https://www.youtube.com/watch?v=Z55C1yzvGqM
Hierro (2/8)
https://www.youtube.com/watch?v=301gwJYH3Zs
Hierro (3/8)
https://www.youtube.com/watch?v=0gW8GDhkLGg
Hierro (4/8)
https://www.youtube.com/watch?v=IL1TrWTNzqc
Hierro (5/8)
https://www.youtube.com/watch?v=YOYBhdDJy7c
Hierro (6/8)
https://www.youtube.com/watch?v=_EabO5ItmVE
Hierro (7/8)
https://www.youtube.com/watch?v=rzAnMnValeA
Hierro (8/8)
https://www.youtube.com/watch?v=PAfK1cp8RpQ
National Interest évoque une nouvelle arme russe qui pourrait rendre inhabitable n’importe quel pays
RépondreSupprimer12:23 22.09.2019
En cas de conflit atomique et de frappes sur la Russie pouvant anéantir ses forces nucléaires, Moscou possède des sous-marins de classe Boreï capables de réduire en cendres les villes de son adversaire, selon National Interest.
Les sous-marins russes de la classe Boreï ont pour objectif primordial de réduire à l’état de ruines les villes de l'adversaire, même si les autres forces nucléaires du pays sont anéanties lors de premières frappes, constate National Interest.
La revue signale que grâce à de nouveaux revêtements et à de nouveaux moteurs à propulsion nucléaire permettant de rester en plongée pendant des mois, les sous-marins de la classe Boreï sont devenus silencieux, ce qui les distingue de leurs prédécesseurs soviétiques.
«Le réacteur OKF-650B de 190 mégawatts du Boreï alimente un système de propulsion à pompe qui lui permet de rester exceptionnellement silencieux tout en naviguant à une vitesse proche de sa vitesse maximale sous-marine de 30 nœuds (47,4 km/h). Cela rend probablement le Boreï plus silencieux et capable de rester discret à des vitesses plus élevées que le sous-marin de classe Ohio», indique National Interest.
Plus encore, chacun des 16 missiles R-30 Boulava du sous-marin porte généralement six ogives nucléaires de 150 kilotonnes conçues pour se séparer afin de toucher des cibles distinctes.
«Cela signifie qu'un Boreï peut faire pleuvoir 72 têtes nucléaires dix fois plus destructrices que la bombe larguée sur Hiroshima sur des villes et des bases militaires situées à une distance de plus de 9.000 kilomètres», signale la revue.
Elle rappelle qu’à l’heure actuelle la Russie construit des sous-marins de nouvelle génération du projet 955A/Boreï A. Le bâtiment tête de série, le Prince Vladimir, a été lancé en 2017 et devrait être prochainement mis en service.
Selon National Interest, ces sous-marins sont plus maniables, possèdent une furtivité acoustique améliorée et sont dotés de systèmes de combat, d’observation et de communication modernisés.
Le média précise que le Boreï ne représente que la moitié de la future force de dissuasion nucléaire basée en mer de la marine russe. L'autre moitié proviendra d'une flotte unique de quatre sous-marins de la classe Khabarovsk portant chacun six torpilles Poséidon à propulsion nucléaire conçues pour faire exploser les villes côtières et les bases navales avec des ogives à rendement gigantesque.
Même si les autres forces nucléaires russes sont anéanties lors de premières frappes ennemies, la Russie possède de quoi réduire en poussières les villes de l’adversaire, résume la revue.
https://fr.sputniknews.com/international/201909221042137586-national-interest-evoque-une-nouvelle-arme-russe-qui-pourrait-rendre-inhabitable-nimporte-quel-pays/
Les 'armes nucléaires' sont obsolètes depuis plus de 50 ans !
SupprimerPAS UN SEUL PAYS AU MONDE se risquerait de l'employer.
Elles sont uniquement 'dissuasives'.
Aujourd'hui on parle de l'EMP.
Assange est traité pire que les terroristes, selon le rédacteur en chef de WikiLeaks
RépondreSupprimer09:28 22.09.2019
Dans sa prison britannique, Julian Assange est incarcéré dans des conditions «plus sévères» que pour les terroristes, a estimé le rédacteur en chef de WikiLeaks Kristinn Hrafnsson. Après déjà plusieurs mois de détention, le lanceur d’alerte restera derrière les barreaux jusqu’à la décision sur sa possible extradition.
Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange est incarcéré dans sa prison britannique dans des conditions encore plus mauvaises que pour les terroristes, a annoncé le 19 septembre 2019 le rédacteur en chef du site de révélations Kristinn Hrafnsson dans une interview au média britannique Grayzone.
«Selon des avocats qui faisaient le suivi d’autres détenus dans la prison de catégorie A de Belmarsh, les personnes qui y sont incarcérées sont des terroristes et des criminels violents, sa condition [celle de Julian Assange, ndlr] s’est avérée encore plus sévère que celle de ces prisonniers», a affirmé Kristinn Hrafnsson en commentant l’état physique et psychologique de M.Assange.
Selon le journaliste, Julian Assange ne peut mener aucune correspondance et n’a que deux visites privées par mois. Il est détenu dans des conditions d’isolation accrue, a ajouté M.Hrafnsson.
Suite à sa condamnation à 50 semaines de détention pour avoir enfreint la loi sur la mise en liberté sous caution, l’Australien aurait dû être libéré le 22 septembre. Il restera toutefois derrière les barreaux pendant l’examen de l’affaire d’extradition sur la décision de la juge de district Vanessa Baraitser, persuadée que le détenu pourrait «s’enfuir encore une fois». Selon M.Hrafnsson, cette attitude démontre «la partialité» avec laquelle M.Assange est traité par les autorités britanniques.
En prison depuis plusieurs mois
L’Australien Julian Assange, 48 ans, est incarcéré dans la prison de haute sécurité de Belmarsh, à Londres, depuis son arrestation le 11 avril à l'ambassade d'Équateur. Il a passé sept ans dans cette mission diplomatique par crainte d’être extradé vers les États-Unis où il risque 175 ans de prison pour diffusion d’informations secrètes. En mai, M.Assange a été condamné à près d'un an de prison par la justice britannique pour violation des termes de sa liberté conditionnelle.
https://fr.sputniknews.com/international/201909221042137298-assange-est-traite-pire-que-les-terroristes-selon-le-redacteur-en-chef-de-wikileaks/
«On laisse volontairement» les black blocs «discréditer» les manifestants, selon Bardella
RépondreSupprimer07:52 23.09.2019
Après une journée de manifestations tendue pour le 45e samedi des Gilets jaunes, émaillée de plusieurs incidents, Jordan Bardella a déclaré que les autorités laissaient «volontairement» les groupes violents «discréditer les mouvements sociaux».
L'eurodéputé et vice-président du Rassemblement national Jordan Bardella a estimé dimanche que le gouvernement «laiss[ait] volontairement» des groupuscules «d'extrême-gauche» «discréditer les mouvements sociaux», au lendemain d'une journée de manifestations à Paris où au moins 1.000 manifestants «radicaux» ont été signalés par la police.
Mais, a-t-il souligné sur BFM TV, «il y a une coagulation des colères, et ça, Emmanuel Macron n'arrive pas à l'endiguer. Policiers, pompiers, infirmiers, Gilets jaunes: il y a une colère dans le pays et tant qu'on ne change pas la manière dont on gouverne, [...] alors les mouvements continueront», a-t-il prédit.
Interrogé sur le mouvement des Gilets jaunes, qui avait débuté «massivement» à l'automne 2018, il a déploré que «comme à chaque manifestation dans notre pays, chaque mouvement social de fond, des groupuscules, des milices d'extrême-gauche, organisées en black blocs, viennent dans ces manifestations pour essayer d'en discréditer les revendications».
