PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 02:20
Selon Bloomberg, citant un nouveau rapport du North American Electric Reliability Corporation (NERC), un organisme de réglementation qui gère la stabilité du réseau.
Le NERC a averti que l'alimentation électrique dans l'ouest des États-Unis pourrait être mise à rude épreuve cet été, car une sécheresse historique réduit la production d'énergie hydroélectrique en raison de la baisse des niveaux des réservoirs et de ce qui devrait être un été inhabituellement chaud. Aggravation de la toile de fond météorologique infernale avec le démantèlement des réseaux des centrales électriques à combustibles fossiles pour lutter contre le changement climatique et leur incapacité à générer une nouvelle production d'énergie verte, comme l'énergie solaire, éolienne et les batteries, à temps, c'est une tempête parfaite qui va produire de l'électricité des déficits qui pourraient contraindre les compagnies d'électricité à des pannes continues à des fins de stabilité.
L'organisme de réglementation a souligné que les problèmes de la chaîne d'approvisionnement retardent les grands projets solaires du sud-ouest, tandis que certaines centrales au charbon ont du mal à s'approvisionner en raison de l'augmentation des exportations. Ils ont dit qu'il y avait aussi une menace croissante de cyberattaques en provenance de Russie.
Par région, le réseau électrique du Midwest sera extrêmement tendu. Dans l'ouest des États-Unis, la capacité de production d'électricité a diminué de 2,3 % depuis l'été dernier, alors même que la demande devrait augmenter. Les réseaux de la région devront peut-être s'approvisionner en électricité auprès des réseaux voisins, car la chaleur extrême incitera les gens à augmenter leurs climatiseurs. Une situation de faibles vitesses de vent pourrait déclencher des pannes d'électricité, selon le NERC. Ils ont expliqué comment le Midwest pourrait faire face à des pénuries d'électricité en raison de la suppression de la capacité électrique des centrales électriques à combustibles fossiles en fin de vie.
Le NERC a émis un avertissement similaire l'année dernière, déclarant que les réseaux électriques qui desservent 40 % de la population américaine risquaient de subir des pannes. Un an plus tard, il n'y a eu qu'une seule panne notable en juin dernier lors d'une vague de chaleur dans le nord-ouest du Pacifique qui a laissé 9 000 clients sans électricité. Mais avec une capacité de production d'électricité réduite dépassant les nouvelles sources d'énergie verte, les risques de pannes augmentent cette année.
Au Texas, l'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT) a déjà mis en garde à plusieurs reprises contre le stress du réseau, car les vagues de chaleur du début de l'été ont envoyé des températures dans certaines parties de l'État sur un territoire à trois chiffres.
Les opérateurs de réseau californiens ont également mis en garde contre les menaces croissantes de panne d'électricité – pour les trois prochains étés – alors que l'État passe à des formes d'énergie plus vertes. La sécheresse et la diminution des niveaux des réservoirs ont réduit la production d'énergie hydroélectrique en plus des centrales électriques à combustibles fossiles déclassées. "Nous savons que la fiabilité va être difficile en cette période de transition", a déclaré Alice Reynolds, présidente de la California Public Utilities Commission, lors d'une conférence de presse le 6 mai.
Le rapport du NERC est une révélation pour ceux qui vivent dans l'ouest des États-Unis. De nombreux ménages sont confrontés à une inflation incontrôlable, à la flambée des prix du carburant et à des pénuries alimentaires avant ce qui pourrait être un été de troubles alors que l'administration Biden se prépare à une vague de violence suite à l'annulation par la Cour suprême de Roe V. Wade.
L'Amérique glisse dans l'abîme alors que les ménages ont un avant-goût de ce que c'est que de vivre au Venezuela. Ce n'est pas si loin de ce que les gens vivent aujourd'hui : une inflation galopante, des pénuries, un régime au pouvoir dont tant de gens prétendent qu'il n'a pas été élu par la majorité et bientôt, des pannes d'électricité.
https://www.zerohedge.com/commodities/us-west-risk-power-blackouts-summer-regulator-warns
La disparition de la découverte !! L'électricité doit-elle tomber dans l'oubli ?!
RépondreSupprimerAlors que l'arrivée de l'énergie nucléaire était et demeure LA solution... elle est rejetée !!
Alors ? avoir un groupe électrogène chez soi ? au prix qu'est l'essence !!
Puis y a le crime organisé pour les accords de forage destinés à soutirer du gaz de shiste non-compressé. Tout était très bien pensé d'avance ! Du gaz de shiste il y en a partout ! Dans TOUS les pays ! et en plus... le gouvernement vous accorde des subventions !!
Donc, on été effectués des milliers de forages et d'explosions pour faire ébouler les galeries et compresser le... attendez-attendez... vous parlez de faire ébouler des galeries ?? mais... les explosions fermeront DÉFINITIVEMENT les galeries d'approvisionnement en eau - infiltrées depuis les océans - des nappes phréatiques et sources de montagnes !!
ET c'est ainsi que les fleuves et rivières sont aujourd'hui A SEC !!! et, l'eau des nappes phréatique polluée au gaz !!! (le gaz s'enflamme aux robinets de cuisines et de douches !).
Donc: Zéro électricité, zéro eau, zéro pétrole.
La Californie dépensera 5,2 milliards de dollars en «réserve d'électricité» pour éviter les pannes d'électricité
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 05:20
Écrit par Julianne Geiger via OilPrice.com,
La Californie a proposé de dépenser 5,2 milliards de dollars pour créer une "réserve stratégique de fiabilité de l'électricité" qui aiderait l'État à éviter les pannes lorsque son réseau électrique est sous tension, a révélé vendredi un document de révision budgétaire 2022-2023 selon Bloomberg.
La Californie a résisté à de nombreuses critiques concernant son réseau électrique, ce qui a contribué à des pannes de courant aussi récemment qu'en 2020. La Californie a averti la semaine dernière qu'elle pourrait connaître des pénuries d'électricité cet été avec la sécheresse, les vagues de chaleur et les incendies de forêt continuant de stresser le réseau.
Mais les énergies renouvelables et les exportations d'électricité de la Californie ont également mis à rude épreuve le réseau.
La réserve sera développée en utilisant la capacité de production existante qui devait être retirée, la nouvelle génération, les nouveaux projets de stockage, les projets de production de secours propre, la capacité de réduction de la charge côté client qui est visible et distribuable par CAISO pendant les urgences du réseau, et la sauvegarde du diesel et du gaz naturel. les projets de production - qui, selon le document budgétaire, auraient des contrôles des émissions et tous les permis requis.
Il convient de noter deux éléments dans cette liste : "la capacité de production existante qui devait être retirée" et "les projets de production de secours au diesel et au gaz naturel".
La Californie est sur le point de retirer 6 000 MW de production d'énergie nucléaire et au gaz.
La réserve sera capable de fournir jusqu'à 5 000 MW qui seront disponibles chaque fois que le réseau sera sollicité.
Le nouveau budget consacrerait également 8 milliards de dollars sur cinq ans pour accroître la fiabilité du système de l'État et soulager les consommateurs à mesure que les tarifs d'électricité augmentent.
Le budget prévoit désormais 22,5 milliards de dollars de fonds dans le but de "résilience climatique et d'intégration du climat, de l'équité et des opportunités économiques dans le budget de l'État pour mobiliser une réponse pangouvernementale coordonnée à la crise climatique".
https://www.zerohedge.com/energy/california-spend-52-billion-electricity-reserve-avoid-blackouts
L'horreur que vit la Californie passe chaque jour à l'échelon supérieur !
SupprimerUn gros con qui gouverne et veut se mêler de ce qui ne le regarde pas !
Après vous dire comment vivre ! arrive le comment circuler, le comment s'éclairer, se chauffer en plus du comment se soigner avec la piqûre létale !
'76' Gas-Station Chain Repograms Pompes de l'État de Washington pour 10 $ le gallon
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 03:00
Selon un rapport, les pompes des stations-service de l'État de Washington sont reprogrammées pour accueillir 10 dollars le gallon et même plus alors que la saison de conduite estivale commence dans un contexte de pénurie de carburant.
Le Post Millennial a appris que la chaîne de stations-service "76" a reprogrammé ses pompes pour inclure des nombres à deux chiffres dans le "prix par gallon" dans les stations-service de l'État de Washington.
Un porte-parole de 76 a confirmé à The Post Millennial qu'ils avaient ajouté un chiffre supplémentaire aux pompes, notant que le changement n'impliquait pas nécessairement que l'entreprise prévoyait des prix supérieurs à 10 $ le gallon.
La station-service 76 à Auburn, Washington, située au 1725 Auburn Way North, est l'une des stations dont les pompes ont été reprogrammées. Il vend également du carburant de course à indice d'octane élevé, qui a tendance à être plus cher, bien que le carburant spécial soit vendu à des pompes séparées que les carburants ordinaires, plus, premium et diesel.
Le Post Millennial rapporte également que les Washingtoniens de l'est de l'État, en particulier à Kennewick, Pasco et West Richland, connaissent des pénuries de carburant.
Selon AAA, le prix moyen de l'essence à la pompe dans l'État de Washington est de 5,18 dollars, au-dessus de la moyenne nationale de 4,59 dollars en date de jeudi matin. Certains des gaz les plus chers aux États-Unis se trouvent juste au sud de l'État de Californie, où les prix en dehors de San Francisco varient entre 6 et 7 dollars le gallon pour un carburant ordinaire.
La décision de 76 pour des prix à deux chiffres intervient alors que la stratège des matières premières de JPMorgan, Natasha Kaneva, prévient que la moyenne nationale du gaz peut augmenter de 37 % supplémentaires d'ici août pour atteindre environ 6,20 $. Étant donné qu'une grande partie de la côte ouest a un prix supérieur à la moyenne nationale, cela peut suggérer que des prix à deux chiffres pourraient être observés dans certaines régions.
https://www.zerohedge.com/commodities/76-gas-station-chain-repograms-washington-state-pump-10-gallon
Il va devenir trop cher pour aller travailler !
SupprimerLe gros mensonge de Biden : l'énergie « verte » ne fait pas économiser de l'argent, elle est 4 à 6 fois plus chère
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 02:40
Op-Ed écrit par Stephen Moore via The Epoch Times,
Le président Joe Biden ne cesse de prétendre que l'énergie éolienne et solaire va faire économiser de l'argent aux consommateurs. Mais davantage de subventions gouvernementales aux «énergies renouvelables» est un élément clé de la stratégie anti-inflation de la Maison Blanche récemment annoncée par Biden.
Il a probablement eu cette idée de John Kerry, le tsar du climat de l'administration, qui a récemment affirmé que "l'énergie solaire et éolienne sont moins chères que le charbon, le pétrole ou le gaz". Pete Buttigieg, le secrétaire aux transports de Biden, fait les mêmes affirmations sur les milliers de dollars que les automobilistes peuvent économiser s'ils achètent des voitures électriques.
Cela ne pourrait pas être plus faux.
Les partisans des gâchis énergétiques "verts" sont souvent passés maîtres dans l'art de jouer avec les chiffres, car c'est la seule façon pour que la production d'électricité éolienne et solaire ait un sens. Des partisans tels que Kerry aiment se concentrer sur les faibles coûts d'exploitation de l'énergie solaire et éolienne, car ils ne nécessitent pas d'achats constants de carburant. Ignorer la durée de vie relativement courte des composants solaires et éoliens, ainsi que l'investissement initial élevé, peut donner l'impression que le solaire et l'éolien fonctionnent à des coûts inférieurs à ceux des combustibles fossiles ou de l'énergie nucléaire.
Rétablissons les faits. Le coût n'est pas seulement ce que vous payez au détail pour le gaz ou l'électricité. Il comprend également les taxes que vous payez pour subventionner l'électricité. Une étude réalisée en 2017 par le ministère de l'Énergie a révélé que pour chaque dollar de subvention gouvernementale par unité de BTU d'énergie produite à partir de combustibles fossiles, l'éolien et le solaire reçoivent au moins 10 $.
C'est tout sauf une économie d'argent.
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle les subventions sont si élevées est que le solaire et l'éolien ont des coûts supplémentaires par rapport à leurs concurrents plus fiables. Les sources d'énergie « vertes » ne peuvent pas être acheminées, ce qui signifie que leur production ne peut pas être modifiée pour correspondre à la demande. Le vent ne souffle pas plus fort et le soleil ne brille pas plus fort, simplement parce que la consommation d'électricité atteint son maximum.
À l'inverse, les entités de combustibles fossiles, telles qu'une centrale au charbon, peuvent augmenter la production lorsque nous en avons le plus besoin et la réduire lorsque la demande diminue.
L'adoption généralisée de la production solaire et éolienne nécessiterait des batteries coûteuses à grande échelle pour s'assurer que les gens ont encore de l'électricité lorsque le vent cesse de souffler ou lorsque le soleil cesse de briller, comme c'est le cas chaque nuit.
Ainsi, contrairement au gaz naturel fiable et flexible, le solaire et l'éolien nécessitent des solutions de stockage à grande échelle : des parcs massifs de batteries peu écologiques mais aussi extrêmement coûteux. Et comme les batteries ne durent pas éternellement, elles augmentent à la fois les dépenses initiales et les coûts de maintenance pendant la durée de vie d'une centrale solaire ou éolienne.
Le même problème existe avec les voitures électriques. Le prix affiché sur les véhicules électriques est considérablement plus élevé que pour les voitures à essence conventionnelles, et les soi-disant économies au fil du temps supposent que l'énergie électrique pour la recharge est gratuite. Mais ce n'est pas le cas et les coûts de l'électricité augmentent presque aussi vite que les prix de l'essence.
De tels facteurs sont systématiquement ignorés par Kerry et d'autres militants de l'énergie «verte».
Pour évaluer véritablement les sources d'énergie dissemblables et fournir une comparaison de pommes à pommes, l'Energy Information Administration des États-Unis utilise le coût actualisé de l'énergie (LCOE) et le coût actualisé du stockage (LCOS). Ces mesures prennent en compte les coûts initiaux, la durée de vie des systèmes de production et de stockage, les coûts de maintenance et de carburant, les dépenses de démantèlement, les subventions, etc., et les comparent à la quantité d'électricité produite sur la durée de vie d'une centrale électrique.
Les chiffres ne mentent pas : l'énergie « verte » est un gaspillage total de ressources.
Le LCOE et le LCOS pour les parcs solaires et éoliens terrestres sont quatre fois plus chers que le gaz naturel. Mais l'éolien offshore prend le dessus : il est six fois plus cher que le gaz naturel.
Imaginez payer quatre à six fois plus chaque mois pour la même électricité ! C'est le monde paradisiaque vert que l'administration Biden veut pour l'Amérique.
Pourtant, c'est encore pire que cela, car les coûts de l'électricité affectent considérablement le coût de production de presque tout le reste. Dans le cas de la production d'aluminium, par exemple, un tiers du coût total de production est constitué uniquement d'électricité.
Imaginez ce que le quadruplement des prix de l'électricité ferait aux prix de tous les biens et services que les gens achètent. Si vous pensez que l'inflation est mauvaise maintenant, attendez que le pays dépende de l'éolien et du solaire, alors vous verrez de RÉELLES augmentations de prix.
RépondreSupprimerEt malgré les données officielles du gouvernement contredisant leurs propres affirmations, l'administration Biden - y compris Kerry - continue de débiter de simples contrevérités sur l'éolien et le solaire. Ils espèrent que personne ne vérifiera leurs faits fantastiques.
