- ENTREE de SECOURS -



lundi 17 février 2020

Des femmes asiatiques retirent leur maquillage

https://www.youtube.com/watch?time_continue=56&v=-8WQCPTaQgg&feature=emb_logo

https://www.koreus.com/video/femmes-asiatiques-sans-maquillage.html

33 commentaires:

  1. Vidéosurveillance: 1984 n’était pas censé être un mode d’emploi


    12:24 16.02.2020
    Par Yannick Harrel


    L’adage «pas vu, pas pris» appartient presque au passé: la vidéosurveillance est devenue si invasive que l’on est désormais capable de pister un individu tout au long de sa journée grâce aux caméras disposées sur son parcours. Un phénomène qui comporte son lot de dérives, faisant presque entrer nos sociétés libérales dans l’ère de la dystopie.

    Le scénario semble tout droit sorti d’un film d’anticipation paranoïaque, il est pourtant celui de notre quotidien. Sortir de chez soi au petit matin, aller à pied, à vélo, en voiture ou en métro jusqu’à son lieu de travail, puis en ressortir pour boire un verre avec ses collègues et enfin rentrer chez soi en début de soirée: un parcours qu’il est très aisé de reconstituer de bout en bout de nos jours. La raison? La multiplicité de caméras fixes et mobiles qui scrutent en permanence l’espace public et les espaces privés, dont le recoupement permet de profiler un individu avec plus ou moins de réussite. L’explosion du nombre de drones équipés de caméras haute définition accentue encore davantage le phénomène.

    Il ne faudrait pas croire que cette vidéosurveillance s’arrête au perron de l’entreprise. Bien au contraire, celle-ci s’y prolonge en des endroits parfois insoupçonnés. Au point de susciter régulièrement les atermoiements de la Commission nationale informatique et libertés (CNIL), lorsqu’ils ne sont pas suivis d’une sanction pour infraction constatée. Tel fut le cas d’une entreprise condamnée pour avoir disposé une caméra de surveillance délibérément braquée sur le poste de travail d’un employé.

    Le phénomène, loin de faiblir dans le monde, est en plein essor avec l’appoint de l’intelligence artificielle. Car rappelons que celle-ci peut désormais accomplir certaines tâches que l’on attendait d’elle depuis des décennies grâce à trois éléments contemporains cumulatifs: la puissance et le nombre de processeurs, la datamasse et des connexions plus rapides et plus stables. La vidéosurveillance, qui autrefois réclamait la présence d’un auxiliaire humain pour traiter les informations visuelles (et plus rarement auditives) est désormais remplacée par une intelligence artificielle qui détecte, traite et catégorise les informations collectées.

    En Chine, le système bénéficie d’un procédé de reconnaissance faciale élaboré permettant de gérer un crédit social attribué à chaque individu: de la sorte, tel citoyen sera récompensé ou puni en fonction de son attitude envers le corps social. Précisons que le social credit score est basé sur le principe du credit score initialement appliqué dans plusieurs pays anglo-saxons dont l’Australie, le Canada, le Royaume-Uni et les États-Unis.

    Et ces derniers ne sont pas en reste dans son développement appliqué. Ainsi l’atteste l’affaire Clearview AI, qui propose de repérer délinquants et criminels en analysant une immense base de données constituée par les réseaux sociaux majeurs. Mentionnons aussi le succès de la jeune pousse Nexar, qui ambitionne de répertorier les mauvais conducteurs grâce à son application AI Dashcam, qui attribue à chaque conducteur une note selon sa conduite. Ce qui ouvre la voie à des interrogations sur le rôle de l’intelligence artificielle qui remplacera, après les avoir suppléés, les agents de police assermentés. Cet essor de l’intelligence artificielle et des technologies de détection des biens et des personnes pose crûment la question du fonctionnement des bases de données: depuis leur création jusqu’à leur obsolescence en passant par l’identité de leurs utilisateurs.

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  2. Vidéoverbalisé pour votre bien, puisqu’on vous le dit

    Bras armé de la vidéosurveillance, la vidéoverbalisation s’est développée dans les années 2000 à partir des îles britanniques, pour essaimer ensuite sur le continent européen. Si, à ses débuts, elle s’effectuait par des contrôles automatisés se focalisant uniquement sur la vitesse, elle s’est depuis élargie à de nouvelles infractions, avec une inflation qui ne laisse désormais plus guère d’espace à la moindre erreur humaine. Les véhicules à moteur dotés d’une plaque d’immatriculation –permettant d’identifier son propriétaire, considéré comme fautif jusqu’à ce qu’il apporte la preuve de son innocence– sont ceux qui sont prioritairement visés par cette volonté de traquer la moindre déviance sur les axes de circulation. Si, autrefois, le principe était de préserver votre sécurité, y compris contre votre gré, il est désormais programmé pour protéger votre santé au travers par exemple de la détection puis de la verbalisation de véhicules circulant lors d’un pic de pollution, toujours sans votre avis.

    Cependant, les cyclistes auraient grand tort de se croire intouchables, puisque d’une part la reconnaissance faciale est en cours de déploiement et que d’autre part, l’émergence des villes intelligentes leur imposera de «pucer» leur moyen de déplacement. Car lorsque les véhicules motorisés auront disparu des villes, privant les municipalités de substantielles rentrées d’argent, le moyen de locomotion majoritaire sera inéluctablement mis à contribution par des municipalités impécunieuses.

    Une dystopie déjà actuelle

    On ne peut, au regard du phénomène, que rester pantois devant le déploiement quasi militaire de technologies avancées en des contrées qui se gargarisent d’être des parangons des libertés. La dystopie 1984 de George Orwell avait annoncé l’émergence de notre réalité, avec son lot de télécrans omniprésents et omniscients. Les années à venir semblent conforter celle-ci avec des moyens de détection et de verbalisation toujours plus implacables et paradoxalement incontrôlables.

    Car, tel un colosse aux pieds d’argile, la technologie intrusive rend dépendant –à un stade parfois pathologique d’addiction– son utilisateur, le plaçant dans une situation de fragilité technologique, tout en renforçant chez ses «victimes» les velléités sociales de se défaire d’un contrôle tendant inéluctablement à l’arbitraire et à la privation de libertés.

    Cela pose aussi clairement notre dessein de remplacer à terme toute décision d’ordre humain par des algorithmes, qui pourraient obéir à leur propre logique et non à nos propres intérêts. Paradoxalement, ce sont actuellement les poids lourds de l’industrie informatique américaine qui insistent pour un encadrement plus strict du phénomène, tandis que les pouvoirs publics occidentaux s’empressent quant à eux de déverrouiller chaque garde-fou. Si la France n’est pas la Chine, elle a néanmoins ouvert la porte à l’expérimentation de la reconnaissance faciale. S’agit-il simplement «d’avoir des retours sur les différents cas d’usage et sur la performance réelle de cette technologie, ainsi que sur les questions qui se posent», comme l’assurait Cédric O, secrétaire d’État au Numérique en décembre dernier, ou d’une future version française de «Big Brother is watching you» ?

    https://fr.sputniknews.com/societe/202002161043055525-videosurveillance-1984-netait-pas-cense-etre-un-mode-demploi/

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  3. Les terroristes migrant vers l'Europe


    par Tyler Durden
    Lun, 17/02/2020 - 02:00
    Écrit par Judith Bergman via le Gatestone Institute,


    Un nouveau rapport, «Ce que la migration terroriste aux frontières européennes peut enseigner sur la sécurité des frontières américaines», par Todd Bensman, un haut responsable de la sécurité nationale au Center for Immigration Studies, décrit la mesure dans laquelle des terroristes déguisés en migrants sont entrés dans l'Union européenne pour commettre des attaques terroristes.

    Bien que l'étude ait été écrite principalement pour un public américain pour éviter que les mêmes erreurs ne soient commises aux frontières américaines, l'étude est extrêmement pertinente pour le public européen - d'autant plus que l'Allemagne a récemment mis en garde contre une crise migratoire répétée, similaire à celle qui s'est produite. en 2015. Selon Bensman:

    "Entre 2014 et 2017, 13 des 26 États membres bordant les frontières terrestres extérieures de l'espace dit de l'espace Schengen ont enregistré plus de 2,5 millions de détections de passages frontaliers illégaux le long de plusieurs routes terrestres et maritimes, une montée subite historique et sans entraves qui est devenue connue sous le nom de «crise des migrants». L'espace Schengen, qui englobe généralement l'Union européenne, se compose de pays qui ont combiné l'application de la loi sur l'immigration d'une frontière extérieure commune de 27 000 milles marins et 5 500 milles terrestres tout en supprimant tous les contrôles aux frontières intérieures pour faciliter la libre circulation. des biens et des personnes.

    << Au cours de la crise des migrants 2014-2018, la majorité des voyageurs qui ont franchi la frontière extérieure et ont pu ensuite se déplacer sans entrave entre les pays membres venaient de pays du Moyen-Orient, comme la Syrie et l'Irak; d'Asie du Sud, comme l'Afghanistan et le Pakistan et l'Afrique, comme la Somalie et l'Érythrée. On a appris pour la première fois que certains terroristes de l'Etat islamique étaient également dans les flux après que certains d'entre eux ont commis les attentats de Paris en novembre 2015 ... puis les attentats de Bruxelles en mars 2016 ".

    Selon Bensman, "la totalité de la façon dont la migration et le terrorisme se sont entrelacés en tant que force destructrice contre l'Europe, et la réponse du continent, restent largement inconnus, sans papiers et non analysés".

    Il n'obtient pas non plus - ou pas du tout - une attention prolongée dans les débats publics européens sur la migration.

    Selon Bensman:

    "Entre janvier 2014 et janvier 2018, au moins 104 extrémistes islamistes sont entrés en Europe par voie de migration par-delà les frontières maritimes et terrestres parmi plus de deux millions de personnes qui ont franchi les frontières extérieures de l'Union européenne. Les 104 ont été tués ou arrêtés dans neuf pays européens après avoir participé soit dans des attaques achevées et déjouées, soit arrêtées pour participation illégale à des groupes terroristes désignés ...

