des symptômes. »
Fuellmich a noté que les conspirateurs responsables de la pandémie ont également joué un rôle déterminant dans la promotion de l'utilisation des "injections expérimentales létales" et dans la diabolisation et le rejet de l'utilisation de traitements efficaces comme les régimes de vitamines C et D et de zinc, l'ivermectine et l'hydroxychloroquine.
L'objectif final de la pandémie, selon Fuellmich, est la mise en place d'un gouvernement mondial unique qui utilise une monnaie unique.
"Cela implique un contrôle de la population qui, à leur avis, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l'ADN de la population restante à l'aide d'injections expérimentales d'ARNm", a déclaré Fuellmich.
Regardez cet épisode de "The Ben Armstrong Show" du New American alors que l'animateur Ben Armstrong explique comment les vaccins COVID-19 ont provoqué la véritable pandémie.
- voir clip sur site -
Cette vidéo peut être trouvée dans la chaîne The New American sur Brighteon.com.
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Vérité confirmée: La recherche prouve que deux autres «théories du complot» liées à l'excrétion de vaccins, les femmes enceintes sont vraies depuis le début.
Plus de preuves émergent prouvant que Pfizer a commis une fraude lors de l'essai du vaccin COVID-19.
L'excrétion du vaccin COVID-19 peut nuire aux personnes non vaccinées et causer de graves problèmes de santé comme des caillots sanguins de la taille d'un poing.
La vaccination de masse contre le COVID-19 est une politique mortelle et non scientifique qui entraînera une augmentation des taux de cancer, prévient le pathologiste.
Un scientifique avertit : les vaccins à ARNm continueront de tuer des gens, et ceux qui survivront seront des marionnettes du NWO – Brighteon.TV.
Sources include:
Brighteon.com
Algora.com
InfoWars.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-27-covid-pandemic-not-real-vaccine-pandemic-is.html
Les municipalités françaises distribuent des chèques alimentaires pour faire face à l'inflation alimentaire
RépondreSupprimervendredi 27 mai 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Partout en France, des municipalités ont commencé à fournir à leurs habitants des bons alimentaires pour aider les familles à faire face à la spirale de l'inflation alimentaire.
Les bons sont distribués par de nombreuses municipalités. Ils peuvent être encaissés dans les supermarchés et se déclinent en coupures de 5, 20 et 30 euros. (En relation: Près des deux tiers des Américains vivent désormais d'un chèque de paie à l'autre dans un contexte de crise de l'inflation.)
"Tout a augmenté de prix, tout, même les pâtes", a déclaré Bernadette Chacornac en français dans une interview à France 2. Chacornac est une retraitée vivant dans une communauté agricole en France. Elle compte sur une pension de 900 euros (964,7 $) par mois pour l'aider à payer les biens et services essentiels. En raison de l'inflation, cette maigre pension ne suffit plus.
"J'ai mon partenaire, j'ai mon fils, donc tous les trois ensemble, [c'est cher]", a-t-elle déclaré.
Lionel Buchet, maire de la commune de Saint-Arcos-de-Barges, dans le centre-sud de la France, a déclaré à France 2 que le prix des denrées alimentaires avait "terriblement bondi" au cours des derniers mois et s'est dit préoccupé par le fait que l'inflation alimentaire continuerait d'augmenter.
Selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), l'office national des statistiques français, le taux d'inflation en avril était de 4,8 %. L'institut pense que le taux d'inflation atteindra six pour cent ou plus en juin.
L'inflation en France a été tirée par la hausse de 25 % des prix du carburant et la hausse de 6 % des prix des aliments, les produits alimentaires les plus durement touchés étant les fruits, les légumes, les produits de boulangerie, les pâtes, l'huile de cuisson et la volaille.
RépondreSupprimerL'Insee s'attend à ce que l'inflation continue d'augmenter au-delà de juin. Le bureau prédit que de nouvelles hausses "resteront dépendantes des développements géopolitiques autour de la Russie", se référant au conflit en cours en Ukraine et aux retombées économiques que subit l'Occident suite à l'imposition de sanctions.
Avant que la France ne suive ses alliés en sanctionnant Moscou, elle dépendait de la Russie pour environ 17 % de ses besoins en gaz et 9 % de ses besoins en pétrole.