A gauche, vouloir que ce soit vrai, le rend vrai.
Pendant tout ce temps, la classe moyenne est écrasée par l'essence à 4 $ le gallon et les entreprises partout dans le monde croulent sous le diesel à 5 $ le gallon. Le Wall Street Journal prévient que des pannes d'électricité pourraient survenir en raison d'une dépendance excessive à l'énergie éolienne et solaire.
À un moment donné, si cette poussée pour l'énergie verte se poursuit, toute la nation commencera à ressembler à la Californie, où l'essence coûte 6 $ le gallon, les lumières s'éteignent et les voitures électriques sont bloquées à cause des pannes d'électricité. Si c'est notre avenir "vert", alors les Américains ne devraient pas en vouloir.
Stephen Moore est un chercheur distingué en économie à la Heritage Foundation, et E.J. Antoni est chercheur au Heritage’s Center for Data Analysis. Moore est co-fondateur du Committee to Unleash Prosperity, où Antoni est chercheur principal.
Les opinions exprimées dans cet article sont les opinions de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement les opinions d'Epoch Times ou de Zero Hedge.
https://www.zerohedge.com/energy/bidens-big-lie-green-energy-doesnt-save-money-its-4-6-times-more-expensive
"Cela devrait déclencher des sonnettes d'alarme dans toutes les industries": House adopte une facture sur les prix du carburant
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 19 MAI 2022 - 22:40
Écrit par Natahan Worcester via The Epoch Times,
La Chambre des représentants a adopté la loi sur la prévention de la hausse des prix des carburants à la consommation, par un vote de 217 voix contre 207 le 19 mai, rapprochant le pays d'une plus grande implication du gouvernement dans les marchés de l'énergie alors que les prix de l'essence atteignent de nouveaux sommets.
Le projet de loi, H.R. 7688, permettrait au président Joe Biden de déclarer une « urgence énergétique ».
Une telle urgence donnerait à la Federal Trade Commission (FTC) le pouvoir de cibler les personnes qui vendent du carburant à un prix jugé « déraisonnablement excessif » ou qui « indique que le vendeur exploite les circonstances liées à une urgence énergétique pour augmenter les prix de manière déraisonnable ».
Cette proclamation présidentielle d'urgence durerait 30 jours mais pourrait être renouvelée indéfiniment « si le président le juge approprié ».
Le projet de loi donne également la priorité aux mesures d'application de la loi de la FTC contre les entreprises dont les ventes annuelles de carburant aux consommateurs en gros ou au détail s'élèvent à 500 millions de dollars ou plus.
Alors que 217 démocrates ont voté pour le projet de loi, 203 républicains et quatre démocrates ont voté contre.
Au cours du débat, démocrates et républicains se sont affrontés sur les causes des prix record de l'essence.
Alors que le GOP a mis l'accent sur les nouvelles réglementations et décisions contre l'énergie domestique sous l'administration Biden, les démocrates ont souligné que les prix records de l'énergie s'étaient accompagnés de milliards de bénéfices pour les entreprises pétrolières et gazières.
"Nos résidents en ont tellement marre de la cupidité des entreprises", a déclaré Rashida Tlaib (D-Mich.), un partisan du projet de loi.
Tlaib s'est exprimé devant une grande affiche listant les bénéfices 2021 de diverses grandes compagnies pétrolières, dont Shell et Chevron.
Pendant ce temps, le républicain John Joyce (R-Pa.) se tenait à côté d'une affiche illustrant les longues files de voitures dans les stations-service dans les années 1970, lorsque les États-Unis ont mis en place des contrôles des prix pour tenter de faire face à la hausse des prix de l'essence causée par l'embargo pétrolier de l'OPEP.
L'affiche était intitulée "Fixation socialiste des prix".
RépondreSupprimer"Au lieu de créer des contrôles des prix qui entraîneraient une baisse de la production et des pénuries massives de gaz, nous devons compter sur l'énergie qui se trouve sous les pieds de mes électeurs en Pennsylvanie", a déclaré Joyce.
Le représentant Kelly Armstrong (R-N.D.) a parcouru une longue liste d'actions de l'administration Biden qui, selon lui, ont contribué à la hausse des prix de l'essence.
Celles-ci comprenaient l'annulation du pipeline Keystone XL et la proposition de divulgation liée au climat de la Securities and Exchange Commission.
Comme Armstrong l'a noté, l'administration Biden a déjà poussé la FTC à enquêter sur la hausse des prix de l'essence à la fin de l'année dernière.
Le représentant Frank Pallone (D-N.J.) a fait valoir que les républicains de la Chambre décrivaient mal la portée de la législation.
"Nous ne donnons pas à la FTC le pouvoir de fixer le prix", a-t-il déclaré.
Pourtant, le projet de loi lui-même définit les violations en termes de prix « déraisonnablement excessifs », ce qui soulève des questions sur la manière dont la référence pour un tel jugement serait fixée et par qui.
Pallone a également affirmé que "le problème est que les compagnies pétrolières ne veulent pas augmenter leur production".
"Vous ne pouvez pas demander aux sociétés pétrolières et gazières, en particulier aux sociétés onshore, d'augmenter la production lorsque l'infrastructure n'existe pas pour acheminer ce produit sur le marché", a expliqué Armstrong lors de son propre témoignage, citant le pipeline Duke et d'autres projets de pipeline qui ont été sabordés. au cours des dernières années.
Bruce Westerman (R-Ak.) a tenté de renvoyer le projet de loi au comité de la Chambre sur l'énergie et le commerce, répondant aux préoccupations soulevées par la membre de rang de ce comité, Cathy McMorris Rodgers (R-Wa.).
Sa motion a échoué par un vote de 220-201.
La Chambre a également adopté deux amendements au projet de loi.
Le premier, introduit par le représentant Val Demings (D-Fla.), Mandaterait une enquête de la FTC sur les prix abusifs présumés, y compris par des réductions de la capacité de raffinage. Il est passé 217-205.
Le second, introduit par Chris Pappas (D-N.H.), crée une nouvelle unité FTC pour surveiller les marchés du carburant. Il est passé 214-207.
Le Sierra Club, une organisation environnementale alignée sur le Parti démocrate, a salué le projet de loi sur les réseaux sociaux, marquant son Tweet avec le hashtag #blamebigoil.
Tim Stewart, président de la U.S. Oil & Gas Association, a fait valoir que le libellé du projet de loi était vague, créant un précédent troublant.
"Le projet de loi mal rédigé donne au président le pouvoir discrétionnaire de déclarer que l'essence ou le carburant diesel est" déraisonnablement excessif "et de déterminer si votre station-service de quartier est coupable d'exploiter une" urgence énergétique ".
« Aucun de ces termes n'est défini, ils peuvent donc signifier tout ce que dit le président, et ces contrôles des prix peuvent être poursuivis indéfiniment », a-t-il déclaré à Epoch Times.
"Cela devrait déclencher des sonnettes d'alarme dans toutes les industries et tous les marchés, car si aujourd'hui le prix de l'essence pourrait être le prix, les prix" déraisonnablement excessifs "de demain pourraient s'appliquer à tout, du prix du blé aux soins de santé, en passant par les billets d'avion et le logement."
RépondreSupprimerD'éminents économistes démocrates, dont le professeur de Harvard Larry Summers et l'ancien économiste de l'administration Obama Jason Furman, ont également exprimé leurs inquiétudes au sujet du projet de loi, Furman le décrivant comme "un non-sens malavisé dangereux" sur Twitter.
Epoch Times a contacté le sénateur Joe Manchin (R-W.V.) et le sénateur Kyrsten Sinema (R-Arizona) pour voir comment ils ont l'intention de voter sur n'importe quelle version du projet de loi du Sénat.
https://www.zerohedge.com/markets/should-set-alarm-bells-across-all-industries-house-passes-fuel-price-gouging-bill
La Chine en pourparlers pour acheter du pétrole russe bon marché pour ses réserves stratégiques
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 04:20
La Chine est en pourparlers avec la Russie pour acheter son pétrole bon marché afin de reconstituer ses réserves stratégiques, dans le dernier indicateur de liens énergétiques approfondis entre les deux grandes puissances et leurs rivaux aux États-Unis. C'est aussi le dernier signe qu'un embargo russe sur le pétrole de l'UE pourrait finalement être émoussé avant qu'il ne décolle, au milieu d'une résistance inter-UE continue menée par la Hongrie.
Bloomberg rapporte jeudi que "le brut serait utilisé pour remplir les réserves stratégiques de pétrole de la Chine, et des pourparlers sont menés au niveau gouvernemental avec peu d'implication directe des compagnies pétrolières, a déclaré une personne au courant du plan".
Actuellement, l'UE négocie en vue d'un embargo progressif, cherchant à trouver un compromis avec les membres d'Europe centrale et orientale qui dépendent fortement de l'énergie russe.
L'interdiction antérieure des États-Unis sur les importations de pétrole russe, qui est intervenue au début de l'invasion de l'Ukraine, a déjà servi à pousser davantage de pétroliers russes vers l'Asie, détournant les marchés occidentaux. L'Inde aurait également profité des prix relativement moins chers.
Une source au courant des pourparlers a déclaré qu'ils n'étaient pas suffisamment proches pour garantir la signature d'un accord, et qu'aucune estimation du volume de pétrole brut recherché par Pékin ne serait connue à ce stade.
"Il y a encore de la place pour reconstituer les stocks et ce serait une bonne occasion pour eux de le faire, s'ils peuvent être achetés à des conditions commercialement attractives", a déclaré Jane Xie, analyste pétrolière senior de la société industrielle Kpler, à Bloomberg.
Le rapport cite la société d'analyse de données pour estimer que "les stocks globaux de la Chine s'élèvent à 926,1 millions de barils, contre 869 millions de barils à la mi-mars – mais toujours inférieurs de 6% au record de septembre 2020". Et à titre de comparaison, "la réserve stratégique américaine de pétrole a une capacité de 714 millions de barils. Elle détient actuellement environ 538 millions de barils".
RépondreSupprimer- voir sur site -
Graphique via Reuters
La Chine reste le plus gros acheteur mondial de pétrole russe, les chiffres officiels du gouvernement chinois pour 2021 montrant qu'elle a importé près de 1,6 million de barils par jour de brut russe cette année-là.
Mais l'impact immédiat des actions punitives occidentales visant Moscou a entraîné l'envoi de plus de cargaisons vers l'Asie. "La Chine achète désormais clairement plus de cargaisons de l'Oural. Les exportations de l'Oural vers la Chine ont plus que triplé. Ceci malgré un affaiblissement des importations chinoises", a déclaré Homayoun Falakshahi, analyste principal chez Kpler, cité par Reuters.
https://www.zerohedge.com/energy/china-talks-buy-cheap-russian-oil-strategic-reserves
Des hausses choquantes du prix de l'électricité à partir de l'Australie - si graves que les petits détaillants demandent aux clients de partir
RépondreSupprimerMay 20th, 2022
C'est la veille des élections et dans toute la maison, les factures d'électricité doublent...
Les hausses de prix sont si extraordinaires qu'un détaillant demande à ses clients de partir "dans les prochaines 24 heures".
Partout en Australie, les petits fournisseurs d'électricité envoient actuellement des e-mails aux clients les avertissant que leurs tarifs augmenteront la semaine prochaine par des montants exorbitants. Les prix de gros de l'électricité ont atteint un niveau record en avril de cette année, et ils ne se sont pas améliorés en mai. Les prix atteignent 200 à 300 dollars par mégawattheure, non pas en tant que pic, mais en moyenne sur 24 heures. En Australie-Méridionale il y a deux jours, la moyenne pour la journée complète était de 1 141 $. Les contrats à terme décollent rapidement et ces hausses commencent à se répercuter sur les clients. Déjà, les petits détaillants saignent de l'argent, tout comme ils l'ont fait au Royaume-Uni, et si les prix de gros ne reviennent pas bientôt sur Terre, ils feront faillite.
Le lecteur Brett en Australie-Méridionale a partagé un e-mail de Discover Energy. À partir de la semaine prochaine, le tarif de pointe standard passera de 39 cents par kilowattheure à 70 cents. Les tarifs hors pointe passent de 27 à 46. Il ajoute également: "Mon frère vit à NSW et aujourd'hui, il a reçu un e-mail l'informant d'une augmentation de 17 cents à 30 cents."
Cloquage :
Les petits détaillants d'électricité incitent les clients à trouver un autre détaillant…
Perry Williams, l'Australien
Des milliers de ménages ont été confrontés à un doublement des prix de l'électricité après que les détaillants ont répercuté la flambée des coûts, faisant craindre que certains opérateurs ne s'effondrent sous le poids des conditions de marché volatiles.
Le LPE du Queensland, avec plus de 20 000 clients, a déclaré qu'il encourageait fortement les clients à trouver d'autres fournisseurs suite à sa décision d'augmenter les tarifs de plus de 100% le 1er juin.
"Dans les prochaines 24 heures, nous vous encourageons fortement à rechercher un fournisseur alternatif", a déclaré le directeur général de LPE, Damien Glanville, dans une lettre aux clients...
Les énormes hausses de prix parmi les détaillants de deuxième niveau alimenteront des inquiétudes plus larges quant au fait que les petits opérateurs d'électricité australiens pourraient suivre le sort des détaillants britanniques où près de 30 sociétés énergétiques se sont effondrées après avoir échoué à se prémunir contre la hausse des coûts de gros.
- voir sur site -
RépondreSupprimerVous trouverez ci-dessous les nouveaux tarifs que Discover Energy a envoyés à Brett. En tant que propriétaires d'entreprise, Discover Energy transpire des balles depuis deux mois maintenant, espérant qu'ils n'auront pas à le faire. Les choses vont si mal qu'elles encouragent également les clients à rechercher les offres disponibles sur le marché en visitant www.energymadeeasy.com.au pour trouver une meilleure offre. Vraisemblablement, ils perdent de l'argent avec chaque client et chaque kilowatt.
Découvrez les factures d'électricité, SA, 2022, hausse des prix de détail.
Aïe, regardez ces prix !
Discover Energy promet que lorsque les prix de gros chuteront, ils répercuteront les réductions. Cela doit être déchirant pour eux, et bientôt, si ces tarifs continuent, la douleur se propagera à toutes les petites entreprises qui devront faire face à des factures d'électricité plus importantes. Le prix du café augmentera, etc., et les gens dépenseront moins. Ensuite, le personnel sera licencié…
Sur leur site Web, Discover Energy blâme les "perturbations mondiales", mais énumère curieusement le graphique de définition des enchères du dernier rapport AEMO. Leur point était que toutes les offres gagnantes sont maintenant plus élevées qu'elles ne l'étaient au dernier trimestre et deux à trois fois plus élevées qu'à la même époque l'an dernier. Mais le graphique montre également que lorsque le lignite remporte la pile d'enchères, les prix ne sont toujours que de 2 cents par kilowattheure.
Donc, la vérité cachée ici est que si nous avions plus de centrales au lignite, la perturbation mondiale n'aurait pas d'importance. Nous nous sommes rendus vulnérables en le poussant hors de la grille.
- voir sur site -
Lignite fixant les prix les plus bas sur le marché NEM australien. Réseaux électriques.
Comme les lecteurs l'ont expliqué, le lignite n'est pas vendu sur le marché international, car il ne peut pas être transporté en toute sécurité, il n'y a donc pas de guerre d'enchères pour le lignite australien des Européens froids.
