Le libre-arbitre sera-il condamné par l’intelligence artificielle ?
Les libéraux du XXIe siècle doivent s’engager pour un système dans lequel l’individu reste le plus autonome et responsable possible de ses décisions.
Par Jérémie Bongiovanni. 29 FÉVRIER 2020
Le libre-arbitre constitue un des fondements principaux du libéralisme. Actuellement, certains intellectuels considèrent que son existence est remise en cause par l’évolution technologique, en particulier le développement de l’intelligence artificielle (IA). L’IA semble en effet être progressivement plus à même de prendre certaines décisions que les individus eux-mêmes. La fin du libre-arbitre, pilier du libéralisme, est-elle programmée ?
L’IMPORTANCE DU LIBRE-ARBITRE DANS LA PENSÉE LIBÉRALE
Sur le plan philosophique le libre arbitre s’oppose au déterminisme. Selon ce dernier, l’être humain serait soumis à des causes extérieures. Il subirait l’existence sans avoir de réelle influence sur elle. Les défenseurs du libre arbitre pensent le contraire. Se déterminer à ou être déterminé : tel est tout l’enjeu de l’antinomie qui oppose libre arbitre et déterminisme.
Les Humanistes et les Lumières sont les premiers à avoir théorisé l’idée que l’individu existe et qu’il est une entité à part entière. De cette constatation découle logiquement l’idée d’autonomie et de capacité de faire des choix, le libre arbitre.
L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LE LIBRE-ARBITRE AU XXIE SIÈCLE
Dans son livre Homo Deus, Yuval Harari explique que l’IA finit par nous connaître mieux que nous nous connaissons nous-mêmes et possède des informations sur notre environnement que nous ne serons jamais capables d’accumuler. Nous allons ainsi peu à peu lui céder l’exercice de nos choix.
De son côté, le prix Nobel d’économie Richard Thaler, partant du postulat que les individus ne sont pas rationnels, a démocratisé le domaine de l’économie comportementale. Elle s’intéresse au comportement réel des humains et veut donner un « coup de pouce », un nudge, aux individus pour qu’ils prennent de meilleures décisions. Il s’agit de les orienter vers le comportement « désirable » tout en laissant la décision finale, et donc la liberté, au citoyen.
C’est sur la base de cette observation que le philosophe Gaspard Koenig identifie un danger important : les meilleures connaissances scientifiques en matière de neurosciences et d’économie comportementale liées à l’intelligence artificielle mettent en danger le libre arbitre en acceptant que l’IA prennent le contrôle de nos vies.
L’intelligence artificielle facilite le nudge, théorisé par Thaler. Gaspard Koenig craint cette « coercition douce », cette influence imperceptible contre laquelle les individus ne peuvent en réalité que très difficilement lutter. Alors qu’une loi du gouvernement interdisant un certain comportement peut être retirée sous l’effet de la pression populaire puisque son existence est communiquée de manière explicite, un mécanisme discret ayant pour but d’empêcher un certain comportement ne peut que difficilement être combattu et représente sur le long terme un danger pour la liberté, car il endort le citoyen en l’habituant à être assisté.
Lentement, mais sûrement, nous devenons les esclaves de notre propre bien-être. Avec pour l’instant des choix encore relativement peu importants, laisserons-nous un jour l’IA décider de questions fondamentales telles que notre carrière, nos relations amoureuses, voire même de la couleur des yeux ou de la taille de nos enfants ? Car si une base de données, alimentée par nos propres données, permet de mieux répondre que nous-même à ce genre de question, pourquoi l’éviter ? Et surtout comment justifier ce refus ? En allant dans cette direction, nous continuons de dépouiller l’individu de sa responsabilité et de sa capacité à faire des erreurs et d’en assumer les conséquences.
QUELLES MESURES PRENDRE FACE À L’AVÈNEMENT DE L’IA ?
Le libéralisme a fait face à de nombreuses crises au cours de son existence. Aujourd’hui, le développement de l’IA doit nous conduire à réaliser que tout choix volontaire (non contraint) n’est peut-être pas toujours libre. Il peut même être largement influencé, nudgé. Cependant, face à ce constat, tous ne partagent pas la même analyse ni les mêmes solutions.
Tout d’abord, Gaspard Koenig considère qu’il est nécessaire de défendre le libre arbitre, notamment d’un point de vue métaphysique. Car au final, ce qui est important, c’est que l’individu arrive par lui-même à une décision, même si elle se révèle fausse.
De plus, il critique la réponse, qu’il juge dogmatique, de certains libéraux selon lesquels chaque individu est libre de consommer, ou non, ces outils qui peuvent faire de nous de véritables esclaves. Il rappelle que dans un système libéral, il faut pouvoir négocier et contractualiser pour exercer son libre arbitre et sa liberté. C’est ce qui différencie notre société actuelle de la société féodale de laquelle nous nous sommes émancipés.
Cette approche oblige à se poser la question de la propriété des données qui permettent à l’IA d’en savoir plus que nous sur notre propre personne et comment chacun peut les gérer. À ce jour, le compromis veut que ces plateformes soient gratuites, en échange de vos données. Certains proposent de mettre un terme à cette logique, pourtant volontaire. Ils souhaitent donner la souveraineté aux individus sur leurs données. Libre à eux ensuite de permettre à la plateforme de les nudger ou de leur refuser de le faire selon la sensibilité des données.
Pour d’autres comme Eddie Willers dans un récent article, cette approche fait fausse route. Il faut rappeler que la gratuité n’existe pas. Que l’usage des services des GAFA a pour contrepartie l’utilisation de vos données, et qu’il s’agit de fait d’une transaction banale. De plus, il est possible de renoncer à l’utilisation de ces différents services, au bénéfice d’autres fournisseurs plus regardant sur la thématique de la protection des données.
Ferghane Azihari condamne l’idée de donner une propriété sur ses données personnelles au même titre que celle existant pour la propriété intellectuelle. Pour lui, cette nouvelle propriété relève d’une logique constructiviste, qui ne peut exister qu’avec l’intervention active de l’État, car les données personnelles ne sont finalement que des informations que nous communiquons continuellement, que ce soit en ligne ou dans la rue par notre simple interaction avec autrui.
Se pose la question de la légitimité de limiter la possibilité de communiquer des informations que nous délivrons spontanément, d’autant plus que cet acte n’agresse ni la liberté ni la propriété.
POUR CONCLURE
Les libéraux du XXIe siècle doivent s’engager pour un système dans lequel l’individu reste le plus autonome et responsable possible de ses décisions. Il s’agit de lui permettre de faire des choix éclairés. Ici, les chemins divergent : pour certains la solution viendra des individus et de la concurrence entre les modèles.
Tandis que pour d’autres, sans renier le fait qu’ils sont par principe ouverts à l’innovation et aux nouveaux modèles d’affaire, il faut revoir le paradigme actuel et permettre au citoyen d’avoir la souveraineté sur ses données, soit accompagner le progrès afin de sauvegarder notre modèle libéral.
Au final, l’essentiel est de reconnaître l’enjeu et d’en débattre. Grâce à ce genre de discussions constantes, le libéralisme prouve encore une fois être une idéologie crédible, aujourd’hui comme demain.
