Plus de carburant pour le débat sur l'alimentation humaine et animale
22 Mai 2022 Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO)*
[Cet article de 2017 n'avait pas été traduit en français par la FAO.] (Source)
Une nouvelle étude de la FAO indique que le bétail consomme principalement des aliments impropres à la consommation humaine et que la production de viande nécessite moins de céréales qu'on ne le dit généralement.
En 2050, le monde comptera 9,6 milliards d'habitants, dont 70 % vivront dans des villes avec un revenu moyen presque deux fois plus élevé qu'aujourd'hui. Par conséquent, la demande mondiale de produits animaux continuera de croître et jouera un rôle essentiel dans la sécurité alimentaire et la nutrition au niveau mondial. Mais le bétail utilise une grande partie des terres agricoles et est souvent considéré comme une fuite de ressources. La faible efficacité du bétail à transformer les aliments pour animaux en protéines comestibles pour l'Homme et la concurrence pour l'utilisation des céréales comme aliments pour le bétail ou pour l'alimentation humaine directe sont particulièrement critiquées.
Une nouvelle étude de la FAO, publiée dans Global Food Security, révèle que le bétail se nourrit principalement de fourrages, de résidus de culture et de sous-produits qui ne sont pas comestibles pour l'Homme, et que certains systèmes de production contribuent directement à la sécurité alimentaire mondiale, car ils produisent plus de nutriments de grande valeur pour l'Homme, comme les protéines, qu'ils n'en consomment.
« Je me suis rendue compte que les gens sont continuellement exposés à des informations erronées sur le bétail et l'environnement qui sont répétées sans être remises en question, en particulier sur l'alimentation du bétail », explique Anne Mottet**, responsable du développement de l'élevage à la FAO. « Il n'existe actuellement aucune base de données internationale officielle et complète sur l'alimentation du bétail. Cette étude contribue à combler cette lacune et à fournir des preuves révisées par des pairs pour mieux informer les décideurs politiques et le public. »
Les aliments d'origine animale apportent une contribution essentielle à la nutrition mondiale et constituent une excellente source de macro- et micronutriments. Les produits de l'élevage représentent 18 % des calories mondiales, 34 % de la consommation mondiale de protéines et fournissent des micronutriments essentiels, tels que la vitamine B12, le fer et le calcium. Le bétail utilise de grandes surfaces de pâturages où rien d'autre ne pourrait être produit. Les animaux contribuent également à la production agricole en produisant du fumier et en résistant à la sécheresse. En outre, l'élevage du bétail constitue une source de revenus sûre pour plus de 500 millions de personnes pauvres, dans beaucoup de zones rurales.
Cette étude trouve que 86 % des aliments du bétail ne sont pas adaptés à la consommation humaine. S'ils ne sont pas consommés par le bétail, les résidus de culture et les sous-produits pourraient rapidement devenir un fardeau pour l'environnement à mesure que la population humaine augmente et consomme de plus en plus d'aliments transformés. Les animaux consomment également des aliments qui pourraient potentiellement être consommés par l'Homme. Les céréales représentent 13 % de la consommation mondiale de matière sèche du bétail. Certaines études antérieures, souvent citées, situent la consommation de céréales nécessaire pour produire 1 kg de viande bovine entre 6 et 20 kg. Contrairement à ces estimations élevées, cette étude montre qu'il ne faut en moyenne que 3 kg de céréales pour produire 1 kg de viande au niveau mondial. Elle montre également des différences importantes entre les systèmes de production et les espèces. Par exemple, parce qu'ils dépendent du pâturage et des fourrages, les bovins n'ont besoin que de 0,6 kg de protéines provenant d'aliments comestibles pourl'Homme pour produire 1 kg de protéines dans le lait et la viande, qui sont de meilleure qualité nutritionnelle. Les bovins contribuent donc directement à la sécurité alimentaire mondiale.
L'étude porte également sur le type de terres utilisées pour produire des aliments pour le bétail. Les résultats montrent que sur les 2,5 milliards d'hectares nécessaires, 77 % sont des prairies, avec une part importante de pâturages qui ne pourraient pas être convertis en terres cultivées et qui ne peuvent donc être utilisés que pour faire paître des animaux. La production animale croît rapidement parce que la demande de produits animaux augmente, notamment dans les pays en développement. La FAO estime que nous aurons besoin de 70 % de produits animaux en plus d'ici 2050 pour nourrir le monde. Par conséquent, la superficie des terres nécessaires à l'élevage des animaux augmentera également si les taux de conversion des aliments pour animaux (TCA) ne sont pas améliorés davantage.
Au cours des 30 dernières années, des mesures ont déjà été prises pour améliorer les TCA grâce à la formulation des aliments, à la sélection génétique et à l'amélioration des services vétérinaires. Une conversion alimentaire améliorée (plus efficace) réduira également l'empreinte environnementale du bétail, mais des progrès continus sont nécessaires pour rendre le système plus durable. En outre, il est essentiel d'améliorer le recyclage des déchets et sous-produits alimentaires dans l'alimentation du bétail, ainsi que d'augmenter les rendements des cultures fourragères.
« La production animale, sous ses nombreuses formes, joue un rôle essentiel dans le système alimentaire, en utilisant des terres marginales, en transformant des coproduits en produits comestibles, en contribuant à la productivité des cultures et en transformant des cultures comestibles en aliments hautement nutritifs et riches en protéines. Quantifier les ressources en terres et en biomasse engagées dans la production animale et la production alimentaire qu'elles génèrent, mais aussi améliorer notre capacité de modélisation en incluant les tendances dans les préférences des consommateurs, les changements dans les espèces animales, les impacts du changement climatique et les processus industriels visant à améliorer la comestibilité humaine de certaines matières premières pour l'alimentation animale sont sans doute des informations de base nécessaires dans le cadre de recherches plus poussées sur le défi de nourrir durablement 9,6 milliards de personnes d'ici 2050 », ont conclu les auteurs. __________
* Source : More Fuel for the Food/Feed Debate (fao.org)
** Pour un portrait : Anne Mottet, la compagne de Thomas Pesquet qui travaille à "sauver le monde" (lefigaro.fr)
Tous les êtres vivants jouent le rôle de recyclage de leurs consommations. Les arbres, les plantes puisent très profond dans le sol les éléments spécifiques qui conviennent à leur développement, ceux-ci sont remontés par la sève, puis les animaux et les humains arrivent, ils consomment des plantes vertes et les fruits qu'ils rendent 100 % à la terre en déféquant. Rien ne se perd tout se transforme. Il peut y avoir à manger sur Terre pour 150 milliards d'habitants qui rendront à la terre la totalité de leurs consommations. Depuis des millions d'années il ne manque pas une seule goutte d'eau. Elle s'infiltre aux planchers maritimes & océanique vers le magma qui la chauffe, la brûle et repart en galeries souterraines sous forme de vapeurs. Cette eau bouillie ressort donc toute propre aux sources de montagnes et nappes phréatiques. Et le cycle perpétuel recommence. Il n'y a pas de changement climatique impliquant l'être humain ou animal, il y a des saisons, des températures matinales, des températures à mi-journées comme il y a des chaleurs en été et des froideurs en hiver. C'est le cycle naturel poursuivi par notre planète avec ses produits (bois, charbon, gaz, pétrole, etc) abiotiques qui se recyclent, se recomposent indéfiniment.
C'est pourquoi il ne manque rien sur Terre, tout ce qui est sorti et reposé. Notre culture intellectuelle est capable de prouesses exceptionnelles comme d'irriguer les déserts, de construire des serres gigognes en pays froids (seul l'espace entre serre en 'poupées russes' est chauffé) et d'y faire pousser dedans tous les fruits et légumes d'ailleurs, d'y élever des animaux et même d'y vivre dedans.
La seule chose qui se perd et disparaît à jamais est la chaleur. Cette chaleur venue du magma et qui monte vers le ciel où elle perd 1°C par cent mètres.
Le cotonnier Bt donne aux agriculteurs kenyans une raison de retrouver le sourire
22 Mai 2022 Patricia Nanteza*
« Waouh, waouh. » Je ne pouvais pas m'empêcher de dire « waouh » lorsque nous avons eu un premier aperçu d'un champ couvert de ce qui semblait être des fleurs blanches. Il semblait énorme, mais en réalité, il ne s'agissait que d'un hectare de cotonnier Bt génétiquement modifié. C'était quand même énorme, étant donné que l'agriculteur moyen en Afrique ne possède et ne cultive qu'un acre de terre (40 ares). Mais le plus impressionnant, ce sont les fleurs blanches, qui s'avèrent être des capsules de coton prêtes à être cueillies.
Nous sommes chez M. Johnson Mwai à Mbabaine, dans le comté de Kirinyaga, au centre du Kenya. Un rapide « bonjour » à son épouse, qui emballe du maïs dans des sacs, et notre visite commence. La ferme de 4 hectares de M. Mwai est bien entretenue. Des bruvellias bordent le périmètre et un terrain récemment labouré attend la pluie pour être semé en maïs. À une autre extrémité se trouvent des manguiers, mais la plus grande partie est consacrée au cotonnier – plus précisément au cotonnier Bt.
« Je cultive le cotonnier depuis 1963 et je ne peux pas m'arrêter », dit M. Mwai, 72 ans, avec un léger sourire. Mais j'ai quand même besoin de comprendre pourquoi il est passé du cotonnier conventionnel au cotonnier Bt. Il me dit que c'est grâce à M. Daniel Magondu, un stagiaire de l'Alliance pour la Science, leader paysan et notre guide pour la journée.
« Il nous a parlé des avantages de ce nouveau cotonnier », dit M. Mwai. « Il nous a dit que le cotonnier Bt ne sera pas attaqué par le ver de la capsule, ce qui nous donnera un rendement plus élevé et plus d'économies sur les pesticides puisque je traiterai moins. J'ai décidé de l'essayer. »
La variété de cotonnier Bt que M. Mzee Mwai et d'autres agriculteurs du Kenya cultivent a été mise en circulation par le gouvernement en 2020 dans le but de relancer l'industrie du coton. Cette variété a été génétiquement améliorée pour résister à l'infestation par le ver de la capsule africain, le ravageur du cotonnier le plus destructeur au Kenya. L'infestation par les ravageurs représente 45 % des pertes dans les exploitations.
Auparavant, nous avions visité la ferme de M. Bernard Wachira dans le village de Makuti, sous-comté de Kirinyaga. M. Wachira cultive du cotonnier Bt sur un acre [40 ares], consacrant le reste de ses terres aux mangues, au bruvellia et aux vaches. M. Wachira et M. Mwai sont représentatifs des autres producteurs de coton du comté. Ils pratiquent tous la polyculture et subdivisent leurs terres en petites parcelles pour y faire pousser diverses cultures. Cela garantit un flux continu de revenus et sert également d'assurance en cas d'échec d'une culture.
Miraa, le nom local du khat (Catha edulis), est une culture de grande valeur qui fournit un revenu pour les besoins courants tels que les soins de santé, la nourriture et l'éducation. Le maïs est un aliment de base et le cotonnier une culture de rente qui est récoltée quatre fois par an. Les bruvellias, avec leurs larges branches, offrent une ombre bienvenue contre la chaleur. Ils sont également utiles pour le bois de chauffage et la construction d'abris temporaires pour le bétail.
Le cadre typique de la ferme de Kirinyaga contredit l'idée selon laquelle l'agriculture génétiquement modifiée implique toujours des monocultures sur de grandes superficies et ne peut donc pas se développer sans éradiquer le système agricole mixte typique de l'Afrique, composé de petits exploitants.
Les grands avantages du Bt
Pour soutenir les agriculteurs comme M. Mwai et M. Wachira, le gouvernement distribue gratuitement des semences de cotonnier Bt par l'intermédiaire d'une société appelée Mahyco. Toutefois, selon M. Magondu, producteur de coton de longue date et défenseur de la biotechnologie, au Kenya, « les semences de cotonnier ont toujours été gratuites. Ce n'est pas particulier à la graine de cotonnier Bt ». Environ 1,5 kilogramme de semences est généralement nécessaire pour planter un acre [40 ares].
La grande différence se voit à la récolte. Les agriculteurs qui cultivent du cotonnier conventionnel récolteront 1.200 à 1.700 kg par hectare, tandis que ceux qui cultivent du cotonnier Bt récolteront 3.700 à 5.000 kg sur la même hectare. Le kilogramme de coton étant vendu 50 ksh, un cultivateur de coton Bt gagnera 185.000 ksh (1.600 USD), soit le triple du montant gagné par son homologue conventionnel.
Il convient de noter que le coton donne lieu à deux récoltes par saison, la seconde donnant un rendement plus élevé, de sorte qu'un agriculteur peut gagner en moyenne 3.240 dollars US par saison pour un hectare de coton Bt.
Comme tous les travailleurs, M. Wachira et M. Mwai sourient joyeusement lorsqu'ils parlent du jour de paie. « Ce n'est pas comme autrefois, lorsque nous vendions notre coton et attendions d'être payés des mois plus tard », nous dit M. Wachira. « Aujourd'hui, nous avons des jours de marché collectifs. Tous les agriculteurs de mon quartier apportent leur récolte à un endroit situé à l'extérieur de ma ferme et nous appelons les acheteurs. Ils viennent, pèsent et paient instantanément via Mpesa – un service de transfert d'argent par téléphone portable. » Le jour de notre visite, M. Mwai avait un magasin rempli de coton récolté et la ferme était florissante, l'incitant à en récolter davantage.
Bien qu'un producteur de coton Bt gagne 1.080 dollars de plus par hectare, ce n'est pas le seul avantage. Selon M. Mwai et M. Wachira, la germination des graines Bt est de près de 98 % si l'on ne met que deux graines par trou. Cependant, cinq à six graines de coton conventionnel sont généralement plantées par trou pour augmenter le taux de germination, qui n'est généralement que de 50 %. Un agriculteur conventionnel aura donc besoin de plus de graines au moment de la plantation.
Le Bt est également précoce, il fleurit à trois mois et est prêt à être récolté à cinq mois environ. En outre, le cotonnier Bt est tolérant à la sécheresse. MM. Magondu, Wachira et Mwai sont convenus que bien que le cotonnier soit généralement une culture tolérante à la sécheresse, la variété Bt peut survivre avec moins de précipitations que son homologue conventionnelle.
Le Bt ayant été conçu pour résister au ver de la capsule africain, il offre une résistance supérieure aux parasites. Néanmoins, les agriculteurs devront effectuer deux ou trois traitements contre les autres parasites au cours d'une saison, contre neuf à douze – ou chaque semaine pendant trois mois – pour les variétés conventionnelles. Par conséquent, les producteurs de coton Bt économisent de l'argent à la fois sur l'achat de pesticides et sur les coûts de main-d'œuvre pour les appliquer, la réduction des traitements étant bénéfique pour la santé des agriculteurs et de l'environnement.
La culture de l'homme âgé
M. Magondu nous a informés que le coton est désormais considéré comme une culture de vieux. Lorsque les égreneurs ont fait faillite en raison de la faible production, la plupart des agriculteurs se sont naturellement tournés vers de nouvelles cultures. Aujourd'hui, Kirinyaga est plus connu pour le riz que pour le coton. Les quelques personnes qui ont persisté dans la culture du cotonnier sont devenues des hommes âgés, M. Wachira étant le plus jeune à 54 ans. Tout ce qui peut réduire l'intensité du travail, comme la réduction des traitements, est le bienvenu. M. Mwai peut traiter un peu, mais doit généralement embaucher de la main-d'œuvre depuis que tous ses enfants ont quitté la ferme et gèrent leurs propres familles.
Les boursiers de l'Alliance for Science Global Leadership Patrick Muruiki et Kennedy Oguyi, ainsi que M. Magondu, formeront bientôt les agriculteurs au cotonnier Bt dans le but d'attirer les plus jeunes.
En quittant Kiriyanga, nous avons vu d'énormes étendues de terres en friche qui témoignent de la passion de M. Magondu pour encourager davantage d'agriculteurs à adopter le cotonnier Bt. « Comme le riz ne peut pas bien pousser dans les terres arides, le cotonnier est le meilleur atout de ces agriculteurs puisqu'il est tolérant à la sécheresse. J'ai maintenant quelques agriculteurs et je vais continuer à encourager les autres à adopter le cotonnier Bt », a déclaré M. Magondu.
Alors que nous laissons les villages derrière nous et approchons de la ville de Mwea, les égreneuses désaffectées sont un spectacle à la fois pitoyable et plein d'espoir. Espoir, car le gouvernement kenyan a soutenu la commercialisation du cotonnier Bt dans le but de relancer l'industrie du coton. Ainsi, même s'il faudra du temps pour rénover les usines d'égrenage et faire rugir les machines, la production va à nouveau s'accélérer, pour fabriquer des tissus à partir du coton produit dans le pays. ______________
* Source : Bt cotton gives Kenyan farmers a reason to smile again - Alliance for Science (cornell.edu)
Pénuries alimentaires dans six mois : les mondialistes nous disent ce qui se passera ensuite – Brandon Smith
par Aphadolie 22/05/2022
Au milieu de l’année 2007, la Banque des règlements internationaux (la banque centrale des banques centrales / The Bank for International Settlements : Banque des règlements internationaux [BIS/BRI]) a publié une déclaration prédisant l’imminence d’une « Grande Dépression » causée par une implosion du marché du crédit. La même année, le Fonds Monétaire International (FMI) a également publié des avertissements sur les « problèmes des subprimes » qui conduiraient à un conflit économique plus large. J’ai commencé à rédiger des analyses économiques alternatives un an plus tôt, en 2006, et j’ai immédiatement trouvé étrange que ces institutions globalistes massives exerçant une influence considérable sur le monde financier, commencent soudainement à ressembler à ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté.
C’était il y a 16 ans, donc beaucoup de personnes lisant ces lignes ne s’en souviennent peut-être pas, mais en 2007, les médias alternatifs avaient déjà mis en garde depuis un certain temps contre l’imminence d’un crash déflationniste sur les marchés et le prix des logements américains. Et, sans surprise, les grands médias étaient toujours là pour nier toutes nos inquiétudes en les qualifiant de « catastrophisme » et de « théorie du complot ». Moins d’un an plus tard, les premières sociétés inondées de produits dérivés ont commencé à annoncer qu’elles étaient au bord de la faillite et que tout s’effondrait.
La réponse des médias ?
Ils ont fait deux déclarations très bizarres simultanément : « Personne n’aurait pu le voir venir » et « Nous l’avons vu venir à un kilomètre à la ronde ». Les journalistes grand public se sont empressés de se positionner comme les devins de l’époque, comme s’ils avaient toujours dit que le crash était imminent, alors que seule une poignée de personnes l’avaient annoncé et qu’aucune d’entre elles ne faisait partie des médias. On a également ignoré le fait que la BRI et le FMI avaient publié leurs propres « prédictions » bien avant le crash ; les médias ont fait comme si elles n’existaient pas.
Dans les médias alternatifs, nous surveillons très attentivement les déclarations et les aveux des globalistes, car leur métier n’est pas d’analyser les menaces, mais de les synthétiser. En d’autres termes, si quelque chose va très mal dans le monde sur le plan économique, les banquiers centraux et les élites financières qui aspirent à une autorité économique unique et centralisée pour le monde ont toujours une main sur l’origine de ce désastre.
Pour une raison quelconque, ils aiment nous dire ce qu’ils sont sur le point de faire avant de le faire.
L’idée que les globalistes créent artificiellement des événements d’effondrement économique sera bien sûr critiquée comme « théorie du complot », mais c’est un fait. Pour plus d’informations sur la réalité du sabotage financier délibéré et de l’idéologie de « l’ordre issu du chaos » des globalistes, veuillez lire mes articles « La Fed n’est qu’à une réunion de créer un puits apocalyptique sur les marchés » et « Qu’est-ce que le « Grand Reset » et que veulent réellement les globalistes ? » .
L’agenda du Grand Reset proposé par le chef du WEF (The World Economic Forum), Klaus Schwab, n’est qu’un exemple des nombreuses discussions cachées au grand jour par les globalistes concernant leurs plans pour utiliser le déclin économique et social comme une « opportunité » pour établir rapidement un nouveau système global unique basé sur le socialisme et la technocratie.
Le principal problème pour discerner les plans des globalistes n’est pas de découvrir des agendas secrets – ils ont tendance à discuter ouvertement de leurs agendas si vous savez où regarder. Non, le problème est de séparer les aveux de la désinformation, les mensonges de la vérité. Pour cela, il faut faire correspondre les livres blancs et les déclarations des globalistes aux faits et aux preuves disponibles dans le monde réel. Examinons en détail le problème de la pénurie alimentaire…
Pénuries alimentaires dans six mois
Il y a une semaine, il y a eu un torrent de communiqués de presse d’institutions globales mentionnant toutes la même préoccupation : Des pénuries alimentaires dans les 3 à 6 prochains mois. Ces déclarations correspondent de très près à mes propres estimations, car j’ai régulièrement mis en garde contre les dangers imminents de l’inflation qui conduirait au rationnement de la nourriture et aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement.
Le FMI, la BRI, la Banque globale, l’ONU, la Fondation Rockefeller, le Forum économique global, Bank of America et même Biden lui-même prédisent tous une crise alimentaire majeure à court terme, et ce n’est pas une coïncidence si les politiques de ces mêmes institutions et les actions des politiciens fantoches qui travaillent avec elles provoquent la crise qu’ils prédisent maintenant. En d’autres termes, il est facile de prédire un désastre quand on l’a créé.
On prétend que l’invasion de l’Ukraine par la Russie est la cause première, mais c’est une distraction par rapport au véritable problème. Oui, les sanctions contre la Russie finiront par entraîner une diminution de l’approvisionnement alimentaire, mais les globalistes et les médias ignorent délibérément la plus grande menace, qui est la dévaluation des devises et l’inflation des prix créée par les banques centrales qui pompent des dizaines de milliers de milliards de dollars en plans de relance pour soutenir les entreprises partenaires « trop grosses pour faire faillite ».
Rien qu’en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a injectés dans l’économie par le biais de programmes sociaux Covid. Ajoutez cela aux nombreux milliers de milliards de dollars que la Fed a imprimés depuis le crash du crédit en 2008 – C’est une fête de destruction du dollar qui n’a jamais cessé et maintenant le public commence à en ressentir les conséquences. Heureusement pour les banquiers centraux que la pandémie a frappé et que la Russie a envahi l’Ukraine, car ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité de la calamité inflationniste qu’ils ont créée sur la pandémie et sur Poutine.
L’inflation a atteint son plus haut niveau depuis 40 ans aux États-Unis bien avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine, mais considérons les ramifications de cette guerre et la façon dont elle affecte l’approvisionnement alimentaire.
L’invasion russe perturbe certainement la production céréalière ukrainienne, qui représente environ 11 % du marché global total du blé. La Russie détient également une part de 17 % et, ensemble, ces deux nations alimentent une grande partie des pays du tiers monde et de l’Europe avec 30 % des exportations de blé et d’orge, 19 % des exportations de maïs, 23 % des exportations d’huile de Colza et 78 % des exportations d’huile de tournesol.
Les sanctions contre la Russie constituent toutefois un problème qui va bien au-delà de l’Ukraine, car la Russie produit également environ 20 % de l’approvisionnement global en ammoniac et 20 % de l’approvisionnement global en potasse. Il s’agit d’ingrédients clés des engrais utilisés dans l’agriculture industrielle à grande échelle. Les agriculteurs estiment que la flambée générale des prix sur les marchés alimentaires sera d’environ 10 %, mais je pense que ces chiffres sont très prudents. Je constate déjà des hausses de prix globales d’au moins 20 % par rapport à il y a six mois, et je m’attends à ce qu’il y ait encore 30 % de hausses de prix avant la fin de l’année. En d’autres termes, nous nous attendons à des augmentations moyennes de 50 % en 2022.
Les données officielles du gouvernement sur l’inflation et l’IPC ne sont pas fiables. Doublez les chiffres qu’ils donnent et vous serez beaucoup plus proche de la vérité. Le taux d’inflation utilisé par Shadowstats.com, calculé à l’aide de méthodes autrefois appliquées par le gouvernement américain dans les années 1980 avant qu’il ne « corrige » ses modèles pour masquer les données, soutient ma position jusqu’à présent.
Les experts agricoles américains s’attendent à ce que la Chine comble le vide où disparaissent les approvisionnements russes, mais c’est une erreur de faire cette supposition.
Il se passe quelque chose de bizarre en Chine
La répression chinoise contre les infections Covid a atteint des niveaux si bizarres que je dois poser la question : Les mesures de confinement concernent-elles vraiment la Covid-19, ou cachent-elles autre chose ?
Le taux de mortalité lié à la Covid-19 en Chine est impossible à calculer avec précision car ils n’ont jamais publié de données correctes pouvant être confirmées. Cependant, presque partout ailleurs dans le monde, le taux médian de létalité de l’infection Covid est de 0,27 %, ce qui signifie que plus de 99,7 % des personnes dans le monde n’ont pas à craindre de mourir du virus. Mais en Chine, le PCC (Parti communiste chinois) agit comme s’il avait affaire à la peste noire. Pourquoi ?
Les fermetures ont entraîné des pénuries alimentaires dans tout le pays, les chaînes d’approvisionnement étant mises à rude épreuve et les usines restant fermées dans de nombreux cas. Mais ce dont beaucoup d’Occidentaux n’entendent pas parler, c’est du fait que les exportations chinoises ont été essentiellement gelées. Plus d’un porte-conteneurs sur cinq dans le monde est actuellement bloqué dans les ports chinois en raison de la fermeture des ports. C’est incroyable.
Pourquoi la Chine ferait-elle cela pour un virus dont nous savons tous qu’il n’est pas dangereux pour la grande majorité des gens ?
Pourquoi instituer le pire confinement du pays à ce jour et affamer sa propre population alors que la majorité des gouvernements occidentaux ont désormais abandonné leur campagne de peur de la pandémie et leur programme de vaccination forcée ?
Je pense qu’il est possible que la Chine soit déjà engagée dans une guerre économique dont beaucoup d’Américains et d’Européens ne se rendent même pas compte. Il peut s’agir d’un test bêta pour un arrêt des exportations vers les États-Unis et l’Europe, ou d’un arrêt progressif destiné à devenir permanent. Le goulot d’étranglement du commerce peut également être le précurseur d’une invasion chinoise de Taïwan.
Taïwan est en fait plus dépendante et plus imbriquée dans l’économie chinoise que beaucoup de gens ne le savent. La Chine est le plus gros acheteur des exportations taïwanaises et ces exportations représentent 10 % du PIB de Taïwan. Des centaines de milliers de travailleurs et d’hommes d’affaires taïwanais se rendent régulièrement en Chine pour travailler, un autre facteur économique qui est aujourd’hui mis à mal par les confinements. En outre, Taïwan compte de nombreuses sociétés qui exploitent leurs usines en Chine continentale, qui pourraient toutes être fermées en raison des confinements.
Tout ce que je dis, c’est que si j’étais la Chine et que je prévoyais d’envahir Taïwan dans un avenir proche, je pourrais envisager d’utiliser la Covid-19 comme couverture pour endommager d’abord leur économie et perturber leur modèle d’exportation. Les communistes considèrent la population comme une utilité qui peut être sacrifiée si nécessaire, et la Chine est parfaitement prête à causer des souffrances à court terme à son peuple si cela signifie des gains à long terme pour le parti. En outre, si je devais m’engager secrètement dans une guerre économique avec l’Occident, quel meilleur moyen que de bloquer 20 % des cargos du monde et de perturber les chaînes d’approvisionnement au nom de la protection du pays contre une « pandémie » ?
L’essentiel ?
Ne comptez pas sur la Chine pour répondre aux besoins d’exportation d’ingrédients d’engrais ou de quoi que ce soit d’autre, car les sanctions contre la Russie se poursuivent.
Inflation, offre et contrôle
Les organisations globalistes ne sont pas les seules à parler de pénuries alimentaires à venir ; le PDG de la société alimentaire internationale Goya a aussi récemment averti que nous étions au bord du précipice d’une crise alimentaire. Comme je l’ai noté dans le passé :
L’inflation conduit au contrôle des prix par les gouvernements.
Le contrôle des prix conduit à un manque d’incitations à la production (profits).
Le manque de profits conduit à une perte de production.
La perte de production conduit à des pénuries.
Les pénuries conduisent au rationnement gouvernemental (contrôle de toutes les grandes sources de nourriture).
Comme nous l’avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l’histoire moderne, le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n’est surpassé, en tant que préoccupation stratégique, que par le contrôle de l’énergie (dont nous connaîtrons bientôt des pénuries, car l’Europe sanctionne le pétrole et le gaz russes et commence à absorber les approvisionnements des autres exportateurs). La question de l’alimentation est la plus proche de nous, car nous pouvons en voir immédiatement les effets sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n’y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim.
Les médias grand public ignorent une fois de plus toute menace économique potentielle, et plus précisément, ils nient la notion de pénurie alimentaire comme étant quelque chose dont il faut s’inquiéter. Je dis, pourquoi écouter un groupe de personnes qui ont toujours tort sur ce type d’événements ? Je prendrais au moins au sérieux les propos des globalistes lorsqu’il s’agit d’effondrement économique ; après tout, ce sont eux qui profitent le plus de telles catastrophes et qui ont le plus d’influence lorsqu’il s’agit de déclencher une crise.
La préparation aujourd’hui ne coûte rien demain. Le manque de préparation aujourd’hui coûte tout demain. Pour toute personne dotée d’un cerveau, le choix est simple : se préparer à la fin de la nourriture abordable et facilement disponible avant la fin de l’année.
Journaliste et activiste américain indépendant. Brandon Smith est le fondateur de l’Alternative Market Project (https://alt-market.us/). Il s’est spécialisé dans l’analyse macroéconomique ainsi que dans les études sur la désinformation des médias grand public.
Les chinois ont géré la malnutrition chez eux et ont retiré du monde plus de 1 milliard de personnes de la faim ! Çà, c'est pas en Afrique qu'on verrait çà tant les chefs d’États sont voleurs et assassins. Mais parfois, cette bonne idée africaine 'Made in Biafra' est applicable de partout ! Regardez en Europe les putains de dirigeants de merde incapables de nourrir les 300 millions d'habitants !
Une plante, un arbre comme un animal n'a pas besoin d'argent pour vivre, il lui faut seulement de l'intelligence pour son développement et sa multiplication. Un plant de tomate pousse gratuitement ! il lui suffit d'avoir à boire (de l'eau) et à manger (des engrais spécifiques à chaque plante au % de NPK ajusté à chacune d'elles).
Une pénurie de bouteilles de bière "extrêmement tendue" émerge avant l'Oktoberfest en Allemagne
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 22 MAI 2022 - 13:35
Le plus grand festival de la bière au monde, "Oktoberfest", situé à Munich, en Allemagne, est dans quatre mois, et la crise énergétique du pays a déclenché une pénurie de bouteilles de bière.
L'Allemagne est le plus grand centre de fabrication d'Europe et fait face à des coûts énergétiques exorbitants, à une inflation rapide et à une rupture des chaînes d'approvisionnement, ce qui met la pression sur les fabricants de verre à forte consommation d'énergie. Ce contexte économique à lui seul pourrait déclencher une stagflation.
Holger Eichele, de la Fédération allemande des brasseurs, a déclaré au journal allemand Bild que la pénurie de bouteilles de bière aurait le plus d'impact sur les petites et moyennes brasseries. Il a décrit la situation comme "extrêmement tendue" alors que la hausse des coûts de production et les problèmes de logistique affligent les brasseries.
"Si vous n'avez pas de contrats à long terme, vous devez actuellement payer 80% de plus pour de nouvelles bouteilles en verre qu'il y a un an. Certaines brasseries sont menacées de tourner au ralenti, elles pourraient bientôt se retrouver sans bouteilles", a averti Eichele.
Bild a découvert que la pénurie de bouteilles en verre est due à la flambée des prix des combustibles fossiles, tels que le gaz naturel et le diesel.
"La crise actuelle des prix de l'énergie pose des défis majeurs à l'industrie verrière énergivore. Les coûts de l'énergie ont augmenté jusqu'à 500 % par rapport à l'année précédente... Ces coûts représentent à eux seuls jusqu'à 20 % des coûts d'exploitation dans le verre l'industrie », a déclaré une porte-parole de l'Association fédérale de l'industrie du verre.
Un porte-parole de la brasserie centenaire Radeberger, située à quatre heures au nord-est de l'Oktoberfest, a déclaré que l'industrie des boissons et de la brasserie est tendue et va s'aggraver tout au long de l'été.
Il reste à voir comment une pénurie de bouteilles de bière affectera l'Oktoberfest, prévue fin septembre.
Liberté et monnaie saine : les deux faces d'une médaille
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 22 MAI 2022 - 15:20 Écrit par Thorsten Polleit via l'Institut Mises,
Il est impossible de saisir le sens de l'idée de monnaie saine si l'on ne se rend pas compte qu'elle a été conçue comme un instrument de protection des libertés civiles contre les intrusions despotiques de la part des gouvernements. Idéologiquement, il appartient à la même classe que les constitutions politiques et les déclarations de droit.
Ainsi écrivait Ludwig von Mises dans The Theory of Money and Credit en 1912. Et plus loin :
Le principe de la monnaie saine a deux aspects. Il est affirmatif en approuvant le choix du marché d'un moyen d'échange couramment utilisé. Il est négatif en ce qu'il entrave la propension du gouvernement à se mêler du système monétaire.
Dans ce contexte, les systèmes monétaires modernes semblent s'être éloignés de plus en plus du principe de la monnaie saine au cours des dernières décennies. Dans tous les pays du soi-disant monde libre, la monnaie représente aujourd'hui un papier irrécouvrable contrôlé par le gouvernement, ou " fiat ", un étalon monétaire. L'opinion largement répandue est que ce système monétaire serait compatible avec l'idéal d'une société libre et propice à une croissance durable de la production et de l'emploi.
Certes, des voix appellent à la prudence. Prenant un point de vue historique, Milton Friedman a déclaré :
Le monde est maintenant engagé dans une grande expérience pour voir s'il peut façonner un point d'ancrage différent, qui dépende de la retenue gouvernementale plutôt que des coûts d'acquisition d'un bien physique.
Irving Fisher, évaluant l'expérience passée, a écrit: "Le papier-monnaie irrécupérable s'est presque toujours avéré une malédiction pour le pays qui l'emploie."
La principale cause d'inquiétude repose sur une caractéristique clé du papier-monnaie contrôlé par le gouvernement : la capacité illimitée du système à accroître l'offre de monnaie et de crédit. En revanche, sous l'étalon-or (librement choisi), l'offre de monnaie (par exemple, l'or) devait également augmenter au fil du temps, mais seulement en proportion de l'expansion de l'économie, c'est-à-dire une augmentation de la demande de monnaie, provoquée par une augmentation de l'activité économique, apporterait une offre d'or supplémentaire sur le marché (par, par exemple, une augmentation de l'exploitation minière qui deviendrait de plus en plus rentable). En tant que tel, l'étalon-or met une "pause automatique" sur l'expansion monétaire - cette dernière serait, du moins en théorie, liée à la tendance de croissance de l'économie.