Apparemment, il peut s'enflammer, juste comme ça, ce qui est gênant pour tout le monde. Comme le dit Ian Waters : « il s'enflamme spontanément si vous le laissez trop longtemps dans une trémie, mettez-le dans la cale d'un navire. "
Compte tenu des énormes réserves de La Trobe Valley, Victoria pourrait être une centrale d'énergie et de fabrication bon marché, puisque le charbon n'a pas besoin d'être transporté n'importe où, mais Dan Andrews a décidé de changer le temps à la place.
Merci également à Sunshine Rainbows, RickWill, David Maddison et Gerard Basten pour avoir expliqué plus en détail les marchés du charbon brun et de l'électricité dans les commentaires ici.
Probablement trop tôt pour changer de nombreux votes
Bien que ce soit une priorité pour les personnes qui reçoivent ces lettres étonnantes, la plupart des Australiens ne se rendront pas compte de ce qui pourrait arriver. Cette nouvelle arrive si tard et ne concerne pour le moment que les petits clients de détail. Les grands détaillants ont des contrats de couverture plus longs et la couverture médiatique a été faible.
Et puisque la plupart des conservateurs n'ont pas repoussé le mythe des énergies renouvelables bon marché, ils ne bénéficieraient probablement pas de ces hausses déconcertantes de toute façon. Une alliance Labor-Green-Teal rendrait l'énergie deux fois plus chère en deux fois moins de temps, mais il y a beaucoup d'Australiens confus qui pensent que l'énergie éolienne et solaire peut changer le temps et leur donner aussi une énergie bon marché.
h/t à Brett en Australie-Méridionale. Avec commisérations…
https://joannenova.com.au/2022/05/shocking-electricity-price-rises-starting-in-australia-so-bad-that-small-retailers-ask-customers-to-leave/
La Russie suspend l'approvisionnement en gaz de la Finlande deux jours après sa demande à l'OTAN
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 14:42
Précisément une semaine après que la Russie a coupé l'approvisionnement en électricité de la Finlande pour non-paiement (en roubles), Moscou a fait sa première action de représailles explicites contre la candidature de son voisin nordique à l'OTAN en annonçant la coupure du gaz naturel.
Le grossiste de gaz public finlandais Gasum a annoncé l'arrêt des importations de gaz naturel en provenance de Russie samedi, déclarant dans un communiqué : « Dans l'après-midi du vendredi 20 mai, Gazprom Export a informé Gasum que l'approvisionnement en gaz naturel de la Finlande dans le cadre du contrat d'approvisionnement de Gasum sera interrompu le Samedi 21 mai 2022 à 07h00."
Le PDG de la société, Mika Wiljanen, a souligné au public qu'il était correctement préparé "et à condition qu'il n'y ait pas de perturbations dans le réseau de transport de gaz, nous serons en mesure de fournir du gaz à tous nos clients dans les mois à venir".
"Gasum fournira du gaz naturel à ses clients à partir d'autres sources via le gazoduc Balticconnector. Les stations-service de gaz de Gasum dans la zone du réseau gazier continueront de fonctionner normalement", a-t-il déclaré.
Et Bloomberg confirme sur la base de la déclaration : "En attendant, les approvisionnements continuent d'affluer en Finlande via le pipeline Balticconnector depuis l'Estonie, mais sa capacité peut ne pas être suffisante pour répondre à la demande. C'est après qu'un certain nombre d'entreprises ont déjà opté pour d'autres carburants ou des approvisionnements alternatifs sécurisés." Le rapport ajoute : "Pour l'hiver à venir, le gouvernement a convenu vendredi de louer un terminal GNL flottant avec l'Estonie".
Bien que Gasum lui-même n'ait pas expliqué les raisons de l'arrêt de l'approvisionnement en gaz, cela survient deux jours seulement après que la Finlande et la Suède ont soumis des demandes d'adhésion à l'OTAN, ce que le président Vladimir Poutine a par la suite qualifié de problème. Les déclarations du Kremlin ont assuré plus tôt une réponse "militaire et technique" à venir.
Comme pour la coupure d'électricité russe la semaine dernière, Helsinki a refusé d'acquiescer à la demande de Poutine que la Russie soit payée en roubles au milieu des sanctions américaines et européennes en guise de punition pour l'invasion de l'Ukraine. La Pologne et la Bulgarie étaient auparavant les premières à se voir couper les robinets.
Comme nous l'avons vu précédemment, le gaz naturel ne représente que 5 % de la consommation totale d'énergie de la Finlande parmi diverses sources, bien que de cet approvisionnement, le pays dépende de 60 à 70 % de la Russie, mais il est généralement utilisé par les usines finlandaises et moins pour le chauffage résidentiel. Les principales sources d'approvisionnement de la Finlande sont le pétrole, la biomasse et l'énergie nucléaire.
- voir graph sur site -
RépondreSupprimerIl y a une semaine, les médias nationaux finlandais ont d'abord averti que Moscou menaçait de couper le pays de son approvisionnement en gaz. Citant des sources anonymes à l'époque, le Finlandais Iltalehti a rapporté que l'avertissement avait été communiqué par les responsables du Kremlin aux principaux politiciens finlandais. Cela avait été accompagné d'une déclaration publique du ministère des Affaires étrangères disant: "La Russie sera forcée de prendre des mesures de représailles, à la fois de nature militaro-technique et autre, afin de mettre fin aux menaces à sa sécurité nationale qui surgissent à cet égard."
https://www.zerohedge.com/energy/russia-halts-finlands-gas-supply-two-days-after-applying-nato
James Corbett: J’ai lu le nouveau livre de Bill Gates pour que vous n’ayez pas à le faire.
RépondreSupprimerLe journaliste James Corbett a lu le nouveau livre de Bill Gates, « How to Prevent the Next Pandemic », pour que vous n'ayez pas à le faire. Il a dit que c'est tout aussi « exaspérant » que ce à quoi on peut s'attendre.
Par James Corbett et Children's Health Defense
Mondialisation.ca, 18 mai 2022
Le journaliste James Corbett a lu le nouveau livre de Bill Gates, « How to Prevent the Next Pandemic” » [Comment empêcher la prochaine pandémie], pour épargner à tous les autres la peine, a-t-il déclaré.
Dans l’épisode d’une heure et vingt minutes de « The Corbett Report », M. Corbett, expert en géopolitique et en journalisme de source ouverte, a analysé le livre chapitre par chapitre.
Il l’a trouvé « tout aussi exaspérant, nauséabond, ridicule, risible et risible » que l’on pourrait s’y attendre.
« Alors que l’on pensait s’être débarrassé de lui, tel un aphte dans la bouche de l’humanité, Bill Gates surgit à nouveau », a-t-il déclaré.
Sans être une lecture savante ou sérieuse, « How to Prevent the Next Pandemic » est écrit pour le profane qui veut donner un signal de vertu en étant vu en train de le lire – ou en l’exposant sur sa table basse, a déclaré M. Corbett.
« Il n’y a certainement rien qui ait une valeur scientifique ou médicale ici », a déclaré M. Corbett. « Il n’y a rien d’intéressant ici. C’est un livre déroutant, même d’un point de vue propagandiste. »
Le livre est « maladroit », même pour Gates, a déclaré M. Corbett, « et tout ce que fait Bill Gates du point de vue des relations publiques est maladroit ».
Pire encore, l’objectif de Gates en écrivant ce livre est de désarmer le public et de nous préparer à accepter l’agenda que Gates et ses alliés voudraient imposer au monde, a affirmé M. Corbett.
« En fin de compte, il s’agit de susciter l’adhésion du grand public – ou du moins sa compréhension – au programme de biosécurité en cours », a-t-il déclaré.
Rien de nouveau, rien de valeur
Dans l’introduction du livre, M. Gates affirme avoir été la « cible de théories de conspiration sauvages » tout au long de la pandémie de COVID-19.
M. Corbett a fait remarquer que M. Gates présente des théories farfelues comme des hommes de paille (comme l’idée qu’il y a un « dispositif de traçage » dans chaque dose de vaccin) et les démolit, plutôt que de répondre à des critiques réelles et réfléchies sur la façon dont la pandémie a été gérée.
M. Gates réitère les messages qu’il a toujours diffusés au sujet de COVID-19, a déclaré M. Corbett, écrivant que la solution aux futures pandémies réside dans la multiplication des tests, des nouveaux traitements pharmaceutiques, des nouveaux vaccins, des simulations gouvernementales et de la « numérisation ».
Plutôt que de s’intéresser aux moyens existants pour renforcer le système immunitaire humain contre la maladie, M. Gates a recours à des « déclarations condescendantes et dévalorisantes à l’égard de quiconque s’est penché sur d’autres moyens de prendre soin de [their] son corps ou la santé pendant cette crise, autre que ce qui a été officiellement approuvé par la [U.S. Food and Drug Administration], » [World Health Organization]a déclaré M. Corbett.
RépondreSupprimerAu lieu de cela, Gates met l’accent sur la production de vaccins, qui enrichit les sociétés pharmaceutiques, tout en ignorant les problèmes de sécurité des vaccins.
« Arrêtez de lire et dites non, c’est faux »
Gates insiste également (au chapitre 7) sur le fait que les agences gouvernementales devraient s’engager dans des simulations de situations susceptibles de se produire lors de futures pandémies.
« Les opérations de programmation prédictive de l’État profond, connues sous le nom d’exercices et de simulations », comme les décrit M. Corbett, ont précédé la pandémie COVID-19 et comprenaient l’exercice Event 201, financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, et un « wargame », selon M. Corbett.
Gates écrit que les « théoriciens de la conspiration » ont suggéré que l’exercice était plus une prédiction qu’un exercice.
Commentant l’événement 201, la présidente de la Children’s Health Defense, Mary Holland, a écrit le 25 mars 2020 :
« De nombreux aspects de la simulation de l’événement 201 sont toujours d’actualité. La pandémie de coronavirus, les nouveaux partenariats public-privé, les interdictions de voyager, les marchés en chute libre, l’état de guerre et l’inondation de la zone d’information par des messages contrôlés. »
« Le fait que les sponsors de la vidéo [Event 201] fassent désormais partie des acteurs centraux de la crise dans le monde réel ne fait qu’amplifier l’importance de la simulation. »
En réponse à l’affirmation de Gates, au chapitre 8, selon laquelle les pays pauvres se sont appauvris à cause de la pandémie, M. Corbett a souligné que c’est la réponse des autorités sanitaires à la pandémie, et non la pandémie elle-même, qui a poussé des millions de personnes dans l’extrême pauvreté.
« Les présupposés sont ancrés à un niveau si profond qu’à moins d’arrêter de lire et de dire « non, c’est faux », … ils s’insèrent complètement dans le tissu de ce récit », a déclaré M. Corbett.
Dans les derniers chapitres et la postface du livre, Gates appelle à multiplier et à renforcer les interventions au nom de la santé publique, notamment en réduisant les naissances et en développant des outils d’intelligence artificielle sophistiqués, le tout dans le but d’ « éradiquer les maladies respiratoires ».
« Je pense que cela n’arrivera pas sans une grande réingénierie de l’espèce humaine », a déclaré M. Corbett.
M. Corbett examine chaque chapitre du livre en détail dans la vidéo (en anglais) ci-dessous :
Chapitre 1 : Apprendre de la COVID (timestamp : 12:58)
Chapitre 2 : Créer une équipe de prévention de la pandémie (timestamp : 18:23)
Chapitre 3 : Améliorer la détection précoce des épidémies (timestamp : 26:21)
Chapitre 4 : Aider les gens à se protéger dès maintenant (timestamp : 31:01)
Chapitre 5 : Trouver rapidement de nouveaux traitements (timestamp : 37:26)
Chapitre 6 : Se préparer à faire des vaccins (timestamp : 39:46)
Chapitre 7 : Pratique, pratique, pratique (timestamp : 47:06)
Chapitre 8 : Combler le fossé sanitaire entre pays riches et pays pauvres (timestamp : 50:49)
Chapitre 9 : Élaborer – et financer – un plan de prévention des pandémies (timestamp : 57:40)
Postface : Comment la COVID a changé le cours de notre avenir numérique (timestamp : 1:03)
Regardez le segment de M. Corbett ici :
https://odysee.com/ep418-gatesbook:4709023782a5bee753ae0767cac5853f33280c9c?src=embed
https://www.mondialisation.ca/james-corbett-jai-lu-le-nouveau-livre-de-bill-gates-pour-que-vous-nayez-pas-a-le-faire/5668214
VARIOLE DU SINGE : LA MALADIE RARE SE PROPAGE EN EUROPE
RépondreSupprimerpar VICTOIRE DE FONCLARE
19/05/2022
23 cas suspects viennent d'être identifiés dans la région de Madrid. Lisbonne et Londres annoncent elles aussi des cas positifs de cette maladie peu commune en Europe.
Maladie rare d'Afrique, la variole du singe, aussi appelée Monkeypox en anglais, commence à se propager en Europe. Le Royaume-Uni craint une infection «communautaire» et l'Espagne déclenche une alerte sanitaire.
Fièvre, maux de tête, ganglions, pustules, voici la première phase des effets de la variole du singe chez l'humain. Viennent ensuite les éruptions cutanées qui touchent particulièrement le visage et les mains. Bien que l'OMS déclare que cette maladie ne soit létale que dans moins de 10 % des cas, et surtout chez les enfants, les autorités s'inquiètent d'une nouvelle crise sanitaire.
Plusieurs cas dans le monde
Depuis le début du mois de mai 2022, plusieurs pays ont déclaré des cas de variole du singe et leur nombre ne cesse d'augmenter. Neuf cas ont été recensés au Royaume-Uni, premier pays européen touché, dès le 6 mai 2022. Et à leur tour, l'Espagne et le Portugal ont déclaré des dizaines de cas sur leur territoire, lundi 16 mai 2022. Les autorités sont inquiètes. Outre-Atlantique, le Canada a lui aussi alerté sur la suspicion de plusieurs cas et se penche sur le problème. Cette maladie, présente notamment en Afrique, recense des cas en Europe pour la première fois. Si les premiers contaminés hors Afrique datent de 2003, c'était aux États-Unis. L'Europe est pour la première fois confrontée au virus. «Il n'existe pas de traitement spécifique ni de vaccin» souligne l'OMS, mais qui affirme en même temps que la maladie se guérit d'elle même.
Une maladie contagieuse mais peu létale
Ce qui fait de cette maladie un cas très rare, c'est qu'elle se transmet essentiellement entre les animaux et les humains. Le premier cas aux États-Unis, en 2003, venait de rongeurs importés d'Afrique. Habituée aux climats tropicaux, la variole entre en Europe et étonne. Au Royaume-Uni, les cas touchent surtout des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, et bien que le lien ne soit pas formellement établi, les autorités du pays s'y intéressent. De manière générale, la maladie se transmet suite à des contacts très étroits entre des personnes. L'OMS précise que «la transmission se produit principalement par les particules de gouttelettes respiratoires et nécessite en générale un contact en face à face prolongé». A noter que la durée d'incubation de la variole du singe se situe entre «5 et 21 jours»
http://www.economiematin.fr/news-variole-du-singe-maladie-propagation-europe
L'immigration de singes et autres espèces venus d'Afrique inquiètent les commerces où elle défile.
SupprimerComment Monkeypox s'est-il soudainement propagé partout dans le monde à la vitesse de l'éclair ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 15:15
Écrit par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Qu'est-ce qui se passe dans le monde? Dans le passé, on nous a dit que la variole du singe n'était pas une préoccupation majeure car il était si difficile de la transmettre d'une personne à l'autre.