Sur ce sujet, vous pouvez :
Relire « Liber-Thé, un autre podcast libéral à découvrir » Écouter le podcast de Liber-thé sur le libre arbitre Lire l’interview de Gaspard Koenig sur la liberté et le libre arbitre
Même s'il y a 1 million de personnes d'accord sur un sujet à 99 %, il restera toujours pour chacun un part de non-satisfaction. Lorsqu'il y a des élections, c'est dans une fourchette basse de moins de 10 % de personnes d'accord avec le ou la candidat(e) ! le reste étant à discuter mais non-discutable avec le ou la candidat(e) !!
Notons que si la dictature est conservée, la France a donc zéro chance d'entrer en Démocratie avec des paramètres fixés sur les robots qui ne sont pas ceux du Peuple !
Pendant les années 70, la CIA a créé un "Robot Dragonfly Spy"
par Tyler Durden Ven, 28/02/2020 - 22:25 Créé par Mac Slavo via SHTFplan.com,
La Central Intelligence Agency (CIA) des États-Unis est bien connue pour son désir d'espionner, de suivre et de contacter la surveillance de masse afin de stocker des informations sur chaque être humain possible. Et maintenant, grâce à une demande du Freedom of Information Act, on sait qu'ils ont créé un robot libellule pour nous espionner.
Des documents de la CIA récemment publiés montrent comment l'agence d'espionnage a développé un robot espion libellule. Le minuscule appareil de surveillance aérienne - appelé «insectothoptère» - a été construit dans les années 1970 selon le musée de la CIA, où il est exposé depuis 16 ans.
Mais des plans pour l'insecte robotique ont été publiés cette semaine par l'agence d'espionnage américaine sur le site Web The Black Vault. Ces plans révèlent la micro-ingénierie finement affinée derrière la petite machine à espion.
Ils montrent comment les ingénieurs de la CIA avaient construit des appareils d'écoute miniatures en 1970, mais les franchir des obstacles tels qu'un mur d'ambassade restait un obstacle majeur. Beaucoup savent que le gouvernement américain, en vertu du Patriot Act, a commencé à espionner sans relâche chacun de nos mouvements et à stocker toutes les informations qu'il pouvait sur nous.
Quand il a été révélé pour la première fois que l'administration Bush avait mis en place un programme secret d'écoutes téléphoniques sans mandat et d'espionnage domestique sur les citoyens américains, peu d'Américains savaient que tout cela s'était déjà produit. Au début des années 1970, il a été révélé que les agences du gouvernement américain, y compris le FBI, la CIA, la NSA et l'IRS, étaient utilisées dans le cadre d'un plan délibéré d'infiltrer et de perturber les opposants politiques, et ce plan avait continué pendant 20 ans sous quatre ans différents présidents, démocrates et républicains. Ce rapport du Sénat Select Committee (le Comité de l'Église) détaille les efforts élaborés du FBI, de la CIA et de la NSA pour espionner les Américains en tapant sur leurs téléphones, en interceptant et en copiant leur courrier, et même en cambriolant leurs maisons (appelées « emplois de sacs noirs »). En réponse à ce rapport, le Congrès a établi les tribunaux de la FISA que Bush a contournés lorsqu'il a ordonné à la NSA d'espionner une fois de plus les Américains sans l'approbation ni la supervision du tribunal.
"La démonstration ultime du vol motorisé contrôlé n'a pas encore été réalisée", a écrit le scientifique en chef de la CIA, qui a contribué au développement de la libellule robotique.
Au final, le robot libellule - développé 40 ans avant les drones sans pilote - n'a jamais volé et l'agence d'espionnage a fermé le projet, mais ils n'ont pas arrêté leur quête pour trouver de nouvelles façons de mener une surveillance de masse.
par Tyler Durden Ven, 28/02/2020 - 15h30 Écrit par James Howard Kunstler via Kunstler.com,
Quoi que le Parti démocrate soit infecté peut être pire que Covid-19. Les symptômes présentés pointent vers une maladie rare connue sous le nom de kuru. À l'heure actuelle, nous comprenons tous que les maladies sautent facilement entre les continents en cette ère de voyages aériens incessants. Le bulletin MedlinePlus du National Institute of Health a ceci à dire à ce sujet:
Kuru se trouve parmi les gens de Nouvelle-Guinée qui pratiquaient une forme de cannibalisme dans lequel ils mangeaient le cerveau de personnes décédées dans le cadre d'un rituel funéraire. Cette pratique a cessé [prétendument] en 1960, mais des cas de kuru ont été signalés pendant de nombreuses années par la suite car la maladie a une longue période d'incubation…. Kuru provoque des modifications du cerveau et du système nerveux similaires à la maladie de Creutzfeldt-Jakob… encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), également appelée maladie de la vache folle. Le principal facteur de risque pour le kuru est de manger des tissus cérébraux humains, qui peuvent contenir des particules infectieuses.
Est-ce que cela explique la préoccupation du public pour les zombies? Quelque chose de profondément sinistre gronde-t-il dans les interstices sombres de la vie américaine?
Le public ne sait toujours pas avec certitude ce qui se passait dans la chambre du Congrès SCIF (Sensitive Compartmented Information Facility) au fond du sous-sol du Capitole en janvier, où le représentant Adam Schiff (D-CA) était occupé à cuisiner des esprits témoignage de mise en accusation. Quelque chose d'autre bouillonnait sur son poêle Coleman là-bas ? Disons, une fricassée de lobes frontaux de Jeffrey Epstein ? Nancy Pelosi est-elle revenue quelques secondes ? Son comportement ultérieur implique une infection aiguë de kuru, un rire inapproprié, des troubles de l'élocution, une dyskinésie tardive, une paranoïa.
Rapports de Healthline.com:
Le nom kuru signifie «trembler» ou «trembler de peur». Les symptômes de la maladie comprennent des contractions musculaires et une perte de coordination. D'autres symptômes incluent des difficultés à marcher, des mouvements involontaires, des changements de comportement et d'humeur, une démence et des difficultés à manger. Ce dernier peut provoquer une malnutrition. Kuru n'a aucun remède connu. C'est généralement fatal dans l'année qui suit la contraction.
Découvrez comment cela correspond parfaitement à la campagne, à la nomination et au cycle électoral de 2020. Autrement dit, les symptômes deviendront plus prononcés au fil de l'année, culminant avec un groupe de décès au début de novembre. C'est-à-dire la mort des élections, et peut-être la mort de l'ancien parti lui-même. Les signes et les présages abondent.
Notez, par exemple, la chronique éditoriale jeudi de Gail Collins, une habituée du New York Times.
Certains analystes pourraient simplement voir un vieux gamin au visage de chien exsudant les vapeurs de la contrebande, mais un diagnostiqueur qualifié détecterait les prodromes de kuru dans le strabisme contre nature et l'expression inappropriée de la gaieté, étant donné que le sujet grave de la tribune est un sujet de haute l'ordre menace pour la stabilité mondiale, pas de quoi rire.
Les manifestations de kuru étaient clairement évidentes dans le débat des candidats démocrates de cette semaine. Joe Biden est manifestement malade depuis des mois - bien que je soupçonne qu'il reste dans le concours uniquement pour éviter d'être destitué pour ses activités de blanchiment d'argent en Ukraine alors qu'il était vice-président. M. Biden a choqué la nation mardi soir, déclarant qu'environ la moitié de la population américaine, 150 millions de personnes, est décédée des suites de violences armées l'année dernière. Wow, et personne ne l'a remarqué ? Ce serait un événement comparable à "The Rapture", et pourtant, les médias grand public ont raté l'histoire - mais, avouons-le, ils manquent énormément de nos jours. Dans un autre incident étrange, M. Biden s'est présenté comme un «candidat au Sénat». Existe-t-il une loi interdisant de briguer simultanément deux postes politiques ? Le Washington Post a-t-il vérifié auprès du Conseil des élections du Delaware ? Ou est-ce que l'ancien veep est juste hallucinant ?