Le système de monnaie fiduciaire contrôlé par le gouvernement n'a aucune limite inhérente à l'expansion de la monnaie et du crédit. En fait, c'est plutôt le contraire qui est vrai : les banques centrales, les fournisseurs monopolistiques de l'argent des gouvernements, ont en fait été délibérément conçues pour pouvoir modifier l'offre de monnaie et de crédit de n'importe quel montant à tout moment.
Pour empêcher l'abus de leur pouvoir illimité sur la quantité de masse monétaire, la plupart des banques centrales se sont vu accorder l'indépendance politique au cours des dernières décennies. Cela a été fait afin d'empêcher les politiciens qui, pour être réélus, d'échanger les avantages d'une relance de l'économie induite par la politique monétaire contre des coûts futurs sous forme d'inflation. En outre, de nombreuses banques centrales ont été mandatées pour rechercher une inflation faible et stable, mesurée par les indices des prix à la consommation, comme objectif principal. Ces deux facteurs institutionnels – l'indépendance politique et le mandat de préserver le pouvoir d'achat de la monnaie – sont maintenant largement considérés comme des garanties appropriées pour préserver une monnaie saine.
Quoi qu'il en soit, les préoccupations de Mises semblent plus pertinentes que jamais :
La dissociation des monnaies d'une parité-or définitive et immuable a fait de la valeur de la monnaie un jouet de la politique…. Nous ne sommes plus très loin aujourd'hui d'un état de choses dans lequel la « politique économique » est avant tout entendue comme la question de l'influence sur le pouvoir d'achat de la monnaie.
Alors que l'objectif de préserver la valeur du papier-monnaie contrôlé par le gouvernement semble être louable, la vérité est qu'il est (pratiquement) impossible de tenir une telle promesse. En fait, il existe souvent des incitations politico-économiques écrasantes pour qu'une société augmente son offre de monnaie et de crédit, si possible, afin d'influencer les développements sociétaux selon des conceptions idéologiques prédéfinies plutôt que de s'appuyer sur les principes du marché libre.
Cette même tendance est particulièrement mise en évidence par le fait que les banques centrales sont régulièrement appelées à tenir compte de la croissance de la production et de la situation de l'emploi dans l'économie lors de la fixation des taux d'intérêt. Et ces considérations sont ce qui semble causer de graves problèmes dans un système de monnaie papier si et quand il n'y a pas de limite claire à l'expansion de la monnaie et du crédit.
Pour faire comprendre ce point, il est instructif d'examiner brièvement la relation entre le crédit et la production nominale et la croissance de la "richesse" (qui est définie ici, pour simplifier, comme le produit intérieur brut plus la capitalisation boursière). La figure ci-dessous montre les variations annuelles du produit intérieur brut (PIB) nominal des États-Unis et du crédit bancaire en pourcentage de 1974 au début de 2022. Comme on peut le voir, les deux séries sont positivement corrélées au cours de la période considérée : En moyenne, la hausse de la production s'était accompagnée d'une hausse du crédit bancaire et vice versa. Il s'agit en fait d'une illustration instructive de la théorie autrichienne du cycle économique (ABCT), selon laquelle l'expansion du crédit bancaire est non seulement étroitement associée à un cycle d'expansion et de récession, affectant à la fois les grandeurs réelles et les prix des biens, mais sa force motrice .
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Toujours de 1974 au début de 2022, la figure suivante montre la masse monétaire américaine en milliards de dollars américains et l'indice boursier S&P 500. L'augmentation de la masse monétaire est essentiellement le résultat de l'expansion du crédit bancaire, par lequel de la nouvelle monnaie est créée. Comme on peut le voir, l'évolution de la masse monétaire évolue sur la même longueur d'onde que le marché boursier. Pourquoi? D'une part, l'augmentation du PIB nominal au fil du temps se traduit par une hausse des valorisations des entreprises. D'autre part, l'augmentation de la masse monétaire fait grimper les prix des biens, y compris les cours des actions.
En d'autres termes : la performance du marché boursier est - parfois plus, parfois moins - attribuable à l'inflation des prix des biens causée par la monnaie fiduciaire. De la fin de 2019 au premier trimestre 2022, la banque centrale américaine a augmenté la masse monétaire M2 de 43 %, tandis que le marché boursier a gagné 63 % au cours de la même période. Comme l'augmentation de la masse monétaire a contribué à gonfler le PIB nominal, elle s'est également traduite par une hausse (substantielle) des cours des actions. En d'autres termes : l'expansion monétaire a provoqué « l'inflation des prix des actifs ».
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En regardant ces graphiques, le message semble être le suivant : l'augmentation chronique du crédit et de la masse monétaire a, en moyenne, été « assez positive » pour la production et la richesse. Cependant, ce serait une interprétation plutôt courte. Pour un système de monnaie fiduciaire, l'expansion du crédit et de la monnaie profite à quelques-uns au détriment de beaucoup d'autres. De plus, son "effet invisible" est qu'il empêche tout le succès économique et les effets distributifs de revenu et de richesse qui s'en seraient produits s'il n'y avait pas eu d'émission de crédit supplémentaire et de monnaie fiduciaire.
Comme le préviennent même les théoriciens classiques de l'économie, une relance de l'économie induite par l'argent et le crédit est (comme le montre l'ABCT) de courte durée et finira par conduire à l'inflation, comme l'a souligné David Hume en 1742 :
L'augmentation (de la quantité de monnaie) n'a d'autre effet que de faire monter le prix du travail et des marchandises... dans la marche vers ces changements, l'augmentation peut avoir une certaine influence, en excitant l'industrie, mais après que les prix sont fixés... elle n'a aucune manière d'influence.
Cependant, la conviction intellectuelle d'aujourd'hui du courant dominant économique, qui est dominé par l'économie keynésienne, est qu'en abaissant les taux d'intérêt, la banque centrale peut stimuler la croissance et l'emploi. Il n'est donc pas étonnant que, surtout dans les périodes où l'inflation est considérée comme « sous contrôle », les banques centrales soient contraintes d'adopter une politique monétaire « expansionniste » pour lutter contre la récession. En fait, il est largement considéré comme "approprié" si la politique monétaire maintient les coûts d'emprunt au niveau le plus bas possible.
On trouve chez Mises une critique fondée de cette conviction largement répandue. Il écrit:
L'opinion publique est encline à ne voir dans l'intérêt qu'un obstacle purement institutionnel à l'expansion de la production. Il ne se rend pas compte que la décote des biens futurs par rapport aux biens présents est une catégorie nécessaire et éternelle de l'action humaine et ne peut être abolie par la manipulation bancaire. Aux yeux des excentriques et des démagogues, l'intérêt est le produit des sinistres machinations d'exploiteurs acharnés. La désapprobation séculaire de l'intérêt a été pleinement ravivée par l'interventionnisme moderne. Il s'accroche au dogme selon lequel c'est l'un des premiers devoirs d'un bon gouvernement d'abaisser le taux d'intérêt autant que possible ou de l'abolir complètement. Tous les gouvernements actuels sont fanatiquement engagés dans une politique d'argent facile.
Mises décrit également les effets sur l'économie de la propension à baisser les taux d'intérêt et à augmenter l'offre de monnaie et de crédit. La théorie monétaire du cycle commercial de l'école autrichienne soutient que c'est l'expansion monétaire qui est au cœur des cycles d'expansion et de récession des économies. Une offre trop généreuse de monnaie et de crédit induit ce que l'on appelle habituellement une « reprise économique ». Dans son sillage, la croissance économique augmente et l'emploi augmente.
Avec le flux de liquidités, cependant, viennent des désalignements, une distorsion des prix relatifs, selon le raisonnement théorique. Tôt ou tard, l'expansion artificielle alimentée par la monnaie et le crédit devient insoutenable et se transforme en récession. Par ignorance et/ou par incapacité à identifier les forces mêmes responsables du malaise économique, à savoir la création excessive de monnaie et de crédit dans le passé, la chute de la production et la montée du chômage, provoquent des appels publics à une politique monétaire encore plus souple.
Les banques centrales ne sont pas en mesure de résister à de telles exigences si elles n'ont pas d'« ancrage », c'est-à-dire une règle (fixe) qui limite l'augmentation de l'offre de monnaie et de crédit dans les opérations quotidiennes. En l'absence d'une telle limite, les banques centrales, confrontées à une grave crise économique, seront très probablement contraintes de troquer l'objectif de croissance et d'emploi contre la préservation de la valeur de la monnaie, compromettant ainsi un pilier crucial de la société libre.
Vue dans ce contexte, la politique monétaire d'aujourd'hui ressemble en fait à une entreprise anarchique. L'air du temps soutient que le « ciblage de l'inflation » (IT) - le soi-disant concept de pointe, du point de vue de la plupart des banques centrales - fera l'affaire pour empêcher la politique monétaire de causer des problèmes involontaires. En pratique, cependant, l'informatique n'a pas d'ancrage externe. Sous l'informatique, c'est la banque centrale elle-même qui calcule les prévisions d'inflation qui, à leur tour, déterminent comment la banque fixe les taux d'intérêt ; fixer une limite quantitative à l'expansion de la monnaie et du crédit n'est généralement pas considéré comme un objectif politique. L'informatique peut donc difficilement inspirer la confiance qu'elle atténuera la menace sur la valeur du papier-monnaie émanant des gouvernements (sous la forme de fraude/abus) et/ou des responsables de la politique monétaire politiquement indépendants (sous la forme d'erreurs politiques).
Le retour à une « politique monétaire sans règle » a commencé au début des années 1990, lorsque diverses banques centrales ont abandonné les agrégats monétaires en tant que repère majeur pour la fixation des taux d'intérêt. Il a été avancé que la « demande de monnaie » était devenue un indicateur instable à « court terme » et que, en tant que telle, la monnaie ne pouvait plus être utilisée comme critère pour définir la politique monétaire, d'autant plus que les décideurs politiques prenaient des décisions en matière de taux d'intérêt. toutes les quelques semaines. Cependant, ce poste de guidage n'a pas été remplacé par quoi que ce soit depuis lors.
Compte tenu du retour de la discrétion en matière de politique monétaire, il pourrait être judicieux de citer la préoccupation de Hayek ; à savoir que l'inflation "est le résultat inévitable d'une politique qui considère toutes les autres décisions comme des données auxquelles la masse monétaire doit être adaptée afin que les dommages causés par d'autres mesures soient aussi peu remarqués que possible". A terme, une telle politique conduirait les banques centrales à devenir « captives de leurs propres décisions, quand d'autres les forcent à adopter des mesures qu'elles savent nuisibles ».
Faisant écho à l'avertissement donné par Ludwig von Mises dans The Theory of Money and Credit, Hayek conclut :
Le biais inflationniste de nos jours est en grande partie le résultat de la prédominance de la vision à court terme, qui découle à son tour de la grande difficulté à reconnaître les conséquences les plus lointaines des mesures actuelles, et de la préoccupation inévitable des hommes pratiques, et en particulier des politiciens , avec les problèmes immédiats et les réalisations d'objectifs proches.
Que pouvons-nous apprendre de tout cela ? Les risques inhérents à l'étalon papier-monnaie d'aujourd'hui - la capacité même d'augmenter le stock de monnaie et de crédit à volonté de n'importe quel montant et à tout moment - ne reçoivent plus l'attention qu'ils méritent : mettre une limite à l'expansion de la monnaie et du crédit n'est pas de rang parmi les ingrédients essentiels de l'élaboration d'une politique monétaire "moderne". La manipulation discrétionnaire du papier-monnaie augmente donc considérablement le risque d'échec coûteux. Une première étape pour revenir vers le principe de la monnaie saine - qui rend justice à l'idéal d'une société libre - serait de faire en sorte que la politique monétaire limite - par exemple, l'arrête complètement - la croissance de la masse monétaire.
Ce samedi je suis allé consulter un dermatologue avec mon fils et j’ai été surpris pour deux raisons. D’abord le prix de la consultations : 3000 yens soit environ 25 euros et la rapidité du rendez-vous pris sur le site du cabinet du spécialiste, moins de 24 heures. Si à Paris vous désirez voir un dermatologue il faudra attendre au moins six mois. Les pilules que m’a prescrit ce spécialiste pour une durée d’un mois ont couté plus cher que la consultation elle-même, quelques 4000 yens. J’ai demandé à mon fils pourquoi il y avait une telle différence entre l’Europe et le Japon. Peu de patients paient en numéraires car ils sont tous protégés par une assurance maladie de leur entreprise ou à laquelle ils ont souscrit volontairement. L’État ne s’occupe pas de la protection maladie et c’est la raison pour laquelle les impôts sur le revenu au Japon son si modiques : une « flat-tax » de 10 % sur tous les revenus. La France, outre l’impôt sur le revenu et les charges sociales payées par l’employeur et le salarié, a institué la CSG qui comme son nom ne l’indique pas est une « flat-tax ». Le corps médical en profite largement ! En Espagne comme en France si vous payer de votre poche un spécialiste comme un dermatologue il vous en coûtera au moins 100 euros, j’en ai fait l’expérience. Ceci explique donc cela : les systèmes de protection sociale européens favorisent d’abord la caste des médecins puis les grands laboratoires d’analyse biologique et enfin et surtout les laboratoires pharmaceutiques. À ce propos la pharmacie japonaise ne m’a fourni que le nombre de pilules suffisant pour un traitement d’un mois et pas plus.
La deuxième raison de ma surprise, malgré les explications que j’ai fourni au médecin en anglais (j’ignore s’il a tout compris) et à la vue de mon avant-bras droit:
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disant « Oh! » il a immédiatement considéré qu’il s’agissait d’une sorte d’allergie qu’il était urgent de traiter avec un anti-histaminique accompagné d’un onguent à base de vaseline comprenant une matière active dont j’ignore le nom. J’attends de voir car, en raison des nombreuses publications médicales (lien) relatant exactement les mêmes symptômes dont je souffre et toutes liées à une infection par le coronavirus, je suis très dubitatif en ce qui concerne le résultat de ce traitement. L’infection par le coronavirus provoque en réalité une maladie du sang qui se traduit par un effet secondaire presque immédiat au niveau des poumons. C’est la raison pour laquelle on a classé cette maladie parmi les syndromes aigus respiratoires. Quels sont les effets à long terme ? Ils sont peut-être liés à la présence d’anticorps interférant avec d’autres protéines du corps humain intervenant (peut-être) dans la régulation de la coagulation sanguine. Je ne suis pas médecin mais seulement un modeste biologiste et je n’expose ici qu’une opinion que je ne partage qu’avec moi-même. Bref, depuis maintenant plus de deux années je souffre d’urticaire géant chronique d’origine auto-immune (selon diverses publications scientifiques), les démangeaisons entraînent la formation d’hématomes classés par le corps médical comme ressemblant à des engelures (chilblain en anglais) et le médecin japonais que j’ai consulté a balayé cette hypothèse d’un revers de main. Je n’ai pas rêvé car voici un lien qui supporte cette hypothèse :https://onlinelibrary.wiley.com/action/doSearch?AllField=chilblain+covid&SeriesKey=13654632 . Il est vrai qu’un patient déclarant à son médecin qu’il souffre de telle maladie rend ce dernier nerveux. Le seul espoir ic à Tokyo est de pouvoir faire prolonger mon visa pour raison de santé si le médecin me dit qu’il sera nécessaire de le revoir un mois plus tard, c’est-à-dire dans deux mois alors que mon visa sera arrivé à expiration …
Voici l'échéancier contenu dans la simulation de pandémie mondiale de VARIOLE DU SINGE menée il y a à peine quelques mois
samedi 21 mai 2022
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Dans la simulation de pandémie mondiale de VARIOLE DU SINGE, l'exercice met en scène un virus qui a été modifié en laboratoire pour obtenir un "gain de fonction" permettant de détourner l'efficacité du vaccin. Le virus est relâché, soit une souche de la VARIOLE DU SINGE, par des terroristes et il cause 270 millions de morts et 3 milliards d'infectés à la fin de 2023.
L'échéancier de l'exercice pandémique montre que la propagation débute le 15 mai 2022 (le 16 mai 2022, l'Agence britannique de sécurité sanitaire a été la première a rapporter une dizaine de cas de variole du singe 😉).
Toujours dans le scénario, les cas se multiplient à une vitesse fulgurante jusqu'à créer plus d'un million de morts en janvier 2023, 70 millions d'infectés, et le vaccin contre la variole est reconnu comme étant inefficace.
C'est en mai 2023 que les autorités sanitaires annoncent que la pandémie est le résultat d'une attaque terroriste, un virus modifié en laboratoire pour être utilisé comme arme biologique (Bill Gates nous a annoncé en novembre dernier qu'une attaque terroriste de variole était probable 😉).
C'est aussi le scénario de la simulation pandémique "Dark winter" menée en 2001: une attaque terroriste de variole qui déclenche un domino-catastrophe (effondrement économique, bris des chaînes d'approvisionnement, chaos social...).
https://youtu.be/b8LLVLJd-WM
L'exercice pandémique atteint un sommet en décembre 2023: plus de 270 millions de morts et 3 milliards d'infectés.
Le premier rapprochement que l'on peut faire entre cette simulation et la réalité en ce 21 mai 2022, c'est que le virus de la variole du singe est apparu à peu près à la même date que dans la simulation.
Actuellement, le CDC rapporte que plus d'une dizaine de pays d'Amérique et d'Europe comptent des cas de variole du singe et d'autres pays s'ajoutent à chaque jour, on parle de la Suisse, la Grèce et Israël au cours des dernières heures.
Des virologues disent ne pas comprendre ce qui se passe, ils ne saisissent pas pourquoi les cas se multiplient de façon aussi rapide, ce qui est totalement inhabituel dans le mécanisme de transmission de la variole du singe.
Si vous voulez mon avis, je m'attends à ce que ce scénario-fiction de pandémie se confirme très bientôt dans notre quotidien avec des mesures sanitaires encore plus excessives et répressives que celles entreprises pour la COVID19.
Pourquoi je pense ça? Parce que les virologues ne s'expliquent pas la flambée des cas qui s'étendent de façon étrangement simultanée dans plusieurs pays. Aussi, les prévisions de croissance estimée à 7,2% pour les 5 prochaines année pour les vaccins et traitements contre la variole me laissent penser qu'une réelle pandémie de variole est en route.
De plus, une virologue de l'OMS en direct de Wuhan nous annonce une autre pandémie, laquelle aurait été inscrite dans un agenda sur 10 ans écrit par l'OMS. Ce plan, dit-elle, prévoit une crise sanitaire majeure...
Le vaccin contre la variole pour prévenir la variole du singe pourrait provoquer une épidémie mondiale de variole (vaccinie); Je préviens, ne soyez pas si stupide, comprenez que vous avez endommagé le système immunitaire de m (b) illions avec les vaccins COVID
Les experts disent que le virus de la variole est efficace à 85 % dans la variole du singe ; ce n'est PAS une bonne nouvelle, car des millions/milliards de personnes sont désormais immunodéprimées par le vax COVID ; vax de la variole, problèmes énormes potentiels
Dr Paul Alexandre Le 21 mai
Mes pensées:
Quelqu'un de très haut niveau dans la réponse à la pandémie COVID, un intellect de haut niveau, est venu me voir et m'a dit "Paul, je ne pense même pas que ce soit réel". Il a en outre déclaré qu'ils étaient tout à fait capables d'emballer cela et de créer cette panique à partir de rien. Fabriqué. Il a dit qu'il avait besoin de voir un vrai cas, une vraie image. Il n'est pas convaincu. Il a partagé ses réflexions qui étaient assez intéressantes. Il m'a demandé si je le croyais. J'ai dit "tout à fait possible". Compte tenu de la distribution de personnages auxquels nous avons dû faire face et qui ont mené cette réponse à la pandémie. Pourquoi ne peuvent-ils pas apporter un faux monkeypox ? Tout est possible s'il est vu du point de vue des 2 dernières années 2 mois de purs mensonges par les gouvernements et leurs crétins experts COVID duplices. Que nous n'avions rien à faire, absolument rien en réponse au COVID, rien. Pas une seule action. Si vous n'étiez pas bien, restez à la maison. Protégez toujours les personnes vulnérables. Pourtant, regardez ce à quoi nous avons été soumis par les gens qui « nous font du bien ». Maux et mort. Rien de tout cela n'était nécessaire. Et la partie dévastatrice de cela était que non seulement les politiques folles de verrouillage étaient inutiles, mais ceux qui les mettaient en œuvre savaient bien avant qu'elles étaient inutiles.
Je lui ai dit tu sais ce que mon frère, je pouvais aussi "y arriver", dans la mesure où des personnes subversives malveillantes peuvent fabriquer n'importe quoi pour atteindre des objectifs subversifs sombres et néfastes. Je ne suis pas un théoricien du complot et je traite moi-même des données et des faits réels, donc j'ai besoin d'en voir un peu plus. Mais je suis ouvert à tout, et il est impeccable, au top, alors il m'a fait réfléchir. J'ai quelques réflexions et je vais les laisser là pour l'instant, alors mettez une épingle dedans pour l'instant. Supposons qu'il s'agit d'une situation réelle pour avoir cette discussion.
Premièrement, en supposant que cela soit réel, nous devons nous calmer et réfléchir à ce problème de monkeypox, et utiliser les outils de santé publique efficaces dont nous disposons déjà. Le risque est grossièrement exagéré par les médias, les gouvernements et les experts médicaux incompétents, frappant leur tambour de la peur. Ce monkeypox semble être localisé dans un certain groupe à haut risque et principalement transmis par contact étroit de type intime (en grande partie chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes). La recherche aiguë des contacts est optimale et la bonne ligne de conduite. Ce virus ne se transmet pas facilement d'homme à homme car il exige un contact physique très étroit. Tout le monde ira en grande partie très bien. Les médias et al. doit arrêter le porno panique alarmiste.
Les experts médicaux incompétents, les fous du verrouillage et les prédateurs mondiaux sont de retour et ces experts se sont déjà tournés vers le vaccin contre la variole et disent que le vaccin contre la variole est efficace à 85 % contre la variole du singe. Ce n'est PAS nécessairement une bonne nouvelle, car des millions/milliards de personnes sont désormais potentiellement immunodéprimées par le vaccin COVID. Bien qu'il s'agisse d'un risque théorique, en initiant la vaccination contre la variole, si le vaccin contient le virus de la variole ou de la vaccine, nous pourrions potentiellement réintroduire la variole et la vaccine dans les populations. Cela pourrait être catastrophique.
Nous avons besoin de respirer profondément et d'y réfléchir attentivement et, comme mentionné, d'arrêter cette variole du singe avec des outils de confinement de santé publique éprouvés et éprouvés, tels que la recherche/la surveillance des contacts aigus et l'isolement des personnes infectées/symptomatiques. Nous nous concentrons là où se trouve le comportement à risque et NON sur la vaccination de masse de la population ou la vaccination «en anneau» (l'essentiel est que nous ayons besoin d'évaluer quels vaccins sont même disponibles, s'ils contiennent la variole ou la vaccine ou se répliquent (ce qui signifie qu'ils peuvent se reproduire dans des cellules humaines) , cela peut être une catastrophe ; cela nécessite un débat sérieux) et PAS un chaos de masse dans la population générale à faible risque par des messages médiatiques absurdes et alarmistes.
Selon l'OMI, il n'y a aucune base, aucune, zéro, pour la vaccination de masse de la population/globale avec n'importe quel vaccin en réponse au monkeypox. Cela doit être étudié avec soin, même pour les personnes vivant avec le VIH/SIDA qui ont été vaccinées contre le COVID, elles ont 2 défis existants au-delà du risque de monkeypox qui sont 1) leur état immunodéprimé pour commencer en raison de l'infection et 2) leur état compromis/dérégulé /système immunitaire endommagé (inné et acquis-adaptatif) en raison de la dévastation causée par le vaccin COVID. Ainsi, la décision de se précipiter pour vacciner les personnes séropositives (ou certains groupes) contre le risque de monkeypox doit être prise très au sérieux. Le vaccin COVID a causé d'énormes dommages au système immunitaire et nous n'avons aucune idée de ce que sera la réponse, même avec des vaccins non réplicatifs, si les personnes séropositives (ou similaires) doivent obligatoirement être vaccinées.
La suppression connue du système immunitaire pendant 2 semaines après le vaccin COVID a été une grave préoccupation car les vaccinés ont toujours été vulnérables au COVID et à d'autres infections virales/agents pathogènes pendant cette période immédiate après le vaccin. Les globules blancs sont déprimés pendant cette période et c'est pourquoi il y a tant d'événements indésirables, d'hospitalisations et de décès dans les 2-3 premières semaines après le vaccin. Le fait que le CDC et le NIH, etc. ne les comptabilisent pas parmi les « vaccinés » était de frauder les données pour faire croire qu'il s'agissait d'une pandémie parmi les non-vaccinés. Les fraudeurs trompeurs du CDC comptent les 2 premières semaines après le vaccin comme «non vaccinés», ce qui est à l'OMI un moyen de tromper et de manipuler les données.
Fauci, Francis Collins, Walensky, Bourla et al. n'a donc pas informé les personnes vaccinées de leur vulnérabilité pendant une période juste après le vaccin. Pourtant, je pense que c'est plus que cela. Pire que ça. Nous avons peut-être considérablement endommagé notre système immunitaire inné et acquis à cause du vaccin COVID, de sorte que les personnes vaccinées risquent de développer un large éventail de maladies. Notre système immunitaire peut maintenant être sérieusement compromis (chez les personnes vaccinées) en raison du vaccin COVID. Nous avons mis en garde contre cela (Vanden Bossche, Yeadon, moi-même, etc.) et nos craintes pourraient bien se matérialiser. Monkeypox peut être la pointe.
Je vais commencer par cette déclaration avant d'approfondir : Arrêtez le porno panique, arrêtez de mentir au public. Concentrez-vous là où se trouve le risque, PAS sur la population générale. Si elle se propage principalement par contact sexuel et parmi les hommes-qui-ont-des-rapports-sexuels-avec-des-hommes, alors dites-le, et nous orientons le débat correctement et pas de politique. Nous orientons le débat là où se trouve le comportement à risque. Les rapports suggèrent : "La transmission communautaire est largement centrée dans les zones urbaines et nous la voyons principalement chez les individus qui s'identifient comme gays ou bisexuels, ou d'autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes".
Nous gardons le débat uniquement sur les mécanismes de transmission (mécanismes de transmission virale) et non sur les préférences sexuelles etc. Elle semble se transmettre comme une maladie sexuellement transmissible (MST) et donc nous réagissons en santé publique comme nous le ferions pour les MST. Faisons-nous quelque chose de plus sociétal concernant ce monkeypox ? Non. Avons-nous peur ? Non. Portons-nous des masques ? Non. Fermons-nous quoi que ce soit, les écoles, les entreprises, la société ? Non. Effectuons-nous une recherche de contacts ? Si nous pensons que cela se justifie. Faisons-nous une quarantaine de masse? Non. Commandons-nous un abri sur place ? Non. Nous vivons simplement la vie comme d'habitude et nous éteignons les médias corrompus insensés. C'est tout.
Il se propage parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) principalement selon les rapports. Contact trace là-bas. Concentrez-vous là-bas. Ne le tabouez pas. Ne réagissez pas et ne vous comportez pas d'une manière qui provoque la stigmatisation, les calomnies et les attaques contre les HSH. Arrêter maintenant! Calmez-vous et ayez des discussions rationnelles. Utilisez les outils de santé publique de routine qui fonctionnent et fonctionnent normalement. L'augmentation des cas européens et nord-américains peut probablement être due à des voyages qui s'exportent hors des foyers traditionnels. Concentrez-vous là où cela semble être les foyers, et avec une certaine sensibilisation, des messages d'intérêt public, une surveillance aiguë à caractériser. Oui, nous gardons toujours un œil sur les événements «inhabituels» et bien que les cas supplémentaires en Amérique du Nord et en Europe soulèvent des questions, ce à quoi les médias, etc. s'engagent est une campagne de peur inexcusable.
S'il est tel que rapporté, apparaissant principalement chez les hommes, les jeunes hommes et les HSH (certains rapports dus à des fêtes gays), alors il sera prudent de se concentrer là-dessus et de commencer un type de système de surveillance de deuxième et troisième génération, s'il y en a. très préoccupante et si les cas augmentent. Encore une fois, si les rapports de principalement dans MSM. Maintenant, comme pour le VIH lors de son apparition initiale, ce qui a aidé à caractériser plus précisément le virus et donc les efforts pour freiner la transmission et voir où il se trouvait, nous avons mis en place ce que l'on appelait des systèmes de surveillance de deuxième et troisième génération chez les mères à faible risque (prénatal et cliniques prénatales) et dans les relations hétérosexuelles. La femme enceinte, etc. se présente toujours comme le groupe le moins à risque pour les maladies sexuellement transmissibles étant donné sa monogamie probable.
Nous devons examiner rapidement le risque de transmission parmi les personnes infectées par le VIH et comment il peut être instructif ici étant donné le tableau de transmission qui a émergé jusqu'à présent. Sachant que nous sommes au début de la situation. Le problème que nous avons réalisé était que les HSH et les bisexuels provoquaient une large transmission du VIH (et dans les communautés hétérosexuelles) lorsqu'ils étaient en contact avec des partenaires non homosexuels. Les HSH peuvent avoir (et sont connus pour avoir) des partenaires en dehors de la communauté homosexuelle. Au plus fort de l'épidémie de VIH, les maris hétérosexuels qui rendaient également visite à des professionnel(le)s du sexe, etc. ramenaient le virus chez eux à des femmes à faible risque qui pensaient qu'elles étaient dans des relations monogames à faible risque. Les maris hétérosexuels qui rendaient visite à des professionnel(le)s du sexe qui consommaient également des drogues injectables couraient également un risque accru d'exposition. Nous avons également dû nous concentrer sur l'hydre et le travailleur migrant flottant dans le cadre de la chaîne de transmission. Ainsi, regarder la communauté bisexuelle pour le monkeypox et aussi les femmes cherchant des services de grossesse prénatale et prénatale pourrait être utile comme cela l'était pour le VIH dans la compréhension du virus. Cela nous aidera à comprendre l'étendue de la propagation.
Lorsqu'un virus comme le VIH s'est propagé dans la population de femmes enceintes à faible risque, nous savions que le virus se propageait largement en raison des comportements à haut risque de leurs partenaires. Les femmes enceintes très monogames ne devaient pas être infectées par le VIH (toujours le groupe le moins à risque en termes de comportements à haut risque dans n'importe quelle société) à moins de l'obtenir de leur mari et nous avons retracé en arrière pour comprendre ce qui se passait et où concentrer intensément la surveillance et la prévention et les stratégies de contrôle.
Encore une fois, je ne pense pas que ce type de surveillance aiguë sophistiquée soit nécessaire et nous sommes peut-être en avance sur nos skis, mais je ne donne cette explication que comme un conseil, un conseil de frère à un autre frère, aux personnes idiotes de la santé publique aux États-Unis. et du Canada et d'ailleurs qui ont montré dans COVID qu'ils sont des crétins épidémiologiques à part entière ! Bouffons complets. Académiquement bâclé et cognitivement dissonant. En ce sens que si les foyers sont dans MSMS, alors c'est là que vous vous concentrez et ne "faites pas semblant" pour la politique et autres. De purs idiots pour tout, chaque politique et action restrictives COVID que ces responsables de la santé et gouvernements incompétents au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie, etc. ont échoué, tous les verrouillages, toutes les fermetures d'écoles, tous les mandats de masque, tous les abris sur place, tous distance sociale, tout. Toutes les politiques restrictives COVID ont échoué ! Eux, ces cravens du gouvernement et des responsables de la santé ont tué des gens avec leur test RT-PCR frauduleux sur-cyclé sur sensible utilisé et les verrouillages. Ils ont tué des gens avec leur folie de confinement !
Ce type de surveillance aiguë renforcée n'est pas nécessaire, mais s'il y a plus de propagation en dehors de l'Afrique, nous voudrons peut-être nous concentrer sur ces groupes à faible risque pour mieux comprendre l'étendue de la propagation au-delà du groupe HSH s'il s'agit du principe à risque/ groupe à haut risque de dissémination de la variole du singe. Si ce que les médias rapportent quant à la prédominance des cas de variole du singe. Nous pourrions également souhaiter nous concentrer sur les consommateurs de drogues injectables qui ont tendance à adopter d'autres comportements à haut risque. Si la propagation interhumaine se produit chez des personnes qui se livrent à des contacts physiques étroits par le biais d'intimités sexuelles, etc. et comme étant signalée à ce moment, et probablement avec des personnes qui présentent des symptômes à un certain niveau, alors c'est là que le débat et l'accent sont mis devrait être.
Je suppose que cela n'arrivera pas car les médias n'en parleront pas. Cet aspect sera dissimulé et mis de côté si ce monkeypox devenait un problème de propagation plus important. C'est la politique et les jeux putrides auxquels nous sommes confrontés. Je le dis comme il est, donc vous obtiendrez toujours la vérité de moi.
J'écris ici en tant qu'épidémiologiste des maladies infectieuses, expert en COVID et avec une formation en bioterrorisme et en guerre biologique. J'écris après avoir travaillé à l'Organisation mondiale de la santé, à l'OPS, au gouvernement canadien, à l'IDSA et au gouvernement américain dans divers rôles d'épidémiologie et d'EBM. Cela montre en fait que je suis peut-être un idiot aussi ! Alors ne fais pas attention à cette partie de moi !
En fait, j'ai été scolarisé par le Dr Donald Henderson à l'école de bioterrorisme Johns Hopkins, qui a éradiqué la variole. C'était dans les préparatifs de bioterrorisme et de guerre biologique si/quand une ville est attaquée avec des armes chimiques, radiologiques et biologiques. J'ai demandé au Dr Henderson de superviser mon doctorat et il a accepté, mais pour un financement, un meilleur financement, je suis allé à McMaster sous la direction du fondateur d'EBM Guyatt. L'école EBM de McMaster devrait être fermée maintenant car elle est vendue aux grandes sociétés pharmaceutiques et aux subventions. Tristement. La recherche sur les déchets COVID et la fraude ont corrompu les études de Pfizer et Moderna et de la FDA, autrefois, les géants de l'EBM l'auraient déchiré. Pas plus, suivez l'argent !
Alors, le monkeypox est-il le nouveau COVID ? OMI, nous devrions nous calmer et ne pas succomber à la peur et reconnaître qu'il s'agit des mêmes médias incompétents, incompétents, arrogants, illogiques, irrationnels, stupides, absurdes, spécieux, absurdes, chargés d'orgueil, débiles et soi-disant 'télévision experts médicaux à nouveau. Eux, ces experts médicaux de la télévision toujours abyssaux et stupides, ont montré un manque de compétence épouvantable dans tout ce qui concerne le COVID. Ils ne sont appariés que par les experts du groupe de travail COVID. Purs idiots ! Ai-je utilisé suffisamment de descriptifs quant à la profondeur de l'incompétence à respirer ? Y en a-t-il d'autres que je peux utiliser ?