«Beaucoup de Gilets jaunes qui sont là depuis le départ ont le sentiment que leurs revendications ont été cassées et que leur mouvement est pointé du doigt à cause de l'impunité de ces milices d'extrême-gauche. Je crois qu'on laisse volontairement ces milices d'extrême-gauche discréditer les mouvements sociaux», a-t-il avancé.
Il a ainsi noté que «les ordres» donnés aux forces de l'ordre «parfois peuvent interroger» avec la «demande d'une répression la plus totale à l'égard de gens qui viennent manifester pacifiquement». D'un autre côté, «ces milices bénéficient d'un laxisme et d'une impunité totale».
45e samedi des manifestations
La 45e mobilisation des Gilets jaunes s’est organisée dans de nombreuses villes de France, cumulant les tensions à Paris où plus de 90.000 personnes ont manifesté au total, selon le Nombre Jaune. L’acte 45 s’est ajouté à la marche pour le climat. Parallèlement, une manifestation contre la réforme des retraites a eu lieu dans la capitale.
Les forces de l’ordre ont recouru au gaz lacrymogène dès la matinée et durant toute la journée en plusieurs endroits de la capitale. Dans l’après-midi, la police a constaté la présence d’«individus violents» réalisant des «exactions» dans le cortège.
Un dispositif équivalent à celui du 1er mai dernier a été déployé par crainte des violences, d’après le préfet.
https://fr.sputniknews.com/france/201909221042139333-on-laisse-volontairement-les-black-blocs-discrediter-les-manifestants-selon-bardella/
L'association des français manifestants avec ou sans gilets de sûreté avec des gilets jaunes qui sont associés au partis communistes, socialistes, gaullistes et gouvernement (black-blocs), n'a fait que couler le sang sans avancée. Le contrôle à permis de tuer la manifestation dans l'œuf dès le premier jour, mais les vrais révolutionnaires sont toujours là !
SupprimerAntifa "Black Bloc" français provoque un violent chaos après avoir infiltré un gilet jaune lors d'une marche pour le climat à Paris
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 22/09/2019 - 15:50
Un groupe d'environ 1.000 anarchistes du "bloc noir" a infiltré samedi à Paris deux marches, provoquant des affrontements avec la police qui ont conduit à des arrestations massives, selon l'AFP.
Le groupe a commencé par marcher avec une manifestation anti-gouvernementale contre les vestes jaunes - mettant le feu aux barricades et aux vitres cassées.
Besoin 2 savoir: grève climatique, dénonciateur d'atout
Les anarchistes se sont ensuite infiltrés dans une marche climatique, obligeant des familles non-violentes à abandonner l'événement alors que la police anti-émeute française déployait des gaz lacrymogènes et d'autres mesures. Environ 7 500 membres des forces de sécurité ont participé à l'effort de maintien de l'ordre, et 163 personnes ont été arrêtées. Les organisateurs de la marche pour le climat ont exhorté les manifestants à rentrer chez eux après la violente confrontation.
Environ 15 200 personnes ont pris part à la marche pour le climat, selon le cabinet de conseil indépendant Occurence, alors que les organisateurs en réclamaient 50 000 et que la police chiffrait leur nombre à 16 000. -AFP
Le mouvement Yellow Vest en est maintenant à son dixième mois de manifestations malgré le président français Emmanuel Macron qui a accordé une série de concessions économiques pour réduire les impôts et augmenter les salaires minimum ainsi que d’autres avantages liés à l’emploi.
"Nous nous rassemblons juste pour dire que nous ne pouvons pas joindre les deux bouts. (La manifestation) n'est pas seulement contre le président, c'est contre le système", a déclaré une manifestante à l'AFP.
D'autres ont dénoncé ce qu'ils ont dit être une portée excessive des forces de sécurité.
"C'est l'enfer. Nous avons moins de 100 ans, et la police porte des accusations. C'est David contre Goliath", a déclaré le manifestant Pierre, les yeux rouges de gaz lacrymogène.
Les manifestations hebdomadaires en France - le samedi 45 - ont incité Macron à relâcher les cordons de la bourse de l'État à hauteur de près de 17 milliards d'euros (18,8 milliards de dollars) en augmentations de salaire et en réductions d'impôts pour les bas salaires. -AFP
Bien que les manifestations aient été moins nombreuses pendant l'été, il reste à voir si elles vont reprendre leur élan à l'automne, en particulier à l'approche du premier anniversaire de leur anniversaire.
Vendredi, Macron a appelé au "calme", ??ajoutant que "s'il est bon que les gens s'expriment", ils ne doivent pas s'immiscer dans les manifestations légalement autorisées ni dans les autres événements prévus pour samedi.
Le dirigeant de Yellow Vest, Jerome Rodrigues, a qualifié la manifestation de samedi de "manifestation révélatrice", ajoutant que "beaucoup de gens vont venir à Paris".
Les responsables ont de nouveau interdit les manifestations sur l'avenue des Champs-Élysées et dans d'autres quartiers du cœur de la capitale, où des manifestants avaient pillé et incendié des boutiques et des restaurants de luxe lors de rassemblements précédents.
RépondreSupprimerLa police des Champs-Élysées a utilisé du gaz lacrymogène et des matraques pour disperser les manifestants qui avaient tenté de violer l'interdiction.
La police a indiqué que certains des manifestants étaient munis de marteaux et de bidons d'essence.
Mais une manifestante, qui s’est identifiée uniquement comme étant Brigitte, a déclaré: "Nous sommes traités comme des criminels". -AFP
L'utilisation de gaz lacrymogène et de grenades assourdissantes sur les manifestants du climat a été vivement critiquée par des activistes du climat, tels que Greenpeace et le groupe de lutte contre le climat français ANV-COP21, qui ont dénoncé le traitement brutal.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/french-black-bloc-antifa-cause-violent-mayhem-after-infiltrating-yellow-vest-climate
SupprimerLa Greta-Wehrmacht se joint aux partis nazis contre les français qui défilent
Climat : au secours ! Les enfants tyrans sont dans la rue ! [Replay]
RépondreSupprimerIls ne payent pas encore d’impôts mais il savent déjà quoi faire avec les vôtres : au secours, les enfants sont dans la rue !
Par Phoebe Ann Moses.
23 SEPTEMBRE 2019
En d’autres temps, on aurait crié au scandale de la manipulation, de l’exploitation des mineurs, de l’instrumentalisation des enfants… Mais cette époque est révolue : aujourd’hui il est de bon ton de matraquer de l’école primaire au lycée que la planète est en danger et qu’il faut tout faire pour la sauver. Y compris en mettant des enfants dans les rues, pancartes et slogans affûtés pour une nouvelle vie faite de verdure et de petits oiseaux qui chantent, mais aussi de taxes, d’impôts, et de décroissance à tous les étages.
Les enfants sont déjà les héros de publicités : ils choisissent quelle voiture conduiront leurs parents, décident de ce qu’il faut manger… Alors, puisqu’ils sont déjà en charge du porte-monnaie familial, pourquoi s’arrêter en si bon chemin et ne pas les laisser décider de ce qu’il faut faire avec l’argent des autres ?
Greta Thunberg est invitée à faire un discours à la COP 24. Un grand moment d’autoflagellation de gosse de pays riche, qui ignore probablement ce que signifierait de vivre aussi chichement qu’elle le prône, mais qui se permet de donner des leçons de vie à un parterre de décideurs, certes pas forcément inspirés, mais… adultes. Une Leonarda version viking, en somme.
Quoi de plus malléable qu’un esprit enfantin ? Quoi de plus attentif qu’une oreille jeune qui n’entend qu’un seul son, celui de l’État qui veut votre Bien ? Et quand, en plus, la vérité sort de la bouche des enfants, il ne reste qu’à s’incliner…
Que le climat soit en cours de « réchauffement », de « dérèglement », ou simplement de « changement » (une commodité de vocabulaire qui élargit considérablement le champ des possibles, on est sûr de ne pas se tromper), voilà que les marmots « sèchent les cours » au nom d’une planète en danger…
Fichtre, presque 200 morts par jour…
Tiens en parlant de consumérisme, si on leur enlevait leur PS4 ?
