Le financement des recours collectifs aux USA est-t-il un système de Ponzi ?
6 Septembre 2019 par Seppi
Épisode 2/7 du SlimeGate : épisode 3.1/4 de l'arnaque des cherche-beurre – première partie
Risk-monger*
Notre ami le Risk-monger s'est lancé dans une série à tiroirs de longs articles qui m'ont plongé dans un abîme de perplexité s'agissant de la traduction des jeux de mots. Et je traduis dans le désordre...
Un premier article traqduit (qui n'est pas le premier de ces séries), « Le CIRC, les "experts" et les avocats prédateurs : les Bâtards du Benzène (1) » (épisode 3/7 du SlimeGate : épisode 2/4 de l'arnaque des cherche-beurre – première partie) démontrait que le CIRC-gate, la corruption du processus de décision du Centre International de Recherche sur le Cancer relatif au glyphosate par des intérêts judicio-financiers états-uniens, a eu un précédent, le benzène.
Nous voici plongés dans un autre aspect du merveilleux monde des affaires judicio-financières états-uniennes, un autre coin du voile levé sur les procédures engagées contre Bayer/Monsanto, ainsi que Johnson & Johnson.
Rappels (pour plus de détails, voir l'article précédent) :
« SlimeGate » : Le slime est une pâte gluante visqueuse, souvent colorée et très malléable. Cela décrit bien le processus de déliquescence dans lequel le CIRC est embarqué. Et « slimeball », un jeu avec du slime.
« Cherche-beurre » : C'est le « Tort-Tort » du Risk-monger, un « récidivistes de la recherche prêt à abandonner le processus scientifique approprié pour obtenir des paiements lucratifs et des jets privés ». Il se fait son beurre en se mettant au service des avocats prédateurs en tant que consultant scientifique et témoin expert.
« Avocats prédateurs » : ce sont les « Predatort », les cabinets spécialisés dans la tort law, le droit de la responsabilité civile (et délictuelle). Ils montent des affaires contre des défendeurs aux poches profondes en recrutant des plaignants qui ne paieront pas d'honoraires aux avocats mais toucheront (éventuellement, en cas de succès) une partie des dommages-intérêts. Ces avocats investissent donc dans une procédure, dans l'espoir de toucher le pactole à la suite soit de jugements, soit d'une transaction extrajudiciaire. Voir ici, d'Amanda Zaluckyj, la fille du fermier.
« Système (ou pyramide) de Ponzi » : « Ponzi scheme » en anglais, un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants.
Ceci est une annexe du chapitre 3, section 3 de SlimeGate. Cette section a tenté de comprendre pourquoi les avocats prennent autant et pourquoi les victimes reçoivent si peu des dommages-intérêts alloués par le jury dans les affaires de poursuites en responsabilité civile. Les nouvelles sociétés de financement des actions en justice génèrent beaucoup de capitaux librement disponibles, mais détournent également une grande partie du soutien potentiel des victimes au profit d'investisseurs tiers. Cet argent alimente à présent un nombre limité de poursuites (plus de 30.000 affaires sont en cours aux États-Unis contre des sociétés productrices de talc et de glyphosate). Plus je regarde ce nouvel outil financier non réglementé et le risque non protégé sur lequel il repose, plus je suis convaincu que cela est devenu un système de Ponzi.
Le financement des actions en justice (du point de vue commercial) est un outil permettant aux cabinets d’avocats spécialisés dans la responsabilité civile de couvrir leurs honoraires et autres frais bien avant le règlement du litige. Il offre aux investisseurs la possibilité de tirer des bénéfices des futurs règlements potentiels tout en fournissant aujourd'hui aux cabinets d’avocats un capital leur permettant de fonctionner. Les avocats peuvent assurer en temps voulu le paiement de leurs honoraires, le remboursement de leurs frais liés aux voyages, aux publicités, aux consultants, aux recherches sur les plaignants, aux incitations offertes aux ONG, aux honoraires des témoins experts, aux émoluments et aux frais de bureau.
Ces fonds génèrent souvent un taux de rendement annuel fixe, avec un bonus sur le règlement des litiges. Comme les affaires vont souvent en appel, les coûts peuvent augmenter au fil des ans, souvent plus d'une décennie. D'autres outils de prêt ne remboursent les investisseurs que s'il y a des règlements, mais dans de nombreux portefeuilles de responsabilité civile, cela devient de moins en moins courant. L’innovation financière la plus récente permet aux particuliers de procéder à un financement participatif de groupes de cas, en particulier en prenant en charge une partie des petits litiges.
Ceci était historiquement connu sous le nom de «champerty» [du français « champart »] en common law britannique (la part du seigneur féodal) et était, jusqu'à récemment, considéré comme illégal.
En supposant un rendement annuel de 20 % (modeste si on le compare à ce que Burford ou IMF Bentham ont rapporté), si j'investissais un million de dollars dans un véhicule de financement d'un litige typique pour un groupe particulier de plaintes en responsabilité, je gagnerais 200.000 dollars par an. En supposant qu'il n'y ait pas d'appels qui traînent en longueur, je récupérerais mon investissement initial après le règlement (si possible avec un bonus, après les « gains » anticipés). Il n'est pas rare pour un grand cabinet d'avocats en droit de la responsabilité civile d'engendrer des coûts de 100 millions de dollars pour une affaire (les jets privés ne sont pas bon marché), ce qui impliquerait 100 millions de dollars supplémentaires pour rembourser les investisseurs pour une durée de procédure de cinq ans (quel que soit le résultat).
Verser de la cupidité sur un feu éthique
Maintenant, la partie la plus douce du financement des actions en justice est que ces transactions peuvent être effectuées en secret. Les tentatives faites pour que les bailleurs de fonds et les investisseurs soient révélés dans le cadre d'une procédure de discovery ont été rejetées. Ainsi, les personnes qui investissent en fin de compte dans des poursuites massives en responsabilité civile ou dans des portefeuilles jouissent d'un anonymat complet. Il pourrait s'agir de concurrents heureux de voir les produits de leurs concurrents faire l'objet de litiges désordonnés et interminables qui ternissent leur réputation. Il pourrait même s'agir de juges (au Royaume-Uni, un juge à la retraite gérait un fonds de financement offshore avec des avocats). Comme dans le cas de Sheldon Silver, le président de l'Assemblée de l'État de New York emprisonné aujourd'hui, il pourrait s'agir de politiciens corrompus cherchant à blanchir des fonds (cinq millions de dollars dans son cas) versés par les mêmes avocats prédateurs, Weitz & Luxenberg, gérant le fonds de financement des actions en justice.
Sans transparence, il n’existe pas d’audits ou de réglementation appropriés pour protéger les parties impliquées (il n'y a que l’attrait des rendements élevés). Il y a cinq ans, les opérations suspectes d'un fonds de financement offshore, Argentum Capital, ont été mises au jour. Le « système implique un labyrinthe de sociétés non contrôlées, non auditées et non agréées dans plusieurs juridictions et est structuré pour éviter tout contrôle », mais comme il a été conçu par des avocats, personne n'a été condamné. Argentum Capital est coté au Channel Islands Securities Exchange, mais appartient à une société des îles Caïmans et est géré par une troisième société basée à Hong Kong.
À la base, les conflits d’intérêts de certains fonds ne font qu'exhaler la corruption. Prenez Counsel Financial (devise : « prêts souples pour les cabinets d'avocats ») fondée par Perry Weitz et Arthur Luxenberg au service du cabinet… Weitz & Luxenberg. Comment l’argent de cette entreprise est-il géré ? Vous devrez demander… bien sûr… à Perry Weitz et Arthur Luxenberg. S'ils injectent plus de liquidités dans un espace de litiges limité et grouillant d'opportunistes, qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?
Voici une chose : Weitz & Luxenberg a lourdement investi dans des affaires concernant le glyphosate contre Bayer. Si leur fonds, Counsel Financial, prête généreusement et largement aux officines de coin de rue pour se joindre à la ruée sur le glyphosate, ces petites officines recruteront les plaignants les moins attrayants et les ajouteront à la montagne de poursuites, ce qui amplifiera la stratégie de surenchère pour persuader Bayer de rechercher un règlement extrajudiciaire global. Si Bayer reste ferme, ces cas vont probablement être perdus et les petites officines spécialisées dans la responsabilité civile cesseront leurs activités, réduisant ainsi la concurrence pour Weitz & Luxenberg tout en créant un vivier d'employés potentiels. Si ce n’est pas un conflit d’intérêts, je ne sais pas ce que c’est...
Donner de l'argent gratuit à un groupe d'avocats notoirement non éthiques et rapaces, opérant sans contrôle ni divulgation, ne peut pas, à première vue, sembler une bonne idée. Et alors que les histoires d'avocats prédateurs se comportant mal tout en dilapidant de l’argent commencent à sortir, d'aucuns commencent à réclamer des règles d’éthique… c'est sérieux.
Pas de bonnes preuves ? Pas de bon investissement !
L'investissement dans les actions en justice étant devenu la norme, il en est résulté une explosion des financements, ce qui a permis aux petits cabinets d’augmenter leur capacité d’accroître leurs portefeuilles de clients sans devoir faire preuve de la diligence requise. De nombreux fonds de financement des actions en justice encouragent l’élargissement des portefeuilles (prise en charge d’un nombre beaucoup plus important de clients dans des actions en responsabilité civile). Comme de plus en plus d’argent est à la recherche de retours importants, les cabinets d’avocats en droit de la responsabilité civile investissent ce capital dans le chalutage de victimes à la télévision en fin de soirée et dans la gestion de milliers de plaignants au lieu de dizaines. Deux litiges impliquent le cancer : le glyphosate et le talc représentent aujourd'hui plus de 30.000 cas aux États-Unis. Il s’agit d’une répartition du capital sans précédent (et non testée) repoussant les capacités d’un assez petit nombre de cabinets d’avocats à leur limite.
Mais que se passerait-il si un grand nombre d'affaires fondées sur de mauvaises preuves échouaient ? Si une organisation de financement de procédures judiciaires injecte 100 millions de dollars dans un portefeuille, elle peut espérer, avant le règlement des litiges, un intérêt de 100 millions de dollars annualisé sur cinq ans. Espérons qu'elle bénéficie des conseils de gestionnaires de risques qui leur diraient d'étendre leur couverture à un large éventail de portefeuilles de procédures en responsabilité civile et de couvrir leurs paris. Mais certaines entreprises se laissent entraîner par la cupidité et l’obsession et se lancent dans certaines catégories d’affaires avec tous leurs fonds.
Prenez les plus de 15.000 actions en justice contre J & J tentant de lier certains cas de cancer de l'ovaire à ses produits à base de talc. Certaines actions ont produit des résultats assez étonnants (y compris un recours collectif ayant abouti à des dommages-intérêts de 4,7 milliards de dollars) avec des célébrités de la toge se vendant, eux-mêmes et leurs sociétés, comme des « magiciens ». Mais toutes ces décisions ont jusqu'à présent fait l'objet d' appels ou ont été annulées en appel lorsque les juridictions se sont éloignées des comtés de « juges à la main lourde » (voir la présentation précédente de SlimeGate sur les « trous perdus à la justice infernale ») et se sont penchées sur les preuves. La science qui sous-tend ce « servez-vous » pour avocats prédateurs est fondée sur une monographie du talc assez mal conduite par le CIRC (de nombreux cherche-beurre ayant siégé dans le groupe de travail du CIRC faisant office de témoins experts peu convaincants). Une plainte portant sur le talc a récemment été rejetée après 30 minutes de délibérations du jury (alors que les avocats prédateurs commencent généralement par leurs affaires les plus prometteuses).
Ainsi, la seule chose que peuvent faire ces cabinets d’avocats, après des pertes en appel répétées pouvant aggraver considérablement leurs dettes financières au cours de décennies, est de continuer à boire dans le puits de l’argent facile (mais qui devient de plus en plus cher). Ne vous y méprenez pas, les avocats sont payés et continuent de payer toutes les autres personnes impliquées dans le processus (à l'exception des plaignants qu'ils prétendent représenter), mais leurs entreprises ont besoin de faire preuve de plus de créativité pour que les investisseurs continuent d'alimenter l'abreuvoir. Si 100 millions de dollars en financement d'un litige nécessitent 300 millions de dollars pour couvrir cinq années de dépenses (sans aucun rendement), les cinq années suivantes nécessiteront un financement de 850 millions de dollars (en supposant qu'ils ne soient pas obligés de payer des taux plus élevés lorsque les risques en capital augmentent).
Quelles sont les sociétés de financement des actions en justice les plus exposées à ce château de cartes ? Sans divulgation ni transparence, personne ne le sait.
Tant que les cabinets d’avocats continueront à verser 20 % par an aux investisseurs, les premiers fonds ou les premiers individus se porteront bien (et les cabinets d’avocats, les scientifiques cherche-beurre, les ONG continueront de profiter de la belle vie). Mais que se passera-t-il si, après dix ans, J & J gagne la plupart de ses procès en appel ? Ce système de Ponzi va s'effondrer. Les derniers investisseurs n’auront rien et les cabinets d’avocats… eh bien… je suis sûr qu’ils auront travaillé avec une clause disculpatoire pour leur éviter la prison.
Les victimes (plaignants) ou leurs familles ne reçoivent rien. Mais le SlimeGate nous a montré qu’il n’a jamais été question des victimes. Ce sont juste des outils utiles et involontaires pour attirer l’intérêt des médias et pour la mise en scène au prétoire.
Écœurant.
La « prémisse fatale du Slimeball »
L'industrie américaine des litiges en responsabilité civile héberge certains des salauds les plus répugnants à avoir jamais marché sur deux jambes. Les tentatives de réforme des procédures en responsabilité civile ont échoué en Amérique car ces misérables avocats prédateurs se sont joués du système. Plus ces scélérats se sont enrichis, plus leurs actions sont devenues indécentes et contraires à l'éthique, et plus intouchables ils se croient être.
Avec des scientifiques et des ONG pour petites mains, ils ont affecté la politique publique en étranglant des entreprises au point de les pousser à la faillite, sans se préoccuper de la destruction de la confiance du public dans les institutions, des coûts pour les consommateurs ou la société résultant d'innovations perdues et de prix élevés. Récemment, l’un des fournisseurs de talc de J & J, Imerys Talc America, a déposé le bilan, en déclarant qu’il ne pouvait plus assumer les frais de justice. De bonnes gens ont perdu leur emploi. Ces avocats prédateurs se sont enrichis grâce à des manipulations et des mensonges tandis que d'autres ont dû passer à la caisse.
Mais il y a une faille fatale dans leur plan de jeu. En raison de la liquidité des fonds de financement des actions en justice, le nombre d'affaires gérées pour le glyphosate et le talc atteint des niveaux sans précédent (plus de 30.000 affaires en tout) et le coût de la gestion de ces plaignants potentiels augmente. La plupart de ces cas n'auraient pas dû être acceptés si les officines avaient respecté leurs propres budgets. Les cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile tablent sur un règlement extrajudiciaire accepté par des défendeurs débordés (et supposent que la grande majorité des affaires ne feront jamais l'objet d'un procès). C’est bien là leur vœu puisque, comme nous supposons qu’ils commencent avec les plus solides, la plupart des cas ont peu de chances de réussir. Les avocats prédateurs utilisent ce que j'appelle « la prémisse du slimeball » : si vous examinez des situations en ne pensant qu'à l'argent, vous supposez que tout le monde ne pense qu'à l'argent.
Mais Bayer et J & J ont tous deux construit leur entreprise (chacun sur plus d'un siècle) sur le respect de la science et de l'innovation. Ce sont des entreprises axées sur l'éthique qui fabriquent des produits qui sauvent des vies et promeuvent un monde meilleur : l'intégrité est au cœur de leur culture d'entreprise. Ils savent que la science sur le talc et le glyphosate sont de leur côté et s’ils restent fidèles aux convictions de leurs fondateurs, ils se lèveront et défendront la science. La stratégie juridique des avocats prédateurs, fondée sur des injures, sur le scandale et sur la crainte du public, ne résistera pas dans les procédures d’appel et, à mesure que les affaires commenceront à être rejetées à un rythme plus rapide, leurs coûts et les retours sur le financement des actions en justice promis prendront une trajectoire ascendante pour devenir hors de contrôle. Pour ma part, je prie pour que les principes et la science l'emportent sur la cupidité du slimeball.
Avec l'argent facile du financement des actions en justice, ces avocats prédateurs se sont endettés jusqu'au cou. Si tout à coup ils ne peuvent plus payer pour leurs excès, ils vont faire faillite. À l'exception des publicitaires et de quelques scientifiques dévoyés et activistes, personne ne les regrettera.
J'implore les PDG de Bayer et J & J, Werner Baumann et Alex Gorsky, de ne pas céder à ces charlatans menteurs. Les châteaux de cartes des avocats prédateurs ont été construits sur des bases fragiles et ils ne peuvent pas résister à des procès qui s'éternisent. Je comprends que les actionnaires s’inquiètent, mais la science est clairement du côté de ces sociétés et le processus d’appel devrait le souligner. Les investisseurs en financement des contentieux intelligents n'attendront pas que ces châteaux s'effondrent.
Ces avocats prédateurs ont eu recours à des systèmes de financement de litiges pour créer un système de Ponzi sur le pari que Bayer et J & J vont céder. Pour ma part, je n’investirais pas dans cela.
Les étiquettes des produits alimentaires trompent souvent les consommateurs
6 Septembre 2019 par Seppi Oklahoma State University*
Les supermarchés états-uniens sont pleins de marketing alimentaire trompeur s'adressant à tous les clients sans méfiance qui veulent simplement acheter des aliments sains pour eux-mêmes et leur famille.
Ce n'est pas vraiment mieux en France... Et avec les applis pour téléphones portables destinées aux hypocondriaques et orthorexiques, ce n'est pas prêt de s'arranger.
S'ils se promènent dans les allées d'une épicerie, les consommateurs verront toutes sortes d'étiquettes d'aliments vanter les produits comme étant des choix sains. Les légumes sans cholestérol, l'eau sans gluten, les boissons gazeuses naturelles, les biscuits à base de céréales complètes à 100% et les carottes sans OGM ne sont que quelques exemples des nombreuses affirmations que les acheteurs peuvent voir sur les emballages d'aliments aux États-Unis.
De nombreux consommateurs pensent que ces allégations signifient que le produit alimentaire qu'ils achètent est plus sain pour eux et leur famille. Ce qu'elles signifient en réalité, c’est que les entreprises qui font la publicité de ces produits profitent du manque de compréhension du public pour augmenter leurs profits, a déclaré Jenni Kinsey, spécialiste adjointe de la vulgarisation coopérative de l’Université d’État de l’Oklahoma, spécialisée dans les programmes d’éducation nutritionnelle communautaire pour les jeunes.
« Le supermarché regorge de marketing alimentaire trompeur, destiné aux clients peu méfiants qui veulent simplement acheter des aliments sains pour leur famille », a déclaré Kinsey. « Malheureusement, les consommateurs ne comprennent pas toujours bien le verbiage utilisé sur les étiquettes. Par exemple, il n'y a du cholestérol que dans les produits d'origine animale. Par conséquent, les fruits et légumes ne devraient jamais contenir de cholestérol. En fait, tout ce qui ne provient pas d'un produit animal devrait être exempt de cholestérol. »
Il ne faut pas longtemps pour trouver divers produits prétendus sans gluten, y compris de l'eau en bouteille. Le gluten est une protéine présente dans le blé, l'orge et le seigle. Par conséquent, l'eau ne contient évidemment pas de gluten. Mais les consommateurs qui souhaitent acheter des produits sains doivent souvent se fier uniquement au texte de l’emballage sans bien comprendre ce qu’ils achètent. Les consommateurs ne devraient vraiment pas se préoccuper d’éviter le gluten, sauf s’ils ont un diagnostic médical et sont suivis par un fournisseur de soins de santé.