    "La majorité des 104 terroristes-migrants islamistes - 75 - étaient principalement affiliés à l'Etat islamique, tandis que 13 étaient affiliés à Jabhat al Nusra. D'autres étaient associés à Ahrar al Sham, les Taliban, Lashkar-e-Taiba, Al-Shabaab et l'émirat du Caucase. Certains avaient des sympathies inconnues et certains se déplaçaient dans plusieurs groupes. Un seul était une femme et leur âge moyen était de 26 ans. Ils étaient de Syrie et d'Irak, mais aussi d'Afrique du Nord et d'Asie du Sud ...

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  4. "Sur les 104 migrants impliqués dans des actes terroristes, 29 ont été impliqués dans 16 attentats achevés en Europe entre 2015 et 2018. Ces attaques ont fait 170 morts et au moins 878 blessés, selon une analyse des médias ...

    "Au moins 27 faisaient partie d'une grande cellule d'agents envoyés sur les sentiers de la migration par l'Etat islamique. La plupart des 27 ont été impliqués dans les deux attaques les plus meurtrières terminées: les frappes multi-sites de novembre 2015 sur Paris et les attaques de mars 2016 en Bruxelles. La plupart des autres attaques achevées étaient de moindre envergure et impliquaient parfois des agents déployés supplémentaires ou des communications à longue distance avec l'Etat islamique en Syrie ".

    L'une des conclusions les plus remarquables du rapport de Bensman est que «la plupart des terroristes migrants impliqués dans des attaques déjouées ou achevées ont été délibérément déployés dans les flux migratoires par un groupe terroriste organisé pour mener ou soutenir des attaques dans les pays de destination».

    << Sur les 65 migrants-terroristes impliqués dans des attaques achevées ou déjouées, au moins 40 semblaient avoir été délibérément déployés dans des flux de migrants vers l'Europe, se faisant passer pour des réfugiés de guerre, pour mener ou soutenir des attaques en Europe. L'EI était responsable de cette opération d'infiltration. Onze d'autres ont apparemment lancé des attaques ou des complots dans de petits groupes de parents ou d'associés, qui n'étaient coordonnés par aucun groupe étranger. Les autres étaient des délinquants isolés autopropulsés ou les informations étaient insuffisantes pour déterminer s'ils étaient déployés ...

    "En 2016, le New York Times a rapporté, sur la base de renseignements français, qu'une division clandestine" opérations extérieures "d'ISIS a envoyé en janvier 2014 son premier" au moins "21 agents bien entraînés en Europe camouflés parmi les flux de réfugiés et de migrants ...

    "Plus de combattants formés par l'Etat islamique en Syrie ont parcouru les routes des migrants seuls ou par paires au rythme de tous les deux à trois mois jusqu'à la fin de 2014 et au début de 2015, selon le Times".

    En Allemagne, le Service fédéral du renseignement (BND) a averti en 2016 que des combattants de l'État islamique étaient venus en Europe déguisés en réfugiés et que les dirigeants de l'État islamique formaient les combattants sur la façon de demander l'asile.

    Les risques que les dirigeants européens ont pris en permettant aux flux de migrants de continuer se sont soldés par une tragédie, car les attaques terroristes commises par les terroristes se faisant passer pour des migrants ont fait 170 morts et 878 blessés au cours de la période 2014-2018, comme mentionné ci-dessus. De plus, selon Bensman:

    "La majorité des 104 terroristes ont demandé une protection internationale comme l'asile et ont pu rester dans les pays européens pendant 11 mois en moyenne avant les attaques ou les arrestations pour complots, ce qui montre que les procédures d'asile ont permis l'incubation des complots".

    Le processus des anciens combattants de l'Etat islamique demandant l'asile est toujours en cours, ce qui prouve que les autorités européennes sont toujours incapables de traiter la question. Fin novembre, la police aurait arrêté un combattant présumé de l'État islamique qui vivait dans le pays comme demandeur d'asile depuis au moins six mois. Plusieurs autres migrants se sont manifestés et ont déclaré qu'ils reconnaissaient l'homme comme un ancien terroriste de l'Etat islamique.

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  5. Le rapport de Bensman prouve indirectement que les trois pays de l'UE - la Hongrie, la Pologne et la République tchèque - qui ont refusé d'accueillir l'un des migrants venus pendant la crise des migrants, invoquant des problèmes de sécurité, avaient raison. La direction de l'Union européenne a cependant engagé une procédure judiciaire devant la Cour de justice de l'Union européenne contre les trois pays sur la question. En octobre, l'avocat général, conseiller juridique de la Cour, a déclaré que le droit de l'UE devait être respecté et que le principe de solidarité de l'UE "impliquait parfois d'accepter le partage des charges".

    Une décision de la Cour sur cette question est attendue au début de l'année prochaine. Si la Cour suit l'avis de l'avocat général, elle jugera que les trois pays ont enfreint le droit de l'UE lorsqu'ils ont refusé de prendre leur quota de migrants désigné. En réponse à l'avocat général, le porte-parole du gouvernement polonais Piotr Muller a déclaré: "assurer la sécurité de nos citoyens est l'objectif le plus important des politiques gouvernementales. Nos actions ont été dictées par les intérêts des citoyens polonais et la nécessité d'une protection contre les migrations incontrôlées".

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/terrorists-migrating-europe

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  6. États-Unis : une bactérie mortelle échappée d’un laboratoire haute sécurité


    le 2 Mar, 2015
    (Source : The Telegraph – Traduction État du Monde, État d’Être)


    Les autorités en Louisiane étudient comment un agent de « bioterrorisme potentiel » a pu s’échapper, mais ils insistent sur le fait qu’il n’y a aucune menace pour le public.

    Commentaire :
    Bien sûr. Toujours le même message déroutant : ayez peur, mais soyez rassurés.

    Les responsables américains en Louisiane étudient comment une bactérie dangereuse et souvent mortelle a pu sortir d’un laboratoire de haute sécurité dans un centre de recherche, a rapporté USA Today dimanche dernier.

    Les autorités ont dit qu’il n’y avait aucun risque pour le public malgré que l’étendue de la contamination demeure inconnue après un bris de sécurité à la National Primate Research Center de Tulane.

    La bactérie en question est appelé Burkholderia pseudomallei.

    On la trouve principalement en Asie du Sud et du Nord de l’Australie, le microbe peut se propager aux humains et aux animaux par contact avec le sol contaminé et l’eau. Il est classé comme un agent de bioterrorisme potentiel.

    Commentaire :
    Et les agents de bioterrorisme sont habituellement entre les mains de qui ? Eh bien oui, des terroristes.

    La contamination éventuelle serait survenue en novembre ou plus tôt au centre qui travaillait à développer un vaccin contre les bactéries.

    Les autorités ont déclaré que l’agent pathogène n’a pas été détecté sur la campus extérieur du centre, mais quatre singes rhésus gardés dans des enclos extérieurs sont tombés malades et deux ont été euthanasiés, affirme USA Today.

    En outre, une inspectrice fédérale est tombée malade après avoir visité l’installation, mais ce n’est pas clair si elle avait été exposée à la bactérie avant sa visite puisqu’elle avait récemment voyagé à international.

    Le centre de recherche n’a pas retourné les appels demandant des commentaires.

    « Il continue de n’y avoir aucune menace connue pour le public » affirme un communiqué de presse daté du 24 février.

    « Il n’y a pas de primates ou d’humains présentement malades à la suite d’une exposition possible à Burkholderia pseudomallei. »

    Commentaire :

    Seulement deux singes rhésus et une inspectrice du gouvernement…
    Le centre est situé à Covington, à environ 50 miles (80 kilomètres) au nord de la Nouvelle-Orléans.

    http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/du-reste/divers/etats-unis-une-bacterie-mortelle-echappee-dun-laboratoire-haute-securite

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  7. Achetez le virus Zika en ligne pour seulement 430$


    le 4 Fév, 2016


    Eh oui, il y a de ces jours où ma connaissance et ma compréhension de la psychopathie et de la pathocratie (et de la déchéance mondiale qui s’en suit, jour après jour) s’avèrent complètement pris de court par l’ampleur réelle de « la chose ».

    Digression faite, profitez de ce que l’ATTC à de meilleur à vous offrir pour vos achats en ligne : le virus Zika ! Oh, bien d’autres sont aussi en vente, pour les intéressés à participer à la folie mondiale en cours, mais le Zika est à la mode, alors pourquoi ne pas en profiter ? Seulement 430$ si vous n’en tirez pas profit. Par contre, si c’est pour une activité commerciale, alors il vous en coûtera 516$.

    Traduction Google de la page originale anglaise.
    Non, ce n’est pas une blague, vous n’avez qu’à suivre ce lien : http://www.atcc.org/Products/All/VR-84.aspx

    L’ATTC, dont le slogan est « L’essentiel pour la recherche scientifique sur la vie » vend très ouvertement et officiellement la mort. Oui, exactement comme on fait la guerre pour la paix. Il faut savoir apprécier l’ironie, j’imagine. Ce doit être mon ignorance qui me renverse, on doit vendre des virus ouvertement sur le Web depuis longtemps. Tout comme on vend des armes ou des médicaments ou tout ce qui caractérise l’emprise psychopathique de notre époque.

    Finissons par une touche conspirationniste de lucidité : à qui appartient le brevet du Zika ? Parce que, oui, oui, les virus sont des propriétés. Souvenez-vous que, de nos jours, on brevète le vivant. À qui appartient le « brevet » du Zika? À nulle autre que la Fondation Rockefeller ! Une bonne main d’applaudissement.

    rockefeller-vend-virus-zika-en-ligne
    Traduction Google de la page originale anglaise, onglet « history ».
    Verrons-nous bientôt le « vaccin sauveur » déferler sur les marchés ?