Alors calmez-vous. Aucune preuve que ce monkeypox est une menace, il est très non mortel jusqu'à présent et ne sera probablement pas une menace pour la santé publique d'après tout ce que nous savons actuellement. Est-ce une tentative de vous effrayer et de semer la panique ? Probable. Faut-il faire preuve de discernement et de prudence ? C'est toujours nécessaire. Mais dans la limite du raisonnable. Équilibrez avec les faits et la « vraisemblance ». Est-ce une menace pour la santé publique aujourd'hui ? Non. Je n'en vois aucun, zéro ! Savons-nous quoi faire pour contenir la variole du singe ? Absolument. Suivi des contacts. Encore une fois, avec tout ce que je sais à ce jour, il y a les médias qui provoquent une peur et une panique inutiles. C'est condamnable ce qu'ils font.
À ce jour, il n'y a eu aucun décès dû aux cas apparus en Europe et en Amérique du Nord (je crois près de 100 à ce jour et principalement chez les jeunes hommes). Arrêtez de mentir, monsieur les médias et idiots d'« experts médicaux » parlant à la télévision que les enfants sont en danger. Je vous demande, où est la preuve de cela? Où? Quelles données ? Vous n'en avez pas et vous le savez ! Tu mens comme d'habitude pour paniquer les parents. Sale bêtes que vous êtes ! Des animaux démoniaques purs et sales qui essaient de faire cela, effrayant inutilement le public.
Donc, au fur et à mesure que vous en apprendrez plus, calmez-vous et éteignez FOX et CNN. Les mêmes idiots sont là-bas en train de vous cracher des bêtises. Des idiots débiles comme d'habitude dans les médias. Relaxer. S'il y a des problèmes à se préoccuper, vous savez que des gens comme moi vous le diront immédiatement. Vous savez que j'adore écrire ;-).
Surtout, ne prenez plus de vaccins COVID sur la base de ce que nous savons aujourd'hui quant à l'inefficacité et au profil de sécurité inapproprié. COVID est et a été fait! Il se poursuit en raison de la poursuite de la vaccination avec le vaccin non stérilisant et non neutralisant avec des anticorps (Abs) qui ciblent l'infectiosité du virus (le pic) mais ne peuvent se lier qu'à l'épitope du pic du virus mais pas stériliser (éliminer) le virus. En tant que vaccinés, vous conduisez les variantes/clades/sous-variantes. Dis non! Aucun pour vos enfants. Aucun responsable de la santé aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, où que ce soit… n'a expliqué pourquoi ces vaccins COVID défaillants sont nécessaires chez les enfants en bonne santé à faible risque. Vous ferez partie du mal et tuez des enfants avec ces vaccins. Vos enfants. C'est la colline que vous tenez, c'est la colline sur laquelle vous, en tant que parents, soyez prêts à donner votre vie. Ça y est, toute ta vie devient maintenant, toute notre vie !
Fauci et Walensky et Bourla de Pfizer et Bancel de Moderna et le pivot lui-même Francis Collins du NIH, et le nouvel ajout au spectacle de voitures de clown, le clignotant Ashish Jha, montrent qu'ils sont grossièrement incompétents, incompétents, idiots et ne pensent pas à la santé et le bien-être d'abord. Ils pensent à la gloire et à l'argent. Certains disent néfaste. Je n'en sais pas assez pour commenter cela d'une manière bien informée, mais c'est clair. C'est soit une pure incompétence, soit une malversation. L'un des deux ou une combinaison. Tu décides. J'ai mes propres pensées.
Donc, avec cela ouvert, permettez-moi de commencer par la variole du singe et je dois commencer par la variole car cela est utilisé pour vous paniquer. Le vaccin contre la variole (la variole est causée par le virus de la variole (variola major ou variola minor), il appartient au genre orthopoxvirus ; les humains sont le seul réservoir connu) est en train de devenir un sujet de conversation et une importance possible dans l'émergence du monkeypox. OMI, trop d'inconnues à l'ère de la vaccination massive des populations avec des vaccins COVID, pour envisager de vacciner contre le monkeypox avec des vaccins antivariolique ; trop de dégâts causés par les vaccins COVID. Les vaccins contre la variole en plus des vaccins COVID inefficaces et nocifs, c'est de la folie ! Je vous rappelle que "l'inoculation avec le virus de la vaccine est très efficace pour la prévention de l'infection par la variole, mais elle est associée à plusieurs effets secondaires connus qui vont de légers et spontanément résolutifs à graves et potentiellement mortels".
Nous devons sortir des sentiers battus et défier la sagesse conventionnelle car tout ce qu'ils ont fait (fous du verrouillage COVID) n'a pas fonctionné et ils continuent d'être désemparés. Un constat critique donc pour mettre la table :
"L'augmentation du nombre de personnes vaccinées entraînera inévitablement une augmentation de la morbidité et de la mortalité dues à la vaccine, et les preuves actuelles suggèrent qu'un préjudice net en résulterait si le vaccin contre la variole était mis à la disposition du grand public sur une base volontaire."
Belongia & Naleway : Vaccin contre la variole : le bon, la brute et le truand
Premièrement, nous avons dit, Vanden Bossche, McCullough, moi-même etc. que ces vaccins COVID sous-optimaux inefficaces et nocifs doivent être arrêtés ! Totalement. Ils ne peuvent être justifiés. Zéro! Aucun chez les enfants ! Pfizer (Bourla) et Moderna (Bancel) et Fauci et Walensky et Francis Collins sont des criminels pour avoir poussé cela sur des enfants en bonne santé à risque quasi nul.
Je préviens, c'est en partie pour vous faire peur de faire vacciner votre enfant avec le vaccin COVID et même le vaccin contre la variole. Être averti. Ils, les scientifiques, annoncent de bonnes nouvelles, je dis pas de bonnes nouvelles si vous êtes allés penser, crétins, que vous pouvez vacciner les gens contre la variole du singe avec le vaccin contre la variole.
Ralentissez sur celui-ci, les mêmes acteurs sont impliqués, hystériques, et les mêmes médias complices ! Ralentissez votre roulis !
Premièrement, les personnes vaccinées contre le COVID ont un système immunitaire subverti déprimé (documenté) et sont donc à risque d'agents pathogènes (et de cancers) latents et existants, qui ne les auraient pas infectés auparavant. Il est très valable de conjecturer à ce sujet que c'est le vaccin COVID et ce qu'il a fait au niveau du système immunitaire, qui a provoqué l'émergence de la variole du singe en Europe et en Amérique du Nord. Les personnes vaccinées contre le COVID pourraient être exposées à un risque dramatique de variole du singe et d'une foule d'autres agents pathogènes/virus.
Ensuite, il est vrai que les personnes de moins de 40 ans n'ont pas le vaccin contre la variole (un vaccin dont l'innocuité est douteuse), mais le vrai problème est le résultat catastrophique si nous vaccinons des millions et des millions avec le vaccin contre la variole qui ont systèmes immunitaires subvertis maintenant en raison du vaccin COVID non stérilisant sous-optimal. Je préviens, en prenant des personnes qui ont une immunité compromise comme les personnes vaccinées contre le COVID (par exemple, un risque accru d'infection et sont infectées après le vaccin), et en tant que telles immunodéprimées, et vous leur donnez le vaccin contre la variole pour la prévention de la variole du singe (orthopoxvirus), vous pourriez créer la dévastation.
Je viens de décrire les personnes vaccinées COVID. Personnes vaccinées immunodéprimées. Le vaccin contre la variole peut alors potentiellement entraîner des cas de variole ainsi que de la vaccine chez les personnes immunodéprimées vaccinées contre le COVID, y compris chez les jeunes et les enfants. Ceci est actuellement un risque théorique, mais peut devenir une réalité si la façon dont je l'ai expliqué ci-dessus l'est.
Le vaccin contre la variole (basé sur la vaccination avec le virus de la vaccine est connu pour être très impitoyable (causant potentiellement l'orthopoxvirus 'maladie virale de la variole' lui-même) chez les personnes immunodéprimées. Le vaccin contre la variole peut également provoquer une vaccine progressive (virus de la vaccine). immunité humorale contre le virus de la variole (rappelez-vous que la variole est causée par le virus de la variole).
Voir ces passages :
« Le vaccin contre la variole est moins sûr que les autres vaccins couramment utilisés aujourd'hui. Le vaccin est associé à des effets indésirables connus allant de légers à graves. Les réactions bénignes au vaccin comprennent la formation de lésions satellites, de la fièvre, des douleurs musculaires, une lymphadénopathie régionale, de la fatigue, des maux de tête, des nausées, des éruptions cutanées et des douleurs au site de vaccination.13,18,19 Un essai clinique récent a rapporté que plus d'un tiers des vaccins les bénéficiaires ont manqué des journées de travail ou d'école à cause de ces symptômes bénins liés au vaccin.18…
Dans les années 1960, les événements indésirables graves associés à la vaccination contre la variole aux États-Unis comprenaient le décès (1/million de vaccinations), la vaccine progressive (1,5/million de vaccinations), l'eczéma vaccinatum (39/million de vaccinations), l'encéphalite post-vaccinale (12/million de vaccinations) , et la vaccine généralisée (241/million de vaccinations).20 Les événements indésirables étaient environ dix fois plus fréquents chez les personnes vaccinées pour la première fois que chez les revaccinés.20 Les taux de mortalité étaient également quatre fois plus élevés pour les vaccinés primaires que pour les revaccinés.21…
La vaccine évolutive (c. d'autres tissus et organes.24 Cette condition affecte généralement les personnes dont le système immunitaire est incompétent.24,25 Les signes cliniques cardinaux de la vaccine progressive comprennent un site de vaccination non cicatrisé > 15 jours après la vaccination et l'absence d'inflammation ou de réponse immunitaire au site de vaccination. .24,25 La vaccine évolutive non traitée est mortelle, mais le traitement par VIG ou le cidofovir antiviral peut être efficace dans certains cas.
SOURCE:
Belongia & Naleway : Vaccin contre la variole : le bon, la brute et le truand
Étudiez cela attentivement, réfléchissez bien. Prends ton temps. Ralentissez votre chemin en envisageant le vaccin contre la variole contre la variole du singe. Arrêtons-nous et examinons en quoi consistent ces cas de monkeypox et s'ils sont directement liés à l'immunosuppression due aux vaccins COVID. Encore une fois, comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, arrêtez les vaccins COVID !
Regardez les catastrophes que nous avons provoquées dans la réponse au COVID et les vaccins déjà. À l'heure actuelle, il n'y a aucune raison de s'inquiéter d'après ce qui est rapporté. Nous devrions examiner la transmission chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, car il existe des rapports de cas accrus chez les jeunes hommes. Cela nécessite une enquête avant que cela puisse être déclaré crédible, car ce n'est pas clair pour le moment. Beaucoup de nouvelles sur la variole du singe ne sont pas claires et vraiment hystériques et visent à vous effrayer. Entraîne une peur inutile. Nous gardons un œil ouvert mais pour l'instant, ce n'est pas une menace pour la santé publique. Loin de là.
"La transmission de l'animal à l'homme peut se produire à la suite d'un contact direct avec le sang, les fluides corporels ou des lésions cutanées ou muqueuses d'animaux infectés...
La transmission secondaire ou interhumaine peut se faire par contact étroit avec des sécrétions respiratoires, des lésions cutanées d’une personne infectée ou des objets récemment contaminés…
La transmission par gouttelettes de particules respiratoires nécessite généralement un contact face à face prolongé, ce qui expose les agents de santé, les membres de la famille et les autres contacts étroits des personnes infectées à un risque accru…
Lundi, l'OMS a signalé que certains des cas confirmés récemment en Grande-Bretagne sont apparus chez des homosexuels…
Bien que le groupe actuel de cas concerne des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, il est probablement trop tôt pour tirer des conclusions sur le mode de transmission ou supposer que l'activité sexuelle était nécessaire à la transmission, à moins que nous ne disposions de données et d'analyses épidémiologiques claires", a déclaré Michael Skinner. , un spécialiste en virologie de l'Imperial College de Londres, a déclaré au site Web du Science Media Centre (SMC)…
L'Organisation mondiale de la santé affirme cependant que la transmission interhumaine est limitée.
Les symptômes chez l'homme du monkeypox comprennent des lésions, des éruptions sur le visage, les paumes ou la plante des pieds, des croûtes, de la fièvre, des douleurs musculaires et des frissons...
La plupart des gens se rétablissent en quelques semaines et la variole du singe n'a été mortelle que dans de rares cas…
Il s'agit généralement d'une maladie spontanément résolutive dont les symptômes durent de deux à quatre semaines.
LA SOURCE:
Bonne nouvelle : le vaccin contre la variole est efficace à 85 % pour prévenir la variole du singe
La clé que vous devez savoir est la suivante. Les cas peuvent survenir en raison d'expositions à une source commune (plusieurs animaux infectés). C'est ce à quoi nous prêtons attention et s'il y a une propagation interhumaine, à quel point infectieux / étendu, par ex. quel est le nombre reproductif (R nul, par exemple, à combien de personnes une personne infectée peut-elle se propager et si 1,0 et moins, alors c'est une excellente nouvelle comme il semble l'être). La transmission interhumaine semble être minime (négligeable et seulement avec un contact physique très étroit avec des fluides corporels, des lésions, des gouttelettes, etc.). L'intimité sexuelle semble jouer un rôle et nous devrions nous concentrer sur la messagerie là-bas. Les mesures de confinement habituelles sont appropriées, par ex. recherche des contacts, prise en compte de l'avis et mise en quarantaine UNIQUEMENT des personnes en contact avec des personnes infectées de bonne foi, ou qui sont symptomatiques ou en contact avec des personnes symptomatiques. L'équilibre est encore nécessaire. Pas de vaccination de masse. Encore une fois, le vaccin contre la variole présente de graves problèmes de sécurité et peut être mortel (conduisant la variole et/ou la vaccine) à l'ère des systèmes immunitaires déprimés chez les personnes vaccinées avec les vaccins COVID.
Il n'y a aucune indication d'une transmission asymptomatique (meilleures connaissances à ce jour), de la fraude et du mensonge qu'ils nous ont vendus dans COVID. Pas de transmission asymptomatique du monkeypox. s'il y a propagation, c'est via (sur la base de nos preuves à ce jour) un contact, un contact réel de personne à personne (personnes infectées / malades à une personne non infectée). Jusqu'à présent, les cas concernent des hommes qui ont eu des contacts sexuels avec d'autres hommes (HSH) et donc des contacts physiques intimes. Outre un contact physique étroit (par exemple, sexuel chez les HSH), le virus peut se propager par une infection par des gouttelettes respiratoires plus importantes (atterrissant dans les voies nasopharyngées d'une personne non infectée), ainsi que par un contact direct avec les lésions ou les pustules chez une personne infectée par le monkeypox symptomatique (potentiellement des vêtements avec contenu des lésions/pustules infectées).
SOURCE:
CDC, le CDC conseille aux médecins d'être en alerte pour la variole du singe alors que l'OMS confirme des épidémies dans 11 pays
Déclarations clés :
« En 2021, les États-Unis ont eu deux cas confirmés de monkeypox, un dans le Maryland et un au Texas. Les deux cas concernaient des personnes qui avaient récemment voyagé au Nigeria, où le virus est endémique.
Selon le CDC, parce que le virus de la variole du singe est lié au virus qui cause la variole, le vaccin peut protéger les gens contre la variole du singe.
"Les données passées d'Afrique suggèrent que le vaccin contre la variole est efficace à au moins 85 [percent] pour prévenir la variole du singe", a déclaré le CDC.
"Les personnes qui interagissent étroitement avec une personne contagieuse courent un plus grand risque d'infection : cela inclut les agents de santé, les membres du ménage et les partenaires sexuels", a déclaré l'OMS.
Le monkeypox commence par des symptômes pseudo-grippaux, notamment de la fièvre, des douleurs musculaires et de la fatigue, ainsi qu'un gonflement des ganglions lymphatiques. Quelques jours après la fièvre, une éruption cutanée apparaît sur le visage et le corps, qui peut également inclure la région génitale ou périanale, déclare le CDC. La période d'incubation - le temps qui s'écoule entre l'infection et les symptômes - peut aller de 5 à 21 jours.
La maladie se résout généralement d'elle-même avec des symptômes qui durent de 2 à 4 semaines, bien que des cas graves puissent survenir et même entraîner la mort, les taux de mortalité récents étant d'environ 3 à 6%, selon l'OMS.
Les États-Unis ont un cas confirmé de monkeypox dans le Massachusetts, le premier cette année. Le CDC a déclaré qu'il travaillait avec le département de la santé de l'État pour enquêter sur l'affaire. Le patient impliqué est porteur de la souche ouest-africaine du virus de la variole du singe et est actuellement isolé, a déclaré le CDC. Il s'était récemment rendu au Canada, où les deux premiers cas de monkeypox ont été confirmés tard le 19 mai au Québec.
Le CDC a noté que dans le cas du Royaume-Uni, il y avait un "groupe de cas temporairement regroupés impliquant quatre personnes qui s'identifient comme homosexuels, bisexuels ou hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes".
« Certaines preuves suggèrent que les cas parmi [les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes] peuvent être épidémiologiquement liés ; les patients de ce groupe ont été identifiés dans des cliniques de santé sexuelle », a-t-il déclaré. "Il s'agit d'une enquête en évolution et les autorités de santé publique espèrent en savoir plus sur les voies d'exposition dans les prochains jours."
Il ajoute que les médecins devraient être plus méfiants vis-à-vis de la maladie et la considérer comme un diagnostic possible si, en plus d'avoir une éruption cutanée caractéristique, leur patient a voyagé dans des pays où des cas de monkeypox ont été récemment confirmés ; rapporte avoir été en contact avec une personne atteinte de monkeypox, ou suspectée de monkeypox, ou présentant une éruption cutanée d'apparence similaire à la monkeypox ; ou est un homme qui a régulièrement des contacts étroits ou intimes en personne avec d'autres hommes.
En bout de ligne :
Ma compréhension dit se détendre, se calmer, éteindre CNN et FOX, deux des mêmes tenues de désinformation idiotes. Ce virus monkeypox est fondamental en Afrique et est zoonotique et en tant que tel peut passer des animaux aux humains. Si c'est le cas, la transmission se fait par contact physique étroit, par ex. rapports de propagation entre HSH (doit être clarifié), fluides corporels, contact de lésions/pustules infectées et éventuellement vêtements de personnes infectées. Le taux de mortalité est extrêmement bas et aucune preuve n'est plus mortelle pour les enfants. Sur la base de toutes les données que nous connaissons, à l'échelle mondiale. OMI, ce n'est pas un problème de santé publique, pas une menace, et comme avant, n'a jamais été un virus pour perdre le sommeil. Nous gardons un œil dessus et nous utilisons des mesures traditionnelles de contrôle de la santé publique, par ex. la recherche des contacts, si et quand cela est nécessaire. Pas de vaccination de masse à l'aide du vaccin contre la variole et en particulier dans le cadre de la dévastation immunodéprimée causée par les vaccins COVID. Le vaccin contre la variole dans ce contexte et cette ère de systèmes immunitaires épuisés épuisés avec tous les stimulants inefficaces et mortels, pourrait provoquer des épidémies de variole et la vaccine.
SOURCE:
Sarracenia purpurea
Découvrez ce traitement contre la variole du British Medical Journal de 1863, publié il y a 160 ans, sous forme de correspondance. Très intéressant et j'adore l'écriture il y a 160 ans, le contenu et le style.
En conclusion, il y a aussi des événements très suspects qui se déroulent et qui ont eu lieu qui soulèvent des questions massives :
1)La simulation d'une pandémie mondiale de monkeypox a récemment été mené
Renforcer les systèmes mondiaux pour prévenir et répondre aux menaces biologiques à hautes conséquences
Abonnez-vous au mandat du convoi de médicaments factuels Alexander COVID News Par le Dr Paul Alexander · Des centaines d'abonnés payants
COVID-19 et SARS-CoV-2 : immunité naturelle ; l'immunité innée; vaccins et pression immunitaire; pas de vaccins pour les enfants ; traitement ambulatoire précoce; verrouillages ; fermetures d'écoles et mandats de masques et mandats de vaccins et pouvoirs d'urgence et convoi de camions
Vous suivez la mode ? Vous voulez être 'in' ? Vous voulez l'avoir ? OUI ! C'EST POSSIBLE ! FAITES VOUS PIQUER ! Comme vous aviez entendu parler du 'CoronaCocovide19AlphaBravoCharlieDelta' aujourd'hui arrive LAMORTDUSINGE, ne la ratez pas ! Allez vite vous la faire inoculer !
ENTRE LA 3E ET LA 4E VAGUES, LE COVID-19 EST DEVENU MOINS GRAVE ET MOINS MORTEL
par ANTON KUNIN 19/05/2022
En septembre 2021, parmi les personnes hospitalisées pour Covid-19, 37% étaient vaccinées.
Le Covid-19 est effectivement devenu moins rude en France entre la troisième vague (mars-avril 2021) et la quatrième vague (juillet-août 2021), viennent de conclure Quentin Deltour et Hamid Khaoua, deux chercheurs affiliés à la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé.
Davantage de patients plus jeunes lors de la quatrième vague de Covid-19
Même si le nombre de contaminations ne baissait pas forcément au cours de l’année 2021, vous aviez sans doute entendu dire que le Covid-19 était devenu moins rude. Aujourd’hui, des scientifiques nous confirment : s’agissant de la situation en France du moins, entre la troisième et la quatrième vagues, l’impact de ce virus en termes de nombre d’hospitalisations et de décès a diminué considérablement. En effet, la quatrième vague a eu une ampleur quatre fois plus faible que la troisième en termes de nombre d’hospitalisations. Elle a aussi vu un taux de décès intra-hospitalier légèrement plus faible (13% contre 16% lors de la troisième vague). La durée médiane des séjours à l’hôpital s’est elle aussi réduite de 9 à 7 jours entre la troisième et la quatrième vague.
Lors de la quatrième vague, les classes d’âge qui ont été les plus touchées ont été plus jeunes : 20 % des personnes hospitalisées avaient ainsi moins de 40 ans, contre 10 % lors de la troisième vague. Quant au sexe des malades, pas de différences en revanche : les hommes étaient surreprésentés parmi les patients atteints du Covid-19 tant durant la troisième que durant la quatrième vague, en particulier en soins critiques, en cohérence avec ce qui était observé lors des première et deuxième vagues.
Pour les plus de 80 ans vaccinés, le risque d’hospitalisation a chuté de 80 %
La progression de la couverture vaccinale a en revanche aidé grandement. Les personnes vaccinées étaient sous-représentées parmi les patients hospitalisés au regard de leur part dans la population générale : durant le mois de septembre 2021 (fin de la quatrième vague), elles représentent 37 % des entrées hospitalières, contre 67 % de la population générale.
La vaccination a en particulier fait diminuer de 80 % le risque d’hospitalisation chez les 80 ans et plus, ont calculé les deux chercheurs. À statut vaccinal donné, le risque d’hospitalisation est similaire entre la troisième et la quatrième vague. Mais grâce à la vaccination notamment, les entrées hospitalières observées lors de la quatrième vague ont été environ quatre fois moins nombreuses que celles de la troisième.
Depuis 2 ans nous savons toutes et tous que dès la première piqûre l'organisme perd toute immunité. Cela veut dire que TOUS les vaccins précédents sont annulés, effacés, disparus. Les pauvres faibles d'esprit qui refusent d'écouter les scientifiques et préfèrent les merdias, se retrouvent donc sans défense ! HAHAHAHA ! Après la séance ou le trisomique se fait inoculer, soit il meut dans la semaine, le mois ou les mois qui suivent. Vos quartiers se dépeuplent ? (et arrivent vite-vite les immigrés), comptez dans la rue le nombre de français que vous rencontrez !! Vous serez surpris(e) !
Coup d'État furtif de l'OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Par F. William Engdahl 20 mai 2022
Sur une initiative de l'administration Biden, l'Organisation mondiale de la Santé imposera, sauf miracle, d'ici novembre 2022, c'est-à-dire au début de la prochaine saison de grippe dans l'hémisphère nord, un contrôle descendant sans précédent sur les réglementations et mesures sanitaires nationales de la planète entière. Dans ce qui s'apparente à un coup d'État furtif, l'OMS obtiendra de nouveaux pouvoirs draconiens lui permettant de passer outre la souveraineté nationale dans 194 pays membres des Nations unies et de dicter leurs mesures sanitaires avec la force du droit international. On en parle parfois comme du traité de l'OMS sur les pandémies, mais c'est bien plus que cela. Pire, la majeure partie du budget de l'OMS provient de fondations privées liées aux vaccins, comme la Fondation Gates, ou de Big Pharma, ce qui constitue un énorme conflit d'intérêts.
Nouveaux pouvoirs draconiens de l'OMS
Faire quelque chose de façon furtive signifie le faire de manière secrète ou dissimulée, afin d'éviter qu'il ne soit largement connu et éventuellement combattu. Cela s'applique à la proposition faite par l'administration Biden à l'OMS de Genève le 18 janvier 2022, selon les documents officiels de l'OMS. L'OMS a caché les détails des « amendements » américains pendant près de trois mois, jusqu'au 12 avril, un mois seulement avant que l'organe compétent de l'OMS ne se réunisse pour approuver ces mesures radicales. De plus, au lieu des 18 mois d'attente précédents pour devenir un traité en droit international, seuls 6 mois sont utilisés cette fois-ci. C'est une véritable fuite en avant. La proposition américaine est soutenue par tous les pays de l'UE et par 47 pays au total, ce qui garantit une adoption quasi certaine.
Les propositions, officiellement intitulées « Renforcer la préparation et la réponse de l'OMS aux urgences sanitaires : Proposition d'amendements au Règlement sanitaire international », ont été soumises par la secrétaire adjointe aux Affaires mondiales du département américain de la Santé et des Services sociaux, Loyce Pace, en tant qu'« amendements » à un traité de 2005 sur le Règlement sanitaire international de l'OMS déjà ratifié. L'OMS définit ce traité de 2005 ainsi : « Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI) constitue un cadre juridique général qui définit les droits et les obligations des pays dans la gestion des événements et des urgences de santé publique susceptibles de franchir les frontières. Le RSI est un instrument de droit international qui est juridiquement contraignant pour 196 pays, dont les 194 États membres de l'OMS ».
Pace a rejoint l'administration Biden après avoir dirigé le Conseil mondial de la santé, qui compte parmi ses membres les noms les plus corrompus de Big Pharma, dont Pfizer, Lilly, Merck, J&J, Abbott et AVAC, financée par Bill Gates, pour n'en citer que quelques-uns. Ses propositions de transformation radicale des pouvoirs de l'OMS en matière de « pandémies » et d'épidémies auraient facilement pu être rédigées par Gates et Big Pharma.
Avant d'examiner ce que les « amendements » de Loyce Pace feront pour permettre la transformation de l'OMS en une dictature mondiale de la santé dotée de pouvoirs sans précédent pour annuler les jugements de tout gouvernement national, il convient de noter un problème juridique furtif. En déguisant un changement complet des pouvoirs du traité de 2005 de l'OMS en simples « amendements » à un traité ratifié, l'OMS prétend, avec l'administration Biden, que l'approbation des amendements ne nécessite aucun nouveau débat de ratification par les gouvernements membres. C'est de la furtivité. Sans débat national par des représentants élus, l'OMS non élue deviendra à l'avenir une superpuissance mondiale sur la vie et la mort. Washington et l'OMS ont délibérément restreint le processus de participation du public pour faire passer ce projet en force.
Une nouvelle loi de facto
Comme il se doit, l'OMS a finalement publié les « amendements » américains. On y trouve les suppressions ainsi que les nouveaux ajouts. Les modifications apportées par l'administration Biden transforment le rôle consultatif de l'OMS auprès des gouvernements nationaux, non seulement sur les réponses aux pandémies mais aussi sur tout ce qui touche à la « santé » nationale, en un tout nouveau pouvoir de passer outre les agences sanitaires nationales si le directeur général de l'OMS, désormais Tedros Adhanom, le décide. L'administration américaine Biden et l'OMS se sont entendues pour créer un traité entièrement nouveau qui fera passer toutes les décisions en matière de santé du niveau national ou local à Genève, en Suisse, et à l'OMS.
L'article 9 est typique des modifications apportées par Washington au traité existant de l'OMS. La modification américaine consiste à insérer « pourra » et à supprimer « devrait » de l'OMS : « Si l'État partie n'accepte pas l'offre de collaboration dans les 48 heures, l'OMS pourra... ». Dans le même article, le mot « offre de collaboration par l'OMS, en tenant compte de l'avis de l'État partie concerné... » est supprimé. Le point de vue ou le jugement des autorités sanitaires de l'Allemagne, de l'Inde ou des États-Unis ne sont plus pertinents. L'OMS pourra passer outre les experts nationaux et dicter en tant que loi internationale ses mandats pour toutes les pandémies futures, ainsi que pour les épidémies ou même les problèmes de santé locaux.
De plus, dans le nouvel article 12 proposé sur la « Détermination d'une urgence de santé publique de portée internationale, d'une urgence de santé publique de portée régionale ou d'une alerte sanitaire intermédiaire », le chef de l'OMS - maintenant Tedros dans son nouveau mandat de cinq ans - peut décider seul de déclarer une urgence, même sans l'accord de l'État membre. Le chef de l'OMS consultera alors le « comité d'urgence » de l'OMS concerné sur la polio, l'Ebola, la grippe aviaire, le COVID ou tout autre problème déclaré. En bref, il s'agit d'une dictature mondiale sur la santé des citoyens par l'un des organismes de santé les plus corrompus au monde. Les membres d'un comité d'urgence donné de l'OMS sont choisis selon des procédures opaques et généralement, comme dans le cas du comité actuel sur la polio, de nombreux membres sont liés aux différents fronts de la Fondation Gates comme GAVI ou CEPI. Pourtant, le processus de sélection est entièrement opaque et interne à l'OMS.
Entre autres pouvoirs, le nouveau traité sur les pandémies donnera à Tedros et à l'OMS le pouvoir de rendre obligatoires les passeports vaccinaux et les vaccins COVID dans le monde entier. Ils travaillent actuellement à la création d'un programme mondial de passeport vaccinal/identité numérique. En vertu du nouveau « traité sur la pandémie », lorsque des personnes sont lésées par les politiques de santé de l'OMS, il n'y a aucune responsabilité. L'OMS bénéficie de l'immunité diplomatique.
Astrid Stuckelberger, ancienne cadre supérieure de l'OMS et lanceuse d'alerte, aujourd'hui scientifique à l'Institut de santé mondiale de la Faculté de médecine de l'Université de Genève, a fait remarquer que « si le nouveau traité sur les pandémies est adopté par les États membres, cela signifie que la Constitution de l'OMS (conformément à l'article 9) primera sur la Constitution de chaque pays en cas de catastrophe naturelle ou de pandémie. En d'autres termes, l'OMS dictera aux autres pays et ne fera plus de recommandations. »
Qui est l'OMS ?
Selon les nouvelles règles, le directeur général de l'OMS aurait le pouvoir ultime de déterminer, par exemple, si le Brésil, l'Allemagne ou les États-Unis doivent imposer un confinement pandémique de type Shanghai ou toute autre mesure qu'il déciderait. Ce n'est pas une bonne chose. Surtout lorsque le chef de l'OMS, Tedros, originaire de la région du Tigré en Éthiopie, est un ancien membre du Politburo de l'organisation marxiste désignée comme terroriste (à l'époque par Washington), le Front de libération du peuple du Tigré. Il n'est pas titulaire d'un diplôme de médecine, le premier dans l'histoire des directeurs généraux de l'OMS à ne pas en avoir. Il est titulaire d'un doctorat en santé communautaire, un domaine assurément vague, qui ne constitue pas une qualification médicale pour un tsar de la santé mondiale. Parmi les articles scientifiques qu'il a publiés figurent des titres tels que « Les effets des barrages sur la transmission du paludisme dans la région du Tigré ». Il aurait obtenu son poste à l'OMS en 2017 grâce au soutien de Bill Gates, le plus grand donateur privé de l'OMS.
En tant que ministre éthiopien de la Santé sous la dictature dirigée par le Tigré, Tedros a été impliqué dans la dissimulation scandaleuse de trois grandes épidémies de choléra dans le pays en 2006, 2009 et 2011. Un rapport d'enquête publié par la Society for Disaster Medicine and Public Health a révélé que, lors d'une des principales épidémies de choléra, « malgré l'identification en laboratoire du V cholerae comme étant la cause de la diarrhée aqueuse aiguë (DLA), le gouvernement éthiopien (Tedros) a décidé de ne pas déclarer une « épidémie de choléra » par crainte des répercussions économiques résultant des embargos commerciaux et de la baisse du tourisme. En outre, le gouvernement, au mépris du Règlement sanitaire international (OMS), a continuellement refusé de déclarer une épidémie de choléra et a largement décliné l'aide internationale. »
En tant que ministre éthiopien de la Santé, puis des Affaires étrangères, Tedros a été accusé de nettoyage ethnique systématique contre les tribus rivales du pays, en particulier les Amharas, de refuser aux partisans de l'opposition l'aide alimentaire de la Banque mondiale et d'autres organismes, ainsi que de népotisme et de détournement de fonds internationaux destinés à la construction d'hôpitaux pour soutenir politiquement son parti minoritaire. Ironiquement, c'est le contraire de la nouvelle loi sur l'OMS que Tedros soutient aujourd'hui. Le 22 septembre 2021, l'Allemagne de Merkel a proposé Tedros pour un nouveau mandat sans opposition.