« Le mot "naturel" est un autre qui se démarque auprès des consommateurs. À l’heure actuelle, la Food & Drug Administration des États-Unis n’a pas de définition officielle du mot "naturel". Par conséquent, cette allégation peut être utilisée pour d'innombrables produits alimentaires, y compris les sodas, les chips et d'autres aliments dont la plupart d'entre nous savent que nous devrions les limiter », a-t-elle déclaré. « N'oubliez pas qu'une allégation "naturel" n'est pas une allégation de santé. Les consommateurs peuvent payer davantage pour le produit visé par l'allégation même s'il ne diffère pas du produit voisin n'affichant pas cette allégation. »
Une étiquette affirmant qu'un produit a été fabriqué ou cuit avec 100 % de grains entiers ne fait pas de ce produit un grain entier. Kinsey a déclaré que si un produit alimentaire contient des grains entiers dans ses ingrédients, l'emballage peut affirmer que le produit a été fait avec des grains entiers. Cependant, cela incite les consommateurs à croire qu'ils obtiennent un produit à base de grains entiers alors qu’il ne l'estt pas. Pour vous assurer que vous achetez un produit de grains entiers, recherchez « 100% de grains entiers » sur l'emballage.
Kinsey a déclaré que l'on parlait beaucoup d'aliments bio-modifiés ou d'organismes génétiquement modifiés, également connus sous la désignation « OGM ». Ceux-ci sont utilisés pour augmenter le rendement des cultures et nourrir plus de personnes avec moins de ressources.
« Cela conduit finalement à des produits alimentaires plus abordables. Parmi les raisons pour lesquelles ces aliments sont issus de la bio-ingénierie, on peut citer, par exemple, une tolérance accrue à la sécheresse, une absorption améliorée des minéraux et une résistance à des insectes », a-t-elle déclaré. « Bien que seuls 10 aliments génétiquement modifiés [espèces cultivées] soient approuvés pour la vente aux États-Unis, des milliers de produits annoncent sur l'étiquette qu'ils ne contiennent pas d'OGM lorsqu'ils ne contiennent pas et n'ont jamais contenu les aliments génétiquement modifiés approuvés. Il s’agit simplement d’une tactique publicitaire visant à prendre le dessus sur les marques concurrentes. »
Les 10 aliments [espèces] génétiquement modifiés approuvés pour la vente comprennent la luzerne, les pommes, le canola, le maïs, le cotonnier, la papaye, les pommes de terre, le soja, les courges d'été et les betteraves à sucre.
Bien que la FDA ait lancé une initiative sur l’étiquetage sur le devant de l’emballage pour lutter contre les pratiques commerciales trompeuses en matière de commercialisation des produits alimentaires, il faudra des années, voire des décennies, pour éliminer toutes les allégations inappropriées.
« Ce que vous pouvez faire maintenant, c'est vous renseigner, vous informer sur les ingrédients et remettre en question les allégations des étiquettes », a déclaré Kinsey. « Prenez l'habitude de vous demander si l'allégation a un sens et vous commencerez à reconnaître le nombre massif d'allégations trompeuses sur les étiquettes. »
Partie 1 de l'EPA: L'EPA a-t-elle effectué une vérification préalable du rapport sur le climat du IPCC ? (Est-ce que quelqu'un ?)
L’Autorité de protection de l’environnement de l’Australie occidentale (EPA) souhaite que chaque nouveau projet vise la neutralité carbone, coûtant des milliards de dollars et augmentant presque certainement la pollution à l’étranger, tout en espérant faire baisser les températures au-dessus de WA d’ici à 2100 ap.
L’EPA est un organe consultatif scientifique - le gouvernement n’a pas à suivre leurs conseils - mais si c’est le cas, et que l’avis était erroné - qui est responsable des pertes et des dommages prévisibles? Les modèles privilégiés par le GIEC n'incluent pas de paramètres magnétiques solaires, spectraux ou de flux de particules et échouent de manière répétée. Ils sont non vérifiés, non validés et non responsables. Si le soleil contrôle le climat, ces modèles ne le montreront pas. Si l'EPA ne fait pas preuve de diligence raisonnable dans les rapports d'un comité étranger, quelle personne représente les Australiens occidentaux?
- Jo
Soumission du guide d'évaluation des émissions de gaz à effet de serre de l'EPA - Consultation
Joanne Nova, 2 septembre 2019: ID de soumission: ANON-1TDB-D593-G.
___________________________
Question 1: L'EPA a-t-elle effectué une vérification préalable du rapport sur le climat de l'IPCC ?
September 6th, 2019
Le rôle principal de l’EPA est de «protéger l’environnement et de réduire la pollution», article 15 de la loi (art. 15). Par conséquent, l’EPA serait légalement tenue d’évaluer les preuves scientifiques. La question sur laquelle tout repose est énoncée dans le document de base:
«Quelle est la gravité des impacts environnementaux projetés de nouvelles émissions de gaz à effet de serre ?
«L'EPA déclare que les émissions humaines entraînent des changements climatiques et les données scientifiques sont« robustes et convaincantes ». Cependant, l’EPA ne répertorie ni ne discute aucune donnée. Il cite le rapport sur l'état du climat 2018 du Bureau de météorologie et du CSIRO et le rapport spécial de l'IPCC d'octobre 2018 sur le réchauffement de la planète.
«Prises ensemble, ces informations sont préoccupantes et ne peuvent être considérées comme spéculatives ou incorrectes…
L’EPA ne cite pas de preuves ni de données dans le document d’information. Il ne fait que répéter les rapports des comités. Étant donné que la gestion de l'environnement australien occidental dépend de ces prévisions et que des milliards de dollars dépendent des directives de l'EPA, la responsabilité de la diligence raisonnable incombe certainement à l'EPA, et non à une organisation étrangère non responsable, comme le GIEC. Bien que les médias et les militants puissent affirmer que «des milliers de scientifiques» sont impliqués, en réalité, le nombre de ceux qui ont vérifié les principales conclusions est peu important. Par exemple, le nombre de réviseurs répertoriés au chapitre neuf du quatrième rapport d'évaluation du IPCC n'était que de 601, et ces scientifiques n'avaient qu'à lire le projet de chapitre à inclure. Ils n’ont pas nécessairement besoin de l’avoir soumis à un audit critique. Des milliers d'autres scientifiques impliqués dans les rapports du IPCC sont des spécialistes de l'adaptation, de l'atténuation, de la biologie, des marchés ou de certains aspects moins importants de la science du climat. Ils ont supposé que les hypothèses et les conclusions du chapitre neuf étaient correctes.
Question 1: L'EPA a-t-elle évalué ou audité le rapport sur le climat du GIEC ?
Question 1.1a: Dans l'affirmative, quels ensembles de données d'observation montrent que le gaz carbonique produit par l'homme provoque un réchauffement dangereux ? Ou bien la politique des APE dépend-elle entièrement de rapports fondés sur des modèles climatiques non vérifiés et non validés avec des antécédents avérés d'échec ? (voir ci-dessous).
Question 1.1b: Si l’EPA n’a pas évalué de manière indépendante les données et les éléments de preuve, elle assumera-t-elle la responsabilité de tout dommage causé à l’État (flore, faune ou citoyens) si elle recommande une action fondée sur des modèles climatiques non vérifiés, non audités et examinés par des pairs ? les papiers décrivent déjà comme «sans talent»? 2
L'échec du modèle est bien documenté Nuages et humidité, rôle de rétroaction dans le changement climatique, graphique.
- voir graphiques sur site -
Le seul défaut qui élimine la crise.
Selon James Hansen et le IPCC4, l'effet de réchauffement direct du doublement du gaz carbonique ne conduira qu'à un réchauffement de 1,2 ° C3. Les sceptiques admettent en grande partie que le point litigieux est de savoir si le réchauffement est amplifié par les réactions, comme le prétend le IPCC5, ou atténuées par les réactions, comme le suggèrent les preuves empiriques tirées de 28 millions de ballons météorologiques6. de cela, pas seulement une fois, mais 74 fois. Si les modèles ne sont pas les bons sur ce point, nous nous attendons à voir des preuves provenant de nombreuses sources, ce que nous faisons.
Les prédictions du modèle échouent à presque tous les niveaux et aspects. Ils sont incapables de prédire les températures aux échelles planétaires, mais aussi aux échelles régionales, locales, à court terme 9 10, polaires 11 et troposphériques supérieures12 13. Ils échouent avec l’humidité14, les précipitations15, la sécheresse 16 et avec les nuages17. Le thème commun est que les modèles ne gèrent pas bien l’eau. C'est évidemment un gros problème sur une planète recouverte d'eau. L'eau contient 90% de toute l'énergie en surface 18, et la NASA19 et l'IPCC20 reconnaissent que l'eau est le principal gaz à effet de serre. De plus, les prédictions de la vapeur d'eau dans la haute troposphère, qui constituent le retour d'information le plus important dans les modèles climatiques couplés, ont été répétées et complètement fausses21. 22 Cet aspect particulier des prédictions de modèle s'appelle «le point chaud manquant» - la partie de l'atmosphère. au-dessus des tropiques, à environ 10 km d'altitude. C’est plus important que tout autre aspect, même que l’effet direct du gaz carbonique. L'amplification est appelée rétroaction positive, et cette rétroaction particulière provenant des molécules d'eau est l'un des facteurs les plus importants dans les modèles climatiques23. Certains affirment qu'il double l'effet de toutes les autres formes de réchauffement24.
Point chaud manquant, prévisions du IPCC, Échec, Représenté graphiquement, haute troposphère. Le CCSP (Projet scientifique sur les changements climatiques) a publié les prévisions et les observations sous forme de graphiques dans différentes parties de son grand rapport de 2006 De nombreux scientifiques du climat de haut niveau ont admis et discuté des différences entre les tendances modélisées et observées du système de rétroaction le plus influent dans les modèles climatiques:
"…‘ Incohérence potentiellement sérieuse ’entre les tendances modélisées et observées ... les divergences sous les tropiques restent à résoudre." (Karl et al., 2006)
«De manière surprenante, les observations directes de la température à partir de radiosondes et de données satellitaires n'ont souvent pas montré cette tendance attendue. (Sherwood et al, 2008)
«… La troposphère tropicale s'était en fait légèrement refroidie au cours des 20 à 30 dernières années (ce qui contraste nettement avec les prédictions des modèles informatiques… (Santer 2008).
… (La plupart des) modèles surestiment la tendance au réchauffement de la troposphère tropicale… La cause de ce biais reste insaisissable. IPCC, 2013 (IPCC) 25
Les modèles surestiment systématiquement presque tous les autres aspects
Comme prévu, lorsque les modèles sont erronés pour un facteur clé, les prévisions sont systématiquement fausses dans de nombreux résultats. Cela inclut le niveau de la mer, où 1 000 marégraphes indiquent que la hausse n’est que de 1 mm par an, soit beaucoup moins que prévu. 26 27 Les mers autour de l’Australie s’élevaient tout aussi rapidement au moment de la Grande Dépression qu’aujourd’hui28. Les données satellitaires brutes ont donné leur accord29, jusqu’à ce qu’elles soient ajustées en 2003, pour correspondre à une jauge perdue à Hong Kong. Les satellites suivent maintenant tous les 20 m la piste de sable roulante au-dessus des mers - et si la mer montait, les plages se rétréciraient. Au lieu de cela, lorsque 709 îles des océans Pacifique et Indien ont été étudiées, 89 % sont restées inchangées ou ont pris de l’agrandissement30. Aucune île n’était assez grande pour contenir des habitants n’était plus petite. Le niveau de la mer a également commencé à monter longtemps avant que les émissions humaines de gaz carbonique ne deviennent importantes. Les modèles privilégiés par le IPCC ne peuvent pas expliquer pourquoi ce réchauffement a commencé vers 1800AD. 31 32
Les modèles ne peuvent pas expliquer le réchauffement au cours de la période chaude médiévale. Il y a des affirmations selon lesquelles ce n'était pas global, mais des dizaines de procurations du monde entier le prouvent. 33 34 En outre, 6 000 forages réalisés dans le monde confirment que l’effet de réchauffement a été mondial. 35 36 37 38
Dans les océans, le réchauffement n’est pas statistiquement significatif, le niveau des mers a commencé à monter trop tôt, pas assez vite, pas plus vite, pas plus que prévu. L'Antarctique était censé se réchauffer plus rapidement que quasiment n'importe où, mais ils avaient totalement tort. Le vaste océan austral refroidit sans se réchauffer. La seule partie de l’Antarctique qui se réchauffe se situe au sommet d’une chaîne de volcans où 91 nouveaux volcans ont été découverts récemment.
Le travail du IPCC peut être qualifié de «spéculatif» pour de nombreuses raisons.
L'argument de l'autorité ou de l'ad Populum est un raisonnement fallacieux et bien que les sceptiques soient indépendants et dépassent largement le nombre de scientifiques convaincus, cela ne les corrige pas et ne fait pas partie de l'argument scientifique présenté ici. Cependant, cela montre que l'EPA n'a pas enquêté de manière critique sur les conclusions du IPCC et sur les projections prévisionnelles. S'ils l'avaient fait, l'EPA serait consciente que le travail du IPCC est en réalité une extrapolation spéculative avec une modélisation non vérifiée et non validée.
À cette fin limitée, il convient de noter que des milliers de scientifiques indépendants protestent activement contre les hypothèses du IPCC. Les sondages montrent que la plupart des ingénieurs et des géologues39 et de la moitié des météorologistes du monde40 et des climatologues ne sont pas d'accord avec le niveau de certitude du IPCC. la lune. Contrairement au IPCC, leurs opinions ne peuvent être qualifiées de «spéculatives». Leurs affirmations sont modestes (il est probable que le climat continuera à évoluer à un rythme similaire à celui du siècle dernier et que le GIEC exagère l’effet du gaz carbonique par un facteur 2 à 10). Par ailleurs, les revendications du IPCC impliquent des changements «sans précédent» et une accélération rapide qui ne figure dans aucun jeu de données, mais uniquement dans les projections du modèle.
Si les preuves étaient si accablantes et si le débat ne vaut même pas la peine d’avoir lieu, pourquoi le petit nombre de climatologues officiellement reconnus a-t-il autant de difficulté à convaincre les autres scientifiques ? Les lois de la science sont les mêmes quelle que soit la branche de la science. La physique atmosphérique est toujours la physique.
Il convient de noter que les évaluations du IPCC dépendent de quelques scientifiques qui se sont comportés de manière profondément non scientifique: par exemple, dissimulation de données, déclin, historique, ajustements et méthodes.
La nomenclature admet que ses méthodes ne peuvent pas être répliquées: s’il ne peut pas être répliqué, ce n’est pas la science Le Bureau de météorologie admet que ses méthodes ne peuvent être décrites en détail42. Chaque station est ajustée par des techniques qui ne sont pas entièrement publiées. Dans leurs propres mots, leurs méthodes d'ajustement des données sont les suivantes:
“… Un processus supervisé dans lequel les rôles de métadonnées et d'autres informations nécessitaient un certain niveau de compétence et d'intervention de l'opérateur.”
… Plusieurs choix dans le processus d'ajustement restent une question de jugement d'expert.
L'EPA approuve-t-elle des travaux scientifiques qui ne peuvent pas être reproduits et dont les méthodes ne sont pas décrites en détail ? Si l'EPA ne fait pas preuve de diligence raisonnable, il accepte implicitement ces normes profondément non scientifiques.
L'Australie a toujours été un pays chaud. Notre environnement est sûrement adapté à cela ? Vagues de chaleur australiennes, 50 degrés C, 1800, historique.
- voir carte sur site -
Des températures de 50 degrés ont été enregistrées dans toute l’Australie.
L’architecture des journaux australiens suggère que les vagues de chaleur extrêmes étaient courantes dans les années 1800. Le gaz carbonique était faible dans les années 1800, mais il existe de nombreuses références à 125°F «à l'ombre» dans les archives de nos journaux nationaux, ce qui représente une température étonnante de 52 ° C. Cela a été mesuré sur du matériel non standard, mais parfois par des scientifiques experts. Les premiers explorateurs ont été formés pour mesurer la température. Charles Sturt a enregistré des températures à l'ombre de 127°F, 129°F et même 132°F, signalant que le sol était si chaud que, si les allumettes tombaient sur le sable, elles s'enflammeraient spontanément.43 44 En 1846, Sir Thomas Mitchell enregistra également 129F45. le thermomètre se briserait car il «n'atteindrait que 132 ° F». En 1860, le groupe de John Mcdouall Stuart mesurait 128 ° F à l'ombre46 C) Pas de climatiseurs alors. Malgré les pics de chaleur des années 1800, en 1952, des scientifiques australiens discutaient de la cause de mystérieuses tendances au refroidissement prolongé sur une grande partie du continent.47
De manière conservatrice, même si certaines de ces nombreuses températures enregistrées surestiment la chaleur de 2 ou 3 degrés Celsius, ces températures montreraient tout de même que l’Australie a toujours eu des vagues de chaleur extraordinaires.
Il existe de nombreux exemples de thermomètres australiens mal situés, mystérieusement réglés et réajustés. Par exemple. Streaky Bay, Australie du Sud48. Pour d'autres exemples, voir Changements climatiques: les faits 2017.49
Parts 2 and 3 coming. NOTE: The three images above are discussed in the submission, but not included. Next time…
REFERENCES 1 McLean, John (2007) An Analysis of the Review of the IPCC 4AR WG I Report, http://mclean.ch/climate/docs/IPCC_review_updated_analysis.pdf. Updated: McLean, John (2009) The IPCC can’t count its “expert scientists”, http://mclean.ch/climate/docs/IPCC_numbers.pdf
2 Hans von Storch, Armineh Barkhordarian, Klaus Hasselmann and Eduardo Zorita (2013) Can climate models explain the recent stagnation in global warming? Academia
3 Hansen J., A. Lacis, D. Rind, G. Russell, P. Stone, I. Fung, R. Ruedy and J. Lerner, (1984) Climate sensitivity: Analysis of feedback mechanisms. In Climate Processes and Climate Sensitivity, AGU Geophysical Monograph 29, Maurice Ewing Vol. 5. J.E. Hansen and T. Takahashi, Eds. American Geophysical Union, pp. 130-163 Abstract
4 See also Bony et al 2006, and the IPCC, AR4 Chapter 8, p 631.
5 Predicted “hot spot” changes 1958-1999. Synthesis and Assessment Report 1.1, 2006, CCSP, Chapter 1, p 25, based on Santer et al. 2000;
6 Hadley Radiosonde record: Synthesis and Assessment Report 1.1, 2006, CCSP,, Chapter 5, p116, recorded change/decade, Hadley Centre weather balloons 1979-1999, p. 116 , fig. 5.7E, from Thorne et al., 2005.
