- ENTREE de SECOURS -



mardi 24 septembre 2019

Éco-délégués : les nouveaux petits soldats verts

Élection d’« éco-délégués » au sein des collèges et lycées français : jusqu’où ira l’Éducation Nationale pour endoctriner nos adolescents au nom de l’écologie ?


Par Michel Gay.
24 SEPTEMBRE 2019


250 000 classes de collège et de lycée vont élire cette année au moins 20 000 « éco-délégués » pour participer à la mise en œuvre du développement durable.

L’objectif affiché est faire des établissements de l’Éducation nationale des « espaces de biodiversité, à la pointe de la lutte contre le réchauffement climatique ».

À la lumière de cette initiative gouvernementale, il est cocasse de se rappeler que l’Éducation nationale a refusé à des experts de venir parler de la production d’énergie nucléaire dans les écoles pour ne pas endoctriner les enfants…

Tout cela parait très bien mais rappelle étrangement la résurgence des « gardes rouges » (maintenant verts) pour encadrer une conscience éco-politisée qui peut donner lieu à toutes les dérives sectaires.

Leur mettra-t-on un col vert pour les distinguer ?

L’ÉCOLOGIE ?

L’écologie n’est pas plus une science qu’une discipline cohérente ou une doctrine politique consistante. C’est une idéologie opportuniste, dogmatique, trompeuse et illusoire, dont la finalité est la même que celle des religions et croyances millénaristes.

Elle est devenue omniprésente puisque, parmi les politiques, « tous sont écologistes ». Comme chez les animaux malades de la peste dans la fable de La Fontaine : « ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés »….

L’idéologie écologiste est une des composantes de l’appareil idéologique sur lequel s’appuie l’exploitation de l’Homme (par l’Homme) dans le cadre des modes sociales actuelles.

Et les enfants sont mis à contribution dès le plus jeune âge pour « penser correctement », c’est-à-dire « vert ».

 Des couches sociales vivent dorénavant de ce marché de l’écologie qui n’est plus une « niche », et qui mobilise des sommes considérables allouées à des milliers de « chercheurs » dans d’innombrables départements universitaires.

Certains y font même carrière. Mais jusqu’ici, et depuis que « la maison brûle« ,  ils n’ont pas trouvé de réponse, sinon des motifs de stipendier encore et encore l’humanité.

L’écologie est devenue une l’idéologie instrumentalisée par la classe dirigeante en entretenant la confusion entre ce qui relève de la politique et des mœurs, et en faisant des amalgames captieux pour mieux asservir la pensée à la « vertitude ».

UNE MODE ?


La mode écologiste actuelle s’évertue à placer la protection de la nature et le sauvetage de la planète au sommet de toutes nos préoccupations.

Elle a l’avantage d’être transpartisane et consensuelle ce qui est bien pratique en politique et cette vertu contribue certainement à son succès médiatique.

Ce consensus n’est pas compliqué à créer : il s’agit de « réconcilier l’industrie et la nature » et d’insister sur l’urgence de protéger la planète.

Chacun définira la nature comme il l’entend, et l’urgence se définit par rapport à quoi ? Que devraient diminuer ou supprimer les « politiques éclairés » au nom de la protection de la planète ? L’industrie ? Pas si sûr…

Des industries sont absolument nécessaires au bon fonctionnement d’un pays, comme celles pour la production d’énergie. Les services eux-mêmes dépendent de la production industrielle (camions, trains, matériel médical des hôpitaux, électricité…).

Que deviendraient les activités de service si la production industrielle dont elles dépendent se tarissait ?

En revanche, la destruction des industries nationales offre une opportunité de croissance industrielle aux pays qui produiront pour nous tant que nous serons capables de leur acheter leurs productions.

Les guerres économiques en cours ne seront pas dissoutes dans une union sacrée mondiale pour sauver la planète.

QUI DÉCIDERA QUOI ?

Qui définira les « besoins sociaux » et les seuils à ne pas franchir « pour que le monde reste habitable » ? Mais habitable pour qui ?

Pour ceux qui ont les moyens de s’acheter des services et une énergie hors de prix, ou de s’enfermer dans des ghettos dorés comme à Dubaï avec climatisation et jardins ?

Malgré les « menaces inquiétantes » du réchauffement climatique serinées par les médias, le monde continuera d’être habitable pour longtemps encore, et l’humanité s’est toujours développée dans des périodes de « réchauffement climatique ».

Derrière l’« urgence climatique », l’écologie politique n’est qu’un moyen de faire accepter aux pauvres (« au peuple ») la sobriété énergétique et matérielle concoctée par des « pseudo-savants » et des « responsables » grâce à des techniques de communication éprouvées par d’autres idéologies (rouges, noires…).

Si le sauvetage de la planète était une urgence vitale pour l’humanité, alors au lieu de développer des énergies renouvelables intermittentes (éoliennes et solaires) qui ont besoin d’être complétées par des centrales à gaz et à charbon comme en Allemagne, la production massive d’électricité d’origine nucléaire (qui n’émet pas de gaz à effet de serre) devrait être une priorité mondiale, et notamment en France et en Europe.

Or ce n’est pas le cas.

Du point de vue de ceux qui ont le pouvoir économique et politique, le « sauvetage de la planète » et la « protection de la nature » ne sont que des slogans permettant de justifier de nouvelles taxes « écologiques » qui servent d’enrobage pour promulguer des lois impopulaires.

Endoctriner les adolescents à l’Éducation nationale, via des « éco-délégués », pour soutenir et développer cette tromperie est détestable.

19 commentaires:


  1. Macron frappe Greta Thunberg après que la jeune adolescente ait poursuivi la France sur le climat - mais laisse de côté la Chine


    par Tyler Durden
    Mar., 24/09/2019 - 14:05


    Le président français Emmanuel Macron a critiqué Greta Thunberg après que le militant du climat de 16 ans ait déposé plainte contre cinq pays pour son inaction sur le réchauffement climatique, en violation de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, vieille de 30 ans. Allemagne, France, Brésil, Argentine et Turquie.

    Elle a notamment laissé de côté la Chine, qui est le plus gros pollueur au monde en volume total.