Des enfants qui ignorent tout de l’économie, du travail, de la fiscalité, qui ne paient pas encore d’impôts mais qui savent déjà quoi faire avec les vôtres…
Ils feraient peut-être mieux de s’en préoccuper, car justement réclamer à cor et à cris des solutions pour la planète ne débouchera que sur une hausse de la fiscalité… pour eux ! L’État endetté dans lequel ils vivent ne se finance que sur leur dos. On entend partout qu’il faut que l’on pense « à nos enfants », « aux générations futures », que l’on n’a pas « une planète B ». On serait donc capable de tout pour laisser une planète propre pour eux, mais pas de laisser des comptes apurés. Or c’est eux qui paieront. L’avenir de la planète les intéresse, mais pas l’avenir de leurs finances qui devrait pourtant leur permettre (ou pas) de vivre leur vie.
Entre une Greta Thunberg tout droit sortie du Village des Damnés, et des organisations aussi éloignées du climat qu’on peut l’être, la grande Cause climatique est le dernier avatar d’un totalitarisme qui ne dit pas encore son nom.
Le Point rapporte :
RépondreSupprimer« Environ 140 organisations, de Greenpeace France à la Fondation Nicolas Hulot, en passant par SOS Racisme, Ni putes ni soumises, ATD Quart Monde, Les Amis de la Terre, ou encore 350.org et Alternatiba, ont appelé à descendre dans la rue, estimant qu’il est « temps de changer de système industriel, politique et économique, pour protéger l’environnement, la société et les individus ». »
Justement le bonheur de l’individu ne se décrétant pas en faisant des lois et encore moins en le privant de ses libertés, on voit mal comment ces appels pourraient ne pas déboucher sur encore plus d’emprise de l’État sur nos choix personnels.
Ces enfants bercés d’illusions, biberonnés à l’assistanat, n’auront que ce qu’ils méritent : un État-Nounou qui leur prendra le nécessaire pour assurer le bien-être général à la mode du moment. Jusqu’au prochain caprice.
https://www.contrepoints.org/2019/09/23/339488-climat-au-secours-les-enfants-tyrans-sont-dans-la-rue
"Marron caca" ! La vérité sort de la 'bouche' des enfants !
SupprimerManifs pour le climat : des appels aux gouvernements. Mais pour faire quoi ?
RépondreSupprimer23 SEPTEMBRE 2019
Par Michel Negynas.
Tout le monde connaît la fable de l’apprenti sorcier, popularisée d’abord par Paul Dukas, puis par le Mickey de Walt Disney. L’élève magicien avait retenu la formule pour multiplier les serviteurs (des balais) préposés au lavage du sol, mais avait oublié celle qui permettait de les arrêter. Par milliers ils déversaient des torrents, submergeant la maison. Il semble bien qu’en matière de climat et de santé, nos mickeys politiques aient joué dans le même registre. Mais reviendra t il un jour un maître sorcier pour arrêter les flots ?
LES FORMULES MAGIQUES
La formule magique sur le climat a été proclamée au départ par quelques scientifiques produisant des calculs alarmistes susceptibles de terroriser les foules.
Les expressions clés de la formule magique « sauver la planète », « sauver le climat », « justice climatique », qui devraient être risibles et même grotesques sont reprises d’un air docte et compassé à tout bout de champ.
Dans le domaine de la santé, d’autres formules magiques sont apparues, à base d’études épidémiologiques douteuses, pour annoncer d’autres catastrophes. Les clés en sont « métaux lourds », « perturbateurs endocriniens » et autres « cocktails » dont les définitions sont floues, incertaines, voire inexistantes ou même fausses. Mais succès assuré si on annonce « qu’un cocktail de métaux lourds peut avoir des effets perturbateurs endocriniens » : avec ça on met des centaines de balais en action.
LES MICKEYS
Alors entrent progressivement en scène tous les mickeys : les démocrates aux États- Unis, qui firent du gaz carbonique un débat électoral du temps de Bush père, suivis et même surpassés ensuite par les partis européens, car cela donne un sens à des gouvernements qui en manquent cruellement. Les écologistes dogmatiques, bien sûr, qui voient là un argument de décroissance, sont à la manœuvre. Certains entrepreneurs enfin, qui font du sujet un juteux business.
Depuis vingt ans les media font du sensationnel sur ces catastrophes imminentes. Nos élites politiques sont biberonnées aux messages des gourous annonciateurs de fins du monde en tous genres. En France, c’est sans doute la dixième promotion de Sciences Po qui subit ce lavage de cerveau car les « intellectuels » enseignant dans nos grandes écoles, comme les artistes bien-pensants, adorent défendre des causes mortifères : communisme dans les années 1960, écologisme de nos jours. Notre Président lui-même, un esprit pourtant des plus brillants, prend ses informations sur le « Climat » auprès d’une actrice talentueuse, certes, mais qui n’est pas connue pour sa connaissance des équations de la physique des fluides. On est descendu maintenant aux Lycées et Collèges, qui introduisent dans les programmes des affirmations douteuses. On exhibe des égéries autistes de quinze ans. Selon le principe du nudging, les enfants en bas âge sont mis à contribution. C’est un signe qui ne trompe pas.
LES MICKEYS DÉPASSÉS
RépondreSupprimerMais voilà que les ONG traditionnelles, Greenpeace, WWF, sont prises de court par la multiplication de nouvelles venues aux noms évocateur : Alofa Tuvalu, Alternatiba, Surfriders, Cler, Hespul, Bizi… Elles sont condamnées à faire de la surenchère pour exister médiatiquement.
Des associations dont le but était les droits de l’Homme, comme OXFAM, ou la lutte contre la pauvreté, se croient obligées de « climatiser » leur action. Alors, toutes portent plainte. Mais contre qui ? Pour le Climat, contrairement aux pesticides, on ne peut incriminer un acteur précis.
Alors, on attaque les institutions. Aux États-Unis, en Australie, en France, des groupes portent plainte contre les États qui n’en feraient pas assez, alors même que ceux-ci sont déjà engagés dans des programmes dont les ambitions sont irréalistes.
En Colombie, 25 enfants portent plainte contre la déforestation. Aux USA, 21 enfants engagent un recours contre l’État de l’Oregon… un fermier pakistanais plaideur est médiatisé… et la liste s’allonge. C’est l’impasse juridique et l’indignation assurée si les plaintes sont irrecevables, et elles le seront sans aucun doute. Notre Président, pris au piège, se réveille : « Faut arrêter ces bêtises », dit-il. Trop tard. On décroche son effigie des bâtiments publics avec la bénédiction des juges.
Dans d’autres domaines, on promet d’arrêter l’usage du glyphosate, contre les avis réitérés d’une bonne dizaine d’agences gouvernementales… Les plaintes d’agriculteurs fusent…
Et les langues se délient chez les malthusiens et extrémistes de tout bord, appelant à des gouvernements autoritaires : un astronome appelle à « harceler les politiques », pour que « les gens au pouvoir prennent immédiatement des mesures radicales restreignant notre confort et notre liberté ».
DÉSOBÉISSANCE CIVILE
Mais voilà que les lycéens et les étudiants défilent « pour la Planète » : le 15 mars, ils étaient 40 000 à Paris, des millions dans plus de 2000 villes du monde, et le 16 mars, dans la manifestation « adulte », beaucoup étaient revenus. Alors qu’ils n’ont pas dépassé en moyenne 40 000, peut-on les comparer à des Gilets jaunes qui ont mis tout le monde en émoi ?
