Découvrez en 6 épisodes comment redonner de la liberté aux agriculteurs.
Par Laurent Pahpy.
23 FÉVRIER 2020
Un article de l’Iref-Europe
"Si ça bouge, taxez-le. Si ça continue à bouger, réglementez-le. Si ça s’arrête de bouger, subventionnez-le".
C’est ainsi que Ronald Reagan, ancien président des États-Unis, décrivait la gestion de l’économie par les administrations publiques. Cette citation un peu caricaturale pourrait malheureusement s’appliquer à l’agriculture française. Ce secteur, qui pèse désormais moins de 2 % du PIB, vit une crise structurelle depuis plusieurs années.
L’agriculture est particulièrement administrée, réglementée, protégée, contrôlée et subventionnée par l’État et de multiples organismes publics et parapublics. Il est communément admis que ce dirigisme est nécessaire pour protéger notre « modèle français ». Pourtant, force est de constater que la perte de compétitivité des producteurs français par rapport aux concurrents étrangers s’aggrave continuellement depuis les années 1990. Cet interventionnisme public ferait-il plus de mal que de bien aux filières agricoles ?
CRISE ET RETARD AGRICOLES FRANÇAIS
L’agriculture française est en profonde mutation depuis de nombreuses années. Le nombre d’exploitations a fortement baissé : entre 1988 et 2010, il a été divisé par deux, passant de un million à 500 000. La définition d’une exploitation et l’évaluation de leur nombre varient sensiblement selon les instituts, mais la baisse est toujours très nette. En 2013, l’INSEE dénombrait 270 000 exploitations de plus de 20 hectares.
Les exploitations sont devenues plus grandes et plus productives et cette tendance continue (voir figure 1 et figure 2). Les rendements ont augmenté et l’emploi agricole a fortement baissé, perdant près de 250 000 actifs permanents entre 2000 et 2015, pour atteindre 710 000 actifs environ, hors main-d’œuvre saisonnière ou occasionnelle.
Figure 1 : distribution des exploitations selon leur taille (surface agricole utile)
Source : Pollet, De l’exploitation familiale à l’entreprise agricole https://www.insee.fr/fr/statistiques/1374367?sommaire=1374377, 2014
Figure 2 : superficie moyenne par exploitant de 2007 à 2016
Source : MSA, Les chiffres utiles de la MSA – Édition nationale 2017 http://statistiques.msa.fr/publication/chiffres-utiles-de-msa-edition-nationale-2017, 22/06/17
Depuis 2000, l’emploi agricole a baissé d’un quart en unités de travail annuel. De 28 milliards d’hectares en l’an 2000 à 27 milliards en 2010, la surface agricole totale utilisée est aussi en légère baisse.
Toutefois, le nombre d’exploitations, leur part dans la valeur ajoutée de l’économie nationale, la quantité de main-d’œuvre ou les surfaces totales cultivées ne sont pas de bons indicateurs pour affirmer que l’agriculture est en perte de compétitivité.
En effet, ces évolutions s’expliquent en grande partie par des gains de productivité : économies d’échelle avec des exploitations plus grandes*, technologies plus productives et moins intensives en main-d’œuvre ou encore augmentations de rendement à l’hectare, pour ne citer que quelques exemples.
La puissance publique a partiellement soutenu ces évolutions grâce à divers mécanismes comme les subventions proportionnelles au foncier ou les indemnités viagères de départ.
DES RAISONS DE S’INQUIÉTER ?
Pour savoir si les agriculteurs français ont raison de s’inquiéter, il faut observer la concurrence et analyser leurs parts de marché à l’international. Même si le secteur agricole est depuis longtemps un poids lourd de la balance commerciale française, sa compétitivité s’effondre. De 8,3 % des parts à l’export en 2000, il ne représente plus que 5 % du commerce international des produits agroalimentaires.
Troisième exportateur mondial il y a encore 15 ans, la France est passée en sixième position, derrière les Pays-Bas et l’Allemagne (voir figure 3). Les vins et spiritueux, les céréales et les produits laitiers sont les secteurs qui se portent le moins mal.