    La Chine et l'industrie pétrolière vont dans la mauvaise direction face au changement climatique, déclare le Conseil des relations extérieures

    Après avoir critiqué l'ONU pour "voler son enfance" lundi, Thunberg a tweeté "Aujourd'hui à 11h30, 15 autres enfants du monde entier ont déposé plainte contre cinq pays pour violation de la crise climatique dans le cadre de la Convention des Nations Unies sur les droits de l'homme. Enfant."

    La plainte de Thunberg appelle les pays qui ont ratifié le traité des Nations Unies, sans pour autant - selon elle - ne pas respecter leurs obligations. Et encore une fois, elle n'a rien dit sur la pollution en provenance de Chine ou d'Inde.

    En réponse à la militante suédoise, le président français Emmanuel Macron a déclaré à Eruope1 que sa position était "très radicale" et susceptible de "contrarier les sociétés".

    "Tous les mouvements de notre jeunesse - ou de nos moins jeunes - sont utiles", a déclaré Macron, ajoutant: "Mais ils doivent maintenant se concentrer sur ceux qui sont le plus éloignés, ceux qui cherchent à bloquer le passage."

    Le chef de l'Etat a souligné qu'il ne pensait pas "que le gouvernement français, ni le gouvernement allemand, bloquaient actuellement le chemin".

    Macron a également déclaré qu'il souhaitait que les jeunes "nous aident à faire pression sur ceux qui bloquent le passage" et "prennent part à des actions très claires". -Interne du milieu des affaires

    Le président Trump, quant à lui, semble s'amuser avec tout cela.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/macron-slams-greta-thunberg-after-teenage-activist-sues-15-countries-over-climate

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    1. (...) Elle a notamment laissé de côté la Chine, qui est le plus gros pollueur au monde en volume total.(...)

      CE QUI EST TOTALEMENT FAUX !

      voir ci-dessous:

      Pollution et pollution

      jeudi 13 novembre 2014


      (voir graphique sur site)

      http://globaleconomicanalysis.blogspot.fr/2014/11/historic-hype-over-global-warming.html

      Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.

      Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !

      Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinnage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !

      1 -- Arabie Saoudite
      2 -- Australie
      3 -- Canada
      4 -- USA
      5 -- Corée du Sud
      6 -- Russie
      7 -- Allemagne
      8 -- Afrique du Sud
      9 -- Japon
      10 - Italie
      11 - Royaume-Uni
      12 - Chine
      13 - Turquie
      14 - Argentine
      15 - Mexique
      16 - Inde
      17 - Indonésie
      18 - France
      19 - Brésil

      C'est bien en divisant la quantité de pollution émise par le nombre d'habitants que l'on peut mieux se rendre compte de la vérité cachée !

      Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arêtes de poissons !

      Et c'est bien pourquoi la Chine et le Brésil (entr'autres) ont toujours refusé de s'acquitter de la taxe aéroportuaire pour les avions en ce qui concerne le gaz carbonique décrit comme étant La pollution !!

      Ce qui est malheureusement désigné comme pollution est le gazcarbonique que nous rejetons continuellement en respirant, d'où chaque habitant de la Terre (animaux y compris) montré comme pollueur !! Pareillement que le fumier est une pollution, c'est bien cette pollution qui fait pousser les plantes !! et NOUS NOURRIT TOUS LES JOURS !

      D'où le merci à la pollution d'être là sans quoi nous n'y serions pas !

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html

      --------------------------

      Millions de tonnes de déchets:

      1 - USA: 250 000 000 t (327 163 096 hab.) 0,764 t/hab.
      2 - Allemagne 51 000 000 t (82 850 000 hab.) 0,615 t/hab.
      3 - France 33 000 000 t (66 993 000 hab.) 0,492 t/hab.
      4 - Chine: 220 000 000 t (1 381 943 057 hab.) 0,159 t/hab.
      5 - Inde: 168 000 000 t (1 347 781 156 hab.) 0,124 t/hab.

      https://huemaurice5.blogspot.com/2019/09/des-centaines-de-villes-ne-recyclent.html

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  2. L'ÉCOLOGISME INCONTRÔLÉ !

    Tesla impliqué dans la collision meurtrière de Las Vegas a continué de rouler et a heurté quatre piétons à proximité


    par Tyler Durden
    Mar, 24/09/2019 - 20:05


    La police de Las Vegas enquête sur une Tesla qui a brûlé un feu rouge et provoqué un accident mortel dimanche. Gabriel Haas, 32 ans, accélérait lorsque son Tesla a heurté une Honda CR-V en tournant à gauche de West Cheyenne Avenue en direction ouest, à l'intersection de Soft Breezes Drive à Sin City, selon CBS 8.

    La Tesla aurait heurté l'avant de la Honda, provoquant le délogement de son moteur, de sa transmission et d'autres pièces du véhicule. Les débris de l'accident ont ensuite heurté une autre voiture, dont le conducteur n'a subi aucune blessure. Après la collision, la Tesla a continué de se déplacer vers un coin de l'intersection et aurait frappé quatre piétons, en blessant gravement l'un d'entre eux.

    Le passager de Honda, une femme de 62 ans, a été déclaré mort à l'hôpital. Le pilote de la Honda, Carl Shafer, âgé de 70 ans, est toujours dans un état critique. Le statut des piétons varie de «grave» à «légère blessure», tandis qu'un piéton n'a pas été blessé.

    Le chauffeur de la Tesla, Haas, a été conduit à l'hôpital. La police enquête actuellement sur le point de savoir si des déficiences ont joué un rôle dans l'accident. Nous mettrons à jour cette histoire en conséquence lorsque de nouveaux détails seront disponibles.

    Vous pouvez regarder le reportage de CBS 8 sur l'accident ici:

    - voir sur site :

    https://www.zerohedge.com/technology/tesla-involved-deadly-las-vegas-collision-continued-driving-and-hit-four-nearby

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  3. EN COUVERTURE DE PLAYBOY ?

    Le cul-te dérangeant de Greta Thunberg


    par Tyler Durden
    Mar., 24/09/2019 - 18:25
    Écrit par Rob Slane via TheBlogMire.com,


    Le culte de Greta Thunberg est extrêmement troublant et marque un nouveau creux dans le cercle autour duquel se dirige la civilisation occidentale. Même si je croyais que le gaz naturel que nous respirons tous plusieurs milliers de fois par jour et que les plantes utilisent pour la photosynthèse finira par devenir notre mort, je serais toujours profondément dérangé par la utilisation de cette fille - qui est très clairement mentalement instable - en tant qu’affiche de l’ordre du jour.