Le 20 septembre, ils étaient encore 15 000 à Paris ; les Gilets jaunes essaient de s’y raccrocher, les black blocs aussi. Normal, Extinction Rébellion a déjà attaqué la suite de l’Histoire. Quand on dit rébellion, ça ouvre des horizons !
Les jeunes dans la rue, c’est une autre histoire, on ne sait jamais où ça va s’arrêter, car ce sont eux la puissance en devenir. Et lorsqu’on on leur a inoculé le climatisme depuis leur plus tendre enfance, il sera difficile de les vacciner à l’âge adulte. Ils sont nombreux à se reconnaître dans le mouvement « Extinction rébellion », qui prône la désobéissance civile.
Comme le dit le dénommé Gad, organisateur, le 20 avril, du « blocage » de La Défense, « nous avons la légitimité et même le devoir de désobéir en tant que citoyens ». Pour l’instant, ces mouvements sont plus ou moins non violents, mais on peut s’attendre à une radicalisation, de la part d’individus prêts à mourir pour leur cause, comme cet avocat, « très engagé dans la protection de l’environnement chez « Bip Apple », qui confirme s’être aspergé d’essence avant d’y mettre le feu, une métaphore de la destruction de la planète. »
COMMENT LES GOUVERNEMENTS VONT-ILS RÉPONDRE ?
RépondreSupprimerComment les gouvernements vont ils répondre ? Leurs propres décisions concourent à les délégitimer. La journée du 16 mars 2019 à Paris a de quoi laisser perplexe plus d’un gouvernement : comment concilier les deux manifestations, celle des anti-taxe carbone et celle des sauveurs de planète ?
Comment vont-ils annoncer aussi qu’on a toujours besoin du nucléaire en France, et du charbon en Allemagne ? Comment vont-ils se défausser devant les tribunaux ? Comment vont-ils faire pour supprimer les 2000 substances dangereuses que nous utilisons couramment ? Pourront-ils l’éviter, alors que sous la pression de l’opinion publique ils en sont à décider contre les avis de leurs propres institutions et experts sur les OGM et le glyphosate ? Comment les entreprises manufacturières, qui, dans une logique de court terme, ont pris le train en marche, vont enrayer la désaffection des jeunes élites pour leurs activités ?
La jeunesse s’enflamme, elle est généreuse, elle se projette dans l’avenir et c’est tant mieux. Mais toute une génération qui se soulève contre la génération d’avant, et à l’échelon mondial, comment cela peut-il finir ? Et cela surtout lorsque le principe de réalité se rappellera aux décideurs. Il le fait déjà d’ailleurs : on a besoin d’énergie fiable, les pays pauvres plébiscitent les OGM, on a besoin de nombreuses substances, y compris dangereuses, dont le public ignore même l’existence…
La frustration est mauvaise conseillère. Quand les enfants dénoncent les parents, cela rappelle de mauvais souvenirs. La sociologue Cécile Van de Velde déclare, dans Le Monde :
« En 1968, Margaret Mead, dans son ouvrage Le Fossé des générations, annonçait une inversion de la transmission entre générations : au lieu d’être descendante – des parents vers les enfants –, cette transmission pouvait devenir ascendante. C’est cette forme d’inversion générationnelle qui est à l’œuvre aujourd’hui sur les questions climatiques et environnementales. »
Sauf que cette « inversion » là n’est pas, comme en 1968 ou lors de la flower power une volonté d’émancipation et de liberté. Elle n’est que le fruit d’un bourrage de crâne où se mêlent contrevérités, exagération, catastrophisme, irrationalités, mélange des genres entre écologie et social… La situation a davantage à voir avec des périodes historiques nettement plus sombres.
On a bien l’impression que la machine à seaux d’eau est en route. Les surenchères n’auront plus de limite, elles sont la condition d’exister pour chacune des parties prenantes.
Et on ne voit pas quel maître sorcier pourrait maintenant tout arrêter.
« Faites très, très attention à ce que vous mettez dans cette tête, car jamais, jamais, vous ne l’en retirerez. » Thomas Cardinal Wolsey (1471-1530)
https://www.contrepoints.org/2019/09/23/354083-manifs-pour-le-climat-des-appels-aux-gouvernements-mais-pour-faire-quoi
Les Nickeys rentrent en scène. Les écologistes sont des personnes qui refusent ou ont refusé d'aller à l'école car elles ou ils se prétendent en savoir plus que les professeurs !
SupprimerENVIRONNEMENT - POLLUER, PUIS PLANTER DES ARBRES ? PAS MIRACULEUX
RépondreSupprimerCe n'est pas la panacée de compenser ses émissions de gaz carbonique par le fait de replanter des arbres.
22.09.2019
Quelques euros, quelques clics et un arbre est planté: à l'heure où voyager par avion peut rimer avec culpabilité, il n'a jamais été aussi facile de compenser ses émissions de gaz carbonique. Mais si les industries les plus polluantes s'y mettent également, l'efficacité de ces actions fait débat.
Même les mastodontes des hydrocarbures rivalisent désormais de projets de reboisement: 300 millions de dollars investis dans des plantations par Shell afin de réduire son empreinte carbone de 2 à 3 %. Pour ENI, l'objectif est «zéro émission nette» dans l'exploration et la production grâce à «d'immenses forêts».
Quant à Total, c'est une «business unit» dotée de 100 millions de dollars par an qui doit voir le jour en 2020, pour «investir, développer et gérer des activités de conversion de milieux naturels dégradés en puits de carbone, d'exploitation agricoles et forestières soutenables et régénératrices, et des activités de conservation».
Achat d'un crédit
Qu'il s'agisse d'un géant pétrolier ou du touriste qui veut amortir l'impact climatique de ses vacances exotiques, la compensation volontaire obéit généralement à un mécanisme simple. Le «pollueur» achète un crédit équivalent à un certain poids de gaz carbonique. La somme versée finance directement ou indirectement un projet de réduction d'émission, comme de la reforestation ou de l'investissement dans les énergies renouvelables.
C'est cette logique que va appliquer en 2020 l'aviation civile, dont la part des émissions mondiales de gaz carbonique oscille entre 2 et 5% selon les estimations, via le dispositif «Corsia». 65 Etats sont d'ores et déjà volontaires pour y adhérer, soit 87% de l'activité aérienne internationale.
«Il y aura un certain nombre de projets de réduction d'émissions de gaz carbonique qui seront éligibles et les compagnies aériennes pourront acheter des équivalents en tonnes de gaz carbonique sur ces projets», explique à l'AFP Nathalie Simmenauer, directrice environnement et développement durable d'Air France. L'objectif est d'atteindre «la neutralité de la croissance carbone», c'est-à-dire maintenir le niveau des émissions atteint en 2020.
Réduire ses émissions
Si la forêt reste un outil important de régulation climatique, le reboisement ne permet pas pour autant de se dédouaner de toute responsabilité face à des actions émettrices de carbone.
«Si vous ne réduisez pas vos émissions et si l'on n'arrête pas la déforestation, ce n'est pas parce que vous plantez des arbres que vous allez résoudre quoi que ce soit», annonce d'emblée Stéphane Hallaire, président et fondateur de Reforest'Action qui a planté 3,8 millions d'arbres en neuf ans.
Pour 3 euros, cette société plante un arbre adapté à la biodiversité locale et achète une part de crédit carbone pour un projet de conservation forestière à l'étranger. Mais selon Stéphane Hallaire, la reforestation doit nécessairement être accompagnée de comportements plus vertueux par ailleurs.
Un constat largement partagé par le directeur de Voyageurs du Monde, Jean-François Rial, fervent défenseur de «l'absorption»: l'identification et le financement directs de projets de reboisement «précis et pérennes», sans passer par des systèmes de crédits carbone jugés plus opaques et moins efficaces.
