Modèles reconsidérés: il n'y a pas d'urgence climatique
Par David Wojick 12 février 2020
Si vous regardez attentivement, il s'avère que le récit apocalyptique de l'urgence climatique est une coquille vide. On ne sait jamais à quoi ressemble la catastrophe imminente. Comme dit le proverbe, il n'y en a pas là-bas. Mais il y a une bonne raison à ce silence soigneusement conçu, à savoir qu'il n'y a pas de scénario plausible selon lequel la catastrophe mondiale proviendrait du réchauffement climatique.
Comme le souligne le Manifeste CLINTEL, le récit d'urgence est basé sur des modèles informatiques incontrôlables. Comme nous le savons grâce aux jeux vidéo, les modélisateurs informatiques peuvent faire en sorte que leurs modèles fassent tout ce qu'ils veulent. Les modélistes sont comme des écrivains de fiction à cet égard. Regardez les 150 dernières années. La température mondiale a augmenté d'environ 1° C, mais les progrès sociaux et économiques ont été spectaculaires. La pauvreté mondiale n'a jamais été aussi faible qu'aujourd'hui. Alors quel est le problème?
La Déclaration mondiale sur le climat de CLINTEL l'explique ainsi: «Les modèles climatiques exagèrent systématiquement le réchauffement climatique futur (résultats du Groupe de travail 1 de la CIPV) et, sur la base de cette exagération, le Groupe de travail 2 du GIEC prévoit que les catastrophes naturelles vont augmenter. Cependant, lorsque nous regardons la réalité, les véritables statistiques des catastrophes naturelles montrent une image très différente. Rien n'indique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres, ou les rend plus fréquents. Au contraire, au cours des 100 dernières années, le nombre de décès liés au climat a fortement diminué. »
En ce qui concerne les dommages causés par ce réchauffement climatique incorrectement prédit, les modélisateurs ont montré que leurs modèles entièrement spéculatifs peuvent être poussés à faire des choses vraiment bizarres. Les soi-disant «points de basculement» sont particulièrement importants ici. Il n'y a aucune preuve empirique que ces points de basculement imaginaires existent réellement.
Le Groupe de travail 1 de l'IPCC est la principale source du soulèvement climatique erroné, qui s’est soudainement déclenché. Leur rapport spécial d'octobre 2018 sur le réchauffement climatique de 1,5° C (SR15) est systématiquement cité par ceux qui proclament l'urgence. Cependant, ce rapport est entièrement basé sur une modélisation informatique qui, nous le savons, montre un réchauffement excessif dû aux émissions de combustibles fossiles.
Il y a deux raisons pour lesquelles SR15 exagère le réchauffement climatique. Premièrement, les modèles qu'ils utilisent sont beaucoup trop sensibles à l'augmentation lente des niveaux de gaz carbonique atmosphérique. Deuxièmement, ils utilisent un scénario incroyablement irréaliste pour les futures émissions de gaz carbonique. En conséquence, SR15 appelle à une réduction complètement insoutenable des émissions de gaz carbonique, qui est l'essence même de l'urgence supposée.
SR15 nous dit que si nous dépassions le réchauffement climatique de 1,5 degré C, les catastrophes d'origine climatique augmenteraient. Le message est donc: restez en dessous de cette limite ! Ensuite, nous voyons que le scénario complètement irréaliste RP 8.5 est déclaré «comme d'habitude», ce qui signifie que si nous ne faisons rien, nous irons bien au-dessus de la limite de sécurité de 1,5°C et atteindrons un réchauffement climatique d'environ 5° C. Son message est donc : il est d'une minute à douze. Il n'y a pas de temps à perdre pour des mesures d'atténuation drastiques.
Le Manifeste CLINTEL le résume succinctement: «En regardant la panique d'aujourd'hui, l'objectif d'atténuation - une réduction de 50% du gaz carbonique en 2030 - est irréaliste et irresponsable. Elle implique une reconstruction hâtive de l'ensemble du système énergétique avec des technologies non éprouvées. Cependant, la prospérité nécessite une énergie abondante, peu coûteuse et fiable. La politique d'atténuation actuelle signifie l'abandon de notre système énergétique à faible coût éprouvé dans un délai très court. Des systèmes énergétiques peu performants entraîneront inévitablement un déclin économique et une pauvreté accrue: «Retour vers le passé». L'atténuation n'est-elle pas une politique climatique immorale ? L'adaptation au climat n'est-elle pas le fondement de l'aide au développement ? »Cette dernière est un message important aux dirigeants de la Banque mondiale.
Maintenant, la panique climatique est devenue complètement incontrôlable, allant bien au-delà de la SR15 avec des propositions appelant à zéro émission de gaz carbonique en dix ans seulement. Ce type d'action drastique serait incroyablement destructeur pour l'humanité s'il était réellement tenté. L'appel à des actions immédiates drastiques qui dépassent de loin l'IPCC signifie qu'il n'y a aucun soutien scientifique. L'IPCC n'est pas réaliste, mais ces propositions «d'action immédiate» comme le Green New Deal sont vraiment absurdes. «L’action maintenant, les gens» affirment que la science est derrière eux et se réfèrent à SR15. Le seul sens dans lequel la science est derrière eux, c'est qu'ils l'ont laissé loin derrière, jusqu'à présent, on ne peut même pas le voir.
En conclusion, il n'y a tout simplement pas d'urgence climatique. Comme l'explique le Manifeste CLINTEL, il s'agit purement d'une fiction informatique pour effrayer le public. Pire encore, ils essaient aussi d'effrayer nos enfants et petits-enfants avec leur message apocalyptique. Les modélistes organisent le spectacle climatique, qui est maintenant devenu une panique à grande échelle.
La politique sensée consiste à poursuivre l'adaptation au changement climatique, quelles qu'en soient la forme ou la cause. Nous ne pouvons pas restructurer à la hâte les fondements physiques de notre société. Mais, plus important encore, pourquoi le faire s'il n'y a aucune raison de le faire.
Une rhétorique trompeuse à Davos pourrait provoquer un désastre
Par Paul Driessen 12 février 2020
La conférence du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, est présentée comme le rassemblement annuel le plus prestigieux au monde de déménageurs et de secoueurs. Sa mission est «d'améliorer l'état du monde en engageant les chefs d'entreprise, politiques, universitaires et autres de la société à façonner les programmes mondiaux, régionaux et industriels».
Le thème de cette année était «Les parties prenantes pour un monde cohérent et durable». Malheureusement, la rhétorique noble dément les réalités trompeuses et potentiellement désastreuses des agendas soutenus par de nombreux participants.
Le thème principal de cette année est l’affirmation répétée que le monde est confronté à un cataclysme climatique. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, veut donc taxer les importations d'énergie à base de carbone dans l'UE et mettre fin à la pratique de l'humanité de «tirer des ressources de l'environnement et de générer des déchets et de la pollution dans le processus». Elle (et d'autres) insistent sur le fait que «l'énergie verte »Ne ferait rien de tel.
Les allégations de crise climatique sont à leur tour basées sur des modèles informatiques qui ne sont aussi bons que les hypothèses qui y sont intégrées - et sur les tentatives de blâmer les changements de température, les événements météorologiques extrêmes et les crises futures sur les émissions de combustibles fossiles, car les hypothèses et les modèles disent que c'est une cause -effet relation.
Le modèle le plus cité est (naturellement) le plus extrême: le RCP8.5, qui prédit des températures bien supérieures à ce que nous mesurons réellement et toutes sortes de calamités futures. Mais il est basé sur les hypothèses suivantes: le méthane et le dioxyde de carbone fertilisant pour les plantes (un minuscule 0,0402% de l'atmosphère terrestre) sont beaucoup plus importants que le soleil dans la conduite du changement climatique; notre planète comptera 12 milliards d'habitants d'ici 2100; il n'y aura pas d'innovations énergétiques au cours des 80 prochaines années; par conséquent, l'utilisation du charbon sera multipliée par dix d'ici la fin du siècle. Sur ce point, nous sommes censés fonder des politiques énergétiques restrictives et les thèmes des réunions de Davos.
Quelles sont les parties prenantes que les participants de Davos consulteront ? Greta Thunberg a été invitée à présenter sa tirade brevetée selon laquelle les combustibles fossiles détruisent son avenir. Mais aucun réaliste du climat (sceptiques alarmistes) n’a obtenu le podium, pas plus que les représentants des travailleurs des usines de l’UE ou des États-Unis ou les citoyens les plus pauvres du monde.
La bonne nouvelle est que plusieurs banquiers ont assuré qu'ils n'allaient pas arrêter de prêter des fonds aux sociétés de combustibles fossiles ou aux «grands pollueurs». (Cette dernière catégorie inclura-t-elle les sociétés minières qui devront fournir des matières premières volumineuses pour les États-Unis et le monde) «Nouvelle donne verte», comme discuté ci-dessous ?) La mauvaise nouvelle est que les banquiers et les politiciens de Davos se laissent constamment faire pression principalement par des «parties prenantes» d'extrême gauche, qui détiennent les enjeux qu'eux et les élites dirigeantes mondiales veulent faire passer à travers le le cœur du niveau de vie des pays développés et les aspirations des pays pauvres à une vie meilleure.
En effet, contrairement à ses assurances à Davos, bien que la consultation des peuples autochtones soit censée être un principe de base de l'entreprise, et sans consulter les parties prenantes autochtones de l'Alaska qui souhaitent forer avec soin et écologie pour le pétrole et le gaz sur leurs propres terres, afin d'améliorer la vie de leurs populations Goldman Sachs a décidé de ne plus financer un tel développement dans l'Arctique.
Alors que les médias «traditionnels» et les médias sociaux contrôlent de plus en plus les informations et les opinions, et se rangent du côté des alarmistes climatiques et des militants anti-fossiles, cette pression continuera de s'intensifier - à notre grand détriment.
Les thèmes, les agendas et les politiques de Davos ouvriront-ils un monde plus «cohésif»? L'inverse est infiniment plus probable. Priver les gens d'une énergie fossile (et nucléaire) abondante, fiable et abordable, comme les éco-activistes cherchent à le faire - et vous les privez d'emplois, de niveau de vie, de nourriture, de santé et de vie. Les gens meurent en masse (en soi un objectif des écologistes plus enragés paniqués à propos d'un monde surpeuplé). Mettez en œuvre des politiques de «nouvel accord vert» et les résultats seront tout sauf la cohésion. Ces politiques vont provoquer la rage, les protestations, la violence et l'anarchie - comme la France et le Chili l'ont clairement démontré au cours des deux dernières années.
Transformez les pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine en États vassaux, avec d’énormes mines au service de nations «écologiquement responsables et axées sur le climat» qui ne tolèrent pas l’exploitation minière à l’intérieur de leurs propres frontières - et toute cohésion disparaîtra rapidement. Dites aux familles américaines, européennes et autres qu’elles doivent accepter d’énormes installations éoliennes et solaires dans leurs arrière-cours ou au large de leurs côtes, et les résultats seront similaires.
Un monde «durable»? Oui, les combustibles fossiles sont en fin de compte des ressources limitées - des centaines d'années à partir de maintenant, après que nous aurons épuisé d'énormes gisements de charbon, du pétrole et du gaz provenant de la fracturation hydraulique, des hydrates de méthane et d'autres approvisionnements, en supposant que les décideurs politiques ne les enferment pas et «les gardent »Mais bien avant cela, l'innovation humaine créera de bien meilleures alternatives que les éoliennes, si nous laissons la créativité s'épanouir.
En attendant, n'oubliez pas: le vent et le soleil sont durables. Mais les terres et les matières premières nécessaires aux technologies pour exploiter cette énergie intermittente et largement déboursée ne le sont absolument pas.
La durabilité est un concept utile pour évaluer les coûts cachés, les risques et les responsabilités fiduciaires - tels que ceux associés au changement climatique, comme on nous le rappelle constamment. Mais nous devons appliquer ces mêmes considérations aux opérations éoliennes, solaires, à batterie et aux biocarburants; et aux impacts sur les habitats et la faune, la qualité de l'air et de l'eau, la santé humaine et le bien-être dans les régions minières et manufacturières écologiques, et le bien-être humain dans un monde privé d'énergie où la faim, la mort, la colère, les émeutes et le chaos augmentent.
Comme mes nouveaux rapports du Heartland Institute et les articles précédents le notent, les combustibles fossiles et le nucléaire fournissent actuellement plus de 8 milliards de mégawattheures (MWh) d'électricité et d'électricité équivalente à l'électricité chaque année, pour répondre aux besoins industriels, commerciaux, résidentiels et de transport des États-Unis. L'utilisation de l'énergie solaire pour générer toute cette énergie - et charger des batteries pendant une semaine de jours sans soleil - nécessiterait 19 milliards de panneaux photovoltaïques de pointe à détection solaire, couvrant complètement une zone équivalente à tout New York et au Vermont.
Mais cela suppose que les panneaux sont tous situés là où le soleil brille avec une intensité estivale de l'Arizona 24/7/365, ce qui n'arrivera jamais. Il nous faudrait donc probablement doubler (voire tripler) le nombre de panneaux et la superficie affectée. Les impacts sur les habitats et la faune seraient importants.
L'utilisation d'éoliennes de 1,8 MW au lieu de panneaux solaires nécessiterait plus de 4 millions d'éoliennes sur une ferme, un habitat faunique et des terres pittoresques équivalant à l'Arizona, le Nevada, la Californie, l'Oregon et une partie de l'État de Washington réunis. Mais plus nous installons, plus nous devons installer des turbines dans des endroits où le vent est faible. Nous devrons probablement doubler (voire tripler) le nombre de turbines et la superficie affectée. Leurs lames tournant rapidement (200 mph ou 321 km/h à leur extrémité) tueraient des millions d'aigles, faucons, autres oiseaux et chauves-souris.
Au lieu de cela, aller à l'étranger nécessiterait des centaines de milliers de turbines de 10 MW de 650 pieds (200 m) de haut. Leur impact sur les oiseaux, les chauves-souris, les mammifères marins, les vues et la navigation des navires et des avions serait intolérable.
Chaque turbine de 1,8 MW nécessite environ 1 200 tonnes d'acier, de cuivre, d'aluminium, d'éléments de terres rares, de zinc, de molybdène, de composites à base de pétrole, de béton armé et d'autres matériaux. Chaque tonne de matériaux nécessite de retirer des milliers de tonnes de roche et de minerai - et de traiter les minerais avec des combustibles fossiles. En fait, les éoliennes ont besoin d'environ 200 fois plus de matière par mégawatt qu'une turbine à gaz à cycle combiné moderne !
Stocker une semaine d'électricité pendant des périodes sans vent et sans soleil nécessiterait quelque 2 milliards de batteries au lithium-cobalt d'une voiture Tesla d'une demi-tonne - et plus de matériaux; plus d'exploitation minière. La connexion des installations éoliennes, solaires et de batteries à des villes éloignées nécessiterait des milliers de kilomètres de nouvelles lignes de transmission et davantage de mines.
Cela n'inclut pas les matériaux pour remplacer les voitures, camions, systèmes de chauffage et autres technologies existants.
Et c'est juste pour les États-Unis. Imaginez le nombre de turbines, de panneaux, de batteries, de lignes de transmission, de matières premières, de mines, d'usines de transformation et d'usines dont nous aurions besoin pour une transformation globale!
Mais les partisans d'un nouvel accord vert détestent l'exploitation minière, au moins par les sociétés minières occidentales des pays occidentaux. Donc, cela se fait principalement dans des endroits éloignés qui n'ont pratiquement aucune règle en matière d'environnement, de santé, de sécurité, de salaire ou de travail des enfants. Des endroits comme la Mongolie intérieure, où les opérations de terres rares ont sali l'air, créé un immense lac toxique et empoisonné des milliers de personnes. Et le Congo africain, où 40 000 enfants travaillent dans des mines uniquement pour le cobalt dont ont besoin les téléphones portables, les ordinateurs portables et les voitures électriques d'aujourd'hui; pas pour une nouvelle donne verte.
Cet éco-impérialisme et cette fausse durabilité doivent cesser. Quant à toutes ces parties prenantes autoproclamées, vous d'abord. Mener par l'exemple. Réduisez votre consommation d'énergie et votre niveau de vie. Ensuite, vous pouvez (gentiment) demander au reste d'entre nous de faire de même. Cela signifie que vous, Greta, Leo DiCaprio, Al Gore, Emma Thompson et tous les autres grondements climatiques. (Mais bien sûr, ils ne le feront pas. Alors pourquoi devrions-nous ? Et pourquoi les pauvres du monde ?)
Les riches sont différents de vous et de moi. En fait, certains d'entre eux ont tellement d'argent qu'ils participent à une nouvelle «course à l'espace» pour le 21e siècle comme alternative à la planète Terre en cas de catastrophe climatique.
Plusieurs milliardaires investissent leur fortune personnelle dans les voyages spatiaux et la colonisation éventuelle de la Lune et de la planète Mars. Richard Branson, Jeff Bezos d'Amazon et Elon Musk de PayPal en sont quelques exemples notables. Le plan de Musk va au-delà de la Lune, car il envisage de planter un établissement humain sur Mars.
Il y a de nombreuses raisons de vouloir repousser les limites du voyage spatial. Comme le dit le personnage de Star Trek de l'acteur William Shatner, le capitaine James Tiberius Kirk, à propos de l'espace extra-atmosphérique, c'est «la dernière frontière». Pourquoi ne pas investir dans la chance "d'aller hardiment là où personne n'est allé auparavant !"
Hormis l'exploration et la découverte, les autres raisons de la poursuite actuelle de l'espace par certains de ces super-riches incluent la peur d'une autre guerre mondiale. Elon Musk, par exemple, a noté qu'il y a eu deux guerres mondiales et la guerre froide au cours du XXe siècle, et que l'on ne peut pas exclure une autre conflagration. S'installer sur Mars assurerait au moins une partie de l'humanité.
M. Musk peut générer plus d'argent en une heure que la plupart des gens en un an, mais cela étire un peu les choses.
Ensuite, il y a le changement climatique et la prétendue menace existentielle pour la Terre. L'auteur Douglas Rushkoff a écrit que les établissements spatiaux sont une idée envisagée pour servir de «canot de sauvetage pour l'élite» si / quand cette planète devient intolérable. En 2018, il a décrit une réunion avec cinq milliardaires soucieux de planifier le pire et de «s'isoler du danger très réel du changement climatique, de l'élévation du niveau de la mer ... de l'épuisement des ressources», et plus encore.
Les voyages dans l'espace restent très risqués. Nous ne sommes pas allés sur la Lune depuis 1972, et deux navettes spatiales américaines ont été tragiquement incinérées (bien qu'il y ait eu 135 missions de navette - un nombre beaucoup plus élevé que je ne le pensais depuis, avec le temps, les allers-retours en orbite sont devenus moins dignes d'intérêt).
Traverser l'océan Atlantique à bord d'un navire était également très risqué, surtout il y a des siècles, lorsque la plupart de l'humanité pensait que la terre était plate, que les navires étaient en bois et que le télégraphe et la radio n'existaient pas. En l'absence d'une guerre mondiale, la traversée des océans a présenté des risques jusqu'en 1912 lorsque le Titanic a frappé un iceberg et a coulé, tuant 1 500 hommes, femmes et enfants.
D'un autre côté, les missions spatiales sont si courantes ces jours-ci qu'elles ne font guère de nouvelles, ce qui indique qu'elles deviennent presque routinières. Christina Koch en est un parfait exemple. Elle est l'astronaute américaine qui vient de terminer 328 jours en orbite, étant revenue sur Terre plus tôt ce mois-ci. Mme Koch est entrée dans l'histoire en passant le plus de temps dans l'espace par une femme. Pourtant, nous restons loin de la notion de voyage aéré chantée par Frank Sinatra, dans "Fly Me to the Moon".
Le temps et les avancées technologiques continueront et l'exploration spatiale est une chose positive à poursuivre. Cela a été compris pendant des décennies, avant même que le président John F. Kennedy ne se fixe l'objectif en 1961 qu'un Américain marche sur la Lune et revienne en toute sécurité sur Terre avant la fin de cette décennie. Étonnamment, bien sûr, son objectif a été atteint.
De nos jours, les gouvernements et de plus en plus le secteur privé investissent des ressources et des investissements pour poursuivre la frontière finale. Le président Trump veut que les Américains retournent sur la Lune dans cinq ans, et le tourisme spatial pour les milliardaires pourrait être de même dans quelques années, avec des plans pour une station spatiale de luxe en préparation.
La notion de fuir vers une communauté spatiale à part entière pour éviter une guerre future ou la peur exagérée du changement climatique est trop fantastique et absurde pour être considérée, et à des siècles de toute possibilité sérieuse. Néanmoins, si de telles notions motivent les super-riches à dépenser leurs milliards pour de futurs voyages et développements spatiaux, alors il vaut la peine de les encourager en citant ce grand personnage américain, Buzz Lightyear:
Oui, fabriquer des fusées créent des milliers d'emplois mais, ces objets ne profitent pas aux employés payés ou les non-employés. Personne par la suite n'achètera une fusée d'occasion. Mais seront peut-être même amenés à contribuer/investir en des stations spatiales qui ne profiteront qu'à certaines personnes.
En comparaison, une route ou chemin de fer fabriqués serviront à toutes et tous. De même des voitures, autocars ou avions.
Wuhan, Chine, le coronavirus a provoqué une illusion mentale chez les travailleurs de la santé et les autorités de santé publique; Lancement d'une étude
Par Bill Sardi 13 février 2020
Il est maintenant évident que les autorités de santé publique de Wuhan, en Chine, sont atteintes d'une forme grave de folie hivernale due aux coronavirus. Cette affection mentale jusque-là non identifiée a commencé lentement et s'est ensuite propagée si rapidement que les National Institutes of Health ont tranquillement lancé une étude le 10 février pour déterminer la cause de cette folie psychologique qui a visé la profession médicale. (Si vous avez du mal à y croire, cliquez sur les liens.)