    À bon entendeur.

    http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/du-reste/faites-vos-jeux-rien-ne-va-plus/achetez-le-virus-zika-en-ligne-pour-seulement-430

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  8. Ebola : 75,000 humains en quarantaine… à grands coups de matraque


    le 22 Août, 2014
    (Source : Le Monde + Huffington Post)


    Pour espérer contenir l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui fait rage au Liberia — le pays où le taux de mortalité est le plus important et le plus rapide, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) — le gouvernement prend des mesures draconiennes. Deux quartiers de la capitale, Monrovia, ont été placés en quarantaine et sous surveillance sécuritaire, alors que dans le reste du pays, un couvre-feu a été instauré.

    La situation est particulièrement compliquée dans le bidonville de West Point, véritable ghetto de la capitale, dans lequel 75 000 personnes s’entassent dans un espace d’un demi-kilomètre grillagé, sous la surveillance de la police. Les images qui en parviennent sont difficilement soutenables.

    Liberia Battles Spreading Ebola Epidemic

    Commentaire :
    Ça doit vraiment être la meilleure méthode possible : entasser 75,000 personnes dans 500 mètres carrés. Les frapper et les matraquer pour empêcher… un virus de se propager! Oh, sans compter le fait de les priver d’une nourriture adéquate. Je suis persuadé qu’ils iront mieux dans un jour ou deux…

    NI CENTRE DE TRAITEMENT NI ÉQUIPEMENTS

    Il y a quatre jours, l’attaque dans ce quartier d’un centre médical avait provoqué la fuite de dix-sept patients porteurs du virus Ebola. Ces derniers ont depuis été retrouvés et transférés vers un autre centre.

    Pour le moment, décrit un professeur et habitant du quartier à RFI, personne ne quitte West Point et personne n’y entre, mis à part quelques officiels du gouvernement, l’armée et quelques organisations internationales. En ce qui concerne Ebola, il n’y a plus de centre de traitement pour les patients ni d’équipements puisque le centre qui était ici a été fermé.

    http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/du-reste/horreur-de-la-situation/ebola-75000-humains-en-quarantaine-a-grands-coups-de-matraque

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  9. ÉTATS-UNIS - SIX PERSONNES ONT ÉTÉ TRANSFORMÉES EN COMPOST

    L’humusation de corps humains est devenue réalité dans l’État de Washington, le seul endroit au monde à l’autoriser.


    17.02.2020, 18h11


    En mai dernier, l’État de Washington, au nord-ouest des États-Unis, devenait le premier du monde à légaliser l’«humusation» des corps humains, c’est-à-dire la transformation du cadavre d’un défunt en compost. Depuis? Pas grand-chose. Mais lors d’une conférence scientifique qui s’est tenue dimanche à Seattle, un projet pilote mené à bien a été présenté.

    Fondatrice de l’entreprise Recompose, à Seattle, Katrina Spade explique à la BBC que six personnes convaincues par l’humusation avaient donné leur corps pour ce test.

    Décomposition accélérée

    Les résultats ont été présentés par Lynne Carpenter-Boggs, professeure de sciences des sols et conseillère de la firme Recompose. Pour la technique utilisée, détaille le «Guardian», le corps est placé dans un récipient en acier avec des copeaux de bois, de la luzerne et de la paille. En contrôlant l’humidité et le ratio entre les dioxydes de carbone, d’azote et d’oxygène, les conditions deviennent idéales pour des microbes thermophiles, qui accélèrent considérablement la décomposition.

    «Le processus transforme un cadavre en deux brouettes de terre en quatre à six semaines», précise le quotidien britannique. Un engrais que les proches du défunt peuvent ensuite par exemple étendre sur des plantes ou aux pieds d’arbres.

    Une «recomposition»

    Avec cette technique, note le «Guardian», tout, y compris les os et les dents, est transformé en compost. Seuls les matériaux non organiques comme un pacemaker ou une hanche artificielle doivent être retirés. Et le compost obtenu est décrit comme sain. Selon la professeure Carpenter-Bogg, ce processus écologique utiliserait huit fois moins d’énergie qu’une crémation.

    Sur la BBC la fondatrice de Recompose Katrina Spade explique qu’il s’agit selon ses concepteurs non pas exactement d’un processus de décomposition - ce qu’il se passe lorsqu’un corps est sur le sol. Mais d’une «recomposition», avec l’intégration du cadavre dans le sol.

    5500 dollars

    L’Américaine se dit convaincue qu’il existe un marché pour ces funérailles vertes et pense pouvoir les commercialiser dans un an, en février prochain. «Nous espérons que d’autres États reprendront l’idée lorsque nous débuterons à Washington. Nous avons reçu beaucoup d’enthousiasme du Royaume-Uni et d’autres parties du monde et nous espérons ouvrir des succursales à l’étranger lorsque nous le pourrons», commente-t-elle.

    Sur son site web, sa firme dit viser un prix de 5500 dollars pour une «recomposition». Et glisse qu’en comparaison, dans la région, une crémation coûte entre 1000 et 7000 dollars et un enterrement conventionnel au moins 8000 dollars.

    Renaud Michiels

    https://www.lematin.ch/societe/six-personnes-transformees-compost/story/19808701

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    Réponses

    1. C'est ce qui se passe depuis toujours. Les champs contiennent des milliards de morts décomposés, des mouches, des vers, des oiseaux, des chiens, des chevaux et des humains enterrés là lors de guerres ou d'épidémies.

      Ces restes sont absorbés par toutes les plantes. Toutes les plantes du monde contiennent de la viande et tous les animaux contiennent des plantes.

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  10. Le Président algérien explique qui a saboté la production nationale de blé et de maïs


    14:17 17.02.2020
    Par Kamal Louadj



    Le Président algérien a accusé deux offices nationaux d’avoir favorisé l’importation de blé et de maïs au détriment de la production locale, indiquant que son pays perdait l’équivalent de la moitié de ses exportations annuelles en pétrole dans la surfacturation de ces importations.

    Dans son discours dimanche 16 février devant les walis (préfets), au Palais des Nations, à Alger, le Président Abdelmadjid Tebboune a accusé l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) et l’Office national des aliments du bétail (ONAB) d’avoir favorisé les importations de blé et de maïs au profit de lobbies et au détriment de la production nationale. Alors que l’Algérie a importé au mois de janvier près d’un demi-million de tonnes de blé de France, restant ainsi le premier client des producteurs hexagonaux, le chef de l’État algérien a jeté un véritable pavé dans la mare en affirmant que la surfacturation des importations couvrait près «de la moitié des exportations» algériennes annuelles de pétrole.

    L’Algérie importe de grandes quantités de maïs et de blé, «alors qu’il est possible de les produire au niveau national», a déclaré Tebboune, selon le site d’information algérien Maghreb Émergent. L’OAIC et l’ONAB ont toutefois découragé toutes les initiatives de production locale de blé et de maïs, a ajouté le chef de l’État en précisant que ces deux organismes «exigeaient aux agriculteurs de leur livrer leurs marchandises par leurs propres moyens à des centaines de kilomètres».

    Qui en profite ?

    Dans le même sens, Abdelmadjid Tebboune a affirmé que «cette situation est maintenue par des lobbies qui essayent de faire pression pour faire durer les importations de ces produits et les surfacturer».

    Sans préciser l’identité de ceux-ci, il a fait savoir que le volume de la surfacturation des produits importés représentait l’équivalent de «la moitié des exportations algériennes annuelles de pétrole».

    Ainsi, pour pallier à cette situation pénalisante, le chef de l’État a sommé son ministre du Commerce Kamel Rezig d’interdire immédiatement l’importation de toutes les matières premières produites localement. «Ces importations ne seront permises que si la production chez nos agriculteurs n’est plus disponible», a-t-il fait savoir.

    Quelques chiffres

    Durant les 20 années au pouvoir du Président déchu Abdelaziz Bouteflika, l’Algérie a dépensé plus de 1.000 milliards de dollars, selon les chiffres annoncés par l’ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia, actuellement en prison pour des affaires de corruption, et dont une bonne partie a servi aux opérations d’importations. Ces dernières, à titre d’exemple, sont passées de neuf milliards de dollars en 1999 à 57 milliards de dollars en 2013.

    Dans une intervention donnée en 2015 au quotidien algérien El Watan suite au scandale connu sous le nom de SwissLeaks, Ali Benouari, ancien ministre algérien du Trésor et expert international en finances, avait affirmé que «les estimations des fonds placés à l'étranger, liés à la corruption et à la surfacturation, dépasseraient les 100 milliards de dollars depuis le début des années 2000, tandis que les fortunes algériennes établies à l'étranger seraient de près de 200 milliards de dollars».

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  11. Une gestion «catastrophique»

    Lors de la présentation mardi 11 février du plan de son gouvernement à l’Assemblée populaire nationale (APN) algérienne, le Premier ministre Abdelaziz Djerad n’a pas fait dans la dentelle pour décrire la gestion du pays sous Abdelaziz Bouteflika. Il l’a qualifiée de «catastrophique». Il a par ailleurs dressé un tableau inquiétant de la situation financière et économique de l’Algérie.

    Dans le même sens, le chef de l’exécutif algérien a expliqué que ce sont les résultats de cette gestion qui ont poussé les Algériens à se soulever le 22 février 2019 et à chasser du pouvoir l’ancien gouvernement, à «condamner et rejeter cette tentative d’affaiblir notre pays» et à faire en sorte que «cette situation ne se reproduise plus».

    Par ailleurs, Abdelaziz Djerad a affirmé que «le gouvernement s’emploiera à l’élimination des dérives ayant marqué la gestion des affaires publiques de l’État et des incidences négatives des forces extraconstitutionnelles sur la décision politique et économique du pays».

    https://fr.sputniknews.com/maghreb/202002171043081791-le-president-algerien-explique-qui-a-sabote-la-production-nationale-de-ble-et-de-mais/

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    Réponses
    1. Bon. Petite explication: même si l'Algérie peut produire du blé elle ne peut pas produire du pain !

      Car, comme le Sud de la France, l'Italie et l'Espagne, la région méditerranéenne est productrice de blé DUR pour confectionner les pâtes et non de blé TENDRE comme il y a au centre et nord de la France et destiné à la fabrication du pain.