Figure 3 : parts de marché des principaux pays exportateurs dans le commerce international de produits agricoles
Source : IREF d’après les données de l’OMC ( http://stat.wto.org )
Selon la mutualité sociale agricole (MSA), un tiers des agriculteurs gagnait moins de 350 euros par mois en 2015 (subventions incluses). Les revenus professionnels annuels moyens ont baissé de plus de 30 % en deux ans, passant de 14 000 euros en 2013, à moins de 10 000 euros annuels en 2015.
Nombreux sont les agriculteurs à connaître de graves difficultés financières. À cela s’ajoute leur incapacité à s’adapter à la conjoncture économique dans un contexte de baisse mondiale des prix des matières premières agricoles.
Un autre indicateur fait froid dans le dos : celui du taux de suicide. Un agriculteur se suicide tous les deux jours en France. Les agriculteurs de plus de 50 ans ont un risque de décès par suicide multiplié par trois par rapport à la moyenne nationale.
L’Union européenne (UE), l’État français, les administrations locales et de multiples organismes d’accompagnement publics et parapublics sont pourtant au chevet de ce secteur sinistré. Pourquoi l’agriculture a-t-elle autant de mal à se restructurer ? Subventions, réglementations ou organismes publics et parapublics : ces outils feraient-ils plus de mal que de bien ?
Depuis la dictature de Bruxelles tout est mis en place pour éliminer tous les paysans, empêcher ceux qui restent de produire (interdiction de lutter contre les maladies et les ravageurs ! cherté des engrais, du matériel, de l'eau, des impôts) et d'affamer la population !
RépondreSupprimerDemain, SEULS les riches pourront se nourrir, seuls les riches auront de l'électricité
L'agriculture évolue. On est plus aux siècles précédents où l'on ne récoltait qu'une fois par an ! Aujourd'hui existent les serres ! Leur nombre est exponentiel et les cultures y sont toute l'année ! (quelque soit le temps qu'il fasse dehors).
Aujourd'hui, les serres (froides) sont doublées de 2 plastiques à 10 cm l'un de l'autre, des 'serres-gigognes', des 'poupées russes' où sont en hiver cultivées des tomates !
Une invasion de criquets assombrit le ciel de Bahreïn – vidéos
RépondreSupprimer21:45 22.02.2020
Un immense nuage de criquets pèlerins apporté par le vent depuis l’Arabie saoudite a perturbé vendredi 20 février la circulation routière dans le royaume de Bahreïn, comme en témoignent plusieurs vidéos postées sur les réseaux sociaux.
Après s’être abattus sur l’Arabie saoudites, des essaims des criquets pèlerins ont empli le ciel de Bahreïn, interrompant presque la circulation sur l’une des autoroutes majeures du royaume.
Des vidéos de dashcams (caméras embarquées) montrent les insectes atterrissant sur les pare-brise des voitures, réduisant la visibilité à quelques mètres.
Beaucoup d’autres vidéos prises dans les différentes localités du royaume ont également été partagées sur les réseaux sociaux.
Le site News of Bahrein explique que les insectes ont volé depuis d'Arabie saoudite et se sont très rapidement propagés à travers tout le pays grâce au vent fort qui balaie le golfe Persique ces jours-ci. Plus tôt, une invasion de ces insectes avait été observée au Yémen et à Oman.
https://fr.sputniknews.com/insolite/202002221043114256-une-invasion-de-criquets-assombrit-le-ciel-de-bahrein--videos/
Eux aussi (dictatures monarchiques), en l'absence de produits de traitement contre les 'réfugiés climatiques' c'est la famine généralisée en quelques minutes ! Zéro culture ! zéro arbre ! zéro ombre !
SupprimerUn médecin arrêté après les conséquences mortelles de l’excision pratiquée sur une fillette en Égypte
RépondreSupprimer21:01 22.02.2020
Après qu’une fille de 12 ans est décédée en raison de la douleur causée par la mutilation de ses parties génitales, le médecin qui a pratiqué l’excision a été arrêté. Les parents de la victime seront également jugés.
La justice égyptienne a ordonné samedi 22 février l'arrestation d’un médecin et le lancement de poursuites judiciaires à son encontre pour avoir pratiqué une excision sur une jeune fille de 12 ans, provoquant sa mort, rapporte l’AFP.
Le gynécologue, qui avait déclaré avoir effectué cette opération fin janvier seul dans sa clinique privée, avait été une première fois arrêté avant d'être relâché quelques jours plus tard.