Les premiers résultats de l'étude indiquent une forme de manie qui est plus susceptible de frapper les médecins et les professionnels de la santé enveloppés dans des combinaisons dangereuses ou confinés à travailler dans des environnements hospitaliers intérieurs 24h / 24 et 7j / 7 et qui ont donc des niveaux sanguins de vitamine D au soleil extrêmement faibles. .
La psychose de privation de soleil est connue pour réduire le volume du cerveau. Ceux qui supervisent la soi-disant épidémie de coronavirus à Wuhan présentent des symptômes délirants, connus pour être caractéristiques de cette maladie saisonnière, selon un rapport de PsychCentral.
Les récentes décisions et annonces faites par les autorités de santé publique à Wuhan et ailleurs dans l'hémisphère nord à propos de l'épidémie de coronavirus peuvent être caractérisées comme divers degrés de confusion mentale qui vont de la schizophrénie limite à une psychose sévère (totalement déconnectée de la réalité). Voici quelques exemples:
Le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), un secrétaire britannique à la santé et un professeur à Hong Kong mettent tous en garde contre une «grave menace pour le reste du monde» qui «pourrait infecter jusqu'à 60% de la population mondiale», tandis que Au départ, le taux de mortalité de ce virus 2019-nCoR est inférieur à l'épidémie de SRAS de 2003 qui n'a entraîné que quelques milliers d'infections confirmées en laboratoire et quelques centaines de décès, principalement chez les individus immunodéprimés.
Les dernières données au moment de la rédaction de ce rapport font état de 45 171 personnes infectées dans le monde et de 1115 décès, ce qui représente seulement un taux de mortalité de 2,4%. À titre de comparaison, le SRAS a infecté 8098 cas d'infection et 774 décès (taux de mortalité de 9,5%).
Mais les autorités sanitaires chinoises ont manifestement commencé à avoir des hallucinations qui se sont transformées en réalité imaginée pour dépeindre une épidémie de coronavirus plus mortelle en incluant des patients dont les tests sanguins étaient positifs pour le virus mais n'avaient AUCUN symptôme parmi les cas confirmés. Certains chiffres d'infection ont maintenant été ajustés à la baisse.
Lorsqu'ils sont confrontés au faible taux de mortalité, les responsables de la santé concèdent que «le taux de mortalité peut être encore plus bas que prévu» (1%) mais cela est dû à des cas non diagnostiqués. Bien sûr, dans chaque flambée de maladie infectieuse, il y a des cas non diagnostiqués. Une épidémie dépend du nombre d'échantillons de sang que les laboratoires peuvent traiter pour confirmer la souche virale impliquée. Et on pourrait penser que le virus 20190nCoR muté n'est pas le seul virus actif cette saison de la grippe à Wuhan. Ce n'est pas le cas, tant de personnes présentant des symptômes communs de rhume et de grippe à Wuhan et ailleurs dans le monde sont mises en quarantaine avant qu'un test sanguin ne confirme la souche du virus 2019-nCoR. Tout symptôme de rhume ou de grippe fera l'affaire. Tasser plus de maladies à traiter est une bonne affaire.
Le délire des coronavirus a également fait son apparition dans les médias. Voici un rapport récent:
Une femme âgée thaïlandaise a défié la cote du «un sur un million» pour survivre à sa bataille avec le coronavirus mortel qui a abattu près de 25 000 personnes dans le monde et tué près de 500. (Daily Mail 5 février 2020)
Mais au 11 février, le coronavirus n'avait infecté que 43.138 personnes sur 11 millions à Wuhan, soit 4 / 10e de 1% de la population, avec un taux de mortalité de 0,0000,92% (1018 décès), ce qui n'est même pas 1 sur 100 000; compte une agence de presse inexplicablement appelée «sombre».
Les personnes infectées par le coronavirus qui meurent sont en grande partie des fumeurs immunodéprimés, des buveurs, des personnes âgées souffrant de malnutrition et des consommateurs de drogues (même des médicaments conventionnellement prescrits); 68% des premiers cas de coronavirus étaient des hommes, ce qui est exactement le même pourcentage exact d'hommes chinois qui fument du tabac.
Parlez de sur-tuer. C'est cette même manie de coronavirus qui a poussé l'armée américaine à assembler 11 camps de quarantaine autour des principaux aéroports des États-Unis, bien qu'il n'y ait eu que 13 cas signalés parmi les voyageurs aériens entrants depuis le début de la soi-disant épidémie.
Ne pas faire la lumière sur les décès, mais ce n'est pas la pandémie de grippe espagnole de 1918 qui a infecté un tiers de la population mondiale et fait environ 50 millions de vies dans la période pré-antibiotique, qui a peut-être été déclenchée ou exacerbée par l'utilisation de l'arsenic dans les pesticides qui ont contaminé les aliments et induit par la suite une carence généralisée en zinc qui, à son tour, prédispose les enfants et les adultes infectés par un virus à une pneumonie grave; et la première commercialisation mondiale de l'aspirine par Bayer, un anti-fièvre qui a été surexploité et appauvri en vitamine C sans le vouloir, ce qui a provoqué une saturation des poumons en liquide et des patients noyés dans leurs propres sécrétions.
Les médecins de l'hôpital militaire Walter Reed à Washington, DC, ont soigné la grippe espagnole dans des pièces qui ont reçu de l'air frais et de la lumière naturelle. Ils savaient que la lumière du soleil effrayait les démons pandémiques.
Pour enflammer l'épidémie virale, les autorités de santé publique ont ordonné à tout le monde à l'intérieur - - la mise en quarantaine des masses du rayonnement solaire UV qui est l'antidote naturel.
À cette époque de l'année, l'indice UV à Wuhan est de 3-4 sur une échelle de 1-10. La maladie mentale est en corrélation avec une immunité affaiblie en hiver lorsque la terre s'incline loin du soleil dans les latitudes nordiques. Il est peut-être temps de fermer les surveillants plutôt que les masses. La folie hivernale a une sélectivité évolutive pour la profession médicale qui travaille en grande partie à l'intérieur.
Bien qu'il existe un certain nombre d'études publiées ne confirmant pas que les pilules de vitamine D protègent contre l'infection grippale, le véritable test de l'ensoleillement-vitamine D est de savoir s'il prévient les décès liés à la grippe - à savoir la pneumonie (les poumons se remplissent de liquide). La vitamine D normalise un système immunitaire autrement trop réactif qui peut remplir les poumons de liquide. Le maintien d'un taux sanguin adéquat de vitamine D RÉDUIT l'incidence de la pneumonie.
En outre, il semble que plus de vitamine D orale soit nécessaire en hiver lorsque les niveaux de stockage de vitamine D dans le foie peuvent être épuisés. En raison d'une erreur statistique, maintenant inventé « la grande erreur de vitamine D, » le public a été informé par erreur de prendre une quantité faible de vitamine démesurément D (équivalent à moins de 5 minutes de soleil / exposition de la peau). Une clinique qui administre 50 000 unités de vitamine D à des patients infectés par la grippe rapporte une résolution rapide et spectaculaire des symptômes de la grippe. Où est la flotte de camions de vitamine D de l'Organisation mondiale de la santé lorsque nous en avons besoin?
TOTALEMENT MYTHIQUE DU COURS
Bien sûr, les masses ont lu les informations du médecin chinois qui avait initialement sonné l'alarme concernant le coronavirus, qui serait décédé. Mais maintenant, tout à coup, ce médecin est vivant et serait dans un état critique. Mais la photo publiée (ci-dessous) montre le médecin aux yeux écarquillés et alerte avec une bonne couleur de peau et tenant son I.D. carte.
Un autre exemple du dérangement mental causé par ce coronavirus est un reportage selon lequel les autorités gouvernementales chinoises «vont désinfecter par pulvérisation une ville entière».
Mais les virus ne vivent pas comme des bactéries, ils ne peuvent donc pas être «tués». Les virus sont des globes de matériel génétique qui envahissent les cellules à l'intérieur du corps et se multiplient rapidement en utilisant le mécanisme génétique de la cellule hôte. La meilleure façon de réprimer un virus est d'arrêter sa réplication. Mais les remèdes naturels qui font que, comme la quercétine trouve naturellement dans pelure de pomme rouge et les oignons rouges et resveratrol trouvé dans les raisins et le vin rouge, inutilisés. Mieux vaut laisser les morts continuer et attendre un vaccin.
Un vaccin est mois loin et ne rendrait pas probablement prévenir les infections ou les décès chez les personnes immunodéficientes qui ne peuvent pas efficacement des anticorps contre un virus à ARN enveloppait comme celui circulant à Wuhan. Ainsi, la vaccination des populations comme à Wuhan ne ferait que immuniser efficacement la santé qui peut produire un anticorps suffisant et sont à risque moins d'être infecté.
Un vaccin contre le coronavirus devrait prévenir 1 infection chez 16 666 personnes. Même avec un très faible taux d'effets secondaires graves d'un vaccin contre le coronavirus, une analyse prédit qu'une vaccination généralisée pourrait hospitaliser et tuer plus de personnes que le virus lui-même.
Il est temps pour la thérapie par la réalité. Qui le prescrira à la profession médicale, étant donné que la profession médicale n’adhère même pas à ses propres médicaments (la plupart des médecins ne sont pas vaccinés) ? Prescrire du soleil ne coûte pas un centime et les effets secondaires de la vitamine D incluent la santé mentale.
La folie du 'coran a virus' (et à Bill Sardi) est une ÉPIDÉMIE de LOBBYING internationale (comme la 'dette') qui a été lancée (comme une boite sur la route) sans trop savoir quand elle s'arrêtera !
Notez bien qu'au journaliste ou groupe de presse n'a d''envoyé(e) spécial(e)' en Chine pour rapporter les faits exacts et que TOUT ce qui est dit sur le 'désastre' est une pure fiction, imagination, exubérance de vouloir péter plus haut que son cul ! C'est à celle ou celui qui lancera le plus de morts pour accrocher l'audimat !
A vrai dire cette épidémie est le plus souvent confondue avec une simple grippe et, toutes personnes vue tousser est enfermée !
Même hier j'ai lu dans je-ne-sais-quel-canard que l'atmosphère au dessus de la Chine était chargé de souffre ! donc: (disait le journal:) ils sont en train de brûler des cadavres ! Hahahaha !
La hausse des niveaux océaniques est-elle une menace existentielle ?
Par Dom Armentano 13 février 2020
Une partie importante du débat sur le changement climatique est que le réchauffement thermique des océans et la fonte accrue de la glace glaciaire terrestre entraîneront une élévation du niveau de la mer qui menacera gravement certaines communautés côtières. Des villes comme Miami ont été invitées à faire des investissements importants dans les infrastructures afin de contribuer à atténuer les coûts futurs de l'augmentation des inondations océaniques.
Le dernier rapport du the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies conclut que le niveau des océans pourrait augmenter entre 2 et 3 pieds d'ici 2100. Un rapport similaire en 2017 de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) suggère que « l'élévation du niveau moyen mondial de la mer »pourrait atteindre 6 à 8 pieds d'ici la fin de ce siècle. Al Gore, dans son livre de 2006 «Une vérité qui dérange», était célèbre pour dire que l'augmentation du réchauffement de la planète pourrait bien entraîner une augmentation de 20 pieds du niveau des océans «dans un avenir proche». Et comme le climat continue de se réchauffer - à cause de la combustion accrue de les combustibles fossiles - ces prévisions peuvent sembler alarmantes.
Les relevés d'altimètre laser par satellite depuis 1993 et les mesures marégraphiques plus anciennes semblent tous confirmer que le niveau de la mer dans le monde a augmenté d'environ 0,12 pouce par an pendant plusieurs décennies. Si le taux d'augmentation reste stable, dans 12 ans d'ici 2032 - lorsque certains politiciens affirment que le réchauffement climatique pourrait bien pousser la planète au-delà du point de non-retour - les niveaux des océans auront augmenté d'environ 1,25 pouce au-dessus de leur niveau actuel. Et dans quatre-vingts ans, au tournant du siècle prochain, le niveau de la mer serait environ un pied ou plus plus élevé qu’actuellement.
Certes, toute accélération du réchauffement climatique pourrait augmenter tous ces chiffres (et une réduction de certains réchauffements pourrait les faire baisser), mais même un doublement improbable des résultats au niveau de l'océan d'ici 2100 laisserait encore les hauteurs de la mer bien en deçà d'une augmentation de 2 pieds.
Il n'est toutefois pas évident que ces augmentations projetées soient troublantes ou non. Le consensus général parmi les climatologues est qu'il existe un risque important que l'élévation du niveau des océans dans un proche avenir déborde et inonde les propriétés côtières et force des migrations importantes de personnes le long de la côte pour se déplacer plus à l'intérieur des terres. Ne serait-il donc pas prudent d'imposer des taxes sur le carbone (pour réduire les émissions) et de mettre en œuvre diverses réglementations côtières afin d'atténuer ces coûts inévitables de propriété et de migration ?
La réponse à ces questions par certains économistes et sceptiques climatiques est la suivante: tout dépend. Après tout, toute augmentation substantielle du niveau de la mer doit se produire par incréments marginaux discrets et assez faibles (environ un / huitième de pouce par an) sur plusieurs décennies; cela donnerait à la société un temps raisonnable pour observer, planifier et s'adapter. Investir ou réglementer maintenant pour quelque chose qui peut ou non se produire dans plusieurs décennies peut être aussi risqué que de ne rien faire. De plus, il est difficile d'affirmer que l'augmentation de 3 pouces du niveau des océans qui devrait se produire au cours des 24 prochaines années produira une calamité lorsque les niveaux des océans ont augmenté presque autant depuis 1990 sans perturbation sociétale radicale.
La question de la taxe sur le carbone est encore plus ambiguë. Premièrement, malgré les reportages des médias, il y a encore un débat sérieux sur la question de savoir si le dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre relativement mineur (0,042% en volume), contribue de manière significative au réchauffement climatique. Deuxièmement, en l'absence d'un accord exécutoire mondial, les taxes sur le carbone aux États-Unis n'entraîneraient qu'une réduction de minimus des émissions totales. Si les océans augmentent, les taxes sur le carbone aux États-Unis ne sont pas une solution à court terme politiquement intéressante ou même pratique.
Mais le niveau des océans monte-t-il même ? Certains sceptiques climatiques, comme Niles-Axel Morner, l'ancien chef du département de paléogéophysique de l'Université de Stockholm, soutiennent depuis longtemps que, bien que le niveau de la mer ait certainement été variable au cours des 50 dernières années, il n'y a pas eu de tendance à la hausse significative. Le professeur Morner estime que les mesures laser des satellites n'ont pas suffisamment pris en compte les forces solaires et planétaires importantes qui surestiment systématiquement les hauteurs réelles des océans.
De plus, Morner a publié des preuves empiriques (International Journal of Earth and Environmental Sciences, 2017) qui concluent - sur la base de son étude du niveau de la mer aux îles Fidji - qu'il n'y a «aucune trace (a) d'élévation actuelle du niveau de la mer; au contraire, une stabilité totale. »Et bien que les théories de Morner aient été critiquées, ses données d'observation uniques semblent soutenir la notion selon laquelle le risque d'inondation côtière apocalyptique due au réchauffement climatique pourrait être surestimé.
Morner mis à part, que faire, le cas échéant, devrait être fait au sujet de la menace présumée posée par des niveaux océaniques plus élevés ? Une proposition, compatible avec une approche du marché fondée sur le problème, consisterait à mettre rapidement fin à certains programmes gouvernementaux (en dessous de l'assurance des coûts) qui créent des incitations perverses à construire puis à reconstruire des propriétés côtières. Une autre consisterait à pécher par excès de prudence et à fortifier plusieurs centrales nucléaires américaines qui pourraient être particulièrement vulnérables aux inondations océaniques. Cependant, la promulgation de taxes sur le carbone aux États-Unis (mais pas dans le reste du monde) ou des propositions d'investissement dans des programmes coûteux de réduction des inondations dans les grandes villes côtières ne semblent pas encore justifiées.
Bon c'est vrai ce Dom Armentano est une vraie merde un trisomique de la famille à Gretamoilescouilles !
Non content de faire rire le monde de ses délires sans retenus sur le niveau de la mer qui monte (hors marée), il y ajoute le terme de scepticisme ! Le scepticisme étant le superlatif de l'ignorance sous zéro ! Par exemple ne pas savoir s'il fait jour ou nuit ! froid ou chaud ! etc, ils sont 'sceptiques' !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
Pour ce qui est du niveau des mers & océans il n'en a jamais été constant. Cause aux tremblements de terre aux fonds des mers & océans qui ouvrent des failles, rapprochent des plaques, et font qu'émergent (ou pas !) de nouvelles îles.
"Les Encadreurs (...) ont conféré, contre le gouvernement, le droit d'être laissé seul - le plus complet des droits et le droit le plus apprécié par les hommes civilisés." - Le juge Louis Brandeis (1856-1941)
Alors que nous étions tous consumés par la mise en accusation, un texte législatif pernicieux faisait lentement et silencieusement son chemin à travers le Congrès. Il s'agit d'un renouvellement de l'article 215 du Patriot Act.
Le Patriot Act de 2001 comprend trois sections qui doivent expirer le 15 mars. L'une d'elles est la tristement célèbre 215, qui autorise le gouvernement fédéral à saisir sans mandat tous les dossiers de toutes les personnes en Amérique détenus par des tiers.
Voulons-nous vraiment que le gouvernement fédéral espionne sans mandat ? Comment le Congrès, qui a juré de préserver, protéger et défendre la Constitution, peut-il légiférer pour une violation aussi flagrante de celle-ci ? Voici la trame de fond.
Après la ratification de la Constitution en 1789, elle fut bientôt amendée pour reconnaître l'existence des droits naturels et pour empêcher le gouvernement d'interférer avec eux. Comme l'a écrit le juge Brandeis 140 ans plus tard, le plus complet de ces droits était le droit d'être laissé seul, ce que nous appelons aujourd'hui la vie privée.
Pour garantir ce droit, le quatrième amendement a été ratifié. Le quatrième amendement avait pour but d'empêcher le gouvernement d'utiliser des mandats généraux et d'exiger des mandats de perquisition autorisés par des tribunaux délivrés dans des circonstances étroites. James Madison, qui a rédigé la Constitution et la Déclaration des droits, a partagé la haine que les colons devenus américains avaient pour les mandats généraux.
Un mandat d'arrêt général était un document délivré par un tribunal secret à Londres autorisant le porteur du document, généralement un soldat britannique ou un agent des renseignements, à fouiller où il le souhaitait et à saisir tout ce qu'il avait trouvé. Le demandeur du mandat devait seulement démontrer au tribunal que le mandat était destiné à dénicher quelque chose que le gouvernement voulait. Parce que ces mandats ne précisaient pas l'objet de la perquisition, il n'y avait aucune limite.
D'où le libellé de Madison dans le quatrième amendement préservant la vie privée mais permettant au gouvernement de l'envahir uniquement sur présentation, sous serment, d'une cause probable de crime, et exigeant ensuite du mandat de spécifier par écrit le lieu à perquisitionner ou la personne ou la chose à être saisi.
Après le 11 septembre, dans un esprit collectif de peur, de timidité et de soumission à la présidence, et au mépris absolu des serments de ses membres pour faire respecter la Constitution, le Congrès a promulgué le Patriot Act. Il permet à un agent fédéral d'autoriser un autre agent fédéral à rechercher et à saisir tout ce que ce dernier souhaite examiner et saisir tant qu'il est en la possession d'institutions financières tierces.
Au fil des ans, la définition d'«institution financière» a été radicalement élargie à la fois par la législation et les décrets présidentiels afin d'inclure presque toutes les entités imaginables qui ont des dossiers sur toute personne en Amérique - des banques aux hôpitaux aux avocats aux marchands en passant par le crédit. émetteurs de cartes aux fournisseurs de services de télécommunications et informatiques et même au bureau de poste.
Parallèlement à l'extension du Patriot Act, la National Security Agency - un puissant appareil d'espionnage américain de 60 000 personnes - ne prétendait même pas suivre la législation. Nous savons par les révélations d'Edward Snowden - qui n'ont jamais été contestées par le gouvernement - que depuis 2003, la NSA a capturé non seulement les enregistrements des Américains détenus par des tiers, mais aussi les enregistrements de chaque frappe touchée par chaque personne en Amérique et chaque téléphone appel transmis via un câble à fibre optique. Cela inclut tous les e-mails, SMS et données - même ce qui a été supprimé. Cette surveillance de masse sans mandat se poursuit aujourd'hui sans relâche.
L'utilisation par le gouvernement des tours de cellules comme moniteurs de mouvement est également inchangée et tout aussi illégale et inconstitutionnelle. Chaque fois que quelqu'un voyage avec un appareil mobile aux États-Unis, la tour cellulaire la plus proche capte les signaux de l'appareil mobile, même éteinte. Le gouvernement, qui possède les tours cellulaires ou en vertu de l'article 215, capture toutes les données que les tours amassent, peut suivre efficacement toute personne avec un appareil mobile en temps réel.
Comment le gouvernement s'en sort-il ?
Les autorités fédérales ont travaillé d'arrache-pied pour garder toutes ces violations constitutionnelles aussi loin que possible du contrôle judiciaire. Ils craignent à juste titre - ils savent - que tout cela viole le quatrième amendement. Si leur comportement néfaste, que nous savons qu'ils ont utilisé contre le président des États-Unis et la Cour suprême, fait l'objet d'un examen judiciaire, les autorités feront valoir que le quatrième amendement ne concerne que les poursuites pénales et non l'espionnage domestique; ainsi, ils peuvent l'ignorer lorsqu'ils espionnent.
Ils ont inventé cet argument à partir de rien. Il n'y a ni allusion dans le libellé de l'amendement ni odeur dans son histoire pour étayer cet argument.