7 28 million radiosondes: NOAA, Integrated Global Radiosonde Archive, May 28th, 2010. https://web.archive.org/web/20100528012708/http://www.ncdc.noaa.gov/oa/climate/igra/index.php?name=coverage
8 Durre et al (2005) Overview of the Integrated Global Radiosonde Archive, Journal of Climate, vol 19, page 53, https://doi.org/10.1175/JCLI3594.1
9 Anagnostopoulos, G. G., D. Koutsoyiannis, A. Christofides, A. Efstratiadis, and N. Mamassis, (2010). A comparison of local and aggregated climate model outputs with observed data’, Hydrological Sciences Journal, 55: 7, 1094 — 1110 PDF
10 Koutsoyiannis, D., Efstratiadis, A., Mamassis, N. & Christofides, A.(2008) On the credibility of climate predictions. Hydrol. Sci. J. 53(4), 671–684. changes PDF
11 Previdi, M. and Polvani, L. M. (2014), Climate system response to stratospheric ozone depletion and recovery. Q.J.R. Meteorol. Soc.. doi: 10.1002/qj.233
12 Christy J.R., Herman, B., Pielke, Sr., R, 3, Klotzbach, P., McNide, R.T., Hnilo J.J., Spencer R.W., Chase, T. and Douglass, D: (2010) What Do Observational Datasets Say about Modeled Tropospheric Temperature Trends since 1979? Remote Sensing 2010, 2, 2148-2169; doi:10.3390/rs2092148 PDF
13 Fu, Q, Manabe, S., and Johanson, C. (2011) On the warming in the tropical upper troposphere: Models vs observations, Geophysical Research Letters, Vol. 38, L15704, doi:10.1029/2011GL048101, 2011 PDF Discussion
14 Paltridge, G., Arking, A., Pook, M., 2009. Trends in middle- and upper-level tropospheric humidity from NCEP reanalysis data. Theoretical and Applied Climatology, Volume 98, Numbers 3-4, pp. 351-35). PDF
15 See 10 Anagnostopolous 2010
16 Sheffield, Wood & Roderick (2012) Little change in global drought over the past 60 years, Letter Nature, vol 491, 437
17 Miller, M., Ghate, V., Zahn, R., (2012) The Radiation Budget of the West African Sahel 1 and its Controls: A Perspective from 2 Observations and Global Climate Models. in press Journal of Climate abstract PDF
18 Pielke Sr., R.A., (2003): Heat storage within the Earth system. Bull. Amer. Meteor. Soc., 84, 331-335.
20 IPCC, Assessment Report 4, 2007, Working Group 1, The Physical Science Basis, Chapter 8. PDF Page 632 online
21 Santer, B. D. (2006). US Climate Change Science Program 2006, Temperature Trends in the Lower Atmosphere – Understanding and Reconciling Differences.
22 Singer, S. F. (2011). Lack of Consistency between Modeled and Observed Temperature Trends. Energy and Environment, Vol 22 No. 4, pp. 375 – 406.
23 Soden, B.J., and I.M. Held, 2006, An assessment of climate feedbacks in coupled ocean-atmosphere models. J. Clim. 19, 3354–3360.
24 Sherwood, S., Kursinski, E.R., Read, W.G. (2006) A Distribution Law for Free-Tropospheric Relative Humidity, Journal of Climate, Volume 19, Issue 24 (December 2006) abstract
25 IPCC Fifth Assessment Report, second order draft, Chapter Nine, page 218
26 Michael Beenstock, Daniel Felsenstein,*Eyal Frank & Yaniv Reingewertz, (2014) Tide gauge location and the measurement of global sea level rise, Environmental and Ecological Statistics, May 2014 Abstract
27 Nils-Axel Mörner (2014) Deriving the Eustatic Sea Level Component in the Kattaegatt Sea, Global Perspectives on Geography (GPG). American Society of Science and Engineering, Volume 2, 2014, www.as-se.org/gpg
28 White, Neil J., Haigh, Ivan D., Church, John A., Koen, Terry, Watson, Christopher S., Pritchard, Tim R., Watson, Phil J., Burgette, Reed J., McInnes, Kathleen L., You, Zai-Jin, Zhang, Xuebin, Tregoning, Paul: (2014) Australian Sea Levels – Trends, Regional Variability and Influencing Factors, Earth Science Reviews, doi: 10.1016/j.earscirev.2014.05.011
29 Morner. N.A. (2004) Estimating future sea level changes from past records, Global and Planetary Change 40 49–54 doi:10.1016/S0921-8181(03)00097-3 PDF
30 Duvat, V. K. E. (2018). A global assessment of atoll island planform changes over the past decades. Wiley Interdisciplinary Reviews: Climate Change, e557. doi:10.1002/wcc.557
31 Jevrejeva, S., A. Grinsted, J. C. Moore, and S. Holgate (2006), Nonlinear trends and multiyear cycles in sea level records, J. Geophys. Res., 111
32 Jevrejeva, S., J. C. Moore, A. Grinsted, and P. L. Woodworth (2008), Recent global sea level acceleration started over 200 years ago?, Geophys. Res. Lett., 35, L08715, doi:10.1029/2008GL033611. PDF
33 Christiansen, B. and Ljungqvist F. C. (2012). The extra-tropical Northern Hemisphere temperature in the last two millennia: reconstructions of low-frequency variability. Climate of the Past, 8(2):765–786, 2012. abstract PDF NASA copy Discussion on CA noted a lack of complete archives and code
34 Ljungqvist, F. C., Krusic, P. J., Brattström, G., and Sundqvist, H. S (2012).: Northern Hemisphere temperature patterns in the last 12 centuries, Clim. Past, 8, 227-249, doi:10.5194/cp-8-227-2012, 2012. abstract PDF or try this PDF CO2science discussion
35 Huang, S., H. N. Pollack, and P. Y. Shen (1997), Late Quaternary temperature changes seen in world-wide continental heat flow measurements, Geophys. Res. Lett., 24(15), 1947–1950. Abstract, PDF Discussion
36 Huang, S., H. N. Pollack, and P. Y. Shen (2000), Temperature trends over the past five centuries reconstructed from borehole temperatures, Nature, 403, 756– 758. PDF
37 Huang, S. (2004), Merging information from different resources for new insights intoclimate change in the past and future, Geophys. Res. Lett., 31, L13205, doi:10.1029/2004GL019781.
38 Huang, S. P., H. N. Pollack, and P.-Y. Shen (2008), A late Quaternary climate reconstruction based on borehole heat flux data, borehole temperature data, and the instrumental record, Geophys. Res. Lett., 35, L13703, doi:10.1029/2008GL034187 PDF
39 Lefsrud and Meyer (2012) Science or Science Fiction? Professionals’ Discursive Construction of Climate Change, Organization Studies, vol. 33, 11: pp. 1477-1506. , First Published November 19, 2012.
40 Maibach, E., Perkins, D., Timm, K., Myers, T., Woods Placky, B., et al. (2017). A 2017 National Survey of Broadcast Meteorologists: Initial Findings. George Mason University, Fairfax, VA: Center for Climate Change Communication
44 Charles Sturt, Narrative of an expedition into Central Australia, 1844, Chapter 12. The University of Adelaide Library. https://ebooks.adelaide.edu.au/s/sturt/charles/s93n/chapter12.html Discussed: http://joannenova.com.au/2012/07/charles-sturts-time-so-hot-that-thermometers-exploded-was-australias-hottest-day-in-1828-53-9c/
45 Lt. Col. Sir Thomas Livingstone Mitchell Kt. D.C.L. Surveyor-General of New South Wales, Journal of an Expedition into the Interior of Tropical Australia, 1846. The University of Adelaide Library. https://ebooks.adelaide.edu.au/m/mitchell/thomas/tropical/complete.html
46 Mr Stuart’s Party, The Cornwall Chronicle, Wed 23 Jan 1861, Page 5. http://trove.nla.gov.au/ndp/del/article/65567656,
47 Deacon, E.L. (1952) Climatic Change in Australia since 1880, Australian Journal of Physics, Volume 6, Pages 209-218. PDF
48 Streaky Bay’s Thermometer — Over Hot Bitumen for 31 long Years, (2019), http://joannenova.com.au/2019/08/feast-your-eyes-on-streaky-bays-thermometer-over-bitumen-for-31-long-hot-years/
49 Chapter 8, Mysterious Revisions to Australia’s long hot history, Climate Change: The Facts 2017. The Institute of Public Affairs, Connor Court. https://ipa.org.au/publications-ipa/books/climate-change-facts-2017-ebook-now-sale
Breaking: James Cook Uni condamné à verser 1,2 million de dollars à Peter Ridd. Le juge Vasta est cinglant.
September 6th, 2019
Les chefs doivent se tourner vers JCU pour la mauvaise gestion incompétente, pour avoir agi en tant que dirigeants «scientifiques» et pour avoir tenté de supprimer une vision scientifique qu’ils n’aimaient pas personnellement. Ils ont déjà gaspillé 630 000 $ et maintenant 1,2 million de dollars de plus - tout cela pour qu'ils puissent arrêter Ridd en disant qu'il existe une crise de la réplication dans la science et qu'on ne peut plus faire confiance à nos institutions:
James Cook Uni condamné à payer 1,2 million de dollars à Peter Ridd
Charlie Peel, l'Australien
L’Université James Cook a été condamnée à verser 1,2 million de dollars à Peter Ridd, scientifique spécialiste des récifs coralliens, pour son licenciement illégal après avoir critiqué publiquement la science du changement climatique de l’institution.
Le juge a critiqué l’université, affirmant que celle-ci «n'avait pas respecté le droit (du Dr Ridd) à la liberté intellectuelle».
JCU a déclaré qu’il ferait appel de la décision selon laquelle le licenciement était illégal et a refusé de commenter davantage la décision du juge.
Dans un jugement cinglant rendu vendredi, le juge Vasta a reproché à l'université de faire une déclaration publique "manifestement mensongère" et "épouvantable" après le jugement d'avril.
"Le professeur Ridd avait le droit de dire qu'il avait été justifié par le tribunal."
C'est la bataille la plus importante à laquelle un scientifique soit confronté. Sans liberté d'expression, il n'y a pas de recherche scientifique, seulement de la propagande.
Jusqu'à ce que JCU paie et licencie les responsables, nous devons supposer que toutes les recherches issues de cette université sont filtrées pour correspondre à un agenda politique. Qu'est-ce que les chercheurs JCU ne disent pas parce qu'ils craignent d'être licenciés ?
L'ABC nous rappelle à quel point ses propos étaient dangereux: Le Dr Ridd a été licencié par l'Université James Cook (JCU) en 2018 après avoir reçu plusieurs avertissements pour avoir commenté un chercheur sur les coraux et avoir dit à Sky TV que des organisations telles que l'Institut australien des sciences de la mer (AIMS) ne pouvaient plus faire confiance ".
Les documents de la Cour à l'époque indiquaient que le Dr Ridd, dans un courriel, décrivait son collègue comme «n'ayant aucune idée du temps qu'il faisait», et qu'il «donnerait à la science de la catastrophe la science normale de la grande barrière de corail».
Le Dr Ridd a déclaré dans un autre courrier électronique que JCU, ainsi que d'autres universités, étaient de «nature orwellienne».
Aucune violation de la propagande gouvernementale ne sera tolérée.
Gideon Rozner IPA:
Il est temps que JCU accepte la décision et passe à autre chose. Sinon, le ministre de l’Éducation, Dan Tehan, doit intervenir et dire à JCU de retirer son appel, car il s’agit d’une dépense inappropriée des fonds des contribuables et nuira irrémédiablement à la réputation internationale du secteur australien de l’enseignement supérieur.
La bactérie «tueuse d'oliviers» détectée pour la première fois en France
22:28 06.09.2019
Pour la première fois, une bactérie qui est un fléau pour les oliviers a été détectée dans l’Hexagone, dans les Alpes-Maritimes, a annoncé le ministère de l'Agriculture et de l'alimentation.
Deux cas de contamination d'oliviers par la bactérie Xylella fastidiosa, dite «tueuse d'oliviers», ont été détectés pour la première fois en France, dans les Alpes-Maritimes, a affirmé le 6 septembre le ministère de l'Agriculture et de l'alimentation. Jusqu'à présent, cette bactérie n'avait jamais été décelée en France sur des oliviers, mais était présente sur d'autres végétaux en Corse, dans le Var et les Alpes-Maritimes, est-il précisé dans un communiqué.
Deux oliviers d'ornement, l'un à Antibes et à Menton, ont été identifiés comme porteurs de la maladie par les services de l'État chargés du contrôle des végétaux, a poursuivi le ministère.
Mesures prises
«Conformément à la réglementation, les deux oliviers contaminés qui présentent des symptômes de dessèchement seront arrachés et détruits dans les tout prochains jours afin d'éviter la propagation de la maladie», a annoncé le ministère.
Le ministère précise que c'est la sous-espèce «pauca» de la bactérie qui a été identifiée sur l'arbre de Menton. «Un périmètre de lutte a été établi», comprenant l'arrachage des végétaux sensibles à la bactérie, ainsi qu'une surveillance renforcée de tous les végétaux dans un rayon de 5 kilomètres.
Xylella fastidiosa est transmise et véhiculée par des insectes, indique l'AFP. C'est une bactérie potentiellement mortelle pour plus de 200 espèces végétales dans le monde, pour laquelle il n'existe pas de traitement curatif. Elle a été détectée pour la première fois en France en 2015 (en Corse-du-Sud), et fait l'objet d'une lutte internationale en Europe.
La lèpre pourrait être la prochaine crise de santé publique à frapper Los Angeles
par Tyler Durden Vendredi, 09/06/2019 - 21:15 Écrit par Jennie Taer via SaraACarter.com,
Des cas de lèpre sont en train d'apparaître dans le comté de Los Angeles, selon une étude récente révélée par un rapport de Reuters Health et sa co-auteure, la docteure Maria Teresa Ochoa du Centre médical Keck de l'Université de Californie du Sud, Los Angeles, a déclaré à Reuters Health qu'elle exhortait le public à «lutter contre la stigmatisation».
La maladie communément appelée «maladie de Hansen» est curable lorsqu’elle est traitée rapidement, selon le Centers for Disease Control (CDC).
La décision de Johnson & Johnson est une "reconnaissance" de la crise des opioïdes, selon Narcan Inventor Les scientifiques pensent que le virus se propage par les particules en suspension dans l'air, mais ils affirment également que le contact doit être «prolongé» et «étroit».
Une personne infectée peut subir des lésions légères à graves de la «peau, des nerfs et des muqueuses».
De plus, les patients peuvent perdre la sensation dans certaines parties de leur corps et souffrir de cécité permanente.
Le Dr Victor S. Santos, qui travaille avec une équipe de chercheurs de l'Université fédérale d'Alagoas à Arapiraca, au Brésil, a déclaré à Reuters:
«La lèpre étant une maladie négligée avec un fort potentiel de déformations, en particulier lorsqu'elle n'est pas traitée correctement, je voudrais insister sur la nécessité de dépister rapidement les cas dans la communauté avec l'adoption de la recherche active et les contacts sociaux de tous les cas index ", a-t-il déclaré.
"De telles mesures pourraient minimiser les problèmes liés à la lèpre, car les médecins et autres professionnels de la santé pourraient mieux prendre en charge ces patients."
La Dre Ochoa et son équipe ont étudié 187 patients infectés entre 1973 et 2018, selon le rapport. Selon Reuters Health, 16% des patients souffraient de «perte de sensation de protection», tandis que 26,2% d'entre eux présentaient une «déformation visible». Le problème est que les cas ne sont pas diagnostiqués et les patients ne sont pas symptomatiques pendant une moyenne de cinq ans, selon l'Organisation mondiale de la santé.
Selon le CDC, les patients avec un diagnostic précoce adhérant à une combinaison de 2 ou 3 antibiotiques récupèrent complètement.
Paul Craig Roberts: La matrice l'emportera-t-elle ?
par Tyler Durden Ven, 09/06/2019 - 18:35 Écrit par Paul Craig Roberts,
Les lecteurs ont maintenu ce site Web plus longtemps que je l'avais espéré. C'est beaucoup de travail pour moi. Mes chroniques et celles des invités génèrent beaucoup d’appréciation, mais aussi beaucoup de diabolisation et d’expressions de la haine envers moi.
La moindre critique d'Israël qualifie un anti-sémite. Les gens qui sont conscients comprennent que ce mot est tellement utilisé que c'est devenu insignifiant, mais les insouciants concluent que si vous êtes qualifié d'antisémite, vous êtes une sorte de monstre qui veut faire du mal aux Juifs. Si vous soulignez les doubles normes que subissent les Blancs, vous devenez une «suprémaciste blanche raciste». Si vous soulignez que les féministes #MeToo criminalisent l'attirance sexuelle hétérosexuelle, vous devenez misogyne. Si vous exposez les mensonges officiels fournis au peuple américain - armes de destruction massive de Saddam Hussein, utilisation d'armes chimiques par Assad, armes nucléaires iraniennes, invasion de l'Ukraine par la Russie, du 11 septembre 2001, du golfe du Tonkin, etc. "Théoricien du complot" qui déteste l'Amérique. Au lieu de vous voir comme quelqu'un qui essaie de sauver l'Amérique, des abrutis vous demandent: «Si vous détestez tant l'Amérique, pourquoi ne vous dirigez-vous pas vers la Russie ?» Ou avec l'Iran, la Chine ou le Venezuela, ou contre ce que le diabolisé et attaqué pays que le débile croit recevoir sa juste récompense.
Chaque année, il devient de plus en plus difficile de dire la vérité sur quoi que ce soit. Si vous faites trop de vérité, comme je suis enclin à le faire, ils vous attaquent en masse. Je devais empêcher les sites Web qui reproduisent mes chroniques, du moins ceux que je connais, de poster des commentaires, car toutes sortes de trolls rémunérés me diffamaient puis répandaient la diffamation sur tous les médias sociaux. Leur but est de me discréditer et de faire fuir les lecteurs de mon site Web. Ça marche. Lorsque le site mystérieux PropOrNot, financé par personne, ne sait qui, mettez-moi sur une liste des «agents russes et des comparses de Poutine», des milliers de personnes ont été retirées de la liste des bulletins d'information.
Ensuite, ils utilisent Wikipedia, en tant que source biographique ouverte qui permet à quiconque de contrôler votre image publique, de vous qualifier d'antisémite, de théoricien du complot et de négateur de l'Holocauste. Vous vous souvenez peut-être de mon article, «Les mensonges de la seconde guerre mondiale», qui passe en revue les histoires de David Irving au cours de la Seconde Guerre mondiale - La guerre de Churchill et la guerre de Hitler. Ce n’est pas l’histoire du vainqueur standard écrite pour nous faire nous sentir bien. Au contraire, les histoires d’Irving sont fondées sur des décennies d’investigation historique et sur des documents, discours, lettres et mémoires officiels. Irving a parcouru le monde en interviewant ceux qui ont vécu l'expérience. Il découvrit des documents tels que les journaux de Rommel et de Goebbels, examinait chaque document concernant la politique juive du gouvernement allemand, réfutait les faux journaux de Hitler, etc. Ses livres sont considérés par les historiens objectifs comme des chefs-d’œuvre. Pourtant, il a été fermé. Il a dit trop de vérité, un péché inacceptable.
Dans mon examen approfondi des histoires d’Irving, j’ai présenté un résumé des preuves documentaires fournies par Irving à propos des massacres de juifs et ai conclu à la conclusion qu’il existait un holocauste différent du tableau officiel. La définition de l'Holocauste est l'histoire sioniste officielle. Donner une description de l’Holocauste différente de celle officielle fait de l’homme un nègre de l’Holocauste, même s’il décrit un holocauste. C’est ainsi que le récit d’Irving fait de lui un négateur de l’Holocauste. Ce que Wikipedia m’a fait, c’est de fausser ma description des opinions d’Irving et de me placer dans la catégorie des négationnistes de l’Holocauste. Cela a pris une éternité pour que la fausse déclaration soit corrigée. Il y a encore des problèmes avec ma biographie sur Wikipedia, mais j'ai abandonné. Chaque fois que des corrections sont apportées, elles sont effacées. Une biographie en code source ouvert requiert beaucoup plus d'intégrité que ce qui existe, et c'est la raison pour laquelle Wikipedia n'est pas fiable. Vous pouvez seulement oser compter sur Wikipedia pour les personnes et les questions exemptes de controverse. Fondamentalement, selon mon expérience, Wikipedia est un mécanisme permettant de discréditer les personnes qui disent la vérité.