À en juger par ses déclarations, Bernie Sanders semble être un autre cas avancé. (Soyons honnêtes, il présente des symptômes de kuru depuis des décennies.) Cette semaine, ils ont été particulièrement fleuris dans l'irrésistible rhapsodisation de Fidel Castro et les réalisations de son régime pour faire progresser l'alphabétisation cubaine. On se demande combien d'électeurs cubano-américains du comté de Dade, en Floride, ont lu à ce sujet sur leur fil d'actualité Apple. Le personnel de campagne de Bernie lui a-t-il dit qu'il n'avait pas besoin de la Floride pour gagner les élections, ou est-il également infecté? Conseils à Bernie Bros et à divers supporters: si vous assistez à l'une des rencontres du mardi Super pour le candidat, évitez les canapés de foie haché. Ils peuvent être la moelle osseuse de quelqu'un.
Même Mike Bloomberg semblait avoir quelque chose de mal avec lui, comme lorsqu'il s'est pratiquement vanté auprès d'une audience télévisée nationale qu'il avait payé 50 millions de dollars pour «acheter» la victoire électorale à mi-parcours du Parti démocrate en 2018. Il y a une piqûre de son dont il ne se remettra jamais ! Mais l'œil de mon diagnosticien soupçonne un autre trouble peu connu et exotique: Latah, défini dans Wikipedia comme suit:
Latah…. [A] condition dans laquelle des comportements anormaux résultent d'une personne subissant un choc soudain…. Le Latah est considéré comme un trouble surprenant spécifique à la culture…. Des conditions similaires ont été enregistrées dans d'autres cultures et lieux. Par exemple, il y a les soi-disant Français sauteurs du Maine, imu parmi les femmes du peuple Ainu du Japon, mali-mali ou silok chez les Philippins, et bat-schi chez les Thaïs. Les personnes atteintes de latah font des mouvements qui rappellent des comportements normalement propres à certains stades de développement de l'enfant. Il est peu probable que la personne se souvienne de tout ce qui s'est produit pendant l'épisode.
Devant subir les calomnies de tous ces malades du kuru alignés contre lui derrière leurs podiums, M. Bloomberg a apparemment craqué. Washington DC est une zone chaude pour de nombreuses maladies mentales mal comprises. Peut-être que l'équipe du virus corona de la Maison Blanche peut épargner quelques cliniciens des NIH pour étudier ces questions troublantes.
Après la burqa qui ne peut se répandre dans le monde entier et arrivé l'autre piège surprise le coran à virus. Et celui là est le plus dangereux car, même s'il n'arrivait même pas à la cheville des autres maladies il fait la une des journaux !
Mais pourquoi donc ? Pourquoi donc ? parce qu'il obligent les gens à se protéger de cette 'bombe atomique extraterrestre' en portant... un masque !
Voyez maintenant où je veux en venir ? burqa/masque. Çà y est ? Vous y êtes ?
Comment infiltrer des millions de terroristes dans la population sous des millions de caméras ?
Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils ? (Alerte spoiler: ils ne le sont pas!)
par Tyler Durden Ven, 28/02/2020 - 19:45 Via PolarBearScience.com du Dr Susan Crockford,
Google dit que beaucoup de gens posent cette question alors voici la bonne réponse: les ours polaires ne disparaissent pas.
Si on vous l'a dit, vous avez mal compris ou avez été mal informé. Les ours polaires sont bien répartis dans leur habitat disponible et le nombre de populations est élevé (officiellement 22 000-31 000 en 2015 mais probablement plus proche de 26 000-58 000 en 2018): ce sont les caractéristiques d'une espèce saine et prospère.
«Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils ?» Contient une fausse prémisse - il n’est pas nécessaire de demander «pourquoi» lorsque la partie «les ours polaires [disparaissent]» n’est pas vraie.
Il est vrai qu'en 2007, on prévoyait que le nombre d'ours polaires chuterait lorsque la glace de mer estivale tombera à 42% des niveaux de 1979 pendant 8 années sur 10 (devrait se produire d'ici 2050) et disparaîtra ou presque d'ici 2100 (Amstrup et al.2007). Cependant, la glace de mer estivale est au niveau du «milieu du siècle» depuis 2007 (avec des variations d'une année à l'autre, voir la carte des glaces de la NOAA ci-dessous), mais le nombre d'ours polaires a augmenté depuis 2005. La catastrophe prévue ne s'est pas produite, mais de nombreuses personnes continuent Je crois que c'est parce que les médias et certains chercheurs donnent encore cette impression.
La prédiction de l'extinction imminente de l'ours polaire a été un échec total, comme je l'ai montré dans cet article scientifique (Crockford 2017) et dans mon livre le plus récent, The Polar Bear Catastrophe That Never Happened.
Examinez les preuves et vous verrez que les affirmations d'ours polaires disparus ne sont tout simplement pas vraies. Jusqu'à présent, la réponse des ours polaires à la récente perte de glace suggère qu'ils continueront de prospérer avec encore moins de glace d'été qu'il n'y en a eu ces dernières années tant qu'il reste de la glace en hiver (décembre-mars) et au printemps (avril-juin). raisonnablement abondante, comme cela a été le cas jusqu'à présent. Les informations les plus récentes disponibles sont résumées dans le prochain rapport sur l'état de l'ours polaire 2019, qui sera publié le 27 février 2020, mais voir également le rapport 2018 (Crockford 2019b).
Le graphique ci-dessous a été construit par l'expert en glace de mer de la NASA Walt Meier et publié par le National Snow and Ice Data Center des États-Unis au début d'octobre 2019.
- voir sur site -
Il montre clairement que la glace de mer d'été (mesurée comme la moyenne de septembre) n'a pas diminué davantage depuis 2007 mais a eu une tendance plate.
Le graphique ci-dessous est tiré de mon livre et montre la croissance du nombre mondial d'ours polaires depuis les années 1960.
L'estimation finale de 26 000 à 58 000 ou 39 000 en moyenne) est ma «meilleure estimation» plausible et scientifiquement défendable basée sur l'extrapolation des résultats d'enquêtes récentes, résumée ici et expliquée en détail dans mon livre.
NOTE DE BAS DE PAGE
L'une des principales «suggestions» de Google lorsque je recherche le terme «ours polaire» est une liste de questions que les gens sont censés poser le plus souvent («Les gens posent également»), notamment «Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils?»
La «réponse» fournie n'est pas une réponse réelle, mais une déclaration du WWF, une organisation multinationale investie financièrement pour promouvoir l'idée que les ours polaires souffrent en raison de la glace de mer en déclin: c'est de la publicité Google payée destinée à ressembler à des réponses et des faits:
«En raison de la perte continue et potentielle de leur habitat de glace de mer en raison du changement climatique, les ours polaires ont été répertoriés comme une espèce menacée aux États-Unis en vertu de l'Endangered Species Act en mai 2008. La survie et la protection de l'habitat de l'ours polaire sont des questions urgentes. pour le WWF. '
Notez que la déclaration dit de manière trompeuse «glace de mer» quand elle signifie vraiment «glace de mer d'été» - les prévisions de déclin potentiel de la population d'ours polaires étaient basées exclusivement sur la glace d'été (Amstrup et al.2007; Crockford 2017, 2019).