Le gouvernement a-t-il perdu de vue notre droit d'aînesse ? C'est la vie, la liberté et la poursuite du bonheur - sans parler d'entrer au paradis. Comment pouvons-nous faire tout cela si le gouvernement que nous avons engagé pour préserver notre liberté la détruit subrepticement ?
Le langage de Brandeis sur le fait d'être laissé seul a été écrit en 1928, dans une dissidence à un avis de la Cour suprême qui ne reconnaissait pas le droit à la vie privée. Aujourd'hui, sa dissidence est la loi du pays, mais les autorités l'ignorent. Il a écrit qu'il y a plus dans la vie que de posséder des biens matériels. Il y a l'accomplissement d'objectifs spirituels, intellectuels et culturels et la réalisation d'aspirations intimes, dont aucun n'est l'affaire du gouvernement.
Pourquoi permettons-nous au gouvernement de porter atteinte à nos libertés les plus fondamentales, en vertu de la loi ou sous la table ?
(...) Après la ratification de la Constitution en 1789, (...)
Hahaha ! Constitution... républicaine ! (dictature !) et non Constitution Démocratique comme en Suisse ! (malgré que de nombreux suisses composaient les habitants de l'Amérique en 1789 !).
Plus de la moitié des Français croient à l’effondrement de leur civilisation
13:58 13.02.2020
Depuis des années, les Français se disent alarmistes lorsqu'ils sont interrogés sur l'état et l'avenir du monde, et un sondage de l’Ifop vient de renforcer encore davantage ce pessimisme. 65% des Français, ainsi que 71% des Italiens, croient en un effondrement prochain de leur civilisation et formulent plusieurs scénarios possibles.
Lors de ses vœux à la presse en janvier 2019, Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Éducation nationale, a déclaré: «Cela m'a toujours étonné, mais les Français sont plus pessimistes que les habitants du Bangladesh…». Connus pour leur vision pessimiste, les Français ont confirmé leurs sentiments dans un nouveau sondage de l’Ifop pour la Fondation Jean Jaurès.
Selon ses résultats, 65% des Français estiment que «la civilisation telle que nous la connaissons actuellement va s’effondrer dans les années à venir». Cette opinion est partagée par 71% des Italiens, 56% des Britanniques, 52% des Américains et 39% des Allemands.
Pour un tiers des Français (35%), l’effondrement du modèle actuel de société arrivera d’ici 20 ans. Ce délai est diagnostiqué également par 29% de la population en Italie, 22% en Allemagne, 19% aux États-Unis et 18% au Royaume-Uni.
En France, la proportion de ceux qui pensent que la civilisation va s’effondrer progresse à mesure que le niveau de vie diminue, précise le sondage. De la même manière, en termes de niveau d’éducation, c’est parmi les sans diplôme (73%) que l’adhésion est la plus forte.
Scénarios collapsologiques
Selon le sondage, 27% des Français, pour la plupart des jeunes, pensent que les conséquences du réchauffement climatique et de la surconsommation conduiront à un effondrement.
«L’hypothèse d’un effondrement sous "l’effet de vagues migratoires totalement incontrôlables" recueille un score conséquent en Europe continentale (12% en Italie, 15% en France et 17% en Allemagne)», dit le sondage.
L’hypothèse d’un effondrement causé par «une guerre civile ou des tensions de plus en plus fortes au sein de la société» est partagée par 15% des Américains, 14% des Français et des Allemands et 9% des Italiens et des Britanniques.
La collapsologie, cette thèse sur les effondrements environnementaux et sociétaux, rencontre un écho important en France. Elle est diffusée par des scientifiques comme l’astrophysicien Aurélien Barrau ou le mathématicien et ex-ministre de l’Environnement Yves Cochet qui s’appuient sur le réchauffement climatique, la submersion des terres habitables, l’épuisement des ressources et la surconsommation.
(...) La collapsologie, cette thèse sur les effondrements environnementaux et sociétaux, rencontre un écho important en France. Elle est diffusée par des scientifiques comme l’astrophysicien Aurélien Barrau ou le mathématicien et ex-ministre de l’Environnement Yves Cochet qui s’appuient sur le réchauffement climatique, la submersion des terres habitables, l’épuisement des ressources et la surconsommation. (...)
Deux personnes ! (2 !) qui s’appuient sur le réchauffement climatique, la submersion des terres habitables, l’épuisement des ressources et la surconsommation. ! Whôah !
Impression de petits objets de haute précision en quelques secondes
13 FÉVRIER 2020 par l'Ecole Polytechnique Federale de Lausanne
Les chercheurs de l'EPFL ont développé une nouvelle méthode de haute précision pour l'impression 3D de petits objets mous. Le processus, qui prend moins de 30 secondes du début à la fin, a des applications potentielles dans un large éventail de domaines, y compris la bio-impression 3D.
Tout commence par un liquide translucide. Puis, comme par magie, des taches plus sombres commencent à se former dans le petit récipient tournant jusqu'à ce que, à peine une demi-minute plus tard, le produit fini prenne forme. Cette méthode d'impression 3D révolutionnaire, développée par des chercheurs du Laboratoire des appareils photoniques appliqués (LAPD) de l'EPFL, peut être utilisée pour fabriquer de minuscules objets avec une précision et une résolution sans précédent, le tout en un temps record. L'équipe a publié ses conclusions dans la revue Nature Communications et un spin-off, Readily3D, a été créé pour développer et commercialiser le système.
La technologie pourrait avoir des applications innovantes dans un large éventail de domaines, mais ses avantages par rapport aux méthodes existantes - la capacité d'imprimer des parties solides de différentes textures - la rendent parfaitement adaptée à la médecine et à la biologie. Le processus pourrait être utilisé, par exemple, pour fabriquer des objets mous tels que des tissus, des organes, des prothèses auditives et des protège-dents.
«Les techniques d'impression 3D conventionnelles, appelées fabrication additive, construisent les pièces couche par couche», explique Damien Loterie, PDG de Readily3D. "Le problème est que les objets mous fabriqués de cette façon se désagrègent rapidement." De plus, le processus peut être utilisé pour fabriquer des échafaudages délicats chargés de cellules dans lesquels les cellules peuvent se développer dans un environnement 3D sans pression. Les chercheurs se sont associés à un chirurgien pour tester des artères imprimées en 3D réalisées à l'aide de la technique. "Les résultats du procès ont été extrêmement encourageants", explique Loterie.
Durci par la lumière
La nouvelle technique s'appuie sur les principes de la tomographie, une méthode principalement utilisée en imagerie médicale pour construire un modèle d'objet basé sur des scans de surface.
L'imprimante fonctionne en envoyant un laser à travers le gel translucide, soit un gel biologique ou du plastique liquide, selon les besoins. "Tout est question de lumière", explique Paul Delrot, directeur technique de Readily3D. "Le laser durcit le liquide grâce à un processus de polymérisation. Selon ce que nous construisons, nous utilisons des algorithmes pour calculer exactement où nous devons viser les faisceaux, sous quels angles et à quelle dose."
Le système est actuellement capable de fabriquer des structures de deux centimètres avec une précision de 80 micromètres, à peu près le même que le diamètre d'une mèche de cheveux. Mais au fur et à mesure que l'équipe développe de nouveaux appareils, elle devrait être en mesure de construire des objets beaucoup plus gros, potentiellement jusqu'à 15 centimètres. «Le processus pourrait également être utilisé pour fabriquer rapidement de petites pièces en silicone ou en acrylique qui n'ont pas besoin de finition après l'impression», explique Christophe Moser, qui dirige le LAPD. Le design d'intérieur pourrait être un marché potentiellement lucratif pour la nouvelle imprimante.
Comment les machines cellulaires marquent les protéines pour la dégradation
13 FÉVRIER 2020 par Max Planck Society
Les protéines sont des chevaux de travail moléculaires dans la cellule qui effectuent des tâches spécifiques, mais il est essentiel que le calendrier des activités protéiques soit parfaitement contrôlé. Lorsque les protéines ont rempli leurs tâches, leur dégradation met fin à des processus inutiles ou préjudiciables. Pour contrôler le timing, un marqueur appelé ubiquitine est attaché aux protéines indésirables, les marquant pour la dégradation. Bien que des mécanismes moléculaires complexes soient connus pour fixer l'ubiquitine, la façon dont ces machines effectuent le processus d'étiquetage était inconnue. Des chercheurs du MPIB, en collaboration avec l'Université du Nevada à Las Vegas, ont révélé ces mécanismes et publié les résultats dans la revue Nature.
De nombreux processus cellulaires tels que les réponses immunitaires ou la multiplication cellulaire dépendent de nombreuses protéines différentes travaillant en séquence. Pour que la cellule fonctionne correctement, les protéines doivent être dégradées après leur travail. Lorsque des mutations pathogènes bloquent la dégradation des protéines en temps opportun, les protéines peuvent fonctionner au mauvais moment, ce qui peut entraîner des maladies, notamment des cancers, des maladies cardiaques et des troubles du développement.
Contrôler la dégradation des protéines
Les cellules décomposent les protéines en marquant les protéines indésirables pour leur dégradation avec une autre protéine appelée ubiquitine. Le processus de marquage, connu sous le nom d'ubiquitylation, est effectué par des machines moléculaires appelées E3 ligases. Il est important que les ligases E3 elles-mêmes soient activées et désactivées dans les cellules au bon endroit et au bon moment. L'interrupteur pour environ un tiers de toutes les ligases E3 est une petite protéine similaire à l'ubiquitine appelée NEDD8.
NEDD8 au contrôle de désactiver d'autres protéines
Bien que les composants individuels de ces mécanismes de dégradation des protéines soient connus, il n'était pas clair comment NEDD8 active les ligases E3 et permet de marquer la protéine cible avec de l'ubiquitine. "Ceci est particulièrement important car il existe des médicaments dans les essais cliniques anticancéreux qui bloquent le NEDD8, et certaines bactéries infectieuses manipulent le NEDD8 pour perturber les processus cellulaires", a déclaré Brenda Schulman, chef du département Machines moléculaires et signalisation au MPIB. Schulman et son équipe ont maintenant déchiffré les mécanismes moléculaires de cette ubiquitylation. "Nous avons étudié le mode d'action d'un E3 activé par NEDD8. Nous avons découvert comment NEDD8 induit une machine moléculaire E3 pour amener le marqueur ubiquitine à ses cibles. Ceci est une clé pour éteindre les protéines au bon moment lorsqu'elles ne sont plus nécessaires dans une cellule", a déclaré Schulman.
En utilisant la chimie et la microscopie cryoélectronique, les scientifiques ont réussi à visualiser une importante ligase E3 activée par NEDD8 dans le processus d'ubiquitylation. "Pour ce faire, nous avons examiné de près chaque étape du processus de marquage. Le processus naturel se produit en une fraction de seconde, après quoi la machine de marquage moléculaire s'effondre. Le processus de capture de cet état normalement de courte durée a été particulièrement difficile ", explique Kheewoong Baek, auteur principal de l'étude.
Les machines moléculaires E3 ligase contrôlent de nombreux processus cellulaires. "Le mécanisme déchiffré explique non seulement le processus normal et ce qui ne va pas dans certains cancers où les mutations empêchent la machine E3 de fonctionner, mais peut également servir de guide pour développer des thérapies pour étiqueter les protéines indésirables avec de l'ubiquitine. Nous espérons qu'à long terme ce terme pourrait aider à dégrader les protéines qui causent le cancer », explique Schulman.
D'énormes virus mangeurs de bactéries réduisent l'écart entre la vie et la non-vie
12 FÉVRIER 2020 par l'Université de Californie - Berkeley
Les scientifiques ont découvert des centaines de virus anormalement grands, tueurs de bactéries, dotés de capacités normalement associées aux organismes vivants, brouillant la frontière entre les microbes vivants et les machines virales.
Ces phages - abréviation de bactériophages, ainsi appelés parce qu'ils "mangent" des bactéries - sont d'une taille et d'une complexité considérées comme typiques de la vie, portent de nombreux gènes normalement trouvés dans les bactéries et utilisent ces gènes contre leurs hôtes bactériens.
Université de Californie, Berkeley, des chercheurs et leurs collaborateurs ont découvert ces énormes phages en parcourant une grande base de données d'ADN qu'ils ont généré à partir de près de 30 environnements terrestres différents, allant des tripes des prématurés et des femmes enceintes à une source chaude tibétaine, une sud-africaine bioréacteur, chambres d'hôpital, océans, lacs et souterrains profonds.
Au total, ils ont identifié 351 phages énormes différents, tous avec des génomes quatre fois ou plus plus grands que les génomes moyens des virus qui s'attaquent aux bactéries unicellulaires.
Parmi ceux-ci se trouve le plus grand bactériophage découvert à ce jour: son génome, long de 735 000 paires de bases, est près de 15 fois plus grand que le phage moyen. Ce plus grand génome de phage connu est beaucoup plus grand que les génomes de nombreuses bactéries.
"Nous explorons les microbiomes de la Terre, et parfois des choses inattendues se présentent. Ces virus de bactéries font partie de la biologie, des entités de réplication, que nous connaissons très peu", a déclaré Jill Banfield, professeur de sciences terrestres et planétaires à UC Berkeley et des sciences de l'environnement, des politiques et de la gestion, et auteur principal d'un article sur les résultats publiés le 12 février dans la revue Nature. "Ces énormes phages comblent le fossé entre les bactériophages non vivants, d'une part, et les bactéries et les archées. Il semble certainement y avoir des stratégies d'existence réussies qui sont des hybrides entre ce que nous considérons comme des virus traditionnels et des organismes vivants traditionnels."
Ironiquement, au sein de l'ADN que ces énormes phages trimballent font partie du système CRISPR que les bactéries utilisent pour combattre les virus. Il est probable qu'une fois que ces phages injectent leur ADN dans des bactéries, le système CRISPR viral augmente le système CRISPR des bactéries hôtes, probablement principalement pour cibler d'autres virus.
"Il est fascinant de voir comment ces phages ont réorienté ce système que nous pensions être bactérien ou archéen à utiliser pour leur propre bénéfice contre leur concurrence, pour alimenter la guerre entre ces virus", a déclaré Basem Al-Shayeb, étudiant diplômé de l'Université de Californie à Berkeley. Al-Shayeb et Rohan Sachdeva, associé de recherche, sont les deux premiers auteurs du document Nature.
L'un des énormes phages est également capable de fabriquer une protéine analogue à la protéine Cas9 qui fait partie de l'outil révolutionnaire CRISPR-Cas9 que Jennifer Doudna de UC Berkeley et sa collègue européenne, Emmanuelle Charpentier, ont adaptée pour l'édition de gènes. L'équipe a surnommé cette minuscule protéine CasØ, car la lettre grecque Ø, ou phi, est traditionnellement utilisée pour désigner le bactériophage.
"Dans ces énormes phages, il y a beaucoup de potentiel pour trouver de nouveaux outils pour l'ingénierie du génome", a déclaré Sachdeva. "Beaucoup de gènes que nous avons trouvés sont inconnus, ils n'ont pas de fonction putative et peuvent être une source de nouvelles protéines pour des applications industrielles, médicales ou agricoles."
En plus de fournir un nouvel aperçu de la guerre constante entre les phages et les bactéries, les nouvelles découvertes ont également des implications pour les maladies humaines. Les virus, en général, portent des gènes entre les cellules, y compris des gènes qui confèrent une résistance aux antibiotiques. Et puisque les phages se produisent partout où vivent les bactéries et les archées, y compris le microbiome intestinal humain, ils peuvent transporter des gènes nuisibles dans les bactéries qui colonisent les humains.
"Certaines maladies sont causées indirectement par des phages, car les phages se déplacent autour des gènes impliqués dans la pathogenèse et la résistance aux antibiotiques", a déclaré Banfield, qui est également directeur de la recherche microbienne à l'Innovative Genomics Institute (IGI) et chercheur au CZ Biohub. "Et plus le génome est grand, plus vous avez la capacité de vous déplacer autour de ces types de gènes, et plus vous avez de chances de transmettre des gènes indésirables à des bactéries dans les microbiomes humains."
Séquençage des biomes de la Terre
Depuis plus de 15 ans, Banfield explore la diversité des bactéries, des Archaea - qui, dit-elle, sont des cousins fascinants des bactéries - et des phages dans différents environnements de la planète. Elle le fait en séquençant tout l'ADN dans un échantillon, puis en assemblant les fragments pour assembler des projets de génomes ou, dans certains cas, des génomes entièrement conservés de microbes jamais vus auparavant.
Ce faisant, elle a découvert que bon nombre des nouveaux microbes ont des génomes extrêmement minuscules, apparemment insuffisants pour maintenir une vie indépendante. Au lieu de cela, ils semblent dépendre d'autres bactéries et archées pour survivre.
Il y a un an, elle a rapporté que certains des plus grands phages, un groupe qu'elle appelait les phages Lak, se trouvent dans nos tripes et nos bouches, où ils s'attaquent aux microbiomes intestinaux et salivaires.
Le nouveau document Nature est issu d'une recherche plus approfondie d'énormes phages dans toutes les séquences métagénomiques accumulées par Banfield, ainsi que de nouveaux métagénomes fournis par des collaborateurs de recherche du monde entier. Les métagénomes provenaient de babouins, de porcs, d'orignaux d'Alaska, d'échantillons de sol, d'océans, de rivières, de lacs et d'eaux souterraines, et comprenaient des Bangladais qui avaient bu de l'eau contaminée à l'arsenic.
L'équipe a identifié 351 génomes de phages d'une longueur supérieure à 200 kilobases, soit quatre fois la longueur moyenne du génome des phages de 50 kilo-octets (ko). Ils ont pu établir la longueur exacte de 175 génomes de phages; les autres pourraient être beaucoup plus grands que 200 kb. L'un des génomes complets, long de 735 000 paires de bases, est maintenant le plus grand génome de phage connu.
Alors que la plupart des gènes de ces énormes phages codent pour des protéines inconnues, les chercheurs ont pu identifier des gènes codant pour des protéines essentielles à la machinerie, appelées ribosomes, qui traduisent l'ARN messager en protéines. De tels gènes ne se trouvent généralement pas dans les virus, seulement dans les bactéries ou les archées.
Les chercheurs ont découvert de nombreux gènes pour le transfert des ARN, qui transportent les acides aminés vers le ribosome pour être incorporés dans de nouvelles protéines; les gènes des protéines qui chargent et régulent les ARNt; des gènes pour les protéines qui activent la traduction et même des morceaux du ribosome lui-même.
"Typiquement, ce qui sépare la vie de la non-vie, c'est d'avoir des ribosomes et la capacité de faire la traduction; c'est l'une des principales caractéristiques qui séparent les virus et les bactéries, la non-vie et la vie", a déclaré Sachdeva. "Certains grands phages ont une grande partie de cette machinerie translationnelle, donc ils brouillent un peu la ligne."
D'énormes phages utilisent probablement ces gènes pour rediriger les ribosomes pour faire plus de copies de leurs propres protéines au détriment des protéines bactériennes. Certains énormes phages ont également des codes génétiques alternatifs, les triplets d'acide nucléique qui codent pour un acide aminé spécifique, ce qui pourrait confondre le ribosome bactérien qui décode l'ARN.
De plus, certains des phages énormes récemment découverts portent des gènes pour des variantes des protéines Cas trouvées dans une variété de systèmes CRISPR bactériens, tels que les familles Cas9, Cas12, CasX et CasY. CasØ est une variante de la famille Cas12. Certains des énormes phages ont également des matrices CRISPR, qui sont des zones du génome bactérien où des extraits d'ADN viral sont stockés pour référence future, permettant aux bactéries de reconnaître les phages de retour et de mobiliser leurs protéines Cas pour les cibler et les découper.
"La conclusion de haut niveau est que les phages avec de grands génomes sont assez importants dans les écosystèmes de la Terre, ils ne sont pas la particularité d'un écosystème", a déclaré Banfield. "Et les phages qui ont de grands génomes sont liés, ce qui signifie que ce sont des lignées établies avec une longue histoire de grande taille de génome. Avoir de grands génomes est une stratégie réussie pour l'existence, et une stratégie que nous connaissons très peu."
The researchers divided the 351 megaphages into 10 new groups, or clades, named after words for "big" in the languages of the paper's co-authors: Mahaphage (Sanskrit), Kabirphage, Dakhmphage and Jabbarphage (Arabic); Kyodaiphage (Japanese); Biggiephage (Australian), Whopperphage (American); Judaphage (Chinese), Enormephage (French); and Kaempephage (Danish).
Le mécanisme premier de l’oppression gouvernementale est évident
le 13 février 2020
Article de la journaliste Caitlin Johnstone paru sur son blog le 2 février 2020
J’ai beaucoup écrit sur les secrets gouvernementaux et l’importance des lanceurs d’alerte et des éditeurs d’informations ayant été révélées dans la presse, et il y a une bonne raison à cela : les gouvernements qui peuvent cacher leurs actes malveillants de la responsabilité publique le feront chaque fois que ce sera possible. Il est, en effet, impossible pour le public d’utiliser la démocratie pour garantir que son gouvernement se comporte comme il le souhaite s’il n’est pas autorisé à être informé de ce qu’est ce comportement.
Ces choses reçoivent beaucoup d’attention dans les cercles conspirationistes et les factions politiques dissidentes. De nombreux yeux sont fixés sur le voile de l’opacité des gouvernement et la persécution de ces braves âmes qui tentent de faire la lumière sur ce qui se passe dans l’ombre. Pas assez d’yeux, mais déjà pas mal.
Ce qui retient moins l’attention, à notre détriment, c’est le fait que le principal mécanisme de notre oppression et de notre exploitation se déroule sous nos yeux.
La campagne incessante menée par des politiciens vendus, des médias propriétés de grands groupes financiers et des plateformes de médias sociaux manipulées pour contrôler les récits dominants sur ce qui se passe dans le monde contribue beaucoup plus à la maladie de notre société que le secret gouvernemental.