Comme je le dis souvent, la grande majorité des gens sont soumis au lavage de cerveau par la propagande qui sert les intérêts au pouvoir. Ils sont trop faibles mentalement et émotionnellement pour gérer tout ce qui ne correspond pas à la vision établie. Cela les effraie et ils s'enfuient. Ainsi, lorsque vous écrivez, vous savez que vous écrivez uniquement pour quelques privilégiés.
La seule façon de le faire est de croire Margaret Mead qu'il suffit de quelques personnes pour changer le monde. Je pense que c'était une fois vrai. Lénine et les bolcheviques étaient très peu nombreux, de même que les pères fondateurs des États-Unis. Mais aujourd'hui, nos dirigeants disposent de tels mécanismes de contrôle extraordinaires. Il n'y a pas si longtemps, Internet était considéré comme un instrument de la liberté d'expression, mais il peut vous exclure et vous rendre invisible. Alex Jones, par exemple, a été séparé de YouTube et des médias sociaux, comme d'autres. Le moteur de recherche de Google a pour instruction de ne pas trouver de commentateurs désapprouvés dans les recherches. Les grands sites Internet bien financés financés par des intérêts au pouvoir peuvent, avec les médias écrits et télévisés, vous diaboliser, comme cela a été fait pour Julian Assange et Manning et même pour les présidents des États-Unis et de la Russie. J'ai déjà remarqué que certains sites Web dissidents qui étaient crédibles et qui résistaient à The Matrix se sont fait remarquer. Ils craignent que trop de vérité ne les marginalise.
Le Saker décrit la censure:
«Nous assistons aujourd'hui à une nouvelle ère de censure dans laquelle le gouvernement et les entreprises travaillent main dans la main pour écraser (interdire, censurer, démonétiser, purger par algorithmes et réduire au silence) tous ceux qui contestent l'idéologie officielle et ses nombreux récits. Il serait naïf à l’extrême de penser que les soi-disant «médias alternatifs» et la blogosphère ont été épargnés par un tel effort de réduction des hérésies. »
Le messager a toujours été abattu, mais au moins autrefois, le message pouvait être entendu. Aujourd'hui, vous pouvez être abattu et le message jeté dans le trou de mémoire.
Je me lasse des frondes et des flèches et de tous les courriels ignorants, narcissiques et impolis que je reçois. Ces lettres ne viennent pas de mes lecteurs. Ils viennent des trolls payés. Le Saker décrit leur fonction:
«Ce sont les gens qui ont pour tâche de brouiller les vrais problèmes, de les enterrer sous des tonnes de sottises idéologiques insipides; la meilleure façon de le faire est d’orienter toute discussion en dehors du sujet initial et de la détourner dans un barrage d’ad hominems ou de clichés idéologiques. "
Certains ne se contentent pas de me convaincre une ou deux fois qu'ils sont des imbéciles, mais insistent pour le faire tous les jours. Il est extraordinaire de voir avec quelle fierté certains se présentent comme des imbéciles incapables de comprendre ce qu’ils lisent. À titre d'exemple, mes articles récents sur l'utilisation du tir de masse d'El Paso pour diaboliser les Blancs, dans lesquels je cite des personnes appelant à l'extermination de la race blanche, m'ont amené à être dénoncé sur d'autres sites Internet pour «prédication de la haine». quand je cite en fait ceux qui prêchent la haine et demandent pourquoi ils le font.
Donc, si vous voulez cesser de supporter ce site, je ne pleurerai pas. En effet, je serai soulagé d'un fardeau et pourrai m'isoler de la stupidité des gens. Je viens d’arriver à la conclusion que «l’américain intelligent» est un oxymoron. De nombreux lecteurs ont exprimé leur frustration d’essayer d’informer leurs amis et leurs proches que CNN n’a pas toujours les faits. J'ai la même expérience avec des amis et des parents. Quand je reçois des questions de personnes trop soumises au lavage de cerveau pour que la vérité pénètre, je réponds que je ne sais pas, demandez à CNN.
Ce site web est un contrat entre moi et les lecteurs. Tant que les lecteurs appuieront le site, j'écrirai ce que je pense être la vérité, à condition que je dispose de l'acuité mentale et de l'énergie pour le faire. Mon agenda est la vérité. La vérité est la vérité. Ce n'est pas la race-vérité, la classe-vérité, le genre et la transgenre, la politique d'identité-vérité, la vérité républicaine, la vérité démocratique, la vérité libérale, la vérité conservatrice, la vérité libertaire, la vérité de gauche ou tout autre type de vérité trait d'union.
Si vous êtes plus intéressé par mes fautes de frappe que par mon contenu, trouvez autre chose à lire. N'oubliez pas que mes doigts vieillissent et souffrent parfois d'arthrite, mon clavier est usé, de nouveaux ne conviennent pas à mon ordinateur et des fautes de frappe se forment. Après les millions de mots que j’ai écrits au cours de ma vie, il m’est impossible de relire moi-même et je n’ai pas toujours de relecteur. J'ai désactivé la vérification orthographique, car Apple vous substitue également des mots. Si vous ne le remarquez pas parce que vous êtes concentré sur le contenu, vous pouvez vous retrouver avec des phrases déconcertantes. La révolution numérique n'est pas la bénédiction que vous devez croire en un lavage de cerveau.
Septembre est toujours le pire mois pour un appel, mais si vous utilisez l'année civile, le trimestre tombe. Je sais que tu es cassé. Vous avez tout gâché pendant les vacances d'été et le week-end de trois jours de la fête du Travail. Mais gardez à l'esprit que mon énergie et ma volonté sont ce que votre soutien dynamise.
L'élite dirigeante a si bien isolé le peuple américain de la réalité derrière des slogans vides de patriotisme et de démocratie que peu d'entre eux peuvent être atteints.
Pour être sauvé de Matrix, vous devez déjà être extraordinaire. Je ne suis pas un sauveur qui peut vous sauver, mais je peux vous pousser à vous sauver. Si vous voulez avoir un esprit libre, vous pouvez y arriver, mais vous devez avoir la force émotionnelle pour le faire. Les choses ne sont pas comme vous avez été formé pour les percevoir. Il y a du mal et de la corruption tout autour de vous. Et ce sont des endroits et des mots qu'il vous a été enseigné de respecter.
Depuis le début des temps, il y a eu des humains qui ont voulu savoir la vérité sur les choses. La vérité était le but de la philosophie primitive. La révolution scientifique a donné aux humains une chance de trouver certaines vérités naturelles, et il fallait les combattre. Aujourd'hui, l'argent est le principal déterminant de la «vérité». La vérité est ce que l'argent dit, et l'argent a le pouvoir d'imposer la «vérité». La vérité, telle que j'essaie de le dire, n'est pas saluée aujourd'hui par un gouvernement ou un intérêt au pouvoir n'importe où dans le monde occidental ou dans les pays qui ont été corrompus par le monde occidental. En effet, l’ennemi de la vérité n’est plus à Moscou ou en Chine. L'ennemi se trouve à Washington, New York et Hollywood, CNN, MSNBC, NPR, New York Times, Washington Post, ainsi que dans les universités et les scientifiques qui mentent pour de l'argent et dans la superrich qui contrôle ces entités, y compris le Congrès, le Pouvoir exécutif et bureau ovale et pouvoir judiciaire.
De toutes les espèces menacées, la vérité est la plus menacée. Je le regarde sortir.
Pas de glyphosate dans les urines d'agriculteurs bretons
Le journal qui plastronne en ce moment, étant « redevenu le premier quotidien national » (ça se discute... quelque 4.400 abonnements de plus que le Figaro en juillet 2019), a produit un article fidèle à la ligne éditoriale de sa rubrique Planète : « Le laboratoire d'analyses du Centre hospitalier de Vannes infiltré par des taupes de Monsanto ».
- voir doc sur site -
(Source)
Le journal dont la lecture tache les doigts a, quant à lui, titré : « Centre hospitalier de Vannes : incapable de mesurer le glyphosate dans les urines ».
Des agriculteurs bretons imperméables au glyphosate...
Stooop ! Rembobinons ! C'est une vanne !
Oui, mais fondée sur une information qui n'aura retenu l'attention que du journal local, Ouest France, édition locale (3 septembre 2019), et des journaux agricoles : « Morbihan. Pas de glyphosate dans les urines des agriculteurs ».
En bref :
« Pour répondre aux pisseurs involontaires qui organisent un peu partout en France, des tests de glyphosate dans les urines, une vingtaine d’agriculteurs morbihannais ont eux aussi à leur tour, fait tester leurs urines. "Le résultat est négatif pour tout le monde", indique Franck Guehennec, président de la Fédération des syndicats d’exploitants agricoles du Morbihan (FDSEA 56). »
...et pendant ce temps, la « pisserie » continue...
Voici, par exemple, de Vannes.maville d'Ouest-France (1er septembre 2019) :
« Ils étaient 50 pisseurs involontaires de glyphosate, un herbicide commercialisé, à s’être déplacés samedi, pour faire tester leurs urines. L’association régionale des Pisseurs involontaires de glyphosate (Pig bzh) créée en janvier 2019, était présente pour recueillir ces urines, sous la surveillance étroite d’une huissière de justice. "L’association a pour but de porter la campagne contre le glyphosate en Bretagne. Le fait est irréfutable. On est tous empoisonnés par les pesticides. On ne triche pas. Les tests ont montré qu’on a tous des taux très importants de glyphosate, plus ou moins en fonction des périodes d’épandages. Les enfants semblent plus impactés", constate Isabelle Georges, l’un des membres fondateurs de l’association. C’est la 18e pisserie organisée en Bretagne, dont huit dans le Morbihan. Les résultats seront connus dans un mois. »
On aura échappé à Monsanto, à l'OMS ou, dans le meilleur des cas, le CIRC et le « cancérogène probable », à la dose et à la comparaison avec l'eau potable... mais pas au message hystériquement anxiogène.
Pas une « pisserie » qui s'organise, comme on dit, dans l'un des quatre coins de l'hexagone qui ne soit médiatisée par la presse locale...
L'absence de glyphosate (plus précisément des tests négatifs à la limite de détection) chez les premiers concernés par l'exposition au glyphosate est pourtant une information importante au vu du tapage médiatique organisé par les organisateurs de l'action de masse médiatico-judiciaire. Mais nos médias regardent ailleurs...
« Le maire de Val-de-Reuil ne veut plus de traitement de pesticides à moins de 150 mètres de lieux de vie », nous a ainsi informé France 3 Normandie le 30 août 2019. En précisant tout de même dans la foulée que « [l]e préfet de l'Eure a réagi et saisi le tribunal administratif » et en équilibrant les élucubrations du maire par des déclarations d'un agriculteur.
Au niveau national, voici une « information » de la plus haute importance : « L’Allemagne va bannir le glyphosate en 2023, même si l’UE prolonge son autorisation », en accès libre dans le Monde (article produit avec l'AFP). En chapô :
« La ministre social-démocrate de l’environnement a annoncé l’interdiction progressive de l’herbicide produit par l’allemand Bayer, ex-Monsanto. L’autorisation européenne s’achève, elle, à la fin de 2022. »
Chapô bien sûr faux dans le journal dont même la date est fausse : le glyphosate est dans le domaine public et les principaux producteurs sont asiatiques...
Mais il y a aussi un détail qui aura échappé à l'auteur de ce morceau de Schadenfreude anti-glyphosate : il y aura des élections fédérales en 2021, en principe à l'automne. En admettant que la ministre Svenja Schulze ait gagné un arbitrage contre Mme Julia Glöckner, il s'agit d'un gain que pour ceux qui y croient. Bien sûr, au Monde... Mais, plus généralement, l'avenir du glyphosate paraît plutôt sombre en Europe.
Nous attendons maintenant une nouvelle ruée sur le glyphosate, la municipalité de Montréal (Canada) ayant décidé de l'interdire sur son territoire – au nom du « principe de précaution » – d'ici la fin de l'année.
Atlantico emploie un gros mot : « fraude »
Ouest-France avait écrit :
« Les agriculteurs n’ont pas suivi le protocole mis en place par les pisseurs involontaires. Ils sont allés à l’hôpital de Vannes pour pratiquer leurs examens. "Le test du CHU de Vannes est officiel et reconnu par l’État. Quelle est la fiabilité du test allemand, qui trouve 100 % de glyphosate dans tous les examens ?", s’interrogent les agriculteurs morbihannais. […] »
Bonne question ! Seuls parmi les médias de portée nationale, Atlantico s'y est intéressé dans « Tests de Biocheck : une fraude à grande échelle dans l’affaire des "pisseurs" de glyphosate ? », avec trois questions posées à M. Marcel Kuntz, directeur de recherche au CNRS. Il y a certes un point d'interrogation de prudence dans le titre, mais le mot « fraude » n'est pas anodin.
À vrai dire, des éléments de réponse ont déjà été donnés par le passé. Dans « Biocheckons le laboratoire Biocheck… », nous avions évoqué les éléments apportés par M. Gil Rivière-Wekstein dans « BioCheck, un laboratoire aux curieuses analyses », puis dans « Glyphosate dans les urines : Libe´ration vole au secours du laboratoire BioCheck », et par M. Jakez Gwenan dans « [ma concierge » a dit] "que BioCheck c'était le grand laboratoire allemand pour le glyphosate" ». Nous avions aussi apporté un complément.
Des éléments, selon une formule consacrée, sans appel !
Recours à un laboratoire fondé par une militante anti-OGM et anti-pesticides patentée, un laboratoire dont des résultats ont déjà été invalidés ; résultats curieux car positifs à 100 % ou presque et contrastant avec les données issues d'autres laboratoires ; résultats non fiables du fait des failles dans le protocole (la présence d'un huissier lors du prélèvement, c'est de la frime) ; résultats non valables en biologie médicale (et en conséquence, a priori, sur le plan judiciaire) car obtenus par un laboratoire non accrédité ; et, selon le fournisseur du test Elisa, « [c]omme pour toute technique d'analyse (GC, HPLC, etc.), les résultats positifs appelant une action réglementaire devraient être confirmés par une méthode alternative. »
Et c'est précisément une méthose alternative – plus fiable – qui a été utilisé par le Centre Hospitalier de Vannes.
Une réponse de M. Marcel Kuntz
Alors ? Atlantico demande :
« Cette question est désormais éminemment politique. Qu'en sera-t-il des démarches judiciaires mises en œuvre à la suite des tests de BioCheck ? »
M. Marcel Kuntz répond :
« Le scientifique que je suis est tenté de recommander à la justice de classer ces plaintes sans suite. Mais je vais résister à cette tentation, car je n’ai aucune légitimité à dire ce que la justice doit faire… Elle pourra, seule, constater que ces plaintes sont une tentative d’instrumentaliser l’autorité judiciaire dans le cadre d’une entreprise politique. En effet la question du glyphosate a toujours été politique. Si des activistes anti-pesticides ont procédé à ces "détections" du glyphosate, cela participe à la longue campagne visant à faire interdire cet herbicide et tous les "pesticides" (sont uniquement visés, par idéologie, ceux de "synthèse", en ignorant les pesticides utilisés en agriculture biologique). Ces activistes tentent d’imposer par la peur leur vision politique de l’agriculture, essentiellement anti-capitaliste et anti-moderne. Certes l’agriculture a généré des pollutions, mais il ne faut pas nier la capacité des agriculteurs à réduire leur impact environnemental, ce qu’ils font depuis des décennies. »
La question est clairement posée
Il n'y a pas que les « anti-anti-pesticides ». Sur Twitter, Mac Lesggy écrit :
« Il est effectivement temps de se poser la question de la validité des tests de Biocheck. A-t-on assisté à une fraude à grande échelle dans l’affaire des "pisseurs de #glyphosate" ? »
La question est évidemment complexe car il faut déterminer qui, au départ, savait que l'opération était techniquement et juridiquement branlante et qui, par la suite, en savait suffisamment pour en toute logique arrêter les frais. Comme nous le montrent les médias, l'opération se poursuit pourtant...
Sur le plan technique, il y a eu une réponse de M. Robin Mesnage, un ancien de l'équipe Séralini, une circonstance qui renforce sa crédibilité :
« J'ai testé le test ELISA glyphosate et les résultats ont fini à la poubelle. Il y a trop de composés qui interférent avec la détection du glyphosate, et plus les urines sont concentrés plus l'interférence est forte. Rien ne remplace la spectrométrie de masse. »
On peut certainement regretter que l'exploitation médiatique des résultats des analyses sur les agriculteurs n'ait pas été à la hauteur. Il ne suffit pas de lancer une invitation à un point presse – en plus dans une ferme où ces gens de la ville et des rédactions pourraient salir leurs chaussures.
Mais tout de même, que font tous ces journalistes si friands de scandales ? Il y a pourtant là du lourd !
Hep, les Stéphane et Stéphane ! Hep, Coralie ! Hep, Gaël !
Hep, Élise ! Non, pas Élise : elle a utilisé les services de Biocheck pour son infâme Envoyé Spécial de janvier 2019... Mais peut-être que M. Djamel Debbouze ou Mme Julie Gayet pourraient-ils se manifester et protester parce qu'on les a pris pour des billes...
- voir doc sur site -
(Source)
Petit rappel...
En avril déjà, trois agriculteurs du Calvados avaient fait tester leur urine par le CHU de Limoges et par la technique recommandée par M. Robin Mesnage (chromatographie et spectromètre de masse en tandem).
Résultat selon Réussir (qui a la bonne idée de mettre les résultats du CHU de Limoges en fac similé et de rappeler ce que Biocheck et les organisateurs de l'opération « pisseurs » prétendent avoir trouvé) :
« Pas de glyphosate détectable dans l’urine de trois agriculteurs
Dans un contexte d’agribashing, les trois agriculteurs ont souhaité tester leur urine. La FDSEA 14 a porté la démarche. Dans le Calvados, le mouvement "des pisseurs volontaires" avait reçu un certain écho. La moyenne pour le Calvados est de 1,14 ng/millilitre (35 résultats). A l’échelle française, la moyenne est de 1.06 ng/millilitre. "Nous avons un taux de présence glyphosate et AMPA non détectable inférieur à 0,4 ng/millilitre", expliquent les trois membres de la FDSEA 14.
Ce résultat les interroge. "Comment se fait-il que 3 agriculteurs utilisateurs de glyphosate aient un taux 4 fois inférieur à des citoyens non utilisateurs et de plus avertis sur ce sujet ?" »
Le financement des recours collectifs aux USA est-t-il un système de Ponzi ?
RépondreSupprimer6 Septembre 2019
par Seppi
Épisode 2/7 du SlimeGate : épisode 3.1/4 de l'arnaque des cherche-beurre – première partie
Risk-monger*
Notre ami le Risk-monger s'est lancé dans une série à tiroirs de longs articles qui m'ont plongé dans un abîme de perplexité s'agissant de la traduction des jeux de mots. Et je traduis dans le désordre...
Un premier article traqduit (qui n'est pas le premier de ces séries), « Le CIRC, les "experts" et les avocats prédateurs : les Bâtards du Benzène (1) » (épisode 3/7 du SlimeGate : épisode 2/4 de l'arnaque des cherche-beurre – première partie) démontrait que le CIRC-gate, la corruption du processus de décision du Centre International de Recherche sur le Cancer relatif au glyphosate par des intérêts judicio-financiers états-uniens, a eu un précédent, le benzène.
Nous voici plongés dans un autre aspect du merveilleux monde des affaires judicio-financières états-uniennes, un autre coin du voile levé sur les procédures engagées contre Bayer/Monsanto, ainsi que Johnson & Johnson.
Rappels (pour plus de détails, voir l'article précédent) :
« SlimeGate » : Le slime est une pâte gluante visqueuse, souvent colorée et très malléable. Cela décrit bien le processus de déliquescence dans lequel le CIRC est embarqué. Et « slimeball », un jeu avec du slime.