Comme je l’ai dit ci-dessus, «Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils?» Contient une fausse prémisse - il n’est pas nécessaire de demander «pourquoi», lorsque la partie «les ours polaires [disparaissent]» n’est pas vraie. Ce message est destiné aux personnes qui recherchent sur Internet en pensant que les ours polaires ont vraiment disparu.
Une autre question que Google propose est: «Combien d’ours polaires restent-ils ?» Répondez :
«En fait, le Fonds mondial pour la nature (ou WWF) estime qu'il ne reste que 22 000 à 31 000 ours polaires dans le monde. 25 janv.2019 »
Seulement ? Cette estimation mondiale, fournie par la Liste rouge de l'UICN (et non par le WWF) signifie qu'il y a presque trois fois plus d'ours polaires que les 10 000 environ en 1960 (Regehr et al.2016; Wiig et al.2015). Mais le chiffre de la Liste rouge comprend des estimations obsolètes et des suppositions déformées pour bon nombre des 19 sous-populations et mon livre (Crockford 2019) explique pourquoi cette estimation de 2015 approuvée par l'UICN était presque certainement trop faible.
LE GUANO : DE L'ENGRAIS NATUREL À LA PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ
par JEAN-BAPTISTE GIRAUD 28/02/2020
Une centrale électrique de fientes de poulet permet d'alimenter en électricité 90.000 foyers.
Rien ne se perd, tout se transforme (extrait du livre Les superpouvoirs des animaux). Je fais un pari : seul 1 lecteur sur 100 de l’album de « Tintin et les 7 boules de cristal » sait à quoi sert le guano, entreposé sur les quais du port du Havre, à côté des Dupont Dupond.
Dupont (ou bien est-ce Dupond ?) qui justement s’interroge sur la chose, et obtient pour toute réponse, une tirade laconique de son acolyte, au moment où une mouette souille lamentablement son chapeau melon : « le guano, c’est ça ! ».
Qu'est-ce que le guano ?
D’accord, le guano, c’est de la chiure d’oiseau, mais ça sert à quoi ? Importé massivement du Pérou au XIXe et au XXe siècle, il s’agit en fait d’un exceptionnel engrais naturel. Si le Pérou a été longtemps promesse de bonne fortune – d’où l’expression, « c’est le Pérou » – ce n’est pas tant pour ses mines d’or, que pour ses immenses gisements de cacas d’oiseaux, qui ont permis à de nombreux hommes d’affaires de bâtir d’immenses fortunes.
Et se faisant, ils ont aussi, au passage, sorti l’État péruvien d’une faillite quasi certaine, le guano ayant été décrété propriété nationale au milieu du XIXe siècle ! Si le guano ne fait évidemment plus fortune, remplacé par d’affreux engrais chimiques qui abîment durablement nos sols et par extension la planète, d’aucuns ont pensé pouvoir à nouveau faire du... cacash avec les fientes d’oiseaux.
Une centrale électrique biomasse
Aux Pays-Bas, une centrale électrique d’une capacité de 36 mégawatts – soit la puissance éolienne installée en Espagne en 2008 – tourne exclusivement aux... fientes de poulet ! Récoltées dans les élevages jusqu’à 200 kilomètres à la ronde, ces déjections produisent un excellent carburant, et permettent d’alimenter en électricité plus de 90 000 foyers. Sur une année, ce sont donc, plus de 440 000 tonnes de crocrottes de poulet qui partiront en fumée. Heureux riverains... L’histoire ne dit pas si cela sent la rose.
Dans un autre style, à Vénissieux dans le Rhône, c’est une centrale au fioul qui tourne déjà partiellement depuis 2002 aux... graisses animales. Pas moins de 10 000 foyers sont ainsi chauffés et alimentés en eau chaude grâce au gras du jambon ! Moins polluantes puisque sans hydrocarbures, ces graisses sont surtout quatre fois moins chères que le fioul, pour des performances assez similaires. Réjouissez-vous : livrées par les usines d’équarrissage de la région, c’est autant de cochonneries en moins dans nos steaks hachés ou dans les petits nounours et autres gommes à mâcher de nos petits d’hommes !
Banque postale : voici comment cela se passe à l'intérieur
Jovanovic lun., 24 fév. 2020 21:58 UTC
Banque postale De l'un de lecteurs qui a pu s'entretenir avec une employée de la Poste: "Elle me dit que la poste ne travaille plus que 3 jours par mois, dans la première semaine du mois. Après, c'est fini : quasiment plus de clients.
La plupart des clients Banque Postale sont en découvert à mi-mois. Effectivement, si tu vas à la Poste ici, il faut en moyenne attendre une demi-heure heure. J'ai parlé avec elle pendant presque 1 h et aucun client n'est venu. La Poste va fermer tout un tas de bureaux à la campagne.
Selon elle, les ventes ont baissé dramatiquement à partir de septembre 2019. Ils ont 6 conseillers banque pour toute une région (17 bureaux de Poste) et ils doivent « tourner » d'un bureau à l'autre.
Autre point: le personnel au guichet est énormément mis sous pression. Ils « doivent » réaliser un certain chiffre d'affaires, telle semaine vendre des colis, telle semaine vendre des timbres, telle semaine vendre des prêts (comme si les gens attendent de faire un prêt jusqu'à la semaine du prêt ...) sinon ils ont une mauvaise note lors de leur évaluation annuelle. Tout est vérifié via un logiciel, toutes les ventes.
Elles doivent surtout vendre plus d'assurances ... évidemment on paie des primes mais quand on a un souci, l'assurance trouve une excuse pour ne pas dédommager ... Elle a ajouté que c'est pareil avec les services d'impôts : eux aussi vont fermer leurs bureaux à la campagne. Motif : « tout par internet ». ET pour finir, la Poste a aussi arrêté de payer des primes quand elle « invite » les gens à partir : ils peuvent garder 80 % de leur salaire s'ils partent (au lieu de toucher une prime de départ)".
Ajoutez le fait que les gens ne peuvent pas retirer leur argent, et vous avez une bonne idée de ce qui se passe à la Banque Postale.
Pourquoi cette file d'attente de 1/2 h de partout ? Parce que l'employé(e) essaye de vendre de la merde aux pigeons !
"Le guano, vous connaissez ? On a des promos sur les 'Nutelapostaux' !", "Savez-vous que les ours ne bouffent pas de l'herbe (ni n'en fument) et désertifient les océans de ses poissons, pingouins et de ses phoques ? Achetez un timbre 'Oursamort' et vous payez une balle au chasseur inuit !"
Le libre-arbitre sera-il condamné par l’intelligence artificielle ?
RépondreSupprimerLes libéraux du XXIe siècle doivent s’engager pour un système dans lequel l’individu reste le plus autonome et responsable possible de ses décisions.
Par Jérémie Bongiovanni.