Mais maintenant, la variole du singe semble se propager comme une traînée de poudre.
Le 7 mai, le tout premier cas dans le monde occidental en 2022 a été confirmé au Royaume-Uni. Nous voici maintenant moins de deux semaines plus tard et il y a maintenant des dizaines de cas confirmés et suspects dans onze pays différents en dehors de l'Afrique.
- voir liste pays sur site -
Hier, j'ai évoqué les cas qui ont surgi en Espagne, au Portugal et aux États-Unis. Maintenant, il y a trois autres pays qui signalent des cas confirmés ou suspects, et cela devrait tous nous alarmer grandement.
- voir photos cloques sur site -
Le cas confirmé dans le Massachusetts implique un homme qui avait récemment voyagé au Canada, et on soupçonnait donc qu'il y avait d'autres cas parmi les Canadiens.
Plus tôt dans la journée, nous avons appris que « treize cas probables font l'objet d'une enquête au Canada », et les résultats des tests pour ces treize « cas probables » devraient être publiés prochainement.
Pendant ce temps, un cas a été confirmé jusqu'en Suède…
"Une personne dans la région de Stockholm a été confirmée infectée par le monkeypox", a déclaré l'Agence suédoise de santé publique dans un communiqué.
La personne infectée "n'est pas gravement malade, mais a reçu des soins", selon l'agence.
Et il semble qu'il pourrait y avoir plusieurs cas en Italie…
Le patient italien était en vacances aux îles Canaries et est maintenant isolé à l'hôpital Spallanzani de Rome, a indiqué l'hôpital.
Deux autres cas suspects sont surveillés, a-t-il ajouté.
RépondreSupprimerLe premier cas de monkeypox en Australie a été confirmé dans l'État de Victoria par un homme dans la trentaine qui est récemment revenu du Royaume-Uni.
"Il y a peu de contacts étroits qui ont été identifiés, évidemment le médecin généraliste en fait partie", a déclaré vendredi aux journalistes le directeur de la santé de Victoria (CHO), Brett Sutton, faisant référence au médecin généraliste qui a référé l'homme pour un test.
La Belgique a un deuxième cas...
Un cas de monkeypox a été confirmé à Munich, en Allemagne. Le ministre bavarois de la Santé, Klaus Holetschek, l'a souligné vendredi. Le patient vient du Brésil et est déjà isolé à la clinique munichoise de Schwabing.
Un premier cas d'infection au monkeypox a été détecté en France jeudi en Île-de-France, a annoncé ce vendredi la Direction générale de la santé.
« Dès que son infection a été suspectée, cette personne a été prise en charge. En l'absence de sérieux, il est isolé à son domicile", précise le ministère.
Le patient est un jeune homme de 29 ans sans antécédent de voyage dans un pays où le virus circule.
Cela n'aurait jamais dû arriver.
Même si la variole du singe est une maladie relativement nouvelle, les cas ont toujours été extrêmement rares et une épidémie mondiale a toujours été considérée comme extrêmement improbable car il était si difficile de propager la variole du singe.
Quelque chose a changé ?
Un éminent expert en maladies infectieuses de l'Université Johns Hopkins nous dit que ce virus "se propage par le toucher physique", et qu'il peut se propager "par des gouttelettes respiratoires" dans certaines circonstances...
Le Dr Amesh Adalja, expert en maladies infectieuses à l'Université Johns Hopkins de Baltimore, Maryland, a également déclaré à DailyMail.com que le virus se propage par le toucher physique – et qu'il ne se propage que par des gouttelettes respiratoires dans l'air chez les personnes qui présentent déjà des symptômes.
C'est extrêmement alarmant à entendre.
Mais avant de sauter aux conclusions, il est important de noter que nous ne savons toujours pas grand-chose sur ce virus. Il n'existe pas depuis si longtemps, et les scientifiques ont averti depuis longtemps qu'il pourrait potentiellement muter en une forme plus transmissible...
Pendant des décennies, quelques scientifiques ont exprimé leur inquiétude quant au fait que le virus de la variole du singe aurait pu devenir plus efficace pour infecter les gens, ironiquement parce que nous avons éradiqué son parent, la variole, à la fin des années 1970. Le vaccin contre la variole protégeait accessoirement contre le monkeypox. Et lorsque de nouvelles générations sont nées dans un monde sans campagnes de vaccination contre la variole ou contre la variole, elles ont grandi vulnérables à la variole du singe. En République démocratique du Congo, cette immunité décroissante signifiait que les infections à monkeypox ont été multipliées par 20 au cours des trois décennies qui ont suivi la disparition de la variole, comme Rimoin l'a montré en 2010. Cela donne au virus plus de chances d'évoluer en un agent pathogène plus transmissible chez l'homme. À ce jour, son R0 - le nombre moyen de personnes qui attrapent la maladie d'une personne infectée - est inférieur à 1, ce qui signifie que les épidémies s'éteignent naturellement. Mais il pourrait éventuellement évoluer au-dessus de ce seuil et provoquer des épidémies plus prolongées, comme Bergstrom l'a simulé en 2003. "Nous avons vu le monkeypox comme une bombe à retardement", m'a-t-il dit.
RépondreSupprimerEspérons que ceux qui enquêtent sur cette nouvelle épidémie pourront bientôt nous dire si le virus a muté ou non.
Pendant ce temps, les autorités affirment qu'il semble se propager particulièrement chez les hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes. Ce qui suit vient de CNN…
Au Royaume-Uni et au Canada, les autorités sanitaires ont noté que de nombreux cas de monkeypox ont été identifiés chez des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes – mais le virus n'est généralement pas décrit comme une infection sexuellement transmissible et les enquêtes sur ces cas récents se poursuivent.
Si cette nouvelle épidémie continue de croître, ce ne sera qu'une question de temps avant que les gens ne commencent à réclamer des vaccins. Les responsables de la santé disent que le vaccin antivariolique existant devrait offrir au moins une certaine protection contre la variole du singe, et ils envisagent déjà de le donner à certains groupes…
Les responsables du CDC évaluent si le vaccin contre la variole devrait être proposé aux travailleurs de la santé traitant les patients atteints de monkeypox et d'autres personnes qui pourraient être à « haut risque » d'exposition au monkeypox, a déclaré McQuiston.
"C'est certainement quelque chose dont nous discutons et évaluons, si l'offre de vaccin contre la variole a du sens dans le contexte actuel", a-t-elle déclaré.
"Nous serons plus près de faire des recommandations à ce sujet dans les prochains jours."
Et il est rapporté qu'il y a suffisamment de doses de vaccin contre la variole "pour vacciner pratiquement tout le monde aux États-Unis"...
Et comme autre précaution contre le bioterrorisme, les stocks de trois vaccins contre la variole sont suffisamment importants « pour vacciner pratiquement tout le monde aux États-Unis ». dit Inglesby. Et bien que les patients atteints de monkeypox ne reçoivent généralement que des soins de soutien, un traitement possible existe et a également été stocké : le Tecovirimat, ou TPOXX, a été développé pour traiter la variole, mais fonctionnerait probablement aussi pour le monkeypox.
Espérons que nous n'arriverons jamais à un point où les responsables auront l'impression qu'une campagne de vaccination à part entière est nécessaire. Après ce que nous avons vécu avec le COVID, personne ne veut voir ça.
RépondreSupprimerApparemment, un vaccin contre la variole du singe existe déjà également, et le New York Post rapporte que les États-Unis viennent de commander « 13 millions de doses supplémentaires »…
Les États-Unis ont commandé 13 millions de doses supplémentaires de vaccin contre la variole du singe après qu'un homme du Massachusetts a contracté le virus rare – mais potentiellement grave –, ont annoncé jeudi des responsables.
La commande massive de 119 millions de dollars de piqûres Jynneos – qui peuvent être utilisées pour traiter à la fois le virus de la variole du singe et la variole – a été créée par la société de biotechnologie Bavarian Nordic, selon Newsweek.
Les autorités du monde occidental agissent certainement comme si cela allait se transformer en quelque chose d'important.
Le temps nous dira si cela s'avère vrai ou non.
Mais sans aucun doute, je crois que nous sommes entrés dans une période de l'histoire où il y aura régulièrement de grandes pestes.
Dans des laboratoires secrets du monde entier, des savants fous tentent fiévreusement de rendre les maladies les plus meurtrières de la planète encore plus meurtrières.
Je ne pourrais pas exagérer la folie de mener de telles « recherches », mais peu importe à quel point nous nous opposons, ils vont simplement continuer leur travail.
Au fil du temps, il est inévitable qu'au moins certaines de leurs créations se détachent, et un grand nombre de personnes pourraient finir par mourir.
https://www.zerohedge.com/medical/how-has-monkeypox-suddenly-spread-all-over-globe-lightning-speed
Comment je vois les choses:
Supprimer1 - Un singe est capturé et piqué en laboratoire pour développer une nouvelle maladie mise au point façon 'cocovide19'.
2 - Il devient malade et contagieux. Gagné !
3 - Comme l'on annoncé depuis 2 ans tous les scientifiques, les expérimentations géniques d'essais (criminellement appelée 'vaccins') SUPPRIMENT toutes immunités. C-à-d: ZÉRO vaccin depuis la naissance. C-à-dire aussi possibilité 100 % d'attraper le premier microbe qui passe !
4 - Ce qui n'est pas précisé dans l'article de Snyder est si les personnes qui ont le 'monkeypox' ont ou non été inoculées avec le 'cocovide19'.
L'HÔPITAL FRAGILISÉ PAR LE CHOC INFLATIONNISTE ET LE MANQUE DE SOIGNANTS
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
18/05/2022
Les coûts d'achat du gaz ont augmenté de 35% pour les hôpitaux
La spirale inflationniste, le manque de personnels et les deux années de pandémie pèsent lourd sur la situation des hôpitaux, qui démarrent l’année dans l’inquiétude. Pour les fédérations hospitalières, cette situation exceptionnelle doit amener l’État à mettre en place des dispositifs financiers qui le seraient tout autant.
« La France a le meilleur système de santé au monde ». Vraie ou fausse, cette généralité est de plus en plus contestée, confrontée à la réalité d’un quotidien de plus en plus difficile, voire insoutenable, dans de nombreuses structures hospitalières à travers le pays. Après deux années à subir les assauts répétés des vagues épidémiques de Covid-19, les hôpitaux français sont pour beaucoup au bord de la rupture.
Malgré les efforts financiers consentis par le gouvernement et face au choc d’inflation qui vient après deux ans de crise sanitaire, la situation des hôpitaux tend à se dégrader fortement. D’après une étude menée par le cabinet Roland Berger, les tarifs hospitaliers nets d’inflation enregistrent une baisse réelle de -3.8 points en 2022, dans un contexte général d’inflation de +4,5%. Cet « effet ciseaux » entre hausse des coûts et baisse nette des tarifs soumet ainsi les hôpitaux français à « un niveau de tension inédit depuis cinq ans », affirme le cabinet privé. En bref, dans le contexte actuel, à tarif équivalent, les hôpitaux creusent à nouveau leurs déficits et perdent leurs capacités de rattrapage des soins après le Covid et de réinvestissement.
Inflation généralisée et surcoûts liés à la pandémie
Les structures de santé n’échappent en effet pas à la hausse générale des prix induite par la perturbation des chaînes d’approvisionnement au niveau mondial, et par la guerre en Ukraine. Pesant « lourd dans les dépenses globales d’un hôpital », selon Cécile Chevance, responsable finances de la Fédération hospitalière de France (FHF), celles liées à l’énergie connaissent une nette envolée. Dans un communiqué en date du 7 février dernier, la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP) faisait état de prévisions d’augmentation de coûts d’achat de l’ordre de 35 % pour le gaz et de 26 % pour l’électricité. Ce qui, à terme, devrait contribuer à affaiblir durablement leur trésorerie.
Cette pression inflationniste vient aussi s’ajouter à d’innombrables surcoûts liés à la crise sanitaire. L’étude réalisée par Roland Berger lève le voile sur une partie de ces dépenses additionnelles, dont les plus importantes concernent les primes des contrats de prévoyance (+40 %) et les achats de matériels (+5,2 %). Là aussi, la hausse globale des dépenses couplée à la baisse de l’activité hors-Covid – en raison des reports d’intervention et des déprogrammations – dessine un « effet ciseaux » aux conséquences préoccupantes sur les hôpitaux.
RépondreSupprimerEn début d’année, la FHF a par ailleurs alerté sur la spirale de dépenses dans laquelle sont engagés de nombreux hôpitaux. Ils sont effectivement nombreux à avoir entamé des chantiers de rénovation, sur la base des fonds alloués dans le cadre du « Ségur », dont les coûts augmentent de façon vertigineuse en raison de l’envolée des prix des matières premières.
Peur sur l’offre de soins
Dans un contexte marqué par une pénurie de soignants, le doute plane d’autant plus sur la capacité de la filière hospitalière française à assurer une offre de soins suffisante et de qualité. Alors que le conseil scientifique a de nouveau tiré la sonnette d’alarme en octobre dernier, par la voix de son président, Jean-François Delfraissy, la perspective d’une augmentation d’effectifs hospitaliers peine à se dessiner.
Dans son audition par la commission d’enquête du Sénat, en février, la présidente de la Haute autorité de santé (HAS), le Pr Dominique Le Guludec, établissait pourtant à nouveau, nettement, le « lien entre le niveau de personnel d’un établissement et la qualité des soins ». Il en va, selon la scientifique, de « l’amélioration du travail en équipe », indispensable au bon fonctionnement de toute structure hospitalière.
Le manque de personnels fait craindre une situation catastrophique cet été
Au fil des mois, les structures (et les soignants) au bord de la rupture se multiplient à travers le pays. En témoignent les plans blancs – batterie de mesures d’urgence – déclenchés par les responsables hospitaliers aux quatre coins de l’hexagone, quelques semaines après les avoir levés en raison de l’amélioration de la situation sanitaire liée à la pandémie. Une soixantaine d’hôpitaux ont déclenché un plan blanc entre février et avril 2022 du fait d’un absentéisme causé par l’épuisement généralisé des soignants, tandis qu’une cinquantaine ont dû fermer leurs urgences à cause de manques d’effectifs, rapportait Challenges le mois dernier. À Orléans, la crise des services d’urgences a contraint les infirmières et aides-soignantes remplaçantes à pallier les manques liés à l’absence de 76 titulaires, en arrêt maladie pour cause de burn-out. Le centre hospitalier régional de la ville connaît, depuis plusieurs semaines, un important mouvement social, qui menace de se propager comme une trainée de poudre à travers le pays.
Le 15 mai dernier, dans les colonnes du Journal du dimanche (JDD), une experte du secteur allait jusqu’à prédire « l’enfer » en juillet-août, du fait notamment des congés estivaux. Ces derniers pourraient contraindre, au-delà des seuls services d’urgence, des structures entières à stopper toute activité. À l’image de La Collégiale, hôpital gériatrique parisien, qui n’aura d’autre choix que de fermer ses 130 lits dès juin et pour une durée indéterminée. Au vu des nombreuses inquiétudes remontées par les acteurs de terrain au ministère de la Santé, un pic de tensions pouvant conduire à d’autres fermetures de ce type – jusque dans des établissements généralement épargnés, comme à Bayonne, Poitiers ou Lyon – est à prévoir cet été.