OMS, Gates, GERM
Le plus grand donateur de l'OMS (incluant GAVI), l'autoproclamé « tsar du tout mondialiste », Bill Gates, a donné un avant-goût de ce qui nous attend avec les nouvelles règles. Dans son billet de blog du 22 avril, Gates propose quelque chose d'amusant avec l'acronyme GERM - Global Epidemic Response and Mobilization-team (équipe de mobilisation et de réponse aux épidémies mondiales). Il s'agirait d'une « organisation permanente d'experts entièrement rémunérés et prêts à organiser une réponse coordonnée à une épidémie dangereuse à tout moment ». Il dit que son modèle est le film hollywoodien « Alerte ! ». « Les experts en surveillance des maladies de l'équipe rechercheraient les épidémies potentielles. Dès qu'elle en repère une, le GERM devrait avoir la capacité de déclarer une épidémie... » Elle serait coordonnée par, bien sûr, l'OMS de Tedros : « Le travail serait coordonné par l'OMS, le seul groupe qui puisse lui donner une crédibilité mondiale. »
Une notion dystopique de ce qui pourrait se produire est l'actuelle fausse épidémie de « grippe aviaire », H5N1, qui entraîne l'élimination de dizaines de millions de poulets dans le monde entier si un seul poussin est testé positif pour la maladie. Le test est le même test PCR frauduleux utilisé pour détecter le COVID-19. Récemment, le Dr Robert Redfield, le chef du CDC de Trump, a donné une interview dans laquelle il a « prédit » que la grippe aviaire se propagerait à l'homme et serait hautement fatale lors de la prochaine « grande pandémie », pour laquelle le COVID-19 n'était qu'un simple échauffement. Redfield a déclaré dans une interview de mars 2022 : « Je pense que nous devons reconnaître - j'ai toujours dit que je pense que la pandémie de COVID a été un signal d'alarme. Je ne crois pas que ce soit la grande pandémie. Je pense que la grande pandémie est encore dans le futur, et qu'il s'agira d'une pandémie de grippe aviaire pour l'homme. Elle aura une mortalité significative de l'ordre de 10 à 50%. Il y aura des problèmes ». En vertu des nouveaux pouvoirs dictatoriaux de l'OMS, celle-ci pourrait déclarer une urgence sanitaire sur une telle fraude, sans tenir compte des preuves contraires.
Monkeypox : « Trompez-moi deux fois, honte à moi »
Par Mike Whitney La revue Unz 23 mai 2022
"Je n'arrive pas à croire que c'est déjà la saison de la variole du singe et je n'ai même pas enlevé mes décorations ukrainiennes." Robin Monotti
La prédiction de Bill Gates selon laquelle le monde serait confronté à une épidémie inattendue de variole se déroule miraculeusement. Doit-on être surpris ?
Je sais que je ne le suis pas. Voici le devis qui a été délivré par Gates 6 mois avant l'enregistrement du premier cas.
"Il faudra probablement environ un milliard par an pour un groupe de travail sur la pandémie au niveau de l'OMS, qui fait la surveillance et fait ce que j'appelle des" jeux de germes "où vous pratiquez… Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait variole à 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Bill Gates, Sky News, 6 novembre 2021
On ne peut que s'émerveiller devant les extraordinaires pouvoirs de perception de Gates. Il est comme une sorte de devin logiciel capable de deviner l'avenir à partir des entrailles des animaux. C'est ça, ou a-t-il une boule de cristal cachée quelque part dans les entrailles de son manoir du lac Washington ? Quoi qu'il en soit, c'est vraiment étonnant. Voici plus du World Socialist Web Site :
"Une épidémie sans précédent de virus monkeypox s'est officiellement propagée à 10 pays en dehors de l'Afrique, avec 107 cas confirmés ou suspects signalés à ce jour, au Royaume-Uni (9 cas), au Portugal (34), en Espagne (32), en France ( 1), la Belgique (2), la Suède (1), l'Italie (3), le Canada (22), les États-Unis (2) et l'Australie (1).
Beaucoup reste inconnu sur la cause de l'épidémie, qui est l'épidémie de monkeypox la plus dispersée géographiquement et la plus rapide depuis la découverte du virus en 1958. Dans les jours et semaines à venir, davantage de données et de connaissances scientifiques émergeront, mais il existe déjà une profonde inquiétude au sein de la communauté scientifique et du public, qui s'est largement exprimée sur les réseaux sociaux. ("Plus de 100 infections à monkeypox détectées dans 10 pays alors qu'une épidémie sans précédent se propage dans le monde", World Socialist Web Site)
Répétition : "L'épidémie de monkeypox qui s'est propagée le plus rapidement depuis la découverte du virus en 1958".
Je me demande si cette partie « propagation rapide » a quelque chose à voir avec la façon dont les chercheurs ont peaufiné le gain de fonction de ces agents pathogènes uniques afin de les rendre plus contagieux et plus mortels ? C'est ce qui se passe ?
Nous ne le saurons probablement jamais.
Et est-il juste de se demander si la variole du singe pourrait être un autre virus généré en laboratoire qui a été concocté dans les quelque 300 laboratoires secrets financés par le Pentagone dispersés dans le monde entier qui mènent actuellement une guerre massive contre l'humanité pour faire avancer les ambitions des élites milliardaires qui se sont engagées à réduire la population mondiale tout en imposant une surveillance stricte et policière de l'État à chaque être sensible sur la planète Terre ?
Nous n'obtiendrons probablement pas de réponse à celle-là non plus.
Dans un souci d'équité, cependant, nous devons mentionner que des médias "réputés", comme le magazine Newsweek, ont réfuté l'affirmation selon laquelle Gates aurait fait la prédiction à laquelle nous avons fait allusion ci-dessus. Voici l'explication de Newsweek :
"Alors que Gates a parlé de la possibilité d'attaques bioterroristes de variole dans le passé, ses commentaires ont été légèrement sortis de leur contexte et ne mentionnent pas la variole du singe." (Vérification des faits : Bill Gates a-t-il prédit l'épidémie de monkeypox ? Newsweek)
"Un peu hors contexte ?" Vous voulez dire que Gates n'a PAS attiré l'attention sur une maladie infectieuse particulière (la variole) qui a réapparu comme par magie après l'extinction quelques mois plus tard ? De quel « contexte » parle l'auteur ? Nous aimerions savoir.
À proprement parler, peu importe ce que Newsweek dit ou ne dit pas, après tout, Gates est devenu l'incarnation de tout ce qui ne va pas avec la Gestapo de la santé publique d'aujourd'hui, c'est pourquoi il est devenu un pôle d'attraction pour les critiques. Et, qu'il ait été traité équitablement ou non, un nombre important de personnes croient assez fermement que Gates est le cerveau derrière un plan visant à utiliser des maladies infectieuses générées en laboratoire pour subjuguer la population mondiale afin d'établir un Nouvel Ordre tyrannique contrôlé par des voraces. des élites comme lui. Et le nouveau traité d'éviscération de la souveraineté de l'OMS souligne davantage ce point, en fait, il semble suggérer que Gates et ses compagnons de voyage croient que leur ambition de toute une vie de gouverner le monde est désormais à leur portée. Vérifiez-le:
En recherchant cet article, je suis tombé sur un certain nombre de friandises que les lecteurs pourraient trouver intéressantes. Par exemple, j'ai découvert qu'il y avait eu un exercice sur table simulant une pandémie mondiale impliquant une souche inhabituelle de #monkeypox » qui a eu lieu en mars 2021. Il est étonnant de voir combien de ces « exercices préparatoires » semblent avoir lieu juste avant certains événements particulièrement événement horrible. Pouvons-nous tous les rejeter comme de simples coïncidences ? Découvrez ce texte de présentation du Brownstone Institute :
"... les médias du monde entier sont en alerte rouge face à la toute première épidémie mondiale de Monkeypox à la mi-mai 2022, un an seulement après qu'une conférence internationale sur la biosécurité à Munich a organisé une simulation d'une" pandémie mondiale impliquant une souche inhabituelle de Monkeypox » à partir de la mi-mai 2022.
Le monkeypox a été identifié pour la première fois en 1958, mais il n'y a jamais eu d'épidémie mondiale de monkeypox en dehors de l'Afrique jusqu'à présent - dans la semaine exacte du mois exact prédit par les spécialistes de la biosécurité dans leur simulation de pandémie. Emmenez ces gars à Vegas !
L'épidémie mondiale de Monkeypox - qui se produit au moment exact prévu par une simulation de biosécurité d'une épidémie mondiale de Monkeypox un an auparavant - ressemble de façon frappante à l'épidémie de COVID-19 quelques mois seulement après l'événement 201, une simulation d'une pandémie de coronavirus presque exactement comme COVID-19 [FEMININE. " ("Monkeypox était une simulation de table uniquement l'année dernière", Brownstone Institute)
Et voici une vidéo d'une minute et demie qui aide à expliquer l'extrait ci-dessus. (Vidéo) Vous remarquerez peut-être que l'ancre rapportant l'épidémie (simulée) dit: "Les scientifiques ont décidé que ce virus monkeypox a été conçu."
Euh hein. Et, plus loin, l'un des analystes offre ces conseils prémonitoires : "Nous voyons beaucoup moins de cas où les gouvernements ont pris des mesures précoces et décisives"
Que penses-tu que cela signifie ? Cela pourrait-il signifier que nous ferions mieux de nous préparer pour une autre série de injections expérimentales de caillots ? C'est ça que ça veut dire ?
Alors, voici votre quiz pandémique du jour : selon vous, quelles sont les chances qu'une maladie étrange, comme Monkeypox, puisse éclater spontanément dans 10 endroits différents à travers le monde (où elle n'était jamais apparue auparavant) exactement au même moment ?
Que diriez-vous d'une chance "zéro" ? Est-ce trop élevé ?
Je vais m'avancer ici et dire qu'il n'y a aucune chance que cette nouvelle maladie se produise "naturellement". La seule hypothèse rationnelle que l'on puisse faire est que la variole du singe, comme Covid, est un pathogène généré en laboratoire propagé par des agents secrets qui mènent une guerre biologique contre la population mondiale. Mais nous devrons consulter le Dr Fauci à ce sujet et voir s'il est d'accord. Voici plus du WSWS:
« Dans des articles préliminaires, les scientifiques spéculent que le virus, qui est endémique dans certaines parties de l'Afrique, aurait pu évoluer pour devenir plus contagieux et mieux adapté à la transmission interhumaine. De plus, presque toutes les personnes de moins de 42 ans n'ont pas reçu de vaccin contre la variole (qui est efficace à 85 % pour prévenir l'infection par le monkeypox) depuis l'éradication de la variole en 1980. En conséquence, ils n'ont aucune immunité et les jeunes adultes peuvent être infectés comme facilement comme des enfants. »(WSWS)
Cela confirme simplement qu'une autre campagne de vaccination de masse est en cours. Voici plus du même article:
"L'émergence de plusieurs cas dans différents pays est profondément problématique..." Étant donné que nous avons maintenant vu des cas confirmés en provenance du Portugal, des cas suspects en Espagne, nous assistons à cette expansion des cas confirmés et suspects dans le monde, nous avons le sentiment que personne n'a les bras autour de cela pour savoir à quel point cela pourrait être grand et expansif….
Dans presque toutes les déclarations publiques des épidémiologistes, ils ont tous admis être déconcertés par la façon dont le virus est déjà enraciné dans les communautés, étant donné qu'il est normalement extrêmement rare. Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security, a déclaré à STAT News : "Cela commence avec beaucoup plus d'ancrage, de manière beaucoup plus distribuée, et nous ne comprenons pas comment cela est entré dans ces réseaux". ("Plus de 100 infections à monkeypox détectées dans 10 pays alors qu'une épidémie sans précédent se propage dans le monde", World Socialist Web Site)
Alors, c'est déjà partout ? Alors, qu'est-ce qu'on fait ?
La réponse évidente est de se confiner, de se masquer et de se faire vacciner dès que possible. Sinon, la majeure partie de la population mondiale pourrait faire face à une mort atroce… tout comme Covid, vous vous souvenez ?. Bien sûr, certaines personnes pourraient conclure que nous sommes à nouveau délibérément induits en erreur et que 2 pandémies en 2 ans est une impossibilité statistique. Mais pourquoi être raisonnable quand l'hystérie de masse est à l'ordre du jour ? Voici plus:
« Le nombre d'effets secondaires graves du vaccin contre la variole rend problématique son utilisation dans une campagne de vaccination de masse. Cependant, en raison de la longue période d'incubation du monkeypox, le vaccin contre la variole peut fonctionner comme une prophylaxie post-exposition dans un modèle de "vaccination en anneau"...". (WSWS)
En d'autres termes, ne vous laissez pas dissuader par les taux vertigineux de crises cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de coagulation sanguine ou de décès. Suivez simplement les recommandations réfléchies du CDC et tout ira bien. En outre, le gouvernement a déjà acheté 13 millions de ces nouveaux vaccins mortels empoisonnés (les États-Unis achètent 13 millions de doses de vaccin Monkeypox), alors calmez-vous, respirez profondément et retroussez vos manches. Nous connaissons tous l'exercice maintenant.
Cependant, nous nous grattons la tête lorsque nous lisons les événements suspects dans les laboratoires biologiques secrets du Pentagone qui semblent être engagés dans toutes sortes de tromperies illicites, y compris la création à l'échelle industrielle d'agents pathogènes mortels qui pourraient exterminer des milliards de personnes. d'un seul coup. Cela nous empêche de dormir la nuit. Consultez cet article dans Tass :
« Les États-Unis ont fait des recherches sur les virus Ebola et de la variole en Ukraine, déclare Irina Yarovaya, coprésidente de la commission parlementaire d'enquête sur les laboratoires biologiques américains en Ukraine.
"Aujourd'hui, nous avons présenté une analyse des agents pathogènes qui intéressaient particulièrement les États-Unis en Ukraine", a-t-elle déclaré aux journalistes vendredi. "Outre les agents pathogènes qui sont territorialement liés à l'Ukraine, [les laboratoires] ont recherché des virus et des agents pathogènes qui sont endémiquement très éloignés de l'Ukraine, comme Ebola et la variole."
Selon le législateur, les informations obtenues indiquent « une fixation d'objectifs agressive qui sous-tend le fondement de ces programmes, de facto mis en œuvre par le département américain de la Défense sur le sol ukrainien ».…
«Je voudrais souligner que le dialogue que nous avons eu avec le chef du SVR aujourd'hui, combiné aux preuves obtenues par la commission, confirme pleinement le réseau de renseignement biologique créé par les États-Unis dans le monde et la mise en œuvre d'une exploitation militaro-biologique active du globe. , et l'Ukraine en particulier. Cela constitue essentiellement une grave menace mondiale »….
« Mais en même temps, [il devrait] exhorter la communauté mondiale à aller sérieusement au fond de cette activité biologique militaire secrète et dangereuse, mise en œuvre par les États-Unis. Afin que des mesures globales relatives à la sécurité commune, égale et indivisible puissent être développées. Compte tenu de la distinction entre utilisation pacifique et non pacifique de la recherche bactériologique et de l'étude des toxines, celle-ci doit être totalement transparente et contrôlée. Et il ne doit tout simplement pas y avoir d'armes bactériologiques dans le monde, c'est la position principale de la Russie. (« Un législateur russe clé révèle des recherches illicites sur Ebola et la variole au biolab ukrainien géré par les États-Unis », Tass)
Alors, que se passe-t-il ici ? Pourquoi le Pentagone a-t-il plus de 300 laboratoires biologiques répartis dans le monde entier menant des recherches secrètes de gain de fonction sur des agents pathogènes qui constituent une menace claire pour toute l'humanité ? Et pourquoi le Pentagone s'est-il associé à des élites notoires dont les liens avec les mouvements eugénistes, dépeuplement et climatiques suggèrent que la recherche pourrait être façonnée selon un programme stratégique particulier qui pourrait impliquer des pertes importantes ?
Et si Monkeypox n'était pas, en fait, un virus naturel mais simplement la prochaine phase d'une guerre implacable contre le gouvernement constitutionnel, la liberté individuelle et les institutions de base de la civilisation moderne ? Peut-être sommes-nous préparés pour une civilisation complètement différente, une civilisation dans laquelle toutes nos décisions seront prises pour nous par des aînés éclairés, des parties prenantes d'entreprises et des philanthropes bien intentionnés. Est-ce possible?
Premièrement, il n'y en aurait pas dans les boites de singe ! Donc, vous pouvez continuer à acheter du corned-beef. Deuxièmement, après le lancement des propagande nazies "Vive les gouines et les pédés !" voici qu'arrive faites çà avec des animaux ! (chiens, chats, singes, hippopotame, crocodile, etc), après çà arrivera l'épidémie mondiale (interplanétaire et intergalactique ?) du 'pet de fourmi' et du 'Fourmi encore' !
Le moyen d'arrêter l'épidémie de faux virus de singe est de ne pas se faire injecter
De Wayne Lusvardi 23 mai 2022
La peur virale du jour, la fausse épidémie de virus du singe, actuellement produite à l'usine de virus CDC, se propagerait aux États-Unis et en Europe. On mentionne moins qu'il survient exclusivement chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec d'autres hommes et ne se propage qu'au sein de réseaux sexuels étroits. Mais les médias alimentent la crainte que le virus du pseudo-singe, qui se serait déjà propagé à travers les espèces animales jusqu'aux humains, se propagera d'une manière non sexuelle chez les humains.
Mais les virus ne sont pas des germes ou des microtoxines, ne sont pas contagieux par la salive ou le mucus en suspension dans l'air et ne peuvent pas se propager d'une espèce à l'autre. La seule façon pour un humain de contracter un virus animal est par injection. Il existe 300 000 variétés d'un virus ou d'une grippe en raison des 300 000 types de tissus différents dans le corps humain. Un virus est un détergent naturel fabriqué par le corps humain pour purger principalement les bactéries (appelé rhume) ou éliminer les produits chimiques inorganiques et les médicaments (appelé grippe ou virus). L'activation interne des virus dépend des changements saisonniers de climat-température ou des bâtiments à température contrôlée, et non de la ventilation dans les bâtiments (voir audio Aajonus Vonderplanitz Talks Viruses and Swine Flu). Les virus peuvent également commencer leur cycle de rinçage à partir d'expositions électromagnétiques. Cette perception sociale erronée de la contagion virale est similaire à celle du béri-béri et du scorbut, autrefois considérés comme infectieux, mais qui se sont révélés être des carences nutritionnelles. Mais les virus ne proviennent pas d'une carence nutritionnelle et sont des agents d'auto-nettoyage bénéfiques.
Indépendamment de tout ce qui précède, les médias espagnols rapportent que le virus du singe s'est propagé par contact humain dans un sauna. Aucune mention n'a été faite si la chaleur du sauna peut avoir excité des virus pour commencer à déverser des toxines tout comme un bain de sel d'Epsom libère des toxines et des métaux lourds. Ou si ceux qui étaient dans le sauna prenaient tous des médicaments qui déclenchaient une infection virale.
La pneumonie peut être auto-déclenchée lorsque le foie d'une personne est infecté par des toxines et que l'on surmène le foie en mangeant des aliments acides. Comme le déclare le Dr Henry Beiler, MD : « Lorsque le foie est appauvri en sodium afin de neutraliser ses acides, sa fonction peut être si sévèrement inhibée que la maladie en résulte… Lorsqu'il y a un drainage trop rapide du sodium disponible du foie, le foie les cellules meurent ».
Néanmoins, les États-Unis ont commandé pour 119 millions de dollars de « voxxines » de Monkey Pox (intentionnellement mal orthographié). Apparemment, ces « voxxines » de Monkey Pox seront en fait réétiquetées à partir d'un stock existant de « voxxines » de variole. Les « voxxines » de la variole sont les « voxxines » originales de la grippe porcine qui ont tué 284 000 personnes. Selon le Dr Eleanor McBean, PhD, la grippe porcine fabriquée en laboratoire était un canular destiné à paniquer les gens pour qu'ils prennent des voxxines. La seule façon d'arrêter une soi-disant épidémie de virus animal est de ne jamais se faire injecter par un médecin.
Les symptômes de la pseudo-variole du singe sont curieusement similaires à ceux du rhume ou de la grippe : fièvre, maux de tête, courbatures et fatigue. Le symptôme distinctif de Monkey Pox est une éruption cutanée qui se produit sur tout le corps humain, y compris parfois des cloques. Cela signifie généralement que le foie est tellement infecté que la peau essaie d'évacuer les toxines par ses pores.
Par coïncidence, les symptômes de la variole du singe sont compatibles avec l'abus du médicament nitrate d'amyle (réaction allergique comme une éruption cutanée, démangeaisons de l'urticaire, peau rouge, enflée, boursouflée ou qui pèle avec ou sans fièvre). Les poppers Amyl Nitrate sont un aphrodisiaque pour améliorer les sensations sexuelles. Le nitrate d'amyle est une toxine qui peut déclencher des virus pour commencer naturellement le processus de purge qui peut provoquer une infection du foie lorsque le foie est infecté. Le nitrate d'amyle est une molécule du sel d'alcool amylique et d'acide nitrique. Il augmente l'acidité de l'urine.
Le resvératrol réduit la réplication perçue du virus du singe
Pas moins que le CDC rapporte que le resvératrol réduit considérablement la réplication du virus monkeypox. Mais il n'y a pas de germe viral qui se réplique, car un virus n'est pas vivant, ne peut pas se reproduire et les solvants cellulaires ne sont pas contagieux. Cependant, une fois qu'une cascade de virus commence dans un ensemble de cellules humaines, un virus peut signaler à d'autres groupes de cellules du corps de commencer un nettoyage qui apparaît comme une réplication.
La fonction du resvératrol est de protéger les plantes des attaques de bactéries ou de champignons. Mais l'avantage le plus important du traitement du virus du singe est qu'il contrebalance un mauvais équilibre du pH (acide alcalin), en particulier lorsque l'acidité interne est trop élevée. Comme indiqué ci-dessus, l'acidose peut déclencher des détergents viraux pour commencer à nettoyer les cellules. De plus, l'oxalose peut muter le globule rouge en levure, moisissure ou champignon. Sans le globule rouge pour transporter l'oxygène avec l'hémoglobine dans les poumons, on peut souffrir d'hypoxie, l'un des symptômes les plus répandus du bugaboo Coronavirus. Un autre avantage pour la santé du resvératrol est qu'il peut réduire les caillots sanguins, en particulier ceux associés au COVID-19. Cependant, si l'on a un grave problème de coagulation, des anticoagulants plus puissants devront être administrés.
Le virus du singe se propage par injection et non par contagion. Néanmoins, la grippe et les virus peuvent être déclenchés de manière interne, parmi de nombreux autres facteurs, par les changements de température saisonniers ou artificiels des bâtiments et la sensibilité à la surcharge toxique du corps et à l'acidité.
Ceci est entièrement un avis non médical et ne doit pas être interprété comme un avis médical.
C'est vraiment une pandémie de CONTRÔLE sur les gens plutôt qu'une propagation de virus
Sunday, May 22, 2022 by: S.D. Wells
(Natural News) Cela ne peut pas vraiment être qualifié de pandémie lorsque moins de la moitié d'un pour cent des personnes qui attrapent le virus en meurent, et 99 pour cent de ces personnes meurent déjà d'un cancer, d'une maladie cardiaque, du diabète, de médicaments sur ordonnance ou démence. Tous les autres qui sont censés être morts du virus de Wuhan SARS-CoV-2 sont morts d'autre chose, mais les médecins et les hôpitaux ont qualifié leur décès de "mort avec COVID" afin d'obtenir des bonus du régime Biden corrompu jusqu'au cœur, qui a s'est entendu avec Big Pharma pour installer un autre type de "pandémie" - celle de POPULACE CONTROL.
Avouons-le, la « pandémie » a été conçue pour voler une élection, écraser l'économie américaine et démanteler la Constitution, une fois pour toutes. Prévu dans les laboratoires depuis des années, le gain de fonction n'est pas un terme utilisé pour décrire un virus dans la nature. Le gain de fonction signifie qu'un virus a été conçu pour pouvoir être transféré des animaux aux humains, alors qu'il ne le faisait pas auparavant et ne le pouvait pas.
Dans la Chine communiste, si vous critiquez le gouvernement de quelque manière que ce soit, vous êtes jeté en prison et vos organes sont prélevés pour être vendus au marché noir. Il n'y a pas de liberté de religion, de presse, d'expression ou de droit de porter des armes (ils ont les lois de contrôle des armes les plus strictes sur Terre). Saviez-vous qu'avant que Biden ne vole les élections, les médias d'État chinois ont déclaré leur soutien aux démocrates, car ils sont connus pour être des sympathisants communistes ?
En fait, le régime communiste chinois a provoqué la pandémie de coronavirus. Ils sont responsables du crash de notre économie, de centaines de millions de bulletins de vote postaux contrefaits utilisés pour voler les États swing lors des élections du POTUS, et de la poussée massive de vaccins qui a tué plus d'Américains que n'importe quelle pandémie qui ait jamais balayé ce pays. Regardons CA de plus près.
L'ultime THÉORIE DU COMPLOT est que les vaccins COVID-19 sont "sûrs et efficaces" Le complexe industriel des vaccins adore cracher son dicton préféré dans tous les médias tout le temps, "sûr et efficace". Vous le voyez diffusé sur le site Web du CDC en ce moment. Aucune mention des millions de cas de myocardite et de caillots sanguins à travers le monde. Aucune mention du fait que les vaccins contre la grippe de Wuhan ont blessé plus de personnes en seulement deux ans que tous les vaccins combinés depuis leur création, il suffit de vérifier les statistiques du VAERS à ce sujet. Le CDC est corrompu jusqu'au cœur et le pivot de la pandémie de contrôle et de réduction de la population.
Ensuite, il y a les histoires de couverture pour les dommages causés par les vaccins. Ils commencent par des noms comme "Long COVID" et "Long Haul COVID" et même "Chronic COVID". Cela signifie des dommages induits par le vaccin à long terme. Dire que les vaccins contre la grippe Fauci sont "sûrs et efficaces" est une théorie du complot. C'est un complot.
Si vous dites que n'importe quel type de vaccin est "sûr et efficace", ou si vous l'imprimez, ou même si vous le croyez, vous êtes un théoricien du complot. Aucun vaccin n'a jamais été prouvé sûr ou efficace, par quelque moyen que ce soit. Pas dans les essais cliniques. Jamais. Il n'y a aucune source pour cette affirmation, à part le jargon du mantra jeté partout par le CDC. La vérité est que les vaccins sont des médicaments à base d'huile de serpent, vendus par des vendeurs d'huile de serpent et soutenus par des fabricants d'huile de serpent, qui ne peuvent jamais être poursuivis devant un tribunal américain (le Congrès l'a approuvé).
Les «vaccins» COVID-19 sont de l'huile de serpent vendue par des vendeurs d'huile de serpent Big Pharma possède et exploite un complexe de fabrication d'huile de serpent. Ce complexe a des laboratoires partout dans le monde, travaillant en ce moment sur plus d'injections de mutations génétiques "gain de fonction" qui rendront les humains malades au point d'une mort prématurée certaine. Des gens comme Anthony Fauci et Bill Gates sont des barons voleurs – des gens qui s'enrichissent grâce à des «pratiques commerciales» impitoyables et sans scrupules. La pandémie de COVID est la plus grande entreprise commerciale jamais lancée, et nous n'en sommes qu'à deux ans. Combien de tombes seront creusées pour les victimes de la violence vaccinale ?
Bill Gates l'a dit lui-même il y a quelques années à peine, que si nous faisons un "très bon travail avec les vaccins et les soins de santé", nous pouvons réduire la population mondiale de quelques milliards. Comment les vaccins réduisent-ils la population ? Comment les soins de santé réduisent-ils la population ? Avez-vous déjà pensé à cela? Les vaccins contre le virus de Wuhan provoquent une coagulation sanguine sévère et c'est ainsi que des millions de personnes meurent en ce moment. Les soins de santé signifient subventionner les trafiquants de drogue et contraindre les Noirs à se faire avorter. Vous voyez? La pandémie est une pandémie de contrôle et de réduction de la population. Ce n'est pas une théorie du complot, car la science le prouve. Renseignez-vous sur les nanoparticules dans les vaccins contre la grippe Fauci et vous le saurez.
Garde tes yeux ouverts. Écoutez les mondialistes vous dire exactement ce qu'ils font et comment. C'est juste devant vos yeux et c'est dans vos oreilles toute la journée, si vous écoutez le message des médias de masse. Les théoriciens du complot affirment toujours que chaque vaccin est « sûr et efficace », alors qu’il s’agit de mécanismes vraiment mortels de réduction de la population, tout comme les cigarettes.
Faites vos propres recherches et n'utilisez PAS Google. Essayez le moteur de recherche Brave BETA et obtenez plus de nouvelles et d'informations réelles. Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur les « vaccins » Covid expérimentaux et sales qui provoquent des caillots sanguins et d'autres effets secondaires horribles similaires aux effets du venin de serpent. Encore une fois, nous devons nous demander combien de tombes seront creusées pour les victimes de la violence vaccinale ?
Enfin, si vous avez reçu un vaccin contre un caillot COVID ou deux ou trois, voici comment vous pourriez savoir que vous avez des caillots sanguins causés par eux. Regardez cette courte vidéo avertissant le monde des mécanismes de réduction de la population appelés «vaccins» et de la façon dont ils provoquent généralement des caillots sanguins mortels. Voici les symptômes à rechercher :
C'est reparti: MONKEYPOX est le prochain "scariant" qui se déchaîne sur le monde pour exiger la conformité aux vaccins
dimanche 22 mai 2022 par : Ethan Huff
(Nouvelles naturelles) Oh non ! Une autre maladie effrayante appelée "monkeypox" est censée se propager, ce qui signifie que les pouvoirs en place se préparent à déclencher une autre série de tyrannie plandémique qui inclura certainement un autre nouveau "vaccin" magique délivré à une vitesse fulgurante.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont nous savons qu'elle est activement engagée dans la recherche sur les armes biologiques, a lancé une réunion d'urgence au Royaume-Uni pour discuter de la prétendue menace du monkeypox. La branche des Nations Unies affirme que les «cas» de la maladie devraient «doubler» de neuf à 18, nécessitant une intervention.
Les autorités stockent déjà davantage de vaccins contre la variole, qui, selon elles, traiteront les personnes qui ont peut-être déjà été exposées au monkeypox. Le gouvernement britannique a environ 5 000 injections dans son stock national existant et en a commandé 20 000 autres en complément.
Selon les «experts», les hommes homosexuels et bisexuels sont les principaux propagateurs de la variole du singe, alors peut-être qu'un «remède» sera publié juste pour eux pour aider à arrêter la propagation.
"Une ligne de conduite potentielle à évoquer sera de savoir si la vaccination avec le vaccin contre la variole fabriqué par Bavarian Nordic, connu sous le nom de Jynneos aux États-Unis et Imvanex au Royaume-Uni, doit être utilisée pour les contacts de personnes connues pour être infectées", rapporte le Telegraph. .
"Le vaccin n'est approuvé qu'au Royaume-Uni pour la protection contre la variole - bien que le virus ait été éliminé depuis 1980 - mais peut être utilisé" hors licence "pour se protéger contre [la variole du singe]."
Le monkeypox est-il une maladie homosexuelle ? Même si l'ivermectine et l'hydroxychloroquine (HCQ) étaient totalement interdites d'utilisation contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) parce que cela aurait été hors AMM, il est apparemment très bien de commencer à injecter des cas suspects de monkeypox avec des vaccins contre la variole.
Les "experts" affirment que le vaccin contre la variole est le seul virus non réplicatif au monde pour la variole ou la variole du singe, réduisant le risque de maladie d'une personne d'environ 85 %.
"Si une personne reçoit le vaccin dans les quatre jours suivant l'infection, le vaccin peut modifier le cours de l'infection et améliorer son pronostic", affirme le Telegraph.
"Il y a une inquiétude croissante concernant l'épidémie, qui constitue au moins neuf cas au Royaume-Uni et a été observée dans divers autres pays. Des équipes de santé ont été déployées dans le monde entier pour isoler et contacter les personnes touchées, les hommes homosexuels et bisexuels étant invités à porter une attention particulière à toute nouvelle éruption cutanée ou lésion sur leur corps, en particulier sur leurs organes génitaux.
Sur les neuf cas de monkeypox qui ont été identifiés au Royaume-Uni jusqu'à présent, six d'entre eux sont survenus chez des hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes. Cela suggère que la variole du singe pourrait être une maladie homosexuelle.
"Nous exhortons les hommes homosexuels et bisexuels à être conscients de toute éruption cutanée ou lésion inhabituelle et à contacter un service de santé sexuelle sans délai s'ils ont des inquiétudes", a annoncé le Dr Susan Hopkins, médecin-chef de l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA). conseiller.
Le professeur Kevin Fenton, également de l'UKHSA, a ajouté qu'il souhaitait que tout le monde soit "conscient des signes et des symptômes, qui comprennent des éruptions cutanées autour de la bouche, ainsi qu'autour de la région génitale".
De nouveaux cas de monkeypox seraient également apparus comme prévu en France, en Italie, en Suède et en Australie, ainsi qu'aux États-Unis, en Espagne, au Portugal et au Canada.
Avec la façon dont les médias parlent de monkeypox, il ne serait pas surprenant de voir cela devenir le nouveau "covid", rempli de mandats de masque, d'édits de distanciation sociale et éventuellement de mandats de piqûre une fois qu'une autre campagne de vaccination de type Operation Warp Speed est lancée comme le "remède".
Une couverture médiatique plus connexe sur ce dernier événement de fausse bannière de maladie infectieuse peut être trouvée sur FalseFlag.news.
Plus de carburant pour le débat sur l'alimentation humaine et animale
RépondreSupprimer22 Mai 2022
Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO)*
[Cet article de 2017 n'avait pas été traduit en français par la FAO.]
(Source)
Une nouvelle étude de la FAO indique que le bétail consomme principalement des aliments impropres à la consommation humaine et que la production de viande nécessite moins de céréales qu'on ne le dit généralement.
En 2050, le monde comptera 9,6 milliards d'habitants, dont 70 % vivront dans des villes avec un revenu moyen presque deux fois plus élevé qu'aujourd'hui. Par conséquent, la demande mondiale de produits animaux continuera de croître et jouera un rôle essentiel dans la sécurité alimentaire et la nutrition au niveau mondial. Mais le bétail utilise une grande partie des terres agricoles et est souvent considéré comme une fuite de ressources. La faible efficacité du bétail à transformer les aliments pour animaux en protéines comestibles pour l'Homme et la concurrence pour l'utilisation des céréales comme aliments pour le bétail ou pour l'alimentation humaine directe sont particulièrement critiquées.
Une nouvelle étude de la FAO, publiée dans Global Food Security, révèle que le bétail se nourrit principalement de fourrages, de résidus de culture et de sous-produits qui ne sont pas comestibles pour l'Homme, et que certains systèmes de production contribuent directement à la sécurité alimentaire mondiale, car ils produisent plus de nutriments de grande valeur pour l'Homme, comme les protéines, qu'ils n'en consomment.
« Je me suis rendue compte que les gens sont continuellement exposés à des informations erronées sur le bétail et l'environnement qui sont répétées sans être remises en question, en particulier sur l'alimentation du bétail », explique Anne Mottet**, responsable du développement de l'élevage à la FAO. « Il n'existe actuellement aucune base de données internationale officielle et complète sur l'alimentation du bétail. Cette étude contribue à combler cette lacune et à fournir des preuves révisées par des pairs pour mieux informer les décideurs politiques et le public. »
Les aliments d'origine animale apportent une contribution essentielle à la nutrition mondiale et constituent une excellente source de macro- et micronutriments. Les produits de l'élevage représentent 18 % des calories mondiales, 34 % de la consommation mondiale de protéines et fournissent des micronutriments essentiels, tels que la vitamine B12, le fer et le calcium. Le bétail utilise de grandes surfaces de pâturages où rien d'autre ne pourrait être produit. Les animaux contribuent également à la production agricole en produisant du fumier et en résistant à la sécheresse. En outre, l'élevage du bétail constitue une source de revenus sûre pour plus de 500 millions de personnes pauvres, dans beaucoup de zones rurales.