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  12. Séparatisme dans la République: «plus le temps passe, plus il est tard». Pourquoi ?


    19:58 17.02.2020
    Par Edouard Chanot


    Que faut-il attendre du plan «contre le séparatisme dans la République», annoncé par le gouvernement pour le mois de mars ? Pour l’ancien préfet Michel Aubouin, la réalité anthropologique du peuplement est totalement ignorée. Pour lui, l’Etat est en partie responsable, car sa politique du logement incite au séparatisme.

    «Il y a un certain nombre d’endroits dans notre pays où il y a du repli communautaire, une volonté de se séparer de ce que sont les valeurs et les lois de la République», a admis Sibeth Ndiaye le 9 février dernier sur LCI, avant d’évoquer «ces endroits où il y a une volonté manifeste de certains, qui notamment usent de l’islamisme politique pour définir une forme d’alternative à la République». «On doit être capables d’y répondre» a affirmé la porte-parole, annonçant un plan du gouvernement pour le mois de mars.

    Ancien préfet, Michel Aubouin a publié 40 ans dans les cités (Presses de la cité, 2019). Depuis la fin des années 70, celui-ci a vu des territoires entiers devenir des zones de non-droit. Qu’espère-t-il du plan contre le séparatisme dans la République ? Entretien.

    Sputnik France: «communautarisme», «séparatisme», «islamisme politique»: après les déclarations en «off» de François Hollande et celles de Gérard Collomb à son départ du ministère de l’Intérieur, ces déclarations semblent refléter une prise de conscience au sommet de l’Etat. Vrai ou faux, selon vous ?

    Michel Aubouin: «Plus le temps passe, plus il est tard. Les mesures que nous aurions pu prendre il y a encore quelques années sont de plus en plus difficiles à prendre. Par exemple, la question de l’arrivée imminente de listes dites “communautaires” pour les élections municipales le mois prochain. On n’a pris strictement aucun texte au préalable, qui aurait pu nous éviter des listes à connotation religieuse aux élections municipales. Voilà une étape importante qui a été franchie.

    «si on ne traite pas la question du regroupement des mêmes types de population dans les mêmes logements sociaux, on ne va jamais réussir...»

    Sur le terme “communautaire”, je pense que ça veut dire “traversé par l’islam”. Il y a beaucoup de malentendus derrière. On dit souvent “les Chinois du XIIIe vivent en communauté”. Ce n’est pas ça le sujet. La question, c’est de savoir quand la communauté est suffisamment organisée pour qu’elle décide de s’autonomiser politiquement par rapport au reste de la société française. On le voit moins sur des fondements ethniques ou d’origine que sur des fondements religieux.

    On a toujours un problème de vocabulaire: on n’a pas trouvé les mots pour le dire, alors on tourne autour. On dit “radicalisation”, parce qu’on ne veut pas dire de quoi il s’agit, on dit “politique de la Ville”, alors que ça ne concerne pas vraiment la Ville… on dit “communautaire” par ce qu’on ne veut pas dire de qui on vise. Et ça, ça empêche les politiques de prendre des décisions en toute connaissance de cause. Les malentendus demeurent à tous les niveaux, y compris au niveau sommital.»

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  13. Sputnik France: Un plan serait donc d’une grande nécessité. Quelle devrait selon vous être sa première priorité ?

    Michel Aubouin: «La première réponse est d’ordre géographique. Les communautés se créent dans des espaces clos, notamment dans les quartiers dits de la “politique de la Ville”. Ces espaces communautaires sont directement liés à l’habitat, qui est lui-même directement lié au logement social. D’une certaine façon, si on ne traite pas la question du regroupement des mêmes types de population dans les mêmes logements sociaux et pour des durées illimitées, on ne va jamais réussir à traiter les questions du communautarisme.

    «Il ne faut pas laisser les communautés s’organiser pour qu’elles soient amenées un jour à occuper des positions politiques sur le territoire.»

    C’est assez naturel que des gens qui ont la même origine, qui partagent la même religion et la même culture, finissent par se retrouver dans le même quartier. C’est purement anthropologique: tout le monde fait la même chose, y compris une partie des Français qui se regroupent dans les mêmes quartiers pour éviter les difficultés de cohabitation avec des cultures qui sont très différentes ou antagonistes avec les leurs. C’est un phénomène naturel. En soit, on ne peut pas le reprocher aux gens. Je suis assez contre l’idée de la mixité sociale obligatoire, où il faut mélanger tout le monde. Ça n’a jamais fonctionné, et ça ne peut pas fonctionner.»

    Sputnik France: Vous plaidez donc pour une certaine fermeté, vous ai-je bien compris ?

    Michel Aubouin: «Il ne faut pas laisser les communautés s’organiser pour qu’elles soient amenées un jour à occuper des positions politiques sur le territoire. Il faut qu’on ait des instruments juridiques pour l’éviter. Les communautés se forment géographiquement, autour des mêmes quartiers, mais aussi par exemple par une grande mosquée, qui peut être un vecteur de fixation des populations autour d’un bâtiment. C’est parce qu’on ne réfléchit pas à ces questions de peuplement, d’installation, et qu’on n’a pas trouvé d’instrument juridique qui nous permette d’éviter des listes politiques à dominante communautaires.»

    Sputnik France: Vous dites donc que les textes n’existent pas. La loi de 1905 ne suffit-elle pas ?

    Michel Aubouin: «Les principes de la laïcité ne suffisent pas à protéger la population d’une tentation d’instaurer des pratiques contraires à nos cultures. Elles ne sont pas contraires à la loi, mais elles sont contraires à notre culture, et ça c’est compliqué. Le sujet n’est pas simple à poser, les solutions ne sont pas faciles à poser. Mais il faut à un moment passer dans l’ordre juridique: créer des textes, et dire ce qui est autorisé et ce qui est interdit, ce que l’on peut et ce que l’on ne peut pas faire. Face aux listes communautaires, indiquer que la référence à la religion, quelle qu’elle soit, est incompatible avec la loi de 1905. Il faut un texte pour indiquer que les principes portés par ces listes sont incompatibles avec les nôtres.»

    Sputnik France: vous semblez donc pour le moins critique du bilan du gouvernement en la matière ?

    Michel Aubouin: «On a vu le Président Macron beaucoup hésiter: faut-il faire un islam de France, ou non, etc. Si après avoir hésité pendant deux ans au moins, il tire en conclusion qu’une partie du pays est en grande difficulté parce que la communautarisation des espaces est en train de se produire, je trouve ça très bien. Mais je ne suis pas sûr que quelqu’un ait bien pris le temps d’aborder ces questions de façon profonde. On ignore où sont les instances où on traite de ces sujets. Il ne s’est pas passé grand-chose.

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  14. «Comment peut-on éviter la partition ? Car c"est quand même ça qui est en train de se produire: la partition», avait déclaré François Hollande (Un Président ne devrait pas dire ça, Stock 2016). «On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses», avait quant à lui prévenu Gérard Collomb en octobre 2018, alors qu"il quittait le ministère de l"intérieur.

    Depuis les déclarations de Gérard Collomb, qu’est ce qui s’est fait? Je l’ignore, car je ne vois pas les effets concrets. Les maires d’Ile-de-France font toujours face aux mêmes difficultés et on ne leur a pas donné de clé pour les traiter. En particulier, la clé du peuplement: un quart des logements en France sont des logements sociaux publics. Un quart de la population, c’est énorme, nous sommes le plus grand parc social d’Europe! à l’origine, ce sont des décisions publiques, des maires, des préfets, de l’État.

    Puisque l’État a la main sur le peuplement des quartiers, aura-t-il une réflexion afin d’éviter de voir se créer ce que j’ai vu il y a quelques jours, à savoir un quartier entièrement pakistanais? Est-ce sage de permettre des quartiers publics et entiers dans lesquels on va créer des communautés? Comme je le disais, la communautarisation est naturelle, c’est un phénomène anthropologique. C’est normal que les gens essaient de se regrouper entre eux. Ce n’est pas le sujet. Le sujet, c’est que si, en plus, ils sont incités par l’Etat à le faire, et à s’installer au même endroit, l’incitation au séparatisme est forte.»

    Sputnik France: Remettre en cause le principe des 25% des logements sociaux serait donc selon vous la clé ?

    Michel Aubouin: «Oui, j’ai beau tourner autour du problème depuis des années, je ne vois pas d’autre solution. Pour moi, c’est la clé. Quand vous avez un quartier dans lequel vous avez concentré les mêmes types de population et que vous avez deux écoles primaires et un collège, les problèmes que rencontrent les enseignants dans les établissements scolaires correspondent à la population qu’ils ont en face. Leur travail est presque rendu impossible. La question du peuplement est essentielle.

    «L’incitation de l'Etat au séparatisme est forte... La question du peuplement est essentielle.»

    Ce n’est pas comme si nous avions un marché libre, ouvert comme en Grande-Bretagne ou en Italie. Nous sommes dans un marché du logement extrêmement administré. Ce marché rencontre des difficultés et même, dans certains endroits, génère des difficultés. Quand j’ai écrit mon livre, c’est la seule partie qui n’a jamais été reprise, je vois bien que c’est celle qui gêne le plus. Je comprends que c’est très compliqué, en même temps je ne vois pas d’autre porte de sortie.»

    https://fr.sputniknews.com/opinion/202002171043084413-separatisme-dans-la-republique-plus-le-temps-passe-plus-il-est-tard-pourquoi-/

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    Réponses

    1. Une dictature ne cherchera jamais à nuire envers celles et ceux qui la font vivre ! C'est pourquoi elle entretiendra une récompense de fortes allocations à qui vient et à qui reste et surtout à qui soutient. Parallèlement elle glorifiera les trisomiques, les attardés mentaux qui s'accouplent entr'eux et leurs droits de ... voter ! Hahahaha !

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  15. Voici le meilleur téléphone moyen de gamme du moment sur le marché


    19:36 17.02.2020


    Les trois premières places dans le top 10 des meilleurs téléphones moyen de gamme, selon l'application d'analyse comparative AnTuTu Benchmark pour smartphones et tablettes, reviennent toutes au quatrième fabricant mondial de smartphones Xiaomi.