    - voir sur site -

    Cette vidéo de son discours à l'ONU en est un exemple, de même que sa déclaration à la foule de Davos plus tôt cette année, dans laquelle elle a décidé de diffuser sa propre marque de misère sans espoir à tous:

    Need 2 Know: Dorian en tête pour la Floride et Gillibrand Out
    «Les adultes continuent de dire que nous le devons aux jeunes, leur donner de l’espoir. Mais je ne veux pas de votre espoir. Je ne veux pas que vous ayez de l’espoir. Je veux que tu paniques. Je veux que vous ressentiez la peur que je ressens tous les jours. Je veux que tu agisses. Je veux que vous agissiez comme vous le feriez en cas de crise. Je veux que vous agissiez comme si la maison était en feu, parce que c'est le cas. "

    Les causes qui sont étayées par des faits incontestables n’ont pas besoin de l’aide d’adolescentes un peu énervantes et émotives pour mener l’inculpation. Au contraire, une société rationnelle pourrait penser que les adolescentes un peu énervantes et émotives sont un obstacle aux faits, puisqu’elles risquent de les nuire et de faire passer les problèmes du domaine de la raison et du discours rationnel à l’émotion et sentiments.

    Ce qui est bien sûr exactement le but, et pourquoi elle est où elle est. Jusqu'à l'année dernière environ, il était parfaitement possible de maintenir la position raisonnable que tout changement du climat mondial ne soit pas nécessairement le produit d'actions humaines, sans être considéré comme déséquilibré. Oui, l'accusation parfaitement dénuée de fondement de «Denier» était de plus en plus utilisée pour discréditer ceux qui remettaient en question les affirmations avancées, ce qui impliquait que cette position revenait à nier le génocide nazi dirigé contre des millions de juifs. Malgré cela, et malgré le fait que la plupart des médias d'entreprise avaient tendance à considérer comme un fait avéré que les êtres humains étaient responsables du changement climatique, il était toujours possible de se dissocier sans être traité comme un paria et une personne très perverse.

    Cette situation était clairement intolérable pour ceux qui ont le plus à gagner de la propagation des revendications. C’est pourquoi - du moins me semble-t-il - ils ont décidé de remonter les prix, en utilisant - et je veux dire UTILISER - un enfant pour leur cause. Et pas n'importe quel enfant. Celui qui a des antécédents de dépression et d’autres maladies mentales et qui est capable de faire des appels extraordinairement émotionnels et «prophétiques» au «monde». S'il ne s'agissait que de faits, une telle tactique ne serait pas nécessaire. Pourtant, la poursuite incessante d'une telle personne est clairement destinée à clore tout débat en suspens, car ceux qui la critiquent peuvent désormais être automatiquement présentés comme: oefs insensés, pierre-cœur avec pas une once de compassion en eux.

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  4. C'est encore plus émotionnel. Il y a sans aucun doute des personnes très méchantes envers Mlle Thunberg et elle a sans doute été victime de mauvais traitements. Après tout, il y a beaucoup de gens vils qui aiment être vils envers les autres. Mais il est parfaitement possible de s'opposer à son message, et tout à fait raisonnable de ne pas ressentir le fait qu'elle soit exploitée de cette manière pour faire avancer un programme poussé par ceux qui se situent bien plus haut dans la chaîne alimentaire, sans la porter ni même être vraiment méchante. Personnellement, je lui souhaite toutes les bénédictions et qu’elle trouve à la fois espoir et bonheur.

    Il convient toutefois de rappeler que ce n’est pas du camp des soi-disant «négations» des faits et de la raison que la décision a été prise d’utiliser un enfant émotionnellement perturbé pour agir en tant que porte-parole mondial et lancer des appels émotionnels à des enfants. le monde. C’est plutôt de ceux qui prétendent avoir les faits, la preuve et la science établie. Pourquoi ? Si la science est vraiment réglée et que les faits sont irréfutables, pourquoi recourir à une fille vulnérable pour faire avancer le programme, comme cela est clairement arrivé ?

    Sur le plan personnel, je crains pour Mlle Thunberg. Elle découvrira sans doute tôt ou tard qu'elle a été exploitée par ceux qu'elle pensait être ses amies, seulement pour découvrir qu'elles étaient prêtes à la lâcher dès qu'elle aurait rempli son rôle. Elle finira par être une question de pub et de Trivial Pursuit dans 20 ou 30 ans (oui, je pense que le monde, les pubs et les jeux de société seront toujours là).

    Sur le plan sociétal, franchement, tout cela a l’air plutôt déplaisant d’une campagne délibérée visant à faire taire les gens au silence par l’exploitation d’un enfant franchement très dérangé. Et le fait que certaines personnes soient prêtes à utiliser ce type de tactique émotionnelle pour faire avancer leur ordre du jour est vraiment très sinistre et ne laisse pas augurer de beaucoup. Nous sommes dangereusement sur le point de devenir une société entièrement régie par l’émotion pour la raison, ce qui se traduit par l’incapacité croissante de larges couches de la population d’accepter même la possibilité d’autoriser des opinions autres que la leur.

    Que vous soyez d’accord avec le message de Mlle Thunberg, que vous soyez sceptique ou que vous le rejetiez d’emblée, son exploitation et le culte qui s’y est développé devraient vous déranger.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/disturbing-cult-greta-thunberg

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    1. Aux 'COP21' et la suite les scientifiques ont été interdits d'entrer ou de manifester extérieurement !
      C'est pourquoi, dans la rue ou dans les merdias vous ne verrez JAMAIS un scientifique parler en direct sans être censuré !

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  5. Pas d'urgence climatique pour les ours polaires ou les morses ne signifie pas de période d'urgence climatique


    September 23, 2019


    On nous dit que l'Arctique se réchauffe deux fois plus vite que n'importe où ailleurs dans le monde, alors qu'Internet résonne avec des histoires stridentes, des histoires presque glissantes, des ours polaires, des morses du Pacifique et le phoque de glace le plus répandu les espèces (phoques annelés et barbus, ainsi que les phoques du Groenland) sont en plein essor. Deux nouvelles vidéos publiées par la GWPF sur les ours polaires et le morse confrontent cette énigme et la conclusion est claire: s'il n'y a pas d'urgence climatique pour les ours polaires, il n'y a pas d'urgence climatique nulle part.