RépondreSupprimer«Une échappatoire»
«Si vous vous contentez d'absorber vos émissions de gaz carbonique, cela ne va pas fonctionner. Il faut, en amont, absolument faire baisser la quantité de gaz carbonique utilisée par les économies et financer la transition» énergétique, prévient-il.
«C'est une échappatoire qui risque de dissuader la société collectivement de faire des efforts importants, de dissuader d'investir dans des technologies plus coûteuses», renchérit Alain Karsenty, chercheur au centre international pour la recherche agronomique et le développement (CIRAD).
Le reboisement à grande échelle pose d'autres problèmes: les projets peuvent entrer en concurrence avec des cultures alimentaires ou des forêts naturelles, et les arbres plantés ne sont pas toujours bénéfiques à leur environnement.
«Ce sont souvent des essences à croissance rapide comme les eucalyptus, les pins, car on a besoin d'arbres qui stockent très vite du carbone, mais cela peut finir par poser des problèmes de biodiversité, d'assèchement des sols», pointe Alain Karsenty. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/polluer-planter-arbres-miraculeux/story/14205272
A l'heure où en tous points du globe naissent des milliardaires, je doute bien que demain il n'y ait plus de bateaux de croisières ou de porte-containers comme d'avions gros porteurs ! (Hahahaha !)
SupprimerCar, eux, ils savent (contrairement au négationnistes qui manifestent) que TOUS les gaz se recyclent depuis toujours et pour toujours en quelques fractions de minutes !
Les plus gros émetteurs de gaz (les plus toxiques) demeurent les mers & océans (plus de 78 % de la superficie de la planète) qui dégazent des milliards de fois plus que les pauvres 7 milliards d'habitants qui osent encore respirer !!
SCIENCE UNE EXPÉDITION VA SE LAISSER PIÉGER UN AN DANS LES GLACES
RépondreSupprimerLe «Polarstern» va rejoindre le cœur de l'océan Arctique pour la plus importante mission sur le climat: des Suisses seront à bord.
Le navire de recherche «Polarstern», d'une longueur de 118 mètres embarquera 100 personnes, dont 50 scientifiques, qui seront relayés tous les deux mois.
Michel Pralong avec les agences
20.09.2019, 15h41
LEMATIN.CH
Ce vendredi 20 septembre à 20 heures, le navire de recherche «Polarstern» va quitter le port de Tromsø en Norvège. Il se dirigera vers le Pôle Nord où il stoppera ses machines et se laissera piéger dans les glaces pendant un an, se laissant dériver vers le sud avec la banquise. Cette mission, baptisée «Mosaic» (Multidisciplinary drifting Observatory for the Study of Arctic Climate), est la plus grande expédition scientifique jamais réalisée dans l'Arctique. Son but: étudier les conséquences du changement climatique qui sont particulièrement fortes à cet endroit.
Ce brise-glace de l'institut allemand Alfred Wegener transportera à son bord 100 personnes: 50 membres d'équipage et 50 scientifiques. Si les premiers devraient rester sur le navire durant toute la durée de la mission, les chercheurs seront, eux, relayés tous les deux mois par de nouvelles équipes amenées à bord de brise-glaces russes, chinois et suédois.
Une spécialiste suisse de l'atmosphère
Parmi ces scientifiques, plusieurs Suisses. Dont Julia Schmale, spécialiste de l'atmosphère à l'Institut Paul Scherrer à Villigen (AG) qui va étudier la formation des nuages dans la région. Car ceux de basse altitude ont un effet important sur le bilan énergétique de surface dans l'Arctique. Mais leurs cycles de vie et leurs effets de réchauffement et de refroidissement sur le centre de cet océan restent flous et les modèles ne parviennent pas à les simuler correctement. Il est possible de suivre les avancées de la mission de Julia Schmale sur son blog.
Quatre membres de l'Institut fédéral d'étude de la neige et des avalanches (SFL) se succéderont à bord du «Polarstern» pour mener à bien le deuxième projet suisse: mesurer la neige. Celle-ci est en effet un «élément-clé du bilan énergétique de la banquise et joue un rôle crucial dans l’élaboration des prévisions de la banquise», peut-on lire sur le site de l'Institut. Or il existe peu de données sur les effets de la résistance thermique de la neige sur la glace de mer. Les propriétés physiques exactes du manteau neigeux seront mesurées par microtomographie (soit effectuer des numérisations 3D rapides et haute résolution du manteau neigeux), ce qui n’a jamais été réalisé auparavant.
Des ours par -45°C
Dans un mois, le«Polarstern» s'amarrera à une grosse plaque de glace au nord de la Sibérie, avant d'être entièrement pris dans la banquise et de dériver pendant un an sur des centaines de kilomètres. Ce n'est qu'en été 2020 que la glace libérera le navire, probablement au nord-est du Groenland. Durant les 390 jours que durera l'expédition, le navire aura parcouru 2500 km. 600 scientifiques, venant de 19 pays, se relaieront selon six tournus. Mais certaines équipes devront affronter les 150 jours de nuit polaire avec des températures pouvant tomber à -45°C. Et six personnes seront en outre exclusivement employées à repérer et éloigner les ours polaires.
Le «Polarstern» dispose de divers véhicules (hélicoptères, motoneiges, chenilles) permettant aux chercheurs de prendre des mesures et de collecter des données non seulement dans l'observatoire central, mais également aux alentours. Les scientifiques étudieront à la fois l'atmosphère, l'océan, la mer de glace et l'écosystème pour recueillir des données qui permettront de voir comment le changement climatique affecte la région et le monde entier.
RépondreSupprimerL'épicentre du réchauffement global
C'est d'autant plus crucial de le faire dans l'Arctique qu'aucune autre partie de la Terre ne s'est réchauffée aussi vite ces dernières décennies. «C'est ici que se situe quasiment l'épicentre du réchauffement global», a expliqué le chef de la mission et scientifique Markus Rex, qui dispose d'un budget de 153 millions de francs pour récolter, pour la première fois, des données exhaustives sur le climat au pôle Nord.
Il est possible de suivre l'expédition en téléchargeant l'application «Mosaic» sur le site officiel de la mission.
https://www.lematin.ch/sante/sciences/expedition-laisser-pieger-an-glaces/story/30230670
Seront-ils capables de percer la glace de plusieurs mètres pour atteindre les dessous des glaciers qui fondent et, s'apercevoir que des milliers de sources chaudes tapissent les dessous des pôles ?
SupprimerQuelles conclusions peut-on tirer d'une telle aventure inutile qui fait marrer plus d'un scientifiques restés sur Terre ferme ?
La théorie de l'évolution : un camouflet pour la science
RépondreSupprimerMandatory Intellectomy
Sott.net
jeu., 19 sept. 2019 09:43 UTC
Dans leurs tentatives désespérées de discréditer même de loin tout ce qui a un sens, les darwinistes s'entichent à questionner l'aspect scientifique du dessein intelligent. Leur immanquable réponse est un « non » péremptoire qu'ils formulent sur la base d'une quelconque affirmation ridicule au hasard du jour. Mais ce n'est pas la bonne réponse. La bonne réponse est : « On s'en fout ! ». Imaginons une théorie qui s'avère correcte sans être « scientifique » (quoi qu'elle signifie) et une autre qui s'avère parfaitement « scientifique » en étant fausse ; il faudrait être un imbécile pour choisir la fausse. Et en posant simplement la question « La conception intelligente est-elle scientifique ? », les darwinistes se désignent eux-mêmes comme étant exactement ce genre d'imbéciles. Ils préfèrent se tromper plutôt que de reconnaître l'existence d'un quelconque dessein intelligent.
Si au moins cette partie de la théorie de Darwin est correcte, alors les scientifiques néo-darwiniens sont aujourd'hui une espèce menacée.