« Cherche-beurre » : C'est le « Tort-Tort » du Risk-monger, un « récidivistes de la recherche prêt à abandonner le processus scientifique approprié pour obtenir des paiements lucratifs et des jets privés ». Il se fait son beurre en se mettant au service des avocats prédateurs en tant que consultant scientifique et témoin expert.
« Avocats prédateurs » : ce sont les « Predatort », les cabinets spécialisés dans la tort law, le droit de la responsabilité civile (et délictuelle). Ils montent des affaires contre des défendeurs aux poches profondes en recrutant des plaignants qui ne paieront pas d'honoraires aux avocats mais toucheront (éventuellement, en cas de succès) une partie des dommages-intérêts. Ces avocats investissent donc dans une procédure, dans l'espoir de toucher le pactole à la suite soit de jugements, soit d'une transaction extrajudiciaire. Voir ici, d'Amanda Zaluckyj, la fille du fermier.
« Système (ou pyramide) de Ponzi » : « Ponzi scheme » en anglais, un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants.
Ceci est une annexe du chapitre 3, section 3 de SlimeGate. Cette section a tenté de comprendre pourquoi les avocats prennent autant et pourquoi les victimes reçoivent si peu des dommages-intérêts alloués par le jury dans les affaires de poursuites en responsabilité civile. Les nouvelles sociétés de financement des actions en justice génèrent beaucoup de capitaux librement disponibles, mais détournent également une grande partie du soutien potentiel des victimes au profit d'investisseurs tiers. Cet argent alimente à présent un nombre limité de poursuites (plus de 30.000 affaires sont en cours aux États-Unis contre des sociétés productrices de talc et de glyphosate). Plus je regarde ce nouvel outil financier non réglementé et le risque non protégé sur lequel il repose, plus je suis convaincu que cela est devenu un système de Ponzi.
Le financement des actions en justice (du point de vue commercial) est un outil permettant aux cabinets d’avocats spécialisés dans la responsabilité civile de couvrir leurs honoraires et autres frais bien avant le règlement du litige. Il offre aux investisseurs la possibilité de tirer des bénéfices des futurs règlements potentiels tout en fournissant aujourd'hui aux cabinets d’avocats un capital leur permettant de fonctionner. Les avocats peuvent assurer en temps voulu le paiement de leurs honoraires, le remboursement de leurs frais liés aux voyages, aux publicités, aux consultants, aux recherches sur les plaignants, aux incitations offertes aux ONG, aux honoraires des témoins experts, aux émoluments et aux frais de bureau.
RépondreSupprimerCes fonds génèrent souvent un taux de rendement annuel fixe, avec un bonus sur le règlement des litiges. Comme les affaires vont souvent en appel, les coûts peuvent augmenter au fil des ans, souvent plus d'une décennie. D'autres outils de prêt ne remboursent les investisseurs que s'il y a des règlements, mais dans de nombreux portefeuilles de responsabilité civile, cela devient de moins en moins courant. L’innovation financière la plus récente permet aux particuliers de procéder à un financement participatif de groupes de cas, en particulier en prenant en charge une partie des petits litiges.
Ceci était historiquement connu sous le nom de «champerty» [du français « champart »] en common law britannique (la part du seigneur féodal) et était, jusqu'à récemment, considéré comme illégal.
En supposant un rendement annuel de 20 % (modeste si on le compare à ce que Burford ou IMF Bentham ont rapporté), si j'investissais un million de dollars dans un véhicule de financement d'un litige typique pour un groupe particulier de plaintes en responsabilité, je gagnerais 200.000 dollars par an. En supposant qu'il n'y ait pas d'appels qui traînent en longueur, je récupérerais mon investissement initial après le règlement (si possible avec un bonus, après les « gains » anticipés). Il n'est pas rare pour un grand cabinet d'avocats en droit de la responsabilité civile d'engendrer des coûts de 100 millions de dollars pour une affaire (les jets privés ne sont pas bon marché), ce qui impliquerait 100 millions de dollars supplémentaires pour rembourser les investisseurs pour une durée de procédure de cinq ans (quel que soit le résultat).
Verser de la cupidité sur un feu éthique
Maintenant, la partie la plus douce du financement des actions en justice est que ces transactions peuvent être effectuées en secret. Les tentatives faites pour que les bailleurs de fonds et les investisseurs soient révélés dans le cadre d'une procédure de discovery ont été rejetées. Ainsi, les personnes qui investissent en fin de compte dans des poursuites massives en responsabilité civile ou dans des portefeuilles jouissent d'un anonymat complet. Il pourrait s'agir de concurrents heureux de voir les produits de leurs concurrents faire l'objet de litiges désordonnés et interminables qui ternissent leur réputation. Il pourrait même s'agir de juges (au Royaume-Uni, un juge à la retraite gérait un fonds de financement offshore avec des avocats). Comme dans le cas de Sheldon Silver, le président de l'Assemblée de l'État de New York emprisonné aujourd'hui, il pourrait s'agir de politiciens corrompus cherchant à blanchir des fonds (cinq millions de dollars dans son cas) versés par les mêmes avocats prédateurs, Weitz & Luxenberg, gérant le fonds de financement des actions en justice.
Sans transparence, il n’existe pas d’audits ou de réglementation appropriés pour protéger les parties impliquées (il n'y a que l’attrait des rendements élevés). Il y a cinq ans, les opérations suspectes d'un fonds de financement offshore, Argentum Capital, ont été mises au jour. Le « système implique un labyrinthe de sociétés non contrôlées, non auditées et non agréées dans plusieurs juridictions et est structuré pour éviter tout contrôle », mais comme il a été conçu par des avocats, personne n'a été condamné. Argentum Capital est coté au Channel Islands Securities Exchange, mais appartient à une société des îles Caïmans et est géré par une troisième société basée à Hong Kong.
RépondreSupprimerÀ la base, les conflits d’intérêts de certains fonds ne font qu'exhaler la corruption. Prenez Counsel Financial (devise : « prêts souples pour les cabinets d'avocats ») fondée par Perry Weitz et Arthur Luxenberg au service du cabinet… Weitz & Luxenberg. Comment l’argent de cette entreprise est-il géré ? Vous devrez demander… bien sûr… à Perry Weitz et Arthur Luxenberg. S'ils injectent plus de liquidités dans un espace de litiges limité et grouillant d'opportunistes, qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?
Voici une chose : Weitz & Luxenberg a lourdement investi dans des affaires concernant le glyphosate contre Bayer. Si leur fonds, Counsel Financial, prête généreusement et largement aux officines de coin de rue pour se joindre à la ruée sur le glyphosate, ces petites officines recruteront les plaignants les moins attrayants et les ajouteront à la montagne de poursuites, ce qui amplifiera la stratégie de surenchère pour persuader Bayer de rechercher un règlement extrajudiciaire global. Si Bayer reste ferme, ces cas vont probablement être perdus et les petites officines spécialisées dans la responsabilité civile cesseront leurs activités, réduisant ainsi la concurrence pour Weitz & Luxenberg tout en créant un vivier d'employés potentiels. Si ce n’est pas un conflit d’intérêts, je ne sais pas ce que c’est...
Donner de l'argent gratuit à un groupe d'avocats notoirement non éthiques et rapaces, opérant sans contrôle ni divulgation, ne peut pas, à première vue, sembler une bonne idée. Et alors que les histoires d'avocats prédateurs se comportant mal tout en dilapidant de l’argent commencent à sortir, d'aucuns commencent à réclamer des règles d’éthique… c'est sérieux.
Pas de bonnes preuves ? Pas de bon investissement !
L'investissement dans les actions en justice étant devenu la norme, il en est résulté une explosion des financements, ce qui a permis aux petits cabinets d’augmenter leur capacité d’accroître leurs portefeuilles de clients sans devoir faire preuve de la diligence requise. De nombreux fonds de financement des actions en justice encouragent l’élargissement des portefeuilles (prise en charge d’un nombre beaucoup plus important de clients dans des actions en responsabilité civile). Comme de plus en plus d’argent est à la recherche de retours importants, les cabinets d’avocats en droit de la responsabilité civile investissent ce capital dans le chalutage de victimes à la télévision en fin de soirée et dans la gestion de milliers de plaignants au lieu de dizaines. Deux litiges impliquent le cancer : le glyphosate et le talc représentent aujourd'hui plus de 30.000 cas aux États-Unis. Il s’agit d’une répartition du capital sans précédent (et non testée) repoussant les capacités d’un assez petit nombre de cabinets d’avocats à leur limite.
Mais que se passerait-il si un grand nombre d'affaires fondées sur de mauvaises preuves échouaient ? Si une organisation de financement de procédures judiciaires injecte 100 millions de dollars dans un portefeuille, elle peut espérer, avant le règlement des litiges, un intérêt de 100 millions de dollars annualisé sur cinq ans. Espérons qu'elle bénéficie des conseils de gestionnaires de risques qui leur diraient d'étendre leur couverture à un large éventail de portefeuilles de procédures en responsabilité civile et de couvrir leurs paris. Mais certaines entreprises se laissent entraîner par la cupidité et l’obsession et se lancent dans certaines catégories d’affaires avec tous leurs fonds.
RépondreSupprimerPrenez les plus de 15.000 actions en justice contre J & J tentant de lier certains cas de cancer de l'ovaire à ses produits à base de talc. Certaines actions ont produit des résultats assez étonnants (y compris un recours collectif ayant abouti à des dommages-intérêts de 4,7 milliards de dollars) avec des célébrités de la toge se vendant, eux-mêmes et leurs sociétés, comme des « magiciens ». Mais toutes ces décisions ont jusqu'à présent fait l'objet d' appels ou ont été annulées en appel lorsque les juridictions se sont éloignées des comtés de « juges à la main lourde » (voir la présentation précédente de SlimeGate sur les « trous perdus à la justice infernale ») et se sont penchées sur les preuves. La science qui sous-tend ce « servez-vous » pour avocats prédateurs est fondée sur une monographie du talc assez mal conduite par le CIRC (de nombreux cherche-beurre ayant siégé dans le groupe de travail du CIRC faisant office de témoins experts peu convaincants). Une plainte portant sur le talc a récemment été rejetée après 30 minutes de délibérations du jury (alors que les avocats prédateurs commencent généralement par leurs affaires les plus prometteuses).
Ainsi, la seule chose que peuvent faire ces cabinets d’avocats, après des pertes en appel répétées pouvant aggraver considérablement leurs dettes financières au cours de décennies, est de continuer à boire dans le puits de l’argent facile (mais qui devient de plus en plus cher). Ne vous y méprenez pas, les avocats sont payés et continuent de payer toutes les autres personnes impliquées dans le processus (à l'exception des plaignants qu'ils prétendent représenter), mais leurs entreprises ont besoin de faire preuve de plus de créativité pour que les investisseurs continuent d'alimenter l'abreuvoir. Si 100 millions de dollars en financement d'un litige nécessitent 300 millions de dollars pour couvrir cinq années de dépenses (sans aucun rendement), les cinq années suivantes nécessiteront un financement de 850 millions de dollars (en supposant qu'ils ne soient pas obligés de payer des taux plus élevés lorsque les risques en capital augmentent).
Quelles sont les sociétés de financement des actions en justice les plus exposées à ce château de cartes ? Sans divulgation ni transparence, personne ne le sait.
Tant que les cabinets d’avocats continueront à verser 20 % par an aux investisseurs, les premiers fonds ou les premiers individus se porteront bien (et les cabinets d’avocats, les scientifiques cherche-beurre, les ONG continueront de profiter de la belle vie). Mais que se passera-t-il si, après dix ans, J & J gagne la plupart de ses procès en appel ? Ce système de Ponzi va s'effondrer. Les derniers investisseurs n’auront rien et les cabinets d’avocats… eh bien… je suis sûr qu’ils auront travaillé avec une clause disculpatoire pour leur éviter la prison.
Qu'en est-il des victimes ?
RépondreSupprimerLes victimes (plaignants) ou leurs familles ne reçoivent rien. Mais le SlimeGate nous a montré qu’il n’a jamais été question des victimes. Ce sont juste des outils utiles et involontaires pour attirer l’intérêt des médias et pour la mise en scène au prétoire.
Écœurant.
La « prémisse fatale du Slimeball »
L'industrie américaine des litiges en responsabilité civile héberge certains des salauds les plus répugnants à avoir jamais marché sur deux jambes. Les tentatives de réforme des procédures en responsabilité civile ont échoué en Amérique car ces misérables avocats prédateurs se sont joués du système. Plus ces scélérats se sont enrichis, plus leurs actions sont devenues indécentes et contraires à l'éthique, et plus intouchables ils se croient être.
Avec des scientifiques et des ONG pour petites mains, ils ont affecté la politique publique en étranglant des entreprises au point de les pousser à la faillite, sans se préoccuper de la destruction de la confiance du public dans les institutions, des coûts pour les consommateurs ou la société résultant d'innovations perdues et de prix élevés. Récemment, l’un des fournisseurs de talc de J & J, Imerys Talc America, a déposé le bilan, en déclarant qu’il ne pouvait plus assumer les frais de justice. De bonnes gens ont perdu leur emploi. Ces avocats prédateurs se sont enrichis grâce à des manipulations et des mensonges tandis que d'autres ont dû passer à la caisse.
Mais il y a une faille fatale dans leur plan de jeu. En raison de la liquidité des fonds de financement des actions en justice, le nombre d'affaires gérées pour le glyphosate et le talc atteint des niveaux sans précédent (plus de 30.000 affaires en tout) et le coût de la gestion de ces plaignants potentiels augmente. La plupart de ces cas n'auraient pas dû être acceptés si les officines avaient respecté leurs propres budgets. Les cabinets d'avocats spécialisés en responsabilité civile tablent sur un règlement extrajudiciaire accepté par des défendeurs débordés (et supposent que la grande majorité des affaires ne feront jamais l'objet d'un procès). C’est bien là leur vœu puisque, comme nous supposons qu’ils commencent avec les plus solides, la plupart des cas ont peu de chances de réussir. Les avocats prédateurs utilisent ce que j'appelle « la prémisse du slimeball » : si vous examinez des situations en ne pensant qu'à l'argent, vous supposez que tout le monde ne pense qu'à l'argent.
Mais Bayer et J & J ont tous deux construit leur entreprise (chacun sur plus d'un siècle) sur le respect de la science et de l'innovation. Ce sont des entreprises axées sur l'éthique qui fabriquent des produits qui sauvent des vies et promeuvent un monde meilleur : l'intégrité est au cœur de leur culture d'entreprise. Ils savent que la science sur le talc et le glyphosate sont de leur côté et s’ils restent fidèles aux convictions de leurs fondateurs, ils se lèveront et défendront la science. La stratégie juridique des avocats prédateurs, fondée sur des injures, sur le scandale et sur la crainte du public, ne résistera pas dans les procédures d’appel et, à mesure que les affaires commenceront à être rejetées à un rythme plus rapide, leurs coûts et les retours sur le financement des actions en justice promis prendront une trajectoire ascendante pour devenir hors de contrôle. Pour ma part, je prie pour que les principes et la science l'emportent sur la cupidité du slimeball.
Avec l'argent facile du financement des actions en justice, ces avocats prédateurs se sont endettés jusqu'au cou. Si tout à coup ils ne peuvent plus payer pour leurs excès, ils vont faire faillite. À l'exception des publicitaires et de quelques scientifiques dévoyés et activistes, personne ne les regrettera.
RépondreSupprimerJ'implore les PDG de Bayer et J & J, Werner Baumann et Alex Gorsky, de ne pas céder à ces charlatans menteurs. Les châteaux de cartes des avocats prédateurs ont été construits sur des bases fragiles et ils ne peuvent pas résister à des procès qui s'éternisent. Je comprends que les actionnaires s’inquiètent, mais la science est clairement du côté de ces sociétés et le processus d’appel devrait le souligner. Les investisseurs en financement des contentieux intelligents n'attendront pas que ces châteaux s'effondrent.
Ces avocats prédateurs ont eu recours à des systèmes de financement de litiges pour créer un système de Ponzi sur le pari que Bayer et J & J vont céder. Pour ma part, je n’investirais pas dans cela.
Source : https ://risk-monger.com/2019/08/04/slimegate-is-litigation-finance-a-ponzi-scheme/
http://seppi.over-blog.com/2019/09/le-financement-des-recours-collectifs-aux-usa-est-t-il-un-systeme-de-ponzi.html
Les étiquettes des produits alimentaires trompent souvent les consommateurs
RépondreSupprimer6 Septembre 2019
par Seppi
Oklahoma State University*
Les supermarchés états-uniens sont pleins de marketing alimentaire trompeur s'adressant à tous les clients sans méfiance qui veulent simplement acheter des aliments sains pour eux-mêmes et leur famille.
Ce n'est pas vraiment mieux en France... Et avec les applis pour téléphones portables destinées aux hypocondriaques et orthorexiques, ce n'est pas prêt de s'arranger.
S'ils se promènent dans les allées d'une épicerie, les consommateurs verront toutes sortes d'étiquettes d'aliments vanter les produits comme étant des choix sains. Les légumes sans cholestérol, l'eau sans gluten, les boissons gazeuses naturelles, les biscuits à base de céréales complètes à 100% et les carottes sans OGM ne sont que quelques exemples des nombreuses affirmations que les acheteurs peuvent voir sur les emballages d'aliments aux États-Unis.
De nombreux consommateurs pensent que ces allégations signifient que le produit alimentaire qu'ils achètent est plus sain pour eux et leur famille. Ce qu'elles signifient en réalité, c’est que les entreprises qui font la publicité de ces produits profitent du manque de compréhension du public pour augmenter leurs profits, a déclaré Jenni Kinsey, spécialiste adjointe de la vulgarisation coopérative de l’Université d’État de l’Oklahoma, spécialisée dans les programmes d’éducation nutritionnelle communautaire pour les jeunes.
« Le supermarché regorge de marketing alimentaire trompeur, destiné aux clients peu méfiants qui veulent simplement acheter des aliments sains pour leur famille », a déclaré Kinsey. « Malheureusement, les consommateurs ne comprennent pas toujours bien le verbiage utilisé sur les étiquettes. Par exemple, il n'y a du cholestérol que dans les produits d'origine animale. Par conséquent, les fruits et légumes ne devraient jamais contenir de cholestérol. En fait, tout ce qui ne provient pas d'un produit animal devrait être exempt de cholestérol. »
Il ne faut pas longtemps pour trouver divers produits prétendus sans gluten, y compris de l'eau en bouteille. Le gluten est une protéine présente dans le blé, l'orge et le seigle. Par conséquent, l'eau ne contient évidemment pas de gluten. Mais les consommateurs qui souhaitent acheter des produits sains doivent souvent se fier uniquement au texte de l’emballage sans bien comprendre ce qu’ils achètent. Les consommateurs ne devraient vraiment pas se préoccuper d’éviter le gluten, sauf s’ils ont un diagnostic médical et sont suivis par un fournisseur de soins de santé.
« Le mot "naturel" est un autre qui se démarque auprès des consommateurs. À l’heure actuelle, la Food & Drug Administration des États-Unis n’a pas de définition officielle du mot "naturel". Par conséquent, cette allégation peut être utilisée pour d'innombrables produits alimentaires, y compris les sodas, les chips et d'autres aliments dont la plupart d'entre nous savent que nous devrions les limiter », a-t-elle déclaré. « N'oubliez pas qu'une allégation "naturel" n'est pas une allégation de santé. Les consommateurs peuvent payer davantage pour le produit visé par l'allégation même s'il ne diffère pas du produit voisin n'affichant pas cette allégation. »
Une étiquette affirmant qu'un produit a été fabriqué ou cuit avec 100 % de grains entiers ne fait pas de ce produit un grain entier. Kinsey a déclaré que si un produit alimentaire contient des grains entiers dans ses ingrédients, l'emballage peut affirmer que le produit a été fait avec des grains entiers. Cependant, cela incite les consommateurs à croire qu'ils obtiennent un produit à base de grains entiers alors qu’il ne l'estt pas. Pour vous assurer que vous achetez un produit de grains entiers, recherchez « 100% de grains entiers » sur l'emballage.