Nous le savons par expérience : chaque fois qu’un lanceur d’alerte expose des informations secrètes sur les actes répréhensibles de gouvernements puissants comme la surveillance de la NSA ou les «meurtres collatéraux», nous ne constatons ni de responsabilité publique, ni d’exigences de changements systémiques pour empêcher que de tels actes répréhensibles ne se reproduisent, mais un fouillis de déclarations de la classe politique et médiatique.
Les opinions sont manipulées
Cette gestion narrative est utilisée pour détourner l’attention de ces informations révélées et sur le fait que la personne qui les a révélées a enfreint la loi ou s’est mal comportée d’une manière ou d’une autre. C’est utilisé pour convaincre les gens que les révélations ne sont pas vraiment un problème, ou qu’elles étaient déjà de notoriété publique de toute façon.
Et tout ce mécanisme sert à manipuler l’attention du public sur le prochain scoop de la journée et à troubler sa mémoire dans le murmure doucereux des médias. Et rien ne change.
Nous avons vu ça se répéter encore et encore. La machinerie de gestion des informations est devenue si efficace qu’elle a pu passer complètement sous silence la récente révélation selon laquelle les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont presque certainement bombardé la Syrie en 2018 pour une raison complètement fausse (lien). Quelques bonnes astuces de manipulation et une panne totale des médias, et c’est comme si tout cela ne s’était jamais produit.
Ce que cela nous apprend, c’est que notre premier problème n’est pas le fait que des complots se déroulent derrière un rideau de secret gouvernemental, mais le fait que la façon dont les gens pensent, agissent et votent est activement manipulée de plein droit. Le secret gouvernemental est en effet un aspect du contrôle par les élites politiques de l’information, mais le contrôle de l’accès du public à l’information n’en est qu’un aspect. La plus grande partie de cette problématique consiste à contrôler la façon dont le public appréhende l’information.
La raison pour laquelle les gens n’utilisent jamais le pouvoir que leur confère leur nombre supérieur pour forcer un réel changement, même s’ils sont exploités et opprimés de multiples façons par la classe dirigeante, c’est parce qu’ils ont été soumis à la propagande afin d’accepter une sorte de statu quo comme étant souhaitable (ou au moins normal).
La propagande de la classe politico-médiatique est donc la première ligne de défense de l’establishment. C’est son arme la plus puissante et la plus fondamentale.
Il est important pour les dissidents de tous bords de comprendre cela, car ça signifie que nous n’attendons pas simplement passivement un autre Manning ou Snowden ou un Ian Henderson pour nous donner des informations que nous pouvons utiliser pour combattre la machine d’oppression.
Ces personnes ont rendu un excellent service au public, mais la bataille pour éveiller la conscience humaine à ce qui se passe réellement dans notre monde ne se limite en rien aux fuites et aux dénonciations des lanceurs d’alerte. Si on est accoutumé à un type de média, on s’est déjà engagé dans la « matrice » (Matrix, voir le lien) narrative qui maintient le public anesthésié et complaisant. Peu importe que l’on ait un compte Twitter, un compte Youtube, des tracts de propagande ou une bombe de peinture : si on est capable de diffuser n’importe quel type de message, on peut alors influencer directement le mécanisme de notre propre oppression.
Vous êtes en mesure d’informer les gens qu’on leur ment, vous pouvez expliquer pourquoi et vous pouvez leur indiquer où ils peuvent trouver plus d’informations. Et c’est extrêmement stimulant. Vous n’avez pas besoin d’attendre en espérant que des informations explosives parviennent à passer les différents contrôles de sécurité et autres spin-doctors et déclenchent alors un véritable réveil social. Vous pouvez être cette information. Vous pouvez devenir un catalyseur pour cette prise de conscience.
La clé pour faire virer le navire de bord n’est pas cachée quelque part derrière un voile d’opacité du gouvernement. C’est en nous-même. Cela réside en chacun de nous. Nous pouvons commencer à réveiller nos semblables en ce moment en attaquant la gestion de l’information par la machine de propagande qui se trouve juste en face de nous, sans armure et à découvert.
Si l'on prend l'exemple d'un fumeur qui grille un paquet sur 2 jours x 30 = 105 €/mois (à 7€/le paquet env.). Donc, les autres (qui ne fument pas) ont donc: 105€/mois 'de trop' ! (c-à-d. 1260€/an). D'où la hausse de diverses taxes et impôts chargée sur chacun en plus des 'réglementaires' !!
Et c'est donc dans cette plausibleté fumeuse sortie des bureaux surchauffés de l'Administration que sont prises les 'hautes décisions' sur les taxes existantes et celles a inventer pour terrasser le peuple à genoux.
Dès lors, sont annoncés de nouveaux coups de barres (en codes ou pleins phares) sur celles et ceux qui osent encore faire appel à l'énergie pour se chauffer ou s'éclairer. Jusqu'aux chauffages au bois ! qui émettent de la fumée ! d'où l'orientation des voyages aller-simple vers les DOM-TOM ou autres pays chauds où n'existent pas les taxes.
Ainsi, lorsque l'ont fait les comptes de ce que l'on a, et de ce qui reste ajouté de ce que l'on devra dans les temps prochains, l'on ne peut qu'envier les 'sauvages dans la brousse' qui n'ont pas encore étaient visés ! Car, si l'on sait que nous vivons dans cette période trentenaire de froid (2005/2035) et que les étés sont désormais raccoucis et les hivers plus froids et plus longs, et surtout que sans travail l'on en aura pas moins ailleurs...
Mais, le 'plat de résistance' pour ceux qui restent encore à la table vide n'est-il pas de se voir transformer (petit à petit) en 'sauvage' ou 'sauvageon' coupé d'espoir de faire quelque chose et qui n'aura que des dettes l'obligeant à rester ? Car, cette dernière (rassemblant toutes celles en cours et à venir) est dans l'impossibilité mathématique d'être honorée par quiconque et que toutes mesures prises à de nouveaux calculs font qu'il est embauché de nouveaux fonctionnaires qui l'alourdissent à leurs venues. Et, comme s'ils sont virés çà pourrait coûter encore plus cher...
Le volcan, l'un des plus actifs du monde, crachait jeudi un large panache de fumée. Il avait fait plus de 300 morts en 2010.
13.02.2020
Le volcan Merapi en Indonésie, l'un des plus actifs au monde, est entré en éruption jeudi et a craché de la lave incandescente et de la fumée qui a formé un large panache de plus de 2000 mètres dans le ciel.
Les autorités n'ont pas relevé le niveau d'alerte du volcan après cette éruption survenue tôt le matin, mais ont appelé les compagnies aériennes à la prudence.
Les habitants de la région ont reçu l'instruction de ne pas s'approcher à plus de trois kilomètres du cratère du Merapi, proche de la capitale culturelle de l'Indonésie, Yogyakarta, sur l'île de Java. Des cendres volcaniques sont tombées sur une zone de 10 km² autour du volcan, selon le Centre de prévention des risques volcaniques et géologiques.
En 2010, le Mont Merapi avait connu une éruption majeure qui a provoqué la mort de plus de 300 personnes et contraint plus de 280'000 habitants à évacuer. C'était l'éruption la plus puissante depuis celle de 1930 qui a fait quelque 1300 morts, tandis qu'une explosion en 1994 a fait 60 victimes.
L'archipel d'Asie du Sud-Est compte plus de 17.000 îles et îlots et près de 130 volcans actifs. L'Indonésie se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, où la friction des plaques tectoniques provoque de fréquents séismes et éruptions volcaniques. (afp/nxp)
99,99 % des volcans en activité sont aux bassins maritimes et océaniques, leur pollution est absorbée et recyclée continuellement par ces mêmes mers & océans qui s'en servent pour réchauffer les côtes d'Azur et bretonnes.
Poutine: les armes hypersoniques de la Russie ont rendu «inutiles» les tentatives de saper son arsenal nucléaire
18:37 13.02.2020
Des experts étrangers étudient à l’heure actuelle les moyens de rendre inutiles les armes nucléaires pour leurs détenteurs, mais la Russie possède d’ores et déjà l’arme hypersonique, a relevé Vladimir Poutine lors d’une réunion. L’arme nucléaire pourrait devenir un jour inefficace et inutile, mais la Russie dispose d’ores et déjà de l’arme hypersonique, a déclaré ce jeudi 13 février le Président russe.
«Il se peut qu’un jour, l’arme nucléaire ne soit plus la plus efficace ou devienne inutile. Certains experts étrangers se penchent sur la question afin que les armes nucléaires soient inutiles pour leurs détenteurs», a souligné Vladimir Poutine au cours d’une réunion avec les membres du groupe de travail élaborant les propositions d’amendements à la Constitution de Russie.
Il a rappelé que le système de défense antimissile «visait justement» à priver d’électricité «notre potentiel nucléaire» et le rendre inutile.
«Mais lorsque nous avons eu l’arme hypersonique, ce sont leurs tentatives de le faire ainsi que les milliards [de dollars, ndlr] débloqués à ces fins qui sont devenus inutiles», a ajouté le Président russe.
Fin décembre, il avait déjà annoncé que la Russie était à l’avant-garde du développement de nouveaux armements et avait fait remarquer que le monde se trouvait actuellement dans une situation unique en son genre, la Russie étant le seul pays à posséder l’arme hypersonique.
Kinjal, Kalibr et autres
Ainsi, les troupes russes sont d’ores et déjà dotées de missiles hypersoniques Kinjal et de systèmes laser Peresvet, tandis qu’un premier régiment est en train d’être armé du système de missiles intercontinentaux Avangard, avait-il noté.
Les tirs d’un missile hypersonique Kinjal et de missiles Kalibr avaient été précédemment filmés lors d’exercices de deux flottes russes en mer Noire.
Bien que la Russie consacre à la Défense beaucoup moins d’argent que certains autres pays, elle n’a nullement l’intention de réduire sa capacité au combat, avait encore souligné Vladimir Poutine.
L'Inde développe le premier casque de combat pare-balles au monde contre AK-47
par Tyler Durden Jeu, 13/02/2020 - 21:45
Un major de l'armée indienne qui avait conçu un gilet pare-balles avancé contre les obus de tireur d'élite a maintenant développé un casque qui peut protéger le porteur d'une balle de 7,62 × 39 mm, généralement logée dans un AK-47.
"Le casque balistique a été développé dans le cadre du projet Abhedya par le major Anoop Mishra, qui a également développé une veste pare-balles de protection intégrale qui peut même résister à des fusils de sniper", ont déclaré des responsables de l'armée à l'agence de presse ANI.
Mishra fait partie du Collège de génie militaire de l'armée indienne, qui a été inspiré pour concevoir le casque après avoir été sauvé par sa veste pare-balles lorsqu'il a été frappé par un tireur d'élite il y a plusieurs années.
"Cette veste peut résister à une balle de tireur d'élite de même 10 mètres", a déclaré Mishra.
Le chef de l'armée, le général Bipin Rawat, a décerné à Mishra le prix d'excellence du bureau de conception de l'armée lors du séminaire sur la technologie de l'armée pour le développement du casque.
Le nouveau casque et la veste pare-balles avancée de Mishra donneront aux troupes indiennes sur la ligne de contrôle, une zone militarisée entre l'Inde et le Pakistan, une protection supplémentaire alors que les escarmouches le long de la région continuent de prospérer.
<< En 2016-2017, 50 000 vestes pare-balles ont été achetées pour l'armée indienne via la route des recettes. Le contrat d'achat de 1 86 138 BPJ via la route des capitaux, dans la catégorie Achat (indien), a été conclu en avril 2018. En outre, un contrat pour l'achat de 1,58,279 casque balistique via la route de la capitale avait été conclu en décembre 2016 ", a déclaré l'ancien ministre d'État à la Défense, Subhash Bhamre en 2018.
Le rapport n'a pas précisé s'il y avait une commande immédiate par l'armée indienne pour le casque et la veste pare-balles de Mishra.
Le 9 février, une température étonnamment douce a été enregistrée en Antarctique. Un record de douceur a été enregistré au pôle sud.
13.02.2020
L'antarctique a enregistré en février un record de température de plus de 20,75 degrés, franchissant pour la première fois la barre des 20°C, a annoncé jeudi un scientifique à l'AFP. Ce record a été enregistré le 9 février sur l'île Seymour, connue aussi sous le nom de Marambio, a expliqué le chercheur brésilien Carlos Schaefer.
«Nous n'avons jamais vu une température aussi élevée en Antarctique», a-t-il déclaré dans un échange sur Whatsapp. Le scientifique a toutefois souligné que cette donnée «n'est pas valable en tant que tendance d'un changement climatique». «C'est juste un signe que quelque chose de différent se passe dans cette région», a-t-il expliqué.
L'île Seymour, qui abrite une base scientifique argentine, est une des îles situées au large de la péninsule antarctique. Le scientifique, spécialisé dans l'étude des permafrosts, a indiqué que ce relevé avait été effectué dans le cadre d'un projet de recherche sur vingt ans destiné à étudier l'impact du changement climatique sur les sols gelés en permanence. «Nous ne pouvons pas utiliser cela pour anticiper des changements climatiques dans le futur. C'est une donnée» à un moment précis, a-t-il insisté.
Mois de janvier record
Le 6 février, une température record de 18,3 degrés a été enregistrée sur la base argentine Esperanza. Le record précédent, de 17,5°C remontait au 24 mars 2015, selon le Service de météorologie national argentin. Après une décennie record, qui s'est conclue avec une année 2019 qui était la deuxième plus chaude jamais enregistrée sur la planète, les années 2020 démarrent sur la même tendance.
Janvier 2020 a été le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré sur la planète, juste devant 2016, selon le service européen Copernicus sur le changement climatique, ainsi que selon l'agence atmosphérique et océanique américaine (NOAA). NOAA a publié son estimation jeudi : la température moyenne à la surface du globe était de 1,14°C plus élevée que la moyenne du 20e siècle, et la plus élevée depuis le début des relevés en 1880. (afp/nxp)
Seule un bonne vingtaine de sources chaudes sous la glace ont pu être identifiées. Leur géolocalisation demeure très difficile car, l'infra-rouge ne présente que des tâches rouge de plusieurs dizaines de kilomètres et, ces mêmes tâches rouges peuvent renfermer des centaines de sources volcanique du magma qui décollent les glaciers et les fondent par dessous.
Interflora+ propose une livraison gratuite pour la souscription à un abonnement de 24,90 euros par an par le biais d'une case cochée par défaut.
Difficile d’y échapper : demain, c’est la Saint Valentin : cela fait des jours que l’on nous rebat les oreilles, comme tous les ans, avec cette pseudo fête des amoureux, qui est avant toute chose une fête commerciale.
Un faux bon de réduction
Mais que vous la trouviez sympathique ou au contraire pénible, une chose est sûre : c’est une occasion rêvée d’arnaques pour les petits filous. Première d’entre elle : la promesse d’un bon de réduction ou d’une offre spéciale exceptionnelle chez un commerçant connu.
Que ce soit par SMS ou par mail, ce genre d’arnaque sert en fait à vous soutirer des coordonnées personnelles à votre insu, voire, à vous soutirer de l’argent. Pensez donc à toujours vérifier sur le site de l’enseigne qui est censée vous avoir écrit s’il y a bien une opération promotionnelle en cours. Les plus prévoyantes, ou les plus ciblées affichent un avertissement sur leur site web et leurs comptes sur les réseaux sociaux.
Une souscription forcée
Deuxième arnaque, dénoncée par l’association 60 millions de consommateurs : la souscription forcée à un service de livraison gratuite à l’année, chez un grand fleuriste en ligne. Si vous avez déjà souscrit à cet abonnement, à votre insu, vous pouvez en demander le remboursement.
Troisième arnaque qui ferait presque sourire : la coupe de champagne au restaurant qui n’est pas vraiment du champagne. D’après la répression des fraudes, cela arrive au moins une fois sur dix ! Si vous avez un doute demain soir, demandez à voir la bouteille... Sauf si vous ne voulez pas transformer le dîner en amoureux en esclandre, bien entendu.
Deux hommes interpellés en possession de plusieurs kalachnikovs à Avignon
23:48 13.02.2020
Deux automobilistes ont attiré l’attention de la police mardi 11 février au soir à Avignon. Après vérification, deux kalachnikovs ont été découvertes à bord de la voiture volée, rapporte La Provence.
La Brigade anti-criminalité a eu du flair ce mardi 11 février au soir à Avignon. Une patrouille de la BAC a en effet décidé d’immobiliser un véhicule, après avoir remarqué à l’intérieur deux individus suspects, portant des gants et des capuches.
La voiture, soumise à un contrôle d’immatriculation, était signalée comme volée. À son bord ont été retrouvées deux kalachnikovs, dont l’une était chargée,a détaillé la police.
Une situation qui se répète
Ces saisies d’armes lourdes sont de plus en plus fréquentes dans la région. En juillet dernier, un employé du Novotel en centre-ville était tombé, en faisant le ménage dans une chambre, sur un sac contenant une kalachnikov et des chargeurs.
Les Jeux olympiques ont-ils encore besoin de la langue française ?
21:42 13.02.2020
Le français va-t-il céder sa place de langue officielle des Jeux olympiques ? Une question qui revient tous les quatre ans, et qui se fait de plus en plus pressante, comme le rapporte un article de Radio-Canada.
Le français partage avec l’anglais le statut de langue officielle des JO, selon la Charte élaborée par Pierre de Coubertin. Dans les faits pourtant, son statut est de plus en plus contesté. C’est ce qu’explique un article de Radio-Canada.
Il en ressort que la langue de Molière subit la concurrence féroce de l’anglais, voire du japonais. Les documents officiels ne sont plus traduits et les conférences de presse du Comité international olympique (CIO) se tiennent intégralement en anglais, même lorsque des francophones y sont présents. De même, le français à peu à peu disparu de la signalétique, lors de l’événement.
Un enjeu pour toute la francophonie
Après les premières dérives, constatées lors de l’édition 1996 à Atlanta, un grand témoin avait été nommé pour veiller au respect du français comme langue officielle, lors de chaque édition.Thierry Marx, qui tiendra ce rôle au Japon en 2020, fait part de son inquiétude:
«Je pense qu’il y a une érosion de la langue française, car effectivement, l’anglais est très présent, c’est devenu la première des langues dans le monde du business. Mais la langue française a encore largement sa place. On doit dire que c’est une langue qui a du sens.Ce ne doit pas être une bataille franco-française, mais bien un rassemblement des peuples francophones», déclare-t-il à Radio-Canada. Un manque de volonté politique
Ivan Coste-Manière, le vice-président de l’Association francophone des académies olympiques dénonce, lui, un manque de fermeté politique sur ces questions.
«La francophonie est aujourd’hui pilotée par la France, mais elle la défend avec mollesse. Au ministère français des Affaires étrangères, rien n’est fait pour défendre la place du français dans le mouvement olympique», explique-t-il au média Francsjeux.
Il affirme d’ailleurs que la nomination d’un grand témoin de la francophonie n’est qu’un «alibi» qui témoigne de la «mollesse, pour ne pas dire de la coupable lâcheté de la force politique».
Paris 2024, une occasion à saisir
La tenue des Jeux olympiques à Paris dans quatre ans pourrait être une occasion de changer de cap. Bien qu’inquiet,Ivan Coste-Manière voit quelques signes positifs dans la façon dont le problème est aujourd’hui abordé:
«Paris 2024 constitue une occasion unique, disons même historique, de remettre la langue française en bonne place au sein du mouvement olympique. Cette occasion ne doit pas être manquée, sinon tout sera perdu. L’équipe de Paris 2024 aborde les choses par le biais de l’héritage. C’est la bonne manière» admet-il.
Paris 2024 pourrait être l’occasion de célébrer «l’héritage de Pierre de Coubertin», trop souvent éclipsé par les logiques du «sport business», conclut-il.
Modèles reconsidérés: il n'y a pas d'urgence climatique
RépondreSupprimerPar David Wojick
12 février 2020
Si vous regardez attentivement, il s'avère que le récit apocalyptique de l'urgence climatique est une coquille vide. On ne sait jamais à quoi ressemble la catastrophe imminente. Comme dit le proverbe, il n'y en a pas là-bas. Mais il y a une bonne raison à ce silence soigneusement conçu, à savoir qu'il n'y a pas de scénario plausible selon lequel la catastrophe mondiale proviendrait du réchauffement climatique.
Comme le souligne le Manifeste CLINTEL, le récit d'urgence est basé sur des modèles informatiques incontrôlables. Comme nous le savons grâce aux jeux vidéo, les modélisateurs informatiques peuvent faire en sorte que leurs modèles fassent tout ce qu'ils veulent. Les modélistes sont comme des écrivains de fiction à cet égard. Regardez les 150 dernières années. La température mondiale a augmenté d'environ 1° C, mais les progrès sociaux et économiques ont été spectaculaires. La pauvreté mondiale n'a jamais été aussi faible qu'aujourd'hui. Alors quel est le problème?
La Déclaration mondiale sur le climat de CLINTEL l'explique ainsi: «Les modèles climatiques exagèrent systématiquement le réchauffement climatique futur (résultats du Groupe de travail 1 de la CIPV) et, sur la base de cette exagération, le Groupe de travail 2 du GIEC prévoit que les catastrophes naturelles vont augmenter. Cependant, lorsque nous regardons la réalité, les véritables statistiques des catastrophes naturelles montrent une image très différente. Rien n'indique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres, ou les rend plus fréquents. Au contraire, au cours des 100 dernières années, le nombre de décès liés au climat a fortement diminué. »
En ce qui concerne les dommages causés par ce réchauffement climatique incorrectement prédit, les modélisateurs ont montré que leurs modèles entièrement spéculatifs peuvent être poussés à faire des choses vraiment bizarres. Les soi-disant «points de basculement» sont particulièrement importants ici. Il n'y a aucune preuve empirique que ces points de basculement imaginaires existent réellement.