    L'application d'analyse comparative AnTuTu Benchmark pour smartphones et tablettes a récemment publié le top 10 des meilleurs téléphones moyen de gamme du moment sur le marché. Il s’agit d’un classement mis à jour en janvier.

    Ainsi, la première place revient au Xiaomi Redmi Note 8 Pro qui a le meilleur rapport qualité-prix du fabricant chinois en affichant des performances remarquables pour un prix tournant, chez la majorité des e-commerçants, autour de 249 euros pour la version 128 Go et 10 euros de moins pour sa variante 64 Go.

    Le podium est d’ailleurs entièrement occupé par Xiaomi qui y fait monter également le Mi Note 10 suivi du Mi 9 T.

    Et si le géant Samsung réussit à glisser l’un de ses appareils à la quatrième place, le top 5 est de nouveau complété par un appareil d’un fabricant chinois, le Realme XT.

    Le nouveau fleuron de Xiaomi

    Xiaomi, quatrième fabricant mondial de smartphones, a dévoilé le 13 février son nouveau smartphone haut de gamme qui se décline en deux modèles: le Xiaomi Mi 10 et le Xiaomi Mi 10 Pro. La société prévoyait de le lancer au Salon mondial du mobile de Barcelone (MWC 2020), mais celui-ci étant annulé à cause du nouveau coronavirus, il a décidé de présenter sa nouveauté avant les délais prévus initialement.

    Les prix évoqués pour le Mi 10 s’établissent à l’équivalent de 527 euros pour le modèle 128/8 Go, autour de 566 euros pour le 256/8 Go et près de 618 euros pour le 256/12 Go. Pour le Mi 10 Pro, les prix s’élèveraient respectivement à l’équivalent de 658 euros pour le modèle 256/8 Go, 725 euros pour le 256/12 Go et 790 euros pour le 512/12 Go.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202002171043085391-voici-le-meilleur-telephone-moyen-de-gamme-du-moment-sur-le-marche/

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  16. « Les conditions de l’esprit scientifique » de Jean Fourastié (1/3)

    A une époque de régressions multiples et de comportements parfois grégaires, il est bon d’en revenir aux conditions de l’esprit scientifique.


    Par Johan Rivalland.
    18 FÉVRIER 2020


    Jean Fourastié n’est pas seulement l’auteur de l’ouvrage et de la célèbre formule qui lui est attachée « Les Trente Glorieuses ». Il est surtout l’un des plus grands intellectuels français du XXe siècle, auteur de très nombreux ouvrages, et comptant parmi ceux dont les apports à la science et à nos connaissances ont été les plus importants. À ce titre, il est essentiel de ressortir de l’ombre des écrits dont la valeur est essentielle et dont nous pouvons encore continuer à tirer des leçons aujourd’hui. Le présent ouvrage, dont le titre sera peut-être familier à certains d’entre vous, fait partie de ces écrits qui méritent absolument d’être exhumés, tant les questions qui y sont abordées demeurent fondamentales.

    Pour des raisons de longueur, nous présenterons le présent ouvrage en trois volets.

    LES VERTUS DE L’ESPRIT EXPÉRIMENTAL

    Ainsi que le fit remarquer Jean-Baptiste Say en son temps, lors de son Discours d’ouverture du cours d’économie politique au Collège de France :

    "L’ambition de tout homme raisonnable ne saurait être de tout savoir mais de savoir bien la chose dont on juge à propos de s’occuper. Sur tout le reste, il suffit de posséder les idées fondamentales. Mais il faut que les idées fondamentales que l’on acquiert soient justes et entièrement conformes à la vérité."

    Dans cet ouvrage, Jean Fourastié commence par rappeler les bienfaits de la science et l’action directe et rapide des découvertes scientifiques, qui ont permis à notre espérance de vie de passer de 25 ans à 70 ans (à l’heure où il écrit, c’est-à dire en 1966) et d’améliorer nos conditions de vie. Comme il le dit de manière marquante et évocatrice :

    "Nous savons que le nombre de chercheurs aujourd’hui vivants dépasse celui des savants morts depuis le commencement du monde, et que, même si beaucoup de ces chercheurs ne trouvent rien, ceux qui trouvent effectivement sont assez nombreux et assez heureux pour que, des mathématiques à la préhistoire, de l’astronomie à la sociologie et de la mécanique des fluides à la physiologie des articulations mentales, le champ de nos connaissances s’étende selon un rythme exponentiel".

    Car, comme il le rappelle, ce sont les sciences expérimentales qui constituent le ressort du développement économique et du progrès social. Or, comme il le déplore, trop d’obstacles semblent exister au développement de l’esprit expérimental, faisant perdre une grande part des progrès possibles. La méthode scientifique n’est pourtant pas réservée aux seuls spécialistes, mais a une portée générale qui s’adresse à tous dans l’appréhension du monde dans lequel nous vivons, et dans la vie courante, nous dit-il. Nous aurions tous intérêt à y être formés. Au lieu de quoi l’homme moyen a tendance à compter sur les autres, c’est-à-dire les savants ou spécialistes.

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  17. "Il ne se sent que peu lui-même concerné par les comportements rationnels qu’il attend des autres hommes ; il ne se tient personnellement responsable ni de la connaissance, ni de l’activité d’une société, d’une humanité, dont il est pourtant membre et dont il revendique l’assistance, la solidarité. Il adhère aisément à des connaissances non scientifiques, et porte couramment des jugements contraires à l’esprit scientifique, même dans des domaines où la méthode expérimentale permet facilement de décider ou de la vérité, ou de l’erreur, ou du doute. Inversement, l’homme moyen attend trop de la science des autres. Il ne considère pas la science comme un savoir en cours d’élaboration, partiel, borné, lacunaire, plein de doutes et de questions non résolues, difficiles à acquérir et à interpréter, mais comme un pouvoir que détiendraient les savants, et par eux les gouvernements ; pouvoir pratiquement illimité et dont pourtant les classes dirigeantes tendent à conserver le privilège. L’homme de la rue ne croit pas que l’État qui peut envoyer des projectiles dans la Lune, faire graviter des satellites et construire des bombes atomiques, ne puisse pas aussi donner à tous les hommes un haut niveau de vie, accélérer la production, stabiliser la monnaie."

    L’IGNORANCE DE L’IGNORANCE

    Pardonnez les longues citations, mais cela demeure encore tellement vrai à notre époque, et en particulier en France, où on peut l’observer tous les jours, que je ne résiste pas à l’envie de poursuivre :

    "[…] D’où la critique courante de la critique revendicative, basée sur la formule bien connue « il n’y a qu’à… », levain des petites mauvaises humeurs et des grandes révolutions. Cette formule minimise ou même réduit à rien la nécessité de moyens, de méthodes, d’efforts en général difficiles et séculaires ; le plus souvent même, elle présume une science et une technique qui ne sont pas formées, qui exigeront elles-mêmes de longues années et des millions d’heures de travail pour être constituées, dans les cas au moins où elles pourront l’être effectivement…"

    C’est cette « ignorance de l’ignorance » qui induit tous ces malentendus ainsi que le décalage qui existe entre les attentes inassouvies et la nécessité de l’extension de la méthode expérimentale. Aussi Jean Fourastié s’adresse-t-il ici sciemment au grand public, autant de lecteurs qui doivent se transformer en hommes d’action et expérimenter les leçons à tirer de ce livre dans leur vie quotidienne. Il insiste sur le fait qu’il ne doit pas être pris comme un manuel classique, mais « comme l’expression de l’expérience et de la libre réflexion d’un chercheur d’aujourd’hui ».

    C’est pourquoi il propose dans une première partie ce qu’il appelle des « leçons d’ignorance ». Qui consistent non pas à s’intéresser à l’ignorance individuelle, bien réelle et présente en chacun de nous, mais à l’ignorance « absolue », celle qui concerne à la fois l’ignorance banale (consubstantielle à tous les êtres humains, et contre laquelle on ne peut rien par nature) et l’ignorance savante (par rapport à une connaissance déjà élaborée), valables au stade de l’humanité tout entière.

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  18. L’IGNORANCE BANALE

    De l’ignorance banale vient ainsi un malentendu, une méprise, qui touche y compris les esprits parmi les plus sincères et talentueux (Jean Fourastié cite Bernanos, Péguy, ou encore les surréalistes, entre autres). L’inquiétude et le désarroi qui l’accompagnent, conduisent à une agressivité à l’égard de la science expérimentale. Et renforcent l’attrait des astrologues, cartomanciens, devins ou autres conseillers prenant l’irrationnel pour thème. Même les découvertes scientifiques qui permettent de faire reculer certaines ignorances banales, comme dans le domaine de la maladie par exemple, sont vite oubliées dès que leurs bienfaits sont acquis. Et nous avons tous du mal à concevoir que ce qui est possible à des degrés qui nous dépassent (certaines connaissances touchant à l’univers lointain, par exemple) ne l’est pas pour des questions bien plus immédiates et proches de nous. C’est méconnaître ce que sont les savants et l’étendue de ce qu’eux-mêmes ignorent. D’où l’intérêt que revêtirait, selon Jean Fourastié, l’institution d’une « science de l’ignorance ».

    Plus grave, selon lui – et j’ai déjà entendu cette idée reprise depuis par de grands savants d’aujourd’hui – le désarroi est d’autant plus grand que :

    "Depuis Copernic et Galilée, mais de plus en plus maintenant, à mesure que nos connaissances scientifiques s’étendent, ces connaissances limitent de plus en plus notre importance et notre signification dans l’univers. Plus nous devenons puissants, capables d’action sur la nature, plus nous nous connaissons infimes, et moins nous comprenons l’existence et le but du monde sensible."