29 FÉVRIER 2020
Le libre-arbitre constitue un des fondements principaux du libéralisme. Actuellement, certains intellectuels considèrent que son existence est remise en cause par l’évolution technologique, en particulier le développement de l’intelligence artificielle (IA). L’IA semble en effet être progressivement plus à même de prendre certaines décisions que les individus eux-mêmes. La fin du libre-arbitre, pilier du libéralisme, est-elle programmée ?
L’IMPORTANCE DU LIBRE-ARBITRE DANS LA PENSÉE LIBÉRALE
Sur le plan philosophique le libre arbitre s’oppose au déterminisme. Selon ce dernier, l’être humain serait soumis à des causes extérieures. Il subirait l’existence sans avoir de réelle influence sur elle. Les défenseurs du libre arbitre pensent le contraire. Se déterminer à ou être déterminé : tel est tout l’enjeu de l’antinomie qui oppose libre arbitre et déterminisme.
Les Humanistes et les Lumières sont les premiers à avoir théorisé l’idée que l’individu existe et qu’il est une entité à part entière. De cette constatation découle logiquement l’idée d’autonomie et de capacité de faire des choix, le libre arbitre.
L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LE LIBRE-ARBITRE AU XXIE SIÈCLE
Dans son livre Homo Deus, Yuval Harari explique que l’IA finit par nous connaître mieux que nous nous connaissons nous-mêmes et possède des informations sur notre environnement que nous ne serons jamais capables d’accumuler. Nous allons ainsi peu à peu lui céder l’exercice de nos choix.
De son côté, le prix Nobel d’économie Richard Thaler, partant du postulat que les individus ne sont pas rationnels, a démocratisé le domaine de l’économie comportementale. Elle s’intéresse au comportement réel des humains et veut donner un « coup de pouce », un nudge, aux individus pour qu’ils prennent de meilleures décisions. Il s’agit de les orienter vers le comportement « désirable » tout en laissant la décision finale, et donc la liberté, au citoyen.
C’est sur la base de cette observation que le philosophe Gaspard Koenig identifie un danger important : les meilleures connaissances scientifiques en matière de neurosciences et d’économie comportementale liées à l’intelligence artificielle mettent en danger le libre arbitre en acceptant que l’IA prennent le contrôle de nos vies.
L’intelligence artificielle facilite le nudge, théorisé par Thaler. Gaspard Koenig craint cette « coercition douce », cette influence imperceptible contre laquelle les individus ne peuvent en réalité que très difficilement lutter. Alors qu’une loi du gouvernement interdisant un certain comportement peut être retirée sous l’effet de la pression populaire puisque son existence est communiquée de manière explicite, un mécanisme discret ayant pour but d’empêcher un certain comportement ne peut que difficilement être combattu et représente sur le long terme un danger pour la liberté, car il endort le citoyen en l’habituant à être assisté.
Lentement, mais sûrement, nous devenons les esclaves de notre propre bien-être. Avec pour l’instant des choix encore relativement peu importants, laisserons-nous un jour l’IA décider de questions fondamentales telles que notre carrière, nos relations amoureuses, voire même de la couleur des yeux ou de la taille de nos enfants ? Car si une base de données, alimentée par nos propres données, permet de mieux répondre que nous-même à ce genre de question, pourquoi l’éviter ? Et surtout comment justifier ce refus ? En allant dans cette direction, nous continuons de dépouiller l’individu de sa responsabilité et de sa capacité à faire des erreurs et d’en assumer les conséquences.
RépondreSupprimerQUELLES MESURES PRENDRE FACE À L’AVÈNEMENT DE L’IA ?
Le libéralisme a fait face à de nombreuses crises au cours de son existence. Aujourd’hui, le développement de l’IA doit nous conduire à réaliser que tout choix volontaire (non contraint) n’est peut-être pas toujours libre. Il peut même être largement influencé, nudgé. Cependant, face à ce constat, tous ne partagent pas la même analyse ni les mêmes solutions.
Tout d’abord, Gaspard Koenig considère qu’il est nécessaire de défendre le libre arbitre, notamment d’un point de vue métaphysique. Car au final, ce qui est important, c’est que l’individu arrive par lui-même à une décision, même si elle se révèle fausse.
De plus, il critique la réponse, qu’il juge dogmatique, de certains libéraux selon lesquels chaque individu est libre de consommer, ou non, ces outils qui peuvent faire de nous de véritables esclaves. Il rappelle que dans un système libéral, il faut pouvoir négocier et contractualiser pour exercer son libre arbitre et sa liberté. C’est ce qui différencie notre société actuelle de la société féodale de laquelle nous nous sommes émancipés.
Cette approche oblige à se poser la question de la propriété des données qui permettent à l’IA d’en savoir plus que nous sur notre propre personne et comment chacun peut les gérer. À ce jour, le compromis veut que ces plateformes soient gratuites, en échange de vos données. Certains proposent de mettre un terme à cette logique, pourtant volontaire. Ils souhaitent donner la souveraineté aux individus sur leurs données. Libre à eux ensuite de permettre à la plateforme de les nudger ou de leur refuser de le faire selon la sensibilité des données.
Pour d’autres comme Eddie Willers dans un récent article, cette approche fait fausse route. Il faut rappeler que la gratuité n’existe pas. Que l’usage des services des GAFA a pour contrepartie l’utilisation de vos données, et qu’il s’agit de fait d’une transaction banale. De plus, il est possible de renoncer à l’utilisation de ces différents services, au bénéfice d’autres fournisseurs plus regardant sur la thématique de la protection des données.
Ferghane Azihari condamne l’idée de donner une propriété sur ses données personnelles au même titre que celle existant pour la propriété intellectuelle. Pour lui, cette nouvelle propriété relève d’une logique constructiviste, qui ne peut exister qu’avec l’intervention active de l’État, car les données personnelles ne sont finalement que des informations que nous communiquons continuellement, que ce soit en ligne ou dans la rue par notre simple interaction avec autrui.
Se pose la question de la légitimité de limiter la possibilité de communiquer des informations que nous délivrons spontanément, d’autant plus que cet acte n’agresse ni la liberté ni la propriété.
RépondreSupprimerPOUR CONCLURE
Les libéraux du XXIe siècle doivent s’engager pour un système dans lequel l’individu reste le plus autonome et responsable possible de ses décisions. Il s’agit de lui permettre de faire des choix éclairés. Ici, les chemins divergent : pour certains la solution viendra des individus et de la concurrence entre les modèles.
Tandis que pour d’autres, sans renier le fait qu’ils sont par principe ouverts à l’innovation et aux nouveaux modèles d’affaire, il faut revoir le paradigme actuel et permettre au citoyen d’avoir la souveraineté sur ses données, soit accompagner le progrès afin de sauvegarder notre modèle libéral.
Au final, l’essentiel est de reconnaître l’enjeu et d’en débattre. Grâce à ce genre de discussions constantes, le libéralisme prouve encore une fois être une idéologie crédible, aujourd’hui comme demain.
Sur ce sujet, vous pouvez :
Relire « Liber-Thé, un autre podcast libéral à découvrir »
Écouter le podcast de Liber-thé sur le libre arbitre
Lire l’interview de Gaspard Koenig sur la liberté et le libre arbitre
https://www.contrepoints.org/2020/02/29/365320-libre-arbitre-condamne-par-ia
Même s'il y a 1 million de personnes d'accord sur un sujet à 99 %, il restera toujours pour chacun un part de non-satisfaction.