Cette étude trouve que 86 % des aliments du bétail ne sont pas adaptés à la consommation humaine. S'ils ne sont pas consommés par le bétail, les résidus de culture et les sous-produits pourraient rapidement devenir un fardeau pour l'environnement à mesure que la population humaine augmente et consomme de plus en plus d'aliments transformés. Les animaux consomment également des aliments qui pourraient potentiellement être consommés par l'Homme. Les céréales représentent 13 % de la consommation mondiale de matière sèche du bétail. Certaines études antérieures, souvent citées, situent la consommation de céréales nécessaire pour produire 1 kg de viande bovine entre 6 et 20 kg. Contrairement à ces estimations élevées, cette étude montre qu'il ne faut en moyenne que 3 kg de céréales pour produire 1 kg de viande au niveau mondial. Elle montre également des différences importantes entre les systèmes de production et les espèces. Par exemple, parce qu'ils dépendent du pâturage et des fourrages, les bovins n'ont besoin que de 0,6 kg de protéines provenant d'aliments comestibles pourl'Homme pour produire 1 kg de protéines dans le lait et la viande, qui sont de meilleure qualité nutritionnelle. Les bovins contribuent donc directement à la sécurité alimentaire mondiale.
RépondreSupprimerL'étude porte également sur le type de terres utilisées pour produire des aliments pour le bétail. Les résultats montrent que sur les 2,5 milliards d'hectares nécessaires, 77 % sont des prairies, avec une part importante de pâturages qui ne pourraient pas être convertis en terres cultivées et qui ne peuvent donc être utilisés que pour faire paître des animaux. La production animale croît rapidement parce que la demande de produits animaux augmente, notamment dans les pays en développement. La FAO estime que nous aurons besoin de 70 % de produits animaux en plus d'ici 2050 pour nourrir le monde. Par conséquent, la superficie des terres nécessaires à l'élevage des animaux augmentera également si les taux de conversion des aliments pour animaux (TCA) ne sont pas améliorés davantage.
Au cours des 30 dernières années, des mesures ont déjà été prises pour améliorer les TCA grâce à la formulation des aliments, à la sélection génétique et à l'amélioration des services vétérinaires. Une conversion alimentaire améliorée (plus efficace) réduira également l'empreinte environnementale du bétail, mais des progrès continus sont nécessaires pour rendre le système plus durable. En outre, il est essentiel d'améliorer le recyclage des déchets et sous-produits alimentaires dans l'alimentation du bétail, ainsi que d'augmenter les rendements des cultures fourragères.
« La production animale, sous ses nombreuses formes, joue un rôle essentiel dans le système alimentaire, en utilisant des terres marginales, en transformant des coproduits en produits comestibles, en contribuant à la productivité des cultures et en transformant des cultures comestibles en aliments hautement nutritifs et riches en protéines. Quantifier les ressources en terres et en biomasse engagées dans la production animale et la production alimentaire qu'elles génèrent, mais aussi améliorer notre capacité de modélisation en incluant les tendances dans les préférences des consommateurs, les changements dans les espèces animales, les impacts du changement climatique et les processus industriels visant à améliorer la comestibilité humaine de certaines matières premières pour l'alimentation animale sont sans doute des informations de base nécessaires dans le cadre de recherches plus poussées sur le défi de nourrir durablement 9,6 milliards de personnes d'ici 2050 », ont conclu les auteurs.
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* Source : More Fuel for the Food/Feed Debate (fao.org)
** Pour un portrait : Anne Mottet, la compagne de Thomas Pesquet qui travaille à "sauver le monde" (lefigaro.fr)
https://seppi.over-blog.com/2022/05/plus-de-carburant-pour-le-debat-sur-l-alimentation-humaine-et-animale.html
Tous les êtres vivants jouent le rôle de recyclage de leurs consommations. Les arbres, les plantes puisent très profond dans le sol les éléments spécifiques qui conviennent à leur développement, ceux-ci sont remontés par la sève, puis les animaux et les humains arrivent, ils consomment des plantes vertes et les fruits qu'ils rendent 100 % à la terre en déféquant. Rien ne se perd tout se transforme. Il peut y avoir à manger sur Terre pour 150 milliards d'habitants qui rendront à la terre la totalité de leurs consommations. Depuis des millions d'années il ne manque pas une seule goutte d'eau. Elle s'infiltre aux planchers maritimes & océanique vers le magma qui la chauffe, la brûle et repart en galeries souterraines sous forme de vapeurs. Cette eau bouillie ressort donc toute propre aux sources de montagnes et nappes phréatiques. Et le cycle perpétuel recommence.
SupprimerIl n'y a pas de changement climatique impliquant l'être humain ou animal, il y a des saisons, des températures matinales, des températures à mi-journées comme il y a des chaleurs en été et des froideurs en hiver. C'est le cycle naturel poursuivi par notre planète avec ses produits (bois, charbon, gaz, pétrole, etc) abiotiques qui se recyclent, se recomposent indéfiniment.
C'est pourquoi il ne manque rien sur Terre, tout ce qui est sorti et reposé. Notre culture intellectuelle est capable de prouesses exceptionnelles comme d'irriguer les déserts, de construire des serres gigognes en pays froids (seul l'espace entre serre en 'poupées russes' est chauffé) et d'y faire pousser dedans tous les fruits et légumes d'ailleurs, d'y élever des animaux et même d'y vivre dedans.
La seule chose qui se perd et disparaît à jamais est la chaleur. Cette chaleur venue du magma et qui monte vers le ciel où elle perd 1°C par cent mètres.
Le cotonnier Bt donne aux agriculteurs kenyans une raison de retrouver le sourire
RépondreSupprimer22 Mai 2022
Patricia Nanteza*
« Waouh, waouh. » Je ne pouvais pas m'empêcher de dire « waouh » lorsque nous avons eu un premier aperçu d'un champ couvert de ce qui semblait être des fleurs blanches. Il semblait énorme, mais en réalité, il ne s'agissait que d'un hectare de cotonnier Bt génétiquement modifié. C'était quand même énorme, étant donné que l'agriculteur moyen en Afrique ne possède et ne cultive qu'un acre de terre (40 ares). Mais le plus impressionnant, ce sont les fleurs blanches, qui s'avèrent être des capsules de coton prêtes à être cueillies.
Nous sommes chez M. Johnson Mwai à Mbabaine, dans le comté de Kirinyaga, au centre du Kenya. Un rapide « bonjour » à son épouse, qui emballe du maïs dans des sacs, et notre visite commence. La ferme de 4 hectares de M. Mwai est bien entretenue. Des bruvellias bordent le périmètre et un terrain récemment labouré attend la pluie pour être semé en maïs. À une autre extrémité se trouvent des manguiers, mais la plus grande partie est consacrée au cotonnier – plus précisément au cotonnier Bt.
« Je cultive le cotonnier depuis 1963 et je ne peux pas m'arrêter », dit M. Mwai, 72 ans, avec un léger sourire. Mais j'ai quand même besoin de comprendre pourquoi il est passé du cotonnier conventionnel au cotonnier Bt. Il me dit que c'est grâce à M. Daniel Magondu, un stagiaire de l'Alliance pour la Science, leader paysan et notre guide pour la journée.
« Il nous a parlé des avantages de ce nouveau cotonnier », dit M. Mwai. « Il nous a dit que le cotonnier Bt ne sera pas attaqué par le ver de la capsule, ce qui nous donnera un rendement plus élevé et plus d'économies sur les pesticides puisque je traiterai moins. J'ai décidé de l'essayer. »
La variété de cotonnier Bt que M. Mzee Mwai et d'autres agriculteurs du Kenya cultivent a été mise en circulation par le gouvernement en 2020 dans le but de relancer l'industrie du coton. Cette variété a été génétiquement améliorée pour résister à l'infestation par le ver de la capsule africain, le ravageur du cotonnier le plus destructeur au Kenya. L'infestation par les ravageurs représente 45 % des pertes dans les exploitations.
Auparavant, nous avions visité la ferme de M. Bernard Wachira dans le village de Makuti, sous-comté de Kirinyaga. M. Wachira cultive du cotonnier Bt sur un acre [40 ares], consacrant le reste de ses terres aux mangues, au bruvellia et aux vaches. M. Wachira et M. Mwai sont représentatifs des autres producteurs de coton du comté. Ils pratiquent tous la polyculture et subdivisent leurs terres en petites parcelles pour y faire pousser diverses cultures. Cela garantit un flux continu de revenus et sert également d'assurance en cas d'échec d'une culture.
Miraa, le nom local du khat (Catha edulis), est une culture de grande valeur qui fournit un revenu pour les besoins courants tels que les soins de santé, la nourriture et l'éducation. Le maïs est un aliment de base et le cotonnier une culture de rente qui est récoltée quatre fois par an. Les bruvellias, avec leurs larges branches, offrent une ombre bienvenue contre la chaleur. Ils sont également utiles pour le bois de chauffage et la construction d'abris temporaires pour le bétail.
RépondreSupprimerLe cadre typique de la ferme de Kirinyaga contredit l'idée selon laquelle l'agriculture génétiquement modifiée implique toujours des monocultures sur de grandes superficies et ne peut donc pas se développer sans éradiquer le système agricole mixte typique de l'Afrique, composé de petits exploitants.
Les grands avantages du Bt
Pour soutenir les agriculteurs comme M. Mwai et M. Wachira, le gouvernement distribue gratuitement des semences de cotonnier Bt par l'intermédiaire d'une société appelée Mahyco. Toutefois, selon M. Magondu, producteur de coton de longue date et défenseur de la biotechnologie, au Kenya, « les semences de cotonnier ont toujours été gratuites. Ce n'est pas particulier à la graine de cotonnier Bt ». Environ 1,5 kilogramme de semences est généralement nécessaire pour planter un acre [40 ares].
La grande différence se voit à la récolte. Les agriculteurs qui cultivent du cotonnier conventionnel récolteront 1.200 à 1.700 kg par hectare, tandis que ceux qui cultivent du cotonnier Bt récolteront 3.700 à 5.000 kg sur la même hectare. Le kilogramme de coton étant vendu 50 ksh, un cultivateur de coton Bt gagnera 185.000 ksh (1.600 USD), soit le triple du montant gagné par son homologue conventionnel.
Il convient de noter que le coton donne lieu à deux récoltes par saison, la seconde donnant un rendement plus élevé, de sorte qu'un agriculteur peut gagner en moyenne 3.240 dollars US par saison pour un hectare de coton Bt.
Comme tous les travailleurs, M. Wachira et M. Mwai sourient joyeusement lorsqu'ils parlent du jour de paie. « Ce n'est pas comme autrefois, lorsque nous vendions notre coton et attendions d'être payés des mois plus tard », nous dit M. Wachira. « Aujourd'hui, nous avons des jours de marché collectifs. Tous les agriculteurs de mon quartier apportent leur récolte à un endroit situé à l'extérieur de ma ferme et nous appelons les acheteurs. Ils viennent, pèsent et paient instantanément via Mpesa – un service de transfert d'argent par téléphone portable. » Le jour de notre visite, M. Mwai avait un magasin rempli de coton récolté et la ferme était florissante, l'incitant à en récolter davantage.
Bien qu'un producteur de coton Bt gagne 1.080 dollars de plus par hectare, ce n'est pas le seul avantage. Selon M. Mwai et M. Wachira, la germination des graines Bt est de près de 98 % si l'on ne met que deux graines par trou. Cependant, cinq à six graines de coton conventionnel sont généralement plantées par trou pour augmenter le taux de germination, qui n'est généralement que de 50 %. Un agriculteur conventionnel aura donc besoin de plus de graines au moment de la plantation.
RépondreSupprimerLe Bt est également précoce, il fleurit à trois mois et est prêt à être récolté à cinq mois environ. En outre, le cotonnier Bt est tolérant à la sécheresse. MM. Magondu, Wachira et Mwai sont convenus que bien que le cotonnier soit généralement une culture tolérante à la sécheresse, la variété Bt peut survivre avec moins de précipitations que son homologue conventionnelle.
Le Bt ayant été conçu pour résister au ver de la capsule africain, il offre une résistance supérieure aux parasites. Néanmoins, les agriculteurs devront effectuer deux ou trois traitements contre les autres parasites au cours d'une saison, contre neuf à douze – ou chaque semaine pendant trois mois – pour les variétés conventionnelles. Par conséquent, les producteurs de coton Bt économisent de l'argent à la fois sur l'achat de pesticides et sur les coûts de main-d'œuvre pour les appliquer, la réduction des traitements étant bénéfique pour la santé des agriculteurs et de l'environnement.
La culture de l'homme âgé
M. Magondu nous a informés que le coton est désormais considéré comme une culture de vieux. Lorsque les égreneurs ont fait faillite en raison de la faible production, la plupart des agriculteurs se sont naturellement tournés vers de nouvelles cultures. Aujourd'hui, Kirinyaga est plus connu pour le riz que pour le coton. Les quelques personnes qui ont persisté dans la culture du cotonnier sont devenues des hommes âgés, M. Wachira étant le plus jeune à 54 ans. Tout ce qui peut réduire l'intensité du travail, comme la réduction des traitements, est le bienvenu. M. Mwai peut traiter un peu, mais doit généralement embaucher de la main-d'œuvre depuis que tous ses enfants ont quitté la ferme et gèrent leurs propres familles.
Les boursiers de l'Alliance for Science Global Leadership Patrick Muruiki et Kennedy Oguyi, ainsi que M. Magondu, formeront bientôt les agriculteurs au cotonnier Bt dans le but d'attirer les plus jeunes.
RépondreSupprimerEn quittant Kiriyanga, nous avons vu d'énormes étendues de terres en friche qui témoignent de la passion de M. Magondu pour encourager davantage d'agriculteurs à adopter le cotonnier Bt. « Comme le riz ne peut pas bien pousser dans les terres arides, le cotonnier est le meilleur atout de ces agriculteurs puisqu'il est tolérant à la sécheresse. J'ai maintenant quelques agriculteurs et je vais continuer à encourager les autres à adopter le cotonnier Bt », a déclaré M. Magondu.
Alors que nous laissons les villages derrière nous et approchons de la ville de Mwea, les égreneuses désaffectées sont un spectacle à la fois pitoyable et plein d'espoir. Espoir, car le gouvernement kenyan a soutenu la commercialisation du cotonnier Bt dans le but de relancer l'industrie du coton. Ainsi, même s'il faudra du temps pour rénover les usines d'égrenage et faire rugir les machines, la production va à nouveau s'accélérer, pour fabriquer des tissus à partir du coton produit dans le pays.
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* Source : Bt cotton gives Kenyan farmers a reason to smile again - Alliance for Science (cornell.edu)
https://seppi.over-blog.com/2022/05/le-cotonnier-bt-donne-aux-agriculteurs-kenyans-une-raison-de-retrouver-le-sourire.html
Pénuries alimentaires dans six mois : les mondialistes nous disent ce qui se passera ensuite – Brandon Smith
RépondreSupprimerpar Aphadolie
22/05/2022
Au milieu de l’année 2007, la Banque des règlements internationaux (la banque centrale des banques centrales / The Bank for International Settlements : Banque des règlements internationaux [BIS/BRI]) a publié une déclaration prédisant l’imminence d’une « Grande Dépression » causée par une implosion du marché du crédit. La même année, le Fonds Monétaire International (FMI) a également publié des avertissements sur les « problèmes des subprimes » qui conduiraient à un conflit économique plus large. J’ai commencé à rédiger des analyses économiques alternatives un an plus tôt, en 2006, et j’ai immédiatement trouvé étrange que ces institutions globalistes massives exerçant une influence considérable sur le monde financier, commencent soudainement à ressembler à ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté.
C’était il y a 16 ans, donc beaucoup de personnes lisant ces lignes ne s’en souviennent peut-être pas, mais en 2007, les médias alternatifs avaient déjà mis en garde depuis un certain temps contre l’imminence d’un crash déflationniste sur les marchés et le prix des logements américains. Et, sans surprise, les grands médias étaient toujours là pour nier toutes nos inquiétudes en les qualifiant de « catastrophisme » et de « théorie du complot ». Moins d’un an plus tard, les premières sociétés inondées de produits dérivés ont commencé à annoncer qu’elles étaient au bord de la faillite et que tout s’effondrait.
La réponse des médias ?
Ils ont fait deux déclarations très bizarres simultanément : « Personne n’aurait pu le voir venir » et « Nous l’avons vu venir à un kilomètre à la ronde ». Les journalistes grand public se sont empressés de se positionner comme les devins de l’époque, comme s’ils avaient toujours dit que le crash était imminent, alors que seule une poignée de personnes l’avaient annoncé et qu’aucune d’entre elles ne faisait partie des médias. On a également ignoré le fait que la BRI et le FMI avaient publié leurs propres « prédictions » bien avant le crash ; les médias ont fait comme si elles n’existaient pas.
Dans les médias alternatifs, nous surveillons très attentivement les déclarations et les aveux des globalistes, car leur métier n’est pas d’analyser les menaces, mais de les synthétiser. En d’autres termes, si quelque chose va très mal dans le monde sur le plan économique, les banquiers centraux et les élites financières qui aspirent à une autorité économique unique et centralisée pour le monde ont toujours une main sur l’origine de ce désastre.
Pour une raison quelconque, ils aiment nous dire ce qu’ils sont sur le point de faire avant de le faire.
RépondreSupprimerL’idée que les globalistes créent artificiellement des événements d’effondrement économique sera bien sûr critiquée comme « théorie du complot », mais c’est un fait. Pour plus d’informations sur la réalité du sabotage financier délibéré et de l’idéologie de « l’ordre issu du chaos » des globalistes, veuillez lire mes articles « La Fed n’est qu’à une réunion de créer un puits apocalyptique sur les marchés » et « Qu’est-ce que le « Grand Reset » et que veulent réellement les globalistes ? » .
L’agenda du Grand Reset proposé par le chef du WEF (The World Economic Forum), Klaus Schwab, n’est qu’un exemple des nombreuses discussions cachées au grand jour par les globalistes concernant leurs plans pour utiliser le déclin économique et social comme une « opportunité » pour établir rapidement un nouveau système global unique basé sur le socialisme et la technocratie.
Le principal problème pour discerner les plans des globalistes n’est pas de découvrir des agendas secrets – ils ont tendance à discuter ouvertement de leurs agendas si vous savez où regarder. Non, le problème est de séparer les aveux de la désinformation, les mensonges de la vérité. Pour cela, il faut faire correspondre les livres blancs et les déclarations des globalistes aux faits et aux preuves disponibles dans le monde réel. Examinons en détail le problème de la pénurie alimentaire…
Pénuries alimentaires dans six mois
Il y a une semaine, il y a eu un torrent de communiqués de presse d’institutions globales mentionnant toutes la même préoccupation : Des pénuries alimentaires dans les 3 à 6 prochains mois. Ces déclarations correspondent de très près à mes propres estimations, car j’ai régulièrement mis en garde contre les dangers imminents de l’inflation qui conduirait au rationnement de la nourriture et aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement.
Le FMI, la BRI, la Banque globale, l’ONU, la Fondation Rockefeller, le Forum économique global, Bank of America et même Biden lui-même prédisent tous une crise alimentaire majeure à court terme, et ce n’est pas une coïncidence si les politiques de ces mêmes institutions et les actions des politiciens fantoches qui travaillent avec elles provoquent la crise qu’ils prédisent maintenant. En d’autres termes, il est facile de prédire un désastre quand on l’a créé.
On prétend que l’invasion de l’Ukraine par la Russie est la cause première, mais c’est une distraction par rapport au véritable problème. Oui, les sanctions contre la Russie finiront par entraîner une diminution de l’approvisionnement alimentaire, mais les globalistes et les médias ignorent délibérément la plus grande menace, qui est la dévaluation des devises et l’inflation des prix créée par les banques centrales qui pompent des dizaines de milliers de milliards de dollars en plans de relance pour soutenir les entreprises partenaires « trop grosses pour faire faillite ».
Rien qu’en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a injectés dans l’économie par le biais de programmes sociaux Covid. Ajoutez cela aux nombreux milliers de milliards de dollars que la Fed a imprimés depuis le crash du crédit en 2008 – C’est une fête de destruction du dollar qui n’a jamais cessé et maintenant le public commence à en ressentir les conséquences. Heureusement pour les banquiers centraux que la pandémie a frappé et que la Russie a envahi l’Ukraine, car ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité de la calamité inflationniste qu’ils ont créée sur la pandémie et sur Poutine.
RépondreSupprimerL’inflation a atteint son plus haut niveau depuis 40 ans aux États-Unis bien avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine, mais considérons les ramifications de cette guerre et la façon dont elle affecte l’approvisionnement alimentaire.
L’invasion russe perturbe certainement la production céréalière ukrainienne, qui représente environ 11 % du marché global total du blé. La Russie détient également une part de 17 % et, ensemble, ces deux nations alimentent une grande partie des pays du tiers monde et de l’Europe avec 30 % des exportations de blé et d’orge, 19 % des exportations de maïs, 23 % des exportations d’huile de Colza et 78 % des exportations d’huile de tournesol.
Les sanctions contre la Russie constituent toutefois un problème qui va bien au-delà de l’Ukraine, car la Russie produit également environ 20 % de l’approvisionnement global en ammoniac et 20 % de l’approvisionnement global en potasse. Il s’agit d’ingrédients clés des engrais utilisés dans l’agriculture industrielle à grande échelle. Les agriculteurs estiment que la flambée générale des prix sur les marchés alimentaires sera d’environ 10 %, mais je pense que ces chiffres sont très prudents. Je constate déjà des hausses de prix globales d’au moins 20 % par rapport à il y a six mois, et je m’attends à ce qu’il y ait encore 30 % de hausses de prix avant la fin de l’année. En d’autres termes, nous nous attendons à des augmentations moyennes de 50 % en 2022.
Les données officielles du gouvernement sur l’inflation et l’IPC ne sont pas fiables. Doublez les chiffres qu’ils donnent et vous serez beaucoup plus proche de la vérité. Le taux d’inflation utilisé par Shadowstats.com, calculé à l’aide de méthodes autrefois appliquées par le gouvernement américain dans les années 1980 avant qu’il ne « corrige » ses modèles pour masquer les données, soutient ma position jusqu’à présent.
Les experts agricoles américains s’attendent à ce que la Chine comble le vide où disparaissent les approvisionnements russes, mais c’est une erreur de faire cette supposition.
RépondreSupprimerIl se passe quelque chose de bizarre en Chine
La répression chinoise contre les infections Covid a atteint des niveaux si bizarres que je dois poser la question : Les mesures de confinement concernent-elles vraiment la Covid-19, ou cachent-elles autre chose ?
Le taux de mortalité lié à la Covid-19 en Chine est impossible à calculer avec précision car ils n’ont jamais publié de données correctes pouvant être confirmées. Cependant, presque partout ailleurs dans le monde, le taux médian de létalité de l’infection Covid est de 0,27 %, ce qui signifie que plus de 99,7 % des personnes dans le monde n’ont pas à craindre de mourir du virus. Mais en Chine, le PCC (Parti communiste chinois) agit comme s’il avait affaire à la peste noire. Pourquoi ?
Les fermetures ont entraîné des pénuries alimentaires dans tout le pays, les chaînes d’approvisionnement étant mises à rude épreuve et les usines restant fermées dans de nombreux cas. Mais ce dont beaucoup d’Occidentaux n’entendent pas parler, c’est du fait que les exportations chinoises ont été essentiellement gelées. Plus d’un porte-conteneurs sur cinq dans le monde est actuellement bloqué dans les ports chinois en raison de la fermeture des ports. C’est incroyable.
Pourquoi la Chine ferait-elle cela pour un virus dont nous savons tous qu’il n’est pas dangereux pour la grande majorité des gens ?
Pourquoi instituer le pire confinement du pays à ce jour et affamer sa propre population alors que la majorité des gouvernements occidentaux ont désormais abandonné leur campagne de peur de la pandémie et leur programme de vaccination forcée ?
Je pense qu’il est possible que la Chine soit déjà engagée dans une guerre économique dont beaucoup d’Américains et d’Européens ne se rendent même pas compte. Il peut s’agir d’un test bêta pour un arrêt des exportations vers les États-Unis et l’Europe, ou d’un arrêt progressif destiné à devenir permanent. Le goulot d’étranglement du commerce peut également être le précurseur d’une invasion chinoise de Taïwan.
Taïwan est en fait plus dépendante et plus imbriquée dans l’économie chinoise que beaucoup de gens ne le savent. La Chine est le plus gros acheteur des exportations taïwanaises et ces exportations représentent 10 % du PIB de Taïwan. Des centaines de milliers de travailleurs et d’hommes d’affaires taïwanais se rendent régulièrement en Chine pour travailler, un autre facteur économique qui est aujourd’hui mis à mal par les confinements. En outre, Taïwan compte de nombreuses sociétés qui exploitent leurs usines en Chine continentale, qui pourraient toutes être fermées en raison des confinements.
RépondreSupprimerTout ce que je dis, c’est que si j’étais la Chine et que je prévoyais d’envahir Taïwan dans un avenir proche, je pourrais envisager d’utiliser la Covid-19 comme couverture pour endommager d’abord leur économie et perturber leur modèle d’exportation. Les communistes considèrent la population comme une utilité qui peut être sacrifiée si nécessaire, et la Chine est parfaitement prête à causer des souffrances à court terme à son peuple si cela signifie des gains à long terme pour le parti. En outre, si je devais m’engager secrètement dans une guerre économique avec l’Occident, quel meilleur moyen que de bloquer 20 % des cargos du monde et de perturber les chaînes d’approvisionnement au nom de la protection du pays contre une « pandémie » ?
L’essentiel ?
Ne comptez pas sur la Chine pour répondre aux besoins d’exportation d’ingrédients d’engrais ou de quoi que ce soit d’autre, car les sanctions contre la Russie se poursuivent.
Inflation, offre et contrôle
Les organisations globalistes ne sont pas les seules à parler de pénuries alimentaires à venir ; le PDG de la société alimentaire internationale Goya a aussi récemment averti que nous étions au bord du précipice d’une crise alimentaire. Comme je l’ai noté dans le passé :
L’inflation conduit au contrôle des prix par les gouvernements.
Le contrôle des prix conduit à un manque d’incitations à la production (profits).
Le manque de profits conduit à une perte de production.
La perte de production conduit à des pénuries.
Les pénuries conduisent au rationnement gouvernemental (contrôle de toutes les grandes sources de nourriture).
Comme nous l’avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l’histoire moderne, le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n’est surpassé, en tant que préoccupation stratégique, que par le contrôle de l’énergie (dont nous connaîtrons bientôt des pénuries, car l’Europe sanctionne le pétrole et le gaz russes et commence à absorber les approvisionnements des autres exportateurs). La question de l’alimentation est la plus proche de nous, car nous pouvons en voir immédiatement les effets sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n’y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim.
RépondreSupprimerLes médias grand public ignorent une fois de plus toute menace économique potentielle, et plus précisément, ils nient la notion de pénurie alimentaire comme étant quelque chose dont il faut s’inquiéter. Je dis, pourquoi écouter un groupe de personnes qui ont toujours tort sur ce type d’événements ? Je prendrais au moins au sérieux les propos des globalistes lorsqu’il s’agit d’effondrement économique ; après tout, ce sont eux qui profitent le plus de telles catastrophes et qui ont le plus d’influence lorsqu’il s’agit de déclencher une crise.
La préparation aujourd’hui ne coûte rien demain. Le manque de préparation aujourd’hui coûte tout demain. Pour toute personne dotée d’un cerveau, le choix est simple : se préparer à la fin de la nourriture abordable et facilement disponible avant la fin de l’année.
Brandon Smith
Source :
https://lesakerfrancophone.fr/penuries-alimentaires-dans-six-mois
https://alt-market.us/food-shortages-in-six-months-the-globalists-are-telling-us-what-happens-next/
A propos de Brandon Smith :
Journaliste et activiste américain indépendant. Brandon Smith est le fondateur de l’Alternative Market Project (https://alt-market.us/). Il s’est spécialisé dans l’analyse macroéconomique ainsi que dans les études sur la désinformation des médias grand public.
https://aphadolie.com/2022/05/22/penuries-alimentaires-dans-six-mois-les-mondialistes-nous-disent-ce-qui-se-passera-ensuite-brandon-smith/
Les chinois ont géré la malnutrition chez eux et ont retiré du monde plus de 1 milliard de personnes de la faim ! Çà, c'est pas en Afrique qu'on verrait çà tant les chefs d’États sont voleurs et assassins. Mais parfois, cette bonne idée africaine 'Made in Biafra' est applicable de partout !
SupprimerRegardez en Europe les putains de dirigeants de merde incapables de nourrir les 300 millions d'habitants !
Une plante, un arbre comme un animal n'a pas besoin d'argent pour vivre, il lui faut seulement de l'intelligence pour son développement et sa multiplication.
Un plant de tomate pousse gratuitement ! il lui suffit d'avoir à boire (de l'eau) et à manger (des engrais spécifiques à chaque plante au % de NPK ajusté à chacune d'elles).
Une pénurie de bouteilles de bière "extrêmement tendue" émerge avant l'Oktoberfest en Allemagne
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 22 MAI 2022 - 13:35
Le plus grand festival de la bière au monde, "Oktoberfest", situé à Munich, en Allemagne, est dans quatre mois, et la crise énergétique du pays a déclenché une pénurie de bouteilles de bière.
L'Allemagne est le plus grand centre de fabrication d'Europe et fait face à des coûts énergétiques exorbitants, à une inflation rapide et à une rupture des chaînes d'approvisionnement, ce qui met la pression sur les fabricants de verre à forte consommation d'énergie. Ce contexte économique à lui seul pourrait déclencher une stagflation.
Holger Eichele, de la Fédération allemande des brasseurs, a déclaré au journal allemand Bild que la pénurie de bouteilles de bière aurait le plus d'impact sur les petites et moyennes brasseries. Il a décrit la situation comme "extrêmement tendue" alors que la hausse des coûts de production et les problèmes de logistique affligent les brasseries.
"Si vous n'avez pas de contrats à long terme, vous devez actuellement payer 80% de plus pour de nouvelles bouteilles en verre qu'il y a un an. Certaines brasseries sont menacées de tourner au ralenti, elles pourraient bientôt se retrouver sans bouteilles", a averti Eichele.
Bild a découvert que la pénurie de bouteilles en verre est due à la flambée des prix des combustibles fossiles, tels que le gaz naturel et le diesel.
"La crise actuelle des prix de l'énergie pose des défis majeurs à l'industrie verrière énergivore. Les coûts de l'énergie ont augmenté jusqu'à 500 % par rapport à l'année précédente... Ces coûts représentent à eux seuls jusqu'à 20 % des coûts d'exploitation dans le verre l'industrie », a déclaré une porte-parole de l'Association fédérale de l'industrie du verre.
Un porte-parole de la brasserie centenaire Radeberger, située à quatre heures au nord-est de l'Oktoberfest, a déclaré que l'industrie des boissons et de la brasserie est tendue et va s'aggraver tout au long de l'été.
Il reste à voir comment une pénurie de bouteilles de bière affectera l'Oktoberfest, prévue fin septembre.
https://www.zerohedge.com/commodities/extremely-tense-beer-bottle-shortage-emerges-ahead-germanys-oktoberfest
Liberté et monnaie saine : les deux faces d'une médaille
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 22 MAI 2022 - 15:20
Écrit par Thorsten Polleit via l'Institut Mises,
Il est impossible de saisir le sens de l'idée de monnaie saine si l'on ne se rend pas compte qu'elle a été conçue comme un instrument de protection des libertés civiles contre les intrusions despotiques de la part des gouvernements. Idéologiquement, il appartient à la même classe que les constitutions politiques et les déclarations de droit.
Ainsi écrivait Ludwig von Mises dans The Theory of Money and Credit en 1912. Et plus loin :
Le principe de la monnaie saine a deux aspects. Il est affirmatif en approuvant le choix du marché d'un moyen d'échange couramment utilisé. Il est négatif en ce qu'il entrave la propension du gouvernement à se mêler du système monétaire.
Dans ce contexte, les systèmes monétaires modernes semblent s'être éloignés de plus en plus du principe de la monnaie saine au cours des dernières décennies. Dans tous les pays du soi-disant monde libre, la monnaie représente aujourd'hui un papier irrécouvrable contrôlé par le gouvernement, ou " fiat ", un étalon monétaire. L'opinion largement répandue est que ce système monétaire serait compatible avec l'idéal d'une société libre et propice à une croissance durable de la production et de l'emploi.
Certes, des voix appellent à la prudence. Prenant un point de vue historique, Milton Friedman a déclaré :
Le monde est maintenant engagé dans une grande expérience pour voir s'il peut façonner un point d'ancrage différent, qui dépende de la retenue gouvernementale plutôt que des coûts d'acquisition d'un bien physique.
Irving Fisher, évaluant l'expérience passée, a écrit: "Le papier-monnaie irrécupérable s'est presque toujours avéré une malédiction pour le pays qui l'emploie."
La principale cause d'inquiétude repose sur une caractéristique clé du papier-monnaie contrôlé par le gouvernement : la capacité illimitée du système à accroître l'offre de monnaie et de crédit. En revanche, sous l'étalon-or (librement choisi), l'offre de monnaie (par exemple, l'or) devait également augmenter au fil du temps, mais seulement en proportion de l'expansion de l'économie, c'est-à-dire une augmentation de la demande de monnaie, provoquée par une augmentation de l'activité économique, apporterait une offre d'or supplémentaire sur le marché (par, par exemple, une augmentation de l'exploitation minière qui deviendrait de plus en plus rentable). En tant que tel, l'étalon-or met une "pause automatique" sur l'expansion monétaire - cette dernière serait, du moins en théorie, liée à la tendance de croissance de l'économie.
Le système de monnaie fiduciaire contrôlé par le gouvernement n'a aucune limite inhérente à l'expansion de la monnaie et du crédit. En fait, c'est plutôt le contraire qui est vrai : les banques centrales, les fournisseurs monopolistiques de l'argent des gouvernements, ont en fait été délibérément conçues pour pouvoir modifier l'offre de monnaie et de crédit de n'importe quel montant à tout moment.
RépondreSupprimerPour empêcher l'abus de leur pouvoir illimité sur la quantité de masse monétaire, la plupart des banques centrales se sont vu accorder l'indépendance politique au cours des dernières décennies. Cela a été fait afin d'empêcher les politiciens qui, pour être réélus, d'échanger les avantages d'une relance de l'économie induite par la politique monétaire contre des coûts futurs sous forme d'inflation. En outre, de nombreuses banques centrales ont été mandatées pour rechercher une inflation faible et stable, mesurée par les indices des prix à la consommation, comme objectif principal. Ces deux facteurs institutionnels – l'indépendance politique et le mandat de préserver le pouvoir d'achat de la monnaie – sont maintenant largement considérés comme des garanties appropriées pour préserver une monnaie saine.