Les administrations municipales auraient dépensé environ 37 millions d'euros (39,5 millions de dollars) en bons alimentaires.
Macron promet de donner plus de bons alimentaires plutôt que de contrôler l'inflation
Le président récemment réélu Emmanuel Macron s'est engagé à augmenter les prestations sociales et à émettre davantage de bons alimentaires pour les ménages les plus pauvres du pays. Il veut faire cela au lieu de contrôler l'inflation.
Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a noté que le ministère des Finances a déjà préparé un budget révisé qui comprend une série de mesures pour couvrir les promesses de campagne pré et post-électorales du président. Cela comprend l'extension des plafonds de prix de l'énergie jusqu'à la fin de 2022, l'introduction de plus de bons alimentaires, le ciblage des subventions sur les carburants et la réduction des frais de licence de télévision et des taxes sur les primes pour les travailleurs à faible revenu.
Tous ces postes de dépenses sociales sont encore sujets à révision, d'autant plus que, comme l'a noté Attal, le gouvernement doit tenir compte de l'inflation. Le gouvernement n'a fait aucune déclaration reconnaissant qu'il prend en compte combien d'euros supplémentaires les contribuables français devront payer pour financer intégralement l'expansion de l'État-providence français.
Cette décision de fournir plus d'avantages tels que des bons alimentaires plutôt que de lutter directement contre l'inflation pourrait être un moyen de courtiser davantage d'électeurs dépendants de l'aide sociale avant les élections législatives de juin. La coalition gouvernementale de Marcon n'est que légèrement en avance dans les récents sondages et il risque de perdre sa majorité et de le laisser ainsi avec une législature hostile, ce qui pourrait entraver la volonté de Macron d'aller de l'avant avec des réformes économiques qui incluent des plans de maîtrise des dépenses sociales et de retraite.
Le principal rival du président pour obtenir la majorité à la législature est une coalition de gauche dirigée par le candidat à la troisième place, Jean-Luc Mélenchon. Cette alliance a fait des promesses plus radicales aux électeurs français qui maintiennent cette coalition électorale populaire quelle que soit la probabilité que ces politiques dévastent l'économie française.
En savoir plus sur la flambée des prix alimentaires dans le monde sur FoodInflation.news.
Regardez cette interview avec le Health Ranger Mike Adams alors qu'il explique comment la crise de la pénurie alimentaire s'avère être le plus grand choc de toute une vie.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
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Canada’s inflation rate reaches 31-year high, spike in grocery prices highest since 1981.
Ukraine reports two-thirds decrease in grain exports while global wheat prices skyrocket.
Germany BLOCKS Russia from exporting food, then BLAMES Russia for causing brutal hunger.
Food inflation in the U.S. breaks 42-year record… and there’s no end in sight.
Sources include:
InfoWars.com
FranceTVInfo.fr
RT.com
Bloomberg.com
Reuters.com
JacobinMag.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-27-french-municipalities-handing-out-food-vouchers-inflation.html
Entre Corée du Nord et Sri Lanka !
SupprimerÉtude : Les albatros peuvent plonger jusqu'à 62 pieds sous l'eau pour chasser des proies, plus de deux fois plus profondément qu'on ne le pensait auparavant
RépondreSupprimerVendredi 27 mai 2022
par : Zoey Sky
(Natural News) Une étude a révélé que les albatros à sourcils noirs peuvent plonger jusqu'à 19 mètres dans la mer pour chasser des proies, soit plus du double de la profondeur que l'on pensait auparavant.
L'étude, qui a été publiée dans la revue Current Biology, a été dirigée par le zoologiste Oliver Padget de l'Université d'Oxford et ses collègues chercheurs de l'Université de Lisbonne et du British Geological Survey.
Pour l'étude, les chercheurs ont utilisé des accéléromètres, des capteurs de profondeur et un GPS pour étudier la population d'albatros à sourcils noirs sur New Island dans les Malouines. Ils ont surveillé les oiseaux alors qu'ils volaient vers la côte sud-américaine.