RépondreSupprimerhttp://www.economiematin.fr/news-hopital-fragilise-choc-inflationniste-manque-soignants
Ce n'est pas seulement dans les hôpitaux qu'il y a un manque de personnel soignant mais aussi dans la restauration et divers commerces qui recherchent des employé(e)s et qui n'en trouvent pas !
SupprimerComment cela se fait-il ?!
Vu le nombre de morts par 'effets secondaires' et le nombre d'exclus qui ont refusé ces 'effets secondaires' il n'y a presque plus personne en France !!!!
Suffit de se promener dans la rue et de voir qui vous croisez ! Hors touristes c'est plus de 50 % d'immigrés !! que des 'agents spéciaux' sont allés chercher et amener de force en Europe !! Car, si les rues venaient à être presque vides les gens s'inquiéteraient !
Remarquez aussi que malgré les sommes FARAMINEUSES touchées par les Directeurs d'hôpitaux pour étiqueter n'importe quel mort de vieillesse, cancer, obésité, diabète, suicide, accident de la circulation, etc en étiquette 'cocovide19' il ne trouvent plus de pigeons pour piquer les vieux, les femmes enceintes et les nouveaux-nés ! (une infirmière touche 500 euros PAR JOUR en vaxinodrome !!).
Comment l’OMS veut prendre le pouvoir sur les États
RépondreSupprimer11/10/2021
Urmie Ray
Un nouveau traité sur la préparation et l'intervention en cas de pandémie
Du 29 novembre au 1er décembre 2021, les États membres se réuniront en session spéciale avec l’OMS pour discuter et éventuellement signer un nouveau traité sur la préparation et l’intervention en cas de pandémie. Cette décision, prise en mars 2021, est soutenue par 26 nations, dont l’Australie, le Canada, l’Islande, la Norvège, la République de Corée, l’Afrique du Sud, l’Ukraine, le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Uruguay et les États membres de l’Union européenne1. L’absence de la Russie, de la Chine et de l’Inde parmi ces 26 pays mérite d’être soulignée. Ceci n’implique nullement qu’ils ne seront pas signataires.
Le Règlement sanitaire international (2005)2, cosigné par 196 pays, donne déjà aux États le droit légal de :
« examiner les antécédents de voyages dans des zones affectées ;
examiner la preuve qu’un examen médical et des analyses en laboratoire ont été effectués ;
exiger des examens médicaux ;
examiner la preuve des vaccinations ou autres mesures prophylactiques ;
exiger une vaccination ou une mesure prophylactique ;
placer les personnes suspectes en observation à des fins de santé publique ;
placer en quarantaine les personnes suspectes ou leur appliquer d’autres mesures sanitaires ;
isoler ou traiter si nécessaire les personnes affectées ;
rechercher les contacts des personnes suspectes ou affectées ;
refuser l’entrée des personnes suspectes et affectées ;
refuser l’entrée de personnes non affectées dans des zones affectées ; et
soumettre à un dépistage les personnes en provenance de zones affectées et/ou leur appliquer des restrictions de sortie. »
En d’autres termes, toutes les mesures appliquées dans le monde depuis 2020, y compris la vaccination obligatoire, sont en fait légales en vertu de cet ancien traité. En particulier, il modifie radicalement la définition de la « quarantaine » par rapport à celle du RSI de 1969. Dans ce dernier, le terme n’est utilisé que dans l’expression « en quarantaine » définie comme étant « l’état ou la situation d’un … moyen de transport ou conteneur, pendant la période où une autorité sanitaire lui applique des mesures visant à prévenir la dissémination de maladies, de réservoirs de maladies ou de vecteurs de maladies »3. Le RSI révisé en 2005 utilise le terme en lui-même et le définit comme « la restriction des activités et/ou de la mise à l’écart des personnes suspectes qui ne sont pas malades ou des bagages, conteneurs, moyens de transport ou marchandises suspects, de façon à prévenir la propagation éventuelle de l’infection ou de la contamination ». Il s’agit là d’un changement subtil mais critique. De la protection de la communauté, nous sommes passés à la restriction des libertés individuelles. La mise en œuvre de la quarantaine et d’autres mesures coercitives sur tous, y compris la surveillance et la vaccination, est légalisée : l’expression « personnes suspectes » criminalise tout individu, sain ou malade. En effet, elle englobe toutes les personnes qu’un « Etat Partie considère comme ayant été exposés ou ayant pu être exposés à un risque pour la santé publique et susceptibles de constituer une source de propagation de maladies ». Il est important de noter l’utilisation des expressions « ayant pu » et « susceptibles », donc pas seulement celles dont on sait avec certitude qu’elles représentent un facteur de risque.
RépondreSupprimerAlors pourquoi faut-il un nouveau traité ?
La réponse a été donnée par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Selon lui, « il s’agit du changement majeur qui contribuerait le plus à renforcer la sécurité sanitaire mondiale et à donner le pouvoir à l’Organisation mondiale de la santé.4 » Le RSI révisé en 2005 laisse encore une certaine autorité aux États. Notamment, certaines conditions doivent être remplies avant qu’un État soit obligé de communiquer un événement sanitaire à l’OMS : l’évènement doit être jugé comme suffisamment grave au niveau planétaire. Une fois communiqué, c’est alors au directeur général de l’OMS de déterminer s’il s’agit « d’une urgence de santé publique », mais en collaboration avec l’État en question. Certes, en cas de désaccord, le directeur général décide après consultation du comité d’urgence de l’OMS, et passé un certain délai, aucun État ne peut rejeter ou émettre des réserves sur le RSI ou sur ses amendements ultérieurs. Néanmoins, les mesures mises en œuvre résultent d’un dialogue entre les « centres de liaison RSI » de chaque pays et les « centres de contact RSI de l’OMS ». Qui plus est, bien que le RSI rend légales les mesures mentionnées précédemment, il ne permet à l’OMS que de les recommander et non de les imposer ; il appartient aux États de procéder à leur imposition, et de vérifier qu’elles sont bien suivies par les populations en utilisant leurs propres moyens5.
Le nouveau traité remédierait aux « faiblesses » susmentionnées du RSI, ainsi qu’elles le sont considérées, en faisant en sorte que « la vérification, la surveillance et le respect » de ces mesures soient exécutés par des instances indépendantes. Étant donné l’objectif clairement exprimé de consolider les pouvoirs de l’OMS, doit-on en conclure que « indépendantes » signifie sous l’autorité de l’OMS plutôt que des États eux-mêmes6 ?
RépondreSupprimerEn outre, le RSI est restreint aux « dangers pour la santé publique et les urgences de santé publique de portée internationale », alors que le traité pourrait concerner « tous les dangers », et pas seulement les pandémies. Dans ce dernier cas, il prendrait le relais du RSI dès qu’une pandémie serait officiellement déclarée par l’OMS7.
En outre, le traité préciserait sans doute aussi l’idée exprimée dans le document « Interim Pre-pandemic planning guidance » du CDC de 20078, à savoir qu’il n’est pas nécessaire d’avoir une pandémie pour mettre en œuvre des mesures restrictives. Il suffirait qu’un événement soit déclaré « urgence de santé publique à potentiel pandémique ». Étant donné que tout événement futur est toujours hypothétique, cela permettra-t-il de maintenir les mesures pour une période indéterminée ? Car on peut toujours prétendre qu’une pandémie se produira, surtout si les mesures sont levées. Cela soulève de nombreuses questions, d’autant plus que l’événement n’aurait plus besoin d’être « de portée internationale comme dans le RSI ». Les « mesures », telles que conseillées, devraient également « aller au-delà du champ d’application actuel du RSI », en particulier « couvrir la production et la fourniture de vaccins, de diagnostics et de traitements »9.
Contrairement au RSI, le traité risque d’aller également au-delà des questions sanitaires et de permettre la mise en œuvre de mesures contre les « perturbations sociales et économiques » ainsi que les « risques de catastrophe au sens large »10. Donc le traité autoriserait-il non seulement de mettre fin aux critiques, et donc à la liberté d’expression, mais aussi de contrôler tout antagonisme public contre les mesures restrictives par le biais d’une « assistance internationale d’urgence »11, c’est-à-dire par des forces policières ou militaires internationales ? C’est ce que pense une experte indépendante en bioéthique et en biosécurité.
En résumé, ainsi qu’elle le pense, le traité fournirait-il le cadre juridique international permettant de déroger aux droits civils et politiques garantis « même en cas de danger public exceptionnel menaçant l’existence de la nation » par les Principes de Syracuse12 « concernant les dispositions du pacte international relatif aux droits civils et politiques qui autorisent des restrictions ou des dérogation » rédigés en 1984, à savoir :
« du droit à la vie ; du droit à ne pas être soumis à la torture ni à des peines ou traitements Cruels, inhumains ou dégradants, non plus qu’à une expérience médicale ou scientifique sans le libre consentement de l’intéressé; du droit de ne pas être tenu en esclavage ou en servitude; du droit de ne pas être emprisonné pour défaut d’exécution d’une obligation contractuelle ; du droit de ne pas être condamné ou de ne pas se voir infliger une peine plus forte en vertu d’une loi pénale appliquée rétroactivement ; du droit à la reconnaissance de la personnalité juridique et du droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion » ?
Car le principe de Syracuse se contente de garantir qu’ « aucun État partie ne doit » en aucune circonstance « déroger aux garanties » susmentionnées. Cependant, selon le nouveau traité, l’OMS, éventuellement avec l’aide d’autres organismes internationaux, ne deviendrait-elle pas une puissance planétaire occupante, avec chaque État une unité collaboratrice soumise, comme la France en 1940, et donc sans aucun pouvoir pour assurer la protection des droits auxquels ce Pacte lui interdit toute dérogation ?
RépondreSupprimerEnfin et surtout, la raison d’un nouveau traité, et non d’une « révision du RSI » semble due au fait qu’une révision « serait un processus long et prendrait plusieurs années. … En outre, tout amendement apporté au RSI n’entrera en vigueur que deux ans après son adoption. Un monde en crise ne peut se permettre d’attendre aussi longtemps»13. Pourquoi une telle hâte à faire ratifier le traité ?
Il ne faut pas oublier que parmi les principaux contributeurs de l’OMS figurent la fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance pour les vaccins (GAVI) qu’elle a créée en 2000 et dont elle a essentiellement assuré le financement initial – un « partenariat public-privé unique … réunissant des agences clés des Nations unies, des gouvernements, l’industrie du vaccin, le secteur privé et la société civile »14.
Urmie Ray Ph.D
Sources :
1 – https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA74/A74_ACONF7-en.pdf
2 – https://www.who.int/fr/publications-detail/9789241580496
3 – http://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/96615/9242580074.pdf…
4 – https://www.npr.org/sections/coronavirus-live-updates/2021/05/31/1001943709/the-time…
5 – https://www.who.int/csr/ihr/WHA58-en.pdf
6 – https://blogs.bmj.com/bmj/2021/05/23/how-would-a-pandemic…
7 – Ibid.
8 – https://www.centerforhealthsecurity.org/cbn/2007/cbnreport_02072007.html
9 – https://blogs.bmj.com/bmj/2021/05/23/how-would-a-pandemic…
10 – Ibid.
11 – Ibid.
12 – https://www.eods.eu/library/opendocpdfFR.pdf
13 – https://blogs.bmj.com/bmj/2021/05/23/how-would-a-pandemic…
14 – https://www.gavi.org/history-gavi
https://www.lachainehumaine.com/2021/10/traite-international-imminent-consolidant-lomstraite-international-imminent-consolidant-loms/?fbclid=IwAR33-VYrjRu43WrJei5enFAwGheiukB333zocPaAc-xSaRILi2-GKHoRKTE
Les pays en dictature délèguent une partie de leurs crimes aux mercenaires de l'OMS !
SupprimerC'est-à-dire qu'il y a au monde plus de 7 milliards de personnes asymptomatiques qui ne sont pas censées être malades alors qu'elle le seraient !!
L'objectif est de ne garder que 500 000 personnes vivantes sur Terre !
La Cour suprême allemande déclare constitutionnelle le Vax obligatoire pour les travailleurs de la santé
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 10:15
Trois mois après avoir rejeté une injonction sur un mandat obligeant les travailleurs de la santé à présenter une preuve de vaccination complète, la Cour suprême allemande a statué que le mandat était constitutionnel.
Jeudi, la Cour constitutionnelle fédérale d'Allemagne a rejeté les plaintes concernant la vaccination obligatoire des agents de santé, arguant que la nécessité de "protéger" les populations vulnérables dans les hôpitaux l'emporte sur les arguments "mon corps, mon choix".
"En Allemagne aussi, 130 à 150 personnes en moyenne meurent chaque jour à cause de la pandémie", a déclaré le ministre de la Santé Karl Lauterbach aux journalistes à Berlin. "Donc, l'impression que la pandémie a été vaincue est fausse."
Lauterbach a fait ces commentaires lors d'un sommet de deux jours avec ses homologues du G7, où il a déclaré que "l'État est obligé de protéger les groupes vulnérables".
Le secrétaire américain à la Santé, Xavier Becerra, entièrement vacciné, devait assister à la réunion en personne, mais il a contracté le Covid-19 à Berlin mercredi, un jour après avoir rencontré Lauterbach et d'autres personnalités allemandes de premier plan, selon le Washington Post.
Près de 76% des Allemands ont reçu jusqu'à présent deux injections de vaccin Covid-19, tandis que près de 60% ont également reçu une injection de rappel.
https://www.zerohedge.com/covid-19/german-supreme-court-rules-compulsory-vax-health-workers-constitutional
Traitement létal obligatoire anti-doryphores !
SupprimerLe commerce de la criminalité sur Internet est en plein essor
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 08:45
Le Internet Crime Complaint Center (IC3) du FBI a publié son rapport 2021 sur la criminalité sur Internet qui a révélé que 2021 était une autre année record pour les victimes de la criminalité sur Internet et les pertes en dollars aux États-Unis.
847 376 plaintes ont été enregistrées par IC3 au cours de la dernière année civile avec des pertes totales s'élevant à 6,9 milliards de dollars. Comme le rapporte Martin Armstrong de Statista, les crimes sur Internet les plus fréquents enregistrés en 2021 étaient une forme de phishing/vishing/smishing/pharming.
- voir graph sur site -
Infographie : Le commerce de la criminalité sur Internet est en plein essor | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
L'année 2020 a été marquée par l'émergence de programmes exploitant la pandémie de Covid-19 ciblant à la fois les particuliers et les entreprises.
Quelque 28 500 plaintes ont été reçues concernant les escroqueries liées au Covid-19 cette année-là, la plupart d'entre elles visant la loi sur l'aide, le secours et la sécurité économique du coronavirus (loi CARES). En 2021, la pandémie est toujours mise à profit, comme le rapporte IC3 :
"La pandémie et les restrictions sur les réunions en personne ont entraîné une augmentation des pratiques de télétravail ou de communication virtuelle...
IC3 a observé l'émergence de nouveaux schémas BEC/EAC qui exploitent cette dépendance aux réunions virtuelles pour demander aux victimes d'envoyer des virements électroniques frauduleux."
Les programmes de compromission des e-mails professionnels et de compromission des e-mails (BEC/EAC) ont été les crimes sur Internet les plus coûteux l'année dernière, avec des pertes ajustées de près de 2,4 milliards de dollars.
https://www.zerohedge.com/technology/internet-crime-business-booming
Et bientôt y aurait tout l'argent... électrique !!