Il avait assuré n'avoir réalisé qu'une «opération de chirurgie esthétique» sur la jeune Nada.
Mais selon un communiqué du parquet, le médecin légiste qui a procédé à une expertise sur le corps a établi que la jeune fille était décédée en raison de la douleur causée par la mutilation génitale.
Royaume-Uni: elle se voit condamnée à 11 ans de prison pour l'excision de sa fille
En conséquence, le procureur général a ordonné que le gynécologue soit de nouveau arrêté et «jugé auprès d'une cour pénale», a indiqué le parquet.
Les parents -qui avaient porté plainte et qui avaient été brièvement arrêtés- seront également jugés pour leur «participation à ce crime», d'après la même source.
Pratique courante en Égypte
La mort de Nada avait suscité l'émoi sur les réseaux sociaux, des internautes égyptiens dénonçant la pratique de l'excision.
Ceux qui l'exercent risquent sept ans de prison. La loi, cependant, n'est pas toujours appliquée et la pratique reste courante en Égypte, où beaucoup croient que l'excision encourage la chasteté des femmes.
Selon une étude publiée en 2016 par le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), près de 90% des femmes et adolescentes égyptiennes âgées de 15 à 49 ans ont été excisées.
L'Unicef avait condamné la «mort tragique de Nada [qui] souligne le besoin de protéger de manière urgente les filles de cette pratique dangereuse».
https://fr.sputniknews.com/societe/202002221043114017-un-medecin-arrete-apres-les-consequences-mortelles-de-lexcision-pratiquee-sur-une-fillette-en/
Profitant que les enfants ou nouveaux-nés ne peuvent se défendre, ils sont handicapés pour la vie ! Car leur 'religion' interdit le plaisir sexuel ! Donc, inutile de se masturber s'ils ou elles sont circoncis, ils ou elles n'éprouveront rien. De plus, mariées à 8 ou 9 ans, elles subissent tôt l'esclavage; donc, zéro amour sentimental.
SupprimerIls ne reste donc chez les excisé(e)s que la haine et les envies de meurtres. C'est pourquoi, tous les pays où ce crime existe sont continuellement en guerre contre n'importe qui.
Une fille qui a poursuivi pour empêcher des hommes biologiques de courir sur la piste des filles bat un trans-Runner pour le championnat
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 22/02/2020 - 17:15
Maintenant, c'est une histoire sur le "pouvoir des filles" ...
Ce n'est que deux jours après le dépôt d'une plainte contre la Connecticut Interscholastic Athletic Conference (CIAC) que Chelsea Mitchell a fait une déclaration beaucoup plus importante que celle qu'elle aurait pu faire dans la salle d'audience.
Elle avait intenté une action en justice parce que le CIAC autorisait les hommes biologiques à participer aux sports féminins, menant une coureuse trans à remporter "de nombreux titres" dans les épreuves féminines, selon The Daily Wire.
Mitchell a donc décidé non seulement de faire une déclaration au tribunal - mais aussi d'en faire une sur la piste. Elle a vaincu le coureur trans Terry Miller au tableau de bord des 55 mètres de classe S avec un temps de 7,18 secondes aux championnats d'État.
"Mitchell est également arrivé première aux 300 mètres, alors que Miller était 16e et Mitchell a remporté le saut en longueur", selon The Daily Mail.
Et il ne semble pas non plus y avoir eu de plaisanteries échangées entre les deux coureurs après la course. Le Harford Courant a déclaré: "Il n'y a eu aucune interaction entre les deux avant ou après la course."
Mitchell ne pensait pas que sa victoire pourrait affecter négativement son procès: "Je ne pense pas que cela puisse aller contre, il y a toujours des tonnes de filles qui perdent quotidiennement", a-t-elle déclaré.
Mitchell est un aîné à Glastonbury High School. Avec une autre athlète, Alanna Smith, elle a déposé une plainte fédérale auprès de leurs familles après que le CIAC ait autorisé deux hommes biologiques à participer à des compétitions sportives féminines. Ces hommes ont ensuite remporté un total de 15 titres de championnat d'État féminin, anciennement détenus par 9 filles différentes. Les hommes ont saisi plus de 85 occasions de participer à des compétitions féminines de niveau supérieur entre 2017 et 2019.