Quoi qu'il en soit, les préoccupations de Mises semblent plus pertinentes que jamais :
La dissociation des monnaies d'une parité-or définitive et immuable a fait de la valeur de la monnaie un jouet de la politique…. Nous ne sommes plus très loin aujourd'hui d'un état de choses dans lequel la « politique économique » est avant tout entendue comme la question de l'influence sur le pouvoir d'achat de la monnaie.
Alors que l'objectif de préserver la valeur du papier-monnaie contrôlé par le gouvernement semble être louable, la vérité est qu'il est (pratiquement) impossible de tenir une telle promesse. En fait, il existe souvent des incitations politico-économiques écrasantes pour qu'une société augmente son offre de monnaie et de crédit, si possible, afin d'influencer les développements sociétaux selon des conceptions idéologiques prédéfinies plutôt que de s'appuyer sur les principes du marché libre.
Cette même tendance est particulièrement mise en évidence par le fait que les banques centrales sont régulièrement appelées à tenir compte de la croissance de la production et de la situation de l'emploi dans l'économie lors de la fixation des taux d'intérêt. Et ces considérations sont ce qui semble causer de graves problèmes dans un système de monnaie papier si et quand il n'y a pas de limite claire à l'expansion de la monnaie et du crédit.
Pour faire comprendre ce point, il est instructif d'examiner brièvement la relation entre le crédit et la production nominale et la croissance de la "richesse" (qui est définie ici, pour simplifier, comme le produit intérieur brut plus la capitalisation boursière). La figure ci-dessous montre les variations annuelles du produit intérieur brut (PIB) nominal des États-Unis et du crédit bancaire en pourcentage de 1974 au début de 2022. Comme on peut le voir, les deux séries sont positivement corrélées au cours de la période considérée : En moyenne, la hausse de la production s'était accompagnée d'une hausse du crédit bancaire et vice versa. Il s'agit en fait d'une illustration instructive de la théorie autrichienne du cycle économique (ABCT), selon laquelle l'expansion du crédit bancaire est non seulement étroitement associée à un cycle d'expansion et de récession, affectant à la fois les grandeurs réelles et les prix des biens, mais sa force motrice .
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Toujours de 1974 au début de 2022, la figure suivante montre la masse monétaire américaine en milliards de dollars américains et l'indice boursier S&P 500. L'augmentation de la masse monétaire est essentiellement le résultat de l'expansion du crédit bancaire, par lequel de la nouvelle monnaie est créée. Comme on peut le voir, l'évolution de la masse monétaire évolue sur la même longueur d'onde que le marché boursier. Pourquoi? D'une part, l'augmentation du PIB nominal au fil du temps se traduit par une hausse des valorisations des entreprises. D'autre part, l'augmentation de la masse monétaire fait grimper les prix des biens, y compris les cours des actions.
En d'autres termes : la performance du marché boursier est - parfois plus, parfois moins - attribuable à l'inflation des prix des biens causée par la monnaie fiduciaire. De la fin de 2019 au premier trimestre 2022, la banque centrale américaine a augmenté la masse monétaire M2 de 43 %, tandis que le marché boursier a gagné 63 % au cours de la même période. Comme l'augmentation de la masse monétaire a contribué à gonfler le PIB nominal, elle s'est également traduite par une hausse (substantielle) des cours des actions. En d'autres termes : l'expansion monétaire a provoqué « l'inflation des prix des actifs ».
- voir graph sur site -
En regardant ces graphiques, le message semble être le suivant : l'augmentation chronique du crédit et de la masse monétaire a, en moyenne, été « assez positive » pour la production et la richesse. Cependant, ce serait une interprétation plutôt courte. Pour un système de monnaie fiduciaire, l'expansion du crédit et de la monnaie profite à quelques-uns au détriment de beaucoup d'autres. De plus, son "effet invisible" est qu'il empêche tout le succès économique et les effets distributifs de revenu et de richesse qui s'en seraient produits s'il n'y avait pas eu d'émission de crédit supplémentaire et de monnaie fiduciaire.
Comme le préviennent même les théoriciens classiques de l'économie, une relance de l'économie induite par l'argent et le crédit est (comme le montre l'ABCT) de courte durée et finira par conduire à l'inflation, comme l'a souligné David Hume en 1742 :
RépondreSupprimerL'augmentation (de la quantité de monnaie) n'a d'autre effet que de faire monter le prix du travail et des marchandises... dans la marche vers ces changements, l'augmentation peut avoir une certaine influence, en excitant l'industrie, mais après que les prix sont fixés... elle n'a aucune manière d'influence.
Cependant, la conviction intellectuelle d'aujourd'hui du courant dominant économique, qui est dominé par l'économie keynésienne, est qu'en abaissant les taux d'intérêt, la banque centrale peut stimuler la croissance et l'emploi. Il n'est donc pas étonnant que, surtout dans les périodes où l'inflation est considérée comme « sous contrôle », les banques centrales soient contraintes d'adopter une politique monétaire « expansionniste » pour lutter contre la récession. En fait, il est largement considéré comme "approprié" si la politique monétaire maintient les coûts d'emprunt au niveau le plus bas possible.
On trouve chez Mises une critique fondée de cette conviction largement répandue. Il écrit:
L'opinion publique est encline à ne voir dans l'intérêt qu'un obstacle purement institutionnel à l'expansion de la production. Il ne se rend pas compte que la décote des biens futurs par rapport aux biens présents est une catégorie nécessaire et éternelle de l'action humaine et ne peut être abolie par la manipulation bancaire. Aux yeux des excentriques et des démagogues, l'intérêt est le produit des sinistres machinations d'exploiteurs acharnés. La désapprobation séculaire de l'intérêt a été pleinement ravivée par l'interventionnisme moderne. Il s'accroche au dogme selon lequel c'est l'un des premiers devoirs d'un bon gouvernement d'abaisser le taux d'intérêt autant que possible ou de l'abolir complètement. Tous les gouvernements actuels sont fanatiquement engagés dans une politique d'argent facile.
Mises décrit également les effets sur l'économie de la propension à baisser les taux d'intérêt et à augmenter l'offre de monnaie et de crédit. La théorie monétaire du cycle commercial de l'école autrichienne soutient que c'est l'expansion monétaire qui est au cœur des cycles d'expansion et de récession des économies. Une offre trop généreuse de monnaie et de crédit induit ce que l'on appelle habituellement une « reprise économique ». Dans son sillage, la croissance économique augmente et l'emploi augmente.
Avec le flux de liquidités, cependant, viennent des désalignements, une distorsion des prix relatifs, selon le raisonnement théorique. Tôt ou tard, l'expansion artificielle alimentée par la monnaie et le crédit devient insoutenable et se transforme en récession. Par ignorance et/ou par incapacité à identifier les forces mêmes responsables du malaise économique, à savoir la création excessive de monnaie et de crédit dans le passé, la chute de la production et la montée du chômage, provoquent des appels publics à une politique monétaire encore plus souple.
Les banques centrales ne sont pas en mesure de résister à de telles exigences si elles n'ont pas d'« ancrage », c'est-à-dire une règle (fixe) qui limite l'augmentation de l'offre de monnaie et de crédit dans les opérations quotidiennes. En l'absence d'une telle limite, les banques centrales, confrontées à une grave crise économique, seront très probablement contraintes de troquer l'objectif de croissance et d'emploi contre la préservation de la valeur de la monnaie, compromettant ainsi un pilier crucial de la société libre.
RépondreSupprimerVue dans ce contexte, la politique monétaire d'aujourd'hui ressemble en fait à une entreprise anarchique. L'air du temps soutient que le « ciblage de l'inflation » (IT) - le soi-disant concept de pointe, du point de vue de la plupart des banques centrales - fera l'affaire pour empêcher la politique monétaire de causer des problèmes involontaires. En pratique, cependant, l'informatique n'a pas d'ancrage externe. Sous l'informatique, c'est la banque centrale elle-même qui calcule les prévisions d'inflation qui, à leur tour, déterminent comment la banque fixe les taux d'intérêt ; fixer une limite quantitative à l'expansion de la monnaie et du crédit n'est généralement pas considéré comme un objectif politique. L'informatique peut donc difficilement inspirer la confiance qu'elle atténuera la menace sur la valeur du papier-monnaie émanant des gouvernements (sous la forme de fraude/abus) et/ou des responsables de la politique monétaire politiquement indépendants (sous la forme d'erreurs politiques).
Le retour à une « politique monétaire sans règle » a commencé au début des années 1990, lorsque diverses banques centrales ont abandonné les agrégats monétaires en tant que repère majeur pour la fixation des taux d'intérêt. Il a été avancé que la « demande de monnaie » était devenue un indicateur instable à « court terme » et que, en tant que telle, la monnaie ne pouvait plus être utilisée comme critère pour définir la politique monétaire, d'autant plus que les décideurs politiques prenaient des décisions en matière de taux d'intérêt. toutes les quelques semaines. Cependant, ce poste de guidage n'a pas été remplacé par quoi que ce soit depuis lors.
Compte tenu du retour de la discrétion en matière de politique monétaire, il pourrait être judicieux de citer la préoccupation de Hayek ; à savoir que l'inflation "est le résultat inévitable d'une politique qui considère toutes les autres décisions comme des données auxquelles la masse monétaire doit être adaptée afin que les dommages causés par d'autres mesures soient aussi peu remarqués que possible". A terme, une telle politique conduirait les banques centrales à devenir « captives de leurs propres décisions, quand d'autres les forcent à adopter des mesures qu'elles savent nuisibles ».
Faisant écho à l'avertissement donné par Ludwig von Mises dans The Theory of Money and Credit, Hayek conclut :
RépondreSupprimerLe biais inflationniste de nos jours est en grande partie le résultat de la prédominance de la vision à court terme, qui découle à son tour de la grande difficulté à reconnaître les conséquences les plus lointaines des mesures actuelles, et de la préoccupation inévitable des hommes pratiques, et en particulier des politiciens , avec les problèmes immédiats et les réalisations d'objectifs proches.
Que pouvons-nous apprendre de tout cela ? Les risques inhérents à l'étalon papier-monnaie d'aujourd'hui - la capacité même d'augmenter le stock de monnaie et de crédit à volonté de n'importe quel montant et à tout moment - ne reçoivent plus l'attention qu'ils méritent : mettre une limite à l'expansion de la monnaie et du crédit n'est pas de rang parmi les ingrédients essentiels de l'élaboration d'une politique monétaire "moderne". La manipulation discrétionnaire du papier-monnaie augmente donc considérablement le risque d'échec coûteux. Une première étape pour revenir vers le principe de la monnaie saine - qui rend justice à l'idéal d'une société libre - serait de faire en sorte que la politique monétaire limite - par exemple, l'arrête complètement - la croissance de la masse monétaire.
https://www.zerohedge.com/economics/freedom-and-sound-money-two-sides-coin
😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
Supprimerjeudi 23 octobre 2014
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
Nouvelles du Japon : qui me concernent …
RépondreSupprimerle 22 mai 2022
Ce samedi je suis allé consulter un dermatologue avec mon fils et j’ai été surpris pour deux raisons. D’abord le prix de la consultations : 3000 yens soit environ 25 euros et la rapidité du rendez-vous pris sur le site du cabinet du spécialiste, moins de 24 heures. Si à Paris vous désirez voir un dermatologue il faudra attendre au moins six mois. Les pilules que m’a prescrit ce spécialiste pour une durée d’un mois ont couté plus cher que la consultation elle-même, quelques 4000 yens. J’ai demandé à mon fils pourquoi il y avait une telle différence entre l’Europe et le Japon. Peu de patients paient en numéraires car ils sont tous protégés par une assurance maladie de leur entreprise ou à laquelle ils ont souscrit volontairement. L’État ne s’occupe pas de la protection maladie et c’est la raison pour laquelle les impôts sur le revenu au Japon son si modiques : une « flat-tax » de 10 % sur tous les revenus. La France, outre l’impôt sur le revenu et les charges sociales payées par l’employeur et le salarié, a institué la CSG qui comme son nom ne l’indique pas est une « flat-tax ». Le corps médical en profite largement ! En Espagne comme en France si vous payer de votre poche un spécialiste comme un dermatologue il vous en coûtera au moins 100 euros, j’en ai fait l’expérience. Ceci explique donc cela : les systèmes de protection sociale européens favorisent d’abord la caste des médecins puis les grands laboratoires d’analyse biologique et enfin et surtout les laboratoires pharmaceutiques. À ce propos la pharmacie japonaise ne m’a fourni que le nombre de pilules suffisant pour un traitement d’un mois et pas plus.
La deuxième raison de ma surprise, malgré les explications que j’ai fourni au médecin en anglais (j’ignore s’il a tout compris) et à la vue de mon avant-bras droit:
- voir photo sur site -
disant « Oh! » il a immédiatement considéré qu’il s’agissait d’une sorte d’allergie qu’il était urgent de traiter avec un anti-histaminique accompagné d’un onguent à base de vaseline comprenant une matière active dont j’ignore le nom. J’attends de voir car, en raison des nombreuses publications médicales (lien) relatant exactement les mêmes symptômes dont je souffre et toutes liées à une infection par le coronavirus, je suis très dubitatif en ce qui concerne le résultat de ce traitement. L’infection par le coronavirus provoque en réalité une maladie du sang qui se traduit par un effet secondaire presque immédiat au niveau des poumons. C’est la raison pour laquelle on a classé cette maladie parmi les syndromes aigus respiratoires. Quels sont les effets à long terme ? Ils sont peut-être liés à la présence d’anticorps interférant avec d’autres protéines du corps humain intervenant (peut-être) dans la régulation de la coagulation sanguine. Je ne suis pas médecin mais seulement un modeste biologiste et je n’expose ici qu’une opinion que je ne partage qu’avec moi-même. Bref, depuis maintenant plus de deux années je souffre d’urticaire géant chronique d’origine auto-immune (selon diverses publications scientifiques), les démangeaisons entraînent la formation d’hématomes classés par le corps médical comme ressemblant à des engelures (chilblain en anglais) et le médecin japonais que j’ai consulté a balayé cette hypothèse d’un revers de main. Je n’ai pas rêvé car voici un lien qui supporte cette hypothèse :https://onlinelibrary.wiley.com/action/doSearch?AllField=chilblain+covid&SeriesKey=13654632 . Il est vrai qu’un patient déclarant à son médecin qu’il souffre de telle maladie rend ce dernier nerveux. Le seul espoir ic à Tokyo est de pouvoir faire prolonger mon visa pour raison de santé si le médecin me dit qu’il sera nécessaire de le revoir un mois plus tard, c’est-à-dire dans deux mois alors que mon visa sera arrivé à expiration …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/05/22/nouvelles-du-japon-qui-me-concernent/#comments
Voici l'échéancier contenu dans la simulation de pandémie mondiale de VARIOLE DU SINGE menée il y a à peine quelques mois
RépondreSupprimersamedi 21 mai 2022
- voir doc sur site -
Dans la simulation de pandémie mondiale de VARIOLE DU SINGE, l'exercice met en scène un virus qui a été modifié en laboratoire pour obtenir un "gain de fonction" permettant de détourner l'efficacité du vaccin.
Le virus est relâché, soit une souche de la VARIOLE DU SINGE, par des terroristes et il cause 270 millions de morts et 3 milliards d'infectés à la fin de 2023.
Voici le document officiel de la simulation:
https://www.nti.org/wp-content/uploads/2021/11/NTI_Paper_BIO-TTX_Final.pdf
L'échéancier de l'exercice pandémique montre que la propagation débute le 15 mai 2022 (le 16 mai 2022, l'Agence britannique de sécurité sanitaire a été la première a rapporter une dizaine de cas de variole du singe 😉).
Toujours dans le scénario, les cas se multiplient à une vitesse fulgurante jusqu'à créer plus d'un million de morts en janvier 2023, 70 millions d'infectés, et le vaccin contre la variole est reconnu comme étant inefficace.
C'est en mai 2023 que les autorités sanitaires annoncent que la pandémie est le résultat d'une attaque terroriste, un virus modifié en laboratoire pour être utilisé comme arme biologique (Bill Gates nous a annoncé en novembre dernier qu'une attaque terroriste de variole était probable 😉).
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/11/bill-gates-recidive-avec-des.html
C'est aussi le scénario de la simulation pandémique "Dark winter" menée en 2001: une attaque terroriste de variole qui déclenche un domino-catastrophe (effondrement économique, bris des chaînes d'approvisionnement, chaos social...).
https://youtu.be/b8LLVLJd-WM
L'exercice pandémique atteint un sommet en décembre 2023: plus de 270 millions de morts et 3 milliards d'infectés.
Le premier rapprochement que l'on peut faire entre cette simulation et la réalité en ce 21 mai 2022, c'est que le virus de la variole du singe est apparu à peu près à la même date que dans la simulation.
Actuellement, le CDC rapporte que plus d'une dizaine de pays d'Amérique et d'Europe comptent des cas de variole du singe et d'autres pays s'ajoutent à chaque jour, on parle de la Suisse, la Grèce et Israël au cours des dernières heures.
Des virologues disent ne pas comprendre ce qui se passe, ils ne saisissent pas pourquoi les cas se multiplient de façon aussi rapide, ce qui est totalement inhabituel dans le mécanisme de transmission de la variole du singe.
Si vous voulez mon avis, je m'attends à ce que ce scénario-fiction de pandémie se confirme très bientôt dans notre quotidien avec des mesures sanitaires encore plus excessives et répressives que celles entreprises pour la COVID19.
Pourquoi je pense ça? Parce que les virologues ne s'expliquent pas la flambée des cas qui s'étendent de façon étrangement simultanée dans plusieurs pays. Aussi, les prévisions de croissance estimée à 7,2% pour les 5 prochaines année pour les vaccins et traitements contre la variole me laissent penser qu'une réelle pandémie de variole est en route.
https://energysiren.co.ke/2021/11/10/global-smallpox-vaccine-market-2021-future-set-to-massive-growth-with-high-cagr-value-market-players-bavarian-nordic-symphogen-epivax-cel-sci-siga-technologies-chimerix-tonix-pharmaceutica/
De plus, une virologue de l'OMS en direct de Wuhan nous annonce une autre pandémie, laquelle aurait été inscrite dans un agenda sur 10 ans écrit par l'OMS. Ce plan, dit-elle, prévoit une crise sanitaire majeure...
https://twitter.com/liz_churchill_/status/1527503233295474688?t=3tiAmsi09SpqM9-r6V0tCA&s=19
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2022/05/voici-lecheancier-prevu-dans-la.html
Le vaccin contre la variole pour prévenir la variole du singe pourrait provoquer une épidémie mondiale de variole (vaccinie); Je préviens, ne soyez pas si stupide, comprenez que vous avez endommagé le système immunitaire de m (b) illions avec les vaccins COVID
RépondreSupprimerLes experts disent que le virus de la variole est efficace à 85 % dans la variole du singe ; ce n'est PAS une bonne nouvelle, car des millions/milliards de personnes sont désormais immunodéprimées par le vax COVID ; vax de la variole, problèmes énormes potentiels
Dr Paul Alexandre
Le 21 mai
Mes pensées:
Quelqu'un de très haut niveau dans la réponse à la pandémie COVID, un intellect de haut niveau, est venu me voir et m'a dit "Paul, je ne pense même pas que ce soit réel". Il a en outre déclaré qu'ils étaient tout à fait capables d'emballer cela et de créer cette panique à partir de rien. Fabriqué. Il a dit qu'il avait besoin de voir un vrai cas, une vraie image. Il n'est pas convaincu. Il a partagé ses réflexions qui étaient assez intéressantes. Il m'a demandé si je le croyais. J'ai dit "tout à fait possible". Compte tenu de la distribution de personnages auxquels nous avons dû faire face et qui ont mené cette réponse à la pandémie. Pourquoi ne peuvent-ils pas apporter un faux monkeypox ? Tout est possible s'il est vu du point de vue des 2 dernières années 2 mois de purs mensonges par les gouvernements et leurs crétins experts COVID duplices. Que nous n'avions rien à faire, absolument rien en réponse au COVID, rien. Pas une seule action. Si vous n'étiez pas bien, restez à la maison. Protégez toujours les personnes vulnérables. Pourtant, regardez ce à quoi nous avons été soumis par les gens qui « nous font du bien ». Maux et mort. Rien de tout cela n'était nécessaire. Et la partie dévastatrice de cela était que non seulement les politiques folles de verrouillage étaient inutiles, mais ceux qui les mettaient en œuvre savaient bien avant qu'elles étaient inutiles.
Je lui ai dit tu sais ce que mon frère, je pouvais aussi "y arriver", dans la mesure où des personnes subversives malveillantes peuvent fabriquer n'importe quoi pour atteindre des objectifs subversifs sombres et néfastes. Je ne suis pas un théoricien du complot et je traite moi-même des données et des faits réels, donc j'ai besoin d'en voir un peu plus. Mais je suis ouvert à tout, et il est impeccable, au top, alors il m'a fait réfléchir. J'ai quelques réflexions et je vais les laisser là pour l'instant, alors mettez une épingle dedans pour l'instant. Supposons qu'il s'agit d'une situation réelle pour avoir cette discussion.
Premièrement, en supposant que cela soit réel, nous devons nous calmer et réfléchir à ce problème de monkeypox, et utiliser les outils de santé publique efficaces dont nous disposons déjà. Le risque est grossièrement exagéré par les médias, les gouvernements et les experts médicaux incompétents, frappant leur tambour de la peur. Ce monkeypox semble être localisé dans un certain groupe à haut risque et principalement transmis par contact étroit de type intime (en grande partie chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes). La recherche aiguë des contacts est optimale et la bonne ligne de conduite. Ce virus ne se transmet pas facilement d'homme à homme car il exige un contact physique très étroit. Tout le monde ira en grande partie très bien. Les médias et al. doit arrêter le porno panique alarmiste.
Les experts médicaux incompétents, les fous du verrouillage et les prédateurs mondiaux sont de retour et ces experts se sont déjà tournés vers le vaccin contre la variole et disent que le vaccin contre la variole est efficace à 85 % contre la variole du singe. Ce n'est PAS nécessairement une bonne nouvelle, car des millions/milliards de personnes sont désormais potentiellement immunodéprimées par le vaccin COVID. Bien qu'il s'agisse d'un risque théorique, en initiant la vaccination contre la variole, si le vaccin contient le virus de la variole ou de la vaccine, nous pourrions potentiellement réintroduire la variole et la vaccine dans les populations. Cela pourrait être catastrophique.
RépondreSupprimerNous avons besoin de respirer profondément et d'y réfléchir attentivement et, comme mentionné, d'arrêter cette variole du singe avec des outils de confinement de santé publique éprouvés et éprouvés, tels que la recherche/la surveillance des contacts aigus et l'isolement des personnes infectées/symptomatiques. Nous nous concentrons là où se trouve le comportement à risque et NON sur la vaccination de masse de la population ou la vaccination «en anneau» (l'essentiel est que nous ayons besoin d'évaluer quels vaccins sont même disponibles, s'ils contiennent la variole ou la vaccine ou se répliquent (ce qui signifie qu'ils peuvent se reproduire dans des cellules humaines) , cela peut être une catastrophe ; cela nécessite un débat sérieux) et PAS un chaos de masse dans la population générale à faible risque par des messages médiatiques absurdes et alarmistes.
Selon l'OMI, il n'y a aucune base, aucune, zéro, pour la vaccination de masse de la population/globale avec n'importe quel vaccin en réponse au monkeypox. Cela doit être étudié avec soin, même pour les personnes vivant avec le VIH/SIDA qui ont été vaccinées contre le COVID, elles ont 2 défis existants au-delà du risque de monkeypox qui sont 1) leur état immunodéprimé pour commencer en raison de l'infection et 2) leur état compromis/dérégulé /système immunitaire endommagé (inné et acquis-adaptatif) en raison de la dévastation causée par le vaccin COVID. Ainsi, la décision de se précipiter pour vacciner les personnes séropositives (ou certains groupes) contre le risque de monkeypox doit être prise très au sérieux. Le vaccin COVID a causé d'énormes dommages au système immunitaire et nous n'avons aucune idée de ce que sera la réponse, même avec des vaccins non réplicatifs, si les personnes séropositives (ou similaires) doivent obligatoirement être vaccinées.
La suppression connue du système immunitaire pendant 2 semaines après le vaccin COVID a été une grave préoccupation car les vaccinés ont toujours été vulnérables au COVID et à d'autres infections virales/agents pathogènes pendant cette période immédiate après le vaccin. Les globules blancs sont déprimés pendant cette période et c'est pourquoi il y a tant d'événements indésirables, d'hospitalisations et de décès dans les 2-3 premières semaines après le vaccin. Le fait que le CDC et le NIH, etc. ne les comptabilisent pas parmi les « vaccinés » était de frauder les données pour faire croire qu'il s'agissait d'une pandémie parmi les non-vaccinés. Les fraudeurs trompeurs du CDC comptent les 2 premières semaines après le vaccin comme «non vaccinés», ce qui est à l'OMI un moyen de tromper et de manipuler les données.
Fauci, Francis Collins, Walensky, Bourla et al. n'a donc pas informé les personnes vaccinées de leur vulnérabilité pendant une période juste après le vaccin. Pourtant, je pense que c'est plus que cela. Pire que ça. Nous avons peut-être considérablement endommagé notre système immunitaire inné et acquis à cause du vaccin COVID, de sorte que les personnes vaccinées risquent de développer un large éventail de maladies. Notre système immunitaire peut maintenant être sérieusement compromis (chez les personnes vaccinées) en raison du vaccin COVID. Nous avons mis en garde contre cela (Vanden Bossche, Yeadon, moi-même, etc.) et nos craintes pourraient bien se matérialiser. Monkeypox peut être la pointe.
RépondreSupprimerJe vais commencer par cette déclaration avant d'approfondir : Arrêtez le porno panique, arrêtez de mentir au public. Concentrez-vous là où se trouve le risque, PAS sur la population générale. Si elle se propage principalement par contact sexuel et parmi les hommes-qui-ont-des-rapports-sexuels-avec-des-hommes, alors dites-le, et nous orientons le débat correctement et pas de politique. Nous orientons le débat là où se trouve le comportement à risque. Les rapports suggèrent : "La transmission communautaire est largement centrée dans les zones urbaines et nous la voyons principalement chez les individus qui s'identifient comme gays ou bisexuels, ou d'autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes".
Nous gardons le débat uniquement sur les mécanismes de transmission (mécanismes de transmission virale) et non sur les préférences sexuelles etc. Elle semble se transmettre comme une maladie sexuellement transmissible (MST) et donc nous réagissons en santé publique comme nous le ferions pour les MST. Faisons-nous quelque chose de plus sociétal concernant ce monkeypox ? Non. Avons-nous peur ? Non. Portons-nous des masques ? Non. Fermons-nous quoi que ce soit, les écoles, les entreprises, la société ? Non. Effectuons-nous une recherche de contacts ? Si nous pensons que cela se justifie. Faisons-nous une quarantaine de masse? Non. Commandons-nous un abri sur place ? Non. Nous vivons simplement la vie comme d'habitude et nous éteignons les médias corrompus insensés. C'est tout.
Il se propage parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) principalement selon les rapports. Contact trace là-bas. Concentrez-vous là-bas. Ne le tabouez pas. Ne réagissez pas et ne vous comportez pas d'une manière qui provoque la stigmatisation, les calomnies et les attaques contre les HSH. Arrêter maintenant! Calmez-vous et ayez des discussions rationnelles. Utilisez les outils de santé publique de routine qui fonctionnent et fonctionnent normalement. L'augmentation des cas européens et nord-américains peut probablement être due à des voyages qui s'exportent hors des foyers traditionnels. Concentrez-vous là où cela semble être les foyers, et avec une certaine sensibilisation, des messages d'intérêt public, une surveillance aiguë à caractériser. Oui, nous gardons toujours un œil sur les événements «inhabituels» et bien que les cas supplémentaires en Amérique du Nord et en Europe soulèvent des questions, ce à quoi les médias, etc. s'engagent est une campagne de peur inexcusable.
S'il est tel que rapporté, apparaissant principalement chez les hommes, les jeunes hommes et les HSH (certains rapports dus à des fêtes gays), alors il sera prudent de se concentrer là-dessus et de commencer un type de système de surveillance de deuxième et troisième génération, s'il y en a. très préoccupante et si les cas augmentent. Encore une fois, si les rapports de principalement dans MSM. Maintenant, comme pour le VIH lors de son apparition initiale, ce qui a aidé à caractériser plus précisément le virus et donc les efforts pour freiner la transmission et voir où il se trouvait, nous avons mis en place ce que l'on appelait des systèmes de surveillance de deuxième et troisième génération chez les mères à faible risque (prénatal et cliniques prénatales) et dans les relations hétérosexuelles. La femme enceinte, etc. se présente toujours comme le groupe le moins à risque pour les maladies sexuellement transmissibles étant donné sa monogamie probable.
RépondreSupprimerNous devons examiner rapidement le risque de transmission parmi les personnes infectées par le VIH et comment il peut être instructif ici étant donné le tableau de transmission qui a émergé jusqu'à présent. Sachant que nous sommes au début de la situation. Le problème que nous avons réalisé était que les HSH et les bisexuels provoquaient une large transmission du VIH (et dans les communautés hétérosexuelles) lorsqu'ils étaient en contact avec des partenaires non homosexuels. Les HSH peuvent avoir (et sont connus pour avoir) des partenaires en dehors de la communauté homosexuelle. Au plus fort de l'épidémie de VIH, les maris hétérosexuels qui rendaient également visite à des professionnel(le)s du sexe, etc. ramenaient le virus chez eux à des femmes à faible risque qui pensaient qu'elles étaient dans des relations monogames à faible risque. Les maris hétérosexuels qui rendaient visite à des professionnel(le)s du sexe qui consommaient également des drogues injectables couraient également un risque accru d'exposition. Nous avons également dû nous concentrer sur l'hydre et le travailleur migrant flottant dans le cadre de la chaîne de transmission. Ainsi, regarder la communauté bisexuelle pour le monkeypox et aussi les femmes cherchant des services de grossesse prénatale et prénatale pourrait être utile comme cela l'était pour le VIH dans la compréhension du virus. Cela nous aidera à comprendre l'étendue de la propagation.
Lorsqu'un virus comme le VIH s'est propagé dans la population de femmes enceintes à faible risque, nous savions que le virus se propageait largement en raison des comportements à haut risque de leurs partenaires. Les femmes enceintes très monogames ne devaient pas être infectées par le VIH (toujours le groupe le moins à risque en termes de comportements à haut risque dans n'importe quelle société) à moins de l'obtenir de leur mari et nous avons retracé en arrière pour comprendre ce qui se passait et où concentrer intensément la surveillance et la prévention et les stratégies de contrôle.
Encore une fois, je ne pense pas que ce type de surveillance aiguë sophistiquée soit nécessaire et nous sommes peut-être en avance sur nos skis, mais je ne donne cette explication que comme un conseil, un conseil de frère à un autre frère, aux personnes idiotes de la santé publique aux États-Unis. et du Canada et d'ailleurs qui ont montré dans COVID qu'ils sont des crétins épidémiologiques à part entière ! Bouffons complets. Académiquement bâclé et cognitivement dissonant. En ce sens que si les foyers sont dans MSMS, alors c'est là que vous vous concentrez et ne "faites pas semblant" pour la politique et autres. De purs idiots pour tout, chaque politique et action restrictives COVID que ces responsables de la santé et gouvernements incompétents au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie, etc. ont échoué, tous les verrouillages, toutes les fermetures d'écoles, tous les mandats de masque, tous les abris sur place, tous distance sociale, tout. Toutes les politiques restrictives COVID ont échoué ! Eux, ces cravens du gouvernement et des responsables de la santé ont tué des gens avec leur test RT-PCR frauduleux sur-cyclé sur sensible utilisé et les verrouillages. Ils ont tué des gens avec leur folie de confinement !
RépondreSupprimerCe type de surveillance aiguë renforcée n'est pas nécessaire, mais s'il y a plus de propagation en dehors de l'Afrique, nous voudrons peut-être nous concentrer sur ces groupes à faible risque pour mieux comprendre l'étendue de la propagation au-delà du groupe HSH s'il s'agit du principe à risque/ groupe à haut risque de dissémination de la variole du singe. Si ce que les médias rapportent quant à la prédominance des cas de variole du singe. Nous pourrions également souhaiter nous concentrer sur les consommateurs de drogues injectables qui ont tendance à adopter d'autres comportements à haut risque. Si la propagation interhumaine se produit chez des personnes qui se livrent à des contacts physiques étroits par le biais d'intimités sexuelles, etc. et comme étant signalée à ce moment, et probablement avec des personnes qui présentent des symptômes à un certain niveau, alors c'est là que le débat et l'accent sont mis devrait être.
Je suppose que cela n'arrivera pas car les médias n'en parleront pas. Cet aspect sera dissimulé et mis de côté si ce monkeypox devenait un problème de propagation plus important. C'est la politique et les jeux putrides auxquels nous sommes confrontés. Je le dis comme il est, donc vous obtiendrez toujours la vérité de moi.
J'écris ici en tant qu'épidémiologiste des maladies infectieuses, expert en COVID et avec une formation en bioterrorisme et en guerre biologique. J'écris après avoir travaillé à l'Organisation mondiale de la santé, à l'OPS, au gouvernement canadien, à l'IDSA et au gouvernement américain dans divers rôles d'épidémiologie et d'EBM. Cela montre en fait que je suis peut-être un idiot aussi ! Alors ne fais pas attention à cette partie de moi !
En fait, j'ai été scolarisé par le Dr Donald Henderson à l'école de bioterrorisme Johns Hopkins, qui a éradiqué la variole. C'était dans les préparatifs de bioterrorisme et de guerre biologique si/quand une ville est attaquée avec des armes chimiques, radiologiques et biologiques. J'ai demandé au Dr Henderson de superviser mon doctorat et il a accepté, mais pour un financement, un meilleur financement, je suis allé à McMaster sous la direction du fondateur d'EBM Guyatt. L'école EBM de McMaster devrait être fermée maintenant car elle est vendue aux grandes sociétés pharmaceutiques et aux subventions. Tristement. La recherche sur les déchets COVID et la fraude ont corrompu les études de Pfizer et Moderna et de la FDA, autrefois, les géants de l'EBM l'auraient déchiré. Pas plus, suivez l'argent !