SupprimerLorsqu'il y a des élections, c'est dans une fourchette basse de moins de 10 % de personnes d'accord avec le ou la candidat(e) ! le reste étant à discuter mais non-discutable avec le ou la candidat(e) !!
Notons que si la dictature est conservée, la France a donc zéro chance d'entrer en Démocratie avec des paramètres fixés sur les robots qui ne sont pas ceux du Peuple !
RépondreSupprimerPendant les années 70, la CIA a créé un "Robot Dragonfly Spy"
par Tyler Durden
Ven, 28/02/2020 - 22:25
Créé par Mac Slavo via SHTFplan.com,
La Central Intelligence Agency (CIA) des États-Unis est bien connue pour son désir d'espionner, de suivre et de contacter la surveillance de masse afin de stocker des informations sur chaque être humain possible. Et maintenant, grâce à une demande du Freedom of Information Act, on sait qu'ils ont créé un robot libellule pour nous espionner.
Des documents de la CIA récemment publiés montrent comment l'agence d'espionnage a développé un robot espion libellule. Le minuscule appareil de surveillance aérienne - appelé «insectothoptère» - a été construit dans les années 1970 selon le musée de la CIA, où il est exposé depuis 16 ans.
Mais des plans pour l'insecte robotique ont été publiés cette semaine par l'agence d'espionnage américaine sur le site Web The Black Vault. Ces plans révèlent la micro-ingénierie finement affinée derrière la petite machine à espion.
Ils montrent comment les ingénieurs de la CIA avaient construit des appareils d'écoute miniatures en 1970, mais les franchir des obstacles tels qu'un mur d'ambassade restait un obstacle majeur. Beaucoup savent que le gouvernement américain, en vertu du Patriot Act, a commencé à espionner sans relâche chacun de nos mouvements et à stocker toutes les informations qu'il pouvait sur nous.
Quand il a été révélé pour la première fois que l'administration Bush avait mis en place un programme secret d'écoutes téléphoniques sans mandat et d'espionnage domestique sur les citoyens américains, peu d'Américains savaient que tout cela s'était déjà produit. Au début des années 1970, il a été révélé que les agences du gouvernement américain, y compris le FBI, la CIA, la NSA et l'IRS, étaient utilisées dans le cadre d'un plan délibéré d'infiltrer et de perturber les opposants politiques, et ce plan avait continué pendant 20 ans sous quatre ans différents présidents, démocrates et républicains. Ce rapport du Sénat Select Committee (le Comité de l'Église) détaille les efforts élaborés du FBI, de la CIA et de la NSA pour espionner les Américains en tapant sur leurs téléphones, en interceptant et en copiant leur courrier, et même en cambriolant leurs maisons (appelées « emplois de sacs noirs »). En réponse à ce rapport, le Congrès a établi les tribunaux de la FISA que Bush a contournés lorsqu'il a ordonné à la NSA d'espionner une fois de plus les Américains sans l'approbation ni la supervision du tribunal.
"La démonstration ultime du vol motorisé contrôlé n'a pas encore été réalisée", a écrit le scientifique en chef de la CIA, qui a contribué au développement de la libellule robotique.
Au final, le robot libellule - développé 40 ans avant les drones sans pilote - n'a jamais volé et l'agence d'espionnage a fermé le projet, mais ils n'ont pas arrêté leur quête pour trouver de nouvelles façons de mener une surveillance de masse.
https://www.zerohedge.com/technology/during-70s-cia-created-robot-dragonfly-spy
Mais aujourd'hui c'est par avions qui chemtraillent les virus !
SupprimerHé, ce n'est pas seulement un coronavirus !
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 28/02/2020 - 15h30
Écrit par James Howard Kunstler via Kunstler.com,
Quoi que le Parti démocrate soit infecté peut être pire que Covid-19. Les symptômes présentés pointent vers une maladie rare connue sous le nom de kuru. À l'heure actuelle, nous comprenons tous que les maladies sautent facilement entre les continents en cette ère de voyages aériens incessants. Le bulletin MedlinePlus du National Institute of Health a ceci à dire à ce sujet:
Kuru se trouve parmi les gens de Nouvelle-Guinée qui pratiquaient une forme de cannibalisme dans lequel ils mangeaient le cerveau de personnes décédées dans le cadre d'un rituel funéraire. Cette pratique a cessé [prétendument] en 1960, mais des cas de kuru ont été signalés pendant de nombreuses années par la suite car la maladie a une longue période d'incubation…. Kuru provoque des modifications du cerveau et du système nerveux similaires à la maladie de Creutzfeldt-Jakob… encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), également appelée maladie de la vache folle. Le principal facteur de risque pour le kuru est de manger des tissus cérébraux humains, qui peuvent contenir des particules infectieuses.
Est-ce que cela explique la préoccupation du public pour les zombies? Quelque chose de profondément sinistre gronde-t-il dans les interstices sombres de la vie américaine?
Le public ne sait toujours pas avec certitude ce qui se passait dans la chambre du Congrès SCIF (Sensitive Compartmented Information Facility) au fond du sous-sol du Capitole en janvier, où le représentant Adam Schiff (D-CA) était occupé à cuisiner des esprits témoignage de mise en accusation. Quelque chose d'autre bouillonnait sur son poêle Coleman là-bas ? Disons, une fricassée de lobes frontaux de Jeffrey Epstein ? Nancy Pelosi est-elle revenue quelques secondes ? Son comportement ultérieur implique une infection aiguë de kuru, un rire inapproprié, des troubles de l'élocution, une dyskinésie tardive, une paranoïa.
Rapports de Healthline.com:
Le nom kuru signifie «trembler» ou «trembler de peur». Les symptômes de la maladie comprennent des contractions musculaires et une perte de coordination. D'autres symptômes incluent des difficultés à marcher, des mouvements involontaires, des changements de comportement et d'humeur, une démence et des difficultés à manger. Ce dernier peut provoquer une malnutrition. Kuru n'a aucun remède connu. C'est généralement fatal dans l'année qui suit la contraction.
Découvrez comment cela correspond parfaitement à la campagne, à la nomination et au cycle électoral de 2020. Autrement dit, les symptômes deviendront plus prononcés au fil de l'année, culminant avec un groupe de décès au début de novembre. C'est-à-dire la mort des élections, et peut-être la mort de l'ancien parti lui-même. Les signes et les présages abondent.
Notez, par exemple, la chronique éditoriale jeudi de Gail Collins, une habituée du New York Times.
Regardez bien cette photo.
- voir sur site -
Certains analystes pourraient simplement voir un vieux gamin au visage de chien exsudant les vapeurs de la contrebande, mais un diagnostiqueur qualifié détecterait les prodromes de kuru dans le strabisme contre nature et l'expression inappropriée de la gaieté, étant donné que le sujet grave de la tribune est un sujet de haute l'ordre menace pour la stabilité mondiale, pas de quoi rire.
RépondreSupprimerLes manifestations de kuru étaient clairement évidentes dans le débat des candidats démocrates de cette semaine. Joe Biden est manifestement malade depuis des mois - bien que je soupçonne qu'il reste dans le concours uniquement pour éviter d'être destitué pour ses activités de blanchiment d'argent en Ukraine alors qu'il était vice-président. M. Biden a choqué la nation mardi soir, déclarant qu'environ la moitié de la population américaine, 150 millions de personnes, est décédée des suites de violences armées l'année dernière. Wow, et personne ne l'a remarqué ? Ce serait un événement comparable à "The Rapture", et pourtant, les médias grand public ont raté l'histoire - mais, avouons-le, ils manquent énormément de nos jours. Dans un autre incident étrange, M. Biden s'est présenté comme un «candidat au Sénat». Existe-t-il une loi interdisant de briguer simultanément deux postes politiques ? Le Washington Post a-t-il vérifié auprès du Conseil des élections du Delaware ? Ou est-ce que l'ancien veep est juste hallucinant ?