«Les trois plaignants se sont affrontés directement contre eux, perdant presque toujours contre Miller et généralement derrière Yearwood. Mitchell a terminé troisième du championnat d'État 2019 dans la compétition de piste intérieure féminine de 55 mètres derrière Miller et Yearwood », a déclaré le Daily Mail.
Mitchell est actuellement classée la fille biologique la plus rapide du Connecticut et a perdu quatre championnats d'État féminins et deux prix de la Nouvelle-Angleterre aux hommes.
Elle a déclaré: «Je savais que j'étais la fille la plus rapide ici, l'une des plus rapides de l'État. Je me suis souvenu de toute ma formation et de tout ce qu'on m'avait appris sur la façon de maximiser ma performance… J'ai pensé à toutes les fois que d'autres filles ont perdues. Je pouvais sentir l'adrénaline dans mon sang et espérer que ça coulait de moi. C'est peut-être juste que je pourrais gagner ça. Ensuite, l'arme a explosé. Et j'ai perdu. "
Miller, un homme biologique, avait déclaré en 2019: «J'ai été victime de discrimination dans tous les aspects de ma vie et je ne veux plus garder le silence. Je suis une 'fille' et je suis 'coureuse'. Je participe à l'athlétisme tout comme mes pairs pour exceller, trouver une communauté et un sens à ma vie. Il est à la fois injuste et douloureux d'attaquer mes victoires et d'ignorer mon travail acharné. »
https://www.zerohedge.com/political/girl-who-sued-stop-biological-males-running-girls-track-defeats-trans-runner-championship
Voici l'arnaque «verte»: voici les fonds ESG les plus populaires
RépondreSupprimerIllustration du profil de l'utilisateur Tyler Durden
par Tyler Durden
Sam, 22/02/2020 - 21:52
Tous les quelques années, c'est la même chose: peu de temps après le début de l'ère post-crise, l'engouement du jour pour l'investissement était les imprimantes 3D; lorsque cela a fait long feu, il a été remplacé par des hamburgers / sandwichs artisanaux qui se sont ensuite transformés en bulle biotechnologique; lorsque ces sociétés de blockchain éclatées étaient les chouchous de la bulle de la journée, qui à leur tour ont été remplacés par des stocks de cannabis. Peu de temps après, la bulle du pot a éclaté, laissant un vide à combler.
C'est à ce moment-là que le tour de force de signalisation de la vertu qui est ESG, ou Environnemental, Social et Gouvernance, a fait sa première apparition, qui vient de coïncider avec la croisade anti-réchauffement climatique si manifestement mise en scène menée par un adolescent de 16 ans enfant (dont les mots sont écrits par des fantômes de ses parents affamés de publicité) ainsi que des banques centrales, des politiciens, l'ONU, le FMI, la Banque mondiale, d'innombrables sociétés et ONG "vertes" et à peu près tout le monde dans l'establishment en ruine.
Après tout, qui peut éventuellement être contre la fixation du climat, même si cela coûte des quadrillions ... ou plutôt surtout si cela coûte des quadrillions - parce que d'un seul coup, les banques centrales se sont assurées une carte blanche pour imprimer autant d'argent qu'elles le feraient jamais besoin, car qui diabolique bâtard égoïste refuserait la monétisation de tout, si c'était pour s'assurer que les générations futures - les mêmes générations que ces mêmes banques centrales ont condamné à une vie de richesse record et d'inégalité de revenu - avaient une vie meilleure (comparé à une ligne de base imaginaire qui n'existe pas vraiment).
Et puisque le mouvement vert était là pour rester, la vague d'investissements pro-ESG a également été lancée par chaque banque à ses clients parce que, vous savez, c'est la chose socialement, écologiquement et financièrement responsable.
Il n'y a qu'un seul problème. Au lieu de trouver des entreprises qui, bien, se soucient de l'environnement, de la société ou sont pour un mouvement de gouvernance progressiste, il s'avère que les avoirs les plus populaires de toutes ces vertus signalant les fonds ESG sont des entreprises telles que ... Microsoft, Alphabet, Apple et Amazon, dont on aurait du mal à expliquer comment leurs actions font tout ce qui est bénéfique pour l'environnement, ou quoi que S et G représentent. C'est de mieux en mieux: parmi les autres sociétés ESG les plus populaires figurent la société de conseil Accenture (?), Procter & Gamble (??) et ... drumroll, JPMorgan (!!? !!!?!).