Faits sur l'albatros à sourcils noirs
Un albatros à sourcils noirs est principalement blanc avec des pieds palmés orange jaunâtre, des reflets gris sur la tête et les ailes et un bec jaune vif. Un sourcil noir distinct leur donne leur nom.
Parmi les 24 espèces d'albatros, l'albatros à sourcils noirs est l'une des plus petites. Un oiseau adulte ne peut atteindre que 80 à 95 cm de long, avec une envergure de 210 à 250 cm et un poids de trois à cinq kilogrammes.
Les oiseaux volent assez bas et se nourrissent à la surface de la mer ou juste en dessous. Parfois, les albatros à sourcils noirs plongent d'une hauteur pouvant atteindre neuf mètres.
Les albatros à sourcils noirs se nourrissent principalement de krill et de poissons, avec quelques céphalopodes et méduses. Les oiseaux se nourrissent également de salpes, qui ressemblent à des méduses mais font partie des Tunicata, un groupe d'animaux également appelés ascidies.
Les albatros à sourcils noirs peuvent parcourir de longues distances pour trouver de la nourriture, et les voyages de recherche de nourriture peuvent prendre plusieurs jours et leur faire parcourir des centaines de kilomètres.
Selon des recherches antérieures, les mollymawks (le nom donné aux albatros de taille moyenne comme les albatros à sourcils noirs) ne plongent qu'à environ 20 à 30 pieds (six à neuf mètres).
Mais au cours de l'étude, les chercheurs ont découvert qu'au moins 50% des albatros à sourcils noirs étudiés pouvaient plonger à plus de 33 pieds (10 mètres). Certains oiseaux atteignent même près du double de cette profondeur.
Comprendre les comportements non observés, clé de la conservation
RépondreSupprimerPadget a indiqué qu'une meilleure compréhension du comportement non observé de l'albatros à sourcils noirs et d'autres oiseaux de mer en voie de disparition est importante pour les efforts de conservation.
Les chercheurs ont rapporté qu'au moins 15 des 22 espèces d'albatros sont actuellement menacées d'extinction. Au cours des dernières décennies, les populations ont également chuté.
L'un des principaux moteurs du déclin des espèces d'albatros est la façon dont les oiseaux de mer sont souvent capturés dans les palangres de pêche à crochet et appâtées utilisées pour attraper de gros poissons océaniques comme le thon.
Auparavant, les albatros étaient considérés uniquement comme des nourrisseurs de surface. (Connexe: les pétrels antarctiques (oiseaux) disparaissent mystérieusement de la montagne Svarthamaren.)
Avec les données de la récente étude sur les albatros à sourcils noirs montrant que les oiseaux sont physiquement capables de plonger beaucoup plus profondément, les experts doivent désormais également tenir compte de leurs capacités de plongée lorsqu'ils réfléchissent à «l'efficacité des stratégies d'atténuation qui reposent sur la limitation de l'espèce à la surface."
L'équipe a également ajouté que les albatros à sourcils noirs ne plongent pas la nuit. ce qui implique que les oiseaux se fient à leur vision pour cibler les bancs de poissons en profondeur. Padget a suggéré que les palangres pélagiques pourraient être installées la nuit lorsque les albatros pourraient être moins susceptibles de chasser les appâts et de se faire prendre.
Tim Guilford, auteur de l'étude et expert en comportement animal de l'Université d'Oxford, a suggéré que la plongée parmi les albatros à sourcils noirs pourrait être le résultat d'une flexibilité comportementale inédite.
"Les résultats de l'étude peuvent avoir des conséquences importantes sur la façon dont les gens considèrent les risques pour les espèces menacées et sur la façon dont ils pourraient réagir au changement", a conclu Guilford.
Visitez Ecology.news pour lire plus d'articles sur des exploits d'animaux inhabituels et impressionnants.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur certains faits intéressants sur les oiseaux sauvages.
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Cette vidéo provient de la chaîne KC-Sunbeam sur Brighteon.com.
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FLÉAU DE LA POLLUTION : Les déchets de coronavirus nuisent aux animaux du monde entier, des chiens aux pingouins.
Les sources comprennent :
DailyMail.co.uk
Antarctique.gov.au
Australian.museum
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-27-albatrosses-dive-62-feet-underwater-hunt-study.html