Le Groupe de travail 1 de l'IPCC est la principale source du soulèvement climatique erroné, qui s’est soudainement déclenché. Leur rapport spécial d'octobre 2018 sur le réchauffement climatique de 1,5° C (SR15) est systématiquement cité par ceux qui proclament l'urgence. Cependant, ce rapport est entièrement basé sur une modélisation informatique qui, nous le savons, montre un réchauffement excessif dû aux émissions de combustibles fossiles.
Il y a deux raisons pour lesquelles SR15 exagère le réchauffement climatique. Premièrement, les modèles qu'ils utilisent sont beaucoup trop sensibles à l'augmentation lente des niveaux de gaz carbonique atmosphérique. Deuxièmement, ils utilisent un scénario incroyablement irréaliste pour les futures émissions de gaz carbonique. En conséquence, SR15 appelle à une réduction complètement insoutenable des émissions de gaz carbonique, qui est l'essence même de l'urgence supposée.
SR15 nous dit que si nous dépassions le réchauffement climatique de 1,5 degré C, les catastrophes d'origine climatique augmenteraient. Le message est donc: restez en dessous de cette limite ! Ensuite, nous voyons que le scénario complètement irréaliste RP 8.5 est déclaré «comme d'habitude», ce qui signifie que si nous ne faisons rien, nous irons bien au-dessus de la limite de sécurité de 1,5°C et atteindrons un réchauffement climatique d'environ 5° C. Son message est donc : il est d'une minute à douze. Il n'y a pas de temps à perdre pour des mesures d'atténuation drastiques.
RépondreSupprimerLe Manifeste CLINTEL le résume succinctement: «En regardant la panique d'aujourd'hui, l'objectif d'atténuation - une réduction de 50% du gaz carbonique en 2030 - est irréaliste et irresponsable. Elle implique une reconstruction hâtive de l'ensemble du système énergétique avec des technologies non éprouvées. Cependant, la prospérité nécessite une énergie abondante, peu coûteuse et fiable. La politique d'atténuation actuelle signifie l'abandon de notre système énergétique à faible coût éprouvé dans un délai très court. Des systèmes énergétiques peu performants entraîneront inévitablement un déclin économique et une pauvreté accrue: «Retour vers le passé». L'atténuation n'est-elle pas une politique climatique immorale ? L'adaptation au climat n'est-elle pas le fondement de l'aide au développement ? »Cette dernière est un message important aux dirigeants de la Banque mondiale.
Maintenant, la panique climatique est devenue complètement incontrôlable, allant bien au-delà de la SR15 avec des propositions appelant à zéro émission de gaz carbonique en dix ans seulement. Ce type d'action drastique serait incroyablement destructeur pour l'humanité s'il était réellement tenté. L'appel à des actions immédiates drastiques qui dépassent de loin l'IPCC signifie qu'il n'y a aucun soutien scientifique. L'IPCC n'est pas réaliste, mais ces propositions «d'action immédiate» comme le Green New Deal sont vraiment absurdes. «L’action maintenant, les gens» affirment que la science est derrière eux et se réfèrent à SR15. Le seul sens dans lequel la science est derrière eux, c'est qu'ils l'ont laissé loin derrière, jusqu'à présent, on ne peut même pas le voir.
En conclusion, il n'y a tout simplement pas d'urgence climatique. Comme l'explique le Manifeste CLINTEL, il s'agit purement d'une fiction informatique pour effrayer le public. Pire encore, ils essaient aussi d'effrayer nos enfants et petits-enfants avec leur message apocalyptique. Les modélistes organisent le spectacle climatique, qui est maintenant devenu une panique à grande échelle.
La politique sensée consiste à poursuivre l'adaptation au changement climatique, quelles qu'en soient la forme ou la cause. Nous ne pouvons pas restructurer à la hâte les fondements physiques de notre société. Mais, plus important encore, pourquoi le faire s'il n'y a aucune raison de le faire.
https://www.cfact.org/2020/02/12/models-reconsidered-there-is-no-climate-emergency/
Une rhétorique trompeuse à Davos pourrait provoquer un désastre
RépondreSupprimerPar Paul Driessen
12 février 2020
La conférence du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, est présentée comme le rassemblement annuel le plus prestigieux au monde de déménageurs et de secoueurs. Sa mission est «d'améliorer l'état du monde en engageant les chefs d'entreprise, politiques, universitaires et autres de la société à façonner les programmes mondiaux, régionaux et industriels».
Le thème de cette année était «Les parties prenantes pour un monde cohérent et durable». Malheureusement, la rhétorique noble dément les réalités trompeuses et potentiellement désastreuses des agendas soutenus par de nombreux participants.
Le thème principal de cette année est l’affirmation répétée que le monde est confronté à un cataclysme climatique. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, veut donc taxer les importations d'énergie à base de carbone dans l'UE et mettre fin à la pratique de l'humanité de «tirer des ressources de l'environnement et de générer des déchets et de la pollution dans le processus». Elle (et d'autres) insistent sur le fait que «l'énergie verte »Ne ferait rien de tel.
Les allégations de crise climatique sont à leur tour basées sur des modèles informatiques qui ne sont aussi bons que les hypothèses qui y sont intégrées - et sur les tentatives de blâmer les changements de température, les événements météorologiques extrêmes et les crises futures sur les émissions de combustibles fossiles, car les hypothèses et les modèles disent que c'est une cause -effet relation.
Le modèle le plus cité est (naturellement) le plus extrême: le RCP8.5, qui prédit des températures bien supérieures à ce que nous mesurons réellement et toutes sortes de calamités futures. Mais il est basé sur les hypothèses suivantes: le méthane et le dioxyde de carbone fertilisant pour les plantes (un minuscule 0,0402% de l'atmosphère terrestre) sont beaucoup plus importants que le soleil dans la conduite du changement climatique; notre planète comptera 12 milliards d'habitants d'ici 2100; il n'y aura pas d'innovations énergétiques au cours des 80 prochaines années; par conséquent, l'utilisation du charbon sera multipliée par dix d'ici la fin du siècle. Sur ce point, nous sommes censés fonder des politiques énergétiques restrictives et les thèmes des réunions de Davos.
Quelles sont les parties prenantes que les participants de Davos consulteront ? Greta Thunberg a été invitée à présenter sa tirade brevetée selon laquelle les combustibles fossiles détruisent son avenir. Mais aucun réaliste du climat (sceptiques alarmistes) n’a obtenu le podium, pas plus que les représentants des travailleurs des usines de l’UE ou des États-Unis ou les citoyens les plus pauvres du monde.
La bonne nouvelle est que plusieurs banquiers ont assuré qu'ils n'allaient pas arrêter de prêter des fonds aux sociétés de combustibles fossiles ou aux «grands pollueurs». (Cette dernière catégorie inclura-t-elle les sociétés minières qui devront fournir des matières premières volumineuses pour les États-Unis et le monde) «Nouvelle donne verte», comme discuté ci-dessous ?) La mauvaise nouvelle est que les banquiers et les politiciens de Davos se laissent constamment faire pression principalement par des «parties prenantes» d'extrême gauche, qui détiennent les enjeux qu'eux et les élites dirigeantes mondiales veulent faire passer à travers le le cœur du niveau de vie des pays développés et les aspirations des pays pauvres à une vie meilleure.
RépondreSupprimerEn effet, contrairement à ses assurances à Davos, bien que la consultation des peuples autochtones soit censée être un principe de base de l'entreprise, et sans consulter les parties prenantes autochtones de l'Alaska qui souhaitent forer avec soin et écologie pour le pétrole et le gaz sur leurs propres terres, afin d'améliorer la vie de leurs populations Goldman Sachs a décidé de ne plus financer un tel développement dans l'Arctique.
Alors que les médias «traditionnels» et les médias sociaux contrôlent de plus en plus les informations et les opinions, et se rangent du côté des alarmistes climatiques et des militants anti-fossiles, cette pression continuera de s'intensifier - à notre grand détriment.
Les thèmes, les agendas et les politiques de Davos ouvriront-ils un monde plus «cohésif»? L'inverse est infiniment plus probable. Priver les gens d'une énergie fossile (et nucléaire) abondante, fiable et abordable, comme les éco-activistes cherchent à le faire - et vous les privez d'emplois, de niveau de vie, de nourriture, de santé et de vie. Les gens meurent en masse (en soi un objectif des écologistes plus enragés paniqués à propos d'un monde surpeuplé). Mettez en œuvre des politiques de «nouvel accord vert» et les résultats seront tout sauf la cohésion. Ces politiques vont provoquer la rage, les protestations, la violence et l'anarchie - comme la France et le Chili l'ont clairement démontré au cours des deux dernières années.
Transformez les pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine en États vassaux, avec d’énormes mines au service de nations «écologiquement responsables et axées sur le climat» qui ne tolèrent pas l’exploitation minière à l’intérieur de leurs propres frontières - et toute cohésion disparaîtra rapidement. Dites aux familles américaines, européennes et autres qu’elles doivent accepter d’énormes installations éoliennes et solaires dans leurs arrière-cours ou au large de leurs côtes, et les résultats seront similaires.
Un monde «durable»? Oui, les combustibles fossiles sont en fin de compte des ressources limitées - des centaines d'années à partir de maintenant, après que nous aurons épuisé d'énormes gisements de charbon, du pétrole et du gaz provenant de la fracturation hydraulique, des hydrates de méthane et d'autres approvisionnements, en supposant que les décideurs politiques ne les enferment pas et «les gardent »Mais bien avant cela, l'innovation humaine créera de bien meilleures alternatives que les éoliennes, si nous laissons la créativité s'épanouir.
En attendant, n'oubliez pas: le vent et le soleil sont durables. Mais les terres et les matières premières nécessaires aux technologies pour exploiter cette énergie intermittente et largement déboursée ne le sont absolument pas.
La durabilité est un concept utile pour évaluer les coûts cachés, les risques et les responsabilités fiduciaires - tels que ceux associés au changement climatique, comme on nous le rappelle constamment. Mais nous devons appliquer ces mêmes considérations aux opérations éoliennes, solaires, à batterie et aux biocarburants; et aux impacts sur les habitats et la faune, la qualité de l'air et de l'eau, la santé humaine et le bien-être dans les régions minières et manufacturières écologiques, et le bien-être humain dans un monde privé d'énergie où la faim, la mort, la colère, les émeutes et le chaos augmentent.
RépondreSupprimerComme mes nouveaux rapports du Heartland Institute et les articles précédents le notent, les combustibles fossiles et le nucléaire fournissent actuellement plus de 8 milliards de mégawattheures (MWh) d'électricité et d'électricité équivalente à l'électricité chaque année, pour répondre aux besoins industriels, commerciaux, résidentiels et de transport des États-Unis. L'utilisation de l'énergie solaire pour générer toute cette énergie - et charger des batteries pendant une semaine de jours sans soleil - nécessiterait 19 milliards de panneaux photovoltaïques de pointe à détection solaire, couvrant complètement une zone équivalente à tout New York et au Vermont.
Mais cela suppose que les panneaux sont tous situés là où le soleil brille avec une intensité estivale de l'Arizona 24/7/365, ce qui n'arrivera jamais. Il nous faudrait donc probablement doubler (voire tripler) le nombre de panneaux et la superficie affectée. Les impacts sur les habitats et la faune seraient importants.
L'utilisation d'éoliennes de 1,8 MW au lieu de panneaux solaires nécessiterait plus de 4 millions d'éoliennes sur une ferme, un habitat faunique et des terres pittoresques équivalant à l'Arizona, le Nevada, la Californie, l'Oregon et une partie de l'État de Washington réunis. Mais plus nous installons, plus nous devons installer des turbines dans des endroits où le vent est faible. Nous devrons probablement doubler (voire tripler) le nombre de turbines et la superficie affectée. Leurs lames tournant rapidement (200 mph ou 321 km/h à leur extrémité) tueraient des millions d'aigles, faucons, autres oiseaux et chauves-souris.
Au lieu de cela, aller à l'étranger nécessiterait des centaines de milliers de turbines de 10 MW de 650 pieds (200 m) de haut. Leur impact sur les oiseaux, les chauves-souris, les mammifères marins, les vues et la navigation des navires et des avions serait intolérable.
Chaque turbine de 1,8 MW nécessite environ 1 200 tonnes d'acier, de cuivre, d'aluminium, d'éléments de terres rares, de zinc, de molybdène, de composites à base de pétrole, de béton armé et d'autres matériaux. Chaque tonne de matériaux nécessite de retirer des milliers de tonnes de roche et de minerai - et de traiter les minerais avec des combustibles fossiles. En fait, les éoliennes ont besoin d'environ 200 fois plus de matière par mégawatt qu'une turbine à gaz à cycle combiné moderne !
Stocker une semaine d'électricité pendant des périodes sans vent et sans soleil nécessiterait quelque 2 milliards de batteries au lithium-cobalt d'une voiture Tesla d'une demi-tonne - et plus de matériaux; plus d'exploitation minière. La connexion des installations éoliennes, solaires et de batteries à des villes éloignées nécessiterait des milliers de kilomètres de nouvelles lignes de transmission et davantage de mines.
Cela n'inclut pas les matériaux pour remplacer les voitures, camions, systèmes de chauffage et autres technologies existants.
RépondreSupprimerEt c'est juste pour les États-Unis. Imaginez le nombre de turbines, de panneaux, de batteries, de lignes de transmission, de matières premières, de mines, d'usines de transformation et d'usines dont nous aurions besoin pour une transformation globale!
Mais les partisans d'un nouvel accord vert détestent l'exploitation minière, au moins par les sociétés minières occidentales des pays occidentaux. Donc, cela se fait principalement dans des endroits éloignés qui n'ont pratiquement aucune règle en matière d'environnement, de santé, de sécurité, de salaire ou de travail des enfants. Des endroits comme la Mongolie intérieure, où les opérations de terres rares ont sali l'air, créé un immense lac toxique et empoisonné des milliers de personnes. Et le Congo africain, où 40 000 enfants travaillent dans des mines uniquement pour le cobalt dont ont besoin les téléphones portables, les ordinateurs portables et les voitures électriques d'aujourd'hui; pas pour une nouvelle donne verte.
Cet éco-impérialisme et cette fausse durabilité doivent cesser. Quant à toutes ces parties prenantes autoproclamées, vous d'abord. Mener par l'exemple. Réduisez votre consommation d'énergie et votre niveau de vie. Ensuite, vous pouvez (gentiment) demander au reste d'entre nous de faire de même. Cela signifie que vous, Greta, Leo DiCaprio, Al Gore, Emma Thompson et tous les autres grondements climatiques. (Mais bien sûr, ils ne le feront pas. Alors pourquoi devrions-nous ? Et pourquoi les pauvres du monde ?)
https://www.cfact.org/2020/02/12/deceptive-rhetoric-at-davos-could-bring-disaster/
Envole-moi vers la Lune - et au-delà !
RépondreSupprimerPar Peter Murphy
11 février 2020
Les riches sont différents de vous et de moi. En fait, certains d'entre eux ont tellement d'argent qu'ils participent à une nouvelle «course à l'espace» pour le 21e siècle comme alternative à la planète Terre en cas de catastrophe climatique.
Plusieurs milliardaires investissent leur fortune personnelle dans les voyages spatiaux et la colonisation éventuelle de la Lune et de la planète Mars. Richard Branson, Jeff Bezos d'Amazon et Elon Musk de PayPal en sont quelques exemples notables. Le plan de Musk va au-delà de la Lune, car il envisage de planter un établissement humain sur Mars.
Il y a de nombreuses raisons de vouloir repousser les limites du voyage spatial. Comme le dit le personnage de Star Trek de l'acteur William Shatner, le capitaine James Tiberius Kirk, à propos de l'espace extra-atmosphérique, c'est «la dernière frontière». Pourquoi ne pas investir dans la chance "d'aller hardiment là où personne n'est allé auparavant !"
Hormis l'exploration et la découverte, les autres raisons de la poursuite actuelle de l'espace par certains de ces super-riches incluent la peur d'une autre guerre mondiale. Elon Musk, par exemple, a noté qu'il y a eu deux guerres mondiales et la guerre froide au cours du XXe siècle, et que l'on ne peut pas exclure une autre conflagration. S'installer sur Mars assurerait au moins une partie de l'humanité.
M. Musk peut générer plus d'argent en une heure que la plupart des gens en un an, mais cela étire un peu les choses.
Ensuite, il y a le changement climatique et la prétendue menace existentielle pour la Terre. L'auteur Douglas Rushkoff a écrit que les établissements spatiaux sont une idée envisagée pour servir de «canot de sauvetage pour l'élite» si / quand cette planète devient intolérable. En 2018, il a décrit une réunion avec cinq milliardaires soucieux de planifier le pire et de «s'isoler du danger très réel du changement climatique, de l'élévation du niveau de la mer ... de l'épuisement des ressources», et plus encore.
Les voyages dans l'espace restent très risqués. Nous ne sommes pas allés sur la Lune depuis 1972, et deux navettes spatiales américaines ont été tragiquement incinérées (bien qu'il y ait eu 135 missions de navette - un nombre beaucoup plus élevé que je ne le pensais depuis, avec le temps, les allers-retours en orbite sont devenus moins dignes d'intérêt).
Traverser l'océan Atlantique à bord d'un navire était également très risqué, surtout il y a des siècles, lorsque la plupart de l'humanité pensait que la terre était plate, que les navires étaient en bois et que le télégraphe et la radio n'existaient pas. En l'absence d'une guerre mondiale, la traversée des océans a présenté des risques jusqu'en 1912 lorsque le Titanic a frappé un iceberg et a coulé, tuant 1 500 hommes, femmes et enfants.
D'un autre côté, les missions spatiales sont si courantes ces jours-ci qu'elles ne font guère de nouvelles, ce qui indique qu'elles deviennent presque routinières. Christina Koch en est un parfait exemple. Elle est l'astronaute américaine qui vient de terminer 328 jours en orbite, étant revenue sur Terre plus tôt ce mois-ci. Mme Koch est entrée dans l'histoire en passant le plus de temps dans l'espace par une femme. Pourtant, nous restons loin de la notion de voyage aéré chantée par Frank Sinatra, dans "Fly Me to the Moon".
Le temps et les avancées technologiques continueront et l'exploration spatiale est une chose positive à poursuivre. Cela a été compris pendant des décennies, avant même que le président John F. Kennedy ne se fixe l'objectif en 1961 qu'un Américain marche sur la Lune et revienne en toute sécurité sur Terre avant la fin de cette décennie. Étonnamment, bien sûr, son objectif a été atteint.
RépondreSupprimerDe nos jours, les gouvernements et de plus en plus le secteur privé investissent des ressources et des investissements pour poursuivre la frontière finale. Le président Trump veut que les Américains retournent sur la Lune dans cinq ans, et le tourisme spatial pour les milliardaires pourrait être de même dans quelques années, avec des plans pour une station spatiale de luxe en préparation.
La notion de fuir vers une communauté spatiale à part entière pour éviter une guerre future ou la peur exagérée du changement climatique est trop fantastique et absurde pour être considérée, et à des siècles de toute possibilité sérieuse. Néanmoins, si de telles notions motivent les super-riches à dépenser leurs milliards pour de futurs voyages et développements spatiaux, alors il vaut la peine de les encourager en citant ce grand personnage américain, Buzz Lightyear:
"Vers l'infini et au-delà !"
https://www.cfact.org/2020/02/11/fly-me-to-the-moon-and-beyond/
Oui, fabriquer des fusées créent des milliers d'emplois mais, ces objets ne profitent pas aux employés payés ou les non-employés. Personne par la suite n'achètera une fusée d'occasion. Mais seront peut-être même amenés à contribuer/investir en des stations spatiales qui ne profiteront qu'à certaines personnes.
SupprimerEn comparaison, une route ou chemin de fer fabriqués serviront à toutes et tous. De même des voitures, autocars ou avions.
Folie des coronavirus
RépondreSupprimerWuhan, Chine, le coronavirus a provoqué une illusion mentale chez les travailleurs de la santé et les autorités de santé publique; Lancement d'une étude
Par Bill Sardi
13 février 2020
Il est maintenant évident que les autorités de santé publique de Wuhan, en Chine, sont atteintes d'une forme grave de folie hivernale due aux coronavirus. Cette affection mentale jusque-là non identifiée a commencé lentement et s'est ensuite propagée si rapidement que les National Institutes of Health ont tranquillement lancé une étude le 10 février pour déterminer la cause de cette folie psychologique qui a visé la profession médicale. (Si vous avez du mal à y croire, cliquez sur les liens.)
Les premiers résultats de l'étude indiquent une forme de manie qui est plus susceptible de frapper les médecins et les professionnels de la santé enveloppés dans des combinaisons dangereuses ou confinés à travailler dans des environnements hospitaliers intérieurs 24h / 24 et 7j / 7 et qui ont donc des niveaux sanguins de vitamine D au soleil extrêmement faibles. .
La psychose de privation de soleil est connue pour réduire le volume du cerveau. Ceux qui supervisent la soi-disant épidémie de coronavirus à Wuhan présentent des symptômes délirants, connus pour être caractéristiques de cette maladie saisonnière, selon un rapport de PsychCentral.
Les récentes décisions et annonces faites par les autorités de santé publique à Wuhan et ailleurs dans l'hémisphère nord à propos de l'épidémie de coronavirus peuvent être caractérisées comme divers degrés de confusion mentale qui vont de la schizophrénie limite à une psychose sévère (totalement déconnectée de la réalité). Voici quelques exemples:
Le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), un secrétaire britannique à la santé et un professeur à Hong Kong mettent tous en garde contre une «grave menace pour le reste du monde» qui «pourrait infecter jusqu'à 60% de la population mondiale», tandis que Au départ, le taux de mortalité de ce virus 2019-nCoR est inférieur à l'épidémie de SRAS de 2003 qui n'a entraîné que quelques milliers d'infections confirmées en laboratoire et quelques centaines de décès, principalement chez les individus immunodéprimés.