Oui, pour tous ceux qui sont sans voix devant le fait que la dernière farce d'investissement de signalisation de vertu n'est rien de plus que l'hypocrisie cristallisée pure de Wall Street et des sociétés les plus précieuses d'Amérique, qui ont toutes dépassé le bogey de 1 000 milliards de dollars de capitalisation boursière parce qu'elles ont trouvé un crochet brillant pour attirer les libéraux les plus crédules et les plus sanglants du monde et franchement tout le monde en croyant qu'ils réparent le monde en investissant dans "ESG" alors qu'au lieu de cela, ils enrichissent Jeff Bezos et Jamie Dimon au-delà de leurs rêves les plus fous, voici le résumé du Credit Suisse des 108 fonds ESG les plus populaires. Veuillez vous efforcer de ne pas rire en lisant les entreprises "socialement responsables, respectueuses de l'environnement, agressivement progressistes" que l'on achète en investissant dans le "vert", alias arnaque ESG.
RépondreSupprimerImpossible, dites-vous. Personne ne peut être aussi hypocrite ... le Credit Suisse a sûrement fait une erreur? Et bien non. Pour confirmation, voici les 10 principaux titres du FNB ESG le plus pur disponible: le fonds FlexShares ESGG. Ci-dessous, nous présentons, sans autre commentaire, ses 10 principaux titres.
- voir sur site la liste des escrocs participants:
https://www.zerohedge.com/markets/behold-green-scam-here-are-most-popular-esg-fund-holdings
De nouvelles percées aident à extraire l'eau de l'air mince du désert
RépondreSupprimerPar CFACT
21 février 2020
Comme chacun le sait, les déserts manquent d'eau.
Ou le font-ils ?
Bien qu'il soit vrai que l'eau est rare sur leurs sols secs, les déserts contiennent en fait des quantités importantes d'eau qui persistent dans l'air. C'est pour cette raison qu'un certain nombre de scientifiques recherchent des moyens créatifs de le capturer et de fournir de nouvelles sources de nourriture à ceux qui vivent dans les régions arides.
Parmi les personnes engagées dans le défi figurent des chercheurs de l'Université du Connecticut. Ils ont conçu un soi-disant «piège» qui utilise de la birnessite, un type de dioxyde de manganèse. Pour capturer l'eau, ces scientifiques criblent la birnessite de petits trous qui permettent à l'air de passer et au H20 de s'accumuler. Un avantage clé de leur engin est que la birnessite se trouve couramment dans la nature et bon marché à créer. Les pièges à eau plus conventionnels utilisés aujourd'hui, en revanche, dépendent du zirconium qui est à la fois rare et très cher.
Une autre équipe de recherche, celle de l'Université de Californie à Berkeley, a également pesé dans l'effort. Ils proposent de remplacer le zirconium cher par «l'aluminium». L'aluminium, comme la birnessite, est moins cher que le zirconium, et il est également meilleur pour se lier à l'eau, puis la relâcher, ce qui rend le fonctionnement de ce piège particulier plus fluide.
Mais travaillent-ils réellement sur le terrain? Jusqu'à présent, les résultats sont prometteurs. Comme indiqué dans The Economist:
«Les deux propositions fonctionnent. Testés dans des conditions désertiques en laboratoire… ils absorbent et régurgitent quotidiennement des fractions raisonnables de leur poids d'eau. Elles ne sont pas aussi productives que les usines de dessalement et devraient donc être construites à grande échelle pour produire de l'eau en quantités commercialement utiles. Mais une chose que les déserts ont, c'est beaucoup de terres bon marché. Si l'une ou les deux de ces inventions peuvent être fabriquées à grande échelle, alors les déserts peuvent fleurir - sinon avec des plantes, du moins avec des fermes de collecte d'eau. »
Pour plus d'informations, consultez l'article complet dans The Economist.
https://www.cfact.org/2020/02/21/new-breakthroughs-help-pluck-water-from-thin-desert-air/