    Les ours polaires ont survécu à plusieurs périodes de moins de glace qu'aujourd'hui, ainsi qu'à des périodes de plus de glace. La plupart des espèces de phoques et de morses de la banquise, qui vivent dans l'Arctique depuis beaucoup plus longtemps que les ours polaires, ont vécu bon nombre de ces cycles de glace de mer extrêmes. L'étendue de la banquise basse cette année - qu'elle finisse par être la deuxième ou la troisième plus basse depuis 1979 - est simplement un soubresaut comparé à ce que ces espèces ont vécu pendant le Pléistocène.

    Cette nouvelle vidéo explique que les ours polaires sont d’importants indicateurs de l’écosystème qui entraînent une réduction de la banquise estivale. Mon nouveau livre, La catastrophe de l'ours blanc qui n'a jamais eu lieu, explique pourquoi il a surpris les spécialistes de l'ours blanc.

    En outre, comme le montre cette nouvelle vidéo, des dizaines de morses morts de falaises et de grands troupeaux de morses sur les plages arctiques sont des événements naturels, et non des tragédies causées par le réchauffement de la planète. Le morse du Pacifique n'est pas menacé d'extinction en raison de la réduction de la glace de mer en été.

    Je ne peux que conclure que, s'il n'y a pas d'urgence climatique dans l'Arctique pour ces espèces critiques, il ne peut y avoir d'urgence climatique nulle part.

    xxxxxxx

    Le communiqué de presse de GWPF ci-dessous incluait des liens vers les deux vidéos.

    Communiqué de presse: Pas d'urgence climatique pour les ours polaires ou les morses
    Les espèces indicatrices critiques telles que les ours polaires, les phoques de glace et les morses prospèrent
    Londres, le 23 septembre: malgré le réchauffement de l'Arctique deux fois plus rapide que partout ailleurs dans le monde, les espèces indicatrices critiques telles que les ours polaires, les phoques de glace et les morses prospèrent.

    Susan Crockford, spécialiste canadienne de la faune, explique récemment pourquoi deux espèces de mammifères marins de l'Arctique sont florissantes malgré le déclin de la banquise estivale.

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  6. «La vérité sur la chute du morse d’Attenborough» fournit la preuve, dans les années 1990, de biologistes du gouvernement américain que les morts de morses dues aux chutes de falaises sont des événements naturels non causés par le déclin de la banquise estivale imputé à la hausse des émissions de gaz carbonique. Le surpeuplement en est souvent la cause principale. En outre, une évaluation complète réalisée par le US Fish and Wildlife Service a révélé fin 2017 que le manque de glace ne menaçait pas de faire disparaître les morses dans la mer des Tchouktches, en dépit des affirmations contraires avancées plus tôt cette année par Sir David Attenborough dans un journal très médiatisé. Documentaire Netflix / World Wildlife Fund.

    «Pas d'urgence climatique pour les ours polaires» est un rappel graphique du fait que les ours polaires, les morses et les phoques de l'Arctique ont survécu à des périodes de glace bien moins abondantes que dans l'Arctique depuis 2007 au cours de leur histoire. Le fait que les ours polaires se portent particulièrement bien malgré une glace estivale de près de 50% inférieure à celle des années 1980 montre clairement qu'ils possèdent une capacité naturelle à s'adapter rapidement aux changements extrêmes de la glace marine que les modèles prédictifs n'ont pas su apprécier.

    M. Crockford explique que les ours polaires émaciés - ainsi que des dizaines d'ours sur les décharges à ordures ou des ours qui attaquent mortellement les gens - ne sont pas une preuve du changement climatique. En fait, dans l'ensemble, les ours polaires se débrouillent très bien et cette année n'a pas fait exception.

    «Les ours polaires, les morses et les phoques de glace sont des indicateurs importants de l'écosystème. Cependant, contrairement à la rhétorique prédominante, ces espèces ont subi une réduction de la banquise estivale. Je ne peux que conclure que, s'il n'y a pas d'urgence climatique dans l'Arctique, qui se réchaufferait deux fois plus vite que partout ailleurs dans le monde, il ne pourrait y avoir d'urgence climatique nulle part », a déclaré le Dr Crockford.

    https://polarbearscience.com/2019/09/23/no-climate-emergency-for-polar-bears-or-walrus-means-no-climate-emergency-period/

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  7. La dernière estimation de l’abondance mondiale d’ours polaires est de 39 000 (26 000 à 58 000)


    Publié le 26 mars 2019


    Il est grand temps que les spécialistes des ours polaires cessent de s’attendre à une estimation globale scientifiquement exacte qui ne sera jamais réalisée et déterminent une «meilleure estimation» raisonnable et crédible. Comme ils ont jusqu'ici refusé de le faire, je le fais pour eux. Mon estimation extrapolée de 39 000 (fourchette 26 000-58 000) à 2018 est non seulement plausible, mais scientifiquement défendable.

    En 2014, le président du Groupe de spécialistes des ours polaires de l'UICN (PBSG) m'a envoyé un courriel pour me dire que le nombre de personnes dans sa population mondiale 'n'a jamais été une estimation de l'abondance totale au sens scientifique du terme, mais simplement une supposition qualifiée donnée pour satisfaire la demande du public. '

    Dans mon nouveau livre, La catastrophe de l’ours polaire qui n’a jamais eu lieu, j’affirme que cette situation ne changera probablement jamais. Il est donc temps de cesser de demander une estimation mondiale scientifiquement exacte et de générer une «meilleure estimation» raisonnable. Des enquêtes récentes menées auprès de plusieurs sous-populations critiques d'ours polaires nous ont fourni les informations nécessaires à cette fin.

    Ces nouveaux chiffres permettent d'extrapoler des sous-populations «connues» à «inconnues» au sein des «écorégions de glace de mer» (définies en 2007 par des scientifiques de l'ours polaire à l'US Geological Survey, voir Amstrup et al. 2007), comme indiqué ci-dessous, pour mettre à jour les anciennes estimations et en générer de nouvelles pour des zones jamais étudiées.