Donc, se laisser convaincre de l'importance à déterminer si le dessein intelligent est « scientifique » relève de la mystification qui vous laissera peu de chance de découvrir la vérité sur quoique ce soit. Cela revient à se désintéresser de ce qui est vrai ou correct et à se préoccuper d'une chose qui n'a aucun rapport avec la question. On se retrouve alors engagé dans une argumentation stupide sans aucun intérêt et l'on passe complètement à côté de l'essentiel.
Mais puisque cette question est fréquemment évoquée, examinons la réalité scientifique de l'évolution elle-même.
Les darwinistes disent que le dessein intelligent n'est pas scientifique parce qu'il ne peut ni être observé ni vérifié. Mais la théorie de l'évolution n'est pas scientifique non plus, puisqu'il n'y a aucun moyen de prouver qu'elle se produit par des mutations aléatoires pas plus qu'il n'est possible d'observer ou de vérifier la sélection naturelle. Ce n'est qu'un des nombreux indices de l'aspect au moins aussi peu scientifique du darwinisme et de la théorie de l'évolution que ne l'est supposément le dessein intelligent. On observe ici l'évidence d'une cécité sélective et d'un manque extrême de circonspection. Toutefois, je dirais que la situation dans le camp de la théorie de l'évolution est bien pire, ce que je vais abondamment clarifié.
La liste suivante énumère les raisons pour lesquelles la théorie de l'évolution n'est pas scientifique. Non pas que cela soit vraiment d'un grand intérêt en soi — c'est l'aspect erroné de ces raisons qui est d'importance — mais puisque les évolutionnistes se plaisent à brandir le drapeau de la science à tout bout de champ, montrons simplement à quel point cette gestuelle est malhonnête. Si l'on peut disqualifier la théorie du dessein intelligent en l'accusant de n'être « pas scientifique » par un coup de maître irréfutable, alors donnons à ces crétins de « l'évolution » un avant-goût de leur propre règle du jeu.
La théorie de l'évolution a été imaginée par un bonhomme qui ne possédait aucune connaissance de la cellule, de l'hérédité et de la génétique. La génétique a par la suite démontré que la théorie s'avérait totalement invraisemblable, ce qui fut confirmé par la découverte de l'ADN et de la complexité de tout le système cellulaire. Pourtant, loin d'être reconnue comme abracadabrante, elle acquière un statut d'incontestabilité. Il parait que les espèces évoluent vers d'autres espèces étape par étape même si personne n'est en mesure d'expliquer par quel processus, sans parler du fait que personne ne l'ait jamais vu se produire. Ce n'est pas de la science. C'est du dogmatisme de la pire espèce.
Les darwinistes sont dans l'impossibilité absolue d'expliquer l'origine de la vie. Leurs tentatives en ce sens invoquent des mécanismes qui n'ont jamais été observés dans la Nature. Ce n'est pas de la science. Ils sont souvent réticents à ne serait-ce qu'admettre l'existence du code très sophistiqué de l'ADN, mais même leur orgueil est impuissant face à une telle réalité. La seule origine jamais observée pour un code est le dessein. Par conséquent, la seule théorie expliquant l'origine du code de l'ADN qui puisse être qualifiée de scientifique est le dessein intelligent, la seule reflétant réellement notre expérience réelle, observable et démontrable. Mais au lieu de cela, les darwinistes suggèrent des idées complètement improbables dont le fonctionnement n'a jamais été observé. Est-il possible de trouver moins scientifique ? Autant constater qu'un clou a dû s'enfoncer dans du bois accidentellement après avoir observé toute sa vie que des clous s'enfoncent dans le bois après avoir été frappés par un marteau (ou un dispositif semblable). Pourquoi ? Pourquoi ignorer les observations de toute une vie ? L'idée que des atomes puissent s'auto-assembler en cellules vivantes complexes et fonctionnelles n'est pas scientifique. Dire « Oui, c'est très improbable et personne ne l'a jamais vu, mais c'est arrivé », c'est comme dire « Oui, je sais que personne n'a jamais vu une licorne, mais elles existent ! ». Exception faite du domaine théorique de l'évolution, nul scientifique ne considérerait sérieusement ces affirmations.
RépondreSupprimerL'idée que « tout aurait pu commencer de façon rudimentaire » pour évoluer progressivement vers la complexité est absurde. Les plus petites bactéries produisent des centaines de protéines. Personne ne sait comment une cellule peut fonctionner avec, disons, quelques dizaines de protéines. La simple fabrication d'une protéine nécessite plus d'une centaine de protéines déjà existantes. La réplication de l'ADN nécessite trente-deux protéines. Même si personne n'a la moindre idée du comment, il n'est pas scientifique de suggérer que tous ces processus pourraient fonctionner avec moins. Ce sont juste des foutaises qui permettent de contourner l'impossibilité factuelle du fonctionnement de l'évolution, des idées complètement irréalistes qui ne servent qu'à maintenir artificiellement en vie le fantoche de l'évolution. De deux choses l'une, soit il est possible d'en démontrer le fonctionnement, soit on invente des scénarios.
L'interdépendance des différentes substances dans les systèmes cellulaires et dans les organismes vivants révèle l'absurdité d'une évolution progressive de ces systèmes. Il est impossible de fabriquer des protéines sans ADN, mais les protéines sont fondamentales pour lire, transcrire et répliquer l'ADN. La biologie recèle tellement de problèmes liés au concept de primauté de « l'œuf ou la poule » que c'en est ridicule. Quelle est l'explication ? « On ne peut pas vraiment l'expliquer avec exactitude, mais on sait que ça arrive. » Comment « savent-ils » ? Ils ne savent pas, mais ils y croient. Il s'agit d'une croyance dogmatique, ce qui n'est absolument pas scientifique.
Si une chose est censée se produire par hasard, quelle est la probabilité pour qu'elle se produise vraiment ? S'il s'avère qu'une telle probabilité est d'une sur 10100 ou d'une sur 105 000 ou d'une sur 1040 000 ou plus — comme c'est le cas pour l'évolution — nous pouvons affirmer que la théorie n'est qu'ineptie. Si l'on demandait à des enfants de cinq ans comment la vie a commencé, il est peu probable qu'ils aient une théorie pire que celle qui n'a qu'une chance sur 1040 000 de se produire. Je vous invite à prendre quelques minutes pour méditer sur la difficulté d'inventer quelque chose de moins probable que l'évolution.
RépondreSupprimerEn concoctant leurs théories sur les processus d'évolution d'un organisme, les évolutionnistes se concentrent sur ce qu'ils désirent voir se produire, et non sur les 9,999,999,999 de choses qui pourraient aller de travers à chaque étape. Tout ça parce qu'ils prennent les espèces 1 et 2, décident que 2 a évolué à partir de 1 et tentent a fortiori de découvrir les moyens de fonctionnement de cette évolution. Ce qui signifie qu'ils sont dans l'obligation d'inventer à partir de tout ce qui peut être utile en s'accommodant même de ce qu'il y a de plus marginal et improbable. C'est en partie concevable, bien que l'improbabilité des mécanismes de l'évolution dépasse de loin celle de toute autre chose, comme mentionné plus haut. Le pire c'est qu'ils ignorent tous les problèmes potentiels qui sont généralement des quintillions de fois plus probables que les événements aléatoires requis. Autant expliquer que l'on peut réparer une voiture en panne en la démolissant avec un marteau qui frapperait au petit bonheur la chance. Le tout étant de mettre l'accent sur la façon dont le marteau pourrait, contre toute attente, frapper au bon endroit. La quantité d'essais nécessaires est ignorée tout comme l'est le fait que chaque coup de marteau est susceptible de causer encore plus de dégâts. Une théorie qui place un espoir infini dans un processus infiniment improbable et qui écarte un grand nombre de choses qui sont très susceptibles de mal se passer n'est pas scientifique. C'est l'antithèse du rasoir d'Ockham.