Supprimer"Nous nous excusons pour cette coupure de son ou d'image ou d'électricité"
HISTORIQUE DE L'INFLATION EN FRANCE ET ANALYSE ACTUELLE
RépondreSupprimerpar DANIEL MOINIER
20/05/2022
L'alimentaire devrait augmenter de 6,3% en juin 2022 selon l'Insee
Depuis 1900 la France a connu des périodes d’inflation assez exceptionnelles pendant plus de 80 ans. Cette période très différente de ce nous avons connue ces 20 dernières années, a été marquée par différentes crises gouvernementales, économiques et surtout les fortes influences des différentes guerres telles :
La grande guerre de 1914/18 qui a engendré la plus grande dépression de 1930 d’entre 2 guerres
La 2ème guerre mondiale 1939/45 suivie d’une inflation record
La guerre d’Indochine 1946/54, suivie de celle du Vietnam1959/75 avec les USA
Les 4 guerres israélo/Arabes échelonnées de 1948 à 1973
La guerre d’Algérie 1957/1962
La Guerre de Chypre,Grèce/Turquie 1974
La guerre Iran/Irak 1980/88
La guerre Kosovo/Tchécoslovaquie 1998/99
Les 20 ans de guerre en Afghanistan, Russie 1979/89 et USA 2001/21
La longue guerre Iran/Irak 1980/88
La guerre d’Irak/USA 2003
Les 10 années de guerre en Syrie (de religion)
La guerre en Ukraine 03/2022….
On pourrait ajouter des périodes de crises économiques et boursières et autres hors guerre, en plus de la très grande dépression d’après la première guerre mondiale :
1974 : Partie des USA, la crise du Watergate et du 1er krach informatique
2000 à 2001 : Bulle internet suivie du 11 septembre World Trade Center
2008/2009 : Crise des Subprimes qui a engendré celles de toutes les banques mondiales
2015 : Attentats en France suivi d’une très forte baisse du tourisme
2020 : Crise pandémique du Covid 19, suivie de la guerre en Ukraine
En 1945, après la 2ème guerre mondiale, Il a déjà fallu supporter huit années d’inflation à des taux record à deux chiffres (maxi 58,7 % en 48) jusqu’en 1985 pour passer ensuite à un chiffre.
Pendant cette période aucune aide quelconque n’existait, nos concitoyens subissaient mais s’arrangeaient pour subvenir à leurs besoins. Il est nécessaire de rappeler que la structure de la population n’était pas du tout la même. Avant 1930, 50 % de la population était rurale (villes de - de 2000 habitants), actuellement c’est plus de 75 %.
Il a fallu attendre les années 1960 pour voir les voitures commencer à encombrer les routes, puis les autoroutes avec les premières créations : A13 (Caen) puis A1 (Lille) terminée en 1967
RépondreSupprimerCe qui différencie les deux époques, après guerre et aujourd’hui, c’est principalement le développement de l’automobile et des moyens de transports (et internet). A la campagne, on se rendait au travail principalement à pied, un peu plus tard à bicyclette ou transporté par les bus de ramassage de l’entreprise. Chaque famille à la campagne, cultivait de grands jardins et terres et se nourrissait principalement de ses produits, de son élevage. Pour le chauffage, c’était pour beaucoup les affouages communaux qui permettaient de faire son bois à peu de frais. La principale différence c’est qu’il fallait faire double journée : l’hiver pour le bois ; printemps, été et automne pour le jardinage et le travail salarié souvent le matin.
Pas besoin de faire de randonnées, balades, passer à la salle de gym, on tenait la forme tout en restant mince. Les enfants partis travaillés en ville, emportaient souvent leurs légumes et fruits pour la semaine.
Cette vie relativement autonome, permettait de supporter les hausses de prix et les pertes de pouvoir d’achat. Les produits étaient très peu dépendants des marchés, de l’étranger, de l’international. Peu de pétrole, d’électricité utilisés, le gaz n’existait pas ou très peu. La première grande crise (ou choc pétrolier) du pétrole est arrivée en 1973.
Comment pourrait-on résister à des taux de plus de 50% d’inflation comme en 1946 ? Actuellement avec des taux similaires, les manifestations iraient certainement à l’extrême jusqu’à la révolution !!!
Les causes principales de l’inflation actuelle
Le début de l’inflation a commencé par le manque de composants industriels et surtout automobile (puces et autres) provenant en grande partie de Taiwan.
Puis la sortie de la crise sanitaire a entraîné une forte reprise économique qui a fait rapidement gonfler les prix. En 2021, cette inflation n’inquiétait pas mais elle n'était pas nécessairement un handicap, tant qu'elle ne dépassait pas un certain seuil.
Elle était concentrée sur l'énergie, la flambée des cours des matières premières et des prix de production dans l'industrie, mais commençait à se propager dans les produits alimentaires et dans les biens manufacturés.
Autre cause, la suite de la pandémie avec quelques villes confinées en Chine principalement à Shanghai qui bloque l’alimentaire, mais aussi suite au manque de dockers, un casse tête logistique qui prive les départs de matériel et pièces pour l’export ; automobile, climatiseurs par exemple…
En France, selon l’Insee, les prix à la consommation ont augmenté de 0,4 % fin 2021 et de 2,8 % sur un an, après une estimation à 2,6 % sur le mois précédent. Une évolution progressive et inquiétante, bien que largement inférieure à celle de nos voisins européens.
RépondreSupprimerLa guerre en Ukraine démarrée mi mars 2022 a été un fort accélérateur de l’inflation pour deux raisons :
Les produits ukrainiens qui n’arrivent plus ; blé, huile, pétrole (Ukraine + Russie, c’est 29% des exportations de blé mondial, de 27% du maïs et 27% de l’orge, 1/3 des exportations de tournesol et 79% de l’huile de tournesol)
Le blocus mis en place par les USA et l’Europe sur les importations, avoirs russes etc…
Les décisions russes de freiner les exportations de pétrole, gaz.
Les fermetures de nombreux groupes français (et autres pays) implantés en Russie.
Même les pays d’Orient, d’Afrique sont déstabilisés. Se passer des exportations de brut, de gaz comme le souhaitent les États-Unis et l’Europe semble très difficile à tenir, voire impossible à court et même à moyen terme, d’autant que l’Opep et même l’Algérie ont décidé de ne pas augmenter leur production. Le prix va devenir dissuasif pour le consommateur. Et même si ces producteurs se décidaient à produire plus, il faudrait au minimum deux mois pour passer à l’action de façon significative. Seul l’Iran pourrait être d’accord à condition de lever les sanctions américaines sur le nucléaire. Cela de toute façon ne serait pas suffisant en termes de besoin. En ce qui concerne les USA, sa production est déjà maximum et même avec un baril à 200 dollars les possibilités d’augmenter la production restent très limitées.
La possibilité de faire chuter les prix serait qu’ils dépassent les 120/130 dollars ce qui devrait engendrer une baisse d’achat de carburants des automobilises, indique Benjamin Louvet (Gérant spécialiste Matières Premières, OFI AM. Membre d'ASPO).
A fin avril, les prix à la consommation ont augmenté de 4,8 % sur un an, a révélé l'Insee. Il s'agit de son plus haut niveau depuis novembre 1985. Les prix des produits manufacturés ralentissent (+0,5 % après +1,4 %). Ceux des services accélèrent (+0,7 % après +0,2 %) notamment en raison du net rebond saisonnier des prix des services de transports (+9,4 % après −0,9 %)", note l'institut. Voici ce qu'il faut retenir :
Alimentation : +3,8 % Produits frais : +7,1 % Tabac : -01 % Produits manufacturés : +2,6 % Énergie : +26,5 % Services : +3 %
L'inflation ne semble pas décidée à s'arrêter. L'institut a déjà anticipé une hausse de l'inflation dans les prochains mois. Elle devrait atteindre 5 % en mai, puis 5,4 % en juin, selon la dernière note de conjoncture. Les prix alimentaires sont attendus en très forte hausse : +6,3 % en juin. En l'absence du bouclier tarifaire et de la remise de 18 centimes sur le prix du carburant, l'Insee estime que l'inflation dépasserait les 7% sur un an au mois de mai.
Pour les investisseurs immobiliers, cela peut être une chance pour ceux qui ont emprunté à un taux fixe très bas, leurs remboursements seront moindres. Dans les années 70/80, les emprunteurs ont souvent terminé leur prêt avec des coûts 2 à 3 fois moins élevés, voire plus.
RépondreSupprimerPour essayer de contrer cette flambée des prix, le gouvernement Castex a annoncé un projet de loi de finances rectificative qui sera mis en place juste après la nomination du nouveau gouvernement en deuxième partie de mai 2022 :
-Prolongation du bouclier tarifaire jusqu’à fin 2022,
-Une mesure ciblée pour les gros rouleurs
-La suppression de la redevance TV
-Le triplement de la prime Macron
-Le dégel du point d’indice
-La revalorisation des prestations sociales et des retraites
-La création du chèque alimentaire
Cela suffira-t-il pour contrer l’inflation et surtout les esprits et revendications prévisibles ?
http://www.economiematin.fr/news-historique-inflation-France-analyse-actuelle-moinier
(...) Les produits ukrainiens qui n’arrivent plus ; blé, huile, pétrole (Ukraine + Russie, c’est 29% des exportations de blé mondial, de 27% du maïs et 27% de l’orge, 1/3 des exportations de tournesol et 79% de l’huile de tournesol) (...)
SupprimerLes produits ukrainiens ne représentent rien dans la balance ni sur l'inflation, mais vous noterez que ces chiffres ci-dessus sont associés à deux pays !! La Russie la plus grande production et l'Ukraine la production insignifiante !
Mais comme les productions russes sont refusées par certains importateurs pour créer de l'inflation par pénurie, est accusée la guerre contre les troupes nazional-socialistes défendues par l'OTAN et Bruxelles qui propagerait de l'inflation !
Notez aussi que toutes les guerres cités en début d'article n'ont rien à voir avec de l'inflation reconnue en France (il ne faut pas confondre les pays en guerre et les pays sans guerre).
Arrêtez le déni : l'Ukraine est une guerre par procuration qui conduira à une guerre mondiale plus large
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 06:00
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Au début de l'incursion russe en Ukraine, j'ai soutenu dans mon article "Order Out Of Chaos: How The Ukraine Conflict Is Designed To Benefit Globalists" que les bottes américaines seraient sur le terrain dans quelques mois. J'avais tort - Il s'avère que les bottes militaires américaines et européennes étaient DÉJÀ sur le terrain. L'Ukraine était une guerre par procuration depuis le tout début.
Mais qu'est-ce qu'une guerre par procuration, vraiment ? Cela signifie que les troupes russes combattent des soldats ukrainiens qui se mêlent à des « conseillers » occidentaux et très probablement aux forces spéciales américaines et européennes, sans parler des agents de renseignement américains qui utilisent toutes les technologies de collecte d'informations à la disposition du ministère de la Défense. En d'autres termes, des soldats russes sont tués par des actifs occidentaux. Certaines personnes pro-ukrainiennes pourraient se demander pourquoi c'est un problème ?
Pour comprendre la gravité de cette situation, nous devons d'abord examiner la signification historique.
L'événement le plus proche de l'histoire auquel je pouvais me rapprocher de l'Ukraine est le Vietnam, lorsque les éléments communistes à l'intérieur du pays recevaient une aide constante, des armes et même des troupes de la Chine, ainsi qu'une aide monétaire et technologique de l'Union soviétique. Le Vietnam était essentiellement une arène « sûre » ou un match en cage entre l'Occident et le communisme ; un lieu où les acteurs du paradigme pourraient s'affronter sans risque d'un échange nucléaire plus important. Les mondialistes pouvaient s'asseoir, se détendre et regarder le spectacle pendant que les Américains sacrifiaient leur vie pour un conflit qui n'avait pas besoin d'exister.
L'Ukraine est similaire, mais les enjeux cette fois sont beaucoup plus élevés. C'est probablement la raison pour laquelle les médias grand public et la Maison Blanche ont totalement nié que l'Ukraine soit une guerre par procuration et ont constamment minimisé l'implication complexe des ressources militaires occidentales. Le fait est que l'Ukraine serait maintenant complètement tombée si la Russie n'était pas vraiment face à l'Ukraine ; il fait face à une force par procuration d'éléments de soutien américains et européens fournissant des renseignements, des armes et probablement un soutien cinétique direct.
Dans mon article «L'Ukraine apprend la valeur d'une citoyenneté armée, mais bien trop tard», publié le 2 mars, j'ai noté que les programmes de «milices» ukrainiennes institués à la dernière minute alors que les troupes russes traversaient rapidement le Donbass étaient un côté Afficher. Les médias agissaient comme si des citoyens n'ayant pas plus de deux semaines d'entraînement allaient faire une sorte de différence dans la guerre ; c'était un non-sens. À mon avis, le récit de l'insurrection était destiné à couvrir des actifs occidentaux bien entraînés déjà en place avec une technologie antichar et antiaérienne avancée. Comme je l'ai dit dans cet article :
"Aujourd'hui, alors que la Russie envahit, les Ukrainiens n'ont même pas mis en place de mesures [de défense] de base. Leur capacité à repousser les Russes repose sur des systèmes de missiles américains comme le Javelin qui sont régulièrement acheminés vers l'armée ukrainienne.
RépondreSupprimerDe plus, les méthodes utilisées par les forces ukrainiennes pour tendre une embuscade aux colonnes blindées russes sont plutôt avancées et familières. Je soupçonne la possibilité qu'il y ait des « conseillers » militaires extérieurs (peut-être des conseillers américains) sur le terrain en ce moment en Ukraine. Les tactiques avancées d'embuscade de style guérilla et les résultats ressemblent à la formation souvent donnée aux bérets verts ou aux SAS. Le Royaume-Uni a envoyé des armes antichars avec un petit groupe de « formateurs » en Ukraine en janvier.
Peut-être que je me trompe, mais si tel est le cas, il serait diplomatiquement désastreux que de telles équipes de conseillers soient jamais découvertes comme étant impliquées dans les combats… »
Peu de temps après avoir écrit ceci, un flux de fuites d'informations a révélé que l'implication militaire des États-Unis et de l'UE était bien plus profonde que ce à quoi je m'attendais.
Le journaliste français et correspondant international principal du Figaro Georges Malbrunot est revenu d'Ukraine avec des révélations selon lesquelles les Américains sont "directement en charge" de la guerre sur le terrain. Il a ajouté que lui et les volontaires avec qui il se trouvait "avaient failli être arrêtés" par les fonctionnaires et qu'ils avaient été contraints de signer un contrat "jusqu'à la fin de la guerre" qui leur refusait alors le droit de parler au public des circonstances dont ils avaient été témoins.
Citant une source du renseignement français, Malbrunot a également tweeté que des unités SAS britanniques « sont présentes en Ukraine depuis le début de la guerre, tout comme les Deltas américains ».
Cela ressortait clairement des tactiques avancées utilisées par les forces « ukrainiennes » pour bloquer l'avancée russe, mais les témoignages de première main confirment que le problème est réel. Le New York Times et d'autres médias ont publié de rares aveux d'implication des États-Unis dans le partage de renseignements avec les Ukrainiens, qui ont conduit directement à la mort de plusieurs généraux russes ainsi qu'à la destruction d'actifs majeurs tels que des avions de transport de troupes et le vaisseau amiral russe Moskva.
Entre-temps, les responsables du Pentagone et Joe Biden n'ont cessé de nier que l'Ukraine est une « guerre par procuration ». Si ce n'est pas une guerre par procuration, alors je ne sais pas ce que c'est. Sans la participation des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'UE, il n'y a PAS DE GUERRE. Ce serait déjà fini et l'Ukraine aurait capitulé il y a des semaines.