    USGS polar bear_ecoregions_icedrift

    Le PGBP ayant jusqu'ici refusé de prendre cette mesure, j'ai relevé le défi. Je soutiens qu'une estimation d'environ 39 000 (fourchette 26 000-58 000) à 2018 est non seulement plausible, mais scientifiquement défendable. Voir le graphique ci-dessous de mon nouveau livre:

    - voir graphique de l'estimation de la taille de la population sur site -

    La taille de la population mondiale d'ours polaires est estimée à 2018. Tiré du chapitre 10 de La catastrophe de l'ours polaire qui ne s'est jamais produite (Crockford, 2019).
    Cette nouvelle estimation pour 2018 est une augmentation modeste de 4 à 6 fois supérieure aux quelque 10 000 ours qui existaient dans les années 1960 et après 25 ans, une augmentation crédible par rapport à l'estimation de 25 000 proposée par le PBSG en 1993 (Wiig et al. 1995). .

    Cependant, ma nouvelle estimation est beaucoup plus grande que le chiffre improbable d'environ 26 000 (gamme de 22 000 à 31 000) proposé par les biologistes de PGSG en 2015 (Regehr et al. 2016; Wiig et al. 2015). La question qui fait peur est la suivante: que font les habitants de l’Arctique s’il ya au moins 58 000 personnes ?

    Voir mon nouveau livre (Crockford 2019) pour la justification complète et les références utilisées pour arriver à cette figure (mon article scientifique est Crockford 2017, citation ci-dessous).

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  8. L’essentiel: il est scientifiquement inacceptable que le PGBP continue de refuser de fournir une estimation globale extrapolée de «meilleure estimation» pour les ours polaires, étant donné que l’estimation scientifiquement exacte qu’ils recherchent est essentiellement inatteignable. Une estimation d'environ 39 000 (fourchette 26 000-58 000) à 2018 est non seulement plausible, mais scientifiquement défendable.

    REFERENCES
    Amstrup, S.C., Marcot, B.G. & Douglas, D.C. 2007. Forecasting the rangewide status of polar bears at selected times in the 21st century. US Geological Survey. Reston, VA. Pdf here

    Crockford, S.J. 2017. Testing the hypothesis that routine sea ice coverage of 3-5 mkm2 results in a greater than 30% decline in population size of polar bears (Ursus maritimus). PeerJ Preprints 2 March 2017. Doi: 10.7287/peerj.preprints.2737v3 Open access. https://peerj.com/preprints/2737/

    Crockford, S.J. 2019. The Polar Bear Catastrophe That Never Happened. Global Warming Policy Foundation, London. Available in paperback and ebook formats.

    Regehr, E.V., Laidre, K.L, Akçakaya, H.R., Amstrup, S.C., Atwood, T.C., Lunn, N.J., Obbard, M., Stern, H., Thiemann, G.W., & Wiig, Ø. 2016. Conservation status of polar bears (Ursus maritimus) in relation to projected sea-ice declines. Biology Letters 12: 20160556. http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/12/12/20160556

    Wiig, Ø., Born, E.W., and Garner, G.W. (eds.) 1995. Polar Bears: Proceedings of the 11th working meeting of the IUCN/SSC Polar Bear Specialists Group, 25-27 January, 1993, Copenhagen, Denmark. Gland, Switzerland and Cambridge UK, IUCN. http://pbsg.npolar.no/en/meetings/

    Wiig, Ø., Amstrup, S., Atwood, T., Laidre, K., Lunn, N., Obbard, M., et al. 2015. Ursus maritimus. The IUCN Red List of Threatened Species 2015: e.T22823A14871490. Available from http://www.iucnredlist.org/details/22823/0 [accessed Nov. 28, 2015]. See the supplement for population figures.

    https://polarbearscience.com/2019/03/26/latest-global-polar-bear-abundance-best-guess-estimate-is-39000-26000-58000/#more-119844

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  9. ATTARDÉ MENTAL (suite)

    "Les milliardaires ne devraient pas exister": Bernie propose une taxe pour réduire de moitié la richesse des milliardaires


    par Tyler Durden
    Mar., 24/09/2019 - 15:50


    Le sénateur Bernie Sanders (I-VT), qui a craché du venin chez des millionnaires jusqu’à ce qu’il en devienne un, s’est fixé un nouvel objectif: les milliardaires.

    Mardi, Sanders a présenté un plan "ambitieux" visant à taxer les ultra-riches du pays, allant bien au-delà de la taxe sur la fortune proposée par sa principale rivale, Elizabeth Warren, avec ce qui, selon Sanders, réduirait de moitié la fortune des milliardaires américains sur 15 ans, alors que Mme Warren est arrivée la première, M. Sanders a pris de l'ampleur. Son impôt sur la fortune s’appliquerait à un plus grand nombre de ménages, imposerait un taux maximum supérieur et amasserait plus d’argent.

    Le projet de M. Sanders d’imposer la richesse accumulée, et pas seulement le revenu, est particulièrement agressif dans le sens où il affaiblirait le sort des milliardaires. Son impôt réduirait de moitié la richesse du milliardaire typique après 15 ans, selon deux économistes qui ont travaillé avec la campagne Sanders sur ce plan. M. Sanders utiliserait l'argent généré par son impôt sur la fortune pour financer le plan de logement qu'il avait publié la semaine dernière et un plan à venir pour la garde universelle, ainsi que pour aider à payer «l'assurance-maladie pour tous». -NY Times

    Le plan de Sanders imposerait une taxe progressive de 1% sur les actifs de plus de 32 millions de dollars, 2% pour les ménages d'une valeur de 50 à 250 millions de dollars, 3% de 250 millions à 500 millions de dollars, 4% de 500 à 1 milliard de dollars et enfin 8% sur la richesse plus de 10 milliards de dollars. Sur une décennie, la taxe générerait environ 4,35 milliards de dollars (moins ce qui ne peut être récupéré de tout l'argent rapidement acheminé vers des fiducies offshore).

    De plus, le taux d'imposition sur les successions commencerait à 45% pour les actifs de plus de 3,5 millions de dollars et passerait à 77% pour ceux de plus d'un milliard de dollars - une proposition qui, selon Sanders, s'appliquerait à 0,2% de la population.