Seules des mutations mineures s'avérant bénéfiques à la survie dans les conditions actuelles ont pu être observées. Extrapoler de cela vers l'infini en ignorant les réalités biologiques, les mathématiques, la simple logique et le bon sens n'est pas de la science. Une seule mutation observée dans l'ADN ne peut à elle seule expliquer comment un tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance. Permettez-moi de le répéter, car c'est très important. Une seule mutation observée dans l'ADN ne peut à elle seule expliquer comment un tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance. Il s'agit là de deux problèmes distincts et d'ordres de grandeur différents. Toute science digne de ce nom pratiquée dans ce domaine montre que les nouveaux gènes n'évolueront pas par hasard, même avec l'âge de l'univers tout entier à notre disposition.
L'évolution ignore la principale preuve physique : le registre fossile. La réaction face aux découvertes de fossiles est du genre « Waouh ! c'est bizarre. Comment les faire corresponde à notre modèle d'évolution ? ». Rien dans le registre fossile n'a de sens dans le contexte de l'évolution, mais l'impératif apparent est de faire tant bien que mal de leur mieux pour le rendre cohérent. Il arrive parfois qu'une découverte semble soutenir le modèle de l'évolution ce qui fait s'exclamer les évolutionnistes : « Ha ! Vous voyez ? On vous l'avait bien dit ! ». Puis on leur demande ce qu'ils font des 99 % de preuves contre l'évolution, et ils prétendent tous ne pas nous avoir entendus. La science devrait partir de l'évidence pour créer des théories crédibles. L'évolution commence avec une théorie peu plausible et tente ardemment d'intégrer les preuves dans cette théorie, même si elle échoue constamment.
Selon la théorie de l'évolution, le cheminement pour passer d'une espèce à l'autre procéderait d'une continuité graduelle. Dès lors et selon ce seul point de vue évolutif, aucune forme définitive d'organismes n'existerait. Tout est supposément en mutation perpétuelle au petit bonheur la chance. Si l'évolution était mue par des mutations et la sélection naturelle, rien n'y mettrait jamais un terme. Les mutations seraient permanentes et la sélection naturelle ininterrompue. Pourtant, le registre fossile montre clairement l'apparition impromptue d'organismes qui restent inchangés durant de longues périodes pour finalement tout à coup disparaître. Bien que la réalité observée soit en totale contradiction avec les estimations « scientifiques » du darwinisme, ces absurdités élevées au rang de « science éprouvée » subsistent obstinément. Ignorer des preuves incommodes n'est en rien scientifique.
RépondreSupprimerEn parlant d'estimations, les darwinistes accusent le dessein intelligent d'être incapable d'estimer quoique ce soit — ce qui n'est ni vrai ni pertinent, mais on s'habitue à ce genre de logique tordue quand on a affaire aux darwinistes. Mais quelles estimations le darwinisme peut-il faire ? La théorie de l'évolution ne peut absolument rien estimer de précis. Tout ce qu'elle est en mesure de dire c'est que des espèces pourraient avec le temps se transformer au petit bonheur la chance en d'autres espèces. La théorie du dessein intelligent estime pour sa part que ce n'est pas le cas. Étant donné qu'aucune de nos observations n'a jusqu'à présent montré qu'une seule espèce — vivante ou disparue — pourrait évoluer en une autre espèce, le point de vue du dessein intelligent est cohérent avec ce qui est observé. Le darwinisme ne dispose que d'une seule estimation très vague qui n'a pas une seule fois été confirmée par l'observation.
Les darwinistes tressent sans cesse des couronnes de laurier à toute preuve qui, même de loin, parle en faveur de l'évolution — ce qu'elle ne fait souvent que dans leur tête — et ignorent toutes celles qui pourraient la discréditer. Une science authentique se préoccupera plus des preuves à l'encontre d'une théorie préconçue qu'à celles qui peuvent venir l'appuyer. Ce n'est pas en observant cinq faits qui corroborent une théorie que l'on prouve son exactitude, loin s'en faut. Elle est par contre fausse s'il est possible d'observer un seul fait qui la réfute. Échec et mat. La récréation est terminée, circulez y'a rien à voir. Trouverait-on une autre solution en méditant un peu plus sur le sujet ? En fait, les preuves qui corroborent la théorie de l'évolution sont rares tandis que celles qui la réfutent sont légion. Lorsque les darwinistes font face à une preuve incommode, ils l'expliquent avec un conte de fées ou l'ignorent en bloc. Prendre ses désirs pour des réalités n'est pas scientifique.
Sans aucune preuve pour l'appuyer, l'évolution étape par étape de la complexité est pourtant élevé au rang de vérité seule et absolue. Nous sommes censés accepter les yeux fermés et sur la simple conviction de quelques hommes très intelligents — d'après eux — le fait que des systèmes irréductiblement complexes aient pu évoluer de façon graduelle, alors que personne n'a été capable d'en expliquer le processus. Une idée qui ne s'appuie sur aucune preuve ni aucun modèle théorique pour l'expliquer n'est pas scientifique. « Nous croyons que c'est possible » ne l'est pas plus.
RépondreSupprimerLes mutations aléatoires et la sélection naturelle sont toutes deux de piètres candidates propres à produire une quelconque caractéristique novatrice. Les mutations produisent essentiellement des déchets et la sélection naturelle ne peut qu'éliminer le pire d'entre eux. Ces deux processus n'ont aucun moyen plausible de créer quoi que ce soit qui ait un caractère inédit. Instituer l'idée que des nuisances sont en mesure de créer une quelconque fonctionnalité, alors que toute notre expérience nous dit le contraire, n'est pas scientifique.
L'évolution contredit les principes scientifiques établis, à savoir l'entropie de l'information. On nous assure que la nature informative contenue dans l'ADN augmente au fil du temps sans aucun intrant intelligent, sans toutefois que cela ait un sens. De par sa nature intrinsèque, l'entropie dégrade le contenu de l'information — c'est ce que nous observons chaque fois que nous voulons bien nous donner la peine de regarder. L'intelligence est la seule source capable d'introduire de nouvelles informations fonctionnelles dans un système. Le hasard n'a rien à voir là-dedans. La théorie de l'évolution n'est pas scientifique.
En se basant sur des conclusions spéculatives pour interpréter des faits, les darwinistes façonnent leur études à rebours du consensus scientifique. Pour chaque nouvelle découverte, les darwinistes sont contraints d'élaborer une fable qui s'inscrive dans le sacro-saint modèle évolutionniste, une méthode qui le plus souvent requiert une gymnastique mentale significative et une suspension consentie d'incrédulité, dans une « foi poétique » qui permet la création d'une histoire imaginaire en mettant de côté son scepticisme. Tout ça parce parce qu'ils ont décidé que la théorie de l'évolution est en conformité avec la réalité. La science a pour objet de déterminer les processus de réalités factuelles et certainement pas celui de décider de la manière dont les choses se produisent pour ensuite inventer des théories qui leur permettent de faire correspondre les preuves à leur croyance préconçue.
Tout en ignorant les faits les plus notoires, les évolutionnistes maintiennent leurs assertions mensongères avec dogmatisme. Afin d'illustrer un des multiples exemples de cette singularité, prenons l'appendice iléo-cæcal dans le corps humain : cet organe est connu pour avoir au moins deux fonctions admises même par une source aussi basique que peut l'être Wikipédia. Pourtant, on ne cesse de nous rabâcher que l'appendice iléo-cæcal serait un organe à structure « vestigiale » dont la fonction initiale aurait été perdue et que seule l'évolution est en mesure d'en expliquer la rémanence. Le livre de Jonathan Wells, Zombie Science [« La Science fantoche », ouvrage non traduit en français - NdT], contient de nombreux exemples d'affirmations similaires dont on nous rebat inlassablement les oreilles, bien que leurs aspects erronés ait été prouvés il y a parfois plusieurs décennies. L'évidente raison pour que décennie après décennie de fausses preuves continuent de nous être donnés en pâture, c'est que la théorie de l'évolution ne bénéficie d'aucune preuve qui la soutienne.