Les dernières données au moment de la rédaction de ce rapport font état de 45 171 personnes infectées dans le monde et de 1115 décès, ce qui représente seulement un taux de mortalité de 2,4%. À titre de comparaison, le SRAS a infecté 8098 cas d'infection et 774 décès (taux de mortalité de 9,5%).
Mais les autorités sanitaires chinoises ont manifestement commencé à avoir des hallucinations qui se sont transformées en réalité imaginée pour dépeindre une épidémie de coronavirus plus mortelle en incluant des patients dont les tests sanguins étaient positifs pour le virus mais n'avaient AUCUN symptôme parmi les cas confirmés. Certains chiffres d'infection ont maintenant été ajustés à la baisse.
Lorsqu'ils sont confrontés au faible taux de mortalité, les responsables de la santé concèdent que «le taux de mortalité peut être encore plus bas que prévu» (1%) mais cela est dû à des cas non diagnostiqués. Bien sûr, dans chaque flambée de maladie infectieuse, il y a des cas non diagnostiqués. Une épidémie dépend du nombre d'échantillons de sang que les laboratoires peuvent traiter pour confirmer la souche virale impliquée. Et on pourrait penser que le virus 20190nCoR muté n'est pas le seul virus actif cette saison de la grippe à Wuhan. Ce n'est pas le cas, tant de personnes présentant des symptômes communs de rhume et de grippe à Wuhan et ailleurs dans le monde sont mises en quarantaine avant qu'un test sanguin ne confirme la souche du virus 2019-nCoR. Tout symptôme de rhume ou de grippe fera l'affaire. Tasser plus de maladies à traiter est une bonne affaire.
RépondreSupprimerLe délire des coronavirus a également fait son apparition dans les médias. Voici un rapport récent:
Une femme âgée thaïlandaise a défié la cote du «un sur un million» pour survivre à sa bataille avec le coronavirus mortel qui a abattu près de 25 000 personnes dans le monde et tué près de 500.
(Daily Mail 5 février 2020)
Mais au 11 février, le coronavirus n'avait infecté que 43.138 personnes sur 11 millions à Wuhan, soit 4 / 10e de 1% de la population, avec un taux de mortalité de 0,0000,92% (1018 décès), ce qui n'est même pas 1 sur 100 000; compte une agence de presse inexplicablement appelée «sombre».
Les personnes infectées par le coronavirus qui meurent sont en grande partie des fumeurs immunodéprimés, des buveurs, des personnes âgées souffrant de malnutrition et des consommateurs de drogues (même des médicaments conventionnellement prescrits); 68% des premiers cas de coronavirus étaient des hommes, ce qui est exactement le même pourcentage exact d'hommes chinois qui fument du tabac.
Parlez de sur-tuer. C'est cette même manie de coronavirus qui a poussé l'armée américaine à assembler 11 camps de quarantaine autour des principaux aéroports des États-Unis, bien qu'il n'y ait eu que 13 cas signalés parmi les voyageurs aériens entrants depuis le début de la soi-disant épidémie.
Ne pas faire la lumière sur les décès, mais ce n'est pas la pandémie de grippe espagnole de 1918 qui a infecté un tiers de la population mondiale et fait environ 50 millions de vies dans la période pré-antibiotique, qui a peut-être été déclenchée ou exacerbée par l'utilisation de l'arsenic dans les pesticides qui ont contaminé les aliments et induit par la suite une carence généralisée en zinc qui, à son tour, prédispose les enfants et les adultes infectés par un virus à une pneumonie grave; et la première commercialisation mondiale de l'aspirine par Bayer, un anti-fièvre qui a été surexploité et appauvri en vitamine C sans le vouloir, ce qui a provoqué une saturation des poumons en liquide et des patients noyés dans leurs propres sécrétions.
Les médecins de l'hôpital militaire Walter Reed à Washington, DC, ont soigné la grippe espagnole dans des pièces qui ont reçu de l'air frais et de la lumière naturelle. Ils savaient que la lumière du soleil effrayait les démons pandémiques.
Pour enflammer l'épidémie virale, les autorités de santé publique ont ordonné à tout le monde à l'intérieur - - la mise en quarantaine des masses du rayonnement solaire UV qui est l'antidote naturel.
À cette époque de l'année, l'indice UV à Wuhan est de 3-4 sur une échelle de 1-10. La maladie mentale est en corrélation avec une immunité affaiblie en hiver lorsque la terre s'incline loin du soleil dans les latitudes nordiques. Il est peut-être temps de fermer les surveillants plutôt que les masses. La folie hivernale a une sélectivité évolutive pour la profession médicale qui travaille en grande partie à l'intérieur.
RépondreSupprimerBien qu'il existe un certain nombre d'études publiées ne confirmant pas que les pilules de vitamine D protègent contre l'infection grippale, le véritable test de l'ensoleillement-vitamine D est de savoir s'il prévient les décès liés à la grippe - à savoir la pneumonie (les poumons se remplissent de liquide). La vitamine D normalise un système immunitaire autrement trop réactif qui peut remplir les poumons de liquide. Le maintien d'un taux sanguin adéquat de vitamine D RÉDUIT l'incidence de la pneumonie.
En outre, il semble que plus de vitamine D orale soit nécessaire en hiver lorsque les niveaux de stockage de vitamine D dans le foie peuvent être épuisés. En raison d'une erreur statistique, maintenant inventé « la grande erreur de vitamine D, » le public a été informé par erreur de prendre une quantité faible de vitamine démesurément D (équivalent à moins de 5 minutes de soleil / exposition de la peau). Une clinique qui administre 50 000 unités de vitamine D à des patients infectés par la grippe rapporte une résolution rapide et spectaculaire des symptômes de la grippe. Où est la flotte de camions de vitamine D de l'Organisation mondiale de la santé lorsque nous en avons besoin?
TOTALEMENT MYTHIQUE DU COURS
Bien sûr, les masses ont lu les informations du médecin chinois qui avait initialement sonné l'alarme concernant le coronavirus, qui serait décédé. Mais maintenant, tout à coup, ce médecin est vivant et serait dans un état critique. Mais la photo publiée (ci-dessous) montre le médecin aux yeux écarquillés et alerte avec une bonne couleur de peau et tenant son I.D. carte.
Un autre exemple du dérangement mental causé par ce coronavirus est un reportage selon lequel les autorités gouvernementales chinoises «vont désinfecter par pulvérisation une ville entière».
Mais les virus ne vivent pas comme des bactéries, ils ne peuvent donc pas être «tués». Les virus sont des globes de matériel génétique qui envahissent les cellules à l'intérieur du corps et se multiplient rapidement en utilisant le mécanisme génétique de la cellule hôte. La meilleure façon de réprimer un virus est d'arrêter sa réplication. Mais les remèdes naturels qui font que, comme la quercétine trouve naturellement dans pelure de pomme rouge et les oignons rouges et resveratrol trouvé dans les raisins et le vin rouge, inutilisés. Mieux vaut laisser les morts continuer et attendre un vaccin.
Un vaccin est mois loin et ne rendrait pas probablement prévenir les infections ou les décès chez les personnes immunodéficientes qui ne peuvent pas efficacement des anticorps contre un virus à ARN enveloppait comme celui circulant à Wuhan. Ainsi, la vaccination des populations comme à Wuhan ne ferait que immuniser efficacement la santé qui peut produire un anticorps suffisant et sont à risque moins d'être infecté.
Un vaccin contre le coronavirus devrait prévenir 1 infection chez 16 666 personnes. Même avec un très faible taux d'effets secondaires graves d'un vaccin contre le coronavirus, une analyse prédit qu'une vaccination généralisée pourrait hospitaliser et tuer plus de personnes que le virus lui-même.
RépondreSupprimerIl est temps pour la thérapie par la réalité. Qui le prescrira à la profession médicale, étant donné que la profession médicale n’adhère même pas à ses propres médicaments (la plupart des médecins ne sont pas vaccinés) ? Prescrire du soleil ne coûte pas un centime et les effets secondaires de la vitamine D incluent la santé mentale.
https://www.lewrockwell.com/2020/02/bill-sardi/coronavirus-madness/
La folie du 'coran a virus' (et à Bill Sardi) est une ÉPIDÉMIE de LOBBYING internationale (comme la 'dette') qui a été lancée (comme une boite sur la route) sans trop savoir quand elle s'arrêtera !
SupprimerNotez bien qu'au journaliste ou groupe de presse n'a d''envoyé(e) spécial(e)' en Chine pour rapporter les faits exacts et que TOUT ce qui est dit sur le 'désastre' est une pure fiction, imagination, exubérance de vouloir péter plus haut que son cul ! C'est à celle ou celui qui lancera le plus de morts pour accrocher l'audimat !
A vrai dire cette épidémie est le plus souvent confondue avec une simple grippe et, toutes personnes vue tousser est enfermée !
Même hier j'ai lu dans je-ne-sais-quel-canard que l'atmosphère au dessus de la Chine était chargé de souffre ! donc: (disait le journal:) ils sont en train de brûler des cadavres ! Hahahaha !
Quand Dom Armentano devient courant à virus
RépondreSupprimerLa hausse des niveaux océaniques est-elle une menace existentielle ?
Par Dom Armentano
13 février 2020
Une partie importante du débat sur le changement climatique est que le réchauffement thermique des océans et la fonte accrue de la glace glaciaire terrestre entraîneront une élévation du niveau de la mer qui menacera gravement certaines communautés côtières. Des villes comme Miami ont été invitées à faire des investissements importants dans les infrastructures afin de contribuer à atténuer les coûts futurs de l'augmentation des inondations océaniques.
Le dernier rapport du the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies conclut que le niveau des océans pourrait augmenter entre 2 et 3 pieds d'ici 2100. Un rapport similaire en 2017 de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) suggère que « l'élévation du niveau moyen mondial de la mer »pourrait atteindre 6 à 8 pieds d'ici la fin de ce siècle. Al Gore, dans son livre de 2006 «Une vérité qui dérange», était célèbre pour dire que l'augmentation du réchauffement de la planète pourrait bien entraîner une augmentation de 20 pieds du niveau des océans «dans un avenir proche». Et comme le climat continue de se réchauffer - à cause de la combustion accrue de les combustibles fossiles - ces prévisions peuvent sembler alarmantes.
Les relevés d'altimètre laser par satellite depuis 1993 et les mesures marégraphiques plus anciennes semblent tous confirmer que le niveau de la mer dans le monde a augmenté d'environ 0,12 pouce par an pendant plusieurs décennies. Si le taux d'augmentation reste stable, dans 12 ans d'ici 2032 - lorsque certains politiciens affirment que le réchauffement climatique pourrait bien pousser la planète au-delà du point de non-retour - les niveaux des océans auront augmenté d'environ 1,25 pouce au-dessus de leur niveau actuel. Et dans quatre-vingts ans, au tournant du siècle prochain, le niveau de la mer serait environ un pied ou plus plus élevé qu’actuellement.
Certes, toute accélération du réchauffement climatique pourrait augmenter tous ces chiffres (et une réduction de certains réchauffements pourrait les faire baisser), mais même un doublement improbable des résultats au niveau de l'océan d'ici 2100 laisserait encore les hauteurs de la mer bien en deçà d'une augmentation de 2 pieds.
Il n'est toutefois pas évident que ces augmentations projetées soient troublantes ou non. Le consensus général parmi les climatologues est qu'il existe un risque important que l'élévation du niveau des océans dans un proche avenir déborde et inonde les propriétés côtières et force des migrations importantes de personnes le long de la côte pour se déplacer plus à l'intérieur des terres. Ne serait-il donc pas prudent d'imposer des taxes sur le carbone (pour réduire les émissions) et de mettre en œuvre diverses réglementations côtières afin d'atténuer ces coûts inévitables de propriété et de migration ?
La réponse à ces questions par certains économistes et sceptiques climatiques est la suivante: tout dépend. Après tout, toute augmentation substantielle du niveau de la mer doit se produire par incréments marginaux discrets et assez faibles (environ un / huitième de pouce par an) sur plusieurs décennies; cela donnerait à la société un temps raisonnable pour observer, planifier et s'adapter. Investir ou réglementer maintenant pour quelque chose qui peut ou non se produire dans plusieurs décennies peut être aussi risqué que de ne rien faire. De plus, il est difficile d'affirmer que l'augmentation de 3 pouces du niveau des océans qui devrait se produire au cours des 24 prochaines années produira une calamité lorsque les niveaux des océans ont augmenté presque autant depuis 1990 sans perturbation sociétale radicale.
RépondreSupprimerLa question de la taxe sur le carbone est encore plus ambiguë. Premièrement, malgré les reportages des médias, il y a encore un débat sérieux sur la question de savoir si le dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre relativement mineur (0,042% en volume), contribue de manière significative au réchauffement climatique. Deuxièmement, en l'absence d'un accord exécutoire mondial, les taxes sur le carbone aux États-Unis n'entraîneraient qu'une réduction de minimus des émissions totales. Si les océans augmentent, les taxes sur le carbone aux États-Unis ne sont pas une solution à court terme politiquement intéressante ou même pratique.
Mais le niveau des océans monte-t-il même ? Certains sceptiques climatiques, comme Niles-Axel Morner, l'ancien chef du département de paléogéophysique de l'Université de Stockholm, soutiennent depuis longtemps que, bien que le niveau de la mer ait certainement été variable au cours des 50 dernières années, il n'y a pas eu de tendance à la hausse significative. Le professeur Morner estime que les mesures laser des satellites n'ont pas suffisamment pris en compte les forces solaires et planétaires importantes qui surestiment systématiquement les hauteurs réelles des océans.
De plus, Morner a publié des preuves empiriques (International Journal of Earth and Environmental Sciences, 2017) qui concluent - sur la base de son étude du niveau de la mer aux îles Fidji - qu'il n'y a «aucune trace (a) d'élévation actuelle du niveau de la mer; au contraire, une stabilité totale. »Et bien que les théories de Morner aient été critiquées, ses données d'observation uniques semblent soutenir la notion selon laquelle le risque d'inondation côtière apocalyptique due au réchauffement climatique pourrait être surestimé.
Morner mis à part, que faire, le cas échéant, devrait être fait au sujet de la menace présumée posée par des niveaux océaniques plus élevés ? Une proposition, compatible avec une approche du marché fondée sur le problème, consisterait à mettre rapidement fin à certains programmes gouvernementaux (en dessous de l'assurance des coûts) qui créent des incitations perverses à construire puis à reconstruire des propriétés côtières. Une autre consisterait à pécher par excès de prudence et à fortifier plusieurs centrales nucléaires américaines qui pourraient être particulièrement vulnérables aux inondations océaniques. Cependant, la promulgation de taxes sur le carbone aux États-Unis (mais pas dans le reste du monde) ou des propositions d'investissement dans des programmes coûteux de réduction des inondations dans les grandes villes côtières ne semblent pas encore justifiées.
Cet éditorial a été initialement publié dans Vero Beach 32963.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2020/02/dom-armentano/are-rising-ocean-levels-an-existential-threat/
Bon c'est vrai ce Dom Armentano est une vraie merde un trisomique de la famille à Gretamoilescouilles !
SupprimerNon content de faire rire le monde de ses délires sans retenus sur le niveau de la mer qui monte (hors marée), il y ajoute le terme de scepticisme ! Le scepticisme étant le superlatif de l'ignorance sous zéro ! Par exemple ne pas savoir s'il fait jour ou nuit ! froid ou chaud ! etc, ils sont 'sceptiques' !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
Pour ce qui est du niveau des mers & océans il n'en a jamais été constant. Cause aux tremblements de terre aux fonds des mers & océans qui ouvrent des failles, rapprochent des plaques, et font qu'émergent (ou pas !) de nouvelles îles.
Des moines (IA) -17°C
SupprimerMinneapolis (MN) - 23°C
Fargo (ND) -25°C
RépondreSupprimerUne introduction à l'espionnage domestique
Judge Andrew P. Napolitano
le 13 févr.2020
"Les Encadreurs (...) ont conféré, contre le gouvernement, le droit d'être laissé seul - le plus complet des droits et le droit le plus apprécié par les hommes civilisés." - Le juge Louis Brandeis (1856-1941)
Alors que nous étions tous consumés par la mise en accusation, un texte législatif pernicieux faisait lentement et silencieusement son chemin à travers le Congrès. Il s'agit d'un renouvellement de l'article 215 du Patriot Act.
Le Patriot Act de 2001 comprend trois sections qui doivent expirer le 15 mars. L'une d'elles est la tristement célèbre 215, qui autorise le gouvernement fédéral à saisir sans mandat tous les dossiers de toutes les personnes en Amérique détenus par des tiers.
Voulons-nous vraiment que le gouvernement fédéral espionne sans mandat ? Comment le Congrès, qui a juré de préserver, protéger et défendre la Constitution, peut-il légiférer pour une violation aussi flagrante de celle-ci ? Voici la trame de fond.
Après la ratification de la Constitution en 1789, elle fut bientôt amendée pour reconnaître l'existence des droits naturels et pour empêcher le gouvernement d'interférer avec eux. Comme l'a écrit le juge Brandeis 140 ans plus tard, le plus complet de ces droits était le droit d'être laissé seul, ce que nous appelons aujourd'hui la vie privée.
Pour garantir ce droit, le quatrième amendement a été ratifié. Le quatrième amendement avait pour but d'empêcher le gouvernement d'utiliser des mandats généraux et d'exiger des mandats de perquisition autorisés par des tribunaux délivrés dans des circonstances étroites. James Madison, qui a rédigé la Constitution et la Déclaration des droits, a partagé la haine que les colons devenus américains avaient pour les mandats généraux.
Un mandat d'arrêt général était un document délivré par un tribunal secret à Londres autorisant le porteur du document, généralement un soldat britannique ou un agent des renseignements, à fouiller où il le souhaitait et à saisir tout ce qu'il avait trouvé. Le demandeur du mandat devait seulement démontrer au tribunal que le mandat était destiné à dénicher quelque chose que le gouvernement voulait. Parce que ces mandats ne précisaient pas l'objet de la perquisition, il n'y avait aucune limite.
D'où le libellé de Madison dans le quatrième amendement préservant la vie privée mais permettant au gouvernement de l'envahir uniquement sur présentation, sous serment, d'une cause probable de crime, et exigeant ensuite du mandat de spécifier par écrit le lieu à perquisitionner ou la personne ou la chose à être saisi.
Après le 11 septembre, dans un esprit collectif de peur, de timidité et de soumission à la présidence, et au mépris absolu des serments de ses membres pour faire respecter la Constitution, le Congrès a promulgué le Patriot Act. Il permet à un agent fédéral d'autoriser un autre agent fédéral à rechercher et à saisir tout ce que ce dernier souhaite examiner et saisir tant qu'il est en la possession d'institutions financières tierces.
RépondreSupprimerAu fil des ans, la définition d'«institution financière» a été radicalement élargie à la fois par la législation et les décrets présidentiels afin d'inclure presque toutes les entités imaginables qui ont des dossiers sur toute personne en Amérique - des banques aux hôpitaux aux avocats aux marchands en passant par le crédit. émetteurs de cartes aux fournisseurs de services de télécommunications et informatiques et même au bureau de poste.
Parallèlement à l'extension du Patriot Act, la National Security Agency - un puissant appareil d'espionnage américain de 60 000 personnes - ne prétendait même pas suivre la législation. Nous savons par les révélations d'Edward Snowden - qui n'ont jamais été contestées par le gouvernement - que depuis 2003, la NSA a capturé non seulement les enregistrements des Américains détenus par des tiers, mais aussi les enregistrements de chaque frappe touchée par chaque personne en Amérique et chaque téléphone appel transmis via un câble à fibre optique. Cela inclut tous les e-mails, SMS et données - même ce qui a été supprimé. Cette surveillance de masse sans mandat se poursuit aujourd'hui sans relâche.
L'utilisation par le gouvernement des tours de cellules comme moniteurs de mouvement est également inchangée et tout aussi illégale et inconstitutionnelle. Chaque fois que quelqu'un voyage avec un appareil mobile aux États-Unis, la tour cellulaire la plus proche capte les signaux de l'appareil mobile, même éteinte. Le gouvernement, qui possède les tours cellulaires ou en vertu de l'article 215, capture toutes les données que les tours amassent, peut suivre efficacement toute personne avec un appareil mobile en temps réel.
Comment le gouvernement s'en sort-il ?
Les autorités fédérales ont travaillé d'arrache-pied pour garder toutes ces violations constitutionnelles aussi loin que possible du contrôle judiciaire. Ils craignent à juste titre - ils savent - que tout cela viole le quatrième amendement. Si leur comportement néfaste, que nous savons qu'ils ont utilisé contre le président des États-Unis et la Cour suprême, fait l'objet d'un examen judiciaire, les autorités feront valoir que le quatrième amendement ne concerne que les poursuites pénales et non l'espionnage domestique; ainsi, ils peuvent l'ignorer lorsqu'ils espionnent.
Ils ont inventé cet argument à partir de rien. Il n'y a ni allusion dans le libellé de l'amendement ni odeur dans son histoire pour étayer cet argument.
Le gouvernement a-t-il perdu de vue notre droit d'aînesse ? C'est la vie, la liberté et la poursuite du bonheur - sans parler d'entrer au paradis. Comment pouvons-nous faire tout cela si le gouvernement que nous avons engagé pour préserver notre liberté la détruit subrepticement ?
Le langage de Brandeis sur le fait d'être laissé seul a été écrit en 1928, dans une dissidence à un avis de la Cour suprême qui ne reconnaissait pas le droit à la vie privée. Aujourd'hui, sa dissidence est la loi du pays, mais les autorités l'ignorent. Il a écrit qu'il y a plus dans la vie que de posséder des biens matériels. Il y a l'accomplissement d'objectifs spirituels, intellectuels et culturels et la réalisation d'aspirations intimes, dont aucun n'est l'affaire du gouvernement.