    La campagne de Sanders a déclaré que son impôt sur la fortune réduirait de moitié la fortune des milliardaires américains dans 15 ans, "ce qui briserait considérablement la concentration de la richesse et du pouvoir de cette petite classe privilégiée".

    "Assez, c'est assez", a déclaré dans un communiqué Sanders, un sénateur du Vermont. "Nous allons nous attaquer à la classe des milliardaires, réduire substantiellement l'inégalité de la richesse en Amérique et empêcher notre démocratie de se transformer en une oligarchie corrompue." -Bloomberg

    "Soyons clairs: en tant que président des États-Unis, je vais réduire le niveau scandaleux, grotesque et immoral des revenus et des inégalités de richesse", a déclaré Sanders au Times, ajoutant que "nous essayons de faire: exiger et mettre en œuvre une politique ce qui réduit considérablement les inégalités de revenus et de richesse en Amérique en disant aux familles les plus riches de ce pays qu'elles ne peuvent pas avoir autant de richesses. "

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  10. Quand on lui a demandé s’il pensait que les milliardaires devraient exister en Amérique, M. Sanders a déclaré: "J'espère que le jour viendra où ils ne le seront pas", ajoutant: "Ce ne sera pas pour demain."

    Comme le note le Times, "Aussi séduisant qu'un impôt sur la fortune puisse sembler être une base libérale pour le parti, son adoption poserait des défis majeurs. Quiconque a la chance d'être à sa portée a accès aux meilleurs avocats et comptables en droit fiscal qui peuvent passer en revue le code des impôts. pour un moyen de sortir, ou au moins un moyen de minimiser l'impact. "

    La proposition de Warren, quant à elle, imposerait une taxe de 2% sur la fortune de plus de 50 millions de dollars - ou les 70 000 plus grandes familles du pays. Pour quelqu'un ayant un actif de 100 millions de dollars, le plan de Warren leur coûterait 1 million de dollars par an. Les fortunes supérieures à 1 milliard de dollars seraient soumises à une surtaxe annuelle supplémentaire de 1%. Son plan comprend également l’élargissement de l’impôt sur les successions, qui commencerait à 55% et augmenterait à 75%.

    https://www.zerohedge.com/political/billionaires-shouldnt-exist-bernie-sanders-rolls-out-super-aggressive-tax-plan

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  11. L'idée des monnaies alternatives se généralise


    par Tyler Durden
    Mar., 24/09/2019 - 14:52
    Écrit par Gregory Bresiger via le Mises Institute,


    Mastercard, l’un des principaux joueurs à la recherche de cette nouvelle monnaie, commence une équipe de crypto-monnaie.

    «Avez-vous le désir de travailler à la croisée des chemins entre paiements et cryptomonnaies», demande MasterCard.

    Les personnes embauchées «surveilleront les tendances de l'écosystème de la monnaie cryptée» et «développeront de nouveaux produits et solutions».

    Un expert en cartes de crédit l'a qualifié de «choix intelligent».

    Bill Hardekopf, PDG de LowCards.com, déclare que Mastercard "constate une activité intense dans ce domaine. Même s'il ne va pas proposer sa propre crypto-monnaie, ils savent qu'il est important d'avoir des personnes qui comprennent le sujet. "

    D'autres jouent déjà au jeu d'argent

    Mastercard fait partie de l’Association Libra, qui comprend Pay Pal, Visa et d’autres grands joueurs. La Balance a l'intention de créer «une crypto-monnaie générée par la réserve, basée sur la technologie de la blockchain et générée de manière numérique».

    Selon une étude de l'Université de Cambridge, le portefeuille de la crypto-monnaie comptait entre 2,9 et 5,8 millions d'utilisateurs. Bitcoin le plus utilisé. Quatre ans auparavant, il y avait entre 300 000 et 1,3 million d'utilisateurs.

    "Mastercard", explique Bill Xing, PDG de Panda Analytics, "tente de mettre en place une solution de portefeuille crypté, éventuellement une alternative à la crypto-monnaie Calibra de Facebook, censée débuter l'année prochaine. Il se prépare à la situation lorsque le crypto (transaction entre homologues) sera adopté comme solution de paiement traditionnelle. "

    Transactions directes sans intermédiaires

    Peer to peer signifie que l’intermédiaire dans la transaction traditionnelle d’aujourd’hui pourrait disparaître si les cryptomonnaies révolutionnaient la monnaie. Les crypto-monnaies sont décentralisées car il n'y a pas d'intermédiaire; les transactions sont effectuées entre parties via des adresses électroniques sans banques centrales. En fait, ils représentent un vote de défiance envers les politiques des banques centrales. Ils voient dans les banques centrales une dévaluation constante de l’argent grâce à des monnaies qui ne sont soutenues que par des promesses du gouvernement. Les critiques appellent cette monnaie non adossée «monnaie fiduciaire».

    Certains pays interdisent les devises alternatives. D'autres les embrassent ou reconnaissent les taxer. En 2014, l'IRS a statué que Bitcoin sera traité comme une propriété soumise aux taxes sur les plus-values.

    Il existe aujourd'hui des centaines de crypto-monnaies. Bitcoin est le plus gros.

    La valeur de ces devises est volatile. Certains investisseurs font des millions. D'autres perdent gros. Mais l’idée de la concurrence entre les monnaies remonte au moins aux années 1970. C’est une idée explorée par l’ouvrage de l’économiste F. A. Hayek dans son livre de 1976 intitulé Denationalisation of Money.

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  12. Hayek a affirmé que "le monopole gouvernemental sur la monnaie doit être aboli pour mettre fin aux épisodes récurrents d'inflation et de déflation". Il a également affirmé que les dépenses excessives de plus en plus excessives du gouvernement - que l'on peut maintenant voir dans le déficit de 1 billion de dollars du gouvernement fédéral à une période de forte croissance économique supposée - serait limitée si le monopole de la monnaie était levé.

    "Le monopole de l'argent par le gouvernement", a écrit Hayek, "l'a soulagé de la nécessité de maintenir ses dépenses dans les limites de ses recettes et a ainsi précipité l'augmentation spectaculaire des dépenses du gouvernement au cours des 30 dernières années".