    Un constat qui n’est certainement pas étranger, remarquons-le en passant à certaines des problématiques de l’Homme révolté. Et les « révolutions sporadiques et stériles », qui en découlent et reviennent régulièrement, n’y changent rien. Le problème étant que, dans la méfiance de l’homme moyen à l’égard de la science, ne transparaît pas l’idée que, même les chercheurs du CNRS, « sont loin d’avoir tous l’esprit scientifique, et surtout d’avoir une idée claire de la complexité des besoins intellectuels des hommes, et des conflits qui en résultent… ». Et, au lieu de songer à recourir à la violence comme espoir de remède à ces désarrois, il conviendrait au contraire d’identifier et de développer le lien qui existe entre connaissance et progrès. Sans quoi, au mieux on se condamne à la stagnation.

    C’est donc la faiblesse de l’esprit scientifique et la méconnaissance des techniques scientifiques qui sont ici en cause. Et qui expliquent le recours si fréquent aux contestations, aux revendications et aux violences, faisant entrer l’homme moyen « dans l’avenir à reculons ». Cette incrédulité ne touche pas que les politiques et les savants, mais la science elle-même, sans doute en raison du manque d’humilité dont ont trop souvent fait preuve les scientifiques selon Fourastié :

    "L’homme juge moins la science sur ce qu’elle lui a apporté que sur ce qu’elle manque à lui apporter, et qu’il désire fortement du fait de ce manque même. Le résultat est un refus, ou du moins une tiédeur, dans l’adhésion de l’homme moyen à l’esprit scientifique expérimental. L’esprit scientifique n’est pas entré dans le patrimoine mental de l’homme, il n’a pas vivifié et fécondé la pensée quotidienne, la pensée commune, comme il aurait pu le faire et comme il le fera. L’homme moyen n’a pas compris que l’esprit expérimental peut contribuer à résoudre une part de ses propres problèmes. Il a encore moins compris que la science n’est pas seulement l’affaire des savants, mais la sienne propre et que chacun peut, par l’esprit expérimental, collaborer à l’édification d’un monde plus humain."

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  19. L’IGNORANCE SAVANTE

    C’est, à l’inverse, une forme d’ignorance stimulante, dans la mesure où il s’agit de la démarche scientifique normale, consistant à explorer des terres inconnues. Toutefois, Jean Fourastié mène un ensemble de considérations de fond quant aux limites relatives aux avancées de la science, tenant notamment à la méthode. Le manque de multidisciplinarité et la tendance à fuir la réalité synthétique et complexe en recherchant de simples déterminismes, aboutit à trop d’approximations et des retards dans les avancées de la connaissance, ainsi que des erreurs. L’ignorance du fait que tout est personnalité et individualité a par exemple débouché sur des doctrines sommaires, notamment dans le domaine politique, où cela a abouti à la planification et à des dictatures. Or, la simple prise de conscience de l’ignorance est susceptible d’engendrer un progrès substantiel de la science.

    "Par exemple, il aurait certainement suffi que vers 1875 ou 1900 les économistes pensent que le progrès technique était une grande inconnue, pour qu’effectivement ils l’étudient et l’incluent dans la science économique ; le réel était déjà fort clair ; il n’est pas du tout invraisemblable que cela eût modifié la pensée de certains jeunes intellectuels comme Lénine, et sinon la leur, celle de leurs « compagnons de route ». Les conséquences proprement scientifiques n’eussent donc été, ici encore, que l’un des aspects des conséquences humaines d’une telle prise de conscience."

    Jean Fourastié met ainsi en évidence un problème de méthode, mais aussi de documentation. Qui conduisent à négliger probablement d’importantes techniques de découverte. Là encore par ignorance de leur ignorance, cette fois par les chercheurs. Au point, dit-il, que « des pléiades de chercheurs cherchent des résultats qui sont déjà trouvés et publiés » (Internet, depuis, a-t-il permis en bonne partie d’enrayer ce phénomène ? Il faudrait poser la question à des spécialistes d’aujourd’hui). D’où l’importance, selon lui, des grandes synthèses intellectuelles, qui doivent permettre d’éviter ces pertes de temps considérables.

    Mais il s’agit aussi de procéder moins par extrapolations, à partir de données statiques, et de davantage intégrer les évolutions, à la fois dans l’espace et dans le temps, en évitant de continuer à céder aux déterminismes.

    "Par une fidélité irrationnelle au déterminisme, la science a négligé et sous-estimé cette part du réel que sont l’irrationnel, le passionnel, et par extension le sentiment, le rêve et l’art. Elle a ainsi déçu et bloqué un grand nombre d’esprits. Elle a laissé le champ libre aux évasions, aux révoltes et aux explosions, qui font qu’en plein essor de l’ère expérimentale, les peuples qui étaient les pionniers de l’esprit scientifique se sont déchirés dans la guerre, se sont donné des paranoïaques pour chefs et ont prix pour thèmes centraux de leur philosophie le Traité du désespoir et la hantise du Néant."

    Jean Fourastié, Les conditions de l’esprit scientifique, Gallimard – collection Idées, février 1966, 256 pages.

    https://www.contrepoints.org/2020/02/18/364511-les-conditions-de-lesprit-scientifique-de-jean-fourastie-1-3

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  20. Aurions-nous encore de l'électricité et de l'eau si nous avions une quarantaine massive de coronavirus aux États-Unis ?


    par Tyler Durden
    Lun, 17/02/2020 - 20:45
    Écrit par Selco Begovic et Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,


    Combien de temps pensez-vous qu'une mise en quarantaine pandémique pourrait continuer avec l'électricité, l'eau courante, Internet et le ramassage des ordures en continuant de fonctionner normalement ?

    Si Covid-19 (également connu sous le nom de coronavirus de Wuhan ou nCoV-2019) devait se propager là où vous vivez comme il l'a fait en Chine, il est possible que des mesures extrêmes soient prises. Peut-être même un verrouillage de type chinois, où les gens sont invités à rester chez eux et où les entreprises sont fermées. Je fais référence à quelque chose de beaucoup plus extrême qu’une poignée d’entre nous qui s’isolent.

    Bien que j'espère certainement qu'une telle situation est peu probable, c'est quelque chose que nous devrions tous envisager une possibilité et nous préparer, juste au cas où. La question de savoir s'il s'agit ou non d'un scénario hors réseau jouerait un rôle extrêmement important dans vos préparatifs.

    Selco et moi avons eu une discussion très intéressante à ce sujet après avoir soulevé le point lors d'une discussion de groupe. J'ai pensé que vous pourriez être intéressé par nos pensées. Bien sûr, il n'y a aucun moyen de savoir exactement comment cela pourrait se passer, c'est donc de la pure spéculation de notre part basée sur la recherche de situations similaires, la connaissance de nos systèmes et des expériences personnelles.

    Aurions-nous des services publics et des services pendant un scénario de quarantaine ?

    Pensées de Daisy

    Beaucoup de choses sont automatisées, ce qui me fait croire que nous pourrions potentiellement avoir un mois ou deux de normalité relative en ce qui concerne les services publics, même si les gens ne vont pas travailler. La collecte des ordures serait une autre affaire.

    Tout d'abord, l'électricité, le gaz naturel, l'eau et Internet peuvent fonctionner automatiquement pendant longtemps ou avec juste un peu d'entrée de la part d'un ordinateur. Une pandémie ne va pas faire frire nos circuits comme le ferait un EMP, par exemple. Il n'y a rien d'infrastructure générale qui pourrait immédiatement compromettre ces services publics.

    Mais cela suppose que tout sauf la pandémie se déroule sans heurts - que nous n'aurons ni tornades, ni ouragans, ni blizzards, ni tremblements de terre, ni foudroyants éclairs, ni accidents. Et il omet également les problèmes d'origine humaine comme les émeutes qui endommagent l'infrastructure ou même le sabotage délibéré.

    Dans une pandémie de grande ampleur, il n'y aura probablement personne pour aller réparer les dommages potentiels. Et il est possible que même si les gens le voulaient, ils n’aient pas accès aux fournitures ou à l’équipement nécessaires s’il s’agit d’articles qu’ils obtiennent «juste à temps».

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  21. Quant à l'eau, elle pourrait couler longtemps, mais elle pourrait ne pas être potable. Nous devons être attentifs au fait qu'il n'y a personne là-bas pour tester l'eau du robinet et ajouter des produits chimiques. Je n'aime pas les produits chimiques comme le fluorure dans mon eau, mais j'aime mieux les produits chimiques essentiels que j'aime la dysenterie amibienne, la shigellose et le choléra. Cela étant dit, même si l'eau n'était pas potable directement du robinet, cela faciliterait certainement la vie si les personnes qui ne sont pas sur des fosses septiques pouvaient encore vidanger leurs toilettes, et l'eau pouvait être purifiée d'une multitude de façons différentes.

    Le gouvernement voudrait que les services publics restent fonctionnels.
    De plus, le gouvernement va vouloir que les gens aient des services publics en cas de quarantaine. Les personnes qui peuvent se placer devant la télévision ou jouer à des jeux vidéo vont être beaucoup plus dociles et plus faciles à gérer que les personnes qui se désintoxiquent de leur téléphone portable et de Facebook et de la télévision 24h / 24 et 7j / 7. S'il existe un moyen de garder les lumières allumées, je suis assez confiant que le gouvernement préférerait cela.

    Karl Marx a dit un jour que la religion était l'opium des masses. Ces jours-ci, je pense que la télévision et Netflix portent cette couronne.

    Cela leur permet également de murmurer de doux mots de propagande dans nos maisons. "Ne t'inquiète pas. Ça va être okaaayyyyy. Nous sommes ici pour heeelllppp. "

    Les gouvernements aiment des trucs comme ça.

    Ramassage des ordures

    La collecte des ordures est une autre affaire, et très préoccupante. Si nous sommes tous confinés chez nous, qui va ramasser les ordures ? Les récupérateurs recevront-ils des combinaisons de protection? Il est même possible que les militaires soient appelés à effectuer des tâches comme celle-ci en raison du risque de détritus qui pourraient propager la maladie.

    J'imagine que de toutes choses, les ordures seraient l'une des plus susceptibles de contenir des matières infectieuses - des tissus de nez qui coule, des assiettes en papier que les gens ont mangées, toutes les choses que les personnes infectées possibles avaient touchées.