Les gens peuvent se demander si c'est une bonne ou une mauvaise chose. Comme je l'ai mentionné dans plusieurs articles, je n'ai aucun sentiment de toute façon parce que tout l'événement semble être une distraction de la menace beaucoup plus importante du déclin économique mondial et de la crise inflationniste. Ce qu'il faut retenir ici, c'est qu'il s'agit bien d'une guerre par procuration et que la présence même de moyens militaires américains et européens sur le terrain en Ukraine pourrait servir de justification à la Russie pour étendre ses opérations bien au-delà de la région du Donbass.
RépondreSupprimerNon seulement cela, mais cela justifie également des tactiques plus larges qui ciblent directement les États-Unis et l'Europe. Par exemple, une guerre par procuration permet à la Russie d'argumenter raisonnablement en faveur d'une coupure complète de l'UE des ressources de pétrole et de gaz naturel, dont l'Europe dépend pour environ 40 % de ses besoins énergétiques. Cela justifie les stratégies économiques russes, y compris les alliances avec la Chine pour éliminer le dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale. Et je continue de m'attendre à des attaques de cyberguerre cette année en raison de la situation en Ukraine. À tout le moins, de telles attaques seront imputées à la Russie et à la Chine, qu'elles en soient ou non réellement responsables.
La présence de troupes américaines et européennes en Ukraine signifie-t-elle qu'une guerre nucléaire mondiale est imminente ? C'est peu probable. Tout comme le Vietnam n'a pas conduit à une guerre nucléaire entre la Russie, la Chine et les États-Unis malgré le ravitaillement et l'entraînement constants de la NVC par les forces soviétiques et chinoises, il y a peu de chances qu'une guerre nucléaire mondiale éclate depuis l'Ukraine. La destruction mutuelle ne sert pas les intérêts des mondialistes, du moins pas s'ils espèrent prédire le moins du monde le résultat.
Cela dit, je ne serais pas surpris de voir au moins un champignon atomique quelque part dans le monde cette décennie dans le cadre d'un conflit régional. Aussi, la guerre mondiale n'a pas besoin de devenir nucléaire pour être désastreuse.
Malheureusement, à cause des films hollywoodiens, un grand nombre de personnes ont des idées erronées sur ce à quoi pourrait ressembler la Troisième Guerre mondiale. Les médias de divertissement décrivent toujours la Troisième Guerre mondiale comme se déroulant en un éclair, un instant au cours duquel des missiles sont lancés et une civilisation brisée de survivants doit recoller les morceaux. Ce qu'ils ne montrent jamais, c'est une longue guerre acharnée d'usure financière, de perturbations de la chaîne d'approvisionnement, de cyberattaques et de batailles régionales interminables dans lesquelles des Américains sont envoyés à l'étranger pour mourir sans autre but que de prétendre que ces différends territoriaux sont en quelque sorte « notre responsabilité ». ”
Ce que je vois en Ukraine, c'est le début d'une guerre pas comme les autres ; une guerre dans laquelle les armes sont principalement indirectes et financières plutôt que cinétiques. En raison de l'interdépendance mondiale en matière de commerce, de nombreux pays occidentaux se sont retrouvés totalement sans défense dans ce type de conflit. Nous n'avons pas la capacité de riposter parce que nos systèmes économiques sont construits autour d'un modèle qui exige que nous abandonnions la production nationale et que nous comptions sur les ressources et l'industrie d'autres nations.
RépondreSupprimerCela n'est jamais plus vrai que dans nos relations avec la Chine, qui contrôle environ 20 % de tous les biens exportés vers les États-Unis. La Chine est étroitement alliée à la Russie. Cela ne va pas changer parce qu'ils savent que l'Occident ne peut rien y faire ; il y a beaucoup trop de levier économique en jeu. De plus, les événements en Ukraine sont probablement un précurseur de la propre invasion de Taiwan par la Chine.
Si tel est le plan, la Chine devrait attendre des conditions météorologiques optimales après la saison de la mousson, en septembre. Cela commencerait par des bombardements de missiles et des attaques d'infrastructures, suivis d'un assaut amphibie début octobre.
La guerre par procuration en Ukraine est un moment clé de l'histoire à venir (avec l'invasion potentielle de Taïwan), car elle offre aux intérêts mondiaux des puissances rêvant d'une « grande réinitialisation » la capacité de se décharger de la crise économique mondiale qu'ils ont créée il y a des années. les "marées du destin". Ils peuvent dire que l'effondrement ne s'est produit qu'à cause de l'orgueil des nations souveraines et des « frontières dénuées de sens ». Si les États-Unis et l'Europe sont directement impliqués dans le meurtre des troupes russes, et que cela est largement exposé, alors le côté russe du récit se clarifie et le côté occidental devient confus. La rétribution russe directe devient logique et rationnelle plutôt que la réaction folle d'une nation dirigée par un fou comme le prétendent les médias grand public.
Les deux côtés du théâtre Kabuki doivent se sentir justifiés de transformer une petite guerre en guerre mondiale. C'est ainsi que cela a toujours fonctionné. Lorsque la population ouvrière devient un peu trop indisciplinée et que la menace d'une rébellion contre l'establishment est à portée de main, les élites déclenchent une guerre. C'est comme une horloge. Cette tactique affaiblit la population générale, épuise le nombre d'hommes en âge de combattre qui auraient autrement pu représenter une menace pour la classe dirigeante et crée suffisamment de peur et de panique pour convaincre le public de renoncer davantage à ses libertés.
Le joker en ce moment, ce sont les populations américaines et européennes, et dans une certaine mesure les citoyens russes, et leur réaction. La vieille blague est "Et s'ils organisaient une guerre et que personne ne se présentait pour se battre ?" C'est une réalité potentielle en ce moment car c'est entre les mains du public jusqu'où ira la question de l'Ukraine. La plupart des Américains et des Européens sont-ils prêts à envoyer leurs fils et, dans certains cas, leurs filles se battre et mourir dans le Donbass ? Les citoyens russes sont-ils prêts à se battre et à mourir au-delà des frontières de l'Ukraine ?
Beaucoup de gens se livrent à de grandes discussions ces derniers temps, mais est-ce vraiment la colline sur laquelle ils sont prêts à mourir ? Je crois que non. Pourquoi? Parce qu'au fond, la plupart des gens savent que cette guerre est une farce, un jeu sur l'échiquier mondial par des élitistes aux aspirations néfastes. Ils savent que les raisons de la guerre ne sont pas pures, de part et d'autre. Ils font signe de vertu en faveur de l'Ukraine, mais ils ne seront jamais disposés à aller risquer leur vie pour le sol ukrainien. Ils ne sont pas non plus disposés à risquer la vie d'un membre de leur famille pour l'Ukraine.
RépondreSupprimerJe soupçonne que les mondialistes le savent maintenant, car le récit s'est éloigné de la tentative de convaincre les Américains qu'une implication militaire ouverte est nécessaire. Ils passeront au côté économique du conflit dans l'espoir que le désastre fiscal embrouillera l'esprit du public et le rendra plus disposé à soutenir une guerre plus large demain.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/stop-denial-ukraine-proxy-war-will-lead-wider-world-war
Les chaînes d'approvisionnement ne reviennent jamais à la "normale"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 13:32
Par Craig Fuller, PDG de FreightWaves
La sagesse conventionnelle à l'heure actuelle est que la majeure partie du monde est sortie de la pandémie (à l'exception de la Chine) ; par conséquent, les chaînes d'approvisionnement reviendront à la "normale". Malheureusement, ce n'est pas le cas. Le monde a changé en permanence et les chaînes d'approvisionnement seront confrontées à des défis permanents pour les décennies à venir. Parmi ces défis figurent :
Les chaînes d'approvisionnement resteront sous la menace constante d'une perturbation au cours de la prochaine décennie
Les chaînes d'approvisionnement fonctionnent mieux lorsque le monde est pacifique et stable
Une chaîne d'approvisionnement qui fonctionne bien nécessite un «stock tampon», ce qui est difficile avec la baisse de la démographie de la population
Il existe un conflit entre les objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et les chaînes d'approvisionnement optimisées en termes de coût et de rapidité. Si nous donnons la priorité à l'ESG, nous devrons faire face aux risques de la chaîne d'approvisionnement
La technologie de la chaîne d'approvisionnement deviendra le grand gagnant de la catégorie du capital-risque alors que les entreprises continuent d'investir dans des technologies qui peuvent les aider à atténuer les défis de leur chaîne d'approvisionnement
Dans un monde confronté à la perspective d'un resserrement des approvisionnements, de coûts énergétiques plus élevés, d'un risque géopolitique accru et de réseaux de transport tendus, les technologies avancées de la chaîne d'approvisionnement deviendront essentielles pour de nombreuses autres entreprises.
Les chaînes d'approvisionnement profitent des temps de paix
Quiconque a fait partie de l'industrie de la chaîne d'approvisionnement peut attester du fait que les chaînes d'approvisionnement ont toujours été sujettes à des perturbations. Les catastrophes naturelles, le terrorisme, les cycles économiques et les pénuries de capacité ont créé des défis depuis le début du commerce.
Depuis la fin de la guerre froide, les chaînes d'approvisionnement mondiales ont bénéficié d'un commerce pacifique entre pays développés et pays en développement. De nombreux pays plus pauvres et moins développés qui étaient auparavant dirigés par des régimes communistes ou autocratiques ont profité des nouveaux marchés du monde développé et ont utilisé le commerce mondial pour passer d'économies de subsistance à des économies prospères. Certains de ces pays se sont développés en pays capitalistes et démocratiques, tandis que d'autres gouvernements ont exploité le système de marché libre pour profiter uniquement à ceux qui étaient déjà au pouvoir, et sont devenus suffisamment riches et puissants pour menacer le système même qui a permis leur ascension.
RépondreSupprimerLes pays d'Europe de l'Est qui faisaient autrefois partie du bloc soviétique sont des exemples de pays qui ont embrassé le capitalisme et se sont tournés vers la démocratie, tandis que la Chine a fait le contraire.
Le travail est essentiel dans les chaînes d'approvisionnement
L'arbitrage entre les pays développés et les pays en développement a été massif. Le coût de production des biens dans les pays où la main-d'œuvre est bon marché, les réglementations environnementales et du travail laxistes et le peu de considération pour les ressources naturelles durables ont permis au monde de jouir d'une prospérité et d'une paix sans précédent.
Parce que les biens produits dans ces parties du monde étaient si bon marché, il était logique qu'ils soient produits en excès. Ce stock de sécurité a permis de maîtriser l'inflation et a fourni aux chaînes d'approvisionnement des approvisionnements suffisants qui pourraient parer aux fluctuations et aux perturbations à court terme. Pensez à la façon dont le coût des téléviseurs et du matériel informatique a chuté au cours des dernières décennies et à la façon dont les prix des automobiles n'ont pas augmenté de manière aussi significative que les nombreuses améliorations apportées aux caractéristiques et à la qualité des produits.
Tout cela s'est produit à une époque où les États-Unis étaient la seule superpuissance et la seule attente que les États-Unis avaient des autres nations était que le commerce ne soit pas entravé.
La main-d'œuvre bon marché se raréfie, notamment en Asie. Cela est largement dû au vieillissement de la population – l'âge moyen continue d'augmenter et il y a moins de personnes pour travailler dans ces emplois manufacturiers.
La pollution dans une partie du monde peut avoir un impact sur d'autres régions.
Les exigences ESG entravent la stabilité des chaînes d'approvisionnement
RépondreSupprimerLes entreprises ont institué des exigences ESG qui exigent la divulgation et la surveillance de la provenance et de la provenance des produits. Cette pression signifie que les biens qui sont produits dans des usines qui ne correspondent pas aux normes occidentales en matière de contrôles environnementaux et de droits de l'homme peuvent ne pas être disponibles pour les consommateurs occidentaux. Les usines qui produisent des biens conformes aux normes occidentales seront souvent plus chères et il y aura donc moins de stock tampon dans le système.
Les mêmes normes ESG créent également des défis pour les producteurs de matières premières, car le coût du respect des informations environnementales et sociales le rend plus coûteux et moins productif. Elle décourage également l'investissement dans la production de matières premières sensibles à l'environnement – le plus évidemment dans l'énergie.
Les préoccupations et les réglementations environnementales qui ont empêché l'exploration et la production et tué les projets de pipelines sont en grande partie la raison pour laquelle le monde manque actuellement de ressources énergétiques suffisantes pour amortir les conséquences de la guerre russo-ukrainienne.
Au cours des trois dernières décennies, les chaînes d'approvisionnement ont fonctionné relativement bien car les entreprises pouvaient s'approvisionner dans le monde entier sans avoir à s'inquiéter des conflits militaires mondiaux ou des régimes autocratiques fermant la fabrication. Alors que les réglementations commerciales internationales étaient compliquées à naviguer, le monde dans son ensemble tendait vers des blocs commerciaux plus grands et plus ouverts - non seulement en Amérique du Nord, mais aussi en Europe et en Asie.
Alors que les États-Unis sont devenus plus insulaires et ont cessé d'être le gendarme du monde, et que la Chine a commencé à montrer ses muscles et à créer un concurrent mondial des États-Unis, le monde est devenu beaucoup plus instable et moins pacifique. Il est peu probable que cette friction mondiale disparaisse. La Chine souhaite s'approprier Taiwan, risquant d'envoyer le monde dans une crise géopolitique plus dangereuse qu'à n'importe quel moment depuis la Seconde Guerre mondiale.
Les stocks tampons de produits sont beaucoup moins probables à l'avenir, car le coût de production de ces articles continue d'augmenter. La main-d'œuvre bon marché, offerte par de larges populations de jeunes, appartient en grande partie au passé. Il sera donc plus coûteux pour les entreprises de produire un stock tampon et il est beaucoup moins probable que les chaînes d'approvisionnement bénéficient de la capacité d'absorber les chocs à court terme inhérents aux réseaux mondiaux complexes.
L'automatisation des entrepôts continue de s'accélérer à mesure que l'appétit des consommateurs pour le commerce électronique augmente, ce qui place les entreprises de robotique sous les projecteurs.
La technologie de la chaîne d'approvisionnement sera le grand gagnant
Les entreprises chercheront plus près de chez elles pour l'approvisionnement en produits. Ils donneront la priorité à la production dans des pays beaucoup plus stables et amis des États-Unis. Le mouvement Freedom Trade incitera les professionnels de la chaîne d'approvisionnement à donner la priorité à la production et à l'approvisionnement dans les Amériques.
L'Amérique latine deviendra un grand gagnant, car elle bénéficie grandement d'avoir des réseaux de transport terrestre direct avec l'Amérique du Nord et des mers bien protégées par la marine américaine.
RépondreSupprimerLe Sud et le Midwest américains verront également une accélération de la fabrication et de la production, car ils peuvent offrir un approvisionnement prévisible et résilient, sans les risques géopolitiques des fournisseurs étrangers ou des syndicats de la Rust Belt.
L'automatisation, y compris la robotique, deviendra plus importante. Les fabricants de proximité essaieront de compenser les coûts de production plus élevés avec la robotique et d'autres systèmes de production automatisés.