    Hayek’s a écrit ces mots au milieu des années 1970. Depuis lors, les dépenses excessives du gouvernement, les déficits et la dette se sont progressivement aggravés. Les déficits en trillions de dollars sont maintenant couramment acceptés. Peu semblent s'inquiéter des dépenses excessives du gouvernement.

    Les démocrates demandent des milliards de dollars de nouvelles dépenses. Des républicains tels que Dick Cheney défendent maintenant cette énorme encre rouge avec l’assurance que «Reagan a prouvé que les déficits n’importaient pas».

    En fait, plusieurs économistes m'ont dit, dans un article que j'ai rédigé pour le New York Post il y a une dizaine d'années, que l'encre rouge du gouvernement fédéral était bien plus que ce que le gouvernement disait.

    Les banques centrales veulent préserver leurs monopoles
    Mais que se passe-t-il si la révolution monétaire réussit? Comme dans toute révolution, les meilleurs chiens d’aujourd’hui ont le plus à perdre.

    «En théorie, explique Xing, si ces sociétés de paiement n’étudient pas les nouvelles technologies autour du bitcoin ni n’étudient de nouveaux modèles d’affaires, elles risquent de ne plus être actives au cours des dix prochaines années.»

    Donc, un argent révolutionnaire se développe. Certains gouvernements tentent de l'arrêter pour une raison évidente: la nature humaine. Presque tout le monde aimerait être en situation de monopole, mais la concurrence l’empêche de fonctionner sur un marché en état de marche. Cependant, les gouvernements ont le pouvoir légal de faire disparaître la concurrence ou de l'empêcher de revenir dans le cas de biens et services qui étaient auparavant offerts à titre privé mais qui sont maintenant empêchés par le pouvoir du gouvernement.

    Ici à New York, où se trouvent les terribles métros gérés par l’État, tous les grands responsables politiques sont d’accord pour dire que le système étatique, quelle que soit sa gravité - et que des millions de usagers du métro peuvent en témoigner - doit être maintenu et aucune privatisation ne doit être autorisée. C’est pourtant bien que, dans la première période des métros, ils étaient considérés comme une “merveille d’ingénierie” et que les sociétés de transport privées constituaient un élément essentiel du système. Ils ont ensuite été acculés à la faillite par le contrôle des prix par le gouvernement. Les tarifs de métro, sous les compagnies privées, n’ont jamais été autorisés à dépasser un sou. C’est quelque chose qui a changé rapidement une fois que le gouvernement a pris le pouvoir.

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  13. Plus de gaspillage d'argent

    Le mouvement en faveur d'une monnaie de remplacement est le résultat de l'histoire de la mauvaise gestion monétaire du gouvernement.

    C'est une triste histoire de banques centrales gouvernementales et de catastrophes monétaires. La Grande Dépression, bien sûr, s'est produite sous le regard de la Réserve fédérale.

    Et la plupart des historiens monétaires s'accordent pour dire que l'explosion de la masse monétaire au début des années 1970, juste avant les élections de 1972, a été un désastre. Les politiques d’argent facile, conçues par Arthur Burns, président de la Fed et nommé par le président Nixon, ont renforcé la réélection du président. Cela a créé un effet village Potemkine.

    L'économie s'est développée à court terme, puis a explosé, créant la stagflation des années 1970, détruisant des millions de vies pendant environ une décennie. Les taux d'intérêt ont dépassé les 20%, un cauchemar pour les industries sensibles aux intérêts.

    L’argent facile de la Fed a entraîné une croissance faible voire nulle, ainsi que des taux d’inflation élevés. C’était quelque chose que les économistes keynésiens, soutenus par une dévotion à la courbe de Philips, avaient précédemment déclaré qu’ils ne se réaliseraient jamais. C'est arrivé.

    Il est logique que de nombreuses personnes historiquement alphabétisées souhaitent retirer le monopole de la fabrication de l'argent aux banques centrales du gouvernement. Leurs enregistrements de récessions fréquentes et parfois de dépressions mènent inévitablement à un cycle d'expansion et de ralentissement.

    Les gouvernements qui veulent interdire ces nouveaux développements monétaires peuvent se battre contre ceux qui ont mis au point un meilleur piège à souris. Canut like, les banquiers centraux et leurs alliés politiques peuvent essayer d’arrêter une vague inévitable.

    https://www.zerohedge.com/crypto/idea-alternative-currencies-going-mainstream

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  14. Intrusions normales: Globaliser la surveillance de l'IA


    par Tyler Durden
    Mar., 24/09/2019 - 22:25
    Écrit par Binoy Kampmark via Oriental Review,


    Ils le font tous: sociétés, régimes, autorités. Ils ont tous les mêmes raisons: efficacité, facilité de maintenance, rentabilité, le tout sous le terme générique de «sécurité». Appelez cela surveillance, ou appelez cela surveillance des citoyens du monde; tout se résume à la même chose. Vous êtes surveillé pour votre propre bien, et de tels cas devraient être considérés comme une norme.

    Compte tenu des faiblesses du droit international et du hoquet général qui accompagne les efforts pour formuler un droit mondial au respect de la vie privée, peu de restrictions ou problèmes de ce type préoccupent ceux qui sont surveillés. L’ensemble de l’activité est florissante, un complexe viral qui ne risque pas d’être réduit.

    La Fondation Carnegie pour la paix internationale a publié un rapport troublant confirmant ce fait, tout en utilisant avec irritation un index pour le faire. Son objectif est la technologie d'intelligence artificielle (IA). Une définition est proposée pour l'IA, «un système intégré qui intègre des objectifs d'acquisition d'informations, des principes de raisonnement logique et des capacités d'auto-correction».

    Lorsque cela est dit ainsi, l’affaire semble bénigne. L'apprentissage automatique, par exemple, "analyse une grande quantité d'informations afin de discerner un schéma permettant d'expliquer les données actuelles et de prévoir les utilisations futures".

    L’auteur du rapport, Steven Feldstein, a fourni plusieurs faits saillants perturbants. La relation entre les dépenses militaires et l'utilisation des systèmes de surveillance de l'IA par les États est notée, avec «quarante des 50 plus grands pays dépensant le plus dans le monde (sur la base des dépenses militaires cumulatives) [utilisant] également une technologie de surveillance de l'IA». L'année 2017 montre que les technologies de surveillance de l'intelligence artificielle ne constituent pas simplement un bon tarif domestique, mais une activité d'exportation florissante.