Pourquoi permettons-nous au gouvernement de porter atteinte à nos libertés les plus fondamentales, en vertu de la loi ou sous la table ?
http://www.judgenap.com/post/a-primer-on-domestic-spying
Supprimer(...) Après la ratification de la Constitution en 1789, (...)
Hahaha ! Constitution... républicaine ! (dictature !) et non Constitution Démocratique comme en Suisse ! (malgré que de nombreux suisses composaient les habitants de l'Amérique en 1789 !).
Plus de la moitié des Français croient à l’effondrement de leur civilisation
RépondreSupprimer13:58 13.02.2020
Depuis des années, les Français se disent alarmistes lorsqu'ils sont interrogés sur l'état et l'avenir du monde, et un sondage de l’Ifop vient de renforcer encore davantage ce pessimisme. 65% des Français, ainsi que 71% des Italiens, croient en un effondrement prochain de leur civilisation et formulent plusieurs scénarios possibles.
Lors de ses vœux à la presse en janvier 2019, Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Éducation nationale, a déclaré: «Cela m'a toujours étonné, mais les Français sont plus pessimistes que les habitants du Bangladesh…». Connus pour leur vision pessimiste, les Français ont confirmé leurs sentiments dans un nouveau sondage de l’Ifop pour la Fondation Jean Jaurès.
Selon ses résultats, 65% des Français estiment que «la civilisation telle que nous la connaissons actuellement va s’effondrer dans les années à venir». Cette opinion est partagée par 71% des Italiens, 56% des Britanniques, 52% des Américains et 39% des Allemands.
Pour un tiers des Français (35%), l’effondrement du modèle actuel de société arrivera d’ici 20 ans. Ce délai est diagnostiqué également par 29% de la population en Italie, 22% en Allemagne, 19% aux États-Unis et 18% au Royaume-Uni.
En France, la proportion de ceux qui pensent que la civilisation va s’effondrer progresse à mesure que le niveau de vie diminue, précise le sondage. De la même manière, en termes de niveau d’éducation, c’est parmi les sans diplôme (73%) que l’adhésion est la plus forte.
Scénarios collapsologiques
Selon le sondage, 27% des Français, pour la plupart des jeunes, pensent que les conséquences du réchauffement climatique et de la surconsommation conduiront à un effondrement.
«L’hypothèse d’un effondrement sous "l’effet de vagues migratoires totalement incontrôlables" recueille un score conséquent en Europe continentale (12% en Italie, 15% en France et 17% en Allemagne)», dit le sondage.
L’hypothèse d’un effondrement causé par «une guerre civile ou des tensions de plus en plus fortes au sein de la société» est partagée par 15% des Américains, 14% des Français et des Allemands et 9% des Italiens et des Britanniques.
La collapsologie, cette thèse sur les effondrements environnementaux et sociétaux, rencontre un écho important en France. Elle est diffusée par des scientifiques comme l’astrophysicien Aurélien Barrau ou le mathématicien et ex-ministre de l’Environnement Yves Cochet qui s’appuient sur le réchauffement climatique, la submersion des terres habitables, l’épuisement des ressources et la surconsommation.
https://fr.sputniknews.com/international/202002131043059027-plus-de-la-moitie-des-francais-croient-a-leffondrement-de-leur-civilisation/
Supprimer(...) La collapsologie, cette thèse sur les effondrements environnementaux et sociétaux, rencontre un écho important en France. Elle est diffusée par des scientifiques comme l’astrophysicien Aurélien Barrau ou le mathématicien et ex-ministre de l’Environnement Yves Cochet qui s’appuient sur le réchauffement climatique, la submersion des terres habitables, l’épuisement des ressources et la surconsommation. (...)
Deux personnes ! (2 !) qui s’appuient sur le réchauffement climatique, la submersion des terres habitables, l’épuisement des ressources et la surconsommation. ! Whôah !
Impression de petits objets de haute précision en quelques secondes
RépondreSupprimer13 FÉVRIER 2020
par l'Ecole Polytechnique Federale de Lausanne
Les chercheurs de l'EPFL ont développé une nouvelle méthode de haute précision pour l'impression 3D de petits objets mous. Le processus, qui prend moins de 30 secondes du début à la fin, a des applications potentielles dans un large éventail de domaines, y compris la bio-impression 3D.
Tout commence par un liquide translucide. Puis, comme par magie, des taches plus sombres commencent à se former dans le petit récipient tournant jusqu'à ce que, à peine une demi-minute plus tard, le produit fini prenne forme. Cette méthode d'impression 3D révolutionnaire, développée par des chercheurs du Laboratoire des appareils photoniques appliqués (LAPD) de l'EPFL, peut être utilisée pour fabriquer de minuscules objets avec une précision et une résolution sans précédent, le tout en un temps record. L'équipe a publié ses conclusions dans la revue Nature Communications et un spin-off, Readily3D, a été créé pour développer et commercialiser le système.
La technologie pourrait avoir des applications innovantes dans un large éventail de domaines, mais ses avantages par rapport aux méthodes existantes - la capacité d'imprimer des parties solides de différentes textures - la rendent parfaitement adaptée à la médecine et à la biologie. Le processus pourrait être utilisé, par exemple, pour fabriquer des objets mous tels que des tissus, des organes, des prothèses auditives et des protège-dents.
«Les techniques d'impression 3D conventionnelles, appelées fabrication additive, construisent les pièces couche par couche», explique Damien Loterie, PDG de Readily3D. "Le problème est que les objets mous fabriqués de cette façon se désagrègent rapidement." De plus, le processus peut être utilisé pour fabriquer des échafaudages délicats chargés de cellules dans lesquels les cellules peuvent se développer dans un environnement 3D sans pression. Les chercheurs se sont associés à un chirurgien pour tester des artères imprimées en 3D réalisées à l'aide de la technique. "Les résultats du procès ont été extrêmement encourageants", explique Loterie.
Durci par la lumière
La nouvelle technique s'appuie sur les principes de la tomographie, une méthode principalement utilisée en imagerie médicale pour construire un modèle d'objet basé sur des scans de surface.
L'imprimante fonctionne en envoyant un laser à travers le gel translucide, soit un gel biologique ou du plastique liquide, selon les besoins. "Tout est question de lumière", explique Paul Delrot, directeur technique de Readily3D. "Le laser durcit le liquide grâce à un processus de polymérisation. Selon ce que nous construisons, nous utilisons des algorithmes pour calculer exactement où nous devons viser les faisceaux, sous quels angles et à quelle dose."
Le système est actuellement capable de fabriquer des structures de deux centimètres avec une précision de 80 micromètres, à peu près le même que le diamètre d'une mèche de cheveux. Mais au fur et à mesure que l'équipe développe de nouveaux appareils, elle devrait être en mesure de construire des objets beaucoup plus gros, potentiellement jusqu'à 15 centimètres. «Le processus pourrait également être utilisé pour fabriquer rapidement de petites pièces en silicone ou en acrylique qui n'ont pas besoin de finition après l'impression», explique Christophe Moser, qui dirige le LAPD. Le design d'intérieur pourrait être un marché potentiellement lucratif pour la nouvelle imprimante.
https://phys.org/news/2020-02-tiny-high-precision-seconds.html
Comment les machines cellulaires marquent les protéines pour la dégradation
RépondreSupprimer13 FÉVRIER 2020
par Max Planck Society
Les protéines sont des chevaux de travail moléculaires dans la cellule qui effectuent des tâches spécifiques, mais il est essentiel que le calendrier des activités protéiques soit parfaitement contrôlé. Lorsque les protéines ont rempli leurs tâches, leur dégradation met fin à des processus inutiles ou préjudiciables. Pour contrôler le timing, un marqueur appelé ubiquitine est attaché aux protéines indésirables, les marquant pour la dégradation. Bien que des mécanismes moléculaires complexes soient connus pour fixer l'ubiquitine, la façon dont ces machines effectuent le processus d'étiquetage était inconnue. Des chercheurs du MPIB, en collaboration avec l'Université du Nevada à Las Vegas, ont révélé ces mécanismes et publié les résultats dans la revue Nature.
De nombreux processus cellulaires tels que les réponses immunitaires ou la multiplication cellulaire dépendent de nombreuses protéines différentes travaillant en séquence. Pour que la cellule fonctionne correctement, les protéines doivent être dégradées après leur travail. Lorsque des mutations pathogènes bloquent la dégradation des protéines en temps opportun, les protéines peuvent fonctionner au mauvais moment, ce qui peut entraîner des maladies, notamment des cancers, des maladies cardiaques et des troubles du développement.
Contrôler la dégradation des protéines
Les cellules décomposent les protéines en marquant les protéines indésirables pour leur dégradation avec une autre protéine appelée ubiquitine. Le processus de marquage, connu sous le nom d'ubiquitylation, est effectué par des machines moléculaires appelées E3 ligases. Il est important que les ligases E3 elles-mêmes soient activées et désactivées dans les cellules au bon endroit et au bon moment. L'interrupteur pour environ un tiers de toutes les ligases E3 est une petite protéine similaire à l'ubiquitine appelée NEDD8.
NEDD8 au contrôle de désactiver d'autres protéines
Bien que les composants individuels de ces mécanismes de dégradation des protéines soient connus, il n'était pas clair comment NEDD8 active les ligases E3 et permet de marquer la protéine cible avec de l'ubiquitine. "Ceci est particulièrement important car il existe des médicaments dans les essais cliniques anticancéreux qui bloquent le NEDD8, et certaines bactéries infectieuses manipulent le NEDD8 pour perturber les processus cellulaires", a déclaré Brenda Schulman, chef du département Machines moléculaires et signalisation au MPIB. Schulman et son équipe ont maintenant déchiffré les mécanismes moléculaires de cette ubiquitylation. "Nous avons étudié le mode d'action d'un E3 activé par NEDD8. Nous avons découvert comment NEDD8 induit une machine moléculaire E3 pour amener le marqueur ubiquitine à ses cibles. Ceci est une clé pour éteindre les protéines au bon moment lorsqu'elles ne sont plus nécessaires dans une cellule", a déclaré Schulman.
En utilisant la chimie et la microscopie cryoélectronique, les scientifiques ont réussi à visualiser une importante ligase E3 activée par NEDD8 dans le processus d'ubiquitylation. "Pour ce faire, nous avons examiné de près chaque étape du processus de marquage. Le processus naturel se produit en une fraction de seconde, après quoi la machine de marquage moléculaire s'effondre. Le processus de capture de cet état normalement de courte durée a été particulièrement difficile ", explique Kheewoong Baek, auteur principal de l'étude.
RépondreSupprimerLes machines moléculaires E3 ligase contrôlent de nombreux processus cellulaires. "Le mécanisme déchiffré explique non seulement le processus normal et ce qui ne va pas dans certains cancers où les mutations empêchent la machine E3 de fonctionner, mais peut également servir de guide pour développer des thérapies pour étiqueter les protéines indésirables avec de l'ubiquitine. Nous espérons qu'à long terme ce terme pourrait aider à dégrader les protéines qui causent le cancer », explique Schulman.
https://phys.org/news/2020-02-cellular-machinery-proteins-degradation.html
D'énormes virus mangeurs de bactéries réduisent l'écart entre la vie et la non-vie
RépondreSupprimer12 FÉVRIER 2020
par l'Université de Californie - Berkeley
Les scientifiques ont découvert des centaines de virus anormalement grands, tueurs de bactéries, dotés de capacités normalement associées aux organismes vivants, brouillant la frontière entre les microbes vivants et les machines virales.
Ces phages - abréviation de bactériophages, ainsi appelés parce qu'ils "mangent" des bactéries - sont d'une taille et d'une complexité considérées comme typiques de la vie, portent de nombreux gènes normalement trouvés dans les bactéries et utilisent ces gènes contre leurs hôtes bactériens.
Université de Californie, Berkeley, des chercheurs et leurs collaborateurs ont découvert ces énormes phages en parcourant une grande base de données d'ADN qu'ils ont généré à partir de près de 30 environnements terrestres différents, allant des tripes des prématurés et des femmes enceintes à une source chaude tibétaine, une sud-africaine bioréacteur, chambres d'hôpital, océans, lacs et souterrains profonds.
Au total, ils ont identifié 351 phages énormes différents, tous avec des génomes quatre fois ou plus plus grands que les génomes moyens des virus qui s'attaquent aux bactéries unicellulaires.
Parmi ceux-ci se trouve le plus grand bactériophage découvert à ce jour: son génome, long de 735 000 paires de bases, est près de 15 fois plus grand que le phage moyen. Ce plus grand génome de phage connu est beaucoup plus grand que les génomes de nombreuses bactéries.
"Nous explorons les microbiomes de la Terre, et parfois des choses inattendues se présentent. Ces virus de bactéries font partie de la biologie, des entités de réplication, que nous connaissons très peu", a déclaré Jill Banfield, professeur de sciences terrestres et planétaires à UC Berkeley et des sciences de l'environnement, des politiques et de la gestion, et auteur principal d'un article sur les résultats publiés le 12 février dans la revue Nature. "Ces énormes phages comblent le fossé entre les bactériophages non vivants, d'une part, et les bactéries et les archées. Il semble certainement y avoir des stratégies d'existence réussies qui sont des hybrides entre ce que nous considérons comme des virus traditionnels et des organismes vivants traditionnels."
Ironiquement, au sein de l'ADN que ces énormes phages trimballent font partie du système CRISPR que les bactéries utilisent pour combattre les virus. Il est probable qu'une fois que ces phages injectent leur ADN dans des bactéries, le système CRISPR viral augmente le système CRISPR des bactéries hôtes, probablement principalement pour cibler d'autres virus.
"Il est fascinant de voir comment ces phages ont réorienté ce système que nous pensions être bactérien ou archéen à utiliser pour leur propre bénéfice contre leur concurrence, pour alimenter la guerre entre ces virus", a déclaré Basem Al-Shayeb, étudiant diplômé de l'Université de Californie à Berkeley. Al-Shayeb et Rohan Sachdeva, associé de recherche, sont les deux premiers auteurs du document Nature.
Nouvelle protéine Cas
RépondreSupprimerL'un des énormes phages est également capable de fabriquer une protéine analogue à la protéine Cas9 qui fait partie de l'outil révolutionnaire CRISPR-Cas9 que Jennifer Doudna de UC Berkeley et sa collègue européenne, Emmanuelle Charpentier, ont adaptée pour l'édition de gènes. L'équipe a surnommé cette minuscule protéine CasØ, car la lettre grecque Ø, ou phi, est traditionnellement utilisée pour désigner le bactériophage.
"Dans ces énormes phages, il y a beaucoup de potentiel pour trouver de nouveaux outils pour l'ingénierie du génome", a déclaré Sachdeva. "Beaucoup de gènes que nous avons trouvés sont inconnus, ils n'ont pas de fonction putative et peuvent être une source de nouvelles protéines pour des applications industrielles, médicales ou agricoles."
En plus de fournir un nouvel aperçu de la guerre constante entre les phages et les bactéries, les nouvelles découvertes ont également des implications pour les maladies humaines. Les virus, en général, portent des gènes entre les cellules, y compris des gènes qui confèrent une résistance aux antibiotiques. Et puisque les phages se produisent partout où vivent les bactéries et les archées, y compris le microbiome intestinal humain, ils peuvent transporter des gènes nuisibles dans les bactéries qui colonisent les humains.
"Certaines maladies sont causées indirectement par des phages, car les phages se déplacent autour des gènes impliqués dans la pathogenèse et la résistance aux antibiotiques", a déclaré Banfield, qui est également directeur de la recherche microbienne à l'Innovative Genomics Institute (IGI) et chercheur au CZ Biohub. "Et plus le génome est grand, plus vous avez la capacité de vous déplacer autour de ces types de gènes, et plus vous avez de chances de transmettre des gènes indésirables à des bactéries dans les microbiomes humains."
Séquençage des biomes de la Terre
Depuis plus de 15 ans, Banfield explore la diversité des bactéries, des Archaea - qui, dit-elle, sont des cousins fascinants des bactéries - et des phages dans différents environnements de la planète. Elle le fait en séquençant tout l'ADN dans un échantillon, puis en assemblant les fragments pour assembler des projets de génomes ou, dans certains cas, des génomes entièrement conservés de microbes jamais vus auparavant.
Ce faisant, elle a découvert que bon nombre des nouveaux microbes ont des génomes extrêmement minuscules, apparemment insuffisants pour maintenir une vie indépendante. Au lieu de cela, ils semblent dépendre d'autres bactéries et archées pour survivre.
Il y a un an, elle a rapporté que certains des plus grands phages, un groupe qu'elle appelait les phages Lak, se trouvent dans nos tripes et nos bouches, où ils s'attaquent aux microbiomes intestinaux et salivaires.
Le nouveau document Nature est issu d'une recherche plus approfondie d'énormes phages dans toutes les séquences métagénomiques accumulées par Banfield, ainsi que de nouveaux métagénomes fournis par des collaborateurs de recherche du monde entier. Les métagénomes provenaient de babouins, de porcs, d'orignaux d'Alaska, d'échantillons de sol, d'océans, de rivières, de lacs et d'eaux souterraines, et comprenaient des Bangladais qui avaient bu de l'eau contaminée à l'arsenic.
L'équipe a identifié 351 génomes de phages d'une longueur supérieure à 200 kilobases, soit quatre fois la longueur moyenne du génome des phages de 50 kilo-octets (ko). Ils ont pu établir la longueur exacte de 175 génomes de phages; les autres pourraient être beaucoup plus grands que 200 kb. L'un des génomes complets, long de 735 000 paires de bases, est maintenant le plus grand génome de phage connu.
RépondreSupprimerAlors que la plupart des gènes de ces énormes phages codent pour des protéines inconnues, les chercheurs ont pu identifier des gènes codant pour des protéines essentielles à la machinerie, appelées ribosomes, qui traduisent l'ARN messager en protéines. De tels gènes ne se trouvent généralement pas dans les virus, seulement dans les bactéries ou les archées.
Les chercheurs ont découvert de nombreux gènes pour le transfert des ARN, qui transportent les acides aminés vers le ribosome pour être incorporés dans de nouvelles protéines; les gènes des protéines qui chargent et régulent les ARNt; des gènes pour les protéines qui activent la traduction et même des morceaux du ribosome lui-même.
"Typiquement, ce qui sépare la vie de la non-vie, c'est d'avoir des ribosomes et la capacité de faire la traduction; c'est l'une des principales caractéristiques qui séparent les virus et les bactéries, la non-vie et la vie", a déclaré Sachdeva. "Certains grands phages ont une grande partie de cette machinerie translationnelle, donc ils brouillent un peu la ligne."
D'énormes phages utilisent probablement ces gènes pour rediriger les ribosomes pour faire plus de copies de leurs propres protéines au détriment des protéines bactériennes. Certains énormes phages ont également des codes génétiques alternatifs, les triplets d'acide nucléique qui codent pour un acide aminé spécifique, ce qui pourrait confondre le ribosome bactérien qui décode l'ARN.
De plus, certains des phages énormes récemment découverts portent des gènes pour des variantes des protéines Cas trouvées dans une variété de systèmes CRISPR bactériens, tels que les familles Cas9, Cas12, CasX et CasY. CasØ est une variante de la famille Cas12. Certains des énormes phages ont également des matrices CRISPR, qui sont des zones du génome bactérien où des extraits d'ADN viral sont stockés pour référence future, permettant aux bactéries de reconnaître les phages de retour et de mobiliser leurs protéines Cas pour les cibler et les découper.
"La conclusion de haut niveau est que les phages avec de grands génomes sont assez importants dans les écosystèmes de la Terre, ils ne sont pas la particularité d'un écosystème", a déclaré Banfield. "Et les phages qui ont de grands génomes sont liés, ce qui signifie que ce sont des lignées établies avec une longue histoire de grande taille de génome. Avoir de grands génomes est une stratégie réussie pour l'existence, et une stratégie que nous connaissons très peu."
The researchers divided the 351 megaphages into 10 new groups, or clades, named after words for "big" in the languages of the paper's co-authors: Mahaphage (Sanskrit), Kabirphage, Dakhmphage and Jabbarphage (Arabic); Kyodaiphage (Japanese); Biggiephage (Australian), Whopperphage (American); Judaphage (Chinese), Enormephage (French); and Kaempephage (Danish).
https://phys.org/news/2020-02-huge-bacteria-eating-viruses-gap-life.html
Le mécanisme premier de l’oppression gouvernementale est évident
RépondreSupprimerle 13 février 2020
Article de la journaliste Caitlin Johnstone paru sur son blog le 2 février 2020
J’ai beaucoup écrit sur les secrets gouvernementaux et l’importance des lanceurs d’alerte et des éditeurs d’informations ayant été révélées dans la presse, et il y a une bonne raison à cela : les gouvernements qui peuvent cacher leurs actes malveillants de la responsabilité publique le feront chaque fois que ce sera possible. Il est, en effet, impossible pour le public d’utiliser la démocratie pour garantir que son gouvernement se comporte comme il le souhaite s’il n’est pas autorisé à être informé de ce qu’est ce comportement.
Ces choses reçoivent beaucoup d’attention dans les cercles conspirationistes et les factions politiques dissidentes. De nombreux yeux sont fixés sur le voile de l’opacité des gouvernement et la persécution de ces braves âmes qui tentent de faire la lumière sur ce qui se passe dans l’ombre. Pas assez d’yeux, mais déjà pas mal.
Ce qui retient moins l’attention, à notre détriment, c’est le fait que le principal mécanisme de notre oppression et de notre exploitation se déroule sous nos yeux.