    Dans les vidéos de Chine, je n'ai pas vu beaucoup de déchets s'accumuler, donc là, il semble qu'un système particulier fonctionne toujours.

    Cependant, je m'attendrais à ce que ce soit la première chose à faire.

    En viendra-t-on là ?
    Ce n'est pas une question à laquelle tout le monde pourrait définitivement répondre.

    C’est comme les utilitaires. Quels sont les facteurs concurrents ? Que devrait-il se passer pour que cela explose et explose à travers les États-Unis comme en Chine ? Que devrait-il arriver pour l'empêcher de faire cela ? Quels sont les événements génériques qui pourraient accélérer la propagation ? (La mutation, les vacances, une autre maladie qui se propage qui affaiblit le système immunitaire, une catastrophe qui nous compromet au point que nous ne pouvons pas nous mettre à l'abri sur place ?)

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  22. En raison de ce potentiel, nous devons nous concentrer sur la préparation. (Ce livre est une excellente ressource spécifique au coronavirus de Wuhan.)

    Cela pourrait-il arriver ? Oui.

    Cela arrivera-t-il ? Personne ne sait.

    Aurions-nous des services publics et des services pendant un scénario de quarantaine ?

    Pensées de Selco

    Une bonne question est de savoir ce qui se passerait avec l'énergie électrique et tous les autres services publics une fois le SHTF.

    Et oui, la réponse n'est pas simple. Il est basé sur le type d'événement et la gravité de l'événement, mais je pense que nous pouvons avoir de bonnes hypothèses à ce sujet.

    Utilitaires

    L'électricité, l'eau courante, les communications (Internet, téléphones portables…) et les services publics similaires jusqu'à la gestion des déchets dans toutes les sociétés modernes sont portés à un niveau de fonctionnement avancé.

    Tout cela est tellement «modernisé» d'une manière que la plupart d'entre nous ne remarquent généralement pas ou se moquent réellement de la façon dont il nous est livré. Les gens ne se soucient pas de la façon dont ces choses fonctionnent.

    Je ne sais pas non plus en profondeur comment tout cela fonctionne, mais je sais que la plupart des services publics aujourd'hui nous sont fournis de manière très automatisée et interconnectée.

    Donc, en conséquence, cela fonctionne bien, jusqu'à ce qu'il ne fonctionne pas.

    Je pense que le prix pour cela est le fait que lorsqu'UNE chose sort bientôt, une autre sort aussi. Même si quelque chose sort très loin de vous, cela peut toujours signifier qu'il peut facilement sortir chez vous.

    Entretien

    N'oubliez pas, les choses (services), peu importe la façon dont la modernisation doit être maintenue, donc, s'il n'y a personne autour pour faire la maintenance, les services ne fonctionneront pas.

    Cela dépend de la gravité de l'événement, du contrôle exercé par le gouvernement sur l'événement et de la société dans laquelle l'événement se produit. Il s'agit de savoir si les gens seront là pour maintenir les services.

    À titre d'exemple, si un événement grave se produit, les gens sont-ils disposés à maintenir les services ou sont-ils plus disposés à rentrer chez eux et à protéger leurs proches? Ce ne sont que des humains, n'oubliez pas.

    Gens

    De plus, s'il y a toujours un système qui fonctionne, le gouvernement ou une sorte de système, a-t-il suffisamment de pouvoir pour FORCER les gens à maintenir les services ? Les gens voudront rentrer chez eux dans leur famille.

    Le fait important est que si l'événement qui se produit ici est suffisamment grave pour causer des problèmes aux services publics, il est probablement suffisamment grave pour que d'autres services comme les forces de police ou les services médicaux ne fonctionnent plus. Par conséquent, la situation en matière de sécurité se détériorera, c'est donc une autre raison évidente pour laquelle les gens voudraient être davantage avec leur famille plutôt que de travailler.

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  23. Une détérioration de la situation des services publics ira généralement de pair avec une détérioration du comportement entre les gens, donc ce n'est pas comme si notre seul problème était les services de la ville et tout le reste irait bien à la maison (et en toute sécurité).

    Maintenant, tout cela peut être différent dans différents scénarios, je parle d'un effondrement complet ou partiel du système.

    Le système
    Dans quel type de système vous vivez ?

    Ce système va-t-il mettre en œuvre des mesures très sévères afin de maintenir «les choses en cours» ?

    Vous ne pouvez pas comparer une situation probable dans votre pays avec une situation qui se passe dans un autre pays si les systèmes sont complètement différents.

    Si vous vivez dans un système où vous avez été élevé pour lui faire confiance aveuglément, sans trop de libertés (ou aucune), avec des sanctions très sévères pour ne pas obéir, cela peut entraîner une réponse très disciplinée dans des situations difficiles, à la fois en raison de la mentalité des gens et aussi à cause de la peur de la punition. La Chine a ce genre de système.

    En fin de compte, je ne sais pas combien de temps les utilitaires dureraient dans votre cas où que vous soyez. Je sais que dans mon cas, le système et les services publics s'effondreraient en quelques semaines, et les gens rentreraient tout simplement chez eux, car, par expérience, ils savent que notre système est fragile. Ils savent qu'il ne se soucie pas des gens et que cela peut se retourner contre nous très rapidement. Et les gens sont également prêts à survivre sans l'aide du système. Ou du moins, ils sont prêts à essayer.

    Vous seul pouvez comprendre comment les choses fonctionneraient dans votre cas.

    https://www.zerohedge.com/health/would-we-still-have-power-water-if-we-had-massive-coronavirus-quarantine-us

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    1. Que faut-il retirer de telles frayeurs ?

      Premièrement que le parti communiste chinois condamné par tout les autres pays pour sa rigueur, apparait en quelque jours comme étant un exemple à suivre de partout !

      Deuxièmement, cela permet de mesurer le comment les choses se déplacent (pandémies et protections) afin d'en examiner les failles et les succès.

      Troisièmement, même si ce n'est pas (encore) le désir de Bill Gates de voir le monde réduit à 500 000 individus (dont Bill Gates ?), et que le virus fou international n'est qu'un simple rhume déformé par les merdias, il demeurera un exemple pour tous du quoi faire en cas de.

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  24. Aux États-Unis, les prévisions météorologiques opérationnelles sont paralysées par des ressources informatiques inadéquates


    par Tyler Durden
    Lun., 17/02/2020 - 19:55
    Via le blog météo de masse de Cliff


    Les prévisions météorologiques numériques mondiales des États-Unis sont désormais à la quatrième place, les capacités de prévision nationales et régionales étant une ombre de ce qu'elles pourraient être.

    Il y a plusieurs raisons à ces capacités de prévision numérique du retard, notamment le manque de planification stratégique, une coopération inadéquate entre la recherche et les communautés opérationnelles et trop d'efforts de prévision sous-optimaux.

    Mais il y a une autre raison d'égale importance: un profond manque de ressources informatiques dédiées à la prévision numérique du temps, tant pour les opérations que pour la recherche.

    En résumé: les ressources de prévisions météorologiques numériques opérationnelles des États-Unis utilisées par le National Weather Service doivent être augmentées 10 fois pour rattraper les efforts de premier plan dans le monde et 100 fois pour atteindre l'état de la science.

    Pourquoi le National Weather Service a-t-il besoin de très grandes ressources informatiques pour fournir à la nation des prévisions météorologiques de premier plan?

    D'immenses ressources informatiques sont nécessaires pour la prévision numérique du temps moderne. Par exemple, NOAA / NWS TODAY est responsable de l'exécution:

    Un modèle atmosphérique mondial (le GFS / FV-3) fonctionnant à une résolution de 13 km sur 384 heures.

    Ensembles mondiaux (GEFS) de nombreuses prévisions (21 prévisions) à une résolution de 35 km

    Les modèles Rapid Refresh et RAP haute résolution sortent 36 h.

    Le modèle du système de prévisions climatiques atmosphère / océan sur 9 mois.

    Le modèle national de l'eau (WRF combiné et modélisation hydrologique)

    Modèles d'ouragan pendant la saison

    Analyses de réanalyse (réexécution des dernières décennies pour fournir des informations d'étalonnage)

    Exécution du modèle nord-américain à méso-échelle (NAM)

    Exécution du système de prévision d'ensemble à courte portée (SREF)

    Ce n'est pas une liste exhaustive. Et puis il y a le besoin de cycles de recherche pour soutenir le développement des systèmes de prochaine génération. Comme le suggère le Centre européen de prévision météorologique à moyen terme, leader mondial, les ressources informatiques de recherche doivent être au moins cinq fois supérieures aux exigences opérationnelles pour être efficaces.

    NY Times Magazine: 23/10/2016

    Comment le manque de ressources informatiques sape la prévision numérique du temps du NWS
    Les systèmes de modélisation actuels (certains décrits ci-dessus) utilisés par le National Weather Service sont généralement moins capables qu'ils ne le devraient en raison de ressources informatiques insuffisantes. Quelques exemples.

    1. Assimilation des données. La principale raison pour laquelle le modèle mondial américain est à l'origine du Centre européen et des autres dirigeants est qu'ils utilisent une approche appelée 4DVAR, une technique exigeante en ressources qui implique d'exécuter les systèmes de modélisation en avant et en arrière dans le temps plusieurs fois. Des ressources

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  25. informatiques inadéquates ont empêché le NWS de le faire.

    2. Ensembles haute résolution. Un rapport de l'Académie nationale après l'autre, un comité d'atelier national après l'autre, et un comité consultatif après l'autre a dit à la direction de NWS que les États-Unis doivent avoir un grand système d'ensemble à haute résolution (espacement de grille d'au moins 4 km, 30 à 50 membres) pour faire face à la convection (par exemple, les orages) et à d'autres caractéristiques météorologiques à haute résolution. Mais la puissance informatique nécessaire n'est pas disponible.

    3. Ensembles mondiaux. Une capacité clé de tout centre de prédiction mondial de premier ordre est de gérer un grand ensemble mondial (50 membres au plus), avec une résolution suffisante pour simuler de manière réaliste les tempêtes et les principaux impacts du terrain (espacement de grille de 20 km ou mieux). Le Centre européen compte un ensemble de 52 membres répartis sur une grille de 18 km. Le service météorologique national américain? 21 membres à une résolution de 35 km. Pas dans la même ligue.