RépondreSupprimerKinsey a déclaré que l'on parlait beaucoup d'aliments bio-modifiés ou d'organismes génétiquement modifiés, également connus sous la désignation « OGM ». Ceux-ci sont utilisés pour augmenter le rendement des cultures et nourrir plus de personnes avec moins de ressources.
« Cela conduit finalement à des produits alimentaires plus abordables. Parmi les raisons pour lesquelles ces aliments sont issus de la bio-ingénierie, on peut citer, par exemple, une tolérance accrue à la sécheresse, une absorption améliorée des minéraux et une résistance à des insectes », a-t-elle déclaré. « Bien que seuls 10 aliments génétiquement modifiés [espèces cultivées] soient approuvés pour la vente aux États-Unis, des milliers de produits annoncent sur l'étiquette qu'ils ne contiennent pas d'OGM lorsqu'ils ne contiennent pas et n'ont jamais contenu les aliments génétiquement modifiés approuvés. Il s’agit simplement d’une tactique publicitaire visant à prendre le dessus sur les marques concurrentes. »
Les 10 aliments [espèces] génétiquement modifiés approuvés pour la vente comprennent la luzerne, les pommes, le canola, le maïs, le cotonnier, la papaye, les pommes de terre, le soja, les courges d'été et les betteraves à sucre.
Bien que la FDA ait lancé une initiative sur l’étiquetage sur le devant de l’emballage pour lutter contre les pratiques commerciales trompeuses en matière de commercialisation des produits alimentaires, il faudra des années, voire des décennies, pour éliminer toutes les allégations inappropriées.
« Ce que vous pouvez faire maintenant, c'est vous renseigner, vous informer sur les ingrédients et remettre en question les allégations des étiquettes », a déclaré Kinsey. « Prenez l'habitude de vous demander si l'allégation a un sens et vous commencerez à reconnaître le nombre massif d'allégations trompeuses sur les étiquettes. »
____________
* Source : https://news.okstate.edu/articles/agricultural-sciences-natural-resources/2019/gedon_food_labels.html
http://seppi.over-blog.com/2019/09/les-etiquettes-des-produits-alimentaires-trompent-souvent-les-consommateurs.html
Partie 1 de l'EPA: L'EPA a-t-elle effectué une vérification préalable du rapport sur le climat du IPCC ? (Est-ce que quelqu'un ?)
RépondreSupprimerL’Autorité de protection de l’environnement de l’Australie occidentale (EPA) souhaite que chaque nouveau projet vise la neutralité carbone, coûtant des milliards de dollars et augmentant presque certainement la pollution à l’étranger, tout en espérant faire baisser les températures au-dessus de WA d’ici à 2100 ap.
L’EPA est un organe consultatif scientifique - le gouvernement n’a pas à suivre leurs conseils - mais si c’est le cas, et que l’avis était erroné - qui est responsable des pertes et des dommages prévisibles? Les modèles privilégiés par le GIEC n'incluent pas de paramètres magnétiques solaires, spectraux ou de flux de particules et échouent de manière répétée. Ils sont non vérifiés, non validés et non responsables. Si le soleil contrôle le climat, ces modèles ne le montreront pas. Si l'EPA ne fait pas preuve de diligence raisonnable dans les rapports d'un comité étranger, quelle personne représente les Australiens occidentaux?
- Jo
Soumission du guide d'évaluation des émissions de gaz à effet de serre de l'EPA - Consultation
Joanne Nova, 2 septembre 2019: ID de soumission: ANON-1TDB-D593-G.
___________________________
Question 1: L'EPA a-t-elle effectué une vérification préalable du rapport sur le climat de l'IPCC ?
September 6th, 2019
Le rôle principal de l’EPA est de «protéger l’environnement et de réduire la pollution», article 15 de la loi (art. 15).
Par conséquent, l’EPA serait légalement tenue d’évaluer les preuves scientifiques. La question sur laquelle tout repose est énoncée dans le document de base:
«Quelle est la gravité des impacts environnementaux projetés de nouvelles émissions de gaz à effet de serre ?
«L'EPA déclare que les émissions humaines entraînent des changements climatiques et les données scientifiques sont« robustes et convaincantes ». Cependant, l’EPA ne répertorie ni ne discute aucune donnée. Il cite le rapport sur l'état du climat 2018 du Bureau de météorologie et du CSIRO et le rapport spécial de l'IPCC d'octobre 2018 sur le réchauffement de la planète.
«Prises ensemble, ces informations sont préoccupantes et ne peuvent être considérées comme spéculatives ou incorrectes…
L’EPA ne cite pas de preuves ni de données dans le document d’information. Il ne fait que répéter les rapports des comités. Étant donné que la gestion de l'environnement australien occidental dépend de ces prévisions et que des milliards de dollars dépendent des directives de l'EPA, la responsabilité de la diligence raisonnable incombe certainement à l'EPA, et non à une organisation étrangère non responsable, comme le GIEC. Bien que les médias et les militants puissent affirmer que «des milliers de scientifiques» sont impliqués, en réalité, le nombre de ceux qui ont vérifié les principales conclusions est peu important. Par exemple, le nombre de réviseurs répertoriés au chapitre neuf du quatrième rapport d'évaluation du IPCC n'était que de 601, et ces scientifiques n'avaient qu'à lire le projet de chapitre à inclure. Ils n’ont pas nécessairement besoin de l’avoir soumis à un audit critique. Des milliers d'autres scientifiques impliqués dans les rapports du IPCC sont des spécialistes de l'adaptation, de l'atténuation, de la biologie, des marchés ou de certains aspects moins importants de la science du climat. Ils ont supposé que les hypothèses et les conclusions du chapitre neuf étaient correctes.
RépondreSupprimerQuestion 1: L'EPA a-t-elle évalué ou audité le rapport sur le climat du GIEC ?
Question 1.1a: Dans l'affirmative, quels ensembles de données d'observation montrent que le gaz carbonique produit par l'homme provoque un réchauffement dangereux ? Ou bien la politique des APE dépend-elle entièrement de rapports fondés sur des modèles climatiques non vérifiés et non validés avec des antécédents avérés d'échec ? (voir ci-dessous).
Question 1.1b: Si l’EPA n’a pas évalué de manière indépendante les données et les éléments de preuve, elle assumera-t-elle la responsabilité de tout dommage causé à l’État (flore, faune ou citoyens) si elle recommande une action fondée sur des modèles climatiques non vérifiés, non audités et examinés par des pairs ? les papiers décrivent déjà comme «sans talent»? 2
L'échec du modèle est bien documenté
Nuages et humidité, rôle de rétroaction dans le changement climatique, graphique.
- voir graphiques sur site -
Le seul défaut qui élimine la crise.
Selon James Hansen et le IPCC4, l'effet de réchauffement direct du doublement du gaz carbonique ne conduira qu'à un réchauffement de 1,2 ° C3. Les sceptiques admettent en grande partie que le point litigieux est de savoir si le réchauffement est amplifié par les réactions, comme le prétend le IPCC5, ou atténuées par les réactions, comme le suggèrent les preuves empiriques tirées de 28 millions de ballons météorologiques6. de cela, pas seulement une fois, mais 74 fois. Si les modèles ne sont pas les bons sur ce point, nous nous attendons à voir des preuves provenant de nombreuses sources, ce que nous faisons.
Les prédictions du modèle échouent à presque tous les niveaux et aspects. Ils sont incapables de prédire les températures aux échelles planétaires, mais aussi aux échelles régionales, locales, à court terme 9 10, polaires 11 et troposphériques supérieures12 13. Ils échouent avec l’humidité14, les précipitations15, la sécheresse 16 et avec les nuages17. Le thème commun est que les modèles ne gèrent pas bien l’eau. C'est évidemment un gros problème sur une planète recouverte d'eau. L'eau contient 90% de toute l'énergie en surface 18, et la NASA19 et l'IPCC20 reconnaissent que l'eau est le principal gaz à effet de serre. De plus, les prédictions de la vapeur d'eau dans la haute troposphère, qui constituent le retour d'information le plus important dans les modèles climatiques couplés, ont été répétées et complètement fausses21. 22 Cet aspect particulier des prédictions de modèle s'appelle «le point chaud manquant» - la partie de l'atmosphère. au-dessus des tropiques, à environ 10 km d'altitude. C’est plus important que tout autre aspect, même que l’effet direct du gaz carbonique. L'amplification est appelée rétroaction positive, et cette rétroaction particulière provenant des molécules d'eau est l'un des facteurs les plus importants dans les modèles climatiques23. Certains affirment qu'il double l'effet de toutes les autres formes de réchauffement24.
RépondreSupprimerPoint chaud manquant, prévisions du IPCC, Échec, Représenté graphiquement, haute troposphère.
Le CCSP (Projet scientifique sur les changements climatiques) a publié les prévisions et les observations sous forme de graphiques dans différentes parties de son grand rapport de 2006
De nombreux scientifiques du climat de haut niveau ont admis et discuté des différences entre les tendances modélisées et observées du système de rétroaction le plus influent dans les modèles climatiques:
"…‘ Incohérence potentiellement sérieuse ’entre les tendances modélisées et observées ... les divergences sous les tropiques restent à résoudre." (Karl et al., 2006)
«De manière surprenante, les observations directes de la température à partir de radiosondes et de données satellitaires n'ont souvent pas montré cette tendance attendue. (Sherwood et al, 2008)
«… La troposphère tropicale s'était en fait légèrement refroidie au cours des 20 à 30 dernières années (ce qui contraste nettement avec les prédictions des modèles informatiques… (Santer 2008).
… (La plupart des) modèles surestiment la tendance au réchauffement de la troposphère tropicale… La cause de ce biais reste insaisissable. IPCC, 2013 (IPCC) 25
Les modèles surestiment systématiquement presque tous les autres aspects
Comme prévu, lorsque les modèles sont erronés pour un facteur clé, les prévisions sont systématiquement fausses dans de nombreux résultats. Cela inclut le niveau de la mer, où 1 000 marégraphes indiquent que la hausse n’est que de 1 mm par an, soit beaucoup moins que prévu. 26 27 Les mers autour de l’Australie s’élevaient tout aussi rapidement au moment de la Grande Dépression qu’aujourd’hui28. Les données satellitaires brutes ont donné leur accord29, jusqu’à ce qu’elles soient ajustées en 2003, pour correspondre à une jauge perdue à Hong Kong. Les satellites suivent maintenant tous les 20 m la piste de sable roulante au-dessus des mers - et si la mer montait, les plages se rétréciraient. Au lieu de cela, lorsque 709 îles des océans Pacifique et Indien ont été étudiées, 89 % sont restées inchangées ou ont pris de l’agrandissement30. Aucune île n’était assez grande pour contenir des habitants n’était plus petite. Le niveau de la mer a également commencé à monter longtemps avant que les émissions humaines de gaz carbonique ne deviennent importantes. Les modèles privilégiés par le IPCC ne peuvent pas expliquer pourquoi ce réchauffement a commencé vers 1800AD. 31 32
Les modèles ne peuvent pas expliquer le réchauffement au cours de la période chaude médiévale. Il y a des affirmations selon lesquelles ce n'était pas global, mais des dizaines de procurations du monde entier le prouvent. 33 34 En outre, 6 000 forages réalisés dans le monde confirment que l’effet de réchauffement a été mondial. 35 36 37 38
RépondreSupprimerDans les océans, le réchauffement n’est pas statistiquement significatif, le niveau des mers a commencé à monter trop tôt, pas assez vite, pas plus vite, pas plus que prévu. L'Antarctique était censé se réchauffer plus rapidement que quasiment n'importe où, mais ils avaient totalement tort. Le vaste océan austral refroidit sans se réchauffer. La seule partie de l’Antarctique qui se réchauffe se situe au sommet d’une chaîne de volcans où 91 nouveaux volcans ont été découverts récemment.
Le travail du IPCC peut être qualifié de «spéculatif» pour de nombreuses raisons.
L'argument de l'autorité ou de l'ad Populum est un raisonnement fallacieux et bien que les sceptiques soient indépendants et dépassent largement le nombre de scientifiques convaincus, cela ne les corrige pas et ne fait pas partie de l'argument scientifique présenté ici. Cependant, cela montre que l'EPA n'a pas enquêté de manière critique sur les conclusions du IPCC et sur les projections prévisionnelles. S'ils l'avaient fait, l'EPA serait consciente que le travail du IPCC est en réalité une extrapolation spéculative avec une modélisation non vérifiée et non validée.
À cette fin limitée, il convient de noter que des milliers de scientifiques indépendants protestent activement contre les hypothèses du IPCC. Les sondages montrent que la plupart des ingénieurs et des géologues39 et de la moitié des météorologistes du monde40 et des climatologues ne sont pas d'accord avec le niveau de certitude du IPCC. la lune. Contrairement au IPCC, leurs opinions ne peuvent être qualifiées de «spéculatives». Leurs affirmations sont modestes (il est probable que le climat continuera à évoluer à un rythme similaire à celui du siècle dernier et que le GIEC exagère l’effet du gaz carbonique par un facteur 2 à 10). Par ailleurs, les revendications du IPCC impliquent des changements «sans précédent» et une accélération rapide qui ne figure dans aucun jeu de données, mais uniquement dans les projections du modèle.
Si les preuves étaient si accablantes et si le débat ne vaut même pas la peine d’avoir lieu, pourquoi le petit nombre de climatologues officiellement reconnus a-t-il autant de difficulté à convaincre les autres scientifiques ? Les lois de la science sont les mêmes quelle que soit la branche de la science. La physique atmosphérique est toujours la physique.
Il convient de noter que les évaluations du IPCC dépendent de quelques scientifiques qui se sont comportés de manière profondément non scientifique: par exemple, dissimulation de données, déclin, historique, ajustements et méthodes.
La nomenclature admet que ses méthodes ne peuvent pas être répliquées: s’il ne peut pas être répliqué, ce n’est pas la science
Le Bureau de météorologie admet que ses méthodes ne peuvent être décrites en détail42. Chaque station est ajustée par des techniques qui ne sont pas entièrement publiées. Dans leurs propres mots, leurs méthodes d'ajustement des données sont les suivantes:
“… Un processus supervisé dans lequel les rôles de métadonnées et d'autres informations nécessitaient un certain niveau de compétence et d'intervention de l'opérateur.”
RépondreSupprimer… Plusieurs choix dans le processus d'ajustement restent une question de jugement d'expert.
L'EPA approuve-t-elle des travaux scientifiques qui ne peuvent pas être reproduits et dont les méthodes ne sont pas décrites en détail ? Si l'EPA ne fait pas preuve de diligence raisonnable, il accepte implicitement ces normes profondément non scientifiques.
L'Australie a toujours été un pays chaud. Notre environnement est sûrement adapté à cela ?
Vagues de chaleur australiennes, 50 degrés C, 1800, historique.
- voir carte sur site -
Des températures de 50 degrés ont été enregistrées dans toute l’Australie.
L’architecture des journaux australiens suggère que les vagues de chaleur extrêmes étaient courantes dans les années 1800. Le gaz carbonique était faible dans les années 1800, mais il existe de nombreuses références à 125°F «à l'ombre» dans les archives de nos journaux nationaux, ce qui représente une température étonnante de 52 ° C. Cela a été mesuré sur du matériel non standard, mais parfois par des scientifiques experts. Les premiers explorateurs ont été formés pour mesurer la température. Charles Sturt a enregistré des températures à l'ombre de 127°F, 129°F et même 132°F, signalant que le sol était si chaud que, si les allumettes tombaient sur le sable, elles s'enflammeraient spontanément.43 44 En 1846, Sir Thomas Mitchell enregistra également 129F45. le thermomètre se briserait car il «n'atteindrait que 132 ° F». En 1860, le groupe de John Mcdouall Stuart mesurait 128 ° F à l'ombre46 C) Pas de climatiseurs alors. Malgré les pics de chaleur des années 1800, en 1952, des scientifiques australiens discutaient de la cause de mystérieuses tendances au refroidissement prolongé sur une grande partie du continent.47
De manière conservatrice, même si certaines de ces nombreuses températures enregistrées surestiment la chaleur de 2 ou 3 degrés Celsius, ces températures montreraient tout de même que l’Australie a toujours eu des vagues de chaleur extraordinaires.
Il existe de nombreux exemples de thermomètres australiens mal situés, mystérieusement réglés et réajustés. Par exemple. Streaky Bay, Australie du Sud48. Pour d'autres exemples, voir Changements climatiques: les faits 2017.49
Parts 2 and 3 coming.
NOTE: The three images above are discussed in the submission, but not included. Next time…
REFERENCES
1 McLean, John (2007) An Analysis of the Review of the IPCC 4AR WG I Report, http://mclean.ch/climate/docs/IPCC_review_updated_analysis.pdf. Updated: McLean, John (2009) The IPCC can’t count its “expert scientists”, http://mclean.ch/climate/docs/IPCC_numbers.pdf
2 Hans von Storch, Armineh Barkhordarian, Klaus Hasselmann and Eduardo Zorita (2013) Can climate models explain the recent stagnation in global warming? Academia
3 Hansen J., A. Lacis, D. Rind, G. Russell, P. Stone, I. Fung, R. Ruedy and J. Lerner, (1984) Climate sensitivity: Analysis of feedback mechanisms. In Climate Processes and Climate Sensitivity, AGU Geophysical Monograph 29, Maurice Ewing Vol. 5. J.E. Hansen and T. Takahashi, Eds. American Geophysical Union, pp. 130-163 Abstract
RépondreSupprimer4 See also Bony et al 2006, and the IPCC, AR4 Chapter 8, p 631.
5 Predicted “hot spot” changes 1958-1999. Synthesis and Assessment Report 1.1, 2006, CCSP, Chapter 1, p 25, based on Santer et al. 2000;
6 Hadley Radiosonde record: Synthesis and Assessment Report 1.1, 2006, CCSP,, Chapter 5, p116, recorded change/decade, Hadley Centre weather balloons 1979-1999, p. 116 , fig. 5.7E, from Thorne et al., 2005.