À en juger par ses déclarations, Bernie Sanders semble être un autre cas avancé. (Soyons honnêtes, il présente des symptômes de kuru depuis des décennies.) Cette semaine, ils ont été particulièrement fleuris dans l'irrésistible rhapsodisation de Fidel Castro et les réalisations de son régime pour faire progresser l'alphabétisation cubaine. On se demande combien d'électeurs cubano-américains du comté de Dade, en Floride, ont lu à ce sujet sur leur fil d'actualité Apple. Le personnel de campagne de Bernie lui a-t-il dit qu'il n'avait pas besoin de la Floride pour gagner les élections, ou est-il également infecté? Conseils à Bernie Bros et à divers supporters: si vous assistez à l'une des rencontres du mardi Super pour le candidat, évitez les canapés de foie haché. Ils peuvent être la moelle osseuse de quelqu'un.
Même Mike Bloomberg semblait avoir quelque chose de mal avec lui, comme lorsqu'il s'est pratiquement vanté auprès d'une audience télévisée nationale qu'il avait payé 50 millions de dollars pour «acheter» la victoire électorale à mi-parcours du Parti démocrate en 2018. Il y a une piqûre de son dont il ne se remettra jamais ! Mais l'œil de mon diagnosticien soupçonne un autre trouble peu connu et exotique: Latah, défini dans Wikipedia comme suit:
Latah…. [A] condition dans laquelle des comportements anormaux résultent d'une personne subissant un choc soudain…. Le Latah est considéré comme un trouble surprenant spécifique à la culture…. Des conditions similaires ont été enregistrées dans d'autres cultures et lieux. Par exemple, il y a les soi-disant Français sauteurs du Maine, imu parmi les femmes du peuple Ainu du Japon, mali-mali ou silok chez les Philippins, et bat-schi chez les Thaïs. Les personnes atteintes de latah font des mouvements qui rappellent des comportements normalement propres à certains stades de développement de l'enfant. Il est peu probable que la personne se souvienne de tout ce qui s'est produit pendant l'épisode.
Devant subir les calomnies de tous ces malades du kuru alignés contre lui derrière leurs podiums, M. Bloomberg a apparemment craqué. Washington DC est une zone chaude pour de nombreuses maladies mentales mal comprises. Peut-être que l'équipe du virus corona de la Maison Blanche peut épargner quelques cliniciens des NIH pour étudier ces questions troublantes.
https://www.zerohedge.com/political/hey-its-not-just-coronavirus
Après la burqa qui ne peut se répandre dans le monde entier et arrivé l'autre piège surprise le coran à virus. Et celui là est le plus dangereux car, même s'il n'arrivait même pas à la cheville des autres maladies il fait la une des journaux !
SupprimerMais pourquoi donc ? Pourquoi donc ? parce qu'il obligent les gens à se protéger de cette 'bombe atomique extraterrestre' en portant... un masque !
Voyez maintenant où je veux en venir ? burqa/masque.
Çà y est ? Vous y êtes ?
Comment infiltrer des millions de terroristes dans la population sous des millions de caméras ?
RépondreSupprimerPourquoi les ours polaires disparaissent-ils ? (Alerte spoiler: ils ne le sont pas!)
par Tyler Durden
Ven, 28/02/2020 - 19:45
Via PolarBearScience.com du Dr Susan Crockford,
Google dit que beaucoup de gens posent cette question alors voici la bonne réponse: les ours polaires ne disparaissent pas.
Si on vous l'a dit, vous avez mal compris ou avez été mal informé. Les ours polaires sont bien répartis dans leur habitat disponible et le nombre de populations est élevé (officiellement 22 000-31 000 en 2015 mais probablement plus proche de 26 000-58 000 en 2018): ce sont les caractéristiques d'une espèce saine et prospère.
«Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils ?» Contient une fausse prémisse - il n’est pas nécessaire de demander «pourquoi» lorsque la partie «les ours polaires [disparaissent]» n’est pas vraie.
Il est vrai qu'en 2007, on prévoyait que le nombre d'ours polaires chuterait lorsque la glace de mer estivale tombera à 42% des niveaux de 1979 pendant 8 années sur 10 (devrait se produire d'ici 2050) et disparaîtra ou presque d'ici 2100 (Amstrup et al.2007). Cependant, la glace de mer estivale est au niveau du «milieu du siècle» depuis 2007 (avec des variations d'une année à l'autre, voir la carte des glaces de la NOAA ci-dessous), mais le nombre d'ours polaires a augmenté depuis 2005. La catastrophe prévue ne s'est pas produite, mais de nombreuses personnes continuent Je crois que c'est parce que les médias et certains chercheurs donnent encore cette impression.
La prédiction de l'extinction imminente de l'ours polaire a été un échec total, comme je l'ai montré dans cet article scientifique (Crockford 2017) et dans mon livre le plus récent, The Polar Bear Catastrophe That Never Happened.
Examinez les preuves et vous verrez que les affirmations d'ours polaires disparus ne sont tout simplement pas vraies. Jusqu'à présent, la réponse des ours polaires à la récente perte de glace suggère qu'ils continueront de prospérer avec encore moins de glace d'été qu'il n'y en a eu ces dernières années tant qu'il reste de la glace en hiver (décembre-mars) et au printemps (avril-juin). raisonnablement abondante, comme cela a été le cas jusqu'à présent. Les informations les plus récentes disponibles sont résumées dans le prochain rapport sur l'état de l'ours polaire 2019, qui sera publié le 27 février 2020, mais voir également le rapport 2018 (Crockford 2019b).
Le graphique ci-dessous a été construit par l'expert en glace de mer de la NASA Walt Meier et publié par le National Snow and Ice Data Center des États-Unis au début d'octobre 2019.
- voir sur site -
Il montre clairement que la glace de mer d'été (mesurée comme la moyenne de septembre) n'a pas diminué davantage depuis 2007 mais a eu une tendance plate.
Le graphique ci-dessous est tiré de mon livre et montre la croissance du nombre mondial d'ours polaires depuis les années 1960.
L'estimation finale de 26 000 à 58 000 ou 39 000 en moyenne) est ma «meilleure estimation» plausible et scientifiquement défendable basée sur l'extrapolation des résultats d'enquêtes récentes, résumée ici et expliquée en détail dans mon livre.
RépondreSupprimerNOTE DE BAS DE PAGE
L'une des principales «suggestions» de Google lorsque je recherche le terme «ours polaire» est une liste de questions que les gens sont censés poser le plus souvent («Les gens posent également»), notamment «Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils?»