RépondreSupprimerAlors, le monkeypox est-il le nouveau COVID ? OMI, nous devrions nous calmer et ne pas succomber à la peur et reconnaître qu'il s'agit des mêmes médias incompétents, incompétents, arrogants, illogiques, irrationnels, stupides, absurdes, spécieux, absurdes, chargés d'orgueil, débiles et soi-disant 'télévision experts médicaux à nouveau. Eux, ces experts médicaux de la télévision toujours abyssaux et stupides, ont montré un manque de compétence épouvantable dans tout ce qui concerne le COVID. Ils ne sont appariés que par les experts du groupe de travail COVID. Purs idiots ! Ai-je utilisé suffisamment de descriptifs quant à la profondeur de l'incompétence à respirer ? Y en a-t-il d'autres que je peux utiliser ?
Alors calmez-vous. Aucune preuve que ce monkeypox est une menace, il est très non mortel jusqu'à présent et ne sera probablement pas une menace pour la santé publique d'après tout ce que nous savons actuellement. Est-ce une tentative de vous effrayer et de semer la panique ? Probable. Faut-il faire preuve de discernement et de prudence ? C'est toujours nécessaire. Mais dans la limite du raisonnable. Équilibrez avec les faits et la « vraisemblance ». Est-ce une menace pour la santé publique aujourd'hui ? Non. Je n'en vois aucun, zéro ! Savons-nous quoi faire pour contenir la variole du singe ? Absolument. Suivi des contacts. Encore une fois, avec tout ce que je sais à ce jour, il y a les médias qui provoquent une peur et une panique inutiles. C'est condamnable ce qu'ils font.
À ce jour, il n'y a eu aucun décès dû aux cas apparus en Europe et en Amérique du Nord (je crois près de 100 à ce jour et principalement chez les jeunes hommes). Arrêtez de mentir, monsieur les médias et idiots d'« experts médicaux » parlant à la télévision que les enfants sont en danger. Je vous demande, où est la preuve de cela? Où? Quelles données ? Vous n'en avez pas et vous le savez ! Tu mens comme d'habitude pour paniquer les parents. Sale bêtes que vous êtes ! Des animaux démoniaques purs et sales qui essaient de faire cela, effrayant inutilement le public.
Donc, au fur et à mesure que vous en apprendrez plus, calmez-vous et éteignez FOX et CNN. Les mêmes idiots sont là-bas en train de vous cracher des bêtises. Des idiots débiles comme d'habitude dans les médias. Relaxer. S'il y a des problèmes à se préoccuper, vous savez que des gens comme moi vous le diront immédiatement. Vous savez que j'adore écrire ;-).
Surtout, ne prenez plus de vaccins COVID sur la base de ce que nous savons aujourd'hui quant à l'inefficacité et au profil de sécurité inapproprié. COVID est et a été fait! Il se poursuit en raison de la poursuite de la vaccination avec le vaccin non stérilisant et non neutralisant avec des anticorps (Abs) qui ciblent l'infectiosité du virus (le pic) mais ne peuvent se lier qu'à l'épitope du pic du virus mais pas stériliser (éliminer) le virus. En tant que vaccinés, vous conduisez les variantes/clades/sous-variantes. Dis non! Aucun pour vos enfants. Aucun responsable de la santé aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, où que ce soit… n'a expliqué pourquoi ces vaccins COVID défaillants sont nécessaires chez les enfants en bonne santé à faible risque. Vous ferez partie du mal et tuez des enfants avec ces vaccins. Vos enfants. C'est la colline que vous tenez, c'est la colline sur laquelle vous, en tant que parents, soyez prêts à donner votre vie. Ça y est, toute ta vie devient maintenant, toute notre vie !
RépondreSupprimerFauci et Walensky et Bourla de Pfizer et Bancel de Moderna et le pivot lui-même Francis Collins du NIH, et le nouvel ajout au spectacle de voitures de clown, le clignotant Ashish Jha, montrent qu'ils sont grossièrement incompétents, incompétents, idiots et ne pensent pas à la santé et le bien-être d'abord. Ils pensent à la gloire et à l'argent. Certains disent néfaste. Je n'en sais pas assez pour commenter cela d'une manière bien informée, mais c'est clair. C'est soit une pure incompétence, soit une malversation. L'un des deux ou une combinaison. Tu décides. J'ai mes propres pensées.
Donc, avec cela ouvert, permettez-moi de commencer par la variole du singe et je dois commencer par la variole car cela est utilisé pour vous paniquer. Le vaccin contre la variole (la variole est causée par le virus de la variole (variola major ou variola minor), il appartient au genre orthopoxvirus ; les humains sont le seul réservoir connu) est en train de devenir un sujet de conversation et une importance possible dans l'émergence du monkeypox. OMI, trop d'inconnues à l'ère de la vaccination massive des populations avec des vaccins COVID, pour envisager de vacciner contre le monkeypox avec des vaccins antivariolique ; trop de dégâts causés par les vaccins COVID. Les vaccins contre la variole en plus des vaccins COVID inefficaces et nocifs, c'est de la folie ! Je vous rappelle que "l'inoculation avec le virus de la vaccine est très efficace pour la prévention de l'infection par la variole, mais elle est associée à plusieurs effets secondaires connus qui vont de légers et spontanément résolutifs à graves et potentiellement mortels".
Nous devons sortir des sentiers battus et défier la sagesse conventionnelle car tout ce qu'ils ont fait (fous du verrouillage COVID) n'a pas fonctionné et ils continuent d'être désemparés. Un constat critique donc pour mettre la table :
"L'augmentation du nombre de personnes vaccinées entraînera inévitablement une augmentation de la morbidité et de la mortalité dues à la vaccine, et les preuves actuelles suggèrent qu'un préjudice net en résulterait si le vaccin contre la variole était mis à la disposition du grand public sur une base volontaire."
LA SOURCE:
RépondreSupprimerBelongia & Naleway : Vaccin contre la variole : le bon, la brute et le truand
Premièrement, nous avons dit, Vanden Bossche, McCullough, moi-même etc. que ces vaccins COVID sous-optimaux inefficaces et nocifs doivent être arrêtés ! Totalement. Ils ne peuvent être justifiés. Zéro! Aucun chez les enfants ! Pfizer (Bourla) et Moderna (Bancel) et Fauci et Walensky et Francis Collins sont des criminels pour avoir poussé cela sur des enfants en bonne santé à risque quasi nul.
Je préviens, c'est en partie pour vous faire peur de faire vacciner votre enfant avec le vaccin COVID et même le vaccin contre la variole. Être averti. Ils, les scientifiques, annoncent de bonnes nouvelles, je dis pas de bonnes nouvelles si vous êtes allés penser, crétins, que vous pouvez vacciner les gens contre la variole du singe avec le vaccin contre la variole.
Ralentissez sur celui-ci, les mêmes acteurs sont impliqués, hystériques, et les mêmes médias complices ! Ralentissez votre roulis !
Premièrement, les personnes vaccinées contre le COVID ont un système immunitaire subverti déprimé (documenté) et sont donc à risque d'agents pathogènes (et de cancers) latents et existants, qui ne les auraient pas infectés auparavant. Il est très valable de conjecturer à ce sujet que c'est le vaccin COVID et ce qu'il a fait au niveau du système immunitaire, qui a provoqué l'émergence de la variole du singe en Europe et en Amérique du Nord. Les personnes vaccinées contre le COVID pourraient être exposées à un risque dramatique de variole du singe et d'une foule d'autres agents pathogènes/virus.
Ensuite, il est vrai que les personnes de moins de 40 ans n'ont pas le vaccin contre la variole (un vaccin dont l'innocuité est douteuse), mais le vrai problème est le résultat catastrophique si nous vaccinons des millions et des millions avec le vaccin contre la variole qui ont systèmes immunitaires subvertis maintenant en raison du vaccin COVID non stérilisant sous-optimal. Je préviens, en prenant des personnes qui ont une immunité compromise comme les personnes vaccinées contre le COVID (par exemple, un risque accru d'infection et sont infectées après le vaccin), et en tant que telles immunodéprimées, et vous leur donnez le vaccin contre la variole pour la prévention de la variole du singe (orthopoxvirus), vous pourriez créer la dévastation.
Je viens de décrire les personnes vaccinées COVID. Personnes vaccinées immunodéprimées. Le vaccin contre la variole peut alors potentiellement entraîner des cas de variole ainsi que de la vaccine chez les personnes immunodéprimées vaccinées contre le COVID, y compris chez les jeunes et les enfants. Ceci est actuellement un risque théorique, mais peut devenir une réalité si la façon dont je l'ai expliqué ci-dessus l'est.
Le vaccin contre la variole (basé sur la vaccination avec le virus de la vaccine est connu pour être très impitoyable (causant potentiellement l'orthopoxvirus 'maladie virale de la variole' lui-même) chez les personnes immunodéprimées. Le vaccin contre la variole peut également provoquer une vaccine progressive (virus de la vaccine). immunité humorale contre le virus de la variole (rappelez-vous que la variole est causée par le virus de la variole).
RépondreSupprimerVoir ces passages :
« Le vaccin contre la variole est moins sûr que les autres vaccins couramment utilisés aujourd'hui. Le vaccin est associé à des effets indésirables connus allant de légers à graves. Les réactions bénignes au vaccin comprennent la formation de lésions satellites, de la fièvre, des douleurs musculaires, une lymphadénopathie régionale, de la fatigue, des maux de tête, des nausées, des éruptions cutanées et des douleurs au site de vaccination.13,18,19 Un essai clinique récent a rapporté que plus d'un tiers des vaccins les bénéficiaires ont manqué des journées de travail ou d'école à cause de ces symptômes bénins liés au vaccin.18…
Dans les années 1960, les événements indésirables graves associés à la vaccination contre la variole aux États-Unis comprenaient le décès (1/million de vaccinations), la vaccine progressive (1,5/million de vaccinations), l'eczéma vaccinatum (39/million de vaccinations), l'encéphalite post-vaccinale (12/million de vaccinations) , et la vaccine généralisée (241/million de vaccinations).20 Les événements indésirables étaient environ dix fois plus fréquents chez les personnes vaccinées pour la première fois que chez les revaccinés.20 Les taux de mortalité étaient également quatre fois plus élevés pour les vaccinés primaires que pour les revaccinés.21…
La vaccine évolutive (c. d'autres tissus et organes.24 Cette condition affecte généralement les personnes dont le système immunitaire est incompétent.24,25 Les signes cliniques cardinaux de la vaccine progressive comprennent un site de vaccination non cicatrisé > 15 jours après la vaccination et l'absence d'inflammation ou de réponse immunitaire au site de vaccination. .24,25 La vaccine évolutive non traitée est mortelle, mais le traitement par VIG ou le cidofovir antiviral peut être efficace dans certains cas.
SOURCE:
Belongia & Naleway : Vaccin contre la variole : le bon, la brute et le truand
Étudiez cela attentivement, réfléchissez bien. Prends ton temps. Ralentissez votre chemin en envisageant le vaccin contre la variole contre la variole du singe. Arrêtons-nous et examinons en quoi consistent ces cas de monkeypox et s'ils sont directement liés à l'immunosuppression due aux vaccins COVID. Encore une fois, comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, arrêtez les vaccins COVID !
Regardez les catastrophes que nous avons provoquées dans la réponse au COVID et les vaccins déjà. À l'heure actuelle, il n'y a aucune raison de s'inquiéter d'après ce qui est rapporté. Nous devrions examiner la transmission chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, car il existe des rapports de cas accrus chez les jeunes hommes. Cela nécessite une enquête avant que cela puisse être déclaré crédible, car ce n'est pas clair pour le moment. Beaucoup de nouvelles sur la variole du singe ne sont pas claires et vraiment hystériques et visent à vous effrayer. Entraîne une peur inutile. Nous gardons un œil ouvert mais pour l'instant, ce n'est pas une menace pour la santé publique. Loin de là.
Abécédaire sur la variole du singe :
RépondreSupprimer"La transmission de l'animal à l'homme peut se produire à la suite d'un contact direct avec le sang, les fluides corporels ou des lésions cutanées ou muqueuses d'animaux infectés...
La transmission secondaire ou interhumaine peut se faire par contact étroit avec des sécrétions respiratoires, des lésions cutanées d’une personne infectée ou des objets récemment contaminés…
La transmission par gouttelettes de particules respiratoires nécessite généralement un contact face à face prolongé, ce qui expose les agents de santé, les membres de la famille et les autres contacts étroits des personnes infectées à un risque accru…
Lundi, l'OMS a signalé que certains des cas confirmés récemment en Grande-Bretagne sont apparus chez des homosexuels…
Bien que le groupe actuel de cas concerne des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, il est probablement trop tôt pour tirer des conclusions sur le mode de transmission ou supposer que l'activité sexuelle était nécessaire à la transmission, à moins que nous ne disposions de données et d'analyses épidémiologiques claires", a déclaré Michael Skinner. , un spécialiste en virologie de l'Imperial College de Londres, a déclaré au site Web du Science Media Centre (SMC)…
L'Organisation mondiale de la santé affirme cependant que la transmission interhumaine est limitée.
Les symptômes chez l'homme du monkeypox comprennent des lésions, des éruptions sur le visage, les paumes ou la plante des pieds, des croûtes, de la fièvre, des douleurs musculaires et des frissons...
La plupart des gens se rétablissent en quelques semaines et la variole du singe n'a été mortelle que dans de rares cas…
Il s'agit généralement d'une maladie spontanément résolutive dont les symptômes durent de deux à quatre semaines.
LA SOURCE:
Bonne nouvelle : le vaccin contre la variole est efficace à 85 % pour prévenir la variole du singe
La clé que vous devez savoir est la suivante. Les cas peuvent survenir en raison d'expositions à une source commune (plusieurs animaux infectés). C'est ce à quoi nous prêtons attention et s'il y a une propagation interhumaine, à quel point infectieux / étendu, par ex. quel est le nombre reproductif (R nul, par exemple, à combien de personnes une personne infectée peut-elle se propager et si 1,0 et moins, alors c'est une excellente nouvelle comme il semble l'être). La transmission interhumaine semble être minime (négligeable et seulement avec un contact physique très étroit avec des fluides corporels, des lésions, des gouttelettes, etc.). L'intimité sexuelle semble jouer un rôle et nous devrions nous concentrer sur la messagerie là-bas. Les mesures de confinement habituelles sont appropriées, par ex. recherche des contacts, prise en compte de l'avis et mise en quarantaine UNIQUEMENT des personnes en contact avec des personnes infectées de bonne foi, ou qui sont symptomatiques ou en contact avec des personnes symptomatiques. L'équilibre est encore nécessaire. Pas de vaccination de masse. Encore une fois, le vaccin contre la variole présente de graves problèmes de sécurité et peut être mortel (conduisant la variole et/ou la vaccine) à l'ère des systèmes immunitaires déprimés chez les personnes vaccinées avec les vaccins COVID.
Il n'y a aucune indication d'une transmission asymptomatique (meilleures connaissances à ce jour), de la fraude et du mensonge qu'ils nous ont vendus dans COVID. Pas de transmission asymptomatique du monkeypox. s'il y a propagation, c'est via (sur la base de nos preuves à ce jour) un contact, un contact réel de personne à personne (personnes infectées / malades à une personne non infectée). Jusqu'à présent, les cas concernent des hommes qui ont eu des contacts sexuels avec d'autres hommes (HSH) et donc des contacts physiques intimes. Outre un contact physique étroit (par exemple, sexuel chez les HSH), le virus peut se propager par une infection par des gouttelettes respiratoires plus importantes (atterrissant dans les voies nasopharyngées d'une personne non infectée), ainsi que par un contact direct avec les lésions ou les pustules chez une personne infectée par le monkeypox symptomatique (potentiellement des vêtements avec contenu des lésions/pustules infectées).
RépondreSupprimerSOURCE:
CDC, le CDC conseille aux médecins d'être en alerte pour la variole du singe alors que l'OMS confirme des épidémies dans 11 pays
Déclarations clés :
« En 2021, les États-Unis ont eu deux cas confirmés de monkeypox, un dans le Maryland et un au Texas. Les deux cas concernaient des personnes qui avaient récemment voyagé au Nigeria, où le virus est endémique.
Selon le CDC, parce que le virus de la variole du singe est lié au virus qui cause la variole, le vaccin peut protéger les gens contre la variole du singe.
"Les données passées d'Afrique suggèrent que le vaccin contre la variole est efficace à au moins 85 [percent] pour prévenir la variole du singe", a déclaré le CDC.
"Les personnes qui interagissent étroitement avec une personne contagieuse courent un plus grand risque d'infection : cela inclut les agents de santé, les membres du ménage et les partenaires sexuels", a déclaré l'OMS.
Le monkeypox commence par des symptômes pseudo-grippaux, notamment de la fièvre, des douleurs musculaires et de la fatigue, ainsi qu'un gonflement des ganglions lymphatiques. Quelques jours après la fièvre, une éruption cutanée apparaît sur le visage et le corps, qui peut également inclure la région génitale ou périanale, déclare le CDC. La période d'incubation - le temps qui s'écoule entre l'infection et les symptômes - peut aller de 5 à 21 jours.
La maladie se résout généralement d'elle-même avec des symptômes qui durent de 2 à 4 semaines, bien que des cas graves puissent survenir et même entraîner la mort, les taux de mortalité récents étant d'environ 3 à 6%, selon l'OMS.
Les États-Unis ont un cas confirmé de monkeypox dans le Massachusetts, le premier cette année. Le CDC a déclaré qu'il travaillait avec le département de la santé de l'État pour enquêter sur l'affaire. Le patient impliqué est porteur de la souche ouest-africaine du virus de la variole du singe et est actuellement isolé, a déclaré le CDC. Il s'était récemment rendu au Canada, où les deux premiers cas de monkeypox ont été confirmés tard le 19 mai au Québec.
Le CDC a noté que dans le cas du Royaume-Uni, il y avait un "groupe de cas temporairement regroupés impliquant quatre personnes qui s'identifient comme homosexuels, bisexuels ou hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes".
RépondreSupprimer« Certaines preuves suggèrent que les cas parmi [les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes] peuvent être épidémiologiquement liés ; les patients de ce groupe ont été identifiés dans des cliniques de santé sexuelle », a-t-il déclaré. "Il s'agit d'une enquête en évolution et les autorités de santé publique espèrent en savoir plus sur les voies d'exposition dans les prochains jours."
Il ajoute que les médecins devraient être plus méfiants vis-à-vis de la maladie et la considérer comme un diagnostic possible si, en plus d'avoir une éruption cutanée caractéristique, leur patient a voyagé dans des pays où des cas de monkeypox ont été récemment confirmés ; rapporte avoir été en contact avec une personne atteinte de monkeypox, ou suspectée de monkeypox, ou présentant une éruption cutanée d'apparence similaire à la monkeypox ; ou est un homme qui a régulièrement des contacts étroits ou intimes en personne avec d'autres hommes.
En bout de ligne :
Ma compréhension dit se détendre, se calmer, éteindre CNN et FOX, deux des mêmes tenues de désinformation idiotes. Ce virus monkeypox est fondamental en Afrique et est zoonotique et en tant que tel peut passer des animaux aux humains. Si c'est le cas, la transmission se fait par contact physique étroit, par ex. rapports de propagation entre HSH (doit être clarifié), fluides corporels, contact de lésions/pustules infectées et éventuellement vêtements de personnes infectées. Le taux de mortalité est extrêmement bas et aucune preuve n'est plus mortelle pour les enfants. Sur la base de toutes les données que nous connaissons, à l'échelle mondiale. OMI, ce n'est pas un problème de santé publique, pas une menace, et comme avant, n'a jamais été un virus pour perdre le sommeil. Nous gardons un œil dessus et nous utilisons des mesures traditionnelles de contrôle de la santé publique, par ex. la recherche des contacts, si et quand cela est nécessaire. Pas de vaccination de masse à l'aide du vaccin contre la variole et en particulier dans le cadre de la dévastation immunodéprimée causée par les vaccins COVID. Le vaccin contre la variole dans ce contexte et cette ère de systèmes immunitaires épuisés épuisés avec tous les stimulants inefficaces et mortels, pourrait provoquer des épidémies de variole et la vaccine.
SOURCE:
Sarracenia purpurea
Découvrez ce traitement contre la variole du British Medical Journal de 1863, publié il y a 160 ans, sous forme de correspondance. Très intéressant et j'adore l'écriture il y a 160 ans, le contenu et le style.
En conclusion, il y a aussi des événements très suspects qui se déroulent et qui ont eu lieu qui soulèvent des questions massives :
1)La simulation d'une pandémie mondiale de monkeypox a récemment été mené
LA SOURCE:
RépondreSupprimerRenforcer les systèmes mondiaux pour prévenir et répondre aux menaces biologiques à hautes conséquences
Abonnez-vous au mandat du convoi de médicaments factuels Alexander COVID News
Par le Dr Paul Alexander · Des centaines d'abonnés payants
COVID-19 et SARS-CoV-2 : immunité naturelle ; l'immunité innée; vaccins et pression immunitaire; pas de vaccins pour les enfants ; traitement ambulatoire précoce; verrouillages ; fermetures d'écoles et mandats de masques et mandats de vaccins et pouvoirs d'urgence et convoi de camions
https://palexander.substack.com/p/smallpox-vaccine-to-prevent-monkey?token=eyJ1c2VyX2lkIjoxNTYyMTUyOCwicG9zdF9pZCI6NTU4OTgxMTUsIl8iOiJpckppeCIsImlhdCI6MTY1MzIwMjA4OCwiZXhwIjoxNjUzMjA1Njg4LCJpc3MiOiJwdWItNTc5MzU2Iiwic3ViIjoicG9zdC1yZWFjdGlvbiJ9.0E3lohF-2vQRRT_vSewcwV-eCCGWk_vRsQNb08m7Pog&s=r
Vous suivez la mode ? Vous voulez être 'in' ? Vous voulez l'avoir ? OUI ! C'EST POSSIBLE ! FAITES VOUS PIQUER !
SupprimerComme vous aviez entendu parler du 'CoronaCocovide19AlphaBravoCharlieDelta' aujourd'hui arrive LAMORTDUSINGE, ne la ratez pas ! Allez vite vous la faire inoculer !
ENTRE LA 3E ET LA 4E VAGUES, LE COVID-19 EST DEVENU MOINS GRAVE ET MOINS MORTEL
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
19/05/2022
En septembre 2021, parmi les personnes hospitalisées pour Covid-19, 37% étaient vaccinées.
Le Covid-19 est effectivement devenu moins rude en France entre la troisième vague (mars-avril 2021) et la quatrième vague (juillet-août 2021), viennent de conclure Quentin Deltour et Hamid Khaoua, deux chercheurs affiliés à la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé.
Davantage de patients plus jeunes lors de la quatrième vague de Covid-19
Même si le nombre de contaminations ne baissait pas forcément au cours de l’année 2021, vous aviez sans doute entendu dire que le Covid-19 était devenu moins rude. Aujourd’hui, des scientifiques nous confirment : s’agissant de la situation en France du moins, entre la troisième et la quatrième vagues, l’impact de ce virus en termes de nombre d’hospitalisations et de décès a diminué considérablement. En effet, la quatrième vague a eu une ampleur quatre fois plus faible que la troisième en termes de nombre d’hospitalisations. Elle a aussi vu un taux de décès intra-hospitalier légèrement plus faible (13% contre 16% lors de la troisième vague). La durée médiane des séjours à l’hôpital s’est elle aussi réduite de 9 à 7 jours entre la troisième et la quatrième vague.
Lors de la quatrième vague, les classes d’âge qui ont été les plus touchées ont été plus jeunes : 20 % des personnes hospitalisées avaient ainsi moins de 40 ans, contre 10 % lors de la troisième vague. Quant au sexe des malades, pas de différences en revanche : les hommes étaient surreprésentés parmi les patients atteints du Covid-19 tant durant la troisième que durant la quatrième vague, en particulier en soins critiques, en cohérence avec ce qui était observé lors des première et deuxième vagues.
Pour les plus de 80 ans vaccinés, le risque d’hospitalisation a chuté de 80 %
La progression de la couverture vaccinale a en revanche aidé grandement. Les personnes vaccinées étaient sous-représentées parmi les patients hospitalisés au regard de leur part dans la population générale : durant le mois de septembre 2021 (fin de la quatrième vague), elles représentent 37 % des entrées hospitalières, contre 67 % de la population générale.
La vaccination a en particulier fait diminuer de 80 % le risque d’hospitalisation chez les 80 ans et plus, ont calculé les deux chercheurs. À statut vaccinal donné, le risque d’hospitalisation est similaire entre la troisième et la quatrième vague. Mais grâce à la vaccination notamment, les entrées hospitalières observées lors de la quatrième vague ont été environ quatre fois moins nombreuses que celles de la troisième.
http://www.economiematin.fr/news-covid19-comparaison-vagues-maladie-grave-risque-deces
Depuis 2 ans nous savons toutes et tous que dès la première piqûre l'organisme perd toute immunité. Cela veut dire que TOUS les vaccins précédents sont annulés, effacés, disparus. Les pauvres faibles d'esprit qui refusent d'écouter les scientifiques et préfèrent les merdias, se retrouvent donc sans défense ! HAHAHAHA !
SupprimerAprès la séance ou le trisomique se fait inoculer, soit il meut dans la semaine, le mois ou les mois qui suivent. Vos quartiers se dépeuplent ? (et arrivent vite-vite les immigrés), comptez dans la rue le nombre de français que vous rencontrez !! Vous serez surpris(e) !
Coup d'État furtif de l'OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
20 mai 2022
Sur une initiative de l'administration Biden, l'Organisation mondiale de la Santé imposera, sauf miracle, d'ici novembre 2022, c'est-à-dire au début de la prochaine saison de grippe dans l'hémisphère nord, un contrôle descendant sans précédent sur les réglementations et mesures sanitaires nationales de la planète entière. Dans ce qui s'apparente à un coup d'État furtif, l'OMS obtiendra de nouveaux pouvoirs draconiens lui permettant de passer outre la souveraineté nationale dans 194 pays membres des Nations unies et de dicter leurs mesures sanitaires avec la force du droit international. On en parle parfois comme du traité de l'OMS sur les pandémies, mais c'est bien plus que cela. Pire, la majeure partie du budget de l'OMS provient de fondations privées liées aux vaccins, comme la Fondation Gates, ou de Big Pharma, ce qui constitue un énorme conflit d'intérêts.
Nouveaux pouvoirs draconiens de l'OMS
Faire quelque chose de façon furtive signifie le faire de manière secrète ou dissimulée, afin d'éviter qu'il ne soit largement connu et éventuellement combattu. Cela s'applique à la proposition faite par l'administration Biden à l'OMS de Genève le 18 janvier 2022, selon les documents officiels de l'OMS. L'OMS a caché les détails des « amendements » américains pendant près de trois mois, jusqu'au 12 avril, un mois seulement avant que l'organe compétent de l'OMS ne se réunisse pour approuver ces mesures radicales. De plus, au lieu des 18 mois d'attente précédents pour devenir un traité en droit international, seuls 6 mois sont utilisés cette fois-ci. C'est une véritable fuite en avant. La proposition américaine est soutenue par tous les pays de l'UE et par 47 pays au total, ce qui garantit une adoption quasi certaine.
Les propositions, officiellement intitulées « Renforcer la préparation et la réponse de l'OMS aux urgences sanitaires : Proposition d'amendements au Règlement sanitaire international », ont été soumises par la secrétaire adjointe aux Affaires mondiales du département américain de la Santé et des Services sociaux, Loyce Pace, en tant qu'« amendements » à un traité de 2005 sur le Règlement sanitaire international de l'OMS déjà ratifié. L'OMS définit ce traité de 2005 ainsi : « Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI) constitue un cadre juridique général qui définit les droits et les obligations des pays dans la gestion des événements et des urgences de santé publique susceptibles de franchir les frontières. Le RSI est un instrument de droit international qui est juridiquement contraignant pour 196 pays, dont les 194 États membres de l'OMS ».
Pace a rejoint l'administration Biden après avoir dirigé le Conseil mondial de la santé, qui compte parmi ses membres les noms les plus corrompus de Big Pharma, dont Pfizer, Lilly, Merck, J&J, Abbott et AVAC, financée par Bill Gates, pour n'en citer que quelques-uns. Ses propositions de transformation radicale des pouvoirs de l'OMS en matière de « pandémies » et d'épidémies auraient facilement pu être rédigées par Gates et Big Pharma.
Avant d'examiner ce que les « amendements » de Loyce Pace feront pour permettre la transformation de l'OMS en une dictature mondiale de la santé dotée de pouvoirs sans précédent pour annuler les jugements de tout gouvernement national, il convient de noter un problème juridique furtif. En déguisant un changement complet des pouvoirs du traité de 2005 de l'OMS en simples « amendements » à un traité ratifié, l'OMS prétend, avec l'administration Biden, que l'approbation des amendements ne nécessite aucun nouveau débat de ratification par les gouvernements membres. C'est de la furtivité. Sans débat national par des représentants élus, l'OMS non élue deviendra à l'avenir une superpuissance mondiale sur la vie et la mort. Washington et l'OMS ont délibérément restreint le processus de participation du public pour faire passer ce projet en force.
RépondreSupprimerUne nouvelle loi de facto
Comme il se doit, l'OMS a finalement publié les « amendements » américains. On y trouve les suppressions ainsi que les nouveaux ajouts. Les modifications apportées par l'administration Biden transforment le rôle consultatif de l'OMS auprès des gouvernements nationaux, non seulement sur les réponses aux pandémies mais aussi sur tout ce qui touche à la « santé » nationale, en un tout nouveau pouvoir de passer outre les agences sanitaires nationales si le directeur général de l'OMS, désormais Tedros Adhanom, le décide. L'administration américaine Biden et l'OMS se sont entendues pour créer un traité entièrement nouveau qui fera passer toutes les décisions en matière de santé du niveau national ou local à Genève, en Suisse, et à l'OMS.
L'article 9 est typique des modifications apportées par Washington au traité existant de l'OMS. La modification américaine consiste à insérer
« pourra » et à supprimer « devrait » de l'OMS : « Si l'État partie n'accepte pas l'offre de collaboration dans les 48 heures, l'OMS pourra... ». Dans le même article, le mot « offre de collaboration par l'OMS, en tenant compte de l'avis de l'État partie concerné... » est supprimé. Le point de vue ou le jugement des autorités sanitaires de l'Allemagne, de l'Inde ou des États-Unis ne sont plus pertinents. L'OMS pourra passer outre les experts nationaux et dicter en tant que loi internationale ses mandats pour toutes les pandémies futures, ainsi que pour les épidémies ou même les problèmes de santé locaux.
De plus, dans le nouvel article 12 proposé sur la « Détermination d'une urgence de santé publique de portée internationale, d'une urgence de santé publique de portée régionale ou d'une alerte sanitaire intermédiaire », le chef de l'OMS - maintenant Tedros dans son nouveau mandat de cinq ans - peut décider seul de déclarer une urgence, même sans l'accord de l'État membre. Le chef de l'OMS consultera alors le « comité d'urgence » de l'OMS concerné sur la polio, l'Ebola, la grippe aviaire, le COVID ou tout autre problème déclaré. En bref, il s'agit d'une dictature mondiale sur la santé des citoyens par l'un des organismes de santé les plus corrompus au monde. Les membres d'un comité d'urgence donné de l'OMS sont choisis selon des procédures opaques et généralement, comme dans le cas du comité actuel sur la polio, de nombreux membres sont liés aux différents fronts de la Fondation Gates comme GAVI ou CEPI. Pourtant, le processus de sélection est entièrement opaque et interne à l'OMS.
Entre autres pouvoirs, le nouveau traité sur les pandémies donnera à Tedros et à l'OMS le pouvoir de rendre obligatoires les passeports vaccinaux et les vaccins COVID dans le monde entier. Ils travaillent actuellement à la création d'un programme mondial de passeport vaccinal/identité numérique. En vertu du nouveau « traité sur la pandémie », lorsque des personnes sont lésées par les politiques de santé de l'OMS, il n'y a aucune responsabilité. L'OMS bénéficie de l'immunité diplomatique.
RépondreSupprimerAstrid Stuckelberger, ancienne cadre supérieure de l'OMS et lanceuse d'alerte, aujourd'hui scientifique à l'Institut de santé mondiale de la Faculté de médecine de l'Université de Genève, a fait remarquer que « si le nouveau traité sur les pandémies est adopté par les États membres, cela signifie que la Constitution de l'OMS (conformément à l'article 9) primera sur la Constitution de chaque pays en cas de catastrophe naturelle ou de pandémie. En d'autres termes, l'OMS dictera aux autres pays et ne fera plus de recommandations. »
Qui est l'OMS ?
Selon les nouvelles règles, le directeur général de l'OMS aurait le pouvoir ultime de déterminer, par exemple, si le Brésil, l'Allemagne ou les États-Unis doivent imposer un confinement pandémique de type Shanghai ou toute autre mesure qu'il déciderait. Ce n'est pas une bonne chose. Surtout lorsque le chef de l'OMS, Tedros, originaire de la région du Tigré en Éthiopie, est un ancien membre du Politburo de l'organisation marxiste désignée comme terroriste (à l'époque par Washington), le Front de libération du peuple du Tigré. Il n'est pas titulaire d'un diplôme de médecine, le premier dans l'histoire des directeurs généraux de l'OMS à ne pas en avoir. Il est titulaire d'un doctorat en santé communautaire, un domaine assurément vague, qui ne constitue pas une qualification médicale pour un tsar de la santé mondiale. Parmi les articles scientifiques qu'il a publiés figurent des titres tels que « Les effets des barrages sur la transmission du paludisme dans la région du Tigré ». Il aurait obtenu son poste à l'OMS en 2017 grâce au soutien de Bill Gates, le plus grand donateur privé de l'OMS.
En tant que ministre éthiopien de la Santé sous la dictature dirigée par le Tigré, Tedros a été impliqué dans la dissimulation scandaleuse de trois grandes épidémies de choléra dans le pays en 2006, 2009 et 2011. Un rapport d'enquête publié par la Society for Disaster Medicine and Public Health a révélé que, lors d'une des principales épidémies de choléra, « malgré l'identification en laboratoire du V cholerae comme étant la cause de la diarrhée aqueuse aiguë (DLA), le gouvernement éthiopien (Tedros) a décidé de ne pas déclarer une « épidémie de choléra » par crainte des répercussions économiques résultant des embargos commerciaux et de la baisse du tourisme. En outre, le gouvernement, au mépris du Règlement sanitaire international (OMS), a continuellement refusé de déclarer une épidémie de choléra et a largement décliné l'aide internationale. »
En tant que ministre éthiopien de la Santé, puis des Affaires étrangères, Tedros a été accusé de nettoyage ethnique systématique contre les tribus rivales du pays, en particulier les Amharas, de refuser aux partisans de l'opposition l'aide alimentaire de la Banque mondiale et d'autres organismes, ainsi que de népotisme et de détournement de fonds internationaux destinés à la construction d'hôpitaux pour soutenir politiquement son parti minoritaire. Ironiquement, c'est le contraire de la nouvelle loi sur l'OMS que Tedros soutient aujourd'hui. Le 22 septembre 2021, l'Allemagne de Merkel a proposé Tedros pour un nouveau mandat sans opposition.