7 28 million radiosondes: NOAA, Integrated Global Radiosonde Archive, May 28th, 2010. https://web.archive.org/web/20100528012708/http://www.ncdc.noaa.gov/oa/climate/igra/index.php?name=coverage
8 Durre et al (2005) Overview of the Integrated Global Radiosonde Archive, Journal of Climate, vol 19, page 53, https://doi.org/10.1175/JCLI3594.1
9 Anagnostopoulos, G. G., D. Koutsoyiannis, A. Christofides, A. Efstratiadis, and N. Mamassis, (2010). A comparison of local and aggregated climate model outputs with observed data’, Hydrological Sciences Journal, 55: 7, 1094 — 1110 PDF
10 Koutsoyiannis, D., Efstratiadis, A., Mamassis, N. & Christofides, A.(2008) On the credibility of climate predictions. Hydrol. Sci. J. 53(4), 671–684. changes PDF
11 Previdi, M. and Polvani, L. M. (2014), Climate system response to stratospheric ozone depletion and recovery. Q.J.R. Meteorol. Soc.. doi: 10.1002/qj.233
12 Christy J.R., Herman, B., Pielke, Sr., R, 3, Klotzbach, P., McNide, R.T., Hnilo J.J., Spencer R.W., Chase, T. and Douglass, D: (2010) What Do Observational Datasets Say about Modeled Tropospheric Temperature Trends since 1979? Remote Sensing 2010, 2, 2148-2169; doi:10.3390/rs2092148 PDF
13 Fu, Q, Manabe, S., and Johanson, C. (2011) On the warming in the tropical upper troposphere: Models vs observations, Geophysical Research Letters, Vol. 38, L15704, doi:10.1029/2011GL048101, 2011 PDF Discussion
14 Paltridge, G., Arking, A., Pook, M., 2009. Trends in middle- and upper-level tropospheric humidity from NCEP reanalysis data. Theoretical and Applied Climatology, Volume 98, Numbers 3-4, pp. 351-35). PDF
15 See 10 Anagnostopolous 2010
16 Sheffield, Wood & Roderick (2012) Little change in global drought over the past 60 years, Letter Nature, vol 491, 437
17 Miller, M., Ghate, V., Zahn, R., (2012) The Radiation Budget of the West African Sahel 1 and its Controls: A Perspective from 2 Observations and Global Climate Models. in press Journal of Climate abstract PDF
18 Pielke Sr., R.A., (2003): Heat storage within the Earth system. Bull. Amer. Meteor. Soc., 84, 331-335.
19 http://earthobservatory.nasa.gov/Features/WaterVapor/water_vapor3.php
RépondreSupprimer20 IPCC, Assessment Report 4, 2007, Working Group 1, The Physical Science Basis, Chapter 8. PDF Page 632 online
21 Santer, B. D. (2006). US Climate Change Science Program 2006, Temperature Trends in the Lower Atmosphere – Understanding and Reconciling Differences.
22 Singer, S. F. (2011). Lack of Consistency between Modeled and Observed Temperature Trends. Energy and Environment, Vol 22 No. 4, pp. 375 – 406.
23 Soden, B.J., and I.M. Held, 2006, An assessment of climate feedbacks in coupled ocean-atmosphere models. J. Clim. 19, 3354–3360.
24 Sherwood, S., Kursinski, E.R., Read, W.G. (2006) A Distribution Law for Free-Tropospheric Relative Humidity, Journal of Climate, Volume 19, Issue 24 (December 2006) abstract
25 IPCC Fifth Assessment Report, second order draft, Chapter Nine, page 218
26 Michael Beenstock, Daniel Felsenstein,*Eyal Frank & Yaniv Reingewertz, (2014) Tide gauge location and the measurement of global sea level rise, Environmental and Ecological Statistics, May 2014 Abstract
27 Nils-Axel Mörner (2014) Deriving the Eustatic Sea Level Component in the Kattaegatt Sea, Global Perspectives on Geography (GPG). American Society of Science and Engineering, Volume 2, 2014, www.as-se.org/gpg
28 White, Neil J., Haigh, Ivan D., Church, John A., Koen, Terry, Watson, Christopher S., Pritchard, Tim R., Watson, Phil J., Burgette, Reed J., McInnes, Kathleen L., You, Zai-Jin, Zhang, Xuebin, Tregoning, Paul: (2014) Australian Sea Levels – Trends, Regional Variability and Influencing Factors, Earth Science Reviews, doi: 10.1016/j.earscirev.2014.05.011
29 Morner. N.A. (2004) Estimating future sea level changes from past records, Global and Planetary Change 40 49–54 doi:10.1016/S0921-8181(03)00097-3 PDF
30 Duvat, V. K. E. (2018). A global assessment of atoll island planform changes over the past decades. Wiley Interdisciplinary Reviews: Climate Change, e557. doi:10.1002/wcc.557
31 Jevrejeva, S., A. Grinsted, J. C. Moore, and S. Holgate (2006), Nonlinear trends and multiyear cycles in sea level records, J. Geophys. Res., 111
32 Jevrejeva, S., J. C. Moore, A. Grinsted, and P. L. Woodworth (2008), Recent global sea level acceleration started over 200 years ago?, Geophys. Res. Lett., 35, L08715, doi:10.1029/2008GL033611. PDF
33 Christiansen, B. and Ljungqvist F. C. (2012). The extra-tropical Northern Hemisphere temperature in the last two millennia: reconstructions of low-frequency variability. Climate of the Past, 8(2):765–786, 2012. abstract PDF NASA copy Discussion on CA noted a lack of complete archives and code
34 Ljungqvist, F. C., Krusic, P. J., Brattström, G., and Sundqvist, H. S (2012).: Northern Hemisphere temperature patterns in the last 12 centuries, Clim. Past, 8, 227-249, doi:10.5194/cp-8-227-2012, 2012. abstract PDF or try this PDF CO2science discussion
RépondreSupprimer35 Huang, S., H. N. Pollack, and P. Y. Shen (1997), Late Quaternary temperature changes seen in world-wide continental heat flow measurements, Geophys. Res. Lett., 24(15), 1947–1950. Abstract, PDF Discussion
36 Huang, S., H. N. Pollack, and P. Y. Shen (2000), Temperature trends over the past five centuries reconstructed from borehole temperatures, Nature, 403, 756– 758. PDF
37 Huang, S. (2004), Merging information from different resources for new insights intoclimate change in the past and future, Geophys. Res. Lett., 31, L13205, doi:10.1029/2004GL019781.
38 Huang, S. P., H. N. Pollack, and P.-Y. Shen (2008), A late Quaternary climate reconstruction based on borehole heat
flux data, borehole temperature data, and the instrumental record, Geophys. Res. Lett., 35, L13703, doi:10.1029/2008GL034187 PDF
39 Lefsrud and Meyer (2012) Science or Science Fiction? Professionals’ Discursive Construction of Climate Change, Organization Studies, vol. 33, 11: pp. 1477-1506. , First Published November 19, 2012.
40 Maibach, E., Perkins, D., Timm, K., Myers, T., Woods Placky, B., et al. (2017). A 2017 National Survey of Broadcast Meteorologists: Initial Findings. George Mason University, Fairfax, VA: Center for Climate Change Communication
41 Bart Strengers, Bart Verheggen and Kees Vringer (2015) Climate Science Survey, Questions and Responses, PBL Netherlands Environmental Assessment Agency, pp 1 – 39
42 BOM Technical Advisory Forum report, June 2015. http://www.bom.gov.au/climate/change/acorn-sat/documents/2015_TAF_report.pdf Discussed: http://joannenova.com.au/2015/06/if-it-cant-be-replicated-it-isnt- science-bom-admits-temperature-adjustments-are-secret/
43 http://www.knowledgerush.com/paginated_txt/etext04/xpcst10/xpcst10_s1_p479_pages.html
44 Charles Sturt, Narrative of an expedition into Central Australia, 1844, Chapter 12. The University of Adelaide Library. https://ebooks.adelaide.edu.au/s/sturt/charles/s93n/chapter12.html Discussed: http://joannenova.com.au/2012/07/charles-sturts-time-so-hot-that-thermometers-exploded-was-australias-hottest-day-in-1828-53-9c/
45 Lt. Col. Sir Thomas Livingstone Mitchell Kt. D.C.L. Surveyor-General of New South Wales, Journal of an Expedition into the Interior of Tropical Australia, 1846. The University of Adelaide Library. https://ebooks.adelaide.edu.au/m/mitchell/thomas/tropical/complete.html
46 Mr Stuart’s Party, The Cornwall Chronicle, Wed 23 Jan 1861, Page 5. http://trove.nla.gov.au/ndp/del/article/65567656,
47 Deacon, E.L. (1952) Climatic Change in Australia since 1880, Australian Journal of Physics, Volume 6, Pages 209-218. PDF
RépondreSupprimer48 Streaky Bay’s Thermometer — Over Hot Bitumen for 31 long Years, (2019), http://joannenova.com.au/2019/08/feast-your-eyes-on-streaky-bays-thermometer-over-bitumen-for-31-long-hot-years/
49 Chapter 8, Mysterious Revisions to Australia’s long hot history, Climate Change: The Facts 2017. The Institute of Public Affairs, Connor Court. https://ipa.org.au/publications-ipa/books/climate-change-facts-2017-ebook-now-sale
http://joannenova.com.au/2019/09/epa-part-1-has-the-epa-done-due-diligence-on-the-ipcc-climate-report/#more-66266
Breaking: James Cook Uni condamné à verser 1,2 million de dollars à Peter Ridd. Le juge Vasta est cinglant.
RépondreSupprimerSeptember 6th, 2019
Les chefs doivent se tourner vers JCU pour la mauvaise gestion incompétente, pour avoir agi en tant que dirigeants «scientifiques» et pour avoir tenté de supprimer une vision scientifique qu’ils n’aimaient pas personnellement. Ils ont déjà gaspillé 630 000 $ et maintenant 1,2 million de dollars de plus - tout cela pour qu'ils puissent arrêter Ridd en disant qu'il existe une crise de la réplication dans la science et qu'on ne peut plus faire confiance à nos institutions:
James Cook Uni condamné à payer 1,2 million de dollars à Peter Ridd
Charlie Peel, l'Australien
L’Université James Cook a été condamnée à verser 1,2 million de dollars à Peter Ridd, scientifique spécialiste des récifs coralliens, pour son licenciement illégal après avoir critiqué publiquement la science du changement climatique de l’institution.
Le juge a critiqué l’université, affirmant que celle-ci «n'avait pas respecté le droit (du Dr Ridd) à la liberté intellectuelle».
JCU a déclaré qu’il ferait appel de la décision selon laquelle le licenciement était illégal et a refusé de commenter davantage la décision du juge.
Dans un jugement cinglant rendu vendredi, le juge Vasta a reproché à l'université de faire une déclaration publique "manifestement mensongère" et "épouvantable" après le jugement d'avril.
"Le professeur Ridd avait le droit de dire qu'il avait été justifié par le tribunal."
C'est la bataille la plus importante à laquelle un scientifique soit confronté. Sans liberté d'expression, il n'y a pas de recherche scientifique, seulement de la propagande.
Jusqu'à ce que JCU paie et licencie les responsables, nous devons supposer que toutes les recherches issues de cette université sont filtrées pour correspondre à un agenda politique. Qu'est-ce que les chercheurs JCU ne disent pas parce qu'ils craignent d'être licenciés ?
L'ABC nous rappelle à quel point ses propos étaient dangereux:
Le Dr Ridd a été licencié par l'Université James Cook (JCU) en 2018 après avoir reçu plusieurs avertissements pour avoir commenté un chercheur sur les coraux et avoir dit à Sky TV que des organisations telles que l'Institut australien des sciences de la mer (AIMS) ne pouvaient plus faire confiance ".
Les documents de la Cour à l'époque indiquaient que le Dr Ridd, dans un courriel, décrivait son collègue comme «n'ayant aucune idée du temps qu'il faisait», et qu'il «donnerait à la science de la catastrophe la science normale de la grande barrière de corail».
Le Dr Ridd a déclaré dans un autre courrier électronique que JCU, ainsi que d'autres universités, étaient de «nature orwellienne».
Aucune violation de la propagande gouvernementale ne sera tolérée.
Gideon Rozner IPA:
Il est temps que JCU accepte la décision et passe à autre chose. Sinon, le ministre de l’Éducation, Dan Tehan, doit intervenir et dire à JCU de retirer son appel, car il s’agit d’une dépense inappropriée des fonds des contribuables et nuira irrémédiablement à la réputation internationale du secteur australien de l’enseignement supérieur.
Steve H.
http://joannenova.com.au/2019/09/breaking-james-cook-uni-ordered-to-pay-1-2m-to-peter-ridd-judge-vasta-is-scathing/
La bactérie «tueuse d'oliviers» détectée pour la première fois en France
RépondreSupprimer22:28 06.09.2019
Pour la première fois, une bactérie qui est un fléau pour les oliviers a été détectée dans l’Hexagone, dans les Alpes-Maritimes, a annoncé le ministère de l'Agriculture et de l'alimentation.
Deux cas de contamination d'oliviers par la bactérie Xylella fastidiosa, dite «tueuse d'oliviers», ont été détectés pour la première fois en France, dans les Alpes-Maritimes, a affirmé le 6 septembre le ministère de l'Agriculture et de l'alimentation. Jusqu'à présent, cette bactérie n'avait jamais été décelée en France sur des oliviers, mais était présente sur d'autres végétaux en Corse, dans le Var et les Alpes-Maritimes, est-il précisé dans un communiqué.
Deux oliviers d'ornement, l'un à Antibes et à Menton, ont été identifiés comme porteurs de la maladie par les services de l'État chargés du contrôle des végétaux, a poursuivi le ministère.
Mesures prises
«Conformément à la réglementation, les deux oliviers contaminés qui présentent des symptômes de dessèchement seront arrachés et détruits dans les tout prochains jours afin d'éviter la propagation de la maladie», a annoncé le ministère.
Le ministère précise que c'est la sous-espèce «pauca» de la bactérie qui a été identifiée sur l'arbre de Menton.
«Un périmètre de lutte a été établi», comprenant l'arrachage des végétaux sensibles à la bactérie, ainsi qu'une surveillance renforcée de tous les végétaux dans un rayon de 5 kilomètres.
Xylella fastidiosa est transmise et véhiculée par des insectes, indique l'AFP. C'est une bactérie potentiellement mortelle pour plus de 200 espèces végétales dans le monde, pour laquelle il n'existe pas de traitement curatif. Elle a été détectée pour la première fois en France en 2015 (en Corse-du-Sud), et fait l'objet d'une lutte internationale en Europe.
https://fr.sputniknews.com/france/201909061042054315-la-bacterie-tueuse-doliviers-detectee-pour-la-premiere-fois-en-france/
La lèpre pourrait être la prochaine crise de santé publique à frapper Los Angeles
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 09/06/2019 - 21:15
Écrit par Jennie Taer via SaraACarter.com,
Des cas de lèpre sont en train d'apparaître dans le comté de Los Angeles, selon une étude récente révélée par un rapport de Reuters Health et sa co-auteure, la docteure Maria Teresa Ochoa du Centre médical Keck de l'Université de Californie du Sud, Los Angeles, a déclaré à Reuters Health qu'elle exhortait le public à «lutter contre la stigmatisation».
La maladie communément appelée «maladie de Hansen» est curable lorsqu’elle est traitée rapidement, selon le Centers for Disease Control (CDC).
La décision de Johnson & Johnson est une "reconnaissance" de la crise des opioïdes, selon Narcan Inventor
Les scientifiques pensent que le virus se propage par les particules en suspension dans l'air, mais ils affirment également que le contact doit être «prolongé» et «étroit».
Une personne infectée peut subir des lésions légères à graves de la «peau, des nerfs et des muqueuses».
De plus, les patients peuvent perdre la sensation dans certaines parties de leur corps et souffrir de cécité permanente.
Le Dr Victor S. Santos, qui travaille avec une équipe de chercheurs de l'Université fédérale d'Alagoas à Arapiraca, au Brésil, a déclaré à Reuters:
«La lèpre étant une maladie négligée avec un fort potentiel de déformations, en particulier lorsqu'elle n'est pas traitée correctement, je voudrais insister sur la nécessité de dépister rapidement les cas dans la communauté avec l'adoption de la recherche active et les contacts sociaux de tous les cas index ", a-t-il déclaré.
"De telles mesures pourraient minimiser les problèmes liés à la lèpre, car les médecins et autres professionnels de la santé pourraient mieux prendre en charge ces patients."
La Dre Ochoa et son équipe ont étudié 187 patients infectés entre 1973 et 2018, selon le rapport. Selon Reuters Health, 16% des patients souffraient de «perte de sensation de protection», tandis que 26,2% d'entre eux présentaient une «déformation visible». Le problème est que les cas ne sont pas diagnostiqués et les patients ne sont pas symptomatiques pendant une moyenne de cinq ans, selon l'Organisation mondiale de la santé.
Selon le CDC, les patients avec un diagnostic précoce adhérant à une combinaison de 2 ou 3 antibiotiques récupèrent complètement.
https://www.zerohedge.com/news/2019-09-06/leprosy-could-be-next-public-health-crisis-hit-los-angeles
Paul Craig Roberts: La matrice l'emportera-t-elle ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 09/06/2019 - 18:35
Écrit par Paul Craig Roberts,
Les lecteurs ont maintenu ce site Web plus longtemps que je l'avais espéré. C'est beaucoup de travail pour moi. Mes chroniques et celles des invités génèrent beaucoup d’appréciation, mais aussi beaucoup de diabolisation et d’expressions de la haine envers moi.
La moindre critique d'Israël qualifie un anti-sémite. Les gens qui sont conscients comprennent que ce mot est tellement utilisé que c'est devenu insignifiant, mais les insouciants concluent que si vous êtes qualifié d'antisémite, vous êtes une sorte de monstre qui veut faire du mal aux Juifs. Si vous soulignez les doubles normes que subissent les Blancs, vous devenez une «suprémaciste blanche raciste». Si vous soulignez que les féministes #MeToo criminalisent l'attirance sexuelle hétérosexuelle, vous devenez misogyne. Si vous exposez les mensonges officiels fournis au peuple américain - armes de destruction massive de Saddam Hussein, utilisation d'armes chimiques par Assad, armes nucléaires iraniennes, invasion de l'Ukraine par la Russie, du 11 septembre 2001, du golfe du Tonkin, etc. "Théoricien du complot" qui déteste l'Amérique. Au lieu de vous voir comme quelqu'un qui essaie de sauver l'Amérique, des abrutis vous demandent: «Si vous détestez tant l'Amérique, pourquoi ne vous dirigez-vous pas vers la Russie ?» Ou avec l'Iran, la Chine ou le Venezuela, ou contre ce que le diabolisé et attaqué pays que le débile croit recevoir sa juste récompense.
Chaque année, il devient de plus en plus difficile de dire la vérité sur quoi que ce soit. Si vous faites trop de vérité, comme je suis enclin à le faire, ils vous attaquent en masse. Je devais empêcher les sites Web qui reproduisent mes chroniques, du moins ceux que je connais, de poster des commentaires, car toutes sortes de trolls rémunérés me diffamaient puis répandaient la diffamation sur tous les médias sociaux. Leur but est de me discréditer et de faire fuir les lecteurs de mon site Web. Ça marche. Lorsque le site mystérieux PropOrNot, financé par personne, ne sait qui, mettez-moi sur une liste des «agents russes et des comparses de Poutine», des milliers de personnes ont été retirées de la liste des bulletins d'information.
Ensuite, ils utilisent Wikipedia, en tant que source biographique ouverte qui permet à quiconque de contrôler votre image publique, de vous qualifier d'antisémite, de théoricien du complot et de négateur de l'Holocauste. Vous vous souvenez peut-être de mon article, «Les mensonges de la seconde guerre mondiale», qui passe en revue les histoires de David Irving au cours de la Seconde Guerre mondiale - La guerre de Churchill et la guerre de Hitler. Ce n’est pas l’histoire du vainqueur standard écrite pour nous faire nous sentir bien. Au contraire, les histoires d’Irving sont fondées sur des décennies d’investigation historique et sur des documents, discours, lettres et mémoires officiels. Irving a parcouru le monde en interviewant ceux qui ont vécu l'expérience. Il découvrit des documents tels que les journaux de Rommel et de Goebbels, examinait chaque document concernant la politique juive du gouvernement allemand, réfutait les faux journaux de Hitler, etc. Ses livres sont considérés par les historiens objectifs comme des chefs-d’œuvre. Pourtant, il a été fermé. Il a dit trop de vérité, un péché inacceptable.