La «réponse» fournie n'est pas une réponse réelle, mais une déclaration du WWF, une organisation multinationale investie financièrement pour promouvoir l'idée que les ours polaires souffrent en raison de la glace de mer en déclin: c'est de la publicité Google payée destinée à ressembler à des réponses et des faits:
«En raison de la perte continue et potentielle de leur habitat de glace de mer en raison du changement climatique, les ours polaires ont été répertoriés comme une espèce menacée aux États-Unis en vertu de l'Endangered Species Act en mai 2008. La survie et la protection de l'habitat de l'ours polaire sont des questions urgentes. pour le WWF. '
Notez que la déclaration dit de manière trompeuse «glace de mer» quand elle signifie vraiment «glace de mer d'été» - les prévisions de déclin potentiel de la population d'ours polaires étaient basées exclusivement sur la glace d'été (Amstrup et al.2007; Crockford 2017, 2019).
Comme je l’ai dit ci-dessus, «Pourquoi les ours polaires disparaissent-ils?» Contient une fausse prémisse - il n’est pas nécessaire de demander «pourquoi», lorsque la partie «les ours polaires [disparaissent]» n’est pas vraie. Ce message est destiné aux personnes qui recherchent sur Internet en pensant que les ours polaires ont vraiment disparu.
Une autre question que Google propose est: «Combien d’ours polaires restent-ils ?» Répondez :
«En fait, le Fonds mondial pour la nature (ou WWF) estime qu'il ne reste que 22 000 à 31 000 ours polaires dans le monde. 25 janv.2019 »
Seulement ? Cette estimation mondiale, fournie par la Liste rouge de l'UICN (et non par le WWF) signifie qu'il y a presque trois fois plus d'ours polaires que les 10 000 environ en 1960 (Regehr et al.2016; Wiig et al.2015). Mais le chiffre de la Liste rouge comprend des estimations obsolètes et des suppositions déformées pour bon nombre des 19 sous-populations et mon livre (Crockford 2019) explique pourquoi cette estimation de 2015 approuvée par l'UICN était presque certainement trop faible.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/why-are-polar-bears-going-extinct-spoiler-alert-theyre-not
LE GUANO : DE L'ENGRAIS NATUREL À LA PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
28/02/2020
Une centrale électrique de fientes de poulet permet d'alimenter en électricité 90.000 foyers.
Rien ne se perd, tout se transforme (extrait du livre Les superpouvoirs des animaux). Je fais un pari : seul 1 lecteur sur 100 de l’album de « Tintin et les 7 boules de cristal » sait à quoi sert le guano, entreposé sur les quais du port du Havre, à côté des Dupont Dupond.
Dupont (ou bien est-ce Dupond ?) qui justement s’interroge sur la chose, et obtient pour toute réponse, une tirade laconique de son acolyte, au moment où une mouette souille lamentablement son chapeau melon : « le guano, c’est ça ! ».
Qu'est-ce que le guano ?
D’accord, le guano, c’est de la chiure d’oiseau, mais ça sert à quoi ? Importé massivement du Pérou au XIXe et au XXe siècle, il s’agit en fait d’un exceptionnel engrais naturel. Si le Pérou a été longtemps promesse de bonne fortune – d’où l’expression, « c’est le Pérou » – ce n’est pas tant pour ses mines d’or, que pour ses immenses gisements de cacas d’oiseaux, qui ont permis à de nombreux hommes d’affaires de bâtir d’immenses fortunes.
Et se faisant, ils ont aussi, au passage, sorti l’État péruvien d’une faillite quasi certaine, le guano ayant été décrété propriété nationale au milieu du XIXe siècle ! Si le guano ne fait évidemment plus fortune, remplacé par d’affreux engrais chimiques qui abîment durablement nos sols et par extension la planète, d’aucuns ont pensé pouvoir à nouveau faire du... cacash avec les fientes d’oiseaux.
Une centrale électrique biomasse
Aux Pays-Bas, une centrale électrique d’une capacité de 36 mégawatts – soit la puissance éolienne installée en Espagne en 2008 – tourne exclusivement aux... fientes de poulet ! Récoltées dans les élevages jusqu’à 200 kilomètres à la ronde, ces déjections produisent un excellent carburant, et permettent d’alimenter en électricité plus de 90 000 foyers. Sur une année, ce sont donc, plus de 440 000 tonnes de crocrottes de poulet qui partiront en fumée. Heureux riverains... L’histoire ne dit pas si cela sent la rose.
Dans un autre style, à Vénissieux dans le Rhône, c’est une centrale au fioul qui tourne déjà partiellement depuis 2002 aux... graisses animales. Pas moins de 10 000 foyers sont ainsi chauffés et alimentés en eau chaude grâce au gras du jambon ! Moins polluantes puisque sans hydrocarbures, ces graisses sont surtout quatre fois moins chères que le fioul, pour des performances assez similaires. Réjouissez-vous : livrées par les usines d’équarrissage de la région, c’est autant de cochonneries en moins dans nos steaks hachés ou dans les petits nounours et autres gommes à mâcher de nos petits d’hommes !
http://www.economiematin.fr/news-guano-engrais%20naturel-production-electricite
Banque postale : voici comment cela se passe à l'intérieur
RépondreSupprimerJovanovic
lun., 24 fév. 2020 21:58 UTC
Banque postale De l'un de lecteurs qui a pu s'entretenir avec une employée de la Poste: "Elle me dit que la poste ne travaille plus que 3 jours par mois, dans la première semaine du mois. Après, c'est fini : quasiment plus de clients.
La plupart des clients Banque Postale sont en découvert à mi-mois. Effectivement, si tu vas à la Poste ici, il faut en moyenne attendre une demi-heure heure. J'ai parlé avec elle pendant presque 1 h et aucun client n'est venu. La Poste va fermer tout un tas de bureaux à la campagne.
Selon elle, les ventes ont baissé dramatiquement à partir de septembre 2019. Ils ont 6 conseillers banque pour toute une région (17 bureaux de Poste) et ils doivent « tourner » d'un bureau à l'autre.
Autre point: le personnel au guichet est énormément mis sous pression. Ils « doivent » réaliser un certain chiffre d'affaires, telle semaine vendre des colis, telle semaine vendre des timbres, telle semaine vendre des prêts (comme si les gens attendent de faire un prêt jusqu'à la semaine du prêt ...) sinon ils ont une mauvaise note lors de leur évaluation annuelle. Tout est vérifié via un logiciel, toutes les ventes.
Elles doivent surtout vendre plus d'assurances ... évidemment on paie des primes mais quand on a un souci, l'assurance trouve une excuse pour ne pas dédommager ... Elle a ajouté que c'est pareil avec les services d'impôts : eux aussi vont fermer leurs bureaux à la campagne. Motif : « tout par internet ». ET pour finir, la Poste a aussi arrêté de payer des primes quand elle « invite » les gens à partir : ils peuvent garder 80 % de leur salaire s'ils partent (au lieu de toucher une prime de départ)".
Ajoutez le fait que les gens ne peuvent pas retirer leur argent, et vous avez une bonne idée de ce qui se passe à la Banque Postale.
https://fr.sott.net/article/34925-Banque-postale-voici-comment-cela-se-passe-a-l-interieur
Pourquoi cette file d'attente de 1/2 h de partout ?
SupprimerParce que l'employé(e) essaye de vendre de la merde aux pigeons !
"Le guano, vous connaissez ? On a des promos sur les 'Nutelapostaux' !", "Savez-vous que les ours ne bouffent pas de l'herbe (ni n'en fument) et désertifient les océans de ses poissons, pingouins et de ses phoques ? Achetez un timbre 'Oursamort' et vous payez une balle au chasseur inuit !"