RépondreSupprimerOMS, Gates, GERM
Le plus grand donateur de l'OMS (incluant GAVI), l'autoproclamé « tsar du tout mondialiste », Bill Gates, a donné un avant-goût de ce qui nous attend avec les nouvelles règles. Dans son billet de blog du 22 avril, Gates propose quelque chose d'amusant avec l'acronyme GERM - Global Epidemic Response and Mobilization-team (équipe de mobilisation et de réponse aux épidémies mondiales). Il s'agirait d'une « organisation permanente d'experts entièrement rémunérés et prêts à organiser une réponse coordonnée à une épidémie dangereuse à tout moment ». Il dit que son modèle est le film hollywoodien « Alerte ! ». « Les experts en surveillance des maladies de l'équipe rechercheraient les épidémies potentielles. Dès qu'elle en repère une, le GERM devrait avoir la capacité de déclarer une épidémie... » Elle serait coordonnée par, bien sûr, l'OMS de Tedros : « Le travail serait coordonné par l'OMS, le seul groupe qui puisse lui donner une crédibilité mondiale. »
Une notion dystopique de ce qui pourrait se produire est l'actuelle fausse épidémie de « grippe aviaire », H5N1, qui entraîne l'élimination de dizaines de millions de poulets dans le monde entier si un seul poussin est testé positif pour la maladie. Le test est le même test PCR frauduleux utilisé pour détecter le COVID-19. Récemment, le Dr Robert Redfield, le chef du CDC de Trump, a donné une interview dans laquelle il a « prédit » que la grippe aviaire se propagerait à l'homme et serait hautement fatale lors de la prochaine « grande pandémie », pour laquelle le COVID-19 n'était qu'un simple échauffement. Redfield a déclaré dans une interview de mars 2022 : « Je pense que nous devons reconnaître - j'ai toujours dit que je pense que la pandémie de COVID a été un signal d'alarme. Je ne crois pas que ce soit la grande pandémie. Je pense que la grande pandémie est encore dans le futur, et qu'il s'agira d'une pandémie de grippe aviaire pour l'homme. Elle aura une mortalité significative de l'ordre de 10 à 50%. Il y aura des problèmes ». En vertu des nouveaux pouvoirs dictatoriaux de l'OMS, celle-ci pourrait déclarer une urgence sanitaire sur une telle fraude, sans tenir compte des preuves contraires.
Source : New Eastern Outlook
https://reseauinternational.net/coup-detat-furtif-de-loms-pour-dicter-le-programme-de-sante-mondial-de-gates-et-big-pharma/
Monkeypox : « Trompez-moi deux fois, honte à moi »
RépondreSupprimerPar Mike Whitney
La revue Unz
23 mai 2022
"Je n'arrive pas à croire que c'est déjà la saison de la variole du singe et je n'ai même pas enlevé mes décorations ukrainiennes." Robin Monotti
La prédiction de Bill Gates selon laquelle le monde serait confronté à une épidémie inattendue de variole se déroule miraculeusement. Doit-on être surpris ?
Je sais que je ne le suis pas. Voici le devis qui a été délivré par Gates 6 mois avant l'enregistrement du premier cas.
"Il faudra probablement environ un milliard par an pour un groupe de travail sur la pandémie au niveau de l'OMS, qui fait la surveillance et fait ce que j'appelle des" jeux de germes "où vous pratiquez… Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait variole à 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Bill Gates, Sky News, 6 novembre 2021
On ne peut que s'émerveiller devant les extraordinaires pouvoirs de perception de Gates. Il est comme une sorte de devin logiciel capable de deviner l'avenir à partir des entrailles des animaux. C'est ça, ou a-t-il une boule de cristal cachée quelque part dans les entrailles de son manoir du lac Washington ? Quoi qu'il en soit, c'est vraiment étonnant. Voici plus du World Socialist Web Site :
"Une épidémie sans précédent de virus monkeypox s'est officiellement propagée à 10 pays en dehors de l'Afrique, avec 107 cas confirmés ou suspects signalés à ce jour, au Royaume-Uni (9 cas), au Portugal (34), en Espagne (32), en France ( 1), la Belgique (2), la Suède (1), l'Italie (3), le Canada (22), les États-Unis (2) et l'Australie (1).
Beaucoup reste inconnu sur la cause de l'épidémie, qui est l'épidémie de monkeypox la plus dispersée géographiquement et la plus rapide depuis la découverte du virus en 1958. Dans les jours et semaines à venir, davantage de données et de connaissances scientifiques émergeront, mais il existe déjà une profonde inquiétude au sein de la communauté scientifique et du public, qui s'est largement exprimée sur les réseaux sociaux. ("Plus de 100 infections à monkeypox détectées dans 10 pays alors qu'une épidémie sans précédent se propage dans le monde", World Socialist Web Site)
Répétition : "L'épidémie de monkeypox qui s'est propagée le plus rapidement depuis la découverte du virus en 1958".
RépondreSupprimerJe me demande si cette partie « propagation rapide » a quelque chose à voir avec la façon dont les chercheurs ont peaufiné le gain de fonction de ces agents pathogènes uniques afin de les rendre plus contagieux et plus mortels ? C'est ce qui se passe ?
Nous ne le saurons probablement jamais.
Et est-il juste de se demander si la variole du singe pourrait être un autre virus généré en laboratoire qui a été concocté dans les quelque 300 laboratoires secrets financés par le Pentagone dispersés dans le monde entier qui mènent actuellement une guerre massive contre l'humanité pour faire avancer les ambitions des élites milliardaires qui se sont engagées à réduire la population mondiale tout en imposant une surveillance stricte et policière de l'État à chaque être sensible sur la planète Terre ?
Nous n'obtiendrons probablement pas de réponse à celle-là non plus.
Dans un souci d'équité, cependant, nous devons mentionner que des médias "réputés", comme le magazine Newsweek, ont réfuté l'affirmation selon laquelle Gates aurait fait la prédiction à laquelle nous avons fait allusion ci-dessus. Voici l'explication de Newsweek :
"Alors que Gates a parlé de la possibilité d'attaques bioterroristes de variole dans le passé, ses commentaires ont été légèrement sortis de leur contexte et ne mentionnent pas la variole du singe." (Vérification des faits : Bill Gates a-t-il prédit l'épidémie de monkeypox ? Newsweek)
"Un peu hors contexte ?" Vous voulez dire que Gates n'a PAS attiré l'attention sur une maladie infectieuse particulière (la variole) qui a réapparu comme par magie après l'extinction quelques mois plus tard ? De quel « contexte » parle l'auteur ? Nous aimerions savoir.
À proprement parler, peu importe ce que Newsweek dit ou ne dit pas, après tout, Gates est devenu l'incarnation de tout ce qui ne va pas avec la Gestapo de la santé publique d'aujourd'hui, c'est pourquoi il est devenu un pôle d'attraction pour les critiques. Et, qu'il ait été traité équitablement ou non, un nombre important de personnes croient assez fermement que Gates est le cerveau derrière un plan visant à utiliser des maladies infectieuses générées en laboratoire pour subjuguer la population mondiale afin d'établir un Nouvel Ordre tyrannique contrôlé par des voraces. des élites comme lui. Et le nouveau traité d'éviscération de la souveraineté de l'OMS souligne davantage ce point, en fait, il semble suggérer que Gates et ses compagnons de voyage croient que leur ambition de toute une vie de gouverner le monde est désormais à leur portée. Vérifiez-le:
En recherchant cet article, je suis tombé sur un certain nombre de friandises que les lecteurs pourraient trouver intéressantes. Par exemple, j'ai découvert qu'il y avait eu un exercice sur table simulant une pandémie mondiale impliquant une souche inhabituelle de #monkeypox » qui a eu lieu en mars 2021. Il est étonnant de voir combien de ces « exercices préparatoires » semblent avoir lieu juste avant certains événements particulièrement événement horrible. Pouvons-nous tous les rejeter comme de simples coïncidences ? Découvrez ce texte de présentation du Brownstone Institute :
RépondreSupprimer"... les médias du monde entier sont en alerte rouge face à la toute première épidémie mondiale de Monkeypox à la mi-mai 2022, un an seulement après qu'une conférence internationale sur la biosécurité à Munich a organisé une simulation d'une" pandémie mondiale impliquant une souche inhabituelle de Monkeypox » à partir de la mi-mai 2022.
Le monkeypox a été identifié pour la première fois en 1958, mais il n'y a jamais eu d'épidémie mondiale de monkeypox en dehors de l'Afrique jusqu'à présent - dans la semaine exacte du mois exact prédit par les spécialistes de la biosécurité dans leur simulation de pandémie. Emmenez ces gars à Vegas !
L'épidémie mondiale de Monkeypox - qui se produit au moment exact prévu par une simulation de biosécurité d'une épidémie mondiale de Monkeypox un an auparavant - ressemble de façon frappante à l'épidémie de COVID-19 quelques mois seulement après l'événement 201, une simulation d'une pandémie de coronavirus presque exactement comme COVID-19 [FEMININE. " ("Monkeypox était une simulation de table uniquement l'année dernière", Brownstone Institute)
Et voici une vidéo d'une minute et demie qui aide à expliquer l'extrait ci-dessus. (Vidéo) Vous remarquerez peut-être que l'ancre rapportant l'épidémie (simulée) dit: "Les scientifiques ont décidé que ce virus monkeypox a été conçu."
Euh hein. Et, plus loin, l'un des analystes offre ces conseils prémonitoires : "Nous voyons beaucoup moins de cas où les gouvernements ont pris des mesures précoces et décisives"
Que penses-tu que cela signifie ? Cela pourrait-il signifier que nous ferions mieux de nous préparer pour une autre série de injections expérimentales de caillots ? C'est ça que ça veut dire ?
Alors, voici votre quiz pandémique du jour : selon vous, quelles sont les chances qu'une maladie étrange, comme Monkeypox, puisse éclater spontanément dans 10 endroits différents à travers le monde (où elle n'était jamais apparue auparavant) exactement au même moment ?
Que diriez-vous d'une chance "zéro" ? Est-ce trop élevé ?
RépondreSupprimerJe vais m'avancer ici et dire qu'il n'y a aucune chance que cette nouvelle maladie se produise "naturellement". La seule hypothèse rationnelle que l'on puisse faire est que la variole du singe, comme Covid, est un pathogène généré en laboratoire propagé par des agents secrets qui mènent une guerre biologique contre la population mondiale. Mais nous devrons consulter le Dr Fauci à ce sujet et voir s'il est d'accord. Voici plus du WSWS:
« Dans des articles préliminaires, les scientifiques spéculent que le virus, qui est endémique dans certaines parties de l'Afrique, aurait pu évoluer pour devenir plus contagieux et mieux adapté à la transmission interhumaine. De plus, presque toutes les personnes de moins de 42 ans n'ont pas reçu de vaccin contre la variole (qui est efficace à 85 % pour prévenir l'infection par le monkeypox) depuis l'éradication de la variole en 1980. En conséquence, ils n'ont aucune immunité et les jeunes adultes peuvent être infectés comme facilement comme des enfants. »(WSWS)
Cela confirme simplement qu'une autre campagne de vaccination de masse est en cours. Voici plus du même article:
"L'émergence de plusieurs cas dans différents pays est profondément problématique..." Étant donné que nous avons maintenant vu des cas confirmés en provenance du Portugal, des cas suspects en Espagne, nous assistons à cette expansion des cas confirmés et suspects dans le monde, nous avons le sentiment que personne n'a les bras autour de cela pour savoir à quel point cela pourrait être grand et expansif….
Dans presque toutes les déclarations publiques des épidémiologistes, ils ont tous admis être déconcertés par la façon dont le virus est déjà enraciné dans les communautés, étant donné qu'il est normalement extrêmement rare. Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security, a déclaré à STAT News : "Cela commence avec beaucoup plus d'ancrage, de manière beaucoup plus distribuée, et nous ne comprenons pas comment cela est entré dans ces réseaux". ("Plus de 100 infections à monkeypox détectées dans 10 pays alors qu'une épidémie sans précédent se propage dans le monde", World Socialist Web Site)
Alors, c'est déjà partout ? Alors, qu'est-ce qu'on fait ?
La réponse évidente est de se confiner, de se masquer et de se faire vacciner dès que possible. Sinon, la majeure partie de la population mondiale pourrait faire face à une mort atroce… tout comme Covid, vous vous souvenez ?. Bien sûr, certaines personnes pourraient conclure que nous sommes à nouveau délibérément induits en erreur et que 2 pandémies en 2 ans est une impossibilité statistique. Mais pourquoi être raisonnable quand l'hystérie de masse est à l'ordre du jour ? Voici plus:
« Le nombre d'effets secondaires graves du vaccin contre la variole rend problématique son utilisation dans une campagne de vaccination de masse. Cependant, en raison de la longue période d'incubation du monkeypox, le vaccin contre la variole peut fonctionner comme une prophylaxie post-exposition dans un modèle de "vaccination en anneau"...". (WSWS)
RépondreSupprimerEn d'autres termes, ne vous laissez pas dissuader par les taux vertigineux de crises cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de coagulation sanguine ou de décès. Suivez simplement les recommandations réfléchies du CDC et tout ira bien. En outre, le gouvernement a déjà acheté 13 millions de ces nouveaux vaccins mortels empoisonnés (les États-Unis achètent 13 millions de doses de vaccin Monkeypox), alors calmez-vous, respirez profondément et retroussez vos manches. Nous connaissons tous l'exercice maintenant.
Cependant, nous nous grattons la tête lorsque nous lisons les événements suspects dans les laboratoires biologiques secrets du Pentagone qui semblent être engagés dans toutes sortes de tromperies illicites, y compris la création à l'échelle industrielle d'agents pathogènes mortels qui pourraient exterminer des milliards de personnes. d'un seul coup. Cela nous empêche de dormir la nuit. Consultez cet article dans Tass :
« Les États-Unis ont fait des recherches sur les virus Ebola et de la variole en Ukraine, déclare Irina Yarovaya, coprésidente de la commission parlementaire d'enquête sur les laboratoires biologiques américains en Ukraine.
"Aujourd'hui, nous avons présenté une analyse des agents pathogènes qui intéressaient particulièrement les États-Unis en Ukraine", a-t-elle déclaré aux journalistes vendredi. "Outre les agents pathogènes qui sont territorialement liés à l'Ukraine, [les laboratoires] ont recherché des virus et des agents pathogènes qui sont endémiquement très éloignés de l'Ukraine, comme Ebola et la variole."
Selon le législateur, les informations obtenues indiquent « une fixation d'objectifs agressive qui sous-tend le fondement de ces programmes, de facto mis en œuvre par le département américain de la Défense sur le sol ukrainien ».…
«Je voudrais souligner que le dialogue que nous avons eu avec le chef du SVR aujourd'hui, combiné aux preuves obtenues par la commission, confirme pleinement le réseau de renseignement biologique créé par les États-Unis dans le monde et la mise en œuvre d'une exploitation militaro-biologique active du globe. , et l'Ukraine en particulier. Cela constitue essentiellement une grave menace mondiale »….
« Mais en même temps, [il devrait] exhorter la communauté mondiale à aller sérieusement au fond de cette activité biologique militaire secrète et dangereuse, mise en œuvre par les États-Unis. Afin que des mesures globales relatives à la sécurité commune, égale et indivisible puissent être développées. Compte tenu de la distinction entre utilisation pacifique et non pacifique de la recherche bactériologique et de l'étude des toxines, celle-ci doit être totalement transparente et contrôlée. Et il ne doit tout simplement pas y avoir d'armes bactériologiques dans le monde, c'est la position principale de la Russie. (« Un législateur russe clé révèle des recherches illicites sur Ebola et la variole au biolab ukrainien géré par les États-Unis », Tass)
RépondreSupprimerAlors, que se passe-t-il ici ? Pourquoi le Pentagone a-t-il plus de 300 laboratoires biologiques répartis dans le monde entier menant des recherches secrètes de gain de fonction sur des agents pathogènes qui constituent une menace claire pour toute l'humanité ? Et pourquoi le Pentagone s'est-il associé à des élites notoires dont les liens avec les mouvements eugénistes, dépeuplement et climatiques suggèrent que la recherche pourrait être façonnée selon un programme stratégique particulier qui pourrait impliquer des pertes importantes ?
Et si Monkeypox n'était pas, en fait, un virus naturel mais simplement la prochaine phase d'une guerre implacable contre le gouvernement constitutionnel, la liberté individuelle et les institutions de base de la civilisation moderne ? Peut-être sommes-nous préparés pour une civilisation complètement différente, une civilisation dans laquelle toutes nos décisions seront prises pour nous par des aînés éclairés, des parties prenantes d'entreprises et des philanthropes bien intentionnés. Est-ce possible?
Cela vaut certainement la peine d'y penser.
Reprinted with permission from The Unz Review.
https://www.lewrockwell.com/2022/05/no_author/monkeypox-fool-me-twice-shame-on-me/
Premièrement, il n'y en aurait pas dans les boites de singe ! Donc, vous pouvez continuer à acheter du corned-beef.
SupprimerDeuxièmement, après le lancement des propagande nazies "Vive les gouines et les pédés !" voici qu'arrive faites çà avec des animaux ! (chiens, chats, singes, hippopotame, crocodile, etc), après çà arrivera l'épidémie mondiale (interplanétaire et intergalactique ?) du 'pet de fourmi' et du 'Fourmi encore' !
Le moyen d'arrêter l'épidémie de faux virus de singe est de ne pas se faire injecter
RépondreSupprimerDe Wayne Lusvardi
23 mai 2022
La peur virale du jour, la fausse épidémie de virus du singe, actuellement produite à l'usine de virus CDC, se propagerait aux États-Unis et en Europe. On mentionne moins qu'il survient exclusivement chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec d'autres hommes et ne se propage qu'au sein de réseaux sexuels étroits. Mais les médias alimentent la crainte que le virus du pseudo-singe, qui se serait déjà propagé à travers les espèces animales jusqu'aux humains, se propagera d'une manière non sexuelle chez les humains.
Mais les virus ne sont pas des germes ou des microtoxines, ne sont pas contagieux par la salive ou le mucus en suspension dans l'air et ne peuvent pas se propager d'une espèce à l'autre. La seule façon pour un humain de contracter un virus animal est par injection. Il existe 300 000 variétés d'un virus ou d'une grippe en raison des 300 000 types de tissus différents dans le corps humain. Un virus est un détergent naturel fabriqué par le corps humain pour purger principalement les bactéries (appelé rhume) ou éliminer les produits chimiques inorganiques et les médicaments (appelé grippe ou virus). L'activation interne des virus dépend des changements saisonniers de climat-température ou des bâtiments à température contrôlée, et non de la ventilation dans les bâtiments (voir audio Aajonus Vonderplanitz Talks Viruses and Swine Flu). Les virus peuvent également commencer leur cycle de rinçage à partir d'expositions électromagnétiques. Cette perception sociale erronée de la contagion virale est similaire à celle du béri-béri et du scorbut, autrefois considérés comme infectieux, mais qui se sont révélés être des carences nutritionnelles. Mais les virus ne proviennent pas d'une carence nutritionnelle et sont des agents d'auto-nettoyage bénéfiques.
Indépendamment de tout ce qui précède, les médias espagnols rapportent que le virus du singe s'est propagé par contact humain dans un sauna. Aucune mention n'a été faite si la chaleur du sauna peut avoir excité des virus pour commencer à déverser des toxines tout comme un bain de sel d'Epsom libère des toxines et des métaux lourds. Ou si ceux qui étaient dans le sauna prenaient tous des médicaments qui déclenchaient une infection virale.
La pneumonie peut être auto-déclenchée lorsque le foie d'une personne est infecté par des toxines et que l'on surmène le foie en mangeant des aliments acides. Comme le déclare le Dr Henry Beiler, MD : « Lorsque le foie est appauvri en sodium afin de neutraliser ses acides, sa fonction peut être si sévèrement inhibée que la maladie en résulte… Lorsqu'il y a un drainage trop rapide du sodium disponible du foie, le foie les cellules meurent ».
Néanmoins, les États-Unis ont commandé pour 119 millions de dollars de « voxxines » de Monkey Pox (intentionnellement mal orthographié). Apparemment, ces « voxxines » de Monkey Pox seront en fait réétiquetées à partir d'un stock existant de « voxxines » de variole. Les « voxxines » de la variole sont les « voxxines » originales de la grippe porcine qui ont tué 284 000 personnes. Selon le Dr Eleanor McBean, PhD, la grippe porcine fabriquée en laboratoire était un canular destiné à paniquer les gens pour qu'ils prennent des voxxines. La seule façon d'arrêter une soi-disant épidémie de virus animal est de ne jamais se faire injecter par un médecin.
RépondreSupprimerLes symptômes de la pseudo-variole du singe sont curieusement similaires à ceux du rhume ou de la grippe : fièvre, maux de tête, courbatures et fatigue. Le symptôme distinctif de Monkey Pox est une éruption cutanée qui se produit sur tout le corps humain, y compris parfois des cloques. Cela signifie généralement que le foie est tellement infecté que la peau essaie d'évacuer les toxines par ses pores.
Par coïncidence, les symptômes de la variole du singe sont compatibles avec l'abus du médicament nitrate d'amyle (réaction allergique comme une éruption cutanée, démangeaisons de l'urticaire, peau rouge, enflée, boursouflée ou qui pèle avec ou sans fièvre). Les poppers Amyl Nitrate sont un aphrodisiaque pour améliorer les sensations sexuelles. Le nitrate d'amyle est une toxine qui peut déclencher des virus pour commencer naturellement le processus de purge qui peut provoquer une infection du foie lorsque le foie est infecté. Le nitrate d'amyle est une molécule du sel d'alcool amylique et d'acide nitrique. Il augmente l'acidité de l'urine.
Le resvératrol réduit la réplication perçue du virus du singe
Pas moins que le CDC rapporte que le resvératrol réduit considérablement la réplication du virus monkeypox. Mais il n'y a pas de germe viral qui se réplique, car un virus n'est pas vivant, ne peut pas se reproduire et les solvants cellulaires ne sont pas contagieux. Cependant, une fois qu'une cascade de virus commence dans un ensemble de cellules humaines, un virus peut signaler à d'autres groupes de cellules du corps de commencer un nettoyage qui apparaît comme une réplication.
La fonction du resvératrol est de protéger les plantes des attaques de bactéries ou de champignons. Mais l'avantage le plus important du traitement du virus du singe est qu'il contrebalance un mauvais équilibre du pH (acide alcalin), en particulier lorsque l'acidité interne est trop élevée. Comme indiqué ci-dessus, l'acidose peut déclencher des détergents viraux pour commencer à nettoyer les cellules. De plus, l'oxalose peut muter le globule rouge en levure, moisissure ou champignon. Sans le globule rouge pour transporter l'oxygène avec l'hémoglobine dans les poumons, on peut souffrir d'hypoxie, l'un des symptômes les plus répandus du bugaboo Coronavirus. Un autre avantage pour la santé du resvératrol est qu'il peut réduire les caillots sanguins, en particulier ceux associés au COVID-19. Cependant, si l'on a un grave problème de coagulation, des anticoagulants plus puissants devront être administrés.
Le virus du singe se propage par injection et non par contagion. Néanmoins, la grippe et les virus peuvent être déclenchés de manière interne, parmi de nombreux autres facteurs, par les changements de température saisonniers ou artificiels des bâtiments et la sensibilité à la surcharge toxique du corps et à l'acidité.
RépondreSupprimerCeci est entièrement un avis non médical et ne doit pas être interprété comme un avis médical.
https://www.lewrockwell.com/2022/05/wayne-lusvardi/the-way-to-stop-fake-monkey-virus-epidemic-is-to-not-get-injection/
C'est vraiment une pandémie de CONTRÔLE sur les gens plutôt qu'une propagation de virus
RépondreSupprimerSunday, May 22, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) Cela ne peut pas vraiment être qualifié de pandémie lorsque moins de la moitié d'un pour cent des personnes qui attrapent le virus en meurent, et 99 pour cent de ces personnes meurent déjà d'un cancer, d'une maladie cardiaque, du diabète, de médicaments sur ordonnance ou démence. Tous les autres qui sont censés être morts du virus de Wuhan SARS-CoV-2 sont morts d'autre chose, mais les médecins et les hôpitaux ont qualifié leur décès de "mort avec COVID" afin d'obtenir des bonus du régime Biden corrompu jusqu'au cœur, qui a s'est entendu avec Big Pharma pour installer un autre type de "pandémie" - celle de POPULACE CONTROL.
Avouons-le, la « pandémie » a été conçue pour voler une élection, écraser l'économie américaine et démanteler la Constitution, une fois pour toutes. Prévu dans les laboratoires depuis des années, le gain de fonction n'est pas un terme utilisé pour décrire un virus dans la nature. Le gain de fonction signifie qu'un virus a été conçu pour pouvoir être transféré des animaux aux humains, alors qu'il ne le faisait pas auparavant et ne le pouvait pas.
Dans la Chine communiste, si vous critiquez le gouvernement de quelque manière que ce soit, vous êtes jeté en prison et vos organes sont prélevés pour être vendus au marché noir. Il n'y a pas de liberté de religion, de presse, d'expression ou de droit de porter des armes (ils ont les lois de contrôle des armes les plus strictes sur Terre). Saviez-vous qu'avant que Biden ne vole les élections, les médias d'État chinois ont déclaré leur soutien aux démocrates, car ils sont connus pour être des sympathisants communistes ?
En fait, le régime communiste chinois a provoqué la pandémie de coronavirus. Ils sont responsables du crash de notre économie, de centaines de millions de bulletins de vote postaux contrefaits utilisés pour voler les États swing lors des élections du POTUS, et de la poussée massive de vaccins qui a tué plus d'Américains que n'importe quelle pandémie qui ait jamais balayé ce pays. Regardons CA de plus près.
L'ultime THÉORIE DU COMPLOT est que les vaccins COVID-19 sont "sûrs et efficaces"
Le complexe industriel des vaccins adore cracher son dicton préféré dans tous les médias tout le temps, "sûr et efficace". Vous le voyez diffusé sur le site Web du CDC en ce moment. Aucune mention des millions de cas de myocardite et de caillots sanguins à travers le monde. Aucune mention du fait que les vaccins contre la grippe de Wuhan ont blessé plus de personnes en seulement deux ans que tous les vaccins combinés depuis leur création, il suffit de vérifier les statistiques du VAERS à ce sujet. Le CDC est corrompu jusqu'au cœur et le pivot de la pandémie de contrôle et de réduction de la population.
Ensuite, il y a les histoires de couverture pour les dommages causés par les vaccins. Ils commencent par des noms comme "Long COVID" et "Long Haul COVID" et même "Chronic COVID". Cela signifie des dommages induits par le vaccin à long terme. Dire que les vaccins contre la grippe Fauci sont "sûrs et efficaces" est une théorie du complot. C'est un complot.
RépondreSupprimerSi vous dites que n'importe quel type de vaccin est "sûr et efficace", ou si vous l'imprimez, ou même si vous le croyez, vous êtes un théoricien du complot. Aucun vaccin n'a jamais été prouvé sûr ou efficace, par quelque moyen que ce soit. Pas dans les essais cliniques. Jamais. Il n'y a aucune source pour cette affirmation, à part le jargon du mantra jeté partout par le CDC. La vérité est que les vaccins sont des médicaments à base d'huile de serpent, vendus par des vendeurs d'huile de serpent et soutenus par des fabricants d'huile de serpent, qui ne peuvent jamais être poursuivis devant un tribunal américain (le Congrès l'a approuvé).
Les «vaccins» COVID-19 sont de l'huile de serpent vendue par des vendeurs d'huile de serpent
Big Pharma possède et exploite un complexe de fabrication d'huile de serpent. Ce complexe a des laboratoires partout dans le monde, travaillant en ce moment sur plus d'injections de mutations génétiques "gain de fonction" qui rendront les humains malades au point d'une mort prématurée certaine. Des gens comme Anthony Fauci et Bill Gates sont des barons voleurs – des gens qui s'enrichissent grâce à des «pratiques commerciales» impitoyables et sans scrupules. La pandémie de COVID est la plus grande entreprise commerciale jamais lancée, et nous n'en sommes qu'à deux ans. Combien de tombes seront creusées pour les victimes de la violence vaccinale ?
Bill Gates l'a dit lui-même il y a quelques années à peine, que si nous faisons un "très bon travail avec les vaccins et les soins de santé", nous pouvons réduire la population mondiale de quelques milliards. Comment les vaccins réduisent-ils la population ? Comment les soins de santé réduisent-ils la population ? Avez-vous déjà pensé à cela? Les vaccins contre le virus de Wuhan provoquent une coagulation sanguine sévère et c'est ainsi que des millions de personnes meurent en ce moment. Les soins de santé signifient subventionner les trafiquants de drogue et contraindre les Noirs à se faire avorter. Vous voyez? La pandémie est une pandémie de contrôle et de réduction de la population. Ce n'est pas une théorie du complot, car la science le prouve. Renseignez-vous sur les nanoparticules dans les vaccins contre la grippe Fauci et vous le saurez.
Garde tes yeux ouverts. Écoutez les mondialistes vous dire exactement ce qu'ils font et comment. C'est juste devant vos yeux et c'est dans vos oreilles toute la journée, si vous écoutez le message des médias de masse. Les théoriciens du complot affirment toujours que chaque vaccin est « sûr et efficace », alors qu’il s’agit de mécanismes vraiment mortels de réduction de la population, tout comme les cigarettes.
Faites vos propres recherches et n'utilisez PAS Google. Essayez le moteur de recherche Brave BETA et obtenez plus de nouvelles et d'informations réelles. Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur les « vaccins » Covid expérimentaux et sales qui provoquent des caillots sanguins et d'autres effets secondaires horribles similaires aux effets du venin de serpent. Encore une fois, nous devons nous demander combien de tombes seront creusées pour les victimes de la violence vaccinale ?
RépondreSupprimerEnfin, si vous avez reçu un vaccin contre un caillot COVID ou deux ou trois, voici comment vous pourriez savoir que vous avez des caillots sanguins causés par eux. Regardez cette courte vidéo avertissant le monde des mécanismes de réduction de la population appelés «vaccins» et de la façon dont ils provoquent généralement des caillots sanguins mortels. Voici les symptômes à rechercher :
Sources for this article include:
Pandemic.news
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-22-pandemic-of-control-over-people-not-virus-spreading.html
C'est reparti: MONKEYPOX est le prochain "scariant" qui se déchaîne sur le monde pour exiger la conformité aux vaccins
RépondreSupprimerdimanche 22 mai 2022
par : Ethan Huff
(Nouvelles naturelles) Oh non ! Une autre maladie effrayante appelée "monkeypox" est censée se propager, ce qui signifie que les pouvoirs en place se préparent à déclencher une autre série de tyrannie plandémique qui inclura certainement un autre nouveau "vaccin" magique délivré à une vitesse fulgurante.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont nous savons qu'elle est activement engagée dans la recherche sur les armes biologiques, a lancé une réunion d'urgence au Royaume-Uni pour discuter de la prétendue menace du monkeypox. La branche des Nations Unies affirme que les «cas» de la maladie devraient «doubler» de neuf à 18, nécessitant une intervention.
Les autorités stockent déjà davantage de vaccins contre la variole, qui, selon elles, traiteront les personnes qui ont peut-être déjà été exposées au monkeypox. Le gouvernement britannique a environ 5 000 injections dans son stock national existant et en a commandé 20 000 autres en complément.
Selon les «experts», les hommes homosexuels et bisexuels sont les principaux propagateurs de la variole du singe, alors peut-être qu'un «remède» sera publié juste pour eux pour aider à arrêter la propagation.
"Une ligne de conduite potentielle à évoquer sera de savoir si la vaccination avec le vaccin contre la variole fabriqué par Bavarian Nordic, connu sous le nom de Jynneos aux États-Unis et Imvanex au Royaume-Uni, doit être utilisée pour les contacts de personnes connues pour être infectées", rapporte le Telegraph. .
"Le vaccin n'est approuvé qu'au Royaume-Uni pour la protection contre la variole - bien que le virus ait été éliminé depuis 1980 - mais peut être utilisé" hors licence "pour se protéger contre [la variole du singe]."
Le monkeypox est-il une maladie homosexuelle ?
Même si l'ivermectine et l'hydroxychloroquine (HCQ) étaient totalement interdites d'utilisation contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) parce que cela aurait été hors AMM, il est apparemment très bien de commencer à injecter des cas suspects de monkeypox avec des vaccins contre la variole.
Les "experts" affirment que le vaccin contre la variole est le seul virus non réplicatif au monde pour la variole ou la variole du singe, réduisant le risque de maladie d'une personne d'environ 85 %.
"Si une personne reçoit le vaccin dans les quatre jours suivant l'infection, le vaccin peut modifier le cours de l'infection et améliorer son pronostic", affirme le Telegraph.
"Il y a une inquiétude croissante concernant l'épidémie, qui constitue au moins neuf cas au Royaume-Uni et a été observée dans divers autres pays. Des équipes de santé ont été déployées dans le monde entier pour isoler et contacter les personnes touchées, les hommes homosexuels et bisexuels étant invités à porter une attention particulière à toute nouvelle éruption cutanée ou lésion sur leur corps, en particulier sur leurs organes génitaux.
Sur les neuf cas de monkeypox qui ont été identifiés au Royaume-Uni jusqu'à présent, six d'entre eux sont survenus chez des hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes. Cela suggère que la variole du singe pourrait être une maladie homosexuelle.
"Nous exhortons les hommes homosexuels et bisexuels à être conscients de toute éruption cutanée ou lésion inhabituelle et à contacter un service de santé sexuelle sans délai s'ils ont des inquiétudes", a annoncé le Dr Susan Hopkins, médecin-chef de l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA). conseiller.
RépondreSupprimerLe professeur Kevin Fenton, également de l'UKHSA, a ajouté qu'il souhaitait que tout le monde soit "conscient des signes et des symptômes, qui comprennent des éruptions cutanées autour de la bouche, ainsi qu'autour de la région génitale".
De nouveaux cas de monkeypox seraient également apparus comme prévu en France, en Italie, en Suède et en Australie, ainsi qu'aux États-Unis, en Espagne, au Portugal et au Canada.
Avec la façon dont les médias parlent de monkeypox, il ne serait pas surprenant de voir cela devenir le nouveau "covid", rempli de mandats de masque, d'édits de distanciation sociale et éventuellement de mandats de piqûre une fois qu'une autre campagne de vaccination de type Operation Warp Speed est lancée comme le "remède".
Une couverture médiatique plus connexe sur ce dernier événement de fausse bannière de maladie infectieuse peut être trouvée sur FalseFlag.news.
Les sources de cet article incluent :
Telegraph.co.uk
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-05-22-monkeypox-scariant-unleashed-demand-vaccine-compliance.html