Dans mon examen approfondi des histoires d’Irving, j’ai présenté un résumé des preuves documentaires fournies par Irving à propos des massacres de juifs et ai conclu à la conclusion qu’il existait un holocauste différent du tableau officiel. La définition de l'Holocauste est l'histoire sioniste officielle. Donner une description de l’Holocauste différente de celle officielle fait de l’homme un nègre de l’Holocauste, même s’il décrit un holocauste. C’est ainsi que le récit d’Irving fait de lui un négateur de l’Holocauste. Ce que Wikipedia m’a fait, c’est de fausser ma description des opinions d’Irving et de me placer dans la catégorie des négationnistes de l’Holocauste. Cela a pris une éternité pour que la fausse déclaration soit corrigée. Il y a encore des problèmes avec ma biographie sur Wikipedia, mais j'ai abandonné. Chaque fois que des corrections sont apportées, elles sont effacées. Une biographie en code source ouvert requiert beaucoup plus d'intégrité que ce qui existe, et c'est la raison pour laquelle Wikipedia n'est pas fiable. Vous pouvez seulement oser compter sur Wikipedia pour les personnes et les questions exemptes de controverse. Fondamentalement, selon mon expérience, Wikipedia est un mécanisme permettant de discréditer les personnes qui disent la vérité.
RépondreSupprimerComme je le dis souvent, la grande majorité des gens sont soumis au lavage de cerveau par la propagande qui sert les intérêts au pouvoir. Ils sont trop faibles mentalement et émotionnellement pour gérer tout ce qui ne correspond pas à la vision établie. Cela les effraie et ils s'enfuient. Ainsi, lorsque vous écrivez, vous savez que vous écrivez uniquement pour quelques privilégiés.
La seule façon de le faire est de croire Margaret Mead qu'il suffit de quelques personnes pour changer le monde. Je pense que c'était une fois vrai. Lénine et les bolcheviques étaient très peu nombreux, de même que les pères fondateurs des États-Unis. Mais aujourd'hui, nos dirigeants disposent de tels mécanismes de contrôle extraordinaires. Il n'y a pas si longtemps, Internet était considéré comme un instrument de la liberté d'expression, mais il peut vous exclure et vous rendre invisible. Alex Jones, par exemple, a été séparé de YouTube et des médias sociaux, comme d'autres. Le moteur de recherche de Google a pour instruction de ne pas trouver de commentateurs désapprouvés dans les recherches. Les grands sites Internet bien financés financés par des intérêts au pouvoir peuvent, avec les médias écrits et télévisés, vous diaboliser, comme cela a été fait pour Julian Assange et Manning et même pour les présidents des États-Unis et de la Russie. J'ai déjà remarqué que certains sites Web dissidents qui étaient crédibles et qui résistaient à The Matrix se sont fait remarquer. Ils craignent que trop de vérité ne les marginalise.
Le Saker décrit la censure:
«Nous assistons aujourd'hui à une nouvelle ère de censure dans laquelle le gouvernement et les entreprises travaillent main dans la main pour écraser (interdire, censurer, démonétiser, purger par algorithmes et réduire au silence) tous ceux qui contestent l'idéologie officielle et ses nombreux récits. Il serait naïf à l’extrême de penser que les soi-disant «médias alternatifs» et la blogosphère ont été épargnés par un tel effort de réduction des hérésies. »
Le messager a toujours été abattu, mais au moins autrefois, le message pouvait être entendu. Aujourd'hui, vous pouvez être abattu et le message jeté dans le trou de mémoire.
Je me lasse des frondes et des flèches et de tous les courriels ignorants, narcissiques et impolis que je reçois. Ces lettres ne viennent pas de mes lecteurs. Ils viennent des trolls payés. Le Saker décrit leur fonction:
«Ce sont les gens qui ont pour tâche de brouiller les vrais problèmes, de les enterrer sous des tonnes de sottises idéologiques insipides; la meilleure façon de le faire est d’orienter toute discussion en dehors du sujet initial et de la détourner dans un barrage d’ad hominems ou de clichés idéologiques. "
Certains ne se contentent pas de me convaincre une ou deux fois qu'ils sont des imbéciles, mais insistent pour le faire tous les jours. Il est extraordinaire de voir avec quelle fierté certains se présentent comme des imbéciles incapables de comprendre ce qu’ils lisent. À titre d'exemple, mes articles récents sur l'utilisation du tir de masse d'El Paso pour diaboliser les Blancs, dans lesquels je cite des personnes appelant à l'extermination de la race blanche, m'ont amené à être dénoncé sur d'autres sites Internet pour «prédication de la haine». quand je cite en fait ceux qui prêchent la haine et demandent pourquoi ils le font.
RépondreSupprimerDonc, si vous voulez cesser de supporter ce site, je ne pleurerai pas. En effet, je serai soulagé d'un fardeau et pourrai m'isoler de la stupidité des gens. Je viens d’arriver à la conclusion que «l’américain intelligent» est un oxymoron. De nombreux lecteurs ont exprimé leur frustration d’essayer d’informer leurs amis et leurs proches que CNN n’a pas toujours les faits. J'ai la même expérience avec des amis et des parents. Quand je reçois des questions de personnes trop soumises au lavage de cerveau pour que la vérité pénètre, je réponds que je ne sais pas, demandez à CNN.
Ce site web est un contrat entre moi et les lecteurs. Tant que les lecteurs appuieront le site, j'écrirai ce que je pense être la vérité, à condition que je dispose de l'acuité mentale et de l'énergie pour le faire. Mon agenda est la vérité. La vérité est la vérité. Ce n'est pas la race-vérité, la classe-vérité, le genre et la transgenre, la politique d'identité-vérité, la vérité républicaine, la vérité démocratique, la vérité libérale, la vérité conservatrice, la vérité libertaire, la vérité de gauche ou tout autre type de vérité trait d'union.
Si vous êtes plus intéressé par mes fautes de frappe que par mon contenu, trouvez autre chose à lire. N'oubliez pas que mes doigts vieillissent et souffrent parfois d'arthrite, mon clavier est usé, de nouveaux ne conviennent pas à mon ordinateur et des fautes de frappe se forment. Après les millions de mots que j’ai écrits au cours de ma vie, il m’est impossible de relire moi-même et je n’ai pas toujours de relecteur. J'ai désactivé la vérification orthographique, car Apple vous substitue également des mots. Si vous ne le remarquez pas parce que vous êtes concentré sur le contenu, vous pouvez vous retrouver avec des phrases déconcertantes. La révolution numérique n'est pas la bénédiction que vous devez croire en un lavage de cerveau.
Septembre est toujours le pire mois pour un appel, mais si vous utilisez l'année civile, le trimestre tombe. Je sais que tu es cassé. Vous avez tout gâché pendant les vacances d'été et le week-end de trois jours de la fête du Travail. Mais gardez à l'esprit que mon énergie et ma volonté sont ce que votre soutien dynamise.
L'élite dirigeante a si bien isolé le peuple américain de la réalité derrière des slogans vides de patriotisme et de démocratie que peu d'entre eux peuvent être atteints.
Pour être sauvé de Matrix, vous devez déjà être extraordinaire. Je ne suis pas un sauveur qui peut vous sauver, mais je peux vous pousser à vous sauver. Si vous voulez avoir un esprit libre, vous pouvez y arriver, mais vous devez avoir la force émotionnelle pour le faire. Les choses ne sont pas comme vous avez été formé pour les percevoir. Il y a du mal et de la corruption tout autour de vous. Et ce sont des endroits et des mots qu'il vous a été enseigné de respecter.
RépondreSupprimerDepuis le début des temps, il y a eu des humains qui ont voulu savoir la vérité sur les choses. La vérité était le but de la philosophie primitive. La révolution scientifique a donné aux humains une chance de trouver certaines vérités naturelles, et il fallait les combattre. Aujourd'hui, l'argent est le principal déterminant de la «vérité». La vérité est ce que l'argent dit, et l'argent a le pouvoir d'imposer la «vérité». La vérité, telle que j'essaie de le dire, n'est pas saluée aujourd'hui par un gouvernement ou un intérêt au pouvoir n'importe où dans le monde occidental ou dans les pays qui ont été corrompus par le monde occidental. En effet, l’ennemi de la vérité n’est plus à Moscou ou en Chine. L'ennemi se trouve à Washington, New York et Hollywood, CNN, MSNBC, NPR, New York Times, Washington Post, ainsi que dans les universités et les scientifiques qui mentent pour de l'argent et dans la superrich qui contrôle ces entités, y compris le Congrès, le Pouvoir exécutif et bureau ovale et pouvoir judiciaire.
De toutes les espèces menacées, la vérité est la plus menacée. Je le regarde sortir.
https://www.zerohedge.com/news/2019-09-06/paul-craig-roberts-will-matrix-prevail
Glyphosate : information, mésinformation, désinformation et... occultation
RépondreSupprimer7 Septembre 2019
par Seppi
Pas de glyphosate dans les urines d'agriculteurs bretons
Le journal qui plastronne en ce moment, étant « redevenu le premier quotidien national » (ça se discute... quelque 4.400 abonnements de plus que le Figaro en juillet 2019), a produit un article fidèle à la ligne éditoriale de sa rubrique Planète : « Le laboratoire d'analyses du Centre hospitalier de Vannes infiltré par des taupes de Monsanto ».
- voir doc sur site -
(Source)
Le journal dont la lecture tache les doigts a, quant à lui, titré : « Centre hospitalier de Vannes : incapable de mesurer le glyphosate dans les urines ».
Des agriculteurs bretons imperméables au glyphosate...
Stooop ! Rembobinons ! C'est une vanne !
Oui, mais fondée sur une information qui n'aura retenu l'attention que du journal local, Ouest France, édition locale (3 septembre 2019), et des journaux agricoles : « Morbihan. Pas de glyphosate dans les urines des agriculteurs ».
En bref :
« Pour répondre aux pisseurs involontaires qui organisent un peu partout en France, des tests de glyphosate dans les urines, une vingtaine d’agriculteurs morbihannais ont eux aussi à leur tour, fait tester leurs urines. "Le résultat est négatif pour tout le monde", indique Franck Guehennec, président de la Fédération des syndicats d’exploitants agricoles du Morbihan (FDSEA 56). »
...et pendant ce temps, la « pisserie » continue...
Voici, par exemple, de Vannes.maville d'Ouest-France (1er septembre 2019) :
« Ils étaient 50 pisseurs involontaires de glyphosate, un herbicide commercialisé, à s’être déplacés samedi, pour faire tester leurs urines. L’association régionale des Pisseurs involontaires de glyphosate (Pig bzh) créée en janvier 2019, était présente pour recueillir ces urines, sous la surveillance étroite d’une huissière de justice. "L’association a pour but de porter la campagne contre le glyphosate en Bretagne. Le fait est irréfutable. On est tous empoisonnés par les pesticides. On ne triche pas. Les tests ont montré qu’on a tous des taux très importants de glyphosate, plus ou moins en fonction des périodes d’épandages. Les enfants semblent plus impactés", constate Isabelle Georges, l’un des membres fondateurs de l’association. C’est la 18e pisserie organisée en Bretagne, dont huit dans le Morbihan. Les résultats seront connus dans un mois. »
On aura échappé à Monsanto, à l'OMS ou, dans le meilleur des cas, le CIRC et le « cancérogène probable », à la dose et à la comparaison avec l'eau potable... mais pas au message hystériquement anxiogène.
Pas une « pisserie » qui s'organise, comme on dit, dans l'un des quatre coins de l'hexagone qui ne soit médiatisée par la presse locale...
...et pendant ce temps, l'hystérie continue
L'absence de glyphosate (plus précisément des tests négatifs à la limite de détection) chez les premiers concernés par l'exposition au glyphosate est pourtant une information importante au vu du tapage médiatique organisé par les organisateurs de l'action de masse médiatico-judiciaire. Mais nos médias regardent ailleurs...
RépondreSupprimer« Le maire de Val-de-Reuil ne veut plus de traitement de pesticides à moins de 150 mètres de lieux de vie », nous a ainsi informé France 3 Normandie le 30 août 2019. En précisant tout de même dans la foulée que « [l]e préfet de l'Eure a réagi et saisi le tribunal administratif » et en équilibrant les élucubrations du maire par des déclarations d'un agriculteur.
Au niveau national, voici une « information » de la plus haute importance : « L’Allemagne va bannir le glyphosate en 2023, même si l’UE prolonge son autorisation », en accès libre dans le Monde (article produit avec l'AFP). En chapô :
« La ministre social-démocrate de l’environnement a annoncé l’interdiction progressive de l’herbicide produit par l’allemand Bayer, ex-Monsanto. L’autorisation européenne s’achève, elle, à la fin de 2022. »
Chapô bien sûr faux dans le journal dont même la date est fausse : le glyphosate est dans le domaine public et les principaux producteurs sont asiatiques...
Mais il y a aussi un détail qui aura échappé à l'auteur de ce morceau de Schadenfreude anti-glyphosate : il y aura des élections fédérales en 2021, en principe à l'automne. En admettant que la ministre Svenja Schulze ait gagné un arbitrage contre Mme Julia Glöckner, il s'agit d'un gain que pour ceux qui y croient. Bien sûr, au Monde... Mais, plus généralement, l'avenir du glyphosate paraît plutôt sombre en Europe.
Nous attendons maintenant une nouvelle ruée sur le glyphosate, la municipalité de Montréal (Canada) ayant décidé de l'interdire sur son territoire – au nom du « principe de précaution » – d'ici la fin de l'année.
Atlantico emploie un gros mot : « fraude »
Ouest-France avait écrit :
« Les agriculteurs n’ont pas suivi le protocole mis en place par les pisseurs involontaires. Ils sont allés à l’hôpital de Vannes pour pratiquer leurs examens. "Le test du CHU de Vannes est officiel et reconnu par l’État. Quelle est la fiabilité du test allemand, qui trouve 100 % de glyphosate dans tous les examens ?", s’interrogent les agriculteurs morbihannais. […] »
Bonne question ! Seuls parmi les médias de portée nationale, Atlantico s'y est intéressé dans « Tests de Biocheck : une fraude à grande échelle dans l’affaire des "pisseurs" de glyphosate ? », avec trois questions posées à M. Marcel Kuntz, directeur de recherche au CNRS. Il y a certes un point d'interrogation de prudence dans le titre, mais le mot « fraude » n'est pas anodin.
À vrai dire, des éléments de réponse ont déjà été donnés par le passé. Dans « Biocheckons le laboratoire Biocheck… », nous avions évoqué les éléments apportés par M. Gil Rivière-Wekstein dans « BioCheck, un laboratoire aux curieuses analyses », puis dans « Glyphosate dans les urines : Libe´ration vole au secours du laboratoire BioCheck », et par M. Jakez Gwenan dans « [ma concierge » a dit] "que BioCheck c'était le grand laboratoire allemand pour le glyphosate" ». Nous avions aussi apporté un complément.
Des éléments, selon une formule consacrée, sans appel !
Recours à un laboratoire fondé par une militante anti-OGM et anti-pesticides patentée, un laboratoire dont des résultats ont déjà été invalidés ; résultats curieux car positifs à 100 % ou presque et contrastant avec les données issues d'autres laboratoires ; résultats non fiables du fait des failles dans le protocole (la présence d'un huissier lors du prélèvement, c'est de la frime) ; résultats non valables en biologie médicale (et en conséquence, a priori, sur le plan judiciaire) car obtenus par un laboratoire non accrédité ; et, selon le fournisseur du test Elisa, « [c]omme pour toute technique d'analyse (GC, HPLC, etc.), les résultats positifs appelant une action réglementaire devraient être confirmés par une méthode alternative. »
RépondreSupprimerEt c'est précisément une méthose alternative – plus fiable – qui a été utilisé par le Centre Hospitalier de Vannes.
Une réponse de M. Marcel Kuntz
Alors ? Atlantico demande :
« Cette question est désormais éminemment politique. Qu'en sera-t-il des démarches judiciaires mises en œuvre à la suite des tests de BioCheck ? »
M. Marcel Kuntz répond :
« Le scientifique que je suis est tenté de recommander à la justice de classer ces plaintes sans suite. Mais je vais résister à cette tentation, car je n’ai aucune légitimité à dire ce que la justice doit faire… Elle pourra, seule, constater que ces plaintes sont une tentative d’instrumentaliser l’autorité judiciaire dans le cadre d’une entreprise politique. En effet la question du glyphosate a toujours été politique. Si des activistes anti-pesticides ont procédé à ces "détections" du glyphosate, cela participe à la longue campagne visant à faire interdire cet herbicide et tous les "pesticides" (sont uniquement visés, par idéologie, ceux de "synthèse", en ignorant les pesticides utilisés en agriculture biologique). Ces activistes tentent d’imposer par la peur leur vision politique de l’agriculture, essentiellement anti-capitaliste et anti-moderne. Certes l’agriculture a généré des pollutions, mais il ne faut pas nier la capacité des agriculteurs à réduire leur impact environnemental, ce qu’ils font depuis des décennies. »
La question est clairement posée
Il n'y a pas que les « anti-anti-pesticides ». Sur Twitter, Mac Lesggy écrit :
« Il est effectivement temps de se poser la question de la validité des tests de Biocheck. A-t-on assisté à une fraude à grande échelle dans l’affaire des "pisseurs de #glyphosate" ? »
La question est évidemment complexe car il faut déterminer qui, au départ, savait que l'opération était techniquement et juridiquement branlante et qui, par la suite, en savait suffisamment pour en toute logique arrêter les frais. Comme nous le montrent les médias, l'opération se poursuit pourtant...
Sur le plan technique, il y a eu une réponse de M. Robin Mesnage, un ancien de l'équipe Séralini, une circonstance qui renforce sa crédibilité :
« J'ai testé le test ELISA glyphosate et les résultats ont fini à la poubelle. Il y a trop de composés qui interférent avec la détection du glyphosate, et plus les urines sont concentrés plus l'interférence est forte. Rien ne remplace la spectrométrie de masse. »
- voir doc sur site -
(Source)
Mais que font tous ces chasseurs de scandales ?
On peut certainement regretter que l'exploitation médiatique des résultats des analyses sur les agriculteurs n'ait pas été à la hauteur. Il ne suffit pas de lancer une invitation à un point presse – en plus dans une ferme où ces gens de la ville et des rédactions pourraient salir leurs chaussures.
Mais tout de même, que font tous ces journalistes si friands de scandales ? Il y a pourtant là du lourd !
Hep, les Stéphane et Stéphane ! Hep, Coralie ! Hep, Gaël !
Hep, Élise ! Non, pas Élise : elle a utilisé les services de Biocheck pour son infâme Envoyé Spécial de janvier 2019... Mais peut-être que M. Djamel Debbouze ou Mme Julie Gayet pourraient-ils se manifester et protester parce qu'on les a pris pour des billes...
- voir doc sur site -
(Source)
Petit rappel...
En avril déjà, trois agriculteurs du Calvados avaient fait tester leur urine par le CHU de Limoges et par la technique recommandée par M. Robin Mesnage (chromatographie et spectromètre de masse en tandem).
Résultat selon Réussir (qui a la bonne idée de mettre les résultats du CHU de Limoges en fac similé et de rappeler ce que Biocheck et les organisateurs de l'opération « pisseurs » prétendent avoir trouvé) :
« Pas de glyphosate détectable dans l’urine de trois agriculteurs
Dans un contexte d’agribashing, les trois agriculteurs ont souhaité tester leur urine. La FDSEA 14 a porté la démarche. Dans le Calvados, le mouvement "des pisseurs volontaires" avait reçu un certain écho. La moyenne pour le Calvados est de 1,14 ng/millilitre (35 résultats). A l’échelle française, la moyenne est de 1.06 ng/millilitre. "Nous avons un taux de présence glyphosate et AMPA non détectable inférieur à 0,4 ng/millilitre", expliquent les trois membres de la FDSEA 14.
Ce résultat les interroge. "Comment se fait-il que 3 agriculteurs utilisateurs de glyphosate aient un taux 4 fois inférieur à des citoyens non utilisateurs et de plus avertis sur ce sujet ?" »
http://seppi.over-blog.com/2019/09/glyphosate-information-mesinformation-desinformation-et.occultation.html