La campagne incessante menée par des politiciens vendus, des médias propriétés de grands groupes financiers et des plateformes de médias sociaux manipulées pour contrôler les récits dominants sur ce qui se passe dans le monde contribue beaucoup plus à la maladie de notre société que le secret gouvernemental.
Nous le savons par expérience : chaque fois qu’un lanceur d’alerte expose des informations secrètes sur les actes répréhensibles de gouvernements puissants comme la surveillance de la NSA ou les «meurtres collatéraux», nous ne constatons ni de responsabilité publique, ni d’exigences de changements systémiques pour empêcher que de tels actes répréhensibles ne se reproduisent, mais un fouillis de déclarations de la classe politique et médiatique.
Les opinions sont manipulées
Cette gestion narrative est utilisée pour détourner l’attention de ces informations révélées et sur le fait que la personne qui les a révélées a enfreint la loi ou s’est mal comportée d’une manière ou d’une autre. C’est utilisé pour convaincre les gens que les révélations ne sont pas vraiment un problème, ou qu’elles étaient déjà de notoriété publique de toute façon.
Et tout ce mécanisme sert à manipuler l’attention du public sur le prochain scoop de la journée et à troubler sa mémoire dans le murmure doucereux des médias. Et rien ne change.
Nous avons vu ça se répéter encore et encore. La machinerie de gestion des informations est devenue si efficace qu’elle a pu passer complètement sous silence la récente révélation selon laquelle les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont presque certainement bombardé la Syrie en 2018 pour une raison complètement fausse (lien). Quelques bonnes astuces de manipulation et une panne totale des médias, et c’est comme si tout cela ne s’était jamais produit.
Ce que cela nous apprend, c’est que notre premier problème n’est pas le fait que des complots se déroulent derrière un rideau de secret gouvernemental, mais le fait que la façon dont les gens pensent, agissent et votent est activement manipulée de plein droit. Le secret gouvernemental est en effet un aspect du contrôle par les élites politiques de l’information, mais le contrôle de l’accès du public à l’information n’en est qu’un aspect. La plus grande partie de cette problématique consiste à contrôler la façon dont le public appréhende l’information.
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle les gens n’utilisent jamais le pouvoir que leur confère leur nombre supérieur pour forcer un réel changement, même s’ils sont exploités et opprimés de multiples façons par la classe dirigeante, c’est parce qu’ils ont été soumis à la propagande afin d’accepter une sorte de statu quo comme étant souhaitable (ou au moins normal).
La propagande de la classe politico-médiatique est donc la première ligne de défense de l’establishment. C’est son arme la plus puissante et la plus fondamentale.
Il est important pour les dissidents de tous bords de comprendre cela, car ça signifie que nous n’attendons pas simplement passivement un autre Manning ou Snowden ou un Ian Henderson pour nous donner des informations que nous pouvons utiliser pour combattre la machine d’oppression.
Ces personnes ont rendu un excellent service au public, mais la bataille pour éveiller la conscience humaine à ce qui se passe réellement dans notre monde ne se limite en rien aux fuites et aux dénonciations des lanceurs d’alerte. Si on est accoutumé à un type de média, on s’est déjà engagé dans la « matrice » (Matrix, voir le lien) narrative qui maintient le public anesthésié et complaisant. Peu importe que l’on ait un compte Twitter, un compte Youtube, des tracts de propagande ou une bombe de peinture : si on est capable de diffuser n’importe quel type de message, on peut alors influencer directement le mécanisme de notre propre oppression.
Vous êtes en mesure d’informer les gens qu’on leur ment, vous pouvez expliquer pourquoi et vous pouvez leur indiquer où ils peuvent trouver plus d’informations. Et c’est extrêmement stimulant. Vous n’avez pas besoin d’attendre en espérant que des informations explosives parviennent à passer les différents contrôles de sécurité et autres spin-doctors et déclenchent alors un véritable réveil social. Vous pouvez être cette information. Vous pouvez devenir un catalyseur pour cette prise de conscience.
La clé pour faire virer le navire de bord n’est pas cachée quelque part derrière un voile d’opacité du gouvernement. C’est en nous-même. Cela réside en chacun de nous. Nous pouvons commencer à réveiller nos semblables en ce moment en attaquant la gestion de l’information par la machine de propagande qui se trouve juste en face de nous, sans armure et à découvert.
Liens. Source : CaitlinJohnstone.com
https://thegrayzone.com/2020/01/22/ian-henderson-opcw-whistleblower-un-no-chemical-attack-douma-syria/
https://medium.com/@caityjohnstone/society-is-made-of-narrative-realizing-this-is-awakening-from-the-matrix-787c7e2539ae
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/02/13/le-mecanisme-premier-de-loppression-gouvernementale-est-evident/
Comment les comptes sont faits !
RépondreSupprimermercredi 20 novembre 2013
Si l'on prend l'exemple d'un fumeur qui grille un paquet sur 2 jours x 30 = 105 €/mois (à 7€/le paquet env.). Donc, les autres (qui ne fument pas) ont donc: 105€/mois 'de trop' ! (c-à-d. 1260€/an). D'où la hausse de diverses taxes et impôts chargée sur chacun en plus des 'réglementaires' !!
Et c'est donc dans cette plausibleté fumeuse sortie des bureaux surchauffés de l'Administration que sont prises les 'hautes décisions' sur les taxes existantes et celles a inventer pour terrasser le peuple à genoux.
Dès lors, sont annoncés de nouveaux coups de barres (en codes ou pleins phares) sur celles et ceux qui osent encore faire appel à l'énergie pour se chauffer ou s'éclairer. Jusqu'aux chauffages au bois ! qui émettent de la fumée ! d'où l'orientation des voyages aller-simple vers les DOM-TOM ou autres pays chauds où n'existent pas les taxes.
Ainsi, lorsque l'ont fait les comptes de ce que l'on a, et de ce qui reste ajouté de ce que l'on devra dans les temps prochains, l'on ne peut qu'envier les 'sauvages dans la brousse' qui n'ont pas encore étaient visés ! Car, si l'on sait que nous vivons dans cette période trentenaire de froid (2005/2035) et que les étés sont désormais raccoucis et les hivers plus froids et plus longs, et surtout que sans travail l'on en aura pas moins ailleurs...
Mais, le 'plat de résistance' pour ceux qui restent encore à la table vide n'est-il pas de se voir transformer (petit à petit) en 'sauvage' ou 'sauvageon' coupé d'espoir de faire quelque chose et qui n'aura que des dettes l'obligeant à rester ? Car, cette dernière (rassemblant toutes celles en cours et à venir) est dans l'impossibilité mathématique d'être honorée par quiconque et que toutes mesures prises à de nouveaux calculs font qu'il est embauché de nouveaux fonctionnaires qui l'alourdissent à leurs venues. Et, comme s'ils sont virés çà pourrait coûter encore plus cher...
https://huemaurice5.blogspot.com/2013/11/comment-les-comptes-sont-faits.html
INDONÉSIE LE VOLCAN MERAPI EST ENTRÉ EN ÉRUPTION
RépondreSupprimerLe volcan, l'un des plus actifs du monde, crachait jeudi un large panache de fumée. Il avait fait plus de 300 morts en 2010.
13.02.2020
Le volcan Merapi en Indonésie, l'un des plus actifs au monde, est entré en éruption jeudi et a craché de la lave incandescente et de la fumée qui a formé un large panache de plus de 2000 mètres dans le ciel.
Les autorités n'ont pas relevé le niveau d'alerte du volcan après cette éruption survenue tôt le matin, mais ont appelé les compagnies aériennes à la prudence.
Les habitants de la région ont reçu l'instruction de ne pas s'approcher à plus de trois kilomètres du cratère du Merapi, proche de la capitale culturelle de l'Indonésie, Yogyakarta, sur l'île de Java. Des cendres volcaniques sont tombées sur une zone de 10 km² autour du volcan, selon le Centre de prévention des risques volcaniques et géologiques.
En 2010, le Mont Merapi avait connu une éruption majeure qui a provoqué la mort de plus de 300 personnes et contraint plus de 280'000 habitants à évacuer. C'était l'éruption la plus puissante depuis celle de 1930 qui a fait quelque 1300 morts, tandis qu'une explosion en 1994 a fait 60 victimes.
L'archipel d'Asie du Sud-Est compte plus de 17.000 îles et îlots et près de 130 volcans actifs. L'Indonésie se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, où la friction des plaques tectoniques provoque de fréquents séismes et éruptions volcaniques. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/news/standard/volcan-merapi-eruption/story/15658356
Supprimer99,99 % des volcans en activité sont aux bassins maritimes et océaniques, leur pollution est absorbée et recyclée continuellement par ces mêmes mers & océans qui s'en servent pour réchauffer les côtes d'Azur et bretonnes.
Poutine: les armes hypersoniques de la Russie ont rendu «inutiles» les tentatives de saper son arsenal nucléaire
RépondreSupprimer18:37 13.02.2020
Des experts étrangers étudient à l’heure actuelle les moyens de rendre inutiles les armes nucléaires pour leurs détenteurs, mais la Russie possède d’ores et déjà l’arme hypersonique, a relevé Vladimir Poutine lors d’une réunion.
L’arme nucléaire pourrait devenir un jour inefficace et inutile, mais la Russie dispose d’ores et déjà de l’arme hypersonique, a déclaré ce jeudi 13 février le Président russe.
«Il se peut qu’un jour, l’arme nucléaire ne soit plus la plus efficace ou devienne inutile. Certains experts étrangers se penchent sur la question afin que les armes nucléaires soient inutiles pour leurs détenteurs», a souligné Vladimir Poutine au cours d’une réunion avec les membres du groupe de travail élaborant les propositions d’amendements à la Constitution de Russie.
Il a rappelé que le système de défense antimissile «visait justement» à priver d’électricité «notre potentiel nucléaire» et le rendre inutile.
«Mais lorsque nous avons eu l’arme hypersonique, ce sont leurs tentatives de le faire ainsi que les milliards [de dollars, ndlr] débloqués à ces fins qui sont devenus inutiles», a ajouté le Président russe.
Fin décembre, il avait déjà annoncé que la Russie était à l’avant-garde du développement de nouveaux armements et avait fait remarquer que le monde se trouvait actuellement dans une situation unique en son genre, la Russie étant le seul pays à posséder l’arme hypersonique.
Kinjal, Kalibr et autres
Ainsi, les troupes russes sont d’ores et déjà dotées de missiles hypersoniques Kinjal et de systèmes laser Peresvet, tandis qu’un premier régiment est en train d’être armé du système de missiles intercontinentaux Avangard, avait-il noté.
Les tirs d’un missile hypersonique Kinjal et de missiles Kalibr avaient été précédemment filmés lors d’exercices de deux flottes russes en mer Noire.
https://fr.sputniknews.com/defense/202001101042743043-un-mig-31-russe-tire-un-missile-hypersonique-kinjal-sur-une-cible-navale--videos/
Bien que la Russie consacre à la Défense beaucoup moins d’argent que certains autres pays, elle n’a nullement l’intention de réduire sa capacité au combat, avait encore souligné Vladimir Poutine.
https://fr.sputniknews.com/defense/202002131043061577-poutine-les-armes-hypersoniques-de-la-russie-ont-rendu-inutiles-les-tentatives-de-saper-son-arsenal/
L'Inde développe le premier casque de combat pare-balles au monde contre AK-47
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 13/02/2020 - 21:45
Un major de l'armée indienne qui avait conçu un gilet pare-balles avancé contre les obus de tireur d'élite a maintenant développé un casque qui peut protéger le porteur d'une balle de 7,62 × 39 mm, généralement logée dans un AK-47.
"Le casque balistique a été développé dans le cadre du projet Abhedya par le major Anoop Mishra, qui a également développé une veste pare-balles de protection intégrale qui peut même résister à des fusils de sniper", ont déclaré des responsables de l'armée à l'agence de presse ANI.
Mishra fait partie du Collège de génie militaire de l'armée indienne, qui a été inspiré pour concevoir le casque après avoir été sauvé par sa veste pare-balles lorsqu'il a été frappé par un tireur d'élite il y a plusieurs années.
"Cette veste peut résister à une balle de tireur d'élite de même 10 mètres", a déclaré Mishra.
Le chef de l'armée, le général Bipin Rawat, a décerné à Mishra le prix d'excellence du bureau de conception de l'armée lors du séminaire sur la technologie de l'armée pour le développement du casque.
Le nouveau casque et la veste pare-balles avancée de Mishra donneront aux troupes indiennes sur la ligne de contrôle, une zone militarisée entre l'Inde et le Pakistan, une protection supplémentaire alors que les escarmouches le long de la région continuent de prospérer.
<< En 2016-2017, 50 000 vestes pare-balles ont été achetées pour l'armée indienne via la route des recettes. Le contrat d'achat de 1 86 138 BPJ via la route des capitaux, dans la catégorie Achat (indien), a été conclu en avril 2018. En outre, un contrat pour l'achat de 1,58,279 casque balistique via la route de la capitale avait été conclu en décembre 2016 ", a déclaré l'ancien ministre d'État à la Défense, Subhash Bhamre en 2018.
Le rapport n'a pas précisé s'il y avait une commande immédiate par l'armée indienne pour le casque et la veste pare-balles de Mishra.
https://www.zerohedge.com/technology/india-develops-worlds-first-bulletproof-combat-helmet-against-ak-47
GRÂCE AUX VOLCANS SOUS-POLAIRES
RépondreSupprimerCLIMAT ANTARCTIQUE: RECORD DE PLUS DE 20 DEGRÉS
Le 9 février, une température étonnamment douce a été enregistrée en Antarctique.
Un record de douceur a été enregistré au pôle sud.
13.02.2020
L'antarctique a enregistré en février un record de température de plus de 20,75 degrés, franchissant pour la première fois la barre des 20°C, a annoncé jeudi un scientifique à l'AFP. Ce record a été enregistré le 9 février sur l'île Seymour, connue aussi sous le nom de Marambio, a expliqué le chercheur brésilien Carlos Schaefer.
«Nous n'avons jamais vu une température aussi élevée en Antarctique», a-t-il déclaré dans un échange sur Whatsapp. Le scientifique a toutefois souligné que cette donnée «n'est pas valable en tant que tendance d'un changement climatique». «C'est juste un signe que quelque chose de différent se passe dans cette région», a-t-il expliqué.
L'île Seymour, qui abrite une base scientifique argentine, est une des îles situées au large de la péninsule antarctique. Le scientifique, spécialisé dans l'étude des permafrosts, a indiqué que ce relevé avait été effectué dans le cadre d'un projet de recherche sur vingt ans destiné à étudier l'impact du changement climatique sur les sols gelés en permanence. «Nous ne pouvons pas utiliser cela pour anticiper des changements climatiques dans le futur. C'est une donnée» à un moment précis, a-t-il insisté.
Mois de janvier record
Le 6 février, une température record de 18,3 degrés a été enregistrée sur la base argentine Esperanza. Le record précédent, de 17,5°C remontait au 24 mars 2015, selon le Service de météorologie national argentin. Après une décennie record, qui s'est conclue avec une année 2019 qui était la deuxième plus chaude jamais enregistrée sur la planète, les années 2020 démarrent sur la même tendance.
Janvier 2020 a été le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré sur la planète, juste devant 2016, selon le service européen Copernicus sur le changement climatique, ainsi que selon l'agence atmosphérique et océanique américaine (NOAA). NOAA a publié son estimation jeudi : la température moyenne à la surface du globe était de 1,14°C plus élevée que la moyenne du 20e siècle, et la plus élevée depuis le début des relevés en 1880. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/temperature-record-20-degres/story/21396186
Seule un bonne vingtaine de sources chaudes sous la glace ont pu être identifiées. Leur géolocalisation demeure très difficile car, l'infra-rouge ne présente que des tâches rouge de plusieurs dizaines de kilomètres et, ces mêmes tâches rouges peuvent renfermer des centaines de sources volcanique du magma qui décollent les glaciers et les fondent par dessous.
SupprimerLES FAUX CADEAUX DE SAINT-VALENTIN
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
13/02/2020
Interflora+ propose une livraison gratuite pour la souscription à un abonnement de 24,90 euros par an par le biais d'une case cochée par défaut.
Difficile d’y échapper : demain, c’est la Saint Valentin : cela fait des jours que l’on nous rebat les oreilles, comme tous les ans, avec cette pseudo fête des amoureux, qui est avant toute chose une fête commerciale.
Un faux bon de réduction
Mais que vous la trouviez sympathique ou au contraire pénible, une chose est sûre : c’est une occasion rêvée d’arnaques pour les petits filous. Première d’entre elle : la promesse d’un bon de réduction ou d’une offre spéciale exceptionnelle chez un commerçant connu.
Que ce soit par SMS ou par mail, ce genre d’arnaque sert en fait à vous soutirer des coordonnées personnelles à votre insu, voire, à vous soutirer de l’argent. Pensez donc à toujours vérifier sur le site de l’enseigne qui est censée vous avoir écrit s’il y a bien une opération promotionnelle en cours. Les plus prévoyantes, ou les plus ciblées affichent un avertissement sur leur site web et leurs comptes sur les réseaux sociaux.
Une souscription forcée
Deuxième arnaque, dénoncée par l’association 60 millions de consommateurs : la souscription forcée à un service de livraison gratuite à l’année, chez un grand fleuriste en ligne. Si vous avez déjà souscrit à cet abonnement, à votre insu, vous pouvez en demander le remboursement.
Troisième arnaque qui ferait presque sourire : la coupe de champagne au restaurant qui n’est pas vraiment du champagne. D’après la répression des fraudes, cela arrive au moins une fois sur dix ! Si vous avez un doute demain soir, demandez à voir la bouteille... Sauf si vous ne voulez pas transformer le dîner en amoureux en esclandre, bien entendu.
http://www.economiematin.fr/news-faux-cadeaux-saint-valentin
Deux hommes interpellés en possession de plusieurs kalachnikovs à Avignon
RépondreSupprimer23:48 13.02.2020
Deux automobilistes ont attiré l’attention de la police mardi 11 février au soir à Avignon. Après vérification, deux kalachnikovs ont été découvertes à bord de la voiture volée, rapporte La Provence.
La Brigade anti-criminalité a eu du flair ce mardi 11 février au soir à Avignon. Une patrouille de la BAC a en effet décidé d’immobiliser un véhicule, après avoir remarqué à l’intérieur deux individus suspects, portant des gants et des capuches.
La voiture, soumise à un contrôle d’immatriculation, était signalée comme volée. À son bord ont été retrouvées deux kalachnikovs, dont l’une était chargée,a détaillé la police.
Une situation qui se répète
Ces saisies d’armes lourdes sont de plus en plus fréquentes dans la région. En juillet dernier, un employé du Novotel en centre-ville était tombé, en faisant le ménage dans une chambre, sur un sac contenant une kalachnikov et des chargeurs.
https://fr.sputniknews.com/france/202002131043062488-deux-hommes-interpelles-en-possession-de-plusieurs-kalachnikovs-a-avignon/
Les Jeux olympiques ont-ils encore besoin de la langue française ?
RépondreSupprimer21:42 13.02.2020
Le français va-t-il céder sa place de langue officielle des Jeux olympiques ? Une question qui revient tous les quatre ans, et qui se fait de plus en plus pressante, comme le rapporte un article de Radio-Canada.
Le français partage avec l’anglais le statut de langue officielle des JO, selon la Charte élaborée par Pierre de Coubertin. Dans les faits pourtant, son statut est de plus en plus contesté. C’est ce qu’explique un article de Radio-Canada.
Il en ressort que la langue de Molière subit la concurrence féroce de l’anglais, voire du japonais. Les documents officiels ne sont plus traduits et les conférences de presse du Comité international olympique (CIO) se tiennent intégralement en anglais, même lorsque des francophones y sont présents. De même, le français à peu à peu disparu de la signalétique, lors de l’événement.
Un enjeu pour toute la francophonie
Après les premières dérives, constatées lors de l’édition 1996 à Atlanta, un grand témoin avait été nommé pour veiller au respect du français comme langue officielle, lors de chaque édition.Thierry Marx, qui tiendra ce rôle au Japon en 2020, fait part de son inquiétude:
«Je pense qu’il y a une érosion de la langue française, car effectivement, l’anglais est très présent, c’est devenu la première des langues dans le monde du business. Mais la langue française a encore largement sa place. On doit dire que c’est une langue qui a du sens.Ce ne doit pas être une bataille franco-française, mais bien un rassemblement des peuples francophones», déclare-t-il à Radio-Canada.
Un manque de volonté politique
Ivan Coste-Manière, le vice-président de l’Association francophone des académies olympiques dénonce, lui, un manque de fermeté politique sur ces questions.
«La francophonie est aujourd’hui pilotée par la France, mais elle la défend avec mollesse. Au ministère français des Affaires étrangères, rien n’est fait pour défendre la place du français dans le mouvement olympique», explique-t-il au média Francsjeux.
Il affirme d’ailleurs que la nomination d’un grand témoin de la francophonie n’est qu’un «alibi» qui témoigne de la «mollesse, pour ne pas dire de la coupable lâcheté de la force politique».
Paris 2024, une occasion à saisir
La tenue des Jeux olympiques à Paris dans quatre ans pourrait être une occasion de changer de cap. Bien qu’inquiet,Ivan Coste-Manière voit quelques signes positifs dans la façon dont le problème est aujourd’hui abordé:
«Paris 2024 constitue une occasion unique, disons même historique, de remettre la langue française en bonne place au sein du mouvement olympique. Cette occasion ne doit pas être manquée, sinon tout sera perdu. L’équipe de Paris 2024 aborde les choses par le biais de l’héritage. C’est la bonne manière» admet-il.
Paris 2024 pourrait être l’occasion de célébrer «l’héritage de Pierre de Coubertin», trop souvent éclipsé par les logiques du «sport business», conclut-il.
https://fr.sputniknews.com/societe/202002131043062321-les-jeux-olympiques-ont-ils-encore-besoin-de-la-langue-francaise/