    Je passe beaucoup de temps avec la NOAA et les développeurs de modèles du National Weather Service et les chefs de groupe. Ils se plaignent continuellement du manque de ressources informatiques pour le développement et les tests. Ils me disent qu'une telle pénurie de ressources les empêche de faire le travail qu'ils savent qu'ils pourraient. Ce sont de bonnes personnes, qui veulent faire un travail de pointe, mais elles ne peuvent pas le faire avec des ressources informatiques inadéquates.

    Les ressources informatiques de la NOAA / NWS sont si limitées que les chercheurs universitaires ayant de bonnes idées ne peuvent pas les tester sur des ordinateurs NOAA ou dans des fac-similés de l'environnement informatique opérationnel. Les documents de proposition de subvention de la NOAA le montrent clairement: la NOAA / NWS ne peut pas fournir les ressources informatiques essentielles dont les chercheurs universitaires ont besoin pour tester leurs innovations (ci-dessous est une citation d'un récent document de subvention de la NOAA):

    Donc, si un chercheur a une bonne idée qui pourrait améliorer les prévisions météorologiques opérationnelles aux États-Unis, il n'a pas de chance: NOAA / NWS n'a pas les ressources informatiques pour vous aider. Juste triste.

    Les ressources informatiques des prévisions météorologiques aux États-Unis stagnent tandis que le Centre européen se rapproche

    Les ressources informatiques NOAA / NWS disponibles pour la prévision météorologique opérationnelle sont limitées à environ 5 pétaflops (pflops). Jusqu'à l'ouragan Sandy (2010), la direction du National Weather Service se contentait de posséder un dixième des ressources informatiques du Centre européen, mais après que la situation scandaleuse a été rendue publique après cette tempête (y compris la couverture des NBC nightly news), la direction de la NOAA / NWS réussi à obtenir une augmentation importante au niveau actuel - qui est juste en dessous de ce qui est disponible pour le Centre européen.

    Mais la situation est en réalité bien pire qu'elle ne le semble. Les ressources informatiques NWS sont réparties entre les machines opérationnelles et de sauvegarde et dépendent d'une collection inefficace de machines d'architectures différentes (Dell, IBM et Cray). Il y a un goulot d'étranglement d'E / S (entrée / sortie) de ces machines (ce qui signifie qu'elles ne peuvent pas y entrer et en sortir efficacement) et les capacités de stockage sont insuffisantes.

    Il n'y a pas de véritable plan de mise à niveau sérieuse de ces machines, à part une amélioration de 10 à 20% au cours des prochaines années.

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  26. En revanche, le Centre européen dispose désormais de deux machines avec un total d'environ 10 pflop de performances de pointe, avec beaucoup plus de stockage et de meilleurs canaux de communication vers et depuis la machine.

    Et gardez à l'esprit que les ordinateurs ECMWP ont bien moins de responsabilités que les machines NCEP. Les ordinateurs du NCEP doivent TOUT faire de la modélisation globale à la modélisation locale, pour la prévision hydrologique aux échelles de temps saisonnières. Les ordinateurs du CEPMMT ne doivent gérer que le calcul de modèle global.

    Pour rendre les choses encore plus déséquilibrées, le Centre européen construit actuellement un nouveau centre informatique en Italie et a récemment signé un accord pour acheter un nouveau système informatique CINQ FOIS aussi performant que le système actuel.

    Ils vont laisser dans la poussière des capacités de prévisions météorologiques NOAA / NWS. Et cela n'a pas dû se produire.

    Résoudre le problème

    L'ancienne direction de la NOAA / NWS porte une responsabilité substantielle dans cette catastrophe, le Congrès partageant la responsabilité de ne pas être attentif à cet échec. Le Congrès a fourni un financement substantiel à la NOAA / NWS dans le passé pour le développement de modèles, mais ce financement n'a pas été utilisé efficacement.

    Surtout, il y a un soutien bipartisan au Congrès pour améliorer les prévisions météorologiques, ce qui était évident lorsque j'ai témoigné lors d'une audience pour le sous-comité de l'environnement de la Chambre en novembre dernier. Ils savent qu'il y a un problème et veulent aider.

    Il y a un soutien bipartisan au Congrès pour une meilleure modélisation météorologique

    Un point positif majeur est que la NOAA est désormais dirigée par deux personnes (Neil Jacobs et Tim Gallaudet), qui comprennent le problème et souhaitent le résoudre. Et le conseiller scientifique du président, Kelvin Droegemeier, est un modéliste météorologique, qui comprend le problème.

    Alors, que faut-il faire maintenant ?

    (1) La modélisation des prévisions numériques aux États-Unis doit être réorganisée, car il est clair que la structure héritée, qui répartit inefficacement les activités de responsabilité et de soutien, ne fonctionne pas. La proposition de l'administrateur de la NOAA Neal Jacobs de construire un nouveau centre EPIC pour être la pièce maîtresse du développement du modèle américain devrait être suivie (voir mon blog sur EPIC ici).

    (2) La NOAA / NWS doit élaborer un plan stratégique détaillé qui non seulement plaide pour davantage de ressources informatiques, mais montre comment ces ressources amélioreront les prévisions météorologiques. Étonnamment, ils n'ont jamais fait cela. En fait, NOAA / NWS n'a même pas de document décrivant en détail les ressources informatiques dont ils disposent actuellement (je sais, j'ai demandé à un certain nombre de gestionnaires NOAA / NWS de le faire - ils m'ont admis qu'il n'existait pas).

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  27. (3) Avec un tel plan, le Congrès devrait investir dans le type de ressources informatiques qui permettraient aux prévisions météorologiques américaines de devenir de premier ordre. Dix fois les ressources informatiques (coûtant environ 100 millions de dollars) nous amèneraient à la parité, 100 fois nous permettraient d'être à la pointe de la science (y compris des choses telles que l'exécution de modèles mondiaux à une résolution autorisant la convection, quelque chose sur lequel j'ai travaillé dans mes recherches).

    Gardez à l'esprit qu'un nouveau système informatique de prévision météorologique ne coûterait pas plus cher qu'un seul avion de chasse de haute technologie. Selon vous, lequel serait le plus avantageux pour les citoyens américains ? Et rappelez-vous, une excellente prévision météorologique est la première ligne de défense contre les intempéries qui pourraient être produites par le réchauffement climatique.

    82 millions de dollars par pièce

    (4) Les ressources informatiques futures devraient être réparties entre les prévisions opérationnelles à forte demande, qui nécessitent de grandes machines dédiées, et des cycles de recherche / développement moins sensibles au temps, qui pourraient utiliser l'informatique en nuage. Ainsi, les futures ressources informatiques de la NOAA seront hybrides.

    (5) La prévision numérique opérationnelle actuelle du Service météorologique national a été réalisée au Centre des opérations centrales du NCEP. Ce centre n'a pas été efficace, a ralenti inutilement la transition vers des opérations de changements importants et doit être réorganisé ou remplacé par une entité plus facile et réactive.

    Les citoyens américains peuvent bénéficier de prévisions météorologiques bien meilleures, sauvant de nombreuses vies et des dizaines de milliards de dollars par an. Mais pour ce faire, il faudra que la NOAA / NWS sécurise des ressources informatiques considérablement accrues et réorganise le développement et les opérations des modèles météorologiques pour en tirer parti.

    https://www.zerohedge.com/technology/us-operational-weather-prediction-crippled-inadequate-computer-resources

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  28. Chicago enregistre la Saint-Valentin la plus froide depuis un demi-siècle; Le choc de l'hiver est probablement terminé - Bonjour le printemps ?


    par Tyler Durden
    Lun, 17/02/2020 - 18:40


    L'explosion arctique de la semaine dernière était très visible à Chicago. Les résidents se sont réveillés à des températures inférieures à zéro le jour de la Saint-Valentin, l'un des jours les plus froids de près de cinq décennies.

    L'aéroport international O'Hare a enregistré moins 2 degrés F (-18,8°C) le 14 février, selon le National Weather Service (NWS).

    Vendredi dernier, la vague de froid avait un degré de moins de moins 3 degrés enregistré en 1943. Encore à 5 degrés de la dépression la plus froide jamais enregistrée de moins 8 degrés en 1905 (-22,2°C).

    - voir graphique sur site -

    Moins 2 degrés a sans aucun doute été la journée la plus froide de la ville jusqu'à présent cette année, étant donné qu'une grande partie de l'Amérique du Nord a connu une saison d'hiver 2019-2020 relativement douce.

    Le risque d'une nouvelle explosion dans l'Arctique pour le Midwest au cours des 10 à 15 prochains jours semble être faible et les températures devraient se redresser.

    Les tendances des degrés-jours de chauffage (HDD) dans le Midwest seront élevées jusqu'à la fin du mois, mais devraient diminuer jusqu'en mars, ce qui suggère que le gros de l'hiver pourrait toucher à sa fin.

    US-Lower 48 HDD montre également une lecture élevée jusqu'à la fin du mois avec une baisse jusqu'en mars.

    - voir graphique sur site -

    Et compte tenu du fait que les États-Unis sont le seul pays au monde à utiliser une marmotte pour chronométrer les tendances cycliques des changements saisonniers - peut-être que cette façon peu orthodoxe de prédire la météo a raison cette année, car Punxsutawney Phil n'a pas vu son ombre il y a plusieurs semaines, indiquant qu'un le début du printemps arrive.

    https://www.zerohedge.com/commodities/chicago-records-coldest-valentines-day-half-century-brunt-winter-likely-over-hello

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    Réponses

    1. Les résultats sont considérables après un passage de froid exceptionnel ! Plus d'arbres ! Tous morts ! Plus d'oiseaux ! Tous morts ! Imaginez le printemps arriver et... pas de feuilles aux arbres ni de fleurs, ni d'oiseaux, d'abeilles, etc !

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