    Le penchant idéologique du régime en question n’empêche pas le recours à une telle surveillance. Les démocraties libérales sont considérées comme des utilisateurs majeurs, avec 51% des «démocraties avancées». Il est intéressant de noter que ce nombre est inférieur aux «États autocratiques fermés» (37%); «États autocratiques électoraux / autocratiques compétitifs» (41%) et «démocraties électorales / démocraties non libérales» (41%). Le taxonomiste politique risque de se noyer dans les moindres détails sur ce point, mais la réalité effrayante s’impose: tous les États sont dépendants des régimes de technologies de surveillance de l’IA.

    Feldstein fait valoir que les «États autocratiques et semi-autocratiques» abusent plus de la surveillance de l'IA que «les gouvernements des démocraties libérales», mais les comparaisons tendent à échouer dans la course mondiale à la supériorité technologique. La Russie, la Chine et l'Arabie saoudite sont citées comme «exploitant la technologie de l'IA à des fins de surveillance de masse», mais tous les États cherchent le Saint Graal de masse, de préférence une surveillance sans mandat. Les révélations d’Edward Snowden en 2013 ont fait plus que toute autre chose pour brouiller la notion pittoresque selon laquelle ceux qui professent les garanties et les libertés sont nécessairement conscients des tendances extrêmes de leur système de sécurité.

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  15. Le lien société-État est indispensable à la surveillance mondiale, une relation symbiotique qui résiste à la réglementation et aux principes. Cela a pour effet supplémentaire de détruire toute distinction crédible entre un État censé être plus conforme aux normes des droits de l'homme et ceux qui ne le sont pas. Le fil conducteur, comme toujours, est l’entreprise technologique. Comme le note Feldstein, en plus de la Chine, "des entreprises basées dans des démocraties libérales - telles que l'Allemagne, la France, Israël, le Japon, la Corée du Sud, le Royaume-Uni et les États-Unis - vendent activement du matériel sophistiqué à des régimes peu recommandables".

    Ces tendances sont loin d'être nouvelles. En 1995, Privacy International a publié un rapport intitulé Big Brother Incorporated, qui donne un aperçu général de la technologie de surveillance, désormais connue sous le nom de «commerce répressif».

    "Une grande partie de cette technologie est utilisée pour suivre les activités des dissidents, des défenseurs des droits de l'homme, des journalistes, des leaders étudiants, des minorités, des dirigeants syndicaux et des opposants politiques."

    Les entreprises qui n’ont aucune allégeance particulière, à l’exception du profit et des actionnaires, telles que la société informatique britannique ICL (International Computers Limited) ont été identifiées comme étant les concepteurs clés du système automatisé de livrets sud-africains, la signature distinctive de l’apartheid. Dans les années 1980, la société israélienne Tadiran, fidèle à la riche tradition du commerce de répression, fournissait à la politique meurtrière du Guatemala des listes de mort informatisées dans le cadre de leurs efforts de «pacification».

    Le pouvoir galopant actuel dans le domaine de la technologie de surveillance de l'IA est la Chine, étayée par l'initiative «Belt and Road», qui pèse lourdement, et décrite par ses fans comme un plan Marshall chinois. Là où il y a des incitations du marché, il y a des perspectives d'achat pour la technologie de l'IA.

    «Les technologies liées aux entreprises chinoises sont présentes dans au moins soixante-trois pays du monde. Huawei est le seul responsable de la fourniture de la technologie de surveillance de l'IA à au moins cinquante pays. ”

    La technologie chinoise, pense-t-on, pourrait bien renforcer les capacités de surveillance sur certains marchés africains, étant donné «l'agressivité des entreprises chinoises».

    D'autres puissances participent également à ce qui est devenu un domaine de concurrents agressifs. Le NEC du Japon est son propre colosse, fournissant des technologies à quelque 14 pays. IBM maintient la pression en tant que joueur américain notable, dans 11 pays. Cette entité a fait sensation en mai, avec un rapport révélant les ventes de systèmes de surveillance biométrique aux agences de sécurité et d'espionnage des Émirats arabes unis, suscitant une discussion animée en mai de cette année. Les Philippines sont un autre destinataire de la technologie de surveillance d'IBM: ce pays est plus que disposé à donner à ses forces de police les moyens de surveiller et d'assassiner à l'occasion ses citoyens. (Les escadrons de la mort à Davao sont un cas sanglant.)

    Des problèmes avec le rapport étaient inévitables. On admet humblement que la méthode d’échantillonnage peut être discutable en termes de production d’une image complète de l’industrie. "Compte tenu de l'opacité de l'utilisation de la surveillance par le gouvernement, il est presque impossible de déterminer, pour une année spécifique, les plates-formes ou systèmes d'IA actuellement utilisés". L'index ne fait pas non plus la distinction entre la surveillance de l'IA utilisée à des fins légitimes et la surveillance numérique illégale. "A champ trouble, en effet.

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  16. Malgré la gravité des conclusions de Feldstein, il est également conscient de l’élément séduisant que diverses plates-formes ont proposé. La surveillance effrénée de l'IA amorale pourrait bien être un sous-produit hideux de la technologie, mais le domaine regorge de perspectives prometteuses en «apprentissage en profondeur; informatique en nuage et collecte de données en ligne "," amélioration des performances d'algorithmes complexes; et des incitations dictées par le marché pour de nouvelles utilisations de la technologie de l'IA. »Cela montre, dans un sens, la nature du visage de Janus dans la critique d'une telle entreprise; de tels éloges ont tendance à venir avec le territoire, étant donné les antécédents personnels de Feldstein en tant qu’ancien secrétaire d’État adjoint au Bureau de la démocratie, des droits de l’homme et du travail du Département d’État américain.

    Feldstein laisse place à un avertissement. «Au fur et à mesure que ces technologies s'intègreront davantage dans la gouvernance et la politique, la fenêtre du changement diminuera.» Dans de nombreux cas, la fenêtre n'a pas été aussi étroite que celle fermée, comme il le faisait il y a des décennies.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/normal-intrusions-globalising-ai-surveillance

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    1. Ils font TOUT pour que demain TOUTES les femmes et TOUS les hommes porte la burqa !

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