Les systèmes d'information sur le marché de la chaîne d'approvisionnement, une catégorie de données qui surveille l'évolution de l'offre et de la demande, seront essentiels pour les professionnels de la chaîne d'approvisionnement qui tentent de naviguer sur des marchés de plus en plus complexes et opaques. Les approvisionnements en matériaux et en produits ne sont plus garantis, de sorte que le besoin de modèles de données constamment actualisés qui suivent l'équilibre entre l'offre et la demande sera essentiel au succès des entreprises.
FreightWaves SONAR fournit des informations sur le marché en temps quasi réel, qui ont connu une croissance explosive ces derniers mois, les expéditeurs ayant réalisé que les chaînes d'approvisionnement ne revenaient pas à la normale et que le besoin de données à haute fréquence était de plus en plus critique pour le succès. Les modèles historiques ne fonctionnent plus - alors que le monde devient beaucoup moins prévisible, pacifique et sûr - et les chaînes d'approvisionnement sont beaucoup plus exposées aux chocs de l'offre et de la demande.
https://www.zerohedge.com/markets/supply-chains-are-never-returning-normal
La congestion de la chaîne d'approvisionnement devrait s'aggraver alors que les tarifs des conteneurs rebondissent sur l'assouplissement des verrouillages en Chine
RépondreSupprimerPhoto de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 20 MAI 2022 - 12:45
Mise à jour (vendredi): La mégapole verrouillée de Shanghai a assoupli les restrictions pandémiques cette semaine et verra la réouverture des réseaux de transports publics dès dimanche. Après deux mois, la ville de 26 millions d'habitants semble avoir contenu la propagation du COVID-19 grâce à la politique chinoise zéro COVID.
Le redémarrage de Pékin pourrait être problématique pour le reste du monde. Nous l'avons annoncé jeudi. Le verrouillage de la ville et la capacité portuaire réduite ont créé un arriéré massif de produits qui doivent être chargés sur des porte-conteneurs et transportés vers l'ouest.
Maersk et Goldman Sachs (dans deux rapports distincts) ont souligné que le redémarrage immédiat de Pékin créerait une nouvelle congestion de la chaîne d'approvisionnement mondiale.
Nous avons dit aux lecteurs de surveiller de près les taux de fret des conteneurs transpacifiques comme indicateur du redémarrage de la Chine.
De nouvelles données de Fearnley Securities indiquent que les tarifs des conteneurs ont finalement rebondi après avoir chuté pendant une grande partie de cette année. Il s'agit d'une première indication que l'activité économique à Shanghai pourrait augmenter à mesure que les restrictions liées à la pandémie s'assouplissent.
Peder Nicolai Jarlsby de Fearnley s'attend à une augmentation des volumes de fret à mesure que les tarifs des conteneurs augmentent. Il a ajouté que ce serait une évolution haussière pour les actions d'A.P. Møller - Maersk A/S, la plus grande compagnie maritime de conteneurs au monde en termes de capacité, et l'expéditeur Hapag-Lloyd.
En se concentrant sur les tarifs de fret des conteneurs de 40 pieds sur la voie maritime Shanghai-Los Angeles, les prix ont atteint des creux plus élevés et semblent remonter après une baisse de 30 % depuis le pic de septembre dernier.
- voir graph sur site -
Goldman a averti plus tôt cette semaine : "Nous pourrions voir une résurgence des goulots d'étranglement des navires si des redémarrages soudains en Chine entraînaient de nouveaux départs en même temps."
Et si tel est le cas, les tarifs des conteneurs pour les principales compagnies maritimes de la région transpacifique pourraient augmenter davantage à mesure que les volumes d'expédition augmenteront. Cela signifierait qu'une nouvelle congestion de la chaîne d'approvisionnement pourrait toucher les côtes américaines à la fin de l'été, un moment parfait avant les élections américaines de mi-mandat.
* * *
A.P. Møller - Maersk A/S, la plus grande compagnie maritime de conteneurs au monde en termes de capacité, et l'analyse de la congestion de la chaîne d'approvisionnement de Goldman Sachs (dans des rapports séparés) indiquent que si la Chine redémarre, une nouvelle congestion de la chaîne d'approvisionnement sera observée dans le monde entier.
RépondreSupprimerMaersk a déclaré à ses clients d'Asie-Pacifique que la politique chinoise zéro COVID visant à verrouiller Shanghai, le plus grand port du monde et le centre financier de la Chine, pendant près de deux mois, "aura un effet partout dans le monde dans les mois à venir".
Pendant sept semaines, un immense parking de navires a été construit à l'extérieur des ports de Shanghai alors que les opérations s'accéléraient en raison du confinement de 26 millions d'habitants.
- voir carte sur site -
Depuis le début du verrouillage fin mars, l'indice de congestion hebdomadaire de Goldman Sachs a chuté alors que la congestion des ports de la côte ouest et est des États-Unis a plongé. En effet, le volume transpacifique de navires de la Chine vers les États-Unis a diminué, la capacité portuaire étant limitée en raison des fermetures.
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Maersk a déclaré à ses clients, "statiquement parlant, le virus est sous contrôle", et cela pourrait bientôt indiquer que la capacité du port chinois pourrait augmenter et que les départs pourraient augmenter vers les États-Unis, ce qui ne fera que compliquer les choses pour les ports de la côte ouest des États-Unis en raison d'un arriéré de les marchandises inonderont les ports américains.
Goldman est également d'accord et prévient : "Nous pourrions voir une résurgence des goulots d'étranglement des navires si des redémarrages soudains en Chine entraînaient de nouveaux départs en même temps."
Un indicateur avancé de l'activité portuaire chinoise et si une résurgence des goulots d'étranglement est à venir pour les États-Unis sont les taux de fret mondiaux des conteneurs.
Les changements hebdomadaires de l'indice mondial des conteneurs montrent que lorsque la Chine est entrée en confinement, les tarifs des conteneurs pour les boîtes de 40 pieds ont chuté.
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Par voie de navigation, s'il y a une augmentation des taux de fret entre la Chine et la côte ouest des États-Unis, il serait prudent de supposer que la Chine redémarre.
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Si la Chine redémarre et que les tarifs des conteneurs commencent à augmenter, le compte à rebours sera d'environ 1 à 2 mois jusqu'à ce qu'un arriéré massif frappe les ports américains, renouvelant la congestion des ports juste avant les élections de mi-mandat.
https://www.zerohedge.com/markets/maersk-goldman-warns-china-restart-will-spark-renewed-supply-chain-congestion
Le plus grand crash économique que l'Amérique connaîtra arrive, avertissent plusieurs experts financiers
RépondreSupprimerJeudi 19 mai 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les principaux analystes et experts financiers américains prédisent que l'économie se dirige vers le plus grand krach de l'histoire.
Plusieurs hommes d'affaires et entrepreneurs de premier plan prédisent qu'un krach économique est à l'horizon et qu'il sera plus important que tout autre effondrement économique que l'Amérique ait jamais connu. À Wall Street, un analyste financier de premier plan a déjà prédit que le marché boursier est sur le point de connaître un «été de douleur».
« Toute la thèse sur laquelle Wall Street a travaillé depuis 2009… qui est une faible inflation et une croissance lente, toute cette thèse est terminée », a commenté Lior Gantz du Wealth Research Group lors d'une interview avec Josh Sigurdson du podcast « World Alternative Media ».
L'homme d'affaires Robert Kiyosaki convient que le krach économique se produira, la seule question est de savoir quand il arrivera.
"Le meilleur moment pour se préparer à un crash est avant le crash. Le plus grand crash de l'histoire du monde approche. La bonne nouvelle est que le meilleur moment pour devenir riche est pendant un crash. La mauvaise nouvelle est que le prochain crash sera long », a-t-il écrit sur son compte Twitter personnel.
Le marché boursier continue de saigner, faisant craindre une récession et un effondrement économique
Le mercredi 18 mai, le marché boursier a connu sa plus forte baisse quotidienne depuis 2020. Les trois principaux indices de référence ont clôturé en forte baisse alors que les actions de consommation ont été battues.
Le Dow Jones Industrial Average a chuté de 3,6 %. Le Nasdaq Composite a chuté de 4,7 %. Le S&P 500 a clôturé en baisse de 4,04 % et ses 11 secteurs ont également connu des baisses de leur valeur.
L'une des entreprises qui a le plus perdu est Target, dont les actions ont chuté de près de 25% après avoir signalé une grosse perte de bénéfices.
Scott Minerd, directeur des investissements de la société d'investissement Guggenheim Partners Global, a déclaré qu'il ne voyait pas le marché boursier se redresser de si tôt et qu'une grande partie du blâme pouvait être imputée à la Réserve fédérale.
La Fed a clairement indiqué qu'elle souhaitait continuer à augmenter les taux d'intérêt, même si cela entraînerait probablement des perturbations importantes sur les marchés boursiers et ailleurs. Le président de la Fed, Jerome Powell, a déclaré que l'objectif principal de la banque centrale était de contrôler l'inflation et de rétablir la stabilité des prix.
Minerd estime que la Fed continuera d'augmenter les taux d'intérêt "jusqu'à ce qu'elle constate une nette rupture de la tendance de l'inflation" et qu'elle est disposée à augmenter les taux au-dessus du taux neutre.
RépondreSupprimerLe taux neutre fait référence à un niveau de taux d'intérêt qui ne stimule ni ne freine l'économie. Si la Fed dépasse ce taux, cela finira par restreindre l'activité économique, ce qui conduira à une récession. (Connexe: les HIKES proposés par Biden conduiront à la RÉCESSION, prévient le planificateur financier Carlos Cortez Jr.)
"Avec le temps qui passe alors que la Fed continue d'augmenter [les taux d'intérêt], nous nous retrouverons à subir les effets d'une politique monétaire de plus en plus restrictive", a averti Minerd. "Bien avant d'atteindre ce taux terminal, la Fed augmentera le risque de dépassement, provoquant un accident financier et déclenchant une récession."
En savoir plus sur l'effondrement économique à venir sur MarketCrash.news.
Regardez cet épisode de "World Alternative Media" alors que l'animateur Josh Sigurdson s'entretient avec l'entrepreneur Lior Gantz au sujet de l'instabilité économique mondiale qui s'aggrave rapidement.
Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
"Le plus grand choc de notre vie": Mike Adams dit que des pénuries alimentaires massives arrivent dans une interview explosive avec "Liberty and Finance".
David Morgan met en garde : le crash du dollar se profile alors que l'effondrement de la crypto-monnaie choque les spéculateurs.
Les nuages de la récession se rassemblent rapidement : le PIB du premier trimestre se contracte de manière choquante au milieu de la chute des exportations et des stocks.
Les fusillades de masse ne sont qu'un signe de l'effondrement systémique de la société occidentale… plus de faim, de violence, de dette et de destruction à venir.
Près des deux tiers des Américains vivent désormais d'un chèque de paie à l'autre dans un contexte de crise de l'inflation.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
MarketWatch.com 1
RealInvestmentAdvice.com
MarketWatch.com 2
https://www.naturalnews.com/2022-05-19-biggest-economic-crash-is-coming-america.html
Stanford dit que le dépeçage et le prélèvement de sang et d'organes sur des enfants peuvent aider les adultes à atteindre "l'immortalité"
RépondreSupprimerJeudi 19 mai 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Les enfants qui réussissent à sortir de l'utérus peuvent encore être abattus après la naissance au profit des riches et de l'élite, qui tenteraient apparemment d'atteindre l'immortalité en consommant le sang et les parties du corps des jeunes.
Les chercheurs de l'Université de Stanford disent que la prolongation de la vie pourrait être aussi simple que de prélever les organes vitaux des enfants et de les implanter chez les personnes âgées qui veulent vivre éternellement plutôt que de mourir dans le cadre du cycle de vie normal.
Selon les chercheurs de Stanford, les cultures à travers le temps ont «vénéré les jeunes» pour leur capacité à être exploitées au nom des personnes âgées. Avec la technologie d'aujourd'hui, cela peut signifier récolter l'essence de la vie des jeunes et la transférer aux personnes âgées. (Connexe : consultez notre rapport précédent sur le complot « adrénochrome ».)
Ils l'ont testé récemment en "infusant du liquide céphalo-rachidien de jeunes souris à de vieilles souris", ce qui à son tour "améliore la fonction cérébrale" de ces dernières. Maintenant, ils veulent faire la même chose avec les bébés et les enfants humains.
"L'équipe de Stanford a infusé du liquide de souris âgées de 10 semaines dans le cerveau de souris âgées de 18 mois pendant sept jours, et a constaté que les souris plus âgées se souvenaient mieux d'associer un petit choc électrique à un bruit et à une lumière clignotante", a rapporté le Telegraph (Royaume-Uni).
"Un examen plus approfondi a montré que le liquide avait" réveillé "des processus qui régénèrent les neurones et la myéline - la matière grasse qui protège les cellules nerveuses dans l'hippocampe, le centre de la mémoire du cerveau."
Vont-ils bientôt sortir des médicaments « anti-âge » fabriqués à partir d'enfants ?
Une étude publiée décrivant cette recherche explique que l'avenir de la médecine "anti-âge" impliquera l'utilisation d'enfants et de bébés, dont les parties du corps et le sang peuvent aider les adultes à vivre plus longtemps.
Des expériences qui ont déjà été menées auraient montré que "le sang jeune lui-même peut inverser le processus de vieillissement, peut-être même guérir la maladie d'Alzheimer".
Le Telegraph appelle ce processus «les greffes de jeunes», affirmant qu'il «peut vraiment ralentir le processus de vieillissement».
RépondreSupprimer"La fontaine de jouvence, semble-t-il, est la jeunesse elle-même", a tweeté le journal.
« Historiquement, les cultures ont vénéré le sang des jeunes », a encore tweeté Telegraph Life.
"La rumeur disait même que Kim Jong-il, l'ancien dictateur nord-coréen, s'injectait du sang de jeunes vierges en bonne santé pour ralentir le processus de vieillissement."
Il semblerait que «l'élite» d'aujourd'hui, y compris en Occident, fasse à peu près la même chose. La rumeur disait que cela se passait dans les coulisses, et maintenant ils sortent et l'admettent, bien que par la "science".
"La récolte du sang et des parties du corps des jeunes dans l'espoir d'atteindre l'immortalité est depuis longtemps un trope familier dans les romans d'horreur et les théories du complot", a ajouté le Telegraph.
"Il ne faudra peut-être que quelques années avant que les" greffes de jeunes "passent enfin des pages des romans d'horreur gothiques à la clinique."
Dans la section des commentaires de Newspunch, un commentateur a souligné que tout cela s'était déjà produit auparavant et qu'il était prophétisé qu'il se reproduirait, ce qui est le cas maintenant :
"Comme au jour de Noé... juste un autre hommage à leur 'dieu' Moloch."
Un autre a suggéré que c'est la raison pour laquelle « l'élite » veut garder l'avortement légalisé intact : pour maintenir un approvisionnement régulier de « pièces » de jeunesse à transformer en breuvages de sorcières pour la longévité.
"Donc, en d'autres termes, ils doivent tuer nos jeunes ou pratiquer des avortements pour obtenir leur approvisionnement nécessaire afin qu'ils puissent vivre plus longtemps et faire plus de mal", a écrit cette personne.
« Ils tentent d'inventer leur propre version de l'éternité. Je prévois de vivre pour l'éternité et la différence est que je n'ai pas besoin de prendre la vie d'un jeune enfant ou d'un nouveau-né pour le faire.
Pour suivre les dernières nouvelles sur la science folle, assurez-vous de consulter Evil.news.
RépondreSupprimerLes sources comprennent :
Newspunch.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-19-stanford-butchering-harvesting-blood-organs-children-immortality.html