Les darwinistes expliquent généralement pourquoi mais pas comment les choses ont évolué. Insister sur le processus évolutif d'une chose alors qu'il est impossible de démontrer qu'elle peut le faire étape par étape s'apparente à une croyance religieuse. « Les girafes ont développé de longs cous pour pouvoir atteindre les plus hauts feuillages ». COMMENT ? « Ce singe a développé un long doigt mince pour atteindre les trous intérieurs et en extraire les insectes ». COMMENT ??? Les scientifiques ne peuvent pas expliquer comment les choses ont évolué. Paradoxalement, expliquer pourquoi ne fait que renvoyer au dessein intelligent. L'évolution est censée n'avoir aucun but. Expliquer pourquoi une chose a évolué n'a même pas de sens dans le paradigme scientifique dominant. Pour les tenants de l'évolution, la réponse au « pourquoi » se résume toujours à « sans aucune raison ».
RépondreSupprimerPlus controversée que jamais après cent soixante ans d'existence, la théorie de l'évolution s'évertue à tenter de prouver l'impossible. Loin de se renforcer au cours des seize décennies de recherche scientifique, elle est devenue de plus en plus douteuse. Et si cent soixante années de science ont rendu la théorie moins plausible que jamais, dire que cette théorie et la science sont à tout le moins incompatibles est un euphémisme.
Lorsqu'ils considèrent ce qui est ou n'est pas scientifique, les évolutionnistes sont d'avis que la seule vraie science est la science naturelle, c'est-à-dire la science matérialiste [en tant que doctrine qui ramène toute réalité à la matière et à ses modifications - NdT]. Mais le matérialisme est une idéologie qui à l'instar de la Bible n'est étayée d'aucune preuve. Tout comme la religion, le matérialisme est une croyance dogmatique. Professer que la science matérialiste est la seule qui soit d'importance revient à dire que la science religieuse est la seule science qui compte. Les évolutionnistes adhèrent à une croyance précise et définissent la science comme opérant dans les limites imposées par cette croyance. Le résultat devient très vite complètement stupide. On finit par vous dire — entre autres absurdités — que votre conscience n'existe pas vraiment et que vous ne prenez pas vous-mêmes de décisions mais que ce sont vos gènes qui le font. L'objectivité s'évapore car l'apprentissage de la réalité est limité par des hypothèses arbitraires.
Le darwinisme est pour la science un camouflet qui ignore les faits et les preuves ainsi que de nombreux principes scientifiques en axant de préférence leur obstination sur une croyance dogmatique, tout comme le fait la religion. Les darwinistes feraient mieux de sortir de l'obscurantisme en cessant de considérer que leur théorie est aussi inattaquable qu'une vache sacrée. Ils font exactement ce dont ils accusent les créationnistes.
La théorie de l'évolution n'est pas seulement fausse ; absurde, illogique et mathématiquement impossible, elle n'est pas scientifique.
https://fr.sott.net/article/34419-La-theorie-de-l-evolution-un-camouflet-pour-la-science
SupprimerSi la gente humaine est encadrée depuis peu à éloigner et soigner les trisomiques et autres cas défaillants, il n'en est rien de la gente animale qui elle se reproduit.
C'est tous les jours que sont découvert des animaux aux comportements étranges et non pris en compte par la science.
Tout pareillement qu'aux siècles passés les nains ou géants vivaient en autarcie ou s'accouplaient entr'eux, l'on a découvert des êtres différents qui accouchaient parfois d'humains normaux (qualifiés d'anormaux par eux).
Une autre approche des cycles du climat.
RépondreSupprimerle 22 septembre 2019
Il y a quelques jours Michael Mann, l’auteur controversé de la courbe en crosse de hockey, déclara haut et fort que la température de 100°F (37,7 °C) relevée à Huntsville, Alabama une semaine auparavant était à l’évidence le résultat du réchauffement climatique. Mann a-t-il vraiment fait une petite recherche sur les températures relevées dans le sud-est des Etats-Unis depuis la fin du XIXe siècle ?
- voir graphique sur site -
Voici le nombre de jours chaque année durant lesquels les températures relevées dans toutes les stations météo de l’Arkansas, Louisiane, Missouri, Alabama, Floride, Géorgie, Caroline du Sud, Caroline du Nord, Tennessee, Kentucky et Virginie ont dépassé 90°F soit 32°C avec en bleu le nombre brut de jours et en rouge la moyenne courante de ce nombre de jours sur 5 années.
Ce type de résultats peut être trouvé non seulement aux USA mais également en Europe ou encore au Japon. C’est une des présentations graphiques privilégiées par Kirye, fameuse blogueuse japonaise au sujet du climat (@KiryeNet) car elle considère, à juste titre, que mentionner des moyennes de températures est un non-sens scientifique. Ce que l’on remarque tout de suite est qu’entre les années 1920 et 1960 « il faisait plus chaud » qu’aujourd’hui. Cet optimum de températures se retrouve également en Europe et en particulier dans les pays traversés par la chaine des Alpes. Ce qui est également évident est une stabilisation du nombre de jours au cours desquels des températures « extrêmes » ont été comptabilisés depuis 1980. Il ne s’agit pas ici, et il est important de le noter, de manipulations des températures pour établir des écarts ou des « anomalies » rapportés à des moyennes dont on ignore le plus souvent l’origine, il s’agit de nombres de jours durant lesquels les températures ont atteint un certain seuil. Ces résultats concernent un grand quart Est des Etats-Unis et peuvent donc être considérés comme significatifs.
Au sujet de cet « optimum » 1920-1960 il faut garder en mémoire que le recul des glaciers observé au front de ces derniers se produit avec une latence d’environ 30 à 40 ans par rapport au début d’une période « plus chaude ». C’est ce qui s’est produit dans les Alpes françaises et suisses. On incrimine à tort le recul des glaciers au soi-disant réchauffement moderne du climat lié à l’accumulation de gaz carbonique. En réalité les glaciers alpins ont amorçé leur recul dès le début des années 1950 après avoir considérablement « avancé » au cours du XIXe siècle, le petit âge glaciaire. Et puisque j’ai mentionné le gaz carbonique l’augmentation considérée comme spectaculaire et provoquée, selon les affirmations de l’IPCC, par l’activité humaine est le résultat d’un dégazage des océans provoqué par cet « optimum » 1920-1960, dégazage qui lui aussi présente une latence en raison de l’inertie thermique des eaux océaniques.
- voir graphique sur site -
Pour assortir mon propos je rappelle l’illustration très parlante du nombre de taches solaires observées et le calcul tout simple de l’excès ou du déficit de ce nombre de taches solaires exprimé par rapport au nombre moyen de celles-ci observées depuis 1750 pour chaque cycle solaire dix ans et un mois après le début de chaque cycle. J’ai déjà mis en ligne à plusieurs reprises cette représentation très parlante, si on peut dire les choses ainsi. Les glaciers alpins ont considérablement avancé en raison du « petit âge glaciaire » qui débuta à l’orée du XIXe siècle pour être suivi par un réchauffement brutal à la fin des années 1930 provoquant le retrait des glaciers alpins. Le glacier d’Argentières menaçait le village éponyme à la fin du XVIIIe siècle comme le montre l’illustration ci-dessous …
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Source et illustration : blog de Tony Heller (realclimatescience.com), Wikipedia et sur ce blog le billet du 21 février 2019
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/09/22/une-autre-approche-des-cycles-du-climat/
Il n'est pas anormal que des éruptions volcaniques sous-marines & sous-océaniques émettent de la chaleur jusqu'en surfaces et que ces dernières soient transportées par les vents aux sommets des montagnes.
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